10/5/2025
la mort a ses quar(tiers pour ainsi dire comme cloturés en une sorte de contrée parc aux beâtes cendrées et donc le pré passé on se retrouve comme soulevées et hop au néné à devoir téter de chez téter le lait de l'or ou comment dire de l'oralité on tète pour de vrai on aime le lait obn tète en t^eyte on ne veut pas lâcher pour rien au monde le néné mais grave continuer téter sans s'arrêter jamais et hop avaler avaler de ce lait de mère on aime on ne veut plus s'arrêter de tétéer car voilà le lait en vrai on en radfole tant que nous une fois transformée en bébé des bébés eh bé on veut rester ou on voudrait rester tout le temps pendus pendus aux nénés quand bien même en vrai on serait repues on s'en fiche ou plutôpt disons qu'on veut colloer ici à cette peau des mots ou comment on peut dire coller de chez coller à ce néné du bout du monde = de l'après = de l'après-prairie ou de l('après-pré quand on a compris que oui pour passer ici l'ultime muret le mieux c'est d'y aller franco de foncer de rage en cette sorte de barrage mais voilà le passage est faisabhle il suffit de quoi il suffit de ça une voix un mot un mot donné une sorte de passé à trouver devant = dans le vent dans une sorte de paysage du levant qui est comme donné en termes de frontalité de musicalité frontale on enttre on creuse on creuse par la voix et là on entre on passe on vient tout de suite coller soit coller à ces dits nénés de l('outre-tombe et hop on monte on file on y va on ne veut pas rester en carafe mais là comme en vrai tracer toucher foncer filer et téter de base du bon lait de la rage et autres sortes de'excentrictés ou comment dire de particularités on entre = on charge = on veut comprendre ensemble ensemble ailes d'une fée les données immenses et autres grossièretés qui sait qui se présentent en ces quartiers de ôst-muret post-mort des prés post-rotonde on monte on creuse on creuse on monte et hop on regarde on cherche à cerner ici deux nénés qui nous regardearaient pour ainsi dire et nous de les aimer en tant qzue voilà ils contiennent du lait du lait de paroi ou plutôt de post-paroi lait de là de l'au-delà à la paroi-voie et nous de nous y adonner ou de nous y coller-serrées ou comment on pourrait expliquer entre nous la chose comme quoi en entrte = on sort on sort du cortps et hop onn enttre on entre en quoi en certe sorte de passage menant onn dirait à un visage visage + corsage à une soerte de visage comme accompafgné et nous de nous en rapprocher en tant que new bébé venant du pré on était la fée on devient bébé la charge les données de base = une face une sorte de visage ici excentré et nous de regarder et d'essayer de situer ledit visage en ses diverses particulmarités ou excentricités on cherc he on est certes pas encore et loin de là arrivées à bien tout cerner de ce paysage à particulrarités de type qui sait néné un néné sein donné lait donné dlait de base = lait ancré lait de femme sondé et autres cotrps cendré de cdernière instance on veut téter on ne veut pas lâcher mais grave continuer continuer de chez continuer à grave téter de cghez téter de ce lait de dame il sembleréit on avale on boit le lait de l'antre le passé est comme remonté qui nous regarde en face atrocité qui sait on veut comprendre de cherz comprencdre ce qui est ici en termes de passé notoire les données données fortement intégrées à une sorte d'histoire comme remontée )à la surface histoire de données faciales un passé de france = une langue une sorte de chant s alué un passé de chant de chansons de france un passé chantant et hop on tremble on veut comprendre on veut grave cerner ensemble = fée
les données prégnantes un passzé de rage et autres fait§s passés en france dans les faits on veut en vrai toucher de chez toucher aller de chez aller cerner de chez cerner pissser peut-être aussi de chez pissser et auttres faits ainsi décrits et comme pzar envie charger = dire et dire = charger on envoie on ne tremble plus on se positionne cul nu et hop on monte on monte au plus haut possible sur néné de porte et hop on tète au sein la chose lait de roche on ne veut plus faire le coquin ni mêmme le malin mais qui sait la copine ou copine coqauine aimant le lait de friche téter faire ainsi que ce lait ou que ce lait de friche ou que ce lait de biche tombât là en soi bouche bée en le gosier et hop avaler avaler le lait toucher de cghez toucher à ce néné de bout de roche on veut cerner = entourer = encercler = détourrer ou comment dire ce néné de l'hydre = ou égalerait peut-être on ne sait un passé natif ici encore actif en ses diversesqualités lactées on cherche et on est pas encore loin de là grave arrivées à port ou à bon port question tralala chants d'abord parois des rois / reines des bras et auttres chants de prime abord on monte on va on creuse on cherche sa voie son timbre son accord de roche une sorte d'accroche afin de quoi afin de pour le coup monter de vchrez monter qui sait à genoux au plus haut sommet des nénés du bout monter = aller =dire = cerner =construiore ici ou là une sorte de mastaba et là arriver de fait à se blmottir se recroquevilléer et regarder passer peut-etre on dirait du laéit ou quoi ou qi'est-ce mer donnée vagiues cendrées chants azurés plaintes lascicves = traitrs traits des fées ou comment traéits tracés comme à main levaée par va savoir qui en vérité homme-femme touchée par preut-etre une voix une voix montante voix allouée à une sorte de tracé sur pré et autres traits de contrebande = du silloon = trait de bosse ou si:llon de roche et hop on monte on creuse on touche on va on cherche de fait à toucher la Voix ou quelque chose comme ça Voix des ombres hzutes on remonte on y va on envoie on veut en vrai toucher dee chez toucher à ce qui va là en termes de paroi des rois et reines de la Voix Certaine ou Voix de l'au-delà au-delà aux termes on envoie = on trace = on cherche = on ne menace pas on suit la voie on cherche à faire ici ensemble le trajet montant vers ça = cette chose en tas ce tracé de termes une szorte de passé de france ou de franche parade franche embrassade french kiss de contrebande on avénce on ne tremble pas on cherche à comprendre on veut ça la roche bralnante le rocher des voix roc de grave la paroi les données frontales en termes de paroi des franges et autres falbalas on en avance dans les connaissances on ne recule pas on veut comprendre comprendre endsemble une fée ailée ici essaie et cherche à percer à cerner de rage les données frontales d'un dernier muret en rotondité et du coup ess&ie de fait de traverser de cgez traverser ledit muret des embrassades des données collées et du coup passrr en ce dernier carré qui serait qui sait carré frais gervais non du lait lait des ombres lait llarvé lait donné dans la pénombre d'un corset et hop on monte on tète on y va on envoie en tête en tête de là soit de paroi en une sorte pour le coup d'envie première une envie de fou folle des ailes lait de boue lait des laits de boue qu'est-ce que ça peut être on cherche on ne recule plus en vrai devant elle on aime on cherche ensemble on ne traîne p as on creuse à tout va on envoie du bois on veut de fait en vrai comprendre ensemble la paroi montante l'ultime paroi des données prairailes et ainsi faire ainsi que ça soit l'ultime paroi soit là La Paroi La Paroi de choix choix de l'ombre on monte on va on veut toucher à ça rage de la voix rage des données hautes traits de voix et autres tr&its de la plus haute époque on ose on veut de fait cerner la roche et traverser ensemble comme qui dirait les diverses époqaues d'un sentier d'une voie ailée d'un tracé d'une sorte de passé aux donhées hautes = profondes on essaie on cherche on veut toucher de chez toucher à cette sorte de contrée aux données meubles meubles qu'est-ce que c'est plasticité des nouvelles entrées ou données de roche traits traits de fée herbes au taquet on peut enttrer et s'allonger et se rouler à roule-barricot en ce pré alloué aux jeux de toutes sortes on monte on ose on creuse on veut grave cerner toucher aimer se vautrer s'aéllonger et hop coller à ce dit néné des données lactées et du coup téter téter grave le néné donhé du passé de charge = le passé des traces = des traits = des dpnnées de base = du tracé tel qu'il existait qui sait pour de vrai au moment des embrassades et hop on tranche qui a dit que ça la voix était la voix de l'antre voix de l'au-delà qui parle mais qui qui donc est là qui est là pour soi qui est là de fait pour donc nous expliquer hé qui sait les données de base concernant la place le sentier le tracé de base et autres traits multipiétinées par qui sait des bêtes de trait o, n avance on veut en vrai vcerner ensemble les données montantes un passé est un pasdsé qui nous rassemble compme qui dirait nous enveloppe etnous rassemblerait en tant que personne ici autocentrée d'une sorte d'époque aux nénés au léit aux données lactées et autres donnhées de haute gorge on veut téter donner cerner pissszr aller charger de chez charger un mo nde ou tout un m onde vde données hautes genre eh bé les données hautes de type Le Lait soit la roche -au-lait le lait travcé touché et avavlé on veut téter szoit avaler et hop grimper = monter = se hissrr = voir en haut au plus haut niveau les données de roche ce que c'est ce que ça seerait en vrai si on se hissait qu'est)-ce qu'on y verrait de si surnaturel ou de si beau ou même de sensationnel en termes de donnjées finales un néné qui sait une sorte qui sait de néné haut on ne sait on cherche haut le néné des hauts ô néné des hauts comme tu es beau comme on t'aime on aime fort téter ton lait s'en satisfaire on aime grave ta souplesse onctuosité de tes charmes lactées et autres traits des traits on aime ton laéit ô néné ô néné des nénés ton lait comme on l'aime on adore en vrai ton lait dit de mère de mère allouée à une sorte de contrée ici post-cimetière = post-mortem mère retrouvée en ce dernier carré des données vpr(imaoires on veut toucher de chez toucher aller de chea aller faire de chez faire cerner sans se gêner le ghalbe enjoué de ton sein de mère de mère cendrée on veut connaîtee on vgeut en vrai connaître et reconnaître les dopnnées lactées ici d'un bout de terre ou voyons disons d'une terminaison terminaison de pré = d'herbe et autres faits et gestes de type rupestres on veut toucher on veut aller on veut dire et donbner et surtout en vrai téter de chez téter le bon lait de l'ire des données de l'ire téter = boire ici de ce lait de l'ire = colère rentrée et autrzss tracés on veut creuser on cveut en v rai grave creusqer et aussi tracer et éussi aller et aussi se montrrr toucher de chez touycher cerner le vivre les données du vivre post-rotondité d'un quartier zalloué à une sorte de finalité-surprise j'ai nommé ici l'anti-vivre ou l'a,ntonyme en soi du vivre on dira ça et hop nous voilà ensemble = accolées comme de connive,nce en ce derneier quartier des données montantes du passé tracé ou passé retracé qu'sst-ce que c'est eh bé c'est en vrai cette chose vdrôle ou sinon drôle drôlement Espéciale une sorte de branche branche d'arbre et nous en fait de nous y accrocher et ne plus vla lâcher car voilà cette branchhe est une sorte de peut-être on le dirait main donnée main donnée des termes ou comment dire main ouverte main offerte on veut et on se doit dit-on de la toucher et de l'attrapper et de la szrrer et dee s'y accrocher coûte que coûte et à jamais et hop ho hiisse les données le terme et le tracé la mère des entrées ainsi toutes cernées et autres faits et gestes on dira&it lactés on aime on monte on creuse on va on voit on cherche on veut comprtendre ici et là les termes loa paroi des choix le Verbe le VErbe être les donées de base et autres promenades sur paroi des Rois et R'"ines de Saba on entre on ne veut pas percer forcément d"'emblée le :mystère parce qu'en v rai de fait on ne peut pas pour percer lme mystère il faut grave de la voix il faut pouvoir mettree un mot devant l'autrev = parler haute = charger = cerner-pointer par la parole les données de roche tralalas et salubrité falbala et rotondité chants de l'outre-tombe et des entrées profondes des tracés de roche on monte on y va on veut ça on ne veut pas rester à quai méis grave en sainteteé monter de chez monter sans en vraéi se corrompre ou comment cerner ou dire nbos pensées profo,ndes question honte on veut toucher = dire = cer ner = charger charger de dires les do nnées du vivre du passé du vivre et hop ancrer en ces quartiers de bout du monde les toutes dernières recvommandations et autres sortes de conseils de roche hop on monte on envoie on charge on est de base deux deux bêtes de charges à chercher le mieux = le feu = la paroi chaude les données profondes une envie haute on veut pondre on veut quoi en vrai sinon aller de chez alller ensemble soit à qui perd gagne ou comment dire à la parade hop sur place transformée de fait en cette sorte de bébé royal bébé né sur post-pré alloué à un passé rêvé ou sinon rêvé dessiné ou sinon quoi chargé cerné gravé de chez gravé on cherche de fait mais ce n''st pas gagné on veut toucher et toucher c''st aimer on veut en vrai aller de chez aller en ce dernier quartier des données profondes de type LAIT lait de fée ou pas de fée Lait de bord de mer et autrezss jetées on veut téter on ne v eut plus s'en dispenser méis grave s'en gargariser sans plus reculer et du coup comme se soulager parce qu'en vrai on le sait la faim nous tenaille nous etreint nous fait du mal nous contreaint à tout un tas de rezculades mais voilà on passe on envoie on trace on veut comprendre on veut toucher ensemble grave et hop aller de chez a&ller toucher de chez toucher à cs nénés de connivence circonférences ronds de panse et autres seins-montón on enttre = on fonce = on trace = on file = on ne regarde paes à la dépense ma&is gracve on envoie on charge d'âme la paroi on veut comprendre ensemble les données frontales france-envois tu penses ça gagne langue slave ou sinon slave sarde ou sinon sarde quoi langue d'esclave hé on voit on voit quoi on voit l'arbre branche slave = une charge = un trait = la pitié et autres sentiments montréss on est la fée dite surnuméraire de type agraire on va sur pré gentiment br(outer on a&ime l'herbe on est fée-bête ou fée-bête-de-traéit aimant brouter l'herbe du cimetière avant de filer soit de monter de s'envoler car on est ZELLES AILes de fée surdimensionnées et hop on monte on vole on va et vient on se rapproche de la Örte Haute Passage Docte une sorte de concavité et nous voilà passée de fait en ce nouveau qauartier des données profondes haute époque d'un passé de roche on veut téter oh on le dirait car voilà on est ou on se voit ici = au passé comme transformée ou toute transformée en un bébé de haute contrée ou de haute époque des Nénés de roche et nous du coup de nous montrer en tant que peztit être affamé réclamant de fait à corps et à cris du bon lait de Verbe vite fait vite fait téter et téter de l'herbe herbe-verbe du passé des fées ou quoi ou qu'est-ce ici que ce Verbe-lait aux données premières on aime le lait on veut en vrai téter de chez téter sans reculer le nez plongé La tête première foncer tracer filer aimer charger coller à ce dit néné xdes données primaires Lait de L'herbe VErte = VErbe et autres mots de porte haute on veut le chaud la Roche des Roches Lait de Roche du plus haut niveau des niveaux de Roche téter de chyez téter Allaler de chez aller Cerner de chez cerner filmer de chez filezr et ainsi tracer tracer vif ce qui est qui vibre qui envoie qui monte qui regarde qui trace qui cerne ma foi qui entre qzui entre de rage et hop envoie de chyez envoie divers ou différents messafgves à toi à moi en termes de saluts de base mots de rage on entre = on creuse = on veut comprendre ensemble ensemble est le mot le mot central ce qui ici est qui se présente à soi = à nous en termes de données frontales type paréiétales LA VOIX l'ombre sur le tas la CHAnce on envoie on creuqse on veut toucher toucher de chez toucher à ce convoi de bêtes cendrés et hop, creuser = déssabler = déterrersdr de rage les donnhées données de type tracés on monte on va on cherchje on veut ensemble aller à terme en ces contrées de l'au-delà à une sorte de sentier dit des zones franches sainteté allouée à une sorte de passé de france qu'est-ce que c'set eh bé cf'est une sorte de passé en termes de langage ou de langue sucrée langue de france franche activité franche rigolade rire autoporté à l('intériuer en vrai d'une langue donnée ou comme donnée de fait à lanaissance par on ne sait quelque divinité des données frontales et autres déités de base une Sommùité un être cerné une sorte de fée ou qui sait l'être ici alloué à cette sorte de passé des termes et autrssmots a&utoportés dès que la mprt passée = dépassée soit laisssée derrière on aime le lait le lait-terme et auutrezs lait-verbe aux données tracdées on veut coller = direv = faire = charger = comprendre =fermer = ouvrir = sentirb et ,nous rapprocher ainsi de ce tracé des données ultimes d'un passé en friche le passé nacré sperme amidonné fée des fées saurait ce qui est en vrai en ce premier-dernier sentier à de fait parcourir olé olé sans se retourner on cherche on est blême on creuse on veut en,v rai cerner de vchez verner loa Chose ici Coincée ou comment dire située Hors pré Hors prairie des fées est-ce une OMlette une sorte de Passé de Roche ou un Homme de l'ombre Hommelette = Femmelmette on me le disait mais mèfle mèfle aux Trappistes et &utres gentes des Données Coriaces Données Adventistes On trace on charge on veut comprendre on ne veut pas de fait passer à côté d'une sqorte de Connaisszance des données centrzales mais au contreaire grave ici toucher à cette Vérité des dDonnées Ancrées non pentecotistes on veut cerner = dire = allouer à un dire une Somme de vrai telle que oui on y verrait en vrai ensemble beaucoup pls de choses de données de roche et autres tracés ditsz à main levée de la haute époque on veut coller et dire et auusi tracer et charger et monter et filer et essayer en vrai de reconstruiore ensembvle un passé de traces traces vives traces non édulcorées d'un passé de frise On veut en vrai essayer de Coller à cette sorte de Passé de frise et hop cerner cerner de chez cerner les données hautes le Passé tra&cé les plus hautes choses d'un p âssé comme ici consacré on dirait et essayer en vrai de nous y retrouver sans nous égarer ou sans de nous-mêmes de fait nous perdre et perdre ou en perdre la tête s'aégarer à jamais perdre le nord et les données du cortps et autres sortes de vdonnées internes mots de mèche mots d'or mots de roche en or mots de haute époque néandertaliene ou autre et hop on dira ancienne ou antidiluvienne et hop on m=onte on envoie on veut cfomprendre ensemble la paroi la charge le passé des voix la charge mentale et le passé des vpix soit des voix d e là l'antre l'antre frontal terminus acxial on veut toucher de chez touchezr cet axe a&insi tra&cé sur un devant de pré hors pré et du cfoup cerner = déchiffrer = discerner = trier les données du Verbe = le Passé l'antre sondé On entre on entree en ce ventre ou antre donné on s'y complaôiot on cherche à s'y lover à comprendre-toucher ce qsui est qui est et semblerait comme nous observer de la tête aux pieds tête blême pieds ailéess ou sinon comment car voilà de fait les données du tas on est passées on a été toutes chamboluées soit complètement teansformées en ce dit bébé des données de ôche et hop du coup terminé la fée / métadonnées on est montées sur pieds et sur pieds ailés sur du passé de roche et hop le bébé renaît en quelque sqorte d'une sorte de tracé sur pré et des données de roche ainsi gravée on est passées on se retrouve comme qui diréit changée en bébé fée toute transformée baby into fairy ou comment on dfira en langue des chats car voilà on est comme en vrai allouées allouées à ça la langue langue esclave ou langue de l'esclave slave ou langue de l'esclave sarde la paroi sur place les données sagesv = savantes un ttracé tracé faits des fées gentes dames des prés sont ainsi transformées au jugé en bébé post-pré = situés en ce dernier quartier des données montantes j'ai nommé l'antre l'antre au centre zone tendre = NÉNÉ né comme au passage d'un treaczé de rage on entre on file on creuse on veut en vrai a ller de chez aller en cette meule au foin tassé chercher les données ou la donnée de base et hop creuser dire et porter filer ensemvble saluer la gente et comme ici nous consqacrer à deviner de base ce qui est en cette sorte d'embrassades des données ensemble une slave une sorte de jeté un épaulé-hjeté qsur sable et hop on trace on envoie on file tout bas on respire on voit on sent le vent sur soi on veut on veut vivre on a envie en vrai grave de vivre vivre sur passéb ou comment dire non plus sur pré mais sur peut-^tre allez savoir un passé ancien qui est peut-être ce passé du vivre ici retrouvé vivre-infinité vivre des données cernées et &utres cercles cpncentr(iques des donnéesz du vivre on ne sait on cherche on envoie on creuse on trace de base on essaie de ra ge ensemble de cerner-comprendre les données du vivre vivre ici alloué à une sorte de passé surdimensionhé soit infini soit sans limites déplissées ou comment dire s a ns murets sans finalités sans termes chiffrés sans porte du fond juste les traits l'herbe au taquet faits des fées on cherche on ne sait on tracve on envoie du bois et autres traces sur paroi de base on est Sa&rdes On est Femmmes Sardes On est femmes de base ensrmble sardes de chez sqardes et voilà on envoie du bois en termes de savoirs sardes car voilà on est ensembleb = accolées pour former la Féeb la Fée vdu passage ou aidant au p asdage d'un dernier muretd dit des données frontales terminales Muret des murets on mate on trace on traverse on y va on ne recule pas on en perd les ailes on se voit changées en termes de données axiales et hop on est de fait cfomme ici transformées en une sorte de bébé tracé bébé né au passage cendré bébé des bébés ainsi tracé qui cherche et tout sde suite à vite et bien téter le néné donné de Bonhe Mère Déité = la Donne ou Première Donnée des données on &ime le lait on cjherche on envoie on creuse on y va on veut comprendre on veut ou on voudr&it comprendre ensemble comprendre saturer de ce ndres les vdonnées frontales et ainsi cerner szous la cendre jetée le ,néné de l'antre = le passé rttracé l'ambre des données les données de l'ambre d'un passé francàçais en tant que langue ainsi pointée déchiffrée affichée et fichée on est la fée de l'ambre ou des données de l'ambre on veut en vrai téter de chez téter de ce lait d'ambre si tant est qui sait et ainsi grandir s'élever monter gravir atte'indre les données de porte soit les données hautes d'un p)assé de roche soit de roche haute monter monter = dfonner et donner = monter on veut cerner de chez bcerner la roche d'iun passé ancré en cette sorte de tracé de porte qui on est qui on est en vrai à quoi on ressemble est-on femme-homme homme-femme de base courante ou bien Ambre Ombre des données de Roche Homme -Ombre Femme dezs donneées de Roche Homme_femme aux traits de La Rage Et autres Felmme-homme dite des trétea ux théatre de Place Sens des mots Franches RIgolades Tonneaux Vins de FRance Ambiance on envoie grave o n cherche parade on regarde ensemble et ce q'on voit ne laisse pzs de nous laissser baba le tas = Monts de face une sorte de Mamá des données axiales Mamá docte Mamá des mamás on voit ce qu'on voit et ce qu'on voit nous laisse béates on veut comp)rendre on cherche une voie un tracé-souffrrance un passage sarde un quoi un trait de voix par où étreangement bizareerement pouvoir ensemble aller de chez aller szans plhus de pitié ou qauoi ou qu'est)-ce on aime on envoie on va on tète on veut e,n vrai gravev s'alimenter de ce bon lait d'anesse vache laitière mère celte trait de fée hors cimetière on ne sait on cherche on essaie de fait de vse re-a&pprocher pour ainsi dire d'une vérité vérité s-des termes et tracer creuser ensemble la paroi franche les données frontales le muret de base roche axiale voie des rois et des reines frontales on entre on y va on veut comprendre et faire ainsi que notre propre voix se mêlâ ici à celle ma foi d'une sorte en soi d'au-delà la paroi roche aux bras aux envois de rage aux tracés sages a&ux bêtes de p ôids aet autres bêtes de p assage on va on envoie on trace on est là comme à la parade on est sur place on trace = on entre = on entre en transe tralala de soi en termes de passage sarde on veut compendre = on veut savoir = on veut toucher àc e convoi des données données cfomme en contrzebande j'ai nommé le lait ou les produits laitiers d'un passé-szouffra nce fruit lacté fruit donné en termes de tracé ou de trait de lait on veut téter on ne veut pas s'arrêtrer méis grave continuer téter de chez téter le bon lait de l'ire des colères vives d'une déité de type Saintéeté on veut toucher cerner aller filer creuser centrer le dire autour d'un trait dit "de clarté " du fait que oui en effet le sein donné est alloué à une sorte de clarté donnée du fait que les donjnées sont vives en termes ici de luminosités divines on le devine on est vives on comprend vite on est vive de chez vives et mêmes ultra)vives du fait qu'en effet fée-bébé de tire est cette FILLE_fée des données-surprises ou aux données -surprises fée ailé fée ailé e fée ailée fée ailée fée ailée fée ailée fée ailée fée ailée fée ailée on est la fée ailée on est de fait la fée ailée on vole sur trait on est la fée des fées ailées qui volons sur trait on est ailées on vole sur trait en ce cdernier carré des données de force on veut combler = saturrer = remplir ensemble notre devenir en ter'mes de "gosier de tra&it" et aéutres sortes de "gorge haute" hop téter téter grave de ce lait de rage le français en tant que langue un français de base langue d'esclave ainsi trouvée à notre naissance ou toute trouvée on en voulait jeveux dire qu'on voulait du lait je = noeud voulais dire Feu FEu des Fe"ux = Lait des laits et autres dons de fée on veut entrer = cerner = dire =co:prendre = chercher = allouer à un dire une sorte de tracé du vivre j'ai nommé le lait en tant que vérité du vivre des données du vivre et autres type de données vives on veut toucher en vrai de chez toucher en vrai et du cdoup erner poster tracer chercher comprendre sonder cerner cibler porter centrer et deviner les dires donnés ce qu'ils veujlent dire les données centrées le passé cerné le vivre concentré les bêtes de trait les données vives un passé de tire une sorte en vrai de passé outré genre amoncellemments somme de sentiments tas de hontes mortes ou sinon mortes entéérreés en cettecsorte de montagnes doctes on est hautes on est fée de roche on est la haute fée des montagnes hautes et voilà on passe = on trépasse = on passe ici le trait des données dfonnées à une sorte de contrée de roche on veut en vrai cerner de chez cerner ensemble les données profondes et éutres sortes de données hautes qui est qui qui nous parle qui envoie du bois quand en vrai on parle qui est là pour soi nous dire ici de vive voix ce qui en fait nous attendrait derrière le muret du pré soit de la mort donnée car en vfrai il semblerait que la mort une fois donnée ne fasse pas long feu qui vite fait s'auto)-anéantit en ce pré fleuri pour mieux qui sait nous laisser de fait en tant que fée nous retrouver et du coup recentrerr autour d'un e sorte de trait qui est entrée surnuméraire d es donées de l'herbe j'ai nommé le Verbe Verbe ancré en ce passé des termes et éutres mots gravés dans un passé ferme passé Verbe passé du passé du Verbe tracé Verbe Ancré vErbe donné en tant que Verbe des données lactées poszt-muret une infinité au service du Verbe et nous voilà come adoubée ou adoptées ou juste re-prises en termes de Bébé -Surprise hop tracé re-tracé = re-pris re-né sur roche post-pré on veut toucher toucher = dire les vdonnées du Vivre on veut en vrai cerner le dire le passé vif les données du Rire et autres genres de donhées ancrées en du passé vif d'un vivre ancré come à jamais en cette sorte d'infini tracé à même les données données d'un tracé de traits on vibre = on vire = on vole = on est hzautes hautes formes on veut cerner de près les données hautes de chez hautes et ainsi toucher à ce qui est qui nous regarderait depuis en v rai la Porte POrte des Données profondes Haute Poerte des Donhées de ROche v2rités Ancrées Portes des portes Trait des traits Charges Larvées Vérités Sondées on cherche à tracer co:mprendre cerner pister sonder éventer inscrire saluer conduire ce qui est à son point d'acmé vive clarté sons de traits souveraineté des donnéess = données hautes de type Vérité ancrée on veut coller seconde par seconde à ce tracé dit des finalités a&iuto-générées et nous exposer de la sorte à une sorte de clarté profonde venue comme des cxatacombes clarté -lactée lait de treait lait de roche haute une sorte de clarté de roche = voie lactée vcznant toute des catacombes d'iun passé larvé passé haut du très-haut niveau des donées profondes d'une langue docte langue haute haute langueb de s données de roche on ùmonte on compte on trace on envoie on cherche on veut comprendre ensemble ici et là le théorème les dxonnées suprêmes le tracé haut cdes données des termes et autres voix de l'au-delà on est êtres de paroi et du tracé des Rois et Reines des Voix on est êtres blèmes peut-être mais voilà on envoie du bois bois des Rois et Reines de Sa&baba charges a ntrales feux de bois sur tas on entre on creuse on file on sonde on charge on veut comprendre ici et là ce qui secmpasse ou passerait si voilà on pouvait entrer et hop creuser cerner comprendre-centrer et nous poster de base sur Passé de Rage comprendre = prendre = percer = passer passer xde fait de l'autre côté côté ventre côté passé côté sein donné et aussi côté lait du fait qu'en vrai la mort traversée ou la mort pzassée on se retrouve tout bébé à re)-devoir téter le lait des Donées Ancrées Lait des laits de Roche Lait tracé comme à l'arraché et hop à njous les nénés Lait des ombcres on monte on va on envoie on charge on est là ensemble on va et vie"nt en ce souterrain on est la fée des ombres et voilà onnmonte on trace sur place et hop Lait de Rage Lait dense Lait de trait Lait de porte on monte haut c ar on est dxe fait fortezment intéresssée s par en vrai cette sorte de lait dit du passé du passé de trait on aime le lait on aime téter on aime s'en gargariser et du coup peut-^tte env rai comprendre les données de branche qau'est-ce qaue c'sst en fait que ce dit passé de contrebande pezut-
être du lait lait de france ou lait français du fait que le lait en vrai est une langue ou langue donnée Verbe Intense lait donné en termesz de languue de donnée ancrée comme par exemple eh bé la langue ou La langue inculquée de fait à notre naisaance qau'à cela ne tienne on est vite blêmes ,on est touchées on est vite touchées on est percées on veut comprendre mais sans trépasszr soit sans y passr on veut en vraéi en avancer = cerner = pistonner = chercher =comprendre =situer en vrai les données frontales les cerner de base et nous y retrouver en termes de données axciales genre vérités des faits ou vérités des vérités car en vrai le pass"é nacré edst du passé ancréven cette sorte de murret ou de murettte aux vives données de type tracés traits des traits hachures gravées mots de bêtes aurochnodoïtés des données sup^rêmes villosités cr(ins de traits Herbes Herbes vcertes et autres crins de bêtrs traits sur traits Herbes Allouées à une Vérité de type animalière on est la fée en herbe on est aéilée on monte haut car en vrai on sait ensembvle dans la mort voler et nous hssser au plus haut nivea&u des rochers et autres roches de façade traces nacrées traits de fée on entre on trace = on entre = on passe = obn va = on ne veut pas restezr pour ainsi dire à quzai soit en ce pré des tracés de fée et aéutrs bêtes de paroi mais gra ve traverser ensemble et toucher aux nénés aux nénés donnés ou comme données de l'autre c^pté côté gvie retrouvée vie en vrai re-née ou comme renaissantee vie actée ou activée vie cernée-retrouvée le mur du fond passée car la vie en vrai est l'infini donné ... comme une marée on revit à termes on revit ici en ce dernier tr&cé comme traversé et nous voilà reprise ou même repris puisqau'il semblerait qu'on fût retrouvé sous forme de bébé de roche re-bébé haut dees hauts niveaux de roche haute bébé-mot bébé haut des bébés hauts des données de poche ainsi ttrouvée la mort passée on veut ou on voudrait de fait tracer de chez tr&cezr cernezr de chez cerner virer de chez virer comprendre ensemble ici et là les données de base = le Passé de langue une sorte d'ensemble sournois un passé en france = un arrprentissage tissaage de vpoix on trace on creuse on entre on voit on charge on envoie on chervhe ensemble un tracé de base une sorte de tracé-sentier un passage à notre convenance où en vrai on pourra&it passer sans nous esquinter nous blessser nous coincer rester cfoincées ensemble come à quai mais non tracer de chez tracer fi:ler de fait = se placer de telle sorte que voilà on y arrive on passe ensemble qui le pied qui la main qui la tête qui le siège et hop nous voilà ayant ensemble pour le coup réussi de fait à traverser le"dit muret des données ultimes on naît on passe = on naît on passe de l'autre c^pté d(une sorte ici de muret de fée ou dit de fée mais en vrai quand on est passées on est que voilà on n'est plus une fée on est changée on est comme transformée de pied en cap en un bébé rougeaud ou pas mais bébé de fait pleurant-criant à haute vpix son envie intense de téter du lléit sans plus tarder du lait /du lait / du lait du néné de france france- c erné france-touchée france-allouée à une sorte de donnée des rages j"ai n ommé une langue langue vraie langue-clarté langue-lait langue -vraie en tannt que langue ainsi inculquée dès la naissance = le passage = trait passé de base en nage et hop saut de l'ange on entre on cher cche à comprendre on aime le lait on sautille on est bébé = un bébé bébé-ange trait des traits charges frontales le passé de base une sorte de passé outré et nous voilà ensemvlble à vouloir comprendre = toucher = dire = aller = cxhercher = cerner cerner dechez cerner les données immenses d'un passé notoire ou "de renommée" car on dirait ou comment dire on se disait ou comment dire on extrapolait on voulait cerner on voula&it comprendre et oui en vrai on se disait que peut-être en effet le rire de trait ou comment dire le vrai RIre Intenwse ici donné en tant que Trait des tr&its à deevoir traverser est ce Rire de Trait ou rire-trait des données de langue Tra&it-donné en termes de donnée de langue ou d'une langue ici donnée en particulier en ce passé dit des traces allouées àune sorte de clarté intense on entre on creuse on envoie on veut toucher de chez toucher à ce qu'on voit ici et là en termes de clarté données ou de clarté laiteuse heureuse ou de clarté divinisée ou de clarté de porte haute porte des clartés dxe roche on monte on envoie on trace on essaie ensemble de comprendre ce qui est ici en termes de passé-soufrance traits des traits langue de france un pa ssé de base a&insi remonté dès que la mort pour nous est ou se voit archivée en ses derniers traits de mort donnée ainsi allouée à finalités on entre = on passe = on trace = on va = on charge = on en voie eyt qu'est-ce qu'on envoie on envoie de base notre Voix Voix de roche haute voix de porrte on monte on va = on monte on envoie = on trace on trace = on envoie et ce qu'on envoie = ça la base le tracé xde base une voix de Roi / Reine de Charme tralala instantaénés et autres chants des fonds ou des fins fonds de prés et autres prairies sages obn creuse sa voix on va on est la Fée pour ainsi dire des Fées slaves prêtes à ça = s'envoler voler monter aller et traverser en veux-tu en voilà ce dernier muret mur du pré vers l'au-delà = une contré nouvelle lait de terme' lait genré lait de tête lait entier lzit des nénés d'elfe et autres léits données comme à la traversée on aime on aime grave le lait on veut téter de chez téter de cebonlaé&it de ferme on veut toucher toucher toucher à ce dit néné des contreées derrière derrière = dernière qui sa&it onn tète on tète le lait des données dernières on s'en fiche plein le gosier on ne vfeut surtout pas s'arrêter mais grave continuer continuer d e chez contiinuer à têter de chez tèter de ce bon lait de ferme lait ferme lait tracé = verbe ou verbe-lait des données dernières clappet finalités trait d'anfractuosité ainsi alloué à une sorte de muret ou de murette de cimetière et un e fois celui-ci ou celle-ci passée eh bé oui le lait lait d'elfe du bon lait de traite lait entier comê s 'il nous en pissait directement en notre sorte de gosier bec d'elfe bec-gosier d'elfe alloué à une sorte de quartier ainsi trouvé le mur du son p assé et hop la becquée on tète on prend le lait on tète à même le néné donné chaud devant la Chose = Lait lait donné tracé trait des traits d'un tracé au lait = lait -ferme ou dit lai-ferme du fait que ce lait de fait est du lait de ferme on cherche on vza on envoie du bois on tracce on veut grave comprendre = donnerv = toucher = contrôler de base la tétee intense le sentier la voie le tracé passage de langue une sorte de âssage -trait trait des treaits sur un muret de fçin de pré on cherche l'entrée le passage ancré la porte des fées le passé qui sait on est née fée puis on renaît et on renaît bébé on vire on tire on va on charge on envoie on veut toucher en vrai la chose rose = le néné de poche pour nous rose on monte on va on envoie on y va on touche on tète de fait le néné s a lé on veiut co:mprendre = donner =cerner =chercher =pister = pointer = louezr = faire = dire = tracer = dessiner = passer et nous retrouv er dès lçrs en tant que bgébé nouvellement (re)-né de l 'aiutre côté à téter néné néné des nénés le bon lait de l'être être-verbe verbe-trait treait des tra&its en son être alloué à quelque vérité dite "de derière" on aime on veut on charge on e nvoie on trace on veut oui comprendre = chercher ici et là la vérité concernant la Voix Voix haute des données profondes voix des voix de roche on monte on va on envoie on cherche e nsemble ici et là à bien comprendre cet envoi de soi en termes de trace ou même de traçage ou de retraçage d'une voix de soi à travezrs la Roche la Roche des Voix ou dite des Voix On entre on veiut comprendre enxemble à toi à moi la Roche Intense = la Paroi des vOIx Voix = trait = entrée et nous voilàbentrée on est passée o,n est la fée p assée on est entrée en tant que fée en ce dernier quartier aux données suprêmes j'ai nommé le Terme et nous voilà ainsi comme adoubée ou même adoptée par on diraitb une divinité dont le nom en vrai est Termeb Terme alloué à une sorte de Clarté Clarté Souterra&ine de tuype "Clarté REine" "CLarté des Clartésc" on aime on envoie grave on voit on regarde o n voit ça briller = la charge Paroi Sarde on vfeut en vrai ensemble ici comprendre cette Voix = CEtte sorte en soi de VOix des Voix quasi insoutenable ou comment ça on cherche à comptendre on envoie de soi on trace on file on creuse on chassee on veut comp^rendre = cerner =chxarger =composqer en soi une sorte qui sait de romance romance de l'au-delà ou dite telle car en v rai voilà on voit depuis là bien des choses ezn somme une sorte de passage haut un drôle de passage haut car voilà on dirait une porte porte des portes et nous en somme de monter en force ou comment dire à deux l'union fait la force et à qui mieux-mieux au plûs haut des cieux porte des porte trait des teé&its anfractuosiité des anfractuosités on veut toucher = passer = dire = cernerv=charger en vrai le vdire d'une vérité actée de type TRait trait des traits vifs et autres traits d'entrée on veut passer et ne pas tréspasser ou bien passsrr le trait mais sans y passer et là continuer szur notre lancée vers ce dire de faéit ou dire de fée ou comment dire Le passé Lacté = frise = friche = friche de mai ! on veut hé hé toucher de chez toucher creusqer de chez creuser aller de chez aller serrer de chez serrer et comprendre en ezntier le tracé des fées le vivre les données du vivre l'étendue du vivre ou même son immensit"é toute maritime comme q<ui dirait et nous de nous y plo,ngezr en vrai en ses compoqsantes lactées et de téter de chez téter de ce lait m aritime mer de lait aux données vives trait des traits lait parlé lait en vrai parlé car le laitb est du dire et le dire du lait fortement sucré voire salé-sucré on veut téter on ne veut plus nous arrêter en vrai de pour le coup téter de chez téter ce vsein donné sein des seins tracés sur du passé dit souterrain on vgoudrait le cerner ou le mieux cerner est-ce du passé néandertalien est-ce du passé aurignacien est-ce du passé mésopotamien est-ce du passé sa&turnin ou disons d'un cousin germain oud'une dcousine on veut toucher = dire = faire = comptendre enxemble ce passé en france est-il passé mien est-il le sien est-il passé chien est-il tracé de Beklle ROche et qui en impose ou alors non passé-train des données acides genre un fluide trait des traits sous forme d'un fluide qui sait langagier de type animalier on monte on ose on va on chercvhe on envoie on est là pour ça sabre de bois chercher de chez chercher ensemble ici ou là la mort passé le néné des nénésc ou la mer de lait = une clarté lactée une sorte de clarté laiteuse de type Lait Lait de fée ou sinon de fée de M°ère L;a Pensée ou sinonbde M ère Mère La Pensée de Mère-attitrée à ce genre en vrai de problème qui c'st eh bé on dirait que c'est Mère Mère cernée Mère aux nénés ou disons re-mère re-venue du cul ou trou dee bone chaire on aime on est née = re-née Fille aux Herbes = aux données aux données de Rage on est née on entre on va on charge on creuse on trace on veut grave comprendre = cerner = poster = dire = charger ici ce dire des dopnnées frontales le néné de l'antre une sorte pour le coup de ba&se navale ou alors de TRace qu'est-ce que ça peut être on cherche on nest à genoux ou sur les genoux on veut de fait cezrner de chez c erner les données du Verbe une entrée de plain -pied un passage -crème trait des fées et hop nous voilà entreéees en ce dernier quartier aux données du VErbe Verbe Ancré TErre lointaine on aime on va on cherche on envoie de"puis szoi et va -z-y voir à nous freiner ça se peut pas ou pas comme ça on veut toucher de chz tpucher à cette sorte de donnée du Verbe Verbe-traait ou même Verbe d'herbe on éime on creuse on trace on va on charge on est là pour ça cerner de base les données de face traits acidulés du contreplaqué une maisonnée une cabane les données du ventre on connaît on est habituées on entre on nveut comprendre on veut toucher on veut toucxher de chez toucher à ces données du ventre divines moitiées on est nées sur pl ace en ce carré de traits ventre-né chyarge sur p îeds contreebande et autres traques On est fée = faite = le bébé de l'herbe ou le bébé en herbe qui on est eh bé peut-êtte Elle = aile Aile de fée et du coup ailée on aime on tète on trace on en avance dans le sens desv traces on veut toucher toucher de chez toucher la Donnée Immmense ou dite telle du fait qu'en effet elle est Gigantaesque une Énormmme Aile une Énormité en fait en vrai d'Aile ou d'Aile &ttitrée à une sorte de de fait Fée aux Herbes Fée du pré on veut toucher toucher l'aile toucher aile = toucher elle son aile la toucher de près toucher de chez ftoucher à Aile ou à son Aile = la Clarté d'une Divi n ité Cenndrée ou comme cendrée mais en vrai Clarté mpost-cimetière des données lactées des données du Verbe Verbe-trait ou comme trait come du lait à même la Chèvre le pis de la Chèvre la Vache laitière Pis donné en prioirité pis des pis donnés des doonnées cdernières On aime on aime le lait Lait de pis de Bête on tète on boit la Voix on entre on se place entre on charge on envoie on veut comprendre on veut en vrai grave comprendre et hop aller de chz aller en promenade e,nsemble à toi à moi en ce passé de contrebande post-^paroi = post-mortem car voilà à présent on sait on sait cela qu'après ça la roche après le pré aux choses r'osses il y a ou il y aurait qui sait la Voix voix d'ombre ou voix des ombres ou venant des ombres soit d'une pénombre ou de la pénombre dite post-paroi du fait que vpi;là l'ombre vient de là c'est-à-dire delà-bas fond des fonds fond de roche et au-delà passé la porte d'une sqorte de rond ou comment dire Roche au mont mont d'olme ou comment dire MER aimée MER des Do nnées dponnées sous forme de lait soit en vrai de lait -verbe = lait d'herbe on aime on t§race" on va on charge on envoie on veut grave comprendre = sonder = cerner = charger = faire = filer filer de chez filer voire s'échapper mauis de quoi eh bé oui du pré pré aux bêtes sans voix preé des herbes dites de paroi et autresq foins de trace on entre on passe on va on s'échappe = on sort de la ca&pe on veut en vrai comprendre de chez comprendre ici et là la roche finale le passé de charme la Voix Cette sorte de VOix de face ou VOix de l'au-delà en face car voilà la Voix est là dans l'au-delà en face en face de soi qui nous pour ainsi dire rzgarrrde si tant est qu'une voix regarde ou peut regarder mais en vrai c'est ça la Voix ici on dit nous rzegarde p)arce qzue la Voix est une Famme femme des voix Flamme trait de voix en face on veut comprendre on veut cerner on aimerait en vrai grave de chez grave cerner de féit voire cerner-toucher le galbe Sein doté de mots de base sous forme on le sait de lait lait de femme ou lait de roche ou lait de voix ou voix de lait ou lait de pomme on monte on est là on trace Fée-Bébé des Reines Rois et Reines d'un Royaume de Bohême on aime on entre ensemble à toi à moi en ce Royaume Décoré de toutes Sortes d'Excentricittés toutes Pleines d'attraits on m'onte on creuse on envoie du bois on cherche à c erner = toucher =dire les données du Vivre car le Vivre ici est cette chose d'un e sorte de Mer-antiroche ou comment dxire ici la Chose d'un e infinité ou d'une immensité qui nous regarderait sans en vrai sourciller prête à nous aimmer à nousq allaiter à nous aborder en tant q'u on est redevenue bébé ou bébé des bébés ici déposé nu sur Roche du Trait on monte = on va = on trace = on veut comprendre ensemble les données du trait c'sst-àdire de fait ce que ce treait est et aussi n'est pas en termes de données de base qi'est-ce que c'est que çàa qu'est-ce que c'est que c e passage intense qu'est-ce cque c'eset en vrai que ces doonées de base et autres traéits des treaits on cherche à cfo:mprendre et à comprendre ensemble les données actées la base des cxlartés le lait français c'zest-à-dire la langue langue ici pratiquée du fait qu'en effet la mort passée on se retrouve à devoir re-apprendre un certain nombre de tracés ancrés en cette sorte de donnée linguale on passe = on enttre =on file = on charge = on veut toucher ensembble les ou aux donnéess de base ici déployées ce sont données sardes ou alors sales ou comment slaves esclaves esclaves du passé on est pas arrivées on a pas fini on a en,core beaucoup à chercher ou à rechercher ou à cerner ou à définir ou à sublimer car voilà on est B2B2 né à la retombée la mort traversée ou comênt dire dép assée car en vrai la mort est un quartier une sorte de prop(iété toute cloisonée murée enchâssée et la vie est pour ainsi dire toute éternitéb = commpe déplissée peut-être dans l'immensité on dirait on dirait iici il nous semblerait on dirait ici et il nous semblerait que oui la vie ou le fait du vivre est Immensité Immensité Marirttime Mer ÉGÉE OU cfomment dire Mer des fées-surprises mùer donnée des données du vivre on file on va on envoie on cherche grave ensemble à comprendre eh bé là la Voix là le DIt là le VERbe de l'antre là l'antre du verbe et autres chants de Rage Vive l'antre vive la voix vive le verbe intense vie de transes et &utres vies-souffrance on le sait et cependant voilà on entre on fo nce on creu!se on veut cdfomprendre de chez comprendre ou bien toucher en face les données du ventre Zainteté Allouée à une sorte peut-être de Frange ou de Frange de base ou de france en tant que langue que léangue frangine on passe on creuse on creuse dans le tas de l'antre = on envoie on veut comprendre ensemble la paroi de l'antre à toi à moi et là toucherde chez toucher à c e qui est qui nous regardera&it come de biais ou comme de côté des fois qu'n vrai on ne serait pas la personne nommée ou l a bonne personne nommée on est Bébé-fé ou bien fée-bébé soit des fpis la fée et des fois le bébé on cherche à téter on aime le l t on adore téter on aime le bon lait du Verbe du Verbe êttr et aussi le trait le tracé du Verbe Traéit des traits en herbe on tète on trace on creuse on va on charge on veut comprendre la samba le chachacha toutes les danses et aussi la trance Zarzuela des bases un tracé de rage une voie on entre ensemble toi et moi en cette sorte de dernière paroi et m:^'me au--delà on s'avance on y va ensemble on passe on ne se lâche pas on envoie ensemble on ne se quitte pas fée des herbes hautes bébé docte fée des voix de l'ombre on veut comprendre les données du monde d'-un passé de roche au-delà à soi au-delà de l'au-delà toucher de chez toucher à cette sorte de donnée donnée haute haute porte = ce néné ou ce néné né comme au passé soit au passage d'une porte docte on monte on va on envoie on envoie du bois on cherche à comprendre = dire ce qi'on voit ici en termes de Vie de Passage Dense de Przairie de Charge Mentale vd'Envie de mots de bosse et autrss mots de Roche Pleine on est blèmes on est blèmes de chez blèmes mais on ttrace quand même = on envoie on envoie du bois sur pareille scène voix des voix d'un au-delà ou d'une sorte d'au-delà qui nous tendrait ses bras et autres seins surnuméraires surnuméraires si tant est car en vrai on cherche on est là pour ça toucher de chez toucher qui sait au sein donné = téter boire le lait nous alimenter et poursuivre sur notre lancée les reche"rches et autres fouilles intentionelles ddans l'après
6/5/2025
on entre = on trace = on s'incruste = on va = on veut cerner-toucher à cette chose ici d'une sorte en soi de paroi des parois dont l'entrée de fait se siotuerait eh bé peut-être juste devant soi ç a serait = ça serait de fait une sorte d'entrée ou de voie de base par où ensemble en vrai se glisser et hop on l'a dit on enttre on est entrées on est ensemble soit soudéees entrées en cette sorte de parade parade animale rotondité antr a le une parade de données frontales bêtes à voix = charges drôle de parade mais voilà on voit on voit ensemble ces données de rage à toi à moi qui se présentent et ces données de rage so,nt de fait données de chzarge soit tracés de base dans le genre tralala danses frontales ccha-cha-cha et autres danses de paroi on voit ça on n'en loupe pas une on aime ça on aime les runes les envois les bnêtes qui ruent le passé nu l'entre-soi et nous voilà en vrai au milioeu des bêtes bêtes toutes velues qui cherchons ensemble à cerner de près ici même une vérité quyi serait de fait la véroité dite du cimetière qu'est-ce que c'est ou en fait qu'est-ce qu'elle est qu'est-ce que c'est que cette vérité des vérités qui se promènerait nonchalalmemment comme qui dirait au milieu du champ bête des prés cervidé bête-mot de base on pourrait le penser mais pour le coup on ne sait pas on cherche la voie on est entrées c'est un fait mais au-delà où donc aller où doncppercer où aller pour donc se pointer et du coup percer on cherche on cherche ensemble on veut comprendre on ne veut pas passrr à côté mais grave comprendre = toucher = dire = cerner cerner de près eh bé oui lza tralle le passé devant = l'enfilade de données frontales au-delà du pré si ça se pouvait oh on voudrait on aimezrait tant on adorerait on voudrait tellement c'est-à-dire tracer = traverser traverser de chhez traverser le dernier muret soit cette sorte de tracé devant qui donnerait il sembklerait sur du passé de tralle on voudrait on aimerait on cherche on creuse on est la fée des bheures creuses et auttres temps non-menaçants comme qui dirait et de fait on file on file vite on y va gaiement on ne s'embarasse pas plus que ça parce que voilà on aime tracer = pistonner en ce pré des rages et autres bêtres de par(oi et hop monter = percer et du coup traverser une fois encore un muret ici peut-être le dernier il semblerait et nous retrouver "à toi à moi" de l'autre côté à mater de cghez mater ledit passé aux deux nénéd s ici nés ou re-nés le pré passé ou la mort passé puisqqu'à présent on sait que pré = mort et qu'après le pré il y a dirait-on quelque chose de comment "retourné" comment nous exprimer pour dire ce raccord ce renouveau tracé cette sorte de reomanité des données profondes ainsi retyrouvée ou quoi ou qu'est-ce parce qu'en v rai on est pour ainsi dire qui cherchons qui cherchons de fait les données premières premières si tant est etb qyui rassemblées c'est)-à-dire ailées volons ici-même de nos priopres ailes pour tenter ensemble de toucher à cette zorte de membranr membrane sucrée ou sucrée-saléev dont on tire le lait ou quelque chose d'approchant lait de fée lait de trait lait-tourment lait des rages ici soulezvées et autres laits de firmaments on veut tracer on veut grave c erner on veut ou on voudsrait en vrai grave en avancer et du coup percer ici même ce muret du cimetière et hop on traverse direction le sein lait de mère lait de mère ancienne on aime on creuse on fonce on trace on va grave ensemble de l'avant on file à tout vent on est ensemble soit ailées la fée en quelque sorte des données tracées des dopnnées hautes fée des fée au tracé de roche on veut creuser toucher aller filer cerner ne plus se retourner jamais mais grave y aller et comprendre au plus près ce qu'il en est de cette roche aux données données et autres roches du passé car oui on mate on regarde on ne s'arrête pas de mater de rage les données frontales on est montées on est là toutes reposées on mate de chez mater et qu'est-ce qu'on voit le lait mer de lait la blanche portée une sorte de domaine sarde dans les clartés et autres sites incommensurables de type lait lait de trait lait aimé lait de rage allouée à une mansarde à une quoi loge centrale antre voie voix voix voie ou antre voix des voix on veut comprendre on veut être là pourb ça comptendre = toucher toucher au plus près à cette sorte de mansarde des données de base on veut comprendre = dire =toiucher à ces nénés dits du bout des contrées ainsi rencontrées la mùort traversée une fois traversée car quoi on dirait en v rai que oui la mort est une sorte d'épopée des bases ou comment dire ça de drôle d'embuscade de tracé sacré de base de données mais après soit après elle eh bé on sait que oui il y a le re-passé soit le passé re-né de type néné qui nous admet qui nous remet qui nous attire et nous entraîne grave à nous coller pour ainsi dire ensembkle à ses basques = les nénés de base = le lait car en fait il y a après la mort le lait = lait de fr(ance en ce qui nous concerne vu que nous on parle en ette langue du français moderne on aime on file on va on charge on envoie on veut ça loa trace le tracé de base une sorte de façadfe ou de face de rage ou de quoi alors face de tas une mansarde en veux-tu en, voilà on =monte on creuse on cr'use dans le tas on veut comprtendre ce qu'on voit ensemble de ce paysage de l('au-delà soit de l'au-delà au pré sage aux bêtes des voix et autres bêtes de poaroi io,n entre on enttre on entre on voit on veut de rage de chehez rage entendre quoi la base les donnjées frontales sont pour soi celles qu'ion voit sur des parois de france soit là la grotte à toi à moi paroi ancestréale une trace de soi en ce dit pré sage des données de base et nous voilà qui traversons ensemble ladite paroi et hop on monte on ose opn creuse on veut toucher de chez toucher ensemble = à toi à moi les données immmenses = le passé français = langue langue donnhée et hop on entre on creuse on veut toucher de chez toucher à un passé frabnçais qui nous regarderait pour ainsi dire en tant qu'il serait ou même qu'il est le passé ancré langue de base une sorte ici même de français tracé eh bé à la petite semai ne mais qu'ewst-ce qu'en vrai on en a à faire vu que nous on aiome on aime aller ici remuer la merde le passé ancré les données primaires une sorte de donnée des termes surnuméraires et hop on creuse on y va on envoie on charge on fonce on veut grave de chez grave ici et là toucher la Chose = le néné des ombres lait de là lait des Hauts Tas et autres monts de roche haute on envoie car voilà on est là et bien là ensemble toi et moi ailes de soie pour ainsi toucher à ce néné né des données profondes lait nacré perte d'ombre naissance allouée à une zone ancrée tracée cachée profonde ment ancrée en cette sorte de passé de poche qu'est-ce que c'est peut-être oui une sorte de poche "outrée" ou de passé de trait ou poche hautee outre salopée ou poche au rabais ou quoi encore on monte on veut cerner les traits cerner-toucher à ce qui se propose dès que née ici à une sorte de nouvelle vie apryès ladite mort dite des donnnées prairiales on entre on entre ensemble ensemble on fait corps corps d'ove ou corps de porc ou corps de roche ou corps de poche on m=onte on veut ensemble en vrai cerner de près lez données montantes et autrezs chants de contre-da,nses le passé de france est pour nous une langue rien que ça langue de tralle tralala chansons d'enfance parades à tout va envois de confiance charades char à bras ça panse ça envoie du bois ça balance une sorte de passé de danse et autres chants de france en ce passé tracé qui nous regarderait tandis que nous on se re-poserait ou poserait chacunes sur nos deux genous on veut colloer on veut creuser aller toucher tracer filer cerner comprendre sonder de fait les données de france = ce français des convenances l'entarter le faire plier lui faire comprendre ce qu'on est en termes de souffrance ailée car merde on a donné on a traversé de fait les souffrrances allouées ici toutes à une sorte de mansarde des envies de traits de tétée tracées de base gravée on veut toucher dire so nder colloer allouer à une sorte de passé devant en quelque sorte les données tréacées ou déjà tracées d'une sorte de traversée travezrsée de fée d'un pré de passages et autres proimenades qu'on dira bestiales o, n est nées on est -re-nées on naît sur pré et on re-naît le pré passé on entre on creuse on veut comprendre ensemble le tracé devant = ce néné du vent et auvtres sortes de néné de baseon veut toucher creuser dire et sonder les donhées données qyui nous ressembleraient en vrai on ne sa it on veut trouver = dire = chercher = circonscrire ici et là les seins de paroi ou plutôt de post -paroi car la paroi on le voit n('est déjà plus là qui nous a comme donné en vrai de quoi on le voit passer de chez passer à toi à moi vers ce p assé des voix des sons larvés du passé a;loué à une sqorte de bcontrée lactée mais qi'est-ce que c'est qu'est-ce que c'est en,v rai que cette contrée que cette chose ici deépliée que pareille ici
que pareille pôrtée on voudrait toucher on veut et on vouxdrait aller cerner de chez cerner dire et sonder ainsi ledit passé des données vfrontales dites terminales et donc ce lait lait de roche haute qu'est-ce que c'essrt qu'est-ce que c'est en vérité que c e dit lait des hautes roches et autres monts post-porte on ne sait on creuse on cherche docte on ne veut pas baisssrr la garde mais grave grave tracer creuser-aller et dire-sonder les données frontales ainsi dépliées ou même déplissées ou même étirées qu'est-ce que ça ^pourrait en v rai être qui nsezrait pour nous comme ou tout comme une sorte de mer de mer blanche ou de mer des mers mer des donnjées franches on cherche on est pas arrivées on a encore pas mal en vrai à traverser en ce dernier peutêtre quartier quartier des quartiiers (qu'on nous dit mais qui qui nous dit en vrai) lacté est -ce que c'est§ vrai est-ce qu'on peut toucher comprendre cerner au plus près sans tergiverser les données lactées d'une sorte il sembklerait d'ultime contrée de type mer aimée mer de lait lait de mer lactée ou comment de fait on pourrait dire ou expliquer ici de c e qui est qui wsemblerait vouloir en quelque sorte nous parler et nous dire en vrai ce vqui est de fait les données du rire un passé ancré ou ancré dans du lait en vrai facilement pourrait prêter à rire et nous faire passer du coup pour des ben^ets maisb merde on a couru on en a voulu on a pas chômé on a grave bossé ensemble-ailé pour de fait ici en arriver à pouvoir qui sait cerner de chez cerner un certain nombre de données frontales de type nénés nénés de parade nénés sages nénés nés après la tralle ou la tralle du pré tarlatane allouée à une sorte de tracé de france de france car en langue franche on y est on passe on ne fait que passer ma&is on y est on trace on est enwsemble on est donc affiliées à une sorte de tracé-parade parade animale et de ce fait on peut en v rai creuser de vchez creuser les données frontlaes le passé de branche et autres menus faits liés au passé des données lactées données de notre enfance enfance attitrée ou comment dire accrochée ou disons liée à une sorte de donnée-souffrance donnée des données et autrescsortes de menaces intenwses on ve"ut p)asser dire sonder creuserr chercher poussser de chez pousser en ce dit - passé les données intenses d'une sorte qui sait d'enfance touchée car on veut creuser donner porter sonder scinder cporter de chez porter ensembkle ici le pet ou quelque chose de cet ordre concernant peyt-êyttre eh qui sait un pqassé ancien genre le passé des dites données d'une langue outrée on veut toucher toucher-cerner pissser pisser -aimer aller = saturer de rage les données de base et du coup eh bé oui monter de chez monter sur ce dit néné des données tracées treacées et traquées on montev = on passe = on creuse = on tète on tète ici tête première on veut grave ensemble cerner de base ce néné des rages des rages lactées pour mieux de face ici prendre sqon lait = s'alimenter = se rassasier = se donner de l 'air du passé nacré et du cfoup tracer tracer de chez tracer une sorte de sentier vers cette sorte de mansarde ici attitrée à une sorte de branlée de base merde au vrai aux données du vrai aux menac es au genre à la saleté des données de base et autres saletés-saintetées telles que rencontréesz sur notre passage dans le passé on veut creuser dire so nder aller chercher de chez chercher enxsemble les données ancrées les plus inconfortables si tant est et du coup remonter ou commpe remonter à la surface un certain nombre de données franches franches donnhées de type tralle et autres branlées des données sales sales données d'un passé tracé sur paroi aux fées on dirait on monte ou on monterait on creuse on trace on entree on file on envoie ensembkle on va de l'avant = on en avance drôl"ment on veut toucher de chez toucher à ce tracé des bases et autres volontés centrales ancestrales on ne veut pas passer à côté mais grave touycher toucher de chez toucher cerner de chez cerner s'abonner de préférence à sa page instagram et du coup percer ici de fait les données données d'une sorte de passé comme tracé ou retracé en filigrane sur instagram ou autre endroit pile dédié on le voulait on l'a on voul ait de ça eh bé nous y voilà on entre on creuse on va de fait vers ça la rage du pré le passé des voix le lait lait actualisé lait des fées outrées du passé des rages et autres sentiments frapppants on veut coller coller coller à pareils nénés et hop tétter de chez téter sans jamais plus du coup nous retour ner m ais grave pistonner aller ceerner sonder comprendre ensemble les donnjées de base ici rtencontréee en tant que données-souffrance ou sinon souffrrance données-transe ou comment cerner ensemble ces dites données d'une dsorte de transe-souffrance inscrite de fait en notre pasdsé ou en une sorte de passé ancré comme de connive,nceb avec on dirait la Souffrance des Données Tracées genre Animaux des Prés Genre Bêtes Allouées à un mur de trait grootte cernée = grotte ornée et nous d'yb aller de nous y jeter ou comment dite essayer en vrai de passer passer de chez passrr à travers la fa&ille le passage dense l'abnfractuoisté ici décellée et nous voilà passées de fait en tant que fées en ce pré des bases des bases a nimales traits ici tracés sur pierre de taille on veut tyoucher dire sonder cer n er comprendre ensemble les donées du dire et hop on monte on y va on envoie on veut donner de base ce qu'on porte en soi en termes de souffance dite "de paroi" mais en v rai on ne sait pour ainsindire pas comment s'uy prendre comment on pôurrait qui pour nous aider à ici c erner c erner-comprendre un certain nombre dev données de france données franches france-langue traits données par une sorte de "concours de circionstances" ainsi rencontré et nouys de fait de nous coller à ce néné frontal = sein lacté source de denrée wsein donné par-delà le muret d'une mort annoncée on veut toucher = téter = boire = savoir en soi en vrai ce qui est de fait ou ce qu'il en est ou bien sezrait de ce passé notoire passé haut ou h aut passé hors caniveau on veut comprendre = sonder = souder = porter =charger = saturer de verbe les données anciennes si ça se pourrait parce que oui en v rai on voudrait cerner ce qui de fait sera&it depuis des millénaires à nous mater come par derrière merde ça suffit on veut connaôitre on veut de chez vouloir connaitre pour le coup le reste et tout le tra&lala de cette sqorte de samba rupestre les données terriennes et aéutres faits et gestes ainsi alloués à une sorte de portée eh merde on veut cerner c eer ner dev chez" cerner ce qui wsemblerait en vrai nous mater de chez mater comme par derrière ou de derrière ça nous emmerde ça nous exaspère ça nous enquiquyin e grave on est peut-être gouines on est des fées de rage on est deux fées de base ou commpenjt dire AILES AILES AILES AILES AILES des doonnhées données qui formons fée ou fée ailée du pré a lloué à une sorte de donnhée cimatoriale cémétériale comme qui, diraiyt et gouine on est ou disons aimantesz aimant de ce fait se donner le branle aller aller et t§oucher creuser et sonder filer de chez filer vers ce passé a&ux denrées ou données lactées de type Lait Entier mère Allègre le passé de mère est ici du lait dit de bonne mère on jouit on monte on file on creuse on envoie on veut de fait comprendre de chez comprendre ensemble la paroi la grootee ezn france ce tracé vers un au-delà la mort treaversée la paroi des bases et autres bêtes franches le passé nacré l'envoi outre-paroi le front bombé la panse la panse animale ce lait cette sqorte d'embrassade intense à la retombée ou disons comme à la retombée vde l'autre c^pté et hop côté fée côté fée des fées une sorte d'assembkage de colloa&ge et nous voilà de base ainsi accordée pour mieux naviguer voler ou voleter en ces dits p arages aux bêtes de pré de pré sage on entre on creuse on file on va on charge on veut do nner de chez donner à ce passage une sqoerte de solennité ancerstré&le nous voilà ornées on est nées fées on est la fée du pré qui cherche sans traînrert à bvite gagner l'ultime muret de ce cimetière des données de tête et hop encore une fois saueter de chez sauter en cette sorte d'ultime paroi vers un au-delà qui swerait lacté sein donné = le passé passé ici re-né du faitb que voilà on est la fée de la toundra de la toundra de la paroi des rages animales et nous voilà là en cette mer des Rois et Reinesz des Voix comme adoptées ou commpent dire embrassées sein donné all aitées allaitées de fait et nous de rêver à une éternité lactée qui nous encjhnanterait mais est-ce que c'est possible en vrai on peut rêver on peut toujours rêver se faire le film envier chercher penser aller de fait vers des pensées de bout de roche ainsi constituées = aimer on veut toucher = cerner = dire = allouerr à du lait trouvé les vertus du trait trait des données hautes du tracé tracé de la bête de trait en ses quartiersz dits pariétaux du plus héut niveaiu on monte on envoie on vgoi!t on pense on trace on charge on veut comp)rendre = toucher ) à pareil néné dit de contreba nde car venant du passé soit du passé déjà pour ainsi dire visité en un autre passé ou précédent passé ou commpent dsire on ré-itère on persévère on va derrière soit dfevant ou disons dcevant soit derrière on est pas peu fière on envoie ! on veut ça ici et là le terme ou mot des voix charge creusx de soi et hop la traque charge animale on entre on fait pas semblant mais grave on fonce = on mùonte = on passe = on traverse ma foi le mur de la honte et hop trait pour trait vers ce dit néné des données lactées à prendre ou à lasisszer mais nous du moment que voilà on est à genoux on veut ça on entre = on tète = on trace = on prend = on veut aller ensemble ailée ainsi téter de ce lait "français" = langue langue acharnée "langue de trait nôtre" = notre langue = un français un français de rage le passé de fait ainsi ici tracé langue de fée traces sur pied chants gracvés bêtes outrées et pertes sèches on ne sait mais voilà o,n aime on vezut aimer = toucher = dire = cerner = pistonner et dès lors tracer ou disons filer vers pareil néné aux données-surpirises vde type LAIT LAIT DES LAITS LAIT DE MISE OU MÊME LAIT-SURPRISE OU COMMENT DIRE LAIT DE PRISE aimer = charger = faire ainsi que pour le coup on puiise à genioux comprezndre -aimer le néné d'église et autresc lait dit acidulé ainsi donné qui sait dans une sorte de passé de frise on veut toucher = passer = creuser = s'immmiscer et pointer son nez en cette sorte de remise aux clartés de mise ou disons admises on dirait on dirait que c''st mais est-ce que c'est est-ce que en v rai cette chose est est-ce que pour le coup le passé nacré est vraiment ancré voire implanté en cette sorte d'avenir à lire on ne sait on veut toucher = faire = dire = combler = charmer = plaire en v rai la bête des frises = ce tracé tracé de type animalité on veut cer nder ou bien cerner-toucher de ce passé des données tracées et &utres faits de renommée qui on est on est la fée-surprise enfin admise enfin adffiliée enfin reconnue en tant que fée nue venue sur le cul et hop on monte on trace on va on charge on envoie on cherche un passage à toi à moi en cette sorte de paroi des cxharges et autres bêtes de bon poids genre buflettes buffles noirs bises bisonnes des données en herbe boucs et bouquetins et bouquetines vives on est sur pré la fée admise accordée consacrée vue et adoptée come une copi ne on vire on file on va on danse on n'arrête pas on est en cvrai la fée du pré qui va et vient en cette szorte de contrée cernée ou cloturée et hop on veut monter creuser ttracer a&ller de chez aller de fait de l'autre côté hors ce pré hors de ce pré aux bêtes grosses vite traverser sans honte ce dernier muret aux données profondes qu'est-ce que c'est qu'est-ce que c'esst en vrai que ce dernier muret é&ux données qui sont dites profondxes eh bé le passage haut passage du haut vers la porte docte et donc le hyaut du très-haut niveau genre haut du hautb ou même O ou même O des O ou plus O niveau des niveaux de l'eau Eau Haute EAu des hauts Hauts on monte on creuse on sonde on veut en vrai de fait cerner cerner cerner de chez cerner les données de roche et hop tracer creuser filer sobnder comprendre entrer de rage en cette sorte d'ultime contrée dite des contrebandes d'un passé en france = la français la langue car qui dit france dit fcrançais = langue langue parlée donnée stipulée prononcée ancrée adoubée de fait dès la naissance en notre propre enfance ainsi sondée on veut creuser = faire = charger = souder de fait une aile de données données à une autre aile de données données et nous envoler h&op haut soit haut de chez haut vers des niveaux de roche que jam ais en vrai on aurait pu imaginer nous -mêmes ainsi toucher ou comment dire atteuindre c'est dingue on aime on est dingues on tr ace on trace de chez trace les dsonnées de base embrassades joints collusions coopération envol on mo nte on creuwse = on entre = on veut comprendre = cerner = dire =charger =consacrer ici nos données tracées à une sorte de conduite ivre on veut vivre vite charger et sonder creuser de vchez creuser l:e livre des do nnées actées et hop pistonner fuir monter féaire ainsi oeuvre de charité maisc a&ussi de clarté concernant ce nénéb dont on sait qu'il donne du lait lait de trait et autrs laits ancré dans du passé qui de fait remonterait comme puisé par notre entrezmise de salubrité qui sait oh on ne sait on est vives on est ailées on peut vite s'embakller se faire moussser se faire remarquer ou comment dire se montrerr vives en ce pré aux dires dires de mises bêtes de tire charges-nées = traits = traits des traits aux bêtes de trait et autres bêtes sur paroi ornée on veut tracer creuserb aller filer chercher de cvhez chercher une sorte de pagne ou comment dire vlêtement de base chandail ou petit chandail à pouvoir revêtir pour se mieux couvrir et ne pas chopper froid en ctte sorte de paroi du fr(oid on y va on envoie on creuse on file on est lmà pour ça toucher la frise donner de soi comprendre et sonder soit souder soit coller soit rassembler un certain nombre d'éléments données comme tous venant du passé ou disons remontantb dx'un passé qu'on pênsait enterré mais que dalle le passé renaît qui nous voit malade ou comment dire empruntée frigotrifiée confgelée toute cabossée qui vouloçns comprendre = nous soigner nous réchauffer nous réconforter et hop monter tracer filer gagner les hauteurs du pré et traverser de chez traverser l'ultime muret pour mieux nous retrouver ensemble ainsi passées en ce passé des franches clartés et autres mots français ainsi déifiés ou comment dire canoniosés si ça se pourrait on ne sait on creuse on porte on crache on s'en branle on veut nous aimer de chez aimer le lait et ça suffit ou suffirait sans doute à nous commbler ou rassasier ou sa&tisqfaire ou simplement plaire lait des laits d'une sorte de passé ancré et hop on tète on pre,nd on avale crument goul'ûment intensélment tendrement affectueusement vivement rythmiquement ce lait de buve buve ou bufflle lait de buv e = lait de buffle = de bufflette ailée ainsi postée sur du passé vde bure miséricordieux passé vieux vieille donnée szainsi retrouvée le mur du son des voix passé comme il sembleraiyt on v eut téter on veut boire du lait sans demi-mesure et hop tracer de chez tracer vers ce passé donné aux données hautes = ancsttra&les de bout du monde une parade une sorte d'embrassade un rappropchement de genre's remuades et aéutres gestes fvifs de charge on entre on creuse on va on veut toucher on veut coller dire cerner fondre a&imer charger de rage le passé nacré ou disons ancré ou disons sacré qui nous regarderait pour ainsi dire avec ses yeux terreux de bête de peu on monte on va on creuse haut on veut comprendre la paroi les bêtes sur pieu les envois de rage et autres tra&its dits de parade nuptizéale sur prairie on veut toucher à ce dit néné des donnéesz finales ou sinon fina&les avancées drôlelemenjt avancées en ce dernier qauartier post-muret post-muraille post-membrane il nous semblerait mais on ne sait en vrai c e qu'"il en est concernant la membrane telle qu'évoquée en ce dezrnier passage passage aux fées aux fées notoires aux fées de base ainsi transformées en un beau bébé né comme à la retombée la mort enfin reléguée dans les entrailles d'un passé de pré on entre on va on veut on veut quoi on veut de ça LAIT DES LAITS DONN2S et hop creuswer de chez creuswer en direction là-bas de ce pâssé outré ainsi remonté qui de fait nous annoncerait pour ainsi ndiire une sorte ici dee vérité des vérités concernant ce lait ou ce dit -lait qu'il nous sied de téter et donc voici en toutes vlettres cette donc vérité en herbe LE PASSÉ RENAÎT LA MORT PASSÉE QUI NOUS POUSSE À RENAIÎTRE EN SES QUARTIERS SOUS LE NOM ACTUA&LISÉ D'UNE SORTE DEB BÊTE BÊTE DE TRAIT J'AI NOMMÉ la teigne teigne-née fée tracée devient ou redevient bébé et bébé teigne dans le passé ou comme dans le passé ici reconvoqué ou recomposé ou re-tracé comme à main levéecpar quelque néandertalienne ou né andertalien supposées on veut creuser = dire" = sondxer = charger = forcer = poussser et du coup passer passer vive de l'autre côtévers ce néné dit de l'autre rive du passé de frise le téter téter en v rai de son lait entier s'en gargariser sans trembler vsans se g^nener sans même chercher à s'en cacherb téter de chez téter ce néné de mise et de son lait riche on veut téter on éime le lait on adore téter et s'en gargariser sqans plus s'encacher on adore on tète on boit on aime ça LAIT DES LAITS D'UNE MER REMONTÉE on veut coller coller de chez coller dire de chez dire et ainsi circonscrire les données du vivre tracer = donner donner = direv dire = percer pezrcer = sourire = sourire = monter monter = poryter porter = changer changer = poussser ou pouffer de rire en ces contrées de bout de pré à la vue d'un néné comme ici montré hors chemise à devoir téter ça nous plaît on veut le téter on veut de ce néné de frise et hop avaler et du cfoup persisqter treacer chyarger combler szaturer de verbe les donhées en herbe = aéimer = aloouer à une sorte de passé une sorte de do,nnée ancienne de type Verbe un Verbe donné verbe des prés on a&ime on veut en vrai toucher de chez toucgher les données du Verbe et hop creusqer creuser de chez creuser filer de chez filer porter de chez porter et nousb porter ainsi au plus haut ou au plus haut niveau des donné&es lactées telles qu'imaginées en notre cimetière = derrière qui sait on veut tracer = toucxher = téter et aéinszi toutes alimentées cerner de chez cerner les données anciennesc soit ce lait sucré ou sucrév -sa lé ainsi offert passé le cimetière on aime on cherche on creuse on veut toucher = faire et du coup cerner ledit néné en vrai ce que c'est est^-ce en vrai un néné tout ce qi'ilb y a de plus néné ou est-ce une sorte du coup de faux derche fauxn éné né come à la reztombée hors enceinte néné faux des faux nénés au plus haut niveau lait porté sur porte d'entrée ou qauoi ou qu'est-ce on cherche on veut ou on voudrait en vrai cerner au plus possible les données tracées ou comme tracées en ces hauts des hauts qsui connaît qiui comprend qui sa&it qui peut ou pourrait grave nous aider et nous guider et nous renseigner sqans tergiverser ou nous prendre de haut ou se moquer nous ridiculer ouvertement devant toute une assemblée de parents ou coment car nous en tant que nouveau-né en ce passé dit remonté ou comme remont"é des années de trait on aimaerait grave si possible en savoir lng concernant petit a le mamelon petit b mamá montón ou pareille mamá dont on ne comptend pas exactement exactement la véracité ou comment dire les do nnées ou coment dire le tracé on trace on creuse on vire et vibre vive on est fée-bébé du dire alloué à une sorte de passé en friche = le passé du vivre soit du vivre dit "de toute éternité" car le vivre de fait seraéit du vivre sans rire comme ancestralisé dans un passé sans cesse conc$voqé ou recvonvoqué ad vitam eternam dans la langue vive d'un trait de vie vive on entre on creuse o n cherche on veut toucher ensemlmble le passé e,n france = cette langue = le français de rage ou le français de base frança&is né comme par contrebande à notre naissance langue ancreée = inculquée = sarde = langue de la fée donjnée ou de la fée tracée à notre passage dans cet antre aux données ici toutes tracées comme à main levée par peut-^tte qui sa&it l'être alloué à une sorte de passage en transe hop on entre-danse on passe on creuseon force la porte ou comment dire on monte on est hautes-fées des données rupestres entre x et x bêtes bêtes -mots ici de haut niveaéu question fête fêtes sur paroi de porte et autres types de roches hautes on monte on y va on envoie on veut comptendre ensemble le passage les données intenses la mùort - franges les données frontales d'un passé tracé à même la base d'une sorte de NOTORIÉTÉ ALLOUÉE À UN PASSÉ NACRÉ qu'est-ce que c''st qu'est-ce cque c'est que ledit passé aux données toutes remontées comme une pluie trans-frontalières de données en herbe ça le fait ça penche ça envoie de face un vent sablé on entre on veut comprendre on a méga-envie ensembloe de comprendre en vrai les données du ventre du passé de l'antre et du lait parce que voilà la mort passée soit archivée = classée on se retrouve en fait à devoir téter à ce dit passé aux données intenses de type souffreances ça fait chier on a pas envie obligatoirement ou forcément de nous coltiner à ce passé intense comme remonté en vrai à la surface d'un néné tracé ou d'un néné ainsi tracé pour ainsi dire dans son drôle de /
dans son drôle d'élement lacté on cherche une entrée on creuse devant soi on encvoie du bois on y va on ne lésine pas sur l'envoi on veut en vrai grave toucher à ce qui est ici ici bas soit ici haut en ce néné dit des données données concernant l'après car voilà on veut au plus serré comprendre ensemble 1 ok la paroi mais aussi 2 l'après soit l'après paroi dudit au-delà soit quoi soit ce lait de choix cette sorte de post-paroi dont le nom en gras szerra&it Le L AIT une sorte dev donnée lactée ainsi retrouvée dans une sqorte de passé re-actualisé updaté aux données intenses de type vraie souffrance vraies données intenswes de type souffrances et autres faits tracés re-actualisés on entre on vibre on creuse on cherche on veut la fibre en pôst-cimetière et toucher le Vivre = Vivre Doux des dooonées données données pour le coup hors pré hors prairie habitée hors tracéc aux herbes ajourés mais quoi le sentier donnant vers l'après soit le dertnier qauartier ainsi tracé la mort une fois dépassée et nous voillà dès lors comme re-nées en forme ici non plus de fée mais on diréait de bébé bébé né sur pied et hop ça remonte ça re-envoie du bois ça sonne gras ça parle ça ch arge on est là on re-quelque-chose-d'autre-envoie et voilà ! antre = antre de face = Antre dxe paroi de face = Antre de paroi = Antre facial = Antre de aroi faciale = une qorte d'enclave à toi à moi hors la souffrance intense on entre on re-entre on re-veut comprêndre ethop tracer de chez tracer pour se garder de trop saigner avoir trop mal souffrir le pire ou en baver On veut aimer toucher dire et sonder tracer délimiter inscrire circonscrire dessiner la bête -vie des données traquées sur pareil sentier on veut toucxher dire sonder creuser ici un rire outré gros rire des contrées ainsib allouées à une sorte de passé ancré dont le nom serait Le Vivre Vivre du passé du rire ainsi remonté on vire = on vibre = on envoie = on veut ça la rage rage des envois et autres ravges contractées qui sait au pa ssa ge chien de voix coriace on est là on regarde on tète l a rge on boit on se rempli ici de lait de voix voix-lait d'un pays sage dont le nom de fait est LAIT lZAIT SARDE LAIT DE BËte SArde LAIT DE BËTE AILéÉE DE TYPE BÊTE SARDE ON veut creuser on cherche enxsemble on trace on nhe veut pas jamais nous arrêter ezn vrai xde creuserv = chercher = pistonner = comprendre = prendre et du coup rechercher ici ou là parade = défense à nous comme il sembvlerait protéger de chez protéger d'une sorte ici d'accoutumance à nous laiisssrr brimer ou démo,nter ou critiquer dans la souffra bnce d'un passé tracé on v eut tracer = filer filzr gra ve vers non pas forcément le passé mais de fait les traces traces graves d'un tracé ancré sur pierre des fées et hop aller filer charger chercher donner de base nos données de rage à une sorte de bête étrange dont le nom wserait FRange Frange des prés Fra,ngine Allouée à une szorte de Passé en france étrange passé-né sur du passé de frange ainsi tracé à même ici la roche aux prés ou roche des données nous voici passées npus voici morts et enterrées = revenues à une sorte de contrée aux fées aux herbes hautes aux bêtes d'époque Auroques Auroques et autres bêtes fortes Bisonnnes DBuffles d'oc Bêtes de porte Bêtes hautes de POrte d'époque on monte on y va on charge on veut grave de chez grave aller sonder ou pour sonder c e que est en vrai eh bé en effet cette sorte de pré alloué ... à la mort .... et après alors alors aéprès le pré eh bé après le pré il y aurait qui sait une sorte de passé xde roche ou dee plus haute époque encore = le passé outré passé haut des passés les plus hauts qui remonterait ou même reviendrait sur pied nous enquiqui ner ou comment dire nous saluerse rappeller à notre ancienneté de bébé charmé ou coment dire Le Bé bé postpré tèteraitici le Sein montré montré hors chemise son lait et s'en en quelque sorte gargarisearait sans se gêner du fait en vrai que pour Bébé le lait est du trait et le trait du Lait Verbe alloué à une sorte de passé actif ou dit touj,ours de chez toujours actif Lait de trait = VErbe en Hrvbe une sorte de verbe de trait ou de verbe alloué àune sorte de traînée ou de traînée -trait = vitalité venant toute du haut d'un passé de fée puis de p^lus haut encore le passé n acré sacré ancré d'époque treès-haute genre éÉPOQue de porte les tréits = tous les traits tracés de fait ici sur roche haute-porte une somme une somme de traits soit de traits redoublés d'un verbe alloué à une sorte de VIsion Haute haute chose Chose haute On monte on veut cerner cerner de près les données lles plus hautes d'un passé de roche ainsi délivré d'une qsorte de tracé vgravé qui pour le coup le retenait ousemblait de fait ici ou là le tenir coincé ou cdomment dire ici Tenir de chez tenir Comme ainsi engoncé en ses divers quartiers du dire tracé on vib re on vire on file on charge on trace on veut comprendre grave bles données de l'antre un passé intense une sorte de donnée vd'enfance charge a llouée à une sorte de passé de france de type soufre nce ou souffrance denwse ou même souffrance -transe intense et hop remontée de transe le passé de charge on entre on voit on boit on voit et on boit et on boit quoi le lait nacré d'uneb sorte de néné donné la mort une fois passée car la mort en vrai est enclave est pré est sorte d'enclave-pré ou prairie aux fées mais de fait est en qauelque sorte à ici passer ou à devpoir passer comme on le diirait d'une sorte d'époque ainsi détourée on monte on ose on creuse on charge on fonce on veut grave compre"ndre ensemblae ainszi ai:lées les 4 membres cornes données sabots francs le Passé Troqué qau'est-ce vque c'est qu'est ce que c'est en vrai qaue ce passé a insi troqué contre il semblerait notre voix en vrai on monte on ose on cha rge on fonce on veut ça et ça : la charge et la paroi on veut comprendre enxemble les données du ventre le caca la pan se la paroi le sa ng le sang de là la rage les données antrales ventrales axiales ancestralesx pariétales et là compemlrendrree donc de vchrz vcomprendre donc en ce qu'on voit les choses hautesc d'un savoir de porte qu'est-ce que c'est que ça qu'est-ce que c'est que ce convoi de roche sortes de parade haute faite on le voit de bêtes sardes bêtes de par(oi auroques des a&uroques auroques sans voix auroques hautes des parois dee grotte ça envoie ça chargve ça parade ça y va et ça y va sans voix on entreb on pouudsses on veut cerner ensembvle les données de l'outre = dxe la panse ou antre du passé de rage et a&utres sortes de passés comme ainsi remontées on veut toucher on ve'ut grave toucher on veut en vrai grave de chez grave ici ou là toucher à ce dit passé de donné&es de base ce qu'il est ou c e qu'il en est = ce qu'il est ou contieznt en termes de passé dit souterra&in on passee on envpoie on charge on trace on veut comptendre ensemble qui on est en cette sorte d'après-pré et aéinsi cerner cerner gra v e les nénésxpost-pré la rage allouée à pareils nénés et aussi le lait lait de trait qu'rst-ce que c'est de fait que ce lait post-p^ré de quoi il est fait d'où provient-il en vérité = qui le fait de qui ce lait est-il le fait qui contient de ce lait de trait Mère la Bisonne Mère l'Auroque mère La buffleonne Mère la Patronne ou même Baronne Bonne-Mère Hautec aux données de roche on monte on creusqe on trace on cherche on veut ciomptendre et allouezr à u n e sorte de quartier des mots de vérité qu'est-ce que c'est que le lait qui le fait quelle est donc la bête ici dessiné qui saurait nous dire nous conter nous instruire nous rapporter nous dooner du vrai en plus que du lait ou comment dir e vive le lait et les produits laitiers on veut toucher au dit néné post-pré et c erner cerner de fait les donhées lactées la mort passée qui est qui ici qui connaît le trait qui nous instruit qui pour nous aider à toujours mieux cerner de chez cerner les données du dire o,n veut toucher-creusqer dire et tr acer monter monter de chez monter au plus haut degré dees données du rire car le Vrai en vrai fait rire ou les données du lait soit le lait de trait fait grave rire lait qu'on attezndait qu'on voulait de fait qu'on n'arreztait pas d'espérer et le voilà qui vient v ers nous via le passé et zou jusqu'a nous = nos genoux on monte on creuse on trace on veut comprendre ensemvbblmle = ailées les données du ventre LAIT dONNÉ = LAIT FRANC = LAIT PARLÉ = LAIT PORTÉ DE FAIT JUSQU'À NOS GOSIERS ET HOP À NOUS LA JOLIE TÉTÉE ON AIME le lait on aime téter on &ime s'en gargariser et s'en rassasier on aime avaler dee ce lait du rire ainsi évoqué et hop la frise le passé en friche un passé remonte ou remonterait qui nous verrait aller de chez aller de fait vers une sorte de contrée ainsi toute trouvée qui szrait cele pour le coup du rire du rire à genoux hé hé ça le vfait ou ça le fer ait grave ça nous irait ou disons voilà on s'y fait on creuse on charge on cherche à comprendre on trace = on grave sur paroi les tra&its dits sages soit les traitsq savants d'un savoir de ba se = le sang sang do nné sur pied et hop toute ensanfglantée on se sait on creuse on file on charge on eznvoie du bois en ce qui ici cfoncerne la voie le passage la transe= la tralle et nous voilà enfants = infantes filles sages le passé de franges et autrzs types de français de langue on passe on passe fée on entre on entre fée en ce pré donné de type pa&riétal on est la fée du pré xdes traces et autres tra&its de base animale bestiale aurochnodoïtale on aime le pré l'herbe des prés les traits la rage cernée en une sorte de collecte comme ici allouée à de l'herbe on veut connaiître on voudrait toucher on veut coller on aime on cxhercjheb on creuse on ve"ut toucher ensemble le néné post-herbe QUI C'EST on cherche on ne sait on ne traîne jamais car on fonce alphonse on y va des bras des jambeseffilées des cuissees dorées du ventre des épaules larges AILES-VOIX on creuse on cherche ici et là dans la paroi l'entrée sale le passage à l'as la voie royale le pet pet de base où est donc le pet dudit trou de balle la passade on veuut co:mprendre et du coup c erner et cernant creuser et creusant passer ici ou là de l'autre côté la mort passée ou dépassée comme enterrée de chez enterrée ou même archivée et nous retrouver à devoir téter le néné sacré mais qui est donc ici en vrai le dit néné à qui est ce néné que je ne saurai voir et du coup téter on voudra&it qavoir^o,n voudr(ait grave pour de vrai savoir de chez sacvoir ledit néné à qui il est à qui pareil néné appartyeinedrait on ne le sait on veut cerner comprendre circonscrire dessinerr le galbe le teter de base et hop s'alimenter poursuivre enchaîner pisqtonner construire filer comprendre = trouver mais qui c'est de fait qui sort de son corsage un néné de lait on ne le xait on cherche ensemble on veut comprendre ensemble et du coup toucxher toucher de chez toucher à ledit néné des nénés de base comprendre = donner donner = faire faire = porter poererter = contrefaire contrefaire =pousssr poussser =charger charger = eire dire = psonder sonder = poursuivre poursuivre = allouer à une sorte de contrée post-pré les pouyvoirs du rire ou du rire crispé car voilà le rire ici est une qsporte de trait-né né à la retombée quand on est p assées quand enfin on a pu ici sortir en vrai de ce pré aux fées de la mort admise rire vif au lait donné lait du rire alloué à une sorte de pzss&é donné ou redonné du fait que oui la mort donne mais s'endort et meurt et nous en vrai on sort ou sortirait du pré e,n tant que fée ailée et hop transfiguration transformation reconvocation et hop la borne le passé nacré haute chose haute portée haute chose d'une époque haute trait des treaits sur roche trac-versée on commence )à on dirait mieux certner les données hautes on commence à peut être mieux connaîtrze ici ou là certains tetrmes dits "de la foi en des voix souterraines" on aime on veut on porte on envoie on file on cjherche on ve'ut comprendre ce qu'on veut comprendre aller filer charger toucher cerner poster souder sonder ai=mer constituer allouer à une sorte de passé devant eh bé un Rire Grand = GTrand Rire des données en friche on b a lance on danse on creuse obn n ne tremble plus on veut téter le laéit du cru et vite fait en avaler assez pour se sentir de fait repue complètement repue et du coup assagie soit ainsi calmée ainsi aidée on veut aller creusqer ch arger filer donner pousssrr comprendre ensemble ce pawssé donné ou redonnée rire sacré rire des données du Tibre on veut creuser de chrz creuser aller de chez aller foncer de chez foncer faéire decghez faire pousssr de chez poussser sonsder de chez sonder dire de chez dire et vite fait nous retrouver ensemble de l'autrz côté côté rire côté lait côté néné côté rassasiement de l'être ainsi abordé et du coup pouvoir enfin peut-êtrze et à genoux connaitre le bout la fin de la faim le dernier tracé la veine le passé nacré l'antienne voix nacrée voix des fées passées qui sait ou voix de 'l'âne = de la bête -carne voix animale on ccherche ensemble on veut comprendre donner et toucher cerner de chez cerner les voix du passé voix de charge qui en fait re"monteraient de rage via eh bé qui sait le néné et wse retrouveeraeaient ainsi sous forme de lait à calmer nos envies notre faim de loup et autres crisz de bébé chelou on veut creuser on veut toucher on ne v eut pas trembler et succomber ma&is grave tracer tracer de vchez tracer en avancer en ce quartier post-pré aux données lactéeqs aux direqs cendrés aux mots donnés on veut crereuser de chhez cr(euser aller de c hez aller et filer à l'anglaise blaise affronter le Rire le Rire Forcé poussserc et creuser = passer et sondser et nous voilà de fait qui cherchons la mère = le passé sacré le point de rentrée le niveau du verbe la perle le point le trait point de trait en herbe l'herbe l'herbe allouée à une sorte de contrée dont le nom de fait est Verbe Verbe outré de se voir blessé on ne veut pas passer à cfôté à côté du Verbe on veut pile le voir en entier Verbe Entier entier comme du lait et du coup l'aimer en son intégralité de type lactée comme qui diréit Verbe-lait à terme on veut toucher on veut grave aimer toucher et dire-cerner et sonder le rire d'un passé tracé remonté circonscrit alloué à une sorte de donnée larvée commeintévgrée à une sqorte de vive clarté venant du passé soit du rire rire-lait ainsi do nné via ce néné-surprise vsur frise on veut cre"user = dire = c erner = totoucher = construire sur du passé une sorte de "maisonnée" du rire forcé et hop on assure on veut la m asure la ma&isonnée = l'aventure lles données de bure et du cfoup tracer tracer de chez tracer aller de chez aller filer de vchez filer cerner de chez cerner pistonner de chez pistonner comprendre vite fait l'allure à adoprterr soit le train d'allure les don nées de bure le passé nacré qui est qui en cette aventure qu'est-ce donc que la bure les données outrées l'aventure mature le néné tracé lait des laits de buve buffle ou buve on veut téter on veut cerner on veut creusqer on voudra&it de chez vouloir aller ensemble en ces contrées dites du dimanche et hop téter de chz té&ter le bo n lait de l'ombre du passé ourlé de la pénombre dxes données du nombre et autres sortes de données larvées ou szous-larvées et du coup peutêtre enfin cerner ou toucher ou comment dire encercler de dires ce passé tracé ici remonté toucher au néné = vivre soit continuer à vivre on sait c ela on n'est pas gaga on est nées de reage ou de la rage d'un savoir de base insi activé et nous vpilà szoit nous voilà n ées enfin nées enfin tracées sur paroi-néné la mort de faitb enfin passée = traverséee = laissée de côté hop hop de chez hop on monte on envoie on creuse on veut ça la voie le passa ge = comptendre allker filer cerner toucxher faire ainsi que le passé puisse nousven aprendxre nous faire pezrdurer et a&uussi en avancer dxans les connaiossances dans les connaissza nces denses d'un tracé qui ici serait comme un fait exprès redon,é de base à une sorte en soi de bête de langue pour nous le français on entre on pôusse o,n c reuse on cgherche une entrée une entrée de ouf une sorte de passage ancré et hop au passé vivement l'été on veut toucxher on veut cerner on veut toucxher -cerner et discerner le bon grain de l'ivraie en cette sorte de cueilleztte intense le passé françaisv est du passé de langue langue donnée ou inculquée de force à la naissance on sait on creuse on passe on trace on est nées de ra ge dans une sorte de passé de langue passé né à l'embrassade ou a&ux embrassades de deux fées de rage sur par(oi aux traces et hop nous vpoici née qui cherchons p arade parade animale cavalcade betes de salle on veut monter toucher tracer cerner comprendre pistonner pousssrr pousser de chez poussser et y aller de nottre sérénade sur paroi ornée on entre on creuse on file on va on engfle on see voit en transe on est hors de soi les fées de base femmes de s tr aces on envoie on va on veut comprendre ensemble la paroi les données intenses d'une langue en transe l'envoi le passé sage et le passé sarde et le passé sale et le passé de salle salle de bal chants nuptial on y va car on envoie et on envoie car on est là ensemble toi et moi bras dessus bras dessousz à chercher ensemble passage trait de voix trait de voie pour ça un passage en langue en patois en langue de rage voix de s voix en ce paysage d'un pré -sage le patois des voix d'une enfance sarde trait de voix pour un passage en fr ance en france de langue et nous voilà qui nous postonsz poussoussons qui vgoulons qui sommes qui entreons et hop fée du p ays sage parmi les moutons les vaches sardes les bufflons les bisons les boucs et les bisonnes de l'entre-deux-portes on monte on envoie on creuse on charge on veut grave cfomprendre = cernerf= dire = toucher à c e néné dit ou à ce dit néné des finalités soit des bouts de roche des contrées dernières fins ou fond de poche antre laitiezr poche laitière = le passé en herbe terre aggr aire bonne cfourragère on aime l'herbe l'herbe squprême l'herbe des prés et autrs champsq donnés dans une qsorte de passage docte vers eh bé qui sait la mort mort tout aussi docte une sorte de pré pré aux fées en approche un terrain miné mais à l'extrémité une sorte de porte donnant on dirait sur eh bé qui sait du passé du passé de roche on monte on va on entre on envoie on cherche on trace on veut comprendre = entendtre entendre la voix voix de l'au-delà des données de rage voix des bois et dees sous bois = cri d'effroi ou pas = cri du rut cri du rut des fois = voix des voix on trace on charge on va on file on monte on fonce on creuse on cherche le âssage idoine vers le c ri d'effroi d'effroi oude rage de la bête immense cerf des voix et autree méga-cerf dit des parois = du pré = des fées fées de langue ici un tracé une sorte de donnée un trait une sorte de trait un tracé sacré trait des traits sur roche ensablée on veut toucher = dire = deonner = pousszr soit pousser de fait vers le rire de la vérité soit de la vérité touchée ou comme touchée et touchée très
2/5/2025
on envoie on envoie quoi on envoie du bois on aime ça on aime travcer = donner et sans se retourner courir jusqu'à la jetée et là essayer essa yer ensemble de cerner-piger ce qui se p^résente en termes de parade et autres faits acidulées = lait de rage traits traits des traits en enfilade qu'est-ce que c'est on se le demande mais voilà qui sait un de ces quatre qu'est-ce qu'on en sait on saura peut-êttre ensemble nous y retrouver et toucher à cette sorte de membrane me,nbrane aux données aux effets de rage et autres tracés on entre on creuse on essaie de comprendre les données les plus prégnantes d'un passé tracé quise présente la mort une fois archivée ou dsisons entérinée adoptée accusée on est entrées on entre en tant que fée armée et puis hop on change nous voici bébé bébé de parade demandant ou réclamant du lait dit de contrebande car en vrai ce qui est ici est cette chose d'une sorte d'enfilade à toi à moi de mots de base genre rage rage en or or or du porc porc porc du corps et autres traits en première instance on entre on mate on cherche ensemble en tant que fées ds traces à de fait comprendre ce qui est ici en termes de rage et autres fêtes-parades on erst comme toutes deux accolées à cette sorte de passé qui on dirait on le dirait vraiment nous regarde ou comment serait là tout ébouriffé à ,ne pas cesser de nous mater et qui plus est de la tête aux pieds comme si en vrai on l'intéressait au point qaue oui on en serait presque gêénée de nous savoirt à ce point e spionnées ou sinonespionnées reluquées comme si de fait on était quoi on était des fée fées du pré et en vrai c'est c'est ainsi qu'on est ou plut^pt qu'on était avant de nous savoir piour ainsi dire transformées en quoi en b ébé de trait soit en bébé qui boit d'un trait le lait de l'hydre et l'hydre qu'est-vce que c'est qu'est-ce que c'est que cette (?) hydre ici mentionnné eh bé on dira ça que l'hydre ici bas = ici -haut est une sorte d 'animal de base genre trace trace de peau ou peau peau de mo ou mot mot de trop etcetera on entree = on creuse et ce faisant en vrai qu'est-ce qu'on voit on voit ce qui se trame enc e quartier de bout de pré on entre à quai on file on trace on voit on tète en transe le néné de l'antre d'un passé de base car voilà le passé naît la fée pâssée ou la ou les on mate on regarde on a passé un cap on a passé le cap du pré en tant que fée acidulée et à présent on cherche grzave à comme noius rapprocher d'une sorte de néné comme en embuscade un néné rempli de lait qui est du lait de femme ou pas de bête sage ou pas alors de quoio on ne sait pas on mate grave mzis on ne voit pas on cherche ensemble on n'arrête pas on ne s'arrête pas mais ce n'est pas sqi simple en vrai ensemble de mater quand voilà on est comme aveuglée par une sorte peut-être de trait trait vif de clarté lacté ou comment donc on pourrait dire ou exprimer ou expliquer ce trait du vivre de l'autre côpté côté vivre ou même côté re-vivre car en vrai le vivre est une sorte en soi d'emprise de tracé de chine muraille allouée à une sorte de passé comme faisant cycle ou comment on pourraoit ensemble ici et là expliquer cela ce tracé nacré cette sorte de passé ourlé qui serait de fait une sorte de contre-tr acé une mer de rocheun passé de roche alloué ou comme alloué à une sorte de marée on monte on ose on creuse on veutr cerner de cghez cerner à cette chose d'un passé refaiqsant irru^tion la mort une fois traversée une wsorte de mer allouée à une sorte de passé prégnant ou de passé toujours présent soit di
laté ou comment dire étalé un passé allongé étalé prenant de fait toute la place dévoilée la mort dès lors comme dépassée ou enregistrée = notée = bgravée dessinée sur de la pierre de trait on est on cxreuse on entre on traverse on cherche grab-ve grave de chez grave ensqezmble à bien comprendre les actualitéds d'une sorte de parade animale en ce passé de rage ou passé de transe ou passé de traits ou de bêtes de trait car en vrai on aime aller ensemble à toi à moi cvfomme qui dirait chercher ici et là à comprendre ce qui est dans ce qu'on voit ou pliutôt dans ce qu'on ne voit pas tout à faoit on devine par là quelquefois des choses genre pommes genrte hommes genre rome gentre trogne et autres mots en ogne ome ole pole ecetera on entre on est là ensemble ail:es des voiix ou sinon ailes ELLEs qui sont là pour ça battre la campagne et nous voilà nous voilà en transe ou ttout comme en transe à chercher voie voie pour un aller = un aller sur place afin de chercher rechercher tracer crteuser npotrte propre trajetbvers quoi vers ce néné de l'au-delà qui est donc né la mort passée ou une fois la mort passée soit archivée accomplioe donnée tracé e évacuée on veut coller à ce qui est qui est ici un néné de vie genre The néné ici donné la mort passée le néné du trait trait de vie lactée on veut téter on adore en vrai téter de cghez téter difficile pour nous de nous en, passer de n ,e pas téter pour de vrai sans discontinuer en tant que bébé né pour ainsi dire d'une fée de pré et hop ensemble un pet hop le pet dans l'antrte on tète de rage on t§ète le lait on aime téter et téter-péter la chose orale = du l:aiot lait de trait lait donné lait comme ancré en cette sqorte de passé de franges qu'est-ce que c'est peut-être unn anttr ou sqinon un anttre une plage ou sinon la plage une sorte d'enfilade de peut-êtrte divers paysages ainsi tracés par des mains allouées à une sqorte de qui sait passé du passé ou passé retrouvé lors de la tétée on veut comùprendfre on veut toucher on veut cerner de rage les données lactées à quoi elles ressemblent qu'est-ce qu'il en est qu'est-)ce qui nous atte,nd en cette sorte de passé larvé qui est passé de proimenade dite post-mortem ou quelque chose d'approchant en termes de passé donné o u de passé porté ou rapporté on creuse = on ose on veut toucher audit passé des bases lactées qu'est)-ce que c'sseet que ce paszsé ici alloué à une sorte de tracé de vie ou de vie retrouvée la mort entérinée on cherche on cherche grave on ne veut pas laissser pisssr ou filer ou passer la chance notre chance d'y tater un poiil en cette chose d'une sorte de rteconnaisszance ou de re,naissance ou de retyrouvailles ardente on entre on cherche on creuse on fonce on trace on e veut pas traéîner la jambe mais filer à toute blinde en certte sorte de passé de tête une sorte de trait un tracé de tête = trait des traits par où qui sait en vrai on passerait la tête puis le corps entier comme une fenêtre trai-ht-fenêtre sur paroi dernière ou sinon comment porte aux quatre vents potrte ouverte on cherche on cre"euse on veut toucher-cerner -tracer -coller à cette sorte de donnée lactée eh bé le nez nez de l'ombre nz des nezs tels que présentés sur roche haute on m onte on renifle on veut toucher du nez la frise le passé en friche les données de l'hydre = L ait ou même Lait des Laits tels qu'appréciés qu a,nd on est bébé bébé né comme à la retombée sur du passé dit de contre-poussée et nous voilà re-nées comme un fait exprès on monte on veut toucher à ce quii est qui nous seconde ou comment dire vient nous trouver ou nous retrouver via la parole innée ou commùe inculmquée hop un tracé un trait toute une époque re-articulée qui montre sa trogne face du passé visage tr acé une trogne = une sorte de pet ou de pet de porte hop on monte on creuse on cherche on veut toucher à ce dit passé des données hautes et du coup aller aller de chez aller en ce dit tra&c&é qui serait de fait du dit non altéré dit entier comme du lait dit des dits lactés soit eh bé oui du bon lait du vivre lait donné comme à l'arraché au tracé au jugé de l'hydre du tracé de l'hydre sur passé alloué on est re-née on est la fée -bébé ou fée devenue bébé qui tète le lait ou laiot alloué à une sorte de passé d'un hydre et l'hydre qu'est-ce que c'est l'hydre est fille fille post-pré qui sort de sa chemise le néné du lait et nous donne à téter la parole lactée lait du verbe nacré lait traqué tracéa imé adulé adoré comme peurt-l'être le passé quand il est alloué à une sorte de retour sur soi et son poids de foi ou poids de la foi on est là on mate on trace on veut toucher-comprendre les données de base ce qui est qui est est une sorte ici de promenade ou d'eswplanade du passé ancré ou du passé tracé à même le sav$ble on veut coller coller de chez coller aller de chez aller toucher de chez toucher cerner de chez cerner à cette sorte de néné des plages et autres jetées et téter téter vrai téter de chez téter à ce néné des traces et éautres traits ainsi repérées la mort dépassée téter = donner = faire = dire =coller = chgercher chercher à connâoitre incidemment et religieusement ce qui est qui est en ces dites contrées de la mort passée des tracés tracés et autres tréaits de bure on veut toucher on veut creuser toucher de chez toucher à ce néné dxes données futures qu'est-ce que c''est de quoi s'agit-il en vrai qu'est-ce que c'est que ce tracé hors murs sorte de donnée rude ou de donnée de bure on ne sait on est comme allouée à une sorte de néné rempli du lait dont on rêvait en d'autres conjonctures on veut creuser dire et donner toucher de chez troucher le néné post-mur et boire de son lait boire sans plus traîner car en vrai le lait on adore on en boirait sans nous arrêter du point du hjour au dernières clartés sans discontinuer sans en être écoeurées car le lait ça nous connaît le lait est une sorte de met ou de denrée des catacombes des données profondes du passé larvé réactualidsé ou comme remontée lea mort passée = lait de porte on &ime téter et du coup avaler nous alimenter prendre des forces ou se requinquer à base d'un met dit de porte puisqju'il en est = lait de porte haute lait des laits des portes des portes de roche et autres portes des données données la mort archivée dépassée traversée laissées pour compte ou miçse à pied ou comment exprimer cette chose d'une mort de roche archivée qui serait de fait une époque toute une époque époque recentrée cernée circonscrite en tant que crypte ou antre ici de roche prise mais la vie est tout autre qui flotte entoure encercle nappe fait le tour lde l'antre entoure cet anttre encercle le pré la prairie des fées fait son petit effet = fait ainsi que la mort do nnée soit comme encerclée de vie allouée à une sorte d'après-muret d'après concavité d'après-mort donnée = une contré contrée de lait ou de mots -lait tels qu'aimés bébé ou quand on est bébé = un bébé de rive = le bébé tout entier rivé à son néné de frise = la clarté lactée lumoinosité laiteuse et aiutres types de blancheurs heureuses on veut coller on veut grave aller et toucher et creuser et se mo ntrer et dire nos dires à cette sorte de divinité lactée dont le nom est Entyité Tracée Entité des Entités Tracés nom -surprise nom donné sur frise à une déité des déité des données de frise on veut toucher on veut creuser on veut avancert on veut cerner on veut aller donner prendre et coller le nez ou notre nez à ce dit néné des données en friche = le pasdsé car le passé en soi est une sorte de donnée de choix donné haute qui nous voit nous mate sans frais sans cghercher plus que ça à nouq amadouer mais voilà il est là il est ytoujours là à nous m ater de chez mater afin de nous cerner ou de nous mieux cerner à toi à moi en cette sorte de contrée de l'au-delà la mort passée et qui sait en ezffet le passé qui sait si le passé de faiot ne serait pas notre avenir en tant que voie d'accès sur ou vers eh bé le lait lait de trait trait de lait acidulé pissant du néné ainszi rencontré le passé lacté serait compme qui diraoit l'avenir de fait soit une sorte de donnée admise prise déroulée ou comme déroulée ou toute déroulée sur frise traits d'emprise lait des laits et autres lait de traits ainsi dessinés on est nées on est renées on renaît fille vive sur frise dans un passé qui est ce passé qui se présente sous le nez on cherche à téter on veut cerner on veut toucher de chez toucher à ce lait de frise qu'est-ce que c'est une bsqorte de passé en friche lait donné est lait alloué est lait apporté est lait de trait ainsi donné à notre sorte de preut-ettre ici bouche grande ouverte on aime on aime grave on adore on adore le l ait on veut grave téter on ne veut pas s' arrêzter on a super de chez super envie grave de téter le bon lait de l'hydre des tyemps pasdés et autres temps fort reculéss car oui le lait on aime à jamais à jamais le lait on aimera car voilà on est là pour ça en tant que quoi voix voix de choix voix des rois et reines des voix téter de chez téter la voix et le lait lait de voix et voix de lait entrer téter lait-voix d'une sqorte de mama ou de maman ou de mam' de la voix ainsi donnée la mort pasdsée c ar la voix est la voix dite du passé du passé lacté du passé comme enriegistré à jamais en cette sorte ici de cavité des cavités d'après le tracé ou le pré aux fées mais on ne sa it en v rai on cherche on creuse on se dit que peut-être en effet le passé est cxavité ou sinon cavité traits des traits sa,ns finalités ou alors une mùer une mùer allouée à u ne sorte de clarté hors cimetière on chercvhe on v eut toucher cerner creuser sonder et du coup connéître ce que donc le Verbe est ou serait lm'instrument ou disons l'agent on cherche vaillammenjt ardemment consciencieusement religieusement concrèytement et sa,ns traîner à cerner de chez cerner les données dernières dernières et derrière deriière ce muret ce muret des prés soit derrière de fait le tracé des tracés sur paroi ornée on aime on creuse on veut trouver de chez trouver une sorte de fin heureuse happy end allouée à une sorte de passé aux tré&its on dirait du Verbe Verbe en herbe petits pas de soi et hop on y va on envoie on entre on est ensemble ailes la fée de l'antre qui vite fait se voit ou se verrait toute transformée du fzit du passage en bébé tracé en bébé des bébés aimant téter le bon lait du ventre des données pour ainsi dire ultimes de l'après ou des nénés des frixses et aéutres sortes de nénés ainsi et ici rencontrés comme p ar surprise nmais est-ce vrai est-ce une surprise ne s' attensdait -on pas à pareille motte à pareille chose à par eil néné dit sans tralala à quoi s'attendait -on en fait ou disons s'attensdait-on à quelque chose en particulier avait-on réellement imaginé parole haute de type néné et autres lait de roche poeut-on cerner-toucher par la parole le néné doné d'un passé larvé refaisant école on monte on creuse on veut aller de chez aller traquer toucher chasser aimer tuer peut-être pas mais quoi téter téter tétyer à ce l ait commê acidulé d'une sqorte de parole haute lait des laits d'une haute portée en termes de disons parole articulé articulée de chez articulée on monte on creuse on monte-creuse on veut haut-cerner les choswes des mots les données romaines le pasdsé de trop la semaine sainte d'une sorte de donnée de roche en termes cde paroles hautes on monte on creuse on traque on trace on veut grave toucher = téter le néné de l'antre du passé treacé des finalités sans finalités ou comment de fait ici nous exprimer à ce sujet car le lait est dense acidulé nacré pas piqué des vers qui nous hante nhous obsède nous occupe fort nous fait grave envie nous fait saliver et même crier-pleurer sans frein sans gêne ouvertement la bouche grande ouverte bec des temps bec des becs au firmament on aime oh on adore on aime / on adore on adore / on aime on ne peut plus se passer d'elle substance lactée adulée on l'aime à jamais on n'(aime qu'elle cxomme qui dirait lait tracé lait des laits ainsi tracés sur du passé bohême et autres passés-crème on aime on aime téter téter = toucher on aime toucher on aime avaler de ce lait de traîne et hop aller de chez aller en ce passé de haute époque retrouver les traits les données fortes un passé de rocjhe eswt toute une époqaue qu'on voudr(ait qui sait voir ensemble un jour ou l'autre renâitree à soi ou devant soi comme d'une porte une porte haute une voie voie d'accès sur soi ou comment dire cette chose d'une sqorte de contre)paroi de contre-porte ou de contre-roche qui serait là qui serait là pour szoi une porte de roche haute genre la Roche aux Voix ROche des Roches de Paroi ou de post-paroi on monte on veut ça La Roche des Voix Roche des Roches de paroi et autrezs murs de porte haute on monte on veut toucher de chez toucher à cette porte de haute-contre ou de cri d'effroi chants et voix de l'au-delà aux roches secondes on m=onte on creuse on trace on cveut comp^rendre ensembvle ce tracé de base cette sorte d'enfilades de données intenses transes et autres chances et autres embrassades de france une parade un chant la voie royale une langue langue intense un parler tout articulé situé ancré dans une sorte de passé des chances allouées ou décernés à une sorte de donnée genrée mais en vrai on ne sait tout à fait ce qi'il en est de ce qui est ou pas de cette sorte de nouba géante une sarabande une sorte d'enfilade à toi à moi de membres et d'attaches clés et voix d'un au-delà à ça qui ici est serait en fait un pré une sommedonnée herbes implantées champ des fée s on v eut toucher toucxher et encore toucher à ce verbe des fées ou comment exprimer en quelque sprte nottre joie de base notre joie intense de nous voir ainsi charmées et donc allaitées le mur du son de la mort donnée ainsi passé mur passé aux tra&its = traits des ronces et autres fourrés on veut creuser toucher-creuser toucher et creuser et cerner de près et du coup comprendre = entendre ce passé des traits qu'est-ce que c'est qu'est-ce que c'est que ce passé des traits et autres données hautes de type lait lait de roche lait haut de haute roche lait donné de porte et autres laits des donnéews hautes on monte on veut aimer = allouer à ces données à ces données lactées toute une sorte de passé larvé de passé de roche de passé drôle ou sinon drîole p articulier mais qu'est-ce que ça veut dire ça veut dire que voilà on aime ça on adore on adore en v rai l e lait de là cette roche cette sorte de par(ole haute mots des rois reines et a&utres êtres dits surnuméraires du passé-bohême on aime on entre on voit ou on ne voit pas on voit un tas m ais ce qu'on ne voit pas c'st quoi c'est la traine on voit ça le t as rond de crème mais pas derrière on chercheb on creuse on se creuse la tête on veut toucher ou on voudreait grave toucher ensemble à ces donées dites de deriière ou de derrière les nénés car oui on se dit qu'ici peut-être en effet il y a ou il y aurait de fait deux nénés ou deuxc nénés emplis de lait soit de lait à téter et nous téter on aime on s'y connaît on ne s'en fait pas en vrai et jamais prier car voilà le lait est pour ainsi dire noptre denrée notre vraie denrée notre denrée à nous préférée mais derrière derière ici pareille denrée derriioère le l ait et les nénés derrière le passé dit aux nénés il y a quoi en vrai il y a il y a qu'on ne sait p as on a de la peine à nous imaginer une sorte de plus grand poème uou comment ça une wqorte de post-lait de choix ou de peut-être post-néné aux voix ou comment ça une sorte de tracé de base incluant de rage le lait-trait ou le trait-lait ainsi rencontréb la mort une fois dépassé qu'eswt-ce qu'il en e st qui est qui quoi naît nen ces contrées finales ou termina&lesb de l'autre côté car de ce côté ok un pré une enclave une sorte de contrée cernée = encerclée on a cerné mais a^près le pré la parade nuptiale la par ade outrée une sorte de contrée de base incluant le passé et les embrassades et autres enfilades olé olé on ne sait on trace on file on essaie de nous y retrou v er en cette file ici consacrée à une srte pour le coup d(ntrée dans la matière sale on veut connaôitre on veut toucher on veut lécher ailmer sentir embrassrr les termes et autres mots de roche ainsi accolés à une sqorte de passé lettré ou sinon lettré comme articulé passé-né sur du lait à moins que ça ne soit l'inverse lait né sur passé de t^$ete on cherche on essaie de fait de cerner-toucher audit passé des finalités qui wszrait ce passé du passé de tête = une sorte de de peut-êtte qui le sait antene une antenhe ancrée ou même une antene enfoncée depuis la nuit des temps en cette sorte de maman de bosse j'ai nommé la roche roche haute = porte = chose haute donnanbt de fait sur du passé de mont ou de mont doré j'ai nommé l'époque l'époque doré où on pouvait téter sans plus se gêner et hop c'sst tout avalé le lait des laits à la seconde on voulait téter eh bé c''st fait on tète de près cet après-p^ré surnuméraire = le néné de l'être = néné né la mort passée et qui est néné dx'elfe ou genre d'elfe car car voilà l'elfe post-pré est une sorte d'être tout déhanché un peu féminisé si tant est que le terme est celui qui convient ou qui ici nous convie,ndrait pour bien nous situer mais ce n'st vpas certain déhanché-féminisé ou alors insuffléelf le néné insufflé le néné soufflé ou comment cerner eévoquer dessiner car en v rai on dirait de fait qaue ledit néné est une szorte de contrée de paysage de contrée donhée ou de grande étendue de paysage large d'une infinitude sur passé de poche on ose on porte on creuse on recherche de rage un certain nombre dev donnéeezx de base ce qui est ici qui de fait nous rassemble à quoi ça ressemble et donc le trait le lait le néné traqué et tout l'entourage on cherche à cerner comprendre toucher sonderporter on veut aimer = toucher = prendre = comprendre ce que c'est que ce néné dsit de contrebande à qui il est fait-il partie intégrante du ou des paysage(s) tels que déplissés ou dépliés sur place une fois de fait la mort passée ou dépassée on veut comprendre on cveut cerner on veut toucher on veut voir ou voir de chez voir tout le passé donné comme on verrait qauoi une salle une sorte de maison ouverte ou de maison offerte maison de poupée ou maison de fée mais on ne sait on cherche" on a du mal à bien cerner la chose la confondre l'évoquer la voir sur pied la bien dessiner en norrtre sorte de en vrai comment dire possibilté ou comment évoquer donner tracer cxharger sur roche pareille donnée telle que depuis lors depuis l'après-mort approchée ou sinon approchée sentie sentie comme venant vers nous bnous dire des choses ou comme voulant nous dire nous parler ou montrer via le passé ce qui est qui est en termes de lait soit de vérité car en vrai est-ce que la vérité est une chose haute ou plutôt est ce que le haut ou le très-haiut ou trait haiut niveau est une chose qu'on nomme ou surnomme de f ait Vérité des Hauts on porte on colle on collle à la peau on porte la Parole haut haute chose des niveaux du haut on veut haut aller rechercher sur roche les données post-pré à savoir ce lait lait de porte lait osé d'ujn passé outré le téter boire de ce lait d'une époque haute haute et autre car de fait qui sait le lait vient de plus loin qui nous semble éternel ou né d'éternité ou de-'une éternité tele qu"'envisagée en toute cl arté dans une sqorte de on dirait passé-s ouverain ou de passélointain mais souverain et /ou souverain tel qu'évoqué incidemment concriètement la mort passée ou même dépassée on voulait on voulait cerner on voulait grave ce lait le cerner en tant que lait ancré dans un passé lointain dit souverain lait de tra&it = mot de traite ou l'inverse lait de traite = mot de tra it et autres mots de ferme on aime on veut on ose on veut grave de ce lait de ferme ou mot de tra&ite le téter de fait dès que re-nées à cette sorte de contrée des données blancjhes = laiteuses = lactées car en v rai le lait est une sorte de donnée de roche haute roche ainsi abordeée dès qye la mort est comme dépassée ou surpassée et du coup archivée lait de roche du passé de poche une cavité une sorte d'antre-cavité tout dessiné on ne sait on sort ou sortir&ait dès lors pour mieux entrer qui sait on ne sait on cherche on creuse on veut toucher toucher toucxher toucher à cette sqorte de néné-bohême ou de néné-^poème ici dé^ployé la mort désarticulée ou comme cdésarticulé et hop un tracé hop de roche allouée un tracé de lait et c'est dans la poche le passé remonte un passé dit de poche-roche serait ou serait là qui nous ferait pour ainsi dire re - = redresszr le tir revenir revoir de base ce qui est qui de fait nous regarderait en cela que voilà on serait re-née re -de chez re- = renée à j a mais en ce paysage dit lacté d'une voie allouée à une sorte de trajet de base j'ai nommé la Transe transe des fées ici dee france d'un pâssé français ou de langue franche langue du passé langue franche d'un passé fcréançais membranemembrane donnéev une sorte de membra, e de menmbrane fr anche =en franç&is ici du français français sage sarde français-né ainqsi déployé à n otre naissance et hop le tour est joué c'rst ancré inculqué disposé ça ne pourra en vrai jamais tout à fait changer car de fait c'rst inserré c 'est cfomme qui dirait enfoncé engoncé intégré et vas-y pour le déloger ou déloger l edit passé des d onnnées tr&cées en termes de lait soit de lait de rage lait-souffrance lait-porté lait de base l a it acidulé vdee chez acidulé on en redemande on veut comprendre on veut toucher on veut aller on veut toucher de chyez toucher à ce néné post-fée dit de contrebande car en vrai ce néné est sage il est le néné -sage des données de france = le français en tant que langueb = une langue donhée inserrée qui estv la langue ici de fait des données données une fois l a mort comme intégrée ou comment dire dépassée en terme's de donnée de frise on veut toucher on veut on vfoudrait tracer aller et coller à pareille frise aux bêtes surb pied bouquetins des traits bisons a rmés chevaux des fées ours polaires et autresxc ourses décharnées ourses polaires hachurées on aime on aime le lait on veut toucher de chez toucher l'ourse dotée de ses pleines capacités dans le domaine de la recherche ou des rechercghes articulées autour de données en herbe concernant le Verbe on veut creuser c reuser de chez cruser le Verbe ainsi allouénà une sorte d'après qui est l'après concernant les traoits traits du V Erbe ainsi acculé on veut tr cer tracer-doter c reuser-allouer au dit Verbe les d onnées en herbe d'un tracé de type qui sait il sembvler ait post-mortem de chez post-mortem on aime on auime le lait lait donné tété avalé depuis ici pare"il néné come ici découvert découvert de f ait dès qu'ayant passé ou traversé ici laroche du trait ou ultime muret dit des fées alltières fées -elfes fée ancrées dans une sqorte de pré aloué à une sorte pour le coup de cimetière auto-généré la mort actée on cherrche = on creuse = on voit = on est là pour ça creuser de base la p)aroi étrange l'ultime paroi des données de base soit l'anttre ou l'anttre final ou l'antre principâl ou l'antre étrange d'une sorte de passage blanc = Lait de Face Ancré et aussi Lait-Trait Lait de trait Lait DEnse lait post-fée ainsi trouvé au dit Passage des Envies Outrées Envies Vives Outrées Vives Envie de Lait en tant que née Bébé ou Bébé-né sur passé de Rive on vise on vise sans traînerce Passé des traits soit des tr&aits données et autres tr&its ainsi dessinés sur du Passé Extemporanéifiée dès quetouché ou comment dire abordé et abordé comment eh bé via ici-haut une tétée de ttrop ou sinon de trop alors de mot une tétée de mots de mots hauts au trot on monte on creuse on chevauchre on envoie = on voit = on va on v eut comprendre ensemble la p aroi finale et au-delà ce qu'on voit et ce que pour le coup on ne voit pas on veut = on voudr ait eh bé ça ça en soi la Bande Bande de paroi et au-delà au-delà de ça la souffrance la langue le fcrançais de sade une sorte de passé de r age ça envoie ça ne tremble pas ça crache du ventre ou depuiq le ventre ça insuffle de base une sorte de vie intense = ch amade = charade = rage des rages = une langue en transe= langue intense ainsi vivement dxéployé par l a bande dès que morte-née on entre on file on est re-née sur rive et hop le passé-surprise une frise un chant un champ de tra&its = herb es renouvelées réitérées redessinées à tout jamais afin de tracer l'équivalent en quelque sorte de'un pré en p aroles ou commejnt dire pré de roche aux mots dr^les = aimaus ou animau-mots on ose ! on veut de chez vouloir comprendre haut le mot dit des animauxb ou les mots-animaus d'une sqorte de roche ha ute grotte haute haute roche de grootte on veut le mieux la roche de s voeux soit des voeux de porte et autres voeux animalierrs de type genrés mais est)ce vrai veut-on en v r ai tracer de chez tracer les données dse porte on ne sait on monte on creuse on fonce on c hezrche on veut toucher de chez touchezr ce verbe d'herbe d'un pré né la mort allo!uée mais après car après la mort ou après le pré c('est l :a même chose il y a il y a l'après l'après samba l'après sarabande ou l'après nouba nouba animale nouba des rois et reines d es voix il ya ou il y aura eeh b é ça la tralle tralle occitane une sorte de tralle intense la farce néné né comme à la retombée donnant de son lait de son lait de france ou dit de france du fait que oui la langue ici est dite de france mais "de france" ce n''st pas vrai car la langue ici le français est une langue détachée elle est langue d'antre elle est ici la langue post)-pré et nous protège d 'une sqorte en vrai
d'une sorte en vrai de deescente de descente dans = de perte soit de perte d'herbeb on entre on creuse on file on v a obn charge on envoie du bois on veut comprendre et comprendre en transe la paroi la paéroi de l' antre et aussi l'antre l'antre en soi et aussi l'a&près-antre qu'est-ce que ça serea&it on cjherche ensemble on fait corps ensemble on essaie ensemble de toucher de chez rtoucher à c et,objet de contrzbande = le néné ou le néné né sur place la mort passée et ce néné est une sorte de passé intense passé-né de rage en ces contrées- de tyype paysages paysages enflés antres données ou acordés on entre on passe on passe en transe d'un pré alloué aux fées et a u x beêtes des prés à une szorte d'outre folle ou d'outre de porte ou d'outre d'oursonne et hop la Chose un Passé Haut de Roche Haute on Monte on veut Haut de Chez Haut Comptendre exactement lesz m=ots de TRop ce qe ça Veut dire en terme de RIre Rire Fou des Rires Fous des Données de Roche on v eut de chez cvouloir aimer = dire = creuser = comprendre = sourire inténse,nsément et sans se g^ener en ces contrées dees données lactées et du coup S' a&rmer ou disons comme s'a&rmer 1 de courage 2 de p atiencz 3 d amabilité 4 de sainteté 5 de vivacité 6 de tendresse 7 de hardiesse 8 de Volontéb 9 de charité 10 de
eh bé
De quoi de quoi s'armer de chez s'armer sinon de ça : l'entité nacrée l'entité nacrée l'entiteé des entités nacrés ça envoie ça veut ça charge ça veut grave toucher large là la Chose ici en branle on dirait ou on dirait ça o n regarde On veut grave de chz Grave en fait Comprendre de chez Comprendsre et Toucher de cxhrzz vtoucher à Cette sorte de Mansaerde sarde Maison Haute Ma&ison des m aisons Toute une époque La passion du son on monte on creuse on trace on file on veiut toucher ensembke à p areille frise tele que découverte par surprise il sembler a it un j our du mois de Mai 2025 mais qui sait on ne sait ion trace son propre sentier une sorte de tr a cé de Tra&it = Trait de r age = Trait des traits pour u ne aubade une clarté un év$claircisxsemnent des traits et on dira cela que l'envie est là qui toujours nous pousse qui toujours nous pouwsse à eh bé creuser creuser sans discontuinuer ledit tracé ou swentier de vie en p areille contrée dite de l'après soit de l'après-muret on cherche d ech ez chezrcher on creiuse de chez creuser on veut coller pour ainsi dire notree nez à ce n éné de l'aube le Passé Sucré est un passé Sacré est du passé non encore Sci n dé ou comment exprimer ce qui ici nous pend ou nous pendrait au nez on veut c reuser creuser en vraéi le dire SA c ré qi de fait est du dire Sucré ou disons sacra:l isé- sucré ou comment dire sucré-sacré et nous voilàc paré on veut toucher on veut aller On v eeut comment dire sonder ou disons sonder-tracer et creuser de long une sorte de sentier à même les données de roche d'un après-nom car après le Nom il y a encore de l a roche roche haute haute Roche de l'après ou de laprès-porte car aprè la porte il y a encor e de l:a RocheHautre Haute Roche des données post-porte = Nombre Nombre donné Nom bre des Données donées Nombre h aut des Nombre du Haut Haut Nombre des Données de POrte une porte est une porte un nombre est un nombre un nom est un nom le Nom est le nom donné à une Roche des données de POrte on veut toquer toquer de chez toquer les données du monde et aussi tracer creuwser filer outrer de chez outrer lzdit nombre donné à une sorte d 'entité Ronde et Ronde de données de roche On veut coller coller de chez coller filer de chez filer cernervde chez cerner et du coup ne pas szombrer comme on pouvait le cra&indre m ais en vrai perdurer durer être de fait en ce sentier c'"lui ou plutôt celle qui dxe fait aime ou aime de chez aime eh bé oui téter téter le lait de l'elfe lait de l'herbe d'elfe et hop tracer qui son tr&it qui son rond de fée mais quoi On trace On creuse on avance on fonce on v"ut toucxher tpucher topucxher à cette sqorte là de Maison Haute dont le nom en vrai est Tracé Tracé sur Pied Chargée et hop on se porte soi-même jusqi' au haut du haut niveau de la ROche Haute de l'après-pré et nous voilà armée armée en vrai pour pouvoir braver braver de chez braver la Roche Haute aux données données de type LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT comme s'il en p)leuvait et qui sait en effet peut-etre en effet que la chose est vraie et que nle lait la mort une fois dépassée et archivée nous pisse direct et sans traîner en nortre gosier de bhébé affamé on ne sait on trace on se d"emande on fouille on avance on v eut comprendre on aime le lait on aime grave le lait ici de contrbande ou dit de contrzbande on aime téter on ne veut que téter et téter c'seet comprendre = prendre = toucher = c erner ce qui est qui est la mort entérinée archivée passée dépassée reléguée complètement intégrée ou comment car la mort on le sa&it à présent ou disons que maintenant on peut peut-^tre en v ra&i se dire qu'en effet elle est datée elle est comme qui dirait cernée soit datée soit ancrée dans une sorte de période mais passée cette période la mort est tout autre ou plutôt la mort f&it long feu qui perd qui sait de son aura et plus que ça sombre de chez sombre et nhous voilà qui sommes dès lors comme re-activée sous forme d'un bébé sondé bébé d'or ou bébé du sort qui se voit re-placé ou comment dire re-sollicité et du coup de nouveaiu armé pour pour ainsi dire re-téter Néné qui est Néné de frise Néné né sur frise la mort ajourée ou la mort attaquée et comme enterrée Nous voilà armée ou re- re-armée et de la tête aux piefds pour de fait comptrendre = prendre ensmble quoi la tangente et hop monter monter de chez monter cr'"user de chez creuser aller de chez ller filer de chez filer se doner de l' air un tant soit peu car l'a ir c'est mieux un peu d'air nous remet en wselle et hop on monte on creuse on v eut comprendre on veut grave sondser et aller loin en c ette sorte de clarté du bout du monde de l a roche ainsi sondée monterr = creuser = dire = sonder = rire car le rire est une donnée à ne pas négligerRire est Donnée ou une donnée à SVP ne pas négliger jamais car en effet le Rire fait partie des dites Données de base Rire est Saint cfomme une sorte de Donnée Intenswe Rire aéainsi donné comme une sorte de donnée genrée hé hé il se'mblerait mais qu'est-ce qu'on en sait nous on trace on trace des tra&its on essaie d'en avancer en cette sqorte de post-p ârade allouée peut-être à un passé intense à une sorte de passé des données intenses on entre on file on creuse on vgeut grave en avancer en cette sorte de Maison de Rage = une la,ngue langue post-pré faisa&nt dans les faits un aparté ou comment dire ici ce qui est qui se'mblerait être comme stipulé en toutesq lett es on cherche on veut toucxher à cette bête d'une sqorte de donnée post-p ré qui est-elle est-elle réellement concrètement une sorte de bête bête de pôrte bête-être faisant fonction ou tout comme de Drôle ou comment dire ce qui est en termes a&déqaats quand voilà on ne sait pas on perd la voix on ma,nque grave de vocabulaire on ne sait pas poser sa voix on flanche on est vite à bas on perd vite le fil de ce qui est qui ici était à devoir en fait être par szoi dit de chez dit ça envoie quoi ça envoie pas ou pas gra,nd-chose mais voilà on ose on ne lâche pas ma foi pour autant on veut cvomprendre = toucher alors voilà on entre on entre grave ensembkle en cet antre des données Immenses et on regarde ou du moins on tente on fait au mieux ou dee npotre mieux on monte on creuse on force on envoie on charhge on file oàn se recentre on veut grave toucher au dit membres de La Conf érie des Donneurs dee Verbe ou de la Consoeurie des Donneuses en Verbe et hop tralalalala on envoie de rage tout le barda En transe En veux-tu en voilà et du coup on trace on en avance on charge on veut grave cernerv= toucher = dire = entendre les données de l'Hydre où il est qu'est-ce qu'il fait qu'est-ce qu'il cherche à faire que complote-t-il sur son tertre et nous alors que faire que penser que dire où aller ainsi en tant que Bébé -né comme à la retombée Qui pour nous guider qui saura de fait nous aiguiller vers une Vérité qui swsera&it pour ainsi dire Vérité des Vérités = V2rité-Rire car la Vérité en tant que Vérité des Vérités fait grave grave de chez grave Rire de chez Rire car voilà on sait cela car de fait on le voit on voit ça depuis là-bas l'entrée en fa,nfare ce tracé de rage qu'est-ce qu'on voit on voit que voilà On entree on entre enswemble on entre en transe ensemble via la Rage et la pa role intense = Voix Voix de l'au-delà on voit ça que donc ici Le rire de la Vie Soit ici le Rire intenwse est une sorte de CHanceou de CHance franche et nous voilà Haute Haute de chez Haute car oui on voit on sait on voit ça que donc La Vérité Sacré fait grave rigoler qui nous touche à vif vives on est grave de chez grave ensemble toutes "chose" qui en vrai sommes comme éberluées ou poussées de chrz poussées à se lâcher dans le sensz ici appuyé d'un rire des contrées et quel Rire oh oh le gros Rire des Idiots de porte on voit le nivea u La Roche aux mots ça porte sur porte jusqau'au caniveau et pas un mot de trop ou comment dire ici le niveau des choses le passé de porte l"'envol ou l'envol-fol car nous on aime comprendre = cerner = entourer = tracer = encercler la Chose des Roches ce qu'elle est c'est ce qu'elle présente et du coup on croit compptrendre m ais en vrai comprend -on qui comprend la Chose soit la Roche Haute Rire des données de porte on monte on creuse on veut en vcrai aller de chez aller loin le plys ^pssooible e,n ces contreés du bout du monde qu'est-ce que c'set que cette chose qu'sst-ce que c'est que cette roche qui on e'sten vrai pourquoi vouloir des fois par exemple baiser b aiser les données les embrasser les considérer en tant que telles et les explorer essayer de les cerner au mieux szoit au plus près de ce qu'elles disent d'elles ou disons prése"ntent ou présentent d'elles en tant que vérités de branche vérités des vérités au dit rire ou au dit gros rire toujours ou qau asi toujours associé mais est-ce vrai car voilà on se de"mande ça ou on se de"mandait cela ensemble l'autre fois si des fois en vrai la vérité prêtait à rire ou faisairt§ rire ou comment dire si des fois en vrai la dite vérité des vérités n'était pas là de fait pour nous poussser à rire à rire à gorge déployée et hop le cri-rire ici est une sorte d'entreprise d'absorption de lait lait sacré-sucré on vient en chercher s'en gargariser en avaler sans plus traîner e t hop téter de chez téter dee ce lait de frise on voulait on y est arrivées on voulait du lait = du bon lait eh bé on peut dire que oui la chose est comme entérinée ou actée on tète pour de vrai danq la mort tracé vdans la mort tracée on tète pour de vrai on aime on creuse on fonce on va on envoie on cherche on fouille on ne veut pas lâcher la p aroi on veut toucher de chez toucher ladite paroi et ce n''st qu'aprèsaprès le pré les bêtes de pré les herb es-traits que oui on pêut e,n quelque sorte se laissser aller à eh bé oui qui sait toucher de chez toucher la Chose une sorte de Donnée de roche de type DEnrée = du lait car le lait ewst une chose haute haute sur pied Lait des laits sur pied = Bête Haute = Auroque on le sait lait d' auroqzue autocentrée on veut l'aimer on veut grave la téter téter de son bon lait d auroque auto-générée ou comment exprimer de fait ou s'exprimer de fait en ce qui est de cette sqorte de bête-trait ou bête de trait ou m-eme de trait tout court car l'auroque pour le coup est trait de vie trait de fée ou trait de vie m ais Trait ou Trait de chez Trait tra&it endurci trait tracé à main levée par eh bé qui sait l'Oubli la Chose Haute l'Ombre on n e sait on cgherche encore à diszcerner qui sait à comprendre-cerner à toucher et à se rapprpcher alors oui peut-ettre une bête peut-être en effet un jhour une bête une bête a vraiment de chez vréaime n t tracé sa propre sihouettte son tracé de bête on ne sait on cherche on veut cerner-toucher creusr-aller fi:ler-sonder faire et tracer de fait sur pierree les données de l'herbe les données en herbe qui sont herbes-traoits comme dessinés à même la pierre par qui wsait des bêtes à moins que ce ne soit des fées qui de fait auraient vite fait et à main lezvée deessinné ces traits formant bêtes de tra&it on veut trouver on cherche on veut en avancer on trace on veut monter on vole on veut comprendre on mate on ouvre grand wses yeux et l ,on regarde ;intensément les données du monde la roche l'apparat la paroi de poche le tralala et autres chants de poche qui est là eh bé peut-^tre justement l'être de la paroi = dieu vivant ou alors qui d'autre on cherche vaimmllamment on veut gtoucxher alors en vrai on cherche on ne s' arrête plus on veut creusr filer sonder tr acer consacrer ses dires à une qsorte en vrai d'enquête-sourire mais voilà on y croit ou plutôt non on y croit pas parce que voilà on est pour spi soi une sorte de Persona non GGrata qui envoie quoi qui envoie de soi mais ça s'arrête là ou szinon quoi Une personne folle Fou des Roix et REines des Voix on chercheb on v eut toucher la base des parois et hop creuser creuser creuser en direction là-bas en poszt-paroi des cendres non du lait non plus des cendres on les laisse là = près de soi mais du lait dit de l'au-delà soit au-delà de la paroi et hop tracer creuser creuser vers donc ce lait des données de poche car on dirait que passé la roche = la paroi on entre ensembvle en une qorte de nouvelle poche re-le lait re-placenta des voix et autres poches-voie on y va ou on y va tout droit on entre on veut comprendre on veut grave cerner les données de base données hautes et données bassses le passé de roche et le présent de r age les données franches on veut tracer dire donner creuser filerr charger sonder ensemble ici les dsonnées hautes soit les plus hautes et y aller de notre propre sagacité ou comment dire pissser pissser dru chier chier à cru et dirzectement dabns la forêt sur l'herbe mouillée on veut creuser = do,nner = faire = dire = charger = changer et du coup téter car en vrai on est re- le bébé des traits des traitsq données par qui sai une sorte on dirait de passé ancré on passe on fonce on file on veut aller de cez &ller vers du passé de frise = une qsorte de dessin a u trait craie de mise on veut toucher toucher toucher les données admises le passé est un passé outré on veut l'embrasser le cerner de fait et si possible de bout en bout afin de pour le coup aller de chez aller vers eh bé ça la Voix haute de contre-porte entendre ça le Dire" Fort d'une sorte de Stentor qui il ou elle serait là à nous reconnaître ou cxhercgher disons à nous reconnaittre parmi tous ceux et toutes c elles qui en vrai gravite"nt ici et là autour de soi on monte on trotte on creuse on veut toucher à ces nénés dubout du monde on est nées fées puis re-nées en forme de bébé de porte et hop le mont la porte le néné au lait la roche cintrée on veut grave de fait téter de chez téter la roche cuivrée s'en foutre plein le gosier et bien digérer car en vrai le lait est notr"e peine ou disons l'emprise souveraine cette chose qui sur nous en vrai pèse ou pèse de chez p èse et nous oblige sans traéîner à eh bé réclamer car comment faire la faim guide qui nous pousse à braire à meugler à hurler à nous faire grave remarquer pour que voilà sabre de bois on ne nous abandonne pas on ne nous l âche pas on ne nous snobe pas on ne nous oublie pas en ces catacombes d'une sorte de Voie sur pa r'oi on monte on creuse on veut toucher dee chez toucher à ce qui est qaui en vrai nous mate ou materait depûis là-bas = ce tas tas de bois ou de quoi d'autre une sorte d'amas donht le nom peut-^tre va s avoir est Tas Tas des tas taratata oh peut -eztre pas mais oui Tas Tas de s Tas des Contrées hautes et nous voilà vqui voulons grave touche r ce tas ou ce dit tas de bois est-ce du bois ou plutôt qui sait de la corne hé hé on croit deviner on trace on cha&rge on fonce on veut aller de chez aller vers ça qui en face sembvler ait comme nous héler ou du moins peut-être nous appezlerb en nous faisant signe qu'est)-ce que c'est une sqorte de Vive de Vive ou de Vivre ou même de Vouivre Anguille Serpentine ou alors pas du tout tout à fait autre chowse genre cloporte ou sinon quoi on monte on trace on fonce on veut grave ensembleb traverser de base la paroi de l'a,ntre Antre 1 aux données animales et là après avoir couru ici et là à perdre haleine chercher dee chez chercher une sorte de porte d'entr"ée de type ëtre ou peut-être Elfe ou peut-^tre Hêtre on cherche on entre on creuse on file on veut grave aller vif en ce dit terriotoire des données frontales et hop creuse creuwse que tru creuseras va va de rage vers ce tas ou tas de bois qui serait quoi une cabane maisonette ou petite cabane de bois où peut-etre de base on trouvera ou on trouverait eh bé Machine CHose des bois La Panse ezt nous voilçà entre ses bras pour une sorte de tétée e,n transe on y va = on envoie on veut comprendre = engtendree = dire = cerner = cxharger = faire = parler = coller =allouer à une VGoix les donnézes dxe l'Ambre ou sinon de lm'Ambre de la JHoie Intense car Ambre = JOie intense on s'en sera&it douté on entre on fonce on creuse on v a on cherche sa voie = Voix de Basse Roche ou Alors Haute Haute Contre qui e nvoie et va et fonce et foule et vibre et du cdoup nous montre en quelque sorte eh bé oui l a Voie soit ça Cette sorte en soi de Croix Croix de bois qui serait qauoi Une sorte de porte -voix on entre on fonce on creuse on cherche on veut comprendre ensemble de chez pour le coup "comprendre ensemble" les données intenses dune languue tendre on trace on creuse on va on cherche on veut ensemble toi et moi chercher de chez chercher en cet antre donné les données de l'antre = le néné le lait les données lactées le chant outré la roche haute moçts de trait et trait de mots au p^lus haut niveau m ais rien à voir en vrai avec l'intelligence telle que véhiculée la plup art du temps en première instance le néné est né dx'u ne sorte il semble de percée sur paroi de grotte vers un pré de roche et au-delà du pré soit en post-paroi eh bien sur le tas on monte on trace on creiuse on fonce on cherche Voie d'abord d'abord puis voilà la Voix Raccord et nous voilà qui atteignons le Porche On monte on ose on creuse on va on veut comprendre ensemble cette Voix des Rois et Reines du Tas Tas de quoi Tas de la post-paroi et du post-cimetière des envois et nous du coup d'y chercher des choses ou disons des mots ou sinon des mots peut-être des Sons Sons Hauts Sons Musicaux Sons de ROche HAute Sons des hauts niveaux du tro t Sons de POrte Autre Sons des Sons Sons de Bosse et aéutres Sons de Roche Haute Sons p)ar=-delà la Roche Sons au trot Sons du mot ou du non-mot On monte on veut en vrai creuser la Roche vers le Son outré Outre-son d'époque haute = le passé ourlé toute une approche consacrée Approche des données et autres faits de Vérité = Traits Traits des traits on cause on monte on trooote" on file on va ici et là à la recherche d'une voix qui sera voix de haute-contre ou sinon tout-bas voix tout-bas ou toute basse ou toute-basse-voix d'une sorte de Quyoi d'outre-parole haute l'ombre l'envoi une forme drôle un trait de choix on monte oon veut aimer = dire = c reuser = donner =charger = faire = contrefaire = sonder = szouder au rire les données du trait car voilà toucher = dire = faire = sonder = connaître en vrai les données données d'un rire alloué à une qsorte ici de vérit"é des vérités j('ai nommé La vie Toujours Renouvelé on dirait à partir de quoi à partir du rire il fallait le trouver c'était pas gagné on dirait = on se doutait = on voulait = on cherchait = on avançait et nous voilà ailées qui poussons-creusons sans façon la roche profonde voie d'abord pour une pamoison une sortie de roche pommes hautes pommes aux données hautes et autres vérités de poche consignées en un Néné dit du Passé ça se pourrait
28/4/2025
On est ensemble on trace on veut comprendre on veut toucher à ce néné dit de l'au-delà et voir -entrendre ce qui est qui va en face de soi en termes de passé de rage et autres tralala de convenance on entre on est là on envoie = o,n envoie du bois on a envie ensemble de comperendre ici et là ce qui est qui va et ce qui est qui ne va pas en termes de charges charges à bras gros tas envois de masse et autres grosses masses allieés à l'au-delà de la paroi car en vrai voilà voilà ce qu'on vfoit au delà de ce qui est ici de base par delà ce trait sur roche fibnale c'est quoi eh bé on dira que àça c'est comme un fait exprès une sorte de tracé de rage trait pour trait = le passé le passé comme tracé ou comme voie d'accès en forme de trait un passé-accès ou un accès-passé soit un accès vers le passé qui est ce passé aux nénés qu'on connaît ou qu'on connaît peut-être qui sait car en vrai le passé est un terme une sorte de mot d'entrée et hop on monte on essaie d'aller le plus haut possible on essaie ensemble de SVP aller haut le p^lus possible toucher aux niveaux aux niveaux des mots ou au niveau aux mots ou au niveau du tas de mpots ou bie,n du mot haut qui est ce mot des niveaux hauts ou comment dire ici cette sorte d'assise de trône et autre chaise haute à toi à moi qui seraitcette chose cette chose en soi qu'on mate ou materait ensemble toi et moi comme à la régalade on y croit on veut de ça chercher rage sur post- de chez post-paroi et comprendre comprendre ensemble si tant est ces convenances affiliées ou assoociées dont on parlait plus haut soit ce tracé de mots et autress termes chauds chauds car denses on embrasse on mate on trace on veut grave comprendre = toucher à ce qui se présente en termes de nénés tout remplis de lait que l'on aime téter gracve téter on entre on entre dans l'antre afin de oui téter de chez téter à ce tracé de bout de roche = le néné bien fait = galbé rond de rocjhe alloué à une sorte de passé dit de bout du monde = ce passé de roche ainsi ici galbé en forme de néné on dira que c'est vrai = un fait = fait des faits = fait de poche et autres faits assimilés à ce passé de bout de roche ainsi rencontré le mur du son passé car oui le passé revit qui nous voit monter en forme de 1 fé des fées et 2 bébé = bébé nu ou bzébé tout nu et comme repu dès que voilà on dira qu'il a vite fait bien fait tété le néné néné du passé car en vrai ce lait ici tété est du lait du passé ou même lait-passé ou même passé-lait de type chrème crème de lait oint sacré qui sait mais en tout les cas du lait non écrémé voilà la vérité crème = trait = vagues = cendres on veut toucher ensemble soit à deux deux femmes ce treacé de cendres lait acté et activé genre lait de cendres et comprendre = cerner = tracer car ce sein de trait est un sein treacé soit le sein donné des données de base post phrase post paroi étanche post tracé de fin soit de fin de pré et autre muret faisant façade on treace = on avance ou même on en a vance on veut toucher de chez toucher à ces données de rage et autrees traits qui nous ressemblent ou nous ressembleraient questuion face visage agréé données faciales et autres tréits de près on est entrées on est femmes de rage ainsi allouées à une sorte de passage franc pourt une sorte dee tracé soit de tracé franc de l'autre côté côté nénéné côté lait on veut toucher on veut cerner on veut pouvoir ensemble tranquillement assurélment concrètement en avancer en ce passé des données fr anches et autres tracés dits d'espérence on enttre = on passe = on tète = on veut cerner de rage le passé en france et autres liens drôlement avancés avec ici même u ne langue dont les fondements sont deux points ouvrez les guillemets la rage rage au coeur et autres rages du malheur du ventre car le ventre meurt qui laisse sa place place haute au passage de roche on veut comprendre comprendre de base ce qui est qui pazsse le passé ancré passé de surface ventre de malheur et auitres faits nacrés dits de connivence on veut comprendre = toucher = cerner cerner ce néné des données intensesd et autres sortes de produits laitiers comme pasr exemple du lmait lait non-écrémé lait traqué lait tété lkait qu'on voulait aimer eh bé c'est gagné car de fait ce bon lait de l'hydre à dire vrai on aime grave on aime cent pour cent on adore grave on en redem ande on veut grave de chez grave en téter à jamais de ce lait de l'hydre ici rencontrée le mur du son passé on en voulait on en demandait on voulait téter on voulait grave en avancer en termes de l&it à pouvoir acvvaler sans se retrourner à savoir ledit passé des données de france eh bé en vrai la chose est classée ou comment dire entérinée affichée on sait et aussi de fait on peut enfin téter de ce bon lait de l'hydre l'hydre aux tracés aux traits alignés et autres dessins à la craie on le voulait on voulait de ces tra its de ce dit tracé tracé des tracés et autres tracés ainsi activés ou comment dire ce qui est ici qui nous regarde ou semblerait de fait nous regarder et de la t(ête aux pieds à quoi ça ressemble ou même à qui à qui on ressemble ou à qui aquí ici on ressemble ou on ressemblerait en termes de traits de visage alloué de formes de fée et autres tracés outraces de opassage on veut comprendre = on veut toucher à ces données de france le fran!çais intense ou dit intense est ce passé de connivence traits de fée et autres tra&its dit de sur face qu'est-ce que c'est qu'est-ce que c'est en vrai peut-^ttre les traits dits de lm'être qui sait du passé en tant qu'être ainsi remonté ou disons re re re remonté comme d'un puits sans fond ou qu'est-ce que ça serait en vrai qui ici serait qui nous reg arderait depuis eh bé oui le passé du pont ce puits dees petits ponts et autres puits sans fond aux données cde fr(ance = une langue ou sinon une langue une passion une sorte de passion-souffrance à même une langue langue du pont langue-front = front ale on trace on veut comprendre o,n veut toucher on veut essayer de rage ensemble de toucher à ce qui se présente en termes de passé-souffrance un passé en france = une langue langue donbhée ou inculquée à la naissance = le français quelle chance tu parles un coup-fourré un drôle de tracé de type traquenard ou sinon traquenard on dira de passage le passage noir = l'ambiance une sorte d'entonnoir qui se présente à la naissance et voilà la base le néné traqué la rage un passé est né qui se voulait passage eh bé enfoiré c'est un fait que soi en vérité on passe à travers de bvase le passé des traces un deux trois le tour est joué on passe = on trace on creuse on veut comprendre endsembvkle = deux femmes une sorte de donnhée intense qui en vrai nous guifdderait ou pourrait nous guider en face vers non pas à nouveau un pré pré paradisiaque comme déjà passé mais eh bé une flaque qui sa it un peu de cette sorte ici de besace toute empli de lait lait de france une langue langue nette langue de belette = de bête ou de bête bête de bête allouée à une sorte de pasdsé aux données ici toutes tracées et autres données bêtes d'une bête des prés on cchercvhe on veut cerner on ne veut pas se lzaiserr démonter ou lm archer sur les pieds ou même intimider on veut creuser en face comme qui dirait ce néné de langue = un passé un passé en france qu'est-ce que c'est qu'est-ce que c'est que ce passeé en france eh bé on dira que voilà ce passé intense est du passé-souffrance trait pour trait on est entrées on est toutes les deux de rage entrteées car on le voulait on voulait entrer on voula&it grave grave de chez gravev entrer on ne voulait surtout pas rester à quai en carafe le nez retroucssé à chercher de fait ici et là à se cacher on voulait cerner = se montrerr afin d'en avancer ainsi en ces qu artiers aux nénés donnés téter = prendre = comprendre 1 le lait méis pas que car en vrai 2 le passé est vieux qui nous regarde ou nous regarderait de près comme si en vrai on était deux mais oui on est deux on est deux femmes on est deux de chez deux mais formant de rage Une sorte de base pour en vrai s'accoupler en france ensemble dans eh bé le français la langue langue des voeux du vouloir de base en termes ainsi de tracés creux ou comment dire ici la chance cette chance d'antre on entre on creuse on veut comprendre ensembvle au plus près les dites donées denses d'un passé en fr ance en termes de langue landgue acquise = comprise = prise et hop le passé remonte qui de f ait nouys regarde et de kla tête aux pieds en termes de qui sait fée fée de base fée de rage et autres fées acidulées qui serait enfin passé de l'auttre côté côté passé et aéutres faits comme entérinés affichés affirmés donnés comme du lait donné ou comme en vrai du lait de vache et autres bêtes à lait on aime le lait c'est un fait on peut le chanter le dxire à voix très appuyée que voilà c'dsst un fait que le lait est aimé est drôlement aimé et même adulé en ce quartiezr dit de l'après qui est quartier de l 'après-pré et autres champ de blé on apprécie on aime beaucoup on aime le lait lait non écrémé ou écrémé peu importe on adore on aime fort on aime grave on aime à mort ce l&it dit de l'après-mort qui est lait de vie après la mort lait de vie-vie dee vie enfin renouvelé en ce passé né des données de base compme remontées toutesv à la surface via la transe l'embrassade le passage en transe d'une sorte de murette franche de type mur du son et autres violobns on veut comprendre = prendre = saisir = cerner = faire ainsi que ce néné galbé puisse nous donner de fait du bon lait de tire lait nacré sacré ancré en cette sorte de passé de l'hydre qu'sst-ce que c'est eh bé peut-être du passé acrtif dit passé des ac tifs passé-né au tracé au déplissé au déployé d'une sorte de comment dire rire rire frais rire ainsi donné ou apporté car décoché cxomme qui dirait d'un trait trait de rire alloué à une sorte de passzage docte on monte on est femmes fortes femmes ok qui cherchent à c erner c erner haut le niveau des mots des mots hauts mots de roche des données hautes du tracé haut en termes de rocghe des niveaux hauts on monte on creuse on sonde on veut toucher de cghrz toucher à c e tracé de mots ainsi montré à tous les niveaiux et du coup ancrer ancrer notre parole ainszi formée en cette sorte de donnée ici de poche haute mots de rois et reines des hauts on monte on ose on creuse on saute on veut entrter pour ainsi dire de la sqorte en cette chose d'un niveau haiut la porte le passage haut est le passage docte szoit au niveau ou a&u niveau en quelque sorte de la porte porte haute des données de poche poche forte où pouvoir en vrai tracer de cghez tracer notre propre forme post^-pré en termes de donnhées fatales et autres traces inculquées ou enfonécées engoncvées en notre proptre pilosité on monte on ose on creuse on veut toucher de cgez toucher aux me'ubles au décvorum à ce qui est qui comble le passé d'une sorte d'aventure innée ainsi comme retrouvée ou remontée ou renouvelée et nous d'y openser ou de nous y pencher ou de nous pencher en vrai sur pareils nénés dits nénés des nénés comme à jamais de fait montrés ou comment ou qu'est-ce car voi!là on aime on veut bien de ça de ce poème ou tralala en forme de tas de tas de quoi de tas de voix ou cdommpent dire ça qui est que on verrait de rage et ensembkle ça ce tracé-là cette sorte de passage ce tracé de rage en v eux--tu en voilà qui nous fait ou fezrait face et nous voilà en face face à face en cette sorte de opassage à voix ou sinon à voix à tas tas de bêtes sardes on entre on pousse on trace on repousse on veut toucher ensemble cette sorte de base ou de base à voix ou de base-voix qui est la base des parois de rage ou des données de traques on entre on creuse on cherche on est des bnêtes de paroi qui vloilà entrent ensezmbkle à toi à moi par ce dit passage des voix des voix de l'au-delà en cette sqorte d'antre d'antre en soi qui est qui sait une sorte de ventre ou d'antre-ventre ici teracé comme à main lmevé p ar quelqaue autrefois divinoité des divinités dont le nom en la,gue sarde est preut-êtte le français pour nous ou pour moi le français soit ma langue langue de naissance langue intégrée ou inculquée en termes de souffrance en ce dit passé des données de rage et autres données franches on entre on creuse on monte on veut toucher à ce né né des dxires de france et tracer tracer de près les donnhées trouvées reciueuillies allouées affichées et ainsi à pouvpir révéleler si tant est à ceux et celes qui de fait s'y intéressent ou intéresserezaient de près ou d'awssez près pour pouvoir en v rai peut-^tre on ne sait les intriguer ou du moins les toucher un tantinet c ar de fait les mots du passé sont mots des données des données hautes d'une sorte de divinité des zones folles des tracés cde roche et autres quartiers aux approches hautes = anciennes en termes de données de force haute porte porte haute force haute on monte on y croit on envoie on ne veut pas être laissées pour compte on veut pouvoiur de fait être là et bien là en termes de t^tetes hautes fortes têtes de roche on monte on veut en vrai toucher de chez toucxher à ces dites données d'un pasdsé tracé et hop allouer à ce dit passé les données les plus hautes qu'on ait récoltés soit du lait lait des léaits lait acidulé lait donné et du coup accordé et de notre côté eh bé tété avalé ingurgité car le lait en vrai en tant que bébé ça nous connaît on est nées sur pied le mur du son passé et on sait téter et du coup on est comme pendues au sein du matin jusqu'au bout du bout de la nuit tracé en ce dit quartier des mondanités on est ailées on est grave ailées puis dé-ailées à jamais en ce dit quartier des monda niiités de type lactées qu'est-ce que c'est on cherche on aime on aime et chercher et téter et du coup le lait lait de roche = le passé de poche haéute = une sorte de donnée de roche ou de donnée des roches ainsi consacrées en ce dit tracé d'époque haute = le pazssé de porte on monte = on cherche on passe la tête on veut comprendre = entendre les données intenses = une langue langue de trait ainsi rencontrée en ce dit quartier des mondanités comprendre = entendre = adopter ensemlble deux femmes une sorte de langage intense dense langue-cendre langue de fée faite langue amlllouée ou languue ainsi admise en notre sorte de remise ou sorte de ou sorte de poche poche de feu qui est pour nous l'endroit de tous les jeucx on coche on ose on veut mieux on veuttracer ou même creuser creuser roche et du coup notifier ce qui est qui est en ce dit passé des données de poche mais de quelle poche s'agit-il eh bien peut-êttre de la poche haute ce tracé de mots de mots hauts tas de mots des mots sur une place franche on entre on veut en v rai toucher-comprendre = cerner = dire les données du rire c ar le rire ici est de ces animaucx ou comment dire un rire-animal, ou un animal-rire est cette bête de vfoirail qu'on aime voir rire ou comment dire voir charhger-charmer ou alors pousssr et du coup percer percer pour de rire le muret aux fées on veut toucher on veut ou on voudrait grave toucher et du coup cerner aller tracer percer ainsi le mur aux données au passé vif au dit traqués aux envies de vrai ou de vérité en termes de ,néné à lait lait de frise on veut de fait ensemble chercher en tant qu'on est bébé le lait-cerise lait frais lait de mise d'emprise une szorte de denrée un mets la chose lactée qu'on voulait aimer et du coup tétet téter de chez téter on y est on est bébé né pouvant téter de ce vbon laiot de prise lait de friche une sorte d'emprise sur néné donné et du coup tété sans discontinuer on veut téter téter grave du lait de pareille friche on veut creuser peutêttre en vrai et pas pour de rire un tracé une sorte de voie d'accès un tracé de fée une sorte de tr acé traqué qui serait de fait ce dit tracédes dxonnées acqyises en termes ici de mots de frise et autres gros mots animaux car les mots les plus gros sohnt les mots les plus hauts ou comment dire actifgs mots actifs ou mots activés de trop ou mots comme activés du fait que oui la voie là est ainsi marquée inscrite sur cette par(oi que nous voilà de fait susceptibkles à toi à moi ensemble deux femmes de pouvoir passer un bra s une jambe le nez la voix et autres choses en termes de membres de membres sages on entre on creuse on voit on veut toucher ensembkle la paroi des trembles et comprendre quoi ou qui de quoi vous mate en ce pays des voix voix de france ou voix franches on veut en vrai comprendre de chez comprendre la paroi le sens de la marche soit cette voix des voix où eklle va ou même vers quoi car voilà on est la fée dite du tas tas de voix on est fée mondaine on vient de la plaine de la post)-paroi-plaine ou pré des rois et reines du tas on veut comprendre = cerner = téter pmais mpour cela il est nécessairez de bien contourner ou comment dire circonscrire ce néné de lm'huydre le poursuivre et du coup laimer le téter de kprès = l'aimer ou disons au bas mot comme l'apprécvier en sa rotondité de néné-surprise car oui qui en vrai s'agttezndait de fait à tomber pour ainsi dire nez à nez sur pareil néné le mur du son de la ùmort actée ainsi passé qui qui en vrai qui de chez qui pouvait env rai s'attezndre à tombersur eh bé le néné né le pmuret passé traversé perforé qui sinon peut-^tre l'elfe l'elfe attitré à une sorte de passé traqué ou comme traqué elfe ou elfie qui e,n fait est une sorte de fée des prés fée patibulaire qui aime le lait et aussi toutes sotrtrss de produits lactés elle adore et nous aussi on adore on aime fort on aime le lait et tous ses dérivées en termes de frais de produiots frais genre produits laitiers ainsi présentés ou affichés ou prtoposés à nos palais on adore on aime fort on veut toucher-mordre et aussi léchert-suecer et aussi boire-avaler fde c e lait de roche et autres laits de trait ou de traite haute on monte on veut cerner = dire les données de l'hydre les poster les montrer les affficher autant que possible afin de oui en vrai les peut-^tre révéler à ceux et ce'lles que ça intéresse le passé vif les données anciennes le passé des traits et autres origines celtes o,n aime on entre on creuse on veut comprendre = entendre le chant de la transe les données inteznses d'une sorte en france de transe-danse on entre on veut cerner de base = de rage les données fra nchesz le passé en transe d'une sorte de donnée de base qui serait qui sait une langue allouée à une sorte de passé de rage ainsi consacré on est passées on est femmes passées on est de ce passé-seouyfrance souffrance intense qui voulons passer et du coup remonter remonter grave en c e dit passé jusqu'aux dits nénés des finalités des mondanités des envies de trait traite de rage lait de fée lait d'elfe le téter de cvhyez téter sans frein sans traîner plus que de coutume et du coup avaler ingurgiter boire à la source ce passé de mousse on veut aimer on veut grave téter téter de chez téter de ce passé ouf dudit tracé de ouf en ce dit qu artier des mondanuités de type maniéréesz on trace on enttre on creuse on cherche une sorte de phrase à pouvoir de fait bien articuler en ce dernier qui sait quartyier des fées ou dit des fées car voilà la fée était là la ou les fées étaiet ou écteaient là à tout reluquer avavant de pour le coup se transformer houlahoup en bébé nacré ou en bébé sacré ainsi apporté sur un wsenteier menant à chaque fois au dit néné des données lactées on veut téter on veut toucher de chez toucher à c e dit néné des traiots et autres traites hautes de vache de porte et autres bêtes consacrées sacrées de roche haute on monte on m onte hautes on se vuet hautes on veut hautes le mieux toucher hautes le sommet du monde de la mort traquée ainsi dépassée car en vrai la mort est une époque et hop du paszé vite fait une fois le mur du son passé la chose est commê entérinée ou archivée la mort est une époque et hop vite fait du passé du passé de pré de sentier de bêtes de trait qui en vrai si elles elles restent ainsi colmme attitrées à ce dit pré des prés n'en demeurent pas moins nos alliées peut-être à tout jamais le pré à jamais traversé ou disons une fois traversé car de fait le pré est donnée ou une sorte de donné susceptible d'être re-donnée une fois et une autre dans qui sait le passé le passé des roches ce passé tracé ou passé de tra&it qui est comme en quelque sorte une entité de poche ou entité -accroche à pouvoir retrouver de toute égternité on ne sait jamais on monte on vole on est fée du pré volant sans frais en ce quartier des données hautes et du coup voilà on dira que nous nous ainsi passées en tant que femmes-fées on en vient de rage à pour ainsi dire nous poser de base en ce dit passé aux tracées lactées on entre on est née ou renées on renaît on naît bébé vrai et nous voilà qui cherchons le frais du néné au lait et hop on téète tête la première on tète lait des termes des mots hauts du verbe du verbe de trot et autres mots de bêtes alertes genre ver be-bêtes verbe-trot verbe-celte verbe mots de roche celte on aime on creuse haut on monte on cherche le nivrzau ou xd'avoir le niveau le niveau xde porte ou niveau haut de porte aux animaiux-mots on monte on veut toucher = cerner à ce qui est qui ici nous mate ou nous materait sans cesse et de la tête aux pieds tandis qu'on avance qu'on entre ensembvkle deux femmes = deux ailes = une fée une fée des herbes et autres prés quiitté s on aime l'herbe et le lait on aime brouter et téter brouter l'herbe paradisiaque et téter le lait devenu bébédu passé de france ou pour nous de france soit lié à une langue en particulier langue-base ou langue des fées ou langue innée ou même lan gue du passé en tant que donnée intense ainsi attribuée à une sorte de base- base de souffrance ou de base-souffrance ainsi ancrée en notre sorte de de fait tracé de base ttreéait des traits antte antre-souffrrance le passé de france esst une langue ainsi collée à une sorte de membrane demembrane é&tanche une sorte de poche -antrte ainsi accordée ou accouplée ou accolée à une sorte de sqouffe abnnce ancrée de soufrfre-clarté ou comment dire de passé de trait aux mots accolées dès que née dès que nous en tant que bébé -fée on naît va-y le copmprendre va chercher de fait à bien comprendre ici ledit dit des données franches qu'est-ce que ça serait qu'ewst-ce qu'en vrai on pourrait en penser on pourrait penser dudit verbe alloué à une sorte de passé passé en fr ance et autres sortes de passé étanche car en vrai oui ici le dit ou le vrai dit est du dit de france en ce qu'il est de base né en france en ce coin de france le tracé la frange une sorte de tracé de frange coupe d'ours et autres bêtes en transe ours et ourses des données des grovttes ainsi allouées à une porte ou porte d'entrée d('une sorte ici de cavité à devoir exploàrer couûte que coûte sous peine pour le coup de d eevoir sombrer le mur du son passé si jaùmais si jamais le passé ou le passé de front venait à manquer du fait que voilà on ne veut ou voudrait pas de ce lait-là aïe aïe aïe la par(oi ne rigole pas qui vous menace de sa loi et peut ne pas ne pas vous adopter en tant que fée ou fée des prés des fois que voilà vous vous n'aimeriez pas tracer de chez tracer en cette sqorte de paroi des rois-reines de l'au-delà on entre ou plutôt nous on entre et pourquoi eh bé p arce que voilà on aéime l'anttre la p araded'antre un passage enttre une sorte de tracé de france et hop le visage les épaules hautes tout le corps sur roche on monte on va on est là on est fée tracée entre deux parois qui cherchons de rage 1 à la nage 2 les ailes dépliqssées à comprendre = prendre ce qui ici est en termes de mots-traits et autres verbe allouées à une sqorte de tracé menant au VERBE en vra&i soit au verbe-vrai du tracé post-pré post cimetière a&ux données du verbe ainsi posté qyui serait le vverbe des données lactées soit le lait lait-verbe ou verbe-lait c'est du pareil au :même et nous on aime on en redemandait on est flattées on est femmes dans la mort passéee ainsi flattées de pouvoir téter de ce lait donné en ce dit post-pré post-cimet,ière-quartier ou quartier des quartiers ainsi alloué à du verbe entier enteier comme du lait soit non écrémé on est flattées femmes flattées deviennent ce bébé des traits ainsi alloué à une sorte de passé qui szerait remonté remonté du verbe ou sinon du verbe du lait-verbe ou verbe-lait de trait trait ou traite ainsi activéee actionnée oua ccordées dès que oui la mort est en vrai du passé car oui la mort est de fait une szorte d'encklave dorée une enceinte aux herbes pré acidulé pré aux bêtes de trait mais le pré passé on sait que nou!s en tant que bébé ou comment d ire en tant que fée devenue bébé ou revenue à une forme qu'on dira bébé on sa&it que voilà il ya là de quoi grave pouvoir sans traîner téter de chez téter et s'en garg ariser à plein gosier ou plein le gosier on le sait on a vu on mo nte on ose on creuse on cherche on veut toucher à ce néné dit du bout du bout du monde et du coup téter ou boire du lait lait de monte ou commpent sitpuler car voilà en vrai on monte on creuse on pousse on veut de la mousse mousse haute on veut pouvoi!r en force ou pas en force forcément téter roche ou téter dee cette roche dite aux tourments souffrances hautes haut de forme drôle dit de roche haute aux données la ctées comme s'il en pissait et nous d'en boire à satiété pipi dee lait lait propre on ose on boit le lait on est consacrées on est deux femmes ainsi aimées par on dirait la roche le passé nacré la tombe passée on se raccfroche à ce dit néné des hauts ou beaux qua rtiers ou quoi ou qu'dst-ce en ce posqt-cimetière post-pré aux herbes vertes et autres bêtes aimant le verbe ou quoi ou qu'est-ce car voilà on aiome et le lait et le verbe et aussi le la&it-verbe verbe-lait squcré-salé on dirait de l'herbe mais en vrai il s'agit de fait bel et bien de lait lait-verbe verbe-lait au goût prtononcé au goût fermier nous on aime on p ^)eut ne pas aimer et du coup refuser mais alors comment tu fais eh bé tu fais pitié tu sombre's tu passes un trait et tombes hop terminé hombre ombfre h
omme homme mort-né la mort actée homme mort sombre en ces tracés et plus jamais ne pourra de fait remonter sur rocghe en tant que en vrai homme de pied seules les fées sont autorisées à pouvoir poussser et du coup gafgner aller akller de chez aller sur pré tracé pré dit du coup ou dès lors des fées et autres bêtes de trait l'homme est enterré qui szombre en ta&nrt que tel quand elle elle-fée aile de fée peut voler s'envoler monter gravir le trait et gagner de chyez gagner la roche terminale = le passé fran!çais ou pour nous français du fait de fait que le français est notre langue ou propre langue attribuée à notre pour le coup naissance-pass age et nous volià armées armées de quoi de lances ou d'armes-lances pistolets de voix et autrs pics de rage à pouvoir planter et vlam en cette roche sarde et marquer en vrai ce qui est qui pour nous nous emb arrassee en ce dit passé des données intenses come par exemple le passé-souffrance mal de porte pets de roche merde en france ou merde ambulante on entre on creuse l(anttre on chercghe pass age on veut comprtendre de chez comprendre ou même aiomer de chez aimer cette sorte de passé-soufrance mais en v rai ce n'rst pas gagné car nous le néné ok le lait ok la chose lactée ainsi accordée la mort archivée ok mais ce passé-soufrance on est pas ok on est choquées on est embarrassées on est ennuyées on ne veut pas revivre le passé-souffrance les donhées intensescd'un passésouffrance ou d'un passé souffrance en france on vfeut ou on voudraiot s'en échaapper et tracer ou disons passer passrr muscade tracer trait des traits et hop la souffrance au taquet la mettre de côté ou sw'en débarrassr sans plus de pitié car voilà le passé dit passé -trait est du passé accentué en termes de souffrance ancrée et nous en vrai on est la femme-fée qui pour ainsi dire ne veut pas revivre pas du tout revivre un vcertain nombre de données de base genre la souffrrance la sou ffrance innée d'un passage de trait on voudrait pouvoir être rel axée ou cfomment dire redressée toute relachée pas souffrir pas endurer pass avoir à subir mais se l aisssr aler en termes de relachements des m embres tendres et autres ailes du ventre on veut pouvoir tracer sans devoir en baver ou suer ou en chier ou en subir bles affres et autres contrariétées on veut bien du passé ou du passé lacté mais de grâce pas les frais les frais ou fausx frais on veut creuser pissszr on veut bien chier pissser roter creuser vivre le passé mais pas en souffrance = soulagéé ou sinon soulagée détachée détendue peut-être toute nue ailée ou pas ailéee mais comme repue ah voilà repue et du coup rassasiée en termes de donées lactées et autres &ttributs de vraies satiétées satiétés aimées on veut toucher de chez touchezr aimer dee chez aimer tracer de chez tracer coller de chez coller former de chez former creuser ici de chez c reuser ici des traits de rage et autres traits dits de bas-âge en cela que oui ils sont ces traits oeuvres de bébé ou de bébé né ou de nouveau né nouvellement né sur un mont post-pré mont-montón dit de base haute en termes de roche on monte on veut grave monter pour pouvoir toucher à ce dit n éné des données de bosse ou de rond de bosse = le lait lait-de-vérité lait-déité ou lait déifieé lait de porte haute = le passé on ne cesse de se répéter mé&is c'est vrai le passé est du lait comme le lait est du p)assé verbe-lait de rage on veut téter on veut en vrai grave téter de ce bon l ait de base = du passé de rage et autresb dits passés intensesz trait pour trait on entre on cherche à comprendre à sentir le frais de'une szorte en soi d'antre-entre entre deuxd pa rois et de là on va de rage vers là-bas la post-paroi des rois -reines des voix le passé tracé est du passé traqué du fait que oui la faim tenaille nous pousse $de fait à chercher du lait lait de fée ou lait de rage ou lait de trace ou lait dee traiçt ou lait de rage ou lait entier comme s'il s'agissait d'une sorte en vrai de menace d'injonctyion ancrée de décision à devoir enc aissszr ou accepter côute que coûte sans plxs de considération comme venant de l'outre outre-raison outremont des outresz ou même des yourtes on monte on veut ou on vgoufdrait toucher à ce néné dit du passé et du coup téter téter de fait de ce lait sucré et même un tantinet salé on veut l'aimer = l'avaler et du coup nous calmer nous rassurer nouus assagir nous aider dee fait à nous rendormir à nous blottir à nous relâcher contre ce néné des données ancrées on vfeut en vrai toucher de chez toucher à ce dit n éné du passé ncré ou à jamais ancré dans du dire passé re-né re-à jamais né du fait que oui le dire est vrai ou en vrai du lait à jamais re-fait re-ancré re-tracé re-formé ou formulé en ce pis ici de vache à lait bpête de pré bête de pré qui est la vache des contrées du verbe verbe haut des plus hauts niveaux de mot mot docte mot de porte = mot haut parmi les mots hzauts les plus hauts desdits hauts de roche on monte on va on entre on veut comprendre = tendre vers ma foi ce roi-reine aux abois aux dons de choix aux mots gros voix de poids haute-contre stentor haute porte aux voix d'or et autres voix d'un au-delà dit de paroi dxe grotte car c ar voilà le chose ce qui est qui est qui nous importe on porte on emporte on colporte quoi une sorte de foi de foi en soi sa prop^re personne son soi de roche haute on envoie on ose on s'y croit ou on s'en croit de quoi de la haute haute roche des données de roche on envoie = on voit = on ose = on creuse = on v a de roi en roi et de reine en reine sur paroi de teigne et autres embarras on veut cernerde base les données étanches drôles de tra,nse on entre on entre ensemble toi et moi sans la souffrance ou sans la souffrance s'il-vous-plaît de grâce car voilà ensemble on enttre en transe toi et moi femmes dee la foi en cettte sorte de paroi étanche samba danse intense à toi à moi la rumba la danse des rois reines des plaines et autres pré aux herbes vertes on envoie on danse femmes en transe on entre on entre en transe toi et moi en veux)-tu en voilà ici des connivences embrassades intenses entre femmes de voix hors la loi on entre on est entre e ntre deux parois sur p ré de choix et on danse ensemble felmmes de poids on s'en bral-nle ou balance des rois rois des bois et autres pères de la loi on tr ace on y va on creuse on veut comprendre ensemble les données de l'antre soit de l'antre-ventre du passé en face des envie's de rage et autres vies de base sur pré ou prairie les termes du ventre = mots du pot charge haute le passé des mots est une sorte de passé ici d'époqaue haute szoit anciene ou antédiluvienne telle que pour le coup on s'y perdrait presque on cherchhe le trou dans la roche plenière une sorte de passage en elle et hop montons allons creusons pistonnons faisons cortps de pomme trognon montons filons allons cernons creusons en cette sorte ici de mont notre propre galerie de roche et du coup fuyons allons haut vers les mots du rot hop bébé au trot bébé-trot on veut en v rai téter de chez téter à ce qui est ici qui nouys regarderrait szans discontinuer on a nommé ledit néné des données lacttées qui c'est eh bé peut-être une sorte de bête bête ancrée bête outrée ou bête de tr&it qui serait la bhête des données du verbe verbe ancré en ses quartiers ou comment distinguer préciser délimiter les dsonhées diverses telles que rencontrées en ce dit passé passé du verbe ou du verbe alloué à une sorte de denrée lactée ainsi formée ou refgormée dès que de fait le bébé naît ou qui sait dès que bébé pousse ou poussera son on dira cri de guerre de guerre à tout va car voilà le bébé veut de ça qui plus est sans plus de tergiversa tions lait-monton lait)-haut lait du trot lait de mort tracée ainsi passée ou dépassée car le l ait est haut encore plus haut plus haut que ladite mort qui en vrai est un port juste un port à pour le coup devoir quitter si ôssible et de fait en tant que fée ppuis que fée transformée en ce dit bébé des données de porte post-pré post-mort-née et hop vite la tétéeun peu beaucoup de lait et le tour st joué qui nous voit avaler de ce bon lmait de l'hydre l'hydre ailée ou l'hydre du vivre des données du vivre on veut les avaler = s'en rassasier s'en foutre plein le gosier sans plus tarder et du coup se calmer ou arfriver à se calmer à calmer le vivre les envies du vi vre et auttres envies vives voire survoltées on veut toucher on veut creuser on veut rire on veut en avancer en ce vif rire des contrées dernières rire haut des plusq hauts niveaux on veut en vrai re-vivre les niveaux ou niveaux hauts du rire du vivre sans autres douleurs que celles du rire on veut creuser = cerner = xcharger = trouver = encercler = porter = charger = cerner et cer ner enswemble ce qui est qui nous regarde a&ller passer traverser ledit muret des finalités et autres fins de pré on est le bébé le bébé-rire bébé-plaisir bébéné post pré pour aimer aller téter boire son lait et calmer ses dires ses envies de vrilles on veut creuser de chez creuser aller de chez aller toucxher de chez toucxher cerner de chez cerner filer de vchez filer et ne pas jamais ô grand jamais nous retroirner en ce dit pré des données acides voire acidulées car en vrai le lait lait de traéit lait dit du passé est du lait de vie et non du lait de mort ou de la mort la mort a son temps qui est pour ainsi dire cirvonscrit en termes de prairie = paradis mais icelui passé ou lecdit paradie ou ledit pré passzé ou une fois passé on peut voir les nénés les nénés allouées à une sorte de passé de passé du vivre et non du mourir passé vif qui est passé e,n vie ou passé -vie ou passé de vie qui est du vrai passé du vivre en vrai les données de lo'hydre et l'hydre qu'est-ce que c'est eh bé l'hydre c'est c'est du rire ou comenjt dire du lait -rire du lzit dont on peut rire ou qui force à rire ou qui prête à rire du fait que voilà il vient calmer rassasier adoucir attendrir l'envie vive d'une sorte de donnée active à devoir en vrai avaler accepeter accueillir accvorder à xses propres données de bébé re-né un rire de trait venant saéturer ou masquer ou combler cette sorte de voiuloir ancré de vouloir tracé qui est szorte de fait de vouloir-vivre ou revivre ou toujours-vivre sans frais cette sorte de vie à vivement réactivéer sans devoir traéiner au fur et à mesure de nos avancées du vivre de fée ou de bébé nu qu'on voudrait repu repu à jamais ou à tout jamais mais en vrai la choseewst autre tout auttee qui nous voit xans faute réclamer réclamer à jamauis avoir envie de re-téter de fait le lait de l'hydre récmalerb de chez réclamer tous les trois quartiers de ce lait re-actualisé re-formé sempiternellement au sein de l'hydre c'dst un fait voire un fait exprès qui peut grave ensemble nous mettre en souffrance en grande souffeance en une sorte de souffance intense en tant que nous serions de base des bébéscde l'anttre toujours ou sinon touhjours souvent de fait affamés du fait que le lait est l'aliment de référence à devoir téter en toute régularité et ce sans traîner sans louper de fait les moments de trait en tant quon est ou serait des bébés minutés comme programmées et de fait on l'est comme disons un instrument ou une sorte d'instrument qu'on aurait remonté en ce dit quartier xdes données lactées vives de chhez vives on mo nte on ose on creuse on envoie on veut grave de ça la roche des voix le passage docte un savoir de foi une sorte de parole haute genre voix de porte ou voix de porte haute hors paroi voix de l'au-delà à la paroi dees rois et reines de là la somme la parole haute haute porte aux données hautes on monte on creuse on va on veut ça la roche des pas ou petits pazs de l('au-delà à cette sorte ici de paroi des données de porte mais passé la porte qu'est-ce qu'on voit à part ça qui sait la voix voix docte des données post-roche on voit on monte on tète on tègte ici pour ainsi dire cette voix des voix on veut comprendre = prendre ce <qu'on voit en termes de voix voix haute voix de porte et du coup voilà on est la chose des donnnées h autes mot des voix = cette qsomme haute haute somme à toi à moi en formes de porte ou de quoi roche ouverte à une sorte d'entrée en matière ou dans la matière on est née dans l'herbe on veuvt toucher de chez toucher cette herbe ou de cette herbe fraîche qu'esdst-ce vquye c'sst qui c'st qui donc en vrai est ou serait cette herbe herbe personnifiée qui ça pourrait être qu'est-ce que c'dsrt que cette sorte d'herbe ici allouée à une sorte de dponnée en herbe d e type pré / éden pré des prés on aime on aime assez mais ce qu'on préfère ou même en vrai ce qu'on préfèfre c'est le lait lait de trait traite tracée en du ^post-pré post-cimeetière j'ai nommé les hauts quartiers du verbe une sorte de qartier de traîne haut quartier de ferme on aime on veut téter creuser aller filer tracer cerner chezrcher ici et là ce lait de roi lait de reine alllègre une somme de voix voix en tas tas de voix quise chevauchent haut et vont de base tout en haut toucher la timbale le mot haut l'ombre xdes données de porte une sorte de somme un veau un petit veau veau vache ou mouton bête aux mamel;ons ou bêtes-mots de roche soit de roche haute on monte on veut en quelque sorte tout en haut cerner-toucher à ce qui pour de vrai se montre va en haut monte creuse à son niveau veut pour le coup tracer noter voire dessiner comme à tout jamais la bête des prés on dirait mais en vrai on ne sait pas tout à fait si la chose est vraiùment vraie et digne d'être pour l e coup considérée de chez considérée en toutes ses données données on regarde o n mate on cherche à discerner en ces quartiers le vrai du faux qu'est-ce qui est en vrai etb qu'est-cecqui est en faux à quoi se fier ou pouvoir se fier qu'est-ce qui est en vrai qu'on puisse créditer de mots bien affichés et de fait approuvés et qu'estce qui est qui tout le contraire fait défaut et fait tache grave on voit ça on regarddre on cherche on veut comprendre et nous y retrouver en tzant que femmes deux femmes femmes sa rdes qui voulons comprendre comprendre enwsemble ce passé des trembles érables frênes et chênes de la voix des ar bresv etcetera etcetera arbres droits arbres de paroi ou sorte d'arbre de paroi arbre de la voix on enttre on trace on creuse on va vers ça = cet arbre cette sorte dee tracé" dee rage une voix est là qui se préwsente à qui donc apparteient-elle à qui donc c ette voix &éppartieznt-elle qu'on ne connaôt ou ne connaîtrait pas obligatoirement qui donc est derrière qui nous voit chercher sans cesse les données premières ce qui est qui est en ces dites données des hauts et beaux peutêtre beaux quartiers de l'^tre hauts et beaux en ce qu"ils sont hauts = hauts de fait et peut-être beaux qui sait si tel est pour nous la valeur portée de notre propre peut-être jugé on veut coller dire et donner sonder tracer charger et vivre et auussi sonner sonner de chez sonner = a&ppeler en vrai pareil néné dit des nénés ou néné de la vie néné des néné de vie vive au taquet on veut ou on voudrait téter d e chez téter de ce dit néné des vies allouées à une sorte de passé ainsi remonté mais quel est ce passé quel donc passé est-ce pour ainsi tant peut-être nous parler nous intéresssrr nous attirer on cherche on ne veut pas lâcher la chose mais creuser sans discontinuer zet sans traîner cette sorte dee roche ainsi allouée à une sorte il semblerait de torse sein donnée en concavité à devoir téter et de fait en vrai c'est ce qu'on fait on tète en vrai on tète le verbe on ne cesse de téter du verbe d'en téter de près de vouloir téter de ce l ait de verbe dit lait-verbe ou verbe-lait des contrées dernières on tète on prend de c e lait frais on veut co:mptrendre = peser = tater = creuser ou sonder ou cxhercher ou rechercher les diverses données ou données données ou dernières données d'une sorte de contrée entière qu'est-ce que c'est qu'est-ce que c'est que ces dites dernières données de type lait-verbe on veut trouver on ve"ut cerner on veut gvrave cerner on veut grave comptendre = toucher = cerner = allouer à du passé n os propres données en termes de tétee de recherche-téteé ou de recherche haute de type tétee des tétées et du coup tracer = desinner bêtes de roche et autres betes de paroi de type néandertaliennes ou aurignaciennes ou solutréennes on cherche = on envoie on ne veut pas lâcher la rampe grappe bparoi mais grave comprendre = tendre à faire ça = traces de pas traces dee main de main tenant de mains apposées et aéuvtres mains données ainsi répétées des diçz aines de foiqs formes de la foi formes des do nnées de rage et autres formes fr(anches on v eut comprendre" = cerner les données du lait ou du verbe-lait tel que retrouvé la mort une fois passée soit comme entérinée consacrée enterrée enterrée de chez entérerreée à tout jamais qui sait mais en vrzai il sembleraoit qu'il s'agigt d'un ou plutôt d'une sorte de peut-être carrousel aux traits ou tourniquet des tourniquets on cherche on est nées fées sur pré nous voilà toute chamboulées qui sommes devenues la mort quittée ou comme quittée eh bé sorte de nouveau-né veau ou bébé on ne sa&it encore on cherche à c erner à bien cerner le phénomène gravitationnel on cherche de près on creuse pas mal de ces données de base on ne veut pas lâcher le ma,nche mais creuserde rage ces données de base les cerner de chez cerner da&ns toutes leurs composantes afin de oui oui de chrz oui comprendre si possible à tout jamais ce qui est qui est de quoi le verbe-lait est-il sur terre qui sait le corollaire entité nacrée peut-^tre on ne sait on esps pas bêtes pour autant ou même si bête mais voilà de fait on est des fées qui sommes devenues bébé qui regardons en vrai à bien téter ledit néné hors cimetière soit ce lait de ferme de contrée dernière ou sinon dernière derrière contrée d'elfe on cherche on veut trouver on veut ou on voudrait en vrai grave trouver = toucher = cerner = comprendre = dire = dire en vrai ce que est le vrai soit la vérité en ces ultimes de chez ultimes contrées dites au lait ou même du lait lait entier lait pasteurisé peut-être pzas puisque voilà il vient provient de l'au-delà on voit ça on y croi!t on cherche une voix une sorte de voix de type air air ou voix de là de cet au-delà de soi soit de l'au-delà des voix dites voix du tertre xsoit voix dee là-bas hors pré hors prairie des fées hors herbier on veut c erner dire et monter rire rire rire de pouvoir ainsi téter de chez téter le lait dit du même coup du rire car le lait fait rire qui nous assagit nous rassasie bnous dooone vie ou la vie vive vie des vies du vivre = rire doux bqui est le rire du passé donné en tant que lait qui serait remonté par eh bé ce rire des donées hautes hautes portes hautes roches de groote ou autres avens aux porttes hautes du passé on veut creuser = sonder = comprerndre = prendre = cher her à retrouver nos marques ou comment dire une sorte de passésouffrance afin de comment dire si possible du coup l'éviter ou plutôt l'écarter le tenir à bnne distance s'en garder ou s'en bien garder et ne pas chercher
et ne pas chercgher à reprendre trace ou comment dire repasser de base par un même sentier de surfacce retracer ici les mêmes traits ou même ttreaits de faits on veut cerner = dire = charger = vivre = pousseer = condyuire = allouer à une sorte de n éné le lait du rire rire inné qui est la chose on dirait la mieux partagée du moment q'u on tire ou qu'on trait le lait lait de trait ou lait de tire d'un néné tracé = dessiné sur roche aux féees roche post-pré roche du passé du passé disposé disposé de fait et pour a insi dire dans un avenir ainsi repensé on veut tracer donner souder creuser endiuire disposer sr porte les donnéesz dee l'ombre et autres accents dotés on veut en vrai aller donner creuser pousser charger aimer sonder porter et saturer de verbe l'herbe du pré avant même de qui sait plonger son nez entre deux nénés pour y chercher à dire vrai le bout donné soit ce lait dont on ne cesse de parler car de fait le lait est déité lait-déité des données dernières dieu de lait lait -dieu ici donné qui est ce lait à boire d'un trait gloup on veut l'avaler gloup lait du trait donné on veut creuser dire chanter sonder passer = dire ce qui est en ces dites contrées des données lactées qu'on dit ultimes est-ce que c'est vrai est-ce qu'en vrai le passé est vraiment du passé de dires passé dee divers parlers dee paroles vives et de pensées ancrées est-ce qu'en v rai le lait est du dire ancré dans une sorte de tracé de traits sur roche aux vfées genre le tracé aux fées soit ausx fées données toutes gravées bpêtes de trait ainsi dxessinées par des êtres = hommes femmes enfants d'un passé récents il y a quelques disza ines de milliers d'années on veut le penser on veut comprendre on veut toucher = cerner ledit temps donné des tourments lactés ou nénés de trait on est le vif bébé dit docte des données de porte un bébé né comme à la retombée après avoir été qui sait le mort ou mort de l'ombre homme mort-né en son trait de roche et hop = de la mort de l'homme à la vie ailée femmes au taquet comme re-montées ou comment dire femmes-fée est fffée de roche toute transformée ou comment dire comment dire quand de fait un hommùe homme mort se voit enterré et aussi être comme transformée liico prestro en deux femmes de rage ailes de féequi sevoient elles comme accolé&exs à eh bé du verbe verbe -herbe aux données de traîne on aime on envoie on charge on veut ça comprendre comprendre de chez comprendre et aussi c erner toucher aller filer cfonsacrer et même sacrer cette sorte ici de néné des outre-catacombes on veut aimer = téter = boire boire du lait ou de ce lait de roche des données de porte o n monte on ose on ose on mùonte on veut ou on voudrait de base prendre apuii ici sur ce passé des catacombes le traverser en quelque sorte pour mieux de fait s'en dissocier ne pas s'en imprégner plus qu'il n'en faut pour si poqssible se tenir sur roche au plus haut niveau des niveaux d'époque souder= scinder et comme recoller les données de roche on monte on creuse on envoie on envoie du bois on veut grave savoir = avoir = dire =chercher et aussi toucher touycxher grave de ce trait devoix ou à c e treait de voix del'au-delà soit de l'au-delà à soi = son anttre parade de rage roue de soi en cette sarabande de paroi et hop on entre en transe et aux abois en cette sorte de post-paroi aux voix qui est qui est qui est on se le demande q ui donc ça pourrait être en vrai que cela soit qui nous regarderait ou même nous &ttendrait colme si de fait o, était quoi sardes sardes-femmes sardes-femmes de cchez sardes-femmes post p aroi soit quoi des qsortes de femmes à envoi ou quoi on entre on charge on veut toucher toucher toucher = dire dire dire ce qui est en vrai une fois la mort traversée et comme dépasseé&e car il semblerait en effet que pour le coup la mort est courte n'a qu'un temps ou fait long feu qui rapidement débouche mes aieux aieules sur eh bé on dirait le passé soit deux n énés à lait pis de bête sacré ou comment dire ici ce lait de trait origine qualité de sa viscosité fraicheur de trait on veut toucher on veut ou on voudrait cerner = tenter = sdonder = comprendre les données de l'antre ainsi comme re-trouvé du fait que en effet le lait est du lait remonté re-puisé ou comment dire re-activé en ses derniers quartiers du vivre reconvoqué = reparlé car en effet il semblerait que oui le lait de traiot est du lait de vie soit de vie reformée re-actualisée re-convoquée après un temps acté dee mort allouée à une sorte de paroi de roche m a is après après ici ladite roche il y aurait de fait une sorte d'après-pré dit de la parole et des données parlées la pariole en vrai wserait haute qui recommencerait serait à jamais se positionnerait en ces n&énés comme pour ainsi ddire du lait lait de porte lzit de porte haute lait-pârole olé olé qui sait ?
21/4/2025
On est ensemble on regarde on veut comprendre on veut ou on voudrait ensemble essayer de cerner au plus près les données de base ce que c'est qui ici en face nous mate ne nous lâche pas cherche à nous parler on dirait ou sinon parler contacter mais quoi on entre on entre ensemble on essaie ensemble de cerner-toucher à ce qui se perésente en termes de hé hé néné il semblerait mais est -ce sque c'est vrai est-ce qu('en vrai il s"'aggit bien ici de cette chose d'un néné de forme néné né comme à la retombée quand on est passées néné haut de forme on dirait du lait mais est-ce que c'est du lait est-ce que vraiment vraiment cette chose ici haute de forme est un néné né quand on est passées qauand en vrai on est comme sorties pour ainsi dire de la mort ancrée du pré aux traits ddes données de l'herbe ainsi tracées on est entreée en cette sorte d'ultime contrée des contrées dont le nom est forme forme-néné trait pour traits on ose on essaie en vrai de s'y retrouver en cette sorte de deemeure des données dernières dernières données dont le nom est lait ou autre chose mais au fond peut-être bien lait ça se pourrrait le lait est une chose haute lait de forme haute on monte on veut ensemble pour le coup comprendre comprendre de chez comprendre toucher au gnou à la panse au ventre au pis de la bête immense une sorte d'embrasssade à toi à moi et le lait est là qui il semblerait perle de chez perrle au bout du n"éné du pis consacré du ventre aux données et hop on est montées on est passées on a compris sque peut-être en effet en vérité les données de rage sont ainsi ici qu'elles nous attendent à être cueillies à être comptrises comme par la bande d'une sorte du coup d'embrassade sans soucisb on entre on se cale on passe on boit on veut boire boire ou téter notre choix est fait on veut de ce lait de ce lait de base ou lzit de rage ou même des rages des données de rage allouée à une sorte d'embrassade d'embrassade de paroi de paroi des rois des reines sardes et autresv reines de la foi en cette chose d'une sorte qui sait de mansarde logis d'or home hors façade panse de décor et nous voilà qui nous logeons qui cherchons ensemble furetons essayons de comp^rendre cette panse ce décvor de transe on entre et on regarde on voit là des choses ensemble nénés nés pour nous au passage n'est-ce pas donc fou on essa&ie de fait de nous y retrouver mais voilà on essaie ce n'est pas gagné on sait toutes les deux que le chemin est long encore jusqu'au ponton jusqu'au bout du pontvjusqu'au bout du bout du pont d'une sorte de tracé de rage aux données denses et nous de quoi peut-être esppérer de ou pour le coup grave espérer que en effet un jour peut-être on pourra cerner cerner de près tout ce qui nous inquiète nous intrigue nous rend dingue nous attire etcetera ici ou là en cet espace de post-paroi post-cimetière des abois et autresprés de france à toi à moi la danse des pas petits pas de chats on est de fait les fées du tas fées fortes fées de porte on est passées de toi à moi en face direcvtion eh bé qui sait la foi la foi en ce monde autre le passé de soi qui remonte on dirait la chose une sorte de parole haute haute = ancienne qui peut-^etrree on pourrait le penser remonte de chez remonte et ne cesse plus de nous narguer comme qui dirait on ne sait plus on est toute ébaubi on est comme toute abasourdies on est comme si en vrai on avait été peut-être droguées ou disons assomées par quelque chose genre denrées venant nous infiltrer et nous rendre comme toutes affolées de chez affolées mais voilà on passe on entre on traverse en face ce muret dit des dernières transes ou des dernières chancesb on vouléit traverser on voulait vraiment délibéreément véritablement traverser ensemble ce mur de la chancev ce dernier muret dit des contrebandes et autres contredansesb eh bé on dirai que la chose en vrai est actée entérinée affichée on est passée on a grave travzersé on peut regarder sans se retourner on peut essayer de nous y retrouver en tant qyue fée toute à présent transformée qui serait qui sait devenue autree chose une sorte de donnée de porte un bébé tout frais une chose une drôle de chose dont en fait le nom ici la porte passée serait eh bien qui sait bébé des bébés bé"bé-tronc bébé du front bébé docte un bébé de roche ou un bébé de poche bébé né à la retombée la mort dépassée c'est-àdire que la mort serait dès lors en quelsque sorte comme dépassée soit laissée par côté laissée pour compte et nous du coup en forme tout en forme le bébé chelou ou sinon chelou le bébé d'or qui tète à mort le pis de l'antre d'une bête immense du genre ici de celles qu'on cfonnaiît de base soit en ce pays j'ai nommé la bise le tracé de bise bise = -bison bise ou bison dite l'i,ntrépide on vibre on trace on gagne la rive on veut comprendre ensemble les données du vide du passé tracé et autres remontées de boucliers on est vives on est des vives on est nées sur pré vives = fées vives on est des fées vives de chez vives on va fissa direction la rive rive au sabbah on y croit on veut ça trouver la voie on est la fée du vide et nous voilà qui accolées accolées de chez accolmées nous approchons de ce néné mais alors du coup toute à présent transformée en ce dit bébé des données du vide ou vide à lait = frise frise dorées panse donnée ventre au nénés qui nous attendait afin que nous puissions téter de chez téterv le bon lait du vide du vide alloué à une sorte de passé tel que rencfontré de fait en d'autrescvquartiers aux données données comme par surprise on est bébé on est le bébé on est des bébés on est bébé sachant téter à ce néné des données vives et autres vives denréesz lactées on aime grave le lait on aime téter on est ce bébé des données vives ou aux données vives et nous ce qu'on veut le mieux c'erst ça cette foi ce tracé de lait trait de lait à jamzais cette sorte de donnée du vide un trait ici de lait do nné pour nous alimenter nous remplir le gosier on est néé bébé on le voulait disons en vrai que non ou oui on voulait passer mais pour autant sansz y passer et nous retrouver e,n quelque soerte en forme ou sous la forme d'une sorte d'ombre homme et femme raccord homme et femme du bord des données dites franches des données d'ensemble on entre on est ensemble comme raccordées à une sorte de tracé de rage = le langage ou langage pa rlé comme par la bande ailes de chaque côté et au centre le langage du paszé ancré on est entrées on trace on se rassemble on se recroqueville on veuut trouver si possibhle le trait des souffrrances de mise et du coup cerner cerner vif ce qui est qui est qui nhous attirerait qui sait en ses filets mais nous en vrai on ne veut pas de cette chose on veut on voudrait grave ici passer outre la panse traverser de rage et tracer = pistonner en ce dernier qui sait quartier pour ainsi dire des divinités on veut traverser sans se retyrourner vers le passé donné passé au lait passé fait passé consacré donnjé comme du lait et nous d'en téter sans nous arrêtter de ce lait bon de ce bon lait du front téter de cghez téter à ce dit néné des données de terre et autres données anciennes comme re-soulevées ou retracées ou reconduites ou retrouvées en ce quartier de l'après-teigne de l'après-mortem et autres pré de cimetière on les connait on les a pratiqué on sait ce qu'il en est et aussi ces bêtes bêtes rosses et autres grosses bêtes de paroi de porte on connaîot on les a approché es on a été de fait comme mortes nous-mêmes en ces prés de teigne et autres prairies vertes des vertes vallées on a tracé on a traversé on a couru on a joué on a rigolé on a man gé / brouté l'herbe des prés et à présent on est pour ainsi dire comme soulagées car en vrai nous voilà en quelque sorte indemnes indemnes vde tout problèmeprobléème de foi ou comment décrire ici ça qui nous regarde ou nous attend nous mate nous reluque grave la chose en face le tracé du vent ou comment dire ce tracé des données devant ou des données de rang qu'est-ce que ça peut êttre de quoi est-il ici question de quoi en vrai peut-opn parler de quoi erst -il question en ce dit quartier des données profondes hautes reculées hé de mamelon qui sait question haute des données très hautes ça peut être un mamelon ça peut ou ça pourrait très bien être en effet une question de mamelon-montón sorte de mont des données hautesc genre lait de roche mais en vrai est-ce que c'est vrai que cette chose est soit que pareille chose en vrai est ou serait à savoir ce mont mont-montón d'un mamelon de porte haute porte des données de roche est-ce quye c'est vrai est-ce qu'on peut penser en vfrzi ou raisonneblement penser ou comment penser que donc cette chose aux données de roche est du lait est véritabklement concrètelment du lait lait de pont ou sur le pont pont de lait reliant le pré = la mort à cet après-pré dont le nom de fait ne nous est pas vraiment connu ou disons donné on est des bébés ça ne saurait tarder on est attitré on est comme qui dirait un bébé attitré à une sorte en soi ma foi de foi en cette chose d'une sorte de passé de porte à comme atteindre toucher ou attirer ou quoi ici qui pourrait nous inscrire il xsembvklerait dans la durée d'une sorte de clarté de rive haute clarté comme remontée des finalités des fins fonds de cuve et autres trous de buse on est passées on est fée on est deux ailes comme accolées à eh bé on dirait du verbe trait de verbe comme inséré entre deux ailes dfépliées ailes de fée de jolie fée des herbes et pré de la mort donnée on aime on aime le lait on aime comme nous transformer en ce bébé post-cimetière pour téter téter sans cesse téter de chez téter de ce bon lait de l'herbe lait des treaits qui est donc né du fait de l'herbe soit du verbe lait de verbe lait post-pré lait alloué à une sorte de passé qu'on dit indemne de de de quoi en vérité peut-être d'aspérités de traits de tracés de tracés de teigne on ne sait on cherche sûr que nous on a encore plein de choses qui de fait nous importent mais dont pour le coup on ne dsait pas encore grand-chose mais voilà on est lancées on est méga-lancées on ne traîne pas vous le voyez on n'arrête pas de fureter de nous interroger de nous renseigner de cherchger les termes le tracé vrai les choses réelles ce qui est qui est en ces contrées dites post-mortem mais du coup post -pré post-éden post prairie -des -fées et a utres cjhamps de blé d'une sorte de tracé des données de l'herbe = du verbe on veut toucher on veut ou on voudrait grave troucxher de chez grave toucher à ce néné des données lactées de quoi il s'agirait qu'est-ce que c'est que cette ici donnée donnée des données dont le nom est lait lait de l'herbe on ne sait herbe de lait lait d'herbe on voudrait de fait ensembkle ici s'y retrouver sans se tromper sans faire pour le coup maiuvaise route comprendre ensemble = on dirzait qui sait toucher ensembkle = cerner ce qui en vrai la mort passée se présente et ce qui se présente est il sembvklzrait du temps donné comme du petit lait temps de charge du passé tremblé trembklements alloués à une sorte de opassé des chyances et autres treanses assistées on veut cfomprendre on veut toucher on voudrait ensembkle trait pour trait grave comprendre les données du ventre des nénés des seins allouées à une sorte de doonnée immense genre immensité immensité des immensités infini des transes et autres danses du pays des transes on veut ensemble mùieux coomprendre grave mieux mieux dire = mieux cerner le rire rire vieux mzais quel est donc ce dit rire vieux quel est donc en vrai ici ledit rire vieux rire de pays on veut toucher = tater = tester = téter téter grave ensemble sans se gêner ni même déranger le bon lait du rire des données du rire car voilà téter = rire rire = térterr les choses sont dites avalisées on peut en vrai respirer enfin respirer toucher à ce qui se présente de fait sous nos yeux en termes de données de charme et autres données vives allouées au rire rire des cieux on veut comprendre mieux on veux toucher les traits tracés sur un passé comme alloué à une sorte de denrée lactée vive le lait vive la vie vive les denrées toutes sorties du puits et autres traits de lait fermier on aime le lait on est toutes comme super attirées par ce lait de vie de quoio il s'agit on ne sait on guette les données dernières on ne lâche pas l'antennhe on veut cerner et du coup on est sur le coup on chasse kles termes on mate grave on ne lâche pas d'iune semelle les infos de base on est en attteznte on est de fait comme sur le tertre ensemble à attendre à guetter à mater de près à ne pas l^zacher à essayer de tout regarder mais ce n'est pas aisé car en vrai il ya beaucoup de choses à pour ainsi dire mirer mil:e et mille données se présentent dans l'instant T et nous de nous y coller d'eeszaayer de cernber de chggez cerner le plus possible de données allouées à cette sorte de néné néné des nénés qui nous est montré on dirait du lait on dirait que ce qui est qui sort de l'ombre est du lait sucré lait de rocxhe ou lait de porte mais du lait donné en queslque sort e comme apport a^pport haut pour une sorte d'alimentation de roche et auvtres transition en quelque sorte de mort à vie haute on monte on cause on trotte on est hautes choses sur paroi des fonds on ne lâche plus le pont on est hautes choses du pont on monte on veut cverner de base la Chose sacrée ce squi est qui est comme posté au fond du pré mais pour le coup bien plus au fond encore encore plus au fond car ce vqui est est de l'autre côté en post-muret et nous de nous y accoler ou commùent dire consacrer sans rire essayer et essayer du même coup de traverser essayer de cerner et éaussi de passer = tracer creuser filer toucher à ce qui est en vrai comme posté de l'autre côté côté rire rire gros des rires gros des données vives et hop on monte on monte hautes on est bêtes de vsomme qui en vrai hop montons hautes transformées en fée puis le mur passé dernier muret en une sorte de bébé bébé des bébés de type bébé d'or qui veut grave téter le bon léit de l'ombre et des données hautesv du passé tracé des données tracés sur passé donné ou comme redonné le mur traversé une fois dépassé on est dite bébé bébé en vie bébé re-né bébé-dit qui revient à la vie qui téète de fait le néné donné d'un passé de vie
qui on est ? on est le bébé
qui on voudrait tétéer ? le pis donné des données hautes
qui en vrai on aimerait cerner ? ce qui est qui nous
regarde et ne nous lâche plus nous mate de chez mate nous reluqaue intense alors que nous ou pendant que nous on fait quoi on entre on entre ensemble en cet antre des données de base et là on cherche quoi on cherche à comprendre cerner t§oucher aller vers ici le dit néné des données de base données hautes hautes choses intenses et autres transes sur passé de france on veut coller on ne veut jamais s'arrêter mais grave continuer de chez continuer de rage sur pareil sentier menant au néné des données passées comme toutes du coup la mort paraachevée entérinée ou dépassée alors remontées ou re-actualisées comme si de fait le passé revenait pour nous enquiquiner ou nous toucher ou nous aborder avecf ses nénés son dit lait de roche ses tracés de poche et autres traits moches ou pas moches peu importe peu importe les traits le desinn tracé ce qui co:mpte en vrai c'est l'approche le passé qui remonte est ce passé des données hautes néandertaliennes qui sait ou même plus anciennes et nous de les cerner depuis eh bé notre propre passé de bébé de roche ousinon comment comment ccerbner comment dire comment atteindre comment trouver ce qui serait en termes de données premières premières ou dernières car voilà les donnjées prezmières sont données dernières soit devant soit en ces dits tourments devant termes d'herbe = termes au vent soit sur un devant aux flèches vertes = herbes = herbes au vent = traits de rang on aime l'herbe le plus souvent on tète en quelque sorte l'herbe on ne cesse on aime on tète = broute = ma,nge = on entre on entre en cet antre des données dernières premières et hop on passe on trace on comptrend vdès lors les données du port des hautes sphères qui on est à quoi on ressemble qu'est-ce qu'on veut être qu'est-ce qui est ici la mort passée qui nous rassemble peut-être du verbe verbe haut verbe d'eau lait de roche et auttres denrées hautes on monte on veut de fait ensemble grave comprendre de chez comp)rendre les données de rage et autres dons dee l'âme on entre hop on monte on colle on veut toucher en vrai de c ette sorte de donnée de roche ce qu'elle est en vrai on ne le sa it mais c'est un fait que nous en vrai on aimerait grave pouvoir le comp)rendre ici même sas des traces et autres faits de rage toucher toucher ensemble tater = téter et téter = comprendre ici et là le lait donné l'eau du passé tendre lait tendre passé lait donné mamelon du front on veut toucher = téter de ce lait-montón lait des monts ronds et autrtes montagnesz de fée on spourrait le penser mais est-ce vr'ai qyui connaîot le front quui y a déjà été en fait dans le passé qui a connu le siein dodu le lait per lant le sein parlant on cherchge ardemme,nt on aime tant chercher en vrai les données du temps et hop tourments tracés traces et traits le temps est donné qui nous plaît en vrai nous satisfait nous rend de fait fraiche de teint on ose on monte on va on creuse on veut comprendre on veut toucher on veut tracer on ne veut rien lâcher on veut toucher ensemble à ces dobnnées de bout du monde et ne pas lambiner le moins du monde filer a&ller jusqu'au néné en trombe pistonner vite tracer hop téter téter téter de ce néné de bout de roche comme saturée de lait comme inondée comme grave inondée car la roche en somme est une poche poche à lait de roche lait sucré -salé et autres e'aux de roche on monte on ose on veut téter de chez téter de ce bon lait de roche et hop tracer courir filer passer aller de fait en tant que fé-bébé fée devenue bébé bvers ce passé du bhout du monde un passé ancré une sorte de parole docte lait de pré laitde verbe cen dré hautes herbes un passé sucré ça se piourrait nous on aime on aime le squcré l'herbe des prés le cimetière quand il est passé le tracé du verbve vers eh bé on le sait ce terme de divinité divinitéb colmme allouée à une sorte de passé du verbe des données du verbe qu'est-ce que ça serait qu'est-ce qye ça pourrait être qui le sait qui conn&ît kles traits tranchés le passé du rêve les contrées des termes l'embarqué l'embarqué l'embarqué osé dont le nom en fait est ... fée des herbes vertes oh peut-être on ne sa it on cherche on v eut on voudrait coller dire et donner au verbe lestraits d'une sorte de donnée en herbe genre eh bé herbe qui sait qui cvonnaît le terme qui saurait saura nous renseigner nousb informer nous donner le vrai en termes de termes qui sait ce qui ici poçszt-mortem = post-muret est qui nousc regarderait par la fenêtre comme qui diré&it nous épieraéit nhe nous abandonnerait jamais ne cesserait jamais de nous mater comme si de fgait on était quoi intéreseantes au point o-^ù voilà on ne nous lâche pas on est ou on serait comê secondé escortées à tous moments par du passé de rang ou du passé de sang mais merrde y en a assez on veut se libérer soit s"'émanciper de ce poème et autres données mal embouchées y en a bien assez on veut se libérer des données de france et autres données franches ou dites franches on veut tracer notre propre frange de données franches et ne plus reculer tracer de chez tracer filer cerner pissrr au cul des données de france et miontrer son cul son prop^re cul d'enfant dit sage m'a-tu-vu monter monter creuserr tracer filer chercher cerner edsayerv ensemble de toucher à pareilm néné des données lactées on veut en vrai aller de chez aller direction le néné le lait les données lactées le tracé le sens de la marche et hop creuser de chyez creuser vers ce néné aux dires ou aux données lactées même le dimanche hop on trace on monte on veut dire et aller on ne veut plus traîner de fait de chez traîner de fa it mais grave en avancer ensemble en ces szortes de recherches intenses recvhercges francghes de données intenses concernant de base le passé de france france néandertaliennehne et autres frances anciennnes à savoir la langue le passé des langues de sa priopre langue attitrée langue de traits de traits tendres le passé outré la cha,nce des prés une sorte de romance autoportée du fait que oui en effet on est accompagnée de la naissan ce aux derniersz pets par une sorte de donnée de langue langue-trait langue de trait bête de foire une donnée dont le nom de fait est betesde tra&it bêtes montées bêtes accouplés juugulées et nous voilà armées pour en vrai tracer = sillonnner la place un tracé de fée une danse-transe un trait de ré une sorte de parade et le tour est comme joué qui nous ressemblezrait nous irait ferait xde nous des gnous de convenance gnous dotés de bois tracés de dents dorés de sabots ombrés et autres sorte d' attributs de roche gnou des gnous c'est nous on est le ou les gnou(s) des données hautes gnous des gnous on monte on y va par là on ne lâche pas on a&ime la paroi et la post-paroi et le post-pré des donnézssq bestiéales et aéutres traéits animaliers de base une parade un sentier de fait menant sur place à une sorte de trait d'entrée par où ensemble on est comme priées il semblerait de l'emprunter et sans trainer de prendre ensemble et hop on passe on trace on veut cerner-t(oucher aller-coller dire-donner filer et se lover en cette sorte de opassé en france de type enfance enfance choyée ou non choyée chacun chacune son enfance son passé de rage et autres données en szouffeance on entre on fonce on creuse on veut toucher aux me"ubles aux murs porteurs à cette sorte dee maszure ou de masure des m asures ou chambre d'hôte haute ce passé nacré d'époque haute un divin passé p assé-né la mort dépassée on croit rêver mais rêve-t-on est-on mortes et re-nées est-on en vraéi laissée comme pour morte mais voilà on monte on monte haute alors quoi est-on morte est-on en vr a i vraiment passée = trépassée ou pas du tout ou coment dire on dira que de nous en nous résiste le gnou bête de rocxhe roche des roches on monte et hop tronçon de poche une sorte de passage docte trait pour trait on essaie de tracer de passer roche et hop monter ha&ute le plusz haut possible vers pareil boyau boyau d'eau perle d'e au de roche et autres sortes d'eaux mortes ou sinon morte's comme mortes mais en vrai c'est faux elles ne sont pas mortes mortes-eaux c'est du pipeau l 'eau sort du seau et monte de chgez monte vers qui sait une sorte de peau ou alors de pot ou alors de quoi une portée haute des données de roche une sorte de peau des peaux ou bien de pot des pots pots aux roses on ne sait on creuse de front on nen avanceon aimerait c'est sûr comprendre soit toucher de fait à ce néné du bout des transes et hop téter téter de vchez téter à ce néné des transes franches et autres danses de type bourrée quand on est bourrée ou comme bourrée-ivre des transes vives vives et ivres en transe franche et hop le rire rire haut on veut cerner haut on ne veut poas forcément rire mais cerner le rire rire haut rire du plus haut niveau car le rire vientr de haut du plus haut niveau des nivrzaux en termes de données des termes et autresz termes ainsi allouées à des choses ditesz du pass"é on aime oh oh grave on aime grave de chez grave on aime on aime l'herbe le passé donné ou redfonné = le trait trait de sabvle le passé des memmbres un passé imme,nse une sorte d'immensité en termes de passé donné une sorte de passé de transe un passé tracé qui est immense en termes de kilomètrage au mèretre près et nous voilà conduites à comme esopérer enfin toucher ou comment dire nous approcher espérer espérer comme nous rapprocher de ce tracé aux données de traéit qu'edst)-ce quye c'(szt qu'est-ce qye c'est que ce passé qui serait remonté cvomme par contrebande d'une sorte de puis ou de puits de fée puits dotés ici de données fluides comme par exemple du lait eau de lait sacré eau lactée on veut en téter car en vrai on aime l'aeu des prés et le lait sucré ensemble méklangées on veut téter de chez téter à ce bon lait de l'hydre du passé ancré des vivres déposées en guise de présents données au passé tracé comme se présentant de fait dès que née à une sorte de néné des fées qu'est-ce qu'on en sa&it que de fait savons-nous nous toutesz de ce gnou du bhout pas bézef en vérité pas grand-chose sur quoi s'appuyer ou s'attabler on monte ok mais voilà la montée n'est pas si aisée pour ainsi dire à emprunter on se doit de tracer mais pour cela voilà on a besoin de tous ses bras et aussi du passé du passév tracé d'un passé de rage ainsi remonté comme une souffrrance qu'on croyait tassée enterrée en soi enkystée mais que dalle le passé est passé vmais rtrezmble tremble ou tremblerait comme ici en souffrance d'une vgérité d'une sorte de fait de vérité tracée comme traquée du fait que oui on monte et montant on ose et osant on tombe on tombe grave ici sur ses parents sur le verbe inculqué un passé d'enfants les chances données non attrea&ppées et autres tourments tout alambiqués et emberlificotés autour de données de type tracés tracés de fée tracés sur tracés sur roche aux fées on veut toucher on veut comprendre on veut ou on voudrait comprendre ensembkle un certain nombre de données de fait dont le nom serait ambre ou sinon ambre transe ou sinon transe vérité -nacré on veut toucher à ce qui est qui nous ressembklezrait qui sait un temps et le reste du temps se dfistingueréit et filerait son propre tempsz hors familiarités hors ressemblances de co ntrée et autres traits portés on trace on navance on file on cole aux membres on veut toucgher de cgez troucher à une zorte vde vdenrée dont le nomb est lait et toucher ici c'est téter du fzait en vréi qu'on est bébé on est un bébé on nveut téter de chez téter parce que oui on est ce dit bébé des murs traversés des données ultimes après vivre ou disons aopreès mourir car voilà on voit ça comme quoi après le vivre il ya ledit mourir soit ledit franchir une sorte devant soi de paroi des rois et reines de l'au-dfelà puis après ça soit ledit mourir et ladite paroi des rois et re'ines d'au)delà le vivre re- vivre re- des données vives ou des re-données vives et autres re- qui rendent heureux heureuses les envieux envieuses on monte on creuse on va on tire on porte on veut en vréi toucher dee chez toucher la porte des fées et du coup passéer vers ce dit passé des données premières = anciennes =primaires comme qui dirait mais n'est-ce pas exagéré mais n'est-il pas exa&géré de chercher ça le passé des rois et re'inezs de là = l'au-delà l'au-delà à soi le passé roi le passé des oies et autres betes de joie qui on est pour soi que voit-on là qui en vrai se trame que sait-on des âmes que voit-on la mort passée du passé du passé re-né re-la chose haute qui re"monte ou remonterait ainsi à foison qui donc sait de fait ce qui est en vrai qui cfomprend la chose et saurait pour le coup grrave nouys situer sur cet échiquier des données de roche qui on est qui on serait qui on voudrait être qu'est)-ce qu"'on est de fait qu'on ne savait être qui de quoi on est et quoi de qui on serait on cherche on veut toucher cerner passser dire ce qui est de ce poassé dit surnuméraire ici des abris des maisons hautes des cloisons des portes de roche habitat de vie on monte on ose on creuse on veut tyoucher de chez touchezr les données de porte on est qui on est un temps fée avanr-t de sombrer de couler ou peut-être non de monter se hissser du collier et se voir transformée en bébé de vie bébé -vie le bébé du puits on est remontée ou comme remontée ou cfomme toute remontée car en vrai fée nous allait seyait nous plaisait et bébé eh bé tu m'as comprise ça nous plaît à peu près mais en vrai on se préférait fée ou en tant que fée bébé ok maéis féé fée du pré c'(estait mieux c'était tout un truc c'était trop et voilà que là en post-paroi on se voit voilà comme toute xdésorganisée démantibulée déformée dépiautée désassemblée qui devenons bébé hors pré bébé né comme au passé / passage d'armes ça fait chier car nous en tant que fée on se plaisait on se plaisait grave on adorait être des fées on se pklaisait de fait alors que là en tant que b ébé on est secoué on est remué on est trimballé et on doit tétéer téter de chez téter on se doit de téter oh on éime mais fée c'était tout un poème qui pour le coup nous plaisait en vrai on adorait on aimait on voulait aimer on aimait connéître eh bé voilà la chose est là on est sortie du pré des données vertes on a traversé et on se voit comme remontée en forme de bébé -né re-né revenu nu sur une sorte de néné de rue ou sinon de rue peut-être de tenue de néné donné comme à l'arraché venant du passé on veut coller on veut cerner o,n veut toucher on veut tater on a envie en vrai ensemble de troucher toucher à ce qui est qui se présente ou se présenterait à nos lèvres toutes retrou!sséesc de bébé voulant ainsi téter du sein de mère mère acidulée mère des tertres et autres promontoires prémonitoires on veut coller de chez coller à cette chosze ancrée ici ancrée d'une sorte de promenade aux données de base = traits traits sur treait trait de rage traits tracés comme à main levée par quelqaue femme ou hommeb de passage on dira des fées car la fée est homme/ femme accoléees homme et hfemme sur pied ailée pied de femme et homme ailée on s'en serait douté car oui on est et homme et femme en ce passé cde france dit d'enfance l'homme est dans la femme et à sa mort il see retire en termes d'enterré-surprise et voici la fée deux elles ailes tracées montent que je monterai tu parles vers ou direction la transe le passé intense une contrée un champs de blé la panse aux tr acés et autres bêtes traquéesq genre bouquetines vives bouquetines bouquetins vifs vifs et malins mais ce qui est ici c'est que oui le malin ou petit malin se voit tout attendri et co:me de fait enkysté en ses prorpes données quand la fée elle monte au ciel monte de chez monte et hop saute trace va charge combat cherche est de fait la bête ancienne une sqorte de bête foraine de soirée-nouba de fête de traîne on le croit on voit on avance on treace on veut comprendre ensemble les données du tremble du passé intense de la voix et autres sons de cloche haute ding ding dong la roche on monte on creuse sa voie on vgeut ça la paroi des ombres toucher soi le tr acé des ombresz et hop creuser tater téter téter son propre lait comme qui dirait mais en v rai le lait n''st pas une chose en propre ou donné en propre le lait est du lait lait de roche offert au passé on peut téter le lait de roche s'ezn gargariser de telle sorte que en effet le passé remonte revient vif de chez vif revient coller ou nous coller revient de fait comme nous coller nous rattreaopper nous dire en quelque sorte ce qui est qui se voit remontré ou comme remontré à nos yeux de fée devenu bébé on veut toucher on veut cerner on veut aller et dire et sonder ce qui est ici d(une sorte de contrée aux nénésc et autres sortes de données on veut tracer toucher aimer cerner pisssrr caguer suer toucher de chez toucher à ce dire nacré des contrées ultimes infinités des immensités sublimes ou dites sublimes on veut creuser creuser de chez creuser dire ce qui est dire de chez dire et hop aller porter tremper poussser allouer à un ou une hydre les données du rire rire des rires ainsi cerné du fait que oui on connaît on veut toucher-cerner on ne veut plus de ça s"'emballer mais de fait§ tranquillement aller comme à l'arraché vers telle ou telle assemblée attablée qui xerait là en quelque sorte à nous attendte à espérer à nous regarder à chercher à nous coler ou prendre ou insérer à leur table dressée qui on est eh bé on est le dit bébé des données franches comme en vrzai inséré à une sorte de contrée de contrée de fée ou de contrée-antre antre alloué à un passé en france et le tour est joué qui nous reconnaitrait nous verrait passer tracver chercher à n ous positionner de telle sorte que voilà on puissse grave de chez grzave boire-téter le lait de l'antre des contrées tracées du ventre formé des seins galbées et autres nénés des nénés on entre on entre dans l'antre on cherche à comprendre ce qui ici de fait semble ou semblerait vouiloir grave nous convier à sa sorte de table dresssée pour une sorte de repas de roche repas docte repas froid ou repas chaud swelon lm'époque on veut creuser on veut toucher on veut aimer on veut cerner on veut mieux cerner cde chez mieux cerner ces nénés de l'ombre ce que c'est en fait est-ce en vrai des néné s nénés de roche est-ce en vrai du passé passé d'époque ou alors du frais du passé de frai ou quoi ou qu'est-ce en vrai en ce qui nous concerne est-ce du vrai vrai passé d'époque haute est-ce du faux faux niveau de roche on ne sait en vraéi de quoi il en retourne question outre antre ventre sein de rage et aussi table car voilà le sein tout découvert offert est une table d'antre lait donné de france en tant que langue sur table tracée on entre on veut toucxher de base à ce dit trait des traits tel que rencontré en vrai une fois c'était dans le passé en france soous les traits du ventre on tétait on était fines et élancées fée des fées on voulait tracer on voulait creuser on ne vouy:lait pas s'arrêter mais juste creuser ou disons tracer = filer sans se retourner vers ledit passé ancré du lait frais tout nouveau tout beau à avalaler sans rechigner mais en vrai on ne se fait jamais prier parce que voilà le lait ça nous connaît on adore le lait on adore en vrai ledit lait de l'ombre du passé tracé des données hautes lait des la&its sur page en or on monte on ose on veut toucher de chez toucher le nombre et l'ombre le passé dit remonté qui serait là comme une sorte de paroi de paroi des parois ou sinon quoi chant docte parole parole haute chyant de roi / re"ine des bois et autres personnes de la haute on ne sait pas on charge on tr ace on avance on veut grave comprendre les données de l'ambre du passé nacré de la nacre des données ourlées au passage des fées on veut comprendre comprendre et cerner cernezr et allouer au ventre ventre déplissé les données franches d'un passé ancré comme remonté remonté de chez remonté à ladite surface aux nénés que l'on veut toucher car on est des bébés nés de france bébés -transe on veut tracer on aimerait de fait tracer en france ou qauelque part en france c'est-à-dire en langue de france le passé ainsi remonté qu'est-ce que c'est qu'est-ce que c'est que ce passé ainsi ici comme remontéen cette sqorte de surface aux fées ou sinon aux fées aux fées transformées en bébé-soufffrance c ar voulant de chez voulant téter sansz traîner sans plus attendre bébé affamé = en souffrabnce comme qui dirait mais est-ce une szoufffrance est-ce que la faim de fait en vrai est une souffrance est une sorte de souffrance innée on ne s a&it on cherche on veut toucher on veut creuser on veut cerner on veut comptrendre on veut sonder on veut dire et aller ensemble et au plus loin possible en transe en cette rive des données du rire rire alloué de chz alloué à une sorte de passé vif passé-ttrait passé des passés tels que représentées ici ou là en ces contrées dites du vide vide de soi mais pas vide de voix c'sst là que la chose / le bât se voit / blesse des foix on le voit on va on trace et retrace on envoie du bois on ne cherche pas forcément à se faire une place maisb plirtôt à ententdre entrendre finement religieusement concrètement cette sorte de voix soit de voix de base ainsi patente on est là pour ça on veut entendre = comprendre enxsembvle ça la voix cette voix cette sorte de voix de là de là-haut haut niveau de transe on cherche à comprendre on veut grave comprendre et cerner-toucher allouer à une sorte de contrée une sorte de donnée de transe genre cendre ou sinon cendre ambre ambre touché ambre de qua rtier on veut creusqer = dire = passer vers ens"embkl ce tracé menant au passé au passé ancré d'une sqorte de passage éainsi acté d'une sorte de vie allouée à du verbe de fée ça se pourrait en vrai on ne sa&it mais bon on ne sait jamais les choses du verbe on peut espérer on peut rêver on peut se dire qaue en ezffet le verbe est une denrée lla denrée des denrées qui sait dont le nom en fait est petit lait ou lait tout court petit lait de trait ou lait de trait tou court on veut du coup téter ce lait de bout on aime le lait on aime grave téter téter le néné boire du lait s'en gargariser s'en mettre jusqaue là vsans discontinuer car voilà on aime = on cherche on veut ça on ne veut que ça on adore ça on aime téter on aime en vrai se coller au sein l'attrapper et gra&ve téter de chexz téter sans s'arrêter de ce lait de traîne lait ambré lzait de fée / reine on aime on veut toucher = dire = cerner = cfomprendre = allouer à quelque chose de te"ndre les vertus du lait soit du lait tiré lait de mère allouée elle-meme )àunune sorte de divinité q'on dit genrée mais en vrai on en sait rien on ne la connaît opas en vrai on ne l'a jamais croisé de chez croisé du coup on ne sait qu'e,n penser à qui sont ces nénés dit du bout du monde à qui sont donc ces dits nénés du bout du monde on ne sait on veut ou on voudrait trouver connaîtrev la véroité pouvoir tabler sur des choses concrètes avérées cernées de chez cernées enfin probantes mais le fait est que en vrai voilà la chose n'est pas il ne semble pas on ne sait pas donner un nom à cette sorte de paroi des monts et autres montes-charges on ne voit pas on est gaga on est comme gaga qui cherchons en face = sur paroi des sortes de voix ou alors de voies dites de rage mais que dalle la paroi ne dit pas la voie ou ne la montre pas car voilà une paroi n'est qu'une pa&roi la rage est rage le tracé tracé et l'antre du assé l'antre du passé mais pour a utant est-ce que par hasard on ne pouurrait pas un de ces qau atre rretrouver en face deva&nt soi ledit passé de france = de laé langue langue sage et sale ou quoi ou qu'est-ce une langue de traîne langue verte langue sucrée ou comme sucré un peu comme du lait on ne veut pas pour ainsi dire trépassser mais juste passer = entrer = regarder en ces contrées ce qui serait qui pourrét bnous donner peut-êtte ici quemlques indications squr ce que c'est que ce dit mamelon-montón ici trouvé comme au débotté d'une sorte de passage de fée devenu de fait bébé ou bébé -né sur du passé comme tout entier peutêtre ou pour p artie que sais-je remonté et du coup eh bé voilà on voit on trace on y croit on veut comprendre = entendre cette voix dite de l'au-delà qu'on dirait intense voix intense dite de paroi ou quelque cdhose comme ça on entre on file on va on trace on commence à comprendre ou sinon quoi entendre entendre voix voix de l'au-delà qui serait la voie dite de la souffrance de la transe des données de france on envoie on veut ça on veut ensemble ça soit cette qsorte ici de transe de transe desz voix entendre = toucher soit toucher au néné des finalités ca&r il sembvlerait en effet que la fin du pré ouvre sur un néné tout empli de lait et ce néné vien t du passé des années pâssées hautes années de roche une sqorte dee boucle haute ici nous sonde on monte on ose on va on ne s'arrête pas plus que ça parce que voilà on veut cfomprendre ce carossse cette noce ce passé de roche cette voix ven ant de l'au-delà mais qu'est -ce que l'au-delà qui voit qui cerne qui comprend les rènes qui comp^rend ici la chose à cerner une voix peut-être une sorte de voix et cette voix peut-on l(entendre peut-on d'ici disons l'entendre pas vraiment et c('est m-eme cela qui pour le coup nous enquiqine nous fait grave suer parce que nous en vrai on aimerait on cvoudrait on voudrait cerner on éimerait grave ensemble cerner ledit néné dans toute sa rotondté rotondité ici du néné donné la mort passée après cette autre rotondité telle que plus haut évoquée et quyi serait ici celle d'un pré soit du pré passé du pré quitté nouvelle donnée ou nouveauté on est passée on peut téter de chez téter à ce néné des données hautes et autres gorges profondes on le sait ;on veut cernerb toucher dire et redire re re re re le feu re les données-force le passé en trombes une sorte dee passé d'époque qui remonterait et seraivt dès lors à comme nous parler de formes formes hautes à pouvoir adopter en notre sorte de mértamorphos une donné haute un passé de roche et nous voilà toute ré-activée du fait que oui le passé comporte un certain nombre de données de roche à pouvoir adopter en sa propre personne afin de remonter re re re re tracer de chez tracer une sorte de cxhemin de ronde un sentier ou passage outré ou comme outré car comment dsire passage de trait tra&it ourlé trait des traits sur tracé de roche on monte on veut creuser de chez creuser la roche des fées ou dite des fées car on veut on voudrait on ne veut que ici toucher toucher de chez toucher cerner de chez cerner comprendre de chez comprendre allouer de chez allouer à ce dernier quartier les vertus de l'ambre et du coup saturer creuser filer oser pointer pistonner chercher à ensembvloe toucher à ce néné des ombres et autres sortes de secrets qui nous wseraient cachés et nous de grave ici vouloir de chez vouloir en vrai nous y coller car oui oui de chez oui on monte on creuse on trace on entre on ne veut pas laisser sa place on veut tracer de fait pour demeurer aller de chez aller filer de chez filer adouberv de chez adouber cerner de chez cerner creuser de ches-z creuser et hop on monte on file on va on entre on revoit soi ou sinon soi quelq'un d'autre mais en vrai qui ressemble en quelque sorte à soi on voit on avance on trace on veut comp)rendre ensemble ici ou là peut-être la paroi puis le cham des raves et ensuyite oui aéprsès la paroi qui en fait se prolonge eh bé le néné le néné de cfrance navarres espagne sarde on s'en moque pas mal du moment que voilà la chose est là à pouvoir entendre c'st-à-dire comprendre comprendre = entendre et même qui sait téter-entendre car en vrai on dirait on dirait cela que la voix est du lait ou comment dire du lait-voix lait-voix de l 'au-delà soit ça le verbe en soi verbe d'herbe = de la voix le schème ou sinon quoi car nous il nousemblerait ou nous aurait semblé que qui sa&it le lait serait une sorte de donnée toute assertmentée dont le fond ou fondeme,nt serait eh bé oui qui sait vocal buccal de fait mais aussi vocal une sorte de coulée de voix va et dégouline en nottre szorte dee gosier intime et nous fée-bébé ou fée transformée en bébé de nous rassasier ou disons de nous remplir de cette sorte de voix-lait ou de ce lait-voix comme assermenté ou disons agréée par par ça qu'on dirait quoi qu'on dirait la paroi sorte de paroi qui re re re re reviendrait à nous via le gnou on ne sait pas on tremble on entre on creuse on cherche cette voix de l'au-delà à la comprendre ensemble et aussi à l'entendre car entendre en quelque sorte c'est cdomprendre c'est cerner de base et du coup toucher toucher de chez toucher cernber-toucher cerner-porter ensemble une sorte de donnée de rage éinsi révélée on entre on pousse on veut cerner-toucher = révéler le trait on veut creuser on veut aller on veut cerner on veut ou on voudrait ensemble situer le terme et du coup acter ce qui de fait pourrait qui sait ^etre en vérité en ces dites contrées post-cimetière qui on est qui on serait qui on voudrait être qui on a&ime qui on veut toucher et du coup cerner ou disons concerner ou comment discerner en ces contrées d'un post-pré en herbe on cherche on aime chercher on adore chercher toucher pister posqter creuser faire ainsi que le verbe-léit puisse transiter d'herbe en herbve à travers le pré roche intègre claretés des clartées toutesc aciduléees derrière on trait ou on tire ce la&it d'un post)-cimetière = du néné du verbe et nous voilà tracé à la guerre comme à la guerre en cette sorte de contrée des termes ou dite telle et qui est la contrée venant après le cimetière après le temps du cimetière de la pierre et de la terre où nous serions ensevelies cimetière aux elfes et nous ici toute fée douce on monte haute on est vraiment haute car pour de vrai on vole on a pour ainsi dire deux ailes raccord on sait monter haut on va h&ut au plus possible chercher l'hydre le néné de l'hydre lait des laits téter téter de chez téter ce qui en v rai se pourrait en termes de lait on veut téter on veut creuser on veut dire on veut aller on ne veut pas abandonner mais tout au contraire ne plus du tout nous a&rrêter de téter vif le néné de l'hydre ici rencontré en ce post muret des ultimes rives des finalités et des imme"nsités du rire car le rire est pour ainsi dire une contrée soit une sorte de contrée donnée la mort achevée et ce rire est rire de fée ou disons de fée-bébé ou de bébé-fée fille vive et rire vif on aoime l'écouter on adore ce rire des fées ou des fées -bébés on aime entendre ici ce rire des passions de l'ombre" des zones cachées et autres régions hautes mal montrées on veut comprendre = porter = dire = savoir en vrai ce néné de l'hydreb qu'est)-ce que c'est de quoi est-il fait qu'en dire qui sait en vrai ce que ce rire est qui semble vouloir pour ainsi dire nous toucher ou aborder ou comment dire car le rire ici est comme de coutume communicatif qui se passe ainsi de fille en fille à travers la
mise la vire la cire
on monte on creuse on ose on va on envoie on veut grave toucher de chez rtoucher à cette zonr de paroi ou de la paroi où donc on dira qu'on est ensemble capable à toi à moi de passer un doigt puis deux puis trois et au bout du compte tous les doigts et même plus que ça sa voix hé ça envoie ça en jette ghrave ça ne lésine pas c'est indubitable on voit ça on entre on veut cfomprendre comprendre comprendre comprendre en semble c e qu'on voit à quoi ça ressemble on veut toucher de chez toucher aller de chez aller cerner de chez cerner filer de chez filer et se redresserr et là cerner à jamais cette dite contrée aux nénés mais de fait s'agit-il d'un néné soit d'un vrai néné ou alors quoi une sorte de tracé de choix sur nouvelle paroi ou quoi d'autre qui nous soit pour ainsi dire en qiuelque sorte un tantinet lisible ma foi mais voilà on ne comprend pas on cherche on trace on s'immiszce on cherchge une place et à pouvoir toucher ou retoucher ensemble la mise initiale et peut-être même plus que ça on veut comprendre = toucher = dire = cerner = allouer à une sorte de do nnée de france = le français les vertus du passé du passé larvé du passé de transe et autres véelléités on veut cerner on voudrait toucher on voudrait grave aller dire tra cer creuser sonder le rire des contrées ultimes qu'est-ce que c'st qu'est-ce que c'est que ce dit rire desz contrées ultimes une sorte d'entité sacrée genre divinité ça se pourrait en vrai on ne sait pas on entend des voix mais ces voix pour ainsi dire ne semontrent pas ou disons qu'elles ne montrent pas leur visage on ne le voit pas on croit pouvoir le voir mais pour l'instant pas l'ombre de ça macache pas un trait pas une larme pas un cil rien de tout ça à ce moment précis ne se laissse voir et c''sst bien dommage car nous on a envgie de voir ici ou là à quoi l'après-mort ressemble à qauoi l'apràès-prairie aux bêtes-masses ressemble etcetera les données profondes fond de bois oudesous-bois fond des fonds de l'au-delà ça se pouyrrait qu'un jour on sache on xsache xensemble de ce dit pourqauoi la mort estn qui sait une sorte d'enclave mais voilà la vie fait face qui encercle grave cette enclave et jamais pour ainsi dire en vrai ne cède qui encercle encercle de cercles l'enclave céleste dont le nom il nous semble ou peut-être est Mort mort haute mort de loge quand de fait la vie de son côté entoure encercle contourne fait le tour sans cesse ne s'arrête pas va là-bas et encore là pour en vrai essayer de cerner cer ner de chez cerner cette sorte de pré ou de pré aux fées qui sezrait eh bé peut-être la contrée la contrée dite de la mort actée ou disons donnée un temps donné quand de son côté la vie est ou serait une sorte de zone infinie sachant cerner ladite contrée des données finies on le sait on voit ce qui erst on avise on charge on creuse on envoie on tra ce on voit ce qu'on voit et ce qu'on voit est une sorte de paroi de rage trace d'ambre un foie une sorte de foie à devoir comprendre en toutesc ses parois ses parois de foie on y croit on veut en vrai toucher de che z toucher cerner de chez cerner a ller de chez aller pousser de chez poussszer rire de chgez rire et ainsi découvrir par le biais du rire x et x donnéesz qui seraient ancrées toutes en cette sorte de quartier de roche dont le nom en roche soit en langue de roche est porte porte d'entrée une sorte de porte donnant sur un pré sur une sorte de pré haut et pour le coup au fond dudit préau eh bé une autre porte qui serait la porte des données de roche porte lka plus haute porte rose porte aux roses on monte on creuse on voit on veut comprendre de chez comprendre 1 la p roi 2 le vin 3 la courroie 4 le train 5 la chance 6 les do nnées de france 7 les envois 8 les voix de l'au-delà 9 l'antre et nous voilà de face prêtes à ça = comprendre = entendre = dire = cerner = chercher = faire = vouloir = entrer = sonder = poster = convaincre = attirer = szoulager = porter = dire = souder = parler = caler = tirer = téter téter de chez téter le verbe -lait d'une sorte de on dirait trait des traits mais quel est-il en fait de quoi ce trait est-il fait de quoi en vrai ce trait est-il le trait est-il tra&it de verbe est-il, trait d'herbe - est-il trait de verbe en herbe on ne le sait mais de fait on cherche car on est ailée ailée de chrz ailée on peut voler voler haut vers le haut niveau des mots ou dit des mots qui sont des bêtes-mots ou animaus-mots dudit pot haut
17/4/2025
On avance on veut comprendre ensemble et pour le coup cerner en vrai le plus possible de donnnées frontales ce qui est ici qui on dirait est comme à nous mater alors même que nous on est qui on est fée on est ailes de fée on monte on s'est avancée on s'est pour ainsi dire présentée on voulait comprendre en vrai on voulzait grave comprendre on voulait touchger à ce néné qu'on dit ici et là de contrebvande va savoir pourquoi nous on regarde à bien cvomprendre les données frontales ou disons pariétales à toucher ou disons cocher ou disons trancher ou comment dire distiinguer ensemble un certain nombre de données de base du genre par exemple de celles qui ici ou là nous matent njous reluquent de la t^pete aux pieds n'arrêtent pas de nous reluquer de grave nous mater comme sib en vrai on était quoi on était des anges eh bé peut-être mais pas tout à fait on est pas vraiment des anges on serait plutôt des fées du style de celles que on verrait peut-êttre traverser un pré une sorte de prairie-aux-fées et autres bêtes-parades bêtes-mots qui pasqsnt qui sont là qui nous regardent et qui se demandent qui on est on est desêtres depassage êtres fluets qui se sont envolées qui montent et vgont direction le muret qui est ce dit muret qui est au bout du pré qui est ce dit dernier muret de bout de pré pré ou prairie prairie aux pisse,nblits on se rapproche dudit mur du fond on monte on s'accroche on est accolées p arce que voil:à on est ailes de fée on est comme si de fait on était ailes ou seulement des ailes on se rappreocghe de ce dit muret des fins de pré des finalités d'un pré post paroi post-paroi de groote et là on se dit que voilà on se doit ensemble de si possible tracer dessiner sur place un trait ou sorte de trait qui soit le traitexprès pour un passage à toi à moi comme à la force du jarret ou disons commeà l'arraché passer ainsi de front ensemble en tant qu'on erst nous-mêmes un ensemble qu'on est nous-mùêmes cet ensemble de deux choses qui sont comme collées en vrai entre elles en tant qu'ailes et du coup traverser traverser ce dernier muret foncer tracer aller le plus vite possible si tant est ensemble toucher eessayer env rai de dépasser ainsi cette sorte de mur du son ou de mur du fond et du coup passer passer t-ete et front et hop on sera ou on sezraitde fait comme adoubée on serait adoptée ou adoubée de l'autre côté par on ne sait encore tout à fait mais on se rapproche on avance o,n ose alors voilà du coup on se rapproche ensemble ici d'une peut-être sorte de données dite de bout du monde données docte on aimerait on voudrait on voudrait grave trouver et du coup cerner et comprendre ensemble en tant qu'on est fée ou une fée ensemble ces données dxe roche données hautes ce tracé qui est ici ce trait d'une sorte d'anfractuosité par où peut-etre en vrai on peut ou on pourrait passser sans trop se casserr eh bé le cornichon et hop aller de l'autre côpté traverser ledfit dernier muret de cette soprte de rotonde ou d'enclave haute enceinte ronde hop on monte on essaie ensemble de creuser des choses pour comprendre et cerner de nbase les données profondes d'une sorte d'aprsès d'après -mort ou d'après la mort comprendre c''sst toucher on sait on commence à cerner de rage ensemble pas mal de données données hautes profondes comme allouées à une szorte de passé de roche et nous de nous y enfoncer sans jamais vraiment traîner tellement on a envie en vfrai de creuser le plus possible en ce quartier des données ultimes eh bé la vérité ou vérité des vérités on a envie en vrai de tracer de chez tracer sans nous réfréner ou freiner ou nous embêter dans cette sorte de passé des choses remontées qui choses hjautes sont comme des faits faits de porte faits de porte haute qui remontent qui vont ainsi comme à la rencontre de notre comment dire envie peut-êttre envie vive d'en découdre pour la vie sur ces questions de :mort ptrofonde de mort haute etcetera de mort qui serait en vréi une sorte d'entre-paroi ou d'entre-voie ou d'entre-côte ou comment on pourrait dire quand on sait que ça là -bas est une sorte de nouvelle donhe qui serait comme peut-êttre une sorte de parole ou sorte de quoi de verbe en tas ou comment petit pas petits pas de rage on en avance on voit ça on comprend ensemble que oui on se doit de pour le coup^tracer de base u,n cdertain nombre de traits sur joue traits de rage sur joue pour nous faire comprendre de eh bé on ne sait de qui on trace = on avance mais voilà on est feée francheb fée de france ou née en france et parlant la langue fra,nche franche ou pas mais la lan gue qu'on a en soi ou que l'on parle incidemment est de fait une langue de base soit de rage et sert ainsi à se frayer ici ou là de vie à trépazs une sorte de passage dans la soufrrrance ou pas dans la souffrance ça dépend des fois mais voilà en vrai on essaie ensemble c'est à dire seule toute seule mais ailée soit comme dédoublée de tracer de rage une sorte de treait dit de passage et dès lors de passer ensemble ailes de fée direction l'après c'est-à-dire ce peut-être sein ou sinon sein antre ou sinon antre corset ou comment qui en face nous rega rde en qauelque sorte ou nous attend ingénument nous mate dans nos tracés circvonvolutions de fée ne nous lâcghe pas une seconde nouys regarde de la tête aux pieds et aime ça on dirait nous mater nous rezgarder
ne psa ds'arrêtrerfr de grave mater notree fa çon de voler ou voleter direction le néné c'est-à-àdire ici ce rond de lait cette sqorte de rondeur à lait sein de mère à lait qui est devant la mort ainsi parachevée derrioère à nous attendre sein à l'air le corset ouvert prête à nous donner en vrai son lait de mère altière lait pour féee-bébé pour fée de roche qui du coup ont passé la porte et kles voilà qui osent qui n'ont peur en fait de pas grand-chose sinon quoi la mort axiale peut-être même pas on monte on regarde iici et là on mate grave on veut comptendre ensemble la paroi l'ultime paroi sage ou savante le trait de passage on envoie on essa&ie de rage de passer ensemble à treavers la base et hop tracer passer-tracer et nous retrouver del'autree côpté à pouvoir ou peut-être devoir téter le lait qui est ce lait dit du passé d'un passé tracé passé haut haut passé des treaits et autres tracés desz données de roche on est hautes parce que voilà on monte on ne cesse ici et là de greave nous hissser au plus haut possible sur pareil muret a fin de trouver exactemeznt l'endroit par où en tant que fée des bois ou fée du pré on peut trouver incidemment ou invariablement à passer notre corps lové et hop traverser filer passer donc de l'autre côté côté sein donné côté lait de trait ou même on dira côté passé soit côté passé vrai traverser filer et nous coller à ce néné de roche haute ou dit de roche haute filer c'est forcément tracer et nous coller à une sorte de dessin de porte qui est une sorte de tracé fait à main levée sur roche genre aiurochs eyt nous de nous loger voire lover en cette sorte de tracé de porte anfractuoisté pour une entrée -fanfare en cette sorte de rotonde ou d'enceinte prairiale aux bêtes -masse on entre on regarde on entre ensembvkle on mate grave les betes de salle ces aurochs et autres buflles amadouées bouquretins des prés anti:lopes au taquet c'est sûr que nous on aime mater ce genre d'animaux de pré qui sont bêtes tracées bêtes sur pieds groooses bêtes au frais on aime on mate on ne cesse de regarder et de se dire que peuut-êttr oui ces bnêstes ainsi treacées sur paroi ornée sont bêtes de trait sqoit bêtes par où peiut-êttre on peut espérer pouvoir il xwembleraoit passer passer à travvers traverser b^etes à traverser il sembvloerait on ne sait pas mais peut-être qu'en effet voilà ces bêtes de poaroi servent à ça à traverser la rochevoie et hop njous placer ou situer ensembkle en tant que fée c'està dire deux ailes et un corps maigre fait de verbe ou ccomment on pourrait s'exprimer car on est dans la mort fée on est des fées une fois la mort a chevée ou parachevée c'sst-à-dire octroyée ou offerte ou donnée on se retrouve transqformée ezn fée ou fée de cimetière on est toute changée qu'on soit au tout départ un homme de fait ou femme allouée ou autre chose mille choses peu importe auu départ ce qu'on est en v rai parce que voilà une fois qu'on se retyrouve eh bé décédé on est fatalement remodelée reformée renouvelée sous fotrme de fée dit des prés ou dite des prés car voilà on se retrouve dans un pré de base pré de rage pré aux bpêtes sages sqoit savantes elles savent elles en xsavent lourd et large elles nous matent on est entrées on a passé la roche initiale roche de grotte roche profonde et dsu coup on monte on est en vrai comme soulevé a ttirée tractée par une espèce de force drôle drôle de force qui nous époumone nous pousse fort nous tracte sans cessser nouys pousse et nous pôusse encore à monter de chez monter en cette sorte d'enceinte haute rotonde des rortondes on est aspirées ou commpe aspirée et du cfoup oui en v rai e,n ezffet on peiut dire qiu'on est comme remontée et qu'on se porte haute au plus p^rès de l'ultime muret qui nous est présenté en cettre sorte de r(otonde aux donnhées bestiales floriales praioriales on monte en haut ou tout en haut on monte les niveaux les différents niveaux de roche on creuse sur peau peau de roche on veut tracer de chez treacer on ne veut plus s'arrêter on veut poursuivre sur notre lkancée et essayer au plus possble d'y aller de creuser la roche haute le muret des fonds de poche et hop piquer piquer du nez traverser la poche hop passer soit passerr rensemble c''sst à dire ailée ce dernier muret direction cette sorte en soi de sein de roche ou sinon de roche peut-être de poche ou comment car voilà on ne sait pas on veut comprendre comp^rtendre et toucher tracer et aller en ce dernbier tronçon de roche direzction ce tra&it trait de poche verbe haiutain verbe des fins verbe alloué à une sorte de passé bon train qui vient vers nous il sembleraiot comme nous rtetrouver ou disons retrouver comme si de fait il nous cvonnaissait ou nous a vait déjà connu à l'occasion dans un passé ancré lointain un peu reculé et pourta,nt c'esst en vrai on dirait demain demain matin un passé programmé qui est donné et a ussi une donnée qui est pour ainsi dire allouée à une sorte de tracé marqué incrusté comme gravé à même cette roche aux nénés szoit ce sein des sein frontal des bouts de rocher et autres fins de pré matutinal on mùonte on creuse on saute on a envie en v rai ensembvke de creuser de chyez creuser le sable des données hautes et du coup de passer ensembgle bras cou genou pieds et panse en cette sqorte de passage dense et hop aller ou comme aller pour de fait toucher à ce nhéné plein de lait qu'il nous reste à attrapper et à téter sans plus lambiner on se doit de grave attrapper ce dit néné des fins de pré ou de l'après de l'après-prairie bêtes au taquet herbes données et du coup téter à c e bon lait ici de mère assoupie de mèree endormie ou à moitié endormie et s'en gargarisezr pour ainsi dire avaler sans discontinuer de ce lait acide ou pas acide ou sucré ou plus ou moins sucré de mère fluyide mer de lait haute contrée on aime le lait c'est vrai que nous en v rai on aime beaucoup le lait on mpourrait facilement en boire toute la journée vsans nous arrêtrr on adore le lait la mer de lait le lait de mère et autresxd laits de verbe c'sst un fait avéré et avoué comme quoi de fait le lait c'est di nfgue comme on l'aime on pourrait sans se forcer en boire des tonnes des ;litres entiers sans nous arrêter boire de chez boire plein de lait et s'en gargariser s'en faire des gorges profondes en roter $sans gêne comme des bébés eh bé qu'en vrai à présent on est on est redevenue bébé la mort l'enclave de la mort passée ou dépâssée on était la fée des roches et puis hop on a sauté le rubicon de l'ultime porte et on est là de base qui tétons à ce téton de base sein donné lait nacré saléb -sucré on se régale on tète bde chez téter ce néné donné d'une sorte de mère allouée à quoi à un derrière à un passé derrière à du passé de ferme à une sorte de passé hors cimeztière on cherche c'est-àd-re qu'en vrai on a pas fini de chercher on est lancée on v eut toucher et aussi cerner mais squrtout téter mais quoi on dit que téter et toucher-cerner ou cerner-comptrendre c'sdst pourainsi dire du pareil au :même est-ce que c'est vrai est-ce que vraiment on peut tabler sur un dire tel sur pareille donnée affichée sur pareille sorte de donnée de roche on ne sait onj creuse en vrai on creuse la roche on ne cesse de creuser la roche on a envie ensembkle de tracer et de compre,ndre ce qui est de la mort donnée de ce qui nous atte,nd après le pré c'esst)àdire dans l;ongtemps car la mort en vrzi est un temps donné ramassé comme circonscrit en termes de paradisou dr'éclaircie au sens cde claireière mais en vrai après après la mort c'est-à-dire derrière il y a autre choswe il y a une sqorte de mer de roche mer haute c''st-à-dire ancienne encore plus ancienne qu'ancienne on pourrait dire et cette mer cette sorte de mer des données hautes et profondes est une mer de lait mer haute emplie de lait de loait de roche nacré lait de trait qui est du lait non écrémé non pasteurisé car directement sortyi duu néné de bête altière ou de mère s'il s'agit de fait pour l'occasion de lait de mère et non de vache de tra&ite vache sacrée s'il en est mais on dit parfois que la vache sacrée et mère de trait sont une seule et même sorte de personne à lait ou disons aux pouvoirs de lait ou aux pouvoiurs lactés vache de trea&it et mère naturelle ou non naturemmlle mais de fait nourricière vache-mère le lait on aime on aime téter soit du lait de mère soiut du lait de bête brebis anesse lait de vache de trait ou de vache d'ambre on aime tétyer c'est vrai que nous sans rire on adore téter on pourrait téter à longueur devcsemaine sans nous arrêter une seule minute sinon en vrzi pour roter de temps à autre et nous soulager de la sorte nous requinquer nous remettre et hop re-tétée on ose on ne cesse de téter le klait on aime grave téter du lait on adore ça on aime à la fois le lait et auussi téter on pôurrait sans se démonter téter de chez téter à :lo ngiueur d'année sans pour auta&,nt en péter on pourrait facile téter des m=ois durant avaler le lait des tourments du passé des tourments du passé du passé donné octroyé en passant c'est-àdire pendant que voilà on erst là le nez sur le passé à téter du lait et hop on ingurgite on s'en gargarise on avale grave on se dit que oui le lait nourrit qui nous remet ezn quelque sorte hors parade dans un sac de roche ou poche hauute prête à quoi prête à se revoir peut-être là sur terre sarde à cerner de base un paysage sage paysage de voix ou comment on pourrait signifier pareille contrée qui nous regarde ou semblerait nous regharder dès notre néaçsszance cercle alloué nà une sorte de passé comme remonté sou forme a nimale d'un bébé de france ou disons en ce qui nous concerne ici de france chacun son paysage sarde pour nous il est de france parce que oui ici albi la france une sorte de pays des transes et hop nous voici nourrie on tète une mère assoupie en colère du verbe on tète du verbe on trace on est sales on est donnée et une donnée on est ce bébé des do nnées de base qui pour le coup et en vrai cherche vif àattrapper le bout dsu sein p ôinté nprêt à être secoué ou disons absorbé ou disons entouré de lèvres à coussinet et hop on tète on aime on aime bveaucoup le lait on vouléait téter eh bé oui voilà on tète on ne s'arrête plus on aime téter le néné v elu le néné donné avec ses petits poils tout enroulées emberlifcficotés nous on adore on aime ce lait dit de roche on monte on se retrouve ainsi à nouveau rtransformée non p;us cette fois-ci en une sorte de fée des prés mais voilà en une sorte de bébé des voicx bébé docte bébé de porte qui comptend des choses ou pas mal de choses au son des voix qui font que voilà il monte il cerne il devient elfe il devient le moi roche haute des parois le voilà qui ose en vrai creuser sur pied une sorte de destinée de la vcoix montée ou sinon montée redressée et hop on monte on va on envoie on essaie de base de comptendre ensemble ma foi ce qui va et ce qui ne va pas et là on se dit que peut-^tre oui on va pouvoir un de ces quatre mieux comp^tendre et toucher à cette chose d'une sorte de paroi finale ou terminale mais qui en vr(ai est une sorte de passage vers un enè-ième convoi de choix de bêtes de salle aurochs ou pas on ne sait pas o,n raegarde on wse dit que voil:à on a pas lmal encore de temps devant soi pour arriver à un jour comp^tendre cerner enfin toucher à une sorte pour le coup de vérité tracée de vraéi tra cé de vérité ancrée nacrée ou comment elle est ou sezrait ou sezra on ne le sait pas on est là poiur le comprendre ensemble et tracer de fait sur paroi le bout de gra s tracer ample chargfer de bêtes de parade et hop on colle on sonde on veut toucher ensembvle cette chose qui ici semble vouloir à nous nous faire signe nous donner du mou nous dire des choses nous vouloir pour elle dans la poche ou comment en vrai car on ne sait on ne sait ni qui c'esst ni ce qu'elle manigance ou disons envisage envisage avec nous qui est-elle et que nous veut-ellle qu'est-ce qu'elle veut ou qu'est-vce qu'elle vcoudrait ici nouys dire en ce passé des dires tracés ou sinon tracész simulés que veut-elle stipuler qu'est-ce qu'elle est qui nous serait utile ou comment dire on vibre on va on est là pour comptendre ensemble une pâroi un antre un p)ré de france c'esst)àdire de la,ngue avec bêtes-mots de façade-parade et mur haut qui est ce mur du fond dit mur du son qu'il nous importe en tant que fée ailée de traverser sans trop tarder et du cfoup de cerner de chez cern er et de voir à comprendre de fait ce qui ici derrière sezrait à vouloir se tramer en termes de peut-être lait des l :aits lait de mère ou mer de lait peut-être d'auiilleurs plutôt de mer de lait une mer de lait la mort passée c'est-à-dire dépassée une sorte de mer de lait ent§iezr de mer de lait non trafiqué soit naturel de chez naturel mezr haute mer post-pré post-roche post-tracé d'herbes ou post même cimetière car oui le cimetière est un temps donné mais la mer lactée est plus loinrtaine qui est prête on commùence à nous y retrouver à comme nous embarquer et hop lait de mère intègre non érsdulocoré non trafiqué naturel de cghez naturel une bonne tétee direct au néné au néné de mère pour une ghorgée et plus qu'eune gorgée ou plus qu'une lampée de ce lait naturel afin de oui voilà en avancer en ce tr acé des post-parois des termes termes tracés teerrmes des termes soit des finalités de terre on aime et téter et taire ce qui en vrai ne peut êztre pour le coup for(mulé on dira citera wittgenstein on ne traîne pas on trace on avance on veut grave ensemble toi et moi et main dans la main comp^tendre ce qui va plutôt et ce qui ma foi peut-êttre ne va pas vréiment oupas commùe peut-êttre on le souhaoiterait concernant ce tracé post-pré cette voie d'accès au-delà de l'ultime muret et cette sorte de néné naisssant ou renaissant qui viendrait à nos côtés se donner à téter sans se tourmùenter sans faire plus que oça de simagrés de manières génées ou autres gênes tentaculaires on aime le lait on veut en teter parce que oui on aime on en redemùande on est comme une sorte de petite bande aficionante ou comment on pourrait dire pour ici se faire comp^rtendre on adore l'ambre lait de chambre on adore téter on adore boire et avaler du lait une mer de lait est-ce raisonnable qui croira ce fait qui voudra obtempérer et do nner en vfrzi de son acquiècement à pareille salade sauvage envoutante peut-êtrte mùais hum complètement tarée ou sinon tarée complètement à la ramasse d'une sorte de pensée sous chanvre ou va comptrendre or en vrai on voit on sent et on entend dees choses qui peut-être ont l'air folles à première vue mais voilà on dit ça ou ça on trace on avance on dessine des surfaces on dessine aussi des formes peut-être risiblkes fortement risibles c'est possible mais en v rai ce risible ici est une forme comme qui sait assoupie d'une sqorte de parole docte autre ouccomment dire car oui ce qui ici nous semble ou nous parâit risible ou hautement risible est du dire masqué dire de trait de haut trait ou de trait haut qui ne peut de base swe montrer de face mais en vrai est est le passé est passé de haute volée est du vrai de vrai passé de haute ou très haute volée ou nichée qui contient ou contiendrait nombre de véerités des vérités comme on ne saurait les imaginer en tant qu''humain / humaine des contrées terrestres et autres bêtes surnuméraires le passé renaît qui se voit alloué à une sorte de post-pré soit de vie a&près la mort comme qaui dirait méis qui le sait qui ose qui prononce en vrai les donnéesz profondes dires-faits qui connaît la roche comme sa poche qui comprend le rire haut des sorties de rotonde et autres enceintes-préau qui sinon soi c'est-à-dire la voix voix de haute-contre qui envoie du bois grave la roche trace ses paroles à même la paroi des gtrpottes en v e"ux -tu e,n vfoilà et nous voilà hautes hautes voix des voix de roche on monte on envoie on voiut on creuse on veut cerner ensembkle les dsonnées de base et du coup comprtendre da&ns la profondeur ce qui ici ou là se passe sur paroi de charge et aussi nous regarde nous mate nous regarde tracxer comme à main levée et de rage un grand nombre vde données qu'on ditb animales et c'est vrai elles qont anuiùmames p ariétalement animales mùais pas que parce que la bête ici des cieux est bête à bon dieu bête -être bête-mots de roche haute traéit des traéits passage docte on peut creuser on mùonte on passe on veut toucher en wsemble le passé de france ou plutôpt szon passé à soi de france et navarrres p)assé-danse trait pour trait tracer de chez tracer comprtendre = donner donner du frais du passé frais à cette sorte de romance des données du frai et hop en avancer grave de chez grave en ce dit passé aux nénés et donc au lait au lait tiré trait et de fait donné à ce bébé re-né qui vient de france soit du franjçais de la langue franche renaître de ses cendres comme qui dirait eznfin il nouys srmbkle et nous de nous laisser charmer peut-être à genou par tel néné de gnou néné né le mur travezrsé soit après la mort donnée mort avérée on voit la chose chose ronde néné né le mur passé qui est néné de tous lesz nénés une sqorte de don lacté ainsi octroyé à une sorte de bébé rené ou qui swera&it rené du fait que cvoilà on est morte et enterrée ou plut^$ot on est mort ou morte et entérée / enterré et là on monte en tant qu'on est ou qu'on a éteé transformée en fée en fée de roche ezt de pré on monte on pousse la porte dite porte aux fées et on se retrouve tout guilleret rechangé remodelé en forme de bébé post-porte comme qui diraiot soit de bébé de lm'après-roche du dernier muret des finazlités finalités ancrées et autres termes de contrée p)rairiale de type pré pré des prés pré fleuri au taquet et autres champs de blé dit p ara dis on trace et hop on se retrouve sur plzplace prêt et prête les deux ensemble à de fait téter en wsurface puis en profondeur le laiçt en souffrance lait de france = klait donhé d'une lan gue en particulier ici la langue fra,nche et le tour est joué on se vfoit téter o nn est entrée on est passée et nous voilà le nez collé à ce néné de bout de rocxhe dont le nom donné est poche poche à lait poche de lait quand bien même en vérité le sein n'esst pas vraiment une poche ni un réser voir mais une sorte de vsource primaire sqource vive aux données vives dont ici le fvruit erst une soprte de parler de vie parler vif ou p arler en vie ainsi délibvré d'un passé meurtri ou comênt stiupuler les données du bruit des anciennetés du passé tracé des données cuites et auvtres mets moins rafffinés on ne sa&it on trace on cherche ensemble à nous y retrouver en cete sqorte de post-sarabande des données qui toutesz de fait ressemblent à s'y méprezndre à un passé déjà traversé il y a des années en france il sembvlezrait ou sin on e,n france en espagne ou sinon en espagne en pays sarde maiçs qu'esst-cfe qu'on e,n sait que sait§-on des traces du passé maussade du parler ancré des données de trait et autres traites de l ait ancestrales on cherche à comp^tendre on essaioe de comprendre enwsemble un certain nombre de données données qui toutes réunies ensemble et accolées pourraient en vréai nous en app^rendre grave et nous donner de quoi ruminer de chez ruminer quelques années sans jamais qui sait fatiguer du fait que oui le passé est dense large encore largement à devoir explorer en toutes ses contrées on ne demande qu') à téter et du coup explorer ledit passé des données hautes et autres tra its de roche ancestralesz téter téter à ce néné des entrées post-roche un néné de poche mer lactée qui sait on pourraitv en douter mais nous on a plutôt envie d'y cr(oire d'aimer de toucxherr à cette choseciici formulée comme quoi la roche passée on se retrouve tout ou toute retournée à devoir en vrai et de fait téter du bon lait de mer ou d'une mer de lait telle qbue l(aprreès l!'après mûret nous la réserve ou réserverait qui sait on pourrait le penser se dire que oui en effet la mort passé le passé lacté revient ou reviendrait à grandes ebnjambées reformulation reconsidération révolution reactivation ré vision de données hautes hors rotondee on le croirait et peut-êtrte qu"'en effet c'est vrai c'est pas pipeau ça sezréit ça serait en vrai que oui le lait ou du lait post-pré nous attezndra&it s-ous forme infinie de mer agrandie ou comment on pourrait décrire dire expliquer cette zorte ici de mer egée de mer rouge aux traits de mer des accès des données naturelles on cherche c'est vrai qu'on est pas arrivée qu'on a pas fini de chercher que les données en v rai question mer de lait ne sont pas données et dema,ndent ou demanderaient beaucoup de travail de travail de recherche d'exploàration en leurs moindresb recoins et autres coins de haute porte on mùonte on ne cesse en szoi de monter sur roche mais voilà la porte est encore haute de chyez haute le chemin est nlong qui nous voit aller aller de chez aller un peu poussivement parfois voire carrément lentement à la conquête ou comment dire d'une sorte de qui sait paradigme non édulcoré mais bon on ne traîne pas mais le chemin monte drôle de roche ça monte on vole maios voilà loa porte est haute on la voit de là de là on se pose mais elle est encore drôlement haute encore très haute pour nos bras nos ailes et bras ça monte on y va on envoie t§out ce qui en vrai pour nous nous est possible d'envoyer en soi mais vads-y de rage c'est pas si facile c'est coriace on a le vent en face on se fait en vrai souffler de base sur nos visages on est freinée de base par du vent de face on trace ma&is le vent de face nous fr$eine ralentit un peu et nous empêche de tracer mieux d'aller plus vite et mieux vers une sorte de mer des feux des feux-miroitements acqueux au lait de traits continuellement renouvelés comme peut-être autant de vagues on veut comprendre on en a pas fini e,n vrai de comprendre-cerner toute cette sorte de payasge de données marines et autres dobnée dites du vent donné on monte on creuse on veut toucher à ce néné des données les plus hautes qu'on pourrait en vrai ensembkle rencontrer en ces contrées du bout du mùonde on est quii on est des bébés qui avons tracé pendant un lo,ng momejnt sur pré en tant que fée et à présent on est comme à se laissser porter ou guider par une sorte de mer a&paisée mer de lait qui nous emporte nous porte et nous apporte grave jusqu'au port qui est ce port de base ou port-base où pouvoir de fait enfin se poser soit se reposer de tous ces tourments soit de nos tourments passés traversés vécus de près et dsu coup soufflezr de chez souffler et essayer dès lors de nous retrouver et de nous requi nquer sans plus tarder essayer de nous y retrouver en toutes ou sur toutes ces questions de néné donné de mer de lait de vagues renouvelées de vent mauvqais qui sait et aiutres faits de flottaison on est le bébé du pont on veut surtout téter le léit donné d'une mer non agité et s'en gargariser à volonté si tant est avaler le lait être tout à l'unisson d'u ne succion comme accouplé à une giclée-don de ce lait trait et hop on tète on ne s'arrête plus on aime grave téter le lait soit le lait donné des dxonées de bosse = sein donné comme à la tirée ou même sein donné du fait que oui on est montée on a traversé le der(nier muret et là on a croiçsé eh bé ledit néné qui nous attendait qui nous voulait pour être soulaghé soit dégorgé et comme vidé de son lait de poche ou de roche -poche et hop téter téter du frais du non frelâté du lait enfin donné vcomme une sorte de denrée haute ou la plus haute des denrées qui se puissent excister et être ainsi donnée hop du lait on monte on tète on se dit que oui il y a ici après la mort après le pré qui est un paradis une sorte de contrée de vie quyi est qui sait contrée du passé le passé remis ou replacé au gouût lacté du jour redonné on regarde on trace on a envie de voir du pays de comprendre nos envies ce qui nous anime da ns la vie ce qu'il ya là qui serait comme en souffrance en soi en tant qye voix paroles de soi mots tracés ou pas m ais au moins prononcés du coup à haute voiux et ces mots de base ou mots de rage sqont foi foio de roche et bois foi animale foi des rois et reines sardes foi en cette sqorte de paroi des rois et rei,nes des voix on passe on regarde on veut cfomprendre et du cfoup cerner à ce néné des données finales ou terminales et hop c
reuser charger allouer à du passé les mots d'un antre qui est antre aux données de rage données sages vraies donnhées du ventre une sorte de parade immense et nous voilà comme autrefois à chercher à comprendre ensemble le pourquoi des choses ici -bas choses d'une transe ou d'une danse de sabbah et pourquoi la raghe la paroi les dessins-traces bêtes de poids qui nous font face en veux-tu en voilà pendant qu'on trace qu'on en avance qu'on envoie qu'on cherche à comprendre une sorte d'envoi de mots dans l'au-delà de la mort franche on e nvoie mais pas que ça on trace et on envoie mais en vrai pas que ça on file grave dans une tourmente ma foi mais on s'en bra,nle on veut comptendre comprendre et toucher ou comprendre-toucher à ce néné ou ce néné rempli de lait et en vrai on espère que peut-^tre" qui sait on finira par y arriver et du coup de s'expliquer ce qui ici est qui est du lait on dirait une mer de lait une vraie de vrai mer de lait apaisée mer apaisée et lait aussi qui sait apâisé et hop à devoir vite fait téter de chez téter sans traîner car la faim nous presses qui ici post-pré nous tenaille nous pousse grave à attrapper l e bout du sein le teton mordoré et à le pincer pour en faire sortir viteuf du bon lait de roche et hop envoyé c''st pesé ou pesé envoyé on ne sait on mùonte = on tète la bête = vache à lait de base on veut tirer = téter le dit lait de vache qui nous plait qui est pour nous donnée des données et nouys voilà qui sommmes ainsi en tant que bébé mis au pli du lait tout alloué tout donné tout apporté et hop on tète sévèrrre on est qui on est comme peut-etre des petits de fée on est comme nés d'une fée né de fée qui s&it ou alors on est la fée qui s'est transformée en bébé une fois la mort passée soit le cimetière la terre la tombe attitrée hop un bébé naît qui lui veut téter à la mer de lait qu'il voit en sa jetée en ses ondées vagues de lait sur vagues de lait il tète = on tète on ne cesse de téterr du lait car le ;ait c'est vrai qu'on l'aime on ne pourrait plus s'en passer on nje veut plus que ça la mort donnée téter téter en vrai téter de chez téter et ne plus nous arrêtrer jusqu'à sa&tiété jusqu'à êztre repu complètemeznt rassasié qu'on en puissee plus et là alors on pourra se poser et se reposer dormir sur so,n passé et rêver à des données de roche à des choses enlevées à des histoiresq drôles ou sinon drôles hautes de foi en soi en la p arole en tant qié'élément de la roche faisant foi faisant ainsi qu'une sorte dee passage docte etst ou puiise être de fait là pour soi de mort à trépas parole haute docte de moi à toi ou comment dire d'un endroit de soi à eh bé qui sait un a utre endroit de zoi ,on monte on essa&ie ensembloe de toucher à cette porte d'un dev&njt de soi qu'on n'espérait plusz auquel on ne pensait plus ou plus vraiment alors que oui ce tracé qui est du passé existe est toujopurs d'actualité ne cesse de lorgner sur nous de nous mater de la tête aux pieds genoux poignets épaules rentrées qui sait et qui ça pourrait on ne le sait on cherche grave à pouvoir cerner cerner de base ledit tracé ce qu'il représente ou représentzrait de face et aussi de profli qui sa&it on veut connaiottre ou on voudrait connaître tous les paramètres toutes sortes de données qwui seraient de fait activées à jamais c'est-à-dire actives de chrz actives les cerner arriver à s'en faire une idée précise toucher szerait cerner soit comprendre pour de vrai les assises les données concises les portes d'entrées les portées et tracer dire et tracer ce qui nous attire ou nous retiendrait de toutes ces données exquises de pareilles frises aux bêtes cendrées massives qu'est-ce que c'est c'est des titres dires alloués à des données vivess une qsorte de parade grise un vrai trait de prise on ne sait on veut toucher on veut en avancer on veut aller ensembkle le plus loin possible ezn bbande creusqer passage trafiquer e,nsemble et a(rriver enwsemble à traverser eh bé sinon la banquiçse le muret aux frises et autres tracés représentant ici en superposzitions les bêtes du pont et hop on passe la tête en arrière vers le mamelon sein donné de front et hop on tète on avale lait de rage ça le fait grave on adore téter on vfoudrait tout le temps téter jamais ne nous arrêterr dire$-téter du dire-lait comme s'il en pissait ou comme si on en pleurait sans pouvoir s'arrêterrr si vous voyez ce que je ve ux dire téter vif le lait de mer = mer morte ou mer égée ou mer :éditerranéee lait donné est lait de porte ou comme dit de porte et nous d'en avaler sans honte le lait est du lzait sa,ns qu'on ait pour le coup besoin d'e,n avoir honte ou comment honte haute comment voir comment cerner car le lmait est lait d'une sorte de teracé nacré vagues de données lactées comme il nous sembvlezr ait on monte on tète on lève la tête et là que voit-on une sorte de lumière frêle m ais vive quand m)ezme qui nous éclaire venant de derrière donc peut-^tre d'un passé de roche passé haut sous le niveau des eaux ou sinon haut peut-tre passé bas du p^lus bas de soi ou sinon quoi on passe on entre on regaérde on veut comprendre parce qu'on veut entendre comprendre = entendre entrendre pour soi une sorte de voix venant de l'au-delà de soi et c ette voix serait ou sezra la voix de l'a,ntre des données de l'antre d'un tracé entre d'une sorte de passé aux anges et ce passé sezrait comme à vouloir là en vrai nous mater de chez mater comme si en vrai on devait ne pas passer jamais ou plt$-utôt âsser de mur en muret mais szans y passer vraiment jamais juste sauter de'un endroit l'autre et hop rester de chez rester en vie même dans la mort et même après la mort dans cet espace de re-vie de renouvellmement de vie soit de vie vive ujn passé de rive qui en vrai nous verrait revoir ou voir à reconsidérer kles données actives d'une vie de rive post-pré post-muret posqt-alacrité et post -acidité en termes de néné qui est pour le coup à ne pas ou plusb lâcher jamais du moment q'on est à l'avoir attrappée à l'avoir cerné ou pincé pour téter sans plus tezrgioversqer hop du lait lait de porte roche haute o,n veut téter on nje ve"ut pas s'a rrêtter on ne veut que téter téter = boire = avaler = entériner ou emmagasiner du savoir lettré ou comme nt dire éduqué ou sorte de savoir des bases mots donnés mots des mots vdonnées car en vfrai les dits mots de roche soit les animùaux sont des mots qui tous nous sont données ici de proche en p^roche sous le sein donné ou comment dire avec du lait ou en même temps que le lait ou alors disons que e n effet le dire vrai est du lait frais lait de trait qu'on se plaît grave à avaler en veux-tu en voilà parce que voilà on renaît on est re-là on ne cesses pas de re-être à toi à mùoi en cette sprte d'après-paroi qui ressemble à ma foi une sorte de mont de roche a ux voix de haute-contre ou au contraire sisiurrrée ou qauoi d'autre car on monte et en montant on voit et ce qu'on voit ne laissse pas de nous squrprendre on voit eh bé en 1 la mer étale une sorte de mer de vagues vagues bkla,nches très blanch une sorte on dir&it ici de mer de l&it et 2 le ciel de traîne à peine nuageux et sesc rayons de feu venant de dezrrière bref une sorte de pâys de feu et autres eaux de feu surnuméraires qu'est-ce qye ça pezut être on cherche peut-)être qu'un de ces jours prochains ense^mble quiç xait on trouvera on arrivera àco:mprendre on en saura davantage on y verra plus clair en toutezs ces choses d'une sorte de p arade nuptiale sur paroi dite de la foi en cette chose d'un langage ou xd'une langue faiszant passage-traçage à toi à moi de vie à trépas des al:lers de choix pour desx retours de voix à toi à moi la langue sarde un e sorte de paroi des rois et reines sardes un envoi la langue sage va et vient et se bala de et passe d'une t ête à voix à une tête à voix balade promenade ca&valcade corso roi et autress parades amicales on voit ce qu'on voit on veut co:mprendre gra ve la paroi et aussi ses jhoies ses dessins de choix ses bêtes immenses ses traits de commande on trace on veut toucher e,nsemble à ce convoi de promenade et du coup il semblezrait tracer soit toucher soit traverser de r age une szorte de tracé ancré et hop on est d ans un pré toute femme femme dans tous les cas car fée ou transformée en fée et là on s' avance au plusz près de ce dit muret des finalités et on cherche à co:mprendre p ar où en vrai on pourra&it passser sans swe fvaire mal sans s'amocher sans y laissser xdes plumes ou la sa&nté mais fissa et comme fleur de pré tralala passser filer aller nous retrouver de l'autre côté à essayer de pouvoir cerner en vrai ce qui est en termes de mer de lait une vraie mer ou alorsq une mer fausse vra&ie ou fausse ça sezra&it malin de poucvoir deviner cerner dire et comprendre et peut-êttre à j amais pareille tourmente post-parade post-muret comprendre pas mal de ces données fvci nales ou dites finales de quioi il s'agirait de quoi il en reyournera&it qu'est-ce qye ça se pourrait que cela soit en vérité en termes de donnée qu'on dit lacté ou qu'on dirait lactéb chercher de chez chercher ensemble à cerner ici les données qu'on dit ou dirait l ctées du moment qau'il ya ujn néné qu'un sein est montré ou comme déplissé ou comùênt dire du néné montré qui nous serait donnéé sans plus de chichi comme à la retombée d'e pareil muret aux fins fonds des prés on chercherait on cherche on essa&ie on creuse on essaie ensemble de cerner de rage ce muret à quoi il ressemble et par quel trait en lui on pourra&it peut-être se faufiler pour pa sser côté mer salée ou mer sucrée s'il s'agit pour le cdoup xde lait de mer de lai s'il en est et qui sait peut-^tre peut-êztre post-mort au-delà de la mort du port de la mort post-pré donné et traversé il y aurait une sorte d'immensité de type lacté qui wsezrait une sorte de mer au lait ou de mer de lait à pouvoir téter sans plus se gêner ou hésiter etceteraa ça pourra ça nous dira ce que ça pourrait en vrai être pour soi une fois là-b as on eqst des voix on entrte en tra,nse par la voix on se promène de ci de là sur paroi soit sur pré-paroi ou prairie-paroi et une fois qu'on s'est pour ainsi dire assrz promenée qu'on a assez sauté et sautillé exploré dansé aiméetcetera on voit là-bas la roche du fond fond docte fond des fonds à peut-êttre devoir comprendre soit certner sur pied et du coup qui saé&it traverser si on y arrive et on devrait on dfevrait pouvoir ensemble traverser passser chezr cher issue de pré et entrée en cet après-pré qui est sorte de mer allouée à u n e sorte d'imme,nsité de type Verbe Verbe alloué à une sorte d'imme,nsité de type Mer ou alors mère ou mer de lait ou lait de mère ou comment expliquer les donéesvdernières d'un passé ici qui renaiotrzait sur terre il sembler&it en tous les cas on pourrait le penser se dire que peut-ettre en ezffet le trait dit de lumière ainsi repéreé en ce dernier muret sembvle ou swemblerait être un trait par où qui sait pouvoir ensemble à toi à moi traverser de chez traverser vers ledit néné néné des nénées de l'après-mort ainsi dépassée on se dit que c'eswt un fait que cette sorte d'anfractuosité e,n ce muret est une cjhose vraie qu'il nous suffit de savoir répérer et grave le tour est jhou!é on doit pouvoir facilement se faufiler et filer vers ce passé ou ledit passéc a ux données lactées mer de chine vie vive retravaillée mer active mer de lait comme il en existe qui sait ailleurs mais est-ce hé peut-être la même chose une voie lactée dans un ciel de traits on est passée on voit ce lait comme larvé mer étale lactée livrée déplissée comme donnée en ce qu artier d'une post-paroi enclavée on mate c'est vrai que nous de fait on aimera&it comp)rendre et du coup apprendre ce qui ici de cette mort dont on nous parle on doit pouvoir de fait comptrendre en termes peut-être de voie lactée de voie ou de mer lactée voie de mer qui s&it ou alors autre chose voix de mère et dsu coup on aime ou comment follement du fait que e"n effet le passé remonte un passé de trait en effet swzer&ait là sans ou a&vec voix à vouloir remonter vers soi c'est-àdire vers moi ou versq un soi qui est ou serait soi de roi ou reine des voix on monte et on voit quoi on voit une szorte de voix ou comment ça car une voix ne se voit pas eh bé je ne s ais pas pourtanjt voilà on voit ça une voix une sorte de voix qui serait là cxomme une sqorte d'épaisseur de voix voix en soi voix haute et commedépliçssé sur mer de roche ou mer de la&it et hop on monte on creuse on cxhezrcxhe on aime sûr que nous on adore ça cette voie aux ombres ce tracé post-porte qu'est-ce que c'est c'est peut-etre de la roche encore ou sinon de la roche quoi du vide des voix du passé-rotonde ezncore une foisz le cercle des voix ou quoi d'autre qui ici à partir de szoi viendra&it à nous inclure en une sorte de passé de vie ou de passé-vie ainsi défini on veut toucher on voudrait toucher on est qu'on voudrait toucher à ce néné des dsonnées vives qui on est hors frise peut-etre re-^né en tant que néné des données vives on arrive on essaie de base de comptrendre ensemble cette mer étale qu'est-ce que c'est que cette mer étale ce qu'il en est de quoi il est question qu'esst-ce qaue c'est que cette chose d'un tracé post -pré qu'est-ce que c'est que cette chose la mort passée ou dé passée d'une sorte de donnée lactée de type mer méditerranée venant se jeter squr nos petits pieds à nouveau lancésq on ne sait on v eut comprendre c'est-à-dire voir soit tracer ou dessiner à m&in levée un certain nomnbre de don,ées de base genre le passé ce vque cc'est la base des deonnées en tant que verbe alloué en son intégralité ou en son entierreté à une sorte de ici marée éternelle vab-et-vient nacré de vagues de verbe et autres traits d e verbe sacré ainsi rejoués on monte on ose on veut coller à ce passé du verbe ainsi tracé et nous montrer dee fait de la sorte à cette déité du nouveau monde ou du monde nouveau de la mort passée dépassée laissée en arrière ou comme laissée pour trépassée morte à jamais laissée pour compte et nous de traverser la rocxhe à la une à la dxzeux sans anicroche colmme fleurs de roche hop on monte on mate on voit bien ici et là que des choses se passaent vont et vienheznt se tra cent se gr avent sont là qui sont tr ace's d'actes dee paroles avec ou sans voix on y croit on voit que ç'en avance grave xdans le sens où en vrai on voit que oui le pli ici est pris quyi nous envoie pour mieux comptendre sans manières les données de base ou sinon sansb manière d'une façon toute personnelle ma i s comment dire communautaire les données données par une sorte d'entité p articulière de type néné ou néné-mer ou néné qui ser&it la mer ou bien néné né de mère donnée et hop on tète on téète en vrai on a ime téter on cxherche grave à bien téter de chez téter pareil néné de m^ère méditerranéenn,ne on le sait et hop au néné à boire-téter sa&ns se faire prier on aime on veut grave téter on veut téter de ce néné de bpnne mère dxont le nom serait méditerrranée ça pourré&it le faire qui sa&it une mer de lait nousqcsezrait octreoyée la moprt entértérinée à jamais ou à tout jnamais d'une certaine manière puisqu'à chaque fois on renaît de soi on renaît autre autre que soi donc voilà la mer est be"lle qui est toute dorée de wses reflets de mer lactée on aime cette mer de lait on veut la téter en boire quèelmques goulées et hop s'en vgargariser aglou aglou car on sait on sait téter on s ait roter on sait av a ler et aussqi se gaergaroser de ce lait de gnou ou sinon de gnou de bête dees prés ou szinon de bête de néné néné des nénésq d'une mer cendrée on ne s&it on cherche on trace on cherche à tout va ici et là on chercxhe = on essaie = on s'essaie à dire du coup un certain nombre de diresb de tr&it des foisz que en effet un dire ferait mouche qui dira&it du laéit ce qu'il en est en vrai est-ce vraiment de lait dont il est question peut-on réellement parler de lait qua,nd on évoque la questioobn des dites fins de pré ou des ditesx finalités ouvr ant sur une soerte d'après soit d'après-vie ou de vie qui serait située après le moment de la mort ou de cettte mort qui fait ici question peut-on parler de lait post-mort ou post-mortem peut-on envisager une sqorte de contrée contrée de la mort mais qui ser&it de fait sorte d'antichambre à une vie reznouvelée à partir de lait et si oui ce lait de quoi est-il le fait ou bien l'image car en vrai le lait ici pourrait parfaietement n'être qi'une image image connotée on le saoit mais qua,nd même on voiçt du lait on a sur nous l'odeur du lait on a en nous sur le palais le goût du lait on vit le lait intensément la mort passée ou traversée on se dit wque qui sait mouyrir c'est retrouver à volontéb le lait de vie du bon lait du pis lait tiré pour ainsi dire à volonté pour nous en rassasier nous en donner donner jusqi'à sati§été afin de nous alimenter commme il le faudr ait ou comme il le faudra ou comme on se doit ou comme il se doit car voilà téter est un acte de trait de trait tracé de fil doré de filet ou de fil de lait ou perle de léit venant trouver notre gosierr comme évéilllé ou cxomment dire notre a lacrité notre volonté aiguisée notre envie vive d'y toucher ou d'y goûter sans plus tardxer une dfois soi-même comme enterré ou entériné en tant que on sezrait un être décédé pour la cxommunauté mais en vrai tout remonté sous forme de fée fée des fées fées d es ombres et nous voilà t§oute envolé qui allons volons traçons à la recherche de la vérité à propos de ce passé qu'on retrouverait comme à reculons en quezlque qsorte si jamais et hop on poussse la porte on est prête à traverser on subodore la chosexle passé n acré après la porte retour au furtur sur un passé de bure et autres petits faits comme déplissés on est fée puis bébé qui xherchonsz à téter et on trouve de quoi vite fait car le lait est là au bou!t de zoi ou au bout des doigts ou au bvout de la voix voix docte haute d'haute-contre ou pas mais une voix voix de r'oi voix haute de roiou de reine sarde voix sarde de soi hautement placée sur portée de rage on envoie on veut comprendre on veut grave co:mprendre on veut tracer on v eut cerner on a envie e nsembvle en tant que fée de comprendre ce qui est qui sqe trame ou passe au momenrt du passage de vi e ici mêzme en ce pré à trépas là-bas mais s'agit-il de ça le muret passé va t on droit au piquet va t on droit vers une destinée maussade ou pas de ça mais que du lait lait de base lait de voix voix de lait de rage une sorte de voix de bas-âge voix de soi ou quoi ou autre voix qui serait là à nous parler de voix de voix et de voie en ce paysage de la post-paroi post-paroi des rois reines des lois posqt-pré aux bêtes de poids on envoie on essaie ensemble dee passer ensemble l'ultime paroi paroi aux armes aux trais de charme on veut comprendrte on v eut vra&iment comprtendre on essaie enwsembvle de vraiùent vraiment comptendre ce convoi puis ce qu'on voit au-delà du convoi et de la sarabandee peut être ça une sorte de voie soit de voie dans l'au-delà en la paroi aux ttreaits derage voie haute de cxhoix une sorte de voie menant droit à cette voix dite des voix voix haute ou basse voix de reine et roi ensemble voix de l'antre d'un tracé de base comme une sorte de trainée laissée genre voie lactée voie donnée lactée lait de contiguité et de continyuité dans un passé réactivée à la force en quelque sorte d'une sorte de dicxtée dictée des dictée comme szusurrée sans s'arrêter est-ce que c'est vrai est ce que c'rest de ça qu'il serait quesqtion qaiuand o n parle de mont de mont doré de mer plane de paysage rond et de moisson de banc de poisson de mots sardes de paroles de mer et autres vents de face est-ce ?
14/4/2025
On veut toucher à ce qui est qui se présente devant soi = la paroi ! chant de traces ! pets de rage ! on se rassemble = on fait de soi un corps de cendre : tralala ! foi de roi ! on entre . qui on est ? eh bé ;;;;; on ne sait pas , on va , on avance = on trace = on creuse = on va dedans la roche se lover-cocher, cghercher Mort et ses valets ! onest des fées de Carabosse. Traits ourlés.
Porte haute on pass
Porte Haute on veut âsser et nous retrouver comme "dévoilée" ou quelque chose de cet ordre = déliée ;...... comme déluréee ..../..... complètement désinhibéee ........... olé olé on dirait mais en vrai ce qu'on sait c'est que voilà, on est entrée en la paroi, on a traversé de la Voix et à présent qu'on est re-né en ce champ de traits (herbes sacréess) on veut gagner ledit muret des finalités fin de pré ! olé olé on ne sait mais dévoilèe de chgez dévoilée = sonnée ! comme remuée p ardes données de pré qui sont bêtes d'attreaits = de trait , en cette sorte de "rotonde des entrées". On veut gagner la roche ... au fin fond du pré ..... et passer = sauter , traverser encore ... unn autre muret ...... pour se ou nous retrouver ... de fait non plus fée mais cette fois .../ Bébé ! bébé sauvé !
a traversé muret ! a gagné un autre côté aux valeurs tracées : gris des traits et autres couleurs mordorées ! on veut entrer ..... passer ..... pou ssser en ce côté jusqu'aux finalités des finalités . On est des bébés... on est en vrai comme des bébés la mort achevée. On est cfomme toute retournée d'avoir réussibv à passer (d'un coup d'aile) le .... passé donsdaine ! vérité des vérités ! on cherchait, on n'arrêtait pas de chercher , on voulait trouver de chez trouverv ! on n'avait qu'une envie quiétait de trouver, ici et là = post-paroi, une sorte de sentier menant à où (à présent) on sait , à pareil tracé, côté Elfe, côté Lait, côté npn plus cendré mais comme dégagé de chez dégagé afin de bien poiuvoir téter pour ainsi dire le bon laéit de mère, lait-traits, lait post -pré , lait de mère allouée à une sorte de Divinité dont le nom gravé "" (qui sait ?) est ....... Terre ? Trait d'herbe ? terre de Serre ! Père est fait, Mère est faite. On erre . On est accolée en tant que "Ailes Autoportées" ...... pa r du Verbe de trait , bêtes genrées, bêtes de Verbe sondé. On veut :
coller de chgez coller, donner de chesz donner, aller de chez aller et toucher toucher toucher à ce quyi est ici qui semblezrait vouloir en vréi nous faire aller jusqu(au tracé des finalités allouées au Verbe, VErbe ëtre , Verbe des données sondées dont le nom en vrai est ..../ Herbe , HEZrbe des prés ! prés d'herbe ajouté e ! on éime. On veut coller, donner, toucher, aller de pré en pré (pour ainsi dire) direction Nénév . On veut grave changer, opérer notre, en quelque sorte , identification à ... l'au-delà de soi .... bébé - montón .......... voix de Soi venant cfomme ici traverser P°aroi, et là, montons ! coloons et montons ! allons tracer sur pied, une sorte de sentier du front, menant à cette sorte de "Mont des Monts" qui donne ! donhe ou donnera ! donnera / donnerait, enfin .... lait ! lait tiré d'un néné sur pied ! On veut téter. On est re-née à u ne sorte de Néné qui pour le coup nous donnerait (sans lésiner) de son .. "lait de roche " , lait de Porte Haute , lait sucré qui nous apporte les debnrées dont notre cforps bébéavait pour ainsi dire grand besoin, et auxquelles, de fait, il aspirait depuis .... loin ? On monte. On veut toiucher de chez toucher à ce néné ici qui sembleraéit vouiloir comme qui dirait nousz matzer ou reluquer de la tête aux pieds comme si en vrzai on était des (encore) fées des prés alors que non, on a traverséé , on est passées , on est à présent postées de chez postées de l'autre côté co^té Mere , côté Lait, côté VErbe-lait de type vérité lactée. On veut coller à cette sorte de tracé des dites "données lactées" et du coup nous alimenter à même le trait. téter = ptrendre = comprendre = allouer à sa prop^re panse une sorte de donnjée de base, donné-lait ancrée qui, pour le coup, saurait granndement faire de nous , des qui sont (qui sait ?) des ......... bébés-gnous ! on entre ! on veut comprendre. On veut toucher de chgez toucher à cette sorte de péaroi de Ventre. Monter . Creuser. Toucher . faire un pascde côté et téter de chez tétezr le Néné des Panses . On est la fée des (dites) "données", "données de Rage", ayant traversé la Paroi des TRanses et du coup touché ............. touché de chez touché .............. au Néné en Vra&i ....... en tant cette fois que Bébé , Bébé docte = portant Parole. On est né puis re-né puis rere-née à une sorte de Par(oi Haute .... swein touché ? sein au lait .... lait de trait ........ Le passé . Passé en motte. Une sorte de
Passé de'Époque Haute. genre : anté-
de chez anté-pré. On veut :
coller de chez coller à une sorte de néné-passé dont le nom en vrai serait : Porte ! porte des portes du Passé de Roche hors Ombre. Clarté ! juste clarté. On monte. On est née bvébé la roche traversée pour nous retrouver eh bé, comme au temps tracé, Bébé ! bébé doc
te sacghant téter ! c'est un fait avéré ! on est monté. On a trouvé ce qui en vrai était pour nous, une sorte de ..... lieu de rendez-vous ....... avec ..... e-h bé ..... GNou ! Gnou doré des Hautes Contrées . Bêtes sacrée. Une sorte de Passé --Gnou tel que nous, on avait envie depuis longtemps de renconttrer qui sait en passant, en traversant, en se jetant comme on a fait en tant que "fée des prés" en ce Tour(ment donné en tant que Muret, Muret des murets, veznant clotureer ou comme ceinturer ce dit pré des bêtes de trait. On est passée ! nous voici re-née ! en bébé ! bébénou des données hautes ! gnou ! gnou ! gnou ! gnou ! nous sommes ici des bébés-gnous qui alloons post-roche téter l'ombre, sein des ombres, sein du lait des ombres hautes. On veut :
faire ainsi que nous on sache
dire enselmble ... en quoi la parade est sarde
chercher- dire ce qui est qui trace
allouer à une sorte de contrée"étanche" un e sorte de "penseé de rage"
cerner = cerner viif, vif etdru, les données de base telles que nous, bgébés, on imagine
comme deessinnées à mâeme le ....... Passé Ancré, VErbe doté de traits
verbe doté de traits de hautes donnéesz. On veut toucher toucher toucher topucher toucher topucher toucher à une sorte de Passé Ancré qui , en tant que Passé, saurait nous indiquer la Voie à emprunter pour mieux gagner ensemble la Contrée Des Traits, Traits de Base. On veut cfoller, sonder, toucgher, dire et donner, faire ainsi qu'on puisse ensemble en vrai tracer de chez tracer cette sorte de donnée donnée ... des données de rage et autrees envies sages. On est née fée le muret traversé et notrevenvie ici est de continuer sur notre lancée cette exploration dudit paysage post-pré, post )-fi,nalités. On est comme qui dirait ....... le Bé&bé donnéb à une sqorte de Mère - Collée. On est : ................................... bébé des bébés ........... le bébé sacré, saint-bébé des bêtes de trait ainszi treacé sur une sorte de ..... Passé Ourlé ! passé-né ! on est collée ! on colle au néné ! néné haut des mots ... des données de roche ! on monte. On veut toucher à ce qui est, qui, en vrai, ici, se présente, en tant que "memmbre " d'une sorte de "Sarabande des Offrandes". On veut coller à ce Tracé des données franchess, et du coup cerner, poussser, dire et aller, charger de fait ce qui ici de fait pourrait pour nous nous indiqauer, en vrai, ce qui est, le muret passé , nous dire xen vrai, nous expliquuer, donner à ce P assé des sortes de Données qui, toutes, pourraient, szans hnous tromper, nous ins-diquer la Voie la plus Commode , voie haute, pour rejoindre ... Cohorte , le Passé d'Époque , Bêtes fortes, Traits Altiers, Auroques, auroqzues, auroques ... and Roll .; On veut .... coller de chez coller , à (pârdi) ici ........ l'ombre haute, d'une sorte de Cohorte ... de bhêtes de Roche ......... haute R5oche des tracés ornés ! j'ai nommé : la Porte ! haute porte ainsi dessinée ey nous voil:à pâssée ... hop ! on a sauté ! on a travezrsé le muret, le muret de Porte ! on est entrée ! On peut Téter ! grave , le lait , lait acté , des données profondes et autres vérités de roche traversée. On sait ! on sait ce qui est ! on sait, en tant que ... bébé re-né, ce vqui est qui nous rassemble, nous donne à penser, nous fait aimer , donne du sens. On est passée en tant que "fée du pré"" et à présent on tète le lait ... en tant que bébé des données de force, haute force des Tracés gravés ..... on est monté ! on vfoulait (en vrai) co:mprendre, ensemble, lesz donnhées de france = du français ... en tant que langfue ... donnée à la naissance , et pour comprendre ici il nous falla it ...... passer pré, passer le pré, devenir fée la mort donnée , mais après la fée le bébé, après après avoir été fait fée, devenir bébé ! bébé néacré des bébés n acrés ;.... qui grave sait téter dès que voilà, le néné est là, apparait, pointe son nez (bout de néné) et pisse dru son lait des laits ! on veut coller, dire et sonder, creuserr, faire et toucxher, creuser, aller au plus lointain des roches de tra&it et cerner, chercher, toucher-creuser ................ traverser de vchez traverser ledit dernier (ultime)
muret du pré .... direction le néné, mère portée, mère-terre, mère des données du Verbe cendré, on veut téter ! on ne veut que téter ! notree unique volonté la mort une fois donné"ée est de téter de chez téter le néné du Verbe , soit ....... brouter l'herbe ! car, voilà , Verbve = Herbe ! verbve-voix ! = Herbe (verte) des parois ! On voit , on e,ntre, on veut comprendre. On veut toucher de chez toucher )à cette sorte en soi d'offrandev de paroi, offrandev du Roi, Reine des Voix, Charge Haute des Données de rOche. On regarde, on s'avance, on voit dezvant soi, on entre , on creuse, on veut comprtendre, on est "entre", entre ça et ça =
entre deux bandes de paroi, qui cherchons l'antre, antre "entre" ..... don des rOis de CHarge et Reines des Offrrandes SArdes. on est com^me ensezmble Allouées , à une sorte de ..... Divinité ... d'un passé vfr ançais , qui serait : La Bande ! un prêt , une sorte de Verbe Donné ou sinon donné alloué (un tempsq) à un passé dit "des données" et autres "denréées" à nous données. On veut :
coller de chyez collrer, dire de chez diore, tyracer de chez tra cer, faire de chez faire, allouer de chez allouyer à une sorte de Passé les données du vErbe, et ce serait : Le Verbe Vrai ! Déité sucrée ! Lait des Fées ou siinon des fées ...... des Envies de TRaitsz ! des portées ! vrais do nnées de porte ..... haute ! On monte ! on vfeut toucher toucher toucher touycher touycher, touycher à ce qui, ici, semble aller vers nous, pour , en vrai, nous poussser à (ensemble) traverser de chyez treaverser l('ultime muret ! On veut creuser.
on vouydrait, en vréi, creuser de chyez creuser ledit dernier muret aux données ancrées et nous retrouver .... eh bien .......... ainsi lo vées .................. en ce dit Passé a&ux données l actées . Qu'est-ce que c'est que ce passé ? de quoi s'agit-il en v rai ? qui sait de fait de qauoi ce passé est le fait ? qui pour en vra&i nous expliquer de chez expliquer ? qui connaîot les traits (teraits de force) d'un passév d'époque ? on veut entrer = on veut cerner. On veut toucxher à ce Néné des données hautes de type "lait d'époquee" et là, une fois là, une fois ainsi tout allouée à ledit passé, téter ! grave téter ! téter de chez téter le sein nacré des données de Porte ! = boire vif ! avcaler ! boire le lait ainsi donné , d'une sorte on dirait de Divinité dont le nom sezrait, .... serait de fa it ....... en vrai .......................... ROCHE ? ROche aux F2ES ? Roche des Roches aux Fées ? On ne sait ! on veut trouver ! On a pour ambition en vrai de ..........., ezh bé oui ..... trouver de chez trouver le Nom Donné ! ce que c'est ! qauoi c'est ! quel est donc ce nom donné à une sorte de Divinité Lactée ! ? On cherche de chez chercher sans se lassser , sans désemparer, szans traîner mais le chemin est escarpé et ne nous permezt pas en vrai de "tracer" comme on le voudrait .... hélas ! On entre à) pas comp)tés, mesurés, posés. On fait gaffe . On est de base Fée Gravée devenue Bébé (au passage nacré) mais voilà ............... la pente .......... : ................ roche aucx voix ...................................... on est sur une szort e de paroi des voiux , ..................ç a tremble ! ........ on ne peut pas ........ aller de fait plius vite que ça ! ça envoiue ce que ça envoiue ! on est làb mais voilà ! ça trembkle ! On entre ...................................... on est entre .................................. on fait gaffe ............................ on ne veut pas pâsser à la trappe ! ...................................................... on v eut (grave de chez grave) ainsi poursuivre , tracer sur pied, aller, fureter, co:mprendre-cerner, voir venir à soi THE Néné post-pré = Sein Donné par ....... quelque mère allouée = Divine
Clarté Laiteuse, Ainsi Offerte à nos lèvres Heureuses , yeah !!!!!!!!!! On veut téter !!!!!!!!!!!!!!!! on veut de chez on veut (grave)
t"éter de chgez tétezr ........ le bon lait de Trame ! On est bébé -boeuf ! AGneau de lait ? bête à bon Dieu ? don du frai ? colle donnée ? corps entier ? charge-née d'une sorte (en soi) d'entité dont le nom seraéit, ici, le mur passé, ............................... "Sainteté La ctée" ? ................... "SAint des Sainrts Lactés" ? "S&aint Lacté des Données de Roche" ? "Trais des Seaints de POche" ? "Poche-Haute" ? on veut (ici) aller (ensemble) sonder (de base) le français en tant que '""lkangue du passé" et le tour est (serait ?) joué à jamais mais ....... en vrai, la chose 'est pas si aisée loin de là ! on se doit de bzse de ................... creuser de chez creuserr la base = le passé ancré ........... charge des charges, une sorte de Motte Dorée ( ou MOnt des F2es ? ) qui nous " attirerait" et peut-être nous poussserrait à eh bé nous approcher pour mieux t§oucher à son .... néné-montón ! motte haute ! mont ! mont des monts sur motte haute ! une passion ! moisson ! tétons ! buvons (docte) Lait cde Roche et a&utres boissons de haute Éopooque telle que celle, qui, ici et là, nous ..... tendrait ses bras ??? est-ce ça qui est là ? On e,ntre en bande ! on veut comprendre , dire et voir ce qui donc est là qui nous regarde ou nous regarderait dxe rage en face, droit devant ! un antre ? parade ? voix de Roi et REine des Bois ? on veut toucher touycher toucher toucher toucxher touycher toucher toucher à ce qui est ici qui saurait de fait ......... nous guyider grave ......... vers la base ...... un pAssé de france et autrtes traits de luminosité intense (tu parles !) et c'est acté ! noté ! tracé ! ainsi accolé ! on est passdée ! on est passée en t ant que fée et nous voici devenu bébé, bébé de tous les bébés, qui sait téter car (en lyui) c'est (on dirait) comme ancré , inné, gravé, et de fait entériné . bébé sa&it. bébé sait téter sans sourciller . Il sait ce que c'est . Un bébésait téter, sait téter le la&it , le lait de sa mère .............. ou sinon de sa mère de Mère Dotée ! Il sait ! il tète ! la plupârt du temps disons il sait ........ quel bébé ne sait ? Il tète de chez ... tête ! lait de traéit, lait d'herbe =
VErbe ainsi ancré ... en sa petite tête de bébé du Verbe . On veut cerner = donner = toucher = comprendre = prendre = dire = faire = allouer à du Verbe, une sorte de Passé en Herbve = Le Passdé des TRaits, TRaits d'Herbe sur pré ... ainsi "rezmontés" en tant que ........... verbe ? vferbe-traits d'herbe ??? hé ! on se demandait ! on se demandait de base ! on se disait que , en ezffet, peut-être, l'herbe, le Verbe,
le VErbe , l'Herbe ..... traits des traits de l'herbe
= ou égalerait (qui sait ?) le Verbe
ainszi deployé ......./ et du coup ............. ce swezraiot ......... du Lait ? verbe-lait des données "derrière" ? On aime ! on chzerche ! on creuse ! on entre ! on trace ! on cherche grave à (ensemble) comprendre de cvhez co:mprendre, les données intenses, foi de bois, charge antrale, paroi des parois, feu de base. On est comme là pour ça : comprendre "ensemble" ce qu'on voit, ici et là : la Base, la Trace, la Charge sur paroi de rage, une sorte de ......... voie centrale, passage "entre", anfractuosité axiale ............................... c'est quoi ? ........................... trait de choix ! une panse ? une sorte d'ouverture dense ? envoi ? mot de szoi ? On veut toucher à ce néné , en face, des données données, boire le lait , cerner de chez cerner , tracer de chez tracer sans jhamais pls nous retourner car, en vréai, on est re-née ici (ici = le passé) en tant que New BAby "des données de Roche" ! o,n monte ! on veut toucher toucxher touchezr toucxher toucher toucher à ces données de Bosse et du coup téter à la Fée Carabosse ou autre Fée des Données Hautes : Mère Forte ? mère des Fées ? mère-d'ombre ? ombre allouée à une sorte de .... Passé Immonde ? On monte ! on cherche en haut la Soerte de .... niveau des Niveaux ... de penseée Haute, Haute CHose, Haut des Hauts des Données de Porte telles que celles qui ici nous voient tracer de chez tracer le Nom donné, qui est ......... Nom Drôle ! Nom de dscdonhnées hautes , ok, mais en vrai ............. comme tracé à main levé par ... on ne sait qui en vrai ! car on était ........ en train de téter sans plus regarder ... à nos côtés ... ce qui se passsait en fait ! on a raté un épisode ! l'exode ? le passé de Porte ? une sqorte de Pasdsé de Roche ... ainsi Ornée ? on tétait ! on n'arrêtait pas de téter ! on ne voulait pas s'arrêter , de fait, de téter ...... on ava&it envie grave de touhjours téter sans plus nbous arrêter ou s'écarter dudit Néné des Vérités lacté&es autoocentrées. On voulait ! on &éime ! on aime le l aiot et du coup, quand on tète, on ne voit qu'elle ;......................................................................... la perle ! /..................................................... elle-mère ............................................................. le passé ainsi ancré en une zorte de Donnée des Traits . on aime le lait. On aime grave téter . grave on aime téter . On aime grave téter ... le l&it de mère ... au§(tocentrée , autopproclamée, auto tracée.
on aime aller de chez allersur ce sent§ier
des données de l'herbe, herbe v erte
aux vertues certaines , laitues. on aime ! on veut creuser ! charger et
donner-doter ! creuserr et p asser , dire et fouiller, charger)-dire, vivre ! sonder ! pisser-chier sans se retrourner et tracer et creuserr -filer ............ foncer de chez foncer .................... aller de chez a&ller et du coup essa&yer de (ensemble = ailéee) passer de chez passsr , comme en contrebande, le Fo
ssé des Bases Franches = le Fossé de Francxe = La la&ngue = la langue des langues données donnée à la Naissa nce, parrr .......... quii le sait ? ......;............ une sorte de .... Petit Poucet (?) des doonnées Rances ? On ne sait ! on veut toucher de cherz touchze r )à une sorte de passé ainsi dessiné : galbé,moiré, chargé de lait, tout nacré ! doux au toucher et pissant du lait sans s'arrêter ! on veut téter téter téter à ce bon lait de l'Antre ! téter vrai ! avaler ! s'en gargarisezr et s'en remplir la pabnse pas à moitié ! intense ! intensité de la téteé franche ! une corvée ? non pas ! la Transe ! transe au lait et ledit est acté, treacé, dessiné-gravé comme à main levé&e sur Paroi de GRotte
Haute, Haute Transe des Données
Franchesc : mot à mot. On veut cdomprendre, comp^rtendre ensembvle = donner ! Vivre le Passé des Choses A vouées et tracer, tracer grave, en direction dudit Néné aux Données Portées, Sondées, touchées de chez touchées le mur du fond (du fond du pré) passé ! creuser creuser creuser ledit néné comme qui dirait = téter ! grave téter, lait d'ambre, lait des fées qui sait ? et du Passé larvé ! on passe le trait, on mate, on rehgarde, on veut en vfrzi rtoucher de chez toucxhzr à ce qui est ici qui semble ouy sembklerait voulpoir en quelque sorte nous parler en face de Divinités et autres D2ités Intenses, genre ..................................... "de FRance" , le fra nççais ? langue-divinité pârmi les langues (toutes !) - divinités ? on ne sait ! on veut t§oucher = dire = faire = comprendre = aller = cerner =poussszr ! pousssr (grave) la Chansonnette ainszi rapportée et comme deépliée ou déplissée sur un parterre de données en herbe""" ! on aime ! car, on aime l'herbe ! grave on aime ! on aime grave les données en herbe .... et l'herbe , soit : Le VErbe ! vcerbe ainsi tracé à grands coups de Traits les unsz à côté xdes autres sur preé ! tra&aits du VErbe Forment un pré de type .....................EDEN ..................... alloué à une Mort donhé = temps des fées ........... qui ne dsure qu'un Tempsq ................... le tempsq tracé , charge avouée, trait donné ............. pûis le passé reprend de l''air et hop , monte, porte ! va et trace .... sur paroi, le Lait de L'antre entre soi. On Monte Haute ! on est la Femme des contrées Hautes ! voix de choix ! voix,, voix, vgoix des Couches Hautes Des données de Roche ................ voix -ombres ? ..................... on monte !!! on voit ! on veut en vraéi savoir ici et là ce qui nousvoit ! nous regarde, mate, voit en nous la Voie ou quoi que ce soit qui lui "ressemble" " ... ou pas , mais se présente en tant que ...... voix des r'ois / reines des Voix ! et donc ................ tremble ! Peut s'entendre ! peut en vrai (pour la DIvinité) grave se co:mprendre en tant que VOiux de Fée ..... devenue Voiux Bébé ........ tétant le léit ..... des do nnées de frnce (le français, la ngue de naissa nce, celle-ci de fait ou tout autre l angue a insi allouée) . On entre en transe, yeah !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! haute ch arge ici des données bl a,nches ! lait ! lait ! la&ait ! lait ! lait ! lait ! lé&it ! laiot ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! des données intenses , charges dotées, "vin lacté" comme il sembleraiot ! ivresse blanche ! lait nacré comme alcoolisé ! on tremble ! on est toute remuée ! on est féminisée toute remuée = transformée ainsi tr acée, ça le fait ! on veut tracer de chez tracer à notree tour ............ le treait des données ... ainsi touchées ! porter ! donner ! rapporter ! offrrir à ceiux et celles qui , en vrai, bnous regarda&ient aller, cerner, tracer szur pied, nbos petitesss tresses, Les Données du Verbe éinsi "récoltées". Donner de chez donner ces dites "données vertes" ............. HERBVE DU PASSÉ ......... HERBE EN HERBE ....... VÉRITÉ DES VÉRITÉS ....... CXHARGES D'HERBE EN HERBE ....... SAINTETÉ DE L'HERBE ALLOUÉE À UNE SORTE DE PASSÉ DES ^PASSÉS NACRÉES ....... SALUBRITÉ DES VERTES DONNÉES ...... PORTE A&UX FÉES DONNE SUR LE PASSÉ ON LE SA IT .......... ON VEUT PASSER EN CE DIT PASSÉ DES TR ACÉS L ACTÉS ET AUTRES PRODUITS LAITIERS ....... ON AIME ! ON AIME ! ON AIME LE LAIT ET SES DÉRIVÉS ! DÉRIVÉS DES PRÉS , DE L'HERBE, DES DONNÉES GENRÉES TOUCTES "REMONTÉES" ET NOUS VOICI DEVENUE BGÉBÉ , BÉBÉ NU, BGÉBÉ VELU ..... CUL NU ......... VU / P)AS VU ON VEUT TÉTER DE CHEZ TÉTER LE BON LAIT DU TRAIT ..... PAS PLUS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! nu de chez nue ! aller foncer, boire cerner, dire allouer, creuser de chez creuser et du coup ...... combler ? toucxher ? donner ? aller vers une sorte d'entité velue (?) téter son néné ! boire de son lait ! tirer ! tirer grave un peu du lait dont elle est dotée à jamais on dirait ! vache de pré ? vache de trait ? vache à lait des la&its ? vgache sacrée ? on veut ............ teter de chez téter à ce bon lait de treille ou comment on pourréit ici désigner pareille coulée d'herbe ? on aime ! on veut creuser . On a envie (grave) de pouvoir toucher toucxher toucxher à ce sein donné par quelque déité la mort trac$versée, enfin dépâssée. Car, la Mort , La mort"haute" , celle après la Porte du Pré Haut, est Mort De bhossee ! mort De Bosse xdes Hauts ou Très-hauts Niveaux de Roche = le Passé des peaux ! peaux hautes ! hautes peaux de haut niveau de Roche-à-mots ! on mo nte ! on ne cesse en vrai e,nsempble de tracer sur Ambre ! on veut :
dire de chyez dire
creusqer de chez creuser
aller de chez aller
foncer de chez foncer
percer de chez percer
porter de chez piorter
$almler aller a&ller de chez aller aller aller .......... et nous positionner en tant que "Déioité des Déités du Pré" (qui sait ?) qui serait passée, aurait percé, se wsezré&it retrouyvée de l'autree côté de la Côte Pavée à chercher ou rechercher bien entendu Ledit Passé des Données Nues ! passé de rue ! chants de porches et sons de Roche ! Cloches hautes ! ding et dong aux portesz desq Ombres et autres carillonsz ! On monte haute ! on est fée haute des monts de Roche ! on veut ...... féminiser la Roche, immanquablement intégralement inconsidérement : bain complet ! bain donné d'une sorte de volonté ! on veut en entier tracer sur Néné, sur Néné post-fée, des traits allouées à une sorte de "DIvinité l actée" , complètement elle-même Allouée à du Verbe de tra&it ! chant celte ! porte verte ! On v eut féminuiser le Verbe en toutes ses contrées , completement armé, aéinsi, le verbe, de données d'Elles, de tracés de bêtes-d'herbe, traite$s ici des traits sondés , chants lactés, pportes pousséees, doigts de fée, colle ! colle de peau ! colle haute de peau morte ............. sur paroi de ROche et hop, on monte ! haut des hauts sur Passé Haut ! on est l'Homme ........................... mot de trop ! devenu (nu) FEmme au mot, mot de POrte, mot des hauts des Hauts Niveaucxx = Femme Docte et hop, on monte ! on ne veut pls être l'homme dit "'du caniveau"n, des moçts de trop et autres tra&its de bas niveau, mais Haute ! haute trotte ! Haute fée Nacrée des Données de Roche, hop ! monter ! creuserr ! creusrr d'un trait le muret de la Roche "des Données du Pré" et du coup travcerser ..... pâsser ..... passrr viçf (vive) en ce P assé des (dites) "Données Dernières" (derrière) = le Passé des Traits, féminiçsés ô grand jamais .......... pour perdurer ........................... aller de chez a ller en ces contrées dees bouts de roche et autres contrées hautes ainsi situées. on monte e,n trombe ! femme ailée ! deux femmes = deux ailes = une fée ezn herbe ! on aime ! on veut ! on colle ! on re-veut ! on re-colle ! on re-aime àdeux ainszi aller tracer de chez tracer le trait alloué à Pareille (ici) Divibnité des DIvinités dont le nom grac-vé est ....... lait ! lait docte ! lait donné ! laéit de fée ou sinon de fée, du pré , car le pré est aux fées et la fée est du pré ! on monte ! on va ! on colle ! on envoi!e ! on charge ! on veut grave sonder ensembvke ici et là ladite paroi des données de france, franche langue ... aux sons fats ! on entree ! on va ! on cherche ! on veut toucher ensembkle et ainsi remontées les donées du Tremble = du tremblé = du Passé tremblé ou comme "remueé" en tant qu'iul seraitb à devoiur remuer ....... de temps en temps ..... à coups de nez piqué ! sentiments ! cxhants ! chants donnés ! chants des chant§s donnés en vréi et autres airs de V2érité . On veut creusere nvra&i lesRochers du pré ........................ et ducoup treaverserr ............. passser de chez passrr ainszi le pré pour mieux se retrouver
accolée
aux nénés donnés, donnés à téter ....................... sans traîner ! .on cherche ! on creuse, on veut :
toucher toucher toucxher
dire dire dire
sonder sonder sonder le dire ici nbacré des données dernières, lait de trait, laiit frai
s, lait de traite de bête, lait ancré en terre d'herbe, chant lacté des données "derrière" et autres chants "cachés" (.... susurrés ?) derrière .... le Passé masqué ? on ne sait ! on cherche-creuse à tout jamais le VErbe (l'herbe) Suprême = le Passé en herbe des Données derrière = Passé Du Passé, = points et traits sur Pierre de Terre, Chants Sacrés et autres Musqiques de fée du PAssé de France comme qui dirait, FRance ou autres contrées ... cxhacun / chacune la sienne (dotée) qui fait Tracxé ! charge , sein de fée, sein ancré en UN passé Chargé, Sein doté de traits en veuxtu en voilà à satiété il semblerait et ça le ffeerait , ça ser ait, ça aiderait, ça pousssera&it à donc aller se situer en des contréesz de bouts de roche, Haute POrte et a&utres Entrées Cochères .... Ancrées. ancrées nacrées et voilà le trait : le Passé tracé ! vcerbe ! verbe en herbe ou sorte de verBe en herbe... autoproclamé, qui pour le coup se déploierait sur pied, ainsqi tracé dsans un muret ! On veut :
toucher toucher toucher toucher topucher toucxher toucher topucher toucher toucher touycher touycher toucher toucher toucher toucher au dit Néné ... des Contrées en Herbeb ! le Passé sucré .... est ...................................... lait ! on a de"viné ! lait de trait (traite) effectuée ................ d ans le passé ! tout un poème ! passé vrai ! vrai passé, des données anciennes on a cru rêver mais, en vrai, ....... niet ! on est vraimùent passée de chez passée (la mort donnée) de l'autre côté, soit, après le pré, pré en herbe et bêztes de pré ainsi gravées sur roche altière, après l'herbve .... le passé en herbe ! vieux tracé des données du Verbe ainsi "remonté" en termes de données de Traite = Lait ! Lait Porté ! lait assuré ! Lait des laits des Pis des pis ! laits chargés de sons données ... comme à la volée (à la volette! ) . On vgeut :
dire et donner
porter et donner
coller et donner
sonder et donner
permettre et donner
charger et donner
allouer au VErbe les DOnnées de l'herbe
ainsqi (entre nous : bêtes de trait) broutée de chez broutée sur la terre entière = le Passé en herbe
ainsi sondé = Vérités = Vérités Ancrées = Vérités des TRaits du Verbe = herbesv ............ multipliées ................. comme données renouvelées .............. réactualisées à jamais .............. en ce cimetière de la Mort actée (pré-éden des trais) à devoir dépasser = passer = traverser ! nous voici .... NOUS ! NOus = ELLE ! deux ailes = nous , formant fée de Rage = Elle , au passage fou ! on ....................moooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooonte haute ! on vole ! hoooooop ! on monte haute sur paroi des Monts et hop, alluvions ! srtratifications ! roches hautes des passions ! traversons ! creusons ! passons ! alloons ! fonçons ! on esgt Haute Fée du pré, chezrchant Passé à toutes enjambées ! on ne fait pas que passr ! on entre ! on va entre ! on veut comprtendre = entrer , en ce dit passé des Données Lactées qu'est-ce que c'est . Un néné, rien que ? une sorte de Néné de trait , et rien à côté ? ou alors .................... le néné comme finalité , bout des bouts d'un rocher masqué , genre .......... m arabou ? ..................... ou disons : bout doux ? o,n monte haute , on veut creuser la roche, travezrser, poussser , aller le plus possible vers du loin teracé, chercher de chez chercdher le terme vrai pouvgant décrire SVP les données vives d'un passé du Vivre ! que dire ? on vibre ! tremblements du vgivre ! on trace grave ensemble sur paroi de base : qui des antilopes qui des antilo ! porte de grotte ! des auroques au trot ! bisons de peaux ! bêtes de roche et autres grosse choses hautes / mots. on monte, sur les Hauts des Mots et a&utres hauts de Grotte, .................................................................................... on fonce . On veut toucher toucher toucherle dit Passé des traits et autres Données ain,si Allouées à u ne sorte de Tracé sur pied. qui on est ?
Des Bébés !
des bébés de trait ?
de droôles de bébé sur pied ? On ne sait ! on voudr(&it comprendre-entrendre, aller cerner, voir
r de près, chercher ou rechercher la clé ...... clé haute ........... haut perchée ! va donc à l'arttrapper ! ça monte ! on colle ! on veut grave en v rai toucher à cedit Néné des
Contrées Hautes (les plus hautes il paraitrait) mais comment s'y prendre quand on est ... "manches " ? comment tracer ? comment cerner)-tracer ici ou là la Chose à noter .......... pour ne pas l'oublier , pouvoir y retourner, cerner-chezrcher, dire-pousser, coller-porter, charger de chez charger (dans la sqouffrance ??? ) le Passé en france (le passé d'enfance ?) et autres passés auxw données intenses ................ ? on ne sait ! .............. on veut comprendre mais voilà ............ on est "manche" .................... complètement intégralemùent et continuement ! à en pleuirer ! mal outillée , ma&l fagottée, mal barré, mal situé , mal armé ! ça fait suer ! vivement dimanche qu'on puissee cxhanter ! aller (de base) retrouver l'Antre, le Pässé Ancré, l'Antre des Antres et autres lieu doté de bonne Ambiance Survoltée ou disons Vivante , Ch armante et Ch armée . On veut :
toucher toucher le dit Tracé ... des Données Acxiales = le Passé ! droit devant ! Ancre des données ! ancre ainsi accrochée à u e sorte de .... piquet ? p âté ? point de trait ? ancre ainszi accolée à une sqorte de .... tracé hors pré, hors pavé nacré, hors enceinte ............... verte, . Passé tracé donnzé comme du lait . Passé clair. On veut toucher-téter au dit Passé des Données Lactées ........ téter téterctéter tétyer téter téter téyezr téter téter téter téter téter téter téter téyer tétezr téter téyter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter tyéter téer téter téter téter téter téter téter téter yéter téter téter téter téter yéter téter téter téter téter téterc téter téter téter téter ctéter téter téter téter vtéter tréter téter téter téter téter téter téter téter téter tétezr téter téter téter téter, tétérer = toucher et toucher = téter, téter de chez téter le laitt du Verbe être ; .......... ou de quel autre Verbve il s'agirait ? on aime ! on aime le lait -Verbe et autres tra&its lactés de type fromager , en tant que ...........................amateurices avides ! vives ! charmées ! aimant Lait de FErme, lait ici Alloué à une Bête d'herbe, Lait Porté ! lait à traire au jugé , à la mamelle, au son du Passé, à l'herbe verte, au pied du tra it , à la volette et au toucher ! verbe ! verbe en herbe des données laitières (lactées ?) du tracé orné par quelqueqsq DS2ités (divinités) situéesc...... derière ? derrière le Trait ? = l'herbe ? trait d'herbe ? On cherche ! on veut toucher de chez toucher à cette sorte de Tracé dit "du Passé" tel qu'on aimerait (de fait) le (re)connaître en ses différents traiots de lumière : herbe ? trait d'herbe ! trait des triats des herbes du pré ... du cimetière récemment quitté ? herbe dessinée commeà main levée ? herbe)-trait ? ... verge ? verge -trait des données en herbe ? pretite verge = virgulette ? tréit marqué en sainteté ? traiot des tréaits des données premières ? on veut :
dire et faire, faire et dire
sonder = creiuser, chercher = fonder , donner = forger ..... dans une sqorte de Passé, les dires du Verbe ! on veut tracer ! on veut cre"user ! on ne veut pas en v rai lambiner mais grave troucher à (ici) tel ou tel néné des données primùaires = le Passé ancré ............................ enraciné ....................... grave enraciné ............ au plus haut niveau ................. de roche hautte, roche de grotte ........... haute grotte d'époque haute (la plus haute) ....................... ju!squ'au mot des données "force" = le Pot ! pot des pots ! pot docte de haut niveau ! pot des mots ! pots des ombres et autres traits sur roche ! on monte ! on veut (grave !) ensem$ble cerner (comme à jamais) les données profondes d'une (qui sait ?) entité de Haute Volée qui serait pour nous l'Entité Nacrée, Sacrée, des données de Roche, dons de Porte, Hauts dons des dits "fonds" ou dits "des fonds" ou "des fonds de Carosse" . On est ensemble une sorte d'ensemble (ici ailé) pouvant tracxer-cerner de'un trait .......... les données de porte .......... et creusqer = dire = poussser = ccharger (de traits) le Dire ainsi Trouvé come à l'arracxhé ........................... et ce dire, le lover ! grave le lover .......... entre deux nénés ............... comme un nez ! .................. et ........ eh bé .................... téter de chyez tétzr ............... téter grave (concentrée) le néné ! nzéné des nénés ! sans traîner ni désemparer mais y aller , de toute sa volonté, à (pour le coup) téter le lait des laits ainsi donné ! téter = prendre = cfomprendre = parler vrai les données du Ventre ! ventre-antre ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher touycher touycher toucher toucxhezr royucher toycher toucher touycher toucher touchezr roucher toycher au dit néné des données trouvées = téter de chyez téter = dire-poussser, creuser-forger, porter-sonder et du coup ................ aimer ! chelou ! les données du trou ..... oh tout petit trou, par où de fait le lait trouve à passsrr , direction le menton, bouche ouverte , lèvres teintes, trou des trous ! on aime ! on veut ! on colle ! on fait des envieux / envieiuses de Roche ! on monte ! on v'"ut ..........................................................................( grave !) en avancer , coller, toucxher, percer, dire ce qui est en ces contrées du bhout du monde = le Passé ! car, le Passé est situé ................ dezvant la Porte ! tracé, ancré, dessiné, Aurocnoïdolïsé de telle soerte que voilà, on se doit ici et là de ......... comment dire ? ................... cxharger le mulet ? charger dee traits ledit mulet des données hautes ? = percer ? prendre ? toucxher -cerner-comprendre - pre ndre = sonder ? on vgeut (en vrai)- aimer de chez aimer ............... comprendre à jamais .......... eh bé, ce ... Passé du Ventre ! l'antre ! l'antre enttre ! l(ombre des ombres denses = un tracé = trait de Ventre = ............................... vérité Ancrée ainsi accolée à une sqorte de ............ Divinité Axiale ? on ne sait ! on croit comprendre-deviner mais que comprendre-deviner en vrai szinon ................ la transe ? un passé ? une sorte de tracé-souffrance ou tracé en szouffrance à j amais "reporté" ? on entre = on passe = o -n creuse = on trace ! on veut toucher ou on voudrait toucher ensmble les né&nés de l'aAntre du .............. passé de fra,nce ? ou disons : du français, français sarde du Passé tracé ainsi remonté ? On est née fée ...... fée du feu de l'ambre des données de france ..................................... fée femme ................... fvemme d'ambre / fée ; féminisée ? féeminisée ? re-féeminisée ? re-fée - minisée de traits ? herborisée ? verbalisée ? on veut :
téter = téter = téter = téter = donner = donner = donner = dire = dire = dire = dire = téter = do,nnner = dire = dire = dire = donner = dire = téter = f aire = faire = faire = dire = faire = faire = dire = donner = toucher = faire = toucher = donner = donner = dire = faire = donner = dire = faire = toucher := téter = parler = coller = comprtendre = ... comprte ndre ensemblevb = comprendre (ensemble) les donnéesq = dire ce qui est = cerner , de près, les vrais données données ... de l'herbe , du pré , du tracé des herbes ainsi rencontrées en ce pré sacré de type :
pré / parade
parade axiale
trait des traitsq sur pré =
parade , pointe sarde ! on entre ! on veut cdomprendre ensembvle les donées de l'Arbre, Friuits dotés (de fait) de sucre ajouté ! sqang d'encre ! pa rades franches ! on veut creuser = donner = dire =c erner = construire = poussser = chyarger = centrer ... le dire sur un trait du vivre = le Pass-é ! hé ! en rire ? on ne sait ! on veut en vcrai aller de chez aller construire -situer lesdites données ici lactées d'un Rire Vrai ! rire de chez Rire, et du coup ... tracer de chez Tracer sans plusq lambvibner ............ vers le Passé La rvé ? l'ombre des traits ? Passé-Traits des traits ? on ne sait ce qui est , on cherche à dénicher les données i ntenses et &utres Transes ainsi déployéeqs ....... au passage cendré ! car, voilà là la chose à bas : le pâtre, le berger, homme traqué, mort ! mort posé ... sur le trait tracé ds'une sqorte de donhée creusée ! et nous ........( fée )............ de monter haut au plus haut niveaéu des portées sacrées ............ lignes des fées ....../././......................................dites "aviaires" ! verbe ! traits (hauts montés) des données dsu Verbe dit "aviaire" = le Passé ? qyui sait ? on cherche, hors bière, les traits = le Passé Sacré d'une sorte de Contrée du Verbe dont le mot de roche serait ..... pour le coup ................. lA mort ........... mais "remodelée " ou comme "remodelée" en forme de ........ corps ? corps donnéb à un nouveau-né tout emprunté, tout tracé, tout dessiné colmme à main levé sur paroi de roche .......... un bébé de roche ? sorte de "bébé d'ombvre" ? des donées de l'ombre ? ....... bébé né au tr&cé = à la volée , au pa ssage hors pré .................................................... verts le Passé Lacté du VErbe Cendré ! un passé ! un des nombreux passées des données lactées et &utres données vraies , de type :
- treaits
- traits actés
- traits des traits
- tra&aits sa-turés de verbe alloué
- trra&its des traits hors pré, hors parade et &utrescparadis des fées
-traits de charme / tremble / ar$bre de vie
-traits assumés et autres tra&its sur-investis (comme jamais !)
- traits des données
- trais sur-saturész de donéess ancrées de type "mesures" ... et aussi "démesures". On colle ! o n monte ! on veut grave ensemble essayer de comprtendre tout un ensemble qui pour nous sezrait une szorte de catalogage des donnjées intenses;. On essaie du coup de comprenrev et de comprendre enxemble ;les données du Ventre, soit de l'Antre (A,ntre Fou) des Données Intenses et autres genres de données "trans-genres". On veut comprendre soit porter de base les données ou pareilles données dites "de france" car voilà, on vient de fr ance et notree proprec langue (en nous inculquée) vient de france , est ainsi ancrée en une sorte de "coin -souffrance" en nous située .... mais ou % ? on ne sait ! on cherche à cerner-touchezr, à toucher-cerner comme qaui dirait, en nous, l'enderoit du prêt ......... m ais ,............... oon cherche ............. on n'est pas arrivée ................. on furette ! .................................. on voudrait toucher ......... atteindre ..../.. trouver ... ledit coin donné, ledit coin aux données ............. mais voilà ............... on ne le voit pas ! pas ça ! on voit pas ! on cv$creuse de la Voix , on porte Voix sur une sorte de Paroi ...................... aux bêtes -tas ! mais voilà .................................................. on ne sait pas ............................................................ cette p aroi : de quoi est-elle l'(antre ? de quoi est-elle en vréai l'e refuge-antre, cavité, passage, anfractuosité pour une sorte d'immixtion ancrée ........................................................disons = (qui sait ?) oscillons ! allons / revenons ! cherchons ! tatons ! creusons ! essayons (donc) de.................... creuser de chez creuser vers pareil néné des nénés de Roche ! a:llons ! poussons ! traçons ! paqssons pré / bêtes : traéits = herbe ................ vers ......../././.. vezrs en vrai ............................................... du Pässé ............. = le lait , hé hé ! bon lait de trait / traite dorée ! ........................... verbe verbe verbe d'herbe en herbe = immaturité des données allouées, ici, à des traits / tra&ites, ainszi déplisszées / plissées ........../........................ comme autant de traéits sur roche calcaires ! .......................... le passé renaît qui se voit "outré" ! ................................... hors pré, hors enceinte, hors cimetière, hors éden de fée, hors rotondité des données rupestres "à l'ancienne". On v eut creusrr = dire = sonder = xcha rger = comprendre = pousser = entendre = parler = cha rger = allouer, au vezntre dee l'antre, les données intenses d'une sorte de dennrée de type "lait" = lait-trait ou trait de l&it ...... de pis en gosier (il swezmblaezrait) : voyez ! voyez le trait ! voyez donc le trait de l'antre ainsi pissé ! on dirait du lait ..... mais c'en est , diantre ! c'sst du lait de l'antre , vfentre, ventre-panse, ventredieu ça perle dense et t(ombe à qui mieux-mieux en cette bouche (ouverte en grand) du Bébé de france = bébé, né en france, Albi Ville , des donées blanc$hes . On veut :
comprendre = prendre
dire = vivre
cxharger = cxhercher
perdre = donner
souder = coller
coller = sonder
sonder = souder, en vrai, les parois ensemble on dirait .....m : ais comment s'y prendre ? a&u pâ&ssé ! à l' rracxhe ! au passage ! on entre ! on passe un trait, le pré, par chanxce", on en avancxe ! on creuse le vrai .... comme à la pa rade (nuptiale) des données a llouées à une sorte de prairie ... amie ! on est bêtes de salle, bêtes ensemble, jumelée -accolée, on tire trait ! on ^passe ! on creuse de rage ! bêtesq sages ,b hêtes de roche haute sage s ! on veut :
oui : toucher = toucher-vivre
oui : aller = al;ler-dire
ce qui est qui est = le dire ..... des données du vivre = passsrr = charger = cxonsacrer au Rire les Donées du Dire = parler ! entrer = vivre le Passé ... comme s'il revenait ............ en tant que Dire ainsi creusésans rire ! ................................... sans rire = sans déconner ! et sans déconner = en vrai ! sans mentir-vrai ! on vibre ! on active (pour le coup) les données vives, le p ässé nacré, le tr acé du Vivre, les données vives ou dites vives d'un Passé tout alloué auxw dits Nénés emplis de lait : est-ce vrai ? est-ce la Vérité vraie telle qu'imùaginée en d'autres passés ? On veut :
toucher toucher touchezr toucher touchezr touychjezr touycher touycher rtoucher toucher touycher toucher toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher rouycher toycher toucher toucher toucher rtoucxher rtopucher toyucher touycxher toucher toucher =
téter téter téter téter téter tyéter t&étertéter yétyer téter téter tétyer
à ce néné des dites contrées aux salubrités / saintetés / cdélébrités Vives ! une de'nrée ! à savoir : le lait !
ah le lait
oh le lait
hé le lait
mi am ! lait des laits dees données acideqs ... ou sucrées-salées ..................... on veut téter . on veut creusrr . on veut grave creusrr. Donner, dire, sondser, charger, passer ainsi d'un pré(muret) à une rive (haute volée) du Rire porté ! et téter, téter lait de rive / tire / rire ! s'e,n (comme) pourlécher les babines ........././......... du bébé avide ................. affamé ............................................................... emporté ............................................... envahi en entier .............. par son envie de lait szucré ................./............................................................. cri des cris armés .......................................................... come devenu cri : tout entier et tout à trac ......................... une envie-cri ........./././/.//././/............................ cri des cris ................................ = le Cr(i ...................................................................................... réclamant du lait ........... lait ! .......... lait !........... lait ! .............. lait ! ............ lait entier ....................... lairt de mère entier ............................. lait de mère allouée ....../...././/...... l&it ! ............. laéit ! ........//./........................... laiot des laits ......................... laaaaaaaaaits des laits de trait .............. tréit de lait hors pré .................................. une somme ..../................................................. avaler avaler avaler avaler avalerf avaler avalmer avaler avaler avaler avaler avaler avaler avalezr avaler avaler avaler avalezr avaler avaler avaler avaler avaler avalaer la somme , somme de lait, vezrbe nacré, l ait de verbe ainsi avalisé, ancré, inculqué, n acré, cendré, autocentré, autoporté en son néné donné ..................... lait docte dit "de porte haute" ......................... lait chargé de ....... honte ??? honte ..... d'être ...................................................................................................................................................... ?
5/4/2025
On regarde. On refgarde. On trace. On en avance. On veut grave ensemble comprendre les donnees de base ce qu' elles sont et pour cela on se projette ensemble a la une a la deux en cette sorte ici de continent qui est en vrai cette chose ci-devant soit en face = le passé de l'antre, les données les plus importantes etcetera. On mate parce que voila, ensemble on est là pour ça : comprendre et tooucher , creuser la verité en ses ... profondeurs les plus achevées ! On est deux ailes , on est pavssées, on mate grave, on charge, on veut grave ensemble comprendre ce qui est ici qui il semble nous fait face : le passé est ... une sorte de rage ou alors, peut etre, des dobnnnéees dites intenses. On creuse ensemble. On veut toucher ensemble. On est ensemble qui voulons (de base) en avancer et donc essayer de "trouver- toucher" à ce qui se presente ici, à ce qui est ici qui s e presebnte en tant que tracé qui serait du coup sorte de donneée dite "du bout du monde". On a envie ensemble de tooucher ... à ce dit tracé, et du coup d'en avancer en direction ici et là d.une possible verité (dite "vive") concernant la vie / la mort intenses , les choses d'une la ngue franche et autres donneees de moindre importance . On veut toucher. On veut tracer parce qu.on est aileees et que voila, pour nous, les donneees sont telles que nous, on a envie au mieux , de cerner de fait ce qui apparait et qui semble ou semblerait nous parler mais en vrai ... est - ce que c'est le cas ,, est- ce qu'en vrai ce qu'on voit (devant nos yeux) est une chose qui serait, ici, comme "situeée" et du coup ... qu'on pourrait en vrai toucher de chez toucher ? A dire vrai on ne sait car on est ....... nues ! Nues de çhez nues ! On mate, ok, mais ce qu'on voit est une sorte de nuage dense, parade nuptia , traits de voie, un passage c'rst bien possible mais vers quoi et dans quel but ? On cherche à comprendre ensemble. Notre envie ici est de comprendr ensemble et du coup de toucxher, de toucher a cette qsorte de parade ci-devant qui semblerait nous regarder attentivement et faire ainsi qu.on se (en quelque sorte) presentat ensemble a toi a moi, en cette sorte de xventre ou d'antre ( entre deux parois) pour
comme se rapprocher et du coup mieux cerner les parties en presence en cette sorte de combat de charges. On envoiie ! On creuse. On tente le diable. On est alloueees a une sorte dantre ici et la qui nous renvoie ça comme quoi voila on est Ailes de fées . Ôn est deux ailes = ailes , et du coup on peut s'envoler et tracer tracer tracer sans cesser vers eh bé cette sorte de .... qui sait , passé , qui est le passé dit "du bhout du monde" , ce tracé des catacombes on dirait . On cherche ensemble a peut -être cerner des choses qui en vrai et devant nous ( = &devant soi;) se presenteraient a toi a moi comme une sorte de .... passé de formes, formes longues , oblongues qui sait, formes d'ove, traits des traits. On cherche à ici
cerner de chez cerner et à trouver ensemble un certain nombre de données dites de france, car en vrai elles dependent fort de la lanngue ici employeee qui on le sait est le francais de Rom, ce francais de roche : langue morte ,? Langue des données hautes ? On cmonte ! On cherche ensemble a si possible nous porter au plus haut niveaiu de rocxhe des donneees, des données hautes et là, ens emnble, essayer grave de toucher à ça, cet envoi, ce tracé de soi, cette sorte dEchancrure dans un ... tas de bois, ou quoi ? Une masure ? On entre ', vite fait. On creuse a plaines m Ains la roche tendre car voila on veut ça comprendre, aller, toucher le sein donné , faire ainsi fiesta de ça, le lait, lait sucré bien tempéré. On aime le lait. On est folle du lait . On adore , on voudrait grave en teter a jamais sans jamais cesser et sen barbouiller (grave !) les pommlettes, les levres, le bout du nez. On aime le lait comme jamais et du coup notre reve a nous est de toujours toujours toujours en vérité tetetrr de chez teter ce lait de mere celte . Tracer = teter. Toucher = dire = donner = vivre. On veut creuser ensemble sans nous arreter en direction de ce néné quiest Néné ... du Dire Frappée ou sinon frappé martelé. On veut toucher = on veut (grave) essayer de tracer, ensemble, ici et la, sur paroi, un ertain nombre de " ressemblances " avec (il semblerait) des betes de poids = du Passé ou quelque chose qui, en vrai, y ressemblerait, du genre ... tourments ? On cherche. On creuse. On veut cerner de près les données en v rai les plus fructueueses si tant est et du coup approcher ensemble ce passé dit de connivence. Tracer = dire les donnéees ... qui pour nous semblent chelous mais en vraion ne sait car on est pas forcément placeees ou situées du bon coté pour fde fait comprendre çe qui est qui semblerait (peut -être) devant nous, vouloir nous attendre , nous capter ou capturer, nous prendre entre ses nénés, qui sait. On cherche à se rapprocher ensemble de ici cette sorte de .... table aux amies .... tables vives ou comment on peut dir, car, on voit', on comprend ici que cette table ... " eenvoie" grave, en termes d'offrandes vivantes , sanguinolentes. On mate grave et çe quq.on voit (on dirait) est cette chose d'une sorte de ... paroi des Rois et Reines, falbalas de traines diverses, ornementations princieres et autres costumes de choix. On mate tout ca , on regarde cette chos e en soi, rage des rages. On veut comprendre ensemble et toucher ensemble = prendre = cerner- prendre ce qui est qui, devant soi, se presente en termes de parade faste . Betes a voix, corps d'atheletes et autres betes de paroi imberbes, char ges parfois crades ou sinon crades exuberantes. On entre en cet antre. On est allouéees. On cherche ....... eh bé qui sait ce dit Passé de france dont le nom ou petiyt nom ici est "Le français" en tant qil sagit dune langue traceee , donnée, inculqueee en vrai en ses prpres profon deurs larvéees et aiutres gosiers. On est deux féees toutes redresseeees et on regarde en ce quartier les données qui ici pour nous semblent vouloicr se presenter comme données de bout de roche = du monde, est _ ce que c'est vrai ? Est ce quen vrai ces donc donnees de roche sont donnee de bout du monde = de la mort sonneéee , ,,? on cherche . On na pas encore en fait trouvee, ici, ce qui est, dune sorte de Passé de roche hore roche, hors rotonde, hors enclave - cavité de poche ou antre de rage. On cherche ensemble à si possivble comprendre ici (antre) ce qui est la- bas : ventre ? On ne sait pas. On avance ensemble pas a pas et on cherche a comprendre a toi a moi les données de force, traits arqués, charges hautes', tout une sorte de tracé dsur roche ce que c'est, traits des traits pour en vrai traverser et se retrouver qui sait de l'autre coté a grave regarder ce qui se montre = peutettre ....... un etre de traits ....... une sorte de ...... lettre ? Missive doree, lettre amère, lettre de fée ou sinon de fée d'elfe cendreeée. On veut cerner signifie que oui on est là comme accoleee à une sorte de muret des donneees profondes et cest ainsi tout accolees quon monte, quon ose ensembke en vrai monter de chez monter au plus haut niveau des donnees profondes, on est pas gênéees , on ose sans trainer et sans hesiter, on est allouées a une sorte de tracée de roche dont le nom est Traversée dépoque , on dirait. On monrte = on gravit = on cerne au plus près les choses nacrréees, tout un tas de tracéees qui sont tracés de fond de grotte. On rst femmes hautes. On monte car on veut cela et pas autre chose . On est deux. On creuse la roche. On veut tracer de chez tracer une chose, et cette chose ici est une sorte de donn éees oblongue genre quoi genre Ove, ove d'or' , ove des rOis et Reines de Saba ou quoi ? Car en vrai, nous voila qui sommes là bel et bien passeéee comme a larraché en ce dit "passé du passé" qui est ce sein donné sans plus trainer. On veut teter sans nous arreter , boire le lait donné, sq'alimenter de lait sans discontinueret du coup se rassasier = calmer son fait. On aime le lait. Cest vrai que nous, grave on aime lelait et ce depuis une eternité. On a toujours aiméee le lait et aujourd' hui plus que jamais on adore on s'en mettrait en vrai grave jusque là si on pouvait, de ce lait dit " des feees" qui est un lait nacreeé, salé- sucré, offert frais par, qui sait, une sorte de ... MondeD'Homme De rome ,,,, on ne sait en v rai dou ce lait est ! On cherche. On monte. lLait dHomme ? Ça m'etionnerait ! Je vois mal cette chose. On tete du lait qui est du lait de roche et la roche nest pas l'homme, n est pas sucrée, ne pleure pas du lait ! Le lait nest pas tracé mais est ancré ! Le lait sourd d'une sorte de donnée oblongue et cette sorte de do nnée oblongue (tracée) est une sorte de ..... cavité ........ autre . Antreroyal. Trait des traits. On veut ou on voudrait toucher a cette sorte en soi de cavité royale terminale axiale et pour ce faire tracverser a grandes enjambees a fond la caissse ubn pré, puis le pré passé, une sorte de murette autoportée qui est la murette dernière dun tracé d e fée. Murettte dite de cimetiere . Passee la murette creuser , en direction d'elle : la bete , sein donné, lait des laits. On aime le lait dernier ...... qui est ....... le lait premier ....... car voila, les donneees profondes sont, à s'y tromper ....... donneees hautesc= anciennes ! Le passé de terre. Une sorte de passé tout embroussaillé peut-etre on dirait, et emberlificoté en ses termes, mais quand mêmeon cerne, on voit d'ici des choses se tramer ou se dessiner et on se dit que oui en vrai les données hautes = donnees force = données treaceées soit deja tracées en dq'autres epoques plus hautes ( on dirait). On
mOnte ainsi de poche en poche. On veut tracer ensemble une sorte de .... plan des plans .... plan de roche haute. On veut toucher a çe qui est ici qui nous regarde au plus profond des yeux, il semble. Quest e que çapeut ettree , qui ici en vrai nous regarde ou nous regarderait ? On est allouées a une sorte de Passeé immense, genre ..... deeeemençe ? Ou sinon démence transe ? On entre ensemble = en transe ? On cherche ensemble a naviguer en cette sorte de passéee immense aux donnéestoutes chargéees, toutes saturéees dune sorte de ..................... romance ? Romance de faits ? On entre. On essaie ensemble de tracer a main leveee ou comme a main levee un certain nombre de données de base qui seraient pour ainsi dire des données de france = du francais de charge, passé né sur passé de rage et le tour serait qui sait joué , on passerait. On pourrait ensemble tracer sans trainer ou sourciller les donnéees les plus importantes concernant la charg, ce tracé ancréen cette sorte de passage entre,, entre dun coté le pré = le sentier des donnnées (des donnéees de l'ambre ) et de lAutre, une sorte de Passé- Parade, trait pour trait. On regarde. On cherche, ensemble, à toucher la branche , branche comme dessinée sur Antre alloué a ce dit "Passé des Remontrances" ..... (ou : "des Remontéeees" ?) qui est le Passé Intense, Passé-Frai, Charge Haute et Haute Charge saturéee de termes donnbés. on est née fée en un pré et nous voilà comme toute transforméee en ........... eh bé autre chose = un bébé de porte ! Donneeeée docte. On monte. On veut toucher de chez toucher à cette sorte de donnéee oblongue et pour toucher à cette sorte de donnée oblongue on se dit que, le plus simple est encore de ... passer en force ? ou comment dire, à toi à moi on se serre les coudes, on y va, on envoie du bois, on ne fait pas sa chochote, on monte , on creuse la roche, on trace on file on veut comprendre = tracer = dire et sonder ... ledit néné tout rempli de lait ! On a envie de creuser de chez creuser ledit néné aux données lactéees et pour cela : fissa , tête premiere en ce tas de bois , charger folle, foncer, donner des cornes , du sabot de roche, tracer de chez tracer en ce Passé des Formes ici allouées à une sorte de ...... donnéee profonde ..... qui est ...... tagadagada .................'.... qui sait ? Sdu lait ? Lait docte ? Lait d'homme ? Lait de femme tracéee ? Lait d'ambre ? Lait des laits de france? Lait-langue ? On veut toucher à cette sorte de Passé Intense dont en vrai le nom on dirait est : franche camarade , néné. néné - trait. Le néné de tous les nénés. On veut toucher = on veut cerner et pour cela le mieux ici est de se prsenter ailée et ceest ce qu'on fait et sans sourciller' l'air dégagé car voilà, on est la fee des données tracéees , et a ce titre on se dit que oui on peut sans trainer avancer de chez avancer exn ces contreees des donnescdernieres' , hautes donnée des termes. On cherche atracer et pour cela on se serre les coudes = les ailes ........ vers Néné ! On cherche le Verbe. On veut creuser. On est nées un temps ..... fée, fée ferme, à presennt nous voila comme redevenue d'elle = re - pondu ! Re- nue ! Un enfant. Un/ une , en cette sorte de .................................. on dirait ...................... fente allouée à une Sommité Velu e ................................. qui ça pourrait être ? Du ........ Verbe ? Verve velu ? On cherche ! On veut toucher a ce qui est qui se presenterait a nos levres ouvertes , genre .... lait ? Lait d'elfe ? Lait d'herbe ,? on est passeéee et du coup on veut toucher sans lambiner a ce qui est ici de l'autre côté a comme nous regarder de chez regarder comme si en vrai on éteait à terme des sortes de petites betes imberbes, néees laquéees, nées comme satinées sur herbe ! Traits ! On est néees de fait le mur passé en tant qu'on serait (ici) Devenue (grave) un bébé chelou ! Tendre ! En ce ventre des envies d'antre ! On est ensemble = colléees . on va ensembkle ainsi collléees . On veut cerner de chez cerner ce ventre des données de france soit du francais. On veut toucher ensemble a cette sorte de donnneee immmense dont le nom en vrai est Intimité et nous de nous avancer', de nous approcher, de chercher à toucher , a l'intérieur (ici) de ce ventre, à une sorte de "denréee des preferences", lait donné' , lait - acidité ou acidifié, lait des rages portées. On est comme consacréees en vrai par une sorte de donnée lactée,, et cette sortede donneee lacteee , donnée en souffrance, est du lait de france = du francais' , langue tendre ..... ou pas tendre mais ainsi ancréee en notre sorte de gouverne antrale , i ntrinsequement lové et du coup accrochée , enracinée ... et va comprendre à s'en détacher ou à comment s'en detacher ensemble ! On est acculéees . On est comme cernéees et meme traquéees et meme comment dire singéees ? On veut toucher a ce néné du rire ou dit du rire , et pour cela , une seule voie : la chance ! Chance d'ambre ! Le passé est donné à qui veut toucher et croire en sa chance ! On est nnée feee de connivence, nous voici comme renée mais en vrai (cette fois) autrement montéee, car : bébé des bébés on est , qui cherchons du lait . On veut tracer ensemble et aller de chez aller jusqu'a çe néné qui de fait serait comme rempli dun ... lait de france du passé intense = acidulé. Lait / rage. Lait dense. Lait frais. Lait comme tiré dune sorte de ..... panse ( %pensée ? ) offerte en instance ! Trait tiré. On veut comprendre ensemb:le = donner, toucher, creuser, cerner, pousser sans discontinuer les recherxches sur trait de donnée de base ..... genre : vérités ancréees et autres traits passés. On veut (grave) remonter la trace et creuser, creuser de rage, remonter ensemble, creuser creuser de rage ce tracé , et du coup remonter de chez remonter jusquq'au dit "passé du lait" . Quest ce que ca serait , quest ce que ca serait en vrai que ce dit passé ... des traits intenses ou intensifiés à notre arriveee en tant quebébé ? On veut comprendre ensembkle = on veut toucher à ce néné ... des donnéeslacttéees , et du coup téter onsait, on commence à cerner ou sinon cerner deviner ! On est nées bébé le mur passé . On
Cherche ensemble à (essayer de) nous rapprocher dune, peut-être, sorte de passé, qui en soi serait, npour nous, une voie nouvellle, genre voie de roche mais ici e n dehors de cette sorte de rotonde de la mort donnéee. On veutt toucher a cenéné de poche , teter de chez teter et du coup tracer, ou comme tracer, un trait de clarté. Voie docte = donnee haute. Trait tiré = lait . On connait. On veut toucher du coup à ce néné tout rempli de lait, et s'en barbouiller chelou de lait ou de ce lait dit acidulé. On aime le lait et les produits laitiers, on ne se nourrirait que de lait. On veiut teter car on aime le lait , les données lactéees et autres fromages frais. On est super interessséees par cette chose, de lait donné, de lait tiré ou trait, de donneees lacteees comme s'il en pissait. On adore téter à meme le pis ! On adore téter (grave) le néné du lait la mort archivéee. Car, on se dit ici, que, voila, la mort' ou une fois la mort, une fois la mort comme archivée = donnéee, nous voila là qui , trallala, montons !! Allons !!! Filons ............. pour comme trouver l'ombre dans laquelle on espère ensemble pour le coup pouvoir sans faute téter de chez téter tkout notre saoul et s'en pourlécher (sans gêne) nos levres toutes retrousséees de bébé de ferme. Ou de bébé de terme. on aime le lait = on aime le Verbe. On veut creuser , et pour creuser on veut ensemble traverser la roche, roxche aux féees, finale. Et passer. Passr ensemble accolées, de l'autre coté de l'ambre. Tracer = filer = dire ce qui est en ce dit passé des entrées. Qui on est en vérité ? On ne le sait pas, mais ... on envoie ! On envoiev du bois et au - dela du bois on envoie de ça ........ qui est chose docte = de la voix ! Voix haute d'haute-contre ! On va ! On creuse en soMe. On veut toucher a la paroi des hautes contres. on voit , on creuse. On est là comme e n semble colleees pour ça, à savoir : tracer, creuser, dire ce qui est en ces contréees du bout des roches soit du bout des mondes. Autre voie pour un voyage ensemble en ces nuées de l'au-delà comme qui dirait . On est des bébés ! On veut creuser le rocher pour passser. On veut toucher à ce qui est ici qui semble comme nous narguer mais en vrai est-ce que cest vxrai ou bien ... est ce que cest pipeau ?est ce que en vrai les mots, dits "du passé nacré", sont des mots frelatés ou alors non, frais de chez frais ? On est allouuuuuéees ensemble a une sortede recherche intense qui nous voit sans cedse chercher de chez chzr her en mille contréeees ou sinon mille en de ... nombreuses contrées et nombreux coins, un grand nombre de données de roche mais (comme qui dirait) hors roche c'est a dire hors rotonde cest a dire hors enceinte prairiale . On veut comprendre les donneees finales, celles la qui de fait serraient comme à nous attendre en dehors des roches, hors paroi de grotte .......... dans lka Voix ? Va comprendreou va à comprendre ! On est hautes, on est hau tes de chez hautes , on ne cedse de monter hautes. On veut toucher à une sorte de donneee hhaute ...... mais comment toucher quand en vrai on est comme dessinneees et pas vraie , ... ou alors tout le contraire : on est vraies et pas dessineees ? On veut toucher à ce néné des données hors herbe ......................... qui serait du verbe ! Verbe ce n dré ? On veut creuser, on veut cerner ,on veut en avancer en vrai en cette sorte de Passé des donneees hors herbe , passé qui serait du coup "le Passé aux traits" soit aux traits tiré s = traits des traits et autres traits , des donneeees entieres , intègres, saturéess de Verbe . Lait sucré sans appret. Verbe d'herbe. Verite des verites sur terre ! Si ça se pouvait ........ ça serait ......... l'enfer ? LeNfer né ! Drole de contréee que ça serait en cvrai, si jama is de fait la vérité pouvait etre ... révélée ! traceee ou graveee sur pré, pierre, mur denceinte !!!! On veut toucher et pour toucher il nous faut en vrai (essayer de) nous approcher de chez approcher dudit néné des aamities ...... des amabilités ......... des données de roche ainsi libelleees. On aime le lait car voila .... on est deux , deux ma foi en soi, qui voulons de chez vouloir , passer entre (trait final;) jusqu'au centre ..... paroissial .......... des données hautes : hautte porte, haut tracé de grotte, vers le Lait Royal de Reine Sarde . Sarde sage = savante. WOn entre. On cherche ensemble à toucher la base et a co.prendre les donneees traceeés, ce qui est qui est et qui nous regarde ou nous regarderait sans plus trainer et parçe qu.on lui plait ou lui plairait. On veut tracer des traits et du coup wRévéler qui sait les donnéesxancreees toutes enracinées en cette contreée des envies de lait. On est des bébés ! On veut creuser vers en vrai du lait donné de bête de trait ou de ........... mère allouéee ........' à une sorte de Passé des Termes . Verbe ancré, inculqué , rentré, enfoncé en notre petite tête de bébé cendré. Bebe post- mortem. On est le bébé des données toutes acidulées ainsi rencontrees la mort passeeee et depasssée. On aime le lait et on veut teter sans plus trainer sans se gener et sans sourciller ni faire de simagreees. Qui on est ? On est des bebes aimant teter le bon lait de mère et surtaout .........................(sans se démonter) teter de chez teter le .............. Verbe Intègre = mots post-pré, post- cimetière, donnnée d'elfe, de feeee alloueee a une sorte de Passéde Terre. On veut creuser. On veut toucher à çe qui est qui nous regarde ou nous regarderait sans plus de maniere alors meme que nous on aime (en vrai) teter , on ne dit pas "qu.on aime" forcément mais en vrai on aime, on adore le lait , on adore teter, on voudrait sans cesse teter de chez teter le lait donné , trait, tiré tout frais du pis de la bête. On aime le pis, la bêt , le trait ( trait de lait), le lait, les données du "Verbe- Lait" et autres donnnnées tirees. On aime teter et se rassasier du bon lait de l'herbe tracéee. Quest ce quon aime ? Le lait ! On aime teter, toucher le néné pour bien l'atttrapper et teter de chez teter sans se genner. On veut creuser et prendrd et comprendre, touxher à ce dit "néné du tendre" et prendre = teter , le lait donné. On veut creuser ensemble et du coup comprendre et porter et chercher- charger et eessayer ensemvvble de tracer de chez tracer les donnees d'enfance = ce passé de france, traits tirés, fentes labiales, un creuset où pouvoir se loger et du coup cerner
un plus grand nombre de do nnées dites "de la transe et des voyages intenses". On est nnées fée la mort acheveee ou parachevée . On est re - née à une enfance desclartés, des dons de lait, du blanc sucré - salé et autres blancheur lactée. On tète intense en transe le lait frais. Transe et contre- transe ainsi remonteee des contreees intenses. On veut teter de chez teter ..................... le néné des transes et autes nénés ainsi deployés la mort comme archivveee, parachevee, acculée. On est le bébé- transe ! Cacheté ! Lettre adressée. On entre ................................................. encette danse .................. menuet .................. parade animale ............. frai ....................... charge olé olé des données royales ........... et autres traits ainsi assumées de par les donneees ainsi alloueees a une sortede tracé ainsi tracé ,............................................................................................................................................qui sait ce qui est ? Qui saurait nous donner des "mots de verité" et nous guider sans nous tromper vers une Verite pour le coup lactée de type révéléee ? On est née bébé la mort parachevéee. On veut tracer et en a va n cer sans autre souffrance que celle de tracer sur branche les données intenses dune ... sonorité dite " de france" = un passsé i n tense, voix et traces, vents deface, PETS !!!! Charades ......... on passe. On avance. On cherche ensemble à comme se situer en ce dommaine des donnees premieres et pour cela, de preferenc e, le passé tracée, la charge du passé intense ainsi retrouvé qui nous regarderait de base en tant quenous serions il semble comme retournée a une sorte de mission (ou de fonction) dont le nom de fait serait lié à une sorte de recherche folle elle même lieee a une sorte de Parole, Parole Centreee . Nom de roche . Aurochnodoïté d'époque haute .Mamelon ? On ose . On creuse. On porte. On recherche ardemment à ensemble s'y reconnaittre en cette loge haute des donneesx premieres, données hautes du tracé de Porte, haute porte , haut tracé, vers du ..... lait de roche. On monte (ensemble) les monts de piété, vers Du tracé de Roche à haut degré de Vérité. On veut creuser ledit passé et comme nous y retrouver commme tout tracé et du coup re- née sur ce sentier des donnnées données. On est ..... homme ? Homme haute ? Homme intimideee ? Homme depoque haute ainsi traceee en termes de roche , hautes formes ? On est neees feees hommes, hommes feees, feees hautes = hommes-feees puis hors du pré re le bébé des données accortes. On cherche à toucher à ce niveau de roche haut, soit le plus haut niveau, et là , creuser un caniveau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Pour l'eau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Evacuation des eaux de trop !!!!!!!!!!!!!!)!!!!! = Des eaux mortes !!!!!!!!!!!!!!!!!!! Eaux de roche mortes !!!!!!!!!!!!!!!!!!! Les ..................................... eaux de porte ? On monte ! On veut en vrai aller de chez aller en cette sorte de contreee profonde ... des donneeees hautes, tres hautes, du Passeé de trait = le lait ......... lait d'époque haute et autres laits de roche cendrée ............................. grave on veut trouver .................................on ne veiut plus lâ cher le neéené mais teter sans cesser .................................. de ce lait du verbe ............. un trait ....... deux traits ..........trois traits ................. quatre traits et le tour est joué on est née bébé hors enceinte !!!!!!!!!!!!!!!!!! Hors pré !!!!!!!!!!!!!!!!!! Loin de l'herbe verte mais proche des termes ainsi alloués à une sorte de Passé des traines , train tracté, train du Verbe sonné, son de cloche dorée ! On monte. on est comme deux feees des données hautes ainsi promulguées a lApprche des donnees hautes d'une Déité (sorte de Déité) de roche . Qui cest ? On ne sait . On est a lApproche mais, en vrai, on ne sait pas qui c'est, on se demande, on veut comprendre. On voudrait comprendre. On voudrait grave, comprendre de chez comprendre, et creuser de chez creuser, toucher le néné, boire le lait, s'en gargariser sans plus se soucier de ce qui est ici qui nous regarderait comme de biais parc e que voilaa on serait tout abandonnéeee à la tétée , on ne regarderait en vrai plus qu'a teter de chez teter sans s'inquieter de quoi que ce soit d'autre : que teter ! que cette chose haute ! Que le lait' . Et du coup ........ autocentreeeéee ...............................hibou caillou genou pou ...................... sur unpassé nacré..................................... de type francais ça le fait ...................... langue inculquée ......................................enfonceee ..........engoncee ................................ et nous voila paréee comme pour leternité .....................dune langue sacrreee ou sinon sacree consacrre a une sorte de passage haut , de haut niveau de roche, vers la Chose Haute ....... trame des feees ............ porte haute ..............................................vie traceee de haute epoque ......un passé de Poche = une virée et nous voila cerneees, cômm e re-donnéees à une sorte de bete de trait .......... vache ( sacreee ?) à lait de roche ? On cveut ..................
,
......................" toucher de chez toucher ... à cedit passé des donneees profondes = hhautes, j'ai nommé ............................................. la Chose, ..................................... Passé - Chose ...................... dun tracé ambré ................................................................................................................On veut grave toucher à ce dit passé des donneees tracees en forme de néné, néné empli de lait , lait sucré - salé de type lait de trait .........................on adore ! On adore le lait. Grave on ne voudrait
dans la vie que téter, que boire du lait' , tellement le lait, pour nous, est ......LA .... Denreee Absolue à devoir siffler, à jamais ou à tout jamais. Verbe d'herbe et autres qverbe des donneees de l'herbe .verbe vert . Vertes herbes aux couleurs du Verbe .... ou l'inverse. On aime l'herbe. On aime brouter l'herbe, l'herbe verte d'un pré vert de type ..... éden ....................... port de roche verte, pré des fées et autres contrées aux données vertes et assimilées. On veut toucher à ce dit néné des donneess dernières = derrière . On dirait. Il semblerait. Onaimerait en etre certaines. On aimerait que çe soit le vrai et, du coup, pouvoir tabler sur une vie post -cimetiere, post- pré, qui serait, pour nous, une aubaine ,, un havre de paix, une sorte de maison secrète où pouvoir en vrai nous reposer ou nous poser sans se mettre martel en têt, dégageee ou meme completement degagée , enfin Elle, traceee sur pieds et nous voila aileee comme à l'arracheee, traceee sur pieds ailee et nous voila comme .....................envolée .............. à tire d'ailes ........... hors sentier .......... vers les hauts traits des monts de Bosse, une somme . On monte, on veut toucher la roche Haute des monts de Porte et autres porte haute des passages Monstres. Creuser = dire ce qui est. Et nous voi,laaa comme alloueee a une sorte de Paroi des rois / reines lam bdas ou quelque chose comme ça. On voit et on envoie,. On cherche à comprendre. On est là pour ça. On est ensemble en transe . Ensembkle = deployée, = déplisssee ... en tantque féee des prés ainsi ailée qui saurait du coup traverser (d'un coup d'aile) le muret dit "des fins de pré", et se retrouver toute chambouléee car transformée en veritéen une sorte de ........ bébé chafouin ..............tout chose ...........un peu sonné ............ tout brinquebalé ......... chahuté au passage de porte ...................................Etonné ou né étonné (comme on disait) ................................... tout marbré comme une roche ............ lèvres bleutées ..................... doigts nacrées ...............................bébé docte ...........il sait ................................ il sait des choses hautes ..................................................mais ne peut en parler et ça fait chier car il saurait (en vrai) nhous en apprendre long , hauttracé sur pieds , des donneees profondes hautes ........ ancestralités de roche haute ............... ça fait suer ................. car .... comme on serait heureuses d'enfin pouvoir de fait cerner de chez cerner toutes ces données qu'un bébé connait .......... jsauqau bout des ongles ! Sureté ................................ il sait ................ bébé sait de fait ce qui est ......................... de la dite mort alloueee à une sorte de '.......... passé montré .......................... hors roche .......... hors rocher .................... hors enceinte donnée et autres panses satureees de verbe-eau des données de force ................................. eaux de roche et rochers d'eau à tous les niveaux ........... On monte hautes. On est haut sur haut niveau de roche haute. On veut toucher àce néné d'époquedont le nom pour nous évoque une sorte de ..... passé tracé aux vies remonteees ou comme remonteéss. On veut toucher de chez toucher à une sorte de ........... montée aux feees ................... un sentier tracé, sur........ du passé comme re-activé le mur du son passé ......... quelle activité ! On en tomberait d'inanité sonore ! Haute portée ! Qui c'est ? Eh bé.................. on ne sait ! On se montre bébé mais on ne sait a quelsaint se fier ................................... en ce sein alloué a une sorte de passage docte , genre ........... traverseee desroches et autres rocs des catacombes. On est née !!!! On est re - néee !!!!!!!!!! On revient à une sorte de ....... passé de porte post-roche .......... hors de pré de roche ......... passé comme enfin retrouvé, le pré (de la mort) ainsi dépassé ça le fait ........on le voulait ......... on ne voulaitpas
rester en ce pré mais tracer et traverser la roche et nous retrouver en quelque sorte ainsi déplaceee pour une sorte de virée seconde de type tétéee , tétée haute, sur tracé et autres traits donnés de type lacté. Qui on est ? Le bébé re-né ............... à une autre époque ainsi dessineeesur paroi de trait. Sarabandes et bandes , traits nacrés - sacrés, charges mentales du passé en france un temps alloué a u x dites romances et autres petits faits comme retrtacés . On veut creuser, donner, filer, chercher, se déplacer en nombre, et chercher de fait à se replacer en cette sorte de domaine ... des formes ou des formes hautes de type cohorte ............................ ou autres. On monte ................................................. on veut creuser de chez creuser une sorte de porte par où ensemble pouvoir passsr sans ettre en vrai rtrop secouéeesni même blessséess, et du coup traverser de chez traverserr la roche haute, et filer de chez filer vers une sorte de néné qui est poche de lait ou quelqque chose de cet ordre : lre Passé lacté enfin retrouvé = Verité allouée à un " produit laitier" de type : Lait non- ecremé, lait entier, lait adulé, lait adoré des bébés ("qui sait? ) " normalement constitués" ou alors quoi ? Car, nous voilà là qui voulons nous autres, grave de chez grave, téter, teter sans cesser, du bon lait de mere, mere vraie, mere des termes, des données primaires , premieres, pré- mères on ne sait, hors enceinte aux feeees ......... on cherche. On veut trouver alors voila on ne cesse plus de ... grave aller de chez aller ici et là à la recherche de la vérité sur les données de l.au - dela et autres quartiers habités par , peut etre, des etres tout ebouriffés de nous savoir passées ou davoir su pouvoir passer , d'etre passseees, dAvoir en vrai reussi à passer et à pouvoir teter , téter sans nous arrêter, le lait de mère. Mère autocentrée sur son drôle de passé de ferme. Merde à mère. On veut ............. creuser ledit passé sans se bleesser ou etre blessée mais tout le contraire . Aller, fair, dire, cerner, pousssrr, connaitre, retracer de tete les donnes i n ternes a une sorte de passé ancré de type ................. lait ! On ne sait jamais ! On croit pouvoir trouver et toucher à une vérité des termes, mais en vrai ........ ce n'est pas vrai ! On se fait blouser ! On est vite faites soit baiséees de près ça fait suer , meme chier. Ça fout la merde. Ça nous emmerde. Ça nous fait bisquer et meme bisquer de chez bisquer quaNd on voudrait juste tracer vers une vérité tracée qui soit pour nous comme assurréee et dignes detre de fait adopteee ou alloueee ou meme adoubee et ducoup aimee ou comme aimmé. On veut toucher a ce dit néné des finalités hors cimetière : quest ce que c.est ? A qui appartient'il ? Qui sait à qui se sein donné est ? Que penser du lait ? Que penser en vrai de l'herbe et du pré des données de roche ,, genre .......... traits de poche ........... pré docte ...................................................... ? On est née bébé , la mort dépassée. Bébé = re- né ......... hors du pré .......................... sur néné des termes . On veut toucher de c hez toucher à une sorte de donnée des données de l'herbe et du coup tracer = faire= dire en vrai ce qui nous embête ou nous embettereait hors ou en dehors du cimetière tel que presénté a nos obseques. On cherche ............................................................. on ne veut pas passer a côté des verités dites intrinsèques mais au contraire cerner , cerner grave çe qui est en ce territojire des données genrées de type post- *morteme et autres post- tracé aux feees. Qui on est ? .....elles ! Dans la mort , fille ou garcon, on devient ...... elles , elles- montón, elles d'ailes, ailes / elles, on vogue. On va la bas. On entre. On creuse. On veut voir du paysage, on se balade,, on croit en soi, en sa bonne étoile sage. On est en soi une sorte d'étoile ou sinon d'étoile de lueur intense (notoire). On entre. On cherche acomprendre ensemble les données profondes. Creuser = dire ce qui est. On veut toucher à une sorte de contrée des finalités dont le nom est ou serait ... le nom des traits, ailes de papillons, ailes de feee, chapeau- melon petit patapon ..................,... dont le nom, pour le coup , serait : Ducon ? Dupont ? ... Cendrillon ? Spigolon ? On cherche sans cesse ! On a envie ensemble de trouver-toucher de rage les données de base et du coup ( en vrai) de ............................ des c endre en cendres .......... vers le pied de l'antre ............................. ou autre cavité ........................ on ne sait .............................................................. on veut ou on voudrait toucher à ce néné de contrebande ainsi dessiné la mort une fois passée. Quest ce que cest que ce néné ? Eh bé .... un néné dit ......... du passé il semblerait. Néné né la mort passée. On veut le téter . Téter = être. Téter = dire. Téter = faire. Téter = charger et du coup aimer, sonner, sonder, creuser de chez creuser le Verbe saturé de germes et autres grai n es de données de roche ...... post-roche. Un aller simple et nous voila armée ! On peut pistonner. On peut aller vers icelui néné des données de ferme, ferme sanctifiée, ferme à lait de ferme ainsi édifiée ( la ferme) pour l'eternité. On est ...................... colere ! Toute remonteee ! On veut :
Teter teter teter teter et ne plus nous arreter en fait de teter de ce lait de terre, lait de trait, lait de ter-.... de tré- ........ de tré- né .......... de terre ferme, lait -trait, laitdes traits des données dingues. Chargé . Chargé de Verbe comme autoporté en ses données vertes . On veut toucher à ce néné du verbe salué, et comme saturé de lait à tout jamais il semblerait. On aime. Grave on aime. Grave de chez cggrave on aime le lait , on en redemande : donnez- nous du lait de france , pitié ! Donneez, dooonneez nous en vrai ! On veut téter de ce francais de contrebande et nous en rassasier ... sans plus de manière .................... car on aime ! On veut teter teter teter sans trainer le lait', lait de mere naturelle ..... ou pas, que nourriciere on s'en fiche en vrai puisque nous ce quon veut par dessus tout cest de ce lait du bout ! Bout doux ! Bout des bouts du trou ! Lait des ombres ainsi donné en bout de porte ! On monte = on ose . On est hautes et doctes. On veuttouxher toucher toucher à cette chose des trancheées de roche et du coup tracer , filer grave sans reculer v ers ce "néné de france" .................................................... frai ...... frai de rage ......................... frai nacré de france ................un passé comme remonté dans la "souffreance" d'une sorte de dicteee intense .......................... psychanlayse des trembles ,,,,............................des 4 memnbres .......................... à satieté ............................ = le passé des membress et autres traits des traits sur roche d'ambre ....................... clarté ............................... une clarté intense ................... qui serait comme remontée pour ainsi dire dans la souffrance ou l'endurance d'une vérité ainsi tracé sur paroi de base ............ grottifiée ................. et nous voilà colmme remonteee ou toute remonteee de cette sorte de souffrance intense de type diarrhee, logorhhé, verbe alloué a une sorte de parade d es donnees ancreees dans une sorte de passé de france ou du francais ..... francais langue sale ........ langue heureusement sale salopée on voulait on entre .......... on voulait comprendre on voulait cerner on avait en vrai méga envie de (pour le coup) vcerner - toucher à une verité des données intenses telles que developpéesx en ces contrées de bout de roche ici gravée , et nous de nous
emberlificoeter en ces dites "données derage" , et desssayer ainsi (emberlificottéees) de comprendr dans le detail (des données de près) les raisons desperer , d'espérer pouvoir, un de ces quatres toucher du doigt les raisons de base, lrs tracés ici ainsi desssinées ou decoupés sur fond de roche ainsi enterréee. On veut cerner ces dites
"contrées post-mortem": que sont- elles ? Qui le sait ? Qui connait sur le sujet la verité à quoi se fier ,? Qui pour nous aider ? On cherche ! On a pas encore trouvé et cependant on ne renonce pas , on pousse encore sur paroi de roche la Parole Docte, le tracé nacré, en cohorte, bêtes sur pieds, bisonnées des feees et autres betes " accortes" . On cherche un trait (deux ?) pour unesorte dimmixtion en roche ........... une infiltration en quelque sorte ........................................................................ incrustation .................... passage de porte on monte on creuse on file on ne veut pas lacher le lest mais ghrave filer se faufiler tracer entrer creuser se donner et poussser de chez poussser vers une sorte de ........ néné empli de lait sucré on en rêvait ! On rêvait de lait ! Eh bé voila, cest fait, on est allaitté .....falait juste y passse ´r, passer et trépasser et du coup tracer . Tracer vers ce néné des données dernières post muret = post- cimetière on y est, on monte. Montons. On ose . Osons. Creusons ensemble à fond jusqu'au dit Mamelon d'epoque Haute , sein collé à une sorte de donnée profond
E de type .......... onde ? Monde ? Monde qui gronde ,,,,,,,,,?,,,, on monte = on cherche = on dit, et ce qu'on dit est en vrai (serait ? ) d'une importance folle, car ............ le passé (la mort passsée) gronde, renacle grave, il trepigne de rage ! Montons ! Montons haute et allons creusons filons cernons cherchons à , ensemble, comprendre, un certain nom b re de raisons intenses, les données de base, c e qui est en ces contreees des rages et autres ires du passé. Qui on etsv ? L.arbre ?un tracé ? Une charge des feees ? L'ombre sur le pont ? Une merde sans nom ? Ah peut -etre ..........peut- etre une merde ! Va comptendre ! Va chercher ici a comprendre. On veutnous toucherde près, toucher en vrai, et du coup c erner, mais .......................... car ily a un mais. On entre = on passe = on cherche = on dit, et ce qu'on dit est (en derniere instance) du dit vrai du fait que voila , l'arme de latranse est arme de base, trace des traces. on entre, on passe, on envoie, on cherche un trait ici et là sur quoi pouvoir sans hésiter tabler et du coup s'appuyer. Trait de rage intense = cri ? Christ étonné ? Dé-genré oh ça se pourrait ! Car, la vérité du pré, nest pas la vérité post- pré ..... loin s'en faut. Un homme est un homme au tro t ; au galop le voilà fait ombre et ........ bientot tombe ! On monte . On creuse, on charge. On pousse. On veut grave comprendre, aller, charger, cerner, dire et toucher à ce néné dit "des données intenses" de type " souffrance en france"................. et autres joyeusetés , on sait. On est pas neees de la derniere transe , on connait lafrance , disons : le francais, langue des traits , des données romanes et autres données greco-cendréees. On veut toucher toucher à ce quii est ici ( le temple) qui nous regarderait ou chercherait à (qui sait ?) peut-ettre en fait comme nous mater et de la tete aux pieds qui plus est ......... quand on est juste.ment méga- mal atifée ou sappée ça fait caguer ! Justement là ! ........, comme un fait exprès ,..... pas de chance .......... on est' envoutée .......... on est piegéee ? On veut en vrai cerner de chez cerner ce mal des prés et le pourquoi de fait on entre ainsi en ce passé ... des donnnés intenses comme ressassées . On veut toucher à ce néné des trembl es ! A qui il est ? A qui donc est ce néné des trembles ? Qui le sait , qui comprend les identités ? Les permanences ? Les clartés ? La vérité des vérités?on entre ....... on est la fée des données de france ,........ = du francais de branche = remontées (de clarté en souffrance) ................ jusqu'aux dits nénés ainsi alloués à une sorte de tétée donnée ............................ par amabilité . On entre , on creuse, on passe, on cherche à comprendrcensemble les donneees de s trembles, ce qu.il en est de fait de ces donneees toutes plus denses (intenses) les unes que les autres, il semblzerait. On aime tracer, on veut creuser. On cherche à toucher à ce dit "Nene des Trembles" ............. questce que cest que ce néné des trembles ? De quoi il s'agit ou s'agirait en vrai ? Charge - née ? Croisade ? Trait des traits ? Fentes allouees a un corps de rage ? Le passé dit remonté est il passé sale ? On voudrait cerner ! Grave cerner-toucher à ce dit néné "aux données intenses" dites " du passseé sale" maois est-ce que cest vrai ? Le passé estil sale ...... ou bien plutot ... sage ? Ou même ..................... sarde ? Passé sarde et nous voila armée informée formée à une sorte de .............................. parade, tracé, cavalcade ancré, contrebande des données pesantes et autres charges ccertifiées antrales. On veut toucher de chez toucher le ventre des données de base......et filer de chez filer sans plus de formes autres que celles ici ainsi deployyées ou montreeées en termes de :
- amabiliteé
- cordialité
Et autres formes civilisées de sociabilités. On veut creuser creuser creuser et du coup trouver trouver trouver. Et du coup poasser ! Traverser lesd ites données et cerner de plus près, de l'autre coté, les choses du front ! Ce qui est ! De quoi en vrai il en retourne ou retournerait le mur du son ( muret dit "des finaliteés") passé soit dépassé , car , on le voit, le passé tel que mentio nnné est peut -etre plus que du passé ou plus que du passé-montòn...... peut etre, aussi ....... sorte de ...... m.amelon .......... mamelon des monts ou dit "des monts", dont en vrai .... on ne saurait rien ! ou rien de plus que ce que pour le coup on pourrait en savoir soit en voir ................... = ..................................................................................................................................................... quelques traits ....................................................... un tracé ...................................................................... une (sorte de) tracé à main leveee .........................rondeurs des traits et autres galbes de fait ............................... sein donné acoeurouvert ......................................... saintetÉ .................... des traits saturées .... et autres traits de sainteté .... comme à découvert ............. traits de lait = flèches .............................. le passé en flèche ou en "flèche de lait" ......................................... un drole de passé de roche ...................'........... post roche .......................... passé - ombre ............ lait perlé ............. lait donné ........ lait de trait ............ lait tiré .................. lait donné à la volée ou comme tel et nous voilà ainsi nourrie de sortes de paroles doctes, voix d'en bas, chants des roches, tralala des données hautes et autres traits d'époque : poids.
31/3/2025
on a envie en vrai ensemble de méga méga comprendre ce qui donc ici se passe devant soi = la base = les données = ce qui est qui en vrai est là qui peut-être on pourrait le croire nous regarde grave nous mate de rage ne nous lâche pas et nous (du coup) on voit on voit ça les choses en face la paroi les drôles de bêtes-voix et autres romances en veux-tu en voilà on est là on est comme deux ailes en soi qui (on dirait) veulent s'envoler et hop monter de chgez monter on veut comprendre et on veut tracer gravir la "roche des fées" et du coup monter de chez monter au plus haut des monts et regarder voir ce qui est comprendre un tant soit peu les données données cerner = toucher et toucher = cerner aller en ce quartier des "données profondes" hors rotonde soit au-delà de là de la paroi-monstre voir là-bas "les choses du monde" qu'est-ce que ça serait ... peut-être du ... lait ? d u ... lait de rOche ? on ne sait ce qui est on veut toucher on veut passer un pied ou même les deux pieds ou même la têtr et mater de chez mater eh bé peut-êttre ... lezs nénés ? qui se présenteraient "à la fenêtre" qui sait ? qui sait ce qui est qui connaît les traits les bases le passé la chance les tourments de rage et autres inconcvénients notoires on ne sait on trace on en avance on veut grave comprendre et pour grave comprendre le mieux on le sait c'est encore de fait de passer en ce dit passé des "données profondes " = le trait
trait du fond fond de roche roche aux mots de poche et autres chansons on monte hou la
on monte haut haut de chez haut on gravit les échelons on veut toucher le haut du haut tracer de chez tracer en avancer en ce quartier des (donc) données profondes telles que en vrai on voudrait mieux les approcher ou mieux les aborder les approcher de près afin de les cernerdans ce qu'elles ontr pour ainsi dire de plus vrai qui pour le coup les soutiendrait qui les constituraient
que sont ces données ? que sont ces mots de traits ? que sont donc ces nénés au Lait sinon quoi une source chaude ! un envoi de bosse ! chants lactés à travers les ronces ! une pa!se ! une pause ! traiyts d'union entre la roche ici (feu de la passion) et là-bas les Choses du FRont ! ronds de bosse et autres alluvions de type Chansons ! on monte ! on veut de chez vouloir toucher à ce qui est qui ici apparaît alors même qu'en vrai on voit ça
quye la Voie est là
devant soi
qui sembleréit vouloir que nous fassions le pas et traversions à la une à la deux encore une fois (?) la paroi des Rois Reines des Bois on dira Le Trait La Rage-née La voie est tracée qui de fait nous admet ! passons fonçons creusons allons
faisons donc le saut de l'oie
et voyons-y voir au plus bas la trace des pas de Celle qui envoie ! de Celui ou Celle qui ici devant soi semble vouloir nous voir et nous admettre à s es côtés en tant que .... bébé ! bébé des traits ! bébé né la paroi traversée soit l'ultime pa(oi des données de base on dira la Base lA paroi des Voix et autres chants "sardes " (?) on y va on fonce on court on s'envole on va on ne veut pas cesszer d'aller mais tout le contr&ire traverser de chez traverser filer à l'anglaise gratter le muret et à travers le trait passer ! passer têgte ! tête indemne ! filer d'un coup d'aile et hop on est comme qui dirait "de l'autre côté" c'est-)-dire que à tire d'aile on est pour ainsi dire en vrai passé de chez passées ensemble côté Belle = Le passé ! la Haine ? on ne sait ! la Chaîne ? on veuttoucher toucher toucher à ce qui est ici situé aux antipôdes d'une /
Aux zantipodes d'un teracé quui serait de traîne mais tout le contraire : le Passé hors pré ! le passé de verrbe ! une denrée' = le Passé acté comme une sorte de denrée à ingurgiter et on serait pour ainsi dire un tant soit peu comblée un temps donné on veut toucher et .... une fois ce passé (le néné) touché soit tété alors on peut se reposer ... "à la droite du père" ? à la tienne Étienne ! on cherche ! on creuse on va on veut aller on veut cerner on a envie deça : aller cerner et du coup trouver en ce quartier hors pré les données réelles une sorte de tracé du Verbe un chant celte ? ou sinon celte s arde ? ou szinon s arde .....franc ? de la france de branche ? on trace ! on veut comprendre et pour comprtendre il est nécéessaire il semblerait de bien trouver à se positionner en cette chose ici du Verbe non-alambiqué et une fois placée tracer cxh arger creuser graver dessiner le BVErbe des Nénés à lait = donner en ce passé kles accents de l'herbe Une chose verte Un drôle de tracé en herbe = un Néné ! néné d'Elfe on peut rêver ! on trace des traits on tète on veut du lait on veut grave téter de cghez téter le bon lait de l'êttre de l'ÊTRE ou de l'Elfe ou de l'Ëtre-elfe squi en vrai se prése,nterait dès que le mur du son (?) serait passé ou bel et bien passé une fois le pré (la prairie) traversée on serait armée on serait passée et on regarderait à bien atreapper le néné de l'elfe afin de téter sans discontinuer le bon l ait du Verbe et autres produits laitiers comme s'il en pleuvait et ça serait du Verbe ! verbe d'herbe verte !chants coton ! chants de Terre et autres "chansons du front" ! on veut coller à ce néné "du verbe" ou dit "du verbe" et en vréi téter téter téter sans jamais lâcher sans s'arrêtter le nez au balcon ! on veut creuser de chez creuser "à l'unisson" puisque voilà on est les ailes du papillon ailes belles ailes de rêve ! on veut coller = téter =boire du lait sans jamais cesseer et s'en pourlécgher de rage nos babines de fée qui serait la fée du Passé "montón" ... olé ! on est ..................................... passée ! on a traversé le Riubicon on veut coller collercoller à ce néné des monts et jam&is plus nous arrêter d'aller en ce tracé des monts de Roche
Haut les pieds ! haut le menton ! haut la Roche et ses mamelosns ! on aime le front ! on est Love ! Love à fond ! Amour de Bosse ! rons des ronds petit patapon ! on monte ! on veut grave de chez grave aller et du coup cerner = entourer .... le néné de lm'ombre ! On veut :
creuser de chez creuser
dire de chez dire
aller de cghez aller
construiore une sorte de case à ensemble habiter en ce quartier des données tracées j'ai nommé le Pont ! haute Roche des données "commodes" on veut être et avoir été ou pliutôt : avoir été (peut-être) et à nouveau être ou disons ecxister en tant qu'on serait en vrai ..... des elfes ou disons des fées fées d'herbe ou fée en herbe post-tracé post)-dessins au trait bêtes d'herbe ? hop au panier et on serait sans elle passée
de l'autre côté côté Lait et autres Vrais DEnrées aux vertus Profondes et avérées Lait des Laits post-cimetière on a envie (grave !) d'en téter sans se lamenter téter de chez téter et s'en gargariser sans faire de manières ! on aime ! on est LOVE TERRE ENTOÈRE chant de la terre chants du front on aime on est Amour de Rêve On tète la Mère et ses seins de bosse ! haute roche ! montds des fonds ! creusons ! allon ds filons sachons en, vrai nous approcxher sans faire de simagrées de ce néné au bon laiot de roche et autres laits des laits donnés on veut téter tétyer téter de ce bon laiot de Roche et autres Laits des Laiots du Pont ! on monte ! hop ! on ose ! on est née Fée sur preé et nous voici toute transformée en ce bébé dit "des nénés" car il tète son lait ! lait d'octe lait tracé lait tiré lait des traiots du monde alloué à une sorte de Passé Montón qu'est-ce que ça swerait ? on cherche ! on veut cerner sans s' arrêtrer les données du Verbe VErbve-treait = Naccré = donné le muret e,nfin passé ou une fois passé et làsoit en ce tas ou en cette voie aller toucher dire porter cerner les données "prégna,ntes" : ce qui est qui est
ce qui nous regarde
ce qui sembke ou wsemblerait de fait vouloir nous mater sans discontyinuer de la tête aux pieds j'ai nommé le .................................................................................................................................... tempsq ? ou sinon le TEmps le VEnt ? ou sinon le VEnt le Taon ? ................ ou sinon le TAon le Pet§it Connu ... qui pue du Cul ? OU sinon qui qui nous regarderait et chezrcherait sans faute à nous ..... eh bé grave reluquer pour nous intimider et nous faéire trébucher ou bafouiller ou nouys sentir gênée ou nous faire faire des pas manqués ! On cherche ! on veut toucher de chez toucxher à ici ce dit "verbe aux données données" qsuii serait (en vrai) ... verbe de fée ? qui sait ! on est passée on mate grave on veut comprendre on ne veut plyuds s'arrêtrer de comprendree ou cher cher à comprendre mais tracer tracer de chez teacer et essayer "ensembkle" (on est les ailes ouvertes) de tracer de chez tracer kles tréits de base d'une ... vérité (ou sorte de) de sorte que voilà , on seréit là de rage à tenter le diable à chercher grave à toucher le Néné et à boire à
boire boire boire
Lait Lait Laoit
des Données de base à savoir / un Passé -tracé ! la Rage au P assé ! une trace ici mentionnée et le tour serait sinon joué déjà bien avancé comme qui dirait et nous serionsq dès lors enfin considérées comme faisant partie des ëztres ... d'Excetpion tu parles ! zéro mention ! on est de la base : simple troufions troufionnes de la classe basse des morpions bêtes de salle alluvions maussades chancres sales on rampe on avance de rage le nez dans le guidon on ne fait pas partie des Hautes Stratesz on est des pions pions du front on trace oui mais seulement des ronds ! on est "sages" on estFée de base sur pré du pont et nbous voilà qui nous présentons ou présenterions au Passé sdes Traces ! ding dong ! on est ... L'aile du Mouron ! on veut passer à tire d'a&ile ! on veut tracer vers l'Elfe (le néné) pour juste lo'attrapper et grave le téter comme qui dirait on veut du lait de bonne composition soit de bonne résolution soit lait -mention et du coup une fois passée une fois qu'on swerait enfin passée "ensemble" de l'autre côté et qu'on aurait asseez t(éteé alors quoi ? on se reposerait ! on s'assoupirait quelques instants on fezrait un petit somme on essaierait subséquemment de se reytrouver ou de se recentrer ou de se recr(oqueviller pour enfin trouver en soi même (fée) de quoi satisfaire son besoin ancré de ................................. cl arté ? on ne sqait on cherche on trace on va on creuse on essaie des choses ici et là on s'abvance on veut toucher à cette sorte de Passé de Copntrebande : un Néné ? une sorte de Néné rempli de lait qui serait de fait le Néné de l'Antre Antre post-muret post-fi,nalités post fin de pré post -paradis vrai ! on creuse = on donne = on veut = on cause = on avance à qui mieux-mieux en dehors des /
en dehors des traces Herbe à voeux Herbe Verte dites "des Envieux Envieuses de peu" ! on veut ! on veut mon neveu ! grave on veut ! on veut : toucher de chez toucher à ce n2né post-cimetière et retrouver du coup ..... eh bé oui ........ le Verbe ! VErbe "vieux" aux données de roche Vieux tracé de Cloche ! haute porte et aiutres accès tous illimités qui nous szerraient de fait accordés du fait que voilà on monte on ose o,n vole on s'envole on est l'elfe de porte Fée de ROche haute on =monte on creuse on traverse et ....... on se transfor(me Hulahup Barbatruc ... en sorte de .... bébé De poche ! bébé né pour en vrai téter à c e néné ainsi dessiné la mort dépassée ! téter = dfonner = faire = comprendre =cxhercher = dire et allouer au verbe une sqorte de denrée de type "herbe" "herbe cdes prés" Le passé est le passé ; la châine du verbe est-elle la Haine ? on voudrait cerner on voudrait grabve enfin comprendre les dsonnées de base ce que c'est ce que ça pourrait bien être en ces contrées de bout de Terre qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est que ces nénés dont on nous "rebat lesb oreilles" ? on chercheb! on est pas aarrivées ! on a encore pas mal de xhemin à faire jusqu'au ... passé on le sait on veut toucxher on veut en avancer on ne veut pas rester à quaiui la bouche ouverte à bayer aux corneilles on veut grave tracer creuser et cerner "ensemble" les donnhées du Verbe = le Néné = Le lait ! lait cde mère ! mère imberbe ! cherche donc la tienne ! va tracer ! creuse de c hez creuse à mêùme la pierre une sorte de "tracé de bière" un Pässé qui de fait serait Passé des Terres allouées à une sorte de Tracdé du Verbe ! une montée ! mont de Piété ! on cherche à connaîtte toucher de chez toucher cerner de près être faire dire rire creuser porter aller cerner de chez cerner une sorte de Passé qui serait "de Verbe" (on dirait) , soit :
de la Terre Entière
Cha,nt des Fonds
Ponts et patapons !
une somme de VErbe CElte ! celte ? celte ou Céleste ! on cherche ! on veut toucher touycher topucxher à ce dit "Néné"
des tracés de roche hors Pré (hors ponton) et du coup ....... mater de près = de très près
les Données du Verbe
du Verbe en Herbe = le Passé de trait = LAIT L AIT LAIT LAIT LAIT L AIT LAIT LAIT À FOISON
À TIRE -L ARIGTOT HOP ON ABSORBE ON TÈTE GRAVE ON S'EN FOUT PLEIN LA PANSE ON "MANGE" O N BOIT ON VEUT ÇA
on est là pour ça ! on trace on tète on veut toucgher dee chez toucher ... le Verbe il xemblerait ! à savoir : la bête ! le treacé tracé Bête de Tête et autress Bétes des prés j'ai nommé l'a Bête dees Données Célestesc : Sommité
Somme et Sommité une sqorte de Grossièreté ici décochée qui ferait trembler eh bé la Terre Entière te"llement c'est .... laid ? lait ? bête ? bête et laid comme une sorte de Bête à Passé ? ou comment ou qu'est-ce ? On veut toucher ! on ne veut pas s'arr^$eter on veut tracer on veut continuer on ne veut pas jamais s'arrêtter ma&is en vrai on veut gr ave toujouours toujours continuer cde chez contuinuer ceytte sorte cd'avancée en ces quartiers de fond de VErbe = le Passé de Traiîne chants gravés Bêtes Célestes vSommité des Sommités rupestres on aime on veut toucher on veut caressszer caresser la bête la bête cendrée et lui dire "je t'aime" "bête cendrée : jtm ! " je te veux ambrée je veux (je voudrais) te toucher en vréi j'aimerrais être grave
l'être qui pour toi serait peut-êtrte une sqorte de voix ! j'avance ! je en vrai avance ici squr paroi dans le sens des Voix telles qu'ezlles se présentent = j'envoie ! j'envoie du bois ! je veux comprendre = je regarde = je dis = je cherche = j('essaie grave de c erner les bases d'une sorte en soi de véerité "sage" et pour cela : la Chaine ! chaine verte ! chaîhe du VErbe ! on envoie ! on trace on veut comprezndre on v'ut touvccxher dire et c erner colloer coller coller au néné et du coup téter téter de chez téter le bon lait de l'elfe ... à jamais : p)assé re-né se voit dès lors commev "consacré" par ... du Verbe ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher à cette sorte de donnée en herbe dont le nom est Verbe mais en vrai .............. c'est Lait ! l'ait de Trait ! Nom de Roche osée ! on veut toucgher = téter et piour téter on a grave bvesoin de passer ... à traversz la Roche des Données de Bossee ! hors quartier du pré ! hors le Rond" (la rotonde) hors enceinte des fées ! le pré passé on veut creuser = toucher à ce qui est (au-delà de là) hors paroi = hors du ..... moi ? on entre ! entrons entre ! chezrchons ! creusons de base les données "immernses" celles qu'on voit qiu'on devione là qi seraienjt comme à "ensemblme" nous attendre : tas ! tas de bois ? on entre on cherche à comprendre on veut ça de chez ça
et du coup
on veut toucgher à c e néné qui ici se présente à nous et le téter en vrai sans plus traîner l'attrap^per le pincer et tirer le lait parce que voilà : on est des bébés on est bébés nés la mort pasdsée on voulait durer en dehors du p)ré on dira que c'est ok que en vrai on est toujours touyjours comme alloué à une sorte de vitalité (en soi) continue = vie rêvée ? vie hors pré = vie passée = vie présente ou p)résentifiée du fait qu'on sans cesse (?) renâiot de l'herbe = du Verbe ou du Verbe ezn herbe on ne seesse de reznaître eh bé le Mur Passé Mur des Fonds de Roche = Hors Prison ! on mùonte on coche on veut de chyez vouloir aller au plus du plus profons qu'on de fait pourrait cerner et toucxher toucher troucher toucher à ce qui est qui ici nous admet ou admetrrait en t ant que "bébé sacghant téter le lait" lait dee l'elfe nacrée de mère autoportée mère hors pré = mère hors des tracés sur herbe couchée par le vent des fées ! on aime on aime le lait on aiùme téter téter de chez téter le ..... verbe"-lait de mère allouée à une sorte de donnée primùéire = Trait ! trait tracéb à même la Pierre Une sorte de ... Dessin Animé (on dirait) ou disons de ..... Bête Agitée ! bête des prés ? on cherche en tant qu'ailée (qu'on est ailée) ce qui est en ce qu artier des données dernières .... dernières et aussi premières puyisque voilà la chose est là qui semblezrait cde fait revenir à soi c'ezsst-àdire renaître reveniçr en vrai revenir sur terre comme Sommité ou sinon Sommité ............ colère ? groosse Colère ? on ne sait ce squi,est de fait et du coup on se met à grave chezrcher ce qui pourrait être qui wserait à nous m ater il wemblerait tandis q!'on serait à ./.... gratter la terre ? essayer de traverserr le Tertre Le Passé hor pré ? la terre Primaiore ? un passé de bière ? cimetière ? on cherche o,n veut trouver on veut cerner on a envie enwsembe de cerner = toucher = comptrendre = dire = saturer de dires les données du ventre = coller charger toucher toucher toucxher à ce qui est qui en vrai wsezrait "de la bande et du jarret" ! ventre -en cendre ? on entre ! on veut comprendre = on veuut cerner = on veut toucher de chrez toucher au nventre alloué à une sorte dee naissance de tracés ! on est née sur pied en ce pré aux fées la mort donnée mais voilà
au delà
il y a ça : la Rage Le passé des TRaits Lait hors gages ! hors rangs de base ! on entre ! on entre en cet antre des dons de lait et nous voilà armée pour bien attrampper le Néné bdonné (pointé) qui est plein de loait Lait d'ambre Lait tracxé L ait de face Lait des Laiots pour bien s'alimnenter afin de durer à jamais soit dans la durée De la TErre au Ciel sur Passé porté ! port des traits ! un creuset ! sommité allouée au Passé tel que nous on en, vcoulait en vrai au plus profond ! On est née ! née bébé au pluqs profond ! on est passeée on veut creuser on est le Bébé né qui cherche à attreapper le bout pointu du mamelon ddodu ! hop ! on tète ! on tète le verbe ! lait de tra it = Verbe donné ! on veut pas on ne veut pas on veuut pas traîner on ne veut pas en aucune façon s'arrêteerr on veut téter le mamelon le sein rond le Passé du Front on est szur le pont ! on veut téter gtéter gtéter téter( téter téter téter de ce lait de tr ait et s'en gargariser à profusion car voilà on est celle du front qui aime qui grave aime ici téter le sein donné en ce post -pré qui est l'endroit rêvé pour en vrai téter sans s'arrêter ni sourciller ni se gêner ni craindre quoi que ça puisse être qui swerait à nous contrza arier ou à grave nous enquiquiner pendant que nous on est à notre affaire une aff aire de lait lait d'elfe à bien avaler hop dans le gosier Lait des Laits on aime on dit qu'on aime et en plus c'est vrai ça pourrait ne pas l'êttre eh bé non ! c''st ! on aime le lait ce bon lait de mère lait de trait-verbe verbe de lait ou laiot de v erbe on aime ! on aime téter et s'en gargariser sans s'embêter car on est celle (aile) qui en v rai sait (elle) ce qui est en vrai la mort passée à savoir ............. du lait !!!!!!!!!!!!!!!!!!! lait de verbe !!!!!!i!i!!!!!!!!!!!!!! verbe-trait !!!!!!!!!!!!u!u!!!!!! trait des traits dont le nom en vrai est :
HERBE ? HERBE CVERTE ? HERVBE -VERBE ? ON CHERCHEB ! on veut toucher-creuser dire et donner cerner le néné afin de pouvoiren vrai s'en emparer sans merdouiller car on veut téter en vrai de chez téter sans se louper sans traîner sans se faire engueuler ou je ne sais ce qui pourra&it êttre qui de fait ici nous arriverait mais voilà on est prête on est toute bien installée en dehors du pré pour bien attr apper ledit bout "de lait" ou "bout dee trait " ou "bout de néné" à devoir téter puisque c''st ici le je u à jouer ou jeu à devoir relever ou comment dire ce que c'est qui nous pendrait au nez ! néné ? on veut ! on vcreuse on creuse en creux ! on veut de chez vouloir aklller ... au plus creux des creux ! on veut tracer toucher aller &ller du feu de dieu jusqu'au néné ainszi alloué à une tracversqée des données dernières = le Passé en herbe Le passé de trait qui est ou szrait de fait ce passé sur terre déjà calcuklé ! on aime on aime le l ait la Bête le vPasdsé est ici donné (redonné) comme une sorte de denrée à devoir avaler pour de fait renâitree à une sorte de "vie rêvée" qui serait(sur terre) vie Donnée des Données données = Verbe Verbe Verbe tracé Consacré alloué à u,ne sorte de vDenrée"superbe" j'ai nommé : le Lait ! laiot de mèère olé ! le passé de mère est du paxssé de lait tel que tiré de près la mort dépassée on vfeut toucher dire et donner
et commê saturer de mots le champ des oisea&ux préau creux des peaux charges au trot pont de caniveau on saute on abborde on veut creuser de front le trou de l'ombre et (ensemble allouée ou collée) comprendre = cerner = entourer = dessiner = graver la Sorte de Romance des Données Immenses Sommité de france (?) ou d' autres contrées on s'en bal ance l'important (e,n v rai) c'est d'aimer aimer tracer cerner entourer ce sein de léit de toutes notre confiance ou disons d'e ndurance ou comment ? dxe dires "intenses" et autres transes et tour'ments ! danse ! chants ... de franche embrassades ! symposium au passage ! on entre ! on veut comp)rendre = toucher = dire = cerner =allouer à un Rire les données du Ventre ! sentiments tout exacerbés de souffrance-franche ! sainteté ! trait des traits et autres "enculades" au passé ! ça fait chier ! tracer = dire = faiore :=cchezrcher = szoumettre = traverser de près lrzes données du Verbe si ça se pourrait m&is il wemblerait en vrai que oui ça puisse ! ça puisse passer et se retrouver en vr&i de l'autre côté côté "franche p arade" Vérité des Vérités Lait marbré Traits tracés à main levée p ar une femme un homme des fées femme Donnée Homme Collé Homme donné Fe"mme Collée on dirait des fées Fées de L"herbe Allouée à une sqorte ezn vrai xde Sommité des Sommités dont le Nom sezrait ............................... Vezrbe ............... ............... verbe e"n herb e ............ V er b e d'herbe ................. verbe et herbe au taquet ! sang jeté ! colère ! ire des fées ! fées des terres é&insi sacrées par (qui s ait ?) un être qui serait ....../. eh bé oui de VErbe ! genre : TRAIT ! trait des traits hors cimetière hors pré hors éde,n tracé hors enceinte aux données données de ttype Herbe Fleurs Coupées Bêtes des prés On v eut creuser = toucher = dire = comprendre = c erner = cxhercher = allouer à une sorte de denrée les vertus de l'hydre ! vfa chercher ! cherche à c erner ! cerne les do nnées si tant est et va pour toucher toucher de chez toucher à ce néné de l'hydre = vie ! vie tentée ! on cerne on veut coller on est née sur pré fée puis on se voit toute transformée ou come toute transformée (chrhysalide et papillon) en une sorte de .... bébé ... au mamelon montón ! le nez collé ! le menton les lèvres retroussés ! coussinet de téteé ! on veiut avaler avaler sans discontinuer le bon lait du front = lait de trait = trait de lait = trait tracé = lait tiré au jugé = vrai de vrai lait des laits comme s'il en pissait et en vrai c''sst ! il nous pisse (ou pissserra&it) du lait giclé ! lait tracé ! lait porté ! lait alloué à u,ne sorte de néné des données profondes hors jardinnetnhors pré des prés ... lait des ombres .... ou des clartés hautes ! on monte' ! on veurt en vrai toucher de chez toucher à ces données profondes un tantinet et jamaéis de chez jamais ne plus cesser dee donc attrapper ledit néné rempli de lait comme denrée des fées ou sinon d"des fées" dee l"hydre accolée à une sorte dedonnée dite "du rire" "rire des tranchées" "des e,nvies de trait" ! on rit nous mêmes à gorge déployée ! on est
fée de pré puis bébé-né le mur passé ! on veut toucher toucher t(opucher toucher toucher toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher à ce néné du Dire alloué qui sezrait ... des vVivres ! ou comment dire ? De"nrées ? denrées vives ? vraies denrées du Dire ? on vibre on vit on va on charge on avance grave en cette sorte de pampa d"un dire "étrange" ça envoie ça engrange ça dit ça : la transe transe de paroi ça balance grave en françois de taille et autres langues de paroi On charge en branches Sarments de bois Pots de cxhasse ! traces ! voix ! traces de vvoix ! On passe on veut comp)rendre = dire= fairev= charger = consacrer = pousser = aller = porter = convaindxcre = allouer à une sorte de denrée du genre lait une sqorte de donnée intense genre ... cendre ? cendreb accolée à une sorte de souffrance ici cernée ? On entre ! on cherche ensemble ! ailes de fée on veut creuser toucher cerner percer entrer consacrer porter faire ainsi que nous voilà
qui pourrions donner à une sqoprte de denrée (du genre le lait) mots du passé ! creuser ......................................................?.?.?.?...????????????................?.?.?.????.???????.............................................................................................................................. creuser de chez creuser ledit passé de france comme qui dirait ........................... un passé français = du français ....................................... français en balance = saturé = donné = creusé = dit = sommé = p^porté = chargé = dit ! dit et monté sur une sqorte de tracé "des entrées franches" = un Passé Tr acé ! don de lait ! amabilité de surface ! fausseté ! don doné comme à main levé et ça le fera&it pour imprseeinioner un tant qsoit peu tout un auditoire un peu influençable ! ........................... comme qui dirait ! ............................................................................................................... on donne le change ! ........................... on fait de notree mieux question parade catafalque cavalcade et autres traces franches sur paroi de ronde haute ! on enttre on creuse on voiçt on charge on dessine grave des bêtes de charge genre ... Bises ! bises et rires ! charges basses ! on entre on veut comprendre toucher passer tracer cerner aller porter et ne plus jamais de chez jamais nous retourner sur ce qui est ici qui se'mblzrait vouloir nous retenir en tant que fée du pré quand on cvoudraiit (nousz) toucxher de chez toucher = téter le néné le néné du Vivre pour ainsi dire = Néné né le mur passé : le mur du fond ! téter xd'un trait ! téter sans traîner ni s'a&rrêter le lait non -écrémé d'une sqorte de Néné Sacré Néné né la mort passée néné né la mort dépassée passée
assez tracée ! on veut :
dire de chez dire
creusqer de chez creusqer
porter de chez porter
poussser de chez pousser
aller de chez aller
percer de chez percer
cerner de chez cerner
allouer de chez allouer à un dire une sorte de "densité" qui fassee de lui une sorte de Donnée Ancrée à tout j,amais dans un Tréacé dont le nom pour de vrai sezr(ait .................... hydre ? ....../............ Hydre ou bien ... Ivre ? Ivre vivre ou Vivre Ivre ??? ................ ou bien Vivres ? On envoie ! on voit on creuse on cherche on trace on veut comprendre on veut en vrai s avoir
on veut en vrai sabvoir on ve"ut comp)rendre on veut
grave aller loin en cettte chose d'un savoir profond qui pour nous de fait pourrait nous aider à nous y retrouver ivci ou là en ces dits "quartierzs de l'au-delà" szoit : des dernières coudées
car on veut toucher on veut creuser on veut toucher à ce néné du lait donné et a ller pour en vrai téter de chez téter sans jamais cesser = s'empiffrer ou comment diire ? s'en remplir la panse ! s'en remplir de rage (base) la panse ! téter très ! téter de chez téter le Lait de france = le françaiis ? verbe acidulé ? verbe donné = inculqueé en sa jeune enfance ? on veut toucher ensemble à ce dit néné des données de france = du français et du coup vcerner en ce français de france les données de transe données données pour une sorte de re c hezrche intense à devoir retracer creuser porter charger et retranscrire en termes de ... rires et autres joyeusetés téleéportées sur écran de traits parois ampples murets et autres murs des fées ainsi consacrées on veut creuser= on veut tracer = on veut aimer = on a envie de nous porter nous-mêmes jusqu'au plus lointain des contrées loi ntaines poszt-mortenm ......... et toucher toucher toycher toycher toucher toucher toyucher vtoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchervtoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher touchrer roucher toucher toucher toucher goucherr toucher toucher roucher toucher toycher toucher toucher toucher toucher toucherc ytoucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toycher toucher toucyer toucher vtoucher toycher toucher touycher toucher toucher toucxher toucher touycher toucher toucher toucher toycher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toycher toycher touycher toucher toucher touycher toycher toycher toucher toucherb toucher toucher toucxher rouycher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher touycxher touycxher toycxher toucher toucher touycher toyucher touycher touycher toucher toucher touycher touycxher vtoycher yoycher toycher topucher tpycher touycher toycher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher tpucher toucher toycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tocxher toucxher toucher toucher toucher toucher toycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher vtoucxher toucherv toucher toucherv toucher toycher toucher toucher toycher toucher toycher toucher toycxher toucher toucher toycher toutcher toucher touycher toycxherv topyucher toycher toucher touycher toucher toycher touycher toycher touycher toucher toycher toucher toucherv topycher toycxner toucher touycher toycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toycher toucher toycher toucxher toycher touycher toycher toucher topuycher toycher toycherc toucher tpuycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toycher toycher toycher toucher toucher toucher toucher toucher touyche tpucher à ce dit néné des platesbandes et autres traits tracés à main levée hors pré hors franches promenades hors fourrés et autres prairies allouées à une sorte de "parade animales ancestrale" on veut creuser on cveut chercher ensemble un n certain nombre deb donnéescde base et ces données toutescles rassembler pour essayer de mieux ensemble nous y retrouver en termes de données à devoir szoupeser etb du coup essayer de cerner dans ce qu'elles ont en elles de plus affirmé en termes de vérités vérités ancrées et autres solidités en termes de termes on v eut toucxher = on veut cerner de près ce qu'il, en est de ces "nénés post-cimetière" : est-ce que la chose est vr(aie ? est-ce que la chosev est avérée ? soit )eut ^être de fait à pouvoir ensemble ici adouber ? est-ce mots fiables auxquels pouvoir ici ensemble s'accrocher ? peut-on les ente,ndre sans sourciller ? le néné post)-pré est-il vrai ? est-il avéré et consacré ? ^)eut-on croire en un néné rempli de lait qui searaitb en vrai à nousq attendre (pour ainsi dire) après la mort ou (disons) : ap&^rès après la mort ..............car voilà, a&près la mort il y a le pré et après lze pré alors il y aurait ce fameux N2né "des Données Franches et autres Vérités en Souffrance" Mais en vrai est-ce que c'est ainsi que c'rst dans "la vie la vraie" telle que dessinée ou gravée sur rOche ? on ne sait pas on cherche ici et là on essa&ie ensemble de poussser loa chose en ses profonduerrs les plus hautes c''st-à-dire les plus basses onn regarde on m ate on regarde un p)eu partout aut§our de soi on essaie de bien comprendre les données frontales des parois soit les bêtes de poids et autres forces "bestiales " ou "animales" qui sont là comme en contrebande ou par contrebandee sur paroi des voix " à comme nous "a&ttendre" etcetera et nous d'y croire ou dsdisons de penser à ça comme quoi la Chose (la voie ) est immlense et peut en vrai ensemble nous happer nous avaler nous coopter sans peine et nous "jeter" sans vrai ou réel p^roblème en ici ce pré qui est le pré qu'ellee serait à même de nous présenter ! et nous le pré on aime car voilà on aime sauter gambader courir à perdre haleine chahuter etcetera sans gêne et du coup aller de fait en tant que "fée nouvelle" jusqu'au fond du pré côté muret côté fin (dxernière) des herbes et là creuser ou disons essayer de creuser un tantinet la pierre afin de traverser ou pouvoir tr averser ledit muret du cimetière afin de tracer = passer = traverser et nous retrouver dee l'Autre côté coté mère côté lait côté lait cde mère et donc néné néné né le muret traversé (une fois traversé) grave ça le ferait et nous d'en r^ver ! mais en vrai peut-être ! qui sait ? qui sait ce qui est le pré une fois traversé les bêtes quittées l'herbe laissée derrière ? on cherche on veut trouver on a envie en vrai ensemble de trouver le plus possible de dopnnées qui pourraienht en vrai nous être grandement utiles pour ensemble (fées des fées ?) nous y retrpouver et dsu coup;comptendre ce qui est en cette langue (le français) comme soub assements intégréexs qui pourraient vraiment nous aider à cerner le pouerquoi du comment la mort est ancrée est comme portée ou autoportée par un idiome donné qui du coup sert ou servirait ... dx'agent de ch antier ! d'estafette allouée etc,à une sorte de ?./..... voix ???? voix haute ? haute ou basse on ne sait mais .... voix de l'au-delà qui serait celle d'une qsorte de ....... trait ... tr acé à main levée ? voix de trait ??? ou alors : voix de ... Roi /Reine accolées Reine-Roi ... du qu artier des Voix ? on cherche grave ensembvle les données de base ! on ne lâche pas la grappe ! on e",nvoie du bois en toute connaisqsance ou pleine connaissance ici de ça : roche et voix voix de rocxhe haute
voix haute de roche de là roche-voix de paroi hautec etcetera etcetr ara etcetera on est là pour ça la Cause lA Paroi des Voix est Paroi des Reines et Rois de l'au-delà à savoir ... des Charmes (armes de base) et autres engvvois dits "de rage-base" sur champ de gloire ! on veut ça : entrer haut en ce Passé des mots et là comprtendre ensemble toi et moi le sens de la ma rche où on va qui on voit où on trac"e ! on veutr comprendre ensemble ici et là à toi à moi de cfonnivence les données de rage = celles-là qui en vrai nousq tanent sur paroi depuis ... belle lurette et même au-delà ! charges
charges mentales traits trait de lait porte porte haute sang sang donné nom nom porté cri cri poussé on en redemande on ne veut pas (cezrtes pas) lâcher le trait mais tout le contraire persisqter tracer &u plus près les données du VErbe soit du Verbe "aimer" comme qui dir&éit en tant qu'il,s'agirait du terme consacré bpour signifier le travaiul du Verbbe , des données genrées et autrsdx données vertes du Passé
On veut creuser = on veut aller toucher cerner passerr comprendre ensemble toutes ensembvle = NOUS ce que est ce Nous et aussi la Roche Le Passé de POcxhe
Hau!te époque Panse en transe on danse on moçnte on creuse on charge on veut toucher de chez t(oucher le centre en transe d'une sqorte de ..... eh bé ...... quelque chose en souffrance ............... une szorte de Perte immense ? on entre ! on cherche ensemb le les motsz de la bande le tracé tracé la bête de salle bouquetine et bouqietin cendrées saluées aimées chyargées dssinées on trace on veut toucher de chez toucher à une qsorte de don,ée de panse qui serait : bb ! bb docte ! the bb des donhées hautes un bébé de trait ! chants de porte ! on ose : aller pleurer toucher
aimer ledit tracé
des données de porte on est nées bébé sur paroi de roche Forme Haute = bisonne ? qui s&it ? on veut creusqer sans reculer ce qui dès lors ... sze monttre ou montrrzrait ....... en termes de roche gravée ! On veut toucxher troucher toucxher toucher à ce di néné d'époque haute = le Passé Le p assé des nénés des nénés au lait : une enfance insérée traits des traots chereté des données des données acquises : un trait est un trait qui nous rend conquise ou (comment dire ?) vives ? on veut en vrai allerr de chez aller comme à la retombéeà la rencontre de la b^)ete ailée = l'Être des contrées en herbe : Bisonnourse douce ici postée ? on aime les traits de pa&reille bête elle nous plaît on veut la connaître est-elle être vrai ou simple tracé ? On chercghe à mieux cerner les faits soit c e qui est ce qui se pointe les données rupestres les gravures consacrées et autres nomenclatures dessinées On veut grave aimezr coller cxhercher allouer à un passé l'herbe du pré en tant que Verbe nouvellement né ... ou alors tracer ? dire et tracer ce qui sezrait en vrai la mort une fois dépassée ? on veut cerner la mort ce qu'elle est en vrai ! qui sait la mort en vrai ce qu'elle est ? qui connaît son ....... être ? verbe ? qui connéaît son ......./v erbe ? être ? on veut toucher à ce néné post-herbe mais voilà pour cela ma foi le mieux
c'est de ...................... swe transformer à qui mieux mieux en sqorte de Bébé Affreux ? on ne sait ! on guette ! on cherche à être celle qui en vrai comp)rendrait de fait les données (rupestres) et saurait cxoment faire pour sans se démonter ni se cassr le bout du nez passer = passer (à lea une à la cdeux) ensemble(mi-deux) du côté face ! côté creux de rage ! façade ! boite à oeuf ! on entre ! on veut comprendre = dire =c erner = chercher ce qui peut-être serait quyiiswemblerait vfouloir en vrai qyui sait nous attendre les bras croisés ! on cxharge = on chante = on vfa , on est deux pour ça on nhe veut pas lâcher la branche mais poursuivre instamment szans faute notrec "promenade du dimanche" et du coup pousser pousserr dee base (rage) ensemble (en ces contrées de bout de roche) au plus loin possible afin de oui
mirer
mirer de chez mirer ! mira ! mira esta ! aller de chez aller creuser ensembkle
les données franches donéess sages (savantes) dx'un tracé de france = en français langue sarde (?) et du coup poussszr pousssr grave vers ce dit "néné des bases" pour allezr téterou chercher le lait lait de rage lait donné contre un attelage .... on dirait mais en vrai qui sait ? qui comprend les charges le tracé nacré x ou x parade et autrsenvolées notoires ? on est née fée en pré et le mur traversé on se retrouve ...... bébé ! prête à téter du lait lait-verbe de rage cri outré trait des traits ainsi relevés on en avance on veut co:mprendre les don,ées de france = du français ce que donc la langue (ici le français) colpoerte en termes de données de rage traits actés vérités
des vérités d'antre chants traqués et autresq chansonettrzsx étranges : qui on est qu'est-ce qu'on fait qui on veut toucxher qu'ewst-ce que c'esrt que cette sorte de "parade animale" sur p aroi de base et autres interropgations de surface on cherche à cerner(consacrer de base) les dsonnées de france = d'une langue
en particulier mais le p artuiculier ici est (quasi ?) sa ans importance ce qui compte c'r'st l;'allié l'allié à la langue = la souffrance = le passé tracé la charge mentale endurée l'inculquement (inculquation ?) des données de r ge en son propre corps de passage ! on entre ezn transe ici d ans la langue ... non édulcorée (?) et du coup ............................ on trace ! on dessine l'ange ! on veut percer per er pêr er per cer la base (de rage) des donés debase ! tracer = dire = faire = porter = chercher =comprendre "les données intenses" = le frai la Chose la balance des faits le passé haut l'entrée sur pied on fonce on veut :
dire et donner
perdre et soulever
chercher de chez chercgher le fait vrai
creuser de chyez creuser les données "hideuses" ou cfomme "hisdeuses" si tant est
tracer = cxonsacrer à une fée (fée de pré) une sqorte d'attention profonde
on veut aller = dire = faire = cxhercher = consacrer = sacrer = caguer = posster = marier le Verbe a ux don nées en herbe d'une sqorte de contrée dont le nom serait :
EDEN
hé hé on peut rêver on peut se pencher et toucher un tantinet la bête aux nénés vache laitière on aime car la bête est belle belle bête aux nénés au lait soit remplis de bon lait d'herbe ou disons enrichis ! et bnous : on aime ! l'herbe)-verbe le tracé nacré l ait des léits de ferme et a utres fromages de tête on veut creuser creuser creuser de près le muret des termes et .............?.?............. passer .... vite passer (ensemble = ailes) côté post-pré = le néné ! le néné atitré à une qsorte dee contrée hors cimetière qu'est- ce que ça peut être ? une szorte de maisonnée ? le passé en tant que "maisonnée des termes" ? thermes ???????.?. therr(mes post -pré quyi nous accueillerait en tant que telles = fées de fait transformées à tire d'ailes en sorte de Bébé de plaine ? bébé né la mort passée ? re- le bébé des traits = une drôle de ...... semaille ? charge calme ? pont des ronds ? colle haute et hop ! on monte on est née on est née bébé sachant de façon innée téter le lait le lait de sa mère du coup nourricière on aime ontète l'elfe on veut coller = tracer et du coup chercher de chez chercher le bout du bout du sein donné comme à l'arraché on aime on ne traîne pas on trace là la voie romaine des paroix aux Voix et autres bêtes surnuméraires : on envoie on y va on veut ça on v eut comprendre = saturer de base = charger = poussser = dire sa pe,nsée et se positionner ainsi en ce dire post-pré qui est le dire .... du bébé nacré ! petits pieds ! vent fraixs ! on veut creuser creuser creuser à toutes enja$mbées les données ancrées et duccoup remonter (il se pourrait) un certain nioombre de vérités qui seraient vcérités du bout du monde des données proffondes inespérées
à jamais espérées ! on veut creuser creuser creuser hors rotonde les données lactées : ce laiit mais ce lait qu'est)ce que c'est qu'est-ce que c'eset que ce l it que ce lait de trait qu'est-ce que c'est en vrai que ce doux lait de trait en termes de donnée de roche ? qu'en pensqer ? que penser du lzait poszt-pré tel que trouvé en vrai en tant que fée devenue bébé le jhour venu ? On monte on monte haute on creuse on creuse haute et haut les mots du trot on veut coller à c e qui est ou qui serait là à se présenter en termes de r4oi-Reine de p a roi : force ! force de roche ! on veut coller = dire = toucxher = cerner = prendreprendre ce qui est et s'en contenter en termes de vér(ités actives natives engendrées on veut creuser la rive et toucher dès lors à une vérité qyi serait vérité des tréacéés vifs et autres traits en luminosité qui sait qui connaît qui conn&ît (dans le détail) les traits du Vivre ? qaui connaît le Vivre et les vivres apposés ? qui connaît la Rive le SEntier = Voie d'Accès hors Pré vers un Passé "autoporté" par on dirait une sorte de denrée dont le nom de fait est LAIT LAIT DOCTE LAIT DE ROCHE PETIT LAIT DE "ROCHE AUX FÉES" on veut toucher = comprendre x et x "véérités en chambre" genre : le passé remonté est du passé de branle et autres danses sur palier ! on ejntre on trace on creuse on va on file on cherche on commande on chercheb à comptrendre ensemble le passé des antres et autres ventres sous-loués qui on est à qui on ressemble quels sont nos traits de connivence qui nous connaît ou reconnaitrait qui nous verrait de face et saurait nous repérer disqtinguer étiquetter comme peut-être la marchyande / le m archand des traits et autres signes de reconnaissance on entre ensemble = tracées par une sorte de pic de percée dont le nom serait : transe ! transe de fée ... sur muret de rage ! et nous voilà comme toute requinqué et ravigotée du fait que oui le Verbe est rené qui jamais ne cesse ou comment dire ? continuité ... xd'un verbe ce"ndré ? poursuite active d'un tracé rupestre de type Verbatim ... amarré ? on veut :
dire-sonder creuqser-filer charger-porter donner-centrer pousssr-allouer à un dire une sorte de donnée du Rire ou de donné-Rire Rire Vrai comme szoulevé-décoché ....... du Passé ? On veut en vrai creusrr toucxher passrr aller porter pousser co:mprendre consacrer entendre soulever sanctifier et se loger en cette sorte de contrée "finale" : un corset ! sein de femme ? on veut coller-téter téter-coller boire du lait s'en mettre une bonne lampée ou jeter (s'en jeter) ! et du coup ........................... raviver .......................... nos traits ..................................... de roche gravée ! traits traits traits teaits traits de roche rude ! on vfeut :
dire et creuser son fait
chanter et monter sur pieds
coller sans alacrité`
porter dee chez porter le Verbe sacré sur Passé de Bure et ... y aller ! foncer tr acer ne pluqs s'arrêter filer à toute alure en ces régions vues comme contrées nues ou szinon nues ...................... crues ? .......................................................................................................... toucher touycxher touycher toucher à) ce nébné de rue ! et du coup sans faute téter Lait ! lait des laits des dsonnées dernières ! le passépremière ! le passé armé ! le passé d'elfe ! une denrée serait allouée à une sorte de Passé Dezrrière = lait ! le lait (ou bon lait) des terres dernières ! on veut l'aimer eh bé on l'aime pas de problè m es ! on est le bébé de l'herbe ! on aime téter on adore le lait on veut que téter et roupiller si jamais et pour nous pour ainqsi dire c'est ok : est-ce que c'est ça qui est ? est-ce qu'en vrai on peut de fait
dire ça que la vie serait après le pré ? est--vce que en vrai on peut dire que voilà : la rive = la voie = le chemin du trait = trait au lait donné ? on veut ..................................................................................... mùieux ............................................/ le mieux ............?.?.??..?.?............................................................ =
............................................................................................................................................ un p)eu beaucoup de ce lait ouf ! ...........................................ouf de chez ouf ............................................................................ en téter de chez téter sans frein ......................................./ un brin ! ............................................................................................................. teter téter de chez téter ....... le lait frais .................... du néné en herbe ainsi présenté la mort dépassé e .../.....................?.??.?.????????????????....................... on aime on aime le lait on aime grave on aime grave le lait on l'adore on veut téter sans cesse on ne veut que téter sans cesse le bon lait d'herbe = verbe ! verbe attitré à une sorte de denrée lactée comme ... du lait et en vrai c'est ! c'est en vrai du lait lait de "mère ancienne" = néandertalienne des do,nnées premières on a&ime on veut que ! on ne veut que ! que téter de fait le bon lait de l'être des contrées premières néandertaliennes ! lait le mieux ! on aime on veut (grave) ensemble :
aller et toucher
dire et sonner
coller et vivre
charger et poussser
comprendre de prsès les dsonnées activesz (toujours actives) ce qu'elles véhiculent en termes de données ancrées = inculquées = insérées = enfobnncées et aussi : comment faire en v rai pour cerner le Verbe ce qu'il est de fait en termes de données liées à une (sorte de) ........ Déité VRaie dont le nom serait : "l'Herbe" ou "L'Herbe Verte" ................. on cherche on n('a pas trouvé on est envcore
sans doute loin de pouvoir le faire on est pas arrivées on a p as mal de chemin à faire on avance à notre pas on est toujpours là on ose on pousse on regarde on voit on charge on veut cerner la vo!ie la voie de passage ou du passage de convfoi on veut comp)rendre ... et tendre versq ça ........Llà-bas ............ cxharge d'ange ? une parade ? re ? re -p arade auxw feux ? On veut :
toucher touycher toucher
dire dire dire
creuser creuser creuser
porter porter porter
parler parler p arler et du coup dire ce qui est ou ce qu'il en est de ces famaeux nénés qaui seraient (qui wsait ?),à nous attendtre (!) la mort donnée c'est-à-dire une fois la mort allouée ou dépassée on ne sait ! et donc voilà on voit on trace on charge on regarde là et là les monts de charge voies lactées traits de face seins dsonnées et nous du coup de les appréhender et de chercher à bien les attrappper du bout afin de bien téter le lait donné et de ne rien lâcher creuser porter charger coller cerner dire et aller vers une vfér'ité ... des données dernières qui sezrait (de fait) ce lait dit "de derrière" ou "de l'arrière" ou "des arrioèeres" ou des données anciennes néandertaliennes ou même plus anciennes ,on veut :
dire de cxhez dire aller de chez ller
creuser de chez creuser
porter de chez porter
faire de chgez fzaire
sonder de chez sonder
poursser de chez poussrrt
coller de chez coller on le sait les moçts (le Verbe) au Lait donné en termes de ...................................................... termes = finalités ? on cherche ! on trace ! on avance ! on veut co:prendre = cerner les données
du "VErbe -L ait" ici consacré en tant que "denrée première" ...................... dernière ?
27/3/2025
on file = on entre = on veut comprte ndre = on veut aller au plus serrées de près toucher le ("The") Néné né d'aventure le muret (le mur du fond) passé ! et allez ! on entre on veut comprendre comprendre comprendre les données du monde et autres choses ce qu'elles sont szoit ce qu'elles sont pour nous qui sommes ensemble nées fées au passage "cendré"
on trace = on veut = on cherche = on ne veut pas lâcher les termes mais creuser de chez creuser sans plus regarder sans se souccier de qui ou quoi serait qyui nous m&terait de la tête aux pieds et nous intilmmiderait grave on dirait ou disons on se demanderait on chercherait car on serait ensemble deux qui cxhercheraient ou chgercgerions à mieux cerner en vrai les données crucieles ici expiosées = les nénés du trait les données "femmes" les passés de fait les chances avérées les vues de près et autres intimités "sales" les envies de vrai de pareades animales et autres cavalcades surexdcitées ou même sur-élaborées on est fées ! on est lres fées du tertre ! le passé est le passé qui vitupère et ne nous laiosse pas ou plus aller en vrai aussi vite qu'un trait (un trait de lumière) oh on aimerait mais voilà on cherche on, trace on creuse on veut cerner de rage les données fvrontales une sorte de donnée "sarde" qui sait ? on veut comprendre = on veut toucher = on veut aller = on veut aller-cerner et toucher-coller à cette sorte de "mansarde" aux données de dames ou autres sortes de "passé " qui serait comme né ànouveau (?) au passage alloué à une destinée prairiale on entre on vcreuse on file on veut toucher de chgez toucher la base et ne pas ou plyus reculer car on est fée ! on vole on monte on veut creuser "ensemble" les données de base = le passé = le néné = le lait = les données frontzales post-muret post -pré qyui nous "regardent " ou nous "regarderaient" tandis qu'on trace qu'on avance ... vezrs ... l'oubli ? on ne sait ! on est née fée car ailée la mort allouée et nous voilà "montante"allant (grave) vers ici le trait des données finales : un passé est né (re-né) qui nous "rezgarde" ou nous "regarderairt" tandis que nous on tracfe compme à main levé les mots de la bande = armes = traits = charges = en vrai pas assez ok mais on charge gravr on envoie on veut ça aller de chrz aller ve"rs ce convoi pour ainsi dire de données bestiales et autrss mots de rage ça envoie ça y va ç a va là-bas et ça regarde grave ce qui est qui nouis attend de base ou peut-etre nous mpate nous reluque de base de la tête aux pieds telles qu'onj est : deux fées ? ou sinon deux fées deux ailes de fée ?on ne sa it ! on ccherche de chez chgercher on ne veut plus du cimetière mais voler aller creuser foncer filer en vitesse vers pareilm néné (du passé) remmpli de lait = lait de mèrere ! lait donné de mère céleste ! laéit des laits tracés donnésq-adoubé mis sur pied ou quelqueq cxhose qui (de fait) serait cmme porté par une sorte de bête-mère du genre ... attelle ! on creuse on voit on mate on envoie on veut ça on veut comprendre et du coup cghargher aller saturer de rage les données trouvées qui so nt donjnées du "tremble" ici des nénés des voix d'accès et autres voix comme szusurées qui sait ? au vent mauvais du pet fronteal ! charge sale ! pontification notoire ! ventrification d'allure sage mais en vrai pas dsage ! on voit ! on mange ! on veut ça toucher à la trace au passé des chyarges lait acté mots des fées
gentilles saintetées et autres vies au passé qui seraient vies de saintes salées zet autres vives filles aux donhées ancrées en cette sorte de remise ! on veut creuser = on veut dire = on veut aller = on veut toucher à ce qui vibre ou vibrerait au vent des "dires" et autres termes avanxcés ! on veut : aller (de rage) toucher trace et nous lover en embvuscade si tant est car voilà ce qui est on est née fille la mort donnée = ailée de chez ailée on vibrte on file on creuse on veut de chhez vouloir pour nous le mot "heureuse" et nous lover en ce passé ... des données "lactéesw" comme qui dirait : voix lactée ? qui sait ! on creuse = on cherche = on va =on envoie = on veut toucher de près aux nénés des tertres et autres nénés dits "des termes" on ne veut paslaisszer passer ce qui pourrait de mieuxw nous arriver en termes de données lactées com^e "postées" on veut allker = do nner = dire = fairve = comprendre = allouer à une sorte de denrée les vertus cde l'herbe = du Verbe dit "au veznt mauvais" du genre "pet" et ça le ferait on veut toucher toucher troucxgher à ce néné "du passé de l'herbe" etautres verbes sorti du pré ! tracer = dire = faire =comprendre =saler = sentir = charger = fondre = creuser de chez creuser sa tombe ou sinon sa tombe ... le passé ancré ou bien ancré en cette chose d'une sorte de post-pré aux données lactées j'ai nommé .................. sainte cl arté ! l"'époque est sombre ok m âis les hnénés ! les nénés du monde ! haute époque qui nous attendrait co:mme un retour tout naturel aux choses a&ux causes de roche et aiutres par(ois héautes le Passé est TRait Trait de Bosse on sait etcepzendant on m ate encore à la recherche de la Chose qui fondame talement sauréit nous dire ou nous donner en quelque sorte les données de roche leurs 4 (4 ?) vérités ancrées et autres mots vrais ! on cherche à cerner-creuserr ou même toucher-aller et fuir et courir et tracer et filer et ne plus se retourner vezrs le pré mais creuser de rage en t ant que fée notoire le ... passé des charmesc= lacté ! qui nous regarfdee ou nbous regardereaiot cfomme si en fait on n'était pas (plusq ?) des fées mais devenues pour ainsi dire des bébés des bébés nus ! bébés des bébés aux tracdés donnés qui monteraoient et viendraient se collezr au néné donhé par qui sait quelque divinité auto-portée ou auto-postée qaui saurait ou qui (elle) sa&urait à quel saint (sein ?) se fier pour de préférence pêrdurer en cette zone franche des données finales terminales c rucuiales frontales de base ! à savcoir : TRAIT ! TRAIT AUX DONNÉES ! et nbous vopilà qui (ensembkle) cherchons grave à mieux comprtendre la p aroi le sang la rage lrs données hautes et autres données fortes on mùonte on creuse on envoie on trace on file on cherche on est deux de l'herbve qui en vra&i montons fde rage vers ici loa base = le néné de l'âme et autress sein donné de branche ou disons du passé com^me il xsemblerait ou comê il adviendrait ou com
e )eut-^tre il serait de fait : nhéné d'âme ? on ne sait on entre on file on creuse on est de la bande morveuse o,n veut toucgher "ensembkle" à ce convoi /
à ce convfoi de bêtes "heureuses" et autres convois de type "remonté" qui sont convois de sainteté salubrirtés épanchements nacrés charges-nées on entre on creuse on file on monte on ne veut pas sombrer de chez sombrer mais gravfe tracver filer cerner de chez cerner les donjées lactées (célestes) d'un post-pré en herbe = swainteté des saintetées des termes alloués à une sorte d'"Étezrnité Sommaire" ! le Passé ! la r age les nénés = les données cde base sont (seroont) lactées qui (de fait) nous attendront le jour donné ! et nous ferojht grave cerner toucher poçster travcer comprendsre ce qui est en termes de "melons" fruiots de la passion jus d'ombre ou des ombres voies hautes voies des voies et nous vopilà quyi pour le coup montons .... ici à genoushibou caillou pou vers pareille Déité aux trous : Déité des Trous
donnée des données
mots des prés poszt-pré come qui dirait
on trace on veut comprendre = on veut cerner = on veut toucxher = on veut coller à ce dit "néné des finalités" qui sqont finalités des données frioontales terminale's ok mais pas que ! parce que nbous on veut ! on veut mieux ! on veut cerner-toucher ensemble par la bande ou come par la ba,nde à ce tracé sous-évalué qui est tracdé des charmes et§ aiutres dons de fée ici cons acrée ! on veut creuser ensemvkle les donhées vfrontrales et du coup en vrai comprendre comprendre ensemble ce qui est qui nous regarde = l'oeil alloué le Pasxsé des Trembles les donnhées de Trente le Passé collé à u ne sorte de "donnée-offrande" de type denrée = le lait ! le passé du lait ... la Chance ! on entre on est entrées on voulait grave aller comprendre (ensembvkle) ce passé qui serait "devant" comme p ar la bande à devoir ou vouloir attendre sans siourciller que voilà on passe on puissee (ainsiu ailée) passer = entrer =nous loger en ce dit "néné" ou ces dits "nénés" des do nnhées cruciales fondamentales on veut toucher = on veut creuser = on veut tracer = on veut dire et comme "finaliserr" pour le coup le dire sqoit cerner à jamais les "do nnéesv du Rire" car en vrai le Rire est la Donnée Ultime on a cru cerner ! on veut toucher de chrez toucher à ce néné du lait ... mais aussi du Rire, Rire alloué à une FRise àun tracé de Mise ou tracé de Prise qui en v rai est ... passé de Fille = THE PASSÉ tel qu'il apparaitrait ou nous apparaitr ait ici ou là le pré passé soit dépassé = sauté = traversé ! on est nous mêmes fille en ce pré donné des données furtives et c'(est en tant que fille (fée ailée) qu'on .............................................. touche la Cerise le Creuset la Frise le Genre Donné les Donnéestracées bêtes de treait bises et bisonnées BGisounourses gravées come à main lezvée swur paroi de fée ! on est née ! née fille dans lma mort actée ! ça le fait et même on dira que en v réai (tellezment ça le fait) que oui : on est née fille-vite ! le passé aux traiots eswt ce devajnt (ici) de mise ! frise ! piste ! on veut toucher on veut toucher de chez topucher ou m-ême grave on veut toucgher de chez toucgherv à ce néné dit des données acquises et autres dons de lait tracé genre voie lactée aux tre&its ! fonds de cklarté "artist e s" et autres traéiots comme dessinées squr du Passé de tire ! on veut :
dire xde chez dire et allerv de chez aller etcreuser et toucxher à ce qui eswt qui ici nous mate ou materait sans discontinuer tandis que nous on veut c reuser ou cherchons à grave creuser soit creuser de chez creuser à ces données d'un dire de fait accolé à une sorte de tracé comme "décomposé" ezn en vrai autant de "diress" lactés " du genre ................................ traits de fée ? ;;............................ denrée ! lait ! vfoie lactée = le Passé donné des Do nnées acqyuises = VERBATIM ! chzarge à vide ....... pontification native et autres véruiifications genrée aux termes alloués ! on cherche à ensemble cerner dire coller sondser pezrmettree à la Fée dite "des Termes" de toucher à ce nhéné del'hydre de l'hydre aux deux têtes ici de bpêtes à tire = tr ait ! charge sondée traits allouéesw tracés nacrés = pêrttes sèches ..... ou humides qu'est-ce que ça peut faire on aime ! on aime l'herbe on aéime le Passé en herbve le Tracé donné la Colère des Dopnnées donnhéesds les Termes Ancrées ou inculqués et voilà le P assé Sommaire ainsi ancré comme de pied vferme en ce Tracé des donnéexs Fermes ! on veut creuser et donc toucxher à ce qui est "derrière" = le Passé Lacté
la Recherche Une sqorte de dooopnée d"'époque soit d'époque hautequi en v rai pourrait grave nous dsonnezr ainsi de quoi coimprendre ensembloe ce qui est qui bnous rassembloe ou nous rassemblerait en termres de Roc he de Rocher et autres monts de Bosse = Le passé donné le trait la Chose (Chose haute) d'un tracé lacté = le Lait on monte on saute on creuse on charge on veut comp)rendre co:mprendre comprendre comprendre ensemble x et x données "tendres" le Passé des Trembles bébéifié qui serait de fait le Passé de l'äme ou même cdes données de l'âme ou même quoi ? ;le membre ? le ... membre à Soi ? membre des membres ? un membre en vueux-tu en voilà quii de fait seraiot le mùembre donné et comme attitré ? à une sortede .........................du coup ...................... "passé membré" ? on veutr comprtendre on veut creusqer on veut toucxher on veut dire et aller et sonder le dire et poussser de chez pousser en direction de p areil néné dit "à la tire" = à tire-lait = tire-larigot
du lait de trait et autres laits donnés au petit veau (à la petite velle) qu'on serait ici en ce post-muret alloué qyui nous accueillmerait commùe des animaux de trot de tropt et de trop qui szait ? on est née bébé le mur du fond passé comme traversé "à la force du passé" on dirait et ça le vferaiot ça impacterait ça influencerait ça en jettertait ça fezrait le boul;ot et nous permetrrait ta&ntôt de cfreuser du museau au plus haut possible vers eh bvé le Dire le Dire Hzaut ou même Très-Haut d'un dire .... de trop ! de trop ou de trot telle est la question la question "de roche" qu'e,nsembke (ailes-) on se pose qauand voiulà on monte quand on creuse hzaut la question des mots de l'origine haute des mots de roche et autres mots post-tréteaux ! on coche on trzeace on monte on vcibre on envoie on envoie grave on est fluyide on est liquide on est la fée -fille ici liquyuide de cherz liquide qui du coup s'infiltre va traverse creuse wsonde vit vie d'un vit de terre ... terre ou termes = verbe .... verbe acquis verbe-mère Verbe du vit = glaires = traits de merde merde ou mère on entre on creuse on cherche on est deux de rocxhe pour en vrai une sorte de montée "d'époque" " haut les traits ! on monte = on va = on envoie = on est là pour ça
allouées ensemble à une sorte de passage "ancré" qui nous permet ou permezttrrait de pouvoir de fait comprendre les données "immenses" d'un tracé "de france" = en français = traits tracés commpe à main lezvée sur paroi de base = charité = sainteté des données frontzales toutes pariétales et olé olé comme qui dirait du fait que oui on entre on est entrées ensemble en cette sorte dee pAssé de france = le passé nacré ou ancré ds'une langue insérée incumlquée ancrée en une sorte de P assage DEnse = le Passé aux traits
Vie des Fées
Charges (charhges !) mentales des doobnnées allouées à uyne sorte de parade aux bêtes de Traits Masse Donnée Vérités des Vérités = Déités incarcérée ou commpe incarcérées dans ....... la langue octroyée comme "à la volette" on en mangerait on en voudrait on s'en délecterait on s'en pouyrlècherait de rage les babinnes xsans traîner sans se lamenter sans se monter la tête aux dites données données d'herbe ou données Du Verbe Verbe en herbe on est (pour de vrai) née fée au passage vie-mport on devient ou redevient (?) bgébé au passage mort-vie ou mort -revie, car en vrai on revienht à la vie une fois de fait loa mùort traversée loa mort dite (ici) "des terres" ou "du pré " une fois trave"rsée on revient à auelque chose qu'on connaît ou qu'on connaissaiot sans vraiment cxonnaîtrec= le Passé des TRaiots = la Volette = le Passé en herbe et hop
on sa&ute on p asse on trace on envoie on charge on veut ça on veut comp^rendre comprendre comprendre ce qui est et n'est pas ici-bas qui saurait nous en apprendre nous dsonner le la qui sait "au pas de charge" voilà on veut ça on veut comprendre comprendre comprendre comprtendre comprendre ensembkle les données cruciales falbala "au pas cde chyarge" ça envoie mais pas que ça ça tracfe ça dessine
ça active ça fait trace ça commente etcetera le Passzé des Rages et autreess Passé-Traces qui en vrai serait /.........................../.............. la voie ! voie de l'au-delà à une sqorte dee
Passé déjà-là on entre on va on creuse on envoie on veut toucher par ce biais-là du dire "narquois" à ce qui se présente en face en face de soi = la b ande L'ombre de soi le Passé (ainsi) de roche commê une ombre qui du coup serait L'Ombre L'OMbre d'un PAssé de rOche o n ne swait on creuse on plongfe on fonce on veut touycher toucxher troucgher toucxher toucher touycher touycher toucxher touycher rtoucher toucxher à cette chose d'une sqorte de dsonnée de Roche ainsi "rezmont"ée"
de haute époque = le Passé Ancré Passé Haut ici des Hauts Niveaux et autres Passé ultra-ancré en, cette xhose dune époque Haute la plus Haute njamais consacr(ée soit : Époque des traits ! traits doctes ! traits des traiots des tracés de roche = mottes ! meutes ! mottets ! mots de roche au lamparo ! haute roche aux mots de trot ! bêtes de trot sur porte haute ainsqi denombrée ou visualisée ou mêmùe touchyée ccar .............................. on y était ! on voyait ! on voulait ! on était "de roche" comme 'homme" , ombre-homme ombre d'un homme devenue de fait (le temps passé ou le temps passant) fée = forme = ailes = elles = femmes tracées = herbe = Verbe des Fées ainsi allouée à un pré pré aux traits ainsi dessinées et le tour est hjoué on veut toucxher toucxher toucxher toucher à ce qui est qui nous regarderait aller de chez aller au vent do nnév dxes données de roche : corolles , haiute poche, ombre de l'homme, homme' = m asculinité tracée change de traits et devient "au passé" le BGébé larvé la Roche Haute l'ombre
ombre de l'homme = B2bé-fée aux dsonnéeshautes et nous voilà " aimée" en tanht que fille-fée devenue (ailée) bébé des bébés au tracé de pocxhe poche à lait poche haute aux petitsq faits vrais et auttres forlmes hautes ainsqi insérées ! on veut toucher touxcgher toucher toucxher toucher toucher toucxher troucher touycher toucher toucxher toucher toucher toucher à ce néné de haute époque ainsialloué à une qsorte de passé post-roche posqt-pré post-fée en quelque sorete car en v rai la chose est ainsi libellée qu'elle sex présente en vrai ciomme une qorte de transformation "vive et agitée" d'un fa it de fée en un e sorte d'acte de ... pause ! haute pzause ! pause haute qui en vréai sezra ou wserait la Chose = The Chose = la des !
la Cjose que voilà
qui est sur le tas
le passé des Voix tr alala ! on y croit on veut ça on veut comprendsre ensembvlke et charger ensemble et pister les choses de paroi ensemble tracer creusqer pousssr charger Rocxhe et pousssr de chez pousssrf la Chose des Passés de Poche ou du Passé de tra&it de type ................. Paerole ? on monte on creuse on voit on va on envoie on v eut comprendre enxwembvle le Passé NHotoire = la VOie = le Passé "entre" car voilà le passé est dit "entre " qui de fait s'interpose ou poserait (voir l'origine des données ou données hautesc de type "pause") entre une sqorte de dsonnée des fées / temps de roche et de l'autree côté eh bé ..... on ne sait .............. on vzeut toucher-dire et allouer à une roche une sqorte de Paroile Haute (= originelle ?) des données de Pause ou Autres Choses Ha&utes ainsi libellées
on monte on veut toucher toucher toucher toucxher toucher à cette Chiose d'un pâssé de rocxhe ainsi creuseée dessinée gravée comme à main lzvée par quelque néandertaliennes ou néandertaliens de Haute Époque qui en vzzrai a&uraient enwqzmble su toucher la Bête "Immense" = Aurochns des prés Aurocnoïdités de Roche et autrezxs Bêtes -traits aux données "Profondes" on ose on mùonte on touche on veut grave pour le coup tracer tracer de chez tracer les dsonnéesq sacxrées et autres sortes de données nacréesq aux traits dorés ! filer = donner = faire =charger = contrefaire = pistonner = cnhanger les termes et s'y retrouver en termes de données salées de verbes -termes traits des traits misère chasteté sainte-colère des dsonnées passées vie des fées et autres vies ailées sur pré tracé on veut creuser de chez creuser dire de chyez dire fdiler de cxhez filer aller de chez aller et aussi cerner ici-même x et x dires ainsi tracés qui sont ou sweraient dires des Dires ou Véritqs des Vérités rttoutes é"remontées" comme comme qui dirait un Rire décoché ! rire des rires rires des fées rires alloué à une Fée Fille des dsonnées vives on veut cerner = dire = toucher = prtendre = comprendre ici ou là le dire "tendre" la paroi de france ou (comment ?) la (de fait ?) Voie desq Rois Reines des Voix on entre on creuse on vcoit on cxharge on veut ça et pas ça on veut toucher à une sorte de convoi de Voix de type Bêtes-en tas Meute des Voix ou quoi sinon qui (en vrai) wsezrait ici bas la des do nnées Hautes ? on monte on va on v eut toucxher à ce dit convoi "des Acidirtés" ou des "alacrités" ou même il semblerait "des remontées de vieux dossiers" à jamùais ! passé des pâssés et nous voilà toute "réformées" = re-foormées en tant que nous szerions ensemble devenues (à présent) des ......... b ébés "du TEmps" ! chan ge assuré ! traits des traits nous voilà consacrés voire adoubés voire reconnues en tant que bnous serions ici dfevenues des sortes de "bébés nus" (le cul nu) sur Rocxhe posqt-pré = le Passé d'épôque ! ou d'époque haute on monte on va on monte sur tas, on cherche la voie le passage docte toundra pré des voix on creuse on va on cxh arge on envoie on veut comoptrendre dire cerner poussszr charger finaliser ici un dire "remonté" = colérique ou comment dire le passé de frise l'envolée lyrique tu le sais on veut cxharger toucher creusqer filer cerner donner à un dire les couleurs du rire et du coup enfoncer enfoncer de chez enfoncer les portes sacrées les passages dorés portes consacrées et passages "aux fées" d'une sorte de contrée "des acidités" ou "des alacrités" ou sdes données vives d'un Rire CXhargé soit chargé de vie vie vive = vie donnée = vitalité de type ivresse des finalités tendre passé porte immense passage dorée on passe "ensembkle" comme qui ndirait car ................. on est ailée ailes données ailes de fée ailes en herbe = Verbe VErbe -né = VERbe des CVErbes-nés = Verbe d'herbe = Verbe en herbe = vie des vies naissantes sarabandes traéits des tra&its on entre on est ainsi ailée qui voulons tracer et du coup comprendree les do nnées ancérées qui de fait sezraient les données .............................. chelous ....................... ou pas che;lous qu'est-ce que ça peut faire on veut toucher on veut grave toucxher toucher de près à ces dites "données des nénéds" et boire le lait lait chelou ou pas chelou nous onj cveut téter ce qu'on veut (de notre côté) c''st ça en vrai = la tétée d'un trait
trait des fées tréits compme allouées à une destinées ainsi dessinée qui nous verrait nous comme téléporter jusqu'au plus lointain des lointains post-roche : voie lactée poche à lait roche-traéit
haute époque des dsonnjées lactées
de type ROCHE des Roches ou Rochers des Rocxhers ou Roc des Rocs ainsqi consacrés à une sqorte de "Passé "surnuméraire" = le Passé Nacré = l'Herbe aux Fées = le Verbe : Verbe des donnés xde l'Herbe Verbe ainsi tracé tracé ou t(traqué ici en feançais du fait que voilà telle est ma (notre) langue maternelle le Passé en herbe l'emportée des termes l'envolée (une envolée) on ose ! on vfeut creuser creusqer creuser creuser les dsonnées de Roche et traverser vers ........... eh bé ....................... le Passé .... le Passé en herbe = un tracé de Termes terminologie agraire = tra écs -nés sur terre glaise ! on v eut creuser creuservcreuser creusqer creuser creusqer sans plus traîner la Terre aux Do nnées Agraoires ainsi sillonjée = traéit des trraits = voies lactées = phrases tendres = cxharges mentales = bhêtes de trot = fames fames de bhase = fames-traces sur Passé Doré de type Romance et allez on trace on avance on charge on file on veut comprendre séduire pousser charger cerner centrer porter et dire ici et là ce qui est qui cvibre et vire va là-bas puis see reccentre et trace trace de chez trace les donées du Rire on avance on va et on vient ensemble on est accolées on etst en vrai les Ailes du pré " on est Ailes de fée et du cxoup
on bât grave les dsonnées pr airiales ou deisons que voilà on vole bas on vole haut on va devant soi vers kles Hauts des Hauts d'une sorte de Paroi de Roche dite "du passé" soit de Haute Époque cxomme consacrée à une pour le coup V2rité des "Vérités de Roche" on sa urait on saurait et on serait :
fée de Roche
Ailes = Elles De
Fée des Fées en herbe un tr acé sur herbe
sur pré donjné Tracé des tracés et le /...........V erbe est né qui voulait naître voilà c'est fait le Verbe naît de fait dans l'herbe
ainsi rencontrée la mort a&llouée le Verbe naôit (re-naît) une fois la vie (qui sait ?) démamntelée ou come démanteléec et l:a mort acdoubée ou acquyise Verbe-treait = Vie des Fées = Vies vives on cherche la frise un dessin des Treaits ou de bêtes de tr&it
Roche aux fées Chyanjts doctes Tracés des tracés
néandertaliens ou même plus anciens on ne sait on creuse des faits
vrais et avérés ou vrais ou avérés ou disons "re-^pérés" ddans une sorte de passé comme démantibulé par autant de "divinités" auto-proclmamées il selmblezrait mais est-ce vrai szait-on en v rai ce qu'il en est à qui se fier ou pouvoir se fier qu'est-ce qui est de ces tracés de fée de pareilles envolées sur pré pré paradisiaque la prairie aux anges herbes tendres vies données à des envies de vies
tracées dezzssinées
gravées de chez gravées sur roche allouée ou rochers des prés" ou veut ccreuser = comp)rendre = faire = dire = charger = cerner = vivement toucher à ce néné de lo'hydre ainsi "soulevé" "soulevé" comme Rire Rire-Prise Rire aux trait§s tout acidulés Rire des Rires on veut toucgher = aller = c erner = produire = sentir = soulever le Vivre ou (commehnt dire) une Sommité ? dont le corps serait "larvé" "larvé" ou "enterré" ou sinon enterré encapsulé dans une sqorte de ......... eh bé oui : traéit de Rire ! rire acide -! rire des rires on v eut creuser = toucher = faire = sonder = porter haut la Parole "induite" d'un Riçre des Rires ainsi adoubé ainsi né (sur pré) et nous voilà re-née ou (comment dire ?) re
mon neveu !
re-née sur tracé aux données du Vivre Vivre Vif et bnous de pour le coup conjecturer nbous recentrer essayer de nous y retrouver et sans plus trembler en ce dire "acide " dire aux données vivesdires cernés on veut creuser toucxher aller porter sentir soulever chercher ici et là en ce pré des prés les données sacrées et autres mots ainsi consacrés par quemlqaue déités dees données vives ! saintetés nacrées charges acquises sommités des sommités vives clartés poszt-pré on sait l'emprise le vouloir-tenir ici la cxharge ou les
les charges
ici comp)rises vies vives = traits on connaît on est actives on vibre on monte-vole on veut coller de base à ce néné "du large" et n'en plus décoller ou coment dire s'y accrocher s'y placer ainsi de telle sorte que en vrai plus jamais on ne pourra à l'avenir lâcher tomber fuir se déliter et se voir enterrée on veut creusr mais creuser ici = sonder = cerner = comprendre ou tenter ailées ou toutes ailées qu'on est de comprendre "ensemble" les données du Rire ainsi dévelioppé sur une sorte de SEntier donnant de fait sur une sqorte de Pasdsé des Traits Vives Clartés Salubrités Vents des Traits-Tracés Charges Hautes sur Treaits de fée on veut creuserv creuserr crfeuser creuser creusqer creusqer sans jamais sourciller ni se lamenter la Roche Roche aucx fées des données Yautes (immondes ?) On ne sait on trace on veut comprendre = do nnner = faire = dire = cxharger = pousssrr = composer = passer = teaverser traverser de rage ledit mur du fond et hop .../.. à la page ! on entre on va on creuse sa voie soit sa propre voie de passage ou dancrage dans voilà cet au-delà ou au-delà à soi ou disons au-delà des voiçx des voix basses (ou pas) des voix de là szoit "de la rage dense" trait s de voix = vies de rage = voies d'ancrage = tralalalalalala lalalala lalalalala des données " de france" de france ou d'espagne ou au-delà
au-delà de l'espagne car voilà on est "entre" = entre ça et ça la france et l'espagnz = des montagnes monts des voix et autres charhges Hautes des Données de ROcghe voies voies des Rois et Reines de là Antre antre des antres ... Andes ? on envoie ! on veut comprendre ensemble ici et là (de chez comptendre ensembkle) les données "immeznses" traits des voix = traits ancrés dans une sqorte d'au-delà à soi à s-on "image" à son corps -charge etcetera la b ase le convoi bêtes de rage = voix dees voix on entre ensembvle on veu t savooir = dire = porter = rire ou porter le rire = tracer = cerner cerner vif et sans lambiner les données actives le passé des frises Sainteté larvée Charge de Nez Frise Prise Frise de bêtes actives Grossiéretésx des Grossiéretés et autres mots groosiers
= mots de trop
= trop de mots
et le tour est joué qui nous vcoit "sonner" ici à une Porte auto-générée de type Porte Haute Ciel Étoilé Voie lactée Voix d'es ombres hautes Re-nommée des re-nommée Fame Outrée Porte Haute on monte on veut toucxher on ose on veut creuser on voudrait ou on veut (grave !) traverser eznsemble les "donnéesb du membre" qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est ou qu'est-ce qu'il en est de ces dites "dfonnées du membre" qu'est-ce que ça veut dire wqu'est-ce que c'est que cette chose ici d'une sorte de .............. dire vite / rire ainsi activé du fait que oui on tire on creuse on vole on trace on charge on enttre on entre ainsi ailée comme à la p arade toute remontée et prête à comprendre il semblezrait les "Données Immenses" du quaertier des fées : Pré
Pré ou prairie aéinsi Adoubéee par qui sait une Sommité Sorte de
"Sommité des Sommités" qui viendra&it tout près pour nous susurrer nos 4 Vérités concxernant ........ le Rire : Rire Acide (?) aux Verrt§us magiques Rires des Rires on veut toucher toucher toucxher toucher toucher toucxher toucher toucxher toucher toucher toucher au!x données actives aux 4 vérités du Rire et autres vérités de frise ainsi rencontrées la mort dite "du pré" pour le coup passée on veut toucher dire et sonder tracer et nous relever et filer voler construire chzrcher filer nous émanciper d'un dire de rive creuser creusqer creuqser vsans faiblir la Roche Ivre ou commùent xdiree Ivre de Sainteté des Saint§ et Saintes allouées à une sqorte de .... Passé dsu Rire ou cxompenht dire ? Passé Ivre ! passé des passés des données vives telles que rencontrées ou déjà rencontrés il y a (ou il y aurait) des lustres (qui sait ?) en un "drôile de passé" ... miteux ? ou sinon miteux ... vieillot ? ou commênt ? mots de trop ! charges hautes ! mots de roche = vie des vies = seiin xdes seins ici consacrés à une sorte de (peut-être) Sommité du Rire = le Passé
Le Passé re-né est le Passé du Rire Ivre Vie des vies auto-genrée vie haute des contrées de Bosse on veut toucxher ou on voudrait toucxher toucher toucher touchert à une sqorte de donnée dxe Roche = le Passé ainsi tracé qu'iul nous incomberait de faire se relever ou de le poussszr à ici renaittre (en vrai) la mort (le cimetière) passée pour nous revoir aller re-téter les termes = mots de lait lait de trait lait d'herbe = Vezrbe ainsi aimé ou même adulé Lait de traite Du passé Nacré Ancré Inculqué en tête : on trait = on traite = on trace = on tra que ici et là le Passé re-né Passé-trait ou Passé-mots d'un drôle de ..................................................................................... boyau ...........?.. ?.................................................................................... m
enant à cette Roche ...... "roche aux mots de trop " et autres mots de pôche ! le boyau La Roche Les mots La poche on veut comprendre chaque mots et gracve aller vfers une sqorte en soi de ......................./ Vérité des voix VOix de l'au-delà Voixhautes soit de haute époque la Paroi est là qyui nous importe et nous emporte alléluyah on voit on monte on ose on voit ce qu'on vcoit et ce qu'on voit est un convoi de voix de roche Aniamusx-mots de RocheHaute un Passé de Roche = Troupeau Troupaeau docte = Animaux-mots ou Bêtes -mots-de-trop = Meute-motte on monte on vole on est ailée = elles de fée = ellzes en herbe sur un pré menant (au loin) à cette sorte de co ntrée au Lait dont le nom de fait est
ROC des Rocs post-pré auto-tracé par un passé ancré de type Verbe
Mots des Ombres Passé-Rocche aux mots doctes On monte on veut on creuse on envoie on ne veut qaue ça aller et tracer dire et donner pousssrr et rire rireb de chez rire sansz se gêner dire et donner porter calculer entrer ... nhe pas ou plus reculer mais foncer et sans plus de retard vers pareil néné nibard sein donné ainsi déployé à téter Lait des laits des Termes Envolés on veut creuser soit touxgcher soit porter soit donner soit se laisser aller à biezn cerner -comprendre les données enswemble ce qu'eslles xeraieht qyi nous apportereai" nt dee qauoi pour le coup e"t de fait pouvoir nous situer ... sur la branche où on est où on szrait qui on est qui en vrai on est ou sera&it qui pouurrait peut-^ttre ainsi "remont"ée" toucher de chez toucher à une VFérité des Termes soit Des mots Portés du Verbe de l'être ! on est qui on est fée ailée car ........................................................................................................................................................... on mùonte ........................ on monte haute ....................../...................... on veut ensemble monter haut au plus haut possible sur Paroi du Rire et une fois là une fois ainsi postée creusercoller porter chargher cerner pousszr essa&yer ensembvle de toucher à ce qui est ici qui serait une sorte de "dire porté" de "dire des dires" dont la vférité swzrait qu'il szera&it (ce dire) du ....... dire-rire ........... ou rire-dire auto-proclamé ou auto-engendré car .......... décoché ! tir d'ire ! vive trajectoire ! corpsz de base ainsi d"ép^lisszé on veut toucgher tracer creuser comprendrebencemble les données, d'une sorte en vrai de rire "dicible" si on pouvait on voudrait on chercxhe on chercherczrait on voudrait trouver on cherche à qui mieux-mieux les données vives (ici) d'un (d'une sqorte de) rire "ivre" qui dit miaeux ? qui connaît le Rire mieux ? qyui saéiten vrai ce qu'il en est dx'un rire"vieuxv" ou comment dire .................................... antédiluvien ou même plus lointain : qui ? On cherche grave on charge on tyrace opn veut comp)rendre on veut sonder ensemble le Néné de l' antre qui il est qauoi on poureait en vrai trouver en ce sein au lait ............ que du lait ? lait de Verbe ? verbe d'Aile ? corps nacré ? charge Assumée ? on veut toucher de vhez toucher à ce néné des herbes et cdu coup tracer ou :
tracer de chez tracer
dire de chez dire
porter de chez porter
cerner de chez erner
pousssr ensemble vif et vives les données du Dire-Rire car
en vrailes données Données Vives d'un Rire dit "du dire" ou d'un Dire dit "du Rire" sont "données Avctives" et du coup pouvant grave nouqs en dire large en ce qui de fait ici nous semble ëtre vrai ou vrai de chez vrai concernant la Bande ou Bande aux tracdés de ... Bêtes à memb rze ..... bêtes-membres ? on ne sait ! on cherche ! o,n creuse loin et auusssqi profond ou le plus possible profond ou loin qu'euon peut (= loin devant) pour mieux en vrai cerner de chez cernzr les 4 vérités du ... passé re-né car en vrai le Passé on dit re-naît à jamais la mort pzssée, le Passé ren aît à la vie une dfois qu'on a en vrai passé le moment porté de la mort Allouée allouée à un pré pré aux fées mais voilà ce momenrt est déjà là comme archivé derrière soi du moment que oui on trace on traverse obn passe à treavers ensemble la Roche finale et on ..... monte on monte haute on va haute on veut aller haute on veut grave aller haute ainsi ailée (comme en v rai on est) on ne veut pas rester à quai au pré mais plutôt monter de chez monter en cette sorte de .... rotondee-grotte cercle aux fées cercle d'herbe tracé monter monter hautes aller creuser porter charger essayer de dépasssrr pare'ille rotonde cercle attitré et passer ainzi d'un cfoup d'un xszeul de l'autre côté pour ainsi dire "du linceul" tenter pousssr traverser soertir du trac-é (ainsi dessijné) vd'un champ de blé ou d'orge données et se retrouver du coup aéinsi postée sur Néné Né comme à la retombée à devoir téter = téter vif pour mieux de fait durer de chez duurer au-delà du pré = de la mort actée tracer creuser filer foncer courir vite et chercher à téter de suite sans plus traîner le Lait Altruiste Lait de TR&it Lait de Fée p ôst-pré Mère Salée Mère Sa &turnienne On aime on veut toucher toucher toucher toucher toucher touycher touycher toucher toucher toucher à ce dit "Léit de Mère" ainsi octroyé la mort passée : renâoitre = retomber = remâcher = repasser = relever les termes et les noter de fzait sur "un carnet de Verbe" = langue allée ! langue donnée = la,ngue de trait on entre on creuse loin on vole on porte on va ensemble en cette sorte de post-rotonde aux accents vde Rage de type "Rzemontée de remont reances intznses " colère / post-colère et offrandes on entre (on entre dans l'antre) "ensemnble" = ailée Elles Tendres On est entre entre deux parois ou comment ça ? ça recommence ? on est entre et ..........??.??.?.....................................?.on cherche à ici co:mptendre ........................?.?..??........................ vivement dimanche ! ........................................................................ on ne veut pas ou plus céder on veut toucher )-à ce néné des fé&es ou dit "des faits" on veut cerner pouysssrr aller chercher creuqser saturer de VErbe les Données en herbe Sein donné = sein porté on aime on veut toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher
à ce dit "néné en herbe" d'une sqorte de "contrée des contrées" comme "on " les aime c'est-à-dire "entières" contrée entière entière contrée dite "des données lactées" telles que oui on les vénère on aime on aime grave en v rai téter soit téter en vrai les données lactées d'un p âssé du Verbe Ver be-Lait et nous voilà complet ou plutôt complète = formée ! ojn est née ! née post -pré à urne vie humaine = vie tracée comme à main levée pa&r ... Compère Vérité = Vivacité = Volionté = Trait :
on aime on est entré&e on est donnée oon veut touchezr à ce néné post -pré d'une sorte de vie (en soi) ici rebnouvelée et hop on est passée on est comme remontée on monte haute on ose on veut coller à ce passé "surnuméraire" passé-né ainsi retracé re-dessiné sur paroi donnée on veut coller de chez coller et hop aller foncer t(oucxher toucher toucher toucher toucber touxcher toucher toucher rtoucher tpoucher topucher toucher à ce néné du temps recollé et comprendee de fait l'effet du Verbe et de lA chance (des données de rage) sur la langue la Parole DEnse DEnse et danse chezrcher = donner = dire = porter = poster = pousssrt = engendrer = conduire = postuler ou comment dire ici le dire dxes données du Rire on monte on ose on creuse on porte on veut toucher de chez toucxher à ces données vives d'une sqorte pour ainsi dire de Dire-Rire auto porté autoconsacré qui sezrait et du dire vif et du rire gros ou de gros (haut ?) niveau = Rire -Caniveau Dire de trop = mots de l'ombre et autres mots de Honte ou de la Honte Grosse On monte on cherche on creuseon veut grave savoir et dire
ce savoir dxes Roches et autres Rocs des Hauts
des Hauts Monts du Front on colle on est Hautes On porte on colporte on monte sur Rocxhe direction la Porte ou Porte de Roche on veut :
toucher tpucxher toucxher toucxher toucxher toucher toucher touyxcher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher t§oucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher foucher toucher touycher touxcher toucher toucher toucher toucxher roucher toucxhger toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher ttoucher toucher toucher à ce nhéné de haute époque = le Passé Le Passé post pré est le passé pré-pré du fait qu"il est intercalé ou comment cerner dire centrer do ner essayer de piger ou de dire ensemble les données xdu Rire et du Dire ensemble : Commnt ? cfomment pouvoir de fait cerner de chz cerner les données actives traitqs nacrés Vives CFlartés des données du Rire insi inséré dsans un dire tracé de tohute éternité ? on veut colleret vivre au-delà du pré charger cerner porter centrer = centrerr vif les données frontales les placer comme (en tant que) offrandxes
sur muret xdes RAges
et porter crteuser tracer sur pklace pareilles denrées comme en contrebande à tr a vers on dirzait la bande le tracé de base trait des traits et bnous voilà comme adoubée ainsi reluquée on veut tpucherr toucher toucher toucher touycher à ce néné "des donnéesw intenses" = la it lait de trait = lait docte = v érités ancrées = vérités des vérités on monte on porte on chercghe on sonde on ne veut pas ou plus nous arrêtercar on est labncée et m-^"me méga-lzancée dans le
V erbe alloué &ux termes
aux fins de tracés
on aime on charge on voit on porte on ne voit que ça la Porte la Voie le WSEntier vers ujn au-delà de typec......... ................./........................ cohorte horde meute ronde poids poids de voix ! choses grooosses sur paroi de roche on monte on envoie on voudrait de f aiçt grave cerner ... les données (ici) les plusz hautesc = profondes et tout de suite ap)rès comme les "restiutuer" en quelque sqoerte sous forme ailée ou comme nt dire allouée à une sqorte de Parole Haute hautement tracée comme sorte de Parabole ou P arole "à jamais" on monte on y va on envoie ça on voit on porte on cxhyerche M%ort d'homme Voix Voie vezrs l'au-fdelà on veut comprendre ensemble tout un tas de choses de choses en souffrance on vgoudrait s'y entendre (grave !) en tout ça
qui concerne on le vo!t la mort haute c elle qu'on ne voit pas ni ne soupçonne car voilà elle se c ache là
loin de la paroi la p aroi des ombres au-dxelà de ça : l a Roche = loin de là on monte on va on toucxhe on creuse on envoie du bois on cxherche pitance on trace on cdourt on court vite on s'envole on monte on moçnte hautes
hautes et haut on monte
on vgeut .....................................................????????????.......................... toucxher touchertoucher toucher toucher toucher topucxher toucher toucher toucher à ce néné empli de lait sucré et du coup téter téter grave pareil néné szans discontinuer téter de chez téter le Néné du Lait et s' alimenter téter le dit L ait des données de base "Sarabande" on entre entre on court on danse et piuis on sort de l'antrze vers ............................................... néné-l&it du Verbe-Dense..................... le Passé est le passé qui touhjoursq ... inlass ablement ... inconditionnellement ... ren^ait (ainsi ) de ses cendres ......................... passé dit "des passés des cendres" ...././.......................... on vgeut toucher-cre!user dire-portera&ller-dooonnner sentir -saluer chercher-coopter conduire-vivre sonder-produyire filer-charger coller-pousssr et dire-rire les données lactées te'lles que rencontrées le lmuret passé ou mur-roche aux fées des données frontales ainsi traversées on veut toucxher toucher-dire et porter : porrter sur le Passé le regard de l'hydre ou (comment dire ?) saluer ? on monte on monte la roche on creuse on vfeut toucxher de chez toucxher l'herbe du pré = brouter puis ain szi fait aller de chez aller vers le dxernier m uret dit "des finaliités" mur ou muret "d es fonds de pré" le traverser et du coup p assse r passser en vraéi = treaverser et nous (se) retrouver ainsi "remodelée" de fée en bébé on était la fée on devient le bhéhé et du coup
prête ou prêt à vite téter de chz téter le bon lait de ..... l'hydre ? l'hydre active ? = le Passé Coprporéifié ? passé népost muret au-delà du pré nous voilà nourrie de bon lait de vie on aime ! on aimme vif et vive ce Lait de tire et autres laits de Vie telle que retrouvée la mort passée Vie-Mort autoengendréesd se nourrissent de lait ou s'auto-nourrissent ou com'hent xdire à volonté dans le VIvre donné à une D2ité dont le nom est HYDRE HyDRE en sainteté Hydre du RIre ou cfomment dire Rire-Hydre des données portées on veut touxcher toucher = dire
et dire = toucher
on veut creusqer-dire et do nner-porter sentir-chercher on veut tracer on v'eut ou on voudrait gra&ve tracer tracer sqans traîner les mot(s dits "de l'hydre" = LAIT LAIT LAIT LAIT DONNÉ LAIT DE FÉE OU SINON DE FÉE LAIT DU PRÉ LAIT ACTÉ LAIT PORTÉ LAIT CHARGÉ DE CVIE CVIVE ET AUTRES QuaLITÉS On veut creusqer la rive des données actives d'un verbe du rire ! cxhants lactés comme autoportés mais en vrai oàn ne sait on croit deviner ou pouvoir d eviner mé&is qu'est-ce qu'on en sait ? onn est vive on vole vif on monte haute on creuse parole on veut coller à une sorte ici de "vérité de porte" on monte on colle on colle à la roche et hop ................................................................................... on mùonte ../................................................... grave on a envie peut-être de comprtendre ce qui est ici qui njous rezgarde ou semble pouyr le coup nhe pas cessser de nous mater pour ainsi dire dee la t(ête aux pieds on regarde on est entre = entre deux par(ois e,n une sorte d'antre dit "des voix" ... de la rage et de l a transe, on envoie du bois on veut comptendre on veut cerner on a envie (grave !) de toucher à (plus loin) ce néné (post-pré) au bon lait de l'êztre de l'être donné qui sqerait en v rai une qsorte de bête bête à deux têtes : est)-ce que ça se pourrait ? erst-ce que réellement on pouurrait penser que la mort passée traversée et dépasseée on pourrait trouver qui sait une qsorte de bête de bête à deux têtes ? on cherche on veut toucxher on veut collerr à ce Néné du Verbe ou dit "du Verbe" = Lai-Verbe aux données ancrées cdomme une sqorte de ........ tracé ici inculqué = VERbe En Herbe qui (de fait) est ce Tra&it de l'herbe ! on veut toucxher en vrai on veut grave toucher on veut on voudrait en vrai grave toucher à ce passé
"passé du VErbe" = Inflation Infrlation du VVerbe Inflation du Verbe en herbe
charger toucher creuser porter donner pousssrr creuser essayer de nous y retrouver en ces données de l'herbe ainsi allouée on veut creuser toucher NHéné poussser poussser de chyez poussser sza,ns jamais plus nous arrêter car en vrai on aime on veut cerner on veutb creuser on veut toucher et dire)-rire et aller de fait au-delà du muret à la r(ecxherche de la Vérité des Contrées Célestes ! on est tracée ! on est remontée ! on veut coller coller coller coller coller coller coller coller colmer collef coller colmer coller cxolller coller coller coller à ce qui est qaui sera&it de base ............ le Néné de L'antre ! néné né comme à la parade un jo!ur donné on essaie de cxomprendsre toucher cerner sonder ... les donnézs "de france" = le français en tant que langue "intebnse" = portée = inculquée = enfoncée = engoncée = ancrée de chez ancrée aet vas-y pour la désa&pprendre "le pli est pris" on en redxe"mande !!!!! on v eut comptendre = forcer =xharger = tracer à travers un muret afin dee passrr pour ainsi dire "de l'autree côté ... du rire" et du coup ........../ téter de chez tétzer le bon lait de l'hydre bête à quai vérité des vérités on veut laimer = sentir = cxharger = porter = comprendre =situer = poussser et essayer "ennsezmbke" dee;..........??????????...................?...............?.?????????????????????????? teter de chez téter le lait dit "des vérités"
...........?.?.????????????? d'une langue donnée, portéecollée allouée à une sorte dee Passé tracé qui en vré&i est tracé des termes ainsi inculqués vie -satiété colère genrée cxharge émotionnelle on est qui on est Verbe -Trait on monte szur pied on colle on veut toucher de cxhez toucher le VErbe = les données de Terre = Données Vives auto-cernées POntes de données portées Oeufs AutoriqsésOn colle on veut cerner on veut coller-cernezr aux données du "dire)-rire" on ne veut pas laisssr tomber on veut :
absorber consacrer percer charger produire vivreallouer à une pensée une sorte de "destinée votive" = un Passé du Rire
Passé né la mort passée On veut toucher toucher rtoucher troucher toucxher rtoucher toucxher toucher à du gros rire personnifiée corporéifiée ou concrétisé et n e pas sombrer jamais mais tout au contrairee continuer de chrzrrez continuer à dire -rire les données du vivre telle que déployèées en ce pré aux vivres puyis ................au-delà du pré ! sur Néné ! néné-d'hydre" ! le passé est le passé qui prête à rire ! on veut coller-toucher dire)-cerner porter-charger sonsder-poussserr aller jusqu'au néné téter le dire frais de l'hydre postée et du coup se raviçgoter refaire l a cerise ou se requinquer aimer de chez aimer contuinuer le cxhemin tracé aller toucher cerner dire et foncxer vers ............ du gros rire d'hydre LAIT de F2E lait donné lait des laits on v eut coller coller coller coller coller coller coller colmer coller coller cxoller cxolmer colller coller coller coller coller coller cxolller coller on veut ou on voudrait coller collercoller coller colller coller collmerà une vérité de Rive : le Paqssé ! car
le passé renaît inconditionnelleùent immanqu&blement in tentionnemllement dee ses cendrzs une dfois les cendsres toutes dépassées soit la mort allouée et du coup on renaît ... à base de Lait Lait sucré conditoionné ou reconditionnée et nous voilà à nouyveau parée pour ainsi de fait nous replacer en cettte qsorte de vfoie docte voie de roche aux bêtes de porte on m=onte on revient on pôrte parole on creuse haute mottes meutes voix de pause chants totaux les fondamentaux : chants de porte chants royaux chants des boyaux hauts mots dits "des caniveaux ou du niveau des caniveaux" on veut coller haut les "mots de trop" et chercher de fait les 4 Vérités en ces dites "contrées" on veut toucher on veut ou on fvoudrait toucher toucxher toucher toucxher troucher toucxher toucher toucher à ce néné de l'hydre alloué à un dire-rire post-éternité ou commeht dire ? l'hydre du rire est un dire-lait ou lait-dire de belle couvée on vfeut vivre on veut = on voudrait :
dire de chez dire
porter de chez porter
comprendre de chez comprendre
sonder de chez sonder
poussser de chez poussser
creusqer de chez creuser
allouer de cxhez a llouer à un e Vérité le poids (majestueux) du Rire Nerveux et creusercreuser de chez creuserfoncxer sans plus s'arrêtrer
chercher vi f la VFérité Lacté dees données célesteszcx : voie lactée comme s'il en pl'euvait Rire auto-généré à partir du Rire Retrouvé On veut coller = dire = donner = saisir = pousssrr = chercher = donner = porter = sentir = dire = naître = p araître = sonder = cons acrer = prier = sz'agenouillerr = do nner = cerner = cerner vif et longuement ou durable'ment les données actuives d'un rire "de rive"
à savcoir
de ce rire octroyé ici à uhn Passé
comme retrouvé
Passé-Dire / Passé acté quien vrai
est ...../..........................................................................................................................?................................................................................................................................................................................................................................................ le passé de l'hydre !
13/3/2025
On trace ! On cherche à ensemble ("toi et moi") comprendre ici et là, tout un tas de choses en ballance : les tracas de soi, les parades, une sorte de paroi devant soi qui en vrai est (serait ?) notre chance ! On est les fée (ici) de la transe en ce parvis ! On veut comprendre = on veut tracer,toucher, creuser et nous lover en ce dit "pays sage" des tracés. On est femmes (sardes ,) collabées, accolées, de telle sorte que voilà en vrai on est là tracées comme peut-être deux ailes de fée qui se seraiot ensemble faufilé jusqu'aux nénés post-p^ré, au plud lointain envisagé. On cherche ensemble en vrai, ça signifie qu'uon cherche à faire auinsi que cette vie ici (vie entre deux parois) soit une vie de type "prairiale" , . On va, on trace, on creuse, on dit que ça (la voix) est une sorte de "cri de rage" en veux tu en voilà, qui nous donnne de quoi passer (de face) en ce paysage de la paroi. On entre ! on veut croire en ce qu'on voit d'unebsorte de ... croix, qui, de fait , serait pour nous .... eh bé Tout ! et pas : rien du Tout ! On est la Fée des formes, on entre en force, on charge aux épaules ! ailes et torse ! on est fée-forme entrant de face en ce paysage d'une sorte de façade intense, façade de traces, traits marqués, on charge = on entre = on passe = on traverse = on se retrouve cul oar-dessus tête comme à la ramasse le nez dans l'herbe au milieu des bêtes, bêtes de poids, broutant herbe sans gêne. On est les fée s du Verbe-Herbe, ou bien de l'herbe-verbe, herbe verte -verbe ..... dans un "sas de Rêve " ou semblant de sas, car, voilà, on est là, comme deux en soi, deuxc pour un Soi dit "de parade" au milieu des traces . On voit .......... la voie ! = le tracé ancré, sentier, menuet. On danse ! On est passée s ! On voulait eh bé c'est fait. A présent on se doit de bien considérer les choses avenantes en tant que données qui, toutes, peuvent ou pourréient nous renseigner sur ce qui est en cette sorte de prairie "filtrée" des bêtes "remontées", rosses, groosssses, broutanjt herbe du pré sans s'arrêter . On est la Fée du pré, on aime aller = danser = se donner : on monte ! On remonte ! on veut toucher toucher toucher à cette chose d'une "Porte Docte" = le Passé ! la trace innée ! une chose du passé est portée (ou reportée) sur Ombre et nous ,
et nous de l'approcher si possible au plus près ! On veut toucher toucher toucher toucher à cette chose , d'une sorte de dopnnée haute, à devoir toucxher ! Et nous
d'y aller , de gagner sur la chose sans jamais traîner car voilà, on veut et voit ça, parade nuptiale, traits de soi, porte et mansarde, on vfeut comprendre et toucher ensemble cette sorte de ................. Roi ? REine d'Ambre ? une Voie est là pour soi, à prendre et .... hop, nous voilà là, prête à comprendre u n post-paroi, paysage des voies, ..... croix de bois ? On va ! on monte ! on cherche Trône ..... ou sinon Trône Porte, Porte aux voies à dfevoir voir ensembkle une fois là ! car voilà : on est passée ensemble. grave on voulait. On voulait grave ça, passer ensemble. On voulait grave travezrsrrer pareil muret des fobnds de pré et du cfoup poussser, pousssr loin en ce tracé, et gagner de chez gagner l'après-pré dit "Mer ÉGée" ou sinon "Égeé" "mer desv Fées" ou sinon "mer des Fées" "mer des traitsz" ou "mer-néné" ! car il s'agirait ....... d'une mer de Lait ! hé ! qui sait ? qui sait en vrai ce que ça serait qyue cette sorte de marée de Roche ? une sorte de ........... mer morte ? On ne sait de fait ce que c'est en vrai ! onn cherche un Nom caché ! On aimerait (grabve) soulever le lièvre, et tracer, tracer sans s'arrêtrer , le plus grand nombre de Vérités qui (de fait) seraient pour le coup, les Vérités dites "intrinsèques" à une sorte d'après-pré céleste ! on cherche ! On veut grave grave trouver et pas à moitié ! chercher paertout, en ces quartiers de l'après-pré céleste, un coin dit "donné" aux vérités ancrées, genre "saturées" = complètement vraies ! On a encvcie grave, de tracer de chez tracer sans jamais traîner, mais fissa aller et gagnezr gagner gagner sur ça, cette après-paroi , après-pré et re-après (en quelque sorte) paroi, qui nous voit tracer = filer = foncer , vers .......... Néné né dans une sorte de .... fossé ? creux des voix ? chose haute mais quoi ? après-porte ok on voit ça, mais en vrai quoi après la porte ? une sorte de Voie mais qui serait quoi : on mo nte sur quoi (en nqiuelque sorte) ? Voie de s Rois / reines des Tas ? tas de quoi ? on monte ! on cherche en soi de quoi cernert-piger de fait, un certain ombre de vdo nnées ancrées , ancrées de chez ancrées, en cette sorte de Mer Donnéb e, Mer des fées ou dite "des Fées" ok, mais où elle est en ce post-muret ? et que fait-elle d'elle en vrai ? des vaguelettes ? vagues vertes ? On cherche ! grave on recherche ! on ne s'arrête pas de , pour le coup, tracer - gagner et filer-creuser afin de trouver qui de vquoi est là qui nous regarderait de biais peut-être pas, qui noius regarderait de biaiçs ou peut-être pas mais qui serait là à grave nous mater pour nous attirer, nous faire aller jusqu'à nous présen(ter, à ses ... nénés nés ? sein de trait ? vache à lait ? on ne sait pas ! On voit que qiuelque chose ici se ttrame en vrai mais quoi ? ou se tramerait, genre .... lait tiré ! lait treait ! et trait de lait à siphoner (avidement) si tant est (ou si jamais) ! On est tr&acée, on est pour ainsi dire toute dessinée prête à traverser l'ultime muret en rotondité et nous reytrouver ... à vouloir ou devoir ( ... vouloir !) téter de l'autre côpté, le bon lait tiré, lait entier, d-'une FVache sacréee , qui sa it ? On trace ! on en avance. On veut comprendre ce qui est, de cette voie-là, qui nous "tend les bras" .... et nous de voir ces bras comme deux bras de ................................... mer
des Rois/ Reines
reines des Lois ? on voit là-bas les vagues post-paroi, Chance des Treanses ! on voit les Roi / Reine des Transes, Treanses et danses et falbvalas ! On bveut ou on voudrait toucher à ce qu'on voit là, qui , on dirait, se pavane ..................... c'est quoi ? .................................................................. on cherche ! on ne sait pas ! mirage de la foi ? une croix ? croix céleste , ça peut ou pourrait être ! On cherche une Croix quand, peut)-être (qui sait ? ), il n'y en a pas ! On mate sévère ! On essaie de faire ................................... ça : Corps de Selle ! tresse ! une sorte de tresse ! iun e sorte de tracé de tresse, vers ELLE ............... vache à la&it ??? on ne sait . Et du coup on cherche , on recherchge un accès. On est passée en tant que fée "derrière", et , à présent, on se ditb que, peut-être, ce qui serait bien ce serait , d'y aller ensembleb à fond la caisse sans tarder , et du coup nous téléporter ou comme nous téléporter ... jusqau'aux dits "nénés de l'ombre", ", ombre haute = ombre portée, qui serait ... ombre donnée par ... eh bien on ne sait ! on cherche encore ! on n'a pas fini de chercher mais pasb grave en vérité car, on y croit, on est plus que motivcées, on croit grave au ..... passé né ou re-né après le pré, l'herbe folle et autres herbes haéutes. On croit grave à une sorte de Passé quyi reviendr&it comme nous titiller et nous m=ontrer des choses , choses drôles, comme : une sorte de Corolle ! Fleur -hole ! fleutr des fgleurs à corolle-hole ! porte des données données ! amabilité ! retour aux nénés comme qui dirait et la chose sezrait toute entérinée , achevée, adotptée, mise surt pieds et lancée de chez lancé à jamais vers une Vie nouvellement teracée de trype "Destihnée Sacrée". On est Fée un temps paradisiaque (prairal ou pré-al) et puis voilà, on sort de là (enceinte / voie) et on voit quoi , on voit ça : La chose Haute = Trône ! Trône de bois ! Sein de cCrosse ! Lait -Voix ! à boire, pour, soi , changer de croix ? On antre ! on entre entre ! entre deux voies : une sorte de ..................................................... sente (csentier d'ambre) à prendre . On va là ensemble, on "marche", on en avance, on va en cette voie "de chambre" chercher "sente" = sentier d'ambre à soi. On ne veut pas s'arrêter là ! on veut grave comprendre, la Foi, en soi, à quoi elle se rapporte et qu('est-ce qui pourré&it, nous dire des choses , révéler, donner à nos gouyvernes de quoi tracer , cerner et allervers plus de V2rités sur .... ces Nénés , de l'outre-monde ! On veut creuser pour ainsi dire "dans"" la V2rité , et puis comment on veut !! On ne veiut pas "passer à côté" sans avoir un minimum creusé de chez creusé en cette sorte de ......................... mont aux Nénés ? Monts)-Traitsb ? mont des TRaits ? Monts-Néné ? Mo ntée ? On est née de fait ..... à ce Passé post-pré qui (en vrai) nous intéresse grave, car, on veut ...........................................................
(roulements de tambour) .............................................
RESSUCSCITER EN CES CONTRÉES DITES "DU PASSÉ" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et en plus c'est vrai ! on ne veiut pasc"rester à) quai" jamais mais (vrai !) ressusciter de chez ressusciter le muret (mur du son- ) une fois passé , se retrouver comme (quiu sait) ?) peut-p^être "dépossésdeée " en qielque sorte d'une sorte de Personne Nôttre,; mais peu importe ! on monte ! on ose ! on monte haute ! mort d'homme, donne : Haute Forme d'Hole , genre Famme Accorte,,Traits de Forme Haute, Fée-Bébé de Roche, fabulosité grosse , Ombre-hombre-Nombre sur Passé vde Porte ! On mùonte ! on est haute ! on est grave haute ! on est femme d'hole, ombrte nôttre passé la porte. On veut de fait toucher toucher troucher toucher à cegtte chose d'une bsorte (il semblerait) de "Néné du Passé" , passé de rocxhe (?) , et aller ..... tracer = téter ! car, téter est de fait la chose
à ne pas snober ! On se doit gravfe cde téter le lait (post-porte) et de s'en pourléchezr nos babines mouillées ! téter = manger = prendre = comprtendre les données du laitb , en tant que membres situés d'une sorte de "langue-force " ! mots de porte = mots d'ombre = mets = lait !du bon lait des ombres, ombres mortes (mortes ?) et autres zones a ncrées, où on ne sait en vrai car, on ne voit pas loin ... au-delà des ombres ! On voudrait ! on voudrait bien ! On grave aimeréit ou voudrait bien en vrai , voir loin loin loin, aiu plus lointain des zones p^rofondes, loin dans l'ombre , l"'éclairer, éclairer la zone, les confins, fins de roche (?) des données Hautes, fin des fins de Trône ou Commenjt ? Haute Époque au firmament ? haute Roche d'Ombre ? Zonee Ronde ? Forme de ............................... croptte ? ......................./..... corps ? ............................... cône , ....................................... cône-zone ? ...................... con d'hole ? ............................................... dôme , ............................................................................................... comme une ombre qui (ici : post-prairie) montrezait la Choseb à devoir approcher en tant que ............... Baby-doll ? ou seulement de .... Bébé-né , la mort passée ? On veut toucher à ce Néné des Données Hautes, à cette sorte de Passé des "promenades endiablées" du genre ... tarentelle ? et auteed deanses surexcités ! ON ne veut pas aller pour aller mais grave aller de fait pour en vrai cfomprendre de chez comp^rtendre de quoi ifci il en retourne ou en retournerait de cette chose ou sorte de chose intense , dont le nom en france est : LE PASSÉ-DANSE ! sorte de danse dense ! danse ensemble ! sarabande en bande ! on avance ! on tourne -vire du ventre ! ça incise ! ça rentre ! ça envoie et charme ! on danse en transe et du coup .... on passe, grave, à travers la Paroi, la Paroi du Roi , des "REibnes FRanches" et autres "REines des Voix" . On est la fée dite "surnuméraire" aux dixd doigts et autrees ailes "de paroi" ! ça enfle ! ça envoiue du bois quand on passe .... car on passe là (passage de france ?) jusque là : sein des traces, lait amer, trait des traits sacrées, paire de nénés traits. On ne veut pas ou plus, en vrai, passer à côté, d'un tel massif de traéits, mais tout au contrzaire, en profiter sans se monter le bourrichon ou se poser triop de vquestions, de celles qui, de fait, désespèreznt et vous fichent le bourdon pour la semaine ! non ! On veut aller fissa (hors cimetière) toucher le pompom ! on aime ! téter de chez téter, un peu de ce lait desvFonds . creuser = dire ce qui est en ce tréfond hors cimetière et dont le nom est ......... Terre-Mère ? re ? re-terre-mère mes aïeuxd / aïeules ? en mieux ? On cherche ! On veut (on voudrait) cerner au plus pr§ès, une sorte de "vérité des vérité" qui , de fait, pourrait rapidement à nous se révéler en ses quartiers et nous dire ce qui est d'une sorte "d'après" . "daprès cimetière", "d'après quartier d'herbes" ........ et nous enseigner "ce qu'il faut faire" pour en vrai durer de chez durer en cette sorte de contrée posqt-herbe ............ comment Faire .............. comment tracer ............. comment dire les données qui nous seréient données et de pied ferme ou à main mlevée ou peu importe la manière, le tout ici est de pouvoir compter sur un tracé : ferme, ancré, comme enraciné ....... dans le Verbe ? Hé ! voilà qui , en vrai, grandement nous intéresesse ! qu'est-ce que c'est que ce dit "enracinement"des vies ou de la vie dans une sorte de "paradis" que serait ..... le VErbe ! on l'a dit ! on a diçt "le Verbe" ! est)$-ce qyue ça sufiit ? est-ce que dire ça suffit pour être ? on a dit "le VErbe" en ce dit "Paradis interne" à une sorte de prairie, prairie post-mortem ou disons d'après la vie ! vie de terre ! paradis des VIes interneszc à ici une sorte de vie comme inscrite entière en ce dit pays "des do nnées de Roche Haute". On monte ! On dit ici que de fait la vie, post-mortem, est Vie de traîne , traîne d'herbe, puis, au plus loin des lointains mordorés, à la fin du pré, une sorte de "contréeb du Verbe " ou comment oub qu'est^-ce ? On veut trouver ! trouver ou se retyrouver ! on ne veut rien lâcher. On veut trouver ensembkle les données de base qui, ici, nous dirait en vrai ce qu'il en est de nos "souffrances passées" et aussi de la France Narrée, france du français en tant que langue saturée, pratiquée, inculquée-gravée, enracinée en nos antres de fée tracée à mainn levée sur "paroi franche". On cherche ensemble ici et là une sorte dee ....... tas ? tas de vfeuilles ensemble ? tas de Voix ? voix de l'au-delà .... aux antresz ? ?On veut ça : le Ça ! la Charge ! une charge en soi afin de mieux comprendre = poussser, pousssr droit dans ça, l'ambre ! ombre des Rois / Reines des Voix ? On veut :
comprendre ensemblke pas mal de choses
cerner ensembvle le polus possible
toucgher ensembkle à une (sorte de) bête de CFRance (farce) ma foi
tracer eznsemble ici ou là ... eh bé ce qu'on pense qui serait en vréi et pourrait nous aider à nous y retrouver en cette marmelade de données données.
Chercher = dire ce qui est, de ce dit muret "des finalités", et toucxher = aller = fonder = crueser = sonder ledit Passé des Données Ancrées, de type .... le français (langue .... sarde ? sale ? sade ou maiussade ? ) et allez ! on chasse les noires (mauvaises ) pensées et de tracer ensemble le Tracé aux fées "paradisaiqque" (le tracé) jusqu"'aux dits "Nénés Intenses" = plein de lait frais à devoir téter ... dx'urgence ! On voudrait ! On ne veut pas (on l'a dit x et x fois) passer à côté, d'un lait aussi sucré-salé voire acidulé tel que rencontré .... APRÈS ........... APRÈS LA MORT DU PRÉ .......... APRÈS LE PRÉ QUI EST LE TERRITOIRE "ANCRÉ" DE LA MORT DONNÉE .......... APRÈS ICI CE PRÉ QUI EST L'APRÈS D'UNE SORTE DE VIE DONNÉE , COMME SOULEVÉE , ET PUIS VIENT L'APRÈS , SOIT L'APRÈS -PRÉ QUI EST DE FAIT CE DIT "SEIN DONNÉ" D'UNE SORTE DE MÈ!RE ALLOUÉE À UNE SORTE DE ..... PASSÉ NÉ OU MÊME RE-NÉ À LA VIE ... TRACÉE EN SAINTETÉ OU DITS DE SAINTETÉ ! on est ici ................. en vie ............................... vie vraie ............................................................. sur un néné à lait à pouvoir téter et c'sst exactement (de fait) ce qu'on fait en tant qu'on renaît, qu'on redevient Bébé sachant téter de vchez téter le lait (Verbe français AQUI) du Néné Trouvé ! On re-vit ! On re-devient Vif / vive des traits , on revit comme qui dirait et c'est un fait qu'on doit ou qu'on se doit de bien considérer si on veut "tracer" = "cerner" . Car, tracer = cerner ! courir = comprendre et comme relever (des entrailles) les données franches ! On ne doit pas (du tout) lésiner sur ces données mais les toutes bien considérer dans ce qu'elles montrent (montrre raiaent) et présentent de la Vérité . Sachez toucher ! sachez vous approcher et aussi toucher de chrz toucher à ce Néné-né né post-pré et rempli de lait qui est du ........ erbe-Lait ! VErbe-Herbe-Lzit ! toute une chaîne de données tracées faisantr la navettre, enttre d'un côré la bête, la bête du pré, broutant l'herbe, et de l'autree le néné , le Pis tracé ou dessiné, empli de bon laiot ferme (ou lait de ferme) à bien déguster ou même profiter. Il faut toucher , toucher de près, afin de téter, et téter c'est aimer ! On veut de fait aimer (= téter) ce lait de traite , et être comme toute re-née , revenue nue à une vie relue, re-tracée, re-compiosée et re-trouvée au -delà du pré , du pré donné (Mort-mort au taquet) sur Néné Rompu aux finéalités toutes lactées , genre Voie Du Cru, Vloie Lactée Vue , ÉToile et trait. On est re-née sur un Passé connu mais oublié ou sinon oublié effacé ....... ou sinon efgfacé aloué à une sorte de ............................. petite mort ............... = ombre ? On monte !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! hautesc =
le plus haut qu'on puissse !.............?.?.???????????????????????????????????/........................ ivres ? ......................On ne veut pas passer pour ce qu'on est pas, on veut en av ancer ensemble en cette toundra qui nous "tend ses bras" et nous (il semblerait) rassemble ensemble afin de voilà, faire de nous, sorte de COnvoi de .............. gnous ???? gnous de l'au-delà ? tu vois ça ! ça enttre par là ! ça n'arrête pas ! convoi dit "de sages " et autres s""savantes d'antre" ! On est entre ! on s'interdessine ! on ne veut pas manqauer la prise ! On veut "FIGURER" sur l'affiche et du coup COMPTER DE CHEZ COMPTER en tant que fée aimée , fée adoptée, puis ........ bébé ............ au-delà du muret soit du cimetière ... "aux fées et aux herbes" . Tracer = aimer. Dire = toucher . Conduire = poussser ; Charger = donner. Porter = consacrer , à une sorte de donnée, un Rire en vrai, charges comprirses = le Passéb ! car, le Passé est ....... Rire Frais , Rire Entier ... comme du lait non-écrémé ! ça le fait en v rai ! ça enfle ! l'Antre, l'Antre aux données, se voit (comme qui dirait) visiter par (ici même : pré-) une "fée de france" = fran che camarade en transe ! fée de france = parlant force mots de frannce en transe , ou , sinon en transe : de base ! mais la base est transe (en vrai) ou sinon transe : danse ! danse-transe au taquet et le tour est hjoué, on entrte ! on entre en cet antre aux donnée"s larvées, pré, pré des prés, paradis sondé, paradis du dit, par adis -centtre et nous voilà en tant que fée ailée (= transformée en fée) qui marchons ensemble et de connivence (aile et aile) vers ....... sorte de Passé de Rage ..... Passé -trait , ou même : trait du Passé, trait des traits d'un passé en ffrance (en langue de france plus qu'en france)! . uN passé est né (re-né) qui était "en souffrance" en ce Néné ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait dense ! lait rance ? lait des laits de france franche , sioit : du français lacté ou quelque chose de cet ordre (aux laits) . On est lA fée en somme des dOnnées Intenses, du Passé caché,, des souffrances larvées et autresc maux de trait à jamais enkystés ! qui on est ? trait ? treait de fée ou trace ? charge ? charge-trait qui serait trace, trace de fée ? rtrait sur pieds et on dirait que ça serait ........ intense, comme donnée ! On ne sait ! on creuse ! on n'en a pas fini de creuser ! On n'arrête pas de cfreuser, creuse que tu creuseras, on envoie ! on envoie de ça : la transe = la danse = parade = paradis du dit ! charge mentale ! mise en plis et autres parades, aux bêtes )-foirail (ou plutôt "de foirail") . On est comme nue venue la mort mordue. On est vue nue dans la mort crue ! on monte ! hop ! on ne cesse ensrmble (ailes , ailes, ailes, ailes) de monter-comprendre = grimper, fgrimper de chez grimper pareille montée aux divinités . Qui on est ? fée, puids Bébé, puis ........................................................ qui sait ?????? ;......................... qui sait dire en vrai les différentes directions données à une vie ressuscitée ou come ressuscité par l'effet du ......... rire alloué ? à une sorte de ...... néné post-pré ? On veut de fait ensemble "toi et moi" creuser et du coup toucher ......... à du dire de fée , à des dires ici de fée Nacrée, à des dires enthousiasmés de fée ancrée à une sorte de TRacé de Pré, sentier, voie menant direct aux données lactées, célestes , vraies, d'une sorte (pour nous) de Vie REjouée !
On touche le néné= on boit du lait ! ça le fait de fait ! ça envoie du bois : vois ! bois ! ne t'arrête pas ! bois de ça qui est du lait dit "des voix de l'au-delà ddes voixb " ......................................... Qui on est ? on veut en vrai essayer ensemble de le deviner ici ou là en ces "contrées sages". On est toutes en vrai comme "remont"ées" , du fait que voilà, on s'est sentie un peu "ignorée" en tant que fée, mais c'st parce que en vrai quand on est passée ....... on n'était déjçà plus ... Fée, méais redevenue (pour ainsi dire) un Bébé nu ! bvébé tout nu renaissant à cru , Du Passé Connu (§reconnu ?). On est Fée un temps patent, mais passé ce temps, on devient "Bébé des Champs" = des données profondes hautes (hautes = profondes). On devioent ... Autree. Bébé d'Ombre (des ombres) renaissant ! On est l('ombre de l'ombre d'une sorte de ...................... porte aux ... Mortes ?? Ombre des ombres hautes ? Ombres Hautes des Données profondes : bébé -né de poche haute ................... en son ombre ? On monte ! On veut c'est vrai aller ensembkle à la recherche d'une sorte de ............... co:pte ..................... compte docte ...................................................................... ................. et auttres comptes courants ............../../..//////./.................................../................................... afin de pour le coup cerner-toucher à ces bijous données , données données, du dire caché ! chou caillou hiboux : on dirait du lzait ! en est-ce de fait ? on chercghe ! on ne cesse de chercher en vrai , ce qui ici est qui pourrait sans exagérer nous aider à situer de près, ce qui est qui nous rassemble et nouscresseemblke : traits ! traits des traits ! génétiquement anccré il semblerait mais est-ce vrai ? ou : est-ce en vrai ce qui est qui compterait, au t aquet le plus, sans rigoler ? On ne sait car,
on est pas non plus toujopurs topujours armées pour comprendre ou cerner un Tout qui seréit le TRout des "Données-Force", car , voilà la chose : on ...... tète l'ombre ! on ne cesse ça : de (vaile que vaille) téter là, le lait -voix , la voie -là des données de RAge, TRanse ! transe rance ? non pas ! on entre ! on entre en transe ça se voit : on bande ? on bande sa voix ! on parade ! on cracche ! pisse-roide ! on ttrace ! On fait caca , va ! on envoie ! on est pas là pour faire sa méchante hautaine et fière soeur de Rage, mais quoi ? dire de soi, les sentiments sages, les données de base qui, pour le coup, seraient "du doux" ............ aller de chez aller comme un bébé téter , car, en vrai : ON EST
CE BÉBÉ DU TRAIT ! ON EST
devenue (de fait) un bébé, quand la mort est tombée, quand, là-bas, derrière nous, la mort a chu ! a sombré en ses quartiers au pré ! on est en vraie (fée) devenue bébé (vrai) nu ! ce bébé non-genré aux données lactées . On est née au néné , né/née aux nénés du cru .................. à donc pôuvoir de fait téter de chez téter le lait (le bon lait) de la bête-trait ou bête de trait , vache à lait sacré, nacrée, ancrée en ce passé des données celestes (celtes ?) . On cherche en vrai à comme qui dirait ne pas oublier ce qui est mais comment faire quand de fée on se voit transformée (de force ou de gré) en cette sorte de bébé de trait, bébé -herbe, bébé né le mur du son passé , à une vie nouvelle , xde trype ........ Verbe ! verbe tracé ! verbe relevé, retracé, remmonté, recomposé en une sorte de Chair Ancrée ... en un Passé de Vie Entière entièrement renouvelée ...... qui sait ? on est née bébé aux traitsq, qui sont traits de ressemblance avec (ici) une sorte de ............................... transe ? danse en transe ? chance ? On entre ! On veut passer passrr passr ensemble (contredanse) le muret , et tracer tracer tracer, sans se retourner jamais, vers ici un N2né qui seraéit le n2né ... des "Données Intenses" du PAssé reformé ou sinon reformé re-assemblé ou sinon re-assemblé re-porté comme à ébullitio,n ou non, à ............................................................................................................. point nommé = Trait des TRaiots ? ................................................/............. On veut = on voudrait .................../........................................................... toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher au plus près du plus près les nénés donnés à devoir (pouvoir) téter sans traéîner : hop ! on s'y met et pas plius tard que tout de suite en vrai une fois née (re-née) et le tour est joué ! on ne veut p)as passer , à côté du lait , et s'en priver ! nâ ! on veut quoi ? on veut :
sonder là la voie,
dire ce qu'on vcoit de pareil convoi de bêtes de poids,
chercher là, et là-bas de fait, .......... un tracé tracé menant ainsi au chant ............ et, pas qu'au chant, aussi aux ... champs, champs de blé et autres céréales ancestrales (données données) .ON veut toucher parce qu'on veut creusqer, creussezr = toucher, toucher = creuser, et bnous, du coup, on ne veut plus du tout s'arrêter de creuser , en ce terreier dit "des données héautainesz" et autres donnhées post-mortalité. On veut :
creuser dur
charger de chez charger
compioser en quelque sorte avec le passé
dire les données, donner les dires
porter = soulever = rassembler, ici et là, devajnt soi, les données de roche , porte à porte. On est née Bébé la mort dépassée, on devient Forte, Forte Morte ? On devient .........../..............eh bé, ledit bvébé de la Roche Passée ! re-né ! on renaît
au temp)s Passé, ou comment ? car, voilà la voie (voie lactée tracée) qiu'on voit : Parabole ! Hole ! trou de voix ! la voix szerait la voie serait la chyose qui (ma foi ?) nous ferait ..............d xrôle, en tant que vcoilà, nous serions Chose = toute chose, de nousc sentir là, comme revenue nue à du convenu, ou du déjà vu , ou comment SVP on pourrait cernerrt , cerner-distinguer, trzacer, noter en vrai, cette chose comme retrouvée ou sinon retrouvée reformée ? On est re-née de fait après ..................... après ce trait dit "trait de fée" ? On veut toucher toucher touycher à une v2rité qui pour le coup serait physiqauement concrètement rejouée ou reformulée à un temps du passé mais qui serait ........ devant, avalisé, colmme une sorte de donnée "venante" ! re-naissante ! On est Née ! yeeeeeeeeeeeeehhh ! re-la vie des formes et autres traéiots tracés "devant la porte" ! hautes forces ! corps et ports ! sons de cloche au plus haiut degré ! On veut en vrai essayer (nous-mêmes par nous-mêmes) d'y aller (pas à moitièé) vers ledit "théoprème" des données tracées comme à main levéevp)ar une femme (on le dirait) néanbdxertalienne ou disons ancienne, anciennement ancréeb en cette sorte de
"Poème aux Avancées" . On est Fée des F2es, puis Bébé né, puis ....................... re-le trait .................. très accfentué ................................. sur pierre ! hé ! trait = traite = filet = lait ! le trét est du lait .......... qu'on aime téter = boire à la coulée, au donné tracé et autre type de giclée en herbe ! lait de traite = verbe ! verbe ancré = inculqué = enraciné = donné de chez donné comme de l'herbe du sentier ! On veut touycher toycher touycher toucher toucher toucher toucher troucher à cesc données en herbe verte sur-représentées mais c'est (de fait) ce qu'il nous fallait pour durer, aller de chez aller au plus lointin piossible des données tracées, célébrités, célébrités, célebrités, célé-brités, célébrités, de bonne renommée, dic-vinités, célébgriotés de bonne renommée = remises ! sur pieds portées ! re-composées ! hautement remontée en termes d'ire et autrszccolères divines mais mèfle ! on le voulait : on voulait durer ! on voulait téter et du coup durer, endurer ok méis durer ! Car , vie entière = vie chargée de Verbe ... a(alambiqué ? qu'est-ce que ça peut faire ! ce qui compte ici c'est de durer le plus possible, et du coup ... de teter la frise ! cerise ! traits avcidulés ! lait de frise en friche et autres laits pour ainsi dire saturés de données la ctées , de type ............................................................../................................................ amabilités ? ../................................./ vivacités ? ........................................... saintetés ? ................/...................... visiblités ? ................../............. ou, au contraire , invisibilités ? ..........................On cherche ! on n'arrête pas dfe chercher dans l'herbe , dans le pré, partout où on est, les données premières, ce qui a ou aura ou aurait de fait "cvonditionné" le Théorème; On cherche en vrai : on tète ! On ne cesse de boire de ce lait de traite , lait acidulé d'un corps donné qui se serait ainszi offert à notre volonté dee pouvoir durer de chez durer sur terre, en tant qu'être alloué à une sorte de "divinité" dont le nom est ..... VERBE ! VERBE DE TRAIT (DE TRAITE) ET LE TOUR EST JOUÉ SANS TRAÎNER ! ONn veut toucher = cerner = dire = conduire, ici ou là, le verbe ..... e,n ce sas des Voix ! voix de l'au-delà à soi .... outre-mère ! port aux Princes et Princesses-Hourra ! On voit ça : -phrases denses, danse en transe, parades de rage et autres rage-sparadrap ....... DAnse de Voix ! charges mentales , ça envoie sale .... ou pas mais qu'est-ce que ça envoie ! On passe ! on trace ! on veut comprendre (dans la foi) le fait que voilà : la mort (verbale) est incommensurable ! ne se peut pas, est inenvisageable : pas la place, car , voilà , la Mort est ........... phrase, que ça ! une phrase de passe, de passage, trace -tré&its de fée de rage ! une sorte de Passé qui , de fait, régulièrement, refait surface et vient combler ...... l'espace ! l'espace dense des données phrasées (verbales) allouées ainsi à ........... eh bien ..... la CXhance = Danse (Endiablée) des donnéesd franches. On est la fée devenue un bébé la mort enterrée. car, oui , la mort, lma mort n'est pas donnée pour vraéiment (vraiment) longtemps durer , elle a son temps comme accordé , etnous, dès lors, de nous "re-dresszr" en tant que re-nouveéau-né re-né à une vie tracée, de toute éternité, da,ns le VErbe donnéinculqué jamais oublié : une manne de base, sein porté, chance (voilà la chance) du néné ! lait ! lait des laits traqués ou tracés ou donné ici de préférence à tel bébé alloué à une sorte de ....... Passé ........ en particulier. On veut :
dire et donner, pousssrr le trait, coller au ventre, portezr des données qui bnous sezraient données (au passage) de face, par .............. hé, une Divinité ! de type .......................................................................................... lait ! Le lait, du coup, serait une Divinité ..................... divinité lacté intense ........................ quelle chance ! on croit rêver ! on est , paspossible, charm"ée ! ou comment dire ! aimée ! aimée des fées ? ...............................././..... quelle chance en vrai ! on est soulevée ! on est soutenue nue comme à la criée et même cornue ou sinon cornue, boisée ???? on ne sait ! bête velue ? bête à cru ? On est bête de trait (de fait ?) pour être ainsi aussi aidée, voire soutenue, par (qzui sait ?) une Divinité du cru ? genre : Renommée Tracée ? Énormité, d'une sorte dee Renommée, qui, en vrai, nous collerait , alors même que nous, on se voulait ... quoi ? plutôt cachée, calfeutrée ............. ancrée en nos qu artiers et pas fgorcément aussi montrée ou présentée ! On veut toucher ok mais .......................................... à moitié cachée ..................................... immiscée ................................................... collée au néné ............................................ nez sur néné .............. à téter sezrrée ! ............................. sans jamais lâcher ! jamais ! non vu de près en fait ! car : nez à nez avec le néné-né la mort passée ! On est Bébé né, pouvant de fait téter vrai le lait ancré ! trait de fée sur Le passé re-né ! on est ! on est ! on renaît = on est ! on est née Bébé au Passé comme qui diraéit ! On nhe veut pas lâcher le trait doré ! mais, creuser sanqs jamais ws'arrêyer le tra&it dfes traits : une virée , une sorte de tracé donné, de type ........................................ sillon, , ................. tout au fond ! ;;............ trait d'union ! ..................................................................... on fonce ............................ on mùonte ....................../............. on veut = on voudrait //..................... aller de chez aller ensemble (fée) vers un e sorte de "dimanche enluminé" .............; flamme dorée .............. feu des treacés dorés .................. or des fées lactées .................../... bonté ! BOontées données et &utres amabilités, toutes deéployées ............................................................................ ceuser creuser creuser creuserv creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser s-creuser creuser cfreuser en ce Passé des données "de porte" ... hautes, hautes données et haute porte ! le Passé est né qui nous importe ! Haute Porte dite "du Passé de Roche". On monte = on ose = on dit := on charge = on est meurtrie ou pas , l'important c'est d'y croire et de toujours toujours touhjours aklller , de préférence, en ce quartier des fées, à la recherche d'une Entrée, Entrée de base pouvant mener, de fait , à ce Passé ... dit "de france", car, en ce qui nous concerne, on est née s (de rage) en france = en ce passé de langue sarde, langue de fée comme allouée à une sorte de passé de france, langue collée, soudée, accrochée à une sorte de ................... portée, portée des portées ................................. endiavbvlée ................. qui ressemùble, à s'y tromper, à une sorte de ............./...... parade, parade animale ! a nimalité ... des données de Rage ....... mots tracés = bêtes de trait ................................. devenues franches = langagières = fraisches ............................ et ancrées de faéit en cette langue du français .......... dxes dernières flèches. On est née sur pied ............. dans la langue-flèche, ainsi tracée. On est re-née sans cesse ! un tracé de terre ! une (sorte de) traversée des espaces vrais = termes ! une virée céleste ! THE virée terrezstre ........ et céleste si tant est ! On aime ! On veut durer de chrz durer et aller de chez aller, aéprès le cimetière, en ces contrées du Verbe faisant navette ou la navette, entre la mort dite "du cimetière" (paradis "céleste" agraire) et ce Passé aux Données Allouées à une Re-naiisance Fière ! le Passé reciomposé ! alouette alouette ! un passé de traite (lait) sur-représenté ! car : posé ! déposé ! reposé ! re-reposé ! on est re-né et re-née ! sur Passé de T^ete , genre "remontée" = "colère" ! grave énervée et nous voilà qui revenons (mamá montón !) en ces données do nnées d'une terre allouée à une vie entière surdimensionnée , hé ! parce qu'en vrai, voilà, on va ! on trace ! on avance ! on ne reste pas en place ! on est fille-fée aux traits marqués, on ressembkle à sa moitié ! aile de fée ............. cherchant aile de fée .............. désesopéreémznt .........../.................... sur le chantier. On veut creuser (jusqu'au firmament) un sentier à pouvoir emprunter, et (du coup) charger , de données données par une Sommité dont le Nom de fait , est :
TRAIT
TRAIT
TRAIT DES TRAITS
UNE SORTE DE TRAIT
TRAIT NÉ SUR PRÉ UNE FOIS PASSÉE
UNE FOIS QUE SOI ON SERA PASSÉE OU SERAIT PASSÉE,
PASSÉ OU PASSÉE CAR , EN VRAI (AU PASSAGE) CHANGÉE
HOMME DEVIENT FEMMES
FEMMES : FÉE
FEMMES -FÉE DES DONNÉES DE BASE ............................ON AVANCE ! On trace, creuse, vire, vole, on monte ! On veut en vrai voler de chez voler jusqau'au ditb "néné des données de Rovche" ........... Rocxhe Haiute ............ poertte ................. porte d'entrée d'époque ou d'une époque haute ............. TOUCHER = TOUCHER,
creuser / creiuser,
dire/ dire, et du coup : aller = aller ............ vers pareille contréecvdite "du passé"
;;;;;; Audelà du pré, au-delà du saint-pré tel que parcouru e,n tant que ... fée ailée nue ............... jusqu'au dernier muret ici rencontré ! On est née ! née bébé sur pied ......... la mort archivée ! On renaît ! nu e ! nue des nues ! on renaît (post-pré) aux nues allouées à une vie revue et comme corrigée : le passé ! hé ! nue de chez nue et vue ! On est :
le bébé .................................................................... des données revuesxc .................................................../....................................................................................
On essaie ensemble de nous y retrouver ici en ce chanteier mais c'est vrai que cette chose n'st pas aisée, demande beaucoup , beaucoup
de concentration, de sérieux, de /
de concentration, d'investidssements, d'investissements partagés, de /
demande beaucoup
beaucoup d'engagements
Dzemande de, pour le coup, nous donner ensemble (toi et moi) à deux cent pour cent, . On veut, ensembkle, aller loin, en ces dites "contrées révéleées" et aussi toucher à une sorte si possible de vérité vraeie qui pourrait nous aider à nous y rterouver sur cescquestions dites "de mort"talité" , de "mortancréée" , de "mort allouée" à un Passé représenté, cf'est)-à-dire rejoué . On veut toucher à quelque chose, qui sezrait vrai, qui ne seréit pas du chiqué mais au contraire , à une vérioté tout ce qu'il y a ou qu'il y aurait de plus avérée, de pluqs fiable, de plus envisageable en tant que vérité des vérités pouvant donner (offrir) de quoi comprendre, cerner, mieux cerner ce qu'il en est, pour ainsi dire, de la vie -souffreance, vie tracée, vie à devoir subir (de gré ou de for ce) en son propre sabir. ON est née fée on dira "de tré&it" , car voilà : le temps passe, qui bnous voit tracer de chez tracer (en surface) une sorte de trait de type "pariétal -frontal" sur paroi franche . On veut :
toucher toucxhret toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher touxccher toucher toucher toucher toucher toucher troucher touchrt toucher toucher ctoucher toucher toucher toucher toucher touchef toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui, en vrai, nous ressemble ou nous reseemblzerait bquestion traits, trais ancrés, de la face et des doigts de pied , teréits falmiliers, ressemblances ancrées, connivences, familaerités de france et autrs ancrages sur-saturés ou sur-représentés du fait que voilà, on se ressemble, on a des traits communs de type ... ressemblances, marquées, incarnés, on se ressemble en vrai : on est "semblables" = moitiées de moitiées de moitiées de moitiés de x et x moitiées ici ou là nées (rencontrées) qyui nous "font face" ! On est fée franche, fée ornée, fée de rage, fée sainte-face des donnéestracées, puis .......;;;.......................................... hors du pré paradisiaque ............./............................. hors du puits ..................................................................................................... (dans "l'oubli " d'une nouvelle vie comme renaissante) ....................................................... B ............. B ........................................................................BB ........................................................ BB DE RAGE /...................................................... tétant ................................................; le sein don,é par le Passé-souffrance,
incarné, fait, alloué, à une sorte de ........../............................... langue ................. langue intense = incorporée ................................... comme par la ba,nde . On veut toucher = porter = dire = sonder = conduire = pousssrrt = aller = faire = passer = chercher = rechercher = centrer , ici et là, le VErbe .................. sur Paroi-Toundra ! voilà ! on trace ! on avance ! on veut ça : la transe-parade, la voix, la Roche Intense, Voix des Voix et nous voilà, quyi traçons sur place, de connivence, une voie, voie des Voies sur Tremble ! car, on trace-touche, touche-trace, à pareille Paroi des Données Franchesc: Bêtes-Rois .......... bêtes-Reines ........ de pAroi -Foie ! traces de france = franches = de langue franche = danse ! On veut :
tracer de chez tracer
dire vde chez dire
aller de chez alller
poussser de chrz pousssr
se donner de chezv se donner
comprendre de chez comp)rendre les données intenses d'une sorte de passé de france = le passé moiré, comme dessiné, à la volée, par ... eh bien ,; qui sait ? une sorte vde ...... fée franche, de type F2e des Prés toute Acidulée , qui se seréit comme proposée, pour,, de fait, nous aider à nous y retrouver en ces dites contrées aux bêtes de trait. On veut :
toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher ... mes aïeux , mes aïeules en vrai, à ce qui est qui nous resse'mble ou njous reseemblerait comme deux gouttes d'eau :
TRAITS , TEAIOTS DES TRAITS, TREAITS MARQUÉS, TRÉITS FAMILIERS , TEA&ITS COMME ANCRÉES OU GÉNÉTIQUEMENT ANCRÉS EN TANT QUE DONNÉES DONNÉES PAR UNE SOMMITÉ DES DONNÉES ANCRÉES . On veut toucher à ce néné au lait et deès lors téter sans discontinuer , sans s'en lassser, ou sinon peut-être (oui) une fois rassasiée, car ........ le lait, dieu que c'est .............. bon de chez bon ! une tuerie on dit ! on adoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooopooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooollooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooloooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooopooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooopppooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooopooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooore le lait ! on adoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooofre le lait ! on adooore ! on aime trop ! on aime vachement le lait de trait ! on pourerait en téter szans s'arrêter pendanrt des années comme qui dirait ! On aime grandement = vacheme t = énormément, le lait de trait, lait frais, lait tout chaudsorti illico du néné en vrai ! On aime téter, on pourraitb téter sans vraiment s'arrêter pendant des années. On aiùme en vrai le lait donné, le lait qui suinte ou suinterait, le l ait giclé, une giclée de lait dans le gosier, téter téter téter, on adoore téter. On aime grandement = vachement téter , sans traîner, sans se faitiguer, téter de chez téter loe bon lait de mère, mère nourricière, vache sacrée, vfacche allouée à un post-cimetière d-ont, en vrai, le nom serait : le Passé , le PAssé de mère ? passé frais ? passé du passé ? ou "au passé" ? passé de trait ? passé-trait des données de ferme ? une fer(me (qui sait ?) "du passé" dont serait issue la vache ...... sacrée (?) ... qu'on aurait bue ? dont on aurait peut-être bu le la&it , lait né ? On chercghe .......... ensemble ....................................... accolée en tant qu'ailes accolées , soudées, à une sorte de ...... oui, peut-êttre, trait ! tra&i des traits , qui nous tiendrait "ferme", nous rattacherait ou lierait l'une l'a&utre (à tout jamais) en tant que fée ............... On aime le lait . On aime grave les choses lactées, comme le fromage, petit lait, crème et fleur de lait, beurre salé, crème écrémèée et autrss léits frais ainsi tétés. On aime le lait, les choses lactées , comme ........... la voie, dite lactée, les étoiles de lait et autres traits étoilés lactées ainsi avisés ou visualisés . On est :
tête , trait , tête
allouée à des traits.
On veut toucher de chez t §(oucher à une sorte de donnée dont le nom est "TRAITS", car, en vrai, on veut ............................................ on voudrait ........................ peut -être ........................... rtessembler un peu .......................... à) l'être de feu ....................... feu l'être amoureux ; ................................................... naître /paraître ................................ à quelque chose près ................. à quelque chose commre ... une herbe ................................................................................................................................... deux herbes ................................ deux brins d'herbe ........................................................................................ à peu de choses près les mêmes ! .................................................................................. naître même ................................................................. toucher toucher topuycher topuycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher rtoucher à ce qui est qui , de fait,
nous intéresse, nous captive, nous fait r,êver et halluciner, en tant que ............ fée du pré , Fée des termes , fée des der nières volontés sur pré et autres prairies vertes, fée ancrée en un jardin d'éden et autres potagers ................................. on veut creuser, creuser, creuser le Verbe comme qui diraiot (= l'herbe ?) un tracé ? une sorte de "sentier de VErbe" pouvant traverser sans traîner les allées (ou : difrérentes allées) des Termes, sqoit des données données d'une sorte d'éden consacré. On voudraoit = on veut :
toucher à c e qui est qui reprsénterait le VErbe = des traits ! traits acidulés ! bêtesde trait comme s'il en pleuvait sur paroi sacrée ! paroi roide ! rude paroi dure ! On est née Fée de bure, on pousse l'aventure, on trace et retrace, on va loin de base, ensemble ailé, jusqu'aux extrémités des extrémités ainsi touchées (trouvées) aux confins du pré. On veut passer vers .............. du Passé de Rage ................ téter rageusement le lait d'en face ! trouver = prendre = téter ! trouver le néné = (si on le fait bien) téter ! Car, téter est tout un truc ! On se doit de bien apposer ..... sa bouche turquoise ! et oup, gloup, avaler, le bon lait de l'ambre (ombre ? ) versée ! trait = d'un tra&it ! bon lait = bon trait ! On veut s'alimenter du bon lait de Roche , bonne sorte. On veut :
toucher toucher toucher = téter téter téter ; toucher = téter ; téter = touchezr . On a envie en vréi de bien téter le bon lait de l'hydre , ici l'hydre, l'hydre sacrée = l'hydre ivre ! une hydre = un trait comme dup^liqué ! ivre ! hydre ivre ! On veut (de fait) téter l'hydre, sans trembler, sans jamais s'arrêter, en faisant ainsi qu'on fût rassasiée de chez rassasiée le mome,nt venu = en matinée, nue, accolées (ailes collées) pour former de fait ...........; cette fée de trait ............... changée en bébé .......... bébé nue ............. connue = nommée ............................... à jamais ....................... comme étant le bébé des dsonnées données en termes de .............. ^passé ! le passé ! passé né sur traits des traiots , genre tra&it de lait .............. une pissée ou sorte de pissée .................... allouée au néné tout empli de lait à , oup,
avaler si tant est ..................... Le passé est né , qui nous "reconnaît" en tant que .... Bébé ! Et donc ................. nous voici (dès lors) comme adoubée, revue et corrigée. ON veut (on voudrait) toucher toucher toucher toucher toucher touctoucxher toucher toucher touycher toucxher toucher toucher rtoucher toycher trouycher toucher toucher toucher toucher touycher touycher à ce dit Néné-né le Passé re- donné ou re-alloué ou re-convqoqué ou re-tracé le pré quiité (paradis aux fées ) . On renaît, et ce faisant : on est ............ des rev-enantes d'antre. Portées cernées, allouées postées, chargées secondées, ceinturées aimées ou comme aimées des fées il semblerait : vrai.
11/3/2025
On veut ensemble aller au plus lointain possible à la recherche de données qui, toutes, pourraient, en vrai, nous donner de fait de quoi comprendre un certin nombre de Choses de base. Traits et retraits. On cherche à s'immiscer, et poutr s'immiscer il est pour ainsi dire nécessaire de tracer des traits (sur place) à main levée. Creuser = dooner = dire = sentir, ici même, ce qui est qui se présenrte. On est née fée, passée la rambarde, et nous voilà toutes acidulées qui cgherchons place, ici ou là, le mur du son passé il semblerait, à la recherche d'un Tracé, qui serait ... THE tr&-ACÉ SVP; O n veut toucher toucher toucher à une xorte de Néné de Roche = le Passé, et, pourça, en avancer ensemble, creuser par pelletée, chercher de chez chercher :
une base, un tracé "serré", une sorte de "mansarde" où de fait pouvoir se réfugier et y rester afin de pour le coup comprendre (à genoux ?-) les données cruciales. Ce qui est qui est et qui (peut-être) nous regaddrerderait , nous epierait, nous materait grave = de la tête aux pieds, ... y compris les ailes, bec de trait et autres attelles. On veut toucher à ce Néné post-cimetière et cerner au plus près :
la Tête, Le Tracé, les fines lignes et autres signes d'un Néné de Vigne, Vigne à Lait ! On est la fée rasante , traçante, allouée à une demande. On est née sur Roche accolée, et on monte (on est montée) de roche en roche par paliers jusqu'au "bout du monde" : Néné ! ah, ça le fait (de base) c'est un fait ! dingue de chez dingue, vitesse grand V ! ouh, on est montées de chez montées et nous voilà comme toute reconstituée ..... Bébé ! un bébé saleé -sucré qui du coup aime grave le lait à s'en barbouiller la figure, d'aventure. On aime le lait (grave) on est nées bébé , le "mur du son" passé, mort dure au taquet laissée de côté.... on trace vers Néné ; on veut grave téter et ne ljamais, en vérité,
jamais plus regarder ..... côté pré, côté herbe des traits, pré des données de l'herbe et autres flore détaillée. On est née Fée sur pré ok mais à présent on n'est plus des fées, on est le Bébé dit Alloué à une sorte de ... mansuétude, drôle d'aventure. Bébétrait. Sorte de Bébé devenu vrai qui veut téter du lait. On est ... Fée de Bure, puis Bébé -trait. On est passée ! ................................... on a trzaversé le muret (mur du son) sans traîner. On voulait de faiot gravement cerner les données données du Monbde TRacé, eh bé voilà, on dira qu'on a, comme en vrai commencé
à ici clarifier un certain nombre de données de base . Ce que c'est que cette plage, les nénés du pont, traits d'emphase et autres mamelons "montón". On est passées sages = savantes ! ohé du bonnet, on entre ! On sait ! on a cerné le Tremble et à présent on veut toucher de chez toucher à ce qui se présente en fait de Néné-Trait ou Néné à Lait, Néné né squr pied comme il sembvlerait ..... À nous de piger et toucher, dire et aller et, du coup, en avancer grave, filer de chez filer vers pareille mansarde aux dobnnées ancrées, de type "Rage", "Rage de Fée" et autres "Rages sentimentales" . On veut creuser ensemble ce qui est qui se présente à notre juger .... car, voilà, on est née Fée à la traversée mla mort donnée, on veut Cerner = dire = faire = toucher = être sur pied cette sorte de .... bébé né , la mort éloignée, vers un Néné de TRait à pouvoir téter sans se gêner , s'en mettree sans compter jusqu'au trait des traits, qui serait ... Bec ! bec des Ombres ! une sorte ! Bec des becs sur ciel de Trait ! On est Bébé à bec !bébé-bec aux données traquées ! cher bébé. On veut toucher à ce qui est que nous voyons aller : Néné , et téter ! le bon lait de Roche, bonne pioche.
On veut dire ici le dire, aux données vi ves, traits-surprise. Qui est qui . Que penser. quoi chercher ou rechercher en cette frise "olé olé" (qui sait ?) qui nous "regaddrderait et nous (comme) dévisagerait parce que voilà, on est passée et, à présent, on ressemble ou ressembklerait volontiers, à une sorte de.....bébé à bec ! diongue ! dingue et sacré ou sacrément dingo , au poteau ! On veut :
dire de c hez dire
cerner de chez cerner
coller de chez coller
infduire de chez induire
situer de chez situer
aller de chez aller
toucher à ce qui est qui se présenterait le mur du son passé à nos propres données en fait de traits. Car oui, nous sommes qui avons-voulons, cherchons-recherchons, traçons-montons, cueillons-creusons ......... des choses doctes ........ hautes ...... genre : Raisons. Et du coup ........ eh bé oui, on est comme folles ou fous, selon. Bec et trou. on veut toucher à ce dit "mamelon" des Roues ............................................................................................................ lements du Temps ! et tracer lentement puis moins lkentement, le trait du firmament ! haiute époque ! temps devant ! chants et champs ! Une sorte de "Parole d'Avant" qui serait dès lors Haute = devant, la Parole du TEmps, Temps des Chants , Temps tant ! car, oh, peut-être, en effet, le TEmps, le temps traqué, est Temps des Cghants ... de Haute Futaîe ... qui saiot ? Branche haute , bec de trait, parole docte, trait des traits qui sait si en vrai la Parole Haute ne sezrait en vérité pas ce ..... tracé, de fée passée, de fée née, de fée Ronde, passée la porte ? on veut :
dire et sonder,, tpucher et creuser, filer et pousssr, charger et situer (de roche en roche) les données de roche . eT alller, continuer sans désemparer ni trainailler notre chemin de Ronde. Un passé est re-né qui nous attirait ou attendait. Ce passé est un passé post-roche, post-pré , qui nous "reconnaît" en tant que noius sommes "des fées" toutes transformées de la tête aux pieds, en ... bébé docte ! une sorte de bébé post-roche, bébé-fée (on dirait) ou sinon fée, a&ilé ? bébé-ailé ? on ne sait ! ange à moitié ? on cherche ! on s'en enquiert ! on veut tracer du vrai. Creuser = dire = cghanter = finir ! Qui on est sinon Bébé ..... ?. un trait ? trait vif comme tracé (ici ou là) à ma&in levé, par une sorte d'animal traqué ? on veut : dire et dire, sans cesssr, notree dire bébé ! bébé né (à tire d'aile) sur ciel de traîne .... étoilé. On veut creuser = centrer, un dire de trait = une vie ! la mort dépassée. Creuser Vie sur Passé de trait. Cgharges comprises. On a envie (ensemble) de toucher, la base des données acides , et du coup aussi d'en avancer comme acccolées, vers une frise qui serait la frise aux données actives. on est née fée de base sur pré, puis, le mur du son (muret) passé, on a éteé (comme) troute transformée en béb"éé -Frise, bébé-trait, bébé -friche, bébé triat des traits, qui cherche que tu cghezrcheras (de rage ?) à grave téter, boire son lait = manger (comme qui dirait) sans trainer, sans plus lambiner. Téter. Dire. Pousser. Creuser. chercher Néné du dire en Ciel de Trait. Chercher ............... dires comme tous alloués à une sorte de ....... passé, de Terre promise, surprise ! Qui est qui, en ces données vives ? que penser du Rire ? que Chercher ou recherc her ? que dire des doonées du dire ? on veut ..................................................................... touchef toucher toucher à une sorte de "passé vif", qui serait le pa ssé ... du dire tracé, et autres passés -frise aux données actives (vies des vies, sang du sang, sentiments du temps, colères vives). On est née Bébé le muret traversé, mort distancée, et on file (vite !) vers Néné né = ce néné du lait aux données vives et autres données des données. On a grave ensemble envie pour ainsi dire de tracer , vers un Néné, "le Chemin du vide" tel qu'il semblerait qu'il faille (qui sait ?) le tracer vif, une fois passée. ou : une fois le muret ou mur diu son passé. tracer de chez tracer ce dit "chemin actif", du vide"sacré", vers ce Néné acidulé aux données vives, genre ......... Vie, VIe réactivée, VIe des VIes à j amais ttteracée, sur Terre Promise toute retrouvée. On a envie en vrai de l'embrasser , d'embrasserr Néné = téter , téter Lait de tire, laitentier, lait de mère-sourire, rire, vie vive, sainteté de Rive ! On veut :
coller et tracer, charger et donner, poussser et confondre, soulever et fondre, toucher toucher toucher toucher et se poster aux avant-postes sur une montée pour regarder -mirer, n'en rien louper, du spectacle sonore d'une "trajectoire haute" .....sonde ;;; .......................sonde sonore ............................ haute sonde sonore ................................................. On monte. On veut aller
Hautes ! Hautes de cherz hautes, et .............. creuser de chez creuser les traits, d'une sorte d'époque "enlevée", qui serait haute = avancée = postée haut = tout en haut des Mots, mots-bêtes de trot, trot-galop des mots (mots-animaux) tracés au lmamparo, à la lumière-chalumeau d'une (sorte de) Secte Néandertalienne ................... ou plus ancienne même ............................................. femme / homme saintes .................................... un Carré ....................... Secte des sectes au carré ! tracé ! Fée d'herbe devenant Bébé se verrait allouer (à son E^tre) du VErbe ! verbe comme né au passage des Traits .............. une sorte de DOnnée de traits qui nous verrait (de fait) en tant que néandertaliennes / néandertaliens , comme consacrées ... Fées DEs terres, F2es ici allouées à un cimetière ...... avant (devant) l('envolée Certaine, ce trait dsans la lumière ................... traits des traits d'une fée i=mberbe toute ici tracée ...... montant déployée, déployée montant, volant, allant, vers ...... ezlle : la (cette) drôle de Mer D'Elfe ! sorte de Mer de Quarantaine ............................................................. = mer -née, la mort passée .............................. ; la mer-néné ? oN ne sait ! on a envie ensembke de cerner la chose mais ........................ ce n''st pas donné ! ça demande de s'y en vrai coller de chez coller sans jamais flaner ..................... on se doit de bien considérer un Touut Cendré , regarder par en dessoius, dessus et par côté, ce qui est qui est ...................... afibn de bioen c ernertout un ensemble de données de Verbe, données celtes peut-êtte, ou mésopotamiennes ou (autres) mêmes données vieilles. On est née Bébé = le bébé , la mort passée , et nous voilà qui sommes collée à une sorte de .......................... trait ? ........................ trait aimé ? ..................... trait "super" ................ "super aimé" ............................... on veut toucher de chez toucher et ...., de fait, tracer tracer tracer = filer filer filer = traquer traquer traquer = chasssr chassser chassserr, la Bête Vive, COrps entier, Néné ? On est né au Néné (re-né) prête à téter sans discontinuer le bon lait de l'hydre ! filer = tirer = donner = chercher = sonder = pouyssser = creuser , sur terre allouée, une sqorte de (en vrai) ........ trou d'ombre ? t§ombe ? où donc se placer ou pouvoir se placer allongée ........ à jamais ................................ coomme enterrée ......................................................... mais ............/........................................................................ mais ................ sans déconner .............../................................................................................. on renaît ! ............................... vive ........................................................ vive de chez vive ............................ post-pré teracé ..................................................coleée au dit néné de .... l'Hydre ? vrai ? Hydre au débotté qui serait comme à se donner , à se preésenter, à donner son lait, à nous faire téter .... pour le coup à jamais ? On veut : dire de chez dire, aller de chez aller, cerner de chez cerner, une sorte de tracer "ivre" , ivre tracé........ sur pieds ? On veut coller, dire et sonder, pouyssser et vivre, consacrer un dire à une sorte de denrée"acide" qui serait de mise en cette sorte de "remise" aux données lactées, genre Lait des Laits. ON veut creuser = porter =cgharger = comprendre = entendre = sonder = souder = se donner à une sorte de BNéné-Surprise, néné vif au lait actif ! Qui on est ? tra&it ! trait des traits ! Qui on cherche à être ? une sorte de .......... tête ?.........................tête-noeud ? ............................ tête de noeud ? .................................... t^te-voeu ? ............................................... tête à bec ? ..................... à bec ou nez creux ? ./....?..??.?.??............................. bec de Feu ? .................................................................................................................................................. on veut :
dire et donner, coller et faire, chercher et consacrer, poussser et a ller, charger et poster, sonder la colère, poussser de chez poussser , dire de chez dire, consacrer sa vie à cghercher le dire , dire cerné, pouvant sans surpruise octroyer , ooffrir, déposerr, Vérité des Vérités, qui sait ? On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toucher toucher toycher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toycher toucher rtoucher toucher touycher à ce qui est qui nous rezgadre ou nous regarderait de biais le "mur du son" passé, à savcoir : la mort ... dépassée ! comme "archivée" . On est née Bébé prête à téter le bon lait de Mère, aux données de Terre. On veut : creuser = donner, dire = sonder; c harger = soupeser , coller = souder , prendre = comprendre, sentir = ressentir, poster = centrer, porter = déposer , sur muret, un certain nombre de données rupestres, de type "Bêtes" , "Bêtres de trait" et é&utres "Bêtes autoportées" , genre /
RTresses ........ tresses d'herbes ............. tressees toutes allouées à un pré tracé ...... tresseees de données en herbe .......... traiots des tra&its h achurés sur pré celeste" ................... un tracé est un tracé. On est Fée des Fées sur pré alloué à un Passage Éclair à travers la Terre. Vie vive donnée le Mur passé , en tant que fée des fées ainszi "dessinée" à grands traits : bêtes aux herbes ! et de là, de ce pré des prés, treacer de chez tracer vers ce dernier muret aux données du VErbe, creuser de chez creuser , essayer (de fait) de passer du bec = pousssrer, piquer, poussser de chez poussserr et du coup percer et ayant percé , se retrouver de kl'autre côtré, côté ... verbe ? néné-verbe ? à tzéter le verbe = Lait, d'un Néné de Bière. Lait de trait le muret pasdsé ! mer ! mer ! mer cendrée ! mer auréolée ! mer d'époque ancienne .... re-la mer donnée dotée de lumières, clartés, scintillements dorés et autres reflets surnuméraires ! Mer des traits, vagulelettes , vagues portées, chants marins montés, chaudes aiguesz ! On veut toucher = dire = donner = comprendre = sonder = prendre = charger = soulever en transe les données d'offrande = vivres à satiété, chairetés, dons de lait, commandes et autres montagnes de mets. On a envie en vrai de cerner-toucher ce Néné de trait et téter. On veut creuser (ensemble) un tracé, qui serait tracé-treait sd'une sorte de Dessin de Rage ainsi évoqué. On veut toucher à une sorte de ...................... ventre ? ............... an,tre ? ............................................................... ventre-anttre ? .................................................................. néné né le muret passé , comme une (sorte de) ........... entraille-noeud ? ............................................................... feu ? ............................................................................................... on est ... deux ! deux de dieu qui vont par deux au feu téter mieux ! ........................................... téter de chgez téter ce feu des feux de dieu , Lait Des tra&its ! lait des laits d'un Dieu comme donné squr pieds, le Mur (la mort) passé ! olé ! On veut cerner ! creuser creusezrf creuser creuser sans discontinuer tel ou tel "fossé" aux données données e't autres traits de sainteté. toucher = dire = vivre ! Foncer = virer = courir = pistonner en vrai ! Toucher = vivre ( vivoter) c e Vivre ici Accolé à un grand nombre de DOnnées Acides . On veut :
fonder = donner = poussser = cerner = tracer = cxhercher ou rechercher le dire en vrai consacré, à une sorte de "Passé des Passés" tel qu'engendré la mort archivée (mur des Hauts Niveaux). et du coup : creuser creuser creuserf creuser creuser creuser creuser, dire dire dire dire, poussser en vrai un dire Nacré tel que représenté ... en ce mur des fées passé. On estnée Bébé ...... Bébé -Dires........... Bébé né pour dire .......... eh bé ........... le Lait de l'Hydre ! bête à vivres ! Téter = brouter ! ch aerger = porter ! voler = donner ! coller = sonder ! perdre = oublier, de fait, un c ertain nombre vde "données vives" genre vivres , dons des fées, présence lactée, vente à la criée. On voulait de fait, en vrai cerner, un certain nombre de données actives, les comme soupeszer , les tester, les enregistrer = les noter , les porter à vivre, leur doooner de quoi pouvoir (de fait) être relevées ou sinon relevées sondées ! tracer ! filer ! charger ! poiussser ! creuser ! dire et donner le tzracé du dire tel qu'évoqué en pré -néné ......................... On veut grave cerner un grand nombre de données de frise. Qui connaît le Dire ? qui sait ce que Dire est ? qui , en vrai, du Dire, connaît les clartés ? qui Chante Vrai ? qui peut toucher de chez toucher le Dire Sacré .............................. sorte de Donnée Ici Allouée à un Chant de Fée ................................. chant des Fé"es Acides ................................................. qui connaît ces vivres et autres dopnnées auix donnéesz vives ? ....................................... on avance . On en avance. on est ensemble ici postée à essayer de rechercher (de fait) des do nnées pâtentes sur laquelles en vrai pouvoir s'appuyer pour enfin comprendre ce qui est qui, sous nos yeux de "fée-bébé", fée transformée en bébé, semblerait vouloir" peut-être se monttrer , se laissser déchiffrter. On est deux (ailes de feu) qui , en vrai, cherchons haut Le Dire de Trop. car, Dire = Vivre =être Bête ,
Bête-mot. On est sur pied prête, à, là, postparoi des paroios, voir = boire ........... Lait = Vrai ! Et comprendre de fait un ertain nombre de données données, monacales, autocentrées, autocontrôlées, autoaccolées ensemble , une sorte de .... trace-tache, trait des traits , sorte de "passage genrée" (?) on ne sait, qui serait en vrai ............. un passage-gonades ......................... situé ...................... trait des traits à comme relever (de fait) au dit "passage ensemble" tout accolées, comme soudées à une sorte de motif central : bâtonnet ! On veut toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toycher toucher toucher touycher touycher toucher toycher toycher touchefr topucher toucher toucher toycher toycher toucher trouycher toucher touycher toycher tocher touycher toucher à ce qui est qui seprésenretrait ... sous nos yeux touchés ! on veut creuserr = dsonner = centrer et de fait cerner les données de ftranse (transe de fée) sur Passé de France ... comme qui dirait.
On veut aller ensemble à la recherche de données qui, toutes ensembkle rassemblées, pourraient grave nous guider (sérieuseme,nt) vers une destinée , un chemin tracé, qaui serait pour le coup "aidant". Car nous, on est nées en vrai poiur rechercher post-pré tout un tas de choses à creuser, à essayer de déchiffrer sans se casssr le nez ... mais tout de même ! On veut toucher à une "forme de vérité" du Verbe en herbe, trouver c'est creuser, et creuser c'est cerner ! on cherche un trait par où ensembvle nous (de préférence) immiscer, et du cfoup traverser, passsr, se faufiler afin de (pour le coup) pouvoir "ensemble" nous trouver comme située de l'Autre Côté des données murales pariétales, à savoir ...... là-bas : le NOuveau Sabbah ! re-nouveau des tas ! On entre. On entrte en transe ensemble , on y va ! On se rassemble = on fait corps. On est ensemble un corps ! corps d'or ! On veut ensemble recevoir ... la nourriture franche = trait de lait, lait acidulé, lait de trait , et du coup téter. On est Fée -Bébé, ou disons : fée au passage devenue bébé, re-bvébé d'or, tétant fort. On est la Fée raccord. Charge haute sur Montagne Haute. Montagne du Port. On veut :
dire de chez dire un dire
faire de chez faire un faire
creuser ivre les données du dire , et y aller = foncer ! charger ! tracer ! porter ! coller ! cerner ! centrer ! centrer grave les dooonées et essayer ensemble de toucher à ce qui seprésente en termes de néné ici alloué à une Vérité C-entrée, de type .... entrailles ? viscosités des viscosités .... d'entrailles de Bête traquée ? On ne sait ce qui est ! on cherche en vrai assidument, sans ceese, les données du Verbe, ce qui est en vréi qui (de fait) nous intéresse ou grave pourrait, comme un fait exprès, nous intéresssrr sans nous importuner loe moins du monde une seconde . Toucher ! dire et aller ! creuserà la ronde ! porter de chez porter la Parole Haute comme auto-centrée vers une sorte de ................. "muretrtrte sonore" , "murette sonore haute" , "murette des données sonores hautes" . Un trait = une porte. On monte ! On veut de fait aller ensemble ainsi accolées (ailes / trait) vers une sorte de tracé, "tracé du dimancghe", un tracé dxe FRance, Trait des tRais ... de Rage Allouée ... à une langue ! france = Langfue = Trait = Centre = Ventrte ! traits noués ! ventre nooué du fait qu'en vrai ...... le centre est comme sondé ...... ventre-centre du français "parlé" ..... antrte donné ................. traits des trais centrés en ce terrier ........... d'un ventre sondé ! antre au pied levé se voit sondsé par une sqorte de Traqueuse-née, Fée des Fées donnée, cherchant Vérité = Déité = Donnée = Divinioté des DIvinités ... "antrales" (ventreales ?)! On veut :
dire, donner, souder, creuser, charger, forcer, tracer; poussser, allouer à , porter, consacrer à Soi un passé de traits (traites sages = lait de fée-vache) et coller, coller de près, à une qsorte de .................. mansarde ......... habitacle .............. où pouvoir séjourner afin d'étudier (de base) les données du tréit tel qu'il nous p apparaîot ou nous apparaiotrait le mur du son passé, soiot "après" ........ après le pré paradisiaque, après l'herbe sacrée = Verbe, vers ........ Néné ? il semblerait ! un néné de lait .................. laéit-verbe alloué .......... verbe-navette ! on veut toucher toucher toucher touycher toucher toucher topucher toucher toucher toucher à ce verbe -navette icfi évoqué et qui wserait le Verbe des Données en Herbe, herbe de pré, faisant comme (en quelque sorte) jonction nette, entre d'un côté le Passé, le Passé des traits , et de l'autre .... eh bien, le Passé, le Passé re-né, re-tracé, re-montré, re-venu des trous, des trous rouges ! passé-trait des creux traqués ! On est la fée-bébé , charge -née sur une sorte de "tracé ancré" post-cimetièfre, au-delà du pré. Au-delà du pré , il y &urait ............./............................ eh bé, en vrai ................................ du Verbe , mais ........ genre Verbe de TRa&it ................. Verbe Altier ................. verbe de trait donnant de fait son ëtre de traîne .............................. = une coulé ................................ coulure aimée ............................ mouillure ........................ lait né des laits, des laits de terre ........................... l&it de mère ! ................... on aime ! On est charmée ! ............................... on voulait grave téter eh bé vpoilà que, ça y est, on peut de fait faire ce qu'on éime, s'en donner, boire du laéit = sonder, en vraéi, le corps de mère, son passé nacré, le Verbe porté, les données du VErbe ici consacré et comme adoubé par une mère du coup nourricière , mamelles , seins de fée, chaudes aigues, lait de trait, lait -né dès que tiré ! on aime ! on aime le lait, la bière, les données tracées, le post-cimetière et ce qui est de fait qui nous semble ici nous rezluquer comme "à jamais" on dirait. On aime aller tout près téter . téter d'un tréit ! gloup, la bière ! on v eut : creuser de chez creuser, aaller de chez aller vers ici ce néné, ou néné des termes , ter:mes alloués à une sorte de Donnée dont le nom (de fait) est Verbe , VErbe des Divinités / Déessses, Verbe de trait = Lait = Lait céleste = Déité lactée et autres D2ités aux dsonhées célestes (célébrités) : on aime ! On veut creuser de chez creuser les données célestes, le tracé tracé, l-a Scène, un Piquet de Grève, le Passé chargé, les données Ancienbes mésopotamienhes et même plus lointaines : traits, traits, traits, teaits , teaits , traits , teaits , tréirts des tr&its de bonne couvée et autres tré&its de REIne, car la Mort est REine , mort Haute aux tra&its de Fée , qui sait ? on est née Fée puis devenue Bébé on ne s'arrête plus (plus jamais) de Téter, de Téter Déesse, Mort-Mort des Coulées de Tresse , Tresse de Lait ! traitsb! traiots de lait sortant d'un corps dit "de Haute Mort". mort-Hole, MOrt-Manne, mort Haute- Manne aux Traits donnés. Chose. Porte. Hauite POrte. Porte Haute par où passerr si on veut
"durer de chez durer" en tant que Bébé sachant téter le bon lait de Mère, Mort-mère traquée ? mort-mère allouée à une sorte de Contrée post-herbe = post-pré = post-cimetière. Au-delà des herbesz, herbes vertes, au-delà des tréits d'herbe et autres tréits en herbe de paroi . On a la Foi . On est Bébé -Roi (?) ou pas, mais là ! prête à ça = boire ! boire La Voix ......L...................................................................................... elle .................................... a-ile ? ............................................................................................ on aime ! On s'ewst rapprochée d'un muret à la recherche d'u ne entrée patr où pouvoir paqssszr. C'sest v rai que nous on voulait s ans cesse trouver en vrai une sorte de passage)-né par où "ensemble" (ailes de fée) on aurait pu passer sans se blessser, sans peiner. On cherchéit sur roche ici ou là ledit tracé ou voie d'abord par où, d'un commun accord, on aurait pu en vrai teraverser la roche, d'une sorte de bond raccord, de bond ou saut raccford, et hop ! on ose ! on monte ! on trace ! on cherche , on veut savoir. On est haute, Sorte de ..................................................... Chose : ..................................................................................... corps de mort ? ............. morte ? ................................................... ou &lors :sorte (en soi) de ................... "renouveau" ..................................... dans le sens ici de "mot nouveau" sur Passé de porte. On monte. On ose ! On creuse ! on veut (en vrai) tenter , et du coup s'av ancer, eau plus haut possible, vers Néné qui est (en vrai) ce Néné de piste, Néné-trait de Rive, à pouvoir-devoir (ici) téter, sans ... ne plus s'en soucier en vrai, une fois placée ! On aime téter ! on veut de chez veut, ensembkle, téter ! toucher touycher toucher toycher toucher toucher toycher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toycher toucher toucher à ce néné desw "dsonnées divines" = du lait ! lait nacré de première coulée ! lait né ainsi nacré / cendré , pour être av alé ! Lait de Trait-né, charge de féu, son de clocxhe au mieux, Ombre Haute. On veut toucxher à c e qui est ici qui, en vérité, sembleraiot vou:loiur grave nous parler,s' aderessser à nous qui voulons tout, à savoir .... du lait ! car, le lait)-né ainsi tiré ou trait, est un Tout ... doux, Tout (de trait) qui peut sans faute alimenter
Bébé en entier lza plupart du temps. On est né Bébé la mort traversée et laissée de côté, c'est-àdire qu'on renaît, on revient à une sorte de Parole-Forme, Forme-Trait, trait-Forme ou Parole Haute en forme de TRait, Trait tracé acté sur ROcher. On revient = on remonte, on rededevient, on raccrtoche ou non ....... on se raccroche .......... on reprend "du galonn" ..... hop ! haute porte des noms, on monte, spigolon de pôrte, vers, ici, ............... le Son, ................... Son de cloche ou ..... "même son de clochev"........... ton sur ton ..................... "parole parole" ................... Chanson Haute ..........................mont de Bosse et hop, la Chanson , l'air du fond, fond de l'air donné une fois passé, vers ............... le Passé tracé ............................ comme "apporté" via le lait donné ! ça le fait ou le ferait, qui sait ? Qui en vrai sa&it ce qui est ici qui nous apparaitrait une fois "clampsée" ? qyui coonnait la Roche .... de fond en comble ? qui sait naviguer ( en vrai) en cette sorte de ...... Passé de ROche -Porte, porte passée. Qui co nnaît kles rudiments de l'Ombre ? le Passé outré ? la Roche montrée ? le corps assommé ? l'orme ? Qui sait (sur traits) ce qui est qui (de fait) poussseraiot , s'élèverait, germerait , et saurait à nouveau comme nous ...... enfanter ? On chercghe la Fée ! On ne veut pas du tout sombrer, on veut pouvoir durer, tracer en vrai,poussser jusqu'aux nénés au lait, pour (du coup) aller ainsi vers ledit Laiot d'e,nvie ! et du coup avaler ! boire le lait = se donner à , il semblerait, une sqorte de Néné né la mort passée ! Néné né kla mort actée, comme archivée, entérinée, passdée, dépassée. On veut de fait ........ creuser creuser creusqer creuser à cette sorte de Donnée de Rocxhe ! = Passé-Porte ! porte haute d'un pAssévde Roche .......................... on monte ! ...............................................................................................................................................On est passée de fait de l'Autre Côté à la recherche du Passé, on l'a peut-être, au bout du compte, trouvé, il s'appellezrait : Lait, lait de ROche. on a peut-^$etre "compris" des choses, concernant la mort. Qi-u'est-ce qu'on a compris ? une chose haute, porte haute, trou de Roue, base haute d'une sorte en soi de "trou -roue" par où (de fait) passer ............. bout de son nez né (ou re-né) ! il semblerait. On est née Chelou la Mort Actée, c'est vrai ! On veut :
toucher de chez toucher
poussser de chez pousssrr
creuser de chez creuser
essayer de cerner les données prégnantes et &ller "en bande" à la recherche de Passés de base, Passés denses, Passés de france du fait que voilà, notre langue est de là, et, par conséqueznt, semble ici être à ....... nouys attendre ? ou, sinon attendrte , .........................approcher ? On est Bébé (devenue bébé) une fois mort(e) et enterré(e) on dirait. On se dirait qu'en vrai, une fois l'homme mort et enterré, la Fée des Fées r"remonte" haute ! sort du "trait" et, chose, comment, monte, monte haute, laissant derrière elle "les tourments", toutes ces choses des tourments, elle ose-monte ! Elle sort de l'Ombre ! hop ! homme -corps est mort et pourrit dans l'ombre. fée des traits monte et sort et creuse et file et va et cxharge samba ! tralala! danse-transe ! face ! fonce ! trace danse ! transe des voix ! ça balance ! ça balance grave ! voie des voix de l'au-delà ! On est la Fée né ... sur pré la mort passée, on traverse le pré, le pré aux herbes, et , le pré traversé , ainsi "tracé", on vient "buter", "buter contre" .........../........ le néné ! sein lacté ! chose chaude ! du lait ! comme ws'il en pissait ! jet ! jet dru du lait cru ! ça le fait ! c'est pour nous aider ! On veut grave avaler , téter, aspirer, boire le lait on dira le plus frais du néné donné. vue sur le passé . c''st un fait à présent (maintenant) avéré ....... ce dit "trait de lait" ainsi siphonné ! On veut toucher rtoucher touycher toucher toucher toucher toucher, à ce dit néné des données données ! traits très ma rqués , ancfiennetés, ancestralités des données tracées sur piquet de trait ! on veut monter. On veut creuserr. On veut aller hautes, vers ...... la porte , ce tracé de porte ou d'une porte-née tout en haut des hauts. On veut toucher de chez toucher la roche-Chose, Passé-né, POrte Haute, POst-pré de roche, une sorte de donnée de Roche a&insi Sondée via ............... ce tr acé donné, genre Lait de Tréit. On voit tout ça, on monte, on veut savoir les choses d'une sorte de ................................................... voie d'abord haute, ............................................................ porte des portes , ............................................................................................ haute porte des deonnées de roche .......... de Mort-Haute ............................. mort ultime, mort des fins de friche, Mort Maritime .................................................... don .................................... don du front ....................................................................................... un don ................................... don des dons dondaines .................... chanson .................. haute chanson , dondaine du front .......................................................................... pompom .................................................................................................... attrapper pompom ........................... hop .................................................................... don des dons-pompoms de la plus haute époque, genre : le fond ! ............................................................................. on monte ton sur tobn ..................................................alluvions ...................................moisson ............................................................................................................................................... toucher topucher touycher topuycxher toycher toycher toycher topyucher toycher touycher topycher touycher touycher toycher trouycher touycher toucher toycher toycher touycher touycher touycher toucher toucher toycher tyoycher toycher à ce qui donc ici en vrai nous appararît comme pouvant nous informer sur ce qui est la mort passée, à savoirt : le fond ! fond des fonds du Pont !chose haute des données profondes . on est :
fée puis bébé sachant téter le lé&it des Hautes Portes. On veut toucher à e qui est qui, en vrai, nhous mate grave, ne cesse de nous mirer, nous regarde de face et de côté, de tous les côptés sans cessser, sans jamais nous lâcher la moindre seconde ! on se sent épiée ! on se sent surveillée grave ! on a envie de l'envoyer bouler , = de le rejeter, de le laissser tomber ou de le faire taire ! on veut tracer sans se gêner ni être gênée ! on ne veut pas d'un Magister nous guettant sans fin , ni d'un Ministère des Vues-de-près, mais se wsentir ou nhous sentir comme qui dirait "ailée" , sansêtre plus que ça importunée (de préférence). On veut en avancer ""ensemble" ... "dans le français ", en cette langue ici donnée à notre naiosszance, langue de trait qui est donc kle françaéis, et nous dès lors, dès lors que ... cvoilà, on est née fée comme à la retombée sur paroi de roche, on cherche à cerner (sans traîner) ce que pareille "langue de poche" contiendrait en termes de "données profondes" ou de "donné"es donées profondes" ainsi explorées en cette roche attribuée. On veut toucgher à une Vérité de Roche.. ON est d'uxx ! On est deux en Roche en creux. On est les deux qui , en roche, en creux ou comme en creux, veulent sérieusement et vaillamment, toucher de chez toucher à ce dit "secret" qui serait lové ou comme lové en (ici) ce creux, dx'une donnée de porte, donnée forte et haute, traits animaliers = mots de roche centrés , ou mots centréewss de roche, mots -ombre. On est
Fée, qui cgherche Sorte de ................................. traits alloués à un mot en entier , et ce mot est ............................................ ART ? .................... de part en part ? ..................................................... art-mort ? ..................... .............................................................................................................. on ne sait ! ......................................../.... on monte hautes vers, en vrai, ce néné des ombres , afin de oui, aller grave chercher à (de fait) téter de chez téterr ce ...... corps de lait .......... corps d'or ! lait de mort ? ............................................ on veut toucher toucher toucher à c e dit "corps de lait" qui serait .............. le corps de la mort ? de la mort passée ? du passé mort ? du passé mort qui seréiot comme réactivé du fait de la tétee? car, le bébé tétant, le lmait de fait se met à gicler ! c'est , en vrai, pour ainsi dire, le bébé .... quyi fait que la téteée est ! car, si bébé ne peut pas téter, le laéit n''st pas produit en vrai ! il reste à quai ! et du coup ...................................................... la vie .................. ne peut pas re _ venir ici, se re-donner de fait, re-dire son fait, redire les traiots, re-verbaliser .... le Rire , etc. On veut toucher = on veut tracer = on veut creuser = on veut dire ! Dire et rire, les données du ....... vide ? vide parfait ?OOn est ............................ ivres ! Ivres de Rires ! On est les fées ivres, d(un Rire des Rires ! On veut creuser ............................................... ccreuser = jongler = jouer = pousser = aller = centrer = fermer = allouer à une Sommité (l'Hydre) les Données du Rire (du vide parfait ?) il semblerait. On veut toucher à ce qui est qui ici serait ....... du Vide -Rire parfait = le Néné du lait ! trait des traits acidulés ! on veut téter gtéter téter téter téter téter téter téter té&ter gétyezr téter téter téter téter téter à ce néné-né des données du Vide, Vide à lait ! et creuser creuser creuser creuser "sans rire" so n propre tracé, de vie ici post-pré, à la recherche de la vérité , soit de la vérité lactée ! néné né en vie la mort archivée, comme entérinée. Vie nouvelle autoproclamée comme qui dirait, dsu fait que ....... voilà, on est là ! on entre ! on passe un membre, l'autre, tête et corps entier, on monte ! on est née ! née divinisée comme qui dirait = bébé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bébé post-pré !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bébé des bébés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut toucher de chez toucher néné !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! téter de chez téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! cerner de chez cerner !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! évoquer ... ce néné du lait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! traits, traits, traits, traits !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut creuser de chez creuser ce qui ici est qui se montreraiot sans traîner = ce néné post-pré = ............... mort allouée ! mort tracée ? mort donnée ainsi transformée en une sorte de ... Don de Vie VRaie, rejouée ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toycher toucher rtoycxher rtoucher toucher, à ce dit "néné post-pré" relevant de la vie "rejouée" par la mort meurtrie ! mort de la moprt !
mort en vrai de la mort des prés !
mort de fait de la mort "cendrée"
mort en vréi de Mort-Mort accolée à une sorte de denrée = le lait , lait à profusion pouvant en vrai nous apporter ............. le son ! la clarté d'un son ! musicalité et tracé de fée .................... chanson .............. chansonnette de rondes et autres sons de cloches ! traits tirés ! salubrités ! chants de porte ! sons de roche et autres musiqaues d'approche, d'approche hauvte. oN veut creuser (ensemble) la chose et du coup cerner (au plus près) les données qui ici s'oofrriraient à une sorte de compréhension ... sonore, genre : "rondes", "rondes enfantines et autres comp)tines". On cvompte ! hop, on saute ! le tour est joué ! on veut pouvoir sauter, de roche en roche, sans se blessser, sans y rester, sans faire (aussi ... non plus ?) de simagrées ! On est /................................
re-née ! ............................................................. re-née de fait ........................ comptons ! chantons ! jouons ! allons ! ..................... pistonnons sur roche à la recherche d'une sorte, ici, ............................. de son ! son de roche ! musique de porte ! le tracé sacré est sorte de "tracé sonore" on dirait : muysiqaue des fées ? musique haute ? musique au taquet des données profondes ? on veut trouver ensemble les données, données hautes en musivcalité profonde ! est-ce qu'on pourrait (en vrai) ensemble s'asocier afin de dénicher .......... le trait sonore ! la corde ! trait de corde trezssée ! sonorités raccord, et accvordées, ou comme accordées-raccordées, à une sorte de tracé de porte = p)assage de fée, vers ................. bébé, sachant crier sa faim tenace , son envie de lait ! famine - fermeté ! On veut toucher toucxher toucher tpoucher toucher touycher toycher rtouycher toucher touycher toucher toycher touycher toucher toucxher rtoucher touycher toycher toucher touycher toucher trouycher toucher à ce néné des données profondes post- ombre. On veut en vrai toucher rtoucher touycher toucher touycher toycher touycher toycher toycher toycher rtoucher toycher toucher à ce qui est qui, pour le coup, se montrearait ainsi comme une sorte de "denr"ée haute"............ lait de porte ! lait haut des hauts niveaux ! laitde roche Haute, trait de lait sucré sur POrte Sauvée ! corde ! corde -roche ! cvorde sur ciel-de-roche ! Haute époque , on monte ! on ose ! on creuse ! on est
Sorte de Tracé de Roche sur Passé de trait ...................................................................................... on reg arde ici ce qui est qui, en vréi, semble vouloir (sans traîner) se présenter, décliner son identité et nous parler (de fait) du pays des TRaits et autres Tracés Accentués = Sonorités des Données Vraieszc = chants des Traits ....... ou chants de trait et autres Chants de Bêtes Alloués ... à une sorte de Passé (comme "sillonné"). On regharde, on mate, on se place (ainsi) ici , de telle sorte que, pour insi dire, on veut ça : vivre = revivre ! vivre la Voix ! vivre ensemble ! sourire ! On a envie de pour le coup se retrouver non pas ou plus sur les genoux mais comme "toutes remontées", reboostées , redéployéez, du fait ..... eh bé oui, de ce lait donné, une fois mort et enterré, une fois (en soi) l'homme mort-enterré archivé, place à la fée, fée ailée, sachant voler jusqu'aà ce néné dit "des traits tirés" ..... plein de lait dit "ravigorant" ! etnous voilà dès lors re-née = bébé ou re-bébé ! re-le bébé né ! re-né des tracés sur pieds ! on aime le lait ! onre-naît vrai (en vrai) celle qu'on était avant d'avoir, pour le coup, succombée au présent : cou / caillou / genou / hibou, dans le temps. On revient (ou redevient) Verte ! vert pré ! pré acidulé ! genre : teracé à main levée sur rocxhe cachée ...... fonds des oùmbres, Hautes Ombres des Parois Ornées ............... piorte haute ) d'entrée , vers ce ...................................... néné-né ////////.............. lait de roche ou des rochers ................ lait acidulé des roches gravées ........................ traots de fée .......................................... traits de bêtes de trait .................................................... big bisons ............................... un bison est né, son nom est marqué sur roche des Fées : spigolon, petit patapôn, ombre, sorte d'ombre, ombre des données de roche. Nom tracé = traiots de fée. On monte. M%ontons ! Allons ! touchons à X données "rondes" , de type ........................ néné-né la mort passée ................. lait des laits ................... on ne peut plus s'en passr, on veut grave toucher, toucher de chez toucher, à ce " néné du bout de Roche" .................. anfractuosité profonde. on est la Fée des Roches devenue Bénbé, la POrte (haute) enfin passée ................................... on mùonte haute sur Haut Rocher des Données de Porte ........................ en cohorte !!!!! Haute Époque aux bêtes de roche : bouquetins saints et &autres bouquetines fluides ! le passé ! passé de trait ! on veut compter avant de jouer ! et du cdoup .............. filer filer filer vers ce dit "néné" de la haute époque des temps reculés (très! ) . On ose aller. On ose grave rechercher, ici ou là, les sorte decv"messages-traces" qui, pour ainsi dire, seraient comme posés, à la une à la deux, sur des rochers et augtres sortes de parois "du feu de dieu" à notre (il wsemblerait) adresse ou attention, du fait qu'en effet, les tréitst tracés (bêtes à bon dieu) nous plaisent / intéressent / captivent sans cesse : on aime ! On aime grave les données fermes, données hautes et profondesq. On cherche enwsembkle depuis des années à y comprendre un tantinet en ces choses de roche et autres types de rochers orns$és , soit : qui on est ? à qui on ressemblerait, qau'est-ce que c'est que cette Rocghe Haute ? qui on est en ces quaertiers de Roche Ornée ? est-ce qu'on est "de porte" ? sommes-bnous "bêtes de Somme" ? somme comme ........ une somme ? un SOmme ? somme-sommeil des données ancrées ainsi engoncées ? On veut tracer = on veut creuser. Ce vqu'on est = une donnée ! Ce qu"'on veiut ou voudrait relever (et cerner) = un tracé de traits genre Vérité, sur ................. MORT_OMBRE, MORT-DE -PORTE, MORT-HAUTE et autres ROCHES -NÉES sur terre allouée à pareille advenue gravée, traéits des traits. On est née ......... au Passé dit "de roche ornée". On est comme née ........ sans arrêts ! = re-née à perpétuité : nue / connue ! Nue / vue ! nue / bue ! On odse ! on est haute ! On est de La plus Haute Branche Accorte ! genre :
Malebranche ? branche dx'Ambre ? Ambre d'arbre ? Mâche ? mâche )-d'herbe en branche ? On est le
a Fée des données de base ainsi transvasées ;;;; ............................ en ces qu artiers ! quartiers "denses" aux données intenses. On veut toucher de chez toucher, cerner de chez cerner, aller de chez aller, creuser de chez creuser, pousser de chez pousser, centrer ainsi le Féait Vrai en cette sqorte de Paroi de base, Paroi Roide, à devoir passserr = traverser "ensemble" = ailée ! de préférence ailée, car .............. le Passé en souffrance a (aurait) droit de cité, devrait êttre noté, diffusé, tracé, qui nous (en nous) remonterait de base ......................... et nous requinquerait ............. et (aussi) nous aiderait à ainsi aller ,sans trop tituber ou même merdouiller ................... et du coup tracer ! vers ............. hé hé ................ le Passé "français" ! une la ngue "donnée" = "inculquée", jusqu'aux nénés de lait (emplidelait sucré ! ) . trait ;
TRAIT DES TRAÉITS ! TRAITS ACIDULÉS ! TRAITS DE SAINTETÉ ! CHARGE ALLOUÉE À UNE SORTE DE NÉNÉ COMME UN FAIT EXPRÈS = LAIT , DU LAIT, UN BON PEU DE LAIT, LAIT DE TRAIT POST -PRÉ , A FOISON, BONNE DIFFUSION, MAMÀ MONTÒN ! MONTAGNE DE TRAITS = PLUIE DE LAIT ! S ACHONS TÉTER LE LAIT DE TRAIT ! OSONS ! TÉTONS TÉTON ! SOYOPNS ............. CE DIT "BÉBÉ DE TRAIT" , BÉBÉ-SOMME OU DE SOMME ! ENVOLÉ ! HAU T VOL SUR UN PASSÉ ... DE ROCHE ORNÉE ! CREUSONS ....................................................................... la nécropole des passions (du passé rond) ...................................................................... osons de chez osons tracer ............... pareilles maisons ......................... nécropolisons, le passé re-né ! ...................... en maisons de traéits : maison une, le Pasdsé. Maison deux : les traits. Maison trois : le bébé . Maison quatre : le lait ! M aison cinq : la vie rêvée. Maison six : une sorte de maisonnée pour les jours passés tout enchevêtrés , genre
.......... tente ? Maison sept : ombres portées. Maison huit : ........................................................................................................................................................................ vitalités et autres vituperations aux actions hautes et autres liveraisons de roche ! maison neuf et dernière : le Nom ! nom de scène en herbe, nom des Noms de Roche et autreez noms de bêtes zaltières ! traits de fée sur paroi-colère . On aime ! On veut aller, dire, creuser, chercher, conduire (ici ou là) le dire en ses quartierts et aussi sec les afficher afin que oui, un jour ou l'autre, on puyiisse re-lire ce qui (en vérité) était,, en termes de ouï-dires et autres paroles
lâchées sur pré, prairie fine, champs de blé. On compte, comptines ! on est filles, vrilles, fée des prés ! danses allouées à une sorte de famille ! sainte famille ! traits des traits sur ................. le Passé Nacré ! ancré ? vif ! On veut cerner, ledit vif passé aux allures de Frai ! chair vive ! unee frise ................................. bêtes vives ......................... (en crise) .................. pissent ! pissent que tu pissseras , et puis s'en va ! là ! toucher rtoucher toucher , herbe sacrée = brouter ! dire ^-brouter, aller-monter, faire-caguer, donner-allouer, cerner-saisir, finir et passer = passerr et finir, et du coup ............................. traverserr ........................................... vers ledit pass é ... aux cerises ! Frise ! bhêtes ivres ! bêtes de trait ivres sur muret du pré ! On est née fée en ce champ de blé ! on veut aller (ou on voudrait aller) de l'autre côté, subjuguée ! saoulée ! ivre de traits ! afin cde (pour le coup) trouver à enfin téter, d'un tréit, le lait chelou ! chelou ?
7/3/2024
Onn est ensemble . On veut ensemble essayer de comprendre les données de base. ce qui est et ce qui va. Ce qui se trame etce qui là-bas nous regarde "à toi à moi" sans faire de vagues. On est là ! Là de base pour ça : entrer , toucher, cerner, s'accoler (de rage !) sur piquet, faire ainsi que ce qui nous regarde soit comme "saisi" par notre sorte de Tracé Fini ! charge ! passe d'arme ! On veut grave tracer de chez tracer nos larmes ou ... comment
on pourraiit dire, ici, qui le fasse ? "larmes de Vie" ? On est bénies ! On veut :
dire ce qui est
charger le mulet
tracer de chez tracer
comprendre ensemble les données ... d'une Parade, Parade de Charme, Croisade ! portée large ! des bêtes cendérées sont tra cées comme à main levée tandis q'on passe ..... sur paroi des rages ...... nos ailes courbées comme qui dirait. On est là Face à face face à Dame-Roi / Reine-Sir de s envies tracées. On veut :
dire de chez dire
pousser de chez pousser
passer (ensemble) muscade et hop, le Passév "est né" il semblerait, qui nous donne ses nénés tout ^lein de lait ! on peut rêver ! On est nées fées sur pré nous voilà bgébév ! bgébé ! bébé ! et , de fait, en tant que bébé nouvellement constitué , on s'approche traquet -traquet dudit néné répertorié et qu'est-ce qu'on fait ? on tète tête eznfoncée ! On ne s'arrête plus de téter ! on aime ! ah ce qu'on aime en vrai le lait de mère ! ça le fait ! c'est frais ! acidulé ! on dirait ... de l'herbe ! herbe post-pré, qyui serait du coup (pour nous) une sorte d'atout de première : cou caillou genou et c'rst le terme tel que oui, on voit, on cerne dde fait, terme-né après le pré = bébé ! un bébé est né qui nvitupère ! Il crie sans cesse ! il feut téter ! il ne peut plus patienter ! il veut :
toucher toucher toucher à ce néné post-cimetière : les donnéesv ! les donnnées ! les données ! les données de lait .... et tout ce qui y est accolé , comme :
le Passé, Les Traits des Traits, les Choses Soulefgvées, Le Passé Tracé, les attentes de Tracés tracés. On veut coller, dire et donner, poussserr, charger, se donner et aussi perler ! creuser de chez creuser en termes de données toutesallouées à un passé ici consacré : squi on est = qui on était ! et le tour est joué . On n veut dire dire dire, ce qyi ici se dessine ou se dessinerait de fait = l'hydre. tete avide. qui est qui ? qui chante ? qui rentre en transe et danse et gigote et va ? qui de là ? on entre = on passe = on trace ! on ne lambibne pas, Sacha ! On est donc parties pour ....... descendre ensemble, le Pavé des Lois , la Rue Tremble, PLace Centrale et, là-bas ......... l'Antre Roi, Porte Haute des Voix, une sorte de cohorte et nous voilà toutes accortes , prêtes à ça : entrer là, ailes à soi , sur roche ! On veut :
direc et donner, porter néné à son point d'acmé et téter , téter sans discontinuer : boire du lait de Fée ? qui sait ? on est nous-mêmes fées alors dès lors, que pensezr ? que voir ? que dire qui en vrai dise la vérité dite "des vérités" ? On ne sait de fait. on est née Bébé le muret enfin traversé, le dernier,. On veut toucher à ce Néné du bout du monde, et du coup "centrer" la Chose qui (ici) nous importe :pioint d'entrée = porte = porte haute = haute porte des données "fortes". On est née Bébé ! babyphone ! On veut gueuler de chez gueuler notre envie de lait à tout cassrr ! On ne veut pas passer à côté ! On veut téter le bon lait de l'hydre, de l'hydre Allouée à une ... sorte d'Usine ?? d'usine grise ? usine à sortes de (qui sait ?) produits laitiers ? ou quoi ou qu'est-ce ? IUne sorte de maison vide ? On est entrée ! on a voulu toucher Néné et on y est arrivé on dirait ! On veut coller coller coller collerf et du coup tracer de chez tracer le trait , qui est THE Trait, trait de Fée ! On veut coller à ce Néné d'usine : le téter ! téter l'hydre ! Lait de trait ! miam avaler , et du cfoup .... on serait commev re-née de fait, à une vie nouvellement tracée ......................... dans le passé ? on voudrait grave en avancer et en vrai comprendre, une fois pour toutes (comme qui dirait) les données d'un Tout qui nous attendrait dans la nuit aux Traits ! traits d'ombres ! On monte ! On est nées fée sur pré et nous voilà re-née, post-pré , dans la nuit profonde d'une .... tombe ? tombe à Gnou ? tombe haute ? à genoux les gnous ? On monte ! On veut ....... eh bé oui, creuser de chez creuser (post-rotonde) le Passé , Passé né post-pré, la mort passée. Car, la mort fait long feu qui naît puis cède, et léisse de fait, devant nos yeux, le Passé renaître ! tracé ! être alloué à une siorte de .... bête Vraieb....... genre .......... buflette ? ;;;;;;;;;;...... On cherche ! on ne sait en vrai la bête que c'est, mais voilà, il s'agit d'une bête, à présent on le sait. On est bête (ou bvien bpête) mais quanfd même, on sait, eh bé ... un certain nombre de choses allouées ... à une sorte de fenêtrte .... donnant (de fait) sur ......... Le passé de l'ÊTRE , Passé des Passés. On veut connaître ce Passé de près, ce qu'il tra^ine, ce qu'il porte à son faîte, ce qu'il est, cequ'il charrie (en vrai) en lui. On veut :
dire et prendre, porter à incandescence, allouer à une gente les données tracées, gente animale dite "pariétale". On ne veut plus s'en laisssr conter mais prendre à bras le corps comme qui dirait ..... ce Passé des TRaits ! Lait ! lait ... animalierrr ? ça se pourrait ! lait de vache des prés ? qui sait ? ou alors .... lait entier de Mère amère ? On cherche ! on veut : creuser de chrez creuser les différents termes d'une contrée de type post-muret , post-cimetière, post traîinées sur herbe et autres virevoltes aiutocentrées de fée accorte . Toucher = faire = dire = cgharger, et à présent .... comment ? aller de chez aller (post-cimetière) en direction de ces données de Tertre ! Les Données ! la perle ! le Passé est né qui nous observe ou nous observerait sans traîner ! il nous "aime " ou nous "aimezraoit" , qui sait ? On veut creuser" les termesz, on voudrait (de fait) les creuser ......... sous terre ?? on veut :
dire de chez dire
toucher de chez toucher
creuser le dire alloué à une Sorte de Passé "Splendide", de type "Donnée Acide" = le Passé ! passé ... vide ? une ... usine ? usine du Vide ? On veut :
dire, aller, creuser oui, creuser vif = vive !toucher Néné ! téter de chez téter ....... ce vide ? vide à lait ? on veut ..................................................... cerner de chez cerner une sorte de donnée active et de fait "l'artrraopper" et s'en "gargariser" sans se faire plus que ça suer ! car voilà, on aime ! on aime le laiot ! on aime ça ! on veut làb (post pré) téter ça ! ne plus s'en passsr ........ de ce passé de Soi comme qui dirait ! On est là pourt téter pour ainsi dire à ce bon lait d'un "entre-soi" cfomme "remonté". Qui on est ? on est ............... des données ? ............. des sortes de données de Choix ? ................. poids ? on serait des POids = Buffles-tas ? On voit ça ....... la plaine .......... horizon là-bas = Foioe ! foie de bête ! On croit à ça , à ce qu'on voit, à ce convoi de bêtes-êtresz dites "de la foi en l'Être " ..... mafoi. On veut ;... oh, peut-êttre, être ? Et , de là, devenir ... bête nous-même ? On voit Convoi, on avance, on charge, on monte, on cherche, on est devenues Ombre , ombre desOmnbres ? On veut :
`pousssrr de chez poussrr en nombre, aller de chez aller en nombre, creuser de chez creuser en nombre ..... nombre d'ombres , d'ombres-hommres , homme-ombre ! traits ! traits nés sur un tracé de terre ! On veut :
creuser, dire, pousserr, chargher, aller , faire ainsi que cette contrée devant nous alloué e à une sorte de Passé soit enfin ... v raie, qui nous aiderait à nous y reconnaîtrte et du coup, à en avancer, en ces contrées post-cimetière, post-allée de bière, Tertre, Teretre aux données données et autres faits post-herbe . Le pasdé est passé de tertre ... tertre du Pasdsé. On aime ! on demande Elle , Elle en v rai = V2rité Tracée ......................... on veut toucher = la toucher ! LA Terre ? Toucher terre = passer ? On cherche ! on ne eut pas se laisser faire ! on veut comprendre les dsonnées données. On est là de fait, pour ensemble comprendre ce qui pour le coup nouys regarde ou nous regarderait sans pour autant nous faire trembler d e peur d'y passr . On est nées fée sur pré parce que voilà on est tombée sur ça : l'herbe tracée, cxhamp de traits, bêtes nacrées (sacrées) qui broutaient. et nous de nous y coller à ...... pour le coup, treacer vif une course de fou ! de folle du trou ! trou d'ombre tout au bout = trou des fous et folles par où, du coup, passer porte. On veut :
dire et donner, faire et consacrer, charger et pousssr, aller et tendre, porter sur pieds et comprendre, faire aller, dire ce qui est, poussr son fait et du coup ...... tracer de chez tracer le Verbe Alloué à une sorte de Passé "surnuméraire" = le P assé re-^passé ! re-le Passé-né ! Passé /passé Ou comment dire ce Tr acé , cette "bête", buflettealloué à un post-cimetière aux deonnées creusées .... dans l'herbe : on ne sait ! On veut toucher le nez, la têt, le tracé sur herbe et autres traits de fantaisie grégaire. On est vives et vraies, vives alacrités, charges cendrées, fée des fées, vie louée ! On ne veut plus s'arrêter mais vivement aller jusqu'au tracé dit "des amabilités". Qui donc est-ion en ce vallon ? Une sorte de .........../................................... bébé docte ! le mignon ! la chjose ! Haute ! On est drôle , on est le mignon drôle d'une sorte de Passion ... des CHoses Hautes, genre "melon". On veut :
dire dire dirte dire
êtrte êtte êttre êttre
faire faire faire faire
cgharger chargher charger charger
coller coller colmler coller
cerner cerner cerner cerner
comprendre comprendre comprendre comprendre
consacrer consacrer consacrer concsacrer
Tenir et porter. Aller et centrer. Charger et du coup colmater, la Masse, la Trouée, Passage de Fée, Entrée. On veut (grave) s'harnacher à la rambarde et ne plus lâcher mais .............. cerner de chez cerner les données adjacentes à pareille contrée ! toucher = téter, on sait. On veut comprendre "large", porter louin la charge, situer le fait, cerner de chez cerner d'un trait le Sein de garde,
et du coup ........ téter tendre ! boire l'ambre ! Lait d'été ! bon lait d'ivoire ! Lait sucré-salé d'une mère avouée ! On entre ! on passe ! le pasdsé notoire ! l'embardée ! l'arme blanche ! le Passé de trait est du passé de fée est du passé né comme s'il revenait ....... revenait à la charge et du coup se donnait ...... à boire !!!!!!! lait des laits ! lait des traits ! traits de rage ! rage vraie ! vrai passage et autres faiots de fée ! On est entrée en tant que fée , on est passée, on regarde, on est (comme qui dirait) toute transformée qui nous sommes "changée" en ..... bébé noir ? bébé du soir ? On est passée ! on est entrée ! on est ................................... bÉBÉ DES BÉBÉS SUR PIEDS ! On veut toucher à ce qui est qui dezvant nous pointe "sion nez" ou "nez de base" : le Néné ? on pourrait le penser. On est Bébé du sdoir et à ce titre on veut ......... boire ! grave du lait ! lait de trait ! Lait donné , et hop, de dernière cuvée qyuui sait ? On charge ! On est fée des fées enfin passée, qui (de fait) trace de chez trace un tracé comme alloué à une charge : p ârade ! on entre ! fonçons grave ! montons ! allons ! car, le Passdé de fait, est Passé de base comme "déli vré " de ........ charges lmentales ? mots des bonds, Mots d'ombre et autres mots bde Roche ? Hors !!!!!!!!! Hors du MOnde d'or !!!!!!!!!!!!!!!!!! Passé hors Clause ! On monte . On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à e qui est qui (en vrai) nous mate ou nous lmartterait ou sembkeraiot (gravce) nous mater pour mieux nous amadouer et nous croquer ! mais voilà : on est fée -bébé ou pliutôt bgébé ( = à présent : juste ce bébé tétant) et du coup, on renâcle ! on n''sst pas à genoux face à l'Oracle ! on est pas fou / folle de base ! née Bébé de rage on sait crier ! dire notre fait, notre envie de téter et c'est marre ! le bon lait des larmes ! On veut :
creuser, dire, porter, charger, pissserrt, allouer à une denrée genre le laitb les attributs diversifiés d'une sorte de "Vérité post-mortem" : qui connaît ? qui sait en vrai de quoi il en retournerait si jhamais ? On cherche de près sur pré puis au-delà du pré, en ces régions de "bord de mer" alloué au creux ; au trou d'ombre et autres fosse ... post-porte. O,n veut : faire haute, dire haut, chercher haut, aller haute. On ne veut pas (plus) traîner là, en pareil caniveau des voix , mais haut de cghez haut aller ....... jusqu'au néné du lait afin de téter sans désemparer et s'en gargariser et pas à moitié ! Née pour être ainsi ...... The Baby vif ! tétant d'allant ! se pourléchant devant les babines blanches ! On entre ! On est passée (fée /bébé) de l'autre côté, côté voie lactée, ciel étoilé, chant de fée, volonté ancré, langage ! langagage alloué à une Sommité Traquée ou comme traquée = le Vrai ! la Divinité des Divinité ainsi "reluquée" et nous voilà ................. touchée ? touchée en vrai ? On veut ;:
creuser creuser creuser le Passé, et du coup s'immiscer en cette sorte de contrée du bout des Mondes. Et là, regarder .......... la chose. L'ombre portée ? La sorte de Cohorte Énorme ............ buffkles au taquet ? buffles des préqs ? bufflettes cendrées et autres bêtes de trait ? On dirait ! On veut toucher ou on voudraiyt tpucher à ette bête-né, à ce tracé, dit "des fées" , et autres gravures dessinées comme à main levée sutr paroi des fées. On veut creuser = dire = vivre ! charger = centrer s-on dire et pousssr de chez poussser afibn de pénérttrer de fait ledit passé des données du Vivre, qui sait ! On veut toucher........... parce qu'on veut vivre = poursuyivre . On ne veut pas (du tout) en finir .... mais , en vrai, continuer, aller plus avant de fait, tracer trait des traits et ...... ma&ter de chez mater le Passé de Frise . On est née Bébé ...................................... la mort archivée. On a regardeé le Néné et on s'est placé ...... de façon à voilà, pouvoir s ans frais téter de chez téter p areil ... mamelon "montón". On veut avaler , boire, ingurgiter, pareil lait ..... de frise ? et du coup : grossir ! grandir ! s'élever ! aller sur pieds courir, gambader, sautiller, fré mir ! On est le bébé dit ! on veut de fait c erner le Vif et le Motif ! On ne veut plus
se laissser berner, méis aller ./.......................................................................................... pouser poussser poussser ........................... dire dire dirte ................................. creuser creuser creuser .......................................... porter porter porter ..................................... monter monter monter .................... et du coup cerner, co:mprendre , saisir, faire eainsi acte de présence en ce Passé "de FRance " !!!!!!!!!!!!!!! hé ! en vrai, il sembleraiot , car ......... né en France ...................... porté ............... ficelé ................... enclavé ......................... vivement la Transe , et qu'on s'en balance ! tracer = dire = charger = construire = donner , à soi-mpême, ce dit "lait des termes" = vérités du trait et autres vérités tracés sur herbe et au-delà de l'herbe ..... post-muret . On veut toucher à ce qui est qui ................ se présente en vrai, sous nos yeux comme éberlués : ........ un Néné ! et nous d'y aller ......... à le tetér de chez téter en vrai ! lait ! lait de trait ! boire le lait de cette sorte de Néné dudit Passé hors Cimet!ière ..... din gue ! On voiudrait tout ça de fait le cerner sans s'y perdre. Qui on est la mort acté ? et déjà dans la vie : le Père ? le Vit ? la terre ? de la terre de vie ? Ver de terre ? traits nés ? charge fière ? volonté des 4 volontés et autres volontés premières ? une sorte de Perte en herbe ? un V ? la lettree V ? une bière ? sorte de Chassé)-croisé avec, ici ....... le Passé retreacé ? On cgherche ! homme cendré ? femme céleste ? On voudrait .................. se rapprocher sans frais des données entières et creuser, les creuser en vrai, les mieux situer et les mieux connaîttre si tzant est. On est la Fée du tertre comme qui dirait. On veut aller, foncer, permettre, situer, charger, porter, metttrre, se donner et colmater le VErbe ou VerbevTroué ....... car, on dirait que (de fait) le Verbe ....... est cfomme "troué" par ................... mèfle ... le Passé ! oh, ça se pourrait ! on cherche ! on veut grave situer ensemble un $certain ombre de do nnées de base et du coup : treacer = ezn avancer (en vrai) dans les "connaissabnces patentes" d'un ciel étoilé. Car, le ciel est là, devant soi, qui nous apparaît, nous parle ou nous parlerait , nous donnerait de quoi "situer", "porter", "aller", sans se retourner (ou avoir à, de fait , se retourner). On veut touchger ................Étoile d'Ambre , Étoile -TRait, charge sale ou sinon sale comme un peu salie du fait de l'ambre . On veut :
dire et donner de fait
aller et porter loin
les données du trait ..................................................................... enfibn ! VCar, on erst née bébé la mort passée = on renaît = on revient = on se remet sur pieds sur terre allouée à une sorte de chemin "des f"ée""s ou des "données tracées" . On veut coller , et dè§s lors se poster ...... contre. Contre le muret dit "des finalités". Et de là; traverser, passsr, vers .... le Passé de TRait , l'Ombre, l'Ombre d'homme ? on ne sait ! juste une Ombrev ? on ne sxait ! On est fée devenue bébé, la nuit venue ! après le pré du hjour, le Néné -nuit des abats-jours. On veut creuser de chez creuser ledit Passé aux acidités, et y aller, de fait, sans trainer, vers pareille donnée donnée aux traits alloués .........../............................. aimer
Aimer ce qui ici est, qui sembke nous ....... aimer ? en retoiur ! On pourrait le penser. Car, vois l'ambre ! vois le doigt ! vois la branche d'arbrte ! la paroi des voix et autres passes d'armes ! vois et fais, de fait, ce que de droit tu dois , à savoir ............................................................................................................................................................... téter ! .................... téter néné dit "du passé" ! ..................... ne te laisse pas aller ! ................ tète le ... veRbe -Creux ! .................................. olé ! ............................ cherche sans tarder à bien téter le lait de ....... l'herbe -vraie ! et tu seras ............ heu-reux ! heu-reux bébé des voix ! le (la) bébé né(e) des feux du Creux ! ................... = le Passé . Et nous de nous y replonger comme en apnée comme qui dirait ! feu ! allez !
filons !
traçons ... "mamelon" ! ne trainaillons pas mais geagnons grave sur p areille voie menant à l'au-delà d'une sorte de paroi de Rage ! LA PAROI ! Paroi "strange" mais voilà : on avance ! on va ! on en avance ! on voit ce qu'on voit qui va et ne nouys laisse pas en branle , mais .................................................................................... donne de soi ............ lait de voix ............................ laoit d'ombre ................... la (ma) foi des données hautresc .................................... dite "de porte" ! On monte. On veut toucher de fait les données perlées, et du coup grave tracer sur pieds ... les données genrées ! homme / gfemme ddes allées, femme / homme autoproclamées ça fait son effet ! On veut tracer k'hominidité des données genrées de type Feminité auto-allouée sur pré dépassé . On est née Fée (on était genré ....) sur pré des traits, nous voici comme ... dé-genré de fait, passé le muret, sur Néné ! bébé ! bvébé-nuit ! bébé tétant néné au lait la nuit. tracer = dire = faire = charger = donner .............. et aller de cherz aller vers une sorte de donnée acide.... dont le nom serait : Placide ! ohé ! on peut inventer ! Les traits situés soont traits de cire ! pâte à traits ! faussetés de cire = vies tracées comme vraioes quand de fait , les vies données, ici, sur pré, sqont ........................................ pour ai,nsi dire .../................. vides ! faussetés ! vivacités ! mais vivacités ............. n'est pas Vie en vrai ! Vivacités des Vivacités ............................. n''st pas vie vive telle qu'espérée p ar , de fait, Divcinité. On veut creuser = donner = trzacer = charger = donner (de fait) les données de base ..... à une Déité Notoire = Divine Moitié ? la Semblable ? l'âme allouée à une sorte de "Corps entier" , qui serait ....... la trace ! Le pasdsé de cgharge ! l'amporté des emportés de rage ! Un "passé -charme", genre .................... une portée ! bêtes consacrées ! ribambellisées ! On ne sait ! On trace, on monte, on avance, on charge. on veut toucher touycher toucher toucher à une sorte de corolle du temps passé, sorte innée. Et nous d'y aaller ...... de notre sorte de ...... rechercvhe folle (affolée) de termes avérés ! On cherche ! On veut creuser creuser creuser de fait un certain ombre vde "données de tertre", tertre)-né post-pré, post-cimetière celte, hors tracés de pré, d'herbesz vertes. Hors = en dehors, de cette sorte de .............. Roche Haute ! Roche_porte . Hors des bonds et autres sauts de bêtes-mots. le ;:Passé est du Passé de trop ! On monte. On veut en vrai akler, jusqu'au plus haut tracé, direction néné, et du coup : téter, téter, téter, téter, téter , téter, téter, téter, téter , téter, téter , téter, téter , téter , téter, téter, téter, téter téter, téter, téter, téter, téter, téter, téter, téter , téter, téter
, téter ,téter , téter , téter, téter, téter , téter , térter sans s'arrêter, le lait frais, entier, acidulé, du néné tracé ! treait ! trait étoilé ! trait des teaits squr ciel sacré ! On veut gracve cerner (ensemble) les données du trait .............. pour mieux situer , de fait, où on est, en tant que bébé né dans un post-pré aux données lactées. Voie des fées ? voies des ombres portées ? traits sur traits et le tour est joué ? re-lecture dure ? re-le passdé tracé ? re-la vie rude ? le trait alloué à une sorte d'aventure diurne ? On est Bébé, Bébé de trait. On est le b ébé -né d'une sorte de Passage Roide. On est le Bébé-né des idées noires. On est passé ............................................................................... t^te froide ! ......................................................................................................... vers le Lait , Lait de FAme ! trace ! t rait ! naissance ! le passé, en ... France- souffranc"'e, ....................... re-levé ! ................................. la danse .......................... transe en branle ..................., et du coup : la Chance ? ....................................... on veut espérer. On veut toucher , donner et prendre, et auusi comprendre, ce qui donc de base est à espérer, à chercher à comprendre, à vouloir pour soi en ces extrémités. On veut ça ! la transe ! le passé reconvoqué sezrait, dès lors, du passé de charge = traits de fée , forces mentales, pensées, parade franche et autres danses au pied levé : la chance ! bal de traitsz ! bises et bisonnées se tapent la maille ! On veut grave cerner (ensemble) les données, données franches et auttres types de données-siouffrances, vives alacrités, charges de fée, financesz./ On est lA fée devezbnue Bébé une fois passée par ce dit muret "des finalités" ... prairiales. sorte de Passé de Fame = Re-nommée des envies de transe. on entere !on entrte ensemble ! On veut creuser (ensemble) le passé, qui en vr&i serait (deux points, ouvrez les guiillemets) :
"du passé dense"
"du p assé de trait"
"paqssé né en france"
" passé -pré ? "
" p assdé comme "actualisé" en termes de "souffrance" ici re-alloouées"
On veut toucher de chez toucher à ce Passév des Connivences et autres Confidences Sacrées ! et tracer : dessiner! beêtes Rares, Aurochnodoïtées des fo(mes animalves, bouquetinerie fronrtale pariétale ancestreale . puits ! Puits sans fond du Paradis ! On entre ! On veut .......................................................................... sans déconner ...................................... oh , sa$ns déconner ............................................................................ aller, filer, foncer, vibrer, courir, pistonner de chez pistonner sans jamais trembler , aller de chez aller, faire ainsi tracé, coller aux dires sacrés d'un tracé de vie, chanter ! chanter vif (vive) les données du Rire. ET du cfoup : envoyer ! faire son effet ! charger , charger de fait, tracer ! dire ce qui est qui est, ne pas traîner, ne pas se laisserr démonter, ne pas (jamais) se laiiser traverser par des (sortes de) pensées qui (de fait) ne wseraient pas tout -à fait ...... célestes ? Oh ! peut-être ! on cherche ! on ne sait ! On est fé -être, = à la fêzte car ...................................................... transformée ......... de fait, en bébé , le mur (dernier) passé et hop ! on tète ! tête première ! lait de l'herbe ................ça fouette ! c'est corsé ! pas pour les mauviettes ! ça envoie sa crème et son petit lait comme un fait exprès ! c'est l'herbe du pré qui fait Trait ! Qui imprègne. On est née le Bébé des Herbesz ! On veut creuser Néné = Téter ........ sans frais, le bon lait de l'herbe .......... du pré carré ! On aime ! On monte ! On ose ! On est fée de bosse d'Ombre, et on cherche ! qui on est ? les données Vertes, le Passé en Selle, une soerte de tracé, sans Verbe, ici gravé ............. germes, germes d'herbe. Unre graine. un mot-graine surr paroi des motqs. On monte haute ................. haute roche ....................................le niveau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça porte ! ça envoiue des mots , ça lorgne ! .................................................... vois le niveau ! monte ! colle !va là et reste là sans faute ! ...................................................................................................... on est hautes , hautes de chez hautes. On est hautes de chez hautes fortes. On est Bébé post-pré , sachant téter inné ! On est bouche-trait sur sein donné de lait. sachant grave téter de chez téter le Beau Néné empli de lait sucré ! mare nostrum et autre collostrum acidulé du Néné Donné. On est née Bébé la mort "traversée". On re-naît , hé ! vérité ! ça le fzait ! on est passée de chez passée .................................................... à travers le muret (la murette de pierrree) et nous voilà toute "remontée" qui cherchons le TErme, Mot d'herbe (Verbe) à decvoir cerner = mémorisezr pour l'Éternité (il sembklerait) ........... mais voilà ............. ce termes ............. où il est . quel esty-il en vrai ? est-ce un termes en toutes lettres ? ou bien : signe étoilé ? verbe-nacré ? vent de sable ? on entre ensemble ! fées ;;;;;;;;;;; on enttre ;;;;;;;;;;;; fée des fées ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;; fée devenue quoi, devenue bébé dit "des lois" ;;;;;;;; croix de bois ! chants sardes ! peuplades de rage ! Passé-trait et voilà les faits ! On veut toucher à ce qui est qui ici se présente à nos mains donnés et autres yeux éber;lués ..................... la Rage ? Le treacé de RAge ? Passé re-tracé sur place ? un passé chasse un passé ? le passé des transes ? On est comme envolées ............ hop, effacées ? On entre ! on veut comprendre alors voi:là on entre en ......................... la paroi des transes ! On est née Fée de Fra,nce ? oh, France / navarres ,
on s'en balance de ! On est .............. (grave) ................ mentales : qui dit mieux , ou dirait mieux question "parade", "jeux", "creux" ? On Passe ! charge "sale" ! feu ! Cherchons (à deux) les do nnées de rage et .................................. vite ! fuyons ! ne cherchons pas davantage ! allons ! Le mot est rond ! la Chose est haute, qui nous voit volante, montante, essaya,nt (de base) de tracer sur roche, qui sait, un sentier, sentier d'approche, de montée profonde" ....././ et autrtes recherches hautes. fée-bébé ! ça le fait ! on est née .........../...................................................................... eh bé ......................................... post-mortem .........................; bébé ! ................................ re ............................... re ............................. re ................................................. re ............................ re areu ..................................... recommencements "heureucx" ...................................... retracés de base ................................................................. re-balancements de charge ............................. re)-livraison "hard" ................................................ voeux pieux ............................................ amandes .............. noueuds ...........;;;;............................................................ noeuds d'amandes au mieux .......................................................... re .........................................../....................... re le temps miteux ../.......................... l'ensemencement des creux ............................. on veut :
être Verbe, faire Celte, toucher pied, Tracer de chez tracer, creuser treait et autres "treacés de Fée", se donner corps et âe aux Saintesz Sacrées et Autres Saintes Surnuméraires des Hautes Contrées. Faire = donner = dire = froncer = coller = charger, charger ivre ! dire vif ! porter ! creuser ! allouer à un Rire une sorte (en vrai) de Dire Cerné, de type ....................... souveraineté des Tracés Cupides ! le charnier ? loa vie passée ? vie et contrevie et autres vies "salées" ? On veut toucher en cvrai la vie passée , soit ............ le passé Nacré ! = l'entre-vies ................................. paradisiaque ? = pré de rage ? herbes en folioe ? bêtes de taille ? cris d'envie ? on charge ! On est née fée, en promenade sur un pré , et ... on regarde les bêtes (comme nous ?) passer ........ traces ! craies ! bousculades ! débordements de rage sur paroi ornée ! faceà nez ! mains outrées ! mains des mains sur main des mains ! une sorte de .... passé de mains ! sur paroi de fée. Chants latins. porte d'entrée. sainteté ! chants sacrés et autres cris de faim : ouin !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ouiiiiinnnn !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on a faim !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! grave faim !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! faim de lait sucré -salé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! sans déconner ! on est ...................... les affamées des traits sur par(oi des fées ! Et on veut .................passer passer passr ....................... v ers : le Néné, des Contrées dernières ...... outre-muret .................. post-cimetière, mort enterrée, aller, filer, traverser le dernier muret, direction .......... tertre ! tertre ! tertre au néné ? tertre des tertres eet ..... le Néné re-naît qui pourrait (ferme) nous donner son lait et du coup nous calmer, nous satisfaire, nous alimenter et nous donner de quoi .......... tracer de chez tracer .................. le trait de l'herbe = Verbe ! le français (ici) sur pied ferme, et voilà le trait ! Chose Alloué Surnuméraire : terme-né , le Terme des traits , genre le passé ........................... "recomposé" ! hé ! dingue ! On veut :
aller, aller , pôrter, dire, aller, porter, dire , sonder,; aller, porter, dire, sonder, aller , aller ,
creuser et sartisfaire nos envies de l;ait en tant que bébé, bébé né post-pré (après le cimetière) à jamais ....... ou sinon à jamù&is .......... un certyain temps patent, de terme à terme , vibrant, sondant, creusant, pistonnant et s'alignant ainsi face aux Roches Transies et autres Murs de Bosse : paradis. On monte. on est hautes. On aime l'ombre .... ou sinon l'iombre, l'es données hautesz ............... = profondes. On monte sur Roche et hop ..... direction la noce ! fêzte et rondes ! une sqorte de nouba sur grotte , Paroles ! On monte. qui on est on est le g&ébé né , bébé -sonde. On veut téter.
que. On ne veut que ça ! téter en ces bras-là ...../........ de la Diva ! Roche Haute ! trait de porte. On veut en vrai creuser sans se soucier de qui de quoi est né sur pré ou pas ........... car, nous, ............ on veut avant tout, ....../....... teter le Néné né du trou ! lait de gnou ! Lait frais .....................sucré-salé on dirait .......................... jus nacré ................................. coulrzereait en nos gosiers ... de bébé-né ............................................ la mort dépassée. On est la Fée chantée : hibou caillou genou, et nous voilà toute trans-formée en bébé -né du fond des prés ! calculé ! situé ! sachant (grave) prendre le néné et téter comme une sorte de ........... bébé de trait, hé ! on dirait ! ça m arche ! On est (on serait) de base animale quoique ! Ou alors quoi ? la Rage ? passe d'ambre ? une sorte de (en soi ?) passé de base .......... qui remonte large, reviendrait de rage refaire surface ? On entre = on entend = on comprend = on cerne = on trace = on file = on tresse = on trie = on est la Fille Fée des Vies Tracées sur ROche Ornée ............ dezvenue Bébé à la traversée de la mort Donnée (comme s'il en pleuvait, qui sait ?). On est passée nue .......... hé, cul nu ! bébé -trait ...... vers les Nues Étoilées d'un ciel donné ............... velue ? ................... poilue ? ..................... cornues ? /.............................................................................................Montons haute sur roche VUe, alloons de bosse en bosse et tétons "Roche du Cru", aux données fortes : lait alloué à une sorte de .................... passé Lacté de type Lait ! Lait de trait ! lait de mère-née, mère Salutaiore . On veut creuser = dire = cendrer = charger = construyire = filer = piousserr = chanter = perdurer = donner ........................................... afin de nous "instruire" ................. sur, ici, ce qui est ................................... qui nous regarderait .................. sans discontinuer : qui c''st ? le druide ? le Passé "fluide" ? le Passé "outré" ? La Vive Clarté des DObnnées Tacites ? un passé de trait ? l"emportée des emportées qui nous avalaerait d'un trait ........ gloups ? ezt nous .... hum, roterait, dans la foulé ? On est née fée sur pré (une fois mort et enterré) et à présent le temps, le temps de l'enfant, l'ensemencement. On est touchée ! on est grave touchée. On ea envie de tout balancer on dirait parce que voilà, on est grave touchée icio-bas, sur pré-pré soit en ces contrées des données terrestrtes ... françaisesq (ici françaises). On est comme une sorte de Fée Marraine .................................... en germe ! terme ! date du terme ferme ! Aloons donc ! creusons de passion ! chargeons-butons ! eesayons de raison, de tracer (creuser) Roche ................ du front ! coup s forts ! sortes de coups forts sur Pierre d'effort. On est bêtes-corps. On veut (hautement) passer mentalement ................. la Paroi Ornée d'une Groote Ajourée . Et du coup .................. le pré , nous y retrouver ! et là : chanter salé ! creuser sentier ! s'en donner à coeur hjoie des données de base ! aimer ! s'accoupler ! se donner de charme et toucher Traces ! creuser = cendrer !
pousssr de chez pousssr ensemble "" la Romance = le passé du pré ! avant ledit passé post -pré = Lait ! L ait frais en conformité. On aimeraiot ............../././...................... allert aller aller, chanter chanter chanter , dire de chez dire ici (paroi) la Niche des Fois, Fois en ce qui est "en face" ..................................... la Muraillme Ultime ................................................. "m aritime" ........................................................................ mer des traits de rage ..........vaguesc ...................................................................................... vagues des plageS ........................................... on tyrace ........................................... on aimerait = on voudraoit = on espère ............................ pôuvoir de fait, aller sur tracé ...................... v ers ce Néné des Elfes, Néné Né à la tracversée et nous voilà cfomme alimentéez "de pied ferme" ! on aime ! on veut ! on est Bébé Heureux / heureuse post-sentier ... aux herbesz vertes , et du coup ..... on tète , tête première, Lait de ferme ........... lait enteier non -écrémé ............... ;lait chaud "de ta mère" .................. du "tuyau" .................................... lait nacré des hauts ................ grave (de fait) coté , soit méga-coté question qualité ! lait frais ! lait nacré sacré ! ancré de chez ancré en cxe Néné ... des Contrées Célestesc : le Passé ! car , lme Passé est .....................c éleste ................................ il sembkerait ! cherche ! cherchge à cerner = dessiner.............. le Passé en herbe ............... et tu sauras tracer sur pied les données du VErbe ............. tel qu'il est "en sainteté" ........ son "être" .............. wses longueurs de traîne ............... son (propre) passé de Verbe "inné" soit "alloué" soit "donné" soit "porté"" par (il semblerait) un ciel sacréb = le Terme = date fixée , accrochée, située, comme tracée sur une sorte de ................. treait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! d'herbe verte !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! près pré ! et ça le fait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! herbe verte = trait des traits ........ des donnéesq du Verbe ! Verbe alloué ! verbe "cendré" , de type ............................ termes ! termes tracés ! On veut :
aimer, dire, sonder, construire, poussser, creuser, chyercher, aller, commencer à en vrai tracer une sorte de cxhemin "de fuite", chemin "fluide" sur Passé de Tire. On est la Fée Intime, celllle qui est née , ici, fille, sur praieie des filtres, et voilà là qu'on se voit à , il semblerait, vouloir de fait , aller là-bas, voie des Rois, Reines de Saba ou quoi ? reines et Rois des Foies, entrailles des Sages. On voit ! on voit q uoi ? on voit un Convoi ! de bêtes sardesz ......./........../............... des envois de masse ! .......?......................... ch arges d'antre ! ......................... poids de croix ............................ on trace = on avance = on va = on monte = on s'envole ! on est hautes car, on monte haute ! on s'accroche ! on ne lâche pas (plus) la paroi de Porte. On veut ça :
LA VOIX !
VOIX DE BOIS !
TRAIT DE RAGE SUR PAROI D'EN FACE = LA VOIE .....................OÙ POUVOIR (DE SOI) PASSER NEZ / TREAIT / DOIGT DE FÉE ...... On voit ! on voit là la voie, l'(entrée, le trait ... d'une sorte d'entrée pour fée acidulée telle qu'on est de fait, il semblerait, en vrai. On est ................................................ lettrée ................................ hé ! ../.................. .............?.?.....?............................................ fée ,-comme lettreée ? .................................... faite de données données de type : termes ? lettres ornées ? trans-identités marquées, gravées, tracées ? On cherche ! On est comme toutrzsx"retournées" de nous savoirv (enfin) passées, ou comme passées, à travers ! on nje pensait pas y arriver .... eh bé si ! tracées = passées ! on pouvait le pensqer ! On est née fée traccée ...................... à la craie ? ..................... sur paroi de Roche-Porte, née = vue = nue !
On est nue-fée, sur ........................................ pré-passé ! ............................................ prtête à traverser (à nouveau) d'un trait , le muret des fées " , dit "muret des fées" car ....................... posté, haut posté, hors du pré, pour un passage accordé aux (ou des) fées alloués à pareille copntrée enclavée ............. v ers ..............le Passé dit "surnuméraire", aux données l actées ! sein de lait ! sainte ! sainteté lactée comlme affirmée et avalisée par ........... qui sait ? .............. un TERAIT ? TRAIT DES TRAITS ? ............. trait ferme;.............?.????.?......................../.................................................................................... trait des traits comme alloué à une sorte de "germe imberbe", nouveau-né, genre "bébé-germe", petits pieds. On veut toucher de chez toucher ce germe , cette graine ici centrée , trait des treaéits sur herbe verte auto-proclamée, ou disons ............... auto-postée .............. auto-centrée .................. prête à traverser ce dernier muret dit "du cimetière" et gagner de fait l'esopace"derrière" : ..........//./............. mère ! ............................... mer amère .................. mère née ................................................... aux données lactées ............ mer de lait ............................... qui c'est ? Déité ? "Mort-Mort-Mort des Traéits" ou dite telle ? Une s ommité Maternelle ? matérielle ? Sommité vdes Sommités Ancrées ? Verbe ? Verbe D'aile ? Une Sorte (en vrazi) de Verbe Tracé de type Ailes ? éai:les de fée ? car, le Verbe seréit ..... treait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! trait allouée à une sorte de .............; p)aire ................... paire d'ailes ! ailes de fé ! fée des fées ! On aime ! on like grave" ! on veut :
dire de chez dire ce passé dit "surnuméraire"
cxharger grave kles données du verbe, verbe dit "imberbe"
sonder de chz sonder les termes du passé Nacré
poussszr la Porte des Toilettres et aller pissser
toucher néné pour Téter de fait le Lait Entier
creuser freuser creuser d'un trait d'un seul .... ledit "Passé des Finalités" il sembleréait
Chercher querelle ! à qui ? au Trait ! tRait très traqué, du fait que voilà ............. on a traversé l'ultime (der des ders) parois vive ....... vers là-bas, la Rive, Le Passé de Rive , Trait deesx foiesz .................. voie et voix ...................... le langage- )trace ....................... d'une sorte de "charade " ..... sarde ?. On voit ç a : la panse . Le néné "de France" ! lait tracé ........... la planche ................. on est née (re-née) bébé ............. de l'Aiutre Côté, cherchant Lait à pouvoir téter sans désemparer ! car, on aime (grave) le lait ! on le vénère ! on ne v eut pas rester de fait sans pouvoir téter , mais , grave de chrz grave, bnous alimenter à même ce Néné dit "surnuméraire" : passé remonté, sainte Chapelle, un trait est un treait "qui nous appelle" (ou semblezraoit) en tant qu'il seraiyt .... liié au Verbe ! Verbe d'ailes ! Trait des traits au milieu des ailkes = Verbe -Treait donné ........... des doonnées imbervbes .................. d'un (d'une : sorte de) nouveau-né post -pré............... saint sourcier ............. On aime ! on dit qu'on aime ! On veut :
creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creiuser crsreuser creuser cdreuser creuser creuser , dce qui est, ce qui nous plaît, sur ce dit "tertre" des données dernières . On ne veut pas se laissser faire ! on veut (grave) tracer, foncer, faire de fait les choses qui nous plaisent (en ces quartiers) et seulement après ................... cxhehercher, chercher en vrai ce qui ici nous semble, ou semblerait être , ........ à devoir chercher en priorité ....... le Nénév ? Sein donnév ? lait ? On dit (de fait) que le Pis est né post-mortem.................................(Spi ?) ..................?........ est-cve vrai ? est-ce ? est-ce une Vérité tout ce qu'il y a de plus vrai ? Ça reste à prouver iul semblerait. On cherche. On ne cesdse de chercher. On a grave envie eznsemble (ailes) de trouver et, une fois cela fait, une fois ma foi qu'on aura trouvé, on pourra ......... traverser ce Tertre, Passé Des Traiotsz, ce post-cimetière aux Données Célestesxs .................... traits sur traits : une étoile est née ! vé ! comme ça le fait ! dingue ! oh, on aime ! on veut être ........................... eh bé , dans les tuyaux ! et mieux connaître ... Dieu, D2esse, Déeeses ... et ses soeurs et frères, Mots de TRop et Porte Haute des Données profondes hors mots. On est:
fée des traits un temps, puis : bhébé des bébés-nés sur Passé de trait ! dingue ! On aime ! On veuit :
dire dire dire dire dsiredire dire dire dire dire dire dire dsire dired iore dire dire dire dire dire dire dire dire xdire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire vdirevdireccxdire dire dire vdire direb dire dire dire dire dire dire dired dievdired dire dire dire dire direvdire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire diore dire dsiren dsire direb dirednire dire dired idrer dire dire dsire dire dire dire dire dire dire dsiree bdire dire dire dire dsire dsire dsire sire bsireb dsiredc dire dire dsire dire dire dire de chez dire le dire du dire , et dès lors creuser, creuser de chez creuser , le dire "outré", trait des tréts, trait germé, entre ...... deux passés comme "prsésentés" en ces contrées dites "pré" ........... du fait que .......... oui , ici, ................... ubn pré précède le Pasdsé , qui lui même précède ................ un pré .................. il semblerait . On veut toucher , on vgeut téter, on veut du lait ! vive le lait , le lait entier ! lait de vie donné ! vive le lait ! vive la vie ! et , en vrai, le lait de vie ! On vfeut (de fait) vivre sa vie ..... de type "lactée" à jamais ! re-commencer , re- re - reà jamais téter............. le lait frais ............... de la vie lactée ! on veut :
donner donner donner donner, creuser creuiser creuser, creuser, chargercharger cxharger charger, dire dire dire dire, sonder sonder sonder sonder, porter porter porter porter , décidet décider décider décider et dès lçrs s'immiscer , en douce (on dirait en douce), en ces contrées dites "des finalités", ........................................... sweins de trait .................................................................................................... sein donné ........................... ............................................. seinn-s des seins donnéews ........................ et téter ;, téter , téter, téter sans discontinuer , afin de bien s'alimenter pour pouvoir perdurer en termes de vitalité. Téter = porter ......... porter = téter. Trait ! Traiot porté des données hautes . On monte . On veut creuser, dire et sonder, charger, soulever, comprendre, cerner au plus près les données de bhranche. On est née "La Fée du pré" la mort actée, nous voiulà devebnue bébé le mur du fond (du son ?) passé .... sachant téter et ne s'en privant pas ô grand jamais, car, on aime ça ! grave ! On raffiole de ça ! on adore ! grave de chez grave ici on aime ça : téter vrai le passé lacté, Termes frais, MOts de crème et chrème ! oint et ouiiiiiiin ............... on aime ! on cherche ! oh on cherche .............. le néné né du sein Donné ! ......... afin de OUI
téter de chez téter
lait des laits donnés = herbe = verbe (comme qui dirait) et ça le fait (un trait : trait d'herbve !.
Fée nacrée, fée des fêtes, fée d'herbe, fée des fées devient de fait au passage alloué .................................. sorte de B2B2 surnuméraire ............. du passé ! un bébé du passé revenant sur terre ? On peut rêver ! on aime ! on aime l'idée ! on cherche ! on veut ....................................................................... erner cerner cernerf cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner erner cerner cerner cerner cerner cerncerncerner vcerner cerner cerncer cerner cerner derner cerner cerner cernerr cerner cerner cerner cderner cerner cerner cerner cerner cdeerner cerner cerner cerner cerner cernerv cerner cernercerner cerner cerner cerner dener cernercdener cerner ernercernerrcdenercerner dernerv cerner cerner cerner cerner cerner cerner de chez cerner ledit sein donnév = dessiner, sur roche ornée, le tr&acé donné ds'une sqorte de "rotondité" olé olé de type ............................... néné ! néné à lait , à pour le coup téter en tant qu'on est , de fait, un / une Bébébé )-)-né(e) sur terre "brûlée" des données en herbe ! tertre ! tertre alloué à une infinité (iun infini) de dires étagés ......................... tracés .......................... alignés ............................................ tenus .................................. sur ciel en vue ! On est ................... nue ...............................; née ............................. vue .................................. au Passé des traits" ........................... = connue ! ............................. à jamais, par , il semblerait, sorte de D2ité des D2ités, de Type ................................................................./....... Trait ? trait des traits ? et , qu'est-ce que ça serait ? une sorte de .... tiret, entre deux moitiés ? genre .................... corps de fée ? .................................. genre "trait des traits" alloués ... à une sorte de ............................ "tracés de fée" ? .................................................................................................. on ne sait ................................................................................................................................................................................. mon dieu.
4/3/2025
On veut comprendre = descendre = passer = enttrer = faire = chercher ici et là , "de l'aiutre côté" , une sorte de "manière" ... afin de (pour le coup) TRACER de chesz tracer un trait = vitesse ! Vitesse "des prés" ... on aime ! On veut toucher à ce Néné post-pré et pour ce faire il faut "tracer " = dessiner et filer ... à fond la caisse comme qui dirait. On a envie en vrai de ... dessiner les termes d'une sorte de (en fait) charge de terre = pelletée, pour recouvrir ... le Verbe ? le tracé alloué à des termes "vrais" : mots de bêtrs ? On cherche ! on cherche ici et là à dessioner ce terme, dont voilà, on cherche ensemble, ou on rechercherait ensemble, "toi et moi", une sorte de définition ,
de définition ,
de définirtion "parfaite" ! on cherche ! On ne veut pas lâcher ! on veut toucher à ce qui est qui dit
La Vérité telle q'elle est ou serait sous nos yeux de fées. On veut toucher à ce Néné du bout du monde, post-pré, post prairie fleurie et habitée
de bêtes = bêtes-vies. On veut :
dire ce qyui est ici,, qui nous accompagne et noius regarde ,
dire ce qui est qui ici nous regarde
et nous accompagne, bêtes des prés, bêtes-mots de Rage, on enttre ! on veut toucher à ce Néné (post-pré) des "Contrées lointaines" hors paysages (il sembklerait !) et aller. Dire et toucher. Faire et mesurer. Chercher de cghez chercher ensemble post-muret, les donnnées de base. Qui on est . A quoi on ressemble post-muret. qu'est-ce qu'on veut trouver"qui le fassse"". Sommes -nous des "fées de rage" ou alors ..... bêtes-traits ? traits tracés à mzin levée sur face pariétale ? On veut creuser ensembvle ce muret des Chances, passer, passer ense mble = allouer à un passage une sorte de "Persévérance" incroyable ! Qui on est, et aussi : ce qui est qui , en nous, nous pousse ou poussserait à vouloir entrer .... qu'rst-ce que c'est . On avance , on trace, on file, on monte, on creuse, on trace de chez trace le muret d'en face,, fin de pré des Rages et autres colères tenaces (contre Déité La mort de base ? ). on commence ... le treacé :
traits, trais des traits, traits de charge, bêtesallouées à une sorte de "Parade Cendrée" ! On est nées fées en ce paysage, des prairies
des prés
des prairies touchées, des prairies aux fé"ées
des prairies aux couleurs vives et autres
couleurs acides. On veut :
dire dire dire dire dire dire dire ici et là ce qui nous habite en fait de croyances en ... eh bé, disons, la Rage, ici, de dire en vie ce quyi nous rassemble , nous réunit, nous assemble .... ailes de vie ! vie des vies ! Charge mentale d'une sorte d'envie en nouds "emboutie" ! On passe ! On creuse large . On veut toucher à ce Ramage, Bois de base . On veut :
dire et dire vif, aller en ce pré et coiurir sans traîner, vers ce dit "muret des Alacrités" . Charger. Si possible cgharger = foncer = passer = passer vif ce muret des traits et nous retrouvrer , en tant quye fée ailée, de l'Autre Côté, à regarder -mirer, chercher de chez chercher ici et là quelques vérités, traits tracés , objets, données .... qui nous enseigneraient ou nous renseiegneraient sur ce que c'est que cce dit "P assé" ... à venir ! CAr, on sait, on devine, on se doute fort, on veut, on est fines, on veut cerner mais voilà on sait, on voit, on ose ensemble ici et là, toucher la paroi .... et du coup Passer (trépasserr ?) , passer vives ... de l'autre côté, côté "vivres " = Passé, les vivres du Passé = le Lait ? offrande à la MOrtl-Déité des Données de Roche. On veut toucher à ce Néné des Ordres. ON est de"ux .......... on est en vrai (en soi : fée) deux ! deux aiIles de feu, deux par deux on ose, on est dieux de Bosse, dieux De Rage Rosse ! Fée des données hautes , genre Dieux de Bosse Haéute. Dieux de s Feux des tracés de Roche. On veut :
dire, haut et fort, ce tracé tracé, dessiner , graver , D2ité ! Déité des D2ité ! Dieux-déessses vraies ! charges à trait ! creuser = creuser = creuser = creuserv = creuser = creuserv , les données de Rovche, et de Rocher. Qui on est ? On est Fée -déesess allouée à une sorte de ..... Tresse ? Trois fils entrezcroisés sur pré et ça le ferait pour en vrai nous aider à (ici) trépassser sans vraiment passer ! on cherche ! on est née sur pré à la retiombée sans se casser le bout du nez mais un peu remuée, quand même, mais enfin on cherche ! on ne trai^ne pas, on trace, on avance, on voit, on voit ça : la Trace, sur Par'oi, d'une sorte , en soi, de "parade" , "parade étrange", faite ici et là de Bêtes de CHarme et autres Bêtes-mots de base. On voit Convoi (ou ce convoi) en face ! la PArade aux Charmes ! treaits de voix ! cris d'effroi ! un chant sarde ou pas mais ça envoit des masses ! tralalalalalala sur paroi, ça chante ! ça creuse la Foi ! ça ne lésinhe pas sur les enviois ! mains de maintenance ! maintenance en transe ! on danse ! on voit là ce convoi des phrases ... de toundra ! bêtes de paroi ! Bêtes vives et autres la la la des Rives ! On voit ça . On ne veut pas lâcher le tas mais ... tracer = passer = entrer = se retyrouver ainsio "ailée" de l'autre côté, côté rocher, à gambader ainszi accompagnée par X
b^tes de Trait qui nous observe ou nous observeraient, semblent nous observer ou sembleraient , et nous .... de même . On mate la Bête, on la meate grave, on avance. On cherche passage, passage de fée entre bêtes de trait .... on trace. oN veut comprendre ici ce paysage ce qu'il est en vvv'ai, en termes de données premières. Qu'est-ce que c'est donc, que ce opré aux herbes ? qu'est-ce que c'est que cette herbe verte ? qu'es-ce que c'est que ce Verbe ÊTRE ici décliné ... au passé ? on cherchje ! on veut trouver-toucher, cerner les données, creuser de chez creuser le Vezrbe, et y aller de notre Théorème Princier ... car, en vrai, les donées du Verbe ÊTRE sont données "fermes" . On sait ce qui est. on est nées fées eyt en vrai on sait , que, voilà, là, les bêtes de paroi, sont bhêtes de hjoie = je ! je = joie et joie = je ! On veut aller , aller et tracer, sur pré Alloué à une sorte de "tracé des FEux" ! On est : fée des fées ! trait des traits ! creux / creuses ...... et on court sur cours ! On veut .............................................................. dire de chez dire, ici (pré) ce qui est qui est, en termes de données de fée :
- le passé devant : qu'est)-ce que c'est.
- le présent des présentsc: ce que c'est.
- la hjoie allouée (à une sorte ici de pré, ou de prairie cendrées) : qu'est-ce que c'est en vrai.
On veut :
aller vive (vivre ?) , dire, creuser et plonger, plonger ivre , ivre de chez ivre ... en ce p assé "de frise" = le Passé post-pré ! la vive clarté insoumise ! lr Passé post pré... est passé de frise ... est passé de Trait ! On veut :
dire dire dire dire ici (le trait) ce qui est quyi est, de fait, pour une fée. On veut :
ensemble toucher à cettte frise ici des dires et autres tréits de vérirté. Le passé lacté ? le passé aux nénés ? le passé au lait ? passé-lait de tire et autres traites vives ? traits ? On est ivres ! ivres de lait ! ivres en vrai de lait de pis ! on veut :
creuser creuser creuser creuser, et téter téter téter téter .... pis que pendre ? les données données ou comment ; téter .... téter le néné, téter dur Néné, pour mieux s'alimenter ..... aller, creuser = vibrer, dire, charger = constryuire. On veut ................................. dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire ce qui est, en vrai, qui (de fait) nous attire , là, en ses filets dorés! drîoles de dires ! on va y passer ! on va clampsezr ! on va trépasser ! on va disoparâitre d'un trait ..... de RAge Cendré, si jamais. Mais voilà ............. on est la Fée dite "du PAs" ! On ne veut pas , on ne traîne pas, on ne lambine pas, on ne se -laisse pas aller à se laisser toucher comme ça, par, là, le OPasséRoi ! on ne veut pas de ça, Cerise ! On veut ........................ "poussserr à deux ""'" la Chose Permise, ou comment dire ? Aller = poussser, = faire = creuser et du coup passer, passer de l'autre côté mais, de fait, sans trépassser, sans y passer en vrai, sans devoir succomber à jamais ! frise ! et, on touche la Touche ! on veut : à deux, aller, dire et passer, et mater de chez mater ... eh bé, un certain nombre de données de fait, à savoir :
un trait = un trait de fée
un signe alloué = un signe alloué au taquet
Creuser = faire = donner = charfger = toucher à ce qui est ici post-muret, à savoir ........ un néné, qui sait ? plein de lait sucré ça le fait, et nous d'y aller, d'e s'y vautrer , de s'y coller, de s'y donner pour en vréai téter (mort haute) Lait Des Morts et MOrtes ? oh ..................... on monte ! On veut haut les Hauts de Roche atteindre, de Haut ! Toucxgher-creuser ! Téter haut le SEin des Hauts. On est kla F2e en vrai du Haut Niveau, sachant grave ... prendre Cavale ! On est ............................ fée de trait ! cgharge mentale ! trait ! roche cernée ! On est la fée des données hautes toutes lactées (étoilées ?) et on ose ! on ose alller , aller creuser et dire et charger, dire kles données, creuser grave un sentier, charger de chez chazrger telle porte d'entrée ! de rotonde vraie. on veut :
allouer, à une sorte d'éternité (contrée), kles données de Roche : bisons futés et autres Bêtes Grosses (de trait et de somme). On veut toucher à ce néné du bout du monde et le téter sans discontinuer ..... à la ronde ou comment ça serait de fait ? à l'ombre ? On veut .... aller de chez aller, dire de chez dire, tracer de chez tracer, percer de chez percer, combler de lait notre IRE Enjouée ! colère vive ancrée, sang placé, trait des tra&its sur paroi mobile (comique ?) . On veut :
toucher ivre ce tracé de bile , colère vive, sang glacé , et tracer de chhez tracer cette ire à jamais , sur roche allouée de grotte divine ou sinon divine ... vitrine ! On veut : dire dire dire en vrai, les données nées ! sur roche de pré ! creuser ! creuser-allouer à une sorte de muret (de fin de pré) un certain ombre vde données de frise ............ genre "animalières". Le Passé est Animalieer . Serait ? On cherche !!!!!! On n'arrête pas de chercgher et de mater et d'eesayer de nous
et d'eesayer de nous y reconnaître en ces drôles de contrées en herbe ! qu'est-ce quye c'est que l'herbe ? des treaits ! Que sont ces traits dont vous parlez ? des fées ! oh o h .... et si c'eétait vrai , et pas faux ? On monte haut. On veut atteindre le plus haiut niveau des données cde l'herbe , herbe verte, traits de fée sur pré. On veut : toucher de chez toucher .... le Verbe comme qui dirait ! mais, est-ce qu'on peut en v rai toucher .... le Verbe ? est ce que le erbe en vrai peut être trouché ? qu'est-ce que ce'est que ce dit "blème" des données du Verbe ainsi pprésenté ? on ne sait ! On est fée tracée, on cherche, on regarde ce qui est qui est près, on cherche l'entrée ! On est cfommpe il sembklerait dans un cilmetière aux données vertes. grises cendrées mais aussi vertes comme les prés. Car, oui, on est passées, on s'est comme retrouvées sur un pré, à devoir brouter (sans rtraîner) de l'herbe ! herbe verte des prés alloués à ce treacé de Verbe. Genre Herbe en Herbe ..... Herbe VErte sans frais. On aime ! on aime brouter comme on aime téter. On aime aller ! cghercher du lait à la ferme d'à côté ou de proximité il sembklerait : veau de trait ! vcache à lait ! colère ! sainteté ! une adresse : le Passé !!!! Passé né après .... c'esst-à-dire , après le pré, post-pré si vous préférerz , car voilà, le Passé esrt ce TRacé aux fées post--pré en herbe ................... verbe ........................ passé-VErbe ...................... un passdé de VERbe ! va -et-vient du verbe au sein des données, données Hautes ....................................... de Haute PORTE ! On est :
fée des fées, fées allouées à une sorte de dsonnée donnée, fée des fêtes et autres joyeusetés, fée d'herbe ou même fée en herbe . Un tracé. Une sorte de trait = brin d'herbe ajouré. On veut creuser le Erbe dans sa chair ... de fait accolée à une sorte de ... peau ttracée ........ dessinée ............ ou même imaginée par une fée dite "des prés" , qui sait ? On aime aller, on creuse des traits, on trace grave son sentier, on entre ! On a grave envie ensemble, d'y aller sans traîner soit sans lambiuner, creuser de chez creuser son ambre, tracer son tracé-sentier, fgagner là-haut haut les Trembles = le P assé du Haut, Haut Niveau ...... la Chyance ! On veut allker ensemble = ailée ....... judsqu'au dit "Passé des Données intendses", dites "Intenses Données de la CHance et du Passé de TRait". Creuser = dire, et dire = creuser. Creuser Fossé , dire le fait , comme quoi le VRai est ............................ dudire de LAit ! lait de rtrait ! lait frais ! lairt de vache à lait ! non écrémé ! On veut :
dire ce qsui est, voir ce qui se voit, faire ainsi que des données de base noius soient révélées et à tout jamais si tant est ....... ; on vibre ! on veut creuser .... eh bé quoi le Rire ! ici, aux données vives ! RIRE-TRAIT ET AUTRES JOYEUSETÉS , QUI SAIT ?On veut : rire de chez rire = tracer = creuser = foncer , à toutes enjambées, vers du dire frais ! = vérités des cvérités , des 4 vérités (décomptées) et autres vérités des Vérités. On veut toucher toucher toucher à ce qui est icfi qaui semblerait vouloir (de fait) nous parh$ler de faits que nous saurions (en vrai) tracer )- dessiner (nous) dans la foulée ..... il semblerait ......... car, on est, on sezrait, on serait des ....... qui savent tracer , dessiner)-graver, ce qui est qui est en termes de ................ vis-)à -vis ....................... visages alloués .................... faces vraies ............................................. En effet, on pourrait (pour ainsi dire) dessiner-graver , en vrai, les données récoltées ......... en nos sortes d'embardées nacrées ..................... trabnses de fée ............................ transes-danses sur pré ................................. récolter, et dès lors vite tracer pour mémoriser .......................... les données du Vivre , VIvre VIte , ainsi rencontré post-mure t des Dires ........................................... toucgher = faire = centrer = creuser = faire = centrer = charger = poussser = allouer à une Entité Donnée un "titre" d'étrangeté, et autres bizarrerie de trait. On veut toucher touycher toucher, de chez toucher toucher toucher, et aussi creuser creuser creuser, de chez creuser creuser creuser, mais aussi allervaller laller aller, de chez aller aller aller , et du coup : tracer ! grave trracer ! creuser sillon de données = sentier , jusqu'aux dits "nénés alloués à une Sommité" .... genre déité des déités, Déessse-née post-pré (hors cimetière) en Pays de Bière ! LAit ! lait donné, perlé. On veut creuser. on voudrait aller. on veut toucgher. On voudrait cerner en vrai ;;;
......................../
quelques faits vrais s'il en est ............ et on sezrait du coup complètement ok, de fait, car comblée , soit comblée de lait, lait sucré , sucré-salé, qui saurait grave en vrai nous satsifaire et peut-être même nous complaire ! complaire-combler. ON veut toucher Néné du Lait sans trop tarder dès que née sur pied ! traite ! tétée ! s'alimenter de fait ! aimezr ! lécher ainsi le lait de l'herbe" = le VErbe ! VCerbe-trait faisant (comme qui dirait) la Navette .... à toi à moi ..... de là à là ...... verbe-Navette ........ verbe de la Foi en l'Être ! nouba ! tralala ! chants celtes ! la paroi en joie ! une sorte de fête de voix ! on voit ça ! ça chante la la la la transe ! ça encvoie du bois ... de charme, et autrezs bois
de bonne combustion, genre .... mélèzes ? bois des chataîgnes ? bois-de chêne ? On voit là le bois brûler sa graisse ! On veut ça : la jhoie ! la belle colère ! Le ÇAA, le Moi, le sur-moi de Tresse, l'envoi deSoi, la Tresse vAncienne et le TRacé comme vfaisant Foi sur Trait de Perte. On voit :
La chose de Soi = l'envoi
La tresse = la voix
Le ciel = l'émoi
On est : bête, bête-maîtresse des contrées du verbe = pré de choix, post-paroi, en ce cimetière. On veut de fait .......... creuser de chez creuser (en vrai) notre propre voix qui serait la voix des par(ois du Verbe" , et au-delà ...... la Haute Plaine, le Tracé des bois, la lointzaine CHaîne, là-bas, Voie des Voies. On veut connaître. On veut toucher-connaître cette voie afin ici de (pour le coup) passer le genou, la tête, bras en fête, pieds de traîne, le cucu celte ! On est nues ! n ues de chez nues ! cul nu / Vertes ! on aime ! on aime (grave) être nues , et tracer de base vers, .................................................................................. au large, ................................. la mer .............................. lezs vagues ................................... vagues vagues .................................. vaguement nacrées comme qui dirait ....................... et autres traits lactés il semblerait ................... mer de lait ? ................... laiot de mèrehâlée ? ............................................................................. on ne sait ! ................................ on cherche , on recherche, on s'emploie de base à ici chercher (en vrai) ce qui est qui est, en termes de ............ "néné des nénés" et autres termes ............... termes de traits .......... traits fermes et autres traits post-cimetière des données en herbe ! ça le fait ! on est ELLES ........ CELLES QUI ............ CELLES-LÀ QUI, DE FAIT .............. SAVENT TRACER-TRAQUER .......... LE VERBE ËZTRE ............... EN SES MULTIPLES CONJUGALITÉS VERTES ! ........ OU QUOI OU QU'EST-CE EN VRAI ? CAR, .......... le Passé est dit Passé car il est Pas assez Pour ainsi dire. Pas a sserz "vivant" aux yeux du premier rang ! On veut.......... eh bé oui ........ toucgher de chez toucher ...... le sang ......... les données ancrées (et encrées) dans le sang ................................... fluides alloués ! teraits tracés ! vélléités ! On veut :
tracer tracer tracer tracer
creuser creuser creuser
dire dire dire le vrai
charger = donner = faire = aller,
sur son petit baudet, à la recherche de la Vérité ou Vérité Vraie des DonnéesUltimes , genrre ........... frise ! frise du Rire ça défrise ! hé ! qui sait ? on veut ..... et toucher et dire = toucher-dire .... le Passé du Rire = LAIT ! lait trait ! trait de lait tombant pile en ce gosier ! on veut téter ! creuser d'un trait le SEin donné = tracer = boire = chzrarger = vivre vite .... ces donées dites "de frise" et autres "parades vites". On veuut :
faire -toucher et toucher-faire, les données du verbe . Allouer à une Sommité des Termes, les dites "4 Vérités" du Verbe. Que sont -elles ? eh bien ......... on diraiot ........ on se laisserait en vrai aller à penser .................. que de fait ................. les Vérités ici relatées .............. 4 Vérités ............................ sont celles qui ; en fait ; concerneraient de près ............ le pré ! l'herbe ! l'herbe verte post -mur d'entrée ! herbe)-verbe au débotté ! et autres traits des traits alloués à un pré, en termes de ............ brins des brins ............. d'herbe-verbe tracée ........ Un pré est un pré .................. = pré cendré ................................ pré-tracé des Finalités post-muret ........................... une av$cancée verte ................ un avant-scène (une?) et voilà le fait ! On veut toucher , soit creuser, la terre cendrée et du coup cerner;, cerner -tracer les données de fait les plus actuelles concernant le VErbe , ce qu'il est , en termes de données certainesz ! On cherche ! on avance "ensembkle". On est "de la bande". On est grave ensembkle (ailées) ... "de la bande". On veut .......... toucgher toucher toucher à ce qui est devant, qui ......... nous ressemble ? nous ressembleraient, partant ! nous regarderait et nous ressembklerait, qui sait ? On veut : dire de chez dire nottre sentiment, et ainsi fait, l'écrire noir sur blanc sur pareille "frise du firmament" ..... Charme d'Ambre ! un parent / une parente ! on entre ! on veut ici et là comprendre le Tourment, Tourbillon de base, le sel de sa Racde ou comment (comment ça) de face, la Paroi, soit l'Étrange Voix ... des Chants de la Rage ! On cherche ensembke : née ! deux ailes de trait comme qyui dirait et ça serait
ce qui nous distingue, en termes de traits . On veut :
dire et toucher
cerner dur, co:mprendre le mur
les données de base
le Passé est une Entité
Il s'agit de le comprendre .... à jamais, via ...... le Passé ! le Passé réitéré ... en face, tracé. On est née fée comme à la parade. On voulait toucher à une bête sage ("bison des fées") nous voilà comme décentrée, décalée voire écartée , qui ne pouvons en vrai ...... toucher de chrz toucher, à cette (donc) bête de base, bête-trait ou bête de trait.... qui nous regarde ! Mèfle , ça fait suer, qu'on ne puisse en vrai la toucher , la rtoucher en vrai, juste la toucher pour (de fait) nous rendre à l'évidence que , en vrai , la Bête de La Roche Haute est bête de Trait, dite .... pré-porte, enclavée, comme "emmurée" en cette Contrée de la Dite "Roche De Grotte". On veut / voudrait cerner la chose et cela à jamais car voilà.... on est montée ! on a volé ! on a volé haut ! haute porte ... des données hautes ! On veut / voudrait de fait, cerner pareils faits qui nous sezraient montrés une fois passée ... ou : le nez (la tête ?) passé (et passée ) ? On est BHête de TRAit / fée ............................. bête (à deux têtes) de trait. On est fée ailée (deux ailes) / bête de trait (deux têtes) .... ça le fait de fait ! on est ailée , .... sur Passé Tracé derrière .......... derrière pareil muret .............. qui nous fait fête ............ sous le nez ! tracé-né la mort dépassée, archivée, entérinée. On veut grave ensemble dire, dire-cerbner, les données du Rire tel que trimballé de l'autre côté on dirait. On veut / on voudrait ........................................ de fait ................................. cpomprendre ce Rire ............................... toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchercvtoucher touchger topucher toucher toucher toucher vtoucher toucher toucher touchervtoucher rtoucher toucher toucher toucher toucherv touchervtouchertopuchervctouchervtoucher trouchervtoucherctoucherctoucher touchervtouycherctouchervctrouchercvtouchervctoucherctoucherctoucherctroucherctoucher troucherctouchervtouchercvtoucher touycher toychercvtouycherctoucxhervtouycherctouycherctoucherctoucherctoucxherctoucherctoucherctouchercvtouycherctoucherctoucherctyouchercyoucgherctoychercvtouycherctouycherctyoucherctouycherctouycherctoycherctouychercvtoycherctoucherctoychervctoycherctouycgerctouychervtoychercvtoucgherttctouchervtouycher touycher croucher touycherctoucherctouchervtouychervtouchertoucherctouchertvtouycherctoucherfctouycher touychercrtouycherctoucher troucherctoucherc toucher toucherc tyoucherctoucgerrtiyupouycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucherctoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher touchervtoucher toucher toucher toucdher toucher toucher toucher toucherv toucher touycher toucher à ce qui est qui en cvrai nous "regardre" ou nous "regardeeait" (depuis la mort) en face ! Mort de base = l'après-mort ? ce qui se passe ou se présente "après la mort", en termes de Parade , de Passage, de TRaces, de Dires de Rage. Post-pré = les contrées situées derrière le muret = hors du pré ! des données prairilaes . On veut :
toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher = faire toc ! sur Passé post-roche ! haute Porte ! traverser le gué, nous faufiler, niouys immiscer traquet-traquet et du coup passer vers ..... ledit Paszé aux Nénés A imés . Plein de LAit ! hé ! et téter ! téter = toucher, forcé ! on ne peut de fait téter sans toucher, voilà l'acmé ! Si vous voulez en vrai ou pour de vrai téter (téter du lait) vous devez, IMMANQUABLEMENT, toucher ce Néné dit "Néné des Nénés" du Dire ... Alloué au lait ! verbe de trait (pour ainsi dire) . Lait-Verbe vrai dxes données ultimes (post-pré = post -muret = post-herbves cendrées ) . On veut creuser d'un trait (d(un trait d'un seul !) la Chyarge Sacrée = le Passé re-né, lait de frai, Haute Parole des Données Profondes ................ on vouydrait / on veut ..... eh bé oui tracer ou même : creuser , un fossé, une tombe, trou de basse-fosse oùu de fait pouvoir , ainsi ailée, eh bé non ................................. pas du tout du tout s'y enterrer mais pouvoir depuis lui s'envoler = prendre envol de fée ;;;;; Aller de chez aller vers Ciel Étoilé aux données hautes , hors tombe ! hors tracé de poste pour Éternité terrée. On ne veut pas (jamais!) se mettre ainsi collée à une roche -tombemais aller, soit nous envoler, faire ainsi tracé, de Termes Alloués à une sorte de Montée des MOntées accortes .......................... multiplicité des données de roche, tri, portes hautes soiht portes de Coche ! à toucher dès lors , = toquer ! On veut (on voudrait) aller, situer, faire , donner, sentir, vibrer, charger, soulever de près, consentir à ici cerner (en cvrai) les données dernières, qui seraient ........... premières ! une absurdité ? théatre de fées ? on cherche ! on est njée fée pour aller de fait commùe rechezrcher (chercher) un terme : finalité et verbe ! Le tracé tracé ! la charge fondée ! le creuset ! le Chrême, Carême, Quarantaine ! trait des traits du PAssé-dondaine ! le Passdé du Trait est une sorte de Donnée de Bière ............ mais sans bière ! étrangeté ! trait des traits : poème ? on le saurait ! On veut cocher = cerner, = dire = faire = vivre ................................... tout un tas de choses vives ! LA toundra, LA p aroi, LA roche de Haute-Voix, LA parade des Voix et autres Chants de l'au-delà ! l'entre-soi de l'antre à soi ! PARADI DE RAGe ! passoire ! On entre ! on est fée d'a
mbre . Une âme ? Soi de rage ? poids ? bête-poids squr pré de branche ? Une sorte de Passe-voie ? d'aide au passage ? passe-trace ? On entre. On veut comprendre = dire = aller = chercher = passer ...................... le passé de L''Hydre ........... ainsi rencontrée . Une sorte de PAssé du Rire (gros rire) déclamé .... et ce vserait le Rire ici alloué à une sorte de Contrée Traquée ...... post-pré .................. au lait donné .................... une coulée ou même giclée de lait de trait ! lait non -écrémé d'un sein de ......... fée des fées ? on ne sait ! à qui ce sein est, que nous ne saurioons voir ! qui connaît ? qui connaiît son fait ? la chose nacrée, lait de trait post-muret et nous (fées ailées) nous serions rassasiées pour ainsi dire .... à tout jamais ? on est La Fée au Lait, du fait (ou de ce fait) et on est ELLES ................ELLES DONN2ES ...................................................ELLES = DES DONNÉES, DES DONNÉES EN VRAI À EXPLORER, À CONSIDÉRER, DONNÉES PREMIÈRES, DONNÉES-VERBE . On est Fée-donnée, ou alors ... donnée des données / fée ? O,n est sur pied prête à nous envoler jusqu'au-delà de l'herbe szoit du cimetière ! merde ! on aime voler ! pourquoi en vrai on s'en priverait ! on aime grave aller, monter, cerner, chercher, comprendre, soulever néné, le bien situer / placer , entre nos lèvres (balbutiantes) de bébé ailé , ange posté, angelot post-pré, angelote allouée à une sorte de Néné de POche , POche Haute = VEntre d'Ambre , Porte (de La mort Haute) "seconde" .................... xweconde des secondes ............................................... sous le vent de roche ................................................................................................soit : La mort morte ? = VIE = re-vie ? ................../....................................... re ...................................................................... re- le feu /.........................re l'envie ....................... re le noeud des données rudes et du coup l'aventure , ici, d'une vie "d'allure" ............................... huuuuu ! ........................................ huuuu coco de bure ! ........................................ huuuuuuuuuu l'a:mi ! .......................... vibre ! court ! monte ! saute ! va ! charge ! foncxe dans le tas de ladite bande et charge , sur paroi, ta flalmmme ! on y croit ! on y croit ensemble ! =
AILES de TRAIT ! tayaut ! ambre ! boyau ! charge mentale ! trait de faux ! porte sarde ! on entre ..................................................................... on est "ensemble" un couple de ch arges .................................. charges d'âmes ................................... vie , ......................................... vile vie ,........................... vie vile ............................................... assoupie ................................ envie vive de vies viles ......................................... pour la vie ! ........../................................................... ambre ......... âme ............. antre ............... ancre ............... arme .................. astre ..................... lait des fées à devoir téter le mur passé, à savoir ici : ce tracé = paradis centré ! ....................................... chgarger = donner = faire = dire = allouer à une Entité genre D2ité (MORT OLÉ OLÉ) la Parole Haute de La Fée de ROche + le Verbe tr acé, ancré, in-cul-qué en cette sorte ( en soi ) de poche de Roche .......... foi ! FOI ou foie ! .................. on monte ! on remonte ! on veut de fait aller sur roche (ici) creuser les tr&its .......... d'une sorte de donnée de fait, donnée docte, qui dirait en vréi ce qui (sur la mort : dessus) est, qui nous apparaitrarit si on poiuvait comme qui dirait traverser pour de vraéi le muret des murets , celui des fins de pré (pré = p aradis) et qui nhous est donné à (en fait) mater de chez m ater, pour y trouver .............. eh bé ............. pâr où nous .......... nous infiltrer ...... passzr ................ passer de biais ou pas de biais mais, en vrai, ................ treaverser de chez travezrser ....... afin de gagner ......... lA rive Finale, le Passé initial ? le dit post-pré aux données "cruciales" ........... CHANCE ..................... CHANCE-TRANSE ................. CHANCEDES ANTRES ................. et du coup comprendre (à jamais ?) ce que la Chance ici reprrésente, en termes de données centrales, patentes , patentes et ancestrales, à devoir cerner et deécortiquer, qui sait ? par la bande ...... ça se pourrazit ! On c
herche ensemble (ensemble = ailée ) à du cfoup .... cerner = détourrer ........ le Passé de CHambre, Musique -née, musicalité des données lactées (?) : la transe ? on veut téter-aimer, charger de lait notre (sorte de) "panse des données", et se requinquer sans plus tarder car, ............. la faim tenaille, qui nous fait crier, hurler, pleurer comme jamais ! et du coup ................... perler, suer, rougir, nous époumoner ............. nous faire envahir ! Car, de fait, bébé né post-pré, on sait grave criezr-hurler, nous imposer ! On est l'affamée-fée des données dernières (situées) en herbe postherbe. On veut grave eh bé téter c'est vrai ! du coup : hurlements de loup / louve ! le Passé armé ! La roche traversée ! KLe pasdsé est du dire-né, genre VErbe de treait, Verbe-herbe (?) consacrée = saluée par (on dirait) l'Être aux tracés de bêtes b(bêtes-traits ou de trait) sur pierre. On veut / on voudrait........................... aimer l'herbe à jamais : creuser ! brouter sur pré.... nhe plus s'en éloigner , ou : ne plus s'éloigner "pour de vrai" , de ce pré aux herbes vertes . Mais : toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher = brouter broutezr brouter brouter brouter brouter brouter briouter brouter brouter brouter brouter ... herbe du pré "centenaire" ou "multi-centenaire" ..../ "millénaire" ? multi-millénaire" ? c'est possiblement vrai ! car , lo'herbe, l'herbe verte, l'herbe-verbe , est ......................... tagadagada ........................ roulements des voix .................................................................................................................................................. : verbe -voix ................................. dite "de l'Au-Delà" ...................................... dsorte de "tralala" incommensurable et même indéfinissable car, voilà, le VErbe-Voix (venant de l'au)-delà) est cette trace sur oparoi , que l'homme / femme , la femme/ homme des PArois, cxharge (de Soi ) ;;;;;;;;;;;............................................ et (pouyr ainsi dire) "envoie ,...... adresse , .................. poste là : paroi de Soi .................................. vers ELLE .....................................................................aILE ......................................AILES DES AILES ................................................. "tralala", des re-naissances post paroi, et même au-delà, post paroi paradisuaque = toundra ? post-toundra ? post-transe ? post-vacxances ? On entre en cetantre des données de Rage, Rage en soi, et ........... on en avance .......... on trace grave ! on veut : comprendre-espérer, dire-saluer, charger-visiter, poussser-convaindcre, saturer de traits les données en herbe, traits de vfée, traits d'herbe, herbe des données en herbe. Le Passé est une dr
ôle de "contrée déserte ", ...... qui serait .......... Mer / mère ? le Pasdsé ancré , ainsi déplissé : vaguelettes, sur poste à galette ! le Passé Ancré ancré en ces contrées de ..... HOMMelette/ FEMMElette, aux données de trait : somme rondelette : Un passé craché ! traits ! traits ancrés ! masques de fée ! On veut (on voudrait) :
toucher de chez toucxher
cerner dev chez cerner
creuser de chrz creuser
aller de chez aller
porter de chez porter
dire de chez dire
sonder devchez sonder
poussser de chez poussser
comprendre de chez comprendre
centerr de chez centrer
connaître de chez connaître
combler de chez combler
vouloir de chez vouloir
ancrer de chz abncrer
jouer de chez jouer
téter de chez téter pareils nénés ici alloués à une Déité dont le nom est
MÈRE HATURELLE (!!!!!!!!!!!) À JAMAIS ! on cherche ! ion veut creuser
de chez creuser(, pareils traits de "terre" et autres tracés comme sillonnées . on est la Fée post-tarentelle, hors pré, passée des sentiers, de l'autree côté enfin arrivée. Qui tête ! tète que rtu tèteras, ce lait de mère amer ....... ou pas, selon l'état. On est fée des Fées ainsi allouée à une qsorte de contrée (dite "du Passé") hors cimetière: retournée à Mère ! on croit rêver mais on ne rêve pas, le lait est là, faisant foi ! qui nous désaltère, nous rend gaie, altière, première de cordée, fière, très. On est : fée des Fées sur Herbe verte puis ......... le bébé des Bébés qui sait, saurait, saura, ce qui est de ...... là = l'au-delà = post-paroi, post-cimetière, post-mort de soi ............ la crème légère, loi des lois. On voit ça : la panse, pis entier, à pouvgoir téter, y aller de son envolée et du coup grave attrapper et dès loçrs téter (en vrai) sans s'en éloigner car, de fait, le pis est "pis de base" qui, pour nous, nous charme,
nous fait grave aimer le trait, la cxharge de rage, le Passé de Trait = CXance allouée ... à une sorte de Donnée de Charme ....................... Déité Ancrée ................ mais qui c'est en vrai ??????.?.?.?????????????? qui donc en vrai est cette
"Déoité attenante" au "Passé de Trait " ???????????????? oh, comme on voudrait (de base) comprendre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! toucxher toucxher toucxher à pareille Donnée "autoportée" !!!!!!!!!!!!!! et, de fait, cerner-centrer, cerner-chezrcher, charger-centrer etc., le dire touché ou qui de quoi ! quoi là, qui , pour nous, serait "LE CLOU" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! mais où , où est donc ce ........ clou fou ? On cherche sévère ! grave on cherche sévèreb ! on est dingue à l a recherche ! on veut / on voudrait ! On ne s'en laisse pas (plus) conter depuis ......... une éternité ! mais jamais , jamais en vrai on s'y reconnaît ! on est comme "blousée" ! grave "blousée" , qui cherche sans se relâcher mais jamais n'atteint, post-pré, les contrées de Mère, l'altitude (ici) de Porte haute ........ longitude et latitude de la Mort Forte. On est fée-mesure, calme et usure. On veut :
aller ................................................... creuser ................................ porter ..................................................................... dire et sonder ........................ poussserr le dire vers ... l'au-delà en vrai du rire alloué à une Sommité ici genrée ............ mais est-ce vrai .......... ? .................. c'est-à-dire : est-ce que le genre ici attribué à cette Sommité (boeuf musqué, buffle au taquet......) est vraiment le fait ? genre consacré, genre vraiment vrai ou comme avéré à tout jamais ? On n'en est pas sûre ! On veut toucher , ou on veut bien toucher, mais (de fait) le genre donné (dit "donné") est ........ un luxe ! parure ! ornements d'allure ! bure ? oh, en vrai, on ne sait , mais les choses sont, qui (pour le couop) nous échappent grave (soucvent) et nhous laissent en carafe (ronds de flan !). On est nues !
On porte parole des nues ! On veut :
allouer à une roche, la bonne parole du cru ! et du coup :
être mai^tre / maîtresse, des données de l'herbeb = le Passé tracé ..... au-delà du trait .................................. ainsi poussé ! et nous (fée) de nouds y coltiner sans traîner car, on aime tracer ! filer ! voler ! foncer ! pistonner ! prendre de la vitesse ! nhe pas s'en faire ! ne pax s'en laiiszr conter mais tracer, tracer vrai de chrz tracer vrai, du .... verbe d'herbe (verbe en herbe) sur pré .... jusqu'aux dits Nénéds "du terme" ! date-clé ! date des dernières règles ainsi disposées permettant cde fait le calcul du Terme = le Passé tracé , chant de Poste, villosités dites "de porte", HOMBRE PORT-ÉE ..... HAUTE ! , car, on est .... fée, de l'ambre aimée, fée des fées saluées, charge haute des hautes contrées, pertes de poche, le passé comme en ligne de (roche -)mire des données ! On monte. On veut / on voudrait (ici et là) aller creuser .... ce qui devant soi se montre, en termes de .... nénés nhés, post-pré, pour notre
(sorte de ) goucverne, allouée à
(sortede ) recherche ancrée, recherche de termes. Qui est qui, en c ette contrée. Qu'est-ce qu'on sait du Verbe ËTRE.Que penser d'une "remontée" sur une roche à traits, vers .... du V Erbe. Que dire des traitsz. Que penser du foyer. qu'rst-ce que c'est que ce tracé de Verbe au-delà des traitsc .............. du Lait ? du bon lait de Ferme ? lait entier ? verbe)-lait comme s'il en pissait directement en nos gosiers ? On cherche ! on veut /.......................................................................................................................... touchefr -dire ........................................ dire-toucher .............. les données du rire ,
RIRE OLÉ OLÉ DES DONNÉES DU "VIVRE" SUR RIVE ALLOUÉE À UNE SORTE DE PASSÉ DE FRISE . et, qu'est-ce que c'est que ce .... "passé de frise" ? eh bien ..... on dirait ....... que ce Rire, est une sorte de donnée, telle que, en vrai, de fait, en défintivee, il semblerait, ....................................................... on ne puyisse pas, pour vivre , se passer ................. = rire ancré .............................................. incorporreé .............. pôur pouvoir en vrai continuer de chez continuer à vivre "en société" ;................... rire-vivres (offrandes divihnes) qui sait ! on est féenée , on est entrée, on est allouée à un pré (u n temps) puis voilà ;;;;; on traverse, la dite "p aroi finale" ou "paroi des parois", on charge "ensemble", on y va car on y croit , et là ............. paf ! ........................ dans le tas ! ................................................................................ lait de l'au-delà ...............ÉTOILE DES ROIS ET REINES RARES ............................... voix des voix ........... ça "parle" ................................ça "dit" drôle, des choses, ombres ..................................... voix doctesc.................................... chants de voix hautes ................................................................. on est pour ainsi dire sous contrôle ............ d'une voix de ronde ............................................................................. chants doctes, chants de Roi / RTeines à voix, chants de porte, chansonettes "roses" ................................................ post-paroi et au-delà ! ............... le chant vient (viendrait) de là = ....................... soit d'une sorte d'au-delà ............................... pôst-parade animale, post dessin de carne, post-mur de rage, post-oléo-ducs et duchesses-traces ......... sang des voix ............ charges ! charges ! chatrges ! tchat ! On entre ! On veut de fait ensembvke se trouver (de rage) sur faîtage ............. et , voir ! voir, au loin, les lointains, mer plane, vagues, vagues sages, mer acidulée, charmes matés , tracés-nés , allures des traits ......................... vues sur le Passé ! oh, ça le ferait ! qui sait ? On veut ................................................................................. toucgher toucxher toucher à ce Néné, des dOnnées "divines" , vives, à téter d'un trait , on diraéit. Quyi connaît le Titre, ici, de ce ... heu ... filmm (?) projeté .... au ciné des fées (?) ? oh"é ! On est montéesv ........................................................................ hautescx................................. haut ...................................... hauts des Animaux ...............Animaux de ROCHE .................Porte / Tonneau / Niveau ./............................... coprps de mots nouveaux ................ tout en haut des Hauts ................................ à la porte du Tonneau ................ sorte de poteau , qui dirait la Chose........................................................................................................... mot ........................... mot de trop .................. nom ...................... nom gros ou ............................. gros mot ................................................... le plus gros ................. mais quel est le (ou ce) mot, le plus gros de fait ? ........................ quel est donc de fait le mot dit " le plus gros" ? .?.......................... le plus gros des mots .../ ? ..................... quel est-il de fait ? .........................Mot-gros des mots-gros ........................ quel est-ce ? .............................................................................. meu ........... meu meu ........................ meu des meumeu des meus de la ....................................... mort ? ..................................... meu-mort ? .................................. ................................................................................................................ on veut / on voudrait (grave) comprendre (ici et là, sur roche) ce qui est qu'on voit = la poche ? une sorte de Poche de VOix ............................................................... qu'est-ce que c'est que ça ? ................ poche... des voix de Soi ? .............. honte ! honte sur Roche ! voix de honte ! tralala là qui (en soi) ne nous faisait pas honte, jusque là , mais .... sorti de soi : la honte ! honte des hontes ! on sait ça ! on est gros / grosse de ça, Honte sur soi , Chose Profonde, POrte Close ... sur l'en-soi des VOix de Roche ! Haute Honte ! on monte ! on veut, parce que voilà, dire-faire ça, ce genre de tracé-là, sur roche aux Voix, afin cde comprendre , dans ses grandes lignes et/ou grandes largeurs, ce qui ici (en soi) nous attire
en ce sas de base dont le nom, pour le coup , est ....
Base ! Base Rase ! Base des Bases ! cou caillou genou ! sorte de .... passage vers ...... une sorte ici de donnée verte, ...... Herbe ? Herbe ... de Prairie VErte" ? Peut-êttre . On pourrait en vrai, en effet, le penser et s'y fier, qui sait ? On est née fée, on devient .................. autre , la Porte (Haute) ainsi passée vers ....... du PAssé de trait ! dingue ! dingue c'est ! car, Autre on naît, la porte passée ! plus (du tou ?) fée mais ce Bébé de POche, bien hjouflu dodu, Bébé docdte, de parole et autres, paroles donnéeqs, verbalisées en ses quartiers. On est re-nées hé hé ! le muret passé, on re-naît Vraie ! Vérité ! Vérité allouée à une sorte (decvant !!!) de Passé Monstre .... THE PASSÉ DES TRAITS ........ une sorte de Passé de POche comme qui dirait, mais ici la Poche = l'outre des Données, des Données rondes ! une qsorte d'enveloppe "haute", portée, soulevée et trimballée,
de laquelle de fait , un jour, on pourra sortir, sortir sans frais,
de laquelle on pourra, un jour, aussi, parler, parler à qui de droit ........ tout là-b as ........... : fin de paroi ! Peut-êtrte pas, mais voilà : on monte. On creuse la Rocxhe. On envoie de soi. On est là Hautes Voix (voix de Porte) pour ça, charger docte (dans le xsang) les "parolres dees mortes """""""""", "mortesconsacrées " = maternisées ? on ne sait ! on est passée ! on a traversé de chez traversé et nous voilà en ces contrées comme adoubée par une sorte de D2ité dont le nom (petit nom) est ... "Mort dorée" .... hé, qui sait ? ça se pourrait , q'uen vrai en effet ........... la mort soit dorée ! une sorte de Donnée Dorée qui nhous éclairerait (à profusion ?) de ses doux (durs ?) rayonsz comme tracés sur .................... un vallon ? un nouveauu pont ? une sorte de Ballon de Roche ? "Mamá montón" ? ... tas d'ors ? On veut = on voudrait .... à jamais ! On est : traits, traits de fée, traits alloués à une fée dite "des fées". On veut : creuser = creuser = creuser = dire ................... au plus près, ce qui est, ce qui est pour soi (pour nous) la Donnée de Base = le Passé Notoire ? On y va ! on enttre ! on veut grave ça : trouer la paroi et nous rendre "ma foi" qsans plus de jérémiades .... au plus loin possible ....... sur prairie aux filtres .......... tout là-b as .......... la Chance ............ transe et sabbah ............. creuser de chez creuser la "Panse" ........ = ce "muret des Charmes" ............ vers Néné ! bnéné des Nénés ! on y croit "ensembkle", car, voilà : soi = deux ! on est "deux" en Soi = deux feux ! deux dieu/ déesess tendres ! On est ailées et de ce fait ............................./........ DEUX ! DEUX AILES DE FEU ! on entre .... à deux ! en ce territoirev aux données "immenses". On veut (on voudrait !) comprendre = situer, de près, ce qui est, qui en vrai (de fait) se trame ou tramezrait dans les p arages. Devons-nbous téter de base ? devons-nous de fait retrouver le lait, lait entier, de mère vraie ? doit-on toucxher à ce Néné ... des Données DErnières (en vrai : premières) ? Qui connaît (qui a) la clé ? qui sait ? qui comprend les donnéess de Rage, donnéesz de lA Rage ? qui sait de fait ce qui ici est qui nous enveloppe de ses dires ancrés ? Qui est en nous "derrière" nous, en termes de ..... fée ?. lait ? trait ? On ne sait ! on ne lâche pas (plus). On y croit (ddur) . On a la Foi ! on entre ! diantre ! ça envoie ! odeur de soi ? on est ........................ sub de chez sub
-mergée ?
-juguée ?
peut-être -juguée en effet ! On voit ! on voit là la Roche passée la sorte de ....... voie ? Voie tracée ? voie des v oies tracées ? allouée à une sorte de donnée lactée ..... dès lors : voie lactée ? ciel de traits ? ceiel en herbe ? on est née fée des fées sur pré, post paroi gravée (paroi néandertalienne) et à présent ..... eh bé voilà , voilà en vrai les ditezsc données telles que représentées en ce ciel des traits , ciel doré ! chapiteau des mots ! signes ancrés à savoir déchiffrer comme qui dirait ! trot ! galop ! galop des mots de trop = bêtes-mots .... de type : bêtes proches ! On monte ! On est haute. On est sur les hauts à mater les mots (bêtes-mots) .On monte haut. Au plus haut niveau de la grotte , crotte ! On est comme ....................... touchée ............................ émotionnée ................................................. sensibilsée ................................................................. émue de chez émue, à jamais ................., car voilà la Voie, ................ porte haute ....... voie ......../ porte des portes ....... voie de l'au)-delà à la paroi ......... voie haute ........ porte des voies hautes ...../..... haute voie de l'au-delà à la paroi haute, et "hot" .................. voie des voies des tas ........... tas des tas des os de roche ....../.............................................. nécropole haute ..................... , voie haute ............... et haute voix .................................... voix de roche ..................... croix ! ............... croix des croix ! ................. vin de roche et autres vins de porte ................./....................................... Le passé faisant foi, on monte ! ......... vers la Roche-Porte....................... d'une sorte de Paroi de grotte, genre .........,ça .............................. l'ombre ! l'ombre de Soi ?
2/3/2025
On mate ! on mate grave ! on veut grave ensemble mater ! on veut ensemble voir au plus près les données rupestres , et, au-fdelà, le pré, le passage cendré , les données (frontales) d'un muret
de bout de Roche. Qui on est ? on est .... eh bé les F2es du "Territoire Alloueé" = la prairie Cernée à l'herbe attitrée et autres faits ddes zones aux bêtes -monde. On veut toucher à ce qui est, ici, qui se montre =
Le Passé ... le Passé d'époque ! La Xhose ! On est née Fée ensemble ailé ! On veut toucher à ce muret de fin de pré et du coup passer .... traverser l'ultime rocher, creuser de chez creuser afin de , pour le coup, passer tête et cou, les ailes, les gambettes, t tout un tout, etdu coup ... eh bé oui !! mater de chez mater le Tertre ! Ici même !
on est née Fée et on traverse et on regarde "ensemble" la Comète = le Passé post-herbe ! hé hé ! on y est ! on le voulait. on (ensemble) grave voulions, ici même (territoirtee de lacMort en herbe) y alleller et du coup mater /.... mater = colmater ! L Le Passé &ux Nénés ! soit ....... Le lait : le téter ! Car voilà, on est F2e du Pré qui aimons, ou qui aime le lait, lait post herbe comme qui diréit, car , pour qu'il y ait du lait il nous faut ou il y faut de l'herbe c'est un fait ! soit : du Verbe ... aux données célestes ! On dirait c'est vrai ! on dirait du Verbe, des données du Rêve et autres vents Célèbres. On cherche ! On veut trouver ! on veut grave en vrai trouver de chez trouver quelque chose des traits ... qui serait .... cette chose du VErbe en fait alloué à une sorte de donnée Céleste = le Passé ! Car, le passé est né "APRÈS" .... après ce qui de fait se présenterait la mort donnée.
On est née Fée sur herbe et nous voilà comme passé dns un passé post-cimetière aux données célestes, de type ... VERbe à traitsz ! On cherche ! On veut trouver un certain nombre de données "sévères", tracer, creuser, poussser, aller au plus près et essayer ensembvle (NOUS) de repérer ici et là, le muret passé, un certain nombre de données de poids qui szoient données ... fiables et graves, graves et fiabkles ,
données de Joie, tracés fermes, TRalalas Tenaces, VEnts de face et autres dits ... d'effroi, mais qui peut-être "ne le fassent pas" car voilà, on veut passer (de Fait) la Rage ... sans pleurer, sans être trop importunées, en toute candeur post-pré, chercher moussse, fleurs, vents dou!x et autres caresses sur le cou .... grave entrer (nous) dans le doux ! On voudrait (en vrai) en tant que F2e , aller, cerner, toucghhher , sans plus que ça (de fait) en baver car voilà, on est Fée ... aimant le tpoucher doux, carresesx sur genoux, douces frôléisons des joues et autres bises sr cou mais ... sans secousses , sans pousse-tombe sur pont d'ombre. On veut :
dire et donner
donner et dire
ce qui est qui est , les tra cés
dee Buffle sur Pré, les sorties de bure, le tracé ancré nacré, la CHoseRude, don donné, porte allouée, on veut toucher à ce Néné post-pré, qyui est ... eh biennous dirons "Le Néné du PAssé " s'il en est , qui sait ? On cherche haut : oN veut ensemble aller très haut, toucher à cette sorte de N2né des Hauts, qui ici sqerait ... cette (Sorte de) DOn dev Lait , aux données ancrées, données doctes de fait et telles qu'en vfzai, les touchant, les voyant, les cernant, nous serions comme ensembke informées de ce qui est .... aprsès la mort ! Car, la mort, la mort allouée au passé, est Mort comme constituée de DOctes DOnnées telles qu'en vrai on pourrrait les toucgher, les prendre comme qui dirait ... de près, e,n nos bras tout serrés, enlacés autour, ou ... comment ? en nos bras mis sur pieds ? hum ... non ! Alors peuettre .... accolées ? on cherche ! On veut toucgher à ce Passé dit "du Néné" car, lE p assé est, dudit Lait, Le Fait ! Il est né LAIT ! IL est du LAit de fait ! Il est LAit alloué à une dsorte en soi de D2ité des D2ités comme on voudrait en vrai les approcher. oN veut :
creusqer creuser creuser , la chose enterrée. Et trouver (du coup) le bout, le tra&cé debout, la chose Haute qui, ici, devant nous, se montrrezrait ... "Comme". On veut:
dire, sonder, poussser, souder, creuser, aller, faire, chercher ici et là les données de Terrre, porter loin le VErbe ... dev lk'autre côté , et du coup tracer, creuser-tracer = dire-faire et aller, aller loin post -cimetière vers les Traits ou TRaits des TRaiots qui sont TRaits de Mère = Nénés ! Lait d'herbe , lait des Laits post-herbe ainsi constitué = consacré = fermenté ! On veut de fait tracer de chez tracer quelque chose en vrai qui puiszse le faire, et du coup alloiuer à du Verbe tracé un ertain nombre de données en rai, genre vériotés, vérités post-pré = verbe Vrai, Don de Lait, porte Ouvertes et autres invitation-colère ! On cherche à cerner ! on voudrait trouver ! On est née Fée au Passage CEndré, nous voilà comme "relevée" prête à , du coup, toucher-toucher devant nous lo"a Tête, les genoux, les Nénés Doux, lait de Mère à nous ! la bière ! sein post-herbe comme un don aux lèvres ! On est :
vivces de chez vives, ivres de chyez ivres, d'un dire qui est ... ;lAit de Tire ! le Passé du VIvre ! l'envolée native ! On est ...................................................................... fée ...................... vfée ailée ....................................... fée tracée ............................................ on voudrait en vrai grave toucher, à ce N2né ... du DIre Fou, le toucher de près = "l'embrasser" comme qyui dirait = téter ! téter dur ! ne plus s'arrêter ! téter téter téter ! et du coup (comme) nous (se ) rasssasier de lait et pouvoir ainsi, tout tranquillement, se poser, respirer, se délassser, digérer le Vrai des données Acides,. alller vivre ainsi sur post-pré des Vivres. toucher, creuser, faire et donner, sonder-vibrer, aller-cerner, faire ainsi post-pré
les recherches avides telles que dénommées, les poursuivre et les creuser, les suivre de près ou ... comment dire ? rechercher = faire tracé ! Dire = sonder ! On est la Fée des Données Vives, telles que des
tracés sous dictée le dire Alloué à une sorte de .... pAssé du Vivre ! le Passé du Dit, du VERbe Dit, des Mots-bêtes du TRi. On est née F2e le mur du Son passé, on veut en vrai creuser ensembvle ..... le pré = tracer ! courir ! vibrer ! nous envoler, chercher de chez chercher à nous téléporter ici ou là en ce Passé, des Dires CRe"usés ! qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est que le dire creusé " ? Eh bien, le "Dire Creuséé" est :
du Dire post-pré, Lait comme alloué, lait de N2né du Vivre , Lait des Laits. Le passé est du passé de Lait ! On veut :
toucher de chez touchezr
dire de chez dire
creuser de chez creuser
faire de chez faire
aller de chez aller
fonder de chez fonder
donner de chez donner
poussser de cyez pousser
combler de chez combler et peu-être, aussi, ensemble (un ensemble d'ailes) toucher à ce qui est ici, qui ... se soulève = des "paerties" ... de Mère ! on cherche ! on est née fée à la retombée il swemblerait, on veut toucher à ces nénés de mère, en vrai ealloués à une sorte de ...
passé pôst-cimetière,
retour de manivelle !
On creuse sur terre, on est Fée sondeuses,creuseuses, cxhercheuses de ... Verbe ds'Herbe ! On veut toucher à ce qui est qui devant nous (hauteur de genoux) semblerait vouloiur comme nous dire (en particulier)une chose de Porte, une Chose Grosse, Vérité de Roche, et cette V2r(ité, ainsi déssinée , serait V2rité telle que nous (fées des prés) on pouvait en rêzver depuis de longues années. On veut toucgher-rêver, soittoucher-aimer, soit touchger-creuser, creuser de chez creuser, le Verbe ! ainsi fait ! et, /......................................... aller aller aller ainsi ailée jusqu'au bout du
"Tracé aux fées" (dit "Tracés aux fées") qui estici (pour nous) le Sentier Alloué par lequel passer ou devoir passer pour de féit atteindre ... le Passé Donné, Passé Frais, Vrai Passé post-cimetière, retour éternel ! On aime ! on est née Fée pour une 2tezrnité de données fraîches ! le passé est ainsi "touché" qui serait (est) ....... le VErbe du pré ? Verbe post -pré mais venant du pré ! On aime ! on veut creuser, dire, s-o,nnnder, chercher (grave) le dire alloué qui serait : Donnée Vive, Donnée du Dire ! On veut toucher en vrai le Passé a ux nénés et téter de chez téter le bon lait de l'hydre ! qui c'est ? qui est l'hydre ? eh bé ......... ELLE en vrai , D2ité des d2oité , Le passé ! le p assé tracé, passé cru, passé nu, passé des dires nus tels qu'aimés de visu !
On trace ! on en avance, on aime l'ambiance. On est comme venus ici exprès poiur découvrir de près ce qui est qui, de fait, semblerait, en quuelque sorte, vouloir nous .... toucher, toucher de chrz toucher = émouvoir = accaparer = manger ! Qui est là en vrai ? eh bé ................. néné ! THE néné des termes. Le pas
s
é serait du VErbe, nbous regarderait post-herbe, materait de chez ma terait sans nous lâcher, ferait grave cette sorte de "reluquade" ;;;; de la tête aux pieds ! Ne nous (jamais !) lâcgherait , qyi bnous voudrait à lui comme pour l'éternité il semblerait. On veut aller eznsemble ...... voler ! voler sur pré puis post-pré au-delà des données de trype bêtes, bêtes des prés, et creuser, creuser la murettte, le muret de Ch âsse, traverser, passerr, passer ailée, traverser "le dernier muret" , "dernière murette", aller, poussser, toucher, pointer son nez de fine Bête en cetrtte sorte de contrée des "données dernières" = le P assé ! passé "emmuré" ? qui sait ? On cherche ! grave grave gra ve on est des qui, ici (post-pré) chyerchons assidument et "religiuerseement" à "comprendre " = prendre , un grand nombre de données de base, ce qui est de fait, ce qui se présente, ce qui tremble ou tremblerait à notre passage , ici ailé, ce qui se passe ou passerait à nos côtés ....
on veut toucher,
toucher = vivre = dire.
On a (grave !) envie de, eh bé quoi ! toucher le Lait = téter ! rien que ça ! On veut grave y aller, de notre drôle de tétee, et du coup .............. nous alimenter, au bon lait des Larmes ! Le passé ! le passé de Charme ! le tracé passé ! trait des traits outrés ! on veut creuser .. une "promenade" ,; allée aux platanes, sorte de Passé De rage aux données Sages ! creuser = dire = centrer ! centrer les Données au milieu des arbres ! le Passé est né ... sur place ! rotondité nacrée ici allouée à une (sorte de)
"Parade Animale" .... pour (en vrai) , à venir, une
(sorte de) "ter aversée du Dire""" ! On veut y penser ! on veut grave cerner ! Toucher = cerner , et cer ner = dire, dire de fait, ici et là sur pré ... sur pré et au-delà, les 4 Vérités dès lors Allouées à un DIRE VRAI comme iil se pourrait. On veut vivre . Ne pas succomber ô grand jamais mais en vrai poursuivre, aller de chez aller, pousser de chyez pousser, tracer de chez tracer, continuer = dire dire dire, ce qii est qui est, données ivres d'une sorte de poussée du ... "VIvre Vite" ! Le passé ! Le passé ... outré ? le Vivre ! l'enflé ! On v eut :
dire de chez dire
creuser de chez creuser
vaincre la timidité
poser et toucher, faire et aller, pondre et mettre, souder et sonder, faire et contrefaire, voler de nos propres ailes jusqu'aux dits nénés "post-cimetières" aux données ancrées, données fermes, données allouées à une sorte (en soi) de Passé Nacré, de type .... "sperme" ? on ne sait ! on cherche ! grave de gravité ! On veut :
creuser creuser creuser , donnner donner donner, faire faire faire, dire dire diore, chercher chercher chercher , compter compter compter, scinder scinder scinder, vicvre vivre vivre, vivre vite les données du dire ivre ! et aller , en ce pré, jusqu'au boiut de l'allée, pour y rtyerouver .... eh bien .... le Passé du Vivre, ainsi Compté ! dire des do, n nées Du vivre centré ! le passé est ... vide ? vide de traits ? ou , au contreaire, empli ! comme rempli ! rempli ici de ... VErbe Né comme tracé à m ain le vée en des temps reculés (n"éandertaliens ?) ? On veut (de fait) trouver ! chercher = faire. Faire = chercher. On est née Fée un jour du mois de mai, on voulait toucher (aux nénés post-pré) et du coup téter , mais voilà, on est cdomme "tombée" (de base) sur le pré, on a chuté grave, on est passée ok mais on en est comme de fait revenue blessée, ou sinon blessée cabossée ! On veut :
dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire ici (pré) le Passé à venir = le TRacé post-pré = l'envolé .... des données creusées = l'IRE ! colère vive ! Colèredu Dire Ivre ici accordé à une D2ité ... dont le nom (de base) est :
LA
LA la
LA LA LA
la ...... la m........... la de M..................... moror ..... mort ........... mmmmmort de ce qui .......... en v rai est ............... dit. Mort de ce qui en vrai est dit ici, post-pré ? MMMMMMMMMMMMMooort de ce qui .......... MOrt de ce qui ici .................... mort ici de ce qui en vfrai est, qui ....... dit ? mort de ce qui est en vrai ce qui ................................................dit ..................................................... vrai ? On ne saiy ! on a du mal (grave) à parler , à prononcer. mort ! Mort don ! don de Mort des Hauts Niveaux ! Mort-Ombre. Pont ? On veut :
dire de cherz dire, faire de chez faire, creuser de chez creuser, être de chez être, aller de chez aller, fonder de chez fonder, fondre de chez fondre, soulever de chez soulever, ancrer de chez ancrer
dire en cvrai ce qui est en ces contrées du vivre sur pré, et du coup : SAISIR !
poussszrr de chez pousser kles données données jusqu'au bout duu bout de ... l'Allée aux peupliers, aux herbes cendrées, aux orangers, aux données données de type graminées. On aime et tracer et creuser, et du coup ....... voilà ce qu'on fait ......... PITiÉ ! pitié grave en vrai ! car, on charge . on e,nntre . On passe. on y va de tout son p ôids de charge (felmme sarde) . On veut ça : l'enfance ! le Passé en france (en face). toucher = dire = cerner = opasser .... et passser = faire = creuser = dire = contrefaire et ainsi faisant : traverser la Terre ! tomber bnez à nez .... avec en vrai ..... le VErbe Pezrsonnifié , yé ! on aime ! coeur d'aime ! on aime certaine ! on veut vrai aller ! toucher-testezr = téter
..... le bon lait de l'herbe v erte !
les Né-nés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! les Né-nés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! l:es Né-nés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh, comme on les aime ! gravfe on aime ..... on aime téter , lécher )japper, le bon lait de l'herbev = le Passé de Mère .... il wsemblerait ! mais, en vrai, qu'rst-ce qu'on en xsait ? on sait .... peu , du feu ! On voudrait, de fait, ensemble, fées, toucher de chez troucher, à cette (en soi) sorte de Vérité dite "de la foi" , mais vpilà ..... on est ........ juste tracée, dessinée à main levée, bête de pré, bouquetine ailée ok mais en vrai le vrai est .......... dificile à cerner-circonscrire -sonder,; car, ...................................... placé de chez placé de biais ...... comme qui dirait "de l'auttree côté" et c'est un truc de ouf en vrai, que cette chose ancrée ici ..... qui nous mate de front(, nous regarde y aller (borouter) et ne nous lâche pl!s en vrai de nous mater. Néné. Le Néné Vrai. Lait . Lait frais . Lait non pasteurisé. Cl asséPremier. On veut :
Toucher = dire = vivre..... les données nacrées , sur Rive. On a envie ensemble de toucher à l'ambree, et d'y aller de nottre (en vrai) petite promenade ... da,ns la mort actée, qui est "morthaute" ici comme allouée à un Rocher de Porte. On est née Fée la mort donnée, sur pré , sur herbe à brouter, et, une fois cette chose comme entérinée (pour ainsi dire) on cherche à traverser (une fois de plus) le muret donné, roche du pré, vers .... l'inconnu des faits, l'invconnu nu, l'inconnu cru.... des faits et gestes post-prairie vue. On cherche à (en tant que fée de là)- aller loin vers ce "là-bas" ... des expédients, vivres, tourments, crainrtes vives, sentiments latents, vie à vivre (revicvre) un temps. On veut en vrai ensemble accolées aller, vers ce tracé pôst^pré des données concrètes, de la mort en VErbe. CXhercher = faire et faire =chezrcher . on veut toucher ! faire-dire ce qui est ici qui, en vrai,; nous intéresse grave (au plus haut point des points) car voilà , on aime ! on veut :
creuser creuser creuser
dire dire dire
sourire sourire sourire
charger charger charger
paqsser p asser passer
aller aller aller
combler combler combler , ledit passé , de "dires enjoués""", qui , "dires enjoués" , sont comme des données de type données-vivres, victuailles cendrées, vivres consqacrés, offrandes à déités en conformité. On a envie en vrai de dire-tracer ce qui est qui , pour nous , sembvlerait avoir à (en vrai) se dessiner, ici et là (de fait) sur parooi, de façon à voilà, nous aider à , pour ainsi dire, creuser la voie ou notre voie, vers du Dire de FOi ! foi en l'au-delà ! en certte sorte d'au-delà dit "de Paroi" . Car , on entre, on entre "ensemble " ("à toi à moi") en c et antre , en tant qu'on croit ou qu'on y croit ! ....../ à quoi ? au VEntre SAge ! Au Don de soi sur Page d'Ambre ! le pAssé cherché ! la PLace des Fées ! On est comme (ainsi) située de chez située sur Pré aux fées en tant que P assagère allouée à une recherche (en vrai) de données en herbe ... vers N2N2 , dit "Le Néné " du Passé du Verbe ! quyi on est ? dans la mort : fée ! p
ôst-mort : bébé ! s achant téter le lait de l'herbe comme qui(Déité ?) dirait et ça le ferait ! On veut creuser parce qu'on aime creuser, toucher de chez touchezr, poussserr de chyez poussser ... la cjhansonnette ! ah ce qu'on aime ! on aime (de fait) grave chanter ou chantonner sur pré (et au)delà) la Chansonnettte "de Toundra" , VZrbe Frais, CXhants Salés, Vents de trait ! On veut :
dire chanter; chanter fonder, fonder saler, tracer chanter, suivre et creuser sa prop^re "destinée chantée" comme un fait exprès (qui sa&it ?) . Croire en ce tracé dit "de destinée" comme (déjà) ancré post-paroi, et du coup .... y aller, grave, de sa voix de fée, chanter, chanter, chanter, chantonner sur pré le Chant de la Lande, du Passé aux fées, des Données SAges (savantes ) et autres données-traits de grande importance (le SAvoir Immense = les Connaissances, les plus grandes , avérées ). On veut toucxhger à un certain niveau de connaissance , de niveau dense. On veut grave CERNER , CERNER grave les données, DOnnées DENSES et autres DOnnées, dites "de la TRanse ... d$u Passé" .... car, le Passé ainsi cerné, ainsi consacré (et reluqué) est du Paszé de .... transe post-pré ! transe tracée sur pieds, sur Paroi de la Chance et des Faits Vrais ou petits faits Vrais. On ve'ut :
creuser creuser creuszer creuser à une sorte de
Do nnée des TRanses, Transes Aérées, ventilées, insufflées, soufflées ....... comme poussées voire
é- ........................ élancéees ou ./......... amorcées ;;;;;;;;:.................... ou ..... oh comment cette chose ici, d'un air de deux airs qui ........... , pour le coup, fait bouger le doux , ...................................................... fait en avancer , creuser, aller .......... sur pieds-genous ..... eh bé : le Passé ! ledit "Passé aux traits" ...../....... le fait s'ancrer , du fait que le souffle (souffle fou) faiit vibrer le doux d'un Verbe du Nous ! On creuse = on cherche = on veut = on va = on entre = on situe = on avance, grave , vers la CErtitude Frontale Pariétale des Données
de l'Antre Sage (= Savant). On est comme entrée "ensemble" sage ......... va comprendre ! Homme est 1
FEmmes suivent, sont 2
Un homme meurt, est enterré, et disparaît dans l'herbe du preé. Deux femmes se complètent ensemble qui, de fait, deviennent ..... une F2e ! fée volante ! Fée du pré. Paradisiaque. Ainsi fait, la fée (§deux femmes) entre en transe, va et vient,
bêtes de somme sur terrain tracée,
monte, trace, poussee, et du coup se retrouve ... tout en haut des Hauts Niveaux, sur Paroi de Roche, )à frapper aux portes ( La Porte) des Données Hautescx....... vers ...... muzo ! Placid et muzo ? Haute POrte aux données hautes ! Une sorte de "museau de Roche""", "The Museau des Hautes rOches". On monte ! on veut haut treacer la Roche, le tracé des mots, Verbe docte, Données Force (fortes) et autres Verbves Ancestraux. On est Fée Folle (?) .... heu, pâs si folle, mais (pour dire) dite "folle" , car ..... , volante , en transe-danse sans cessser, on renvoie des choses denses, on passe grave pour ... Gaga, Fada, Nana f^elée ! quand, en v rai : pas ! on voit ! on envoie ! on est Fée Savante sur voie ! On en avance dans les connaissances .............................................. on en abvance grave d ans les connaissances ............... on envoie du bois , dense ! On va ! on trace ! on file ! on charge ! on syuit à la trace .... un certain "dire de CXharge", "dire-voix", qui est du dire de Tracé de Rage et autres TRaits de Maintenance (alloué à la chance !). On envoie grave sur paroi ....... des envois ! = des données bestiales (animales) telles que :
Bufflets, Bouquetées, Bouquettes des prés, Bouclettes Autoportées et autres bêtes cendrées. Betes de fête. Bêtes-herbe. On veut creuser, parce qu'on aime ! on aime en vrai creuser de vchez creuqser.... ce cimetière .... xdes données cendrées, de type bêtes, bêtes-mots des prés et autres prairies verte's : le pré-passé de fait comme on pourrait (ensemble""") le penser, en vrai. On entre ! on est fée du pré qui est entrée à la retombée du fait d'un piqué ! et nous voilà qui sommes née ! née de chez née ... sur un pré "immense" , de la taille (en vraéi) d'une contrée, d'un territoire entier alloué à .... lA chance Avérée, Chance des TRaquéess ! Chance Ample ! On veut vraiment de chez vr'ziment toucher ..... à ce dit Néné post-pré qui (ici = là-) serait de fait à nous attendre .... les bras croiqsés ? Poiur nous donner de quoi téyter qui sait ? ou alors nous, nous absorber , avaler , ingurgieter, prendre dans sqon anttre -ventre ? on ne sait de fait. On est pas encore arrivées ici (passé) jusqu'au bout des Vérités . On veut y aller mais en vrai ..... cc'est p as à côté ! ça demande grave de durer, de tracer dans la durée s ans jamais cessser, tracer de chez tracer, un grand nombre de bdonnées de Rage et autres Sentiments de base. Tracés nés sur pieds sur Paroi Dense = le Pré, la Prairie aux féess, ....... herbe de passage , Verbe Enfl"-é , Passes d'armes , on ne sait, on entre. on veut :
toucher toucher tyoucher toucher toucher au mieux , en termes de Passé Tracé .... loin des yeux ,.......................... finnal ............................ terminal .............................................................. fin de bal ................................................ on mate ......................... on veut comprendre ................ on veut toucher ............ creuser ........ do,nner ........... poussser ......... aller ........... chercher /.......... sonder ......... allouer, à xdes données, du sand frais ................... poster ........ poster de chez poster les faits .......... sur mur alloué à ici des données à (pour ainsi dire) faire entrer / incorporer .............././................... xans sourciller ......../ comme instagrammées , ............../.................... vérités ,................. vérités suppos"ées , ................... le Passé des Données Tracées .................on est nées ! bnées fées ! fées nées ! avant dde pour le coup devenir .......... autres = bébés ! prêtes à téter le lait = le Passé des TRaitsv = l'Immanence ! chants des transes ! loyauté ! pertesz et frais, chance ou malchance, il faut croire en sa ....... , en face, étoile vraie, d'u nCiel de trait ......... : base mouvante ? bovidé ? On entre. On veut toucher à ce qui ici se présente sur pieds à nos propres données. On veut "se mélanger" = s"aimer, en transe, sur ce pré de la chance innée. On veut :
creuser de cvhz creuser
aller de chez aller
pousser de chez pousssr
dire de chez dire
forcer de chyez forcer
aller de chez aller
caler de chz caler
pondre de chez pondre , et poindre de cherz poindre,
feindre et donner de chez feindre et donner ;;;;l Le Trait, Le tracé de Fée, L'ombre Haute auto-proclamée et autres chants de Porte. Oiseau ! on serait oiseaiu, oiseau haut / haute(une oiseau) .La Haute Chose d'un Bec d'eau. bec-Muesau placide / acide , d'une sorte des Hauts, Verbe haut, d'un ciel de Trot . On est oiseau de Roche, le veau d'eau comme ailé de peau. verbe du Tonneau. Oiseau-peau des trots sur Roche. on veut :
dire de chez dire les données acides. Poussszr de près ce dire nacré. Chercher = sonder. Fauire = comprendre. Entreer = centrer. Fonder = filer. Pousszr-vivre = vivre-poussrer , et du coup cerner , en vrai, les données les plus ancvcrées, dans une sorte de "contrée du Rire" ...... qui serait "contrée avérée" pour une (szorte de) rixxe ??? bataille sur frise ?????? comba&t des combats -surprises ? on ne sait pas ! on veut croire, aller toucher (Néné) vif, soit téter le vbon lait de l'hydre , mais ............................................................................/......................... de fait, c'est pas gagné ! On se doit de persévèrerer ............................. creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser grave sur pied les dsonnées du ..................................................... RIRE , RIRE OUTRÉ , RIRE GRAVE , RIRE DES RIRES GRAVES, RIRE ENFLÉ, RIRE GROS DES RIRES GROS, GROS RIRES AU MUSEAU, RIRES DU MUSEAU, GROS DES GROS RIRES DU MUSEAU, RIRES DE PEAU, RIRE-MOT, RIRE GROS DES EZNTRÉES DU VIVRE, VIE DE VIES DU RIRE GROS, GROS RIRE DU VIDE ET AUTRES VIE DE MOT, VIE DE RIRE, RIRE-VIE DES MOTS DE TROP, ;... ET DES MOTS DE TROT ! CAR, CHEVAL HAUT ! CHEVAUX ET CXHEV&LES DES TROTS , SOIT DES TROTS DE MOTS DE HAUT NIVEAU DEE PEAU ! On est : fée du pré, fée-chevale ailée, fée de trot-mot, fée-peau des traits sur Hauts. On est :
entrée, passée, rentrée, ayant passé-creusé
la Roche initiale (données dénommées) , et du coup traçant (sur pieds) les Mots du frai =
don, pont, fond, allons ! Creusons de chez creusons le fond , pour ensemble tracer profnd et atteindre de front la Cloison des Fins de Poste. On monte ! On veut grave alller parvce qu'en vrai on aime ! on aime grave &aller creuser, foncer, tracer, chercher à gagner toujoutrs plus loin les données dernières d'une sorte de contréepost-herbe (post-herbe ? ) aux données l a ctées ... peut-êztre ! On est née Fée pour une recherche , recherche centrée sur le Verbe alloué à un rapport dit "de proximioté" entre d'un côté la vie avérée, et de l'autre la mort, le passzé rejoué, les données "profondes" des Rocxhesrs de haute haute Montée. On veut :
dire dire dire
faire faire faire
cerner cerner cerner
pousssr poussser poussser
chercher cher her chercherv
contrer contrer contrrer
fabuler le VErbe tel que rencontré, "un matin du mois de Mars ... ", en ce tracé dudit "Paszé post-herbe", qyui seréait .... eh bé peut-êztre :
du PAssé en Herbe verte, Minorrisé, minoré, émasculé sur pré , chzerche-traîne et autres effets de la Fé Marraine. On veut : dire les faitsz, les donner sur pieds (ou redonner) et ainsi fait alller = creuser = pousssrr = tracer, toujours et encore ici, sur paliers, les traits du Verbe Cendré ainsi posté ! verbe^-herbe ... pour du lait allouéà une sorte de Passé de Traîne ! re-passé ou re-le passé qui szrait de fait ainsi re-joué, la mort archivée. car, la mort, la mort haute, celle post-porte, lA mort dite "de porte", est mort (de base) morte ! haute mort des données fortes =
vie ... qui revit, ou quelque ch^-osqe de cet hordre ! haute porte pour un nouvel ordrev ! On veut donc : être sorte, ici, de Chose Haute ........... vie ................ vite ................. vie /...................... vite ....................................... une vie vite ........................................................................ vite vie des vies, rtracées allouées ......................................... sur rive post-pré ...............................///////////////......................................... c entréec ....... vie centrée ........ vie post-muret centrée .................................... après la mort, la vie centrée .................................. vie du passé comme qyui dirait, ça se pourrait ! on veut cerner-toucher , dire-sonder, creuser ledit passé ... "des données avides". On est :
Fée du pré
puis : bébounet !
Le bébé sacré ! bébvé-fée post-pré aux données tracées sur ciel étoilé d'une vie lointaine ainsi creuseée ! ............................................ le passé ér-toilé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! hé hé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ey si c'était de fait : le Passé Étoilé, le vide ? ou comment dire .................. l'(affranchi des (dites) "données du pré", le Passé post-pré , les Rives , les Données ultimes ........ ciel du Vide tellement empli , dx'une sorte de Vie comme "Ancrée des Traits """ : qyui le sait ? qui sait de fait ici ce qui est , en ce tracé xdes fées, des données vives ainsi szcotcxhées ou punaisées sur une sorte de Panneau " du Rire Gros " ? On monte . On veut haut comprendre les données de trop. Ou comme qui dirait "de trop"... cxar, en vrai, le sqont-elles de fait, ces données ... "de trop" ? sont-elles en vrai "surnuméraires", soit données de trop cfomme doigts faux et autres mains doublées de l'ÊTRE-Faux ? On ose = on monte. creusons gros. Cherchons haut outre(ou hors) caniveau, la Pärole Docte. On veut (de base) sortir de l'emphase ............................. âis voilà , c'est pas si simple, ;;............................................. ça demande "persévérance", "sainteté", "croyances", "vivacité", senttiments de confianc", "alacrité". On veut toucxher-comprendre (à) déité ,
ce Ça , des données rêvées, tracées, mais pour cela ................................... toucher de chez toucher ................................... de fait ........................... un grand nombre de données de porte. Soit : traits . Traits-force. Traits tracés. traits-sillons de roche. Treéits des traits de poche, "poche-melon". ssorte de "Grosse POche d'.....................étron"s ???? hum ............................ on ose ! ...................... on chercjhe ! on creuse ! on entrte ! on poussse ! on tente sa chance, ici et là (sur pré de base) . On veut creuser = donner, toucher = dire, aller = sentir, donner = partager, en vréi, un certain nombre de données de rage et autres vies passées comme ... "remontées de face" !
sur un pied, on danse ! on est née ! née, en f()a(n)ce, ....... trait ! trait de fée de Rage m enaçante ! ............................................................................................................./...................allouée .... allouée .... allouée .......... à une p anse , aux données "IMMENSES" et autres "données de base" (le Passé "ancré") . on est des fées des ... charges mentales, fées cernées pour des remontées de tracé passé ! passes de fée , traits acidulés, chyarges centrées, points de renaissances, le PAssé des Transes ......... Sainteté ......... Sainteté des données lactées ............... sein des seins = wsaint des saints ..... aux Vraies Vérités et autres traits actés. On veut : dire dire dire, monter monter monter, consacrer au "néné du dire" toute son assiduité ou comment dire ? son ................................... passé remonté ? ..............................remonté du Rire ? .............. des contrées du RIre si tant est ????? ...................................??.??............................................................................ on veut toucher topucher topucxher topucher toucxher topucher toucher touycher toucher toucher touycher touycher toucher toycher touycher touycher toucher touycher touycher touycher toycher toucher à c ces donhées "ivres" ;; ................. allerde chez allerf jusqu'au passé du Rire, du Rire CEntré = Le Padssé Ancré sur RIve TRacéee d'une sorte de....... "VIvre vite" ............. qu'est-ce que ça veut deire ? ça veut dire que voilà /.......... le Passé fait Foi, qui voit ! qui voit droit la voie ! voie des rOis-Reines de Choix ; ......... traces ............. traces ............ traces des voix .................. voix de bois ............. voix des bois .......... voix comme sorties des bois et des sous-bois ... du vivre ancré ........................ = de la vie ancrée .................. de la vie à jamais ancrév e ................. creusée ........... enterée comme il semblerait ........... vie poussée de chez pôussée ................... construite, comme une sqorte de "remise", .................... vite ! ............./. enflée ! outre des fées ! vie vite centrée et ça le vfait ou ferait à jamais qui sait ???? ......................../........ ;l'idée ici est de cernezr en vr&i le plusgrand nombre de données concernant ce Rire ici évoqué en tant qu'il serait ... du "Gros Rire" des Contrées du Vide, post-pré, post-p aroi de base, hors champ, hors courant./ Et ducoup : cerner = comprendre de près, les données patentes , ce sur quoi on peut tranquillement tabler, ce qui est de fait et ce qui , tout au contraire, ne ''st pas ou pas entièrement ; le Verbe de Rocxhe aidant (mots-trots). Oln veut de fait ensemble (accolées) comp^rendre ça : la HJoie de base, Le passé dit Renaissant, l'Onctuosité Passante, le CHantTourment, Chansonnette Étrange et autres ppetits chants des petites gens. On veut en v rai, eh bien oui, creuser ! creuser ce chant dit "des tracés de base", et comprendre dès lçrs "ce qui se passe" oou même "ce qui est" une fois la mort attestée. ca&r, en vrai, si le passé est tel qu'il nous &pparaît, alors ............. le ciel ........... le ciel étoilé ............... est ce dit p assé "ÉTRANGE" tel que rel até ! On peut rêver ! on peut penser pour ainsi dire à une cxhose qui serait de fait comme remontée à travers les données ici rencontrées (du Verbe salué). On veut : oui , aimer, aimer dire et chanter, ce qui est de fait qui nous "appara^trait" comme vrai .... qui sait ? On veut : tracer sur pieds, les données du verbe ! = charger charger charger charger en vrai , les données données (rencontrées) de mots de têyte ! = le Passé en herbe = l'assemblée des termes ! On veut creuser parce qu'en vrai voilà, on éime ! on aime ça ! charge que tu chargeras ! donne que tu donneras ! file que tu fileras ! ta pelote de voix ! sonde ! sonde ça : la panse ! va ! va là-bas "creuser ta CHance" szur Toundra aux bois et sous-bois des TRanses ! On veut ça : la chance ! Pa ssé dense. port de Haute transe et autres tenues franches. On est née sur pied, la fée des transes et autres danses des paroisq.?P°ariétales en diable on envoie ! chants ma ssue et autrszxmots vus ! nus ? on entre ! on entre en transwe ! on est nues de rage vues ! car : on danse ! on crreuse ensemble ! on entre ensemble dans l'antre dees données "Immenses". Qui on est de fait en vrai ...... ? ......... eh bé .... "TRanse"" , Transe-tracée", transe-danse", "transe allouée à une danse intense. ON veut toucher de chez toucher à c e tracé des Panses et des Pensées Franches, en français , car ................................................................ le vfrançais est notre langue, langue icide fée, de petite fée du dimanche ! on entre ! on veut toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toyucher touycher toucher toucher toucher toucher touychezr toucher toucher toucxher toucher toucher ftoucher toucher troucher touycher touycher toyucher toucher toucher vtoucxher toucher touchervtouchervtroucherctouchercrtouchervtoucher touchercrtoucher toycher toucxhertctouchercyouchercvtoycherctoyucherctoucherctouycherctyouchervtrouchervtouychercvtoyuchercvtouchervtouchervtoucherctouycherctpoucherctoucherctoucherctoucxherctouchercrtoucher toucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucxherctyotiucgher rtoucherctoucherctoucherctoucherctouchercrouchgerctoucherctouchercyoucherctoucher crtoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctouchercroucherrctoucxhercrtouycherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctouchervtoucher toucherctouycherctoucherctouchercvtoucherctoucherccvtouycherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoycherctouycherctoucherctoucherctoucherctoucfhetrvtouycher toycher toucher toucher toucher youcher toucher toucher toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher toucher touchr toycher toucher vyouycher toucher toucher touycherb toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toyucher touycher à ce N2né du bout du bout du monde Étoilé, il sermbvlerait (lacté) . Et du coup ..... tracer ! creuser ! centrer ! poster ! poster de chez poster ainsi ce trait (trait de somme) "au passé" = "au temps (grammatical ?) passé" = l'ombre , le trait, trait dooné d'un e sorte d'ombfre, d'ombre sur pré , trait très marqué comme qui dirait = Ombre / honte / homme ................. en vrai ? on monte ! On veut grave y aller, en termes ici de connaisqsance . on a envie de bien cerner toutes ces différentes données, données sur un pré, et, cette chose avérée ou enregistrée, aller plus loin , pousssr loin les recherches ferme, tracer au stylet, à la poijnte, au coin, ce qui est qui , sur ciel, de traits, apparait ou nous apparaîtrait sans traîner, sans se faire prier. On veut toucher "à satiété" à toutes sortes de données célestesdx : traits de fée, fenêztres dorées, plainte remontées, tracés de néné, bêtesde roche et autres bêtes des contréees hautes genre antilopes, bisons du front, buffles accortes, chevaux de trot, aurochs ados. On veut aller, soit creuser. tracer ici et là sur roche de paroi les données de POrte. Mots des Ombres portées. Mots doctes "aniùmaux". sOrtes de Passages "drôles" et autresq farces hautes . Traits d'esprit tracés zur porteb haute ou dite haute aux données données. On monte ! on veut toucher toucher toucher toucher toucher touycxher toucher toucher toucher toucher toycher touycher toucher toucher touycher toucxher toucher toucher touchervtoucher à ce qui est
à ce qui entre
à ce qui sexprésente
à ce qui est en demande
à ce qui en vrai se voit de là : la paroi
à ce qui tremble de hjoie à l'idée de fraire , ici bas, la fête, fêyte aux bêtres de poids, genre "voix des bois", . On veut dès lors "ensemble " (szoi) comprendre et toucher, cette ......... Sommité HAute, SOmmité de POrte : AUroque ! AUROQUE EN VRAI COMME CERNÉE , DONNÉE, TRACÉE-TRAQUÉE,VIVE ET ÉLANCÉE, QUI CHERCHERAIT TRAQUET-TRAQUET À NOUS AMADOUER SANS TARDER, EN NOUS PA RLANT D'UNE VOIX SUSURRÉE , NOUS DISANT .... LE LAIT ! LAIT DE VOIXX ! LAIT-VERBE SACRÉ ! SAINTETÉ L ACTÉE DES DONNÉES DE L'HERBE ... ON CROIT RÊVER ... MAIS EN VRAI, LA CHOSE EST VRAIE ! SCÈNE ! SCÈNE SAINTE = LE TRACÉ FRAPPÉ COMME UNE MONNAIE ..... ON veut toucher cde chez toucher à une vérité en v raie, qyi serait sainte, xsainte et sacrée, de type "CXh arité" , "Charité consacrée" , "Charité Vraie" des dxonnées en herbe,
adolescere
adolescere
adolescere
adolescere
adolescere
adolescere
adolescere = en herbe , de pré et de près, car ................. on aime !!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime grave l'herbe, le passé = passé remonté, le pré, ce qui "précède", les trajets, la route des fées, l'ombre du doute, l'envoyé des données outre. On veut creuser de chez creuser la poutre ! consacrer = tracer. Dire = passer. Poindre = ponctionner ......... de lait le Néné !verbe, verbe, verbve, verbe, verbe , verbe en herbe d'herbe verte comme les traits (ici) des dessins de traîne ! l'amitié ! les restes centrés ! la chance acidulée ! le Passé est (pour ainsi dire) TRAITS . TRAITS CONSACRÉES. TRAÉITS APPOSÉES SUR PIERRE RÈCHE. MAINS SURNUMÉRAIRES ! MAINS SURNUMÉRAIRES. MAINS QSURNUMÉRAIRES . MAINS OUTRÉES, TRAQUÉESZ, CRACHÉES ! TOUTES CRACHÉES ! SUR PAROI DE ROCHE CACHÉE , AU FIN FOND DES OMBRES. on est née fée = fée des prés = fées prairiales des "saturnales", et autres fêtes de contrée . On veut gr ave tr acer-aimer pareille S&turnales Olé olé , sans déconner. Grave aimer. Grave charger. On veut sans rire aller, vers ............ ciell des fées ............. étoilé de chez étoilé comme au débotté !aimer = dire = faire =cerner = poussser = comprendre = entendre = mesurer = pister = saluer la Hampe ! trait des traits ! Ambre aimé ! trait des traits tracés sur ciel de tra&it ! on entre ................................................................................. on veut toucher à ce Néné "des données lactées" ....... ventre ./............ ventre de trait ! pis des pis ! pis des spi de rage "dense" ! traits tracés à main levée p& r une dame de connivence : à l'ancienneté ............................................................... aimée ................... comme adulée ................................. allouée à une sorte de parade à ....., en vrai ...., ici, ............... tracer de chez tracer..............au stylet, .......................... au soufflet ?/................à la paille (courte-paille ?) ................... comme Passé de CHarme et autres faits ancrés .......... qui swait ? qui connait en vrai les "souffrances du passé tracé" ? qui sait ce qui est qui reste à supporter en termes de passé "de face" ? qui cfomp^rend = entend les données profondes hautes (dolors post-porte) ? On veut creuser la roche, dessiner, graver vif un certain nombre de tracés dits "animaliers" mais il s'agit (au bout du compte) de "mots de porte" et autres "envois des hauts" hors caniveau. On veut (de fait) toucher de chez toucher, à cette sorte de donnée, de "porte haute" (on dira étoilée) qui est ce "ciel de roche", "ciel de mer", "ciel des ombre's hautes". On est La fée "Des Roches Gravées", sachant "percer" (sans traîner) la pierre de porte, et passer , passer dès lors vers .... ce passé aux traits, traits tirés, des doonnées "accortes" (étoiles de la mort haute). On est née fé car on s'aimait ! On est nées des fées (fée au singulier ?) car on s'aimait = on s'accolait , on voulait se souder, se coller ailée ! Et tracer ! et en vréai on trace, ok ....... mais bon .......... le chemin est rude , d'aventure ! on doit peiner, tracer de chez travcer c'est vrai mais le temps dure , temps dur, qui nous voit fatiguer de chz fatiguer malgré notre allure , notre foi et aussi bien la vie (en nous) qui carbure ! ç'est dur ! ça envoie du bois ... dans les rainures ! pas si simple ma foi de cerner ....................... c e qui est ............. qui là-bas de fait ...................... nous reluque ! grave nous relusque ! faut trimer ! voler-voleter ....... de bon augure ok mais ... c'rst un fait : on doit tracer / trimer jusqu'au bout des tréits ............/........................ = creuser ! tombe de bure ? on ne sait ! on monte ! on creuse haut les mots "de trop" .............................................. vive allure ............/........................................ au chalumeau ....................................... et à la revoyure ....................... tracé de mots de trop sur paroi rude ................................................................................................................................................................................. au tro
t .......................................................................... au galop au galop au galop ........................... de bonne mesure ! ON est néedc, sur pieds,la mort ancrée, on veut ... monter ! aller haut sur Hauts, vers ce ..... néné des HAuts et autres sein donné "de bonne aventure" ! le niveau ! roche en gros ! époque des mots et autres traits des hauts ! On veut toucher rtoucher touchezr rtoucher toucher toucher rtoucher toucher à ce qui est qui semblezrait de fait vouloir nous aider, à cerner les données de près . Données doctes des faits avérées entérinés, faits des fées. On aime ...... et du coup on sème ! On veut grave cerner , aller sur pré à la recherche de données "semées" et autres graines de tracés en herbe . Traits ici comme
gravés-dessinés
à main levée en vrai. Hezrbes ? ça se peut ou se pourrait , ça ressembkle en ezffet à quelque chose (on dirait) de similaire : pluie de traits ... d'herbe ? on dirait que c''st , de fait, en vrai, des sortes de traits allouées, sur roche) à un dessin de ........... pré ??? qui le qsait ? qui connait la chose , la chose profonde ? On veut creuser creuser creuser la roche, paroi haute, et trouver , trouver de chez trouver ..... des choses ! des données de porte , genre vérités sacrées, choses doctes, paroles hautes, mots sacrézset autres parabioles accortes (don de fée). On veut aimer aimer. On voudréait toucher , à ce (dit) "néné des c atacombes" ......... oh, de près si tant est, pour, en vrai, mieux téter de chez téter et se rassasier du bon lait de roche (trait). On veut :
creuser creuser creuser creuser creuser creurser, creuser en vrai la roche meuble (fontes) et "aller" .............. = pistonner ! ......... poussser de chez poussszrc la carmagnole, danse "saturée", danse-transe au taquet ! ronces ! foin ! herbves folles ! on monte ! on saute ! on ne s'e,n laisse pas conter mais grave on monte-saute, alloons loin ! cherchons le train, bon train d'époque haute : le tintouin ! la roche haute et tout ce qui ici (de fait) s'ensuit, en termes de roche, de tracé de portte et autres mots hauts. On veut toucher toucher toucher au plus haut niveau la roche "accorte" .................... mots des mots ...../.................... mots-bêtes au lamparo ................................. on mùonte sur les hauts de Roche HAute dite "des moçts hauts de haute Époque". On veut grave dire, ou comme dire , les données de ROche, sur frise = dessiner-tracer, sans traîner, et de féit construire ./........... sorte d'ÉGLISE .......................................................................................................................................... sorte d'ÉGLISE DU VIVRE ........ sur p aroi de fée ou de fée-fée, fée ailée tracée. On veut :
toucher touycher touycher toucher toucher touycher touycher touycher toucher toucher touycher touycher toucher toucher roucher troucher toucher toucher toucher rtoucher rtoucher troucher toucher toucher trouchervtoucher toucxherctoucher touycher à ce né né dit "du passé ancré" ! Et téter, forcé ! cxar oui, on se sehnt obligée, car ...... on adore le lait ! on ne peut y résister ! on veut téter téter téter de féait ici ce lait, des données hautes, genre "de porte" ... et même plus hautes ! On voudrait :
aller , sonder, pister, cerner sans traîner, poussser poussser poussserde fait ce trait, jusqu"'aux données hautezs ou les plus hautes jamais rencontrées .... étoilées ? oj,n monte ! on monte hautes de chez haautes ! on monte de chez haut des hauts sur Roche des Mots (paroi docte)?. On se prénomme ............... Pou ! .................. le POu ! ......................... petit Pöu ( philipou) des trous et autres traits de Roche .... où donc pouvoir, dès lors, passer le nez né , et enttrer. On veut creuser de chyez creuser la roche à ici traverser et sans compter. creuser creuser creuser Roche au pré , passer, saluer , s'approcher des bêtes de trait, continuer, voler / voleter et se porter jusqu'aux nénés des données lactées genre étoilées , mer de S&inteté L actée , traits des traits tracés à main levée par une F2e Ancienne , qui sait. On veut : aller, dire, poster, construoire, chercher, donner, filer, chercher, sédiuire de près, pareille Sommité agraire, bovidé des bovidés des terrres et autres sols sacrés ! terre des terres, terre swaluée, terre auto-centrée ! on cxherche à ...... peut-^tre , creuser de chesz creuser le ...................... "szillon de l'être" spigrocon ! ....................... spigolon des termes ! tete ? trait né ? cherche-merde ? on ne sait ! on creuse / aime ! on veut de fait :
toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui ici se présente, en vrai, à nos instances ! le Passé ! le Passé Remonté ! P assé dense comme les blés ! on entre, on entre "ensembvkle" en transe, ailes déployées. On est la Fée des Panses, ici lovée./ On veut tracer sur pied l'être des données tel qu'on se le représente =
acidulé, vrai, ancré, soulevé, tout remué, chargé de bonne intensité, comme tracé à main levé, chahuté, coché, pris sur le fait d'une sorte d'envolé massive, une frise , trait de frai , âme cxomprise. On veut creuser, dire et sonder, porter-mesurer, aller-donner, vlouloir aller ............. sans plus se retourner, vers un ciel lacté = sainteté lactée = ciel aimé. Chercher la frise, le dessin de l'hydre, signe (signe tracé) d'un trait du dire, du "dire Accouplé""""" , "Dire centré", "dire des dires et autres dires genrés" . traits des traits. Vie des vies. Son des Sons. Mises en pli de dires sacrés sur paroi pré-pré. Car, la paroi devant soi, est paroi pré-pré, qui renvoie aux données des données, de type "bestiales /animales". On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une sorte de ...... parade sarde ? on ne sait ! sarde ou pas sarde on veut toucxher à ce qui est qui nous regarde ou nhous regardrrsrait comme de biais , de type manaçant / menaçante, regard en biais qui szerait mécontent vis à vis en vrai de ce qui, de nous, est donné = vivacités, vivacités, vivacirés, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivcacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacitésq , vivacités, vivacités, vivacités, vivcacités , vicacités , vivacités, vivacités, vivacités , vivcacités , vivacités, vivcacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vicacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités , vivacités, vivcacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivcacirés, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vi vav-xités, vivacités mais, en vrai,
jamais la vie , la vie pour de vrai,
et ça le cfait grave chier, suer , râler, car, de fait, la Mort est super centrée sur , ici, ce genre de "do nnéé xde vie", , de données vives ws'il en est . Elle veut grave la vie, la vie-vie, et pas du
"wemvblant de vie" (les vivacités)
qui fait son effet ou son petit efffdet mais en vrai ne comble pas (jamais) l'en-vie de vie vraie (complète) de La mort Haute. On donne, on rallonge, o,n pousse. hautes formes sur paroi de Roche : auroques, buffles d'oc, antilopes des sons de cloche, bouquetines vives (très) et autres cerfs de haute Volée, mais la Vie de FAit (Vie-vie) : jamiais (sur paroi-muret) !
25/2/2025
On est (on serait) deux pour ça : ici cerner , ici cerner un certain nombre de données de base, par exemple : ce qui est qui nous fait face qu'eest)-ce que c'est . On mate ! hou, on voit ! on regarde "grave". On envoie du bois ! on est là pour ensemble comprendre un certain nombre de données de Rage ! les tracas, les ambivalences, les voix, la Chance au Passage et autres tralalas de mainrtenance. On y croit ! on veut toucher de chez toucher à ce qui ici (en soi) se présente, en tant que voilà , une sorte de Domaine Dense, Pré aux Bois, SSainte Place, un endroit de Base pour des Sortes de promenade en veux-tu en voilà vers plus loin (là-bas) lav Muraille . On voit là-béas ce qui se présente, en tant que Ça : Mur de Passage en Transe, une sorte de voie pour un passage en transe jusqu'aàl'au-delà de l'au-delà de la Parioi . On veut toucher ensemble à cette chose d'un TRacé de base ... pour Soi, à savoir ............. iune VOie, UNe sorte de VOIE, qui, ici, en face, nous "regarde". est-elle un trou, trou dans le paysage ? ou bien : échancrure nature ? un passage "intense" ? trou du Moi ? un passage dit "de Paroi attirante""" ? Quoi, ça ? On enttre ! on entrte "ensemble". On veut aller en vrai au plus profond de cette Chose "iintense". une voie pour l'au-de;à ... ça serait BHath ! O,n y croit et du coup on voit ! on entre en cet antre "au-delàa" ... et qu'est-ce qu'on voit ? on voit ici
eh bien des choses qu'on ne pensait pas en vrai trouver en cet endroit, comme, par exemple : des (sorttrezs de) traces de pas, des traces de passage anciens, des chemins, plein de chemins qui sont des chemins qui on dirait mènent loin, mènent ou mèneraient peut-être au trèe-loin ou bien au plus loin lointain d'un au-delà à ÇA, qu'on voit devant soi : la paroi, la paroi "des bois". On regarde et on -se demande si des fois on ne pourrait pas ici creuser ensembkle vers ces "lendemains de base" . Et du coup en avancer ensemble (grave) dans les connaissances. On veut ensembkle en vrai intensément touchger à ces contrées qui nous rassemblent ou nous rassembleraient une fois la paroi (des fonds de pré)- traversé , traversé de rage, vers cela , là-bas, qyui nous regarde, sans nous l^cher, sans nous abandionner une seconde. Qui c'est ? peu-têtre ... Chose ? Une sorte (qui sait ?) de Donnée d'outre-monde ? une sorte de Donnée de Roche ?
on mate ! Qu'est-ce qu'on voit en vrai ? on voit des sortes de données "potaches" .... traits de Voies = des tracés , à même le .................. Passé de SOi ? qui le sait ? quyi voit ? qui comprend ici ce qui est qui se présente à nos endroits (à notre endroit) ? On creuse la VOie car voilà, on veut cerner ensemble ces "données intenses" post-paroi, post-paroi du pré = paroi 2, de par la foi. On veut :
- toucher toucher toucher
- cerner cerner cerner
-entendre entendre entendree
- cntrer co ntrer co ntrer .... et du coup tracer ! car, nous, notre volonté la plusq ancrée , est de toujours toujours toujours continuer de chez continuer à creuser creusezr creuser, cette sorte en soi de paroi, des ROIS_REINES de là, la BAse, BVase Antrale. On a envie ensemble de creuser le plus possible c e qyui donc, ici, devant nous, se présente, se présente à nous et nous fait signe, et, ce signe , en vrai, à nous d'apprendre (pour ainsi dire) à le lire, à le comprendre ensemble, à savoir le voir, à cerner ses traits, sa façon de nous aborder ou de nous toucgher, à le voir en ce qu'il est en tant que (pour le coup) Message à destinée. On essaie de se rapprocher, le plus possible, ensemble , de ce trait aux do nnées lactées (nacrées) . On veut toucher à cette chose déployèée, qui fvoudrait, peut-êttre en vrai, nous rensezigner sur, ou nous enseigner le .... "Théoreme Ondulé " de la Vérité Tracée ... ? on ne s ait ! On est accolé&es (on est collées) et on trace de fait ensemble vers ici ce ... Tracé, d'une sorte de Charade on dirait, Charade-Trace, Charade qui saurait (en vrai) nous donner, des sortes de Réponses comme Soulevées, Réponses au TAqsuet, concernant la Chose = la VFoie = la Mort à bout de bras ... ou quelque chose comme ça . On a envie ensemblke de toucher à ce qyui se présente et nous regarde de la tête aux pieds. On a envie de ensemble) toucher-cerner, un certain ombvre de données de base, des données de Rage, données "Denses" qui, de fait, serait ici (pour nous),
des "données" Coriaces", Données Dures s'il en est , à devoir, du coup, "envisager " ou "appréhender" ensemble dans leurs longitudes et latitudes d'altitude. voyons ça ! creusons ! essayons de voir un peu, ensembkle, ça ! ce qui est là qui semble devoir (de base) "noius parler" par des sortes de "treaits" (de Rage) "à toi à moi", qui sont traitsq pour ainsi dire sur ... paroi de base ! paroi dite "de-roi , -et-de -reine -
... de Rage" , on croit. On veut toucgher à cette sorte de .... post-pré (pour ainsi dire) "des temps alloués", traverser, passr sur pieds, aller de l'autre côté, essayer de cerner , cerner de près, les données "iintenses" telles qu'elles nous apparaissent ou nous apparaitraient en face . On est :
Bêtes sages, Bêtes-Foi, Bêtes-Traces, Bêtes-Envois, Bêtes)--Crasse, Bête des Données de base en soi = traces sur paroi de CXhâsse ! On est là ! on entrte ! on veut comprendre , et, du coup, intensément nous appriocher de ce qui est, la Paroi Passée, Paroi Haute des Données Profgondes. On veut c'est vrai toucher ensembke à ce qui (pour le coup) ici , pourrait grave nous dire des choses, choses et autres concernant en vrai eh bien tout un ensemble de données progfiondes qyi pourraient de base nous donner de fait de quoi cerner = toucher à ,
un certain nombre de choses liées à la Foi. À la foi profonde en l'au-delà. Par eexmple : des tracés, des traits, des desssins sur murets et autres tracés à main levée. On veut toucher (de notre côté) des Données. Les toucher = les appréhender par ... du doigté de près , à savoir : par des sortes de pose
de main sur muret ! On veut toucgherb! on veut s'accoler ! soit ... s'acvoqyuiner ? on ne sait ! mzais coller de chez coller à cette Chose , à cette sorte de Passé, de Passé REmonté ! Remonté des catacombes ! On veut toucher de chez toucher à ce Passé des Catacombes ! et "tracer" = filer = foncer = aller, dare-dare vers ... ce Passé qu'on ditb "Remonté" comme si de fait ça se pouvait mais qu'est-ce qu'on en sait ? On est nées de fait fées sur pré pour .... peut-êttre ? tracezr ! = foncer = ttrraverser, par ... "la fenêtre de l'être" ? le muret Dernier ! On veut ............ coller de chez coller à pareil muret des Données Dernières et ... tracer ! traversezr "en entier" le "Cimetière du pré", et alller ..... loin .......... toucher /............. N2né ! le Néné du Verbe = le Lait ? on ne sait ! on cherche ! on a grave envie ... de trouver ,
à cerner , à comprendre, à voir de près et clair ce qui est qui se présennte, à nos doigts de fée, ailes déplissées, jambes élancées prêtes à npoous propulser vers une sorte de CIel Lacté ! néné ! néné ! néné ! néné ! on veut toucher = téter ! c'sst vrai que nous (fée) on aime (on adore) téter ! on veut toucher à ce Néné du Bout du Monde " ! le Néné est né qui serait "the Néné" de l'Aube ! trait du lait ! on veut creuser ! on veut toucher-creuser sur pied ailé ce Néné au Lait ! et téter ! boire si tant est ! toucher de chez touchezr et y aller de nootre traduction-passion ! On veut :
creuser de chez creuser
aller de chez aller
toucher de chez toucxhezr
poser de chez poser
faire de chez faire
Nous donner à e trracxé du bout des bouts des données Debout . Qui on est ? des fées ! fées passées post-pré, post-données prairiales des tracés de base. On veut aller "ensemble "", de RAge,
Au plus loin de là. La base navale ? Mer de poix ? Traits tracés comme des vagues ? l'eau de là-bas ? l'(envoi, ou l'envoidde l'envoi de Charme ? On ne voit pas tout du tout. On voit des bouts . On veut , on voudrait, voir plus , et du coup ..... cerner ! cerner grave, les données données par une sorte de , oui, Vague sur le Quai ! la chance sur trait ! une sorte de Passé Intense, qui remonterait et saurait nous dire ou indiquer ce quy'il en est de cette chose ici tr acée comme à main levée et dont le nom est :
Vague ? Vache ? on ne sait en v rai ! on est née sur opieds Fée ailée dans un pré la mort donnée, à préxsent voilà, on avance ! on creuse Voie ! on veut co:=prendre ensemble "des donn"ées ", et tracer, ensemblke, post-pré, un "sentier des connaissances" comme qui dirait ! On est nées Fée de Rage la Mort donnée ! devenu F2e ! Fée des prés ! On meurt et, automatiquement, on devient (qu(on fût homme ou femme) fée, l'homme disparait, la femme trace, la Fée naît ! on entre ! On est née "enwsezmùble " = traits ! traits de "fée de connivence" on croirait ! On veut :
toucher à e quyi est qui nous "rassemble". On est née en France (il semblerait) et à présent on veiut tracer, au plus près, les données de RAge, kles Do nnées de Base, ce qui est qui est qui ici env rai se préwsenteraiet et nous donnerait de quoi cer ner-toucher à des données telles que voilà, on pouurait, avec elles, toucher toucher au Néné post-pré = le Né,né , Néné né Lacté à pouvoir tétezr ! On veut de fait toucher de chez toucher à ce qui est qui est qui nous regarde ou nous regarderait sans discontinuer une vie Durant ! L'oeil des Treaits ! traits des Traits ! On est Fée de fait la mort donnée ! OUT, l'homme ombré ! l'homme au port ! l'homme est écarté , mort = enterré et auttres faits. On est passées ! fées ! fées ! fées on est ! On est des fées pzrmi les fées xd'une sorte de Contrée des Données Ancrées ... le Pré aux traits ! bêtes de Somme et autres Bêtes de trait ! beêtes "de la mort" , ohhh ! Ce qui est ! On est nées ! on est parmi les bêtes Grossses : bisonnée de roche ! On porte ailes de fée sur pré aux tracés ! nées fées ! homme enteré laissé derrière, dans la terre ! et ici ...... une envolée , envolée de fée dite "surnuméraire" ailée ! on est montées ! on a franchi pâs mal de paliers et nous voilà comme "adoubées" par une sorte de Prairie aux données fvrontales , THE pRAIRIE, la chance ! fée de FRance ? non ! du français , la langue ! langue usitée, ici p arlée, le fr ançais du ventre ! On veut :
coller coller coller
donner donner donner
faire faire faire
creuser creuser creuser
connaître connaître connaître
dire dire dire
cer ner cerner ern er
CHerc her à , pour le coup, aimer ! aimer la Base de Do nnées ! comprtendre = aimer, imer creusezr, toucgher, cerner le Verbe comme Déployé la mort ainsi abordée. On veuit :
toucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est ici qui nous dirait ce qu'il faut penserv de ce cimetière aux données tracées comme sortes de traits .. de Basse Porte. On veut :
toucher touchger toucher toucher toucher toucher à ce quyiu est qui; , en vrai, EST . A savoir : la Rage ! Rage acidulée, d'un tRait de Base ! tracé ! trait des traits tracé à main levée sur .... Néné ! trait de lait ! la Rage ! le Passé comme remonté et nous voilà qui sommes là, en tant que Fée post-pré, à cghercher ensemble à pouvoir comprendre ici et là ce qui se présente à nos .... doigts effilés (?) ou pas mais qui , de fait, cgherchent à ... toucher que tu toucheras, le Néné du Lait, à téter, tête première. lait pour Fée Primaire ! Le sacré ! la vive intensité de l'êttre, ! le Passé rena^it à l'Être et se donne et pas à mpoitié ! On veut toucher à ce quyi est qui ici se préxwe,nte et cherche à nous donner de quoi cerner les données inte"nses ou dites telles. on aimerait pouvoir ensemble comprendre, ici ou là, ce qui est qui se présente à soi, données denses, treaits de fée, charges outrées, colle et collier. On est nées Fées sur pré et à présent on veut graver, creuser, tracer etc., un certain nombre de Dessins de Foi , traits des traits, sur Paroi Finale, Ultime Paroi aux tracés de Charme : bisonnée ! traits frappés, creusés, armés, crachés, soufflés, dessinés (de Rage) sur Roche frontale. on a envie ensembke en vrai, de comprendre-cerner un certain nombre de données de base, des treacés de rage ... mais pas que, aussi des sortes d'envolées notoires, de type "traductions fatales". qui est qui et quoi est quoi . Toucher à cette sorte ici de "limonade" sur paroi. La Foi est une sorte de ... P aroi de Base. On envoie ! on entre ! on renttrree ! on rentre là ! on ne veut pas aller plus loin dans la panade, mais tracer , aller, se sauver, cerner, piger, allouer à une sorte de Tracé un sembklant (de fait) de Vérité. On est née ! née fée ! homme achevé, fée né , ailée ! On ne veut plus tracer pour tracer , mais tracer pour ... tracer = filer ! passer ! pâsser de fait en tant que fée (bêrte de trait) vers ce Passé du Néné du Lait ! = téter ! tête allouée à une sorte de tétée de Verbe-lait = V-herbe = Verbe d'herbe " ! On aime ! OPn veut creuser cequi ici est, qyui se présente à nnousq en tant qu'on est des ............................ êtres(de pré) ailés ! ............................................................................................................................................... on veut grave aimezr = dire = cerner = comprendre = conjuguer .... un cdeertain nombre de données de base ! les comprendre = les toucher ! On veut :
toucher toucher toucher à ce qui est qui se présente ! On veut : aoimer ....................................................................................................................................................................les traits, traits de RAge , Traits Tr acés du Passé de bbase ..............................un néné est né qui se présente acidulé prête à être tété ! ................................................................................... on veut le téter ! l'aimer! boire du lait ! s'en garga(riser en tant que Fée Tracé sur pieds dans la mort donnée dite "du bout du bout des contrées aux fées ". On veut toucher à ce qui est qui se présente on dira "debout". On entre ! on entre à genoux ! on est au bout du bout du bout du bout, prête à ... entendre .... la VOix Ample ...... d'une sorte de REine De Rage ......... Tra cée ............. rEine des Données de base .............. Rei,nes des Entrées ..... sorties de La,ngue ! loa Paroi est franche ! sondée ! creusée sous nos pieds ! on veut (nous : fées !) s'envoler sans plus (ezn vrai !) faire desimagrées mais y aller ! poussser de chez pousser ! tracer de chez tracer ! aller de chez aller ! faire ainsi que les dsonnées en vrai sooient, pour nous ... eh bé données, peut-^tre ... petit bout par petit bout ... ou alors d'emblée ? toutes données et on saurait ? une fdois pour toutes on saurait à quoi se fier ? On est nées Fées du Bois Menu, on volette, on veut comprendre ce qui est, on cherche loin, on veuit aller ... au plus loin des contrées ici toutes représentées à notre approche. Creuser c'est cerner, on sait. Qui on est ? des fées, sur pieds, qui sont a&ilées du fait que voilà.... fée = ailes ! On aime être fée parce que voilà, on est munies d'ailes. On v eut ensemble gagner sur pré les dernierts contreforts, comme tracés , qui seraient (pêut-êrte) sortes de Murs d'enceinte, de Rotonde Allouée, d'enclave profonde aux herbes folles et bhêtes desomme que .... bnous sommes ? fée / bête de somme ? fée / bête de trait ? qui so=mmes-nous en somme ? fé de Somme ? fée de TRait ? fée adoubée dédoublée doublée ? on cherche enxwemble ici et là sutr pré à du coup envisager ce qui se pourrait en termes de réponses à des questions "profondes". On veut (certes) aimer (aimer cerner) mais aussi "toucher" , toucher à ce quyi est en termes de .... Plaie ? on ne sait ! en termes de .... Chose a&llouée ... à .............. La Moprt ? peut-^tre !
oh, peut-êttre ! on cherche , on avance ensemble (... on est des ailes !). On est née Fée au passage Donné (= le trépas cendré) et passé ça, donc : le ou la pré-toundra, nous voilà accolé à une sorte de muret, soit de muret de fond d'allée, prête à "déjouer", à "lâcher les treaits" , à se "dépiauter" d'un cezrtain nombre de "qualités certaines" , du genre ........... la traine ! les ailes ! le diadème ! les bouclettes et autres traits cilaires ! et hop ...... avoté ! .................. on est passée ! on est passée... xde l'autre côté du muret vers ..... la "Mer des Herbes" ? Mer Haute du Verbe ? mer des Traits hors Roche ? On est la fée Haute ou ... on sezrait ? on monte ? dans la mort alvé-olée on monte, vrai ? On, monte haute ? feé-femme du pré, monte haute la mort (ultime) allouée ? On veut creuser = dire = faire = cerner = comprendre =cxher cher = aller = sentir = franchir , ici ou là (treait d'ultime paroi) la Rive , RIve en Soi de l'Au-delà à soi ! la Chance = la transe ! On veut toucgher à ce qui se présente ou se prése nterait, en termes de :
Connaissance des Entrées , des TRacés de fée, CXharfge Haute sur Muret de Roche ! creiusons-filons ! ou même : creusons le filon ! Cherchons docte ! pousso,ns grave la Chose, d'une sorte de tracé de fouille ! allons ! chercheons ! filons de fait sur tracé haut ! allons toucher à cette sorte de ... Passé Haut .......... Enfance du trot .......... enfance du trot .................................. creusons "haut" la Chose ...... Le passdé est une réponse. Il sermbvlzaerait de fait que le Passé fusse Réponse .... ancrée ....... en cette chose d'un ........ Néné de lait ! et du coup, on peut téter ! tétons ! allons sur pieds à la rencontre de ce lait , cxherchons ensemble ce qui est qui est, qui nouis "r assemble" ou nous "r asssemblerait" autour du lait, lait de trait ! courrons ! fil:ons ! chezrcjons ! cernons ! poussons ! poussons vif la Chosqe Haute ! le Passé est cpomme "remonté des catacombes"" où il se terrait ! on veut tracer et du coup cerner tout un tas de données de type "bêtes de treait", '"bêztes de paroi", "bêtes s ur roche donnée", , et .............. voies ! voies d'accès ! On veut toucher toucher toucher toucher à ce qui est ici qui se présente en tant que Lait Donné , à téter, à ingurgiter = avaler pour se requinquer . Toucher = dire = faire = cer ner = cxomprendre = induire = szoulever = pouysser = calibrer un dire aux données du Rire ! Le Passé ! le passé traqué ? ou disons : poussé" ! car, le Passé est avant tout , du Rire de Pré ! Passé-Rire = Vie de RAge = Vent de face , prout ! la chance ! on entrte ! on creuse dense en transe ! filon ! trai du fion ! on veut :
coller coller coller coller
chercher chercher
dire dire dire dire
sonder sonder sonder sonder
pousssr poussser pousser pousser
creuser creuser creuser crreuser
adouber adouber adouber adouber
faire faire faire faire
centreer center centrer centrer
comprendre ensemble et toucgher ensembgke .... à ce Néné de Contreba,nde : THE Néné de Contrebande ! = le Passé ! le Passé Intense ! car, le P assé est né, qui nous attire à lui au plus profond ici xdes données données telles que rencontrées , offertes allouées , à une sorte de Tracé donné. On veut creuser de chez creuser le M%ur du Son ..... poussser poussser poussser vers le Fond, Roche Haute, la plus Profonde, Haute Roche des TRacés de porte. On est qui ? on est Fée haute, passée, qui avons travezrsé le muret DErniezr et nbous sommes comme retrouvées .... de l'Autre Côté, à devoir "sonder "(en vrai) les données Hautes = le Néné des Nénés , Roche au pré passé, la Haute Futaie, Mer des traits ! vaguelettes ! vagues et vaguelettes ! mer ancrée ! mer des données vertes ! traits sur traits ! Verbe centré ! on veut toucher à ce qui est qui wsembleraiot vouloir, ici, nous donner, des sortes de ....................../.................................................................................................. vraies vérités tracées ./............ treaits = vérités ,.............................../.................... traits ancrés ........................... oiN aime teracer et cerner, chercher et toucher et diu coup possusser, pousserr haut le Verbe "chaud" ! Toucher ! On veut :
dire de chez dire, êtrte de chez êttre, creuser de chez creuser, faire de chrez faire, cerner de cherz cerner, poussserrt (en vrai) de chez pousssr, co nnaître de chez connaître, cerner de vchez cerner, centrer de chez centrer, pisserrt de chez pisser . qui on est ? bêtes de trait / fées ... ça le fait ou le ferait ! car, en vrai ................. on aime êztre ! dire et coller, cerner et comprendre, charger et filer, sonder et marcher, voler et monter , monter vers ELLE , ELLE VRAIE , ELLE ... DONN2E XDES DOONN2ES, la DONN2E DES DONN2E, DONN2E VRAIE,, VRAIE DONN2E DES DONNÉESQ , Vraie de vrai ! On l'aime ! on veut CERner = enrober ! donner = dire = faire = coller = ciomprendre =cghercher = sonder ...... un certain nombre de "données intenses" , qui seraient .... eh bé oui peut-^tre .... dxes contrées , aires désertes, mers Égée ou autres mers post-pré ! On veut :
toucgher touycher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher ... à ce Passé de Mer, Mer Des Fées qui ont (de fait) traversé la Roche, Roche DOnnée, vers du Passé d'encoche ! trait ! trait nacré ! trait très très nacré ! on dirait ! On creuse un trait, et dans ce trait ou par ce traiot on essaie........../............................................. eh bien oui, de s'immiscer, d'entrer, de se loger, de se placer et de passzr ainsi pelotonnée vers une Contrée, ou Contrée Nouvelle , dont le Nom erst ...... kle Passé ! le Passé de l'ÊTRE, Passé Né = re-né ... ou comment stipuler ? On veut creuser (ensemble) ce Pasdsé , mais comment creuser ? voix de Roche = voie donnée = sentier ! tracé né sur sol de Roche ! on vfeut aller aller aller comme à nous envoler de tant aller ailée ! Volons haute ! montons ! fouillons ! creusons, THE Roche aux Passions ! et allons (si possible vive) vers pareille Cloison, Cloioson de l'Impossible , ou du non-impoosible, ou deu inconcxevable , ou du cfoncevable ..... mais allons ! creusons ! foulons sol, post plancher des vaches ! allons bon train ensemble vers le fond ... xdes fonds de RAge : la P assion ! Le Ventre ! le Front ! Antrte et Fond ensemble ! On veut comprendre et, de ce fait, on entre dans l'antre, ici, des Passions Franches , Passions des Passions Franches et autres Passions de branche. montons ! on veut ................................................êytre .............. née ................... dans la mort des contrées ... du Passé ................ bébé ! ............. re-bébé ! .................. à nouveau ancré ! fait ! chargé ! alloué à une sorte de "contrée profonde" , de type ........ re-rotonde ? On ne s ait ! O,n mùonte ! ..................................... l'homme desc ent la femme monte ! ............... monte haute ! .................. ailée de Ro-che ................................. homme croche (accroche)........................ bec dans l'aue de roche : caniveau, le drôle, au museau ! ............................................ paroles ! .............../............./. fée vhaute monte et cherche porte ! ................... porte des Hauts ;............... szorte de porte Haute des Données Profondes sur Poteau ! ........................................................................ o,n veut grave (ensemble) toucher de face, ce squi est qui en vrai nous rassemble ou nous adjoint ou adjoindrait de connivence ! on est née Fée la mort donnée sur pré (pré paradisiaque) et ... le pré "consommé"", on se prése nte "ensxemble" (ailes de fée) ........ à cette sorte de Donnée "intense" , Feu des treaits , traits des traits, ........ engeance ? p)eut-^tre pas en vérité mais quelque chose comme ... sorte de ....... connaissance ............... une façade ?? ....................../....... face allouée à une szorte de Parade ? parade d'antre ? ........................../....................... on veut cerner mais pour en vrai de fait, cerner de chez cerner ... eh bé vas-y, creuse, creuse e,n transe ! pas si aisé ! ça trezmble ! c'est pas do nné ! ça demande oui un vrai doigté , deoigté de fée , qqui parfois manque ! la malchance ! O, n entre ! on veut coller de chez coller à une destinée-parade, le tracé "français" est (ici) trace de base, mortt allouée à une sorte de p)assé de FRance, un Passé mort-né qui ici re-naît, comme par miracle, du néné donnév = lait ! Lait dense ! voilà le Lait ! Lait post -pré tel qu'on le rêvait , le voilà "acté" ! trait ! trait ! treait donné ! trait des teraits donnés, sur Passé Intense tel qu'imaginé en quelque sorte dans nos pensées. on est entrées .............................../ poussons donc la promenade ............................ au p^lus loin possible qui se pourrait ................................ v ers ces données dites "du bout duu monde" et des copntrées "hhautes", dont plus haut on parla&it : c'est quelque chose ! ........................... on monte haute car voilà, ..... on est Hautes de chez Hautes, F2es de POche ! poche et Roche ! F"éée Forte !Fée de porte ! on monte ! ................................................................................................................... on veut toucgher toucher troucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui , tout en haut de cette CDhose Haute, nous "contrôle" (?) ou nous contrôlerait (?) qui sait, sans discontinuer = tout du long de notre avancée ou ascension ou montée / envolée. On est née Fée Forte ! accorte , quand ............"morte" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! il semblerait. Ce qui, en vrai, signifie que cvoilà : on est ................................................................................ comme accordée .......... à une voix ........... voix de l'au-delà ............... aux données de base = voix dense ! voix intense ! = voix des voix = ............... voix de Rage ! .....................................; VOIX = VOIX DENSE ................................................................................................... Ici on veut comprendre ensemble, eh bé des chjoses qui pourraient peut-êttre, il semblerait, nous ap^porter, qui sait ? des vrépônses, à pas mal de questions qu'on se pose et qu'on se pose ici, de"puis, eh bé ... pas mal de temps, de fait, maintenant. qu'est-ce que ici en vrzai cette CHose, d'une Soerte dee Porte Haute, pourrait nous do,nner ou offrrir, en termes de Données profondes ? ,on veut trouver. On est vachement motivées parce qu'on est des fées, on est toutes passées (dans un premier temps) à travers la roche ou "roche -roche", mur de grotte, p âroi "hot" , et mainteneant voilà, maintenant que nous voilà passée pour ainsi dire de l' autre côté, côté pré, côté "paradis sacré" ou "quelque chose comme sacré", bnous cvoilàb qui voulons toucher à une sorte de contrée qu'on dirait , on dirait, "définitive" ... de type "portée" ........ de type "ligne ou tr ait" sur laquelle ou sur lequel pouvoir de fait s'installer comme qui dirait "l'ooiseau ou un oiseau de ligne" ! On a envie de vivre ! sans céder ! d'aller, si possibvle, au plus loin tr acer! chercher donc cette ligne post-pré qui sezrait " la Ligne divine" ........... treait des traits ...... fine et gracile ligne post-pré ! une ligne "active" ................ qu'est)ce qu'en vrai ça pourrait être ici de fait , que cette ligne "auto-portée" comme une sorte dee ............. ligne vive ................... ligne allouée à un tracé de rive ..........................ligne de trait ???? ligne du Passé ? qu'est-ce que ça sezrait (alors) que cette ligne, içci allouée, à ........ des vivrzess ? ma Voix ? Chant de Rive Sur Tas ? trait de soi ? vivres et autres offrandes allouées à une vie ....... après la vie ......... ap^rès la mort pour ainsi dire, mùort comme prise en sandwich entre ici la
Vie de base, TErre Maternelle, et là, la
Vie "Intense", dite "du Passé de RAge " .......................
Est-elle (ccete vielointaine) Vie Passée, Vie déjà cernée ? Comment le comprendsre. ? Qui en vrai saurait nhous tuyauter sans se moquer ? Peut)--on toucher à une véreité de base sans pleurer, sans êtrte "touvcchée" ? sans être déboussolée par (il semblerait) un ertain ombre de vdonnées, données en souffrance, qui, peut-êttre, nous mettreait ... plus bas que terre ? On cherche ! On a envie ensemble de trouver ce qui, dans la tourmente de la "mort en vie", bnous rassemble, nous réunit, fait de nous (elles) une Fée ... de Vie Intense, allouée à un Passé de France (du français de base = le français de lan gue) ....... On est née ! On est l'ainée ! le bébé tracé ! la chambre ! onctuousité ! pré aux fées ! gentes dames du Passé des Données de France, hé ! du français en tant que langue , faut-il préciser ? car, ici, le français, est cette langue à déboiser ! à mettre en (comme qui dirait) charpies, si tant est ! langue-née sur pied un jour d'été ....... pour ainsi traverser ....... la Vie en ses Contrées ............ jusqu'au bout Nacré ................. Finalités des Finalités et autres Traits ici alloués à une sorte de Dérive Vive ..... sur Passé ! trait acté sembleréait du Rire ! rire hautement pratique ! car : il chasse le Vide ! On veut :
toucher touychertoucher toucxher toucxher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est ici qui semblraearait voiuloir comme '"nous parler" ..................... nous donner du "néné" comme à téter ! = LAIT , LAIT post-pré ! lait du Rire ? on veut :
toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher ce qui e,n vréi i-ici dse présenterait, en tant que ça sera&it de fait du ... Gros RIre du Rire ! Rire gros post-tonneaux ! Rire Ivre ! On cherche le mot ! on veut construiore (ici ) tout un chapiteau où pouvoir (au bas mot) "toucher" (de près) la Chose aux Fées = le Trait ..... de "Mort Active" , Donnée Ivre, SAinte Vive ! Le tracé ! trait ! trait de vie vive ! trait des traits du Rire sur Passé "en friche" ! trique ? on ne swait ! trait de Trique ? On ne sait ! on veut ............ évacuer ............. les données tracées ........ d'un Verbe Centré .......... pro-clamé ........... à grave déquiller ........./.... verb e des Données Données xsans qu'on ait été de près ou de loin (à l'entrée !) consultée et ça fait chier ! On nhe veut pas du V erbe -trique ! tralala ! on veut ça :
vivre ! fée ! vivre fée sur pré puis hors pré ! t§racer = donner = dire = faire = donner, à du VErbe, les Données Actives ......... d'une sorte de ..... "RIRE des COntrées" telles que rencontrées le Muret (de s fibnalités) traversé ! En gros : on veut grave se débarrasssr, ici, d'une sorte de donnée active , auto-genrée, de type Tracé Tracé, trait De vive Alacrité, qui serait comme adoubé par ......... l'Hydre ? va suer ! va-t-en creuser Tom b e des Traits ! laisse-nous aller ! fée ! fée-fille ! vive ! pas un centime sur ce trait on ne mettreait, ce trait ivre , d'une sorte d'Hy§dre ... alloué à un VIvre tel que Ce que là, on croit voir, voir Venir, ainsi donné, le Jour où , de fait , on est né (é !) homme dee crue ! va-nu ! hombre du cru ! Pelote d'hôte ! On n'en veut plus ! m âis comment du coup ........... chasser la crotte ???? .......................... cfomment "caguer l'homme" ???????????????? comment "pousssr" ?????????????? ???.?.??? et faire tomber sans se déliter ??????.???? ??????????????????????? comment dire ce Passé Nacré et l"'évacuer , ne plus avoir à en subir les données ou données de base, et autress méchancetés teznaces ? ................................................... verbe lié ! ça fait chier ! on veut creuser creuser creuser un certéin nombre de vdonnées de Rage ......... et toucher toucxher toucher à ce qui est "en face" = Face ! Face aux traits .... "intenses" .......... Le Passeé français de contenance = du passé de Face ! traits ! ttraits des traits ! pousse-café ! on entre ! ............... on veut toucgher de chrez toucher à ce qui est en face , qui, pour le coup, voudrait, de nous ....... eh bé TOUT ! sans trier ! tout de nous et le tour est ou seraéit hjoué ! mais nous ............ on ne veut pas se laissser absorber (chou caillou genou) comme éberluées, mais tenir bon , sur pieds, dans l'adversité d'une sorte d' avancée (attitrée) vers nous, avancée chelou ! qui voudrait de nous .... TOUT ! tout de nous ! passé et contre-passé ! le temps en son enteier = chou caiullou geniou hibou gnou ! et nous ......... de ne pas pour le coup nous laiisser attirer ou même intimider ....................... et : CONTRER ! CONTRER OUPS ! ALLER ! CREUSER :/ CONTRER ! On veut (on voudrait) arriver à (en vrai) décoller........ nous décoller ........../ en vrai .......... décoller ./......... nous décoller ............ trac ezr de chez tracer un dire "décollé" des données "chelous" du Verbe alloué à une sorte d'entité ancrée, de type Sommité ? Ombre POrtée, Masculibnité sur pieds et autres Hominitudes TRansférées qui grave font suer .... quand on le xsait ! Qui on est ? qui en vrzai on est ? quii de fait en vrai on est ou on seraoit ? fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! d ans la mort : fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! dans la mort : fée des fées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et après la mort ..... le Bébé tracé ! bébé née sur pieds ! au-delà du pré .................................................... on veut :
toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toyucher toucher
vivre = creuser = dire = faire = comprendre = chercher = cerner
un certain nombre de données tenaces
données des données teznaces
creusements-tracés en chambrte
on veut : tioucher, diantre ! percer de chyez percer, aller vif et creuser, pousszr de chez pousssr du ventre ! cintrer ! allouer, à une sorte de poussé"e, du VErbe "de France " , ventre d'antrte ! ça rentre ! c'est cinglé ou sinon cinglé ça flambe ! traits des traits sur du Passé de Vzntre , qui sait ? On veut comprendre. On a envie en vrai ensemble de cezrner et de comptendre ce passé, aux données intenses, ce qu'il est, depuyis ..... eh bé, la langue ! une langue allouée ou inculquée,
depuis ses traits, traits de langue incorporée, ce qyui est, ce qui est de fait qui se présente ou se présenterait en tant que .... "traits de langue" , traits portés", traits des teraits alloués à une sorte de : Panse, VEntre, Antre, Intestinalités des Données franches .... qu'est-ce qu'en vraéi il se pourrait que ce fusse de faéit ? qui sait (des données) les données , les traits de portée, les entrées ? Qui vconnaît en vrai les NOms Posés sur Paroi aux fées ? on est nées fées ......................... patadisziaques ...................................................... ailéesc ............................... allouées à une sorte de Parade .................... chargée ................./.. centrale ........... accvordée ............. poussée ........./........................................ aimée ........................ qui de fait nous plaît ........... nous enchante ............ nous fait rêver ........................................... nous donne Allant
et ,
Comment, Charme ? Charme de Fée ? oh, copmme on aimrerait si ça se pouvaiot ! On adoreraiot ! On aimerait grave renvoyer du ... CHarme, genre ... "ambre " !!!!!!! ........ ah si on pouvaiot ! ................;................... comme on aimerait ! ................................................................. on adorerait ! ........................ grave on voudrait ! ...................../....../.....Ça serait "génial" ! ..... grave "génial" de fait ! ............................................................................................................................................. va)-t-o,nn y arriver ? ........................... il semblerait ....
que non !! que, en vrai, le Passév Tracé soit (en vrai) du Faux Allié ........... treaits masqués .................. pas forcément super aidant en termes de recherches, ici, de vérités ............................. alors voilà, on trace sur pré, on avance, on fonce en bande , on est accolées, femmes-fées sur pré (les hommes ? morts et enterrés , bien fait ! ils ont assez duré ! on les connaît ! ils sombrent !). Qui on est ?
Des ........ qui ......... de fait ............. montent ............ hautes .......... sur paroi dee roche ................................vers la Haute ........ Hotte Haute ................................. hotte Haute des Données de Roche ............................../............................ sans traîner ! sans cher cher à se défiler ou à se cacher .......................... sainte Fée d'époque ! ...................ombre des données de Roche , on veut creuserb ! dire et donner , faire et aller, chercher et coller, monter dev chez monter et ne plus jaùais se laisser comme embobiner par ...... eh bé ici la Chjose : OMBRE ! HOLMME ! HOMME-OMBRE ! CE TRAIT D'HOMME D'OMBRE OU DE L'OMBRE .... QUI FAIT SUER ! GRAVE SUER ! VA-LA-MORT-CENDRÉE ! TU CONNAIS ! honte à l'homme d'avoir alloué à un dire donné, les traits d'une ombre ! ombre-née, quand la clarté devait ! On veut :
coller coller coller coller coller aux nénés et téter en tant que bébé le bon lait tiré à la force de la sucée ! de la belle téteé toute acidulée ! on veut (en vrai) toucher toucher à ce néné des dires lactés ! et tracer ! toucher ! pousssr ! creuserr ! conduire ici .... le Verbe ancré, vcers ce n éné du Rire Incortporé ! rire-lait ! trait de lait = Rire ancré ! on a en vrai envie ici d'aller, au plus près, toucher de chez toucher, le Néné Vie, Néné en vie , empli, rempli, de Lait Adoubé p)ar l'Entité Chelou de bout de tracxé ! on veut grave toucher ! pousssr , pousssr et creuser, creuser et cerner un certain ombre de données actives . On veut ........................ eh bé, vivre ! vivre vite ? vivre ! ivre ? vivre ! nj'importe comment , dsu moment que voilà .......... on est à même de pouvoir cerner, comprendre, toucher, ce dit "Néné des cobtrebandes" ...... d'une vie post-pré = le Passé ! le Passé ancré ! rires (ici) déployés ? on ne sait ! On a en vrai méga-envie ensemble de cerner tout un tas de données comme allouéesz à une sqorte de tracé ... du Vivre Dobnné. Qui veut aimer ? qui cvveut toucher ? qui donc de fait veut vraiment cerner et du coup avaler ? On veut (nous !) :
dire de chez dire
cerner de chez cerner
poussser de chez poussser
comprendre de chez comprendre
allouer de chez allouer
pister de chez pister
consacrer de chez consacrer
aider de chez aider
mettre sur pieds, postuler, ne pas tomber, creuser, et faire et dire , et dire et faire, sans trembler, ce p ôur quoi on serait née (fée) à la retombée .... et pas Homme-Ombre , Satané, car ........... tracée = née fée = envolée = éilée !!!! On est n ée (dans la mort) ailée .... sibnon à jamais, le temps de la traversée .... du pré -sentier .... jusqu'au trait des traits du néné Lacté comme qui dirait. fée des Fées sur pieds dans la mort actée (archivée) . On est née ! fée vraie ! toute ailée sur pied, p^rête à tracer, charger, creuser, filer, onduler de grâce sur pierre des traces ! chants du pré ! bêtres de trai = pastorales allouées à une sorte de "Romance Cendrée" ! on veut (on voudrait ) creuser de chez ccreuser en transe .... le Passé ! mais comment creuser ??? comment charger ? comment cerner ? comment aller de base en base sans tomber , tréb ucher, se prendre (et comme il faut !) les pieds ... dans le passé dit "des Outrances " ? des outrances ??? ou : des convenances ? plutôt des convenances ? On veut , eh bé, le bon mot ! le Verbe haut ! la franche transe et autres pensées franches ! On veut .................... haut .......................... creuser ................... les mots ................... sur pieds ! et ne plus nous arrêter, car voilà, on est passée ! car à la retombée sur pré on s'est retrouvée ou comme retrouvée toute remopntée et prête à (de fait) continuer sur notre lancée sans discontinuer et ce jusqu'au néné du bout du bout tel que déposé" (?) sur Paroi Finale, ou Post-pré de base ...../..... Fins des Traits de Rage ...... fins des Prés de Base ........... finalités ancrés / sapiences ! Les données franches . On veut toucher à ce qui est qui se présente à nous tout au bout ! et ce qui est, est :
- des genoux ?
- des bouts de bouts ?
- du lait de gnou ?
- le passé du trou ? du trou de boue ? Fosse haute ? tombe des tombes ?
On veut toucher à une Vérité post-pré et l'avaler ou comme l'avaler = l'incorporer à notre poropre condition de fée ici allouée à ...... sorte de région ......... du VERbe ....... bas ? On monte !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut haut allerr !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! creuser = dire ce qui est dsans les allées du bout de Roche ! ne pas traîner = filer = tracer (à main levée ?) la Chose ! le Fait ! l'Ombre ! le ässé est né ...... qui re-bnaît en vérité !! et nous laisse ller pour comme téter le bout acidulé d'un néné ancré ! On aime ! mèfle ! on voulait eh bé on peut et pas qu'un peu : téter le V erbe .............. des données en herbe ! feu ! fonçons bon ! creusons ! cxhargeons ! filons ! creusons sans rire .... ou si : rions ? chargeons grave les données de base d(une voix antrale : bouts de son, voix de rage, cris dits, posts de roche, ambitions ! On aime l'Ambre ! le poisson ! la chance des fondfs ! le tréfonds ! l'ambiance. On est :
fées des traits de rage, traits des fées de bnase, fée des traits de rage, traits des fées de base etvautres "fées -montòn" ! tronc ! porte haute ! allons ! filons de chez filons ! soyons docte ! allonspistonnons ! forçons et fonçons ! on est Haute du Tronc, Ailes fortes, nous volons , nhaviguons, voletons, traçons, creusons, cherchons ........ à, de fait, creuser de chhez creuqser ..... une sorte de trait ...... qui soit ... une porte ..... vers ....... le Passé pôst-roche ! ancestralités des "données franches" , et autres eéthymologie -graphie de maintenance .... ! vies dees vies ... =
vies desvies des données graphiques = traits sur traits, mots alloués à une sorte de tracé de fée. On monte ! ............................................... on monte haute ...................... on creuse , monte, va, fonce ! ............. sur paroi puis au-delà de la paroi .... direction la Haute ! Haute Voix des Tombes ... TRombes ? On monte Haute ! on y croit ! on veut ça ! on envoie ! on trace ! on charge ! on veut toucher de Rage la Paroi de Base , les envois, la Croix, le Don de soi comme en contrebande ! la Voie ! croix de bois = trait de base : un envoi pour Soi .... de Vent de Rage ! saint--Portage ! Une szorte de vent de transe ! l'en-vent ! en-vent ainsi donné comme ..... extrait du Passé ;! mais est-ce vrai ? peut-on coller ? dire et charger ? sonder /? pister ? allouer à une Vérité Nommée le Poids du Passé tel que rencontré ? qauand on aime il faut tracer, quand on aime il faut filer ! il ne faut pas traîner mais grave filer .... est-ce vrai ? on veut : aller, dire, charger, pousssr, donner, faire, centrer, conduire et pousqsserr, aimer, changer, donner du lait, téter, monter et chercher à attrapper le bout du néné pouyr du coup téter sans traîner ! aimer téter ! On vouxdrait ensemble traverser le pré et nous portyer de fait jusqu'au bout du pré, pour du coup téter ! téter de près , ce fameux néné ici alloué à une sorte de Donnée des Do nnées sur Pieds = Entité des Entités .... Quij c'r'st ? eh bé .............................. un Bébé ? ...................... déité nacrée
*?, ......................... une "BNEAUTÉ" ?? ........................ sauintetyé ????. charge de frai ??????? ......................................... en vrai, on veut grave cerner les données de base et du coup passer, traverser la Base, passer le bout du nez, les ailes pliées, cotrps de rage, petits pieds , odeur (oui) de sainteté ! odor sanctifiée ! fumet ! fumet des prés ! fée passée se relèverait de l'autre côté en forme de .................. bébé ! bébé des bébés! bébé d'or ! or de la mort ! corps d'or ! or des ors ! oralité ! On veut :
toucher toucher toucher toucher toucher
dire dire dire dire dire
verser verser verser verser verser
coller coller coller coller coller
cerner cerner cerner cerner cerner
parler parmer parler parmer
chercher chyercher cher her chercher chercher
poster poster poster poster poster
entreprendre entreprendre ventreprendre entreprendre
sitruer situer situer situer situerr
porter porter porter porter porter piorter
voller voler voler voler voler
centrer centrerr centeer centrer et comme "recentrer", le dire des données, des données Hautes: le Passé. Le Passé est le Passé de Roche, l'embrassé, l(enveloppé. On v eut de fait ensemble eessayer de (pour le coup) le soulever de chez soulever ... à genoux, et là, à bout de bras, le porter haut jusqu(au "tonneau" ! et ............. verser son eau , eau de lait, comme s'il en pleuvait ! ou tout de go sans plus traîner ! lait acté ! dans son pot ! et le vin est tiré comme qui dirait ! vin de lait sur pied ! treait tracé à la volée ! on est parée ! toute habillée pour aller danser la danse des fées ! On est :
oui ... parée, habillée, tracée, collée, accollée à une donnée, donnée haute. On est la Fée dite "de la Haute" et aussi "des Tonneaux de mots" ! creusons Roche ! montons haut et haute ! alloons ! car, ici , la vie, la vie après la mort, est Passé Vif ! traits tracés, dessins de bêtes -traits (bêtes de trait) et autrscSommités animalière'sz des Tranchées. On a ime tracer = dessiner des traits = mots des prés . On veut coller = dire = sonder = comprendre = charger = passsr = entrer = consacrer son dire à une sorte de recherche active, autour .... du Passé ! ce qu'il a été en vrai .... : du Rire ? du Passé de Rire ? ou bien ...................
du passé de frise ? bêtes acides ? bisonnées trisqtes ? buffles arqués ? bouquetines voisines , ourses ancrées ? LE passé en crise ? bêtes decirque ? ou de trait sur pré ? de somme alloué à une sorte de contrée "du rire" ? On est née Fée, on était auparavant hominidé de type homme centré, nous voici (enfin ??) transformé, e,n .................. fée des Fées sur pré ! à la bone heure de la Chandeleur ! on peut aimer ! on peut grave se délasser, s'étirer, se prél asssrr, se laisssr (enfin ?) aller ....... nouveauté ! genre changé, c''est frais ! ça le fait ! vive le l:ait ! On erst née F2e la mort allouée, enfin transformé, Verbe de TRait ! vErbe d'herbe ! Sainteté Nacré ça se pourrait que ......../...../... pour le coup, l'herbe soit vraiment verte : dans le trou ???? hé, qui sait ? qui sait le terme ? qui connaît en vrai la couleur de l'herbe la mort donnée ? qui sait ce qui est en ce pré en termes de Verbe ? Bisonnée ? Buflette et Bouqyuetin des Trains ? Le gibier ? On veut en vrai (de notree côté) toucher de chez troucher à ue sorte de Néné post-verbe ............. mais est-ce en vrai ce qu'il faudrait, plutôt que .... parler ? On cherche ! On veut toucher de chez toucher, et ussi creuser de chez creuser, et aussi aller de chez aller, et aussi foncer de chez foncer, et auusi dire de chrz dire, et auusi regarder, tout autour de nous, les données porogfpondes, ce qui est qui nou s aborde " , le Tracé de Fou",. L'ombre ? l'ombre docte ? Le mou ? le bout doux ? la Chose Haute ? Lait (animalier) de cohorte ? on monte ! on monte ! on monte ............................ on est hautes ........... montées hautes .................... hautement postées par la Parole HAute ! traits anim aliers ............ / cohortes d'époque ................ un tracé de ROche et la CHoqse est ! qui sera la Chose ici Adoubée ................................... accorte ......./../............ allouée ................../................... apportée .......................
sondée ..................................................... comme déployée .....................................................
:
.... ventrue ? ............ nue , ? ...................... venue ............ pour (en vrai ?) nous rencontrer , le néné donné .................................. à téter ................................................................................ néné né nu ...................................................................................................................... POST PRÉ ........................................... la nuit venue ?
14/2/2025
on trace grave ! on envoie ! on envoie du bois ! On ne veut pas être (de fait)- à la ramasse mais ... aller, courir, creuser, dire et creuser, charger, donner de soi en termes d'avancée, de creusement dit "de p aroi" et autres types de trouées frontales pariétales ! on envoie ! On veut en vrai creuser de chez creuser s&ns jamais s'arrêter , car, voilà, on veut "ensemble " toucher, à ce qui là-bas, en face, tout là-bas, après ce "tra&it de choix", semble nous attendre : la Voix des Pa'(rois , des Parois de Rage , Parois des Rois et REinbes de Là, la Trace, le TRacé des Voix, Voix de France ... ou quyoi ? car ici, le Français (la languue) est là pour nous (qui sait ?) "expliquer" La Pa rade, Pa r ade Animale en veux-tu en voilà on en redemande ! on veut ça, la P arade ... et comprendre, cerner, toucher Néné, Toucher grave le Néné du Lait = téter ! téter en face .... le français (la langue) comme qui dirait. mais, peut-on, véritablement ... téter le français (la langue) ? peut-on des peutons téter le Frgançais ? téter svp ? p)eut-on des peutons téter le français ? téter gr ave le Néné Français , soit ... le Français en tant que "langiue consacrée" ? on cherche à cerner ! on veut toucher toucher et du coup cerner, ce Néné, Néné du français, de l'herbe alloiuée à un idiome ici donné pour ainsi dire en tant que tel = le français, des données des TRaces
🙂
On est qui ? on est F2e des Rages ! ailées ! qui virent et tracent sur leur sentier à même le pré ! On e,ntre ! On veut toucher toucher touchger toucxher à ce présent donné en tant que, pour le coup, do nnée de base = le Passé ... ou quoi ou qu'est-ce ? quyi on est ? On nest la Fée "surnuméraire" ! Un chantier ! chant des données ! On vreut toucher à l'herbe = brouter, puis, le mur passé, mur des données hautes (dernier muret) on veut téter au lait de "Bonne Mère" , l'allouée des Termes , des Termes FRançais (en fr ançais) on l'a deviné! on veut coller à ce Néné dit "à téter" et ça le fcait . On ne veut pas (plus) passer à côpté mais grave tétrer au "lairt des données" telles que "déposées" post-herbe, hors sentier, mur du fond passé, de l'auytre côté, côté ... VErbe ????? on dirait ! On dirait bien que cde l'aiutre côté, ce lait, ce fameux lait qui nous attend ou nbous attendraiot, en vraiii serait ... du Vezrbe ! Verbe-lait s'il en est ! verbe-termes ! termes des données = Verbe alloué à une sorte de ... B2bé post herbe (en herbe ?) qui voudrait (grave de chez graave!) téter téter téter sans se soucier de ce vqui estcen vrai qui voudrait peut-êtrte, lui ... l'avaler ?,le digérer ? le chier ? le quoi ? on ne sait pas ! on mate ! on aime ! on aime le lait-verbe et on se gêne en rien pour (du coupb) vtéter, à ce bon lait de trait, charge-née, mots des Termes, Fond Haut, Mots d'eau, trait des traits post herbe , soit : VERBE : OK !
car voilà, en vrai, ce qui est ici, qui nous regarder ait et qui saurait nous indiquer un certain nombre de données premières,
Le Néné , Le Néné des Termes (des "Finalitées" ) est .... Néné-Verbe en tant que c'est (pour ainsi dire) ... ou ce serait, du "Petit Lait de Trait" : Lait d'herbe ? lait en herbe verte, Lait Trait = Verrbe alloué à une sorte de donnée dernière, à savoir ... Déité Colère ! La Colère en vrai incarnée ! celle-là qui vitupère ou ne cesse de vitupérer ! ... après qui ? après nous , forcé ! qui donnons de nous .... quelques rares do nnées d'un tout et non le tout dès que nées sur terre ! merdou ! on ne veut pas (du tout) donner tout ! on n'a pas voulu (du tout) donner le tout dès que "sorties du trou" !!!! on veut : toucgher Néné = téter, s ans nous retourner, et en avancer, en termes (tracés) de Connaissances Pariéto-frontales : les donné'es de Rage, Bêtes de CFrance (du français en tant que langue, ici, inculquée) et tracer ! filer ! courir sansz traôiner ni désemparer et à fond la caisse, on aime ! on est né'es Fées "à la retombée" dès qu'ayant passé , sands frais, le mueret
des do nnées rupestres : aurochnodoÎtés des tracés de bêtes. On aime ! On veut :
toucher toucher troucher toucher toucxher toucher à ces dits "aénimaux-termes" ; mots-bpetes de prairie", gens -bêtes du pré fleuri , et autres bêtessynthèses.
On veut grave cern er = toucher = comprendre, ensemble, ici , kles dits et redits (en français !) de base. qiu'estr-ce que c'eswt que ces Nénés des Rages ? ce lait, cette onctuosité patente : qu'est-ce que c'est ? peut-o,n le co:mprendre ? cerner ? creuser ?, chercher ?? dire et donner ? toucher à ce Né né des Contrebbnandes allouéesz à une (sorte de) Post-^muret d'après la bande (le pré) telle que rencontrée la mort adoptée ? On veut .... cvreuserr, oui, Néné , pour ainsi dire = téter le dire ! téter de chez téter le dire lacté , Verbe des Prés (?) = charge-née comme à la traversée , d'un pré d'herbe à ... eh bé ... on ne sait quoi .... la TErre ? re-terre des Feu!x ? le Termes mes aïeux / aïeules .... en creudx ? on cherche !!!! on cherche miueux !!!!! on veut "sortir du cimetière d'herbe " et, de fait, aller, filer, foncer, tracer, chercher de chez chercher X et X données sur ... le passé ? Passé post-pré comme qui dirait ? chercher de chez chercher X données à propos du Passé tel que rencontré en "finalité" en termes de Terme ? on cherche ! on veut ! on veut grave nmieux ! on veut toucher de chez toucher (en vréai) le Terme = le Néné ! la terre ! terre, terre ! terre en vue des Cieux ! la Mère ! le tracé des Dieux (odieux ?) ! La Reine sur le fEu ! colère ! colère ! colère ! colèree des dieux , déesssqes des Terres ! le Passé en creux , la Terre aux aïeux / aïeules du Feu, on est nous-mêmes (fortement) colère ... de ce que eux / elles (dieux / déessses) sachent mieux que noumêmes ... ce qui est qui est , en termes de Traits, Treaits de Base, traits droits sur ... Foie ! charges mentales ! qui de quoi est là après la Parade ? Lait des "Traits de Rage" comme saturés, tracés à main lmevée, traits du Passé d'un ppassé acté , charges pré-pré , pré -herbe sacrée, pré-prairie saluée par X bêtes "à jarret" ! on veut toucher ! On ne veut pas se ;laissser démonter ! on veut toucher de fait à ce "jarret des Contrebandes" , "Le Jarret" , Jarret des Jarrets sur place ! une Donnée comme demandée ! trace ! trace d'un passé pasdsé, d'(une charge, d'une entrée, d'une sorte d'avancée "mouvante" , on est née ! née "fée de France" (du français !!!) . Fée des F2es comme "en souffrance" de termes alloués et autres dfonnées de type connaissances , connaissances densesq. On veut :
toucher toucher toucxgher toucher troucher à ce qui se présente ici , en termes (pour le coup) de sortes de données frtontale et autrtes sortes de données "postales". Lettrées. Chargées. Creusées. On entre !!!!!!!!!!!!! entrons "ensembkle" !!!!!!!!!!ailes de fée cxomme à la parade ! en franchise postale (comme on le dirait) on entre ! on rentre ! On veut creuser ensemble les données de base, et pour le coup trouvezr-cerner ce quyi ici (post pré) est comme donné, qui saurait nous donner (au plus près) les Mots Sacrész à devoir Cerner = toucher =
📸 / comprendre = adopter ! On veut :
toucxger de chez toucxher
creuser de chez creusqer
cerner de chez cernder
pister de chez pister
dire de chez dire
allouer de cghez allouer
poser de chyez poser
avaler de chez avaler ... du dire de Fée comme du pêtit lait, ça le fait ! on veut téter ! on veut comme construire un Dire ici, comme tracé à main levée comme à l'arraché , et filer ! creuser-filer ! tracer de chez tracezr ! se laissrr porter ou flotter ou guider par , on dirait, un ... fluide ! qui'est-ce que c'sst ? Dires de fée ? dires-fluides ? fluide-dires aux donnéesz allouées comme qui dirait ? On cherche à trouver ! On veut creuser de chez creuser sans désemparer, sans se démotiver, sans se dire que, e,n vrai, les dites "données fluifdes" ne seraient, pour ainsi dire , pas données en vrai, or ..... il sembklerait que, dans la mort, mort haute, les données de base , données flmuides si tant est, soient ... lAit ! Lait de F2e et autres Lait français (le fr ançais : la langue !) ! s'il vous plaîot ! on veut :
toucher toucher toucxher toucher toucher toucher à ce qui est qui se présente sans traîner dsès que M%ort Finale allouée à une sortre (ici : pré) de "Fée De Rome" ! Rome-Haute = Etablissement Doré aux accents du Passé tels que rencontrée (qui sait ?) dans (peut-être) ... son enfance ! transe ! transe allouée à une danse sur ... passé Donné ... comme Donnée de Base = un traiyt ! trait de france = en fran,çais , la langue = (pour moi ?) le Pässé , tel que ... chahuté "en face" , Päriétale , pariétale donnée des données frontales ! On veut aimer ! creuser, toucxhger, dire et c erner, poussser, poussser , pôusser sans traôi,ner ni lambiner et trouc-ver, dans les faits post-pré, de quoi cerner (ezn vrai) ce qui est , ce qui nous attendrait, bnous regardera it, nous materait de la tête aux pieds ! FRange ? une FRange ? frange donnée tracée ? frange des Franges ici allouées à une sorte de Passé en France , genre : enfance ou petite enfance .... à volonté ? on ne sait ! On charge. On veut (c'rest vrai) com:prendrre, toucher à Une Vérité Patente, mais ... en vrzi, , en v rai et pour autant, on ne veut pas y laisserr la santé ! y rester ! tomber ! ne plus savoir comment avancer ! être touchée en quelque sorte... dans le sens où on serait touchée à la vie à la mort en plein centre ! on veut (de fait) perdurer = continiuer = suivre le sentier tel qu'il est tracdé juste sous nos pieds, pieds de fée = petits pieds "français" puisque voilà, nptrte langue impacte , qui se logezrait (qui sait ?) jusque dans nos pieds ! pieds de jeunes et jolies fée des prés, post-premier muret ! On danse ! gentes dalmes au croisillon des franges ! genteoiseaux -moineaux (moineaux d'eau) qui dansent ! dansons ! creusons ! allons ! fonçons ! mangeons ! organisons ensemble THe Parade ! Paradis des Franges-Party ! on entre ! on veut comprendre = dire = faire = charger = connai^tre = enttrer ! oN veut toucher toucher toucher toucher toucher à ce muret dit "des Convenances allouées" ... mais, de quelles convenances veut-on parler ? qu'en est-il pour de vrai de ces dites "Convenances sur pré" ? qaue doit-on penser de pareils dires adressées et comme "postés" .? ? qui connaît en vrai la "Vérité des Vérités" ici allouée à une sorte de Donnée post-pré ... qui serait : le Rire ? rire en Frise ? rire comme tracé sur sein de trait ? rire-Dire sur ... passé re-donné comme une donnée, donnée post-pré ? on "hallucine " ! On veut y c roire dur mais ... comment croire à pareille donnée si ... "frappée" ? On cherche ! on veut toucher toucher à ce qui est , qui se présente et se montre en vrai = le ... Néné des Termes ! oh oh Néné ! Néné du Verbe ? on le dirait ! trait et traite = traité ! Un tyraité du Verbe ! Verbe-Lait alloué à une sorte de ... colère, Colère "rentrée" ? Da,ns un ... corps de termes ???????????? on ne sait !!!!! on cherche ! cherchons bon ! ne lésinons pas sur la Recherche ! octroyons ! donno ns ! en temps et en pécuniaire ! de quoi toucher au VErbe, ce que c'est .... lait d'herbe ? d'herbe verte ? Herbe-Verbe en herbe ? On est montées sur Monts du Fond, on veut creuser le Tronc , toucher , toucher , touycher, toucher, toucher , toucher à ce
NBéné-tronc ! et téter ! car, le lait, lait bon, est Verbe de trait = trait d'herbe donnée = vérité des vérité ... sur La mort Allouée à ... un Passé ici (en ce qui me concerne) françaios , on lecroirait ! langue influerait ! chaque langue donnée donne ou donnezrait ce ton de Vérité à un passé donné ! Chargeons ! creusons ! allons profond ! cherchons ensembvle à (qui sait ?) donner de chez donner une soerte de Donnée Réelle, Concrète, genre " Crécelle" , Trait de Fée , Porte-Mère, Creuset ! on veut :
dirte dire dire dire
aller aller aller aller
toucher topucher toucher tropucher
cerner cerner cerner cer ner cer ner
faire faire faire faire
charger charger charhggger charger
... et du coup allouer à une sorte de contrée post-cimetière un certain nombre de données dites "s alutaires" de dtype "grgravures sacréesw", "dessins tr acés", "chargesws lunaoires", "herbes-traits popoortés", ""Fontanelles". Onn veut :
toucher, toucher, toucher, toucher , toucher, toucher à ce Néné post-pré qui est le Sein ici d'une sorte de Mère des Mèress = la Mere , la Donnée Supprême, Terre d'Elfe, terre-Mère allouée à une sorte de Passé ré-itéereé comme qui dirait ! sommes -nous claires ? sommes-bnous pour le coup suffisamment claiores
... à genoux ? doit-on pour le coup redonner du mou, d-dire la prière, dire mieux la Scène, dire-faire ? doit-on ... creuser la terre ? charger de bonne guerre les données ruperstres, re- ? re-charger, re de chezz re- ? on veut ! on veut toucher ! on ne veut pas se laisser démonter mais re- ! re-creuser ce trait aux données suprêmes ! bonne mère ! tracée ! tracé des tracés ! colère amlllouée à une sorte de .... rengaine sifflottée ou sinon sifflottée susurrée ou sinon susurrée chantonnée ou sinon chantonnée .. chantée, souveraine, comme Donnée Suprême = cha,nts des prés ! chants tracés ! chants du Verbe alloué à un tracé sur huerbe cde type sentier ! le chantier ! chants des fées ! chant Haut comme au roseau, au drôle de pipaeau, chalumeau, tonneau et boyau, musuique d'eklfes (d'herbes ?) : vents faux ! vents de trop ! faus vent du poteau ! pets de mots ! On monte !
Montons haut ! hautes ! haute roche ....................................... coprs sans faute .................................... allons, traçons, filons, cherchons, creusons ensemble les données tenaces, roche-mot de rage, trait des traits dits "sur pré" , charges en flamme,; dépôts et tracés de parade ! On entre ! on veut grave toucher-téter en vrai la Chose Frontale = ce Néné des transes ..../ qui c'est ? une sorte de Dieu Comme
Déposé sur Bande ? DSieu des F2es serait celui qui, ici, de fait, nous irait, nbous conviendrait, nous s atisferait en termes de données de base. Dieu Nacré = soudé = donné = porté = chargé et le tour est joué ! dieu des fées = Dents de lait ! la Rage au taquet ! souffrances ! santé touchée ! on veut comprendre = cerner, cette "dent de lait" à qui elle est ? à cette sorte de ... Divinité Nacré qu'on retrouve en face ou retrouverait (post ^-muret der,nier ) ? qui (en vrai) saéit les données finales ce que c'est ? Qui connaît l'esp âce des Traits ,
l'esopace des Traits tels que dessinés comme à la p arade lme muret passé , vers ... le passzé , Pasdsé né , Passdé re-né ! On chercghe à c erner , de fait, mais ce n''st pas donné ! Dieu des Fées on veut les mieux cerner, toucher à leur réalité : Dieux alloués ? dieux collés ? dieu tracxés ? dieusx -F2es, eux ou ... elles- mêmes , en mieux ? dieux mieux = Déesses des Voeux ? Ccharges -dires sur le Feu ? On veut :
dire dire dire dire
serrer serrtrr serrreer serrrer
toucher topucxher roucxher toucher
creuser creuser crteuser creuser
ferrer ferrer ferrer ferrer
mordre mordre mordre mordre
cerner cerner cerner erner
allouer à une sorte de "donn"ée" , lke pouvopir d'un "dire sacré", qui serait "The Dire" tel que consacré (qui sait ? ) p ar ... le néné des Rives ! le Passé-frise ! le Pasdsé Passé ! l'enfance rejouée, re-tracée, re-prise ! on veut troucgher à ce qui est qui en vrai saurait (de fait) nous dsonner de quoi nous ... redorer la c erise ! frise hallucinée ! bêtes de trait ! au t aquet ! vives ! placides mais vives ! aurochnoïdites ! traits vifs sur Mur d'eau et autres Murs-Frontons ! colle ! haute porte au museau ! la roche aux Mots ! La Pa ssion ! Roche-trot ! portes des données de Roche sur Haut s, et autres Monts des Colles Fortes ! le poteau ! roche-poteau ! colle et anti-colle des mots de trop ! on monte ! on veut être hautes et creuser là-haut la Roche aux mots , qui est Roche des trots et autres galops ! on monte ! on veut :
dire , toucher, cerner, pawssser, chercher, faire, allouer à ce (dit) "Néné des Danses Emportées" les traits d'une sorte de ... Rire tracé ! rires de fée ! charge ivcre ! toucher de chez touchezr à ce qui est qui nous regaddreait sans sourciller, sans être pourb le moins gênée, sans lâcher, sans nous lâcher une seule seconde de... eh bé, nous mater ! de la tête aux pieds ! dieu tracé ! dieu = néné ? néné né post-pré ? qui sait ? on est ...? fée des Fées sur pré ! on veut ...........................................................................................TRAVERTSER ................................................. TATER ........................................... téter à ce néné des données de fuite ! ............................... tracer = dire = creuser = faire = consacrer à pareil rire une sorte de .... euh ... d'eétude , d"'étude portée, sans traîner, tracée, sur muret ! On veut :
Toucher de chez toucher
creuser de chez creuser
dire de chez dire
aller de chez akller
perdre de chez perdre
poser de chez poser
aller de cherz aller bien au-delà du cimetière , et coller, coller à ce Néné post-pré, afin de pour le coup "étudier" : l$a Reine, le Passé de traîne , les données premières "maternezlles" ; sein donné = lait -termes = Verbe ! verbe-lait comme à la retombée post-pré dx'herbe, pré des prés la mort donnée (la mort première). On veut : Toucher toucher toucher toucher toucher à ce Néné du Verbe-Lait alloué par une sorte de "Doonne -VErte" , Porte Annelée , Pporte "chaude", Passé ! le Passé ! Le dit "Passé des passés" . On monte, on monte hautes . On veut monter monter monter monter monter monter monter monter .................... . .................................... ne jamais plus nous arrêzter en vrai de monter mais tracerv , treacer de chez tracver lze Trait de la Montée vers Chose, ce Néné de POrte , Lait des Laits , Haute-Mort des Données Treacées = M%ort haute = MOrt-Mère sacrée (cernée) comme en colère;.... car ............................................................ car ............................................................car ................................... elle aime ! elle aime aller , toucher, cerner elle-même les données données par ......... les F2es ? fées de lm'herbe verte ? fées actées sur pré au passage tr acé ? fée des "Frères et szoeurs de bière" ? On aime ! La mort aime ! On aime et la mort aime ! le tracé Nacré ! termes ! termes sacrés ! termes d'herbe = traits de fée ! traits des trait§s que la Mort Aime et veut ...... manger ? ............. avaler ? .............. ingurgiter ? ........................... on ne sait ! on ne sait ce qui est ! on aimerait ! on aimerait en v rai connaître, toucher à cette Vérité-Colère de la Mère-Sondée, post muret on séit, ça on sait, mais en vrai , elle, qui elle est, qui est Mère-Sondée on ne sait ! mère-Colère ok mais qui en vérityé ? On cherche ! on veut :Toucgher toucher toucher toucxhezr toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucxher à ce dit "nénné" des données en vrai "surnaturelles", et cerner au plus près, ou le plus près possible, pareilles vérités poqst-pré, de type "Vivrres", "Offrandes vives", "Dons de Trai t" , "charges sensibles" et autres données comme déposées sur frise : desibnnées, gravéees, creusées au stylet, au calumet, au feu cendrée, au soufflet et à la tire ! on touche le néné du Dire ! lait ! lait ! l:ait ! lait ! lait ! laziot ! lait ! lait ! lait ! on veut téter ! on veut / on voudrait ! grave téter du lait .... sans souyrciller ou (même)..... en sourcillant, peu nous en chaut en vrai puisque .... on est re-nées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! le pré dépassé ............................................................... le pré laissé .................................................... vite, téter ! ................... téter de chez téter ! .......................... le bon lait de tire ! ..................../.................... tire-lait du Rire ! tirons aimons ! tétons ! Lait-Donné vif , vif lait de tire ! Aimons léchhons ! avalons ! tétons le téton et avalons de ce Lait-Vivres ! buvons vi ves ! A imons donc le lait de tire ! .............. vives ! soyons vives ! ..... fée vive sur Sein Offert, comme à découvert, la mort acquise""" ! On monte sur frise ! chargeons ! allons ! creusons ! traçons ! aiùmons -nous les uns les autres, et aussi les unes ! et aussi les ... unes diurnes ! Montons ! saluons ! creusons ! cherchons ! traçons ! Qui mesure ?. qui conclut ? qui juge ? qui dit le Dit ? qui sait la mesure, les données de Bure et auitres traits de prix ? Qui porte sur Soi la Parure ? Quyi "Envfoie" ? On veut :
aller aller aller aller
donner donner donner donner
creuser creuser creuser creuser
faire faire faire faire
cxgharger charger charger chargezr
dire dire dire dire
porter porter pôrter porter
froncer froncer froncer gfroncer
Aller au plus près du Néné des TRaits ! sur peau halée, téter de chrez téter le lait ! le bon lait de Mère ! Lait nacré acidulé, cendré nacré, acidulé cendré, nacré s acré, sacré nacré on dirait ! lait aimé ! lait adulé ! lait véné ré ! lait des laits comme s'il en pleuvait ! on veuut aimer ! aimer aimer aimer aimezr , dire dire dire dire , toucher toucher toucher toucher , faire faire faire faire, donner donner donner donner, crteuser creuser creuser creuser, et du coup cerner, un certain nombtre de vdonnées données, ce que c'est, ce que ça serait, ce q'uelles pourréaieznht être en termes de données suprêmes ! données fermes ! données vraiment actées allouées à ... ici-même, le Terme ! loi des Herbesb ! loi allouée à une sorte de ... Paroi-Néné ! Foi de Roi-reine Centrées ! Fées passées deviennent... Bébés surnuméraires alloués à une sorte de terme qui est .... du lait ! finalité = lait ! Fin-Faim tracée on penszerait et on ne serait pas loin peut-^etre de la Vérité ! ça fait trembler ! On est Fée = faite ! faite fée pour y aller (à travezrs le pré) vers le Néné -Verbe, ou VErbe Lait en termes de terme ! fin-faim des données Suprêmes ! Lait cdes Laits au décours du terme = fin tracée ... fin des données r(upestrszs ou quoi ou qu'est-ce ? peut-on statuer ? peut-on finaliszer ? peut-on tracer (à main lmevée) le dit term e des do nnées dernières ou qui seraient dernièress ? Qui le sait de fait .... Sinon ...../ la Reine ? Abeille ? A- bé - elle peut-etre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on l'aime !!!!!!!!!!!!!!!!! on aime qu'elle !!!!!!!!!!!!!!!!! l'abeille des dionnées "humaines" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! traits donnés , charges d'elfe, traits tracés, vérités de l'herbe des prés traversés, verité vertes ! on veut creuser sans se retourner .... la Roche Souveraibne = le dernier quartier ... vers du VErb"-Lait de Néné D'Elfe ! traits ! traits ! traits nacrés ! traits des traits ! on veut monter et toucxher au Néné et téter et sw'en remplir grave la bedaine ! on est le .......................... Bébé né ! bébénou né ! Bébé des Bébés ........................ post-herbe du pré , comme re-né à u ne vie nouvelle ! re-la vie celte ! re-vie des vies sur roche première : l'envie ! don d'e rôle , porte poussée, on rôde et nous vcoilà re-née ! verbve passé ! grève ! pré traqué ! charge de trait ! bêtes montées !
On veut en vrai creusezr de chez creuser à ce qui est qui se .... re-présenterait, à terme, sous nos pieds , acté ! soit : la Terre ! terre des données Du Verbe re-placé (oeillères) comme auparavant, de fait il swemblerait qu'on fût "au courant" , informées des faits tels que tracés , tels que faits, formés, tels que déroulés sur Passé Primaire comme re-donné ou re-nouvel-é ! on aime ! on aime le laiot et ce genre de faits co:mme re-portés ! re-donnés, re-tracés, ree-posés sur Passé ! comme qui dirait ! on aime ! ................................................................................................................................................................................................................................................ aimons ! .......................... revenons à nos abnciennes terres ! ............................................ traçons , creusons, cherchons , montons, perçons, traquons de fait les termes de Raison qui , peut-être, en vrai, qiu sait ? pourraient ghrave nbous aider à ..... on dirait ........... toucxher Téton ! téton des tétons ........................ afin de , peut-êttre, on aimerait .................. teter téter téter .................. en tant que "nouvellement né" ...... ou même re-né , à la vie à la mort, sur "Terre (re-terre) des données Passées " il semblerait. On aime ! On veut aler aller aller (souveraiunes) vers ................... Néné Alloué au VErbe via Le lAit ! Lait des termes = VErbe, VErbe Nacré = sacré = Verbe-Lait des Données Suprêmesz = Verbe-Herbe ...... auto)-proclamé comme de fait ! on chercghe ! on veut toucher à ce Néné du Verbe ! on veut pouvoitr téter le Lait de l'Herbe ou Lait de Fée ou lait du pré ou comment, Lait post-pré, post-herbe, post-fée , post treacé rupestre et autres traits animalierrs ? On cherche ! on cherche à trouver ! on cveut trouver un certain nombre de données de terme, genre :
-mots gravés
-mains courantesz
-pportes d'entrée
- vies de pré
- peertres blanches et autrees dons de lait (sur sxe,ntier)
- saints de glace et autres saints et saibntes allouées à une .... branche tracée, comme à main levée, en tra&nse ! traits ! traits super-motivés ! tr acezs ! traces d'encre ! animaux de roche aimés , animaux -mots et -b$êtes-verbes sur-cités ! surajoutés ! surdéposées sur rtoche gravée ! on veut touycher touycher touycher toucher toucher toucxher toucxher toucher à ce dénivelè, hernbes vertes, pré, pré aux données vertes, prairie aux féesx et autres elfes rencontrées le mur passé, la mort donnée, mort primùa&ire et le tour est jhoué on est tyransportée ! transportée et transformée ... en fée-DAmoiselle, fée du pré sachant voler, aklller et tourner,n, virevolter, tracer, creuser, filer, chercher,cerner et se rapprocher (peu à peu) du muret dernier, fond de cimetière, fon de pré aimé, vers .... le DErrière ! Cul-Néné du VErbe ! lait ! lait ! lait ! lait donné à force de tracer ... ou sinon d'aimzr .... ou sinon de forcer ..../ forcer (de fait) le V erbe du Pré, parler sanqs dsiscontinuer et du coup le trait, trait de roche aux fées, se fait, qui nous permet de pouvoir passer, tête première, à la une à la deux sans fauute ! hop ! on est née ! bébé ! bébé -dxes treaits ! vbébéds des bébés on est, qui allons de ce fait et sans plus tra îner téter de chezz téter l:e sein nacré ! sein d'herbe ! sein des sweins nacrés ! sein tracé post-pré on aime téter ! grave on aime ! on est nées ! nées bébés comme àla retombée de ce "hors-cimetière" ! traits ! traits ! traits ! treaitsq ! treaitsq ! traits ! traits ! traitsq ! très ! très on aime ! très on veut ! très téter ! de ce sein tracé ! rond de roche alloué à une sorte de ...................................... porte ???? ???? porte haute ?mieux ? porte très-haute ?????? on veut toucher toucher toucher toucher toucher toucxher à cette sorte de donnée haute, genre ......... faute ?????? ?????????????????? toucher = cerner = faire = copnsacrer = donner = dire = aller = cerner ............... une sorte de donnée post-bière = trait, trait de lait "surnuméraire" salutaire ! tétons fort de base ici pareille laitance ! aimons ! aimons donc ! allons ! Creusons Roche Finale et traçons ! car, voilà, le dxrappé, la base, une sorte de tracé de f ace : viçsage ? on entre ! entrons de front ! que voyons -nbous quyi se révèle (montrte) à nous ? un visage de gnou ? bête d'antre ? vie animale ? bête grave (gravée ?) semblant traces sur tracé de taille ? On e,ntre . On regarde. on ne veut rien louper et tout relever, noter, tr acer de côté, ne pas laisser, ne pas oublier. Traiots des traits . Bêtes grasses. bêtes Fortes. Betes de trait (de somme) . Somme haute . Somme Énorme comme qui dirait = hén aurme ! = le .... Passé ? car, le Passé en vrai est .... Énorme ! on sait ! on sait de fait que, en vrai, le Passé, oui, dingue énorme il est , c'est vrai ! gros de sa force d'ombrte , d'ombtre folle ! Passé Haut, semble (pour nous) Ombre Haute, de Bête de POrte .................................................................. côte , côte des ombres, côte haute, .................................................................... donnée des donnéeshautes = trait ! trait tracé à main levée par l'homme-femme des denrées, ou dite des denrées de France ! pôurquyoi "de france" .... parce quye ........... la langue ! ici : le français poiur "la Fr ance" c'sest un fait ! on e ntre ! transe ! danse ! fr$anche cxavalcade ! on entre en cette sorte de france-franche .... langue franche de france ou quoi ou qu'est-ce en termes de mots et autres termes dits "de France" ? Ambre ? ambre d'ambre ? on creuse , on avance ! o n cgherche, on pousse ! on veut, on gagne ! on gagne la brousse ! on avance en transe ! on est paqssées sur muret de base ...... on est entrées comme à la p arade ..... on veut tracer , creuser, nbous avancer et du coup au mieux cerner les dsonnées primaires, de type "vérités en herbe" . On veut :
cerner cerner erner cerner cer ner cernerv cerner cerner cer ner cerner cerner de p^rès ce qui est qui serait à nous mater de la tête aux pieds sans se gêner ! on veut gagner le fond du pré et là, devant re-paroi, tracer = traverser , et du coup .... pzassser (de fait) de l'autre côté, côté cote des traits (traits de lait) afin de (pour le coup ... à genoux ? ) téter de chez téter le bon lait de trait, lait tiré, lait trait comme quii dirait, d'un Néné SAcré (sacré N2né !) et hop ! léché ! tracé ! alimeznté ! fait bébé ! fait ou faite car , Fée faite ! faite (au jugé) bébé = Le Bébé post-herbe ! Un trait et l'affaire est faite ! trait de laéit pôst-sentier, post-herbe, post-pré ! tracé des tracés on croit connaitre car,; voilà, on a vécu ça, augtrefois, déjà .... la base, la base antrale, le lait donné, sein de rage, lait lettré comme une sorte de donnée de face, genre "message" = "oracle" = donnée-née sur place, nez acollé à Sein de Charme empli de bon léit de l'Ambre ! Aimé ! lait aimé en face ! on veut téter ! toucher = aimer = dire =cerner = comprendre = faire = connaîttre = porter = aduler = pousserr = chercher = contrôler = cerner-dire = poster-accoler = vendre-sonder et courir vite vers .......................................... un trait ................................... trait des fées ? ............................. trait d'herbe donnée , broutée, avalée ?.........................../...... trait des traits d'un pré vert donné comme à la retombée ...? ................................................................................................./........................................................................................................... qui sait ? qui connaît le terme ? La date du terme ? le tracé do nné en termes de terme, de fin de p ^ré, de confins ? qui sait de fait ce qui est de base, en ces quartiers des données rupestres ? qyi connaît le "vrai" sentier menant aux données , ici, lactées , comme il semblerait : le pr^etre des Fées ? pasteur / pasteuse, aux données dites "les bienheureuses"? Pasteuse / pasteure , pasteurs alloués à un tracé ? pasteure des do nnées de Rage, .... pasteuses ? On zntre !ON veut comprendre l'Antre, le DErnier! aller = toucxgher . Quijconnaît le bra,nle ? qui connaôt l'emphase ? qui connaît le TR acé de face ? qui sait de fait ce qui est en face (ou serait) qui nous concernerait en première instance ? Le Passé serait de rage déposé ? lE passé de fait serait, qui nous atttrezndrait ... comme par miracle ? re-tracé de rage : le Passé "cramé" ? comme "carbonisé" ? qui connaît les traits, la charade, les mots accolés, la phrase, les donnéesz de base ? qui sait en vrai ce qui pour le coup serait à comme nous attendre .... les bras c roisés ? la flamme allumée ? l'oeil enragé ? la boiuche béante ? seins donnés ça ba rde ! on va "ramasser" ! grave, post -pré ! ça va pas traôiner ça y ressemble ! On veut :
téter téter téter téter téter téter tyéyter téter tétyer téter téter téter
toucher toucher toucher toucher toucher touycxher touycher topucher toucher toucher rtouycher toucher ;, à ce dit "néné" des données (coudées ?) fr anches ! on entre ! on mate (à nous de mater ! 😉). On veut toucher = cerner, à ce dit "mirage" des contrés "célestes" ............. qui on est dans la mort souveraine ? est^-on fée ? fée sacrée , nacrée, armée , armée d'ailes ? Ou plus du tout fée mais ........ elfe ? elfe d"'herbe ? ou ................................. bébounet ??????? bébé pôst-pré , le Terme ? ; ................................. bébé re-né comme à (dans) l'antiquité ??? ?????? bébé celte ? vrzai ? chargé des dires alloués à (en vérité) la bête, bête de trait et autres activités ? On cherche ! on est pas arrivée ! on v eut toucher de chez touchezr aux traits assurés et autresx traits gravés à mêmùe la pierre ............ etdu coup passer ............. vers le passé ............ chargé du passé ............ tel que déjà vécu le temps passé , on sait ! on va nu ................... on trotte ! ....................... on mo nte ! ............................... on est hautes de chez hnautes ! on monte cul-nu vers la Haute TEnue ! Hzaute Porte aux DOnnées de Roche ...................../ colle qui colle ! ........................... on colle à la Roche ! .................. on monte sur Roche et POtea&u de Mots ................................................................. on monte ! hautes ! hauteurs hautes , "au trot" .......................................... vers le Mot de l'Ombre, ce mot ! .............................. le mot "ombre" ........... "ombre des mots" ................................................................ on exst hautes et hot .......................... vers ce haut des mots de trop ! .................................... haut niveau de Roche ................................ on monte ........................................ creusons haut le niveau "des mots" , des tracés de Roche Haute , genre animaux, bêtes de trot, mots de trop et autres termes ... des termes, sur poteau de Roche ...... Haute .................... on monte ! On veut aller-coller, faire-dire, toucher-cerner, pousser-alimenter, porter-charger, donner-consacrer, fficher et mettre, peut-^ttre, nos lèvres (babines) sur tétine ! et ........................................................................ téter ................... le lait ........... lait de frise .......................... le bon lait de prise .........?........................lait des laits de frise-prise ?................................. lait aimé .........................................On veut grave troucher à ce néné qui est icfi (devant) cette sorte de donnée directe telle que oui, on veut, on aimeraiot, pouvoir téter sans nous arrêter, et du coup grabve nbous alimenter, à satiété ou jusqu'à satiété, et ce sans traîner, sans laissser tomber, cxar, oui, en vrai, on est le bébé de la Friche ! on a traversé le dernier muret, on a réussi à passer de l'autre côté, côté cote "endiabllée" et à présent bnous voilà "morte-née", comment dire, née de fait dans la mort passée, dépassée, traversée, à téter le Néné des Données "reprises". DesVies allouées à une sorte de reprise, de retour des Rages, squr Paroi de face, Terre Ancrée, Terre tracée, Terre agraire. Retour vers les données priimaires, les données premières, verbe au taquet ! la vie allouée à une sqorte de -passé
re-conclu, re-lu ! cxharge dee trait ! bêtes-masse sur Passé de RAge ! on est née re-Bébé la Mort actée, actée ou comme "travezrsée" = passée = dépassée . car, la mort n'a qu'un temps, au présent. La mort est antichambvre d'une vie rebelle ! IOn entre, on passe, on franchit l'embase,on est re-la vie naissa nte ..... sur terre ftranche ! terre à vers de base = ombilics-lombrics ? la chance ! en transe on dance ! "baby dance" ! charge grave ! traits des trraits de base ! "on s'balance" ! Aïe ! on est comme re-née à u ne sorte de TRacé qui est .... eh bé ..... d
u PAssé ! passé xdense, compac té, comme re-alloué à une sorte de vie renaissantre, genre ...... trace .............. trace sur pieds ........................... parade ? ........................................... farce ? ...................... on renaît ou on renaîtraiot comme àla p arade, sur pieds, genre "traits de rage" personnifié s !!!!!!! qui le sait ? On est pasdsées ! on a creuseé la roche tendre et nous voi:à toutes qui savons" comprendre .....= toucxher ! toucher de chezz toucher à u n e sorte de
donnée franche, tracée, ronde de base comme
une sqorte d(offrande ...... en forme de ............. pômme des portées ? On veut : comprendre = faire = dire = charger = c erner = voir = b,âtir = szoulever = centrer = téter = se soulager = sentir = vivre = fonder = pârler = mùresurer = charger = pousser = coller = dire = contrôler le dire = rire = pister = vivre ou même revivre = porter, au plus haiut niveau possible, le Passé de trop ! et cela :
- sans rire !
- sans trahir !
- sans prtrdre lenord ni la face de face !
%Mais ...................................e,n , si possible, creusant , creusant, creusant, creusant , de rage, les .......... "moments de transe", moments fastes ! fastes moments ! ............................................. des données données comme par la bande ............ en creusant-cherchant, poussant loi,n les dites recherches et autresc "quêtes vivantes" ! On entre ! ........................................................................................ on ne veut pas baissser la garde, mais pôursuivre, grave, sur la piste,; ce tracé de base, ces szortes (vraies) de rec herches franches ! aller et donner, faire et pôrter, vivre et tr acer, soulever = dire, et dire = soulever , qui le sait ? qui connaîot les ressorts du Rire, du Gros Rire des Contrées, Contrées éÉchaudées, ? qui s&it du Rire ce qu'il en est en termes de DSonnées Vivves ? qui connzaît les traits re-montés, re-venus sur pieds ...... du fait que nous voilà comme toutes changées, transformées, modifiées, re-lookées comme qui dirait ! non plus la fée du pré..../ mais le Bébé post-pré ! Bébé des Béb és sachant (grave) téter du lait, Lait des TRaits ! à ce qu'il paraîat ! on veut biezn le croire, on est bienveillantes, toutes bienveillance ! on entre ! On entre dans l'antre. On veut toucher à c e Néné "de FRance" , Néné né dee la langfue de France ? on dirait l'enfance ! ça le fait ! on tr ace. On veut :
toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycxher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toycher toucgezrttr à ce qui est qui se présente kla mort passée, entérinée, archivée ! car, la mort, en vrai, en cvrai de vrai, la mprt est cfomme à archiver le Néné Tracé , . La mort, La mort en tant que pré, prairie aux bêtes de trait et autres bêtes dfe bon poids de base, La Mort dite "des Parades" , a sa vie de base, son tempsq meurtri, sa durée tracée comme enregistrée, et, de fait, à un moment ou à un autre, "passe" ! tombe en tombe ! s'enfonce ! coule ! fuit ! sombre comme une ombre et c'en est fini ! quand............ la vie vive des traits ........................... fait la nique et fraie, son chemin de suite ! vite ! sur mpieds ! le Bébé ! le dit "Bébé" des envies de Vie comme re-tracée la main levée ! vive vie re-marquée ! olé ! vie vive des tracés montés ! montées et montrés ! on est re-née sur Terre re-trouvée ! La vie comme elle est ! le Passé re-acté, re-noté, re-cherché, re-collé, re-visité, re-p arlé, re-touché de près, re-porté , rte-sondé la mort morte et enterrée, ou : une fois morte et enterrée ! car, la mort a sa vie, qui n''st pas (du tout) donnée en vrai de toute éternité ou pour l"'éternité, ! lamort est "chiffrée" ; son temps est réduit ; elle ne fait que pâsser, elle finit par (à un ùmoment ou à un auttr) sombrer et couler et se voir enterrée le cul tannée ! La mort est comptée. So,n temps traqué. Sa vie cernée. On veut dès lors "la traverser" , de fait, à toutes enhjambées et vite fait la dépasser, la doubler, la laisssrr de côté ou sur le côté et tracer de chez tracer sans plus se souvcier de ce qu'elle deviendrait "derrière" ! tracer = gravir = grimper = monter = aller, hors du pré, )à la recherche de la Vie CHargée ou comme Rechargée ! filer de chrz filer, aller de chez aller, creuser de chez creuser, faire de chez faire, sonder de chez sonder, fondre de chez fondre et du coup tr averser , aller sans se retrourner , foncer foncer foncer foncer foncer foncer foncer foncxer vers ce Nén é des Hautes Contrées qyui seraieznt allouées (destinées) àune sorte dx'après -mort, d'après vie et mort, nouveauté, nouvelle doonnée ou nouvelle donne ! tracé ! traits tirés ! le :ait ! le lait dsonné après l:a mort, comme qui dirait ! tétons donc ! tétons donc le lait tiré , traoit ! le lait trait buvons, tétons , avalons ! et creusons szillon ! chargeons ! allons ensemble vers ce mamemlon , à la recherche de cet aliment dont le nom de fait est "LAIT", "LAIT DE TRAIT", "LAIT DES MONTS", "LAIT BON", "LAIT DES ROCHES HAUTES", "LAIT NACRÉ DE LA HAUTE PORTE", "LAIT DU MONT DE PORTE", "LAIT A,NCRÉ", "LAIT SUR PIED ET ÇA LE VFAIT", "LAIT DE FÉE PASSÉE", "LAIT D'ÉPOQUE", "LAIT DE ROCHE HAUTE", "LAIT DES LAITS", "LAITS NACRÉS", "LAIT DES DSONNÉES DONNÉES", "LAIT DU MONT DES BOSSES", "LAIT AU LAIT DE ROCHE", "LAIT POST-PRÉ", , POSTOMBRE", "POST-ANNÉE DE FRAI", "LAIT AUX DONNÉES HAUTES", "LAIT NON-ÉCRÉMÉ", "LAIT ENTIER", "LAIT DE SUITE APPORTÉ", "LAIT POUSSÉ", "LAIT DES FÉES ET AUTRTES AL:LIÉES", "LAIT DE GROTTE". On veut toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher à ce néné empli de lait,lait calqué ou décalqué sur du lait d'époque,ancienneté ! On vgeut :
téter, téter, téter , téter à c e néné qui, xde fait , ressemble à s'y trompêr à un néné qu'on aurait de fait déjà rencontré "à l'époque", qua,nd on était docte, bébé né, bébé drôle, un bébé pré -pré, pré-herbe folle . On veut :
téter téter téter téter = toucher touycher toucher toucher = dire dire dsire dire = faire faire faire faire = coller coller coller coller = sonder sonder sonder sonder , et du coup travcer,, charger, poeerter de faiot la Parole Donnée vers la Rive Tracée, ce TRait des dOnnéees comme Remontées, Vies re-allouées, Vie à nouveau tracées pour la postérité il semblerait .... sur Passé des Dires. On veut toucber toucher toucher toucher toucher toucher tpucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchjer toucher toucher toucher = téter téter téter téter téter téter téyter téter tétyer téter téter tétezr téter téter téter té&tezr téter téter tyéter téter à ce Néné des Données Connues, Vues, Entendues, Revues, Sues, comme toutes nues. On veut : aller, dfire, sonder, tracer, chercgher ici ou là X vérités de poids et du coup (peut-êtrte) être, là (sur paroi de rage) celles "quyi y voient " , "qui envoient du bois" mais aussi "qui en voient de toutes les couleurs" sur ça, cette chose en tas devant soi :
la base, le tracé, la voie, la rage des voix, ce tracé de branche. Une Voie vers la voix ? la trace entre ............................. (ezntre deuix parois ?) ............................. et une voie des Rois et REines de là, l'au-delà des voies ? ........................./.................................................................................... on entre ! ............../............................. on veut ça .............................................. poussser (là) la sérénade ................................... téter , téter grave le Néné de l'antre ............................................................................................... le lait alloué à une base ici, de fait, lactée, comme une sorte de dsonnée des rages et autres colères rentrées .... du fzit que ....... on est née ? on est re-née ? on est re-arrivée ? re-là qui voulons téter ? ................................... quoi se pourraiit ? qu'est-ce qu'il wse pourrait ? qu'est-ce que ça pourrait que ce sqoit en v rai qui nous arriveraiot ? qui on est ? qui on est pour le Néné ? qui en vrai on est ou on serait pour ledit Néné des
"Franches Coudées dxe FTRance "..... ?
une sorte de ....................... bébé d'ambre ? ....................................................... bébé des bébés de France ? du français plutôt, en tant que langue ........ langue des trots ................. des galops, sur bande traçante et autres pré haut ..................................................................................... on entre ! on entre eentre ! on e,ntre dans l'antre ! on veut haut comprendre (loin) les choses de l'antre, soit : ces mots, mots-ombres et autrees nimaux -mots , douces paroles, mots de trop sur paroi haute ................................................................................................................................................... on monte ............?................... on est hautes ..................... on monte ...................... obn est haut eet hautes ..................................................................... on veut toucher toucher toucxher à ce Néné "du bout du monde" . qu'est-ce que c'sst ? qu'est-il en vrai ? à quoi est-il lié ? qui sait ce qu'il en est e'n vrai ? faut-il croire à une vérité post-pré doont le nom ou petit nom serait "Néné" , soit "sein Donné " ? peut-on se fier à c e type de donnée donnée ? qui sait ce qui esrt d'une sorte d'après , après-pré ? qui connaît les .... "ressorts du rire" tel que détroussé, au décours d'une sqorte, ici, de "dérive" ? Qui connait le vrai, le Faux Tracé, les Données Fluides, Le passé en tant que dsonnée nouvellement (il semblerait) allouée à une sorte de Futur comme déjà Tracé, les mai,ns liées ? Qui sait ce qui est, ce qui se dessine ou se dessinerait une fois passé le dernier muret des données prairieles et autres données pastorales ? On veut toucher = on veut aimerr = on veut être = on veut dirre = on veut comprendre = on veut cerner = on veut aller = on veut saluer , saluer la Base ! chercher = sonder . Dire = porter . Faire = braver. Donner = charger. Porter = induire. vivre = poursuivre sur sa lancée tel tracé donné, et aller, poussser, creuser sans -traîner, charger charger charger, ne jamùais s'arrezter de creuser m^ais tout le contraire : saturer, saturer, saturer, saturer, satureer de dires les parois de Roche d'une sorte de ...... nouvelle Vie VIve .................... nouveautés du VIvre .......................................... re-vie des envies de vivre ....................................... nouvaeu tracé. FRai. VIE VITE.
Trait des traits . CHances au taquet. Pré dépassé et idem le muret, les finalités. On veut toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher touycher toucher roucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toycher touycher à ce Néné des Données Innées : quelles sont-elles ? on ne sait ! on cherche ! on est blêmes ! blêlmes en vrai xde chercher et encore chercher et toujours chercgher les données données telles que'elles sezraient (en vrai) à débusquer sur herbe, sur tracé dee pré, sur swentier, sur herbe coupée, sur praierioe aux fées ou autrezs champs aux herbesz vertes : qui sait ? on aime = on traîne = on mate = on cherche, ici et là, le pa ssage .... tout droit( ? ) vers ..........................................................................l'au-delà ? waouh !
10/2/2025
on regarde; On etst là pour ça. toucher-envisager les choses en face. Ce qui est et ce qui n'est pas. On avance = on en avance dans les connaossances. On veutcomprendre = toucher = faire-dire ce qui est, et ce qui est est : ce selmbklant de trace, cette voie de rage, ce tracé de base. On regarde , et ce qu'on voit est ... un convoi ! les traces d'une sorte en soi d'au-delà à soi ... La Rage ? La toundra ? un espace de passage ? une sorte de paroi des traces en veux-tu en voilà ? on veut comprendre = on veut toucher = on veut cerner = on veut s'e nfoncer = on veut entrer = on veut s'knscrire = on veut aller au plus profond de cette roche aux données profondes. Qui on est ? la fée ... C arabosse ? une zorte de Donnée des Rondes ? Un trait ? on ose ! on est passée ! on a pour ainsi dire travezrsé la Roche et nous voilà comme allouée à une sqorte de "rotonde" des contrées retorses. une vie de pré. Champs de blé , qui sait ? On est passée = on a franchi la (première) porte = la paroi des ombres. a présent .... la seconde, fond du pré, herbe à brouter puis un muret, un tracé accouplé à une sorte de muret des fonds. on voit la chose. On s'approche. On veut toucher et à nouveau entrer, .... cette fois : en ce muret des fonds de pré et autres champ donné. On veut entrer à la une à la deux sans traîner. qui on est ? "Chose", soit ... "hombre" ? on cherche à cerner qui en vrai ça se pourrait qu'on fusse en ce pré : une fée ? fée des prés tracés ? On est montées . On veut toucgher à ce qui est en ces contrées de roche pour ... cerner-comprtendre les données "hautes" = lointaines = anciennesc (on le sait). On cherche ! On veut toucher toucher toucher ... eh bé oui ! à ce Néné des Données Hautes ! = le Passé ! Le passé est cette sorte de Donnée Haute dont on espéraot, un jour, voir ... le nez ? quelque chose de près, quelque chose qui (en vrai) fut, pourt nous, de première importance, ... France ? Français ? le FRançais des transes ? langue innée ! oh oh va comprendre les traits, les données hachiurées, le tracé des causes et autres frarandoles ajoutées .... On est né "français" soit parlant kle français, langue de Roche, et àprésent ... on mionte ! montons droit comme allouée à pareille ombre ! cherchons ! creusons roche et tra çons ! On est nées Nées , on veut toucher, on veut être, ceklle, ici, qui, en vrai, comprendrait, un certtain ombre de donnéess des roches, ce que c'est que la Parole , Parole Donnée, quand on est Fée de Poche, Haute Fée tracée, Fée du pré la mort achevée ou sqinon achebvée ... "entrvouerte" comme une fenêtre ... qui sait ? On est née en ce pré Fée, on monte, on veut rapidement gagner ... les Nénés qui , comme squrajourées à du post-muret, seraient en quelque sorte à nouds interpeller poutr nous quasi ovbliger à les rejoinfdre aefin de les "toucher" soit téter leur lait . Car, de quooi s'agit-il en vérité ? il s'agit d'une chose Haute (tracée) qui de f ait ressembke, àpreu de chose près , à une sqorte de Ronde , rOnde Portée, Ronde Portée Haute, Rondeur Apportée Haute, Haute Rondeur fois deux Hautes, Hautes Rondeur Fortes remplies de LAit = Le Pass"é è!!! Le Passé est né la porte passée ! LKa porte du pré ! Passé né le muret passé. On veut cerner = traverser = passer, sans traîner, de l'autre côté et ... enfin .... cerner = entourer ... kes Choses .... le TRacé de Poche : mots des Fées telles qu'elles se retrouvent ou se retrouveraient comme ... adoubées ? par ... eon dirait ... une sorte de "Méère des fées " , l'encoche ..... La Matrone ? la Donnée des Données ? On cherche encoreb ! on est pas arrivée ! on veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette Roche "des Finalités" et voir en vrai de quoi il en retourne question Néné et Lait et envie de cerner. Car, qui est là derrière à nous attendre comme qui dirait ? un (deux ?) sein (S) de Pocghe ? une sorte de Giron De Roche ? ?? ...... creusons ! allons ! essayons de fait de trouver ce qui en vrai est là qui serait à, comme nous regarder d'en bas, ou comment dire ... de la Tête aux pieds, comment on serait, les habits qu'on porte, notre fdaçon d'aller, de nous tenir ou comporter, nos méthodes et autres actuions dérivées, notre fa,çon de parler et autres accentuations profondes, nos attraits, boucles dorées, yeux de fée, lèvres allouées, bras cendrées et autrsc ailes "de rotonde", car voilà, ce qui est en vrai est cette choseb (nous concernant) .... comme quoi Roche = Poche ! roche aux Fées = POche allouée à une sorte d'enclave cernée, par ... du muret, une sorte de muraille Haute , genre : "Mur du Son" des "Finalités Tracées" , Haute Murettte Classée ! On guette ! On est née fée comme à la traversée (la mort donnée : première instance) nous voilà en train de voler (transe) jusqu'à un muret (muraille "de France") qui nous échoirait (en vrai) au sortir du pré tel que traversé au miloieu des bêtes toutes broutant l'herbe. Et à présent ... la chose : le "Passé des Tronches" ?????? on monte ! monter = oser. On veut toucher profondément ce qui en vrai serait à donc à nous comme se présenter en tant que Néné à tétezr sans plus tarder. On est montée, on a traversé, on est accolée ou comme accolmée à cette Chiose dont le nom ou opetit nom ici est ... Néné-dit ! néné-dit des Données profondes. Chose" de prix ! On tetèe "la vie" ! dinguerie ! Lait des Vies Sacrées ! Charge de lait ! point et traits sur une sorte de "Muret des Vies" qu'on aurait trac-versé ou comment ici dire ce qui est en vrai ? on passe ... on tré-passe ok, on passe ici le trait de ce muret "des finalités" et, une fois celui-ci passé, qu'est-ce qu'on fait ? on .... revient à la vie ... en forme de Bébé Donné ... trait des fées devient Bébé né ou re-né à une vie recommencée et le tour (tour de roue) est joué ! grave tracé ! grave eznregistré comme qui dirait ! champ de blé, muret, néné : le trajet ! On veut en vrai cerner-toucher à ce qui est de "l'autree côté" qui serait à nous regarder, nous mater de la tête aux pieds pour mieux nous cerner et nous obliger quasi à se coller à lui (elle ?) , sein de traîne, Néné post-herbe, Néné Né à la (deuxième) retombée des Plaines ! on aime ! Quoi ? le lait de l'Herbe = Verbe ! tracxés d'herbves vertes on en a soupé, ok, mais en vrai ... on aime ! chanter = passer = trépasser ... on dirait. le Chant ici est le TRacé des Plaines. on veut toucher = on veut creuser = on veut aller = on veut comprtendre = on veut chercher = on veut nous enfoncer ou s'enfo cer en cette sorte de
"Parade du pré" telle que rencontrée la mort allouée, et chanter ! chanter de RAge ... eh bé ça :
le Néné De France ! ho !
fran!çais ! Néné Né français : la langue , le Passé de France = (essentiellement, on sait) le fvrançais, cette langue (ici) inculquée, allouée, enfoncée, donnée, pour ... comprendre = prendre = faire = charger .... sa colère saine ! Son envie de Tracer, sans tr îner, vers ... EZLLE .... LA Des Voies de ROche qui, ici, nous semble la plus proche , la plus comment, Accorte, prête à nous comment, Adouber-aimer, non point aduler mais aimer dans sa poche ou comment : reconnaittre "Haute" ? On trace ! On avance ! On veut :
toucher N2né = toucher Néné = toucher Néné = Toucher Néné, qui est ... ce Néné de l'Ombre, muret traversé, Autre côté, côté Ombre = SSainteté des Données Profondes. voies des Ombres Hautes. Chose du monde. Frai ??????? On veut toucgher à ce néné du Lait et du coup téter, car toucher c'sst téter, pas autre chose ! téter kle lait De haute Couvée ! On veut :
Du lait de poche ! Poche de Lait ! Lait de POche HAute = Lait sucré - s alé donné par une sorte de Mère la Pitié (ou Bonne Mère) allouée à une sorte de COntrée Donnée, Porte Haute , Chose MOntrée, SEin tracé, lait à boire sans tarder car Faim il fait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime ! on a méga en vie en vrai de comprendre le plus, le plus qu'on peut, de cetre sorte de romance des données lointaines et du coup tracer, sur herbe puis post-herbe, une sorte de"csentier des sentiers" qui pourraient sans faute nous conduire ensembkle (ailes) au plus près de fait de cette chose telle que narrée (ici ou là) dont le nom est .... ELFe ? ElFE Roi ? Reine Elfe ? Voie Des Voies ? Voix ? Voix -Elfe ou ELfe -VOi-x ? Le quoi ? le ou la ? On cherche ! on veut de fait comprrendre grave. Toucher ou cerner = faire / entreprendre . Ne plus en vrai se les croiser mais grave en avancer ! chercher chercher chercher chezr cher chercher hchercher à comprendre ++++++++++++++++++++++++++++++++ ici (ou l;à ) ce qsui estde cet "âge tendre" du Néné des Bandes .... un tracé "français" ? pour soi "français" ? qui contiendrait (qui sait ?) un certain nombre de ... Données de Rage ? Données Fades ? données Hautes ? données Coriaces ? Données comme tracées sur porte Haute (porte d'entrée d'une contrée Haute ) ... on veut en vrai cerner la chose, ce qui est, ce qui semblerait, ce qui se pourrait, ce qui serait qui serait à nous mater sans discontinuer (une vie durant) . O-On veut ..... dire dire dire dire les Choses du pré (de la mort actée) ok, mais aussi : ce tr acé tracé, cette sorte de montée vers une É2poque allouée (il sembklerait) à un N2né "de Roche" , roche Haute, Néné né à la retombé un muret passé, muret dit "des finalités" , et des données Haiutes. ON veut toucher toucher toucher toucher Néné Né post-Rovcche, et creuser = térter ? Soit téter le lait d'une Donnée GHaute . Un trait ? trait des traits ? trait de fée post-pré ? on est "couillonne" ! (couillonnnée ?) car, voilà, on ne sait à quel saint se vouer ! qui croire en ces contrées post-muret, poszt-finalités ? à qui se fier ? qui écoueter ? Qui téter en vrai ? mère de Lait = Soeur des Fées ? qui sait ? on veut
téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téyt ter téter téter téter à ce Néné post-pré = Donné ! oiuvertement Donné le Mur passé (mur du passé ou dit "du passé" ?) . On aime ! on aime téter. On aime le lait plus qu'il y paraît, on est Bébé, changé, renouvelé, remis sur pied, re-tracé et nous voiulà traîné come qui dirait vers une vie nouvellke ou nouvellement donné non pas sur herbe, mais sur ... pieds ! nos pieds ! petits pieds de terre ! soulevés ! on est re-née ! bière passée nous voici, en quelque sorte, re-tracée, quyi nous voulobns Homme, Homme ou Femme post-ombre, Homme Haute, Femme Haut post-tonneau, post-cuvée des mots. On monte ! On est fée des Ombres avant même de revoir la Bonde, le tyuyau, la Roche des MOts et hop, on ose comme Soulever la Trappe aux données, aux données de troop, voir Satrape, Donatello, Le Roi de Sardane, L'Ambre, Le Passé Des Veaux et autres bêtes à ùmuseau. On danse ! naissance = renaissance post-boyau ! hors Groote des Peaux et autres Cavernes aux asticots ! obn est re-née LE TRacé français, la TRanse aux Données, Fée actée est devenue Bébvé soit re-née à une Vie post Porte ! Vrai ! renaissance en transe dx'une sorte de Bande ! troupeau ! meute Haute ! vies de Veaux et autres "bêtes de mots". On monte ! On veut toucher à ce qui est qui en vrzai pourrfait grave nous éduquer et nous faire comprendre , une fois n'rst pas jamais, c e quyi est de cette transe, de ces mots dits "de trop", de pareille Romance post-trot, de la Danse et des Données dansantes d'une sorte de Parade Franche . on est nées Fées comme à kla parade, on le sait, que va -t-on dès lors devenir tantôt, la Roche passée ? la dernière murette ici traversée, le dernier muret ? Car, on aime , ok, voler ou voleter, c'est un fait. dans la mort on aime. Mais quoi ? qui on est quand on est passée ? qui on devient en la matière ? devient-ion ... Reine ? REine des Pieds ? reine de la Haine toute treacée sur paroi nouvelle ? ou bien .... REine aux données lactées comme sus-nommées en d'autres moments-clés ? On cherche ! on veut toucgher à e qui est qui ici se oprésenterait à nosmirettes (soit : à regarder) . On est ........................................ Bébé ! /..................... bébé né sur Passé comme qui dirait. On est un bébé, on veut téter, on veut boire du lait, on a faim, on a ...
super faim de lait, on aime le lait, on est redevcenue ... un bébé, une sorte de bébé nu, béb é des bébés nus , au contact du pré, de l'herbe, du Verbe, Verbe Vu ? vcerbe nu ? verbe d'herbe verte et autres herbes des données de roche la mort allouée ? On ne sait ! on est de fait Ce bébé de POche , une sorte. Sorte de Bébe des OMbres ! dans la poche, poche des Fées ? qui sait ? On monte ! montons haute ! treaçons sur roche une sorte de Porte où pouvoir ensemble passaer : la menotte, l'épaule, le crane perlé, toute la Gomme ! Passons ! naissons ! le Passé est le Passé qui en v rai est régulièrement renouvelé la mort une fois traversée ou même dépassée. On regtrouve Néné ! NBéné né après ... lA mort Haute dite "de POrte" . On monte . On veut toucher à ce Néné, des Ombres Supposées, et du coup téter pour nous "requinquer", nous almimenter, nous faire monter, nous aider à continuer notre (sorte de) "ASCENSION DE POCHE", on dirait ! tétons téton ! soyons centrée ! recentrons ! tétons l'Ombre ! Ne transigeons plus ou pas mais allons-y de ce pas vers du laéit de là, lait de franche Contrée , Lait d'Ombre ou des Ombres, Laitr des Laits adoubés par quelque (ici, en vérité) Divinités qui nous espionnerait ou du moins materait de la tête aux pieds sans discontinuer afin de bien se rassurer sur notre personne, qui on est, quel genre de bonhomme ou de bonne femme, Haute (ou haut ) , on serait de fait une fois la Mort dépassée (en quelque sorte) au sortir du pré , pré aux Fées d'époque : qui ? qui on est ? qui on est pas ? qui en vrai on est en fait de Bébé ? fille ou garçon ? tête de tronc ? fée donnée ? ton sur ton ? Bénbé aux traits de Fée ou bien aux données tracées de type Bufflet ? buffle-né ? On est née ici Fille-Bébé sur Passé de treait. Voilà ce qui est. On re-naît , on pâsse. Le Passé en face ! en face des traits ! traits de rage pour en vrai une sorte de FAce, Face d x'Ambre ! chair-née, Face Allouée à une sorte de Passé Noiurricier comme il en sezrait la mort "traverséeé", qui sait ! On entre. On entre en transe. On est une fée quiu veut en vrai entrer sans se retourner et chercher ici ou là à comprendre les données de base, ce qui est en fait de N32éné donné comme en soudffrance. Qui on est face aux nénés de Rzage ? des bébés ? on le supposerait. On serait enclines à le pennser. Car, en vrai, ce qu'on voit ressembkle fortemehnt à une sorte de rondeur aimable , de type sein de base, sein donné, sein aux traits lactés et autres perles de lait . On veut c'est vrai en tant que bébé nouvellement né ou re-né téter, térter grave pour s'alimenter, calmer sa faim tenace, se donner des forces notables, en avancer poiur la parade, s'élever. On veut téter de chez téter comme à la parade ! et du coup s'élever, grandir vif, charger, poussser, pouysssrrt sur pré ou non sur pré mais grave poussser ... "comme des champignons" comme qui dirait ; ou des melons, ou des fruits de saison. POires au taquet, cerisedes fées, tomates cendrées, pomme d'or. On veut tétrer à ce qwui est le Passé Touché. on veut téter à ce Néné "des Finalitéqs". Car, la mort donnée, traversée, dépassée, le terrain post-fée alors tracé eswt une sorte de .... champ donné, de type "toundra", àperpétuité, qui nous va ! LAIYT ! LAIT à l'arrivée ! lait des rois, Reibnes de Là (l'au-delà) et autres laits genre "pour-soi". On veut :
dire dire dire dire
donner donner donner donner
faire faire faire faire
charger charger charger charger
$toucher toucher toucher toucher
coller coller coller coller
entrouvrir entrouvrir entrouvrir entrouvrir
cerner cerner cerner cerner
contraindre contraindre contraindrte contraindre
soulebver soulever soulever soulever
pousser pousser pousser pousser
cacher cacher cacher cacher
mettre mettre mettre mettre
sonder sonder sonder sonder
porter porter porter porter
bouster bouster bouster touster
ifgnorer ignorte ignorer ignorer
louer louer louer louer, quelques divinités ou déités a-temporelles et autres Dieux Portées sur Tracé dOnné , genre Trait des Traits , traits Donnés sur ... hautes Roches aucx nénés ! le pied ! la Pause café ! on ose ! on veut monter monter monter au plus haut niveau des données de Roche-. Qui on est ? on est .... la Chose ! ponte ! ponte haute ! oeuf de Rotonde ! Corps d'Hole ! charmeuse -ombre aux données de Morte .... ou quelque cxhose de cet ordre ! qui sait ? On est ... née Haute, sur trait, trait dit "des fées Ancrées". On monte sur Passé. On veut :
toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher à ce Passé dit " Des Passés des traits". Charger = cerner = faire = contrer = toucher, de fait, à un néné "surnuméraire" on le dirait, de type "sein de traîne" , un donné pour un reçu et autres échange advenu nu. On aime ! On veuy :
toucher rtoucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui se présente à nos yeux étonnés, ou sinon étonnés , quand même surpris , de tant de lait donné le Mur ( de la mort !) passé , car, de fait, il s'agit bien d'une sorte d'entrée (ou de sortie) vers une sorte de ... contrée au Lait ! Lait de vie ! vie ! vie haute ! vie à la seconde ! vie des vies tracées comme ré-injectées à traversc ... la Parole ! Haute chose ! trait des traits = la Parole Haute = les données de Poche = le PApssé tel que re-traversé et remis sur pied en quelque sorte le Muret passé, soit la "mort Haute". Car, il ya, pour de vrai, en roche , uyne Mort dite "basse" , menace, trace, aurocnoisdités des données pariétlales et autres animzlités gravées, et la mort "Haute" des données ou aux données "profondes", de type ... nénés , Nénés nés hors roche, hors Tracé s ddits "animalirers" et autres gravures de roche. Passé né, Néné né au passé ... comme qui dirait. Re-^looké ! re-néné de près. Re-envoi aux données de traits, genre "revoyure" et autres retrouvailles nacrées (sacrées) . On essaie ici en vrai et de fait de cerner ce qui est qui nouis attendrait ou seraéit colmme qui dirait à nous attendre de"l'aiutre cvôté", les bras croisés ou sinon croisés les bras donnés ou comment, postés ? portés ? alloués ? ouverts aux bébés ? On cherchge c e qui est qui est ou serait$. On est née Bébé la mort donnée ! on re^-naît à travers le l:ait. On est la Fée qui va, sur roche au-delà, devenir
Bébé des Bras. Bébétrait des Voix . charged'ombre ou quelque chose colmme ça. On monte. On veut :
monter monter toucxher toucher
toucher toucher creuser creuser
creuser creuser centrer centrer
centrer centrer poussser poussserr
et enfin cerner, qui sait, le plus grand bnombre de données de Roche, ce qui est sur-fait, ce qui ressembkle à du Néné, ce qui n'en est pas, le vrai de l'ivraie, le fau-pas, le vrai treacé, la Riooche Haute et celle qui n'en est pas, les Paroles Force eyt celles qui resteznt en bas, qui ne "volent pas" , soit : qui ne volent pas haut et ne nous renseignent pas pour ainsi dire tant que ça , ou comme on le voudrait, comme du moins on l'espèrerait, car, en vrai, on veut toucher à cette vcérité , des données dees Ombres. Qu'erst-ce que c'sst que l'Ombre ? qu'est-ce que c'est que l'Ambre ? qu'est)-ce que c'est que cette Roche en Chambrte .... Cercle des Fées ..... tr acé donné .... centre- du -pré qui serait de fait l'endroit idoine où devoir brouter quand on est (comme supposé) bête (soi-même) de treait une fois mort et enterré ! car : `
l'homme (homme) meurt
tombe, hop
tombe hop
l'homme , l'homm-masculinité, ne porte pas loin la mort donnée
va en tombe, tombe, va sous terre tracer cimetière aux données posées ou apposées
La Femme, ELLe, est AILe, vole,, trace, monte, cohorte, cohorte animalière, Bêtes de Sopmme, ne tombe, ne tombe jamais, hamais ne tombe, monte, haute : F2E des prés ! FÉE SURNUMÉRAIRE , FÉE ALLOUÉE À UN TRACÉ, SUR HERBE VERTE , SUR VEZRBE IL SEMBLERAIT OU COMMENT OU QU'EST-CE ? LE TREACÉ AUX FÉES EST UN TRACÉ SURNUMÉARAIRE = RAJOUTÉ AUX TRAITS TELS QUE DÉJÀ TRACÉS PAR, ON DIRAIT, .... DES ELFES ? DES ELFES CENDRÉS ! ELFES DE L'HERBE ET DES CHAMPS LOUÉS ! ON EST FÉE À LA MORT ACTÉE ! herbe des prés à brouter ! on aéime l'herbe, on broute kle pré, on est bêtes-verbe aux données cernéees, comme allouées à une sorte de vie recentrée autour d'une ... donnée verte, donné allouée à une bête d'herbe. en herbe ? on cherche ! qui on est ? on est ... la Fée qui, au passage tracé, est .........../..................................... monnté e car............................. elle wsait voler (elle est ailée) qui sait tracer et rechercgher à comment faire pour de fait s'élever le plus possible vers ................... la Vérité .... des Données de Terre ! cxher-che-vérité qu'on l'appelle ou l'appellerait ! on aime ! on aime grave se porter ensemble : ailes collées . On entre. On veut :
toucher toucher topucher toucher toucher trouycher toucher à ce qui est qui nous r assemble, nous étreint, nous "condense", nous recentre, nous adjloint, nous colle ensemble ! bébé né sur (petits) pieds de "renaiisasnce". Un trait. Un trait tracé et ça le fait : re-ttrait ! re-tracé ! re-passé ! re- le tracé nacré et le bébé est né qui ... nous ressemblerait à quelque cxhoses près au nivreau des traits . cheveux bouclés. Petit nez busqué. Cou porté. doigts de pieds et autres accents do nnés. On veut re-aller
re-coller
re-tracer
re-adouber
re-colmmater
-re-siphonner kle néné comme empli de lait, de bon lait sucré comme sw'il en pleuvait dans notre gosier ! hum le lait ! lait des traits on est super-
aimantes /aimants en vrai. On veut téter = on veut graver , gravir, grave gravir, grandir. On veut toucher toucher toucxbher toucher toucher toucher à ce qui de fait se présenterait qyuii wserait "la vie" toute ré-injectée ou re-donnée au passage des traits des finalités.
Toucher = trouver = cerner = retrouver , en vrai, un semblant de vie comme au temps passé ! comme on connaissait avanrt d'y passer ou comment avant ? avant l'envolée, le départ-né, la mort archivée.... Mais voilà ! Roche-nouba, on est à nouveau là, post paroi, quivoulons rte-tracer la voie et .................................................... cerbner cerner cerner la Chose ici-b as comme consacrée, à nouveau sacrée ou comme consacrée par une .... quoi ? Sorte de quoi ? Divinité-lambda ? Déité -Roi ? Reine des Bois ? F2e-Reine aux quatre bras ? pérenne ....... ? On cherche ! on veut aimer, toucher-aimer, tracer, tracer-aimer, coller, coller-aimer et du cfoup aller, cerner, souffler et en v rai trouver (si possible) vérité allouée à une sorte de "missive" en langue "de suite", qui saurait nous dire .... eh bien ...... la Suite ! ce qui est ! ce qui en vrai serait (sera) à nous attendre dans l'au-delà à soi ................... car, l'au-delà erst "au-delà à soi", à son propre soi qui comprend "son monde", chacun / chacune son (propre) monde tout entortillé des tracés de roche . On monte ! on veut et on voit ça : la Tombe, haute Tombe des Voix, nous .......... on mionte ! on laisse ça (la Tombe) à ce qui "ne v eut (?) pas" alors que bnous , ................................................................................ENVOL .....................................................ENVOL POST-MORT.......................................................................AILES DÉP:OYÉES HAUTESXS .........../.................................. HORS TOMBE ..................... ON MÙO NTE ............................................................................................................................... ON EST NÉES FÉE COMME À LA RETOMBÉE ............................ SUR PRÉ AUX HERBES = HERBES FOLLES CVOMME ALLOUÉES-)TRACÉES OU DESSIONÉES -GRAVÉES PAR QUELQUE HOMINIDÉS OU FEMMES DE LAIT AUX TEMPS DES TRACÉS DITS "À MAIN LEVÉE" ........................ COHORTES ............. BÊTES DE SOMME ..................... AÉUIROCHS ET BÊTYES DE PORTE ......................... ANTIL:IOPES, BOUQUETINS, BISONS , BUFFLES ET DAIMS ....../.............. DE ROCHE HAUTE ...................................... POULAINS ........................................................... OURS D'ÉPOQUE HAUTE ET OURSES RONDESC................................................... DOUX BISONS, DOUCES BISONNES .................................... OMBRES ............................................................ Oon monte,; on est hautes, on est femmes des portes, on est fée-femmes des données de roche, on veut toucher toucher toucher aux données post-porte telles que rencontrées le mur (du fonds) passé ! treaits ! terait des traits ! on est fée-femme dans la mort actée ça le fait. On est passée car on voulait en tant que femme ailée aller, aller jusqu'au néné, néné né le mur du fonds passé , côté Trait, Trait des traits ! Parole ! ombre = parole = langue d'attrait = ombre ! On est Hautes Formes, Fée )-des fées, Femme allouée à une roche, Femme Forte, Colle ! Colle accorte ! On eut toucxher à ce "néné du bout du monde". On ne veut pas passer à côté sans véritable:ent pouvoiurt pour ainsi dire le toucher afin de téter son lait "enjoué". On veut grave téter de ce lait de Roche ! lait de Fée ? lait des ombres portées ? lait-Parole ? parole de lait ? lait-Ombre ? lait de fée aux traits ? Trait de Lait sacré ou Nacré du pAssé donné (re-donné) ? On est La Fée Dite "aux données ancrées" , qui veut :
touchertoucher toucher
donner donner donner
verbaliser verbaliser ver aliser
les données de Roche (ici)) afin de (pôur le coup) ne pas les oublier, les archiver, kles tenir de près, les piouvoir creuser comme à vo:;onté si jhamais ! tracer = tracer = teacer = teacer = tacer = tracer = tracer = tracer , les données de roche , sur .......... néné ? hé ! qui sait ? qui connai^t de fait (en vrai) les données avcérées ? L('ombre ? l'ombre alloué à une sorte de contrée "porofonde" .... post-porte ? on monte. Montons haute. Allons. Creusons donc la Roche Haute, passons, passons qui un nerz, qui un doigt (dioigt de fée) qui un pied, qui son aile gauche. Et voyons. Visionnons. regardons la Bosse. Sein docte. Sein des wseins. Poche. Poche d'ombres . Poche Haute. Sein de poche. Colle ? coolle dx'ombres ? colle d'homme ? chose comme ici collée ... par les pieds ? qu'est-ce qui est qi'on poiurrait toucher et peut-être mieux cerner et du coup rapporter afin d'en consig ner les grandes lig nes, telles que (devant nous) se dessinant au fur et à mesure de nos avancées en pareille contré dite "du bout dui monde". On est née fée la mort donnée. Nous voici modifiée", devenue Bébé, re-Bébé des traits , teraits de lait. On est nue ............ cul-nu ................. crue ...................... nue et crue ..................................... le Bébé des Bébés comme à la retombée cul -nu .... de l'autre Côté de la Rue, ou comment ou qu'est-ce ? nu sur le cul ? revu ? re-née nue ? nu et vue ? On est passée , on a osé, on a regardé, on a voulu a;lller en ces contrées chercher de chez chercher la moindre parcelkles comme qui dirait de vraie vérité, afin de oui ...................... coler ! coller grave à ça : sein des seins lactés ! le lait ! ah, le l ait ! oh le lait, laiot post-pré ! on veut téyter ! On veut grave s'en pourlécher et ne pas traîner, téter, téter Néné ! on adorerait .... on dirait de fait qu'on adoreraiot , en vrai, re-piouvoir téter au néné pôst-pré , ou "Néné du Passé" il semblerait. On veut :
dire dire dire
cerner cerner cerner
coller coller coller, son petit nez, au néné , et téter ! grave téter, aller, cerner, chercher, coller oui son nez, pour téter Néné sans se tracasser ! boire du lzait ! lAit donné ! lait alloué à une sorte de Mère Donnée, Commme l'herbe ! Comme un Pré, Comme Herbe Verte, Verbe ! verbe vrai,
ON VEUT TOUCHER À CE NÉNÉ DES DIONNÉES DU VERBE
ON VEUT COMME QUI DIRAIT TOUCHER
À CES DONNÉES DU VERBVE-HERBE
HERBE DES PRÉS SERAIT DU VERBE NÉ
VERBE CD'HERBE NÉ SUR PRÉ À LA RETOMBÉE
LE VERBE EST DONNÉE, DONNÉE DES DONNÉES, VERBE-DON DE LAIT
VERBE-COLÈRE = LAIT DU PRÉ OU MÊME POST-PRÉ
On veut toucgher à ce qui se prsénterait en termes de néné-colère : sein daté ? sein alloué à une sorte de ... Femme Mortelle ? sein chargé de données lactées ? Sein surnuméraire comme saturé , saturé de lait ? Lait de bière ?. sein porté ? chant des Femmes agraires ? le Passé remonté remonte ses traits de haute colère (ou remonterait) ? On ne sait ! on cherche, on creuse, on va, on trace. On en a vance "enxemble" dans les connaissancesc. Java,; Sumatra, la Transe, la Paroi des Voix, le Passé de France, une voix est une voix, la Chance, Parade des traces et autres bêrtes-mots du ventrte. On va , on creuse, on porte, on colle. On cherche voie d'abord, porte et haute Tour d'époque. On creuse haut la Roche des Portes. On monte. On veut :
faire faire faire faire = donnner donner donnerdonner = dire dire dire dire = sonder sonder sonder sonder = charger kles données, les données de base, sur mulet, et du coup marcher, poussser, creuser sur Terre des Fées (le pré) notre petite aventurette aux allures de retraite vers .... le Passé ? qui sait ? ça se peut ou pourrait ! on est Femmelette / omelette cendrée, née Fée à la retombée, on cherche l'(entrée vers une sorte de ... sortie complète, porte Des fées, trait des traits par où de fait pouvoir passzr vers .... le Passé dit "des amulettes, et autres grigris" ... oh cvomme on aime ! on aime la vie ! roche imberbe ! vie des vies comme à l'ancienne : le Verbe ! aigri ? non pas ! npuvellement remis ! remis sur pierres ! On aime ! on cherche. On erst nues du cul mais peu importe la tenue (oula non-tenue) du moment qu'on s'aime ... qu'on s'aime soi-même, qu'on est nue pour .... être ! être Bête, Bëte-mot de ROche ainsi accolée à une sorte de Donnée Profonde .... ??? hé, on va y arriver ! ON guette ! on veut trouver = on veut cerner = on veut s'avancer = on veut charger = on veut toucher toucbgher toucher toucher, à) ce dit "néné de France" (du français, en vrai : la langue) et tracer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! tracer de chez rtracer , en avancer, comprendre-toucxher à ce néné , comptendre ce néné et de fait le toucher comme par contrebande, en ces contrées (ici) post-parade, post-nouba des transes, post-sarabandes, post bzatailles navales. On veut ça ! Creuser de chez creuser la bande, la paroi de FRance, France en branle, le Passé de soi, la belle Romùance d'autrefois ? on entre ! on veut toucher à ce qui se présente, en termes de voies, voies sages, voies de grâce, vois-parades et falbala, voies d'en face, voiues de passe et passage vers un au-delà de surface, voies des voies et voies-tralala. On veut comprendre ce qu'on voit en ce convoi de bêtes de masse et autres mots de rage "caca". tracer = dire = venir. On est née .... fée ! fée du pré. On est re-née ... Bébé ! Bébé post-pré = achevée ! le tracé, la ronde, le passé de porte, l'ombre portée sur une Chose des données profondes. Qui on est ? qu'est-ce qu'on porte ? que voit-on post-porte ? que savons-nous de cette porte haute ? qui est né ou re-né (de nous) la porte haute une fois passée , ou qui re-naît de bnous ? que voit-on au plus lointain d'une sorte d'époque haute .... bnéandertalienne ? sumérienne ? africaine ? celte ? d'herbe verte ? VErbe du VErbe ? Verbe ancré sur pieds et autres piquets ? On cherche .... On creuse ...... on monte ....... on veut entrer ensemble ........ voler .......... dire et porter ici oulà la paro:e haute ........ sur paroi et au-delà ............... hautes voix des voix seraietnt ... celle qu'on transporte (incidemment) avec soi, comme une sorte de ........... cohorte ! beêtes hautes ! bêtes fortes ! auroques ! aurochs/auroques et autres biçsones de l'au-delà, l'au-delà de soi .... hautes roches et par(ois de choix , grootes des portes, sondes, sons de roche ..... chants doctes ! On monte. ON ose. On veut aimer. On a envie en vrai de creuser de chez creuser cette espèce de "P al ais de ROche" ici donné. Qu''st-ce que c'est que ce palais ? une poche ? une sorte de .... poche à lait ?. sein do,nné par la Pärole ? On veut rêver ! On veut toucher toucher toucher rtoucher troucher trouycxher toucher toucher touxher roucher toucher toucxher toucher à ce Néné empmpli de lait comme à l'époque où on était bébé, sur pieds, dans notre lit douillet, à juste avoir (comme qui diurait) à "rêver" à ce qui est , en termes de données de porte, porte ouverte sur Satiété et autres données fortes. On veut coller à ce qui erst en tyermes de données lactées : le lait , mais aussi ///...... le Verbe ? l'herbe ? le tracé du pré ? la chansonnettre des do nnées prairiales et autres saturnales ? le Pasddsé ? on veut pouvoir de fait cerner un plus grand nombre de ddonnées et ce sans traîner, sans se lamenter, sans s'offusquer à tousq moments, et râler sans cesse comme quoi en vrai on seraiot comme abandonnées ou laissées de côté, alors même qu'on est .... pour ainsi dire ...... dans la mort sauvées ! c'erst dire ! vive l'Hydre ! on est .... ici en vie vite ! on est vite en vie ici car fée ! transformée en fée on ne cesse de vivre et vivre vite jusqu'aux .... néné nés de l'après le pré ! On veut :
creuser de chez crteuser
dire de chez dire
aller de chez aller
poussser de chez poussser
cerner de chez cerner
pister de chez pister
contrter de chez contrer
csoulever decherz soulever ... le voile de l'obscurité il wemblerait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on pourrait le penser !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vas-y cerner !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! chezrche à dépâssrr les données données ou qui semblaertaient avoir été données , un jour passé, comme à la retombée................................................. qui le sait ? ........................................ qui cerne en v rai ;es données profondes ? qui comprend la Chose : Rotonde, Ronde, Ronde-Bosse, POrte, Porte Haute. Qui ? l'Ombre ? mais ................... qui c'est ? .................................. qui est l'Ombre ???? qui en vrai est ou serait cette "Ombre" dont la mort serait tributaoire ou comment dire , née d'elle ? On cherche ! on veut :
toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher = téter téter gtéter gtéter téter gtéter téter
aux Nénbés post-herbe .......................... verbe ? Verbe de lait ? on cherche ! on veut en vrai cerner ensemble les données de base, comprendre ense:mble les Données données et autres traits de vérité.
On est entrées, on est des fées, on se promène traquet-traquett en ces contrées, dites "contréés d'herbe" , on avance entre les bêtes, bêtes de bon poifds de rafge, bêtes-poids pour la parade sur paroi de choix, on est "ensembkle " : deux ailes, deux ailes pour faire ( de fait) fée , et ça le fait assez pour pouvoir .... s'envoler de base, voler de chez voler = monter = aller au plus haut possible vers .... eh bé ce dit néné "des contreb andes" ,THE néné post-pré , kla cxhance ! on est cocufiée ! on entre ! on entre en transe en ce dernier quartier qui est l'endroit pour ainsi dire des données finales et aiutres "traits de satiété" ..... la chance ! cocufiée comme jamais méis qu'est-ce qu'on s'en branle on renâit dsan l'antre ! on est allaitée ! on boit le lait du ventre , le Passé ! le Néné né à unPassé de "Franche Camargue" ! ailée ! riz ailée et autres mets de France , le français nacré, langue de FRance re-donnée, langue d'ambre, lait des laits : passages forcés on est passée et on recommence : le néné, la frange, l'allouée des transes, un passé recommencé sur pré teracé colmme à l'entre-soi des données données
comme à lkla reztombée ... en enfance ! On veut :
toucherr toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher touchjer toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce quui se oprésente à nouds lke mur du fonds passé . Soit : le Néné ! kle lait né, lait des laits enfin "tiré" , ou "trait" cfomme qui dirait en parlant des bêtrs et autres animaux de ferme. On veut : etre, porter, faire, sonder, creuser, finaliser, comprendre et cerner , au plus près, les données de l'herbve, du pré vert, du Verbe donné (dicté) un jour passé, de l'ombrte portée et autres trait des tréits ainbsi rapportés. On veut creuser cette sortte dee ..... chose "drôle" .... un tracé sur pieds ? une p arole ... personnifiée ? qu'est)ce que ça serait ? on veut en vrai , reytrouver ..... quelque chose .... du opassé acté ? une sorte de ..... parole haute ? qu'rst)-ce que c'est ? qu'est)-ce que c'est que la P arole Haute ? parole ... de laiot ? lait "docte" ? lait des laits doctes ? qui sait ? qui comprend les choses, d'une sorte de cxontrée lactée comme intitulée, il sembklerait, ou on se trompee ? IOn eqst née fée la mort donnée. BNous voici rezfaite" comme qui dirait .... en forme (nouvelle) de ... bébé né, né post pré, tout chou tout mig no net avec ses traits tout fins de bébé allaité, coucouné en son lit (coufin) douillet ! on est ..............................................................................................................................NÉ BÉBÉ , NÉE BÉBÉ À JAMAIS ! BÉBÉ À JAMAIS ! À JAMAIS BÉBÉ ! LE BÉBÉ ! RE-NÉ ! ON EST LE RE-BÉBÉ ! BÉBÉ-RE AREU ! BÉBÉ DES BÉBÉS QUI DIT RE, RE-NÉ, AREU-NÉ ! NÉ AREU ! BÉBÉ SUR PIEDS RE- ........................... comme un fait exprès. On veut :
dire dire dire
aller aller aller
conduire conduire conduifre
faire faire fairte
cerner cerner cerner
chercher chercher chercher
allouer à une sorte de contrée finale, une (qui sait ?) vérité fatale .... et pousssrr ! pousssr vite, pussrr fort et haut, le "Vivre" ... aux accents de mort ou comment dire ? post-mort ? On veut re = re-vivre = re-venir (ivre ?) vivre .... les données de ROche ! Porte Haute ! Chapiteau ! creusezr ruisseau, ru de roche sur pré aux mots. On veut : dire-allouer, c erner-coller, faire-charger, cerner-scinder, creuser lke Passé comme une denrée à pleines bouchées ! mordre ! allouer à un met une sorte de note, et passer ! poussser ! alerr sur pieds vers ce ............. néné nouvellement donné (re-donné) comme une sorte de denrée haute ou d'époque haute = du Passé , Du passé dit des temps "allouées" à une sorte, ici, d'ère première, primaire, ancienne , regtroiouvée. On aime. Le lait frai. La Scène. Le Passé de traîne. Le passé allé. L'ombfre souterraine. On v eut de fait creuserv de chez creuser en ce passé "des petites mis-ères et autres petits faits vrais", gernre b analités, faits d'herbe, pré des prés, bêtes-verbe surchamp alloué à une sorte de Passé ... des Convenances et autres habitudesz de Franc'e. On veut grave cerner ce genre de données passées . données denses. Traits tracés à même la paroi des franges et autres formes amples. On entre. On veut : toucher de chez toucher lers données de base, de type denrées, offrandes, vivres déposée, fruits donnés, dons frais. On veut ............................................................................... creuser creuser creuser ..../................................. le passé ou vers le passé ...................... voie de fait ................ trajet ................................................ dsorte de sentier ou de tr acé par où en vrai on pourraiot passer (ensemble) sans se retournerv ............................................ ailes déployées .............. en reconnzaissancec...................... pour cvomprendre ...... voir .............. mater ................ cerner X données qui pourraient nous aider à grave nous repérer ............ en ces derniers"" quartierrs , de type "cvontrées allouées", à une sorte de) "cimetière du VErbe" ......... mais est)-ce ? ................. est-ce en vrai ici (pré) une sorte de , "cimetière du Verbe" ?? ................................................... merde ! ................... non ! ................................ le Verbe on le voit fait ça : la navette ..... de là à là ! ddu pré à là-bas et de là-bas à là, l'avant-scène ! merde ! on voit ! on eswt là ! on mate paroi et plus que paroi, dedans l'antre = le ventre ! le foie ! les entraillles de (pour ainsi dire) l'au-delà de soi, la Chance ! l'audace ! le cran ! l'envie pressante ! le vent ...... vent de face ! ........... on entre ............... on entre ............... on entre .............. on entre ............... oin entre ............... on entre ............. on entre ............ on entre ................. on entre ............ on entre ................... on entyre ............. on entre .?........... on entre ............. on entre ............. on entre ..?.......... on entre ................. on entre ............. on entre ............... on entre ............. on entere en teranse ! on envoie ! on en voit des masses ! on voit ça : la Rage, Rage de l'au-delà, la base , le tracé des Rois, l'embase et autreswsxtraits des traits post-paroi ............. genre .........................fleurs d'acanthe ?????????? fleurs des voix ?????????????? feuilles amables ??????????????.?? croix ??????????????????? croix slaves ..??????????????????????? CHarmes ?????? ????????? ?? ?? ? On envoie ............................................on entre ............. on entre .............. on entre .............. on entrev................ on entre ............. on, entre ............... on entyre ........... on e yre ?................on entre ................ on enttre .......... on entre ........... on e gnttre gra ve .................... on entre grave de chrz grave ensemble = ailée ! car, nous sommes (je suis) ailée ............. à jamais ! .............. à jamais ailmée ! vive et tracée en forme de fée .........../...................... fée née la mort donnée ......................................................... fée des fées .................. puis quoi ? après la fée vient la toundra, le passé des voix, le passé loacté et ses seins de pôids .................LAIT ...................................... LAIT ALLOUÉ ................... LMAIT LOUÉ .................................... LAIT ADOUBÉ .................. LÉIT POST-PRÉ......................................... LE LAIT EST U E SORTE DE DENRÉE DE CHOIX, POUVANT SANS CVONTESTE NOIURRIR COMME IL SE DOIT N'I:MPORTE QUEL ÊTRE TERRESTRE QUI, DE FAIT, VIE NDRAIT À CHERCHER, ICI OU LÀ, DE QUOI S'ALIMENTER SANS PLUS TRAÎNER NI LAMBINER ................................. BÉBÉ DES BÉBÉS À JAMAIS RE-NÉ ! ON VEUT RÊVER , ON VEUT ... OU ON PEUT ... RÊVER...................... creuser = donner = dire = faire = comprendre = cxgharger = donner = cerner = porter =fonder = voler = chertcher ou rechercher un certain nombre de données, avérées ou comme avérées, qui pourraientr de fait nous donner grave de quoi penser, méditer, comprendre, chercher entrées ou sorties de base, le Passé sezrait l'entrée (ou : entrée de contrebande) vers ......................./................................................................................................................................................. un ............................. une ................................... soorte de .......................................... re ................./..................... re quelque chosecx qui sait ? ......../................... renaiossance grave ........................ grave renaissance ............................... fait vrai .................... vrai fait .................. un ou une ...................................... fait vrai ou vérité des faits .............................. trajet diurne ...................... sentyier dit "des fées" verts une aventure ............... aux allures de ........................re .................... re-visite .............................. = re-tracé .................................................. re -visite allouée à une sorte depassé re)-né ................................re-la chose "bornée"..............................qui le sait ? sait-on jamais ! qui ? ................................... vivre = dire = charger = comprendre = composer = faire = soulager = complaire = poerter = noter = fondser = sonder = mener = dire-faire ce qui est en ces contrées post-muret de type ...................NÉNÉ NÉ LA MORT DÉPASSÉE.......... car, la mort, en vrai, bn''st pas "à jaùmais", elle est vite traversée , en fée, vers du Néné-né empli de lait comme s'il en pleuvait ! pluie ici de lait frais ! dinguerie ! ça le fait en vrai comme à dire vrai jamais ç'a l'a fait ! dingue nacré ! dingue sacré ! dingue lait des laits ! on aime à jamais ! On veut (grave) sans plus s' arrêter (jamais) : téter ! on veut téter (grave) le lait, sans s'arrêyter jamais ! on veut grave s'alimùenter ..............de bon lait de trait ! trait des traots sur passé de frai ! .... à jamais ! ................ pour ainsi dire : pour la vie !vie vive (sur pieds) re-née ! ......................................................... on veut creuser ....... donner ......... allouer ........ bercer ............ pouyssser ................. pousssrrde chez poussserr et du coup tracer ! filer ! à toutes enjambées ......... vers une vie nouvellement re-née commeun fait exp^rès, du fait ......... du néné ! qui est rempli de lait à piouvoir téter ... si on sait ! or , téter est inné ! on le sait ! tout bébé s ait téter ! y a -t-il des bébés qui en vrai ne sabcvent pas téter ? oh treès certainement ! mais généralement .... tout bébé né surt pied sait, sait téter de chez téter, prend le sein à grande bouchée, sait avaler et ingurgiter et roter ! .................................................................................../..................................... l$e lait ................................ lait de mère ................. lait de mère-mort .........?......................... ombrte ...................................ombre de la mort .................pôrte ................ cohorte ................. sorte de "cohorte de porte" .................................................................. big-bison de roche ......./..................... dessibnons ! .... gravons ! .......................................................................... ombres aàfoison ...................... on =monte ................................... on veut topucher topucher tpucher tpycher youcher à ceyte zorte de dopnnée de roche = porte ! porte d'entrée (de sortie) de poche ... ou comme qui dirait de pôche , car, voilà, on est là : entrée .......................... pôrtée ........................................ soulevée ................................................ on ne veut p^lus s'arrêter :ais au contraiore pezrsister dans notre avancée à grandes enjambées et du coup ....... crteuser de chez creuser les données ... "chelous" ?.... qui sait ? Qui sait ces données ce qu'elles seraient pour nous le mur (du fonds) passé ! on trace .............................. on avance ! ............................... on charge .......................................................................... on est née Bébé au-delà du pré. On veut toucher à ce quii esten forme de Néné et du coup téter. On aime lae lait car on est (de fait) ...... des ébés ........................ aimantgrave téter ........................ prendre le sein donné ......................... s'y accrocher ...../........................... attraopper ............................. avaler................................. déglutir pour de vrai .................... aspirrer .............................................mort-mère donnée ............ = vie retrouvée comme qui dirait ........... que ça se pourrai!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh à jhamais !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! qui sait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! le Passé donné !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! v rai passé donné et à jamais ilm wemblaezrait ..... = d'éternité ........ pour de vrtai ! ..................éternelle donnée a-genrée , on dirait ............................ bébé des bébés ... remis sur pieds la mort passée ....................... re re re rere re rere -né à la vie donnée .......... vie vive des a:lacrités mais vie vive do nnée pour ainsi dbire "tout de même", de fait ......................................... on veut :
toucher toucher toucher toucher topuycher aux dits "Nénés" des données intenses. Traverser = p âsser, cvomme en contrebande, le muret ou mur du fond du pré, versle Passé donné , qyui est Vie re--donnée à une sorte de Bébbé dit "des alacrités" ...... que dire ? on s'y fait ! on entre .... on passe ..... on envoie ......... on veut comprendre = toucher = cxerner = passer = poussserr = faire et sonder un certain nombre de données données, données sur pieds au delà des traits. On veut :
toucxher toucher topucher topucher toucher toucher toucher à c e quiest au delà des treaits, treaits du muret. Et du coup .............................................................................................. téter ...................................... téter =téter, pôur de vrai, le lait de mère = VErbe ! verbe nacré ! arme des fées ! vérités des vérités et autres mots de la colère ancrée , du fait que voilà ........ l'herbe .......... l'herbe du pré ............ est comme "brûl"ée" ,, qui sait ? pâr quel soleil ancré ? par quelle sortrte de "lumière des lumières" ainsi portée ou déposée sur ml'herbe (verte) des données en herbe .... ? On cherche ! on veiut aimer, toucher et creuser, et f&ire ainsi que la colère (en soi) jamais ne retombe m ais tout au contraire monte, monte haute, explose, pète grave à la face du MOnstre , envoie, le fasse, parade, nous fasse ainsi un peu encore perdurer sur place ..... aller et venir .... voler ou voleter ........ tracer ......... comprendre ou chercher à comprendre en vrai ce qui est qui peut^$etre nous "ressemble" ou nous "ressemblezraigt" en termes de traits alloués, traits de ressemblance, traits marqués, traits des traits, sur un visage re-formé, re-tracé, re-armé .............. sur place ............ post-pré ............... ressemblances au c arré qui sait ? ......................on entre ................ on entre ................ on entre ............... on entre ............... on entre ........... on en tre .............. on entere ................ on entre ............... on entre .................. on entre ...../............ on entre.............. on entre ............. on entre ................. on entee ............. on entede ........... on enbtre ............. on entre ............... on entree ............... on entre ............... on entre ............... obn entree da ns l'antre aux données de base ............... le pAssé nacré ........... l'antre alloué à une sorte de Passé Tracé, de type "renaissance" à une vie ancrée ........... par chance !
7/2/2025
on regarde. On essaie de cerner-toucher. on a envie grave de se retrouver en vrai comme en quarante à téter du lait ! on aime le lait, grave ! on veut téter ! on adore le lait, et de fait, on aimerait ensembvle (on est ailée) aller, pzasser, tracer, ensemble en vrai nous retrouver de l'autre côté à téter du lait soit du bon lait de france = du français ! la cghance ! levPassé ! le passé en transe ! ce que c'est que ce passé des convenances ! eh bien ... une sorte de ... voyons ... charade ? le Passé est le Passé tel qu'imaginé ... depuis la Base (ici) des données pariétales, on pourrait le pensezr. On veut : aller = donner, à ce dit "Pässé" , les données de france , soit : du français ! accolades ? minorités ? Verbe fade ? à jamais ! crroyances ? il semblerait ! on veut comprtendre = comprendre-toucher, à cette Chose en face" ... = le Tracé de l'Ambre ! croisades ! traits des traits ! on a envie ensemble ailées de nous retrouver comme qui dirait de l'autre côté à chercgher de rage ce qui est, dans le français, à ce sujet ! la transe ! parades ! parades animales ! aurochnodoïtées de rage ! le ptracé = le Passé ! traits sur Néné = du lait ! on ezntre ! on veut toucher à ce néné dit "du franççais" en tantt que langue comme acidulée il semblerait !
on a envie ensemble (fée) d'aller toucher, d'aller comme à "toucher-cerner" ici même la Panse , le Néné collé, le lait des traces sur Passé en vrai comme accolés, les données données et autres traits dits "des convenances". On veut toucher de chez toucher à ce qui se présente en fait de Néné ... Traits portés ! chants des fées, croyances dites "abdominales" ! le Passé collé ou accolé à une panse ! le pied ! la chance ! on veut toucher toucxher toucxher toucher topucher à ce Néné des "Promenades" en ce Passé*. .... croyances comme acidulées on ntrace ! on mate ! on veut grave mater et deu coup comptrendre = espérer ! toucher toucher toucher à ce dit "passé des entrées en fanfare" en cette chose d'une sorte d'antre, panse abdominale c'est vrai, une sorte peut-être (qui sait ?) d'outre allouée à un Passé des Faits et autres effets du temps consacré . On veut :
toucher de chez toucher
aller de chez aaller
faire de chrz faire
coller de chez coller
permettre de chez prrmettre
cerner de chez cerner , et du coup ne plus nous en retourner mais tout au contraire aller, filer, gagner plus loin les dunes altières, le sommet du nez, la roche laitière, ce Passé alloué à comme il semblerait un Néné de première ... qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est que ce néné ? la tête ? leepaSséé tel que rêvé ? une sorte de mise en bière ? un nez ? vraiment un nez ? un nez, qu'est)-ce que çàa vient faire ? nez dezs nez ? nez de tête ? nez alloué à une sorte d'entité de tête ? un tracé comme dessiné ... à main levé ? du verbe ? verbe-nez ... est-ce que ça se pourrait ? on cherche, on veut trouver = toucher . Ce qu'on veut (pour nous) c'est trouver = toucher = comprendre = VOIR ! voir de près ce Néné des termes ou dit des termes"/.. Ce que c'est en vrai on aimerait connaîitre . Approcher. cerner, au plus d'intimité ! et du coup aimer, qui sait ? toucher-aimer à ce Néné empli de lait qu'on voudrait tétéer = cerner = comprendre et pasvà miooiitéé ! jusqu'au terme= le Verbe ! finalité = verbe-né comme s'il en pleuvait ! de quoi ? eh bé du Verbe ! pisse-bière ! trait des traits ! chants celltesc et autres chansonnetttes yéyé ! on aime ! graveb on aime ! on veut eh bé oui toucher à cette sorte de tracé de tête ! le néné ! le néné ! le néné ! le néné né ! comme on l'aime ! acidulé ou pas on l'aime ! on aime téter à cette "tête à lait" telle que rencontrée le muret passé (dépassé) et du coup traversé ! On aime téter à cette sorte en soi, de trouble-miszère ou trouble-fête ou quoi ? trouble-tout ? on voit ça : le trait (trait de lait) , la roche, la paroi de roche et son ajout de jhoie ... le Roi ! la Tombe ! la Joie -Roi, le Passé en trombe, le donné en tas , la colle, colle-voix, le col ! On voit tout ça de là et on se dit ensemble que voilà, on est comme données à un e sqorte en soi, de .... Carmagnole ! danse folle ! trait porté ! charge haute = le Passé, le passé comme retrouvé , la colle d''hôte, l'ombre rapportée, le port et l'ombre, l'homme mort-né iune fois décédé , quand la fée s'envole "à ses côtés" il semblerait, vole folle et va comme à se poster sur ... pÂrole HAute : = N2N2 ! trait né ! chant des fées ! colle haute sur Padssé comme acidulé yéyé, ou sinon yéyé enjoué et le tour est joué ! on veut :
coller = compter = dire = faire = aller = donner = porter à ce néné ... la bonne parole des fées , soit du tracé ! qui on est ? Homme-Hole ? ou alors : colle ? mets ? denrées ? offrandes accortes ? chiée ? comme : déplacée sur porte ? On veut ensembkle en vrai toucher à ce néné à lait et de fait le téter à jamais si on pouvait . On voudrait en vrai téter ce néné jusqu'au terme des hautesparoles ou comment on pouurrrait en vrai nous exprimer ? on veut :
dire = faire
ce qui est qui est le mueret passé (dépassé, traversé-) ,
à savoioirr : la Bête ! le passé est le passé mais la bête est la bête ! qui nhous attendrait, qui nhous materait, qui serait "imberbe" et "indemne" de données tracées, de traits ajoutés, de passé donné et autres qualités. On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce néné "post)-cimetière" des données allouées à une sorte dee Passé poàst-herbes, post-pré, dit "Passé des Passés " car "Passé retrouvé" la mort entérinée (laissée loin derrière, dans le pré, l'herbe, le fossé, la crête) . On veut :
toucher toucher toucher toucher à ce dit passé post-cimetière ou post-herbe . Qu'est-ce que c'est que ce passé "en herbe" ... du passé retrouvé, coome "emblême" ? un tracé de fée ? le passé de REine ? le passé tracé sur paroi héautaine ? Chair ? ... allées des oliviers vers la Terre Allouée à une Sommité certai ne ? une sorte d '"alacrité soudaine" ? trait acidulé ? chant des siorènes ? traînes sur pied ? ... pollen ? on veut cerner = toucher,; mais pour cela il faut (il est, ou serait, nécessaire de) pour le coup , tracer de chez tracer ... sans débander ni désemparer ! toucher toucher à ce qui est qui se présente sous notre nez ... de fée ambulante ! le trait = trait de lait ! pisse-maigre ! chant des herbes ? cham de blé ? chant celestes celtes ? Chants nacrés et autres sornettes ? on colle ! on colle au poste , l'oreille ! traits des fées sur ronde accorte ! on mionte. On veut monter monter monter monter monter encore et encore le niveauu sonore ... du Passé nacré, passé des passés et autres passés d'hôte ! On monte ! On veut toucgher à ce néné des dionnées hautes et ... treaversezr , tracer, aller, courir, vivre "la mort haute " ? ou comment dire cette chose d'une sorte d'après-mort qui (de fait) nous "regarderait" au sens où celle-ci peut-être nous concernerait, serait en vrai une question pour nous profondee à explorer ! comment toucher ? comment cer ner ? comment voir ? comment comprendre ? comment nous approcher ensemble ? qui accoster ? à qui demander ? à quoi nous fier ou nous intéresser ? On veut toucher de chez toucher à ce Néné "de contreba,nde" , passées (nous) ici mais quand, en cet antre ,
enn ce Passage déplissé, chance, trait outré, ventre ! On veut
toucher-cerner, dire-allouer, passer-donner, coller-fendre, les données de l'antre , et ces données en vrai les comprendre sans frais ! en juste tétant néné, si on pouvait ! ça serait bath ! ça nous irait ! ça nbous (grave) irait au centime près ! chance donnée ! charge allouée ! vent des sables ! un passé est un passé ! la france au français ?? que dalle ! le tracé ! la charge ! l'encollé des traces, on veut toucher ! toucher-cerner de fait cette langue et merde à la France ! coller = donner = dire = faire = charger = composer ensembkle (ailée) cette Romance , d'une charge a nti-)france, allouée à une sorte de passage outré . Comprendre = toucher = dire = aller. Et ainsi de bsuite vers .... N2Né ! Néné né post pré ! "vamos" ensembkle ! creusons ! allons ! chargeons ! la france maussade : au pilon ! on veut : toucher grave , aller ensemblke, voleter, cueillir et récolter ici ou là(post pré) de quoi ensemble pouvoir nous, pour le coup, alimenter grave ! manger = téter = ingurgiter, un certain n ombre cde données de rage, rage-née de par l'ambiance ! trait porté ! charge allouée à une lzangue : transposée, déposée, intégrée comme par "la bande sale". On veut :
dire dire dire
vaincre vaincre vaincre ... la timidité, d'avoir à dire ! de nous avancer, de nous préseneter, de parler comme qui dirait "publiques", chercher, toucher, porter, séduire ? .... séduire ? oN veut en vrai aller de chez aller de dires en dires jusqu"'au Passé qui est Néné on le sait ! et là : vivre ! vivre sans céder , akller, conduire (pour ainsi dçire) notre vie "altruiste" , sainte vérité, chants portés, vivres = mets = denrées = ... lait nacré et acidulé ! teter téter téter téter à ce lait des Rives ! aimer ! aimer vivre , vivre de chrz vivre, en ce coin en friche dit "du lait" et autres mets lactés. On veut :
toucher troucher toucher troucher toucher toucher à N2né né , boire son lait, nbous en mettre plein le vgosier, s'en pourlécher , de fait, les babines comme un chatonnet , aller de chez aller ainsi rassasié pour nous reposer, dans ce coin en friche des données données, par ... le Passé près, le Passé tout près, Le Pasdsé des Passés ... qui est ... eh bien ... la Vie vive, redonnée à une sorte de ... bébé d'en rire ! né "Trait" ... trait des dires outrés genre sala cité et autres traits tracés pour faire rigoler. Faée ! fée on est ! fée des fées on est ! on a le droit de dire-rire, d'y aller dans le rire et les dires outrées ! se montrer comiques ! faire "Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii" (ou dire) ! y aller ! creuser de chez creuser la voie du Rire outré post-muret ! Car, le Rire, le Gros Rire, est "donnée ivre" allouée à une sorte de Passé à vivre, la mort dépassée.toucher = t oucher. Féire = faire. Chargher = charger. Cerner = cerner. Porter = porter. vendre = vendre. Monter = monter. Allouer à une offrrande un trait = dire ce qui est en matière de ... LAit Ancré, donné,disposé. On veut creuser. On veut toucher. On veut faire-aimer. On veut dire le Trait, montrer, monter haéut le Niveau des mots , et y aller de notre couplet concernant ce Haut, ces Hauteurs de mots, hauts mots cde Rage Perlée ! chant(s d'oiseau, de moineau, corbeau, mot de trop ! on veut :
dire -allouer, pisser-chier, cerner-donner, accoler, à une sorte de trait, les données du Verbe nacré .... le Rire ? le Passé d'en rire ? l'hydre ivre ? le ... Vivre, sur Passé Ivre ? touché ! touché-coulé comme qui dirait ! ivre des données avides ! Vivre = aller = connaître = porter = vaincre = charger = donner. On est née Fée la mort passé , ou comment dire cetrte chose, d'une sorte (haute) de donnée d u rire ? Vivre = .............. rire ? rire du rire ? on est Fée, on est née, on est accolée, on est comme aimantée, on se tient par le néné ou je te sais ! on eswt ailes allouées à ... du verbe de terre ? on cherche ! fée des fées du cimetière on trace , on traverse, on passe , et nous voilà "re-transformées" , comme changées du tout au tout . De fée, nous voici changée een une sorte de Bébé post-pré , sachant (c'est inné!) téter néné sans traîner ! téter de chez téter et les vacghes seront bien gardées (les vaches sacrées) ça le fait ! ion veut :
dir-allouer à un dire nacré ... eh bé ça : le Rire ! = ce qui est, la mortancrée ou une fois ancrée = entérinée, ou deépassée (acquise) . On est la fée des données grises et autres données de frise ! genre : biches , boeufs de porte, buffles hautes, chevaleuses accortes, bêtes -roche et autres traits donnés sur paroi (haute) décorée. On veut : dire dire, faire faire, et courir ! à toute blinde = vite ! sur .... passé ! sur passé des dires ! comment dire ? on est :
née
fée
en vrai
sur pied
envolée de chez envolée
on est fée née comme envolée la mort ancrée ! hé !
soyons ivre ! touchons l'hydre ! filons et creusons ! portons haut "le mot de trop" sur roche accorte ! = gravons , dessinons, traçons la Chose ! ne nous arrùetons plus de dessiner la Chose Haute = bisonnée sur pied et autres bêtes de trait nés. On veut : coller au néné = téter ! téter très ! ou téter trait ! trait de lait = filet ! On aime le lait. On adore le lait. On veut téter le lait de bonne Mère chahutée, le français salopé, le passé de pied, la Haine ? peut-eytre pas tout à fait mais la colère saine ça se pourrait ! car, merde, trait pour trait, on veut ou on voudrait, de vfait, "rendre la pareille" et détester en vrai cette France Altière, VErbe à nez ! tracé fait ou refait, charge haute auto-centrée ! parioles, du passé, remonteraient ou "comme remonteraient" au niveau des ... portes
comme rajoutées à
une sorte d'alcôve, entrée haute, sas de roche , nous voilà aidée ! on monte ! on veut passer ! passer et nous retrouver, incidemment, côté néné à comme téter
jusqu'à satiété ! trait . Trait donné. Trait pour Fée on est née pour Téter. fée qui tète aime ! fée qui tète aime aller, à toucher ce qui est , en termes ici de ... Vérité Donnée ! le Passé est la V2rité ! Le Passé Nacxré ou pas NAcré est (de fait) "la Vérité, toute la Vérité ", Jugement Dernier . On veut ensemble y aller en ce Passé de contrebande, pour ... t(oucher toucher toucher, à ce qui se présente ou se présenterait <question VFérité ! qu'r'st ce que c'est ? qu'est-ce que la Vérité des fAits .... ? eh bien .... la Scène ! trait treacéews . sainte Colère et inimitiées . vraies tracés sur pea u de Bête ? on cherche ! on aime chercher. On est "colère" c'est un fait, mais on aime ! on aime être "colère", on a notre petit caractère . On veut toucher à cette ... Sainteté allouée au Verbe ! qu'est-ce que c'est que cette ... SAinteté allouée aU verbe ? duu pAsssé ? qui sait ! ça se pourrait ! ça pourrait être, ça pourrait en vrai être que ... voilà là, la Chose est Là , elle est pleine, elle regorge de ça : sainte laitière, LAIT, LAIT, LAIT, LAIT, LAIT, LAIT, LAIR
$T, LAIRT, LAIT, LAIT, LAIT, LAIOT, LAIT, LAIT DE MÈRE, LAIT CELTE, LAIT CÉLESTE, LAIT AIMÉ VOIRE ADULÉ, VOIRE ADORÉ COMME UNE DÉITÉ POST-BIÈRE ! LE TRACÉ ANCRÉ EST UN TRACÉ POST-BIÈRE ÇA SE SAIT ! ON AIME ... QUOI ? TÉTER ! TOUCHER À CE NÉNÉ DU LAIT ! ON AIME LE L:AIT COMME ON AIME LA SCÈNE ! LE PASSÉ NACRÉ EST UN PASSÉ POST )--FINALITÉ SOIT POST-CIMETIÈRE ! PASSÉ NÉ SUR TRACÉ RUPESTRE ! LE PAQSSÉ POST-BIÈRE EST UN PASSÉ NACRÉ VOIRE ACIDULÉ QU'IL NOUS PLAIRAIT EN VRAI "D"'ÉPOUSEZR" À L'ANCIENNE, LES BANS DÉPOSÉS, TREAITEUR-CHARCUTEIER, DISCO DES CONNTRÉES , RIZ SOUFFLÉS, CHANTS DONNÉS ET AUTRES VINS VERSÉS SUR TRAÎNE ! ON VEUT AIMER ! on veut grave toucgher (en tant que fée ... devenu bébé !) à ce néné des traits (traite verte). toucher toucher toucher toucher toucher toucher àc e dit
"néné des termes" = du Vzrbe ! verbe "outré" , poerté ou comme poussé à ici "révéler", le ... "théorème" ! le tracé ! l'antienne! couplet fait ! chant d'elfe ! une sorte de parade indienne ! tralala plumé ! chant d'armes ! confettis de char
me ! On veut : dire dire dire dire dire dire; ce qui est qui nous attire, nous plaît, nous incite à aimer, nous fait de l'effet, nous attise et nous met le feu comme qui dirait à nos ailes allouées à une sorte de "piquet de rive" ! fée du dire ! fée saleé" ! fée donnée à une sorte de ... passé ancré, la mort dépassée. on veut aimer " veut dire "on veut creusezr". Pas difficile ! on veut creuser = on veut toucher = on veut dire = on veut parler et donner au Passdé nos quatre vérités concernant /... le Rire ! le dit "Rire outré" , fou rire ça le fait, autant que le dire dit "raisonné" , et peut-être "pire" ! on veut toucher et vivre. Coller-aoimer. Déduire et recompter. porter et cocher. pousser le Rire jusqu'au bout du bout d'une sorte d'allée, du Passé en friche ! le passé !!! le passé en friche !!!! qu'est-ce en vrai que cette sorte de Passé donné qui donc serait à , qui sait ? défricher ... sans traîner ? sans lambiner ? à fond de trait ? Qu'est-ce que c'est, que ce dit "passé ... des données en friche" ? une sorte de ... vie passée, comme enkystée ? le passé du dire tracé ? la riuine des données données, le jour de notre arrivée ? on est née Fée dans la mort actée. On veut continuer à (si possible) comment, disons, dériver ? aller sur pied ou même voler, de rive en rive , en ce passé comme déployé devant nos yeux tout chose, éberlués, tout "touchés" par cette chose haute présentée, ou comme présentée, et qui nous accoste ou nous accostezrait sans se gêner ! qui,nc'est ? la Roche ? le Passé de Roche ? Porte ? porte ouverte sur une sorte de ... passé en herbe ... à (comme qui dirait) retrouver indemne ? même ? le même ? le même vu de près, ou : à nouveau vu de près ? néné ? néné re-né comme une sorte de donnée ... re-donnée ? donnée-verbe ? chair allouée de fait, à un Verbe dit "des contrées post-pré" ?
on veut creuser)-toucher et de ce fait aller, cerner, porter, charger, comprendre et pas àmoitié" tout un ensembkle de données données comme par la bande, une fois la mort comme enregistyrée, classée ou entérinée. On fait pitié ? on avance ! on creuse grave ! ça y va ! on se balance ! cha cha cha on danse sarde, on trace, on va, on est là ! porte d'entrée (devant soi) on entre, on passe le gué, on rentre ! on est née Bénbé aux embrassades. On veut cerner Néné , toucheer-téter, boire du l:ait "de contrebande" s'il en est, du moment que nous on est alimentées on marche ! on est ok ! On veut téter Néné de contrebande ou pas de contrebande", on est pour ainsi dire "pas français" de marque , en vrai ! on est "rapportées", et on s'en balance ! trait pour trait on charge ! le français tracé, la chaerge mentale, obstinée, on creuse le trait, on porte hzut
la colère innée ! on veut coller ! coller grave, à une sorte de Passage comme déployé, qui nous inviterait" à (de fait) nous immiscer, en cette sorte de contrée maussade, genre antre, ventre, outre dee panse, intestinale ou abdominale, on entre ! On veut grave aimer , aimer de cherz aimer, la panse , le tracé en transe ; gentes dames et damoiseaux de france : au poteau ! transe ! cgharge dense ! on trace sur panse les données de rage qui nous "embarraseent" .... cpomme qui dirait en face. On est nhée ... fée , fée des prés, fées sur pied sachant voler, et nous voilà toutes remontées, de fait , car, envahies, envahies vives, par du verbe vide ! tri ! piste ! charge ! trait donné sur paroi hautement "saluée" = sacralisée. Qui on est ? la des Fées de base, sachant dire, ici, ce que bon luyi semble en termes de dits ... du Rire Ivre ! vrai tracé et autres traits des fées sur roche ornée ! la piste ! le vfrançais d'en rire = langue au lait ! point d'acmé, mais la rase friche, trait des traits au ras des titres surcotés, surévaluées. On est Fée ivre le muret passé, ivre de lzait : bébé ! le bébé de lla friche al:louée à une sorte de contrée ... du Rire ! est-ce que c'sst possible ? on veut : toucher toucher toucher toucher toucher toucher ......................................... toucher toucher toucher ........................................ toucher toucxher toucher ............./.................à-à ce néné donné la mort dépa sdsée. car, la mort n'est pas "d'éternité", ele
se pose là, lelle semble "à jamais" mais tralala ! la vérité, la vopilà : la mort est dires, dires de trait, dires vides, dires alloués à une sorte en rai de "pré" comme donné à une sorte de tracé, qui dit le vide, le paqssage ancré, la traversée de fait vers une sorte de propriété de type : enceinte allouée, fortifications herborée, rond de roche ou pré aux fées, mais voilà ... la suite,
la siiute ivre, eest cette suite comme déplissée une fois l'enceinte quiitée ! ou comme traversée ... d'un rire (ivre et outré) qui permet le Titre; le Vrai Titre de ... "Bébé" , accolé à une Sommité qui est : le N2N2 DE TRAIT ? LA RIVE PASDSÉE = le Passé-Rire ! tracé ! faits ! faits vrais ! chants salés ! iune vérité qui de fait nous serait allouée une fois dépassée ou comme dépassée la mort donnée, cette sorte de finalité qu'on dirait promise ou comme promise "à jamais" m ais ... rien du tout ! le bébé ! le bébé ! bébénou ! le bébé, olé ! le bébé-lait ! ou le bébé de lait ! née au néné du passé remontée ou même re)-donné, ou re-deployé , ou re-montré, ou re-collé à nos bouches de fée ici transcformées ! On veut en vrai aimer , aimer le lait du passé remonté. ; On veuyt grave aimezr et téter, téter et aimer, ce lait sucré, ou sucré-salé, qui nous "pend au nez " : on aime ! on lèche ! on tète ! dingue comme on aime ! c'est la vérité ! on aime téter sans plus de gêne, sans traîner, le lait ou le bon lait de mère , lait nacré-acidulé comme on l'aime, comme on aime en teter la mort passée. Aimer téter est la vérité ! on aime ! on est bébé né dans le post)pré ou le post-herbe d'une sorte de "propriété " de type encklavéée, éden, paradis des fées et bêtes de trait (est-ce kles mêmes ?) . On aime ! on veut graver ......... grave graver .......??.?.... les bêztes de trait sur roche allouée à une sorte de "poème-théorème" aux "données outrées" : insultes-mères, blasphèmes, mots ultra-grossier à l'encontre d'une déité ici personnifiée en termes liés à une sqorte d'entité dont le nom en vrai , est .... mère ! mort-mère ! mère-mort ! ou même : mère -la-mort ! car, la mort est mère ! merde ! on avance ! on creuse ! on charge ! on fonce ! on veut (grave) tracer et comprendre et toucher et cerner et aller et vivre en ces contrées pré-rive kles données du vivre ! fée ! en premier! puis, le muret passé, on deviendra ... eh bé .... le ...
Bébé -toundra ? bébé-transe ? trans-genre ? accolé à une sorte de "paroi intense" ou de ... post-paroi dense ? ... ou de qiuoi qui sezrait là (ou sera là) à nous "attendre" les bras en croix ? la Chance ? h"é, on voit ça et on en reparle, car voilà, on est là ... on tète la Voix, on tète grave (sale?) la Voix des Voix = LAIT DENSE, lait des laits intenses ! lait entier fait de rages avérées ! rages des rages ! traits des traits ! danse en face ! le Passé est re-né qui nous embrasse ou nous e,mbrasserait szans traîner et sans se gêbner ! danse sur Passé en France, le pied ? on entre ! on entre dans la danse-transe ! on entre dans la danse en transe ! cette dxanse ! menuet ? lla danse des Né n és ? danse du ventre loué ? vrai ? vérité nacrée ? charge de fée ? panse ? Panse dense ? On est ................................................ allouée ! ........................ à du Verbe de trait ...................................................... venu d'où ? de france, ohé ! ........................................................... transe , du français de rage ...................../........................ accolé, ou comme accolé, à ...... une sorte de passé intense qui, en vrai, est passsé de transe ......................................... pasdsé du passé ................ perte franche ................ portée ...............musique d'ambiance ....................... disco-transe et autres musiques de rage ............. treaits ! .......... treaits nés ! /..................................... on est entrées, on est dedans, on est accolées, on est serrées-collées à une sorte de néné donné qu'on s"'évezrtue à (ensembkle ?) téter ! bébé-fée ? fée-bébé ? ou seulement (le muret pâssé) bébé des bébés ? eh bé .... en effet .... qui sait ? ...... seulement Bébé ? qui tète que tu tèterais sans discontinuer telllemenht il aime, tellement voiulà, il cherche ! il va ! il veut ! il veut du lait mieux ! il veut toucher de chez toucher pour mieux téter de chez téter, le lait de mère, lait post-pré de bonne mère des données post-terre. On aime ! traits ! traits de fée on veut passer et vite aller téter une fois transformée, de fée en bébé d'air ! qui, bébé d'air, aime et sait , de fait, téter Néné sans sourciller, les lèvres bien placées, coussinet de tétée et autres critères de bonne tétée ! on sait ! on est Verbe -Lait ! né bébé ! né Fée puis né bébé .... sur terre ? on cherche ! néné ! on cherche à téter ... le néné en herbe d'une sorte de mère dont le nom serait "Terre" ? on cherche ! on pousse ! on va ! ................././............................................................................../................................................./.............. on avance à petits pas mais voilà .......................... on veut comprendre ......................... téter-comprendre ........../........... teéter = comprtendre , on ne sait ! ........................................... téter de chez té ter à ce néné de contree bande ça le ferait mais en a -t-on le droit ? en france des fois ? france d'antre ? france à antre ? franche voie des parois "amples" ? france en bois ? On entre ! on veut ça : comprendre, toucgher, aller /./......................... per cer .................................. cer ner)-pezr cer = do nner-allouer, à une sorte de contrée (genre ... "la France") les données données telles que rencontrées, ensemblve , la mort avérée. On veut toucgher de chez touchezr, mais aussi ""entendre" .................. saisir et cerner, ce qui est qui est , qui nous regarde ou nous regardrerait ("intense") sur Néné .... ou disons : depuis ! Car voilà, ici (pré) on voit ... que dalle , sibnon le puits, le haut du puits, la porte des donnéescde roche, ok, mais au-delà c''st le noir dense ! on y voit que dalle ! rien à observer qui puisse nous aider à noue réperer ou à nous situer en cette sorte de fin de contrée de type "murzaille", "muraiolle des fées", "muraille à passer" . On est née Fée et voilà ce qu'on aimerait, le pré traversé. La Rage ! rage du passé, du passé de france ! merde au Verbe tracé ! on entre ! on veut grave .... toucher ! toucher l'antre, la chose en face, ce qui est de l'autee cpôté qui szrait comme à nous regarder aller et venir (voleter) dans une bsorte de parade en transe ... on dirait. On est entrée ! on a passé la Porte Haute. Parole. Pré passzé, parole outrée, Rire Docte, nous voilà ainsi déposée, post-pré, sur Néné à téter , de Mort-la-Mère des contrées ... dcxernières ? qui sait ! éternelle remontée des traits ! bêtes de frai ! charges altières ! le français (la langue) en tant que treacé permettant l'entrée, un pied dedans un pied dehors, musicalité des données acerbes, un treacé (de fée) dans l'herbe verte , puis le trait des données "dernières" .... ou qui sembleraient êttrev les dernières , à jamais, mais on ne xait. IL se peut que le Tout renaisse ,sans arrêt, roue crantée, colère des attreaits, gestes d'elfe, vérités emportées, portes soulevées, on monte ! le poteau des ombres est haut placé mais on y monte le toucher ou pour en vrai ensemble (fée) le toucher sans traîner, trait de fée dans la Haute Fumée de Groote. haute POrte des Données Accortes. Portes hautes allouées à une Vérité de Roche = le Passé ! le passé nacré ! haute Vérité dont le nom en vrai est : " Le passé". Car, le Passé en v rai, est du donné dee roche ornée ! qu'on se le dise à tout jamais ! lke passé est ... frise , traits tracés, bêtes de trait sur roche exqauise de grotte de mise. traits des traits semblant bêtes allouées à une sorte de danse effreénée sur frise gravée. On est née ! née fée ! fée des prés ! fée hautes ! qui, ici, voulons tracer de chez tracer la roche ... dans la roche ! quiooi ? l'éternité de la Parole Haute" = le Passé, Passé post-pré = Passé re-né, à jamais, hors poche ou antre-ventre, sur pied. On est comme accolées à une sorte de donnée dont le nom est ... "treacé", "le tracé", "le tracé de fée", "la danse en trabnse" = le Passé ... en face ! trait porté ! charge d'antre ! On veut toucher à ce néné ... des données d'en face .... néné né après le pré (la base) et nous voilà (peut-être( enfin armée, pour demezurer , qui sait ? sur place : sur néné ! à pouvoir-devoir téter le lait ... des p "rages ambulantes". On veut grav e cerner les données de base, les aimer, les approcher sans se démonter , faire connaissance ................................................................................. pister ...................... mater .......................... mirer ............................ regarder en face ........................................... ou essayer de regarder en face ............................... à mieux cerner les bases ................... ce qui est quiest ................. en cet antre (?) post -pré, qsui en vrai rrreessemblerait à s'y méprendre , à une siorte de passage, trait defée, passage "entre", petit trait qui permetrrait de pouvoir aller, entrer, s'immiscer, sans perdre connaissance et du coup regarder, en profitetrr pour regarder-cerner les données intenses, d'une sorte de ... Passé de FRance ??? un passé de FRance ???? .... français ??????????????? mais qu'est-ce qu'on s'en bral,nle ou s'en branlerait !!!!!!!!! eh bé .... pas tout à fait ! car, voilà, le français est ici la langue des contrées présentes ! on veut toucher ! on veut comprtendre ! le français en tant que langue ici exoplorée, remuée, bousculée, et même "évzentrée" et du coup sondée ! pour, au vrai, de fait, cerner, toucher, porter, aller, coller, dsire et donner , un certain nombtre de données de rage (le Passé pèserait) qu'il nous incomberait de devoir comprendre et du coup amener, en vrai, jusqu'au ... néné né post-parade, post-charade, post paroi ornée et autrecs foirades ! on veut ;
téter téter téter
dire dire dire
aimer aimer aimer
chercher chercher
coller coller coller
entreprendre entreprendre entreprendre
cerner cerner cerner
co
ntôler contrôler contrôler ce qui ici est, qui semblerait cvouloir... nous parler, au plus près, et nous donner de quoi nous repérer en ces drôles de contreées post-pré : où on est ? en vrai, où on est ? où donc est-on en ce "vallon" ? sur roche post-pré ... mais de quelle roche il s'agirait ? roche-motte ? roche-haute ? roche -sein post-porte ? roche du Néné de Roche , de Rocher ? roc post pré né sur pied la Roche une fois traversée ? on monte ! on ose monter. On veut en vrai gravir les échelons du terme , et courir, aller, filer, monter de chez monter c'est vrai, tracer, aller vite jusqu'au bout du bout qui serait ... un gnou ? genou ? nous ? nouys-mêmes ? re-nous au bvout du bout ? recommencement aux extrèmes ? retour de manivelle ? porte haute vers re-port ? re-colère ? re-naissance / transe et autrzs sarabandes ornementales ? mésopotamiennes ? béandertaliennes ! DANSE ! DANSE ! danse en transe ! parade ! paradis de france (france-alibi) ! CHA RGE DENSE ! ON EST PAS AU LIT ! ON EN AVANCE ! ON VEUT COMPRENDRE ! ON EST EN VIE ! ON ENTRE ! on est vives vies des données uintenses ! cris ! ........................................... cris de vie ........................... cris des cris des vies données comme à :la p aracde ................................. charges ! ................................. bouquetins matin ..................... buffle coriace ..................... automates ......../................................................. bêyes de trace ................................................................ bouquetines vives et autres liones ...... de porte .................... haiutes ......... hautes lionnes et haute porte ................... mots de rage au niveau du Haut : des Alpages ........................./.................. poteau ! ................ poteau hau .......................... mots de roche sur poteau du haut .......................ANICROCHES ? ......................................montons haut et regardons la roche-poche, le niveau de l('eaiu, les données groosses, le Passé de Porte et autres mots-a nimaiux , gros mots, drôles de mots ............rires bgros ! .........................................mort au c aniveau ............................................................ ? au caniveau, la mort ! ............................... ouste ! du balai! va te faire cerner par qui sait qui saurait , t"'entuber sans désarmer , qui ? on cherche ! ......................................../ on veut "tuer la mort" ................ tuer de chrz tuzr .................................................................Immovtrtelle, la tuer ! tu es ..................... , en vrai, immortelle peut-être, mais nous (BÉBÉS°) on a envie de te tuer, et ça sans traîner, en tétant néné ! ........../................................ merde ! ................................................................. on veut toucher toucher touycher touycher touycher toucher toucher touycher touycher toucher toucher toucher toucher touycher toyucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher touycher à ce qui est quui nous espionnerait, comme qui dirair, "par derrioère", par derrière "son "néné" , on ne sait, on veut cerner, toucher-aimer, mais pour ce faire, le mieux c'est ou ce serait de satisfaire ses envies cde lait , de lait nacré ou pas nacré , mais de (en vrai) téter sans traîner, leb bon lait de Mort-Mère artablée, attablée sur herbe ?) = le Passé ? on cherche ! on a envie ensembkle de trouver, des choses du français de base, ce qui est qui est en cette chose d'une langue ainsi (en nous) e-inculquée de base, ce qu'elle est, ce qu'elle dit des traits, ,,ce qu'elle recèle ou contient-contiendrait, en termes de connaissances, de données intenses concernant la transe-danse , transe pariétale aux bêtes de rage et autres "bêtes-monnaies". Car, la transe sur paroi de rage, est transe "monnayée" ! transe donnée , pèse son poids en termes de monnaie , voix, traits des traits, charges de fée, colle ancrée sur roche haute, prêts sur prêts. On colle ! on monte ! on veut (de fait) toucher-coller à cette porte haute des données "ultimes" ou dites telles il sembkerait depuis (peut-être) une éternité, et nous de nous y coller ... faut-il être bête ! à jamais "tarée " , qui sait ? car, oui, on cherc he, on est nues dans l'herbe, on cherche l'(entrée et ça bne va jamais mais on s'entête, on ne veut pas du tout (jamais) arrêztrrrer, arrêter de chercher ... parce qu'on aime ! on adore de fait ainsi chercher ou rechercher une sorte d'entrée vezrs une destinée qui nous renseignerait en vrai sur ce que c'est que cette chose qui seraieaut ou nous szrait offerte, le mur ou le muret passé ou une fois passé, ce mur ou ce muret"des finalitéqs" une fois traversé, qu'est-ece qu'il y aurait qu'on devrait "déchifffrer " ? de l'herbe ? encvore de l'herbe ? un néné né qui serait à téter sans plus traîner ? néné-verbe , ou Verbe-lait : est-ce vrai ? peut-on arrivr en vrai à cerner ce qui est, la mort "achevée" ? car, on voudrait ! grave en vrai on aimerait comprendre = toucher , à ce ddit Néné "de la Vérité" aux traits lactés ! qui c'sst ? ou disons : qu'est-ce que c'est que ce dit "Néné aux traits lactés " ? on ne sait ! On veut cerner-toucher à une vérité, de type, voilà, lactée ou plutôt lactée, mais cela .... colmment faire , comment tracer, comment fzire pour tracer ou nous y retrouver ? On esrt ailes accolées form ant fée sur pré, mais le pré passé voilà -t-il pas qu'on se retrouve ... à nouveau transformée ! devenue .... b ébé ! oh, hop ! changement, changement de tropppe, ! le passé, lui, remonté, nous accueille ou accueillerait en ses filets, et nous cvoilà scotchée ! toute sctochée-collée à ... un néné post-pré, néné dit "du Passé" , du coup : remonté , ou comme remonté ... xde où ? des catacombes du passé ? du Passé mort-né ?,du passé enterré ? mais qu'est-ce qye ça veut dire ? on est née Bébé dans la nbuit des fées ! on monte ! ........................................ on es t hzautes ............................ hautes de chez hautesc ................./... tracées ! /................ cohorte de porte ..........................bêtes de roche ........................................................ bufflettes armées .......................................................... ourses de guerre ..................................... on veut toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher à ce néné des dits Nénés de l'avant-guerre, des données ctracées, des herbes brûlées .........../......... nénés nés pour être tétés sans plus trîner par, qui Sait ? , bébé né sur pied la mort traversée ! On est née bébé ! .............................. bébé-verbe ! ..................................................................................... tétant lait de verbe ............................................. V erbe-herbe ................................................ VHERBE DES PARENTS, DES ARMES DE BASE, DU PASSÉ DE RAGE ET AUTRES TEMPS (PLUTÔT) "MENAÇANTS" .............................................. on veut comprtendre -aller , toucher-porter, dire-entreperendre et du coup colmater, "ensemble", les trouées de base , genre : trous de rage sur paroi franche ! le Passé est né ! Le passé en vrai est né ! vive le Passé re-né ! le Passé des Passés est à nouveau né, qui nous ressemble ! hourra la foi ! on trembke de hjoie ! on en redemande ! hourra ! charge-roi on entre, on va, on creuse, on abats des arbresc peurt-être pas mais ... on en avance grave hou la la ! la chance ! le temps est là, qui nous "embrasse" ! On va ! On eut co:mprendre la toundra, le Passé de cxharge, ce qui va et ce qui ne va pas, les données intenses, les bras, les jambes, face d'Ange, le Passé de poids, les mots de l'au-delàk, la transe, la danse, la frange, le mottet, la danse de FRance et autres débandades intenses, la Paroi des Voix, le Buffle de FRance, La Reine postée et ses deux valets. DAnse ! Rage ! Transe ! on est "entre" ! on veut toucher de chez toucher à ce qui se oprésente en termes de données ici allouées à une sorte de parade, genrefoire, foire aux bêtes-masses et autres bêtes dites "de trait" car sachyant sillonner sans désemparer la terre de base, les mottes allouées à un ne sorte de contrée de rage, le Passé. On est nhé Bébé ! bébé on est née ! on veut toucher à ce quiest (ici) qui nous rezgarde aller, nous infiltrer, treacer trait sur trait, et chercher à toucher à ce Néné des Données finales ou dites finales . On est née Fée puis re-née oà une vie nouvelle, autre, modifiée, qui bnous voit téter de cvhez téter ledit Néné des données "remontées" , ou "remontées à la surface" : le Passé Recomposé, Passé dense , remonté, repositionné, re-pris à bon prix ! On veut de fait ...... touchger de chez touchezr , ce donc dit"bébé" du passé outré , et du coup , aller de chz aller, jusqu'au boput du bout , d'une vraie tétée , d'une vraie "tétée des tétées" . On veut ........................................................ aimezr .....................././../.....................................aimer de chez aimer ....................... dire ............................. dire de chez dire ...................... foncer /./...................... foncer de chez foncer ......................... donner ................................ donner de chez donner ..................... forcer .............................. forcer de chez forcer ....................... poussser .................... poussser dev chez poussser .......................... coller ................... coller de chez cvoller ................................ comprendre et cerner .................................. comprte ndre et cerner de chrz ... eh bé, comprendre et cerner ! ........ et toucher N2né , pour en vrai et enfin téter , le lait des laits ! lait sucré-salé comme sw'il en pleuvait : treaits ! filets ! filets vraisz de lait éjecté dans notre gosier ! .................................... on veut aimer ...................... aimer de chez cerner ! et cerner (de fait) de chez aimer , chassé-croisqé ! on veut toucher à ce N2né dit "du Passé", du pâssé remonté, et se gargariser de lait à j amais ! car, le lait est le lait est le lait est le lait de l'herbe-verbe ! à jamais verte , à jamais verbe ! on le xait et on s'en repait ! On aime ! .................................................../..................................................................................... on aime le Verbe et le VErbe-Lait des dopnnées dernières : chassé-croisé sur pierre de tra&it ! le Passé est né qui semblait enterré, mais que dalle ! pôint de dalle ! ouverture de face ou façade, le Passé ancré est passé de rage à jamais tracé, forte renaissance, remontée en transe, traversée de rage et le cvoilà qui est, post-pré, Né ! né comme à loa retombée , de face, Néné ! On veut :
dire dire dire dire, ce qui est du dire
être etre être, ce qui est de l'être
faire faire faire, ce qui est du faire
porter porter porter , ce qui est à porter
et cerner-toucher à ce quin se présente en fait de néné la mort acceptée. Qu'est-ce que c'est ? on ne sait mais on szubodore. Un néné ? ça se pourrait ! du lait ? on aimerait ; De la Roche aux fées, ? Hum, on nre sait ! on entre ! on est fée de france ou disons .... du français (la langue) parce que pour en vrai ce qui est de la Fr a,ce, on s'en branle grave, on ne veut même pas en parler, on en a soupé ! on est pour ainsi dire dans ce français-klangue jusqu'au cou coupé ! ça impacte ! ça nous embarque ! ça fait, ou ferait de nous, des ... Fées de Rage , fée tracées , f eé des prés des Ambassades aux données chargées cvomme à la parade . Traits . Bêtes de trait. Merde à La France rencontrée, on veut parler de base le français traqué, et marre ! charvger ! poussserr ! creuser ! entreprendre une sorte de trouée ou de percée en cette rocxhe-né des grottes -antres. France au pied, le français entre. Les données accolé&es à une sorte de "mansarde", de maison carrée (ronde rotonde) de base tracée. Chercher et cerner à quoi ça ressembvle : portéev ? base navale ? pré ? on veut dire et aller, faire et coin-cer, donner et ruser, peser et viser, être et naître à une vie nouvelle "d'éternité " si tant est et qu'est-ce qu'on en s ait ? on chercghe le trait, passage des fées, entrée, trait gravéb par où s'immiscer sans désemparer et pouvoir passer pour (du coup) se retrouver à pouvoir rezgarder (donc : de l'autre côté) ce qui est qui est, qui nous regarderait aller, tracer, chercher, reluquer, cerner x données et nous bousculer à devoir de fait , ici, comprendre, comprendre "ensemble", ce qui se présente en termes de ... "façade intense" ..... ce que c'est ........ ce qui est .......... ce qiiui se trame ..................c. e qiui ici en vrai se trame, qui nous regarde, nous épie, nous mate de la tête aux pieds ........................ épi de blé ......./............... riz complet ............................ vie sur pied ..................................... trait sur trait ................................. vie allouée à une véroité"outrée" , du genre : mots orduriers ! ........................................../............................. qui sait ? ........................................................................ on a envie, en vrai, de pouvoir (sans traîner) chercher à cerner, à cerner de près, ce qui est qui nous regarderait ici de pied en cap, du moment en fait que nous voi:là passées, comme, toutes , pour le coup, remontées de chez remontées, du fait que oui, on a les crocs ! on est colère ! on est les fées (ou la fée) colère ! cxar, oui, on voulait en vrai, tracer et cerner, sans succomber, sans se casser le bout du nez , et nous voilà, comme un fait exprès .... chahutée et comme transformées, de but en blanc, en ..... eh bé B2B2 !! merdxum ! on voulait demeurer (de fait) fée , pas nous transformer ou être transformée ! en (qui p^lus est) bébé ! béb é né ! nouveau-né cherchant de fait à tout de suite téter ... téter le nén"é ! oh zut et mèfle ! merde / enculé / mèfle", on voulait demeurer .................................. demeurer fée ....................... fée des terres aux bêtes ................... pré aux fées agrairesx .................................................................... fées ailées ok mais les pieds sur terre, merdxe ;! .............................. =erde de chez merde ! ça nous fait suer ! .................... grave ça nous emmerde ! ................................................................ on veut (on voudrait) rester fée , fée des bêtes, fée-bête, bête de trait, bête des parois de traites, bêtes-nées sur paroi ornée ! merde ! .................................. nous voilà ... bébé ! transformée ! changée ! re-née ! re-re-re-re tracée ................/........... à jamais ? on ne sait car, voilà, le bébé sait mais ne dit pas, ne dira jamais, car bébé né deviendra .... non-bébé, et perdxra (en quelques sorte) les do,nnées données au passage de porte ! ............................................................................. porte haute .............................. porte des portes et autres passages doctes .................... hourra ! houura la foi ! ....................... porte haute pour passage hot ! ........................... voilà ce qui (nous) va ! on mùonte ! on re-monte ! on gravit la paroi ... au son des cloches, des voix, voix de l'au-delà, sons de poche ! tralala , glouglou roi et autresbruits detrype borborygmes
borborutmes borboruitmes non inteintionnels ! voix ! voix de ventre entre ! La voix ! on envoie ! transe ! on charge ! on veut comprendre grave les données du ventre : samba ? traits des voix qui feraioent sens ? portage de voix ? antre de paroi ? On veut : dire et sonder, faire et chercher, comprendre les données les plus ancrées, faire ainsi que la vérité telle qu'espérée puiise de fait "remonter" via ... le passé, qui sait ? passé-transe ? on veut y compter ! On veut toucher et espérer, tenir et gronder, dcrier et coller, cerner et portert, porter loin les remontrances, chercgher dense, creuser, voir loin, essayer de se porter au plus lointain du plus lointain, du post-pré possible ... les nénés ? le passé .? la france allouée à une sorte de Passé d'enfance ? on veut grave toucher à ce Néné des Contrebandes. Qu'st-ce que c'est ? est-ce un v rai néné empli de lait ? est-ce un néné prêt -à téter de fait ? est-ce vraiment un "vrai de vrai néné" ... à téter de près ? qu'est-ce que c'est que ce néné ? néné népost pré ? est -ce que ça swe pourrait ? qu'est-ce que c'est que ce néné dit "des nénés " ? un ..... trait ? trait comme tracé dans "l'éternité" des données de roche ? post-roche ? néné né sur pied la mort (ladite mort) actée ou une fois actée ? qu'est-ce que c'est que ce dit "néné de poche" ? une sorte de "Roche au lait " ? rocher dit "de lait"" ? lait de roche ? lait-né ? lait de trait ? trait de lait ? lait alloué ou ainsi alloué à une sorte de rondeur de roche : le Passé ? qu'r'st)-ce que c'est que le passé ? la Rocxhe ? les données de Roche ? un trait ! une sorte de trait alloué à une sorte de donnée de roche ? le passé passé ? trait de fée donnée sur Roche des traits ? une sorte de .... porte ouverte sur ..... les données sûres .... de la vie offerte , comme qui dirait : à jaùmais ? On espère ! On mate grave. On n'en loupe pas une. On essaie de comprendre les demi-mesures, mesures et alluresz, les données des termes, les entrées et les sorties, les mots de bêtes, Paradis. On cherche. Vie vite. traits ! oups, c''st fait ! trzait de coupe, et hop, immixtion du front ! haute porte ! le pasqsage docte ! trahisobn de roche ? crevaison ? on monte ! .................................................... hautes ..................................................................................................................... on creuse-monte ........./........... on veut en vrai toucher le Vrai .............. dire et toucher, faire et aller, cerner et ne pas succomber.............. aller de chez aller, cerner de chez cerner, pister de chez pister, dire de chez dire, coller de chez coller, voler de chez voler, tracer, aller-faire, pousser, dire-cerner, chercher, pouuser-comprendre, en vrai, les données de branche :
il était une fois, sur terre, une sorte de donnée en herbe dont le nom , ma foi, était .... et là : trait ! de coupe sagittale, la paroi trembkle, rupture de vvoix, pas de chance on ne saura pas ! la transe ! la danse dxes Voix, paroi-anttre, on veut (de fait) aller-cerner ce qui, ici, est VOIX ou VOIE, trait de VOIX ou trait de VOIE, la vie ou le vit, le chant ou le cxhamp, l'envoi ou l'en-voix, les données de base, les données de rage, les données sardes, les données données comme à la parade et autres vérités basiques de paroi de charge. traits de coupe, oups, chute sabrée ! On veut toucher toucher, cerner cernerr, dire dire dire, composer composer, déduire déduire, compter compter, faire ainsi qu'en vrai on puyiise ici (paroi) en avancer le plus possible dans les connaissances et auttres savoirs concernant .... la transe ? panse ? chance ? france ? et autres données données de face . On monte / on entre ! traces , vies, trous, charges. On est Fée de base sur paroi "étanche" : le langage = le langage-envoi, la charge mentale, traits de voix sur pierre tombale on voit ça . On entre. On est là. On regarde . On cherche sqa voie. Passage. trait. porte ............................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................porte astrale.
3/2/2025
On veut comprendre = on veut toucher à ce Néné de Contrbande, alloué ou comme alloué à une sorte de Donnée de Base post-muret = le tracé de l'Ambre ? on ne sait ! On cherche à cerner mais ce n'est pas donné car, oui, en vrai, il faut traverser , passer, passrr de l'autre côpté du muret ... sans s'abîmer, et pour ce faire il y faut du doigté, de la oersévérance, du doigté pour ainsi dire jugulé, de l'a persévérance sans lâcher. Du vif des clartés et autres qualités donnés comme par la bande. On veut en vrai toucher à ce qui se présente de l'autre côté, et pour toucgher à ce qui secprésenbte de l'autre côté il ne faut pas traîner , il faut treacer, ilfau t creuser de cghez creuser la roche finale, ce lmuret bien nommé qui nous sép are de la Vérité des Données de Base : ce que c'est que ce Néné, la Branche, le Tracé des Fées post-muret, les Ambivalence s Nacrées, la Chance au Passé, les Données de Rage. On avance. on veut grave passer ensemble : fées. passer de chez passer ensembkle et regarder et ne rien louper de ce qui se treame / présente quasi à nos côrtés puisque la Chose ... n ous fait face, qui regarde-mate ce qu'on fait sans nous abandonner jamais. On mate ! à notre toutr on mate ... mais, comment mater qauand on est comme nous, de Rage, les Gnous de la Parade et autres buffles dits "Du /Mou" ? on mate mais voilà ... on rate ? on ne voit pas ! on gvoit ? on voit quoi ? on voit ça : la Base-Toundra (les plaoines de base) ? le Nacré Tracé ? l'Ambassade aux données données ? On voit qauoi passé la Marche ? le Passé ? passé re-né comme à la p arade post muret ? on mate grave. On a envie méga de (pour le coup) cerner-comprendre lers données de Rage de la Mort "en veux-tu en voilà" qui, de fait , serait de connivence , avec ... eh bé, cette sorte de "fée" allouée au tracé post -muret de base. = la Fée F ade ? fée des traits et autres tracés de Nénés = Lait ? fée-Lait ? ça se pourrait ? que la Fée post-muret soit du lait ? du lait pour Bébé ... ou alors le Bébé (lui-même) comme on l'aime ! Bébé des Bébés ? on cherche ! on veut :
toucher de chez toucher à ce qui est qui, dans la mort, est. et pour toucher il faut traverser. et pour traveserser il fautpassser , aller, creuser, tracer trait et creuser à même les données murales ! poussserr ... chercher à passer qui le bout du nez qui les ailes de ce fait un tantinet rognées si l'ion n'y prend garde, c'est vite fait ! On cherche ! ... à passer c'est un fait ! on espère ! on veut toucgher à ce qui est (ici = MOrt)à nos pieds ou plus loin si jamais. Qui on est ? frée ! fée nous-mêmes. Fée du préjuste traversé. on est passé d'un pré (cimetière ?) à une sorte de ... plaine pleine ! plaine des données " achzevées" ... plaine aux données données à qui traverse le muret sans désemparer "à la Romaine" ! On aime ! on veut toucher ! On veut aller si possible loin sans jamais rtraîner mais tout le contreaire : tracer, filer, ne pas traîner jamais et y aller de noc "commrentaires" concernant le Passé ici rencontré ... notre passé .... passé "en herbe" si tant est, Passé "blême" ? on ne sait ! passé des Passés et ça le fait ou le ferait ! On aime ! on veut creuser de chez creuser la Terre ... du Passé comme qui dirait ! On veut toucher à ce Passé vpost-cimetière = se retourner, revenir pour ainsi dire ... en arrière, si l'on pouvait, et regarder "derrière" ce qui est qui nous i téresse . Le passé est né (= re-né) "derrière" ... Passé-né, passé des Passés-nés ! ion aime ! on aime .. le lait, alors forcément, le Passé, on aime ! on aime téter ! on a envie de lait , d'eau des Fées et de ... Lait amer ! On veut ... téter téter téter téter téter, de ce lait de Mère et cela en vrai, directement branchée, carrrément allouée à une sorte de téton nacré du genre "bouton", "bouton doré" , sein de charité, caresse mère, fait loué , tréit des traits sur Roche Passée. On aime = on veut toucher ! Toucher cde chez toucher à ce .. néné = néné d'herbe ? on ne sait de quioi en vrai, le Néné (le fameux Néné), est fait ; ... de Lzait de Mère ? de'herbe verte ? de mots des prés comme ... conservés ? mots tracés qui seraient passés, sans tra^îner, de l'autre côrté (via le cilmetière) jusqu'aux nénés (post-muret) tels qu'on les reconnaît ? on cherche ! et si le Verbe était .. ancré , comme qui dirait ... : éternité ? on cherche ! on est dans un pré prête à traverser et nous retrouver de l'autre côté de ce cimetière, ici, aux herbes vertes. Et de là, nous retrouver ainsi adoubée par ... qui sait ? une sorte de ... Bête post-pré, Bête de TRait, Bête-Somme (en somme) ou Béte Grosse des Travées ... Bête de Somme post-pré qui nous regarderait en vrai sans loucher et nous inviterait à venir lui donner quelque chose (de fait) comme une sorte de ... tétée ? tétée Rosse ? tétée forte ? tétée des Tétées ... en somme ? On est Fée des Fées voulant (grave) téter la Chose = pis d'Ombre ! ce Néné né ! cette "sorte de Néné" qyi serait né, directement, depuis le (ou du) Passéprésent (ici présent) . On cherche ensembkle (ailées !) . On se resdsembvke ... et qui se ressemble s'assemble : ailées ! on aime ! on aime nos ailes ! on s'aime ! on veut s'aimer et tracer et traverser et passer ensembgle (ici même) post "muret de FRance" ! gracve , on veut ! on veut grave ! on ne veut que ! on ne veut que, cette chose ensembkle, à qui mieux mieux : la Trace ! le Passé Furieuux, la Rage des Dieix, le Passé Humble et miséricordieux qui nbous ferait face et nous ferait pour ainsi dire dire (enfin) les mots de la fin (mes aieux / aieules) sans fin ! On veut ! on ne veut que ! on aime ! on aime Ce trait, ici alloué à une Sommité aux Données Données : Bufle au taqauet ! bison fûté ! chevaux ailéss ! bouquetibnes cousines ! ours et ourses mal léchées qui nous regharderait sans discontinuer, depuis la Coursive ! ailées toutes sur pré , nous voici comme "adoubées" post-pré par une sorte de Bête Lascive , ou sinon lascive vive, ou zinon vive lucide, ou sinon lucide avide ! voilà : avide ! = prête à ça : se remplir de voix ! voix de l'au-delà ? du moment (voilà) qu'on est là ? on voit ! qu'est-ve qu'on voit ? la cîme ! la cime des boios ! le Haut de là !
la Paroi franchie le Passé naquit et nous vit aklller comme à kla retombée post -pré !
vie de fée allouée à un post-muret aux données données vives et comme données à une sorte de ... plaine vide (vidée ?) de type ... Sein Donné, comme au débotté ! la Chine ! le tracé des Ruines ? Omeleztte fine et autres mets post-pré comme s'il en pleuvait, qui sait ? On veut toucher à ce Néné dit "du Passé re-né". Et pour toucher à ce Néné , le mieux c'est de ... rire, à gorge déployée, sans sourciller, sans se gêner, sqans se faire mousser, sans honte ni contrariété. Téter ! téter ! dsu lait de Néné, dont le treacé serait comme dessiné par , qui sait ? la Fée de l'Hydre ? on ne sait en vrai mais ... on szoupçonhe, on se dit que peut-être, en effet, l'Hydre ... ou sinon l'hydre , quoi ? car voilà : le lait coule ou coulerait, nous alimenteraitb en Passé Uytile, nous ravigorerait et nous ferait du coup peut-être "revenir" à quelque chose de (à nouveau ) concret ... comme l'huile, le vin, l'eau acide, le pain, la farine ... vivement la quille ! On esrt Fée-Vrille, et ...eh bé oui , on veut VIVRE ! sans céder ou sans jamais cesser , céder ou cessser. On veut ... vivre vite ! treacer = filer. Comprtendre = pistonner. Prendre = cgharger et trouver jonquilles, fleurs des prés, myosotis des rives, bleuets et autres m arguerites coupées. Cxharger = dire. faire = montrer. dire = Rire. Allouer = ccernber ce qui, post pré, se donne à vivre à tout jamais , ou se donneraiot. On a envie en vrai de toucher
à ce qui est qui serait de fait ... eh bé du Néné, du Néné de Fille ? Fille Ivre ? Fille des post-prés telles qu'ion pourrait (de fait) les aimezr , car , le lait on voudrait ! téter de chez téter ? qui le sait ? qui connait la Fille ? le tracé humide, goutte de lait, collostrum nacré, lait de fée-fille ainsi rencontrée et dont le nom ici est ... Passé ! Padssé-Quille ! tracé ! trait des traits ... de lait = Fille-Quille. traits ici allouées à une sorte de Néné de Fille, tel qu'aimmé car plein de lait salé-sucré tel qu'on aimme en vrai le téter vif ! vives ! on veut toucher ! On ne veut p as traîner mais vite vite vite aller vers l'IF, le trait sucré -salé, téter de chez téter et nous en foutre plein le gosier, de ce lait de TRait, lait Nacré,lait de Fille allouée à une Sorte de Passé ... en friche ? ... qui sait ? on est :
née fée la mort venue
transformée en Bébé kla mort dépassée
Re-né à la vie le tracé (trajet) acté = abouti !
On veut :
creuser de chez creuser, non la meu mais les données de traits telles que rencontrées post-muret = post-absurdité (?) des données de Roche ? ... ou disons : post-approche des Bêtes MOroses et autres Bêtyes de Cloison. On veut toucgher à c e qui pôur le coup pour nous nbous semmbble "de bon ton" , soit : pasx (du tout) maussades ! mais, gais comme pinsons, bgelles parades , promenades avffables, points des ponts et autres pontons ! Chance au tison ! la PARADE ! le trajet du front ! La palme de plage ! amuwsements sardes et autres faits du genre sade !le tracé nacré est le tracé de b ase. Chair à pâté ? pas que je sache. LE treacé des f ées est (serait) préférabl ! On veut toucher = dire = faire =c erner = comp^rtendre = consacrer = allouer, à un faire, iun dire des prés, et aimer ! aimer grave le p âté pas spécialement, mais l'ambience ! le Néné sage ! pas sade mais sage , du Verbe ..... "Sager" ? ... SCerner, comprendre, toucher le Néné, toucher de chez toucher à ce dit "néné ... du passé" alloué à une sorte de SAvoir de RAge = le fait vrai = Vérité NAcré , jambage , trait ancré , Passé Sage sur Passé de Rage = superposition des passés de base, et nous voilà"aiméz" = allouée, à une sorte de Passé re-né du fait du Néné ainsi tété ! On sait ! on sait ce fait ! On est née (re-née) post-pré, post plaine, post -treacés de traits : post-lait ? post -muret = plaine ! La des plaines pleine ! pleine de lait du fait que, oui ... le lait coule à verse ! dans le gosier ! direct tement coulé ! coule le lait post pré ...
en notre bouche ouverte ... de Bébé, de Bébé alloué à ici cette plaine aux données dernoières = le Passé ! comme Nacré ! sacré Passé ! dire chargé ! On aime téter , c'est un fait qu'on ne saurait masquer, tout le contraire ! téter de tête ! téter vrai = en vrai, le cimetière loin derrière ;;; la vie re-née ! . On aime le Lait des données dernières ... premières ! les dernieres seront les premières, puisqu'on renaît à de nouvelles terres et autres cxhamps de blé tracés ! vrai ! carrsese données ! aimée ! doucement nourrie, d'herbes vertes et autres pa^querettes ! vaches à traire ! souris verte ! on aime ! on veut ! on creuse de notre mieux. On creuse la terre, les données de l'herbe, le rtracé intègre et autres traits (de roche) nominaux : aurochs-ombre et autres bêtes à museaux, de type : antiloipes, bisons doctes, chevaux, chevales de trot, rhinocérosse, corps de peau, buffffle au tonneau, ours-de-poche. animaux-mots des données de Roche tracées au couteau. On veut comprtendre le morceau. La Roche au tonneau, l'ivresse des mots , des mots de trop, des mots-animaux sur peau, et autres mots des catacombes. Le Mot "Mot" ! Le mot des Approches de Roche = Comptes, Comptes FAux ? comptes de Poche = anicroches. tonneau ! je ne boirais pas de ton eau , mais de vin de Roche et autres A2lcools Hauts en termes de Niveau. on monte ! honte ? on veut aller ensemble au plus haut niveau des Données de Rage .... et du coup , toucher ! la base ! les pieds ? qui sait ? le Passdé de Frange ? l'Ambre ? l'Ombre portée ? la chaleur tournante du Passé re-né ? Qui le sait en vrai ? qui connéaît d'assez près les données romanches ? le Passé Nacré, la Panse, les Nénés, le Lait Fran c et kles nénés nés ? qui sait de fait ce qu'il en est, et saurait du coup nous l'indiquer et nous gbuider en ce p assé re-né tel que "retrouvé" la mort passdée comme qui dirait ! né pour être né ! le trait ! la charge = l"'endurance. trait pour trait on veut toucher de chez toucher à ce néné des correspondances et autres assonances liées au Passé tel qu'approché dans une sorte de ... "plaine imm-ense" .... champ de base ... toundra ... Toundsra sans bois (sinon ceux de l'arbre ?) on ezntre ! on veut :
toucher toucher toucher toucher = téter téter téter téter , sans faillir ni faiblir et sans non plus traîner car on veut tracer = boire du lait pour en vrai se reqauinquer et pouvoir de fait vite se redressser et re-aller, par les forêts, les prés, les rues vives, charger, chanter, parler la Vie des Données Vives et autres Chastetés bie n situées , qui sait ? Ontétte le lait ! on aime téter?. On ne veut pas s' arrêterr de téter. ce qu'on veut c'est téter., téter sans s'arrêter, du bon lait de Pis et autres seins nacrés au Bon lait de Vie. Vie post-pré tu m'as saisi : l'envie ! l'envie vive de lait ... salé-sucré ! lait des laits alloués à une vie aimée, acidulée, comme allouée à une sorte de Passé post-pré ! qui connaît ? qui sait de ce Passé ce qu'on pourrait de fait en dire qui soit vrai et non frelaté ? qui connait les traits, la rive, les données en vrai de ce Passé des Rives, des Données Acides et autres dons post-pré qui nous "regarderait" ... vivre = arriver , qui sait ? qui sait de fait chanter ? Qui connéît la Rive-Friche ... la plaine aride... le Passé Vide ... vidé ? ON veut toucher de chez tpoucher à cettye sorte de donnée, de donnée vive, qyui serait comme dio nnée à une sorte de Passé tel qu'espéré . On veu t :
Toucher toucher toucher toucher
vivre vivre vivre vivre
cer ner cerner cerner cerner
consolider consolioder consolider consolider
alouer allouer allouer allouer
passer passser passer passser
cerner les données et les cirvconscrire, et du coup comprendre sans rire ce qui est qui , e,n vrai et de fait, nous attend ou ous attendrait post-pré, post le pré des dooonnées tracées de type bêtes vives , et, le muret passé, mur aux données de rive, toucher, toucher grave et sans pleurer les données vives d'un Néné à lait, soit rempli de lait, lait acide, ou très légèrement acide mais sucré-salé, aimé, adulé. On veut téter de chez téter pareil "lait de rive". Qui sait ce que c'est que ce dit-lait aux données "riches" ? lait post-pré du Passé Donné, re-donné, au passage (ici) du muret dit "des finalités" et autres fins de pré. On veut toucher à ce néné des données riches.Tracer = cerner, et cerner = toucher. Dès lors : tr acer = toucgher ! toucher l'OR, la Belle REmise, l'Ombre ocre, l('ombre du Sort, l'HOMMEACCOLÉ couché ? la Mort ?
oh, la mort ?
mort en haut ?
on trouverait bde fait la Mort... fond du tonneau ;;; en haut ? on cherche , on regarde, on va, on monte ! on ne se l asse pas de creuser paroi ! on entre ! On aime ça : le chyant de l'antre. On veut :
dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire diredirediredire dire dire dire dired dire dire dire dire dire et du coup ; ...? percer ! percer de cherz prercer les données du Rire ou quelqaue chose de ce type on dirait de fait ! ivre ! ivre de chez ivre on veut ... toucher toucxher toucher à l'Hydre, ici consacré = adulée ! aimée de chez aimée du fait que l'hydre est ... "de toute beauté ivre" ... vive l'hydre ! vive de chez vive l'hydre du pré ici deépassé ! vie post-pré = mort acculée ! On veut toucgher de chyez toucher à l'hydre, ainsi rencontrée, loa mort "passée" ... car,
la mort ...
la mort a ...
une fin en soi, na !
voilà ! on sait ça !
on va !
on creuse là les données cde paroi !
on ne s'en lasse pas , on y croit ! on veut ça : croix de bois et a utres croix dites "des Voix ". Ch arge haute de typecP aroles = Paraboles. On est
Hautes Fées de Roche, p)rêtes à chose, à comment, à aller direct , et sans traîner, vers ce tracé dit "du Néné à téter" la mort dépassée (une fois passée ou dépassée) . on veut toucher à ce néné des finalités ou dites "finalités" , et en avancer ! tracer ! tracer sur pré ! aller ! creuser ! chargerf ! dire et donner à ce nhéné de notre bouche ouverte toute prête ! téter ! boire le lait, en tant que Bébbé nhé ... dans la mort allouée à, dès lors, une sorte de fée transformée, genre dépassé, genre ainsi effacé ! On veut toucher. On ne veiut pas traîner mais foncer. On veut toucher à ce Néné né .. des données Finales, voix de rage, Trait Nacré, Âme sarde (sage) des données frontales la mort d&épassée (ancrée). On aime aller "ensembke" (= ailée) vers ELLE ... Tracé-né, Vert de terre, XCharge Vraie, HERbe, Trait d'herbe ....? le Passé ainsi tracé / sillon -né ? pont de Roche N acré ? Pertte sèche et autres faits vrais (ou petits -faits vrais) ? qui sait ? car, en vrai ... on aime ... silloner ! la terre , le pré, l'herbe, le Passé ! Qui le sxait en v rai ? comment l'exp;iquer ? ciomment faire en vrai pour expliquer ici même ce qui est sur cette szorte de question en herbe ? comment faire pour donner, à ceux / celles qui aiment, un savoir de Roche tel que, pour le coup, on porte ... au cou ? on est ailées ! on est ailes ! elles-fées = ailes ! traits ! bêtes de trait ! tracé ! un tracé post mort naturelle = un traéit ! trait sur herbe ! terre saoulée, sillonnée, tracée , sur Roche de Tertre ! Sainte ! ON est /.... née sur pré la Fée "du Cimetière d'herbe" , ey on volette à la volette , sans tarder dès que passée ! On aime aller. On veut toucxher toucher toucher toucher toucher toucher topucher topucher toucher topucher à ce néné aux données "vertes". sans déconner . Sans traîner tu m'as cerné ! on aime : filer, cerner, comprendre, endurer, se poster, chercher, filer à l'anglaise, semer, concerner, troubler, chahuter, perdre sans perdre, toucher de fait au N2né duu Lait, ne pas succomber mais au contraire faire front, composer avec l'adversité , se toucher, braire, allouer, à une Sommité, les traits de l'Herbe, le Passé est né (re-né) qui nous "regarde" faire on dirait. Yeux de Braise ? on veut toucher à ce néné post-pré afin de le téter et du coup cerbner, les données fermes, les données données de l'herbe verte ainsi broutée et du coup d igérées, transformée en Verbe aux Données en verve ! traéits des traits, frai, charge olé olé, prières, dons de craie, Herbe-Verbe comme avalé le hjour ouù, il semblerait, on est née ! non pas (encore = de nouveau) fée mais Bébé ! Bébé du VErbee-herbe à jalmais rtracé (le Verbe) sur la terre ferme ... qui sait ? on cherche ! on ne veut pas laisserr tomber.
On veut ensembvle cerner les données, afin de cdomposer , une sorte de Chant ... aux Herbes Vertes , un "trait de lumière" , une Absurdité peut-êtte lunaire on ne sait, on cherche ! on est peut-êtte mal léchées , mal éduquées, mal peignées, fée aux herbes rêches et autres pailles mal placées, qu'importe ! on monte. un tracé est un tracé. La roche "monte". Ça (on dirait ) monte. grave dans tous les cas. On voit ça que voilà (en vérité) la Roche est pente à ainsi remonter jusqu'au dit "néné" post muret = post-fins de tracé. Alloué ! Néné né alloué à une fin de pré, ça le fait ! genre : trait, trait des trait post pré ! treait de fée traqueée ou sinon traquée poussée, poussée à tra verséer de fait, ce fameux muret dit "du cimetière" , on sourit ! on est AILES; AILES d'une fée en her be, trait d'elfe, un tracé d'herbe ou sorte de. On aime ! on veut. On veut cerner sans débander les données sommaires , rupestres, des finalitésq. Qui on est en cette herbe "aux fées" ... fée nous-même ! on sait, on aime, on va, on creuse, on veut toucher, chercher et cerner , et, de fait, se comme téleporter de l'Aiutre côté de ce "cimetièr aux herbes", et, là-bas, en cet autre côté des voies, chercher, chercher grave des données de Choix, Données Doctes ma Foi, toucher, aller, cerner La Roche, Le Néné de rOche (?) ... Envoi ! envoi ! en voi ! envoi de Roi / reine de l'Au-Delà ! sarde ! sarde-Roi de là, Reine sarde des Paroois ! sarde halte ! halte sarde ! sein né post pré comme à téter sarde ! téter sarde = donner = dire = passer = construiore = monter =chercher = centrer = porter = poser = donner à une Sommité (du genre : Gros Néné de Buffle, Buflette Nacrée) une sorte de... pensée ... pensée "remontée" ... haine ? pâs en vrzai mais ... sorte de pensée "verte" ... charge "verte" sur paroi de roche ainsi percée puis traversée sans la moindre anicroche si tant est ! fée des fées ! cherche-traîne (trai^ne ici allouée à une F2e de FeRme) ! le Passé re-né serait du Verbe d'herbe ! vérité succrée et vérité salée forment le Terme -né d'une sorte de Passé "indemne" re-né, la mort entérinée (actée sur pré-poème ?qui sait ?). on aime ce trait, le Passé -né . L'herbe"-verbe des données tr acées à même la terre, la paroi haute, le fond de Carosses, le Ponton du front. Tombe ? tombe donnée ? tombe haute ? basse tombe ? tombe des tombes ... et le tour est hjoué à jamais, pour ... l'ombre ... l'ombre-homme aux données de Roche ... homme qui laisse (ou perd) son ombre d'homme et ... monte .... transformé .... e,n ... deux femmes Hautes, hautesz femmes formant ailes ... d'une fée en herbe la paroi passée ! on le sait. on est montées. On est montée haute. On veut ou on voudrait en vrai aller sans trainer haut le pls possible en ce rocher des dites "traversées de poche". haute poche aux dooonées hautes. On veut toucher toucher toucher toucher toucher à ce néné klà-bas posté qui, pour le coup, nous attendrait "les bras croisés" comme quin dirairt; dieu des doonnées tracées ? Dieu -dé ? dé né ? dé ? dé lancé ? ,dé du dé ? dé-dieu -né post pré post parade ... ? duieu des Fées sur Passé ? dieu d'Ambre ? D!ieu Vieux ? DEieu des Dieux Vieux ? dieu alloué à une charade ? charade-p arade ? on veut ! on veut eux : les dieux de la Bande ! dieux-déesswses ensemble , trais de feu ! on veut ! aimer = dire. Chercher = conduire. Dire = toucher/ Toucher= cer ner. Cerner = comprendre , comprtendre ensembke , et faire-dire ce qui est, ici, qui nous "rassembke" en tant que cvoilà, on est Aile chacune d'une fée Lacustre ! de paroi. Ça charge ! charge et chante. Ça envoie du bois. Ça trace ! On y va . On veut ça : la chance, la Nouba, la Fête ensemble, la Joie de paroi, le chant des Ombres à soi, la Voix ! ombre ! ombre à soi sur paroi de France (?) d'antre. On veut ça. une voie de choix, pour enfin ensembkle, aller grave, à dire-faire ici, ce qui donc nous intéresse ma foi, la charge ! poussée docte ! haute porte ! on est née fée la roche traversée ; à présent ... la porte ! les sentiments hauts sur paroi donnée comme à l'arrivée ! On monte . On veut ................................................. toucher tpucher toucher ........................ le ,néné post pré ...................... s ansz louvoyer ni traîner .................... :ais au contraire pistonner sans désemparer et tracer de fait, notre "sorte de" ..... "sillon des traînées" ............... traits sur pré .......... tracés nacrés et autres "tracées dfe fée" ........... car voilà , on est F2e des prés, fée docte, on monte, on veut grave aller, en haut, cerner , cerner de près, les dits "nénés" des données hautesx .... diei d'eau ? porte haute et, derrière la porte, .. de l'eau ? lait d'eau ? eaude lait en trop ? haute porte ouvrant sur (en qauelque sorte) une sorte de ... tonneau ?, tonneau de peau ? ombre sur tonneau ? haute mort aux vin nouveau ? On monte haut à la recherche du niveau. On est F2e De roche sur (à présent) tonneau, rempli de ... flotte ? haute flotte ? lait de porte ? ..................... (crotte ?) .................................................................................................................................................................................................................................././....................................................................................................................................... on monte ! on veut aller haut.
On a envie ensemble d'aller haut le plus possible parce que nous ; vfoilà, ce qu'on veut c'est ça, passé la roche, aller profond, vers ce genre en soi de donnée de porte. Uune sorte dee paroi des Rois. LOa chose haute qui nous voit . Nous verrait qui sait faéire la java ! on monte ! on est haute ! haute on est ! on montepost-pré sur une sorte de ... bosse ? sein nacré ? Chose galbée ? motte ? lait donné sucré-salé sembkle nous alimenter sans nous empoisonner ! riche donnée! On veut toucher , toucher de près, cerner, coller, faire exprès, téter de chez téter . On veut toucher toucher toucher toucher touycher touchezr toucher toucher toucher toucher à c e néné des doonnées doctes s'il en est. Néné "de porte" sur post-pré ... qui serait .... cette sorte (ici) de ... plaine pleine, aux données .... "blêmes" ? On aime ! o,n veut creuser dans ces données pour y trouver ... eh bé de quooi ...
rassasier notre curiosité, si tannt est ! Et du coup cerner, en vrai, la Vérité des V2ritész, concernant .... la HAine = la mort ! cette sorte de Sort, vilain Sort, aux données blêmes ! on aime ? on aime ça ? On voit ce qu'on voit ! on ne se lasse pas ensemble de tracer et cher her à comprendre, ici,
la toundra, plaine salée, champ des voix, pararadis des voix. On monte . On est Hautes . Ailes de Porte. on monte hautes vers là-bas la Voie des voies = la Porte, donnant sur .... la voix ? voix des hautes Ombvres ? Voix des Rois et Reines des Voix .... voix de choix post pré de paroi ! On voit ça :
la plaine = la toundra
des arbres ici ou là, à moi,ns que ce ne soit des ... bois de bhêtes (cervfs ancrés et autres cerves allouées à une plaine)
feuilles d'herbe
traits sur traits de type sentiers
herbe à perte d'herbe
verbe saint ici accolé à une sorte de donnée en herbe = l'herbe ! traits ! fée du pré cherche en vrai la Scène ! qu'est-ce que c'est ou : qu'est-vce que ça pourrait être vu de près, que cette sorte de scène enjouée , de type "recherche de vérité" dans les termes ! traits données ! chants de fée ! craintes ! pertes ! sang donné post-pré ça le fait ! on veut (voudrait) rtoucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher à ce Néné post)-cimetière , qui, donc, serait THE Nénéb post-herbe, à savoir ... cdu Verbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh oh en vréi ? Verbe post -pré qui nous pour ainsi dire alimenterait à la façon d'un lait sucré-salé , de type (hum) "bouillon" ? On chercvhe ! On veut trouver ici ou là (la mort comme archivée) eh bé ça .... la toundra ! grave la toundra ! la toundra des voix ! on veut ça, na ! toucher-trouver = dire-faire c'est un fait dont on ne peut pls se défaire ou se démarquer ! on est fait-faite ! homme des contrées pré-pré, devgient femmpes comme au débotté la paroi traversé, et trouve un pré ; le Pré , sur leqsuel des bêtes (de bon poids decharge) paissent ; va plus loin, monte et trace, et, fin de rage, trouve Voie d'accès comme à la parade en un dernier muret dit "des assonances " , et là ... cxharge ! charge que tu chargeras ! va ! fonce ! creuse ma foi! ne s'arrête pas ou plus ! met son âme à nu et comme un fait exprès se retrouve ... cul nu (hé! ) de l'Autre Côté, Côté "RUE" , à chercher cherc her chercher, zur plaine au Lait, le Verbe Nacré ; Voix de Trait, VERBE D'HERBE , VERBE ALLOUÉ, VERBE CENTRÉ COMME QUI DIRAIT, VERBE-ELFE ON NE SAIT JAMAIS. ON A ENVIE D'AIMER CE VERBE DIT "NACRÉ" , DU FAIT QUE VOILÀ, LE VERBE EST DU LAIT OU COMME DU LAIT, IL DÉSALLTÈRE, NOURRIT BÉBÉ OU SON BÉBÉ, NE S'EN LAISSE PAS CONTER MAIS AIMEALLER, S'ANCRER, MISÈERE, EN CE BÉBÉ RE-NÉ SUR PASSÉ FRÈRE. On veut aimer ce Verbe Ailé ! verbe sanitaire ! on veut toucher à ici le trait du verbe tracéb ! chercher cher her chercher , à quoi ? à, ELLE, la toucher, l'herbe = le verbe = la voix ! voix des ROis/REines de l'au-delà de soi . La peine. La paroi. Le verbe . Les trois voies sobht là qui nous "atteignent" !
voie ! voie des rois ! voie des reines allègres ! on veut ça : faire faire, dire dire, donner de chez donner le dire, faire dire ici la chose "animalière" des parois de Roche. pont des portes. POrtes hautes. toundra. Cerf de Java. Cerfs rois de Sumatra. Cerves des Parois de porte ! haute roche vers là-basz, la Voie des Rois et REines de l'au-delà à soi, mort-ombre, ombre haute, mort haute, ombre haute, mort de l'ombre haute, voix ! on entend ça et du coup on monte aéu delà de soi ................................../............... haute porte des parois de poche ........................ cohortte ............................. bêtes de poids en tant qu'hôtes .................hotesses accortes ........................ beêtes dee roche accortes et hautesc.......././......... une voie vers l'au-delà ......................... la porte ................ l;'ombre ............... l'ambre ................. l'orme ......../.... la tombe ............... la voie haute vers "l'au-delà à la tombe" = la voix ! ....................................... voix d'un roi / reine de là ....................... porte haute post envoi ..... post-paroi , post-pré animalier, post-teracé de près , trait de fée, post-herbe ................................Un verbe est né dont le nom est "LAIT" on le sait ! lait aciduylé comme s'il en pleuvait : en pleut-il ? on ne sait ! on veut toucher toucher toucher à ce néné desvoies pour ainsi dire nominales et autres contrées post-parade animale. Peut-on ainsi cerner ? toucher Néné et du coup cerner ? cerner de près ledit Néné ... des Causes Frontales ? qu'est-ce que c'est que ce Pont ? et, qu'est-ce que c'est que cette chose ronde ? Qu'est-ce que c'rst que cette chose ronde ... post-pré ? sein docte ? haute chose ronde ? néné né la porte passée ? sein de ROche / poche sur plaine allouée à une sorte de .... chant sacré ? On cherche. On a ernvie c'sset vrai ensembvle de plus loin toujours allerpour trouver-toucher , ce qui est , ce qui ici se présente ou se présenterait, en ces contrées "finales" mais est-cve vrai ? sont-elles en bvrai finales -terminales ? sont-elles fin de pré ? sont-elles (ces contrées "immenses") des finaliktés ... ou ça recommen,ce ? le néné, le bébé, la tétée .... .? comme en 40 ... qui s ait ? on voudrait comprendre et pour compre,ndre comment de fait se comporter ensemble ainsi accollées (= fée) ?, sommes-nous fée encore en ces contrées ? sommes-nous transformée ? sommes-nous de fait changée , en une sorte de bébé loué ? come adulé ? On ne sait en vrai mais oui, on va, on monte, on court, on vole, on ne s'arrête pas de chercher ici ou là , ce qui semble nous intéresser et nous regarder au plus près, cvomme qui dirait. A savoir : le SA voir ! La rage". Le trait. L'Antre ainsi trouvé . La porte sur Néné qui sezrait à nous donner de son Verbe"-Lait tout acidulé comme s'il en pleuvait. On veut toucher à ce Néné des Ombres ! toucher toucher à ce Néné ! à ce Néné né ! le toucher le toucher ! toucher en vréi à ce dit "néné" alloué à une plaine toute formée, qui est plaine au lait, lait de cxhèvre, lait de fée, vache à lait, bufflette nacrée, bise au taquet, ourse polaire. On veut aimùezr ! etre et tracer ! charger, de toute sa colère sur pied , pareils nénés afin de les téter sans plus tarder et s'en délecter sans plus de contreaintes ! téter , téter, téter, téter post-cimetière .... eh bé oui, pour ainsi dire, le Passé ! passé dit "fde roche". Trait des F2es Hautes ! la Fée Hhaute ainsi transformée en une sorte de Bébé de POche post-pré et autres traits sur herbe hautes. On monte. On monte haute ........................ vfée des Fées ............................... tétons téton ! ............................... de la Mort Haute ...................... l:a mort haute est téton ......................... haute Mort = Téton docte .................. mort haute = haute CHose ... à téton, de type ..... SEin docte ! ............ néné né post porte ! laCHose dite "à lait" = allée ! , qui xait ? On cherche à cerner -toucher ! on veut toucher-cerner. Dire et faire. Traverser. CReuser et aller, post-cimetière, à la rencvontre des "Données en herbe" = VERBE ! BVERBE VNACRÉ ! TRACÉ NÉ SUR PLAINE ALERTE! VRai tracé post-cimetière = verbe , voix, voix de choix . On veut :
dire dire
faire faire
être être
combler combler
chargerv charger
tomber tomber
comprtendre comprendre
cerner cerner
toucher troucher toucher toucher
aller aller aller aller
cerner-dire et toucher-coller
et monter ! grave monter ! haut aller ! vers ce lait haut des doonées post-pré comme on en voudrait sans jamais se lasser ! On veut, grave (là ! post paroi, post post paroi) téter Néné ! le (sans arrêt) téter de chez téter et du coup eh bé oui (pas obligé en vrai) aimer ! oaimer téter le Néné en Vie (dans la mort outrée!. Le , grave, téter de chrz téter. Aimer aimer aimezr aimer, téter ce néné dees données de vie (dans la mort gravée ! on croit rêver !)./; vie haute .... après la (dite) mort-ombre ! on envoie !On monte. On veut ça et ça : la hjoie et l;a Foi ! Paroles hautes et joie des joies. On aime ça. on veut toucher à ce qui donc ici, de fait , sortirait en hjoie ...son néné sucré , et vas-y de nous donner , de ce fait, cde quoi grave téter de chez téter sans se gh^-ener . on voit ça. on tète là, sur terttre. Sur motte-joie, crête, monts des voies, Hauteur Ronde. On monte ! tétons droit ! montons donc, téter Roi /Reine de saba, ça envoie ! ça nourrit son Soi ! c'st folie haute ! On voit ! On tète ça, la Voix ... verbeau -delà ...... au-delà de la Paroi ................................................................./..//////./.............................................................................................V ERBE_VOIX ./.................................................................... VERBE DES VOIX .........?..?.?.?.......................... HERBE DE TOUNDRRA .../........................... OUI ÇA ENVOIE ET PAS POUR DE RIRE, ÇA ;; ............................. LOIN DE LÀ ............................ÇA ENVOIE DES MASSES ET VOILÀ .................... POST PAROI, POST PRÉ , POST, DE NOUVEAU, PAROI ... MA FOI ............................ trait haut sur plzaine du pô ; ............................... poteau ........?.......................... v erbe-animaux ? ........................................................ on monte ! on veut aller haiut.. On veut toucher au plus haut niveau les choses doctes , toucher -treacer, cerner -configurer , et du coup en avancer , de base, dans les connaissances concernant la Frange, cette sorte de donnée de rage, tracé-né comme à la retombée la mort à soi donnée par ... on ne sait ! on est ... idiot/ idiote comme ses pieds, idiote/idiopt comme des sot et sottes ! drôle ? pas trop ! on veut le Niveau ! etre grave au niveau du lot ! pas forcément idiot / idiote , mais ;... pltôt ... fortes ! fortes en ces questions de porte, de passage haut, de tracé haut, de porte docte, de plaine accorte et autress champ aux données doctes accortes ! on veut :
toucher-dire et dire toucher, faire-aller et aller-faire, cerner-poser et poser-cerner, et du cfoup , tracer !!!!!!!!!!!!! sur pieds, les bêtes de trait qui touteszc, il wsemblerait, cherchent ou chercheraient à nous amadouer, nous approcher, nous aimer, nous comp^rendre, nous prendre, nous tenir à leurs cvôtés et nbous mater en tant qu'on serait, qui sait ? leurs sembvlables et ça se pourrait car, en vrai, on se ressembkle, on est pas en reste de se ressemvker, on entre ! on entre ensembkle ! on veut toucher à ce néné des Assonances et autres connivences post-pré ! romance ? il se pourrait ! chance ? à jamais ! transe ? acidulée ! danse de quartier ? ça le fait sans frais ! c'est une sorte de
Passé de 🫐 branche !
traits traits traits passés ! traits du passé wserait comme re-nés, au passage du trait ! alloué ! fait ! entériné ! on le voulait ? eh bé ma foi voilà, la chose est tracée , qui nous renvoie, comme qui dirait, une sorte de chemin de croix dans le domaine de la foi et des croyances en l'au-delà ! car, voilà, on y croit , on voit ce qu'on voit, et ce qu'on voit c'est ça : la chance ! parade ! tralala de contrebande ! ça envoie du bois dès que le Verbe est là, qui trace-bande sa bande de voix . Chaerge astrale. Pets de rage . Croix de bois sur place. Chyrists donnés de base et la chose est (dira-t-on ) classée, pour une éternité ... mais est-ce vrai ? doit-on charger , xsaigner, percer, chercher à creuser, à passer, à traverser encore .. la CJHose ? le ... passé post-porte ? encore ?
on voit ce qu'on voit, et ce qu'on voit ressemble à cette chose d'une sorte de .... porte des portes ? on entre ! on veut toucher aux seins de RAge, téter ! téter grave ! sans traîner ! téter de fait le néné de france = le français = le lait ? ça se pourrait ! ça se pourrait en vrai que le français (la langue) soit du lait = sucré /salé comme le lait de contrebande post-muret ! du verbe (du lait ?) à jamais ? quyi le sait ? qui sait en v rai ce qu'il en est de ce dit Verbe des Vooies lactées ! des voies "aériennes" ("aérées" ?) qui (semble-t-il, ou semblerait-il) nous gouvernent ... qsui le sa&it de fait ? On cherche ! on creuse sur pré puis au-delà du pré .. le .../. tertre ? le Sommet ? Dune traquée ? On cherche. On ne veut pas laissser tomber mais tout au contraire essayer au plus près de nous raaprocxher ensemble (ailée) de ce tracé Verbal des termes, et autres mots de force dits Ancrés comme à tout jamais " (est)--ce vrai ? ) . On pousse fort. On veut passer, retrouver le Passé . Chercher à se glisser / faufiler entre x données de type Denrées (?) = baies ? On veut creuser et pour creuser il (nous) faut traverser (à jamais ?) la contrée post-pré , à savoir ce champs ici alloué à x bêtesde traits qui sont soeurs de lait, peut-^tre, mais ... le lait ... le lait du Néné ...... le lait en herbe verte genre Verbe ..... eh bé ce VErbe est .... plus loin ..... post-pré on le sait ......./.. hors giron du pré aux bêtes de trait ........ au-delà du muret ......... on veut trouver ! ...........................................dire dire dire; creuser creuser creuser; faire faire faire ; aller aller aller, et ne plus nous retourner de fait vers des bêtes de trait de par(oi de roche, les "abandonner", les laissr entre elles superposées, traits sur traits , pour mieux nous enfoncer en ce poçst-pré de type "plaine pleine" ... tertre ............... tertre acidulé ........................... tertre de traite ........................ LAIT LAIT LZIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAOT LAIT LAOT LAIOTB LAIT LAIOT LAIOT LAIOT LAIT LAIOT LAIT LAIOT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT D'HERBE SI JAMAIS = VERBE ! TRAITS ! FAITS ! DONNÉES ! SAINTETÉS COME ANCRÉES EN DU VERBE NACRÉ, NACRÉ COMME DU LAIT , LAIT POST-PRÉ = VERBE, SUR PASSÉ DE TERTRE ! Herbe-Verbe = Faits de fée, commr qui dirai. Est-ce vrai de chez vrai ? on peut en doouter... et cependant .... on y croit ferme ! c'est ancré ! on ne peut y couper ! le Verbe (en n ous ) est ancréà jamais et ne pourra jamais être oublié ou écarté, même dans l'adversité, par eexmpmple de la mort à l'oeuvre ! verve-herbe est né à jamais, sur terre (?) et dans les cieux(?), en tant que ... colère des Dieux mon vieux ! sanitaire salutaire surnuméraire sumérioenne chahutée donnée d'une sorte de ... fenêtre comme treacée à même une sorte de muret de prêche ! On cherche ! On veut ..... eh bien ....... creuser La Chose ....... creuser creuser creuser ............ non pas tombe mais, en vrai, POrte ! porte Haute, par où (nous) passer , et pouvopir nous transporter (ailée) de l'autre côté,,côté post-pré, afin de regarder, mirer, ce qui est qui de fait wserait comme donné , offert à visionner, mater de chez mater. On veut mater !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on adore mater !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut grave mater !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ne plus s'arrêter en vrai d'ici mater les choses données ou comme donnés, de type : voies d'accès, argbres de fée", craies, tracés sur pieds, dons posés comme offrrandes (ailleurs ) à Déités, traits ddes traits ;.............. on veut toucher à ce Néné de l'au-delà du pré ...... Néné né dans le Passé on dirait. Est-ce vrai ? est-ce vraiment vrai ? p)eut-on se fier à c e qui il semblerait nous apparr'aît, les doonnézes s'affichant sous nos yeux tout éberlués , tout sidérés? Peut-on croire en ces données "montantes" ? IOn veut (c'st sûr) toucher de chez toucher les données sûres si tant est ! Ne pas (s'il vous plaît) passer à côté m ais affiner de chz affiner, notre (sorte de) cfomprenure. Qu'est-ce qui est en vrai de tous ces couplets ? qu'est-ce qu'on peut garder ? qu'est)-ce q'on peut décemment enregistrer, adopter, emmagasinner ? que peut)-on conserver de cet ensemble de données allouées à une sorte de "paroi grotesque" ? Des voix ? Mots de tête ? chants celtes ? voix des Rois et Reine de la Voie post-herbe ? quoi ? on ne sait as. on est ;"bêtes". On voit mais ... on ne sait pas vraiment ensemble ce qu'ion voit ! on est ultrza-bêtes , on vole bas. On ne voit pas loin au loin, là-bas, les données de RAge, l'antre, les embruns de Nacre, ..... quoi ? Nouba ? cha cha cha ? ça danse ? transe ? on voit quoi ? on voit /... la panse ! Roi et REine en place ! panse-Foie ! trait de voie ! trait des traits vers un au-delà qui , de fait, nous envoie parfois .... des messages de joie ? lait des voies ? laits sucréss de l'au-delà ? On voit ! on absorbe ! on avale grave : lait de joie ! lait post-pré des données des pklaines et autres toundra !
PASSÉ DIT "ACTÉ", PASSÉ DIT "POST-PRÉ", PASSÉ DIT "DES PASSÉS", PASSÉ COMME DÉTERRÉ ET ÇA LE FAIT OU LE FERAIT. Qui on est ? on est le bébé ! qui en vrai on est ? on est le bébé du trait lacté ! qui en vrai on est ? on eswt ici (post pré) le bébé dit
"des vies lactées et autres traits du passé passé" ! On re-naît à la vie passée ! on revient aux nénés ! au lait de bonne mère ! au travcé dit "acidulé", mi sucré, mi salé comme qui dirait , et ce .... via le Verbe ! verbe d'hherbe ! verbe en herbe ! verbe vieux si on veut et c"pendant en herbe (continuellement pour aionsi dire) car, éternellement re-naissant, de par son être "enfant" ! verbe-en-herbe des parents, des prêtresz, des "hommes-femmes" de tête. Verbe-êttre aux traits "chyarmants" ... à la revoyure ! On cherche monture ! passé né ! passé des passés enfin retrouvées ! on va, vive allure, tracer ! on , vive allure, allons ! montons ! essayons ensemble de cerner-com^prendre, ici, tout un ensemble de "raisons de roche", ce qu'elles sont, ce à qiouoi (de fait) elles se rapportent, ce qu'elles comportent ou comporteraient en termes de raisons à certyai,nes données qui sont celles de nos vies ancrées , ou seraient. qiui connaît les mots du fond ? qui cherche à en vrai toucher de front ; cxes donc dites dfonnées ici allouées à une sorte de treacé des prés ... post-pré ? soit .. ancrées à une sorte de plaine étirée jusqu'aux ... nénész vrais ? On ne sait ! on est nées Fées à la traversée (une fois morts /mortes) et du coup transformé(e)s de force , mais voilà .... la mort comme "traversée" , ou , comment, "dépassée", nous voilà ........... redevenue enfant , fée devenue faon, enfant, Bébé -né, post-pré si ça se pourrait, au passé ! grave c''est vrai ! Verbe aidant ! carvoilà : le VErbe est là, ma foi,, qui nous entraîne en ses filets et nous pousse à entrer, nous infiulttrer, nous ancrer, nous placer, nouqs donner et nous monter de roche ! traits donnés sur poche aux fées ! creuset ! coque d'homme / femme traquées , o,n sait ! on monte ! ..................................... on veut monter ........... on veut toucher ......... néné ........... néné né ....../......... néné né au passé ............................ néné des nénés ............... treaits des fés en vrai passés ......................................................... on veut toucher à ce néné de l'ombre (de la mort cxachée : qui c'est ?) .........../................. toucher de chyez toucher à ce néné né ( de la mort cachée, mais en vrai : esty-elle invitée ? hôte ? grosse ? forte ? lait des laits ?) .... On monte ! ..................../....... on v eut monter monter monter ... hzaut monter de cvhez haut ................... monter haut de chez haut .............. haut de chez haut sans céder ni rétrograder ............... vcoler voler ............ voletter ............/ voletter de chez voletter .............................. tr acer tracer tracer , de fait, notre ( supposée) destinée de fée toute transformée ...................................... en bébé re-né ! .............................................filer ! ...................voler ! ............. pistonner , tracer, ne plus nous arrêter et du coup treacer sans tergiverser lme trait dit "des fées" jusqu'aux nénés nés (de la mort pouussé"e jusqu'au plus près de ce qu'elle est !) ...................... pousseeer poussser poussser .......................... la porte des données ou aux données .......... creuser de chez creuser, la roche, le pré, l'ultime roche,; et du coup, post-pré, trouver .... eh bé le N2né, néné à téter, à téter sans tréîner, jusqu'aà plus s oif si tant est , afin de se rassasier et du coup : renaître ! être ! faire ! chercher ! coçller ! dire ! cerner en vrai les contoursc du Verbe (aéinsi exploré) de la mort à naître ! trait des traits aciduléexss sur tertre ! motte d'herbe ! Verbe-herbe au taquet, et les vaches seronht§ bien gartdées on dirait ! On est née Verbe d'herbe dans la mort allouée à une sorte de contrée post -preé, de type plaine, plaine immense genre Antre , Antre aux Transes ! FRance ? le français (la langue ?) ? qyui sait ! on entre ! ./.................................................. fée de france ? ........................ le français langue de la transex ?????????????????????????? à jamais ? .............//....................................... on peut rêver ! ?................. on veut coller , toucher , cerner, aller, faire et portezr, ici (ailée) la parole haute d'une sorte de .... néné de POche ! ROme ? rome ailée ? la roche Passée ? trait des traits et bnous voilà comme "recomposée" ... bébé ! bébé ! bébé docte ! bébé des bébés doctes ! haute porte enfin passée nous voici doctes ! bébé docte ! trait des traits sur passé outré ! come re-soulevé ! re-tracé ! re-re-tout à jamais ! éternité ! bébé né sur pied pour une éternité dee Verbve Alloué ... par charité ! le pied ! l'ombre portée ! Chose ancrée ! frai ! trait nacré ! sonde allouée à une VFérité postée comme à l'arrachée et nous voi:là re-né devant la porte, touché ! On veut :
creuser
donner
pondre
toucher
cerner
poser
connaîotre du Verbe les données ancrées qui, de fait, pourraient s'avérer , en vrai, super de chez superrutiles , si tant est, pour en avancer, grave, dans les connaissances . a savoir : en cette chose d'un savoir Iùmmense , concernant l a Voie, la Voie de Passage, le trait , trait orné par où , obn pouurrait peutêytre (ailée ?) passzrr à tout jamais et du coup co nnéaitre de plus près ce qui est qui en vrai seraéit (qui sait ?) à noius attendre de pied ferme (?) de l'autre côté , cvôté néné, néné en herbe, néné dit "du verbe et des données ancrées ", néné né à la retombée , à moins qu'il ne s'agisse de néné ancré en cegtte "roche ultime des données" ici treaversée , post-pré, post-herbe, post-bêtes de trait, sur plaine, plaine -immensité, plaine à pertte de tracés ... plzine pleine de données qui (qui sait ?) seraient lavctées comme (comme qui dirait) la voie céleste, en ces révolutions agraires et autres circonvoluctions rupewstres chahutées. Traits.
28/1/2025
on cherche = on furète ! On veut svp cerner les données de ce qui se présente sous nos yeux de fées allouées à une sorte de rotonde aux bêtes de trait et autres bêtes dites "des tracés sur herbe broutée". qui on est ? Fée des Fées sur pré "de Roche" ! hop ! on monte ! on grimpe sur Roche au plius haut niveau des nivgeaux ! Hop ! montons fort ! alloons ! traçons de chez traçons ! filons , creusons, traçons fort notre sillon ! On est Bêtes-Fée de somme, hop ! on monte ! Ailées en vrai ! on est les fées pour ainsi dire des données de Roche, et du coup, on monte, on cherche ensemble à oui, du coup, monter, monter sans plusz attendre et à nous poster ... au plus près il semblerait de ce muret dit "des finalitées" qui, de fait, est ce muret qu'on peut ou qu'on pourra trouver ... tout au bout de cette sorte de rotonde aux gnous, aux buffles oufs, aux antilopres des antipodes et autres betes de paroi de Grotte, s'il en est. On cherche, vaille que vaille, à comprendre ensemble ce qui est ici qui semble on dirait vouloir nous parler mzais est-ce que c'set vrai ? on cherche à ici nous rapprocher de ce muret qu'on dit ou dirait "des finalitésés" et une fois, ainsi, sises à son côté ou à ses côtés, eh bé ça : toucher ! Car, nous, on a vraiment envie et pâs qu'iun peu, "d'y aller", c'est-à-dire de toucher de chez toucher à ce muret fiinal, à ce muret d'enceinte terminal, à ceztte sorte de muraille à, de fait, traverser ... fissa ? pourquoio pas ? et du coup "passer" comme ailes de Fée qui s'infiltreraient accolées à travers telle anfractuosité tracée à cet effet. On tente ! on entre ! On veut comprendre ça veut dire ça, qu'on veut (en vrai) traverser, conjointement et sans traiîner, cette sorte de muret dit "des convenances " , on ne sait pourquoi. On entree = on pasqse. On veut passer et pas trépasser ou ... oui , trépassr ? ça m'étonnerait. OEn tant que Fée on veut passer, ici, ce muret, mais sans trépasser ! On nveut tracer mais sans succomber. Notre ambition ou notre but ou même notre envie ici, est de pour ainsi dire treaverser ledit muret ("des finalité"s) mais, en vrai, sans trépasser, sans succcomber. On a super envie de pour le coup pouvoir ensemble, en vie, tracer soit continuer sur notre lancée et du coup en avancer le plus possible dans les connaissances ditesc "frontales". On veut (on voudriat) comprendre, les Données Dernières = ce qui est (qui trône) en ces antresb (ou fossés) hors pré, hors prairie céleste au x bêtes de trait et autres bêtes néanderrtaliennes. On veut ... ehh bien, cette chose : toucher, Les Nénés à Lait. C'est-à-dire creuser, foncer, pousser, chercher loin ensemble accolées les données profondes qui, en vrai, pourraient nous renseigner sur ce qui est ici, en Roche, des finalités teles qu'évoquées. On a envie ensembke de toucher à des choses nouvelles qui, de fait, pourraient grave nouys placer sur de nouvelles pisztes jamaisb à ce jour encore emprunjtées. Et pour cela, le plus simple, le voilà /: tracer ! creuser ! filer ! ne jamais si possible s'arrêter où qu'on nsoit placées, car voilà, on rentre ! on entre en cette sorte de Paroi du bout du monde et là, ob-n tente "une approcxhe Haute" , genre : contrôlr, genre contrôle des Normes ! On veut tracer et contrôler = mater. On veiut = on voudrait, mater mater mater au plus haut niveau et du coup eessayer de pour le coup se rapprocher un tantinet de cette Vérité dite ... "des Trous". car, que sait-on des trous ? que savons-nous concrètement des TRous, tesls qu'on peut peut-^tre en trouver tracdés ou dessinées le Muret passé ? On ne sait rien ou pas grand-chose. On a&imerait enh vrai s'y connaître mieux ou un peu mieux. On voudrait cerner au mieux nou!s deux, les données qui sont comme "exposées" de laAutre côté de ce muret dont on ne fait que p arler en particulier , mais qui en vrai est ce même muret déjà rencontré "de l'autre côt"é" quand on est rentrées en cette sorte de jardin des Fées . Mur rond des Zones Allouées aux Betesc du front . On connaît. On trace. ON regarde. On cher che. ON creuse. Ici le but (avoué) est de treacer profond son propre silloon. DEe creuser en vrai que tru creuseras ton ^propre pour le coup sillon de HJoie, creuser profond son prpopre silloon ... jusqu'au Front = ce muret des bas-fonds, des données profondes hautes. Et ......... regarderv +++++++++++++++++++++++++/+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ au plus près de ces Nénés dont on ne sait en vraéi pas grand-chose hormis cette histroire de Lait. Car, à qui sont cesz nénés ? à qiui appartientent en vrai ces Nénés tels que rencontrés eh bé oui, le muret passé ou traversé. ? On mate ! A qui donc ces seins dits "de Mère" appartienhent -ils qu'on ne connaitrait pas ou qu'on ne connaotrait ni d'Eve ni d'Adam ? à peut-tre une sorte d'entité "imberbe" ? à une Autree F2e Souveraine ? la Reine ? L'abaielle-fée Reine ? loa Belle Reine des Contrées Absolues Finales ? à qui ces seins-nénés ^peuvent-ils donc appartenir qu'on ne connaîtrait, qu'on devooinerait peiut-être mais qu'on en vrai ne conaîtrait ni d'Eve ni d'aADm ? à une sirène ? à une Fille -Elfe ? à un Homme-tronc ? sorte de Front ? on cherche ! on a pas fini, en vrai, de cxhercher et de creuser mais bpeu importe car, en vérité, on aime creuser, chercher, fouiller comme des furets, ici ou là la terre, la paroi, le tertre, les données de Roche et autres sortes de renseignements existentiels de première. On aime. On aime fort creuser ensemble ce tracé donné (comme par la bande) et trouver si jamais un certain nombre de renseignements peut-êtte premiers , peut-^tre primitifs ou sinon primitifs ancrés au plus profond des données terrestres . On est Fée d'Herbe, Fée des prés, on ne cesse de voleter à la recherche de données en herbe (ou pas) pouvant si possible nous (grave) renseigner de plus près sur ce qui est qui existe la mort pour ainsi dire "traversée". par exemple , eh bé oui : ces Nénés dits "de contrebande" .... lait de vie ! charge ! fente !fente ! Trait de vie szur paroi finale ! On e,tre ! on est nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! de chez Nées ! On est rentrées comme en biais mais quand même entrées. On le vouylait, on pourra dire que c'est fait ! On voulait tracer ensemble ici ce trait d'une sorte de ... passé de Branche(?) , eh bé voilà, considérons mla chhose comme entérinée, ou actée . Allons creuser ensemble ce fameux Néné = teter ! Car, creuser = téter, en ces contrées des zones profondes. Nées = Passées. Car, on est nées sur pré (fée) nous voilà comme re-née hors pré (Néné ?) . On veut toucher à ce qui se présente ici (ici même) sous nos yeux. Qu'est-ce que ça peut être ? on cherche à deucx (deux ailes) à nous (pour le coup) rapprocher, le plus qu'on peut, de cette sorte de zone dernière qui est zone des tracés hors pré. Qui on est en cette contrée ? encore Fée ? bête de trait ? bêtes de trait ... au pluriel ? fée des TRaits ? ou alors ... tout autee chose .... une sorte de ..... Bébé d'Or ? Bébé des Bébés ? On est la F2e du pré qui veut passer à travers ce muret ou dernier muret direction la Roche, soit la Roche Ultime aux doonnées Vives. Un bébé... eh bé qui sait, ça se pourrait ! On ne sait ce qu'on est la mort passée. On ne sa&it pazs en vrai ce qu'on devient une fdois morte et enterrée pour ainsi parler. qu'est-ce qu'on devient ? qu'est)ce qu'on fait ? nque faisonsz-nous le Muret des Finalités (hors rotonde) u ne fois passé ? Peut-être ... pitié ? faisons-nous pitié ? faisons-nous réellement pitié le muret une fois tracversé ? faisons nous pitié de fait ? tétonsz-nous ? sommes-nous en train de téter , de téter au frais ? de téter au chaud ? chaud les Animaux ? On cherche. On creuse nptre pensée. L'important (le tout) est de creuser sans discontinuer à travers les prés une sorte de sxentier qui pourrait éventuellement nous amener au plus profond des données de Roche, genre "connaissances des bas-fonds et autres fonds des Roches Hautes". On monte . C'est-à-dire que voilà, en creusant (bizaremment) on monte . On va haut. On veut toucher ensemble à ce Niveau, le plus Haut qui se puisse atteindre et là mater, mater grave,= observer, nhe rie,n léisser passer , mirer, mirer grave les Nénés si tant est et aussi (sait-on jamais) tout ce qui autour ou à côté, aux alentours de ces nénés, pourrait évezntuellement trouver à s'y trouver, genre ... tracé .... tracé-filament .... trait ..... trait ourlé ....... treait des traits ourlées ..... trait des traits ...... trait orné de nouveaux traits ourlés .... ourléscpar paeut-êtte d'autres fées ... ou qui ou qu'est-ce .... qyui seraient déjà passées et donc auraient treacé des traits dits "de Tresse" " .... tresses ourlées, gravées ..... tresses de fée ? on ne sait ..... tresse-graisse ....... tresse de graissse ....... tresse ddes tresses de graissse et autres tressesv ici ourlées par peut-^tee d'autres fées que nous qui (auteefois ?) seraient venues, ici même, pour connaître par le menu les données post-herbe telloes que nous mêmes aujourd'hui même on aime ! on ma te ! on regarde ! on cherche à comprendre. Qui on est ? celles post )-pré ici passées comme par contrebande en ce muret des données Dernières d'Antre. Fée. On est F2E. Fée des prés puis hors du pré .... bébé ? on ne xsait! on cherche à cerner. A si possible essayer de toucher à quelque chose qui pourrait ici de près ou de loin ressembler à une chose ... ourlée ? genre quoi ? Oreille de Roi ? oreillette de PAroi ? oreillette de REIne et Roo des Fois , foi dans l'ombre ou foi en cette chose dont le nom est "Ombre" ? On est la F2e Dite 3Souveraiene, souveraine-souterraine, on creuse ! ma foi on creuse ! on ne se lasse pas de toujours et encore creuser de cette roche des données ou aux données "de poche" , soit "de gonfle". On monte. On monte Haut Les Anim aux . On creuse-monte haut. On vfeut toucher à ces données de Roche Haute, et tracer, creuser, dire et donner. On est nées Fée à la traversée du premier muret (ou disons du premierr) puis bnous voilà qui sommes allées ici au plus lointain, hors pré, les ailes déployées, pour essayer (en vain ?) de cerner au plus près les données des Rêves , des Songes Ourlés (?), des Termes Certains, des Vérités telles que, peut-êztre ou en vrai, espéréesz . s oit recherchées. On veut toucher ! Qui pour nous aider ? c'est vrai que nous ce qu'on aimerait en vrai le plus, ce serait peut-^tre de pouvoir connaître (un de ces quatre) une sorte de Vrai Parade, Vraie Tracé ou autres FVérités de Charge. qui connaît ce genre de données en France ? en France ou hors de France, la question n'st pas de la France, .... du français ?, ah ! voilà ! la question, ici ou là, est peut-être liée de fait, à une langue (une langue p arlée) en particukloer, et du coup, ici, le Français (la France on s'en branle!). On voit. On voit ce Ro , ce Roi des ROis, Reine de SAb on voit. On mate gr ave Roi , Reine de là ou de l('au-delà. Roi et REine Reines. roi reine et Reine Reine : ça ! On voit. on ne traîne pas mais tot le contraire , on file droit ! charge souveraieane , trait des Fées sur Pré allouée à une sorte de ... cimetière ... des Données " ? on ne sait ce qui est en vrai mais on est accolées comme qui dirait pour en vrai cherc her chercher cher cher sans désemparer, un chemin non de traîne mais de type VFOIE , Voie aute, VOIe de ROche GHAUTE , VOIE DES VOIES Et là, eh bien .... l'emprunter compme à jamais sans désemparer ou discontinuer car voilà, on aime. On aime voler, marcher, cerner, filer, ne pas nous arrêter mais toujours aller. On adore aller. on ne veut âs traîner mais fissa aller,; sans nbous retourner, vers ce dit "Néné des Fées" (?) ... qui sait ? On monte. On creuse Roche. ON veut toucher à cette Chose d'une sorte de ... mont, Des Hautes Sphères SOuveraibnes. La .... ici .... mort BELLE ...... Mort Haute ..... hyautte mort des données "rondes". Quoi est-ce en somme ? une motte ? une sorte de motte haute ? haut niveau de roche ? ou .... caniveau haut ? haut canivrzeau ? On veut ................................................................................................ toucher en vrai au plus près ce qui pourrait êztre en ce lieu dernier ou dit "dernier", il semblerait, ey pour cela , le mieux, c'est de se rapprocher le plus possibvle de ce muret aux données tracées, de mater de près, de ne rie,n lmaisser de côté mais au contraire tout, ou le plus possibvle, repérer , tenir, conserver, mater de chez mater, essayer de "relever" et du coup cerner soit situer, ce'rner = situer, etc. on cherche ça : la Chance ! On y va ! on cherche, en transe, ça : la Chance Des Voix ! on veut comprendre et du coup voilà : on creuse-trace le T6racé des Chances. On envoie ! on veut cerner (les Choses de Roche) au plus serré. On ne veut pas laisser pisser. On veut :
creuser de chez creuser la roche aux données profoneddss,
dire de chez dire ce qui est en cette roche Haute
faire de chez faire tous les relevés , et les noter par le menu sur roche nue
coller de chez coller à ce Néné su braepticement rencontré on dirait tandis qu'on creusait ou disons qu'on cherchait ou rechercvhait des choses à se pour ainsi dire mettre sous la dent, grignoter , toucher exprès, essayer de "goûter" au plus près = commpe qui dirait une sorte de "lait de jouvence" ... trait ? trait de lait ? treait lacté sorti d'un Néné post-pré ? on est montéesz et on s'est retrouvées accolées, comme Fée de Bosse. Bosse H aute. On estb montées de chez montées et on s'est retrouvées de fait a&insi accolées à une sorte de Muret des Roches Allouées à une sqorte de Roto nde des Données Profondes et autres Bêtes dites "hautes" , type Bisons, Bidsonnes, Buffles-Poorc, Hommed'Ombre, Corps MOrt. On monte ! On veut ensemble situer ou pouvoir situer un certain n ombre de données hautes, telles que par exemple celles concernaént le Vzent, Pet de Nonne, Ombre . On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce Néné "raccord" . Plaie ? ou non : trait ? trait olé olé ? ou non : trait de fée siur le Passé ? mais comment en vrai cette Choseb ? on cherche encore. On ne lâche rien. On a envvie encore de toucghezr à ce qui est en termes de données (primzaires) lointaines (hautes) . Monter = toucher à ce genre en vrai, de Néné des Termes .... en français ? peut-^tre ! Peut-être en français car ici le fran;çais est terme! trait ! trait de fée. On cherche ! On veut toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher à ce Néné post-cimetière dont le treacé sezrait "du terme", "du terme français" en ce quyi nous concerne mais aillezrs , de fait, ça sera en anglais, ou en latin, ou en chinois, ou en bengali ou autre langues rencontrées incidemment le mur traversé. On est nées Françaises de trait, nous voilà traçant ainsi sentier en cettez langue du Français de serre. On est nées Fées sur terre allouée à du Français, en termes de termes. termes vrais. on aime ... ou pas, mais la langue en soi est incrustée, qui jamaiçs pour ainsi dire ne peut disparaître ! c'est ancré ! à jamais ! comme du lait ! ça pèse ! ça envoie ! c'st là come une sorte de misaine, trait des Rois-Reines des Données Anciennes post-paroi et même au-delà, ma foi. car, O, n aiome la Foi ! on veut ça ! termes d'elfe. Creux des Voix. Choisx de Roi. pertes sèches ici ou là mais voilà, on ne traîne pas, on entre en soi, on creuse, on monte, on va, on avance, on porte, on veut ensemble, dire et donner ce qui pourraitbpeut-êtte nous arranfger (grave) de comprendre. tracer = porter, et porter = tracer. D'où la Voie à ici emprunter ensembke" (ailée) pour comprendre " = toucher, à donc ce dit "néné des Rages" de la Voie des Trembles. Que sont donc, ici, les trezmbles ? nos amies ! nos sortes de Chattes de Vie ! chattières par où, en v rai, on dira qu'on pourrait .... passer , donc, en vie (et pas écornées !). Chattes ou chattières des données de bnase , on entre ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! vie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!, à) jamais la vie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ç a tremble, c'est la vie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! c'st dingue quand on y pense !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime grave !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça nous plaît de folie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! plaisir et joie immenses hors prairie ? on entre ! On veut comp)rendre ensemble cette donc folie, ce sang d'encre, cette joie profonde, ce tracé hors rotonde, hors pré aux Bêtes Grosses, ce trait ! Quoi donc ce teait EST ? qui le sait ? teait de Rochye "Grossee" ? Treait des teaiyts chevelu velu ? Haute Roche aux données de Poche ? fond de grotte ? porte close ? Mots de peau ? On creuse aux Animaux ! On dit qu'on creuse ici "aux animaux" . On monte haut . haut des Hauts. on veut toucher toucher toucher toucher au plus haut niveau des Boyaux( hors peau ? ). On veut :
dire dire dire dire
ce qui ici est comme szoulecvé
l'entrée vive d'une sorte de trait
le pet ? la rive ? le pcré alloué ? la friche ?
Creuser = dire = fairev = mettre = charger = comprendre = situer et ne plus s'arrêter de cchercher à pour le coup ensemble sans traîner comprendre ... jusqu'au trou ! mais, de quel trou veut-on parler ? du trou ouf ? du trou de ouf des données complètesc? du traczéé treacé à même la bête ? d'unn trait "honnête" ? d'une sorte de "perle" comme ici glissée à même l'herbe bsur un pré de Traîne ? on cherche ! on ne sait pas. On veut comprendre là la Chose des Voix mais la Chose des Voix ne se laisse pas si aisément cerner par des Fées comme ça. On veut toucxher à ça (la Chose Hzaute) mais voilà, comment toucher quand la Chose est ... si haute que...... pas simple en vrai de s'y coller sa&ns y laisser un tantinet de plumes nacrées il semblerait. On est la Fée a!ux plumes nacrées (on sezrait) et c'est ainsi nqu'on pourrait grimper soit nous envoler sans sourciçller, sans se casser le n ez, sans traîner ni lambiner, sans faire plus de simagrés. Aimer = dire. Faire = consdtruire. Chercher = fuir. Toucher = allouer à une Rive un certain ombre de données-surprise... par exemple : les données de branche ! le Passé pour ainsi dire , e,n termes de Rives. le Passé Tracé est le Passé ancré, Rives de pré ... riuives Vives ! On veut cerner ! on veut creuser ! on veut toucher , toucher et Rire si tant est car on est Vive , pleine en vrai de vie vive hors Passé ... mais, que peut-on en dire, de ce Rire ? que peut-on en révéler qui nous sqoit ou bnous serait super utile pour de fait continuer, sur notre lancée) , à chercher de fait une sqorte en soi de Vérité des Véeéirités" le passé "serré" ou recherch"éée" ? On veut cerner = on veut toucxher. et du cfoup, eh beé oui .......... construiore, une sorte de Poche Vide, à habiter. Genre ... outre. Genre .... yourte ? genre .... abri des vies ? On est passées ...... passées de chez passéesc, .................. vives de chyez vives ?.................... fée des prés on a traversé à la retombée une friche et ce jusqu'au muret aux données vives , lesz plus vives ou lesz plus vives des données ou parmi les données ici données. Qui on est ?
VIVES
Donnnées Vives on est en vrai ! vives de chez vicves on est. Vives fées des Données Vivfes et aéutres dOnnées (ici) de Rive ! treaits ! teaits des F2es . trait alloué à une Fée du pré .... pour ainsi cerner = toucher, à ce ........... ou ce ................ N2N2 né post-pré ! hé ! comme un fait exprès ! retour sur facture ! le treacé ! le trait ! la Haute Futaie ! le met ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait de bel attreait ! lait des prés ! on veut téter ............................................................................................................................................................................................................................................ grave on veut téter .... téreter de chez téter la Chose aux Nénés , ..... cjhose Haute ? Chose des CHoses Hautes ? Trait ? trait des F2es sr pré ? trait né ? On ose ! on monte ! on veut ou on voudrait de fait, cerner-toucher à ces Nénés de contrebande et, du coup, grave téter de chez téter sans nous arrêter ! finaliser ! §toucher-percer ! téter = toucher ! dire et donner . Percer ! Creuser . Dire et creuser ce dit Néné aux données "de france" mais en vérité ... de "langue". Car, ici, la langue , ok , est le Français, mais chaque langue en vrai le fait ! est semblable en vrai , enn termes de données dites "de contraebande" et ce .... au taquet ! au taquet c'est ! langue au taquet quelqque soit de fait sa provenance, son p)arcours de voie, sa trace ardeznte, ses envois et autres traits de rage szur paroi. une langue est une langue ... de Roi / REine de Saba ! la chance en transe ! la Nouba ! la danse ! cha cha cha ça envoie ! la langue "danse", trace sa voie, creuse que tru creuseras jusqu'à la paroi et entre et file et vole et fond, fond sur sa proie : La mort des Hommes Au-delà, Hommes-Femmes de Roi/REine Céleste, Charge Et masse de Choix, POrte Haute ça y va, on monte, on monte Hautes, on est Fées des prés Hautes, Fée Hautes des Pré Hauts des Données De roche hors mots ? Ou pas hors mots mùais Hai-utes ! hzutes de chez hautes ! fées gHautes "du Tonneau" , du vin nouveau, de La roche aux mots. On creuse les niveaux. on onte. On monte Hautes. on est montés Hautes. On veut grave aller Haut en ces données des Peaux etv autres reliquats des Roches : Animaux-Mots de Basse-Crotte, POrte Docte, Pertes au niveau des caniveaux, Chochottes, Mort des hommpes-ho nte et autres hommes sans motte. porcs. Nés à la mort. On monte. On monte Hautes ... nous ! On ose . On veut en vrai, essayer ensemvbke de nous propulser : en branle. qui sait cerner ? qui en vrai connaîtb les données ou les différentes données telles qu'on voudrait les approchjer, ici, au plus près, pour les mieux
cerner-comprendre "ensembkle" , qui sait ? qui connaît ? qui ne trembke pas àl'idée de creuser ? qui veut y aller et passer, et se retrouver hors muret, en dehors du pré, hors mots des Rochers, qui sait ? pour .... eh bé oui toucher de chez toucher........ à ce N2N2 né ! à cette espèce dee Néné à Lait ........ trait ............. trait de fée olé olé pas vrai ! pas olé olé , juste envolée ! volante ! aimante ! tendre ! cherchant pitaénce, mots du VRai, tracés frais, connaissances sur Paroi Des Morts. Haute. Haute F2ée. Haute ROche. Haute Montée vers ... autre chose, en termes de Données Hautes. Le Passé des traits . Fée des fées. traits sur Roche Haute = trait nacré, trait né sur Passéb ? On chercherait de fa&it à ensemble nous jeter .... à ses pieds , si tant est ? On ne sait ! on monte hautes. On regarde loin. On voit ou on verrait .... des Choses ! choses de Roche ! traits ? traits et bosses ? On va ! o n creuse à tout va ! on veut toucher touchertoucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher, à cette sorte de Paroi Frontale des Données finales ou aux données finales ne confondons pas. Un nRoi est un Roi. Roi de S rdanapa&le ou de l'au-delà un Roi est un roi. Et le Roi menace ! ou : tout Roi menace ! là = là-bas, sur ... "Tremble" .... ça envoie ! ça gronde sa menace... pas lambda, ça envoie du bois en termes de "menace de choix", c'est grave ! c'est ma foi on dira grave de chez grave, en termes de menace bgrave. On veut (on voudrait) cette menace la comprendre. Qu'est-ce qye c'est que ça ? ce trait-là, cette sorte d'enfilade de Parois en veux-rtu en voilà ! qau'est-ce que c'est que ça ;... on ne sait pas ! on entre ! on entre en cet a xntre et là, on mate, mùate que tu materas, ce "Trezmble", cette voix ... voix hésitante ? ce s mots de 🕵🏼♂️ choix ? Romance ! Transe ! danse ! parade de bande ! cha cha cha à ptout va !
Connaissancesc .
Don de soi.
On entre ensemble ...........................KK..K...................................................... on danse .........K.K.............................................................. on veut toucxher ensemble à ce tracé donné qui, en vréi, ressemblerait à s'y méprendre à une sorte de tracé "de France" , ou "en français de Rage" si tant est, F"français" en vrai peut-être maussade mais qu'est-ce qu'on nen sait ? on passe ! on veut toucher de chez toucher ! on ne fait que passer ! la chance des fées ! entrée sur pré puis sortie sur pieds ! amitiés ! On veut toucher en transe le Palais des TRe"mbles. Traîner un tantinet pmais pas ,; de préférence, sans .... aimer toucher ! creuser, cerner, dire et porter, coller, se donner à ce Néné post pré rempli de laéit qui en vrai pourrait grave nous appoeerter de quoi comprendre de chez comprendre un grzand nombre de données telles qu'on espérait un jour pouvoir ensemble les cerner ici sans traéîner ni se laisser pour aiçnsi dire déborder ou engloutir parce que trop ou pas assez ancrées ou incrustées en cette sorte de "Contré des Rives" de type ... Vide ? on ne saiyt ! on veut :
toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher )-à ce n2né du Vide ? Du vide alloué à du lait, c'est ? c'est-àdire qui est ... comme une sorte de poche à remplir ou comment de lait ? poche à lait ? pas vrai ! le lait "resp^pire" ! vit sa vie au tracé, vie sa vie de lait comme acheminé ! on vibre ! on veut téyter ! téter ! téter sans nous arrêter jamais car, on aime (grave) téter ! téter du lait de trait ! fée des fées qzui aiùmopns téter de ce lait du "vide" , lait de trait , Lait Ancré, La&it du Passé tel quedécelé il s emblerait. On veut /:
toucher toucher toucher
dire dire dire
faire faire faire
^$eetre être êtte
combler combler combler
cerner cerner cerner
allouer allouer allouer
chercher cherc her chercherv
sentirr sentir sentir
sonder sonder sonder
perdre perdre perdre
porter pôrter porter
coller coller coller
coller hgrave, à ces Nénés de l'Outremonde s'il en est = ..................... le Passé ? le Passé post-pré ? on ne sait ce passé en v rai ce que c'est mais on monte ! on monte hautes en termes de données ici abordées, on monte sur pieds, on monte envolées, on monte hautes sur (ou vers) Passé Passé. On ne veut pas traîner jaùmais. ce qu'on veut c'est tracer := filer = foncer = se porter au plus rapide et au plus près du Néné avide ... ou comment dire ? qui donc ici estb avide ? On veut toucher de chez toucher le Vide (?) du Néné , le Vide Ivre ? Vide ainsi rempli de Vivres ? On mùonte ! on creuse ! on aime ! on cherche ! qui on est ? on est une fée, on est ailée, au début on était pas fée, on était femme ou homme ou bêtes ou autre, et puis voilà, à la pour ainsi dire travézrsée, d'une sorte de paroi de roche , paroi dont le nom, en vrai, est "MORT", on s'est retrouvé , ainsi, toute chose, car, transformée, de la sorte, en Fée, : fée Ailée, du fait que voilà, on s'est retrouvées dédoublées, ou comme dédoublées, en deux F ou Femmes , formant Fée de Rage, F2e des Prés, on est donc ailées ! Fée ailée, F2e des Prés ailée, on monte. on peut voler puisqu'on est éilée, qu'on est accoûtrée d'une sorte sur nous de
paires d'ailes aii,nsi dessinées ou comme dessinées ! traits en herbe.vin de messe. Porte Haéute : on monte ! volons ! on creuse. Allons. Fonçons et regardeons , à pouvoir ensdemble si possible nous peut-^tre propulser , en ce vide des nénés nés. mais, qel vide ????????????? car, où vois-tu du vide ????????.???????????? de ..... l'avide ? bouche a vide ? bouche vide avide ? On monte ! on veut toucher à ce qui est qui pour le coup, envers nous, nous chose, bnous comment, nous montre x et x choses, liées aux tourments, aux épreuves de roche, aux douleurs de la mort, a&ux passages rosses. On monte. Qii on est ? on sezrait envrai xde petrits êtres alloués à une soerte de contrée qui serait : un Eden, sorte d'Eden ici comme rempli de Bêtes de treait. On regarderé&it ce qui est qui se présenterait à nos côtés. On cherche à copiner, à se faire bien, à symparthiser, à faire en sorte que , Le Trait, Le trait Donné, soye en vérité ... le mieux, question Trait des Traits , des Données Suprêmes et autres Traits aux Fées en Herbe verte. on est née sur pré, nous voilà rebelle ! voulant contrer , faire ainsi que Be'lle soye repoussée, Belle Des Traits Tracés de Type Mortuéires. Merde. Pousser de chez pousszsr ou repousser celle , qui, ici, vrai, sait, saurait, nous ..... qui sait ? manger de chyez manger = bouffer lle nez ! merde ! pas le nez ! pas le nez ni le néné ! on est pas à bouffer , ni à teéter ! on veut (nous !!!!!!) téter et pas le contraiore ! serait-o,n piégée ? serait-on ainsi comme renversée , soutirée, portée à êttre inverse ? tracassée ! renversée de chez renversée comme ... une omelette ! ah ahn ça se pouurait ! ça le feraot ! on capitulerait ? on serait (ainsi) comme soudés , soudés à la terre, enterés ? homme l'enterré, la femme Supr^me, l'Elfe-Fée enfin libérée de l'ëtre des Prés ! merde ! lze tracé des Fées est Tracé ici des herbes Donnés, pour en vrai (peut-^tre) pouvoir se purger et p)artir (repartir) de plus belle en ces contrées de bord de Veine ! trait ! trait acté ! on aime ... on aime aimer les traits, les données du Verbe , Données vertes. on aime. on veut aimer toucher à ce Néné en herbe et pas le contrzaire (se faire toucher de chez toucxher les nénés du Verbve .... si tant est !). On est :
VERBE-HERBE-TRAIT d'HERbe
Fée des fées squr pré
Verbe-Treait sur pré des fées
Verbe-ëtre des données en herbe
Traits des traits comme gravé ou dessinés à main levaée pâr , qui sait , Une fée en herbe
verbe de treait, somme haute, vent de roche
PET
PET
PET
PET
Pet de roche, PEt de nonne haute , près de porte. haute porte et autres entrées ou passages de Ronde. haute Porte Acidulée. Verbe au taquet. Crête. On est née Fée à la traversée on opoursuit en rêve, ou comme qui dirait en rêve, notre sorte d'aventure "pleine", ce trajet, ce tracé des fées, cette sorte de sentier aux données en herbe, genre : vérités du genre, sentiments frnçais dits "de cfontrebande", portes (peut-être) d'entrées vers des données immenses et autres vérités cachées, hautes données le pré passé, sur x sujets de sa Majesté, la Roche, Roche Haute , de la MOrt De pOrte. Mort Haute. Haute Porte des Données Moroses. hautes de chyez hautes on mùonte ! On vole ! On monte ! On veut :
toucxherr, toucher, toucher, toucher, toucher, toucxher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucxher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher , toucher à ce Néné pôst ^pré du coup comme remmpli de lait avant d'en être (par nous ) vidé , est-ce cette chose ? chose haute ? on a envie, en vréi, de cerner,le plusvqu'on peut, toutes ces choses qui en vrai nous importent fort, car nottre envie est de touhjours nous approcher le plus possible de la vérité en ses moindres effets ou contrées ou zones. On est allouée ici (ailée !) à un trajet à parcourir si possible vite, vers, eh bien, cette sqorte de porte haute, tout en haut des roches, trait tracé par on ne sait qui l'auréit gravé, ou disons dessiné. On cherche. Sûr que nous on veut .... eh bé tout ! tout de chez tout ! = les données du Tout, c''st tout ! c'est immense ok, mais on est Fée du pré , et du coup, on se doit de rechercher et sans traîner toute la V2rité sur Tout et sur ce tout tout ce qu'on ne sa&it de fait plus volo ntiers ! à genousx . Les mains jointes. les yeux baissés. prier. creuser. dure r. ¨$Porter de chez porter. Comprendre e qui est, qui ... nous ressemble ou nous ressemblerait par de nombreux pour ainsi dire "traits de connivence", qui sait ? On est née franches, traits sur traits, allouée à une branche, branche des fées, et on avance, traquet-traquet, sans traéîner, vers un tracé de Rage déssiné, gravé, porté, qui soit cfomme un tracé de Branche, trait pour trait. On entre ! on passe ! on veut toucher. on veut aimer. On veut aller. on veut cerner . on ne veut pas rtester en carafe sur les bas-côtés mais oui ........................................................................ cerner de chez cerner lesdits Nénés ...... de France ? du Français en tant que langue ? on est fée du pré, on creuse le trait, on trace dense, on veut AIMER DE CHRZ AIMER, LA RAGE D'Y ALLER ICI (ANTRE POST-PRÉ) SANS TRAÎNER NI CHERCHER À SE DÉBINER ! CAR ON EST NÉE FÉE AU PASSAGE, LA MORT ALOUÉE, UNE FOIS ALLOUÉE, ET LÀ, UNE FOIS NÉE, ON MATE, ON VEUT CERNER, COMPRENDRE , POERTER, ALLER VERS CE NÉNÉ DIT DE CONTREBANDE, CAR .... SACRÉ ? SACRÉ NÉNÉ ? QUI NOUS "REG ARDERAIT" COMME DE BIAIS AFIN DE GRAVE NOUS INCITER ET SANS LAMBINER À LE TÉTER, À TÉTER DE SON LAIT POST-PRÉ SI TANT EST, LAIT DU L IT, LAIT DU LAIT NACRÉ, LAIT DES LAITS TRAQUÉS, LAIT DES LAITS ADORÉS, LAIT D'EKLFE ? L IT D'HERBE ? LAIT DOCTE ? LAIT DE PORTE ? On cherche réponse. on aime chercher. on aime déceler-creuser, déce"ler-desceller. faire ainsi que des vérités, soient comme enfin montrées ou révélées "à la fa&ce du monde " . trait sur traits. Fée du pré. xhants de ROche Haute. POrte haute dxes données de Roche toute ornementée de Betes de poids et autres bêtes de Java. rage-ma te, mate-rage. Mate-rang. rang de mate. Porte-rang de Rage-mate. Traits des traits sur paroi ornée par (ici) des sortes d'ovidés de Classe Royale ! fée des fées. Tracés sur tracés. reconnaissance (à l'arraché) de traits , de semblance familiale ... on le dirait. on entre ensemble et nous voilà comme accolées (surmontées ,) pour former ... la Fé ! la Fée du pré, celle qu"'on voit ici voler vers sa destinée, de type "muret ", "muret des murets". fée des prés sur pieds sachant voler. fée de Roche haute se portant h&ute. Trait sur traits d'époque haute, de type "ornée". On peut toucher à ce Néné de porte s'il vous plaît = téter ? ou pas du tout toucher jamais , car ... morte ? oh, on monte ! on monte haut tous les niveaux. On veut :
toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tpucher toucher toucher toucher toucher à différents niveaux de roche, tracer haut , creuser haut, percer, toucher de chez touchezr les différents niveaux de Roche aux Animauc ou aux mots-animaux. On aime l'animo, le trot de l'animo, le tracé haut de l'animo de ^poche-roche = le mot ! mot de trop ! porte haute ... à mots de Roche ! mots de peau et autres mots post-anicroche, au tombeau. on monte ! On veut :
dire dire dire
comprendre comprendre
cerner cerner cerner
toucherg toucxher toucher
étendre étendre étendre, ici, x données de roche sur un pré, les soupeser, les regadredr , les étudier, essayer de cerner, en elle, ce qui est, en termes de données de porte, ce qii est en vrai, cequi se montre en termes de "do nnées accortes", et, du coup .... tracer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! nà main levée, des sortes de "réponses" à une sorte de-'injonctionn qui , pour le coup, nous serait faite ....à genoux ? mais alors, par qui ? qui ici est qui nous demande de .... passer le bout du nez comme qui dirait , qui ? qui vient ? qui veut ? qui nous implore ? qui pleure à sa porte ? quand nous, fée du pré, on ne veut que .... téter Néné, des V2rités de Roche post-pré ! du moins il semblerait ! téter ! téter ce trait ! teter le Néné ! le teter de près nu ! sein nu et nous nue ! fée nue sur néné nu ! et le téter de chez téter sans s'arrêter si tant est ! car, on est la Fée du paysage, aimant téter le Lait tracé, le lait du français, la langue-lait de type Chance ! trait de chance iciaccordée à une sorte de balade pour le coup chantée par une Fée en promenade post-muret, loin des bêtes de pré et autres fleurs-fleurettes, dessinées, gravées, comme déplissées. On aime té ter ! On veut :
toucher touche r toucher toucher toucher , ce néné du verbe-lait ! chair beige ! trait acidulé comme le lzait du siège , le Passé ! pré passé ! pré des prés enfin dépassé, direction le Passé dit "surnuméraire" des temps allouées à une sorte de donnée du Verbe = le Lait ! lait des laits ! lait ainsi tétée par une fée passée pour ainsi dire de l'autre côté ou qui serait passée de l'autre côté, souveraine, première, cernée, aimée, adulée, chouchoutée, prise ainsi comme une aile alanguie de type "remède". On aiùme ! On veut aimer = toucher = dire= sonder, et nous porter de fait à ses côtés, au côté du Verbe .... du VErbe-Néné , est-ce en v rai ce qu'on rechercherait en tant que Fée du pré Souveraine car étant passée de l'Autre Côté sans se casser le bout du nez, le cul ... ou (oui) le bvout du nez .
On trace sur pré ... trait de Chance, Parade Allouée, Betes cde Charge sans Passé ou si , chargée (et comment !) d'un passé de Farce ? france ?
farce, France, qui sait ? mais plus que chargée on dirait ! et du coup ....pesante ! grave pesante ! portée mais chargée ! soulevée soupesée mais lourde de données de Rage = le Passé, le Passé cxloturé, la panse ! la pensée ! le nez de Rgae et les boyaux de panse emberlificotés ! charge mentale ! empotée en sa cxharge ! traits sur traits et autres tracés (de contrebande) du Passé ! Le passé contre le passé ? la Rage des fées ? on entre .................................................................................................................................... on veut entrer ................................................ toucher tpoucher topucher toucher tpicher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tucher toucher toucher toucher toucher touchert-t de chez toucher à ce néné post -pré = nez ? ion ne sait ! o,n entre ! on veut comprendree ensemble un certain nombre de données de Chambre :
- qui on est ?
- à qui on eresemble ?
- sommes-nous réellement dans la mort Fée ?
-pouvo,s-nous comprendre, la Romance, sur Paroi ornée ?
- Sommes nous grosse de données des Trembles -
- avons-nous de quoi en vrai nous présenter en tant que memnbre desz Données de Rage ? - sommes-nous allouée à une sorte de Contrée Immmense elle-même liée à une sorte de Contrée des Chances et autres V érités liée à la Chance ?
Avons-nous ennous de quoi cerner pour ainsi dire les donnéesz de branche, le Passé alloué à un post-pré, la Chance de Cerner ensemble les Données de Rage et autres données franches", le Tracé , tracé des TRacés ainsi donné come par contrebande à une Somité ainsi rencontrée (sur ce sentier menant à ... l'antre ? à l'antre entre ? antre des fées et autres créatures tendres ?). On est née sur pré Fée, cherchant Vérité (de préférence ?) en cette sorte de (qui sait ?) ... nouveau pré ? qui serait du coup alloué, à une zone post-Passé René. Chais. Vin d'herbe. Portée avinée. Alcohol des passages doctes : on monte. montons. portons haut le Vin npouveau. faisons ainsi que tout soit nouveau le temps des trav&ux ! creusons ! traçons ! louons au plus haut du p^lus haut des niveaux ... et cherchons taïaut le h aut des Hauts ! taï aut de chez taïaut, creusons, filons, traçons, montons , montons aut de chz haut ce ponton des mots ou desmots-animaus dits "de trop". car, les mots (de f ait) sont toujours "de trop" , qui ne savent pas, en vrai, cerner le vrai, mais aident à p assrr, de fait, le bout dunez, en ces contrées des données tracées, genre "mortifiées" mais est-ce vrai ? est-ce ça le mot des données, ce mot de "mortifiées" ou même ... "mortifères" ? on cherche ! qui donc le sait ici dans l'assemblée ? pas bézzef il semblerait ! on est fée du pré la mort acté, et après, soit a^rès le p)reé, on est ... eh bé" bébé ! the bébé ! le bébé né ! ou comme re-né, à une vie nouvelle ! vin de serre ! chants laétins ! plaine ! romarin ! traits d'elfes sur la fin ! on aime !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh on aime !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime en latin ? .................... bas-latin de messe ? .................................... bvas-latin de presse 😞 ? .........../////...../........................... tresse ? ..........?..................................... hum .......................... on cherche ................................................................. on creuse le TEmps .......................................... vent docte ............... hyaute pporte ? ........................................................... haute porte morte ? ...................................................mort ? .......................... la mort ? ..........................................matinale ............................ on entree. On aime. On monte. On compte. on voit. On voit ce qu'ion voit, et ce qu'on voit c'est ça : la Chance ! le pâssageen trznse ! voix de l'au-delà, franges , nouba. On veut eense'mble (ailes allouées) comprendre ce qui est , sans amais cesser, aller, cerner, gravir laé pente, et,
nous porter au plus près de ce Néné de Contrebande, ainsi "déplié" , "déplié" ou montré, ou découvert ainsi cerné, cerné de chez cerné, lait ! Lait des laits sucrés-nacrés, tout acidulés.
Lait de trait ou trait de lait 🧃
porté ! apporté ! né ! lait né ! né lait ! ohé on sait ! on monte ! on creuse ! on veut ! on ose! on est des fées de Rage nées sur Roche au pré ! fées des fées surnuméraires agraires , parmi les bêtes , les tracés, les dessins de gré, l'herbe verte et autres flores des données de roche . porte haute. haute porte . Colle .........................................................................../....................................................... colle haute ............... pôrtée de fée sur portée de fée ....................... musioque allouée à une destinée "genrée" ou "pseudo-genrée" .............................. les données dsu pré ............. haute destinée ainsi a-genrée ou bien, au contraire, genrée , mais de type "imberbe" , fée des prés ainsi non -binaire , le tracé, la main au collet, peerte sèche de données et deès lors l'envolée, l'envol haut, direction ... le Passé, le Passé de POrte ! ostrogoh, homme-heaume, femmehaute, homme-femme au tonneau, AMBRE ! AMBRE sans MOTS ! le tonneau des mots ! roche aux mots des do nnées accortes , le poteau . On mùonte. On est hautes et hauts c'est-àdire hautes, car dans hautes il y a haut, mais dans hauts il n'y a pas hautes ! le niveau des roches ! le tonneau des mots est un tonneau "de poche" , vin nouveau ! sonde ! chose à mots sur mots de trop ! on monte ! On veut grave toucher de ce tonneau, et boire ! téter ! née fée pour, pour ainsi dire, un jour téter, ou re-téter comme qui dirait, ce la&it du tonneau, petit lait frais ... ou chaud, selon le niveau , la hauteur du pot. On mùonte ! haute porte. haute Mort. Mort HAUte. Haute mort de POerte. Haute mort des Portes HAutes. haut mot ! Haut mot de la mort haute. M%ort haute des mots hauts. hauts des hauts des mots de Mort. Mort des Mots hauts , = la Mort.
= mort des mots
=mort des mots hauts
= mort des hauts mots de trop
=mort, motrt d'homme; mort du mot hommeOn monte. O,nn est née Fée sur pré aux ombres, un tracé nacré, une ombre portée, ici dans un pré, sur l'herbe aviné : trait ! très avinée. Le pré est pré , des dites "données vraies" , qui sait. On monte.
On est ensemble ici qui cherchons un endroit par où on pourrait peut-être passer sans se faire refouler. Quand on passe on voit, qu'on est (au final) regardées maisb on s'en fiche grave, on s'en fout pas lmal, car pour nous, l(important ioci, c'est de pouvoir passer sans plus se faire remarsquer , et du coup e n avancer et nous porter le plus loin possible des possibles. On aime aller ensemble dans un pré chercher des données , et , si tant est , en trpuver, en ramassr, en cueillir, ou en recueillir./ On aime grave nous promener en ces contrées et si possible ramasssrr le plus possible de ces données qu"'on dit "avinées" mais en fvvrai, on ne s ait pas si c''st vrai ou si, au contraire, c'est des conneries. On cherche ensemble à aller loin en quelque sorte dans la contrebande. On est accolées (on est les ailes d('une fée des prés) et c'estv , accolées insi, qu'on cjerche ensemble à traverser le champ pour le coup octroyé à une "sorte de Fée" telle qu'on l'est, une fois la paroi de Roche (la prezmière fois) traversée au moment du DC. ON aime aller bensemble ainsi nous promener sur pré et chercher à nous acheminer pour ainsi dire jusqi'aux nénés, soit au-delà du près, zu-delà de la mort "empaysagée", de la mort illuminée ou cxxomme illuminée . On a envie en vrai, de chercher à comprendre ce pré, cettte sorte de jardin des fées, et pourquoi ce jardin, en vrai, est une étape ou sorte d'ét pe)-allouée. Qu'estce que c'est que cette étapr, que ce pré d'étape, ou d'étape allouée ? qu'eswt-ce qu'il en est en v rai ? qu'est-ce qu'on peut en penser ? qu'ewst-ce que c'est que cette cbhose d'une étape ainsi allouée à une sorte de pré aux fées ? et d'abord : sommes-nous dans la mort fée ? devenons-nous en vrai dans la mort fée ? sommes-nous dans la mort des fées ? une fée ? nous transformons-nous , d ns la mort, en, 1, femmes "dédoublées", femmes données pour , 2, devenir fée, une fée, une fée ailée ... à tout jamais, ou : le temps d'aller pour ainsi dire sur ce pré, jusq'au muret dit "des données (ici) dernières" ? un trajet de fée agraire, de fée faite pour tracer = silloner la terre ou terre des fées = un pré ! On aime aller . On regza rde' les bêtesq, les "morceaux de verbe" , ce treacé, bêtes de trait treacées-dessinées comme à main levée par (de fait) des êtres du passé tel qu'oublié à tout jamais : le Verbe ? l'Herbe ? train de roche agrair e ? On cherche ... on cherche à toucher (en tant qye fée) à ce Verbe d'herbe, qu'est-ce que c'est ? ....................... du lait ? petit lait ? lait petit des peines ? On cherche ! On creuse ! on monte ! on ose !
Le Passé de porte. pamoison, et hop, on tombe ....................../................ on tombe dans la tombe de la raison ..................................... ombfre ............................. on sombre .............................. sombrons ! .................................... tombons "haute" ......................... haut des hauts hors nivrezaux ........................................................... honte ? .................................................. haut .............................. eau .................................................... le niveau de l('eau ............ de roche haute ................ de grotte de Niaux .................. grioote haute ........................................ une porte ................................... la mort ........... haute ............ mort haute .................................... haute Mort hors niveau ...........................................mogrt des Morts des Hauts NIveaux ............................................ cohorte d'animaux à pêaux ! chose haute = mort haute et autres fins de mots ................................................................................................................................... colle ............................ça colle à la peau ............... chalumeau............. chaleur haute ........................ fuseau ................ mots de trop : hop ! ......................................................
...................... ................/................ seau d'eau .................. corps ........... d'animaux -mots et autrzx bêtes-mots de roche haute ......... sein de pré ? selle donnée ? crins ? crinières ? ..................................././..................... on aime : le pré , l'herbe, les données prairieles et autres herbes printanières d'un treacé de fée .................................. fée haute ................................... fée du pré se place haute pour mater de chez mater la roche ornée ou ainsoi ornée de bêtes de porte ............................ buffles frais ............................................... ours des fées ............../....................../........ Bises et Bisonnées de près .......................................................... rennes et reins tracés ........................ accolées ............... sondés ............. portés .............. gracvés au jeté , au soufflet, au trait tiré, à la marelle ............................ jeu d'herbe ./.......................................................... pré aux fées aimant tracer et gagner muret, muret dit "des find de pré " et autres fins des fins de l'herbe " ............... fée ainsi allouée à une sqorte de parcours -santé vers une sqorte de muret pouvant laissr passer (qui sait ?) un certain nombre de "fée Des Fées" ainsi nominées ............. Fée D'HErbe .................... allez ! à toi de jouer ! ..................................... passe porte ! .......... sait-on jamais ce qu'il en serait , si jamais en vrai tu cherchaias à passer (de gré ?) la Roche , et à regarder , dedans, la porte passée, le dedans ! ce qui est ! ce qui y bouge en vrai ..... )ar exemple : ............ des nénés ? .............. oh en vrai ? .................... des nénés "de roche" ?................. roche aute ? /................ drôle de chjose ............... est-ce (vraiment) des nénés ? ....../........................ est-ce (en vrai) de ces nénés, dont on dit qu'ils sont pleins de lait, de laitb à téter , lait de vie ? .........../........ mais, les nénés de qui ? d'une divinoité ? déité lactée ? en vrai ? le Vit ? la Vie ? la denrée ? la vile denrée ? ou (au contraire) l'amie ? Vie d'herbe ? vie du verbe auto-engendré à travers le lait ? verbe ainsi décuplé ? reporté ? re-apporté ? re-accumulé en des Nénés post-pré, post jardinnet ? On veut toucher toucher toucher à des nénés post-pré dont on pouurait en retirer un certain nombre de données, concernant la vie. Est-ce que la vie finit ? est-ce qu'en vrai on peut dire icfi que la vie un jour se finit ou alors non, continuation, continuation sous forrme autre, transformation, centrifugation et transformation en horde de bêtes hautes ? on monte ! on grimpe haut tous les ni v eaux . On est haut et aute, haut animaux et hautes Bêtes aux mots , hautes et hauts . Mots hauts. Hauts mots, d'un ..... passé nouveau, du genre : groote, aux mots de trot.
24/1/2025
on veut toucher à ces nénés qui sont Nénésb pour ainsi dire des Données Frontales . On veut grave "y aller" , chercher, cer ner, comprendre ensemble ce qyi est qui devant nous qui sommes fée , se présente ou se présentzerait, ... pour nous adopterb , qui sait ? chercher = dire = faire = toucher, et nous , en tant qure fée, ce qu'on aime ici eh bé oui, c"'est cette chose pas concventionnelle , de toucher
cette herbe-verbe,
ce tracé vers les nénées et , au final, ces drôles de Nénés de Rage, dits "Nénés de Rage" , soit ces Nénés qui, ici -:même, fin de Roche, nous "arttendent" ou nous "attendraient" on dirait ! Lait post-pré = lait de Rage ou Lzit De ... Mage ! on est néesb ! nées Fée à jamaos en ce SAS ! On veut toucher de chez toucher à ces données post -pré, qyui donc seraient données des traces et autresvtracés à do nnées.; ON colle ! on veut coller . On aime aller de préférence ensemble (ailes soudées) et là, en ce tte szorte de muraille-centre, traverser de chez traverser , ne pas reculer, foncer et aller, filer, regarder, ne rien louper, chercher à pour le coup se rapprocher de ce qui se présente devant soi en termes de Romance , ici, de l'au-delà /
Une sorte de donnée de Rage
un Passé i,ntense
Bébé né
Bébépost-pré ça se pourrait ! On veut, ensemble ailé, toucher, toucher La Base du Néné, un tracé, TRAIT, trait des traits ... mais en vrai qu'est-ce que c'est que ce trait ? On essaie de s'en rapprocher afin de le juger, de le regarder, de l'observer sous toutes ses coutures, de toucher ce qu'il est ... qu'est-ce en vrai que ce trait post-pré ? qu'est-ce que ça devant soi est ? Trait des données dures ? chants de RAge avec monture ? cri de joie dans la toundra ? encolure ? blessure ? pointure ? On est ailé en vrai pour pouvoir essayer au taquet de trouver ce que c'est sans avoir à se casser le bout du nez mais au contraire trouver au plus pressé ce qui est dans ce qqu'on voit de cette Rage de Paroi Finale . Ce que c'est c'est ça : cette Rage .... on dirait ça ! On voit ça : la Rage post paroi. Le temps d'en Face, ce Passé des Mages ! Droit ! Ce passé de poids ! masse -mage , va comprendre ! On nentre ! on veut en vrai enteer et ne jamais plus se retourner mais vite tracer, ensemble (on est Ailes de fée), ce tracé frontal, menant direct )à cette sorte de "contrèe première" , première ou dernière (?) on ne sait mais en vrai voilà ce qu'on faitv : on trace ! de rage, comme le Passé ! on trace ici de Rage comme le PAssé, une sorte de tracé "outré", qui serait un tracé menant de base à ce ... fourré ? à ce .... bosquet ? à ce ... tracé des données vraies de type "fourragère en herbev" ... VErbe ? on cherche ! On na parfois le xsentiment d'y arriver, c'est-à-dire
à trouver, à cerner ce qui est, à se rapprocher d'une sorte de vérité, mais pas su^r tant que ça en vérité, car voilà, le langage parlé est langage de Fée ! fée d'herbe ! on sait cela et cependant ... on continue ensemble (ailes) à dire et faire, à pousssrr, à, pour ainsi dire, concommittament ttracer une sorte de sentier dans l'herbe jusqu'au muret , jusqu'au bout du bout des données prairiales . tracer = dire . Dire = tracer. percer = donner / Donner = conduire, jusqu'au muret, ces beêtes de trait qui en vrai grave (en quelque sorte) nous ressemblent . Elles sont "musquées", elles sont "grosses et fortes" . ON les aimme grave . On avance . On veut toucher à leur pelisse lisse ! On aime ces bêtes de trait . Ces Tracés animaliers. cette chose Rosse des prés ! Onn adore, on veut les ammener avec nous (fées) jyusqu'au muret dit "des finalités" et peut être du coup leutr montrer ce qui est qui là
semblerait avoir à nous attendre, à patienter après nptre arrivée . Mais elles, les bêtes de trait, jamais ne veulent traverser . Elles veulent juste rester, de ce côté-ci du pré, à brouter de l'herbe et ruminer et ... basta cosi, pour elles, pas bêtes, pas envie de se fourvoyer ou de se risquer à voir de l'autre côté ce qui se tramerait ! elles préfèrent l'herbe que le Verbe , ou un éventuel Verbe de trait , pas folles en vér(ité , elles aiment l'herbe fourragère, l'herbe des p^rés
et pas forcément ... le Passé post-pré ! tu cernes ? tu comprends le Tout, l'herbe et le VErbe, l'herbe mangetout, le Verbe "superbe", l'ombre des Loups ? On cherche ! On est née Fée sur herbe, à présent, fissa ! traço ns grave sur Toundra notre sorte de chemin de Charge, et creusons ! cherchons grave ensemble à ainsi trouver ce qui il se pouurait serait à comme nous attendtere toutes deux (main dans la main ?) au débotté, au tournant du pré, à la salade, au tracé-né pour promenade endiablée et autres sentiers de balade allouée à un endroit post-pré ! va comprendre ! v a donc essayer en vrai et pour de bon à y comp^rendre quelque cxhose à , eh bé oui, justement, cette sqorte de salade ... au firmament ! qu'est)-ce que c'est que cette chose Haute ? une Parade Musicale ? cordes ? cuivres ? des cymbales ... de Passage ? une sorte de musique "sarde" ? On est La Fée dite "du passage" ("du passage outré" ) d'un pAssé de foire (animalier) à un passé de Rage (contrôlé ?). On est Passées ensemble (deux femmes, ici, et de fait, accolées) pour gformer au final (sur pré) la Fée , dite "des contrebandes adoptées",
et là, en ce pré, on trace c'rst un fait, on vole à fond de cale, on appuie grave sur la pédale ! et hop, du Trognon ! on monte ! on monte haut sur ce tonneau, on veut toucher de chez toucher à ce qiui là se trame, en termes de Passé de CXHarge ! qu'st-ce que c'est que ce passé ? en quoi ça pourrait en vrai nous intéresser , sommes-nous assez coriaces pour en vrai comprendre ce Passé aux Données FRanches ? car, le Passé de Rage est Passé de TReaces ! traces de pieds , qui sait , post-muret! de petits pieds et autres traits d"'enfance ! On nveut comprenndre ensemble (fée) ces pieds, ce tracé aux traits, cette sorte de Passé d'enfance post-muret on croit rêver! Qui on est ? on est ... eh bé ....
des fées ! fées sur pré ! puis fée comme accolées à un muret "des Finalités" ! fond de cale, oui, car, on a tracé, on a voleté sans nous arrêter et on s'est retrouvées ensemble comme collées à une sqorte de Muraille, Façadee-Muraille, Mur d'enceinte sarde,
à une sorte de Cloison Frontale : .... le Passé ! oups ! qui sait ? Qui sait ce qui est, de fait, cde cette sorte de ... pAssé des traits ! traits d'enfance sa rde ? unj tracé, sur Paroi de RAge ? passé "bousculé " ? charge moentale ? monacale ? Passé-né ? On est Fée de pré, Fée d'herbe, on est La Fée de L'herbe attribuée à une bête sur paroi ornée, et à présent, on guette , on mate sévère à travers la flèche. On veut toucher parce que voilà on aime ça, ça nous va. On veut en vrai toucher de chez toucher à cette sorte de paroi post-herbe , qui serait ... paroi des Rois et Reines ? une sqorte de Cimetière aux données allouées à une Vérité des TErmes. on cherche . On veut trouver et pour trouver il faut nous avancer, passer le nez, un oeil, une aile, mater . Mater de chez mater cette sorte de "fenêtr sur le passé ", qu'estce que ça serait ? qu'est ce qu'en vérité ça pourrait être, de fait ? une sorte de ... Musette ? Chants dressés ? sorte de musiquette dont le nom gravé sezrait "Musette" ou sinon "Musettr" " .... Chants Donnés" ? chants des Tombes et autres tombeaux allouées à une sorte de PAssé en herbe post-kherbe ?On est Fée Faite pour creuser. On veut trouver de chez trouver , et passer ... OPasser de pied ! tracer, cerner, comprendre et contrôler les charges, au passage, si tant est. Ne plus jamais nous retirer de cette sorte de passage "olé olé" pour vainsi dire, et du coup traverser, passr de l'autee côté, côté Tracé, cerner ce tracé et essayer, si possible et sans traîner, de (pour le coup) cerner les traits les plus visibkes, compréhensibles, Cernables, jugeables. On veut dire : le Passage au Centre. Le chanter.
On voudrait passer en vrai vers ce Passé ok, mais ,
tout en passant "olé olé", le chanter, ou chanter "ensemble" son avènement, en ce t Ensemble Animalier de Contreenbande , qui sezrait Acté, qui serait .... une sorte (allouée) de pArade charmante, soit , de l'autre Côté en quelque soerte de ce pré des Prés ? hum ! Pas dit ! les bêtres (pour le coup) se plaisent ici, et jamais ne veulent (elles)- traverser, la Roche finale, s'échapper, passer outre pré, jamais il selmblerait ! Alors voilà pourquoi on se dit ou dirait, ici, que voilà, on est là, on mate, on est à deux doigts de la fente et là, on fait quoi ? on trace ? on entre ? on cherche à ensembkle s'immiscer de rage ? on est ou serait accolées parce qu'on est Ailes et que , étanjt Ailes, on est accolées = soudées à une Charge dite "des fées" de type .... Passé ? on cherche le trait , trait docte, de passage Haut. On veut en vrzai toucher à ce ... tonneau gros, de bout de Paroi Haute. On monte. On veut aller au plus lointain possible ensemble en ces contrées. On ne veut certes pas lambiner jamais, mais tracer, creusern, filer, cerner, toucher, controôloer ce qui se fait, aller de chez aller en ce muret = traverser de chez traverser sans nous retourner, et chercher de chrz chervher . Qui connaît le post-pré ? l'antiennhe ? les chants post-herbe ? On aime. On veut aimer . en vrai nous on aime. Ce qui est qui est , et nous plaîot = l'herbe du pré, les bêtes tracées (gravées au piolet). les Herbes à brouter. L'herbe verte du pré. On aime assez, mais voilà ... on est méga-méga-intriguées ! on veut toucher à ces Nénnés dits "du Passé" comme s'il en pleuvait (en pleuvait du Passé). Et du coup, nous voilà toutes chose , drôles, comme soulevées, toutes tracasszées, bouleversées, remuées, on veut toucher ! toucher au passé ! mais comment ce Passé aux Nénés (vrai ?) arriver de fait à réellement le toucher en ce qu'il est : Lait !, comment en vrai ? comment faire pour cerner-toucher cette chose, d'un Passé "Surnuméraire" ? qu'est-ce que c'sst qu'un Passé dit ... "Surnuméraire" ? Passé "outré " ? Passé des Passés ? Passé denté ? Passé sorti de son Tracé ? qu'est-ce que c'est que ce Passé "de Chambre" ? une sorte (à nouveau ?) d'enclave (antre) de Roche ? Bulle d'eau ? Caniveau ? on cherche fort ! on veut toucher = dire .
cce qu'on veut pour nous le plus, c'est de construire, ensembke, une Cloison de Convenance, Mur du Son, Entrailles à Passion, ey co:mptendre . Qu'est-ce qu'on peut comp^rendre ? qu''st ce qu'ici (post- pré ?) on peut ou on pouurait arriver à comprendre de près ou au plus près ? La Rage ? Rage-trahison ? la france = le français de Pont ? L'enfance ? enfance à moisson ? On entre ensemble, on creuse en façade, on passe le nez, on mate la trace, le Passé, Néné né, l'aubade . On est ... eh bé ... née sur place ! en ce "post-promebnade'-sentier", treacé des fées, trait des TRaits jusqu'au Passé dit "de contrebande" (ou ... on l'a dit : surnumerairement comme alloué à une sorte de treacé de Rage, post-pré, qui sait ?) . On est entrée. On mate l'Ambre. On veut toucher. Touchons l'ambre. On aime toucher alors voilà, on ne s'en prive pas ! On veut cerner -coller-comprendre-saturer de traits, à njotre tour, ce dit pa ssé "des alentours". On dessine des traits. On a la main levée. Transe ! transe au taquet. Pertes de fée. Charge allouées à un Passé de TRaitsz . Pertes séches. trait des traits sur Passé sans Herbe ... mais avecd ... des Mets ? Denrées ? Dons de lait ? on touche aux nénés. On touche ici à ces nénés de trait, trait comme acidulés . On est nées sur pré à la retombée on le sait , et nous voilà quitraversons de Rage ce "fourré d branches", pour du coup "ensemble"" (2 femmes pour 1 fée) nous trouver ou retrouver de l'autre côté, à mater l'Ensemble ... l'Enfance ! ce Passé de contrebande enfin ciblé. Cette farce. Ce passé hors muret ou le muret passé ou traversé. Trait d'enfance sur Passé en France (on le dirait, vu les membres et autres traits donnés en contreba,nde). Traits ! fée ! charge ! cris ! ombres ! qui est là qui veut ici nous comme attribuer le Nom de fée de sa Rage-Verbe , qui ? On aimerait, nous-mêmes, le trouver, ou le dénicher. On aimerait en tant que fée de Cimetière(?) trouver. Trouver à toucher, à toucher-accoler, dire et faire, cerner, ne pas perdre, ni tomber, mais aller et continuer à creuser dans l'herbe (en premier) un sentier, puis, post-herbe, ce TRacé nacré ainsi attribué on dirait, par des mots de bêtes, qui sait ? On chervhe à tracer. On voudrait arriver ensemble à mieux cerner ce qu'il en est de ces nénés dits "ajoutés" à un passé nacré. on voudrait c'est sûr ensemble trouver ce qui pourrait être, qui nous soit "donné" de base pour nous enchanter, nous donner des ailes si jamais . on ne veut pas laissser tomber en quelque sorte nos recherches en herbe mais tout le contrzaire, continuer sans arrêts à chercher ensembgle (ailes de fée) à comprendre, ou cxhercjer à comprendre, ces données post-herbe ou post-muret à quoi ça ressemble . Car, quand même, ces données, cette sorte de treacé nacré, on a comme une vague idée à quoi de base ça pourrait peut-êtte reseembler , et donc nous indiquer (qui sait ?) la voie ou le chemin à suivre pour mieux s'orienter en ce Passé des traits, ou dit "Passé des traits " ... "bêtes de TRait" ? on cherche . On ne lâche pas ou plus l'affaire. On y croit. On veut tracer sur pied le dessin de l'ëttre, peut-êtte. Ou szinon de cet "ëtre des Eyttres" , Le ... Bison ?. tracer Bison = tracer net la Chose des Monts ! outre-parade. On nveut comprendre = on veut ou on voudrait comprendre ensemble, les données de RAge ! tracé-né =
vcérité de passage". On veut toucher parce que voilà, toucher = charger = cerner = traverser = téter à ce néné des contrebandes ajoutées. Creuser = dire = faire = penser = comprendre = exposer du Verbe sur l'Allée des Fées. Cerner = dire = porter = toucher. On veut grave (nous), toucher de chez toucher ... le N2né post-pré = le Passé . LePassé post-pré = le Tracé des Fées = bêtes-de -trait et autres bêtes des moissons. cerner-toucher = dire allouer.... à un muret, Passage d'entrée , vers MORT PERSONNIFIée = Colère ! la colère à jamais , en la mort entière ! contrée -née au pa ssage tracé post cimetière, on est abonnées ! On ntrace grave. On touche l'Ambre. on aime coller. On veut avancer. On entre dajs l'aNtre aux Nénés et là .../ vite, tétetrr !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! téter de chez téter et ne plus se retourner ! l'enfance , le Passé donné, la Chance, Trait des traits post-pré comme "donnés" en contrebande par ... Néné ? un néné ? lait ? lait-Passé ? passé-lait ? du passé sous forme de lait ? ou du lait du passé ? passé trtracé ? On est "alimentées" de lait de France (transe) , on veut téter de chez vtéter, treacer-téter, téter -tracer dee ce lait "français " (du français ?). On veut toucher toucher toucher toucher toucxher toucher à ce Néné "français" tu penses , un trait ! oups, avalé ! ça rentre ! ça entre dans l'antre ! treacé-né sur pré de France , qui sait ? mais la France n'est opas le Français ! Charge-née sur paroi aux fées. O n est entrées, on a regardé, on mate = on a maté, on a touché un tantinet (à l'ambre) et à présent on se concentre ... sur Néné ! ce trait ! ce Passé dit "des traits alloués à une Façade : face de fée ? ". On est entrées ensembke et nous voilà toutes remuées voire sidérées par cette chose en face qui à nous ici se présente toute éberluée ou contrariée ... MOrt MOrt donnée ! mort des Morts données ! données des données! On veut toucher à ses Nénés ... car , la mort (vrai !) a des Nénés qui sont Nénés dits "du Passé / a&lloué à une Vie" ! tè ! La Vie ! tu m'as compris ! rire chargé sous mise en pli!, cape et bonnet. Cri ! On est née La Fée, on veut toucher à ce Néné, des Données Coriaces. Ambre ? Honte ? oMbre ? Homme ? Mer ambrée sur passage d'antre, vers ... densité ?,intensité ? trait chargé ? pets ? pet des pets ? oh, on ne sait ce qui ici en vrai EST. Qu'est-ce que c'est qui icfi EST , de fait : un pet ? pet des traéits ? trait des pets ? pépé ? On guette ! on cherche. Qui on est ? le pet ?. qui on serait, car, onn ne sait en vrai qui on est sur herbe, szur pré, puis le pré passé, qui on est le pré ou la prairie aux bêtes une fois passée, on aimerait grave le savoir en vrai , qui on est , qui on est pas, à quoi on ressemble vu de là, là-bas, l'A,ntre, la Post-paroi Face. On entre dans l'Antre. on veut toucher à ce qui se présente et du coup miuex comprendre les données (vraoment ?) finales.
On est entrées un jour parce qu'on le voulait , et c'sst là qu'en vrai on s'est dit que nous, on avaiy grave envie de creuser, de creuser profond, toutes ces questions de vie et de mort, parce que nous, ce dont on a de fait super envie c'est ça, de cerner au plus ^rofond les choses frontales, les données qui se présentent au fur et à mesure que le temps passe et qaue donc "ensemble" (pour ainsi dire) on en avance, on creuse , on cherche, on touche,on touche à des notions toutes plus "denses" les unes que les autres si tant est. On est Feée -femmes au tr cé, on est entrées et du coup c'esest sûr que nous on a méga-envie d'en avancer le plus possible au sein des connészan ces , et mieux comprendre un Tout, qui est ce Tout ... des données intenses, des données de Rage, des données denses intenses de La mort Donnée de pareille Co ntrée. On a envieb ensemble de peut-êtte plus se projeter que ja&mais, en cet antre aux données données de type : "données denses", " Données Intenses", ou "Données des Données des Données de rage"; Car, voilà, on a pour nous de vouloir ça : coller ! coller aux Nénés, aux Nénés du Paszé ou, disons, de ce Passé de Contrebande ici rajouté, ou comme rajouté , genre Passé Allouéà une Contrée dite "de la Vérité". Un passé = une contrée. ET ce Passé "surnuméraire", est un pASé "en herbe " post-herbe. disons : La Contrée Céleste. Passé-né post-cimetière et autres terrrs araires arables. on cherche ce Passé ici (hors cimetière), la mort ainsi entérinée. On cherche ou on chercherait. on a besoin d'herbes du pré pourven avancer (= le Verbe") et du coup on est à sans cesse ruminer, mâcher, manger ou brouter de ce verbe ancré à jamais qui est Verbe des prés ; pré-Ailes ? ou pré-prés ? ou pré-elfes ? on est nées fées sur pré la Mort intégrée, à présent on essaie ensemble de nous rapproxche"r d'une sorte de Présent-Passé, d'une sorte de Passé-présent, qui pourrait ressembler (qui sait ?) à une sorte de Tourmente de données toutesrassemblées, genre ... tourmentes allouées à une sorte DE donnée de RAge sur-alimentée (?) comme qui dirait. On entre en cet Antre aux données tracées. Le muret est muret de taille. Il faut pouvoir le traverser et sans s'esquinter au passage, c'est pas gagné. On veut passzr ledit muret, sans (si possible) s'esquinter vla face, ni la face ni les ailes , ni rien , car, merde , on veut rester de base Fée pouvant voleter sans entraves ! On aime voler. On veut pouvoir continuer à en vrai nous envoler commê à la pa rade, en ces contrées des promenades pré-passé, puis au delà du pré, en ce Passé des Convenances explosées ou sinon explosées, bousculées, mises à pieds, re tracées;. On est nue ! nue de chez nue ! VERbe nu du Passé connu. On veut aller, sur roche profonde , nue. On veut aller nue sur roche profond e. Nue de chez nue on voudrait tracer ... vers gorge profondee? trait des traits ? Nue de chez nue : tracer ! pousssrr, dire et cerner . On est la Fée du pré qui est passée, et qui (à présent) veut cerner
lkes données des Roches, ce Passé de Poche : outre aux données Rosses si tant est, qui sait ? on est accolées parce que voilà, on est des fées, et les fées ont deux a iles qui sont accolées à une sorte il semblerait de tige filetée qu'on dirait ... du Verbe ? peut-êtecpas, disons ... de l'herbe ou quelque chose comme ça ? herbe ?????? on dirait pas ! plutôt ... du verre, tu crois pas ? verre d'elfe ou autres êtres ici transparents, comme ... eh bé oui, du verre, eau de l'ëtre, voie comme donnée de Rage en na&ge ! On voit ce qu'on voit ! On aime ça : la Rage. On veut c'est vrai ensemble ainsi ailée : comprendre dans le sas, comme découvert, toucher, t§oucher aux Nénés, aux Nénés du passéb ou du passé de contrebande ainsi passé, le passé dit "passé... comme en contreebande" , via ... ce trait ou trait alloué à la ... cxhance ... de pouvoir ainsi (fée) passer ! traverser, faire ainsi comme un saut de carpe ... en ce Passé de Chambre ! on entre ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à c e qui se présente ici ou se présenterait (pour ainsi dire) à nos acabits ! drôle de denrée : du lait, comme s'il en pleuvait ou pissait , dingue ! on veut téter ! téter de ce trait ! de ce lait de trait, de traite post-pré comme qui dirait, en vrai, s'il (si elle) voyait ce qui ici est, qui se présente à nos yeux tout éberlués ! onn est nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! sur pré puis, au-delà du pré, re-nées ! comme acidulés , prêtes à rencontrer (qui sait ?) le Dieu des F2es il sembvlerait ou comme qui diraoit. On veut toucher tpucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette sorte en soi de DIeu de l'au-delà à soi = (ou égalerait) ... un ... TRAIT ????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????? trait du milieu ????????????????????????????????????????? trait des traits disposé en ce milieu pour ainsi dire des dfonnées frontales ?????????????????????????????????? treait des traits tracés au milieu ??????????????????????????????????????? trait-fente ? trait-d'antre ! entrée d'antre ! trait de F2e sur ventre ? V ? ........ qui le sait ? qui sait ce que ce V est ? une sorte de passage vers ... l'enfance ?
hein ?? Trait des rages du Passage Ancré ? on est la fée et à ce titre on veut cerner ! qui on est, et aussi qui on est pas. Ce qui nous fait tracas c'est ça, cette chose, à déciscerner ici ou déceler là, devant soi. qu'sst )-ce que c'est que cette sorte de paroi "finale" ? qu'est-ce que c'est que cette sorte en soi de P aroi post-pré, au-delà du pré, au-delà de lamort "Des rois et Reionnes de Sa&bba", ce passage étroit, cette fente d'antre, et du coup, cet anttre , cet Antre de Poids, CHarge, Temps, porte des temps, Enfance en France, Tourments de chez tourments. On est La Fée Passée. Oon cherche à entrer en ce trait ou par ce tra&it donnant sur ... le Passé, qzui sait? d'une sorte de vie allouée à une sorte dev donnée intense. parade. Cavalcade. ¨romenade chahiutée ou un peu dér a ngée. On entre ! ça nous plaôt. On croit comprendre ce passé ce que ça pourraot, peutetr , etre, à nos mirettes , ou peut-etre, qui sait ? à qzuoi sur pieds ça pourrait re'ssembler. On veut toucher de chez toucher à ce Passév surnumair". Le cerner = dessiner = tracer =composer = inventer le Verbe aux données en herbe. On veut toucher à ce Néné poszt-cimetière, Néné Né pour être tété par une sorte ici de Fée des données, des données en herbe, genre .... Fée Faite, Fée-Bête, Fée-Bête de trait, ça se pourrait (on cherche). qui on est ? peut-être en effet une bête des prés : sautere"lle ? non .... plutôt bête de trait ge,nre bovidé, bovidé des prés, à pâqueterrttes. On éime ! on adore tous les bovidés et autres bêtes à corne. on aime beaucoup beaucoup les bêtes. on adore les bêtes dites "de paroi", on aime ça. On adore les bêtes de roche et autrs bêtes ornant de leur tracé les parois de roche. qui on est ? néandertalienenes "visitées" , "visitées par les fées", ne cherche plus / O,nest nues de chez nues ! cul nu ! feée d'herbe sur le cul on pue mais qu'est-ce qye ça peut faire ... puisqau'on est ve"nuesz ! on est maigres ou pas maigres mais nues ! qu'est ce que ça peut faire .... eh bé, qu'on soit maigres ou pas maiogres, puisque voilà, on est nues venuesz, ou venues nues "tout près de toi, chevelu" ! post-cimetoère, cul nu, on monte. On est groosesxd'Ombres ! On monte. ON aime être nues velues. Grosses ou pas groosses qu'est-ce qye ça êut faire : on monte ! On veut grave aller , au plus haut des cieux , côté "le mieux" = sur Passé . tracer. faire. Dire. Complaire. Séduire. pOussser. Combler. CHarger. dire. Entrprndre une sorte de Parade. CFomprendre = cerner , les nénés de prés. nénés nés de contrzbande. un certain Passé. LA Chance en cjhambre. Trait tiré. Coup donné. Fente ! Ventre ! pré ! vent de face ça le fait : pet ? qui sait ! notre chance ! on est née sur pré nous voilà née, cette fois-ci, non plus fée mais ... bébé ! grave ! le B2bé des rages, un bébé de Rage ! THE bébé né post pré comme à la parade ! Bébé né de base "remuante" . Trait ! un trait, voilà le trait ! trait de souffrance ou de non-souffrance mais trait, rage au taquet, trait de rage dense, un tracé nacré = la CHance ! pezrmettrz que je vous embrasse, s('il vous -plâit ! on danse ? le néné ! un néné ! un néné sur pied s ! genre: treait des traits qui sauréit de fait nous comptendre, et auxssi nous aimer sans plus de simagrées ! oh, on aimerait ! on voudrait en vréi être née sur place (post pré) en tant que "Bébé étrange" il semblerait mais (pour le coup) aimé ... ou sinon aimé, adopté, ou sinon adppté "reconnu" comme étant le B2bé aux données tracées ... sur P°ré des Traces et autres tracés "de reconnaissance". Ici le bufflet, le bufflet cendré, là la Méchante Fée aux gros nénés, le Bison arqué, Chevaux Donnés, Chevautins traqués, Buffles au drappé, Antilopes-bouquetines, bouquetins au frais, Vaches à lait, vaches des prés, Porcs amidonnés. O,n veut tloucher à ce qui ici on dirait voudraiot grave, à nous, se donner, mais de notre c^pté, veut-on, tant que ça, aimer , aimer toucher à ce drôle de muret aux données profondeqs ? on dirait que oui, quand même, il semblerait. on dirait qu'en effet on a super envie ici , de cerner des choses qui se passzerait en cetespace (post-muret) des contrées (ultra-profondes) hors roche ou rocher, au-delà des ombres, des ombres portées ,
sur un mamelon, ou genre de ,
mamelon d'un téton. tracer grave, porter, chercher, cerner ou du moins tenter. Qui on est sur pré ? la fée. Et, le pré une fois passé ? la post-fé ! fée cpommme transformée (dès lors) en ... post-fée ! oui mzis encorex? eh bé cette chose d'une qsorte de transformtion, de roche, de porte, de porte de roche . Un tracé ou trait (outtré ?) qui serait (ou est) le tracé ... d'une porte ! porte aux fées" comùme qui ndirait. Passé des p âssés ! Cages allouées à un ;Passé de Roche comme passé (sous roche ?) de l'autre côté ! Cerné, poussé, donné, contrôlé, alloué, passée sur pieds et comme consacré ! On veut toucher de chez toucher, dire le dire, poster, creuser, bousculer ce dit "passé" de poche ! le tracer comme à maéin levé et sans trembler (pa d'anicroches) sur muret ou mur de Roche consacré. tracer = donner = dire = poser= connaître =
comprendre ensembke un cvertain niombre de données de chambre :
le Passé est ... E,ntrée de base
Le Passé est ... donnée docte
Le poassé ... etc, sur "post-pré'-toundra" . On voit ça . Disons qu'on commence, ensembke, à comprendre le Néné de Base, Sein donné, ce que c'sset. Parce qu'avant (avant avant) on ne comprenait pas , on cherchait grave (desheures durant) mais rien à faire, quand ça ne veut pas ça ne veut pas. On voulait en vrai grave pouvoir comprendre, c'est-à-dire cerner, un c ertéin nombre de données "de référence", mais voilà, on y arrivait pas, on était ... ultra-méga motivée c'est vrai mais en vrai ça ne suffisait pas, on éztait toujours plus ou moi,ns dépassées, et, on se creusait de fait les méninges pour en abvancer et treacer et filer et nous repérer en ces contrées dites "de la mprt à l'oeuvre" (un pré, une sorte de pré) . a présent on se permet... de toucher NéN2é ! tu le sais ! le Né,né des Rages ezt autresColères de Base. Rrage-née post-pré tu penses, on sait qui c'est, qui (de fait) est en rage, enragé , on conna^t ou on le connaît . cettz sorte De passé dxe F(ance ... à cracher ! rage oléolé que dalle ! tracé né sur Passé deVentre , pas donné , pas vraiment donné : chereté ! mets tracés = LAIT ! LAIT DES LAITs ! LAIT DONNÉ CFOMME EN CONTREBANDE PAR UN DIT "NÉNÉ" DE CFRANCE = LE FRANÇAIS ? ON NE SAIT ! ON EST EN SOUFFRANCE ! ON VEUT TOUCHER-COMPRENDRE = CERNER = POUSSER = CHARGER =
FORCER LE BARRAGE, PASSR, ET LÀ, CERNER REG
A RDER LESDONNÉES "INTENSES" ON DIRAIT : CLARTÉ, LUMIÈRE DORÉE, EMBRASADES.On aime tracer = donner à qui est, ce qui en nous semble vculoir "monter " ... trait de Fée . On veut (voudrait) aller (tracer) vers Néné ! Néné d'Ambre = the Néné . néné né comme à la pa rade,; en ces contrées des post-parades et autres cavalcades olé olé d'animaux de charge (zigottos). On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucjer tpucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher de chez toucherb= donner ! donner de chez donner ...
les données de roche, et, en échange,t éter ! téter de chez téter, à ses nénés , à ces nénés de poche, poche d'ombres ! téter =
donner =
faire =
dire =
comprendre un certin nombre de données toutes (il semblerait) de contrebande .
Qui c'st ?????????????????? c'est l'ouvrier. Le gendarme. Le plombier ou le menuisier. Le Passé chargé comme par la bande des données de base et autres denrées bien disposées su r un muret des ditesc "offreandes octroyées". Manger = donner = faire = combler = dire. Qui est là pour nous parfaire ou comme nous parfaire; qui vgoit ça, la peine, les souffrances agraires, les tracas de soi, misère et paroi, la panse, l'offense, l'ombre des voix, le port d'accroche, la Nouba ? on cherche de base. On y croit parce qu'on est franches. On veut comprendre = toucher à ce qui est qui se présente à nos yeux hébétés, ouverts en face,étonnés. Quoi on est ? bêtes de la joie d'en être! d'être parmi des bêtes ! bêtes de la jpie à naîtr bête ! joie intense ! transe ! portes ouvertes ou toutes portes ouvertes ! grand passage de têtes ! naissance ! connaissance ! reconnaissa,ce ! sang d'encre ! on y croit. On veut toucher ma foi la Panse en transe ! tracas-roi ! porte close ! potage et autress soupes froides ! falbala ça le fait pas ! comment comprendre ? qui
chercher ? qui rechercher ? à qui s'adresser ? qui emmerder ? qui soeaouler ? qui prendre en vrai ici comme à partyie ou pas à parytie mais à part, et le sommer comme qui dirait de bien vouloir se prononcer ? qui ici ? on est née fée et, du cfoup, on a envie pour ainsi dire de se promener (ensemble) sur le pré et sans plus se faire chier. On est "fée des prés", on se proméène olé olé ou pas olé olé , qu'est-ce qu'on en a à faire , d'être ou ne pas être olé olé en ces contreées "de cimetière" ! On est fée faite pour fêter les Rêves ! rêver et fêter les rêves , fêter l'herbe. On vgeut toucher toucher toucher toucher à ces nénés tracés post-herbe, post-muret ... mais alors où tracés ? sur pieds ! ok mais ouù sur pieds ? eh bé ... sur Passé ! sur une sorte de Passé pâssé, passé sur pieds, passé des passés ! contrebande franche ! contrebande franche ! chère contrebande ! un passé pâssé (de fait) comme en ... contreb nde franche, intense, énervée ! fée ! fée ! fée de Franche contrée ! ambassade des tracés nacrés ! intenses ! faits sur pieds et du coup redressés (comme à la parade) sur muret de chargepariétale, genre "moufflets", genre "bouquetines", genre "big bidson" et autres bêtes à mamelons. On entre. ON rentre dans l'antre. On est bien armées ensemble . On veut comptendre alors on s'arme ! On veut toucher à ce Néné xdes COntrebandes, et y aller : poussser, pousser, poussser, pousser, poussser, pousser autant qu'on peut , charger, cerner, aler , donner, faire un voeu (voeu pieu ?) et se poster au-delà du muret, dans l'atente d'une vérité" qui de fait nous serait allouée ... comme aux petits vieux ? ça fait rêver ! bé ouiais, qui sait , ça se peut ! ça peut en vrai le faire (grave) à nos yeux ! commr à la parade ! voeu de rage ! On est deux = noeud ! on entre ! on entre "entre". On entre en ce feu. feu d'antre. On entre ensemble en ce feu des Rages et autres Colères de base (d'un dieu pieu) et on regarde. qui est là au beau milieu (plein centre) ... Dieu ? le Vieux ? le passé du pieu ? l'antre de naissa,ce ? qui dit mieux ? On entre ! on est "deux" , "deux de rage" qui voulons comprendre et .... cont^roler la Rage ainsi allouée à une Contredanse sur Passé. qui , en vrai, on est ?qui ? ......;...................................................................................................................................................................................................................................................................................... AMBRE ? ........................................................ AMBRE ?................................................................. AMBRE ? ........................................................................................................................................... Fourne d'(am bre ? ......................... on entr ! on entre entre !onn entre dans l'antre entre . On veut comprendre ensemble les données de l'antre. On a envie de base de comprendre ensmble les données de l'antre, et du coup grave en avancer, au-delà du muret, passer , pistonner, nouds retrouver de fait de l'autre côté pour mieux cerner ce qui est qui se présente à nous "avec ses nénés" qu'on dirait ... des genoux ! hou ! genoux de gnous ! On entre , on regazrde, on se fait une idée, on cghehherche à comprendre-cer,ner, on mate. On est ensemble ou iun ensemble : plutôt un ensemble, ensemble ailé (une fée ailée) et voilà , on danse ! on est en transe ! on veut creuser à fond dans les connaissances et tracer, tracer sur pied tout ce q'ensemble on croit deviner ou pouvoir deviner de ce qui ici, en présence, ou en notre présence, semble se dessiner
en face, traits, traits des traits, trait s de Rage et autres Colères "IMMENSES" , on sait, on est conscientes ! on a compris grave le blême il y a belle lurette ! certes ! grave certes ! On entre et du coup voilà : on mate
🤑
Traits
traits d'ombres allouées à une roche ornée
traits de fée
traits très appuyés pour rester
treaits des traits cfomme s'il en pleuvait = pluie , et le tour est joué
traits actés = gravés = induits
post-pré (hé hé) on dirait !
ça plaît. Ç envoie du bois. Ça envoie grave ici du bois de là ! charge, porte, poste, trône, porte-à-porte. On voit ça. Toute une cohorte de "Rats gras" ... Choses d'ici bas , on compte : un , deux, trois, les voilà changés (ces rats gras) en Fée de par(oi, wouah ! ça envoie ! ça trace ! ç a commande sa loi ! c'est bath ! On aime ça. nous vpilà en face qui voulons connaître, eh bien ... Vent de Rage et son COnvoi (tant qu'à faire). POids. POids de roi et Reines. Poids-roi, poids-reine. Pèse-maigre, pèse-rat , chants des toundras et autres plaines : la la la la la la la la la la la la la la la la ;la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la lz et aussi : ka la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la , et eaussi : la la la la la la la la la la la ka la la la l la la la la la lz la la la la la la la la la la lab la la la la la la la la la lz mhn lla la la la la la la
ça envoie ! ça grave envoie du bois ! = trace gr ve! traits de foi ! fente ! fente large et voilà, on passe ! on entre, on veut ça ! On veut ensemble si possible aller au plus profond e,n ces contrées et n e plus remonter mais gegner les bas-fonds, les bas-fonds de roche, tracer, aller, cerner, pister, essayer de toucher à ce ... eh bé qui sait ! néné de l'ombre , de l'ombre allouée à une roche ... pré-pré,, puis post-pré ! On compte :
un deux trois soleil, la Roche !
pré, pré né, pré aux fées, pré acté, pré d'herbes nacrées . On compte. On veut ensemble (qui sait ?) essayer de ne p^lus (ici) nous arrêter pour compter ou comptabiliser mais ... essayer de touchezr les sortes de "nénés de l'ombre" , et dcoup comprendre, cerner les nénés = les comprendre ou alors (peut-etre) essayer de "visoionner" à travers la roche ces nénés, comprendre -visionner ? On ose ! On passe ! on prend un peu d'avance . On veut toucxher parce qu'on se dit que de t(oucher n ous fera "grandir" à jamais ! on se dit ça. On est là pour tenter une approche de roche. POur : gravir cette roche, monter hzaut sur roche, tracer. Léviter. Qui sait ? lévitons ! montons ! creusons, ensemble, cette cloison ou da,ns ceyte cloison, des sortes de passages "ronds" par où ensemble nous pourrions peut-^tre, passer, cfomme rn contrebade, jusqu'aux nénés, ou à ces dits "nénés" du coup "de contrebande" , on sait ! fait avéré ! trait des traits ! charge ventrale. On erst nées sur pieds la mùort ainsi "traversée" (disons :
le muret
le pré
à nouveau le muret
ROTONDE À MURETS
Charge "dr(ôle", haute : ponton ! on ose . On monte. On creuse. on envoie. on veut toucher à cette sorte de paroi des bases latentes et autres ressorts-roi. Fente d'antre : wouah la Voie ! Voie de l'aNtre ça envoie ! quelle chance ! une sorte de chance (sa chance) à prendre ! Antre des antres on voit ça ! quelle cha,ce on a ! mais "on a su la prendre" ! Un antre de Roi et REine de l'au-delà ! ça envoie du bois ! grave ça envoie ! promenade grave ! charge de face! pastorale! On veut toucher toucher toucher; parler parler parler, donner donner donner, dire dire dire, cerner cerner cerner, conduire cionduire conduire, oser oser oser, et du coup se poster au plus près de ces (dits) "nénés de rage" ainsi "rencontrés" comme à la pa r ade post-muret; Qui l'aurait pensé ? qui eut cru trouver (en ces contrées) pareil n éné tout dévoilé et prêt (du coup) à téter ! car,
on aime ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ téter ! grave on aime ....................... téter ................................. dingue même comme on aime ici (La Mort) téter ! ............................. amour -haine et cependan ........................... vive le lait ! le lait des contrées "mortifères" (?) comme qui dirait on dirait ............................ fée agraire ! .................... fée des fées allouées à du post-cimetière aux denrées lactées : bière galactogène ? sein donné ? lait de trait , ... passé ? hé ! qui sait ? on cherche ! ce passé........................ qu'eswt-ce que c'st ? ............. du VErbe ?................. ça se pourrait ! que Le VErbe soit lié, à cette chose ici donnée, Herbe ! herbe de pré ! herbe acidulée ! lait et herbe ! .............................../............ herbe verte s'il en est , toute broutée ! ................................. treaits des treaits en herbe verte ! ........................................................... on aime, on veut aimer, on aime aimer, on aime l'herbe comme dxu verbe , dingue ! ......................................................................... vive l'herbe et le verbe , de la mùort en herbe ! piètre ? traître ? verbe piètre et tréaître ? qui sait ? on cherche ! on ne dit pas qu'on est maître ou maîtresse, desdites contrées ! on se tient en retrait, on"gère" ! on essaie (du moins) de "gérer" à ce qui est, en ces contrées, qu'on se devrzit ou doit de faire sans traîner mais tout le contraire , à fond la caisse ! sans chercher forcément à plaire , on veut tracer ! l'important c'st d'aimer : tracer, filer, ne pas traîner, pistonner, poussser vers , etc. , et du coup .... eh bé certainement, en avancer ! tracer de chez tracer ici en direction de ces nénés, de ces nénés de roche (post-roche) du Passé Recomposé ou disons re-né , ou comme re-né. On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce passé dit "recomposé" si on pouvzit, mais en vrai, peut-on ? peut-on en vrai toucher à ce P assé dit "recomposé" ? et du coup ... téter ? car, on aime ! oh grave on aime ici téter, lait de mère et autres laits de bonne mère ! On aime ! grave on aime ! on aime téter ! sucer du lait, s'en gargariser, s'en foutre plein le gosier, ne pas s'arrêter dee téter pareil lait ... de roche de Rêve. téter = téter = braire ! Oh, on aime ! grave on regarde! douces on traîne et du coup on guette et du coup, houp, on se jette, sur pareil néné aux données intenses . Traces de pieds sur paroi donnée. Pré acidulé la paroi passée. Muret. Muret de fond de contrée. Et à nouveau qui se présente comme un fait exprès : le muret , la Roche, Roche haute = tombe ? peut -etre pas si vite , ou quoi ? Roched'or ! Vent de Port ! corps du Nord ! Ponte ? pont ? on monte. ON veut aller jusqu'aux Nénés "de porte". Les toquer, leur donner du nôtre afin de les téter et pas à moitié ! haute roche des prés = muret des finalités. On monte. On ose monter. oN est née, sur roche des prés, pour en fait pouvoir monter, ainsi monter, jusqu'au ... passé de Roche ainsi rencontré (ainsi et ici) : Porte d'entrée !Pré Paszé puis le Passé à nouvreau posté ou disons "posté" cfomme qui dirait. "Post" de porte. On monte. on aime aller pour ensemble creuser ou voir à creuser la roche. On monte ! on ose. On veut
toucher de chez toucher aux Nénés des Rosezs
Toucher de chez rtoucher aux Nénés des Roses
Toucher de chez t§oucher à ce Néné de rOche.
qui est qui en ces contrées ? le VErbe est né qui se propose de nous diriger, ou guidr, ou accompagner ... une Vie durant ... jusqu'aux Nénés allouées au lait, Lait Vivant. On veut toucher troucher toucher toucher tpucher toucher tpucher toucher toucher tpucher toucher toucher tucher touchezr à ce Néné des vents et autrx Pets de près ! ça le fait ! traits ! ça le fait très ? trait des traitsz ! couvent ! sentiments condescendants , forces hautes, vents doctes, saints dansants, saintes roches aux tourments , parole et carriole, train avant ! On monte. ON monte hautes. hautes on monte. Vents. Frai. Traits. tracé. Pertes de données mais on s'en fiche on est passées ! fée ! ..................../... devenue bébé, ou rebébé ! ./........ on file ! ...............on garde la fiche ! o,n garde ce qu'oon peut garder : la fiche ! vive l'affiche ! le trait ! la boisson dorée ! amidon ? anis ! anis étoilé , champignions ? on vibre .................... on aimerait grave duerer : durons ! allons ! montons ! chervho ns ensemble à
tracer de chez tracer
autour du mamelon, non pas un baiser, mais une sorte de tétée de lait ! lait tracé ! trait de lait : contrepoison ! fond ! don ! pont ! pont des ponts de Roche Haute .... possédées ..... soudée à une sorte de Parole HOt, genre obscénités et autres traitsz tracés au piquet ! porte ! haute ! roche ! croche ! morte roche des données de porte ? ou roche morte des données de corps ? on ose ! osons ! portons loin notre farandole comme à l'iunisson et filons, gagnons au plus lointain la roche terminale, trait fatal, CON, porte, hzute porte de roche, CON d'homme ? haute roche des données de porte. ON monte. ON monte sur Ombre. Ombre morte. Chair de ROche HAute . Crotte ? On monte . on veut toucher de chez t§oucher à un ensemble de données dont on dirait q'elles sohnt toutes, issues (pour insi dire) d'un néné. oh, ça se pourrait que ce soit vrai , car, le lait, en soi, offre mille et une "qualités" avéréeées , de type "alacrité", "aminosité", "monstruosité" ou au contreaire "amabilité" ... à nous de cerner et de nous repérer en ces contrées. pas simple mais on devrait y arriver . on estndes bêtes, bêtes de trait : on sait tracer ! on sait en avancer et nhous poser. on Est le Fée post herbe .......................................... on est la Fée des herbes puis post-herbe ................... mais, post-herbe, on est plus tout à fait fée, mais Bébé ................ car, toute teansformée = renée ! ............................ née bébé le muret passé, ^prête ou pret à téter son lait ..............l ait de néné de ROche Imberbe ........................ car, post-muret il ya du lait .............. la mort est pleine ! pleine de lait ! pleine de chez pleine ! c'est un fait vrai ! tout le monde le sait ! le lait imprègne, le lait est lait d'herbe, d'herbe verte = Verbe ! trait des traits en herbe verte = VErbe ! va et vient du Verbe sur Passé Ancré, très. On mo nte . ON creuse. On porte. On veut toucher de chez toucher ... la POrte Haute , la Toucher de près, monter, creuser et porter comme qui dirait "une pa role de vérité" sur une sorte de ... néné tété. Qi c'est ? ou pltôt : à qui est ce néné ? au Père amadoué ? Au père Pet ? au Pétou-né ? Verbe d'herbe alloué à un "pet en herbe" ? trait des fées ? on cherche ! on est pas arrivée. On veut toucher c'est vrai mais toucher = creuser = téter et veut-on téter ? somes-nous Bébé ? sommes-nous réellement une sorte à nouvrau de Bébé né au monde ... c'zsst-à-dire , la mort avérée (une fois avérée) ? Hé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ç
a se pourrait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! il se pourrait que ça le soit, mais on ne le sait pas, car un bébé ne se souvient pas et charge, sur place, son "petit matelas" de contenance , contenance d'ambre, d'ambre à aimer = le lait. On monte .............. fée haute ............. porte haute ....................................... haute porte ................... chaude .................. chaude haute porte ........................ trait des treaits à faire durer si tant est /.................................................. qui connait : les données du monde ? qui sait ce qii est en la roche ornée ? qii comprend quelmque cxhose en ces bêtes à cornes ? qui dessine sur pieds la Bête de POrte ? qui cherche à nous révéler , ou qaui chercheraiot ? que cerner en vrai en ces contrées du bout du mùonde ? on veut toucher m ais veut-on trouver ... quelque chose à, comme qyi dirait , brouter ? On veut : dire ! dire et faire ! et aller , continuer, treacer sur herbe jusqu'au muret des données dernières . On est née sur pré , fée. Fée en herbe . On veut grimper de chez grimper , et qi'est-ce qu'on fait ? on grimpe! treaits ! traits des traits des herbes broutées, ruminées ! on aime ! vaches de trait, on est ! on est des fées ... vaches de trait ! on aime ! o n aime ruminer de chez ruminer ... et aussi téter, dès que passée au-delà du treait ! Téter de chez téter, le lait de "boinne mère" tout acidulé. téter = téter = téter /.............. ça le fait (grave) quand on est bébé, de téter mère, le néné de mère, le treacé, la voie lactée .......................................... chercher /................ chzrcher à téter, le sein au lait, d'une sorte d'entité de Plaine ........... qui c'sst ? .............. mort la Souterraine ................................................. le passé ancré .......................... l'herbe alloué à une sorte de misère qui serait ancienne, très .......................................................................... un passé passé ....................... à travers les persiennes .................. trait des traits sur paroi ornée ................ ? on aime ............ on veut toucher à ce passé surnuméraire = rajouté .................... nouveau passé sur pieds, ça le fait .............................. trait né ! .............. porte haute .................. porte haute et passé haut .............................. trait des fées sur porte de roche haute ....... haut des hauts hors caniveau et autres seaux d'eau ......................... porte haute des anneaux .................. rondeaux ..........................mort la SOutreeaiene aux tréteaux et autres préaux ........................................ toucher touchertoucher ..../........... toucher à ce néné = téter , et ce qu'on veut en vrai c'est :
T2TER ; TÉTER HAUT; TÉTER SUR TRÉTEAUX HAUT ;HAUT TÉTER LE NÉNÉ DES HZUTS ; HAUT TÉTER LE NÉNÉ HAUT ; TÉTER HAUT PAREIL NÉNÉ BEAU ; CREUSER ET MANGER ; FAIRE AINSI QU'ON SOYE COMBLÉE COMME DES ANIMAUX ;
20/1/2025
on veut ... eh bien .... COMPRENDRE = CERNER = DIRE = SE TROUVER , POUR AINSI DIRE, ;;; DE L'AUTRE CÔTÉ DE CETTE SORTE DE MURET DES
"FINITUDES INTENSES " , "THE " MURET !
la Chance ! on veut ça : voir et comprendre, ou même .... toucher ! car voilà, il y a ou il y aurait ici, en face, une sorte de paroi des Chances , paroi meuble voire molle, où pouvoir en vrai tracer = traverser sans nous retourner et du coup gagner, au plus lointain de ce qui est, la Rive post -pré on dirait. En tous cas voilà;, on entre "ensemble" = accolées = ailées = vives et intéressées car oui ;;; on a méga -envie ensemble, de cerner-toucher à ce qui se présente, devant soi (ou nous), en termes de ... Néné de Contrebande ! le (ou THE) Nénné de Contrebande = du lait ! lait de France ? lait de Rage Ancré, invétérée ! on entrev= on creuse = on regarde = on veut en vrai cerner -toucher à cette sorte de Donnée Frontale ... la RAGE ? hé, qui sait ? Une Rage qui dès lors sera it comme personnifiée ? une sorte de RAGE IMMENSEV , GRAVE, FORTE : HZAUTE ? on veut comprendre ! on mate ! On ne lâche plus ... le bébé ! On est accolées de base ensemble (ailes de fée) pour eh bé oui cerner ici, en ce Royaume post-soufffrance, puis post-pré, les données dès lors, d'une sorte de RAGE IMMMENSE,
qui serait "raccoçrd", avec LA Vie telle qu'on l'imaginait (peut-êtte) post-pré ou post-prairie "des fées" ... ? on ne sait ! on est nées Fées sur pré et nous voilà , qiui, ayant traversé (à nouveau) la Roche (en ce vpré des vfées ) sommes qui , en vrai, nous retrouvons comme enveloppéesz vpar une sorte de lumière INTENSE ! est-ce ... du lait ? lait nacré ? est-ce une sorte de blancheur de base ? qu'est)ce en vérité que ces données, bpost-prairie aux herbes et autres fleurs post (?) cimetière ? on cherche ! on est nées fées, au pré, nous voilà à nouveau peut-etre adoptées, par une sorte ici de ton nacré, blancheur hâlée, ton de données hautes toutes enluminées comme qui dirait ! est-ce un Pet ? vent de Force Douze ? quoi est ici qui semblerait vouloir nous i nviter à nous allier à une sortte de part(ie coriace (INTENSE°, de type ... Chasse ? ou comment penser ? on regaedrrde ; On veut percer dans ce muret Passage poutr passerr, et c'est ce qu'on fait. Puis, voilà, on entre : ok ! ON est entrées ! F2E ! F2e des prés on est entrées et on regarde et on essaie (au plus près) de comprendre ... eh bé, les Nénés ! ce LAit ! cette trace (au débotté) de Lait De FRance comme qui dirait ! VErbe tracé ? charge ? poil du nez ? qui donc est là qui nous observerait ? qui nous regarde peut-être de biais mais bne cesse de nous obszerver comme qui dirait ? qui chante ? est-ce chant ou est-ce vent ? pet post-pré ? traces nacrées ? chant des bases et autres CCcHants comme "soulevées " et on comprend ou comprendrait dès lors que le Moment est grave (INTENSE°, et qu'il est temps pour nous (FÉE) de nous transformer, de nous adapter, de devenir (qui sait ?) BéBé comme on était , comme autrefois , pré-pré, on était ! comme auttefois, avant le pré, on était ! On a été ! On veut toucher à ce N2né des CENdres et du coup T2TER ! téter, à s'en faire péter la Panse ! à s'en mettre (intense) jusque là de lait et sans traîner, parce qu'en vrai, le lait, dingue comme, voilà, on ne peut plus de fait s'en passser, tellement en vrai on aime ça ! on raffole du lait ! on ne s'en lasse pas ! On est dingue folles de Lait ! vive le lait et les produits laitiers comme qui dirait ! On veut téter à ce Néné du bout du monde (MORT). On veut grave téter, en tant que fée, à ce néné du bout du bout
et ne plus lâcher, en tant que bébé, ne jamais plus lâcher (en vrai) ce Néné, qui est Néné pour ainsi dire des données de RAge (incidemment !) il semblerait ....On entre ! On est dans ! on est dans l'antre ! on est Fée en transe ! on danse ! on boit du lait ! oh le laiot ! oh ce lait haut ! oh oh ce lait comme on aime de fait l'absorber et le digérer et même le péter ! On veut toucher de chez toucher à ce Néné à lait De mort de RAge ! mort donnée = mort haussée ! On cherche à cerner . Qui donc est là qui nous regarderait en tant que b(maintenant : après la Fée) Bébé ? qui donc, dans la mort, nous regarde Téter ? La RAge ! et le tracé de RAge ! cette Sommité ! Bête de charge ! mais qui c'est ?????? eh bé ... peut-êttre .... un mirage ? une sorte de donnée de base ... évanescente ? tracé né post-pré, colmme un tracé des Rages Allouées à une sorte, ou une espèce de ... Mirage Accolé à une "somiyté" des Données FRanches ? on est née Bénbé
à la travezrrsée,
comme on était née Fée, plus tôt, pareil :
à la traversée !
on a chargé ! on a passé le pré ! on a gagné le muret ! on a regardé les Nénés ! on a tété ! on a ingurgité du coup pas mal dsde données , et nous voilà refevenues , pour ainsi dire, B2Bé comme on était avant dêtre allouées à une sorte de Donnée Finale genre p)rairie sarde , pré aux fées, parade animale ! On creuse de fait les données de base telles que présentéezs à notre comprenure pas mal embouchée mais enfin on tente ! on essaie grave de comprendre, de nous situer, de cerner loes choses post-pré qui nous attendent ou nous attendraient sait-on jamais ! Bébé ! le Bébvé des Transes ! On est enfin passé et à présent on veut toucher ou on voudrait toucher à quelqaue chose "qui le fasse" aux yeux de D2ité, qui sait ! MOrt au taquet ! La Mort est blousée , ou serait grave blousée , on naît = on re-naît ! on trace ! treacé ! on entre ! entrée ! on regarde intensément ce qui appaaît et donc .... on verrait (on voit) ....
Des traces ! de la JOie ! du tempsaccolé à un Passé ! unPassé accolé à une Déité , elle même accolée à une sorte de Donnée de RAge ! Paroi passée, voilà en vrai ce qu'on pourrait ... deviner ? détailler ? cerner et toucher ? on mate grave ! on ne s'en laisse plus conter mais donc on mate de chez mater, afin de cerner ici les données qui nous sont données à comprendre . Le Passé !!!!!!!!!le Passé intense ? un passé en France ? transe ? charge du passé sur Donnée de RAge post -muret ? On regarde ce qui est ! On cherche à discerner ici ou là ce qui pourrait nous intéreseer et nous attirer ! On cherche à s'avancer en ce post-muret aux données franches ! Le Bébé est né ! voilà le Bébé ! le bébé des TRanses est enfin re-né, du fait que là (post-muret) il a pour ainsi dire traversé (sous forme de fée) ce tracé = ce treait ! voilà le Bébé ! ici est le Bébé ! le Bébé des Chances est ici orné ! Il est le Bébé des Données De rage ! Il est ce dit "bébé" aux coudées franches ! intenses ! on entre ! téter est la vérité ! téter = t'étais ! mais tu es (il semblerait) re-née , et donc tu peux téter à ce néné des dites données
de Rage intenses (intenses les données !) On est passées = on a traversé, la dite "façade" d'un tracé aux F2es ! on est passées ensemble ailées, du fait que voilà, on voulait y aller et sans plus tarder, car, on voulait (en vrai) SAVOIR + TOucher à ce qui est ou était ou serait de l'autre Côté pour le coup du pré, comprendre = toucgher, et toucher comprendre, alors on est, comme il semblerait , passées, d'un statut de Fée (fé des prés comme acidulés, les prés) à un statut dit "de Bébé" , qui, ici , post-muret, est le statut de celle ou de celui (indifféremment) qui peut téter à un n2né dit
"des Données de RAge" (de La moprt cendrée !).
On veut toucxher-téter à cette sorte de "donnée en Bosse" comme une avancée de genre Tombe, TOmbolo, TUmulus ... TRombe ? TRot ? On monte ! on mate ! on mate grave ! On touche ici (post-pré) à quelque chose de
"complètement intense" ! on veut toucher ou on voulait toucher et à présent voilà que nous toucheons ensembke THE néné des Données denses ! On entre ! on cherche ! on fouille ! on veut essayer de cerner-toucher à une sorte de Donnée qui serait la Donnée des Données Intenses : franche ! franchement intense ! en (qui sait ?) transe si tant est ! on est passée parce qu'on le voulait en tant que fée, on est entrée et on rzg arde ce qui est et ce qui est ... ne laisse pas de nous intriguer ! on veut c'est vrai aller, au plus profond svp, en cet antre aux données franches ! verbe allié ! on veut aller eh bé en ce .... Passé ? chercher ! chercher large ! chercher ! large chercher ! chercher du large large ! chercher = cerner = dire = pousser = attirer = aller = monter et du coup soulever , de la cryppte, le Passé en friche ! on ne veut pas se laisser démonter ! on veut pouvoir en avancer sans se bklesser ! on ne veut pas se laisser absorber mais téter de chez téter à ce Néné post-crypte (?) si jamais ! On veut pouvoirtr téter sans se bousculer ! On veut toucher topucher toucher, téter téter téter, cerner cerner cerner, aimer aimer aimer , aimer tégter ce lait des Données FRanches ! les Coudées ! l'attente! le tracé ! le Vrai du vrai ! la Chance ! Lesz Nénész tracés = dessinés qui sont là de fait à nous attendre à point nommé car on est nées ! on est Fées passées devebnues Bébés ! qui aimons téter quasi à jamais (en tant que B2bé) ! Qui on est ? des Bébés ! qui on aimerait, en vrai, devenir , dans le futur proche, si on pouvait ... des bébés ! et, auusi :
des qui pourraient cerner (en tant qyue Bébé, dès loçrs) ce qui est qui nous attendrait passé le muret des finalités ! un néné ? deux nénés ? trois nénés ? horde de Nénés ? mer gelée de Nénés ? océan fatal ? charge large ? une mer immense, toute nacrée de nénés Intenses ? on ne sait de fait , mais l'idée est ici de cerner au plus près ces sortes de données coriaces ! essayer ici (en tant que Bébé nouvellement re-né) de toucher de fait à des É2vidences, s'il en est ! et du coup de percer (incidemment) un certain nombre de secrets qui seraient dès lors "Secrets Éventés", my god ! on Saurait ! on en saurait long ou plus long ! on saurait, de la mort, les ressorts ! on comprendrait ! on pourrait informer, éduquer, donner, redonner, offrir des données et autres clartés , c'esst un fait ! On pourrait peut-êtte alors nous retourner ... mais en vrai est-ce qu'un bébé peut se retourner ? erst-ce qu'un bébé peut réellement, concrètement, sciemment, affirmativement, se retourner vers son pAssé Récent d'embryon flottant ? On est nées Fées dans la mort tracée, puis passé- le pré on renaît, en tant que bébé prêt (prête) à téter si tant est : prête et prêt selon le sexe (? ) donné ! on rêve ! on entre ! on passe ! on creuse ! on veut toucher toucher toucher = donner = faire = dire = cern er = pousser, ici, tel ou tel néné aux données de base = le lait ! ah le lait !
LAIT DES LAITS !
LAIT INTENSE DIANTRE ! diantre le lait ! quel lait ! lait blanc de Néné post-pré ! Chance ! on pe"ut dire qu'on a de la chance ! on aime le lait et bingo, intense : Lait ! lait des laits ! On en redemanderait tellement c'est frais , ça nous plaît ! on danse ! on est née f2ée puis Bébé puis quoi ? toute mouru du cul ? direction le FRai ? Rage-Trait ? on danserait ? on passe ! on cherche ensemble ici et là (comme à la retombée avec ou sans fraczas) de cerner la CHance, ce que c'est en termes de Donnée Franche et autres données, dites "intense", "intense à jamais" ... On veut toucher à ce Néné des (donc) données Intenses, Denses, Franches, Fortes ! comprendre = donner. Faire = poser . Dire = pointer . Toucher = colmater et du coup toucher à ce qui est qui nous regarde en face , en ce tracé (de Rage) des Données (Franches) Assénées ! Qui c'est ? Le tracé" ! Qui donc c'est, en tant que tracé ? Le trait ! De quel trait veut-on parler ? du trait ... entre les Nénés ! Du trait treacé sur peau de Fée ? non : trait né ! trait ici né entre deux Nénés ... = entre Né et Né ! Oh, ok ! On a enregistré ! on voulait cerner eh bé on dira que c'est en que'lque sorte fait ! on sait ! on peut avancer ! on peut chanter ! on peut ghrave chanter à jamais ... les chansons de France oh oh ! France é& Navarres, tu parles .... en français "de charge" ! TRenet ? le Passé acté ! l'ambassade ! colet-monté on est entrée ici pour chanter et nous voilà toutes remontées qui cherchobns (intense) la ... façade ? ou face née ? trait des traits par où s'immiscer (le nez ?) à tout jamais et s'y instéaller ! car, on naît bébé ok, prêt ou prête à téter ok, mais de quel lait veut-on téter ? lait d'Espagne ? de France ? d'Italie mon quiqui ! du Royzaume des Flandres ? Brindisi ? on est née Bébé on veut toucher néné ! né et né ! on vzut toucher à ce né-né aux données Sardes (qui sait ?) qui nous rassemble (re ? ressembkle ?) on dirait ! on entre ! on entre en cet antre aux données intenses ! on veut grave de chez grave aller ! tracer ! toucher de chez toucher ! percer ! toucher = percer ! donner = dire ! faire = comprendre et du coup percer,;, cerner, chercher à soulever si ce n'est les nénés, le tracé du Passé et hop, re-née ! née sur pieds ! le Bébé du Traitb ! re-chargé comme une sorte d'entité pré-pré ! hé hé ! on est re-né à une sorte "d'aventure-conjoncture", en fin relayée , sur papier de frai ! chapeauté ! vive les TRaits et autres gravures ! le bouquet = les données ! chevelures ! parures ! échancrures ! bures ! Les nénés post-pré donnent belle allure !
♥️
on veut aimer
aimer
on veut grave aimer
aimer
grave on veut aimer
aimer
aimer grave ... trenet ?
aimer, jusqu'au dernier carré des données tracées : chevelures et montures, montures et chevelures : le Passé traité sur mur ! bêtes d'allure ! bêtes-mots de bure ! un tracé ! une sorte de Passé ttracé comme à mai n levée ! allure et monture ! cavalcade diurne ! le Passé a fine allure ! passé des passés ! On veut toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui nous reg arderait sans sourciller (ou si ?), et nous de nous placer ainsi à ses côtés ! qiui c'est ? le Passé ! Mais qiui, le Passé ? parce qu'on voudrait de fait comprendre , ce Passé, ce que c'est justement, en termescxde :
-monture
-trait
-encolure
- chevelure et autres "parures de bure" . On est née Bébé post pré ! on veut toucher à ce Néné ok mais : piour mieux traverser, ensemble, la butte, le Mont Doré, le Passé de bure et autres Passés ! qui on est ? qui en vrai on est ? qui pour le coup en vrai on est et jusqu'au cou ? qui sait de fait qui en vrai on est ? qui en vfrai connaît au plus près les données données d'une espèce en fait de clarté diurne ? velouté ? don des Fées ? pré à nouvreau rencontré ? re-le pré ? re-les fées ? re-la meu des données bovinesz ? Pré à brouter ? pré des Prés à devoir brouter et du coup aimer ? On trace grave sur Passé les données Sages ! On est nées fées sur pré, nous voici re-nées allouées à la Bure des données Postées ! pré-pré ! pré-prairie aux fées et autres en vrai bêtes d'allure (aurochs-attiutde). On veut :
dire de chez dire
faire de chrz faire
aimer de chez aimer
cerner de chez cerner
comprendre grave et donner large, les données !
faire ainsi qu'on soye allouées à une vérité "de bout du monde" si tant est ! chercher chercher chercher à kjamais la vérité des choses tracées ! les chercgher dsur pré... mais pas que sur pré, aussi poszt-pré ! de l'autre côté ! côté Chose Actée, tracée post-muret dans une sorte de Clarté toute acidulée, celle des Données dites "allouées" àune sorte de
"Donnée de rage" = LA MORT ! car, LA MORT, est (on le sait) en rage ! elle enrage grave ! elle nous en veut grave ! elle veut nous manger, avaler, intégrer à sa panse ! elle nous veut gibier ! elle veut nuos intégrer ou comme nous intégrer à sa panse-née ! elle nous veut manger et pas à moitié, en entier, dès que né ! hé ! et voilà de fait le pourquoi des choses ! pourquoi ça ! pourquoi on trace sur paroi ! wouah ! ça flambe ! ça envoie ! ça par ade ! ça rigole pas ! sarde ! charge ! traces des foies ! face à face ! On est Femmes SArdes, point de croix ! on passe ! on entre en paroi ! femmes aux hardes ! transe et danse sur paroi des Traces ! la Rumba ! le cha cha cha ! la danse en France , tralala ! on veut comptrendre et voilà, on entre ! la paroi !
LA CHANCE !
on entre en cette sorte de paroi aux transes ! trans- paroi de roche, treans-donnée de porte, treans-identité accorte ! treans (peut-être) -génitalité des données de Roche ! TRANSPORT ! trans-tétée ! On veut coller à ce qui est qui serait pour nous comme un néné à lait ! On veut :
toucher de chez toucher
tracer de chez tracer
percer de chez percer
coller de chez coller
faire de chez faire
comprendre large les données frontales ! couper = coincer, dire = aller, passsrr = poussser, gémir = craindre, charger = poindre et toucher aux Nénés tout acidulées des Coudées FRanches post-
"muret du pré" = post -pré c'est un fait vrai ! On veut :
toucher à ce qui est qui se présente, aà nos yeux hébétés, de Bébé béat ! Toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toycher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher à ce qui est qui se présenterait, pour de vrai, à nos yeux béats ! grands ouverts suur ça : ROche Donnée ! roche tracée ! roche ornée ! roche aux fées ! tracer = dire = faire = comprendre = cerner = consacrer = chapeauter = coller = pointer = sourdre = vivrre sur pré une vie de Fée on dirait. Et nous de nous allonger, de traîner ou traînailler ? eh bé ... pas tant que ça en vérité ! car on y va ! on envoie ! on veut tracer( ! on veut au plus vite gagner les rives du côté post-friche : le Passé ! Car, on le sait (grâce aux nénés post-pré) le Passé est le Futur tracé ! Passé passé ! Passé dur post-mur ! dur ou pas dur, mais passé post-mur ou muret ! On veut toucher et du coup c'est ce qu'on fait , ... et du coup voilà, on est BéBé ! on est redevenue BGébé tout nu ! ou toute nue ! bébé nue des données de rue ! à la rue le dru ! on est ! on est née ! on peut le chanter, l'annoncer, le crier de fait ! rue drue ! Fée des prés sont passées et on conclut! vive le dru ! l(ombre portée sur le muret des prés aéux données ancrés, de type : "sommité" ", "charges allouées", "passé dit passé", "colère rentré"e" et autres "ires .... farfelues" ? On veut :
dire dire dire = faire faire faire = choquer choquer choquer
et du coup : AIMER ! ÉIMER DE CHRZ A&IMER LE CUL ! VIVE LE CUL ! VIVE DE CHEZ VIVE, LE CUL DRU , NU, VELU ! VIVE DE CHEZ VIVE, LE TROU DU CUL NU ! VIVE ALLURE ! MONTURE ! BURE ! chants des dunes diurnes ! On ose ! on veut,
on veut grave :
AIMER DE CHZ AIMER, DIRE DE CHZ DIRE, PARLER DE CHEZ PARLER, COMPRENDRE DE CHZ COMPRENDRE, ALLOUER DE CHEZ ALLOUER, COLLER DE CHEZ COLLER, CERNER DE CHEZ CERNER, et du coup en avancer (grave) dans la comprenure de , genre : qui on est, qui on est pas, qu'est-ce qu'on veut être ou pas, qu'est-ce qui est sur préb (la mort donnée) et ce qui n'est pas , les données de rage quelles-sont-elles et qu'est-ce qu'elles ne sont pas, etc. On est Fée sutr pré,
Bébé d'allure post-pré,
et aussi pré-pré ! vulve !
on est nées ! nées ! on est nées ! nées ! on est nées ! nées ! on est nées sur pré feée, et re-le Bébé le pré passé ! car, vivre = donner ! donner du bonnet ! aimer ! charger ! pincer ! comprendre ensemble (ailées) les données "immenses" , szoit (pour ainsi dire) le treacé des monts et autres dômes de Parade sarde ! treacé des tracés ! entreées des entrées ! passez donc muscade, Roc et Gravillons ! chargez ! touchez ! pointez votre nez et essayez de traverser ensembele (d(un même élan de France ) le .... PAssé ? hum... aussi emmuré ? Et de vous retrouver dès lors cvomme "consacrée" par (comme qui dirait) une F2e plus âgée, Fée des F2es qui vous adouberait dès lors en tant que fée nouvellement née à la vie à la mort sur pré (à jamais si jamais !) . On veut toucher de chez toucher à ce néné du Port ! qui il est ? ou : à qui il est ? à une ... Fée ? fée des prés qui serait passée de l'autre côté ? hum, non ! Alors à qui ? à une D2ité des Données Ancrées ainsi allouée à ce treacé de type post-muret ? ça se pourrait ! mais ... de qelle déité il s'agirait alors ? d'une divinité de Roche TRaversée ? sûr ! alors laquelle si c'est si sûr ? Celle qu'on regarde ou qu'on
regarderait entre les Nénés !
hein ?
cEle oui qu'on se plaît à ici rega rder entre les nénés !
et donc ?
le TRAIT ! Déité --Trait ! Trait donné ! un trait !
un trait ???????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????
un trait !
trait donné doré ?
trait donné doré !
mais... qauel trait ?
trait né entre deux nénés , pas compliqué !
Oh oh oh ! voilà qui est comme qui dirait fort de café ! On veut toucher toucxher toucher à ce (dit) "trait des traits" né (de fait) entre deux nénés , il semblerait. Un trait né ! perle de fée ! ... = cherche-merde ? pas vrai ! au contraire ! la douceur et candeur et gentillesse même ! le parfait trait donné post-pré s'il en est ! on aime : coeur ! fleurs ! pré passé , mais les fleurs ! on aime aimer pareil nénés ezt, entre les nénés, le trait donné ... en toute candeur si tant est ! on naît ! on re-naît ! on est renée ! bébébébébébébébé ! on est ! On voulait ALLER, eh bé cf'est fait ! amour doux des Hautes mottes ! chants doudou ! porte haute, on monte ! haute porte , on veut aimer ici tracer (ensemble ?) ce B2B2 post-pré ! on est née du trait post-pré... pour en avancer et gagner de fait l'Amb assade aux N2nés, aux Nénés de RAge ! mort allouée à déité est donnée sarde ! sainte clatrté ! charge dorée ! le Passé sage ! les données allouées à une sorte de "Passé en FRa&nce" = Le Passé tracé ... sur roche tendre : lait ! pré des fées en attente ! le "Passé en FRance" &ccolé de fait à une sorte de "donnée intense" genre "accoléée-seerrée" à la Channce, en vrai, d'être re-née ! tracée ! donnée ! portée ! poussée ! etç'en avance dans les confidences ici notées ! On veut :
coller = coller = coller
dire = dire = dire
passrr = passer = pâsser
charger = cjharger = charger
composer = composer = cfomposer
et du coup AIMER de chez AIMER le RIRE, RIRE _CLARTÉ, VI VRE ALLOUÉ, PERTE DES PRÉS !
on aime ! on veut en vrai aller de chez aller post-cimetière jusqu'aux nénés donnés en bière (qui sait ?) à jamais et ça le ferait , porca misère ! qui le sait ? qui connaît le Verbe Sacré ? Verbe-bière ? charge allouée à une Vérité Hautaine ? on est née Fée sur pré, mais voilà ce qui est qui est : à présent .... rengaines ! le Tourment des gens ! la haine ! le Passé tout remonté avec son flots de traîne, incidents sur champs, colères des temps, pansements, pertes sèches, vents ! On est Née fée sur pré aux chalands, nous voicfi re-nées sur nouvelle Cité aux clartés souveraines .... prêtes , prêtes à re-tracer un chemin inverse , ou pas (peut-être) inverse mais ... cerclé ? re-lacets ? re des lacets pour une renaissance en herbe dans le VErbe (mordoré) des données de FRance (en l'occurence) ! on acte ! On avance ! On aime aller ! on aime manger ! on aime tracezr ! on aimev téter ! on aime soulever la roche et nous "immiscer-glissser" , jusqu'au bout des fonds des doonnées de poche ! Le Néné sera né quand on aura passé le pré ! néné né post-pré ! néné des Nénés né post-pré en vérité , vérité -déité ! Le Chalet ,! les cordes !
la remontée ! le tracé ! la Porte aux Données et autres Vérités post-pré telles qu'espérées ! on veut grave y aller et ne pas nous retourner jamais, mais tracer... comprendre .... soulever .... prendre .... souder à une "branche" une sorte de donnée "étrange" qui serait ... eh bien DOnnée des DOnnées SAges : le Passé ! ¨Passé alloué à une Déité de Rage, un treacé, une donnée, un mot de pré qui serait peut-être passé de l'autre côté sans traîner ... genre : MAnche ! On enttre ! on veut toucher de chez toucher à cette branche dite "du Passé", qu'est-ce que c'est ? romance ? chant de FRance ? une donnée haute ? Porte d'entrée ça le ferait ? cohorte ? chevaux doctes ? chevaux et chevales Hautes ? Accolées ? données ? cernées ? pistées ? sur "pré de roche" ? On monte ! montons haut ! creusons ici passage et possibiltées d'ancrage ! commençons ! soyons sage en termes pour le coup de contrition, et allons ! creusons face ! chargeons ! poussons à la cravache Cupidon et entrons ! entrons en hardes ! poussons le boucjhon ! pertes sales on passe ! passons ! naissons ! soyons ! composons sur place un tracé de front : boucs au mont, bisons-tronsc, bufflettons des POnts de base et autres buffles-tout-Amidon ! entrons ! poussojns et entrons , forçons , faisons, collons, pinçons, traçons, pistons sur place .... b^tes-mots de Rage et autres Dictons ! On veut toucher ............................ au vrai du pré ....................... le mont doré ! la Haute Futaie ! mamelon des mamelons ! .......................................................................................... un pont ! .............................. pont donné .............................../..... aimé ............................. accvolé ici à une cloison ..................................................... cloison-ponton ...... palier ......... tracé de front sur paroi allouée à une sorte de rotondité de base, genre CHatte d'eau = chateau ! enclave ! fortification de Rage et autres Enceintes Collaborantes ! On entre dans l'antre ! on commande ! on cherche ! on veut toucher à ce Néné du post-muret = le PAssé ! car, le Passé (qui n'est jamais assez) nous regarde sans cesser ! il est peut-être le Passé des Franges, Passé né sur papier de FRance et autres mots d'identité ! intense ! intensité ! traéit ! parade ! cavalcade au cran d'arrêt ! chevauchée sarde ! bêtes lancées sur un muret tout échancré ! traits des traits sur du passé et le tour erst joué on dirait ! on veut toucher ! toucxher à ce muret, des données intenses ! traverser de chez traverser et retrouver là-bas, le mur du fond passé, ... les nénés de rang , le lait, la douceur et la clarté du lait, le Passé Intense d'un V de bébé ! rage et bisque-née ! la chance , transe, panse ! Un néné duvet ! frange sur Passé re-né ! Acte noté ! On voudxrait pas recomme,ncer pour recommencer mais en vrai on se rend compte ici que le passé tracé est du passé en devenir, comme qui dirait ! Onvoulait tracer et comme un fait exprès, nous voilà qui alloons, en face, retrouver un certain nombre de données qui, en vrai, avant = auparavent, étaient données ... de rages sub-naissantes ! on sait ! on voit ! on entre = on voit ! on a deux yeux pour ça ... et même mieux .... la voix ! moi-voix dite "de passage" , car, la Voix "entre" ! elle est là ! elle n e cesse pas ou ne cède pas ! elle enttre en l'antre ma foi ! ça passe ! mots de pot ! mots des mots donnés de base entrent ! frappent !collent et entrent ... da,nsz La mortIntense ! = Chance ! Voix de poids ! ça entre ma foi car voilà ! le Verbe de la Foi en la Mort intense entre ! va et vient comme à la parade ! c'est "certain" ! ça crache ! ça trace ! ça envoie grave ! ça en voie du bois sur façade -parade aux bêtes de poids ; bouquetins ! On entre ! entre ! on veut toucher de chez touchezr à l'Ambre ! ambre-née ! néné ! trait ! trait de fée entre les nénés = ce trait = ce foyer = ces données = ce Passé tout échancré = une sorte de Passé de Roche ! Haute POrte ? on veut aller ! on veut creuser ! comprendre = cdonner ! Faire = toucher ! Dire = ancrer ! percer = charger ! bousculer sur pré la bête Rosse, et vite fuir vers ces Nén"és post -pré, qui sait ? on file ! on court à toutes enhjambées ! on ne regarde plus le passé du pré mais ... le passé post-pré, qui se réclame de notre passé mais ... pas sûr qu'il en est ! rien ici de si sûr en vrai ! car, le Passé de soi est enterré ! et, le PAssé disposé (ou comme disposé) devant soi, est nu immaculé ou comment dire, peut-être en effet traversé d'effets d'un passé de roche mais en vrai comme d'une sorte de ... lAit de FEE , Fée HAute, FÉE des fées hautes sur trait de Roche = entrée ! On ose ! on monte ! on veut toucher -aimer, cerner-coller, poster-allouer, vivre et contrer ! aller vers ce Néné tracé ! porter Roche au frais, chercher ! toucher = toucher et aussi cerner (ici)
le Néné des OMbres (hommes ?) du Passé ! colle ! coll"é ! percé ! perce-monde ! on veut toucher toucher toucher aux nénés des ombres et téter téter téter sans plus s'arrêter ! coller = faire = être = dire = conduire, ici, ce trait, vers ce néné des données vives post-pré ! adouber ! allouer un dire à une Sommité ! chercher = chercher ! vivre = vivre ! dire = dire ! mais oser = faire (pas à moitié) une sorte de cxhemin inverse à jamais, mais en vrai : nouveauté ! passé acté se fait tracé ancré ! chant des fées, vrai passé sur pieds ! on est nées au Passé ! on vient toucher à un Néné né ! percé !
lait ! lait ! lat ! lait ! laot ! lait ! lat ! lat ! lat ! lait ! lait ! lait ! ait ! mait ! ait ! lait ! lait ! lait !lmar-t ! lait ! lait! lait lat aot ! lait lait ! lait lait lait ! lait lait lait ! lait lait ! lait ! lait !lait ! lait ! air-t ! lait ! lait ! laot ! m&it !lait ! lait ! lait !lait ! la&it !lait ! mait ! mait ! la&it ! mait lait ! lait ! aot ! la&ot ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! ait ! mait ! lait !aot ! lait ! lait ! lait lait ! ait ! lait ! lait ! ait ! maot ! laéit ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! ait ! lait ! lait !l ait !lait ! lait ! ait ! lait ! lait !l ait ! laot ! lait ! lait lait ! lait ! lait ! laott ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait lait ! lait ! lait ! lait ! lait! ait ! lait ! lait ! lait ! lait ! mait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait! lait!lat! lait! mait! lait ! lait lait ait ! lait ! lait !lait ! lait ! lait lait lait ! lait ! léit !
lait acidulé ! lait entier ! lait nacré ! lait donné ! don de lait post-pré ! charge allouée ! don des fées ! tracé ! tracé fait sur pieds ! on naît ! on re-naît ou comment dire ... on ... continue de vivre ! sur rue ! On est le V des données Velues ! volonté ! Vie vive à jamais !un trait ! trait de vie de Rue ! Vie vue ! le Passé attendu ! Rose sacrée ! chants xdes prés ! on est nées ! velues nues accrues ! on aime ! on fonce ! on cherche ! on est la Fée du théorème ! le tracé des formes ! le poison de roche et autres ... poisons sous roche ! Amidon ! Côlons= gros côlons ! Poinçons ! CHose Haute ! = le PArdon ! la Pomme ! Haute trahison sur Front ! ça m-onte ! ça porte ! ................../..........................................................................//........ fonce ........................................ file ........................................ cherche ............................ creuse ...................................... cherche à grave découvrir des cjhoses concernant la mort .................. ce que en vraila mort est ........................ ou bien ce que en vrai la mort serait sans déconner ........................................................... qui le sait ? ./........................... qui saurait nous en informer , et ça serait top ! ................................ qzui saurait en vrai nous donner du Néné sans traîner ? .......................... sans chipoter ! .....................................ça serait super ! et ça nous comblreraoit comme jamais (de lait ?) ! ...................................... ça nous ferait réemllement du bien et nous apporterait de quoi nous redresser et, aussi, de quoi nous requyinquer sans tarder ! ................................................................. toucher toucher toucher toucher ................................ coller aux nénés ! coller de fait ! coller-tracer à des nénés et ne plus s'arrêter jamais = téter, à jéma&is, de ce lait de "roche -forme" ! .......................................olé ! ................................ trait des traitsq ! .................................... chose haute ................. pôrte ? ........................ porte haute ? ................................comme ici accolée ou adossée à une roche en fin de pré ? .......................... une porte d'entrée vers le monde ... du Passé Passé ? ..................... mais qu'est-ce que le p ässé PAsseé en vrai ? on aimerait comporendre ensemble ce qui est ! on veut cerner-toucher = comprendre (à jamais) ce que c'est que ce (dit) "Passé Passé de Rage" ! Qu'est)-ce ? quoi est-ce ? on entre ! on entre dans l'antre ! on cherche ! on regarde ! on veut en vrai se rapprocher "ensemble " (ailée) de ce Passé Passé de contrebande ou dit "de contrebande" . Qu'est-ce que c'est ? eh bé , c'est ..... cette Chose HAute ... un tracé , une Note de ROche , le Passé de Porte, donnant (en vrai) sur un Passé de Roche ! né ! passé né ! passé re-né disons et donc né ! c'est un fait avéré , entériné, annoncé" ! ça porte ! ça va haut ! ça remonte, voilà ! le Passé remonte et du coup re-nait ! monte sur ghAuteur des fées ou dite "des fées" . La porte passée (une fois passée) . On mo nte ! du moins on essaie ! on veut toucher de chez touchezr à cette chose ... du Passéb Passé ! hordes ! hordes hautes sur post-pré donné ! on monte ! on veut monter ! on veut coller ! on veut cerner ! on veut toucher de chez toucher à ce qui est,, qui (ici même) re-naît tout bohême ! un tracé des Fées ! en chaîne ! l'aimée ! la belle Ferme ! onctuosité des données de traîne ! ponctualité ! largesse de fée et autres générosités internes ! Dans la mort en vraéi On renaît , d'abord Fée (sur pré) puis Bébé des Traits... collé auc Nénés et buvant du lait ! Lait cde ferme ! lait d'herbe verte ! VERBE ADDORÉ ! VERBE DES PRÉS ! VERBE-HERBE ! TRAIT D'HERBE ET DE LAIT DE LA FERME = VERBE NÉ, CHER VERBE ! ACCOLÉ ACCULÉ À UNE SORTE DE DONNÉE DONNÉE DU GENRE HERBE ! VERBE D'HERBE ET AUTRES SOMMITÉS EN HERBE , GENRE AUROCHNODOÏTÉ, SUR PRÉ ACTÉ !
on aime tracer = dessiner, à main levée, la bhête sur pieds = bouquetin ! buffle harnaché ! buffle cendrré ! bufleaccolé à une vérité de roche,
et la belle bisonne, l'antilope, chevale des formes, chevalines roche aux données hardies ! on monte ! on envoie ! on cherche haut les divers envois ! on ose ! CROSSE ! cforps de peau ! pôrte grosse ! coup d'épée dans l'eau ? on monte haut ! on colle ! haut des hauts ! on est hautes et hot , au chaud ! au chaud des boyaux ! grotte haute ! gros du gros ! on monte ! on veut aller haut ! au plus haut ! chercher cerceaux ! passages doctes ! tréteaux ! poteaux ! tonneaux ! tuyaux ! vins de roche et autres alcoolls hot ! traineaux ! on monte ! on monte haut ! haute roche ! on est haut et hautes ! on monte sur tonneaux de pot ! grotte haute ! gros du gros des bêtes de roche ! chevaux d'eau ! peau des peaux ! on ose ! on veut haut comprendre les données de roche , et treacer haut les mots de trop ! porte ! ....... porte ! ............ cogner )à la porte ............. tracer ! creuser ! vouloir ! allouer ! chercher ! cerner (ensemble : fée) ce qui est qui nous regarde aller : le Passé ? le Passé tout près ? le passé alloué à une sorte de Donnée de poche = roche ? poche-roche ? roche-poche ? car, la roche (la paroi) est (serait ) une ... poche ? genre poche d'eau ? peau ? peau desq peaux ? on ose ! on veut toucher à ce poteau ! l'ombre ! le poteau des ombres ! On monte ! on monte = on tombe .... mais "en haut" ! sablier de roche ! on ose ! on colle ! on veut (de fait) aller, si possible le plus haut possible et du coup, peut-être, comptrendre = entendre , ce que c'est que ce Néné de contrebande en bande ... et autres "nénés de France" (?) si tant est ou si jamais. Car, ici, la langue en usage, est franche ! trace d'ambre ! cortps naissant ! parade nuptiale dans le firmament ! podagre ! porte forte ! pets de nonne et autres tourments ! on entre ensmble (deux). On Veut (forcément !) cpomptendre les données du Feu , la Charge mentale des données du FEu, et de L'ambre natale : le Passé ! le trait ! la Portealouée ! l'ombre sur le pré ! nuages cendrés ! charges possédées , antre ! L'antre aux Nénés : qu'est-ce que c'est ? une sorte d'antre ancré .... aux nénés tracés .... charade ! On passe ! on est entre ! entre deux nénés et ça le fait ! on veut toucher toucher toucher, coller coller coller, percer percer percer, dire dire dire, allouer allouer allouer, comprendre comprendre comprendre, cerner cerner cerner, faire faire faire, chier chier chier, pistonner de bonne guerre et tracer sur pré (sans plus de colère) le TRait ! soit le trait des Traits ! on le sait ! on aime ! on veut aimer ! on veut coller ! dire et centrer, sur herbe, du concret = HERBE = VERBE ... à jamais ! VERBE né des données premières ! hé hé ! découverte ! on sait ! on naît ! on est née fée des prés aux bêtes, mangean l'herbe fourragères de treait ! en beauté ! On veut de fait monter de chrz monter sans désemparer et passer ! passer en vrai ! passer grave de l'autre côté ! = traverser ! pisser ? pisser ou passer ! mais y aller, sans plus traîner, à l'arraché si tant est, l'important c'est de pouvoir passer et aussi, d'aimer aller! filer ! coller ! donner ! porter ! chercher ! comprendre les données du monde, les cerner de roche si tant est et les jeter-poser à la ... FAce de ROche= la Paroi ! Paroi Haute ! Porte ! POrte des ROis et REines des Voix ! hautes portes sur paroi de roche ! bêtes à voix ! traits des treaits sommés ! on ose tracer ! on veut coller ! on aime allrer ! on cherche à souder , à une roche, un trait de Verbe Salutaire, sachant pour ainsi dire faire la navette, entre, d'un côté, le Passé, et de l'autre , Le pASSé passé ! Ombre ! ombre haute ! porte haute aux ombres ! on cherche ! on cherche un tuyau ! une sorte de tuyau de roche (ou boyau ?) qui sache, pour le coup, nous dire sans faute, par oùu peut-tre en vrai passer sans pour autant soi-même se blessser ? On monte ! on ose ! on veut toucher de chez toucher à ce Néné du bout du monde = THE néné ! le des ! le Néné des Nénés et hop ! au trot ! porte à porte ! on monte haut vers ce boyau des Roches ! haute porte sur les Hauts des Monts ! tracversée de Poche! mort ! Mort ho ! ho on ose haut , la mort ! Mont des Hauts de Roche Haute ! poteau ! passer le poteau ! porter héut le mot des Roches = fuseau ! on monte ! on va haut au plus haut ! porte ...... d'une porte l'autre ........ ou d'une porte de roche Hot à une porte de roche Haute ! le poteau ! .......................................................... haut .............................. haut de chez haut ........../........................................... poteua des mots ? ............................... porte close ................................. haute porte closes ? .......................... mots de trop ? ......................................... mots des mots comme des animaux ............................... buffles des peaux ......................................... chevauxde trot ...................................................... bouqurtines andines .......................................................................... vouivres ? ...........................................................................................................................givre? grive ? ...............................................?.?.?.?????....................... on va haut au plus haut niveau ......... herbe-verbe ............................. hautte eau !......................................... eau des hauts .................................... fenêtre ? ....................................../.................................................................. hautes portresv des données de roche.................................... seau d'eau ! ...................... sainte roche des données accortes et autres portes hautes ................................. au cordeau ............... pioche .............................. bonne pioche en poche .................................... on monte, on creuse, on trace, on envoie, on commande, on y va, on ne veut pas rester en râde, mais,
tracer de chez tracer, la promaenade, le sentier, le chemin sur pré, vers là-bas la mansarde = face aux traits = le Néné ! car, la Roche aux traits = le N2né ! trait des traits = le N2né ! sarabande ! porte d'ensembke ! un passé en FRance sur tracé de base ! le trait = le Passé ! la chance = le Pet ! point des fées sur roche allouée à une sorte de Passé de porte haute ! tracé né ! la Honte ? ho, qui sa&it ? honte haute ? de n'être pas née, une fois le mur passé, à une vie "haute" ? on ne sait ! on monte ! on veut tracer sur roche un trait de chauffe ! tourner et virer , virer et retourner ! aller ! contourner ! vrirevolter ! ne plus nous arrêter jamais mais grave y aller et donner , ici, les mots dits "du passé" , dune Roche Aimée ! on veut coller ! dire et poussrr , aller ! faire ! chercher ! ceindre ! allouer ààun passé un tracé sur pré ! tâcher de percer ! trzit sur traits on veut toucher ! coller ! aimer ! ^rtre, sur pré, L'ÊTRE-FÉE des données de Roche , et hop ! on monte = envol ! ailes déployées ! on monte hautes ! Fées tracées sr roche de porte ! Fée du pré on monte ! vol ! vol de fée ! col de roche tracée ! vol d'ombre ! vol de V ! voie des fées ! on monte ! on veut toucher à ce Néné du bout du monde ! on veut grave l'aimer = l'aduler = l'adorer = l'embrassser = le toucher de près ! haute roche des denrées ! lait ! .................... lait ! ........................ lauiiit ! ....................... lait ! ......................... lait ! ............................ lait ! ............................... lait ! ..................................... lait ! ............................. lait ! ........................................ lait ! ..................................... lait ! ............................................... lait ! ............................................. lait ! ............................................. lait ! ........................................... lait !......................................... lait ! .................................... lait ...................................................... lait de trait ! ....................... trait de lait ! ...................................... on aime le lait ! on veut téter ! on veut grave téter ! on adore le lait ! vite, du léit ! du lait comme s'il en pleuvait ! lait des laits ! lait ........................................................! lait plus qi'aimée ! car, en vrai, le Lait est la DEnrée Suprême ! la crème des crèmes ! on veut téter parce que cvoilà on est pour ainsi dire devenues en vrai (au passza ge final) des bébés de trait ! on aimme le lait parce que voilà, c'est sucré salèé,
à nous ça nous va car on aime ça ! on en redemande ! on veut grave ça , pour notre foie, pour nos membres, notre voix, nos hanches, ailes de Choix, ambre ! on veut comprendre = on veut toucher = on veut en avancer ensembkle dans les connaidssances et du coup ne plus jamais nous arrêterr, car .... on envoie ! on trace grave sur paroi les Bêtes de poids : Romance, Toundra, TREanse, PArade, Char de Rage, Bëtes des ROis Et REines de l'au-delà, la Paroi des CHances = la Paroi-Antre = poche des voix d'une répriomande ! on entre ! on veut ça : le ventre ! les données du ventre ! Foie des Reines et rois , passage d'ancre ! On entre par choix = on commande ! On veut ça =
-le tracé dee poids
- la rage
- la toundra en tant que paysage
- transes
- treanses et danses - parades nuptiales, ça envoie ! ça crache ! paroi ! roi des poids ! on entre ensemble (femmes) , nous voilà ! femme-fée de rage, trait sur trait , vol de roche allouée : on entre ! on passe ! on cherche ensemble ! on a méga-envie ensemble de comprendre, ls données de base et ce qui s'ensuit, car, on se ressemble grave ! ailes de trait ! charge frontale ! envolée notoire )! naissance ! ................................................................................. naissance en france .................................... porte-voix ......................... connaissances de paroi .............................................. charge et autres traitsde ^poids .......................................... rage ! ......... la rage ! ...................... l'envoi ! ....................... le passage ! ............................................................................................. vrai ! ................ vrai passé de RrAGe , ou des RAges allouées, FRAI ! ................................................. porte d'entrée .................................. entrons ! .................... passons ! ................................... volonsz ............................................ on a méga-envie ensemble de comprendre les données frontales, et du coup en vrai et si possible d'y aller , au plus p
rofond des connaisqances , car voilà, on veut toucher à ça : la Rage, le tracé de RAge, ce tracé tout acidulé qui semblerait ...
comme vouloir à nous nous parler : pourquoi ? qui est donc (ou quoi est donc) ce dit treacé qui ici semblerait .... le tracé d'un ange ! on dirait ! qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est que ce tracé notoire ? du passé ? trait ...
de Passé ? antre ?
une sorte de Passé de Branche ? oiselet ? trait sur trait on aimerait comprendre et à jamaéis ce que c'est que ce passé de branche ou dit "de branche " ! qu'est-ce que c'est en vrai ? une romance ? un treait ? la chance ? un treacé gravé par un être des prés ? femme-bouquretinne ? homme-buffle ? enfant sage (sarde ?) ? On voudrait trouver ! comprendre ! cerner ! posséder les traces, les compter, les énumérer, les poster et les publier afin de mieux les partager et du coup peut-p^ptre trouver, celle ou celui qui saura nous aider , ici, en nos démarches ! on veut pouvoir y croire ! toucher = faire ! comprendre ! souder, à une branche, un SAVOIR IMMENSE, comme qui dirait (hum ! sans se vanter !). On entre ! on entre en transe ! le tracé, le tracé de branche ! houp la houp ! transe ! transe allouée ! transe sur traits ! pré ! pré de France ! r(omance ! raretézs ! traits postés ! charge ! charge dense ! le passé est le passé peut-être qui n'est pas assez , et cependant .... rempli de lait hé hé ! on veut téter ! à nous le lait ! on veut grave téter car on aime le lait ! on veut aimer le lait ! on veut toucher, cerner, comprendre le Néné du lait, ce qu'il est ! est-il .... Néné né de fait ? est-il ... n2né né sur pré puis il aurait de fait traversé le muret et ....
ou alors post-pré ? né post-pré ?
comme en contrebande passé ou au contreaire né post -pré ? On ne sait ! on chercheb! on veut toucher-cerner = donner = dire = comprendre, les données entières ! .......................................... faits vrais ...................... portées de VErbe ....................... le tracé alloué à un verbe... "post-cimetière" .............. verbe ver t d'herbe verte ! ........................ treaits des traits alloués aux herbes et autres denrées genrre LAIT .................. lait des laits ............... lait d'herbe ! .............................. lait vezrt = verbe ! ....................TRAITS !
17/1/2025
On veut comprendre = on veut toucher ! On ne veut pas se laissser déborder mais grave en avancer ensemble p âr les connaossances ! On cherche Des Données et autresxs Faits de RAge post-muret cfomme s'il en pleuivait ! Comprendre = toucher à ce qui se présente en cette szorte de Façade ! chants d'âmes (armes ?) et autres chants de Contrebande alloués ! On enttre ! on veut enttrer alors vpoilà ! on e ntre ! Onn entre "ensemble" ! On est "Aile's de Fée" sur Place , TTracé-né, Chants graves ! Fée des Fées ça le Fait ou Disons que en vrai on dirait que ça pourrait ! Que ça pourrait q'en étant fée on puisse grave en avancer bplus volontiers en ce Pays des Données Franches et autres Trait des tRaits !
charges ! colle ! montée sur roche ! traversée de POche ! On ose ! on veut toucher à ce Néné en face : LAIRT ! LAIT de RAGE ! ou COlle-lait de RAGe ! TRace ! on est nées Fées car on est Nées , ensemble, dans la ... mOrt, telle
que voilà, on l'a (dirait-on !) en FAce : Trace ! CHarge ! POids ! Colle ! on ose ! on veut grave ensemble aller sur ce chemin des conaissances, "connaissancesc de roche" : tralala frontal, pertes à l'ambre, colle-née et autres faits et gestes post-:muret = post de chez (en vrai) post-mortem = ... post-poszt ! On entre ! on veut gagner (ensemble : ailes) la bande des Données Frontales ! On a pour ainsi dire traversé une première fois la roche, là-bas = derrière, et à présent, on voudrait (de fait) comme re-travezrser, cette roche dernière ou ici dernière = ce muret dit "de cimetière" , et aller, aionsi passées, de l'autre côté, côté Perte, côté Post-herbe, c^oté FRai ! On veut ... eh bé peut-êttre ... allouer, à un CCôté, une sorte de ... Vérité-Déité si ça se pouvait ! On veiut grave cerner et pour cer,ner on a besoin de LAit comme s'il en pleuvait ! toucher = toucxher ... mais pas que ! Toucher aussi égale ... avancer, tracer, chercher à gagner, courir sans treaiîner, pistonner et ne pas se retourner jamaiçs ! On est entrées e,nsemble FEmmes ( F2es) en ce Tracdé de post- "prairie des Fées", et donc voilà ce qui ici semblerait, qui sait ? se présenter, se monttrer en ses doux attraiots, etc ! On enttre ! charge de Rage ! ON veut passer ensemble ce dernier muret ! mur des donnjées ! colle de trait ! PORTE ! PORTE de ROCHE ! Cporps mauvzais sent la charogne ... mais la fée ! Fée d'ombre, elle , naôit, comme "désodorisée" ça le fait ! ça passe ! ça rentre ! c'est rentré ! on est comme à présent (on dirait) passées de l'autre côté en tant que F2e des Prés (post-pré ) . On veut comprendre qu'est)-ce que ça veut dnire ? eh bé comprendre c'est toucher et aussi ENTTRER ! Tracer le tracé de la Bête de chzrge, poids -masse, trait des tra&iots ! Bête-Fée sur HErbge , on connzît ! on aime ! on est la Fée qui aime ici, la Bête comme elle ! On veut coller = cerner ce qui est squi est ! On ne vfeut pas se laisser dominer par qui seréait devant à nous mater pour nous attirer et nous Avaler ! Que Dalle ! point de ça sur Antre ! On est nées Fée la Paroi passée, on est Fées des Prés, on court on vole, nous voilà arrivées devant la Porte aux OMbres ! charretière on ose ! on veut INSULTER ! faire ainsi que la mort soit ROSE ! trac ! touchée ! on est nées Fée sur pré et nous voilà comme accolées à ce muret dit "des Finalités" ! Qui on est ? on ne sait en vrai ! FEmmes doctes ! Fées ! Allouées ! Dites ! VErbe né ! CHants des prés post données de RAge ! croyances ! compétences ! contenances ! colle aux fées et on avance pour enfin comprendre ce que c'est quue ce muret des Coudées FRanches (?) ,Données Franches (? ) , Tracés et autres connaissances de Quartier ! Fées ! Fées des prés enfi,n passées (qui sait ?) de l'autre côpté ! On ne veut pas laissser tomber mais au contraire grave en avancer en nos recherches en herbe ! on veut toucher à ce Néné post-herbe (post-Verbe ?) et aller, monter, gafgner, comptrendre ces Nénés des ^ägesz ce que c'est en vrai ? qquoi, du lait ? Lait de Trait ? traoit ? trait de Lait ? lait-trait très laid ? des données ? des ... Envois de Masse ? contredanses ? On veut toucher ensembke à ce Néné posqt Trait, et du coup y voir un quelque chose de (disons) un peu (un poil) discernable ou situable ou devinable ou distingable si tant est et on dirait que c'est, qu'en vrai (npost-muret) un quelque chose se tiendrait, de type " Façade" , "Cjharge Mentale (en transe !)", "Portillon-passage" et auttres traits de Sente ! On est nées ! dans la mort voilà on naît , on naoiît Fée ! homme ou femme on naît, dans la mort, Fée ! = Ailée ! femmes des Prés ! Fée-femme allouée à (ici) un pré de rAge ! tracversée de pré de passage ! Danse ! sarabande ! traits des traits ! vents de face mais on en avance ! on ne veut pas ... se laisser
On ne veut surtout pas se laisser
On ne veut surtout pas se laissszrfenvahir ou quoi ou qu'est-ce mais aller ! voler ! vgoleter ! poussserg loin sur Herbe Verte et gagner le Muret p ôst-Verbe ! On est nées Fée sur Herbe Verte, Verbe, Pets ! On veut coller ensembvke à ce muret post -pré et du coup tracer , p asszr, ne plus reculer mais "y aller" en termes de re-connaisszance, regartds apportés, rechershes de TRaits . On veut toucher à ce Néné post-pré ! parade ! On entre ! regardons ensemble : que voit-on ? Alors vgoilà . On voit ........................................ des mamelons ! ........................................... peau d'ambre ! .............................. lait de charge ! ............... laiot blond ! ...................................pompe grave .......................... ton sur ton ..................... une sorte de mamelon ici se montre en FAce ! on veut comprendre ! on veut toucher ! on veut "essayer de toucher" , ensembkle (ailées ) à cette sorte de Donnée DE base ! traits de Fée sur Page ? Qui s ait ? on veut toucher ou on voudrait toucher à ce qui est qui ici se présente à nos yeux hébétés ! des nénés ??????????? des nénés en vrai ??????????. en vrai des N2nés ????????? on ne peuyt pas le dire et pourtant c'est vrai ! on voit là Deux N2nés comme pour nous (qui sait ?) montrées , données , allouées ! on veut du coup téter car toucher = téter ! On veut de la Tête téter ! on ne veut pas passer à côtéb mais (grave) téter ce lait, qui est ... lait de Ren nne ! LAit d'Herbe ! Lait né postmuret post herbe ! trait de Vfée on cherche ! on est nées Fées sur HErbe post-mortem et donc on est comme à présent, la mort passée ", allaitées ! dingiue ! dingue cde chez dingue ! on vcroit rêver ! sommes-nous allaitées ? sommes-nous ainsi nourries de lait de Traéit ? sommes-nous Fées -Femmes tracées, le muret (dernier muret) passé ? sommes-nous Somme de TRait ? bêtes Grosses, passée la porte ? On est Fée Forte , oui ! cohorte ! porte à porte ! va ! va toucher ! va voir ! va cerner ! va comprezndre ce Néné de POrte ce qu'il est en vrai ! qui le saoit ? car, on dirait en vrai , il semblerait, que voilà ! MORt, MOrt des Dons et Ombres, LA mort, cette Chose, soit ........................................... une sorte de..............................................................
...... DOnnée des Ombres ! Dons doctes ! corps ???
on veut crerner la chose ou o,n voudrait , de près, cerner la Chose et la toucher, soit cerner-toucher ! On ne veut pas en vrai l'ignorer ou la snober ou, même, ne pas l'envisager, ou ne du tout l'envisager, ou passer à côté sans la regarder, ! On veut voir ce Néné ! ce Né ... né ! Ce tracé ! ce treacév de nez ! trait de Fée post pré ? on veut cerner = toucher , c'szest vrai mais pour toucher on doit travertser ! passer muret des données hautes ! haute porte ! porte haute ! Hauts des Hauts de Roche ! Grotte ! Grotte aux données Hautes ! neo-quelque chose ! On monte ! on ne fait que monter ! MOnter de chez Monter ! On veut touchert à ce Néné de POrte ou dit "de Porte" car, ainsi, on se dit que peut-^tre, alors .... on saura, de fait ... eh bien .... ce qui est qui nous regarde Aller, Voler-voleter, nous envoler dans les nuées ! essayer de gagner, au plus près, ce Néné-Déité au Lait non-écrémé ! Lait d'elfe ! lait docte ! lait de traite et trait ! laitt d'herbe verte des prés et autres prairies vertes ! chants ! On est la Fée des champs et aussi des chants ! On veut toucher à ce Néné dit "des Données de Rage", et du coup peut-être mieux comprendre ensezmbke les données données à quoi elles ressembkent et ce que donc on pourrait (peut-^trete) en tirer, en termes ici de connaissance post-pré = post-post morteme comme qui dirait. On est des Féwx, car on naît sur pré, la mort traversée, Mort 1 pour ainsi dire = le Tracé, la CHarge, Bêtes sur pieds, Diplodocuse , bouquetines avides, Oiurs des prés, Bisonnée corsée ! A présent, à présent que nous voilà passées en tant que Fée née, nous devons nous avancer et gafg,ner le plus vite possible eh bien cette autre "rive" = le muret final qui est muret de CGHarge , Muret -Trait, car, voilà, sur lui (dessiné ou inscrit) est mentionné bpar où en v rai on pourrait p asszr pour donc aller (ailées) de l'auttre côté = fin des traits ,
on se pelotonne et on eesaie, en somme ,.... de passer, en ce muret des fins de pré ! porte ! porte haute ! craies ! charges-nées on monte ! on entree en cette sorte de Couvent de Nonnes ! Hoh .... vrai ? chants des prés et nous voilà comme adoubées par (de l'autre côté) un Couvent Tracé ? on est cfomme complètement sonnées de se savoir ainszi abordées ! on voit ce qui est = Néné ! ok , mais Néné de Nonne ? Nonne à néné ? nonne-néné ? homme ? hole ? colle ? ombre ? on veut en vrai coller de chez coller à ce Néné des Ombres , mais ... est-il Néné de Nonne ? Homme ? ombre-Homme ? Lairt de Nonne et autres Laits sucré)-salé comme à la retombée, en ce Couvent des Charités bien Ordonnées ? On veut aller de chez aller ! touchezr de chrez toucher ! prendre de chez prendre ! dfire de chez dire ! essayer ensembke de Déduire, de nos frais, les achats post)--pré = mots donnés,Verbe Alloué, Images de traits, Charges -Masses de type buffet, buffet-buffle à l'arrivée et ça le fait ! on touche au néné ! enfin touché ! on tète le lait ! lait de ferme ? lait des Laits ? lait d'homme accouplé ? lait des Rêves ? lait donné par squelque Soeurs Du Verbe ? lait sanctifié ? sacré ? lait de Femmes Touchées la Mort Donnée ? femme-Nonnes au tracé !
Fé donné cherche Lait de Nonne ... pour continuer à ici voleter ... en trombe ! cohorte ! corps d'ombres ! monts de Porte ! port d'Olmes ! Corazón ! Et si la mort était ;;; un Homme-nonne ;;; aux nénés donnés ? et si ... et si la Mort -Ombre était Don ? Don de roche ... Qu sait ? qui comprend et cerne les donnéesc de près ? qui sait en vrai ce qu'il en est de ces données de base ancrées et comme sitiuées sur Herbe de Pré comme Allouées à .... une sorte de champ, de champ dessiné ! On monte ! on monte haiut ! on veut toucher les Hauts de Roche , et là-haut, basculer ... de Fée devenir ombre, à nouvrzau Homme : Femme sur pied ? petits pieds = nouveau-né ? néné là pour nous faire téter et du coup retracer les traits ? re-re-re-re -re-re-re-re-re -re-re-re-re-re-re-re la Vie pré-rocher ? reé-surrgence allouée ? re- la colle en branche ? re-le feu ? re-la Horde ? re-l(encre = l'ancrahge ? re-la Terre Ombre ? les fdonnées de Poche sont sdonnées de Roche ! On veut en v rai essayer de passer, le muret des données hautes, et voir dès lors en vrai ce qui (peut-^tre) accepterait de nous, ici :
informer
éduquer
montrer
faire toucher
fzire sentir
découvrir
révéler de près
faire ainsi nqu'on puisse téter,n, car il s'agit bien de Néné ici , Néné des Nénés , Nénéds nés comme à l'arraché le muret passé ! qui sait ? qui connait les données d'assez près pour pouvoir en vrai nous indiquer (déjà) le chemin à suivre ou emprunter pour en fin et en vrai arriver à ce Néné des Données Vives, mais aussi : qui sait ou qui connaôit ... la Rive ? la des Rives Vives ? d'une sorte de reprise ! qii ? Qui connaoit en vrzai ce qui est que est la Mort "bien" acquise = traversée ! qui sait ce qui après le pré (donc : post-mortem) EST ? qui connaît de près (d'eassez près) les donnéess post-muret , pour de fait pouvoir nous renseigner et nous donner de quoi nous rassurer , qui ? L'Ombre ? l'Aurochque ? La Bisonne-baronne ? Le Buffle en Or ? l'Ours des Pommesz ? On est passées mais on est là qui, encore, cherchons, du regard, à cernerds kes Faits ! quels sont)-ils, qui pourraient nous informer-conduire ? Que penser ? que penser en vrai de ces Nénés tels que Rencontrés ? dsont)-ils de vrai nénés de femmes allaitantes ? de femmes nourricières ? ou bien alors de B,êtes ? bmêtes à pis ? ou alors Lait de Roche ? Lait de roc de poids ? Qu'est-ce en vrai ici , que ce lait comme "sorti du puits " ? est-ce Lait de Vie ? lait des prés et prairies qui aurait traversé, serait passé, aurait squivi le Trait et du coup aurait inondé le Muret et ce qui s'ensuit : Paysage-Marais, Couvent de Lait, Porte Haute, Commodores ! On est super curieuses de cerner ! On a méga-envie de nous y coller ! de passer et de chercher ou rechercher à nous y coller ! cerner = dire = porter = comprendre = passer = porter ! Allons, en force, toucgher, à ce dit Néné de Nonne , et Téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ah téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! hé téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! hi téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! porter ses lèvres avides !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et du coup avaler !, boire le lait de suite ! tracer = toucher = dire = cerner = pousser = comprendre en tant que Fée les données de Rive ! LAIRt DES PRÉS ! Lait donné par quelqe Nonne au débotté, post-roche = post-rocher ! un tracé de POrte ! les données données sont dopnnées DE roche avant toutes choescv ! on veut toucher = on veut coller = on veut dire = on veut cerner = on veut cfomptendre =on veut entrer = on ne veut pas se laissser démonter, ni démonter ni envahir, mais en vrai treacer ! courir ! filer = pistonner,
afin de gagner a&u plus v ite, de l'autre côté du pré, la Rive = ce Néné tracé,
ce Sein donné, Sein -Don de trait, Sein ferme , Lait post-pré qui aurait coulé et du coup ce serait retrouvé comme .... de l'autree côté.... post-muret ...... me'r de lait ???? mer et mère de Lait ? mer des F2es Passées ? mer de lait d'Ombre ? lait laid ? lait de trait ? lait-Ombre ? lait de F2e en Herbe post-mortem-mortem ? On est Fée de fait la mort achevée (mort terrestre) et du coup on peut voler ou s'envoler et du coup tracer et gagner ... eh bé ce Néné , dit "de Nonne post-pré ", hé hé ! on dirait de l'huile, c'est du lait ! lait des F2es ? lait post-pré = lait donné ? lait desNonnes et autres Soeur(s de Roche .? Post-roche ? nones de l'ombre ? cachées ? nonnes emmurées en son Royaume de La mùort du coup plus qu'achevée ;;; digérée ! oui ? oh ! ah ahh ! on est là pour ça : VOIR ET BOIRE ! voir et BOIRE LAIT , LAit de NONNE_DON, don de Nonné vNée , en tant que NÉNÉ ! ombre ! ombre et tracé ! charge ! charge et portée ! corps ! corps et montée (ou remontée! et on dira qu'en vrai en effet on pourrait penser, que (vrai) les Données Hautes ... sont Données de ROche =
boucs et bouques allouées à un pré , paissant de conserve, nonchalantes et nonchalants
buffles d'eau, buffle D'or, corps-don, ponte !
Bison ! Le Bison ! Le Bison accolé à une sorte de Passé de ROche comme présenté !
et autres bpêtes de la forêt , des champs de blé, des bois de contrée ! On monte ! on veut c''sst vrai poussszrvla porte et du coup entrer ! contrer ! porter ! ourler ? hurler ? charger ? pister ?ou même ... pissser ? pisser du lait ? On aimezrait vraiment enfin boire ce lait, léit de nonne allouée à une sorte de royaume l'enceinte de la Mort passée ! mais est-ce vrai ? On a envie ensemble de toucher à ce néné qu'on dit d"de contrenbande " m:ais on ne sait si cette appelation est vraiment concordante, ou pas du tout du tout ! on veut c'est vrai comprezndre les données squi hous seraient donnéeedss le pré une fois trac-versé , et du coup enfin pouvoir cerner et au plus près ce qui est la Mort passée. car, on peut pense r, que peut-êtte oui, qui sait ? la mort a Un temps ! ou disons, la mort naturelle, mort -ombre, terres de s terres , a ou aurait, peut-êtte, un temps, qui est celuyi du pré, des prairies vertes = de l'herbe, mais qu'une fois passé ce pré , alors ;a Mort redevient la VIe, les choses renaissent ou reviennent (d'une certaine manière) à elles, et nous voilà du cou!p cfomme à nouveau mpouvant téter ce lait de mère ... o-u sinonn de mère, de nourrice -none ou autres Donnes ? On Est accolées au muret : on ne veut pas laisssrf passer une occasion, en vrai : a&uussi belle, de cerner-toucher les données laitières telles que prése,ntées et révélées ! Lait = Vie = Don = Branche ! oisillon ! passé remonté tracé, et du coup Charge sur pré pour passage de F2e et re -passage / ancrage sur Cottage ! Ponte ! montée ! Ronde ! portée ! cohorte ! Tracé et ça engrange grave ! ça envoie ! ça tranche ! ça envoie du bois come une espérance ! danse et transe ensemble sur paroi pour une sérénade-calvacade-parade de bêtes de HJoie = chevals, bisones roses, buffles au Cor, Oours de porte ! On montev ! on a envie ensemble ici, de (grave) cerner les données, les données de branche comme présentées à la retombée en ce post-muret ! On est la Fée du pré passée ! on mate ! on veut ... DUU NÉNÉ ! grave on veut ... eh bé, du N2né ! pour enfin téter et nous libérer de cette enclave, de ce pré, de cette zone ici à brouter, à chevaucher, à cerner au stylet ! On aimerait ensemble grave traverser la&dite paroi alloué e au Verbe (tout comme l'herbe ) et sortir le Nez ! ce nez de fée ! trait ! passer ! traverser de rage ! filer ! nous retrou ver Sage ,de ce côté ... côté Lait ! côté du Lait donné
par quelque femme nourricière genre Mère , hé ! on veut toucher ! toucher au néné = téter , sans nous retourner mais tout le contraire : avancer ! pistonner ! passer ! courir ! aller vgite et ne plus stationner ! courir = dire ! dire et courir = faire ! porter et charger = entrer ! porter aux Fées derrière les données dernières = informer ... comme donc en arrière ou par derrière de ce qui est ! et ce qui est est cette chose d'un Néné , Gros Néné de Femme-Nourrice, Mère -Portée, CHant des Traits ! colère ? hé, peut-être ! on ne sait en vrai ce qui est qui est post)-cimetière,, qmais c'est vrai qu'on dirait que le Verbe aide ! que, en vrai, le VErbe est de l'herbe, herbeb à bien brouter pour du coup emmagasiner, soit pouvoir tenir et tracer, charger et dire, nous poster au plus près de cedit "Néné des Nénés" post-pré ... mais qu'est-ce ? qu'est-ce que ce Néné post pré tel qu'énnoncé ? Du Verbe-Lait de mère ? lait-Verbe post pré , de mère consacrée ? Post-muret a (aurait) Mère ? une mère Adulée ? Bonne Mère ? trait sur traits nous indiquerait le chemin à, ici (de préférence), de voir suivre pour de fait (ensemble) aller , contuinuer, sans se tromper le moins dsu monde ! porte haute ! le Passé ainsui remonté, on peut pousser la porte et du cfoup traverser et se retrouver, par(mi , cette fois-ci , les Nonnes, Soeurs de CXharité, SEin donné ! sein post-pré donné par Soeur Tracée = Soeur de coeur ! corps et coeur sur roche et le tour est hjoué pour une sorte de ... re
.... reprise ..... re-donnée des données ....... re-passage au lait entre-temps devenu ... rance ?, jamais ! mais le Lait ! Lait des prés, post-pré ... LAIT ! Oh on aime ! on veut aimer ! on veut toucher ! on veut cerner ! on veut comprendre ! on veut allouer à une sorte de Rocher en branle ... eh bien .... dxes donnés ! des sortes de petites choses ainsi treacées pour faire accroire que la vie ici (rocher) est bel et bien donnée de fond e n comble quand en v rai ... que tchi ! la honte ! on a osé corrompre ? o n a osé donnér eh bé nnotre passé pour ainsi dire, le Brûlé, le PAssé Calciné en friche ! Passé né sur pied ainsi donné sur paroi cachée ! on monte ! on ne vfeut pas en vrai réellement corrompre mais donner au plus de ce qu'on porte, à la la Mort de Porte, donc : tracer ! dessiner-graver les Bêtes sur pieds ! Bêtes-Roche ! Corps-Ombre ! Bouquaetins-tintin, bouquetine-tine ! aller = dire = faire = cerner =poussser = chercher = compmprendre = ficher = deée"duire = compacter = vivre = allouer et ainsi passzer (surprise ?) de l'autre côté = côté Néné , soit Néné de Fée-Nonne, ou de Nonhe-Fée ou comment nommer la Donne ? La donnée : comment la nomme"r ? par : une pomme ? pomme des prés ? pomme Haute ? Pomme cernée ? pomme d'homme , de femme Fée , de Bête Grossze sur paroi de roche , genre Auroque ? On est passéecmparce qu'o n le pouvait étant a&ilée , pas compliqué ! pour passer l'ult§ime roche on a juste besoin d'être ailée et ça le fait ! toucgrer = toucher ! dire = dire ! perdre = perdre ! coller = coler ! voir = boire et boire = voir ! c'esest un fait : vrai ! vrai fait parmi les faits qui pour le coup sont vrais ! toucher = dire = cerner = comprendre = contacter = porter ... et rire ! toucher = sédiure = téter !
Tétons Bosse ! tétons à cettte bosses-mamelon ! ne traînons ! poussons ! oups mangeons ! plu^tot buvons ! lait de Roche HAute et autres laits de porte ! Haut le lait, haute la Porte ! On monte ! buvons ! on entre ! tétons ! on tète à foison ! on adore ! on s'en fout jusqu'au fond du fond ! buvons ! aimons ! coulons ! portons ! centrons ! aimons donner et relever ! faisons ainsi que des données sieont dites "en amont" afin de pour le coup peut-^tre un jour des gens et gentes puissent dire, des données acquises (et relevées), qu'elles étaient vraie's ! pas chiqué ! pas truquées ! vraies de vrai ! accolées ! dites ! chargées ! conduites ! poursuivies en vrai sur piste ou pré post-roche animée ! colle et traits szur prise ! vert baudet ! monte-cerise ! Le tracé aux fées et autres êtres sur pieds , genre buflettes, bouquetines, léonine's et autrs félines des parois tracées . Vive l'Ambre et le CArré , la Chance ! le Passé en treanse ici dépôsé, c'est un fait qui ne souffre pas (du tout) de concurrence ! fait des faits on entre ! on passe ! on veut coller = s'accoler. On veut toucher à ce qiii est qui se présente en termes de données, dites "mortuaires", car, de fait, la mort actée se hjoue, ici, de l'herbe du pré, du pré post-mortem, ce genre de données. On aime ! on veut aller ! toucher = dire = cer ner = composer et du coup tracer (en vrai) les Nénés de l'ombre ! néné né sur du passé de porte, on dirait, est-ce vrai ? ah, il faudrait peutêtre aller le demander à celle qui là-bas semblerait comme vouloir nous accepter et nous ouvrir sa p orte, kj'ai nommé : Nonne ! une Nonne ! Né Nonne ! Haute ! Haute Nonne ! Nonne Haute ! qui c'est ? c'est l'Ombre ici portée sur un muret de roche en fin de compte. On est née Fée dans la MOrt allouée, nous voilà comme re-né grâce au Lait ! Lait de Roche Haute ! post-porte ! lait des laits d'une sorte de donnée Haute mais tracée et du coup accorte ! Montons ! allons ! filons ! essayons ensemble de pousssrr et de traverser et du coup de se positionner de telle sorte ici, qu'on puisses envisager une srte de moment-tétée tel que rêévé ... et cfommbien de fois ! combien de fois rêvé ! eedsayons ! poussons ! poussons drôle peut-être mais ! poussons donc de chez poussons "le blé en herbe" ! creusons ! creusons de fait la Roche Meublée ! le Passé de POrte est un pAssé de re-naissance, à une VIe Haute et Auttre : Parade, Parole, paradis, passage garanti ! On veut Haut comprendre. Dur savoir. Ferme charger. Haut porter c'est un fait ... et puis alors nous laissser aller à du coup regarder sans ceesse les données post-porte, ce nuage de lait, cette blancheur céleste, cet attrait de trait, cette herbe non pls verte maéis deécolorée ! lait ! lait d'herbe ! lait donné ! données = lait ! les données sont du lait de Ferme ! Ferme Forme Haute Nonne Lait ! Lait de Nonne post-pré olé olé qui sait ? car, une Nonne est ... un homme ? Un homme desFées ? fées-Homme ? homme transformé en fée la mort alors allouée ? Homme-fée aimant Néné à bien téter pour se requinquer et pouvoir sans tarder donner ... eh bé peut-êttre, un dernier cfoup de collier , et zou ! virée ! embrassades sages ! corsage ! lait d'emblée de France ! ohé ça danse ! ça tremble ! c'ewt donné sur pied et ça le fait ! hmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm du lait ! on adore , miam, miam de chyez miam ! on aime le lait ! on adore le lait ! dingue en vrai comme le lait on aime , on aime lécher, téter, ingurgiter ! lait des laits aimé ! On veut téter de chez téter le lait de la nonne ! homme-noonne = fée du pré ainsi passée de l'autre côté il semblerait .... On aime ce lait ........././........................................ mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm on ne peut pas ne pas aimer tellement c'est corsé ! mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm:mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmlmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm, l'important c'dsst d'aoiumer ....................................................................... d'aduler qui sait ? ......................... ce lait post-pré, post-fée, post-muret, post bêtes allouées à une sorte de cloison de roche , genre ... ponton ! ON monte ! on veut aller ! on veut creusezr et aimer ! on veut en vrai grave creuser et grave aimer ce lait donné par une nonne au débotté d'une sorte d'entrée e,n FRont ! colle ! porte ! montée et remontée ! on a envie en vrai d'y aller et de nous retrouver en vrai au plus près des données telles que véhiculées en ce domaine des entrées de Porte ! Lait né ! Roche auprès ! haute Futéîe ! on veut toucher à ce Néné des Données Hautes, les plus Hautes ! on aimerait en vrai excvelleme,nt comprendre véri tablement ce qui se trame en ce domaine (ici) des données lactées. Qu'st-ce que c'est ? du vrai l ait ? de l'herbe recrachée ? du lait de ferme = d'herbe ? Chant ? Cri ? Christ ? porte comme dégondée et o,n monte et on ose et on tète (grave) le Néné Donné ? on est Fée mais le trait passé (une fois passé) on est plus fée ! on devient ... trait ? tracé ? dessin de pieds ? colle-apprêt ? On veut en vrai cer ner ce que en tant que fée du pré (de la mort acté) on devient une fois le pré dépassé, soit post-post -mortem ! hé hé ! c'esst un fait qui en vrai le fait ! donc .... on cherche ! qu'est-ce qu'on peut être une fois en nous la Fée transformée ! Peut-^ttre ... un BéBé ? uune sorte de nouvrzau-né qui verrait, sentiraéit, téterait sa mère , mère à lait ? eh bé on ne sait ! on ne sait en vrai ce que ce bébé est ! on ne sait en vrai ce que pour le coup ce bébé ici (loin !) serait .... une PAire ? un pair ? oun trait pair ? une sorte d'entité nacrée à lmarges données ? une sorte de ... passé surnuméraire et ça le ferait comme à la retombée sur terre ? On cherche à deviner ensemble ici et là ce qui se pourrait ... et du coup comprendre, le Passé, le Passé retrouvé ou sinon retrouvé rebattu ? ou sinon rebattu re-pondu ? On cherche et sévère ! on ne s'arrête pas ou plus ! on ne veut pas lâcher le mât ! on veut grave rester accrochées ! traîner non mais s'incruster en effet ! on veut toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher à ce néné dit "des nénés " , c'est dire ! on aime le Néné du Vivre ! n éné né à tout jamais la mort aéllouée comme enterrée en définitive , ainsui de suite ! Car, la Vie devient Mort qui devient Sort qui devient Vie qui devient sort qiui devient MOrtqui devient Sort qui devient vie qui devient Sort qui devient MOrt qui devient Sort qui DEvient VIe qui devient Sort qui deviet MOrt qui devient VIe qui devient Sort qui devient MOrt qui devient VIe qui devient Sprt qui devient MOrt qui devient VIe qui devient SOrt qui devient MOrt qui devient VIe qui devient SOrt qui devient Mort qui devient Sort qiiu devient VIe qui devient Sort qui devient MOrt qui devie,nt sort aui devient VIe qui deviejt Soprt qui devient MOrt qui devient szort qui devient Vie qui devient le SOrt, qui lui mê'me devient la mort , puis à nouveau le Sort , puids du coup la Vie , Vie ici donnée du fait que voilà, on renaît ! on ne peut que renaître à la vie ! la vie vit sa vie éterneleement rejouée de rage ! trace ! prêts ! visages ! traits sur traits et ion grave grave ! bêtesz ^placides , ou pas p^lacides mais en vrai pesantes ! masse ! charge lour(de pesante ! bêtes-masse de parade et auttrezs charges ! aurchnoïdités de pervformance ! une somme debase et, du coup, on compte ! lka Parade d'armes ! troupeau en fanfare et autres types d'amoncellements notoires ! on charge ! on veut savoir ! on veut grave savoir , comprzendre, toucher, deviner, c erner, tracer et tragverser et aller loin , et essayer de fait de nous téléporter au plus lointain desz connaissances, via (peut-être) le .... VERbe-Lait donné ? ou alors le ... lait-VErbe acculé si tant est ? ou bien , via ... ça : l'ANTRAE ! L'antre-Parade ? On ccherche ensemble ! fée des fées on est entrées comme à la parade, au milieu desz bêtes ici présentes, et maintenant c'est sûr que nous,n, ce qu'on aimerait le plus ce serait de comprendre ensemble ce que c'est que cette charge dite (donc) "de para&de" ... e'st-ce des TRaits ? et si oui de quels traits s'agit)-il ? S'agit-il de traits de rage ? traits-fées ? traits du Passé donné ? traits montés ? traits sur traits et le tour serait joué ? on est comme paumées .... mais voilà, on je lâche pas ! on ne veut surtout pas vlâcher mais tracer de chyez tracer sans jamais renoncer ni même se laissser abattre ! mais tracer tracer tracer, toucher tpucher topucher, combattre combattre combatttee, vivre vivre vivre sur nos deniers, pistonner pistonner pistonner, créer créer créer , poussser poussser pousser , dire dire dire et ne pas céder ! JÉMAIS ! JAMAIE DE CHEZ JAMAIS Ô GRAND JAMAIS , MZIS Y ALLER DE NOTRE FRISE, DE NOS TRAITS ET AUTRES CERCLES DE BÊTES DE RIVE ! on aime ! on adore ! on n'aime que ça , boire ! boire du lait ! le lait grave nous plaît ! le lait de chez le lait, grave on dirait nous plaît ! nous enchante ! nous rend faons ! nous rend comme qui dirait faon ou e,nfant ! chants ! chants des prés ! soulèvement ! on veut toucher à ce Néné des Donnes des Prés ou plutôt post-pré ! On ne veut plus s'arrêter de téter mais grave téter à ce lait de Nonne ! le néné ! néné né post-roche on dirait , ou ... hor enclave en rotondité, hors cercles des fées, hors enceinte allouée à une sorte de postérité "t raînante" ! traits ! traits sur traits ! bêtes de trait ! trait de bêtes sur parois
de roche Haute ! oh oh c'est haut ! ça monte ! onmonte haut ! ho ho ! on monte haut de chez hzaut ! on ose ! on ose monter hzut ! on ne veut pas lâcher le morceau ! On veut tracer et haut, le tracé des traitsz ! bhêtes à traits ! chevauxd ! chevales au trot ! big-bisons de trop et auttreszv animaux-mots ! creusons ! pistons ! fuyons ! allons ! poussons ! donnons ! allons en sorte que (de front) les choses sortent ! passent! vont ! traversent ! ne cherchent pas- àrester en carafe mais y vont ! vont loin post-parade ! vont leur train mais loin afin de (pour le coup) ... toucher la timbale ? le tracé ancré ? le lointain ... passé, comme "revisité" à la retombée ? qui sait ? On veut :
toucher de chez toucher
dire de chez dire
pzarler de chez parler
comprendre de chez comprendre
composerde chez composer
vivre de chez vivre
emporter de chez emporter
filer de chez filer
hurler (?) de chez hurler, qyi sait ? ou ... hennir ? hennir peut-être ça le ferait, peut-êttee qu'hennir en efffet ça pourrait ! Disons, alors : hennir ! et avançons , hennissons n, traçons , ne lambino,ds plus mais creusons ! creuses que tu creuseras ... eh bien .... la paroi ! la paroi des ROIs, REines de SAba et autresn RBêtes de poids !
na !
couchons ! baisons dru sur roche ! oeuvrons ! pointons ! poussons ! disons ! allons ! mangeons ! allons dire et auusi faire ! rega rdons ce qui en vrai post-pré nous regarderait sans nous quiiettr ! qui on est ? fée ? on était ! mais à présent, sur le néné, on esrt ... re-bébé ! re-le bébé du trait ! on est passé et rebelote le Passé en trombe ! On, m:onte ! on monte ! on monte haut ! on monte très haut ! on monte haut de chez haut ! on monte ! on va haut ! on avance ! on trace ! on creuse ! on cherche à cfompendre ! on veut haut savoir ! chercher -cerner et toucher -poussser ! dire ce qui est en matière de "doux néné" tel que présenté, montré, découvert et offert à, du coup, téter, pourquoi s'en priver puisqu'en plus on est des bébées ! bébés nées sur post-rocher ! c'est vrai ! on a traversé et on s'est retrouvé, hum, transformées en des ... bébéds de rage ! dingue ! dingue comme c'est ! on aime ! le lait, on aime ! grave on aime ! on est des bébés alors obligatoirement ou disons le plus couramment ou généralement les bésbés nés tèetent volontiers le lait de leur mère , aime!nt ! aiment téter ! et tètent ! le plus couramment ! la plupart du temps ! les bébés enchaînent ! tétées sur tétées ça le fait ! enchai^nennt les tétées et les moments de "traversée du temps" ! enchaînent de chez encfhaînents ces moments , dee :
- tétées , tétées actées, tétées aimées
- traversée du temps, repos tracé, chants dedans, points d'ombre au firmament mais l'ambre, et l'asrtre du Temps, en termes de Tourments !
Lait du TEMps ? lait des ombres portées ? lait de Roche HAute ? lait de cortps ? laitd'Homme ? lait de wsel, d'eau, de roche et autres nutriments vitaux ! On veut téter la Roche aux MOts " ou dite "aux mots" ... c'est dr(ôle ! on aime grave traverser le Temps en tant que sorte de Bébé de RAge, Bébé né de rage, ou Bébé né d'une sorte de Rage Cendrée, accolée à une sorte de "gouverne sienne" ; ... on dirait ! On cherche ! on veut toucher à ce néné en herbe ! vrai de vrai ! toucher de chez toucher à ce bébé en herbe ! herrbe verte sur paroi aux fées ! ça le fait ! dizons qie ça aussi ça le faoit ! on croyait rêver mais que dalle ! on y est ! on peut se pincer ! trait de rage = traits de charge ! passez ! passez donc ensemble (deux femmes) pour devenir fée ! une fée pour deux femmes, ou disons ... un hommme , devient femmes : deux femmes , et, deux femmes , deviennent Fée dite "des prés" !
homme —>>> femmes x 2 —>>> fée sur pré ... puis .... —>>> BÉBÉ ? re-né ? re re re ? re la chance et les tourments ? les connaisszances et le prix du sang ? la romance et la cxharade ? Le passé recomposé et le prsent des transes ? temps présents sur bande traçante ? un trait de paraede ? charge ? tri ? portée nue ? puis ...
du chevelu ? du touffu ? du poilu on en redemeande ? cul nu ? bande ? vues sur la lande ? chevaux d'ange ?
On e,ntre ! on entre ! on entre ! on e tre ! on entre ! on entre ! on e ntre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on enytre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! onentre ! onentre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! onentre !on entre ! on entre ! on entre dans l'antre ! on entre du coup ensemble (à deux) dans l'antre du fzeu ! feu ! on devient feu= fée ! fée du feu de l'Antre , du foyer ! feu-femme-fée ! d'anttre-foyer ! feu-fée ! fée-feu ! femmesdeux = fée aimée ! entrée ! ainsi passée ! et du coup soulevée ! hissée ! montée ! On est la Fée qui fait ! on monte ! on ose monter ! on vole ! on ose voler ! on ne veut pas passer à côté mais grave cerner = dire = toucher =comprendre les données en roche ! ce tracé de poche ! pipe ou pipeau ! sons de cloches ! musique de pot ! chants coptes ! peau de trot ! bêtes à croches ! bêtes-mots et autres bêtesd'aloyau ! la Hauteb ! le Passage Docte ! poteau ! crotte ! plumeau ! sorte de tracé sur roche à la chante-peau et autres chants de Roche animaux ! on monte ! haut ! haut ho ! ho c'est haut ! on monte ! encore ! on monte de chez haut encore ! on veut hzut toucher à ce dit Néné des ESpaces post-porte ! qui connaiît la Roche, les niveaux ? qui saéit ce sqi ici pourrait, grave (éve"ntuellement) , nous dire des choses et du coup nous comme soulever encore, encfore soulever, soulever de base judsqu'au bgout du bout de cette sorte de chenal pointu ! haute porte ! haut des hauts ! on monte ! on ne lâche plus ! on vole ! on vole haut ................................ haut de chez haut car on est fée ... des données données ici toutes ailées ! on monte de chez monter ! on veut toucher de chez toucher, aux Nénés de Nonne ! hé hé ! ..................................................??....... on est entraînées ! on sait ! ................/............................... on aime voler, nous envoler, creuser et tracer, cerner et pister et nous diriger, donc, vers pareil Néné aux données (premières) souterraines ! LES
données ! Données Fastes ! Données d'Ambre et autres données ici dé^posées et à visiter ! On monte de rage ! on vole ! ............................................................................... on avance ! = on en avance ! on veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher à ce Néné donné, de Donna Ma&rie-Ange, Allouée à ... New Bébé ? ............................................./.......................................................... qui le sait ? qui en vrai ici peut dsse prtononcer sans vse tromper ? qui connaît si bien la roche qu'il peut affirmer et trancher ? qui connaôt son monde ? qui sinon la Fée, Fée e,n trombe haute ! fée des Fées de ROche ! haute ! hot ! haute et hot ! on monte ! on y croit ! on ose ! on est vives ethautement (de fait) motivées ! on ne veut pas laisser passer, la Chance, ici accordée, à une sorte, en nous, de Présence (?) ! On entre ! folle entrée ! on pousse au nez ... ezt à la barbhe du Passé , le Néné ! On veut toucher de chez toucher à ce Néné à lait ! lait d'antre ! lait né ! lait rance ? qui sait ? lait de FRance ? pets !! Lait de chance ? on voudrait ! chance et lait sont de connivzence il sembleraiot ! le Passé, la CHance, un tracé et l'ambience est née ! souterraine ! fête foraine ! les bêtes au taquet et nous de mêmes (fées !) ! on aime ! ....................................................... on aime le lait ! la chance du trait ! chance ou charge ça le fait du moment que voilà, on est ailées ! et c''st ce qu'on est ! on charge ! on fonce ! on creuse ! on ose ! on porte ! on veut aller ensemble sans tarder jusqu'au bout du bout du pré, et se retrouver (chelou ?) toutes rezmontées après ... eh bé ... les Nénésc ? la bande ? le corset ? la rage .?? on ne sait ! mais voilà, on veut grave toucher ! toucher de chez toucher à ces Nénés dits "de contrebande" ... les toucher de pr)(ès ! oh, les embrasservqui sait mais ici c'est téter ! téter le lait ! lait de fhomme et autres fhemme cdes données de Branche , on veut comprendre ! On entre ! .............................................................................. on regarde ....................... on renifle .................... pour comprendre , ................................................ on veut toucher de chrzz toucher, à cette sorte de donnée de base , qui serait .................../.............. une sorte de chance allouée à des "coïncidences " , ça se pourrait ! .............................. on charge ! on est nées fée la mort adoubée , nous voici à nouveau blackboulées post-muret ! transformées ! en BB comme qui dirait ! la Chance ? on dirait ! on ne sait quoi penser mais en effet, ça se pourrait ! ça se pourrait de fait qe le passage en ces contrées nous aient rendues peut-êttre plus "intéressantes" ? on veut monter ! monter haut sur roche , traverser, espérer pouvoir toucher-téter ! aller ! ailée ! ailée ! ............................... aller ailée si tant est ! qui sait ?????????? pisser ! caguer ! tracer ! percer ! pointer ! coller ! cerner ! charger ! allouer à une charge une sorte dee pa rade post-pré ! trinquer ! boire à la santé d'une sqorte de "fée poszt-fée" qui serait devenue BB ! et se serait jetée comme qui dirait sur une sorte de Néné de RAge " harde ! haut ! haute CFhose ! portHaut ! poteau ! horde de mots ! On monte ! on creuse ! on entre ! on veut ensemble saturer de rage les niveaux de mots ! creuser = dire = cerner = bouger .............................................. et bouger = dire = cerner = comptrendre ! ............................... pister ! courir ! aller ! voler ! ne pas faiblir mais se motiver ! ..................................................................................... on veut toucher à ce Néné de Nonne ! ............................................................................................................................. car ............................... on est bébé de porte ! ................................................................................. foufou ............................................. folle ...../.................... fée folle .............................. pas si folle vole ............................ vole haut hors du caniveau ................... s'impose au poteau ................. cfolle ! ................... colle haut ....................................... colle haut de chez haut ............................................. colle au pot ............................. colle de chez colle .................. au poteau des poteaux ...................................... haute colle .........?..?...?..................... ombre ? ............................................../...................................................................... ombre sur les hauts .........? .......................mots ? mots des hauts ? ............... on monte ! on veut aller haut parce qu'on est hautement
parce qu'on est comme directement
parce que voilà on veut que (des fois) on puisse
parce que voilà onj dit que parfois on veut ou on voudrait aller ... au plus haut du haut !
parce que en vrai on est des fées ett que du coup les fées eles peuvent grave voler et s'envooler et du ciuoup monter de chrez monter au plus haut du haut chalumeau ! haurt des hauts grave ! on veut gravfe ! hzaut des hauts aller, tracer, toucher, creuser, aller au plus lointain en ces contréesb ici post-muret, post parade, post-animales ? on veut toucher ! on veut ou on voudrait aller (ensemble) à la recherche d'une sorte (lointzine) de ... charge d'âme ? charge comme donnée à une sorte de "F2licité" , qui serait "La CHance" ! äme battée ! train de fée ! peuplade ! trait de rage serait trait des traits ! trait sur le Passé et on recommence c'est fermé ! on entre ...... on entre ensemble ! on passe ! on est ailées ! on ressemble à s'y méprendre à ce que autrefdois on était quand on était en transe comme soulevée par des drôles de bras, mains de charge et autres gros bras d'animales rages ! sabbah ! traces ! parades sardes ! traits de jhoie ! La Joie ! les embrassades sur toundra et autres danses nom ades ! la paroi des rois , REines de l'au-delà ! on y croit ! grave on y croit ! on y croitgrave ! on veut comprendre ! dire et donner ! prendre et allouer ! chervher de chez chercher ensemvble ce qui est qui en vrai pourrait être amené à nous donner de quoi nous repérer, en ce champ (ici !) desz charges et aiutres bêtres de parade , genre .... eh bé le bouqauetin, par exemple ! ou bien ..... la buflle de paroi et autre buflettes "crades" ! le sabbah ! la rage ! le tracé des pas , sur la paroi ! pieds de pas ! pas de pieds et autres ancrages dénombrés ! on chante ! allaluyah de rage ! la paroi ! cjhantons la Paroi ! chants sa rdes ! la paroi des Rois ert REines de là-bas, en cet haut-delà , la Manche ! les données de branche ! haute charge de paroi étanche ! on entre ! on veut toucher de chez toucher à cette sorte de donnée de base = le Passé !hé hé ! qui c'est ? qu'est-ce que ou qui c'est que cette Chose, du Passé ? un trait ? une sorte de donnée "immonde" ? trait des fées sur roche ? craie ? trait de craie sur tombe mùoche ? ............................................................... qui on est ? ....................... qui je suis en tant que Né ?? ........................ gtrait ? trait épais ? .................................. passe-porte ? don de Roche ? pretre né le Temps Passé ? voie de roche et çàa le fait ? corde ? homme-corde ? homme-fée ? homme d'ombre et le tour est joué comme il se pourrait ? qu'importe ! hot ! haute donnée ! haute de chz haute ! on est nées fées ! on est la fée né e ! fée née sur pré sera biento^t ... transformée en bb ! BÉBÉ d'eau ! ombre ! ombre d'eau ! chaud et chaude ! eau chaude à tous les niveaux et, les niveaux : chauds ! on monte ! on veut coller coller coller, dire et donner, cpomprendre et cerner, per cer, trzacer, chercher-rechercher, comprendre grave ce vqui est qui ici serait à comme nous attendre au pied levé, o!on veut toucher ! dire et monter ! monter sur Néné ! téter ! téter ! téter ! téter sans discontinuer ! téter sans s'arrêter de ce lait de trait ! verbe-lait à jamais ! joinction ! poison ? fond de roche dure ! pamôison ! allure ! hé, on touche au but ! on touche le Néné ! néné post-pré ! on touche grave grave grave ! le néné des nénés ! on veut téter téter téter
comme il semblererait
le néné de Bure ! charger ! creuser ! toucher = donner ! comprtendre les do nnées de rage les plus ancrées, en cette multitudes de bêtes gravées sur une sorte de montée, haute montée de roche, vers le TREait des traits tel que dessiné par ici un homme ou une femme ou un enfant ou une enfant aux savoirs "immenses", genre "Sge)Rage , rage sage ! traits des fées ! romances ! creusements ! ambrassades au couvent et autres chants !
2/1/2025
On est nées fée la mort entérinée , et à présent on veut aller au plus lointain possiblee n ce muret des fins de pré et autres promenades. On veut (OUI) traverser de chez traverser ce dernier muret , et COMPRENDRE ce qui est qui, "derrière", nous attendrait comme de bonne guerre ! On veut toucher à ce muret post-pré, et aller aeller aller sans sourciller vers cette chose d'une sorte (qui sait ?) de ... menuet ? danse des terres ? sang de joie ? colère et falbala ? jean-sans-tere ? on ne sait pas ce qu'il y a là-bas mais enfin on espère, pouvoir un de ces quatre peut-être comprendre (enfin comprendre !) ce sque c'est que ça, ce Passé des Mères, ccette vjoie , ce tombeau des Voix ! On cherche ! On est pas des traîne-misère (du tout) en ce pré-là, mais des qui jamais n'obtempèrent, F2e des Rois et REInes, fée fada peut-être mais pas que ça ! On cherche ! On est là pour cerner et toucher, et aussi enttrer ! On veut en vrai aller chercher au plus lointain (en ce post-muret) les donnéescparmi les plus enracinées, qui seraient patentes, discernables, quasi "embrassables" et qui dès lors sauraient en vrai, nous donner de quooi enfin situer cette Chose de la MOrt Prochaine, dernière . o On ne veut que ça ! On veut aller , on voudrait toucher,
à cet endroit post muret du pré, traverser "à toi à moi" c'est un fait, mais aussi : comprendre = dire , pour le coup, ce qui est qui vient vers nous, pour ainsi dire, : les genous ? le cou ? le tracé des Fées déjà passées ? On ne sait ce qui est mais enfi,n on espère que peut-être un d e ces jours prochains, on saura enfin d iscerner ce qui est, parmi ces fumées toutes évaporées d'une sorte de contrée qui reste à cerner , à dessiner, à comprendre en ses données Suprêmes . On cherche ici ensemble ce qui est ! On ne veut pas lâcher la grappe ! on veut grave ici en avancer, sans débander ni désemparer ! on veut toucher à cette sorte (là-bas, post-murzaille) de tracé de Rage ! de tracé de Rage ... on dirait ! à ce tracé des données sages ! On veut :
- dire et donner
- coller et faire
- comprendre et apprendre
- choisir et cerner .... les données reines ! quelles sont-elles ? Eh bien, on dirait que voilà, les données reines, par là, sont celles qui (peut-êtte) nous indiquent en elles-mêmes une sorte de chemin à suivre ou à poursuivre ! LE CHEMIN, le chemin des rives, ce chemin des rives ou dit "des rives", qui donc est ce chjemin d'une sorte de dérive, engendrée par (ici) ... le RIRE ! oh ! On voit ça ! on regarde ! on ne voit que ça, ou plus que ça ! On est entrée de Rage en ça (... comme qui dirait) et voilà que, maintenant, ensembleb (ELLES°) on voit ! on a les yeux ouverts ! on regarde et on voit ! on voit et on regarde ! on ne s'en lasse pas ! On veut COMPRENDRE, COMPRENDRE DE CHEZ COMPRENDRE = TOUCHER DE CHEZ TOUCHER, À CETTE CHOSE, D'UNE SORTE DE ... POMMADE ? Oh on ne sait pas ! peut-être ! qui sait ? qui sait en vrai ce qui est ? qui en vrai sait ce qui est ici (post ... enième = deuxième ... paroi) qui en vrai serait ... comme à nous attendre ? On est née F2e à la (première) traversée, celle de la mort comme avérée ou entéreinée ou actée ou enregistrée, et nous voilà qui en ce pré (de la mort actée) courons à vive allure et nous envolons d'envergure ! ON est née F2e la mort actée et, à présent, nous sommes qui cherchons ... la clé ! ou : comment passer. Ou : comment donc pouvoir ainsi ailées, ailées comme on est, traverser sans traîner la dernioère ... pelure ! peau de bure ! peau des mots à la revoyure, ou alors comment ? Car, voilà, on est là : devant paroio. On veut en vrai ensemble (AILÉE) passer ! passer en ce dernier quartier ou, sinon dernier, il semblerait dernier = ultime = finalité ! On veut toucher toucher à ce dernier quartier , à cet ULTIME, à ce tracé tracé des dopnnées données par une sorte en soi de D2ité "des données Ultimes". QUI sait ? le PAssé ! oh qui sait ! le Passé aux N2nés ! aïe, ça se complique ! On voudrait, en vrai, enfin toucher, aux données tangibles, à ce qui est en vrai, qui pourrait "nous dire", si tant est, ce qui est qui peut)-être de fait nous attire, nous tire,cherche à nous coller à ui ou elle, on ne sait ! Le Passé est-il notre passé ? le Passé de l'Hydre ? des données du Vivre ? Vouivre ? de quel pPassé est-on en tant que F2e la cible ? On ne sait ! On veut toucher à ces Nénésx
"des données acides" ! On ne veut pas laisser tomber mais grave en avancer en ce terrain des connaissances (avérées) ultimes ! toucher à ce qui est, le muret passé, c'est comprendre à jamais les raisons du Vivre ! Cela, on le saurait ! ou quelquepart en nous on le saurait, obn comprendrait, on toucgherait à ces Nénés du VIvre en ces contrées Ultimes, celles
d'un Passé Fluide ! d'un tracé donné fluide et autres fluidité des données avcides post-pré ! On veut grave toucher ... à ces sortes de données Fluides , fluides .... comme du lait ? hé ! ça le fezrait ! on pourrait le penser ! on pourrait en vrai grave penser qu'en effet la mort, en ces derniers quartiers, est comme du lait, une sorte de pommade grège, beige ou semi-beige, petit lait mais rance, petit lait de transe, on veut cerner, on veut en vrai toucgher, on veut goûter à cette sorte (ici) de petit lait (petit lait rance) en transe ! qui sait ? qui pour nous dire c e qui est qui est, ou qui serait ? qui sait de fait les données dernières ? les connaît .. comme sa mère , qui ? On cherche ! on n'a pas fini de chercher ! On veut en vrai "y aller" (de notre sorte de recherche) ici à jamais, en ce quartier, post -pré, qui est quartier des donnéews dernières (peut-êttre) tel qu'il nous apparait en tant que Fée ! Car, Fée on est, la mort donnée ! = ELLES = AILES = F2E FAITE ! on aime ! on aime aller en tant que fée en ce pré, aux données de l'herbe , puis tracer ! Fé des herbes allouées à une zone de denrées ! HERBES accolées ! HErbe des prés est HErbe-VERbe tel que souhaité, on dirait,n, on dirait du Verbe ! Herbe verte = Verbe, des données Genrées ! On aime ! on est passées par delà le muret, le muret des termes, on croit être passées, on est nées au VErbe des Données Tracées (post-pré) = ce tracé aux données Non-Humaines peut-être ... une clarté ? une sorte de clarté "souterraine" ? une sorte de clarté des Clartés ? une soprte de donnée Suprême enfin allouée à une sorte de Donnée Du VErbe ? ON cherche ensemble car soudées, (ensemble car soudées) à com^prendre, grave ! les dfonnées de l'Antre ! Ventre ? Charge antrale ou ventrale ? Charge allouée à une Parade ? Conséquence d'un passé "maussade " ? d'une sorte de PAssé Sage ? D'un tracé de RAge ? on ne sait de fait ce qui en vrai nous attendrait en cet ultime paysage des contrées post pré ! On est accolées = soudées = unies = ELLES = Ailées , pour en vrai ne plus tergiverser mais direct aller vers la Connaisszance des données de Genre ou autres données pour le coup centrales ! On est née Fée comme à la parade et du coup c'est une évidence, que, voilà ... on s"'est envolée ! on mo nte ! on monte quartier par quartier la Haute Paroi des données Hautes, ou sur la haute , haute paroi, des données Du monde ... de ... l'au-delà ? On voit , on regarde, o,n mate ! On ne veiut pas (certes) passer à côté, mais ... bien cerner les données en présence, les toucher du doigt, comprendre = charger = poser = toucher à ces Nénés des Données Ultimes , finales, terminales ! Gente Dames ! GEntoiseau ! Menaces ! Corbeaux ! Charge d'eau ! Potage ! On a envie ensemble (ailes de fée-oiseau) de comprendre ces nivrzaux (ou différents niveaux) de co ntrebande . On est comme fortement intéressées pour le s comprtendre et savoir distinguer pour ainsi dire le vrai du faux, ce qui est en vrai et ce qui n'est pas, est .. "simulation"
, de base, ou quelque chose comme ça dans le genre farce. On est née Fée sur pré la mort avérée, à présent on charge ! on court on vole ! carmagnole ! on veut grave rejoindre l-à-bas la toundra ou ce qui, en soi, se présente, en termes de "paysage sage" genre pampa , praiereie sans foi ni loi ou pas mais espaces denses ! le sabbah ! la danse ! la rumba dees antres et autres ventres de la Joie à être ensemble ! Reconnaissance ! Transe de Paroi ( ou de post-paroi! ) .... on entre ! c'sst-àdire que voilà ... on entre dans la danse = on entre en transe ! On veut en vrai de fait toucher à ce qui se présente en termes de reconnaissance des données de soi, telles que déposées (donc : en transe) sur Palier ! Palier dionné ! Marche -pied ! on veut en vrai toucher à ce Néné de l'ultime dobnnée des Données de Rage ainsi affrêtées à un paysage dit "de contrzebande " . La Toundra ? la pampa ? le désert des Lois ? le Passé incommensurable ? Passé de Soi ? Qui est Soi ? Qui donc est , en soi, la Fée ... "de la Reconnaissance de Paroi" ? On est la Fée aux données "graves", on est née Fée comme à la Parade et à présent on veut comprendre le pourquoi des choses (ici -bas ?) mais pas que ça ! aussi les choesc de Toundra et autres Pampas de paysage ! la Pampa des données sardes ? Le tracas ? la Rage ? le Passé de soi, de type "ratage" ? la voix ? la croiux ? le tracé nomade ou autres voies ? On charge grave ! on envoie ! on envoie du bois ou tout le bvois qu'on a en soi en termes de donnée de Rage incommensurable ! ça y va ! ça chaerge grave ! ça envoie en veux)--tu en voilà ! On voit ça ! on ne veut plus laisser passer pour soi l'occasion de peut-^tte et enfin (qui sait ?) comprendre malin, ce qui est dans ce qu'on voit , en termes de bêtes allouées à , il semblerait, la Paroi des Paroois ! betes des Rois et Reines de SAbbah ! vois ça et entre ! grave ton nom sur la façade ! charge ! comprends ça ! file ! va ! foule ! outre ! passe ! cerne ! piste ! cherche ! et jamais si possible ne va à (de fait) chercher ici à pour le coup te retourner ... comme transie ! car , F2E tu es ! F2e des Fées tu es ! tu es à présent une Fée dees Rages ! Tu es donc passée en transe, en ce pré des Fées, tu es née ! Tu es la Fée ... née du pré ! (Fée) née du pré ou fée née (du pré) , tu es née ! c'est ça qui a son importance ! née en transe ! Tu es Fée des données de la transe ! cxhargée ! allouée à une sorte de Donnée de type Cendre ! Conséque,nce d'une ... traversée sans souffrance, qui sait ? on veut comprendre ! On veut en avancer ensemble dans les connaiszances concernant la Rage, le TRacé en Transe, le Passé donné en ce quartier DErnier, la Souffrance liée au passé, le Mal desDonnées , le Roi et La Reine Accolées à une c ertaine idée de la Cionnaisszance ! On veut en vrai comprendre le Passé sans pour autant se retourner mais juste en se braquant comme qui dirait sur ce devant de soi alloué à une sorte de Paroi de la Re-connazissance de faces, de visages de face ... de traits ! On veut toucher à ces données de base, ne pas les snober, les toucher pour mieux les comprendre sans arrêt, et du coup tracer ce qui est ou serait des traits, dits "de reconnaissance" ! On veut aller de bonne grâce ! tracer = aller, comprendre, sonder. Qui sait c e qu'aller est ? qui en vrai sait de fait ce que "aller" est ? On fonce ! on fonce Alpphonse ! On veut aller en ces contrées de bout d'un ... Moi ... ? de bout de joie ? de boutt des bouts de l'au-delà à soi ? car, l'au-delà est l'au-delà à soi, c'est ça, peut-être, qu'il faut comp^trendre ! il faudrait comprendre que voilà, en vrai l'au-delà, est ... au-delà à soi (de soi) sans autres Parades ! On est La Fée des données rupestres ancestrales (antédiluviennes , genre pré-néandertaliennes) et en co nséquzence ... on croit ! on croit à ça ! à cette sorte de Parade , De tracé de RAge genre Cavalacade , Chevaux Rois, Chevales, Tralala, Embrassades de France, Canevas ! Cataflaque ! Potage et samba sur la Promenade des Bêtes en jhoie ! type : Soi-Rage, Soi-Ani mal des bois, Soi-Buffle de Paroi ! ça y va ! ça charge ! ça envoie grave de la Voix ! ça brame grave ! La Paroi des Rois est la Parois des REines de Paroi ! On veut comprendre ou pouvoir comprendre ici ce genre de messages ! qui est qui , quoi est quoi, qu'rst-ce qui va là, qu'est-ce qui se présente, qu'est-ce qui est qui nous regarde à travers la glace , qu'est-ce qui naît sous nos yeux étonnés. On est Fée du pRé sachant "mater", grave ! car, on est allouées à une sorte de "Raeg ard Intense" ! traversant ! genre "voyance" dans le sang ! on entre ! on veut toucher à l'antre des données du ventre ... ou , szinon du ventre, du Passé ! Passé né la m'ort passée, la mort passée et dépassée du fait que le pré , est comme délimité ! genre : parcelle d'herbes, allouées à un troupeau de bêtescnéandertaliennes , ou pré ou post... néanderte-laliennes, genre AUROCHS ! AUROQUES DES PRÉS !! On touche à une Vérité ! on croit toucher, on croit qu'on touche en vrai à une vérité ou sorte de vérité des prés puis du post-pré , à savoiir ... du VERbe ! car, le VErbe est Donnée des Données telles que rencontrées derrière ce muret des fins de carême ! touché ! toucheé (on dirait) le Néné ! le Néné du Verbe = Lait ! Lait donné au bébé ! la crème ou crème de lait ! poème acidulé genre je sui s né à une sorte de Donnée, de L'ombre Portée , Théorème ancré, Tracé des tracés , LAIT-HERBE ! LAIT-HERBE NACRÉE ! POINT ET TRAIT ! CHARGE-NÉE SUR PAROI DE ROCHE DES DONNÉES PROFONDES, CALFEUTRÉES, MASDQUÉES , POST-ROTONDE ! On aime aller se défouler sur pré avant sde s'approcher de$ ces fameux Nénés pour ainsi dire d'un post-pré, d'une sorte ici de quartier alloué à ... LA VÉRITÉ telle qu'on aimezrait en tant que Fée l'approcher à jamais sans jamais s'arrêterr !
Fé des prés aime
La roche des Données Dertnières !
celle qu'on voulait pour le coup cerner sans se démonter ou démantibluer ... et toucher sans frais ! On voudrait grave ici, en tant que Fée des Prés, toucher-cerner à une sorte de donnée post-cimetière, genre .... eh bé par exemple .... un tracé ! un trait ! juste le trait ! un trait de données , trait de l'herbe donnée à du VErbe Alloué à une "Vérité des Vérités" de genre D2ité ! ça aide ! ça le fait ! ça ppermet peut-être de s'y retrouver sans plus chercher à se creuser la t ête ! mais y aller ! pousser ! poussrr grave ainsi ailée la
"Cha,nsonnettre des Fées", ce chant donnné aux Bêtes Cernées, dessinnées, gravées sur Roche Haute des Pzrois de Grotte ! saintes-poches ! poches saintes ! saintes entrées ! entrées saintes ! une sorte de donnée de base, sur façade ! la p aroi des anges et éautres angelots, de France et NAvarres , va comprendre ! la Paroi des transes ? le Passé revigoré ? l'ambiance ! le Passé ambient ? lae Roi et la REine de Céans passant commande ? une sorte de donnée de France ainsi liée à une sorte de parade "dessiné"e comme à la retombée ? On veut toucher à ces données ou à ce type de données ! on ne veut pas laisser ou laisser de côté, l'ensemble des données de France, dites "pariétales". Qui on est pour laissrvtomber, ou éventuellement laissser tomber ? On veut cerner de rage le tracé "français", balade sur pré d'une fée allouée à une sorte de vacance sur lande tracée ! charge d'âme ! gentes dames ! damoiseaux des frances et autres territoires "immémoriaux" , de trypes contrées aux oiseaux, oiselles et autres animaux des airs nouveaux ! On veut :
- toucher de chez toucher
- comprendre de ches comprendre
- coller de chez coller
-permettee de chez permettre, à une bête, d'être Mot de trop ! = gros mot = insulte sanitaire salutaire,
- pister de cgez pister ce mot de trop, en c e cimetière aux oiseaux et autres bêtes de parois hautes et de rochers hauts !
On ose ! grave on ose ! on veut grave aller haut sur roche toucher aux oiseaux ! on veut grave sur roche aller haut toucher aux oiseaux / oiselles-mots ! grave toucger ! et grave aller haut ! toucher de chez toucher à ces oiseaux-oiselles des niveaux de l'air ! Aimer ! Coller ! Faire ! Comprendre = toucher, à ce type de bêtes allouées à une sorte de pAroi, d'époque néandertaliene au basmot ! Cerner ! pister ces animaux, ce qu'ils comprennent des données suprêmes .... On aime ! on aime l'oiseau, les bêtes de mots, le treacé fermier, la Roche Rupestre et autres termes alloués à une sorte de cimetière pour ëtres de peau ! Mots des mots ! porte haute ! trompette et carosse ! roi-reine des bosses et autres tertres dee niveau de Roche . On monte ! on veut toucher la Haute ! Haut Nivreau ! Porte des Mots ! porte Haute des MOts de trop ! porte Haute à mots ! mots des mots de la Haute ! le niveau !!!!! putain le niveau !!!! le niveau de Roche, et autres niveaux de type " de la Haute" et non du caniveau ! On monte ! hou hou c'est chaud , c'est hot = haut , sur paroi du mot ! On veut en vrai cerner, au plus haut niveau, les données les plus profondes concernant la roche des données cruciales (principales) finales ! on ne veut pas passer pour plus bêtes qu'on est mais au contrzire et si possible, impacter ! impacter grave ! dire ce vqui est sans se laisser en vrai absorber par des données de contrebandes qui seraient toutes néfastes voire délèteres pour nos connaissances ou pour l'acquisition ici (terme, terminus ?) de connaissances centrales. On a grave envie d'apprendre , de ne rien lâcher de rage mais, tout au cioontraire, continuer, sur notre lancée, à chercher à cvomprendre ensemble, ensemble par ce qu'ailées, à chercher un certain n ombre de données, de genre données "denses" , "intenses", "pleines ou entières", "vibrantes en leur antre", ainsi de suite sur paroi finale, sur paroi Haute, la plus Haute, la plus Haute des Paroois finales ! On cherche ensemble, à (ici) cerner le plus possible de données centrales type "connaissance antrales", et pour ça, forcément on se doit ... d'entrer de rage en ce muret dit "des données, données en transe". On doit pistonner ! on se doit de tracer et pas pour de rire, bel et bien en avancer sans rire en ces contrées pour ainsi dire du post-pré, alloué à la mort donnée ! et ainsi, traverser l'Ultime ! l'ultime quartier ! l'ultime région aux tracés "nommés" comme qui dirait = le Passé ! le Passé du Mirliton ! Spigoln tu nais ! uTu es né Passé ! tracé ! caché ! coché ! donné sur rocher , la HONTEb ! HONTE DES HONTES ! honeur retrouvé ? cachottier ? pertte de données en trombe ? on veut cerner-toucher à ces donnéesz du bout du monde sans traîner on sait , et ne pas confondre : le grain de l'ivraie, les données de roche , le Passé et le passé, le tracé d'époque et les données de porte, le malin et le prohibé, la Roche et la Porte Cernée, la Colère MOnstre et la folle "Envolée de l'ombre" ! TToucher ! Toucher à ce qui est de l'ordre du Passé ... de poche s'il en est ! On a envie ensemble (ailée) de cerner ce qii ici est, qui nous regarde sans cesser, sans nous lâcher ! toucher = dire = prendre = pârler ! parler = toucher ! toucher = parler ! on ne v eut pas passervà côté du pPASSÉ ainsi développée aéprès ce muret d'une sorte d'enclave toute ceinturée de motbêtes de Rage ! le TRacé Acté , la P arade sur pré, les embrassades et autres jumelages débordants de grâce ! tranquillité ! atteractivité ! absolution et conclusion ! Le genre parade "des ambitions" ! On est la Fée dite "des données de l'ambre et autres matières de présentation" ! feux follets ! croisées ! coques sur pré ! hautes roches et hauts rochers sur lesqulkes et lesquels aller à danser et batifoler comme des forcenées ! nées fées ! fées nées ! néesc fées sur pré ! fées nées sur le pré aux données de Roche ! un tracé nacré ! toute une époque ainsi renseignée, du fait que la roche est ainsi gravée , au piquet, au pic de bosse, au piolet, à l'encoche et autres "serpoletsc de roche" ; Onj est la fée des données de Roche, de Roche de'époque . On veut alller de chez aller au plus lointain (ici alloué) qui se poutrrrait, en matière de données en herbe post-cimetière , ou sinon postcimetière post paroi première ! toucher = dire = cerner = comprendre = considérer = coller = mettre sur roche ce qui est qui nous importe en termes de données données, telles que : encoches, tracés, dessins doctes, mots hauts (ou gros mots), anicroches, paroles de l'ombre ! taureauix ! On veyut toucher àc e qsui est qui se présente sous forme animale : le taureau, le taureau et la taurelle ; mais aussi le veau, la velle, le chevau , la chevelle, le bison la biselle, le mammouth et mla mamouthe, le petit bufflet et la buflette aux données d'herbe ! l'animo ! le bel oiseau ! l'oiselle aux cornes de mo(szts ! trop de chez trop ! on veut le trop ! le trop gros en herbe et les animaux comme collègues ! On touche à l'herbe ! o n veut le morceau, la plaine, tout le troupeau, le trait des traits sur paroi du Gros ! l'embellie ! On en a pas fini (en tant que "f"ée du logis") de chercher ici (roche aux fées) à
cerner-toucher, pousser-coller, prendre-permettre, poser-monter, pousser et lâcher les données recherchées ainsi "remontées" ! On veyut :
- dire dire dire
- tomber tomber tomber
- comptendre le tendre, le dur, et l'à-moitié tendre (ou l'à-moitié dur) en ces contrées post pré aux données "sûres" ! Qui sait ce qui est ? qui co:mprend ce qui est qiu ici semblerait vouloir se tramer d'aventure ? qui ose ozaimer ? qui veut toucher à ces Nénés des dOnnéesws de Rage ? qui pousse, qui entre, qui frce, qui force passage, squi veut voir le paysage ? qui veut donc voir le paysage ? qui veut de fait voir le paysage , la paroi de face, le Passé de France, l'emporté, le voilé, la base ? On veut toucher à ce qui se présente en termes de données mammaires, lactées,, et du coup téter on le sait ! on est affamées ! fée affamée cherche du lait à ingurgiter (de bonne mère !s'il en est ) et se désaltérer, s'alimenter, se consolider, se donner de l'air, du Verbe, de l'herbe digérée, du Feu Porté ! On est Fée des Fées ainsi alimentées ! On veut durer dans la durée et du coup y aller, cerner les données, porter loin les mots sondés tels que découverts au pâssage cendré d'une mort actée ! cimetière ! cime tière des données ! pré pré-paroi dernière ! = le Passé ! Car, le Passé est derière ... derrière ce muret ainsi rencontré en ce pré des données allouées à une sorte d'herbe, genre Herbe-Verbe veerte ! le Passé nous attendrait ... en termes de Lait ! Le Passé en herbe ! Verbne né ! pointé, porté, alloué à une Sommité genre D2ité Des Déitées en Herbe ... un bébé ? On veut cerner, ici même (pré des prés), les données Suprêmes mais en vérité on dira que c'est ... méga-loin encore d'être gagné ! On a envie ensemble grave de cerner, les données qui ici se présentent comme à jamais, mais vas-y comprendre en rai ce genre de données offertes, elles sont corsées ! elles ne se donnent pas frontalement, à tout un chacun ou chacune qui ici viendrait pour ainsi dire les sonder ou pour les sonder. Elles sont méga méga méga coriaces ! elles (en v rai) ne se laissenty p)as approcher si facilement qu'on pourrait ensembkle le penszr , mais au contré&ire, renâclent ou renâcleraient, ou comme renâclent ou renâcleraient, à donc se laissr aépprocher par des fées cfomme nous nous sommes en ce pré aux données de l'ombre ! on monte parce qu'on est des fées et que les fées montent pârce qu'elles volent et que sachant voler elles peuvent plus facilement comme se téléporter aux plus haut niveau des données données en ce monde dit "des ORaux" ! On veut en vrai ensemble ici comptendre les données de ces Oraux , Oraux Terminaéux ! On veut toucher à ce qui est qui ivci se présente, sans traîner, à nos yeux qu'on dirait (pour le coup)
écarquillés, tant ils sont grand ouvert pour ne rien rater de cvete sorte de démonstration
(pariétale) haute, de Fond de Roche. On est Fée née sur pré de Roche, on monte, on monte haut hautes , on veut toucher ensemble le plus héaut niveau, des choses de la Roche Haute, le Niveau des Hauts Niveaux , Haute CHose des Oraux de POrte !
Alorsc , voilà ...
les Oraux de vPOrete,
sont, en quelque sorte, les Oraux du plus haut niveau , une sorte de donnée vprofonde ! oraux mots sont mots de porte ! On veut comprtendre et du coup bpour comprendre on doit incessamment obligatoirement nous approcher ensemble (ELLES nous sommes) d'une sorte d'entrée dee faç ade (ou en façade) permettant passage, glissement, portage et embrassade. On est Fée des Ombres et on aime entter enj pareille roche. on veut comprendre cette roche, ces données de l'ombre, ces Oraux ainsi cités, oou plus haut cités, et pour comprendre on se doit d'entter , en ce petit tracé ou trait , ou par ce tracé, ce traéit aux données, passer tête et ailes et petits pieds, et du coup ... nous retrouver de l'autre côté, à mirer ! à regarder en vrai ce qui est qui semblerait vouloir ici nous aborder pour nous parler et nou!s donner iun certzin nombre SVP d'infos relevées !
à nous de savoir faire, ainsi, qu'on puisse ensemble sans traîner, les adopter, les cerner, les faire nôtres en v rai, loes comprendre pour le coup sans se casser ... le cul ? le nez, la tête allouée à notre sorte de gouvcerne ... de fée cendrée ? On veut toucher à c et ensemble de Nénés ! les Nénésc szont deux ! à cet ensemble de Nénés post-pré, qui est ensembke de JNénés post-muret car, on le sait, le muret du pré est muret à tra&vaerser , à la une à la deux, sans sourciller, à fond de train, finement sciemment, pour, en vrai, arriver à comprendre , à cerner, à toucher, à poser des mots de base etc, à ce (ou sur ce) quartier post-rotondité, quartier des quartier, quartier des ombres ici portées et comme traversantes et pas à moitié ! les mots sont messagers ! les mots de trop (grosb mots) sont les (vrais) messagers qui peuvent eucx entrer sans se fa&ire coincer ! mots fluides dies données vives ! rapides ! mots des mots de trop ! haute donnée de roche ! mots hauts ! hauts mots sur roche haute ! traits des treaits comme des animaux ! parades ! grottes ! portes ! prés des prés, puis le muret ouvrant sa porte sur ... eh bien un passé, ou même le Paszé tel qu'il se rapporte ... à des sortes de Nénés de Roche ! on veut toucher ! toucher = téter ... alorsc on veut téter , et sans traîner ! vite fait téter pour nous alimenter en tant que fée homo ! homo hautes ! hautres fées homo de roche ! haut mots donnés , récoltés, portés, amoncelés ! on est la fée des roches hautes qui, en vrai, cherche à se situer sur cette sorte d'échiquier des données de porte, des données hautes, post-mur de fond de roche ! Qui on est ? on est celle, on dirait (en tant que fée), qui cherche à sans cesse combler un ceratin nombre de désirs, ancrés en elle, comme (par exemple) celui ... d'exister, sur pré, post -cimetière ! ou alors celui ... de voiuloir cerner, post-pré, ce qui est qui nous attendrait une fois la mort donnée (actée) ou entérinée ! On veut toucher de chez rtroucher en tant que Fée du pré, les mots de l'ombre = les Oraux ! oh oh ! On a grave envie ensemble ici de nous colloer à cette sorte de recherche de niveaux ! de niveaux de mots ! On a envie en vrai ici ensemble de comprendre grave les données profondes d'une sorte de donnée de roche (néandertaliennne ou aurignaciennne) qui saurait pour le coup nous mettre sur le droit chemin en cevqui concerne ici même un certain nombre de connaissances dites "de terrain", qui, connaissances , connaiossances intenses, sauraient sans traîner nous indiquer ce qu'il en est, en certtte matière de "la mort sur terr"; , ou de l"la mort donné sur terre" , ce qui est et ce qui n'est pas, en la matière, ou en matioère de paroi "aux Lois" ! parois en herbe ! ou parois de Rois et Reines ou Des rois et des REines ici comme attachées à une sorte de Gouverne ! On voit ce qu'on voit ! et ce qu'on voit est là qui nous regarde pour peut-être mieux (à nous) nous comprendre , nous comprendre-prendre ! On est née Fée sur pré au Grand Passage, à présent on monte ! on vole ! transe fatale et autres envollées de base , ou de lévitation de base ! on entre ! on entre dans l'antre des données dites "terminales" d'un rocher posté en face ! traéit des traits de RAge ! grave ! grave on entre ! nez pointu, cul nu ! feée femme sur paroi Haute , la plus haute, cul velu !
on passe la porte ! on passe cette porte
aux données de base , haute porte aux données de rage, porte haute de la Mort"étranfge" .... on entre ! on est velues ! cul nu velu on entre ! entrons ! essayons de comprendre le message étrange" ! essayons ensemble ici de comprendre, ce qui pour le coup nous semble ou para^t étrange ! qu'est)-ce que ça peut être q ui nous de fait interroge grave ! On cherche à comprendre ! qu'est-ce qye c'est que ce message , ces Oraux de Rage ; .... qu'est-ce que ça peut être qu'on ne sacheb pas, qu'on n'aies jamais vu ni connu, qu'on ne sache pas même peut-êtte reconnaitre, ou qu'on ne saurait peutêttee ou saura peut-êtte jamais reconnaître ? On est née F2e à cul velu , huhu ! On passe ! Passé D'Ange ? On passe ! PAssé d'Ambre ? On veut comprendre comprendre comprendre sans nous arrêtrer, cet "Étrange" tel que "dessiné" (prsésentement) sur Porte de Roche ainsi présentée à nos "sons de cloches" ! On monte ! on est nées Fées la bmort entérinée , et à présent on essaie le plus possible de nous rapprocher de cet étrangeté "nature"" telle que représentée v(il semblerait) sur roche de groote et autres rochers , âr des êtres des temps reculéews, de type :
homme-femme cro-magnonesqaues
femme-homme cde type néandertalien
homme-femmes des grottes sondées, allouées au Passé (sur Terre) tel que rêvé
femme-homme des données De rage et autres données du paysage sage (savant) tel que rencontré la mort ancrée ou enracinée ou entérinée . On est la Fée donnée, sur Roche Cendréev ! Fée des Fées des ROches vives ! un tracz-é de Vouivre ! trait ! trait ! trait très vif ! trait des traits sur roche "endiablée" ornementée ! On veut toucher à ces Nénés des données ditesv "lactées" du fait qu'un Néné eh bé on le sait contient gra&ve le lait qui sert à de fait alimenter en Erbe les données cdernières ! lait donnév = verbev alloué à un Bébé post-cimetière, ou Bébé des Bébés ! la Haine ? non pas : un tracé ! trait d'herbe ! le Passé comme "remonté" en forme de colère "inn"ée" ou "colère des colères" , IRE centrée, chant des prés ! prêches ! prêches de prêtre ! prêche en herbe de prêtre assisté par une soerte de S1ainte Colère en lui ancrée, ça le fait ou le ferait ! On cherchebà t§oucher, hors pré,, à ces donnéess données de type LAIT_VERBE, verbe d'herbe,, verbe-lait aux données en herbe = tracé = trait = donnée accordée , ou doonnée accolée à une sorte de "MISÈRE SUR PIED" ... est-ce que ça peut être ? est-ce qu'en vrai ça se pourrait que .... la misère soit Sainte = sanctifiée = acculée à êttre cette sorte de vDonnée Du verbe telle que rencontrée adoubée le muret du pré passé ou une fois passé ? est-ce qu'en vrai, on pourrait ici (là : post pré) comprendre, cette sorte en soi de "Falbala" , verbe enjoué, en tant que "Donnée De Paroi terminale" ? on ne saoyt pas ! on gratte ! on gratte la peroi ! on bgratte à ette sorte de paroi ditec"terminale" maéis en vrai on ne sait pas si de tels grattages en soi nous avancent à quoi que ce soit concernant le Charme, Le Tracé Final, La Chance, LE Donné des Rois et Reines de là-b as, l'Au-delà des pas, des pas dansés scandés, des sautillagees s et autres transes pré-muret ... on cherche à comptendre, ces données ce qu'elles contiennent, en termesb de(qui sait ?) vérité ! On est née Fée au p assage cendré, on a couru , on est monté,n , on a traversé nle muret dit "des finalités" et à présent (de fait) nous voilà "remontées" , "toutes remontées", en ce nouveau quartier aux données centrales telles que données, données par la bande, ici, des .... Nénés ? qui sait de ces NÉNÉs ce qu'il faut penser ! qui peut nous aider ? qui peut nous reamener szur roche (au frais) de quoi ... penser .... et panser nos plaies ? qui ? L'Ombre ? L'oMbre Haute ? Le BNOmbre ? Le PAssé d'époque ? Le tracé de POrte ? l'onctuosité d'un lait trait ? Le pissé, le chié , le sué ? La Roche haute des DOnnées De porte telles que consacrées à notre approche ? IUune Donnée mûre ? deux ? deux données données ? une sorte de Passé "de la Comprenure" ... telle que développée en nos jeunes années ? Un bébé ? un petit bébé ? le Bébé Nature ? un e sorte de Bébé de bure ? pli ? pli sur page ? ombre ? homme ? femme ? homme-femme ? femme-homme ? homme et femme ensemble comme soulevées, de par le fait que les voilà comme liées à tout jamais, et transbahutées ? qui sait en vrai ce qu'il faudrait savoir pour comprendre ? qui en vrai connéit les données finales, le Passé de Charme, les données allouées à une sorte de parade ici pariétale ? on veut de fait cerner ensemble (en tant que fée ailée), cerner par la bande, mais voilà, le trait, devant soi, n'est pas large ! comment faire dès lors pour ici s'infiltrer ... sans trop peiner , ni se casssr le bout du nez ? la charge ? mentale ? le tracé inné . ?le passé come offert suur place ? une sorte de passé qque nous serions )-à même de véhiculer et de faire remonter comme à la parade sur paroi de M asse ? on cherche à comprendre. ON Veut comprendre ensemble. Homme-femme = femme ! Homme et femme ensemble sont femme de TRait, trait tracé à main levée sur Roche de Grotte Néandertaliennes .... à jamais ! On cherche à c erner = toucher;, toucher = toucher , toucher = toucher aux Nénés vpost-pré ! Toucher = toucher à ce qui est qui se cprésente à nous le pré dépassé, passé, traversé ! On aime ! o n aime aller ! on veut toucher à ce qui est qui nous regadrerait ... comme par derrière , dingue ! une sorte de "PHÉNOMÈNE" aux yeux à facettes ! va cerner ! va donc en cfomprendre le bien-fondé , ou ce qui est en vérité ! Hydre-né post-rive ! On veut trouver Un dire ! Une donnée vraie ! ce qui est qui ne prêterait plus du tout à rire mais szerait de fait fortement considéré et adoubé et pris pour sinon "donnée des données" mais quand même apprécié et même reconnu par x (peut-être) sommités de quaert§ier. on est Fée en herbe = en verbe ! Traits des traits post-cimetière, on cherche Une entrée, en pareille Rotonde, Entrée de Ronde, opassage alloué à une sorte de donnée de POrte ! porte Haute ! Le passé en trombe ? on le saurait en vréi il me semble si c'était vrai ! On monte ! on creuse ! on pousse ! on veut toucher de chez toucher à cette sorte dedonnée de ROcche ncomme rencontrée en bnos promenades accumulées. Montons ! osons ! passons ! poussons cette Porte de Roche et regardons donc les données profondes ce qu'elles sont ! que sont les données profondes , qu'e pourrait-on co=ptendre ensemble des données profondes, ou de pareilles données profondes, ou de pareilles données données? On cherche ensemble ! On est accolées. ailes de F2e . Fée d'herbe. On monte, on passe, on cherche, on ose, on regardee, on touche vdes yeux, on cherche à com^rendre... et que comperenosns -nous en pareil paysage ? que La ùort est Haute ? Ramages ? plumage ? crête de Rage ? haute Mort sur Paroi de base ? On mate grave ! yeux hagards ? yeux pportées sur Chose post-pré :
-la haute fûtaie
- le tracé des mots
- l'envolée gracile et autres volée (de base) fluide
- le lait, le lait des animaux, le lait nacré , bleuté, alloué
- l'ombre porté sur un Néné
- les Oraux de Roche ....
mùais , que sont les Oraux de Roche ? Eh bien, les ORaux de Roche, nous dirons que voilà, les OPraux de ROche, sont ...................................................... tralalas et falbalas ........................................................................................................................................................ treanses de parois .....?...................../........................................... hauts messages de l'au-delà à cette sorte de paroi des Rois et REines du Sabbah ........................?......................... le charme, la Joie, L'ombre HAute ! ................................................................................... chants de POrte ! on voit ce qu'on voit ! on y croit ! on ne croit qu'à ce convoi , comme Saint-Thomas ! On avance ! O,n monte ! on veut toucher la Haute Paroi , HAute PAroi de l'Au-delà à soi ,
ANTRE, ANTRE DE RAGE, ANTRE DE ROCHE HAUTE, HAUT ANTRE DES DONNÉES DE ROCHE, TOUNDRA, PORTE HAUTE AUX DONNÉES DE POCHE, POINT DE ROCHE AINSI MONTRÉ À TOUT LE MONDE, POINT D'ORGUE
On voit ce convoi, on entre, on veut toucher ensemble les données de base ici déposées comme à la parade, gentes dames, auroques des bois, genstuilhommes des sous-bois de l'ombre ! un teacé de base , deux ombres = deux ailes = une fée imberbe = une fée vde rage qui (ici) sait tracer = voler, s'envoler, mùonter, traverser les contrées post- premier muret, et du coup se comme téléporter jusqu'au bout du bout des ombres, flammes vive's, traits de roche, cheminée ! fHautes données données donnant sur le Passé de l'Ombre ! HOmme-ombre = femmes la mort achevée ou entérinée ! homme du pré, devient Femme Fée aux ailes dorées , quasi translucides, portées, empruntées ! On est Fée Forte ! Haute Fée des POrtes ! On monte ici jusqu'au n2né de l'ombre ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce qui se rapporte à ce Néné de Roche ! Roche Haute = Faconde ! On monte ! on ose ! on monte en trombe ! on ne veut pas lâcher la chose mais (grave) au contriare .... aller de chrez aller .... poussser de chez poussser .... comprendre de chez comprendre ..... connnaître de chez connaître ..... saturer de TRaits ce tracé ! pousser -, poussrr, pouusser, pousser, pousser grave de colère , pousserf de chez pousser grave de coplère ces ... nénés ? les repoussser ? ne pas téter ? téter et ne pas téter ? téter ou ne pas téter , telle est la question su^rprême (ou serait) ? On cherche ! on veut toucher à une Vérité Su^rême ! O, eut grvae toucher de chez toucher à une sorte pour le coup de vérité des vérités ! on veut aller , akller de chez aller direct, direction "Vérité-Déité" concernant La mort, M%Ort-Vraie, Mort-Donnée,Mort-Divinité. On v eut coller à cette vérité (dite "des données profondes") et ... ne plus s'en décoller ! On veut coller de chez coller à cette vérité fdes dites "données en herbe", s'y coller le nez , les ailes , le cucu ambré, les petits pieds = entière ! alloué ! allouée ! allouée en tant que fée ! allouée de chez allouée et ce sans traîner , sans chercher plus que ça à se faire aimer mais quand même, on veut plaire, plzaire à "D2ité La Mort SOuveraoine", lui plaire = lui donner ce qui peut-être pourrait lui plaire en termes de données (Suprêmes) vterrestres , genre :
- Oraisons Su^rêmes
- PAmoisons)- Consécrations sur roche interne
On monte ! on osex ! on veut toucher à c e Néné des Données Hautes ! traverser le muret et donc se retrouver de l'autre côté , côté Haute Futaie, Post-Rotonde, Post-pré, hors du monde des données tracées comme à main levée par l'homme-femme des sdonnées de roche ON monte ! sortons ! allons ! poussons "la porte" , paszsage docte, le Passé ? Poussons ! poussons le Passé comme une porte , porte d'Entrée vers .... eh bé, de nouvelles contrées ! contrées aux fées passées ou déjç-à passées et du coup transformées en ... Nénés ??????????????????????????????????? hé hé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! est-ce que ça se pourrait ? que des féesz, ayant dépassé le muret post-pré, soit à présent comme transformées en .... N2né ??????????????????????????????????????????????????? en un n2né dit "des N2N2S " ? .................................... erst -ce que ça se pourrait en vrai ????????????????? ?????????????????????????????????????????????????????????????????? qui le sait ? qui sait ce qui est ?????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????? qui en vrai sait ce qui est et qui n'est pas concernant la mort et ses .... "entrechats" ?????????????????????????????????????????????? qui en vrai , connaît le fin mot concernant la mort et ses atteaits de base ?????????????????????? ses données et autres traits ??????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????? qui sait ce qui se treame en elle ? ,qui connzit^ce qui en elle alimente la Voix ? ......................................................le Ver -be ??????????????????????????? l'herbe verte ??????????????????? la Paroi de Choix ???????????????????????????????????????????????????????????????????????????? l'Ombre des Données sur Roche ainsi allouée s à une sorte de ROtonde "enclavée" ? On entre ! on monte ! on sonde ! on regarde ! on vole et volette ! on est Fée post-cimetière et bientôt ... VErvbe ? Verbe-Aile ? Verbe né la mort entérinée de chez entérinée = doubl"éée ? On veut toucher à ce Néné-fée , à cette sorte de Néné qui, avant, dans le pré, était La Fée du pRé , qui le sait ? toucher de chez toucher à cette Fée-NéNé ... de Paroi Haute, Haute Roche-faconde, Née Fée puis Néné ! Grotte ! porte ! colle ! mont des monts des Hauts Niveaux ! On veut coller ! on veut grave coller ! coller à ce Néné des Hauts des Hauts ! On veut grave coloer au Niveau du Trop, du Trop Haut = du Très Haut (Trait Haut) et ... passer ! filer ! sonder ! do nner ! cerner ! se redresser et regarder autour de soi ce qui se trame e,n termes de paradee de type animale ! trait dxes traits, du plus haut niveau de charge ! Bois des monts ! ramages ! ramures ! bois hauts de Dieu Haut ! Branches ! branches ! branches blanches ! branches hzaut ! branches des branches du plus haut nivraeau ! branches des branches vdes plus hauts niveaux de Mots ! Mots Hauts ! Hauts Mots ! Mots des hauts Niveaux en termes de données de branche ! haut niveau de base ! très)-haut ! Genre
SAGE
SAGE DE CHEZ SAGE
SAGE-ÊTRE ... SAGE
SAGE ROI REINE DE LÀ
ROI REINE DES DONNÉES SU^PR^EMES
HOMME AUX MOTS = FEMME MOTS = OMBRE SUR HAUTS
TRAITS DE LUMIÈRE
TRAITS FERMES
TRAITS DES TRAITS SUR HERBE = BÊTES
On veut haut comprendre le Niveau. L'ombre haute sur Mots, la Paroi Haute, Buffles de Carosse, Bêtes de ROche, Traits altiers, Bêtes Féroces, Lionnes , Lionceaux, Ours de Roche, Bêtes-mots aux données de Porte, crins, poils drus, queues doctes, Chevelures. On aime les bêtes velues, fortes, hautes, masse docte et autres bouquetins des roches. On veut grave cerner ensemble les données ! Cerner = toucher ; toucher = donner ; donner = comprendre ; commprendre = allouer ; allouer = dire ; dire = faire ; faire = porte ; porter = entreprendre ; entreprendre = toucher ; toucher = commettre ; commetttre = souder ; souder = pister ; pister = lier ; lier = rouler ; roulerr = gravir et du coup monter ici judsqu'aux n2nés post -pré ! et du cfoup les aimer = téter ! teter grave les Nénés vdonnées par , ici, une FEMme .... aux allures de Fée ? Femme-fée des prés ? homme-femme cernée ? Femme-fée vdu pré cendré ? on veut toucher à ce Néné "des contrées Finales" , ou Nénés "de Branche" ! Coller ! sonder ! toucher = coller et sonder ! on veut aller au plus lointain de l'anttre, toucher ! toucher de chez toucher aux nénés nés ! nénés des n&énés ! nénés d'Ambre ! ..... ombre portée sur un néné d'Ambre ! ombre-ambre ! ambre-ombre ! ambre des ambres ! ombre née ! on entre ! on veut toucher-cerner l'antre de l'ambre ... et AIMER ALLER COLLER ! cernerv = dire = toucher = avoir ! On veut coller-cerner l'avoir ! Etre née Fée post pré en tant que ..... être à Néné s ? Nénés ? ëztre-Néné ? Néné-ëtre ? ëtrtee n2né des Nénés de l'ÊTRE ? Qui sait ? on cherche ! on veut toucher toucher toucher à cevnénév en herbe " post cimetière, post -pré (post-éden) post muret, et coller ! s'y coller de près ! cerner = coller ! collerr = toucher ! toucher = cerner ! on fait corps ensemble = fée ! ailes soudées, pour en vrai et enfin pouvoir sans discuter pouvoir s'envoler en ces confins ou drôles de confins le pré dépassé, passer le trait, passer le trait, filer, coller aux nénés , coller grave aux nénés du post-pré ! et du coup (peut-êtte) téter de chez téter à c e néné rempli de ce lait salutaire dont plus avant on discutait sans se tracassser . On veut téter le vLait postv pré ! post-herbe en vrai ! téter de ce lait de l'herbe sans herbe ! herbe ou pas herbe ! téter ! téter frais ! téter le lait de fée des traits ! téter de chez téter sans sourciller, s'e,n mettre plein le gosier, cerner-toucher à ce qui est de ce tracé ! donner = porter ! vivre = coller, à ces ditsc "nénés" en herbe ! herbe verte ! touché !
touché ! touchée de près ! on erst la Fée vtopuchéev ! Touchée de près ! fée du pré touchée de près par comme qui dirait une sorte de néné en herbe ! néné né des données rupestresvc bn"éandertaliennnes acidulées ! traits majeurs ! cfolle -ombre ! dictées ! pousse-honte ! poil du nez et autres atrocitész sur roche ! on monte ! on veut toucher à ces nénés du bout du monde et du cfoup AIMER DE CHEZ AIMER LA RONDE
LA ROTONDE -RONDE
CE TRACÉ DE PORTE
CETTE VOIE DE ROCHE HAUTE
TRAIT
TRAIT
TRAIT
TRAIT
TRAIT
TRAIT
trait tracé à main levé pzatr l'homme-femme des données (profondes) hautes ! haut nivrau xde roche = chapiteau ! porte haute des données profondes ! Paroles ! Port e = parole ! chants doctes ! traits amis d'animaux de roche ! bouquetinsmonstres! bouquetines hautes ! boucs et béliers des données données cfomme à l'arraché ! antilopes ! antilopes et antilots ! porte ! porte-mots ! colle! colle de peau ! charge haute sur paroi haute ! haute porte sur peau ! peau docte ! haute peau ! peau d'ombre ! peua des peaux des anuimaux ! haute porte aux mots-animaux ! paroles hautes et hot ! hot mot de trop genre insultes à croc ! On monte ! on monte haut armées de crocs ! on monte hot ! chaud de chez chaud ... animaux de roche ! On ose ! on colle ! on est hautes et haut ! mots de trop sur porte de peau ! on colle-ose ! on colle-porte! on colle des mots-animaux sur roche haute ! traits des fées sur Néné ... de haute Porte, et autres passages de fin de Roche ! Trait ! trait ! trait ! traitb ! trait actés ! traits tracés sur roche-Néné , qui sait ? trait bdes traits colmme tracés qui sait à main levée , par une femme des données, femmes rondes, femme ronde des données, femme-homme des données données ainsi allouées à une Sommité ... de Branche ? Cerfe Cendré ! Cerf alloué à un pré ! Cerf des données Hautes ! Cerf soudé ! Cerf des CErfs soudés à une sorte de prairie aux fées ainszi consacrée ... car, CERf des Prés est Cerf alloué à une Vérité "en branche" / BOIS Donné ! bois Haut ! Hautbois du tonneau ! Bois des bois du plus Haut des Bois ! On ose ! Fée des fées ./......................................................... on ose aller .................................... téter ..................................................... le lait de l'Ombre ................................. lzit nacré aux données sucrées-salées ........................ comme un jus de roche ............................. roche nue ............................... vue ........................... entreevue ............................... connue ....................................................... reconnue ..................................................... peut-être reconnue ou enfin reconnue ............................................. nue ?
29/12/2024
On veut aller ensemble à la recherche ou comme à la recherche de données "extrèmes" ! On est fées et du coup on cerne ... plein de choses que , en vrai, si on n'était pas fées, on ne pourrait, ... on ne pourrait certainement pas cerner comme on le fait, = "à toi àmoi", dans une sorte (ensemble) de vision profonde ! on aime ! ça on aime ! çàa on peut dire qu'en vrai on aime, on aime beaucoup, on est fans ! femmes et fans ! on aime (grave) toucher à ce qui se présente et qui (devant nous) ouvre une voie d'abord, pour une soetre de pasdsage (ici) pour fées "de contraebande" = pour passionarias (en quelque sorte) des données cachées et autres secrets "de dernière couvée". on est les fées fans (femmes ) qui aiment ! on aime aller en ces contrées, c'est-àdire dans un pré, la paroi passée, la paroi des rages, celle qui (ici) nous fait face dans un premier temps et nous attire à elle, nous demande comme "en mariage ! On veut aimer le pré ! on aime ! on trace ! on est (ensemble) les ailes, d'une sorte de "déesse volante" = fée des prés de base ! on aime = on regarde ! on aime tracer , charger et nous porter, au plus loin sur le pré , direction ... eh bien, cette chose lointaine quyi , on dirait, nous regarde, nous mate sévère, ne nous lâche plus, ne veut plus nous abandonner ou nous lâcher ou nous laisser tomber ! c'est qui ? on cherche ! on ne sait pas qui c'est ! on est envahies ensemble comme qui dirait, par une sorte de ... questionnement ? peut-être !
par une sorte de questionnement qui nous pousse à aller, à virer , tanguer, tracer, pousszer (loin) la
"ppromenade rupesttre" , charger ! parce que nous en tant que fée ailéeon veut toucher à ette sorte de donnée dernière qui, pour le coup, est une sorte de donnée ... comme on les aime = gratinée ! on veut (grave) pour nous,, du gratiné ,ou dans le genre gratiné ! ces sortes de données de base, ou données des données, on les voudrait de préférence "gratinées " = spéciiales, peiut-êttre "paradoxales" ? qui sait ? On voudrait ensemble (on est les ailes de la fée des prés) comprendre ce qui, en vrai, "nous regarde" ! qu'est-ce que c'est ? eh bé ... on est toujoiurs et encore (enselmbke) à se le demander ! à chercher ! On voit bien ivci qu'il y a comme une sorte, peut-être ... d'enduit ? qui recoiuvre ou recouvrirait la paroio ou quelque chose comme ça , un enduit gras , une sorte d'onguent, de crhême ! qu'est-ce que c'est ? eh bien on cherche ! on cherche ce que ça peut être ! qu'est-ce que ça peut être ? on cherche ! on se demande ! on se pose des questions et on regarde et on se dit que oui peut-êttre un jour, on arrivera, à cerner au mieux les donhées (frontales) dernières, ce qui est squi se présente et nous regarde, ce qui en vrai se trame au)-delà des thermes ! On est fée parce qu'on s'aime ! on est ELKLES au pré, on s'aime en vrai ! on s'aime ailée ! on s'aime de preès ! On aime s'aimer ! on trace ! on vole au loin à la recherche de données de bzse, de données de base et d données de rage, on y va ! on gagne Paroi (Paroi SAge, l'ultime Paroi) et là, une fois l'ultime (peut-être) Pzaroii abordée ou atteinte, on voit ! Qu'est-ce qu'on voit ? LA RAGE ! le tracé de rage ! permutation ! fruit de la Passion ! On a touché à cette extrème onction des données dernières ! PARLONS ! PARIONS ! CREVONS LA CHOSE SOUTERRAINE ET PASSONS ! PASSOONS PASSION ! on aime ! on est deux ! deux ailes ! on est les deux ailes du pont ! on trace dans l'herbe ! on veut en vrai aller pour ainsi dire comme pour toucher de chez toucher les données les plus extrèmes = souterraines, d'uneb sorte de contrée "en herbes" ! qu'est-ce que c'est ? eh bien ... peut-être .... une sorte de chemin des traces , caminade ! On veut (ensemble) filer, filer grave jusqu'aux nénés et téter ! on dira que ça, cette chose, ON VEUT ! = téter ! et pas à moitié ! On veut toucgher à ces nénés qui , devant nous, sont les nénés d'une sorte de donnée frontale telle que par exemple on pourrait s'y attendre ! une sorte ... qui sait ? de données "rare" ! Une ouvertiure (en soi) dans la mansarde ! qu'est)-ce que ça peut ou pourrait être d'autrev! On regarde , on cherche à passer ! on est au fond du pré, on a retrouvé ou comme retrouvé les données frontales = pzariétales, mais de l'intériuer cette fois-ci, on est inclues , on est nues, on mate ! on veut tioucher = passer, à travers la Buse ou comment dire ici , pour cette sorte de .... conduit ? de ... passage-conduit ? qui est comme une sorte de donnée de base cioomme contigüe à une sorte "d'outre-passage" ... On est prêtes à tenter le voyage ! Est-ce qu'on le pourrait en vrai ou de fait sans dommages ? est-ce qu'on peut de fait réellement envisager ensemble (= ailes d'une fée en herbe) ce voyage en ce paysageb ... des données ultimes post-paroi finale ? On regarde ! trait ! trait des prés" ! trait de ce qui est qui nous regarde (nous regarderait) attentivement ! On est nées de fait sur pré, pour, entre nous, essayer (au maximum) de comprtendre, ce qui ici se passe (ou se passerait) pendant ... qu'ion parle ? pendant quoi ? qu'on chante ? On voit kle passage, c''stàdire qu'on voit, ici, de près (de treès près) ce trait, des données finales = d'anfractuosité, de caverne szsarde (?) ... qui sait ! une sorte de "passage-parade" ! qu'est-ce que c'est que ce tracé sur paroi sage ? On se demande ensemble ce que c'est ! on se regarde et on se pose la question, concernant le front ! qu'est-ce que c'est que ces données de Rage ? Ultime Passion, Trait d'Annge, "Vie des Monts, Panse ! On veut (oui !) comprendre, ensemble conconmittament (on est ailes nées) , ce qui est qui se présente (disons) en "fonnd de caisson" ! On mate grave ! on ne cesse de mater, toucher, caresser, cvomprtendre, qu'est)-ce que c'est que ces ... (dits) "nénés de contrebande" de fond de pré paradisiaque ! qau'est-ce que ça peut êttre ! On cher che ! on trace ! on fonce ! on file ! on est ailes volantes = fée des prés ! on est "encerclées ", entourées de base de données rupestres genre bêtes, bêtes prairiales, bouquetins des rages et auttres bisonnes sondées,buffles alloués, chevaux de trait, charges mentales ! on veut comprendre et pour comprendre il faut (grave) s'activer, toucher aux nénés, pistonner, filer, creuser, cocher la bonne case des données allouées à une vérité ! et ce , sa ns lambiner, sans ne jamais traîner de préférence ... car, merde, on est fée de base ! on est pas là pour "musarder" si tant est mais creuser, pousser de base notre sorte de petite charge,ailes accolées sur un morceau de poids, dit "léger" ! On est nées ! on est nées Fée on dira "au passage" ! On était X , Y ou Z, nous voilà La Fée post-cimetière , et, dans ce opré aux bêtes de trait, on trace ! on vole que tu voleras jusqu'au bout des champs ici allouées à une sorte de cercle pour initiées on dirait. On est Nées f2e (de fait) au passage (de vie à trépas) et nous voilà comme "activées" par ... qui sait ? Le Verbe de La Foi dans l'Au-delà ? ça se pourrait ! et du cfoup nous voilà là, poussant de bonnne foi notre (peut-être ?) sorte de Romandce des Données de Base = TRALALA, et autres chants Sardes (?) ... va savoir ! on y croit ! on ne croit qu'à ça ! on veut pouvoir toucher au Tralala ou à son Tralala des données Finales ! Arumbaya ! chants sardes = musique d'appât ! On veut ... eh bien, pousser loin, si possible et sans traî ner, nottre sorte de petite charge (ici) "à passion" ! On veut aller ensemble en tant que fée (on en est ou en serait les ailes !) passer ! traverser ! filer ! comprendre de l'autre côté ce qui est qu'on pourrait cerner ! qui est là qui nous regarderait ou même, là, nous regarde en pied, ne nous quitte plus, grave nous reluque de la tête au cul et du cul aux nénés ? SAlace la Divinité ? coriace dans le genre ? pitié ! on n'aimaerait pas (du tout) tomber (de grâce !) sur pareille entité salace ! on veut du léger ! de l'outre-menace, du passé sucré ! beeele ambiance et musique des prés ! On veut paqsser ensembvke (ailes soudées) comme en contrebande mais sans se fâcher ! on veut toucher à ce néné post -pré pour juste téter on dirait parce quye c'est vrai ! du lait ! rien que du lait ! du lzait de France comme qsui dirait ! lait-verbe alloué à une sorte de Romance du passé = l'attelage des bêtes nacrées ! l'attelage-né à la retombée , fait de bêtes nacréeszxquui i (toutes) nous regardent (au passage , à notre passage) comme si en vrai on était comme eelles, Vaches ! Vaches à lait ! bêtes de poids sur un pré de Joie ! Comme on leur ressemble par certains côtées, puidsque (par exemple) on est ailées comme elles, c'est un faiot, mais pour le reste on ne peut pas dire qu'on est, ou qu'on soit "comme elles" tout à fait ... ou si quand même ? soeur de lait ? soeur des données lmactées ? On cherche à cerner ! on veut toucher ! on ne veut pas laisser tomber puisqu'"on y est" ! et que voilà ... le mieux (en ce qui nous concerne, en tant que fée) c'r'st de voler ou voleter, direction ... la Plaine ? le Passé ? Les Nénés Alloués à une contrée ? le P assage Cendré ? lieu d'aisancedonnant ... sur un Passé dit "de contrebande" ? On est fée curieuses (de base) alors ... on chante ! lalala on y croit ! on va loin ensemble ! On veut "creuser la paroi" ... On ne veut pas rester "en carafe " sur paroi mais comme , disons, passer, passer ce Passé ! tracer ! pousser ! creuser à jamais ou sinon à jamais, pour un temps "long", les données rupestres "de la Passion" ! fgond de pré et mamelon ! On aime tracer ! on aime aller ! on aime creuser ! on aime filer ! on aime coller ! on aime (aussi) pisser ! on aime (aussi) chier ! on aime (aussi) tracer de chez tracer sur pré notre sentier menant de préférence au terme d'une sorte de "voyage interne" menant (grave) aux données dernières telles que espérées, espérées commprendre, ou telles qu'on espèree, un jour, pouvoir les comprendre = les cerner, ou telles que peut-être, un jour, on arrivera ensemble = ailée ;, à mieux les cerner et mieux les comprendre ... à tout jamais ? ... qui sait ? on aime = on esp^ère ! On ne voudrait pas passer à côté en étant si près (nous deux !) d'une donnée aussiu souveraine ! merde ! ça serait bête , plus que bête ! on ws'en voudrait ! on s'en mangerait ... les ailes ! merde ! On veut dire et pousser ! on veut grave tracer et y aller au plus profond de ce qui est qui se présente devant nous, soit : à nos yeux écarquillés ... et à nos genoux, posés sur le pré ! On mate ! Qu'est-ce qu'on voit (à travers la faille) eh bien, post-paroi finale, il y a :
- une sorte de Passé , Passé Sarde
- un tracé post-pré dont le nom m'échappe
- une sorte de Poupée (?) ausx données Sales
- un creuset
-une pomme cendrée
- un .... pet ? à moins qu'il ne s'agisse ... d'une sorte de souffle alloué à une
-- à moins qu'il ne s'agisse ... d'une sorte de donnée allouée à une sorte d'Entité Venteuse, genre Caliopée (?) ....
- un annneau de buse
- un poteau
- une sorte d'enclume avec marteau
- Un chapiteau, recouvrant une écluse ...Qyuoi de plus ? Peut-être, et qui nous vient dessus, nous pénètre, un chant ? On est nées fée pour être ainsi enveloppées , on ne sait, lme moment venu ! enveloppées nues ailées portées ! = pour passer ! Passer pour (qui sait ?) toucher-cerner à cetrte sorte d'entité chelou (?) qui serait là peut-être pour (en vrai) ... nous "happer" (?) ou nous "avaler" (?) ! On bveut colmprendre ensemble les données rupestres, celles de la base amère, et puis les dernières, l'ultime contrée, le tracé des fons cde pré, la parade finale , cavalcade consacrée, trait des traits = ¨Passage czalibré pour ailes repliées quyi s'y faufileraient en vrai ! et hop, le tour est joué ! On a envie enwsemble de comprenndre ces nénées dont on nous parle qu'est-ce que c'est , et du coup, on veut passer, à tyravers la base, passer ensembkle, soudées et accolées et comme en contrebande , soit (oui !) se faufiler, se glisser = se faire (dès lors) toute fines, menues menues, fines de chez fines, et là, incidemment, tracer = traverser = entrer = passer ! pousser = passer ! on veut en vrai passer de l'aurtre côté et .. est-ce qu'on va réellement y arriver ? .... eh bé .... c'est pas gagné ! ça force ! c'est méga-étroit ! il y faut la foi dans l'au-delà je crois ! il faut poussser ! pousssrrde cherz pousser ! sans traîner ! sans chercher à se défiler ! creuser ! on se doit de creuser ... la Roche Finale, pour en vrai passer à travers la Manche ! Pässer = toucher = dire = faire = creuser = contrzaindre le passé à vous adpoter ... et ça le fera grave comme qui dirait ! ou, comme qui le souhaiterait ! Entrer = passer = donner (sur un pied) une sorte de pression forte, et hop, sauter ! foncer ! aller par-delà la Roche aux Données Accolées, et du coup ... passer , ailées, de l'autre côté ! ailées = aimées ! ................ ailées on le sait = aimées ............................... ailées à présent on le sait = aimées ...................................... à présent on sait pezrtinnement que AILÉES = AIMÉES, AIMÉES À JAMAIS ! ................................ on le sait de source sûre ! on est accolées ! on monte on vole ! on voit des Nénés comme "bnous regarder" ça fait drôle ! on est Ailmées-Aimées du fait que voilà ... on vole ! on monte ! on est hautes ! On est nées Fée sur pré au passxage Premier , et nous vopilà qui nous pour ainsi dire priopyulsons de fait au plus lointain du pré tel que dessiné par hommes et femmes CRo-magnons ! le POnt ! Roche Portée ! Colle au Frais ! Porte Donnée donnant sur une sorte cde "Contrée des contrées" , contenant (surt pied) x et x bêtes de traiot telles qu'appréciées, adulées, consacrérs, aimées, comptés par x et x Fées des prés , qui sait ?On veut toucher à ce Néné de l'au-delà à la paroi ! est-ce le Passé comme en revenance ? un Passé des prés ? des endroits pré-pré ? est-ce du passé comme s'il en pleuvait ... (pleurait ?) ? On ne sait ! on a envie ensemble pour le coup de nous pencher, sur (ici) un certain nombre de questions pour ainsi dire de grande importance ! genre : la Pa ssiion ! le Trait des traits ! Le Pré alloué à une sorte de Donnée Finale, du coup post -pré !
La Roche, aux Passions Finales, est celle qui, en fond, nous fait front et comme nous regharde, nous espionnerait§, semble être ici comme à nous espoiunner ou à nous regarder de la tête aux pieds ! grave ! grave kl'Entité ! on veut comprendre ce Néné , et pour comprendre ce Néné, ou ce Néné à lait, il faut s'infiltrer comme en contrebande à travers ici la Faille Finale, ce tracé d'un trait, ce teait tracé sur Roche (Ultime) post-pré, et du coup s'immiscer et chercher de fait à se faire (si possible) minuscule (le plus possible) sans reculerr, passerr = s'immiscer, passer vif mais rammasséé afin de traverser et de se retyrouver ainsi effilée de l'autre cvôté de ce tracé "en rotondité". Passer = se faire (au plus) celle qui s'effile ou s'affine en roche, se coller ou s'accoller et faire ensemble (ailes de fée) passage ! pour toucher ! toucher )-cerner ! cerrner-aimer = voleter ! traverser !
on acte ! on entre ! on fait le voyage ! on passe ! on se soumet de bonne grâce,
à ce trait du coup de rage rupestre , c'est-à-dire qu'on essaie de faitt de se faire "petites" , pour passer ! pour arriver à se glisser et à se retrouver de l'autre côté, côté post-pré = pays sage, paysage aux marées (?) oupeut-être aux nénés , qui sait en vrai ? qui connaîot le Verbe Donné ? qui sait ce qui est post pré, post mortem, ou posst-post morteme ? qui nconnait les données allouées à une sorte d'entité "coriace voire salace " ? On veut comprendre ! Fée des fées on est, et, on veut comprendre ensemble , ensemble nées ! on aimerait ! on voudrait ! on voudraiot grave ensemble comprtendre les données de base ! ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait sans discontinuer et comme à la parade , et du coup pousszer de chez poussr nos recherches antrales, aller et sonder, creuser comme qui dirait pour l'éternité le Verbe de l'Ambre ou qu'est)-ce que ça pourrait de fait être sur pré ? On est nées Fée ... hé ! ... sur pré des fées ! On veut toucher plus loin à ce qui pour le coup nous apparait en termes de Roche Dernière ! teacverser = se faufiler ! se faire mince = mirgue ! et même mirguette si tant est ! toucherr = dire = pousser = consacrer ! Allouer à une sorte de donnée dernière eh bien ... un Passé post-cimetière !!!!!!! qu'est-ce que çac pourrait être de fait ? peut-être en effet deux nénés qui seraient à nouveau à téter ? recommencements en herbe et le tour peut-être en effet, serait joué de chez joué, qui sait ? retour aux sources ? le lait !!! retour au Lait comme s'il en pleuvait ... du pis sacré (spi des données lactées ?) ? On est la Fée en Herbe , on chercvhe, on est limitée, on est fine et menue mais on chervche ! on ne dandine pas du cul ! on est svelte à la recherche ! on est accolées ! on ne lâche plus les données : on persévère ! on se tient postées ! on ne lâchera plus l'affaire ! on est couillues pour ainsi dire = ailées et ça le fait ! les couilles percluses et enterrées on est ailées ! on a perdu l'hominité nature, on est devenues Fées au passage de Bure ! accolées Fées ! les voilà "TRACÉES" à jamais ! vives et cendrées ! vivacités nées ! confiture ! monture ! allure ! aventure ! on est la Fée aimée des prés ! = ailée ! On veut grave s'envoler pour pouvoir monter, monter et toucher à cette sorte de fissure sur Roche Dernière = ... un TRAIT .... oui ..... trait des TRaits c'est dit ! .......... iune sorte de trait de fissure par où, éventuellement, pour fée motivée, paqsser .... et motivée on l'est !!!! on ne veut pas laisser passr l'occasion d'y aller, piisqu'on y est invitée il sembvlerait ! tracer = passer ! chargeons monture , crreusons , pistonnons, fouillons, creusons d'envergure ou sinon d'envergure creusons "ramassées" , de fait à pouvoir, pour le coup, passer et du coup traverser et du coup comme se retrouver ainsi vpelotonnées de l'auttre côté, côté ... néné ? on dirait ! du lait ! on dirait du lait ou du petiyt lait comme s'il en pleuvait ! pisse lait ! on dirait du léait , ou de l'eau lactée ! on veut téter ! on dirait comme quyi dirait une sorte de contrée "du lait", lait nature ! lait des fées et autres lactaisons de vulve ou quoi d'autre serait qui nous approcherauit ou même nous attendrait comme à la revoyure sait)-on jamais (vulve ???) ? On vezut grave comprendre les données finales ! s'il s'agit de lait, de voie lactée, de lait des prés ou bien de lait de vulve si tant est ! qu'est-ce que c'est ? vulve nue ? en vrai ? une sorte de treacé vulvaire tenu ? une sorte de treacé sur pied ? genre : concret ? artrt concret ? art des données nues s'il en est le Roc passé (roc dit "des finalités") ? On est fcfée des prés et on essaie ensemble de toiucher à ce qii se présente . On veut toucher à e qui se présentevensemble , ensemble = ailées ! On veut ensemble (ailée) toucher à ce qui se présente ! On voudrait ! On éimerait grave ! on a méga-envie ensemble de toucher ici et là le muret passé à ce qui se présente devant nous en termes de données finales, pôst-post-mortem , post-pré des fées, post vfaches et herbes vertes en herbe ! on aime ! on ne veut plus s'arrêtrerr de chercher mais grave creuser de chez creuser le terrain miné (?) ou sinon miné comme saturé ... saturé de lait ? oh, on ne sait ! on cherche à cerner ! pas facile en vrai de nous y retrouver en ce terrain des données en herbe ! ce qu'on veut (l'important !) c'est d'aimer , de tracer et d'aimer , aimer tracer ! aller, fouiller, creuser, chercher loin, pistonner, pousssr, faire ainsi que donc ce lait dont on nous parle (leit de néné) soit pour nous enfin "cernable" , soit compréhensibkle, visible, touchable, tétable ! peourra-t-on, un jour, toucher à ce dit mùamelon qui serait de fait le Mamelon des Mamelons du Front ? On l'envisage ! on a envie en vrai d'aller à sa rencontre sage ! on a envie en vrai d'aller pour ainsi dire sage (sagement) à sa rencontre ! On veut de préférence aller à sa rencontre, en restant sage ou "sage à sa place " ! On ne veut pas se laisser entraîner par nos pulsions de Fée Nature, mais toucher -téter est (déjà) toute l'aventure, ça se sait ! toucher = cerner , et cer,ner = comprendre ce qui est , ce qui est de ce tracé des données ultimes et autres contrées des dernières rives ! Du lait ?? vraiment que du lait ? une mer de lait ? lait donné à la Fé Nature ? lait des laits ? on cherche à cerner ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ les données ! on veut grave cerner ! touccher de chez toucher à cet ensembleb (on dirait) de données lactées ! qu'est-ce que c'est ? une urne- ? une sorte d'urne à devoiçr combler ? qu'est-ce que c'est en vrai qaue ce dit ... "Néné de bure " ? à quoi il nous fait penser ? qu'est)-ce qu'on piourrait en retirer , ou en penser, en comprendre ensemble en ces traits ? de quoi il s'agirait concernant ce "lait", ou "lait matûre" , ou "lait des laits", ou "lait d'envergure", ou même "lait de trait" , "trait de lait", "lait-trait", lettre à lait", lait -lettree alloué", lzit -verbe considéré", "lait en herbe sur pré", "lait-verbe ancré", lait des laits cernés", "lait de verbe cendré", "lait du Verbe consacré", " Lait-verbe faisant la Navette et autres traits tracés", "Lait des Lettres consacrées aimées adulées " , "lait-miette", "lait- verbe sur pieds = traîne '" ? "Chants des Fées le mmuret passé ? on ne sait ! on veut en vcrai cerner &u plusz posdsible ce que c'est que ce dit "Verbe-Lait" desendroits post-pré ! et d u coup toucher ? oh peut-être ! toucher de cherz toucher à cet enxsemble de données en herbe qui serait ... eh bien, peut-êtte, donné par, qui sait, une sorte d'Entité-Rotonde ???? on ne sait à quoi ou à qui se fier ou vers qui ou quoi se retourner pour en vrai et enfion compfrendre un ensemble donnée dev données en herbe (Vervbe) sur pré ou sur pré alloué à des sortes de recherches, genre : fouillesterre, creusements de bosse, pelletées profondes ! On ose ! on est fée du pré, on est pas là pour en chier à se mettre à creuser, ou pour en suer, mais tout au contraire ... s'envoler (de booonne grâce) en ces nuées d'une Parade ! voler = monter ! tracer Romance ! filer ! ne pas s'enkyster ou s'enterrer, ou s'embourber ou donc sillonner comme bêtes de traits, qu'on était ou qu'avanjt on était, qu'avant en vrai qui sait on était, mais ça c'était avant ! avant la Remontée ! avant l'envoloée ! le tracé Volant ! l'embardée ! la Montée aux chants des Bêtes Siffleueses ou autres chanteuses ! On est Fée dexs fées qui voulons comprendre pour le coup tout un ensemble , et cet ensemble forcément a grave à voir avec ici toute une cohoerte (pour ainsi dire) de données rupestres, ,, genre : Bêtes-mots tracés haut, bêtes de trait sillonnant la Roche, et traçant cette r(ocheb pour ... eh bien peut-être ancrer la CHose = l'Entité ! l'entité des entités, qui le sait ? On veut en vraéi essayer , essayer de cerner ! mais pour en vrai cerner, il faut s'envoler, monter, creuser, passer, pousssrr, essayer de se faufiler, à travers ici une szorte de "conduit docte", , genre "VERBE DE PORTE", et là, peut-être .... envisager une sorte de passage en force , ou sinon en force, un passage dit "de forcenée ", passage tracé dit "de forcenée" parce que voilà, le paszsage ou ce passage "dfocte" est tout un tralala de Roche ! chant axial ! chant des Voies ! chants forts ! chants des cors ! chants des haiutes pa(ois ! chants de la Foi en l'au-delà du corps ! chants des données hautes et autres chants de s chants voire des champs ! Chants passés ! chants consacrées ! chants des prés ! chants des Envies de Lait , qui sait ? Car l'envie (de lait ) est première et souveraine et en vrai ne passe jamais ! on dira qu'il ns'agit d'un FAIT VRAI ! cette envie de lait éternelle cfomme il sembklerait ! on cherche ! on veut toucher à cette Vérité des données lactées post-post-mortem ! est-ce que vous pensez que peut-être un jour on arriverait en tant qye fée ailée (la mort passée) à du coup cerner (au plus juste) cesz do nnées lactées puisqu'il semblerait qu'elles soienrt .... vraies ! quyi sait ? Qui sait si la mort, le pré passé (antichambre passée) n'est pas , tout simplement, du laiot ! léit post-pré ! lait des laits aux données données ! lait d'herbe ? lait des prés ? lait post-pré = post-cimetière = post tracés en herbe ! On veut = on aime ! on aime = on veut ! On est bêtes de feu ! colère ! emportemejnt salutaire ! cri d'effroi et autres poussées dentaires ! lmerde ! on veut mieux ! soit
DU LAIT DE BONNE GRÄCE À QUI MIOEUX BMIEUX
tracezr = pousser = dire = commprendre = cher her = dire = passer = cerner = lier = monter = chercher à ici cerner tout un ensemble de données de type lactées, et pour ce faire, eh bien le mieux c'est de creuser à mùême la roche, et ce ... par la parole, VERbe ancré , tracé ! cohortes ! cohortes en ordre ! cohortes aéllouées à une sorte de muret de porte = la Roche Profonde ! toucher ! toucher = toucher ! toucher l'Ordre ! toucher ! toucher à des données de porte ici consacrée à une sorte de recherche en herbe de type "tracfé", "tracé des treacés" et on est ... fée ! fée des fées ! dingue ! dingue comme çàa le fait ! On ne veut pas passer pour des qui jamais en avancent mais tout le contreaire, gratouiller (dans le Verbe, ou par le Verbe, ou à travers le Verbe) un certain nomùbre de données de ronde ou dites "de ronde", et du coup ... toucgher à ce qui est ou serait en vrai une "Vérité d'époque " , on ne sait jamais ! On ose ! en tout cas on ose, voilà ! on y va ! on creuse ! on veut ça : toucher ! creuser ou toucher! toucher ou creuser ! on veut ça pour soi ! aller et creiuiser de chrz creuser la Roche des "bouts du MOnde" soit .... eh bé là-vbas, ce dit "muret des données en joie " ! On y va ! on fonce ! on veut grave cerner le Lait de la post-Päroi des ombres ... est-ce vrai ? est-ce vraiment cette chosexd ? est-ce en vrai (nous concernant) la Chose de nos tourments ? voulons-nous (en clair) réellement cette chose , d'une sorte de pârole, Verbe Ancré Lacté, ou bien autre chose et si autre chose quelle chose ? est-on assez toutes deux "remontées" pour de fait cerner les données (profondes) lactées ? ou ... pasb vraiment armées comme il le faudrait ? devons-nous repousser lesv limitesc du Verbe Alloué à une sorte de "recherche en herbes" ? devons-bnous hurler avec les bêtes ? devons-nous creuser la Terre et nous enterrer comme on le pensait en des temps reculésx ? devons-nous plaire ? devons-nous pousser le Chant et /ou braire le cas échéant ? qure devons-nous faire et ne pas faire ? savons)-nous nous satisfaire d'un savoir prairial ou bien voulons-nous agtteindre plus loin l'outre-mont aéux données Suprêmes genre La PAssion ! que voulons-nouys faire ? peut-être (de fait) posons-nous la questio,n pour en v(ai cerner ce qui est qui pourraéit nous plaire et inversement nous déplaire . Pouvons-nous copmpcrendre la P assion, ici située ? Pouvons-nous comprendre (ainsi ailées) cette sorte de Passion des MOnts" telle qu'elle nous apparait entière ? qu'avons-nous dès lors à comprendre pour nous qui pourrait de fait grandement nous aider à nous y retyrouver en ce terrain miné des données dernières comme saturées (on dirait) de lait, de lait des prés ou sinon des prés "de l"herbe" ? On chercvhe ! On a envie pour ainsi dire de se retrouver (enfin) comme pouvant com^prendre les données du Genre, qui est qui en ces contrées, Holmme féminisé, Femme masculinisée, Genre Sarde, Tracé Né, Faée des Fées comme à la p arade : on ne sait en vrai qui est qui sur pareille Roche aux données Grosses ! Mais de fait , on veut ou on voudrait cerner pour pouvoir en vrai répondre à celles et ceux qui , devant nous, pourrons se présenter éventuellemant comme voulant comp^rendre comme nous ce qui de fait concerne le Genre ... en ces contrées paradisiaques ! On est concernées ! on est comme concernées ! toute une ambience ! on essaie ensemble de s'y retrouver szur la question du genre la mort actée, on tente ! On a envioe ensemble, c'''est vrai, de comprendre (loin) tout cet ensemble de données, concernant ce genre , ce genre de fée dite d" de contrebande " ! qui on est ? eh bien peut-être, en effet .... de l'ambre ! On ne sait en vrai ce qu'on est ! On a znvie ici , sur pré, de mieux cerner les FVérités du GEnre ou du Genre qu'on est "en tant que fée", on a envie de nous y retrouver ou (sinon) de mieux cerner (de fait) ce qu'on est, en termes de données genrées de type post-mortem. Car, ce squi est ici qui nous semble ou semblerait, est cette chose comme quoi la mort, une fois passée, "trouble le genre ! touble que tru troubleras le genre et sans traîner ni sourciller ! Une sorte de transformzation de rage ! un treacé acté ! le passé faisant poids sur pré, voilà le trait ainsi tracé ! bêtes sur pieds ! ON regarde ! on est bêtes sur pieds njous-mêmes ! on est vaches à lait / fée en herbe, un temps donné ! on est ou on a éteé cette bête des prés, néabndertaliennes ou plus encore aurignaciennes, , c'est un fait avéré ! à présent .... on est ailée comme vache ailée, mais beaucoup plus légèères ! feée en herbe est devenue Fée -Verbe ! Un trait ! Une sorte de trait ! fée-trait = Fée des Fées des Prés = ëtre donné pour une sorte d'entité posté ! postée allouée à une Vérité post-pré , genre ... lAIT !
LAIT des HERBES VERTES ! LAIT DES LAITS ET DES HERBES VERTES ! LZAIT SUCRÉ AINSI ALLOUÉB À UNE VÉRITÉ DE TYPE CENDRÉE ET POST-POST-MORTEM, SOIT ... D'APRÈS LE PRÉ ! POST-PRÉ = POST-POST-MORTEM, PUISQUE LE PRÉ = POST-MORTEM ! ON ESSAIE DE NOUS Y RETROUVER ET CE N'EST PAS GAGNÉ ! LA CHOSE N'ST PAS SIMPLE MAIS ARDUE ! ELLE PUE DU CUL !
On est née fée quand on est passée, on a couru, on est à présent toute nue (ailée) devant un muret qui en vrai est toujours le même muret ou la même paroi que ceelle qu'on voyait là-bas, à notre aerivée, la paroi des ROis et Reines de SAba, mais, à présent, vue de l'intérieur, sorte de ... muret de forterresse, ou d'enclave (ici) majeure .... On voit ! On est dedans , encerclée ou comme encerclée ! on veut (du coup) "repasser" = traverser à nouveau (pour ainsi dire) ce muret, ce mùur du fond du pré . On veut passer et du coup cerner ce qui, derrière nousz, attendrait .... herbes ? encore de l'herbe ? du verbe ? verbe en herbe ... ou verbe-Lait ? saura-t-on un jhour cerner ensemble (ailes de fée) les données profondes, cecqui est (de fait) post-rotonde ? saura-t-on un jour toucher à ces dits "BNénés de l'Ombre" des données Ancrées dans cette sorte de pénombre à expolorer ou qui serait (préférenciellement) à explorer si on le pouvait ... et le peut-on ? sommes-nous assez aérmées pour tracer et cerner et toucher à une Vérité de niveau "LAIT"? Sommes-nous assez "remontée"és" ? sommes-nous assez "perlées" ? pouvosns -nous sans hésiter nous ancrer en ces contrées et cerner de près le type de données à devoir pour le coup emmaga sinner ? sommes-nous (pour cela) F2es Ailé&es assez"timbrées" ou .... pas timbrées, mais allouées à une sorte de Pensée Massive, Clouée au Passé, Comme sermonnée par en nous des Bêtes de trait ... ? ! On veut AIMER LA ROCHE POUR CE QU'ELLE EST, ON VEUT DIRE L'ULTIMRE ROCHE OU L'ULTIME ROCHER, L'AIMER EN VRAI POUR CE QU'IL EST EN TANT QUE FORME ET, AUSSI, EN TANT QU'IL SERAIT, CE ROCHER, OU QU'ELLE SERAIT, LA ROCHE, L'ANTTRE AUX NÉNÉS ! DINGUE SI C'ÉTAIT VRAI ! OH, ÇA SE SAURAIT , NON ? PLEIN DE GENS LE DIRAIT, LE CHANTERAIENT, SOONERAIENT L'HALLALI D'UNE DONNÉE OU SORTE DE DONNÉE ICI (ET DÈS LORS) ULTRA-PROFONDE S'IL EN EST ... MAIS JUSTEMENT ...? EST-CE QU'IL EN EST ? EST-CE QU'IL EXISTE EN VRZI SOIT EN TOUTES LETTRES, DES PENSÉES OU VÉ'ITÉS ULTRA-PROFONDES ? PERMETTEZ-MOI D'EN DOUTER !
LE VERBE SERMONNE
LE PAZSSÉ-COHORTE EST POIDS DE DENRÉES
LA CHOSE HAUTE EST DONNÉE DE GENRE
ON MONTE = ON COMBLE
POUSSSER = TOUCXHER, À CETTE CHOSE D'UNE PAROI HAUTE , TYPE "ENSOLEILLÉE"
on ne veut pas vraiment creuser "dans la parole" mais ... enttrer, entter de front (et ainsi ailée) par la petite porte, "la porte du fond", telle qu'imaginée ici ou là sur roche par parfois des hommes et d'autres fois des femmes, et parfois même par des hommes-femmes et par des femmes- hommes, au verbe ... Mangé ! On veut toucher à ce qui se présente ! on ne veiut pas passer à côté ! on veut comprendrec les données de chambre de l'Antre alloué à une "Vérité des Vérités de Branche" chamoirée, acidulée, ancrées, saluées, porteuses de données profondes ! on veut coller ! On ne veut pas passr và côté mais au contraire ensemble y aller sans désarmer ! sans se désunir ou se laisser gagner par des données impropres à une sorte d'embardée de type recherche avérée ! mais pousserr ! grave pousser ! pistonner ! grave pistonner ! chervcher = toucher à ce Néné des données finales ! une vache à lait se promenaiot sur un pré , et quand la vache à lait nous a repéré , elle a couru vers nous et jusqau'à nous pour nous lécher , léchezr les genoux ! fée né sur pré léchée par vache à lait ici aux genoux , aux genoux tout crottés, on se fait lécher par une vache à lait c'est fou et où ? eh bé .... dans ce, dit
"champ d'époque" ou en ce "champ d'époque" !
ou en ce pré acté , qui est le pré aux Fées de La mort Avérée, AFFirmée, Allouée à une sorte de .... Parole Docte, type .... Vérité, V2rité des Vérités, ou diosons ... Vérité Déité ou Vérité Divinoité .... Déité des Déités, ou Divinité des Divinités ! on veut toucher à ce Néné ... "du bout du monde " , qu'est)ce que c'est ? un vrai néné tout acidulé ? un néné en vrai de mére au lait ? une sorte en vrai de poche de lait ? ou quyoi se pourrait qaui nous enchanterait ou émerveillerait qui sait en vrai et sans nous troubler ? llait des fées de Roche ? lait POrté jusqu'au tracé ancré d'une roche ornée ? lait des laits des prés ... ou alors, lait lointain des données profondes (encore plus profondes ) ? On est La Fée Ailée aimant le Lait des données profondes , genre "N2né" des endroits post-pré ! post-rotonde on le sait ! lait des nuées ? lait d'une sorte de voie lactée ? lait post-roche = (ou égalerait) une sorte de lait d'une voie lactée ... Encoche ? poche ? poche à lait ?. poche d'ombre ? poche comme outre d'ombre ? poche d'ombre et ça le fait ou le ferait, peut-être, à jamais, et comment (dès lors) s'y retrouver ? On a envie grave ensemble , ensemble en tant qu'on est deux ailes formant fée, ou ELLES des données du pré, de, peut-être et pour le coup, cerner À JAMAIS les données "entières", soit tout un ensembkle de données en herbe (du Verbe !) afin de , ici, en ces contrées, en ces contrées post-muret, cerner ce que c'est que ce Lait tant nommé ! On a envie ensembke de co:m^rendre le pourquyoi c'est ça, ou le pourquoi de cette chose-là ou même pourquoi cette choses est là, soit ce Lait des Rages, Lait Frais, lait de BArbe , Lait Ancré comme à la Parade, Lait né post pré quand on est passée, quand enfin on a (pour ainsi dire) réussi à (ici) se faufiler à travers ce Trait ... de mur de fin de pré de r(oche, et autres muraille aux données finales (ou termin ales). creuser = donner ! et nous on veut donner , szoit : donner de nous , ok , mais ... pas tout ! de nous donner okk mais en vrai pas tout ! en garder sous le pied (l'aile allouée !) , tracezr = donner = dire = faiore = cer$ner ! toucher = dire = ptendre = comptendre ! qui est qui ici ? qui veut quoi cerner en ces contrées des boiuts d'un bout de pré ? qui ? On est passée qsur pied, on a creusé, on s'est infiltrée, on a voulu passer le bout du nez mais, hmm ... ça pue ! putain ça pue ! grave ça pue du cul ! on s'y attendait pas vraiment en vérité ! on ne s'attendait pas en vérité que pour le coup ça pue du cul ou que ça pue autant du cul ou que ça pue à ce poiint du cul ou disons que ça pue autant des odeurs du cul ou peut-être que voilà, quand ça pue du cul on veut pas ! ou disons .... quyand à ce point ça pue du cul eh bé voilà, on préfère ne pas ! on préfère en rester là ... on préféère pas aller pls loin en cettte floraison de, disons, "senteurs diverses" ou sinon "diverses" étonnannamment distinctes, marquées ou démarquées, présentéesq, portées jusqu'à notte nez ! on veut bien entrer mzis sans y passer ! on veut bien s'immiscer en ce tréit tracé ma&is sans pour autant avoir à subir de telles (comment dire ?) ... atrocités ? peut-être pas "atrocités" mais en vrai ... ça pue , c'est pas franchement farfelu de pour le coup le souligner à cet endroit pour ainsi dire de cet exposé, grave ça pue ! et du coup ... squoi ? on reste là ? sur pré aux bêtes bde paroi ? on ne s'aventure pas davantage hors de là ? on préfère les senteurs de roche, pré fleuri, prairie haiute ! on nhe veut pas se faire empuanter "là-bas" ! on ne le veut pas parce qu'on aime pas ça ! les senteurs du cul à ce point, nous, comment dire, incommodent ... ou pas ? on y va ? on y va droit ? On s'en fout de ça , on trace ? on va droit sur paroi coriace ? si ça pue pas grave ! si ça pue : pas grave ! On y va sans faire plus que ça ou tout un tas de manières "sa ges" car ... on est pas sages ! on envoie ! on envoie du bois dès que ç charge...
en nottre sorte, à nous, de corsage ! voile ! aile ! tête bêche ! trait de fée en herbe ! notre voie est là ! braver tempête ! tracer ! creuser ! filer et toucher à ce convoi du boiut du monde , à cette zsorte de convoi de .. pets ? du bout du monde ! qu'est-ce que ça peut faire ! on s'e,n fout pas mal ! on adffronte ! on veut comprendre la Parole DOcte ! On ne veut pas passer pour des benêtes de la HJoie en Herbe ! onveut grave cerner ! être "fée savante"! celle qui sait ! celle'-leà (parmi les fées ? ) qui sait ! celle qui (comme toutes les fées ?) saéit ? eh .... peut-être ! il semblrerrzait, il semblerait qu'on veuille l'être ou qu'on veuille de fait être celle (des fées ou en tant que fée)- qui sait ! squi connaît le Verbe ! le V erbe dit "acidulé" fait dxe lait en herbe ! lait frais ! lait des laits pour une misère ! léit donné même ! une misère mais ... lactée, c'est un fait ! on aime ! grave on aime ! on aime le lait et les cjhoses lactées post-post-cimetière , genre "données données" , car ces d"données-données" si souvent citées sont en vrai du lait, soit du lait mde mère ! on s'en serait douté mais on ne pouviait pas l'affirmer , à présent c'rst (pour ainsi dire) chpse faite ! le lait est avant tout du lzit de mère = une donnée donnée ! on aime le lait et du coup on cède ! on traverse ! on est comme allouées à une treavzersée, de type "remontées de bretelles" mais qu'est-ce que ça peut faire ? on éime y aller , pouusser, tracer, creuser et passer ! On s'en fiche de l'air , vicié ou pas vicié, on aime y aller et trouver ce qui est qui nous regaddreraiot ... de l'autre côté du pré ! tant pis pour le nez ! vive les nénés ! vive le lait ! lait nacré ! sucré acidulé ! on aime le lait ! lait post-herbe = lait post-pré ! lait de mère ? on aime ! on veut creuser de chez creuser le mur aux Données et nous y retrouver , cerner = piger, pour mieux nous situer comme qui dirait sur cet échiquuer des données primairses ! qu'est-ce qui est ici qui semblerait être ? VErbe-Lait nacré post-post-cimmetière ? champ de blé ? pré d'herbes ? chants acidulées ? termes ? On est née Fée la mort advenue, on s'en fout pas mal de ce qui pue du cul, des vents venus d'une roche nue, on fonce ! on s'en fout des ronces ! on est nue velue ! fée des fée des prés comme passées en force en cette sorte de trait dee roteonde ... trait de Cul ? Ré des Ombres ? filons !
allons ! essayons de comprendre ce qui est ici qui, pour le coup, semble vouloir nous attirer sans hésiter ... mais alors , ... pourquoi des pêts ? c'est en vrai à ne rien y comprendre ! on tremble ! on est Fée Fine prête à rire ! on veut toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher =btoucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher =toucher = toucher = toucher = toucher = toucher =toucher = topucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucgherb = toucher à ces dits "nénés " de base, à ces nénés dits "de contrebande", ce qui signifierait , que, en vrzi, le lait est comme juxtaposé à une sorte de donnée donné qui , elle, serait, du coup ... allouée au Verbe ? ....ON wse dit que oui,il y aurait du lait, et, accolé au lait, une sorte de donnée ... liée au Verbe .... ? ou alors le lait et le VErbe szeréait pour de vrai une seule et même donnée ? donné des données ?
Ou alors Lait = Verbe ?
On cherche (grave !!!) à comprendre le Lait, la Charge, le Trait, le Muret, les Bêtes sur Roche allant et venant, la Vacghe Centrale, le Passé, .... On veut toucher à ce qui se présente à nous, le muret (terminal) p âssé ou une fois passé : soit à ... du verbe-lait ? du lait-verbe ? Le verbe en tant que lait sucré ? le lait en tant que VErbe acidulé ? Verbe et lait serait de mèche post-post-mortem et à jamais ? est-vce que c'est vrai ? est-ce qu'on pêut décemment affirmer que le Lait est une ... Donnée Du VErbe ? Ver-be nacré sur paroi aux fées ? verbe consacré cvomme s'il en pleuvait ? Verbe des Fées tracées , genre Vaches princière ? On veut toucher = toucher = toucher, mais pour toucxher il faut entrer , en cette sorte de muret, aux données premières ... dxernières ... les premières seront les dernières ....? ou les dernières seront les premières ...? enfin bref ! on aime ! on a des ailes ! on veut voler ! on veut LÉVITER, LÉVITER sur pré (transe consacrée) et nous porter dès lors jusqu'au muret dit "des données primairses" ici , et "des données dernières" là , ... mais ... ce sont les mêmes ! dingue ! on est fée du pré , on est ailée car ... on s'aime .... à tout jamaiis ! amour fou radial ! chant de roche d'ombre ! cavalcade forte ! On fonce ! alons donc ensemble nous transbahueter et comme bnous accoler à une sorte de muret "des données profondes " ! O,n veut toucher à ce muret des données Hautes ! on veut grave cerner et toucher et comprendre et y aller de notre envie de voir ensemble ce qui est au-delà de là ! On veut toucher à ce mueeret "des données profondes", poussser et travezrser et nous retrouver, en force, prêtes à mùieux cerner cette histoire de Lait ou de produits lactés, ce qu'elle est, de quoio il s'agit pour de vrai, ce qu'il en retourne en vérité en termes de données maj eures. On est Fée des prés ..................................................................................... fée forte ....................................................... on veut cerner = dire = comprendre les données de base ............... données hautes .................. d'une sorte de passage à travers la Roche ........... roche "seconde" ........................ roche de muret de fond de pré de bosse ............................................. cxerner = toucher .......................... toucher = cerner /.............................. on est née Fée à la retombée la mort avérée ......................... dans un pré ............... sorte de rotonde ................ aux bnêtes de trait , vaches à lait, Choses Hautes, Herbes SAcrées ................................et de ce pré, on veut s'échapper ! ............................................... franchir Une pOrte ................... trait des traits ..................... anfractuosité à "faconde" ............... le PAssé des POrtes ..................... ou même le Passé passé la porte ou e-une fois passée la porte ......... car un e fois passée la Porte on se retrouve ...... eh bé on dirait ...... dans du lait ? ou disons : près du lait ? ................... ou même : accolée au lait ? ...................................................... on veut goûter à ces dits "-nénés" de ROche ! o,n veut lécher le Lait donné , téter de chez téter à ce lait "de Roche " ................ de quoi il s'agirzoit en vrai ? d'une sorte de ............................... Parole ? ..................... Parole DOcte .?........................................................... qui en vrai le sait ? qui vconnaît la bonne parole et saurait la véhiculer, la faire circuler ? qui sait ce qui est en ce qui est des Paroles Hautes post-pré ? qui connaît de près le Néné des Ombres ! voie lactée aciidulée ! sein des ombres post-pré et autres giron déboutonné , qui sait ? qui connaît le Néné comme sa poche ? qui connaît le VRai de l'Ombre, du TRacé Nacré, des POrtes Hautes, Ciel de Traiot, Passion Haute ... au niveau du Passé ? Qui sait de fait ce qiu'est la Porte des Données Profondes ? un trait ? la ré ? le Passé tracé, apporté, posé, accolé, soulevé , mo,ntré, chanté ? on est Fée des Prés de Roche, et on compte :
un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt, vingt-et-un, vingt-deux, vingt-trois, vingt-quatre, vingt-cinq, vingt-six, vingt-sept, vingt-huit, vingt-neuf, treznte, trente-et)-un, trente-deux, trente-trois, trente-quatre, trente-cinq, trente-six, trente septpt, trente-huit, trente-neuf, quarante, quarante-et-un, quarante-deux, quarante-trois, quarante-quatre, quarante-cinq, qu arante-six, quarante-sept, quarzante-huit, quarante-neuf, cinquante, cinquante-et-un, cinquante-deux, cinquante-trois, cinqiante-quattre, cinquante-cinq, cinquante-six, cinquante-sept, cinquante-huit, cinquante)-neuf, soixante, soixante-et)-un , soixante-deux, soixante-trois, soixante-quatre, soixante-cinq, soixante-six, soixante-sepet, soxante-huit, soixante-neuf, soixante-dix, soixante-et-onze, soixante-douze, soixante-treize, soixante-quatorze, soixante-quinze, soisante-seize, soixante-dix-sept, soixante-dix-huit, soixante-dix-neuf, quatre-vingt !
19/12/2024
On vreut en tant que fée ailée aller et toucher à cette sorte , au plus lointain, de donnée dernière ! Fée on nest ! Fée des grâces et des données sages ! on veut dire ici sur place (devant le muret) ce qu'on est à une sorte de public ;... nacré ? perlé ? ancré ? qui semble ou semblerait grave nous regarder alors même que nous on affiche un visage plutôt dégagé dans le genre ! On a envie ensemble accolées (ailes) , c'est sûr, de comprendre beaucoup de toute cette histoire de nénéds tracés, de nénés à lait qui comme qui dirait serait devant nous à nous attendre mordicus pour nous donner le bon lait à téter sans sourciller ! On est des vfées ! on aime le lait ! les fées grave aime le lait ! Les fées adorent le lait et jamais ne ratent la moindre occasion pour téter , pour se placer de telle sorte que du lait,
tombe ou tombât,
en leur bouche de fait grande ouverte,
en notre bouche grande ouverte ! becquée si tant est ! On est Fée de base aimant le lait et, du coup, le voir tomber dans notre bouche grande ouverte ! on a super envie ensemble (ailes) de comprendre
les données de base
devant nous, sur ce muret post-cimetière ! On est née's Fée du fait qu'on est
AILES (AILES au débotté) et qu'on aime le lait, de bonne grâce ! On regarde ensemble, devant nous, les données de l'herbe ! On veut toucher à ce qui se présente en la matière et pour ce faire, on est prêtes à faire beaucoupb = mater grave ! cerner grave ! toucher ici aux nénés de l'arbre ou comment on pourrait dire (en vrai) sans se tromper, parce que nous ... on a méga envie de toucher, ici, à ces nénées de l'arbre ! à ces nénés de l'antre , des données de base, des denrées , du tracé donné qui serait le tracé des données primaires, ou premières = du lait ! oho ! on voit ça ! on voit qu'on en a pas fini de voir, toucher et cerner devant nous un grand nombre de do nnées lacustres comme qui dirait ou peut-être pas lacustre mais quand même largement moiuillées ! de type lait, allez ! ou quelque chose de cet ordre qui serait aussi (de fait) lacté ,
on dirait. On veut toucher en tant que Fée à ces nénéds du bout du monde, à cette sorte de rotonde (un muret ) et aux nénéds cachés dans l'ombre d'un repli de roche ! On est Fée des données HZutes ! drôle ! on savait pas qu'on était fée, avannt la (première) paroi, c'est àdire avant avant avant , avant en vrai qu'on soit à s'immiscer,
en tant qu'homme par exemple ,
et voilà qu'au passage on se retrouve transformé, en Fée ailé ! dingue ! ailes = eklles = femmes tracées = betes de trait et du coup ... Fée ! comme c'est bizarre ou étrange ! comme en vrai on pourrait penser que tout ça est comme ... une sorte de propagande peut-être pré-fée ,; ou pro -fée alors que non , pas vraiment en fait, même pas du tout ! Le trait de rage sur paroi correspond (en tout et pour tout) à une sorte de tracé de base, comprenant pour le coup un ensemble de données primaires, primaires et ancrées, qui sont ou seraient les données, en vrai, de "l'ère sévvère" , des temps acculées, etc., et du coup on entre ! on entre parce que voilà on veiut (ensemble) essayer de comprendre les données de base à la lumière des données de rage (pariétales) frontales, aurochs articulées, auroques cendrées, bisons / bisonnes à toucher et à caresser sur pré , ça le fait ! On est montées haut et on regarde, et ce qu'on voit est peut-ettre énorme mais nous, de là où on est, on a beaucoup de mal à se rendre compte ! on a super envie ici ensemble forcément de comprendre mloin en cette sorte de zone prairiale et pour le coup d'en avancer pour ainsi dire dans les connaissances, . On est accolées aussi parce que oui, on danse ! on arrête pas de danser ensemble, ici même, roche ou rocher dit "des convenances" ou "des convenances lactées " ! Onn est accolées parce qu'on est ... "les ailes de la fée en herbe " ! dingue ! jamais on auraiçt pu y penser! On aurait aimé peut-être anticiper mais comment tu veux anticipezr quand au tout départ tu es ... homme, homme à tete d''herbe, et puis une fois la paroi passée tu te retrouve Aile ! Ailé ! c'est à dire Elle , Elle de Fée ! Dingue ! jamais on aurait pu imaginer que cette chose puisse exiçster ! jamais on aurait pu penser que cette chose en soi (dans la mort une fois actée) puisse en vrai se passer ou se dérouler et du coup nous entraîner dans une sorte de (qui sait ?) sarabande, de parade immense, au milieu de milliers et de milliers (peut-être) de bêtes tracées = entre 'lles, au milieu d'elles à les mater, à toucher leurs ailes à elles car elles aussi en vrai sont ailées ! dingue ! on voulait passer eh bé on pe'ut dire que, pour le coup, on aura réusssi , on a franchi la base des données et là, on se retrouvfe (on dira) à genoux, par terre dans l'herbe, comme (voilà) soulevées de rage , de base, à chercher à comprendre , à cherc her grave ensembkle
à com^ptendre comment on peut faire pour ici en vrai, arriver à se redresser et à tracer grabve (et loin) pour arriver à s'échapper de ce pétrin où "quelque chose" nous a fourré ! On veut ensemble aller (au plus loin possible ) pour toucher ou arriver à toucher à ces nénésx dont on a souvent entendu parler ici ou là il y a maintenant un paquet d'années ! on veut toucher à ces nénésx dits "de l'entrée aux vivres ", ou quelque chose qui ressembkle à cette chose = à une sorte de dire "drôle", ; On veut être la Fée qui trouve devant elle une sorte de porte .... un passage "drôle" ? une sorte de porte où en vrai même ailée et peut-êtrte même justement en étant ailée, on pourrait passer , on poiurrait de fait s'immisqcezr sans fatiguer, en se laissant "couler" comme qui dirait, gracile, agile, vive, et du coup , étant passée, on pourrait regarder au plus loin ce qui apparaît et qui serait "les lendemains" , les données lointaines ou les plus lointaines, ces données post-traîne ! post-pré (pré aux herbes) , post -tracé de bêtes -poids et autres bêtes de paroi ! On voit ce qu'on voit = un convoi ... et puyis on va jusque là-bas , la murette dernière, l'ultime mur aux alouettes et là, on est là qu'on cherche ! on cherche sur (cette) pareoi une sorte de "passage drôle" ! ... trait ou croix ou traits de croix ! là ! juste là la croix ! l'endroit par où peut-etre on pourrait accolées et bien regrpuoupée passer même si c'est étriooit ! on veut en vrai ensemble toucher à cette chose qui, devant (on diraoit), nous regarde, nous voit, nous cerne, nous dévisage ... mais qui c'st ? qui est-ce en vrai qui ainsi nous mate sans arrêt ! nous regarde peiner à nous immiscer comme en contrebande alors qu'en vrai on est presque invitées à passer ensemble = accolées parce quailes de fée, parce que oui, on est ailes d'une Fée ailée comme sont les fées ! On vreut toucher ensemble à cette sortye de muret "des contrebandes allouées ", et du cdoup passer ! passer la douane ! le tracé ourlé ! la zone franche qui sait, ou, sinon franche, .... quoi ? policée? On veut ensemble si possiblke passer à travers la lande jusqu'à pénétrerr comme par contrebande le tracé "ourlé" d'une sorte de contrée antrale , autre contrée ! Et du coup .... cerner-comprendre ce qui est ici qui en vrai se passe ou se passerait sanbs que forcément on soit conviées mais bon , si on entre, autant qu'on sache, qu'on comprenne, qu'on voye, qu'on puissee s'avancer jusqu'aà mieux comprendre ce qui est en termes de données post-pré soit post -parade , soit post- paradis pour ainsi dire ! Après la p ar(arade il y a quoi il y a ... eh bien ... du VErbe Tracé ! oulà ! oh oh ! on s'attendait pas mais bon, on veut toucher du dopigt à ce qui est alors vopilà , autant nous avancer au plus lointain en ces copntrées post-^pré, post-post)-morteme et du coup regarder, les yeux écarquillées, ce qui est ici qui est cfomme présenté,, ou proposé à nous, genre ... N2nés ! et nous de vouloir toucxher ! de grave vouloir ici téter à ce Néné dit "des Nénés" tu m'as compris ! Du lait du lait du lait ! on veut téter en tant que fée ! les fées aiment et boivent du lait ! du lzit de prairie = post-prairie qui sait ? les fées on dit ou on dirait qu'elles aimment le lait, qu'elles adorent boire (téter) du lait, qu'elles en boivent ou en boiraient volontiers sans compter ni faire de simagrées ! elles adorent ! elles boivent du lait comme des paroles ! eLles adorentb le lait et du coup nous aussi on adore puisque voilà, on a été chan gé en Fée ! On na été transformées ! On était un homme sur pied, genre "hombre" et nous volià toute (tout ?) transformée (ou transformé ?) en Fée des Paroles ! Fée sur trait de roche ! dinguerie de Poche ! On est devenu fée par la parole ! oho c''st trop ! Onn est passé de "homme" à une Fée cornue, ou sinon cornue velue, ou sinon velue osseuse et quasi monstrueuse, ou sinon osseuse et quasi monstrueuse .... vulve ? Trait sur roche découvert ? Trait des ombres à découvert ? Muse ? On est passéees en tant que F2e ailée, Ailes de Fée, on a en vrai traversé le pré et maintenant, on voit bien que le chemin ici nous mène grave vers ce bout du monde en quelque sorte, vers cette chose au plus lointain du pré, vers cette sorte de treacé de roche ultime, etb qui est peut-être en effet un passage pour fée ailée, fée velue ou pas velue, cornue ou pas cornue, mais ailée ! et du coup nous voiulà postées ! on passe ! trépasser = passer le trait ! on regarde ! on est grave obnubilées mais pas grave , du moment qu'on trace ! on veut toucher à ce néné à lait dit "Néné des Nénés " , eet du coup comprendre peut-etre à jamais ce qui en vrai se trame en cette roche terminale aux données de base il paraît mais est-ce que c'est vrai ? on cherche ensemble ainsi accolées à cerner-comprendre et toucher, et prendre, prendre les données, prendre pour szoi (en soi) les données qui seraient des denrées qui seraient du Verbe, du Verbe de RAge ou sinon de Rage de La Foi Dans l'Anttre , en cet Antre de l'Au-delà à la P aroi ici (ou là ?) initiale ! Caramba , on charge ! on passe ! le pré passé on chyarge et du coup on passe l'ultime tracé ! On veut cfomprendre ce qui est devant qui est à nous attendre et pour cela le mieux c'est de pour ainsi dire s'activer sans traîner et de filer à toute blinde, à travers la Roche (l'ultime rocher) des données de Poche ! Poche ourlée ! poche ou outre aux données données et situées ! On est Fée des pré, puis Fée de l'Ombre, du tracé traqué ! On a envie ensemble grave d'aller ici au plus pressé vers ces données dxes derniers murets et autres murs ultimes en rotondité. Qui on est ?
ELLE
ELLE sur pré
Aile
Ailes de fée sur tyracé en herbe ... on est nées sur herbe allouée ! On veut toucher à ce qui est qui wse présente ici sans plus tarder et se recommaande à nos intérets ! On veut toucher parce qu'on est ELLE , F2e d'Herbe, F2e du VErbe en HErbe ! une sorte de ... "macghine de guerre" ???? qui sait en vrai ce qu'on est la mort passée ! On a voulu entrer en ce muret des données dernières eh bé voilà , on est entrées et du coup on peut regarder(beaucoup) ce qui est ici qui on dirait nous mate ou nous materait en retour ! quoi c'est ? qu'est-ce que c'est qui ici même de fait serait à grave nous mater une fois que nous voilàentrées en tant que Fée Ailée post-cimetière, post-pré, post-post porteme, le trait passé pour ainsi dire et le tour est joué ! On mate et on est matée ! double échange de civilités ! On veut toucher à ce qui se présente en termes de données cde contrebande et on savance, on trace, on est ensemble en vrai accolées parce que voilçà, on forme Fée aux données de RAge ! rage avouée est cfomme à moitié pardonnée , et voilà pourquoi on se permet de s'avancer sans reculer, sans hésiter,n sans traîner, devant nous sur pied puis à la volette comme qui dirait ! fée ailée sait voler et avancer ainsi soulevée ! trait pour trait !on, mate et on est matée ! matée par les yeux de L'ëtre adoubé , Aimé , ADulé qui sait mais qui c'est ? Dieu le Père , l'épouomoné ? Père sévère et son trait des traits ? Pet en Herbe et autres vents contrairesx ? pets lâchés sur herbe des prés et ça pue la merde ? quoi est-ce ou qu'est)ce ? Une caisse ? Un pet de Fée ? Pet en herbe sur pré et bnous voilà comme enfumée ? On veut toucher ) ce qui est en termes de données de tresse, on ne veut pas passer à côté mais grave toucher à ces données de tresse, ou à ce genre de données en tresse, ou en trainées, ou en filets de Rage, ou en fils consacrées et autres filament fibreux de type ... Vivres ! et du coup .... cerner ! cerner de près ! toucher = cerner ! On a envie ensemble de toucher à ces données dites "de contrebande" et du coup ... s'immiscer (grave) au plus près de ce qui se présente ! des filets ? des tresses de traits ? des données données de type tracés , traits acidulés , traits nacrés ? On est La Fée du pré passé, on a traversé le muret, on a envie ensemble de se retrouver pour ainsi dire, soit de se poser, et de cerner ici ou là ce qui est pour nous qui en vrai se présenterait incidemment à nos yeux ouverts, à nos mmirettes écarqyuillées pour mieux regarder et cerner la roche, les Données de Roche, de Roche allouée à une ultime Fosse .... On veut ensemble au plus près et au plus pressé co:mprendre ! toucher = comprendre ! on est nées ! dans la mort on naît ! on est nées Fée ailé ! on a traversé et du coup nous voilà comme nées à une sorte de contrée des Fées ! On veut en vrai toucher à ce qui est qui se présente ou se présenterait à nbous qui sommes ailées !
Toucher = toucher ! manger = manger ! dire = dire ! pousser = pousser ! fauire = faire ! perdre := perdrev ! charger = charger ! coucher = coucxher ! cendrer = cendrer ! opisser = pisser ! moner = monter ! tater = tâter ! tirer = tirer ! passer = passer ! outrer = outrer ! pondre = pondre ! mater = mater ! voir = voir ! comprendre = comprendre ! concevoir = concevoir ! pister = pister ! souder = souder ! sonder = sonder ! permettre = permettre ! cacher = cacher ! huer = huer ! porter = porter ! cacher = cacher ! vendre = vendre ! jouir = jouir ! jouer = jhouer ! louer = louer ! louer la Divinité dite "des prés" = louer la Divinité dite "des Prés", et du coup l'aimer ! l'aduler ! la voir comme une sorte de Déité des Déités ! la prendre pour (en soi) ça ! Déité des voix, de l'Antre Final ! On veut aller ensemble loin en cette roche des données ultimrs avouées ! on ne veut pas passer à côté mais y aller frontal au plus profond qu'on pourrait de fait sans reculer, sans faire faux bond, sans tarder, sans se monter du nez ! mais simplement tracer de chez tracer un trait de rage sur le FRont de ... l'Âme ?????? Ambre ?????? Ombre ?????? Hombre ?????? Hommme ??????? autre ???????? Antre ?????????? on nchyerche grave ici à comprendre, cf'est un fait ! O,n essaie de s'impliquer et dee toucher à ce qui est en termes de Vérité mais évgidemment que ça c'st pas super super facile à réaliser même en tant que fée parce que c'est vrai que forcément il faut être méga-motivée (déjà) en soi pour aller et tracer et pousser la chose jusqu'au bout du bout, maispas que ça ! il faut creuser ! il faut grave creuser et essayer ensemble d e treacer profond les données en roche, genre "traque " !
On se doit d'aller loin et de creuser profond, et cette chose est une sorte de "traque de roche" ! On a envie (du coup) de treacer dans la roche les données de rage telles qu'elles se présentenjt à notre (sorte de)
"gouverne sentimentale" ; .... On veut toucher ensemble (ailées !) la Base ! Le TRait ! Trait de RAge de base ! et tracer = filer = ficeler le trait ou comment on pourrait dire pour ici indsdqiquer qu'en fait on passe à travers un filet qui est un trait qui est un passage tout ce qu'il y a de plus étroit en la m^éatière , genre "fil de soie" ! On entre comme à la p arade et du coup ob nn se reytrouve là, parmi les Bêtes-MOts du Pré- Verbe alloué àune zone de "recherche" ! On trace ! on y va ! on ne veut pas s'(arrêter là mais pour le coup poursuivre sans traîner sur pré notree sorte de "destin"é du trait" ! On veut (en gros !) ... téter ! on veut trouver du lait ! téter = trouver = prendre = dénicher ! On veut toucher de chez trpucher le lait "de contrebande " et téter .... téter sans se gêner ! pourquoi on se gênerait ? On est passée ! on na traversé ! on s'est rapprochées du muret ! on a regerdé, testeé, tâté, le muret des données dites "terminales" , et )à présent on est en droit de pouvoir y aller ! de (à nouveau) traverser la Roche, Rocxhe-Rotonde, Enceinte--Roche, Roche-Enceinte, Roche-Rotonde des données cdernières .... FILER = Filer ! on trace ! trait ! bête de teait ! trait passé ! on veut passer = entrer = filer = traverser la Roche aux Données "Profondesc" .... VITE ! VITE ! Aller ! passer ! mater ! voir ! essayer en vrai de comprendre ensemble les données du bout du monde post-pré ... c''st -à-dire bien après la mort, après le pré dit "de la Mort en Herbe ou VErbe" , après le pré il y a ce muret "en rotondité" déjà rencontré à l'entrée du pré mais là ... on se doit de fait (comme il semblerait) de re-traverser ledit muret, de re-passer son nez busqué, d'eesayer de se faufiler si jamais en quelque trait d'anfractuosité ici tracé, et d'entrrr ... sortir du pré pour enttrer en cette sorte de ... contrée nouvelle ... air ..... air alloué à Nouvelle Contré donnée ou accordée ... qui on est ? qui on est post-herbe ? qui on est post-pré ? qii en vrai on est post-pré , qui on est le pré passé ? qui on est en vrai le pré une fois passé ? qui on est ou qui on serait ? on ne veut pas s'éteindre mais durer ! pile wonder ! trait de fée ! chant donné ! fée des fées on est njées sur pré à la retombée et nous voilà .... acidulées ? comme acidulées ? Lait ? Lait post-pré ? lait ou voie lactée ? Lait des prés devient voie lactée comme qui dirait ? On est attreappéees ! on est grave attreappées ! on est retyournées ! on est grave retournées ! on est attrappéeex de chyez attrappéees et grave retournées de chez retournées ! comment on peut faire en vrai pour maintenant comprendre davantage ce qui se passe ? cfomment on peut faire en fai t à présent pourb mieucx cerner les données qui se présentent pendant qu'on parle ? on cherche enxsemble à se situer, à cerner les traits, à toucher aux nénés dits "de contrebande" mais en v rai , on est un peu "isolées", on est pas forcément super aéidées et on rame ! on en avance pas tant que ça ! on aimerait grave en avancer vachement plus, mais voilà on est plutôt (en fait) isolées, esseulées, dans notre sorte de "contrée des fées", et on est (du coup) un peu "timorées" , un peu"coincé"es" , on a du mal à se libérer et à franchir comme qui dirait un certain nombre de "p aliers" , de traits, de marchepieds, de je ne sais quoi qui serait là à nous mettree déjà et en soi le pied à l'é-etrier une fois pour toutes , et peut-être à jamais, qui sait ? On veut toucher à ce qui se présente ou se présenterait en termes "lactés" mais on est un peu timorées , un peu coincées, un peu "empriuntées", on a du mal à se la&içssr aller et à lâcher la bride ! On est un peu comme empriuntées devant l'Adversité ! On est Fée ok, mais "tranquilles" .... un petit peu timides ! on veut ici toucher mais ... on ose à peine, de peur de gêner ! On a vraiment en nous une sorte de "mainmise" qui nous freine ou freinerait un petit peu pour ainsi dire dans nos entreprises et du coup on est un peu comme gênées aux entournures et timides et comme empruntées de fait dans nos actes et autres actions, sur pré et au-delà ! On vfeut voir là-bas mais on hédsite ! on craint du danger ! on a peur d'y rester "collées" , de ne plus (après) pouvoir revenir, retrouuser chemin, revenir au pré (brouter ?) et ... du coup , devoir ... "y rester " à jamais, de l'autre côté ! On veut toucher à ce Néné des Astres, Voie Lactée Ok, mais sans y passer ! On ne veut pas rester cfollées à ces tracés de ciel ambré et autres configurations célestes étoilées ! On veut bien aller, mais (§pour ainsi dire) sans aller ! on veut toucher à ce néné des prés des Rages mais en vrai, sans vraiment "toucher" pour ainsi dire, juste effleurer ? mais effleurer c'est toucher ! alors .... juste regarder... regarder = toucher , regarder = ou égalerait aussi toucher ? On a envie ensemble
de nous promener ,sans regardder à ce qu'on fait ou pas, ici, en ces contrées post-pré ! on a en vie ensemble de se promener en ces contrées qu'on d it ultimes, et pour le coup sans v raiment chercher à pour ainsi dire se retourner ou à revenir méis y aller franco et puis on verra bien (de fait) ce qu'il adviendra ! On est ailées alors en vraéi peut-être qu'on pourrait ici arriver à traverser ce f&meux muret sans trop s'aesquinter au passage, sans trop dse blesser m ais au contraire passer, commre une szorte de lettre à la poste ! traverser sur roche , toucher aux fins de pré et passer, passer de l'autree côté, de l'autre côté du pré ! filer ! activer ou s'acrtiver ! fissa aller ! aller en vraéi sans plus se retyourner, et essayer de cerner ces ditesc"dopnnées lactées" qu'est-ce que ça pourrait être en vrai qui pourrait nous intéresser au plus haut point vu zu'on est grave méga-motivées à la base ! super motivées à l'idée de compptendre enfin ce qui est en vrai de l'autre côté du pré, soit post-post-mortem ! qu'est-ce qui est qui est qui peut-être serait à nous attendre , à patienter après notre arrivée ! qu'est-ce qui pourrait être ? qu'est-ce qui pourrait être et se treamer et faire ainsi qu'on serait accueillies de fait comme des fées ! ? On est nées ici, pré, prairie, et on veut quiiter cette con trée car, on veut passer de l'autree côté... re-traverser le muret, passer = toucher = filer = se faire menue pour en vraéi se vfaufiler et se glisser ainsi pour mieux atteindre la contrée ultime , l'ultime contrée allouée à une sorte de ... passé Limpide ? de Passé des Passés ? ,Le passé renouvelé ? retour au passé ? au Passé du pré ? au passsé du pré-pré ? au Passé dit "du pré-Pré " ? Qui sait ? qui sait en v rai ? On veut toucher à une chose qui serait "de roche" et filer ok, pousser loin en roche et cerner, toucher aux Nénés ce serait touchert à une sorte de Donnée, de base lactée, qui elle-même serait du lait tout ce qu'il y a de plus lacté ! pis d'herbe ! Veerbe ?????????????? Du Verbe ??????????????? vraiment ça en herbe ?????????????????????? Verbe donné le muret passé et ce vserait dsu léait ?????????????????? lait alloué à une sorte de muret des données tracées ??????????????? lait-verbe ? ve'rbe"-lait ????????????? lait = (égalerait) Verbe ... à jamais ? qu'est-ce que c'est que ces données post-cimetière puis post-pré puis ... post-passé ??? qui seraient du VErbe-Lait on dirait ? Verbe Lait des Ombres Portées ? On veut en vrai aller = dire = cerner = comp^rendre ce qui est qui se vprésente et nous fait un drôle d'effet dit "de contrebande" il semblerait mais est-ce que c'est vrai ? Est-ce que réellement on peut s'appuyer sur ce type de données "profondesv" ?? est-ce qu'en vrai on peut cerner ce qui est en vrai le muret une fois traversé et du coup ces nouvelles contrées dites "lactées" comme attei ntes de plein pied ? Peut-on ? Peut-on toucher ? est-oon à même en tant que fée ailée de pouvoir toucher à ces données post-pré de type lactées ? voies lactées ? voies ou voix lactées et ça le ferait ? On est comme timorées c'est vrai mais bon ,; on est présentes, on ne lâche rien, o,n entre à pas cpomptés et feutrés , on entre ensemble à pas mesurés et un peu empriuntés ok, mais enfin on entre ! On ne fait pas semblant d'entrer, loin de là, on est présentes ! on y va ! on veut comprendre ce qui est "klà-bas" alors voilà .... on veut toucher à ce qui est qui serait sur place une sorte de Dpnnée Intense ! la donnée de Rage allouée à une sorte de Contrée Finale : Post-pré et pré-P assé ou comment comprendre ? du passé en branche nous attendrait qui nous regarderait comme de biais ? On a envie de cdomprrendre ensemble (ailées) toutes ces données ou sortes de données de base telles que présentées en ces contrées d'un post-muret, et pour ce faire on se dit qu'on a fort à faire, que, en vrai, qui sait ? ces données "profondes", ne nous seront pas forcément données d'emblée mais que voilà, on va avoir à se bouger, à se retrousser les manches si tant est, à se creuser (grave !) les méninges et du coup à fouiller ou fureter, en ces différentes données déposées, pour essayer ensemble d'en extraire au mieux la moelle épinière, le coeur ou les entrailles dites "vives" d'une sorte ici de "Vérité Active" .... Et du cfoup on pourra peut-être, alors (on verra), comprendre = cerner = saisir = toucher ... cette sorte de donnée lactée, ce qu'elle est pour de vrai ou, a contrario, ce qu'elle n'est pas et ne sera jamais , qui sait ? On est fée -femme au jugé, on est entrées ! on mate ! grave on mate ! on est la fée post-pré qui est passé en transe et nous voilà qui nous incorporons comme à l'arracjhé , en ces contrées de bout de pré, soit en Roche finale ou Terminale appelée "PONTON" ... hé ! nouveauté ! On ne savait pas son nom ! On est heureuse de l'apprendre ! De pouvoir enfin savoir et entendre ! cool ! on aime savoir grave , donc .... On apprécie, la Chose, à son juste prix ! ON a touché , on est passé, on a regardé, on reg arde , on voit la Voie ! oho ! Voie de l'ombre portée ! oh ! On aime l'eau mais plus encore le lait c'est vrai , on peut l'avouer (et l'afficher ou afficher ce fait) .
On est nées Fée, à la retombée dans le pré, on a couru dans discontinuer et nous voilà toutes vermoulues mais pas grave, on entre ! on entre dans l'antree aux données de Rage ! post-pré c'est fait ! cjhose actée ! on doit pouvoir continuer sans être importunées et dérangées dans nos tribulations de fée en pays de transe ! trait pour traits on en avance ! On creuse des traits mais c'est pour mieux toucher à ce qui se présente devanjt nous en termes de données données , vivement ancrées . On est
F2ES DES F2ES
FÉES DES TREAITS DE ROCHE
AIONSI CERNÉES
DITES ET PORTEÉES , OU DITES PARCE QUE PORTÉES ! VRAI ! VIVES ET NACRÉES ON EST LES FÉES DU DIRE PORTÉ = DES DONNÉES DE RAGE ET AUTRES DONN&ÉES "SALES" , QU'EST-CE QU'ON EN SAIT , ? ON A MÉGA-ENVIE DE COMPRENDRE ET DE SE POSER UN TEMPS SUR PLACE (ROMANCE) POUR SOUYFFLER ! ON AIME ALLER EN CES CONTRÉES DE BOUT DE PRÉ POUR COMME QUI DIRAIT ARRIVER À TROUVER UNE SORTE DE VÉRITÉ CONCERNANT ... LA MORT....CE QUI EST QUI NOUS ATTEND EN ELLE , PAYS D'AILES !
On a envie de se promener san pour autant traîner parce que voilà, le but ici n'st pas de lambiner (quoique!)
mais de comprendre a&u mieux ce qui est qui peut-êtte serait à nous mater de biais, pour mieux nous croquer ... qui sait ? et nous avaler et hop, terminé ! on cherchge à cerner ! on cherche à se rapprocher de la vérité ! on cherche à comprendre les données de base ce que ça pourrait en vrai être sur pied, à quoi ça pourrait ressembker , ce que de fait ça pourrait être en termes de données "lactées", "lactées et acidulées" , à quoi ça pourrait au fond ressembler si on s'en rapprochait sans se gêner ... On est allouèées ou comme amllouées nous-mêmes à une sorte de donnée rupestre , genre Trait des Traits Gravés ,
sur Par(oi de grotte (on dira : Haute Paroi de Roche ) et diiu coup c'est sûr
que, nous, on doit pouvoir aller profond car , voilà, on est comme "touchées " ... ob n est comme super "touchées " , touchées = visées , par , comme il se'mblerait, un ... "Trublion" ???? une sorte de bête des prés , cheval d'Arçon ? bison ? Tronc ? On est touchées et du coup on pleure, et du coup on se met à genou, et du coup on veut se redresser et filer et aller et trracer et ne pas nous retrourner et traverser traversrr traverser traverser traverser traverser traverser le muret premier puis le pré puis le muret à nouvzau trouvé sur notre sentier ! et là ........................... oups ............................. houp ................././...................... PASSER ! .................................................... vetrs le passé ? ...................................... qui sait ? .............................................. qui en vrai sait ce qui pôst-sentier, post muret , EST ? ..................................................... du laiit ? du lait de fée ? du lait dit "acidulé" ? l ait de trait ? lait aimé ? Lait de traite réelle ? Trait ? frai ? Gente Elfe ? ......................................... qui sait ce qui en vrai est qui se présenterait et nous invçiterait à nous placer à ses côtées pour comprendre ou mieux comprendre et aimer, mieux aimezr, les données en herbe post-pré = pôst -praierie = post-muret des Finalités ! qui ? On veut trouver ! toucher ettrouver ! car, on aime toucher et trouver , on aime grave, et toucher et trouver ! on a super envie ensemble (AILES) de touchert-trouver comme par la bande une v érité qui serait prégnante, située, actée, sur laquelle pouvoir s'appuyer, fiable et non friable , Vérité des V2rités ça le ferait ! mais comment s'y prendre ? comment faire pour acter la chose sans s'y perdre ? Comment en vrzi pouvoir toucher à ce n éné dit "de contrebande" comme si en v rai ça pouvait être vrai ? On veut entrer = toucher, entrer = dire ! on veut dire et toucher ! faire tinter ! activer ! faire en sorte que voilà, le dire puisse (là ?) êytre repéré en tant que Donnée allouée à une sorte de Contrée "Acidulée" genre lactée, comme ... la voie lactée ? étoilesb nées ? On voit ou on ne voit pas mais on est là ! on creuse ! on va ! on b-n'en démords pas et on se dit qu'un jour ou l'autre peut-être on verra ! on saura peut-être, on comprendra,,on touchera à l'herbe des parois des bouts de roche plus que finales .... on saura ce qui se présente , ce qui se pose là devant soi, à quii ça resemble, à qauoi en vrai ça pourrait ressembler en tyermes de ... Voie ? Voie docte ? voix docte ? voie lactée des ROches ? voix docte ? voie des voix et vgoix des voies ? Voies données pour pouvoir tracer et pour s'autopôrter jusqu'au Néné de l'Ombre ? Néné né à la retombée on dirait, côté ombre ? On veut toucher à ce néné mais pour toucher à ce néné
le mieux c'est de ne pas trop traîner et de filer fiszsa jusque dans les
les bras de cette sorte de Mamma maline , fine, acide, adoubée par une .. Déité des Rimes ! File ! Fonce ! ne renonce pas à faire ainsi ici que s'ouvrât la Porte ou l'Anti-porte (?) Haute ! va ! ............................................................ ne regarde pas à te réfréner mais au contreaire va , file fissa ! ....................................................... va et file ! fonce et cours ! trace ! creuse ! cherche ! touche ! vibre ! cerne ! compose ! absorbe ! prends ! alloue ! piste ! passe ! colle ! porte ! chante ! va sur roche là-bas comprendre les derniersz messages : le tracé de base, l'emporté de rage, l'épopée, l'ombre portée, le denier, le Passé passé qui en vrai ne wserait pas assz aux yeux de cette D2ité des Entrées ! ....................................................................................................................................... fonçons ! ........................ filons ! ......................... esayons ensemble de cerner de base ce .... pONTON ! Drôle de nom pour une sorte de tracé de rage post-pré de base ! On est bon ! ou plutôt on a bon ! on entre ! entrons ! on mate ! matons ! faisons ainsi qu'on puisse en v rai comprendre , les données de base, le tracé de rage, les données basses, le parfait, l'imparfait, la cendre, le tracé sur muret indiquant de rage par o^ù du coup on pourrait passer ! On a envie ensemble de toucher à ce qui peut-eytre, en vraéi, pourrait ici se présenter sans nous importuner , afin de pour le coup pouvoir nous donner de quoi ruminer et de fait nous alimenter en termes de dennrées à ingurgiter sans hésiter ! vaches ! vaches à lzit ailées ! o n est en tra&nse ! on vezut coller à une sorte de romance, romance "agitée", qui serait la Romance des prés, prés ... ou Parois ... des ROis et Reines de l'au-delà .... l'au-delà à quoi ? à la Rage , va ! à ça : RAge des Rois et Reines de Là-b as, post-terre, post-nouba, post-paroi de choix, post-pré aux herbes ! sanita ! sainte voie ! sainte voie des airs ! charge sur paroi de base ! tralalalalalala ! on danse ! ......... o,n danse en transe, ça ! ce tralala ... des données de Rage ! du Passé, comme remonté de la base et .... acté ! chahuté mais acté = tracé = donné ... et qui sait si "Déité La MOrt" pourra aimer ou apprécier ce que nous offrons, en v rai, de nous à ces bras ouverts comme sorte de donnée de porte ? On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette sorte de donnée lactée, néné ? peiut-être néné mais en vrai on est pas douées (tout à fait) pour cerner de près , du coup on hésiteb à se prononcer et à affirmer ce que c'est ou ce que c'est pas ... on veut aller mais comment aller sans êttre ailé ? du coup, voilà : on devient Fée, on veut creuser = s'envoler ! on ne veut pas rester à qauai à toujours se morfondre et pleurer et se dire à jamais que la vie est dure à traverser, qaue les données de base sont comme des dés pipés et que la chose , de fait (le tracé) n''st pas donné d'emblée, le tracé (disons) en bonne et due forme, pas gagné ! pas donné d'emblée , qui nous verrait nous redresser ! sûr que nous on est des éefs deRage ! on l'a mauvaise depuis qu'on est nées ! on voulait toucher de chez toucher la Base de Données en herbe, mais comment toucxher d'emblée quand d'emblée on est écartéees, décalées, déplacées sur tertre, et va&s-y retrouver le chemin des F2es ! c'est pas gagné comme on le disait ! va toucher ! va être ! va cerner ! va comprendre de près les données données, soit celles qui pourraient certaéinement ou vraisemblablement et durablement t'aider à être en vrai un être choyé, présenté à l'assemblée, ouvertement montré comme l'être aimé de sa mère et de son père sans plus de réserve ! on veut :
TTOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER AUX NÉNÉS DE LO'ÊTRE SI TANT EST ET EST-CE QU'IL EST TANT ? ON NE SAIT PAS ! ON CHERCHE SUR PAROI ... À COUPS DE SERPE ! DE TREACÉ DE CHOIX ! CHEVAUX DES VOIES ! JUMANTS -TRANSE ! VOIES DES ROIS ET REINES DE LÀ, LA TRANSE, LA PAROI EN TRANSE, CHANTS SALES , CRIS DE HJOIE ET AUTRES INSULTES DEE RAGE, COMPÉTENCES, TRAITS SUR TRAITS POUR UN PASSAGE (EN TRANSE) DANS L'AU-DELÀ À LA PAROI -ANTRE !
Fée des fées des tracés sales !
cris de joie aux données sales !
ppoints de croix sur paroi sale !
pains de joie et autres tralala
sur paroi qui serait la paroi ... aux données de rages ! chants de joie et autres parades aux animaux sales ! points de traits de roche et autres traits de point de roche ! surélévation ! élimination des crottes ! chargement docte ! pontification ! On est féesz hautes ! hautes fées de roche ! porte ! porte enfin tracée on ose entrer et traverser traverser traverser afin de pour le coup enfin nous retrouver de l 'autre côté à cher cher que tu chercheras sans traîner UNE ENTRÉE qui serait l'ENTRÉE comme aattendue depuis des nues ! on est fée d'herbe ! fzée des prés ! on veut cfoller , dire et aller, toucher de près à une déoité surnaturelle si jamais et ça se pourrair sait-on jam is, si on pers"évère ! si on persévère ... sans relâcher !
On est fée d'herbe et faite d'herbes ! comme transformées ! allouées ! aimées ! broutées qui sait si on eest l'herbe = verbe des contrées prairiales rencontrées ... comme à la parade ! on est allouées à une sorte de prairie de FRance , genre nées, genre déposées ou posées et on entre , plus avant dans l'antre .... acculées ! poussées ! obligées ! comme soumises ici à une sorte de poussée, de type verbale !
le treacé ancré de rage , ou non :
le passé tracé et ancré, nous pousserait à nous positionner (de base) en cesz contrées post-pré telles que rencontrées la mort acceo^ptée ... acceoptée"comme qui dirait ! On est la Fée du pré pré-muret ! pré-allée lactée genre voie lactée .... mais q!'est-ce onc que la Voie Lactée ? une voie ambré e ? Un trait ? trait d'elfe ? frai ? poste alloué à une sorte de parole "en herbe" genre "parler bébé" ? Qui sait ? qui en vrai connaît ce type de données "de rêve" ? On est la fée postée .... sur preé tracé, cherchant comme à s'extraire ou s'en extraire pour vite fait gagner ce qui sezrait ce trait, ce tracé né, ce trait à traverser, une entrée qui serait
'ENTRÉE DES ENTRÉES POUR FÉES ET AUTRES ELFES ALLOUÉES À UNE SORTE DE RECHERCHE COMME "ACIDULÉE" , GENRE RECHERCHE EN LAIT ! TERMES, TERMES DONNÉS COMME PERLES DE LAIT ! UN TRACÉ SURNUMÉRAIRE ! UNE SORTTE DE SENTIER SUR HERBE POUR FÉE ET AUTRES BÊTES DE TRAITS GENRE BUFFLETTES, VACHETTES, BISONNETTTES , ANTILOPETTES, CHEVALETTES ! FÉE EN HERBE ! ................................... fée du frai ............................ fée des frais sur pré .......................................... alouettesv ........................................... montées ............................. ou couchées puis qui se redressent et tout d'un coup volettent ou bien se mettent à voleter sans s'arrêter ................................. ion veut toucher de chez toucher ........... aimer être fée et du cfoup voler ................ pousser de chez pousser et monter et voler dans les a irs aimés ......................... VERBE CONCENTRÉ ............. CUEILLETTE ....... POUSSETTE ........... PAROLE EN HERBE ...../....... PISTÉE ET TRACÉE ET POUVANT DÈS LORS ÊTRE EXAMINÉE ................. CONSACRÉE SI TANT EST .......... ON L'ESPÈRE ............... PEUT-ÊTRE, QUI SAIT ? .............. QUI SAIT CE QUI EST EN VRAI ........... CONCERNANT ICI LA MORT EN HERBE, LE TRAJET, LA VOIE LACTÉE, LE NÉNÉ DE PRÈS, L'OMBRE PORTÉE, LE SUMMUN DES DONNÉES DONNÉES, UNE DIVINITÉ LIÉE AU VERBE QUI EST NÉ SUR PRÉ À LA RETOMBÉE LE JOUR OÙ DE FAIT ON EST PÂSSÉ = TRÉPASSÉ ! QUI SAIT ? ON CHERCHE .......................................... on ne veut pzas laisser tomber nullement
nos recherches en herbe mais tout au contraire continuer, sans désemparer jamais, et tracer de chez tracer le chemin du verbe, treait sur trait , trait de fée par où passer et s'ncruster et se glisser et traverser traverser traverser sans hésiter la roche calcaire, roche des fées, roche haute des fées hautes ! aller = tracer = foncer vers, en vrai, cette sorte de "carrière" qui serait une contrée dite "du Verbe", verbe acideulé des donnéesb dernières, verbe-né, verbe "au taquet", verbe du pré = herbe = denrée ! denrée verte pour former le lait dans le pis des bêtes ! à satiété téter ! téter = toucher! toucher = téter ! on aime ! ............................................................ on a envie grave de se libérer de tout ce qii en nous nous gêne ou nous gênerait comme par en dessous ! on av grave envie de creuser loin, en cette sorte de paroi de roche, et d'aller , pousser, passer ! traverser de chez traverser ! pousser = faire = donner =comprendre =caler = filer = allouer à une roche une donnée "profonde" ! on croit rêver ! .... et cependant ..... on ne rêve pas tant que ça ! on entre ! on va de l'avant le verbe aidant , car, le Verbe est un Allant, est Trait de base, est TRait de RAge ! trait de base alloué à une "renaissance" .... trait des treaits de RAge .......on veut comprendre ! on veut aller ! on veut creuser ! on a envie grave de creuser ! on veut creuser grave sans treaîner et aller et toucher et comprendre et cerner et pousser loin le plus possible notre
sorte de percée , d'entrée lucide ! Pousser ! creuser ! chercher ! essayer de percer cette sorte de muret aux données vives ! .......................................................................................................... vives et ancrées ................................................... traversrr = traverser ! .............. toucher = toucher ! :.......................... cfoller = coller .................. comment faire pour aimer ? ................................................ aimer traverser ..................... la RIve .................. l'autre côté ......................... le Rire ? ........./.................. RIRE ? ................................................ rire à tout jamais et du coup aimer ? ............................. qui sait ce qui est en cette "Rive des DO nnées Ultimes" qui nous attendrait et saurait (qui sait ?) nous donner ... de quoi survivre ? .............................. on veut coller à cette "rive des données ultimes", traverser = traverser ................. comment sonder ? commrnt toucher ?. comment cerner ? comment se retourner ? comment saturer ? coment poster sur roche les données trouvées, verbe au taquet, rires, vies des vies en herbe et autres prés "qsuperbes" ? Toiucher pour toucher ? toucher pour trouver ? plutôt pour trouver ? Chercher = donner ! On veut coler à cette D2ité "des Données Ultimes", et l'aimer ! l'aimer pour êtree de fait au mieux informées de ce qui est le pré passé si tant est ! On veut cerner cerner cerner cern er cerner les données ultimes et pousser ! pousssr grave le trait ! trait de vérité ! trait passé ! passer ! poussr ! tracer ! creuser ! allouer à ce "dernier muret" les données ultimes telles que rencontrées, comprises, prises ! qui sait ? on veut toucher de chez toucher la frise ! le tracé en friche ! les chevaux ! les bêtes de peau ! vaches et taureaux ! troupeaux ! mots ! mots ! mots ! mots ! mots de trop ! mots sur roches à mots ! grotte ornée de mots et ça porte ! ouvre l'antre .... HOmme-MOT De Trop, tremble et entre-meurt , pour une renaiisance ... comme au trot ! pot ! quel pot ! pot docte ! trot et galop ! vers la porte ! points de mots sur paroi haute néandertaéliennne sous chapiteau ! corps mort pousse le port vers un mot de trop ! hot ! cru ! vif ! chaud ! chaud de chez chaud ! paroles hautes = mots de trop = gros mots ! on monte ! fée des tuyaux ... ou des boyaux plutôt ! On monte ! haute ! haute fée cdes mots et autres traits , de base verbale ! chalumeau ! points d'eau ! portes hautes sur paroi de roche ! on monte ! on colle ! on vole ! ................................... haut ....................... haut ......................... haut ..................... hau .......................... hautes ....................... haut et hautes ............................ on monte .......................................... on montev ............................... haut de chez haut ........................ on est hautes ................. fée haute ....................... haute fée aux mots ........................... treaits de rage sur boyaux ............................ corsages ....................................... percée de rage ....................................... on entre ........................ haut .................. haut des hauts ................................................... toit en haut direction les nuages, voie céleste, le passé du mot, l'ombre de l'arbre, le pot ! - .............................................................................. les crocs ? .;.............................. on monte ............ direction la Haute ..................... le Mot de trop ........................ le Pavot .......................... l'Ombre ................ la Porte ................. le creux des ombres ............................................ le Poteau ..................... l'aRche au mots et autres traéits verbaux ...................... arche-mots ................................ haut /........................ hauteur (ici) des mot§s de trop sur paroi de traînes et autres murs de scènes ............................................ colère ..................... cris .............. pis ......................... pis de vache laitière ................ pis des pis .....................spi ..................../.............. spi des spi ? .............................. cris des spis ? ................................ colère !!!!!! ..................... prix à atteindre .................................... co co co co colère sur prairie ! ............................................... poussée d'herbes en herbe ! ............................................. on aime ! ................................................................ on aime l'herbe et la praireie, on veut connaître oui le prix , le prix à )ayer( concernant les données, les données en herbe et autres données comme présentées sur paroi de roche, par (qui sait ?) une sorte de .... Divinité, Divinité Acidulée il semblerait ? ou alors .... LA mort ! A moins que ce ne soit les vmêmes ! Déité des D2ités et MOrt -Allouée sezraient , qui le sait, la même CHose ! ou personne !
On cherche ! On veut toucher ! on ne veut pas forcément se léaiçsser entraîner vers des courants contraires,
et qui seraient pour nous mauvais car, nous feraient tanguer vite fait ! mais bon .... allons et fillons ! traversons bla ROcghe! tentons, "par pâmoison" peut-être , d'enttrer de front , de bousculer la Porte, tracer ! Passer ! pousser pour passer ! Aller devant tracer et creuser ! chercher ..... comprendre ..... compôser ....... allouer à une "branche" une sorte de pouvoir des fées, qui ferait d'elle (la "branche") un b âton sacré ! une sorte dee bâton de Rage ! trait ! bâton-trait ! trait des traits ! joug ! joug-né ! trait des treaits actés qui serait le joug sur bêtes allouées à une destinée
prairiale / pariétale !
touché ! pis touché ! touché sur pré ! = tété ! on est née sur pré Fée à la retombée de l'embrasseade dite "pariétale" ça le fait , et nous voilà dès lors transformée ! fée des prés = fée du Verbe ! on s'en serait douté mais enfin voilà, une chose est de penser, une autre de percer , et de se reztrouver comme toutev "remontée" prête à tracer, sur pré en herbes, vers, peut-etre ... une sortie proche ?, le Passé ? Le passé recomposé ? le p âssé alloué à une contrée qui serait celle en vrai d'une sorte d'ère post-cimetière, post-post-mortem ? On est Fée faite , de fait, du fait qu'on est entrée en cette sorte de contrée du Verbe ! Merdre ! Merdre au taquet ! sonnée ! comme brinqueballée mais quand même sur pied , on est svelte ! on tient tête ! on va s'envoler ! On veut toucher à ce qui est qui serait pour nous une sorte de treacé, de tracé de données sans ... verbe ? On touche = on pébnètre ! Herbe-Verbe au taquet, permettent une entrée salutaire en cesz contrées des données dernières (derrière !) . On est nées fées sur herbe verte ! on est nées fées sur herbe en herbe ! on veut tracer de chyez tracer sur herbe ! pousser ! cvcreuser ! passer au taquet direction le muret des données dernières -= post-pré , et pour celac........................... le VERBE DE PAROI ! TRACÉ DE BÊTES, CHANTS SACRÉS, CUEILLETTES, BÊTES-ELFES, VACHES DE POIDS, AUROCHS DEES ROIS, AUROQUES REINES, CHEVAUX EN SOI ,
On monte ! on va ! on fonce ! on veut toucher à ce qui là (passé le toit) peut nous surprendre : une sorte de donnée sale ? un poids ? une mansarde ? la paroi des parois ? un chat ? iune chatte ? une sorte de donnée ... sarde ? du patois ? mots du ventre ? un passé nnarquois ? une szorte de parade ? d'anti-loi ? de l'ambre ? sein de rage ? sein donné ? lait ? lait ? lait ? du vrai lait de l'antre ? lait du pis doné ? ambre ? Ambre sucré ? Qui sait ?
5/12/2024
On est fée des Fêtes souterraines comme il semblerait mais en vrai ... célestes ! tracées sur muret ! élémentaires ! chants sacrés à la travaersée ! On aime ! On a méga-envie d'en avancer en ces champs de luzernz jusqu'au muret . On veut toucher à ce qui est qui devant nous semble se montrer alors que nous nous voilà entrées ... On est prêtes ! On est alllouées à une sorte de passage d'herbes ! Saint Tracé des DOnnées VERtes= Verbe ! VErbe tracé ! CHamps de perles ! On veut connaître les données de l'herbe, ce squ'elle estcen vérité ! ce qui en vrai en elle est, qui nous intéresse ! On est F2es des données Vertes ! On est La Fée comme dédoublée (deux ailes sur les côtés) et on s'aime verte ! charge accolée sur train de beauté ! Chants ! On veut comprendre = on veut cerner, et pour cerner, le mieuxc'est de s'avancer, marcher, voler ou voleter, monter, gravrir sur Nénés et du coup ... téter ! grave ! ne pas lésiner ! s'en mettre jusque là de lait afin de satisfaire ses envies toutes naturelles ! qui on est = qui on serait ! on veut toucher "ensemble " à ces nénés dits "de contrzebande" et du coup téter ce qui est qui se présente en termes de lait dit "acidulé" ! téter = prendre ! prendre = comprendre ! comprendre = toucher ! toucher = cerner ! cerner = aimer ! aimer = donner ! donner = dire ! dire = faire ! faire = allouer à une sorte de pré (de pré en herbes) les données données d'une sorte ici de DIvinité qui, de fait, nous regarderait, aller, tracer, courir sur pré, charger, eesayer de nous y retrouver en ce pré "des féées" . On est la Fée du pré céleste ! Tancrède ! ça le fait ! on veut cerner = coller, le VErbe éaux Nénés, tout un poème ! On ne veut pas toucher à ce qui nuit, on veut toucgher à ce qui est qui nous protège ... des ennuis divers et autres cataclysmes de systhème ! On entre ! On est... FEmmes Fortes ! Femmes au taquet !
Branche d'aorte, fée des fées !
On monte ! on ne veut pas passer à côté de cette sorte de donnée accorte , type "porte", ouverture OVE , charge sur parole ! On est née Ove au vent des fées ! On veut monter = toucher , allouées, à cette sorte de données données de type Vérité de POrte ! Monter = toucher ! On est nées F2e sur pré aux Fées ! On monte sur ...?. eh bé Néné de la maréchaussée ... qui c''rst ? L'Attrappée Céleste ? l'Emportée Celte ? Le Passé ? Ah , peut-êtte le Passé, en effet ! qui sait ? Le passé Celte comme "remonté" au niveau des pieds, pour marcher, aller, tracer, courir sans traîner sur ce pré d'herbe au milieu des bêtes ! ah, les Bêtes ! cfomme on les aime ! comme on leur ressemble par certains côtés ! On nenttre ! on fait Fée sur pré par nos membres : ailes nacrées ! ON veut toucher à cette sorte de donnée de branche, tracé né, vie des ombres sureprésentées, bêtes en horde, mulets, Verbe, TRacé en herbe d'un voyage sur Néné des Termes ! Qui on est ? ELLLES ! ELLES Au Passé c'est un fait acté ! on était , AVANT .... Elles , sur pré en herbes ! Nous voici re-nées en tznt qu'on est des fées sur pré des Elfes ! Vives Fées ! Chants sacrés des données celtes (célestes ?) et nous voilà comme remontées ou toutes remontées après ... eh bé peut -etre, ce N2né des termes tel que rencontré sur notre trajet ? ou sinon quoi ou qu'est-ce qui se pourrait si ce n'est Néné ? La Peine ? Le passé empêtré ? la Terre des plaines ? l'amputé du VErbe ? l'ombre sur Nez ? Pré ? Pré ambré ? On veut en vrai ensemble (ailes) cerner , cerner grave et sans tarder, les données célestes (sévères ?) qui sont celles d'une sorte de tracé de F2e sur paroi docte , genre néandertalienne ! On est pazssé sur Ombre ! On voulait aller , courir vers une sorte de muret , des données profondes, et du coup : toucher ! grave ! aux dits Nénés de Branche (s'il en est !). On est la Fée des F2es surnaturelles comme remontée sur pré en herbe pour aller téter sans traîner le Néné des Termes ! chercher = toucher ! On est ELLES sur Pré , chantant "comme qui dirait" le Passé TRacé des Données de VErbe ! Sa&inteté allouée à une sorte de passé des hErbes ! Chants du pré ! chants fols ! doux Passé des données tracées, on veut toucher à ces données du pré telles que rencontrées à la traversée ! les toucher = les cerner = les comprendre en entier et pas à mùoitié ! Cerner vif
ce qui est ! Ne pas perdre pied s'il vious plaît mais creuser , creuser grave et sans traôiner, la Terre des Sardes, le pré alloué à une sorte de Passé de CHarge ! sillonné ! tracé = ancré ! PRé d'oombre portée ! On est ... Ombre ? on est ... OMbre et Fée ? Ombre docte à l'arraché et Fée des Fées sur Pré ? Hum ... on veut toucher à ce qui est en termes dfe données physiques, situées, ancrées, comestibles comme qui dirait ! Herbe sur pied = verbe scandé ! Chants des prés des données lucides ! chantts sacrés permissibles ! vives clartés sur piste ! vents des prés "artistes" ! chants frappés ! On est entrées ensemble (ailes allouéesl) , nous voicfi ... sales ? sardes ? douces et vives sur prairie acide ! On est nées Fées à la traversée quand avant on était Elles ou pas Elles mais Il, Homme ou FEmme isolée ? Charges nacrées , vent de terre au débotté, né pour être enterré et du coup renaître en tant que Fée Ailée post cimetière, ça le fait ! On voulait en vrai toucher de chrz toucher le TEZrme ! Les données en herbe genre Pré des TErmes = V Erbe ! vent des Fées ! un tracé sur préb qui pouvait nous mener tout au bout de l'herbe, près muret des termes, Trait de craie ! On veut toucher ! on veut Coller ! on ne veut pas laisser passer ce trait sans le connaiître en v rai de près et le toucher, toucher à sa ... drôle (?) de lumière si tant est ! Aller ! courir ! pousser ! comment tracer ? Comment faire pour passer ? On voit (en cemuret) le trait, le tracé, la veine, cettte sorte de ... "clarté souterraine" ... on aimerait enttrer, passer en tant que Fée et du coup connaîttre de près les données telles que rencontrées, présentées,n, portées, allouées à une sorte de ... pAssé en chaîne ? Trait des TRaits d'un temps passé ? ?Le Passéde Traîne ? lembarqué des données anciennes ? L'ombre sur pré serait en vrai cette sorte en soi de Passé Tracé, Passé docte ? On veut (en tant qur F2e) connaître la POrte, le pasdsage HOT. L'Entrée ! Qui on est ? Hole ???? Hole = trou sur Porte ? On est F2e Forte ! Chants creusés sur porte on veut toucher ! On veut :
ALLER ALLER ALLER ALLER
DIRE DIRE DIRE DIRE
CREUSER CREUSER CREUSER CREUSER
PORTER PORTER PORTER PORTER
CONNAÎTRE CONNAÎTTE CONNAÎTTE CONNAÎTTRE
SANCTIFIER SANCTIFIER SANCTIFIER SANCTIFIER
PARLER PARLER PARLER PARLER
CERNER CERNER CERNER CERNER
PARADER PARADER PARADER PARADER
COMPRENDRE COMPRENDRE COMPRENDRE COMPRENDRE
ALLOUER
À une sorte de Passé en branche les données des prés = herbes naturelles, fleurs coupées, bêtes "mortelles", tracés, frai, ponts d'ombre, et ça sezrait le Tout Nacré tel qu'espéré ! On veut toucher à ce qui est qui se présente à nos ailes de fée ! Vent docte ! Souuffle accorte ! pets des pets ! Chants des donnéescomme saluées ! On monte ! on est mon tées ! on v eut toucher à ce qui est qui se présente sous notre nez, et qui en vrai sezraéit ... eh bien, des Nénés ! Nénés de POrte ! chants de morte ! Pré passé ! ON ose ! on est lma fée des Données Hautes qui de fait veut en vrai toucher à ce qui est qui se présente olé olé comme une sorte de donnée de haute, Haute Volée ! On veut Ailmer ! toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher à ce tracé des Données Folles (fortes ? Hautes ? ) sur N2né post)-pré, dit (le Néné) "du Passé" ! On est fée des fées, on a envie en vrai de pouvoir sans tarder toucher à une somme de données profondes, tyoucher en vrai , toucher de chez toucher à une somme de données qu'on diraéit "avérée"s , et qui pourraient nous en apprendre long en ce qui est de cette sorte de Néné donné après le pré, après la course au vent maéuvais (pet ?) sur pré, et , le pré passé ainsi, toucher de près à ce muret , à ce mur des finalités qui serait ce muret "des données anciennes", genre :
Peines, Vezntre , Corps, Souvenances, Craintes, Enfances, Tracé dense, Pertes, Prières, Pas de danse, Colères.
On veut ensemble (ailes de fée) pousser ! pousser sans traîner ! aller ! forcer ! comprendre = toucher à un muret "des souvenances ", le Passé tracé, l'Antre des Données telles que représentées ... dans le Passé ? On est Fée des Fées ! Fées des données denses ! On veut enttrer ensemble (ailes = ELelles) en cette Transe - danse consacrée ! chaergger = dire ! On veut comme toucher aux données des Ventres, et creuser sur muret, ... eh bien peut-êtte, en effet, un trait, qui sait ? par où on pourraiot passer sans trop se casser le nez (ou les pieds ? ou le cul doré ?) et y aller, ensemble (ailes naxccrées) sans faire plus que ça de simagrées si tant est ! toucher = aller, passer, se glisser, passer le trait ! passer grave le trait = entrer = connaître = naîttre = touchger à ce pPassé des Données en herbe : Verbe ! Verbe Allé ! Verbe au Passé ? qui sait ? qui sait ce qui est ? qui connaît les TErmes ? l'embarqué polaire ? Le chants des sirènes ? L'onctuosité mammaire ? On veut en vrai ne plus traîner maiçs grave en avancer en cette sorte de muret aux données "dernières" il sembleraiot (le pré passé). Qui on est ? quii en vraéi on est ? qui en vrai on sezrait ? qui en v rai on pourrait être ? qui on serait sur herbe et aussi l'herbe passdée ? qui en vrai on pourrait être qui , pour le coup, sembleraient "en être" ? qui ? qui Du Terme sait ? Qui en vrai connaît les données prochaines = dernières (post-pré s'il-vous-plaît) : l'Herbe ? Le lait ? le Néné ? Le Passé ? le Passé quyi de fait serait comme représenté, personnifié, par une sorte de Néné des Fées qui donnerait son Lait à la criée ? On veut aimer = dire = prendre = circonscrire, et cela , en vrai pour ainsi dire = à la volée ! sur terre en friche ou pas en friche, l'important c'est (ici) d'aimer = toucher ! Faire prise ! Coller à) c e qui est qui montre sa Frise ! Toucher frais ! Armer ! souder zon nez ! sonder ! sentir ! Vouloir passer ici (unj trait) son nez de Riche F2e Comme Consacrée ! On a envie en vrai ensemble (ailes nacrées) de se porter (qui sait ?) au plus près ici de ce muret, de ce muret dit "des données de mise" ! toucher à ce muret, c'est faire preuve de lucidité , de cflarté active, sainteté sur rive ! Charger = dire = prendre = cerner = pîousser, au plus lointain, nos ailes soudées, pour en vrai s'enfoncer, s'enfoncer de rage, entre les seins dits "de passage", et une fois les seins pasdsés, trouver un ancrage, une sorte de Place, un tracé non forcément creusé mais une Place o^ù se poser ou reposer, où se mettresur pied, pouvoir regardezr, sentir, cerner, comprendre en vrai, cerner de chez cerner ... le VErbe ? L'onctuosité du Verbe ? Verbe de trait ? trait de VErbe sacré ? Perte ? pont des F2es ? fente aux collets ? Pré surnu:mèraire ? encore un pré ? encore d'e l'herbe ? on veut cerner = faire (pour le coup) amie avecd ... Elle, La Donnée Suprême ? Le LAIt FErme ?
"POussée ancrée porte sa misère sur un pré aux herbes " ; "Trait des traits sait ce qsui est en termes de Therme" ; " Vent mauvais sait donner son fait aux Fées en herbe" ; "pas de côpté sur pré, pousse une Fée à tracer des traits" . "cris de joie font Gens des LOis " . "Pertes mortellles = Traits en herbe sur pré cerné " . "Gens doctes = Paroliers / parolières de Porte" ; "Poussée tracée = Connaissance ancrée " . "pertes des données faont La PArade des Fées Tracées " . "Connaissance allouée, donne le Vrai (du Vrai) à la Romance du pAssé" .
On veut :
COMPRENDRE = DIRE = CHZARGER = PRENDRE = CONNAÎTRE = TOUCGHER = BAISER = ALLOUER À UNE SORTE DE DONNÉE EN BRANCHE LE PASSÉ DES FÉES, CERNER = DIRE LES DONNÉES ACIDES OU MÊME ACIDULÉES DE CE QUI EST QUI SE PRÉSENTE À NOTTRE NEZ À RENIFLER : PETS , ? PETS DES OMBRES PORTÉES ? QU'EST-CE QUE ÇA SZERAIT ? QU'EST-CE QUE ÇA POURRAIT EN VRAI REPRÉSENTER, SDONNER COMME DONNÉES, NOUS FAIRE CERNER = TOUCHER ? ON EST FÉE DOCTE , DITE "DE PORTE" COMME QUI DIRAIT, ET DU CFOUP ON MONTE ! HAIUTE ! ON MONTE HAUTE ! ON VA HAUT ! ON EST FÉE DE PORTE HAUTE ! ON MONTE HAUTE ! ON VA HAUT SUR HAUTS ! HAUTS DE PORTE ACCORTE !
on ose !
On est Fée" du pré qui ose, ose aller !
On est la Fée de POrte surmenée (la Fée) et prête à trtraverser, du coup, sans se reéfréner , cette porte dite "des Nénés" ... tracer de chez tracer .... foncer ... creuser .... forcer .... aller au plus lointain possible après ce muret .... dans le vent soufflé ..../. forcer ! franchir ! voler ! tenir ! ne pas sombrer ! tenir encore et soutenir son corps ...
aux ailes soudées ! contenir ! creuser ! passer ! aller en ces contrées comme saturées de vents mauvais sans lambiner , sans baisser l'échine, sans céder ! afffrronter la Vouyivre ! creuser creuserr creuserr sur Muret si tanjt est ! à travers les fluides ! Ancrer ! entrer = donner ! On a envie en tant que Fée P assée , d'aller loin chercher, ailée, le Mot des Fluides ttels qu'évoqués ! On a encvie de dire ce qui est, ce qui vibre ! traits de Fée sur Pré aux Nénés ? On veut :
toucher à ce qui est ici qui se présenterait sans tarder, aller loin en ces cvontrées des données acides voire acidulées, comprendre un maximum de ces do nnées du vivre, du mourir, du aller, du prendre , du comprendre ce qui est, toucher à ces nénés dits de "contrebande", permettre à nottre nez de renifler pour ainsi dire les senteurs de l'ambvre, aller sonder la chose ici vqui se présente devant soi en tant que mot de chambre, Verbe Haut, Transe au niveau, Parades endiablées des TRacés Animaux et autres cavalacades au Lamparo ! Dire est une chose fluide ! Faire ? vive ! on veut (du coup) : SONDER
FAIRE ET ALLER, METTRE ET PERMETTRE, TOUCHER DE CHEZ TOUCHER, FAIIRE AINSI QUE LES NÉNÉS DU VERNBE SOIENT POUR NOUS LES TERMES = LE THERME !
Frai des prés ! chants lactés ! vents tracés ! corps entioer ! vivacité !
On veut toucher à ce qui se présente sous notre nrez ! On veut ensemble grave toucher à ce qui en vrai ici se présente, se montre aéré, se pose, se met en branle, donne son lait , veut aimer ! Creuser = dire ! toucher = montrer ! Comment en vrai représenter la Rive ?, comment dire et donner les données du Rire post-pré ? Qui sait en vrai ce qui est de ce rire ? qui connaît la Mort , Le Port , l'Ancrée ? Qui szait en vrai situer les Do nnées dites "de la mort ancrée " ? Qui peut dire et situer, donner données riches, dires de fait, chants tracés , Verbe Lucide ? Qui connaît en vrai l'onctuosité du Rire Lacté ... Le Rire lacté ? qui connaît l'emprise dite "duu Padsszé et des Données Vives du Passé Donné " ? qui sait (pas pour de rire !) ce qu'est le Pré aux Fées, passé, traversé, dépassé ? qui connaît le TRait, Passage Fluyide , Verbe Acide, Toucher Vif sur Mur À frises ? On est la Fée du pré ou
Fée des prés
Fée Docte
Fée Ancrée = Fée entrée
Morte ? Non !!! Vive dans la mort donnée ! On est comme née Vive sur pré Alloué à une sorte de donnée de roche, post-mort d'Homme (genré) aux données de porte. Qui connaît ? Qui sait ? qui comprend ? qui a vu ? qsui est revenu ? quii a sondé ? qui a touché de fait au muret post-pré, post-ombre, post-morteme des ombres ? Le Tanné ? le Petit Poucet ? le gentillet ? le Collet monté ? le berné des enfants bernés ? l'animal sacré ? Le passé Donné ? lze "pas assez donné " des fionalités ? On est Fée faite Fée de vTraîne ! On veut : gravir grave ! sonder de chez sonder le Ventre ! l'antre de Parade ! Charge frontale dite "ventrale" ! le Passé des Ambrassades ! ventre contre ventre ! chants d'écran ! verbe sarde ! paradis blanc ! vie des vies post-chants de Grave ! Frondaison saison ! On veut :
COLLER AUX NÉNÉS DES DONNÉES FINALES = COMPRENDRE VCE QUI SE PRÉSENTE EN TERMES DE DONNÉES DE RAGE, DONNÉES DOCTES, SUR PORTE DES PORTES.
oN est nées Fée de Roche ! Ronde bosse ! Crzeusement d'époque haute ! sainteté de roche accorte , fée sur pré de Roche des Données Profondes. On a envie en vrai d'aller chercher de chez chercher le terme qui pourrait (qui sait ?) nous informer , nous donner donnée, nous donner de qauoi pour le coup cerner , les données qui pourraient comme nousz i,ndiquer, de fait, ce qui est, en ces "terres" de fée, terress allouées à une sorte de tracé en herbe : Verbe ?, et comme consacrées par une szorte de di vinité qui sezrait là à toujours mater et l'herbve du pré et lrsz bêtes qui sont dessinées , gravées comme à main levée ! On veut toucher ensemble à ce qui est qui se présente en tant que né2nés ! voici le Lait ! L'ombre portée d'une sorte de Divinooté lactée on dirait; est-ce que c'est ? est-ce que cette chose en vréi ... est ? existe ? nous r egarde ? veut ou voudrait nous "prendre", npus rapter à la retombée, nous absorber, nous avaler comme une sorte de denrée des prés : herbe ? herbe verte ? herbe desHerbes ? herbe sur Pré surnuméraire ? herbe-Verbe ? On veut (on voudrait) cerner ici (de près) cette chose ancrée, toucher aux nNén és c 'est un fait !
OPn voudrait ! on voudrait en vrai ! vrai de vrai on aimerait ! On voudrait toucher ! toucher de chez toucher ... aux Nénés de l'Antre ! On est F2e des prés tracés , on est accolées en tant qu'on est ... les ailes d'une Fée Tracée ! Ailes soudées !
AILES DES FÉES ! AILES CONCRÈTES ! AILES CENDRÉES ! AILES "SURNATURELLES" ON DIRAIT ! ON EST AILES DE FÉE DONNÉE ! ON EST NÉES AILES = ELLES LA MORT DONNÉE ! FI DU FILS ! FI DE L'HOMME-CORPS ! FI DE L'OMBRE SUR LE CFORPS ! FI DU TEMPS PASSÉ ! FÉE ! FÉE DE RAGE ! FÉE NÉE AÉU PASSAGE ! CFORPS MORT ! CORPS DE PASSAGE MORT ! CORPS MORT DIT "DE PASSAGE" ! CORPS DE PORT !
on est fée des prés allouéxs à une connaissance des données suprêmes ! on est la fée de l'herbe = du Verbe = du pré = des données de verbev= données vraies ! Verbe au taquet ! Verbe svelte, va et vient sur herbe comme pour (en vrai) traverser ferme les données allouées à une szorte (ici) de trait dit " du muret".
On estb la Fée post-cimetière, l'emportée, colère ! née comme à la retombée on veut tracer ! courir et sauter, sautiller, danser, ne plus se reconnaître en tant que f2e mais y aller dans la .... déconstruction de soi et de son passé , si tant est ! Aller = dire = plonger = permettee = faire = comprendre = prendre = sonder , = sonder le trait ! passer ! passer ! passer sans tarder ! tracer = passer !passer = tracer ! ! tr acer Tréit de Rage ... Teait des tRaits de Passage ! passer Nez ! Nez passé , aller, pousserr, entrer plus avant en ces catacombes cendrées , creuser la Roche et traverser de fait les données données ! pousser Hautes les Données du pré telles qu'emportées ! et y aller = pôussser de chez poussszr sans plus lambiner afin de pouvoir ... travezrser la Chose, d'une sorte de Muret (des Finalités) post- pré ! Et voir de l'Autre C^-oté ce qui est en termes de ... Nénés ? qui sa it ?? de nNénés nés comme à la traversée ? ça se pourrait ! qui en vrai sait ? Qui sait ce qui est ? qui connait le VErbe ? les denrées du Verbe : Herbe ? Lait ? lait de l'Herbe allouée ? Lait d'herbe ? Herbe de lait ? herbe à lait ? herbe-verbe à lait cendré, nacré, tracé, aimé ? On aime !!!! On aime le lait !!!! on aéime l'herbe ! on aime aimer le Verbe vdu Trajet, du Tracé fait, du sentier aux données, du passage docte et autres traits par où passer (de porte!) . Aimer = sonder = coller = do,nner = faire = charger = pousser = fondre !
On veut (de fait) en tant que fée :
ALLER SUR ROCHE TRAVERSER
COMPRENDREC LES DONNÉES ACTÉES
POUSSER LA PORTE D'UNE SORTE (IL SEMBLERAIT) D'ENTITÉ LACTÉE
CHAUFFER LES DONNÉES
FONDRE LE PASSÉ, LE CORROMPRE
ALLOUER À UNE PORTE (DITE '"D'ENTRÉE") LES DONNÉES DE ROCHE
COLLABORER EN TANT QUE FÉE AUX RECHERCHES EN HERBE ET AUTTES RECHERCHES SUR PRÉ
TOUCHER LES NÉNÉS
GRAVFE TOUCHER LES NÉNÉS
CERNER = PISTER = CONNAÎTRE CE QUI EST ET LE DONNER À CEUX ET CELLES QUE ÇA INTÉERESEE !
toucher -dire = pister-faire ! Qui sait en vrai ce qui est qui ici nous attendrait le pré (de la mùort donnée) pâssé ? Le curé ? l'ombre-hombre ? cotrps passé enterré ? La Machine Folle ? le Passé des Données Tracées ? Le Pendu au cul ? L'attrabilaire des cornus ? On est Fée vsvelte : on court on vole ! on ne s'en lasse pas ! on est fine élancée nacrée acidulée accorte montée ! Fée des Données Fortes = folles ! Données des Données , on connait ! on voudrait partager ! pousser (pour ainsi dire) le Tracé de Fée sur .... du Passé re-re-membré ou comment dire ce tracé ? comùent s'exprimer ? comment révéler ? aller sur pré, poser ses pieds, p ûis s'envoiler, monter, toucher de chez toucher, au plus haut possible, le Haut des FRises, le POteau ! le trait né ! le chant lacté ! la la la des rotonditées comme traversées ... par le Haut ! Haut POteau du trait Haut ! Contrer ! toucher ! accoler à ce haut des Hauts son museau, petit nez de Fée consacrée, cherchant issue de base à pouvoir emptrunter comme à la parade ,
PARADSDE AUX ANIMAUX BEAUX
PARADESZ AUX ANIMAUS DE PEAU
PÂRADES SARDES AUX BÊTES DE MOTS
PA RADES DE MOTS SUR PAROIS DE GROOTE ... DE PORTE ?
Aimer ce qui ici se met en branle en termes de bêtes "comme à la parade " = toucher Termes des Données de base ! On veut ou on voudrait en vrai pousser (au plus profond) nos recherches pour des connaissances ! passer pré ! oh grave ! aller bien après le pré des rages, pré des bêtes-mots, des dessins d'animaux, parades notoires, oripeaux, boucs au trot, et , au-delà de ça, eh bé ............................................................................................................................................................... tracer gravce ! travezrser "la lande " , pousserr au plus lointain notre sorte de promenade .... des "confins", sarabande ! On est En Bande ! Bande D'animaux ! Transe ! transe de peaux ! Fée-Bêtesz au Passé d'être et autres Fée des Fées de Fêtes Animalières sur Paroi aux mots ! Chants Cotés ! Cris des prés ! sang comme possédé ! Animaux des prés sont Bêtes Lactées ! Vives et Accolées ! troupeau ! troupeau dit "de mots" = Veaux d'Eau ! fond de Roches sr Paroi de poche ! On monte ! on monte par nivrrau ou comme par niveau les marches de Roche ! Porte par porte ? On est Hautes ! Fée Haute sur Paroi Des mots , soit des mots-animaux tracés au cordeau ! porte / ponte ! Chyants d'oiseaux ! corbeaux ! serins ! merles et moineauxd ! chants d'oiseaux au to nneau ! porte docte ! on veut coller à cette sorte de donnée ailée qui bnou!s ressemblerait comme deux gouttes d'eau .... du tonneau ! Peau des peaux ! Porte Docte = porte folle ! On monte ! on monte le Haut du Tonneau d'eau forte ! eau de vie de l'ombre ! chalumeau ! cordeau ! possession de roche et autres feux sacrées de poche , et autres feux sacrésc de poche ... au lamparo ! On est la Fée des données Hautes, volant, allant, voletant sur roche vers l'Entrée profonde ! Traéit aux Bêtes-Mots des Données de poche, ou autres.
On veut en vrai toucher de chez toucher la Porte ! Comprendre haut. POrter Parole. Voir / savoir les données hautes. Toucher = loucher ! Voir Haut ! Toucher haut Le Verbe d'Eau , l4ombre de l4ombre ! Chalumeau ! ........................................................ toneau ........................ porte ...................... colle ................................................................... pinceau ......................................................................../................................................................................................................................................... chant d'oiseau et autres chants des données hautes ! .................................................... vols hauts ................................ vie des mots des données fortes (folles) et autres mots de trop ........................ corolles ! On veut aimer = dire ! prendre ! scharger ! comprendre grave et le plus possible de donnnées du pré et, au-delà du pré, du muret, du muret post-pré, du Trait alloué à ce muret dit "des finalité"s . ON est La Fée qzui veut cerner (de près) les données donnéesz par une sorte de muret des données profondes ou aux données profondes, soit "hautes", enfoncées ou engoncées, ancrées de force (? ) qui sait ? On veut de fait entrer ! aller sur néné tracer, peut-être, les données données ... ou bien juste ... téter ?? Dire le Lait ? traire ? pousser ? coller son nez ! ses l!èvres ! BHouche édentée ! téter de chez téter le n2né en Herbe de lza MOrt Ancré (surnuméraire ? alimentaire ? Sainteté Lactée des DOnnées FErmes en termes de do nnées tracées dites "de Vérité" ? ) . On a envie ... on aurait grave envie .... on aéurait grave envie en vrai ... d'aller téter , "au passé" (?) Le Néné post-pré ! toucher ! toucher au néné post-pré ! grave toucher pour mieux téter et dru cfoup (en vrai) s'alimenter pour pouvoir durer = perdurer = poursuivre, sur "notre lancée", le chemin des Ombres ou sinon des Ombres des Clartés comme Acidulées ! Hautes ! Clartés Hautes des DOnnées de ROche, de ROche PRofonde et autres ROchesDes Entrées PRofondes. POinter ! toucher le néné au point lacté ! pile pointer ! allouer du Verbe à du lait si tant est = tracer, au débotté, les mots de l'Ogre , du Passé Nacré, des Omb resc sur Ombres, Du passé Acidulé d'un e sorte de Donnée de force ou d'un Passdage en force, sans trembvler (?), sans chercher à plus que ça se dérober mais de fait eh bé .... y aller ! poussezr de chez pousser ! ne pas s'arrêter maéis, au contraire, filer sans traîner ni stopper ni se dérober ! Pousser copmme qui dirait du "blé en herbe" ! Les données du pré ! L'Herbe verte du ... Passé ? Qui sait ?? qui connaît l'Être , le TRacé de l'Être ? Le petit Poucet ? Le petit "chat botté " ? L'ombre souterraine ! L'Ampoulé du Verbe ? le prêtre ?
oN cher che ! on cherche sans fin ! on veut toucher ! on aime ! on veut cfoller ! coller nez au muret et aussi renifler et aussi comprendre ! pisser ? aussi pisser ! chier ? aussi chier ! coller son nez à la rembarde du muret des Alpes ! On aimeraéit graver, ici muret, comprendre = toucher = dire = passer, ert nous retrouver (accolées ) de l'autre côté ... encore fée ? encore ailée ? encore
en forme de fée qui seraiot comme allouée à un nouvreau pré si tant est ? On veut :
DIRE DIRE DIRE
LE PASSÉ PASSÉ PASSÉ
DE CE QUI NOUS ATTIRE TIRE TIRE
ET NOUS ÉLECTISRISE TRISE TRISE
SANS NOUS ABÎMER BÎMER BÎMER
ET NOUS ACHEVER CHEVER CHEVER
SUR NOTTRE LANCÉE LANCÉE LANCÉE
FRISE AU TAQUET, CORPS DE DONNÉESZ, PORTE CENTRÉE, PASSAGE HOT, VENT MAUVAÉIS (PET OU GENRE DE PET)
On a méga envie de passer ici à travers ce muret, afin de pour le coup enfioin cerner les données du TRou, ou de ce qui, peut-être (en vérité), serait un trou ou sorte de trou aux donnéees vprofondes, soit fiables ! regarder, c'est voler ... mais pas que ! C'est aussi ... toucher ! toucher de près ! toucher de chez toucher = passer = donner = prendre = comprendre = sonder = pister = pondre = ne pas lambiner mais grave foncer de chez foncer au-delà du Trait, de la Porte Haute, direction (qui sait ?) les Nénés Post-pré, eyt§, éau-delà, la .... Mort comme saturée de .... de Passé ? De PAssé de Coprs ? De' passé de Corps Morts ? On veut .... .......................................... chanter - charger ! .......................... dire-donner ! ............... donner -rire ! dire-rire ! vivre)-rire ! et passer ! .................................................................... traverser ! aller ! souder ! poser ! porter ! cerner ! aller de rive en rive post-pré aux données vives ! charger = vivre (dans la mort active) une sorte de dérive ivre ! Forcer ! pousser ! poussser = forcer ! forcer-pousser une szorte de rire , dès l'entrée sur rive ! traverser ! courir ou voler ! maiçs tailler = se tailler = chercher à (pour le coup) cerner, après le pré, la Rive Cendrée, la vague Nacrée, MEr donnée ! Donnée des Données ! Porte Allouéeb à une sorte de Donnée De ferme ferme ! Possésdée ! comme grillée ! chantée peut-être ! soulevée ! vaguelettes sur Passé olé olé ! on dirait ! mais est)-ce que c'est vrai ? est-ce qu'en vrai la mort (les oubliettes)c'est la mer (la merde ?) du Passé ? Cran d'arrêt ? Sainteté des saintetés Nacrées, genre Mer Cendrée ? On veut en vrai toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchert toucxher toucher toucher toucher de chrz toucherb la grève ! le muret et après : la merde ? Mère accoléec ? Mer des prés , du passé muré ? mur des Acidités, dees Données TRacées, du Passé Caché,, consacré, enfoui, ôté du pré mais comme rangé passé le muret sur une szorte de jetée du Verbe ! Je tée des jetées ! Jetée des Nénés ? Jetée ferme ! On veut toucher ! on ne veut pas s'arrêter, on veut co ntinuer. On na envie en tant que fée du pré de traverser le"dit muret des find de Règne " (comme qui dirait) et là, une fois passée, fée ou pas fée, cerner = comprendre ce qui est .... une jetée ? une sorte de je tée ? une sorte de mer allouée à une sorte de Passé en herbe ? Mer donnée allouée à du VErbe dit "du Passé " ... Verbe à ailes ? Verbe ailée ? Verbe d'Elles ? Des données Données Souterraines ? On aimeraéit peut-^$ette (ça le fait) toucher, toucher à ces Données en herbe, à cette sorte de Jetée telle que présentée, à ce muret pâssé puis au tracé sur terre de la vie cachée ... ? tracé né ! tracé post-pré = post -post mortem s'il en est ! On veut en v rai coller à ce tracé dit "des Nénés" tels qu'ils nous apparéiaitraient post-post mortem à jamais mais qui le sait ? Qui sait ce qui est en vrai, ce qui ici se dessinerait pour ne plus nous quitter en terme de données données genre "théorème", "tracé des tracés", "vie des fées post-pré", "vérités des vérités en branle" . Le Passé serait, qui nous attendrait sans traîner. Un passé de contrebande. Passé des passés. Passé Haut sur Mer Allouée à une sorte de Poteau de Mots ! Cornes folles ! chants d'oiseaux ! paroles paroles ! On est la Fée des Corps Nouveaux, sur pré accorte, puis plage de roche aux vague s de cordes. Port ! Port nouveau ! Port des ports nouveaux ! POrt-La-nouvelle sous peau ! Corps d'or au caniveau, et nous voilà (en tant que renouveau) née Fée au cordeau ! chalumeau ! passage Haut! traversée des Peaux, Langes, Draps, draps de corps et autres linges de passage d'ange .... dans un pôrt ! Haut des Hauts ! poteau ! poteau d'eau ! on monte ! on est hautes ! On est la Fée des Hauts ..... Haute ! On est la Fée Hzaute ... des HAuts Niveaux ! on est passé ... pâr la parole", sur port des peaux ! Haute ! on est Fée Haute post-préau ! passsage accort, trait de la mort, entrée du cvorps mort et hop .... chalumeau ! cendres au tonneau et Verbe au Poteau ! colère ! Entrée svelte et du coup on guette ! On mate (grave) ce qui se présente en termes de mots, de mots d'eau (?) , mots doctes de Porte, mots des MOts. On est la F2e post-pré aux mots (bêtes de peau) qui, de fait, cherche en vrai, à ne plus s'arrêter de voler mais, au contraire.... va au plus lointain ... verbe-MÈRE, trait lointéin des tracés du verbe ! car, le Passé est consacré
LE PASSÉ EST CONSACRÉ
LE PASSÉ COLÈRE
PASSÉ COLÈRE
LE PASSÉ COLÈRE EST COMME CONSACRÉ, LE PASSÉ COLÈRE EST COMME (DE FAIT) CONS&CRÉ, PASSÉ PASSÉ, PASSÉ NÉ DE LA COLÈRE D'ÊTRE COMME ... CHAHUTÉ, BOUSCULÉ, TOUCHÉ, TOUCHÉ DE CHEZ TOUCHÉ, TOUCHÉ BLÊME ! ALLOUÉ À UNE SORTE DE POÈME DES DONNÉES DONNÉES ANCIENNES ! VERBE NÉ SUR PRÉ POUSSE SES DONNÉES JUSQU'AU THÉORÈME DE TYPE "J'AIME", "J'AIME LE BLÉ ", "L'OMBRE DE L'OMBRE", "LE PASSÉ ALLOUÉ" ... À UNE SORTE DE DONNÉE D'ÉPOQUE NÉANDERTALIENNE COMME QUI DIRAIT !
On veut toucher en tant que fée , à ces Nénés dits
"des données acerbes" , "du passé des données", "du Théorème acidulé" ici ancré dans une sorte de "je t'aime" saturé, super tracé ! On aime ... les Nénés (c''est vrai) mais aussi l'herbe ! le Passé en herbe et a&ussi le léit ! l'herbe à lait ! Théorème né"andertalien des données de porte, forme docte, donnée haute, permissivité ! On veut comme coller en tant que fée à ces nénés de roche ici tracée : porte ! hautes bêtes ancrées ! hautes données ! hautes et chaudes animalités dites "de roche-" : auroches ! auroches des prés ! aurochs et auroques soudées ! sondées ! tracées ! gravées hautes ! sur paroi de "porte" ceinturée ! On veut ou on voudrait en vrai toucher de chez toucher à cette poerte des données profondes, le tracé du traéit est un tracé de porte, on savait ! disons qu'à présent on sait .... car, on est F2e et la Fée sait , qui connaôt la Roche, le Pré, lae Muret, Le Passé outré, la Parole Haute = Docte , le Néné ça le fait et aussi le Lait, Lait des prés et lait le pré Passé = le Passé de Porte, Passé des passés, Mer Haute des données post-roche, Méditerranée comme qui dirait ça se pourrait ! On veut toucher en tanjt que fée à ce qui est qui (ici même : pré aux fées) porte Parole, veut tracer, s'ancrer, rester ou demeurer sans plus bouger = s'immortaliser ! qui sait ? Sur pré, la Parole est docte .... au-delà ? on ne sait ! on veut cerner ! on voudrait et cerner et dire, de fait, ce qui est qui nous apparaitrait "sans faute" à jamais ... mais .... comment s'ancrer ? comment toucher à ce néné des ombres ? comment perdurer dans la recherche (active) des doonées vives ? On veut :
DIRE DIRE ET DIRE
CE QUI EST QUI VIBRE
SOUS LE NEZ DE L'HYDRE
Toucher = verbaliser pour ainsi dire. Charmer = vivre. Dire = cerner , de fait, ce qui est qui respire (en ces contrées) en termes de ... vouivre ? vouivre serpentine ? Vivre serpentine ? = un trait, au jugé ? une sorte de tracé de vivre = vivre dentelée ? Qui sait parler ? qui sauraéit dire ? qui en vrai sauraéit nous instruire sans nous tromper et nous éclairer sans plus de triche ? qui ? On éimerzait savoir ici ce qui est qui vit, qui bhouge ou bougerait, sans nous aimer, sans nous aider, sans vouloir nous indiquer la (bonne) marche à suivre jusqu'aux ... nénés ? "Nénés Druides" ? "Nénés fluyides " ? On est passées le nez devant, sans plus traîner au vent ! on veut en vrzai coller aux donnée s sardes ! Les toucher de près ! tracer (sur muret) nos noms de Fée : Airelle Possédée, Chantrelle Accolée, Pastrelle du Blé, POutrelle au Taquet et autres Noms dOnnées De type "Collet", , "Colle
t Monté". Fée sur Pré ravive le dire Sacré, c'est un fait, et pousse à rire ! On veut graver les noms du Rire ! percer = toucher = comprendre = donner = faire = entendre = percer = dire = cerner = pisser ou (on dirait) pisser = pisser du lzait ! pisse adoubée ! lait de roche ! donnée haute sur paroi d'époque ! le tracé est tracé de porte : auroques ! le bison -tronc ! bouc et bouques-bouches ! On ose ! On est osées ! On est cfomme Hautes Osées Fées de roche ! porte d'entrée sur un côté on y va pour frapper , espérer, espérer entrer, être acceptée, être rencontrée, être peut-être même comme "invitée" à regarder là-bas (derrière ?) le ... Passé ? Les Nénés ? Le Verbe ? l'onctuosité du lait de Verbe ? L'ombre saluée ? Le Tracé aux Fées et autres types de tracés vénères ? Charge sur Passé de Dames ! congratulités ! sarabandes ! possession ancrée ! plantes ! fleurs ! tiges de fleurs !! pétalesz ! touché ! toc-touché le Monstre ? touché ! comme en vrai on aimerait toucher, toucher sans hésiter ! toucher à ces Nénés de lo'ombre ! tracer = donner ! dire = poster ! coller = faire ! dire et coller ! dire et monter ! charger = cerner ! perdre = faire ce qui est qui nous soulagerait ? On veut :
être sur pré la fée .... puis monter de chez monter direcvtion un muret , muret des murets, mur au tréait ! et du coup passer ! à travers le trait ! passer -être ! être-passer ! coller son nez et comme renifler avant de pour le coup passer au jugé , comme à l'emporté, dire-passer ! pazsser-dire ! p ôusser = entrer (par le dire de Fée) en cette roche des données dernières .... et ... regarder sans tarder ..... les données "entières" ...... fugacités ....... portées d'ailes .......... pointes acérées .............. colèresd des données sévères /....................... passé ........ le passé celte ........................ tracés des tracés .................... pertes ................................................... VErvbge en herbe .............. contrées des contrées ............................. comme "chapeautées" par du Verbe en herbe , genre Lait ...................... lait sucré sacré ! ................................... à votre santé ! pré ! pré passé ! pré des prés passé ! traversé (à grandes enjambées) et nous voilà ailées arrivées, sur roche-grève, prêzte à .... cerner ? tracer-dessiner, à main levée ... ce Verbe pôst -pré de type "Néné_Verbe" , ohé ! ça porte ! ça rapporte ! ça emporte ! çàa le fait ! ça donne ! c'est un trait de roche ! trait sucré ! on ose ! On voulait en vrai y aller et voilà, on veut en vrai (de chez "en vrai") tracer-toucher à la Parole dite "de POrte" on dirait .... PArole -Roche ! traits tracés au pied levé par Homme-Femme des Contrées de base : néandertéaliennes nées, néandertélie"ns-nés, Homme et femme au débotté ici associées car, Ombre Portée sur Paroi Létale ! un tracé ! une donnée ! une porte d'entrée ! un trait ! voilà, un trait et ça le fait ! trait d'or ! trait des traits ! trait de Roche Allouée à une sorte de passage en or ! Pré -consorts ! port ! port-sur-mer nacré ! Fée ! Sommes ! trait ! port des ports cendrés ! on monte ! on est raccord ! accolées ! = ailées ! deux ombres pour une fée et ça fait la fée , fée d'oor ! Fée du pré passé, des données profondes ! On est comme percées ! touchées ! collées ! tracées ! montrées ! bousculées mais on est entrées et on porte ! , loin, nos ailes nacrées ! envolées ! hautes ! Homme mort tombe ! fée née s'envole ailée vers d'autres destinées que celles (terreuses) de l'homme dit "tracé", .... drôle ! Haute Fée de Porte, centrée , pousse Haut et Ose, porte, pousser ! et du coup enttrer ... et .... mater ! mater de chez mater Mater (prononcez "ma terre") ! Air de Fée ! Sons de cloches ! un trait ! une sorte de Parole Haute ! Fée des Fées de Roche .... porte , en vrai, son Ombre Nacré jusqu'au bout du pré, Néné ! ah Néné ! Néné né ! Néné des Nénés ! à teter au-delà du pré, à bien téter pour bien s'alimenter ! se requinquer ! tracer !pousser au loin la chevauchée, le treacé-trajet .... en jetée ! jetée des jetées ! je tée
des jetées jetées ! aller au plus profond des dites
"données alouées", allouées à une sorte de jetéee ... qui le sait ? Qui sait (de fait) ce qui est ? Qui veut dire en vrai , donner, offrir, dire de fait ? On ...
On est la F2e du prétracé ! On est fée des fées sur pré ! on est (dans la mort) Fée , prête à tracer, sans traîner, vers ... Mamelon ? Petit P°atapon ? Lampion ? Oignon ? "Om" du carré des Troncs ? Aller-charger ? Prête à dire-coller ? à tracer (au-delà du pré) les données allouées de fait à un tracé de type ... "mamelon" ? toucher -dire, faire-aller, donner données, coller, aucx Nénés du Dire, les Données du Rire ? pousser = pointer ! Faire = charger ! Fée des Fées on est .... jusqu'au rire alloué à une sorte de "dfonnée active" cendrée (?) et cfomme enterrée (?) qui sait ! Pro-hydre ? On ne sait ! On veut :
TPUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER À L'HYDRE ET SES NÉNÉS ! ALLOUER AUX NÉNÉS LE LAIT ACIDULÉ ! VIVRE ! VIVRE TRANQUILLE DANS LA MORT ACTIVE PRÉ-HYDRE ! COLLER (DE FAIT) AUX NÉNÉS DU TIGRE ! VIVRE = COLLER = CERNER = PISTONNER SANS VRAIMENT RÉELLEMENT TRNAÎNER MAIS GRAVE FILER ! FONCER ! FONCER DE CHEZ FGONCER ! NE PLUS S"'ARRÊTER ! TRACER DE CHEZ TRAVCER ! COLLER AUX NÉNÉS DU VIVRE "TRANQUILLE " À JAMAIS OU COMME À JAMAIS ! VIVRE = DIRE, LE TRACÉ, L'EMPRISE, LE TRAJET, LA PRISE, LES NÉNÉS DE L'HYDRE ET AUTRES DEONNÉES QUI PRÊTENT OU PRÊTERAIENT À RIRE (GRAND RIRE) SUR PAROI (DU VIVRE) CONSACRÉE !
Aller = tracer, dire = donner, pousser = charger ! Qui est qui en ces contrées du Rire cloisonné? Qui cerne ? qui porte ? qui comprend Le Verbe de POrte ? Les données dites "acidulées" d'une sorte de ... Néné du Rire ! Qui compte ? qui sait dire et rapporter le dire sur paroi de roche ? qui va loin dans les données et sait treacer comme à main levée les données trouvéezss ? bêtes allouées à une Vérité, bêtes-mots tracés, chants hauts, mots de trop , verbe de peau !
On est la Fée des Fées des oripeaux , du Verbe Haut comme portés ! Hautes Fées des c^oteaux ! fée du Pré des prés ! Fée haute genrée = ailées = segouinée de par les ailes ainszi soudées ! ELLE ! ELLE DE FÉE ! Elle belle ! tr&it acidulé ! Chanteclaire, va nu pied, ferme, de ferme en ferme ! On veut toucher à ce Néné des données donées post-mortem, et ... re-nâitre à jamais hors pré, hors E^tre, sur Passé post-pré ..... dans une sorte de contrée De fée ... Air ! Air alloué à une sorte de contrée-Mer ! MerSoleil,
Mer Air ! Mer Jetée ! Mer Elle ! Mer de fée Postée ! Tracé, d'air de mer !Pré ................................................ pré /................................................... pRé ............................................................ pré des prés post mortem , qui sait ? ........................................... genre : pré-mer ? ........................................./............................... mer en herbe donnée ? ................................................. mer cendrée ? ........... possédée ? ..................... prise sur le fait ............. ? .....................././............/................................... allouée à une sorte de donnée des données cendrées ................... poussées ...................................................................................................... contrée des contrées cendrées ? .......................................... mer des mers touchées ................./.........................olé olé ..............................................Morte et enterée ? .....................................Le Passé ? ....................................../........................... une sorte de passé montré ? porté ? donné ? rapporté ? remonté des dites "catacombes"d'une sorte de Rotonde ? ......................... un passé ancré ? ................ Une sorte de passé de porte ? passé docte ? traits d'ombre ? vie des prés sur ppied ? Ombre sur Néné et ça fait son effet ou son petit effet de Porte ? Vrai ? .................... ombre nacrée ? Chose sur pied nous verrait aller, tracer, voleter (de r(oche en roche) en ces cxontrées post-porte ! mer méditeérranée ou autre , mer Égée, MEr morte, MEr Donnée aux Fées de Roche pour .... creuser , de vague en vague, un savoir léger, comme en vrai ailé, genre "sainteté", "sainteté des saintetés" ..... On veut :
eh bé ............................................... tracer ! ................. filer-foncer ................................. pas nous arrêter .......................... =chercher , à ici cerner = entourer = circonscrire ................................ une sorte de paroi de roche avérée .............................. vraie .................. native ............. sou dée ... aux Nénés de l'Hydre , qui sait ? .......... vive ......................................... coller ! ............ donner ! ................. p ^)ousser en vrai jusqau'à cette (sorte de) ......... RIVE VIVE ! Rive des RIves ! ....................dès lors allouée ou comme allouée à une sorte de dérive ivre ...................?............... une entrée dans l'antre ................... un pass age acté .................. trait passé .................. poussée du vide comme qui dirait ............ENTRÉE DEES ENTRÉES ..... POUSSÉE DES POUSSÉES ........ RECHERCHE S CONCENTRÉES ....... RECHERCGHES SANS TRAÎNER ........ DE DONNÉES ACTIVES, DE PASSÉS VRAIS, DE DONNÉES RICHES CONCERNANT LA RIVE, LA JETÉE, MER ACIDE, MER CDES DONNÉES, MER VIVE, TRAÉITS DE VAGUES SUR TRACÉ, MER ALLOUÉE À UNE SORTE DE RECHERCHE ACTIVE HORS LA VIE À VIVRE SUR TERRE DE TRAIT........................... MER GENRÉE COMME QUI DIRAIT = IVRE ! ......... TRAIT DES TRA&ITS = CLARTÉS ! CLARTÉS DITES "DES CLARTÉS", "DES CLARTÉS VIVES" ..................... PONTS DES FÉES = PONTON ....................... SUR VAGUES CENDRÉES , NACRÉES, VIVES DE CHEZ VIVES , ............... LE PASSÉ ACTIF ..........................LE PASSÉ ACTÉ ..................... ENCORE ACTIF COMME QUI DIRAIT, VIA ICI UN TRAIT, TRAIT "DIT",, TRAIT DONNÉ, TRAIT DES TRAITS DE RIVE, POSSÉDÉ, ARMÉ, ALLOUÉ À UNE SORTE DE PASSÉ DE RIVE, PRÉ-ANCRÉ, PRÉ-FÉE .................... RICHE, DE DONNÉES DE RIVE .............. TRAIT DONNÉ VENU (COMME QUI DIRAIT) DU PASSÉ DE RI VE, PRÉ-FÉE, PRÉ-PRÉ-FÉE ........ PRÉ -ACIDITÉ ....... PRÉ_CHAMPS DE BLÉ ET AUTRES SORTES DE PRAIRIES, DE ROCHE VIVE ! PRÉ DES PRÉS TRACÉS !
On est :
fée des fées sur pré alloué à une vérité active
fée grise des dopnnées acides
fée du pré post-calamités et autres atriocités des données promises
fée vive au taquet une fois actée = ailée
fée sur prise
fée active aéllouée à une destinée en rive = ivre
ivre fée aux données genréesz , soumises à une Vérité Tracée , de type "Hydre" .....
Fée Docte de bonne Parole,; Bonne Et Haute P arole sur Paroi de Roche
Fée des traits de porte et autres "Passages Hauts" pour passage d'hôte ,! Préau !
28/11/2024
On est qui ? On est Fée ! Fée des ombres portées ! Saints de Satiété et autres saintes soulevées ! Chants d'ombre ! on veut toucher-cerner à ce qyui est qui se présente devant nous ! Cerner-allouer, à un trait, les données du monde. qu'est-ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait , qu'est-ce qui est ici qui va et vient et semble vouloir nous parler . On rentre = on va , sur ppareoi, chercher, ensemble, les données profondes. Ailes au taquet savent voleter ! aller et virer, cerner et toucher : enttrer en "rotondité" ! On edt nées Fée comme "à la ramaqsse" = au jugé, sur piere des fées. on veut ensemble s'il-vous-plait aimer , aimer aller, fonvcer, tracer, chercher à comprendre ici les données, les données de base. Qu'est-ce qui est qui nous regarde ? qu'est-ce qui est qui nous embrasse, comme qui dirait ? On cherche en semble (ailes) des données, et ce s données sont :
RAge, Foi, Traits, Envoi, COlère, Charge Frontale, Seins des Fées et autres seins de Reines allouées à une sorte de denrée lactée , genre Lait ou PEtit Lait .
On est nées Fée sur roche traversée, et à présent on cherche à cerner
les fonds de pré, les vivacités, les envois de gré ou pas de gré, les remontrances, le chant des Balances, le TRacé de près ! Charge ! Charge au frais ! Traces mentales de données de Rage ! Qui on est ? peut-être la Fée dite "des parades" ... boeuf de pré, Bisonnne avenantes, Saintes Satiété ! On chzarge = on entre ! on veut (grave ! grave de chez grave !) entrer sans reculer = tracer, foncer, tracer vers les nénés = foncer sur pré comme à la parade + cgharger = aller, sans traîner, vers une Déité des données Allouées à une sorte ivci fde "Vérité des V2rités" . On est Fée des Fées ! On monte Carosse = on monte sur paroi des Ombvres !?Néandertaloiennes ! Néandertaliennes ! Néandertaliennes on est nées ! Nées Fées dites "néandertdaliennes" ça ir ait, ou (même) ça le ferait, ! On veut de fait cerner les nénés .... les nénés des Ombres ! L'ombre au frais ! L'ombre portée ici sur néné (?) ! La Chose !
Quelle Chose ? On dirait ... "la Chose" qui , ici, serait , à comme nous mater de fond en comble = juger ! Fée caarabosse des données suspectes et autres ronds de bosse, on serait.
Pour ... Chose ? On est F2e des prés et on monte ! on s'élève ! on grimpe ! on veut toucher (grave !) aux nénés, aux nénés en herbe ! On veut envrai toucher à ces nénés, de l'herbe broutée ... et ce serait comme une sorte de denrée supplémentaire ! une sorte d'entrée en matière ... ou dans la matière ! Herbe-verbe, société des termes, gentrification du pré, allusions littéraires et autres données de type Lettres ! Onest Fée d'Herbe ! Faite Fée à la criée ... ou à la retombée dans l'herbe, trait passé ! ON veut on voudrait : chercher ! chercher de fait le néné né !Sein des traits sur herbe touchée ! On a, comme en nous ici (ancrée) , cette envie d'y aller sans traîner, vers ce qui est qui nous regarderait sans discontinuerb ... C e muret des prés ou dit des présb ! Cette sorte en vrai de clarté alloué à un trait de muret post pré, post prairie aux Fées, aux Bêtes à brouter, aux Herbes NAcrées ! onn guette ! On vreut en vrai aller au plus lointain des terres ! chercher trait des passages donnés ou comme autorisés ! On est la F2e post pré, faite d'ailes = Femmes, dites "secondées ". on veut :
dire et aller, toucher-coller, faire-comprendre, allouer-permettre, donner-cerner, tempérer-ssonner, chahuter-amadouer, fondre et coller ensemble , iic même, nos ailes , sur mât de misaine , charger, coller = cerner, les données blêmes, le Passé des Fées, l'ancre de misère (de miséricorde) et autres ancrages ici tracé, de type bufflettes, bouquetines affichées, bisonnnes des prés, chevales accrochées sur roche gravée ! On est des F2es des prés "néandertaliennes" à jamais ! on veut coller )à cette V2rité, genre (ici) Vérités, des Données de l'herbe , ce serait !
Charges ancrées ! Passages ! Tracés vrais ! Peuplades de bêtes tracées sur par(oi cendrée !
On veut comprendere ce qui est;,, qui va et viendxrait, nous donnerait du lait, du bon lait sucré , voire sucré-salé ! bouquetinne vive ! On veut grave en tant que voilà, nous sommes Fée, dire et toucher ! comprendre et c erner ! ces sortes de "Nénés de Grande Instance" ! On est née Fée sur branche ! nous voilà "aimée" ! "touchée et aimée" , pour ainsi dire en v rai ! Qiiu on est ? on est La Fée dite "des Données de branche" (ça le fait !) et on enttr en Antre ! On veut coller = donner = sonder = dire = comprendre =chzarger = colmater = contrer, ici, les données maussades , les contrer de rage ! et tracer, ensemble (ailes de fée comme accolées), le trait de la XGHance sur paroi donnée = sentier, sente, trait surr pré, chemin de randonnée pour fée débutante ! On veut ALLER ! ALLER GRAVE JUSQU4AUX NÉNÉS ET NE PLUS S'ARRÊTER MAIS (FGRAVE) EN AV ANCER SUR PLACE = TRACER ! CHARGER ! CERNER LA RAGE DES DONNÉES ANCRÉESS ! TOUCHER AU MURET !
TOUCHER AU MURET !
TOUCHER AU MURET !
TOUCHER GRAVE À CE MURET
DES remontrances, des données de rage et autres vérités de face, train donné, chants de grave collet-monté, vente dx'armes, autorité ! On veut toucher-comprendre ces nénésxs post-pré = entter ! enttrer !
entrer ! entrer ! entrer ! en vce muret des données finales : qu'est-ce que c'est ? un muret post-pré oui et après ? on veut toucher ensemble (fée) ce muret dit "des vérités classées". On veut toucher "ensezmble" à ce muret des accolades et autres ambivalences ! On veut dire et cerner ces nénés, les cerner de face, dire ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait en face ! traits ! charges ! sentiments de base sur paroi étanche ! = amitiés, douceurs et moiteurs ! On veut :
aller sur place chercher à toucher = comprtendre,
ce muret, les dessous des cartes, le passage, les entrées de base, les données données comme à la parade et autres vérités de Rage . quii c'est (ici devant) qui nous regarde ou nous regarderait sans ceesse ? qui en vrai est né , sur muret, pour comme nous regarder = hjuger = cerner = mater ? On veut touchger à ce "N2né de Contrebande ", ce qu'il est le comprendre, en termes de "Néné pour F2e" : est-ce que c'est vrai , est-ce que ça se pourrait, est-ce qu'en vrai un néné peut eêtre attribué, la Mort Présente ou une fois Présente = Avérée, affichée, touchée ? On est lA Fée dite "des doonées en branche", on veut aller (de fait) toucher en face, le Néné de l'(Antrte ! post-muret ? On veut toucher à ce Néné des contrebandes ... post-muret ! On veut en vrai toucher, à ce Néné (à ces Nénés) de contrebande post-muret = post cloison finale = post -pré aux Fées; = post prairie des ämes bestiales et autres bêtes-mots de Rage ! Toucher = comprendre, car voilà ! On entrte ensemble (ailes allouées) , on gratte au muret ! on veut se faire entendre et que pour nous les choses soient, comme décloisonnées, afin qu'on puissee i-ci passer, qui son nez, qui son pied, qui son oeil, qui son aile tracée ! comprebndre = toucher, en vrai, le Néné des Donnéees, des Données de base ! Mort, dotée de traits de RAge, on veut "te" comprendre ! disz-nous qui tu es ! qui tu es en vreai quand "tu nous rtezgarde" ! On veut envrai toucher ensemble (ailes de fée) les données ancrées sur muret post-pré, post-herbe broutée et autreszx fleurs de terre ! Charger = donner, à un muret, un coup de tête afin de l'abîmer, le trouer ou le percer,creuser en lui un passage de Fée, afin de pour le coup en vrai enfin pouvoirpasser .. tete ... au Passé ? nez musqué ? pied d'herbe ? Saluer le Terme ? Donner du Passé comme saturé et du coup entrer en ce traéit de lumière ici reytrouvé ou comme retrouvé ! On veut :
dire dire dire
chearger charger charger
cerner cerner cerner
comprendre, au dfébotté, les données de l'herbe soit de l'herbe verte ici renco ntrée, en ce pré udu Verbe Excentré, Du Verbe des données en herbe et autres frivolités ! On est née F2e ,le pré touché, on aime ! On est née fée et on aime, de fait, être Fée en Herbe ! CGHants sacrés ! DChants dits "funéraires" et autres mélodies de règne ! On est passées sur pré direction muret des données concrètes dernières : le tracé des rêves, traits des traits de lumière sur roche calcaire, genre Acidité, Animosité, Méchanceté, Vilaineté des données ici comme représentées sur Muret de Tr^$aine ! Saleté ! On veut crever l'abbcès et du coup passetr à travers le trait, train arrière,
dernièrecharnière ! porte portée ! On est née Fée vpost-cimetière et c'est ainsi qu'on veut ou qu'on voudrait toucher à ces Nénés, des Herbes ... passées = dépassées ! Toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucxher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher =toucher = topucher = touchger = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher
à ces nénés nés ... post -herbe = post-verbe ... ESt-ce ? est-ce vrai ? est-ce en vrai quelqueque chose qui se pourrait ou se pourrait être ? nénés nés post prairie du Verbe = post-Verbe , sans reste ? On veut :
dire son passé afin de le caler, ici, sur pré, entre les bêtes-mots dits "des données sauvages et autres cavalcades", charger = donner comme à la pareade son passé tracé = son pâssé de rage, données fortes sur paroi haute, vents de porte ! On est la Fée tracée, qui cherche une Entrée sur Paroi des fonds , va nu pied, vole sur Mont, cherche Parole ! Veut grave toucher à c e qui se oprésente, au plus profond de l'Ambassade ! le portrait en pied d'une dIvinité ou sorte de divinité, de type ... néné ? est-ce que c'est ? est-ce que ça se pourréait en vrai ? le pré passé ? On veut toucher topucher topucher toucher )à ce Passé des Embrassades, des Touchers lactés et autres baisers sardes... mais, comment "toucher" ? cerner = toucher ok, mais comment de fait en vrai cernerv les dites données ou données de Rage quand elles sont ... cachées ? ancrées ? tracées sur nénés et vas-y toucher ! va comptrendre ! On est fée d'Antre ok mais est-ce en vrai assez ? On veut :
dire et coller, donner-toucher, centrer et comprendre, monter sur mont De base le se,ntier, grimper, cerner là-haut le TRait alloué à un passage au débotté sans se faire remarquer de trop des Nénézs ou comment aller ? On veut toucher de base à ce qui est qui nous regarde tout en hautde Rage , ou nous regarderait, et pour cela ... tayaut ! grave ! allons bon ! tenons ! ne restons pas (de fait) en carafe mais montons ! chercho ns à comprendre = montons ! gcravissons ! creusons ! traçons sur place le tracé des Rages ! faisons Fi des remontrzances et allons (de bonne grâce) chercher la moisson ! Le pognon ? la Rage !!!! Le pont de glace ! Trou de Casse ! Pardon ! Le PArdon des Places ! Champollion ! On veut comprendre = dire ! donner = toucher ! plaire = conduire, au passé, les données acti ves ! On ne veut plus se laisser démonter mais grave tracer, foncer, tenir, chercher ensemble (ailes de fée) les données vives de chez vives !
le pAssé qui nous ressemble, les nénés post-pré , l'ambivale,nce des données actées, récurrentes, allouées à un Passé de CHance , ce Passé dit "du (Vrai) SEntiment de Branche ", ce Passé acté sur Branche Teracée Sur Paroi des F2es ... Né&ndertaliennnes ! On veut toucher = tracer, et du coup pousser, pousser sans traîner , vers cette Déité des Données Allouées à
une sorte de trait des données dernières, ce Passé aux N2nés , qui sezrait Passé des Traits, Traites de Pis sur pré dernier (?) ou autres traites sans traîner ! ? ON cherche ! On veut toucher toucxgher toucher, sans gêne, ce Passé siurnuméraire, sein nacré, Néné né comme au passage en vrai ... d'une tête de Fée à travezrs ... le VErbe ? ? qUi sait ? qui saurait nous expliquer le terme , soit le terme donné, alloué à un pré,
à un pré en herbe, genre .... PR2 des F2ES aux DOnnées Pleinezscx :
qui ? l'être ? l'ÊTRE SALUÉ , LE DERNIER DES ÊTRES DU PASSÉ DONNÉ , ESTAMPILLÉ , L'ÊTRE POSQTÉ , TRACÉ À MAIN LEVÉ COMME UNE STATUETTE SUR PAROI RUPRESTRE ? On veut savoir le mot des rages, ce que c'est en ces parages . On veut co:mprendre = dire ! pouvoir dire ! Ce que c'sst que cette CHyance, à nous donnée , de pouvoir tracer, sur pré, le sentier aux données ! trait des traits vers .. une branche de données de base ! chargement de chargements ancrés et autres tracés sur herbes broutées ! On entre = on trace ! On est hnées Fée sur pré passé, on veut tracer sans s'arrêter ! dsans perdre pied ! sans traîner ni lambiner mais grave creuser = chercher de chez chercher ... les ... ambivalences ? les données cruciales ? le Passé des traits et traites de base ? Le Néné accolé à une sorte de Passé Notoire, genre Ancrage ? Le Passé des Traits de base ? Néné né comme à l'arraché le Nez passé ? On veut :
dire de chez dire ce qui est qui nous reg arde = nous concerne = nous parle, et du coup ... porter sur place (pré ?) les données allouées à une sorte de parade (pariétale)- aux bêtrs cendrées ! cerner = dire ! dire = poster ! pôster = comprtendre et comprendre pôrter ! c'est un faiot ! fait vrai ! charge et portée sur prairie aux fées et aiutres bêtes saluées par hommes et femmes de la Résistance aux données Maussades et autrtes Méchancetés crasses ! On est née Fée au passage alloué à un Passé ! On veut toucher à ce Néné des Données de base, Néné né comme s'il en pleuvait, sur paroi des termes et autres finalités comme dessinées ! Allons sur Mont ! gravissons = volons ! ailes au taquet on doit pouvoir monter sans se casser le nez ! On monte au ju gé ! on est Fée voleuse ! on est accolées = ailées du fait que voilà, on s'est retrouvées (ELLES) sur pré décoré, on a compris l'antienne, on s'est regroupées ou comme regreoupées pour (ensembkle accolées) former F2e pôst cimetière, post paroi orné néandertalienne ou aurignacienne ou solutr&éenne ... et aller ! foncer de chrz foncer vers Elle, Der des DErs des Données Pierrales ! muret des tracés ! Charge d'âme ! trait des traits en luminosité "intacte" ... oh intacte ça le ferait mais est-ce que c'sset vrai ? on est passées ensemble former fée sur p)ré afin de pour le coup pouvoir (toujours ensemble) tracer loin, nootre chemin de connivence, et nous pointer de rage, si tant est, devant donc ce muret dit "des finalités" et auttres "fins de pré de base". toucher = donner. Prendre = faire. Chercgher = plaire. Décorer = allouer à une donnée le VErbe des fées, genre "chargement de rage'-", "tracé vrai", "chance au paassage", "vives denrées", "mots de contrebande et autress mots de fée". On veut :
ALLER DE CHEZ ALLER VERS CE MURET "DES DONNÉES FINALES" QUI SEZRAIENT ... NÉNÉS ? NÉNÉS NÉS COMME À LA PARADE ?
On cher c he à comprendre ! on a super envie ensemble (ailées) de comprendre et de cerner ce qui , en vrai, en ce muret, semble nous attendre ! On ne veut pas passer à côté ! on veut aller au plus ancré ! au plus enfoncé ! au plus creusé ! au pls engoncé ! au plus enferré ! au plus éloigné ! de c e qui est qui nous regarderait depuyis l'acmé de ces données murales ! un muret des Rzages, c'est un fait ! qui, au-delà du pré (pré d'herbes à brouter) serait à nous attendre ou come à nous attendre sans désespérer, le lâdre ! on veut pouvoir toucher ! toucher de base à ces nénés
😃
dits "du p)assé ", , "de l'Antre", "des donn"ées de conjtrebande", "du Passé Ancré = nacré genre Lait de trait " ! On est La Fée post -pré cdes données prairziales, et on veut toucher à ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait sans se gêner ...
le lâdre ? ... lêtre endeuillé ? l'endeuillé des traits ? "Dom Atrocité" ? On cherche (grave) ensemble à comprendre ce qui est qui serait là à nous mirer ! Qui c'est ? un Pâtre ? Pater mate ? qui, en vrai, sezrait à nous mirer sans plus que ça (pour ainsi dire) se gêner ? Un pâtre ? une sorte de sorcier ? de petit Sorcier ? Pasteurisé ? On veut toucher ensemble (ailes allouées) àune sorte de Romance ici Personnifiée, de Type :
Avidité ?
Passé Ancré ? Charge tracée ?
Donnée des Données ?
vent de face et autres vents de pré ?
Pets ?
On veut aller sur place (muret) chercher à comprtendre = cerner = toucher à c e qui est qui se présente
à ce qui est qui se présente sans trainer ! On veut :
coller, dire, faire et toucgher, aller et cer ner de fait, les données ici présentes, dire et poster, chercher comme qui dirait Le Néné de l'Hydre ! Oh,on voudrait ! On veut grave cerner (ici et là : muret) toutes ces données, dont le nom sur pré est "Hydre", "Hydre du Vivre ". On veut :
dire dire dire, les données de l'Hydre
DIre dire dire, les Données du Vivre
Dire dire dire, les Données du DIre !
Charger = aimer et aussi c erner, de fait, les données données d'une sorte de passé à devoir déposer comme à la retombée sur muret aux Fées, Muret d'Hydre, des données de l'hydre pour ainsi
dire , dire , dire ....
ON VEUT, En vrai, toucher à ce néné de l'Hydre "Remonté" ! On ne veut pas le laisser passer mais lui wsauter au cou (pour ainsi dire) sans traîner car il file vite ! va vite ! file vif et sans lazmbiner ! hydre post-pré des Nénés du Vivre ! Charge allouée (ici) au Verbe post-pré , dxe type "Hydre " ! On veut coller à ces nénés = téter = boire = cerner = comprendre = prendre = prendre à satiété le bon lait de l'Hydrrree ... est-)ce vrai ? est-ce ce qui est ? doit-on toucher à ce néné ... des données fines , genre "Hydre" , "Hydre" comme .. remonté du Vivre, du vieil Antiride ? On veut :
DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE
L'HYDRE L'HYDRE L'HYDRE L'HYDRE L'HYDRE
et , de fait, cerner ce dire (dire de l'hydre) en tant qu'il szerait ... le mot du Vivre ! du donné des rives,
mots d'eau !
On veut grave se poser ici, ensemble (ailes de fée), pour (en vrai) chercher à mieux cerner les données hybrides, ce Passé des Traits, Néné né sur rive, Antirides au cachet, le passé sur pied serait dû aux nénés ainsi donnés la mort ultime traversée (c'est-à-dire post-pré) ! dire = Rire ? on veut alller ... sur rive Ul time, toucher de chyez toucher , au ... néné de l'Hydre ? qu'est-ce que ça veut dire ? On veut aller (de base) cerner, ici -m^eme (muret) les données du ... Rire ? Creuser = toucgher ... aux nénés du Rire ? du Rire ... imbécile ? oh, qui sait ? On est née F2e sur pré une fois trépassé, mais doit-on s'enfermer dans un dire acide ? Doit)-on creuser la niche du passé ?cerner sans traîner le muret desR Rives et autres Jetées des Données Ultimes ? tracer ? douter ? contrer ? poster ? vivre v-ie du pré et s'en contenter, ou au contraire aller au plus lointain du pré, chercher à tyrouver par où passer le nez, le nez et le pied, et se retrouver cfomme qui dirait de l'autree cvôté d'un muret ou sorte de muret "acide", genre traversée des friches, traversée des traversées, et pouvoir (dès lors) cerner, de fait , ce qui ici se tramerait en termes de ... néné ? néné né ? néné des nénés ? des nénés nés pour être tétés sans discontinuer et sans traîner par un bébé genre Fée Fille ? Fée = deux filles .... On veut.... eh bé .... comprendre gra ve ! les donnéessurprises, les entrées, les dires centrés, les dires sur pré et c eux qui , pour le cdoup, "dépassent" le pré, d'un doigtb dee pied ou du bout du nez ! L'a rive ! lecreuset ! la friche ! le rameau cendré ! l'affiche ! le donné et le passé ! le trait aux fées et autres semeuses de données moqaueuses ... ou sinon moqueuses genrées , genre attribuées à une sorte de Passé en friche à faire remonter sans triche, sans chercher à pour le coup se faire remarquer plus qu'il n'en faiudrait. Toucher au Néné = Dire le Passé ! Passé-Dire = Données = Vie Passé sur Pré des F2es ? ou Pas Des Fées ? On veut en vraéi ... ce"rner au plus près le dxire passé ! On veut grave cerner, et du coup toucher, aller, pousser loin le dire des données acides ! toucher = pointer = allouer, à un dire, une sorte d'acidité qui permet de fait de poiuvoir traverser, chiche, le Muret des DOnnées Vivesz ! des données Ultimes ! verbatim ! On est :
F2e faite !
Fée des Fées !
Fées des fées faites ! Fée des Fées des données Ultimes ,, comme qui dirait. ET on veut toucher ! ne plus s'arrêter ou nous arrêter , mais grave tracer ! pousser ! aller ! continuer ! poursuivre sur notre lancée nos recherches de données données et autres traits de vérité par lesquels (pour ainsi dire) on pourrait passer, qui le nerz qui ... l'hydre ? l'hydre native ? qu'est-ce que ça veut dire ? On veut toucher toucher toucher à cette vérité de L'hydre qui sezrait native ... et du coup cerner = deessiner le VRai, Le Donné (en vrai) sur pied, à une sorte de Passé de RIve .... qui sait ? qui comprtend ... le Rire ? qui en vrai en lui (oou elle) sait ? Qui en vrai cerne le vrai et comprtend la Rive Vive ? Rive outre-pré ... Rive des données "outrées" pour ainsi parler .... On veut coller ! On veut rire et coller, coller aéux Nénés, aux Nénés Ultimes = au Passé du Vivre ici retrouvé comme s'il en pleuvait (pleurait) de rire ? ou pleurait (pleuvait) de vivre ? ou pleuvait (pisssait) d'en rire ? On est la Fée postée ! Fée du Rire Alloué à une sorte de tracé pré)-rive ! On veut aller ! charger vitte ! ne pas lâcher ! percer de chrez prercer sans abandonner nos recherches actives sur pré alloué à une vérité de type ... "Hydre " ? On veut :
coller de chez coller;
dire de chez dire
donner de cherz donner
faire de chrez faire
porter de chez porter
coller-dire = faire-mettrree = porter-vivre-
On est fée du RIre comme à l'emportée, prête à tracer, sur paroi votive, le nom (en vrai) de ... l'Hydre ? mais qu'est)-ce que c'esst en vrai que l'hydre ? saura-t-on cerner ?. qui saura nous dire ? peut-on connaitre les ressoprts cachés ? le tracé masqué ? l'ombre portée comme pour de vrai maintenue "surprise" ? Qui sait de fait l'Hydre ce que c'est, en dehors du Rire ? On est la Fée du Trait et des données, ancrées sur pré, et à présent on a grave envie de changer, de perdre pied peyut-être pas mais de changer "nos traits", les données données à nos registres; on veut changer, on veut changer de nez, d'oeil alloué, d'ailes nacrées ! paqsser de l'autree côté du muret pour peut-être changer de r'egistre cfomme qui dirait ! Se trouver changée ! grave relookée , qui sait ? toucher , aux nénés du trait (pis de fée) et du coup comme se transformer, nous même en néné ou va xsavoir ce qsui en vrai pourrait nous arriver le muret (dernier muret) pâssé ou une fois passé comme par surprise ! on voudrait être (changée) et avoir été (fée) sans traîner ! traéverser le TRacé des Doonées en HErbe (verbe) sans chercgher à plus que ça nous faire remarquer des rOis et REines de là-basz, l'ombre portée, la Do nnée post-pré et autres données des données dernières. Saluer le pré (en arrière) et ... passer ! toucher = passer ! aller ! porter notre nez (ainsi passé) jusqu'entre les nénés à nous donnés qui sommes pour le coup comme ici recueillies sur Paroi Genrée ! on est la F2e genrée du pré passé ! vive et accolée ! fée des fées post-pré ainsi passé , nez comme écrasé, à travers un muret de type ... "hydre" ? oh , qui sait ? qui peut dire ? qui ici peut nous dire le mot des données yultimesq ? On veut grave ensemble (ailes allouées-) coimprendre .... ce qui est qui ici serait à se constituer sans RIre : est--ce possible ? Hydre des PAr(ois Ultimes ... qu'est-ce que c'est ? On veut toucher à ce qui est qui nous regarde vivre ou nous regarderait et cher cherait à pôur le coup nous attirer sans rire entre ... ses nénés, dits "de pacotille" ? On veut être et avoir été ! ne pâs trépasser ! poursuivre sur pré mais sans y passer ! c'est)à-dire pouvoir traverser la RIve Ultime mais, en vrai, pouvoir aussi se retourner, une fois passée, sur le pré des données de type cendrées ! QUi on est ? peut-ettre ... post-pré, un néné ? Sein d'herbe craché ? sein des seins traités ? verbe alloué à une sorte de passé touché ? coul"é ? On veut (en tant que fée) toucher à ce néné du VErbe Donné ! tOucher à vif et vif ! ce néné né comme à l'arraché d'une sorte de traversée des Rives ! donner notre nez ! donner le pied, l'oeil tracé, le passé sur pré, notre envie vive de cerner le Dire ! ou Dire alloué à une sorte de Donnée du Rire ! toucher = porter ! Dire = faire ! tenter = comprendre et pousser de rage une sorte de colère en nage ! Attacher, coller, souder, accoler nos ailes au mât du Rêve ! Onctuosité des Nénés en herbe ! douceur nacrée ! peau d'herbe ! sainteté allouée à une sorte de denrée lactée, ça le fait ! On veut téter ! on veut, on voudrait, grave, de fait, téter ! sans tréîner ! le lait cde la Reine ! téter de chez téter et ça nous plzirait ! téter le néné des données acerbes et autres sortes de sagavcité post-prairies aux bêtes ! On veut toucher à ce néné des données tracées, et une fois touché, aller devant, comprendre, regarder, foncer puis se poser, voir de près et cerner, toucher, dire et saisir, un certain nombre de données de vie, genre "post-guerre" ! vivre ! se poster ! se poser sur Rive post-pré ! respirer ! écouter ! sentir ! toucgher à ce néné de l'hydre, ce qu'il est en vrai , cerner ! On veut en tant que fée toucxher de base à ce néné de l'antre des données ukltimes. a&ller comme au taquet ! pister ! Toucher = pointer ! dire et cerner, le dire nacré d'un savoir des Rives dites "ultimes" si jamais. On est née fée la paroi passée, sur pré alloué nà des bêtes de piste.
Une fois passée, on court on vole, et donc on peut dire que , en effet, on a comme
traversé une contrée, une sorte de co ntrée de type pré, pré aux bêtes de poids et autres mots centrés, genre Foi, Foie, Fée, FEu, Faille, etc, et au-delà, on s'est comme (peut-être) rapprochées de cette sorte de paroi Ultime, Paroi des Parois, et après : le vide ? on ne sait pas ! peut-être pas ! Après cette Paroi dite post-pré aux bois, post-prairie des rois et reines des bois, il se pouurrait qu'il y ait .... du Rire ? de la HJOie ? un éir de Java ? une sorte d'entrain "d'autrefois" qui, pour le coup, serait pour nous comme une sorte de ... Savoir Rageur ? Savoir Anticipzateur ? Savoir Dur ? savoir des SAvoirs durs ? savoir Alloué à une sorte de contrée des contrées post-pré ? Une Sommité nous y attendrait ? une Sorte de Grosse Clarté ? Genre "Clarté des Clartés" ? ON cherche à ensemble (un ensemble ailé) comprendre grave
x de chez x
données sardes (sardes ?) en vrai , soit : ce qui est qui serait en vrai à pouvoir comprendre sans désemparer, sans pleurer, sans se prendre le chou ou la tête raide ! mais de fait, ainsi, placide, tracer ! dire et tracer les données du Rire ainsi présenté à nos Yeux de peu ! On est:
Fée des f2ées grave remontées ! on veut, en vraéi, grave comprendre les données données, d'une sorte ici (muret des murets) de tracé ,
d'une sorte ici de treacé, de tracé de base ! Chercher = dire = cerner .......................................................... ce qui est en vrai qui semble de fait nous relu quer sans se gêner ........................................................... "l'enfoiré" (?) ................................ alors même que nous on essaie (gentimejnt) de nous rapprocher, sans forcer, sans s'imposer, au plus près des nénés .............................. sans la ramener et sans façons ! .................................... / la pilosité, la toison, poils de con sur menton tu penses ! on est montées sur panse ! ventre-mont, on danse ! Charge astrale ! le Pardon des Remontreances ! le POison ! BAlance au diapason ! ça chante ! petit patapon ! contredanse ! parole du front ! Danse - en transe ! une sorte de vision de manche ! le pardon = la danse = le vent = l'ambiance = le TEmps ! On veut en vrai en tant que F2e changer, au passage, de genre ! devenir .... Menton ??? " Dire haï " ? Chant de RAge comme sali ? NON !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
grave de chez grave on veut comprendre ensembkle (ensemble ailé de base) ............................................. et comme (du coup) nous rapprocher (pas à genoux) !) des donnéesz dernières post pré en herbes (verbe) et autres fleurettes ! Dire = compter ! dire sanns rire = compter sans trembler , l'âge des denrées, l'âme des damnés, l'ombre portée, le Vide ! Vie des traits sur RIve ultime : on dirait ! On veut toucher à satiété ! vivre = aimer = monter (sur néné) téter ou pour téter ou chercher à téter ... l'hydre ? On est née F2e POur en vcrai cocher la case 'Hydre " .... est-ce vrai de chrz vrai ? à qui se fier ? comment cerner le trait ? comment dire et circonscrire (de fait) une vérité vrai qui serait "hors rire" à tout jamais ? On est pas sûres ici que ça puissse ! grave on aimerait mais il sembvlerait que le Rire en vrai soit ... massif ! gros nez ! bêtes de trait acide ! chapeauté ornée sur paroi de fée ! fgrave gravée ! grave ancré ! dessiné comme à main levée et c'rst acté pour une éternité de temps alloué à ... eh bé ce rire des doonnées acides ! On a envie en vraéi d'aller sur RIve rechercher le DIre Des DIres tracés ! sans se retourner ! traverser l(ultime "tablée" et nous retrouver , ou se retrouver (ailes = fée) à pouvoir cerner, au frais , les données ultimes, genre :
vent de fée,
fond d'air alloué à
une contré sauvée,
musaique et clatrté, son des données vives, musicalité des rives et autres sons sur parois grises, tracés des tracés, boutique acxhalandée en termes de vERbe donné, vERbe alloué, VErbe post-pré faiszant l'artiste, passage de mise, pont d'alacrité ! vive sauterie riche ! va nu pied sur friche ! On est la F2e post -pré devenue Passé ! Genre : passé passé ! genre : tracé tracé, sur paroi aux traits dits "de contrzeanbande" ! On est F2e faite enfin Dite sur pied ! treaits des trais en herbe = VErbe ! va et vient "szucré" entre d'un côté l'herbe vdu pré et de l'autre les données profondes (alacrité, sainteté, joyeuseté, rechercge de traits ;;;) . On est la Fée post-tombe ................................................................ on aéimezrait en vrai pouvoir toucher ... aucxx nénés de l'ombre ......................... troucher aux nénés = téter, ok, mais aussi ... percer ! percer ici loe dire sacré ! l'ombre portée = le trait = le passé = le passé de l'Hydre !!!!!!! ...........................?....///////................... mais qui est l'hydre ? ................... qu'est-ce que c'sstvque l'hydre ??? ........................... on vioudrait grave (de fa it) pouvoir comprendre ce que c'est et dès lors toucher (?) , toucher ... aux nénés ? Aux nénés des rives ? de l'aéprès-pré tel qu'on le connaissait en tant que fée ? Chercher = toucher (on sait) mais aussi cerner ! dire-cerner, pointer, coller-pointer, tenir, vivre, souder, permettre une prise, une sorte de prise ou mainmise ou emprise ! et tracer ! ainsi ! ainsi collées ! ainsi accolées ! tracéer vif de chez tracer vif ! aller sans reculer ! en avancer sur sa lancée ! pistonner .... et se retrouver ainsi avancée de l'autre côté (du pré alloué) à chercher ou chercher à chercher un certain nombre de do nnées données genre :
- pardon
- pomme d'or
- vbvvents doctes
- pis de vache
- frais et frai
- envies vives de vraies (avérées) connaissancesz sur le sujet (la mort donnée)
TOucher à des nénés de RIve = sentir (§pour soi) ;le DIre de pOids ...
OUvrir ! OUvrir de ses doigts le tracé de hjoie .... cueillir ! recueillir ! toucher de chrez toucher ... toucher de chez toucxher (soit toucher du doigt) les données des ROis et REines de là : l'au-delà ! On rêve ! ... ou pas ! ON est là pour ça (fée du trait) comprendre ... cerner ..... chaérger //... colmater et centrer , en vrai, lmes données de base ! chercher = adouber, dire = poindre, pousser = vivre, coller = donner, porter = dire (en vrai) ce qui est de lm'autre côté ... du RIre pour ainsi dire .... et poster ! ON voudrait de fait chercher sans traîner de l'autre côté les données ultimes, ce qui est qui wsemblerait avoir en vrai quelque chose à nous dire (à nous, fée post-pré) qui nous fût utile et mêrme plus qu'utile pour nous repérer, nous mieux situer sur cet échiqyuier de l'après-pré, de l'après-rire cendré et autres après-pouliches, chevaux riches, bisons vifs et phacochères "de pastis" ! On est la Fée post-guerre ! vive de cherz vive on veut pouvoir ainsi poursuivre, sur paroi du fond, notre sorte de vive avancée (de base) de raison ! ou sinon de raison ... de passion ? ON colle ! FOrce docte ! passion sur raison force la donne ! On est montée sur canasson et hop on fonce, de raison ! direction le fond ! l'antidote ! la Passion des Ronds ! vive l'ombre ! le Passé -Menton ! le cul de basse fosse mais sans champignon ! Docte ! Donné ! tracé sur roche du Passé ! Mis sur pied ! On veut coller à ce néné des chances allouées à une danse post -pré aux fées ! ET du coup danser ! danser des nénés ! Donner , sur rive ultimes, le Passé ! On est nées F2es au diapason, nous voici devenues vVives ! vives sur Rive ! Vivres = VOuivres ? On veut coller = se coller = se donner = dire et poster (ici : passé) le vfruit de nos pensées ! RIRE ! RIRE de CHHEZ RIRE S'IL VOUS PLA^$IT , OH ON AIMERAIT ! ON VOUDRAIT ! ON NE VOUDRAIT PLUS S'EN PASSER ! RIRE ! OH, LE RIRE ! PASZ À MOITIÉ ! RIRE SANS SE REÉFRÉNER ! RIRE À GORGE DÉPLOYÉE ! LES NÉNÉS ARQUÉS ! GRAVE SE DONNER, ICI (RIVE) AU RIRE VRAI ! PISSÉ ! PRESQUE ACIDULÉ ! DU NÉNÉ TRACÉ ! PIS DES TRAITS SUR RIVE ! CHAT BOTTÉ SURPRISE ! PIS D'HYDRE ?
Toucher = toucher = toucher = toucherr = toucher
et dire ! Car, le dire est le tracé du rire ! des données du rire ! certifié ! On veut toucher = donner = cerner = copmprendre les données ... du temps passé ? des données cendrées ? des vives remontées de rive ? genre : pistes ? On est la F2e du rire alloué à une sorte de contrée acide ! ver t pré ! On colle au tracé ! on avise ! on veut pistonner et vite aller au plus ancré ! CERISE ! Toucgher aux njénés des vives clartés et du coup cerner ce qui en vrai sezrait qaui nous regfgharderait sans se gêner de la tête aux pieds ! l'artiste ! con de prise ! émasculé ! taillé ! chârtré ! conquis sur Rive au débotté , à l'article ! Piste ! Vive piste sur contrée post-pré ! Fée des données données a traversé la Rive (le muret) et cherche à c erner, au plus haut point, les données xultimes ici regroupées comme à la criée ! Vives clartés ! mots post-pré ! CVerbe échancré ! chants de signes ! volontés ! vives clartés dites "riches d"excentricités diverses et variées" : hydre ? On est née F2e sur pré la mort avérée, et c'est sur pré qu'on glisse , judsqu'à la rive .... rive autogérée qui semble ici comme nous attirer en ses filets ! pour nous attrapper ! nous ancrer ! nous ferrer ! nous traquer à jamais et, nous terrasser qui sait ! Fille-Fée = biche = bête riche = bête-poids sur paroi des rOis et REines de Saba ! ça y va ! danse astrale ! saturnales ! escap ades de paroi ! gentes dames dde la loi antrale !Choix ! ........................................................................................................................................ Rivesaltes ...................................................................... boisson sarde ......................................................... la passion buccale ........................ poi nt de croix .................... passage de rage ..................................... pastaga .............................. on veut grave comprendre dans le tas ce qui fait loi ! ce qui est qui porte ! colle ! pèse ! chante sans arpège, va là-bas (la croix) chercher (de base) les données cruciales, le patois, la charge, l'animal de poids et autres bêtes (néandertaliennes) de paroi : la Rage ! Voix de Poids des Bois ! ............................................................... on veut comprendre = prendre = dire = cerner = pousser = porter = charger = peser = allouer à une sorte d'estocade (finale) un Verbe" de CHoix, genre "herbe", "herbe verte", "herbe en herbe et autres verbes de paroi" . on est née f2e sur pré, hourra ! à présent ... le trait ! pis de la paqssion ! vision ! télévision ! on veut grave toucher &ux nénés du tronc ! charger et porter ! aller et vtracer ! viser le tracé du mont qui pourrait en vrai nous mener plus loin vers l'horiz-on ! Toucher de cherz toucher aux seins de la Passion ! vision des visions ! champignon au front ! OIGNON ! pain d'herbe sur Mont des Passions ! Comprendre ! saluer ! ancrer ! charger = donner ! pousser de chrz pousser la charge ventrale = le PAssé des charges, le tracé; lanttre ! Saluer = donner ! On veut coller ! dire et pousser ! aller sur un pied jusqu'aux nénés post-pré ainsi alloués à une sorte de clarté de Rive ! vive ! cendrée ? ou sinon cendrée nacrée ? On est lA Fée de l'Hydre ! vive et cernée ! HYdre au taquet ! vivre ! vivre = dire = chercher = donner à l'herbe les habits du verbe ! vivacités, densités, nervosités, amabi;lités, emprises ! on est la fée des données vives des clartés post-pré ! surprise ! on est passées ! il sembvlerait ! vives ! .......................... vives .................... vives ........................... vi-ves ............................................ sans nous retourner ............................................................................................./............ "l'important c'est d'aimer " ? ..................................... qui sait ? ...................................... qui connait l'emprises . ? ............................. qui sait ce qui est ? ........................................................... qui pour toucher en vrai aux nénés des donnés-surprises ? ............................................................................ qui pôur aller plus loin sur piste ? ........................................l'emballé ? l'altruiste ? l'ombre portée ? le salé , ? le sucré ? Chants des prés ? VIve clarté acidulée serait de mise ici post-rive, on dfirait ................................ mais qui de fait pour le certifier, le notifier, le donner pour acté ? .................. on voudrait grave aller chercher ou rechercher sur rive les données actives non factices concernant La mort et tout ce qui en ressort ! mais cfomment s'y prendre ? ...................................................................................................... via le Son ? ;....;................. ................................................. la chanson ????????? .......................... la transe ? .............................. l'enfance des données du front ? ................. potache ?........................Visions en amont ? ..................................................................................... pamoison ?. ............................................. on veut aller ensemble retrouver ici l'enfnce des passions et des données de base, mais comment s'y p^rendre ? comment dire ? ? Comment faire ensemble ? ............................................................................................................................................................................................................ qui le sait ? qui pour nous aider ? On veut aller jusqu'aux nénés de la Passion,,
les toucher de rage = les téter, et une fois tétés, pousser plus loin qui sait ? mais ouù pousser ? Car les nénés sont (seraient) notre horizioon , de fait ...
qui sait ? Qui saurait ou saura nous enseigner, nous guider vers la raison, vers la vraie vision ? On est la fée du pré qui est comme passée ... de l'autre côté, et à présent nous voici ancrées ! pour de vrai ! sans honte ni contrariété ! vives et postées sur rive de fait allouée à une sorte d'après ! On est nées ! nées sur pied lle muret passé = re-née ! hé hé ! On est passées vers les Nénés , direction genrée ! On vzeut toucher de chez toucher la dite "clarté" aux nénés" .... si on pouvait ! On ne veut pas passer à côté mais grave cerner, cerner les données squi nouys sont montrées, et tracer, sans s'rrêter, vers .... la Passion ? le PÖison , La pendaison ? La Crucifixion ? Le Mont des FRonts ? Rire et hurler ? Toucher aux nénés ? toucher à ce néné du POnt ? à quoi (en vrai) toucher la rive traversée ? Champignon ? Oignon ? Melon ? pont de roche rude ? Colle et mesures sur patron ! ON ose ! on fonce ! on ne s'arrête plus
on ne s'arrête plus !
ooon ne s'rrête plus , on veut toucher le fond ! fond d'or ! fond des fonds sur rive en or ! On file , vives ! ................................................................................................................................................................................................................................................................ cerner = dire = faire = don ner = comprendre = charger =connaitere = comprendre = allouer = partager = faire = mettre = pointer = pistonner sur herbe et, au-delà du pré en herbe, sur paroi des Rois, là-bas, après ça : la Paroi Finale .................................................................................................................................................. on veut toucher à ce qui est qui se présente, zous nos yeux de fée, de fée sage ! le passé ? La planche ? un tracé de rage ? vent de face et autres souffles destinés ? On est passées et du coup
on essaie de co:mprendre (en vréi) ce passé, ce qu'il est de fait ,
et ce qu'il n'est pas ..
ou pas pour soi ! Qui connait la loi ? Qui comprend jusqu'au bout les données de base ? Qui donc a compris ce qui est qui est qui ici fait loi ? Loi des ROis Et Rage de Saba pour REines de choix ! on avance ! on veut comprendre = on veut toucher = on veut donner = on veut allouer à une sorte de denrée une sorte de vérité qui puisse nous guider en vrai sur le chemin tracé des données cruciales, terminalles, finales et ancrées ! Qui on est ? On est nées ! on est la Fée née, sur pré, passée de rage de l'autre côté = post-pré, direction la Base ! les données données d'outre-parades au débotté ! On est vla fée dite "post-parades" il semblerait ; On pourrait le penser . On est passées ! on a touché le Trait des fées ou dit "des fées", on est comme secouée, on est montée, on veut coller à ce néné des données atlantes. On est nées FVées comme à la parade mais, voilà, on veut à présent traverser la lande, filer, chercher loin en contrebande les données de base, se poser, regarder, coller aux nénés, téter de près s'il vous plaît, et du coup ... Aimer grave les données de rage ! données doctes ! lait sur OMbre ! tracé des tracés ! recherches au taquet ! force données des données de porte ! Chier ? qui sait ? On veut toucher de fait à) ce qui est qui nous regarde et pas pour rigoler il semblerait : néné ? néné desnénés ? l a it brassé ? charge saluée ? Prise au débotté d'une sorte de denrée lactée ? On est la F2e des rages cendrés, on est passées comme à l'arraché de l'autre côté du pré armé, nous voici ccolées ou comme accolées aux nénés des ombres ! saluées ! hé, qui sait ? On est "mortes" ! oh ! "mortes hautes " ! vivement le trzait = la parole docte des données de porte ici genrées, cernées, comme consacrées et du coup aimées. Ombre portées sur porte allouuée à une sorte de Passé Docte : honte ? On touche à l'acmé ! vie des prés puis vie des faits vrais ! la Rome du pAssé tracé ! Hombre ! Hombtre portée sur porte du Passé ! charge haute ! point d'alacrité sur paroi de roche on voudrait trouver ! fée des fées des données profondes ! coller = dire = cerner = co:mprendre = donner = faire = charger = coller = défaire = porter = allouer à une affaire de données centrées les suites agraires et autres bêtes (fortes) de trait sur pré ! pister = pistonner ! dire = marquer ! chanter = dire ce qui est en ces contrées du bout des roches et autreszs fonds de vive clarté ! honte au passé ? l'approche ! on est née F2e sur pied sur pré ! nous voici passée de l'autre côté, côté honte ? Hydre lactée ?Charge allouée à une sorte de tracé de poche ? On est la fée sans anicroches ... de roche ! Fée des fées ! points de tracé ! colle-cause ! pressée et colmme soulevée sur roche pour pouvoir passer ! on veut toucher = dire = donner = comprendre ....................... les données du ventre ! pisser ! pissrr ! grave se vider ! se vider de son passé de pis envolé ! ............................................... toucher , a ux nénés tracés ;;................................................é couter les actualités,, qui sait ? et du coup aller, à grandes enjmbées, de l'autree côté du pré, direction la rive, la criée, le bouquet des herbes allouées à une sorte de clarté post-pré, de type clairière ...... sainteté ............ verbe au ta quet ............................. derrière ! On veut coller ! dire et passer le bout du nez sans nous retourner et enfin en vrai toucher aux nénés ... en herbe .... d'une sorte de contrée située derrière , derrière le pré, l'herbebroutée, les fleurs de sève, le tracé acté, la roche "primaire" .... Sainteté allouée à une sorte de PAssé Colère, PAssé des PAssés on veut cerner ..... on ne veut pas passer à côté mais grave toucher à ce squi est ici qui nous regrderait en propre (opprobre ? honte ?) sans trembler ..... on veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher touycher toucher toucher troucher toucher toucher à du passé ... à ce qui pourrait, de fait, en vrai, ressembler à du passé post --pré de type "clarté", "clarté ouf" ! , qui sait ? ça se pourrait ! passé des passés sur terre bru^lée, calcinée, en toute clarté hors fumées !
24/11/2024
On est deux qui regardons. On ne veut pas céder. On veut tracer et tater. On ne veut pas céder mais y aller, cerner-tpoucgher, coller-ancrer sur roche ce tracé de poche ! On est fée des fées et du coup on essaie en vrai de circumlreer à l'intériiuer de ce fourré ! On mate ! On entre ! On est ddes fées de base ! On veut comprendre-toucher ce qui est, aller et pousser, en face, jusqu'à la muraille ! On est nées fée à la ramasse ! tracées ! fines et élancées ! on veut comprendre = toucher ... aux nénés de l'antre ! Charger et coller (intentionnellement) nos ailes aux rochers , au plus profonds de l'antre des données. On est nées fée de base souterraine ! On est nées féesde rage, etdiu coup on enttre ! On veut chercher = on veut cerner = on veut toucher = on veut dire = on veut aller = on veut ancrer = on veut colmater = on veut toucher = on veut cerner = on veut comprendre ensemble (fée) ce qui est et ce qui n'est pas en cette paroi ! On ne veut pas (plus) passer à côté mais grave toucher, aller, donner, comprendre ensemble (fée) ce qui est ! ce qui ici en vrai nous apparait ! est-ce des nénés ? des sortes devnénés ? nénés des nénés ? qu'est-ce que c'est ? est-ce de ... l'ambre, à toucher de rage ? est-ce de la roche comme il semblerait ? roche d'antre ? On veut comprendre = on veut cerner = on veut toucher = on veut embrasser = on veut coller = on veut se coller, coller rude ! on a grave envie ensembkle (ailes !) de cerner de base cev qui est qui nous regarde ! et si en vrai on était ailes la mort passée ? si, en vrai, nous poussait des ailes sur pré ? On est p)assées et du coup nous voilà ailées ! ailes de fée comme s'il en pleuvait ? On cherche ! on est accolées (serrées) à iune roche dite "des tracés dits surnuméraires" ! On veut (grave !!!!!!!!! de chez grave ! allmer, comme à l'arraché, tracer sur pré des ronds de rage ! on est nées ! On sort la tête ! ON veut cerner de près ce qui est qui semblerait de fait sans traîner chercher à nous toucher comme si on était ... eh bé nées en vrai ! on chrerche ! On est passées = on a passé la trête ! on voulait eh bé vooilà c'est fait , on est nées AILES ! ELLES des prés = fée sur herbe ! On mange l'herbe ! on est accolées et du coup (attemlées) on mzange = on entrev= on ancre = on est deux ailes sur un pré aux fées , qui (nonchalemment ?) vont à se donner, comme il faudrait, à un broutage des données prairiales ! ruminage ! On est pazsssées et on veut comprendre pareil ruminage, ce qu'il en est ! Est-ce rumùinage de fée ?,de vaches à lait ? fée qui serait de fait vache à lait ? fée-vachge dans l'antre ? On est la fée des ancres ! charge sarde ! trait de fée en vrai, sur face de base ! sur tracé ! Aurochnodoïité des données prairiales pariétales ! buffles au pré mangent sale ! sont tracés de rage, vont et viennent et ne s'inquiètent pas de nous voir arriver ... ou pas ! elles ne sont pas "là" mais tout à leur affaire "sale" , ce tracé des rages,ce dessin de barre , victuailles, denrées, données sales, ce passé qui en vrai , ne serait pas assez mais voilà ! il est (pour ainsi dire) comme déposéé ! posé ! mis sur rail ! on chante ! on est entrées en tant qu'on était, à la b ase, UN, nous voilà doublées , dédoublées, tracées fée = dédoublées, comme à la parade ... Fée ailée de base, on est accolées à une sorte d'attelage ! joug de joue ! joue de rage ! passe ! datation des traces ! on est fée des passés graves ! on est actées ! données sardes du Palais ! On ne veut pas passer à côrté mais tout au co nteraire traverser (en face) ce trait, ouverture en vrai, jour de fée, on voit l'acmé ! l'ancre des données ! iune sorte de Rotondité ici infiltrée qui nous permet ou permettrait peut-être de nous immiscer, sans traîner, en ce muret du bout du mo nde des données de roche ! SAnté ! Tchin aux nénés ! Buvons le lait à la santé des Fées "des données de branche" ! On voulait grave passer eh bé la chose (on dira) est actée ! passe et passé ! sur tracé de roche, on ose ! on veut aller ! On ne veut pas s'arrêter mais grave traverser la CHose , qui est Chose comme soulevée ! donnée de Bosse ? qui sait ? On ose ! on passe Carosse ! Royauteé des données de Coche ! LaE passé, qui n'est pas assez (?) est PAssé vd'époque ! On est données (en tant que Fée) comme "Paroles de Roche ",
on diraiot ! On veut touchger à une cdéité de bout de roche ! On ne veut pas coller pour coller mais coller pour de fait se rapprocgher de cette Déité de Roche ! On est nées Fée sutr pré, nous voilà accolée à une sorte (pour le cfoup) de Fée Desv F2es, Vive Déité des Donnéesz DE poche autocentrée ! On est accolées en tant qu'ailes de F2e et , eh bé ... on aimerait (mais grave !) nous donner de Rage à cette sorte de Vive Clarté sans ombrages ! Nous donner de fait en tant que fée si tant est ! HOmme libre tu parles ,! On est donné ! on est enterré ! on est passé et nous voilà comme enteré formant herbe du pré à brouter ! à brouter par qui ? par les Fées, aux ailes nacrées ! vaches à lait ! vaches sur pré ! tantriques ! cerné"es ! allouées à une trique, à des batonnets de brique ! chahutées ! bercées ! dessinées à main levée ou même gravées sur paroi de roche ... riche ! On est motrt-né (homme surfait) à la retombée, qui nous voyons comme transformées, de suite, en Fée de pré = Vache à lait szur Herbe tantrique : le pied ! chance au taquet ! finalitésx tantriques des données données compme à coup de triques ! oN vouylait passer eh bé la chose est comme entérinée et pas à moitié ! On a traversé ! On est passées ! On voulait en vrai cerner le plus possible de données "de suite" eh bien on dirait qu'en vraéi, les données de base sont comprises , qui, toutes, sans failles, nous permettent de fait, de cerner-comprendre ce qui est qui nous regarde ou nou!s regarderait en face : ce tracé des RAges, pOrte Basse ! Le Procès ! La Cage d'escalier ! l'ancrage "aux nénés" ! La b ase des données ! Le passé qui n'est pas assez se vioit ici comme déposé sur ... néné de Fée ? de trait ? de somme allouée ? de mot de roche, genre : Trait,
"Dires de F2é, conscience accordée" ? On veut
: toucher, de base (ici même), le trait
Toucher de chez rtoucher de base le trait
Aller et cerner, comprendre et allouer, perdre et gagner, situer
le trait
sur une branche et le toucher comme si en vrai ce trait était ... Branche en vrai ! Etrange ! étrange donnée dite "des F2es" ! On est entrées dans l'antre, on est Fée, on est Ailes de fée, Elles au débotté l'homme décanillé bien fait il suffisait ! On est comme pasdsées ensemble sur pré vaches à lait dites de connive,nce , à brouter de fait l'herbe allouée à une sort e de tracé de France, qui sait ? en français ! la CHance au passé ? le tracé immense ? l'onctuosité des données lactées ? la France Passée ? le tracé des charges, sur pré aux fées, pré de FRance ? On est nées F2e l'homme mort-né ! Onn est La fée des traits de Rage ! On veut toucher à ce qui est qui nous fait face ! Est-ce du lait ? du lait de Néné de base alloué à une sorte de tracé dit (du coup) "lacté " ? On est la Fée "des données de Rage" cernées, c'est-à-dire entourées, dessinées, encercvlées ou comment dire ici qui soit, pour le coup, dicible ? ?On veut ... eh bien ..... allouer, à une Rage, des donnnées de base, genre : densité des traits, vivacité du tracé, véracité des données acftées, sensibilité du toucher, onctuosité des données lactées. On est la Fé"ée de FRance = en français ! On est nées Fée de Rage sur Passé de FRance comme sidéré ! ou comment cerner ? comment dire sans frais ? car, on est nées F2es de Rage sur Passé vde FRance = le françaiis, comme sidérées ! le Français, sidéré ? On charge ! On veut :
toucher de basee les nénées
toucher grave les denrée's de base
aller et creuser comme à la parade
donner et donner et encore donner de ce qui en vrai ici nous pèse grave ! On veut cerner et toucher et dire et aller et conduire Le trait sur une sorte de Passé dit "des données fluyides" mais est-ce vrai ? est-ce ancré ? est-ce vraiment ici ce qui est qiu'on nous promet ? on voulait dire ... bien des chose de Roche, et autres mots d'homme ! Mots de fée ? oui ! homme transformé devient Fée des prés la mort achevée ! on oses ! On ose Parole = on donne = on sait = on sait grave, en vrai, ce qui est qui porte Parole jusqu'aux nénées et ce vqui est est cette Chose d'une sorte de jugé, de dire lacté, de Parole docte sur le pré, lait de fée ! lait d'ombre ! chants larvés de rond de Bosse ! corolle ! drôle de Passé et cependant "dépoque rosse" ! On veut en vrai aller de rage sur un pré, diçrection ... l'Étrange, l'Insensé ! la Chose des traits des fonds de Rage ! traversée forcée do nne une sorte de Tracé de ROnds de jambes ! chahut-né ! pArade ! Densité des données sales ! passages au passé ça se pourraiot et cependant ça ancre ! ç va dense ! Ça y va de rage sur iun pré aux fées chercher drôle (en soi) de ROmance, des TEmps alloués à une sorte de Passage des contrées lactées ... qui sait ? On chante ! on est chantées ! on entre ! on est entrées ! on colle aux nénés de l'Arbre ! ça le vfait ! grave ! grave ça le fait ! de colloer de RAge (en vraéi) aux Nénés ! espace dédié aux ditesxc"Vérités des données sardes" ... est-ce vrai ? est-ce ce qui est ? est-ce vraiment vraiment v raiment
le Vrai aux Nénés tel qu'évoqué de brancghe en branche antériuerement par des Fées de pré ? On vole ! on s'envole au Passé comme qui dirait mais, oublie ... que ça puissee aller aux yeux de Déité ! chante ! LE passé ne suffit pâs dans l'antre ! Il faut donner du ventre, de la Rage vraie ! du vent des sables ! de la meu des prés, du pipi de fée ou d'ange ! traversée des prés ! On veut :
toucher grave à ce qsui est qui se présente devant noius, en papautage ! On veut :
accoler grave , nos ailes de base aux nénés de l'antre !
on veut toucher = toucher =
toucher aux nénés
des données de l'Antre ! et, ne pas se perdre au passage mais s'ancrer, de base, aux tracés dits "des féeés" ici incriustés ! On veut :
toucher de chez toucher = toucher grave , et aller ! foncer sans embages, sans traîner, sans verser de larmes ... ou si ? en versant des larmes ? larmes de Fée ? on veut :
comprendre-allouer, dire-porter, séduire SAinteté des Données Slaves (esclaves ?) s'il en est et cela on ne le sait ! on le sunbodore mais on ne xsait en vrai ecxactement pas ce qui est (de fait) ô grand jamais ! On aime le Foie ! le FOie de BOis ! l'ombre des fées ! Le tracé alloué à une sorte de donnée de Roche ! On veut passer (peut-être) en force c'est un fait mais sans anicroches ! sans tracer de traits qui fussent plaies ! plaies ou ... traits des Traits ! On veut :
dire = faire = donner, et du coup tracer de chez tracer la bête cendrée,, loa buflette et le cheval xde trait, bises et bisonnes au taquet amorcent une sorrte de parade monstre sur roche dédiée ! On veut cvomprendre ici ce dit "tracé des fées" en tant qu'il serait ... néandeertalien des données de base ? genrre aurignacien des données de RAge ? on veut cerner de près le dessin de l'âne ! du cheval de trait ! romance de fée sur pierre tombale (on dirait) et, ça le fait sans traîner , sans perdre la face ! On veut comprendre = dire = percer = conduire l'animal blessé sur roche tantrique, au passé ! On veut : toucher = dire = faire = poser = prendre = alllouer à une crique une sorte de musique dédiée aux fées ! musique chantée ! vie de fée sur plage envoûtée, qui sait ? on veut :
dire, poser, charger, déposer denrée, offrandes soulevées et montrées haut aux Dieux de l'eau (de l'HAut ? )
[tel que rencontré au /
tel que touché de près des /
tel qu'il serait venu nous aborder et nous parler et nous donner du "hé, la fée au taquet, fais donc ce que je dis de /]
tel que cerné ? tel que doté de traits comme bêtes de pré ?
Oon veut dire et toucher ! On veut coller ! On ne veut pas (du tout) trépasser mais dire dire dire , trois fois dire ce qui est qui nous attire au vent mauvais = ce tracé des dires, ce P assé accolé à une sorte de Donnée "Risible" ... est-ce vrai ? y a t-il du vrai ... dsa ns le Rire ? et si oui de quel genre de rire ? sacré ? ancré ? ,déployé ? soulevé, comme une sorte de capote à Hydre ? on est nées Fées des Frises, on veut toucher à Déité sacrée des données genrées : est-ce possible ? pêut-on s'ancrer en cette rive aux données placides ? aux données des don nées tantriques ? avonss-nous de base l'autorisation tacite ? pouvons-nous compter, sur ici ce Rire aux données données ? peut-on ... survivre ? traverser sans périr ? charger de rires le trajert ? combler ? donner à Déité le Rire déployé des données de l'Hydre ? le Passé ! Le pas des données = le Passé ancré, alloué à une sorte d'Hydre à Faces de Chine ! Chargée ! cotée ! élue sur Pré comme une bêtedes données-surprises ! On veut en vrai toucher le nu, de l'ombre portée ! on veut grave toucher sans tarder , et monter = s'envoler ! traécer = s'envoler , sur muret ! monter monter monter sans tarder sur ce muret des données acquises = un tracé ! une frise ! bzêtes des données apprises = le français ! la langue du vivre ! le chargé de près en tant que donnée des données surprise ça le fait ! on veut toucher ! on veut aller ! on veut cerner ! on veut dire et allouer aux rires (ici déployés) l$e savoir des F2es ! On ne veut pas passer à côté mais au contraire, grave chercvher à comprtendre ici et là au débotté ce que c'est que ces romances, de roche cendré, de paroi de roche, de groote de fée et autres trous de destinée ! On est la Fée du pré ! vache aux nénés ! on donne du lait qui est du lait sacré = sucré et sale = salé comme xs'il en pleuvait ou pissait ! On rit ! On, est Fille de vie ! F2e des fées sur pré des Vies données, posées, allouées comme dennrées données, au jeté, au craché, au dessiné des traits dits "de roche grise" ! vive les Fées ! Vive le tracé des fées ! la Beauté Soumise à une sorte de DEnrée de frises ! chapeautée ! ornée ! comme soulevée ! mises au pré sous égide ! On veut :
dire dire dire
donner donner donner
faire faire faire
combler combler combler
tracer tracer tracer
pondre pondre pondre
fouluer fouler fouler
permettre permettre permettre
chahuter de près les données de l'herbe = lz passeé des Fées, le tracé, la CHance larvée, l"'2popée des fées sur herbe allouée à une (sorte de) prairi e de vie, vie de traits en herbe ! On veut coller !dire et monter ! forcer Rive ! charger ! foncer ! aller ensembgle (ailes de fée) jusqu'aux données données des (dites) "envies pressantesz et autres impériosités de base" ! Aller = foncer = s'envoler = faire et donner, dire et porter, comprendre et soulever de base les données romanches, sa&rdes, latines, saintes et vives, sur pré aux Vivres et autres bêtes rampantes ! vive l'Hydre ! le passé Romanche ! l'envolé"e (placide) sur branche et autres vies, de Rive Romande ! on veut en vrai cerner la donne des données de Roche ! qui est qui en ces contrées ? qui regarde ou mate qui ? qui cherche qui ? qui veut téter de chez téter le pis ? Qui veut dire et cerner ? Qui est qui de Rage ? qui veut qui de RAge ? qui en vreai comprend ou comprendrait, ce qui est qui se présenteb à nos mirettes grandes ouvertes et autres attentes ?
On entre ! entrons ! on pose les nmots, qui vont (qui sait ?) peut-etre toucher, cette (sorte de) "Déité des monts " !
qui sait ? On est Fée Docte forte (grave ! ) et du cfoup on trace ! on avance ! on fonce sur pré sans traîner ! on fonce sur un pré des Bases, des données naiss antes et autres szortes en soi de Vérités, Chargées de Mots Lactées ! On veut toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui se prése nte ainsi, ainsi dessiné ! les buffles sondés ! les bisons proprets ! l'antilope cendrée, la bisonne)-fée, l'antilope rosse, le'ours morose et l'ourse grossze de ses trais vde Bosse ! On veut:
aller ! virer ! toucher ! cerner ! comprendre ! dire ! pointer ! cerner ce qui est, ici, d'une sorte de donnée acide, acide ou placide , placide ou lactée ou peut-etre vive ? Vive de chez vive ? mais ... que, vive ? ou alors vide ? On cherche (ardemment) le vrai, d'une sorte de vie allouée à un pré ! On veut toucher (de près) aiux njénés et téter sans traîner ! toucher vif ! prendre et pincer ! téter au néné le lait des données, des données actives ... de la mort à l'oeuvre ??????????????????????????????????????????????? on ne sait ! on veut cerner = on veut toucher, mais pour toucher il faut passer = traverser la Rive, le Tracé des F2es Acides, le Passé ! La Suite des Vies Secondées ! Le Chant du pré = la prairie des Huilesz ! O,n veut :
dire et sonder le Vide des données acides, perdurer (en vrai) sur pré alloué à une sorte de tétée active ! Donner = permettre = faire ainsi que La Fée des Prés ou dite "Fée des Prés", piuiisses naviguer (sans trainées) sur Rive des Prés aux données actives ! Herbe de suite ! données des do nnées ! on s'active ! on ne veut pas se laisser démonter, ou surprendre, ou même surmo nter, ou mêlme accoler sans prendre garde ! On veut grave rester aux aguets ! toucher de chez toucher mais sans perdre la Face ! rester frais ou fraiches sur pied ! aller = comprendre = donner ! On veut ensembleb en tant que fée (ailes de fée) rester (de fait) serrées, franches, accolées, comme soudées en vrai par en nous la "branche" des données acides = vives ! la c larté naissante ? le tracé de branche est ou serait clarté ou clarté naissante ? pilosité-vilosité de base ? trait des traits ? Rome en cendre eyt autres chants de Thrace ? On veut, de fait, cerner de chez cerner les données prégnantes et du cpup comprendre ce wqui est qui nouès regarde, sans jamais nous lacher ou nous laisser toùmber ! On est la fée des prés, ici, remontée à jamais parce que voilà, on est entrée ! on est née sur pré ! on veut toucher les nénés fuyants ! on ne veut pas du tout les louper mais au contraire bien les approcher pour bien les toucher et bie"n les téter jusqu'à la garde si tant est , s'en délecter ! boire leur petit lait ! le donné de l'herbe = le VErbe ! VErbe dense ! tracé de FRance, chants français des do nnées denses, .... "une poule sur un mur, qui picote du painn dur...." et autres romances ! On veut (en vrai) foutre à mal le FRançais , pour qu'il se balance ! Charger ! tracer de près les données donnéexs comme soulevées, remontées, portées, soupesées et comme déposées en face, sur muret final, ombre grave, chant total et autres traits des F2es alloués au MAL ! tracer = graver grave, ce qui est qui nous regarde en face ... c e visage ! ce néné ! ce Passé ! ces traces ! ce Passé de FRance ! le français de base est comme chahuté, du fait que ... eh bé ....L La chance est pzassée, qui nous recommande ou recommanderait de bien nous installer face à la Branche dite "des donn"éées de Rage", et n'en plus bouger ! maiçs mater ! mate que tu materas le Message ... et le mEssager ... et la Messagère ! Allouée à un TERme ! le mots des fées ! Mot des Ombres Portées sur Néné ! chose ! Chose grosse ! Train de fée sur Pré accort ! On ose ! on ose toucher de chez toucher ! on ose grave aller et toucher sans se gêner ! on veut
TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER à ces nénés de l'Omb re ! On ne veut pas passer à côté mais grave les toucher de chez toucher sa&ns traîner et sans traînées ! de fait ! car ... on s'aime ! grave ! sur pré ! en tant qu'ailes de Fée ! ailes surnuméraires aux Données Allouées à une sorte (en vrai) de cimetière des Données Actées", genre pinède ! carré vert et frais ! sqaquare alloué à une sorte en vrai de "vérité des Vérités" en herbe = VErbe ! chant cendré ! Chant des chants des chams Donnés ! et autres prés aux Fées type Jardinet, Pré carr(é, jardin de curé, qui sait ? On entre en ce terrain des fées toutes remontées, et, de fait, on monte ! On veut toucher
TOUCHER DE CHEZ TOUCHER
FAIRE DE CHEZ FAIRE
ALLER DEE CHEZ ALLER
DIRE DE CHEZ DIRE
COMBLER DE CHRZ COMBLER
COMPRENDRE UN TANTINET DE CHEZ COMPRENDRE UN TANTINET
CERNER DE CHEZ CERNER DE CHEZ CERNER DE CHEZ DIRE ET DONNER
PERMETTRE = ACCORDER, À) L'AUTTRE, LE PARLER FRANÇAIS, FRANCO-FRANÇAIS TU PARLES SI ÇA LE FAIT ! ÇA ENTRE ! ÇA ENTRE GRAVE AU DÉBOTTÉ DXANS L'ANTRE DES DONNÉES DONNÉES COMME XS'IL EN PISSAIT ! On veut comprebdre ces données, cette chose du français collé, des mots de Rage, xdes données de France et autres ...
données sages ? sardes ?
ou cendrées ? cendres de FRAnce sur tracé de Fée comme d'un paysage , ? paysage sarde ? On est nées fée de fait au passdage... du Passé ?, on veut toucher (de grâce ! ) .... aux dits "né"énés d'en face " : ce treacé, des Fée des connivence !
chance au passage ! travzersée des traversées ! toucher tyoucher toucher à ce qui est qui se présente, ici, au taquet et sans traîner, comme une chance ! chance avouée à moitié cernée, de passer de Frannce (du françai) à une langue slave, esclave, acculée, chahutée, portée, contrée, dotée de référencestoutes plus ou moins cernées, de traits du passé et des effets de manche, genre : vies vives sur pré, fonds de roche creusée, traits de buffles et de chevaux ailész, crosses ! monstres ! mains de traits ! fée surnuméraires saluées et autres fée en herbe ! pré ! pré ! pré des fées ! pré d''herbes et de verbe m^élés , entrecroisés, entremêlées ! comme soudés ! On veut en vrai aller sans faute verts ici Nénéb = LE Tracé Monstre, Fin de pré ! carosse rose ! chants des fées aux Herbes Folles ! vent de porte ! coura&nts ! courants des courants ! vents doctes ! vent des vents ! On porte, on fonce, on compte les dents, on cherche Osmose ! Le pAssé renaissant, l'emporte-porte ! On veut (grave !) aller dedans ... et du coup (grave !) mater ! vioir ce qui est ... des nénés ? du lait ? du vent ? vent de Fée ? fol vent des fées sur Nénés ??? On ne sait ce qui est de fait ! on veut
TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER à ce qui est qui, ici, se pointe en vrai sous nos yeux éberluées de faons des tracés ! on veut croire et donner, dire et porter, chanter, pousser, coller, faire et anticiper, dire et parler = chahuter, le français en herbe, le trainer de cherz traîner dans la luezerne, herbe mouillée, boue d'herbe et de terre allouée à une sorte de donnée en herbe, genre : "vérité des prés , vérités des fées", et ça le fait ou le ferait sans faille ! sans entrave ! sans autres considérations néfastes et autres mots de rage ! vive le tracé ! le bison soudé ! la chevale verte ! le bison du pré, buffle accolé, parade rupestre, pprincipauté des Données Alpestres et autres Royaume Alloué aux Fées en herbe ! pré ! pré ! le pré des herbes vertes ! pré d'herbe et de bêtes toutes Autoproclamées, genre mots-bêtes sur tracé en herbe ! On veut gracver ! on veut grave graver ! dessiner sur pré les données des Frères, Soeurs en charité, Bêtes frères, Bêtes-soeurs lactées, pets de fée sur pré ventilé de fait ! On aime ! on a envie ensemble (ailes) d'y aller , de nos chants sacrés, de ne pas nous brimer, gêner, empêcher, contraindre, museler, mais , au contraire ... péter !péter de chez péter sans trainer ! sans traîner et sans tra înées ... de merde ! si tant est ! gragve péter ! dfonner ! cerner ! fouler ! aller sur herbe pour donner à téter aux petis de la bête, dit "veau" ! On est :
Fée d'herbes en herbe, ici ... du verbe !
Dire ! charger ! conduire et pousser ! faire ce qui est qui est qui nous attire ! Aller sur rive pour toucher ... le Vit, des données données ? ou ... DU ViF Donné ? du Vif Lait Doté de Vérités en vrai ? Vit ou vie sur pré on ne sait ! On veut dire et aller = pôusser, ici, notre char à lait sur un sentier de rive , et aller ainsi chahuter le muret, titiller, pour de rire, qui sait ?
Pousser = dire = faire = chercher =donner à des nénés le lait sacré, sucré, sale et salé , des données du Rire ! Chercher ! dire et poser ! Qui on est ? on est les fées des doonnées -surprises comme déposées de fait en un pré qui est le pré post tracverseé, post v-traversée des mursc de frise et autresz murs aux données du Rire !On veut dire et cfoller à ce muret nos données acides et autres vér(ités pêchées ! on veut
TOUCHER = DIRE = FAIRE = PRENDRE = COMPRENDRE = ALLOUER À UNEE SORTE DE PRAIRIE DES FILTRES LE PASSÉ EN BRANCHE, VIE PASSÉE SUR PRÉ DES FÉES ET VIES PASSÉES SUR PRÉS AUX DONNÉES DE FRANCE FRANCHES ! LE FRANÇAIS ALLOUÉ (LA LANGUE) À UNE VÉRITÉ CLASSÉE, ÉTANCHE, SOUPESÉE, COMME SOULEVÉE COMME À LA P ARADE, EN CET ANTRE DESdonnées actées ou sinon actées .... espérées ? On nentre ! On veut toucher à ces nénésx du centre, des données romandes, du tracé fêlé, des vies passées comme allouées à une sorte de romance des temps dépassés, surmontés, donnés sur pied à Déité des F2es et autres BÊTES de Pard ade. On est la Fée des fées , Fée des fées donné ! Onn est Fée des Fées de France ;, c'est-à-dire parlant français, la langue cendrée, ccette langue
aux accents tracfés , sur pré des données comme "remo ntées". On veut :
surprendre = aller = faire = chercher à) (pour le coup) toucher Romance, toucher Fou , toucher grave, à cette sorte de Romance, comme Persi-onnifiée , la Fée ! Fée docte vdes contrées de Roche , Fée passée sur roche depuis ... l'ombrte ! l'ombre du passé des hommes cernés ! homme mort et enteré laisse son passé "germer" et donner Fée sur Herbe Folle ! Fée ailée de Rpooche ! Fée tracé par quelques entités de Roche surmenées ou par qui d'autre qui saurait tracer, sans se tromper, le Trait des Ombres ici portées, sur muret de bout du monde ? On est La Fée des prés cendrés ! On veut en vrai cerner de près les données proches = ce muret des roches, des rochers de Porte ... qu'est-ce que c'est ? une sorte de Parole ? de Pa(role-Porte ??? de Porte du pré ? P assaghe de fée et qu'importe ùo ça nous pôrte ? au néné ? au néné né de fait passé la porte ? La porte passée ? une fois passée et du coup ... on compte ou on compterait = on ferait nombre ? on pèserait ? on seraéit "du nombre " ? on pourrait compter et être (un tant soit peu) enfin et à jamais , qui sait, considéereées en tant que
"Fée, des données de Roche",
post-morteme , post-cimetière alloué aux données de Rome ? On veut grave y aller, de notre théorème ! pousser = dire et poser ! cerner et prendre (comme qui dirait) le vent de face ! pets ! pétarades sur pré ! charges fatales ! considérations maussades ! poussées d'acné comme par malchance et autres faitsz s ans fraiçsz ! On veut coller = dire = faire = donner à une sorte de Passé notre sorte de POussée, de genre genrée, donnée, amllouée de fait à un genre donné, de type "cendre" ! Poussée d'acné sur pré comme à la retombée, ça fout le seum et au taquet ! ça nous fait bisquer ! ça nous enquiquinje à jaais ! tracé dense ! faits de fée ! balances et romances sur pré chahuté ! on est accolées = ailes de fée = fée = ELLE ! Âme HAute , le Pré (en vrai) est Hôte ! chambre d'Hôtes ! pré des fées = rotonde ! une sorte de jardin de bonnes ! ce Passé est un passé de Roche, puis de trait, trait d'ombre portée, qui sait ? qui serait trait de roche = tracé = anfractuosité d'époque passée ou sinon passé .... profonde ? On veut zn vrai aller , féire et donner, comprendre, cette porte, ce Passév de POche, ce Passé passé, ce tracé, cette sorte de donnée profonde qui (peut-être, on ne sait) reswembleraiot à s'y méprendre à une sorte de "donnée en branche" = donnée d'ambre ! chance ! chance en vrai sur branche !Le passé, des données de France = le français en tanjt que langue du Passé, des données données sur pré alloué à une sorte de Jugé, de Vérité de base, de poussée d'acné dans la Romance, de préciosiyté comme chahutée, ou alors charcutée ? sur pré des prés donnés ? On est passé en tant q'on est La Fée du pré, parlant français = chante ! va-nu-pied ! vent de face ! cheveux au nez et à laé barbe ! un e sorte d'enfilade de chevaux de base ! bhêtes de parade ! bisons-nés ! buffles de Rage et bouques au passé comme en embuscade ! les nénés vde france ? on croit rêver ! On veut (grave ! ) comprendre ce qui est (en ces contrées) des données de base post-excentricités des envies (pressantes) de passer ou traverser ensemble (fée ailée) le muret premier, mur des données cendrées, mur ONE ! On est ailées de fait du fait qu'on est Fée, des RAges Naissantes = Fée des Fées ! F2e du pré ! Fée des ombres allouées aux murets des Ombres ou dit tel, car, en effet, le TRait de pOrte, le dernier (on dira le dernier) est trait ditb "des fées" , du fait que les fées ... le connaissent, le voeint sans cesse comme se tracer, voient en vrai les "nénés derrière" ou bien c e qui eressemblerait on dirait, à des nénées derrière, à desb nénées à lait : qui sa&it ? on dirait de fait des nénés à lait ! pis en herbe ! pis d'herbe ! pis des prés et des herbes ! pis du pré passé ! pis des herbes et autres denrées ! pis des faits et gestes sur prairie donnée ! pis doctes ! pis d'ombre ! pis de fée des prés ! pis sur pré comme à la retombée ! pis donné ! pis sur ombre portée ! pis dit ! pis ici comme dit et nommé ! nommeé de près ! nommé ou autonommé ou comment nommé ? on est la fée du p)ré qui dit "le pis" ! Le pis dit ! le vrai des vrais des pis en herbe ! pis pis ! Pis des fées sur pré charmées ! on veut come qui dirait du pis en vrai, le pré passé ! pré des fées (mort /ombre) on veut toucher ... pis ! Pis des pis des prés finis ! pis des fins de prairie ! pis derrière ! pis des fins de Charge Allouée ! On veut en vrai aller ensemble (ailes = fée) vers Pis des Pis de bonne mère et autres mères ici tracées, dessinées comme à l'arraché sur dernier muret, celyi (post-motrtem) des fins de pré et d'herbe ! On = Je = NOus = vent debout ! On v eut nous deux (ELLES au Taquet) donner, dire et pousser, de tous nos voeux,
le mot donné, mot des données données ! On est Fée du pré au mot donné ! On veut
: coller = donner = dire = chercher =comprendre = cerner = toucher à ce néné de l'hydre ... mais, qui donc est l'Hydre ? qui en vrai est l'hydte (ou serait l('Hydre) du pré ou de ce pré des rives ? On ne sait ! On est Fée faite sur pré des donées mais en vrai on ne sait ce qui ici (ce pré) nous réservfe ou nous réserverait en fait d'invitée , é-e et d'invité, é, ! On veut : vrai ! dire ! ppousser ! chahuter qui le verbe qui... le verbe ! car, en vrai, seul le verbe est (serait) ici, de fait, à chahuter en vrai ! vu que le reste ... appartient au rire ! rire gris ! rire forcé ! rire des données du rire ! chant de fée sur pré des Rives et des Champs alloués à des sortes de denrées à cuire ! On est La fée du pré Forcé ! Passage d'anguille ! on est passées, on est retombées, on s'est redressées, on s'est comme accooélés dès l'entrée;, de type "frise", "fille", "fée ailé" , Fa;on desz données (biche !) et nous voilà qui voulons aller sans plus traîner vers cette rive ultime dont le nom en vrai est .... Hydre ? hydre Saluée ? Ivre Hydre aux données tracées comme gravées ? On est née Fée sur pré des rives (r(otondité) , nous voilà promenées ou comme promenée jusqu'aux nénés des données lactées, de type .. Hydre ? mais ... Hydre, c'est un fait ? une sorte de trait ? une donnée ? une sorte de figure en vrai ? face-lune ? face ancrée szur muret de bure ? Pioint d'alacrité ? chant des traits des données des Urnes ? On veut :
DUIRE DIRE ET DIRE
PORTER PORTER ET PORTER
CONSOLIDER, LE DIRE DE L'HYDRE, SI JAMAIS
MAIS QUI EN VÉRITÉB EST OU SERAIT L'HYDRE ?
UN HYDRE ? UNE HYDRE ? L'HYDRE DES FÉES ? L'HYDRE IVRE ? L'HYDRE COMME REMONTÉ (E ?) DES TRACÉS SOUS EFFETS ?
ON Veut grave toucher (en tant que fée des prés) aux seins des données, dites "de l'hydre / aux données données" ... est-ce possible ? pourra-t-on vcerner ici ou làb (en ces contrées du VErbe en Herbe) ce qui est et ce qui n'sst pas, de ladite ... "mort aux acoords" ? On veut vivre mort ! on veut (on voudrait) vivre (en vrai) mort , la mort, mortes ! on veut (on voudrait) ensemble (ailées) bvivre ... mortes ! ce que c''st ! ce qui est ! ce que la Mortb serait , qui nous verrait vivre, ici (au taquet), la Vie de l'Hydre des contrées du Rire .... alloué à un pré, à un champ de bêtes posées ! comme déposées pour de rire ! champs des Vies Allouées pour Rire ! gros Rire sur le Pré , Rires Gros des Contrées ! On veut :
DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE = FAIRE FAIRE FAIRE FAIRE FAIRE FAIRE FAIRE = DONNER DONNER DONNER DONNER DONNER DONNER DONNER = CHANTER CHANTER CHANTER CHANTER CHANTER CHANTER CHANTER
nos chants altruistes ! chants de suite ! chants des chants de Rive ! chants actés ! chants chantés sur pré par (ici) des Fées des données de rive ! Chants-poursuyites ! chants-comp)tines ! chants- dires ! chants sur pied pour ainsi dire ! bambinades cde parade et autres venaisons de grâce ! ramages ! enfilage cde bêtes de rage sur paroi de base ! On va (sur place) voir de près la Rage , fée on est !
fée des fées on est !
on est VF2e faite ! fée du pré ! fée cendrée post-mortem on aime , graveb cde chez grave, aller au plus près , des nénézs nés ! des nénés alloués à une Fin de pré, nénés des nénés ! On veut en vrai aller au pls lointain du pré, passer ce pré, charger, enttrer en muret, en muret des fins de pré et du coup cerner, en vrai, ce qui est de l'autre côté, qu'est-ce qui est ! qu'est-ce qui nous attend ou noues attendrait, qu'est-ce qui est dressé, redressé, donné, posé , sur pareil muret ou même après ! on voudrait = on aimerait ! tant cerner ! tant comprendre et toucher ! le néné ! le néné né ! le néné des nénés ! qui c''st ! qui ce serait ! qu'est-ce que c'est que ce néné surnuméraire des donées des termes ! qu'est-ce que c'est que ce néné des fins de pré ! néné d'herbe ? néné -herbe ? néné fait -xd'herbe ? néné né sur herbe de Verbe ? néné sur pied ? néné-Verbe au débotté ? néné-verbe sur un pied qui saurait xdanser ? un néné , des nénés ? le néné du français (la langue) en herbe ? un néné sachanjt se donher , en tant que verbe-lait ? Lait de Verbe au débotté ? verbe ... post-mortem comme qui dirait ? on cherche en vrai ! on ne veut pas lâcher l'affaire mais en vrai grandement pousser, sur pré, nos recherches ancrées, nos petites enquêtes et autres virées ! On est la Fée des données post-mortem allouées à un pré d'herbe ! On chercvhe ensemble (= deux ailes, accolées, soudées-serrées) à comptendre ici m^rme (ce pré) ce qui est "en la matière" , en cette sorte de matière dite allouée à un "pré en herbe" ! ce que c'est que l'herbe, ce que c'est que le Verbe, ce que c'est que la mort, e que c'est que le verbe alloué à la mort par le biais de l 'herbe ! herbe verte ! trait d'herbe genré ! tréit des traits comme saturés ! On veut toucher toucher toucher c'rst vrai mais pas que toucher aussi aimer ! On veut grave aimer aimer aimer ! On veut en vrai aimer aimer aimer toucher ! aimer toucher ici aux nénés dits "post-mortems" , est-ce queb c'est vrai ? est-ce que, en vrai, loes énées, les nénées des nénées sont ou seraient des données de type "post-morte"m" ? qui sait ? qui en vrai sait ou saurait ici (pré = mort donnée) nous indiquer, nous informer, nous éduquer ? on veut :
dire dire dire
ok mais dire = dooner, et donner = forcer , et fgorcer = soulever, et dsoulever = charger, etb charger = porter, porter grave sur un pré, des sortes de Données rusitiqaues , excentricités rustiqaues, en langue secouée, genre français de chine ! charges divines, frais sur pré, encres vives, vins des prés nous ennivre et nous fait aller, sans rire, jusqu'aux fins de rive, traits tracés ancrés, frises ! On veut coller ! grave coller ! dire ! grave dire ! chanter ... nos chants acidulés ! rires sur pied ! chants-rires des données lucides , éclairées, cernées ! On veut
TOUCHER DU DIRE ! DIRE ET TOUCHER ! TOUCHER-DIRE ET CERNER ! TOUCHER DE CHEZ TOUCHER LE DIRE CERNÉ ! CERNER-DIRE = TOUCHER ! POUSSER-COULER LE DIRE FRANNÇAIS , ET QUE ÇA ACTIVE, EN VRAI, DES DONJNÉES LUCIDES RUSTIQUES COMME SOULEVÉES ! QUI SAIT ? ON VEUT AIMER = DONNER = CERNER =COMPRENDRE ! COMPERENDRE ENSEMBLE = AILÉES , CE TYPE DE DONNÉES ANCRÉES GENRE EXCENTRICITÉS DE FRISE ! NÉNÉS ! NÉNÉS ! NÉNÉS ! NÉNÉSV DE FRISE SUR PIED ! LES NÉNÉS D'ENTREPRISE ... EN CHINE ! NÉNÉS NÉS PAaR (ON DIRAIT !) SURPRISE ! NÉNÉS DES NÉNÉESS ON VEUT TOUCXGEZR ! On est nées Fée en vrai comme à la retombée une fois comme trépassée ! On est née Fée La mort acceptée, avérée, aquise, instruite, actée = portée ! Et une fois passée (= trépassée) on est devenue TRANs = F2e ! Fée du pré ! Fée docte en vrai ! HYDRE ! HYDRE SUR PIED ! HYDRE DU PRÉ ! QU'ST-CE QUE C'ESRT QUE L'HYDRE ? UNE SORTE DE DONNÉE ACTIVE ? FIGURE VIVE ? CHARGE RUDE ET COMME AUTO - DONNÉE SUR UN E SORTE DE PRAIRIE "ACIDE" ? ON VEUT (ON VOUDRAIT) CONCLURE ! QIUI ON EST ? QUI ON EST PAS ? QU'EST-CE QU'ON VEUT SAVOIR EN VRAI XDE CES DONNÉES DE BOUT DE PRÉ ? QU'EST-CE QUI EST ET N'EST PAS EN CE MURET DE FIN DE PRÉ ? ON EST LE FÉE DES HERBES FOLES ! FOLLES À LIER ! On est
Fée de Roche Folle ! accolée ! poussée ! morte !
morte et enterrée ? Pas vrai ! On est fortes accoléesv sondées ! on fonce ! ailes ! ailes accolées on est ! on est Fée ailmées du fait qu'on est passées à travers la Roche, Roche de Grotte, néandertalienne avérée , on est passée ! on est come passée ailées ! On a traversé sans trainées la roche des prés ! face allouée ! Face nue ! cul nu sur pré herbu ! On veut grave débouler, passer, se retrouver de l'autre côté, charger grave sur pré les données de base , et y aller, foncer à grandes enjalmb ées, vers ces co ntrées de bout cde pré, rons de bosse, muret, murailles de Porte, la Murzille des Données de CHarge : fins de pré ! fins des Fins ! contrées des Contrées ! l'enfonc"é ! l'emportée ! l'encorné ! la sorte de Passé aux Fées ! On veut passer ! on veut regarder ! on veut toucher ! on veut toucher aux nénés ! on veut grave toucher aux nénés ! on veut grave ici même (fin de pré) toucher aux n énés = au passé = aux tracés dits "des fées et autres elfes du passé". On veut de fait alller aimlées (ainsi ailées en tant que fée) vers les données dernières ... dernières et primaires ! retyourner ! retourner, ainsi ailées, vers ... du passé de fée ? Du passé donné ? lait de F2e ? lait des prés ? lait des données données ?? Lait donné comme s'il en pleuvait ? Pluie de fée ailée ? lait donné ? lait des laits ? lait du Passé comme deéboiîté ? déhanché ? défait ? déplacév ? lait ! lait ! lait ! lait ! le lait alloué à une szorte de passé des fées ! lait des laits surdimensionné ! au taqsuet ! ch argé ! comme donné en prêt ! lait passé ! pointé ! collé ! accolé sucré ! lzit des fées au Verbe CXhargé ! Lait-VErbe ! Lait du VErbe FRançais ou ici Français du fait que l'herbe ici est comme centrée ! recentrée ! chargée des fées ! comme "collabée " sur pré des Fées dites "cochées "! On veut :
TOUCHER TOUCHER YOUCHER TOUCHER TPUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOIUCHER (§OUCHER aux nénés tracés ... pOst-Mortem et ça le ferait ! enfin on swaurait ! mais en vrai est)-ce ce qui est qui nous attendrait, au pied levé, la mort donjnée ? On veut :
TOUCHER ! TOUCHER AUX NÉNÉS ! AUX NÉNÉS DE ... DIEU ? GRAVE TOUCHER DE CHEZ TOUCHER ! AUX N ÉNÉS X'UNE SORTE DE DIEU DES DONNÉES ACTÉES, DÉESEE AVÉRÉE ! DIEU-DÉESSE CENDRÉE DE TYPE FÉE DE PRÉ MAIS, ICI (POUR LE COUP), POST-MORTEM !
On est fée des préds du fait qu'ejneffet, on est passées, on a traverséeé la Roche de grotte (néandertalienne ... ) et on s''sst rretrouvées commê toutees nues sur herbe connue ! prêtescvà nous relever et pouvoir tracer = filer = courir = charger = alller .... loin .... sur pré ..... tracer ! qui un sentier, qui un chenal, vers .... V2rité des V2rités =
un cheval ? une chevale ailée ? Bouquetine cernée ? Buffle au vent mauvais (= pet ?) et ça irait ? On (nous = Fée) veut dire ici le trait des Vérités : voulons ! On = nous = je ! CE qui est qui serait, le muret dépassé ! qu''st-ce qui est après ! On voudrait en vrai ensrmble (ailées) comprendre les données ... d'un passé comme remonté ? le passé d'un futur alloué à une (szorte de) "donnée desb donnérsz" qui nous devancerait ? On est La Fée vdu pré , ici toute "remontée" (colère !) du fait que oui , en effet, les herbes .... les herbes vertes ..... sont touteszcmouillées "de verbe " ! Du français surfait ! cherche-merde, comme saturé de
🫅
traits de merde genre Vanités ! Vanités des VAnités en herbe ! On veut :
DIRE DIRE DIRE DIRE CE QUI EST DE TOUTE CETTE MERDE ACCUMULÉE AU FIL DES ANNÉES EN CE VERBE ANCRÉ DES DONNÉES SURFAITES , EENLUMINÉES, CHAHUTÉES, CERNÉES, CONCENTRÉES, REBELLES ! REBELLES EN VRAI ET AU TAQUET ! REBELLES SUR PRÉ AU TAQUET ! GRAVE REBELLES, LES DONNÉES ! GVRAVES SUR PRAIRIE DES FÉES ! GRAVE REBELLES ! on veuut grave cer,ner en vrai, X données ditesx rebelles (on dirait), qui nous interpellent ! qui nous hèlent ou nous appellent ! et nous d'essayer (de fait) dee les entendree, de l es écoueter et de les comprendre , et de cerner ici leur dire avéré, accolé, donné, porté, déposé comme une sorte de denrrée lacté ! On veut toucher à pareilles données, comme sorties de l'herbe verte ! On v eut c erner-toucher toutes ces données post-mortem (?) ou sinon post-mortem post paéroi de roche traversée ? post-roche allouée à une sorte ici de pré à traverser ailée et c'est ce qu"'on fait ! On veut aller, ensembleb (ailées) au plus loin du pré, au pls lointain, au plus profond, en ces fins de roche tracées, c ernées, allouées, qui sont finalités, fins de donées,n fins de pré , fins des herbes portées, fins des fins du Pré aux Données des Herbes (verbe) du Tracé Des Fées. ON Aimeb ! grave on aime ! grave on veut ! Grave de chez Grave on aime azvzller = traverser de base, les données p)rairiales, ce vert , alloué àune trace ! ce pré ! pré aux fées et aiutres "bêtes de ccharge" de type attelage ! pré ! pré ! pré ! pré de charge ! pré alloué à une sorte d'attelage de donnée de charge ! poids cendré ! poids des poids des données sardes (? ) ou sinon sardes sages ! On veut :
coller à déité (de base) nos ailes diaphanes, toutes transparentes, nervurées, légères et nacrées dites "de contrebande" : troquer ! mais est-ce ou serait-ce possible en vrai ? de donner , ici même (post-pré paradisiaque) nos ailes nacrées (diaphnanes) à une sorte de Déesees Sarde (?) ou sinon sarde Sage ? Sale ? SAde ? On veut cfomprendre = aimer, et pour aimùer il faut TRACER ! courir dans un pré ! charger ! foncer tête baissée et pousser ! grave pousser ! pousser à charge ! contrer ! perdre la face ! chahueter de rage les donées en herbe du verbe alloué, à soi même alloué en première instance ! le FTzan çais tra&qué, ici le français , du fait que, de base, ici, sur pré des Fées, on est (on serait) comme en France ! France tracée ! Franc d'encre, un ancrage ! une f2e d'Ancre ... en français comme qui dirait ! On veut grave toucher = donner = dire = cerner = pousser = pousser grave = c hercher = rec hercher = comprendre = donner ! donner ! donner ! donner ! donner ! donner ! donner ici ou là en face (face ?) les données de l'antre, ce qui est qui se ressemble = AILEs de F2e ! nom tracé ! meloton ! On veut grave coller (au muret ) notre nom ! et du coup traverser "comme à reculons" ce muret des fonds comme ... une sorte de Passé ainsi Tracé ! nénés ! nénés nés ! le njéné post-pré, post-prairie aux fées ! post nacre et drapé de pré ! post-herbes broutée par des bêtes de pré de type mmouton, moutonhe au fronton ! Au front ! Qui on est, en vrai ? eh bé ... On est la fée du Pont = sur le pont ! On va sur Roche à la recherche,
d'une "sorte de fond" ! Fond de pré aux bhêtes ! Fond ! cfond du fond ! fond docte !
fonçons ! traçons ! courons ! ne nous arrêtpons plus de grâce m ais allons ! en face ! droit devant face à face ! on est Fée d'antre ! On veut comprendre = cerner, toucher et allouer à une sorte de muret un brin de Vérité ! Ce qui est en vrai, qui serait, qui nous informezrait, nous guiderait, nous donnerait de quoi ... e'spérer ? cerner ce que c'est que cette sorte de clarté des données profondes ! Une clarté de roche ? un fil de cqalarté ? jour donnéc ? ensoleille'ment acculé des données profondes ? vive clarté de roche, compme ancrée ? cklarté haute ? cla rté des clartés de roche Profonde ? La clarté des fins de rOndes ? une sorte de Clarté de Roche dite "Profondes" ? Cjlarté Haute / Haute VcKalarté de ROche ? clarté Allouée à une sorte de Mur de Rotonde Faisant Roche ? CLarté à Travers Roche par un trait ? trait de Roche Alloué à une sorte de clarté de Poche ? fine cl arté des fins de roche ? trait tracé ! ? Tracé des Tracés ? fine clarté d'un tracé de Fée ? trait des TTrza is Donnész, poussés, gravéss, ancrés ? On dirait un trait ! un trait de fée ! trait des traits des Fées allouées à un pré posqt-paroi des Rois et Reines de SAba ! Charge sur par'oi et ça envoie du bois ! grave ça envoie ! on est passées ! On a passé la Roche des Données Progfondes ! Groote ! Paroi ! Charge ! traits de voix ! on a passé ensemble la Paroi des Rois et Reines de Parioi ! ! On est nées Fée Sur pré à la retombée, preête à tracer, filer, courir v ite au débotté vers cette fin de pré allouée à de l'herbe ! et, au-de"là de l'herbe, à un mur d'enceinte "troué " par .... qui sait ? le VErbe ? ... en vrai ? ... Troué par le VErbe ? la parole-née, l'herbe verte d'une sorte en fait DE VErbe de fée ? On veut cerner = toucher = dire , ici, en vrai, sur herbe, ce qui est ! à savoir ce Verbe ... ce que c'est de fait ! une sorte de perce-misère ? perce-muret ? qu'est-ce que c'est en vrai que ce pré des herbes ? Qu'est-ce que c'est de fait que ce Verbe ancré ? qu'est-ce que c'est en vrai que ce Verbe d'herbe ? Du Laurier ? de L'herbe à cracher ? Herbe ici dotée de vertus de fée ? herbe à purger ? Herbe des données Imberbes ? Le PAsdsé ? le Passé re-composé ? retour au passé ; ... via Le Verbe ? Verbe comme soutiré, étiré, chanté, calibré pou!r ainsi tracer, traverser, aller, passer, chercher plus loin un ancrage avéré qui puiisse allouer à une sorte de donnée ailée une sorte de solidité , de charge assurée, d'ancrage parfait ! on entre ! et c'est le mot de F2e qui entt-re, come ainsi porté ou soulevé, dans l'antre du ... trait ! très ! chargé ! entre chargé ! charge de trait ! poussée ! poussée froide ! un tracé dfe fé comme à la parade et ça pourrait aller, peser, toucher grave les ... don nées-nénées de l'antre : qui sait ? On veut comprendre =
DONNER GRAVE
CHERCHER GRAVE
TOUCHER GRAVE
CERNER GRAVE
CHANTER GRAVE
ALLER GRAVE
PERCER GRAVE
SONDER GRAVE
PISSER GRAVE
ce qui est qui est en nos entrailles (ici) de fée affectée à une sorte de rechercheb"sale" de donnjées données pour en vrai toucher à une sorte pour le coup de Déité des Déoités "lactées ".
20/11/2024
On regarde, on veut comprendre. On ne veut surtout pas passer à côtées des données premières. On veut cerner = on veut toucher. oN ne veut pas se laisser distancer mais toucher de fait aux nénés ! aux nénés à lait ! On ne veut pas passer pour des benets mais tout au contraire impacter ! impacter par notre intelligence ! et noius distinguer ! On veut coller en vrai aux données de France ! aux nénés tracés et aux données de france = la langue, le parler, la romance, une poule sur un muret, le furet, la danse ! On veut toucher toucher aux dites "données d'importance" et ça le ferait ! on veut croire en notre chance : on est passées ! on a passé le trait de l'ambre, le tracé, la faille de Rage, l'en fractuosité de fçaçade, le creux de la base (ici, donnée) pariétale et allez ! on entre ! on vreut grave entrerr sans sourciller ! On est accolées en vrai parce qu'on s'aime grave ! on ne veut pas se lâcher mais tracer;, tracezr de rage, ne plus jamais nous arrêter jusqu'au :muret de fin de pré , dit "de la Mort en brancche " . On veut toucher ensemble = fée, aux nénés "étranges" , une vache à lait, une vache szacré ! notre chance au ttracé et on entre ! on veut toucher toucher la Vache aux nénés ! vache (sacrée) elle est née (de base) sur un pré, qui nous iimporte, nous soutient, nous accueille en son sein. On est ensemble ailé : un ensemble pour le coup ailé, et femmes ensemble des tracés des rages sur pré : on entre ! on veut coller à Déité des d2ités ! des données de base : infourtunité ! chasteté ! donnée cendrée ! chair des prés , des vives clartés ! On a passé le Rubicon de l'Anttre, le fossé, on est accoléesz = fée de Rage sur pré alloué à un passage dit "au débotté". On aime tracer, voler, filer, grimper, coller aux nénés = téter ! on veut DU LAIT ! DE GRÂCE ! que du lait déj)à ça le fait ! ça le fait grave ! ça nous plaîot ! on en redemande sans arrêt ! on ne peut plus s'en passer , qui sait ? On veut toucher de base les nénés de l'aNtre ! Aller ! pointer ! coller aux données, chercher ensemble la parade pour pouvoitr passer sans se retourner et filer ! grimper ! monter ! compter les charges ! cerner = comprendre ce qui est qui "nous regarde" ! = des nénés ! qui sait en vrai ? qui connait en vrai les différences ? qui sait ce qui est qui semble nous mater sans discontinuer ? Une äme ? un trait ? un champ de blé post-pré ? une sorte de ... clarté donnée post -tracé ? On mate ! on regardee ensemble (fée ) . On cherche à comprendre ce qui est, en ce dommaine des données post-pré, post-herbe, post-bêtes-mots et autres phonèmes "de trop" ! On est la Fée dite "des contrées post-cimetière " (post-mortem). On est Fée des Fées des prés prêtes à entrer (d'un trait) en ce muret des fins de pré, muret post-herbe, post-données premières. On veut de fait tracer sur roche les données "accortes", filer (comme on est passée) , monter, grimper à l;a corde, voleter ! filer-voleter, chercher POrte (où elle est ?) et , une fois tyrouvée, ouvrir
ELLE ! ELLE POST-PRÉ ! ELLE, DES DONNÉES DONNÉES RUDIMENTAIRES ! SALUÉES ! ORNÉES ! POSÉES ! COMME OFFERTES À UNE SORTE D'ENTITÉ POST-HERBE ... QU'ON (NOUS-MÊME) DEVIENDRAIT EN ELLE , PEUT-ETRE .... On cherche à toucher aux nénés ! où sont donc les nénés ? qui peut niyous indiquer par où passser si on veut trouver = comprendre ? qi on est de base ? qui on deviendrait le muret passé ? Une sorte en soi de D2ité des RAges ? un furet comme plus haut nommé ? la branche ? ?le tracé des fées ? le tracé de rage ou tracé accolé à une sorte de démarche dite "de cervidé " ? On essaie grave de touchger -cerner à ce qui est qui nous fait face pariétalement, mur deds données fauves, ce carré, trou d'ombre, par peut-être où donc pouvoir passer une fois le pré dépassé, la course effectué, la montée actée ! On est F2e du pré, on regarde ! on voit loe muret ! le muret troué ! on croit comprendre ! On se dit que peut-être en effet la Chance, Les données de Rage, la volonté et l'opiniatretété auront raison de ce muret des fonds ! On est nées sur pré en tant que Fée, ailes de Fée, et, on croit en notte bonne étooile s'il en est ! On ne veut pas lâcher le tracé, loa base, la rechgerche allouée à une sorte en soi de cavalcade de paroi ! On est Bêtes de rage / Fée, qui allons grave, comme à la parade, vers la fin du pré pour tenter de comprendre eh bé ces nénés dont on parle , ce que c'eset en vrai ! est-ce en vrai des nénés ? pis de vache alloué à un muret ? c'est drôle ! ça se pourrait mais, de fait, en nous quelque chose nous dit, que, c'est étrange ! On a du mal à y croire ! on voudrait c erner ensemble ces données mais... voilà ! On est cfomme bouche bée ! on cherche à cerner bouche bée ensembkle = fée du pré "de contrebande" ! On essaie de pour le coup cerner -comprendre ensemble (accolées car ailesz de fée) les données données et autres vérités post-pré mais vas-y comprendre ! pas simple au toucher ! pas facile en vrai de nous y retrouver et de vcerner par chance ce qui est qui (de fait) ne cesse de nous reluquer comme si en vrai on était des elfes "de parades" et autres bêtees-chargfes allouées à une sorte d'attellage (ici) de pré tracé. On est Fée du fait que voilà, on a passé la première pa roi (dite "de la mort en acte") , puis le pré où donc volià, on est devenue Fée du fait que voilà ! on est passé ! Homme donné ! homme accordé ! homme des Monts ! Homme né, meurt sur cloison numéro 1, puis disparaiît à tout jamais pour on dirait donner naissance sur un p)réb à une F2e ailée ! On veut trouver ! ON est pasdsées de fait pour, franchemment, sans tarder , trouver , soit trouver en vrai le plus possible de do nnées de Rage et autrtes données sardes ! toucgher ! comprendre ! allouer à un tracé une sorte de donnée de base à base de rage ! et nous, du coup de filer, ensembke, sans trainer, vers cettte "D2ité aux nénés" comme qui dirait ! ventrte ! ombre ou ambre ! On enttre ! on passe sur pré vite fait direction le muret aux mille données dites "de vérité" ! On a méga-envie de comprendre, ensemble, ce muret des charges ! ce tracé "bien intentionné" on dirait, en façade, ce muret post --pré , post-romance fdes prés. On est accolées ! on est clouées ensemble commpe qui dirait ! on est enclouées ! On ne veut pas se laisser gagner par (qui sait ?) une sorte de méchanceté qyuiu nous ferait louper les vraies données données comme par contrtebande, par (ici : muret) La déité dite "des D2itées " . on ne veut surtout pazs lmouper en vrai notre chance (enfin !) de comprendre ou de pouvoir comprendre ce qui est, de se poser et de rezgarder (en face) les données tracées, cette clarté d'aisance, ce bleuté (ce pré sans pré ?), cette Parade comme Chahutée, ce sens des données placées, posées, déposées ; cette trace ! On dirait du lait ! est-ce du lait ? est-ce réellement du lait de néné ? et si oui : de quel néné pour la circonstance ? Nénés d'herbe de pré ? nénés des nénéd sur pré alloué à un troupeau de vaches ? nénés nés comme à lza parade, le dessin tracé ? Néné des prés ? nénés nés sur pré tracé, gravé ? néné nhéandertalien et ça le feerait sans tarder ? sans nous ridiculiser ? ON est née Fée car on est nées dans une sorte de prairie aux fées ! On voulait vraiment ensemble passer, entrer en roche commê en religion eh bé voilà ! on y est arrrivées ! on a passé le cap du treait direction le pré, pré d'herbes, et une fois le pré à son tour pasdsé on s'est rapprochées (ailées = fée) d'une soorte de muret, mur d'enceinte, mur celte il wsemblertait, mur donnjé comme une sorte de do nnée celelete ou sinon celte sarde , ou sinon sarde ... eh bien .... on cherche ! on entre = on veut comprendre ! On veut toucgher à ces nénés "de contrebande " , on ne veut pas se laisser démonter ou remuer ou mamlmener mais se ranger des coups tordus, et comprendre le nu, le tracé nu, l'ombre de plage, le trait du cul, ré d'ambre, cul ddes culs comme il sembvle ! Toucgher ! Prendre ! prendre le train en marche d'une sorte, d'escapade géante ! On voudrait entendtttre = comprendre ! les données de chambre ! chyasteté et sainteté à la commqande on veut comprendre = toucher = cerner ! cerner en vrai qui c'est ! qui c'est ici en -vrai qui entre quand on entre ! On ne sait ce qui est ! On veut toucher à une sorte de donnée de base qui serait (de fait) donnée de contrezbande, chant sacré ! musqique des fées ! parole dense ! papautage d'ange ! "Pom pom pi dou" et on saute au cou ! On veut (en tant qu'on est deux !) e,
mbrasser Déité sur ses nénés et du coup pour de vrai la téter ! ne plus se gêner ! téter grave, Déioté des D2ités, sans se gêner ni discontinuer ni se cacher ! on veut grave :
téter téter téter téter téter vtéter
les nénés de l'Ambre ! dxes données en chambre : succursalles, chambre ornée, lit de fée, dxraps donnjés sur place sans en emporter , on veut coller (de bonnhe grâce) aux dits "nénés des données sardes" ... On ne veut plus s'arrêter mais ensemble sans traîner chercher à comprendre ce qui est en ce muret des contrebandes allouées
aux nénés de l'Ambre ! Obn est de fait passé (homme surfait) , nous voiolà dès loçrs transformé, en Fée (Ailée) aux données de Rage, saturnales, principales, chargées-accolés à une sorte de donnée de branche, oonctuosité. On veut :
AIMER GRAVE
AIMER LES NÉNÉS
AIMER DE BASE LES NÉNÉS
AIMER ENSEMBLE = FÉE, LESDITS NÉNÉS DE ... L'ÂME ?
ON DIRAIT ! ON CHERCHE ENSEMBLE ! ON NE SAIT PAS VRAIMENT CE QU'IL EN EST DE CES NÉNÉSX AINSI ALLOUÉES NÀ UNE SORTE DE MURET AUX VÉRITÉS ! ON EST NÉES FÉE DE BASE SUR PRÉ ET C'EST AINSI
(QU'ON SE PROMENAIT) QU'ON A FINIT
PAR COMPRENDRE QUE
OUI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! MORT = NÉNÉS ! qui savait ? qui disait ? qui l'aurait pensé ? qui l('eut cru au débotté du pré ? on est Fée non -couillue du fait que en vrai on est passée, on a traversé, et couilles on a tombé-perdu ! sur le cul ! nue ! fée des fées sur pré nues on est quand enfin "mourrue" ! ON voulait (on veut !) toucher , toucher, sa&nqs tarder, aux nénés ; ... on voulait en vrai ne plus s'arrêter et courir en fait sans désemparer ou discontinuer jusqu'aux dits "nénés" des données frontrales dites "terminales" . Vivement l'été, qu'on chante ! qu'on fonce en trombe en ce muret de l'ombre ! On veut grave comprendre ! grave toucher ! grave cer ner ! ne plus (du tout) lambiner ensemble (fée) mais, sans tarder, filer, jusqu'aux nénés de contrebande,cooller, toucher, comprendre, donner, pousser, chercher, eeswayer d'entter sans vraiment enttrer, c'est-à-dire ... d'un trait ? un wseul trait ? On veut vréaiment ensemblke tracer sans traîner le trait desz données (des données de base), cxharge mentale, petits ponts de cxhance ! vive le poumon ! le coeur en branle ! les rognons, le foie de l'ambre, le bout du bout du pont de l'antre ! On est née fée des Fées sur paroi tracée comme à main levée les yeux fermés ! chargeons ! filo ns ! essayons de nous (ensemble !) relever et ne regardons plus à nous ranger, mais courrons ! allons ! traçons ! de biais, droit sur pré, n'importe pourvu que voilà, direction Nénésbs ! Nénés des Données ! Chants du coq sur pré alloué à une sorte de tracé, verts Diapa son ! On veut :
toucher les nénés ! oh toucher oh toucher !
toucher les nénés ! les toucher les troucher !
toucher aux nénés sans frais ! comperendre -cerner = dessiner (de base)- sur paroi de grotte, les données de bosse, et du coup peut-être (qui sait ?) en avancer pasz mal en ces données diverses concernant la mort, ce qu'elle estb en vrai, ce qui est après le pré, la cloison du fond, la clarté allouée
à un champ de blé et autres prairie aux données fleuries ! On est née Fée quand on est né sur pré ! On ne vcoulaoitb pas succomber mis juste trac cer ! Coller ! dire et toucher ! toucher de fait aux "herbes-Verbe" d'un tracé de fée post-cimetière, et cela fait, continuer, aller au plus profond des données en herbe, coller, pousser, filer = ne plus traîner vers, il semblerait, une (sorte de) cloison "aux nénés" qui serait là à "nous regardezr" comme si en vrai elle pouvait, comme si en vrai ou de fait elle avait deux yeux pour nous regarder ! ndeux ! pas mieux ! et nous d'y croire grave ! On est sages ! on est La Fée sage du pré, du présage ! On veut grave comprendre = aimer , ici, cette sorte on dirait de D2ité donnée , comme présentée, offerte au passage, porte d'eentrée tu penses ! saleté ! oh on ne sait ! on ne peut se positionner ! On essaie de cerner ce vque c'est ! quoi c'estb ! quoio c'est que cette Déité aux données finales post-pré ? on est Fée, des féeds de rage ...................................................... accolées on est ................................................................ on veut toucgher de fait aux nénés .................................................../.. vérités des vérités ........... charge Kolossale ! ................. raison gardée ? ..................... potage ? ............................. gravité des gravité vs ?................................. onctuosité de face, de façade ? ................................... poussée des poussées ? ......................................... qui saurait en vrai nous expliquer sans plus attendre ? l'emporté ? l'empôté des ^éames ? le père Passé ? le podagre ? ...................................................................... on ne veut pas se laisser déborder ou malmener ou même bousculer ou pire vioolenter par quiconque saurait (en vrai) ce qui est ici des données finéales , genre Vérités post-pré, lutte finale, Vérité post-gambade, frai ! On veut :DIRE ET DONNER, COLLER ET FAIRE , CHERCHER ET COMPRENDRE, ALLOUER ET MISER, POINDRE ET POINTER, CERNER LA CHAMBRE, LA DONNÉE DE BASE, LITS FAITS (BIEN FAITS) , DONNÉE D'OMBRE (D'AMBRE ? ) SUR PAPIER DE PLANTE ; on veuut toucher à une déoité le pré passé , et cette déité peut-être ça xserait ... la Chance ! Déioté-Chance ! une sorte de donnée de base, genre tracé, qui nous expliqueraéit par où passer pour en vrai s'en tirer ! loa chance-déité serait , ici (mur des abris) ce qui qui sait ? en vérité pourrait peut-^tte nous donner ou octroyer une sorte de chance au passage ! grattage ! parade sarde ! point fde croix et ça y va, on passe sans embages ! On veut toucgher à ce qui est derrière la paroi ! on veut toucher sans discontinuer à ce qui est, à ce qui se présente, à ce qui naît, à ce qiui montre le bout de son nezb ! On est ....................................................................................................................... nzée fée ...... fée des prés des ombres portées ........ on aime cocher ! toucher ! coller ! percer ! Dire et monter ! On veut grave se placer du bhon côté et pezrdurer ! côté Chance ilm semblerait ! peut-on y vcroire ? peut-on raisonnablement comprendre les données (ici) du sangversé , donné, alloué à une sorte de .... féminité de base (rage) des données frontales ! ? On cherche ensemble ! on ne veut pas lâcher la bride, ici tracé, d'une sorte de .... gravité des gravités ? romances achevée ? chants sales ? propreté ? On trace ! On trace sur paroi de base les bêtes sur pattes ! On nveut en vrai traiter ! On ne veut pas se laisser débordreer ni embobiner, ni emberlificoter , par en vrai Icelle Déité des DXOnnées Finales ! On veut lutter ! Lutter de chez luter ! C'est la lutte finale ... dans les prés ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher
toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher
toucher et encore toucher aux nénés de l'Ambre ! Sainteté mal formée chasse la chance au passé !
Sainteté bien allouée fait la Fée des Fées tracée !
On entre de biais, ma&is on enttre : le passé donné, posé, alloué (contrebande) sur panier ! On est la fée aux données des prés ! herbes au taquet ! sarabande ! julmelage d'ailes dessinées ! ailes d'herbe et autres fleurs louées, chants de ronde (de carosse) ! On veut toucher ! grave chanter ! chanter pour toucher là est l'entreée ! chant = passage = tra&cé = pointe acérée d'un verbe accolé ! On veut toucher-cerner = chanter = dire ! Allouer à un dire un tracé = un trait ! et du coup ........................................... passer ! Passer sans rire ! passer de chez passer ! passer qui le nez qui la frise ! mais passer ! sans traîner ! sans faiblir ! sans se prendre les pieds (comme qui dirait) sur pré ! mais filer ! continuer ! aller ensemble (ailées) de l'autre côté = coté ..... pire ??oh , qui sait ? on ne sait en vrai ce qui est question pire ! on veut juste tater ce qsui est : le néné du pire ? On veut coller ! juste coller ! se coller d'emprise ! toucher = se coller = téter = cerner = dessiner cfomme à l'arraché et à main levée la bête de frise, l'antilope-née, l'ourse des prés, le bison nacré, le bâton sur pied ! champollion ! on est pas si con !on est fée des fées ! npas si connes en vrai ! on creuse profond ! on veut gravfe toucher et du coup on creuse ! on est à fond ! fée du pré à fond ! sans avoir le mel:on mais à fond ! On touche ! o n veut ! on ne veut que , que être au mieux celles qui ont (pour elles) une sorte de "Savoir en herbe" si tant est ! Chercher = dire ! donner = faire ! prendre = coller ! perdre = pondre ! chipoter = corrompre ! caler = coincer ! pisser = vivre ! caguer = porter, ici, sur frise, le tracé des fées ! On ne veut pas se laisser surmonter ! On veut , en vrai, s'envoler = voler ! haut les pieds ! hautes sortes ! fonds de roche ! fi des traits passés ! on monte ! gravfe o,monte ! on est la Fée du pré des roches gravées et du coup voilà on montre sans honte ! On veut :
TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHERR TOUCHERTTR À CE TYPE (EN VRAI) DE NÉNÉS QUI IL SEMBLERAIT SERAIT ICI (LA MORT) À NOUS ATTENDRE DE PIED FERME SI TANT EST ! QUI C'EST , QUI SOONT CES NÉNÉS OU : À QUI SONT CES NÉNÉS ? EH BÉ... ON NE SAIOT PAS ! on dit "la ùmort" mais la mùort sqqui c'est ? la mort post-pré , qui c'est ? On est nées fée au passage "tracé", (bouques et bouquetins) , à présent, à présent qu'on est mo,ntées, qu'on a gravi ici le muret, qu'on a fait le trajet, qu'on a grimpé, qu'on s'est envolée sur pré, eh bien .... on aimùerait beaucoup beuacoup connaître les données finales (terminales) telles que évoquées par chance en ce tracé post-pré de contrebandee. On est Fée faite (faite fée) , et à présent on cherche les données du Nombre ! Lequel c'st ? quel est-il en vérité ? quelle est la clé ? quelle est donc la clé des données post-rpré ? On est née Fée, on veut toucher aéux données post-pré ditesxd "surnuméraires", "allouées à de l"herbe", "surdimensionnées", "certaines ou certifiées", "souveraines / siouterraines", "cvhargées des contreées" . On est la Fée du p)ré cherchant (toute colère) ce qui est qui semble se tramer (tracer) sur pied face à elle ! Fée calée ! Fée docte ! Fée des F2es doctes ! On,n est La fée qui sait (saurait) dire et toucher loa Chose Profonde, le pAssé passé, l'ombre sur pied, le beau de l'ombre dessikné, l'armée des ombres nsur rocher comme gravée à main levaée par toute une cohorte d'hommes et fde femmes désignées, pour faire parade ! dessiner de près ! coller de rage ! s'empiffrer de données de base et ça le fait en vrai ! On ne vceut pasz se laisser berner ! On veut pouvoir continuer sur notre lancfée sans chyerc her à davantage se montrer (peut-^tre) mais aller, vives et enjhouées, sans faire plus que ça du char(me , vers ce trait ou trait alloué à uene sorte de tracé acté ! chance ! chance post-pré ! chance sur pied on dirait ! on entre ? on entrerait ! on serait néesb Fée ... au passé comme qui dirait ! retrouvailles ! retrouvailles des nénés ! on voit la panse ! l'antre ! les seins poijntés ! le lait rance ! la chance des données de trait ! vache de FRance, le français,
la classe montante, Cours Moyen charmant, le chant ! O,n veut coller à c e qui est ici, comme déguenillé, le passé montant ! allouer au chant le passé (lacté) des tourments dits "des prés et autres cham)s" . On veut :
TOUCHER DE PRÈS
COLLER ZAUX NÉNÉS
NE PAS SE LAISSER MONTER JAMAIS ICI SUR LES PIEDS
COLLER À DÉITÉ DES DONNÉES DE BASE
COMPRENDRE = TOUCHER ON SAIT
ROMANCE DES PRÉS FORMENT LA CHANCE "AU PASSÉ"
on entre ensemùble ! on veut toucher à ce néné de l'ambre = leNéné , des Nénés de France ! le FRançais ! Lait du lait ! petit lait des chances ! On veut colloer à ce néné nos loèvres prégnantes et sans plus tarder téter ! ne pas s'arrêter ! téter le lait des données naissa,ntes post -pré = post-mortem ! saluer ! cintrrer ! accoler ! pointer ! jouer , de l'orgue des fées, du fifrelin donné, du pipeau d'aeau ! On veut jouer ensembkle à qui perd gagne sur paroi de rage ! tracer ! tracer = donner = voler = monter = comprendre , ce qui est , ce qui ici est ; ce qui se trame ici et là (là-bas) pour de vrai : les nénés de l'ambre, le Passé remonté, la CHance au passa&ge, le ppoint de trait , la (sorte de) parade ambulante
à qui mieux mieux ! on entre ! on entre ensemble (fée !) . On nhe veut que c ela de f ait : entrer ensembkle sans trainer = sans chercher à plus que ça comprendre ce qui est dans ce qu'on voit, mais foncer ! foncer grave ! tracer ! ne pas c hercher à mieux c erner (de fait) les données de RAge, mais coller coller coller coller coller coller coller ,coller à ce qui se présente en termes de "Nénés" ! qu'est-ce que c''st ? qu'est-ce que c'est que ces nhénés ? eh bé peut-etre en vrai de fvrai nénés, qui sait ? ou alors le Passé ? le pasdsé de branche ? l'onctuosité du lait donné (aiutrefois ?) en france (le français ?) ? On est la Fé dite "du paszsé en France" , chant de fée de contrebande, on veut coller-toucher ! dire et donner, faire et allouer à un passé une bsorte de tracé post-pré qui serait de fait Une "Vérité des Vérités" s'il en est ! On est la Fée faite, Fée des Fëtes ! On est née sur pied en herbe ! vivacité ! finalité ! infirmité des fées en herbe, on dirait ... ou le contraire ? sur-douée ? accolée aux donnjées primaires ! sur-renseignée ? complètement armée ? On aime ! on veut aimer la Fée des Herbes (VErbe) sur pré ! l'aimer celte ! l'embraszer ! lui plaore ! la charmer en tant que , oui, on est (serait) en vrai ... fée nousmême ! Fée des fée pour lui p^lzire et le tour est joué ! deux ailes ! on naéît ! on meurt sur tere pour renaiotre aile = aile de fée post -cimetière , et en plus "informée" de ce qiui est qui semblerait devoir avoir à nous mater, plus loin, sur grèves, sur grève-muret, mur d'enceinte des rotondités d'un pré entouré ! On veut :
allouer ! pisser ! coincer ! charger ! posséder l'herb', le tracé nacré, l'embryo,n touché d'une sorte de poinçon né fée .. ou quoi de fait ? quoi d'auttre au pasdsé ? On cherche ! on est la fée des (diites) "recherches de tracés" sur paroi de grotte ! néandertalianité de base ! aurignaciennité de conttrbande ! un tracé de près ! bêtes de france comme possésdeées ! on entre ! on entre ensemble par la bande (d'un t§rait de lumière) en cette pierre ! on veut enttrer comme"possédées" (en vrai) et pousser ! pousser grave sur notre lancée ! aller ! filer ! nous envoler sur pré direzction la Chance ! le trait dernier ! cette muraille des données dites "des finalités", le pré (l'herbe = le v erbe) passé maiçs est-ce vrai ? est-ce vraimùent la vérité vraie ? p)eut -on croire en paareilles billevesées ou quoi ou qu'est-ce ? Sommpes-nous ... bébêtes ? con^-connes ? ,connes-connes ? bêtes comme ses pieds ? ,On dit qu'on veut toucher mais est-ce en vrai quelque chose de ... raisonné ? sommes-nous armées ? armées sur pré (pieds) comme l'esxst (le serait) Celle-qui-sait ? On a honte ! on a ou on aurait honte ... ou pas ! car voilà : on a passé la porte, on a passé la roche , la paroi de roche, on a posé ses fesses sur un pré, on s'est redressées, on s'dest commê redressées en Fée;; on est devenues Fée du pré et c''st ainsi qu'on s'est comme retrouvées embringuées dans une histoiire déjantée de fée des prés cherchant Mystère à dépiauter comme une bête chasszée, tuée, aimée, à cuisiner ! Belle affaire ! On veut (on voulait) toucher à une vérité post-cimetière on dira que c'est gagné ou pas loin de l'êrtrtree : pas vrai ? On cherche ! on cherc he à gagner le lieu des données post-pré, cet endroit des fées p)assées, des fées qui sont ou qui seraient passées derrière le muret, la murette, le mur des FInalités "pas bêtesz" ou si, au contraire, bêtes ? ON veut toucher ; -on veuyt grave toucher
On veut grave toucher
On veu!t toucxgher
On ne veut pas se laisser démonter par une Autorité post-cimetière qui nous hara,nguerait sans cesse, nous ferait baisser tête, nous imposerait nde nbous taire, ne p)lus parler, ne plus jamais la ramener, nous taire sans tarder ;... mais, comment nbous taire quand "on est" du Verbe ? car on est du verbe ! on est nées fées de VErbe commê alloué ! On voulait pisser, chier du Verbve mais en vrai on chie de l'herbe ! On veut coller à Déité des eLfes ! treacer ! tracer sur p)ré ! charger = foncer ! toucher = passetr, qui son Verbe, qui son ... Verbe, qui son ... Verbe , qyui son ... Verbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! en effet ! seul en vrai le Verbe peut passer ? wseul en vrai le verbe passerait son nez entre les nénés , les nénés nés ? Qui sait ? qui le sait ? qui saurait nous informer ? Le verbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! le Verbe des prés ? on cherche ! on veut touchert à cette D2ité des données en herbe ! le Verbe ? le VErbe alloué
à une clarté
post-mortem, pourrait de fait passer et perdurer au-delà du près sous forme de donnée genrée type Ailes = F2e, F2e des Prés passée ? on est comme sonnées ! on cherche à cerner( ! on veut en vrai grave toucher à Déité dite "des Nénés
surnuméfraires" ,
sein donnév = lait = denrée = VErbe Nacré = ëtre ! sainteté en herbe ! pingre ? satanisé ? poussé dans l'herbe ? trébuchet ? On veut :
Dire-faire, COller-donner, craindre et ne p)as craindre, donner et ne pas donner, saouler et nhe pas saouler ! Faire ainsi que l'herbe soit du vErbe aux qualités certaines en termes de données "superbes" , vives clartés, sainteté des saintetés, chants de la terre . On veut tracer tracer tracer sur p)ré un sentier menant peut-être à ce trait des fées dans la roche finale donnée ! fenêtre ! feu de l'être ! LE pAssé est (re) né qui aime nous voir arriver ! On est celtes ! saintes ailes ! Fée sur pied sachant voler du fait de leurs ailes collées ! Fé des fées sur préb ... forment la jeunesse d'un dire auttrement (sans elles) mort-né ! c'est un fait dit "de prière" ! on sait ce qui est : on est AILES ! Fée sur pré ailée s savent se plaire , compisser, pisser, s'aimer de près, se lécher, se plaire genrée en tant que ELLES au débotté ! saintes fées des post-données pro-frontalité ! On veut aimer la Fée pour ce qu'elle est : deux ailes ! deux ailes allouées à un trait de VErbe , ce treacé nacré, verbe d'aile ! d'e ntrée ! de glissemênt de fait des données (à jamais !) entre ... deux briquettes ? ... qui dit mieux ? ON aoime ! on veut aimer ! on veut aimer l'herbe = le VErbe, le feu, l'ombre sur Dieu , le pieu, le pot de cendres, l'estocade terminale, l'embrassade. On veut le Feu = le Pieu ! CHarge mentale ! On veut dieu = la CHance = le tracé ! chance au pasdage ! anfractuoisté des chances ou dite telle sur meessages ! On veut aller .................................................................................................................. coller ! ............. donnner ! ................... filer ! ......................... accueillir la F2e en ces cvontrées verbales : densité ! ......................... pré aux données données .................. le verbe en vrai est dans la balance , il est La F2e de FRance (ici de FRAnce) saturée .................................. ?une poussée hors des limites de la rage, des données maussades, du tracé sauvage : embardée .................... musicalité frappantec, passante ...................................././....... on dirait ! ....... on veut comprendre ici (de fait) le VERbe, ce qu'il est ! charge de branche , ........................ musicalité muséale , ........................ pointe acérée comme à la pa r ade ? ;;............................ portée des portées ? une sorte de passé acté qui entrerait de rage en ces contrées finales (pourrait, lui, entrer ) ? ..................... tracas d'ange , .................... points de
poihnts dee passage ? ...................................... pilosité (de base) post-prandiale ? ................................ chereté des denrées de base ? ....................................... lait aciodulé ? chant sarde ? ....................................................................... chant des ponts ? des fronts ? casse-bonbon ? .......................... pesage ? ...................... court-bouillon ?........................................... verbe du couillon ?........................................................... couillonne au melon ? ........................... poinçon ? poinçon des poinçons ?.................................. on veut comprendre ! On cherche ensemble grave à comprendre , les données de base, le tracé, la promenade sur pré, le don de soi quyi serait§ effet (su r paroi) de bêtes poussées ! On est Fée du pré = F2e des Faits ! On aime tracer = dessiner des bêtes, qui enjouées qui lancées, qui grosses de leurs traits groossiers, qui fines bêtes ! On veut toucher à une Déoité post-pré replette, la Donné ! Donnée des DOnnées ! PAsser ! passer la tête de VErbe ! chant larvé ! alloué à une pointe sèche ! accolé ! tracer = passer = traverser = dire et toucher ! toucher aux nénés , sans rire , et filer ! aller, continuer, ne plus nous arrêter et "survuivre pour de vrai" = perdurer, comme en fris e, sur roche insoumise ! Filer ! on veut vif toucher ! toucher Néné ! coller à ces nénés dits "du bout des ombres " ... mais, est-ce la vérité vraie ? à qui se fier ? qui dit vrai en quoi que ce soirt qui sezrait ? On ne dénombre ici personne ! On est Fé2e d'ombre ! On vole sur roche (octobre, novembre , décembre) puis la chance ? le p)azsé comme remonté ? le tracé ? le pied ???? Le dire nacré ? On veut .... :
toc-toucher = faire toc = toquer !
on veut ... :
dire sans se moquer ! Pointer ! pisser-chier sur herbe du pré, vache qui pisse, bête à bouse douce ! "bouquetines à la sardine ! bouquetins au romarin !" on est comptines ! vivves et riches ! chants de rive ! piscvines !
piscines ! piscines aux eaux vives ! chants de Chine ! Embruns ! ON veut ... :
TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCXHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER À DIVERSES DON,NÉES DE TYPE DONNÉE ALLOUÉES À UNE (SORTE DE) MAINMISE SUR UN PRÉ, DE TYPE RAPINES ! On veut grave cerner les données de Chine , Chine Cendrée, Chine des CHines, Chine des fées aux envies de Chine ! On veut toucher à une D2ité de CHine (provenant de CHine) et tracer ! passer ! passr le nez ! mains de fée ! oeil donné ! loe passé des entrées sur piste ! On est la fée de chine ! louée ! adulée il ne faut pas exagérer, mais comme aimée, aimée de près, touchée, cernée, dessinée commerb qui dirait ... insoumises ? on ne sait ! ON chervche à toucher ! à cerner de près les données de frise ! collaboration, sur pré, entre elles, des bêtes à foison ! Commodités ! fortes pensées ! bêtes-fronts ! p)etit p)atapôn des frises genrées sur paroi de groote masquée ! amidon ! poison ! poinçon ! piston ! sortilèges d'abandon des cxharmes , pensées sales ! dons de fronht de rage ! le poinçon ton sur ton , crève la panse et entre ! mort-don ? On veut comptrendre ! on v eut toucher ensemble le muret du fond, tracer à l'arrache le nom, qui serait Un nom , Nom
d'un Homme des poisons,
mort D'homme
à califourchon ...
touché des armes ! mort ! il fond ! devient tendre : terre arrable ! corps de base des moissons ! Et nous voilà sardes ! On veut comprendre ! on veut toucher ! on veut aller de base dans un p)ré courir de rage sans trainer, et ... gagner sans faute le muret
"des fonds de grotte" , "muret des murets", chose docte ! le Passé ' PAssé a&ux Nénés ! L'emportée- des emportées ! Le fond des tranchées ! en amont ! Amont ! Amont ! Amont ! nAmont ! Amont !
On veut collert à une sorte de donnée d'amont ! Coller serrées ! se coller le fronht ! pôusser ! bélier ! bélierr du front ! bébé ! poussée sur cloison ! pont ! on veut passer ! pousser-passer ! dire-allouer ! tracer-percer ! contraéindre , une sorte de donnée genrée, à traverser le fond du fond des données d'herbes ! Le pré : le passer ! et du coup foncer , filer grave, sans nous retourner ! chercvher le chemin le plus large et foncer ! colloer ! pister ! tracer ! monter ! monter de base ! monter de rage ! traverser le pré et de fait aller jusqau'au plus haut en vrai des données données ! coller ! coller vif ! être et pouusseer, charger ! bélier ..............................................................................................................................................................................................................................!.................................................................................... aimer ......................................... dire sans rire est difficile .............................................................................................................././....... même le décès ........................................................................ l'épopée des tracés victimes ............................................... la frise, le passé ! .............................diffiçcile de ne p)as en rire c'est un fait ........................ pi)scine ! ....................... pisse en Chine ! .../......................................./.............. on vibre ! ......... on s'échine ! ......... on va vite ! .......... on file ! .............. on est née Fées de CHine sur tracé donné ! ......................././........ alloué à une emprise (sortre d'empirise) sur paroi de Chine ........... accolées ! ................................../.........une virée ! ........................... bousquetines ! chevales poussées! bisonnes emportées ! bufflettes au taquet : la Chine ! la beaité des ires ! ..................................................././.ire à rire ! ............................ pointées ! touchées ! collées ! dites ! surprises ! comme collabées ! dires collabés trouvent§ sur pré les données de CHine ! SAINTETÉ ACTIVE ! cendres sur pré, vifs tracés, chereté des denrées ! ............................................................... on veut toucher ici ensemble vif ! )à elle, elfe ! elfe allouée à un muret ! toucher de chrz toucher et suivre le tracé tracé comme à mzain levée par une Féede piste, ce tracé des Fées ou dit "des fées" , est le tracé à suivre sans traîner ni tergiverser ou hésiter ! suivre sans chercher à plus que ça cerner ! Aller ! pistonner ! coller ! dire etfoncer et du coup .... percer ? qui sait ? percer muret ! chanter ! chyanter sans traîner ! chants nés sur pré ! Les chants dits "du pré" , vivacités, dénis, volontész ancrés, chine ! Chanter ! Chants des traits ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchet toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchezr toucher toucher toucher toucher toucher vtoucher toucher toucgferr à cevtte DéITé des D2ités dite "NÉNÉ" ! NÉNÉ DES NÉNÉS ON DIRAIT ! NÉNÉ À LAIT ! DIRES LACTÉS ? QUI SÉAIT ? QUI SAIT CE QUI EST ? QUI sa&ura révéler ! chanter ! instruire ! déplacer le vrai ? conduire ! Aider à nous porter ou transporter aéu)-delà du rire ? des gaietés du rire , dans un champ ou pré dit "des données hors rire " ? qsui ? qui peut ? qui connaît ? qui sait ce qui est (existe) au-delà du rire ? au-delà des dires du rire! qii connaît ? Qui peut nous aider , nous accomp)agner, nous donner la main comme un fait exprès (comme qui dirait) et sans (pôur le coup) la moindre hésitation ou animosité quelqconque ? ON veut :
être sur pied celle (fée) qui sait (ici et là) ce qui est en vrai , qui nous concernerait de près en ce qui est des données fluides ! chasteté acide ! sainteté liquide ! finalités des finalités on veut touchyer ! on ne veut pas passer à côté mais grave de fait toucher sans désemparer ! ne pas (plus) rire sur pré mais conduire ! conduire notre dire sans rire en ces contrées (mordorées ?) des données post-pré, post-praireie aux fées, post-dires alloués alloués au pré (au pré d'herbe et autres fleurs acidulés) ! tracer-traquer le verbe ancré ! glisser ! glisser vite ! nous placer sur pré de manière à pouvoir, de fait, transiter rapide, en ces contrées du bout dee roche, à l'arraché il se'mblerait! transiter = traverser = passer = toucher ! on ne veut plus attendre mais tracer ! couler, se donner, pisser ! toucher aux nénés ... du VErbe comme qui dirait ! tracer = donner = faire = dire = pousser = charger = comp^rendre =séparer (de force) le grain des données de l'ivraie gravée ! Pousser = pointer = coller =faire = charger = allouer au VErbeb les données du Rire mais comme déplacées ! Pousser = pouffer ! Dire = rire ! foncer = forcer ! prendre = vendre ! compter = coopter ! pisser = vivre, sur pré, de son rire à pouffer ! On veut :
TOUVCCXHER TOUCHER TOUCHER
DIRE DIRE DIRE
POUFFER POUFFER POUFFER
COLLER COLLER COLLER
ÉTRIENDRE ÉTREINDRE 2TREINDRE
PISTONNER PISTONNER PISTONNER
PONDRE PONDRE PONDRE
PISSERB PISSIRER PISSER
CORROMPRE CORROMPRE CORROMPRE
CALFEUTTER CALFEUTRER CALFEUTREER
CONSOMMER CONSOMMER CONSOMMER
ADOUBER ADOUBER AFDOUBER
PORTER PORTER PORTER
PORTER BÉBÉ PORTER BÉBÉ PORTER BÉBÉ
ENDEUILLERB ENDEUILLERVBENDEUILLER
VIVOTER VIVOTER VIVOTER
SUIVRE ET COLLER, SUIVREV ET COLLER, SUIVRE ET COLLER, AU JARRET, LA BICHE-FÉE, LA BÊTE CENDRÉE , LE MOT DOCTE SUR PIEDS = BÊTESDE TRAIT ! on veut toucher à
X bêtes des prés de type genrées, fortes données, masses folles, cohortes au pas chassé ! Coller à une sorte de troupeau de fauves ! alloué à un e roche = dessiné-gravéb par qui sait, par l'homme-femme des poussées et autres transes au pied levé ! On danse ! on est da&nszées ! on chante ! on est chantées ! on entre ! on entre da&ns l'antre des fées ! on veut toucher pitance, filer, nous envoler (monter) vers les données des fonfss des fonds de rOche DUre, et Allouée au Passé de Bure ! Sainteté des prés ! Charges nées sur pré aux fées ! On veut grave toucher ! toucher aux nénés ! nénés diurne's ! mâtinales vulves ! points et treaits sur roche de fée ! On veut coller !
vivre et aller ! compter ! co:mpter les donnéesb! ............................................................................................................................ chercher ! .............................................. du moins -essayer .............. sans exagérer .............................................................. compter dsans traîner ...................................................DIRE ...................................NOTRE DIRE ................................. u ne POUSSée .........../................................ poussée des poussées .................... actives ................................. frappées .................................. accolées ............................F2E /.............................; FÉE DEDX FÉES ACTIVES ACCOLÉES, POUSSÉES À , COMME QUI DIRAIT,; PASSER, PASSERR VIVES (EN VIE ) À TRAVERS ....... EH BIEN CE TRAIT DIT "D'ANFRACTOUUISTÉ" DES DONNÉES FINALES (DES FINALITÉS) ............................................ VERBE DANSANT FILANT........... Musqique des données sur frises.............................................. on veut vivre ! toucher ! percer ! comprendre ! allouer ! fermer ou au contraire ouvrir (en grand) son clapet du rire', rire endiablé ennjhoué, qui est le Rire des DOnnées de PRé , mais quelles siont-elles pour de vrai ? ..................................................................... du lait ? du petit lait ? Pisse ? peace ? ............................................... paix ? pets ? ......................................... cul et chemise avec la mort donnée , VErbe ancré ? MUSIQUE DES FRISES AU D2BOTTÉ ?? MUSIQUE TRACÉE , ALLOUÉE, SZOUMISES À UNE SORTE DE MAINMIÇSE SUR PAROI DONNÉE ! MORT À SATIÉTÉ ! CHEMISE ! BURE DURE ! MORT D'OMBRTE ! POINT DE FÉE ! CORNES ! CORNES DONNÉES ! COHORTE À CORNES SONHT TROUPES DE FÉESZ , DE FÉES ALLOUÉES À UNE SORTE DE DONNÉE DE ROCHE GENRE : SALUBRITÉ, SAINTETÉ, SONDE, PORTE D'ENTRÉE ! On veut coller à cette chose d'une sqorte de Passé passé , ou comme passé, à travers la roche, en termes de données genrées : fées ! frées d'herbe ! verbe-fée et ça va le faire, qui sait, à jamais ! on aimerait ! on voudrait grave pezrdurer ! ne p)as trépasser ! charger romance, dic-vinités, gentes dames au débotté sur pré, franches flammes ! Pisotonner ! pistonner sur pré jusqu'au néné ça serait .. bath ! super bonne idée ! Du genre de celles qu'on voudrait endosser sans hésiter en tant que Fée des prés ! On aime toucher ; traverser, se rapprocher, aimer ! On adore en vrai se rapprocher (grave! ) des nénées ! Verbe' ! Verge au taquet ! verbe en herbe se serait bgrave faéufilé à travers les pierrres , pierres t§ailléesz du muret dees fées , les dernières ! Fins des traits ! le dernier poème ! le Passé plombé post -pré et au-delà .................. le VErbe ? Verbe en herbe ? ................................. qui nous croirait ? ..................................................... qui osezrait ? ............ qui voudrait ?............... qui aimerait et nous soutiendrait ?....................... en dehors des fées ........................ les elfes ? .................................. les eêtres allouées à une sorte de Divinités dite' "des prés" ? .................................................................?.?.?.?.?........................................ les bêtes ????? .............................. les bêtres ? ....................................... les bnêtes bêtesz ?..........................bêtes à lait sans hésiter ? .............................. la Bête sur pied pôst -pré ... ? .............................. à savoir le VErs ? ...... Verbe-vers ? Pieds acidulé, nacré, enjhoué, tracé, comme "musiqué" si tant est ! .............................. qui sait ? Verbe d'air ? Verbe des prés sachant pousser, plus loin, son tracé de fée ? ............. poinnte ? pointe de VErbe ? ....................... poupée ? poupon nacré ? poupe de poupe sur paroi rouge ? .......................................................... on veut toucher à ce néné des bouts de poupe ! ?............. coller = donner = faire = comprendre = cerner = coincer, ici même, un dire sacré , ou sinon sacré alloué (accolé) à du Verbe de fée ! bVerbe d'herbe en herbe ! sainteté ! chants d'elfes ! portées ! ponts de roche-né ! ponts d'orgues et autres chants poussés par (ici même) les fées ! les données rouges ! le passé composé de gouines rouges et autres soeures en sororité ! pissadouces ! volontés ! tracés de fée ! gravures et marbrures ! pointes salées ! vouivres des prés genres bêtes rampantes et autres vouivres de contrebande ! vivacités !chants sur prés , chants fols ! cornemuses etb pipeaux des hauts ! On monte ! on veut toucher la roche, le tonneau, l'ombre, l'animal des hauts dont le nom est .... faux ! faucille et marteau ! tonneau ! poteau ! croc ! cohorte ! chameau ! porte ! porte à numéro ! porte ! .............................................................................................. porte des doctes ...................................................................../........................................................................ un moineau .......... l'oise au ........................... ombre ..................... ombre sur peau .......................... compte .......................................................................... poil au dios ! .........................................................................................................................././....... ombre de l('ombre ./.......... un tonneau ? une sorte de tonneau, une sorte de donnée humide, vin de CHine, au tonneau : eau ? eau de CHine ? vive' ? eau vive du tonneau et ... ça re"nd futile' ? On veut grave aller en cHine, ......................../.. cerner, toucher, coller, aimer, boire au tonneau de l'eau de peaéu ! Vivre ! ..................................................................... sonder ................... pousser ....................... coller .................... cer ner ............... chercher ............................ comprendre ce qui est qui (de fait) va et vient
en tre ici ce pré (pos-mortem) et là-bas la b ase ! on dirait ! la paroi-parade, l('ultime muret qui en vrai serait un muret de rage' ! inter-cité ! intervalle ? on veut co:mprendre = passer ! aller de rage en ce muret ! comprendre = toucher = passer, et du coup voir ! voir de près ce qui est = vivre = poursuivre = cerner = pointer' = charger = dessiner (de chic) la bête des prés : bisontine ! bouquetine qui sait ? buffle au mot près, la CHine ! l'envoloée des rives ! Fée des prés sur pré de Chine on dirait ou il sembvlerait ! On veut cerner-pousser , dire et coller; ,, pousser-cerner = dire, dire ce qui est qui est en ces contrées post roche ornée, à dsavoir un pré, pré docte aux données données de type Betes des prés, et, au delà, au-delà de ce pré, les données "rustiques" ... frises ...... fonds de roche grise ....... la moisson ....... la pazssion ............ l'ire des données données, des fées envolées ............. l'ire-surprise ......... trait des fées sur roche ainsi posée ou déposée ........... ........................................................................... et autres anfractuopsités de mise ..................... gentrifiées ! ............. actées ! ....................................................................................... inscrites et on peut passer ! ............................. mais comment passer ? commùent dire ? comment de fait pouvoir tra&cer en cette mire son passé passé .? Qui sait ? qui , comp^rend l'ensemble des données ?
c e muret de fond de roche, ce pré délimité, cette rotonde aux fées et autres bêtes de tréit, ce petit lait comme espéré la roche (finale) pa&ssée, cette sorte de tracé (de va et vient) pré / muret , qui , de près , ressemblr'reait à une sorte de "tracé de fée", trait fin, trait de pet pour ainsi dire, pffffffffffffffffff sur roche ou sur rocher, un pet de nonne ?
Un pet des pets ? chine au taquet ? on ne sait ! on veut toucher à ces nénésc du bout du monde ................. le pet passé ? On est doctes, hautes, heures hautes, traits, fée, fortes, fées fortes hautes treacées.... comme un p)et de nonhe ! pfffffff aéu taquet, comme espéré ! pfffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff de roche surdimùensionné ! mort-gavroche ! sainteté des sainteté ! insalubrité et salubritéb en pocxhe (deux données pour une roche) et ça irait ! ça le ferait ! vent§ docte ! vent frais ! chants des prés post-pré ! versifiçcation des données allouées à une sorte de Passé de porte !
15/11/2024
On regarde. On veut cerner. On a grave ensemble envie de cerner. On ne veut pas se disperser mais en vrai rester bien soudées, accolées, pr$^tes à comprendre au mieux les dobnnnées de roche : qui on est, qui on est pas, ce qu'on veut toucher ou pas en cette chose d'une sorte de ... rotonde ? qui sait ? il se pourrait mais, en vérité, on ne sait pas vraiment de quoi il en retourne, en ce
"petit monde" d'une sorte de prairie aux fées. on est nées fée au passage du trait et nous voici comme "remontées" à toi à moi sur pré prêtes à tracer, courir, voloer, monter, cueillir qui sait, chercher à pour le coup nous transporter ou nous transbahuter ensemble jusqu'au bout du bout de cette allée des orangers ! La chose est actée ! Parole ! Parole accorte ! sentiments sacrés et autres mots de la sorte ! On a envie en vrai de nous porter ou amener ou approcher ou présenter, au plus près des ... Nénés de PArole ? Est-ce que ça se peut ? que le lait des roches soit de la parole et du coup on colle ? On est ensemble deux pour une, deux ailes tracées pour une Fée des Fées. On veut grave s'avancer et comprendre ce qui est, ce qui se voit, ce qui devant soi semble (semblerait) vouloir se tramer ! On est là pour ça ! parole ! parole parole ! Vois ça et enttre en moi (ce genre de choses) . On veut toucher ensemble "toi et moi" à cette chose des données frontales comme offertes en v rai , toucher = dire, donner = cernber , faire = peser, peser ce qui est ! On est nées Fée au passage du trait comme à la parade (nuptiale ? qui sait ?) , on trace ! On file ! On charge ! on s'applique eznsemble : on est accolées . O,n veut en vrzai touchger )à cette sorte de romance racontée ou sinon raco,ntée chantée, sifflotée, murmurée, données (de bonne grâce) sur place (un pré), et pour le coup on en avance dans les connaissances d'une (sorte de) para-de des contrées , champ de mars, pré alllé, bonne graine et fleuirs dites "de carême" , on sonde ! on veut toucher toucher toucher toucher à cette sorte de donnée, ici déposée, qui serait ... eh bé oui : graine ! vive charge de pré ! blé d'herbe ! drôle de tracé en herbe comme qui dirait ou, sinon en herbe, en ... vrai de vrai ? hum ! On veut aller jusqu'aux nénés mais sans traîner ! On veut toucher, on veut grave toucher ! On ne veut pas se laisserc aller à musarder mais tout au contraire filer à perdre haleine si tant est etb ne pzas reculer, ne jamais revenir en arrière, tracer sur les allées du Verbe, compter, pisser, toucher aux nénés dudit Verbbe ça se pourrait, en tous cas on l'espère ! On a envie nous deux (ailes) grave d'y aller , comme d'une embrassade ! chahuter, toucher, titiller la roche finale = l'embrasser sur gages ! On veut :
DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE ICI MÊME À DEUX CE QUI EST POUR NOUS QUI, À NOS YEUX, SE PRÉSENTRE, SEMBLE ÊTRE, RESSEMBLE ETC.
On veut grave cerner, un certain nombre de données de base ! Ce qui est est ! Ce qui n'est pas n'est pas ! On voit ça ! On acte ! Onnemballe ! On veut grave comprendre (ici paroi) la chance qu'on a ! On est comme adoubées de bonne grâce sur le tas et du coup on chante = on entre en transe ! on envoie du bois ! On vole sur "paroi dxes traces ", on est là ensemble pour comprendre les données de rage cevqu'elles sont en vrai , cev que ça représente en termes de paroles sardes (?) ou sinon sardes sales ? On cherche ! ON est nées Fée sur place au pasdsage (on le sait) mais quoi on est en vrai en tant que telle ? sommes-nous des elfes ? ne sommes- nous que, fée des prés ? sommes-nous bnêtes nacrées , Bêtes surnuméraires au vent mauvais et la chose est cfomme (dès lors) entéri née ? Sommes-nous du vVerbe d'Herbe à brouter sur pré ? On est nées Fée Au passage tracé, on voulait en avancer eh bé on peut dire que de fait c'est fait ! on est passées de l'autre côté, lesbiennbes (ça se pourrait) pour de fait connaîttre ou mieux connaîtrev les données finales, ou terminales, d'un pré, d'(un champ de luzernz tel qu'il nousv est donné le mur passé ! On est accolées car on s'aime = on sème ! On est nées fée, sur herbe, accolées ! On est Ailes de fée dès lors accolées sur herbe ! Onn est la fée, aux ailes accolées, sur herbe et on sème ! On est Fée des Fée ensemençant le pré ? ON cherv che ! On entre ! On veut toucher = comprendre ++ ce qui est, en cette chose là-bas allouée à une sorte de muret dernier, soit de dernier muret dde cimetière, mur des murets, muraille allouée à une fin de pré ! cherchons (grave !) à comprendre = touchger ! quiest qui en ce pré ? qui regarde qui ? qui on est , qui on est pas ? on est la Fée des Prés, cherche-misère peut-êtrte pas mais fière, remontée, prête à casser (sur pré) les données Fastes, comprendre, entrer de force en cette chose d'une sorte de danse (sur pré) folle ! casser les traits ! charger = traverser ! toucher toucher toucher toucher à cette chose,
d'une Parole !
vErbe allé !
verbe des pré !
verbe-colle ! Onn est Fée de porte ! On est entreées comme "par la parole" = trait" et, à présent, vas-y que je vole, saute, cerne, comprend, chev auche, cherche grave à pour le coup cerner un certain nombre de vdonnées d'époque ! On veut toucher à une (sorte de) vérité-chose = actée, avérée, concrète et pôsée ! On ne veut pas lâcher le néné dit "des convenances " : on veut téter ! finaliser ! comprendre ! boire du lait de contrebande ! téter le néné = cerner = toucher à une vérité du pré , soit "paradisiaque" si tant est ! Qui sait ? on est ensemble (fée) allouées, à une sorte de .... parade Niuuptiale sur champ de blé , la danse ! Le tracé des fées sezraiot une danse ici déployée ! On est Fée des Fées du tracé nomade ! On veut toucgher toucher toucher à une D2ité des Grâces ! d'un tracé d'Eszpagbne, D'Italie, De France,-Navarres tu m'as compris : décendance ! on danse ! on est éprises ! on est comme prises ensemble sur le fait d'une sorte d'éacart de conduyite : danse ! On veut, ensembkle, dire et donner, faire et touchger, poser et cern er, pisser et cghier, se laisserr aller à faire-dire ce qui est en ces contrées de charge soumises ! Vive le tracé ! vive l'acmé des données ! vive l'alacrité et les données de bout de roche ! On veut toucher ensemble (ailes de fée) aux nénés d'espag$ne ! à la trace lacté, comme déplissée ! aux charmes des traces et autres gravures ! On enttre ! On entre ensemble = en transe ! On est comme accolées de rage ! On ne veut pls se séparer mais (de fait) rester ensembvle, comme collées à une base qui est base armée, charge docte, champ de blé, cohorte ... quoi d'autre ? On veut aller ensemble ainsi "montées" jusqu'aux nénés ! On ne veut pas se laisser démonter mais tenir bon ainsi accolées comme on est et ça le fait ou le vferait ... jusqu'aux nénés ? qui sait ? On pousse sur le champignon ! On veut tracer tracer et vite fait nous propulser comme qui dirait au plus profond, au plus lointain, au plus excentyré pour ainsi parler et on seraiyt du coup comme invitées à toucher ou comme toucher, au plus près, les Nénés de l'Ombre, du Passé des ombres, du Passé tou court quyi sait, ce tracé d'époque,, chants doctes, vies passées abandonnées sur roche mais en vrai on s'en rapproche ! on est nées Fée sur pré des données folles mais en vrai on est accolée, on tient parole, on cherche à bien cerner les données profondes, à les rassembler, à ne jamais nous disperser, à garder raison dsans l'adversité de ce cham (ou pré) post-oraison ! On veut :
toucher toucher toucgher toucxher à deux nénés de roche : ça et ça de poche ! On enttre ! Entrons ! Faisons force envolées de roche ! Creusons ! On est ailes de fée ainsi accolées, on vole ! On veut toucher = tracer = dire = faire = monter ! On a envie de fait ensembkle sans traîner de, pour le coup, ne plus nous arrêttrer mais grave continuer, à creuser, chercher, tracer,essayer de nous approcher le plus possible de la Vérité ou cd'une Vérité de Roche si tant est ! On veut toucher à cette Vérité-Déité de Roche ! aller ! pousser ! cerner ! comprendre ! saturer de verbe ici même ce pré comme qui dirait ! Chercher à pour le coup nous propulser jusqu'au bout du bout d'un cimetière de données en herbe ! On veut aller = dire ! Faire et pousser ! chercher ! comprendre ! saturer ? donner ! fondre ,! couler ! passer ! donner de notre voix de fée ! chanter la Cohorte allouée à la roche : bouquetins de poche ? cghants de type sarde ? Comptines de base ? On est Fée faite ! = tracée ! on est la fée tracée post-cimetière ! qui on est ? la Fée ! le tracé ! Beêtes-mots alloués à une sorte de sentier dont on dirait qu'il est celui-là même qui nous mène ou nous mènerait au plus près des nénés dits "post-cimetière", nénés des nénés, nénés plein de lait de type ... herbe ? Verbe ! chant sacré ? On cherche ! On est Fée faite ! on est nées ! On est ailées ! nOn est grave p assées par la bande et nous voilà toutes retournées à l'idée de devoir renoncer ou céder , mais qui parke en vrai de céder ou de renoncer ? LE Verbe ? On le croirait ! Le verbe est le verbe des prés ! On est nées sur herbbe ou Verbe de pré ! on est pasdsées (post-cimetière) et on est entrées et on regarde à p^résent les données qui sont données en herbe (de pré) post-mortem ! on aime ! On cherche à cerner = toucher, aller sur pré à la rencontre (ici) des bêtes diverses, surnuméraires, déposées ou comme déposées par (on dirait) une sorte de Déité ou de DIvinité, qui serait ... du VErbe ? On cher c he grave à ensemble (accolées) comprendre (de fait) les données de branche ! On regarde ! on voit ça : bêtes de poids et autres bêtes cde romance ! Bisonnées de Rage ! Bisounours des cavernes sardes ! On trace ! on dessine instantané ! On chante ! On dessine sur muret la bête romanche ! On entre ! on comm-a,nde ! On veut ! on ne veuit pas laisser passer la chance de poiuvoiur cvomprendre ensemble (en cettre roche des parades) ce qui est, qui se présente à nous, de type danse, transe, chants fous, romances des trous ! sondages ! On est nées La Fée des passages doux ! On est Fée des Trous et autres cavités de rage ! on enfle ! on entre ! on devient massives et grasses de rage ! ovines ! fond de roche allusive ! On est comme passées de base ensembkle par un trou dont mle nom est "joue" ! On veut en vrai toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une déoité des déités on dirait, en tous cas voilà : on est entrées, on a "enflées", on est à présent toutess "remontées" sur pré ! on ne veut opas se laisser démonter ! on veut (grave !) tenir tête à tout casser ! on veut persisqter ! toucher au but suprême, qui est de connaîttre à jamais ou )à tout jamais le Théorème ! le TRacé des Fées , Tracé des Tracés et ça le fezrait (grave) sans peine ! On veut toucher = dire = prendre = conduire = connaîttre = cerner les données des Reines et autres célébrités ! Ce qui est qui est en selle ! Cheval sacré sait ce qui est ! chevale allouée à une Vérité sait de même ! Elles Sait ! Elles = Ailes, sait (savent) en vrai ce qui ici est qui se dessine à main levée sur roche cachée ! Femmeslles ! Femmes d'ailes ! Chants sardes ! colère et c'est un fait ! Ça pèse ! ça envoie ! On est la Féev dite "du Carême et des données données sur pré ". Chants des luzernes et aiutres herbes allouées ! On aime tracer = c erner, ici et là, en colère, à main levée, directement sur la paroi, notrte .... Haine ? NOS chants passés ? Notre Passé des peines ? Nos envies (de vie) chahutées , chargées, possédées ? On veut en vrai coller à une sorte de vision romaine des données et ça pourrait donner quelque chose de bien (comme qui dirait) en chemin . O,n est nées F2e des pré, on veut toucher à cette D2ité des Fonds de Roche ! lae Néné ? le lait ? L'onctuosité des zapproches lactées ? Le tracé en herbe et aiutres herbes à brouter ? Chants des prés semblerait correspondre à ce qui est, ici, tracé, en termes de pensées profondes ... On est la Fée-Cohorte ! Fée des prés ! On broute, on fonce, on porte la bonne parole ! Chants d'époque ! incrustations ! pelotes ! pâmoisons et autres tombages (ou quelque chose de cet ordre) dans les paumes ! On veut en vrai ici et sans traîner ... toucher = toucher = toucher = touchger à une sorte de pelote, sein de Roche ! le toucher la toucher ! Chercher ! cerner ! comprendre un certain ombrev de données rosses ! charger ! pisser à la ré ! toucher c e qyui est qui devant soi semble vouloir de fait nous approcher, nous cherchern ,,nous faire du pied ! merde aux nénés ? on ne sait ! On est accolées en tant que fée, on est accolées car on est Fée, on est grave collées, ailes de fée ! on est deux passées, on est passées en étant deux , car on est la Fée, aux données données de type Vérités des Vérités de pré;. ON veut :
dire et cerner, coller et toucher, faire et comprendre, aller et jamais plus nous retourner,
pousser et pondre, donner et sonder, porter et correspondre, aller et vendre, dire les données, lire les données, donner grave ensemvble en vrai les dites données "de la foi en ce qui est". On ne veut pas "charklataniser" ces données, mais en vrai et au contraire les accentuer en termes de données crédibles, fioables, solides, potrtables, déposables sur pierre d'église. On veut :
Donner ce qui erst des prés (herbe au débotté = verbe tracé) à cette sorte (ici) de Déioté Sacrée , chants de mise, chants gravés par une main de frise et autres mùains de Fée antique ! Qiu on est ? La Fée balistique ! Charge admise ! Poids de base sur paroi soumise à une sorte en soi de sarabande faste ! On envoie ! On veut cfomprtendre la paroi, les ombres et ramages, animaux des bois, des champs de passage, ours et ourses des Rois, Vent de face et autres souffles tenaces ! ça envioiioie ici bas car ça entre par là : trou de chat ! On passe ! On passe par chance ! Nous voilà de connivence ! On entrte en france , dsans l'antre, la paroi des Rois et REines de là, l'au-delà de là ! On est Reines en vrai de S aba car voilà : on enttre ! On y va, on ne traîne pâs ! on en avance grave au son de la Sambab !
Passons !
Faisons connaiossance ! creusons ! allons loin en cette sorte pour le coup de pré des Chances et autres Donnnées Sardes ! creusons le son ! la musique de danse ! le don ! On veut :
dire et coller, faire et aller, chercher et comme tyroucver, allouer à une romance une sorte de bonté tenace, sainteté ! On veut ici , qui sait ? aller jusqu'au bout du pré afin de comprtendre, cette sainteté ... cette sorte en v rai de sainteté ... ce que c'est de fait ... quoi cf'est ... quyoi en vrai ça pourrait êtree sur pré ... ce qu'il en est en vérité de cette saionteté post-cimetière ... est-ce de la bonté ? de la bonté-même ? un tracé de fé ? ch ants celltes ? vents données au soufflet des fées ? La colère ? sainte colère ? un tracé comme gravé au vent mauvais ? une chansonnete ? un son de FÉE ? Colère de fée sur paroi allouée à une sorte de donnée animalière ? On cherche ensemble icvi et là ce que peut-être ça pourraiot être , .... ou pas ..... car on ne sxait pâs, en vérité : on ne sait pas plus que ça ! ce qui est et ce qui n'rst pas, concernant les Fées, Fées de Sa&inteté et autres SEins données comme par la bande à une D2ité dite "Surnaturelle", mais l;'est-elle ? est-elle véritazblement surnzturelle ? ou comment est-)elle ? Chantournée des prés = naturell , comme une fée ? On cherche ! on cherche grave ce qui erst ! on veut grave cerner et pour grave cerner on a grave besoioin d'y aller = foncer = tracer = ne pas lambiner = filer fissa à tours de bras ! ne pas se retourner jamais de chrez jamais ! ................................................ jamais de chez jama&is .................................................... surtout pas ! car on ne sait jamais ! c e qui ejn vrai peut arriver ! qui peut nous faire tomber ou chutezr ou nous renverser ................. sur un pré ........ au milieu des bêtes ....... bêtes des prés = bêtes-mots de poids ......................... buffles tantriques ................. bisons vifs ..................... bouquetinnes vives ./............................. ouyrs des tracés alloués à une frise .......................... ourses des vivresc et autres denrées comme sacrées ...................................... chevaux de bois ............................ chevalines ivres sur toundra ! ça envoie ! ça ne rigole pas ! ça n'esst pas là pour faire comme si ... ou si ? c''st ? c'est un fait, que voilà, peut-etre, qui sait, ça fait ecxprès comme si en vrai la Fée existait sous forme de Bison F^té ! tracé ! fée tracé au débotté sur paroi de choix ? vivacités outrées ! transe ! trans-identités ! passages d'une vérité d'une roche à un rocher ! un rocher des prés et ça suffirait pour créer ici, une ... sorte de ... "petit paradis" dit "d'époque", genre "pré aux fées", "champ déifié", prairie donnée" , "un petit coin de paradis" ... sur paroi ornée .... on ne sa&it, on ne sait en vrai mais en vérité rien ne nous empeêche d'espérer, de tracern,, de dire à notrte gré, de conduire sur pré l'attelage sacré fait de deux ailes allouées à une sorte de donnée primaire , type "SAINTETÉ DES SAINTETÉS eEN HERBE ". On chgerche ! on, ne cesse de fait de chercher et ça lle fait car on est colère ! On veyut ............. trouver de chrez trouver ! ................... gfrave trouver de chez trouver sans discontinuer car on est fée ! frée des fées post-cimetière ! On est fée sur pré sachant chasser qui la haine qui l'a nimosité, qui la haine qui l'alacrité ! merde aux nénés ? aux nénés à lait ? qui sait ? on ne cesse de s'avancer, tracer, filer, chercher à cerner les données primzaires, le tracé alloué à une vgérité en herbe, chant sacré, chant des F2es = Colères rentrées mais bel et bien ancrées ! La Colère Entière ! ire allouée ! charge meurtrière si l'en est mais on ne sait ! ce qui est qui est ! qu'est-ce ? On cherche de pair ! on ne cesse de pair de chercher, en tant qu'on est ailes de fée ! ailes nombrées ! ailes comme numérisées ! On veut :
toucher, toucher , toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, ttttoucher , toucher à une Déité post-cimetière = lointaine ? peut-êtte ! On est consacrées !!! ailes de fée consacrées ! On est comme poussées à cde fait chercher à mieux cerner les données premières (primaires) en termes de données actives, vives, genre "matrices", ce qui est qui est. On veut en vrai ne pas abandonner mais continuer, sur pré, notre sorte de randonnée ! charger ! fgoncer ! pousser les portes ! essayer d'entrer, de fracturer, casser la Roche ! traverser ! passer en force ensemble toi et moi la Roche des Ombres et aiutres Danses de Saba ! Passer ! faire passer ! traverser ! entrer ! passer tête et pieds ! t§out l'attirail de fée ainsi accolé ! On ne veut pas rester à quéai mais de fait travezrsezr la roche donnée et du coup nous retroiuver (nues) sur pré aux herbes des données en herbe ! couillues ? plus ! plus du tout en vrai ,! nues de chez nus et ttransforméess ! l'homme a chuté (l(homme genré !) pour se retrouver (du coup) mort et entérré et nous voilà en tant que fée ! Fe'mmes au débotté forment la Fée du pré, l'homme cornu ! On a passé le trait et on s'est retrouvées, sans traîner, de l'autee côté, côté pré aux données données ; on est accolées = collées = ailes de fée ! chance ! notre chance ! on est entrées en transe ! chance des données de base allouées à une transe ! On veut :
dire et donner , faire et comprendre, cerner, éventuellement cerner ? cerner coûte que coûte ? On est nées fée en fait au passage du trait ! Verbe ancré sacré nacré calé ! On entrte pas à moitié mais ailées de fait ! Fée des herbes à brouter par telle bête des prés sacrés : b^-etes reines ! la chevale belle ! la bisonne rude ! l'antilope prude ! l'ourse aphone ! l'envolée des postes ! Le passé ? O,n est nées fée de la parole Docte ! fée des fées ! cohortes de (sortes de) réponses folles ! Chants de terre (sourdant des ténèbbres) ! On colle ! fée du fait que , en vrai, on est passées cohorte ! troupe fauve ! troupeau de peaux ! animaus-mots ! carriole ! les bêtes de mots ! Fée xdrôles ! pontes ! oeufs de trompe ! corroles ! On est la bête du troupeau, formant force ! On est belle antilope, bisonne en trombe, chevale des portes, ourses comme il faut, bouquetines des données de choeur, sondes et cohortes, On fonce ! On veut :
dire .......................................................................................................................................................................................................................................................... diire-char-ger, faire et allouer,; prendre et cvomprendre les données, ce qui est qui nous regarde ! ........ mle Passé ? Le passé qui tremble ? ;.............................. le Passé tracé ? qui on est de fait la mort passée ? Qui on devient en vrai ? FAME ? F2E des F2ES ? le passé nous regarde ou nous regarderait sans nous lâcher ? eh bé .... peut-^ttre ! on ne sait ! on cherche ! on espère trouver ! on ne veut pas se pertdre sur le sentier mais bien garder le fil d'un trait (ici ) de recherche, de recherche en herbe , agraire, tracé,sillon des fées ! On est née Fée car on est passées ! mort et enterré l'homme (genré) renaît doublé en tant qu'ailes de Fée (elles = ailes) sur pré ! Il sombre pour en vrai former terrreeau comme à toiut jamais, le pôvre ! du terreau de roche ! pauvre homme (asticot) ! Il sombre ! Quand deux femmes montent ! Hautes ! charge forte ! une sorte de tonneau de peau mais comme soulevé en force par .... une Forme Docte ? chant de ROche ? Son de flutiau ? Musique de Corse ? chalumeau ? On est montées sur roche au son du pipieau ! on est haut (hautes) ! On veut aller plus haut chercher le Gros du gros en termes de Données de Roche, Données Doctes ! On veut toucgher la Roche des Données FOrtes ! Données Hautes ! Haute POrte ! toucher ........................................................................................... toucher à ce qui est qui se présente devant soi comme une sorte de Paroi FInale,,Ronde de poids ! Chance ! on y croit ! grave on y croit ! On croit en ce chant sarde des parois, des Lois Finales (dites "de contranbande et de SA mba") . On voit ce qu'on voit ! On ne voit que ça ! la bande ! le tracé de choix ! pelade ! sabbah ! charge sarde ! catafalques et autres draps ! le Roi est là qui nous rtegarde ! Le tracé des fées est le tracé de choix : parades ! paradis "large", paroles de poids, chevales et tralalas sur façade ! REines de SAba ! reines de là ! REines en soi de l'au-delà à soi , sur pattes ! On veut comprendre la Sabbah, la Danse des RAges, Cornemuses et gamelan des astres, on entre ! on colle ! on pousse ! on est ensemble comme deux épouses sur paroi des Chances (charmes) et autres transes ! äme de la foi en l'au-delà à soi, on enttre ! Fée des Fées de contrebande sur tracé de bande ! Chargements sur pré ! bêtesz roche ! Fée tracées à main levée par (on dirait) une sorte de force ! On veut toucher ! toucher à Déité ! à pâreille Force des prés ! bêtes de somme ? tracé de pré ? chants de cohorte ? données des données comme allouées à une sorte de Divinité accorte et ça le ferait (de fait) pour une éternité de porte ? On est nées Fée car on est passées (de vie à trépas) direction le pré ! On a voulu eh bé voila, on est ! On est le bébé fée ! L'ombre de l'ombre ! touché coulé l'homme, une fée (bébé fée) est né ! c'est un fait avéré, dans la mort données ! On est passées et nous voilà toute transformées en Fée Forte, Fée des F2es surdimensionnée dès que consacrée, hé ! c'est ainsi que c'est ! On veut (on voulait) on a ! c'est fou ! Fée forte ! fée tracée ! chant de porte = données ! données allouées àun passage en force ? on est la fée de porte genre Cohorte ! On veut toucher à un e sorte de donnée haute ! chahutons ! pissons ! soyons folles ! folles de chez folles ! jouons ! ......................................................................................................... grave jpouons ! ne cherchons pas à nous calmer , traçons ! ..................................... filons ............... pistonnons de fait ........................................................... au taquet ça le vfait ! ................................................./.............. ne chercho,ns pas ici à tergiverser ............... on se doit d'y aller , filer, tracer, creuser, faire, dire, donnner, allouer, à une roche souterraine, une szorte de tracé de Reine : buffles et ourses cendrées sont nés et nées ! chantons haut en tant que fée leur avènement consacré ! filons ! touchons aux nénés en herbe des parois de fond ............................................................................................................ consacrions ! .............................. piousdsioons grave des sons genre :
SAturnales SArabandes
Colloons ! allouons donc à une roma,nce une moisson de sons de base : chants sardes ! chants de roche sarde ! chants doctes , chants de joie ! chants de pasdsage ! chants des bois ! sons de paroi ! On veut comprendre les données de base et les (de fait) mieux cerner de face ! Qui on est en v"rai ? L'âme ? l'âme du pré ? le tracé des farces ? Pou-pou-pidou de passage ? On chante ! Fée des fées sur pré des CHances allouées à une sorte de Romance ici ancrée ! enterrée comme qui dirait ! ON veut tracer sur pré un sentier, un chemin de rage, vers D2ité ! Déité des D2ités ! on regarde ! on voit loin sur pré l'horizon des rages, surdimensionné, alloué à une Vérité de base, sondé ! On court on voile ensemble ! Fée /.................................................... fée des prés vole ainsi emportée ............................... p ar une sorte de romance ...................... ici comme allouée à une sorte de Parade Grasse ....................... bêtes de bon poids de charge : ....................................... buffles ! buffles en vrai, au taquet, gras et gros de rage, romance ! ........................................................... F2E gravée comme à mzain levée par une femme des parades en transe et autres hommes mal couchés ! ........................................................ femmes HAiutes ........ Envolées ........ Soulevées ......... Portées par (on dfirait) du Verbe de Porte ! .................................qu'est-ce que c'est (le verbe de porte) ? eh bé c'est ça : l'ombre ! .......................................... l'ombre de l'ombre de l'ombre une fois tracée ! fée ! fée des fées ! .................... v erbe-fée ! .............. on dirait ! ............................ on veut toucher à une Vérité-Cohorte qui serait de fait une bête de pré ! ..........................................................................Bêtes hautes ! fortes ! accolées sur roche , attelées en vrai, comme jointes sacrées ! . ON est .. F2e de pointe ! fée des F2es sur pré donné !...................................................... on ne veut pas (plus) reculer mais en vrai tracer (sur pré), jusqu'aux nénés, les mots du Verbe ici incendié , comme allumé ou comment s'exprimer concernant ce verbe dit "endiablé" quand en vrai il n'en est rien car (on le sait) le verbe est de l'herbe ! soit de l'herbe verte ! herbe dxe pré ! herbe verte tout ce qui est ! verte de chez verte ô grand jamais et à brouter ici par x bêtes surnuméraires telles que :
- bisonnes
- bouquetinnes
- bufflettes
- vaches à lait
- ourses téméraires
- lionnes-colère
- cchzevales agraires
Un tracé de pré ! Chyants de belles bêtes sur paroi ornée ! on est Fée faite sur un p^ré d'herbe , d'herbe sacrée , qui sait ? On est la Bête -Fée post-mortem ! On veut coller coller coller coller
coller à une déioté des D2ités, ne plus s'arrêzter mais de fait tracer (vif) sur pré , pistonner ! courir sans traîner ! voler = voletter = s'envoler = monter = se hausser = grimper = toucher ! toucher grave ! toucher aux nénés ! Ombre portée ! Nénés nés de Rage ! Nénés des nénés ! On veut comp)rendre ce qui est , on ne veut plsz se laiisezr embringuer par allez comprtendre qui c'est qui cherche grave à comme nous détourner à jamais du sentier sarde , qauand en v rai on est nous toutes (grave !) rtemontées pour ne jamais nous &rrêter mais tout au contraire continuer sur notre lancée, notre sorte d'embardée ou de randonnée ou de tracé sur pré menant peu-êtte à , qui sait ? une "nouvelle romance des prés" ou quoi d'autre se pourrait ? on cherche ! on ne cesses en vrai ensemble (ailes) de chercher de base ce qsui est qui nbous regarde ou nous regarderait en face, mur du fond, cloison finale terminale, mur de fond de roche prairiaéle . On est fée folle dit-on , parce que voilà, on fonce ! on ne regarde pas à la dépoense ! on fgonce à fond, on trace ! on ne se pose pas! on ,ne raiosonne pas plus que çàa ! on agit par la bande frontale des parois ! on tremble peu-t-être mais on ne rompt pas , du moins on essaye ! on veut ensemble toi et moi tracer de base les données de rage, données diurnes des données de base = ce qsui est en vrai question pré, herbe, verbe, mort allouée à un pré d'herbe, et, au-delà, la voie , ce qu'elle est pour soi (Fée des prés) si tant est ! On regarde en face de près les données, et ce qu'on voit est ce qu'on en sait jusque là, soit :
ç-àa : la Rage ! La paroi des Voix ! Chance et chants de base , toundra de passage puis la Voie dite "de la Foi en l'au-delà de là" ! Grave on trace ! Fée Folle en Corolle ! Donne de sa voix pour (en vrai) chercher à comp^rendre (ensemblev: toi et moi) la chance qu'on a d'être là ensemblev = ailées ! tout ça parce que quyoi ? parce qu'on y croit ? peut-etre ! c'est un fait qui en v ra&i se pourrait, pourrait se dessiner, app araitte, surnager : qui sa&it ? On veut toucher à une sorte de deonnée (type "funéraire") qui serait " donnée des termes, des finalités actées, des fins de réserve . On est de fait La Fée post-mortem allouée à un pré lui même pré-données des Rages Lointaines .... on est Fée faéite ! Faite Fée sur pré, par (ici, on dirait) du Verbe ! Vervbe d'herbev ! Herbe à brouter ! Herbe grasse des fourrés et autres champs de base ! On veut coller grave à .... eh bé oui : ELLE ! L'HERBE ? peut-être ! l'herbe du pré qui est grave à bgrouter par en nous (qui sait ?) la bête de somme , vache à lait des ombres et autres Formes Grasses sur prairie aux fées, ! on veut tracer = filer = ne pas traîner mais grave pisztonner sans s'arrêter, sans chercher à se poser mais voler ! voler ! voler grave ! toucher = toucher à ce qui est ici qui nous regarde ou semblerzit nous rega rder en face : les nénés ! la CHance ! Le tRacé des fées , ! la Panse ? On veut toucher ensemble (ailes de fée) aux nénés .... est-ce que ça a du sens ? est-ce que ça le fait ? est-ce que ça xse pourraiot que ça fusse en vrai une sorte de tracé-romance qui dirait des choses vraies sur ce qui est en vérité concernant ... la panse ? Ventre loué ? consacr(é ? ventre de Fée comme loué pour une charge née ? On est la Fée des Fées comme dirigée ! On veut toucher toucher toucher toucher à "des nénés" , qui seraient "les nénés" .... de .... l"'hommee en transe" ? oh, on ne sait en vrai , ce qui est, ce qui pourrait ou se pourrait ! on veut cvomprendre le message,
le message cdes dpnnées, creuser la roche
et trouver, creuser grave et trouver de fait ça le ferait ! On ne veut pas ou plus passer à côté mais coller grave à une vérité comme soupesée, soulevée, montrée, montrée haut à cette Déité dite "du muret" . ON est nées Fées a&u passage du trait ! ............ Fée Faite ! ................................................... VFée des Fées en herbe ! .......................... satanées ! ......................Oh peut-etre , qui sait ? .............................. qui sait en vrai ce qu'on est ? Personne (tout à fait) de docte ! il selmblerait ................................................................................................................................................................................................ on colle ! .................................... on se colle l'une à l'autre .............. on veut rester collées ou accolées .............. fée /. ................. fée des prés accolées ou collées , car ailées ................................................................/...../..//../.........//..///..............//................././......./....//................//.......///.....././.........//./....../...................................././...../.......././..//.././////././....../...././.......//.....././....//......./././//.......//// drôilement ailées .....././......////./........................./.....//...///././../././............................................................. on aime ............... grave on aime être .............. ainsi ailées de près .................. fée surnuméraire saluée .......................... fée des fées dee l'herbe verte ......... PR2É ;! ................ pré d'herbes verte s'il en est = verbe ;................................ verbe donné, touché, prisé ......................... comme en vrai de l'hervbe à brouter on dirait par vaches à lait, vaches des prés ! on aime ! ....... on aime toucher ! on veut gagner zensemble le pont des données là-bas situé ! creuser = toucher ............ on veut tracer sur roche les données de poche, données fortes allouées à un pré de Fées ;;;; vaches et buffles au taquet sur piste des données prairiales, terminales ! On court on vole ! On est lancées et notre but est de continuer sans nous arrêtrer ! pistonner en force ! voler de chez voler ! aller ! fgoncer ! aller de rage juèsqu'à cette porte dont le nom nous échappe sans arrêt ! Qu('est-ce que c'est ? quel est le nom ici en vrai de cette porte donc ? Pierre de Pré ? Paule Adonnée ? Pier D'Onctuosité Lactée Larvée ? Pont D'ombre Soulevé COlère ? Chant des Chants Sur Terre ? Piste Agraire ? Araire racée ? Jeanne au Bucher ? Tristana Passée ? On est la Fée des prés ainsi croisée sur herbe vertte par (peiut-êtte) Vaches à laiuit surnuméraires xsaluées, aimées, adulées, consacrées et sacrées, prises ainsi en amitiées et autres sentimentsz de Verbe Alloué. On veut toucher à Déité en Herbe sur un pré ! On ne veut pas passer à cvôté mais grave la Toucher , le ou la Toucher, Icelui / Icelle Dieui (?) / Déesse (?) pieux /pieuse des Données de rAge ! Grave ! Grave on veut ! On ne veut pas ne pas ! On veut de base ainsi touchezr à une RAge comme Soulevée ! personnifiée de fait et du coup soulezvée ! grave ! haute sur pattes ! Fée des Fées des RAges serait Sarde ... qui sait ? On est dans un pré, on rtegarde, on est ailées, on est deux femmes formant fée du pré, on marche, on saute, on vole, on monte, on veut comprendre ici ce pré ce que c'est en vrai . est-ce un pré "intermédiaire" entre deux données ? est-ce un intermédiaire entre deux conntréesc ? est ce que ce pré pré-figure ou pré-figurerait quelque chose cd'autre qui viendraéit après ... genre Haute Do nnée des DOnnées de POrte ? est-ce que ce pré est pré-quelque chose ? pré-allée de Roche , pré-sentier de bosse ? Pré-donnée d'époque haute ? ON Cherche ensemble (fée ailée) à cerner de près le plus possible de données qui sont comme données en vcrai ici par on ne sait qui mais (de fait) ça le fait ! On veut cerner-toucher ce pré ce que c'estb ! Un pré-reqzuis ? un pré-sage ? un pré-ambulle ? pré-cage ? pré-urne ? pré-fosse-commune ? On veut sérieux connaître les données profoncxdes, aller haut, percer, cvo n fondre, passer qui le nez quyi son ombre et de fait wsentir la chose, regarder profond si, des fois, on y sezrait pas !!!!! si par hasard la place pour nous autres serait pas là déjà ! On entre en ça : paroi, puis pré, puis à nouveau paroi ! mais qyuoi ? qu'est)-ce qu'on voit en dehors de ça ? une façade de paroi de base, genre mur de hjoie ! Face de base ! Traits tracés comme à la pa rade : buffles en cohorte ! bisons d'ombre ! boucs et béliers sur pré dees Formes ! chevaliers chevalières, chevaux nées sur pré et herbe, chevales allouées à un sentier , à un tracé, à une direction donnée à devoir suivre
"au mot près" si tant est ! on aime ! on veut toucher à cette sorte de donnée ici donnée de type zouveraine / reine ! -Vérité ! Vérité et contrevérité forment la Fée des prés de type Reine de Contrée !
La vérité des faits, alloué à ( de fait) la contrevérité, forme ou formezrait ce qui est qui est en matière en vrai de déité ou de divinité céleste : le Tracé ! Tracé de fait ! Tracé acté ! Trait tracé à main levé ! trait des traits sur Paroi allouée à une Vérité Sondée, gravée, chargée de mots en herbe, herbe-mots des pierres souterraines ! On aime ! on aime trop ! trop on aime ! on veut touchger à ce phonème : "trop " , on veut toucher au mot ou à ce mot de "trop" ... et, passer carrosse ! Charger ! toucher haut les données de Bosses ! crier ? ou ne pas crier mais chanter haut ? chanter haut et faux les données "de trop " ? toucher à Néné ? toucher haut à ce Néné du Trop ? On est La Fée post-données de troop ... qui sait ? On veut grave cerner, ensemble (§ailées) ,
les données des cendres, les toucher en vrai afin de pour le coup mieux lmes comprendre, mieux cerner, mieux aéller en vrai ensemble = s'aimer ! grave ! grave s'aimer ! sonder ! dire et poser ! jouer ! jouer grave à des jreux de fée si tant est ! jouer aux jeux wsardes ! sales ou sages ? sardes ! fins ! doux ! fols ! enjouéess ! vifs ! ailésc ? ah peut-être aussi ! jeux de doigts cde fée sur place = possibilités
de pouvoir toucher (par le jeu de l'antre) les données données d'une (sorte de) Divinité de Bande ! Jeu de fée ! Jeu d'ombres portées sur paroi de rOche allouée à une V2rité de porte .... on veut toucher ! toucher de près ! ;.................. toucher de chez toucher ! ............................................ ne plus cherc her à esquiver mais tracer-filer ! fon cer ! grave foncer ! ................................................................................................................................. foncer grave ................................................................... y aller .....................................de son entrain de fée
allouée à une romance
ancrée en ce pré
des données de rage /........................................................................................ = pistonner ! ......... ou tracer = creuser = fgoncer = graver = graver grave sur paroi donnée les données de RAge de La mort à l'Oeuvre Allouée .................................................................... toucher ...... toucher ...... toucher ....... toucher ....... toucher ....... toucher ........ toucher ........ toucher ........ toucher .......... topucher ......Toucher ......... toucher .......... toucher ..../....... toucher .......... toucher ....... à ces nénés de cvontrbande (?) qui sait ? ................... et du cfoup charger , aller, donner, pousser,; faire trait , sillonner , aller jusqu'aux nénhés en herbe d'un muret de fin de pré ! Toucher ici ensemble ailées ! toucher de chez toucher ! donner-toucher ! être ! donner ! filer ! connaîotre ! soupeser ! chercher ensemble à traverser ce pré donht les données en herbe (à porésent) nbous sont (ou nous sezraient) , il semblerait, données de fait ; et du coup, nous voilà remontées, colère, soulevées, prêtes à hausser le ton de haine si ja&maiçs, et monter ! monter de chez monter ! tracer ! monter haut là-haut ! atteindre les sommets ! les cimes du pré ! toucher ! toucher Déité ! Déité des Sommets ! Déité des D2ités = des Sommets ! sortir la tête ou le mùuseau ! dépasser ! sortir de fait qui la tête qui le museau, et regarder ! voir là-haut (au plus haut)c e qui est qui semble être (ou sembvlerait se dessiner) à nos mirettes ! chercher ! essayer de fait de cerner là-haut (la tête passée) ce qui est qui szerait, qyi nous "entourezrait" ou nous "encerclerait" ou nous "regardera&it" , ou nous "attendrait de plein pied" .... On veut passer , de fait, la tête (ou le museau ?-)) et du coup .... connaître ! mater ! voir ! cerner ! comprendre ! regarder ! chercher! espionner ! sentir ! ressentir ! humer ! toucher ! chercher ensemble (ailées) à voir ce qui est = sentir = toucher = prendre = comprendre ! Qu'est-ce qui est qui nous attendrait , qui se tient sur pied ou qui là-haut semble nous mater, regarder de haut, mater-coller . o, n veut (nous : ailes) comprendre ensemble ! Une donnée d'Ombre ? D'homme ? une sorte de donnée de l'ombre ? une Ombre ? une denrée ? du lait ? un peu de lait acidulé sortant d'un néné (éjecté) ? Lait sucré-salé comme un bonbon acidulé ? Lait des Fées ! Du lait ? Laiçt des LAits ? lait docte ? oh ! on ne sait e,n v rai ce qui est là-haut à nous attendrte de pied ferme ! Lait de féec ? Lait des Ombres ? Ombre sur le pré ? Ombre cd'ombre ? Une fée ... acidulé&e ? Un peu de lait docte ? Qu'est-ce que c'est que le lait docte ? Une denrée ? un tracé ? un trait de fée ? trait donné par une fée de POrte ? fée des fées allouées à une sorte de Parole Docte ? Donnéedes données ? On veut toucher à une sorte de donnée de porte mais comment toucher, quand on est ... ombre ! ombre sur un pré ! comment toucher , tracer, cerner, aimer ? On est la Fée des Ombres sur Prairie post-catacombes, maéis en vrai, on est La Fée du pré vfleuri, du pré des sentiers comme allouées ici à une direcvtion donnée, donnée vite fait et vas-y ! cours et vole ! cherche au jugé ! fais course folle ! vas cerner ! ou vas-y cerner ! On est Fée des Prés , on cherche à soule"ver la Roche, les données de Roche, les Contrées de POche : mottes ! toucher ! à toucher ! à faire en sorte que voilà, les mots de base soient, ici et là, comme posés pour ça : comprendre, qui de quoi , ou pour qui de quoi, en vrai, La Fée est née , pour qui de quoi la Fée, dans la mort actée, est née ! Car, en vrai, on ne sait toujours pas ce qui est ! le pourquyoi des choses sacrées, sur pré tracé. On veut ensemble cerner aéilées, ensermble ailées cerner = toucher= grimper = passer = regarder = comprendre .... les Nénés de base, les Nénées sezraient Nénés de RAge ? Vache à lait Nous attendrait ? serait présente, au plus haut dxes Hauts, à , de fait, nous attendre, nous mater , nous zyeuter sans discontinuer de son Haut de Trait ? On monte, on regarde, on aime, on est ensemble, on est sages, on est collées ensemble, l'une à l'auutre, par la base, on veut toucher en vrai à cette Vache à lAit des Temples. Toucher ...... toucher grave .............. toucher en vrai ........... toucher à ce qui est qui nous regarde et ce searait en vrai une sorte de vache, de vache à lait, buffle nacré, bufflette ........................................... oin aéime ! .................... on veut aimer ................. on veut grave l'aimer .......................On veut en vrai grave l'aimer ................................................. on a grave envie ensemble (ailes = elles) de l'aimer en v rai = au toucher .................... au toucher des nénés ............................ pis en herbe verte ........................ verbe de pré ........................... pré-verbe des féesc............................ chants choraux surnuméraires au lamparo .......... à la samaritaine ........................ sans trop mais quand même ......................... on aime ! ................. on veut (ensemble) toucher le gros lot = gros mot = blaspphème ............................................................................................ gros du gros en lma matière = mots de trop = bufflettes, buffles Homo, Sorcières, Chants Faux ...................................................../.........................Colères ................................................./.................pots ................................pots gros ...........................chevaux comme en bandoulière et aéutres bêtes-mots de roche princièresx .............................. pots de mots .............................. pots de mopts gros (ou de gros mots !) ........................................?................... pôintesc de terre ........................................................ ponts de mots ................................ colères allègres ......................... pôintes sèches .................................... perdreaux .................................................................. on aime ! ..................................... on veut passer la tête, mle museau, l'oeil alerte, la mèche rebelle ..... et mater ici même, les données donnjées poçst-pré = post-herbe = post v-herbe, ce que c'est ou ce qu'il en est ....... et donc ............................. trouver ......... à toucher ........... à comme qui dirait toucher .............. ou toucher des yeux ce qui ici est, en vrai, sous nos yeux de fée ...................................................................................................................................... fzée des gfées ........../......................................... merveilleux .................................................................... N acré ................ Nacre ................... Charge .................. Point de NAcre ............................................................. point de na cre ......................................... pointes de bnacre ..........................................., pointresq de nacre allouées à un sacre ...................................................., pointes ........................................................ points de nacre ........................................................ points des points sur nacre ............................................................. points sur points ......................................................................... points de traitsq sans fin .........................................vent de face et points de rage ..............................................Vent§s et traits ...................................................................... chants ...............................lait /............................ traits de lait ................................./.......//./...........///./...//..//..//././../................ qui on est ?/ ......................././/..........................................Bébéb ?////.......................................................on est montées, on a grimpé, on est haut montées, hautes fées montées dun tréit, fée des fée tête première ! On a donc sorti la Tête, hors deu Chantier .......... nous voilà haussée ! haute fûtaie ! on mate loin ! on regtarde' ! on veut comprendre ce qyui est, au-delà de là, le chantier dit "de cavité", qui est pré (de contrebande) ajouré .......... mater-cerner = regarder les yeux écarquillés ! et donc .... on voit des sortes de tracés ............ nénés ? .......................... points d'ombre ................. pilosité ? .............../...........piols de fée ?........................................................ pilosité des pilosités ???? ...........................Ombres sur clarté = poiils de trait ??................................................. trait de poil tracé ?...................................................................On veut toucher ! toucher des yeux, et "en vrai" toucher , ici, ce "merveilleux" ,
des données allouées à une montée, à un envol, à une sorte d'envolée de roche : lévitation haute ! haut des hzuts pour une sorte de mission de roche, type : Fée Haussée ! Haute Fée de haute Fûtaie ! On veut (du coup) cerner , toucher, colller, comprendre les données post-cavité, post-pré, post-rotonde, post-muret, post-mur des données hautes, post ce muret des données profondes, le dépasser, tracer, chercher à passer, travesrezsr l'ultime roche et du coup cerner, les yeux écarquillés, ce squi est squi est en ces contrées du bout de pré et au-delà, la Ronde des Voix ..... l'ombre szur la voie ............. l'ombre portée type "points et traits" ........./............../.........................//...............//............./.......... c e que c'est que ça , en vrai , que ces points post-roche et aiutres traits donnés ................................LAIOT ? ................... LAIOT DES fÉES ? .................................. Laiot acidulédes fées données sur pré traversé ? ............................................................lait des laéits et autres denrées lactées ? ...................................................................................................... lE Lait ? ..............................................................LAIT .............................. LAIT ............................ LAIOT //./............................ LAIOT NACRÉ ...................................... LZAIT PARLÉ ........................................................................................ LAITRV ALLOUÉ À IUNE SORTE DE DONNÉE PROFONDE, HAUTE, CHARGÉE, CREUSÉE, VIVE CLARTÉ .......................... LE LAIT EST DANS LA POCHE À LAIT ...................... PIS .......................... SPI ? ............................................................................PIS-HOMBRE ? .............................OMBRE D'OMNBRE ?...........................ON veut toucher à ces nébés de l'ombre et du coup (ou du m^e'me coup) téter ! téter de ce l&éit, nacré / acidulé, du pis de l'ombre ! téter le néné d'une vache docte ! sacrée ! sainte et allouéeà une donnée ou sorte de donnée ici consacrée, genre "vérité" ou "vérité des vérités" , on s'y croirait ! on est nées fée du fait que voilà, on a passé la voie, le trait, le trait de l'âge, trait des traits pour un passage ancré en cette sorte de contrée prairiale, et là : l'envolée ! l'envolée tenace ! a&iles au débotté s'ouvrent sur place et aident à tracer ! pousser ! grimper ! aller au haut des données de Rage
salaces, portées, comlme soulevées, en transe chahutées ! ça le fait (de face) grave ! Sainteté allouée à une sorte de romance, née sur pré ! France ? le français, la langue, le Passé outré d'une langue forcée ! la chance !
11/11/2024
on cherche sur pré ensemble en tant que fée ailée , ce qui est, ce qui advient, ce qui se présente, ce qui vient à soi en tant que déité notoire, Fame du passé, Gente Dame au grand jamais si tant est ! FEMME DES PR2s et ça pourrait de fait nous renseigner de base dans la profondeur, sur ce qui se présente en termes de Passé , Passé composé, Gens des prés allouées à une Romance, à une sorte de Romance ancrée, placée, située = ancrée de base en ce pré des ombres et autrtes hommes dits "enterrés" ! On veut toucher = on veut aller = on veut de fait cerner, les données profondes sur ici
ce qui vient à nous peut-êtrte se donner = les nénés ? qui sait ? qui en vrai sait ce qu'il en est de cette chose endimanch"ée qui se présente en fond de roche à nos yeux de F2e ! On est Fée de l'herbe, toutebv mùouillée d'avoir "comme" brouté ! On est vache à lait post-cimetière... ou fée ... il semblerait que ce fusse ... pareil ! Fée , ou Attelage ovin de préférence, on s'y croirait, ! On est nées ! on est passées sur roche puis dans rtoche puis en pré puis au fond du pré puis face à nouveau la Roche, la Roche embarquée , devant Elfe sur pré on dirait, genre Femme déboutonnée pour donner à téter ou quelque chose de cet ordre mais qu'est-ce que c'sst en fait ? On cherche ensembkle sur rtoche un maximum de données qui puissent nous rensenseigner nous deux (ailes de fée) en tant qu'on est ... eh bé oui accolées, la roche (la mort ?) passée ! Roche des prés est notre sorte de "rotonde". Une sorte en vrai de petite rotonde pâr où passer, pour cerner , par où peut-etre transiter, pour en vérité toucher ... aux nénés de l'Ombre ? On est née fée sur pré le mur numéro 1 (pour ainsi dire) une fois passé et nous voilà main dans la main (pour ainsi dire) = ailées, qui volons (grave) vers Déité de La Roche Finale en rotondité ! On en avance ! On est Fée des prés qui (peut-être : il semblerait) veut toucher, toucher grave, cerner, cern er vif, et du coup comprendre ce qui est en ces contrées (rotondité) en ce qui est de cette chose ici déboutonnée qui se présenterait devant nos yeux pas mal étonnés ! Nénés ? Des nénés ? des sortes de Nénés de base ? Nénés doctes s'il en est ? On ne sait, en vérité, comment situier (cerner, ssaisir) la (ici) "Chose de Rotonde", ce treacé dit "incurvé" qui s'offre, se donne, s'est donné pour ainsi dire à nos ailes nacrées ! On est passées, et voilà ici qu'on se retrouve ou se retyrouverait peut-ettrree touttes chose, drôles, comme toiuchées, comme en vrai touchées, séduites, embarquées, prises sur le fait d'une sorte d'"avancée comique"" ... ou sinon comique troublante ! car, oui, on dirait, il semblerait, on se dit que oui, une sorte de Dame des Prés, endimanchée, devant nos ailes déposées, semble vouloir nous aborder , nous toucher au coeur, nous aimer, nous embrasser-embarquer, bnous donner son lait ou sinon son lait qu'est-ce que ça peutb être ? Sperme ? sang de rage ? Lait de vin ? vin de lait sucré ? chants des roches allouées à une sorte de donnée mal située ou à nos yeux mal situées ? On est Fée du pré et à e titre on se permet d'en avancer sur roche à fond la caisse on dirait car on est svelte ! On est vives et nacrées, et aussi sveltes ! vives de chrez vives on trace pour aller en face, vif ! toucher de base,
ce qui est ici qui se présente ,
des nénés donnés il semblerait si on regarde bioen en face ce qui est
qui wse présente ! nus ! nénés nus de base ! dénudés ! donnés nus, comme de bien entendu ! On cherche à c erner ! On ne veut pas lâcher le manche mais y aller , de fait, sans tergiverser, à la recherche de données de branche, duretés endimanchées peut-etre en effet ça se pourrait mais qui le sait ? qui connait ? qui comprend les données du manche ? qui a en vrai cerné "le Passé" dit "de contrebande " ? sait-on ce qui est ? sait-on comprendre ? pouvons-nous toucher à ce qui est qui se présente, et pourrait en vrai (qui sait ?) nous donner du large ! On est nées Fée au passage du trait , on cherche vif à mieux cerner les données de base de la mort ancrée , des vivacités, des amitiées données, des données de rage et autres faits et gestes soulevés ! On est nées Fée sur pré, on fonce caroosse vers néné sans lambiner pour mùieux nous situer pour mieux de fait cerner et du c oup toucher ! toucher à ce qui est qui nious fait face en vrai : chance ! chant ! chant des Rages ! passé ! Le passé fait Rage qui nous regarde ou nous regarderait en face ! Passé donné ! LE passé est du passé donné ou des données de b ase comme déposées, sur branche , sur muret ! On vbeut ensemble s'en (si possible) rapprocher ... de ce passé de fait de contrebande (on dirait), passé passé qui n'st peut-être pas assez, pour, en vrai, combler D2ité c'est un fait mais voilà ! on est passées ! on s'est envolées ! on est montées ! on a traversé la lande et nous voilà qui nous pointons menues face à cette "Déité des Donbnées connues" ! On est la Fée post-mortem allègre ! on est vive allouée à un pré d'herbe, vive et enjouées ! On volette à la volette ! on est belle bête si jamais ! fée clochette comme vache à lait broutant l'herbe verte pour s'alimenter et du coup fabriquer "le bon lait de la ferme" ! On nest Fée-vache sur pré tracé, cherchant bpitance , denrée, verbe au taquet, données de base pour en avancer au mieux dans les connaissances ! On est la Fée des contrées rupestresxcnéandertaliennes ou aurignaciennes ! On cvreuse , on dessine ! on entre en transe ! on est soulevées ! on danse ! on est "soupesées" au taquet sur branche , bête des prés toutes envolées on danse ! fée ! Fée des prés = vaches = attelages montés , chance ! chance des prés on est nées ! on est nées sur pré du fait que voilà ce qui est qui est : on a passé le Rubicon desc âmes données et on s'est retrouvées ensemble (accolées) à la retombée, ailes sur pied = Fée, dite "des données prairiales pré-muret de Rage Finale" ! On veut cerner ! On est passées ensemble (elles = ailes) à travers le roc ici gravé , par des mains d'hommes et de femmes ancesrtales, on veut toucher ! dire et sonder ! pisser ! chier de base sur ce pré aux données stables (verbe ancré) et, une fois fait (pipi au débotté, caca au passé), filer comme à contresens ou comment comprendrte ? qui sonder ? à qui demander ? vers qui en vrai se retourner pour mieux toucher à cette vérité des données finales, cruciales, terminales, chargées, avouées, laissées et données, déposées de rage sur muret comme d'un message ! On est nées fée au passage et nous voilà '(ensemble) comme toutes "remontées" du fait qu'en effet on voit les nénés ! nénés du passé ! chants sardes s'il en est ! romance sucrée ! comptines des années de propagandes enfantines ! on est du passé pour ainsi dire ! on traîne à vie la vie passée et on avance ! ON est nées Fée, des données de base tracées ! dessinées sur gré ! chants sardes qui sait ? ça se pourrait ! On est ancrées dans un passé notoire, historicisé c'est un fait, et du coup on ... passe ! il sembvlerait en fait qu'on soit en vrai passées ensemblev "à toi à moi" de rage par la bande à travers ça : Roche Donnée ! Roche Allouée ! Roche des prés et du passé de base, chants des prés comme sermonnés ! ça trace ! ça charge grave ! ça le fait sur pré des Fées, sans faire plus que ça de simagrés et autres sortes de grimaces ! On est nées F2e en vrai au passage alloué à une sorte de Divinité qui nous aurait laissé passer du fait que voilà, on est Ailes des prés, Elles au débotté comme dédoublées, qui formons F2e, des Données de ROche et autres "données de poche" ! on est la Fée des Données accolées, qui (fée des prés) cherche à ... qui saiit ? brouter ? manger sans trainer ni discontionuer l'herbe grasse des prairies célestes ici rencontrées (mort-roche sur tracé de grotte ). On est allouées et on s'ailme (femmes qui s'aiment) sur rocgher de grotte ! çàa le fait en vrai et pas qu'un peu en fait ! On passe ! on trace ! on vole = on s'envoile = on =monte = on grimpe = on veut comprendre la clarté, tyout en haut des rochers la clarté, ici post-mortem telle qu'elle nbous apparait du (seul ?) fait qu'on est à présent toutes transformées, ailes au taquet peuvent monter ou remonter sans chichiter le muret ! On est nées fée de rAge en ce pré, aux herbes de VErbe ! Vaches-fée des données rupestres néa&ndertaliennes (pariétales) des grootes cachées , comme enclavées. On est fée au passage du trait ! romance ! chant sarde ! gentes dames nous rtegardent ainsi traverser et les retrouver ! Dimanche ! Charité bien ordonnée ! romance des prés ! Femmes sacrées = sondées = comprises sur un pré aux fées (vaches à lait broutant sans traîner ce qui est qui se présente en termes de denrées !) . On veut toucher, et pour touchger on veut cerner (en soi) ce qui est qui (pour le coup) se logerait ou loverait en ce muret des
fins de Romance : trait pour trait ! on veut grave cerner les données finales, ces données de bout de salle ! données doctes, saturlanes, fortes, comme saturées de lumière fractales, allouées à une (sorte de) parade b estiale ou sinon bestiéale ,
ou sinon bestialess, végétales ! On cherche à pour le coup comprendrte ensemble, ainsi accolées ! On est ailées ! On est deux ailes comme tracées ! On vole = on volette ! On veut grave cerner les données romaines et toucher de base ce qui est, qui, ici, ROME Millénaire, se présente à nous ... ouïe de VERbe , ou dite telle : qui comprend ce qui est des bêtes ? qui sait, qui connaît , qui connaît le Verbe des dxonnées bestiazles, des données de rage ? on est nées en vrai aéu passage de la mort sur terre, femme ! on est nées en vrai, la mort venue, passée ou dépassée, en tant que Femme (des prés il semblerait) dite "post-mortem" à jamais , et ça le fverait, de préférence ! ça le fait ! On danse ! on est nées Fée et de fait on danse ! en ce pré ! champ de ronces et de fleurs toutes acidulées on va pour tracer, chazrger, courir et voler ou nous envoler ! On est La Fée des bouts de roche , ici, comme à la traceversée,n, et on s'époumunone en vrai ! charge nacrée ! on fonce ! on ne s'arrête plus de foncer et de forcer la porte ....aux nénés ! qui sait ? on est passées de fait ensemble accolées, l'une et l'autre en ta&nt que Fée des prés , pour en vrai cerner cette ... ROtonde, en Roptondité ! ce que c'est que cettre chose ! ce que c'est que ce treacé final, incurvé, mur en vrai de roche profonde, grotte ! grotte aux données ! grotte secopnde on dirait ! la grotte = le muret ! ROtonde des Rotondités des grootes allouées à une mort actée ! on est passées = on est passé = on passe le gué ! charge menjtale ici sur un pré aux données bestiales (vaches à lait = fées) qui nous regardent ou nousv regarderaient sans nous lâcher comme qui diraitr. On est Fée de base sur rtracé rocheux comme à la p ar ade dit "du mervieilleux noueux" ! On passe ! on est nées Fée ! = femme = fée-femme dans la mort actée c''st un fait vrai ! On est pzasseé = on est mort = on est re-nées en tant qu'ailes de F2e surnuméraires ! mains placées ! roches soudaines ! charges allouées à une sorte d e romance agraire céleste ! qui le saiit de f ait ? qui sait de quoi il en retourne concernant les fées dites "post-mortem" et autres femmes-fées des données dernières ? On est pasdsées parce qu"on est transformées ! c'sst vrai , c'est un fait tout ce qu'il y a de plus vrai ! pour passer et durer il faut transiter ! -Homme mort, tombe, trait. Homme mort tombe et forme un trait. Homme se transfor(me en fée du fait que
OUI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! IL S'EST VU COMME TRANSFORMÉ OU ÊTRTE TRANSFGORMÉ EN TANT QU'EAILES DE FÉE post -mortyeme ! tracé ! chevauchée ! acidité ! homme mort-né laisse aux dites fées le soin de durer ou de continuer de fait en ces conntrées de rage céleste ! sainteté sur pied cherche à brouter de l'bherbe vertte = Verbe, aux données genrées s'il en est il semblerait ! ça grimpe ! ça envoie ! ça y va de graâce ! c'est fada (complètement fada) de base ! on voit çàa ! On entre ! on entre dans l'antre ici de loa paroi dont le nom est Rage ! on entre ensemble ! On trace ! on commande de la voix et par des sortes de messages que nos ailes tracent ! On est comme allouées ensemble (accolées) à une sorte de Romance dite "des prés" , ou "prairiales des fées", ou encore "chargées de fleuirs données" ! On est entrées comme à la parade des données données, et du coup, voilà, on est devenues Fée, une Fée au passage, homme cendré (mort et ebnterré) est devenu femmes des prés, deux femmes sur un pré formant les ailes toutes nacrées d'une sorte de Fée ôst-mortem ! On aime ! On est nées ! On est les do nnées fauves ! On veut dire-toucher ce qui est qui devant nous s'offre : des nénéds ? des sortes de nénés-corolle ? on a grave envie en vréai de nous pôrter au p^lus profond ici de la roche-rotonde, principauté ? qui semble ou semblerait nous entourer , nous encercler ou tou comme, et du coup treacer, fon cer, courir sans traîner ni débander ni désemparer vers les fonds de pré, muret tracé, fin de roche, collier ? on est nées fée qui volons sur pré vers cette sorte de.. collier ? collet ? col de Ré . divinité ? on cherche , vif ! on ne cesse (vif !) de chercher en vrai ce qui est ! On est nées sur pré un jour de mai, on est nées sur pré un jour d'avril ou du mois de mai ou autrte, et de fait, on creuse ! creuse que tu creuseras la par(oi afin de pouir le coup, mieux cerner les données praioriales (para disiaques) des tracés de bêtes-mots de $base et autres mot-à-mot tenaces ! on est nées FGée, on veut toucxher ! c'est un fait ! ça comman,de ! Ça envoie (de base) sur toundra la charge coriace, attelage ! attelages de paroi ! bêtes de rage ! masses ! masses des Rois et REines dee là (de l'au delà!). On touche à ce qui est qui ici se montre devant soi, à savoir ... la tombe ! Trou à rat ! xchant des terres profondes montent, sortent, nous emùportent, nous confondent ! On est cvomme dès lors ensemble traversées sur roche, pré, herbe folle ! vaches à lait on est, sacrées, non-touchées, cernées, regaerde"aés comme si en vrai elles étaient (on était) des fées , fées d'époque en cohorte, champs tzacés ! On est la F2e dite "des cohortes", sorte de meute d'ombres ! On est la Fée sacrée ! allouée à une roche ornée , type muret des finalités, finalités accortes ! bisonnées = maisonnée ! bouquetinnnées = tracés ! trait pour trait on ose ! on est montées ! On voulait vraiment ensemble sans cxhichi aller , toucher à cette Déité des données Ultimes (c'est qui ?) et comme "traverser à gué" le ruisseau du pô ! Qui ? qui en vrai nous sourit ? qui nous dit de fait ce qui ici est ? qui en vrai nousz dit ici ce qui peut-êttre est, qui nbous renseig nerait (de fait et pour le coup) sur ce qui nous attend en tant qu'on est la Fée post-cimetière ... à la (seconde) retombée des terres ! ce qui de fait noius attendrait, passé ici le muret des termes, finalités, fin de prairie, fin de paradis, trouée souterraine ! On cherche ! on sourit aussi ! on veut toucher à ce tracé des sortes de finalités dxes termes ! Qui on est en vrai sinon des Fées de Rêve ? Fée d'Herbe ! TYRacé ! un tracé ! Un tracé en herbe verte ! Chants des prés , chansons frêles ! On est nées ailées sur pré des données, des données en herbe ! on, est F2e faite (faite Fée) au passage des traits = ce muret de la mort actée, avérée ou donnée, et le muret passé nous voici volantes ! cxhargeantes ! ou chargeant , de fait, nos ailes nacrées ! Allouées ! touchées ! sablées ! cendrées ! nacrées ! situées ! sondées ! accolées ! percées ! cherchées ou recherchées ! cvoincées comme un ver de terre et puis zou les airs ! l'envolée rupestre ! l'envolée des envolées rupestres on s'y croirait mais en vrai c'est (dans la mort avérée agraire ). Certo-certe ! On aime ! on veut :
toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touxcher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher touychetr tioiuuyoucher à cete sortrtre de néné post-cimetière et même pluqs que post-cimetière puisque dégagé ! lointain ! tracé des finalités ! fin de l'herbe verte (du verbe) s'il en est et il sembvlezrait ! Mort sur pré ok, mais l'herbe ? que devient-elle ? le verbe ! Qu'est-ce qu'il semblerait que devienhne l'herbe soit le Verbe xdes données prairiales de la mort à lm'oeuvre ? oh !!! on ne sait vraimentde fait, ce qui ici est qui semblerait vouloir se prté&senter ou proposer à nos gouvernes ! On cherche c''st vrai , et on a pas fini de chercher !!! on est passées ok, homme mort et enterré, laisse place entière à AILES, AILES de F2E post -mortem et du coup, vboilà , on cvreuse, on mùonte, on fouille ! on veut aller au plus lointain possible sur pré chercher-trouver ensemble des doonnées, dfonnées doctes "fortes", données fortes "doctes" ! trouver = toucher = allouer à une roche une (sorte de) "Paroole Profonde" .... on ne sait ! On croise nos doigtsvde Féeb ! On veut toucherr à une Déité de Fond de ROche des Finalitrés ! On veut COMPRENDRE = DIRE = FAIORE = ALLER = CERNER = CHER CHER = FOULER = BERNER = SITUER = SAISIR = MENER = TOUCHER AUX DITS NÉNÉS DES OMBRES ! QUE sont-ils en véroité ?. sont-ils de vrais nénés de femme à laiot ? sonbt)-ils de vrais nénés de Vache à lait ? sdont-ils fauves ? sont-ils déssinés comme à main levée par une femme des rotondes, Fé dec Fées sur pré de roche ? Une Fée est née qui est passée par la petite porte, pour entrer en cette sorte de prairie "profonde" , et la vooilà icio, qui cherche à aller (trotter, voletter) à la recherche d'une sorte (peut-être ?) de ( qui sait ?) denrée de type "N2éÉNÉ ;;... ? on veut t§oucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce néné ! à ce vsein de Roche ! F2e des F2es aime aller-voler vers le Néné des fins de rOche : qu'est-ce que c'sst ? un vrai néné à lait ? un vbrai néné, qui serait (du coup) post-post-mortem ?.?? Car (ici) la mort est comme , comment dire, double ! On voit de près le pré ! on passe ou on passerait , pour , ici, se reytrouver, fée, en ce pré. On voit le pré , puis plus loin le muret ! on voit en tout (donc ) deux murets ! un prtemier à notrte mort dite "naturellre", et un deuxième en ce pré a ux Fées des données profondes . S'agit-il de fait du même ? du même muret en forme de rotonde ou qui appzéartiendrait à une sorte de même rotonde, cercle précieux ? On ne sait en v rai mais on ws'inquiète de lma chosecv à longueur cde Roche(n"éandertalienne) et autrtes rocs de groote profonde. On est la fée qui veut connaitre un c
ertain nombre de données post-cimitère soit post-mortem (le pré) et au-delà , post-post-mortem = après le pré (le p aradis des vies ailées) ! Comprendre = ici toucher ! car, en vrai, il sembvlerait, il semblerait en vrai que pour cerner (de près) les données de base (de la mort à l'oeuvre)) il faille ici toucxher la faille ! le tracé ancré, terait de rage, fissure née, treait de fée par où (qui sait ?) passer olé olé" ou pas olé olé maios nue (nue du cul) jusqu'aux ... nénés, de l'ère "profuse" ? On ne sa&it de fait mais en vrai on ne cesswe de rechercher et ce sans tra îner (la vitesse gronde) pour cerner ou mieux cerner ce que (enj vérité) la mort "secondaire" nous apporterait en termes de "donné"es salutaires" ou ditesc "salutaires". Qui on est la mort avérée .... eh bé on ne sait ! peut-être en premier (dans un pré) une Fée, ou une Fée Patibulaire, et puis le pré passé, peut-etrte ... de l'herbe ? du lait ?
? du lait en herbe ? Verbe Accolé ? Chyanjt de la terre ? chant = verbe de la terre = Herbve ? On cherche ! on est comme une Fée Sévère ! grain de beauté ! on trace sur pré un chemin des Fées par où pâsser nous-mêmes et faire passer, derrière, tout un attroupement de bêtes-mots agrairesq genre bisonnées , bouquetinnées, cxhevalinées , bufflinnées et autres maisonnées de bêtes fortes, grosses, grasses, pesantes, poids sur roche de base naissante ! On est données ! on est tout comme un certain nombre de données données ! On pourrait dire en fait qu'on est nous-mêrmes des données ou les données des fonds de roche mais en vrai on est comme des fées de rage qui, ensemble, cherchent à travezrser (de base) l'ultime paroi aux envois, aux dires de charge, aéux quatre vérités de rage. Qui on est de base ? eh bé ;;... Fée ! F2e des ombres ! Fée (qui sait ?) DEs Omùbres portées ou autoportées ! On veut toucher = toucher = toucher
= dire = dire et comme se porter auprès
des nénés de l;'ombre on dirait !
Charges doctes on fonce ! fonçons grave ici ensemble toi et moi = ailes de paroi, parade nuptiale, tralala, chants de RAge, SAMBa, SAmba des Rois, Samba ici Des rois Et Reines de pAroio ! On danse en tra,nsez ! on est F2es des prés en transe et c'est notrte chance ! oN veuit toucher à cette Déité des Contrées Finales ! On est nées Fée comme à la pa rade ! on bva en vrai vers D2ité des RAges, ! saturnales ! bacchanales ! on est aimées ! on est adulées ! collées ! accolées ! on aime le pré et l'herbe du pré ! on veut en vrai toucher de rage les néénésxs de base, ce qu'ils sont en cvrai, ce qu'ils offrrent comme denrée, ce qu'ils donnent en termes ici de vérité vraie ! tyoucher, toucher vif ! comprendre et cerner ! coller et donner ! ferrer ! ferrer le pied ! cerner ! dire et cerner de fait les données ddes prés, cequ'elles représenteraient en termes de champ alloué à une sorte de Romùance ! Co:mprtendre = toucher et toucher = comprtendre ! sainteté ailée ! sanctuarisation en vrai des données de roche et autres parois de grotte profonde. On touche aux nénés de roche ! On veut toucher ! On touche parce qu'on veut toucher pzarce qu'on veut comprendre parce qu'on veut aimer parce qu'on veut aller , voler ou voletter, à la rencontre du N2né de l'Ombre (Hommùe ?) transformée ? squi sait ? qui on est ? qui (dans la mort, enchâssées) o,n est ? Femme forte = groosse = grasse = belle = fauve = mauve ! on veut en vra$i toucher toucher toucher toucher touxher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher touchezr toucher toucher touchezr toucher tyoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tioucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher topucher toucher à ces nénés donnés des sortes de données données alloués à un muret ou sorte de muret cde bout de Roche : les Données de type Grand D ! Chose de ROche Forte ! Roche-née pour une V2rité accorte, accordée, donnée, sans traîner , à une Déité des D2ités. On veut en vrai toucher à cette Déité-Néné de l'après-pré ! des données secondes ! rotondité ! Rotondité des données des prés ! on dirait ! on dirait en vrai ! Choses Hautes ! Choses déplacées ! Porte des prés ! une porte ici dionnant de fait sur quelque chose, de ... dessiné ? à main levée ? parole .? parole HAute ? chant des prés wseraiot comme en vrai les données du NOuveau MOnde ? Du monde de l'après le pré ? roche seconde traversée et on verrait ... de quel bois on se chauffe en vrai ou chaufferait ? Feu des turpitudes ? clash-center tracé ? tombe lacustre ? fonte des passés et des donnéess diverses du passé ? champ de glace dessiné pazr u,ne sorte de pseudo-déité larvée ? charge ? charge-né ? ponte ? ponte des oeufs accolés, formant corolle ? On veut (en vrai : grave !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!) toucvcher ! toucher = cerner ! à cette Déité des FOnds de ROche :
- tracé
- colère
- dires divers de type alacrité
- chants donnés
- termes accolés gformant pré
- dires aux accents de vérité et autres données de type Verbe Acidulé
On veut grave toucher pârce qu'on est ailées et que ailées on aime toucher (de nos ailes nacrées) iici Déité , ou Déité des Déités, telle que représentée sur l'herbe : VACHE À LAIT SURNUMÉRAIRE ! VACHE À LAIT DÉCOMPLEXÉE ! VACHE À LAIT DERBNIÈRE ! VACHE À LMAIT DES VACHES À LAIOT DERNIÈRES ! VACHE À LAIT AUX ACCENTS DE VERBE ! VACHES DITES "ÀLAIT" DES DERNIÈRES (QUI SAIT ?) VOLONTÉ ET ÇA LE FERAIT ! VA CHES SUR PRÉ MÂCHENT, QUI COMPRENNENT LES DONNÉES RUPESTRES NÉANDERTALIENNES : LES DONNÉES DONNÉES, DONNÉES DE FÉE, DRÔLES DE DONNÉES ! oN VEUT TOUcherr à cette Déité des données dernières post-post-mortem pour ainsi dire si tant est, ou "de rotondit é" , car ce qui est ici est cette chose en vrai, comme qui dirait , que cvoilà de fait ce qui est et ce qui (sans doute) n'eest pas,n, concernant la paroi. On vole ! on colle, ok ! On volette en tant que Fée ailée post-cimetière .../ et après ?. qu'est-ce qu'il nous arrive après ? après le pré ? qu'est-ce qu'il nous arriçve ou nous arriverait après le pré ? une sorte de voyage "consacré" pôst-post-mortem, de type "mixité" ? changement de genre et autrtes trans-versification dees données (verbales) post-parade ? transition ? collage ? versification transversales ? chants à profusion ? dictée de Rage sous forme de versets sauvages ? Collation de type alimentation potache ? Fruits de la Passion ? Pain et fromage ?chant des nuits noires ? On veut en vrai passer (de fait) pour comprendre , au plus possible, ces nénéscx de base dits "frontaux". On est ailées en vrai la mort passée , et c'est ailées qu'on veut toucher à ces ... nénés d'un nouveau passage, "passage-paysage" ! tout nouveau tout beau ! on entre ! on entre ! on veut comprendre et du coup on entre ! on veut grave comprendre et du coup voilà on e ntrte , on charge , on pousse carosse , on vfait mine de tracer sur roche les données naissantes , données rossses si tanjt est, ou sinon rosses peut-êttre méchantes, méchantes ou quoi mais qui le fasseent ! qui impactent grave ! fassent de l'effet ou leur petit effet envers pareille Déité des Données Cruciales ! on est nées ! on est passées ! on traverse le pré ! On court on vole ! on est ailées ! ailes allouées à une Vérité De Verbe il semblerait et ce, pour peut-êtte mieux cerner les données prairoilaes icidonnées , on ne sait ! on veut toucher à une vérioté de base qyuu de fait serait :
vérité des vérités notoires,
chant sur pré,
chants de charge !
vérité des vé(ités on veut toucher à son tyracé de près ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher grave aux nénés ! dire et toucher = donner, aux nénés de l'après, de quoi s'alimenter" en lait à pouvoir donner, octroyer, offrir en partage ! On veut dès lors comprendre c e néné de l'Ange ! qui c'est ? Ce dit "Néné de l'Ange" , en vrai, c'est qui , qui c''st ou qui ça serait qu'on ne connaitrait pas , qiu'on n'aurait pas croisé jamais , qu'on n'aurait en vrai jamùais rencontré ... ? On est près du muret ! On regarde ! On veut en vrai toucxher toucher tyoucher toucher toucher toucher tyoucher à cette Déité des Fins de pré lacté ! On est la Fée ailée voulant toucher au lait dit "de contrebande " ... laiot nacré, sanctifié, adulé et acidulé ! Lait des Laits sur Paroi Sarde ! grave ! grave ça le fait ou le ferait ! Grave de chez grave ! On est nées Fée en vrai au passage, et du coup on en avance dans les connaissancess ! On a tracé sur pré notrte sentier des connaisszances et aussi o n creuse ! on est fée de Rage sachant dire (aussi sec) nottre dire ! vent de face ! chine ! on vibre ! on colle ! on est bnous-mêmes de la colle ! colle de roche ! On se pose sur paroi de roche ! on est ailées pour (on dirait , qui sait ?) l'éternité , soit l'éternité de la roche ! On veut
AIMER GRAVE, AIMER SÉVÈRE, S'AIMER GRAVE ET S'AIMER SÉVÈRE, AIMER DE CHEZ AIMER, AIMER = TOUCHER, TOUCHER = AIMER, ON VEUT GRAVE S'AIMER, SUR UNE ÉTOILE SUR UN OREILLER, NJE PAS S'ABANDONNER JAMAIS OU NOUYS ABANDIONNER JAMAIS MAIS AU CONTRAIRE ! VIVEMENT ! TENDREMENT ! SAINTEMENT! FINALEMENT! CORREZCTEMENT NOUS AIMER DE PRÈS = SE HUMER ET SE TOUCHER, SE TOUCHER ET SE HUMER, SE SENTIR DE PRÈS, SE LÉCHER, SE DONNER AUX NÉNÉS SUCCESIIVEMENT, S'ALLOUER À UNE SQORTE DE PRÉ LUI-MÊME ALLOUÉ AUX MONTÉES DIVERSES ET AUTRES FRAI ! TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER ! DIRE ET TOUCHER SONT CESZ MAMELLES DITES "DU PRÉ" DE TYPE "COLÈRE" ! On aimev ! on rêve ou on ne rêve pas mais voilà, on aime sévère la paroi ! la roche terminale, le tracé des Rages, Rotondité ! Rotonsdité ! Rotondité ! Passage des données cruciales frontales ! Charges mentales ! Frai ! Franges ! Franges et frai sur pré et comme à la parade ! Fée du Frai ! Frai comme alloué à un pré aux Fées, pour Parade Nuptiale et autres accouplements sacrés de type coït comme Cerné ! Coït des diverses Données comme cernées, cernées-touchées dans le coït ... Touchées ! On aime Coïter de Rage sur pré, comme à la par ade = saturnales = saints de rage décoincés ! O n veut aimer = toucher = comprendre = aller = dire = foncer = conduyire = chercher = faire et porter pluis loin, toujours, ce qui est ici qui se oprésenterait comme alloué à no-s gouvernes (de fée ailée) respevctives si tant est mais ça se pourrait, car on est nés Fée au passage du muret dit "muret one", Muret dees Entrées, dees Entrées de Base de Rotondité ! farce ! parade ! charge-farce de parade ! gros gibier ! grosses caisses ! gros du gros des mots de base ! groossse charge sur paroio naissqante ! Paroiles Fastes ! gros Passage ! Le museau d e tanche ! le moineau ! la chance ! l'étourneau au bec de base ! charge ! chaérge frontale ! chahut et raffut ! on passe en force au bec de charge ! pic et pic et collégrammme ! le verbe de passe ! On en,voie grave ! Ça passe ! ç'en avance grave ! On est nues comme passées de cul = la chance ! chance au passage ! on est venues nues ! on est cul nu venues sur pré donné ! on veut toucher= faire = dire = comptendre, ici , ce que c''st en vrai que l'herbe verte .... verbe au débotté la mort actée ou une fois actée ? qui le sait ? qui comprtend de près les données données ? qui sait en vrai ce qu'il faut ou faudrait pouvoir cerner ensemble ? Qui pousse ? qui croît ? quyi grimpe ? qui choisit les mots de base et les augmente ou les augmenterait au fil des années ? On estv la FRée née , cul nu, sur pré venu ! On est comme accolée ! scindée-accolée = ailéec= changée ! On aime ! on aime grave ! grave en vrai on aime êztre ailées tu penses ! parce que ça le fait ! ça grave le fait ou le ferait de base ! treait ! trait pour trait c'est notre chance en France, ou sinon en France peut-êttre en Espagne ? on en avancev ! grotte cachée nbous admettreait comme par contreb ande et nous d'y aller, de nous y enfoncer, fissa, enselmble, toi et moi congtre lke monde enteier, moi seule à tes côtées on entre, on entre dans l'antre , car, oui, oui de chrz oui,
on veut grave toucxher aux nénés tu penses ! tu penses si on veut toucher ! on entre en transe dans l'antre parce qu'on est ailées = elles = F2e d'une sorte de contrée genre post-cimetière et ce comme à jamais qui sait ? On est la Fée ôst-cimetière des Données Données sur prés, ! on s'aime ! on aime en vfrai s'aimer en tant qu'on est Elles,
DEux F,
deux Ailes, pour
Femme sur pré
comme Enchantées (elles) et e,nchanté (le Pré) ! On veiut s'aimer en tant qu'on est Ailes ou Elles = Fées sur Pré et Fée des Elfes ! On aime ! on veut s'aimer = lkesbiennes, comme à jamais ! sur un pré d'herbe = de VErbe ! chants sucrés salés on dirait, ou "sacrés " ? On veut grave s'aimer en tant qu'elles = lesbiennes, dans (de fait) la mort actée dite"post)--cimetière" , mort des Faits sutr terre et nous voilà A2ilées ! Celtes ! Fée des Fées ! Ch aergées dee termes ! avérées ! vives Fée s aux donné&es sévères ! saluées et aimées, dees Fées des Prés ! On veut :
s'aimer grave
toucher grave
tomber grave
baiser grave
pisser grave
chier grave sur un pré de Rage , et, de fait, aussi, vivre notre vie , de Fée errante, chiche, soulevée, vive de chez vive et comme cernée-entourée, encerclée ou emmurée mais pour combien d'années ? On est La Fée Passée ! On e'st en vrai passée post-muret direction le pré et le pré traversé (une fois traversé) nous voilà comme postée en tant que telle, devant ... eh bé ce muret, qui sait, ou ce "même muret" dit "des rotondités salutaires" , ou des "rotondités sur herbe" ,n ou ezncore "des rotondités formelles " Ou cvomment autrement ? car nous, de fait, on aime tracer et du coup nous porter , au plus profond des do nnées de Roche ! on est Fée de Poche mais voilà on fonce ! on fonce , on fronce ! on fronce , on fonce ! On y va ! on va là-bas chercher dans le tas leezs données de force ! qui on est sur pré sinon ça : ce petit tas de confidences sardes (sales ?) sur paroi , on ne sait pas ! On est peut -êtte ça ou peut-être pas ! On entre ! on grave ! on dessine sur paroi les bandes a nimales ! On veut toucher à ça : de rage ! à ça qyui est, de fait, une sorte de donnée de base , la Rumba ! la Danse en transe ! charge animale de bon poids pour la parade qui impacte (cherche à impacter ) . Paroi sarde ? sarde ? sarde sale ? On cherche une faille ou une sorte de passage, assez large, où en vrai, de rage, on pouurait "ensemble " (femmes) passer et traverser et nous porter de fait de l'autre côté c'est-à-dire côté pré et ça le ferait question conna&issance "sur" la mort à l'oeuvre et autres vies dans l'au-delà de là ! On e,ntre et, au passage, on croit -comprendre cette chose cfomme quoi la mort ne s'artrtête pas là, à ce terrain paradisiaque , à pareille prairie "Spéciale", mais va a u)-delà, au-delà de là, plus en profondeur vers un ailleurs de base (peut-être) à nouveau "murale" (frontale) si tant est ! Donc : la Rotondité ! ce qu'il en est en vrai ? Eh bé... on dfirait que peut-être, en effet, la Rotondté est une sorte de Notion de base (Donnée des données ?) qui nous enseignerait ou nous guyiderait vers ou nous ferait compcrtendre ce qui est, ce qui de fait se trame autour du Pré, du Pré passé./ on parle de "Rotondité" quand on passe ou dès qu'on passe le premier muret. On )arle de "rotondité" frontale" , "Rotondité ancrée", "Rotondité xes Rotondités". On essaie de cerner, ensemble (fée ailée), ce que c'esst ou ce qu'il en est ici (sur pré) de cette (donc) RToto ndité d'étage. CE que c'est que pareille Muraille! quoi c''st ! quoi en vrai c'est ou ça peut être, à nos yeux de Fée post-motrtem. On est grave sérieuses nous deuxs (Ailes de fée) à chercher ou à vouloir chercher ensemble , ce que c'est qaue cette choses i-ci tracée : muraille ! Anse ! Arc ! Cerclle des Données ! Ronds de jambe et autres disques déplo yé comme par la bande il sembleraiot mais qu'en sait-on en vrai ? d'où, de fait, nos recherches et collezctes diverses de données divezrses sur pré ! recherche dite "de fée" puisque , en vrai, fée on est ! fée on est née à la mort actée , ou une fois pour nous la mort avérée, actée, entérinée, achevée ! Un on était (homme ou femme) , un ou une, et, mort ou morte, on se trans-forme grave en Fée = Ailée ! Deux femmes font fée, sur pré aux Fées (qu'aux Fées ? Fées des prés ?) ! On enttre ! on est Fée s qui sommes entrées en cet antre aux données dee RAhge qui est antre (en vrai !) des Données Allouées à une Vérité de type dé2ité ! car ,
la Mort est Déité, Divinité, Losange, Croix de Rage, Trzacé né sur pré de type Parade, Ch ant Total, Croisade, Paysage sage,, pré aux fées et autres b^petes de SAb a. On est entrées ensembkle toi et moi cfomme à la parade (nuptaile) sur terrain de Rage ou pré aux fées, au xchoix. On est entrées = on est passées = on a sombrées mais en vrai pour mieux on dirait nous redresser en tant que fée ailée ! ça le fait ! on a cru y passer à jamais mais c'est pas vrai, on s'est redressées, on s'est envolées car on s'est retrouvées comme munies d'une sorte de charge donnée, ailes allouées, poids d'elfe ! C'est un fait ! C'(est tracé ! Ya q'à regarder ! mirer ! finter ! surprendre ! Aimer de près ! ne pas s'endormir en vraéi sur ses lauriers de roche mais au contraire tracer = filer ! vite s'envoler et vite gagner, au plus lointain possible, le muret de roche ! les donné"es profondes d'après -pré aux herbes folles ! Toucher ! toucher toucher! toucher ! toucher ! tyoucher ! toucher grave aux données (nénés) des cav,itées dites "les plus profondes s'il en est" , de tu
ype "corolles" , f leurs de ronde ! On veut aimer = toucher . Qui on est ? peut-êtrte, en effet, après la mùort, en premier, une aile, une szorte peyut-être d'aile qui, accolée à une autte aile, ou augmentée quyi sait d'une autte aile, peut de fait former La F2e, F2e des PRés, Fée post-cimetière, et ainsi voler, gagner au loin le dernier muret dit "de rotondit é", le muret du CERcle ou CErcle des dOnnées en herbe . Fée !
............................................................................ fée des Herbes ou dite telle ................................................................ VFée vdes f2es des Herbes Folles et autres hErbes de PArole (Verbe olé olé ? ) ........................................... charge de Rotonde .................................................................................................................. Fée des Données Données comme s'il en pleuvait par lma Parole (qui sait ?) ........................./.................................... pissadou de poche .................................................. drôle de corolle ! drôle de pârole ! venaison = chanson = porte ! ...................................................................................................... on ne veiut plus traîner mùais foncer, creuser danz la r(oche (de grotte) la Chanson des FOrmes, Bêtes-Monstres, Aurochs et bisons, Buffles aux tendons, BOUcs et bouques aux effets dee Rage sur Cloison de passe ! On veut :
DIRE / FAIRE et , surtout, ne plus (de fait) ralentyir le train mais foncer ! tracer = foncer ! On est la Fée Acidulée qsui (sur pré) fonce à grandes enjambbées vers ... eh bé oui ... Corolle ! Corolle donnée ! CVorolle fauve ! LMa Doloonée des prés = LMa Corolle ! Fleur Donnée = Ouverture à la retombée d'une sorte de "bouche nacrée " ....trait des fées ... traits sur pré des fées acvidulées et autres f ées cfomme consacrées , ensemble, sur un pré de RAge, F2e des PRés tracées ! charge de données ! attroupement comme à l'arraché de bêtes fortes allouées à une sorte de parole dite "de la V2rité" mais est-ce vrai ? On fonce ! O,n ne veut pas laisser passer la chance qyi nouq s eest donnée, de pouvoir co:prendre (au plus serré) ce qui est ici, en cette roche , d'une sorte de Parole DOcte faisant Corolle, Ouvertiure Folle, Chant des Rangs, Sorte de Corolle à jamais déployée pour (colme qui dirait) accueillir Paroles Doctes ou autres mots (mots-bêtes) faisant impression forte sur Divinité de POrte ! chants tracés ! bouquetines allouées à un pré ! buffles non-moroses ! chevaux des prés, chevales cendrées, bises et bisounours des trous approchés des cavernes masquées ! charges centrées ! béliers ! poussées ! traversées-passages ! et du coup retombées (cul nu , comme de bien enctendu !
😉)
sur pré herbu ! On veut Aller ! On a envie ensembkle de Toucher ! On veut en v rai grave, aklller à toucher, ensemble .... les nénés ? Lesdits
"nénés doctes" ? On fonce .... fée des fées ./......................................................... on ne veut ple
us s'arrêter de foncer mùais au contrzaire grave tracer = dessiner , sur roche, qui l'aurochs, qui le bhison, qioi le cheval , qui le buffle des Passions de l'Âme ! Chargeons ! ...;; Pistonnons ! creusons fol ! Creusons sur pré les données à creuser, fouiller, cerner, essayer de déterrer ! On est la Fée Ailée de la M%ort Donnée, et c'est en tant qu'on est la Fée, qu'on veut grave traverserr le pré, tracer, et gzagner de fait le dxernier muret aux données données de trype "finalités des Finalitéz " ! On est passé ensemble, on est ensemble (elle et moi-même) passées, on a traverseé ensemble (nous) le muret premier en rotondité e't c''st en ce pré où on est tombées qu'on veut comprendre = filer (à grandes enjambées) vers ... eh bé .... peut-êttre .... qui sait .... la Terre ? Terre glaise .? Trou forcé ? Cavité des cavités ? on est nées Belles Bêtrszs sur COntrée des F2es , on veut entter ensemble accolées-serrées en cette sorte de (dernière) anfractuosité post-post-cimetière : les allées du Verbe ? les allées cde l'herbe, de l'herbe mâchée ? une sorte de tunnel de Verbe ? Cri donné ! Chanmp des Ailes ! LE PASSÉ ? Est ce que c'est en vrai ici le Passé qui serait derrière ? EsT)-ce que en vérité" ce qui nous attendrait derrière (le second muret en rotondoté) serait ... le Passé ? le Passé surnuméraire ? les données premières re-re-re-données à nos gouvernes !
Re ?
Re, le Roi d 'Herbe verte (Verbe) ? Re le Ré ? Rey ! ROi, des ombres Supliciées ? LEs données profondes en termes de données comme
RÉHABILITÉES ?
Qui sait ? Qui sait en vrai ce qui est qui est, passé la Rotonde des Données profondes de la m=ort à lm'oeuvre ? Qui ? qui connaît ? qui confronte ? Qui en vraéi s'y colle et pôas pour de rire en vrai, mais pour de vrai , qui ? On voudrait (nous : ailes) cerner, ttoucher vif ou à vif, les données frontales eh bé oui, de pareille Entité , de Pareille Divinité dont le nom serait (ici et là) Mort Donnée ! Mort Allouée, Mort Actée ou Mort Avérée ou Entérinée. On veut en tant qu'on est des fées ou une fée cerner, au plus près, les données les plus profondes de la mort à l'oeuvre. Ce qui est qui est. C e qui nous regarde ou nous regardrrzait de face ! On est nées Fée (de fait) au passage (MORT°) et dans le pré (la mort, ou la pré-mort, ou la première mort) on court on vole ainsi ailées, on veut se rapprocher ensemble d'une sorte (au loin) , de corolle, de porte, d'ouverture -"hole" (trou de boue) dont le nom (à tout casser) sera&it PAROLE
PAROLE ACIDULÉE DE TYPE COROLLE
CHARGE FORTE
POINT DE ROCHE
CONJUGAISON ? On voudrait tant cerner la choses, toucher , toucher haut, chercher, chercher haut, foncer , foncer haut, percer, percer hgaut , comprendre, comprtendre = prendre haut, ce qui est qui est, ce qui swe présente en vrai,... : des sortes de Nénés ? Nénéews à lait ? Données lactées ? Du lait comme s'il en pleuvait
pleuraipissait
sur herbe des prés ! chahutée ! mouillée ! tout imbibée et arrosée ça le fait c'est frais (ou chaud , des fois, selon ce qui est) ! On est comme nousmêmes "baptisées" de bonne grâce, par du pipi d''Ange on dirait ! Pas vraiment salies ! douchées plus que salies ! allouées ! baptisées ! auréolées par du pipi ! de vache à lait on dirait ça le fait! pis des prés ! lait ? lait sucré nacré ? O,n aime grave le lait ! On veut grave l'aimer = l'aduler = le bénir = le ma,nger ! vivement le trait ! On veut toucher le lait = l'avaler , le tenir , le sentir couler, le bouffer de près ! chérir ! l'aimer alloué ! Sentir le trait pisser et le téeter comme à jamais sans coup férir ! aimer ............ aimer ............... aimer ............... aimer .................. aimer téter ..................... aimer ..................... aimer grave téter ................... grave aimer téter .................... chercher le ,néné ........................ chercher grave le néné ............................................................................. toucher le néné ................... cxhercher grave à toucher le néné ............... le néné de vcache ............................... pis .............................. pis aimé ........................... pis grave aimé ........................... pis aimé grave ............................ grave pis aimé ............................... tracezr, courir, aller, chercher, combler, chercher loin dans les entrailles le Passé ! ............. qui sait ? .............................. et si devant (après le pré) il y avait ............. le Passé passé ? LE trait des F2es , le tracé, le Passé tracé, trait de Fée de type Lacté ! ............................... Fil de Lait ....................................................... ./Lait acidulé ......................... lmait n acré ................................. lAit des LMaits acidulés de tuype nacré / tracé / aimé .......................... On est la Fée, post-mortem, des prés tracés , on veut grave travezrser le pré et filer ! aller ! courir grave vers le TRait des Rages ............................. trait acidulé comme s'il en pleuvait
pleuraiot
pissait grave; sur pré, sur herbe allouée. On entre ! On est cfomme accolées de bhase (ailées) et du cfoup, étant accolées, ou ainsi accolées, on peut entrer en cette roche des données données , roche rude /dure ornementée, roche aux Données tracées de type Aventures, REvoyures, BHêtes à fière Allure ! On est F2e des PRés sur HErbe ALLouée à une Vérité de type Comprenure ! On veut toucher toucher toucher d'eaventure le tracé de Bure ............................... festivités ................................ fêtes auréoléesv ............................. cxhants des Runes ................................................................................................................................................................. portillon ............................ extrème-onction ................................... coulures et autres moùuillures ......................................................... fuite de son ........................................ conjugaison ...................................................COnjugaison maison.
4/11/2024
On mùate ! on est matées ! on mate grave et aussi, on comprend des choses du coup , comme quoi la mort est, dans les profondeurs de la Roche, enfouie ; La mort en vrai est enfouie (on dirait) dans les profondeurs de la Roche ci-après ou ci-devant. car voilà : on est entrées ! on a passé le "Rubicon de l'âme", on trace ! On est accolées comme deux ailes "affrêtées" comme qui dirait à une sorte de bête des prés (papillon ?) qui (de fait) va et vient et ne regarde pâsz à la dépense ! On est ensemble ! on est vives ! on se ressemble forcément : on est de base ailes des prés , chantournées, vives de cghez vives, tracées-dessionées à main levée par une sorte de divinité de genre fictive mais, en vrai, qui est, qui existe de fait , vfa et vient sur rive, monte-descent, grave et comprend (ici même en roche) les données profondes /.. On avance ensemble, en cette roche dure,on est soudées ! On colle = on se cfolle ensemble l'une à l'autree, pour en vrai cerner les choses, les données du monde, ce qui est et ce qui (peut-être, qui sait ?- n'est pas tout à faiot ! On cherche ! nous voici voilà passées comme par la bande en cette sorte de paroi, paroi de contrebande qui, on dirait, nous aéttendait impatiemment eh bien voilà ! nous sommes là ! nous sommes arrivées ensemble en elle ! On regarde ! On veut toucher = cerner = dire et ce n'est pas peu dire qu'on le veut ! on respire ce dire ! on est mortes d'envie ensemble de toucher ! de toucher-cerner les donné&es divines ! roche des prés ! bhêtes des données rupestres ! chmps et herbes au taquet ! on veut grave ensemble comprendre ce que c'est que cette chose, d'une sorte de rotonde devant soi, qui serait là comme à nous entourer de "ses nénés", qui sait ? On est nées sur hrrbe ... comme deux antennes ! On veut ou on voudrait de fait ensemble comprendre à jamais les données terrestres d'une qorte d'entité, genre "herbe des pr"és" = "herbe do nnée" par on ne sait, mais en vrai on est qu'on ne désespère pas complètement d'un jour deviner ! toucher au but ! aller vers elle (déité ou divinité) pour mieux cerner de quoi elle est faite (La Mort) en ses quar'tiers de fond de roche ornée. On veut de fait ensemble en tant que fée comprendre qui est qui , ce qui est qui est qui nous rezgarde ou b-nous regarderait (grave) de la tête aux pieds sans disqcontinuer, et nous de nous laisser ainsi mirer ou ad-mirer ou seulement ou simplement mater, ou comment ? car nouys voilà cernées ! touchées des yeux et du coup touchées comme si en vrai on était nées fée (une fée) au passage des cieux ou comment on pourrait en vrai dire cette chose (ici roche) comme quoi voilà : en passant, en traversant, en passant ERoche des Données Rupestres Néandertalienbes on est comme "tombées" de force dans un pré et du coup ... on se relève ! on est nées fée (une fée) à la relève ! on est passées à deux , nous voici transformées (dans la mort "prairizale") en une Fée vdes Convenhances de Plaisance ! on est nées ! on est nées Fée ! DAns la Mort dite "des prés" o,n est nées (on est deux femmes) en tant que Fée (une) pour l'éternité dite "de contrebande ". On est La Fée du "Cimetière ajouré". ON EST Fée des herbes (et autres fleurs sondées) des prés de luzerne ! On veut toucxher à cette déité des données rupestres telles que représentées pzar (on dirait) homme ou /et femme des cavernes néa dertaliennes . On est passées tête la première et nous voici tommbéees opu comme tombées de l'autre côté , allouées à une sorte de pré "célestr" ou de prairie "celt" ou de chgamp fleuri aux données rupestres infinies (?) qui nous "regarde" faire comme qui dirait, soit :
toucher, toucher , toucher
dire dire , dire
cerner, cerner cerner
aller et aller
chercgher de fait à mieux cerner les données du monde d'une vie d'après-rotonde ! avez-vous cerné ? Avez-vous compris la Chose ? Le seiuil de bonté ? La Rotonde est dans le pré l'enclave des Formes ! On veut toucher à certte vérité des données profondes aux allures de Sainteté ! On veut toucher toucher toucher à cettte sorte en soi (en vrai) de DFéité-Divinité DES Données Profondes au sein du pré ! On est FÉe ! On est la Fée post cimetière , post-rotonde qui sait ? ou sinon post paroi des ombres et autres roche gravée-dessinée des fonds de grotte (demandez l'entrée !). On est La Fée des Hommes (?) ou Ombres (?) ou HOmbres (?) ou qyoi d'autre, ayant disparu (fichu !) au passage de rOche car, on le sait à présent parfaitement, ou sinon parfaitement assez bien , on sait à présent assez bien cette chose ici comme quoi l'homme - ombre (hombre) est, au passage de roche ... à trépas, pour ainsi dire, nu velu foutu ! Né il passe et meurt ! au passage de Roche, à trépas, le voilà à bas ! enterré des faits ! Il ne passe pasou plutôt il passe (oui) au cordeau, mais en vrai transformé en deux (on dirait) entités de rage allouée à une sorte pour le coup de Fée Ailée ! On est né Fée au passage en pré ! Homme cerné, abattu nu, sombre dans les nues, laissant de lui "sortir " les ailes d'uune sorte de F2ée Naturelle ! On est Fée des Prés surmenée ! Onnveut toucher à ce qui est qui nous regafrde (regarderait) de près on dirait ou cherche à nous touchger comme si en vrai on était née s de base ailée alors que non ! on s'est retrouvées "transformées" en fée au passage en pré ! au passage des données rupestres ! homme est DCD quand ELLES (fEmmes au pré-) sont nées rupestres en tant qye Fée des Herbes (du VErbe) charmées ! On est accolées ! RAGE et COURage ! le vcoeur à l'ouvrage ! On est La Fée "des prés du passage" et on regarde, devant soi et sans tarder, ce qui est qui , on dirait, lui ou elle aussi nous regarde ou nous regarderait sans traîner ni nous lâcher pour nous comprendre = nous prendre , ou mieux nous comprendre ou comment on pourrait dire ? nous TOUCHER_COLLER ? NOUS EMPORTER DE RAGE EN SES LACETS ? NOUS EMPORTER DE FACE EN CES LACS DES PRÉS ? ON cherche ensemble c'est un fait à comp^tendre les données de base ce qu'elles seraient en vrai sur place soit en ce pré aux données de rage, des fées de passage et autres créatures soulevées, lancées, hautes sur roche , traversées de choses et autres de type VErbe-né ! verbe au taquet ! cghant des prés post-cendres allouées, et autres chants aux données celestes ! On veut toucher de près à ce qui est en ce pré aux airettes ! on veut en vrai COLLER ! toucher = coller ! On veut dire et aller, chercher, se coller à une sorte de données rupestre aux allures de mur d'enceinte ! Qui on est ? Une fée ailée, on se pointe jusqu'au bout du bbout du pré alloué à une sorte de donnée rupestre ! On veut toucher = dire à cette sorte de donnée ce qu'on sait ou saurait de l'herbe (verbe) sur pré ! Onn est née Fée au passage en herbe ! on est nées Fée au paassage alloué à une mort actée ! On veut toucher aux données célestres ! On veut toucher-cerner et du coup com^prendre (ensemble = ailées) les choses de Roche : qui on est, qui on est pas, qui on veut toucher, qui on ne vceut pas toucher, qui on ne veut surtout pas toucher, qui on veut cerner en vrai , qui en vrai on ne veut surtout pas toucher-cerner de quelque manière que ce vsoit ! On eSt fée des prés passée en roche comme en contrebande sur le cul ! née nue ! née sur le cul nu ! on esst passées ! on était deux (au frais, au frais de la grotte allouée) qui voulions passer , qui voulions ensemble traverser (de chic) la roche ornée, eh bé voilà que nous nous retrouvons comme "située" en vrai en un pré aux bêtes de masse, charge grave, poids des mots sur pré de base et utres herbes de bas-âge ! On est passées ! On était Elles , et d'abord il ! il devenu Elles fdevenues Fée = UNe , de Chasteté ! salubre ! Chant des données rudes ! On a traversé ou comme traversé ensemble la contrée "méchantre" et nous voilà enfin touchée ou (disons) comme touchées par on dirait une sorte de "main des prés " , main surnatyurelle, main suvreélevée qui voulait en vrai on aurait dit nous emporter ou nous embarquer avec elle ici en son étui ;! on ne veut pas passeer pour on di!ra ce qu'en vrai on est pasv ! On veut toucher-aller, dooner-cerner = jouer ! JEU DES HERBES ! JEU DU VERBE ALLOUÉ À DE L'HERBE ! JEU DES DONNÉES CELTES = CÉLESTES = CÉLÈBRES = VIVES ET CONSACRÉES ! O on est nées FGée au passaghe en pré et nous voici ailée de fait , ailée comme "de Verbe" , = allongtée ! porolongée ! souveraine !
Fée des Prés cherchezrait à cerner, de près, les données rupestrszs !
On veut c'est vrai toucher = toquer, mais quoi ? les données en herbe ? L'herbe ? La pâroi "aux herbves" soit l'après-par(oi (après-soi ?) des dfonnées en herbe ? On cherche ! on ne s'arrête pas de chercher (ensemble) ce qui est ! On veut toucher )à une déité des reves ici allouées à une sorte il semblerait de vsommité surnuméraire : le Néné ! le Néné en herbe ! sein des prés cherche à se donner et à donner du coup son lait genre denrée ! dent de lait ! on aime ! On a grave en soi cette envie allouée de comprtendre = toucher, ... à quoi ? à cet abri , à ce cagibi ou sorte de , à ce pré-enclavre aux bêtes de somme et autres cerfs de seconde zone ! On veut être nées Fée (une fée ailée) pour cerner (mieux cerner) les données profondes de Rotonde ! qui on est ? peut-etre dans la mort, en effet, FEmmes allouées poour former Fée, qui sait ? des données Rupestres . On veut grave toucher, cerner = dire, comprendre et aller ensemble, à la recherche de la Déité dite "des Cimetières" ! On est N2ES ! nées sur pré, au passage en rocghe, et bnous voilà fée ! Fée des prés de belle zone ! on est entréess ! on est passées ! on voulaiot toucher , szoit dire et cerner les données de Roche ! On entre ! on cherche à comprendre et du coup toucgher aux nénés de l'ombre ! On est nées Fée des Données de ROche (Rotonde) et nous voilà cernées ! entourées ! comme encerclées ! La Ronde aux données ! Pré cerné ! Champ-pré aux données allouées à l'herbe à brouter (le Verbe) comme s'il en pleuvait (des traits ! ) . On est nées Fée sur pré des Ombres ! nénés ! les nénés ! où donc on pourrait de fait trouver ensembkle (accolées formant Fée) les nénés des Ordres ? Où ? On est cfomme "parachutées" c'esst dire ! On voulait aller et donner, prendre et comprendre, et nou!s voilà comme "parachutées" de force par (ici) une sorte de Forme Oblongue ou comment, qui est-elle ou quoi , ou qu'est-ce ? que , là, ici même (pré) cette Forme aux Nénés ! on cherche ! on tend les bras (ailes) , on ne regarde pas à ce qui est de nous donné ! on veut = on va ! on est pas chiches d'y aller ! on veut
TÉTER ! GRAVE ! GRAVE ON VEUT ! TÉTER LE NJÉNÉ ! ON VEUT OU ON VOUDRAIT! GRAVE TÉTER ! LE NÉNÉ DES PRÉS ! LE NÉNÉ DES NÉNÉES ! GRAVE EN VRAI ON VEUT ET SANS S'ARRÊTER ! SANS SE GÊNER ! on veut toucher à ce njéné de l'Ombre, de l'Ombre emboiîtée ! Ombre ancrée ! Ombre des ombres emboîtée-ancrée en certte sorte de roche des fonds, fonds de pré alloué, chant du cygne du pré, mur-cloison de Rotonde-enclave ! charge ! poids de maison ! bande et contrebande = la clioson des Monts, des do nnées prairiales en leur fond ! chyarge mentale ! on va, profond, fée, chercher ! on va, en fée, ailée, chercher ! on est la Fée dite "des Données profondes" sur pré . On est La Fée des Prés cherchant réponses et d'abord questions concernant la Chose aux données prairiales. On veut
TTouccher !
Grave toucher ! Coller = dire ! Allouer à un dire l'herbe à b router pôur vache à lait ! pis des herbes folles ! pis d'hole ! pis des pis comme une sorte de donnée folle ! On est Fée des prés et o,n s'envole en vérité vers une sorte de cloison d'époque, gravée, chahutée, tracée et traquée , qui est mur d'école ! cvorps d'ombre ! vérité des vérités ! On colle ! On veut touchger = coller = cerner = épouszer la Roche, les données vfrontales de fin de parade ! On est née Fée au pâssage et nous voilà cherchyant (comme un fait exprès) à nouveau passage, cette fois en fond de pré, direzction .... eh bé qui sait le Néné ! De rage un néné ! pis dit ! le pis est dit qui dit son dire (ici) des prés = para-dit donné ! don de lait ! On veut téter la Mort allouée ! On veut (la mort allouée ou donnée) téter, qui le dit qui le pis, qui le pis-dit, qui le dit-pis, sein de contreaba nde pour une sorte de marchande (fée des branches). On veut (grave) toucher au Néné de L'ombre sur pré, charge "forte", conditionnée, allouée à une escorte, à un train de dés , vers de rage et autres versets ! On veut coller = donner ! donner =verser ! Dire et toucher ! comprendre ! sentir = presse,ntir ! Don de soi pour une charge "drôle" ! on fonce ! On veut être la fée des ombres , l'attelage nacré ! charge-somme des données pesantes, lourdes de vérités ! On est nées Fée sur pré quand on est passées , et nous voilà comme à la retombée cherchant à mieux nous immiscer ou glisser de rage en ces données prairiales, vérités et contrevérités feraient bon ménage c'est étrangfe ! un p)aquet ! le paquet du Verbe ! chasteté en herbe ! gente d'herbe et des fleurs nacrées ! on veut aimer = cerner les données dees Frères et autres ordres dits "de Chyasteté", "de SAinteté Naisqzante", "DeS données de Branche". oN veut coller pârce qu'on est née (fée) et que (en vrai) on a bvesoin (qui sait ?) d'épouser la Roche, la Roche des Termes (finalités et Verbe ! ) c'est un fait ! On est nées "La Fée des Herbes" allouées au Pré des Données Rupestres néandertaliennes (tu le sais c'est vrai !). On est passées ! On voulait coller eh bé c'est fait ! On voulait grave aller et dire et toucher -cerner et auusi comprendre, et par ouï-dire et en vrai (sur place, en face) les données allouées à un pré dit "des Vérités Sauvages", c'est fait ! On est nées ! on est Femmes des Prés allouées, à une sorte de Romance
aux donnéesz de base , Fée des Fées des Bases tracées ! On veut :
COLLER = DIRE = CHERCHER = CER NER = COMPRENDRE =COLLER = FAIRE = CHARGER = CONSACRER = VIVRE SUR HERBE LES DONNÉES RUPESTRES , SONDER = COLLER = TRANCHER = VIDER = ALLOUER À UNE SORTE DE DENRÉE (LE LAIT) UNE SORTE DE VÉRITÉ (ANCRÉE) DE TYPE VERBE, VERBE À VÉRITÉS = VERNBE -NÉ DES DONNÉES RUPESTRES ! On a grave ensemvble envie cde toucher aux nénés du verbe = pis ! pis de lait en herbe = spi ? spi = pis ? Qui sait ? On veut de fait toucher le pis dxes données vives (lactées) comme s 'il en pissait surnuméraire sans arrêt ! On cherche ! on est pas en reste de cherc her ! on veut coller-toucgher-cerner-pister ! comprtendre = faire = donbner = coller ! mais comment coller quand on est fée ? On est La Fé&e ^post-cimetière aux données rupestres ! Qui on est ? LA fée en Herbe , ici (peut-être) un brin chahutée par on dirait des bêtes de trait allouées à un pré "post-cimetière" ! On veut toucher = sonder ! qui ? l''^$ETRE ! LE Passé ! le temps Passé qui seraiot l'ÊTRE = le VERbe ! chant sacré ! chant donné ! vérité des vérités sur pré et ça le feraiot ! On est La Fée du pré passé, cxhant de la Terre ! Vérité et contre-vérité forment le pré aux données célestes , la Pensée du pré, l'idiome Nacré, Fleur de Lait et autres Vérités Langagières sacrées ! ça le fait en vrai ! le néné ! le néné de l'herbe ! pis aux données vertes ! C'est un fait avéré qu'on l'aime en tant que fée ! car la Fée aime l'herbe, le V Erbe, le Laiot, Le sein aux données, le Néné ! Les données données par (on dirait, ici) le Néné alloué à une Vérité post-cimetière, du genre : vérité et contre-vérités jumelées ! yin et yang au débotté sur branche aux Nénés ! on entre ! on pâsse le nez, l'oeil frère, une sorte de doigt poiinté, un pied, une mèche, une tête , qui sa&it ? On est entrée ! fée entrée ! fée des Fée entrés commpe à l'arraché en cet antre des do nnées finales de type "mur de rage" ! on regarde ! on regarde bien en face ! on veut touchger de rage ! le Néné ! Pis des Herbes tracées ! traits ! traite ! traits des traits comme s'il en pleuvait ! un trait = un trait de traite ! pis trait ! pis des traits et pis des traites sont dsonnées de base mortuaire ! on veut grave pisser ! pisser du lait ! pis donné ! lait de charité ! chant d'espagne ! le teracé nacré sent la Rage allouée à une sorte en vrai de V2rité SAlée, Salée de fait, comme consacrée par en v rai du se"l d'espagne ! On veut en vrai toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher ensemble (ailées) à ce sein tracé aux données lactées : pis de Verbe = Néné d'Herbes, genré, comme alloué à une sainteté post-cimetière ! on est nées ! Verbe -Femmes des Données de Rage ! passage ! tracé ! Charge ! attelage ! Onest comme en vrai un peu on dirait soulagées d'être pour le coup passées et qui plus est pâssées ensemble = attelage = ménage = conditionement de base en termes de remaniement, changement, d'il en elles, des données de base ! et ce : par; oon le sait, la Rage ! la données Suprême ! Rage de La rage ! changement acté des données de base ! d'il en elles , ailes, Fée des prés ! on est comme tous / toutes transformées , du singulier (masculin /féminin) au pluriel "des fées", des données rupêstres,sang de Rage coulé, on est passé en face ! tracé ! trait ! trait fait ! tracé d'ange ! trait ! fil de trrait ! charge ! on passe ! on v eut passer ensemble nous deux accolées femmes d'ombre sur pied ! On veut traverser ! toucher à cette déité des données rupestres comme soupesée , on dirait, par le verb e = l'herbe, des données prairiales et autres données sardes (qui sait ?) . On est comme soulevéeds ! dites ! postées ! do nnées ! cghaargées ensemble (ailées) d'un dire de poiids de type bête de paroi : la Bouquetine xdes données de rage, l'Antilope de France, L4auroquinhe marocquine ! La Belle des Poids, le TRacé-Massue, l'ombre-verrue ! La charge POstale et autrzsx Mots de base animaliers de type Bisonnné, Bises des données aimées ! On chante ! on crie de Rage en face ! on veut gravir ! monter fissa ! coller de rage à loa )aroi finale sur toundra ! transe ! transe mentale ! chyanht d'Espagne sarde ! charge des rois, reines de Saba ! colle -massage ! Plantigrade ! On veut :
comprendre = dire = toucher = cerner = pousser = traquer ici les données cruciales, celles qui en vrai pèsent ou pèseraient grave dans la balance ! on est la Fée des prés de base, la Donnée dees Rages, l'Emportée des Envolées, des envols-traces ! traces des tracesv ! On est Fée des prés ...................................................................................../././.............. allouées à une trace ! .............................../ genre "satiété" ............../............ ou alors "pa ssé" .................................. ou même "sainteté des données sauvages" ........................... ou qu'est-ce que ça pourrait être d'auttre qui le ferait en vraéi ? ..................... car en vraéi on a envie ensemble "toi et moi" = fée, de cerner = comprtendre ce que c'sset qui nous regarde en face ! face d'éternité qui sait ? face des données frontaéles ? une sorte d'anfractuosité coupable ? qui est qui en ces contrées ? qui regarde qui ? qui mate la fée ? qui est là pour pour le coup mater ? On dirait .... D2ité ? ok ! mais qui c'est ? Vache à lait ? pis de Vache à laiot ? pis des donné"es lactées comme s'il en pleuvait et nous de nous poster tout près le bec ouvert pour boire ou manger ? On veut grave téter les données rupestrezs = nous coller .... au VErbe = à l'herbe = brouter ! manger ici = brouter , l'herbe allouée à une Vérité Surnuméraire (natuirelle) aux données ancrées de type S
ainteté sur Terre ! on veut toucher toucher toucxher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette sorte de Divinité en Herbe ! Sainteté rupestre ! chant lacté ! Verbe ! Vérité en herbe = Donnée des Données = Fée des pRés, = va-t-en guerre alloué à une recherche sévère ! On est née la nuit passée ! on est née fée la nuit pasdsée = traversée ! la nuit = le rocher ou roc aux entrées ! On est la Fée du cimetière dépassé ! ddu passé consacré, alloué, déposé ou posé sur pierre ! alloué à une sorte de donnée rupastre ! Le PAssé déposé piour faire son petit effet de "vie sur terre" njaturelle,élancée, vive et tracée, chargée d'herbe, collabée ! On est née Fée squr Herbe à la retombée la Mort passée, c''st-à-dire avérée , actée, entérinée ! On est Fée des prés la Mort passée, commùe qui dirait "libérée" ! ON est Fée du Pré aux Herbes-Verbe chahutées par des danses celtses et autres transes de Saba ! On entre ! on est entrées ! on est là ! on chante ! on veut toucher-cerner-piger-comprendre-saluer-toucher la bande (ici bas = pré) des doonées de France ! calibrées ! sondées ! tracées ! chargées ! constamment comme aménagées comme dans la souffrance d'une sorte de tracé, d'allant passé, de cxharge frontale ! On est nées Fée ! on est la Fée née sur paroi de grotte ! chahutée mais née en vrai et du coup placée ! On veut toucher à une vérité xdes Ombre's de Pzaroi de grotte ! On veut toucher = dire = faire =cer ner = comprendre = cerner ensembkle les données rupêstres, ce tracé des bandes, vents de face = pets ! traits des fées ça charge ! ça envoie grave ! péta rades au vent mauvais tu penses , si en vrai ça le fait grave ! comme un fait exprès ! ça le fait de face ! vérité ! vérité des vérités = chants des traits de base et autres tracées faits à main lezvée par une bonne âme , par la Charité ou Sainteté d'un hommpe-femme ! une femme trempée, femme -homme cdes prés et aiutres champs de garde ! salué ! sauvé ! chahuté mais sauvé on en redemande ! on ne veut pas passer à côté ! On nest la fée des champs de garde ! contrechants des contrzbandes ! bacchanales ! cavalcade et parades sur paroi aux Charmes ! On v eut grave se donner aux données de l'ombre et toucher ! les toucher !cerner ! Dire et pousser ! Fermer le clapet ! ne pas sombrer mais de fait regarder ensemble ce qui est qui nous rassemble en tant que fée, ailes allouées à un corps de sape, satiété, sainteté de rage, véracité, verbe ancré à même un tracé, herbe aux données sages, vents données sur champs alloués à une sorte d'enclave seconde, pré ! p^ré aux fées ! On veut toucher ! on ne veut pas ou plus (pl;us jamais! ) passrr à côté mais tout au contraire cerner, dire et faire, caler son dire en vrai sur le faire alloué à une sorte de recherche en herbe ! un tracé de fée ! sur terre agraire ! sillonnée ! broutée ! On veut plaire ! on veut en vrai aller et toucher au V erbe des données Suùprêmes ! Charger ! tracer ! coller ! foncer ! filer ! cerner ! graver et dessiner la bête aux données"superbes" = vives de chez vives ! vie d'appui ! On veut faire effet = impressionnher en vrai, par des bhêtes de poids (masse-et -rage), l'être Des données Suprêmes = Déité Sa&crée, Herbe des Prés, Déité des D2ités ou des Divinités "naturtelles" ! ça le fait ! on diraéit qu'on aime en vrai ainsi comme êttre de fait chahutées par le Verbe aux accents "cornus " ! vie vive sur paroi de roche ! mots de grotte ! animaux ! charge ! paroles doctes ! vents de rage ! face d'hommes morts sur roc , l&aissant de fait passer à travers (?) eux la Cause ! On veut le mieux ! Dose d'époque ! Chant des ROches sur p aroi sombre ! On est deux ! deux ! on est deux sur les deux à vouloir, la roche, la toucher-pénétrer-traverser -dépasser .... DEux Ailes au débotté
Font la Fée des PRés
Allouée au x Nénés comme en vrai
Le bébé en herbe Du vErbe
SAinteté Nacrée, Chant de l'herbe
Bête maigre , bête grasse
On les aime en vrai comme des entités ici déiféies, déifiées de base, ou diviniszées ça le fait ! aimées ! bêtes de poids sur pré aimées ! adorées = adulées = consacxrées = cxhargées, d('une sorte de Verbe du Pré = HERBE ! l'HERBE VERTE = VERBE ! on aime ! on veut grave aller ! sonder, toucher, creuser, traverser = aller de l'autre côté sans sourciller le moins du monde, parce qy'en vrai voilà on est la Fée, Fée des prés, post-mortem on est, qui vgoulons tracer , voulons grave en avancer de fait dans les connaissances liées au tracé des données rupestres (chants déifiés) des rOches Calcaires ! Sainteté des sa&intetées Rupestrse ! Charges-nées sur pré sont Paroles Doctesx = Véritrés Et contrevérités disposées de base en corolle ou forme de, car mises ainsi, sur place , déliées, comme à la parade ! chahutées et chapeautées elles tracent ! vont et viennent et chargent, foncent, vitupèrent, grondent, forment (oui !!! ) Corolle Sacrée (nacrée) ?) en forme de Ronde ! Ronde dessinée ! Rotonde ! la Donnée Cerclée ! ou e,nvcerclée .... Fond de pré, sur roche profonde intra-pariétale avouée ! On est fée du PRé des Forces ! collées ! on est femmes collées ! accolées ! attirées ! sonnées ! sondées ! collabées ! prises sur le fait comme quii dirait d'une sorte de' collage monstre ! vérité sucrée = llait de roche (comme qui dirait) ! On est La fée donnée ! danger ? ça force ! ça gronde ! on dirait qu'au loin au fond ça gronde ! danger ! ça force ! on dirait au loin que les données du mondfe sont tracées qui nous espionnent , nous rapellent à l'ordre ! mèfle à ces données ! merdum attitré ! on ne veut pas en tant que fé&e céder mais en vréi continuer-persévérer dans notre "ronde" nos recherches avérées assistées, allouées, tracée's ! Cherche-corolle ! cherche-entrée ! cherche-vérité ou passage de roche par où en vrai pâsser, s'immiscsr, coller pour mieux traverser et de nouveau comme nous retrouver de l'aéutre côté à présent du pré ! des données de pré ! des herbes folles ! On veut foncer = toucher = prendre (en vrai) la tangente tracée pour une sorte d'immixion de roche ! au taquet ! sans s'arrêter ! fi des traits de Verbe , saletés, tracés morts-nés on s'en fiche pas mal puisq'on est fée qui (de fait) traçons grave sur un pré le SEntier ! on veut toucher à cette Déité Surnaturelle (?) ou naturelle( ?) surnuméraire aux données données allouées à une Vérité qui est la Vérité des Vérités ! mort donnée ! mort ou la mort, en tant que Donnée Sprême ! qu'est-ce que ça pourrait être en fait ? de l'herbe ? du lait ? herbe à lait ? herbe verte pour du lait de ferme ? Femme sondée sait ce qui est car elle est née fée dans la mort affichée ! On veut toucher de près ! l'herbe du pré ...................... des do,nnées vezrtes .................. et autres données données pour unje sorte xd'immixtion "certaine" , "avérée", "allouée en vrai" à une sorte de denrée, qui szerait ............. eh bé du lait ! en vrai ! lait d'herbe si ça se pouvait ! Le lait ici (pré) provenant de l'herbe broutée sanbs disciontinuer ! tracé de vernbe sur sentier jamais quitté ! fait vrai ! données données ! charge sur sentier comme une sqorte en soi de donnée sale mais concrète et affichée comme' à la parade des bêtes de masse ! On est Fée du Pré de Base ! Trace et Donnée de charge ! vérité afficxhée sur base prairi&ale ou autres bases aux bêtes de pré ! On est La Fée du pré des Rages ! Fée données ! chants de charge ! pesage ! pesage ! pesage ! pesage !
......................................................................"PEssaace" je disais (enfan,t) ! .....................................................................................................;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;.................................... pesage comme qui dirait des données de base ............................ on veut toyucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher tpucher toucher topucher toucher topucher toucher toucher touycher touycher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher touycher toucher touceetr toucher toycher touycher toucher youychef toucher toycher youcher toucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher touycxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher ouycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher touchef toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher vtoucher toucher toucher toucher toucher vtoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher vtoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycxher toucher toucher toucher sans s'arrêtrer, à pareille charge des données frontales ! charger = donner = faire = distribuer à Déité le Fruit des nos recherches vives ! On veut coller à une sorte De donnée Finale, type Rotondçté des Rotondités TErminales, Mur des RAges, Fins de Trace. oN est Fée deLa Fée des Ombres ! On Veut collerv= toucher = faire = dire= comprendre ensemblme un certain nombre vde données de base genre Vérités Coriaces, CXharges de pré, Gentes Dames SAluées cfomme en vrai, Passé de Charme, Contingent de bêtes sardes, Le Passé déposé en termes de vivats cfomme s'il en pleuvait et autrtes dépots de base ! On est la Fée du pré aux données gravées , on s'avance ! On veut coller = dire = faire = comprendre ensemblke ce qui est qui tremble(ici) cfomme un n ouveau-né chercvhant à téter ! On veut toucher ici (en vrai! ) au néné et du coup boire le lait = téter = faire ainsi "pesage" ! le néné des ombres portéesz aide au pesage d'une denrée qui est le lait ! le lait de Rage ! la donnée donnée donnée de base et ça le fait ou le ferait pour une éternité qui sait ? ON veut :
dire et faire
ce qui est qui nous entraînerait ! nous porteraiot ! nous aiderait à comme nous envoler en tant que fée ! fée des fées de Rage ! fée surnatiurelle (?) ou naturelle (?) qui sait ? du moment qu'on est ! qu'on est fée sur herbe de pré post-mortem comme qui dirait ! On vole ! on monte ! on veut toucgher topucher topucher topucxher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher roucher à cette sorte (en soi) de Déité
des DOnnées fébriles, V2rités acides (qzui sait ?) dont on devinerait (en tant que fée) les axes avérés, tracés de dires, charges centrées cendrées, vives qualités. On veut :
dire = faire = comprendre = donner = comprendre = cerner de fait les données de charge, ce qui est ici qui plombe grave, pèse son poids de rage et autres mots de trop ! On monte ! on est grosse des mots de l'ombre ! On veut monter haut ! aller au plus haut des données de roche ! s'élever ! nous élever ! monter au plus haut des données, vers Néné ! Néné docte ! forge ! fers acier ! chants des portes ! Vérité sondée donne un accès aux données profondes type "V2rité des portes" ! On veut coller ! toucher à cette Chjpose d'une sotre de "porte d'entrée" vers .... autre chose ! mer ancrée ! vagues d'or ! lait des fées ! or ! or ancré ! or nacré ! or sacré ! or cdes ors aux données données comme s'il en pissait ! douce données ! vives et douces données des données ou d'entre lesz données ! On v eut monter et traversert-szortir la tête et coller au V ERbe ! toujours coller ! ne pas s'arrezter ! coller grave sa tête sans céder ! pas grave la saleté ! le genre ! la vie des données ! pas grave en vrai la saleté donnée ou lles données lâchées comme des pets ! On entre= on acte ! On fait faits ! on est / on devient Fée des prés et ça le fait en vrai ! on s'aime ! on colle ! on est ailes = elles sur pré ! Elles " au débotté formant ailes de Fée sur pré, sachant voler, monter, grimper, cher c her à s'immiscer et du cvoup sortir la tête ! Qui sait ? qui connaôit le Verbe de l'ÊTRE ? qui saura nous éduquer,nous donner le trait, les données de trait, la Vache à lait sur herbe et autres grossièretés salutaires ? On aime ! on veut ! on charge ! on est de'ux sur nos bases ! deux ..../................................................................. dfeux de rage ....................................../........................................... deux sur deux ............................................................................................... deux êytres de base sur pré des Rages ......................................................................... cdeux femmes sur deux .............. collées, accolées, soudées, coriaces, genrées en tant qi'on devient Fée de base, trait d'éternité sur pré aux anges-vaches à lait ! .............. accolées-souydées ......./............ ailes nacrées ............................... ailes de vache sacrée .....................................................eMLLES ! ELLES sur pré ! .................................................ELLES= AILES sur un pré d'herbe-verbe ! On veut tyoucher à ce sommet des cfontrebandes et autres vilennies suprêmes ! charger = toucher = dire = donner = comprtendre = concéder sur herbe les données frontales = vilosités , poils de barbe,peau de balle, saleté consacrées sur paroi des rages en grotte sauvage ! sainteté des saintetées comme à la par ade ! va-nu-pieds sur herbes mouillées ! sondage ! attreappage sur paroi cendrée ! on est passées comme par contreebande le mot l^aché, on est nées sur pré Fée, une Fée, Une sorte de Fée sans barbe, donnée, vive et élancée, une Beauté on dirait ! on aime les fées ! ion est fée nous -mêmes : s'aime-t-on ? Peut -être ! On est Fée d'herbe ! on est la F2e de L'herbe moui;llée ! on veut tracer, charger, comprendre, sillonner le chzmp des données de base ! pousser ! aller ! cghercher ensemble ce qaui est qui sezra&it e"n vrai le tracé idoine (pour comprendre)-cerner) sur herbe de pré ! Qui on est ? La Fée ! on dira : la Fée ! Fée du pré cendrée ! chant de RAge sur paroi gravée ça charge ! on trace ! on veut coller à un tracé de base qui serait un tracé-sentier, sorte de promenade-allée vers une Sommité dont le nom de fait sezrait "Déité", "GEnte Dame", "v2rité en vrai" = collage ! sondage, sens des réalités sur paroi finale ! mortalité ! mort allouée à un passage ancré sur paroi du pré ! On charge -chante ! on chante-charge sans arrêt ! le tout est de tracer sur bande une sorte de treacé de bgase pouvant creuser, comme à la parade, une sorte de sentier donné, trait de cxharge, sens de marche, somme allouée à une sorte de chemin dees vaches ! commodités ! On en avance ! on est la Fée aux Vaches SAcrées ! fée des fées et ça le fait ................................. grave ! ................... grave et gravéedx ! ................... grave ça le fait de base ! ............ on veut comprendre ensrembkle ce qui est qui se cprésente à nous en tant qu'on est à présent accolées-soudées pour former (autour d'un mot de verbe) Fée de Pré surmenée ! On trace ! On en avance sur la place ! On veut toucher toucher t§ouycher touycher tyopucher toucher tyoycxhefr toucxher toucherf toucher à comme qui dirait cette sorte dee romance ancrée, ttracée, allouée de fait sur sentier de v
ache ! vache à lait acidulé (le lait) comme surmenée ! ça trace ! C'est ancré ! ça charge ! cça donne son lait (petit) de contrebande sur le pré ! néné ! néné à lait ! le néné né des nénées nés ! On cherche ensembke (ailées) le néné à lait ! Ailées pour du lait à (de fait) teter de rage ! On aime le lait ! on veut cerner-comprendre-toucher ! aller et venir, faire-dire, sobnder, comprendre = pistonner = pister = charger = allouer à un pré une sorte de vache ou de mot-vache (vache à lait) qui saurait (grave) nous aiguiller, donner à co^mptendre, soulager, éduquer en vrai , nous donner du lait pour mieux de fait cer ner la vérité de , comme qui dirait , la donnée des données ! vérité des vérités coriavces ! M%ont donné ! mont des monts ! rotondoité ! déité rotonde ! rond des ronds ! ronds d'olmes ! On monte ! On veut ! gravfe on veut ! grave on veut toucher-comprendre les données des monts ! ronds de charme ! mo nts des monts ! grave de chez grave ! On naît ! on est naît de rage sur un mont donnjé ! don des fées ! Vie allouée à unpré aux données données ! Charge frontale sur paroi des bases ! On est entrées ! on a passé la charge, le tracé dessiné, passage des passages ancrés, nous voici F2e ! Fée des Fées de contrebande ! une Fée sur pied ! fonce et trace ! va et vient ! chante et danse ! se pavane ! lévite grave ! fée du pré , qui en vrai lévite et du coup monte , va et vient en cette sorte de rotonde ! Va vite ! file ! fonce ! chercghe ! va et vite, à la r echerche il semblerait x'un trou de roche ! Sonde ! colle ! veut colloer ! veut sonder ! veut cfomprendre ! veut donner ! eut dire ! veut aller ! veut donner de son alacrité ! veut charger le dire des données données ! pousser ! virer ! virer et sonder , toucher ! touxcher au néné ! aéu néné à lait ! On est la fée donnée, fée du pré donné on dirait au néné ! on veut aller-coller, donner-sentir, filer-allouer (à du dire) un,e qsorte de vérité scotchée ! creuser ......................................................................... creuser ..................................................................................... creuser ........................................./.............. creuser /...................................... creusrr ..................................... grave creuser ................................../.......................................... creuser grave et sonder ................................................................................ toucher ................................................. toucher au néné dit "de la Vérité en herbge et autres denrées " ........................... "denrées-vérités"de type "herbe des prés" , lait des fé&esz, vaches ancrées sur pièces montées , vraies données genrées et autres gentes vérifiées ! on aime ! on aime les fées ! on aime l'herbe ! le sentier aux fées et autres vaches agraires ! on est Fée des Prés données ! on aime l'herbe ! on aime le lait ! le tracé vers le cimetière nous mène ou mènerait à l'herbve, aux données lactées post-mortem et autres denrées-vérités ! Faits vrais ! chants des F2es ! chants sacrés ! On veut grave chanter ! creuser ! toucher ! a
ller et dire ce quiest ici qui nouqss attire sans céder, nous pousse à creuser, toucxgher, sonder(, dire sans arrêt, foncxer sur rive, écrire les données ,du Verbe chargé (bêtes-mots soupesées et autres mots de trop genre grossièretés ! saletés ! monsztruosqités ! vives traites de pis sondé !). On est Beêtes de tra&it ! Charges romaines ! dons de lait szur bière ! Acidité !On a grave ensemble ici, envie de creuser la Vérité des Vérirés rupestrszs. Ce qui est qui est. Ce qu'on subodorerait de base sans céder, sans prendre la tangente mais en vrai, de rage et de face, coeur vaillant, sans se voiler la face : fée des prés allant sonder de rage les données frontales d'une sorte de cloiszon finale ! On est fée tracée ! On veut cfomprendsre = aller =dire = cerner = ^poussser ensemble le soc de la Rage, soc de t§rait ! Romance et cxharrue sur Herbe du cru ! On avance ! on cghante ensemble ! on est cul nu , velue, montée à cru ! On vole nue ! on veut touxcher la roche profonde "haute" ! On nE veut pas laisser passer la roche mais tracer ! creuser ............................................................................................. creuser comme en force ! .............................................................................................. toucher /................................................................;;;;;.................. dire et donner ....././ coller et tendre ........... pisser et chier sur l'herbe des prés .................//................. cdomprendre = donner ............................................... = cernervc, ........................ allouer à de l'herbe verte une sorte de Verbe cendré , on dirait, genre : mots des rêves ! qui sa&it ? ......................... qui en vrai sait ce qi'uil en est de tout ce cortègfe de bêtes de somme et autres bêtes de p)aroisurnuméraires ! ? qui ? on ne sait ! on cherche ! on ne cesse de chercher danjs l'herbve ! on est nées Fée post-cimetière , des données du verbe ! On veut :
toucher toucher yopucher toucher touycher toucher toucher toucher touchert à une Sommité ! Aurochs ! AUROCHQUE ! AUROQUE CENDRÉE ! AUROQUE DES PRÉS ! BUFFLE COMBLÉ ! BUFFLE AU TAQUET ! CHYARGE DOCTE FOLLE ! TRAITS GROSSIERS ! MOTS DRÔLES ! TONNEAUX ! GROS MOTS ! CHARGES DE FORCE GENRE LE PASSÉ ! LE PASSÉ POSÉ ! LE PASSÉ DÉPOSÉ SUR ROCHE AUX NÉNÉS ! AURQOQUES DES PRÉS ! ANIMAUX DE TRAIT ! GROS ! GROS MOTS DE TROP ! GROS ET GRAS MOTS D'HOMME ! MOTS DES HOMMES -FEMMES DÉPLACÉE,ES ! HOMMES DES GROS MOTS SUR ROCHE DES MOTS! FEMMES AU LAMPARO ! homme mort laiisse sa peau d'ailes ! On veut en vraéi ensemble, toucher la Romance , La mort d'ange, La Vive Allouée Ancrée Sacrée Saluée R5omance du Trot ! Tayaut ! on monte ! on gravit ! on est ailées ! Fée ailée sur pré on monte tout en haut d'une sorte de boyau de grotte ! chenal animal ! cheminée des mots comme gravés sur roche, au couteau ! On veut aller ! dire et toucher ! sonder ! creuser = donner = faire = choisir = donner , sur pré, une sorte de donnée de Rage à la gente animale, ici débonnaire, mùortelle (?) ou sinon mortelle charnelle , et qui dit charnelle dirait , qui sait ? mortelle ? on ne sait en vrai ! on cherche-sonde ! on se pelotonne pour former Ronde ! sainteté ! Sainteté allouée à une sorte dee... "seinité" ! On ailme ! cercle de fait ! On veut toucher au Verbe SAcré ! hverbe d'herbe il sembvlerait ! On a méga-envie de creuser dans la terre et l'herbe un trou de Domaine ! creuset ! tombe du pré ! maéusolée des mausolée ! TTombe sacré ! champ alloué à une vérité ! On est nées Fée la Mort VEnue comme un cxhant Chargé ! On veut coller = dire = faire = donner = comprendre = cer ner = doter ! On est nées Fée au passage alloué à une sorte de trépâs de fée" ! Chiche ! chichement nées ! on s'en fiche ! on est passées ! morte et enterrées on a traverseé ou comme traversé les données de l'herbe pour (mieux) nous retrouver bde l'autre côté, côté Verbe ! côté coté ! côté verbe coté ! On est la fée du cimetière passé ! On est la Fée du cimetioère en vrai p assé ou comme cdépassé , soit fée post-mortem ça le fait ! On av&it envie ensemble grave de passer comme par contrebande ce premier muret qui donc est le muret des données dessinées (bêtes de bo,n poids bon oeil gravées à main levée) et du coup, à présent, on se prend à penser qu'on est de"vebnues "autres" soit "bêtes-mots de roche" ou fée attreappée, ou fée des prés, f ée volante, on a changé ! on a grave en vrai changé au passage ! on était cet homme aux données de genre, pas vr'aiment fini, un peu beaucoup nigaud, bête comme chou, nous voilà AILÉe ! fée du pré ailée , qui volons, allons, foulons l'herbe, décoloons, montons, traçons, cxhargeons ensemble "à la une à la d eux" vers p areille sortie (diurne) de roche , genre griffure, paassage menu, éraflure de roche de rage, embrasure, passage de charge, porte d'ombre, tracé docte, vent, air, souffle à travers la roche, par un interstice de poche ! On veut t§oucher de fait à une sorte de passage vif, tréit des traits en cette sorte de cloison, des fins de pré, finalité, fond de culotte ! Qui on est ? peut-etre en effet une fée dedx Fées, fée docte qui en vrai radote mais gronde, pousse, va, creuse ................................................................................................................................. creuse que tu creuserasxs .................. = va ! file ! ourle ! ourdit ! fonce ! pisse ! trotte ! vole ! fond ! cherche ! coince ! trouble ! veut ! colle ! colle à la paroi de roche, la dernière ! rotonde ! cercle ! enclave des vdonnées prairiales on s'y croirait ! On vgeut tracer et de nouveau (cette fois-ci en tant que fée) traverser la roche, l'ultime rocher des données données, et nous retrouver (de force ou deegré) de l'autre côté, côté coté : côté ombre ? qui sait ? ou bien côté soleil, clarté, vent frais, mer des bases, vagues dorées, chants sardes, données des données, vaguelettes dorées accompagnées de Verbe, CHant Sacré (on dirait) type "Museztte" ?(?) peut-être ......../.......................................... on cherche ..................................................................... on est pas arrivées ! On veut toucher ! toucher l'herbe ! le pré ! l'herbe verte ! l'herbe verte d'un pré aux bêtes surnuméraires et autres bêtes agraires sachant brouter ! vaches et veaux à lait (veaux à l ait ?) du tonneau ! Lait d'herbe ! petits veaux des mots ! On veut creuser l a terre des données suprêrmes ! collaber le verbe et comê l"'enfiler ou l'enfourner ainsi serré dans une sorte de fourreau ou de fourreau d'herbe ! cxhalumeau ! feu des elfes ! On veut tracer le mot de l'herbe ! se pointer fuseau ! coller ! dire et prendre ! charger ! aller ensemble et faire ainsi acte de présence dans (en ) la mort dite "du tonneau ou fût des vins nouveaux ". Ivresse ! largesse ! sagesse ! On est comme cernées en tant que Fée naissante sur preé ! on se doit d'apprendre ! comprendre lesz données de base, mots de genre et autres idiomes soupesés comme par la bande des données tracées (charges frontlales, bêtes de trait, béliers). On aime la charge ! on veut toucher ! on veut aller cerner coller ! troubler le genre et donner nos cendres ! quitter l'habit (ici) de bure mausszade et rezvêtir les ailes de la Fée des Rages, F2e des fées ! On veut :
aller .......... dire ............ creuser ............... chercher içci et là (en roche) le dire de la Vé(ité vraie, s'il en est = le TRacé des Ombres (?) ? qui sait ? Qui connéaît de près la roche assez ? Qui sait ce qui est qui est qui nous regarde ou nous regarderaiot en face sans s'arrêter ? On ne sait ! on est nées ensemble au passage accolées pour fgormer ........../............ FÉE ..................... FÉE DES FÉES .......././............. UNE SORTE DE
FÉE DES FÉES ..................................... CXHARMANTE, DÉVOUÉE, COLLÉE AUX BRANCHES, SURMENÉE MAIS ÇA LE FAIT QUAND ON CHERCHE R(OMANCE ET AUTRES CHANTS ACIDULÉES LIÉS À UNE SORTE EN VRAI DE DÉITÉ SACRÉE ............. ............/././././/.................. on dirait ... LA mort ? ou sinon la mort la quoi ? vie de trépas ? chant du cygne de la voie dans ... l'au-delà ? On grave sur paroi la bête grosse, grasse, faisant foi = foie ! on acte ! on veut cfomprendre ! toucher-cerner les données de base ! On est là (là-bas) pour ça : nottre chance ! tracer ! dire et poster ! coller aux nénés pour téter ! vas-y charger ! vas donc tracer ! chanter ! danser ! entrer dans la danse en transe : une vérité ! ou même la vérité vraie ! en transe vers Néné ! ça le ferait en vrai ! une chance = un chant = une soerte de chasse aux tourments , aux méchancetés ! On veut toucxgher à ce qi est qui se cprésente devanjt nous en termes de néné donné à téter ! on veut coller = s'y coller ! = jouer ! donner = filer = faire =prier = comprendre = sentir et creuser le verbe ! On aime = on veut ! On est femmes par le' milieu tu penses ! on est mieux en femmes dans la mort actée qu'en homme des dieux ! la b arbe ! coupées des cendres, on trace le mieux ! on ezn avance ! on veut mieux ! coupées grave! tracer le sentier come en contreabande ainsi ailées comme par le milieu ! Chargées ! on entre ! on veut :
traverser, toucxher la bande, filer, tracer fissa sur herbe des champs vers là-bas .................. l'antre ................ l'antre des antres ....................................... la Voie des ch armes ............................ l'onctuosité charmante ........................................ les données données comme par la bande et autres sentiments de b ase genre beauté, sainteeté, salubrité, santé ! On est entrées ! on veut poursuivre sur notre lancée... courir sans traîner ...... nous envoler ...... filer à vive allure = treacer = dessiner de chic le VErbe Sondé, les traéits et autres ronds de bossee ............... nénés .......................... on dirait des nénésc ............. ronds de bossee égaleraient nénés, qui sait ? .......././................................. NÉNÉS DES NÉNÉS ET AUTRES VÉERITÉS DE ROCHE AVANT PASSAGE EN FORCE DES DONNÉES DERNIÈRES TYPE "LE DERRIÈRE" ! On guette !
25/10/2024
on est deux et on regarde ce qui est qui nous advient. On veut cerner-toucher cette sorte de donnée frontale : la paroi. On est deux ensemble = accouplées, serrées, tenues, soudées comme deux bras à une charge. On veut toucher à cette sorte de donnée de type "RAGE et tralala". La chance ! la chance qu'on a ! on en avance = fonce , trace, va, file,cherche à cerner -saisir ce qui devant soi se trame ! on ! On est là pour cette chose "pariétale" : un savoir de base (RAGE) et tout un
tralala de passage ! On envoie depûis là (la tracve) ce qu'(on porte en soi en termes de rage , dc e colère "sarde" ! ça envoie ! ça trace ! ça dépote grave ! On est (qui sait ?) ensemble ici -bas (?) pour comprendre , ce qui donc se trame en cette paroi en termes de charge, montage, attelage et autres trains de gare ! ça en,voie c'est ça ! ça ne regartde pas à la dépense ! çafopnce en tas ! ça trace ! ça y va ensemble en troupeau de charge ! On est là comme accolées de base pour du coup chercher à comptendre ensemble l'attelage, bêtes de poids traçant sur page une sorte de sillon de voix (voie) qui est voix d'un chhamp de râle ! on y croit ! chargeons )-gfonçons ! essayop ns ensemble de toucgher du bois et de cerner ensemble les données frontalrs, les tracer comme à bout de bras = dessiner (de chic) les bêtes coriaces et autres pics de glace ! On avance = on trace = on va = on veut toucgher à une sorte en soi de Vérité de base comme on les voit peut-être sur paroi en face on pourraiot croire . On est née fées commpe à la ramasse ça le fait ! On veut tracverser et du coup t§oucher à ici ce pré ou même (on dira) aux traits, d'une sorte de
paroi praioriale. On avance= o,n trace = on entre ! on entre en cette sorte de donnée de face, traits des traits sur pré, charge-trame qui , en vrai, semblerait (ici) comme nous regarder autant qu'on est (c'est )à-àdire)2, p as davantagge , nous auusi un attelage : qui dit mieux ?). ON trace = on charge sur roche de base une sorte de sillon aqueux ! chant des saturnales ! voeu pieu ! on est là ensemble accolées -serrées pour entrer de rage en un pré, pré de base, qui est pré des féers et aiutres bnêtes à ramages (on dirait). On va dans la RaGe (pour ainsi dire ici) endsembke ! on est nées fée au passage, !ça le fait ! On est nées en tant sque Fée au moment du passage (de fait) des données ! On voulait ? on l'est ! on est né"es fées autant qu'on est = deux Femmes allouées pour une Fée frontale ! On est comme soudées à une sorte de paroi de rage co:mme sacrée ouconsacrée, et du coup nous voilà qui sommes passées (ensemble) "à toi à moi" au pas de charge, en cette sorte de paroi dite "de contrebande" telle
qu'on la voit ou peut la voir devant soi comme à la parade = tralalas frontaux des données de rage et auttres rtraéits fondamentaux de type '"sarde" = sage, un semblant d'animaux , de bêtes au trot, gentes
dames et damoiseaux à tous les étages et autress animaux de s marges. on entre ensembvkle ! fi ! allons ! filons ! chargreons du tonneau ! coulons ! serrons ! allons cdroit de fait sur roche à l'abordah-ge ici de l'attelage ! une parade est mise en pli ! une sorte de parade et ça le fait ici ! charade ! cri d'effroi ! on regarde ! on voit la roche de paroi sur place, le treacé des rages, un donné pour un rendu et, au loin , une vive clarté qui semblerait nous appeler, nous héler, nous donner le change et nous inviter à comme qui dirait nbouys rapprocher (pas à pas) de son être alloué à une sorte de muret étrange ("strange") de fin de pré. On regarde ! On veut toucher à cette chose étrange ("strange") . On a envie de s'avancer, de toucher à cette "cl arté", à ce murtett de fin de pré qui pour le coup serait ce mur dit "des finalités", type cercle des fées ! On s'avance à pas chassé. On entre dans la danse pour nous rapprocher de ce muret des (dites) "filnalités", soit des données données (en tra&nse) et autres données données par chance à une sorte de pré alloué à un espace de "données de rage" et autres bêtes ici tracées à mainb levée. On est passée, en tant qu'on était deux femmes chargées, données, mises sur pied , qui donc on t tracversé , et se sont comme retyrouvées cul posé sur pré de l'auttre côté, cvôté Chance, pré olé olé, champ de rage, une sorte de pré des prés qui est (serait) champ des ordres. On est accoléesz (femmes) pour former la fée (= l'atelage doré) allant-venant -volant sur place vers Muret, MUret = ce muret ! des f-ins de balade, en rotondité. Muret dit "muret des charges". On veut le toucher = l'attrapper = le baiser = l'épouser ! Epouser le muret, voilà le programme des fées ! On voudrait de badse épouser le muret ! le tenir non plus à distance ou à bonne distance mais (au contreaire) le serrer, le prte,ndre, le cerner, le toucher au plus près, l'embradsssert , le coller comme qui diraéit à nos ailes de fée = l'épouser fro ntal ! le piquer ! le prendre à jamais ! le faire se coller à nos ailes de fée et ça le fezrait ! On veut épouser, ici (muret), la Charge ! Le muret = charge d'ange ! on v eut de fait aller et ne plus en vrai jamais nous a rreêter jnusqu'à temps qu'on soit comme accolées à une charge de muret de base ! On est nées fée dans la mort avérée, pour de fait cerner = comprendfre , iun certain nombre de do nnées de base, tracé, charge, données, passages, Dulcinée à jamais gravée sur un bout de roche sa le . On est née Fée au passage et onj veut (on dirait) épouser la Charge ! l'arrttrribut acté des envies de pré et autres champs de betteraves ! oN est La Fée post-données tracées, qui cherche à toucher les finalités ou dites "fi nalités" placées sur mueret, allouées, données, qui nous regardent ou nous regarderaient en face, à la tr avezrsée. qui on est ? femmes, ensemble devenues ... la Fée des Passages ! On est passées et nous voilà allant, vers un muret des charges, comprendre = toucher, et du coup ... épouser ? c'est vrai ? ces ditesv "charges" allouées ici à un muret "des r ages vfrontales terminales" ? est)-ce ça qui est qui nous regarde ou sembvletrzait nous regarder autant qu'on erst (= deux) pour former le fée, Fée des Dieux = des aveux de rage : est-ce ? on entre ! on charge contre charge ! on veut toucher à ce muret dit "des données coriaces et autres traits de vérité". On est la Fée comme qui dirait des données mârtiales, entrée, posée, volant sa,ns frais de ses &iles nacrées vers cet enderoit ici présenté dont le nom est "MUREt" des données de bière. On veut = on va ! on est la fée qui va comme chercher ou pour chercher et de ce fait cherche à jamais par où passer, s'immiscezr, se glissr pour passer soit traverser (encore une fois) la paroi des Rois , Reines du Ça , ça y va ! elle (le Fée) est là (dans la mort) pouyr ça : tracer, tracer, teacer encore une fois ! aller ! filer ! chercher ! coller à la paroio des voix et aiutres cris de joie ! On (LA fée) veut , de fait, toucgher ! à (donc) cette clarté de fond cde pré, ce qu'elle est. Et qu'est-elle en vrai ? .... eh béb .... on dçrait que oui, elle serait une sorte ici (à nouveau) de cimetière mâis d'un auttre nivceau , ! Cimetière (on dira) des cimetières ! de là : de la voie ! On est née Fée sur pré , nous voilà accolée à une sorte de paroi finale , p) ar(oi des voix, des clartés frontales, tralala et chinchilla de face ! on envoie ! on veut toucgher en tant que fée la Chose des Charges, ce teacé aux traits dits "de Rage" et ça le fait ou le ferait .! mais quoi ? on serait Fée des fées tracéesz ? sur paroi finale ? scotchées ! accolées et le pasdsage est fée , oups : fait ? On ne sa it ! on essair ensemble, accolées, de cerner les données les plus affirmées ou affiliées à une sorte ici de pré de contrezbande , derrière un fourré, derrière une rocghe, derrière un rocher , une roche ou un roc dit "des fées" car il contient en vrai les fées du Royaum ! On est entrées en tant que femmes (homme mort) et une fois entrées on a formé le Fée ou Fée des prés de ce Royaume de la M%ort actée ou avéreée . On est passées dès lrs "de l'autre côté", côté pré. On a couru et bu ! vu (cul nu) et lu, sur roche, les données princières ! On veut toucher à cette bière aux données allouées à une sorte en soi de traversée, ici, de paroi, paroi sarde, finale ou sinon finale fatale , ou sinon fatale ... quoi ? Fractale ?,
On avance ! on vole (on volette) ! on va ! On est là ensemble sur paroi qui cherchobns la faille, l'(entaille, la fissure dune sorte de roche "amable". oN veut comprendre = dire = faire= cerner = toucher à une sorte de donnée de base qui serait donnée des données frontales à tout jamais et ça le ferait. On est qui ? ehbé on est la Fée qui est passdée et qui maintenant, en ce pré aux bêtes, aux bêtes de poids (big bisous des bisons tracés) cherche à se rapprocher des données finales, fond de pré-cercle de la joi tracée, se p^lacer au pluys près des données, Frontales, finalesz. akller ! Filer ! Comprendre = toucher. Toucxher = comp^rendre. Il nous faut (comme qui dirait) toucher pour coimprendre, c'erst un faiot ! le reste est sans importance ;, mais TOUCHER, topucher ! toucher , toucher , toucher ! ne plus s'arrêter ! de toucher de rage, les données frontrales sur par(oi sa le ! On veut = on espère ! On veut toucher à cette sorte de paroi de Finisterére ... c'est ça ! finistère des Rois et Reines des Lois ! On voit ce qu'on voit, et ce qu'on voit est ce convoois des prés appelées attelage ! boeufs des voix ! betes à soi ! charge des Rois ! on veut graver-gravir, aller et venir, comprendre = a dvenir, touchger et coller, dire et donner ! On est nées fée de base al:louée à un pré des chargesz genre fatales ! et on veut (de faiot) se porter ici même (pré) jusqu'au bout du bout, à la recherche des données finales, genre "traversée des champs de raves (betterezvaves)" et ça le fait grave ou ça le ferait grave si tant est ! On est née fée au passage gravé, on a ensemble traversé le roc dit "dces prés" et on s'est retrouvée ou comme retrouvée accolée à une sorte de donné des prés (herbe au t aquet) à brouter, et là, sur pré à brouter, on a co=mpris vite fait que la vérité ou dite vérité selogeait en ce muret des contrebandes ! muret des murtets aux données de basde, là, tout p^rès, autour d'un pré, cercle-muret c''st vrai ! on voit noptre cha,nce ! on va vcers ce muret ! on avance ! on est accolées : ailes de fée = attelage cendré, cendré et doré ! On trace ! on est en vrai tout près de coller au muret, de donner de son chyarme et de ses attraits ! On veyut =
COLLER COLLER COLLER S'ACCOLER, ETRE PROCHE D'ÉPOUSER OU MÊME ÉPOUSER LE MURET, LE MURET DES FINS DE ROCHE !`$
on est née "La Fée des prés" allouée à une contrée "liumiotrophe" ! , limitrophe à la vie de grotte (de l'autte côté = en amont) et nous voiulà Fée ou Fée des prés, qui allons, volons, cherchons grave sans arrêtt, à pour le coup nous reaazpprocher de ce muret, aéux données (frontales) déployées qui semblent (ces données) nous appeler ou nous intermpeller ou nous héler pour que, oui, allez ! allons ! allons nous glisser donc ! allons donc pour de bon nous glisser = épiouser = prendre à bvras le corps, ledit Muret des fins de roche ou fin de pré "limitrophe". On est accolées pour mieux nous accoler ! Onn est Fé&e des prés (= femmes accolées) pour aller coller (qui sa&it ?) au bord du bord fdu pré, appelé (ce bord) Muret ! mais est-ce vrai ? est-ce "muret" le nom du bord ? est-ce ce nom alloué de "MUret" , quyi est en vrai le nom de ce bord, bord de pré = abord = rebord = finalités comme à l'arraché, fin des fins de vie dans la mort allouéev à une prairie ou sinon à quoi d'auttre qui seraéiot en viie , ici, située placée, qui nous regarderaiot aller et voler en tant que fée ou fée de ce lmogis : quoi oou qui ? On a envie ensembvle grave de comprendre ici même (pré ou prairie) ce qui se trame en termes d'attrdibuts données à une sorte de Sa&lubrité, de Sa&inteté , de Sagesse intra-pariéto-finale ! On veut toucher, en vrai ! Toucher en vrai à cette sorte de façade ! qu'est)-^ce que c'est ? Qu'est-ce qu'o,n peut (ensemble, formant Fée) comprendre, comprendre pour de vrai , à ce muret de contrebande ou dit "de contrebande" ? On est née Fée au passage (de vie à trépas) nous voilà frontale , fée des fées sur pré, cherchant À NOUVCEAU !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! passage à travers ici ladite paroi (tour de garde, cercle a nal, chas des chances ! ) de'une sorte de Muraille ! on veut grave comprendre, ici bgas (lke pré !) la chance q<u'on a , de pouvoiur ENSEMBle (fée des Roix et REines, de Charme et d'effroi) comprendre = tracer = nous poster ou nous avancer vers ce muret dit "des finaliot"és" ou "des finalmités tracées " ou même "des finalités agraires " ! On est née La Fée post-^cimetière voulant entrer (plus avant) en cette chaumière, en cet auvent (ou sous) et comprendre = voir, voir comme par en dessous, ou à travers, l'autre côté, des données finales, du muret,,, soit : la Véroté à jamais, sur ce fait des faits, alloué à une Donnée, dont le Nom est "MORT À jjamAIS " on dirait ! Allons regarder ! volons ! chargeons ! filons ! traçons ! ne nous arrêtons plus de charger-pister, de cherchert à passerr ou comme passer le bout du nez et
regardons ce qsui en v rai est de l'auttre côrté de la cloison : une sorte de vraie
une sorte de vraie chahut
une sorte comme qui dirait de chahut ? de chahut à cru ? de chahut de fées ? On est née Fée (la mort venue) cul nu ! on cherche à pour le coup aller plus loin en ce dit "pré des fées", et à co=mprtendre les données lointaines = les finalités de l'herbe , la cloison doré, le cxhant de la roche et autres types de données sonores allouées à une sorte de cloison cernant le pré dans lequel on est . On veut de fait colkler notre nez , nos ailes, notre cvorps en entier, à cette sorte de vitre sondée ! à ce glaçon ! On veut ! On veut grave se coller et voir, voir pour en vcrai (et enfin) comprendre (grave) ce qui est, ce qui advient qauand (de fait) on va plus loin, on ressort ! on ressort du pré ! mais pêut-on et oùu va-t-on ? revie,nt-on à la case dé&part = groote-farce ? revient-on aux données (frontales) d'expérience , chants des Charges ! aurochs ! bouqiuetins centrés ! chevaux des prés , chevales et bisonnes, buffles a ccoléds et bufflettesz au tracé ! est-ce ? est-ce cette chose en vrai, qui wserait, une fois accolée (en tant que fée) à la cloison dernière ? est-ce que en vrai une fois passée, on revient ou on reviendrait en arrioère ? est)-ce que c'est en vra&i cette chose à la fin qui seraiot qui nous attendraiot ? IOn veut toucher à une vérité en vra i ! On veut toucxgher en vrai à une vérité = la cerner = l'embrassrf ! On a méga-encvie en vrai de toucxher oà une vérité qui serait vra&ie, ou vérité des vérités ! On ne veut pas passer à côté ! on veut tracer ! filer ! cerner ! coller ! chargerr ! sentir ! prendre ! sa&isir ! se donner peut-etre ou qui saiot à une sorte de donnée (frontale) fin ale ... aux nénés ! !!!!!!!! mais qui ? qui ou quoi ou qauand ? quand est-ce-que ? quand en vrai aller ? quand et pourquoi et quoi ? quoi faire ? On erst La Fée post-cimetière, en trée dans un pré, on cherche à tracer et, du coup, nous approcher de la cloison dite "des finaliotés" . ON veut à nouveau (À NOOUVEAU !!I!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!) traverser la roche = revenir ! retour ! retour en grâce ! chargement ! treacé de rage ! re-à l'envoyeuse comme qui dirait ou quoi ou qu'est-ce ? ON veut en vrai toucher toucher la Roche et Traverser, comme à l'accoutumée (?) les données de base ici déplissées ! Et du coup treaverserr = re, = re re = re re re = en vrai ? RE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! re re re re re re re re !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! re je veux ! re on revient en arrière on dirait ! ou commênt ? comment on fait ? on a de fait ce Sas aux fées = pré aux herbes, Bêtes de poids Agraires, Araire, Silloon, la Foi en ce vallon, ROTONDIT2É DES DOnNNÉES DE BASE DANS LA MORT FATALE, et piuis après .... après la dite "Mort Fatale", on a ou on auraiot ... eh bé on ne sait ! ce re des chambrées ! ce Re RE RE RE RE Re RE RE RE RE RE rE RE RE , aus donn,ées de RAge ! re du meuh ! du meuh de la Vache ! On est deux (deux femmes) passées, pour comprtendre (transformées en Fée) ce quyi est qui nous regarde = nous concerne = nous cerne = nous enserre ou encercle = embrasse à qui mieux mieux le pré passé ! On veut toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher topucher à une vér'ité "du feu de Dieu", à jamais et grave ! grave on veut ! car :
On est gvrave ! onj est Fée grave sachahnt tracer , sur pré, chemin de charge, poids donné, charge martiale, calibrée, antrale ou astrtrale, chant des F2ées des Grâces et autres Graciosités de Face ! On est née La Fé des Prés (LA MOrt) au pâssage mais voilà... le chemin de base n'est pas terminé ! on doit en,core en vrai traverserr la Face, ou Roche des Prés, Façade , LMuret ! on veu tracer ! on veut y aller ! On nje veut pas se laisser démonter par une sorte de cxdonnée, genre vent cde face, trait des Rés, Pets ! non ! mais toucher ! Toucher à D2ité des Prés, la Finalité, de l'(autre côté, ce côté" des Fosses , des Fossées ! qui on est ? On est la Fée ici comme à la tracversée (du pré soit du Royaume de la Mort actée) et du coup ion peut tracer,, voler = voleter, aéller, chercher, courir, cerner, filer, et nous ap^procher (en vrai) de la Roche Finale, Tracé frais, Froid des Ruses ! regarder ! regarfder au p^lus près ! ce qu'on peut discerner et du coup relater ! On veut toucher des yeux la Chose (montrée ?) aux curieux / curieuses des Feux ! On veut :
Aller ! PErcer ! Ficeler ! Gravir ! Chercvher à se tapir en cette Roche (des CFinalmitées) aux Feux Donnés ! Feux des feux ! qui on est ? F2e ! La Fée ! On est en vrai la Fée des Fées aux Données de RAge ! On veut Coller = toucher = dire = cerner = compre,ndre = chercher à pour le coup ensemble (ailes) nous ccoller (ici) "à ses genoux " ! téter ! tête folle cachée ! téter ! téter la Roche, le Trou ! téter grave les données fvrontales des Finalmités astrea&les ! on veut (grave) téter sans nous arrêter ! fée ! fée ! fée ! fée des fées ! .................................................................................................. ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ./.... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... .../.. ..... ..... on est en vréi la Fée vdes Fée la vie passée ou la paroi passée ou la roche passée, fée des prés ! on est ! et, du coup, ainsi logée , e,n ce pré chelou , on voudrait se rapprocher de fait du bord des Données Allouées à une ROche de Rotonde, Cercle aux F2es, Roche Ronde, CAvité creusée ! On a grave eznvie en tant que Fée pâssée de l'auttre co^té , soit "en cavité", de se rapprocher du coup de ce muret dit "des genoux ou
ù donc se loger pour aller ... teét§er ? On diraiot ! les nénés ? On retyrouverait ? on se retrouveraiot B2B2 ? On seraiot de fait à nouveau B2B2 ! LE B2bé des F2éES ? ON cherche à cerner-piger ce que c'est que cette chose ici tracée, qui seraéit La chose ! LE tRacé d'époque ! FiN des Fins des pauses ! Onv eut toucxher toucher touycher toucher toucher toucher à ette sorte de donnée des Pauses, ou dite "des Pausesw" sur pré ! On essaie de cer ner ! On est Fée des Roches = ... Roche ? On ne sait ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher à cette sorte de Né né du bout du monde ! les nénés ! le ou les néné(s) du bout du Monde ! de la ROche-RONDe ! FINAlité ! la FInalité des données d'époque ! ro n de = roche = rondeau ! On est comme allouée Fée (en tant que GFée) sur tombe ou tombeau ! On veut creuser ! rouleau ! charogne ! le voeu et la Chose ! L'envoyée en roche pour toucher ! ON est fée des PAuses ! fée et frai ! On veut coller ! toucher, dire, cerner et pisser ! oh oui pisser ! se vider-vidanger -alléger car on est .... treaversée -des-fioles ! On veut
TOUCHER ? TOUCXHER_COLMA TER ? PISSER ? SE VIDER, ALLER, CREUSER, CHA RGER, CERNER ET TOUCHER ENCORE;;... aUx Nénés de l'Ombre ! qui c'est ? "l'plombier" (la plombière) d'époque ? on ne sait ! On cherche ! on veut toucher à ces Nénés des Données de Roche ce qu'ils sont de fait envrai pour notrte Homme (?° ! On veut :
coller et ne plus quitter
charger et ne plusq sombrer
gravir et ne plus tomber
dire et ne plus soupirer
contrer ici la Roche REzbelle ! graver-dessiner à main levée l'herbve, le pré, les bêtresz, la charge foraine, les données al:louées àune sorte de Femme-Fontaine Saluée Aimée Souterraine ! Pisssootière, des contrées Avérées et autres Endroits Sondées ! On veut (en tant que Fée, Fée post-cimetière) toucher aux NéNés de ... l'ÊTRE ? Quel ÊTRE ? Eh bé ... peut-ëtre ... l'ÊTRE du ... "peut-être" ? du "peut-etre on sezrait", du "peut$être on aurait", du "peut-être ça le fait " ? On est née Fée La Vie passée, on se retyrouve dans un pré ailées, Fée Ailée, on cvourt on vole dans la mort à l'oeuvre, et puis voilà, on voit ! on voit ça ! la Roche ! Fion DEs tEmps allouées à une é2poque ! on touche Rocxhe des Finalmités "rosses". On veut (grave) cerner, soit regarder ! de l'autre côté , les dO nnées des Bosses ! Ce q''lles sont en vérité pour une F2e comme nous sommes ! On est ! On est Fée = Fée des Fées sur Herbe ça le fait ! on est née ! Fée sur herbe ça le fait car on est née ! Née d'Herbe , ou même (vrai ?) née //...?.. de l'her be ? Vrérité ? vérité vraie ? On serait née F2e de l"herbe (le VErbe ?) du pré et ça le fzerait, pour aller (ou pouyrsuivre) sur les sentiers menant à une sorte de nouvelle"entrée" post-pré ! On aime ! on est ailées ! on adore aller ailée ! ainsi ailé , jusdqu'au bout duu terme ! On veut PASSER ! ON veut passerr swans trépasser c'est un faiot ! On veut trancher ! couper ! scinder ! donner en vréi le coup de jarret et traverser en vrai les données (fina;les) d'une soerte de muret des contrebandes ! et du coup comprendre, ce qui est, qui se trame, se dép^loiee, se treace de soi-même comme qui dirait de l'auttre côté ! Vent d'or ? Donnée rossee ? Cri d'effroi , de joie ? Voix des Omb res ? De l)à-bas, loin, dans des bras, bras de Roi ? bras données come autant dde Soi ? On veut en vrai ensemble (accolées ailée ) comprendre (grave) ce qui est qui va ou nous attend ou nous attendraiyit ou bnous regardera&it ou nous parleraiot pour nous dire ... quoi, en vrai ? sinon ça : que, peut-être, on est cdeux (deux femmes) la vie pâssée (ouste l'homme tranché) pour comprtendre ! cerner ! = toucher en vreai aux Nénés de ... l'ÂAME ,,
? ou bien de .... l'arme , l'arme à feu ? Aux feux des Rages ? On est deux (ouiiiiiiiiiii ça oui) pour (en vraii) toucher = dire = cerner un peu mieux ce qui est qui est, post -pré : les Nénés ? Les Dits Nénés, aux données de Branche ? Vie des vies (gravées sur Roche) née comme par miracle la mort travzertsée ?. On est Femmes données = femmes-données= des données de rage = données des données ! Les données de base ! data songs ! On veut comp)rendre grave ce qui est qui semblke (ou semblerait grave) nous mater (de base) come à jamùais , qui sa it ? On entre , dans l'antre, de la mort allouée, à une sorte de face ou façade des temps Passés (passés ?). On veut en vrai toucher à une sorte de Donnée de branche ! Qui on est ? On est lA Fée p âssée à travers de fait la Roche é2trange ! On nest Fée des prés, Fée passée à travers !
Fée pâssée ! on est la Fée des bvases et des données ! On est entrées ! on veut cerner-saisir de rage ce qui est ! On veut toucher à c ette Déité Lactée (Nacrée ?) des Fins de Passé, ou dde Fin de Branche, Ou de fin de Données "Strange" ! On est Fée xdes prés pouveant en vréi (qui sait ?) aller, tracer, courir sans désemparer, filer comme à l'arraché et nous envolezr, décoller, faire ainsi chemin ailé , dire et donner, filer-coller à une sorte de
"Roman ce Des Prés"
ou dite "des Prés" ! aller = toucher = dire = cerner = considérer , de près, les données frontales , don,nées des données axiales, chahutées, morcelées qyui sait ou saturées ou même soulevées et szoupêsées comme des bébés ! On veut :
CERNER TOUCHER COLLER DIRE
FAIRE SENTIR ALLER COMPRENDRE
FILER CHOQUER TRACER PERMETTRE
COMPTER CDALIBRER AIDER SE PERMETTRE
PIOUSSER FAILLIR FAIOBLIR CHANTER
COLLLER ALLER FRÉMIR SATURER
FAIRE ET AIMER, DONNER GRAVE AUX NÉNÉS DE L'HERBE, DU FOURRAGE DU PRÉ
FAIRE ET PARLER = PERLER
PERLES DE LAIT CHANTÉES
FAIRE, TOUCHER, COLLER, COLLER ENSEMBLE À JAMÙAIS, TRACER SUR PRÉ DES TRAITS DE RAGE
COLMATER = TOUCHER = VIBRER = DIRE !
on a grave envie de rire et de pisser mais en vrai on est éduqauées, fée des fées on se tient bien ! on veut toucxher en vrai sans pisser ou rire ou caguer ! on veut grave treaverser, retourner ou comment dire ? SORTIR ? LE mot serait : "Sortir" ? sortir du Tonneau ? de l'eau ? du Ventre de peau ! peau d'eau ? sortir = vivre ? Viçvre hors peau pour aller comme sur rive toucher... le "Col du Cerceau" ? On est comme en vrai F2e des Fées entrées , quyi cherchons eh bé ça : une sorte de faille / entaille de par(oi ! trait ! hache ! hache de trait ! vache ! trace et vache et H , treait des traits = hache ou coup de hache vache ! et passer ! la tête et les pieds ! le vrai passé ! On v eut toucher à une Déité de type NéNé tu le sais ! on est née Fée La nuit venue, on veut toucher le Cul !On veut toucxher le cul de l'être nu , belette des vues, bête à cru sur herbe verte = bête-mot des données fauves, rossees, raides dingue ! On aime ! on est Fée des prés la mort une fois allouée et du coup on cherche à re-te averser , chemein arriière (tout arrière) les données rupestresq (burlesques) des faiots et gestes sur prairie des bêtes et autres fées venues de concserve. ON veut graver à volonté les données terrestres (buffles au débotté, buflettes allouées Musette). On aéime ! cha,nter !dire et pisser ! rouler ! coller !! coller grave ! coller et s'accoler à une sorte d'entaille sur rocxhe (nacrée) sorties des entra&illes (?) et comme présentées à nos ailes diaphanes (en vrai ?) de fée des Alpes ! On est née Fée au passage de l'Alpe , c'est un fait ! On vole à jamais et du coup, voilà, on touche aux Nénés ! aux Nénés de l'âme des données don,nées ! Les données sont Ailées (seraient) comme des Fées ? on entre ! On est entrées ensemble (ailes de fée / femmes) et on regh arde ! On est la Fée post-bande ! On est née Fée de Contrebande extra-fossé ! On veut comprendre = toucher = donner = sonder = dire = coontrer ! Chercher = faire acte de bonté ! Donner = pousser ,; sur pré, le chariot des Fées ! Chariot haussé = cargaison montrée ! On est = o, n naît = on est le nez = on, entre ! On veut gyrave cerner ( les données de branche) et nou!s avancer et de fait travezrser on dirait à la nage les prés, ou, sinon à la n age, en courant sans frein, sans dérater, sans se przndre les pieds à travers les bra,nches des buissons dorés et autres arbustes déposées, tracés, daémantibulées, chargés. On veut
TOc-toucher = toucxher vrai !
Toquer ! toquer toquée ! toquer en étant, en vrai, toquée = t§oc-toc, = fée des fées du toc ! Aller ! Filer ! Charger ! Do,nner ! Concerner = considérer = comprendre les données de base :
Traits ! traits des traits ! et du coup, travezrser la lande, et de l('autre côté, chercher par (en vrai) où passer, par quelle entrée ou faille, vide astral ou cavité aux fées ou même anfractuosité tracée (en vrai) à même la face (la façade) donné"ee. On est passée ! Fée ! F2e des pr'és (Mort des Dons De bosse) et nous voolià comme remorquée prête à sortir du pré direction les Nénés, Seins de Base Ancrée, Sein d'HErbe, TRé&it-né sur pis lacté , cherché, recherché ! On veut toucher = sentir = consentir = téter
TOUCHER = TÉTER ! TOUCHER , EN VRAUI, = TÉTER ! O,NN Veut toucher soitb en vrai on dira téter , les données de l'herbe, herbe verte sidérée, herbe des herbesc= verbe alloué à un p)ré post-morteme! On aime ! on veut aimer ce pré de près ;,, l'aimer dans l'herbe ! nez ! on veut en cvrai toucgher du nez (piquer !) l'herbe des prés , soit ce verbe des données alertes ! charger ! foncer ! buffluettes aux ventre sondé, bisonnettes et chevales (au taque-t) cendrées, auroques des passés, du temps alloué à une sorte de passage inerte (aux données vertes) sur prairie aux fées et autres bêtes des contréesq. On aime ! On vgeut grave cerner (de colère ?) les do nnées en herbe ! cxhaleurosité et aiutres ammitiées en vrai comme soulevées ! On ndirait ... eh bé oui, du verbe, herbe, verbe en herbe, traits des fées alloouées à un pré post-morrtem aux données de frère ! On veut coller ! dire et sonder ! les n énés du verbe ! sein lacté = verbe de préb = chant larvé" = transe comme soupesée ! On veut aimer ! dioonner ! faiore ! charger ! coller à une vérité en herbe ine sorte de bonté "souterraine" souveraine desz contrées acerbes (pré) comme rencontrées, touchées, cernées, treaversées, recherchées, accolées à une foulée ou comment s'exprimer pour dire ce qui est en cette chose d'une traversée des herbes du verbe ? On aime ! On est come soulevées-soupeseées ! On veut aller = faire = tendre = tendre vers = comprendre = plier = s'enfuir = sortir ! = sortir en vrai de ce pré des fées et autres bêtes-mots ddes lèvres ! s'enfuirv= sortir = re !
re !
re !
re !
re !
re !
re !
re !
re !
re
! re naitre ou comùment dire , re ! re des re ! re-venir paître ? re-ttracer les traits de l'elfe ? re-nâclker ? re-lever les don,ées de l'être ? re-je veux mon neveu, toucher à l'être (envieux) d u passé de l'herbe ? Se toucher (alerte) sur pré (aimé) comme fées celtes ? compter ? CFompter à qui mieiux mieux ce qui est qui se déverse dans la plaine et foule (charge) l'herbe sans traîner ? On veut coller à ces do nnnées données de l'herbe verte, herbe des prés, les aimer comme un frère ! Toucher ! faire ! sonder ! coller ! aller ! faire sur pré nos petites emplettes et du coup toucher aux nénés "colère", aux traits des fées, aux vérités sur herbe et autres mots-bêtres allouées à une sorte de treacé des Fées ! Qui on est ? Herbe ! Herbe cendrée ! Verbe ! Verbve des pré ! Charge comme sidérée ! Be^tes de trait (somme sur roche) teaçant comme qui dirait , le sillon des omùbres (hommes) saturées. On veut coller = donner = dire = cernerb = comprendre = colmater = charger = faiore = toucher = dire et donner = charger, coller, coller de près, s'accoler et ne plus qyuiiter, la Chose ici Allouée à une Vérité Admise, comme quoi en vrai, la Mort est de mise, existe, se trame sous le nrz, se trame ou se vtramerait de fait sous notre nez, à notre guise ou pas mais en vrai = avérée ! On veut tyoucher de près ! à cette mort admise ! l'affronter, la toucher au collet, la toucher de près et lui dire en vrai nos quatre vérités : du dire de Fée ! chants de gouines ! percée ! traversée ! cxharge alpine, considérations atemporelles sur la Chine et les données données par son entremise ! On est comme collées à une vitrine ! On est nées gouines fines allouées (en Chine) sur Paroi de Fée ! gouines cendrées ! allusivesz ! auto-générées pour ainsi dire (l'homme est sous les pieds, terre promise). On est nées guoines da,ns la mort donnée ! fines ! chine ! tyraversée sur rive ! cajolée ! On voulait ! on voulait tracer, comprtendre, comprendre et sonder, aller et filer, tracver et n e plus traîner et dire, fouler toucher, contrer, sentir, dire et coller à ce quii est qui serait en vrai du verbe alloué à une sorte de donnée de gouine : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii vrai !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! chiche = vrai !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! !!!!!!! !!!!!!! !!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!i! !!!!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!!! !!!!! !!!! !!!!!! !!!!!!! !!! !!!!!! !!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!! !!! !! !!! ! ! !!!! !!! !!!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!!!! !!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!!! on est vives ! vives on erst ! On est nhées sur rive d'un p)ré alluoué à un dire dit "de vérité", vérité allusive , ç a le fait ! on v eut en vrai de fait toucher à une sorte de donnée de rive, traits ma&rqués, chants dex ,prés comme s'il en pleuvait ! rires
! gros riresq ! rires gros comme des veaux ! Vie du rire szur paroi des veaux ! On veut toucher à volonté les données données d'une sorte de contrée aux fées ! c erner = composer, dessiner, treacer à main levée, en transe, soulevée, le Rire Gros d es Donnéesq de Veau, vache, Boeuf de Rage. TORO ! TORO SOT ! chant xd'Espagne ! calicot ! on entre ! on est dans ! on est entré e ! dans la dent ! entrées comme accolées formant Fée ded ans ! en cette sorte de contrée-arène aux fées et Bêtes, Bêtes de poidsq ge"nre Gros mot ! mot de trop ! rire graos ! pesant ! accolé aux mots (méchants ?) d'un troupeau ! On veut (fée) être(en vrai ?) accolée à une sorte de donnée-mot qui sa&urait révéler le pot ! poteau ! pot de trop ? poteau d'angle cerné, sur champ ou pré aux données allouées à une Vérioté de Branche . Saturnales et gravité ! Pa rades bancales .... ou pas bancales mais forcées, poussées, chargées, acculées ! sur roche des données frontalo-pariétales de fond de tonneau ! On veut toucher à c e qui est qui se présente sous le vent larvé ! charger ! nous donner ! cerner = porter (sous peau) le Bébé de l'âme ! l'âme des années (chahutées) sur branche et auttre moineaéu dit "de contrebande dans le's boyaux ". On veut comprendre = saluer = sonder = toucher à c et oiseau (moineau) de contrebande ! Ce que c''st en termes de charme, chant docte et autres cri d'envie ! Qui ? qui crie ? qui est qui ? on est ici la Fée dite "du tonneau" , ventre ami, cerveau. On veut être ce moineau , oisea&u de pa r adis, et faire du bruit ! piou piou des données vives, un cri ami ! chant de grive et autres volatiles de prairie ou sur praiorie. On est la fée dite "du boyau", de grotte insoumise ! On est bête de peau, gros mot , rire gros, bêtes -mots sur pré broutant gros l'herbe des moçts ! On est vives ! gouines actives vives on chante gros ! On veut toucxher la rive , le fond du tonneau ! vive l'ivre ! les données de trop ! mots des fiches sur préau, maison d'eau, ventrepeau du trot ! On veut :
dire, faire, aller , toucher, tendre, jouer, comprendre, situer, donner, coller, sonder, allouer à une rive un mot de vérité active, donner et pousser et sentir et charger et clouer sur croix l'ombre de la voix vive ! charge acquise est celle qui active les données de Roi et Reine des pas ! vive le ROi ! La reine des chats ! le combat ! la pleine de Soi ! On entre ! on veut ici :
toc-toucgher
les Nénés
des Nénés
de L'ombre
et ne plus recvuler mais foncer de toutes nos forces vers ce Prieuré ou ces contrées de fond des fgonds du fond, de la Roche allouée à une VFérité Ancrée de type "ce que c'est que la mort admise " ou autres vérités des preés. On est GOUINES NÉES SUR PRé du fait que oui, mort de l'homme enterré, devenu herbe sous le piedf, quand la Fée est née de deux femmes attitrées accollées , sortant de lla mouise, du petit tas de cendres acquises, car mort-né est l'homme des faits. Son coprtps attise, active, fait ou refait la cerise , d'une sorte en soi de Fée active de genre FGouine aux dioonées du pré et autres données post-traverseée. On est la Fée des donnérsz actives sur pré alloué à une frise ou sorte de, qui serait La des Frises au Mieux, du Mieux qui se peut, la vie passée, dépassée, adfmise en tant que passé vrai. On est la Fée des données de frise : chevauchées, chyants des prés, bêtes grosses à la pararde et autres calvalcades endiablées sur roche ornée. On ,est F2E des fées surprise ! GOUINE comme qui dirait szans plus de doigté ! gouibne au pré ! chants de vives sororités acquises ça le fait en vrai et sa ns traîner ! On est nées vives sur pré allouées à une sorte de donnée de r(ive ! charge active on trait ! on tire du lait ! on veut téter ! on ne v eut que (en vrai) boire du lait et ça fera, facile ! ça ira ! ça sera "tangible" ! On est la fée des donné&es acvides du passé tracé , on a passé le Rubicon des Oùmbres et là, du coup, on s'est posées, on s'est mises comme qui diréit sur pré , comme bêters dees prés, à téter ou brouter , machoui:ller , mâcher l'her be des do
nbnées , boire le lait, l'eau des riusseaux ! Allzr et rire ! donner et vivre ! coller et toucher ! cxharger et monter ou nous e,nvolezr ! tracer ! tracer haut ! monter ! gravir sur roche les traits de montée ! coller, à une sorte de donnée (de roche sur haut), front, menton, chevron, galoche, éperon et poches des monts ! On est vives (gouines) touchées , en vrai, par une sorte de bêtye vive (vouivre ? ) qui ne nous plaît guère en vérité mais voi:là, c'est fait ! on est touchées ! piquées ! transformées ! chahutées ! soumises ! sidérées ! choqueées ! contrôlées ! transformées en fée du Rire ou des larmes a llouées à une sorte de charge mentale sous front ! colle au front ! chant sarde" ! chant vif aux couleurs astrales ! ton sur ton ! on est fée frontale ! collusion ! on entre ! on colle à cette Charge des données antrales ! On est comme accolées de front , au muret des charges ! diapâson ! collusion ! le téton de l'âme est notre téton ! on entre ! On veut boire = dire ! Charger et sourire ! téter ! grave téter ! on veut (on aime) grave téter les données de l'herbe ! pis de fée et autres seins surnuméraires on le sait ! on tète ! la tétée "post-mortem" est de celles qiu'on aime " ! On EST la f2e du cvimetière comme ici allouée à ine sorte de dopnnée de l'herbve = fée faoite, trafiquée, formée, du fait de l'herbe ici broutée par une bêt
e (bête-mot de rage") alloué à un pré de type post-morteme on le sait. On est la fée aux données d'herbe (saturée) qui aime , en vrai, chercher à teter le néné , sein de l'être (alloué à un pré) imberbe s'il en est, petit attaché, veau d'eau, vie des vies dans un troupeau. On veut :
toucher = dire = faire = comprendre = cerner = vivre = monter = raser = louer = montrter = jouer = lire = mesurer = conduire = conduire auxc nénés le petit veau de lâme du troupeau des charges et autres poids de mots. ON est la Fée des mots-nanimaus, nourrie de lait ! On aime aller (voler et voleter) en ce pré des mots ! chnts corbeau, chants moineau, chants oiseau ! Chants des chants sur paroi de sang ! troupeau ! à vau-l'eau les mots dedans! on est le mot-tourment peut-être des donnéesz fr(ontales = fée ! ou : La Fée ! celle au troupeau de bêtes-mots au trot ! On colle aucx nénés ! ion a traversé le ruiwsseaéu, l'antre des vallées (et autres monts) aux donnéess dee roche, type : vaches et veaux, toro faux, buffles esquimaux, buflettes du cerveaéu et aéutres bouquetines lamantines ! On veut grave téter au sein du troupeaiu xde bhêtesmots la vache ! la téter gravve sous le boisseau, ou sinon le boisseau la branche, ou sinon la branche le Gros, le GRos Mot de BAse, gros du gras , gras du gros ça ira , ça le fera, ça fera ce qui devra ! Onn aime ça ! la Branche de paroi, tréit de raghe, mains de foi, foi des mains soufflées et autres mots genrés ! Foi de Roi /Reine de toundra, savannah, plaines de paroi, pré paradisiaque sous un vent de charge ! On y va ! on cherche (grave !) à comp)rendrte ensembkle, les données coriaces, charges ! pré ! s&turnales enjouées ! cris des bêtres allouées à
une roche de façade ! chants totaux vu-ivants ! cris de FRance ! cris acquis ! vifs cris des cris d'Espagneb ! d'Italie ! Vie des vives envies de vies de charge et autres romances à moitié- prix ! charge ! chances ! vie des vies des bêtes-charges ! On veut passer commande ! saturer ! tracer ! chyercher ! toucher les nénés ! toucher les nénés ! charger = treacer ! commencer, deébuter, convenir, aller, courir, lancer, aller ! Ne plus reculer mais en vrai pousser jusqu'à qui sait peut-êttre défaillir mais csansz vraiment jamais dee fait swuccombver mais juste ^pâlir ! défaillir mais sans vraiment sombrer ! on pâsse ! FÉE ! on est la Fée des arme's ! fée faite fée du fait de l'âme ainsi accordée à un passage (de vie à trépas) sous voix, sous concert de voix "étranges", charge ! caramba ça y va ça tremble ! tout tremble ensemble mais ça va ! on tient bon en transe ! on combat ! on entre ! ouh on entre ensemble ! charge mentale ! mains donnéesz ! entrée de face ! on est accolées : deux femmes sur pré sondent (tentent) leur chance et elles ont bien fait parce qu'en v rai ça passe large ! trait ! treait ! un trait ! trait des fées ! deux femmes ici comme à la retombée cforment Fée = F = EFFE = FEMME-F2e des treacées de l'herbe verte (verbe) sur p)rairie des bêtes ! On est passées (F) à la retombvée c'est un fait, formant Fée des prés soit surnuméraire bête allouée à une V2rité "en hervbe" (chahutée ? ) qui en vrai est ... du VErbe , comme s'il en pissait, de vache laotière ! c'est ! FAit vrai ! Fait des faits = VErbe comme pissé ! on est Bête de trait : fée en herbe = soulevée et on est Fée ! Fée surnumeéteraire" ! en une sorte de passage éclair on a comme qui diréit de fait traversé ici même (la grotte) la roche allouée à des dessins / gravures monstres. On est passées (femmes accolées) à travers la roche ! lévitant ! et nous voilà comme si
(de fait) la mùort ici (en vrai) bnous avait transformées eh bé oui en fée, fée post-mortem on dirait, sur pré des
Fées et autresq B-êtrsz de Trait / somme ; bât des Rois/REines cde Saba (la haine ! le tracé-né ! ça y va = ça envoie du bois) . On est née Fée et ça le fait pour bien déplaire ! qui sait ? ) à c ette D2ité des plaines ? ou pas ou qu'est-ce ? On ne sait en v rai ce qui pla&ît, à Déité des prés, des confinsz de l'herbe ! Onnne peut jurer ! on ne sait en vraéi ce qui est qui pourraoit la toucxher, ou la blesser, ou lui pla&ire à jaùmais, ou lui donner (à elle aussi) des ailes de fé&e ou quoi ou qu'est-ce en vrai de la Mort-Déité telle quu'avancée, dénommée, dévoilée, sur herbe de pré alloué à une Vérité des Véritésv intitulée "LA Vérité des V2rités Des p)rés de l'ère d'après " . On veut aimer , toucher, cerner, pôusser, accoler, sentir et ressentir, ravaler sa haine et tracer sur roche un sentier de poche par où pour le coup pouvior (accolées ou ainsi accolert) passer en vrai, jusqu'au plus profond des fonds du fond de la roche rude. Tracé. Sentyerr de rue ou d'avenue. Vie de fée ! On est Fée des prés voulant téter et pas à moitié : le sein de l'acmé ? du trait alloué à une vérité aimée ? on chercvhe sur pré les données (de base) tracées , dessinées, mentionnées, afin de comprendre , qui sait ? ce qui est en vrai qui nous atte"ndraiot la paroi une fois traversée, et plus loin encore, après le pré, l"'herbe, les données à mâchher, ap^rès le muret, l'onde, la ronde, le palais ! Quoi serait, qui (^peut-êttre, on ne sa it) swezrait "à nous a ttendre, sur pied, bien c ampé,e ! " : qui sait ? On cherche ! on creuse grave ! On veut com)rtendre = sonder = soulager = dire= prendre = pondre = louer = virer = charger = tomber ou ne pas tomber mais coller, dire et souder ensemble les différents dires d 'une sorte de PAroi à Rire ! à chahuter ! à faore trembler ou tremb ler de rire ! chants donnés ! chants des données ! frises ! vivacités comme consacrées, sur piste ! On veut :
toucher , toucher grave les nénés de l;'antre ! le cerveau lac té ! l'ambre ! les nénéscalloués à une sorte de charade comme sacrée ! On veut en vr'ai toucher ensemble (fée ailée) les donc nénés du pré, ou du pré lacté , alloué à une BANDE ! Vie des VIes sur pré sont do nnées de CHance ! -vive ! vive Chance allouée à un pré (passé) aux données "strange" (on dirait) de fait ! charge ! charge m:entale "strange" : qui le sait ? qui sait ce qui est ? qui connaiot en vrai les vrais données des faits étranges ? On est accolées = touchées = sondés = dûs ! du fait qu'on est passées, transformées, changées, touchées, comme soulevées et ainsi soulevées. On est Fée de contrebande ! on veut (tracées, ou ainsi treacée) passer ! dire ! charger ! collezr ! sonder ! faire et comme soulever la branche (les branches) et regarder et pas à moitié mais pour de vrai ce qui est qui se présente ou se présenterait à nos yeux de fée, de fée allouée
à une sorte ici de pré "étrange" comme qui d irait (paradisiaque, allez! ) qui est le pré des Charmes, des Bêtes-Mts de Rage, Gros motrs de Façade, MOts grtos pesant sa cxharge de base et autre pesant de contrebande ! On est nées Fée au passage parce que ça : les mots ! hrerbe au tombeau ! tombereau de mots "étranges" et nous voilà mise sur pré comme à l'unisson en forme de Fée ! Fée-)faon ! Fée-mot ! Enfa,nt-mot sur Rocghe du Trot. ON est la Fée des motrs de trop ! gravée = allouée ! On entre en trombe ! on fonce ! mots des mots ! On est accolées = ailes de roche ! Fée ...................................................?............... fée des fées ? ..............L..........................................................fé&e ailée ça le faoit ......................./......post-mortem on aime ! ..../......................................................................../............... in veut grave toucher aux nénés de l'ëtre ! aux seins donnés surnuméraires alloués à une bête ! bête de trait ! vac he à lait ddu Verbe ! ici collée , touchée-cernée ! collabée ? On trace des traits ! on est , Fée traçant des traits sur roche allouée à des Bêtes de Verbe comme saturé ! On aime les bêters et les gtraits ! on est la Fée dite "post-mortemm" aux données données par des Bêtes de Verbe, Vache à lait surnaturelle , aillée, donnée, consacrée -sacrée !On veut toucher leurs ailes avec nos ailes ! gouiner ! chahuter sur herbe ! accoler ! donner de nos ailes et tracer ! ne plus nous arrêter ! tracer desz tra&itsz ! bherbe ! herbe ! trait d'herbe vcerte ! traiots de Verbe ! herbe ! traits ! traits ! traits des traits ! her b e ! herbe funéraire ! traits ! très ! très funéraire ! herbe-Verbe ! traits des traits = traits avoués = verbe = herbe xdes prés = verbe au débotté ! on est née Fée sur Herbe VCerte = Verbe des dxonnées cdonnées comme s'il en pleiuvait ////////////////////////////+////////////////////////////////// teraits des traits post-mortemm on éime /////////////////////////////////////////////////////////////// pluie de faits //////////////////////////////////////////////////////// tracé //////////////////./ Fée des fées post-cimetière on dirait et qui ça szerait ? On chezrche ! on voudrait trouver ! on éimeraittrop ensemble (ailée) en vrai trouver les choses du pré comme elles seraient
, nous regarderaient, nous toucheraient? . Fée des prés on est qui voulons en vrai rechercher l'endroit par où ensemble on pourrait passer de fait
sans y rester, sans y passer, mâis en restant (du coup) bien campée en tant que fée sur nos pieds et ailes ! On veut toucher aux Nénés de L'Herbe (! ) saturée ! On veiut grave en tant que fée toucher pour de vrai aux nénéds de l4herbe soit du Verbe aux données données p ar ici (le Pré) les bêtes allouées, Béêtes-:mots des Prés genre TORO, Bêtyes-mots de trop, gros Motrs et autres "Vilénies tempiorelles" ! Mots des Veaux ! On veut (en tant que fée) treacer = dessiner = desswsiner de chic et à main levée les données données , données doctes s'il en est, vraies données dites "de la Vérité" et autres paroles au cordea&u. On veut :
toc-toucher la Chose , lme Mot et la CHose, le Tombeau ! Qui est là pour, en vrai, comme nous aider ou nous seconder ? eh bé on dira ... pas gvrand-monde mais ... ça viendra ? On ne s ait ! on trace , grave, les mots du pré ! On avance ! On veut coller ! toucher-treacer ! dire et aller, pincer, sonder, toucgher la Panse ! =
téter = boire aux nénés le lait de la transe ! chercher ! cghercher grave ! sonder ! sonder ensemble ainsi ailéesz ! EAiles des fées de connivence ! soeurs lactées ! filles des contrées sauvées ! fi:lles s auvées et des contrées sauvées ! on charge ! On veut gr ave tracer ensemble, le dessin de l'âme : le trait ! trait des traits ! trait des doonées graves ! le tracé ! trait alloué à une romance, comme s'il en pleuvait !Chance ///////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////// et ROmance, sur pré aux Nénés ////////////////////////////////////////////////// ça pisse du lait ////////////////////////////////////////////// = notre CHance !
21/10/2024
On est données de rage sur paroi. On veut touchger à ce qui là, en face, va , vient, file, charge et se présente n tant que Pzarade. Obn est qui ? ELLEs ! ELLES = AILES = fée de rage, ici = comme au débotté, et ça le fait ! On est nées sur place la mort actée = accordée ! On ne veut pas se ranger des camions mauis tracer ! aller vif encore, devant, et ne plus s'arrêter on va dire jusqiu'aux nénéds ! On veut toucher = on veut (dans la motrt) toucher aux nénés ! On nge veut pâs passer à côté mais grave cerner, dessinner, graver "iceux nénés" comme qui dirait ! On est Bêtes Fauves (rosses ?) , on va vif, on trace sur roche ! on est tout ENCLAV1ÉES !!!!!!!! on file et vibre ! on veut (on voudrait) grave traverser = aklller ensemble jusqiu'au fond du pré, de l'autee côté, fond de cercle et toucher, à cette sorte de donnée qui serait un muret , mur de cimetière si tant est, ùais est-ce ? Est-ce véritablement (ce muret) une sorte de ... fond de baptême, fond des fonds, fond de cuve alluoué à une sorte d'enclave profonde ? On avance ! On trace sur pré. Onnest (oui) enclav&éées de base, en cette sorte de jardin des Rages et autres colères allouées à un passage. On veut toucxher = on veut comprendre, ce qui est et ce qui n'est pas, en cette paroi dite " de contreabande". On est là (ensemble) pour ça, elle et moi = AILES , pour comprezndre = avancer = marchert = voler = monter = se haussrer et se gausser, tracer et graver (sur roche) ce tracé de bosse, mots de bêtes animaux = des mots, dits "Animaux", de bêtes de trait au plus haut niveau ! On veut :
toucher , dire, aller, creuser, et du coup comme se téléporter en cette sorte de "muret" des murs de rage , le dernier (on diraoit) = paroi Sarde (?) il semblerait ! maiis pourquoio "Sarde" ? poirquoi pas .... "sage" ? On est nées (sur pré) Fée comme on est passées ! ou : en tant que voilà, on a réussi à passer = traverser la Mancxhe, le tracé des branches, les feuilles de base et autres fleurs acidulées. On est nées ! on est (dans la mort ) nées FGemme = Fée (en vrai) dans la tourmente ! On est coincées ! on est (oui ?) enclavées sur place ! pré ! Pré des Rages et autres ires allouées à une sorte en vrai de passage forcé ! On veut toucher = on veut cerner deprès ces fameux "nénés" dits "de contreb ande" ! ce que c'est ! On essaie de comprendre>. Qui on est, qui on serait, qui xans la mort on serait, . Qui en vrai dans la mort on serait qu'on deviendrait . On veut comprtenndre ce qui est pour nous qui semblerait nous concer ner ++ ! Qui, en vrai, on seraiot, ici = mort vive, en vrai. On entre dans un palais dont le nom est Pré, et dans ce palais (en tant qye FE4lmmme = Fée) qu('est-ce qu'on fait ? on fait ... hum .... pitié ! on fait mine de cerner, on fait ... grise mine, on fait des simagrées, on vire et vibre ... sans s'arrêter ? Non en vrai on file ! on va vite ! on fonce à toutes enjambées vers cette sorte de muret de fond de niche ! On est F1ée du Pré à la retombée, on court on vole sans traîner et jusqu'au bout du bout d'une sorte ici de contrée "ronde", cercle aux fées de Roche , on monte ! On est montées ! On est bête de somme / fée, qui voulons monter, gravir ... les néné s ! ? Ou quoi d'autre ? On est les fées des zonesz d'ombre, traversant la Roche, allant vif jusqu'à se pointer / p ôster, sur muret, de Force, tracé des contrtées profondes, fin /finalité des données des Causses ! On veut :
Grave oui, toucher ce qui est = les nénés, les nénés de l'Aube !
lesz cerner = les toucher
les toucher = les comprendre = les aimer ! On veut :
Aller , filer, ne plus nous arrêter sur roche des Prés ! On est la fée des données abgr aires ! attelage de trait, fée hors cimetiètrree c'est un fait qu'il fau t reconnaitre et adouber ! On est la Fée aux données de rêve ou sinon de rêve de grève ou sinon de grève de trêve ou sinon de trêve de tra&it ! car on est nées de trait (traite) pour complaire et donner ( à la mort souterraine) de quoi la satisfaire on dirait à tout jamais mais est)-ce vrai ?opn est la Fée post-cimetière comme attelée à une sorte de joug de réservfe, roue dentée ou crénezlée, on est Bêtes de trait ! hors cimetière on trace vite fait le trait de l'araire ! on veut coller à cette sorte de donée de terre ! trait tracé sur pré , araire au taquet, fée agraire et tourniquet, ça charge sévère c'est parfait ! accoutumée ! on est fée des herbes, mottes de terre, champ de trait et autres prés de serre ! on est nées ! ohou c'est un fait ! ouh ouh c'est dingue ! on est ! on est = on est nées ! ion est dans la mort née en tant que Fée avgraire, sur tracé de terre ! chamoiré ! On est la fée post -cimetière née sur terre des données de type "mort actée" et ça rendrait ! On veut toucher à mille données "naturelles" comme qui dirait. qui donc en vrai saiot ce qui est en cette sorte de "contrée-cercle" à nous offerte (dans la mort validée, tracée, concrète) , qui ? On ne sait et c'rest pourça
qu'on cherche ! mèfle , et comment qu'on cherche ! on n'arrête pas de chercher, de cerner, de soulever des lièvres, de tracer à main levée, de dessiner ici et là des animaux de pré genre le cxheval bai, l'antilope allouée aux données terrestres, bisonnnées des treacés sans herbe type sentier et autres cheminées ! On veut :
toucgher à ce qui est qui vitupère, va tracer, va se terrer, va se cacher, va vivre sur pré sa vie
de contrée sans verbe ! On veut en v rai coller à unbe sorte de donnée rupestre, type : souterrain ,
creuset,
fosse tra cée, trou des Fées de Rêve. On veut aller au pluslopintain possibvle sous la terre pour chercher le termed'une sorte en soi de vérité "agraire". On veut toucgher à ces "nén"és" post-cimetière en vrai = 🥲téter , TÉTER en vrai, être, cerner les nénés, les tenir ferme et donc s'alimenter ezn tant qu'on est Fée, Fée des herbes, Bêtes, Bête de trait sur herbe ça lefait ! on aime ! on veut téter , y aller, toucher à vo:lo,nté ce néné "de l"herbe" et tr acer ! filer ! charger ! aller jusqu'à se porter , téléporter soi-même, en ce fond des fonds argentés, gravé, qui semble ou semblerait nous regarder (du coup) nous pointer ou nous amener ou nous amarrer à ... eh bé, cette sorte de murret ? de mur d'entrée ou quoi ou qu'est-ce en vrai ça pourrait être d'autre qu'un muret (de fait) de cimetière, alloué à une contrée de type (qui sait ?) surnaturelle ? On cher c he ! on veut trouver ! on veut aller et du coup ttrouver , ici même, les donné&es patentes, termes qui nbous plairaient, tracé tendrte, vie des vies amantes, Givenchy ! On aime l'ambre ! le trajet jusqu'aux données de bande, sur muret, fond des prés. On veut toucher à ce muret ! On vgeut aller (de fait) en son antre si tant est ensembvle = ailes de fée = fée ! On est ailes = bêtes = fée = attelage nacré = trajet ! jet de bave ! On veuit touchert à ce muret des contrebandes et autres données, ici données à une sorte de malignité de type "formulée, gravée, actée, dite sur pré, dessinée à la volée". On veut touchert en cvrai , à ce ge nre de donnée de base, qui est, en vrai, donnée des données , donnée d'herbe sur pré afin de (pour le coup) pôuvoir s'alimenter wsans chômer ! on entre ! on est dans l'anrrrtree de la mort "genrée " ! ça le fait ! fée ! on est devenue fée ! on est pasdsée ("à toi à moi" le genre) et nous voilà toutes deux tra&nsgformées, transformées en "Fée de base" sur "creux des rages de Dieu" ! On est née F2e de contrebande, ici, au passage ! fée ! Ailes ancrées nacrées = attelage d'ailes sur pré = montage ! vaches -fée des prés sur page ! On veut touchert à (pour le coup) ce genre de donnée de base ! On veut coller à une vérité qui sauraiot révéler les donnéez prégnantes ici allouées à une sorte de contrée (= cercle d'or) dont le nom gravée (sur rocxhe ca&chée)) est MORT , MORT AUX OMBRES accolées à une sorte d'entité ssacrée, type : CORPS ! CORPS DE FGÉE ! Accord ! amarcord ! On veut :
cacher le sein donné,
donner le sein caché,
alimenter kle bébé ! Donner ! donner son lait , son propre lait sucré salé sur terre allouée à une sorte de donnée sans verbe ... ou sans autre
ou sans auvtr es
ou sans autres
charges de force, charges doctes , ou sans autres charges doctes, ou
sans autres charges (tracées-) de type docte ! On veut coller ! cer ner et toucher ! comprendre ensembgle les do nnées de l'ombre. homme mort né la mort acté, se transformerait, en cette sorte d'attelage de type Fée , AILES doublées ou débdoublée devient la fée ... aux données de cxharge ! trait ! somme de base ! attreactivité et sentiment larvé d'une sorte d'amicuicalité de façade ou qauoi pourrait se présenter d'autre, qui sait ? que cette sorte en soi de rire de la foi dans l'antre ? On y va ! on charge ! on veut comprendre ! oin aime aller ensemble à fond de c ale ! travezrser la lande et chercher ! cxhertcher grabve les données treacées, le sentier ce que c'est, le vif des contrées ( air de rage ), les nénés ! On veut comprtendre = téter = boire = se donner = tracer = chercher ensemble les données présentes sur ce rtype de (ici) trajet de contraebvande ! on est née f-ée du fait qu'on est (dsans lea mort) née !, en France, sur terre de charge, soulevées et collées ! On veut en vrai essayer (ensemble) de se rapprocher au plus possible d'une soettre de donnée pl acide, donnée fine , qui wserait "donnée de gr'âce" et autrtes sentiments tenaces accordés à une sortede menace ellke-même allouée ou comme attribuée à une Fée , qui sweraiot LA fée . Fée docte ! Fée des fées ! Onveut toucxher ! En vrai ce qu'on veut , à tout jamais, c'est ette chose : de toucher = treacer ! On veut tracer la Chose, Emp^édocle, lesdonnées de Roche, l'amballée, la CXhose profonde = la donnée du bout du monde, soiulevée, montrée,qu'on saurait cerner eznsembvle sans traîner et comme charmée ! On veut touchger à cette sorte de donnée de roche. On est née fée parce qu'ion est mortes ! on est la Fée des ombres ! ombres = hommes ! on est ! on est née Fée à la mort de l'homme c''st un fait tracé sur roche de grotte ! bêtes m:oinstres ! bisonnes ! buffles au taquet ! chevaux / Chevales aux am azones, antilo. des prés et aiutres ourses amadouées ! On est gravées ! dites ! prononcées ! parlées,
parlées sans honte ! On est nées fée
sur roche au t aquet dès que née de Roche ! on est pasdsées ! On voulait grave eh bé c'est fait ! on a pour le coup traversé enxemble les donnéeezs rupestres d'une sorte de cloison "de cimetière" et nous voilà "post-cimetière" dans un pré , à broueter, téter, manger de l'herbe verte, verbe des contrées , herbe aux données salutaires et autres foins de Dulcinée rupestre. On veut toucher à s atiété à volonté cette herbe à brouter sans traîner ni discontinuer ! vache à lait à traire ! bête-fée du Verbe , on est nées "fée salutaiore" ! fée des fées sur l'herbe ça le fait et c'est un fait qui nous plaéit (plaira) (grave) à j amais ! On veut : toucher = dire = cerner = comprendre = charger = allouer à une roche un e donnéevdite "profonde". On veut aller et coller ou accoler , à pareille roche, une vérité , genre : AUROCHs des chaumières, Buffle au débotté, Bisonne de Roche et autres lionnes (calfeutrées en grootte). On est nées LA F2E , Fée des Ombres portées , hommes doctes sur un pied ça va pas jouer ! ça va tomber ! chuter ! tomber par terre, s'enterrer ! pouriir = mourir , à jamais, dans un cimetière aux données du verbe , herbe, pré, pré à brouter, herbe verte = homme genré , gravé, dans l'herbve enterrée,bon à brouter, comme dans
une sorte de "chaîne
alimentaiore"
à ne pas casser ! On est F2e du vERbe parce qu'en vrai on est ... (post^-cimetière) Bêtes des prés sachant brouter , l'herbe -Vernbe aux données terrestresv(alimantauires) comme s'il en pleuvait ! hervbe verte ! verbe ancré ! charge de terre ! mottet ! motte aux nez ! On veut touchert à ces mottes de terre et autrtesc blés en herbe ! s'y coller sans disparaoitrte , se donner aux prés en tant que fée agraire, genre bête-fée venue de derrière ! on est nées fée car on est passées ! on a traversées de fait "à la une à la deux" la roche aux tracés, dessins de têtes, alouettes. On est fée des prés ! On est La Fée du PRé aux données tracées ! on est F2e aux alouettes et auttes bêtes eznvolées ! On est Fée d'herbe verte = données données comme à lka volette à jamùais ! On est :
F2E F2E Fée , aux vives données donné&es et auttes véritée a graires distinguées ! On veut toucher à une véroité qyik serait vérité hors cimetière, nous rapprocher (en vrai) de la grève (là-bas) aux données imberbes et autres voix de choix ! On veut colloer := dire = faire = aller =cerner = co=mprtendre = sonder = chervchert = faire acte en vrai de présence, en tantr que fdée postée sur une branche ! On est la fée voleiuse, l'envolée des envolées, la pie cachée, charge ancrée, vent en face on est collée à une sorte de donnée tenace (la donnée des rages). On v eut en vrai touchger à ce qui est qui nous fait face et nous regarde ! On est fée des fées . On est la fée des Fées . On vfeut en vrai toucher à ce mureet de contrebande ici donné en tant qu'il serait une sorte de finalité . On est née fée de rage prête à nous coller à pareil muret a&ux données "strange" : a ccolées, comme notées ou même notifiées, gravées à main levée et c'sset à nous de de ce fait cerner-comprendre ce qui est, ce qui dsonc est noté, ou notifié, gravé par la bande, ce que c'erst en termes de dopnnées qui serait des données de Finalités, données-verbe à jhamùais ancrées ce que c'est ! ce que ça peut dire ou vouloitr dire qui pourrait grave nous intertessezr et nous donner (ou apporter) que"lqueqsq données de rage, données doctes, vérités de porte, charges de données hautes, vééerrités accortes et autres motsde roche-grotte "hot" ! On aime le haiut ! ce qsui va haut, s"'élève au fuseau, va vers les hauts d'une sorte de paazsage "hot". On veut aller haut en tant que fée, aux données du pré, en tant que fée des hauts ! On veut toucher leshauts de l'antre alloué à une sorte de tombeau ! On veut coller ! dire et soulever, charger et tracer, donner et comprtendre ce q<ui est qui en vrai serait là comme à nous attendrte. On est Fée des tombeaux de base, fée des pots de bouse et autres chgarges fatales ! On veut (en vrai) coller et caler, chgharger et sonder, dire et pousser , dsans les prés, les données "adffables". On est nées fée car "on en redezmande"" da,ns le genre ! on est née LA F2E des bases romandes, travailléesz sur pré, tétée, sucée de près, mangée des yeux comme d'une denrée que tout le monde en vrai s'arracherait ou viserait ! On est la fée des prés, des bases romandes ! On veut coller à une vérité liée à la CXhance --> donnée aux Nénés tels qu'ils se présentent : vérités ! cxhants du pré ! charge-femme aux nénés lactésv - --->> la ch an,ce ! les données données ! le tracé ! chant des prés ! on est nées sur pré au passage alloué à une sorte de tra cé ! on est passées ! on est ensemble toi et moi passées (sur pré) "à la romande" = sans traîner , sans chahuter, sans faire de vague, sans se présenter, sans la ramener, sans se prendre pour je ne sais quoi qui pourrait faoire croire qu'on s'en croit ! On est (ensembkle) en vrai passées ,; c'est fait ! nous voici transformées en fée : ailes sur pré, vie des nénés ! On erst nées fée sur pré aux herbes données ! on est la fée aux données données sachant donner son laéit ou qupooi ou qu'est-ce ? les nénés sont prêts, à être tétés ! ça le fait ! c'est un fait ici post-cimetière comme on les aime ! oin veut en vrai toucher sans traîner aux nénés dits "de l'herbe verte", chants sacrées ! On veut grave graver et gra vir ! mo nter ! charger ! posséder le Dire aux données données de type Véroté des Vérités. On est la Fille aux données données = Fée Fille, Fée d'entre les fées-filles ici accolées à une V2rité-Vrille comme s'il en pîssait sur un pré de rive ! On est :;
NÉEs nues, cul nu, sur roche bue !
Fille aux données de type vérités du cru ! on veut se rapprocher ensembkle des données (finales) de fond de paroi. Coller ensemble à ça : la base ! mur donné ! vent de face et autres attraits ! On est entrées ensembvle en cet antre aux vives clartés ! musiques genrées, chants de charme, douceurs d'ambre, mots des prés et autres bêtes-mots dorés. On est femmes= fée ! deux femmes font la Fée qui en vrai sait ce que la mort est . Et /... qu'est-ce qu'elle est en vré&i ? eh bé ... de l'herbe verte = du VErbe ! donnée s des prés. Mort-herbe = VErbe = VERbe doté de traits de vérités sans trêve ! ON veut :
toucher aux nénés, = téter , manger, boire du laiot, boire à ce lait du néné de fée ! Grave tétezr ! grave on voulait ! grave on veut téter ! on ve'iut en vrai grave téter ; le laitr du néné de la fée du pré, post-cimetioère à tout jamais, si tant est ! On veut grave téter, les né nés "en herbe" de la fée des prés, bêtes sur pied, vache surnuméraire, buflette sur tracé, buffala de grève ! chahutée sans cesse par du vent de frai, mais bien campée ! tenant ferme ! séleva,nt ! On é&ime ! On veut AELLE ! on veut D'ELLE ! on veut d'elle ailes ! On veut comme elle ! on veut
être elle ! fée d'entre les fées post-cimetière, et tracer = aller, en vrai, vite toucxher à cette sorte de donnée des prés, et qui est donnée docte, sagesse allouée à une sorte d'entité profonde type "bisonnée" eyt autres bêtes de somme ! On aime aller sur roche traquer, ensemble, cette sorte de donnée de type vérité ancrée, et du coup c erner = toiucher = toucher grave = calibrer = sonder = comprtendre = allouer à une roche une sorte de donnéev dite "du bout du monde en forme de rotondze". ON est nées fée car on est (dans la mort de roche) née en tant qu'on est (en vrai) passées, qui voulions toucher à une vérité profonde, soulever les ronces, passer, s'infiltrer, enttrer ensemble "à la une à la deux" (en transe) en cette roche de façadde, traversée de rage, traversés (ici) comme "conjuguée" ! on est passées ! on a gagné lke pré et bnous voilà ensemble à prése n t soudées en tant que nous voilà toutectransformées en Fée des Rois et REines de SAba ! ça cxharge ! ça envoie ! ça (fgravce!) envoie du bois ! ça fout la rage ! ça fait ça ! On entre !on veutcoller à la paroi d'en fdace !
On veut tracer ! toucgher , coller, donner sur roche un peu de soi en termes de données lactées et aéutres substances de néné ! on est néné ! on est née néné ! on est donnée donnée sous forme de lait ! née néné on peut donner vdu lait à (qui sait ?) la mort en herbe ? aux dieux de la PLaine ? à la V2rité Humaine ? a&ux Divinités des tertres ? Aux gens et gentes des données rupestres (animaux des plaines et autres mots-bêtes donnés du tonneau). ? O,n cherche à pour le coup cerner la Bête aux contours rupestres ! On est la Fée (post-cimetière) sachant charger, xar elle est Bête aux données de trait , rupestre et agraire, bête au débotté va, sur pied, tracer sillon pour une marche alègre ! goupillon ! chignon ! condom ! savon et savonette, on erst prêtes pour les ablutions ! on veut plaire = dire = faire = charger = comprtendre = donner = allouer à une branche une sorte d'oisillon de base, chant sacré on en redeman,de, oisillon sacré des Branches de R age sur p)aroi de base. On veut :
TOUCXher = DIRE = FAIRE ainsi, que des choses puissent en vrai être dites = soulevées ! Révélées ! on veut toucher à une sorte de donnée-denrée de type Lait = tétér ! téter à ce lait -résine ! y aller de sa tétée de vrille ! charger ! coller ! donner ! fdaire ainsi que des choses larvées arriveznt en vrai colmme à maturité sur grille aux données montrées = révélées ! On veut :
vivre = cerner = chanter = faire = coller = complaire = allouer à une vérité des données de rive, données fastes, vives données données de type roman,ces et autres chants des contrées aimées. On veut toucher à une vérioté sur pied ! bêtes des prés = bêtes à traire ou à teter , sqelon qui on est. On ne vcveut pas passer à côté mmmméis grave troucher aux nénéds en herbe ! on veut coller à une vérité des données de l'herbe = Verbve = Dits de plaine = LAit ! LE VErbe est du léit ! Le lait est du verbe ! ça le fait ! verbe en herbe xdes données tracées par (en vrai) l'holmme mort et enterré à la traversée , quand, ELLes, ont contuinué , sous forme d'ailes, d'ailes de F2e surdimensionnée, Féev Allègre enjouée tracée, va sur pré s'y plaire et voler (ou voleter) : on aime ! opn est folloes d'elle, de la Fée des Herbes ! Fée des f2es (sur herbe) enjouée gaie on l'aime ! on n'aime qu'elle ! On veut la toucher ou la triturer ou la frôler ou la toucher de près ou comment ? En vrai / phuuysiquement / concrètement . Touchger à la Fée du pré et du coup c erner, comprendre qui c'est, à qui on a ffaire en vrai . Féecv? fée des fées ? Herbe ? gentes plaines entre murets on veut cerner , de fait , ce qui est qui , sous nos yeux de bêtes, sembvle se tramer, en termes d'êttresz, de fée allouées et autres dfées post-cimetière (ce serait les mêmes).
On a& méga envie de se poster aux av //
On a méga-envie de se poster ensemble sur tracé. On a Méga-envie ensemvble (ailes) d'y aller = cerner = touchger = comprendre = sidérer ! On veut en vrai toucher à cette sorte de Donnée de Roche déliée ! On veut :
vcoller ! grave coller ! coller grave à Déité des Déités de Base. Y almler = gravir ! = monter au plus haut possiblke sur roche massive ! ert du coup touchger à cette extrémité passive, ce tracé des rives, chants lactées si on peut dire, ce néné ! ce lait ! Lait des laits des données ! On veut téter ! on veut / on voudraiot en vraéi (de fait) téter (sans cesse) aux ,nénés en herbe (nous alimenter de conserve, intstoinct grégaire) et macher, macghouiller de l'herbe, brouter à jamais ! téter et brouter ! brouter et téter sans plus tarder ! veau / vaches sur pré on aime l'herbe, le treacé acté sur un pré de plaine, fée on est = fée -bête ou fée-bête de trait vu qu'on est (de fait) vaches à laéit accouplées, vaches de ferme, vaches attelées pour pouvoir tracer sur terre les données du Verbe à naître ou faire naîtrtee. On veut grave y troucher de près ! grave cerner ! cerner de près kles dsonnées données telles qu'elles nous sont en vrai (dans la mort) présentées : des bêtes ! des données données sous forme de , bêtes des prés et autres fées acidulées post-cimetière ! ça le fait ! c'est un fait des plaines ! on aime ! on veut tracezr sur r('oche lres données profondes
= ,
AUROCXHS des ROCs !
BUffles au taquet sur pré en herbe !
OUrqs / oursonnes /oursons /ourse au diapasion !
Colle cendrée sur roche trouée (percée) pour colmater = VErbve ancré !
ON AIME Coller à ici, Ce genre de données sur HeR be (verte) , ça c'est vrai ! On VeuT toucher à une sopRtre de donnée aux fées ! on est nées fée, car , oui ? on a mouru (les hommes) sur terre battue ! Onn est : femmes fortes, grosses des vues, charges doctes, cornues, vaches bues, homme est mort sous roche, vaches est nées sur roche, on ose ! on est velues ! poilues ! non tondues ! on monte ! Vaches ailées = fée = vaches à lauit ! On mùonte ! on veut monter !aller , tracer, coller à ce muret des données profondes ditezs "terminales" (de rotonde), et autres roche des finalités. On est la Fée des F2es cendrées ! charge forte on trace à vue de nez les données accortes et autrtes données vraies, liées aux ... nénés ? aux seins dotés de lait ? pis "spi" ça le fait qui sait ? on est néez .... FÉE
DU FAIT QUE OUI ON ESST LA FÉE DES DONNÉES POSTÉES DE FAIT SUR UNE ROCHE, SOIT GRAVÉE, PAR UN HOMME OU UNE FEMME , FHOMME OU FHEMME AUX DONNÉES DE RAGE ET SACHANT GRAVE GRAVER EN TRANSE À MAIN LEVÉE CE QUI EST QUI EN VRAI EST (ICI MÊME : ROCHE SONDÉE) LA MORT-DEMOISELLE, MORT EN VRAI, LES DONNÉES RUPESTRES, VIES ANCRÉES SUR ROCHE DU PRÉ.
On veuit toucher à Elle = la Fée, aéux données en herbe ! Fée des her bes et du verbe tracé sur roche touchée ! On est fée aux herbes sur un pré, de type champ des fées ! ON veut coller à une vérité acide, peut-être lactée, vive, sachant alimentezr ce qui en vrai est ... avide de denrée ? On est la F2e post-rive ! on a traversé de fait la roche "fluide" et du coup, ainsi lancée, on sq'est , comme retyrouvées accolées ailes de fée, ailes vives, de fée vive, et on s'est envolées , envolée avide, vive sur ce pré aux données dob nnnées par (on dirait) une sorte de Fée Allouée, Sacrée, Sachant parler lescl :angues, riches, aux données ancrées pleine s de vérité ! Fée parmi les féesz ! On est née fée parmi les fées ! On est Fée de suite ! Chant de rive ! musique sacrée dans une sorte dee prairie des filtres ! On aime charger ! on veut toucxhezt à cette Déité aux données ancrées sur terre de pré post-mort allouée ou comme donnée. On est RICHe ! RICHE EN VRAI XDE VERBE DE FÉE !
on est la fée des prés sachant parler le erbe lacté ! verbe vif aux données tracées comme à main levée sur roche des fées (groote vide). On veut vivre ! charger et louer, cerner et toucher, comprendre ensemble ce qui est qui (qui saéit) pourrait en vrai nous expliquer un certain nombre de complexicités et autrtes sentiments de vie comme ancrés en noxs vies chargées (toutes) de données diverses et variées de type denrées ! vives ! dons de vcie sur pré sacré ! On veut vivre ! aller et donner ! comprendre-allouer à une fée lkes données des rives, ce qsui est qui nous fait vivre et traverser le pré, la prairie fleurie , lle champ de blé, terre aux dsonnées données et autres prés acclimatées, à nos vies (ici) de fée saluée. On est la Fée des prés cendrés ! on est fée des prés sacrés ! On veut :
TOUCHER , TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER , TOUCHER , TOUCHER , TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER, TOUCHRR en vrai à une vérité actée = physique = vraie , de type entité , roche des prés, grotte insoumise, traveréseé de rive et entrée ! On est née fée surprise ! sur paroi de rive, chjahutée en vrai mais nous voilà entrée tête la prezmière en ce pré aux herbes, vertes, grasses, à bvrouter de rage ! Vives ! fées vives ! on est comme colléesz à u,ne sorte de contré, sur pré aux données actées cendrées sacrées qui nous attirent vo:ontiers et nous font rêver ! On aime tracer (ici : roche aux bêtes des prés) des bêtes des prés ! On fveut :
Colerr ! situer ! cerner ! centreer ! pister ! comprendre ! vivre ! tuer ! faire voeu de chasteté si tant est ! vi
der et combler ! situer la rive, l'autrte rive, le muret, les finalités (rocheuuses) de fond de pré, muret des mureets, charge profondxe, sentiments exacerbés en termes de hjoie profionde du fait qu'on est passées, qu'on est pas mortes comme est motrt l'homme, au pa ssage, affirmé, afffiché, tracé, sur roche de grotte ! mort est l'homme (et enterré : terre soumise, pré, herbe au piquet) quand (nous) on est passées ! on a (nous : femmes du pré) réussi à passer, à travers la roche, sa&ns succomber, démultipliée on dirait, ailes de fée, on est nées ! on est gravées ! ion est tracéesz ! on est passées pour ainsi dire par la grande porte , pour tracer = sillonner la roche , bêtes de trait / de somme on est, qui cherchons : lza Chose profonde, = véroités ! vérités du bout du monde ! salub rité / insalubrité tout le pa quet ? on ne sait mais on colle , l'insalubrité à la salubrioté ! bête forte on est née ! fée ! bête de roche = fée ! fée des ombres mortes (hommes) sur pré ! morts et enterrés les hommes, sont de l'herbe verte, traits de reste, chants fleuris et aiutres pissenlits sur terrre glaise ! hommes est mort et enterrés, sous nos pieds de fée (post-cimetière) ça lke fait ! on veut toucher à ces données rupestresc sans tarder, car on les aime, elles nouys intéressent , elles nous plaisent beaucoup , nous observcent peut-^ttre, nous interpellent (?), nous font signe sans trêve de bnous, pour le coup, porter, près d'elles, à genoux, ou zinon à genoux debout mais "rupestres" ! On les aime ! on veut gravir ! o,n veut grimper ! on veut s"'élever ! toucher lesz nénés ! toucher grave les nénés de l'être ! sang vif va dans le vif tracer les mots ! on veut :
triturer ? les dooonéees placides ! gravir = monter = se haussr = toucher aux données qui sont données des hauts ! On voudrait ! on bveut toucher ! on voudréit en vcrai gr ave nous télécporter vers ces divinités ditrs "sacrées" qui seraient postées au pluys haut des hauts de ces données offertes (en vrai) par .... une Divinité Concrète ? iune D2iuté DEs cours d'eau ? Post-cimetière concrète ? cours d'eau des prés en nherbe et autres prairies celtes ? On chercvhe ! vgrave ! ce qui est qui va et se présente à soi = nous = Fée ailée sur roche sacrée ! fée ! fée ........................................................................................ fée dees fées sur pré ............................................................................./............................ fée des fées sur pré en herbe ........................................//./..........//./?.?.....................................On veut touycxher à cette DÉitÉV post cimetière si tant est = si tentée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! = fée des fées on diréit ou qauoi ou qu'est-ce ? Vérité ? vérité des Vérités ? ça se pourrait ! on aime ! on veut toucher ! on veut grave touycxgher à cette dféité-déessse des contrées genrées , fdée en herbe peut-être, déesse à jamais touychée ? qui sait ? ailes en vraie szur herbe et ça le fait ? on chercvhe ! on veut trouver ! on cherche alertes, on a en vrai méga-envie (ensemble) de trouver, dénicher ... le VERbe ! le VErbe szacré ! Verbe en herbe, Verbe des prés, Verbe-herbe à brouter = .... lait ? lait des Fées post-cimetière non genré, qui s&it ? On est (on veut être) F2e ! F2e des prés ! fée genrée ! fée donné ! fée sur pré alloué à une sorte en vrai de vérité sur herbe , genre son de base alloué à une ropmance et autres musiques dotés de basses ! On est nées ! musicalité des données genrées ! on avance ! on trait = on traite ! on veut cfomme toucher à une vache à lait (traire) et l'aimer , de fait, pour ce qu'elle est : du Verbeb ! herbe tracée ! cxhant des prés ! amitiées sincères ! On éime toucher , ici mêmùe (pré) à cettye Déité-Sommité_ D2esse -Princesse des données en herbe ! pré ! pré ! pré des fées ............................................................................................ on nez veut pas se laisser faiore maéis aller, foncer, toucher à ces nénés, téter, touchger la terre, toucgher terre, être sur pied la bête téméraire sachant lutter, tenir ferme, ne pas flancher, couler peut-^tte mais sqans sombrer, homme surnuméraire sur pré aux herbesv de type Verbe, du fait quy'en effet, l'herbe est du verbe pour qui sait brouter ! Homme des prés, mort-né, devient Ailes de F2e au passage svelte ! On est mort né ombré ! On est l'homme mort-né la mort actée , quand la FEmme trace traéitsq sur traéiots, du fait qu'en effet, elle devient Fée du fait qu'"lles (deux femmes soudées, accolées) forment ou vont former les ailes d'une Fée, D4une "fée des fées" post-cimetioère ! On aime ! on est la fée des prés sur pied, on volette ! on veut voler = s'envoler ! s'aimer ! se toucher ! baiser ! coller à une Sommité de Roche ! bêtes-fées sur pré aux herbes données sachant voler ou s'envoler ! On est la fvée du pré aux herbes vertes pouvant a&limùenter qui la bête qui la fée ou même (peut-^ttre) les deux, du fait q'elles sqont (de fait) bête-fée : fée-bête sur pré aux nénés ! On les aime ! on aime coller ! .................. touycher à la bête ! nous coller à elle et y aller ! cxhaerger sur herbe direcvtion le muret, fond de roche des prés ! mur / muret des données ultimes associées à une sorte de rive genrée, rive ultime aux données ancrées de type "véerités" à propos de la mort telle qu'envisagée". On Veut Toucher = donner = faire = craindre = allouer = feindre = conserver = graver un c ertain nombre de données dsonnées (ici) post -cimetière, et nhe plus traîner mais tracer (en vrai) ce qui est qui est, à savoiir ................................................. l'HERBE
L4HERBE DES PRÉS SUR TERRE ALLOUÉE À UNE VÉRITÉ CXHARGÉE ! ON VEUT TOUCHER = DIRE = FAIRE = CHANTER = COMPTER = CONDUIRE = FAIRE, CE QUI EST QUI EST qui est le verbe des données donné"es ! On veut akler = donner, = faiére = dire et oublier , ou ne pas oublier,; et du coup tracer, ou bien dire-toucher, ou coller-dire ce qui est sur roche allouéeà un dire concret, . On est fée des prés ! bêtes de rive ! on veut traverser , de féit, l'ultime muret, le dernier avéré, la frise, les données gravées, type animaux des prés, dessinés -gravées par quelques gentes néandertaliennes des temps (passés) reculés. On est née ! fé ! fée des prés ! xdans la mort actée ! avérée ! donnée par ... qui sait qui en vrai ? on est :
la fée vive !
frée ancrée sur rive de pré !
fée aux données vives sachant tracer ! On veut grave tracer, toucxher, coller, donner, conduire une sorte de 'attelage vif, jusqu'aux confinds du pré alloué à une vérité dite "remontée", "active", "travaillée", chargé de données " comme autant d'offrandesb à Déité. On veut aller sur piste, gagner l'aUtre Rive, l'Ultime Muret, le toucher, voir ce qu'il en est, est-il possible de le traverser à notre guisev? piouvonsz-nous pâsser ? où donc dès lors se treouver de fa&it si ja&mais ? On veut :
PASSER, VIVRE, TRAVERSER LA RIVE, LA NUMÉRO DEUX POUR AINSI DIRE ! VOEU PIEU ? on veut coller, à cette rocxhe des données fi:nales, un sentiment dit "de façade" ! concrétions nomades ! fruiits de la raison ! bananes ? on veut ou on voudréit (selon) aller ! charger , faire excprès de nbous approchezr , en vrai, d'un treacé dit "des finitions" (des finitudes) et regarder, voir de près, chercher à cerner ce qui est là qui se tioendréit pour soi, pour e^tre comme "visionné", , touché , cerné, pris (pour le coup) en considération ! On veut toucher à c ette D2ité dite "des Contrées Sa&uvages" ! On veiut ça de rage ! Toucher, toucher, toucher, toucher, toucher = faire toc , sans cesse, sur paroi de grotte ! creuser = graver ! dessiner (les bêtesq des prés) à main levé sans s'arrêter c'sst un fait ! fait des prés ! on vgeut en vrai toucher kla roche (aux données profondes !) sans traîner = sans lâcher !c reuser ! creuser ! ne plus s'arrêter de creuser ! creuse que tu creuserasv à kjamais sans t'arrêtter de préférence (ça le feraoit ! qui sait ?) et toucdhger (en vrai) à la rOmance ! aux donnéezes actives ! Romance non rance ? ou roma,nce au contraire rance ? On aime le pré, les bêtes de charge", le travail (de sa&pe) d'une Voisx, d'un coprps de femme sous paroi, femme + femme = VOix de RAge = Fée = trace ! On est remontées ! dr(ôlement remontée ! de Rage, du fait qu'en effet, on peut dire ça, on est (da ns la mort) ,nées Fée = AMe , âme en vrai ! äme (non homme) : äme sur pré alloué, à une sorte de ...
carrosse ? carrosse p^rincier , pour Fées et auttres Déesses des contrées de Baise (?) visitées : qui sait ? Fée .............................................................................................................................
..............................................................fée des fé&es surnumreéraires post-cimetière on dirait ..........?............................................................... on bne veut pas sopmbrer mais dmeurer, demeiurer fée post -cimetière en vrai ...?.?...................?........... et toucher du coup à cette Déité Derrière (dernière) ......./...././/...........././.................coloer , coller, collmer, coller, coller, coller, coller , coller à cette fin (finalité) de roche tracée ! chargée ! trait des traits ! ion cherche l'entrée (la sortie) de tête ! où elle est ? Qui le sait ? qui sa&it où elle est ? qui cfonnaît ? qui cfopmprend ? qui veut toucher le s a&ng de la bête allègre ? quyi veut de fait toucher le sang de cette bêye de paroi de Rage, Paroi des Parois et on voit , on entre, on est dans, on est accolé&es, sur pré, on sent bioen des choses se tramer qui nouys "intéressent" de fait, m ais .... commejnt dxonc arriver à
traverser la Roche dernière ? l;'ultime muret ! ? qu'r'st-ce qu'il y a derrière et comment l'atteindre ? Des données de rêve ? des deniers ? Somme de traite ?
"somme due fait la chose connue"
? On veut en vérité aller = toucher = dire = faire = contraindre = colmlmater ! On veut :
passer la tête
traverserr à j&m ais
essayer de regarder en vrai ce qu'il y a derrière
comp^rendre et du coup cerner et du coup relater
mettre un doigt (qui sait ?), ou deux, dans (ici) la fente
toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher !toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! rtoucher ! toucher ! toucgher ! toucher ! toucxgher ! toucher ! toucxher ! toucher ! toucher ! toucher ! touchert ! toucher ! toucher en vréai ! en transe , les données, dees rochesq gravées, roches doctes, vérités ancrées en ronds de bosse, villosités, concrétions de poche, tracé vrai, chants Corses ! On est njée Fée du fait qu'on est ... mort ! l('homme ! l'homme (de fait) décédé , laissze a&ller Elles , de son corps terré, Vers l'air et la lumière dx'une sorte de pré alloué aux bêtes, bêtes (donc) des prés = betes de trait et ça le fait ! fée ! fée ailée = vache à lait, tracé gravé, bêtes sur rocxhe dessiné par l'etre des temps reculées, sachant graver, dessiner de tête, les données en herbe : délicateesswes, vérités nacrées, chants lestes, déploiements de liesse, traits affirmée affichés en tant qu'il s'agiraéit de dieu et de déesse soulevé,es ! ça gfait son effet ! On aime toucxher ! grave y aller pour de fait toucher à cette sarabande ici dessinée comme p ar la bande ! On veut :
TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER , TOUCHER ENSEMBLE = À DEUX (DEIUX AILES) POUR UN "MILIEU" , DE TYPE
Mât de Verbe ! oh,
la cxhose ! les données en herbe ! On veut ! on veut (grave) un peu de sérieux ! on veut en avancer de bnotre mieux et toucher l'herbe,, du mieux qu'on peut. On est Femme au milieu de l'herbe, fée , felmme fois deux forme la Fée ici comme touchée , certnée, vue et connhue./ On est les femmes = xdeux moitiées, formant fée en herbe ! fée des prés squr herbe , cxhant sacré, on plaide ! on veut cerner, donner, coller, allouer à un peu d'herbe une défeznse agraire ! plaider = toucher = dire = remuer = contrer, contrer les sentiments contrzaire à une vo:;onté de plaire, complaire, toucher. toucher terre ? On aime ! on veut , ..................................................................... toucher terre ?.................................. Re ? ............................................................................................................................................... = p^laire ? ................................................................................/....?.............................................. plaire grave , complaire, toucher, comprendre , prendre, emporter ? ..................................................................................................qiiu de quyoi en vrai ?....................................... qui on est qui aloons sur herbe en termes de données données, qi'on serait , qu'on serait en vrai post-cimetière (soit une fois mort-né !) .... ,? ............................ qui on est de fait ? Des fées ? dans la mort donnée on seréit (et que ça) fée ? seules les fées a&uraient pour le coup gain de cause, à genous, au beau mil:ieu des ronces, touchées blessées mais les voilà qui osent, pousseent, franchissent, traversent les choses acides, les données rudes-dures en termes de chahut, mais bon ... elles sont rudes, dures à la menace, tracent, forvcent, passent , passe nt la roche, passent accolées la roche des Bossees, et du coup treave"rsent (elles !) les données gravées (cohorttte animaliè!re néandertyalienne) pour se retrouver (voilà) de l'autre côté, côté toundra , pour toucher à cette Déité de l'au-delà de la paroi, à savoir ... Le Trait ! Bete de Tréit ! lma Somm e ! Bête de somme ! bât martial ! bât des bâts et la voilà qui va , court et vole, fée dans l'au-delà de la Parole Docte. Toundra nous vopilà ! On vol:e ! va ! vient ! court ! ose ! charge et puiqs voilà ! On est là et bien là ma foi, ça y va ! On est
femmes Fortes , formant fée de ROche ! Colle ! colle des nénés de l'ombre ! colle ! colle sur roche ! colle des données de lm'ombre (homme) dép^lacée ! On est femme des prés = données ... vivement données ! Données dfoctes ajourées, centrées, posées en corolle, prêtes à être traversées en vrai par (zqui sa it ? ) la ... pArole Ombre ? vie des vies chargées ? Herbe folle ? Verbe oté ? vie traversée ? On cher c he la Somme ! total drôle ! Les données ! CE qui est qui est de fait derrière la Roche , les donn"ées profondes ! charge d'ombfre on est comme concernées par ici la Chose comme qui diraiot "profonde", les données de roche , les données données d'une roche gravée aux temps reculés. On veut :
TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOPUCHER, TOUCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TYOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCXHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUCHER, TOUCXHER , TOUCHER, TPOICXHER, TOUCXHER, TOUYCXHER, TOUYCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCXHER, TOUCHER, TOUCHER , TOUYCHGER, TOUCHERR, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOYCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUYCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUYCXHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCXHER, TOUYCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOYCXHER, TOUCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUCHER , TOUCHER
ICI à ce qui est qui nous rzegadfrde ou nouds regardrerait sans cesse, cette Déioté dite "des pr"és", déité-Princesse aux données données : qui est-ce ? la Donnée des r^ves ? Le sommet des prés ? L'amiooureuse asexuée ? LE doigté ? L'herbve ! L'herbe genrée ? Le pré ? le pré en herbe ? loa donnée de glaise ? F2e ? Fée aux données ancrées qui semblezrait vouloir toucher à une vérité des terres brûléesc? On cherche ! On erst accolées car on est les ailes de la Fée ici téméraire, surnumérzaiore, saluée, aimée, considérée du fait qu'elle est la Fée des F2es consacrées, adoubées, aimée et même adorée du fait qu'elle est .... "belle", "belle bête" adulée, la des = la Bête des prés, celle qu'on aime regarder brouter, VCache à lait ... "Super" !! On est accolées ! collées ! on tient par un trait ! trait de verbe entre deux ailles qui sont ailes (au débotté) d'une sorte de Fée Singulière. A12iles = Elles = Femmes = Fame censée ! On l'aime ! on aime (grave) la fée (ici) post-cimetière ! le tracé ancré ! charge primaire première printanière sur pré ! on éime creuser ! chyarger ! toucher l'herbve ! foncer de fait vers les données dernières, fond de préb = terre-verbe ! on nait ! on nait fée à la traversée (printanière ?) des données données ! AAIles = ELLes = F2e = FEmme = EFFE = F2ée des herbes vertes = données données = fAME en vrai ,; du fait que voilà, c-'est ça , on AIME grave kla paroi = on grave ! on aime la Voix ! le pasdage "strange" d'une roche de choix (sous tente) et on y va ! on ne traîne pas ! on avance ! on veut ça, la chance ! la Paroi des Rois et reines de la chance , des tracés de base et autres treaits de vérités plaisantes. On veut toucher = dire = donner = comprendre = soulever = cerner = composer sur roche , qui un bouquet, qui une sorte de tracé des prés, qui la chose des Bosses et autres Ronds $"bien dessinés" du fait qu'on est nées, de fait, comme soulevées, sur paroi de roche, ainsi accordées ! On veut coller à une sorte de divinité des divinités ! On est femmes des prés devenues Reibnes à jamais souverainesc. Femmes-bêtesx= traits de chaîne ! chant des plaines ! on veut tracer, c'est-àdire aller (en vrai) au plus possible loin en cette rive ! traverser ! tracer = traverser ! traverser = treacer ! définir ! couler ! choquer ! permettre une sorte qui sait de traversée des monts dodus, des plaines cossues et autres bosses surdimensionnés cvomme sezraient peut-être ... dxes nénés de rêve ? nénés au vrai lacté / don alloué ? On cherche ! on veut ici toucher à oui, qui sait, dezs sortes de nénés qui (peut-être) seraéient des êtrtes, des données en vrai, dons de chaînes, vérités lactés ça le fezrait ! On veut en vrai aller toucher à pour le coup ce genre de néné ... lacté ? qui sait ? qui sait de fait en vrai si ces nénés pour le coup sont (ou ne sont pas !) lactés ? qui saurait ? qui pourrait nous indsiquer, nous aider, nous dire, nouys parler en vrai sur ce qui est qui serait de fait la Vérité des Vérités? O, n cherche "avide", bouche bée, ce qui est qui est ! du lait ? hé, ça le ferait , c'est un fait ! ça le ferait en vrai ! ça pourrait ! On a méga-$envie pour le coup de toucher à ce qui est, ici, le pis ! pis de la vacxhe en vie ! dans la mort vous m'avez comprise ! vache en vie ici, antre des données données, de la mort actée, des dessins de charité, des buffles et buflettes allouées à une roche grise et autres oursonnes aux données données dites de "vérité comme s'il en pleuvait". On est la Fée de fait insoumise ! fée des fées caliibrées,, chargées, comblées, touchées . On est Fée des données tracées, dessinées à main levée par l'être des temps reculées de type néandertalien , l'être, néandeeftlienne, l'êtresse, aux vives clartés et autres lumières offertes sur pré ! On veut toucgher la Terre Promise ! vivement l'éteé ! le soleil de mise ! la vive clarté des données acqyises ! On vgeut aller = dire = charger = combler = faire = cpoomptendre = jouer = perdre = gagner = dire = baiser = bander = toucher = vivre = allouer à une sommité une szorte de vérité qui serait de fait la vérité des véritésc admises par, on le sait, l'Ultime, Le dERnier, La dernière des Données Acquises, Fée treacée, Déesses sur pré on dirait La Vie, Vie des viescomme humanisée, Personnifiée, chargée de mots des prés = alimentées = soumises à une sorte de becquée ! On veut toucher à volontéb l! toucher de chez toucher ! la Chose Montrée ! muret ! mur des ASsises ! Charge acquise forme les données d'une sorte (ou d'un semblant) de Vérité déposée sur rive ! Qui on est ? qui donc on est ? en vrzai on est qui ici ? ici mêmùe sur pré on est qui qui saurait de fait les chosesq ce qu'elles sont pour ceux et celles qui passent le pont ? Qui en vrai sait ce qu'il en est ? Ce qui advient, ce qui te,nd des bras ? qui connait les données finales , terminales, chants de Rage ? Qui connait en vrai par où on pourrait, ensemble (ailes) , passer sans dommages ? Le muret
Le muret sur pré
Muret des Murets
LE trait sur muret
On dirait un trait
On dirait que, sur le muret dit "des finalités", il y aurait un treait ! une fente ! une sorte de porte de chambre ! anfractuosité patente ! ce trait ! cettre sorte de trait de chambre ! ce passage par où peut-être ensemble paszser, afin de s'y loger inscessamment sans "y passer" de préférence. trait de charge ! tra&it de base ! treait teracé ! trait des enfances, des donné&es profondes saturées, xdes données romandes. O?N veut coller = colore r = donnner = prezndre = soutenir = tenir et toucher = faire = plaire = sonder = situer = pousser = dire ce qui est qsui on dirait chgercherait à nous pousser à terre, à nouys faire chuter autant que l'on est ! mais on tient ferme en tant que fée ! fée des herbes des prés ! on est des bêtes, bêtes-mots de poids et masse a:louée à... du Verbe de Plaine. Fée on est sur paroi, puis passé la paroi, sur pré centenaiore voire millénaiore. On veut toucher à une Déité de derrière ! De de"rriè§re l'ultime Paroi, le muret,
des ëtres Collabés. On veut toucher = treaverser = pousser = donner = plaire = chercher = contrer = centrer = situer la Chose sur terre, les données deonnées et autres bêtes agraires surdime,nsionnées, de type :
buflettes, oursonnes dorées, phacochères simplets, faons accolés à une roche imberbe, chevaux d'oc et juments celtes, bouquetinnes -canassonnnes, lionnes et lions de Bosse, teracés vrais genre croix de Roche, trublionnes et vives clartés allouées à un semblant de trait par où qui sait pouvoir passer la parole docte (si tant est !).
17/10/2024
On entre ensemble = on fait corps = on est Fée ! Fée des Noms de Rage, Chapeautées on entre ! on est nées ! on est ensemble comme consacrées = collabées et on enttre dans l'anttre de la Mort en acte ! On cherche ensemble ouiiiiiiiiiiiiiiiiii , à comprendre = cerner = entourer = détourer = contenir = dessiner la bête dite "de paroi " et autres bêtes-mots de choix ! Onn est FEmmes Fortes = Hommes nés (sur Ombre) mais ... comme déboutés ! et Homme débouté perd pied; ,
meurt docte, et Deux (F) sont nées, qui vitupère,nt ! On est nées de RAge dans l'antre ! On est passées ! on a traversées à la nage comme qui dirait la ... place ? Plage ? trappe ? On est passées ! on est nées de rage sur ici le Trait d'un passage inné ! On veut cerner = toucher = dire et comme soupeser un certain nombre de données de base, données des données qui semblent ou sembleraient nous indiquer (peut-être) par où passer , car oui (en fait) : par où passer , ezn cet antre des fées ? Qui est qui ici ? et qui nous observe ? oN cherche ensemble à mieux comprendre ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait, on cherche à pour le coup cernbner les bases d'une traversée "' à lza unre à la deux" à travers ici la Roche des Fées. On est nées sur herbe !
on trace vif ! on veut touchert à ce qui est, peut-être, en matière de ... néné ? qui sait ? On est entrées , du coup on regarde ! et ce qu'on voit ici nous donne à penser, ou nous p^$rête à penser, ou m^reme (oui) nous prête des pensées qui sont pensées post-cimetière, penszées (fortes) d'ombre, vives pensées des traits sur roche, ombre d'ombre. On est nées Fée, parce qu'on est (dans l'antre de la mort en herbes) nées , ensemble, à la traversée, comme encerclées . On veut toucher à cette sorte de paroi des féers, "paroi folle" on dirait , du fait que oui,des bêtes de rage ici font face, nous matent, nous regardent bouger, nous insérer, e,nttrer, nous blottir l'une l'autre pour peut-^$ettre en effet former "un e fée" de type "pelote". On est nées sur roche et nous voilà comme considérée,
par ici des bêtes de belle prestance, pesante, lourde de leur pas donné. On est comme soulevées, en transe, pour former fée ! fée des fées on en redemande ! on aime traverser la lande et nouds porter au plus lopintain
qu'on peut regharder, ensemble , soit
là-bas le chemin,
la pierre de base, muret ! mur d'enceinte claire ! mur ou muret aux données dernières ! on veut passer ! on voudrait en Fée (ainsi transformées) si possible passer ! passer ce muret aux données de base ! On voudrait ensembvle (accolées en fée) passer, traverser, encore une fois traverser un muret ! traverser de raghe et co:mprendre "à la une à la deux " ce qui nous attent ou qui nous atttendrait de base après ! Ce qui est ! ce qui est apr(ès ! ce qui nous "narguerait", qui sait ! Ce quyi est, qui nous attendrait ferme (ou pas) derrière ! On cherche à nous portetr nous-même, au plus lointain qu'on puisse, accolées , tracer, marcher sur la lande vers ici ces conttrées de bout de bout qui nous "reg arderait" sur pied aller, tracer, marcher, sauter ou sautiller, voler ou voleter (on est la fée des om:bresg) et, du coup, nous rapprocher de ce fameux muret de conttrebande, mur alloué à un dernier (qui sait ?) passage sur lzande ! on veut passer ! on veut, en tant que fée, à nouvrzau passer, de grâce ! on a en vrai méga-envie sans rire de passer, à travers la lande puis le muret , de l'autre côté : qui y est ? qui habite ou habiterait de l'autre côté de pareil muret dit "de contrebande" ? qui donc nous voit de fait, entrer et courir, charger, voler ou voleter de Rage sur parooi ddes äges ? On veut (on veut grave) tracer ! vivement aller ! Charger, tonitruer ! consacrer toute notre
énergie (de rage) en cette chose d'une vo:lonté (ancrée) de vouloir ALLER , ALLER VIF , en cette sorte de muretdes charges, et du coup .... pointer son nez, comme qui dirait ! vif et ancré ! nez porté ! entre les nénésc? nénéd à lait ? on
en redeamnde ! on disait ? On entre ! on est entrées ! on est entréescensemble, accolées (main dans la main) o,n disait, et nous voilà de fait qui formons Fée , Fée des données données, Fée des landes et autres prés habités par ici des bêtes sur pied ! On est nées sur herbe ancrées ! Fée ! Fée ! Fée des fées ! On est toutes transformées en fée ! on était deux (deiux femmes ou filles : F) à la traverrsée, nous voici unifiées ou comme unifiées en cette sorte de
"Fée des Rages sur pré" qui est "Fée de base", fée des Fées sur place (lande) . On mate ! on regarde loin les données données. On veut de fait en vrai nous avancer vers ce muret quyi est muret dit "de contrebande" à ce qu'il parâit. On nen avance ! on avance. On veut toucher à c e muret aux données données données de base et du coup comprendre en vr&i, p ar oùu passer "ensemblev " = asso ciées, de confiance - coonivence, a ccolées = F2E ! Fée des fées et on entre ! on veut enttrer ! on veut passer la Porte de s Données, donnéesde RAge ! On veut (grave) traverser, la Roche Finale, et du coup voir-comprendre ce qui est de l'autte côté ! Est-ce : une sorte de mer étale ? une plage aux galets ? un remou de base ? du glou
glou comme s'il en pleuvait ? glou glou des données bruyantes ? une Chance ? un e sorte de CHance Allouée à une Vie Passée ? charge de Fée ? Donnée tendre ? vivavacité des données vivaces ezt autres vie de rage ? vie vive, des données données finales ? Une sorte ici on dirait de vie nouvelle ? vie novellisée ? On regarde le pré, le muret au loin, autour de nous des bêtes (dites de poids) broutent, qui sont bêtes des données (brutesz) telles que rencontrées ci-devant sur pré à notre arrivée. On veut :
TOUCHER ! TOUCHER ! TOUCHER ! TOUCHER ! TOUCHER ! TOUCHER ! TOUCHER ET ENCORE TOUCHER LA BÊTE DES PRÉS ! ON VEUT L'AIMER ! ON VEUT GRAVE AIMER LA BÊTE DES PRÉS ! ON VEUT GRAVE AIMER, ALLER , TENIR, CONTENIR, FILER, DONNER ICI OU LÀ DU SIEN POUR COMPRENDRE ! ALLOUER À UNE SORTE DE ROMANCE UN SAVOIR ANCIEN NÉANDERTALIOEN ! ON VEUT COMPRENDRE = TENIR = FRÉMIR ! On a méga-envie ensembvle de :
toucher grave
toucher menu
toucher vif
toucher le cul des bêtes de rage, ici présentesv : buffalo ! bêtes-mots parmi des bêtes-mots ! on est ensemble (deux) qui voulons comprendre , ici même (pré) , pareilles bufflettes et autres bouquetines surdimensionnées ! grave ! surdimensionnées (on dirait) ça charge ! dinguer(ie de rage ! on voit ça en transe ! On est nées ! Fée ! fée ! fée des prés on en ava,nce dans les connaissance car voilà, on est passées ! on était deux (en vraéi) à la traversée et nous voilà qui sommes passées , ensembvle, accolées, faisant corps sacré, corps des ombres portées on est nées de rage, vivantes, vives et comme soulagées de nous voir accolées au passage, nouées, soudées, faisant
corps de rage pour être (on le sait ) à présent la fée, Fée des prés, Fée des données données et autres mots de contrbande. On est passées ! On regarde. On veut comprendre. On cherche grave à comprendre znsemble . On a super envie ensemble de comprendre ce qui est , qui se présente devant nous comme à la parade, bêtes-poids (de base) au débotté, mots-charges à l'arraché, bisonnée des données prégnantes et autres buffleries tracées ! ON veiut toucher à ces données telles que rencontrées à notre passage, dès l'entrée (notre entrée) en ce paysage aux vives données (dites "de contrzabande") et autres données (dites "de rage") comme s'il en pissait au passage (à
nottre passage) . On veut ensemble ici comprendre si possible ce qui est qui nous regarde ou nous regarcderaé&it sans sourciller outre mesure. On a méga-renvie ensemble de tracer qui des données, qui des mots de rage, sur paroi de face, et nous porter de fait au-devant de nous jusqu'au bout du bout du pré alloué à une vérité. On est nées fée au passzage chelou d'une sorte de paroi "des fous" . On veut ou on voudrait
ensemble accolées et soudées comprendre ce qui est et (aussi) ce qui n'est pas, en ce pré aux fées, aux bêtes de poids et autres bêtes-mots dites "de p aro i". Qui on est ici qui cxherchons la clé, la clé allouée à une sorte (peut-être) d'entrée (de rage ?) dans un antrte dont le nom (attitré) est ... F2é ? Fée des F2ES ? ou bien autre chose ? et si autre chose : .... Qioi donc ?
On entre ! on veut grave ensembkle et sans traîner entrer soudées, accolées , afin de ici cerner-cfomprendre les données primaires, secondaires et autres données parmi les données de fait rencontrées posst-cimetyière. On est nées de base accolées car on est passées, on a traversée la paroi première, on est dans un pré (paradis terrstre ?) et du coup on traîne ...
ou plutrôt non, on trace, on avance , on court on vole ensembvkle, on fait corps ensembke pour, de fait, former La Fée aux données de base, celle qui connait (ou qui connaitrait) l;es mots adaptés cfoncernant la Chance ! on est nées fée ensembvle dans un pré : la Chance ! Voilà ce qui est ! On avance ! on trace ! on veut toucher à une Sommité, de tYpe : Bufgfle à l'arrêt, Buflette des contrées de l'herbe et autres Bêtes de bon poids bon oeil sur pré de Vezrbe ! On est nées Fée du cfait que (dans la mort) on est nées ! on a traversé la Donnée Première, le Passé, et nousq voilà comme consacrée (en vrai) par( une bête , Par la Bête, ici, au cran d'arrêt ou ... comment dire ? l'allouée ! l'Allouée Première sur Paroi de ROche, LA BHête Tracée "de Belle Haine" , Chargée ! collée ou accolée ! la Bête des bêtes du pré, j('ai nommé .........../....................... Aile ! Elle ! La des bêtes-mots ! La bête ici des bêtes de mots ! Beête-mot post -cimetière = ELLE , BËTE-POIDS (de RAge) accolée , on regarde. Qui c'est ? qui elle est ? de" qu'elle bête en vrai il s'agirait ? Eh bien .... peut-être ....d'une bête dite "de trait" : bête allouée à une charge. Bête de bât, somme, trait de Roche : on voit ! on voit ça la Horde ! On veut (grave) en avancer, ensemble, en ces connaissances de roche et du coup aller, croiser, filer ensembkle jusqu'au bout du bout de la paroi Sarde (sarde ? ) poiurquoi pasz ! on est entrées ensemble pour former La Fée aux données de base (= la ch a,nce) et du coup, on est nées fée ! on est nées en tant qu'on s'est, ensemble, transformées c'est-à-deire accolées, soudées , pour former en vrai cette Fée des passages, ou dite "des passages", fée des fé&es telles qu'il en existe "dans l'adversité" on dirait . On veut touchger de base à la roche finale, travverser le pré, aller jusqi'aucx confins des
données prairiales allouées à ce tracé de base, à pareille marche. On veut
toucher = tater = boire = téter. Tater = téter , et téter = tater. On est nées sur pré de base fée , du fait qu'on est nées (ici même) accolées ! soudées ! comme soupesées ! On veut de fait cer ner ce qui est qui nous regarde ou nous rtegarderait en face sans s'arrêter. QUI on est ? Des fées = femmes accolées ;! formant fée des prés( l'homme est du passé ! n'étzit pas a ssez ! est mort-né dans la mort actée ! bien fait ! ... il était rosse ! °). On est fée de bosse ! tracée ! chargée (ou comme chargée) de faits dibvers, appointements, massages et autres creusesements à main levée en transe sur roche gravée (ou dès lors gravée ) . On est DESSINÉES ! obn est, sur pied , dessinées ! gravées ! sur rochje amllouées ! On est tracées à main levaée ! TRANSES = trans et trans = transformées en sorte de F2ée
de roche rude ! transe et comme transformées , en transe comme transformées ! On est passées ! On voulait en vrai traverser chelou la roche tantrique, eh bé c'est fait à ce qu'il paraît ! on a pasdsé le Temps Donné, La Rage des Contrées, le "Salon des bases". On est entrées toutes
remuées accolées en forme de fée ! transe ! transformées ! transformées (en transe) en fée, du fait que oui en effet on est passées,; on a rugi ! on a crié "ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiuiioooiuiuiiiiiiiiiiiiiioooiiuiooiuiooiuuioiooiiiiiiiiiiiiiiiiiiiooioiuuoioiuioiuioiuiooiiiuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiooiuioiouoiioiuiouoiioiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiuooiuoouioiiiiiiiiiiiiiiuuiiooiuioouiuiuiooiuiiiiiiiiiiiiçiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooiuoiouoioiiiiiiiiiiiiiikiioooiuioiuioooiuuioooiuuioiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooiiuioiuuiooiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! oui ! oui ! oui ! comme quoi voilà, on avait encvie, en vrai, de passer, cerner;, pousser, entrer, renttrer, comprendre où on est ensemble, qui on est ! Qui on est ? qui en vrai on est ? Est )-on (seommes-nous ) fée ? fée des fées à la t§raversée chelou ? qui on est en vrai ? fée des fées chelous à la traversée ! Une fée = une Effe = une Femme allouée à un pré = femme-p^ré ? femme aux prés ? femme sur pied va et vole haut = monte ! haut de chez haut! vers ... sa tombe ? une tombe ? tombrerau ? Chaud devant ça monte hot ? On est comme défaits, et, de fait, on est (ensemble) retracées (ou comme retracées) sur roche ... en tant que fée ! frée docte ! rose ! allouée à une sorte de tracé de roche : antilope ? On monte ! on monte tout en haut ! on veut haut monter hot au chaud ! monter haut ! On est la Fée des Hauts de ROche ! chalumeau ! on monte ! cerveau ! on veut coller à une roche aux données hautes, les plus hautes des données "hot" ! On veut touchert = cerner = dire =
contrer = faire et aller, vers une sorte de tr acé dit "des finalités" mais e,n vrai on ne sait pas vraiment , où trouver icelle , pour le coup, parmi toutes celles (finalités) prioposées ou quoi ou qu'est-ce ! On est entrées accolées femmes (deux femmes) pour former la fée, la fée-néné ? on ne sait pas ! on trtrace ! on charge ! on veut tracer-charger la bande des données profondes et autres bvérités de roche. La mort qu'est)ce que c'est ? une sorte de contrée ? pré/ Prairie aux ... pissenlits et bêtes-force ? Et après ? après ?? la ruée ! l'ombre portée sur une roche nouve"llement créée pour en vrai pour nous pouvoir passer encore et du coup toucher à une sorte de donnée "de bout du monde". Ok, mais, cette donnée "du bvout du monde", qu'est-ce que c'est ? c'eswt, comme qui diraéit, ............ la Roche ... aux nénésb ! Nénés hé hé ! Les Nénés nés au frais d'un passage alloué à une traversée dernière ! anfractuosité du cimetière , une jetée, une soerte de trait de roche par où du coup passer le nez , la tête, le cortps entier si affinité
et on y est ! lumière ! salubrité ! chants clairs de terre ! cavité dernière ? ou bien plage dorée, mer soudaine, ressac sur bière et autres bruits venant de derrière" ? On veut (en vrai) être celle (ici) qui baigne ! qui, dans l'adevarsité des lumières braquéesz, baigne ! va ! vole ! sert ! souflle ! chante ! donne ! donne pour le coup de soi = d'elle ! on y va ! on est née fée de fait pour p
âsser et tracer et rejoindre la jetée derrière ! le tracé aux fées et autres sortilèges de s données de roche ! On veut toucher de fait à ces donées de bout de bout, vér(ités debout ! On colle ! on est de fait en vrai accolées et on veut passer " à la une -à la deux" à travezrs la roche , l'ultime (allouée) roche des prés ! Onest homme d'amont, on passe le front, on devient Ailes de Données Primaires, ELles à la retombée sur pré, Femmellesz comme qui dirait (bêtres) et du coup transformées en fée, du fait que nous voilà (ailes) accolées, soudées comme à la retombée (ici) sur herbe ! On est fée d'herbe ! de pré ! soulevée ! on s'envole allouée , on vole de fait en cette sorte de rotonde survoltée ! On est la fée post-cimetière, âme allouée on est née bêtres (bêtes de roche = bêtes-fée = bhêtes de trait) : on monte ! On est comme soulevées et du coup nous voilà hautes ! hautement sureélevées sur pré , on monte allouée ou ainsi éllouée à une sorte de passage "rose et frais". On ne xsait (encore et de fait) pas en vrai ce qu'il en est mais bon, on se laisse pour le coup aller et porter, on est motivée, on a envie d'en avancer, on veut tracer ! courir ! charger ! pisser
! ne pasz nous arrêtrer si tôt ou même si près , du but avoué tel que retracé sur la roche dure, par des ... "fées
de fortune" ? qui sa&it ? on est fée diurne (matinales) qyui traçons de front un certain ombre de données cruciales il semblerait , mais : est-ce vrai ? est-ce vraiment cela = Ça , qui est .?, cette sorte de ... bonté des bontés ? charges d'âme ? salubirité ! charge-née sur pré aux fées !? Qui on est ? Femmes ! femmes dotées d'une sorte de Pariole FOrte (dans la mort ici allouée) qui peut-etre donne ... donne e, nvrai .... raioson profonde .... chaleur et bonté .... vent docte ! V2rité des Vérités ? Qui sait ce qui est ? quyi nous sommes, qui on est, qui on voudrait être ou ne pasc être et du coup aller (ou ne pazs aller) vers cette sorte de Parole Docte dessinée sur roche : vérité des prész , vérité des vérités , aurochs et mouflets ! buffles et chevauc de frai ! On est les derniersv ! on aime aller ! on aime s'enkyster sur roche ! forcer le tra&it et du coup (peut-etre) traverser et donc nous retyrouver (transformés ) de l'autre côté, côté pré = paradis, en
femme de suie, dédoublés, doubléesw, femmes allouées à une sorte de Donnée donné = FéE ! Fée des prés ! Une (la) Fée , des données chelous comme xs'il en pissait et nous, on est dessousz , femmes au débotté = doublées ! On veut cerner, en tant que nouvellement nées , ce qui est qui est tout autour de nous : bêtes-poids de trait, somme et roma,nce, bêtes de par ade pour l'éternité ça le fait, et nous dde nous en rapprocher "à la une à la deux" e,n transe (il semblkerait) jusq'à lkes touycher en vraéi ou du
moins tenter, tenter de les toucher en vrai en ce pré , en cette sorte de contrée "finale" ! on essaierrrait ! On veut toucgher ! on veut toucher en transe les données données d'un pré alloué à une vérité ! On est nées Fée dans la mort actée, alléguée. On est nées Fée = transformées ! de deux, on passe à l'unité d'une fée tr acée comme un trait de Rage : est)ce ça en vrai ? Ce tracé ? On veut comprendre ! on veut toucgher ! on veut aklller ! on veut cerner ! on a envie méga de nous avbandonner à une sorte de "tracé de rage" sur un pré, et alors (ou dès lors) de ccerner ce qui est qui commande , noius indique à jamais le terrain qui est à explorer (si jamais) , nousq dit auusi par où c'est mieux, en vrai, de passer et de s'a&venturer sans plus de craintes, et du coup tracer son prop^re (ici) chemin de destinée chelou peut-être... ou pas chelou, qu'est))-ce qye ça peut faire ! on a ensemble envie méga de creuser loin le plus possi-ble les doonées de base , dfonnées doctes, sondées, creusées, déposées. On est femmes des prés à la tr aversée (on était un homme !) et du coup on monte ! on monte en tant qu'on est, à présent, ailées ! munies d'ailes de féedu coup,on p)eut monter, coller à une roche des données, Roche Rude / Dure aux données diurnes ! on est accolées parvce qu'on est nées ! on est n,ées accvolées en ce"tte contrée de la mort actée ! on est femmmes devenues la Féez ! Fée des Fées allouées à une "Vérité des prés", à une sorte de donnée des données allouées à un pré dit "de contrebande" et le tour est joué : on bande ! on est droites nées ! on est nées dx'un tréit, le tr&ait ,! on est le trait de contreba,nde ! on est fée-trait
, bêytes de trait = trait = traite = donnée des données = vie tracée sur roche de grotte néandertalienne ou même plus ancienne , on ne sait ! les tempsq sont comptés ! Le trait est traitb d'herbe = verbe nacré ! Le trait est un trait de VErbe (d'herbe ?) sur pré ! On veut toucher à une vér(ité surnuméraire (on dirait) qui sezrait (de fait) la vérité des vérités sur herbe ! verbe doré ! chant lacté ! sein de fée ! nénés des nénées ! on vitupère en vrai contre un père des Prés q<ui est le Père des données Supre^mes ,
on le déteste ! On ne veut pas de sa "bonté" ! on veut pouvoir s'en échapper et, nhe plus jamais de fait le retrouver , le voir sur pied nous mater
-tater et autres faits et gestes ! merde ! merde aub père des prés ! il nous emmùerde ! il nouys fait bisquer ! il nous faéit grave suer et même chier ! va donc passer plus loin Père ton chemin et ne vie,ns plus jamais en vrai nous enquiquiner on en a assezb ! O,n veut toucher la main, le pied, le genou imberbe, cuisse dorée, poilds de fée, et y aller ! aller vif ! y aller de nottre envie sur pré de nous laiisser aller à deeviner , qui de quoi ici bnous fait ce dro^le d'effet ! On aime ! On aime aller et tracer et du coup chercher les données en vrai, on dirait les plus ancrérs = prononcées sur pré, genre VERBE au données du Rêve (?) ou sinon du rêve, de la VUe, de la Vue Naturelloe sur MOnt Suspendu et autres paysages d'herbe (Verbe) dodu.
On est Fée des prés ! on a envie ensemble de comprezndrre les données du pré ce qu'elles contiennent et ce qu'en vré&i elles pourraient donner en te"rmes de vie (vérité) salutaire si tant est ! Onn veut grave toucher = faire = dire = aller = prendre = chercher = deviner = comprendre , ici, les données donnéesz par, on dirait .... l'herbe . l'herbe des prés ? on est comme en vrai sidérées ! l'herbe ???? en vreai , il s'agirait de mots ... des herbes d'un pré ? Mots d'herbe ? mots des mots de l'herbe à mâchern,, brouter , ma,n,ger, mâchouiller ? On est la fée des données priomaires ! on est fée en herbe ! Salubrité ? on est Fée d'herbe, DFée de l'herbe = Fée-Fée aux donnéesz données sachant brouter ! Onnest la fée de l'herbe allouèée à une vérité des vérités des herbes tracées, dessinées, gravées sur paroi des fées ! On a envie ensezmble de comprendre ce qui est ici qui
semblerait, peut-être, vouloir arriver. On est nées de base fée , en cette sorte de contrée qui est, en vrai, la contrée du Verbe, Donné des DOnnées. On veut toucher à cette Vérité larvée, encastrée, en une soerte de poaroi de Roche aux tracés allouées par une sorte de Personnhe Docte des temps Passés. On veut tyoucher troyucher toucher toucher toucxher toucxher toucxher toucher
tpucher topucher toucher à une sorte de donnée donnée donnée donnée donnée ,données qui serait la Donné des Données à j amais = F2ée ! fée des ombres portées ! L'homme est du passé,l'homme mort-né d ans la mort actée est tel du passé (de cimetière) alloué au pré = herbe ! homme-herbe ! femme est la bête-mot, le traéit, bête de trait et autres Bête des parois de roche ! Homme mort-njé est devenu le pré , l'herbe, l'herbe verte, petit caveau ! On cherc he ! On est des bpêtes -mots sur herbe alouée à un pré post-cimetière aux données alléguées commùe "per derrière" (qui sait ?) . O, est le fée des plaines ! fée du pré aux herbes à brouter (homme dernier). On veut coller, en vrai, aucx ... "nénés d'herbe" ? On veut coller à c e qui est, qui vient de deriikère, la par(oi (de roche) première et après ? qui va là ? qui saura ? qui vivra la chose et du coup saura nous en informer sans plus d'anicr(oches ? On vreut tyoucher à une déité de roche ! on a envie en vrai ensembke de toucher , à, donc, Vérité ) ! vérité des prész ! On veut toucher = donner = dire = faire = comprendre = charger = concevoir = calfeutrer = combler = cerner = cxhanter = faire ce qui est qui nous sembkle aller = se caler, se t asser, se placer, e,n cette roche des données données par (qui l'eut cru ?) l'herbe à broueterr ! l'herbe verte est Verbe on dirait mais est-ce vrai ? est-ce ? est-ce ce qui est ? qui sait en vrai ici et là (le pré, aux vaches sacrées) ce qui est et (a contrario) ce qui n''st pas ô grand jamais dans les boyaux ! Qui, en vrai, le sait ? On est fée cdes prés et on cherche à tracer. On veut toucher toucher toucher de fait à cette soerte de donnée de base = mot ! mot de trop ? mot-mot ? mot de Rage ? mot de base et aéutres mots de rage ? mots du culot , de la rage nue ? des doonées nues ? du cul ? Mots-mots donnés aux asticots ? On est la fée a&ux mots des prés, fée d' ^me ! feée
des fées aen nage ! on sue ! on pue ! on pue grave ! on pue comme jamais temmlllement il fait chaud ! on cuit ! on est toutesz en sueur et larmes ! on est nées fée comê à la parade, a&u milieu des a,nimaux de charge, et on en avance = on va = on trace = on y va = on est à présent tout en haut qui cherchonsv (en face) un passage, trou de peau ou autres orifices-b,oyau ,; qui puiisse (en vér(ité) nous dooner ou prêter de qauoi nbous abvancer et tra&verser, passer ! passer voler ! traverser le dernier coteau ! la montagne ! mont des prés salués ! On veut passer ! on veut grave passer ! traversert ! aller tout en haut et du coup t§oucher à une vérité "des hauts" . On veut
TOUCHER SERRÉ !
RToucher ferme et commeaccolées à une sorte de tuyau "de référence". On est le tuyau ! les ailes battantes. Le trea&cé du pré ! charge mentale et dits des fées de contrebanxde. On fveut fcoller ensembke à une sorte de doonné donnée de base aux fées traçantes comme on est ! On est fée dees prés et en ezffet on trace, grave, sans traéîner, sans se lamenter, sans chercvher plus que ça à nous inscrire en faux concernant ... la chance ! oui ! il en faut grave ! il faut lA chance, le Tuyau, la Bête Forte aéllouée au tonneau, Gente's Da&mes et Da&moiseaux tu penses ! On est Brêtes de Peau ! On entre ! on est entre ! entre deux eaux ! On veut comp)
rendre et &llouer, charger et cerner, tire r et pîger, vivre et emballer, cfoller et surprndre, forger et sonder ici -mêmùe (à jamais ?) la ROche en HErbe . Onest nées fée sur herbe et on veut tracer. On veut comprendre les données données à quoi elles ress"'mblent(. On veut de fait (en vrai) chercher à cerner , ces données de base, ce que c'sst quyi nous concernerait et nous inviteraient à comme nous propulser plus loin (toujours) sur ce chemin des connaiszances, en ... Amour ? Amour doux et courtois ? Beau séjour / beaiu minois ! Atours ? On est la fée qyui tremble ... mais ne cède pas ! on en avance (discourtois ? maussades ? sale ? mal ?) mais voilà , on en avance ! on ne lambine p as ! on y c roit , ou du moins on veut y croire grave ! on ne veut que ça ! croire en soi ! aller et toucxher, faire et porter, donner et dire, centrer et conduyire, chercher fée, fée des fées sur herbe d'un pré qyui seraéit de fait le pré alloué à une fée donnée en partiuculier : Fée d'herbe, ou fée des herbesz du coup à brouter, manger, mâcher par des bêtes ! On est entières ! collées ! on pèse ! on est passées ! On voulait en vrai charger sur pré, on peut dire que c'est ok. C'est fait !
On voulait :
charger, conduire, saluer, donner,; poursuyivre, centrer, chiner, poser, composer de fait avec la fée telle qu'elle nous apparait en ce pré alloué à une véritécernée. On est fée, fée faite bd'un homme comme dédoublé en deux parties d'aile. On VeuT btoucher à ce qui est qui nous espionneraiot, ion dxirait (tandis qu'on monte ainsi soulevée ! ) . Obn EsT dEs HomMeS qui SomMEs cOmME transFoRméeS EN de"uX BetesV dE SomMe ApPELéEsc féE On DIRaIt PARce quE voiIlà ELleS SONT PAsSéES à TrAvERS LA RocHE COmME UNe fuSée (FiSSA ° Et DONc VoILà ! on est n ées frées de RoChe ! nouba ! samba ! parole doctes ! on y va ! on veut ça ! on veiut aller-toucher sans faute la
paroi du Ça tel qu'il nous apparait de forme. On est Néesz fé la bmort venue ! cul-nu ! fée cul nu ça pue .... eh bé c'est fait exprèsz ! pour repoussr ou attirer ! pour toucher ! toucher de près ! toucgher Fée des f2Es , Fée velue ! Fée des F2e velue qui elle aussi (donc à la retombée) wserait ainsi comme puant du cul ! fée ôilue ! Fée des fées de rage venue comme pa&r la bande nous toucher de près ! On veut la toucher ! on a szuper envie dee la toucher ! fée contree fée ! feu contre feu ! fuoc contraï fuoc ! fée / fée qui le ferait de fait ! seréiot bienvenu ! nouys fezraiot bien aller et nous egayerait en vrai ! On est la fée du préb
nommé, on v eut pouvoir aller ,, treavcer et cerner, filer en vrai sur pré le jour venu ! on veut
PUER DU CUL ! GRAVE PUER ! ON VEUT GRAVE PUER ! PUER DU CUL ! GRAVE PUEZR DU CUL ! ON VCEUT PUER ! GRAVE PUER ! PUER GRAVE DU CUL ! DU CUL PUER ET GRAVE ! SOUS LE NEZ (ET LA BARBE) DE L'ATROCITÉ, DU VANDALE, PÈRE LA TRIBU, LE MÉCHANT DÉDALE, DEDALUS DES TRAITS IMMONDES ET AUTRES TREAITS TRACÉS, EN FORME DE PASSÉ , TEMPS DONNÉ DEE R(OCHE. On est née fée la paroi passée ! On EsT Née féE DE préS /lA pARoI passée ! on est née sur pré la paroi pass&ée ! on veut coller à une D2éité des D2ités et ne plys
nous retyourner mais teacer , treacer vif, filer et comp)rendre en vrai les données de rage, le trait alloué à une marge anale et autres petits faits su r pré alloué comme à la par ade : cul nu ! on est nues nées, nues vues, nhues connues ! On veut y aller ! on veut grave tracer et gagner la bande ! se poster sur la montagne et du coup reg arder, dee rage, les données lointaiones, horizon donnéz, traits lointains alloués à un Frai ! Chants choraux ! Chants des Eaux ! Chants sourds du Tonneau ! On vole ! on vole drôle ! on volete ! on est fée des herbes comme soupeséees ! On veut toucher à cette Déité dite du post-cimetière allouée à une destinée sur pré ! qui on est ? AILES ! A1ILES ! AILESZ ! AILES sur pré ! on est ZAilesz ! Ailes aux données centrées ou recentreées , qui voulons voler ! monter ! chargher ! cerner plus haut les données chelous ou dites"chelous" ou "chelous comme tout" ! O,n aime
♥️
on veut être fée
on veut en vrai être fée
on veut bde base en vrai être fée
on a envie ensembke de base d'être frée
on veut grave ensembke de vfait être fée et comprendeesre ce qui est qui nous ressemble ou nous resemblerait sur pré
on veut aimer
on veut (grave) aimer les bandes, les données de rage et autres données , données par la bande à tout jamaisb on dirait mais en vrai qui le sait ?
on veut toucher )à une sorte de vdonnées de rage comme consacrée à une sorte en soi dx'adversité (type monacale) allouée à une Vé2r(ité dite "de contreba,nde".
On aime, tracer et pisser, charger et collzer, ma,nger et suer comê par la bande, nos mots du Passé et autres Gros mots sur bande traçante.
on est faits = fée ! ion est pasdsé (homme), on est fait (fée) une fois passé = fée du pré (ou fée des prész de charge")
ON VEUt grave comprendre les données romandes, le Roman de Base, Chant d'oiseau et autres mots gros du tonneau.
qUi en vrai on est, on se le demande ! On ne sait ! On ne sait p as en vrai qui on est, et qui on est pas ! On cherche à comprendre ensemble sur le tas, mais voilà, on est mal outillées des fois ! pas facile ensemble ! on est Ailes de fée sur pré, attachées, accolées, soudées, collées de rage on dirait et ça le fait ou le ferait grave il semblerait !
On na envie de faire que ce qui est qui nous obsède, on dirait ! Tracer = pister = donner = faire = cerner = lier = charger = prendre = donner = monter = coller = dire = suivre = forcer, forcer grave les tra&its ! venir ! allouer de base, à ce tracé, des données sa&rdes et du coup monter ! haut le plus sans plus tarder ! chanter!
on veut toucher à ce qui est qui nous regarde ici
mort
mort = antre
antte = mort
mort, "des don,ées de l'antte"; antre des données données, au sein de la mort
ventre
Charge-née ! On veut toucher à une sorte de donnée du ventre, saturnale, a&llouée à une vérité, "cventrale-ventrale", qui est (pour le cfoup), V2rité des Vérités "chelou", ou pas chelou, mùais .... d'antre ! d'un antre ! vérité de l'antre = vérité ancrée ! allouée ! tracée ! chargée ! qui entre comme à l'arraché en cesz contréesz de bout de bout, sur pré aux fées. On VeUt tOUcHeR à ceS données de rage ! On VEuT GRaVE y toucher ! ToUCHreR à ces Données de base menaçantes , et entrrrfer ! filer ! coller ! donner ! cxharger ! faire ainsi ensemble (ici) qu'on puissee glisser, qui son doigt de fée, qui sa langue (qui sait ?) patoisante ! On est ailées ! on est Ailes du pré ! Ailées ,! on est la fée, ailée, des dsonnées de base (dans la mort actée, larvée, prégnante, située). On veut com)rezndre , cerner, collezr à cette déité des données centrales (ventrales / anntrales / astrales ) . on veut :
TOUcHeRv, Faire ainsi nqu'on pûyisse comprendre et cfomme mieux nous situer sur cette lande
aux données (de b ase) saturées ! Qui on est ? sardes !
Qui on est ? sa&ges ! saége-femes ! sages -femmes des prés comme situées sur herbe de base : mots d'arme ! On a méga-envie de comprendre = TOucHER , Dire, Coller, CErner, Cerner EN vraéio ce qUI est ! dire et toucher ! on veut toucher à une vérité
acide ! grise ! vive ! chargée ! accolée ! vive ! centrée ! colère et vie sur pré aux fées ! on a envie en vrai d'aller :
vivre sur pré notre vie d'e frée ! Et du coup tracer, chanter, pisser, allouer à une vérité (sur piste) les données données de l'hydre ! On veut =:
toucger toucher toucher toucher toucher toucher tpucher topucxher toucher toucxher topucher toucher toucher toucher toucher toucher touchert toucher toicher toucher toucher tyoucher toucher toucghhjer à ce qui est qui vient vers nous en tant que nous on est les feées chelous du territooire "aux fées" telles que la mort en
vrai les reconnaît ! telles que la Mort en vrai sait les repéreer, les situer, les recvonnaiître en vrai (sur pied) et pas le contraire. On est la Fée des prés sur herbe ! ON veut voler, monter(, gzagner , la Dernière des PZArois du MOnde , Rotonde, cxHarge d'ombre,
on est
ENCLAVéES !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on est vcomme enclavée de fait ! On est priçses en vrai ! On est tenues et contenues. On veut toucher de fait, à ces (dits) "nénés de saison" ! On est la fée du pré, du mont des Données ! On est nées velues ! fée nue ! fée sur pré cul nu le jhour venu ! ça pue ! ça pue du cul ! c'est une sorte de donnée donnée ! ça le fait à moitioé ! c'est un fait avéré ! On veut grave toucher à ici ce type de donnée genrée, allouée à un fait vrai qui est que voilà :
UNe fée en vrai (dans un pré = paradis) ça pue ! ça sent ma&uvais ! cf'est fait ecxp^rès ! chelou pas à moitié car c'est du cul qu'elle pue ! On, veut toucher ! tracer des nénés (on dirait) à main levée ! charger ! tonirtruer ! foncxer, à brides abattues comme qui dirait et ne plus lambinner, coller grave aux tra&its m arqués = suivre les traéits et ne pas nous en éloigner , aller ! charger sur pré (le jour venu) les données de rage et autres charges ! On est = on va = on entre ! On est entrées de rage en cette lande aux langues sardes ! cru ! esszayez ! essayez de grâce, le jhour venu, de tracer cul nu ce qui vous passe par la tête un temps, se rassemble, fait boule de rage, sentiments patents ! On est venues cul nu sur pré , pour (en fait) toucher , toucher grave, grave aller, aller grave sur pré, tracer, qui un zaurochs, qui un chevau, qui un bison, qui un veau de peau, qui l'antilope du troupeau, la bête rosse, le bufflemot, la pelote groosse, la jument aphone, loe tonneau gros de sa parole docte, au chalumeuau ! On veut
grave coller et toucher à l'Ordre vdes Données Profondes Otrthodoxes (ou pas : mais , de fait, et pour le coup, vraiment collées jusqu'aux genous ; après (après les genioux : au-dessous ?) ça vpeut aller, moins grave !). On Est nées de base fée comme à la retombée car on est née (dans la mort) femmes ! femmes fois deux , pour former fée = EFFE ! EFFE des préds ! l'EFFE frontale, saturnale, collabée, nacrée ! On esqt pasxée sur roche, a&insi a ccolées zet du coup ... c'est da&ns la poche !
on est ,nées ! on est fée ! fé des prés sur roche allouée à un tracé de fond dee grotte ! Mendicité. Sermons. Saluts à jam&is. cul né la nuit venue, sur herbe saluée par des bêtes velues. On veut coller !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! coller nue !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! aux dopnnées dy-u cru !!!!!!!!!!!!!!!, chants des pâmoisons, chants de front, ire du Pont, on veut lécher, on vfeut embrasser ici le traéit ! charge'-née ! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée cendrée et centrée comme par la moitié (?) ici, de front !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée vive et allouée à une rive !!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!u!u! chahutée !!!!!!!!!!!!!!!!! accolée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! On veut toucher ux onnées vives d'une sorte (en vtrai) de Vé'ité des Vérités Actives (chargées = rechargées) sur pré des Fées. On est nées fées du fait qu'on est passées, qu'on a traversé (justement) la rive (la contrée des fées) et qu'on s'est retrouvé de faitt sur pré, les pieds , dans l'herbeb à brouter, par'mi les bêtes de trait et autresz bêtes groosses sur prairie de roche. On est née fée ! on aime ! on aime être fée : post-cimetière ! étrangeté dernière ! salubrité ! intégrité ! bonne chère et autresq mets à déposer sur pierre à la travezrsée, et ça le fait ! cherche ! cherche ici (sur pré) les données données de type offrandes (médficinales) à déposqezr, la mort venue ... en puant du cul (de préférence : ça le fait !) . On veut toucher ! dire et aéller ! on veut grave toucher,, et aussi : alezr, cerner, pisser, composer, allouer à une sorte de charade lezbdonnées de base te'lles qu'on les connait ... en France . Par exemple :
- le tra&it
Par exemple :
- La Romzance
Par exemplqs :
- Les données de Rage, Vifs tracés, CHArgee frontales et autres vélléités de contrebandee ! On veut toucher aux nénés tu penses ! téter ! on a grave envie de compre"ndre et de s&luer les donjnées donnéezs comme on les connaît ! Comprendre = cxharger = soulever = soupesezr = dire = contrer = charger = cerner et du coup frémir , quii sait ? on regarde ! On est nées fée à la retombée, par chance ! on était hommùe ou femme (singulier et singulière) au te'mps passsé, nous voici fortes têtes, traits tracés, on charge, on enttre ,,et au pa ssage on perd les clés" comme qui diréit ! l'homme pe"rd pied ! la femme tranche, passe, cherche à se dédoubler, arrive ainsi tracées, deux femmes sur pied comme par chance )à l a retombée font la Fée des prés !Nous voici transformés ! Fée des fées sur pré on est acté ! On entre ainsi colléée , remontée, gravée ! On veut toucher toucher §opucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tpoucher toucher toucher toucherr toucher toucher
tou!cher toucher à une déité de contrzbande, saluée, centrée, posée, chargée, accolée, postée, qui nous rega rderait sans s'arrêter. Qui c''stb ? eh bé, la D2éité du cru ! l'attitrée ! Déité nacrée sacralisée ! Onn est née F2ée pour comme avoir à rencontrer la Déité des D2ités sacrée nacrée (sur roche des prés d'amazonezs). On aime toucher ! on adore ici en vrai toucher à ces données du bout du monde !). On dirait un p^ré ! la roche ! le passé ! ça colle ! c''st genré ! ça pose des traits ! ça va vif sur herbe acculé jusqu'à la chose ainsi repérée qui nous reg arderaéit comme si en vrai on ét§ait drôle ! on est fée de Rôle ! Chant tracé ! vif tracé aux données de Roche , genre Ant§i-l-opes ! gastropodes énergivvores ! On veut coller à une déité des données de roche, et du cou!p tracer ! filer, à grancdes enjambées, dans ce pré donné aux bêtes de roche ! on veut aimer ! tracer ! charger ! aéimer Chose (le Petit Chose ?) qui nous connaît : Déité des D2ités ! On veut toucgher, toucher, toucxher à Chose = D2ité, qui ne cesse de nous reluquer , du fait que voilà, on est fée, transformée, devenue en vréi fée à la retombée, la mort "passée", car
le moment passé de la mort actée on est, en vrai, eh bé oui, devenue fée ailée (comme toutes les fées) ... mais ... puant du cul, (exp)rès ! , pour "embauemer", pour "tracer", pour "laisser de szoi ce fumet, ce trait , trait de joie accolé à une sorte de trajet "du cul" sur paroi nue ! On aéime ainsi puer e'n tant que fée le hjour venu ! On est fée des fées puant du cul ex^près : pour "embaumer", inonder , cxharmer tu parles, faizre de l'effet (onn diraiot) et faire (ainsi) reculer (de fait) toiutes déités de La mort aactée
trop entrep^renante ou excitée ! On ne veut pas D'iUNe MORt dees prés trop EXCitée tu le sais . Calme et sérénité. On veut pouvoir se poser sans frais ! On est fée de base centrée sur base calmée ! pré ! pré sans frai ! ON commande ! on a envie (méga !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ) de nous poser UN TEMPs = LE temps, pour SOUFFLER = SUER = DIRE = FAIRE = VOLER = CHARGer =CERnerb ensemble les donées du cru (le cul nu) . On est la fée post-cimetière voletant, chercvhant , ici, un mât de R^ve, sentiments patents, où (à quoi) pôuvoir de fait (sans sourciller) se raccrocher et du coup cerner = détourrer = dire-poser, coller-prendre, jouer-dire, etc., ensermble, lES DoNnéeesb du Pré , vivacités ! vivacités ! vivaCItéds ! On veut coller à une vérité "acide" = Acidité / vivacité ! ON est la fée fluyide, le treacé acté, trait des fées sur roche "actiive" ou activée ! On veut en vrai bousculer les données (genrées) d'une sorte de "parentalit é massive", ce qu'elle est, ce à quoi elle sert, le pourquoi du comment elle est née, ce qu'on peut en déduire la mort allouée à une destinée. on est né fée la mort venue, puant du cul, avide de cerner de fait les doonées données à une sorte de paroi
finale; On pue grave (en vrai) pour (du coup) repouusser les ardeurs matinales (par exemple) d'une sorte dee Donnée des RAges, Déité des Contrebandes et autres Vérités Lactées./ On ne veut pas se laiusser emmerder ! ou marcher sur les pieds ! On veut passer-toucher, filer-aller, prendre-surprendre, saturer de fait les donnéesz du branle et du menuet. saturer à jamais ! on entre ! on est entre ! on entre dans l'antre, saluées ! On a envie en vrai nde comprendre à jamais ce qui est en termes de Déité et autres Vérités R5omandes. on est nées de fait fée ! car on est passées, on a franchi le rubicub des données étanches ! On veut oui, toucgher ! graver , dire et former fée, dès qu'entrées en vrai par la bande et ça le fait ! on se cha nge ! on devient fée de territoire ! soupesée c'est vreai par en vrai la Charge, le PAssé Acté, MOrt de "l'homme
du passé" , pauvre de lui le gnome, il est mort-né surt pré , devient herbe en vrzai à brouter, pour vaches sacrées et autrs bêtes-fées cendrées ! On est la F2e au Temps Tracé, chapeaéu-melon, fée des prés sapée ! on est née La Fée ! On est accolées = ailées ! On est passées ;- ! on aime aller ainsi sur pré charger ! gueuler ou pas mais traverser, fissza ("à la une à la deux"), la Paroi du Roi, REine de Bonté !
ON MONTe ! ON veuT mONRTer ! On VEUt gRAVE MoNTer Sur pied ! On vEut EN Vrzai GRaVE MONTEr SUR pieD ! tracer = donezr ! ON NE VEut pas pâssrr à côté mais pour le coup en vrai monter ! gravir les monts ! se porter de fait sur les hauts du Pont ! TRACER ! COLLER ! DiRE et donner , ce qui est , eet filer ! ce qui est qui est : offrzandes (diverses) à Déité, et filer, ça le fait ! déguerpir en vrai ! aller ! rentrer ! revenir ! retourner ou s'en retourner( ! On veut grave toucher à cette D2oité, des données célestes, savoier
vqui elle est, ce qu'elle est ezn vrai qui nous observe , et aéussi : pourquoi elle nous observe, qui elle veut toucxher en vrai, est-ce qu'on l'intéresse, qui est là pour dire pour le coup ce qui est qui est, la co,
ncernant elle . ON EsT N2ée f2ée pôst-cimeytière en vrai, et du coup on est ensmble comme soulevées e,n tant qu'on estb accolées-soudées pour formezr Fée, Fée faite de moitiées collées (femellesz) et ça le fait, e,n tant que bête-fée de traits (on dirait des bêtes ! des bêtes de trait ! ). ON DIrait qu'on est AILes (des Ailes) sur Roche Allouée à une V2ritév Ailée ! point sacré ! petit point de trais sus-nommées comme alloués ! On v eut toucher à ceftte déité post-cimetière = donnée = donne = femme actée fée, sur roche collée ! racée = tracée : on Fonce ! On veut toucher toucbher toucher toucher à une vérité des vérités, acter, paqsser
roche, toucher ! toucher en vrai la Déité du Corps Loué ! charge paadssante ! Capitale des entrées de fée ! on est née fée la nuit passée ! fée des ombres et des traéits faits à main levée, en ordre, sur cloison de roche; par des hommes-femmes, femmes-hommes des tombeaux et aurttes tonneaéux ! On est la Fée du cru des ombres, chéapeautée ! on tombe en trombe ! chaud tracé" ! on forme boyau ! on entre dans l'ombre ! chalumeau ! torche fauve ! le boyau des ombres est à la groptte ce que le vaisseau (sous la peau) est à l'homme-femme,
au cerveau rempli d'eau (sang de roche). On veut le Haut ! coller à ROche des Niveaux ! On veut toucher à une Roche comme autocalée sur le niveau de l'eau ! On veut
AIMER ROCHE ! ROCHE AIMER DE PRÈS
On veut grave aimer ! aimer gravfe roche, soulever = soupeser x et x vérités de poids et autrsxd bête-mots dits "de la foi" en ces boyaux (de grotte cachées enterrées). On veut AIMER ! AIMER FOL ! Follement ! Aimer en tant que fée qu'on est ! Aller ! dire ! toucher ! contrer et rire ! rire et péter (péter de rire) et puer à jamais si ta,nt est ! c''st un fait ! on est la fée des Riresz ! On veut (grave) repousser l'hydre ! le
genré ! l'homme-moitéié ! le Sens des Réalités Passives et auttresz volontées passées (sur pied) à même la rive ! On veut : coller = donner = dire :== chanter = cerner = comprendre = prendre = allouer = bercer = donner ce qui est qu'on porte , genre : dons de rage, mots de base, bêtes-mots (de poids) sur roche, tracés doctes, pommesb ! pommes du pré ! pommes au déjeuner ! pommes dxes prés ! pommes et pommes ! pommes et poires du verger ! pommes des oiseaux ! des bêtes de foire ! chalumùeau ! cxhalumeau notoire ! animùaux des rages et gens de peau ! colle ! colle allouée ! roche ! roche ce ndrée ! porche ! porche attribuéb ! nuit des fées sur pré tracé ! chance des donnéesz ! verbe salué ! On est entrées ! on est femmes des prés ou filles des préds ou bêtes^mots des prés ou m^$eme bêtes-filles-mots des prés gravées ! ON est n
ées !On est nues ! On veut toucher à cette déité, vdu mont des nues, nuées du Passé , du Pré alloué à un pAssé Ancré la mort venue ! On veut toucher de près ! toucher nue ! nous, nue ! nue velue vue ! nue du cul et des nénés connus ! Nue ! Nue d'herbe ! On veut : dire-faire, coller-aller, charger-comprendre, être-mettre,monter-entre"prendre , toucher-cerner, hausserrendre, vivre-tomber, saluer-chanter, huer-froncer, quérir-attreapper, dire et faire ce qui nous plaîot en ces contrées du Mont Velu ! cul nu si tant est ! on veut treacer = toucher ! toucher = dire ! dire = faire ! faire = charger! charger = suivre ! suivre = sonder ! sonder = pouswser ! pousser = enduire ! enduirev = oindre ! oindre = chiner ! chiner = vivre (dans un pré) sa vie de bpetes -mots de poids , et ne pas ou plus s'en faire
plus que ça, laisser être, laisser faiore les données du monde, se soumettre aux vents des forces hautes, ici, dees roches de paroi. Etre et aller. Dire et cfoller. Se donner de bva se aux fées, des roches des voiçx ! crier (peut-être) et tracer (à main levée) les mots sur paroi (mots doctes) qui (en vrai) disent (tous) ce qui est et ce qui n'est pas, en fait, concernant la Fée, Donnée FOrte, Fée des Féesz Ailées qui est censée, en vérité, nous ouvrir les portes ! toutes les portes de la Roche dure /rude allouée à un mur (ou muret) de fin de grotte (finalités) . On veut grave aller chercher, ensemble, la bChose, ce qui est qui va, chante, escorte. Toucher la horde ! la toucher en vrai sans honte ! traverser ! courir ! charger ! pistonner ! co:mprendre = donner, à qui de droit , les clésxs du passé et ça le fezra ! On veut grave rechercher la Roche aux données de pôidfs ! toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = troucxher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher à la paroi = direb = montrer = faire accepter = mesurer = situer le niveau (en vrai) du Rire des Fées ! Rire alloué à une Vérité Ancrée (sur pied) de type F2ée des prés ! Frée des ombres prortées ou rapportées qui , toutes, on dirait, se chevaucxhent , pour former .... Déité de ROCHE ? D2ité des D2ités accortes ? On ne sait ! on cherche encore ! on ne lâche pas (ou plusz) la roche, on fonce on vole ! on y va fissa : dans le tas ! on ne regarde pas à s'économiser ! on veut toucher à satiété la Bête-Monstre de paroi, coller ! dire et pousser, charger et donner les clés, qui sait, à celle (fée) qui sa&it (saura) danser sur pré, la danse des Chats, Chats Bottés, Rats, Rats des prés et autres chzamps aux données actives. On ne veut pasz se l:aiisser abuser ! on veut coller à une vérité alpestreb ! chat Bottté ! Chat hua&nt ! Prince des champs ! Chants des hjoies du Vent et des données soufflées, sur gherbe tracées. oN veut aimer = aimer toucher = tpucher =
toucher de près ... les nénés lactés, les seins ambrés, vents des prés soufflant, ombre portée au firmament ! On est fée des fées ! colle allouée à une sorte de "tracé mental" tel que rencontré dans ... la mort actée ? qui sa&it ? qaui sait, en vréi, ce qui est, desz données des prés ? On est nées Fé2e la Roche pâssée, dans
la mort actée, comme transgformées ! transe au pré ! on chante ! on ne cesse de chanter ! on est fées chantantes, ou Les Fées Chantantes aux données (naissa&ntes) savantes ! on est fées de contrebande (ainsi tracées) qui cherchons la bande, le mottet, le chant du branle, musicalité des données romandes et autres chants des blés. On est nées, du branle et du menuet , FÉE ....................................................................................................................................des fées dansantes !
13/10/2024
Qui onn est ? on est femmes du passé, tracée, colléev à une roche d'envergure. On veut toucher, aller, passer de front "à la une à la dezux" la Roche du Pont . On veut cfoller à cette chose d'une sorte de paroi d'époque : tralala frontal et autrees chants de contrebande. On pousse, on trace ! On veut cfoller-passer à travers loa roche et c'est ce qu'on fait ! On est accolées colmme ailes de frai ! On trace ! on entre en transe en cette sorte de "rotonde au pré" ! Qui on est ? AILES,
AILES DE BIèRE ! charge sévère ! on a poussé et du cfoup voilà on a fini par y arriver, à , ici, entrer de rage, en cette sorte de "garage " d'anges ? on y va ! on est deux, pour ça : la Chance = le passageen transe. On veut cvomprendre = on veut cerner = on veut toucher = on veut (on voudrait) dire et coller ensemble à cette sorte de par(oi des anges, paroi sarde, chants des pleurs et autres rancoeurs ! on est anges ! on veut toucher à cette deéité des franges d'une sorte de façade blanche. qui on est en vtrai ? des anges ? ou bien, des elfes ? oou encore, AILEs, délivrées (au passage) d'un homme alloué, charge blanche et déposée sur branche
, et nous .... on avance-trace, on veut (de fait) comprendre (saluer) toutes les données qui , en face, sont , comme en vrai posées, mises sur pied pour une traversée. On est comme adoubées en vrai par une sorte en soi de déité cooriace, située, porrtée, qui nous regarde ou nous regarderait sans discontinruer. On est (qui sait ?) femmes celtes, dépl&acées, pasdsées, on est entrées, on est accolées, on est
fardées et grimées comme des elfes en vrai à jamais = tracées , sur roche, bouquetins / quetines, bisonnes et bisons de frime ! On est nées (sur roche) dans LA MOERT ou Mort d'hom^me "fait". On est nées de base (rage) à-à la mort en face ! On veut toucher , coller, dire, allouer-passer, coller à une roche vive, traverser la rive et nous retrouver (de fait) de l'autre côté comme si en vrai on renaissait, on se transformait, d' omme "fait" (surfait) on devenait ou on se transformait e,n felmmes déposées, tracées, anguilles, chalutier, vivres ou vivres comme o,n en connait dans les tyextes bibliques ; ou alors quoi ? ailes en vrai d'ange des prés ? Fées des prés ? on cherche à trouver ! On veut coriavce (de fait) comprendre, savoir, dire et aller , chercher ensemble ce qui est qu'on voit en face, tralala de base. On y croit ! on veut y croire ! on veut en vrai coller à cette déité, des rages célestes. Qui c'est ? Eh bé ... peut-être, oui, une elfe ! ELLE ? on ne sait ! on cherche de près
! on est cfomme soudées "à toi à moi" par le derière ! fée allouée à une sorte de tracé (de rage) szur pré , on avzance ! on est (de fait) fée de base, on est née , on est née fée au passage, ailes des prés, elles en nage , transe, on est passées et on
rzegarde les données données du paysage ce que c'est, ce qu'elles représentent, ce qu'elles sont pour nous qui cherc hons passage , ici, à traverser, chemin sarde, destinée.
On veut :: TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER = §oucher = toucher à cette sorte de Passé de contrebande, ici déposé colme s'uil en pissait ! du lait ? hé !! qui sait ? on cherche ensemble (ailes) à trouver, en vrai, ce qui est, de ce passé, icfi déposé come s'il en pleuvait. On est "belles bêtes" des prés : bouquetines cendréeds, bisonnes des fées et autres buflles travaillés ! On est ! on existe en vrai ! on est dessinées ! on brille !
On est en vrai passée. On a traversé . On veut cerner-toucher les donnéesz actives
,, le p
ässé c'est un fait mais aussi la friche, l'herbe ici allouée, le pré aux fées, les bêtes placides et, au loin , la roche (montrée) qui s'affiche et semblerait chercher à nous .... tirer vers elle, nous faire signe . "On arrive " ! . On veut toucher à ce qui est qui nous fait signe. On veut y aller, tracer, coller à une sorte de paroi, aux signes tra-cés,; aux lettres des fées. On est vives ! on vole, on volette ! On est bêtes des p^rés qui (de fait) se laissent guider / emporter par, ici ... le vide ? l'air des prés, vent digne, chant des cygnes ! On veut toucher à urn-e d"éité du vide, ce qu'elle est qui nous attire : satiété ! qui c'est ? On ne sa it. On veut y aller ! on a
m^éga-envie ensemble de touchger à cette szorte de donnée (de contrebande) allouée à un pré, à un pré des chances, dit "des chances" en vrai. On avance ! on veut coller à une rive ! tracassées ! on veut (tracassées!) coller ! on veut colloer car on est tracaszées ! On veut aller ! faire sur pré notre (petite) virée des fées et toucher au loin à ce muret qyui semblerait vouloir comme nous "incorporer" de fait. On est filles ! filles vivesz des prés = fées ! fées des fées et ça le fait en vrai ! on est des fées des prés qui (
de fait) faisons treacé = allons = marchons = gagnons, gagnons l'autre rive, celle ici allouée à une sorte de ... sortie de piste
! champignon, oignon, tomate-cerise, piste riche ! on fonce à fond ! on veut casser la tirelire ! le petit cochon ! On veut toucher e nsemble (à toi à moi) lza frise ! le moignon ou le melon, l'ermprise sur rive, champignon du Pont ! On mise ! on veut toucher en vérité la frise et gagner (de fait) si possible la rive, l'autre côté, côté champignon, melon, oignon, jambon et autres mets de venaison. On veut :
toucher , tpoucher grave
toucher, toucher ensemble
toucher, toucher vif
toucher , toucher à vif
ce qui est qui est qui nous regarde et noius ressembkle : les données de près, chants des prés, cerises, vents acides, on est nées ! nues ! vives et comme cul)-nu sur herbe du cru ! On aime allersur pré chercher la mise, le traceé des fées et autres denrées comme déposées sur herbe diorée ! on entre accolées dans une forêt , p)rêtes à danser ;, chanter, tracer des ronds sur herbe cendrée ! On est fées des fées ! on est la fée dotée, ailé, nacrée, données sur roche comme copnsacrée, finalisée en vrai en cette contrée de la ;"mort admise". On veut
touccher = tpoucher = toucher = toucher = toucher )à cette sorte de MMAINMISE aux données acquises, à volonté ! on veut toucher ! on veut aller ! on veut et on vouèdrait coller à une sorte de donnée de rive '(maritime ou marine) dont le bnom serait (en vrai) : Vérité ou V2rité des Vérités ! on a donné ! on est passée ! on a (ensemble) traverseé la roche grise ! la paroi des frises (bouquetines et bouquetins altruistes) et nouzs voilà dès lors sur pré, prêtes à gagnezr la Rive, c'est-à-dire l'autre Rive, le Sommet ou comment dire, l'a Paroi des Rives, l'u:ltime attablée, le dernier Rire, l'envolée active ici allouée à une sorte de paroi ultime, saluée, cernée, accolmée à un pré (paradis) de mise. Qui on est ? Fée ! fée tracée ! fée des fée ! chapitre 2 la Piste , le tracé des
fées menant à la rive, à cette ultime Rive aux do nnées apprises, genre : mots des choeurs, chants moelleux, douces Rancoeurs et autreedxs Voeux pieux ! On colle ! on se rapproche ! on a marché tou du long ensemble, jusqu'aux finalités de chambrte. On veut toucher ensemble = "toi et moi", qui faisons en vraéi le corps de la fée ! = la vie ! vie des fées sur pré = Vie avcqauise dans la mort admises ! on est la Fée des données vives ! on est pour le coup accolées en tant qu'on est les ailes (elles) d'une sorte d'elfe ou fée des prés telle
que consacrée par une déoité lactée ! On est proche ou toutes proches de pouvoir entrer en cette sorte de donnée donnée qyui ressemblke de près à une sorte de muret aux données lactées (actées et lactées) comme s'il en pissait (d'uun pis alloué à une déité des prés) . On veut dès loçrs aller com^me téter à cette déité des fins de pré. On veut
TÉTER EN VRA2I = boire le lait = aller ; faire, comprendre, saluer, armer, chasser et toucher et dire et se poser sur rive de l'aiutre côté, côté ... vide ? on ne sait ! on veut tracer ! filer, aller, chercher, connaître et traverser ce qui est ici ce pré aux données pour le coup acquises comme denrées. On cher che à toucher. on veut coller.On ne veut pas se laisser déborder ! On aime le pré, les fleurs acidiulées, le lait des données telles que rencontrées à la traversée. On a méga-envie d'y aller, et de toucher ensembkle ce qui est qui nous attire vif, nous fait signe on dirait, nous parle en vrai comme si de fait onn pouv ait comprendre, distinguer, cerner ensemble un certain nombre de phonémes de fait co:lorés, genre langue sarde, patoisante ou pas mais ... étrange ... eh bé en vrai on comprtendrait car on wserait comme adoubée ou comment dire ce qui est en vrai, ce trajet, cette voie des anges ? on comprendrait, car on sezrait comme (tou d'un cfoup) initiées ( à genous) par des fées, d'éautres fées que nous ! On serait comme iniçtéiés ezn vrai par des fées ou des sortes de fée plus ou moins chelou mais en vrai, on s'en fiche pas mal
puisqu'on est (de fait) nous -meêmes chelous on le sait ! On est la fée des prés chelou ! l'attreappée ! la courue des prés ! l'antilope nacrée ! fée des fées on est ! qui voulons :
cerner,
pisser, coller, charger, comprendre, saluer et sonder, faire contrebande et toucher, toucher grave à une fée des prés genre "qui aime les fées". On veut coller-tisser, allrer-donner, reprendre c'est voler ! On ne veiut plus aller vcers des données de rage mais gagner en vraéi le mur -façade, les données de base, le muret des fins de salle, ultime donnée des données coriaces.
On veut toucher au loin la Place des données coriaces .
On ne veut pas se laisserr faire ou monter, en vrai, sur les pieds ou se faire toucher, ou se faire moquer, ou se faire de fait tripoter par a&llez comprendre qui sait qui cherche à nous encoquiner ! on est fée des prés et en ce nom on dit merde aux quéqués ! aux hommes morts-nés ! charge docte, va donc te faire ... mousser sur oordre ! On est la fée des prés dits "de la mort donnée" ,cherchant Chose à avaler pour en vrai travezrser ici la Roche aux données soit l'Ultime contrée ! On veut toucher à s atiété = téter ! téter le lait (le verbe alloué) des nénés ! on ne veut pas s'en passer ! on veut grave téter , aller, courir, voler , nous envoler vers ces tétés de robe ! tétés frais ! on veut téter ! on veut toucher à ces tétés , à ces nénés , à ces nénées d'époque ! soulevées , posées, données, ou comme déposées sur données de roche, ou d'une roche. On a méga -envie de se coller à ces nénées de roche tels que soulevés , attrappés ici par la Fée des Vies dites "de co ntrevie" ! On veut :
toucher à satiété , aller et venir, chercher en vrai à le plus comp^rendre ce qui est qui wse présente, en termes cde nénés lactés (de préférence !) dit de contrebande , ou sinonquoi, si pas de contrebande ? On est allouées : ailes de la fée ! fée nous-mêmes de fait saluée, bdu fait que voilà, en fait, on est Ailes = ELLes, ailes de la fée nacrée, genrée, déposée, volant sur roche comme une sorte de donnée, tracée comme à mainlevée par dieu seul sait qui c'est qui était là pour ça, coller-tracer en joie les mots de roche(paroi) faisant foi ! On aime aller ensemble dessiner sur roche, sur paroi, la foi en l'au-delà ! le tracé fauve, la voie ! On adore ça ! on veut de fait comprendre lesz données de force, et allouer à la paroi Le Roi , la Reine Forte, la fée des amorces, le chant des voix et autres cris de basse-fosse ! On y croit ! on veut en vrai de fait toucher à l'ultime paroi dite "des Rois et Reines de Saba ". on y croit ! on veut tracer ensemble la chanson des vooies ! On veut (grave !) aller , toucher à ça : la Voie ! toucher à cette sorte de "paroi des forces", ou "aux forces allouées à une sorte de P arole Docte" !
on est née fée la pa roi 1 passée, nous voilà (à présent) devant ce firmament, ces donné&es
ultimes = les nénés
cde l'Ange, Seins dotés de lait comme s'il en pleurait ou pissait dru, oupleuvait dru ! on veut toucher ! toucher ! toucher ! Ce qau'on veut, à nous deux (ailes = deux) , c'est toucher = téter ! On a super méga envie en vrai de (pour le coup) toucher = téter iceux (ces ) nénés de fée ! est-ce nénés de fée ? on dirait ! ils sont vieux , creux, deux ... dieu , heu .... on ne sait ! on cherche ce qui est qui sezraéit vrai et pourrait aller ! On veuit toucher à cette sorte de données des prés,; genre "à qui mieuxmieux c'st du sérieux". On est nées fées sur paroi des voeux ! On veut en vrai cerner-toucher ce qui de fait le fait au mieux qu'on aimerait ! On veut le plus qu'on peut cerner en tant que fée (si on peut !). On veut en vrai toucher à ces nénés ... de Vieux Gât-teux
? qui szerait Dieu ou qauoi ou qau'est-ce pour le coup qui sezrait vrai ? Rien du tout ! nénés frais ! pas gâteux pour un sous ! nénés les plus frais du coup ! frais en vrai de chez frais, nénés mieux = vifs, genre : dons de vie, vive vie donnhée sur roche allouée à une sorte de denrée de type lactée (insoumise) . On veut :
vivement tracer, coller et ddonner, faire la surprise d'une sorte d'emprise sur néné de mise ! On veut :
coller = donner = dire = chahuter = comprendre = saturer = foncer = forger = pouwsser = démantibuler = combler = caler = donner = ficher = mesurer = traquuer = pousser ensembkle vers ici, kles données données de co ntrebande . qui c'est ? bé ... j'ensais de fait fichtre pas grand-chose, vu que en vérité, les donnnées profiondes siont comme larvées, cachées, masquées, enfouyies de base de l'autre côté, vas-y pour comptendre et toucher ! vas de base chercher à pour le coup comptendre ce quyi est qui sembke nous toucherf m
ais en vrai que tchi ! rien du tout ! les données de base (dessous) reste"nt à leur place et en vraéi ne se laissent pas tripoter ou même juste frôler ! on essaie de f&it en tant que fée, née dans la Mort ou le Royaume de la Mort, de nous en approcher le plus pôssible pour en vrai , en effet, les toucher, cerner ce qui est qui nous regarderé&it ou nous attendrzait de l'Augtre Côté mais voilà, on ne peut pqas s'en approcher outre mesure ! on est "coincées" ; on est comme coincées de bvase sur pré , gentes dames, bisonnées, anti:lopes sucrées, escalopes, on veut en effet nous approcher le plus possible de toutes ces données acides situées, de fait, del'autre côté du pré, mais comment aller ? comment dire ? que tracer ? comment charger ? quoi pousser ? quoi avancer ou déposer ou envoyer ? On est la Fée des données admises (en vrai : de la Mort Surprise) mais arprès ? qau'est-ce qu'on peut apporter de plus ici en termes de données lactées, d'entreeprise de salubrité, de sauvetage au débotté d'une sorte de Page, Gens d'Ombre, Venaison / Cohorte, Champignon ? on est fée des herbes coupées. fée d'herbe à tout jamais mais est-ce que ça le fait en vrai pour de fait nous permettrre ici et pour le coup xd'en avancer beaéucoup (chelou ?) ? On, ne sait ! on chervche ! on cherche à genous on dira dans la prière jusqu'au cou mais çça ne suffit pas, ou ne suffirait pas du tout , chelou. On veut = on va !
On veut aller de base "dans le tas", chercher une (sa) place et basta, afin de comprendre, comprendre = prendre , prendre = cocxher (une croix) , soit donner ! faire offrande ! apporter sa pierre de rage ! faire ainsi quye des données de base puissent aller,coller à une sorte de Romance en vrai, charge d'ange déplacée ou même débordée qui serait charge dite "des prés" du fait que voilà, charge d'enfance comme qui dirait (dira ?). on avance ! on cherche à comprendre = toucher, mais pour comprendre -toucher la Romance, il faut y aller ! il faut (grave !) donner ! donner de soi ! se mouiller ! s'ofrrir commê en héritage ! traverser la base,les données de face, le tracé (olé olé) des données mentales et &utres vérités de contrebande saturées./ On est néee fée sur place (les données) et on avance, grave, vers Déité ou ccette Déité des Fonds de ca&le. qui on est ? on est ... sales ? ,sages ? sardes ? on est née sur place fée, du fait qu'on a passé (dépassé) la roche aux fées ! On est née fée au passage ! n"ée fée de base ici, au passage du pré, sur prairie allouée à des bêtes de pré, genre caval$cades. On veut :
toucher , toucher toucher, toucher, toucher , toucher , toucher, toucher à cette charge ici donnée des prés sa lués. On ne veut pas ne pas toucher ! on veut grave toucher ! On vgeut tracer, dire , épouser les nénés, séduire, coller, perdre, chyanter, donner, se donner comme par surprise à une sorte de Mainmise (déplacée) quyi wseraéit
comme une Déité Surprise rencontrée. On admet ! On veut toucher pareille cdéité ! on veut cerner de près, la regarder de près sans plus tarder, chyercher à lui (comme) soutirer les véerités acquises, les données genrées, les mots de roche vrais, les données données. On veut de fait aller sur ce trajet, donner prise. On veut de fait coller à cette soerte de donnée donnée allouée à un pré tel que celui sur lequel en vrtai on est à présent déposées ou comme déposées du fait qu'on a passé l'emprise, la paroi des nues, le premier passage de rue, nous voilà acquises à une sorte de prairie des vues genre -banqyuuise, pré nu, p^rairie fine, herbue, cconnue, vue. on est filles ! filles des vues ! deux filles forment fée des nues ! Onnest filles nues formant fée des rues ! On veut toucher à une Déité postée. tracer = courir = aller = gravir = monter = toucher au loin = faire = dire = contrer = charger = do nner , donner en vrai ce qui est qui nous est comme à nous-même donnée quand on néît = la mesure , la musesure sûre ! charge actée' ! on naît ! on est née fée sur herbe
de pré la Mort sûre. On voulait coller nous voi:là touchée. On voulait grave bnous retrouver eh bé c'est fait . On veut toucher à cetre sorte de donnée des prés, chyercher, coller, dire, faire, sédiuyre, soulager, dire et conttredire et se donner de près comme en vrai la cire ! l'écoulée ! fluide nacré ! cire desz données données sur un pré acté . On est née fée surprise, surprise ! on est née fée-surprise, surprise ! on ne s'attendaiyt pas à pareille emprise sur rive ! on veut de fait coller à une sorte de donnée de rive, ou de rive ultime, et une fois ici ou là collée , une fois qu'on sera, toutes deux (AILES), collées, alors /... on verra ! on y verra mieux ! on s aura ! on verra de nos 4 yeux (?) ce qu'on verra ! 4 ou 2 on ne saoit pas ! mais on vezrra ! on y verra mieux ! on saura ! on saura à qui mieux-mieux à quoi s'attendre au mieux de tout ce qui va là, sur pré aux abois. On est nées fée sur pré (de pré) et on avance ainsi ainsi accolées , on trace. On est nées fée de contreb ande. On cherche à comprendre ce qyi est qui nous "regarde" on dirait ou nous regarderait en face" : qui c'est ? je ne sais ! je ne sais pas qui c'esst ! j'aimerai grave le comprendre, toucher, cerner, aller, faire et donner les fdonnées du Verbe tel que dxélivré mais comênt faire ? On ne sait s(y prendre ! on est AILEs, au débotté de l'âme, mais vas)-y comp)rendre , les donné&es, le sens de la marche, les contrées, le sentier et la parade, le treajet ! on entre et une fois entrées on cherche, on essaioe, on tente , on veut gagner ensemble (ailes) l'horizon desz herbes. On est pas arri-vées c'est vrai mais on est motivées ! on cherche de fait à nous en aépprocher, à gagner du terrainsur pré, à t§oucher à cette sorte de donnée dopnnée allouée à une Vérité dite des Vérités d'une sorte de Façade aux données Données, qui serait Roche des Don nées Finales, Saturnales, Avouées. Qui on est ? dans la mort ? des fées ! soit ailes de" fée = fée ! on est les ailes d'une fée des prés (paradiisaques) allmouée à une sorte de Vérité qui est (de fait) Vérité des prés
, Prairies sur Roche, Traverrsée dxes TRaverseées, genre Cohorte ! genre Motte ! genre MOnts de Roche = MOnceau ! On veut toucher à une sorte de donnée de roche Haute ! Haute Chose de Caveau ! On ne veut pas (ou plus jamais) passer à côté mais y aller ! tracer ! combler ! donner ! dire ! se coller à cete sorte de donnée du Rire ! on veut (de fait) toucher la Riive = la gagner ! On veut (en vrai) cerner = dire = faire = aller = complaéire = chercher = coller = faire = lever = jouer = sonder ici, ici ou là, la Roche Ultime : où pâsser ? par où onpourrait passer ? qui on est en vrai pour passezr , pouvoir passer ? On veut toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = touycher = toucher = toucher = tpucher à cette chose ici acquise en vrai, Mort des Hommes nés, mort de l'homme touché, Mort D'homme sur pied ! et du coup la Fée, Fée des ombres allouées se permet (en vrai) elle (pas lui) de ... passer = continuer , de faéit, le trajet, le chemin aux Fées, vers cettte donnée qui est donnée post-cimetière s'il en est : dfonnée des données . On est née Fée à la mort ... de l'homme cis ! bien fait ! on est enfin passée en tant que fée aéux données premières finalisées et du coup, voilà, nous voilà Filles (ailes) à la retombée , prêtes à coller à une sorte de donnée rupestre, né"andertalienne , sidérée ! on est ! on est nées ! on est nées une Fée ! on est dev enues frée à la retombée , prête à être celle (en vrai) qui SAIT ! ce qui est, ce qui est et ce qui n''st pas en ce cimzetière de
Java / Sumatra , tralala la bière ! on y va
! on dresse la paroi ! on vitupère ! contre le père ! on y va tout droit, RIGA ! ça y va ! ça trace = ça charge ! on est là-bas pour comê qui dirait tracer (dessdiner, en vrai) LE ROI, LA REINE, LES DONN2ES PRINCières (PRImaiRES° et tout le tralala (en soi) d'estocade ferme ! On y c roit ! on veut toucxher à cette Voie, Tracé Ferme, Charge_forme, CGalipettes ! On est fée faite ! c'est la fête, la nouba ! la chansionnette est là ! on y croit ferme , ça y va ! on aime ! on aime ça , les galipettes sur toundra, les mots de l'herbe, les bêtes de poids, l'entrée raide mais voilà on est là sur l'herbe, ma foi ! et on voit, on voit qauoi on voit les bois, les cornes, les sabots dondaine, tous les animaux de la ferme et au-fdelà, les bêtes-forme, poids de choix, licornes ! licornes ! licornes ! bêtes à cornesz et à bois ma foi ça envoie ! on entre ! on est comme allouées ensemble à cette sorte d'antre "de paroi" dont on regarde au loin les formes que ça représente ! On voit ça : roche tantrique à szoi, paroi nue de soi, chahut ! On veut le cul ! on veut de fait grave le cul ! le cul nu ! cul d'herbe sur l'herbe ! cul du cul ! on veut toucxher le cul de l'herbe , ou le cul sur herbe, ou le cul-herbe, ou le cul des culs sur herbe ou de l'herbve crue ! aller ! foncer( ! toucher ! filer vers (là-bvas) le cul = fonds = fond s de pré dit fonds ! on dit qu'on est
des fées (la fée) qui vouloçns (qui veut) aller vers ces contréesz dites du fond ! fond de pré aux herbes = cul des culs, des données (de base) nues. On veut :
toucher le cul = le fond = le tracé de fond = fondement = cul en herbe des données Suprêmes ! cul des culs sur herbe ça le fait, en vrai , c'est donné ! c'est commê donné ou une donnée ! c'est , en vrai, la Donnée des Données sur pré ! va-nu-pied on est , qui voulons gagner, en vrai, la roche dernière, le treacé des herbes, l'attitré. On est née fée sur herbe à hjamais, en ces contrées. On a touché à ces données en herbe nouys voilà sauvées ... qui sait ? On est née fée la mort venue, on a du cul ! on est sauvées ou come sauvées, du fait qu'on est (
en vrai) venues, sur pré,, comme nous transfgormer, en Fée des
prés nue, nue velue, connue vue qui va (nu-pieds) sur herbe tracer, on diréit, son chemin de bure ou sinon de bure, en vrai, peut-etre de cure ? on ne sait ! On est nées fée lea paroi passée ! mesure ! chasteté ! chant des fées sur pré ! battons la mesure et allooins gagner , sur roche des prés, l'ultime "Muret des Murets" s'il en est ! on est fée doctes fortes ! On veut toucher à ces contrées de force, traversée des formes, cha,nt des cohortes, troupeaux -mots en horde ! on est veaux ! veaux-mots sur ordre ! on est mots doctes sur panneau : cohorte d'aniamaux-mots qui vont (accorts) au dépo^t ou tout comme ! On est mots -veaux ! fée de mots ! mots-veaux = veaux-mots ! on est fée = femme, au ba- mot, qui chantons sa-rde .... szous le pis de "l'âme -vache" ! on est veau de rage ! troupeau-mots ! chants sardes comme il faut et ça enchante grave ! On est veau de peau, chyants basques, veaus des mots sur roche glabre, sentiments de Frange, déplacements. On est fée femme en vrai au passage tracées = déplac"é"es ! Changement de face ! veau devient mot devient rage devient femmes (deux) puyis fée de base (par chance) sur un pré aux vaches et autres bêtes-^poids de mots. on cher
c he à comprendre grave ces mots ! mots d'onnés de fait sur roche allouée à une sorte de parade longitudinale de paroi ou dite "de paroi" . qui va là ? la fée ! Qui va là ? la fée allouée à un pré ! QUi est qui ? On ne sait ! on est née sur pré fée du fait que voilà, on a laché (en arrière) les données "tressrestres" , genre "sa letés", "vérités des pets", "merdes en bière" et autres misérables charges alloués à un verbe maussade sur pied. On est nées fée en vrai (ouf !) au passage de la roche-plage. On voulait ! on ne voulait pas rester en râde mais de fait traverser, comprendre, sauter, aller, filer, passer commùe en offrande le tracé de base. On ne voulait pas rester à quai ! on ne voulait pas rester en vraéi à quai mais grave traverser de base les données coriaces, le dénivelé sur place, l'envolée des données de rage et autres alacrités maussades sus-nommées. On est nées fée au passage d'une "Vérité" de type Collage, Placage, Dessinage sur paroi de roche par des f'mmes -hommes des toundras et autres savanesz. On ne veut
pass passer pour ce qu'on est pas ! on ne veut surtout pas passer pour ce (cette chose en soi ?) qu'on est pas, à savoir : sage ? sa ge-femme ? On ne veut surtout pas $en vrai passer pour cela même qu'on ne voulait pas (jamais !) être au temps passé , soit , avant d'avoir trépassée, d'être entrées en cette sorte de contrée aux féesz, paradisiaque, déployée, vivante au pré, allouée aux herbes-verbe et autres mots-bêtes ! On veut grave trac-vezrser la Chose = la Roche , la passer ! On veut / on vouydrait (en vrai ensemble) grave : treaverser ! filer ! toucher ! cerner ! comprendre ! saturer de verbe les données premières, priméires et foncer ! treacer ! filer sur pré sans plus attendre ! allouer à une donnée s arde un certain nombre de valeurs d'usage ,;, gentillessse en face, douceur grave, sentiments sondés comme par un Passé, chance. On est née fée de contrebande ! chalutier de France ! conditionnées ! on est nées fée de trype allouée à une Vérité Frappante genre Denrée ! Donnée à manger , à boire, ingurgiter de fait de type LAIT ! LAIT DE NÉNÉ , LAIT DE FÉE ! LAIT De trait (traite) franche ! on est nées fée de fait au passage (d'une roche immense, roche-aux
fées de groptte cachée), et nous voilà qui voulonbs tracer, sur pré, vers ce Dimanche des données Romandes ! vivacités = chastetéb = sa&intetész = dimznche des fées, sucrées , ou nacrées, qui paradent sur pré comme beêtes de trait et autres antilopes de garde ! On est fée des fées, données des données, BELLADONNE DES Prés, on est ! qiui voulons toucher !toucher ! toucher ! toucher ! toucher à une sorte de .... vie de pré si tant est (sui on peut dire) qui serait ... la vie rêvée ! On serait comblées ! fées combl"é"es de mise, on aimarerait ! On veut toucher = centrer = dire = faire = mettre sur orbite les données accolées à un rire, à une sorte de rire donné, ou de rire adonné à une frise, frise aux fées, aux bêtes
soumises à un joug de mise ! joug des jhoues éprises , ici, de bisous ! On veut RIRE ! grave ! sûr ! fermes ! on est comme des bêtes soumises , du fait que, oui, en vrai, on est là surprises, comme surprises, par cela : vie vive sur toundra ! treanse de paroi ! chance acquise ! déploiement de soi sur un tas ! Oon arrtive ! on va ! on est fée surprises qui voulons de fait charger en vrai les données de prise genre chaluteier, fée des fées qui seraéient chalutier , porta&nt données à traénsporter ,
d'une rive à une autre rive. On veut
toucher à Déité ! On veut toucher à Déioté ! On veut grave toucher à cette
"DEéité d'entrep^rise", à pareilles données surprises et aé&iutres vérités soumises à vérification lacteé ! On est les fées de l'entreprises ! chalutiers ! gentes-fée aux donné&es (données) d'entreprisqtse et autres charges à soulever, porter, transpiortezr , déplacer, donner, à cette déité du cul
du monde larvé (lacté ?). On eest les fées de l'entreprise acquise ! chaluteier des prés ! maritimes ! marines !fée marine à la retombée comê qui diraiot mais est-ce vr(ai ? on atttire ! on est vives ! on est bhien mises ! on est arrangées ! on est des beaiutés ! on est beautés-nées, fées des prés on est qui cherchons l'entrée, faille ou vide, en pareille donnée , donnée grise sur donnée des prés, genre muret ; muret alloué à une sorte de finalité, de type "cul de roche" !
ici donc le cul nu de la roche ventrue ! cul des culs ! on aime ! on aime grave le cul, car, le cul, est le cul du monde, à qui (à quoi) se frotter immonde qui sait peu importe, le cul est le cul, cul du monde venu,;, vu, touché de près, cul des ombres, finalités, fond de carosse, tréfonds ! le Tréfobnds ! le tréfonds des ombres ou le cul c'est la même chose ! cul nu = fonds
des choses du mo nde ,; paroi rude des données acides ! chants de Chose ! troubadanses ! vents de face ! rigodons ! On en avance ! vents d'âmes ! pets nés d'une romance ! allons donc danser la (le) Branle, et le Menuet ! charger-coller, donner-sonder, pezrmettree à une chance d'éclater-éclore sur pré (en corolle si jamais) . On est la Fée du pré passée, chantée, donnée. On est fée sur pré du fait qu'on est née la mort venue nue nous sonder ! on est née fée de b ase menue , chance à cul, vive donnée, va-nu-pied des va-nu-pieds. On est née fée sur pré, nue ! bnue du cul ! charge vue pâr qui l'eut cru, les Rois / Reines des Contrées, ici Acidulées comme du ;lait ! lait du pré ! lait donné à jamais par (qui sait ?) les nénés de l'Anttre ! de la vache Ancrée , Nacrée, Soulagée d'êtretétée en vrai, ça commençait à lui peser ! on aime allerr téter ! on adore, mêmùe ! on aime, en vrai de vrai, grave, aller téter , téter le néné, le néné des vaches, à jamais , la chance ! notre chance de fée ! chance d'ambre ! on est fée des chances sur pré qui cxherchons E,ntrée, Entrée de ROmance en un mureet dit "des finalité de la Chance en transe". On est nées fée sur pré, pour aller tracer, vers muret, charger, cerner de fait les données romandes, les données romanches et autres données de contrebande à tout jamais . On est qui
? on est fée ! On est lres fées de la Romance Franche ! On veut ou on voudrait en vrai nous avancer au plus qu'on peut en vréi d'une sorte de Vérité allouée à une Déité des Charmes = dxes données de base comme consacrées, sondé&"es, donnéeez au p assage d'une sorte de traversée (sur place) ! chants de roche amidonnés peut-être mais c'est fait (et plus à faire !). On est actées ! on est stipulées! On est marquées-gravées sur pierre à jamais comme une Vérité (sorte de Vérité) surnaturelle ou qui serait comme surnaturelle qui sait ! Est-ce que c'est vrai ? sommes-nous commpe creusant la roche des prés à la recherche d'une vérité concernant le monde des données de tra&it, de plainte, de romance
allouée à une sorte de donnée en herbe, soit le Verbe , Verbe né sur pré en herbe , du fait qu'en effet, l'herbe est cette sorte de donnée "de cimetière" ! Donnée verte s'il en est qui en vrai nous sied du fait qu'elle nous aide (grave !) à nous sustenter comme à la parade ! et voilà de fait ici le chalutierr ! la base ! le tracé ! les données de rage ! chants sacrées sur pied ! on est nées fée en France (transe ? ) du fait qu'en vrai les données sont franches
! ouvertement données (comme en contrebande) sur dossier ! tu plaisantes ? On charge en vrai ! on colle à satiété , on entre ! on est nées fées de rage treacées ! on comande ! on cfom^mande en vrai le chalutier ! le transport nacré du lait sur place ! satiété ! szatiété franche ! salubrité ! commande et vérités ! charges
allouées à une sommité de type "bouquetine cendrée" des prés aux données. On est fines ! sucrées ! affilées ! chine ! On aime monter et voleter et nous placer de faéit ici ou là en ces contrées, de base rupestre, grotte Haute, val des voix et a&utres trous de Fr'anche Rigolade ou d'abois ! On entre ! on entre dans l'antre d'une sorte de paroi &ux cendres mais voilà, quid des cendres là ? eh bé ça : l'homme-né, genré, traqué, il sombre dans l'ombre (son ombre) pour renaître en fée ou en fée des prés à la retombée la Roche (la Mort) passée on le xsait ! On est fée qui sommes somme de données accortes ! on est les fées du Nouveau-Monde, fées d'entre les Fées d'un monde faits de bêtes-MPonstres, Soulevées, Tracées, Tracées à main levée sur ordre d'une Voix de Roche ! tracée sur pied ! Ombres on est , qui vouloçns l'ordre ! la donnhée de Roche : sermons des fées et autres Mamelons ! qui s&aiot ? Lactée ? Fée lactée ? on ne sait ! on trace des traits ! on grave sur pieds les bhêtes mobnstresz, bêtes-de somme ! de trtrait ! sur roche aux Nénés comme qui direait ! On est nées en forme de fée dans la mort donnée ! on est fée des fées .;;;;;......././...............................................................................................................?......................................... df-ée des fées de base .............................?.??. fdé&e d'entre lzs fées de rage .................................?../................fée fée ...L...../....///............................................. fée des fées de rage, de base ..............................................tracées //................................................ allouées àune sorte de romance des données ou des temps allouées à iune soerte de donnée, de rage prégnante .................... vérité des vérités ...... charge et chance sur tracé rupestres des doonnées toutes animalières comme un fait exprès ................... ça pèse , cf'est genré, la crème des données données de type
allouées à une sommité = somme agraire = cxharge-née, bête consacrées ............. sacrées / consacrées ................................. flèches .................. soulevées et soupesées ............... sur herbe des prés à la retombée .... oN aime, on veut toucher = sonder, et du coup trouver, ici , ici même, ce qui est, en termes de données données, données doctes, genrées en cohorte /horde , vérité des vérités des ombres . On veut toucher à cette Chjose d'une sorte de "DOnnée Allouée" allouée aux ombres, aux petits faits vrais et autres données données sur pied genre bêtes-force, bêtes -mots des prés et autres mots-veaux c-omme s'il en pleuvait à tire-larigot ! O,n aime toucxher = donner = dire = fair = charger = co=plaire = ici donner du frai, des glaires, cy(prine à jouer, colle et collagène, pipi doré et charge sup^rême comme accordée , les Nénés ! Les Nénés de fait de l'Herrvbe Attitrée, avouée, chiffrrée, coi,ncée entre deux termes ! ON est née fée de cimetière, genrée ! fée de fête et autres soirées dansées ! on aime ! les fêtes et danser ! danser sur pré de cimetière et autres scènes consacrées ! On aéime chahuter, danser des nénés, souiller, sombrer, boire et manger, coller à l'herbe = brouter, vache à lait sacrée surnume&ééraire déifieée on aiùme ! on est née fée
pour être Ailes ! Ai:les al:louées à) une Vérité de type Tracé , un Tracé , un trait, le Trait des données, Trait des fées sur herbe = le TRAIT , la TRAite, TRait de LAIt ! TRait Ferme ! on aime le lait = le trait = la traite = le treacé sur pré des données (premières) allouées ! On aime le lait ! le lait ? on aime ! qu'aime-t-on ? le lait ! Le lait ? on l'aime de près ! on aime l'aimer ! On
veut toucher, en vrai, aux nénés, de la vache de tra&it telle qu'on l'aime = Sacrée, COnsac rée, Déifiée, Nac rée, Ancrée, DOnnée, FOndée, CHalutier. ON est ELLES ! AILES et ELLES sur pré ! On est les deux ailes du trait, du tracé imberbe ! donée ! une donnée ! une sorte de donnée post-cimetière et comme attitrée à une sorte de ... rezngaine ? chant réiktéré ?baliverne / ritournelle /chants de pré ? On aime ! on est nées fée du fait qu'en vrai on voulait cha rger, passer, passer de fait , traverser,
traverser de fait, la des Roches De pré ! aller ! pousser ! cerner ! pisser ! coller à ces données de bouts de roche Nacrée et autres Fariboles aux tracés gravés ! on est fées ! on est en vrai des fées ! on est comê nées Fées, sur Roche Grosse ! on est née fée sur Roche GRosse Genrée SAluée ! fée dfocte ! tracée à main levé cdepuis le carosse ! On veut touycher à une sorte de donnée, de rond-de-bosse, surnommée Néné mais en fait il s'agit de la Roche , Roche FOrte, Grosse , aux données allouées de type Lactées comme quyi diraot , et nous de cfreuser -téter en vrai les données données par vce rond-de-bosse alloué à une Roche Calculée ! On est fée des Ombres de grotte ! chants chantés nez à nez avec... eh bé la Roche ! Grosses ! mains articulées, Verbe Hautain, Cris chargés d'effets divins, Vents de force 3 sur Roche des Voix ! On colle = on monte ! Traçons et traquons ! Bête de roche ! va-nu-pied sur roche accollées on monte ! fée ! .....................................................................fé&e des prés ./................... on est en vrai la fée du pré comme autrefois nommée ^par l'homme -femme des cavernes cachées souterraines. On v eut grave cernezr un certain nombre de données dites "de cimetière" sait-on jamais ! qui on est ? des bêtes ! des bêtes en herbe ! chants des prés et herbes vertes ! on est fée d'herbe en herbe, à brouter ! fée ! fée des fêtes consacrées sacrées ! chants sous terre ! on rêve ! on est trabnsportées e,n même temps qu'on est chalutiers, chalutières on dirait, transport d'hezrbes (vertes) comme à l'arraché ! On broute sacré ! on est bêtes (des prés) sur pied, de type bêtes à herbe, mots dee roche, mots-bêtes, bêtes-mots de Roche et Autres Gros Mots, de Langue ici
"Pas Dans LA POche" (dixit Roi/ reine de Saba ) . On est les costumières, les fées de la Chance, Rave Tantra, Charge d'antre. On veut ça : la transe , la samba ou transe de Saba, transe-Chance ! on veut ça ! comprendre, qui de
quoi et pourquoi et quoi sur quoi ! Chance ! transe ! On entre en transe dans la paroi , une chance ! cul des Roisq / Reines de Sa ba , on danseb ! on y croit de base car on est quoi , on est la Reine ici bas = là, charge,
paroi, trait des fées, ai:les de szoi, force majeure et chants des toundras ! on veut comprendre enxsemble la paroi , c'est la paroi de qzuoi ? des données primairzs ? du V erbe ? de la Roche dure d'une Grotte connhue ? Chant des donnéesz vives ? le teracé du vivre ?On ne sait à qui ou à quoi se fier pour (en vréi) nous y retrouver, en cette sorte de tracé chiffré ! qui on est ? fée ! qui on voit ? ça, le tracé des fées, roche-bobois , les données de rage, intériorisées, comme déployées. Qui on aime ? Le Bverbe , les données de poids, mots de somme et foi des ombres sur le tas (béliers, bisons, buffles dorés, chevales amarrées, Tisons). On est lzaa Fée vde conttebande. On est la FZ3ée naissante. Sur roche allouée au Verbe teracé, gracvé à la volée par l'homme-femme tracassée, touchée, touchée au mollet ! On trace ! on est comme teracées de mises ! O,n n est les fées toutes alouuées à une sorte de mainmise, donnée par ici le Verbe Sacré, qui est Bête Rosse, si jamais, bête des prés de somme, de trait, grosse de données accortes et autres savoirs vrais . On veut :
toucher en vrai
, toucher pour de vrai,
toucher grave pour de vrai,
grave toucher aux nénés,
grave en vrai toucher aux nhénés,
grave de chez
grave toucher aux nénés,
grave de chez grave en vrai ne pas lzambiner, traîner, mais toucher ! vivement, vraiment, assurément, aux nénés de l'Antre , Ronde-Bosse sur Roche à graver : Nénés Doctes ! ombres ! plis larvés et autres rotondité de Charge Forte. On est nées Fée en vrai soulevée comme qui dirairt. P° arce que voil:à : on est ! on est en vrai Fée ! On est fée des fées en vrai et pas pour de faux comme qui dirait, mais en vréi actées ! dites, fortes de mots gros, chjance allouée à un jeu de mots sur place grravé, jeu de mot bgravé commê s'il en pleuvait ! On va à tire larigot ! on aime, on est fée Su^rpême, chant des Veaux (des petits veaux) à tire larigot ! chants doctes ! on court on vole ! Fée du tonneau ! ivrres de vins bus nue ! On est vues
! on est courues ! on 'est nues courues mais on pue du cul ! fonds de roche meuble ! gentrification ! collation ! on est comme venues (nues) pour`cerner le fonds, fonds du cul du pré aux fées ! et autres eêtres de Raison Donnée. On aime ! le pré, la chance, les donnéesz données en outrzance, denrées déposées sur pierre aux offrandes et autres seuils dits "de sainteté". On est pour la Romance, Chants des Forces Doctes, pour le Chant atroce, cris vénal peu importe : le tourment ! l'impact ! toucher = toucher grave et de près la Divinité Toute Tracée ! l'impacter ! la toucher en vrai ! lui donner de quoi s'alimenter, en termes de HJoie, Denrée de poids, Vie outrée, vie vive des données gravées (de type animalières) au débotté ! On aime ! on est nées sur pré e,n
colère fée ! fée des fées
nées d'une colère et en colère (on dirait en vrai). On est la fée du cimetière, chahutée sévère mais en vrai elle sa&it très bien parfaitement se retrourner, graver ses données, ses propres données venues de derrière comme qui dirait ! On erst nées fée en bière ! ferme ! recherchée ! on est la fée du cimetière et de la bière de fait enterrée (on sait) mais en vrai comme (à présent) soulevée ! ouverte ! remontée ! haussée ! montrée et adulée commê du Veerbe, tracé ou traqué , surnuméraire, implanté, ancré comme de l'herbe, recherché pareil et même collé ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucbher toucher toucher toucher )à cette déité des déités surnaturelle (on dirait mais est-vce vréai ?). tOucher toucher toucher à cette Déité des D2itéds ! surnaturelle on dirait ! méis est-ce vrai , est-ce que c'est vrai ? que doit-on en penser ? qui on est ? que faisons-nous sur terre pour aimezr la Terre, les Données RAgeuses et autres Sommités Gravées sur roche type DBélier, BUffle Ancré, Antilopes et autres bisonnes ensommeillées ensoleilléesz. On aime ! charger, pisser, cool:er, dire , allouer à une Sommité de Bête des données (genrées) Suprêmes et autres Vérités en herbe ! vivacités ! vies des prés sur herbe ça le fait : on aime ! coeur donné et autres sentimentsz alouéz à une roche meuble ! on aiume aimer ! on aime grave en vraéi aimer
: la romance, les nénés, la chance, les données en herbe, le tracé, le xsens de la marche et des données données, le travail du Verbe, l'onctuosité des données imberbes et l'onctuosité des données velues, cul nu, genrées, ampoulées qu'est-ce qu'on en a à faire, puisqu'on est nues , nues et velues, nacrées, sucrées
et sa&lées, venues nues de fait pour trouver en vré&i les données de base, d('une sorte
(ici) d'avancée, dans la roche allouée à une Vérité Cochée ! On entre ! On est la Fée en transe = chalutier (un chalurtier) ou chalutière si tant est ! on aime ! être fée surnuméraire, vie des prés, sainte mère des données accolées comme deux ailes autour d'un Trait, Mât de misaine, tra&it des fées, mât docte attitré à une sorte de Parade monstre ! et nous de nous y accoler, de part et d'autre, cohorte comme qui dirait, a&iles sur pré = elles-bêtes allouées à un ma^t de misaine = trait de fée (trait d'ombre) ça le fait ! on veut toucher toucher toucher ....................................................................... toucxher toucher t§oucher .../............................................. toucxher toucher toucher en vrai, lza bête de scène, le tracé, l'être dees prés en herbe, le donné des traits (traites), l'en-lacté de près si tant est ! ......................... = l'allaité ? on dirait ! on aime ! on aime aller sur pré à la recherche du bon lait de ferme = vache Sacrée sur Herbe-VErbe consacré ! on éime ! coeur donné ! coeur-valeur ! coeur-né !
on veut toucher toucher toucher .......................... ne plus s'arrtêter de toucher = téter ! tête première ! primauté de la tétée sur herbe en herbe ! chahut / chalutier / chalutières ! on aime tracer, sur pré, rochenée, la bête ! groosièretés des données sa&intes salutaires ! fée des feées ! On est nées fée sur herbe ! on aime ! on est fée des prés ! cxherche-merde ? qui sait ? on aime ! quoi, la merde ? les données de l'herbe ! l'herbe données ! le Verbe ! l'épôpée cendrée dite "de cimetière" " et le tour est joué ! On veut coller son nez dans l'herbe, et b router ! vache à lait ! vache à lait ! vache sacré à lait sacré ! vfache à lait surnuméraire comme les données toutes données d'a^près cimetière sa&it-on jamais. mourir cendreéb, dxerrière, mais voil;à, on est transfor'mées ! on devient ELLEs = FÉES = VACHES à LAIT Des prés ! merde ! merdum de l'herbe et des donbnées lactées ! on aimeb l'herbe, la fumer peut-êytre (qui sa&ith ?K ) , la brouter , la
la brouter, la ruminer
pendant des a nnées ! On veut toucher toucher toucher topucher toucher toucher à ces données de type denrées, herbe à brouter et aéutres foins de basse-bosse, traits des fées de carosse, rondes sur pr)eé et cohortes ! On est fée des prés = bêtes accortes =
vaches à lait sucré-salé sacrées ! rondesz ! groossesc ! pleines de lait ! fortes ! vie lactée des vies de rage machouillante ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre d ans l'antre ! on veut entrer ! entrer en ces données de type lactées ! entrer, grabve, ensemble, ailes d(une fée ! Ailes allouées à (de fait) un tra&it de Rage ! grtave ! trait ! trait des traits et autres tracés à main levée par une femme-homme des temps rezculées ! néandertalien,ne
-né,e comme qui dirait que ça le ferait on le sait, c'est vrai ! né,e ! néandertalien,ne ,
-né,e, en vrai ! gravant roche à main levée, en transe et comme soulevée par un vent de fée, de fée docte ! trait ! trait des traits ! on est soulevée ! on est fée soulevée ! on vole ! on est fée qui de fait vole ! va nu pied puis vole ! fonce ! ose ! touche ! touche
les nénés ! les ombres ! le treacé de force ! le Passé passé, donné, déposée ou ntout comme , don à déité, en vrai, sur roche de grotte (bêtes-monstres ! venaison
! ). On ose ! La Passion ! l'(antilope (ici) au débotté et augtres bêtes des Passions Lactées ! on ose = on pose = on donne = traits ! trait de con, de passage outré, fardé, accolé-acculé ! tracé ! con = trait ! on ose ! on veut passer par le Passé, des ombres larvées (lactées ?) d'une sorte, ici, dx'anfractuosiuté dite "de fin de vie". On a&ime p asser ! on veut toucher à cette vérité, d'une sorte de donnée, allouée à un verbe des prés ! coulée de frais ! vive santé ! chant sucré -salé ! Déité des Déités lactées ça se pourrait : qui sait ? on ne sa&it à quoi se fier ! à quoi se rattacher ! On cherche ainsi tracées ! fées des fées ça
le fait c'est vrai, ça charge, impacte et pas à moitié, montre le bout de son nez ! de son nez de fée ! charge grosses ! velouté de ronces ! cris des fées articulées comme une sorte de parole ronde, vraie, motibvée, grammaticalement structurée qui sa&it ? ON veutb coller de près à ces ronces ! aux données grosses d'un Verbe alloué à une sorte de donnée des prés , ronces, fleurs dotées dépines tra&itres et autres odeurs chargées. On veut toucher toucher toucher ....................................................... toucher à cette Déité aux données de ronce ! .......................................................es-qualité ! on est fée ! fée des ombres portées ! chahutées ! volantes / volant, traits ! treaits dans le vent ! ......................................./........................... traits de forcevive ........................................................................................... vie ! ......?.?.......................... vie ............................ vie lactée ....................?. = voie lactée ? ............ qui sait ce que c'est ? ;;.......................... vie = voie on diraiot ....................voie du Roi et de La reine OUtrée, cha rgée, acculée, forcée ................/......... fait chier ! .................................. ROi CON des données en herbe, il nous fait suer ! chier, suer -chier à jamùais ! ....................../................. (Roi des herbes broutées, il nous emmerde (grave) sur pré ! en vrai ! cimetière ..................................../.......................................... à chier !
9/10/2024
On regarde et ce qu'on voit ne laisse pas de nous surprendre et de nous retenir. On est là comme deux fées de rage. on cherche à comprendre. Quoi ? la voie ! le sens de la marche. Onn est là ensemble , qui (en vrai) cherchons grave à ... eh bé oui, toucher ! touche que tu toucheras , à cette chose devant soi : la branche ? la branche ou pas mais voilà ! on trace ! on en avance = on en avance dans les connaissances ! on est comme toutes accolées de base pour comprendre ça, le tracé des rages, le tintouin des données coriaces et autres
chemins de contrebande. On est là (ensemble , envcore une fois !) pour ça : aller fissa, tracer sur roche, une sorte de nouba, de parade, de sotie en cavalcade. On est là ensemble "toi et moi", pour en vrai cerner sur roche ce qui est en termes de paroles (parabole) en transe ou autres faits vocaux liés à la chance. On envoie ! On voit ce qu'on voit (la transe) et on envoie ! on entre ! on entre ensemble "toi et moi'" en cette sorte de parade aux animaux "vocaux", !ça charge ! ça remue ! ça ne s'arrête plus , et du coup voilà-t-il pas qu'on nen avance sur les pas des hommes-femmes d'autrefois : aurignacie des basses -alpes, néandertalie de façade, etc. On est là en face' ! on entre ! on entre ! on entre en transe ! on entre, dans la danse de Saba ! on entre ense
mble en cette danse rare, trait des joies des contrebandes et autres vie soudée à une sorte de parade "grave" : feux de bois, liturgie, chants cosaques, train de vie sans faille, conséquences (grave) de samba. On entre ! on erst soudées ailées (pour dire ainsi)et on entre ! on entre ensemble par la faillme ... de la voie de roche astrale ! on est mues ! on est même émues d'être mues ! On est soudées de base ensembkle et c'est ainsi soudées (aimées) qu'on entre en cette sorte de contrée (possible) des données de base. On est
comme soulevées ! on est comme soupesées et soulevées et ça le fait ! ça le vfait grave en v rai ,
tellement ça kle fait ! On est accolées et du coup acculées et c'est ainzi ensemble qu'on se voit (pour ainsi dire) entrer ici, en cette prairie, pré aux herbes folles, champs de flreurs et b^$etes de ronde. On est mues émues sur roche vive. On est entrées ainsi émues et mues sur pré aux vives données rudes, type buffles. oiN est nées, sur roche prairiale, ainsi mues, sur pré aux bêtes matinales. On veut toucher à cette sorte de parade de façade, pierrale, ancestrale, vive de chez vive. On est fée des pré et on veut toucher ! on voudrait de fait ensemble toucher , toucher vif , sans traîner, sans vraiment tarder = comprendre ! car toucgher = comp^rendre, que voilà, la chose en soi (le buffle là) est une sorte de donnée de foi, vraie vie des parades, vive vie des données et traces./ On envioe ! on en voit
ghrave ! on ne voit que ça, comme quoi voilà, on est là pour ça, on entre, on regarde, on voit, on voit l'arbre, la branche de SAba, le tracé de face, l'onctuosité des bases sur paroi, le chant liturgique de la ffoi dans l'au-delà, le dada ! Oh, on le voit ! on voit le dada ! l'entrée des rages sur par(oi passe par le dada c'est comme ça ! On est
fées des prés du fait que oui, on est entrées, on a franchi le rubicon (des données rocheuses) et on a creusé , on a poussé ensemble là , jusqu'à en vrai creuser, creuser que tu creuseras, la roche rude, dure de chez dure, pour passer = arriver à passer, arriver à traverser en vrai la paroi de bure ! Voilà ! c'est fait ! on est pâssées ! on est fée des pré ! on est née à cette chose, d'une sorte d'amplitude ! d'envergure ! aile au sein des données rudes, on allume ! on est nue de base, cul nu , on avance ! On est fée cul nu sur pré tondu ! On est la fée des données vraies, échevelmées, vives de chez vives , sur pré. On entre = on est passées ! On est née fée sur pré comme "à la retombée", au sortir du roc ! On est comme née fée au sortir du roc, du roc d'entrée ! des données premières allouées à une sorte de "fenêtre", de
faille certaine, "trait des f"éées" et auitres anfractuoisités. On est passées, de fait, par un trait, trait docte, et une fois passées on s'est retrouvées comme situées , sur pied, ailée comme une fée, à regarder passer des bêtes, bêtes-mots de poids et autres masses-verbe ! On voit ça : la roche-toundra, pré d'herbe, tralala des bêtes entre elles (bêtes de poids) et autres vent ds Rois et Reines de Saba! On est : fée cernée ! On est entrée ! on est née fée au passage du trait ! Qui on est ? une fée (ailée) sur pré, pré aux herbes à brouter par des vaches allouées à une sorte de ... passé ? passé né ? passé vif des contrées ? vif passé aux données données ? On cherche ! on ne sait ce qui est en vrai pour de fait et pour le coup c'est vrai qu'on cherche, qu'on ne cesse de chercher, de fureter, de tourner ici et là à la recherche d'une voie, soit d'un tracé de fée, d'un endroit par où
passer ensemble ("toi et moi") pour comprendre les données de base;, l'envolée, l'offrande, la parade des genres et auitres petits faits de foi . On est nues velues sur pattes là (paroi) et c'est ainsi (si nues !) qu'on entre ! On veut comprendre = on veut toucher à ces données de contrebande, allouées ... aux nénés de lma base ! on voit les nénés ! on voit (dans la mort) les nénés ! arrêtez ! on dit en vrai qu'on voit des nénés ! seins des rages et autres seins de base ! On est nées (dans la mort) fée (un homme est mort qui devient ELLES = AILES = F2é des pré). on est née fée et on voit les nénés ! Onvoit de fait dans la mort des nénés ! on est née de rage ou dx'une rage à vouloir toucher ! les nénés !
le lait ! téter ! téter grave le lait ... de la branche ????????? on ne sait mais le fait est que, oui, en fait, le néné est né au moment précis où en vrai on est né,é, au moment précis où pour de vrai on est passé, on a traversé (homme ?) la roche poreuse des données (frontales) pariétales,
et une fois celle-ci passée, on s'est retrouvé transformé pour ainsi dire du tout au tout, puisqu'on s'est "révzilllé" fée, en tant que fée ailée et non plus homme cendré, on est née fée des prés dans la mort venue ! on est nue ! on est velue ! on n'est plus couillu mais velue du cul en tant que fée des pré s ! On est passé du stade homme cendré, centré, autocentré, à celui de fée allouée à une sorte de contrée aux bêtes de s prés. On est trans-formée en fée des rages ! en ces fées de rage sage ! tracé ! tracé à main levée ! trait de base ! dessinés ! on Est né sur pré fée en tant qu'on est devenu femme ! dans la mort la femme ! fame ! flamme ! On est née fée du fait que voilà, on est morte-allouée à une sorte de samba aux données de rage, tralala sur pattes, cavalcade , on en-voie ! on danse aen transe ! on y va ! on ne s'arrête pas ! on ne veiut surtout pas s'arrêter là ! on veut tracer, coller, percer, comprendre, souder, cherchert à pour le coup nous rapprocher des nénés enflés ! On veut :
-comprendre
- souder
- aller par desz chemins cde contrebande, à la rechercvhe de données de base pouvant, éventuellement, nous aisder à) percer un des mystères sinon tous , de la , comment on dit ici, "sainteté chérie" ? On entre à quatre pattes sur un pré, prêtescà brouter. On est née fée la mort venue nue. On est fée des bases crues. fée des fées du cul ! On aime le cul, la chance, le tracé sur roche allouée à une sorte en soi de vérité qui serait vérité d'époque, ancestralité, vieillerie-chose, conséqauences de paroles outrées et autres petits faits vrais. On est fée d'époque c'est un fait ! drôle, nue, vue, comme dépourvue de morgue ! On est passée tout prèds du buffle accort, des bêtes oursonnes. On est fée docte ! on fonce ! on veut toucher = comprendre .... qui on est. On veut toucxher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher touc cher toucher touc
cher toucher ! on veut grave toucher ! toucher grave aux données données et autres traits de vérité genre néné ! les nénés ! on veut les toucher parce qu'on veut téter ! on veut grave téter et du coup toucher ! téter = toucher ! toucher = téter ! est -ce que c'esst vrai ? on dirait ! on est passé de l'autre côté en tan
t qu'homme auto-centré, nous voilà à présent (dans la mort) transforlmée en fée , ailes des prés (elles) = fée ! fée docte ! fée d'ombre ! on est fait ainsi fée ! fait ou faite feée. On est né fée dans la moerrt du pré ! On est alloué à une sorte de prairie aux fées du fait qu'on est né en certtte sorte de praiorie liée aux fées ! fées d'ombre et de mots chahutés, genre bisons-bisonnes, bouquetines et bouquetins sur roche, traits d'union de poche sur paroi moche ! on ose ! on trace ! on comba t ! on voit ! on ne veut pas sa langue dans la poche ! on veut comprendre la samba, le Roi, La donnée (donnée) primaire ou les données (données) primaires,
Reine des Rois, Roi des REines, on y va ! on danse ! on est là (fée des prés) pour ça, la danse, la samba, lze cha cha cha, la parade nuptialme. On envoie ! on veut comprendre et voilà : on enttre ! On est deux pour ça : à toi à moi la contre-danse sur toundra ! On est des fées de rage sur paroi, cxherchant grave à comprendre qui de quoio le Roi , la Reine, LA Samba des peines, le tracé primaire, l'os de seiche. On cherche ensemble sur paroi les données données, le tracé sur pied, lma bête allouée à un chant premier, l'enveloppe classée et autres faits de vérité. On est fée des prés à la recherche d'une Sommité, d'un tracé ch argé, d'une vérité comme s'il en pleuvait, Véroyté des Vérités et ça le ferait. On est fée des prés à la recherche d'une vérité dite "de cimetière" (on dirait). On est née sur pied ailée sur pré . On est passée = pas asseez ? pas assez Reine ? On est née sur pied ailée post-cimetière, dans un pré aux bêtes tracées. On est par(mi elles ! on les regarde aller, brouter, venir tout près puis s'en aller, tracer, charger, coller de fait aux nénés de l'Etre ! On aime ! on vezut grave en êztre, des données de baise, cul velu on aime ! on est nue idem ! On aime ! on aime le cul ! la senteur du nu, la bête charnue, bisonnée première et autres bêtes de paroi de roche crue. On aime grave la bhête dodue post-cimetière ! On l'aime ! on l'aime du cul ! charge ce"lte ! Obn est dodue nous-même, fée dodue des données premières, charge nue on fonce à l'ancienne = cul nu ! on foncxe on enfonce ! on fonce cul nu pour entrer en force ... dans le cul ? dans le cul de l'Ettre ? cul nu ? On e,ntre ou entrerait cul nu dans le cul de l'Etre velu ? On
pousse ou pousserait de fait la chose jusqu'au cul velu ? chose rude crue , chose grossee tendue , corde ? On est bvenue sur roche ensemble sur le cul tracer roma,nce, et nous voilà cherchant l'entrée = la sortie du pré ! un cul ? une sorte de trou du cul en guise de passage "instantané" ? On ne sa&it ! On est fée des prés , on cherche à trouver ! on regarde! On est fée des prés allouées à une vérité de type autocentrée (homme de près) mais en vrai macache ! l'homme est né dans la mort cendres ! l'homme, dans la mort, naît cendres , meurt pour ainsi dire "pour de bon", quyi laisse sa place (le con) à deux femmes ! deux bpour Dieu, devenues dès lors Ailes de contreba,nde, par chance, fée des prés et du coup (de base) allouée à une sorte de donnée de Rage, la PAROI EN TRANSEV! Le PASS2é frontal changé en romance, vive
acidité des rages de b ase, tracé fait à main levée par une femme ! charité bien ordonnée commence par la danse des données données = les nénés , ne cherchez plus ! On est née fée chelou, du fait qu'on est (dans la lmort) née, mais c'est un fait ! on ne peut y couper ! vie = vie sur pré dans la mort donnée. On aime coller, tracer, pisser, comprendre, toucher, tracer, aller, rechercher, pousser la romance et la chansonnette des prés, comprtendre qui est qui en ces contrées et aussi peut-être pourquoi les nénés et pas par ecxemple le ... pâssé ? les traces du passé en tranche ? On ne sait ! on entrte ! on pousse ! on comp)rend ! on absout ! on est fée des prés de contrebande et on absouyt, du coup, toute sorte d'intrusion notoire déplacée ou sinon quoi ? on aime ? pas vraiment ! on est fée sur pré pour ainsi aimer ? on ne sait ! pour chercvher ? on le dirait ! On est fée des prés allouées à une vérité de type "alacrité" ? on ne sait en vrai guère davantage ! On est des (fées) qsui(en vrai) faisons (sur pré) le trajet des fées , la parade, on chante ! On est fée des prés sur bande' ! on veut toucher toucher toucher toucher à une vérité dite "de
vcontrebande pour néné" et du cfoup on danse ! on virevolte pleine de grâce, envolée on est, on plonge ! on ressort ! on est sur ressort ! on virevolte ! on ne s'en laisse pas compter tellement on est fée jusqu'au bout des ongles, ailes-chasteté, bec de roche, sainteté
des sqaintetés et autres qualitées de roche dure (vivacité, acidité, a&lacrité, treaçabilité). On est née fée la mort venue du fait que oui, on edst velue ! On est nue venue velue à la rencontre de la vcérité ! On est accolée sur pré et venue nue ainsi ailée ! On veut toucher à cette Vérité du cru = Déité des D2ité Ventrue. Qiiu c'est ? bé ... l'plombier des prés ? le chargé en communication nacrée ? le VRP des données allouées à une sorte de contrée prairiale post-débandade ? On ne sait en vrai ce que c'est que cette chose grosse devant seoi qui nous ouvre ses bras ! buffle des prés ça se pourrait ! AUROCHS COLLÉ ? On veut toucgher à ce qui est qui se présente devant soi les bras ouverts cfomme en amitié mais est-ce vrai ? On est femme docte (sur pré) parmi des bêtes
aux colliers deRoi. On veut t§oucher = cerner = dire = fair = comprendre = saturer = charger = faire ainsi que devant soi la faille s'ouvrit sous nos pas et nous laissât en vrai padsser comme des reines de Saba pour aller (au loin) chercher le Roi (?) des données primaires. On est là ensemble fée sioudées , qui cherchopns en vrai à nhe plus nous retourner sur quyoi que cev soit parce qu'on a donné (déjà) et qu'on veut tracer, avcancer, s'avancer, tracer = filer et a&ussi dessiner les traits d'une sorte de donnée donnée (néné ?) de type animal des prés (buffle au débotté). On veut toucher à une D2ité post-cimetière , ça le ferait ! On est prête ! on veut coller à la paroi des termes ! chahutée c'est vrai mais qu'importe l'entrée du moment qu'en vrai on est entrée ou qu'on a pu entrer ! On veut coller souder, tracer donner, comprendre les données de cecqui est , de ce qui est qui va en vrai comme tracerr à main levée les données du terme ! Qui on est en fait sinon fée ! On est fée des rages monstres sur paroi, des femmes-hommes de Sa&ba ! On voit ça . On erst homme et femme drôle;, chan,t total, vie des prés, nouba là, transe en croix, parade ! charge mentale animale ! bêtes des rois, reines des Tas, on veut toucher à la paroi ! traverser la voie ! comprendre ensemble le pourqyuoi d'une telle romance ! on y croit ! on veut (on va) comprtendre un de ce
s quatre la paroi, la roche Sarde, le Passé des Rois et REines Graves, les données fronrtales, animalités de co ntrebande et autres bêtes de poids sur paroi des voix. on entre ! On veut toucher à cette sorte de Romance dite "acidulée", drôle de Romance "des prés" telle qu'elle nous est donnée par chance (par la chance) une fois entrée (iune fois que nous sommes en,trées !). On est passée ! on a traversé, et nous voilà comme confortée dans nos croyances envers les données de type Romance au pied levé. On est née fée une fois passée, nous voici annoncée : "R5omzance ! Romance des fées !" la romance ! le tracé des fées en termes de Romance ! romance Romande ! vive sainteté des
do nnées attribuées à une sorte de parade à main levée ! Romùance des prés est annoncée ! LA ROMANCE ! LA ROME DES ANCES ! LA ROME D'AISANCE ! le ROMAND de l'aantre ! On est nhée fée des données romandes, romandes ou romaines on ne xsait on cherche ou on chercherait ! fait vrais ? On cherche de fait à cerner ensemble ce qui esrt en ces données (de base animale), on en veut ! on veut trouver = toucher à , une vérité, la foi, un tracé, une sorte de parade aux fées et autres bêtes-mots de contrebande faisant poids sur roche ma foi. On veut de base colmater pour cmieux cerner ! colmater les trous de base, les données trouées, les manques : qui sait ? On
est passée et nous voilà en train d'essayer de co:prendree x et x données liées a ce qui est bqui se prséente : voies , voies des Rois et REines, voies de la foi , voix desz données raides, voies des bases saintes, voix des voix. On veut ou on voudraiot si possible ensemble comprendre et du cfoup toucgher à cette sainteté post-cimetière, afin de cerner = nous conforter, dans ce qui est, cerner ce qui est et nous conforter dans le fait que ce qui est est, que cette chjose cdevant soi tangible est vraie , c'est)à dire "physique" ! On veut cerner ! On ne veut pas ou plus passer à côté mais troucher aux ,énés des données accortes telles qu'en vrai ici même (la mort, le royaume donnjé de la mort) elles nous apparaissent. On est toutes motivées en vrai pour ce faire : toucher = trouver ! On veut toucher à elle, à la Royauté des Données Premières, ROI_REINE grave centrées sur place, trônant grave devant soi au CEntre on le voit ,
on voit ça de là (de notre place, sur paroi des Chances) . On est là ! on entre ! on entre ensemble = "toi et moi" pour comprendre eh bien (eh bé) la paroi, le centre, les données prégna,ntes, le sabbah, la Chance et la Nouba, les préférencesz, le tracé nuptial, la place accordée aux bêtes de poids et autres masses graves, mots de poids sur tracé de pâtre. On veut en vrai toucher du doigt la Véroité des pastoraélités comme on en voit sur roche des fois (dans nos jeunes an
nées et même au-delà). On entre ! on veut grave toucher soit tracer soit dire soit comprendre ce qui est ici qui nous attire ! Le Passé ? le passé ici cvomme déplacé ? On veut rire ? on est née fée pour nous retrouver (ou on serait née fée) , pour nous retrouver confrontée en vrai face à c e Passé des donnéess confites ? On seréit aéinsi confrontées ? comme soulevées pour de nouveaiu toucher à ce qui était ? à ce qui en vrai pour nous était quand on en vouléit , qua,nd on en voulaiot de la vie tracée sur terre allouée à un cimetière dfonné ? On est née fée en vrai un jour dee givre, il pleuvait, lma mort rodait, etc. Il semblerait ! Mais qui nous croit ? et pourtant c'est vrai ! née fée dans la mort acvquise on avise, face au Passé, on cher c he l'(entrée ! On cher cherait l'entreée en vrai (dans la mort admise) dans notre passé ! dans une sorte de passé , passé ou tracé qui nous retrouverait nous toucherait, auraiot la main-mise , serait Pré, Pré-texte à une sorte d'embardeée comprise comme traversée ! On veut toucher à ce passé "des fées". Passé-prise/. On veiut grave en avancer en ces contrées de la mort admise (comprise) et du coup toucher, qui sait, au ... pAssé des données données genre sagacité, sa leté, satiété, ;... vie des tréaits sur pierre grafvvée (balises). On veut de fait toucher aux nénés ! aux nénéds dfu passé ? on ne sait mais voilà on est (en vrai)- comme soumises à une sorte de tracé des prés déjà tracés avant notre arrivée, et qui sezrait tracé de mise, destinée, fait à suivre, charge acquise avant mise (ici ), sur pied , de nos triques. On veut :
TOUCXHER = TOUCHER =TOUCHERR = TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER À UNE SORTE DE DIVINITÉ QUI SERAIT (EN VRAI) LA DIVINITÉ DES DIVINIRTÉS;
Shiva là ou pas mais une sorte de Shive-a pleine de grâce, falbal as, charges, sarabandes on envoie et on en voit ! on vzeut en tant
que fée comprendre à qui mieux mieux ce qui est qui nous faiot face en vrai, qui est là qui crée du sens, informe en conscience, charge sur un pré, pousse cohorte, veut tracer coûte que coute un certeain nombre de données de poids, sans traîner, honnête et vif, commê tout à son étude il ou elle vcherche à (pour le coup) révéler ou nous révéler un certaéin nombre devdonnées données à bien considérer si en vrai on veut toucher à une Déioté des Déités tracées. On est née Fée sur pré du fait ... des ,nénés alloués à une Vérité ? On ne sait mais ce qu'on sait ici en vrai c'e'st que (voilà !) on y va ! on trace ! on rage ! on est pas contente en vrai complètement des données données données par la bande ! car voilà : on est fée des prés sur place (mort à l'oeuvre) et après !? qu'est-vce qu'on est "après" ? qu'est)--ce qu'on est appelée à devoir être en vérioté ? quyi le sa it ? en v rai peut-être personne ! On est née fée du fait que voilà , on cherche la Roche, lme Passé, les chances pôur mieux s'ancrer, les données profondes. On est nées fées du fait qu'en vrai on est allouées à une sorte de cohoerte (bêtes -formes) qui nous sied (nous plaît) et nous escorte , grave, jusqu'au trait, trait sur roche des données données = la Finalitéb, Fin des rocs pré-cités, fin des fins du Trône, finalité-tracée, Parole SOmbre. On s'est avancée !
On a tracé ! on s"''est rapp^rochée des données profonxdes, données-force, charge fgolle mais profonde on sait, on est née , on a touché, on s'est confronté, on peut coller. On est fée d'épôque : charge docte. On est allouée à une sorte d'entité de roche des finalités ou dite des finalités ! on est née sur roche fée afin de tracer jusqu'au bout du monde saon chemin xdes fées et trouver, toucher, cerner, comprendre le trait, le trait (de fin de roche) alloué à une sorte de paroi-rotonde, trait sur pierre gravée, anfractuosité à même le muret. On est au pied ! on mate ! on veut toucher la chose gravge, le tracé des fées ou dit "tyracé des fées". on veut toucher en tant que fée à ce teacé qui , de fait, nous incombe on dirait. on veut passer le nez ! cerner ! toucher ! ... entre les nénés ? on ne sait ! on cherche à cerner mais ce n''st pas gagné vcar la chose est entortillée, pas simple à dénouer, une sorte de pelote ! ni$d d'herbe ! vas-y voir à cerner de près ce que c'est, en termes de finalité du bout du monde de l;a mort à l'oeuvre en son royaume. On a grave envie d'en ava,ncer chelou,
mais comment ? comment traverser la contrée ? quoi est derrière cettre sorttrree de sortie-entrée ? On regarde", on essaie de regarder; on cherche à passer, à âsser un oeil si ta&nt est, à cerner-toucher, faire ainsi qu'on puyiisse "visionner" les données "finales" : quoi de quoi en termes d'effroi, de parade froide, charge sarde
(?) , trait de joie ou pas on en rede"mande ! on veut comprendre ! on est deuxd (deux ailes de poidsz) pour (en vrai) voler vers elle, la paroi Des Rois et REines SA&lutaires DErnier et dernière. Qui de quoi nous atte"nd là ? On entre d'un côté, on voudrait sortir de lm'autre. ROTONDItÉ! LA ROTONDITÉ ACCORTE ! L'ENTITÉ NACRÉ A DES SORTES D'ALCÔVES, DE NICHE ALLOUÉES POUR UN PASSAGE ACTÉ EN TERMES DE PERCÉE. On veut :
TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER
AUX NÉNÉS ! TU LE XSAIS ! ON EST NÉES FÉE ! ON EST NÉE FÉE, EN VRAI (DANS LA MORT), POUR TOUCHER AUX ÉNÉS ! AU NEZ ET À LA BAERBE D'UNE DÉIOTÉ "MAUSSADE" ON DIRAIT ! Toucher aux nénés = cerner ce qui est qui nous attend ou nous attendrait au fin fond d'une sorte de roche des prés (édenique il semblerait). On vfeu t toucher à cette sorte d'e,ntité placide, Vérité Alloué à une ... crique ? un passé pâssé ? plage acquise ? mer cendrée ? vive brise ? On veut toucher à une Déité aux données avérées et pouvant en vrai nous conforter dans noàtre idée que le Verbe est de mise question sainteté,. On est des fées ! On est (dans la mort-sainteté) dxes Fées altruistes ! on veut AIDER ! on ne veiut pas s'autocentrer mais en vrai aider, percer, coller, dire, faire ainsi que les données cde base (sur un pré) nous rensiegnassent et pas à moitié ! On veut coller à une sorte d'e,ntité acquise non-soumise sous le pied ! tracer = voler = s'envoler = décoller = se placver ainsi ensemble ici qu'on puissee ... eh bé oui toucher ! toucher l'artiszte ! l'envolé ! l'envolé-é ou l'envolée -é-e, pourvu qu'en vrai on est que'lqiu'n ou une à qui s'accfrocher et la ou le suivre, coller à son crochet, le ou la suivre en vrzai, dans les nuées. On a envie enxsembke de toucher à) cette sorte d'entité comme soudée à une sorte de donnée "du bout di monde". On est, fée de rage ainsi collé (accolé) àune sorte de donnée volante ! artiste ! prise ! charge ! sein de roche (ou nhéné) d'approch
e ! volons grave ici sous pavillon ! cherchjons ! colloons de base à une sorte de "moignon" d'emphase" ... ouh .... ça arrache ! on entre dans l'antre ! vive la Passion ! cherchons à (de fait) comprendre la tâche, la mission ! Que devons-nous ensemble faire ici (la mort, en tant que fée) pour enfin comprendre = percer ? On ne sait mais on s'y colle ! On ne lâche plus le morceau. On est feé docte en vrai au bas-mot, dès lors on frotte ! On veut rester soudée , coller aux nénés ! aux nénés de l'antre ? du ventre ? des alacrités ? des tracés ? nénés fauves ? nénés nés sur roche' dfrontale ? nénés des nénés qui c'est ? qui donc est là comme attribué ? qui va là (aux njénés) pour nous accoster ? On entre on vole ! On est fée né qui cherchons néné ! qui ou qauoi est néné ? à qui sont ces nénés ici sus-nommés ? au Père des Fées ? Les nénés du Père ? A la mùère Chair ? Au vilain tracé sur roche cachée ? Au pêre putain ? au dit prieuré ? a la chaire de l'être ? au Passé ? Nénés du passé ? Ah ;, ça se pourraiot, on ne sait jamais. On est née fée du fait que, voilà ce qui est, en ces contrées, la haine ! le tracé acerbe ! guerre des tranchées ! le cimetière sans arrêt ! On veut toucher à une sorte d'entité du coup (plutôt, pour nous) post-cimetière (au lamparo ?) ! On ne veut plus du tout tracer sur roche de données acerbes,; ma&is du mou, de l'herbe = verbe mou, mou-doux, chance et traits de chance, chance d'êtrte, chances allouées à une vie sauvée (comme qui dirait) dans une sorte de contrée aux féesz. Par ade rupestre
. Cavalcade / baise. Chattière. On aime ça ! on chante ! On envoie ! on fait la java (la nouba) bien au-delà du cimetière et de ses trous à rats ! On ne veut pas du cimetière. On veut comp^tendre la samba-java-nouba de derrière, de derrière les données de traîne. On veut (grave !) toucher (en vrai) le roi et la reine, héritiers,ères des fées diverses, chargé,e,s (au débotté) de nous aider dans nos recherches agraires. On est fée des fées ! fées des frères, soeurs en charité s'il en est ! qui c'est ? bé.... l'plombier / plombière ça le fait ! On veut :
COLLER , COLLER, COLLER , COLLER À UNE VÉRITÉ DERNIÈRE (DE DERRIÈRE = DE DERRIÈRE LES FAGOTS DONDAINE ET AUTRES ORIPEAUX CRUCIAUX). On aime aller derière , derrière les tom^beaux, les fagots, les tonneaux, les petits veaux de l'êttre, les pzrdreaux des âges nouveaux et autres perdrix / perdrières des anneaux ! On est née
fée la mort venu, et nue. nous voici allouée à une sorte en soi de plus-value (cul nu) sur roche vue. On colle ! On fait colle ! on est colle conforme ! On veut toucher à une rochze aux données profondes. On ne veiut plus s'embarrasezr de choses folles , mais tracer en toute vérité, les données profondes, d'une sorte de Passé comme cerné, circonscrit-posé ou déposé, sur une roche ornée, roche de grotte. On veut graver la vérité du socle ! La tracer en vrai ! à main levée ! sans traîner ! pousser ! dire et aller, charger rude ! colmater les
brèches de bure et autres fissures ! On veut coller à une vérité-entité sacrée et aller (à vive allure) toucher , toucher serré, à Déité des Déité Nature si tant est, qui sait. On est née fée sur pré de bure ! bure allouée ! bure des prés ! sainteté ! chasuble ! robe dure (! rude ! mais c'est ! c'est ainsi qu'on est ! qu'on reluque ! qu'on s'y voit ! qu'on aime allmer , être, toucgher, comparaître, se sauver, tracer et poindre ou ici poindre (pôinter) le nez , la pique allouée à une face d'aigle, de corbeau de poids, de bête à ailes, moineau-chat, passereau des bois, chanteresse. On est née fée du fait qu'en effet, l'oiseau est là-haut qui siffle son chant. Paszsereau ! Etourneau savant. On est beau ! on est fée beau, belle fée des baeaux , des baux de l'eau ! On veut êtyre fée sachant siffler comme des oiseaux, paszsereau / moineau,et tracer ! filer (grave) devant soi , siffler et tracer, pâsser et dronner, comprendre et soulever , gravE .......................................................................les données de poids , ................................... gtrave ................................ les do nnées de poids ................................................................................................................. les données (ghrave !) de poids et autres sommités agraires de passage , en colère ou pas, mais voilà ..................................................................là; ...................................... sur parioi aux poids ................................................................................... aux charges ........................... , a&ux emprunts de base et autres condensés (de base) sur pré ...................... en termes de dfonnées "ronflantes" ...................... Vérités dites des Vérités, tu parlles : un camouflet ........................ la barbe ! ........... la barbe (en vrai) des camouflets ! nous, ce qsu'on veut (de fait) c'est comprendre = toucher ! pas raisonner, pas en vrai raisonner , ou pas en vrai forc"ément raisonner, méis toucher , toucher de fait, réellement instamment concrètement physiqu'lment toucher à cette déité des données "superbes" = soulevée, soupesée, montrée, montée ! On l'aime ! on aime ici pareilmle Déité post-cimetière c'(est vrai ! cxar
on la ttrouve belle, on la trouve superbe, on la trouve magnifiquement ornée, soulevée et tracée, elle est très belle, elle est Fée des prés belle, voire très belle, c''st)à-dire ornée, arra,ngée, pomponnée des nénéset autres faits et gestes, on l'aime ! On veut grave l'aimer et en vrai on l'aime ! On la trouve vraiment méga-belle et, superbien arra, ngée pomponnée nettoyée parfumée. On l'aime ! la Donnée des DOnnéesz ! Grave ça le fait ! la belle donnée ! belle donnée parmi mille données mais elle en particulier nous sied ! bELLA donne des données de Verbe ! On est tout accolée à son être de fée, on est solidaires ! On aime l'aimer, la coller, nous coller à elle, Verbe des prés on aime, on est ses ailes ! on est ailes de fée pour elle, Belladonne des données d'herbhe (Verbe) sur pré ! IOn cherche à cerner de près ce qui est, ce qui traîne, ce qui est sur pré qyui traîne, vaque, trace, charfge, se promène. On veut toucher à elle (bête) sur un pré. Vache à lait des dernières entrées et autres
volontés. On veut toucher = dire = être = faire =comp^rendre = fer,mer (?) par la bande, le Tracé cdes contrebandes . O,n est des fées de rage sur pré, et on veut toucher à une sorte d'entité rageuse type "vache à lait" comme s'il ren pleuvait ! on est née fée sur pré pour aimer Elle, la chargée d'a
ffaire, fille au pair attitrée à une sorte de mission rêvée, cele d'être (de fait) charge d'ailes ( soit percée , du fait qu'on entre en elle pôur le coup froissée, pour coller à elle -, notre dulvccvinée). On l'aime ! on l'aime de près ! on est pour elle on dira ou on dirait ses ailesz ! ailes agréées en conformité ! on aime elle, le passé, la rage, les données de base, le papier,; la place, l'envolée, la parade. On est ailes ici pour elle, du coup Fée ! faite fée ou transfgormée, du fait que voilà en vrai c e qui est (et qui nous obsède, en vér(ioté) : cette entrée en "lle, cette sorte d'incision de ppré, ce passage au débotté, cette sorte d'accolade tracée, dessinée, cet ancrage (c'est fait !), tu le sais ! On est accolées !
soudées à elle ! à la bête reine ! vache aàlait des prés, come déifiée du fait qu'on l'aime en tant que fée ! fée on est avec elle, pour elle, près d'elle ou accolées à elle (ses ailes) . femme-aile ici même (contrée des Contrée) et nous voilà comme si on était elle pour de vrai , vache des prés, vache nourricière, pis des fées et autres seins de base lactée (lactogène). On aime le lait ! l;es données lactées ! le gruyère ! les oiseaux cendrés, les conifères.
On aime la forêt et les bois aux fgées. La Colère . Le Passé accolé sur herbe des prés (Verbe !). On est née fée sur herbe au paasdsage avéré ! On veutgtoucher à une déité de tuype vache à lait. On veut toucher en ta&nt que fée à une déité de type vache à lait. on veut en vrai en tant que fée (ailes des prés) toucher à une "déité-entité" det yype vfache à lait. On veut grave toucher à une déité de type vache à lait, vache aux attraits, vache ai
lmée, vache deéifiée du fait en vrai et pour le coup qu'elle est ailée et bel et bien ailéec sur pré (dit de "post-cimetière" si tant est). fée de V Erbe on est, qui sommes les ailes de la vache ailée (à lait). On aime ! on aime grave le Verbe lacté, le Lait et ses dérivés, Verbe-Lait de par la mère, la mère et le père, les données allouées à une vie sur terre. On est née fée comme à la retombée la mort passé (venue ou advenue) la roche connue. On est Fée parmi les fées , et voilà : on erre ! dans un pré ! à la recherche d'une entité ou sorte d'entité de fait "post-cimetière" (à jamais)/,;. On veut (grave) toucher la bête = la toucher en vrai. On veut toucher ici à cette bête "post-cimetière" , la buflette, l'antilope accaparée, la lionne au tracé sur pré, Baronne Bisonne, l'accolée sur roche. On veut toucher à une D2ité de ROche, type "animal des prés et bois de Bosse". On veut aller , coller, dire, faire mine de percer , percer, coller-vivre, se donner, allouer, permettre = autoriser = donner = faire ainsi que des Fées , en vrai, puissent aller gambader sur pré sans se blesser, s'entraver,
perdre pied. On veut toucher à cette déité des données premières (reines) et cvoller de fait à une sorte de donnée lactée, vache sacrée, bête de poids faisant office de ... paroi des Rois ? On ne sait pas !
on voit quelquaepart la Roche comme s'entrouvrir sous cloche ! on y va ! on est comme ivres de joie (je des voix) et on entrte ! en transe ! vives ! vivement passées ! on entre en ce pré aux données rageuses , nacrées, sacrées, soudées ou comme (ilm sembleraiot) soudées, soudées à Elle-Fée, Fée d'ombre = vache nacrée = VAche aux traits , Vache de trait . On est passées comme à l'arraché , on est monté sur pré, on monte, on ne cesse on dirait de monter. On a méga-envie de tracer, sans ceesse, des traéts (sur roche) désignant la bête , cette Bête allouée à une sorte de
contrée, post-cimetière, genre contrée blême, Royzaume Doré, Champ des Ombres. On vreut toucher à une sorte de donnée, de base cendrée, mais pour mieux la cerner, piger ce qu'e'lle est et en tirer profit (de fait) auta&nt que possible si tant est. On veut : et toucher et coller, et manger et chier, et paszser et travesrser la roche aux données profondes. Cerner = dire. Que cerner ? = que dire ? On est fée de pré du fait que voilà, on a touché (on touche) à la Vache Nacrée des temps déplacés. On touche quand en vrai IL NE FAUT PAS TOUCHEZR mais là comment on fait ? car pour cerner (ici, ce qiu est) on se doit de toucher à cette vache à lait sur pré ! on est accolé&es = soudées, comme ailes, sacrées, accolées à une sorte en vrai d'entité chelou, disons un pêu beaucoiup chelou du fait que oui, allez croire à la vache sacrée , et pourtant cv''sst vrai ! allez croire
à la vache ailée ! et pourtaént ! on aime le Temps, LE temps orné, l a parade dessi n ée (à main levée) sur roche, le tracé fr(ontzal (bêtes rosses), et aussi les flammes, le foyer, le passage de feu, la charge. On en v eut ! on cherche à com^prendre". On veut t§oucher à u ne sorte de r (oma,nce comme acidulée de type LAIT, LAIT des F2EÉS ! fée des laits de contrebande acidulé, on dirait. On avance ! on cherche en vrai ensemble (autant que possible) d'en (grave !) avancer sur pré au sein des entités sur pied , genre : vaches, veaux, buffles au cordeau, chevaux -cerceau ou bisounours des peaux et autres bêtes fortes. On aime tracer , graver sur roche = dessiner des bêtes fortes. On aime coller ! On veut s'enraciner ou disons s'ancrer, ou comment : percer ! passer ! traverser la roche ! mains frappées ! maéins collées ! mains surnuméraires ! mains allouées à un être des pré qui seréit (en vrai) bête-belle, belle-bête = Verbe = Herbe = HErbe Verte = F2ÉE!!!!!! fée des fées comme on les connait (frêles ? fines ? édulcorées ? translucides ?) . On veut ou on voudrait ne pas xs
'emballer outre mesure mais, au contraire, se poser, essayer de se poserv afin de mieux cerner ce qui apparé&it, ce qui afflue ou pas mais semble remonter du bas (du bas ?) et vouloir comme nous charmer, nous faire de l'effet, nous monter , nous coller, nous intoxiquer peut-etre. On est née fée la mort venue cul nu, nous voilà traquée (ou comme traquée) par ... du Verbe ? verbe des prés (on dirait) qui chercheraéit à nous coller, monter, surperendre, manger ou comment dire : intoxiquer ? on ne sait ! on veut continuer traquet -traquet notre pretit chemin de destinée agraire souterrain
e . on ne veut pas céder; on a méga-envie ensemble de tracer des tr&its (szur roche, sur paroi, sur roc des bois et autres supports de choix) Grotte !!!! grotte de Saba !!!!!!! grotte parmi les grottes !!!!!!!!! grottes de Sab a patrmi 50 grottes de Saba ! 50 ou 150 ou 350 ou 450 ou 1000 ! on envoie ! on charge ! on vzut grave envoyer d
eu bhois ! on ne veut pas rester (de fait) en careaffe m ais férer, tenir, ne plus lâcher = contenir la roche, plomber, toucher = donner, passer = vivre, dire = coller, à une bête-monstre, des données de roche (ailes translucides). On tombe ! on est folles ! on est fée follesz ! on tombe ! on tombe ! on est fée folle ! on tombe
en tant que fée folle ! on tombe ensemble ici (la roche) en tant que fée folle ! ailes au diapason, d'une vache à lait, on veut la toucher. On ose. On veut coller à ses nénés (pis des ombres). On veut cvoller de fait à ses nénés "de roche" actés (les nénés) et creuser, pousser la chose, chercher loin à cerner ce qui est, que la langue (ici française) contiendrait si on la chahutait. on veut coller nos ailes d'elles sur Passé des pré, le Passé, le Passé alloué est une vache à lait ne vous y trompez guère, à présent on le sait. le Passé aux herbes est Passé de Bête. On veut collert à ELLE_BÊTE des données de bière, mort cendrée, cimetière, tombe ouverte puis fermée, prière, chant agraire et le tour est joué à jamais il xsemblerait. on veut coller au VErbe, d'autres types de donnée que celles içci développées pour ce qui est du cimetière. Doonnées rudes peut-ette, que celles que (ici) on voudraoit avancer mais données tout de même ! on les aime ! on veut parler ! on veut coller , dire, serrer, allouer à une Bête-Poids les mots cde tête d'une Foi en l'au-delà. On est comê cdollées au verbe v(Fée) quyi cherchons l'ëtre On veut :
dire = mettre, sur paroi, les mots de la foi en cette bête (là) qui nous appelle. On veut ça : toucher la paroi. Parce que bvoilà, on veut (on cherche) à) toucher la bête , la bebête aux abois peut-etre pas mais celle qu'on aime, qi'on espère (elle) être là à pour le coup nous,
nous demander pourquyoi, pourquoi on entrte, pourquoi on entre ensemble "à toi à moi" main dans la main .... eh bé c'est simple ! on veut cvoller (ou se coller) à elle, cettre bpete-là, dite "de bon poids bon oeil". On l'aime. On a grave envie de nous coller à elle, comme AILES, cvomme en vrai si on était (on est !!!!!!!) ses ailes. On serait ses ailes ! Mais on est , ses ail:es !!!!!!!! on est en vraéi les ailesz de la vache à lait ! On est AILes cde par(oi de roche ! AILESC .............................................................................................................................................................................................................................................;;..........L............................................................................................................................................................................................................. Ailes = elles ;.................................................................... ailes = elles sur paroi de roche !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime êytre ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on adore grave ici et là sur roche (la parade) être elle-bête, aile-bête, Verbe d'aile, VERbe-AILe ! !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on ne veut que ça pour ainsi dire là !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! dire-faire, donnert-coller, faire-êtrte, chanter-accoler, prendre-surprndre, contacter, toucher, poser, donner par la bande des deenré&es de type données, données sveltes, charges vives allouées à du Verbe des pré. On veut comme s'u-incrustezr en vrai en ce pré "post-cimetière" afin de cerner , soit comprendre les données tellesz qu'elles nous apparaissent de fait. On aime tracer en effet les bêtes = les graver, c'est
vrai, et c ependant on est les fées du verbe, on est là pour de fait toucher, à ce qui est ici sur herbe, à savoir des bêtes, vacghes à lait de contrebanxde, on est à côté. On estsur roche colmmmme acollées (on dirait) à des vaches à lait, pour mieux les toucher , les toucher en vrai, se donner, se coller aux nénés ou comment ou qu'est-ce ! On est née fée la mort une fois actée sur pré de roche aux données de bosse. On veut coller aux vaches à lait de typê V2rité des Véroités. Qui on est ? eh bien peut-être, en quelque sorte oui, en partie ... vache à lait (de rage) sacrée. On seréit ses ailes, donc un peu d'Elle, qui sait ! Verbe alloué
= Verbe cElte = Verbe des pré = verbe d'zeau, de bière, d'aélcolool d'eau, de bière de rage et autres breuvages. On est née F2é, de fait, par la balnde = le tonneau de contrebande !
traçable ! On est comme deux peaux, peaux d'ombre soulevées venant comme s'acoqyuiner à (pour le coup) la vache fauve, au massif alpestre, bois d'ombre, souterrain ! On est, fe"ée des prés suralimentée en termes de VErbe ! on est, fée Du VErbe chargée ! pleine ! colère ! grossesse ! train arrière déposé on gerbe , ici, nptre malaise ! on est pas chiche de gerber vu que voilà, on hne peut y couper ou résisqter ! la gerbe ! sur toundra alpestre ! le tracé des fées seraéiot de la gerbe ( = du verbe) comme s'il en pleuvait (ou pissait) sur herbe ! Pré , Pré des prés on t'aime ! on le chante ici même ! fée ! on est fée des prés la mort actée, entérinée, affirmée, tracée, venue (nue) avec sa faux, des deonnées pl acides (acides). On est fée de peau ! fée d'aile ! ailes-elles des fées d'aise ! On aime être fée, fée des fées post-cimetière et ça le fait, o
n l'espère ! On aime !
On veut toucher à son derrière et de fait la coller, nous coller à elle (vache des prés) commùe qui diréit des veaux sous la mère ! ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ailes ou veaux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! aiules ou elles ;!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! comme veau sous elle !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! petits veaux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!veaus des veaux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! veaux des veaux post)-cimetière, on en pleurerait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on les aime ferme !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! veaux des veaux post-cimetière dieu comme on les aime ! on aime les animaux, les animaux de la ferme , on aime !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on adore grave !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on les aime grave !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! grave, on lesv aime ferme : ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ailes = elles , soeurs (?) jumelles !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on colle !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! sécotines celltes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! colle au tombeau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut grave toucher au cordeau, à la hbête (svelte), aéu tonneau, aux bêtes de boyau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bêtes-mots sur herbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bêtes comme il faut, on les aime sveltse, costaudes, massives, fortes, grosses !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! comme des tonneaux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bêytes grosses comme des tonneaux, sur herbe, sur paroi de roche, verbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! o,n les aime grave ainsi faites !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des prés sur herbe on aime ! on aime être ailesz !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! pour elles !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vache-fée à lait aimé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ne plus reculer, foncer tête baissée, traverser la chaussée, le cimetière, les contrées blêmes, paszser vite (si possible vite) de l'autre côté, côté ensoleillée, et se raépprocher, comme vqui dirait, des bêtes, bêtes de trait, somme directe, vaches à lait surnuméraires et les toucher = coller, comme un fait exprès
. Coller à elle = s'attacher ! = les aimer = les toucher pôur Ëtrte ! devenir ! devenir fée ! frée d'herbev = de verbe (tu le sais ! c'st un fait vrai = Avéré ). ON aime ! on aime aller sur (vers)) elle, Bête de trait (tracée) sur Herbe VErte = PRé, pré des prés et des prairies celtes. On veut toucher toucher toucher à cette sorte de donnée en herbe, de type ... Colère ? vivacité ? chahut sur pré = vérité crachée ! On colle à Elle pour devenir fée ou fée en herbe ! tracée ! fée tracée = vache à lait (herbe) sur pré aus Fées ! On aime ! on aime toucher = cerner = dire = comprendre = bouger = coller = se coller à elle et du coup faire d'elle la Fée, ou la Fée des F2és post-cimetière = l'Aloouée des Prés, Chance Agraiore, un tracé de fée sur herbe verte et le tour est joué ! On l'aime ! on aime Elmlle , Elle -Sur -Herbe, contrée, charge d'ailes ! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!! fée des herbes vertes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées des herbes vertes et a utres fêtes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée sur herbe comme acidulée (l'herbe ) !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée poussée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées poussées sur herbe , à jamais, à jamais poussées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée à ailes comme s'il en pleuvait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! pluie d'ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! pissaladières !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! effe , elfe, F , fée des prés et
autres ailes enjouées !
6/10/2024
Qui on est ? On regarde. On cherche. On cherche à cerner. On veut grave comprendre les données :; qui on est, quyi on est pas, ce qu'on cherche à être en cette roche de paroi, etc.On est comme collées ("à la une à la deux") ensemble "toi et moi" , et de fait, on envoie ! on trace ! on envoie du bois ! on est pas avares d'envoyer du bois ensemble en paroi ! On cherche à comprendre ça veut dire quoi, ça veut dire qu'on envoie du bois ! qu'on trace ! On est deux ici de base (elle et moi) et on envoiue = on trace sur paroi les bêtes ddee charge, les
données de rage, tout un tralala d'estocade, de parade de façade. On est comme collées sur place " à la une à la deux" par une sorte de colère sarde (?). Sarde ? on est deux, on colle (on se colle l'une à l'autre)) et on mate, on voit, on mate grave. Qui est qui ici (roche dure) ? Qui veut ça la place libre, ici ? On est comme associées pour une sorte d'embardée de rage, et du cfoup voilà, on trace !
on dessoine à main levaée, la bête de poids, la bête qui charge et chargeant impacte (grave !) ; On est comme nées sur roche fées : deux FGées ? ou peut -être une ! une fée = (à nos yeux) deux ailes . Et voilà pour quoi on trace ! On est comme nées fées sur roche agraire. quand on aime il faut y aller, tracer = ne opas lambiner. On cherche grave ensembble à nous téléporter sur roche meuble, tra verser, passer de l'autre côté et nous retrouver (fissa) là-bas, sur he
rbe, dans unn pré de bpetes, parmi elles, vaches à lait et autres bisonnes cornue, velues, nues. On entre dans l'antre d'une sorte de passage sage. Paysage. On est comme accolées de base dans un pré : fée ! fée on est qui gagnons le pré, la paroi des gardes, le tracé nacré, estocade,
estocade surdimensionnée. On cherche ensemble à pour le coup nous approcher d'une sorte de "façade" des attraits, au fond cde la salle. Qui on est ? une fée de base, chargeant, chargeant grave, chargeant au boulet, visant de fait le tracé des rages, le tracé vnacré. On est fée armée tu le sais et du coup voilà, on en avance/.; On cherche eensemble à pour le coup nous rapprocher de la paroi des fonds de salle , anfractuosité de façade ça le fait, on gratte ! on cherche à (de nouveau ) passer. pourra-t§-on passer comme par chance ? q-sera-t-on assez remontées pour passer ? Qui le saiot ? On est comme soupesées ensemble en roche de rage, on est ensemble comme soupeséeées en cette roche d'!une rage d'être qui est rage d'une sorte d'être à jamais tracé ! On nguette ! on est fée ! on est la fée des bêtres, la des fées des bêtes (à jamais ?). On guette parce qu$e oui, on a envie de nous coller à la fenêtrte " , et de mater les bêtes tracer. On est fée des bêtes alanguies, ou sinon alanguies "de passage", ou sinon "de passage" transies, ou sinon transies déplacées comme des bêtes à pied o$u mise
à pîed. On est fée des fées et du coup on mate (grave !) les données de b ase ! On veut toucher à cette chose d'une sorte de donnée de base ! donnée des données ! On veut se coller, se placer, se joindre à une roche rude, se positionner, à la dure, sur pa roi gravée , s'il-vous-plaît ♥️
😀 😀
On est de'ux pour une aventure de paroio diurne. On est accolées à jamais = fée. On est nées de base sur p aroi des fées comme une entité à jamais sacrée . On veuut toucher à volonté la Chose allouée à un semblant (?) de roche. On est fée des fées ! on est fée née de base tracée ! Onn est comme touchée par une Vérité qui ser ait comme personnifiée sur roche allouée à un pré de rage. On est la fée, de fait, des passdages, sur pré, allouée à une trace. On veut compter , szoit impacter ! On est née fée quand on est passée !on est passée à deux (deux bêtes des voeux) , nous voilà née fée ! fée des bêtes ! On est cfomme née fée sur roche ornée, au passage "de véritéz". On voulait coller c'est fait ! On voulait grave en avancer eh bé voilà, on y est ! on aime ! on va vite
vers elle, cette roche née, ce tracé des fées, riage remontée et autres colères. On veut ytoucher à cette déioté dite du cimetière, et cerner les données donnéesc comme s'il en pleuvait ... derrière ! On mate, on voit. On est fée voyante ! on cherche à comprendre la paroi, le tracé de base, la rotondité des données de rage : xce qui est. On est fée ici de base pour comprendre ce qui est qui nous regarde ou semblerait nous regarder. On ne veut pas passer pour des null ardes ! on veut en imposer ! on veut compter ! on veut êtrte considérées en tant que fée des fées de base, qui savent, qui vbont, qui tracent, qui cherchent direction la base, le tracé ma gique sur paroi placide, fond de salle et musiqaue acide. On est née fée au passage dit "de vérité" (l'heure de vérité) et voilà à présent ce qui pour nous requiert de l'importance grave : on veut ... croire ! on veut / on voudrait croire en notre bonné étoile. On a grave envie de croire en notre bonne étoile ! on est nées de base fée à la retombée (la mort venue) et nous voilà sur pré (le paradis) qui cherchons de rage à comprendre ... eh bé ça ! lza base ! la paroi ! la p aroi devant soi ! finalité ! fin de cage ! on est née fée et du coup on trace ! on essaie de comprtendre lrs données ce que cd'est , ce que cd'est qui nous regarde, nous mate grave, nous mate sévère, ne cesse de nous reluquer (à jamais ?). on est fée des bêtes sur pré, parmi elles (vaches à lait divines) et on essair ensemble de se rapprocher (de fait) de la paroi ronde, des données profondes : finalités, fin de royaum
e, bout du bout des ombres, charge folle. On est née fée la mort venue, comme de bioen entendu, et nous voilà"cohorte" , bêtes monstres, charge docte, qui pousqsons ! courons ! gravissons ! volons ! voulons cvomprendre qui de quoi et quoi de qui ici se trame sous nos yeux de rage ! on avance ! on est deux pour un voyage ! on tente le diable ! on veut comprendre ! on veut tracer-coller de base les données données comme elles se présentent et les étudier ! On estc accolées (fée) car on est comme soupesée, soulevée ensembkle ("à toi à moi") p ar ... la chamade ? la paroi des rages ? le ciel est à toi qui te regarde grave. On y va ! on charge ! on fonce fissa ! on veut tpucher -comprendre la paroi des Rois , Reines de SAba. On va loin vers là-bas la trace ! on avance ! on veut comprendre alors du cfoup on en avance ! On est née de base sur un pré, le neez devant sentant les choses d'une sorte de prairie de roses. On est fée née sur pré la mort venue cul nu ! on aime être cul nu ! on vole, on volette ! on aime aller de-ci de-là " à la volette" comme autrefois on aimait êttre (toi et moi en moi la charge). On est fée de rage née sur pré lma mort advenue. On aime aller et voleter comme autrefois on aimait ça (enfant des rages des paroisq). On trace ! on court ! on veut toucher ! on veut cerner ! on veut aller ! on veut comprendre les données données et nous téléporter direct vers ces contrées de bout de roche : angfractuosité cachées et autres traits comme
oblitérés. On est née fée (de fait) au passage (de vie à trépas), nous voilà ensembleréunies en ça , fée des bêtes sages, fée des bpêtes dites "de paroi". On regatrde ! on veut toucher à cette roche des données primaires dernières. On veut coller à elle. on veut être comme elle , on dirait. nez collé à Déité de cimetière presque
! On aime ! on aime alller, voler, cerner ce qui est , coller à une chose rude comme par exemple une roche de trait. On est accol"éées et du cfoup voilà, on erst née fée ! On est passée ! on est passées (comme qui dirait) à travers la roche primaire, direction le pré aux bêtrs , et là, nous voilà, ensemble, qui voulons tracer et vite gagner la roche dernière, l'anfractuosité post-cimetière, les données données de derrière, le tracé final, chant des celtes ! On veut croire , toucher-aller, dire et composer (déjà pour soi) une sorte de romance de paroi et on verra ! on veut comme toucher à une sorte de donnée de base contenue (il semblezrait) dans une langue, ici le français. On est cul nu sur pré , on le sait, on s'en fiche grave, on aime le nu, la rage, le poil alloué à une peau de rage, on va, on vole vif, on est nue de rage velue comme bête à cru ! ONN est fée des fêtes ! fée des fêtes vives ! On est fée des données vives ! on avance sur un pré ainsi velues comme iul semblerait qu'on fût ! fée doctes post-cimetière on est nue comme des bêtes. oN est nues velues comme bêtes à cru ! On aime ! on aime les bêtes. On veut toucher à cette chose au loin, d'une sorte de paroi de charge, paroi docte, la paroi des charges,
soliloqaue ! On veut cfomprendre ! On veut grave ici ensemble, nous deux "toi et moi", comprendre grave les données données, données par la bande à la fée des ombres qu'on serait de fait à comme devoir (il semblerait) représenter comme à la parade ! On est née fée la mort venue ! cul nu ! chyarge mentale ! fond de cage ! On veut toucher à ces données de base ! On veut grave tracer, courir sans désemparer, se retyrouver sur roche ultime à devoir entrer, qui le nez qui la barbe, pour cerner, toucher, cerner-toucher les données finales ce que c'est . On ne sait en vrai, du coup on s'acvance. On veut entrer. On a méga-envie d'entrer en cette roche des données frontales finales, comprendre = toucher on le sait., On est née fée a&u
passage (de vie à trépas) et là, on ch arge ! on fonce fissa comme à la parade ! on va droit devant soi, on est comme accolées pour pousser (de rage) le bélier et fracturer la place ! Qui on est ? on est fée des fées ! On pousse de rage la cvloison finale à la faire chuter, de l'autre co^té, côté mer, embruns, plage, bruits nacrés, chants de mage. On est née fée au passage pour aller de fait fracturer plus loin (rotonde-pré) la roche terminale, finale, trait des traits. On veut toucher à cette roche des données données et du cfou!p
aller, vite, tracer, ici même au pied levé, le tracé des fées. On est femmelettes olé olé dit-on mais pas du tout ! hommelette à genoux ? pas davantage ! fée ! fée obn est, une fois passée en vrai les années, la romance gravée, le mur des amitiées actées. On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette déité des déoités, des données moroses ou sinon moroses grises ou sinon grises morbides ou sinon morbibes ... vives comme la clarté ? ah peut-être ! oh, il semblerait ! on aime ! on veut ! on entre ! on est colère ! on vveut être fée (de base) sur parioi des berges. on est nées fée lza mort allouée à une sorte de tracé donné sur paroi creusée. On veut dès lores en avancer fisqza et gra ve dans les connaissances "àtoi àmoi" telles qu'on les envisage sur paroi (paroi là des rois et rteines post-cimetière). on estc accolées pour former lz
a fée des données primaires. On veut toucher à cette déité post-cimetière. Qui ell est. A quoi elle reseemble. que dit-ele pour nous attiorer. comment doit-on l'approcher, lui parler, l a regarder. Doit-on déjoà lui parlerr, ou la regarder, ou plutôt pas ? On ne sait ! on est là (fée des fées) pour ça : toucher à cette déité des données frontrales (il semblerait) . là pour ça il sembklerait : qui sait ? On charge ! on veut coller ! on veut être fée en herbe, vite fait ! on veut coller à ces données post-cimetières sur pré. On est comme ailes accolé&es formant fée des pré soit des bêtes agraires (maisonnée de bêtes grosses). On est nées fée la mort venue après le cimetière cul nu velue : bête des prés. On est fée née cul nu après le cimetière des données actées, et on cherche à tracer = filer vers elle, Déité des Déités qui c'est ? eh bé ELLE ! AILE d'AILE ! Aile F2ée des fées peut-être ! collègue ? on est fée des herbes comme déité ? on est La déité nous mêmes , bête ? On est bête-fée en tant que Déité donnée à une mort actée et post-cimetière ? On ne sait ! On ne sait pas en vérité ce qu'on est ! on est fée des fêtes ! fêtes faites ! On est fée des herbes sur paroi de roche "grotesqaue". On veut toucher à cette déité du bout du monde mais voilà, e,n vrai, coimment faire ? cvomment donc tracer, coller, cerner la roche ? par des traits de rage crachés ? par des mains en veux-tu en voilà pla cées ? par des cris de vérité ? On est née fée la mort advenue (ou actée, nombrée) et nous voilà cul nu qui volons vers elle à tire d'aile, D2ité des Déités tu m'as bien vu ? tu m'as assez vu ! tu n'a s qu'à te gratter (le cuul nu ?) et chercher ! car mon nom est le nom des données rupsrestres : TERRE.Je suis Fée de TErre, fête ! Je suis Fée des Fées sur roche agraire ! qui on est ? F2e ! JE = Fée, du moment qu'on aime ! qu'on traverse ! qu'on y va fissa ! On est fée post-cimetière direct la toundra, pré en herbes, tralala animalier il sembleraiot , à nous ça nous va on aime ça. On aime aller tracer sur herbe les données de base qui nous plaisent. traits de lmumière, chants des voix surnuméraires, col de cygne et chants sardes d'entreprise. On est nue velue ! cul nu sur DUUU,; la radio du cru ! On veut comprendre grave ce qui est ! on est nées de rage sur paroi des âges , nous voilà tracée (de fait) comme à la retombée, comme des images. Qui on est ? Base ! BAise ? base et baise !
on est sage, ou pas, mais on trace ! on va devant soi chercher la romaznce (en transe) des paroisz , le tracé des chargesz, bouqyuetines sardes ou sinon sardes sales, ou sinon sales sages , ou sinon sages drôlement savantes ! bouquetines vives savent dire à cru les données du cul ! On imagine. On est comme accolées de fait sur roche nue à une sorte de par(oi des âges ! on est née fée la nuit (la mort) venue, nous voilà cul nu qui cherchons l'entrée, la sortie du pré, l'entrée de rue ! On est née sur pré pour trouver l'entrée, la sotrtie d'ici, l'entrée des clartés ! On veut toucher à Déité ! on veut en tant que fée toucher à déité ! en tant que fée on veut toucher à Déité ! On est fée de rage, on veut toucher à cette Déité des données a stra&les figurées. On veut grave traverser la roche ronde ! on veut sortir en vrai de la Rotonde aux données données, de type bnêtes de tra&it. On veut "traverser" ! on veut "passer" ! on veut aller aéu fond du pré et du coup passer, traverser, passer de l'autre côté, chercher à passer qui le nez qui l'oeil , qui le nerf qui l'ombre ! passer = traverser de base la roche terminale , le Passé ? On ne sait !on veut passer = traverser la roche dite déifiée du fait qu'en vrai elle est la belle roche des données ancrées, vives, saucvages, dures ou pas, mais du coup mâ&tures en veux-tu en voilà 🅾️.
On veut grave toucher à cette Déité des données finales : clarté.
OIn a méga-envie ensemble d'y aller ! toucher, coller, dire, allouer, tracer, prononcer qui le mot de l'alpe, qui le verbe ancré, qui la romance, qui le chant des charges. On est née fée au passage et nous voilà comme "condamnée" à devoir ... toucher ! toucher à cette déioté des monts de passage ! on est née fée de base montante, nous voilà "montée". qui on est ? fée des fées , qui voulons cerner = toucher, cette D2ité des D2ités dite "des do
nnées données comme s'il en pleuvait", vache à lait ou nénés. Déités égalerait nénés ? on ne sait ! on se dit que peut-êtte, on chezrche, qui sait, qui le sait, qui sait ce qui est ? On est fée deb baise, fée des fées. On veut ensemble voir et décider ce qu'on doit tenter ou pas ensemble dans ce pré. on est prêtesq ! On doit gagner ensemble la paroi des bêters, et voir ! voir à voir ! dire ! faire ! chercher ! coller ! chercher à coller ! cfoller grave à cette Déité des données du verbe (Celte ?) . On est née fée du fait qu'on est née (morte à jamais ?) sur pré post -cimetière ! on est née fée et on guette ! oin volette ! on y va grave devant soi fissa : RIGA ! on veut ça : tracer ensemble ici et là ce qu'on voit qui fonce cdroit ! On veut toucher à cette déité des données du verbe . Chercher = dfonner = dire = comprendre = acculer = donner = cerner grabve, ce qui est qui est qui nous regarde et ne nous lêache pas d'un centimètre ! sur paroi du Roi, REine-R5oi et ça ira ! On est née fée sur pré, la mort allouée, et nous voilà courant ici follement vers la roche xdes données finales. On veut bien sûr comprendre ensemble ce que c'est, que cette roche de basalte (base ?) qui serait en vrai sur place la roche finale, pré-marine ou comment ça ?
commentb comprendre ? On veut de fait toucher ensemble lers données frontales, verbe Hautain de faikt mais aussi des traces, des données de base genre "serpentins", mains données aposées, carrés, rectangles, ronds de jade. On est née fée sur paroi dionnée, nous voilà qui volons de biais ! qui chargeons ! filons fissa vers ça là-bas qui bnous regarde ! semble ! et nous d'y aller cfomme à l'arraché, ensemble (ailes accolées formant fée des prés). on vole, on volette ! On veut aller sur elle, roche des données allouées à une fin de pré. Qui on est ? des fées ! qui on est en vrai (la mort advenue) une fée de rage ! On devient dès que mort et enterré fée ! dès qaue mort et e nterré (quelqueszoit son sexe / genre "donné") fée ! fée d'herbe ! fée du Verbe agglutiné comme une sorte d'e pré d'herbes ! On est fée sur herbe qui voulons toucher à cette destinée, ou Déité post-cimetière dont le nom est
TRAIT ? TRait des fonds ? Trait des traits des fonds des rages ? traits des traits des fonds données des ragesz allouées à un passage (ici), de mort, à vie de grâce (vivace ?).
On veut croire ensemble (fée) à notre bhonne étoile, allouée à une sorte de parade ! On est née ! fée ! fée docte ! fée des fées doctes ! FÉE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Fée des prés , des données secondes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Fée allouée à une vérité de roche !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Fée des fées allouées peut-être à un passé donné, comme déposé, sur roche, "à la unev à la deux" au passage en vrai (de vieb à trépas) sur paroi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime grave ensembkle tracer, les données profondes néandertaéiliennes, eyt pour ce faire, voilà, on y va ! on ne traîne pas ! on charge ! on va drioioit devant pour comprendre et du coup toucher, toucher à cette déité des données offertes post-cimetière. On est fée des traitsvde rage et du coup "on pense " ! On pense sévère ". on cherche à "comp-rendre". On veut toucher à cette D2ité des Roches finales, tour de table. On veut§ grave toucher à cettye D2ité dernière, sous le vent, frontale, fenêtre, trou de balle , quoi ? on chercheb ! qu'est-ce qu'on voit ? on ne saiot pas mais c'sseet derrière ! on voit ça ! derioère on voit que quelque chose en vrai se trame on dirait ! derrière la paroi finale (dans l'antre). On voit quoi ? on voit ça : la roche, en termes de ronde ! ronde souterraine ? on cherche ! on est fée des fées sur herbe (pré) qui voulons coller (surnuméraoire ?) à une vérité dite "de pierre" = éternelle (?) il sembleraéit. On est née fée bsur pré la mort actée et là on s'est portée jusqu'au fond d u pré, terre glaise, mur des joies certaines; on veut passer ! comment passr ? que voir de l'autre côté ? la vie "à la volette" des do nnées priimaires ? une sorte de pré-qualité ? de pré-herbe ? de -pré-vache à lait ? pré -don d'une
sorte de "vie comme à reculons " ? oups !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! qui sait ??????? qui le sait en vrai ?.??????? qui pour nous renseigner sans nous gruger ? On est fée sur pré , on cherche à (pour le coup) p asser la tête, à tyravers la roche des données dernières vers eh bé peut-etre oui, qui sait, la vie première ! retour de quartier ! fort de café ! on ne xsait ! on est fée des prés à la recherche d'une vérité qui seraéit "de glaise" et pas seulement sur le pâpier ! On est féev p ôst-cimetoère, on est fée des herbesz, fée sur pré a ux herbes vépaisses./ On veut de f ait ensembvle aller vers plus de vérités patentes. on est des fées sur herbe à la recherche d'une sorte de donnée comme, on dirait, accolée à une sorte deromance sucrée, sucrée v-salée comme le lait ! le lait !!!!!! le lait est le lait des herbes = du bverbeb ! on cherche ! on veut le lait ! on veut boire du lait ! on veut du petit lait pour nous alimenter et avancer ! on aéime le lait , le lait sacré, nacré, alloué à un néné ! on aime grave le la&it allouéb (en vrai) àun njéné dit "des nénés" et ça le féait ! on erst née fée surb pré "des nénés" . On xdit ici qu'on est des fées comme cernées par une sorte de muret (muraiçlle ou mur des fées) qui nous ceint de rage, nous cerne, nous entoure grave, nous encercle (vérité) et cherche à (cfomme) nous cloturer, nous astreindre. Or, nous, ce q'on aime plus
que trout, c'est cette chose ici d'une szorte de possiboilté accrue, de possibilté nue, de pouvoir (de base) voleter, monter, grimper, nous envoler sur roche au pied levé et du coup dessiner qui des bêtes de poids (genre : bouquetines, chevales et bisonns ou budflettes des roches) qsui des mots de tête. opr voilà , là, ce qu'on voit de fait (en tant que fée) , c'est que la Chose ici allouée (mot ou bête de roche) est tracé de bure ! un tracé de bure ! une sorte de tracé de bure au pied levé peut-^tre mais tout de mâeme : bure allouée à un trait jeté !). On essaie du coup de cerner de base les données ensembke "en veux-tu en voilà" mais va comprendre ici la char ade ! c'est pas simple ! ça envoie peut-^tre mais quoi ? ça envoie de base mais on sait pas quoi ! Du sel ? de l'eau ? du sucre chargé de mots ? LAIt des fées tu penses si ça le fait ! grave ! grave ça le fait ! grave de chez grave ça le fait, le l ait !le lait en vrai grave ça le fait ! On chercheb le lait (ou on chercvherait) la bmort venue ? on chercherait le lait des nues ? on cherchera&it une fois fée (actée) le lait des Déités nues ? On chercherrait en ce p^ré le lait ? on chercheraéit en vrai en ce pré le lait ? on chercherait grave en vraé
i en ce pré le lait ? on cherchezrait grave de chez grave en ce pré vle lait pas un pet chelou mais tout au contraire vrai de vrai : vrai laéit de vache et pas de contre-vache ! On regarde ! on voit ça quyi pisse du néné et vite on s'y met, on colle ! on veut coller le nez ! téter ! téter le pis alloué à un pré des rages ! pis qui pisse vite ! lait frais ! lait des laéits frais on aime téter ! on tète grave le néné (pis de bête) sur prairie des fées ! On est qui (vive) voulons téter, le lait acidulé d'une vache sondée ! On veut téter l e lait des prész ! chercher à téter et du coup absorber le liqauide nacré ! lait des laits sur prairie des filtres ! on est née fée la moert venue, afin de gagner (de fait) le pis alloué, pis de vache sacré , laiot acidulé (sucré-salé- qui (en vrai) nous sied cvomme jamais ! On adfore
tétezr ! On aime le l ait ! on aime grave le lait ! grave on aime ça le lait, des données dernièresz, des vives clartés souterraines et autres tracées de type acidulés comme iul sembvlerait quand on regarde de plus près ! On est fée des herbes, on tète le lait, on aime, on adore téter , alors voi:là on se colle aux nénés des vaches des prés, on colle le nez ! on est accolées, sur néné, à téter de près le lait "de la mère" ! On est nez à nnez qui sa&it ? on veut toucher ! coller le nez au néné sur herbe. On aime grave téter et du coup tracer, coller sur pré notre passé et tracer ! courir sans traéîner, filer grave vers le traéit final d'une sorte de par(oi des traits, des vaches à lait ! qsui on est ? qui on est en vrai ? qui en vrzéi on est ici , qui voulons toucher à cettre déité des déités massives, genre "buffle doux", "douce buffle", "buffle roux ", '""Rousse buffle(buflette", on sait ! On sait ce qui est ! on sait de base (en szoi = fée des fées) ce qui est en vr'ai . Le lait est une sorte de ... vERbe en herbe ! hé hé ! On court on volette ! on est fée des prés sur pierre de tréit. trait des fées ! on cherche ! on trace de fait les traits d'une bhête qu'on dirait surnuméraire tellement elle semble êttre bête-masse aux données pesantes (soit pesant dans la balance !). on est fée des données prégna,ntesq (sur paroi de rage) . Qiuand on pisse on voit ! on s'adapte ! On veut toucxher comme par la bande à une sorte de donnée tracée (des fées) qui nous incomberait "à la seconde", soit dès que née ! On est fée des ombres (hommes ?) nées fées du fait qu'on est mortes (morts : les hommes) et du cfoup transformées pour vite (en vrai) aller téter aux nénés des ombres. On est :
fée !!!!!!!!!!!!!!!!!
fé dees fées !!!!!!!!!!!!!!!!!!! fés des fées allouées au Verbe sucré !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fées des fées allouées à une sorte de donnée donnée de type "LAIT" on dirait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on est nées sur herbe des prés la mort passée, en tant que fée surnuméraire, nouveaiuté, prise d'&ir sur pré on dirait et ça le fait en tant que telle (tel ou telle selon le tracé) !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime grave aller téter les bhête ! les teter de tête ! On zéime ! on veut téter ! Grave en vrai la mort actée on cherche à téter = traverser le pré, courir à perdre halieine, filer à l'anglaise, ne pas (surtout pas) se retourner vers le cimetière, cerner les données prochaines, se coller aux nénés "des herbes", Verbe nacré tu es le Verbe des données données (post-cimetière) . on est fée des prés prêtes à téter à même la bête le Verbe = Lait, Lzait d'Aile. On est fée des prés prête à téter le lait des herbes ou herbes données par une D2ité post-cimetière de type Vache Déifiée (vache à lait de base). On est là en tant que telle (fée) qui voulons comptendre, le rapport ce qu'il est entre d'un côté une vérité agraire de type lacté, et de l'autre une autre vér
(ioté mais ici moins drôle ! la pâtée ! la prise en entier ! colère celte ! le tracé à main levé pour nous effacer en tant que bête , est-ce vrai ? on cherche ce qui est. On veut toucher à cette sorte de donnée post-cimetière ce qu'elle est de fait qui nous regarderait nous pavaner et tracer sur herbe une voie d'accès vers la Vérité dite "des Vérités" s'il en est. On creuse ! on cxgherche ensemble à creuser la terre à la rechercvhe d'une sorte de donnée des prés, de type sqauelette quyi sé&it ? on cherche = on y croit ! on veut creuser de fait la terre meuble, à la recherche d'une sorte d'ossement géant ! verbe d'être" ! verbe erra,nt ! os-verbe ! ossement -verbe ! os des temps donnés dans une sorte de Passé des prés. On est des bpêtrs allouées à u ne
sorte de terre dite "de cimetière", mais en vrai on est des fées, fées des herbes et fées en herbe, la mort passée, on court on violete sur pré direction la bête à téter, vache à lait salutaire ! ça le fait ! c'est frais ! ça berce ! ça fait son "ffet ou son petit effet des prés. On couyrt on vole vers le néné dit "des prés salutaires" ! oui ! c'est un fait vrai = avéré ! çc'est un fait de fée ! fait des ombres portées sur herbe en rotonde ! cercle de sorcière sa&lué ! on est fée comme on est sorcière : nez ! nez des nez ! nez dans l'herbe ! nées dans l'herbe à jamaéis on diraéit ! fée des herbesc= fée du verbe comme déposé sur un tas d'herbe ! tralala ! colère ! bruits et voix sur terre de baise ! chargement de braises ! feu de foi ! on creuse sa voix sur paroi des temps , on y croit patent ! on veut (de fait) en tant que fée, tracer, sur roche, les données primaires
= téter ! tétons !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ne lambinons pus ! chargeons ! essayons de fait de charger ensemble ce qui est qaui nous rassemble : trait ! bête de traéit ! somme ! bnête de somme ! joug ou je c'est la même chose (le jeu ) . On veut (grave) traverser la Roche, aller-voler)--figurer de l'autre côtéb afin de coller (si possible) aux n ,énés de l'êttre, vache surdimensionnée on dirait mais est-ce vrai ? auroque des prés ça serait ? ça serait dès lors un aurochs des prés ? auroque posée ? vache à lait = auroque sur un pré de roche ? On est comme touchée par un néné de base sanguine et, du cfoup, on tète grave ! on ne s'en prive pas. On est fée des armes qui voulons comprendre, ensemble, le pourquoi des choses sur pré la mort actée ! on est presque passée ensemble de l'autre côtéb on dirait, le Verbe aidant, mais est-ce vrai ? qui sait en vrai ce qui est concernant le Verbe alloué à une Personne (en ta,nt que telle) sur terre ? Qui sait ce qui est et ce qui n'est pas . La bête ? n'impôrte laquelle ? la paroi ? on rehgarde devant soi la roche et on voit ce qu'on voit , soit des bêtes fortes, bêtes de poids pesant leur pesant de rage de forme ! On y va ! on est là pour ça : tracer = creuser = dire = faiore = comprendre = tâcher = plai
re = spermer = cfomplaire = crier = coller à une soerte de paroi aux herbes, genre paroi post-cimetière, paroi des parois en herbe, pré des voix. On cherche cde fait à cerner les traits d'une sorte de parade, devant dsoi, mettant en branle force bêtes toutes pesantes, bêtes belles au xsens dfe "belles bêtes" = ossues-pesantes, fortes- masse, charge frontale (mentale) de paroi des temps d'avant ! romance pariétale sous le vent, du temps des hommes-femmes savants-savantes. On est née fée de rage sur paroi et nous voilà sarde (comme qui dirait) ^ppour en vraéi téter (de grâce) le lait alloué à une Vache S arde (pour le coup). Car nous, de fait, le lait, on aime grave
! on aime grave téter ! le lait grave nous plaît , nous encjhante. On aime téter le pis de la vache, les nénées des prés, qseins de contrzbande et autres poitrine à laéit comme s'il en pleuvait ou pissait on le sait : pssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssxwsxsssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssdssdsssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss! voilà donc le laiot comme s'il en pissait en vrai des nénés ! pssssssss ! direct alloué au nez des fées ! on est née fée pour boire du lait : psssssssssssssssssssssssss! direct gosier ! on est née fée de base pour pouvoir , boire du lait des prés : psssssssssssssssssssssssssss ! et ça le fait ! on aime téter ! on veut grave téter le néné de l'antre ! mort donnée donne son lait (de rage) des prés. quand on aime tracer (bêtes cendrées sur pierre de grotte) oon est fée de roche ! On est la Fée des données accortes ! vive les fées ! vive les données cendréess ! qu'on passe ca&rosse ! cohorte ! traits de bêtes de trait ! on monte ! on monte ensemble ici (paroi) dans la lumière de roche, on voit ce qu'on voit , à savoir ... la porte ! le passage ou tra&ppe, la paroi éventrée, le tracé, le trait d'un passage donné comme par la bande aux fées de passage ! à savoir nousz-mêmes, blêmes ! On est fée des fées qui cherchons de fait à traverser la roche, le ponton, la colle, le passé et le présent soudés, les donné&es de roche de type coulées, lave docte, sang et son.
on est née fée du fait qi'on est mort (homme). on est née fée a&près la mort en soi de l'ombre, ou comment dire cette chose d'une sorte de /.... mensonge " inhérent aux ombres ?? on est bêtes de trait, de somme, monte-coche, on veut toucher ainsi attelées ! et nous transformer dès que née en fée soit en fée de roche (la mort actée, avérée, allouée). on est fée des données de roche comme déposéees.On veut grave toucher à cette déité vdes données lacustrezs, qyui serait du Verbe (peiut-être) comme déposé sur roche agraire. On est fée née cul nu sur roche de pré, parmi x bêtes ici au débotté chargea&nnt grave que
tu chargeras ensemble sur paroi, et nous de chercher (fissa) à comme (peut-être) plus leur ressembler pour mieux "passer", être adoubées, reconnues en vrai en tant que fée des plages, des passages et autres passés. On est fée qui (en vérité) collons (ensemble : ailes) sur roche des prés afin de traverser la paroi des grottes et se retrouver, cul nu ou pas cul nu, peu importe, comme déplacée, transformée = formée, mise à pied pour insi dire sur un pré, à devoir brouter ! et nous de brouter comme si en vrai de rien n'était ! pas plus de changements que ça en szoi ! comme si on était ce qu'on était déjà avant le pâsdsage ("à la une à la deux") de la paroi. on gvoit ce qu'on voit. on entre ensem^ble toi et moi. on passe . Et une fois passées (deux femmes allouées au roc des données) nous cvoilà transformées comme à la parade, par magie, en fée du logis, fée clochette ou fée des bêtes, fée ! fée des prés, qui volette ! va et vient ! court presque à perdre haleine "dans la mort". la mort ici est cet espace dit "prairial" rempli de bêtes-charges, betes à bois ou pas mais grave imposantes sur par(oi (buffles, bufflons, mouflons, bisons, bison
nes et antilopes des chemins herbeux). On est commeensemble devenues la fée ! une fée des ombres sur roche (= pré) qui va pour ainsi dire son chemin de ronde ! ronde szur pré ! à la recherche d'une entrée, de type ... néné ? néné à téter ? qui sait ? on est née sur herbe fée, prête à devoir tracer à main levée les mots de sa rage ! rage d'être fée allouée à une sorte de prairie aux her b es .. vertes, vertes et hautes, hautes et drues comme qui dirait du Verbe de RUe. on aime ! on aime grave l'herbe ! on aime grave l'herbe à brouter ! le lait ! l'nherbe à léit : le Verbeb ! Grave en vrai on aime le Verbe et l'herbe des données lactées après-cimetière. On est fée des prés qsui voulons cernezr ce qui est en vrai concernant les données d'une vache à lait qaui nous atte"ndr&it passé le cimetière dans la mort à l'(oeuvre. Qui on est ? eh bien .... peut-^$rtre , en effet, AILE ! on serait une aile (ou deux ailes) sur pré ! ELLEs, la mort (une fois, ici) entérinée , on dirait. Mourrez, et nous ferons le nécessaire pour vous embaumer, adouber, préparer, accoler à une sorte de muret de cimetière. on est
né sur herbe fée après la colère d'une sorte d'embardée sévère en cimetyière ! là, on est comme sauvées ! on a passé le cap (dudit cimetoère) pour nous retrouver comme derrière, derrière ou devant ou hors du cimetoère aux données cendrés, i-on est nées ! on est re-nées ! on a passé ensemble le cap de la mort et là on mate grave, ce qui est qui nous regarde : l'ombre portée ! la charge mentale ! le tracé des corps ! les bonbons sucrés-salés ou seulement sucrés sont de ceux qu'on aime, tout du lo ng notre passage, sur pré aux herbes. On est pas couillonnes ! on sait ce qui est bon ! le lait ! les bonbons ! le sucré ! les nénés ambrész, la toison ! On est fée docte ! on est entrées ensemble comme en pèlerinage et à présent on trace = on dessine = on va = on conçoit = on y va de son chemin xde croix en ces contrées de base prairiale, sous un vent de fou, charge mentale. on avance. On est folles fées de base qui vgoulons creuser (ensemble) un passage pour une entrée . on est motivées ! On vgeut cfomprendre ! On est deux accolées (ailes) pour former la Fée des données de base : fée des fées pour une sorte de mise en branle d'une vérité de charge . cri dans les
cri dans les
cris dans les marais ! on entre ! on est accolées ! on est fée de rage ! on est ailes soudées pour fgormer fée dite "de passage" ; On veut comprendre = toucher = dire = composer = comprendre. Chalutier des mers profondes ! chants de roche ! cris de joie sur pré ! cohortte non en vrai d'hommes accortes mais de bhêtes grosses, bisonnée des pré, chevalières des données portées. On veut toucher à cette déité des données prégnantes. Q ui c''st qui nous regarde ? qui c''st en vrai qui pour le cfoup regarde, nous regarde, nous mate grave ? on ne sait ! on est fée qui voulons comprendre et toucher, on essaie. On cherche de près à pour le coup toucher à ce tracé de contrebande genre acidulé comme néné, lait de néné . on entre ! On veut vite toucher à cette xéité de contreband nde toute cernée ou sinon cernée consacrée ! On aime les nénés ! on aime ghrave les nénés ! gr ave" on aime les nénés de l'antre ! on aime ensrmble (fée) les nénés grave ! nénés des nénés ça nous plé^t. On aime et toucher et tét"r les nénés de l'âéme (l'antre ?) aux données de fait comme acidulées ! sucré-salé ! on est née ! on est morte-née ! on erst mort homme et dans la mort comme transformé en femme des prés = fée ! fée accorte ! fée des fées aimées des cohortes ! on trace sur roche une voie d'accès vers ici des nénés (un suffit, un néné) à pouvgoir téter. On est fée qui voulons t(éter ! le lait de la prairie ! lait des prés ! lait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! lait des laits !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! lait des laits de rage !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! laits de la prairie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! lait praiorial de base !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! du pis !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! du psi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! des données accortes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! beautés graves !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! charge ! charge mentales !!!!!!!!!!!!!!!! vie desz vies allouées à un lait de praéirie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vie des hombres portées sur roche aux prés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on cfolle ! on cherche à (de fait) toucher-coller à cette roche aux donnéezs accortes !!!!!! on est fée sur pré comme soulevées par (on dirait) l'herbbe verte donnée, l'herbe aux données données, l'herbe verte allouée donnée comme une sorte de bonté ! on aime ! on aime aimezr l'herbe oou le verbe en herbe ! vive Déité Le Verbe ! Vive Déité le Verbe ! Verbe-Déité est aimé dxes herbesv ! vive le lait, l'herbe, la paroi de roche , l'australopithèque, les données anciennes, le tracé sur pierre comme à main levée , les roches souterrainesz, les traits, les données de b ase, le sole'il des rages, l'onctuosité des nénés ! On éime grave ici s'aventurer parmi les herb es, chercher pis que tête, le pis ! le pipi peut-etre, psi en goguette, le tracé chargé
, l'être bête, le Passé ! passé dé"posé comme une lttre. On est fée aux herbes des prés et de fait, on guette les bêtes, bêtes de trait, aller et venir sur l'herbe, se monter, brouter, s'allonger, se lécher, se frotter . On aime regardetr les bêtes sur l'herbe, les écouter, les sentir aller, peser, plomber, coller, pisser et chier. On veut cfoller à une sorte de donnée liée aux bêtes dessinées par l('homme-femme des cavernes, et pour ce faire il nous faut "parler" , dire un certain ombre de données données (ici) sur herbe et a&utres bêtes acidulées. coller = donner (on sait !). Faire = dire. Poser = donner/ Craindre = vivre/ Charger = transporter (et se transporter) /. Douter = passer. Chanter = pisser./ Poster = présenter sur roche le fruit des nénés , lait de roche ! dès lors (en effet) lait de roche ! c'est un fait ! on a traversé, on est passé, on s'est retrouvé de l'auttre c^$oté toute transformée e,n ... fée des ombres ! rage à lait ! cri de force ! passé tracé ! ça le fait ! on ose ! on force le trait ! on veut cerner ici ce qui est en termes de cohorte allouée à un muret, à un mur de rotonde , mur des fées ! on veut tracer = toucher = faire
= coller = comprendre = collaborer ensemble pour co:prendre ce qui est ici (ou pas ?) en termes de néné à lait ! on veut ici e,n,semble (fée) toucher à cette déité des déité dite des données données comme par la bande ! on est fée des fées ! on est entrées de rage ensemble pour fgormer la Fée alouée à une soryte de donnée de type prairiale : lait ? lait des laits ? vie des vies surnuméraires ! pis ? SPi ? psi ? pssssssssssssssssssssssssssssssssssss il semblerait ! on entend ce pssssssssssssssssssssssssssssssssssssxss qui serait ce pssssssssssssssssssssssssssssssss d'une vache à lait en train de pisser ! On regarde. On est née fée sur herbe moite (toute pissée) eh bé c'est pas grave, on s'y fait ! on entre ! on entre en ba,nde ! on est entrées ! on est fée des fées entrée de fait comme par( la bande en ce pré aux fées de la mort donnée (actée) comme pa r la bande (la bande aux nénés). on cherche grave en vrai à cfompre"ndre, ce qui est ici ou pas qui nous regarde (regarderait) en face, droit, comme campé, devant soi, pour (qui sait ?) l'éternité. Et voilà pour quoi on chante ! on est fée qui en vrai voulons grave chanter la chanson des prés ! charge docte = paroles fortes = traits de choix = vies d'ombre = vies des vies de porte = chalutiers sur
chalutiers sur ordre !
on est nées ! on est nées ! on est nées ! on est nées ! on est en vrai nées ! ailes au débotté ! déployées ! le passé tracé ici se déploierait pour former la fée ! la fée des ombres ! fée d'ombres ! fée des fées sur pré ! on aime son traéit , son tracé, sa forme. on veut toucher à déité dxes déités de porte ! chalutier ! chalutier sur ombre ! on vgeut toucher au chalutier, des ombres portées et autres anfractuosités liées aux ... nénés ? qui sa&it ! on cherche à trouver-déceler ce qui est qui semblerait être (de fait) une sorte de Verbe alloué à une V2rité elle-même allouée à une sorte ici de Déité liée ... aux nénés ? aux seins de Carême ? seins donnés offrent du lait ! lait celte ! On est nées fées comme à la retombée "après" le cimeztière, et nous voici comme projetées (sévère") sur ce pré aux herbes vertesq, prêtes ou rendues pr'êtes à du coup chercher qui c''st , en vrai, qui n,ous cherche , nous observe, nous veut en entier, chezrche à nous happer ! on ne sait ! on est "bêtes" ! on eest bêtes d'ombre" ! on ne s&it pas en vrai grand-chose sur grand-chose c'rst benêt ! on voudraiyt ! on aimerait beaucfoup ! on voudrait grave ensemble comprendre les données les plus profondes, ce que c'est, ce qu'en vr'ai c'est ou pas, à quoi ça ressemble , comme forme, est)-ce une sorte de ... samba ? danse folle ? transe-nouba ? tralala-parade sur paroi ? on cherche la porte ! où donc est la porte ? qui va là ? qui colle ? qui veut ça : la rage de base ? qui est là pour ça : toucher grave la paroi desx rois-reines de Saba ? On entre à pas cfomptés ensemble sur lesv doigts de pied. On fait gaffe à où on met les pieds. On est pas tranquilles tranquilles. On se dit que désormais le Passé fait foi, qui pèse sur paroi de tout son poids (acide) de bêtes de somme et autres bêtes de paroles fortes. On est accolées en tant qu'ailes de fée, et du coup on s'envole ! on vole ! on monte ! on est bête-fée pouvant monter en force ou pas mais nous envoler et du coup tracer comme au pied levé sur paroi des traits, qui , traits,
montrent la douceur (candeur) de ce qui nous plaéi^t en vrai. On est femme-fée, sachant tracerdes tréits sur roche : fruits des fées (des fées des féesz) des données vives acidulées, lait ! lait des léits ! laits doctesv ! lait de porte ! On essaie de pour le coup nous rapprocher de fait de cete entrée due bout du mondfe. Porte nacrée ! porte dorée on dirait ! le lait ! brille le lait ! brille brille Lait des laits ! On imagine ! on s'imagine téter ! téter dans la mort le l ait ! on s'imagine en vrai dans la mort téter ! qui on est ? on est la fée du pré, ailes dou
blées on renaît en force la paroi passée, tracversée, par le Verbe acté d'une sorte de passage outré ! On veut toucher à ette Déité des données dernières , qui c'est ? une sorte d'elfe ? chair à pâté ? vie ancrée ? chair des données du verbe tracé ? cri des cris sur pré aux herbes allouées ? Vache à lait collé aux herbes ? On est nées fée sur nherbe donnée, on mate, on mate grave, on reste là grave à mater (sur pré) les sarabandes et autres cavalcades surmenées ! On danse ! on est fée des fêtes ! on danse en transe ! fée des fêtes dee paroi et &utres nouba ! on danse en transe , on aime ça : et la danse et la transe. On cherche à traverser de fait la roche aux données, données de colère et autres sentiments exarcébés. Qui on est en vré&i ? AILES ! AILES ! AILES ! AILES ! AILES ! AILES ! AILES ! AILES DE PAROI ! AILES-BÊTES DE PAZROI ! AILES-BÊTES ! BÊTES D'AILES DE PAROI DE ROI / REINE DE SABA ! on cherche ! on est accolées exprès pour de fait chercher (ensemble) que tu chercher as, la raison première à tout ce tralala, le pourquoi, les données sévères, ce qui est et ce qui n''st pas, en termes dee paroles ou verbe de paroi post-cimetière. On est là pour ça : creuser ! chercher ! oser ! faire ! dire ! pisser ! compter ! tracer ! finir son tracé ici à main levé sous un ciel de traine ! chier qui sait ? on aime ! on aime chier ! onn aime aller post-cimetière à la recherc he de données données surnuméraires acidulées comme du lait ! on aime le lait ! vive le lait ! vive ce qui est du lait post-cimetière en
ces contrées ! pré ! pré d'herbes ! champs donnés ! on cherche de fait à cerner les données telles qu'elles se prése,ntent à notre nez ! qui on est ? eh bé oui des fées ! fées en herbe sur herbe de pré le cimetière une fois passé, c'st-àdire la mort actée ! ou à la mort actée, à notre mort comme entérinée ! On aime ! on vfeut toucher ici le nacré-sacré salé-sucré ! l'herbe ! le lait ! les données l;actées ! le Verbe ! le verbe)-lait ! le lait- verbe ! Verbe laid des donné&es somùaires et cependant voi:à on cherche ! on ne peut nous le reprocher ! on cre"use sévère ici le verbe cde la foi dans l'ombrte, la paroi, les traits, les données (de base sucrée), la nouba et les nénés tu penses ! vive ça ! vive les vivats ! lait de rage ! lai-t de base ! laéit tendre ! charabia ou pas le lait est là qui porte sa rage ! on y croit ! on entre grave ! on veut toucher à cette chose d'une sqorte de paroi de rage ! lait d'antre ! la&it de l'antre ! parade sa&uvage d'animaux en transe ! traits de rage sur paroi de ba se ! Vive ça : le boyau ! l
'entrée papale ? le tracé sondé ? le passage vers la place aux données données de type lacté ! On entre ! grotte fauve ! on entre à deux en cette grotte nue ! on est accolées ! on fait corps comme qui dirait ! on veut de fait rester accolées ! à la une à la deux on veut sauter, traverser la roche et passer du cdoup de l'a&utre côté afin de cerner (comprendre) les données premières de la mort à l'oeuvre : un pré, de l'herbe qui est verte et bien fournie, herbe verte bien fournie à de fait brouter sans discontinuer. on aime l
'herbe. L'herbe verte, le pré, le Passé déposé, le Verbe, Les diverses bêtes ici installées comme à l'accoutumée : betes cdes prés, des forêts, des champs alloués à un tracé. On aime aller, virevolter en tant que fée. On est fée aux herbes ! On veut coller ensemble à la paroi du temps. Toucher grave, toucher sévère. Faire ainsi ensemble corps en tant qu'ailes allouées à une sorte de parole docte, fruit de saison, corps des ombres, portion. On est papillon ! fée des ombres = cfomme un papillon ! On vole ! on monte ! on grimpe raide sur cloison ! on veut téter -gravir, toucher-lécher, faire et donner, dire et composer une sqorte de tracé à main levé sur paroi de groote : fruit de la passion, bête de roche, c abvalcade groosse, polissonne. On erst née fée sur pré du fait qu'on est passé d'un trait d'un wseul comme à l'unisson ! chose ! cause ! cloche ! coche ! lait des laits sur roche ! on est fée ! fée des traits de roche
à l'unisson, on porte la cloche ou le clocheton ! on vole !
4/10/2024
On regarde ce qui est qui se présente. On est deux ensemble qui voyons les choses qui, ici, se présentent, s'offrent, se donnent à voir. On est comme (de fait) soudées et on mate ! on voit ! on discerne ! on tente ensemble de comprendre ici et là ces choses qu'on voit qui sont des convois de bêtes de rage ! on regarde ! On voit ça : ces traces, la pampa , la rage des données rupestres, ce convoi de voix ! on voit ça ! on est comme adoubées (de fait ?) par la bande et du coup on trace ! on y va ! on file grave ! on enttre !
NOUS VOILÀ ! on est comme adoubées ensemble "à tyoi à moi" par la bande rupestre des données de base devant soi, à savoir : ça ! ce qui ici se présente en forme de paroi ! LA chqance ! on y croit ! on voulaiot ça et voilà qu'on y a droit ! on est comme vernies ensemble à la parade ! quelle chance ! On voulait c'est vrai ensemble cerner et toucher , soit comprendre et pas à moitié ce qui est qui se présente en termes de paroi, et voilà que la chose en soi se présente, s'offre là comme une "offrrande -chance" !
on est là de rage ensemble l e coeur roi, on entre, on est e,ntrées ! on veut :
toucher , cerner, cerner, toucher, et du coup en avancer dans les connaçssances , dans les connaissances concernant la Reine, la Reine et le Roi, le travail de soi sur la lande et autres faits de joie prairiale genre saturnales ! On veut toucher " à satiété" ! on veut grave arriver ensemble à comme si possible se (au mieux) situer en cette lande des données (rupestres) millénairzes ! on en veut ! On aime creuser ! On veut le mùieux e,n tyermes de donné"es de rage, on cherche à comprendre ce qui est qui se prése,nte (art) en termes de données rupestrss. Ce qui est et ce qui n'est pas,; et on en avance ! on veut ça : la Rage , la Par(oi, la Trace des Rois , Reines de Saba qui dansent comme à la parade ! On est là ensemble "toi et moiu" pour comprendre (de fait) ce qui est de base ,
gentes dames, fées des fées, rougeoiments iintenses surr place ! On s'avance ! On veut en vrai toucher à cette sorte de pelote , de tracé de fait rondelet, de grotte ronde, de colère monstre en forme de pelote : nerbvosités ! On aiùmerait en vrai ensemble, toucherà cette cbhose, d'une sorte de rotondité, qyui serait,
comme il paraît, grotte , grotte allouée à un hôte, genre Mastodonte,; mais qu'est-ce ? On ne sait ! on cherfche wsur le fait ce qui est qui est mais vas-y comprendre ! des nénés ? qui sait ? Des traits de parade et autres faits rupestres comme s'il en pleuvait ? ça se pourrait mais c''st pas dit en vrai !on cherche ! qui on est . Fées des fées peut-être = ELLLES . On est ELLES car on est AILes (dans la mort actée, délivrée). On est(comme) ailes = elles = féesc ! on volette ! on aime ! on aime sévère ! voleter-tracer. On aime grave voleter-tracer,
on aime grave voleter-tracer et voilà on trace ! on avance et on en avance ! On aime grave en avancer et en vrai on en a vance grave ! on est là ! on grave les données rupestrss "à toi à moui" sans débander en tant que fées surnuméraires deRoche Allouées (attitrée). On trace ! on y va ! on entre fissa en cette roche de paroi de grotte : waouh ! ça dépote grave ! on entre et wouah, ça le fait frontal de type paroi (ou pari"tal) , c'est ouf ! ça nous plaît des masses ! on avance : toi et moi. On ime la Paroi, on aime ça ! On veut gravir "les échelons de l'âme " cvomme qui diréit ! On veut tpoucxher /... Déoité des D2ités et autres divinités notoires. Qui on est ? On est des fées ! deux ailes allouées à une mort actée comme suppllantée par , qui sait , .... l'herbe ? le verbe ? l'herbe du verbe ? Le tracé prairial ? la de les ? la chance de ces prés ? On entree et du coup on trace, on avance, on court on vole, on est acculées ou comme acculéez ensemble à devoir tracer (par la bande des p^résq) les mots dits de rage et autres Verbe laid, comme une sorte de Parade, acidulée, sucrée , Romance cde Taille, on entre. On veut toucher à cette Déité des Déités Notoires : "qui c'est ? c'est L'plombier" ? la de les ? la trace des nénés sur place ? On ne sait ! Du lait ? qui sait ? ça se pourrait ! ça le ferait grave mais qyui le sa it en vrai ? On cherche ensemble à contourner, cet ensemble de bhêtes nacrées a llouéesz à un pré dit "de contrebande " ? on ne sait mais en vrai ça se pourrait parce qu'on est njées (en vrai) fées ! fées des ombres, et du coup il se pourrait que l'Homme , l'HOMME xdes tracés, soit commùe t"travaillé" en luipar un re"mords peut-être de tous les diables et auttres saints de rage ! On voit l'ombre sur le plat ! On creuse, on ponce, on cherche à toucher, on veut grave nous approcher ou nous rapprocher de la par(oi finale, la de les ! la paroi des fins de base ! On aime toucher ! On est passées ensemble comme à la parade età présent, on chervche à comprtendre ensemble ce qui est qui nous regarde et pas à moitié ! en vrai = en face ! elle nous mate ! elle ne nous lâche pas d'un pôil ! elle n ous reluque (grave) sans discontinuer cde base ! On la voit rageant, rageante ? , après nous constitutivement car elle nous voit ailées ! et ça l'emmerde forcément vu que voilà, elle nous vgoulait "vivant" et nous voilà "traçant" sur roche ... lkes nénés de l'âme ! oh ! on dirait un chant (cvhamp ?) qui serait là, comme par chance, alloué à une sorte de Romance (du Foyer) ! On est passées ! on est entrées ! on est femmes des prés (dans la Mort Notoire : Fame !) On a grave envie de dérouler
on a grave en vcie d'en discuter ensemble, cerner, déchiffrter, comprtendre = cerner = entoiurer = embrasser = ceindre = manger ! On est ensemblke nez à nerz (?) ou sinon nez à nez nées ! on est nées de rage ensemble sur nénés ! On tète sur pré ! On aime le lait ! la rage, le sent-bon, la trace, le moelleux de l'ame, l'enviro,nnement ruprsretre de la Rage xd'être et autres rages de salon (on aime). On est deux (ailes) de pa rade sur prairie de base. On veut :
toucher
toucxher grave
toucher ensemble
ensembkle toucher
toucher de fait les nénés de l'âme (du pré ?)
On veut ou on voudrait ensemble en vrai, touchezr les nénés de la roche imberbe et autres rocs des prés alloués au Verbe ! On est qui ? quête ? ça se pourrait ! On cherche ! on n'(arrête pas de chercher ! on cherche ici, on cherche là comme le furet car "on y va " ! on accélère ! on y va fissa ! on aime ! on est là pour ça : tracer que tu traceras des fils de soie surnuméraires et ça le fera, des fois qu'on soit comme (ma foi) des Fées , Fées des fées et ça le fait ! On est entrées en cette roche dite "des Prés" et à pré&sent on gagne la contrée finale = les confins, afin de comprendre, ce tracé, cette Chose, Enclos d'ombre, quoi c'est en vé&rité&é ? eh bien peut-être une sorte d'antichambhe à . comme il semblerait, quelque chose d'auttre de type "non-ruperstre obligatoirement" ou quelque chose d'autre ! On est cotées en tant que fées : appréciées . On est allouées à une Roche nommée. On s'approche des FIbnalités, mur de rochje, fin de grotte, fin des fins de l'Ombre. On veut touchger cettye sorte ici de Roche Allouyéecà une sorte de Finalirté accorte, ou sinon accorte sympathique, du fait (avéré) qu'elle nous attise ou attire,qu'elle nous cherche un peu , nous veut ! On est cfomme scotchées de près ! Ailesde fée ! sur roche mobile , on est près (tout près) de passer = d'y passer ? on est accolées ! On colle aux nénés prêtes à têter le lait ça le fait ! On veut TRACVERSER TRAVERSER
la ROche des prés = finalités, dxes données acides (lucides, éclairées)/ On est comme alloyuées (ensemblke) à une sorte (en soi) de vérité des bvérités notoires, à savoir ça, fcomme quoi la Roche (la p aroi = la pampa) est Roche des Rois, REines de Saba et autres Princxes / Princesses de base, qui "envoient", qui grave "envoiuent" et pas pour de fau ! La p aroi des Parois envoie et comme il faut ! Elle envoie du bois ! Elle gagne ! elle pousse le Vezrbe(ou du Verbe) haut ! elmle trace de rage ! montre quoi, montre sa rage d'être ça : l'antre , le creux de la vague, o'ouvre-boi^te ? ou pas maios voilà : on entre en cettre sorte d'antre de paroi de roche et là (le pré) on court on vole ailées , on est ailes sur pré (= ELLES) comme s'il en pleuvait (plxeurait ?) de rage ! Rage de la foi, des données maussades, des bases marquantes. On veut ou on voulait tr acer ensemble eh bé c'est fait ! on est entrées ! on est acculées = accolées, à cette bande de opa roi de rage , et on trace (à main levée, et aussi de rage, il semblerait) les ... nénés de l'âme ? qu'est-cde que c'est ? cd'est comme des nénés (seiins de contrebande) mais /... armés ! oh c''szt vrai ? ouais ! oui ! oui cf'est vrai ! On voit d'ici (de base) les nénés, se monttrerrr , et nous (ailées = fée) d'y aller, d'aller vite vers ce fait ! cette chose allouée à une sorte de ... fin de rotonde ! en creux ! seins de roche ! c''st moelleux ! onctueux ! doux-soyeux ! c'est mieux que la Roche aux données rugueuses et autres vives alacrités rocheuses ! sûr ! On veut ! On veut :
tyoucher moelleux
téter le lait le mieux
toucher les nénés des dsonnées acides
faire de son mieux la chose placide
comprendre = aller = dire = faire = donner = cerner ce qui est et du coup ou du même coup ce qui en faiot n'est pas du tout du tout mais semblkezrait en vrai être comme une sorte de ... coup donné ? on est nées fée de fait car on est nées la mort une fois actée (entérinée) . Nées Fée cde fait la mort allouée ! Quand on meurt cf'est pôur la vie ! Quand on ùmeurt on passe direzct cdes rages terrsztres, ici données , à une sorte de pré aux fées, pré des fées et auttres attributs de rage de type bêtes-mots de base, bisons-mots, carosses, chevaux, buffles-morses. On veut aller dans un boyau ! comp)rendre = toucher (à satiété) les nénés de l'âme . qu'est)-ce que c'est ? Eh bé, on dirait que ce sont des nénés comme donnés à qui en vrai aime ou aimezrait grave le lait et autres semences ! On est prêtes ensembke à y croire mais en vrai (en vérité) rien n'est fait concernant ici cette croyance, ce trait, cette chose allouée à un trait de rage, chose rude-dure mais du coup "tenable", "contenable". On veuit toucher à) cette Déité des contrées finales (des "rotondouités") et pour ce faire, à la une à la dfeux, on trace sur terre à qui mieux mieux, la ligne des fées ! La ligne allouyée à un tr acé de fée ! fée d'armes ! On s'arme ! on est fée armée ! une fée = Elles = Ailes = deux ailes = Dieu ? On ne sait mais on est comme ici cernées par une Paire d'yeux ! qui ne cessent pour le coup de nous mùater comme si en vrai on était en effet Fée, qui volions, voulions voler, voleter , en ce roc des roches "Cavity" ! On est tarnaises anglaises, ou on est anglaises par la fée et tar,naise par les faits, ou sinon quoi d'autre en, vrai ? Fée des Fées des b ases allouées à une sorte de Romance : on croit rêver ! on en avance ! on veut toucher ensembkle les ,énés notoires (FAME au Débotté ) et du coup tracer, cerner, dessiner
les faits, cdessiner l'aurochs de base,; le salé et le sucré, l'ombre sur le pré, le bison futé, la salamandre, l'oiseau aux traits, mandragores au ^poil près. On est
comme devenue Fée au pasdage de la mort actée on dirait. On est mort (homme au singulier) nous voici de fait transformé en fée, = transformée ! transformée = devenue = changée = vue ! On est Fée de base la mort advenue ou venue ! On change ! "é " devient "é /e" et c'est marre ! qui dit mieux ? on est doublée ! doublé -"é", puis comme (une fois passé) doublé - "é/e" à la retombée ! commùent "conjuguer" ? On voit que c'est pas si facile en vrai de pouvoir tracer de fait ce qui est, cette chose d'une sorte en soi de changement de roche sur paroi ! on voulait en vrai ensemble comprendrte les données de b ase, mùais quoi ? devait-on comprendre ensemble le pourquoi des artmes ? le pourquoi ou le pourquoi pa s ? On ne sait pas mais on en avance (sur paroi) bon an mal an comme à la parade ! On veut toucher grave = cerner = dessiner des bêtres , bêtes de foire, fêtes
lambdas, lambada, danse et transe, on voit ça ! ça chante ! ça envoie ! ça entre en transe devant soi ! c'est une chjance (pour soi) d'être de la bande et de pouvoir comprendre (une fois) à toi à moi les données frontales et autres gestes de paroi de f ace ! On enttre fade, on trace, on passe, on se retrouve rehaussée en tant que Fée Ailée comme un fait excprès, ça le fait ! ça le fait grave ! ça impacte ! ça envoie du bois ! ça charge ! ça cherche Romance sur PAroi des Rois et RTEines de SAba ! ça y va ! on entre ! on est acculées -accolées ... et on est Fée ! fée des Ombres Portées ou comme reportées sur roche :"qui,nc'est ? c'est l'plombier", comme dans la Romance ! charge donnée , sur mulet, dos damné, poids des prés ! "l'plombier de la CXharge" on dirait ! On est née Fée la mort venue, nue ! fée nue on est, ailée, sur le cul ! tombée ! sur un pré ! herbe^verbe au débotté ! on est née FEmelle = Ailes = Ailées = Elles = Elle = Fée des fées agraires ! fée femme ferme ! On est couillée
peut-être mais pasz à jamais car... une fois trépassé, homme, on devient Fée, femme , à jamais, donc "dé-couillé" ça le fait ! sombré ! on est trépassé = on a sombré = on a failli = on estmis plus bas que terre = enterré et c'est bien fait ! on re-naît ici (le pré, le p aradis) Fée, soit ailé comme une fée,; dfonc transi ! ficelé ! touché ! nu et comme soulagé d'être enfin devenue "celle qu'on était de faiten tant que telle en soi une vie
durant sans pouvoir lr'être en vérité". On est re^-né ! hé ! vivacicté, on
est devenu Fée à tout hjamais la mort venue ! ça pue ? ça pue du cul ? Pas sûr ! au contraire ! c''st un fait des fées, genre un délice de cl arté ! On est né Fée comme à la retombée ! ça le vfait ! c''rst un fait avéré ! On aime changer ! on aime, grave, changer de sexe ! on veut grave cha,n,ger et pour changer en vrai il faut comprendre les données de base, ce qui est en vrai à l'intérieur des êtres de la roche nue (traversée) telle qu'elle nous apparait "au cimetière" comme qui dirait. On est comme cerné de près par une sorte d'ange, MOrt-Duivinité, qui de fait nous guete grave s ans discontinuer car il nousq veut en vrai comme donné "de fond en commble", et sans sourciller, c'rst-àdire sans que nouys (nouys-mêmes) on sourcille, ou szourcill^at ! Or voil:à : nous on veut ensembkle passer ; passer d'un trait de rage la p aroi des Rois et REines de la mort en acte, et là, u ne fois qu'on est passé, que le Moi est passé ainsi dédoublé comme il sembvlerait, soit Ailé (aimé), alors ... on est une Fée ! on s'est transformé en Fée et du coup on devient ailé, fée ailée, Homme mort (enterré) devient fée ailée ! Elle = ailes !
On sait les données rupesgtres ce que c'est en vrai à présent, o,n sent ! on sent bien les choses, les données rupestrss : le sens de la roche, la cloison, rotonde des prés, charge forte desbv troupeazux de roche ou dits de roche, on est là en,trées comme allouées à ces troupeaux de roche;, on est née ! FÉE des présw ! On veut toucher à ces nénés des rages et autres Remontées ! On veut tpucher ensemble à ces nénés, ces bases rupestrzsq, alvéolaires, commerçantes, changeantes ou pas mais proches de soi, de cette sorte en soi (en nous) d'âme de base ! fée femme force la CXhose, à ... parler ? prononcer des mots de Roche ? tracer , le Verbe des p^rés? dire haut et fort ce qui lui paraît en termes de son alloué à une clarté ? On est ense'mv
ble comme "traversées" par une sorte de p arole forte ! On vgoit ça ! la roche ! la paroi ! le Roi ! la Reine de là ! le prince mordu , la princesse large ! On est nue de base (fée) allouée à une Sommité, dite "de la base (le cul ?) et des nénés " ! on dirait ! On est nées sur le cul ! on est velues, ventrues, couillues plu, mais vraiment cornues qui sait ? On
est remontées = tloutes remontées après Déité qui nous voudrait comme "trépassée" quand nous on veut duerer jusqu'à pouvoir téter en vrai les "nénés de l'âme" ! Mais ... qu'est-ce donc que les "nénés de l'âme", ducon ? Zh bien ... On cherche ! on rezgarde p ar là si des fois ... ou alors même pa r ici , on ne sait pas ! On cxherche ici et là dans la paroi, les données de rage . On y croit ! on se dit qu'un hjour, un jour ou l'autre (impossible auttement), ça le fera ! ça finira bien en vrai par rendre, rendre quelque chose, impacter, donner du blé, du f il (du fer ?) à rtetrordre ou auttre chose mais de fait ! On y cfompte ! on veut aller ! On est doctes ! on est nées doctes fortes dans la mort "de roche" , on fonce ! On veut grave toucher les choses, d'une sorte de
Donnée comme
😀😀
personnnifiée, transformée, allouée à une roche des confins ! qui c'rst ? c'st un fait ! iune sorte de donnée de roche transformée en Fait dit De Parole ! on est doctes ! on veut coller à cette roche des données, de Fin de Rpoche ! Qui on est ? eh bé puebt-^tre ... ELLE ! La donnée donnée ! le fait ! la roche des faits ! roche en herbe ! On ne sait ce qu'on est en vrai, et cependant on cherche (vgrave) à (de fait) cerner (ensemble) les données rupestres, les chevzaux sur pré et autres bêtes-mots surnunméraires alloués à une roche "imberbe ". Qui on est ? DEs fées ! des fées de l'herbe ! Fée du Verbe alloué à xde l'herbe à brouter par des V aches à lait Divinisées ! On les aime ainsi ailées comme nous mêmes ! on aime être Fée,; Fées des prés, Vaches à lait auprès. On est p^roches d'elles : on les aime ferme ! On aime aimer l:es vaches à lait nos soeurs en herbe ! vivacité sur pré des fées de Carême ! On court on volette ! On est nées fées en tant que telles sur un pré donné (carré ? ) qui est le pré des données rupestres des âges avancés ! des données vieilles ! des données alouéesz à des temps reculés ! On aime ! On veut
TOUCXHER
TOUCHER
TOUCHER
TOUCHER = cerner (dxe près) les donné&es a graires : fruits des fées données par terre, sur seuil alloué à un cimetière, ou sorte de , en soi, cimaetière des aieux aieules. On veut toucher à cdette sorte de divinité notoire ge,nre Passivité (?) , Passion aux fées (?); Passé Composé ? On cxhezrche à comprendre en vrai (en semble) les données de Charme, Données doctes, Cris de Roche, Passdages pour une ezmbardée (fumax !) au sein des données, des données des RTzages. Embardée des Embardées ! On enttre ! on est entré dxans l'antre (homme de peu de foi ?) et nous voilà "ensemble" transformé hé hé en Fée des Rois etr RTeines de Saba ! ça le fait ! c'est notre chance dit e "de paroi" . On est entré xde fa ce nu, nu comme un cu, et nous voilà "de l'autre côté" devenu ailé = ailée;, à la retombée ! on a gagné le E de l'âme ! de la meu ? de la meu de l'âme ? On a gagné un E de rage ! on est Fée ! On est en vrai devenu ailé et, de ce fait, nous voilà comme nanti d'un E de base comme consacré ici par une sorte de Divinité, Divinité des Déitésq, déité des Divinités allouées au passage "de vie à trépâs", comme !il se doit ! On aime toucher à cette sorte de p aroi, a ux données "immenses", gravess = charge, charge d'âme ! On veut ! on aime et on veut ! On é&ime toucher + ; mais aiussi tracer ! dessiner les bêtes, les bisons et les phacochères. On aime aller ailées sur pré ensembke (main dans la main) = elle ! = la fée , aux ailes a llouées à un corp^s dit sucré-salé tel qi'il en nait dans les cimetières toute la journée. On est Fée ferme ! Fée cdes Fées et autres Déités ailéesz pêut-être. On cherche ! On veut
TOUCHER = dire = faire = aller = centrer = comprendre = cerner = charger = chanter = ici même ch anter kle dire des prés, la charge mentale (frontale) d'une masse docte, d'un poids de paroi, d'un ensermble alloué à une charge crasse ! On veut
TOUCHER = TOUCHEZR LES NÉNÉs, les nénés de l'âme ! or, les nénés de l'âme, ces nénés susnommés, qu'est)-ce en vérité ? des traits ? dxessins et ombres sur roche gravée ? des traits allouées à des roches sardes ? on cherche ensemble ce qui est, ce qui semble être vrai ou semblezrait, on aime ! on aime chercher ! On VFoudrait ensemvvble de fait, comprtendre ce squi est, en termes de données de base relative au lait tel qu'on peut le tétter direzct sur néné ! sur néné de femme sarde ! est-ce vrai ? sarde ? sage ? sage femme ? fe:mme sage ? sarde ? sade ? sade et sage ? sade = le contraire de maussade. On est né Fée comme de contrebande la mort (une fois) donnée, nous voilà dès lors à vouloir chezrchezr (de fait) les nénés de l'âmec = le , lait ! Lait des o=mbres ? Lait d'homme ? lait des la its .? Lait du petit l ait ? Lait petit des laits de base soutiré ? On cherche à cerner (ensemble) ce qui est, en termes de "l ait tété ou soutiré " , on est allouée (ensemble : ailes) pôur du coup ou pour le coup voler sur roche, au sein de la grotte, soit nous envoler, et grimper, monter, aller haut en cette "cheminée" de grotte de fait allouée à une sorte de donnée de type Déité (Divinité) surnuméraire, genre ... Néné ! est-ce vrai ? Déité = lait ? Lait (des nénés de base) = D2ité ? on voudrait le croire ou pet êtte ensembvke, envisager pareille donnée afin de l'explorer, de la cerner, de chercher (en sembkle) ce qu'elle contiendrait en termùes de données de type vérités, concernant "l'au-delà" ou "l'au-delà à la p aroi". On cherche ensemble (fée) à du coup en avancer en ces donnézs de base concernant la mort, Déikté, Divinité des mots donnés, charge docte allouée à un front de roche dure, mûre. On est fée des fées , contenues-tenues, sur pré, par deux ailes trac&ées comme au pied levé par comme qui dirait un être des temps reculéx det ype né andertalien, néandertalienne. On cherche ! On veut toucxher = trouyver, et pour cela : gratter ! tracer de prsès au pied levé à main levé les mots de roche qui en vrai pourraient (aux "yeux" de la moprt) le faire ! impacter sérieux ! faire croire = a ccroire , et du coup ... faire
ainsi qi'on puisse u n temps encore durer allouées , allouées à une roche de type genrée, sexuée, ce qu'on veut de fait en termes de Je, mais comme main^-tenu (en creux) en ce feu, e,n ce pré aux données bestiales. On veut (de fait) rester , "dans ce creux de la vague", c'esst l'endroit le mieux ! On a grave envie-besoin d'aller ensemblme (à qui mieux-mieux) loin, au plus loin vers ce Feu, dees âges avancés, des temps lointains dits reculés, avancés ou reculés de fait = VRAIs ? ou sinon VRAIS, AVÉRÉS ? On est comme acculées ensrmble à du coup chercher à peut-ettre .../ toucxher ? toucxher aux nénés de ... l'arbre ? l'^$ame millénaire = l'(arbre ? On veut toucxher à une sorte de donnée de base, située, en vrai, face à la plage, face à elle , la tempête sarde, les remous, l'ombre de l'arbre sur nos genous ou commênt comp)trendre ce qui est en ces contrées chelous ? On est miséreuses
de façaade, mais voilà, on est ... sage ? sarde ? née fée du fait qu'on est passée = trépâssée ! On voulait aller (ense'mble !) charger ou voir à charger de base la paroi d'en face ! à la une à la deux ! foncer ! contrer ! taper ! cogner de fai t comme avec un bélier pour entrer, traverser de rage laz paroi des flammes ! aller de ce fait de l'autre côté comme à la p ar ade, et tyoucher ! tyoucher l'autree façade (pour le dire vite)- xde l'autre côté = fin de salle ! traversée étrange (en veux)-tu en voilà) et nous cvoilà, toutes, remontées allouées à une sorte de oparade sarde, fête desféesz, gentes dames, Fée des Féesq, on est acculées ! On veut aller,k toucher, cerner, contrer, dire et placer sur roche
x mots de bhête, = données, données certaines, sensibiljtés, charges sur pré, dominicités agraires et autres vilosités non épilées pour mieux lui plaire (à cette déité des déités des plaines et autres prés d'herbe). On veut :
toucher ! Toucher vif = à vif ! On veut :
dire et aller, faire et cerner, comprendre et allouer, faire-dire = comprendre-cerner, de fait, les données données par UN "CIMETIère de données" . quand on naît c'est pour la vie ! on est bêtes des prés allouées à une sqorte de Passé commùe Distingué ! Qui donc voudra cerner en v rai ce passé, ma intenant que démontré ? on ne sait ! on veut touchezr -aller, soit passer filer(, cerner = pisser, de rage, le pipi de l'^âme ! le pipi de l'âme" ? allons bon !!!!!!!!!! q'est-ce ? qu'est-ce donc que le pipi de l'âme ? une sommité ? un trait ? une sorte de dessin sur roche ? un pipi de V ache ? ah, ça se pourrait ... mais en vrai peut-êztrte pas , pas de vache ; de paroi ? pip
i sarde de pa roi ? de la pisse chaude sur pâroi des rois ? pipi szage ? pipi d' art ? on entre ! on entre dans l'antre ! On veut toucher à cette sommité tracée = dessinée su-r
roche, dont le nom de fait est V2RIOT2 des V2ERJIT2S , en vrai. On esqt nées fées comme à la r etombée une fois mla mort allouée à une vie passée. On est femmes des prés, charge d'âme olé olé on dirait mais ce n'est pas vrai ! on est pas olé olé ! on est nées femmes (femmes = fame) la mort allouée car on est nées fées, c'est un fait ! homme mort = femme née ! l'homme (et consorts) va (vont) dans le pré chercher à s'enterrer, à jamais , et ainssi trouver où pouvoir donnezr (un endroit idoine) ce qui est en lui, ici (mort) , qui puissee "donner" , "donner de la fée" si tant est, et tant est ! car , fée = fe=mme = faille = anfractuosité "des nénés " (?) ou alors quoi d'autre qui pôurrait nous aider, à (pour le coup) aller = tracverser ? On cherche à cerner grave les données ! On veut toucher à cette déité Notoire Illustre Renommée, dont le petit nom est Vé&rité, Vérité Déité est son nom complet, et nous de cherchezr, e,n tant qye fée (homme mort-né transformé en fée) , à cezrner, toucher, toucher-cerner comme p ar lna bande du Verbe Alloué à une Romma,ce, cette sort e de Donnée Donnée ou Donnée des Données . FAME? FAME DES PRÉS? FAME FAME = FAME SARDE ? On ne sait en vrai ce qui est, mais on est qui chervchons grave ! voulons cvomprtenxdre ! cfomprendre = toucxher mais toucher quoi sinon ... des nénés, c'est ça ? les nénéds de l'âme ? de l'arbre à vérités ? On est née fée au passage (de vie à trépas) et là, une fois née, en ce pré de l'au-delà (pour ainsi dire), on y va ! on ne traîne pas ! on ne lambine p as ! on doit, toucher ou alors : arriver à toucher , l;es nénés de l'âme ! de cetye sorte de Donnée
de Fable , de Donnée tracée, de do n,née crasse ou de donnée donné comme par la ba,nde et ça le fait ou ça le ferait ! On est comme cernées eznwemble par , en vrai,
une sorte de Donnée ... "Ineff able" ? Une sorte de donnée des rg ages ? On est femmes de p aroi céleste. On veut ensemble en tant que telles, comprendre les dponnées de base, et de ce fait nous projeter, aller, filer, nous pousser comme par la bande, à chzercher à comprendre le Passé ce que c'est en termesq d'offraznde à Déité La Mort : pis-aller ? oh, ça se pourrait ! ça wsee pourrait que le Passé donné (sur pré) soit ce pis-a&ller / trompe-cvouillon qui en vrai le fezrait (un Temps) aux yeux de la Mort, mais voilà, on ne sait pas vraimentce qu'il en est de ce p assé représenté, déposé, posé sur roche (bêtes-mots des omb res) , ce que c'est et pas, ce que c'est et ce que c'est pas. On veut toucher de fait les données rupestres, en vrai = concret !On ne veut plus transiger ! On veut tracer ! cerner ! pisser-chier de rage sur paroi des âmes ! pissouil:ler = dessiner de près on dirait ! comme en vrai ! On est Fée des fées allouées à une sorte de parade sage (sale ? sarde ? ) qui nous pla^t ! On avance ! On est fée des fées sur pré , qui vo nt chercher pitance, mots -des -fées, charges folles, conséquences et causes comme dépliées. On veut toucher à cette Déité du bout du m=onde. On est des cfées ensemble consacrées, du fait des nén&és qu'on cherche à toucxhezr et à téter, et donc voilà, on est adoubées ! on est reconnues comme fées des fées qui chervhent à téter ! on est repérées = reconnues =
adoubéeezx =cernées = touchées ! On veut toucher à notre tour les nénés de l'antre ! On veut loin allezr pour de fait toucher , toucher les nénés, l'herbe haute, soit ce pré aux données de ronde, ces données de fronde, cette sorte de pilosité comme allouée à une sorte de donnée ronde ! sein lacté ? sein des seins lactésv ? sein = saint ? On est née fée sur roche tracée par des holmes-femmes (femmes-hiommes) des temp)s ancfiens et n ous voilà dès lors consacréee ou comme consacrées par un Saint (des ?) qui npus regarde de la tête aux pieds et nous absoutv d'un tra&it ! on est né fée ! on est née fée ! on est nées fée ! on est nées fées ! On est commùe supllantées on dirait = transformées en entier, et du coup, d'un côté mort et enterré (l'homme tracé) et d e l'autre "envolée", fée
des fées femme, ferme, chant de gloire, seinn donné à déité ! qui le sait ? sein donné ? sein donné à une déité ????? on serait ... sein donné ????? on chzerche ! On a méga envie ensemble de trouver, dans ce co,nvoi de bêtes-mots , c e qui est en vrai, qui serait "mot" de roche", mots de trop (?)", mots d"homme" ? Quand on cherche on va, on file, on y v a, on trace ! On est fée de r age ! tralala sur paroi on danse ! on impacte ! on envoie ! on est là pour ça : monter notre charge de bras, pattes, sabots doctes, sabots beaux dondaines et autres museaux ou groin de Reine, Roi, Chants de Saba ("ça ira !") . on veut toucher à cette déité des déités surnuméraiores?;;; on veut grave toucher à cette déoté dxes déités surnuméraires de fin de contrée (ou de pré) . on est femmes fées, qui voulons ensembvle cerner les données données du verbe tel qe consacré par les fées des Herbes.
on est des fées données sur pré, on aime cerner, aller, toucher, coller, passer,; donner aux bêtes c;es denrées, fai re ses emplettes
dans un pré donné. On v eut coller à cette sorte de paroi aux herbes = pré = par adis des fées et autres créatures allouées à un pré, fée-bêtesz, fée des fées devenues bêtrsc agraraires = mots doctes. On veut aller (de fait) au plus progfpond, des grotte de l'ombre, chercher, fouiller, fureter, trouver, découvrir le trait de roche pouvant signaler le passage en force (de vie à trépas) sans se (nous) tromper. On y va ! On est femme de paroi = fée = ailée, car homme mort (et enterré) a donné ! a de lui donné ! a doknné de lui, et nous voilà comme znfin (?) consacré par.../ des nénés ? sein de sa&inte saleté ? sa&inte sarde salée ? sucrée ? salée et sucréez ? On aime les nénés , la roche sereine, le tracé tracé, l'ombre sur plaine, l'enveloppe humaine nous sied à moitié mais commùent faire qua,nd on nait d'un trait homme ou bêzte ? On cherche ! On a envie grave de toucher ensembvle à une s ommité qui serait (en vrai) Sommité des ommités sur herbe : le Verbe ? la paroi des r a ges ? VBerbe-Poids ? Verbe de choix ? On colle ! on vitupère ! on crache grave ! on ne cesse de cracher de rage !on veut souiller ! grave souiller ! on veut szurtout tsouiller la roche aucxx bêtes , par des chants de ferme, chants agraires, chants des prés, chants des champs donnés, chants des données comme
allouéees à une sorte de monts de clarté ! On regarde et ce qi'on voit nous intrigue asseez" on dirait. qui on est ? ELLE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!i!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! effe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! elfe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! F !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on est fée des fées ! 🅾️ on veut toucher à Déité Nacrée Sucrée ! LAIT 8 LAIT 8 LAIT 8 LE LAIT ! LAIT = Lait des LAITS ! on veut sucer, téter, boire le lait ! adonnéesz ! adonnées au lait sucré salé des nénées tracés sur roche cendrée ! On aimerait allzer a u plus profond téter ! on voudrait grave aller au plus profond téter ! on veut toucher tracer, donner-filer, cxerner-coller, dire-manger, faire a insi ensembvle (fée ailée) qu'on ait (de fait) de quoi coimprendre ces données (lactées) dernièresz, seins de rage, seins des seins, DEUX SEINS donés forment la donnée (ici ) dses données ! on est cernées ! rond e saluée ! on est comme cernéees en tant que fée p
âr des données de type mhurets, murs / murets des prés ! On est circonscrotes ! chine ! vie vive ! on v eut toucher à cette sorte de roto,dité
des données fginales ! fins des ombres et murs de rage comme soulevés, de face, devant soi (fée on est) qui cherchons en vrai à du coup toucher à ce muret des fin s de pré ! qui on est ? une fée ailée (passée) qui chezrche à toucher (ici : la vie ? la vie outrée ?) les nénés des ombres (hommes ?) comme soupesés ! On est néeqs (dans la mort) fée, prête à téter le néné (les nénés) de l'Ëtre alloué à une sorte de "cimetière des données en herbe" ! On est nées Fées , opn cherche à téter, à téter le lait, du Verbe, du Tracé, xdes données genrées sur roche des prés. On est nées en tant que voilà, une fée : sur toundra, sur prairie sauvage, sur pré de paroi, savane savannah, on eswt entrées ensemble "à toi à moi" comme par la bancde, et nous voilà Roi-Reine de Sa&ba là, sur roche nue, n ue comme
elle, fée nue du cul, cul nu, nue fée des prés cul nu prête à téter au néné de l'être ! ETRE sa&ligaud ? etre (fin) des données de rocxhe. On est ensemble comme soulagée (de fait) de pouvoir téter (enfin) au néné ! on voulait ! on le cvouléit ! on voulait grave ensemble téter eh b é on y est ! on peut téter ! on peut grave enfin téter l a roche des prés,Sein des dknnées, Sein des saints de base (saintes Vérités). On est née fée de rage enfin touchée ! touchée ... pzar une odeur de sa&inteté ? odeur ou moiteur ou peut-etrte senteur ou fumet ? On est nées fées de base prêtes à tétezr, de rage, le néné de l'âme = des données (dons des fées ? des ombresc portées ? des enfilades de mots allouées à une sorte de parade droite, animale, tracée ou gravée par des hommes et des femùes , hommes-femmes ou femmes-hommes, dxesw temps reculész ?) . On est né enfin fée xdes fées sur place (pré = parade = paradis) prête à être celle (ici) qui trouve (grave : ouf !) à téter en vrai le sein de l'apprêt ! de l'ambre ! du nombre alloué à une clarté ! Sein d'homme ? sein xdes seins tracés ?. Sein surnuméraire comme consacré ? sein docte ? sein acté en tant que sein dit "des do nnées", femmes doctes : = données. On est née fée des données fortes, sur roche, tracésc = trempées, et on saute ! on vole on volete ! on aime sauter = voleter sur roche ! wse montrer ainsi, légèrees fées, quand la bête rosse (sur pâroi) pèse de tout son poidfs afin xde faire accroire à la Mort que voi;là, le p assé fait foi ! le PASSÉ FAIT FOi cfomme une bêtre de paroi ! le passé f ait (ferait) foi tu p ârles, Charles ! sauf que voilà , la mort croit ! la mort gobe ça ! croit en ça, d'une sortte de passé-p arade, chant de choix ! sarabande ! Bêtes-mots en veux tu en voilà pour faire accroire à une vie pulsant, son etre de Roi , de reine mère, chant de voix
multiples soulevé ! Mort conne ! On est nées fées et on voit la chose ! On est comme nées sur pré Fée et du coup on sait co:mpter ! On est fée née sur pré, on sait compter les nombresv ! On
veut être fée des fées sachant compter le nombtre allou&é à une Somme ! sommité des prés ! charge d'ombres ! On est né&es ! on est (da,ns lza mort) néesz, nées fées des fé&es, il n'empêche : on est ! on est en tant que telle (bêtes) nées fées, et du coup on sa&it pa'rler, passer; donner, pisser, cerner, co:prendre, rechercher, szituer, coller, pousser, dire et poindre ! on a&ime ! on est fée des fées sachant pisser dans l'herbe et même caguer sans dépl$aire . On aime caguer et pisser, se vider, se soulager, faire ! dire et faire = faire et dire = donner ! donner vif de soi ou de son soi agraire sur herbe (merde, pisse, sang larvé, colère d'emprise, chine). On veut toucher à cette sorte en soi de Déité des Déité d'emprise qui serait (en vrai) Déité sur piste, chant total, charge grise, pôint de sang. on veut dire etaller, charger-p ôusser, emplir et décoller la cha rge allouée à une sommité afin de la porter, de l'emporter, de la manger qui sait. on est nées fées des fées grises, vives, non-soumises, tracées ...;.;;;............................................../...................................../.........../...........................féé des fées non-soumise ! grise ! grise et non-soumise ! grise et du cpup non -soumise ! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fées actives !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! non-soumises !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! le problèm-e c'est que dans "non-soumises" cfomme à chaque fois on entend "soumises" , ça fait suer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! à chaque fois on dirait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! à chaque fois le non (la négation) contient le oui (l'affirmation) !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça fait chier !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça fait grave suer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! car dans non-soumise on entend soumises !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! un tracé des fées ! une sorte de main-mises qui fiat grave chier et même suer ! on est née fée tu penses, pour tracer en vrai des dires de vérité concernant l'emprise de la mort à l'oeuvre , on veut toucxher ! on a méga envie ensempble de comprendre un certtain nombre de données de rage, donées fortes, folles qui sait, en tout cas cernées ou cdomme cernées (ici) de rage par la bande, à main levée, sur roche '"tendre" s'il en est, roche de paroi de grotte, roche d'antre. On colle ! il fait szuper chaud. on est dans une grotte pour ensemble (d'un seul trait) cerner-comprendre ce qui est qui va, de fait, cfomme à se donner,"à toi à moi", pour une sorte d'embardée (de base) dans la mort, danns le royaume (dirait)-on) de (qui sait ?) la mort en roche, ou de la mort sur roche. o, n cherche znse"mble, soudées (ailes), à comprendre +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est qui se présente : zqu'est-ce que c'est ? eh bien, peut-etre, une sorte de parade, parade nuptiale si tant est, une sorte de parade sarde ou comment ? sarde ou s age ? parade savante ? on eqst fée de base sur paroi de rage. On est née fée sur place, la mort venue. On pue du cul ! On est fée des prés et on pue du cul ! On est des fées de contrebande et on pue du cul. On est fée de rage et de contrebande et on pue du cul exprès, pour vous "emmerder" ! On a méga envie en tant que fée de vous emmerder (ennuyer) de fait ! On veut touxcher à cette Déité "du trou du cul" ! des nénésw ? des nénés lactés ? du trou du cul ??? des données allouées à une sorte de passage fin , genre "trou du cul" et on s'enfonce ! on fonce ! Trou du cxul de base comme consacré, permettant
passage, vers Déiité, passage nacré, sacré, ancré, vezrs une Déité Chelou ou, sinon chelou ... placide ? grise ? vive ? cendré ? verte ? donnée comme une sorte de denrée
serait donnée ? On est nées fée sur place (mort / (oyaume de la mort) et on cherche à ciomp^rendre", les do nnées, le Temps , le Passage vers un firmament de type Grâce ! On est p)roche on dirait de comptendre ensemble (ailes) un certain nombre de données de base, genre : mots de bêtesq, prières, chants de p^ré,
dons de soi sur base maniaque, genre "litanies"; on est vive fée de base rugueuse. On est fée des fées sur roche acide. on veut ou on voudrait toucxhezr (ici) aux nénés, aux herbes dorés, aux bêtes cendrées allouées à une sorte de vie de passé, ou vie du p âssé, remise, dfonnée, posée, sur paroi des prés; On veut toucher à cette sorte de donnée ou disons l'approcher. on est fée grise ! grise fée cdes fées !grise non-souymise m ais dans no-soumise on entend soumise et ça fait chier ! on ne veut pas ùêtre soumises ! on veut l'insoumision de l'être féerique en soi, de type charge folle (affolée
) sur roche tantrique ! le tantra ! la Chose-Colle ! colle des prés ! mot-colle ! colle docte ! cxharge rude sur paroi aux mots (ici) des Rois /reines Sa&rdes ! On y va ! On charge grave ! on veut comprendre large les données de Rome, l'enfilade animalkière, la pa r ade des bisons et autres bêtes ou bêtes de fêyte. Qui est qui en termes de savcoir natif ? quoi est là devant soi, en termes dee donnée placide active. Qui veut quoi ? en termes de vie allouée à une sorte de Passé passé. ON est née vie , on mùeurt fée, on entre dans le pré, on charge, on touche aux nénés, on est re-nées fées pour téter les nhénés xd'une sorte d'entité placide , vive mais posée, nénés ! des nénés ! plein (remplis) de lait on dirait sucré ! ou sucré-salé genre ... bonbon thaï ? ou qauoi ou qu'est-ce. On aime ! on tète ! on aime téter ! on adore téter les nénés de" l'antre de la mort à l'oeuvre au coeur de la roche dernière (terminale : muret).On cherche à comprtendre ensemble ce qui est qui pourréit en vrai nous en ap^rendre
un max concernant la mort m:ais ce n''st pzs donné d"emblé, cça tord, ça mord, ça fronce, ça corrompt, ça fait mal aux entournures, c'est frontal-fatal astral peut-^tre mais voilà, on aime ça ! aller loin en ça , cette roche dite "finale" ou "terminlale" ou même "ultime" ou même "dernière". On aime gravir la f alaise : grimper docte ! cerner ! grimper-cerner la roche. On est faits fée ! fait fée ! on est né fée dans l a mort actée ! On est homme ici (côté cimetière) , fée là-bas (après " le cimetière). changement de genre , de façade,de tourments, de paroles dites ou pas mais comme areticulées déjà en soio. On aime traverser la roche et filer, essayer de se lover en elle pour enfin s'y plaire (co:mplaire) et pouvoir comprendre (on le dirait) ce qui est en ces contrées en termes de "morbidité " (?) ou de "mortalité" (?) ou de quoi d'autre ? Qui on est ? bête-mot de poids (pèse -tête ?) ou, au cfontraire, fée légère , tracée , dépotée ? On est fée de tête ? tête bêche ? on est bête féee ? fée de bête ? fée-bête ? bête-fée ? chant des fées sur herbe et on traîne, on prend le temps du coup de s'y plaire , ou tout le contraire ? on file vif vers une destinée de rage comme ici promise pâr ... eh bien ... la Voix, la des Voix quiPArle à qyui de droit dès que mort s'ensyuit sur pré aux parades. On entre ! on
est ! on est nées ! fées ! on est né ! fée ! on est née ! fée des fées ! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées surnuméraires !!!!!!!!!!!!!!!! chants doctes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! cris de joie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! swentiments profonds sur roche aux voix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on colle ! on veut grave toucher à cette déité des déités telle qu'anoncée sur pré par (on dirait) les bêtes mass, bêtes-^poids de rage.O n est nées fées du fait qu'on est néesz (dans la mort-charité). On est née fée du fait que voilà, on est (dans la mort-charité) née ! quand on mùeurt (homme ou femme) on nait
(femme = fée) . On meurt ici (ici- b
as) homme, pour renaitre là-b as (au-delà de base) femme = fame = femme-fée. une fée contient deux ailes pour voler en charitéb ! bUne fée est fée forcément ailmée ! On aime ! On est fée des fées ! On veut toucher à cette vérité des données données par une sorte de Beauté De Baise ! Qui on est ? Bête des prés ! qui on est encore ? fée ! Qui on est pas (pas du tout) ? Cette sorte de PAssé, Passé des données ou aux données acerbesz déplacées. Quand on passe la paroi de roche, on nait à la mort sûre souveraine : pic ! tralala ! la chance = le chant ! chante ton touurment et la cxhance (du coup) te sourira (momentanément = jusqu'à la prochaine fois !). qUand on chante on trace, on avance, on file, on voit, on cerne, on visite la paeroi, on entre dans la danse, on entre en tr&nse, on est collabée (collabée pour ainsi dire), on y
croit! on croit en l'au-delà de l'âme des pârois du Genre. Qui va là ? la Chance ! cherche pas ! on avance ! On crie notre jhoie. On est fée de contrebande, falbala, chants de grâce, vent de face, porcentage à la revente. On veut comme en soi toucher le Roi, La Reine Faste", PRINCE des Envois , Princesse diacre. On entre ! entrons dans la bande ! faisons corps de base : fée ! fée = corps centré ! On est entré en tant qu'on est (qau'on était) homme des prés (des prés antérieurs au pré des parois) , nous voilà changée en (comme qui dirait) fée Folle ! folle Fée dxes Ombres (szur pré postérieur). Qui
l'e$ut cru de rage ? qui , en vrai, au préalable, l'eût bien cru de rage sans forcer ? bé .... pas grand-monde il semblerait ! car on est fée des fées quand la mort venue on a traversé les données chelou d'une sorte de tracé de roche. on monte. On veut grave aller-monter sur roche, grimpezr, aller haut pour regaereder ensemble ("toi et moi") les données finales, de type vérité des vérités. On est accolées ! collées cernées ! on est accolées-cernées ! collées-accolées-cernées! on est accolées-cernées-collées-soudées ! soudées-accolées-cernés - collées ! on est comme soudées méga-accolées = fée ! fée = soudées ! ou impliqe qi'on est (en vrai) soudées = collées ! collées par la moitié pour ainsi dire ! séparées-collées = deux moitiées = deux ailes à monttrer, à déployer pour pouvoir voler = s'envoler "hors cimetière". On est nées vfées la mort venue, cx'est chou ! c 'est chou-bisou d'être née fée la mort actée ! chou genou ! chou caillou ! chou de chez chou ! on aime ! grave on aéime
quand c'est chou , quand c'est pas chelou mais chou ! grave chou ! chou du bisou ! grave cghou quand c'est pas chelou
: on aime ! fé on aime ! on aime être fée ! fée on adore ! on adotrerez être fée ! on ailme on adore grave être fée ! fée doux douce ! fée douce des fées non-chelous ! On veut toucher doux ! on veut toucxher à Déité des Fées, méis doux ! doux de chez doux, car on est fées des données données non-chelous comme qui dirait, mais douces de près (pré ?).
12/9/2024
On est nées de base sur paroi. On cherche à co:prendre, ce qui est et ce qui n'est pas. On envoie du bois ! On est celtes, fraîches natives, on cccherche. On est qui pour le coup cherchons, ensemble, à trouver (ici et là) de quoi comprendre. On est nées d'une sorte de rage dite "de paroi". Onn avance, on y va gaiement , on trace, on veut comptrendre. On est deux pour la parade cette fois. ON est nées deux (à deux) pour une sorte d'entrée en fanfare ! on veut y croire ! on
veut en vrai toucher la pierre froide ! On est comme allouées ensemble ("à toi à moi") à une sorte de "parade de paroi", genre cavalcade, ; on est deux pour ça : de rage, traverser la place, soit le pré, l'endroit des fées et autres eêtres de la rage et des données sauvages, genre : buffles déplacés, bisonnes des fées et autres bouqaietins tenaces
. On est bêtes de poids sur la place et on avance au pas. On y va ! On aime aller ! On a (grave) envie de cerner, un certain nombre de données de base , relatives ici à une sorte de ... mebnace ? On voit ! on creuse ! on essaie de pour le coup cerner ensemble les données qui sse présente
"nt. On est qui ? des bêtes de foire ? on ne sait pas. ON veut comprendre ce qu'on voit de là, de notre place, si tant est qu'on puisse ensemble se pencher et voir de près (ic-ci ou là) les données tangibles, de type "roche rude,", , "anfractuosiité des fées", "gentes dames au débotté comme soulevées",. On essaie de cerner les données données, gentes dames et fées des fées si tant est. On entre ! On veut toucher ensemble à cette sarabande ! On est accolées ! On veut de fait essayer de toucher accolées à cette sarabande de données comme télépoertées. On regarde et ce qu'on voit ne laisse pas de nous surprendre ! On voit ça : la bande, la paroi, la paroi des Rois, Reines de contrebande. On est deux pour ici en vrai tenter de comprendre un tant soit peu un certain nombre de donnéeds données ensemble par la ba,nde , c'est un fait. On cherche à deux l'entrée : où elle est ? elle est par là située , à nous de trouver. on est comme touchées (en vrai) par les fées , et du coup : o,n trace ! on y va vif ! on veut ensemble traverser la roche des données de base et autres vférités ancrées (nacrées) . Qui on est ? des enfants sages ! Filles allouées à) une sorte de parade, sur roche ornée, fille allouées à une sorte de parade, vive et enjouée, sur roche ornée. On cherche ensemble ici ou là, l'entrée, où elle est, et on espère pour de vrai, à u,n moment ou à un autre, arriver à trouver (peut-être ?) la chose et du coup passer, traverser la roche "àla une à la deudx" sans anicroches. On est deux serrées accolées.On a méga-envie de traverser ensemble sans p)einer de base. On veut toucher à cette "
déité des déités". On est blindées ! armées ! tenaces ! motivées ! on va y arriver ! On est comme accolées de base ensemble pour tracer et du coup cerner, ici, quelques données . On est pour ainsi dire "nées de rage", on est cernées, on veut toucher à cette (sorte de) "Romance des prés" et du coup nous infiltrer, comme à la parade, toucher les nénés, coller à la bande, ne pl;us rien lâcher de préférence. On est nées pour ^etre F2es , de base ! On est n"ées de rage, ensemble, accolées, pour être (un jour : dans la mort) fée ! on le sait ! on creuse ! on veut toucher à cette sorte de
DOnnée Allouéeé
à une sorte de ... denrée ? on dirait ! vivres de passage ? On est comme ensemble touchées par , en vrai, une bête allouée à une rage d'être (ici, sur pré) bête des fées ! Qui on est ? Sage ! le sage ! la sage ! sage femme des denrées ! quand on veut on trace , pas vrai ? on va , on avance. On est comme soudées ensembkle. On est accolées parce qu'on est nées.
On est nées.
On est accolées.
On veut cerner-toucher les données de base.
On est comme cernées-touchées de rage.
On veut toucher ensemble, dire et aller, comprendre les données, toucher-cerner ce qui est = aller.
On est nées sur place : pré, de rage, survoltées.
On cherche à comprendre les données données.
On est comme deux soeurs données, allouées cernées.
On veut (de fait) cerner des données qui puissent grave nous inspirer et nous faire comprendre ce qui est ici qui nous regharde. On regarde ! on voit des données . Données vives allouées à une sorte de romance, romance sucrée. Qu'est-ce que c'est ? du petit lait ? Qui saiot ! on avanvce ! on est comme ensemble cernées, de base sur pré , par une sorte de paroi "de circonstance". On veut comprendre ensemble ce qu'il en est. Ce qu'il est ici, ce que c'est que cette chose, d'une sorte de "rotonde des fées". On va à sa rencontre. On court on vole (fée ) /; On est cvomme accolées pour en vrai marcher, courir
et- coller jusqu'au muret qui semble nous interpeller on dirait. On mate ! on voit ce qui est, qui est,
une sorte de paassage, trou denté, sorte de trait ou de trait de rage par où peut-etre ensemble s'immiszcer. On veut toucher à cette sorte de muret des dits pazssages alloués cernés. On veut ensemble (qui sait ?) passer , mais pour le coup, sans y laisser des plumes (à jamaios) mais comme qui diraot, "par contrebande", " à la une à la deux on passe", on veut passer sans y passer "en vrai" : JEU ! JEU des RAGES ! JEU DU FEU, DES DONNÉES DE BASE, DU SANG FIELLEUX ! On veut comprendre ensemsmble ce qui est (en ce muret) "de la chance et des données données par contrebande", et pour ça, on mate ! on va loin, en cette chose-là ! mur des voix ! On mate = on entre ! On passe un doigt, l'oeil de base,
une langue, un bras de soi. On cherche à comme quyi dirait entrter ici comme par mégarde, mais ... sans y passer de préférence ! droit ! On est ensemble, comme "touchées par la grâce"... d'une sorte de paroi des bases !
On voit ce qu'on voitb : la place, pré des bases, bêtes reines et autres fées des bois. On est cfomme touchées ensemble sur paroi ! on veut toucher à une sorte ici de panse ou qau'est-ce que c'est que ça qui semble aller vers nous nous approcher de face à vcouloir nous toucher comme on pourrait de fait peut-être le pensezr ensemble.
On est nées fées, on regarde, on veut toucher la pabnse ? A qui elle est ? On est cernées. On voit quoi ,la base. Les données fgenrées. On est comme cernées ensemble sur pré ! on veut toucher à cette déité des déités commev représentée sur paroi aux fées . On est bêtes des prés.
On voit ce qu'on voit. Et ce qu'on voit (là-bas) est comme dressé sur ses pattes (arrière) d'ours de paroi. On regarde large. On voit un convoi, une sorte de parade. b^retes de la foi dans l'être des Voix. on est comme touchées ensemble par ici la bête des données du Roi, de la REine -Bête, des "Vives & Genrées" de type Belettes, Furets, Betes au museau carré et autres gentes Celtes. On est nées ici sur pré la vie passée. on est nées sur un pré auxd fées, et du coup on cherche ! On veut toucher. on a super envie ensemble de toucher à cette Déité dont on n'arrête pas d'entendre parler; Qui c'est ? On ne sait ! on ne sait pas ! On cherche ici et là , on cherche accolées (soudées) ici et là mais voilà ! on est comme deux bêtes (cendrées) accolées qui, là, sur pré, voient ce qu'elles voient, essaioent de fait, de cerner de près, les données en herbe, données fines et vertes (comme du verbe) ... mais ... On est nées Betes de paroi. On veut touchetv à une Déité "des cimetière". On est qui ? des bêtes de terre, bêtenues et vertes. on est velues ! On est nues velues ! On est en colère ! On a vécu et nous voilà "venues", sur pré des fées, quasi en colère après les données !
On espère un jour pouvoir coller à une vérité des vérités !
On est comme nées sur terre accolées et alors voilà on veut toucher, coller, dire et "donner du vrai" à celles et ceux qui de fait espèrent ! On est nées en vrai sur terre pour cerner des choses ensemble sans trainer et du coup comprendre ce qui est, en matière de vérité, qui on est qui on veut être, ce que c'est que cette chose qui en vrai semble nous regarder, alors même que nous, on s'en fiche pas mal puisque, nous, ce qu'on recherche pour le coup c'est de nous promener sur la jetée et de cerner ensemble ce squi est, en cette cjhose d'une sorte de paroi auxd fées. On veut comprendre ensemble les données données, le bois les denrées la chance la paroi, le fil de l'âme, l'envie allouée à une parade, on est néees de base sur paroi des voix, on veut cerner et du cfoup toucher et aller et faire ainsi que la paroi de base soit (pour nous) une sorte de façade qui en vrai pourrraiot nous en apprendre tant et plus en face et nous donner de quoi nous retourner, mais comme sans nous retourner si tant est ! on est nées de rage fées, on voulait en avancer ensemble et filer, tracer, cerner les données telles qu'elle se présenteznt de fait et du coup poster, dire et manger, coller aux données
, dire ce qui est qui nous regarde en vrai comme si dxe fait on étaiot des fées du fait que voil:à on vit "ensemble" commpe qui dirait, accolées, collées, soudées, montées (qui sait ?) sur base traçante, on veut ou on voulait toucher à cette déité des déité et nous voilà ensembkle qui cherchons de fait à pour le coup nous approcher le plus possible et sans traîner d'une sorte de fée , ou fée des fées, qui serait LA F2E des données de genre ! vitalité ! clatrté ! sarabande ! on est nées fées sur pré et on s'envole comme à jamaios en ces contrées, on court on vole, on veut toucher à cette sorte de clarté personnifiée, tracée et gravée, on veut en abvancer et comme qui dirait creuser ensemble une sorte de tranchée,
à prendre,
tranchée des prés à pouvoir prendre endsemble = emprunter de fait sans y penser ... ce searit gténial !
on veut coller à cette chose d'une sorte de donnée aux fées, vive clarté s'il en est et chance sur pré comme une sorte de romance donnée tracée gravée de base par des fées ou par des bêtes-fées, ou par des bêtes-fées toutes allouées à pareille envolée. On cherche à ensemble du coup cerner de près ce qui est qui nous regarde, on a méga envie de comprendre un certain ombre de données de base, données fines ,gravées, soulevées, prises, nacrées. on veut toucher à cette déioté des déiotés des bords de vase, bords de l'aeau de l'ange. On a méga envie ensemble de toucher à cette déité "des fées", à cette déité dite "des fées", à pareille fée des données lacutstres, la toucher de rage, ensemble sans trainer, sans chercher pour autant à cerner de rage les données données, mais en faisant ainsi que des choses de près puyissent opérer et aller et vite comme s'incurver ou s'incruster de
base sur un pré, une sorte de pré, sur paroi des fées, pré -paeroi, et ainsi aller, toucher, pouvoir penser, dire et coller. On y va ! On veut toucher à cette chose d'une sorte en soi de paroi des parois et du coup passer, traverser comme à l'arraché, cette sorte de donnée de base, qui elle est, ce que c'rst, ce qu'elle pense, quoi c'est qui nous regarde et sembleraoit voiuloir de fait nous toucher cfolmme si en vrai on était en transe et comme si en vrai on voulait ensemble aller loin en cette chose d'une sorte de parade aux fées qui pour le coup nous donnezrtait de quoi comprendre situer cerner la romance telle qu'elle se présente ou se présenterait à nos gouvernes (déplacées) sur roche. On voudraiot ensembkle aller loin en cette chose d'une voix de base, et du cfoup cerner ce qui est en vrai, cette chose des données de
rage.
On veut ou on voulait comprendre ensemble les données de base et voilà qiu'à présent, on cherche (ici) : la rage et les tourmentsz, les bois de contrezbande et autres vies de saint sur place, on est nées ! on est comme nées, ensemble, d'une sorte de face ou fa çade "aux tourments , cris de joie et romance, chance et cran" ! o,n est sagezs ! on veut toucher ! on veut alller ! on a méga envie ensemble si possible de cerner toutes les données qui se présent'nt et semblent vouloir noud parkler. On est là commpe cernées par une sorte de paroi des Rois et REines DE SAba. On a méga encvie ensemble de comprendre et de toucher à cette sorte de donnée de base, et du coup aler , filer, faire aionsi que des données de rage puissent (en vrai) être déroulées comme par lma bande et (de prédsférence) sans trainer. On est allouées à une sorte en szoi de rage à être des fées dites "de contrebande", ça le fait ! et du coup on en avan ce ! On file grave ! On est nées de rage fée car ... on est née ! et voilà, c'est fait ! "fait" pour "fée" c'est un fait ! car, on pourrait avancer, que , fée = fait ! un fait = une fée ! ou peut-etre des ? faits = fées ? On regarde ! On voit des choses qui se opassent
. On voit ça, en face : la paroi des ROis , cdes données de base. On veut toucher à cette sorte de passage aux fées de contrebande, aux fées (allouées) des données (de base) déroulées. On est ainsi faites pour cerner de près ces sortes de données aux fées. On veut toucher toucher toucher toucher à cette chose ensemble , ce tracé aux fées,
cette sorte de parade (détailléesz) qui sembleraient comme voiuloir nous parler par la bande. Qui c'est ? o,n ne sait , mais voilà, on veut comprendre (grave) ce qui est, et du coup en avancer dans les recherches "de façade" et autres types de recherches "sardes". On est accolées parvce qu'on veut toucher , dxe face, à une denrée, et du coup, essayer de comprendre les données de base ce qu'elles sqont en termes de passion, de religion, de crzoyance fondée ou non mùais commea,ncrées dans le langage, la langue telle q'elle se parle, les opinoions, les dictons et aiutres sermons prononcés de face. On est nées de base fée parce que voi;à, on est nées ! Naitre = naitre fée dès lors qu'on entre ici dans l'antre de la mort à l'oeuvre ! On est accolées, on danse ! on file ! on aime ! on veut toucher à cette déité des donnéessuprêmes . On est nées des féesn , on aime être fée, charger, toucher,n coller à une vérité post-cimetière ! On est qui ? on est bête de parade verte ! bête verte dite "de parade". On veut aimer, toucher, creuser, comprendre et cerner un grand nombre de données de contrebande si jamaios. On est bêtes ici de parade parce que voilà, on est nées ! on est re-nées ! on renait de base dès que mort "à tout jamais" tu parles ! On ,ne sait quoi penser, en vrai, mais la mort est là pour (il semblerait) nous indsdiquer par où passer, pas plus sorcier que ça en vrai ! On entre ! on veut comprendre = toucgher, et pour cela, à la une à la deux, la romance ! chant des voix de s rages ! on est cfomme accolées ense'mble à une sorte de don,néec, et nous voilàcensemble qui cherchons parade, vents des fées, commandes, vitalité et vie ancrée sur place commê centrée. on est des fées deecontrebande ! fée des fées de contrebande, ça le fait ! On veut grave aller, rentrer, coller, pisser et charger sur place (pré) comme par la ba,nde (ici cernée) des données de base (acidulées) qui nous font face. On est nées fées parce qu'on est née ! On voulait le co:prendre, on dirait que c'est fait. On, dirait que les choses peu à peu commencent à (raisonnablement ?) s'organiser, ce serait pas mal mais en vrai c'esst pas gagné on dirait, on a encvore du c hemincomme s'il s'en traçait au fur et à mesure devant nous au pied levé. On est née fée du fait qu'on est née, c'est un fait ! On voit ici de près le pré, la place, les données allouéex à un espavce situé , en vrai, entre des murailles (muret) d'enceinte allouée à une sorte ici de cimetière dit "des fées et bêtes de paroi". On aime ! on voit ça ! on comme,nce à compfendre (qui sait ?) un certain nombre de données de choix, qui pourraient bpeut-etre nous donner
de quoi en vrai nous situer,sur ce pré aus fées, en tant que ROI, REINE, PRINCE DES F2ES, PRINCESSE (IMBERBE) GENRées, on aime ! coeur d'acier ! on aime follement les fées, les bêtess allouées à une sorte de par(oi "de cimetière" et
autres bêtes-mots venus de derrioère ... de derière les fagot§s ! On aime grave cerner et toucher, aller et donner, faire et tomber, creuser les mots d'une sorte de plage allouée de fait aux do nnées "étranges" s'il en est. On cherche grave ! On veut toucher à cette denrée ! donnée des prés ! On veut comme toucher en vrai à une sorte de donnée de base, genrée si tant est mais est-ce ? est-ce en vrai ce qui est, qui ici se tresse ou semble ou semblerait vouloir peut-être se tresser , se tressezr ou se dresser de rage, comme par bravade ? On regarde !
On est deux pour être fée de base. on entre !
On veut comprendre les données de base.
On veut grave comprendre ces données de base.
Ce qsue c'sest en vrai, ce que c'rest que cette chance, ce tracé, cette sorte de donnée posée (déposée) sur plkace : pré ! pré aux fées, aux bêtes de masse, aux abords nacrés, aux fortifications dorés qui sembleraient vouloir comme nous éclairer pour qu'en vrai on puisse ensemble et nous repérer et en avancer, sans traîner, sans cctrop galérer jusqu'aux dits "confins" dees données Suprêmes telles que rencontrées ici même. On aime ! On a méga envie de tracer sur herbe des données , nos propres données si tant est ! On a méga envie ensemble de toucxher à une sorte de donnée dite "de cimetière" , si on pouvait ! Car on aime ! grave on aime ! on adore en vraéi c e genre de problème donné ! On aime grave aller dans un pré à) la recherche de données dorés ou disons nacrés, ou bien allouées à une sorte de clarté donnée. On
aime cerner , regarfder, comprendre , toucher, faire et contrefaire. On a méga-envie d'aller ensembkle à la rechezrche de données de base "non contrariées" s'il en est ! On se regarde ! On veut toucher à cette déité de contrebande, la toucher en vrai pour mieux comprendre ce qu''lle est en vrai, de quoi elle est faiote et en quoi elle nous intéresse, p arce qjue c'est vrai que pour le cou!p la mort nous interesse, et même beéucoup ! elle nous interesse beaucoup parce qu'on l'aime ? parce que quoi ? parce qu'on y croit , voilà ! on croit (de base) à la mort dite "du cimetière". on croit grave en elle, alors même que voilà : la mort est telle que , ma foi, la rage est là qui se fiche d'elle (de paroi, rage de paroi). On vitupère ! on
aboie ! on meugle ! on crie à tout va comme des bêtes, bêtes de
poids et ça le fera, du mome,nt qu'on est bête ! On entree ! on court sur pattes. On cveut grave cerner ensemble, la paroi, le sang, la chance, les données acerbes, le vent qui devant nous semble venir excprèds vers nous, souffler sur nous à nous faire chuter c'est fou ! qui il est ? quel est donc ce vent des contrées folles ? est)--il vent des fous ? vent docte ? vent des vives contrées aux fées ? On cherche ... à genouyx, on dirait (parce qu'on est tombées !). On prie ? on est comme touchées par une sorte ici, de
"donnée des données follasses" ! Vent fou, tu sais ! On est "entre" ! On est dans l'antre"entre" , c'est un fait. On est accolées et du coup ... on chante ! on ne s'arrête plus , du coup, de cha,nter, pousser la romance ! On est de s fées de La rage allouée à pareiullle romance ! On a méga-envie de comprendre ensemble, si jamùais, les données de base à quoi elles ressemblent et ce que en vrai on pôurrait ensemble en tirer comme conséquences. Qui on est ? on est ... eh bé
Nées ! On est Nées de rage un matin de Chance. On voulait xsavooir, on est bien tombées : naéissance ! carrotage ! on a creusé avec notrenez ou comment ou qu'est-ce la Terre. On est nées de fait sur Terre CElte. On voulait, eh bé c'est fait ! fée du cimetière, voilà les données.;: On aime ! On veut grave toucher à cette sorte de donnée des données allouées à une sorte de misère elle-même allouée à une (sorte de) paroi " a ux fées et autres êttres des contrées alertes vertes". on aime aimer ! on veut toucher ! onveut grave tracer des tréits, et comprendre, charger, filer, cerner grave les denrées, offrandes, vivres divers comme déposés au pied de l'Ebre. On veut :
TOUCHER, FAIRE, DIRE, COMPRENDRE, SALUER, ALLER, COMMA?NDER UNE LIMONADE AU CAF2 DU PRÉ, COLMATER LES FUITES DE ROCHE, CENTRER LES DONN2ES DONN2ES ET AUTRES DONN2ES GENR2ES, ALLOUER À PAREILLE ROCHE UNE SORTE DE DIRE DE F2E? QUI SERAIT DU DIRE ALLOU2
(LUI_MËME° À UNE SORTE DE PAROLE DOCTE, GENRE : POLISSONNE ? o,nn ne sait ! on veut toucher pzarce qu'on est nées et parce qu'on est fée ! on est ailée ! elle = ailes, vie = vit; chant = champs, cri = christ, et éutres mots à l'arraché du temps (situé). On est comme nées de base Fée , parce que voilàà, on le voulait ! on voulait cerner , on voulait grave traverser la roche et passer de l'autre côté ! On voulait de rage aller comme à la traversée d'une sorte de donnée aux fées : roche salutaire, roc cendré, rocher aux bêtres dorées, vie des vies allouées à une infinité de données en herbe . qii on est ? Des fées "de cimetière" ... pêut-êttre. On cherche. On est femmes situées sur pré en tant q<u'on est des fées de type "celte" , sitiuées, centrées, accolées, cernées ou comme cernées ici même en cette conttrée toute entourée d'une sorte de murette aux données "certaines, assurées, fixées, comme soupesées,". On est des fées celtes ! celtes fées aux données certainesz, comme affichées-avérées sur roche du pré ! On veut toucher à cette Sommité des Sommuité = Déité des Déités. Qui c'est ? cf'est ELLLE, l'AILE des données, des données sur pré. L'aile est la donnée suprême ! AILE = ELLE = DIRES DES ENTRÉES ; ON l'aime ! on veut grave ensemble soudées comprendre ici même les données genrées de la mort à l'oeuvre
on dirait ! grave ! gravissime en vrai ! grave de chez grave ! on a cerné : la mort est genrée ! oh on dirait ! on dirait en vrai que la mort est genrée cfomme une romance, l'arlequinade; la parade ou cavalc ade aux bhetes de masse , genre bête de trait, poidsde danse, cris comme affolés. On est grave tracée à main levée dans une sorte de transe ou danse déployée parmi les bêtes (mots) des prés et autres champs de blé. On est nées en transe : cris de joie (de vie) à tous les étages ... de la foi dans le langage (acidulé) d'une langue parlée de type romance chantée ! une fée est née ! ONN veut toucher à cette sorte de donnée de base ! qui on est ? eh bien peut-êttre en effet une "fée de roman,ce" ! une chance ! une sorte de fée en transe ! la romance allouée à u ne chance (d'être née fée ? qui sait ?). On veut toucher à cette sorte de donnée aux fées et du coup tracer, creuser, faire ainsi le trajet d'une sorte de balade endiablée ! On entre . Qui on est ? une fée de la cxhan,ce ! qui sait ? on e'st entrées. On veut comme (ensemble) cerner-
toucher cet attirail arqué, ce corset, cette sorte d'aaprêt de type corset aux ailes soudées. On est nées fées car on est nées ! on est bêtes monstres ou bêtes-poids ou même bêtes-mots de la foi en cette chose, d'une mort genrée, mort-fée et le tour est joué, les JEux sont faits , fées des voix sucrés, allouées à (comme qui dirait) ... une roche ? un rocher tracé ? ROC et ARMÉE ? On est comme accolées (de base ) toi et moi à une (sorte de) donnéedes bois, sous-bois, forêts d'oc/. on aime ça, les bois aux bêtes à bois ! On veut toucher ! toucher l'ëtre aux vives clartés
ou "des vives clartés". On est accolées et nous voilà qui, en vrai, voulons cerner ensemble des données (de base rupestres) comme si en fait on était sur pied pour cerner, coller, coller à cette sorte (pour le coup) de bête de par(oi . On dirait : le buffle ! la jument ! le bison des bois ! l'antilope des amùants / amantes ! On voit ça : charge ! charge et foi dans l'âme. On compense par la chance. On ve'ut comprendre. On est deux qui (pour le coup et parce que voilà) voulons grave cerner cette joie, roma,nce, ce tracé, tralala, cette sorte de parade, ce trajet, cette donnée de base, joie des fées, une sortte (en soi) de promenade sur chemin orné par des sortes de bêtes de poids comme s'il en pissait ! On est là : on voit. Qu'est-ce qu'on voit ? cette charge ! charge de
paroi sur place ! On y va de son envie de dire ce que c'est que ça, cette charge, pour nous (fée des fois) qui voulons comprendre . On charge de base ! on charge ensemble ! On charge de base ensemble, après la charge sur paroi des Bêtes des ROix ! on en avance. On a grave envie de comprendre alors voilà, du coup, on ne lambine pas, on file on trace grave, on y va royal, royale, on veut dire et faire cette chose , d'uje sorte en soi de parade , à hue et à dia, comme dans la Romance dite "des données de vie et autre mort genrée". Qui on
est ? des fées , ici, en vie , de contrebande si jamais. On est fée de rage , pouvant dire et faire ensemble (en même temps)
parade notoire, cavalcade, parade de genre. On est comme cernées ensemble par en vrai une sorte de barricade ! un drôle de trait ! de muret ! une sorte d'enciente allouée à un cimetière ou au cimet§ière dit (ici) des données suprêmes. On est nées fées dès lors qu'on est nées (dans la mort sur pré, mort genrée saluée, mort des données ou aux données secondes, LA mort Vérité) . O0n ve'ut toucher -à cette chose, d'une sorte de denrée des fées. Frai ! Charge ! colle ! pamoîson ! cohorte ! vie docte ! on est nées sur pré d'une sorte de contrée dont le nom m'échappe ici mais qiui est contrée aux données doctes. On
est nées sur pré comme à l'arraché, on est nées de fait sur pré par les pieds ou sinon par les pieds par l'épaule ou sinon comment ? tête-bélier ? au vrai desz données ? tête allouée à uene sorte de percée en force ? la cohorte ? les données de rage et autres bêtes-mots de base, comme
tracés ? on est nées fées : au passage (de vie allouée à une terre meuble, à trépâs lié à une sorte de pré aux herbes à brouter). On est dès loàrs devenues fée du fait q'on est passées comme à l'arraché à trvavers lpa p)aroi, entre ça (vie de base) et ça (mort genrée) . c'est un fait ! çarecommence ! on charge ! on y va ! on a besoin ensemble d'y aller sans plus traîner que ça ! on a besoin de consqacrer son temps ou un peu de son temps à cette szorte de Romance (ici) à comprendre. On est fées nées, tu penses ! On est fées sur pré qui cherchons Romance : ça le fait ! on entre ! on s'avance ! on avance un pied : chant des bois et sousz-bois comme en transe ! On est là pour ça : cerner et toucher, passer (comme par chance) à travers le muret, la paroi des Voix, mùuraille ou paroi allouée aux Voix ditesx "de la chance et du trépas". On entre . On est entre ça et ça = deux parois
(un ventre ?). On veut grave cerner = toucher, à cette sorte de paroi de genre ! On est quoi ? panse ? Une panse en transe ? qui est quoi du coup en vrai : romance ? chant des bois ? parade nuptiale et tra&lala ? NAISSANCE ? On veut croire ensemble (toi et moi) ennotre bonne étoile de
Java ! On est là en transe enwemble pour comprtendre des fois ce sque c'est que ça, la transe, la par ade, cavalcade gr avée comme à main levée par l'êttre des fées, homme-femme des temps reculés, qui cherchait pitance, vérité, appui, connaissance, vie dans la duré. On est entrées ensemble un peu chahutées mais on est entrées et, à présent, on cherche à comprendre, ce pré (paradis aux fées)c e qu'il est en vrai, cette sorte de prairie "nacrée" , à qui elle est ou quoi ou qu'est-ce en vérité et qui nous
intéersesswe . On est nées fée deès que mort et enterré. On est né fée, dès que mort et enterré. On est né (homme) fée (femme) dès que mort et enterré, car on meurt en tant qu'homme des prés, pour nâiotre femme à tout j amais la paroi passée ! on meurt homme dit du pré, mais du pré tracé, comme dessiné ou gravé à main levée par un ancêtre ou une ancêtre des cavernes. On est nées ! on est passées ! on est fées nées du fait qu'on est p)assées. On voulaiot être fée eh bé c'est fait , on est ! on naît ! on naît fée du moment qu'on naît, ici -même, dans la mort à l'oeuvre = genrée ! Car voilà, ce qui est qui est, on dirait : la mort est (qui sait ?) genrée à jamaios (après le cimetière) . On estensemble comme soudées en tant que fée parce qu'on est des ailes, ellesxc =ailes; deux ail:les soudéees, accolées,, centréezs, qui voulons (en vrai) nbous envoler vite fait, à tire-d'aile, vers de nouvelles contrées post-cimetière on dirait et à jamais ! on est des ailes de fée rupestre. on est fée des fées rupestre ailées. On est fée ailée du fait qu'on est fée dès la mort actée ! c'est un fait ! On est dezux fés ou une fée / deuix ailes. On est deux ailes pour une fée on xdirait, post-cimetière = vie derrière, mort devant en tant que pré à visiter ou sinon comment : pré aux herbes folles à brouter sans arrêt ? On vole ! on s'est envolées sur roche ! on est hautes ! hot et hautes ! on est hautes de principe actives ! On est hautes sur roche allouée à une sorte de principe (inné) lié de fait à une sorte de désir comme ici ancré en notre volonté de fée des prés. On entre ! on veut toucher à
cette D2ité" des contrebandes elles -mêmes allouéesz à une sorte de parade (nuptiale ?) animale de façade. cris de joie à tous les étages, ma foi, ça envoie ! ça ne traîne pas ! ça fonce ! ça y va ! c'est u ne sorte de paroi de rage, ainsi passée ! On est nées de base sur roche allouée à une sorte de passé comme déposé en tant que
vivres (offrandes) consacré (e)s. On est ensemble "de la Romance" , du fait qu'on est entrées et qu'on regarde ensemble, ce qui est qui nous entoure , de fait, en ce pré des données actives. ON est femmes-fées à la retombée ! On veut cfoller à une déité de vie et ne pas succomber aux envies néfastes de la mort genrée comme elle se présente. On est fées pro-actives du fait que (en vrai) on est passées ! on a passé la roche initiale (par chance) et nous voilà dressée (comê dressée) sur patte, en ce pré, à vouloir comprendre (svp) les données de base ce que c'est, à quoi ça ressemble on dirait , ou disons : à quoi on peut ou on pourraiot s'attendte, en termes de ... fin ? finition ? finitude ? On cherche. On est doctes, en vrai. On n'arrêtre pas de chercher, d'eesayer ensemble de comprtendre si possible loin ce qui est qui se présente , pour nous, dans la mort, qyui est la mort-ombrte, mort aux ombres, mort -hommes, mort des hommes, mort-aulne, mort des aulnes. On est fée faite fête ! On veut toucher ensemble (à toi à
moi) à cette sorte de Romance de Paroi : CAvalcade Rare, Rave Anale, Charge sale, conséquence d'une entrée salace, vive insalubrité de façade et autres saletés mal négociées. Ou bien ... autre chose ? une sorte de vie aux envies tracées comme par la bande d'une sorte d'enfance sucrée ? On voit les nénés ! le lait ! cette chance comme présentée, ou représentée (de face) par une sorte de donnée donnée, vive donnée de par la bande et ça le fait en v rai. On entre ! on est FEmme-fée à la retombée, alors m-eme que jusque là on étiet un homme, nous voilà tracé , du coup tracée = dessinée , gravée, par une sorte de piolet ou de piquet qui est pic de rage à la dérobée ! On entre ! On est comme cernées eznsemble par la bande
toute acidulée d'une szorte de contre-danse, contrze-bande ou contre-da,nse toute enjouée qui est danse sur pré, chant olé olé et pas de côté ! On veut comprendre ensemble si j,amais un grand nombre de données de base, les jauger, les soupeser, les faire nôttees si possible à jamais afin de durer ou de pouvoir durer (ensemble : ailes) dans le temps sacré d'une sorte de Passion des Fées. On est entrées et du coup nous cvoilà adoubées ! On est cfomme cernées de près par une sorte de tracé aux données "étanches"
♥️😀
on est nées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
de base, comme si en vrai on était des fées au passage ! On est nées accolées ! soudées ! frontales ! vives et centrées comme par la bande dès qu'entrées en cette danse (sarabande) aux données genrées. On est fée de base rare, collées, soudées, on est entrées dè!s lors qu'on est nées (de rage) dans la mort genrée telle qu'elle se présente avec ses nénés (on dirait) ! On veut comprendre alors du coup et forcément on creuse grave (loin) au sein des connaissances (du langage dit "articulé") en espérant monts et merveilles et autres
"données de cimetière" pouvant nous indiqauer (en termes clairs) ce qu'il en est ou pas de la "mort sur parroi
", ou "mort de paroi" , ou "mort dans l'au delà de la paroi", ou "mort de l'au delà", ou "mort /au-delà" . On est accolées et on cherche du coup à comme nous envoler en vrai e,n grotte à jaémais si jamais ! On veut VOLER, VOLER GRAVE, VOLER, VOLER TOUJOURS ET TOUJOURS GRAVE, VOLER À JAMAIS en ce pré aux anges, pré des fées et des données ensemble ou ensemble liées par des faits de type "contredanses ". On veut toucher à cette vérité des données "morda,ntes". qui on est ? on est FÉE de type Accolées. On est fée de base, comme cinturées ! On est femmes au débotté la mort allouée à une sorte de Romance Triste, CHant duu Cygne, vive saleté. On veut toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher
toucher toucher toucher toucher toucher tyoucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucxher topyuchetv toucher toucher toucxgherty
toutchert à cette vé&rité des vérités acides ou sinon acide acidulée, de type "néné" (on dirait). et cze "néné" est le néné de l'être alloué à la mort deonnée (genrée) située, en ce pré aux fées (on dirait) . On imagione ! On est là (on dirait) pour durer. On veut toucher à cette vérité placide de type "durée", qui sait ? on s'active ! on y va fissa ! on est arrivée, tout là
-b as (fin du pré) , avec en nous (fée) l'idée de traverser, une nouvelle (dernière ?) fois la roche-ceinture . On voit ça . On est venues à petits pas, on voit. On est proche de la paroi , l'u;time parois, aux données dites "de base et d'effroi". On veut comprendre sarde. Comprendre le xarde. On veut grave comprendre le sarde . On vreut toiucher à l'ultime paroi aux données sardes ou dites "sardes". Que sont ces données ? que sont donc ces données "sardes" ? On regarde ensemble, à travers la roche finale, ce qui est qui semble ou sembleréit vouloir (ici) noud parler, nous faire signe, nous i,terpeler, nous dire une sorte (qui sait ?) de vérité, qui wserait une clé pour en vrai enttrer à l'intérieur de cette sorte d'enceinte vootive. On regarde. On est là (nous deux = fée) pour regarder. on voit un muret. une sorte de palissade, de muret d'enciente, forteresse. On rtegarde ce mureet.
On cherche une e,ntrée, un passage . On est mort et enterré on le sait, et ici (en ce pré) du coup transformé, xdans la mort transfoprmé en fée on le sait, on naît fée ( transformé en fée) la mort actée, et là, en tant que fée (deux fe'mmes formant xde fait, les deux ailes allouées soudées) on se rapproche d'une sorte à nouvrzau de muret, qui est muret de fin de pré. on mate ! On veut cerner-toucher c'esst à dire comp^rendre (à jamais) l'antre , tel que montré (présenté) en ce pré des base, des données latentesx. On est né fée
la mort actée, nous voici amennée (dès lors en tant que fée = femmes) vers ce trait, de fin de pré, anfractuosité de façade, traiot tracé a-à main levée pour une entrée de face, traversée de rage, immixtion au débotté sans plus tarder et pasdsage (donné ) de l'autre côté, côté néné (on dirait) . Qui sait ce qui est ? qui connait le Verbe ? qui connait les données données telles que verbalisées sur herbe ? On cherche à c erner mais ce n'est pas sisimple ! il faut grave tracer, passer, coller, dire et affronter le Verbe en ses données (de Verbe Nacré). On se doit dx'y aller comme à l'arraché sans trainer si on veiut tracer, tracer-graver ce Verbe ici comme alloué à une sorte de pré "de réserve". On est nées (de rage) Fée sur herbe (verbe) allouée à une sorte de contrée "'rêvée" , mais est-ce ? est-ce en vrai la contrée du r^ve que cette contrée ? le sait-on een vrai ? savons-nous des choses ? savons-nous de fait ce qu'il en est, de la
parole, des données du verbe ancré, des mots de la rage à dire les faits et les
méfaits d'une sorte de pré comme ceinturé ? On ne sait ! on ne sait ce qui est en vrai ! On porte parole ! On porte ici une (sorte de) parole donnée à des féits ! On cfolle ! On est accolées ! on est fées accolées du fait que voilà, on est fées ailées, fées des fées ailées ! On est fées -femmes = ailées, du fait que voilà, on ose ! on ose "répondre " ! on ose grave "répondre " ! on ose (c'sst le mot) RÉPONDRE , RÉPONDRE ACIDULÉ ! RÉPÔNDRE AUXX NÉNÉS ! ON OSE RÉPONDRE = S'OPPOSER , C'EST UN FAIT AVÉRÉ ! ON OSE GRAVEV REPONDRE = S'POPPOSER AUX DIVERS NÉNÉS RENCONTRÉS : C'EST UN FAIT AVÉRÉ ! On ose s'opposer = on conttre = on dit non à jamais, à la mort qui rode (les nénés ?). On vfeut dire ici notre féit et nous opposer aux dires alloués à une mort genrée. oN s'oppose ! on veut opposer aux nénés nos propres nhénés ? on ne sait ! on veut toucgher à Déité ,, ça oui, mais pour le reste, et c e qui est d'une sorte de donnée
genrée (dans la mort actée) on ne sait ! doit)-on de nouveau traverser ? doit-on passer à) travers ce muret dit "des nénés" comme d'un cimetière ? On ne saiot ! On voudrait en vrai pêu-^rtre en effet connaître les donnéesz ou davantage de données afin de mieux se faire une (ou peut-être son) idée concernant eh bé oui, cette sorte de donnée "de cimetière" = située, mais on ne xait en vrai à qui ou à quoi se fier. Que ou qui doit-on écouter ? le
Verbe ?
l'éloquence tracée ? la parade acidulée d'une sorte d'entrée fissa dans la matière (provoquée) du Verbe comme chahuté ? qui saiot dire ce qui est sans se tromper ? On veut dire et être fée , dire en tant que fée et être fée pour dire, dire ce qui est ici qui est (de fait) la Vérité (ou seraéit) "des Vérités", est)-ce possible ? on se dit que c'est possible ! On se dit, à part nous, entre nous (ellesz = ailes = fée) que peut-être en effet, la chose est possible ! on doit pouvoir
creuser, trouver, cerner, toucher, comprendre, connaitrte davantage, composer, faire et être fée, chercher, soupeser les données - pour
être en vrai ... eh bé
... ce q'on est ! ce qu'en vrai "au fond de soi" on est ! ce qu"'en vrai peut-^tre, qui xsait ? on est, on sezrait, tout au fond desoi, en tant qu"être rebelle", opposant du pré ou l'opposant du pré, l'être en guerre contre ... les nénés ? les nénés "du cimetière ? ça m'étonnertait ! plutôt le contraire ! le gouût du sucré c'est un fait à ne pas négliger ! On voit la Terre, au loin, approcher ! on est déboussolées peut-êrtrree mais on tient (comme qui diréit) aux tracés, aéux traits dessinées ou gravées, aux bêtes montrées. On est fée -bête si tant est, ou disons comme ellesc: fée-bête "aciidulée" des parois ornées. On veut toucher à une vérité de cimetière , vivacité, chaleur et moiteur, intimioté, sexualité , vitalité. On veut toucher à une sorte de donnée donnée comme présentées à jamais, sur de l'herbe de pré, au milieu des bêtes. On est née fée du fait qu'on est née dans la mort allouée à un pré aux herbes à (pour le coup) brouter comme des bêtres. Bêtes betes on
est , ou pas , mais bêtes des prés, bêtes de toundra, de bois et sou-bois, beêtes-mots des rages cde paroi et autres rages déployées du fait que voilà, on est entrées, on a traversé , et ayant travezrséeé on s'est cde fait ensemble retrouvées comme du coup emportées par une sorte de "souffle vital" nous donnant
élan, allant, vitalité, afin de pour le coup aller au plus profond (lointain) chercher comme , une sorte de trait ou de tracé pouvant laisser passer notre corps de fé né (en vrai) au passage. Fée on est qui vouloçns(re) p asser comme aux temps premiers, à travers la roche -ceinture, aux données pour le coup mâtures (cette fois) on dira ça. On veut toucher
toucher toucher de base à ça : ce trait dit "de rage" sur paroi, passage des rois, tréit des fées pour un passage étroit peut-^tre mais bel et bien là, pour les Rois et R"ines de SAba, qu'ielles puiisent passer (de rage ou pas) à travers la roche
ainsi proposée. On veut coller = dire = parler = montrer, et du coup (ROI et REINE de SABA) aller ! passer ! traverser une dernière (?) fois cete sorte d'enceinte de joie, mur des voix, murette agrtaire, tour de ronde comme une sorte (en soi) de rotonde qui, ici ou là, se montre comme un doigt, une
main chaude, l'oeil de l'ogre. On est F2e des bases hautesz. On est comme accolées sur roche "à la une à la deux" on saute ! on monte ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucxher toucxher toucxher toucxher toucher toucher toucher topucher toucher toucher à c egtte sorte de donnée de rage telle que déployée sous notre nez de fée. On est fée-bête, tracée, envolée, qui cherchons l'Entrée, ou un e entrée par où en vraéi ensemble passer le corps resserré, comme autocentrée. On veut coller (sse coller) pour passer ! coller serré afin de pour le coup enfin arriver à passer qui le cou qui la queue qui l'oeil qui la langue (blanche). Passer = trépasser mais sans vraiment (du coup ?) disparaitre. On veut être Fée pour l'éternité , est-ce ? On veut :
dire, coller, cerner, coller-cerner, faire ainsiu que des choses soient, qui restent (sur pré ) à jamais on dirait, et du coup regarder (en face) les nénés de l'Ebre ! qu'est)ce donc que
l'Ebre ? alors ,... l'Ebre, ici (pré) est une sorte de donnée genrée comme on en connait (des tas !), dans les cimetières ... de Java. Et du coup l'Ebre, est une sorte de donnée de type "livresque" et comme allouée (direct !) au Verbe tracé sur paroi aux fées. On colle du VErbe ! On dit ça, comme quoi le VErbe, est un tracé acté sur roche déplissé, en tant que donnée donnée par les fées et les bêtes, F2e-Bête centrée, comme (elle-même)accolé ou collé au verbe. on eszaie ensemble de s'y retyrouver mais la chose en vrai est assez comp acte, compacte et corsée, et du coup difficile à cerner. On vzeut toucher à une Déité des D2ités, et du coup on essaie (enwsemble) de (pour ainsi dire) dé
-ficeler le petit paquet dxit "de contrzaebande". On veut toucher = dire, mais piour dire il faut toucher, alors voi:à ! ça nous met en branle ! ça nous met bizarre ! ça nous renvoie à des ou à nos propres recherchhes, de type
frontales à jamais on dirait mais en vrai on ne sait, car on est passées (ensemble) comme un fait exprès sans vraiment comprendre ce qui est , ce qui se passait au passage, et du cvoup voilà , on est perturbées ! on ne sait p;lus trop où on est ! peu importe ! on est passées ! on cherche à c erner ! on veut toucher à une Déité, notoire si jamais ! doit-on lui parlerr ? l'apostriopher ? lui dire quelque chose de particulier pour la charmer, afin de la charmer
pour mieux l'aborder et du coup la faire parler ? Nous voulons nous approcher enxemble d'une vérité liée au langage, a&u parlé, aux données verbales. On peut en vrai ici comprendre nos sortes (en szoi) de volontés ancrées comme du Verbe dit "des pr"s", "des prairies savantes". On est née fée, au passage (de vie à trépas) et, à présent, on cherchje à comprendre ce qui nousq a
ttend. Va ton toucher des dividendes (dividendes de la foi dans le langage ? ) ou pas ? on ne sait pas ! On cherche ensemble à comprendre la Foi (dans le lan gage) ce que c'est. Est)-ce une sorte de croyance inoculée dans notre ventre (
antre) de bêtye-fée devenue "croyante", au passage d'un muret ? Ou bbien , sorte de tracé comme conjurant un certaéin nombre en soi de sorts (sortilèges) alloués à des bêtres , bêtes de paroi = mots du Verbe Sondé ? On cherche grave ce qui est en cette sorte de tracé "de bout des bouts" d'une vie donnée, mais, en vrai, ça nous met, un peu, en difficulté, car ensemble, peuêtre (fée), on est un peu armée
mais pas tant que ça
! On doit se recentrer, se remmettre ensemble de la travezrsée à travers la roche (initiale ) é&ux données frontales telle qu'appréhendée aux temps premiers. on est née fée au pazssage, ok, mais on doit encore chercvher à comprendre, qui on est , dans un pré, ici même, au milieu des bêtes, qui on est qu'on se doit d'êttre pour au mieux cerner les données rupestres et autres tracées qui, devant nous, sont encore (ou rewstent encore) à apparaitre, à se montrerr, à montrer de fait leur sorte de "nénés" tels que notifiées (plus haut) en ces sortes de données gravées sur roche des fées. On veut toucher à une vérité de type "déité" sait-on jamais .... ça serait grandiose !
vraiment coool ! de'ainsi pour le coup arrtiver à toucher à cette Déité sucré appelée Néné, par la bande ! on adorerait ! on signerait demain, des deux mains , c'rest une certitude ! on adorerait comprendre ensemble ce qui
est ici, qui swembleraéit vouloir (on dirait) parler, et dire ce qui est , concernant (peiut-êtte) le Verbe alloué ici aux Nénés dits "de la chance , de fait, au passage". On veut toucher à cette sorte de "néné" de base, néné né pour un passage à l'acte : chalutier ! On tremble ! on est secouées ! on est touhtes secouées ! on tremble ! chalutier ! on veut enttrer mais on est comme secouées parce qu'on a peur(grave) d'y
passer à tout jamais ! comment co:mprendre ? comment prendre ? comment cerner ? comment s'y prendre ? comment faiore pour aller ensemble, au plus profond des données étranges, cerner-toucher, touxcher -cerner à cdes données des bouts de rage, bouts des bouts des finitudes prairiales (animales et florales) : comment ? On charge = on cherche. Pas facile ensemble de trouver. ensembvle ou pas , pas simple ! Pas si simple ni aisé de s'y (ensemble ou pas) reytrouver ! on charge
grave = on cherche ! on y croit ! on veut toucher à cette croix du bout du monde dit "de la foi" , soit "de la foi dans le langage". on est blindées ! cernées ! secouées ! traquées peut-être mais en vrai : on charge ! bélier né on en avance ! vers une Déité des D2ités notoires (si jamais).
9/9/2024
On aime ! on veut percer et qu'sst-ce qu'on fait on perce ! on vca profond dedans cgercher des choses, du tracé, des données, de la Bête des prés si tant est et on est nous -mêmes (en vrai) des bêtres, betses fauves, cris de joie, hommelette/femmelette de paroi, on est l'Ambivalence Reine, le tracé fait foi qui nous amène jusqu'au cimetière et puis au-delà sous forme princière.
On aime ! on veut ça ! faire ainsi cortège ! tralala ! parade et passade on trace ! cavalcade ! le corso des Rois, l'Ambivalence ça nous va parce qu'on aime ça , on en redemande à chaque fois ! vive le Roi des SArabandes, le salut des Voix de Propagande ! on est Reines des joies, joies sur -terre-mère, on est comme ça = Premières, charge d'âme et Princesses, Filles de Joie et vives "écolières ! on y va ! on rage ! on ne rage pas ! on vire ! on ne vire pas ! on cherche ! on ne cherche pas ! on est cfomme allouées ensemble ("toi et moi") à une Ambiuvaleznce patente.
On veut croire en sa bonne étoile : "toi et moi" par là, "passant "le cadvare , c'est-àdire "le dépassant", et nous voilà FEmmes, toi et moi en FEmmes, un tracé, une sorte de sarabande, on est des fées de contrenbande, on veut y croire. On est là pour comprendre un certain nombre de données de choix, et ces données sont (comme) pour nous ( pour nous deux)faites de bois, de matière inflammabkle, on voit ça ! ça crame ! ça y va ! bois des Rois et Reines de Saba ! on trlaiîne la patte, on creuse, on creuse ensemble, on cherche à cerner-comprendre, ici même, ce tracé des rois, ce qu'il est de base pour Soi, caminade.
On y va ! On aime ça ! On veut comprendre le tracé des reines, reines de Saba. On cherche à comprendre ce qu'on voit , cette chose devant soi (ou devant nous) qui nous regarde. On aime ça ! on regarde à notre tour la sarabande devant soi, cette chose des parois ! on trace ! on veut comprendre ! On est là ensemble accoléezs sezrrées, pour de fait en avancer (on dirait) dans les connaissances concernant la Fée, cette trace, ce tracé des Fées, cette Chance Et Parade,sorte de tracé des Antres, cavalalcades. On est comme soudées ensemble par la bande et du coup on voit ! cette chose des parois, qui tremble ! on voit ça ! on trace !
on est danss un pré .
On est accolées dans un pré. On veut toucher à cette déité des données frontales et l'aimer . On veut coller à cette déité des données de base et l'aimer de Rage ! On veut tracer ! On s'est pour ainsi dire rapprochées ensemble des données (Ultimes) de la Face. On est quasi arrivées ensemble au point de passage. Qyui on est ? on est Fée ! fée des RAges on dirait. On est passsées de là à là , auprès des bêtes de paroi, dans une s orte de course effrénée jusqu'aux confins du pré. On est nées de La Rage d' être enfin passée, d'avoir traversée et du coup d'être tombées ou comme tombées dans un pré, champ des fées et des bêtes-Monstres,c ris de jhoie toutes les secondes ! égrenage des données frontales , temporisation des données. On est nées ! On est passées ! On est passées de l'aiutre côté ! Qui on est ? FACE ! Pile et face on dirait ! chamade !
On cherche à comprendre les données données, le tri frontal, cette vie en libre accès de l'autre cfôté et ça vente ! oh, qu'est-ce que ça vente ! ça envoie ! ça crache ! ça y va , et nous (la Fée) voulons cerner de base ce qui est, concernant la Charge, le Passé, le Passé posé comme (en tant que) offrande, les données données ssont les données poséeees (ou déposées) sur roche des Prés.
On est Fée de base, faite ensembkle d'un rapprochement-collage d'ailes entre eklles , pas plus compliqué que ça en fait ! On est ELLES = AILES des Données Données sous forme de ... Fée des F2es !
on croit rêver mais rien du tout ! on est fée pour de vrai ! une fée en herbe ça le fait et en plus c'est vrai !
On est la Fée de l'Herbe , des données ancrées, Verbe alloué à un tracé de fée, à une sorte de tracé de tfée sur herbe en herbe, fée en herbe sur herbe, fée des fées on aime ! on est fée noius-mêmes ! fée des Fêttes !
On aime fééet^ter l'Herbe , le champ de blé, les données primaires, le Passé posé, la belle meunière,; l'anfracrtuosité première, l'Envolée des Envolées .
On est une fée du fait qu'on s'aime ! qu'on fait coprps ensemble dans l'adversité, qu'on ose des faits, qu'on se tripotte, baise, cherche, colle, peénètre. On est bêtes de roche découvertes. On veut s'aimer sur roche comme des bêtes. on a pas envie de traîner mais tout le contraire, filer grave à perdre haleine, s'époumoner, filer -tracer, chercher loin la roche "des confins", l'aimer, s'en rapprocher, faire son chemin. On est Fé2e des Fées sur Herbe (Verbe) des contrées ruprestres (néandertaliennes on le sait) et on va vers elle, la contrée des fins et autres confins dits "de cimetière".
On cherche vif à tracer des traits qui indiqueraient en vrai CE QU'ON CHERCHE en termes de DONN2ES DES DONN2ES RUPESTRES, à savoir : le VERBE, VERBE en HERBE Tu lre sais, c'est gravé, çàa tresses ! ça tresse et trace en vrai ce qui est question volontées, recherches, tracés et données recherchées, solennités et éutres envies de cimetière. On veut toucher touchert toucher à cette Bête Allouée à un cimetière : laquelle c'est ? bête à cornes surnumeraires ? cheval fou ? bêtes des denrées toutes absorbées ? aNtilots des prés ? On cherche ! on est accolées comme deux frères, soeurs nacré.es ! on veut toucher toucher toucher à cette sorte de donnée allouée à du VErbe de Fée (de cimetière) s'il en est ! On est soeurs Brontë, Colère, Charge du Passé, australopuithèque si jamais au débotté, on cherche à cerner ce qui est qui est colloé à une sorte de passé qui est passé de cimetière, charge allouée à un passé de traîne, on rêve ! on ne rêve pas ! on est là ! on est pas là ! on charge ! on ne charge pas ! on crie ! on ne crie pas ! on vire ! on ne vire pas ! on file ! on ne file pas !
on y va gaiement question VGerbe sous le vent ! On est blême ! on est fouettées par du vent -colère alloué à du Verbe, vent donné ! On est face à face un vent des prés ! on s'en prend plein la figure c'est un fait mais enfin on en avance, on fait face, on trace, on grave grave szur roche des traits représentant la charge.
On est comme nées, bêtes de charge de paroi, bois des Rois ! Mats de contrebande ! on trace !
On veut en avancer ensemble "à toi à moi" en cette "Romance de paroi", comme (en tant que) bêtes de charge, traits, somme etc., du moment qu'on trace ! qu'on avance ! on veut ça.
On ne veut pas rester sur place à attendre (quoi ?) mais tracer de rage verz là)-bas la place, trait des Voicx, on entre ! on est allouées ensembke (femmes dans la mort dite "trépas") à une sorte de paroi de CFontrebande ! ça bande ! ça envoie ! ça charge ! ça y va ! On est là pour chercher à comprendre ensemble ça ! Cette voicx des voix : qui parle en soi ? qui est là qui dit ça, ce qu'il pense ! ce qui est, ce qui se trame, ce qui se dessine, ce qui se grave. On entte ! on est vfemmes de la mort en herbe, femmes-voix.
On est accolées de base à (depuis) notre entrée .
On est Femmes dees prés en tant qu'on est deux pour "faire" une Fée, Fée duPaysage. On est femmes allouées à un pré en tant que Fée de Paysasage, tracées, marquée, ancrée sur son territoire aux bêtes de charge, on s'y plaît ok mais on voudrait aller (comme à l'arraché) chercher plus avant la somme, totale, du firmament, cette roche terminale "des tourments" , ce qu'elle est en termes de données frontales, permanentesz, qui elle représente, qu'est-elle est en vrai qui pour le coup nous interpelle et semblerait (on dirait) nous parler en vrai, c'est dingue !
On a envie grave de se rapprocher de ce muret des fins de pré, toucher la roche au plus près, toucher toucher ensemble (fée) la roche allouée à cette sorte de passage d'un pré l'autre, ou sinon d'un pré , vers une sorte de donnée marine (maritime) cernée.
on est comme nées (ensemble) au passage (de vie à trépas) en cette chose d'une sorte (?) de pré alloué à du Verbe de Choix : verbe acté, vertbe des contrées célestes, verbe-bête et autres données, verbe de l'herbe et des champs de blé, verbe Celte. On veut toucher à ce muret "des entrées célestes". On veut "attrapper la bête". On veut passer ici par la tête, et nai^tre; Ou comme naîtte (à la une à la cdeux) en ce rOyaume des Embruns, MEr salutaire, Chant des FIns CErtaines, corazón, jeu de la passion, cortège des Poltrons et autres Spigolon de Tête.
On est accolées comme des bêtes et on s'aime. On veut toucher à une D2ité ! on veut cerner ! on veut grave tracer ! filer ! aller ! chercher la Reine, le Petit Colère, les données allouées à un (drôle de) cimetière aux entrées de Fée comme fêtées.
On a grave envie ensemble de nous avancer et de cerner la base ce que c'est, en termes de rage : betes des prés ? bêtes reines des contrées sévères ? qui on est : Fée ? Fée du passé collé? on est la Fée donné e ? Fé des Fées telles qi'on aimerait toutes les connaître en vrai sur terre ?
Mais ... on est sur terre ! on est sur terre au cimetière ! on est collées , ensemble (femmesc= ailes) dans un cimetière dont le nom est : Terre ! terre des données, données salutaires et autres données de type "légendaires". On est nées sur terre Ailes pour mieux en vrai monter en tant que telles une fois la roche passée. On est nées Fée ensemble dans un ciçmetière, nous voilà comme couronnées ! On aime !
On est reines des prés, charges allouées à un rêve, à une envie vive de durer , en ce cimetière, en tant que fée céleste, vive et nue comme un ver de terre.
On est nées de base sur pré en tant que Fée de cimetière. On est nées AILES, ELLEs, FEMMES DU pré , Felmmes des PRés, femme -flamme, ailées, chargées d'aller, en vrai,
vers la murette, le muret des fins de prés , muret/murette des données (frontales) terminales. On veut tracer de près ce qui est. Chercher àb cerner, comprendre et prendre ce qui est, en termes de Voix.
On est nées de rage sur paroi (en transe) Femmes (deux femmes) formant Fée des Passagesz de là à) là, soit du pré à l'après. On cherche à cerner ce qui est à travers le VErbe comme déplisséb sur de l'herbe de pré .
On est comme des bêtes ! on broute (à tout jamais) l'herbe verte. On broute que tru brouteras (à tout jamais) L4HERBE VERTE des parois (s'il en est !!!) et ça le fait ! ça charge ! ça envoie ! ça crache ! ça ne lambine pas car ça y va genre filage, enfilage, , filament des voix ça trace !
On est là qui ensemble sommes cette "somme de voix" ou quoi, qui tremblent ou pas, chantent ou pas, parlent ou pas mais quoiqu'il en soit elles tracent ! elles filent, tout bas peut-etre leur romance, mais voilà : elles tracent grave sur paroi la Bpête (justement) des Voix , dites (les voix) " du cimetière - aux données premières".
On est Femmes sardes : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! et aussi : sagesc, oui encore ! et tant d'autres formes ! On est FEmmes des Bois de Bas-äge. On avance ! On veut cfomprendre, en tant que Fée allouée à un passage (vie /trépas), qui en vrai on est et à quoi on ressembke. Oui en vrai au fait, à quoi on ressemble ? est-ce qu'on ressemble à une Fée Clochette genre walt disney ? à une fée des fées genre une sorcière ? à la Fée dees prés et autres cimetières (car le pré, le paradis, est un cimetière : ça c'est dit !). ?
On est qui ? on ressemble à qui ? on est qui en vrai ? doit-on pleurer la vie passéex ? sommes-nous nées ainsi accolées une fois la vie morte et enterrée ?
On cherche à cerner les données de base, ce que c'est. On est nées d'une RAge à (ensemble) déposer sur pré un passé de poids (Temps des Actes) et tracer ! filer ! chercher ailleurs en ce pré le sentier menant (de fait) aux finalités , fins de pré, muraille. On est nées Fée de Rage sur pré (parade = paradis) et on trace ! en tra&nse ! le tracé rêvé, l'estocade ! vivacité à tous les étages : on est des fées , et dès loçrs on en avance comme au pas de charge (si tant est) concernant une fée "pleine de grâce", allouée, cernée, vive et nacrée, fée des fées. On est F2e au p assage = fête des prés. On est des fées de fête en vrai allouée à une sorte de pré de la Rage .
On est : Fée de fête, fée des fées tracées.
On veut ensemble en vrai cerner un certzin nombre de données toutestracées (sur roche) à main levée par (on dirait) une main de fée : qui sait ? néandertalienne on dirait.
On aime ! on aoime les fées ! On a envie nous-mêmes d'être fée allouée à une co,ntrée poste-cimetière s'il esn est ! On veut tracer sur herbe un tracé de Verbe et y aller, en vrai, à fond la caisse ! comme envolées ! comme soulevées par (squi sait ?) du Verbe d'Envolée ! On est nées sur herbe comme soulevées par du Verbe SZAcré (Naccré) !
On aime ! on veut aimer ! On veut toucher à cette Déité des Fins de Règne : confins-nés. O,n aime être Fée de Baise, Congrtatulatiuioons sur Herbe, Pamôison et autres faits de fête, concentration. On est des fées du cimetière cherchant vif à traverser (ensemble) le pré aux bêtes, pour nous (comme) téleéporter hors cimetière, vers d'aéutres contrées qui nous accueilleraient comme si en vrai on était (nous-mêmes) des bêtes, bêtes reines, bêtes des prés, des cimetières aux données données par (on dirait) des sortes de ... fées, fées en herbe ?
On est bpêtes ! on est des bêtes ! On cherche ! On est accolées ensemble soudées. On veut toucher à une déité dite "du cimetière et autres contrées déplissées temporelles". qui on est ? ELLES + AILES. On est (comme qui ndirait) des a&iles de fée.
Un homme mort (ou trépassé) devient femmes des pré, deuix femmes allouées à une (sorte de) corps de fée en tant qu'elles (ces femmes = elle"s") forment lmes deux ailes d'une fée en herbe !
passé ! passé clotûré ! ça ferme ! on ferme !on est fermé ! on ferme le Passé comme avec un couvercle dont le nom est : Fée, Fée des f2es, on ferme ! on a fermé ! on a baiissé de près ce qu'on devait baisser : garde et porte d'entrée ! On est fée des fées en ce cimetière des données serrées, actées, déposées, données sur rtoche à l'arraché, lmise sur piedfs dès que (pour le coup) nées sur roche et allez ! filez ! foncez ! allez-y donc fronteal sur ce pré des fées ! courez sans vous retournrez ! atteignez la Chose , là-bas, deployée, qui guette, vous regarde faire (aller et venir) et rêve (en vrai) de vous dévorer on dirait.
On a ^méga envie ensemble de toucher le Vrai de cette (sorte de) PArade Géante.Elle est qui ou quoi en vérité, on ne la sait p as. On voudrait c'est sûr comprendre mais cxomptendre quoi ? la p arade (aux bêtes de foire ?) ? paradis des Voix ? On cherche à comprendre ce qu'on voit, à quoi ça ressemble, à quoi on pourrait ensemble ici penser de fait que ça ressemblerait en termes de paroi, de roche ornée et auttres grottes ornementées. Grotte aux Fées ? peut-être ! On ne sait pas. On est baba devant (ou cois, coites) mais pas plus que ça ! si seulement on pouvait en vrai cerner ensembke et dans le détail les données frontales ! On dirait (de concert) ce qui est. On cne dirait pas ce qui n'est pas, mais on dirait (de rage) ce qui est en vra i. On pouurrait grave dénoncer ou je ne sais qauoi les données raciales et autres vilénies de base, attribuées à une sorte en soi de primauté frontale de données données comme à la parade. On voudrait comprendre ! On voudrait c erner ! On veut comprendre et aussi cerner eh bien tout ce qui se passe, ici, en ce pré ! les bêtes qui broutent, le soleil alloué, les clartés ett les herbes nacrées, le tracé sur herbev = sentierr, l'herbe verte.
On est nées dans l'herbe verte, comme en vrai allouées à une sorte de marche forcée vers des confins de fin de pré. On est nées fées pour en avancer et ne pas trai^ner. On est nées fées sur herbe en tant que telle (fés ? herbe !) et on fiile dès que nées car on est pressées (commùe présseées) par les données liées à une sorte de (il semblerait) souffle de base, vent de face, souffle vif des souffles allouées à une sorte ici d'enclave aux données doonnées comme soupesées , ou même szoulevées.
On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher t(oucher svp, à cette D2ité des D2ités des D2ités des Déités surnuméraires afiliées ou allouées à une sorte de "crête" sur pré, sorte de monts "des Prés" comme une murette, muret, mur d'enceinte il semblerait , et nous de vouloir pour le coup aller (ensemble accolées) voir ce qu'il en est, en vrai, de près.
est-ce la murette (des passages alloués à dxes, qui sait ? szortes de naissances), toujours la même ? on dirait ! on dirait qu'en effet ... on retombe en enfance ! quelque chose comme ça : ça y ressemble. Car, la paroi semble similaire à celle déjà traversée à notre naissance. Car , on dirait en effet qi'il y a (ou qu'uil y aurait) en ce roc des fins, une sorte (fine) d'anfractuoisité par où en vrai (ensemble : fée ) on pourrait passer comme à la parade. Car (aussi), la vie (ici) semble se poursuivre, s'allonger, faire suite. Suite acide ! suite ancrée nacrée dans un ciel de suite (pour le coup) nacré ! .
On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à c ette chose ici trouvée, de type "donnée des données " = Femmes au débotté ? femmes fluides ? fines ? fermes ? doublées ou dédoublées ... hommelettes ? On chercvhe !
Onj a envie grave de chercher ensemble des dopnnées. On veut ensemble essayer de trouver , des données qui toutes le fassent. si possible ensemble on veut edszayyer de trouver le plus possible de dopnnéesv concernant la mort ce qu'eelle est , ce qu'elle n'est pas tout autant et autres vérités concernant de près le firmament, l'après, les choses du temps, l'avenir des fées.
On vzeut toucher à une déoté si tant est. On a méga envie de pour le coup nous approcher znsemble d'une vérité, d'une déité qui serait vérité , ou d'une vérité qui serait une déité.
On est deux femmes allouées à un peu d'herbe (un pré ) et c'sset en tant que telles qu'on veut (voudrait) en avancer dans ce qsui est ici une sorte de pré aux données serrées, aux faits vrais, aux petites et grandes vérités concernant de fait la vie sur terre, et la vie hors de la terre si jamais.
On est des fées de cfimetière et aéussi des fées d'hors cimetière, des conntrées lointainesz en dehors du cimetière dont le nom est Terre.
On a envie e,nsemble de comprendre un certain nombre de données concer nant la Terre, et si possible ensemble (oui) et : sans lambiner, de préférence, car, en vrai, le temps presse, qui nous pousse à "dire-faire" une sorte de Parade des Dionnées Données ou aux données Données de type "offrandes à D2ité".
On veut toucher = on vveut cerner. ON veut comprendre = on veut combler (de faits) les trous de l'âge alloué à un tracé.
On est des féesz comme (toutes) cernées par la bande (acidulée ?) d'une sorte de Parole Sage, SAge et Sale qui plus est , mais ça marche ensemble on dirait.
On veut toucher ensemble parce qu'on est ensemble et qu'on veut toucher !
On est sages, sardes, femmes sardes, dans la mort alloué"es, ou dans la mort comme allouées à ce qui (en vrai) est Sage = sale = dits des prés, dits vifs des prés aux données.
On a envie ensemble de cerner-toucher à une vérité de base, dont en vrai le nom serait celui, ici rencontré , à savoir .... Déité ! D2ité des Fées ! Charges d'âme et autres charges -pioids de base déposées comme à la parade.
be'$êtes de la foi dans l'herbe. On aime !
On a envie ensembkle de toucher à cette chose d'une bête, aux herbes vertes (herbe à brouter) et du cfoup on se rapproche d'elle , à la caresser , on se rapprocheau plus près pour cette chose de la caresser ici sans tra^$iner, et c'sst ce qu'on fait, on la caresse, on aime ça la caresser, on ne s'en laisse pas conter ! on l'aime ! on a envie d'elle en tant que telle ! la manger ?
On est des fées de cimetière, et on aime l'herbe, l'herbe des prés.
On est des fées comme allouées à une sorte de cimetière, et du cfoup on veut ensemble si possible tracer, un certain nombre de données de base , tracer-marquer, dire-marquer, un certain nombre de données de type "visibilités des visibilités" et auttres traéits ici affirmés (haut et fort) comme (en tant que) "Véritész des Corps".
On est deux à 'arraché, on erst passées, on est néesz sur herbe : ploc ! on est tombées.
On veut de fait ensembkle ici comprendre les données sondées, les faire nôtres à la retombée , les aimer ou tout cfomme, et, dès lors (qu'on aime ces données) , prendre ses jambes au corps et vite tracer, filer(, courir sans traîner, vers ces données auttres des fins de pré et autres "finalités des finalités gravées".
On est d'accord : on aime aimer le Corps de la Fée !
On est fortes femmes lourdes à l'arraché (la retombée) , nous voici transformées en Fée, Fée d'ombre, on est néee ! on est Fée née nue sur herbe du pré sur le cul.
On a ensemble envie de tracer et d'aller (au loin) rechercher ce qui est, en termes de données "velues" ou poilue", de type animales, "animalité de façade".
Qui on est ? on est des fe"lmes, ici, devenues Fée, Fée des ombres (hommes) cachées ! On est des Fées de base nues, qui (en vrai) chervheons (ensemble) à comprendre par le menu, ce qui est ici (sur roche ornée) et ce qui n'est pas, ce qui en vrai n'existe pas, voire : n'a jamais existé !
On veut toucher à une sorte de Denrée d'offrande, qsui serait ... des vivres dits "de contrebande" = chapardés, volés, cueillies commùe à l'improviste et à l'arraché sans plus chercher.
On veut toucher (grave) à une déioté des Déirtttés. Et pour cela : filer ! filer vif et sans chipoter ! filer grave en ces prés, vers (il semblerait) la Parade Finale ou Parade Terminale aux données actées comme de façade !
On ne rêve pas , en vrzai, on acte !
On est néesvd'une sorte de rage à vouloir ensembvke (deux femmes) s'immisver en ces contrées post-pariétale, et, une fois nées (comme à la parade = paradis = pré) on a vite couru vers là-bas cette (szorte de) muraille des fées, ou muraille aux fées , qui nous fait ou faisait face, nous attrirait, semblait comme nous appeler , nous interpeler, et nous (du coup) d'y aller sans plus traîner, àà grande enjambée, en courant-volant comme les fées qu'on est en vrai, et du cou voilà : on est arrivées ! on regarde ! on voit ça : la grève ! grave on voit ! on est femmes-fée , deux femmes pour une fée", on avance (on en a avancé !) et voilà, on mate ! on regarde au plus près ce qui est, on cherche à comprendre. qu'est-ce que c'esrt qui nous regarde ? qu'est-ce que c'sset qui nous fait face en vrai ? on est qui en vrai, qui (ensemble) cherchons à cerner un certain nombre de données de base , de données données ? On est nées sur place fée, et à présent on cherche à cerner, face au muret, les données finales ! ce qui est ! ce qui est qui nous regarde !
On charge = on cherche.
On ne veut plus traîner, on veut au contraire pistonner, trouver ensemble une manière d'y aller ensemble et cette manière, on croit l'avoir enj vrai trouvé, ici-même (cimetière), en la personne d'une fée en herbe, fée des fées, fée-manière ou fée maniérée peut- être mais on l'aime ! on aime cette fée qi'on est ! cette fée en herbe , fée des fées d'un cimetière alloué au passzé et aux chrysanthèmes !
On est féess de rêve, chercvhe-merde peut-être qui saiit ? on sème ! la merde ? on ne sait ! on est fée de traîne, données des données, on s'aime ! on sème ! on sème la merde ... ou pas la merde mais (qui sait ?) du Verbe doré ! chant docte ! parole enlevées ! vents de bord et autres souflles acidulées comme s'il en pleuvait ! cohorte !
On est des fées de rage sondée !
On veut se rapprocher ensemble de la vie aprtès la mort. On veut se rapprocher ensemble ici (pré) de la vie postée (?) après, soit après la mort.
on a grave envie ensemble de toucher à cette sorte de divibnité qui nous ressemble ou nous ressemblezrait ç-à jamais qui sait, du moment qu'on sème !
On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une sorte de donnée de rage, qui serait en vrai donnée de base pour (enfin) comprendre ensemble (gouines-fée) ce qu'on est en termes de base, en termes de données de base, gentesdames au débotté et autres fées de contrebande (" quand ça bande on contrebande ").
On est nées fées , on veut cerner ensemble ce qui se présente en termes de données de rage, dans la mort.
On est (dans la mort !!) nées fée, Fée au singulier car on est nées (deux femmes) pour nous retrouver comme unifiée , réunie (de base) en ce corps (alloué) d'une "Fée des prés et autres champs dits de parade" (de parade abncrée dans un paysage).
Qui on est en vrai ? Charme ! vie ! passé donné comme une denrée ! une sorte de Fée des Données genrées, un acte alloué à une volonté !
On est passées, ensemble, à trvaers une roche donnée, on l'a traversé, on a aimé la traverser car nous voilà (du coup) transformées en Fée , Fée au singulier, du fait que voilà, on s'est retrouvé&es (sur pré) accolées (ailes au débotté) transformées en Fée, Fée des ombres et des données données comme une sorte de cohorte d'ombres (hommes, bnêtes, poids, somme, traits droits).
On veut ensemble de grâce toucher yeah !!!!!!!
O,n veut yeah ensemble de gr^$ace toucher = cerner = dire = faire = chanter ! chanter haut , fort, à tue-t^te , les données découvertes (comme au débotté, ou à l'arraché) au passage (ici-même) de'une sorte de "rocher des rocher" de type ... "fenêtre" ? feu de l'être ?
On veut toucher ensembleb à cette déité de cimetière. Toucher elle = son aile ?
On est nées Fée car on est (dans la mort) nées en tant que ... elles ! ailes ! Ailes allouées à un cotrps de fée de type rupestre , uune forte tête !
On est comme cernées, tracées sur roche à main levée, par, qui sait ? une bête ! une bête nous aurait en vrai ... dessiné , gravé, tracé au débotté sans sourciller à main levée, et du cfoup montré , haut, soulevées, comme êtres de paroi de rage, hommelettes de bas-étage, femmes sardes (!) accolées pour former la Reine, Reiine des prés, Fées des f2es et diu cimetière !
On aime !
On a grave envie d'aimer ! On veut azimer grave cette fée (du cimetière) comme "retrouvée" !
On est femmes des prés devenues fée par (?) un effet de manche (contrebande) à la une à la deux nous voilà transformées ça le fait ! pamoison ! cri de joie à l'unisson ! on est nées fée du fait que nous voilà ... ailées ? ailes allouées à une fée des prés ? On aime ! on est nées ailées (au cimetière) du fait que nous voilà (dans "la mort en herbe") transformées ou comme tra&nsformées en Fée Ailée du fait qu'on est ELLEs = femmes des prés à la retombée dès que "passées" = mortes en tant qu'humaines, homme mort-né sombre dans l'herbe pour former (lui) le fumierr "des prospérités". on aime !
On est felmlesb des prés allouées à un corps de fée dit "surnumeéraire" , du fait qsue voilà, il vient se rajouter à ce qu'on voit !$
On aime ! on a envie d'aimer ! on est fée des prés, gentes denrées, vives donées, offrandes et dons de soi sur roche gravé come à la parade devanr t szoi.
On est bêtes de somme ... ailées ! vaches sacrées ... ailées ! cris de joie à l'unisson, troupe soudée, on creuse devant zoi la roche pour en vrai passer, traverser, geagner (vite et bien) les embruns, fins de pré, murailles aux données (frontales) finales.
On est femmes allouées à une sorte de recherche (vive) à travers la plaine aux données données de type animalières;
QUI on e'st ? on est F2e ! Fée des Fées ! gentesdames allouées à un pré (p arade) p ariétal.
Cherchons ensemble ce qui est du coup en tant que fée !
on veut comprendre, on veut grave comprendre, on a envie grave de comprendre, toucher et comprendrr, ces ... nénés de base, seins soudés , ce que c'est ! ce lait = tout ce lait ! une montagne ! primauté , principauté ! corsage !
On a envie ensemble grave de téter, téter les nénées, des femmes sardes, sages, sales.
on veut cfoller ! cfolloer vivves à ces données de base ! ce que c'r'st que ces données on se le demande ! On veut toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher touchet toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher oucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tou-cher à ces données ou sortes de données en forme de nénés à lait (on dirait) .
On nveut de vfait ensembleb (accolées, collées) comprendre ce qsui est, c e vqui se présente, ce qui nous fait face (dans la mort) en termes de données de type nénés !
On a méga-envie de base de comprendree ensemble ce qui est qui se présente , se place en face, se présente de fait , face à face, né !
On est nées de base Fée , on veut cerner ensembke les nénés ! les nénés nés !
On est fée de base dans la mort,on vgeut comprendre les nénés qui (en vrai) , face à nous, se présentzent comme au débotté ! qui c'est ? qui est là qui se présente ? Eh bé voilèà en vrai ce qu'on veut comprendre ! en clair (et pour pas cher) à qui sont ces nénés en vrai.
En clair, en vrai, à qui sont ces nénés qui sont, pour le coup, disposés devant nous pour être (on dirait!) tétés !
On est Fée de Rage sur pré, on veut cfomprendre les nénés de base, ce que c'est, en termes de Rage,, de Paroi Frontale, de donnée allouée à une vérité frpntale type "déité des Déités". Sont-ce vraiment des nénédss ? sont-ce vraiment des nénés à la&it ? est)-ce que vraiment de fait c'est (pour nous) des seins à teter come par la bande ? sommes-nous dans la mort des fées nouveaux-nés, fées nouvellement nées qui chercherions comme des affddammées à téter sans tarder ou traîner ? sommes-nous fri andes de lait ?. sommes-nouqs affammées ? Voumlons-nous sans tarder ni traîner téter ? faire ainsi qu'on puisse §ttéter et s'alimenter du bon lait de la vache sacrée ?
NOUS VOULONS COLLER À UNE ROCHE POUR LA TRAVERSER, EN TANT QU4ON EST UN HOMME AU SOINGULIER, ET UNE FOIS PASSÉ, SOIT MORT ET ENTERRÉ, SE RETROUVER "DE L4AUTRE CÖTÉ", COMME TRANSFORLMÉ EN F2E ! F2E AUX AILES ! FÉE AILÉES COMME SIL EN PLEUVAIT EN CE CIMETIÈRE-PRÉ DE TYPE PRÉ AUX F2ES ET AUX BËTES "SURNUM2RAIRES". ON EST DES F2ES DE RAGE SUPRË4ME ALLOUÉES À UN CIMETIÈRE AUX DONN2ES DONN2ES DU VERBE SOULEVÉ, SOUPESÉ, ENVOLÉ, POSÉ COME SUR HERBE AU PIED DUNE DIVIN9TÉ, PIS DE VACHE À TÉTER COMME HERBE À BROUTER, MËME SCÈNE !
on est néesc sur herbe Fée au âssage tracé d'une sortre d'embardée au sein du verbe (vie vive dépôsée) et des données de roche sacrée.
Vache à lait c'est elle , on la reconnait, elle trône sur l'herbe, c'est la fée Laitière, vache af-gréee par une sorte de divinité allouée au dit Verbe tel que consacré, par , ici, la bête bête, l'idiotie, chants en herbe, vives coneries de tra&îne comme vilénie et autres âneries salutaires (qui sait ?).
On veut : et toucher et paîttre ! c'est un fait qu'il nous faut souligner sans plus de réserve on le sait, on est nées ! on est nées dans uncimetière ! ça le fait sévère ! c'st pas rien en vrai ! on est fée de cimetière si tant est ! c'est nous la Fée du pré, l'emportée , la rosse ou pas mais celle qui va là, comme à l'arraché, nous accompagner et sans sourciller jusqu'au fin fond du pré aux portes des données fianales et autres murs de Fond de salle communale ou quelqaue chose de ce genre, muraille, mur du son.
on aime tracer ! On veut coller ! On veut grave coller et tracer sur roche un ensembke (pour le coup) de choses doctes, de type : fruits acidulés, vivres, dons, cornichons, poissons.
On aime être Fée ! On veut grave tracer en tant que fée sur roche des traits, traits de coupe, tra&its des traits. On veut dessiner. On veut graver des traéits de roche, traits des traéits sur roche, données, données des données.
on est des fées de co ntrebande, chance ! On veut (ensemble) traverser le pré, comme à la volette vite fait et, tout aussi vite fait, gagner la r(oche terminale, les embruns, sons de roche frontales, sons comme sourdant d'une roche de type "frontale", "frontale perforée", et on regarde ! perforée (la roche) et on regarde ! on voit ! on regarde et du cfoup on voit ! on voit ça : des traits , tré&its de coupe par où passr on le sait , qui un oeil qui un bras, qui la t^$ete, qui le pied ou la quiquette si ja&maisv (qauand on en est armé !). ON veut toucher toucher toucgher toucher tyoucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher à cette sorte de murette aux données toutes ancrées comme des croix de cimaetière on dirait mais est-ce ? est-ce vrai ? est-ce en vrai ce genre de données qu'on seraéit en vrai à vouloir ensemble (main dans la main ) comprendre ? sommes-nous fée de contrebande ? sommes)-nous fée sans bande ? sommes nous fées en ba,nde ? un troupeau de fées du genre , peut-^tte, des vaches ? Sommes-nous des vaches ? vaches à lait sacrées ? qui on est ?
On est femmes sardes ! sardes sages sales ou pas ! sommes-nous sales ? peut-être pas ! sardes ? Pas davantage ! sages ! certainement pas ! ou alors de rage ! on y croit ! on charge on fonce grave ! on est femmes des parois de l'^$ame et znsenmble on fil droit vers là-bas la place, la paroi finale, paroi des parois qui semble , on dirait , peut-être, nous apostropher, comme si on était en vraéi fée des Rages prêtes à nous donner ma&is que dalle ! on ne veut pas ensembble ou pas (d'ailleurs) nous donner en offrande ! on est pas des fées bornées ! On est fortes ! on colle au pré. VACHE À LAIT C'EST UN FAIT AVÉRÉ ! ON est des fées de type v"vaches à laéit" alors arrêttz de vous époumoner à nous apostropher pour nouqs attirer de fait en vos filets ! on ne veut en aucune façon trépasser ! jamais ! hé, pas si connes en tant que telles ! on veut durer dans la durée en tant que vaches à lait à pouvoir (par qui en vrai ?) téter ! On veut duurer ! tracer, dire, charger, comprendre, szoulever et soupezser les charges! on a envie grave ensemble dee durer ce qu'on peut durer et même davantage si on pouviat, en tant que vache sacré pouvant allaitrer (de préférence) et, du coup .. donner ! donner du lait c'dsst donner ! donner un peu de son lait = donner ! on est vaches sacrées, vies données pour une e,nvie ici de durer , szoit de durer en vie .. dans la vie ! Dans la vie de la mort c'est dit (et inscrit) sur ce corps d'une fée allouée à un pré ! On est nées (dansz la mort) fée, c'est un fait !
On est ensemble nées, en vrai, dans la mort, en tant que fée ! fée au singulier.
Récapiitulons : homme on meurt, on devient femmes au débotté, deiux femmes allouéess à une sorte d'entité dont le nom est "Fée". Ainsi transformé, on n'est plus cet homme du passé (l'ombre d'un ^ttre de la terre meuble) mais femmes comme dupliquée, et nous voilà qui (de fait) formons les ailes d'une sorte de divinité genre Fée, ou même fée des frées.
On aime !
♥️ !
on est fées des coeurs !
♥️ !
On veut grave toucher à cette Déité des cimetières, et pou$r ça (cela) : ça , le trait, le trait tracé, gravé, dessiné à main levaéé et comme né (ici paroi) d'une sorte de transe (de da&nse) enlevée ! on y croit ! on est femmes de paroi (devenues fée) qui (de fait) gravons de rage, la vache à lait, la bête de pôids, vive et ancrée, comme à la parade, pour charger ! convaincre ezt tromper, qui sait ? cette sorte de "divinité céleste" aux données de choix, Déité rupestres et autres Di'eu dit "des parois". On veut aller de base ensemble au co'eur de la paroi ("des confins de bout du monde"), on veut ça, et c'est à ça qu'u 'on pense (ma foi) quand on danse, qu'on entre en transe, à la foi dans l'au-delà, à la chance, au vents dits "de face".
On est femmes allouées à une danse de parade !
On danse ! on est femmes chantantes dansantes venant toucher , comme soulevées, une sorte de Divinité pleine de grâce, Mzarie Galante sur paroi ,forme sage.
On a ensembke en vrai envie de com^prendre, en soi (?) ce qui nous ressemble au sein de la pa&roi.
On a grave ense'mble envie de commprendre les données de base, fruits secs, fruits des bois, fruits juteux tombés de l'arbre, fruits données comme autant d'offrandes à une déité sucrée ;, déité des déités elle-même sucrée comme à) la parade ! on veut ça := co:mprendre ce qui est qui nous est donné ! du lait ? lait sucré comme s'il en pleuvait ? on en pleureurait ! on est des nouveau-njées , nouvellement néee à loa retombéec (par la bande) sur paroi du Roi, des REines de charme et autres princes et dames des bois ! on entre dans l'antre , on voit ça : convoi ! charge mentale ! parade = paradisz ! betes de poids sur roche lambda et ça charge ! convoi !
On seraéit (ensemble) données pour cxharge, sommerondes, on dirait ça.
On veut (nous deux , à toi à moi) comprendte grave, ce qui est qui nous regarde : une vache ?
On a (ensemble) on dirait (en vrai) en vie (grave) de comprendre cete vache ce qu'elle est en terme de .. lait, lait sucré de contrebande ça le fait ! c'est vrai que c'est sucré ! on aime le sucré mais en vrai pour le coup ici c''sst (juste) méga-sucré ! ça envoie ! ça calme ! c anadou de rage, tu m'as compris ! envoie ! on cale ! on est là pour ça: dire, et donner , cela même qu'on aimerait, de fait, pour nous, êttre "gratifiées" , tu vois la para de !
On veut toucher à cette déité des charges ! on veut (grave) toucher ensemble , à cette sorte pour le coup de déoité des cxharges : qui c'sst ? c'est MARIE BLAFARDE ? l'amante vénérable ? vache tendre ? vache à lait de l'age tendre : sacrée ? sucrée ? Lait de base comme consacré en vrai par la bande ici animalière d'unse sorte de pazsabge (de charme) àtravers les herbesz, enjambées, on passe, on est nées pour traverser le pré "paradisiaque", et aller plus loin , de l'autre côpté,, chercher le tracé, le tra&it, trait d'ombre ? traéit plutôt de clarté, de type "anfractuosité" et ça le fait !
On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une sorte de "denré"e" du bout des roches , denrées des denréesc= données = don = LAIT ! LE LAIT ! LAIT DES OMBRES ? QUI SAIT ? ON NE SAIT CAR ON EST ... DES NOUVEA21UX-NÉES DE L'OMBRE ! on veut grave s'aimer : va)--t-on y arriver ? on est nées de fait sur un pré d'ombre, d'ombre ou de clarté peu importe, car , ce qui compte, en vrai, c'est d'être nées fée, en tant que bête (bête ?) des prés.
on est fée de cimetière, on veut en avancer et, de fait, on trace sévère ! on file on vole ! on survole les données mais c'sst ainsi qu'on en avance sinon comùent faire ? ici le nez flanqué, dans l'herbe funaéraire ? Jamais ! survoler c'est un fzait qui (en vrai) nous intéresse, ou sinon un fait un état de fait ! On aime grave survoler sans rtrop s'arrêtrer. On pense (à part nous, en tant que fée) que, de survoler les données prairiales, est de loin préférable à une sorte d'examen de b ase, de base chelou car il freine tout, or le tréit ici à bien cerner, les donné&es de rage , à ici cfomptrendre, sont tous et toutes lié.es à cette chose déplissée ici en tant que volonté, désir ancré, de (pour le coup) tracer ! filer ! aller fissa au sein de la par(oi(pré docte) sans traîner ! fissa est la vérité si tant est ! on ne doit en aucune sorte lambiner si on veut tracer (à main levée) la bête de somme (Vérité des Vérités). On est femmes nées (d'une roche) dans la mort , transformées en frée, deux femmes pour une fée, voilà le compte .
Deux pour une et les vaches (dit-on) seront bien gardées , mèfle !$
On veut durer.
On a méga-envie de durer, de cerner ensemble un grand nombre de données liées à la mort. On veut toucher à une déité frontale, genre pariétale : une armée de bêtes groossses, aurochs et biseonnes, buffles et juments de roche. On veut tracer = filer = dire vite fait son propre fait qui seraéit cette chose (en vrai) comme quoi voilà : on était un homme, on s'est (dans la mort) transformé en femmes, ailes dites "des données", formant fée de base', fée des fées pour une embase de type "denré"ée, offreande, don de lait". Qui on est ? des fées ! fortes soudaines ambrées nacrées lactées ! Fée d'herbe ou alors fée en herbe !
On veut toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tyoucxher toucher toucher à ces nénés de cimetière ! qui on est ? des nénés ? on ne sait ! on est pas des fées nous-mêmes avant de nai^tre fée en vrai ! on a besoin de traverser la roche (surnuméraire) aurignacienne auxsvdonnées données p)ar (peut-êtte ?) des fées dites "de cfimetière" à jamais (à jamais "de cimetière" ?).
On veut toucher (en vrai) de rage , les donné&es, données doctes, les données données , données données doctes, type "denrées = dons = LAIT ! ".
Lait des féesn ! on croit rêver ! rêve-t-on ? pas le moins du monde ! on est né- su!r terre pour tracer jusqu'au cimetière où pouvoir trouver (en tant que fée, homme transforlmé en ailes de fée) le lait de sa Bête ! On aime ! like au jugé ! coeur d'acier ! coeur surnuméraire on aime ! on veut aimer, faire, dire et charger, cette bête des prés, lui donner de l'herbe, la soigner en herbe verte : verbe ! traits tracé à main levé comme d'une bhête desb données rupestres (buffle d'oc).
On a ensemble envie vraiment de nous aimer-aider en tant que femmes allouéesz ensemble à une sorte de donnée, de type cha&rrue, soc d'oc ! et on trace (traits) pour la parade (paradis) au pied levé, ça le fait !
On veut de fait enwemble, devenir la Fée, F2e des ombres ? Fée des fées ? On colle aux ombres, aux parties molles, aux endroitsz mouillées pou r mieux traverser = passer, passer et du coup traversert pour dèsz lors enwemble, nous retyrouver, comme tombées, de l'autre côté , femmes. Tombées en tant que transformée, femmes (deux femmes) sur pré ! ça le fait ! dingue et même plus que diongue ! ... "taré " ????? on ne sait ! on cherche à connaoitte, mieux (toujours) , les données données offertes ouvertes,; si tant est ! si jamais !
On 'st cfomme accolées à une sorte de cimetière aux données tracées, données comme du petit lait ! lait de fée ?
On a envie ensemble grave de tracer un certtain nombre de données de base, données fortes-folles, comme (pour le coup) doublées de lait (sucré) comme acidulé, vivement sucré on dirait.
On veut toucher à cette déité lactée ! vache des prés ! vache à lait avgec ou sans lait on en recdemande ! on est fée des fées ou vaches à lait on ne sait maids grave on veut comprtendre et vite, sans traîner, car le temps défile qui nous voit veillir et nous ratatiner ou comme nous ratatiner sans nousprootéger, ou sans plus (on dira) nous protéger ou nous soulager.
On est F2E, F2E des voix, Fée des fées des voix de l'au-delà.
ON VEUT GRAVE ENSEMBLE COMPRENDRE QUI ON EST EN FAIT DE FÉE. On est qui ? quête ? marchand d'allumetezss !
On est qui ? "quête ! marchand d'allumettes , si t'en as pas t'en achètes, rue de la braguette ! ". On aime ! coeur du foie ! On veut grave cerner, toucher, comprendre, dérouler, comprendre, chercher les clées, le sens de la marche . Des données. Des tas. Des tas cde DOnnées de type "véritées", ça le fezrait. On serait les reines, Reines de sab a, Roi des ROis Chargés (toutes et tous) de victuailles dorées, ça le ferait ! On veut e,nsembke grave ma,nger, boire,et auusi chier , pisser, etre Vache à Lait et se comporeter comme exactement la vache sur pré se comporte en vrai. Brouter mais chier, boire mais pisser ! ça le vfait ou ferait grave, c'st un fait ! ça parade ! ça envoie ! ça gagne ! ça charge du bois ! Qui on est de fait ? eh bé ... Fée des Fées des Bois de COntrebande : charge mentale ! Fichtre, on e,nvoie ! on voit ce qu'on voit et du coup on envoit come à la parade (sur paroi) les bêtes de charge, l'antilope ... sarde ? on ne sait pas sa provenance ! On est là pour com)rendre. On avance à pretits pas. Il faut nous comprendre. On est là pour ça, comprendre, mais à pertits pas car on peut pas, de fazit, aller , nous dirons, " plus vite en vérité que la musique" , voilà l'acmé ! le dire des faits ! la musique oui, active à son rythme, x données dites "des vérités" , et du coup ça le fait ! la musique ici est vivacité, qui en vrai, dicte ! donne le tracé, charge la donne, pond son oeuf de Rome, ne peut autrement donner que comme elle fait ! musique du vivre (dans la mort) la (vraie) vérité des corps, âmes, tourments et supplices, chants des Reines et rOis.
On est nées Fées de RAge en cette chose d'une sorte de parade ! effroi ! chance ! considérations de b ase ! vivisections ? On enttre ! on est deux de base à la décharge ! on veut grave devenir la Fée des rages ! On va (veut ?) être comme aidées , soulevées , soupesées et soulevées ensemble, par un vent de face" ! vrai !
On a envie méga d'aimer , e^tre soulevées par(ici) VENT ! VENT donné ! VENT DES CONTRÉES De RAGE, ou contrée de la rage, d'être (en fait) nées nues du cul de l'antre ! VIVE LE CUL ! vive l'âme mise à nu au paszsage, on entre !
on entree comme dans un cul !
on entre grave comme dans un "cul de base" ! on veut comprendre = toucxher ! on veut grave toucher = comprendre, sans traîner, ce qui est qui nous fait face . On ne veut guère lambiner mais au contré&ire, toucher et donner, donner et toucher sans attendre, filer ! grave tracer ! courir sur le pré et aller, ensemble (main dans la main) vers ce muret de contrebande tant cité, décrit, nommé, alloué ! On veut toucher à ce muret des anfractuosiçtés dites "de contrebande" car en vrai, ce muret est muret des rages ! des rages allouées à une vérité ancrée, fistée, entrée, de type enculage de donnée donnée comme par la bande et on se tait ! le fait est tracé ! merde au données ! on est collées !
On cveut grave comprendre x données, de quoi on parle, ce qui est , qui donc est qui en cette sorte de charade allouée à un dire sacré , qui parle, qui est,, qui se pavane, qui est autocentré, qui voile, qui se taitb ou au contraire parle (vif) , et diu coup dévoile (qui sait ?) ce qu'il a en lui de plusancré qui serait caché ou sinon caché masqué : qui ? ON cherche ! on cherche à vif ! on veut toucher, on veut croire; dire et aéller comme à la retombée sur roche d'un pré, et tracer , dessiner à maéin levée une sorte de bête allouée à une vérité dite "de cimetière et autres terres aux corps sondés". On est devenues bêztes à tout jamais, du fait que voilà, le VErbe est passé (qyi ne passe pas , en vrai) à jamais !
vie des bêtesz. Vies de betes ailées.
Ici la vie des bêtes ailées. VFaches à lait.
Bêtes bêtes, betes des prés . BeBelles bêtes des prés. Betes-verbe. Betes-mots des prés. Vaches des prés bêtes. Betes-Vaches des prés bêtrs. Vaches-bêtes des prés bêtrs. Vaches sur pré allouées à une terre dont le nom est cimetières , cimetière des données ou aux données de type vérités des prés. On aime ; du coup : on like, à jamais, pour la parade (= p$paradis rupestre et autres vies tracées, comme au pied levé).
6/9/2024
On a méga envie ensemble de cerner
au plus près les données d'une sorte de vérité déployée ou qui en vrai serait comme déoployée à nos pieds. On regarde ensemble. On est ensemble pour cerner, soit toucher à une vérité. On ab méga envie pour ainsi dire de cerner et d'en avancer , et pour cerner ensemble et en avancer, on doit pouvoir creuser, êttre en capapacité ensemble de creuser profond, d'aller loin, de s'immiscer ensembkle dans les profondeurs (ici même) de cette paroi
ou sorte de paroi dont le nom pour le coup est "DOnnées " . Ou : "données des Données". On en avance parce que, voilà, on croit à ça, à cette chose, à (ici) ce train de vie, comme un allant , une sorte d'allant ou d'élan à même la roche. On est accoléres ... parce qu'on s'aime, ni pluds ni moins ! On est ensemblev, accolées, parce que voilà, on ss'aime énormément, c'est-à-dre qu'ensemble on fait cotrps , on est super unies, on est deux ailes pour un être ou même, pour être, ici, cette sorte de Fée du Logis, du logis de l'âme ou de je ne sais quoi qui vole et vire, va et vient en cet antre des données Suprêmes/ Donc
voilà. On est là ensemble pourr ça : cerner que tu cerneras , etc. On en avance oparce <u'on y croit, ou du moins parce qu'on veut essayer , d'y croire ++ , d'y aller ici de notre envie, de passer ensemble qui le nez qui la
barbe, et du coup se retrouver ensemble de l'autre côté, côté pré. On est dans un pré. On regarde (tranquilleùment) les alentours, ce qui se trame (ou pas) près de nous, ce qui se passe ou trame, bêtes de la joie, bête-poids. On les regarde +++. On a envie grave de les approcher et de les toucher. On a envie grave de nous appreocher de ces bêtes de poids qui sont bêtes de joie (allégraesse) qui nous matent grave, nous regarde nt en vrai comme si (qui sait ?) on était toutes des extrra-terestres ! dingue ! Sommes-nous des extra-terrestres ? peut-être. Qui en vrai sait ça et peut (pourrait) nous aider à y voir clair, ici- bas ? Bé, peut-^tte en vrai : personne !!!! personne en vrai qui sache dire , expliquer, rapprorter des choses en vrai ! On espère mais en fait jamais ça n'arrive, jamais jusqu'à au jourd'hui on peut dire que c'est arrivé , que quelqu'une ou quelqi'un se pointe ou se pointaât et vînt à nous dire ce qui est en vrai en termes de vérités avérées, de vraie vérité des vérités !! Oubliesc : jamais !et c'ssetvraiment dommage ! parce que nous, voilà, on adorerait ça, que quelqu'une ou quelqu'un, quelqu'un ou quelqu'une vînt à nous (nbous deux) nous dire ce qui est en vrai, les donné'es Suprêmes nous les exposer, nous les donner, nous donner une sorte ou un xwemblant de vérité qui eut pu nous aider à comprendre la mort ce que c'est, et tout ce qui reste à cfomprendre, toutes les données données, les petits faits, la vie en ses attraits, etc. On est super ensemble curieuses vraiment, d'un tant siiot peu s'approcher d'une sorte de "v érité scellée
" si tant est. franchement ce serait top, m^rme topissime. On est super friandes de pareilles offrandes ! on adore (nous deux) (pareil) pareilles offrrandes : dingue ! dingue comme on adore ! Ah si seulement on pouvaiot comme ça (au débotté) comprendre, accueillir,
emmagasiner des doonnées qui soient fiabkles, concernant la mort, ce serait top ! On a envie (auprès des bêtes de paroi) de (pour le coup) cerner grave (graver ? ) ce type de données Sup^rêmes , Suprêmes des Féees. On a super envie ensemble de nous approcher d'une sorte, en soi, de (disons) Véroité des Vérités, de type Bison, Bisonnée, BUfflette et buffles cendrées, Antilopre$es au pas chassé, etc. Toutes ces bêtes de paroi sont bêtes-mots de rage, faisant (grave ! )poids dans la balance afin de faire accroire aux dieux des Envois, que voilà : on ne se moque pas cde leur figure,; on donne de quoi, on est pas là pour se moquer de leur minois et autres face de rat, on pèse ! on fait poids ! on baise, on est là pour ça : donner ! donner à cette Déité, à ces Dieux des Féeees, à ce Dieu olé-Olé, eh bé ça, ce tralala, cette ribambelle d'animaux Suprêmes, de bêtes affolées, RAge d'être. On est comme nées nous deux dans un pré au milieudxes bêtesdans la mort. On est comme nous deux nées de fait ensemble côte à côte dans la mort, au milieu des bêtes qui pèsent. On est comme nées sur pré au milieu des bêtes qui baisent, pèsent, font effet ou font de l'effet auprès des divinités. On est accolées aussi parce qu'on ne veutsurtout pas se lâcher ô grand jamais ! On veut grave ici rester soudées comme on est ! coll"ées = accolées = serrées. On est côte à côte serrées accolées comme dans
une tombe (on dirait , estce qie c'est vrai ? on ne sait pas ! on cherche ! on va ! on avance pas à) pas au sein dxes connaissances) . On veut cerner parce qu'on est nées de fait dans une paroi, dans une sorte de paroi contenant qyuoi ? contenant un pré ,; une sorte de pré, une sorte de prairie quasi "minée" on dirait ! On est nées d'une sorte de RAge à n^aitre fée, de fait, dans un pré. On veiut toucher la bête aux fées ... pour devenir Fée ? On cherche ! On a méga envie de cerner un grand nombre de données de type "cimetière" si on pouva it. On est accolées pa rce qu'on s'aime et
parce que voilà, on veut toucher à cette chose là, là bas, à) ce tas, à ce tas de bois, à cette chose là-bas, d'une sorte de tas de bois, ou de tas tout court on sait pas de quoi, ce genre de choses. On est néesz sur roche fa ce au tas ! On veut comprendre. On a envie ici de comprendre, de toucher du bois, de cerner, de tracer, d'aller en ce pré à vive allure (tracer) jusquà cet endroit là-bzs , qui semble nous mater ou nous regarder sans s'arrêter, qu'est-ce qu'il nous veuit en vrai ? cherche -t-il à nous déstabiliser ? à nous vfaire chuter ? à nous troubler ? à nous faire du mal ? Onn avance ensemble pas à pas, vers ce tas, tas de bois ou pas, pierre d'angle ou pas,champ des rages ou pas , on ne sait pas. On en avance ensemblke fissa à petits bras ou pas mais on avance ! on est là ! on est au rdv de l'âme ! on veut comprendre alors f orcément on essaie d'aller profond en cette
grotte "des tourmentrs et autres vilénies" de l'âge (des âges) . On dira. On est là ensemble accolées, cernées de base, et du coup on essaie peu à peu, à petits pas, petites
enjambées sur terre allouée, d'en avancer, de marcher vers ça, là-bas, tas de sable ou tas de bois, qui sembleraiot comme nous attendre, on dirait, au pied levé. On rzegartde.. qui on est pour Ça ? ben ... on ne sait pas, vu qu'on est changées ! qu'on est deveznues femmes (FAme) à la retombée, à la retombée des âges et dans la mort. On est devenues ensembkle tout à coup, au passdage, nues, des femmes ! grave ! grave on est devenues ! Jamaios on aurait cru et pourtgant voilà, c'est un fait avéré, vrai, inscrit en vrai dans kle registree des données de "l'âme" pour ainsi dire. au passage (de vie à trépas) on est devenues femmes autant qu'avant on pouvait être, en tant qu'homme, homme au singuleier. À présent voilà ! Femmes au débotté ! femmes ancrées dans une rochze dite "aux données", on est nées ; et on est nues. Nées et nues. Nues et nées, et nées velues ! On est nées nues et velues, sur roche, paroi molle, pierre d'achopppe ! On était ensemble avant des hommes ou même homme (ou femme = humain /
hjumaine isolées !) , et voilà qu'au passage on s'est retrouvées comme nées Fées, enfin fées, disons Ailes = Elles. On est nées sur pierre (rocher) fées, c'est-à-dire transfor(mées en fée
, . On est passées à travers la roche vers la mort ou dans la mort, pour (dirait-on) devenir Fée ! une fée des fées ! On veut toucher à cette chose d'une sorte de bête énorme , genre cerf géant ou même Bison Vif, et une fois la bpête touchée, tracezr ! tracer à toutes enjambées vers cette déité des bouts de roche ou rocher : finalités, cloisons ultimes et données scéllées. Vers cette Déioté des bouts de bout. Bouts aux ombres et autres clartés cachéessi on y regarde de près, si on se pencxhe un tantinet on voit la chose, la clarté ancrée, cette sorte de faible luminosité à son approche, et puis la cghose (la lumière, l'ensoleillemùent) se met comme à s'allonger ou s'étirer ou se dfila ter et là, plein feu sur le nacré (le nacre);, l'ambre alloué à cette Déité des Données Rupestres. On essaie bien sûr enxsembkle de ne pas y passer et de tenir droit, de tenir en vrai méga droit sans flancher, sans se laisser aller. On est nues parce qu'on est passées à travers la roche, on a perdu nos tenues au passage, on est devenues nues enwsemblke quand on est passées, quand on a traversé (de rage) la paroi aux bêtes (à la nage ? de rage ?). On est comme vues nus (de base) p âr ici une sorte ... d'oeil de vie ! Oeil de vie de Poids. Une sorte
de Voix nous parle ! On essaie de comprendre. On veut colmprendre ensembkle . oN veut toucxher à une Déité de Poids (charme) "qui le f asse", qui puisse nous donner de quoi enfin comlprendre les données, ce qui est en vrai et ce qui n'est pas, pas fiable, etc. Peut-etree qu'un jour on y arrivera, à ça, comprendre. Comprendre grave les données rupestres, dessins de paroi, chants de charge, poids des Rois, Reines et Rois de co,ntreba,nde. On a grabve eznvie de comprendre, et aussi du coup de toucher à ette sorte de parade dessinée, à ce cghant total aux données rares ! aux données de charge. On est accolées, on marche, on avance sur un pré, on veut se rapprocxhef ainsi accolées ou sezrrées. La cloison finale,
lA cloison finale esst située eh bé en face ! On y va tout droit ! On veut cerner ensemvlble les données de base, ce qui est
qui charge, passe, vient, s'ouvre, etc. pour soi au passage. On y croit ! On est ensemble là pour ça : co:mprendre et y croire. On est nées fées sur pré parce qu'on est passées comme à la parade (ensemble) femmes (au pied levé, e,n transe) et on chante ! grave ! on y va ! on chante à tout va ! à tue-tête ensembke ! On trace ! on chante , on charge . Chanter = (on dirait) charger. Va comprendre ! Va y comprendre quelque chose, à tout ça ! On essaie ensemble (en tant que femmes nées, et nées dans un pré, au milieu des bêtes, des bêtes de somme) mais ... comment faire , hé ! Comment faire en vraéi pour cerner -comprendre ensembvkle les données de base qui (ici, en face) sont dressées, comme pour nous (mieux !!!) embobiner , qui sait ? On est nées fées sur pré. On est des fées de base sur un pré. On avance sur un pré en tant que fée (= deux femmes). Une Féec = deux femmes (l'homme ? en c endres). On eesaie
traquet traquet d'en avancer (si possible) dans les conn aissances concernant la mort, le langage , le langage de la foi, le ou les langage.s articulés, qui sont lang ages parlés, dits, dits sur roche dure. On avance pas à pas, on charge = on chante
😀
On veut :
Comprtendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est en face, ce qu'on voit, ce qu'on voit qui s'offre, qui s'avance, vient, va et vient, s'approche on dirait de ça = soi = nous autres = nous deux = MOi = cette Chose = ce (ou cette sorte de) tralala en formes de ... Bosse ? Bosse-bois ? bosse en bois ? crosse ? oh, on sait pas ! On cherche à comprendre tout ça (de la mort à l'oeuvre et autres tralala) mais, en vrai, on ne sait pas ! La crosees ? la crosse de quoi ? d'une sorte d'armada sur pattes ? l'anuimal des bois ? Cerf de (ou du ?) courage ? On voit quoi on voit la paroi ! Le vent en face est viçf et chaud, qui nbous cingle le visage. On veut nous deux cerner , toucher du doigt les données de rage. On est nées "sur place" sur paroi, Fées des bases, des Envies de vie, Fées de Rage. obn est nées Fée ! Fée-Foi ! On a méga envie ensemble de comprendre, en quoi cette chose est ... reévolutionnaire ! Oh peuit-^tre pas tant que ça en vrai ou quoi ? On est nées Fée au paszsage (de vie à trépas) et c'est en tant que fée qu'on va plus loin ,, ttout au fond du pré, chercher, essayer en vrai de dénicher, creuser, essayer de
cernezr, une sorte de vérité concernant ... ce qui est ici (Royaume du Trépas) qui nous invite à pour le coup comme nous avancer, vers un trou, trou de boue, trou de terre, trouée par terre ou comment ? fosse et mer ? On est Nées ensembkle pour aller (nous dirons) chercvher ... pitance dans un trou ! charger = chanter. On est nées Fée sur paroi-aux-bnêtes (parmi elles) et à présent on veut continuer ou on voudrait continuer, sur notre lancée et aller plus loin dans les connaissances concernant la mort. On dira donc, que voilà : la mort (en soi) est une encklave
, un pré, de type paradis sûprême, Paradis des Paradis. La mort est donc ce pré ou paradis (pré et paraadis c'est pareil). La mort est une encklave de la vie (ou dans la vie) : bulle d'air ! vent de folie ! fée jolie, bruits de mer). On est nées Fée en Par adis (p aradise) et on avise ! On voit ! on reg arde ! on est au milmerieu (au beau milieu) des données fortes, des données de poids : on voit ça. la mort en ce cas, est une
sorte de , Para dis des Paradis : ok. Enclave "marine" ou "maritime". pré a ux fées, aux bêtes allouées (dites "de cimetioère"). On est nées fée comme à la retombée quand on est passé, quand , en tant qu'homme au singulier , "à la une à la deux" on est passé ! on a traversé et du coup on s'est retrpuvé, en ce par adis ... eh bé tout chose ! c'esst-à-dire transformé ! transformé en femmes ! deux femmes (deux ailes) pour (en vrai) faire Fée, être Fée ou cette Fée de contrebande, des données de base liées à la rage, à la Rage grave, d'êztre, du coup, passé seul (sur patte) pour se retrouver comme ailé de base, ailes au taquet !, va et vient sur pré , charge fronrtale, vivacité, vélocité ,chance. On est devenues Fée au passage : la FéÉe-E ! La fée grave ! On est née fée sur pa-ttes dans un pré : mort des anges, mort donnée, mort de l'homme et donc naissance de la fée des Plac -ges. On essair$e enwsembkle de nous rapprocher , de cettte sorte de muraille (terminale) = ce fronton. on essaie ensemble (ici même) et comme (pour le coup) soudées, de cerner-toucher, comprendre et graver, dire et faire cette sorte ,
dire et faire ensemblke, cette sorte
en vrai de vérité supr^me , la sceller, l'inscrire comme à tout jamais, dans la pierre ... "aux données Suprêmes". on est nées (dans la mort) fée : voilà ce qui est. Gravons-le swur pierre ! On est nées Fée dans cette chose d'une sorte d'encklave de vie, d'enclave contenue (en
vrai) à l'intyérieur de la vie, on dirait; Du coup, la mort est cette bulle (ou bulle de temps, ou d'espace -temps) qui est bulle insérée dans une sorte d'infini sacré (nacré) ou d'infini de vie ou de la vie. Enclave)-bulle allouée à une sorte d'immensité "lacustre ", mer des données données, océan de ruse , vents nature ! On veut toucher ! on veut se rapprocher du bout du bout. on a envie de toucher loin, à l'intérieur du pré, les donnéesz données de cette "ruse" mentio,nnée. , ici notifiée. On est Femmes nues sur roche nue. On veut toucher la mort de prés, disons : gambader, aller /venir ensemble (à grandes enjambées) dans ce pré , au milieu de toutes ces bêtes (velues) qui semblent ou sembleraio'nt nous regarder avec peut-^ttre de l'étonnement , qui sait ? est-ce que les b^êtes (ici) s'attendent ou s'aéttendaient, à nous voir arriver près d'elles ? sont-elles habituiées à croiser des Fées aux données Suprêmes?aiment-elles nou!s avoir près d'elles ? On est nées fée sur rochje à la traversée ou à la retombée et à
présent on se promène d ans l'herbe au milieu de toutes ces bêtes représentées, dessiné&es ou gra vées par l'^tre(homme-femme) des c avernes ! On est insérézes . On est AiLes ! Ailes de Fée à jamaos ... ou disons : à jamaios ici -même sur pré (champs des do nnées données) . On esqt cernées, entourées, cloisonnées en v rai (cercle) et du coup on aimerait sortir enwemble (ailes) de ce pré, de cet ancrage. comment faire ? comment
faire pour comprendre ? pour aller , toucher etpasser : comment s'y prendre ? faut-il aller ensemble chercher à passer (de rage) à l'abordage ? doit-on pousser comme des malades ? comment faire ? On est nées sages, bellesfées des passages. On a super envie de comprendre par ùoù passer, commùent faire pour tracer, charger, cerner de base x et x données, qui nouds permettrraient de comprendre ce qui est en vrai
, ce qui se présente, ce qui est comme à nous attendre au-delà du tas, des données déposées comme par contrebande sur paroi. On Regarde . On est accolées. On veut toucher ensemble et traverser, cerner, passer, voir et ressentir les choses d'une sorte... d' "après" (de base). Un "aéprès les nénés" ? un "ap^rès" quoi ? On est accolées en tant que fée (ailes d'une fée = femmes nées ) et du coup, on vole ! on
trace ! on avance à pas comptés. On veut comme toucher ensemble à cette déité des données sacrées, d'une sorte de paradancrée, innée, allouée à une charge (un chant) attribuée (proféré). On avance ! pas à pads ! comme par miracle ! le miracle de la foi dans le langage articulé dit "de contrebande" d'une sorte de paroi (voie) qui ... nous ressemble ou nou!s ressemblerait, au niveau de l'image, des données visibles et autres traits d'attraits. On est nées Fée comme à la retombée, et on tente ensemble une nouvelle traversée, cette fois comme à) contrevoie, à la rammasse, comment dire ? en ... chargeant la mule (la paroi) de tout ce qui'on a en soi en termes de rage ! Chargeons ! poussons grave ! gravons et gravissons ! gravissons et gravons ! allons haut de bhase sur paroi des Rois et Reines ! On veut comprendre les données s uprêmes ! toucxher, au -delà du tas, les données allouées à un "espace-temps post-cimetière
" s'il en est , soit : hors l'enclave de la mort à l'oeuvre , au delà. ET au-del:à y a quyoi ? eh bien ... on dirait que oui ... a&près (en dehors de) l 'espace de la mor t (ou
enclave), espace (de la mort) situé (de fait) ici même, à l'intériuer de la vie, il y cet espace eeh bien ... toujours le même : les entours ! Car la vie est colmme un océan sans fin (non terreswtre : céleste, cosmique) et la mort l'enclave insulaire, une sorte d'enceinte toute de forteresse . On est cfomme nées Fée, au passage (de vie à trépas), pour comprendre cet état de fée (d'une mort insulaire, vie à l'infini sans terme, à l'infini et dès lors sans terme). On est née Fée de Rage, Fée-Foi, Fée de la Foi et des Paysages. On vole comme des fées parce qu'on est (dans la mort) devenues fée ! On regarde ! on cherche à cerner au-delà de soi, au delà du pré et de la paroi (la paroi d'enceinte) ce qu'il y a. La vie ce que c'est pour szoi , pour soi-même en tant qu'on est devenu fée, au passage, au débotté. On essaie ensemble de comprendre les données profondes
, contenues en roche, ce qu'elles (ces données) contiennent de plus ancrées si jamaios et cette chose, cette recherche) nous tient fort à coeur (au coeur) car voilà : on aime ! on aime chercher, dénicher, fouiller, chercher dans du Verbe une Vérité ou sorte de Vérité en Herbe ! On aime l'herbe, les fleurs de type pâqsuerettes
, fleurs des prés on aime, fleurs allouées à une sorte de pré de type champ chanté, chant des Fées, chant du Passé. On est des fées chanta,ntes ! fées qui vont et viennent sur pré (à la volette) , en chyantant pa rfoisz à tue-tête, parfois pas. On est nées sur pré en herbe , on volette , on a super envie de troucher-cerner une vérité qui sera&it de fait liée à une sorte de donnée des Herbes. On cherche ! on cueille ! On veut allouer à l'herbe les données du Verbe (si tant est) . On est nées sur pré pour être aussi Herbe ! Herbe Sacrée ! Herbe des Herbes (comme du Verbe). On est nées Fée sur Herbe pour ... qui sait ? brouter ? ma,nger manger manger sans cesse de l'herbe, bête des prés ... vache à lait ? Fée )-Vache à lait sur pré ? On est née Fée parce qu'on aime l'herbe ! On ne peut pas s'en passer. On adore l'herbe des prés, des chemins tracés, des voies allouées aux bêtes de somme et autres champs aux pâqurettes (fines pâqurerettes). On veut toucher toucher toucher ensemble et comme de concert la chose, ici, tracée = trait ! trait des
données ! un trait = une clause. On veut toucher = aller ! Faire son chemin de ronde, inspecter les abords de la chose (cette enceinte de la mort à l'oeuvre) . CFomment cerner ? qui croire ? sommes-nous ... D ;;;; C ;;;;; D ? autant que née fée ? Sommes-nous DCD auta,nt (ouà égalit é) que nous sommes Nées à une vie de fée (sur roche sondée) ? Sommes -nous et mortes et en vie , e,n ce pré-paradis ? Sommes
-nous (en ce prparadiis) et mortes et en vie : les deux choses, consacrées ? Nous nous approchons d'une sorte de paroi finale
(pour la cent cinquante millième fois peut-^tte) :
on regarde. On cherche à comprendre = voir/ a comprendre les données de base d'une sorte de paroi finale, dite
"Paroi des 😀 Parois".On est
accolées, on est comme collées , accolées-colléezs l'une l'autre ou l'une à l'autre. On a -envie d'en avancer fissa au sein des données.
On est nées Fée (une Fée) en ces contrées dites "de la mort à l'oeuvre", et forcément ça pousse à penser, à enviçsager du coup "la suite", ce qui pourrait nous arriver, de vif, de corsé ! en termes de données finales ou terminales si jamais ... mais on dirait e'n vrai qe (qui sait ?) les données finales , ou ces données finales ou terminales, peit-p^^tre, ne sont pas, c'est-à-dire qu'elles n'existent pas, qu'elles sont imagin aires, qu'ellesne vivent opas dans les termes ou le parlé de bhase, qau'elles n'existent nulle part sur terre, ni même dans les airs. En ezffet, il sezmblefait que des données dites "finales" ne sont pas vfinales en soi (sinon en tant que fin de tas, ou plutôt : tas de fin). Parce que voilà : à partyir de là : la paroi, la Paroi du Roi , de lA reine et des Princes des Voix, à partir de cette paroi , commence ... eh bé ça : le sommet ! la plage ! l'océen des rêves, "baise-moi le ciel t'aidera", "touche-moi la vie sera ", "aime-moi et on y verra clair (en pleine lumière)", "chante moi tout bas et on saura ", déshabille-moi et je serai à toi (en Herbe) l'Herbe"". on regharde à
travers la paroi, le sang, les choses viçtales, le tic tac ... whaouh ! On veut toucgher à cette
chose rude d'une sorte de paroi des finitudes (de la mort à l'oeuvre) et des commencements (des données rupestres : champs, à perte de vue, sur une étendue). On est Fées -bêtes belles, belles bêtes = grasses et groossses bêtes d'abordage. On aime êtree ELES ! AILES ! FéE des vies allouées à de l'Herbe des pré (à brouter). On est Des fées de contrezbande comme par chance, qui voulo n s toucher à cette Déité d'une sorte de Chance accordé à une Fée ici des Fins de Cercle et auttres enclaves Rupestres. sommes-nbous de taille à comp^rendre, en vrai, ce qui est après le cimetière ? L'infinni sondé ? l'immensité bleutée ? Mer des Rives ? mer des données comme allouées à une dérive (à jamùais) sur
"AIR CONGRÉS"
? ON ne désispère pas de nous y retrouver mais c'est un fait, que la chose en soi n''st pas si simple qu'elle aurait pu, ici, sembler l'êttre, ni simple ni même facile à cerner, mais tout le contraire. on voit des chosesq, on remarque, on note (on prend des notes) mais de base on cale ! souvent ! fréquemment ! cfar voilà la chose : on est nées homme , on meurt en tantb que femmes , deux femmes (en vrai) à la retombée, dans une fosse (d'un pré), on est enterré mais lmes ailes montent, elles,,,,
vont et viennent (vol!ètent) à jamais hors cimetière ! Elles, elles sont nées sur herbe (pré) en tant que fée, qauand nous , l'homme au singulier, mort et enterré, est scotché de fait (à jamais) à la terre, pauvre hère, bien fait, il n'en valait pas plus la pêine ! il ne valait guère la peine d'êttre conservé ou prolongé vu le caractère. On est nées fée Suprême ! vive donnée ! ça le fait ! et sur herbe qui plus est ! On est nées sur herbe verte, chants du coq, voix du coprtps, chants celtes (sveltes) et faux accords ! On est dans un cimetière, mais la fée, elle, sait (très bien) s'envoler, s'en échapper, s'envoler de ces deux ailes,
et du coup s'échapper de ce semblant de cimetière aux données rupestres (paroi d'or, roche des données du corps). On s'est envolées ! on vole on court ! on est des fées de cour, cour romaine, céleste, chantée. On est des fées post-cimetière car on sait voler ! on est moins bêtes que la moyenne ! fée des fées on volette et du coup, houp, on sort du cimetière , à jamais, horrs pré, hors prairie rupestre, sorte d'encklave aux données animalièresq ... on l'a dépassé ! on est cfomme à présent allouées à des données de type céleste, champ d'azur, ailes au vent frais . On cherche à cerner un certain nombre de données célestes, de données des données mais ensemble comment faire pour s'y retrouver, quan,d on s ait pas parr où passer, où
s'avancer, vers où aller en ce domaine des clartés et autres champs donnés du Verbe comme alloué à une sorte dee "Lumière Sacrée" (?) , qui sait ? On est Femmes fées, Fe"mmes aux données données grâce aux fées , et au fait des fées. Qui on est ? AILES ! AILES d'herbe ! hé hé ! une aile ! une sorte d'aile allouée à une vérité céleste. On Veut cer ner encszemble si possible un grand nombre de données, et chercher du coup à passer à travers une sorte de ... passage (oui) aux donné&es donné&es, par (ici) la bande (celle du p arler, du Verbe sacré, dees mots de rage et autres termes animaliers). on est nées femmes sur pré. On est néesz Felmmes fées. On est nées Fées sur pré. On est nées Fée-femmes. On est nées Fée sur herbe par la bande et nous voilà commê a&llouées (de base) à une sorte de paroi aux données vives, chaergées, vraéies. On est entrées ! On veut toucher à cette sorte de.... vie vive , corps velu, animzl poilu,charge maître, tracé sur paroi des fées, bêtes dessinées. On est nues velues poilues non épilées = fée s ! On est des fées non épilées ça le faéit ! on plaît ! on est fée non épilées des nénés, du sexe alloué, des aisselles et de la ré, qu'est--ce qu'on en a à braire ! on est ! on est belles ! belles bêtes des prés ! vives et colère d'être nées sur herbe à jamais sans verbe ! ou sinon sans verbe sans ailes ? sommes nous des bhêtes nées sans ailes, genre vaches sacrées laitières (ou bisons futés) ? Sommes npous des bêtes fées , ou non : pas fées ? Sommes nous des bêtes des prés genre buffles cernés,, bisons futés et autres
ourses des cavernes, ou non : fées ! des fées ! des fées ailées ! Sommes-nous des fées ailées ? sommes nouus des vaches ailées ? les fées ailéesz excistent-elles ? et, les vaches ailées à lait ? avons-nous des ailes ? portonsz-nous des ailes sur pré ? sommes-nous des fées à ailes ? sommes nous des ailesz, ailes, elles, fées des prés avecv des ailes comme déployées et on volette ! on ne cesse en vrai de voleter dfepuis qu'on est nées (dans la mort à
l'oeuvre , on dirait) ? On essaie de sz'y retyrouver mais évidemenmmrnt que la chose est loin d'être actée, complète, certaine, avérée, située, donnée, comme stipulée ; on regarde "par la fenêtre". On regarde ici ensemble si on peut "par la fenêtre"; on regarde à deux, on se rapproche, on veut voir le feu, les ondes, les données marines,
les sortes de vagues,
les sorrtes de vagues allouées à une sorte de marée. On mate ! On mate grave. On est posées. On regarde sans sourciller, posées, on mate depuis où on est : la Rage. On veut de préférence et si possible aentrer (en ce roc des finalités) et regarder ce qui est. Regarder sans y passer, ce qui est qui est, en termes de données données, dopnnées vives, données des données. On veut toucher à ce rocher des contrebandes et du coup traverser (fissa) sans tarder ou traîner , et surtout sans succomber ! sans y passer ! on veut passer un oeil, un memebre, le nez, l'oiel sage, le nez des nez ! comment passer un nez ? vcomment un oeil passer ? comment tu fais pour passer un nez , un oeil, des lèvres, un sexe pointé, un petit véhicule alloué à une sorte d'immixion (pénétration) de Saturne ? On est Beauité Sacré des
"FinitUdes des Preés" , on dirait. Et du co!p on est achapeautées ou comme chaépeautées ! couvertes à fine allure, on est comme des fées Beauté, Fées des fées ! Grasses naturevives d'allure et chapeaiutées on est ! On veut tracer ! charger, toucher, collzr, essayer de s'en tirer sans se blesser, coller à une dune,; à un mont pelé, à un tas de sable centré, à une sorte de mont de Vulve. On est qui ? Quête, d'une sorte de vil ministère ! l'entubé ! le qui veut passer = pénétrer la roche , la dernièere : comment faire ? comment faire pour en vrai passer et coller aux données Suprêmes ? y aller de son chant de terre ? mais comment chanter : à tue-tête ? comme les fées quand elles s'y perden, voire perdent pied et ne savent plus où donner de la tête, te'llement elles sonht paumées et ne savent plus
comment se repérer ? on est fées de fées ! AILES, AILES AU DÉBOTTÉ,
AILES DES PRÉS. On est comme des ailes sur corset, avec forcebretelles on dirait, robe de fée, de f"ée szvelte et ondulée. On est cfomme fée ondulée ! On cherche à cerner ce qui est en fait d'herbe des prés et autre Verbe des COntrées Pöst-cimetière. La vie est-elle éternelle ? la vie contient-elle en elle l'encklave (l'enceinte) "MORT" ? La vie est-elle une sorte de contrée sans fin (= céleste) ? la mort est-elle "située", délimité, agraire, réservée à des bêtes "sommaires" et autres hommes ou femmes trnsformées, au passage , en fée ? doit on mourir pour renaittre ? doit-on entrerr en ce royaéume post-cimetioère, puis le retraverser et dès lors revenir com^
(un peu) e,n arrière, du fait que voilà, la vie est partout présente tout autour de nous, qui influence, résou grave les énigmes, joue de nous et en dehors de nous, chante grave ! chante sa&ns arrêt ! chyante que tru chyanter as , et nous bien szûr on aime ça , le chant, la chansonnette, la parade, la chanson des biches , des cerfs à bois, des chevreuils sonnés. On veut toucher aux bêtes des prés ! pourquoi fzaire ? pour pouvoir s'aimer pour ainsi dire : copuler ? "copuler" c'est un peu "rustique", mais oui, peut-^tre, on dfirait "copuler", c'esst pas loin en vrai de la vérité ou d'une sorte de vérité. Copuler pour copuler , pas quand même, mais pour ... tracer = fiiler = foncer = faire vite ! cettte chose en soi, ici, d'une (sqorte de) vive traversée, comme à l('improviste, des données finales et autres données deonnées par la bande (il semblerait). On est nées par la ma,nche, on est passées, on regarde, on vgoit loin les vagues, aéu loin : les vagues doréesz, et ces vagues loin, on les voit super loin parce qi'"on est nées et qaue nos yeux sont neufs , q ui se prête,nt au jeu ! On est nées fées sur roche à tout jamais : ça va le faire !!!!!!!! ça le fait déjà, du reste. On a&ime ! On veut pour de vrai toucher aux nénés de l'être alloué à une donnée, elle-même liée à la mort. Et cet être est : lA mort !Mort au carré ! On est néesz Fée pour toucher, tracer, toucher vif à ce tracé (ici, roche, un bison des prés) de la mort à l'oeuvre bonne dessinatrice à
main levé, qui dessine vite lpes données données (mises, prises, e,nvies, mainmises, etc.) d'une sorte de Déité Vive ! Déité des D2irtés des Prés pour ainsi dire. On est vives car on est , on est nées vives du fait qu'on est, qu'oon est
njées; on aime a&ller, touchezr ;,, conchier, chier, tracer et pisser sur herbe des prés, à l'abri des regards indiscret. on veut aller de fait ensemble loin en la forêt et du coup compre dre à fond la Roche Allouée à cette sorte de m%ainmise d'une Déité, sur des données comme déposées à ses piefds (on dirait). On est femmes des prés et c'est vrai qu'ensembkle et de préférence on a super envie de tracer (en transe) ces bêtes des prés, telles que les antilopes, les chevaux dee c arosse, les lionnes graciles, lesbêtes à bonnet, l es ourses placidesz. on est femmes des prés "passées", c'està dire que, pas plus tard que tout de suite, on a travezrsé la roche à la une à la deux §ête première (la caboche est dure) et voilà, on est passséesz ! on est dans un pré, on mate ! on ne veut pas se faire arnaquer mais on veut pouvoir s'en tirer , sans honte, sans dégâts, sans lombre d'un doute concernant la voie , ici, choisie par nous auttres, fées de c e logis (enclave) natif. on est nées fées sur roche ! vive les fées ! soignons notre approche ! essayons ensembkle de nous approcxher le plus possible d'une fée "des précipices" szans tomber ! allons vite pour la retrouver ! la coller ! la cerner ! la suivre ! la toucher come on toucxhezrait un êtte r^
vé ! On est bêtes de prés, fées, bêtes et fées, fée des prés, bêtes et fées des prés : sommes-nous fée ? spommes-nous bête ? pouvons-nous ^etre à) la fois bete et fée ? est-ce possible enszmble, en vrai, d'êtrte (qu'on soit) bête et fée? pouvons-nous nous rapprocher de cette bêzte, aéux données rupestres, néandertlienne ou aur(ignacienne ? sommes-nous assez calées pour du coup comprendre enswemble (au fin fon) les choses d'une sorte de donnée sacrée, quasi genrée, vive et tracée à main levée comme par la bande , et qiu nous chercherait (peut-êttre) ... des noises ? On est fées
du pré, on edssaie de se rapprocher d'une b$ete broutant, qui est-elle ? Bovidé ? On la regarde. On veut ensemble (AILES) la monter, la chevaucher qui sait ? on est des ailes, on peut monter et porter et faire s'envoler et naviguer ! on aime s'envoler ensemble da&ns les airs, aller haut le pluqs possible, essa&yer de toucher à cette sorte de vive entité dont on dirait en vrai qu'elle est ivre ! ... l'sest-elle, au juste ? difficile de se prononcer tant elle semble ... lointaine ? alors même qu'elle est près ? allez comprendre ! on est fée des bases. On a super envie de pour le coup toucher e,nsemble à cette vie d'après la mort, à cette chose , eçszpôsée sur roche, comme agrès ! et nous d'en jhouer ! on est fées de force allouée à une roche (il semblera&it) et à ce tittre on se sent comme obligée, de se tenir vive, portée, comme dressée, droite et pomponée , frée des fées ! on vire ! on vibre ! on hurle un temps puis on se tait ! on rit ! on pisse (on fait pipi) !
on chie (on fait cac a) ! On est fées filles, filles fées à jamais squr une sorte de paroi votive : est-ce vrai ? sommes-nous ... l acustre ?
Nous on aimezrait vraiment un jour comprendre les données qui en vrai président ou présideraient à cette chose, ici, qu'on voit devant soi et qui est (on vous le donne en mille) une sorte de paroi votive, oui, de mur ou de paroi sur lequel ou laquelle on peuit sans se gêzner tracer les noms (les différents noms) des convives . On est des fées parce que voilà on a passé (autrefois) la roche (à la naiss ance, disons ) et maintenant nous voilà commeengluéew (prises aux piègesz des données données) à même une roche, à même une sqorte de "cloison du fond ". On a e,nvie ensemble, c'est sûr, de comprendre, peut-^rtretre, un peu plus sérieiusement , un certain nombre de choses qui sont choses d'une soerte de passage au débotté d'une roche ornementée par des gommes ou par des femmes de lan préhistoire. on se dit que nousq auusi on appartiendrait en quelque sorte à ette préhistoire aux données gravées , dessi nées, etc. on cherche (ensembvle) à comprendre pas mal de chowses, en cette encxlave de la mort à l'oeuvre à l'intériuerr de la vie, car à préwsent c ette chose nbous semble plus q'évidente, nous sezmble presqu'acquyise, comme qauoi la mort n''st qu"'une encklave de la vie, une sorte de prairie-filtre, pré admis mais comme
remise, sas, sas des sas. Passage. Préambule. Nous vcoilà qui sommes presque à vouloir ensemble travezrser la roche une deuxième fois, vers quyoi ? c'r'st ça qu'on a, en vraéi, du mal (pas mal) à comprendre. Si, en vrai, on rehg rde ensemble cdans le même sens, alors on peut se rendre à l'évidence que voilà, on est deux en soi : deux ailes , une paire ! On m ate ! on mate grave ! Ailes et Yeux de rage ! on est presqau'envieuxses parce que oui, en vrai, on a pas du tout du tout envie, de subir ici une sorte de coupezret, de couperet à nénés ! On veut ensemble nous (en vrai) garder nos nénés, nos nénés à lait. on veut allaitter ! on a super envie (en vrai) d'allaiter ! on veut donner le sein (dit "des prairies") au petit malin qui, un jou!r, peut-^tre, nous ... éventr
terrera ?on esppère pas ! on veut comprendre, pas davantage. On ne veut pas servir d'appât, dee bête-appât de ch asse , d'appat de Roi ! nous onn aime grave aller fissa sur roche là-bas chercher pitance, et c'est marre ! On regarde tout ce tralala de groote, chants doctes, cris de jhoie, danses "hautescx"s" et "hot", falbalas . On aime les grottes et la toundra, transes hautes ("hot") et tralalas au son des tambourins dits "de paroi"/; On est Fées de base, Femmes ailées, douces romances, envies de lait. quand on entre en cette contrée (antre aux fées) on devient nousz-mêmes des vfées ou si non des fées , ailéesz, ailées comme des fées, montées, armées, acheminées, adulées. on aime tracer sur roche des se ntiers
qaui pôurraient nous guider jusqu'aux confins du pré vers cette roche imberbe des données ultimes ! on aime ! on veut toucher à cette roche dees données ultimes,
😀
aller, chanter, cerner, comprendre, dire et pousser , ici, e,nsemble, une sorte de chanson des ombres ! saluer et passer ! On est nées fées quand on est passées ! On veut toucher à cette sorte d'entité (de bout de roche)
allouée aux féesc. On est nées fées quand on est passées. ON veut toucher à cette sorte d'entité sacrée, dont le nom (deité) nous porte jusqu'au bout du bout des données données . On veut toucher = cerner = dire = aller = partir , = faire ce qui nous plaît en termes dallers et de venues allouées à (ici) une sorte de pré , de prairie des filtress. On est femmes-fées données à une sorte de parler aux données enragées. Qui on est ? on est des fées, on veut tracer, on veut en avancer sur roche et du coup cerner ense"mble, un grand nomnbre de données de base. Qui on est ? bêtes et fées ,! ou sinon bêtes et fées, bêtes-fées, fées-bêtes : on ne sait pas . On cherrche vaéillamment, religieusemrent, fionement , finement ou grossièrement mais asssurément, à
comprendre = cerner, les dfonnées qui , à nous deux, femmes des prés, se présente"nt, en termes de voeux, voeux des bois et forêts, voeux peut-être miteux mais voeux tout de même alloués à une sorte de recherche mênée (tambour
battant) par (en nous) qui de droit, à savoir un Moi, une sorte de Moi de bas bâge, petits pas par petits pas, basse rage. On est là ensemble il semble pôur cerner et dessiner une bête des données de base. On veut ensembvle en avancer xans cette sorte de remue-ménage aux données de poids, qui (en vrai) sembleznt être, là, pour ça : nous faire espérer, nous donner de quoi croire en cette chose d'une sorte en soi de donnée, de type "foi", "foi grave", "foi des fois", de type "croyance en l'au-delà". On en avance ensemble (femmes) car on croit à ça, cette Romance de Paroi, ces
B:êtes Gravées, ce côté champêztres, cette Herbe, ces Fées. On est allouées à une szorte de tracé de Joie , qui est tracé sur Herbe dit "paradisiaque" des données prairiales. On veut se rapprocher ensemble d'une vérité,d'une sorte de donnée de base, de type "vérité de contrebande", de type "donnée des données", et là, une fpois ancrées, touchger ensemble à cette sorte dee paroi "étrenge " ou pas mais située, quyi nous regarde ou nous regarderait en tant que fées, en tant que femmes-fées allouées à une sorte de roma
nce des données finales, actées et situées sur pré comme à la parade. On est femmes fées, charges mentales. On veut toucher à cette déité vdes prés et autres zones terminales d'une enceinte ici donnée à une (sorte de) "Vérité Pariétale". Qui on est ? bêtes de poids ici, fée des Fées là , au choix ! On aime aller, donner, guider, conduire, escortter en tant que fée motrice, on aime accompagner l'être &lloué à une sort e d'emprise qui le mène (vivement) de l'autre côté, vers les
confins et autres vents de face des données finales. On est fées dites d'escorte ! charges doctes ! On fonce. oN peut foncer car on est aillées, et ainsi ailé&es on peut tracer, dessiner, graver et gravir, bousculer l'ensembke des données et offrir à celles qui en vrai le souhaiteraient nos propres ailes décorées, finement dessinées, translucides et fines, pour voler, les aider à s'envoler, à grimper, à monter haut vers une sorte de sortie d'attaque ! qui plus est : grande ouverte pour faciliter lre passage ici d'un corps donné en vrai. On est des fées d'aide a&u passage (en résumé). Fée des faées, fées doctes, fées sa vantes, frées aidantes. Car
on veut grave aider sans sourciller ! Coeur des charmes ! On est gentes damesz, fées des bases, vives gentes aux envies pressantes de pouvoir de fait et sans trembler accompagner (en ce royaume de la mort actée) celles qui , e,nvrai, le voudraient. On est fées des fées de la ROmance. On veut t§oucxher à ce qui est ici de l'ordre de la transe (danse parlée) et qui de fait nous aide ou nous aiderait, à nous porter plus loin en ces contrées dites "des connaiisa,nces des données données des te"mps reculées". On veut aller , danser, chanter, graéver sur roche les noms alloués à des entités de type "divinités" et autres "déessses des Rochers". on aime tracer, dire et donner. fées des fées on est, qui voulons de fait charger = chanter, sur roche, nos chants alloués à une V2érité . On veut toucher à cette vérité de poche. On veut toucher à cette vérité de roche ! On ne veut pas du tout lambiner, mais tracer ! cerner ! comprendre ! situer ! aller vers une destinée ! charger sur roche les données a&ilées
et les restituer de force comme du lait szorti d'une sorte de "sein de roche ou de rocher". On veut donner du laéit à celles qui ici chercheznht à teter : fées des fées et autres entités nhées du passage de vie à trépas s'il en est ! On est nous-mêmes cfomme livrées à une sorte de nourrice ancienne, fée ancrée, bonne laitière, vaches des prés nourricières : on l'aime ! On veut toucher à ses nénés, pis sur herbe, entités lactées. On aéime le pré, l'herbe, le lait, les données, le tracé des traits, l'enveloppe charnelle, Bison Fûté ! On est Femmes à lait, vie actées, vie actée dans une sqorte pour le coup d'enclave souterraine de type "grotte auxb fées" ! On aime ! on dit (largement) qu'on aime ! on est pas chiches ni d'aimer ni de dire qu'on aime ! on est vive s parleuses, et vives fées des données données (dites, pôrtées, apportées, déposéeees, offertes). On veut se rapprocher
enwsemble d'une vérité qui , de fait, pûisse nous aider à nous téleporter ensembvle le plus loin possible de cette contrée dite "de la
mort à l'oeuvre" et du coup traverser la roche une foisq e,ncore, quiitter (ici) ce pré et trouver ailleurs de quoi se nourrir et poursuivre (enxembvle) notre sorte de promenade ou de szortie de roche, à la recherc he de données (de fait) avérées, de mots crédibles et autres vérités concernant, pour le coup, la vie venant non pas après la vie direzctement mais après la mort, du moins la mort qu'on vient (ici) de connaitre et dx'explorer en tant que fée logée e,n ce pré &ux herbes bonne nourricières. On a en vie, à présent, d'explorer le firmamantb . On veut à présent, toucher à quelque chose de nouveau, qui ne soit plus l'herbe du pré. On veut téter le lait des nénées de maman comme autreefois on tétait . On veut en tant que fées, à présent se téleporter, ou comme se téléporter , d'un pré alloué àune enclave pariétale de type "pré ou prairie édenique d'une mort acté", à un tout autre lieu do nné, à une tout autre paroi dees fées ou tout autres enclave située hors contrée des données prairiéles. Qui on est hors contrée ? encore des Fées ? encore des fées allouées à une contrée ? Peit^rtre
que oui, ou peut-être que non. On voit ! on mate ! on regarde deva&nt szoi ce qui se trame ! on cherche à comprendre ensemble la paroi, les donné&es de base d'une sorte en soi xde paroi des Rois, Reines de Beauté et Roi des petits pas. On mate grave ! on veut toucher (pour de vrai) aux nénées de cette
Déité De Rage, aux nénés de cette Déité dite de la Rage : qui c'est ? qui donc est cette Déité des wse'mblants d'espace ? Qui donc est cette Dé&ité , dite "des Déités et des dOnnnées Données de la Rage" ? Qui est-elle, sinon une Fée ? Qui donc est cegtte "Déité Des Déités des Données Dites Supr^'mes " '(s'il en est !)? ON mate ++, on regarde à travers les "persiennes" ce qui est. Et ducoup on voit en effet, les nénées de l'ange Surprême. ses nénés à lait ! charge d'ange ! faits des fées : le lai-t. Le lait directement comme provenant du néné lacté de l'ange des fées. On mate = on prend = on voit = on sent = on veut = on dit = on regarde, ici même (ppré passé) les données frontales, de type ... NÉNÉ S = Lait ! On est nées sur pré, on a gagné en vrai la paroi finale, on regarde ce qui est (au sin
xes vagues) on voit ... des nénés , nénés nés de la r age et des envies (ancréses) de perdurer da,n s la Romance d'une Vie allouée à une Destinée Frontale. Cris ! chants ! danses en transe ! chants des vies n acréeqs, voire acidulées! On veut toucher toucher toucxher toucher toucher ! on veut toucher toucher toucher toucher toucxher ! on veut de fait toucxher toucher toucher toucher (oucher ! on veut en vrai (ensemble
: nez à nez ) toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher ! toucher nz à nez ! toucher à ces nénés ! grave les touchezr ! les téter ! téter aux nénés ! téter grave les nénés plein de lait ! boire le lait ! téter ! téter les nénéds sans traîner, sans tarder, sans atgtendre, sans lambiner ! téter grave lzes nénésxdits "du fir(mamant" tel qu'il se présente sur les debcvants, finn de pré, débu!t de nouvelles données de type "nénés". On chezrche à entrer ensembvle (vives et armées) en cette sorte d'entité nouvelle, clairière passée. Nous voyons ici se tracer une sorte d'anfractuoisté sur pierre par où ensemble peutêtre, en tant que fée, pouvoir s'immmiscer afin d'a&tteindre sans traéîner (parce q'on a faim de lait) les nénés de l 'ëtre ! ceux qu'on espère, ppère ! ceux là (de nénés) qu'on aime à jamaios ! On veut toucher à ces nénés de l'ëtre ! On veut grave les téter ! On veut aller vers ces nénés de l'être ! car, en vrai, on les aime plus que jamais ! on les adore même ! on les aime à jamais, post-pré, post-cimetière, post-donnéess des données, post -croyances allouées à de l'herbe, post-bêtes sur pré. On est Fées passé&es par une sorte d'anfractuosité, de type "persienne" . On voulait passer, nous voilà (en plus
) en train dxe mater , les nénées de l'êttee, de l'être &lloué à une sorte de contrée hors cimet§ière. retour à Minerve ? qui le sait ? on cherche à c erner ou toucher-cerner ce que sont ces nénés, toucher -cerner ces sortes de nénésxp post -cimetière. On veut grave les aimer, les toucher afin de teter, en vrai, le lait qi'ils contiennent
, et du coup s'alimenter, se remplir cfomme des nouveaux-nées, nouvelles-nées d'un père et dd'eune mère. On veut toucher à cette chose, ici, d'uneb sorte, nouvelle, nouvellement née, de train arrière, de donnée comme "entrée" par un petit côté d'un cimetièfre, NÉNÉ ! NÉNÉ DES NÉNÉS ! NÉNÉ NÉ ! NÉNÉ NÉ NÉ DES NÉNÉS ! NÉNÉS DES NÉNÉS ! NÉNÉ NÉ COMME PAR DERRIÈRE ! NÉNÉ NÉ DES NÉNÉS, COMME PAR DERRIÈRE ! une sorte de cl
arté post -cimetière allouée aux nénés de l'herbe ! de l'être aux herbes ! de l'être des données de l'erbe !
2/9/2024
on est nues . on est comme nues parce qu'on est passées de frpont ensemble (vite fait) à travers la roche et du coup on s'est retrouvées comme dénudées au passaghe . on est venues ensemble main dans la main, on voulait vraiment comprendre les données, c'est-à-dire cet ensemble de données qui sont ici (devant nous) comme déposéees, et du coup on est accolées. On est nues, disons, et accolées, et c'est nues et accolées que du coup on en avance
sur cette prairie, qui est cette "terre d'accueil" qui, en vrai, nous adopte (on dira) côte à côte, nous invite à faire ainsi qi'ensemble on se sente, ou sentît, comme chez soi, ici. on est deux, deux femmes, sur roche-pré.
On aime beaucoup nous promener ensemblre et regarder un peu partout autourcde nous le paysage, en profiter, aller et venir tout en progressant tranquillement vers ces confins qui , au loin, sembleraient nous appeler ; une muraille, une sorte de paroi d''enceinte ou d'enclave tout autour de nous, comme si en vrai on était ceintes, entourées de ces murets autour de nous qui formeraient une sorte (pour nous ou à nos yeux) de forteresse, de prison insulaire ou ce genre de lieu dit "d"'isolement". on est nous deux arrivées (tranquillement) dans un pré, au milieu des bovidés, des bêtes de somme, bêtes de traits "ÉNORMES". On est deux (deux femmes) qui voulons du coup , parmi ces bêtes, comprendre l'aspect insulaire des lieux traversés. Qui on est en vrai. qu'est-ce que ça veut dire que d'être femmes (filles) en ce lieu d'enceinte. comment arriver à deux (
côte à côte) à toucher du doigt une vérité "de poids" quelle qu'elle soit. A qauoi ressemble la paroi finale ; est-elle percée pour pouvopir passer, est-elle ouverte comme si (des fois) on devait passer coûte que cou^te dès que arrivées, comme si le passage, en elle (cette paroi), était là pour ça (passer) c'est-à-fdire pour nous. nous nous approchons vivement
, à bonne allure disons, de cette roche dite "finale", nous avonds envie (énormément) de comprendre à quoi elle reseemble, ce qu'elle est en vrai, si elle est une sqorte de passage, de porte ou de pporche. On veut savoir. On a envie de savoir parce qu'on est curieuses (énormément) de nature et aussi parce que notre vie ici est en jeu on dfirait, on dirait que nortre vie ou notre à-venir ici est en jeu; se risque, ou est "à risque". on veut du coup, toutes les deux, comprendrece risque, ce qu"'il recouvre; est-ce que par hasard, si on "passe" complètelment (là-bas, au fond du pré, la paroi finale) eh bie,n, du coup, c'en sera terminé pour nous, de la vie
vive, de la vie en tant que vie vive ? Est-ce que de passer là-bas la roche finale signera notre "décrépitude" à jamais ? On ne sait pas ! On voudrait c'estsûr savoir et du coup aviser, se positionner
pour ainsi dire. On voudrait connaîttre ici et là (en c e pré) les tenants et les aboutissants de toute cette aventure qui est l'aventure de deux femmes accolées nues marchant da,ns un pré, sur roche allouée à une sorte de "Vérité Lacustree". On est entourées et on mate grave les données. On est ensemble accolées pour du coup comprendre toutes ces fdonnées lacustres, ce qi'elles sqont pour nous. On est deux ensemble, on est vives, on en avance. On est ensemble pour cerner et avancer, pour en avancer de base dans les connaissances et traverser la lande vite, très vite si possible afin de nous comme "téléporter" jusqu'au bout du bout en quelques foulées. On est ensemble ici deux femmes qui voulons comprendre les données qui nous attendent tout au bout du bout
du pré. On en avance ! On file, on trace, on fonce, on essaie d'aller le plus vite possible parce que voilà, on est là pour ça : vite foncer pour vite comprendre, c'est-àdire en vrai se rendre compte de ce vqui est, de ce qui nous attend en termes de "
destinée", de ce qui sembke être posté comme sorte de Déité, de Divinité, de Dieu des Données ou quelque chose de ce genre, disposé, posé allongé, allongé ou dressé; on a envie ensemble de s'en rapprocher, de voir de près cette Divinité comment du coup ele est disposée, dans le paysage; On est ensemble ici qui en vrai voulons nous approcher de cette D2ité
du bout du pré, la toucher pour la cerner (etc.) et peut-^tte ... passer, à travers la p)aroi , la par'oi finale, afin de mater ce qui est, qui sembloerait nous appeler, nous inviter à traverser, à passer, à faire un bond, le saut de l'ange ou quelque chose peut-être de ce genre. On veut comprendre les données quiu se présentent, ce qu'elles sont en vrai, à quoi la mort (la mort ?) ça ressemble, de quoi elle est faite , de quoi la mort (la mort !) est faite, en quelle matière. On est accolées, on se colle ou on se serre l'une l'auttre ou l'une à lm'autre. On est nées dans ce pré AILES, on est cdeux ailes (en ce pré) qui formons réunies une sorte de Fée dite "du cimetière" ! On est ensemble nées sur pré au passage (premier) d'e cette roche ornementée qu'on
voyait ici se dessiner avant d'entrer, au ffond de la grotte. on est passées et du cfoup à présent on peiut dire que oui, on est dans un pré, on est Fée, on est cette personne toute fine translucide volante qyui file, virevolte, fonce, va droit ou pas mais ne s'arrête pas. Oon est devenues du coup, après être passées , Fée ! Une fée des prés. On aime beaucoup les fées ou on aimait beaéucoup les fées et maintenant c'est nous
(hommes ou femmes) qui sommes Fée ! On adore cette chose, cet état de chose ! on est ensemble d ans l'adoration, l'amour de cette chose. On est devenues fée, on est passées et du coup nbous volià deveunes fées !
On est nées fée ici, pré, prairie, sorte d'enceinte cloturée, fée parmi des bêtes, fée des fées. on regarde ensemble au loin. on a méga encvie de comprendre les données, ce qui se trame , en vrai, pour nous, en tant que fée. on a super envie de cerner les données de base d'une sorte (pour nous) de destinée à travers la lande : qui on est et qui on est pas, pour nous cette chose a bre&ucoup d'importance. on a envie de s'avancer, d'en avancer, d'avancer ou donc de s'avancer dans les connaissancesz. qui on est, qui on est pas. Ce qu'être (dans ce pré) signifie, en termes de dponnées l acustres. ce que d'être en vie (dans un pré rempli de bêtes-poids et autres bêtes-masse) signifie. On file ! On est nées ensemble au passage, ici même en ce pré aux bêtes de masse ou aux bêtes-masses, on regarde deva,nt nous la chose comme se ddessiner, on essaie de cerner au mieux toutes les données qui se présentent, ce qu'elles signifient, ce qu'elles recouvrent en termes de présents donnés, déposés ou dispôsées sur une sorte de "parterre terminal". On est accolées parce qu'on est nées (de rage, on diraiot) dans un pré, sur de l'herbeb à
brouter, nues comme des vers et quasi velues comme des bêtes, ou comme ici ces bêtes (cervidés ?) qui sont celles qui ne cessaent en vrai de nous mater ! On est toutes deux allouées, allouées à un pré, à l'herbe, aux bêtes des prés, aux fleurs parfumées. On est nées sur herbe, et une fois nées on est bien obligées de nous redresser, d'en avancer, de tracer, dev marcher ebnsemble eh bé oui, vers cette roche terminale, roche d'enceinte ou d'enclave, aller au plus vite vers e,lle essayer de la
comprendre, de comprendre cequ'elle représente, ce qu'elle est, ce qu'elle cache, ce qu'elle recèle en fait de données suprêmes. on est deux femmes sur un pré, qui (du coup) vont et viennent, se promènent, cherchent sans cesse à se rapprocher d'une sorte de donnée finale qui est cette chose lointaine mais pas tant que ça een vrai , qui est ou qui serait cette sorte de "pa ssage aux fées", ou p"passage des fées", tout au fond du pré, à même la pierre, dans le muret , dans la pierre du muret une sorte d'anfractouosité qui serait comme une sorte de portière, de porche tracé, de porte "au fées " ou "des faits". On cherche ! IOn est pas encore arrivées ! on est loin du compte. on a envie c'est sûr d'en découdre et vite, de savoir (ensemble) vite fait, de vite fait comprendre ou
savoir ce qui est qui , du coup, devant, semblerait vouloir nbous attezndre , semblerait presque nous guetter pour nous surprendre
, nous crocheter, nous attrap^per. on est nées sur pré parce vqu'on est passées , on est nées de base ensembkle pour former la Fée dite "des prés". On est deux
femmes, à la retombée, formant une Fée allouée à un pré aux bêtes de somme. On peut dire qu'on est bien ezntourées ! On voulait cerner ce qui est, ce qui est sur pré, eh bé voilà ! des bêtes de bon poids, bêtes de somme sans tralala, bêtes simples, placides, broutant l'herbe folle, cherchant à brouter sans ceese de cette herbe dxes "prés aux fées" et comme nous lorgnza,nt de biais tandiçs qu'on progreese , accolées, serrées, main dans la main, au milieu du pré, dans la luzerne. on marche traquet traquet. On est deux femmesc allouées (disons "allouées") à un pré qui est le "pré aux fées". On aime aller, marcher, s'acvancer, c'est pas un problème. On adore se promener, se balader, faire des découvertes, regarder autour de nous ce qui est, ce qui est en termes de végétation ou de faune attitrée . on aime les prés. On a envie ensemble de cerner au plus près tout ce qui est ici,
qui nous cerne, nous contient comme accolées, serrées dans la luzerne. On aime marcher main dans la main à travers les prés, à travers les champs, dans l'herbe à brouter, dans les cimet§ières et autresc enceintes. On est des fées nous -mêmes on dirait. On est comme des fées qui cherchons ensemble traquet traquet à comprendre , incidemment, un grand nombre de données, concernant la Rage, soit la RAge de comprendre, ce qui, ici, en nous, nous anime fortement et conhjointement. on est nées fées sur pré c'est un fait, et
en plus ça rime ! On est nées sur une roche ou dans un pré (pré de roche) et, nées nues et
comme déjà mentionné (plus haut), on est comme allouéess à une soerte de recherche ardue, de recherche dure, de recherche à pour le coup mener de front ensemble ici, conjointement, pour la bonne cause, c'est à dire dans le but de pouvoir ensemble dénicher sans peine , une sorte de "vérité des vérités" qui serait la vérité-déité co,ncerna,nt la mort, ce que la mort est. Ce q('est en vrai cette chose en vie dont le nom (ou nom d'emprunt) est MORT, LA MORT. On regarde. on veut se rap^procher. on veut toucher mais pour toucher il faut être nées et pour être nées il faut passer et pour passer il faut traverser , traverser à deux (main dans la main) la roche "aux données primaires " (celle des aurochs et auttres bhêtes de la préhistoire de forte taille). qui on est ? peut-^tre des fées ! on ne sa it pas. on a envie ensemble de tracer sur pré une sorte de sentier pouvant nous mener
jusqu'aux confins, de préfrérence, alors voilà ! on trace ! on fonce grave dans le tas ! on a pas envie spécialement de trainer dans la souffrance mais en vrai tout le contraire ! filezr ! grave filer ! foncer à toute blinde pour ensemble chercher à comprendre par où on pourrait passer, et du coup trouver une sorte de passage "des "" confins" , "des données finales". on est des fées
, on avance, on fonce ! On est devenues au passage des fées, au passage de loa roche ornée on est devenues fées , nues, dans un pré, comme déposées. on est entrées ensemble et à présent (ou maintenant ) qu'est-ce qu'on fait ? on dira qu'on fait pitié ou peut$-p^trte pas mâis on est là, on cherche sans ceesse, on ne lâche pas le morceau, on en veut ! on veut t§oucher à cette sorte de donnée qui serait sorte de déité , déité des déioté, liées à la mort tracée. On regarde ensemble ce qui est tracé. est-ce une b ête-mot ? est-ce que c'est unmot , mot-bête ? On est accolées. On est nées dans un pré accolées ! On est nées dans un pré dont le nom est "la mort" accolées pour former la Fée. Deux femmes accolées forment la Fée ! Deux femmes qui, accolées (main dans la main) forment une Fée dite "des prés". on avance !nOn cherche grave ! On est ensemble pour comprendre assocxiées et du coup, on trace ! on fonce ! on va ! On ne traîne pas
mla savate ! On a envie que les choses avancent, aillent, se forment, se trament, se goupillent ense"mbvkle , pour ça : comprendre ! comprendre ensemble, ensemble toucher à une vérité de poids, faire ainsi que les choses ici
b as (france ?) aéillent ... ou pas ? On mate ! On est ensemble. On est nées sur place (
France"). on a supezr envie de comptendre ensemble, les données qui se prése"ntent et semblent nous parler. Comment on pourrait faire ensemble pour comprendre ces données ? comment
en vrai ensemble on pourrait faiore pour toucxher à cetre chose d'une vérité des vérités ? On est nées dans l'herbe fraîche au milieu des bêtes. On voulait en avancer et cerner les données, treacer, dessiner à main levée ces bêtes
, mais pour dessiner il faut cerner et pour cerner il faut passer ! il faut travezrser ! donc : on traverse. Et du coup on se retrouve nues ou cfomme nues au milieu d'un pré, quasi à brouter de l'herbe ! On est nées da,ns l'herbe à quasi brouter comme des bêtes ! c'est un truc ! ça réveille ! On est p)assées et nous voilà comme "considérées" (de fait) par un troupeau enteier de bêtes (de somme) dans un pré ! c'st ouf ! On mate !
à notre tour de mater. on a envie
de nous rapprocher de toutes ces bêtes des prés pour leurr pa rler mais commenjt en vrai par(ler à des bêtes , à ces b^-eztes des prés, prairies, bhois et sous-bois ; comment ? on ne sait pas ! on nje sait pas (encore ?) pa&rler le langage des bêtes . le langage de certaines bêtes. on aimaerait beaéucou!p savoir m ais voilà, c'est pas (encore ?) le cas, hélas ! on pourrait se comprendre, se dire xdes choses à priopos du monde, des données de vie, des données concernant la vie, mais comment quand le langagfe est inexistant pour ainsi dire, quand les possibilitées langagières ou verbales d'échange, entre humains / humaines et bêtes, n'existe"ntb pas, ne sont pas : comment ? on est nées dans un pré. On vfoulait tracer sanns trai^ner puisque, de toutes façons, c'est (précisément) ce qu'on a à faiore, ce qu'on à a faire de plus urgent on dirait, mais il y a les bêtes, ces bêtes des prés, qui nous retiennent, qui nous intriguent, nous plaisent, nous font lambiner un peu près d'elle parce qu'on les aime et aussi qi'on est super curieuses de mieux les connaîttre, de savoir en vrai comment elles sonrt de près, ce qu'elles font à notree approche, ce qui les interessent bquand on les approche, si on les effraie ou pas : au contreaire, si on les attire, si (même) on leur fait envie. ON est comme des fées-
surprise ! on est nées dans un pré (la mort) fée ! on est nées fée dans un pré (ou sorte de) : la mort. Pré = MOrt (on dirait ou on dira) . On est nées dans la mort ... FÉE ! On est nées fée (une fée) dans un pré qui est le pré dit "de la mort" , ou même la mort. Mla mort ou le pré, c'est la m-eme chose. La mort est un pré, une enclave,
enceinte, bois et sou-bois. Murée ! Muraille tout autour d'un pré ! On est donc nées (à nottre mort) dans un pré cloturé qui est pré ou prairie aux fées. On est nées de fait dans un pré qui est le pré de la mort à l'ouevre on dirait ! On est ensemble (dans ce pré- ) accolées, pour former la fée. on est , deux femmes = elles = ailes, formant fée ! On veut cerner c'est une évidence ! on a aucune envie ici (puisqu'on y est !) de passer à côté mais au contraire profiter d'être nées en ce pré pour cerner = toucher à une sorte de ... denrée ? opffrande ? un présent donné déposé ? on est ensemble pour former la fée, celle de la Romance, des Chants gaisz, des musqiques tendres, douces et sucrées. on veut ensemble en vrai nous approcher le plus possible si possible d'une vérité qui saurait nous donner en toutes lettrees une (sorte de) solution à un probmlème qui serait le problème de la Destinée, le problème des données données par (peut-^tre) une (sorte de) déité des déités ! On est colère ! on est excitées à l'idée de connaîttre,
de nous approcher de cette vérité, de cette déité des déités, alors même qu'on a pas envie d' y passer mais plutôt de perdurer à jamais en ce pré aux fées. Ce que nous on aime c''st de durer et pas du trout d'y passer. On est ensemble accolées aussi, parce qu'on veut le plus possibloe durer, nje pas sombrer dansz l'adversité mais chercher à toujours toujours tenir tête, à se redresser, à en avancer sa&nzs traîner, à faire ainsi qu'on soit toujours sur pied, colère peut-^tre mais sur pied, dressées, fée dressée ! et pas mise à pied ou foulée aux pieds ou même décalquées ! On a envie ensemble de durer (dans ce pré)pour cdomprendre, soit nous rapprocher de cette "déité des déité" dont en vrai on dira que le nom (pour le coup) est (de fait) "la mort du bout", ou "la mort ici du bout du bout". On est touchées ! On a envie ensemble de caracoler, en tête de proue, pour ici (pré) comprendre (debout) tout un ensemble de données données comme par la bande par iune sorte d'entité de base, pleine de charmes et pleiine de grâces, dont le nom swzerait (peut-être ? qui
sait ?) D2ITÉ DES DÉItés. on essaie grave de comprendre ensemble mais c'est pas gagn"é c'est sûr. Pour en avancer (dans les connaissances) le mieux c'est peut-^tre, oui, de tracer-dessiner par la bhande, sur rocher , roc ou roche des prés, les animaux de la pa rade, les b^$etes de foire, les bêtes-poids comme sus-nommées. Et foncer ! courir ! vite sauter à tr&vezrs la roche et se retrouver peut-êyre en effet sonnées mais qu'importe ! on est nées fgée aprèes"" la roche ! On est passées et du coup on est devbenue fée ! C'est un truc ! truc de ouf ! On avaiyt cegtte chose, en nous, de (pour le coup) vouloir (grave !) travezrser la roche (à la une à la deux !) , eh bé voilà ! ça , c'est fait ! c'est acté ! On a passé le bout de son nez et zou, le coprps en entier et on est passées ! on était au singulier (un homme ou une femme) et une fois passé (passée) , c'esst-à-dire né (née) , bnous voilà plurielles
! c'est-dire "elles" = ailes = deux ailes pour une fée allouée à un pré ! préambule; On est nées dans un pré qui vient après la roche orné , et précède la paroi dite "des fins de pré", ou paroi "des confins" (en vrai, il s'agit de lma même paroi comme dèjà paassée tête preùmière, la paroi des rois, cloture-paroi, paroi d'enceinte). on veut toucher ! toucher la paroi ! On est là colmmme dans un cime"tière ( ON EST dans un cimetière !) et on
a super envie ensemble d'y aller, de courir à peerrdre haleine vers (du coup) la roche ultime, der des ders, qui est roche des confins, qui est roche à (encore !) travezrser (ensemble) pour la bonne cause ! comprendre , cerner, cerner-tpoucher, comprendre-toucher, etc.On est là, deux femmes, pôur ça , et grave ! On a pas envie spécialement de perdre la face , on veut tenir xdroit, ensembvle, dans nos sandales ( même si vcoilà, de base, on est nues ! cul nu !). On veut comptrendre parce qu'on veut tracer ! = en avancer (dans les connaissa&nces ) sans traîner la patte. QUi on est ? des femmes du sable ! On est nées sur pré pour comprendre (grave) les données les plus enfouies pour ainsi dire dans la lave, dans le xable, en ces contrées (pays) sages. on est deux femmes ici comme à la retombée szur sable , mais comment cerner, toucher, aller, sinon (peut-être) en faisant ensemble, l'effort intense de nous redreseer sans traîner comme à la parade, et ;... allez ! on trace ! on ne traîne plus
! On en avance cul nu, quelle importance ! ce qui cfompte c'est d'y aller , de marcher, de tracer sur roche, de ne plus co:mpter à la dépense mais en vrai de foncer et sans se retourner ! On est deux femmes
nues sur roche, et ce qu'on cherche ensemble ici est une chose que peut-^tre on aimerait garder pôur soi un temps , afin de bien la mesurer, la jauger, l'explorer, avant de dicvulguer au tout-venant la chose sur pied ! On est deux femmes nées pour être fée (une fée) sur roche, et voilà la chose ! On est fortes ! on fonce ! On est nées pour foncer, tracer, filer à grandes enjambées. On est ense'mble pour percer la roche finale associéesw. on est comme assqociées (ensemble : main dans la main) pour essayer (si possible et vite fait) de toucher à cette vérité dite "des parois dites des finalités". mais que sont les finalités ? qui voi!t bien ce qui est en ces confins ? qui sait, ce qui est en ces confins ? qui comprend les choses bien ? qui comprend par le menu, les données premières , et les données dernières ? qui ? On est des bêtes de praoerie.
On pète. On est bêtes-mots. On est fée de base et bête-mot. On est ensemble dans un pré , on se ressemble ! On est deux fgemmes nées sur roche (pré) ensemble (accolées) prêtes à tracer (filer) vers la roche finzale. ON se regarde . On est des fées ensemble dans la lande. Fée.
on est ensemble fé&e, formant fée, deux femmes pour une fée/
on a envie grave, de comprendre les données. On est nées des fées ok, mais qu'est-ce que ça veut dire ? qui peut donc nous expliquer sans nous berner ? On nous dit ici ou là qu'on est nés fée, qu'on était singulier (au szingulier) et que voilà, nous cvoilà p^lurielles = deux ! d"ux fezmmes ! deux femmes formant la Fée. En résumé on peut avancer qu'en vrai la Fée (dite "de la mort acquise") naît, à l'arrivée sur roche, de deux eailes de poids léger ! ou sinon de quoi d'autre
en fait ? On a envie de cerner ensemble plein de choses qui pourraioent nous indiquer paroù passer ou par ouù nous immiuscer pour arriver à pour le coup cerner une sorte de vérité (en transe ?) mais comment passer ? comment on peut faire pour passer ensemùble ? On est pas nées pour nous cacher; on veut se montrer, t§oucher roche, aller profond, connaoitre la chanson
des rocs, le chant mooncorde (qui sait ?) qui seréit celui d'une sorte de TRONC, de BUSTE-MOT, DE BUSTE_ROI, REINE DES MO0TS DES BOIS ET SOUS_BOIS ! Qui est qui ici ? va savoir , va chyercher , va ! va comprendre ! On regarde ici ensemble parce que voilà on veut essayer de passer, qui iun oeil qui le nez, à travezrs la roche (voir / humer) mais en vrai, pas s-ûr que ça suffiçse pour (pour le coup)c erner de près (serrer) une vérité, sur ces contrées dites "dee la mort à l'oeuvre" commê sus-nomm^ée. on voudrait ensemble, c'est une évidence, tra cer, toucher etc., la roche, la paroi finale et passer et du cfou!p comprendre (découvrir) ce qu'il y a après , après le pré, soit après la mort. Parce que si la mùort est une enclave dans la vie (ilot ou ile) alors la vie apres la mort repren ses droits (quelque chose comme ses cdroits) la mort passée. Mais d'abord, peut-on parler de "mort passée " ?? doit-on parler de "mort passée "? Qcommenjt parler ? Qui sait ce qui est ? On se dit que la mort une fois passée, on retrouvera (peut-être) la vie. On se dit que , une fois la mort passée, on retrouvera (qui sait ? ) l a vie qu'on avait comme laissé de côté , m ais est-ce que c'est vrai ? on se dit que voilà, la mort est
là comme une sorte
(peut-être) d'enclave (un ilot) au sein de l'océan de vie ou de la vie, de l'infini de la vie. on se dit qe la mort (pré aux fées) est un ilôt, au sein de la vie, en son sein cerné (comme dans tout sein). Ca&r voilà, la mort (celle dont on parle e,ntre humains / humaines) est une enclave de type "ile", "ile" ou "ilôt", et du coup , est comme isolée, comme xweule ou isolée, au milieu d'une szorte de mer infinie, étendue, mer sans fin des étendues. On essaie enwemble de toucher à des données qyi en vréai ne sont pas tellement débattues tout compte fait, cela du faéit qaue la chose est ardue et pr$ete à rire , souvent. La chose souvent appelle le rire ! c'est même ce qui (en vrai) en fait une sorte de ... comment dire ? repoussoir ?
On cherche ! on est comme (toutes deux) ibvres ! on est comme rendues ivres, de par ce savoir ou de par ces rechersches menées de concert, nous deux ensemble, dans un pré, sur roche, jusqu'à plus soif on dirait et du coup voilà, on est ivresz, pompettes grave ! on roulerait presque sous la table tellement on est saoules (ou saoulées) ! On a envie de décuver ! on veut se poser. On est comme deux femmes allouées à une sorte de donnée de rage, mais nous on veut tracer , aller, courir vite, sortir de cette il ! On ne veut plus rester
ici ! on veut quitter l'ile (ilot) aux corbeaux ! aux mots ! On a envfie plut^$ot (que de rester) d'aller loin nous projeter dans le futur (peut-être) comme dessiné, au loin, sur uun rochezr, par un êtte néandertalienn (un mot = une somme = une bête de somme). on a envie de base de nous échapper et d'aller, de filer, de passer de l'autre côté et du coup de revenir (revenir ?)- à la vie antérieure, )à la vie avant la mort (si elle existe mais on dirait). On Veut aller loin &près la rive ! On est deux filles pour une fée (hformer une fée) , duu coup on peut nhaviguer, flotter, voler, flotter da&nsz les airs, ramer, aller, filer vives ! faire le chemin quy nousz plaît, et du cfoup sortir du pré. si on y arrive ! cfomment faire pour sortir du pré et filer ? On est nées filles (femmes = elles) sur une ile (il) , un pré, le pré dit "des fées". Qui est là pour nous dire ce qui est en vrai ? On est nées filles sur pré allloué à une
vérité "divine" ! On aimeraiot passer de l'a&utre côté mais comme,nt on peut passer qua,nd on est comùe clouées /rivées à une ile ? On a encvie ensemble de comprendre
les données utiles. On trace e,nsemble des bêtes de roche. On veut toucher à cette chose d'une sorte de paroi finale (der des ders à la pârade") : ça le fait ! On vgoudrait comprendre et du coup toucher. a cette déité des déités ? peut-êtte ! On cherchen! on est pas encore arrivées au bout de nos recherches. on a encore fort à fair". On veut monter, grimper, sortir la tête, comment fzaire ? on est deux fe"mmes cflouées ou comme clouées dans un cimetière auxd données cezrnées, mais nous on voudrait grave s'échapperr , ne plus rester comme fixées à une sorte de cloître coincé, mais vite fait filer, sortir la tête, chercvher l 'air "et le reste" comme qui diréit ... et, c'est quoi , "le reste", en vrai ? l'air et le reste : une sorte de donnée de
rage, souffle saint, vent de face. Est-ce que c'est ça ? ce train de rage face à soi ? Ou alors autre chose dont on ne sait au fond pas grand-chose? on devinera un jour ce que c'est, qui sait ? et du coup onn pouurra en parler sans g-êne, crainte ou retenue, tellement on sera sûres, sûres du fait, de ce qui est, de ce à qauoi la mort ressemble
en vrai : chance ? charme ? chant ? quelque chose qui comme,nceréit par ce "ch" aux données vives ? On verra bien ! On a encore pas mal de chemin ensemble à faire jusqu'au bout du bout tel qu'annonczé préalabloement par les instances du langage , de la langue, d'une langue en soi, d'un langage de base, langue parlée entre soi et soi. On sa&it pertinnement que le chemin en vrai est encore long, qui ne cessaera np)eut-^zetre jamais , qaui sait ? On trace ensembvle squr roche notre avancée. On est accolées parce qu'on s'aime. on ne veut plus se lâcher parce qu'en vrai on s'aime à la folie, sans haine ! On veut toucher à une vérité dite "de cimetière" si jamais, et cela : ensemble, accolées, montées, en transe, en transe si ja&ma&is. On est deux femmes nées sur pré la mort venue à la retombée ! on en voulait ! on a reçu ! on a eu ce qu'on esprérait ! On est moitié velues (cul nu)
ça le fait ! On a grave envie d'y aller ventrues eh bé c'est fait ! on a été ! On voulait toucher à cette sorte de muret des bouts de roche, on y est arrivées et sans traîner parce qu'on fonce , on a l'habitude de foncer , on ne fait pas dans le traquet-traquet , ou parfois, mais en vrai, le plus souvent, on fonce ! on ne lambine pas ! on envoie! On est motibvées lancées ! On est là pour tracer (sur pré) pour (en vrai) en avancer dans cette cchose d'une vérité allouée à une destinée (à une déité ?) qui seraéit"de roche", dite "de roche". On veut toucher , ou on voudrait toucher à une chose quyi serait, ici, une chose nue, complètement nue, peut-^tre velue mais pas forcément. toucher à une chose qui peut§être sera&it nue, nous intéresserait énormémeément parce qu'elle seraéit comme une sorte de choses sachanjt parler et du coup dire ce qui est question vérité, ce qu'est la mort en vrai, ce que c'est que la mort en vrai pour a&insi dire. Si on trace alors peut-^tre que (qui sait ?) des choses arriveront peu-êtrre à se révéler ou être révélées, des données, des données de base viendront comme affleurer la surface et du coup se donner à
compre ndre. On essaie d'en avancer de base le plus possibhle ensemble pour comprendre. On avance grave ! on essaie du moins, de (grave !) tracer un chemin sur sable, sur roche des pré"s" ; on trace ! On est d'ux femmes ensemble , ama,ntes , amoureuses des données, mais surtout amoureuses "des nénés des fées " (?) qui (pezutêtre ?) commandent à "déité" (?) on ne sait ! On avance parce qu'on est ensemble , on cherche à comprtendre . Qui est qui en ces dites "contrées aux nénés" ("nénés des fées" ? ). O,n est passées ensemble parce qu'on le voulait, on voulmait passer et voi!là, on est passées, on a travezrsé la lande, on a
traversé le pré, la praierie des changes. On est à présent au pied de la pa'(oi finale dite "de circonsrtance". On
regarde de près les anfractuoisités qui se présentent. On essaie de paqsser (d'y passer) le bout du nez, on tente notre chance. On veut (on voudrait) voir ce qui est. A quoi ça resseemble de près au jugé : à une langue ? On regarde. on a envie de passer la langue, oui. On est arrivées enxsembvle jusque là pour peutêtte en effet )asser la langue. On est arrivées ensemble jusqiu'à ce muret, pour peut-être en effet passer la langue (lécher ? la roche finale ? ) . Qui sait ? On est accolées et on essaie de travezrser e"nszmbvle un vcertain nombre de données. On a grandi ensemble ? on a évolué, on a grandi et évoluédans ce pré, et nous voilà comme dépôsées au pied d'une muraille ! hé ! on ne sait pas ce qu'il en est en vrai m&is quand même ça le fait ! on dira (même) que ça le féit gra&ve ! ça le fait des masses ! On est nées ! nées de rage ! on est nées de rage sur le sable, dans un pré, sur l'herbe des prés, de rage allouées à un pré, à de l'herbe à brouter, herbe à vache. On est nées dans l'herbe des prés près des bêtes de pré. On est bhêtes nous-mêmes (à la retombée) -on dirait, et peut§-^tre qu'en vrai on le sait au fond de nous-^mêmes sans avoir
à le rechercher ou à le chercher ou à le retrouver, car en nous, on sait, on saurait, on devinera&it, on a&ur&ait acquis, on a&uré&it des acquis à jamais ancrées mais dont on ne voit pas toujours d'emblée (une fois en vie) les données, les composantes affiliées, les tenants et les aboutissant(sz. On ne s ait pas toujours en nous vfoir ce qui est, ce qui pré-existe, ce qui est tapi, ce qui est enfoui, contenu et su (de nousz) au plus profond de nous. On ne s ait pas tout. On cherche à comprendre, cerner loin, mais c'est sûr que plein de choses en nous restent encore à comprendre, cerner et déchiffer. On est pasvencore arribvées au
bout des connaissances. on veut en avancer c'est une évidence mais comment en avancer ense'mvvle zans tracer, sans foncxer , sans filer ? On est ensemble sur un pré (posées) et on regarde autour de nous ce qui se présente" question bêtes des prés, et aussi paysage, et aussi
les lointains , ce que c'est, qu'est-ce qu'il y a au loin qui nous regarde ou paraît nous regharder comme de biais. une muraille ? on dirait. enceinte globale ! une sorte de muraillle almlouée à une forteresse (un fort), cloturée. On essaie d'en avancer gtrave. qui on est ? on sait pas ! On croit savoir mais au fond de soi on ne sait pas , car on est '"en transe", on est hantées, envahies, occupées. On est comme envahies en nous par du la,ngage, par des données de rage, par mille et une données allouées à un passé , à du passévde contrebande, et donc, ici, ensemble, on est comme confrontées à une image, à l'image d'une sorte de convoi (en szoi) qui est convoi dee base "méchante", , une sorte de convoi de rage ("méchante") qui sezrait (du coup) là, pour nous, nous aider (fissa) à comp)rendre, un certain n ombre de donnéesz de poids qui pourraient (en vrai) nous donner pour le coup à cfomprendre (sur paroi) ce qui est et ce qui n'eswt pas. jE
Je suis là. Je cherche. Je suis arrivé. Je veux comp)rendre. Je suis né. Je suis né sur roche des données. Je regarde au loin ce qui est qui semble ou semblerait vouloir me parler , on dirait. Je suis née fée e,n tanrt que telle (avec des ailes) sur un pré ou dans un pré (cimetière) isolé. Je suis née
fée de cimetière. Je suis une fée. JE suis la fée dite "du cimetière" (mouche à merde ?). On est nées sur roche allouée (à une déité des vérités) et nous voilà devenues ...? fée ! UNe fée ! Fée des bases tracées ! Je regarde. Je" vois devant moi ce qui est qui me regarde, qui est là pour moi on dirait , porte p)ersonnzalisée. On regarde = on est. On a envie grave de comprendre un grand nombre de données, mùais pour comprendre on doit s'accoler, c'est à-dire se coller ensembvle, s'épouser pourvainsi dire, faire en sorte que voilà, ensemble, on fasse corps, à la une à la deux, sans plus sourciller ! On veut aller ! on veut tracer ensepmble et toucher, par la fenêtre, à une deéité postée derrière ! Je ne saios pas qui on est mais voillà, on est, puisqi'on naît ! et qu'on naît dans la d ouleur, peutêrte ! ON veut coller ensemble à une soerte de paroi "m'euble" afin de (pour le coup) arriver à passer. fEmmes on est à la retombée, deux f"mmesz, alors mêmes que judsque là (avant la traversée ) on était femme (une) ou homme (un) mais (du coup) toujoursz
au singuliert ! c'est étra,ge ! On veut passer ensemble à travers la roche finale pour cdomprendre, cette fée, cette sorte de fée qui est donc la fée dees données tracées sur roche des prés, cette fée, comênt la cerner, qui elle est, que penser de certte fée des rages allouées à une Romance ? On acavance ensemble. On a envie de gagner grave du terrain, jyusqu'aux données finales, pariétales , ultimes, terminales. IOn a super envie de comprendre
enszmbhle les données finales, ce qui est qui se pavane ou comme se pavane ou se pavanerait en roche finale, en cette sorte de paroi des fins et des confins. On est deux fe"mmes ! Deux femmes formant FÉE ! on est donc fée nous-mêmes. On est fée des ragesz et on trace. On est insulaires. On a envie d'aller ensemble loin en ces contrées toutes liées à des savoirs "loi ntains", c'est-à-dire enfouyies, encastrées, serrés, plo,ngés, cachés. Femmes on est , qui voulons comptendre ! On regarde les nénés à lait, à téter. Les nénés à lait = à téter. on regarde les nénés à l&it, on veut téter. On a& super envie de téter aux nénés de la vie déployée, déployée sur pré (pis des vaches pour ne pas les nommer, en vrai). On est :
femmes dees prés, formant fée
femmes des données de base
femmes déplissées,accolées, formant Fée au singulier. On est ELLES / AILES qui formons en vr'ai une fé&e aux ailes. On a envie ensemble de tracer sur roche, à la volette, des données de force. On veut toucher à une sorte de donnée rupestre, donnée des données. on reg ardee ce qui est ense"ùble sur rocher, r('oche allouée à une vérité divinatoiree (ou pouvant deviner des vérités et les évoquer). femmes des prés, fées. femmes-fée des p^ré : on est nées ! On est mortes et enterrées mais voiloà .... transfoprmées (fissa) ennfée des prés ! c'est ça ! ça envoie ! ça le fait sans se gêner. On regarde tout autour de nous le paysage. On a envie grave de comprendre ensemble ce qui est autour de nous qui semble se montrer ou vouloir se montrer comme à la parade , mais est -
ce que c'est vrai ? on est là , motivées, on regarde, on regarde l;oin les données qui sont (on dirait) tracées comme à ma&in lev&ée, en tra&nse, par (qui sait ?) des ... bêtes .? Bêtes-reines ? bêtes des prés ? On ne sait pas ce q'il en est mais bon, on cherche au plus près à comprendre et à cerner les donnéesz f(ontales (pariétales) telles qu'elles se présentent de concert , en vrai, à notre gouverne qui est , pour nous, comme un sens (inné ?) des données à déceler sur roche des prés. On cherche vaillamment et sans traî n er , à comprendre ce qui est ici (pré) en termes de données finale. Qui on est ? eh bien, peut-^ettre, des agents du charme ? agents / agentes, c'est-à dire des agentes ! des agentesz allouées à une sorte de divinité incantatoire. On est deux femmes ensemble ici nées à "la vie dans la mort" par une sorte de ... donnée,
pâr une sorte de donnée, de poussée,
dee rage, de poussée de rage ou de donnée de rage, pouvant , en vrai , exoplioquer ici, cette sorte de passage comme, on l'a vu, évoqué plus haut, en termes de "chance, chant, charme". On est entrées ensemble dans ce prépar chance, ou bien par le charme (ou du fait du charme) d'une fée, d'un chant, d'une sorte de chant comme chanté par une fée, ou comment ? On est passées ! on a mis le nez, puis le reste, et voilà ! On a réussi à traverser ici ce rocher des données dessinées (bêtes des p^rés) p)ar des eêtres d'il y a des milliers et des milliers d'années. On s'est retrouvées de fait à la retombée, dans un pré, pré d'herbes, au milieu des herbes, des vaches et autres mammifères, on est nées ! On voulait traverser c'est fait !! et là,
on se retrouve transformés en fée ! fée insulaire ! c'est ding!ue ! On voit les choses se tramer, et parfois on est concernées, concernées de base et comme au pre"mier chef. On est nées sur pré Fée, transformé en fée, et nous voilà qui voletons en direction, direct, des roches (finales) de l 'enclave (enceinte) où l'on est tombées, ensemble, )as plus tard que toutt à l'heure (= une vie). Unevie d ans la mort). On est deux fe"mmes ensemble accolées , à la colle, afficxhées, qui sont enswemble dans la vie "de la mort allouée à une prairie". Qui on est ? deux fe"mmes des prés. On veut ensemble aller si possible loin dans les connaissancesz à (ici) developper enxsemble concernant ce qui est sur pré et ce qii n'sst pas, et auusi ce qui est qui nous reseemble , sur rocher gravée. Traits . Mains/; FAces.Dessins. On veut ensemble aller loin, de préfére,nce. On a envie de faire enwsemble un bon bout de chemin en ces connaiçssances, ou sur ce chemein de la connaissance des données rupestres et autres destins frontaux pariétaux. Ce qui nous retient (ici) c'est (en
dehors de l'envie de tracer) de comprendre, loin et profond, ce qui est "en face"", sur roche finale, qui nous regarde ou para&ît nous regarder. On ne veut pas tremblert, on veut tracer ! On veut aller ensemble, toucher de connive,nce, ce qui est sur roche à nous attendtre . On est nées
pour tracer ! On est nées, dans la mort (le pré des fées) pour tracergr ave les données rupestres qui nous apparaissaeent ici en transe. Dans la transze. ON regarde et on s'aperçoit, voilà, que ça va ! que c'en avance ! qu'on peut aller de base ensemble et main dans la main sans y perdre bêtement notre latin ! on pêut touccher de près la bande ! on peut se rapprocher, sa ns trainer, de cette roche des données finales, paroi des parois, der des ders; la toucher et la creuser afin de passer, soit de passer le nez, la bar'be, une mèche peignée, doigt de pied, sexe dressé, sourcil allonghé. On veut passer ensemble (nous deux) nos "nénés " (qui
sait ?) pour ici allaiter le dieu alloué à une sorte de muraille aux données ancrées. On est Femmes
aux données lactées. On veut coller , ici, à une Déité
des données ancrées, pour l'allaiter, pour lui donner du léit (nottre lait) sans traîçner. On regarde de base ce qui est, la fente, le passage, le hjour dessiné, le's données de rage, et du coup on ch arge ! On a mega envie ensembke de passer ! traverser ce muret "de la chance, du chant et du charme" pour ensemble nous téléporter (du coup) de l'autre co^té, côté mer des âmes, mer allouée à une vie après la mort (qui sait ?). On veut p asser, soit trépasser, mais ici : passer de la mort à la vie . Il y a ainsi pour nous une chose qui est, en vrai, à ne pas sous-estimer, et cette choswe est du coup cela, qu'il nous p^lait d'évoquer sur paroi. Cette chose , est une chose déposée : animal des prés et prairies bvoisées (ou pas) allouéeés à des bêtes de poids et autres bêtes aux données rupestres. On voit ensemble loin,le tracé frontal. on veut comprendre, on veut toucher : on va ! On veut a;ller ensemble là-bas (lointains frontaux) pour comme retrouver un air des données qui étaeint celles (avant la mort) qui nous appartenaient , ou quelque chose de cet ordre. On veut donner de soi , donner de son soi, donner grave de son propre soi, à cette sorte de face de rat ! On avance ! On trace ! On nest a&
ccolées (deux femmes pôur faire une fée) et on avance : on fonce oon file, on est vives ! on vole ! on s'enviole ! on entre en tra,nse = on s'enviole ! c'est-àdire qu'on lévite ! On est npassée ensemble, à travers la roche primaire, on passera ensemble sans forcer (on l'espère) à travers la roche secondaire. On est devenues Fée, (de base) par la bande animalière d'une roche orneme,tée : on peut le jurer (le certifier) . On est nées fée du fait qi'on est mort (du coup mortes ?) . On est mort en ta,nt qyue tel, nous voici nées (deux fe"mmes à la retombée) formant Fé"e , du fait que nous sommes, nous (devenues), des ailes (elles) en vrai. On devient Ailes ,
la mort venue (cul nu). O,n vole, on volette ! on aime ! on file ! on trace des traits, on est nées pour être fées, fée des rêves. On veut toucher à cette sorte en sooi de déiité des cimetières et autres champs dits "réservéés". Qui on est ? Une fée, à nâitre. On est commê une fée alloué à une sorte de contrée (un cimetière) insulaire !On veut aller loin vers lles données données des cloisons dernières. Si possible entières, sans flancher. on est femmes des prés, on veut toucher à cette déité post-cimeetière. On veut l'aimer, loa toucher, la connaître ou la reconnaîttre. Qui elle est ? à quoi ressemble-t-elle ? quels sifgnes sur elle la distingue ? qui la connaît sur terre (ou qui, sur terre, la connaît ?). Qui sait ce qu'il en est de ce t espace post-cimetière : vie après la mort ?Car, on dirait volontiers que la mort , est une sorte de .. passage forecé, ancré, prélude à une destinée (éclairé) d'un après -cimetière. On
comme,nce à se le demander. On se dit que peut-^tre en effet, la terre est une sorte de pré (entier) dans lesquel viendrait s'insérer une sorte d'enclave $tracé au pied levéé p)ar une sorte de divinité rupestre : qui sait ? Ou alors autre chose : un ocean ? On essaie de deviner. Qui on est. C e squ'on cherche en vréi à faire . qui on voudrait être. Ce que c'est que cette
déité dont le nom déjà ("Déité") nous effraie. On veut ensemvlble si possible aller pour (du coup) se rapprocher d'une sorte de bête des prész dont le nom (en vrai) est (serait) "Déité des Déités", qui sait ? On regarde ! on trace ! on dessinhe des traitsq. On veut comprenfdre, cerner, prendre et aller. qui on est en vrai ? on ne sait pas mais ça n'empêche pas qu'on cherche ! on y va ! on creuse l:oin ! on veut ensemble creuser loin, dire et faire sans pleurer, aller enswemble de son pas p)rincier, chercher la bête, "le denier des bêtes". On cherche ! on a envie (méga) de trouver à cerner ce qui est sur rocher, sur roche pleine, sur paroi ornée et autres murs des cavalcades ici creusées. Femmes = données. Données = femmmes. On est comme allouées à une destinée frontale , on ma&rche ! On est passées d'une sorte de pré (her b es et fleurettes) à une sorte de rocher, de roche (terminale) au nom qui reste de fait à apprendre ou comprendre ou trouver allouée à un nouvrau passage, celui de la mort à lma vie renaoissante. Quand on meurt on dit qu'on passe, mais passer ici est un m oment donné , à dépasser. On entre en transe, on se retrouve Fée ! Fée des prés ! On aime êztre Fée ! On est devenues Fée du fait de la transe ! On est entrées (nous deux) dans la transe, et nous voilà à présent transcformée, en une sorte de fée "des données de base".
nous voilà aimées ! nous voilà comblées ! tenues en révérence ! On voulait passer ensemble ("à la une -à la deux") la chose est faite désormais et pas qui'un peu ! on est comme adulées pour ainsi dire en tant que fée en transe , uune cha,nce ! on est aiméez , adulées quasi, adoptées ! on veut tracer, per cer et aller de l'autre côté; côté "sarde". Le côté des côtés "'sardes". Est-ce que c'est ok ? peut-on passer sans y passezr ? ju!ste changer de côté ? permuter ? peut-on se glisser sans du coup y passer ? on est nées fée la mort venue, on voudrait dès lors, e,n
ta,nt que" telle, profiter des ailes pour nous envoler et nous libérer de cette enceinte (insulaire) dont le nom esrt PRÉ, le Pré, cette chose allouée à une vérité creusée, de type trou de cimetière. On est femmes dees prész. On aéime tracer, à main levée, tout un tas de dessins de fées, de traits hachurés, de bêtes agraires, et passer , ainsi, pzar la bande, un messsage comme déposé . On veut toucher à cette bande de type animal, tracer a&u pied levé, et puis monter, léviter, grimper, alller tout en haut de cette sorte de par'oi frontale aux données capitales. On est fée de roche. Foi et fée. On est fée allouée à une foi. On est entrées dans un e paroi, on a creusé, on a traversé, on est passées ensemble à la retombée de l'autre côté : croix de bois ! On veut comprendre, soit toucher à une sorte (ensemble ) de vérité qui soit la vérité ici d'e
la foi en la féee donnée . On est entrées. On veut toucher. On vole. on est fée de roche, fée des prés. On s"'approche des données finales, roche des confins. On veut coller , épouser la roche des confins. Passer.Traverser. Coller pour passer
et traverser, et nous retrouver (encore fée ? ) de l'autre côté, toute retournée , qui sait ?
30/8/2024
On est deux qui en vrai sommes, pour le coup , accolées pour en avancer , car pour en avancer, le mieux ici (en ce pré) c'est d'être accolées c'est-à-dire soudées, prises ensemble, collées de près ou serrées de manière à pouvoir, du coup, mieux aborder les données qui se présentent devant nous et qui (on le voit à présent) sont celles
relevant d'une sorte (ici) de "déité des déités" dont le nom en vrai est La Mort il semmblzearait. On est accolées parce que voilà, on a super envie ici de gagner du terrain en ce pré qui est ... le pré sur lequel, à la retombée, la paroi franchie, on a atterrri comme qui dirait, de fait, sur le cul nu ! on est tombées toutes deux cul nu en ce pré aux vaches, aux bêtes massives, bovidés des bovidés. On voulait traverser la roche ensemble eh bien c'est fait ! on peut direça, on a réussi ensemble, sans sourciller et finamlement sans trop peiner , à traverser la roche, à passer de l'autre côté et à cerner du coup la plupart des données, des données de base qui, ici, sont comme déposées sur place, posées ou déposées, afin que des "meufs comme nous" , au bout du compte s'en emparent et en fassent bon usage. On regarde tout autour de nous ce qyui se passe = les données brutes, soit (tout près) ces bêtes pour le coup de bellke allure, bêtes-mots qui sont les figures des lieux, = bêtes-masses. On les rtegarde le plus attentivement possible et on essaire ensembkle de les app^rocher pour les caresser soit (aussi) les comprendre, les toucher du doigt ((un doigt suffit) pour nous rtendre compte (nous deux) de ce que ces bpêtes (en soi) représentent, ici, en ce pré post-paroi, en ce pré aux herbes folles et autres fleurs multicolores. On est femmes ensemble, qui allons pour (du coup) essayer de comprendre, ce qu'on peut de ce qui se trame, en ces lieux aux vaches et autres herbes de saision : on fait ce qu'on peut ! on est accolées pour comprendre
mieux, pousser en ce pré, en avancer le plus qu'on peut ensembkle, et du coup tracer le plius viote possible vers peut-être ces confins sus-mentionnées qui sont donc des "finalités de roche" dirait-on. On avance ensemble , on regarde, on est là ensemble pour comprendre ce qui est, le plus possible, et ce qui donc se trame en cesz contrées de "bout du mùonde". qui on est en vrai ?
des filles , des femmes allouéres à une recherche menée pour ainsi dire tambour battant, filles et fées sur pré pour ainsi dire, on essaie d'en avancer ensemble dans lezs connaissances et de travcer ensembvle une (sorte de) voie d'abord, un passage, un sentier vers cette Déité des Déités qui est la déité (qui sait ?) des données dernières, données des confins, des fins de pré, des ultimes tracés qui sont ceux de base qui , devant nous, semblent ou sembleraient nous regarder en face et quasiment vouloir (peut-être) nous parler du paysage, de ce qui est qui se présente , s'offre à nous , en fait de données. On mate grave ! On est accolées pour le coup pour mater et, tant qi'à faire, mater grave, espîonner quasi, ne pas se laiiser distrteaire ni accaparer par quoi que ce soit autour de nous mais tout le contraire, garder un cap, tracer c'est garder un cap, c'est filer, c'est en avancer sans traîner mais toujours en fait dans une même direction donnée. On veut essayer ensemble de comprendre les données qui se présentent, s'offrent à nous comme par la bande et semblent ou sembleraient vouloir nous attirer dans ses filets ! On est, ensemble, accolées comme une fée, comme fée des données, et on regarde, on voit autour de nous des choses comme se disposer de part et d'autres, et ces choses en fait sont des êtres allouées à une roche, des données de roche du coup, bêtes de paroi, bêtes ou bêtes-monstres plutôt puisqu'elles sont grasses et grooses voire énorme pour en vérité en imposer le plus possible, en jezter le plus possible, faire en sorte qu'elles puissent être vues, ou perçues, co:mme des êtres vifs ++ ! êtres de vie majeure, êtres de vie maxi et non cadavériques, ou même dégradées;, rien de cela ! On est passées ensemble à travezrs une paroi, pour vpilà (c'est vrai) comprendre ce qui est (autour de soi) en ce pré aux bêtes de poids qui (on le v
oi) en jettent grave ! font fde l'effet, montrent d'elles un côté qui sans se tromper impacte grave ! impacte énormément et du coup fait ainsi que voilà, la bête -somme ou sommité, se voit prise par, ici, la Déité, pour une sorte de vie majorée, une sorte de vie +, qui serait du coup adoubée ou comment dire ? par la mort soit la mort en personne ! On s'est rapprochées ensemble côte à côte d'une sorte de paroi finale ou terminale et c'est précisément à cet endroit qii'on cherche à, pour le coup, passer à présent, à présent on veut passer une fois encore, on veut traverser, gagner sur la roche dite "des confins" tesl qu'ils se présentent en dur à nos gouvernes. On est des fées de roche , on essaie ensemble de nous avancer vers ces données de bout de bout et du coup, cerner de près les moindres aspérités de cette roche qu'on a (qu'on aurait) sous nottree nez. On est passées ensemble, dans un premier temps, à travers "la Roche des Tourments" (liée à une vie terrezstre) , on a de fait atterri dans un pré (un pré aux vaches) et nous voilà à présent, qui avons gagné le roche dite "terminale", celle des confins, cette muraille des données ultimes et là, on regarde de près, on cheche u n passaghe, une sorte dr'anfractuoisité par laquelle pouvoir s'immiscer si tant est, et du coup passer et du coup voir ce qui, de l'autre côté, sezmblerait vouloir exister à jamaéis ! On regarde ensemble comme on peut en essayant d'ouvrir nos yeux le plus possible ! On s'est app^rochées de cette roche des confins afin de comprtendre c''sstà dire voir, les données dites "données" qui seraient co:me à nous attendre, à nous attendre
grave car les temps sont graves diirait-on, qui sont ceux liés à une siorte en soi de déité nacrée, sacrée, dont le nom à présent on le sait est "La Mort" . La mort en ces contrées. On essaioe de regardxer soit de passer un oeil à travers la roche. on a pas fini d'espionner ou d'essayer d'espionner. On arrive (à peine !) et en vrai c'est loin encore d'être gagné ! On veut ensemble regarder, derière la roche, ou diso,ns l'ultime roche, ce qui est, ce qui semblerait êttre et exister (la différe,nce enttre être et exister ?) et pour ça on fait corps en tant que fée ailée , voilà on est fée qui faisons corps ! on est ailées ! on est des ailes rap^p^rochées qui, ici même, devant ou ci-devant cette paroi ultime ou dite telle, cherchons à creuser ou (disons) nouys infilttrer, traverser la roche, la paroi de fin, la paroi qui sans doute est la même qu'à l'entrée sauf que voilà, on l'aborderaéit ou on l'aborde par un tout autre côté que par celui abordé à notre entrée, ici, dans le pré. Pour ainsi dire , on peut avancer cette chose, comme quoi la roche est ici posée, déposée, comment dire ? en forme de rotonde : on entre d'un côté (quel qu'il soit) on court on vole à travers le pré, ici, "aux bêtes-poids" ou praiorie "aux herbes hautes" (ok), et nous voilà du coup arrivées côte à côte à la fin du pré ou à la fin de la praierie, à nouveau devant une roche mais en vrai cette roche on la connait ! on l'a déjà rebncontré ! on l'a déjà vu à l'entrée du pré. Il s'agit de la même rocjhe ici et là, car en vrai la paroi est paroi de rotonde : qu'on se le dise haut et fort, si possible ! que tous et toutes, toutes et tous (touxtes) on arrive à se le dire , on arrive à le comprendre à toustes, on arrive grave à comprendre cette chose comme quoi la mort est hors de l'encklave ! comme quoi la mort en vrai est en dehors de cette encklave-pré ou alors non : cette enclave-pré, en effet, est le royaume (ou serait le royaume) de la mort, pré aux vaches, soit une sorte en soi de "petit paradis", peut-^tte. Et la vie, après ce "petit paradis", reprendraéit "les rênes " , qui le sait ? qui saura nous dire et nous expliquer sans nous tromper ce qui est en vrai sur terre et au-delà ? On est des fées parce qu'on a des ailes ! On est elles (dans la mort = dans le pré) pzarce qu'on a des ailes. On est pour ainsi dire dans la mort AILES = ELLES. L'homme est mort et enterré quand la femme (elle) poursuit en vrai le chemin des êtres (ou dit tels), et arrive à durer, continuer son (petit) chemin des fées traquet traquet , et du coup arrive à se pointer au-devant des Ultimes Données qui sont les données d'après le cimetière ! On essaie de nous y retrouver mais ce n'rest pas simple en vérité car les données de base en vréi se chevauchent ou se croisent sans arrêt, et pour "garder le fil" , et ne pas en prendre ou tirer un autre involontairement c'est coton ! On eesaie sans ceesse en tant que fée, de garder le fil toujours le même, sans le lâcher, sans en prendre un aiutre qui nous fourvoierait, ou plutôt : nous fearait nous perdre ou nous égarerait , nous tromperait. On essaie nous deux en tant que Fée de base , de garder le fil , de tenir le fil, de suivre un seul fil toujours le même, pour savoir, comprendre, où ce fil pourrait nous mener, jusqu'où ce fil pourrait en vé(ité nous mener ou nous conduire. On est accolées en tant que nous sommes ELLES = des AILES, ou dit autreement : F2ée ! On est une fée parce qu'on a des ailes et pârce qu'on est elles dans la mort. On traverse (de fait) au singulier pour mieux se retrouver plurielle dans la mort. On traverse en tant qu'homme (par exempl) au singulier, et une fois passé on se retrouve transformé en ELLEs, deux ailes, ailes de fée , et du cdoup F2ée ! ... fait comme des rats ? fait et défait ? on est passé de l'auitre côté de cette roche primaire (ornementée de bêtes néandertaliennes) et à présent nous cvoici devenues Ailes, = ELLEs, Fée des F2es, qui volons de nos propres ailes jusqu'au domaine dit "de satiété". On est nées sur l'herbe ! On est nées fées sur l'herbe cdes pré d'une enckave (ou enceinte) post-cimetière. On voulairt ensemble toucher à cette roche des donées telle que présentée (postée) devant nous à nos gouvernes eh bé voilà, on dira que c'est fait ,! la chose est actée ! on a traversé ensemble ce rocher "des fées", on se retrouve comme par vla bande acculées à devoir gagner (fissa) sur la l'ande l'autre bout (pour ainsi dire) de la paroi, en face ! car, en fait de bout, la cjhose (pour ainsi dire) n'existe pas, lles bouts de roche (là) sont légions qui tous "nous regardenbt" à égale distance si par exemple onn est comme positionnées au milieu de l'enclave-rosace.
On est devenu Fée, une fée de base. On voulaéit vraiment ensemble traverser le rocher 1, eh bien voilà c'estexactemennt ce qu'on a fait en le faisant ! on voulait tracer à travers un rocher , un rocher ornementé, eh bé oui, on a traversé, on a foncé comme des malades parce qu'on est des mal ades ! on est des coriaces ! on voulait en avancer en termes de connaissa,nce et duu coup on est passées, on a traversé la roche 1, celle de l'enfance qui sait ? on s'est retrouvé à l'intérieur d'un pré nanti d'herbes hautes et de bêtes de poids, on les a regardé, on les a maté et puis on a continué à tracer,n,à marcher, à nous tenir la mai,nn, à ne pas nous désunir, à suivre le fil !
pour aller au loin retrouver la roche toujours la :même, mais cette fois en face, de l'autre côté du opré, pile poil en face on dirait, car on le sait la roche du pré" , est en forme de couronne, d'enclave ronde, de rotonde, de forteresse ronde, de'enceinte close. On arrive pas )-à pas, on a tracé, maintenant on veut se rapprocher le plius possible de la roche ultime, des données ultimes. On a vraiment ensemble envie de comprendre, au miuex, ce qui est qui semblerait en vrai vouloir nous parler ! peut-ettre qu'en effet la Chose (ce dieu de la mort, ou même la mort) veut nous parler, nous dire des choses précises, nous donner le fin mot, nous indiquer la marche à
suivre pour durer, pour bne pas nous aarêter mais au contrezaire poursuivre sans cesse notre sorte de bonholmme de chemin de vie. On est Fée ici qui du coup cherchons à comprendre par où passer, dans cette roche d'une sorte de rotonde allouée à un pré aux herbes hautes. On est passées ensemble, on est femmes enwsemble qui avons réussi à traverser, une première fois, la roche ornée (de b^pêtes de poids) et à prése,nt on veut pouvoir nous introduyire au plus avancé et au plus profond de cette sorte de paroi "des fins de vie" ou "des fins de mort" si le pré est la mort soit la vie apreès la vie. On est femmes dans la mort parce qu'on s'est données ! on a vraiment cherc hè à passer ! à donner de soi npotre passé , à traverser la chaussée, la roche allouée, la paroi ornée. On a vraiment fait tout ce qu'on poiuvait pour passer et du coup on est pasdsées, on s'est retroubvées de l'autre côté à la retombée prêtes à comprendre ou disons cerner, essayer du moins, de comprendre ou cerner ensembkle les données offertes, offertes dans ce pré qaui sezmblerait êtrte "le pré de la mort" si tant est ! un pré ou une
prairie alloué (e) à une sorte de clairière, aux données de poids, d'enceinte de choix. on est des femmes -fées comme allouées nouys-mêmes à cette enceinte, à cette sorte de prairie "céleste". On est deuxaccolées de base ensem ble toi et moi, en cette ... sorte d'enclave, de pré-enclave, de pré-enceinte. On est passées parce qu'on le voulait et, tellement on dirait, que du coup la chose est arrivée ! qui sait ? On voulait passer de l'autre côté (d'où la transe) eh bé voilà c'est comme qui diraiot fait ! on y est ! on est postées debout après nous être relevées, on est postées, ensemble, en ce pré dit "des convenances". On voulait figurer au même tittre en vrai, que ces bêtes de paroi ornée, que ces bêtes ici massib ves, grooses de leur poids de rage. On aime beaucoup cezs bêtes les approcher, les caresser. On se sent un peu-beaucoup bhêtes de poids et masse nous mêmes. On chyerche grave à cerner xdes bêtes ou bêtes -mots de roche ce qu'elles cachent, ce qu'elles contiennent en termes de données de base. sont§-elles données elles-mêmes ? il sembvlezrait que oui ! que les bêztes de roche (dessinées, gravées par des êtres anciens) soient bêtes -mots de poids, qui donc, pèsent leur compta,nt dans la ba lance, leur sorte de comptant fatal/ on regarde ensemble toutes ces bêtes qui, à leur tour, nous regardent, et du coup on se dit que nous aussi peut-être on est des bêztes comme elles, on contient aussi notre comptant de mots de poids, de parioles "graves", de mots qui parlent ". On se dit qaue peut-^tre nous auusi on est des femmes qui cherchons à ici comprendre un mùaximum de choses qui en vrai seraient comme (qui sait ?) contenues dans la roche . Mots de saison, gros mots, mots des passions, mots gros d'une sqorte de passion à pour le coup vouloir comprendre mordicus "ce qui se passe", , c'est-à-dire ce qui est qui, dzevant nous, seprésente, en termes de données de contrzeba,nde. On cherche ensemble à ici toucher un certain nombre de données, disons à toucxher-cerner un certain nombre de données qui seraient les dobnées qui pourraient d'elles-mêmes nous indiquer sans nous tromper la marche à suivre et que"l chemin de préférence devoir emprunter pour aller loin le plus possible , tracer vite, courir et g-agner la rive sans trébucher. on est xes femmes fées parce que oui, c'est ça, on est ailées, ou ailes des prés", on est des ailes ou
AILES et du coup on peut en vavancer parce qu'on peut voler, on peut survoler , gagner bneaucoup de temps de ce fait car voler active grave toute progression (sorte de progression) active dans un paysage quel qu'il soit. En volant c'est sûr qu'on en avabnce ! on en avance beaucoup plus qu'à petits pas ! On voit large, on trace, on avance grave , on survole peut-^tte mais pêu importe qauand le but est d'arriver à un point b ! On s'en fiche un peu (pas tout à fait mais quand même) du paysage traverseé, qauand le but est d'arriver à un point b, à une destinée précise, à un point p^récis dessiné, tracé, ou même gravé sur une roche des confins ou dite "des confins". On a envie ensembl d'aller vite aussi parce qu'on est préessées (de fait) de savoir, ce qui est là-bas en toutes fins de roche . On a grave envie de savoir, là-bas, les donnéess finales à quoi elles ressemblent, ce qu'elles sqont pour nous (comme pour tout ou toute un chacun ou une chacune) on imagine ! On est des fées ici (la mort ?) parce que, la roche passée, on est devenues fées ! On était au singulier (il ou elle) on est au pluriel... mais pas ielles ! non ! elles ! car : elles = ailes = fée ! Comment il faiut
le dire pour pouvoir enfin être entendues, perçues, vues, admises etc. ? On a beaucoup tracé, on a fait pas mal de route, on a survolé pas mal de contrées en ces présq, et mainteznant on peut dire qu'on est arrivées ou comme arrivées à destination, c'est-à-dire à ce point de rage d"'iune szorte de cloison finale. On rzeagadre (forc"ément !). On mate grave ! On cherche le pasdage ou un passage, une anfractuosité qui, pour nous, permette passage, un trou ou une trouée, une sorte de fissure pouvant faire penser s-que, derrière elle, se trouverait quelque chose comme une ouverture, une szorte d'ouverture monstre, cavité des cavités, une sorte de mer allouée à une infinité mais en vrai on ne sait quoi penser ensembke de cette chose d'une sorte d'entité lacustre telle que squspectée. On est fées de contrebande pour ainsi dire et du coup, en tant que fée, on en avance oui (on court on vole) m&is, en vrai, on devine quoi ? on comprtend quoi ? on essaie de cerner parce que voil;à on veut cerner, et c'est en tant que fée (dans la mort acquise) qi'on veut ça ! on est fées pour ça ! on est fées pour cerner des faits (des faits de roche) car pour le coup en vrai szeules les fées ont la possiobilté
(eh bien en tant que fées) de cerner un certain nombre de données de base. Parce q'elles volent et qu'elles survolent ? peut-^ttree ! On ne sait pas vra&iment pourquopi les fées savent des choses ou tant de choses concernant la mort ! on dirait peut-^tre à notre avis que c'est parce que oui, elles volent de leur p^ropre ailes et haut, fissa, sansembarras, sans traîner, sans lambiner. Les fées ont des ailes qui en vrai leur permettent de "tracer " (dessiner ?) comme "à main levée" sur roche des prés. On saéit ça d'elles ! On leas aime beaucoup depuis notre entrée en ce pré aux herbes parce que voilà on est comme elles, fées nous-mêmes dans le cas où on l'oublieraéit. on est, au passage de la roche dite première ou prim&aire, de venues fées nous-mêmes, une fée à 2 ailes = elles (deux). on peut dire même sans ecxagérer ni trop se tromper qu'on /
... s'aime ! on est toutes deux comme nées à ^$etre pour nous deux chacune l'être cde chacune ! fées aimées ! on est femmes-fées, on aime s'aimer et énormément. On adore cette chose ensemble de s'aimer à jamais en ce pré des bases. On est des fées parce qu'on est ailées (ni plus ni moins) . On est ailées parce qu'on est des fées ! On est entrées "par le cimetioère" , on est dans un pré, un pré rempplie d'herbe comme tous les prés, et maintenant ... nous voilà allouées ou comme allouées à u,ne roche terminale qui est roche des données finales. On est &u pied cde cette roche ! on est accolmées ou serrées au pied de cette r'oche, on est comme collées (nous deux) à elle et notre volonté, est de ne pas nous en décoller grave (de sitôt) si tant est, mais d'y rester, de rester collées ensemblve à cette sorte de cloison finale, der des
der. On est collées à la cloison finale. On voudrait passer un oeil et regarder. juste un oeil le passer à travers la roche par un interstice ou une sorte de petiotevanfractuoisté pouvant laisser passer ... un organe, un petit rien (ou pas loin) en termes d'organe, genre un oeil afin de "cerner", ou de pouvoir "cerner", ce qui est de l'a&utre côté . Le sait-o,n n ? sAvons-nous ce qui, de l'autre côté, est ? se tra&me ou se tramerait ? est-ce que lma mort de faéit est juste l'enclave du preé aux bêtes toutes dessinées ou gravées ou bvien est-elle en vrai située hors enclave ou enceinte aux herbes et autres bêtes (monstres ?) de roche ? On essaie de cerner ensemble nous deux (touxtrs deux) les données qui sec présentent maéis voilà, on fait ce qu'on peut , la chose est loin d'e^tre gagnée d'avance, on a beaucoup de choses en soucffrance qui nous attendent et on se doit de les "honorer", si jamais, avant de nous lancer dans un marché de contrebande tel que celui d
es données allouées est, on diraiot. on a à creuser loin et longtemps lma roche des donnéezs finales pour en vrai comprendre ce qui est inscrit en elle en termes pour le coup de vérités des vérités/. On cherche c'est d'abord parce qu'on aime chercher ! on est très férues nous deux de cette chose d'enqiuêter sans ceese, de'ess ayer de tracer , trouver, tomber sur , eh bé peut-^ttrre "des lettres " (?) ou sinon des lettres des données qui de fait auraient ou porteraient en elles un sens ancré ou avéré, affiché, donné. on est des fées "de cimetière" ! on est passées à rtravers la roche et on s'est retrouvées rtoutes transgformées en fée alors même que rien avant la mort n'aurait pu le laisser présager ! on est scotchées de cet éta de choses ! Ja&mais on aurait pu penser que la chose arriverait, qui nouss aurai vu nous transformer comme qui dirait en fée ! en fée peut-être ... chelous, mais fée tout de même c'szst à dire ailée, à la baguette ! dingue ! jamais en vrai on aurait pensé à cettye chose qu'on deviendrait, qu'on serait à présent devenues, la mort venue ! On s'est retrouvées nues (cul nu) " de l'autre côté" commê à la retombée et à vrai dire on en est encore toutes retournées ! jamais on aurait pu penser que cettye chose un jou!r nous arriverzait, qu'on se retrouve nues (cul nu) dans un ppré, sur l'herbe verte et haute d'un pré où des bêtes de somme (de poids et bâtées) broutent sans s'arrêter. on voit ce qui est ici qui nous entoure. On aime beaucoup les bêtes de poids, qui en imposent et font penser qu'elles sont fortes choses, fortes données, quand en vrai elles ne le sont pas ! seulement ... cdes bêtes de paroi : gravures de bois, dessins de choix. On est devenues fées parce qu'ion est comme "tombées " de l'autre côté ! chute ! on a traversé
la roche ensembvle vite fait , et quand on est passées on a compris, qvite fait, qu'on t arderait pas à ... "se ramasser" à la retombée ! et c'est exactement ce qui esst arrrivé ! on a chuté ! on est tombées, vite fait ! on s'est retrouvées nous deux , toutes deuxd, le cul dans l'herbe fraîche, humide, à tenter de nous redresser, et on s'est vite redressées ! on ne voulait pas rester plus llongtemps dans cette herbe humide mais nous relever et du coup, étant ailées, nous envoler (à la tire) sans traîner , et geagner "la rive", l'autre c^oté du pré. Onn est des fées qui pouvons voler (comme toutes les fées) et nous le faisons ! Nous sommes kles fées du pré . nous avo,ns ensemble à beaucoup encore cerner ce qui est sur roche, ce qui se présente en termes de savoirs ancrés ou de connaissqances profondes qui (qui sait ?) seraient de fait contenuess, et contuneues dans une langue donnée (en particulier). On est fées pour chercher (dans la mort) pour ainsi dire "du contenu". On ne veut pas ou pas plus ou plus passer à)à côté d'un certain n ombtre de vdonnées qui seraéient aéllouées à une sorte de roche ou de rocher qui se présenterait (pendant la vie) à notre (propre) gouverne d'êttre des parois et des cavernesc (hommes ou femmes, même combat) . On voit là qu'on a
encore fort à faire, pas mal à creusert, beaucoup à comprendre-cerner , donc encore beauxcoup à "toucher par la bande"
si on est (ensemble) des fées dites de paroi, de roche primitive ornée, d'espace de pré. on est ensemble cdomme si en vrai on devait ne plus jamais se quitter, et est-ce le cas ? sommes -nous vraiment amenées (par la vie des vies ) à ne jamaéis nous séparer ? On est des fées sur roche ou sur rocher et on veut toucgher, ensembke (de la main), cet a,ge du bien ! cette sorte d'ange, dont le nom (on dirait) est peut-^tre "Mort", on sinon "Mort" , "La Mort" . On s'est rapprochées vite fait de la paeroi qu'on voit là-bas au loin comme nou!s n arguer et le fait -elle en vrai ? on ne sa it )as mais en attendant on ne lambine pas, on y va grave ! on cherche à comprendre +++
ce qui est devant soi (devant nous) en termes de Romance, Récit vrai et doux, Paroles d'enfance". On est ensemble toutes les deux dxes fées qu'on dirait (en haut lieu ?) de contreba,nde mais est-ce que c'est vrai ? rst-ce que vraiment on est toutes deux dxes fées de contrebande ? On est fées des fées, on est des fées de base allouées à un pré mais a^près ? est-ce qu'on est vraiment dava,ntage ? est-ce que vra&iment on est des fées, dites de contrezba,nde, à jamais ? c'est s^$ur que nous on voudrait compre,ndre grave et du coup tracer sans traîner sur roche des dessins d'enfance, des données rupestres, bêtes masse, mammouths et autres bovidés sacrés cfomme une vache, un bison, un buffle, un ours ou une ourse des cavernes et autres bêtes faisant impression et pouvant (hé !) convaincre, museler, éteindre toute velléité de rebellion à l'en
contre de ces "bêtes de cloison". On est arrivées ensembkle sur pattes mais on est fées (dans la mort) ailées , et du cfoup o, n en avance grave dans les connaissances ! on survole pet-^tre , c'est vrai, mais voilà, ça n'a pas que du mauvais ! on trace ! ça nous permet grave de tracer et d'ezn avancer (fissa), en termes de connaiszances de paroi ou concerna,nt la (une) paroi dite "préhistoriqaue" gravée. fée des fées. on est fée parce qu'on est devenue's (en mourant) des fées. Avant (avant la motrt) on était pas des fées. C'dst xezulement à notre mort (au singulier) qu'on est devenue fée ! fée des baises ! fée des baisers ! On est morts et on est re-nées (dans la mort) fée comme un fait exprès ! une fée = 2 ailes (ou 1 pa&ire d'ailes). On est nées fée dans la mort telle q'a&lllouée à une (sorte de) destinée singulière qui , pour chacune et chacun, est un tracé sur pré ,, de type dessin détaillé, trait effectué d'un trait, une sorte de tracé caché comme pré-existant à toutes soprtes d'exoistence humaine. On comprend de ce fait que la vie en soi est : hors enclave, hors lm'enclave de la mùort, et du coup que la mort n('est pas vraiment un après à jamais, mais une sorte de pré, d'enceinte "cloturé" à l'i,téroiuyir d'un champ plus large que serait
la vie. en vrai, comme si la mort était une sorte d'enclos de prairie, à l'intérieur de la vie, en son sein pour ainsi dire./ Comme si en vrai la mort était ... contenue dans la vie et non en dehors ! une sorte d'îlot de vie, qui seraiot un ilôt de mort ou sorte d'ilôt de mort, qui viendrait à nous (épouser nos envies) le moment venu (celelui de notre mort) mais en vrai ne serait pas donné à jamais sans issue. on se dit que peut-être oui, en effet, la mùort sezrait ... une sorte d'enclos, à l'intérieur de la vie, une soprte d'enclave, à travezrser, à passer , et après, ap^rès ce pré, de nouveau la vie ! l'océean de la vie ! la mer agitée ! cette sorte de mer sans fin ou bien ... où, cette fin éventuelle, pourrait-elle être en vrai située en ces contrées terrestres (humaines ?) etc. ? On est accolées parce qu'on est ailées ! c'est pas compliqué ! Si on est (depuis le début) dite ou présentées en tant qu'on est ou qu'on serait accolées", ne cherche pas plus loin c'est parce que voilà, oui, on est ailées ! on est munies ou nanties d'ailes , d'ailes de survie (de survol et de survie) avec lesqauelles on peut plus facilement "tracer" c'rst à dire en avancer, voler, aller, gagner, faire ainsi qi'on ne soit pas larguées de préférence" mais tout au contraéire , comme pointées ou à la pointe d'une szorte de recherche , pointéesz ezn tant qu'on seraéit devant ou sur un deva,nt qui nous montrezrait du coup à notre avantage, c'rest pas mal ! on veut aller , et aller c'est traverser, à la nage ou comme à la nage, la "paroi du monde". On veut ensemble aller loin le plus possible, sur ici ce chemin d'une sorte de ballade active, "ou de "balade vive" c'est)-à-dire "en vie", , sans plus traîner, en essayant de préférence ensemble de toucher de fait aux dopnnées données comme ... déposées, sur l'autre rive, cette chose d'une sqorte de rive allouée à uene sorte de sortie ! car, une île est accostée, dans un premier temps, puis comment ? qyuittée ? à jam&is ? on voit, loin, la pierre tombale des fins ou des confins, et du coup c'est szûr que nous ensembke (deux femmes = ELLES = AILES) on veut gagner vers elle ou vite fait aller vers elle tracer,
chercher, co:mprendre, faire ainsi que les données données de la contrebande affichée puissent nous aider à cerner de près, ... les enjeux, ce qui est en jeu qui ici (après la mort ?) se joue, de sérieud ! on est femmes fées, ok, on est deux (pour le mieux) mais aussi : on est fées allouées à une sorte de prairie, on est aidées en tant que telles par des bêtes- monstres, bêtes de paroi comme autant, ici, de "mots de choix", ayant contenance. On est passées (ensemble) à travers la rochje, parce que oui on voulaiot comptendre, on ne voulaiot pas rester complètement ignares, on voulaiot vréiment aller et tracer, en cette lande de la mort à lm' oeuvre et ça, de préférence, sans traîner ou sans traîner plus qu'il n'en faut , car la vérité est vite oubliée, ou plutôt ratée ou manquée, etc. Ou pluto^t manquée si on n'y prend gaarde tout à fait ou pas assrz. On a vite fait de la rater , comme on raterait ... la diligence. Nous, on veut comprendre vif ! on ne veut pas passer à côté parvce que voilà on traînerait, et qu'on serait de celles qui, de fait, "comprenhentb les choses sans les toucher "! nous non ! on veut toucher ! pour comprendre ou mieux comprendre nous on dit qu'il faut impérativement toucher , et pas qu'un peu ! vraiment ! tater ! prendre la mesure des données chargées ! On se rapproche des données de roche , on regarde (devant soi) la Chose, ce'tte sorte de Paroi Finale
qui, devant nous (soi) seraéit à nous tendrte ses bras comê qui dirait mais est-ce vrai ? on veut bien le croire ! on veut croire en cette chose de par(oi "bavarde", on ne sait pas, on est ouvertes à ça comme à mille autres choses concernant e,ncore la paroi de roche, la première ... à l'entrée, ou l'ultime il semblera&it ... à la sortie. On veut toucher à cette chose d'une roche "de szortie" et du coup comme (ensemble) traverser (encore) cette même roche mais en vrai, et pour le coup, à un tout autre endroit qu'à l'entrée. On veut toucher à cette roche ultime dite "des secrets", et pour ça come,nt on faot eh bé peut-^tre on passe un pied, une main, un doigt, un oeil , quelque chose de menu de soi, partie congrue, afin de pouvoir (ce faisant) peut-être explorer un tant soit peu ... LA BÊTE ! quelle b^rete ? La bête-Dieu ! La des ! la des bêtes ! ou (mieux) : LA BË TE DES BËTES" ! On veut touchert à elle parce qu'on l'aime, et parce qau'on y croit ! parce qu'on veut aller là-bas, comprtendre ce qui est et qui (il sembleraéit) nous tend ses bras, son gousset, nous donne le la, nous entraine de sa voix vers une sorte d'au-delà de paroi qui , peut-^tre , pourraéit être ... eh bien ... une plaine ? une sorte de plaine cendrée ? une sorte de contrée dorée ? cendrée et aussi dorée ? La MER ? Peut-^trre. On cherche ensembvle et on a pas fini ! On a encore pas mal à comprendre, de chemin à faire, de mots à cerner (bêtes-mots), de mots à graver. On est des fées parce que c'est vrai que nous on est ailées et que du coup ... on avance vite, on trace, on va vite vers ... n'importe quoi qui nous attirrezraiot de base avec des mots de contrebande si jamais. c'est vgrai que d'être fée permet gra ve d'en avancer et de tra&cer à main levé&e des bêtes (de poids et de masse) zur roche, à jamais ou presqaue. on aime beaucoup nous deux être des fées et du coup tracer comme à mé&in levée (en lévitatiobn et en transe") cela : des mots-dieux, mots doctes, des bêtes grosses, des données de roche ! on adore ! s^r que nous on a cvite fait de nous portersur n'importe quel côté ou dans ou vers n'importe quel côté du fait qu'en effet on est des fées, on est ailées, et c'est méga-aidant pour voler , nous diriger , nous rendre vers telle contreé ou telle auttre sans être g
^énées. On a&ime les grootes. onj aime entrer dans une grotte. On adore entreer dans des grottes de roche. on a vite fait ensemble d'entrer main dans la main dans une grotte ... oarce qu'on s'aéime ! ni plus ni moins ! Si on s' aime alors oui on peut plus facilement ou carrément aiosément entrer à l'intériuer d'une sorte de oaroi de rage ou dite de rage. en s'aéimant les choses pour le coup sont grande"ment f acilitées. On se dit que, en effet, si on s'aime, alors on peut tracer des bêtes, dessiner, graver vite fait d'un seul trait, des bêtes-mots (mots-bêtes) de roche allouée à une sorte de destinée, rupestre, terrestre, a,ncrées, tracée à main levée et c'est fait. ON est des fées qui allons vite retrouver la roche au fond du pré parce que oui, on court on vole, on l'a dit. On a envie grave enwsemble (AILES) de cerner un certain omùbre de données de base qui seréient pour nous quelque chose comme des données (données des données) qui resteré&ieznt c'est sûr encore et toujourzs à comprendre ou déchiffrer, méis au moins on les aurait par-devers nous comme en magasin, pour les étudier, ou mieuxx les étuduier, pour vraiment les comprtendre, dans chacunes de vleur compôsante, et peut-être à jzmais qui sait. On veut toucher à cette sorte de cloison finale qui donc seré&it cfomme "parlante" ! l'est-elle en vrai ? parle-t-elle vraiment quand on la croise (qu'on l'aborde") ? Que doit-on penser de cette chose ? qsue doit-on vraiment penser de cette sorte de cloison dite "des finalités ? Eh bé on en sait rien , parce qu'on est bêtes-mots de base, nées sans être vraiment nées ! on est com
me des fées ok mais en vrai on est ... fictives ? Oh on ne sa it ! On ne sait ce qui est vra&i ! On a super envie ensemble d'aller fureter en cette sorte de rive ultime c'est sûr mais si c'est pour le coup pour y passer , et à jam&is , et ne plus pouvgoir re'spirer, mârcher, vivre ! tu nous acs compris ! on préfère ne pas ! on préfère aller tranquille sur ce pré (comme les vaches autour de nous, les buffles, les bisonnes, les chevreuilles brunes) nous promener, muysarder voire jouer. ON aime jouer ! Le jeu est central en ce lieu de feu. On est cfomme allouées toutes deux à un pré , et dans ce pré on aime jouer, nous courir après, nous "chervcher", nous "ezmbêter", faire ainsi qu'on puisse, ensemble, se délasser ou s'oublier ! s'oubluier est capital ici, en ce pré ! on doit s'oublioer et du coup jouer (par moments) comme des enfa,nts. On joue au feu de la Zaint-Jean, au petit poucet, au ma&rchand et à lmza marchande, aux jeu de dé. C'est vrai qaue nous en tant que fée on adore jhouer et d'ailleur on joue, on hjoue sans cesse, on n'arrpête pas de jouer, d'aller et de venir sur roche nous poster, courir, crapahuter, monter et descendre sans jamais tomber de préférence, c'r'st aussi le jeu ! On aime aller, sur roche, cerner, un grand nombre de données, et essayer (au maximum) de comprendre loiin, ces choses des roches ce qu'elles sont ou szraient qu'il nous incomberait de comprendre ensemble. On veut allmer enxsembvle loin parce que nous ce qui nou s plaît le plus c'est cette chose d'une sorte de rotonde, d'enclave "fermée" (... comme toute e n clave !) qui seraéit : l'enclave allouée à une mort terrestre, don,née pâr la bande à telle ou telle persopnnaélité, mais en fait, cette enclave est délimitée (... comme toute enclave !) et de ce fait permet en qu'lque sorte la retraversée comme à reculons de la chose, soit latraversée nouvellement effectuée de cette même roche des comme
ncementsz mais prise pour le coup ailleurs, autre endroit de roche mais (de fait) même pâroi-cloison. On est donc a&rrivées ensemble devant elle, . On se raopporoche d'elle le plus p^rès possible. Que fait-on ? on met (par exempl) un nez en elle ! juste un nez ! on hume ! que sent-on ? des odeurs pârtuicuklières, on dira "iodées" . Hé hé ! serait-ce (de l('autree côté) une mer don,ée ? ça se pourrait ! entous cas ça (cette chose) revient sans cesse ! on le voit ! on voit ça que sans cesse ça revient, que sans cesse on dirait , dans la conversation, ça revient ! ça n'arrête pas d'être là comme une sorte de Paroi de Choix ! et nous du coup d'y c roire,; d'y souscrire, de penser à elle comme par exemple à une zorte de "paroi de contrebande" . On a ensemble envie ici, d'aller loin dans les connaissancesz, au sujet de cette donc praierie ou de ce pré aux herbes hautes, aéux massifs fleuris, aux bêtes de poids. On est associées ensemble sur une paroi et c'est ainsi, que nous, on passe, en étant scotchées, collées, ou collées-serrées l'une à l'autre comme à tout jamaisz et hop ! on passe la numéro 1 des parois de base, direction cette donc prairie comùe enchantée du fait que sur elle est tombée une zorte de lumière (des fées ?) surnaturelles ! clarté vive on le s&it! Et puis une fois la paroi passée, on se fdirige de l'autre cfôté, pile poil en face on dirait, vers cette sorte d'anfractuosité par où, on pouurait dire, "repasser" , ma&is en vrai, s'il s'agit de la même paroi (en forme d'e,n ceinte) il ne s'agit pas (forcément !) du même côté envisagé ou rencontré. On se retrouve donc nous deux de l'autre côté prêtes en vrai à (re) traverser, à (disons) re-traverser , de l'auttre côté, c'est-à-dire du côté où , en vrai, on était, avant d'arriver, avant de nous retrouver (à deux) en ce pré fleurii. De l'autre côté ce sezréit comme si ... on revenait ensembke, là où avant on était : un ventre ? On ne sait pas mais c'est vrai que en effet la question se pose, pourrait se poser et ce seraéit à nous en vrai d'y répondre mais comment y répôndre ? Comment répondre à pareille question qui semble (presque) folle tellement c'est gros ! comment répondre, ou plu$tôt (déjà) : comment, en vrai, poser la question, en quels termes ? on se dit qaue oui peut-^t
re si on retraverse, du coup on revient ... là où onn était. retrour à la maison. retournement de zi(§iua&tion. retour (ou szorte de retour) à l'envoyeureuxse ? On Regarde ! On est qauand même ensemble méga-présentes, pour ici essayer de dénouer les fils le plus possible, cvomprendre pasc mal de choses "de base";,, essayer de faire en sorte de cernerv de près la plupart des éléments d'une romance (romance de vie, de vie dans la vie) qu'on pourrait facilement prendre pour (peut-être) une (la) ... "mort de tête" ? On est entrées parce qu'on le voulait ! a-à présent eh bé on veut sortir ,! on est entrées ici (encflave, enceinte, prairie céleste : la mort ou "mort de tête"), maintenant voilà, on a d'autres envies et on y tient. on veut sortir ! on a szuper super envie, de szortir de la prairie, de gagner (vite fait) la rive opposée à celle de l'entrée, et de passer ! de complètement passer à travers elle et voir ce qui est (de l'autre côté) qui se tra&meraéit en termes de vie, a^rès l'épisode (narré) de la mort à lm'oeuvre (sur terre). on a envie (grave) de comprendre ensemble ce qui est, le pourquoi on se retrouve pour le coup à deux (deux femmes) dans la mort et plus du tout d'homme ! On a méga envie de le com^rendre ! On est deux femmes dans la mort, comme accolées (collées) et maintenant qzu'on sait (qu'on est deux femmes) on a super envie d'aller comme à la chasse de données de poids, soit de données qui grave pèse ou pèsera&ient dans la balance ! On voit loin là-bas les bases . On veut /
On veut coller à une sorte en soi de Vérité, Vérité qui sezraéit de fait cette
"sorte de vVérité " qu'on croit pouvoir ensemble déceler (desceller ?) à l'intérouir d'une
soprte, ici, de paroi de roche ou rocher. On a juste envie de cerner toutes les données lié&es à une "szorte de vie" ... après la mort pour ainsi dire. Car, admettons que la mort , la mort terrestre (humaine mais pas que : animale, etc.) soit une île, alors lma vie est comme ... une mer ! et nous ... on le pense ! disons quon le mpense un peu nous deux. On diraéiot que nous, on pense (un peu) cette chose , comme quoi la mort (déité de poids) est une île ou comme une île , et du coup la vie (tout autour) ne s'arrête pas, est infinie, va loin à jamais dans une sorte d' infini qu'en vrai il nous est impossible ,
RAISONNABLE%MENT, de comptendre, car, comment comprendre l'infini ? Comment faore ensemble pour comprendre l'infini ? comment faire ensemble pour cfomprendreETRRAISONNABLEMENT la notion d'ibnfini ! impossoble ! l'esprit ici ne le permet pas, l'espriot hiumain. Seul peutêttre la Foi, LA foi dans le LAngage , dans la LAngue incrustée, acquise, inséerée soit inculquée. On est des femmes fées qui ici pensons que, peu
t-^tree, un jhour, on va y arriver , à le comprtendre, à comp^rendre cet état de fait comme quoi la vie ... est infinie ! mais ne peut être envisagée réellement en tant que tel (telle ?) de notre vivant. Qui , pour de vrai, comprend vraiment ... ce que c'est qaue l'infini ? Une femme ? deux femmes ensembvke ? plus ! On est entrées ensemble, doit-on ensemble ressortir ? devonsz-nous en tant que femmeb ensemble ressortir de cette enclave dans laquelle notre envie n'est pas (n'a en vrai jamais été) de nous y engluer à jamais ? On a super e,nvie d'aller, au plus lointain possible, en cette sorte de chose acquise, genre "un parler", langue donnée, pour du coup y trouver des données, des pistes, des choses de poids qui, pour nous, puiisent fa&ire en sorte que voilà, on puiisse "mieux voir""
ce qui est en ces contrées (... de la mort à l'oeuvre ?) qui soit, pour le couop, dignes de FOi, mais vas)-y ! pas si facile ! La Foi est là qui est soumise à une sorte de "mainmise", de la langue sur soi. On est envahies ! On est des fées qui sommes envahies ! Une fée de fait est envahie de base ! sûr ! On regarde. C'est vréi que nous on essaie ensemble de nous approcher le plusz possible d'une vérité acquise, d'une sorte en soi de vérité qui (pour nous) puyisse nbousq aider à mettre, de fait, au jour, un certain nommbre de donnéesz portées, de données allouées ou portées, de données de base portées ou allouées en cette sorte de "contrée cloturée". On est des filles (femmmes fées) de "la rage d"être nées", c'est cfomme ça qu'on se présent e quaénd on nous demande. On est arrivées tout près, da,ns la lande, d'une sorte de passage assez étroit, mais peut-^tte que , en vrai, ça va le faire, on pourra passer. On est arrivées ensemble ici, en cette fin de roche prairiale, pour comprtendre ici ou là où pouvoir troucver par où pouvoir passer sans y rester. On veut toucher à cette Déité des D2ités ok mais pour cela d'abord il faut arriver (ensemble) à traverser la "Rive Ultime", ce passage vrai (né ?) qui serait Le Passaghe des Fées ! ce seraéit parfait ! On essaie de traverser ensemble cet te sorte d'ultime pasdage et pour cela, eh bien : fissa ! droit devant ! ne lambinons pasb ! cherchons ensemble à s'immiscer
(nous immiscer) le plus possible sans trezmbler une sevconde ou même défaillir, tomber dans les pommes ou seulemùent faiblir ! Si on peut passer (arriver à passer) passons ! ne recvulons p^lus ! ne lambinons plus ! allons loin en roche pour en vrai chercher des solutions à une énigme qu'on se pose ensembvle ici ou làb , inciçdemment,.
On est des femmes (deux femmes) dans la mort : pourquoi ? poirquyoi pas des hommes (deux hommes ?) ? Parce que l'homme ... lâche prise dès que mort ! son corps reste genré (dirons-nous vite fait) mais son "hominit"éé, ou sa "virilité" ou son statut "d'homme velu" disparait ! l'hommemasculinité, à la mort, disparaiît à jamais ! l'homme est transition (ou éléments de transition) ;. De coordination, mais ... quand il est mort il est mort ! quand l'homme est mort (à sa mort terrestre) il est mort et disparait, peu à peu, sous terre (dans la terre des aieuxw-aiueules). Seukle, la femme persisqte et de fait dure en tant que fée. Deux felmmes (ailes) pour ... une fée sur herbe ! On voit les néeénés ! les herbes et, au-dessus des herbesz (?), les nénés ! On aime ! On adore aller dans l'herbe. On a envie d'aller (enssemble) jusq' au bout du bout du pré alloué à une mort humaine ou hominienne , et en vrai c'est exactement (ensemble) ce qu'on fait en tant que tra&nsformé
(l'homme) en fée (deux femmes allouées à , de fait,... un corps volant). On est arrivées comme serrées (l'une contre l'autre)) dans un pré et à présent on a super envie de nous en échapper, de tra&verser (re) la roche allouée (de type cloiszon) et vite fait nous rendre si possible (si possible sans trépassr) de l'autre côté, côté embruns, ressac, bruits de fond, mer de rage ou, sinon de rage, eh bien ... de quoi ? des âges ?. On eesaie enwemble, de comptrendre au mieux les mots de base, ce qui est qui est etc., ensemble "toi et moi'" ... comme par la bande, si ça se pouvait ! si seulement, ensemble, on pouvait comprendre (et toucher) le maximum de choses aidant (chacunes) à (en vrai) nous dirige
r ou à nous guider jusqu'à la Vérité des Vériotés ! on serait aux anges ! on sezraiot ravies ! on ne démanderait pas davantage ! on serait aéux anges comme ravies, et du coup souriantes , vraimeznt charmantes, avenantes, vivement présentes et ... comme aimantes ? On est des "hommes /femmes" nues, cul-nu, qui (pour le coup) vont et viennent dans une praierie, courent à perdre haleine : hjouent. car, Nous aimons beaucoupbeaucoup jouer, nous trémousser, charger, nous amuser sur un pré, essayer de nous parler, essayer de nous comprendre, essayer d'en avancer dans cette chose d'une envie (grave) de connive,nces (connexions) entre nous deux, qui szommes Ailes, Ailes de roche de fait allouée à une "sorte de Déoité". On est nées sur pré femmes (ailes) dès que trépassées ! on était un homme, on mùeurt, on devient des femmes (de"ux femmes) allouées (elle$-même) à ... un corps de fée, c'est dingue ! pourtaént, on diraiot. On dirait vréiment que cette chose (d'une zorte de "transformation 'upestre" : transe et métamophose) est réelle, est tout à fait possible (ici même) dans le concret : est-ce que c'est vrai ? On dirait vrai:ment que, en mourant, notre corps d'homme (mâle !) se transforme (mue : une mue ?) pour ne laisser sur roche , en vie, que (de fait) la femme (ou les femmes) contenue(s) en lui. femmes allouées à une vie après la vie. On essaie en vrai ensemble de co:mprendre toutes ces données, ce qu'elles recèlent en termes de "vérité à jamais", mais évidemment que, en vrai, les choses, pour le coup, ne sont pas tranchées ! ne sont pas données d'emblée ! on doit chercher logngtemps ensemble dans la durée ce qui est en vrai, ce qui existe piour de bon concezrnant la mort, le paqszage à l'acte, les transformations ou les métampprphoses ici d'un type d'être dont le nom, à chasque fois, change, peut-être, mais les conséquences (disons : charnelles) sont les mêmes à chaque mort ou disparition, ou restent les m^rmes à peu de choses près. Un homme mort est un homme-mort, et dès lors ... "devient" femmes. En vrai, l'homme ne devient" pas femmes, il libère deux fvemmes contenues en lui ... depuis sa naissance ! Il laisse renaitre, et, lui, disparait, sans laisser d'adresse autre que celle, eh bé .... du cimetière et c'est bien assez ... pour le repérer. l'homme disparait. La femme renaît ! enfin aailes ! on aime , on adore les fées, les ailes des fées. On est nées fée de fait, une fois l'homme mort et enterrré, bien fait ! On est passées ensembvke de l'autre côté, côté pré, et à présent on charge cherche à (comme)
revenir en arrière, disons :
re-traverser "la roche aux fées", roche dure des données de base ... du pré. re-traverser, comme "en arrière", ce qui est .... mais non ! il ne s'agit pas d'un retour en arrière. Il s'agit d'une avancée ou sorte d'avancée
à travers une roche d'enceinte, szorte de "sortie de cimetière". On a cru y rester, hé ... que dalle, on se libère ! on essaie ensembkle, en tant que femme rapprochées, quasi scellées ensemble, ( = lesbioennes) de se libérer, de passer, de sortir du pré , de sortir du pré et du coup aller, mais où ? personne ne sa&it ! On veut comprendre eznsembkle loin, un grand nombre de données de base et, bon, peut-être, à la fin, on saura discerner ... le faux du vrai, on pourra comptendre, c'est)-àdire toucher ... aux nénés ? au nénés lactés ... qui sait ?
26/8/2024
On est deux pour être. On regarde ensemble les données qui en vrai sont devant nous, et du coup, on essaie de comprendre , ce qui est, ce qui advient, ce qui se présente, ce qui est pour nous devant nous. On regarde dans le même sens. on est accolées et (pour ainsi dire) jumelées. On s'avance ! On en avance dans les connaissances. on est ensemble accolées ou comme accolées qui cherchons ardemment à cerner le maximum (ici) de données
concernant la roche, la paroi, le sens de la marche, les tenznts et les aboutissants concernant le dieu "des Données Lacustres". On y va ! on fonce grave ! on ne s'en laisse ni conter ni surprendre en vrai ! On cherche à pour le coup entrer en roche (incidemment) vivement : d'un trait ! On veut passer , et du coup on charge ! on tra cfe ! on passe ensemble le dos rond ! on veut coller grave aux données du front et du coup passer ! On dit qu'on passe ! On dit qu'on est passé ! On dit qu'on est à présent de l'autre côté et pour le dire vite, c'est ici que ça commence pour de vrai (qui sait ?). On est entrées et on regarde (autour de nous) les données. On est pas toutes seules ! on est accompagnées ! buffles et bovidés divers ou autres bovidés divers ! onb mate ! On est accolées à une sorte de "pré des prés", pré aux herbes allouées à une Vérioté Verbale. On est entrées et on regarde. On mate ! On veut / on voudrait, comprendre ++++++++++++++++++++++++ ce qui est ici en termes de bêtes assoupies,
frontales, massives et broutant sans cesse l'herbe, l'herbe allouée. On est cfomme nées à une vie nouvelle (... dans la mort ?). On est nées en elle ! On est nées de fait en cette vie nouvelle ! On est cernées ! on est comme entourées de bêtes de poids , de mots-bêtes de paroi. On regarde ce qui est autour de soi et quoi on voit on voit ça : la roche aux données, rotonde, paroi moite des données de base , vives clartés, et au loin une sorte de passage par où peut-être passer on dirait. On est Femmes de Rage ! Fées ! Fées en vrai ! Fées de l'être ! fées doctes allouées (elles-mêmes) à une vérité dite "de rotonde". On regarde ensemble et du coup on cherche , à (ici) comprendre ensemble : ce qu'on erst, qui on est, ce qu'on fait là, pourquoi on est là, qu'est-ce qui nous attend devant, de quoi l'avenir (pour nous deux) sera fait, qui erst qui en ces contrées, qui mange qui (ou quoi). On mate grave ! on veut cerner les choses de la Roche , et (de fait) aller, ensemble, au plus profopnd à l'intérieur des connaissances. On est entrées ensemble à deux (il fallait être deux,
et, deux femmes qui plus est !) et, à présent, on cherche à comprendre = toucher , toucher à cette vérité des Roches, au Données précoces, au Données frontalrs dites "de paroi", aux données Royales, Reinales, des Roches de La Loi. On est comme nées, ensemble, dans une paroi, fond de Roche. On est entrées de base , on mate grave et ce qu'on voit ne laisse pas de nous surprendre ! On vgoit quoi ? on voit des traces (traces sur roche) de sang facial ! Ouh ouh c'est un fait ! C'est fgort ! ça cogne ! ça envoie ! On y croit fort ! On veut cerner de Rage ce qui est, en ces parois dites "de la Foi". On veut toucher ensemble la paroi dite "du bout du monde", l'ultime Allouée. L'Emportée. On veut toucgher ensemble la Rotondité des Rotonditéds ! On est nées de base en cette roche Fées, On est nées Fées de base en cette roche. On veut comprendre les données. Cerner de près. Faire ainsi qu'on puisse aller ensemble loin, à l'intérieur des connaissances liées à un pré, à une sorte de clairière aux données rupestres, et , tout au fond, l'Anfractuoisté Salutaire, Passage en vrai au débotté, Fene^tre, clarté, bruit de Fée ou qui c''st, qui est là en vrai ? Qui parle ou chante ? qui est là derrière qui, peut-être, parle, nous sussure un certain nombre de données de base, chante a capella, fait des pas. On est nées de base sur paroi (ou dans) et nous voilà ensemble,
et nous voilà, ensemble (main dans la main) qui allons (fissa) vers la roche dernière, la Rotondité Salutaiore, l'emportée, la donnée dernière : qui elle est ? On ne sait mais on cherche ! On cherche à cerner ce qui est, en cette sorte de clairière des données rupestres !haut les faits ! On cherche ! on ne traîne p;us ! On est "accolées par le cul" on dirait, et du cfoup, nous voilà haussées , comme haussées à notte tour, pour cerner de près (ainsi soulevées) les données Hautaines ! On cherche ! On est Femmes des prés accolées ... à une Déité de fond de Roche ! vivacité ! traits de fée ! chants doctes ! on trace à main levée ce qui est qui fi gure le vrai ! on y croit ! On force la donne ! on danse ! on est là chantantes ! On aime tracer, dessiner , graver sur roche ce qui est qui nous anime ! bêtes des prés ! données fines ! On court on vole ! On est fortes ! on colle ! On est comme accolées sur pré et on cherche cde fait un grand nombre de données donnéers, de xdonnées de force ! On est nées sur roche allouée, à une sorte de Véroité dite des Vérités qui serait en vrai la Vérité des Fées et autres
Vies Alternatives s(il en est. On est nées Fées sur pré ! On trace ! On avance ! On veut toucher à une Déité de bout de Roche. On est accolées. On est qui ? on est nées en vrai sur roche allouée à une Vérité des Vérités. On cherche ensemble de près à c erner sur roche les données données et du coup à en avancer, à aller toujours plus loinsur ce chemin des données Actives, Actives Fines. On est Femmes des prés fines, on touche aux données, on trace à main levée à vol;onté, on est auusi activesz, vives, enjouées, sélectivesz, rudes d'attitude ou pas rudes mais costaudes et prêtes à (pour le coup) tenir sur pied devant l'adversité. On est Femmes des prés cernéeds, et cependant on cherche à passer, soit trouver en cetteenceinte une sorte d'entrée (qui sait ?) vers un ciel de rêve ou toute autre clarté allouée à un liointain tracé. On cherche ! On est nées sur roche ensemble comme pour chercher, en certte sorte de Rotonde , une sorte d'entrée (ou de sortie) de vie. On est comme cernées par, autour de nous, la roche -rotonde. On rezgarde ! On cgherche à passer ! à traverser ! à, de fait, aller plus loin en ces contrées et à traverser ... la Roche Finale, la Donnée donnée des fins de roche : ce qui est qui nous fait face (adversité ?) et qui nous regarde ou paraît nous regarder il semblerait. on est là sur place allouées à une sorte de mission locale, celle de tracezr comme à main levé&ée la bête des prés de pasdsage, celle qui permet l'entrée on dirait, bête de charge et so:mité ! La tracer de mémoire et à main levée ! la graver de rage ! transe ! envolée ! grâce ! on dirait le frai ! On charge ! On est bêtes nous-mmêmes au tracé ! comme transfoprmées ! On veut comprendre = donner. Mais pour comprendre-donner il faut (il est bon de) cherchyer ensemble par où passer en cette
sorte de Roche des Fées ! où passer ? on se le demande ! on est accolées ! On charge ! on regarde ce qui est qui est et du coup comment trouver ? comment faire pour trouver. Peut-être déjà se poser, souffler, faire un pas de côté, regarder aéttentivement ensemble, ce qui est autour de nous qui nbous ressemble ou pas mais nous semble comme parler ou nous parler , qui cherchons ensemble à tracer des traits, des dessins de bêtes sacrées et autres fêtes rupestres engjouées. On est nées fées dès la mort actée ! O,n meurt un matin et on devient fée dans la foulée (= Elles). On est fées de Rage nées ensemble dans la mort des âges ici accumulés. On entre ! on cherche de fait (grave !) à) comprendre ce qui est mais comment comprtendre, toucher, saisir et cerner ? comment faire pour aller plus loin et "passer" ou comme "passer" ? cAr, en vrai, si opn passe on meurt ! Si par mégarde, ou malheur, on passe (ne serait-ce qu'un doigt) on meurt ! On est là ensemble deux (deux femmes) pour ... eh bé oui , misère, entendre = comprendre, ce qui est ! ce qui est qui nous regarde (nous concerne) au premier chef ! LA DONNÉE des Donnée ! Celle-là de fait qui se pointe en face quand on naît ensemble sur "Roche aux Fées" (ou dite "des prés"). On est entrée ! on a cerné ! on veut toucher toucher mais pour toucher toucher (y toucher) il faut avancer, pousser plus loin sur un chemin des fées, aller de conserve et tracer,charger, faire ainsi qu'on puisee gagner, sur roche, le sentier des vérités ! On cherche à comprendre ++, on est ensemble pour comprendre en vrai ce qui est ! On ne veut pas se laiisser démonter ! On veut gagner sur roche le sentier, le tracé; la voie allouée à une Vérité donnée. Qui on est ?., On est les Fées de Bas-Étage comme qui dirait ! On est entrée en tant que bête (homme gra-vé) on swe retrouve Femmes (deux vfemmes accolées
) à la retombée ! On est des Fées de base ! On charge grave ! On veut avancer , paqsser, durer, dire, cerner les chances, conduire, fermer,; comprendre-situer et donner-permettee une avancée du coup conséquente en ces prés aux charmes. on est femmes nées, femmes nées des prés ! on est femmes nées, femmres nées sur )ré ! on chante ! on aime chanter alors on chante ! on y va grrave ! on est femmes allouées à une roma,nce, romance sur pré, alloué à une "Vérité Frappante". On cherche à coller à cette v2rité sans plus d'ambages si tant est. Qui on est ? on est des fées (de base) quyi cherchons enswemble (ailes allouées à une Vérité) l'entrée de passage, ANFRA CRTUOSITÉ de RAGE, tracé fait, trou de roche en vérité par où s'immiscer. Et pour cela .... fissa ! à l'abordage ! vélléités ! charge frontale ! bélier ! il faiut pousser ! pousser grave les entrées ! les divers pasdsages et autres portes des données "de contrebande ". On veut passer-pousser, et pour passer-pousser iol faut cerner ensemble pour le coup le b on côté (sur roche) au débotté ! On travce ! Traçons ! chargeons grave ce qui est qui est en nous bêtes des prés ! On va vers un trait ! on acte ! on veut toucher à cdette sorte de donnée de base, dont le niom sur place est "Déité gravée", "Romzance allouée à une Déité", " Chance des prés","vive Clarté au jugé", "Parade et autres Cavalcades pariétales données". On est passées sur pré, on voudrait continuerfr ensemble ce trajet de base, ce tracé vers une sorte de Donnée... autrement "Pre,na,nte" on dirait. On est fées de base nées sur place (dans la mort) pour en vrai comprendre : ce qui est, ce qui vient, ce vqui va, ce qui adviebtnt, ce qui se présente, ce qui file, ce qui vole, ce qui se soulève, ce qui s'envole, lévite, fonce, monte, cherche à aller haut vers une sorte de "boyau" ou "espace-boyau" qui (en vrai) nous laisserait comme pouvant aller ensemble si jalmais (par lui) de l'autre côté , qui sait ?
🤔
On regarde ensembke ce qui est ! On est accolées-acculées ! on est nées sur place en ce rocher ... des données rustiques, rupêstres, alpestres, chargées, et on cherche à cerner ce qui est ! vivement l'acmé ! Qu'on y trouve des denrées-données, vives cklartés allouées à des sortes de données acides. On est nées fées ! on est (dans la mort avide) nées Fées à jamais et on le sait ! on est conscientes (ensemble) de cette emprise qui, sur bnous, bnous fait (fort, grave) de l'effet c'est un fait ! Onreste placides mais on est aux aguets ! On se tient un peu en retrait ! On ne veut pas tré-passer ! on veut demeurer. On est nées vives , on veut en vrai rester aussi vives, si jamais ou si possible ! On Veut ToUchezr toucher toucher toucxher toucher toucher toucher
toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une V2RIté des Vérités à jamais = autre emprise ! cri ! saleté des saletés, on s'enfiuit ! on ne veut opas rester bouche bée à se faire berner par cette Déité des Données Vives, mais tracer, aller, fuir , courir, à grande enjambées, vers une autre frise, autres parades sur paroi gravée, charges diverses allouées à une vérité-surprise, vérité des vérités ghravées comme p ar surprise sur paroi lisse . On est co:mme nées de rage sur pré, fées ! on veut toucher à une Vérité de mise ! On ne veut pas sombrer ! devenir vides , mais ghravir les marches de la Vérité et de fait se remplir ensemble de denrées ou de données faisant fonction
de prises, de prises allouées à une envie (criante) de cerner (en vrai) les données données , et ce ssans lâcher prise si tant est en fait. On est femmes des prés (à la retombée) qui voulons avanncer ou
en avancer (ensemble : main dans la main) sur pré et du coup comprendre les données données, données de base, bêtes-mots de roche et de rochers, cris de joie et de colère non rentrée, chants doctes, chants d'effroi et autres chansons graves déclamées de vive voix. On croitpouvoir ensemble cerner en vrai ce qui est mais ce n''st pas gagné car pour comptrendre il faut coller, à une "roche des prés", et pour cela ... il faut s'avancer, faire corps ensembke (deux felmmmes) , sauter et passer ! On est nées Femmes sur pré , on veut toucxher-cerner les données de Rage et cerner ensemble ce qui est qui nous regarde (on dirait) sans discontinuer. On est femmes des prés. On est n,ées sur roche à la retombée. Mortes-nées on est nées sur roche et on voit ce qui est : cohorte ! de bêtes de poids ! et autres tralalas comme gravész (à main levée) sur
paroi (par soi ?). On veut quon voudrait comp^rendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est ici qui peut-être nous regarde.
on se dit que oui peut-êztre en effet pour comprendre il erst bon de s'avancer d'un pas, voire deux. De faire en sorte que, cette voie , sur place, qu'on emprunte ensemble, soit la voie des Voies ; qui sait ? On est nées fées parce qu'on est passées ! on est passées de l'autre côté et du coup voilà, on se transforme en fée ! ailes de paroi ! chanterelles ! on y va ! on aime ! on est bêtes des bois, des forêts, des champs de joie et autres prés allouées de fait aux données de poids. quand on aime il faut gagner (plus loin)
le chemin dévolu ... aux données Velues ! Qui on est ? On est des fées ! = fées chelous des prés ! on trace (comme) à) main levée sur place, en tant qu'on est ... des fées des prés ? Qui saiot ? on essaie ensemble de comprendre et, du coup, s'avancer, ensemb le, tracer , chercher à percer, cerner, toucxher la Base ! la Donné des Données de RAge. On est accolées ! on se colle grave (ici : paroi) l'une à l'autre en vrai. On veut toucher toucher toucher toucher à cette Donnée grave des Données, et tracer ensemble (vite fait) en transe les effets, les vifs effets, les tracés, les mots allouész à une prise, Chants des fées, vives aminosités et autres rancoeurs rentrée. On est "Fées des Prés" sur pré, on est chargées, on vo:le, on est nées sur roche pour voler ! On est des Fées vives ! On est accolées à une roche de données diverses et autres faits vrais . Qui on est ? On est ... eh bé oui : des fées ! gentes Fées de base on est passées, on est entrées (rotonde aux données) et, on cherche à , comme qui dirait, nous ... retirer ? on ne sait ! on cherche ! on veut toucher ! toucher est la vérité ! toc et toc on est p
âssées et on cherche ensemble, à gagner la rive, l'autre rive (si tant est !) et pour ça on file ! on y va ! on ne lambine pas ! On veut comprendre ensemble et tracer de près, ce type de données royales ! On veut toucher ensemble les donées don,ées du bout du bout du monde alloué à une vérité massive ! on est né'es d'une rage active ! on est passées sur pré ! on est nées à une rive vive ! chant doté de mots de friche ! On est accolées, et on chante ! On veut cerner e,nsembvle (via le chant ? la romance ?) les données, et , en vrai, ça se pourrait ! Il bnous suffirait de fait de ... soufflezr = respirerr ? On ne s ait mais on est (méga
) actives en vrai dans le genre on dirait, on file ! On est fées des Rives ! On veut durer ! cerner = toucher. Toucher = dire. Dire = accentuer. Accentuer = tuer. Tuer = vivre . Vivre = comprendre lles données données par, ici, une rive a&llouée à une sqorte ... d'enceinte solaire (il semblerait). On est femmes vives dans la mort active ! on veut cerner = vivre ! saluuer laé frise , les bêtes enchantéesz, les données rupestres en forme de bêtes ! Car, on est comme elles : fées-bêtes ! On cherche (pour de vrai) à être des (ensembvke cernées) qui (de fait) voulons grave graver, (en fait) ce qui est qui est qui nous fait face et semble nous "parler" en toute confiance de connivence. Mais ... 'st-vce vrai ? sommes-nous leur chance ? avoçbs-nous pour elles de quoi satisfaire (incidemment) leurs drîoles d'ardeurs conséquentes ? On avance ! On trembke ! On cherche à pour le coup comp)rendre e,nsembke ces ardeurs, ces vivesz envies et autres vifs désirs de type sexuels ancrés, tracés, marqués -accentuées en ces bêtess massives qui (toutes) broutent que tu brouteras, ensem ble en ces prés aux données actives comme des denrées et autres vivres déposés aux pieds de "Déité l'Acmé" ! ;On est vives fées ! chances-nées ! On court vite ! on file ! on ne lambin e pas (jamais) tant qu'on est "libres" de nos gestes alloués (ici) à une Envie de Verbe ! On est filles des prész, femmes enjouées, colère et tracé, on veut toucher à une Déité disons
Lascive ou sinon lascive massive, ou sinon massive passive, ou sinon passive gracile, ou sqinon gracile active, ou szinon active acide , ou sqinon acide placide, ou sinon pl acide massive ... et ça recommence ! on dans e ! on veut être des (ensemble) qui (en vrai et de fait) dansent que tu dansezras ta Romance' (ou sur ta romance) sans (ou avezc ) les bras ! danse slave ! danse de paroi ! charge de pas ! danse en traénse ! caillouttage ! On est femmes fées "des données de base". On aime aller ensemble sur paroi, à la recherche (ensemble) d'une sorte de Romance Grave, charge mentale, bleus de l'âme, une cxhatte sur un toit brûlant, chien ou chat de race sur paroi, va-et-vient vivace, tralala et a&utres falbalas sur bande; ion est accolées (de rage) pârce qu'on s'aime, ne cherche pas ! Ce qu'on est c'est ça : la bande ! bandana ! charge de France;, doigts des Rois et reines, Reines et Rois ! on veut cfomprendre , et ces reines et ces rois de base. Qui sont-IELLES en vrai ? Fées Des V2rités ! Croyez-vous aux fées ? vous devriez ! car les faits (
de base) néissent en vérité (au nez et à la barbe d'une Déité) sur "terrain advesrse " (qui le sa it ?). Fées = fées des Fées = Fées actées en ce cimetière des données rupestres. Ëtre = faire ! On pousse (sur roche) ensemble les données qui
toutes sont (de fait) à devoir pousser ! On veut t(oucher = dire = faire = cocher = comprendre , les deonnées du VErbe ! on naît ! On naît ! On na ît ! on ,naît ensemble par le lait, l a chance, la romance, le passé xdonné-déposé, les branches. qui on est ? On est bêtes de pa roi de Rage. Charpentées,massives et (plus ou moins) dures au toucher : non -fées ? fées ? On est passées ! on veut toucher-toucher = y toucher = cerner-comprendre = considérer et juger ce qaui est qui pourrait en vrai (tr ès certainement) nous en apprendre à satiété ! Car, en vrai, la Mort est ... XSATIÉTÉ ! , on le sait ! On sait très bien (à présent) que (en vrai) la mort est satiété, tourment c'est un fait mais également "satiét é" ! on veut toucxher ! On veut
touchert-donner ! donner du blé ! oseille allouée ! bretelles ! le passé et le présent sur herbe, les tourments mais pas seulementn : tout ce qui est qui en vérité fait ou ferait de l'effet, brillerait, en imposerait, fezrait penser que ce qui est ici donné (Vie Vive) est vrai , quand en vérité ... tu penses si c'est vrai ! Pacotilles que la vie donnée (le Passé) et rien d'autre dans un premier temps q'on voudraitb (de fait) voir durer indéfiniment. On esqt fées en herbev (des herbes) et on volette
! on adore voletter ;! on aime léviter ! oh, on a&dore ça , léviter, monter, se hausser, grimper, toucher à ce drôle de firmament alloué à une sorte de "donnée murale",donné des données. On veut : comprendre, dire, toucher, aller, cerner, pisser, donner, chier et pisser et aussi aller, faire, produyire, considérer, consigner, promettre, poussser, mettre, faire figurer, dessiner à main levée en transe l'animal des prés sur roche "imberbe". dessiner la bête et le pré (l'herbe) sans fraisz ! On est bêtes nous -mêmes (fée-bete) et on trace ensemble (de près) les données offertes (en vrai) par la bande (nacré / sacrée) des données actées diteexw (
pour le coup) "de contraebande " ! c'est un fait ... on bande ! on bande puis on naît ! on naît (au passage) Femmes (Fées) aux données données (de type bêtes-poids de charge : bisons, bisonnes, buffles, buflettes, chevales trac&és, "belles-bêtes", ....). On est allouées à une sorte de donné&e, tracée à main levée, pôst-cimetière ! à moins qu'il ne s'agissee d'herbes ! d'herbes des prés comme fauchés ? On est des bêtes belles on le sait (poids des Rois et Reines) mais voilà , on veut bien peser (grave) d ns la balance, figurer et faire son petit effet, il n'empeche que, voilà, on veut ensemble (pour le coup) con,&aitre pour de vrai la transe ! danser les mains levées , tourner et, sans cesse, tourner sans trezmbker ! faire-dire ce qui est en dansant sur pré x et x romances charmaéntes ! On veut comprendre = toucher et cernezr et du coup peut-êztre peser, mais commentb peser ? comment faire pour peser et en imposer , faire ainsi que l'Autre nous considérât comme ... non-ratées ? On est posées ! On est pauvres ! on est pas friquées ! on est nées pas friqées donc pauvres question money , tu sais ! On veut toucher toucher toucher toucxher toucher toucher à cette chose, d'une sorte d'envolée rapide, vive, d'un tracé sur roche (on dirait) vers déité : est-ce vrai ? on colle, ensemble, à la roche. On fait tout ensemble (on est collées). On ne l$ache pas une seconde. On est bêtes (des prés)"femmelles". FEMMES DES PR2S ON EST NéES ! FEMMES ON EST DES PRéS N2ES ! oN est des femmes des prés, fées, femmes, nées sur pré, en forme de fées . On est fées-femmes tracées gravées par (il sembleraiot) des êtres (de néandertal ?) qui auraient été (de fait) soulevész, en transe, en lévitation, par les fées de Saison, fruits de la passion, denrée zucrée comme du lait. On aime le lait ! On veut toucher à une vérité gravée et ne pas céder; On veut cerner ce qui est et du coup tracer un certain nombre de dsonnées lactées (frai, sexe et pamoison°) . On aime ! on veut grave a&imer, cerner, passer, ne pas y passer (trépasser) ma&is passer, à l'occasion, qui un doigt de pied, qui le nez, et cerner (de près) les données données de cet auttre côté d'une sorte de muret dont le nom , en fait, est : ... CORNICHON ! Nichon ? oh , qui sait ? Qui sait ce qui est ! On imagine ! on se fait le film ! On est nées vives et on se fait le film ! que penser ? comment se retournezr ? comùent dire et aller toucher ? On est femmesv szur pied (massives) qui fonçons tête baissée (bélier) vers c ette Déité Frappée qu"ion dit lascive mais en vérité c'est pas tout à fait vrai il semblerait ! On est mises et prisesc en Fées, et du coup dqu'est-ce qu'on fait ? on vole ! grave on y va ! on veut toucher de base, et donc voler = léviter = monter en cette "cave", à parois (ornementée) des parois. qui on est ? Filles ! filles des blés ! filles nées (sur roche) àune vie comme surajoutée, surnuméraire et szoulignée par (va savoir) telle déité qui (peut-être) existerait de mise sur paroi gravée ou dessinée. On cxhezrche une entrée sur roche tracée. fond du fond on veut toucher, entendre, comprendre, ressentir. On dirait que (qui sait ?) ce passage, juste là, devant soi, est passage d'une vie de gharde ! vraie de vraie ! On regarde . On est nées filles (dans la mort) on veut (on voudrait, qui sait ?) le rester à jamais, soit continue"r (de rage) à
^$etre filles ! filles allouées à une destinée de vie, à destinée (en propre) de vie vive, allouée à une roche (paroi) du monde. On voudrait (de fait) aller loin, e,n cette "Cloison des Cloisons" ! Passer ! Passer de l'autre côté ! côté "embrunsz", "plage", "bruits de fond", cri de bêtes sardes ! on est fiilles (femmes) sur le pond ! on trace ! on est faites de son on dirait : cris de la passion ! on grave ! on chante ! on crie (oui) sans cesse, sans traîner; on est nées de ba&se Femmes dans la mort et on romance ou romancerait grave ce qui est en vrai, on sait. On veut : passer, passer sans y passer ! chargeons ! filons ! allons loin ! creusons ensemble ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ la roche brunie ! On veut grave ensemble comprendre ce qui est ici qui nous regarde, et du coup cerner la Romance aux Données Données. On aime travezrser la lande : on le fait ! on trace ! On avance grave . On est nées Fées comme au passage et ça le fait en vrai ! Fées on est , qui cherchons passage (au débotté) au fond du pré(par où passer sans se démonter). Qui on
est ? zh bien peu-être des fées, fées-femmes qui cherchons ensemble à (au mieux ou pour le mieux) figurer ensemble sur roche gravée, dessinée,au nez et à la barbe d'une (sorte de) Déité de Charme. On est fées nées au passage (tête adjacente). On aime tracer (filer) , du coup on fonce ! on y va gaiement, on montre. on aime mo,nter, se hausser ou nous hausser, grimper, se soulever ou être sqoulevéesz, charger (tout en -haut des dunes) les données allouées à une sorte de ... "passé donné" ? octroyé ? déposé comme à l'aventure et on se prend (ensemble) à rêver, que la vie pourrait du coup durer en vrai une éte"rnité ! on est fées de rage qui aimons
danser : en transe (ce qu"on fait). On est déposées ! posées ! chargées de mots de base animalierrs sur roche. On aime allerensemble et combiner, alterner, chercher à pour le coup se démerder ensemble ou, par'fois, séparéement, mais en vrai, jamais tout à fait : on est accolées ou cfomme accolées dans l'instant si jamais ! dans le temps accolées sinon dans le pré ! on est collées ! on aime toucher, dire, pêrcer, chercher à trouver, comprendre ou faire- dire ce qui est en vrai , et a&ussi le reste : fauusetés, vivfs mensonges sur pied, genres déposées en branle, corrosion des données de base, fausses-clés de contrebande. On est come cernées ensemble par des sortes de données de type "vies a&ctives allouées" , quand en vrai les données données (par nous déposées) ne sont pas "vraies" mais "fictives" : fruits ! on est comme allouées à une vérité des prés dont le nom est : fée ! on le sait et on y croit fissa ! On est nées au passage, au débotté de la paroi des prés (ou dite des prés) ! on voit ça, qu'on est nées de rage ensemble à toi à moi come à la parade : ça y va ! ça gagne ! c'est coriace ! ça ne lambine pas ! ça cherche sérieux à comprendre les données de base sur paroi. "qui est quoi ? qauoi est qui ? et autres romances" ! On est nées pour être (dans la mort) des fées (défaits, et du coup des fées ) et c'est ce qu'on est ! Fées d'auge ! ftées dorées ! Fées de base morte mais vas-y, regarde , cherche à comprendre ! elles sont nées ou bel et bien nées ! on adore ! on est fées des prés chassés ! on a&ime aller, tracer et cerner, pisser et caguer, cernezr et douter, prendre et a&llouer, filer à l'anglaise, ne pas nous décourager, percer les mystères de la Charité, pisser peut-^tre, et aussi chier, mais aussi s!uer, perler, mouiller, comme des bêtes ! On veut toucher à cette SATIÉTÉ de Cimetière (?) qui auréit de fait mainmise entièrement sur les dfifférentes données données par l a Terre, Terre-Mère,
Donnés des Données. O0n est néeees de rage Verbe (herbe ?) et du coup, on devient Fée , ou peut$$êtree FEmme-Fée szur HErbe, qui voulons comprendre eznszmble ce qui est en ce's murets de rage "pariétales" et autre parois dite "de la foi". Quand on aime on dit qu'il faut tracer !
Quand on aime on dit qu'il est "préférabkle" de tracer !
On veut dès lors tracer, graver, dire, montrer, chercher à trouver (dans le dictionna&ire ? ) une définotion ancrée, certaine, avéré , au mot "cimetière" (ça nous aiderait un tantinet ... peut-être). on est comme nées fées sur herbe ! fées des fées ! ça le fait ! la peiine, la guerre, les diverseds monstruosités de l'être, les méchancetés, tout ça : du balai ! la fée desz fées sait faire ! se débarrasser de ce qui est faible e"n termes de données données de (pour le coup) vérité ! cherrchons plutôt à (ensemble : soudées) co
:mprendre ce qui est de ces contrées "hors cimetière" si tant est ! mais le "hors-cimetière" est-il (de fait) ... qui serait en vrai ? y a til des endroits sur terre (à la longue) hors cimetière ? on ne sait ! qui sait ? qui conna it ? On est : femmes-fées des prés, allouées eznsemble (accolées) à une vérité de base, genre "donnée des données". On trace ! on cherche ensemble à en vrai tracer, sur roche, un chemin de halage (des prés) si jamais. On est femmes touchées et ça fait (parfoisz) chier ! On est femmes / fées-des-prés touchées ça fait chier, quand on ne veut pas l'êttre ! sidérées ! frappées des instances ! acculées ! ça fait grave suer ! On entre ! on entre par un trait sur roche de passage ! On est néezs fées, et on trace ! On file grave ! On veut aller-donner, toucher-tracer, faé ire-donner, dire-coller, choquer ? Ancrer ? colmater ? Consulter les fées ? On compte les données données sur roche : on est étonnées du nombre ! On est accolées et a&cculées ! On fonce ! On veut toucher-toucher à cette déité aux données données de type Vérités de Cimetière (à jamais). On est faibles ! Fées des fées on cherche à en vrai découvrir ce qui est qui est en ce cimetière aux vraéis effets. Qii on est ? on est des fées dites (pour ainsi dire) "de base motrice", on court on v ole avec hélices ! on lévite ! Haut les coeurs chauds ! on lévite ! on va haut ! On monte sur un tonneau, une sorte de guimbarde. On veut voir d'en haut (de base). On est faites pour en haut y voir , et tracer a&u cordeau les données frontales, telles qu'en vraéi elles semblent ou sembleraient cvouloir (peut-être) se donner à nous, qui voulons comptrendre et tracer. On est femmes sardes ! sardes et salées ! on est femmes salées , sardes et nacrées
! nacrées comme le passé (ou dit "passé de sarabande"). On aime ! on valide ! on adore aller d'une rive (ici : avant -sc!ène) à une auttre , là : après-scène. Ça y va ! ça draine ! ça cocotte ! ça fouette ! on sent la toison reine, le poisson, la mer de rêve, les melons, les champignons, le sable sur grève, les traines. On est femmes sur monts, charge d'âme, alluvions, semence, cornichon (nichons ? ) sur panse ! On compte les tétons ! on est FEmmes sardes et on comp)te ensemble les tétons ! On est sur place eznwmble pour en vrai le pluq possible chercher à comprendre et aller (fissa) au-devant de soi, pour :
- comprendre'
- toucher
- aller
- pisser
- chier de connivence
- comprendre oui, les do,nnnées active's (vérité) qui expliqueraient le pourqauoi du commentJE est passé, comme un tourment dans une frise. JE donné sur grille : chants -tourments, sentiments, pleurs tristes. On est prises ! Vies des vies comme prises, soumises ... et, en vrai, ça fait chier ! On tente à notre tour une sorte de prise, qui pourréit (au p azsage) nous aider à (peut-être) nous éloigner de la Mort-Déité à jamais ! On est femmes ou filles / Fées de rage. On veut toucher ensemble à (ici meme) des données de base, poids de choixs , romances cracra (peut-êttre) ou pas : ça
se voit. La Rage est là ! qui, on dirait .... fait rage ! ça y va ! on trace grave ! On veut ensemble en tant que femmrs (fées) comprendre les b ases (ou les données de base), vérités ancrées (toutes) dans la masse ! qUi sait si en vraéi on peut y arriver, si on pourrait ? Ça le ferait ! ou : ça serait sympa , de fait, que ça le fasse un t§antinet, qui sait ? On est nées fées sur place (ici la mort) à la retombée, "retombée mausszade" ! on est nées fées sur paroi au p âssagge ça le fait ! On voulaéit comprtendre ce qui est et , au bout du compte, il semblerait qu'on puiise (en effet) comprtendre, un paquet de choses de près, en forçant la donne ! qui on est ? des féesz, c'sst un fait ! homme défait devient des fées en nombbre (= 2). On est fées nées, sur "base mortelle". qui on est ? xdes fées ! On s'aime ! On veut s'aimer ! On ne veut pas se laisser aller ou
nous laisser aller à rien glander en termes de recherche de données actées, mais tout au contraire ne pas s'arrêter à chercher, chercher grave, ici et là, toutes les données (possibles et imaginables) susceptibles de nous éclairer, en ce qui concerne... la lande, le pré, les fleursq alllouées, les bêtes de masse, les bêtes-mots et les mots-bêtes, le temps qu'il f
ait. On est des fées de contrebande on dirait ! tirées, poussées, bousculées ? On fait face ! On veut demeurer ! ne pas se laisser intimider , ou : ne pas nous laéisszr intimider ma-is tenir tête, le front haut, tue-tête ! faire ainsi enwsemble qi'on puiise comprendre les données rageuses, la Foi en cette lande ... entre deux parois ! La Rotonde est là (poitrail ?) : on y va grave ! On charge ! on veut ensemble comme un fait exprès cerner-comprendre l'alloué, le composé, l'e patent idoine , le chargé et l'exposé. On ne sait qui croire ! le placier ? le père Frappé ? l'entourage du père Frappé ? l'antenne aux nénés ? Le cimetière ? On est cfomme cernées de base par des faits qui , s'accumulant, fondent un paysage de firmament, ou, sinon de fir'mamant, de base, paysqage sage, champs ! champ des tourments ou dit "des tou'rme"nts". ON veut ensemble (toi et moi) comprendre les données active's,foi, Cri, charge, religion des parois, dessins doctes, prix d'ami, délivrances. Onj veut comprendre ensemble cette délivrance. On veut ensemble aller (si possible loin) à la recherche d'une "vérité intense". qii o,n est ? des nénés ? quéqués ? ... chr(ist assoupi ? On cherche e,nsemble ! On aimerait grave comprendre ensemble, ce qui en vrai ici (paroi) se trame de concert et semble (peut-être) vouloir, comme nous attendre pour nous dépiauter, nous faire chuter, nhous surprendre et nous blesser comme à jamais. On est fe"mmes)fées des prés, on aime s'aimer sur la lande, en tant que femmes ensemble (se toucher). On aéime se ... gouiner (?) de rage ! farce ! confiance ! on s'aime ainsi ailées ! Fées de France ! On aime s'aimer, s'aiguiller, se lover, se former en roche ! être bêtes des roches soudées ! coller à cette cxhose d'une szorte de donnée, un temps, morose mais pas à jamais ! les choses szont ensembvle, qui s'affrontent, se corrompent, se fronce nt et tombent, changent de parois, de visages et de traits (de base) sur roche il semblerait. On rst là ! toustes prises, parle cul, la rage, le tracé nu, l'emphase ! mille vertus font le cul de l'âme ! de l'âne ? on entre ! on voudrait de fait ensemble se loger en cette szorte de passage à même la roche, roche ici imberbe. On aime assseez se dire que voilà, la roche, dite (donc) imberbe, est roche nacrée = sacrée ! on cherche ensembmble, sans tra&îner, ce qui se pourrait. on est femmes des prés , des cimetoères, des données sur les êtres alloués (de fait) à une Déité, celle des Prés. On veut ensemble e,n tant qaue f"mmes, toucher, prendre, sitruer, deonner, percer, passer , connaître les données données où elles sont en vrai, charger toison, pisser sur le pont, caguer sans raison ! On est fées nées sur le ponton ! pisson-chions et laissons ! On aime : et pisser et chier en rond, autant qzu'on est ! c'est couillon peut-ettre mais c'est vrai ! ORAISON ! CHAPEAU MELON ! CARGAISON DE DONN2ES ALLOU2ES À UNE PASSION ! ON adore donner, percer, comptendre, se lover et s'allouer à une sorte de raison de garde, rationalité de façade ! ça le fait "bonbon" on dirait, même si c'est pas vrai au fond ou pas tout à fai. On compte les moutons ! on s'endormirait. On est collées et accolées. ou accolées et en vrai collées. Femmes-fées on est, qui cherchons TOISON (d'or ?) des temps "percés ". On est tracées sur rocxhe, faisant fonction (pour ainsi dire) de données de rage.
On est fées de RAge ! On est fées des prés ! On charge sur roche percée notre szorte de ramage ! bois des ors ! tra&its du sort ! On veut s'aimer sur prés, se toucher, se doigter, se caresser, se faire x et x choses ensemble sans traîner ! se bercer, pelotter, toucher de près. S'aimer fort (se lécher le corps) . s'embaumer ! se molletonner ! S'emballer comme un mort ! S'aimer fort = s'embaumer on dirait. On veut creuser ! Faire et donner ! charger, permettre, toucher et aller, dire et porter sur roche les données. On est fées dde base femmes allouées. Cris de nouveua -né ! Onntrace ! On vioudrait comprendre ensemble ce qyui est qui semble se pointer sur place, faire son effet, se montrer... et nous d'y penser. On veut
aller ensemble par le pré chercher Romance, Chants de Fée, Parades chantées, Cris des Prés, Sortes d'enfance. On est nés Fées en tant qu'on est; On veut ensemble ici comprendre les données, en faisant en sorte (de fait) qu'on puisse tracer (sur roche) ce qui est qyui nous app&raéit. On veut chercher (et du coup si possible trouver) ddes vérités qui puissent nous aider à (en vrai) comprendre ce qui est, ce qui se passe , ce qui est qui se passe ou se tra&me en termes de passages (dits "au débotté") de vie à trépas ou quelqaue chose de cet ordre -là. On est nées (dans la mort : au passage) fées ! soit dédoublé ! on est homme défait ! dédoublé ! fait femmes au débotté (ici) au passage = fées des fées , qui cherchons Romance à déplier, donner, lisser, comprendre, tracer, déployer, dire et poser. On est des fées de contrebande. On voudrait ensemble savoir composer les chants de "la chance", les données de g arde et autres chansonnetes haletantes. On est des Fées : "de passage" ou "au passage", féess "du passa&ge", fées ainsi formées ! On aime passer, traverser "la Roche aux Fées ", comprtendre les doné&es de base. Aurochnoïdicité de Rage ? on ne sa&it ! on trace grave ! vivacité et pugnacité font très bon ménage en vérité. Le soleil est haut qui semble briller pour nous inonder de sa douce chaleur animale ! on aime aimer ! on aime tracer et toucher les bêtes dees prés : buflettes à jamais, buffle sablé, chevaux des prés, charge-bisonnnes et autres bovidés dits "de saison" comme les fruits de la Passion. On aime s'aimer (aussi) de saison (en vrai). On cueille les baies. On est Femmes)
-Fées sachant chasser. On se colle ensemble ici au débotté au cul en vrai l'une de l'autre, à ne pas, jamais, s'éloigner (pour le coup) l'une (la lune ) de l'autre (le soleil). On e'st des fées (faites fées) par (en fait) un coup de lune ou de Soleil il sembvlerait (ça le ferait) .On VeUT cerner ce qui est pour de vrai afin de mieux comprendre les tracés de rage. On est fées de base, chants royaux, reines des prés, pesage et montrage. quan,d on aime il fait monter haut (sur place") par la bande ! creuser ! chercher ! prendre ! craindre ! coller ! cerner ! ALller loin en ces contrées dites "du cimetière" alors même que ce ,n'est pas vrai ! elles ne sont pas "du cimetière" mais post-cimetière on dirait. On st nées toutes post-cime'tière en ces contrées. On est accolées qui voulons cerner ce qui est, qui serait actif, vif, et saurait comme nous indiquer la voie (
le chemin) la (le ) plus propice pour nous aéider, à (peutêrtre, si jamais) cooimp rendre où tout ça (la lune, le soleil) pourrait nous mener. On est femmes de la Foi dans l'Âme ! Fées des Fées aux données de Rage ! On passe ! On veut comprendre ensemble (accolées) ce qui est, qui sembvle nous aller. on entre ! on est entrées (de base) en tant que fées (au passs ge) et on trace , on fait son effet, on court on trace ! on est comme nées a&u nez et à la Barbe d'une ... Déité attitrée à un Passage nommmé, marqué, signalé sur bande, allouée ! On éime s'aimezr . On veut tracer. On veut pousser de ra&ge les donnéesz, les avancer, les signaler, les tracer sur roche allouée, les faire monter, les hisser ! On est fées d'entre" les fées. On veut comprendre ensemble ce qui est qui pourrait nhous aider à cerner plus avant (encore) cette histoire (de fait) de romance allouée à une sorte de passage "au déb otté" (= de vie à tré&pas). qui on est ? On est des fées. On cherche à cerner ensemble les faits. On veut cfo:mprendre -toucxher = dire et faire à jamais une sorte de tracé qui szerait de fait l;e dessin en vrai des données avérées, concrètes, concernant la vie allouée à la mort, l'entubage-né, la chose sur pied, l'import. On est nées fées dans la mort (ni plus ni moins) et ça se sait. qUand on meurt onpasse (de rage) d'un port, à une sorte
de cloison des ors. ors des fées de Rage. Ors des morts. On porte Ramages ! Cadrat d'ior ! Ors de Rage. Ors des ors. Façade. On aime ensemble (fées) coller à ... eh bé à cette sorte de Paroi des Rages ! La Paroi de l'or sage, mage, passé . On cfompte les faits. On est passées près d'y passer à jamais ! On est fées des RAges Vives. On aime aller ensemble d'une rive l'autre, s'époumoner à force de chanter, gueuler, dire nos vérotés (nos 4 vérotés) , souscrire à une sorte de Passé tel qu'il se seraéit déroulé en vrai szur roche allouée à une Vérité Ancré de type Religiosité . On e'st nées sur pré , filles-fées de contrebande un peu chahutées, ensemble, on sait se lover ! se positionner ! comprendre ! sonder ! toucher et passer près ! se donner ! aller sur pied jusqau'au pied des Tra&its dits
"Traits des Déités
Allouées à un Dire
Doré comme les blés".
on est fées accolées à une (sorte de) pré aux fruits déposées. On court on vole. On dirait en vrai qu'on vole ! et peut-être qu'en effet en vraéi on vole ! On va haut sur Roche ! Tonneau ! on est ivres mortes ! On aime le Beau ou Bel Alcool de Peau. on est filles des prés, fées nées, on est assoiffrées ! on aéime (en vrai) le Beau Vidé ! On veut trouver, cerner et toucxher, comprendre un grand nombre de données,sopnder, permettre, charger et coller, ensemble (toi et moi , à toi à moi, à la une à la deux), à la paroi finale (terminale) d'une enclave. On
est passées de l'autre côté, nous voici dès lors, avec l'envie de travezrser en son entier cette sorte d'enclave tracée, ancrée, qui seraéit une sorte de pré dit "des prés ... et des charges mentales". On veut cfoller ensemble (nu pieds) à la lande. On marche en sandale ... non, sans sandales ... on marche pieds nus sans nu-pieds, on est nues ! on trace ! on est fées ! on est velues ! on veut toucher , comprendre, cerner et pister. On veut chercher ensemble les données données, te'llrs qu'elles se présentent. on est accolées de rage pour ce fait : comprendre-toucxher et du coup aller ! filezr ! foncer ! chercher ensemble si possible (en vrai) une vérité comme stipulée qui saura ou xaurait nous aider sait-on jamais ! On est fée des fées. On veut cerner-toucher ensemble les données telles q'elles sex présentent (de rage) devant nous , le temp)s venu. On est accolées, velues, nues, pieds nus, sans sandales .On v eut
: comprendre vif, charger fort, aller loin, porter haut, cerner de prèsz, szignaler sans traîner, coller &u plus juste, permettre un toucher, contraindre à se lover, activer en vrai, une Vérité des Vérités telle qi'on aimerait à jamais pouvoir (si possible) en hjouir de fait, en cette contrée, sous le vent buffant, ici, en ce tourment. On est Fée des Fées de La Rage nées, nées pour être, faire, dire, combler et donner ! On est fées comme nées d'une Rage d'ëtre , sous le vent, poussée à Faire-Dire ce qui est qui est, qui serait : Le Mot , La donnée Verbale, Allouée (de fait) à une Timballe, celle Des aAFFaires "sales". On colle aux données. On cherche ! On veut trouver-cerner. On cherche à cerner-comprendre : qui on est, qui on est pas, ce qu'on veut toucher, ce qu'on ne veut en aéucun cas toucher, ce qu'on est pour soi, ce qu'on est pour les autres que soi, ce qu'on regarde en face de soi, ce qu'eon voit, ce qi'on ne voit pas. On avancev pas à pas. On trace sa voie . On est Fée de base allouées à une Voie De Rage. On est là ensemble, accolées (femmes), pour comprendre ensembvle la paroi, le Roi, La Donnée de base, la (ou les) Donnée(s) Docte(s) et autres Chants Malins ; la base, le rampant, la bande, le Prince de Séant, la Balle. On regarde . On est nées sur pré dès la mort actée (au passage du pré). On colle grave ! On est comme défait (homme défait) au passage, et du coup transformé en fait en fées de base. Qui on est ? dans la mort ? des fées ! fées aux ailes d'or ! On est passées ! on a traversé vite fait ensemble la Donnée de base et du coup nous voiçci comme ailées , soit munies d'ailes de fée comme en vrai (on croit rêver ! ) On aime les féesz ! on cherche à cerner ensemble ces fées, ce qu'elles sohnt en vérité opur notre gouverne, ou ce qu'elles seraéient. On aime les fées comme ... nousz-mêmes ? car, en vrai : s'aime-t-on ? o u s'aime-t-on autant qau'il paraitraéit ou qu'il le faudréit ?°. On est femmes accolées car, voilà, on a traversé (ensemble) le "pont", la charge , allouée à une parade. On est fe'mmes des prés et fées de base ! on est collées de r age à u n e sorte de "guimb arde" aux dopnnées "étranges" on dirait . Que sont ces données ? desbases allouées à un pré ! Gentes dames : buflettes nacrées, bisonnes charmées, chevales des fées, bouquetines
ancrées, ourses des p)rairies et du paradis, lionnes allouées à une vérité chargée, biches accolées. On est sur pied. On veut toucher à une sorte de paroi donnée. On veut ensemble si possible aller au plus loin des données allouées à une vérité rupestre, du genre "buflette". qui on est ? on e'st de s fées de Rage touchées par (peut)être) ... une grâce, à être des bêtes ! On court on vole ! on monte ! on s'érige ! On a envie de vivre ensemble en cette sorte de prairie, notre vie ... d'infante sage ! On ne veut pas mourir ô grand jamais ! on veut vivre ... pour toujours ! ne pas trépasser ! aller ! charger ! donner ! coller ! dire ! pousser ! comprendre ensembleb les données tracées (szur roche) à ùain levée , pâr quelques êtres des temps reculés . on est nées szur roche Fées, la mort passée ! On est Fées, nées, de fait , la mort venue (passée) à jamais ! Fées d'entre les Fées nues ! On est nues de fait parmi les Fées ! On s'aime nues ! on se veut nues ! on aime être nues ! on aime toutes deux êztre nues du cul, l'une pour l'auttre, sans arrêt. On aéime toutes deux être nues (complètement) l'une pour l'auttre. On se plaît nues ! on s'aime (zinsi) nues ! On adore être nues et se balader nues et se promener en ces contrées nues, complètement nues ensemble sur un pré, au miieu des bêtes des prés, bêtes nues elles aussi quoique velues, alors que nous ... pas autant velues, quoiqu'un peu poilues, voire (parfois) beéucoup poilues, selon les moments , en vrai, de l'année. Car, par moments, on est plus poilues du fait que voilçà, ça pouusse, très !
23/8/2024
On regarde ensemble dans le même sens et on s'interroge. On aime comprendre et tracer. On est deux. On est deux pour être , pour ainsi dire, celles qui pourront dfe fait à lea une à la deux traverser la roche. oON se doit de traverser et du coup on trace ! on fonce ! On y va de concert car voilà, on s'aime ! On aime aller ensemblee à travers cette roche dite "des embruns". On se doit ensemble de tracer et d'y aller ! On le veut ! On veut tracer, filer, coller aux données, faire ainsi qu'on puisse coller ou traverser, passer de l'autre côté, filer grave, foncer à travers la lande, se joindre (ensemble) auux bêtes (nombreuses) des prés. On est nées pour être elles, les fées , les fées de la lande. On veut cerner et du coup voilà, on passe tête la première à travers la paroi , car on veut toucher ici et là à cette sorte dedonnée suprême dont le nom en toutes lettres est "Déité des Déités agraires". On connaît ! On est passéess de l'aiutre côté, on a traversé la roche "des prés", on est tombées comme à la renverse de l'autre côté et nous voilà alliées aux beters-mots, bouquetins et bouquetrines, buffles tracés, bufflettes olé olé,charmes et douceurs des prés, on est accolées, collées à elles, à pareilles bêtes. On aime ! On veut aller près d'elles ! on veut cerner-toucher ces bêtes, les aimrer et en vrai c'est ce qu'on fait ! on les aime de près ! on aime ces bêtes , on aime les toucher, les toucher de plus belle. On estvaccolées à pareilles bêtes , on veut les toucher, les aimer, les approcher (de fait) au plus près. On est ou on serait comme elles des bêtes. On est bêtes des prés comme elles. On veut les toucher , les aimer, les dessiner, les approcher de près. Qui on est ? On est bêtes des prés. On s'aime ! on veut tracer, aller, courir sans traaîner, faire ainsi qu'on puisse s'approcher des parois du Verbe, coller à cette Déité du cimetière dont le nom (genré) est : Tête ! Onest nées sur herbe, on trace, on va grave pour tracer sa voie ! On est comme nées du Verbe sur paroi sous fgorme animalière on le voit. On est bêtes de scène , somm, traits, fortes têtes on est , et aussi guerrières, allumées, vives
et colère si jamais ! On est nées pour être elles : les fées ! dans la mort du cimetière être des fées, ou Les F2es, Les Fées des Herbes. On e'st nées pour être fées et du coup on trace , on avance, on file, on ne s'en laisse pas conter, on veut comptrendre +++ ce qui est et du coup voilà ce qu'on fait : on file fissa ! on y va ! on cherche à hue et à dia ce qui est, c'est-à-dire les données données, le tracé ancré, l'omoplate délivrée, la chance aux agrès, la timballe, tout ce qui est qui puisse nous aider un tant soit peu à comprendre ce qui est devant (en face) à nous attttendre fixement et patiemment. On trace ! On reg arde. on est pasdsées de l'auttre côté, côté champ ou pré, côté bêtes fortes, on est entrées et du coup on trace ! on y va gaiement ! on cherche (ensemble) à gagner la place, le traczé sur pré attitré, la voiie de base. On veut aller ! tracer et gagner vers ce qui est en vrai cette voie tracée pôur aller fissa (jusqu'au bout du bout) en face : la Paroi ! La Chance au grattage ! on voit ! On voit au loin la Paroi ! l'amiante ou sinon quoi ? On est nées de rage (d'une rage) et on voit quoi on voit ça : ce qui est là-bas, ce tracé de base, voie des voies on y va ! on trace ! on va droit ! on est femmes des prés à la retombée, on trace, de fait, vers cette (sorte de) "D2ité des Déitéds" qui semblerait nous faire face. On est accolées (nous deux) en face à face, avec ... eh bé Elle, cette Chose imberbe ! Déité ! Chant des prés ! Romance ! On est passées à travers la roche direction le pré et (à présxent) on se rapproche à nouveau de la roche (en rotonde) afin de (une fois encore) traverser la roche, passer, voir ensemble de l'autre côté, ce qui est, ce qui en vérité est ou serait qui nous attendrait ! On veut comprendre grave ensemble les données données de la roche ultime ! Roche allouées à une Vérité Sacrée, riche en données de toutes sortes concernant la Mort, Vie et Mort accouplées, Chants du Sort, des Envies gravées, des Bêtes Montrées. on mate ! matons ! regardons les choses en face et en vrai essayons de comprtendre les données les plius ancrées ce qu'elles auraoent à nous révéler en termes de définitions ou de révélations concernant la mort. Alors .... on pourraiot dire ou avancer ceci, ici, cette chose (dite "de paroi"), comme quoi en vrai, la mort est ... Satiété ! hé hé ! On voit ça ! On est nées pour aller toucher à cette Déité dite "de paroi". On est accolées (à deux) pour eh bé voilà, tracer ! coller à la Donnée, aller graver, charger, faire ainsi que Déité soit comme rassasiée , d'ùo les nénés et le prix du Lait , c'est ! c'est ainsi que c'est !! On essaie ensemble de se rapprocher des néenés de base (d'une roche allouée à une sorte, en soi, de mamelon) et ce faisant , qu'est-ce qu'on fait ? on trace ! On colle ! on fonce ! on veut cfomprendre ce qui est ! On veut toucher au mamelon "montón", on veut y allezr ! on veut traverser et passer, se placer, coller pour passer, coller à deux pour du coup passer, traverser la roche, la paroi du monde, le sommet, la roche allouée à cette Déité des Déités . On veut coller et
traverser ! aller dec l'autre côté et filer ! courir à travers le pré ! aller vite au fond du pré pour cerner les do nnées ditrtes "disposées" comme à l'arraché, déposées sur pré, allouées à une soprte ici de pré aux données données de type (fortement) animalières. On connait ! on comprend des choses. On veut toucher la Roche du fond. On veut tracer sur elle les données premières, coller, s'approcher de front, comprendre et toucher. qui on est ? on est nées Fées au cimetière on dirait : AILES. On veut être AILES, AILES ALLOUÉES à une sorte de donnée de type Déité dont le nom en vrai (en toutes lettres) est FÉE ! Fée de Rage ! Fée de base ! Fée docte ! Fée des prés ! fée des données fortes , genre animalières néandertaliennes ! on est nées fées ! on est passées ! on est da,ns le pré ! on a travezrseé comme à la dérobée la roche prioiùmaire, le roc alloué à un cimetière (sorte de) et nous voilà tombées , tombées dans un pré, champ de luzerb-nz aux bêters gravées, on aime ! On marche ensemble au son des musezttes. On est allouées à ce pré en herbe. On marche au frais. On aime marcher. On va ainsi nous promener , charger, courir et se pôser, brouter, brouter
comme elles, toutes ces bêtes comme affiliées à une vérité "des prés". On est bêtes comme elles (fées-bêtes" , qui faisons ensemble le chemin des fées" on dirait.; On est nées fées sur herbe dans la Mort donné; on est nées (renées) en cette herbe des données rupestres. On veut cerner ! toucher ! aller ! comprendre cec qui est qui est ou qui serait pour nous la fleur (la crème) des données si tant est ! On veut tracer ! courir ! jouer ! ne p âsz vréritablement mourir soit défaillir mais tout au contrzaire se coller (l(une à l'autte) et tenir allouées à pareilles données dites "des prés". On veut cerner les données rupestres. Aller ensembkle jusqu'au bout du bout de pareille pour le coup enclave prairiale : toucher à certe vérité donnée de type "cloison murale". On veut aller ensezmble jusqu('au bouyt du bout, pour comprendre, toucher, regarder, presque espionner ce qui est qui en vérité ici (prairie aux fées) se trame ou se tramerait. On est F2ES de rage en ces contrées et on veut de rage, du coup, comprtendre ! toucher ! aller ! ne pas sombrer ! faire fi des bases allouées à un cimetière mais coller ! coller à cette soerte de donnée finale ou terminale, coller grave ! regarder ! toucher ! se glisser autant que possible ! regarder les données possibles, le tracé nacré, l'embarrure, le passé, le dieu donné, l'embrasure, l'envoyé, le déplacé, la turne, l'emporté, le vif et la plume, le petrit oiseau de bonnhe augure, l'idiot, le conno, le p)arfait conno ou qui d'autre quyi est là qui serait comme à nous attendre comme un nigaud ? On est de base Fées des F2es, qui voulons, dans ce "pré des Fées", comprendre. On est F2es faites ! pour l'Herbe, le pré, le c hamp des fées, le tracé a:lloué à une sorte de sentier menant tout droit (hors cimetière) à ce passage étroit d'un mur de derrière, vers là-bas, la plaine, la toundra, le soleil vert, la cghaine des neiges, le donné royal, l'amulette, le prairial suprême,
l'ontogénè-se. On vezut ou on voudrait ensemble faire (ici) cette chose à deux (on est deux) qui est, pour ainsi dire, de .... comprendre "sec" , les données du VErbe envieux ! On veut grave ensemble cerner, toucher aux données = cerner ces dopnnées, données des rêves ou sinon des rêves des pensées allouées à une sorte de Passé , dit "de cimetière", mais en vrai le cimetière est une sorte de pré alloué à du Verbe Nacré (sacré ?) de type Vérité des Vérités. On trace sur pré chemin de passage, on fonce grave, on court on vole (inclinaison, lévitation) et du coup on gagne (fissa !) la Paroi de Roche Finale, là-bas, le tracé des bases, le Fond de Barrage. On regarde ! On voit quoi ? des traces de pas ? on y croit ! On veut ensemble (main dans la main) comprendre les traces, les données de Rage dxes Paraois Finales. On rzegarde. On voit quoi ? une sorte de paroi qui , peut-être, s'ouvrirait à noptre passage,, ou pas ? Ouverte de base = échancrée ? On ne sa it pas ! On cherche grave ! On veiut passer ensembke, toucher D2ioté, Voir / comprendre les Données des Fées ou dites "des Fées", ce qui est, ce qui se passe, ce qui se trame, ce qui se rassemble, se qui se fait , ce qui est qui se fait, ce qui est qui tremble. On veut de fait ensemble si possible, au maximum, comprendre sezrré ! toucher Déité ! Toucher à cette Déité des Rages ! qui c'est ? "c'est l'plombier" ... des parrages ? On ne sait ! on veut comprendre = voir, voir de base les données actées, la fumée des paysages, les cl artés, entendre le cha nt comme alloué à une sorte d'anfractuosité permettant (grave) pour de vrai un passage, à travers la roche elle-même allouée à pareille contrée praioriale. On entre ! enfin disons on essaie d'entrer, de passer un oeil au jugé, cerner-toucher vite fait les traits, les formes oblongues,l es fumées, les clartés de près. On est nées fées on s'ap^proche des fumées. On est , dans la mort, nées fées, transformées, transformé en fées, transformé d'homme au singulier en fées, au nombre de deux il semblerait (ça le fait !) et nous voilà sur pré à chercher (rechercher) la Chose, le TRacé tracé, l'anfractuopsité de Rotonde, le pasdsage alloué à une sorte d'entrée ... du coup dite"de fée" telle qu'il semblerait qu'il nous fût alloué ! On est fées de trait ! On trace ! on colle ! on fo,nce ! on veut toucher à ce tracé "du bout du monde". On veut toucxher toucher toucher , à ce tracé tracé tracé ! du bout du bout du bout , du monde alloué à une Vérité Acté de type Déité il xsemblerait. On esty accolées (§serrées l'une à l'autre) et on cherche à (re)traverser la roche, après l'avoir unre première fois de fait traversée, nous voici, après le pré trouvé, qui cherchons ensemble (fée = AILES) à re-^(pour le coup) traverser, la Roche-Rotonde, l'ambra sure ; l a retravezrser (en vrai) pour ainsi dire, soit la retrouver , la voir se tramer, la toucher, la toucher dxe près, cerner-allouer, à pâreille Donnée, une sorte de "Vérité des Vérités". Comprendre. Cerner = toucher = dire. On veut dire et cerner ce qui est afin de OUI, faire ain,si que pareille donnée terminale (genre "vie après la mort-vie") soit vivace ! On entre ! on entre (si on peut) un oeil ou sinon quoi ? On entre, qui un oeil de Rage, qui un doigt. ON est au fond du pré. Rotondité des contrées, on a gagné le fond, qui est fond de b ase pierrale, pierreuse, mur d'enceinte fait de pierres , roches, roc durs, mots des fées. On veut toucher à une Déité matûre ! et du coup (OUI !) cerner ! , toucher = cerner = dessiner (de traits) les données, de base motrices, genre "animaux des prés", bufflettes allouées à une m atrice, bisons futés. On est comme accolées à une roche, de rtype "rotonde" des prés. On veut COMPRENDRE= COMPRENDRE LES faits. On veut ici toucgher pour (du coup) traverser, maiis cxomment traverser sans percer, et percer sans y passer ? C'est une sorte... de , sorte de , qui sait, casse-tête ? il sembleraiot ! On est bêtes, on chzerche, on ne xsait ce qui est ! On aimezrait grave connaittere, ensembkle, ces données de base, les jauger, les soupeser et voir ici (de près) ce qu'elles contienhent ou contiendraient en termes de vérité attitrée. On est qui en vrai ici ? des fées ? oon ne saiot ! ELLES ! peut-^tre ! Ailes ! qui sait ? on pourrait tracer, chercher, sui vre un tracé, essayer de comprendre les faits tels qu''ils nous apparaissent au débotté. On serait aéinsi éclairées ! mais comment faire ? qui on est en vrai en ce post-cimetière aux données allouées à une vérité de verbe ? On ne sait ! On chercvhe à cerner ! On est comme passées à travezrs la pierre une première fois (on dira : la mort) et nous voilà là (pré aux bêtes fortes) qui cherchons (de force) à essayer de, non pas en vrai rebrousser chemin, mais, en quelque sorte, retrouver la pierre, plus loin (la même en rotonde), afin de, pour le coup, ensemble (main dans la main) tenter cette approche d'une sorte de ... re-passage, ou colmment dire, re-passage de vie, de vie-mort à ... tré&^pas ? ou quoi ? re-la vie de l'au-delà de l'au-delà ? On cherche grave ! on est pas encore arrivées ! on a pas mal de "chemin en souffrance" qui, en vrai, peutêtre, nbous attend ou attendrait incidemment on a cru comprendre
; on veut aller profondcxhercher ensemble à pour le coup comprendre ces données dites "des fées", dites "des fées" car, elles sont comme i,ntroduites (avancées) par des sortes de fées liées à la mort ce qu'elle est (paire d'ailes ?). On est ensemble arrivées à passer de l'autre côté une première fois la roche, mùaintenant voilà : RE. Re la roche si tant est. Rotonde ! on se retrouve nez à nez comme qui dirait avec, à nouveau, la roche, la paroi frontale, les bêtes de rage, le passé, la place, l'avancée frontale pariétale, roche aux apprêts, façade, cloison murale, tracés de base, vérités. On veut passer ensembkle à toi à moi cette façade de paroi et du coup quoi ? se retrouver comme à l'ambassade ? re-passage pour une retrouvaille ? quoi ? on ne sait pas mais voilà on trace ! on ne lambine pas ! On veut grave comprendre, comprendre la charade ! On est là pour ça : enttrer, courir, passer, comprtendre, toucher. On voit ce qu'on voit. On est nées sur pré Fées, nous voilà comme sommées de re-passer à travers la Roche, de l'autre côté... côté vie de Base ? vie-Vie ? vive vie d'entre les vies de base ? vie des vives données de base ? On est nées fées ici (la mort) et nous voilà comme recondyuites (toi et moi pour Soi) comme à domi$cile ! On est touchées ! On cherche à cerner ! On veut grave trouver ! trouver graveà , pour le coup, comprtendre (ensemble) ce qui est ici, qui semble aller, se tramer, se faire, se monter, se dessiner. Une sorte de ... mât de rêve ? :mât de misaine ? tri actif ? rotation ? On est deux pour en vrai être Fée des fées, on est dans un pré rempli (ici) de bêtes de pré,
on marche têtes haute, on est accolées, on se donne la main, on est des fées nous-mêmrs, ou une Fée de cimetière, ou sinon fée de cimetière, Fées des prés, FÉEs de ce pré aux b^tes de somme ; ou sinon des fées dites "de parole", "Fées de Verbe"; on est entrées ! On vouklait (grave) essayer de toucher à cette D2ité des Déités dites "de cimetière", on y est ! On est passdées ! on a touché ! On est comme en vrai entréées ensemble tête premioère en ce pré de Rage, la tête relevéée, on est nées ! nées de Rage ensemble ! On est néesz de base sur herbe ! On est fées faites ! On aime ! ! on s'aime ! On veut toucher, aller, cerner, comprendre, allouer, dire, pousser les données vers (peut-être) une sorte d'enclave ou non, de passage, ou comment ? on enttre ! on est entre ! enttre deux parois de base d'une même (en soi) rotondité ! On est soumises à une sqorte d'"enclavité" de référence ou quelque chose du même genre, et du coup on trace ! on court on vole ! on s'envole ! on est comme envolées, voleuses, volantes, on passe ! On s'approche ensemble ! On veut comprtendre ! on veut aller ! on cveut faire ainsi qu'on puisse ezntrter tête première e,n c ette roche des données dernières. Qui on est ? on est allouées à une roche ultime aux données données , du genre Vérités ! On veut toucher ? On voudrait grave toucher ! On voudrait grave allezr profond, en pareille donnée allouée au tréfond des roches ! de la roche rude. On veut, ensemble, aller toucher. On veut grave ensembke toc-toucher la roche allouéeé à une vérité dite "des tréfonds". qui on est ? On est (dans la mort) F&ée ! On est Fée de RAge , dans la mort. On est commùe en vrai fée, en cette chose d'une enclavee, paradisiaque, dont le nom serait (de fait) La Mort ! La (en vrai) Mort d'Homme ou de Femme, Mort de l'Homme fait, qui, en vrai, dans la mort, devient Elles = Ailes = Fée ! c'est un fait avéré ! post-cimetière ! les nénés ! la grève! le sommet de tête ! l'envolée des envolées ! la pierre ! le donné et le jaugé ! l'alouette ! on jette ici les données do nnées commùe en vrai elles nous viennent , on est nées de base imberbe, on est fauchées comme les blés au cimetière, on est allouées à une roche pleine, forte tête, dureté
mùère, frai ! On edssaie en vrai de cerner les données les plus ancrées en cette terre mais voilà, la vérité est (quand même) difficile à atteindre, il faut s'y coller, il ne faut pas lambiner ! il faut chercher de près à cerner ce qui est, à comprendre , à aller (profond) en ces sortes de données frontales, qui sont (ou serzient) données axiales = vérités xde base "à tout jamais". On est icfi ensemble pour (qui sait ?) toucgher le... ventre de la Rage , Rage allouée à une Sommité de type Bisonne, Buflette touchée, Cheval-Amazone, Chavalité de zone. On est Bêtes de somme= Fées c'est vrai ! ça peut paraiotre exagéré et pourtant c'est un fait ! On est nées : bêtes de somme / fée, en ces contrées des bouts de mondxe d'une vie siur terre, et la roche passée, nous voici transfor(mées ! fées ! fées de Rage ! Trouée ! cri dee base ! On veut toucher toucher toucher , cerner cerner cerner, dire dire dire , en trinité les données données (donées). On ne veut pas faivblir ! on veut coller à Déité (aux données sauvages) et cerner de près et sans ambages ce qui est qui semblerait vouloir comme nous séduire. On est Femmes des prés allouées à une Sommité lascive. On aime aller sur pré saillir ! On aime baiser, toucher-toucher, se lécher , se laisser aller, se faire grimper, se faire monter, se faire foutre voire enculer = se faire traduire ! On est comme nées (sur roche) à la une à la deux, vives fées des Roches ! On est nées gouines en cette (sorte de) roche des prés dont le nom, attitreé, est : eh bé qui sait .... la mort.... en vrai ? on ignore !On ne sait ce qui est ! On subodore ! On est comme allouées (fées) à une sorte de cohorte de type "bisonne" et du coup on suit ! on colle ! on colle au troupeau! on est comme accolées à un troupeau (ou sorte de troupeau) de bmêtes de pré. Collées accolées on est. On colle ! aux bêtes fortes, aucx bêtes massives, au troupeau de peaux. On est : Fées de Vie, Chance accrue, Vives Allouéesz, Franches Venues, Mouches de Rue. OIn est nées sur pré à la retombée quand on est venues, qu'on a traversé ! On est nées à l'in stant précis où on est passées "de l'autre côté" , à la une à la deux le roc des Données. On a paqssé ensemble ... le minois, le torse nu, on est nées sur pré, ainsi tracées, on s'est regroupéses pour former ... FÉE, de base nue ! On est née F2e ! Ailes Dorées ! On est ensemble comme entrées en cette chose d'une sorte de prairie lacusttre, pré des mille donnéesz , pré animalier. On est entrées et on s'est retrouvées comme allouéee de fait à une vérité , elle-même liée à la rotondité des contrées rencontrées. qui on est ? Des fées ! dans l a mort des fées ! On est fées = ailes. On aime êztre Ailes ! On veut ! On veut (en vrai) être Elles , dans la mort . On veut dans la mùort en vrai e^tre ailes ! Elles ! elles desz données? elles-données, Données, DONNE. On veut grave en elle (la mort) Être FEMMES ! FEMMES -DONNE. On veut ! on veut on voudrait ! grave dans la mort ! être cette chose , d'une femme-donne. On veut toucxher à cette déioté du bout du monde (allouée à une roche qui serait, toute, à graver). On est femmes des prés , Joconde ! On ose ! on veuyt toucher toucher toucher à cette trinité , qui erst cette cohotrte : une bête de somme, une bête-mot, une bête de poids. On aime ça ! aller et venir en ça : la roche ! traverser ensemble, main dans main, comme accoléesz à une Vérité (Priofonde) de Roche, Paroi, Pierre d'ombre. On est paqsssées de rage à travers ça, la roche des prés, nous voilà Colère ! Fée des fées toute en colère d'avoir traversé sans céder ? ou sinon sans céder sans quoi ? On est nées ! on est enfin nées ! on est nées de RAge sans céder c'est un fait ! on est passées ! on est nées dans un pré, on se retrouve comme nées, de rage, dans un pré rempli de vaches ! c'est fait ! on est accolées ! on veut cerner-comprendre, chercher ce qui est, akller ensemble icxi sur place toucher à cette déité des déités frontal on dirait ou alors (sinon frontale) temporale ? on colle aux nénés ! on tète la bête ! on est bêtres nous-mêmes sachant téter, on aime ! on aime le lait (téter) , chercher à comprendre via du laéit, ce qui est qui estr en cette sorte de rotondité ou d'enclave à jamais, ou sinon à jamais , le temps de passer, de travezrser, d'aller vers ces contrées de charme, bout du bout des antres,, on croit comprendre. On est passées, et du coup on veut cerner les données finales. On est qui ? On est nées sur pl ace fées ! nées Fées ennoblies de base, on avance,, on trace, on file à toutes enjambées (?) vers les données finales, mur aux fées, antre terminal, cage dorée. qui on est ici (dans l'antre de la mort) ? des fées ! Fées du logis ! on est accolées ! On est nées de rage en ces contrées fées = mouches tsé-tsé ! On veut toucher à cette Déité des Roches Sacrées , Déité des D2ités. On est passées et o,n veut tracer et du coup quoi ? re-passezr ? re-voir du pays ? re-venir à la Vie en vie ? ret ourner à ses envies d'avant la roche ornementée ? chasse au dzébotté ? cueillete assoiffée , ,course à travers les prés ? ceux de l'avant-scène de la mort en herbe ? On ne xsait ! On est nées puis re-nées puis pâssées puis ... ou sinon passées : pré-passées. Ou sinon pré-pa ssées : comm" pré-passées. On oses ! on est cfomme nées, sur herbe, à la retombée, des fées. On est comme nées fées à lma retombée ! On veut cerner ! toucher ! aller ! comprendre ! faire ! allouer à une roche u ne sorte de ... sommité de cimetière ou dite "de cimùetière". On veut dire et cerner, chercher et faire, trouver, cacher, pondre et coincer, soulager. on est nées femmelles dans la mort en herbe on dirait. O,,n veut coller à cette déité des données dernières. quand on naît on naît herbe, trait, colère, femme des prés, herbe verte, colère innée et ancrée, soulevée, fière, chargée de verbe. On veut toucher toucher toucher, à) cette Déité des données Sûpremes . On est comme néezs à une véroité soudaine enfin soulevée (da ns l'herbe) = envolée ! fée ! fée ! fée de base des données de l'herbe ! fée des fées on aime ! On veut aller, toucher et tracer, comprendre, cerner, aller grave au plus loin des données p^rairiales rechercherv le trait, le tracé, le dessin acté, l'herbe des prés en sezrait transformée ! On aime aller sur herbe chasser (comme qui dirait) une vérité
"poxst-cimetière". Cerner-allouer. faire et dire. Chercher les données du rire, de la joie montrée, des actions mennées à même le pré. on est femmes des prés allouéesz à une sorte (en soi) de mise à bas des données "abruptes". Qui donc pourrait ou peut nous cfomptrendre en ça ? MOI ? Ce Moi de bas-étage genre "maussade" ? On est co:mme a&ccolées, par la bande, à une donnée de type "romance", et cela nous sied on dirait. On est "douce-france-allouées", on est nées de base en france, fées ! On est accolées en forme de fée. On est femmes d'une romance et du coup on entrte, à travers la roche, vers un pré de base, pré des prés, emplis (grave) de bêtes dites "de la chance", bêtes allouéesz à une sorte de donnée de base sale , saleté, ou peut-etre ... s age ? On est nées sur pré comme à la parade !
On est entrées ensemblke tête -pied, en force comme des malades, on voulaéit percer ! On est passées ! On veut coller ! On veut tracer ! On veut être nées, de base sur pré ensemble soulevées ! comme soupesées ! envolées ! On veut voler ! tracer ! filer ! comprendre enxemble follement ce qui est qyi nous concerne ou nous concernerait de près, et qui est cette chose cfomme vqyuoi on s'aime ! follement ! en ces contrées post^cimetière il semblerait. On est femmes-fées des p^rés alloués à une sorte de contrée post-cimetière, aux données données "par derrière", "à l'arraché", comme un sort jeté ! On est passéesz à travers elle (la r(oche allouées à une vérité) et nous voilà comme tombées dans lm'herbe au milieu des b^$etes (poids des Rois et RE"ines) à chercher à (de fait) nous recdresser. On est redressées. On court on vole. On ne s'en l&isse pas conter plus
qu'il 'en faut, on trace au cordeau, on file à l'anglaise, on s'aime follement sur herbe, on est "belles bêtes" de paroi de Roche. On aimùe aller ! s'(aoimer de près ! cerner les dobnnées, les données acxiales, la vie ce qu'elle est, les données frontales = les envies. C e qui est est, ce qui n''st pas n'est pas. Le sait-on assez ? on va droit vers ça : la porte ! On voit ça : la roche, aux données profondes. On veut passer ! aller de l'autre côté, à la recherche de données fiables oiu disons "tenables". On aime grave nous pointer deva&ntt
la porte des données finales. ToUcher ! faire ! graver ! dessiner ! On vezut grave dessiner des bêtesz et à main levée ! bêtes de roche = bêtes de poids. On les aime ghrave ! on aime ensemble grave les bêtes, de poids, sur paroi. On est FEmmes Sardes (?) : qui le croit ? On est des femmes sardes, on chante grave, on veut comprendre le pourquyoi dxes choses ici -bas et ici -haut entre deux voies (deux pas ? deux tas ?). On y c roit car on est là, qui voulons cerner la rOùmance" des parois et autres chants en transe ! Sarde tu le crois ? Sage sarde ? On y va ! on chante en transe ! tra nse xde paroi ! on y va et on y croit ! on est en transe ! on chante ça en transe va comprendre ! On est là pour ça : la transe-danse de paroi de Soi !IoN entre ! on entre ! on entre dans l'antre ! on est comê en transe ! en nage ! on sue de rage ! On est femmes sardes ! toutes nues on sue ! on est femmes sardes sur paroi de RAge ! cris de joie ! allelluyah, charges mentales, frontales ! cri d'effroi ! On passe ! on passe ensembvle ! Ailes de paroi ! on passe on trace ! on dessine sur ^lace (paroi) lza Chose de Poids dont le nom de base est : Charge ! poids ! rage ! dire de poids ! verbe à la noix ! potage ! charge de bois ! ramages en veux-tu en voilà ! CERf de bois et de sous-bois ! BEtes de poids = vie saubvage ! On aime ça, ensemble, tracer. On aéime ensemble ici et là (sur paroi) tracer : qui ça (le bison du Roi) , qui ça (la biosonne sarde). On y va de base sans tralala ! on est là ! on passe ! on trace ! ion va grave sur paroi tracer la charge, l'animzl "sacré" = "nacré" = "posé". On est comme nées fées dans la mort actée , c 'est grave ! disons : gravement acté, mais en vrai ... c'est que dalle, petit fait ! On est ezntrées ! On est passées ! On est dans un pré aux bêtes de charge.. on les voit brouter, qui sont allouées à une herbe rase, on les voit aller. On les aime grave ! on est aimées ! on est aimées des bêtes de base, et on aime aimer les bêtes de poids : balancier ! On aime, on est aimées ! la b alance souveraine ! souterraine ! le tracé en forme de trajet ! on aime ! On est nées imberbes, on est passées, on voulait connaéître les contrées, le paysage genré, les peuplades, les actes tracéés cfomme à la parade : on va dire que c'esty ok ! On va dans la lande. On court à volonté. On aime les branches, les données prairoa&les, fruits des fées, bouillons. On aime aller ensemble, comme à califourchon sur notre branche ! On est nées fées sur p;lace, on va vers le fond, on trace . On est nées féees de base. On est Fées nées sur place, la roche passée. On veut cerner-comprendre ! aller-toucher, faire-dire, vivre-tomber, se coucher-tracer, donner-coller, dater-saluer, vaincre les données de rage ou ... comment dire ? les toucher ? On est comme alouées ensemble à une base de données dont l e nom ebn nn vrai , est : MORT ! comme à l'araché ! On connaiot l'entrée ! on est néesz de base fées en ces contré&es la roche passée. dans la mort on sombre ! on trépasse, on tombe de haut homme, mais femme on se surpasse, on passe les rages, on renai^t grave, F2E ! F2E des F2ES ! On re-nait en tant que FÉE ! on passe , on repasse ! on volette à la retombée ! on se redresse, quand l'homme ( lui) cède, tombe, s'aplatit, trace, se frappe, se fracasse, n'est plus, qui trépasse (le goulu) ! On nait fée-femme des présc, à la retombée : la chance ! une chance ! On est femmes née, don,ée, faite fée à la retombée la mort venue nue ! On est fe"mmes des prés, on est nées sous roche, on va loin . On vole ! on vole on volette ! on volette on vole ! On veut être, faire, dire, aller, cocher les traits. courir sans désemparer ! aller ! toucher ! faire ! cerner ! comprendre ! pisser et cghier de bonne grâce , comme des benêts ! faire sensation ! toucher les nénés ! avoir raison ! tomber puis se redresser ! souder ! pointer ! aller ! dire et sonder ! faire fi des données sans nom (allouer à Roche son Nom = se donner, gagner du galon en forme de Melon, c'sst un fait et, sur "connnes roches", cons doctes, on tombe) ! On est accolées à une roche
aux données données. On est nées sur Roche fées, et on s'aime à la volée (à la volette) comme des bêtes, comme bêtes (en vrai ) de paroi vue. On s aute ! on gag,ne la rive ! on est nues du cul ! on, veut toucher à cette chose d'une sorte de paroi
"du bout du mon,de", paroi des parois, paroi dite "secondaire" car, elle arrive (en vrai) après la paroi ditee (du coup) "primaire", après le pré (pré-ambule rupestre de type agraire, prairaial, fleuri) comme une sorte de post )-cimetière, genre mùur de fin, cloioson finale , mur du son. On est
femmes sardes sur roche p^leine. On traverse ! on entre da,ns l'antre. On veut comptendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ les données fro ntale, ce quiu est qui nouys fait face. qui on est ? heh bé peut-être des fées , en vrai. On meurt, on meurt en tant qu'on est par exemple un homme (singulier
) et, dans la mort, on dirait qu'on est ... transformé en femmess, en femmes de pré, en femmes-fées des prés, en une fée des pré, fée aux ailes nacrées, dorées, allouées à une sorte de "mât de misaine" , on diraiot. On essaie de s'y retrouver dans cette sorte de po!ème aux données dibverses, mais en vrai c'est pas gagné ! d'abord parce que, pas sûr en vrai que ce soit un poème (du genre lettré) mais surtout parce que la mort est une sorte d'entité genre cadenassée, cloitrée, qui nécessite beaucoup de doigté afin de l'approcher dans ce qu'elle est, qui vous (vite fait) met sur le côté question vérité ou profondeur des données. On essaie de tracer mais ce n'sst pas simple !! on, essaie bien de cerner-tracer, la bête, la belette, le cheval;, l'ourse des prés, le buffle acoutré, mais voilà, la chose n'est pas données d'emblée ! faut cravacher ! Faut y aller ! faut s'y coller en vraéi ! faut ne pas lambiner pour de fait s'y coller et pas à moiti"é ! On est qui ? quête ! on guette ! on essaie ensemble, entant que femmes, ici accouplées, de tracer la Charte audx Données données. On est femmes des prés : on grave ! On dessine à main levée les bêtes allouées. On les aime ! opn veut grave les aimer en tant que telles. elles sont nos soeurs pour ainsi dire de boh^me (sacrée) et de contrée ! on les aime de près, de loin, de rage, sous le vent, n'importe comment . Soeurs de lait c'est un fait ! soeurettes ! on aime le lait, le nacré, la crème, le chrème, les données actées, lactées, tracées sur rochje à main levé&e comme du verbe du passé. On aime tracer ! on trace le Verbe ! bêtes-mots de poids sur roche = ÇA , La donne, les données de base, le tr acé primal =
la chance au grattage et autres jeux (des rages) suivants. On est comme des Fées du Tourment (ou des tourments) chantantes. On aime chanter ! on cherche à cerner ! on veut comprendre, almlouer et donner, faiore un choix de Roi, de REine Touchée, de petit bébé ( des bois et sous-bois : faon des aires). On est nées de rage à l'arraché, on fait chemin inverse ! on revient sur place : ventre des données ! on veut comprendre : qui on est. On veut ensemble grave se coller à une sorte de recherche allouéev à une contrée par delà l'ère du cimetière. Qui on est ?
Eh bé évidemment que, voilà, on ne sait pas vraiment. On aimerait beaucoup en savoir dabvantage et du coup pouvoir (pluqs facilement) cfomprendre ici ou là ce zui se tra&me, en ette sorte de paroi d'un antre qui est un entre, l'entre-choses de paroi. On est femmes sardes, et du coup, en transe, on essaie de fait de cfomprendre ensemble, les données de base. qui on est ? peut-êtte en effet des fées, mais rien n'eswsdt moins sûr en vérité. On cherche à cerner de base les données, ce qui est qui semble se tramer, se tracer à main lezvée sur roche : bousquetins des prés ? qui sait ! on espère un jour pouvoir ici cfomprendre les données de près, celles qui en vrai sembvlent "gouverner", "gouverner de conserve", les vies a&llouées à une aire, à un pré d'herbe, à une sorte (qui sait ?) d'enclave dorée genre cimetière dezs données don,nées. On est allouées nous-mêmes à une sorte de "cl arté" , qui semble ou semblerait venir ou provenir d'une abnfractuosité, tracédans la pierre. Qui le sait ? On tremble ! On est femmes tremblantres sous un vent de face ! il faut dsire que ça "buffe" grave ! ça envoie ! ça frappe ! On voit ça ! On est des fées-femmes de paroi qui (ensemble) cherchent à comprendre et tracer sur roche les données suprêmes, rencontrées, trouvées au passage,, relevées : qui on est et qui on est pas, les herbes../ parmi les plus courantes, noms des rois et reines, tralala sur herbe, oui, ça envoie ! ce qui est qui va devant soi, nous conduire en vrai et fissa vers ce tas, là-bas. Romance, charabia, transe, envois de bois, connaiossance des connaéissance's. On y va car on aime ça ! On veut (on cherche à ) comprendre grave cet envoi cde choix ! on est là pour ça : acter la romance, chercher en transe, doubler toutes nos chances d'y voir grave clair en cette sqorte de maison des bases, trou du con, maison sage, traduction. On e,ntre ! l'oeil ! la chance ! on entre = la chance ! de pouvoir ainsi ensemble un oeil passer en transe ou comme qui dirait il sembleraiot en tra&nse ! On regarde. On est né"es de base en transe (pour le dire vite) . un accouchement, en vrai, est une transe ou comme qui dirait : Trandse des Transes. Accoucher c'st entrer en transe (de rage). Qui on est ? Transes ! charge reine, point de croix ! On est comme nées sur herbe à une fée des fées, Reines des prés. On veut comprendre e,nsermble, un certain nombre de données de base, et pour cela, le mieux, c'est de, pour le coup, cerner les données (les données de base) dans un pré : bêtes allouées, betes des prés, b êtesz-masse sur roche tracée ou ornementée. on regharde. Il faut cerner ! On se doit d'aller comme à l'abordage, d'une vérité de façade !
on est fées de b base de base allouée à une sorte de denrée ! On colle au verbe ! On creuse ! On est accolées à du Verbe de Fée ! On est femmesz cdes prés allouées... à un Verbe de Fée de type Verbe Ailée ! p ôuvant naviguer (d'un endroit l'autre) à la volette, au passé, au temps donné. On aime ! on essa&ie de cerner ce qui est, en cette sorte de pré des prés. On est femmes des prés ok mais aussi ... fée ! On est fée des fées ! charge docte et tracé sur roche (une amulette ?). on est nées sur roche Fée, en tant qu'on est nées allouées à une Vérité c ertaine (charghée). On colle ! on est deux (accolées) qui sommes Ailes d'une Fée des Herbes(en herbe ?)! Qui on est ? du coup : une fée ! Fée des prés en tant que telle. On veut toucher à cette déité, des herbes semées, verbe de cimetoère , herb-verbe de cimetière peut-^tre ... qui on est ? on est .. cette herbe ? ce tracé à main levé sur roche ornementée d'une grotte cachée sous un monticule (ou sorte de) de flore diverse ? On entre ! On est coomme entrées ensemble
("à toi à moi") dans l'antre. On est cfomme soupeséees ! szoulevées ! montrées-montées ! mises sur pied ou quelque chose d'approchant ! On est nées de base sous le vent, comme nacrées ! soupesées nacrées on est nées fées , aaux ailes translucides dorées, vives et nues, ! on est nées fées nues ! on pue du cul ! on aime voletter e,n grâce ! on est nues superbes velues ! papillonante on pue ou on pue pas mais on envoie ! on veut tracer ! aller de rage ! graver et gravir ! toucher sans embages les données lactées (actées) du message (en ces contrées) rencontré (le messaege) colmme tracé (par qui ? on ne sait !)) comme à main levée et d'un saeul trait sur roche préparée. On voit les nénés ! les traits marqués ! les dessins allouées ! bêtes de rage, poids et masse. On estcomme nées ensemble à la retombée. On croit comprendre les nénés, le
lait , PIS de l'homme ou de la fzemme, a vant le passage (en l'occurence : pis de la femme ?) , et nous d'eesayer de comprtendre ce qui est en vrai, les données de base, les do nnées actées, le charme, la chance, le chant des fées, la parade ou la cavalcade, les chevaux et chevales lancées à travers la (les) lande(s). On essaie de comprendre)- cerner, les bases, ici, d'une sorte de romance (roman ?) des prés. chant de garde ! monstruosités ! méchancetés ! croyances diverses comme distinguées, on dirait. On est entrées ,
On est entrées en ces contrées
par le biais en vrai d'une sorte de donnée larvée ! On a prié ! on a parlxé ! On s'est rapprochées ensemble de la roche lisse, on l'a caressé pour ainsi dire, et, d'un couop d'un seul, comme à l'arraché, ion a jeté nos forces (toutes) en cet élan qui bnouq a vu passer en force les tourments, la roche aéux tourments, et du coup traverser ensemble (à la une à la deuxd) le pic (ici) du mont de Rage des données rupestres et autres envois (pariétaux frontaux). On colle = on ose ! c'est un fait. À ne pas négliger. On est nées fées parce qu"'on est passées , c'est ainsi qe c'est. On est fées nées ! on voulait c'est fait ! on voulaiot grave ensemble passer eh bé c'est fait ! nous voiulà cfomme entrées en ça : la roche ! le roc du tas ! la roche profonde (toundra) ! On colle = on ose = on trace (grave) un certain nombre de données de base ! On est femmes allouées à une sorte de Passé Maussade mais voilà ! "en passant je passe" comme qui dirait ! On tracverse enszmble, on se retrouve de l'auttre côté (dans la lande), on veut continuer, aller loin (de rage) vers le pré, au delà du pré, retrouver la roche finale (cloturante) et à nouveau (qui sait ?) la traverser, ensemble, comme' à l('unisson et par la bande, à la une à la deux comprendre ! sauter-comprendre ! touxcher-comprendsre ! sonder grave les données finales, traversrer ensemble, la paroi florale des embruns, des bords de mer sage, de mer attitrée, sondée, vue et bue . on est comme des fées de contrebande la nuit venue. On veut toucher ensemble si possible la monnaéioe d'échange, les choses dites "de la rue", le tracé nu, l'épopée franc-comptoise si jamais et autres romances allouées à des territoires donnés. On est accolées de base à des données de fond de Rage, tracées, dessinées, accolées. nousq sommes en transe ! nous sommes elles, qui voulonstracer (ensemble) en transe, les bêtesde pooids sur p aroi
de groote souterraines. on trace ! on est cfomme allouées à faire ce tr acé ici, sur roche imberbe ! On est nées (dans la mort) fée ! car : aimées du cimetioère (des) et desdonnées prezmières genre humanisées ! On guette ! on mate sévère ! on veut toucher à cdette déité "des cimetières" si tant est, comprendre ensemble (ici) qui on est, qui on semble êttre, quyi on veut être, qui on veut toucher en fait de bêtes, qui on veut cerner = dessiner et du coup connaîttre. betes des prés = betes-formes. On est nées sur roche des prés ! On est comme allouées à une destinée de type "colère" , "rage des prés", "emportement salutaire", "remontées de bretelles". On est : des femmes en colère ! on veut gueuler ! trpoubler l'ordre ! essayer ensemble de cerner les choses qui en vrai corrompent, font du tort, faussent ! Comprendre ensemble c'est tracer ensemble, à main levée, une bête dite "de cohorte" (genre bouquetin et tine) et du coup cerner ! touchezr ! cerner et toucher à cette Déité du bout du monde. On est nées sur roche, puis sur pré, à nouveau sur roche : trinité des temps donnéess !On aime grave aller sur roche tracer, qui des bêtes-mots (de type genrés) qui des mots -bêtes (de type alloués à une plainte). On est n,ées Fées sur roche, et pré.... pour la bonne cause : le salut des âzmes, des envies prégantes , des (de fait) vies de base. On veut ou on voudrait ensembkle chercher, les dires donnés et autres dits de contrebande . on est nées ! on est enfin nées ! on est comme nés ! on est comme nés sur pré ! on s'aime sur pré ! on est fées nées sur pré au pazdsage des données genrées ! On est passées ! on est trépassées = passées = faites fées ! On veut ensemble en vréi eessayer de cerner un certéin nombre de données de base, et du coup co:prendre ce qui est qui semblerait
vouloir arriver, ici, de rage, devant nous, comme un fait exprès. On est Femmes de paroi "étrange", genre "la paroides rois ", romance, transe, faits actés. On fait celles ensemble qui voulons-cherchons ici à comptendre, la paroi des rois , ou dite "des rois", ce que c'est en vrai, ce que c'est que ça ! On y croit ! on entre ! on veut co:mprendre grave et, qui sait, on va peut-être un jour y arriver ! toucher les né,nées ? le L;ait ? téter ? qui sait ! on est prêtes grave ! prêtes à téter la Vérité de l'(antre ! La Donnée Lactée ! La cerner de rage ! on est nées ! on veut téter ! on veut grave téter, de base ! en rage ! enragées comme des nouveaux-nées en vrai affamées ! femmes nouvellement née's nous sommes enragées, car, affamées, nous vpulons téter ! le lait de l'infa,nte ! soulevées ! touchées ! soupesées ! come soulevées de base à l'arraché ! car on est comme soulevées = montéesz ! on monte ! on s'envole dans le vent donné ! on monte on s'envole ! on est comme "soulevées-montrées" ... au Dieu des Passions ! On entre en lévitation ! on monte grave le long de la cloison ! Antre des passions ! En lévitation , on entre ! ion est femmes entrées, en lévitation, en cestte chose d'une sorte d'enclos-antre (aux Passions) des Données de b ase, du Temps alloué (en vrai) à une sorte de Romance aux données chantantes (chantées) de contrebande. On est Fées ! Fées doctes : pleines de savoirs de roche (en veux-tu en cvoilà) !On monte ! on grimpe la Roche de la Mort à l'oeuvre ! On est nées fées sur place (MORT) et, on en avance (ENVOL) à mesure qu'on avance (,TIRE-LARIgot) sur place . On est aimées des fées. Fées nous-mêmes (qui sait ?) aéimantes. On veut
toucher toucher toucxher toucxher toucxher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucxher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher à cette Déités dite "des embruns". on veut s'aimer ! sur une plage sur un oreiller ! On veut (grave) s'aimer de psès, se renifler, se humer, se mater;, se masser, se toucxher en vrai et pas pour xde faux ! se renifler les coins les plus cachés ! se sentir à tous les niveaux ! se pétrir ! se toucher en vrai et du cxoup se cerner ! On est nées pour (dans la mort) se ... toucher de près ! devenir fées ! se sentir / wse renifler les parties "honteuses" ou dites telles, et du coup cerner ou mieux cerner qui on est, à qui on ressemble, ce qu'on est en vrai en fait xde bêtes, ici, de roche et de romance. On est néesfées ! on est (dans la mort) nées fées ! on pôrte un nom (%Moi : SPIGOLON) puis ... on p$erd son nom ! On est (sur pré) de type JETON ?, puis on s'approche, à pasx comptés, d'une cloisobn, d'un mur du son, on essaie de cerner la cxhose, de cerner, ensemble, la cloison, le son, la romance, le nom (nom alloué) et du coup comprendre : qui on est ,
en termes de Nom de famille donné, qui on est pas, ce qu'on veut ou pas (en fait de données allouées) e,n tant qu'on est untel ou une telle dénommées. On est des fées sur pré, on trace, on volette, on monte !On porte le nom qaui (en vrai) nouqs a été (gentiment ou p)as) donné de fait quand on est nées. Fées de la Passion ! Chance de couillon et de couillonne si tant est. On est pasdsées ! on a passéle
mur du son (le Rubicon ?) . On s'eest comme du coup retrouvées ensemble sur cloison ! on cherche à co:mprendre. On veut cerner de fait les données de pré, celkes des fronts, des cloisons du front, des poarois nues, des roches allouées à une groote elle-m:ême allouées à une (sorte de) donnée de base genre vérité dite "des vérités ... offertes en transe" . On veut enwsemble comprendre, cxes donnérs de bout de roche, ce qu'elles sont en termes de raison, de verbe "bon ton", de croyances "à l'unisson"n. On ose passer ! on se pose. On regarde les données posées ou déposéees sur roche. Les denrées pour nouveaux-nés
. Le LAIT ! Les traéits. Les données données. Genre potions. On veut cerner l;es traits tracées sur roche, allouées à une guérison. Guérison des guérisons. On voudrait comprtendre, toucher, cerner, chercher, pousser, poindre, allouer à une roche une vérité, de type ornée, décorée, gravée, dessinée. On est nées fées pôur comprendre la mort ce qu'elle est.Traits des traits. On cherche ensemble ce qui est qui est en termes de données lactées. Fruits des nénés ! On est nées (dans la mort "lacteée") fée ! fée des fé&es tracées . On veut toucher = cer ner = pister = comprendre = poser = dsire = coller = faire = jouer = entrer en colère = pisser ou chier le dire larvé ! On est nées de base soulevées ! femmesaux attraits et autres charmes aux nénés lactées ? Rage ! RAge ! RAge ! RAGGE des Rages ! RAge ! RAges ! RAGes des RAges ! RAges-Nées ! RAges des r ages ! Rages née des RAges nées ! RAge ! rage ! Rage en transe ! r age en transe dews Rages nées ! RAge des rages nées ! rage des rages nées ! rage des rages et dxes rages nées ! on est entrées ! on est en transe
entrées ! Rage aux nénés ! lactées ! rage lactée ! rage en transe actée sacrée ! rage sacrée en transe actée ! rage Aux Nénés lactée s comme en transe entrées ! on est entrées ensemble comme en transe ou dans la transe, de rage ou de rage lactée ! on est entrées ensemble (fées) en transe ! lactées ! actées ! de rage ! comme à l'iunsisson d'un son donné ! le son ... des nénés ? le son alloué à une entrée ? son des données ? on est entrées ensemble en transe au son des données allouées au Verbe, fruits de saison, lait de bière, boisson ou potion, chant des bêtesz, poison. Bière-picon.
20/8/2024
On veut cerner ensemble ce qui est qui est. On ne veut plus se laisser absorber mais tracer, dessiner à main levée, qui des bêtes-mots qui des mots-bêtes. Ce qui est qui vient , sous nous, se loger. On veut toucher à DFéité , toucher graveb! On voudrait aller, cerner et comprendre, les données primaires. On aime aller ! Onn avance = on en avance dans les connaissances. Qui on est ? on est ... bêtes de poids de rage ! on est bêtes-mots de poids de rage . Mots de trop ? qui sait ? On avance = on en avance ! on trace ! on y va ! on ne lambine pas plus que ça ! On cherche à comptrendre, à allrer profopndd, à (pour ainsi dire) enttrerplus en avant en cette roche aiux données fortes. On est
accolées et (de fait) on trace pour aller profond chercher à comprendre ce qui est en cette chose d'une sorte de romance des contrées lacustres, lacustres ou prairiales, ou les deux qui sait ? On est bêtes ensemble qui marvchons, allons, passo,ns, chercghpons à graviter, à cerner, toucher-toucher, aller et venir = danser (tourbillonner) sur l'herbe. On est bêtes-poids, gentes dames de paroi, princesses sévères allouées à une vérité dite "des cimetières". On est nées pour il semblerait aller ensemble dans la mort main dans la main ... en amoureuses. On s'aime ! on aime s'aimer ! on avance grave en ces prés, on y va ! militaiores ! gens d'armes = gentes saluées, comme,ntées, aimées, portées. On aime aller ensemble à la une à la deux vers ce tracé de bout de bout, porte fionale, anfractuosité de base,scscission. On est comme nées pour être ensezmble à la une à la deux des b^-etes de charme ! on creuse et on trace ! on marche (tagada) vers la plage, le sommeil des âmes, l'intranquillité des bases : le malin ? On creuse une trace. On est fortes. On se dfonne la main. On veut ensemble satisfaire nos besoins en termes de "parade totale", de données de base , de charge frontale. On aime ! on est deux pour être. On veut cerner ensemble les données fractales. Ce qui est qui est, et qui on est ? on ne sait ! On trace ... les nénés, les données coriaces, ampoulées, aimées, touchées : terre cuite, potager, vivres posés. On aime donner ! on, est femmes des prés à la parade, ontrace ensemble allouées, on creuse lezs dobnnées, on charge le mulet, on s'aime ! On est deux ici ensemble pour comprendre ou chercher à comprendre, au plus profond, les données de base frontales : bêtes-monstres, poids du Roi, fruiots d'amour, chants de ronde-bosse, cris de joie et autres hourra à travers la lande ! On y croit fissa ! on aime aller ensemble à la une à la deux en cette paroi, comprendre = toucgher. On aime ! on s'aime grave ! on aime de fait aller par la lande en reconnaiossance si tant est. On eswt femmes comme à la parade et du coup on en avance! On est trace de vie ! on charge ! on est accolées ! On veut toucher (pouvoir toucher) les données frontales et, une fois encore, traverser ! traverser brutal ! traverser de rage ! aller sans venir ! aller de l'autre côté et non rebvenir ? revenir ou pas mais comp^rendre, une bobnne fois, ce qui se trame ou pas, qui nous reg
arde = nous concerne et puis ... à jamais il semblerait ! On "gratte" ! on essaie de passer la patte ! comment traverser ? comment en vrai traverser la roche (la roche finale) sans (pour le coup) y passer comme à tout jamais ? c'est une question ! " the " ! pas qu'un peu ! ça charge ! c('est un fait de base ! on veut ! on voudrait ! on fait le voeu ! on voudrait comprte ndre tout un ensemble, les données frontalees finales ce qu'elles sont ou pas, la clarté fractale, les embruns, le chant sarde, la beauté des unes et des uns (en face) ce qu'elle est. Ce qu'elle revêt. On trace ! on dessine de mémoire. On y croit de base ! On veut ça, comprendre, traverser, charger, allouer à une roche un savoir Immmense ! grave !Une somme de données totales !qui on est. Où on va. Ce qui est . CE qi n'est pas. Ce qu'on envisage et tout un tas (un tralala) de choses vivantes. De choses de soi. pointes basses. Points de croixw. Pärades. Carrotage. On veut ça, toucgher grave, aller dedans, pousser, cerner grave les données de rage, creuser, faire front, aller au plus profond ,
aller auplus profopnd des données données comme en contreba,nde par la bhande.
On est qui ? QUÊTE ! on est bête = bête-mot de fort tonnage ! on trace les faits ! sans embages, à la dérobée, fusellage. On est accolées ensemble sur un pré comme deux mémés. On veut grave cerner les données allouées à (il semblerait) une sorte en soi de passage , à travezrs ... le Temps ? ou quoi d'autre sinhon ? le (les) sentiment(s) ? On est côte à) côte. On se serre les coudes. on est vaillantes grave et on cherche ensemble (une fois toi une fois moi) à comprendre les données de b ase, ce qui est, ce qui s'avance, x-ce qui est ici qui se présente et nous séduit ou pas mais nous interpelle. qau'est-ce qui est en vrai ? qui sait ? u ne chance = un chant. Une chance = une chansonb. Uun air de front ! une romance de cloison (de la passion). On estaccolées (l;'une l'autre) et on cherche à toucher à la rocjhe ditec "terminale" des passions, des données de fond. On est proches d'y passer (tout proches) mais non ! on tient bon ! on trace mais on tient bon ! on ne veut pas faillir à la tâche de (comme qui dirait) tenir bon "intrinséquement". On est toute RAGE ! vives de chez vives. On est allouées à une sorte en soi de Volonté, devenue (ici) Acidité. On veut toucher de près à cette chose d'un e sorte de cloison "du bout du monde", ce qu'elle est, ce qu'elle nous propose, à quoi elle ressemble, en vrai ; parl
e-t-elle ? dit -elle des choses de poids ? de quoi se moque-t-ellke ? est-elle la FOI ? est-elle Bête ? Voix ? Cratère ? On ne xsait pas ! On entre ! on entre ensemble à quatre patttes ! on essaie d'entrer ensemble à quatre pattes. On essauie de regarder parvfla fente ! on essaie cde comprendre ensemble ce qui est qui nous regarde, nous voit (nous verrait) comme par la bande (langagière articulée) il semblerait. On est nées de rage "ailes" ! on est traversées de base par les fées qui nbous gouvernent, nous aident à aller (graviter) ; à croire, à peznser et parler sur terre jusqu'au cimetière et aprèes le cimetoière elles reprenneznt leurs ailes, elles vont ! elles ne trainent pas ou plus , elles tracentà fond, fonc
ent grave sur la place, filent à la façon des âmes ! Elles sont fortes et graves, douces et nues, bêtes belles sur paroi nue. elles nous regarde,nt . elles aiment tracer. Elles vont ensemble sur un pré paradisiaque ensemble toucher à cette déité des déités telle qu'on la connait "dans le langage " = maturité ! chant docte ! vivacité ancrée devant la porte on opte ! on opte ensemble grave pour
... la Foi en cette chose d'une Fée des prés, vivacité ! papillonage ! sciintillements des âges les uns puis les auttres un Temps. On est cohorte ! gentes dorées, cherche-tombe, vives données devant la porte à espérer. mais qui sait ce qui est ? qui conna^$it ? qui saura nous aider à traverser , passer, regarder, sentir et toucher, ressentir, aimer les données, les données de base, lesz dfonnées données par la bande = le langage articulé sorti des nuées et comme allouéé à une sorte de romance "sarde". On ne sait ! on est bêtyes-masse, charge frontale, poids de choix, attelage. quand on y va on y va ! on ne lambine pas ! on trace paroi. On est bath ! bêtes ! blêmes ! et aussi offertes sur paroi comme des :mots de l'au-delà ou quelque chose comme ça ! On est bêtes de poids (sur paroi) à la charge ! on trace grave (fissa !) pour ensezmble (si possible) comprendre à toi à moi, les données profondes, les entrées en force, les passages ici réitérées, les envies profondes de gaieté, de hjoie, de
solennité, de vivacité, d'estomacv. On est nées sur herbe dans la mort ! On est femmes fardées, vives alliées, vives données allouées, vives clartés surnommées, chants des fées (des prés) sur herbe volée ! On est bêtes ! bêtes-somme = bêtes (en vrai) de somme (sommeil ?) sur herbe volée (ou comme volée) dans le Ciel ! Oh ! qui sait si c'est vrai ! On cherche ! on n'est pas en pzeine cde chercher, on trace ! on dessine à main levée les bêtes rupestres := les données de poids , la plèbe, la paroi des Rois, les données accolées ou colmme accolées à un Sa voir de Roi. On est bêtes des prés Souveraines ! chouette ! on est nées ! on est passées ! on veut cerner ! on veut toucxher à cette chose d'une sorte fde donée de rêve, ce que c'est, ce que ça semblerait que c'est, ce qu'il en serait en v rai. On est nées ensemble sur herbe REines ! Reines de beauté ? Reines ! Reines des prés ! On s'aime = on sème . Concours de beauté ? On ne sait jamais ce qu'il en est, mùais on dirait plutôt qu'il s'agirait d'une sqorte de course allouée à une sorte de contrée dite "des prés". On est accolées acculées. On est bêtes acculées accolées jusqu'au cimetière ou sinon jusqu'ouù qui serait le bout ? On est comme "touchées" =traversées ! On est traversées = tyouchjées = dites = parlées = rendues (qui sait ?) à la vie. On est femmes des prés "surnuméraires". On voudrait si possible ensemble comprendre un maxiùum de données données concernant la vie, la mort, ce qui erst sur terre qui nous voit aller, tracer vif, charger, et donc aussi la mort (au débotté) ce qu'elle est. On est femmes des parois de charge. On est fortes ! On pousse ! On est grave forte quand on pousse ! On ne veut pas passer pour ce qu'on est pas, jamais ! on ne veut pas pâsser pour ... eh bé ça, qui est là : l'homme des bois ! Le chant dit "des pârois" est chant de contrebande ! on est femmes des paroois de roche, on avance, on trace, on pousse grave. L'homme pas. Il (lui) ne pousse pas : il cache ses doigts ! il est coriace dans le genre mais pas là pour ça (pousser grave). O, n est femmes du bout du bou ! On entre dans l'antre ! on veut toucher en vrai à ceztte chose , d'une sorte (en soi) de paroi, pzaroi de roche, chant des prés, vives clartés, sons / images allouées à une vérité de roche. qui on est. Qui on semble être. Qui on regarde. qui est là qui, en vrai, se pavane, se dandine grave, fait le beau du Roi, charge dgrave la paroi de mots de poids : qui ? On est deux pour ça, le comprendre, le toucher du doigt. femmes slaves, sardes, sales, sages, esclaves des parois peut-être pas, et pas non plus sages, ou non plus sales, ou non plus sardes en vrai, alors quoi ? maussades ? pas ça ? On passe ! on cherche ! on entre ! on veut de fait toucher, et puis de bonne grâce, la Paroi du bout du monde ... de la Foi dans le langage (la langue) des envois. On est femmes de pA roi sage, sentiments dde poids, on charge ! on y va ! on pousse ! on creuse ! on veut comprendre ! on veut toucher ! on veut y aller ! on ne veut pas lambiner mais cerner-pousser, dire-connaîttre, charger-tomber, aller-toucher à cette donnéee dite "de cimetière" qu'il nous sied de mieux connaîttre à la retombée.
on est nées femmes (deux femmes) en cette chose d'une sorte (en soi ?) de cimetière "cdes données". On est nées (de base) femmes dans la mort : deux ! Deux qui sont : SOMME ! sont : SOMME, et poids de CHOIX ! ROI ! ROI /REINE en tralala (romance). On pense ! on est là pour comprtendre en transe si tant est ! On trace et on charge , on pousse et on cerne, on veut aller ensemble pour le coup dans la luzerne courir grave sans traîner = y aller ! charger de base, toucher, courir, se vautrer = s'aimer sur un pré comme bêztes de poids salutaires ! on s'aime ! On court sur herbe, on va ! on veut ensemble de bonne grâce (en toute bonne foi) chercher à comptrendre ce qui va là qui nous inquiète peut-être pas ni ne nousq désès
père mais voilà : on est là ! on regarde ! on se pôse des questions de base. On se dit que la vie, sur terre, est une cxhose, et la vie au-delà de la Terre une autre, on ne xsait âs. On est femmes de paroi ! Deux pour être ! pour coller" ! Pour aller ! deux ailes allouées à un "corps de rêve" si tant est ! corps doux ! corps de bois. cOrps chantant "tralala" sa rage , on voit ! On est femmes de base, nées nénés comme il se doit (seins de tresse) et on va, à la une à la deux, vers ça : la Règle ! le Roi ! la Reine ! La paroi frontale fiinale ! L'endroit de choix ! la Voie ! L'envolée des voies ? on creuse là ensemble le tas, on cherche passage, une voie d'accès si tant est, trou de base, petit passage qui serait pour nous comme un chas ! pour être Soi (nous deux) comme travrersières, passagères, volontaires, solictaires !On aime (grave) mater, tu penses ! on adore ça ! comprtendre est jeu de base, une sorte de donnée ancrée. Comprendre ou vouloir comprerendre est une sorte (on dirait) de jeu, de jeu quasi enraciné (par la bande) dans le langage dit articulé d'une langue qu'eklle qu'elle soit. Une langue pârlée contienndrait la Rage en vrai nécessaire à une sorte de vouloir-percer, de vouloir-comprtendre. On est femmes sages = savantes,
de ce fait : on entre ! Entrantes ! On entre ensemble (ffemes allouées) dans l'antre de la Voie de base. On est collées = accolées. Femmes accolées pour une virée à travezrs la la,nde juèsqu'au bout du bout alloué, donné, octroyé à un passage au débotté, qui serait le passage "final", le cdernier , dernier des derniers à devoir comprendre ou prendre, à emprunter, à faire ensemble à la une à la dfeux via /... la romance ? la romance vive ? Vive romance donnée par la bande (langagière animalière) du TEmps (peut-etre, qui sait ?) déroulé de rage ! On est femmes des prés = fées ! on trace = on dessine vite = à main levée, les données données de la lande. On aéime tracer = on aime aller ! Aller grave dans le pré "des fées" , c'sst aller ensemble (de conserve) comme en vrai des ail:es, deux ailes allouées à une sorte de Romance dite "de paroi" ,. On entre ! on entre ensemble. On est là qui (de fait) voulons comprendre ce qui est qui va, qui nous voit, qui regharde, nous regarde fixement ou pas mais sans trâi,ner, sanscesse, sans tarder. On est femmes des prés à la retombée
le cimetière une fois pâssé. femmes on est la mort allouée. On est femmes des p^rés dans la mort donnée. On est (dans la mort) femmes sardes. On est comme allouées ensemble dans la mort en tant que femme dédoublée, du coup tracées ! On est des (deuxd) femmes des dieeux ! On est des (deux) femme-Dieu tu m'as saisi ! On est des comme qui , ensemble, vont grave, chercher à comprendre les données données telles qu'il nous apparrait qu'elles sembleraient se dessiner à la parade, ou comme à la p ara de . On veut : toucher, dire, sonder, poser, comprendre ce qui est, aller et encore aller sur herbe comme (comme qui dirait)- des bêtrs. Car, en vrai bêtes on est, bêtes "de cimetière" = bêtes des prés, charges-nées, poids de Roi saluutaire, vives alacrités, pince-nez, colère on le sait ! On est nées colère, du fait que voilà ... l'aventure sur terre est singulière, quand en vrai la vie (dans la mort de fait) est plurielle ! pleine ! chargée ! somme des prés ! Dans la vie sur terre on vit (toutes et tous) des vies singulières, quand en vrai avant la cvie sur terre et aussi après, la vcie était et redevient pl;urielle et allouée (en plus !) à une Déoité des Déité = vérité des Vérités = Bête des prés ! bêzte bête peut-être ou pas bête mais en vrai comme dessinée à main levaée par des "mains surnuméraires", sur paroi pleine, chant des Rois et Reines, TRALALA on aime ! on y va ! chants doctes ! on y va ! chantons ! berçons ou hurlons ! dansons ! faisons de fait honeur aux monts, aux dunes des voies, au Pilat ! À la VOie de là, menant (vite fait) vers ça qui est là-bas la (qui saitt ?) plage des Rois ? On y croiit ! Des reines et des rois ? on voudrait y c roire , toucher, les toucher de fa ce, toucher ensemble, toucher de fait les données de base, les données frontales. On est là (deux femmes sur paroi) qui voulons comprendre, ensemble (on se tient et se soutient) ce qui est qui nous regarde (devant soi) à travers (en vrai) la roche des bois, le tracé (de rage) longitudinal. c'est quoi ? on ne sait pas ! On aimerait (c'est une évidence) avancer dans les connaissances,, essayer de comprensdre les données de base (frontales) devant soi, les rages diverses, r(omanc
es de choix et autres tralala "de convenance". On est l:à pour ça ensemble ! On colle ensemble. On se colle l'une à l'auttre : on veut ça ! On est bête de joie, cri de hjoie, chant de joie = JOIE de Roche ! On est JOIE de Base, tracé faste, cri de joie sur bande, vent de face, trait aimé,voie des données. On est nées comme à nous ^memes un jour, ensemble, par la bande (animalière) du langage ! on est nées de rage par la bande sur paroi de base : les nénés ! seins de glace ? vies des vies ! lait ! LE LAIT ! LA vie le lait ! On est nées de rage sur paroi gravée comme à l'embuscade, c'est fait ! On voulait , on y est arriovées ! On voulait passer (de rage) eh bé c'est fait ! femmes-attraits, on passe ! on passe sur pré ! on est nées pour passer la base des fées, on le fait. homme aux mots des veaux, on devient FEMMEs allouées à une Romance dite des n"énés" = nées ! On est coriaces à jamais ! tracées de fait ! cfomme à la ramasse mais en vrai on est, cfomm
e un fait exprès, nées sauvages ! sortes de voix doctorales ! On se tient tout pprès de sombrer mais non ! on tyient ! femmes nées pour durer o,n tient, quand l'homme est lui allouée à une sorte de chemin qui se termine ou se terminerait au fond d'un fossé ! hommes faits ! refaits ! femmes nées, elle, en vrai, dans la mort, à une vie nouvelle !on l'aime ! on l'aime des dieux ! On veut ELLE ! on veut être elle ! don de dieu sur roche des voeux ! IOn aime Elle = AILE = Noeud = vie des feux ! On veut cerner ensemble ce qui est qui est, ce qui nous ressemble , ce qui va, ce qui tremble , ce qui est là pour soi nous aider à comprtendre (loin) les données de base ce que c'est et aussi en vrai ce que (peut-être) c'est pas ! on est là grave pour ça ! comprendre en soi = preendre pour soi. La Romance. Le chant des parois. Le cri de hjoie. L"épopée frontale pariétale. La Paroi en soi. La Chance ! la cxhance = la foi ! la foi = la jhoie. La Joie = la Parade (animalee ou animalière) sur pa roi. On entre en ça, la Roche Rude, par la bande (langue) une fois ! et là, on trace ! une foisz là on en avance ! on trace = on grave grave ezt puis on regarde et là on voit quoi ? la Chance ! Le tracé frontal est chance = charge de joie ! On est fe"mmes des parois du monde . On est femmes des mondes alloués. On veut ou on voudrait cerner de base parr la bande c e qyui est qui cxharge et puis voilà, comp^rendre grave les données de rage, les données dsonnées qui sont données de front, charge mentale, cloison ou de cloison. on fonce ! Fonçons ! courons ! traçons ! pissons ! faisons co:mptendsre ensemble à cette Chose, Chose du Fond, qu'on est en bande ! qu'on fait front ensemble ! force d'union ! On veut ensemble faire (ainsi) impression ! On veut en jeter grave ... ensemble ! faire ainsi ensemb le que voilà, la mort ! la mort reculât grave ! se couchât ! se mît à part comme en vavcances de la Foi , des données de b ase ! On voit ce qu'on voit. On esqt femmes des prés. On veut toucxher ! Toucher grave à cette chose ici d'une sorte en soi de Déoté des Déités dite "de fa çade" ! croix de bois ! christ de contrebande ! charge mentale ! voix = voie de rage ! cri de joie et de poids ensemble ça y va on croit le comprendre. on entre ! vois ça ! reg adre ! vois la Roche à travezrser ! la Chose du pré ! l'herbe allouée ! le soleil nacré ! entre ! passe ! touche ! va ! traverse ! cherche à cerner = faire ! va pour être ! aide-toi le ciel t'aidera ! Coàmmence ! On est femmes des paroois aiméesz, on a traversé comme à la déerobée ensemble les données frontales, le Moi. ,A présent nous devons, ensemble , A p^résent nous devons ensemble pour le coup aller, comme énervées, vers ces données ditees "des nénés" , chercher du lait. On est nées ! on est nnées de rage ! on est néesz de base ! rage et base font bon ménage ! On est fe'mmes néées sur roche "aux nénés". On veut toucher ! toucher ! toucher les nénés ! On voudrait toucher ! On voudrait de fait toucher les n,énés ! on veut / on voudrait : toucher les nénés ! boire le lait ! chanter ! souffler ! aller ! dire et chanter ! On est femmes nées (de rage) dans la mort "de base", celle des données données allouées , à une romance, à un chant des prés, àune danse en transe, à une sorte de clarté naissante, à une sioorte en szoi de volonté coriace (ou tenace) de vouloir aller (tantôt) par les prés à la recherche des denrées, viçvres et autres offrandes alimentaires . On est comme nées sur terre pour aller = manger, courir, faire, tracer, copmprndre, soulever, perdre, charger et cerner. On veut être des fées sur terre ! fées des fées . L'est-on ?
sommes-nous ici des fées de rêve ? Avo-nous de quoi cerner les données dites "surnuméraires" et autres traitsz lovés ? sommes-nous Fées de Terre ? charges nées salutaires, pour aimer , de près, les êtres ? On s'aime = on se sait aimées ! par ELLES : les F2ES ! F2es des Rêves sur Terre , et F2es ... des données Célestess . On veut toucxher à cette Déité des données "Superbes" , soit "Belles", szoit "sublimes", soit "vives" ! On est nées sublimes de clarté, puis on sombre corps et âmes en vrai, pour renaitre Débottées ! sur Roche des Prés ! F2es retrouvées ! On s'aime ! on est re-nées comme à la retombée du cimetière, dans un pré, sur herbe, défait, défaites ! On s'aime ! on se veut aimées ! On veut toucher aux glaires, aux fruyits blets, aux chrèmes, aux sang séxché, aux liquides allouées à une vie p assée. On veut toucher ! on voudrait toucher ! toucher les nénés ! on voudrait toucher ! on voudrait grave toucher ! on voudrait ensemble en vrai grave toucher ! dire et aller ! cerner-pointer ! dire et coller !donner ! cerner ! faire ! composer un certain nombre de tracés sur roche allouée, de type cavalcade au débotté et autres parades armées. gentes dames sur rocher, cris des fées, voix donnés aux hommes et aux femmes cernées commê pa r la bande". hommes-troncs, femmes-passions, gens et gentes rosses ou sinon, sino n rosses, pauvres ! pauvre en paroles ! On le voit ! On voit ça ! la Chose ! La Paroi de Choix est paroi des voix comme soupesées. On veut s'avancer, on va ! on voudrait cerner de fait les données (przmières princières), les toucher (pour ainsi dire) comme des nénés, mais comment ensemble faire ? par le nez ? les toucher du nez ? les renifler ? On s'approche d'elles. On est tout près. On colle presqaue aux nénés ! on veut téter ! on voudrait de fait téter les néenés (surnuméraires) dee la Charité sur Herbe, Clarté, Découverte, Vie tracée, Lumière. On aime ainsi s'aimer face aux nénés des Bêtes! Pis d'amie , belette et autres bêtes vives des bois et forêts, campagnes cendrées , cimetyière ... tout autant. on entre par derrière ! on voudrait ! on voudrait ensemble entrer par derrière! Aller ! toucher à cette Déité des Parois desRoches! creuser ! chercher ! aller ! dire ! faiore ainsi ensemble q<ue la vie, ne s'arrêta^t pas ... à la naissance, à la pa roi, aux voies de b ase (sur façade) de paroi, aux tracés "étranges". On veut de fait ensemble aller (grave) sur roche tracer, dessiner les choses. ON est nées sur roche pour (en vrai) creuser sa tombe comme qui dirait = vie des vies. On voudrait ensemble svp tracer ! dessiner la charge, la parole docte = Auroque ! bisonne des prés, chants d'amont, vie des env
ies, cloportes et autres bêtes vives -des terres brûlées. On est comme né&es (ensemble) par des traitsq, dessinéesz, sur roche allouées, comme à la renvezrse : oups ! on aime ! On est femmes des prés ensemble cernées.. On avance pas à p as vers une sorte de clarté de l'au-delà m:ais va&s)-y comprendre ! Va cerner ! va penser à cxharge ! va donc allouer à une sorte de romance le tracé donné des données de rage et autres vilosités ! Craque ! craque ! craque ! tu serasx ... née ! Craque sur roche ! d""éplisse-toi et va ! on est là pour
toi ! on est dans l'antre avec toi ! on est les bêtes de paroi surnuméraires ! bêtes de hjoie surnuméraires ! on est là pour toi n'aies c rainte, dès lors va ! charge ! trace ! entre ! cours ! va sur roche et cours ! soit : cours car voilà ! au pa szage, l'un devient Deux ! de'ux pourr être Ailes ! Voeux ! Feux ! Vies des pré de loge ! On est n éesz eznsemble sur paroi. On veut comprendre les données de base. on est des femmesc nues. quand on parle on trace. on est femmes velues, on est femmes velues, nues, venues, crues, simplement tracées comme à main levée. on est femmes nues et velues, cul - nu ! On veut tpoucher ensemble si jamais à cette déoité des déité du Cul ! hé, tu le sais. On est néesvelues nues, crues, vives et belles, chargées d'être. On voudrait toucher à cette Déité des Déités, dont le nom de scène, est ... Amour ! Amourette ! On l'aime ! On est aimées ! On est aimées par Elle on dirait. On voudrrait grave aller versz elle (D2ité des D2ités) mais ce n'est pas simple ! Il faut charger ! azrmer et tirer ! c''st dur ! ça demande du doigté ! de la dextérité ! l'amplitude, les données, la chance, une soerte de volonté . On regarde pa r la fente
On regarde ensemble par la fe"nte
Enxemble ici (paroi terminale) on regarde par la fente : qu'est-ce qu'on voit ? on voit ça : du bois ! du bois de base !
qu'est-ce qu'on voit ? On voit ça : du bvois ! du bois d'antre ! de la jhoie en branche ! On regarde , et ce qu'on voit c'est ça (il semblerait) : de l'ambre ! On est comme nées (ensemble) à la retombée, on veut co:mprendre et cerner, toucher les nénés, boire le lait, aller et tracer, perforer la roche finale ! se coucxher ! On nserait allouées znsemble à une sorte de donnée de base. qi on est ? eh bé, qui sait ? des êtres ... d'une autre planète ? qui le sa&it ? soeurs de lait d'une a utre planète que la terre ! qui le sait ? On est nées sur terre au singulier (un homme ou une homme) et nous voilà, à la mort, tra&nsformées ou comme transformées de rage ! femme ! femmes ! femmes des prés qui, en vrai, ne vzulent ou ne voudraient plus se lâcgher , ni se perdre. ON est comme nées à une sorte en soi de "Vie Souveraine", Chant des Roches Lovées dans une grotte. On est nées VFORTES ! VIVES ! CHAE_RGÉeS ! Sorte de données de base, La Donnée. LA Donnée de s Données ! On charge ! On voudrait aller (gra&ve) au plus loin parmi les données ou entre les données. On est femmes des p^rés (fées) qui voulons tracer , tracer grave, les données de base , fées des prés traçantes ! On veut comprendre et aller, toucher et dire, faire et passer, comprendre et allouer, cerner et poindre, charger et peindre, toucher et pousser , faire ainsi que les fées co:mprtzennent ! E^tre = faire. On est nées fées, ailes, données des données; dans la mort Souveraiaine, surnuméraire ! On est néesFÉes en ceette sorte de rocher de groote, incurvé, tracé, comme soulevé !Fête ! fées des fêtes ! On veut aller, toucxher, dire, dire ce qui est, comprendre, soupêser, xcerner, comprendre, surprendre, pisser, donner, allouer par la bande, siffler, chanter, pieindsre et dessiner, coller et s'accoler, porter, naître, corser, narrer, feindre, soulager, crier, jouer, aller et sentir le's données données d'une rage (déplacée ?) à vouloir être, mordicus, des fées et princesses ;. qui est qui ici ? Qui veut qauoi ? qui est là ? qui veiut comp^rendsre ce qui en soi se trame ou tramerait de base ou semblerait de base se tréamer. On est là pour ça ! charmer = toucher. Dire = comprendre. donner = faire, etc. toute une sarabande, sur paroi, de verbes. Etc. On voit ce convoi ! ça charge ! ça envoie ! ça
ne tremble pas ! ça porte la joie, le sens de la joie ! ça trace ! On voit ça ! on y croit plus ... qu'à "l'être" de l'envoi ! On aime ça. iOn est bêztes de paroi, de style buflette, et oui, on envoie ! on envoie du bois ! On est bêtes de jhoie et on envoie du bois. qauand on éime on voit ! ... ça : la Bête Sévère, dite "de paroi" ; bête bête (?) de cimetière ? cri de joie sur terre ? on aime ! on l'aime ! on aimerait (grave) la toucher en face, la comprendre c'est un fait m&is aussi la toucher , la caresser, la toucher ou la caresser ; pour ça : lui faire comprezndre, en vrai, que, ma foi, ça va, on est pas des monstres de p aroi ! on aime la HJoie ; pas des rabats-joie. On est :
femmes nées sur roche, à la une à la deux, à la mort de l'homme (l'homme au singulier , genré).On est femmes ensemble allouées. On est entrées ensemble à la une à la de"ux sans tergiverserr ni dészmparer. On veut dire-faire(grave) x et x
choses sur roche, à savoir : cela ! la Joie ! faire et dire, dire et faire : dans la joie pour a&insi dire ! tracer ! se lover ! chercher ici ou là à co:mprendre qui de quoi et quoi de qui ! car , en vrai, on ne sait toujoursz pâs "qui on est" ! on aimeraéit fort :
le savoir ensemble , le comprendre, pouvoir (en vrai) pour nous savoir, toucher du doigt, soit se reconnéître" soi dans la paroi, se comprendre soi-même, ce qu'on est en vrai ! ce qu'"on est en tant qu'on est nées (sur roche) da,ns la mort , femmes surnuméraires (... et dans tous les cas ? peut-êttree). On voit ça, comme quoi la mort est une sorte de paroi (de roche) à traverser. O,n erst femmes des prés, chargées, sommées, tenues à cerner ce qui est dans ce qui nous regarde. mais voilà, ce n'sst pas une chose facile ! il y faut du doigté ! de la dextérité ! du sang-froid et de l'opiniatreté comme jamais car cerner est dur ! pas facile ! une sorte de défi qu'on (ici) se fait comme à la retombée : à toi à moi ... les don,ées suprêmes ! "j'aiùerais comprendxre "dit-on "ce qui est qui est qui nous con-cerne !". Peut-êtte, sweul"ment voilà : on aime ! on s'aime ! ça pèse son poifds ! ça "infecte" ! ça fait ça que ça '"infecte",,, d
'une certzaine manière; la voie est la voix ! le cha,nt est la voie. Le chant est total. Il est Voie (d'a&bord) sans misère ! On aime le cha,nt ! On veut ou on voudrait ensemble (de préférence) comprendre (grave) ce qui est ici qui nous regarde. il s'agit ici, d'une sorte de ... roma,nce . romance des fées ? qui bnous regarderaéit au sens de concerner, nous concernerait dès lors de pr(ès vcar nous sommes en demande à j&mais de sortes de connaisxsa nces allouées à une romance ! On trace! on marche ! on avance à pas comp)tés, chassés. On est bêtes de poids sur roche, tr&its de joue, tra&céz doctes, cris de joie (hourra) et aéutres vies montrées. On est de"ux femmes au débotté tracées. On est femmes tracés sous forme animale ! On est f"mmes des prés allouées à une roche. On est
femmes "à cornes". bêtes-monstres de paroi ocre. On aime aller ! on veut grave aller sur roche, à la rencfontre d'une vérité, d'un tra&it (en v' rai) sailla&nt de vérité, tra&it nacré acté, dessiné à main levée, viçf et léger. on serait et on est ! femmes allouées à un
"post-cimetière time" !
on veut toucher ! on voudrait comprtendre ! toucher grave (gravé) à Déité. On est femmes olé olé sur roche allouée , qui sait ? ou sinon olé olé, aimées ! touchées &ux n,énés = aimées pour le lait ! on veut cerner-aller, faire éinsi ici que les choses allassent, ensemble, comme il semblerait qu'elles aient toutes (de fait) à devoir aler.
On est des qui, desz données,
données qui.
On est des femmes qui, ensemble, sont données de rage, donné&es doctes. On est femmes des p^rés , données, déposées, posées, mises sur pied et déposéees; on est femmes a llouées à un e sqorte de romance dite "du bout du monde". qui on est ? eh bé ça, peut-êtte : belle bête, bête de paroi, bête-mot de somme, bêtesde traits, bêtes-monstres qui en imposqent, posent là leur sorte de poids . Onj regarde ! On voit le contour, les bêtes en marche, rugissantes, les massifs, les tas de bois, Verbe-pöids de Rage. On est femmes de paroi, on entre. On voudraéit com)rendre enxemble ce convoiç , de b-etes de poids, genre ... romance ? verbe haut ? transe ? une sorte d'insulte extrèmê, forte et salée. VERBE AU DÉBOTTÉ. Verbe au débotté. VERBE AUB DÉBOTTÉ DE GRÂCE , VERBE GRAVE AU DÉBOTTÉ DE GXRÂCE ! GRAVE , VERBE, TRACE, POUR LA FOI EN L'ÊTREE ICI SURNUMÉRAIRE DE LA JOIE. ON VEUT COMPRENDRE (GRAVE) LES DONNÉES TRACÉES SUR R'OCHE (AUROCHS, AUROQUES, CHEVAUXS, CHEVALES, BISONS , BIOSONNES, BUFFLETTES ET ANTILOPES).o n est DEUX,
pour une comprenure axiale : va-t-on ici un jour prochain (lointain ?) arriver à cerner un certain nombre de don,nées comme"de contrebande " ? eh bé qui sait ? on ne sait pas ! on est femmes sardes, sages ou pas ml:ais ce qu'on veut, en vrai on le veutb , et pas qu"'un peu ! à mort ! on veut grave à mort aller fissa, sur roche tracer ! cerner d'approche les données ! dire et jouer ! aller sur pré jouer à ça, jeu de l'oie ! On est femmes des prés, des prés donnés, qui sommes néesz femme ou homme au singulier, meure'nt femmes au p)luriel à jamais, c'sest acté, ou tout comme. on veut être , toucher et creuser, dire, poser et aller, faire, chanter et danser, e,n transe, les traits de la roche. traits dansés sur roche à toi à moi, on dira que ça fusionne ! ça remplit de chants la grotte. on est dedans ! on est accolées. On veut cerner de près ce qui est. On essaie de cerner ce qui est ensemble en cette grotte, les don,ées donnéesz. On essaie ! Qui on est ? des données = des qui sont dsonnées , ou même (qui sait ?) ... qui se do nne,nt ? On est nées (sur roche) à la traversée (ça le fait) et voilà ce qui est , qui semble se dérouler ou comme se dérouler : une femme est née ... de deux femmes ! fée ! fée de base ! fée née aux nénés (élevée aux nénés)! On regarde ! on voit des cxdhoses,. On voit un convoi , de bêtes de poids (c'est dr'ôle , on dirait un tas). on est sous les ordres d'une (sorte de) cohorte ,de bêtes de poids. on est fortes, folles, rosses, drôles/ Bêtes de poids en vrai ça vous pose ! Ça promet ! ça ose ! c'st osé
! On monte ! montons en grotte ! faisons l'ascension ensemble motibvées ! ne traéinons pas outre mesure mais creusons ! chargeons ! allons vif sur roche au diapason et chercho,ns à (nous deux) déplacer la cloison et passer ! qui un oeil qui de'ux, mais, de fait, passer un peu, un p)et§it peu, afiin de cerner (ensemble) les données qui sont ici celles d'un derrière, d'un derrière de roche gravée. voyons ! que voit-on ? on dirait ... de la
on dirait ... de la mousse bulleuse ! du mouusseux de trait ! de la bulle mousseuse ! traitsz animaliers ! ça pisse ! c''st liquide on dirait. On fdirait que derrière en vrai il y a ... du liquide, il y a ou i;l yy aurait pas mal de liquide, genre : MER ? mer d'embriuns ? On dirait cela ! du "liquide de paroi" , si tant est que ça existe. On dirzit cette chose de poids, là, comme quoi , derrière, fin fond, il y a :
la mer de roche, les embruns, la mousse des rois, monte-ch arge, l'au-delà de l'ambre, une sorte de voix, venant nous dire le tourment des âmes de la joie à être là, passées par derrière, sous un vent de face face au cimetière. On voit , ce convoi en face : bêtes de poids. Et derrière ...? la JHoie ! ou le Temps de la Joie allouée à une Voix de type voix grave, sourde, posée, mesurée, lourde, accolée, celte, abonnée à une sorte de "volonté" de nous voir sombrer. On ne l'écoute pas outre-mesure, on est pas gaga ! on est bêtes de poids mais pas gaga ! On ne veut pas l'êttre. Ce qu'on veut pour nous c'est ça : la chance ! un tracé de choix, une romance, un tracé chargé de mots de base, une sorte de romance à toi à moi de bonne chance, tralala de la foi et auttrezs croyances. On entre !
qui on est ? On est des femmes dites "des prés" comme dans la reomance d'une sorte de peuplade ("acidulée"), celle des branches, des arbres fruitiers et autres plantes paradisiaques. On est femmes allouées à un pré de base; On en avance dans les conna-issance ! on ne veut pas sombrer ! on veut (de fait) perdureer à jamais = cerner les données pour mieux les comp)rendre. on veut tente"r sa chance ! notre chance !! aller, toucher, cerner, pisser et c aguer, dire ce qui est sans embâges, ne pas louvoyer, être francs et franches de collier, dire les données comme e'lmlesz npous sont dpnnées si tant est ! On est nées de base "romance". On est entrées ! on est passées ! on a creusé et voiulà, on es entrées ! on est grave enseùmble ezntrées et nous voilà tenues à tracer les données qui nous sont données. on est velues, nues, nées nues et velues cfomme bêtes des prés allouées ... à une naissance, sur l'herbe faste, sous un ciel des rois, alarmées, scintyillantes, accolées, brillantes, soupeséeqs, invitées à cerner les données astrales pour l'éternité (ciel de base et aéutres envois dits "du bonnet et de l'âne attitré"). On aime la chance; On est grave ensemble (nous deux) qi voulons comp^rendre :
1, les vues de base, 2, les données royales, 3, la vie en ses plis, 4, le vent de face,
5, la vie en ses plis ici soulevée comme un drap de bain, et dessous ... eh bé la vie, encore, comme sou-mise !, 6, les données fractales et autres éboulis de vie; 7, la Joie, 8, l'ombre sur le tas, 9, l'envie de soi, 10, on recommence ! On est bêztes de poids sur paroi -romance, cha,nt de soi = tralala sur bande (de fait) pariétale et ça se voit, ça chante grave, c'st la HJoie ! On voit ça ! On est entrées ense'mble. On est comme allouées e,nsemble à un e voie, un tracé de choix, accès fin de paroi par où, ensemble, vite passer, s'immiscer, et du coup passer , en vtai , de l'autre côté. on essaie de fait de cerner la voie, où elle est en vrai, par où ça commen,ce. on regarde ! on est des qui sommes ensemble qui (en vrai) regatrdent ! On est nées de rage ensemble, pour tracer sur roche lesz don,ées naissante's.
Bêtes de pôids (de masse) sont ce tralala dont on parle (chants d'azur, chants doctes). et ce trralala ... indique la voie ! ça chante ! ça chante, et , du coup, ça p asse (pour le dire vite) ! d'où le fait que voilà, on est comme accolées ensemble à toi à moi, et c'est du coup ensemble qu'on ess&ie (qui sait ?) de comprendre, d'aller, de donner du ventre, des fessiers, du buste et des nénés pour comprendre, toucher, cerner, considérer tout un ensemble de données données comme p ar la ba,nde par une Entité dont le nom, pour ainsi dire, serait (peut-être) Déité (Maïté ? on ne sait !). On est accolées, ensemble (main dans la main), à une roche. On ne veut pas sombrer c'est un fait (comme les hommes hommes) mais (pour le coup) pêrdurer ! perdurer -durer à jamais si tant est ... On est nées de Rage (d(une Rage) et nous voilà comme touchées , ensemble, par la bande, sous le joug d'une loi de base = looi des voies, qui est la loi d'un paysage de passage, chant de joie et loi, certitudes et amertumes, c hance et charge = la Voix ! ça se voit ! c'est un drôle de contrat qui nous lie là ensemble ! une sorte d'embuscade, ou quoi ? tracé fou ? cueillette ? on va devoir (il semblerait) sortir les assiettes , les couverts, les verres ; l e pain et le vin ? on ne sait pas mais ça se pourrait bien ! On mate grave ! On est , femmes a ux prés, comme
"bulflettes--entités". On broute ! on est comme les cernées de base ensemble alentour. fruits des monts. Monts des fruits. monts des données rudes. Asphyxie ? On dure ! on trace vif ! on y croit ! on voit ! on mate ! on veut être des (ensemble) qui tracent, ne lésinent pas sur la dépense, vont droit, chargent que tu chargeras, vont jusqu'au final ensemble s'épauler (voire s'aimer) et ça le fait (le ferait) pour l'éternité qui sait ! on entre dans l'antre. une voix est u ne voie car ,
elle creuse l'espace et nous aide grave à nous orienter c'est un fait, et du coup nous voilà qui (de fait) traçons grave sur roche des prés, chemin de passage, tracé,, bêtes de csomme sous le nez, on est bêtes nousz-mêmes, colère, vivacité, charge-née ! On est accolées qui poussons jusqi'aux nénés de l'être ! LAIT ! Du lait plénipotencière ! plénipotencier ? On veut aimer le lait, s'aimer xdans le lait. le lait est nacré et sacré. On veut ensemble s'aimer grave da&ns le lait ! On est nées pour s'aimer ensemble dans du laéit, dans un bain de la&it "de l'autre côté". On est femmes des prés, on veut toucher, tracer, cerner et coller. On ne veut en aucun cas sombrerr, mais tout au contraire pezrdurer, charger, dire et aller, coller à une sorte de "mât de misaine" et tracer := naviguer sur mer souveraine. Mer des données. On est nées sur mer allouée à une sorte de donnée dite"surnuméraire" vsouveraine salutaire. On est des foemmes aux données données souterraine; qui on etst ? des fées ! on le s a it ! on est fées faites Mort ! On est Fées de la Mort. On est des Fées comme "De la mort" ! On aime être Fées allouées à la Mort, comùe qui dirait. On est nées sur roche Fées, et du coup on est allouées à une sorte de don,ée, liée à la mort dans ce qu'elle est. On regarde dzvant soi et c e co,nvoi de b^-etes fortes est ce convoi de bêtes rosses liées )à la mort. On mate ! on veut comprendre ça et ça. On voudrait de grâce aller ^)rofond et pour cela, il
est mieux de tracer (à main levée) les bêtes de poids , bêtes belles = masses ! Poids de RAge! On voit ! on est là pour ça, voir ensemble, aller grave, toucher, cerner de p^rsès, aller ensemble, se "toucxher la main" et ce faisant tracer, courir,, gravir, toucher, se donner, faore fropnt, allouer à une roche u ne Passion, coller à une roche son nom, le graver de front à l'unisson, deux noms font le nom de la Chose. On est passées ensemble sous les peupliersz. On entre ! On est fe"mmes allouées ensemble (deux femmes) à un antre. On aime aller vers plus de clarté, de vives clartés souterrainezs./ On veut dire et faire, charger et aller, comprendre et soupeser, soulever et ne pas tomber. On est bêtes de somme nées d'une sqorte de parade (ici : paroi) grégaire on le voit, ça ne nous choque p)as , on aime ! on est là enseùùmble (à toi à moi) pour être et, du coup, être unebête, bête de hjoie (pâroi)bsur herbe, légère ou pas, le tout est d'être, sur roche des bois, l'êttre surnuméraire salutaire qu'il nous sied (ô cfombien !) d'êttre. car voilà : o, n est là pour cerner (ensemble) cette jHoie de l'être ... en tant que bête. On est femmes des prés, allouées à une Dewstinée, dont le nom est Pré, Herbe, Prairie ou Champ de luzerne. QZui on est ? On est des femmes souveraines, acc
olées, qui voulons perdurer, foncent, creusent "dans" la vérité le sillon de l'être-bête tel qu'il nous apparraît (on dirait) dans les rêves.On veut ensemble en vrai toucher à cette' d"éité "des données sup^rêmes", la toucher de près, sonder son êttre, regarder ce qu'il en est (de fait) dans la clarté, peser et toucher, coller et monter, a&ller sur herbe jouer, s'amuser, comme ... des belettes. On est n,ées, sur pré, belettes en colère (?) ou, peut-être, auroques enjouées (?). Qui le sait ? l'herbe est verte !on est bêtes de jeu. On s'aime à qui mieux mieux couchées dans la luezerne nues. on se sent le cul. l'herbe est verte sous le cul; on aime ! l'herbe verte et le cul ! On s'aime ! On trace ! On regarde. ON veut cerner ensemble les données "étra,nges", les tracés patents, l'antre menaçant, la chance, les tourments, les traces frontales, les bêtes de poids sur cloison murale. On y croit ! On est là pour ça : croire ! ne pas sombrer, chercher pitance, soupeser le blé, les graiines et autres céréales. On aime aimer . On veut toucher à cette déoité des parades allouées à une sqorte de mur de piété, charge sarde, calamités. On veut être près. Toucxher. Toucxher déité. Toucher; Toucher à cette Déité. Toucher à cette Déité des Déités. La toucher de base ! Toucher ! Toucher grave !
Toucher) à cette sorte pour le coup de D2oté des D2ités. On veut comptendre (à deuxd) la Chance = la VOie = Le Temps./ On est comme deux enfants qui ch assent ! On est femmes chasseresses et on en avance dans les connaissa,cesz, sur terre, sur paroi, sur ciel, au temps donné des donnés frontales, sur charrue, hjoug et bois. On est deux femmes de paroi "étrzange" (la paroi étrange, et femmes étranges... car voilà : on s'aime là, dans la voix !!!!! étrange... n'est-ce pas ?°). On charge ! On est comme (toutes deux) cernéess ensemble à toi à moi dans une soerte de parade dont le motto (on dira) est ça : "une voix pour soi ". On colle ! montons ! traçons ! courons ! creusons ! perçons ! fraisons corps ensemble ! chervchons le plus possible à comprendre ce qu'on voit d'ici (champ des effets) qui nous "regarde " de près (ou semblerait) . On est deux femmes soulevées ! on est femmes soulevées de près ! on est femmes qui , soulevéesainsi, lévitent, vont, touchent, sortent, wsautent. on vgoit loin ensemble ma foi : loin .... derrière soi , la plage , le sommet, la crête et les embruns de bord de mùer, les plages sondées, le courant marin, le sable,
l'alchimie des algues et autres coquillages. On veut comptendre, toucher,, cerner, aller sous l'effet desz données données ingurgitées. S'aimer tout près = se lécher. être Fées des Rêves si tant est. faire ainsi qu'on soit "solidaires" , allouées à une grêve, aux abords des prés, vagues d'herbe, cris des joies. On est accolées sur rochetracée (ornementée) comme un cimetière , comme un cimetière l'est, est ornementé, décoré, enjolivé peu-têtre. on est comme nées sur l'herbe des prés ! obn est nées d'uncimetière ! on a traversé les différentes contrées post-cimetière et à présent on sait mieux qui on est ou même ce qu'on est, notre identité de genre et nombre, les données de force, nom / prénom et qualités diverses. On est nées sur roche deux. On est nées sur Roche au nombre de deux. On est deux main dans la main sur roche, nées sur pré, chargées, accolées. On est femmes (deuxd) qui (en vrai) étaient peut-être encore homme (au singulier) "derrière". On veut cerner ! toucher ! aller ! comprendre ! soupeserr ! soulever ! charger ! pisser ! ne pas couler ! compter ! perdre ! charger les données salutaires ! pisser de près ! aller et coincer, dire et pousser le Verbe, dès lors, vers ... la rivière ? l'ondée ? la grève ? le courant altier ? les remous mousseux ? les bêtes des Dieux ? Le collé-serré surnuméraire dune sorte d'antre merveilleux ? On est cfomme des féesz de ba
s-étage, misérable miracle, on veut les cieux mais vas-y voir ensemble ! c'ewst merdeux ! ça tremble ! c'st peureux ! ça chante grave ! ça vous glace ! vous transit de base de la tête aux pieds. On veut comprendre,; alors voilà, on comp^te nos pas. On est franches . On est là pour ça, comprendre par l a ba,nde un certain om
bre de données de base, ce que c'est, ce que c'est pas, ce qu'il advient, ce qui se trme içci bas , et aussi plus haut, là-bas, tout là-bas, vers les embruns, ce paysage sous-marin, la Chance des pages, le sommeil, la Voie de face. Une entrée en vrai. Un drôle de "passage pour Fées", pour Fées qu'on serait. Une sorte de porte sauvag . un endroit par où ensemble aller comme à la ramasse ! On est nées sur pré. On charge ! on pousse grave ! on veut tracer = allouer à uen D2ité, toute (ici ) cette charge mentale (mots de la tribu) dont on est redevables il semblerait ... du seul fait d'être nées, qui sait !
17/8/2024
On est deux pour être. On veut cerner ! On est accolées.
On est ensemble pour cerner ce qui en vfrai semble nous "regarder", noud voir en qauelque sorte à travers la Chose ! On est deux ensemble ! on avance ! on est cernées , on est colme allouées à cette Chose , des données premières , princières ! On veut : et cerner et c omprendrte, et toucher et dire ! On veut : aller ensemble, fissa, à la une à la deux, comme à l'avenrture ! chercher quoi ? chercher ça ! cela là qui, en vérité, semble ou semblerait nous regarder en face ; et c'est quoi ? c'est ... l'plombier des charges ! l'envahi ! le guetteur ! le crac de la bande ! On regarde et forcément on voit des choses devant soi qui se pavanent ! roue dentée ! crénelée ! on comprend des choses, ou du moins, on cherche à comprendre, ensemble, un certain nombre de données de base concernzant la vie dans ce qu'elle a de plus profond, de plus ancré, de plus enraciné en vrai par la bande, dans ... preut-êtee en effet, ce seuil dit de rage, cette chose "des confins" : la mort ! oh, voilà ça , qui (qui sait ?) nous regarde comme parr en b as ! on y va ! on charge ensemble ! on essaie, du coup, de comprendre ensemble ce qui est qui vient vers Soi = Nousq de rage ! On est , eh bien, accolées de base, car surfaites = faites sur ! faites ensemble sur le tas ! de rage ! sous le Verbe à ras ! la chance ! on avance ! on entre ! on veut cerner-comprendre ensemble un certain niomvbre de donneées de bhase, ce qui est, ce quin'est pas, ce qui va là ou nhe va pas là . On veut ou on voudrait ensezmble, cerner un certain nombre de données acides, données de parade, données-vies, charges mentales,, supllices à vrai dire , à moins que ce ne soit la Chance en soi d'être et de paraître celui ou celle ... qu'on est pas ! charge rude sur paroi := bufflette ! oh voilà ! on y croit ! o,n est buflle-bufflette de paroi ! homme et femme lambda ! caramba ! On avcance ! On veut ou on vouderait ensemble comprendre un certain iombre de dionnées de rage, ce qui est qui est, ce qui semble comme aller de soi, ce qui charge ! ce qui va et ce quine va pas. On est face à face (la paroi et Moi = Nous = Vous = celles des envies (folles) de Vie !) . On aime ! on est comme Amour alloué de Caérême , chant total, pisse-vin, toucghe)-misère, octogone ! On est comme deux connes qui voulo ns aller (de rage), à la une à la deux, à la recgerherche d'une Vérité disons de bas-étage (qui sait ?) ou quoi sinon, d'autre ? Car, on sait ensembvle traverser la roche ! aller vif ! toucher le nacré et passer qui son doigt de fée, qui sa serpette, qui son sang des règles, qui son oeil de bois ! On est femmes sûres ! corps à coeur ! vives alkacrités massives genre bêtes des przairies et autres prés acidulées. On avance ensembkle ! On veutcverner ! comprendre, allouer ! dire et toucher ! Etre près de cette b^ete de derière , chercher à cerner ce qui est ! On veut être ensemble des , qui (de fait) veulent traverser (ensemble) les données ddonnées de type roc et pré, roche allou"éée, roc des données vives, trimballum ! On est comme nées pour être ensembkle (ici) traversantes ! On avance ensemble ! On nest deux ! on collle ! on veut aller de rage ensemble au fond du fond des roches de base , trou du .. con ? on est comme nées pour être allouées, à un .. "vcon de rage" ? qui sait ? qui le sai -t en vérité ? On veut : toucher-aller, dire-faire, comprendre et s' avancer ensemble, à toi à moi, sur la lande par la ban,de ! On est femmes des prés ensemble ! on est passées ! on est nées de cette sorte de paroi "étrange", -dureté parmi les duretés, charge totale, enfilade, coeur des joies. On est sages = sades = vagues = mer en vrai saumârttre ou sinon saumêztre ... mâttre ? Onn y croit ! Allons-y ensemble à toi à moi comme à la parade et peut-être o,n y verra de grâce les données de poids qui (ensemble) pourront faire, ou le faire , on le voit, qui sauront nous dire, faire comprendre, etc., ce qui est qui est et du coup (aussi) ce qui est qui (peut-être) en vrzai n'rst pas, ou pas complètement ! Car, la vie ici est une sorte de paroi intime , creux des fois (ou de la foi) en l'au-delà . On est nous ^mêlmes pour nous-mêmes intimes . on essaie d'aller ensembloe au plus profond, on est sur un chemin p)rairail et du coup on marche, traquet-traquet, mzain dans la main , à l'intériouer de cette cavité prairioale, on est accolées, on marche ainsi accolées, on est nues, femmes nues accolées qui marchent, vont ensemble droit, en avancent, vont vers , vont ensemble, vont droit ensemble vers là-bas cette chose en offrande qui est quoi, qui est la Rage, faite Vie de base ! cchant du coq ! mort et grève ! On est comme deux ensemble soudées accolées, qui marcjhont d'un pas vif (ou pas !) vers elle : la mort -grève ! On est soudées pour ça et on marche vif ! on est ensemble sur le pré aux buffles et buflettes, on est dans l'herbe, on est bêtes nous-mêmes. On veut aller profond toiucher à cetre chose d'une soerte de cloison du bout du monde ! qui saura nous dire ce que c'est que cette cxhose devfant soi, de type cloison ? qaui est là devant nous qui cxharge ? qui charge devant nous pour ça, nous "inclure" fissa part la bhande et v as-y comprendre, zzar atoustra ! On est femmes des prairies vertes, bêtes de poids, charge rebelle, on est là pour ça : aller (de plus belle) vers ça, genre "la misère", genre "le tombeau", gentrre "l'emportée", genre "le tonneau aux données acculées". On est deux pour être celles qu'ion voudrait conna&îtte (en soi) à toi à moi commùe à la parade ! Qui on est ? eh bé, peut-être, celles qui pèsent ! oh peut-être ! celles qui (ici) vont ainsi verts elle (la cloison frontale) d'un pas lourd ! .... ou d'un pas léger ... s'i elles sont belettes ! On est fées ! faites ! dures au toucher ! chezrche-mercde ? crudités ? On est comme cernées-accolées à l'être et du cou!p on cernne ce qui est qui se présente sous nos yeux de bête ! On était bêtes avant de naître on renaît bêtes ... dans la mort. On veut (on voudrzaiot) de fait aller = cerner = dire ce qui est, et ne plus se perdre,; mais tracezr ! tracer grave ! charger ! toucher à cette chose devant soi df'une sorte ... d'"oubliette, d'oubliettes des données qui , en vrai, sauraient grave nous informer sur ce qui est et sur (aussi) ce qui n'est pas , en matière de (pour le coup) données , de type "mortuaire". On est nées pour être ensembloe, dans la mort, des fées dites "de basse-mesure", chant des dunes, foi en Soi en tant que Fée des dunes. On est comme allouéews ensemble (nacrées) à cette chiose d'une sorte de do,nnée épique ! tarantule ! danse des turnes ! On est là pour ça : la danse (la transe) = la rumba (sur toundra) et autres danses macab res ! on y va ! on lance les bras les jambes ! on tourne sur soi ! sarabande ! cxharge-chant ! charge et chant venu de soi ! On entre ! On est comme ensemble nues cooll"ées fissa de rage pour ça : aller-danser, courir et toucher, comprtendre et coller, traverser les prés jusqu'au bout du bout qui nous est donné à la une à la deux com^me par la bande (langagière) animalière des do nnées muralesx (frontales) de paroi ! On avance ! on est deux pour ça = comprtendre = dire = faire, et ce faisant tracer ! aller comme à la parade ! s'incruster ! toucher la bande des données , données en face ! connaître ensemble "l'interface" aux données données, "l'interface" alloué à une charge (ici mentale) de type "donnée des données" et c'est marre à tout j amais on dirait. On est qui ?
on est — fe'mmes doctes, genre "mortes".
On est — douces et vives, rudes et armées, on est nées pour être (il semblerait) allouées à "une mort certaine prolongé". On est femmes cernées de base par la bande et du coup voilà on avance, on trace, on y va ! on veut comprendre lma paroi, le sens de la marche, les données de base, les procès, les envies naissantes, la donnée su pr^éme et c eklle (aussi) au ras de la terre. on est nées ensemble à la retombée , comme soulevées, mo ntrées, chargées ! On avance ensemble des deux pieds, sur roche des prés , on est saintes âmes, charges sales, charge au nez et à la b arbe des divinités, chant des voix, peuplades de toundra, de canotage. On est apeurées ou pas , en attendant on y croit ! on va ddevant soi, on trace des traits de paroi, on creuse on dessine, on est soulevées ! montées ! redressées ! allouées à la roche en tant que fé&es sinon carabosee fées des prés ! On aime ! on chante ! on va sur herbe au milieu des vaches ! on est vfaches sardes ! on est nées sur pré pour (dans la mort) être (redevenir) vaches ! vaches à lait ! bêtyes des prés ! charges ! divinités ! âmes ! car la vache sur pré erst l'âme des données ! on est nées vaches dans la mort donnée ! on est re-nées vaches ! on veut toucher-cerner la vache = la comprendre à jamais et devenir vache nous m^rmes, si tant est et par la bande , qui saiot ? On veut vachge, être. On veut vaches, devenir ensemble. On veut grave ensemble aller et toucher à cette sorte de donnée de rage, vache à lait ! on tremble de n'y pas (ensemble !) arriver si jamais ! on veut comprtendre = être = dire = faire = aller = toucher à cette sorte en soi de sa r abande des co nntrées de base. O,n est nnéesq pour être fezmmes à tout jamais , qui sque l'on soit , qu'on le sache ! on est nées pour être (dans la mort) femmes à tout jamais , qui que l'"on soit ! on est nées sur terre, né, née,, nés, nées, pour (dans la mort soudaine) devenir (= recdevenir) femmes (au pl;uriel car : 2) à kj&mais ! On est accoilées ! on est femmes jumelées, femmes slaves, charges, corps de rage, dupliçcités faites charge, corps de joie maussade ou pas mais comme élancé, corps de type flèche , corps de rage alloué à une cxharge de paroi de base, charge' née. On est né qui on est, ^pour mourir alloué, à une sorte de donnée de type "femmes" . On est accolées, soudées, collées, comme allouées à u ne sorte de paroi de rage, "confinade", charge finale ! On est nées ensemble, on veut tracer ! On regarde devant soi la base des données, on est comme cernées et on avance ensemble, on y va ! On est femmes des bois, des parois, des choix du roi, des choix princiers, des reines des prés, fentes labiales ! On veut ensemble au mieux co:mprendre ce qui est da ns ce qu'on voit (verrait) devant soi comme à la parade ! qui on est ? on est Roi et Reine ! chant du cru ! IOn est bêtes sur rocher comme gravées, et on veut "tracezr" = traverser la roche, aller là (ensemble) à la chamade ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! topucher ! toucher ! touxcher ! toucxher ! toucxher ! toucher ! tpoucher ! toucher à ce qui est en vrai qui nous regadfrde, nous reluque grave, bnous m ate de près, nous mate grave, bnous veut "en entier" mais comment, de fait, se sousqtraire, à pareille volonté venu des confins , des données dernières ? cfommùent faire pour ne pas céder ? pour aller sur pré sans, pour autant, succomber à l'appel de la forêt dernière, des données dernières, des dernières volontésq, des vives clartés de derrière ? On veut (on voudrait) ensembvke chercher à comptrendre. On aimezrait beaucoup aller ensemble pour trouver , en cette chose des données ultimes, ce qui est. On rezgarde devant soi, on mate. on veut cerner ensemble les données et pour cela le mieux c'est d'y aller ensemble à toi à moi cfomme à la parade, charge frontale !charge grrave ! tr aversée ! on trace ! On passe ! on regarde , on est allouées à une sorte de prairie de base genre pâradisiaque, on y croit ! On veut aller , marcher, courir, travezrser le pré, comprendre les données, aller et regarder les bêtes qui (en vrai) br(outent que tu brouteras (comme à la parade) ensemble. on est accxulées ! on est entrées ! on est entrées car femmrss soudées, femmes doctes, collées)-accolées. On est entrées en tant que femmes aux données données. On est pasdsées de l'autree côté. On est pasdsées enj tant que femmes dédoublées ! femme dédoublée (au singulier) = femmes dédoublées (au pluriel) ! le singulier l'"emportreait ? le pluriel est né ? le singulier se verrait transforl$mé en pluriel des prés ? on est felmmes allouées à une sorte de prairie de base de type contrée comme cernée, entourée, constrite. On veut toucher à cette Déité des bouts des roches, déité des déités, qyui, en vrai, serait celle qui (de fait) nous rtegarderait ... par derrière ! de tous les côtés ! on est "faites " , fées, doucemenrt cernées ! commandées ! charbgées de tête ! comme trimballées sur herbe ! on est entourées d'une "murerttte" aéux données données par "qui on sait", mais le sait-on en vrai autant ? qu'en sait-on de ce "manant" ? qui est )-il qui sait qui on est? On est nées ensemble riches de données données concernant la mort ! On veut tpoucher ! toucher ! toucxher ! toucher ! tpucher! toucher à cegtte déité des déités graciles, fines, élancée, nacrée-sacrée, on file ! vivement qu'on sache : qui est qui comme pa r la bande ! on entre ! on est entrées ensemble. On veut toucher à cette sorte de donnée de base , genre "Dulcinée". On aime les fées ! les donné&es prairiales ! les entrées de rage, le sommet, la charge mentale, l'épopée, l'onctuosité de façade, lea cloison terminale, la cxlarté donnée, les embruns sauvés, le chant de la roche et autrees sons sans anicroches ! On aime chercher ! et on se jette dans le t as ! on entre ! on est acculées ! on est deux pour être ensemble l'êztre des ,prés (buflette au dé&botté, genre bisonne des prés). On est bêts aux données données comme par la ba,nde (ici lang agière) animzalière gravée. On aime ! on aime aimer la bête dessinée ! on est bête nousz-mêmes ! on hurle ! on creuse ! on v a ! on est comme deux fées de paroi ! on est fée des prés et des parois du bout de l'âme ! on est accolées ! On se colle l'une à l'autre pour enttrer (pouvoir entrer) sans anicroche, sans se blesser, sans y passer . On est femmes données, o,n est mortes-nées = vives-allouées à une sorte de paroi "du bout du monde". On y croit ! on voit ce convoi , bêtes de roche, gravures et morsures, traits de force, mains lambdas, genttes dames sur paroi, fentes. On aime ça ! on veut touxcher à ça ! la charge mentale (ici) de façade ! le tracé des reines et des rois ! la paroi première ! l'emportée massive, le donné de choix, l'aura ! On est femmes de paroi, on est accolées, on est entrées, on est comme toucheées par (ici) la grâce d'être ça : la Rage ! l'envahidssement de soi par la bande , la colère immmense, l'ire envoutante , peut-etre (du coup ) la transe ! on voit ce qu'on voit ! on est felmmmes de paroio en transe (danse en nage) et du coup on en avance (ici) dans les données savantes. On est comme (re) nées à une vie de base
à
àune vie
de base mordante,
à une sorte en soi de vie, de base "mourante", de base "montante" ;...
à Vie -Mort de base, à Mort-en-vie... de base montante ? à Vie = Mort en cette Roche , aux données acides voire acidulées ? On colle ! grave ! on est mortes = vives ! vives dansz la mort mais comment comprtendre ? en tant que femmes déplacées. On est nées femmesz (de fait) dans cela qui est (ici) la.. eh bien, la donnée Su^prê'me ! charge ! poids ! cri ! colèvre de prairie ! on veut toucher à cette déoité des déités transies ! "quui c'ewst ?", c'est l'plombier des prés ! l'Anarchie faite Fée , persi-obnifiée ! On aime ! on like grave et plutôt deux fois qu'une ! on aime les fées, les donnéesz données, lesc présences, le p assé des prés, le chant de la bande, l'envolée toteale ... et la chance ! On veut toucher à cette déoité des données suprêmes dont on parlait. On est qui ? "'quête" ! on est cfomme nées (de base) femmes (ensemble accol"éées) dans un cimetière. On veut toucher-cerner = passer le nez , qui un oeil qui deux ! et mater-sentire = renifler-reluquer = comprendre. Ce qui est qui est derière la paroi (cloison) termi nale. Minois ? minou ? moi ? ma "don,née colère" ? mon ch at ? mon (mon ?) chant , dit "chant des dunes et des monts de bosse " ? On est femmes doctes dans la mort. On est , dans la mort, femmes doctes. On veut = on voudrait : cerner gra ve, les données de base. Toi et moi. Ensemble. Associées. Femmes de roche à la retombée on se consacre à mieux cerner ce qui est qui est da&ns ce convoi du bout du monde : la paroi des roches, le dessin total, l'envolée, la montée, la parade aux bêtes sacrées (vaches à la&it, bêtes-monstres, données des données, cohorte). On aime alller (ensemble) à la retombée et toucher = dire ce qui est qui est, et aussi cezrner = dessiner , ce pré, ce champ, ces contrées prairailes, herbes "tout venant" et autres luzernes. On est "devant" ! on creuse à vif la roche Du Temps, c ar oui, on est comme "devant", postées à la base, posées, contenue's, accolées, montées. femmes des données données on est passées et à présent on peut (grave) chevaucxher la lande à toute enjambée et aller juèsqu'au portail dit portail des fé&es , une rooche en poste , trou du cul des roches ou des données de roche. On colle ! on ne s'arrête pas de coller ! On est comme touchées, faites, entrées, passées, on mate ! On reg rde ! On veut aller de fait comme par la bande recher c her, qui l'entrée qui la sortie, mais du coup "un passage de rage", trou de base. On est cdomme néesz ennsemble (à toi à mùoi) par la bande en ette sorte cde champ de paroi" donjt le nom est ça : parade ! coin de rue ! charge -avenue (advenue ?) ! poids de taille ! On est FEMMES DES DONNJ2ES DE BASE, on est FEMMES DES DONN2ES DE BASE , on est FEMMESCV AUX DONN2ES DE BASE ! On est FEMMES NUES AUX DONN2ES DE BASE ! on est FEMMES DES DONN2ES NUES ! on est FEMMES DES DONN2ES DE BASE NUES ! on est FEMMES NUES AUX DONN2ES DU TROU DU CUL ! on est FEMMES N2ES AUX DONN2ES DU TROU DU CUL ! on est feMMES N2ES E?SEM%BLE AUXD DONN2ES GRAVE DU TROU DU CUL OU DITES " DU TROU DU CUL" ! on est .... FEZLMES , DOCTES, SACVANTES, AUX DONN2ES STRANGE ! AUX DONNJ2ES DONN2ES DITES IL SE4MBLERAIT° "DU TROU DU CVUL" ! On est femmes par lma bande et par le menu, dudit passage (devant soi) "du trou du cul" et ça bande ! grave ! -ça remu e d ans l'antre ! c'est couillu de rage (cousu !) ! ça charge gra ve ! on est nues vues, vues nues, on est nues et vues : on entre ensembleb = main dans main ! On est passées compme par la bande à une sorte de nouvell e charge ! on est accolées ! On est nées ensemble d
ans la mort ! on est (dans la mort) comme nées (ensemble) à une sorte de nouvelle vie dont le nom ici est : vie des vies ! colère monstre ! cxhant fort ! communication de l'au-delà à travezrs en vrai la paroi de roche, ou p aroi des Rois , Reines cachées, RRois des Fées, sarabandes. ON veut (on voudrait ) collezr , ensemble ici comme aallouées, à une Roche terminale, genre "paradisiaque" si tant est. On est femmes des prés, charges frontales, fées des p^rés = chance ! on aime ! on aime grave ! on veiut grave aimer de près ! on veut de près aimer grave = toucher ! on a&ime aimezr ! on aime aller ! on aime cerner ! on aime se toucher ! on aime se branler ! on aime comùprendre ce qui est en cette chose d'une sorte de "mansarde de l'au-delà" (dans l'au-delà) de typee "par adisiaque" . on aime ça ! on entre ! on est entourées ! on est au milieu du pré, parmi x et x bêtes broutant l'herbe fgrasse. On voit autour de bnous la Chose de ba se, le bâti. On voit la Roche, la Rotonde, lemporté, le décollé. On voit de fait la Roche des Fées. La murette donnée. On voit ce qui est , on entre en vrai, on est accolées, on fait corps , on fait fée". O,
n est femmes-fées allouéesz à une sorte de "roche des prés", et là, entrées ou une fois entrées, on cherche à toucxher toucher toucher toucher à cette sorte de ... muret ? mur de roche déjà traversé ? on essaie de cerner ce qui est. On cherche ! on veut toucher c'sst un fait mais aussi "p asser" ! on voudrait ensemble, parce que nées ensemble, traverser . Passer ensemble, aller, comprendre, traverser la roche, passer cfomme en force ou sinon comment ? comment en vrai pour le coup passer ? commùent faire ensemble pour p asser la roche des données finales ? en force, vraiment ? ou sinon comment ? par la bande sonore des enttrées parlées ? par le TEmps ? au moyen du temps ? On est comme nées ensemble dans la roche, et (en vrai) à prése"nt, on aimezrait re-travezrser dans l'autre sens ! aller loin dans "les données", faire ainsi qu'on puissee aller comme en une sorte de retour, de re-quelque cxhose à rebours ! Qui on est ? on est FEMMES N2ES PAR LA BANDE ! PAR LA BANDE FORTE
d'une sorte de do nnée vivante !
CHARGE DOCTE ! PAMOISON ET CJHAMPIGNON ! On ose ! on ose aller ju!sque devant la porte aux données finales rezgarfdrrer. regarder ce qui est. Ce quyi se tra&me. De quyoi donc ... la "mort" (?) est faite . Ce qui est derrière le mur en rotonde . ce qui est derrière ... ce mur alloué à une (sorte de) charge praoriale (ventre ?). O,n est FEMMES AUX FOLLES DONN2ES , FEMMES AUX DONN2ES FOLLES ALLOU2ÉES à DU VERBE, FEMMES (DEUX FELMMES°) ALLOU2ÉE (ENSEMBLE) à)
UNE SORTE DE "PAROI DE BOUT DE ROCHE" (MA FOI°)ENSEMBLE. ON veut grave tracer-pisser, se toucher-baiszer, a&ller et venir, se doigter du feu de dieu, comprendre les données frontales = pisser ! pisser À la ré, connaéître le pré, les bêtes, le vent, l'herbe, le champ et le chant donné. On aime s'aimer sur roche allouée. On veut êztre fées ! fées des bosses et autres dunes de paroi (ou religiosités). On aime tracer ! topucher terre ! pondre ! coller ! faire ! dire et faire ce qui est ! pousser vers déité des ciment§ières nos envies sacrées ! colmater par (comme qui dirait) du verbe ! On est nées sur terre allouées à une sorte de verbe des prés, chants des rues, vives amabilités, cortège. On est femmes dees prés, on est femmes des données ardues. On est (dans la mort) re-nées ! On veut cerner ! Qui on est ? nues ! on est nues (de base) velues, vives et crues. Mues. On est mues de base. Mues et nues. Bêtes des prés sur la place. charge de rue ! antre. On est cfomme znsemble toi et moi en nous (offrande) comme szoulevées nues par la bande en ce sas des sas. On veut toucher ! on veut aller ! on veut cerner ! on veut dire et faire ! on voudrait de fait dire et faire ! on voudrait de fait ensemble dire et faire ici, en ce sas des sas, une sorte de cortège. genre sarabande. coller. On veut coller ! on veut coller ensemble . On voudraitb ensemble coller .On voudrait ensemble nous deux coller , coller grave ensemble : toucher ! toucher Déité des Déités et autres divinités de roche si tant est. coller grave à cete chose d'une sorte de donnée donnée tellle que présentée (divinement) sur pa&roi du Temps. On veut : cooler, allmer, dire, cha&rger, chanter, faire, comprendre, disposer, aller vif et comme "soulever" la roche pour passer, dire ce qui est, chercher sens, poindre, calfeutrer, comprendre les données données, filer, pousser, pisser dru, e't aussi chier = se vider ! c'est important ! On veut : faire)dire, comprtendre-allouer, comprendre-percer, percer-toucher, traverser l;e muret et aller de fait ensemble (main dansz la main) de l'autre côté ! on aime toucxher ! on aéime comptendre et dire ce qui est qui est. on ne veut pas passer à côté des choses de la Vérité, comme conduite. On veut : toucxher-passer, cfomprendre-allouer, dire-faire, communiquer, faire ainsi que pour le coup les données soient posées, et ciomme consignées sur roche . On est nées sur roche comme à la parade poour ainsi comptrendre ensemble ce qui est qui se dessine (dessinerait) vraiment (de base) pour des ans et des ans. On est femmes fortes (grosses
) des données données comme p ar la bande ! on veut toucher-comprendre cesz données (fortes ?) allouées, ce que c'est en vériité,, ce que ces données e"n vr(ai xcachent ou cacheraient en termes pour le coup de connaissances concernant la mort. On est femmes fortes, fortes = groseess = savantes = pleines = pesantes = sachant tracer, dessooiner, comprendre, traverser la roche et passer sans forcer (?) de l'autre côté il semblerait. On est nées sur place (roche') pour tracer (dessiner) et (de fait) traverser la roche, se retrouver ensemble femmes (deux) de l'autre côté (dédoublées) et du coup prêtes à creuser (en vrai) plus loin, toujpurs plus loin, vers cettte déité dees déités surnuméraire. On est prêtes ! o n creuse ! on t§race ! on va& ! on en avance grave ! On veut
toucher-cerner de baseles données. On est FEMMES DES DONNÉES donnÉEs ! on est allouées à cette déité des rages naissantes ! on est cfomme allouées à cette déité des données savantes ! On est nées homme ou femme sur terre au singulier, on meurt transformé.es : femmes ! femmes = de'ux femmes ! en vrai ! dans la mort ! allouée à une mort données, celle du Verbe faisant la navette (vie / mort surnuméraire). On aime toucher ! se toucxher ! béiser ! se mettre ! se doigter ! se tripotter et se lécher ! et se humer ! se renifler ! se salir de la tête aux piedsz si jamais ! femmes fées ! fermes ! douces en colère ou dures soupesées ! On se lèche ! frêles ? raides ? cools ? on entre, en cette herbe d'un pré (alloué à une entrée) par le cimetière , direction les termes. On veut : et coller et toucher, et aller et cerner, et dire et passer, et passer et toucher, et cerner et dire. On veut ensemble traverser la base (prairiaéles) aux données rupestres, chargess folles, bêtes fortesq, cornes et coups de pied, bêtes-monstres, vaches à lait, bisonnes, bises et cohortes, contre-alléeez. On eswt comme nées (ensemble) et on veut toucher ! toucxher = faire = aller = connaîtte . on veut toucher pour ainsi dire les nénés de l'être ? femmes entre elles c'est un fait ! On veut ensemble s'accoler à cette sorte de cloison dernière aux données deonnées ! on aimerait ! On veut toucher à cette chose d'une sorte de donnée venue, comme de derrière (ici) la murette allouée à un cimetière (ou genre de)! Qui on est ? on est bêtes desz prés ! On est bêtes des prés en ce cimetière "de la mort à l'oeuvre" tel qu'il nous apparait ou nouq apparaitrait sur herbe ! On est nées de rage pour être, pour de fait être Fées , être Fées des Herbes ! cxhants des Fées sur roche imberbe ! traverser ! nées pour traverser ! nées pour êztre des fées ou "dans la mort : des fées " ! fils de l'herbe = filles nées comme soulevées, montées-montrées, portées. Cimetière des données de l'herbe ! On est nées sur herbe à une vie nouvelle faite de données données et comme soulevéesz vers Elle, l'Herbe , l'$Herbe des prés. On a&ime aimezr l'herhe, l'herbe des préds. On veut passer (à nouveau) de l'a utre côté = traversefr le mur, le muret, la murette "a&ux donnézss " et du coup comp)rendre (ensemble ++) ce qui est en cette chose d'un e sorte de passage nu, tracé nu par où, de fait, s'immiscer ensemble = à toi à moi, aller vif en ça, en cette sorte de paroi trouée, crteusée ! On est nées ! on est passées une opremière fois, nous voilà donc qui sommes ensemble faites fées de fait ! On est comme entrées on dirait, par la roche, à... rebrousse-poil ? ou sinon comment ? à la pa rade ? charge des charges ? on ess&ie ensemble de touchezr à cette cxjose d'une sqorte de muretde ba se, ce qu'il est c'est quoi ? mur des Rois ? mur /muret des REines de Saba (de P aroi ?) ? liens ici entre roi e't paroi , reines et fées, genres de données , perles et paroles allouées à une sorte de roche des prés. On aime tracer = travezrser cette roche donnée , par du verbe oui, par (en l'occurence) du Verbe "de Roche"" : cris de la passion , chants doctes, voix de fée, cohorte animalière finement gravée, pâroles de r'oche tracées, voix des morts et des mortes. On est morts-nées pour ainsi dire. Finement tracées sur roche on naît (on renaît) à une vie autre, celle des confins, des fins de roche, fin des fins. IOn aime s'accoler( à une szoerte de paroi de roche) pour cerner, toucher, comprtendre, faire ainsi que (par exemple) on puisse a&u mieux toucher (cerner-comprendre) cette Déité des Déités de Roche, Dieu des Dieix et autres Personnalité de base forte, dure comme la musique comme enracinée en cette dureté de roche gravée. On aime grave aller verscette Déité des Déités des données frontales et autres genres de données de roche telles que "visitées" ... par des fées. On voudrait ensemble traverser ici la roche des prés, retrouver l'allant = le temps. Traverser = charger ! charger tracer ! On voudrait vraiment , ici, coller , à ceette soerte de donnée dite "du bou!t du
monde" , coller-achever ! on aimera&it ! on vouydrayt ! on croit pouvoir tracer et, de fait, cerner-comprtendre ce qui est qui est, qui se présente et sembkle ou semblerait vouloir cfomme nous parler, noàus apostropher pour nous demander qauelque chose qui wserait pe"ut)-êtte,une sorte de vérité sur terre si tant est ! qui on est en vrai ? )eut-être, voilà, des fées, qui sait ? on creuse la roche allouée ! On passe ! Fées des herbes ! Femmes des prés alloués à une Parol:e dite "de cimetière" . Frai des fées ! On aime ! ion aime grave pouvoir frayer ! On adore ! On aime le xsece aux données données ! On aime grave ici (sur terre) le sece" a&lloué à une Vérité dite "INTRINSÈQUE " , c'est vrai ! on aime ensemble ! on aime aimer, comme à la parade, le frai ! l'enfilade ! on veut s'aimer ! se toucher ! se mettre femme = se mettre en tant qu'on est femmes, deux femmes à la parade, au chandelier ! on veut, ensemble, toucher (femme / femme) les donnéesq. On veut en tant que femmes dans la moçrt toucher = se toucher, tou!cher D2ité, se doihgter (ensemble) en tant que fées (doigts de fée = doigté = doigté dit "de déité"). On entre dans l'antre ! on est comme entrées ensemble dans l'antre, et du coup, on cherche à s'aimer, à en avancer, à tracer, à courir sans désemparer. On veut : et dire et toucher, et faire et aller, et coller et passer, et co:mprendsre et s'a madouer si jamais mais le peut-on enb vrai ? qui on est ? on est Fées ! Fées des Hommes mortsz ! fées comme aya&nt pris la place (dans la mort) de l'homme hier encore en vie ! car, si un homme cdans la vie sur terre mùeurt, alors il se transforme illico -presto, en femmes des prés se tenant la m&in ! deux femmes allouées grave à une roche, ça le fait ! homme au singulier, mourant, devient femmes (deux femmes ) au pluriel c'esst un fait à présent largement avéré et comme installé )parmi les connaiissqa nces ici liées aux faits et gestes de la mort à l'oeuvre et de la vie dite "surnuméraire" . On veut toucher à cette vérité dernière : clarté ! vivacité des clartés dernières ! embruns ! sons de roche (clocheztes ?), animaux sacrés . on ne sait pas ce qui est au juste vraiment vrai mais quand même, on subodore ! on veut êtreaccolées, se toucher, faire corps de près, toucher à cette Déité "des fonds de réserve". On aime grave tracer serré ! comprendre les données rupestres : les aurochs chargés, les bêtes de foire (= de foirail), les buffles ailées et autres vaches à l, ait sacré sucré. Aime ! charge ! croit ! voit ! perce ! perle ! parle ! va ! chetrche si possible à (toujours) mieux cerner-comp)rendsre les données données comme par la bhande. vives monstruosités de façade" ? on est comme nées ensemble par la bande (le langage parlé) sur roche des prés (temps frontal) comme p ar la bhande (des idiomes articulés). "Qui est né ?" = "qui va là ?". On s'en sera&it douté ! on est femmes doctes ! soit : sachant (sachantes) mille et une choses concerna&,t le sang, le corps en son entier, loes fonctions vitales, les données des fées concernant le cr(âne et le cervelet, la pie'-mère et autres dure-mère ou corps calleux "de destiné". qui on est ? On est , femmes "folles-fortes" = tourmentées = tournées = mises en forme . comme on est on va ! on entre ! on est ensemble on dirait pour peut-^tre mieux, comprendre-cerner les données de base , charges mentales, croix de bois, p)assages, mots des reines et rois, traces. quand JE bande , JE va ! Je se passe de Moi , car sale ! sage ? sarde ? charge ? On est comme c ernées de base ensemble par la bande, on est accolées, acculées, poussées, poussées de près et on essaie de fai-t ensemble de co:mprendre les données, ce qui est qu'on est des fées et pas des êtres comme nécrosés ! On veut : toucher à cette chose d'une sorte (en szoi) de Déité de cimetière ! Charge allouée à une pierre, à une donnée, à un muret, au mur des données allouées à la pierre. Qui on est . des fées ! fées de cimetière = verbe ? On ne sait mais ça sz pourrait ! O, n est cfomme pa&ssées ensemb le (tête première) à l'entrée , et nous voilà comme alertées, situées, chargées, mises sur pied, prêtes à y aller, ensemble, vivement, vers ici déité des parois terminales ou finales des confins de l'âme. on entre à pas chassés peut-être mais en vrai ! on rst acculées ou tout comme. On entre, vives et sacrées, acculées. On veut toucher à ce qui est de ce muret de fond de pré . Fond de pré de base. On veut toucher à ce muret, aux donné&es centrales, auxs données dpnnées. on veut touxcher ens'"mble ! vivement aller ! cerner-comprendre ! crever l'abcès mais crever l'abcès c''rst un truc de ouf en vrai, pas si simple'à faire pour de vrai ! en vrai c'est (c''st simple) pas (ou pas tout à fait) une sinécure ! On est des femmes de paroi entrées, entrées en tant que fées on dira&it. On aime tracverser. On est passées. On s'est retrouvées (de fait) de l'autre côté, et voilà, à présent, on est comme soulevées, on veut toucxher , on veut cerner les données frontales , ce qu'elles sont vues de près, à qyuoi elles ressemblent, sur quyoi elles donnent, à quoi on doit s'attendre, qu'est)ce qu'il en est en vrai, des paroles "de vérité" ou des paroles doctes. On reg arde ensemble . on se penche dngereusement; on veut com^rendre ensembvle ce qui est ici qui semblezraéit vouliior, nous donner à c erner ensembvle les données de base, donnnées rudes. Qui , qui on est, qui en vrai on est ? On est F2ES ! FÉES aux DIONNÉES DONN2ES COMME PAR LA BANDE LANGAGI7RE DES
ENVIES NACRÉES DE VIE ALLOUÉE À UNE SORTE EN SOI DE CIMETI97RE AUX DONN2ES DONN2ES ! on aime aller , faire et montrer, toucher et graviter (graver) autour du Verbe ... de la Foi d&ns les Données Données sorties du cimzetière. on touxche a&ux nénés ! lait des Fées de cimetière ! Lait (en qauelque sorte) sucré ! lait dit "maternel" du fait qu'il appartient aux mères allouées à une Roche dite (elle) Primaire". (première et pri-mère, pré-mère). On est ,-néesz sur roche à la traversée c'est un fait, eet du coup (à présent) nous cvoici comme ezntrées tête prmière dans la vie, "vie vive aux données de Fée, vie des Fées des Rages et autres Fées allouées à la marge". quion est ? On est des Fées de base anale, conaissances , gentes dames, frappes (petites frappes) au firmament , druplicités. on voudrait grave ensemble en avancer de base dans les connaissances mais c'est vrai que la chose en vrai n'est pas automatique, ou plutôt , ne marche pas automatiquement de pair (ou si ?) avec le langa ge, la langue dite " articulée". on voudrait savoir grave, ce qui est partout, ici (le cimetière) sa ns avoir à se ... prostituer ? de fait, se donne'r en écha,nge, se donner entièremebt (corops et âme, etc.) à la mort donné, à cette Chose en vrai de la Mort Donnée, déposée ou sinon déposée tracée ! On cherche à comprendre, ici , là, ensemble, fissa, à cforps perdu, ce qui est devant, ce squi se présente en tant que Devant, Devanture, champ des duretés, champ vif. on voudrait ensemble ici et là co:prendre les don,ées actées mais c'est vrai en fait que (pour le coup) la chose (à comprendre) est rude , et pas qu'un peu ! on se doit ensemble (pour co:prendre), à toi à moi, de cravacher, de cravacher dur ! d'y alller ! de cerner-toucxher ! de dire-allouer, de p^rendre ! faire ! aller ! cfomprendre ! composer ! allouer ! cerner ! cher cher ensemble, sur roche (pa&roi), mles mots des fées = Verbe Haut ! Colère ! Gravité ! GHravité Sacrée !
On saitc e qu'il en est car
nous ^-mêmes sommes (en vr ai) Colère, mille fois colère ou un million de fois comme colère, ou ditzs "Colère", car voi;là .... on
ne veut pas passer pour ce qu'on est pas ! on ne veut pas p asser pour je sais pas quoi qau'en vrai on est pas ! On est pas n'importe qauoi ! On est BHêtes de poids, sous joug, pour tracer-tracer , tracer grave le sillon de terre. On est fermes ! femmes fermes ! deux femmes sur terre ? dans la mort deux femmes, au sillon de l'être ? on cherc
he ! On est femmes d'une foi dans... l'être de la foi ? du foie ? On est comme "surnuméraires " On veut toucher à cette" chose, là-bas, d'une sorte de paroi. On veut : toucxher, dire, chercher, cdomprendre, cerner, peser, faire, disposer, aller, cerner-dire, permuter les dires, les tempora&lités, creuser roche et trzaverser icelle ici d'un même élan, si tant est. on veut ensemble aller ... comme à reculons ! qui on est ? des millions d'$etres surnuméraires alloués à une Roche Sacrée ! Femmelettes-goutellettes ? On est femmes serrées, accolées, sacrées et sucrées, qui voulons comprendre, dire, porter, se poser, chezrcher à dire, peser et porter le Verbe au pluqs Haut des Données MOntrées . Porter ce Verbe Haut en ce cimetière. verbe Haut = Cime-tière. Chans choraux ! on entre ! entrons ! fouillons ! c reusons roche ensemble au plus profond. femmes dans la mort. femmes dans la mort. Homme moussaillon dansz la vie sur terre. femmes (deux femmes) comme szoulevées-montrées, dans la mort en vie, mort des ombres §(= contenanrt des ombres, ombrezs qui sont, elles, des hommes tapis). vives ! trappues ! collées ! femmes collées, vives et trapues ! collées ! chargées ! craintes ! corsées ! On les aime ! on aime grave les aimer (femmes = féesw) . on aime les Fées , Fées des prés, cortège de fées, fées clochettes et autrexs fées au débotté sachant se pavaner, tortilller, se montrer, cherc her à plaire, se placer, etc. la vie ici des fées (des roches des bois) , est une vie comme de parade ! chant ! choix ! vin montant vite fait à la tête et vous sa&oûlant ! On aime travcer ! chercher le firmamaent en cette chose de la mort à l'oeuvre on ne sait jamais, on ne sait jamais szi
par h asard on ne pourrait pas le trouver, le toucher pour insi dire . On est arrivées tête la première. entrées ! on est comme arrivées tête la prezmièreensezmble ici (paroi / paradisz), à présent voilà, il faudrait pouvoir (vite) s'en échapper, szortir du pré, travezrser et du coup se retrouver ailleurs, szoit : de l'autre côté de ce dit par adis ! on veut comprendre ce qui est ici, cette chose d'u ne sorte en szoi d'enclave supra-sensor(ielle, szurn aturelle, hors temps , hors espace qui sait, on entre. quand on entre il est bon de cerner dès lors ce qui se préswente en termes de données frontales tout &utour de soi. on voit, on voit parfaitement ; ici : bêtes dee paroi; Là : mots des roches surnaturezles (her(b ?). Qui ou
quoi ? Quand on entre , on se doit de chercher à com^rendre, cerne"r ou saisir, des sortes en soi de "théorèmes" , a&ux do nnées centrales, primaéirees et princières. On est nées de rage da&ns la mort Fées. On est nées Fées de rage dans la mort. on estdans la mort nées Fées de Rag". On est nées de Rage Fées dans la mort. Dans la mort, on est nées Fées de r(age, et pas (envrai) pour rire, pour plaisanter ! pas du tout ! On est nées VFées ! on vole, on volette ! on est nées des prés ! c'est chouette, vif, vivant, plzisant ! On se plaît
en Fées ! On se voulait fées, eh bé voilà ! on est ! on est entrées ! on est femmes des prés ! fines mouches ! trempées et mouillées ! on est Fées )Moucxhes, Fées des présn! frappées ! allumées ! vives ! chargées ! on est nées Fées sur vaches des prés = mouches ? mouches ambula,ntes ? mouches savantes ? qyi on est ? on est des mouches ? On se le demande ! on veut comprendree dans la mort ... ce qu'on est. Ce qu'on est (dans la mort) on ne sait pas (vraimùent) c e que c'est . des mouches des prés ? fées clochettes ? qui sait ?
quand on chante on est là vaillantes, sur pied, prêtes à c ernezr (de près) ce qui est , comprendre, soupeser = soulever. on est entrées ensembvle et à présent on essa&ie ensemble (toujours) de comprendre, de s'avancer ou d'en avancer dans les connéiss&nces. On voudrait de fait ensemble cdomprendre (++) les données de ba se gravées, les dessqins au débotté (au pied levé) de l 'homm-femme de Néandertal, des temps reculéew, des ébuts (?) de l'humanité. on est femmes des préqs ! deux femmmes da ns un pré se baisent grave ! charges mentales ! poids total ! mesures de base ! finitudes ! frontitudes ! collures ! echancrures ! On baise ! grave on ensemble baise ou baisons, sur roche-rocher, on y va ! on ne lambine pas (pour ça) ! On veut grave s'aimer, sur rocher, roche des prés, sans désemparer ! se toucher ! se doigter ! se donner l'une à l'autrepour l'éter
nité ! s'a&imer vive"ment en ce pré ! Herbe au cul des p assions, des envies de Vie, des données deonnées et autres nudités zn mat(ière de Vérrité. On est nées nues , puant du cul ! velues ! charnues ! crues ! On est feemmes rudesz, connues. On est e ntrées en ceztte roche des données comme à reculons on dirait ou sinon ? à califourchon comme des cons (connes) ? On cherche ! On éimerait (grave) mieux ou au mieux cerner , les données de base, les (comme quij dirait) toucher ensemble, soit "à toi à moi" comme p ar la bande. on aimerait pouvoir aller profond ensemble, se toucher ! aller ! faire ! tenir !contenir les choses, les données de base, le sang de la r age pissant, pisse-rage de la foi ... sur rocher trzmblant ! On est femmes ici des données colportées ! femmes savants-sachantes ! Fruitsq (fruits ?) desw ronces ! On est malhab!iles sur paroi parfois et parfoids pas ! On s'aime ! on s'aime d'amour ou d'un amour céleste ! célèbre ! On aime l'herbe, la paroi, le sang, les données de base et autres b ase de donnés . On est bêtes des prés, et belles et tracées. On est bêtes des prés en herbe. champs de luzerne sous lpes pieds. On s'aime ! on aime s'aimezr ! sur l'herbe et pas à moitié ! On est" belles b^-etes" c'sst un fait. cherxheons grave ensemble à comprendre", c et ét at de fait ce qu'il est ! vive l' ar(mée tu p ârles ! vive l'e,ntrée des passantes (= vaches à lait) à traversq ;a r'oche prenante ! On est nées ensemble ! jumelées ou comme jumelées ! en cette roche et à la travezrsée ! fente labiale ? creux des fois ? un tracé creusé ? On est femmes des prés . Nues ou à peu près. On aime être néesz &insi accolées à un e sorte de "donnée de rage", de type "paroi", "la oparoi des rois", "la parois
dite des reines et des rois". pa&roi de choix. On est comme néesz (main dans la mùain) ense'mble d'une Sommité, qui sait ? On éime aller ! chercher ! toucher ! toucher grave à Déité ! l'aimer ! la toucher (de bonne grâce") à (peut-être) l'envelopper ! l'emporter ou comment ? tracer au débottté les traits debase l;a représentant (de face) : déité des prés = vache àlait, c'est troublant mais c'est un fait, avéré et vra&i, vrai de chez vrai! on est monté , on a voul u cr(euser et on a creusé. On est bêtes de poids dans u npré . ce pré est une e nclave, un champ cloturé. Au delà du champ c-loturé il swembllera&it qu'il y ait la Vie telle qu'on la connait à quelque chose près si tant est. on essaie de fa itde pour le coup s'imaginer au d"ébotté de quoi il en retourne,
question vie après la vie, ou même au)^delà. On regarde loin. On voit des clartés, de la fumée(embruns ?), des données fugaces, de la brume ou quoi derrière la paroi là)-bas, en face, fond des fonds des landes. Qui on est ? on est ... eh bé dees vaches àlait ! vaches des prés ! broutant en veuxs-tu en voilà pâr la b ande l'herbe vezrte allouée à pareille enclave" ! Fil de la passion ! Charge rude des envies de Vie dite "permanente", "durant", "maintenue longtemps". On est comme nées sur une roche bi-pol;a&ires. On est nées comme bi-polaires sur une roche. On est ensemble comme nées (de rage) szous le vent ! ça buffe grave ! c'est du vent de face ! pets à tous les étages ! ça sent ! ça cocotte grave ! vents des sables ? vents ardus ! ça pue du cul ! On dirait l'odeur du sang ! L'odeur des prés ! la senteur acidulée (qui sa&it ?) des prés avenants. on est entrées, on a vu ce qu'iul y avait. ZSoit : bé ça ! des (ensemble accolées) bêtes des prés, hgrégarité si tant est, tout à l'avenant dans un pré acté. IOn est nées d'une mère allouée à une terre. On (dans la mort) rena&ît, car devenues terriennes on est passées, on atraversé ensemble les données données (données rudes et dures) et nous voilà comme allouées à une Déioté Matûree, mûre , grave mûre ! on saigne tout
c e qui est ! on saigne sur paroib aux herbes, tout ce qu'on sait, ezt que sait - on ? eh bien, au fond, pas mal de choses en vrai. On sait qu'on naît (parfois) "homme" (dit-on) , et que, dans la mort : inversiobn ! dédoublement ! gros changement ! nous cvoici (de fait) transformé, d'un homme nous voici passées ! devenues femmesc = fame = renommée = femmes des prés ainsi renommées. On est comme nées (de base) "homme sa ns pré", nous voici mort-né devenu femmes, a
llouées à (ici) un pré de rage ! vfivement l'été !, qu'on sache ! qu'on en sache mieux en vérité de ce qui est qui nous reg arde, semble nous lorgner de la tête aux piedsz ! charge mentale la voi:là ! on est rega rdé ! on l'ét§ait , l'est)-on ? en vrai est-on encore et toujoursn regardéées ? pezut-êttre bien que oui, qui sait ! szommes-nous femmes des pr)és à la retombée devenues ? sommrsz-nous acidulées ? avons-nous de quoi nous nommer nous-mêmeq ? qui sommes-nous devenues ? qui sommes-nous ensemble (soit main dans la main soit deux mains suur qauatre) devenues ? puons-nous du cul ? sommes-nous ventripotentes ? avons-nous du cul ? des jambes ? de la viande nue , crue ? Sommes-nous nues de la tête aéu cul ? que vou:onsz-nous comprendre ? voulonjsz-nous cerner la chance ? la parade devant nous tracée, deessinée ,- comme à main lzvée ? voulonsz-nous faire et donner, tracer et coller ? pisser -chier = se vider de
tout ce qui en nous semble (juste) transiter ? J'aime = Je suis = Nous fa&isons ! Je = Me = Ne = DIT.
Quyi dit ? eh bé, x
dit. C'est ce x, l'inommée (?) qui dit. Et que dit-il, ou elle ? iele dit que "merde, ça suffit, des faits faits exprès !", on est colère ! on neveut pasombrer ! on veut s'aimer ! on veut aller sur trrrrrrrtre , oui ! terrrtre ! dune des monnaies ! monts de piété ! chercher non la misère mais tout le contraire, la richesse ! l'argent frais ! le solde posté ! motsq des roches animaux ! coins des hommes, femmes au tombeau ! on est ormes = ormeaux = hors mots, quand on sonde ! quand on ose ! quand on sombre en tahnt que homme du tombeau = femmes au lamparo ! chalumeau ! on est doctes (femmes doctes) dès que ... mort s ? mortes ? comment dire ce qui est qui est, quand on naît à une vie nouvelle ... da,ns la mort ? comment stipuler ? qauand on naît on naît Fée ! fée = fée des ormes ! On est femmes docdtes ! femmes aux mots ! cxharges mentales au lamparo, on acte : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 1(, 16, on y croit ! on
trace ! on mesure de nos pas le champ dxe la lande, on trace grave ! on en avance ! femmes des bois ! on est toutes flammes pour ça : co:mprendre ! tracer = donner ! donner de la voix ? qui sait !
on ne lambine pas ! on en avance ! on ne traîne pas ! on veut grave cerner ce qui est qui nousc regarde et semble nous sommer (peut-être) de nous prononcer, de nous présenter, de nous étendre ! on dit (en vrai) "merde" aux nénés et aux quéqués ! ils nous emmerdent ! on ne veut pas (ou plus) avoir adfffaire à eux ! qu'ils disparaissent ! nous laissent ainszi sans eux , chercher en vrai la chose des cieux, le dieu agraire, le mieux des dieux des terres agraires. Qui dit mieux ?
2/8/2024
On est comme nées pour être ensemble celles qui en vrai cherchent à cerner le bout du bout de l'antre, ce que c'est, ce qu'il recèlerait ou comprendrait en termes de données de base. On est nées pour chercher endsemble comme qui dirait. On en avance ! on court on vole ! on veut ou on voudrait cerner de rage ce qui est
et du coup, voilà ! on est là ensemble, on se tient la main, on est accolées, on se colle l'une à l'autre comme (comme qui dirait) des méains jointes ! deux mains ! on est collées ! femmes collées on entre ! on passe ! on passe ensemble ainsi collées ou accolées comme deux mains jointes peut-être dans la prière, ou alors, peut-etre, dans une sorte d'accolade, de présence à l'autre, don de soi pour la parade (l'apparat) etc.. on est bêtes de fosse ! on colle ! on trace ! On veut cerner ensemble ici et là les données supr^mes ! celles
qui "gouvernent", celles qui "trônenrt" devant nous, nous lorgnent ! O,
n est femmes des prés, et aussi on trace vif, on creuse, on dessine sur pâroi les bêtes des bois, des foêtrs, des champs de luzerne. On est côte à côte ! on avance = on va ! on erst côte à côte qui allons bon an mal an "àtoi à mùoi" ensemble sur un champ, marchons droit, filons vers là-bas à l'horizon la pierre , la paroi profonde, ce tracé on dirait de rotonde devant soi, ce mur des catacombes et autres données pour le coup données pour , soi, une fois, un de ces quatre, comprendre. On ebn avance grave et du coup nous voilà, ici, comme au pied du mur, qui voulons ensemble, entrer fissa, passer, regarder forcément ici ou
là ce qui se passe, ce qui se présente, à soi = nous, ce qui est présent et présence, le présent du temps et la présence des données de base, devant soi, qui tremblent, qui semblent bouger, qui sont comme toutes "chose" de nous voir arriver on dirait. On est accolées ! on regarde ! On voit quoi ? on voit ça : embruns de bord de mùer maussade, champ de flleur, vive clarté des bouts de mùonde et autres luminosités toutes acidulées ! On voudraiot passer mais sans y passer ! On entre ! on est collées-accolées ! on est prêrtes à ... naîttre à l'autre côté ou de l'autre côté à cette sorte de donnée donnée donnée de base, chant des ombres (hommes ?) ou comment ? on essaie du coup de fait de cerner, ce qui est dedans ! on est pas "arrivées" ! on cherche à percer , qui de la dent, qui de l'oeil énucléé, qui du doigt pointé ou de la main posée ou apposée, du pied de l'avant, du sexe dressé pour ceux ou celles que le sexe sied ! on est comme cernées
! on est comme ceinturées ! on est prises de fait sur le fairtt, cherchant non misère mais bonté, donnée des données d'une sorte de
bonté donnée, offerte, déposée, posée sur roche comme à jamais ! On serait colère et on verrait des choses trembler : feux des roches ? On est passées (iun peu !) de l'aiutre côté ! on aime ! on est bêtes des prés , charges rudes, sommités grégaires, chants de lutte, romancières. On veut cerner cer ner cerner les données (posées sur roche) à la une à la deux devant soi, nous de base vôtre. On colle ! On est posée collées ! On monte ! on traverse ainsi la roche ! montons ! on est montées !
On veut toucher ! On veut cerner la base des données données. On veut toucher à cette base des données données ! On veut ou on voudrait toucher ensemble ici , à (donc) cela : base ! base des données ! données données ! Chose ! choses des traits ! traits ! traits de rage ! convivivialité des êtres allouées à une roche si tant est ! On entre ! On veut cerner ensemble tout un ensemble de données qui de fait seraient à m^me de nous éclairer un tantinet sur ce que c'est que cette chose d'u ne sorte d'au-delà du monde, chose rude dont le nom en vrai serait (qui sait ?) "la mort" !On est donc passées ensemble (deuxd femmes) pour toucher à cette sorte de"donné". On est âssée ou comme passées par la bande ! on est comme "éjaculées" de rage ! On est passées et nous voilà (en vrai) siituées de l'autte côté ! on est entrées, ou disons comme entréesz car en vérité, on a passé quoi ? le bout du nrz ? guère davantage ! vit et vie des données passées, du passé de contrebande ! chalutier ! On est comme cernées (ok par la bande ) mais va comprendre ce que c'est en vrai ! que cette chose d'une entrée ... p ar contrebande ! Vie du vit ? est-ce ici la
chose trempée ? le calé ? le c aché ? le passé de rage qui serait ... juste du passé ? On est accolées en tant que femmes soupesées et soulevées de base par ... eh bien, qui sait ? du vent ? en rafale ? vent d'autan ? charge
venteuse des amants et amantes du temps ? on entre par devant, qui un nez qui sa barbe , et du coup on voit ! voyance ! à tous les étages ! un certain nombre de données de face (base) déposées (de rage?) devant nous qui (pour le coup) n'en loupons plus (pas) une s('il vous plaît ! . on regarde. On voit. On mate grave ! grave gracve ! On voit quoi on voit ../ eh bé ça ! cette chose à ras, ce tapis de base, point de charge, tableau gris, passade, gens des envies vives, vives gentes et vifs manants, vives manantes, gentes dames et vives amantes, lm'Amoiureuse toute Transi, transitoire, chargée, posée sur roche : une Fée des Fées, qui nous regarde
! oghé la fée ! ohé la jolie fée ! oh la fée ohé ! on est accolées !
on chante ! on est posée, et du coup on se permet ensemble de chanter "à toi à moi" ce qui est, de cette entrée ou virée de charge ! On regarde ! ohé la fée , qui tu es ? On est accolées ! on regarde ensemble les données données . On veut cerner ensemble ce qui est qui charge ,
qui est comme qui dirait donné ! vertsé, accolé, déposé , sur roche des prés comme à la ârade. On veut ou on voudrait cerner la Base des données. Ce que c'est, et du coup co:mprendre dans les faits les mots de la charge, le taureau, l'antilope grave, le bison coté, buffle au cordeau, bufflette au poteau, l'angevine, le syndrôme du couteau, la bête chevaline, l'ours des Baux du Grau, l'intrépide bise. On est montées comme sur,
une soorte de pic;
On est comme nées sur roche des prés pour de fait cerner des données de base qui (toutes) seraient, disons, sinon animalières, animales ? on entre . On veut cerner-toucher, pousser-aller, dire, et porter le dire, enfoncer les portes d'une sorte de maison natale ! on regarde ! on cveut ciomprendre ensemble et du coup passer. car qui dit "comprendre ensemble ("à toi à moi")" dit "p asser", dit "trépâsser" mais sans y passer ou disons sans vraiment "succomber aux chaermes", non ! tenir bon ! se dresser ! tenir de face ! ^$etre droit sur place ! chercher ! aller et venir comme à la par ade ensemble en ce passage ! On est d'ux femmes qui ensemble en vrai cherchons à comprendre un certain nombre de données de face. On voudrait vraiment ensemble comptendre ce qui est qui se présente et ce sans succomber c'est-à-dire sans tomber ici ou là de préférence. On est grave ensemble elle et moi = nous, accolées, et c'est ainsi (accolées) qu'on regarde, qu'on s'approche de la roche terminale, roche de rotonde ou d'enclave. On voudrait vraiment ensemble comprendre c''szt-à-dire cerner, de près, ce qui est qui semblerait qyui sait ? nous regarder comme par la bande, et qui viendrait ainsi vers nous, nous mater, nous reluquer, nous lorgner comme un fou
, comme si en vrai on était, nous, bêtes de paroi de rage, de là ! on voudrait ensemble , nous, aller ! aller loin ! plus loin , soit toujours plus loin ! on voudrait vraiment ensemble comprendre loin, c'est-à-dire beaucoup ! on voudrait chercher et trouver, trouver et cerner, cerner et poser. On aimerait c''st un gfait (grave) comprendre, un grand nombre de données données,, mais comment comprendre ?en touchant la Roche des prés ? en se lovgeant tête la première en elle ? en faisant corps en vrai : deux femmes, comme "célibataires, ou soingulièr"'es" se serreraient pour former de fait un corps de ...
mer ? chant ? cri ? christ ? ohé ohé on colle ! on est comme néesde la roche et voilà qu'on se met ensemble à (on dirait) coller ! coller
grave ! On est accolées sur place (pré aux fées ) et nous voilà cdomme cherchant ensemble à (du coup) toucher à cette Vérité d'un chant donné ! Quel est-il ? qui chante en ces contrées ? de quel chant s'agit-il ? qui est derrière ? qui donc est derrièree le chant ? qui veut donc nous entourlouper par ce chant ? qui veut nous enfumer ou nous endormir ou nous blouser ou même nous faire défaillir ? qui donc est là, derrière, sous le vent, qui guette , chante, va, se promène et ne cesse de nous regarder comme à la dérobée, mais, chante ! il est vif du tertre ! il mate sévère sur son pic de gué ! il ne nous abandonne plusz ! il nous guette sévère en père sévère ! il est fils et père, charge allouée à ... eh bie,n oui, cette dune en soi, ce bloc, ou tonneuau de joie, tertre !
dune du pot ! On est comme mirées ! On est comme acculées ! On est prises sur lme fait ! on est guettées ! Oh oh on l'est ! On est vues depuis la dune et comment faire pour ne plusz ? On est bêtes de scènes (paroi) qui voulons ensemble (grave !) aller, au plus profond de l'antre, charger = cerner, charger = comprendre, cette chose devant soi dont le nom (de base) est gravé comme sous le vent ! données ! les données ! la Chose ! le Temps ! Temps donné sous le vent ! On est accolées et on mate ces données qui (de fait) sont données qui (qui sa&it ?) nous incombent ! on est n,ées sur base nautique, on est nées vives, vives et ailées, on est nées du pré, de l'ombre, sous le gué. On est nées vives ! vouivres ? on est nées de rage ! On veut toucher ! On est cfomme accolées de rage à une sorte de donnée, et nous voilà nées ! On est cfomme accolées opour en vraéi eh bé être nées ! On avance ! un pied ! on trace ! On est fe'mmes des prés dits "de la romance", et c'est ainsi, en tant que femmes allouées à un pré, qu'on trace, qu'on avance un pied, qu'on va, qu'on se déplace cahin caha, sur place , o,n voit ! On voit là-bas la vive clarté allouée à la paroi dernière, cette Chose de poids, cimetière, gré et bois, charge entière, paéroi des rois et des reines
; la Samba ! on entend ça ! mais est-ce vraiment la Samba ? la rumba ? la salsa peut-^tre ? quoi ? une sorte de musiqzue belle semble de fait émerger d'une sorte de trou des Fées (dit "des fées") qui serait, ici même, cet endroit par lequel en vrai on voudrait passer, pour comprendre ensemble de l'aéutre côté eh bé ce qu'il y a. une sorte de cha-cha-cha des temps alloués alloués à une roche ? Une sorte de musique folle ? entraînante et délurée, ou débridée ? On est acxcolées (FEMMES DES DONN2ES) et du coup on essaie, en vrai, d'entendre-cvomprtendre ce que c'est que cette sorte de musique des attraits, musique des Fées. Qui "chante" ? qui "joue" de la vioole ? du pipeau d'eau ? de la mandragore ? Qui joue du saxo ? Qui s'époumone ? On est comme nées fées sur roche dès que trépassées. Disons pluto^to que oui, on naît sur roche dans la mort comme doublées, colmme dédoublées, comme si, en mourant, d'1 on devient 2, pour l'éternité, l'éternité
des tempsz, mais voilà : deyux femmes pour une Fame (renommée) déposée. On est comme néesxc,de rage, Femmes , la mort advenue, sur roche des prés, conclues/ On est femmes des prés = Fées, nées de rage par la bande (ici , du coup, animale) pour cerner ! cerner grave ! toucher ! toucher à cette déité (de fait) des parages ou de ces parages dont le nom (dans l'intimité) est... eh bien .... on dirait .... qui sait ? ;;.. on voudrait le dire ! on voudrait vraiment ici ensemblre maéin dans la main dire ... on voudrait ou
on veut, mais ici on voit que ... que quoi ? dur à dire ! hiatus des parois ! on essaie, on franchit des fois le pas, maéis en vrai c'est dur ! comment faire ici ou là pour en vrai ensemble "à toi à moi" nommer cette sorte en soi de déité des déités ? on voudraiot ! on di ... oh on dit quyoi ? on dit ce qui est, ce qu'on voit = ce convoi ! buffles à sati"été, monstres des prés, les bisons et les bisonnes nacrées sont comme des succédanées d'une sorte de Vérité des Vérités dont le nom pour de vrai est ... et ici : un blanc ! alors même qu'on le sait ! qu'on connaît ! qu'on pourrait nommer (et d'ailleurs parfoidss on le fait) mais bon ... on est nées pour
prononcer (qui sait ?) le VErbe (du Temps) comme à la par ade , pour comprendre = prendre , et prendre = dire , et dire
= nommer , et nommer = nommer déité des déités... pour (comme qui dirait) paqsser ,; szoit passer le temps = les tourme,nts de l'âme ! on est nées de base accolées, on parle ! on dit ! on dit ici et là des mots allouész à une vie dite temporo-spatiale ! On colle ! on est accolées de rage à (donc) ici cette chose, d'une sorte de PAROLE DOCTe ! oh oh ! et si c'était vrai ! On regarde ! on est deux (massives, accolées) qui(en vrai) vont (fissa) à la rencontre de (peut-être) l'ultime p aroi ! paroi des parois (rotonde ?) ;: on y croit ! on fonce ! on ose ! on veut voir des choses ! paroi = parole = rotonde = mort ! voilà l'arme ! Le port des ports ! port d'arme ! on colle à une sorte de données lacustre des données de base de la Voie, telle qu'elle est là qui on dirait nous voit, ou si ne nous voit pas semble ! On est comme nées ensemble en ... semble ! en, plus loin, semble = sang bleu ? sang des Reines-Rois des Parades Martiales ! äme et arme comme à la parade ! charge ! chant ! chant des champs ! champs fleuris ici, vert pré, chose en vrai paradisiaque on dirait. On est femmes (accolées) ensemble,
qui voulons comprtendre, ensemble ce "semble", cet ensemble, cette chose en sang, ce sang de contrebande ou de connivence, ce sang blanc et ce sang bleuu, ce sandg dit "des rages", "des
tourments de l'âme". Qui dit mieux ? On est données = données par .... (on ne sait) , et données = les données, les bases, les outils de connaissance, le Savoir ancré ou alloué au Temps via la rampe de lancement dont le nom (en vrai) est... eh bé peut-être... buffle ? bufflette ? bique ? biquette ? une sorte de bête en forme de manège ? On est cfomme néeds sur pré , chererchant clarté ! on cherche à cerner cette donc clarté dite surnuméraire des données allouées à une roche temporo-spatiazle, de type rocher, roche, roc, roc des vies de base, roc et toc ! On est comme passées, à travers la roche, direction le pré, et une fois pasées, une fois insérées, intégrées, allouées, prises de fait, on va (fissa) jusqu'au bout du bout si tant est , soit : de l'autre co^té, vers FIBNALITÉ DES FINALITÉS = fond de pré = rotonde = ROME ! oh on ose ! On est comme nées à une szorte de données "fatale" quyi (en vérité) serait donnée (une donnée) des bases royales (reinales) à juger
= jauger = soupedser = soulever et montrer ! on voit la donnée ! on mate ! on lévite comme à tout jamais sur pré, et, ce faisant, nous voici comme nées à une Vérité Tantrique allouée à ... une bique ? on dirait !Allouée de fait à une soerte de donnée, de type' bique, biquet, biquette des prés, bique-nique, vive bique sur p^ré, cherchant toujours (incessamment) à s'amusezr, à jouer , à
courir ezt danser, à sautiller et gambader. On éime ces fées ! bique des prés allouées à Déité, va sur pré xcharger-danser, nous amadouer, nous attirer, nous faire aller, nous condyuirede fait vers cette sorte de finalité des données prairia&les : ce muret ! cette face ou façade ! fin de vie ! Et nous, du coup, en tant que femmes, nous tenant la main, on va, on vole, on lévite, on suiyt la bis-que , le biquet, bique femmelle / bique mâle, à jamais, on aime ! On s'aime ! on est colléees/ accolées pour en vrai s'aimer , au cul de la bique ! on la suit ! le biquet ! bique et biquet nous mènent pour de vrai au "cimetière" des données données. On aime ! on aéime aller , bouger, danser ! au cul de la bique et du biqauet, ou de la bique ou du biquet, on a&ime aller ! suivre ! être happées ! être prises ! êtres conduites ! ça nous plaît ! On veut aller vaéillantes ! vaillament aller ! Toucher ! toucher ROche des données ultimes . nous voilà arrivées . On est face ensemble, à ce rocher du bout (?) du pré ! bout des bouts partout ! on est arrivérs ! on est à côté ! on est au pied des fées;
IOn est fées nous -mêmes qui sait ?
on est arerrivées au pied des fées, on est bêtes des prés ! on est accolées-acculées et du coup on est serrées , toutes pelotonnées , pour former ce que d'aucuns et d'aucunes appaelent UNE .... FÉE des FÉES . On est femmes-bêtes, Fées des fées, on est fées des fait s sur roche des prés. On est accolées ! accolées-acculées ! cimetière des données somaires. On nait ! on renait à la guerre comme à la guerre fées . On renait en tant que fées dès que passé le cimetière ! feées des fées on est comme re-nées , de bonne guerre, en vrai, sur l'herbe, sous un vent montant de colère, on dirait du firmament, sauf qu'il semble rupestre plus que céleste, ou cfomment ? on est nées Fées ! on entre ! on est toutes deux accoléequi voulons comptendre : 1, la Fée, 2, les Données, 3, la Paroi qui searoit "
Parole" allouée à une Roche ou un Rocher, 4, le Bison des prés (la bidsonne), 5, l'antilope , 6, la chevale (le cheval) sur pattes dressée ! On veut (fées) comprendre (ainsi re-nées) ce qui est qui charge, va, soulève, vit, tremble, nous commande, nous conduyit, nous mène, nhous contient et nous retient. On est nées à une vie nouvemlle en tant que fées des fées surnuméraires, femmes allouées à une sorte de "rotondité rupestre", rocxhe agréée, paroi celte, roc des oies. On est cfomme cernées ! on est cfomme toucheées ! on veut aller ! dire et prendre, faire et comprendre, donner et apposer sur roche x mains comme multipliées desz chants eux-
mêmes a&llouées à une qsorte de donnée de rage dont le nom serait (dans notre langage) "Vérité" ! soit : "Vérité des Vérités". Ça le fa&it ! ça envoie ! c''st bath ! c'est un fait avéré que c'est bath ! on aime ! on entre ! on essaie ! on est cfomme nées de rage à une sorte de ... eh bien peuêtre... vérité des vérités, qui serait... un a,nge ? musicalement "amené " par la bande (musicale , de fait) des données données ? O,n entre ! on est VErbe d'allant ! Un verbe est né qui se soumet (en vrai) aux allants (chantonnés) de l'ëtre. Qui on est ? on est nées de rage sous un vent de face ! souffle démultiplié comme dans la romance ! On colle ! on veut coller ! on ose aller-toucher à cette ici donnée de cimetière, comme quoi le verbe alloué à une "mort certaine" est verbe d'herbe ou verbe des prés (des prés de données) qui est Verbe de l'$etre tel q'il nous semble se montrer à la mort donnée . On est accolées, on gère ! grave ! les données ! On est nées pour ^rtre (de fait) allouées à une sorte de colère qui est chant, chant donné, chant des données. On est comme soulevées de base p ar ce chant (surnuméraire) des données données du Verbe de la mort à l'aise ! On est cfomme nées à elle, Blaise ! On veut toucher ! toucxher-cerner, faire)aller, comprendre-dire, faire et tomber dans l'herbe et de se relever et marcher et aller vers ce dit "cimetière" des donnéesz terrestres . qui on est ? des (ici même) qui (en vie) voulons cerner (ensemble) ce qyui est (de fait) de la mort en ces contrées telles que représentées de rage sur paroi et autres pierres par des hommes et femmes des cavernes
! On est nées rupetrses ! on est nées bisonnes et buflettes ! on est bêtes de somme et sommité, fame au taquet ! On est célèbres (des Célébrités) ! Britney ! Chou à la crème, sensibilité ! On veut faire -dire, chercher-trouver, coller-décoller, aller et venir sans sombrer mais tout le contraire : durer dans la durée de l'être alloué à un dit "cimetière"
aux données données. on paér(le gras ! cel te ! on est là pour ça : aller ! charger et comprendre dans le tas ! Qui on est. Qui on est pas. Ce qu'on veut. Ce qu'on veut pas. Dire et toucher = ne pas sombrer . On est FEMMES AU Débotté qui de fait voulons acter la chose ainsi nommée ("cimetière aux données") sur Herbe. On colle !
On ose ! on entre ! on pose nos mains sur les hanches ! on est des qui (en tant que telles) vont, filent, mais parfois se posent, mains posées, et souffllent un tantinet avant de re- y aller en vrai, comme à la dérobée. EMMES altruites artistes on dirait. En vrai pas tout à fait. On colle aux Vérités tracées ! On est gouines, charges, vivres, sommets / sommités, FAME ambrée , charge mentales, nénés, condomines. On veut :
toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher tucher topucher tpoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tpucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher touchr
à cette Déité des D2ités iici nommée (ou dénommée) N2N2 ! N2N2 des N2N2S ! nommée "Les nénés". On entre ! ventre ! corps ! on veut cerner ensemble la mort, en vrai , ce que c'est ! Des nénés ? eh bé ... qui s&ait ? on est comme passées à travers la roche à la recherche d'une vérité qui eût pu nous donner en vrai un pêu de cette chose qu'il pour nous serait bien utile ,pour le coup, d'avoir en propre. A savoir : le savoir ! la connéissance dite "grave" des données spéciales concernant la mort... en ses contrées,. OOn veut = on voudrait ! Comprendre oui. Et aussi cerner = entourer = cercler = prendre ici même en son sein le Verbe, le faire fructifier (fruit de la pâssion) et puis le mettre au monde incidemment comme qui dirait "un fait exprès" et par la bande sur paroi des Reines et des Rois Nacrées. On est comme nées sur roche d'une sorte de Pässion Christizque allouée au VErbe de la Foi (en soi) dans (en) la mort Certaine. On colle ! on est deux qiu, ensemble, main et main (on voit) chargeons = chantons ! cfomme à la parade, la chanson, des Rois de Faça de, Reines au diapâson
, saint-ignace au violon, on ose ! On est fe'mmes des prés f= ées. Homme trépassé a donné son "âme" à la fée des prés, ailes, ailes passagères, vont et viennent, volettent vers en vréi ce trait donnné a&u x confins des herbes ! On volette avec elle ! fée ! fée des fées est nottre fée ! on l'aime ! on veut la toucher ! la toucher afin de mieux en vérité la connaitre si tant est, car est-elle en vrai ? corporelle ? on dirait ! mort donnée ! mort ! mort allouée ! mort ! mort actée ! motrt des données données ou aux donnéeds données ! on est "raccord" ! on veut aller, toucher, cerner, pister, cpmprendre, rendre, soulever, soupeser, être et avoir en
vrai sur soi cette chose d'une aile (deux) qui nous siérait de fait, nous irait de même comme un gant, bretelle, jupe des données, verbe de terre, chapiteau, verbe comme s'il en pleuvait sur notre tête et nous ferait pousser comme (ailleurs) l'herbe à brouter. On est nées comme cernées par (autour de nous) de l'herbe (paradis) sur pré ! On est bêtes des prés aéinsi montrées ! Montrées et montées , car soulevées , car ailées ! vaches à lait = vaches ailées , pour aller (de fait), ainsi ailées, vers le cimetière des données données = le Verbe ? verbe des prés ? On croit rêver mais en vrai guère on ne rêve ! on est ! on est nées ! on est allouées à l'herbe , au pré à brouter, aux champs et prés d'une sorte d'enclave szurhumaine', surnuméraire, céleste, sainte, consacrée, chargée de Verbe comme s'il en pleuvait ... par derrière ! Car / le passé ! le pâzssé nous suit ou nous colle au dxerrière ! on est nées et voilà le Passé passé , qui (en vrai) nous suit de près, ne nous quitte plus jusqu'au cimetière ! on est ailées ! vaches et buflettes ailées, les bisonnes . On est bisonnes ailées (par le Verbe de la Foi dans l'être de la mort à l'oeuvre en ce cimetière aucx x données données) . On veut grave toucher nos ailes ! obn veut s'aimer dans l'herbe ! se gouiner tantôt ! s'allouer au cxhapêau (chapiteau) sur tête ! On est bêtes, de roche sondée, dessinée , ornementée, et on s'agrège ! entre nous on s'agrège ! On est des bêtes fortes, sommes folles, cris de vie, fortes charges, poids de masse, parades
graves, chants lourds des bouts du bout des vies. On se masse ! on fait masse ! on veut grave peserrdans la balance ! On est bêtes des prés de charge = sommité = renommée = fame = genre "on me connaiît" , ça le fait grave !". Quii on est ? on est nées par chance par la bande (animalo)-langagière) d'(une sorte de paroi, paroi souterraine, galerie-boyau, anttre, caverne, trou des razts et autres bêtes (rampantes). On &ime ça ! la rage ! la sa&mba ! la transe ! le canal des voies vers l'au-delà ! la chance = la danse = la transe = la voie = l'animal de la foi = l'antre ! On est comme touchées à la base dès notre naissance sur paroi ! touchées quasi coulées mais voilà ! on est entrées ! on a franchi la roche ! on est passées ! on est passées avec notre passé, derrière (ici) la paroi du roc . On est passées = on a frnchi = on a traversé = on a creusé = on a conclu = on est nues ! nues de base ! nus du cul ! on aime aller (nous) nues grave ! on adore aller nues de base, cul nu, vers (on dira) l'au-
delà , l'au-delà du cul ? pourquoi p as ? après "le cul" il ya ça , l'au-delà des aâmes , armes, bras, charmes, gravats, cendres, à toi à moi la voie du passage, passage de l'antre, l'intrioduction dans une sorte de cloison qui serait comme une sorte de rotondité ou même enclave des Passions ! On est = on est nées ! voilà ce qui est ! je (on) suis (est) né (es) = je suis ... ce jambon ! cette domination ! ce trait = on ! homme des contrées "du bout du monde". Quand on naît homme dans la vie (jambon) on meurt en tant que femmes des données célestes (fées, en vrai, aux deux ailes). On nait Homme (premier temps) , on meurt Femmr
es (deuxième temps) . On renait ... (tyroisième temps) vive clarté, chant montant, vie des vies comme sourdant d'un puits ! vie vive = eau vive = paradis = vie des vies = chants de vie = vie ! Vie = vive animalité sacrée ! On est comme entrées d ns une roche, tête première. On est nées sur hrerbe ok , à présent on sepromène. On veut dire et toucher, mais pour dire et toucher il faut sonder ! coller ! cerner la roche ! szi possible (préférentiellement) à deux !
aller
à la rencontre du feu, de la vive clarté, des données allouées à une sorte de cloison et à son derrière, à ce qui est derrière (en vrai) cette cloison, des données rupestres dernières. qui on est en vrai ? FÉES ? qui sait ? ELLES ? hé ! peut-être en effet szommes-nous elles , elles aux attraits ! on est (homme) femmes cachées ! homme de la vie avant le pré ! femmes de la vie après le pré. Pré = pré-ambule = pré en bulle = pré comme enclavé ou comme qui diraéit muré, entouré, encerclé par un muret qui fait du pré ce pré nacré, cerné, comme touché ! On est des bêtes-FOI ! rage des parois ! foi en l'au-delà de base : la paroi = la parolr !. La parole en soi "porte" la foi comme la foi en soi "porte " la parole : "à toi à moi" ça sonde ! ça y va va ! ça charge gravze ! grave ça y va ! on entre ! femmes entrent ! femmes des parois entrent ! femmes de la foi dans l'âme ici, de l'au-delà à la paroi ! On est des femmes szous paroi, o, est comme soudées à elle , et nous (entre nous) p areil. On est vivrres ! herbe ! mangeailles ! offrandes ! vives et vivres (ou vouivres) ! quoi ? on entre ! On entre par la bande ici animale de paroi. On entre par le ventre" ! On entre grave de face !on pousse ! va ! colle ! fonce ! foncefissa ! va ! colle ! essaie donc de comprendre ce qui est qui est là devant toi qui ose , quoi ? te donner du rose !
du doux dit anuimalier ! chose nouvellement né et comme déposée sur rose ! On est comme nées toutes "chose" dans un pré sur une rose ! Nées sur pré ! on aime aller ! on veut toucher toucher toucher, on veut toucher toucher toucher , on voudraot toucxher toucher toucher, on voudraiot trpucher toucher toucher, on voudraéit grave ensemble toucher toucher topucher à cette déité, des données de base, charge d'âme ! viva lacrité, charge mentale, solidiarité des nénés , chyant des bas (des bas fonds-) de l'âme. On entre ! RAGE ! Excentricité ! connaéissance actée ! fatalité ! colère sur pré ! on va vers Déité pour en vrai la toucher comme dans la rommance = "la toucxher, la toucher la rtoucher ...". Qui on est ? on est (dans la mort) des fées ! fées aux ailes nacrées ! diaphanités nacrées surnumérairres (célestes) allouées à un pré d'herbe ! collées ! On colle au pré ! tête dans l'herbe ! on aime brouter ! on est bêtes belles ou belles bêtes du fait qu'on est grasse et fortes et dures et ventrues et comme charnues. Vaches d'ambre ! on entte dans l'antre "farfelu (?)" des données du cul ! IOn aime ! oh, peut-^tre ... enfin oui ... le cul , la baéise des bêtes ... on aime le cul
et la baise nue comme des bêtes bêtes nues du cul ! On est comme Colère ! IRE à vu ! chant des grèves ! velues, ventrues, voulues ! On aime être nues dans un cimetière, merdre ! Comme nues ! = velues-poilues-cornues ! ça allège ! ça nous pénètre ! c'est couillu ! ça pue du cul ! c'rst bête et mouru ! On aime ! On est bêtes des bêtes ! on est comme nues dans un cimetière = pré aux herbes ! car la terre entière ne cherchez pas est un cimetière . La vie sur terre est un cimetière ! ici-bas est tout entier un cimetière ! la vie en soi (la réalité de la paroi ?) est un cimztière où l'omme et la femme ont
mouru ! à toi à moi ! ça pue du cul , c'est bath ! ça charge ! ça fonce ! ça fonce dans le cul ! ça danse sévère ! c'est couillu du cul et ça persévère ! on aime ! On veut toucxher dee fait les fées sur terre maie où et comment ? où sont-elles et comment s'y prendre si ta&nt est qu'on saurait l'endroit où pouvoir les trouverv (dénicher) ensembvle ! On est nées d'une sorte de rage à la bn ase, de base de rage. cri de la passion. Mirage ? SPIGOLON ? MIRAGE SPIGOLON ? SPIGOLON %IRAGE ? on est nées (de base) simple trouffion, gns de la base, sous-menton, petit pont, coquelet desz prés, ding dang dong ! On a&ime aller enbsemble à la rencontre de données de bout de pont, c'est vrai. qauand on aime il faut y aller ! il faut cerner, toucher, s'avancer, essayer de cernerv de près et avancer à reculons ou pas à reculons maisv avancer = en avancer ! On est un peu préssées ! on veut grave toucher, cette sorte (du coup) de déité, qui serait cette chose des données données : poison . fiction ? boisson ? poisson ? On est n"éées sur herbe d'un pré dit surnuméraire, pré-acté, pré)cité, pré)-caché, pré-armé, pré-indiqué.On veut cerner = dire, et pouvoir
écrire (ce dire) sur roche tremblante sous le feu des lampes ! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on estnées bêtes sur paroi , charges doctes, poids de roche ,; et nous vpoilà convoi en force traversant le temps, passé-présent, vers l'ombre ! l'ombre du tourment ! On ose ! on est comme deux qui , , doctes, voulons dire-toucher, la Chose qau'on connaiot ! l'ombre ? l'orme ? l'homme ? l'ambre ? l'âtre ? l'antre ? l'être ?l'entre ? l'entre-deux-feux ? Le paratonnerrre ? Le feu ? fils de ? commissures ? fille des fissures ? Fées ? On veut aller, comprendre (et cerner) la roche, dessiner etdu doup creuserr un certain nombre
de qauestions, ditesc"d'envergure" ett on sait pourqauoi ! ailes de papilons ! la foi ! la foi en ça : la chose du fond ! on y croit ! on ne croit qu'à ça ! on est bêtes du port, on entre, on voit, on comprend là que en vrai, on dirait, des choses se passent ou se passeraient dev anrt soi ! diantre ! fruits de la p assion ! on est comme deux êtres, dits bêtes (couillons, couillonnes) sur pré, et qu'est-ce qu'on fait ? on fait pitié ! va cerner ! ose ! compte ! foule ! vit ! chie ! colle à Roche des Malappris (les Hommes) et fous-la leur profond si tu oses , oses ! VA ! compte tes pas ! tu es né sous roche homme, te voilà née femmes en roche, deux femmes et basta pour toi ! ça le fera ! On est cxomme Betes de somme lambda mais zn vrai pas tant que ça ! Sommet des parois ! sommitées des sommoités qui le croirait ? FAME DES AR%MÉES DE L'ÄME ! on y croit ! on veut toucher paroi ! toucher l'arme ! fée des rois ! fées reines aux abois ou pas , car l'ombre est souveraine , va, se pose, là, sur un bras, charge, commande
, tue le Roi, et la Reine est enfin Première, Fée des Rois traqués la voilà Nommée Duchesse, dure-mère, collagène, veine, voix, voix de là = l'au-delà des Rois/ Ombre-homme abasourdie s'efface laisszant place à Reine Mère des Paérois des traces. On voit tout ça de face ! cxharge d'âmz ! chant total ! un parterre d'amês cforiaces : des bisons ! des buffles ! des cheveaéux de tra&it et autres vaches à léit . Vive la Na&ture des données tracées ! chants rocheux, pariétaux, muraux, sur pierre allouée à ce cimetière ! On est comme nées à la paroi d'herbe ! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime ! on en veut, grave ! on veut, grave, aller ! on veut toucher à cette déité, des p)arois des Rages, des données F&atales, vraies, ancrées, avérées; On est femmes (des prés) dans la mort. Mort -des prés de base, mort des données nées de la base. On est entrées . On voulait comptendre. On voulait vraéiment com^rendre ce qui est ici, mais pour comprendre ce qui est ici il faut a ller ensembleble, il faut tracer, cerner ensemble, tout faire ensemble, se toucher la main, monter , grimper, soit léviter ensemble, et alors peut
-^tre, en effet, on peut comprendre, on peuttoucher, on peut cerner , on peut allouer à une roche une romance, faire ainsi qu'une sorte de romance ici, soit (ou nous soit), donnée en vrai comme une dionnée, donnée des données. Quand on aime il faut tracer c'est un fait, et c'est ce qu'on fait. On voit loin là-bas les contrées, les choses de la foi, l'attirail, la roche dernière. Une sorte de clarté en fond de cimetière qui s&it ? on esa&ie ensemble de cerner de près toutes ces données mais en vrai la cxhoqse n''sst pas aussi simple qu'il y paraît car on doit pour le coup s'approcher au plus près et s'approcher près c'est risquer d'y passer à jamais et à dire vrai, on ne veut pas y passer, on ne veut pas s'y risquer , on ne veut pas se pencher, passer qui le nez qui l'oeil. On veut rester = demeurer en vie, le plus possible. Rester =demeurer le plus longtemps possible en vie de ce c$oté du pré ! On veut en vrai regarder mais comme,nt regarder sans trépasser ? là est la qauestion UNE ! O n le sa&it ! le but ! la charge rude" ! on s&ait ce qui est ! on est pas des bébész ! et mê'me on sezrait des bébéd qu'on saurait ! car , meme les bébés savent cette chose, d'une "fin de pré", d'une clarté, d'une anfractuosité, d'une sorte de passage fait exprès pour aller ensemble (femmes = fame) à jamais vers ELLE, lA clarté on dirait, l'AILE ! l'amportée , l'emportée des emportées . On aime aller ! on est AILES avant de naître et nous voilà comme re-nées et du coup à nouveéu Ailes (ELLes) de Fées ! on est comme re-nées au nez et à la barbe de la Souveraine Reine des COntrées Armées , Mort au Taquet. On est nées sur terre ce qu'on est qu'on ne sait (ce que c'est) en vrai, qu'importe, on re-nait dans la mort telle qu'en vrai on était ava&nt de nâittree, ava,nt de
nâitre sur terre, on renaît "à la une à la deux" ce qu'on était ou eut été ! on re-naît femmes des herbes, vaches sacrées, par la colère d'une entrée frontale par(iétale (à main levée) nous voici fatales ! Vaches sur pré olé olé ça gagne ! ça se dilate ! c'est fait exprès ! ça va aller jusqu'à la pa rade et après ... les nénés ? les "nénés de l(après " ? On se colle de ba se à une sorte de paroi de rage. On est cotées = aimées = reconnues en tant que telles : vaches sur pré ailées !c 'est dingue ! on aime les fées ! les ailes ! les vaches à laéit sacrées ! les données pre"mières. On aime aller tête première, toucher déité, cerner et voler de nhosz propres ailes et monter vers la lumière. Qu'est-elle ? celle d'une fée clochette ? d'une
allumette ? fée aux allumettes ? On voit la clarté on dxirait mais est-ce ? et si c'est , qu'est-ce ? une caisse ? une sorte de pet ? fumerolle fumatière fumée ! On est bêtes des prész allouéesz à une sorte de parade gigantesque, parade sur pré gigantesque elle-même allouée à une szorte de donnée des rages aniùalières, elle-mmeême allouée à une sorte (on dirait) d'aubade ! on entre ! entrons (ensemble) ! toucheons ! touchons à cette face offerte, ce visage de la foi, nez, barbe et menton, front des bords, casque aux abords, yeux mieux , langue lourde , poils ! ON cherche ! à qui ça pourrait ressembler (la mort). On est proche qui sait (?) de cfomptendre et de trouver, mais encore non, on est sur un chemin de vie, on profgreese de folie mais, ça file à une vitesse !!!!!!!!!! va comprendre = cerner = te poser ! c'est pas ghagné ! on est entrées en se tenant la main (deux mains) , à présent on aimerait aller plus loin , dans les connéissanxces (concer nant la mùort) mais aussi en cette roche des parois profondes, roche de rotonde ! mur d'enceinte sous le vent des ombres /
murs d'enceinte sous le vent ! On monte ! on grimpe vif ! On est accoléesz prêtes à traverser l'utlime "donnée" allouée à un muret (dit "de cimetière" ou " du cimetière qu'est la vie" ou du "cimetière de la vie" ou xd"u cimetière-vie"). On monte ! on grimpe ! on fonce car on a des ailes ! on est mort homme , on renait (dans la mort) ailée cs'est un fait ! charge d'homme ! femmes des prés
= vaches sacrées = chants de roche = vivacités = optimum des donnéesz allouées à une Vérité gravée ! On enttre ! on commande ! on est bêtes des prés ! On mate ! On = homme = femmes = bêtes allouées à une roche docte (ou dite "docte" car en vrai pleines de données) . On est comme nées ensemble par la bande animalière d'une sorte de parole "sale" ! va comptendre ! qui sait ? qui comprend l'ense'mble des données de fait ? des données cde rage dite "pariétale" à jamais ! qui ? "L'plombier" ? lxa bête gravée ? l'antilope zébrée ? la lionne des cavernes et des bois et forêts ? le (la) bouquetin (tine) ?La buflette rameutée ? la bisonne chargée ? la bête de somme (NOUS° sur pied ? On est ce trait de rage dessiné ! mains surnuméraires souffl"ées, bêtes raides ou nacrées, cernées ou effleurées, tracées au fusain ou gravaées de près ! lévitons ensemble ! allons ! faisons fi des contingences ! lévitons ! Soyons doctes ! savantes ! savantes fées ! braves fées des prés, dessinant à main levée la Chance ! le sommet ! la chance au sommet ! On est femmes nées d'une sorte de parade sur paroi naissante, on est allées, on a touché, on veut aller plus loin comprendre davantage, de ce qui est dans ce qui sexprése"nte. On est Fées des entrées de face ! charge frontale ! de la corne et des na&seaux on entre, fatales ! Bêtes des
prés ! Bêtes-mots de Rage ! on passe ensemble de l'autre côté mais va comprendre ce qui est, en ces lieux dee contrebande, soit de bande et contrebande ! on est nées homme au singulier (singularité) ion meurt fmmes (données) au plriel ( sommités des sommités = Fame agréée). On meurt homme, on re-nait femmes (en tant que femmes) dans la ùmort. fe"mmes = fame = sommes.. Amês -sommes ! Somme des sommes. NOUS ! SOmmes = NOUS ! car NOUS = sOMMES ! des sommes (bêtes de somme). On est femmes des prés ayant traverséees comme à la parade la paroi ! parole-paroi ! choix des rois -reines, chose des données concrètes, fruits, offrandes, près du puits, choses déposées sur une branche, données dites "données". Quand on éime en vrai c''st mieux de s'en
aller ensemble vers Déité (fonfd
du pré). On veut aimer ! sur une roche szur un templiezr ! sur une chose donnée des donnée, fruits de la passion, colère de front, mots des cherche-m erde ! On aime ! on aime grave ! On veut toucher la roche lointaine à jamaéis soit ne p âs trépasser; mais pour cela on doit s'aimer ! s'aimer nues par terre, se lécher le cul, les glaires, les parties charnues, les données imber bes, les joues et les orteilles. On est nues de cul ! "szous le verbe
", "sous l'emprise du verbe ", "sous l'emprise notoire , commune, allouée, du Verbe". Soit : fortement conditionnées c'est un fait ! femmes comme agrégées, comme accolées. On est femmes accolées dans un pré, par terre, nues velues, on s'aime, c'est le pied ! on aime sw'aimer = se toucher = se renifler = se lécher = se mettre / On aime SEX ! Sex ancré ! sex et autres animéalités de conserve, sex acté, sexe vendémi&aire ! charge allouée à du sexe de pré ! vivacités
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Qui on est ? on est bhêtes des prés, souveraines reines, femmes au débotté, nues et velues, voire méga-poilues même du cul, ou moins du cul mais quand même en vrai pas mal poilues, ailmleurs imberbe, bêtes vues, bêtes-mots de rage, bêtes-mots disant la rage d'être connues, vue-connues, bêtrs vues et connues de cet te sorte d'hurluberlu des données finales ou terminales .
Qyui l'eût cr(u ! L'ombre sur la place ! Ou sinon ... le rût ?
la charge-
dard ? Qui ici sait en vrai ce qui est ? On est montées ensemble ici le long de la paroi à la recher che d'une vérité qui fut de bon aloi, de belle densité, de bon rapport, de belle tenue si jama&is. On aimerait compre"ndre ensemble si possible un maximum de choses, de données, des données comme s'il en pleuvait on voudrait ! On est nées vel ues et poilues, pa&rce que oui ... chevalines on est ! ou bien .... bouquetines ! ou même léonines ! On est entrées en roche ense'mble à la une à la deux au pas
de charge, et une fois entrées, on a cherché ensemble à pour le coup nous rapp^rocher d'une sorte d'anfractuoisité de la paroi finale
dans icelle roche des données finales, mur d'enceinte tout du long où qu'on reg arde ! piston ! ça commande ! on voit très bien le rond, la rondeur de base, muraille-muret, féisant cour (courette) d'intériuer pour a&insi diire (une szorte de jardinet). On aime ! on aime grave aimer ! on aime aller à se porter, à s'allonger, à se coucher , près d'une fée on dirait (on dirait une fée ). On se couche près de la fée. On aime les fées. On est mort et dsu coup on s'est rappr(ochées d'une sorte de fée allongée. On est vaches à laéit dans la mort ! qu'on se le dise ! on est comme en vrai des vaches à lait aéilées ! on vole ! on s'élève ! on monte ! on grimpe ! on est nées actées sur herbe allouée à un pré, nous voici devenues toutes légères, celetses , celtes / célestes.En vrai célestes !
on volette ! On est nées sur l'herbe, on se lève, on s'élève ailées (vaches-fées) , et voilà : on grimpe les diverses allées, les di vers niveaéuxs, les hauteurs nacrées, les traéits ! On est vaches reines souverazines qui aiment grimper pour aller tracer ! on aime ! on aime aller ! ion veut tracer ici ou là des bêtes des prés afin d'amadouer (on le sa&it) qui de droit qui se reconna&itra on jurerait ! On est fées et vivacités ! vivacités et fées ! fées des vivacités ! Gentes viles fades fe'mmes ? des sorcières-fées à jamais ? du balai les commentaires ! on est M ! M comme Mort ! on est fe'mmes allouées à une mort dite "de cimetière" mais en vrai c'est .................................................................................................................................................................... eh bé ...............
faux ! fausse donnée ! contre-vérité allouée à des traits gravés ! On est fées des données sages ! on est accolées à une rage dite "des rages". Pas sale forcémént, ni maussade obligatoirement ! On est fées des prés, ailées (vaches saoules) , on monte et on descent ! on volette ! on va et on vient ! on est en haut , on est en bas ! le troupeau, l'herbe, les fleurettes, puis, plus haut , le ciel, le bleuté, les nuagess cuivrées. On est bêtes aimées, on volette. On aéime voleter. On adore l'herbe des prés, mais aussi les nuées, le ciel bleu, les rayons dorés, l'ensoleillement lunaire, les contrées célestes. On est nées sur roche a&llouée à une sorte de cimetière des données frontales (animalités) et on avance ! on en
avance ! on creuse grave ! on veut toucher à cette déité frontale auxd données cruciales ! on est n,ées fades (homme) ion meurt moins fades (femmes) : est-ce vrai ? car, si fée = fade , alors fée = folle ? On colle ! on est collées ! collées à la roche des données données il semblezrait ! On veut toucxher = on veut aller !, faéire-dire, ne pas sombrer mais comme travezrser lultime roche dite "des données profondes". Rotonde. Rotondité. Mur d'enceinte. VIvacité. On est comme nées (appelées) à re-naître dans un pré, au-delà ma foi, cerner, toucher, passer. qu'est-ce qi'il y a de l'autre c^té ? une voie d' accès vers une déité doonné. une sorte de âssage à tout jamais vers une déité. Cette déité est nacrée et sacrée. Elle porte le nom non deson père mais de sa mère, dure mère. Elle porte le nom d'une sorte de .. dure)mère, cervelet, pie-mère et autres corps calleux dénichés ! Qui c'est ? "c'est l'plombier" ? pas en vrai ! plut^ot le passé ! Le Passé des offre allouées ! ässé docte = souveraineté des données tracées (aurochs et bisons, buffles et buflettes, chevales amaozzones, crins des crêtes, ourses et lionnes, gens des fronts, b^$etes sales). On croit mourir de front, on se retrouve charges d'âme ! On est homme à l'unisson d'un temps de façade, on meurt femmes fractales, déployées, déplissées, désarmées, calmées, sondées, dédouvblées , dépliées. On est pour ainsi dire devenues, ren mourant, femmes , ouplutôt "des femmes", soit deux femmes, à la une à la deux, qui (en vrai) se tienne,nt par la main , ou se donnent la méin, ne se lâchent plus (pas) et
avancent ! on est femmes de parois de choix ! on est entrées ens"mble comme p ar la bande . On voulait re-naître , c'est fait ! on voulait "se retrouver" ! c'set fait ! on voul&it revenir comme, en arrière, au temps donné d'avant (la n&issa,nce sur terre) on va dire que c'est fait. On voulait revenir een a&rrière = au temps bébé ? bé peut-êtte ! La mort serait ce temps (dès lors) du bébé retrouvé ? la mort en vrai seraéit ce temps du bébé sacré ? La mùort seraéit en vrai ce temps sacré du bébé acté ? La mort on dirait serait le temps d'avant , d'avant notre nniassance ? On est comme allouéesz à une sorte de donnée rupestre, de type : anfractuoisité par laquelle on peut passer ou on pourrait
p asser ense'mbke, à toi à moi, hop ! on entre ! on est entrées ! on est da,ns (sur) le pré ! on est au milieu des b$etes, on broute avec elles ! on veut grave en vrai leur ressembler si
ta,nt est. on est bêtes des prés comme elles ! on mange l'herbe = le verbe (qui sait ?) . On est bêtes des prés, cernées, cerclées, entourées, encerclées par, autour de nous, une sorte de muret ou de murette, de cimetière (rotondité = enceinte) qui nous pléaiît sévère,nous fait grave de l'effet, semble nous appeler, nous entraîne à nous en rapprochezr pour esszayer, qui sait , un de ces quatre , de le traverser (le muret) ou bien la traverser
(la murette) à jamais (genre : j'y suis j'y vais !) et du coup : cerner = comprendre = allouer à un ciel donné une romance d'éternité, hé hé ! on dirait !
22/3/2022
Nous sommes deux, main dans la main, qui entrons en roche, qui nous infiltrons. Nous nous immisçons en elle et regardons les alentours. Nous sommes (ici même) au coeur de la Chose =
en ce sein de rage fauve ; fauve ou comment ? nous nous sommes introduits en lui, nous avançons, nous nous logeons, nous sommes au coeur de la paroi, nous regardons autour de nous les bêtes qui vont et qui viennent, des aurochs, des bisons, des bêtes de bon poids et bonne charge principalement. nous sommes dedans. nous sommes dans un sein de rage, au coeur de la Chose rude. nous nous regardons, nous nous embrassons. nous sommes dans un creux de rage, voilà. Nous nous sommes introduits en ce creux (ce vide, cet espace) ici même = creux de rage = vide ici de ce sein de la rage d’être l’animal ailleurs. nous avançons. nous cherchons à comprendre ce qui est au juste et en définitive. quoi se passe au juste , quoi au juste existe, que ou quoi au juste se trame etc, en ce sein des seins pariétal. oui des bêtes nous entourent, vont et viennent près de nous. nous sommes comme elles = postées (posées) à même la roche du Temps imparti à pareille roche. nous sommes nous deux parmi elles, êtres comme elles déposés, comme elles posés sur roche dure (meubles ?) qui nous contient. Je suis en = dans le sas. je suis en ce sein de rage Verbal pariétal. Nous nous avançons des bêtes,nous sommes proches d’elles, nous les regardons et elles nous regardent. ici la paroi de la roche = sein. Nous sommes dans un swein = antre = ventre = outre = imagination ? Nous cherchons ce qui ici peut être à dire de ce wsein de rage. nous nous avançons d’une bête de poids (aurochs de ces dames ?) et nous la regardons. nous sommes près d’elle. nous la caressons. est-elle une vraie bête de céaeans ou bien ... imagination rupestre ? nous disons que la bête est. elle vit près de nous, à nos côtés. elle est vivante en roche : vibre. elle
porte un nom (Vivre ?). elle est bête de poids dde carosse. elle est cette bête de rage folle, vive, qui est bête qui vibre et va, fonce et cours, et tombe pârfois pour mieux se redxresser sur ses pattes arrièr. elle est une bête de bon poids surnuméraire = une entité. je cherche ++ à comprendre ici icelle bête près de nous, ce qu’elle représente, ce qu’elle signifie dans ce paysage. est-elle vive ? est-elle cette bête des embruns ? est-elle bonne conseillère ? qui est-elle en vérité ? un agent secret ? un ou une guide pour une traversée des temps alloués ? qui est la bête pour nous qui sommes près d’elle ? qui est cette bête fauve ? qui est cette bête forte qui nous mate vif ? Nous cherchons à comprendre au mieux les données célestes (pareiétales) de la roche. nous sopmmes deux ici (main dans main) à tenter une approche et à vopuloir comprendre cette bête, son nom, son allure, sa vie, son train, etc. qui elle est. nous cherchons ensemble à mieux la «cerner» et comprendre ce qu’elle est de fait dans le paysage. a quoi est elle associée, etc. nous marchons. nous sommes entre deux mers (?) ou bien enttre deux parois (?) sur un chemin (?) quelquepart dedans = dans le sein = dans le rêve, etc. nous sommes entrés ensemble main
dansc la mzain et nous explorons les alentours, les lieux de rage, ici même cet aspect des choses. nous nous avan!çons ensemble et cher chons, nous cherchons ce qui peut être, ce qui est, ce qui pourrait être de ce paysage, d’un entre-deux roches dures. nous no!s avançons sur un chemin, un chemin déjà tracé et qui va au loin, que nous voyons filer devant, qui nous guide et nous entraine. nous bnous faufilons enttre deux rochers (?) ou mers (?) ou quoi ? dans une sorte de contrée lacustre ? nous allons fissa. nous marchons côte à côte et de bon pas. nous en avançons mordicus. nous sommes qui allons fissa par la bande. nous en avançons grave. nous marchons sur un chemin déjà tracé (par qui ?par une bête ?) et nous nous apprrochons d’une sorte de fin de partie. nousvoul;ons comprendre les données cruciales, celles-là qui en disent long et vous en apprennent, en vrai, des masses si tant est. et voilà pourquoi nous maerchgons. nous marchons vers un final ... de base rupestre, échappoatoire, destinée, tracé, couloir de rage, embardée, charge rocheuse, coloriage aux couleurs nacrées. Nous sommes proches de la fin. nous som=mes à deux doigts df’en découdre de la traversée. c’st à dire ici que nous touchons au but, aux dernières lueurs ou comment ? nous touchons au bout. nous sommes alllés loin , en cettye roche des prés et prairies de rage. nous sommes deux debout au bout du bout qui du coup nous regartdons et nous disons des choses comme quoi le bout est cette chose devant soi qui est (serait ?) en butée. Nous voulons piger. nous voulons toucher : oui voilà ! cela ! toucher à la roche du temps des apprêts, du temps des fins de rage, des bouts de bout. Nous voulons toucher lza porte finale. la dernière accolée. la porte des passages dits transverses. nous voulons toucher la roche-porte. la porte-roche. la des portes qyui est ou qui serait la cdernière avant le saut, avant quoi ?Nous voulons toucher= comprendre = prendre = aller. notre envie d’aller est puissante, de passer la tête et du coup de naître à une autre vie de l’autre côté. il y a l’antichambre (imagination ?) et la chambre (soin de base en canopé). nous voulons comprendre les données les plus ancrées en cette rochge dure, ce que c’sset
que cette antichambre aux betes de poids, et ce que c’est que cette chambfre dans les lointains, ce sas (?) ou comment, ce passage vers, ce sas ailleurs ou comment , ce... soin ? nous cherchons ! nous ne sommes pas (on le voit) en reste de chercher et vigoureusement, avec entrain, avec une volonté affirmée, avec assiduyité et avec curiosité. nous cherchons à cerner les choses du temps, ce fond de roche, ces betes de poids, cet imaginaire, ce sens. nous nous approchons de la roche percée. il y a chambre de l’autre côté , chambre nuptiale ? amours
de rage ? qui
est là ? qui va dans le sein ? qui entre ou qui est entré ? qui est là derrière ? parenté ? charge vive ? qui existe en pareille chambre des embruns ? qui renâcle à dire ? qui trépigne insytamment ? qui veut ma mort ? qui veut notre mort ? qui nous veut morts nous deux ? qui veut que nous passiiiiio ns l’arme de l’autre côté ? qui veut que j’outrepasse ou que je trépa sse ou que je passe ou bien que je passe le nez, la main , la figure, quoi ? Nous sommes de fait des qui allons, en roche, dire, ce qui est pour nous qui recherchons des choses vraies ou tout comme. notre envie est de creuser le temps, de creuser profond, afin d’en extraire des données cde poids qui puissent nous donner de quoi comprendre vif et bien ce qui est de ce qu’o,n voit (ou de ce que l’on ne voit pas, etc). nous cherchons choses et autres à même la roche. ici trou de passe. ici excavatioon. ici trou de rage et derrière... quoi ? une fumée ? des goutelettes de buée ? une lumière bleutée ? une chaleur ? un bruit sourd ? une sorte de mélopée sortant d’e plus bas dedans ? quoi est ? Npous voulons comprendre. nous voulons nous approcher d’icelle pezrcée de roche, de ce lieu de chambre nuptiale, natale, ou comment ? retour ici vers un passé récent tout compte fait ? retour aà un chez soi de base ? nous cherchons la chose ce qu’elle est au juste, et aussi à nous «tirer d’affaire» = trépasser sans trépasser comme pour ainsi dire; Nous voulons toucher sans toucher. toucgher sans nous brûler . toucher au cfeu sans nous brûler. cela se peut-il ? cela est-il chose possible ? qui nous dira ? qui va là ? qui est l’homme des données de rage vive ? qui est homme des parois du temps ? qui comprend au juste ce qui est de ce qui là se trame dans le sa ng ? je (=nous) cherche ( cherchons) ce qui là (dans le sang) se trame au juste , se conçoit, s’élabore, se transforme (se forme) et aboutit à cette chose devant soi qui est et qui reste à comprendre . nous voulons toucher la roche du temps mais ... sans nous brû;er à son contact . le feu sans le feu; la mort sans la mort, voilà ce qui est. nous sommes d’accord pour mourir
peut-etre mais en vérité sans «trépassezr» = sans passer le nez ou quoi que ce soit d’auttre de l’autre côté. nous voulons comprendre ce qui est ici mais sans passer l’arme de l’autre côté. bnous voulons toucher sans toucher ou comment ? nous vouylons touchger le feu mais sans nous brûler ! nous voulons toucher au feu mais sans nous brûler ! nous voulons ensemble toucgher, toucher à ce feu , à ce feu central (chambre nue) sans un tant soit peu nous brûler les ailes. nous voulonss comprendre ce qui est ici en roche = trou de passe, chambre, lumière, musique ou bruit sourd de type mélopée (lascive ?) .nous voulons nous approcher d’icelle, paroi des
fonds. nous pensons «chambre «, nous pensons «antre», nous pensons «chambre = antre», nous pensons «chambre nuptiale» comme à l’aller, nous pensons qu’il s’agit d’un retour à quelque chose d’antérieur à notre arrivée sur le plancgher des cvaches. antichambre des parois de bêtes (de type préhistoire, aurignavcien, magdalénien etc). antichambre aucx bêtes (en premier) puis chambre nuptiale xplus loin. nous voulons toucher la timbale du temps. nous voulons coller à la roche rude. nous voulons nous enfoncer dans ces tourments de roche allouée à vie humaine mortelle mais quoi ? sommes-nous de tzaille pour «passer» les chjoses, les étapes de destinée, sans succomber ? sommes-nous des gringalets ? sommes-nous des bêtes de taille ? sommes-nous des freluquets ou bien aurochs de roche, aurochs des rocs ? qsui nous sommes ? qui on est ? qui sommes-nous qui cherchons à passer le n ez par la fente ? la faille ? la quoi ? porte des parois ? nous passons 1 nez de base, nous tentons, nous vopulons sabvoir, nous sommes deux. nous nouds sommes avancés à deux jusqu’à la chambre bleue(?) et nous cherchons à voir decdans ce qui s’y trame mais comment sans y entrer soit sans se brûler ? de loin et de biais ? NBous pensons que la mort est après la bête rosse. la mort est logée plus loin. la mort est après la roche
des fins de grotte. nous pensons que la vie est traversée puis saut puis embardée puis arrivée, devant une porte (?) ou disons ouverture de roche (sas , ) qui est trou de balle pour le dire ainsi = trou du cul. je dis cette chose ici (ailleurs aussi) comme quyoi la mort est, non seulement à insulter (c’est une sorte de donnée de rage d’évidence) mais en plus de ça elle s’y prête en vrai , car, elle est ce qu’on dit d’elle en l’injuriant. l’injure la forme ? l’injure la dessine ? ou bien l’injure la définierait telle qu’elle se présente )à nos côtés pour ainsi dire ? nous voulons comprendre ce qui est exactement. une chambre mortuaire = une chambre à air = une chambre soufflante = une chambre aux airs = une chambre de vie = une chambre d’amour = une chambre du cul, etc. nous disons que nous aimons chezrcher les vérités là où elles se trouvent. nous voulons toucher les choses en vrai. nous vouyl;ons comprendre, nouys voulons cerner, nous voulons toucher la vérité en vrai = en dur de chez ... dure vérité. Nous voulons toucher le feu sans nous brûler : comment faire ? nottre but est de troucher le feu sans jamais pour le moins nous bruler ni les ailes ni rien d’autre, et pour ce faire, une seule voie : la lévitation et l’incantation . la lévitation-incantation. kle choix du Roi; le cri de guerre. le chant des apprêts. le terminus, on descend de sa rage à êttre. on est là sans y être (en gros). on est et on est pas. on flirte avec la mort mais on ne meurt pas. on vit la chose crument mzais sans y être en vérité. Je suis dans la chambre du Roi. je regarde icelle de près. je suis Roi du passage dans l’au-delà, et pas. je suis et ne suis pas ce Roi. je navigue d’une chose à l’auttre. j’entre et je sors; je vais et je viens. je suis en cette roche creuse dans le xsang. je suis homme des parois mo,nsqtre, douceur et candeur, douleur et rougeur, vivacité. je cherche à toucher cde qui est ici d’une chose vive. je cherche à comprendre les données du temps, ce qu’elles sont au juste pour moi (pour soi) qui suis (nouys sommes) l’êtree de la foi dans l’ombre ici de la paroi (êtres d’une foi certaine). nous sommes qui cherchons à mieux cerner toujours les données de rage idoine. Nous nouys infiltrons et touchons la roche en ses fgonds. qui est là en cette chuambre ? le dfieu des passa ges ? le dieu roi du temps absolu ? une pariole musicale = chantante ? une chorale ? un cri de basse-fosse , un dieu du paradis ? une cxhaleur étouffante ? un feu de prairie ? kle Feu de joie d’un animal de base ? une perle ? un coquillage ? une donnée-denrée : victuaille ? Nous voudrions savoir beaucoup de choses sur la mort. nous voudrions connaitre plus, plus et plus encore, sur la mort. quoi en elle. que existe en elle ; Quoi erst-elle ; qui sait ça ? nous nous approchons d’iccelle porte (?) ou anfractuosité rocheuse, nous passons la main . nous passons le pied. nous passo,ns le buste. nous passons la têtye. nous passons le bassin. nous passons le reste du corps. nous passons en entier. nouys sommes passés. nous sommes passés à travers la faille. nous avons passé nottre corps dans cette fente, à travezrs elle, et nous nous retrouvons de l’autre côté à chercher ce qui est dans ce qu’on
voit. et que voit-on ? le feu de rage vive ! il brûle nos vies ! feu des temps impartis ! aiuto de grâce ! ça fait quelque chose ! ça fait pas du bien ! le feu de ta race au cul ! le monstre ! le salaud nous brûle ! oh, l’enculé de ta rage à être divin ! tu m’as compris ! ça pue, ça pulse, ça brûle ! ça pue grave , et d’où ? dfu cul tu m’as compris ! La mort pue du cul depuis la nuit des temps ! ça pue grave ! cça schlingue sa misère crasse ! oh la meu ! oh merdum de rage ! que de ça qui nous attendait ? que ça pour nous informer ? Nous voulons comprendre ce qui est ici en roche, et pour cela il nbous fallait entrer en elle, et pousser dans les lointains d’icelle à) la recherche de la vérité, de la vérité vraie des choses du monde, de lma mort et de la vie, des choses du monde en vie ... de la mort à l’oeuvre. nous vouliiions compren,dre loin alors voilà , nouys sommes allész loin.nous vouliiions comprendre dans les profondeurs mais comment sans passer la tête ? et si tête passée comment faire pour : 1, ne pas se brûler , 2, ne pas succomber, 3, ne pas trépâsser ?Voilà les choses, ce qu’elles sont pour nous, ce à quoi on peut s’attendre. Nous voulons comprendre enwsemble les données de rage les plus prononcées et pour ce faire comment faire sinon ainsi : en touchant la roche de près , en nous immisçant en elle frontal, en naissant à une vie nouvelle = en mourant. il n’y a pas d’autre possibilité on le sait. Nous voulons piger par la bande, comprendre les mots de la roche : ces bisons de belle extraction, ces buffles surnuméraires et autres aurochs de bellez remontée de rage. nous avons touché à la bête charnue, nous nous sommùes avancé des bords de plage, là-ba s c’est le pré, ici l’anfractuopsité pariétale. nous voulons passer mais sans trépasser mzais comment ? par la pensée ? oublie ! par le sa,ng versé ? cdéjà, c’sst mieux! pâr quoi ? par le Verbe nigaud de ta rage ! par le verbe de ta rage d’être ! par du Verbe dru de ta rage incluse ! par du Verbe de paroi de base ! Nous pensons que la pensée est une chose véhiculée mais que le véhicule prime, sa motricité, son allant, son biais, ses richesses naturemlles, son ntremise, son coeur, sa vaillance en ses données, etc. nous voulons aller en roche ainsi, toucher roche des parois vives (en vie) et pour ce faire : travzerser la roche prairiale, aller par (à travers) elle et atteindre un fond de paroi mobile, le fond des fonds, ce fond dit «des fonds», etc. nous
voulonsaller en roche vivre notre vie d’emprunt. nous sommes entrés en elle. nouys voyons des betes massives dites «d’a,ntichaMbre». nous les regardons brouter, se courir après, chevaucgher ka roche, manger, se coucher. nous sommes entrés de fait dans le sas des pârois du monde. le verbe est donnéecentrale qui nous intéresse au plus haut degré. le Verbe est au coeur du problème des parois de roche. le Verbe est pour soi l’Entrée du Royaume des Dieux de la Roche. nous penso,ns à un dieu velu quand le dieu est colmme un feu qui couve, qui fait son chemin de feu suspendu. qui fait son chemin suspendu de feu alloué à une vie humaine. nous cherchons ensemble, ce feu : 1, où il est, 2,qui il est, 3 qu»en penser . nous voulons piger vif (à belle comprenure) ce qui est ezn roche (antichambre) et après (chambre) : le cul , le cvul ici dit «de la mort de l’âme» ? ou comment ? le cul nu de cette mort à l’oeuvre dans le temps ? je suis qui cherche longtemps, dans le temps, kles raisons qui sezraient celles qui présideraient ici aux destinées. nous nous avançons de ce feu (bestial) de la roche : cul ? cul de quoi ? cul de rage ? brouet ? chant ? chant du cul ? pet ? squi sait ? souflle = gaz = vent = cul nu ! Je le sais ! je sais cette cjkose d’un vent de la roche qui serait tout droit sorti d’un cul de rage ! On sait ! on est pas né de hier ! on sait ce qui est ! on sent le brouet, le pet ! ça pue du cul grave : c’est la mort ! c’est elle (la mort) qui empeste et nous empeste ! elle pue grave on sait cezla. la mort pue à mort. nous voul:ons comprendre ici des données, des données vives, des données de rage, et voilà du coup ce que l’on trouve en creusant un peu, cette chose comme quoi la mort est une entité de chambre qui puezrait mais grave ! on le voit ou on le sent ou bien on subodore ou bien ion devine car on est devins. On pense = on avance , sur un trait de base nuptiale. nous nous avançons sur roche, bnous pensons à cette chjose, devant soi (?) , qui serait ce trou = trou borgne (un peu) donnant sur cavité fermée, close sur elle-même, etc. un trou, sur cavité close. une bulle = une outre = un antre = une poche = une sorte de sac ou de sacoche ou de sachet ? ou commen,t ? car le cul est trou donnant
dedans sur toute une tuyauterie de rage, sortant vers devant la bouche, la bvouche en fin de parcours ou en commencement, selon par où tu vas ou veux comme,ncer l’ emba rdée. je cherche. je suis pas en reste de cghercher. je suis pas là pour rigoler; je cherche vif, dru, sec, roc, bec, et ongles; je cherche que tu cher cheras fissa, on voit ça. je vais ici à toute blinde autant que possible = sans le moindre arrêt-buffet, pas cde pause de quoi que ce soit, on trace = on travaille = on y va = on avance = on ne regarde pas à la dépênse = on file phil, on court on vole, on chante son chant des parois, on co:mprend ce qu’on peut, on essaie d’aller, on cherche à cerner, on est deux à tracer des bêtes (des bêtes de poids) sur paroi; qui l’aurochs , qui l’antépénultième bête à cornes de type bouquetibn. nous voulons piger = toucher = aller; nous voulons toucher à la bete de poids et par elle aller dans la profondeur, dans un sein, dans un sas, dans un antre d’outre, etc. nous vcoulons passer sans trépasser, aller sans se brûler, toucher sans s’âbimer, connaiotre les donnéesz de raghe les plus lointaines ou les plusq ancrées. nous avons à ici comprendre ce que c’est qyue cette chjose de la roche des parois du monde de la mort de base à l’oeuvre dans un sein de base motrice (votive ?) . et pour ce faire : vif ! fissa vif ! courir ! al;ler vif à fond ! ici = le train ! ça urge ! ça pistonne ! ça y va ! ça n’arrête pas ! ça fait sens ! ça douille ! ça coute un bra s ! c’est pas de la meu c’est quoi ? je cherche ce que c’est que ça qui nous attendrait les bra s ouverts .. deux bras pour moi ? pour soi ? deux bras grand ouverts pour nous enlacer, nous rapter, nous prendre et nous avaler ? je cherche ! je suis ici un (un parmi tant) qui cherche ce que c’e’st que cette chjose d’une mort à l’oeuvre en ce sas des sas surnumérazires. je cherche à fond, je suis lancé, je ne m’arrêzte plus. que pertsonne ne vienne m’emp^echer d’aller plus loin ! que personne ne vienne m’enquiquiner et m’em pêcher de tracer mon chemin ! que pezrsonne nre vienne se mettre en travers, en travers de moi, et m’empêche d’aller à bon port = à kla mort ou jusqu’à) la mort ! Je suyis celui-là qui cherche en paroi, en paroi du temps, des données sensiibles fiables, consultables etc.mais est-ce possibvle ? on dit que non ! on dit que c’est impossible , que la vie ne contient pas la mort , que la mort est une sorte d'au-delà (?) qui ne se montre pas, comme tout au-delà puisque c'est ... au delà , etc. on voit, on chemine, on guette, on mange à satiété. on est hommess et femmes qUI aiomons mangezr la bete coriace à chasser. nous nous regardons dans le blanc des yeux et nous cherchons à piger ce qui est icvi en termes de voix, de bruits, de cris, de chants, de sons, etc. car le son ici (roche) est pris comme du sang pris sous la peau ail;leurs. Nous sommes ensembkle (deux) qui cherchons à pour le coup toucher la roche dure, la trouer, traverser icelle, chambrer la bete avabnt même de tracer au loin vers une sorte de nouvelle roche des prairies nacrées, des embruns, etc. cvette roche 2 est roche des fonds de roche. nous croyons, nous croyons à roche 2. nous pensons que roche 2 exisqte, qui est rocghe ultime, fracassante. Nous vou;lons piger ce qui est et aller dans les loin,tains d’icelle roche de paroi de type terminales. nous sommes devant, nous voulons entrer, mais comment entrer sansq succomber ? ça buffe grave ! à décorner un boeuf ! à déterrer un mort ? à quoi faire ? et nous de nous pointer ainsi, vent de face ! grave ! ça pue ! oh ça pue du cul ! ça pue grave ! vent de face mes aieux ! cça cocotte un max ! ça fait pas sembvlant ! c’est tenace ! ça pue grave du cul de ra ge! c’est un truc! et nous tout de même de nous y collezr, de nous y coltiner, de plaquer la bvouche sur bouche ! de plaquer bouche (nôtre) sur ce trou cde vbouche grand ouvert ! nous sommes devant = nous plantons ! nous nous sommes approchés d’icelle paroi terminale, nous chercvhons la faille (anfractuosité) et la trouvonqs. nous voulons passer mais le passage est fin, trop juste, ça passe pas, faudrait dilater ! dilater icel passage (icelui passage) du cul ! tracvfersée de rage pour une naissance à comme déplissezr. nous voulons comprendre ce que c’est que cette chose d(‘‘une mort lointaine, l’autre côté, ce fond de roche, ce fin fond de rocxhe, cette chose au loin bien après les bêtes, les bêtes de roche, tra&cées par x, homme des cavernes ou par y, femme des cavernes, ou par z, entité nacrée des cabvernes (un enfant ?). nous sommes ainsi qui cherchons ensemble avec beaucoup d’entrain à bien comprendre les donnéesz offertes par la vie à son sujet mais ce n’esqt pas simple, c’est coton, et en plus ... ça pue la merde ! !ça pue grave la meumeu sortie du cul de basse-fosse, on le voit. la mort est un trou ... de rage, puant grave car, fait de quoi, fait toujours cde meu de base, rage des parois du sang,, chant nuptial, ouverture dans un sens de base , vie de mort de rage. nous cherchons à dépl;oyer (dans le temps forcément) ce qui peut l’être. nous voulons ensermble toucher la paroi, la roche, le sang, le trou, la belle chjose des apprêts. nous voulons aller
profons dans une sorte en soi de vérité rupestre. quyi saurait nous seconder ? qui saurait nous en dire long ? qui connaît les données swecrètes , qui veut avec nous venir profond en pa reille roche des temps assoupis ? nous vouylons savoir ensemble << ce qui est exactement ezn pareille roche d’ouverture. Nous avons le Verbe d’entrée pour nous = pic de pezrcée. nbous nous disons que peut-êztre en effet, ainsi munis d’un pic de roche, ainsi armés nous pourrions traverser la roche ultime, excva vation, trou de bure, aller profond en icelui et, comment, sortir de l’autre côté ? par un,e bouche autrze ? autre bouche des parois du monde ? bouche des paroles vraies ? bouche de la vérité ? peut-etrte ! peut-être on peut. nous oçn sait pas. on a pas a ppris. on nous a rien dit. personne ne nousq a dit. on est incultes. on sait pas bézef./ on xwait pas grand-chose mais enfin on chercxhe beaucoup et depuisz longtemps; on veut comprendre au mieux et loin les dsonnées offertes ici par la bande pa riéto-langagière du temp)s octroyé à vie humzaine. on se dit qsue c’est ainsi que c’est, que ça changera peuêtre, que les choses vont petrit à petrit s’(activer et qu’ainsi bnous saurons quoi penser au juste , de la mort à l’oeuvre c’est un fait, de la cxhambre mortuaire (§lieu de vie) ou tout autre enclave de l’après; bnous voulons savoir ici la donne juste, la connaitre, sqi possible de bout en bout, pour mieux l’appréhender dans ce qu’elle est au fond d’elle-même. nous nous disons que bnous devons aller profond et toucher kle fond de la roche. toucher ensemble au p;us lointain des lointains de sa rage à vivre sa vie vive de la mort à l’ oeuvre, on a compris. on voudrtait savoir la mort, ce que c’est au juste : chambre , antre ? outre ? passdage ? cavité borgne ou non ? cavité avec en son sein passdage à noubveau pour une remontée du ruisseau et sortie nocturne par bouche du temps (à devoir percer); ? nous ne savons pas tout. nous sommes ignares pour beaucoup. nouys cherchons entre nous (langage articuléé commun) xdes choses à comprendre ici et là. quoi penser de toute cette cjose d’une mort en nouys progr&mmée peut être par usure ou autrement (tué ?). nous szommes, à vouloir comprendre +,
ce qui est ici en roche du temps déployé, ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++, nous voulons ensemble «toucher» la roche = la «cerner» = la «résoudre « . = couronner . nous voulons cerner = couronner la roche = la placer ainsi surChose; nous voulons comprendre et toucher, toucher et cerner, cerner et faire vibrer. nous sommes qui voulons comprendre ensemble icelles vibrations de vie, ce que c’est, cecque ça dit, ce que ça promet en termes de vie à viivre demain ou après-demain, et pl;us loin. nous voul:ons comprendre
ensemble les données de rage, les moments-clés, les attraits de base de la roche aux dessins gravés. nous sommes des bêtes de joie. nous nousalloongeons sur natte, sur plan d’herbe fraiche, sur pierre de taille, sur table, sur paroi mobile. nous bnous allongheons et nous nous reposons et nous nous offrons, en quelque sorte, aux dieux dees parois de roche : dieux fols de rage à vouloir être Vies de vie de race riche; Vie riche de ta race d’être une personne en vie sur terre, riche d’un passé de charge, communiste, cher, compagnon du monde, sapeur, chanteur né pour icelles dames des parois vives, dessinateur émérite, graveur au taquet. nous voulons comprendre les données rageuses d’une rage à être (en vie) l’etre d’une vie d’empruunt surnuméraifre. qui nous croit ? qui pense que nou!s sommes là pour quoi en vérité ? qui croit quye je = nous multiplié ? nous chassons les mauvaises pensées. nous voulons toucher les choses en vrai et non en rêve. nous avons cette volonté en nous déposée de vouloir en vrai touchezr les choses, toucher vif, ces choses du temps, parades nuyptiales; nous nous envoyons des signaux, nous communiquons par des effets de corpsq;$
, nouds crions comme des animaux, nous nous frôlons ou caressons incidemment en pareille roche; nous sommes deux êtres en nous-mêmes qui gravons la roche, dessinons l’aurochs. nous vouylonsq aller en cette roche, des données de base nuptiale, mais comment ? njous devons per cer l’hymen c’est une évidence ! percer icelui abvant d’enttrer : ça coule de source ! c’est un fait que nous devons percer l’hymen avant d’enttrer et de nous y (où ?) loger . car, l’(antre est un antre bouché. L’a,ntre est une outre fermée, close, ceinturée sur elle-^même. l’antre est close, ellke est outre rezfermée, faut la percer pour faire s’écouler le suc de rage, sève de vie. bnous savons cela ici, comme qyuoi la mort est un antre de vie (oui !) qyui atteznd que nous fassions le nécessaire (tous et toutes sans oubli) de notre côté, pour le (la : la mort)) rejoindre. le pour l’antre et la pour la mort on m’a compris. je cgherche à comprtendre. pour cela je fouille. je perce la roche. je remue. je vais et je viens en elle, je ccoïte ou comment dire en elle. je suis Vif l’éfclair de ta rage, et je cherche à comprendre à paretir des mots déposés ici devant szoi (présents = odffrandes) pôur un dieu peut-être xde la paroi dure, ou pour un autre dieu de lapa roi meubke. Je suis vif l’éclair de ces dames et de ces meesieurs , vif de rage et coeur vaillant (tic et tac des embruns, des gouttes d’eau, de la rivière, des mers ancestreales, etc). je chante à tue-tête le channt de laroche du temps. je chante haut le chant des partisans. je suis cet homme au chant qui résonne; je suis homme desv temps alloués à mille vies sur terre comme autant de pierrres déposées ici et là pa r un petit poucet «de ta race»; je collecte les données car je suis de fait dans un élan de type «recherche vive», à même le vif de la vie parlée,, etc. mon coeur bat son chant de vie allouéee. je conçois par devers moi un chant des rues et autres placettes de village, jje crie. je suis homme-fezmme des embrunsq. je suis cet homme)-femme des e»mbruns ou bien cette homme-femme des ezmbruns ou bien ... femme-homme des embruns de bord de mer ? une femme)-homme adoubée, qui s’avance dans un pré et cherche des fleursq, tout un bouquet de belles senteurs qui nous chan,geraient (grave) des odeurs de mort et autres saletés de l’au-delà ici à la paroi meuble (percée pour la Chose); nous voulons cxomprendere ce qui est, que l’on subodore, que l’on ressent(, que l’on imagine de loin et comme de biais. nous sommres à rechezrcher la Chose ... du trou dans la meule? non ? quoi dx’autre ? nous voul;ons comprendre le trou de la roche finale ce que c’est. c’est quoi ? c’est un trou de quoi ? trou du cul remontant (à l’envers du tempsz) vers une bouche ? tout ce trajet ? trou du cul (la mort) vers bouche de la vérité, de l’a&utre côté (fin fond pour ;le coup devenant début de passe). je suis motivé, attitré ou commentt ? car, je suis enposte : j’écris, je tiens la chronique du dire lâché, de ce dire des a ppreêzts de rage. je cherche comme je peux des données de base à même la pa roi du temps par l’entremise d’un verbe de poids quyi eut pu en vrai le faire fissa et comme il se doit. je cherche à cerner kles donné&es, de base rageuse, etc. rzace ?
rage ? quoi ici, qui cherche à émerger d’un dire de poids (de type aureochs de compagnie né»a&ndertalienne ou bien aurignaciennne ou ma ghdalébniennee, etc) ? Je suyis Homme (H) qui fonce. Je suis Femme (FEU) quii va dans le tas. je cherche à vif une vie après la vie ... cfomme le professeur Moody, ou comme qui d’autre ? je cherche que tru cherchezras les choses, lesz données fractal;es, les vives données de ta rage vive; mon coeur bat : je suis né à la vie. je cherche mon souffle dees rois. je cherche que tu chercheras le souffle dans les a irs et j’aspire bouffée sur boufféeqs, je me remplisq d’air, je me gonfle comme une outre, un balloon de rage. jke suis hommùe des p)arois de rage vive, et je rehgarde autour de moi , je cherche à comprezndre les données de base qprésidant (justement) la Vie de base. je cherche à traverser la roche, à aller loin en elle, à touchert le fond. ou est donc ce fond dit «des profondeurs» ? qui le connait ? qui pour me guider ? qui pêut me donner la main pour m’entrainer à lui soit vers lme fond nacré des choses de poids ? je veux traverser la roche dsu temps mais surtout toucher à cet autre côté rupestre (pariétal) qui sezrait (hje dis «serait») l’ezntrée pour une vie nouyvelle, autre, peut-êtyre tout autant «fleurie» que la prmeière, c’est à voir. j’imagine, je subodore, je me fais kle film, kje pense, je compense (?). j’essaie de comprendre les données natives et celles d’une fin de vie : retour ve»rs le passé 1 ? retour (1) vers du passé d’un antre pariétal ? le ventre ? l’antre ? le ventre de qui ? je suis celui-là qui chezrche dans un tas un trésor de rien (à peine visible : poussière de vie) et pour ce»la : avoir de bons yeux, le bon dieu et des aieux (peut-être); je veux être vif d’une sorte de rage à vouloir trouver (qui sait ?) «des choses» = des «choses de poids « = qui en jette lourd, qui font impressiobn; je cgherche à comprendre tout, et ce Tpoout le déposer sur roche comlme un Tout de base en tant que : présent déplissé, offrande à déité, cxhapeau de royauté;,je veux être ici le Chef de rage à être le manant, le passant qui charge, l’(animal trapu; moi ide»m (trapu) commùe une bete ressemblante; je veux être l’êtyre des parois vives. je veux être l’être desz belles m»élopées de rage
. je m’approche d’une vérité ‘(pas vrai ?) mais laquelle ? je ne sais ! je cherche à comprendre les données natives et aussi ce qui est qui semble (demain) vouloir nous attendre, nous attendre sur le pied de guere. nous voulons
savoir. Nous voulons comprendre ensemblke ces données. nous voulons nous pencher sur icezlles. nous voulons trouver des chosesz belles en elle, et comment faire pour ce faire ? car, nous sommes for gênées du fait que nous sommes de fait grandement limités dans nos corps d’homme et de femme terrestres; commùent faire ? chanter ? penser ? hurler ? tuer (?)? aller et venir dans un être ? chercher une vérité ? tracer des bêtes de roche ? ceuillir des baies ? tuer du gros gibeioer = se sezrvir ? aller en roche à la recher he de la vérité frontale ? mznger les données et s’en re^paittre , qui saura distinguer le grain de l’ivraie sur le sujet ? si lz mort est une entité alors la vie a ussi ‘(peut)-être) est une entité ! on cherche ! on creuse toutes les qUEStions de front, on ne s’arrête plus, on fonce. on a une envie monstre cde piger ce qui se trame devant nous en fait de vie à vivrre vpar lma bande (langagière) des temps imparrrtis. bnous voulons comprendre dans la profondeur des temps à venir : voilà ce qui est. et pour cela il est nécessaire de se projeter da,ns un temps rocheux de type pariétal , rupestres, ou sur table, sur paroi horiznt(a&le. nous xdezvons nous projeter un tant soit peu pôur mieux comprendre les données ici liées pour ainsi dire à un devenir. car le devenir a son importance, forcément. nalors voilà : le mouvement, l’élan imposant mouvezment, etc, oriente nt les données (de rage) d’une vie , et de fait, orientent grandement la chute (la courbe) d’une action de vie, ici, dans le monde. ce n’est pas au coup pa r coup, ça s’inscrit dans la durée(moment = mouvement) et, par conséquent,le temps, ici, est courrbbe, est treacé de rage en sa révolution spatiale. mouvement = moment et inversement. la Cg$
hose s’inscrit, de fait (de rage) , da,ns le temps, d’un gezste dessiné, tracé, et, les choses vont ainsi qui ne s’égrènent pas pour mieux somb rer à chaque grain touché, mais vont à tracer une courbe d’ensemble, un dessin de courbe allouuée, une figure de sainteté. je vois cette roche du temps devant moi qui est massif de grande envergure :comment passezr outre avec ses mainqs... avefc peu de moyens ? voilà comment : en pârlant , ou plutot en faisant celui-là qui parle ! en faisant celui-là qui parle en soi par la bande. je me meus en cette roche des tourments et tente du coup de la mort u ne approche pâr les sezntiments, en luyi disant eh bien qu’elle bnous manque, que nous l’aimons, que nous voulonsq la satisfaire coûte que coûte, etc. fayotage, façon masquée, faiblesseses; nous nous approchons de la mort à petits pas, touts les -jours un, peu. nous nous approchons de cette cxhose ici que nous nommons ainsi de ce mot de «mort de ta base ... à être vivant » ou qUEZlque chose ‘a&pprochant. la mort = la honte. car, la mort a honte de puer la merde, elle est mal à l’aise, elle ne sait où se mettree, elle ne sait comment faire pour oser, pour oser se montrer à toutoute un-une cha cun-chacune, car, pour le coup et franchement, elle cocotte sec, c’est fou, ça pue du feu de dieu, ça renifle quelque chose. et du coup la mort a honte, elle ne sait où wse loger ou placer. trou de basse-fosse ? oh elle pourrait , tzant elle est honteuse., trou du cul de l’^tre ? oh pareil ! elle en pleurerait. elle fondrait ezn larmreses./ elle pourrait facile fondre en larmes et se vider, et vider son sac (lacrymal) mais pas que. se vider en entiezr. -se vider de tout son saoul en termes d’etre ... à vives données de base, ou contenant vives données. nous nous a vançons d’elle , nbous nous abvançons de cette Chose devant soi. nous avonsq encvie grave de comp^rendre les données, soit les déposer (ou poser) debvant soi (là) et piger ensemble, discuter, imaginer, découvrir, etc. la mort est un objet d’étude comme un autrte.on peut «s’amuser’» à cxghercher wdans tous les sens. on peut essayer de chercher profond ce que est la mort annoncée partout. nous vcoulons trouver des termes, desmots de rocghe, des dessins, d’hommes et de femmes de la préhistoire. nous voulons trouver des mots (des pensées) cachés (e)s. nous szommes partis cpour durer à même la roche si tant est, continuer sur notre lancée un bon bout de temps, ne pas sombrer mais poursuivre longuement les choses amorcées.nous comptons poursuivre sur notre lancée et ne pas sombrer du tout mais tout au contraire y allezr de nos recherches les plus abvouties, les plus prononcéesq, les plus nettes, les plus sérieuses, les plus avérées. nous bnous présentons face à roche numéro 2, l’ultime parade. nous nous présentons; chacun décline son identité
, nom , prénom, qualité, signes particuliers, lieu d’habitation, lieu de naissance, profession, etc. nous avbons à dire ces choses avant de vraimznt commencer à questionner la roche (la paroi) et à receuillir les données qui nous interessent vle plus. nous voulons toucgher la roche à deux avant toutes choses, et c’est ainsui que nous faisons, que nous disons . nous voulons comprendre ce qui est en roche, ce qui en roche se trame depuis le début maids pour ce faire nbous devons entrer en transe, léviter, nous laisser guider (absorber) par, en nousq, la bête de rage et de poids , qui sait quoi faire, qui sait comment faire et qUAND. La bête en moi eswt une bête des parois préhistroriques. la mort la regarde finement, attentivementr et approuve sa corporéitée rocxheuse ou disons l’envisage d’un bon oeil. je vois cette bete devant moi , qui fait impression (forte) mais pas seulement, elle a pour rôle aussi peut-être de nous transporter plus loin (ailleurs) dans l’esoace)-temps de la rochge. elle eswt là pour faire impression (et faire croire à de la vie vcraie : aux yeux de lma mort) mais aussi, elle szert de passeur, de passe-^rage, etc. elle nous guide versz un a&u-de»là pariétal de première, dans le sens où elle est de fait toute en capaacité de pouvoir ici accompafgner notre mobile jusqu’au pôint final d’une sortie de rage (sas) pour une (re)naissance à quoi , à une autre vie «aptrès la vie» ou quelque chose de ce genre. nous voulons toucher la bete et nous laisser guider. nous voulonbs aussi faire accroire, à un dieu de la mort, que nous donnons beaucoup de nous (tout) quand ce n’e’st pas vrai mais il ne faut p)as trop ébruiter cette choswe, car, il en vca de nottre survie on l’a comprisq. rester dans une sorte de qUANT-à-soi de toute réserve, ne pas de trop ramenerr sa fraise. rester coi ou tout comme. posezr, se reposer, faire le mort (?). nous vcoulons aller loin en cette roche des tourments afin de comprendre les données de rage profonde (la rage est profonde : une fois n’est pas coutume) et toucher à cette vérité de bhords de mer. nous voulons entrer en roche, voir lkes b)êtes devant nous , voir paitre les biches, kles chevreuils, les élans, loes méga)-cerfs, etc; ce sont bêtes amies. elles sont là pour nous guider, le temps de notre vie sur terre, ni pluys ni moins; ,elles sont cependant appelé&es à mourir, car la mort (l’oeil) guette, guettye continuellement et ne lâcxhera rien et surtout pas la perspectrive (affichée) de pouvoir à termes manger de ce gibier de choix (de vpremiier choix). nous aimons les betes des bois (et sous-bois) et aussi nous savons que leur vie est, quoi qu’il en soit, aappezlée à s’éteindre, un jour ou un autrte, et nous de la m^eme manière nous mourrrons un jour, lâcherons prise et rejoindrons ce je ne sais quoi qui ressemble ou ressemblerait à un au-dezlà. nous voyons paitre des betess des prés, bnous aimons les rezga rder; nous voul:ons nous en approchezr et traverser la roche dans la foulée, aller vers la buutte finale ou terminale , comprtendre. on voit ce sas autour de nous ; estil antre avec paroi en cercle ? grotte des prairies d’une rage vive à être en vie en permzanence ? nous cherchons à voir les ale ntours. les côtés na crés, quelq sont imls ? qui sait ce qui est qsui nous entoure ? on voit deux parois et un conduit central, cette travée. on voit qyue nous sommes pris et prises dans du flou de rage prairail, image saturée, chiens fous. nous vgoulons cerner les contours précisément mais il n’est pas sqimple d’ainsi
calculer car nous ne voyons pas un tout , nous voyons des boutsq. nous voyons des petites cjoses ici ou là d’un payusage et non un antre qui sezrait une totoalité toute rezvfermée sur elle-même. nous voulons comprendre «l’antre» = le foyer de base. commùent comp^rendr ? cvfomment se réperer dans les apprêts ? comment on peut faire , on voit que des bêtes ici sont qqui nous acceuilleznt» pour ainsi dire. on voit ici des betes de fort poids en interposition entre lma mort et nous. la mort vient après la bêzte. la bete est première. la mort est (qui sait ?) pour la fin des temps, du temps, du temps de quelqu’un. ,nous savons cette cxhose d’une bete avant toutes choses. lpa bete est bete de joie car elle nous accompagne (je) en nous qui a lloons fissa (tete première) dans la vie. alors la bete est là qui nous sevconde, n’en perd pas une (miette) de nos vies sur terre, sur roche aussi bien. nous voulons savoir sur cette bête un certain nombre de peztites choses , choses de la vie, mais pour cezla, nous devons apprendre, et pour appre,ndre il faut creuser, etv pou^)r crreuser il faut un pic de creusement (piolet ou pioche) afin d’y aller, d’activer la chose avec virulence; nous devons aller en roche ensemble (la bete et moi) pour mieux nous souvenir des données anciennes (la rage de la préhistoire) et rappôrter, au pl;us du temps impartyi, ce que nous pouvons (savons) de la vie plus qu’an,cienne. car en mùoi réside quelques reliquats (j’en mettrai ma main à couper !). je suis porteur. je porte ezn mon sein un savoir. le savoir est bien enfoui en moi (cachette) qui ne vcoudrais pa s le garder pour moi mais pour cela je dois le retrouver, le trouver en mmoi dans un endroit de moi que je ne conna is pas ... ou si ? Où est le Verbe ? où est le pic de verbe ? d’ou vient-il ? d’ouù est-il venu ? je vcherche à cvompre,ndre en moi l’origine des chjoses du temps. jer cherche à me rapp^rocher de mon être des temps rezculés (réformés ?) qui semvle comme na ger (?) en moi, se lover en moi, logezr en mon sein de ra ge, etcx. on dit ça. on dit que l(‘homme ou la femme de néa&ndertal (par exemp^le) vit dA ns nos cxorps de base (où ?) et cherche àç vivement s’é chapper de nous. nous voulons comprendre ensemble ces données de base, de base native, qui nousaccopmpâgne de fait depuis que nous avons montré le bout du nez à la maternité. nous sommes dfes êtres de rage vive et notre a mbition estde mettre à p^rofit nos savoirs et ce sans louvoyer, sa ns faux-semblants. la mort peut attendre et elle va attendre, car la vie pour nous est pleine de cxhoses diverses, nous devons aller , et finir les choses commencées, abvant de tré^pa sser (si possible) . Nous devons comprendre et toucher la roche. c’est à) dire cette chose : nous avons à faire ainsi que nous puissions toucher la roche , la toucher la toucher de fait, pôur lka mieux comprendre. nous devons bnous avancer d’icelle eznswemble, la toucher la toucher de front, voir, voir en elle, voir en ellme ce qui est. voir la bouche ezn elle . voir en ellme cvette bouche ouverte. est-ce un trou du vcul, ? erst)-ce bouche bénite ? langue de vipère ? meu de la meu des amours de rage ? nous nous infiltrons par la bande et entrons en roche à la recherche de la vérité ou vérité des vérités. nbous voulons comp^rendre les données de base régissant pour ainsi dire un monde de vie vive (celui-là que nous vivons de pied en cap). nous voulons toucher la roche des temps alloués, traverser pareille donnée rude (paroi) et du coup aller à la recherche (en intérioeur) d’une ouverture de l’autre côté; cul de bouche ? bouche-cul ? le cul vers la bouche ? ou : du cul vers la bouche. ou : du trou du cul vers la bouche = joue = joue à percer pour faire d’elle une sorte de bouche. nhous cherchons la chose devant nous. où est ici ce trou de roche finale ? où est ce passage vers un audelà buccal ? comment on peut faire pour nous y coler de base et mieux le comprendre ? la mort est elle au rendez-vous pour tout le monde ? on dit oui mais on ne sait pas : on se fie à ce qu’on voit. on voit près de soi mourir des personnes en veux tu en voilà (la mort) alors fatalement on se dit qu’un hjour nous aussi nous y aurons droit; c’est une évidence diurne; je conçois cela comme peut-être rezlevant d’un fait de bon aloi à pouvoir archiver (entériner) sa ns fausse notes, sans scrupules. je vois devant moi la p)rairie, les bêtes des prész, les betes à bois. je suis moi-même une bête à bois; je veux me faufiler (fissa) jusqU’au bout du bout de la roche à présent ouverte
(dans le temps ... par le verbe) et là-bhas trouver de quoi satisfaire ma gouverne printanière, ma jugeote d’encerclé, mon gout des voix. je tombe , je m’affale, je me noie ? je vois ce qui est , ce qui devant moi se trame en termes de données royales : la belle donnée en termes de passade, etc, est donnée de choix, et qui pèse lourd, qui en jette quelques tonnes, qui en imposent à l’auditoire et fait impression c’est un fait. je cherche à me rapprocher du trou donné ici par la bande. du passage vers cet au-delà dénoncé; quoi erst-ce ? squi veut voir avec moi le bout du bout ? qui veut se rapprocher à mes côtés du bout du bout, et co:=prendre, de plus près, les vraies données du monde pariétal, du monde ees contrées votives natives, du temps a lloué à une roche ? je regarde devant moi les betes brouter et au delà, la voie royale, la travée pour une traversée, ce conduit de guide, entre de»ux parois (mers de roche ?). je marche à l’unisson de la bêtye rosse (grosse) en moi. grosse bêtasse dirait-on ! On en avance, on glissee, on est sur la voie, on fonce, on va entre deux parois; Couloir ? couloir d’effroi ? chant des roches perlées ? nous nous avançons sur roche, nous gagnons sur le chemin tracé ; nous progressons vers une v&érité. nous nouys faufilons ensembvle (l’animal et mpoi) et allons fissa direction la roche tremblante des fins de la paroi gravée. nous nous faufilons côte à côte. nous nous entendons à merveille (oui ?) . Nous sommes vifs. Nous sommes secrets. nous sommes nus. nous sommes déguisé»es en bete en rut. nous chevauchons les plaines, les prairies, les bois, les rochers divers. n ous sommes «nature». nous nous faufilons entre deux parois rocheuses aux dessins tracés comme à main levée par l’homme ou par la femme des cavernes, nous voulons toucher les fonds de roche. aller le plus loin possible vers la déité (nacrée) de la roche. fond de fin. faim des fonds d’une bouche affa mée qui n’atteznd que nous , ou plus que nou ? non : mille et mille et des milliers d’êtres de tous temps sweront (se verront) ap^pelés c’est évident !Nous voulons nous approcher encore davantage et toujours plus du fond de la roche = déité = dentition. nou!s cherchons à nous approcher de ce fond de roche. nous progressons ainsi déguisés. nous nous avançons d’icelle
roche déployée ouverte, prête à nous gober comme qui couil:lonne. nous ne vou:lons pas de la mort en soi mais de la connaissance à propos d’icellle. ce que nous voulons est cettye connaissance : pour quoi fqAire ? pour savoir . Pour quyoi faire savoir ? pour ne pas trembler. ou alors : pour ne pas aller fissa à pleurer ... dans le tas des êtres. ou alors : pour tenir sur pied. ou alors : «pour la ramener». ou alors : pour se rassurer . nous nous faufilons dans les herbes hautes. nous marchons main dans la main. nous nous approchons de la porte qui (d’où nous sommes) semble être ouverte (entrouvertte ?). nous nouys approchons d’icelle porte des apprêts. bnous nous rapprochons d’icelle porte entrouverte. elle est peinte en beige on xirait, on dirait ... une porte de service. on dirait une porte tout ce qu’il y a de plus domesqtique . je vois ce qui est devant moi. je vois ce qui est qui se trame devant moi. je vois la porte devant moi ouverte (entrouverte) qui tend à se donner à moi. je vois devan$t moi une porte qui sembvle ou semblerait vouloir s’ouvrir = se donner. je vois, qui se donne, une sorte d’entrée ou d’ouverture fran,che. une franche ouverture dorée. je vois porte qui (ici) semble se dilater ou comment, s’évaporrer ou comment, sortir des visions. s’échapper. je vois porte vivante. porte vive vivre. je vois ouverture de parois acide. je vois que cette porte n’est plus là en tant que telle mais quoi ? une ouverture vive, acide, cris diverts, luminosité de rage. la porte n’est plus mais une ouverture dans la roche des parois du moncde = un trou. trou du cul debase. je regarde. jhe vois quoi ? je vois cette chjose
qui sezmble se donner à nous, car voilà cette chose qui bouge = vibre. je regarde devant moi et vois vibrer icelle luminosité» comme si par extraordinaire elle tendait à se rapp^rocher de nous tandis que nous , de notre côté, nous nous rapprochons d’elle. vibrations. illuminations. explosion. la porte a fondu dans la nasse de lumière active. vibration ds’ordre mystique = musicalité performative. je m’approche de la voie,, et ... je vois la voix.
21/3/2022
Nous nous approchons à deux de la paroi, nous la regardons et nous nous regardons. nous voulons comprendre ensemble << ce qui erst, ce qui devant nous semble (volontiers) se tramer. nous voulons toucher la roche et traverser icelle à vif, ensemble soudés, ensemble logés en icelle, ensemble blottis. nous devons comprendre ce qui est et pour cela nous nous aprocjhons de la paroi du monde et là, ensemble, nous la traversons de but en blan c, nous nous infiltrons et passoons (bon an mal an) de l’aiutre côté. nous cherchons à comprendre les choses ce qu’elles sont, ce que celles-ci pour nous ont à révéler, à montreer du monde, etc. nous voulons comprendre au plus possible les données du monde. nous avons cette ambition commune , et notre but est de trouver «des choses» ou «des choses et autres» à même la roche du temps, car le temps est cette roche devant soi du monde, cette roche devant soi du monde adjacent, ce temps déployé. nous voulons ensemble nous immiscer, traverser, passer, nous enfouir et nous loger, nous glisser et nous pelotonner à l’intérieur du temps . et pour cela : la plonge = le plongeon = l’enfouissement. nous devons comprendre ensemble ici même les données du monde : le temps déployé, le temps déroulé comme un tapjpis de bienvenue. Nous voulons entter à sa suite = après lui = après la chose = justye a près la chose = après le tapis = après le chemin. notre but est là (en toutes lettres) notifié, comme une envie ma rquée, comme une envie qui serait, pour nous, motrice. nous cherchons à nous immiscer à l’intériuer du temps ici déployé devant nous, après le tapis ou comment ? car, où commencerait la chose à dire ici ? où donc est le commencement temporo-spatial de la chose ici à dire en toutes lettres ? qui voit le début ? qui sait le repérer dans les allées ? qui est qui sait ? nous cherchons ensembvle à nous y retrouver en cette chose d’une sorte de prairie de rage, pré des amitiés, des colères, des bouts de vie à vivre. Nous voulons touycher à la vérité de la colère, soit de la colère massive, colère-truck, etc. Nous voulons toucher la roche du temps, la roche dure. nous ne voulons pas passser à vcôté sans l’avoir touchée , et pour cela : fissa ! fissa tête en avant ! bélier ! raccourci ! nous cherchons à toucher la roche des temps allmoués ici à une vie qui serait la nôtre = la belle, soit ce ciel de rage. nous voulons comprendre ce qui est ici qui nous concerne au premier chef, nous tend ses menottes, nous parle à vive voix. nous voulons cerner les données frontales d’une vie à vivre «devant soi». nous ne voulons pas , surtout pas, passer à côté de pa reille vie allouée à une sorte de misère de parole vive déroulée. nous voulons toucher lza roche , la toucher et la caresser. Nous voulons toucher cdette roche du temps , nous voulons l’embrasser. notre but ici est d’embrasser la roche, de l’aimer. nous voulons ensembmle (la bête et moi, ou : la bete en moi et moi) avancer
en elle (roche) ... comme des mariées au coeur de la cité ! nous voulons aller ensemble là, au coeur de la roche, toucher icelle de près, e^ttre, nous lover en elle, nous loger fissa en elle, la toucher de vive voix ou comment ? la toucher la toucher en chantant ainsi notre chant nuptial de parade. Nous voulons aller en elle au vif de la roche, et toucher icelle ici de l’intériur , paroi des embruns. norrtre envie est notifiée à même la roche meuble, elle est comme à lire. nous devonns comprendre ce qui est ici en termes pour le coup de vie à vivre, de vie déployée comme un ruban de mariée. nous voulons toucher icelle roche ... à même le temps (vif) déployé. nous ne voulons pas passer à côté d’icelui qui nous «gouverne» pour ainsi dire, qui est cette chose qui poiur nous a de l’importance du fait que le temps = la roche et la roche le vent, et le vent le sang et le sang les peines et les tourments. nous nous devons d’en avancer fissa en rocghe = ne pas recvuler, ne pas traîner, fissa aller, courir à vif et comme un dératé (du coup) de la roche, un de ceux/celles qui (fou/folle, vont et viennent à volonté en ette chose d’un pré céleste. Nous voulons comprendre les données du monde ce qu’elles sont pour nous qui alloons en elle à la manière de bêtes des champs. nous voulons comprendre ensemble ce squi est ici d’une roche qui serait pour nous la chose à comprendre soit lka chose1 à devoir comprendre, cette chose numéro 1 qu’il nous faut comprendre à deux = les données rupestres, les données coriaces, etc, qui jalonnent un pré, qui sont celles-ci qui sont à repérer bon an mal an au hasard des allées et des venues en pareille roche. nous voulons ensemble aller le plius loin possible et aussi co:mprendre le plus loin possible. nous ne voulons pas rester en caraafe, mais toiut au contraire aller (au plus possible) loin, en cette roche du monde qui pour nous est la roche des tourments (des peines) et la roche des serments (des paroles déroulées). nous sommes ensemble pour ici faire cette chose d’une sqorte de «contre-révolution» à même le rocher brut. nbous voulons entrer en lui comme d’autres passearaient (ou passeront) la porte du Temps. nous voulons toucher au Temps comme à une roche, et pour cela contrer la chose = rencontrer la chose «rotativement» = à la manière (esperluette ) de’une sorte de vrille (vrillette) qui troue, qui s’infiltre ! BNous voulons ensemble comprendre ici les données du monde adjacent,
du monde des parois cde roche, . nous voulons toucher la roche ensemble ou main dans la main. nous voulons ensemble toucher la roche. ensemble onous voulons comprendre ce qui est en cette roche qui nous regarde et ne nous abandonne pas. nous devons pousser la chose loin, pour comprendre. nous devons ensemble pousser, repousser les échéaeances ou sinon pousser le roc ou sinon pousser un cri ou sinon placer = déplacer de soi, déplacer, icelle chose, de soi, ici même = sur ce drôle de devant de sooi ou à soi = cette chose rude, cette chose ici qui pèse son pesant de charge. nous avons à déplc&acer de nous icel pesant de soi, ce roc de ta charge, cette masse aux attributs, cette voix de charge coriace (injures des profondeurs). nous devons de nous (=depuis nous) déplacer la charge brutale (nuptiale ?) de kla voix des chgoses d’un en-soi au monde. nous nous devons de = nous devons = nous avons à = nous sommes soumis = nous sommes sous le joug = nous sommes deux. nous ne sommes pas xweuls qui entrons de fait à la recherche d’un... dépo^t
de soi ? ou comment stipuler ? comment dire-tracer ? comment graver-dessiner la chose = la Chose ? cvomment délivrer de soi cette chose en soi contenue depuis la nuit des temps ? nous cherchgons ensemble à déposer de soi la masse, ce poids de corail, ces données dures (en soi) comme roche des prés, soit des prés natifs. nous voulons déposer ou voir à déposqer ou vouloir voir ou comment ? la Chose de soi, qui
(pèse que tu pèseras!) nous semblke popur nous comme une âme dite «des parois mobil:es». nous voulons à deux (pour nous deuxd) déposer icelle, ici, devant soi , comme la des choses tremblante, la chose tremblante d’un soi intériorisé ou corporéifié. nous ne siommes pas des êtres de rage pour rien. nous solmmes êtres des parois dures , pour une embardée, une aventrure, un passage, une travezrtsée. nous devobnns aller en cette roche des tourments de soi à la recherche d’un monde frais, vif, cinglant-cinglé, à même ;a roche. nous sommes deux ainsi qui entrons en ce Temps déployé de la roche des par(ois dfu monde. nous voulons aller en elle, nous loger fissa et comprendre ce qui est ici, ce poids de nous donné en elle = déposé ... comme des victuailles données en offrande. NouS sommes deux qui chgerchons o’endroit idoine où bon pouvoir nous allonger ensembvle et révasser ou pas mais du coup «attendre» , ou sinon «arttendre» aller à rêver, ou sinon comment ? car, la vie de roche est vie de paroi mobile = ça y va ! ça vrombit ! ça secoue ! ça se déroule ! c’’est vif de roche ! c’est conçu pour ! je regarde = je vois = nous sommes. je veux = nous allons. je hurle = nous pleurons, etc. la roche est un bout de soi déposé. je comprends les choses du monde à la manière d’un qui cherche, assidument, les clés de la roche (de la Chose) et ce faisant découvgre kles données de base (jonchant la prairie ?) qui nous regardent ou semblent bien icelle chose faire pour nousq . nous voluolns comprtendre ensezmble ce qui est ici de ce monde extrait , ce que c’’szst, ce qu’est cette chose, ce «travail» ou cette progression, cette entrée da ns ke dur des cxhoses solides, ce trou de paeroi, cette ouverture d'enceinte, ces données mobiles on le sait. nous voulons à deux percer l’hymen d’une roche coriace, dure d’approche, fine fleur du monde, corniche. nous sommes ensemble quyi allons à l’intérieur de la paroi et qui cherchons ici ensemble (assidûmrent) à comprendre ce quyi est qui nbous entoure, qui nous environne de près ou de loin. embruns mais aussi corniche, floutage au lointain et lumière vives ... des vivres. nous siommes ensemble (main dans la main) à marcher «en roche» = à l’intériuer de cette chose ici d’une sorte de paroi creuse, ouverture dans le dur du temps offert, entrée dans une ma tière, déploiement longitudinal en elle. nous nous promenons à l’intériur de la paroi des Choses rudes; Nous voulons nous promener à l’intérieur de la paroi des choses du temps. nous voulons comprendre ensemble ces chioses soit les aborder ensemble, frontzalement, vivement, coriacement, de manière à mordre (façon ?) dans elles ou en elles, et ensyite cerner = saisir , les données de rage (morsure) de prise , ou de rage en prise, ou de rage sous emprise, ou comment ? car la rage en nous est prégante, elle situe le monde. Nous voulons toucher la roche depuis l’intérieur d’une chose ouverte, une plaie ?) qui sezrait antre = outre ? outre-monde ? = quoi ? car la vie pour soi est cette chose d'un soi déposéez comme une denrée ou sinon quoi ? déppot sde soi ... devant soi ? dédoublement ? quoi en est-il ? nous voulons ensembvkle (collées) toucher roche = se dédoubler = de multiplier (?) ou sinon se dupliquer ? Nous avons à faiore une chose ici en roche et cettye cjose est une chose dite «de poids» car elle pèse son pesant de vivres (victuailles) à même la roche
avancée. nous ne sommes pas morts. nous szommes en vie. nous voyons les choses venues à nous. nous voulons toucher à la roche du temps déroulé. nous voulons toucher le temps de manière vive, soit en diablé, ou eendeuyillée ou vive de chez
vif ou vive, ou enjouée, oui enjouée voilà. nouys voulons cela !nous voulons toucher Roche du cru. nous ne voulons pas cédezr et nous en aller mazis rester ensembkle accolés à pareille roche des temps donnés comme par la ba nde. nous sommes deeux, cv’est-à-dire que nous sommes un couple, couple d’êtres de vie vive, quyi entrons par effraction, par une entaille. l’entaille du Verbe; nous voulons comprendre les données internes du monde rochezux,; du monde des parois qui sont plus qu dures quoique mobiles. nous nous fzaufilons en cette sorte de rochge du temps main dans la main; nous avons des mains de charge. nous pouvons nous seconder. nbous sommes deux qui nous entraidons dzans cette sorte de déma rche d’une entrée fissa dans la matière; nous sommes ensemble soudés comme deux êtres qui, soudés de kla sorte (colés ou collézs sérrés) vont et viennent dans un chzamp fleuri à la recher he cd’une vérité = vérité allouée à pareille contreée de rage; nous voulons comprendre ensemblke ce qui est ici en termes : 1, de données vives, 2, de sezrments, 3, de données de poidsq, 4, de rage motrice, 5, d’embaumement, 6, de voeu de paroi, etc. la tenue ! lka jolie tenue droite allouée ! nous nous avoançons ainsi dressés, nous bnous immisçons ainsi redressés, droits comme des i qui vont ainsi, qui fonce, qui vont vite, qui entrent dedans à toute berzingue, qui outrepassent, qui enflent. nous vcoulons comprtendre à deux car nouys sommes deux. qui so:mes-nous ? quoi donc ce nbous (de nous) représeznte ou recèle ? nous sommes deux (en nouys?) qui sommes
êtres de rage, / êtres de la malveillance à l’endroit (ici donné) d’une mort promise. Nous = deux. nous = vivres. nous = victuailles/. ou offrandes déposées comme ailleurs l’animal en forêt:; nous couvons. nous voulons couver le temps ! et ne pllus reculer mais ... «y aller» fissa frontal en roche accolés. accolés filer ! fissa de rage aller ! aller vif (en colère) coller ! coller vif à roche dure ! aller vif de chez vif en roche ! aller vif dans la roche du temps, accolés, et comprtendre enxsemble ! qui est qui de nbouqss . alors voilà : qui est qui; qui nous sommes. nous sommes deux. nous en nous sommes deux. nous sommes en nous deux. nous sommes deux qui voyons les chosesq : deux pour soi. nous sommes en nbous deux qui sommes et formons somme. nous sommes deux en nous qui allons en roche commùe dans un pré. nous = deux = deux qui. nous voulons
comprtendre les données du monde à la lumière de ce qui se trame ici deva nt nous. noyus voulons cerner au mieux ce qui est pour soi, en tant que donnée de base, en tant que vérités premières, natives; nous cherchons oà pour le coup nouys intoduirte par une fente à k’intérieur de la roche (sanglante) du temps ici déployé pour une vie à vivre tantôt; nous sommes (en nous) deux pour ce faire,ici, d’une sorte d’embardée, de receuillement, de mise au tombeau ou d’adoubement d’un soi déployé par la bande à même le temps = le rouleau du temps. je suis hommes. je suis hjommes et homme; je suis femmes et femme; je tremble. je regarde devant moi le Temps soit le Temps dxéroulé comme par la bande (langagière) des données à) devoir déposer (de soi) sur ce devant de soi qui, de fait, peut être : une déroulade, une débandade, un tapis de roche, un ruban de dépl;oiement facial, une outre, une couverturte, un chandail, un habit de bure. sezntimernts profonds. colère incluse. tri des mots par lma bande touchée dans le vif. nous nous infiltrons comme des mort-de -faim qui entreznt ou entreraient à l'intérieur d'un monde déployé à la recherc he du gibier de vérité. Je rehgarde devant moi la roche ainsi déplissée. qu’est-elle ? e»lle est ce Temps du monde adjacent ou ici adjacent à son propre corps de rage offerte. nous voulosns essayer de comprendre cette chose ici du Temps vif qui xserait en quelque sorte ce ruban de vie au devant de soi, ruban doux-dur de rage motrice. nous voulons toucher à cette roche des parois mobiles et entrter eznsemble afin de nous loger en elle, logé et lové, comme deux qui sont ou seraient (nous sommes ou serions) des êztres de coeur, de rage assouvie, de colère monstre, pesante, coriace, dure au contact, rugueuse comme pas deux; nous voulons arriver à toucher le Temps comme une peau de bête
. ou commùent ? arriver ensemble. toucher le Temps. peau de bête vive grassouillette : biche ? cerf ? élan ? bison ? ours ? chacal ? cheval ? rhinocé»eros ? Nous nous avançones en roche et de fait esdsayons de comprendre ensemble ce qui est. le poids
des choses, le Temps du monde, les données de vie. Nous devons comprendre ensemble ce qui , en cette rocghe dure, semble se tramer. nous faisons des pas. nous marchons à même la roche, au contact. nous voulons tenter une approche vive des données. nous ne vopulons pas passer à côté de ces données de rage mais les bien cerner ensemble, toucher à pareille roche des temps, toucher à icelles(S) roche(s). toucher retoucher. retoucher toucher etc. touche que tru toucheras, etc?. il y a pour bnous cette chose qsui est donc à faire ensezmble qui reste à comprendre = cette chose (rude) d’un toucgher frontral (bélier) contre la paroi (osseuse ?) du monde a djacent à la vie menée. nous nous approchons de ce monde. ce monde est là qyui pâraît nbous zyeuter. nous voulons aller en pareille roche des données du temps menaçant. nous voulons comprendre la cghaleur du monde = le feu, feu qui couve = la foi. nous voulonbs comprendre en ous ... la foidans le v erbe, cette chose d’une foi ancrée comme le sang , est là (logé) en soi , qui coule (coule que tu couleras) dans nos veines. verbe de joie (le je) qui fait ici comme le lit du feu de la foi motrice. Nous voulons toucher au temps déployé comme un ruban de soi (de roche) à même la Vallée. Qui eut pensé à cette chose d’une voix ouverte ou comment dire ? bouche de la vérité ! parle que tu parleras ! bouche de la v érité, ... parle ! dis nous tout ! ne nous cache rien ! dis nous ce qui est qui sembkle swe tramer du mo,nde. bouche ouverte dis ! dis nous ce qui est ! ne nous cache rien ! dis les choses comme ezlles sont ! dis la chos e rude, dure ! dis ce qui en nous ecxiste en termes de données de base à déposer (de soi ou depuis soi) jusqu'à «hors de soi» ; car, voilà la chose ! une chose (de soi?) sort. cette chose est une chose rude (?) ou sinon rude dure (?) ou sinon dure(.?) rugueuse (?) ou sinon rugeuse rageuse (?) ou sinon rageuse enjouée (je ?) dans le sang ? nous sqommes ensemble qui cherchons continument à comprendre ces données de soi en quelque sorte déposées sur roche (offrandes à déités de rage ?). nous voulons toucher la Véritév= crument = dans le dsang. qui pour nous aider ? qui pour nous dol
nner une main ? qui veut bien nous entourer , nous accompagner ? je regarde par ci par là autour de moi et ce que je vois ressemble fort ... à une prairie. à un pré à brouter pour bête prairiales. biche des biches, cerf des cerfs, chevreuils, cariatides(,) ou comment ? la vie prairiale est belle, elle nous attire fort. nous ne voulopns pas pâsser à côté mais au contraire nous y lover-logher et nous y aimer et y copuler, nous monter etc. chants des pareois du monde vif d’un entredeux mers. BNous sommes qui voulons comprendre ce qui est en vrai de pareille roche dure. nous sommes deux qui cherchons à comprendre ce qui est icii de cette roche des temps alloués à) une vie humaine déplissée comme un ruban endiablé. qui parle en moi que je connais ou pas ? qui en moi s’exprime et dis. quyi parle qui dit ce qui est (ou ce qui l’en est) de la foi ? qzui est qui
en moi qui croit ou croirait en un moi délimité, à une foi intégrée à une envie ? je cherche à toucher Roche des Temps meurtris. touchons ensembke la roche = soyons vifs, vives. notre envie est telle que voil:à pour de vrai ce que nousq faisons sans même nous en renfdre compte. nous voulonsaller en roche, en roche déployée, en roche dxéplissée, en roche dure des temps alloués, et pour ce faire, une sezule solution : passer par la ban,de verbale du temps, à travezrs le flux = la rengaine ; transe parolière ou transpa rolière. le langage des données acerbes. calorimétrie. chaleur . rut. chants des prières vives et vivements offertes. je conçois la chose devant moi comme un tas cde petites données déposées sur roche; colère verbale = jhoutes; je deviens roxxse (rouge ?) de colère et m’époumone. Je suis l’ombre des tempsq colé&riques ? oui ? suyis-je ? suis-je pareille ombre de ces temps de vie rageuse ? comment suis-je ? qui siius-je ? comment faire ? comment comprtendre °? où doncx trouver pour soi endroit idoine pour un déploiement du soi intégral (une misère de rage offerte)? Je cherche. quand je cherche ça va. quand kje cherche ça va. je cherche que tu chgercheras. je regarfde cette misère mienne déplissée à) même le temps et je vois en elle kles donnéesw primaires, les donné&es de base, les soubassements, les traits prinvciers, les traits décoratifs follement : aurochs de bas-â ge, chevreuils déployés de tout ramage, biche ô ma bicxhe, etc. njos amies les bêtes des bois, qui sont là pour ça = une mise en place d’un dedans de soi déplissé pa r la bande à même la roche en colère. je suis Homme dur. Femme rude. cvorps calleux. Chant des parois de vie. commencement et fin d’une sorte de rage à être en vie. homme tenu. femme prise. emboitement. communs. je (ici) suis (là) pris (épris) entre (au milieu de) etc. je suis ombre sur la prairie, chant des parois mobiles, déploiement verbeux (verbal ?)de roche adoubée, calfeiutrage, colmatage, remplissage, trop-plein. vie à vivre parmi les chiens, les betes près de nous qui les voyons se secouer les puces, trépigner, grignoter, aller dans la fôret. je suis homme vif , plein de rage en lui. je veux comprendre mordicus la vie ici, déplissée sur roche (ruban) , et comme lka cerner de fait, la représenter. je suis cet homme dur de sa voix dressée comme une barre d’amitié; je comble, je remplis, j’obstrue, je bouche bouche. je suis je , l’homme des paroles d’évangile = cri de basse extraction, de remontée acide vive, cri de rage olé
olé, chatiments. je chrerche à comprendre +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++//+/++//+/+/+/++/++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ cxe qui est ici (roche) pour soi. je cherche ouverture de pa roi et entrée possible. je regarde les données de base, ce qu’elles sont pour moi qui cherche à savoir, qiui voit le Temps en vrai se tramer à même une roche dure (verbale) xdép;lissée. je suis un homme)-femme adoubé, femme-homme des prés, chant de rage à être touché en quelque sorte par les faits = la vie , le pa ssage, l’envolée, l’entropie, le paradis. je tombe sur «Bête de poids de rage», cette bete vive des apprêts, qui semble vouloir me parler. que veut-elle ou voudrait-elle m’annoncer ici de si frais ? de si grave ou pas mais pesant ? je m’approche d’elle. je suis cet homme des données qui (déroulées) insdiquent le chemin (la voie cendrée) à syuivre; je veux suivre cette voie. je vuex ou je voudrais comprencdre icelle et toucxher au mieux à la vérité des cjhoses du monde. qui est qui en moi ? je suis deux mais qui ? je suis porteur mais qui c’sst que je ici porte en moi ? je suis je (qui est) qyui porte (porte que tu porteras) une chose de poids à déposer fissa comme par la bande entre deux mers. je suis deux. je suis moi +moi. je regarde devant mpoi le trou de paroi par où passezr fissa comme par la ban,de. je = moi + moi = deux = rage et bisque rage. colère en quelque sorte acidulée dans lkes travées. je commence à me repèerer mais pas si simple en vérité car kles temps sont durs qui nous réservent concrètement leur lot d’insanités guerrières et autres méchancetés vives de trêve. je cherche à cerner au mieux les faits mais vas-y. la chose est rude. cotonneuse ? qui
va lmà ? qui en moi existe en termes de vies ? je voudrais comprendre au plus = au plus du plus = dans le plus du plus = ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++, ce qui estv dans cela-mêmev (ici bas) qui se tramùe en mùoi (dédoublezment de personnalité ?). je cherche ! qui est qui ! qui parle? qui va ? qui sent ? qui fouille ? etc. la voie est une entrée danhs la matière. la mort est une gageure, et ... elle pue du cul. je regarde au loin, les données acides, les vivacités qui fleurissent, les prés verts, les azurs, les beautés du monde : coucher de soleils. j’opte pour pareille vision édenique; je tombe des nues à la vue de la bête géa nte : le vautour ? la grue ? la buse ? le faucon gféant ? qui est là devant moi qui veut me dire , me parler, me donner du dire . me dire les chose. qui ? hje cherche à comprendre ce qui est qui est, ce qui est qui devant moi se trame à vif comme une pl:aie ouverte, saignante (sanguinolentee) riche de données. je regarde autrour de moi le pré, la roche mobile, tracée; j e suis cet homme-deux, cet hommme deux qui... etc, file, va, fouille, file fissa, va vif, fouille da,ns la profondeur ... de la paroi des chosesv crues. jue suis homme des rochers de grave et ... je grave, ici, qui la bete bete, qui la bete non-bête, qui des traits pour une incantation toute «déplissée». je meurs (oh ?) à même Vif la rage. qui ? Vif ! Vif la Rage ! ou vif kl’éclair de rage ! le chevreuil, ... quoi ! ombre des ramures sur l’herbe à brouter de ta race, etc. je m’appellez caliban,! Je suis homme des p)arois de grotte du monde prairial, car, de pa rt et d’autre de la bete devant moi (cerf des cerfs) il y a ... ces )parois de base, montagne, escalade, traits de poids. je cherche à cerner icelle rage des devants, la bete forte, cette bete des ezmbruns de bord de mers. je suis deux, homme-homme. je suis deux, homme-femme. je suis deux , femme-femme. Je siius deuxd, femme-homme. et a insi vais-je, je rezgarde, la bête est devant, elle appelle , c’est-à-dire qu’elle aspire. elle vire vibre. elle déploie ploie. elle vrombvit et chasse les pensées maussadesq. elle ceuille vérités à même la roche et nous kles remet (comme des clés) via du Verbe de paroi dure (vélleiités de délivrance desdites données contenus jusque là en soi); je veux comprendre d’»eux, ce que c’est, ce que deux veut dire, etc. je cherche à comprendre ce que ‘«deux» veut xdire. quoi est-ce ? qui dit ? qui parle ici quye je ne connais pas ? qui est qui ? qu’en est-il dxes connaissances intrinsèques ? qui comprend les données rudes et qui au contreaire n’y comprend goutte ? je me place ainsi sur roche du temps afin de cerner soit cerner de près les données qui (là ?) président à une vie humaine (terrestre) pa rmi les bêtes. Je parle une langue outrée, perforée, calfeiutrée; je parle une langue de bouche, langue à débouler ou comment dire ? à offrir en boule, en bouchée, en chose roublarde, en tronc; je cherche à ici piger de rage les données debase incluses du coup en nottre propre antre de vie tenue. je cgherche à déployer ce Temps dit «de ra mage», ici même = roche des tourments; ce que c’est que cette dureté de base . je cherche. je suis loin de comprendre ce qui est de cette affaire des tourments à vivre incidemment. je veux toucher la roche crûment, par des mots de rage et de colère ancrées mais pas seulement, car les mots chargent mais pas seulement; les mots de rage chargent c’est un fait, mais il est d’autres mots de face, bien d’autres mots en roche, des mots doux, des mots de buve. nous disons que bnous aimons la roche et l’embrassons; le temps peut-être devant soi est rude et coriace, comme des dents sur une proie, mais pas seuylement. le Temps peut être doux comme l’agneau naissant, comme un souffle de beauté nacréez, comme une aresse sur le devant, comme un sifflement à petits bruit, comme une romance d’aujourd’hui, un chant venu du fond des temps et ce jusqu’ici où nous nous logeons pour la peine; nous voulons toucher ensembkle la paroi du temps = la toucher + la toucher, soit : la toucher à deux comme des morts-de-faim de leur rage à êztre. Nous voulons aimer = toucher. nous voulons toucher le temps du verbe na cré, ce chant des parois ancrées, ce chant de la bête ... en vie devant soi = déploiement de vie animale pour la Vérité des choses à comprendre. Car, comprendre = toucxher = toucher vif = aller et venir en oa roche des temps dits animaliers = la vie riche des paroles drues (et crues). je touche carosse. je vais sur p)aroi princière. je suis Roi des crins. Je suis Bête Fauve aux couleurs de roche. mon nom est déposéeé sur roche comme une sorte d'entité à part entière, mot de rage pour le coup faisant fonction de déité surnuméraire; doigt de trop. je comble de ma propre antienne le trou à vif de ... «bouche de la vérité» incorporée; je sezrai un hommùe, je sezrais un homme doux, je sezrais un homme des prés de base, je serais une -bête des apprêts, allant et venanjt sur roche, commeun manant(?) ou comme un mendiant (?) ou comme un chenapant (?) ou comme un sacripant(?) ou cvomme un coureur de jupons de ces dames ou cfomment ? comme un (ou deux) qui va (vont) sur roche , à la recherche de leur vie donnéecxen quelquesorte par la bande = le passé. je commence à comprendre; je commùence à mieucxx comprendre. je cherche à comprendre et de fait je remue ++ dans kle paquet; je cherche à piger de base les données vives, les mots de ta rage, les mots de rage dure, les denrées(?). je veux être celui-là qyi cher he à compre,ndre (un ensemble?) les choses de soi déposées sur roche : soi ? vivres . vies ? passé ? passé de soi ? passé de quoi ou de qui ? victuailles ? animaux blessés ? morts ? la mort à la mort, quand elle veut la vie ? ou que veut)-elle ? nous nous approchons d’icelle mort de base. elle est «devaht nous « = la pa roi du monde. son coeur bat pour nous qui n’en voulons pas. nous avons dee quoi. nous voulons aller en roche ensemble et tenter l’approche par la bande. nous voulons toucher la mort = la roche = le temps. notre envie est ici de tpoucher ka mort comme d’une sorte de roche dure dure à percer. roche dure, roche à per cer du coup avec pic. roche à devoir avec pic de perçage percer iinstamment on le sait. nous voulons aller de base ezn roche nous loger, nous immmiscer, nous calfeutrer, nous introduire, nous glisssr, nous incorporer comme dans un oeuf, ou bien comme ... à l’intérieur d’une outre ... ou comme à l’intérioure ... d’une valve, etc. nous voulons toucher le Temps concrtrètement, à savoir cette chose devant soi qui fait écran et masque la mort : est-ce cela ? car le temps est en soi une donnée de grande prestance, ou importance, de fort poids de base = aurochs attribué, pour ainsi dire = velléité de type cghevauchée, de type embardé. kle Temps est embardeée native vive. je sens cette chose de poids, ce chant de toutes les minutes corporéifiées ou vcorporelles ou incorporées: . je sens cvette chjose se tramer en moi = chant des Temps inachevés; je voudrais comprendre ce qyi est ici de cettye chjose devant soi (chatoyante) squi semble comme renacler, trépifgner comme une bête fauve (forte) des temps déployés. chantons notre chant des parois coriaces !Chantons à gorge déployée nos chants d’azur, nos chants tourmentés, nos chjants de vie acidulée, nos chants de contre-avancée, etc? et pissons toutes nos larmes, etc.. pissons dru nos larmes de vie ! allons gziement en rut ! comblons nos envies de nos charmes de vie de base désirante, etc. allons-y gaiement de nos sentiments eet autres chants des parois de rage. je cfommence à détacher du verbe des données qui p)euvent il semblerait «renseigfner la bête» (en moi) qui râle que tu raleras sa colère d’homme des temps alloués. Qui veut bien comprendre ici (avec nous) les données de base telles qu’elles seraient censées nous apparaitre à notre gouverne? qui veut nous aider à piger ? à dessiner la bête sur paroi de grotte ? qui veut dire ? qsui veut parler à travers nou!s ? quyi veut toucher en nous la chose qui est (qui vit) cette chose d’une vie à vivre pariétalement de conserve : qui ? qui est qui «par la bande» ? qui a pris le temps ? qui a mangé le temps ? qwui a mangé le temps des tourments ? quyi veut nous dire ce qui est ici quib tremble, qui file et fonce ? Phil.. file ... on sait, mais, qui trace ? qui dessine sur la roche l’animal de forte envergure . qui nous aide à bien chercher ? qui aide qUI en soi ? qui suis-je quye je sais vouloir aller au plus profond des données rudes ? je regarde ici ce qui est qui est, je vois la parole (grand P) qui (b onan mal an) srmble aller en se tramant de telle sorte que la vérité des cxhjoses pourrait s’y loger incidemment. je veux êztre ici homme des contrées de rage, tambourinement; je tombe nu. je tombe à nu, je trépigne, je touche à vif la roche des temps de partage. qui veut bien toucher icelle roche des apprêts ? qui veut bien toucher roche dure des apprets de base, sinon «moi» = ce caillou de rage en moi !calcul des données sommaires ! calfeutrage, calibrage, colmatage et coloriage ! Je tombe nu sur icelle roche dure à devoi!r graver. je veux toucher icelle roche , à devoir graver de base, à devoir lécher, baiser vif, toucher colère, tendresse, compagnonnage. qui est qui ? qui veut voir ici les données comme se dessiner à même la pierre , à la lumière na turelle du feu intérieur : foi de basse roche en soi, foi des don,nées de douce contena,nce, foi doublée de rage , dee colère à soi, etc. qui veut croire en sa bonne étoil;e du berger ? qui veut toucher cette dite «étoile des donnéess rupestres» ? QSui va vers moi (nous) me (nous) toucher ici (massif de verbe déplissé) à même le temps ? qui en moi se prénomme Untel et grave ? qaui se redresse ? qui a voulu se redresser et aller ? qui a cherché à toucher la roche des tempsamicaux, amabiles, mobiles et amicaux ? je voudrais comprendre (à la longue) ce qui est en soi, qui sembvle vouloir émerger et montrer le bout de son nbez : quelle bête au juste ? quand ? le jhour j d’un dire alloué à une mort ? je voudrais comprendre ce que c’est que cette chose d’une sorte de paroi du monde attribué à une vie terrtestre d’homme des cavernes. qui donc saurait m’indiquer le chemin a pproprioé à pareille poursuyite ?, je vois devant moi cet espace prairial-verbal. dequoi s’agit-il ? eh bien.... il s’agit.... du Temps enfant ! waouuh la chose accomplie ! waouh la chose assouvie ! ouh la belle ! ouh la riche ! ouh la belle et riche donnée déposée à :m^$eme la paroi du Temps déployé ici dans du ... sang de rage ? sang de buve ? sang des dires ? sang de rage à pousser les choses dans un trou dit «de basse-fosse» ? ou quoi ou qu’est-ce en définitive ? mon coeur bat à l’unisson d’une voix de rage ! je comble le trou de la roche d’un pavé, de base a n imalière, et , ainsi fait, chante à tout va mon cxhant choral de basse besogne ou de basse-fosse ou des bas-fonds hospitaliers. Je suis homme sacré , sacrément sacré (consacré) par la bande, par icelle ba nde déployée de rage par un ou une ici pa role d’évangile qui, de fait, co:mprendrait les données (toutes) cxde la base et dsu sommet de l’êztre. je serais cet hommùe devenu la bête. je me déguyiserais en bete des Rois, bêt--monstre au débotté d’une roche ezndiablée (ensorcelée ?). mùon nom est le nom de la roche plissée devant moi. qui l’eut cru ? qyui le connait a u juste ? moi même sais-je ? ou qu’en sais je en vérité ? est il nom des parois coriaces à graver ? est il nom de base colérique ? est il le nom d’un rapace ? d’une buse des champs nacrés ? dois je aller profond pour comprendre : jusqu’où doisz-je aller ? dois-je aller judsqu’au bout du bout de la base langagière animalière pa ri»éto-ancestrale ou non ? rester dans les pa rages ? combler demots la base ? je me place ici en roche à l’abri : je fais le mort. je me donne ainsi (faux-sembklant) à la mort de base. elle s’approche de mon « moi profond(?)» et me touche à peine du bout des doigts (mains diverses). on dirait qu’elle veut de moi : mon sang, ma bave, mon jus, mon verbe, mes peines, mon sang. je suis colère. hje suis Vif l’éclair kl’être en colère ou : permannement l’homme en colère; ou : la colère personnifiée ou représentée, ou : la colère faite chair de base. je voudrais comprendre ce qui est en moi qui suis ou serais la colère, ou le cri de rage, ou le mécontentement du fait de cette chose qui nous est promise = la mort ... de ta rage à être, etc. insultons la mort. traitons la de tous les noms d’oiseaux, car la mort (toujours ?) porte un nom d(‘«oiseau ? est elle ... un vautour, dès lors : charognard ? eh, poissible ! on ne sait pas tout ! on a fort à comprendre encore (de tout et de rien) , et c’est donc un morceau de poids dès lors, quinous attend ou attendra, ou qui est là, qui nous a ttend pour ainsi dire de pied ferme ou de pied tenu. Je veux toucher l’aile ! Je veux toucher lke bec ! Je veux toucher la bête ! je veux être bezc, aile, vol, bete qui prend son envol et touchye le ciel de toute sa splendeur ailée. je suisz homme des parois de rage, et que faire ici d’autre que cela, qui nou!s voit aller et venir, etc, à) mêmùe la paroi du temps. Je szerais cet homme au firmament ou pluto^t : en lévitation pour un temps. je monte, je m’envole, je vais de l’avant, je monte, je suis cet animal de rage ... à ^-etre la bête. je monte à même la roche, je suis envolé, je suis dans les airs et cherche à entrer pour ainsi dire dans un sas de bienvenue, pour m’y calfeutrer et y demeurer un temps certain afin d’éviter autant que possible les coups de rage en retour de base, coups des betes des prairies et autre sortes de poussées rocheuses. je cherche à aller profond en ce verbe des parois du monde. je m’appelle Calorie (,) ou comment sinon : feu ? feu intérieur ? vie vive intérieuire ? quel est mon nom ? qui vois-je devant moi qui sembkle aller se dessinant à même la pierre humide» ? aurochs ? oh ! eh bien... on ne sait pas ! on ne sait pas tout ! on ne voit pas tout ! on voit peu ! on voit peu de choses ! on voit soi qui va à mêzme la roche ... ou qui qui va ? qui va là sur roche ? qui est qui sur roche ? qui est l’animal (ou cet animal) qyui semble velu ? et charnu , et pesa nt son poids de rage : qui ? je veux toucher ici (Verbe’) la bête de rage en moi ! c’est ainsi que je dis ici ce qui m’apparait. le but ici est de contrer (contrarier) les vélléités atachées à la figure de la mort à l’oeuvre, cekkle-là quyi nous attend de ra ge devant soi (ou devant nous) comme une «mort de faim» de première : la gloutonnante,; l’avide, la ja mais rassasiée, la jamais contente mort-de-rage des devants à soi. je voudrais comprendre ce qui est qui file devant soi son tra&in de rage à être vif comme l’éclair de vie d’une sorte (en soi) de bete à devoirs. De bête riçche, de bête de rage aux devoirs nombreux, à commencer par icelui concxernant la rage qui, en elle (mort) , fait trace. le devoir de se montreer incorigiblement contrariée,; ou quoi ? Loa mort n’e’stt jamais rassasiée. la mort a toujours un creux à kl’estomac. la mort est un antre, un trou )àà combler, un estomac de grosse bete, bete de roche. la mort est une affamée de première, bête des bois, bêtye des sousz bois ? chevreuil =la mort , est^-ce ? qui de quoi cxhevreuil serait, qui de quoi biche sezrait? je cherche une entrée pour moi (mon pic inséré) m’insérer ou m’immiscer en roche (vie de la mort vive) et là, voir ainsi à pôuvoir toucher que tu toucheras la roche et tout letremblement acidulé des grottes décorées. jue syuis dedans la roche (verbe des parois de rage) et me voilà qui cherche que tu cherchezra s à comprendre-toucher (ensemblke) les données rupestres de ces hommes des cavernesz qui perdurent en nous, en notre sein. homme-femme
homm-femme des entrées, des immixtions, des chevauchements, des incursions, des passades et des e»mbardées, des ruades et des introductions à deux (soudés) en pareille contrée ma&térielle. nouys voulons toucher la roche des temps affichés et comp)rendre les données de base les plus fines (profondes) liées ici à la mort de soi ... en bataille = sur le vif de la rage à être en vie. je suis hoomm-femme des contrées de base langagiè!re. mon coeur est de fait à la mesure (au débotté) des chants (de l'azur) ajournés. le chant des parois du monde, l-e chant du coup matinal desz ezntrées de rage allouéeee. qui mange ? qui broute ? qui renâcle ? qui va là ? qui trépigne incidemment ? qui veut toucher le temps ? qsui veut sa misère la voir achevée = annihilée par des mots de base frontale ? qui je suis en moi ? b ête ventrue ? phacochère ? je suis deans une roche. j’essaie de m’immiscer autant que je peux. ilm me semble que la vie en moi est ... trace de vie, sur roche, un passé, un tra&cé de base temporo-spa tiale, etc, capable pour ainsi dire de me poussser vif dans la plupart de mles retranchements d’homme des cavernes. pas de base = pas comptés de base = marche sur les prés du Temps de la Mortblousée. je veux êtree homme et felmme et gosse. ou qui ? homme = femme = enfant des paroles vives. je syuis celui-là quyi chante à tout va son chyant des parois dites « des venaisons». je serais à m-ême de comp)rendre un ma x de choses rudes (dures et rugueues et m^-eme rageuse) à même
le temps, ma is eznfin ce n’esst pas si simple. il faut creuser. il faut s’y tenir =s’y coller. il n’estpas simple de toucher de fait la timbale du temps pariétal, mais compliqué. nous voulons comprendre ce que c’est que cette mort dont le nom est ancré (profondément) en nbous. nous vopulons comprendre ensemble les données liées à la mort à l’oeuvre sur roche des temps de la vie pâssée. Nous nous a&ppreochons d’iccele (mort de mes tourments). nous nous approchons de la mort déplacée. elle nousq regarde. elle pa rle. elle dit cdes choses qui sont difficiles à déchiffrer car elle sussure plus qu’ezlle ne deéclame par exemple. la mort ne p)aerle pas le mort. et m^-eme en vérité : la mort est (quasi ?) muette : elle ne parle pas, elle ne dit rien, elle dit peu de choses, elle n’est pa s ba vzarde. et cela, car elle ne cesse de mangher et elle ne peut (décemme»nt) jamais (en ce cas) parler bla bouchye plaeine; elle ne peut jamais, la bouche plzeine, p)arler ezxactement comme elle voudrait kle faire; elle mange à tout va des monceaux de betes et autres êtres de vie passée. elle broute-bouffe. elle est la faim personniçfiée, la faim de rage ! grave ! Et elle pue la charogne, la ga rce. elle pue du cul grave, la sale cochonne, etc. Car, loa mort est à insulter. la mort est une ezntité à devoir (par la bande , oui !) insulter . car, la mort est un cxharognard de première, et en plusq ezlle pue, elle ne sent pas la rose ni le jasmin. elle pue le cul et grave. elle ne s’en laisse pas conter pour ainsi dire de puer. pue que tu pûeras. elle pue sa charge, elle sent mauvais, elle empeste, c’’est une infection. pyo de ta rage à être, la mort ! et grave ! massif ! pyo total comme il s’en devrait. je m’avance à pas de chat près d’elle. Elle est femme et homme des prés, elle est homme et femmme (en quelque sorte) des prairies vertes; et nous sommes deux qui attendons (façon de pa rler) après elle. nous nous blotissons l’un l’autre , et attendons ici les consi gnes ou
comment ? un signe ? un signe de qui ? un signe de loa mort ? que la mort nous fasse signe ?, nous nous alloongeoons, à même la pierre d’offra,nde, nous sommes enlacés, npous nous embra ssons. nousb voulons comprendre ce qui est ici en termes de don : une chose ? un cri ? un fruit ? du sang ? une vcoix ? du verbe ? de» la chzair fraiche ? du passé ? un nom de famille ? son (propre) nom de famille ? je cherche à toucherr-cerner roche-temps de façade. puis : traverser le paqssage clouté ! car la vie est passage de rage. La vie (roche des tourments) est un passage tout du long à devoir arpenter et suivre de son propre chef d’hommùre ou defemm touché par mla bande = en lévitation ! Nous sommes ainsi qui voulons compre»ndre ce qui est en cette roche, ici, des te»mps donnés et à mêzme de nouus re,nseigner sur les tenants et les aboutissants d’une vie terrestre. je suis homme des temps reculésJe suis femme des données frontales, vive clarté adjacente, ombre sur roche, cailloutage etc. je cherche à toucher à la roche des temps à l’endroit propice, pour une immixtion du corps en entier, de la tete aux pieds : comment entrer ? pour entreer il fauit peser, il faut peser les mots, il faut parler, il faut savoir parler, il fzaut êztre muni d’un langage vocal et articulé. les mots sont en bvouche des pics de percée. ils savzent s’introduire en roche (fissa) et s’y logezr le temps nécessa ire , nécessaire à une entrzeée dans roche des prés, dans prairie finale, pare-boue, pare-vie, pare- raison. Je cxherche à toucher de rage la paroi du temps = desq années, des temps ooferts, du Temps déplissé à même la pierre aux offra,ndes : table ronde aux dépotsq de sang. je m’appelle Vif de Rage au!x Embru ns. je suis hom:me du te»mps alloué à une vie de roche toute déplissée pàar la bande ici tremporelle du verbe alloué à une vie terrestree (à la naissance et pour la vie). Je suis homme au ventre dur. homme dur de sa rage ... à être vif. je suis colère (de base) en moi qui comprend la chjose de lma mort à l’oeuvre ... pour soi. sus à la mort ! à mort la mort ! à mort la mort ! merde à la mort ! à mort cette saleté ! à mort cette ignominie native ! à mort la Chose rugueuse qui nous tend les bras. à mort vivacité ? non ! à mort la mort ! car, la mort est une saleté de première, soit la saleté des sa&letés ! Elle ne nous plait guère! elle bnous enquiquine fondamentale’meznt c’est§ sûr ! elle nous rezfroidit
rien que de l’entrendre (le chant de la roche ?). elle est conne. elle pue. elle est à moquer, vilipender, etc. la mort est une saleté ou même saleté des Saleyés. la mort est folle . la mort est la folle des Temps. la mort est l’affolée totale; l’a llumée, la folle du logis, l’agitée; je la sais follasse. je comprend la mort commmme ce quelque
chose qui wsezrait complètzment déra ngée de l’intérireur. je voudra is comprendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est quiu (devant soi) ecxiste en tant sque tel. je suis (oui !) porteur d’un nom de charge (ce peut être aurochs, bison, buffle, élan, chevazl, chevreuil, ours, ours et ourse, biche et cerf, jument, etc). ce nom peut m’aller comme un gant ou ne pas m’aller du tout; je suis l’homme aux vezrtus enchassés comme pierre de prix montés sur bague. j’opte pour les rubis; je m’appeelle ainsi que l’on me nomme de préférence. je suis un homme des parois préhisqtoriques, femme à l’ancienne ? cheval ? je serais cheval. je serais la bete des contrées de rage. je serais cette bete au sang chaud, pleurant, épousant la roche», se collant à pareil plis de base rocheuse. je syuis hommpe des parois du monde, du monde des prés, homme aurignacien, homme solutréen, etc. je suis homme vif des )arois mobiles : ouvrez le bal ! ouvrez l’échancrure ! laissez-moi passer mon vieux ! je suis là (l’homme des apprêts) à vouloir entrer (fissa) da,ns la roche : vite fait bien fait. je veux ou je voudrais.. entrer m(immiscer, dans la roche des prés. et là : brouter , manger l’herbe des prész, brouter vif à vif l’herbe drue. j’aime l’herbe, j’aime brouter, j’aime m’alimenter, j’aime manger. je suis un qui aime s’empiffrer de vivres et autres offrandes déposées sur roche (dessinées ?). je m’appelle Haut La MAin l’homme des ^parois ornementées. jentre. j’entre vif. j’entre en cette roche à même le Temps, ou l’inverse : dans le tempsz à même la roche, ou comment sinon ?, je suis homme entrant ezn roche via l’anfractuosité naissante (de la naissance ?) et passage direct dans une sorte d’au-delà prairail : qui l’eut cru ? qui eut pensé cela ? ou pu pensercela : qui a compris ? squi a vu . squi a c erné ? qui est vif de comprenure ? pas moi, diyt l’autre ! ni même moi, dit le prezmier, etc. je suyis dans lke temps à la recherche d(une vérité. je me dis quye le temps recèle nombre de vérités et du coup c’est là (juste!) que je vais, pensant pouvoir trouver, incidemment, au paqssage, quelquesq vérités de bonne fame. j’espère pouvoir un hjour trouver qUE tu trouveras, des tonnes (?) de vérités de poids, qui le fasse dur et bnous entraineznt en vrai à comprendre loin, loin le pluqs possible. les données du monde sont massif de bêtes acoquinées. les données de bhase ont des noms d’oiseaux gé ants, pesant, betes monstres. je ve»ux croire en moi en tant qu’êztre ... de basecolère = chant des trois abris, des trois bruits et des trois amis. je veux essayer de piger au plus possible cette rela§ion qui exisqte (ecxisterait) entre d’une pa rt kla bêete méchante (?) ou disons brute, forte, osseuse ou ossue, etc d’un côté, et nous de l’autre, nous, hommes et femmes de cro-magbnons, et en troisième le rapace, l’oiseau
de ces dames, le qui mange «mort», Le (dit «Le Charognard») de la rage à être au vif du sujet . je tombe sur kle nez. je cherche une entrée (ouverture grave) dans la matière, genre portail, genre anfractuosité, ge,nre fil de roche. Je veux essayer de toucher les choses du temps crument si possible. je veux tenter pareillle approche et aller deda ns roche ainsqi atttifé : plumes du paon, bande passante, cris primal, chants de guerre, chandail, hommages. je veux eswsayer du moins. suius-je suffisamment accoutré ? suis-je assez colorié ? assez décoré ? je m’avance de la roche meuble (mobile) et la touche incidemment . ça brule, ouh, et pas q<u’un peu peuchère ! grave ! ça bout ! ça bout grave ! ça bout de tout son soûl ! c’est pas (loin de là) de la rigolade ! c’sst un truc ! c’est juste dingue ! ça remue ! ç a frotte aux entournures ! ça gêne un pôil ou deux ! c’est coton ! c’est rude ! le passdage est insidieuzx, ne s’en laisse pas conter des vertes et des pas mûres ! le pasxsage
attend des mots de poids, des mots de szervice, des mots-trous comme il se doit . poidfs massif. pelage. betes roosses. élans de l’azur et des sentiments, chant doux du dalai-lama ou bien la colère des ragesz ... de l’etre des temps calcinés, brûlés, passés. le temps est la base, le temps est le moment de rage. le Temps est moment de rage à être du temps. je cherche en co:ère. je cherche que tu chercbheras passage assez large (dans le temps) mpour m’y glissser fissa comme par la bande et pouvoir dès lors aller (incidemment) de l(autre côté, côté roue de la fortune, côté vie d’emprunt. je suis un homme aux allures vives ou vivement visibles. je suis homme des temps dépôsés ou comme déposés sur roche, comme autant d’offrandes à des divinités. je suis homme à vif, homme des tourments, des voies empruntées ici ou là à la dérobée, et qui va de dait nonchalamment sur son cxhemin de destinée, voie d’allant, course au firmament, chant des données rudes des temps alloués. je chezrche une entrée de roche à même le temps deplissé : où la trouver ? je cherche
trou de passage, anfractuosité de la rage dans le sang, fissure-entaille du tourment de’une vie à vivre. je suis homme dit. homme suivi. homme aux abris. b ete de la vie des bpêtes en son sein en propre. je colmmate = je bouche = j’obstrue le passage = je parle ... et je dis les mots crus de la bande dite pa riétale : aurochs pour cul nu, bison pour enflure, chevazl pour trou du cul, bison pour gelure, jument pour
mort-de-rage -de- mes 2», etc. Je insulte Mort. je insulte la mort car la mort est entité à dezvoir traiter ... comme une meu de ta roche à être ! oui, ici ! ici même en temps et heures. Ca&r, la mort est une saleté. la mort n’est pas potable. la mùort est de loa cxharogne à devoir écarter. la mort empeste. la mort plombe. loa mort erst une infection. la mort pue grave . la mort elle pue grave la charogne, le pus (le pyo), la merde ambulante. la mort est une saleté de puanteur acide. elle cocotte; elle ne sent pas bon, elle n’embaume pas, loin de là. ;la mort est saleté des saletés de ta race à être grave maussade. je lui pisse aucul, je me dois cela?. je me dois de la traiter de tous les noms a fin de l’éca rter de mon chemin de bure. il s’agit de cette chose là, d’écarter Sir-Dame la Mort le plus pôssible, à bonne distance, de creuser sillon et de la repousser comme une bete qu’on chasse ou chasserait de soi. La mort est à écarter fissqa. la mort est une saleté de première instance ou dsinon quoi : mocheté ? méchanceté .? elle bnous cherche querelle, elle en a après nous, elle est vilaine. pas confiance en elle. à virer, à virer vite ! car, elle pue de sa merde ambiannte ou comment ? ça ne sent pas bon. ça
sent même très mauvais. ça sent l’échappée du trou de bale, la colère monstre salopée, le cul nu de ta race, la meu de ta mère, le sang pris fdans la cxhair pincée. J’aime assez la travée de passe et je me fau-file, je file vif à travers elle, je vais au loin, je fuis. je fuis cette mort de base natale, cette mort des puanteurs. je suis homme = ombre sur roche, fuyant puanteurs et autres senteurs désagréables?. j(‘inhjurie, sus à la mort ! j’invective, à bas la mort ! jeveux être l’homme ... des roches aux apprets, fier de moi et de mes connaissances, portant haut son port de rage, homme bete décoré, homme bete attifé, homme bete habbillé de pied en cap comme une bete. homme-bete décoré comme une bete. homme bete comme décoré comme une sorte de bete velue, comme sorte de bete de roche. homme)-bete déguisé comme une bete, ou commùe déguisé en bete ou même pour le coup prenant figure animalière en son sein de roche. homme bete transformé en bete de roche aux a llures guerrièresq , hurlant à la mort, haussant le ton, p;leurant sa misère, sa misère d'être ou de l'être adoubé par en lui l’etre des termes. j’obtempère. je soulage. je crie. j’eznfle. je suis donné» comme une pl:aie saignante. je suis né.
9/3/2022
Nous devons comprendre ensemble ici m^eme ce qui est de tout ce que l’on voit. nous devons toucher la roche ensemble. Nous devons ensemble , vite fait, toucher la roche. nous devons comprendre ensemble ce qu’elle est pour nous, ce qu’elle repr»-ésente, ce qu’elle est devant nous qui nous approchons d’elle vivement. Nous devons aller vers elle ensemble et, ensemble, la toucher. qui est-elle en vérité ? que dit -elle ? que dit-elle à ceux et celles qui l’approchent ? nous sommes ensemble qui allons en vrai vivement vers elle avec un but précis en tête, ... celui de la toucher, de nous incruster en elle = de la perforer, d’entrer en elle comme deux moineaux rentrant tranquillement au bercail ou quelque chose de cet acabit. Nous devons toucher la roche, nous glisser en elle, la pénétrer (incidemment), faire ainsi que nous fussions dedans sans trop tergiverser, comme deux oisillons qui rentreraient au nid après quelques heures de vol plané. Nous sommes deux qui cherchons ainsi, à retrouver l’endroit connu de nous : ce nid ou bercail, cet endroit d’une couvée, ce sein des seins. Nous avons ici cette chose à dire comme quoi nous sommes deux à chercher cela, qui est de, nous, nous retrouver chez nous ou comme chez nous, soit ici même = nid = paroi = temps. Nous devons ensemble (c’est important)comprendre cette chose, d’une sorte de retour à des valeurs ou choses de valeur ou bien comment ? à des endroits ? à des lieux précis , qui sont lieux d’un passé ancien qui nous a vu naître. Nous touchons ainsi à des choses passées qui sont pour nous du coup essentielles et que (de fait) nous cherchons à déposer sur roche incidemment chacun chacune sa façon ou sa méthode. Nous nous approchons d’une roche en continu. nous nous approchons ensemble d’une roche des temps en continu et sans sourciller. nous sommes deux pour aller en cet antre des destinées, des tracés de vie. nous sommes ensemble qui cherchons à entrer ici dans le temps. Et pour ce faire, nous devons impérativement nous donner la main, ne pas s’éloigner l’un de l’autre, avancer ensemble et garder le cap. nous devons ensemble toucher que tu toucheras la timbale du temps déployé. Nous devons comprendre ensemble ce qui est, ce qui se présente, ce qui devant nous pointe son museau de tanche, etc. Voilà qui est dit. et du coup comment s’y prendre ? eh bien facilement, facile, il faut agir, il faut placer son pied puis l’autre devant soi ! il faut actionner les membres ! il faut virer de bord et plonger en avant vers la roche et la pénétrer et passer à travers elle,; et se retrouver ainsi ayant traversé. je suis là ici pour aller dedans avec toi. je regarde les alentours. je suis cet homme qui ici est là qui regarde les données de base déployées. ce sont des bêtes-mots de race, c’est un fait. ce sont des bêtes-mots de rage dure, on voit ça. il faut toucher devant soi cette chose d’une sorte de paroi des temps = le dur de la vie rustique. nous devons percer ensemble la roche des temps et nouds retrouver dès lors de l’autre côté
. nous avons cette chose à faire ensembkle. nous devons ensemble aller et dire-toucher, aller en roche et toucher-dire son fait, etc. je regarde autour de moi et je vois des choses qui remuent , qui xemblent de la vie en vrai
: en est-ce ? est-ce de la vie en vrai ? est-ce cela ? est-ce de la vie vive flamboyante ? ou bien succédané ? faux-semblant ou simulacre ? je ne sais que penser en vérité car on s’y tromperait facilement c’est sûr ! alors comment savoir ? nous nous approchons de cette chose dessinée à main levée, il s’agit d’un cerf aux bois majestueux. Nous voulons comprendre ce qu’il représente aux yeux de la mort-dieu. qu’est-il de plus à ses yeux ? que doit-on penser à ce sujet ? je suis homme qui cherche à comprendre vivement, à l’intérieur du temps, les données données de base, celles-là qui sont sous-jacentes à une sorte de prése,nce devant soi, présence pleine, présence corporéifiée, etc, qui est cette bête, qui est ce cerf des prés et prairies. Nous sommes ensembkle qui voyons ce cerf de roche dure. nous voulons comprendre ce qu’il représente et qui il est vis à vis ici du temps déployé, etc. Nous aimeriions comprendre ensemble (ta main dans ma main) ce qu’est ce cerf de rage, aux bois de charme, vif et racé, bel être des forêts du temps déplissé : qui est-il pour notre gouverne ? et qui est-il pour cette déité nacré des lieux consacrés ? nous chezrchons ensemble x réponses à même la roche. Nous voulons comprendre ensemble cette chose d’une roche des temps habitée ou comme si. nous voulons comprendre ensemv$ble cette chose d’une roche du temps havbité par (on dirait) des êtres-fantomes, des figures, des tracés etc, qui xsemblent plus vrais que nature. c’est étrange et ça nous surprend. nous voulons comprendre les données offertes par la bande dite langagière d’un parler inculqué en nous depuis la nuit des temps; nous sommes ainsi qui allons pour le coup chercher des répponses en ce sas de roche dure (= la vie) mais comment trouver ? comment faire pour trouver quand le verbe est comme accolé à nottre gouverne et ne s’en laisse pas conter ou comment dire ? renacle à nous lâcher ! renâcle vivement à nous lâcher la grappe ! car, il est cette chose ici, que donc le Verbe est accroché à nous ... par la mort ! eh oui ! le verbe en nous tient à nous par l’entremise de la mort (en nous) à l’oeuvre, c’est vrai. je regarde ici et là avant de traverser la roche mais le fait est là , que le verbe et la mort sont comme en ménage, et ce depuis le premier jour ! Nous allons en roche trouver des réponses à cet état de fait mais le fait est là que verbe et mort sont associés dans cette sorte de croyance inhérente à l’être, et qui a des ramifications nombreuses, en nous, comme ... cette chose de la foi en son propre langage, comme ... cette chose d’un e foi en nous incarnée par le verbe inculqué; je suis homme qui vient et va sur roche à la recherche d’une vérité qyi
puisse nous donner des choses de poids en retour. il s’agit pour moi de cerner au mieux , la qUeswtion des cerfs (royaux) de rage gambadant comme à la dérobée, sur champ, sur praierie, sur pré vert , et nous regardant aller et venir autour de lui. nous devons toucher sa pelisse, et du coup changer, nouys transformer, devenir des alliés ou ses premiers alliés. nous avons à toucher la pelisse du cerf aux ramures et autre bois dorés; nous devons toucher le cerf, devant nous, dans ce temps pariétal aux e,ntrées diverses. nous sommes deux. nous nous aimons. nous copulons sious l’oeil de ce cerf aux
bois dorés, sous l’oeil de ce cerf qui semble malgré tout nous ignorer, ne pas faire cas de nos ébats endiablés. Nous nous approchons d’icelui afin de toucher ensemble sa pelisse douce (rêche ?) et de nous rendre compte de «sa vérité» en tant que bête-mot de rage pariétale temporelle. Nous devons comprendre les données offertes par la ba nde dite langagière, et ce : en passant, «en passant je passe»»», on avance. on va de l’avant. on cherche vivement de belles réponses seyantes, qui aillent pour le coup au mieux avec nottre gouverne, avec ce cap de roche en nous. Nous voulons ensemble cerner, de fait, les données de base, qui en roche nous regardent ou semblent ainsi nous regazrder voire nous faire des signes, nous appeler. je tombe des nues. Je suis cheval ailé. je me transforme volontiers en une sorte de cheval ailé. je suis homme nu, homme vif, homme-cheval nu, je vole. je suis cet homme nu transformé par la bande en cheval ailé qui (du coup) s’envole vivement, monte que tu monteras et franchit la roche (oup !) et ainsi se retrouve, dès lors, de l’autre côté, à regarder ce qu’i s’ y trame de concret à regarder. je vais et je viens. je suis nu-cheval. je voleque tu voleras. je suis cheval de rage. je suis entré en cette «roche ouverte» des temps impartis et me promène en lui comùme (qui sait ?) l’animal , l'animal de compagnie d’une déité assoupie. je cherche à comprendre les données de base, ce que c’est, ce qu’elles sont au juste et en quoi elles pourraient nousv être utiles. je veux être celui-là qui trouve incidemment, dans le temps, des choses de poids = des bisons de foi = des aurochs de contrebande etc, à pouvoir afficher de front et pour lesquels nous pouvons nous bazttre, nous placer en cette chose d’une sorte de riposte à ici offrir en quelque sorte à un dieu narquoi s qui ne nous lache pas d’une semelle, qui ne lâche pas la garde et nous enquiquinne prodigieusement; nous voulons toucgher la roche et aller en elle . comment faire ? en parlant continument ? en regardant ensemble les bêtes de rage que donc celle ci (de roche) contient ? en nous agenouillant à ses pieds ? en faisant quoi au juste , nous voulons ensemble toucher la pareoi et comprendre de fait ce qui est en ces temps (de vie) à venir qui sont rocheux autant que divins. nous parlons de choses en vie et aussi de la mport qui est ou serait en ménage, avec, en nous, le verbe seyant, le parler de base, cet habit de bure;. nous voulons toucher à cette chose d’une sorte d’habitus de vie parlante, ou de vie prise ainsi dans l’étau du verbe. Nous voulons toucher le verbe : le toucher fissa = le contrer par la bande dite temporelle afin de faire ainsi qsu’il se sentît piégé. Je cherche quotidiennement des choses neuves à formuler afin d’en avancer au mieux sur cette voie, d’une sorte de vérité à devoir cerner ici ensemble. nous voyons les bêtes-mots se déplacer, en avancer, courrir, aller et venir sur roche. Nous voulons comprendre ce qui est ici en cette roche dure du temps alloué à une vie de base rrageuse. Je vais loin en elle. je m’enfonce en elle. je veux ou voudrais aller loin en elle et loin trouver ce qui est qui est la fin des choses de base ou plutôt ... la fin de ce lieu, de base rocheuse, de ce lieu ancré, de cet antre aux données premières, de cet antre aux douces données dites «de base». je cherche. je suis lancé dans un programme de recherche «sidéral», qyui me voit de dait toucher la timbale (la timbale ?) du temps à même l’espace (ce lieu ici des prés, des chzamp d’azur). Je cherche à cerner lkes données priimaires. je veuxcx comprendre ce qui est. ce que c’est que cette chose nommée , qu’on appelle «mort». quoi est-ce ? la mort est un mot, de base, inculqué, alloué à du verbe nacré, et déposeée sur roche des temps pariétaux. nous avons à trouver ensemble les mots de description fine et pour ce faire nous nous enchainons les uns les autres, nous faisons corps. nous avons à ensemble toucher la roche du temps, la percer de nottre pic de verbe (museau) et traverser. ayant traversé nous sommes accueuiillis (de l’autre côté) par une bête-mot des premiers instants de la roche du temps (xddes temps de la roche). nous disons : «oui !», et njous nous éloignons. nous allons plus loin à l’intérieur. il y a
un sas. il y a de l’espace dans le temps. et du coup deux temps = une entrée de rage , et une sortie ... vers de l’inconnu de bas-âge (?) ou autre. Nous voyons cette chose ensembkle (à deux) comme quoi la mort est cet espace en soi de conduction
, de promenade (?), d’entrée en matière , etc, qui nous tend les bras. dans la roche il y a de l’eespace où bon gambader comme un animal. soit un fond de roche qui nous interpelle vivement : lumière, fumée, ouverture ou échancrure mordorée, cris soursds ou bien est ce des chants ? des chants susssurés ? nous allons ainsi vers cette issue de roche , de roche des temps. nous sommes entrés ainsi en cette chose d’une sorte de pierre «acoustique». nous gravitons (gravons ?) sur roche. nous nous avançonds des données dernières. que voit-on ? nous voyons des fumées blanchhes. embruns ? embruns de bord de mer ? nous voyons de la buée, un souffle et le vent qui en vrai buffe à mort sa mort ventrale ! nous cherchons ! Nous voyons d’un trou sortir du vent qui est vent de rage ! nous cherchons ensemble à percer des mystères adjacents à une soorte de vie humaine terrestre. qui est là (roche) à nous attendre ? le vent sort de la bouche d’un zanfant ! le vent sort de pareille ici ouverture dans la roche = dans la terre. nous voulons ensemble toucher cette chose d’une sorte de bete de foi, qui est là devant nous, qui regarde notre /
qui regarde après nous et se pose (qui sait ?) des questions sur nous : qui sommes nous pour elle ? que cherchons nous à ses côtés ? que voulons-nous savoir ? où allons-nous d’un pas si alerte ? nous voulons comprendre cette chose en soi, d’une bete-mot faisant écran : premier palier . récapitulons : 1, la roche (dure) de la grotte à devoir traverser (cet abri rupestre), 2, la prairie de l’autre côté, avec ses bêtes. 3, les bêtes devant nous qui semblent s’interposer, bêtes-mots et mots de bêtes, etc. 4, le fond de la roche, l’entrée (la sortie ?) qui semble nous interpeller ou s’adresser à nous, nous crier de venir jusqu’à elle : pour quyoi faire ? voilà donc les données de base := 1,2,3, et 4; ce qui est ici cette chose d’une sorte de pazrcours de rage à mener à deux. sorte en soi de parcours de «rage à naitre» à une vie nouvelle (rocheuse, ancrée, aérée, vive, accompagnée, douce et soyeuse. nous voulons aller ici en roche du temps chercher vérité. la vérité est celle des monts. nous voulons comprendre ces monts ce qu’ils sont pour nous qui montons car nous montons , et même en fait de montée, nous lévitons, chevaux ailés nous
grimpons dans les nuages dessinés par les fumées. nous voulons en xsavoir long et toucher de fait cette fameuse timbale tant vantée et tant évoquée. nous sommes deux personnes (en soi ?) qui cherchons à co:mprendre un certzain nombre de données de base concernant une sorte (dans le temps) de passage à autre chose, trou de base, trou des fonds de roche, point 4. je cherche avec avidité. je ne suis pas venu pour m’amuser ou seulement pour m’amuser mais aussi pour comprendre ce qui est de ce point 4. Le 1 on comprend : traversée de la roche dure, au pic du verbe acéré. c’est ok. lee 2, c’est aussi connu : le pré, l’herbe, le foin, les bois, les sous)-bois, les bêtes gambadant etc, tout un paysage. 3, plus préciosément ces bêtes dites «de paturage» : ces cerfs de belle envolé, ces biches nacrées, ces betes-mots du premiier des âges de la création, ces mots-bêtes chevauchant .... la roche du temps. puis le numéro 4,ses données fumaeuses, l’à peu-près en son jeune, etc. nous voulons cerner le 4 plus avant (après avoir franchi, ensemble, les 3 p^remières étapes, stations, comme par la bande). le 4 est là qui nous intrigue fort. qu’en est-il de ce passage ouvert ? échancrure, oui. grotte des mille et une nuits ? peut-être. un passage en arche. aurore. nous cherchons. nous voulons comprendre et comme nous approcher d’une sorte de vérité du numéro 4. Nous sommes postés à cette même entrée de grotte. déjà le pourtour : de la roche dure, du sol en seuil, une musique sortant du trou , un bruit sourd plus qu’une musique ? une sorte de cri musical, ou de ... mélopée des profondeurs ? ça chante ? ça crie ? ça râle ? ça meurt ? ça râle son dernier soupir ? ça fait quoi ? nous voulons comp^rendre cette chose du numéro 4 au fin fond des temps impartis, ce que c’est. nous cherchons ce qu’est cette
chose rude, ce vent des profondeurs soufflant de plein fouet dans nos figures. quoio est-ce ? le vent de la mort ? la mort serait vent de face ? la mort est-elle vent de face violent ? ce vent pour nous fzaire chuter, nous renverser, nous faire reculer ? nous cherchons les mots car nous cherchons de fait à cer ner les choses ... et les mots de la rage, de la rage en nous, sont aussi là pour nous permettre un certain nombre d’avancées notables, c ertifiés et vraies. nous sommes entrés en roche du temps. nous sommes deux qui nous sommes introduites dans un antre (antre ou sas) temporel = lieu de vie. il y a là des betes herbivores (notamment). nous marchons et chantons sur nos passages. et ... au fond de pareille cavité qui est donc habitée, il y a (en 4) la paroi « qui recommence » = fortification ? Nous l’ignorons mais cherchons ardamment à comprendre cette chose d’une sorte de paroi nouvelle avec (encore ?) échancrure ici ou là en ses parties et donc passage ouvert pour une traversée nouvelle la tête en avant comme le bélier. nous ouvrons la porte (une porte ?) à cette sorte de maison de type rocheux. porte ou pas nous entrons, passons un pied et là... un vent de folie mes a mis ! une bourrasque ! le souffle de la joie divine ! un souffle mortel ! quel souffle divin ! quel est-il sinon celui du dieu des perditions ? nous nous confrontons à un vent fou ! nous avons devant nous (4) du vent, et ce vent est le vent des fous, car fou lui même et qui rend fou ... de par sa sorte de soudaineté, son âpreté, ses apprets, sa virulence, sa violence , son insoumission, sa dureté, son vacarme, sa musique des profondeurs. le vent de la mort est prégna,nt. il vibre vivement à nos oreilles et nous ferait vite chuter tellement il souffle. il s’agit d’un vent de face. je tombe ! aïe et re-aïe ! ça fait mal ! de tomber ça fait mal , ça peut esquinter! le vent continue de plus belle. il est le vent des fous. ,le ve,nt fou de la roche perlière, soufflant incidemment sur nous qui vouliiions en vrai braver son souffle, résister et en avancer sous la violence, ou du moins tenter d’en avancer grave. mais le vent est si violent qu’il nous fait tomber. et nous voilà qui sommes tombées? qui tombons à la renverse. qui ne pouvons pas tenir sur nos (2 ?) jambes car menus, nous sommes frêles, peu
costaud au demeurant, peu solidement arqué et impla,ntés. nous sommes balayés par un vent violent, souffle musical de rage sortant des entrzillkes d’une sorte de paroi de terre- mère. nous tombons car nous sommes frêles. nous ne sommes pas comme ces bêtes-mots ici présentes (aurochs et antil;opes, bisons et ours des cavernes) qui ezux-elles savent s’y prendre, p^lomber, tenir, et ne pas s’envoler de fait. D’où leur présence éminemment actée en ce lieu prairial de broutage et gambadement; l’aurochs et le bison tiennent debout (4 pattes) et ne s’en laisse pas conter si facilement : la mort peut souffler ou leur souffler dessus , qu(‘ils ne tomberont pas de sitôt. ils sont costauds, ils tiennent bon, ils sont solides et solidement implantés. je suis là pour comprendre les données rudes. les ponts . les jeux de mots et autres glisssements verbaux : qu’en faire ? qu’en penser au juste ? Nous aimons la roche rude , nous la franchissons, nous passons; Et après ? que voir ? échancrure avec bord de roche, ouverture dans du noir de jade. une sorte de conduit auditif interne ? oreille perlée ? boucle ? Nous nous sommes rapprochés de cette chose devant la paroi, la paroi du 4. nous
nous sommes rapprochés et nous écoutons ensemble ce chant de la roche des temps, roche profonde des temps alloués à une vie humaine «entière». Quii est là (en roche : temps) pour nous indiquer les chodses à devoir comprendre en premier ? mots de roche = verbe assidu = vif de paroi = meuble. je cherche une voie d’abord en ce sas de bienvenu, près des betes de paroi dure (des aurochs, des bisons, etc) . comment comprendre ce qui est devant ? du temps ? le temps incertain des roches gravées ? le temps ici est une sorte de donnée à bien considérer. le temps est une donnée rude à p^rendre en compte incidemment et sans tarder car le temps est money et aussi ... des mots ;déployés, ruban des prés, chair vive aux tourments. nous vcoulons toucher kla timbale du temps et pour cela, nous devons nous approcher ... de la vie sensible, la toucher verbalement mais en vrai la toucher, et tout de suite après entrer en elle, faire place nette pour «s'y mettre» un temps. je vois dans la roche du temps car cette roche du temps est ma boule de cristal pour ainsi dire. je vois en cette boule de cristal des choses de pooids, qui s’avancent : biche, antilope, a urochs, lions, chevaux. je vois en cette roche-boule sas, choses de poids = bouquetins-verbe. Je vois loin car je vois d'ici le paysage intégralement ou pas loin. je suis cet homme qui voit, dans la roche du temps alloué, des choses. je vois dans la roche des choses. je suis qui vois dans la roche des choses. je suis là qui vois dans la roche des choses. je suis là qui vois dans la roche du temps foultitude de choses. je suis là qui vois dans la r-oche du temps une grande moisson de choses; je vois cette bete de joie arriver vers moi; elle porte un nom. son nom est inscrit sur roche en touteszs lettrrees. je connais son nom. il s’agit d’un nom ... de bête sauvage.ici son nom est, qui est inscrit sur roche du temps. je suis cet hjomme des parois dit «de la base (mort) et du sommet (vie)». je tombe ou tomberais à la
renverse dans un bain de sang de roche . je suis une bête. je suis cette bete des parois du temps, bête-mot de première instance, chaleur vive du rut animal. je fais impression avec mes cris de rage cérébraux ! j’hurle à la mort comme le furet, comme le gnou, comme l’antyilope . je suis homme-bête avide , qui va-vient sur roche placide, vif, colérique, mortel. je cherche un e,ndroit où pouvoir de fait me déposezr diligemment sans gêner personne. je suis pris ainsi entre deux feux de rage, deux parois pour ainsi dire ou est-ce la même qui fait (ferait) le tour de la penndule ? de la quoi ? Car la roche 4 est toute semblable à la roche 1. c’est ça qui est étrange ! 4 et 1 semblent appartenir aux mmêmes fortifications rupestres, même zone des tourments, continuation paysagère. je regarde. je syuis penché ainsi sur la paroi de base = mon écran aux données de base. je veux trouver = toucher. car trouver = toucher. et inversement ? toucher = trouver ? je chercjhe rudement à traversz ... une sorte de paroi comme d’un écran ou comme du cristal de belle remontée. Je suis chercheur-voyant en colère, qui fouille la plaine, vaille que vaille, à la recherche d’(une bête de bon pôids pouvant (face à l’adversité venteuse) faire potentiellement l’affaire (on l’espère fortement). qui pour venir ici nous rendre service ? un aurochs ? ce sezrait parfait. un aurochs en colère encore mieux. qui bravât le temps du vent montant des profondeurs. je suis penché de fait sur la zone des vérités et cherche à co:mprendre ce qui est ici en termes de données vives, rustiques, rudes, clairvoyantes. je veux être là pour comprendre de plain-pied. je cherche ainsi à me placer de telle sorte que voilà j’arrive à trouver des choses diverses, des donnéesw de base, dires directs, chants de base, ou bien chants de la base, etc. je m’approche de pareille roche et la traverse et là le champ (à perte de vue c’est doux !). je vais pouvoir comprendre enfin un grand nombre de données données et du coup soulager les gens de la suite. je compose. je suis l’ombre de la roche rude, je suiis ombre sur pied, ombre «montée»,, chevvauch»éée de rage en termes d’élans rupestres. je cgherche une voix pour moi l’attrapper, la prendre au collier et l’adouber pour l’imiter. voyons : je suis entré en roche et me voici qui cherche à cerner, un grand nombre de données à explorer concernant telle ou telle personnes ici (roche ?) présentes, à savoir : petit a, la bête. une bête de poids bravant la bourrasque du souffle divin (= de la mort) et aussi , petit b, la bête-mot, qui est grosse d’elle-même et pèse son bon poids d’incandesce nce. je regarde à travers la roche, vois par transparence des données à étudier de près. je suis bien placé pour ce faire ici. je veux toucher des choses en vrai et les comprendre
1 par le toucher,
2 pzar la raison, etc. il y a à comprendre un bon nombre de choses de poids, il y a ici à comprendre moultes et moultes choses qui pèsent lourd dans la ba lance des données de base à la vie sur terre et au delà. je comprend ce qui advient avec lmes mots qui sont mots de base, de rage dure, de concert. je compte les piedsq; je cherche à toucher une roche dure. je vois la roche devant moi : animaux de compagnie. biche des prés, biche ma biche, biches soulevées et a ériennes sous mon oeil inquiet. va t elle retomber comme une merde ? non !!!!!!!!!!!! oh non , que bambi vole , continue, mais ne tombât pas de grâce ! telle est ma prière du jour évoqué par la bande! je m’avance et cherche à comprendre qui est là, qui va là, qui est là en ce sas de rage à être vif: qui ?. car la vie est vie de belle envolée de lyre, belle rage à déplisser devant, tourniquet, attirance de roche des prés. je vais voir du paysage pa riétal et je reviens. je ve’ux voir icelui en pied ou sur pied. je ne déses père poas d’y arriver fissa ca r je suis plus que motivé, je suis pris par la douce folie d’alller chercher devant , moultes données de base censées pouvoir toutes nous éduquer et nous inddiquer le bon chemin pour trouver où aller ensemble. je me vois ainsi prezndre ce chemin de belle vue, trouver de quoi devant moi comp^rendre, trouver belle de rage, la brebis, la bête, be^te-mot de rage accouplé à la bête en vrai surnuméraire. je regarde et vois icelle qui gambade sur pzaroi. elle a fort à faire. elle ezst belle des rochers (appelée telle). elle en jette ! elle est vive et va loin devant nous nous indiquer pour ainsi dire la voie de l’envoi. hje suis derrière elle, je la suis patiement et gentiment. je veux la com^prendre et e pas la rater. je veux
comprendre ce qu’ellle est pour moi, l’animal qu’elle est en soi (en elle) et cet animal lui parler en toutees lettres; qui est-il en elle ? que suis-je aussi pour elle ? est ce qu’il me comprend? connait il le verbe ? est il lui-même du verbe ? est il du verbe lui même pour moi ? a-t-il en lui ce verbe des parois de roche ? qui parle pour lui ? qui parle pour moi ? où sont les données de la rage d’être ? où donc sont passées les gazelles de la rage à être l’animal des prés ? je chante à tue-tete et ce faisant je ne m’en laisse pas conter outre mesure car je suis un homme de la roche dure. dure des dures. je fouille au-devant le temps : il contient le verbe = la mort. car le verbe est le verbe qui parle pour dire la mort et, dès lors, combler ce trou de bouche-mort qui devant nous se montre à nos yeux ... d’enfants baba. la bouche de la mort ! la bouche de la mort ! oui ! ici même ! devantt moi ! la bouche de la mort en position 4, quand la notre (de bouche) peut-être, depuis l’intérieur de nous, est en position 1 ? comment savoir ? comment faire pour comprendre enxsemble (qui, ensemble?)? Pour comp^rendre il faut toucher la roche = la mort. pour toucher la roche il faut être mort or merdum ! merdum grave ! je veux pas ! Qui veut ? certtains veulent mais pas tout le monde, c’est la loi ici qui dicte son vouloir de base... ou pas, soit le bon-vouloir d’icelle à nos côtés; mort = vie moins le passé ? Ou comment ? je cherche asssiduyment, je suis qui cherchecherche vivement en cette roche devant moi , qui semble vouloir me pa rler, me dire des choses. parle-moi la roche ! qu’as-tu à me dire en termes de données de base vive ? la mort est l’endroit de roche dure à même de te présenter à une déité rocheuse de base rupestre. la mort est devant ... en roche déité. la mort est déité ... qui se loge en roche = sas. qui parle quand je parle en vérité ? qui en moi prend la parole et ne veut pas lâcher pour ma gouverne ? qui parle incidemment son parler des embruns et des nuits de pleine lune pariétale ? je regarde. je suis vif. je comp^te les points de roche frapp^ée. je suis celui qyui veux trouver le pot aux roses et cherche vivement à toucher de chez toucher la roche aux serments
. je conduis le verbe à des dénouements rupestres. dénouements et dénouements et dénouements et dénouements et dénouements ezt ezncore d’autresc . fin des fins. je me plonge, a insi, dans la roche temporo-spatriale des dénoue:ments de toutes sortes (vies diverses) à kla recherche de la vérité des gens dee près. je m’applique; Je veux cerner. je dois cerner. je veux toucher. je dois toucher. je veux aller en roche, et trouver le pot aux roses, et c’est ainsi que je le fais incidezmment, entrant en roche par percée de vive voix (pic des pics) et là : voyance ! la voyance est profitable ! elle naît à elle comme du tourment, mais là indemne de méchanceté car la voyance ici a de quoi aller sans faire d’écarts ou d’écarts mal faits, mal pensés, mal venus, etc?. je veux voir iici des choses de la vie à vivre, et pour cela je dois aller au fond des choses, soit : de la grotte. dernier sas. chant des partisans. je tombe. je suis homme du mal-être permanent d’un être de base??; je me dois de lui venir en aide. je veux prendre ici le pari ... de pouvoir agir. je cherche une issue agraire. je veux toucher ici voix d’une sorte de chapitre à double entrées. ici nait la chose, ici même. je vois cette chose aller, venir, tomber,, être. je cherche une voix de base. je cherche une voix ixi qui donnera le bon tempo d’une vie nouvelle à vivre tantôt; je suis homme chercheur de paroles vives. je suis cet homme des paroles des tourments de vie à vivre ensemble dans le sas de roche des prés, des prairies nacrées, etc. . je suis devant la roche cgherchant des paroles adoubées qui puissent me donner de quoi toucher à une vérité profonde. je veux être l’être de la voix du monde collé à une roche. je suis dans le sas. je suis ici passé en ce sas de bonne roche à la recherche des embruns et des eff;uves, des cris souterrains et du vent moqueur. ici est cela qui buffe (souffle) et vous emporte au loin dans le sas des sas. parol:es dures ! colère en d’autres termes ! des col:ères. du vent. de la voix rupestre (stentor) en guise de contrechant ! on comprend, onest pas si bêtes,; on est là pour ça = la compréhension fine et racée, la comprenure fine et racée, la chose d’une comprenure assez fine et racée pour pouvoir en avancerr assez sur ce chemin des données rupestres. je comprend les données rupestres. je veux toucher ce qui est en termes de données rupestres essentielles? ce qui est devant est dans le sang. ce que je vois devant sort du sang ou provient du sang, du sang offert en offrande = le temps = le présent = ce temps déployé comme un ruban de confection (apprêts). je me loge en roche, afin enfin de pouvoir cerner ce qui est d’une sorte d’envol»ée massive de chevaux ailés à même la roche; en lévitation. curieuse solitude . je me
vois volant ! je me vois aller et venir en roche (sas) comme un cheval ailé voleta nt de fait vers la roche à traverser; je co:mprend ce qui est qui vient = ce cheval dxes certritiudes, des dxonnées dures = fiables = vérités des vérités. je cgherche à travers la roche à voir loin ce qui est qui semble arriver =advenir = se passer = nous rejoindre
= nous pousser dans nos plus vifs retranchements, c’est dit. car oui, la roche est pleine de données diverses : boule de cristal qui est, devant soi, l’espace de diffusion. je vois ça; à moi de comprendre. à moi de toucher par la bande un certain nombre de données vives et de les consigner illico presto sur carnet à souches, etc. Qui va me croire ? qui va suivre kle mouvement ? qui suivra le mouvement pendulaire d’une voix de rage inscrivant ce qui est, sera, ce qui surviendra, ce qui survient? Je dois peser les mots. employer les mots de rage avec a ssez de tact pour me faire comprendre et donner de moi (depuis moi) les informations nécessa ires oà une sorte de portrait cde charge à dessiner comme autrefois l’homme ou la femme des cavernes savait. l’homme en moi (des cavernes) veille , qui me voit tracer deva nt moi dxes traits de parade,, des traits fous de bonne taille = des portraits sur pied de bêtes massives. je suis là pour voir ce qui ici (boule, paroi, ombre) se dessine sous mes yeux. voici la chose enfin d»éployée, qui est chose d’un ruban des vérités de chance , charme, etc, sous le vent sortant d’une bouche ici dee la (ou des) vérité(s) de base. ruban fin comme voie d’abord. je cherche le nom noté, celui-là que l’homme-femme des parois savait, en vrai, reconnaitre sans forcer, car toute sa vie était en quelque sorte dans son geste menu mais précis. je suis celui qui voit la bête. je suis ici celui qui cgherche le nom de la bête. je suis cet homme cherchant
nom de bête endiablée. je swuis homme qui cherche à comprendre beaucoup , de ce monde rude des apprezts (de bonne venue) sur terre-mère. je suis là qui voit une roche, un cghemin, un passage vif, un terrain de prédilection = la roche rude = la paroi xdes ttezmps = lm’échancrure = la félure. je suis homme au vent. je me prête au je (jeu) du vent facial. en prends p;lein ! ouille ! vif ! ça pique ! tant pis/; pas encvie de pas ou de ne pas /
pas envie ou plus envie de ne pas y aller, de voir à reculer. je charge = je donne = je dépose = je pose = je nourris = j’asperge etc. Je suis l’hommê aux voix menues ou de base menue mais qui pour le coup savent toujours dire ce qui est de fait en roche pour la bande, voix menueszxsoufflant leurs dires de parooi percée. je cherche à me retourner et dire ce qui est que je cherche à voir (de visu) en cette roche aux aprêts. je veux combler le trou de bouche par du verbe: deux fois. ici à l’entrée = percée, et ici (:à la sortie ?) par une sorte de chose qui sezrait de l(ordre d’une sorte d’embardée votive incandes cente : feu ! feu de rage ! feu sur toute la ligne ! feu en ligne ! feu vif de ta rage à naître et
renaître ! qui ;l’eût cru (cette chose) ? qui aurait pu penser que cette chose enfin adviendrait, qyui me verra tracer des plans sur la comète mais pas que ! car la voix de second va pour moi m’aider à tracer ;les traits d’une bête en vrai. je vais sauter sur l’occasion. je veux sauter sur l’occasion, toucher vif, dire à vif ce que la mort est pour tout un chacun / chacune,; et les soucis, les peines de coeur, les dires avortés, etc? je comblerai?.. je dois combler, au passage, trou de bouche en veux-tu en voilà sans me retourner. je veux comprendre ce qui est au juste d’une sorte d’embardée votive dans la sas des sas d’une vie à vivre pour untel dont le nom ici serait caché. je veux dire ce qui est. je veux pouvoir dire ce qui est. la chose se dessinerait peu à peu sur roche, à lza ressembl:ance d’un être donné qui verrait dès lors pour lui se dessiner des traits, des courbes, des schémas de base et autrescx points de vie vive agréés. je cherche à m’approcher d’icelle roche «transparente», prairie, pré joli, carré frais. je veux êrte l’être du passage à un audelà rupestre, ou en (souligner) un audelà rupestre ou pariétal = le temps. passage au temps ou dans le temps. le passage d’un corpus, corpuscule, dans le temps. le passage ici du sang, dans le temps. le passage voulu du sang à l’i,ntériur du temps dit «pariétal». ici ce passage du sang (coulure) dans kle temps, à travers le verbe (la voix) enfin déployé devant soi : rubanesqque. je comprends les choses enfin en quelque sorte déposées sur bâche, sur tapis, sur carré devant soi, vide-grenier. je veux toucher
la roche des temps donnés, et, cela fait, aller loin en roche, aller au plus que je peux, en ses profondeurs, en des profondeurs de cette roche, en les profondeurs d’icelle roche ou à la profondeur, en la profondeur d’icelle, au profond le plus d’icelle roche, en elle dans la profondeur. je cherche parade rupestre : cheval, cheval dépl;issé, traits de base, aurochs adoubés, traits de charge à contrevent, massifs eh comment ! double-^massifs de la rage à être contre le vent ou à contre-vent. j’hallucine ! je cherche à voir : je vois ici une sorte de chose rude, dure, du dur de chez dur qui semble aller ainsi sur roche se tramant comme le sang qui coule sur table aux offrandes, comme un sang de veau sur roche perlée. hje vois : homme, sang, veau, perle, rocaille, une femme qui s’approche, un homme rude, des chevaux, l’haleine des chevaux, le souffle vif, le vent soufflant vif, les paroles en djur comme une sorte de coulée de lave pariétale. je suis un homme des temps avertis et du coup que fais)-je , je regarde les alentours
. j’essaie de piger vif ... ce qui est; ces dons de soi, ici déposés, sont ils des offrandes (le passé) à telle ou telle déité de choix ? les mots ontils de quoi nous satisfaire incessemmant ? fau-il croire au sens des lmots , a)-t-on le choix ? qui parle pour moi ? qui parle pour un homme comme moi qui est homme des parois de roche, homme-bouc, qui ? qui pazrle en moi pour dire sa hjoie de voir ce qui devant moi cherche à pointer sa rage : qui ? qui vient vers moi semer la pagaille ? qui veut comprendre assez pour mieux s»’en retourner ainsi armé et vaquer que tu vaqueras à swses occupations quotidiennesq : squi ? qui va là ? qui chante ezn moi la chant de sa rage d’être ainsi envahi par, en soi ... la mort du petit cheval ... ou auttre mort de bete de poids pouvant lutter contre le vent brutal de la mort à l’oeuvre en ces contrées dites de base rupestre (sas des sas, etc)? qsui veut m’avouer ou veut bien m’avouer ce qui pour lui ressemble à de kla vie en vrai ou «pouvant le faire» incxidemment face au dieu (le seul) de la mort. croire en la mort = croire ezn dieu. croire = conserver pour soi le verbe. être être de verbe inculqué (impossible à évacuer) = croire ce qui est = croire ! Je pense = je crois donc jésus, etcx. je veux être ici la roche p:leine, la toucher de près, être roche = entrer, etc. je suis homme d’une voix de base rocheuse, cherchant à travers la roche un ou une allié(e) qui sache pour de vrai ce quil en est de la parole vive des ap^r^$ets : qu’est-elle ? qui la parle courammeznt à travers moi ? qui sait parler à travers moi la langue pleine ? qui comprend la langue pleine ? qui pa rle en moi la langue pleine = complète =entière = massive =aurochs des prés et des prairies. je regarde devant moi l’aurochs, le bison, la brebis, le chameau, la belette, le cheval bai. qui sont ces bêtes allouées à une vie de base rupeswtre = la vie: -qui ? je me penche sur la question. je cherche à comprendre vif ce qui est ici qui semble avoir à me dire des choses , à me parler incidemment, à évoquer des données de rage mais basiques. je m’avance en pays qua si conquis (car je suis entré) et vais auprès des bêtes demander ce qu’elles fabriquyent ici, le pourqyuoi du comment elles ont donc atteri ici (champ de marss) et les mots, qui sont ceux qu’elles portent, pourquoi cela ? je demande. je vais vers la biche et je lui demande. que peut-elle dire ? que pourra-t-elle me dire en vrai qui puisse m’(aiguiller vers des cxhemins de vérité , que saura-t-elle signifier et comment , est-ce que la biche sait parler lalangue rupestre ? connait-elle le françzaiios ? a-t-elle quelques rudiments en langue étrangère à elle ? que connaît-elle en fait de langues étrangères ? connait-elle l’indo-marital ? la langue plénière ? le chant choral interne à une gouverne ? l’indo-sacripant parlé , la chance-langue adverbale ? le pointu ? le couillu ? le chant morveux ? le vil babil des classes laborieuses, , version canigou ? que connait elle en la matière ? je veux le savoir tantôt car je veux piger et m(aligner, soit parler pour elle avec elle et ce en la matiè!re (idiome) qu’ezlle a ura choisi : je me plie. je vuex toucher icelle bête devant moi, la toucher des yeux (1) puis avec la main = une caresse sur pelisse, vent facial, chaleur du rut, hommage de l’artiste à son être divin ? Je tombe ! je suis las! je suis vif de rage mais las , et du coup je tombe, je m’affale , m’étale là de tout mon long et dieu sait s’il l’est ! je suis étalé, je suis a llongé, je suis déposé, je suis posé, je suis mis, je suis aligné, je suis déposé sur
une table, table nue, en pierre de lave. je suis l’offrande?;; je me meurs comme une bête pourchassée touchée , que l’on dépose encore cxhaude (le sang chaud) sur pierre d’offrande. je parle l’idiome idiot de la rage à être nu ! colère ! animal velu ! poubelle des rues ! anfractuosité ! je plonge ! je me place ainsi de telle manière à pouvoir entendre et écouter la musique des sphères : la voici qui monte»»»» et s’élargit,
je vois ce qui est ici qui me rezgarde et me fait envie; je me couche sur la pierre; je suis l’animal saignant car j’offre mon sang aux temps impartis, aux temps alloués à une vie en particulier. je vois ce qui est qui marche, quyi va, qui mange et qui s’ébroue. homme-buffle au sa ng mauvais ? j’opte pour le buffle ! je charge à la manière de la bête des parois, soit de tout mon saoul, à contrecchant, à c ontre-parade. je veux m’envoler comme un cheval ailé s’envole et franchit la corde. je suis être au vent mauvais ... pris de face , et qui (etre) veut (cherche à -) s’échapper fissa de là car ça pue du cul : car là (porte damnée) ça pue grave du cul, tu le sais. ici ça pue grave ! oh ici énorme : c’est la porte. la porte aux damnés ? la porte ! oh alors fichons vite le camp ailleurs et n’y revenons plus ! mais comment cela ? car il s’agit ici d’u ne sorte d’échancrure à même le roc et à travers elle souff;le que tu souffleras le vent de la mort ou de l’empechement à naître ! ah voilà ! alorsq commùent ? qui pense ? qui parle ? qui crie ? qui chante ? qui veut soulager ma gouverne et penser ou poarler pour moi ? qui veut dire ce qu’il sait sur roche gravé? qui veut dire gravé ce qu’il sait sur roche des temps ? qui gravera , qui gravera gravve la bête repue ? qui va graver grave la bête rezpue ? qyi sait graver grave la bête des prés ? gravons ensembkle telle ou telle bête des champs, des bois et forêts. gravons grave eznwemble les noms de tous nos associés de chaerge. qui parle en mon nom ? qui porte mon nom ? qui porte ou porteras mon nom ? qui est là pour moi ? qui parle pour moi enn mon nom ? qui parle avec sa voix de contre-chant ? qui pârle bri;llamment sa belle romance d’enfgant déployé sur roche d’allant ? qui enfin comprend son sien mal-être étiré comme une tourmente ? qui veut mourir ? pas moi, dit le coq. pas moi dit le cochon. pas moi dit la bete des prés consacrés. je vois ce qui est ici qui semble me mater de pied en cap, et pourquoi cela ? qui suis-je qu’elle ne connait pas? ou l’inverse ? qui la bete des prés voit elle en moi qu’elle semble reconnaittre voire connaitre et comment connaitre si tant est ? car, je suis nouveau venu en ces contrées de base. où donc m’aurait-elle de fait déj-à vu ou rencontré .? me connait -elle en vrai et si oui d’où ça ? car, je suis nouvel arrivant ! je viens d’entrer à peine ... à pic -pique , à pique-piquage, à mêmùe la roche:
donc ? commùent ferait-elle pour me reco,nnnaitre ?
comment pourrait-elle me connaitre ? qui déjà lui aurait peut-etre un jour parlé de moi incidemment ou bien comment ? m’aurait-elle cerné ? m’aurait-elle touché ? m’aurait-elle senti ailleurs, une autre fois que là ? Je cherche ! Je demande à voir. je suis être du temps des tourments de rage, habillé à la six quatre deux, venu tard sur le devant de roche, calfeutré, pris à partie par un vent de face mais cherchant un abri derrière (ici) la bete à cornes. je calcule les données de rage (= chance) et me dis que oui peut-être un jour ou l’autre je serais enfin touché par telle ou telle bête pariéytale dessinée ou gravée par un homme ou par une femme des temps reculés; je
(je me vois toucher la roche, je me vois aller et venir, je me vois toucher la roche et aller et venir, je me vois toucher la roche)
veux être vu ainsi comme l’animal, la bête, l’homme des parois dures. je veux être ainsi comme touchézsx des yyeux par un e sorte de divinité qui me regarderait sans chercher pour autant à me vouloir des noises, etc. mon ombre est l’ombre de mon soi (mon moi ?) abrité. comment m’exprimer ? je suis l’homme des temps alloués à une vie humaine de roche perlée; je suis celui-là (celle ?) qui va ... dans le sens d’une parole proférée comme à l’emporte-pièce par un homme ou une femme des cavernes, et cette parole est ... insulte à divinité ! à deité d’antre ! on voit ça ! ça le fait (fera ?) grave ! Je rezgarde ce qui est ici (sous moi = la terre) et je comprends dès lors que je suis arrivé sur roche tete la première, cap sur cap ! je suis dès lors en quelque sorte l’(ombre de moi-même ou comment ou qui sinon ? dessin animé ? ah peut-être ! je me vois toucher la roche, je me vois toucher la roche
je me vois toucher la roche. je me vois aller et venir en cette zone des embruns, des betes de poids, des betes rosses. je vais vers la bete de poids. je m’approche d’elle. je veux lui parler, la toucher et lui parler. je veux être un ami fidèle, un ami de poids pour elle. hje veux être pour elle cet ami sacré qu’elle attendait peutêtre. je suis un hjomme des parois des temps octroyés à une vie terrestre, . je vois ce qui est. je vois ce qui se trame en ces contrées de charge. je suis un homme des parois du monde aux apprets. je regarde au loin les données de base, fummées, voix, chaleurs, sentiments diffus, contrechant, amours, donations. qui sait me guider vers les finitudes ? qui saurait me donner du lest ? qui pour m’aider à chevaucher le temps ? qui pour me donner le nom quil me revient d’avoir à porter ? qui pour me souffler à l’oreille les mots importants concernant une vie sur terre ? qui chante avec moi ? qui chante depuis moi ? qui veut ma gouverne et charger pour moi les betes de rage postées devant .? qui sait ma misère astrale ? qui commande en moi les données ancrées, les mots du passé ? qui parle en mon nom surnuméraire ? qui connait le chant des contrées premières ? qui a parlé le premier ? quel était le premier mot prononcé sur terre ? qui parle à travers la roche gravée ? quel homme en moi parle pour moi ? est il homme des cataacombes ? est il homme mérovingien ? est il homme plus ancien, de type aurignacien ? vit il en moi en quelque paartt , et où si oui ? qui vit dans :mon sein ? qui vit en moi qui me connait mieux que mon ombre ? qui est en moi qui parle une voix de fausset ? qui parle en moi qui dit n’importe quoi ... pour jouer ? qui a dit que j’étais niais, l’imbécile, le menteur, le sacripant, l’australopithèque ? je regarde devant moi ce qui est, et qUe vois)-je ? une sorte de donnée étrange, un don en nature déposé, une sorte de corps allongé déposé sur roche ? outre ? antre ? autre ? être ? de quoi ws’agit-il ? les mots n’aident pas qui se ressemblent ! comment faire ? je chercbhe à comprendre mais ce n’est pas simple, pas simple du tout car la voie de passage n’est pas bien large, il fzaut se serrer, se faire menu, enfant, se faire fin, se faire fil, etc.Nous avons à comprendre l’être du temps (l’antre ?) commùe étant ce qui, pour nous, nous ressemble (au fond) le plus ou, sinon le plus, ce qui est pour nous le plus ressemblant, en termes de traits, de hachures, de croquis, etc, à même de nous présenter ressemblant : aurochs des prés comme cheval bai. je vois devant moi un homme qui s’avance et vient vers moi mais ce n’est pas un homme, c’est quoi ? un cheval ? ah oui ! un cheval de rage, dessiné à main levé. je comprends. je sais ce que c’est à présent : il s’agit d’une bête-monstre. bête de destinée. bête représentée pour fairze accroire à une déité (la mort) que la vie (la nôtre) est là tout entière offerte pour sa gouverne, pour une gouverne magnifiée mais en vérité ce n’est pas tout à fait le cas. magnifiée peut êtree mais question vitalité c’est pas ça; on voit ce qui est ici, qui est cette chose comme quoi la mort, quoique magnifiée (tu parles !) n’a pas , ou disons n’est pas, à nos yeux, si enviable? comment dire ?
à nos yeux la mort, ici bazs, n’est pas cette chose
qui, pour nous, nous plaise tant, qu’il nous faille donner notre vie devant pour la satisfaire . nous ne voulons pas tant que ça la satisfaire. nous ne voulons pas lui plaire; nous ne voulons pas qu’elle sache notre senti=mment p^rofond. nous faisons semblant (en vérité en étant vivant) de lui plaire, de la satisfaire complètement ou de vouloir la satisfaire complètement, mais en vérité non, nous cherchons à la ruser, à nous passer d’eellle. nous faisons semblant de la satisfaire ou de vouloir la satisfaire mais ti,ntin.nous donnons de nous le passé de nous, le passé mort, le passé est toujours mort. nous donnons de nous le temps qui est pour ainsi dire du passé de nous, ou plutôt le temps passé de nous qui n’est plus tout à fazit nous, ou plut^$ot cette chose du temps, de ce temps de nous passé, qui semble la vie,, qui lui ressemble fortement, qyui ressemble fort à de la vraie vie mais la vie la vraie n’est pas le passé bien au contraire , la vie est le présent cordial. nous cherchons à la truquer : à truquer la mort. la mort gobe tout. la mort est un ventre. la mort est un antre?. la mort est une bouche ouverte. la mort est un trou. la mort mange. la mort a toujours faim. la mort n’’st jamais rassasié. la mort prend ce qu’on lui donne. la mort mange de tout. mla mort aime manger. mla mort aime bien ma,nger ce qu»’on lui met en bouche. la mort mange le passé de nous. la mort mange de nous notre passé, deposé par nous, deevant nous, comme un présent en guise d'hommage, ou comme une offrande à une déité. la mort aime nos offrandes ainsi déposées. la mort aime avaler. la mort aime ezngouffer. la mort avale vif. la mort n(‘est pas la dernière à s’attabler. la mort avale les denrées diversesc et autres vivresx ou victuailles qui lui sont ou seront (par la bande) proposées; la mort avale les données de base. la mort est un estomac sur pattes. la mort est bete carnivzore. la mort aime la viande fraichje. la mort aime
manger la vie. la mort aime la vie. la mort aime s’empiffrer de vie vive, de chair fraiche et autres offrandes inavouées. la mort mange vitte. la mort engloutit comme un alambic. la mort est vite assoupie. la mort est assoupie. la mort s’assoupit. la mort a mangé et cela fait va à s’assoupir , un temps. Ou non ? la mort jamais ne s’assoupit ? la mort jamais ne s’assoupit ? la mort toujours se met sur le qui-vive. le qui-vive intéeressee fortement la mort. la mort adore le qui-vive, s’en repait vif. kla mort aime que la vie soi t donnée d’emblée. que toute vie soit donnée d’emblée. la mort adore que la vie d’emblée (dès potron-minet) lui soit donnée. La mort veut la vie pour ezlle. la mort veut toute la vie, pas que le passé. la mort veut toute la vie dès que née. la mort veut la vie tout entière en permanence. la mort veut toute la vie pour elle. la mort a besoin de la vie pour elle, pour se rechzarger. la mort veut pour elle la Vie en-tière. La Mort veut pour elle la Vie en entier, soit tout de tout de la Vie vive existante sur la surface de la terre. La Mort veut la Vie entière, toute, le paquet, toute la Vie vive en entier pour elle. la Mort veut la Vie pour elle , pour être la Vie à son tour, pour être vie à son tour, pour devenir Vie à son tour, pour mourir en tant que Mort ? La mort veut la vie pour elle : pour être. La mort veut la Vie pour être Passé.
8/3/2022
Nous devons comprendre ensemble ce qui est dans ce qu’on voit. Ce qui est est une choese rude si tant est et cela est. Nous devons cerner des choses au sein de la paroi , et ces choses (toutes) portent un nom. le nom des choses (de chacune des choses) est nom donné par un en-soi qui s’interpose, se glisse fissa entre elle (la paroi) et nous qui la regardons, l’approchons, la touchons. nous avons dès lors à comprendre, ensemble, cette chose (ici : face à elle) comme quoi la roche ci-devant est ... du dur de dur, du coriace, du «pas facile» s’il en est, etc. Notre but est de comprendre au mieux ou du mieux poss blle ensemble ce qui est de cette roche des apprêts. quoi ou que est-elle en vrai ? succédané ? Nous disons que nous pensons que nous voulo-ns savoir ce pour quoi pareille roche est devant nous, comme dressée, qui xsemble nous interpeller. qui ou que ou quoi est la paroi ? vaste question ! Nous cherchons une réponse. nous devons trouver une réponse ! nous nous devons (c’est-à-dire à nous-mêmes) de trouver réponse qui soit opérante, qui soit fiable et sur laquelle pouvoir s’appuyer. Notre envie est de savoir ensemble ce pourquoi les choses du devant (paroi rocheuses) sont, et oour cela nous nous devons de nous poser en vrai les bonnes questions, ensemble, face à face, et tenter d’y répondre au mieux. la vie est telle que le temps nous est compté, nous savons cela. nous voulons cerner les s choses au mieux c’està dire finement et dans toutes leur complexité. nous voulons nous approcher de la paroi, nous voulons toucher et entrer en elle. comment cela ? par le biais (natif) de la transe ! on plonge et on y est ! on monte et voilà que les choses devant soi viennent à s’ouvrir subséquemment, qui nous laissent entrrer, qui nous engloutissent (bouche de la mort à l’oeuvre !). Nous avons cela pour nous, qqui est que nous savonbs (très bien à présent) entrer en transe (ou quelque chose d’approchant). nous nous mettons dans des dispositions ensemble rappeleant la transe par bien des côtés. nous voulons comprendre, touccher, entrer, nous glisser dans les profondeurs, c’est un fait, mais aussi nous voulons nous adjoindre à une déoité qui serait contenue en cette roche, ou : déité des déités. Nous voulons toucher la roche (la réalité) poutr la dépasser, la traverser, nous introduire en elle et, en elle, «toucher la timbale» d’une déit»é des plus ancrées. Nous ne voulons pas flancher mais tout au contraaire entrer de chez entrer en elle (fissa) et y rester un temps (le Temps ?) , pour , en vrai, nous soulager, nous poser et résister. Nous devons toucher la roche, nous devons entrer, nous blottir incidemment en elle, nous poser un temps, nous poser le temps nécessaire, nous glisser en elle un temps qui est le temps de l’immortalité ou, sinon, le temps de quoi ? nous devons cerner cela ! Nous devons résister
on l’a dit : à quoi ? à cette chose ici qui semble vouloir nous faire trépasser ! a pazreille chose en ce tte roche, en pareille chose de roche, en cette chose d’une sorte d’entité de roche (etc) qui est cela, qui est pour ainsi dire cette chose-là qui chercherait fissa à nous faire chuter et pourquoi ? parce que voilà : la mort cherche la vie sous toutes ses formes ! La mort aime la vie et n’aime pas la mort ! la mort veut de la vie fraiche ... pour sa gouverne ,
pour son xsein ! La mort veut la vie ! la mort aime la vie ! la mort veut la vie vive ! la mort aime la vie vive et bien fraiche, à consommer subséquemment ! elle aime manger, engloutir, prendre pour elle : aelle a faim , un faim de bête ! on dirait cela, que la mort a fvzaim, c’est-à-dire une faim incommensurable, faim de la fin des temps, fin de la rage et des tourments de bure. La (ici) mort, est cette chose, cette chose comme quoi ou, comment ? cette chose devant soi (loin ?) que l’on cherche 1 à situer, 2 à approcher, 3 àà décrire finement. Nous disons cette chose là comme quoi la mort a faim, faim permanente, a pour elle une gueule affamée en permanence, ou sinon dsouvent : estomac sur pattes. On dit que la mort est un estomac. On pense cela et on le dit. On dit que la mort est comme un ggidgantesque estomac sur pzatte et on ne se gêne pas pour le dire. on pense xici quela mort en roche (à l’oeuvre) est Estomac, a la fringale dite permanente ou sinon permanente pas loin. nous voulons comprendre ensemble le sein de la mort et aussi ses liens avec le Verbe ancré en nous. nous voulons ensemble (2) essayer de comprendre ici ce sein de la roche, ce sein de la mort, cette enclave absorbante, cette gueule ou grande gueule ouverte : qui elle est.. Nous voulons comprendre le pourquoi la mort est ... un sein, un anttre, un ventre, une sorte d’utérus des temps déployés. Qui a dit cela ? qui veut nous dire ou bien nous «dire des choses» pour nous seconder ou nous aider à y comprendre quelque chose de concret ? nOus devons nous approcher d’icelle paroi, la toucher la toucher, et entrer en elle (fissa !) et là nous enfoncer en elle, creuser que tu creuseras direction le fin fond, le son, le chant des terminaisons, des creux, des portes ouvertes. nous voulons nous approcher ensemble (2) de cette chose du fond de la roche = la porte, cette porte ouverte sur un au-delà de type pariétal, sur un espace auttre qui commence là, en fond de roche, sous les embruns. Nous avons à dire ici cette chose d’une sorte de lien précis qui existe entre la mort d’une part (telle qu’on la connait entre hommes / femmes) et le Verbe monacal (ou pariétal) tel qu’il
existe dans son coin, en nous, sous forme de bêtes. nous pensons pour nous que lza mort et le verbe ont parties liées. nous pensons que la mort est comme attenante au verbe? nous pensons que mort et verbe sont unis et courent ensemble sur prairie ou sinon comment expliquer les choses, toutes ces choses qui ici semblent nous gouverner, avoir la main mise sur nous, etc, comment expliquer de fait le temps de la roche rude (brute) ? comment toucher au verbe des de vants ? squi comprend ce qui est qui va devant soi ? qui peut nous aider ? Nous disons cette chose ensemble (= 2) comme quoi la mort est cul et chemise avec le VErbe tel qu’on le pratique ici entre nous au sein d’une tribu, d’une con frérie, peuplade, d'un groupement, etc. nous devons cerner ensemble ces données concernant la mort en tant qure telle et nous approcher au plus des choses
de la v»éérité, des définitions. nous devons toucher juste. nous avons à toucher juste les données. notre but est de touchger au plus juste toutes les données qui, devant nous, s’offrent à nous soit à notre oeil. Nous voulons comprendre ce qui est du monde des esprits, de la mort et de l’au-delà à la paroi, à la lumière d’une déité de type ancestrale = monacale = pariétale = aurignacienne par exemple. Je tombe à la renverse ici et que vois-je ? l’antre ! ou le ventre ! cet antre est un ventre rond ! Je cherche à comprendre les données de base qui, en nous, gravittent et chgerchent issue, car il est ainsi que des mots cherchent à affleurer d’eux-mêmes c’est une évidence. nous voulons toucher ensemble la roche du temps et la traverser. nous avons en nous cela = volonté ancrée, de vouloir toucher... la roche du temps, de la pénétrer pour aller nous y loger fissa et là : résister, on l’a vu. à quoi résister ? eh bien aux assauts bruyants de la mort des rocghes ou dite «des roches». nous devons nous protéger de ses assauts, des à-coups réitérées, des coups du sort, des coups de massue et de bambou. nous devons veillezr à toujours le plus possible nous placer de telle sorte (ici = la roche) que la mort nous laissât tranquille et ne vînt nous poser sur nous sa main de bete immonde = saleté. Je regarde devant moi et que vois-je ? antre de parole vive ! mère sulpicienne ? je tombe ! ah me voilà tombant dans»»» roche ! oh l’affaire ! oh voilà ce qui arrive à moi qyui m’approchais de la paroi et cherchais grave à m’insérer en elle via le trou fait par (en moi) la pique verbale éternelle ! merde ! pourquoi faut il toujours tomber au pire des moments ? juste quand on entre ! merde ! merde de la merde ! merdum de merde ! merde à loa mort saleté ! merdum au dieu vivant (?) de la mort à l’oeuvre ! Nous vouliiiions enttrer et nous
voilà qui nous trouvons comme sur le carreau à compter les morceaux pour ainsi diire ! lmerde ! on voulait pas ! on ne voulait pas ! on voulait restyer vivant en cettye roche dure ou alors comment faire pour ne pas sombrer ? Nous sommes ensembvle qui allons en roche à la recherche de la vérité. ici on dirait que le temps est un apprêt. on voit la chose remuer qui est la mort devant soi nacrée, qui va et vient, serpente sur son chemin. quand va t on devoir»»»» mourir pour ellle ? a t elle décidé du moment pour elle, pour elle ou pour nous, : a t elle choisi lm’heure et le jour ? est elle décidée ? a t elle des vues sur nous = notre vie ? qui est-elle ? nous voyons une chose, nous sommes deux (ici) qui voyons cela , devant nous = une porte = une entrée = un trou dans la roche = un passage concret = une sorte de sas pour une traversée ... des données de base rupestres. NBous entrons ensemble, nous nous faufilons, nous voulons comprendre ensemble ce qui est ici pour nous en termes de données de rage. qui pour être là à nos côtés de grâce, qui ? car, on veut avancer ! on veut pas rester à quai ! on veut cerner ! on veut pas rester sur le pavé à lambiner etc ! Nous voulons toucher la timbale, creuser le fossé et nous y loger si tant est , nous faire petits, nous glisser en lui (fosse ou fossé) et ne pas trépasser mais rester = tenir = aller toujhours, vers sa destinée ou en direction de sa destiinée = tenir bon = choisir le bon wagon ou bien le bon cheval. que dire qui puisse nous donner de quoi comprendre les données les plus intimes des choses du monde ? nous ne vcoulons pas trépasser car nous voulons être, pour la chose devant soi nommée, êtres de renom. nous ne voulons pas sombrer corps et biens à la renverse mais faire ainsi (à travers le temps) que le nom que nous portons soit celui que l’Amour des roches , cet etre diffus, ce fantome ou commùent, puisse conserver par devers lui en sa mémoire, en son sein ou antre mémoriel. Nous creusons la roche devant nous = nous faisons un trou = nous fouillons = nous nous infiltrons = nouds mesurons = nous étirons, etc. le temps pour nous est cette chose permettant l’offrande d’un devant en quelque sorte de fausse monnaie. Nous nous agenouillons sur roche et prions pour que la mort restât gentiment où elle est dans les embruns. nous sommes qui voulons comprendre des données liées à du Verbe nacré,, à du verbe fin, à du Verbe de paroi ambrée. Nous nous approchons du fond de roche et nous cherchons à passer la tête, à comprtendre, à trouver, à toucher pôur trouver. la mort est une et indivisible ? ok ! Pourquoi pas ? la mort est un antre de roche dure !Bon. elle se situe au centre de la roche dure = de la vie, soit en son sein. elle n’’st pas facile à trouver ‘(à dénicher) car elle est bien cachée en ce sein de roche (de la vie vive ? de la vie dure ? des tourments donnés ?). nous nous appreochons d’icelle (roche et mort) et nous les touchons (les deux) à même la peine ! comment dire ? nous voulons comprendre icelles (roche et mort, roche de la mort) ce qu’elles sont au juste, ou bien ce qu’elle elle est pour de vrai (roche de la mort à l’oeuvre) et pour cela nous... chantons ! ah misère ! oh l’enjhoué ! oh l’homme aidé ! oh l’homme mal aidé oui ! hommùe ou felmme ici pas d’importance ! et homme et femme aussi bien ! Nous cherchons ensemble , nous sommes soudés, nous sommes collés entre nous et c’e’st même pour cela que nous ne nous lâchons pas d’une semelle ! Nouys entrons ensemble en roche (pîc de verbe aidant). là, en vrai, nous regardons les abords, zt l’horizon au loin qui semble ou semblerait nous faire sign e et nous appeler (musique !). nous sommes deux (2 de rage) et poussons au loin, allons plus avant, ma rchons de guerre lasse et, ainsi faisant, nous voici qui arrivons ensemble jusqu'aux portes ouvertes d’une sorte d’enclave en paroi. Nous passons la tête, manière. qu’y a t il à voir misère ? peut-^ttre une... voix ? ah ! Quoi d’autre ? voix qui parle = meugle = animale ! ah ok ! et du coup on se dit que peut-etre en effet la mort = un antre = un terrier = un lieu de repli animalier, etc./ ventre ? nous disons que nous ne savons pas ! nous disons que nous voulons savoir ! $nous disons que nou!s devons savoir et aller plus loin vers des connaissances primordiales, princières, premières, ancrées, insérées en un sein de base. Nous nous devons ensemble de pousser plus loin nos investigations. Nous avons à faire cette chose ici d’une poussée en roche ! et cela : fissa ! via du verbe repoussé ... comme un métal ! via du verbe de paroi de roche
, à la mode des temps reculés (aurignaciens ou magdaléniens) comme pour de juste. Nous devons cerner précisément un certain nombre de donnée, les poser sur roche (offrande à deéité) et puis ... nous échapper ensxemble (main dans la main) sans nous retourner de préférence. antre ? ontre ? outre ? être ? altre ? ancre ? Nous cherchons ! Nous sommes ici sur des questions de très grande importance. Nous chgerchons avec beaucoup d’assidyuité, de sérieux et de conviction. nous nous disons que nous devons pousser = pousser loin mais comment ? les mots sont tous de la partie on voit ça. les mots (le VErbe) sont là (est là) qui pèse(ent). On dit que les mots sont des mots qui pèsent = plombent = porteznt = étais = cheville ouvrière = producteurs de choses de roche à la base et au sommet/.;. Nous cherchons la vérité de la lande dans la la,nde. nous voulons comprendre ce qui est en roche, ce qui est pour nous qui sommes des intrus et des intruses pour ainsi dire, qui allons en roche ar(mées de nos verbe acidulés, ou de notre verbe dit «a cidulé». qui est l:à pour nous aborder, nous guider, nous acccueillir comme il se doit, et, ... qui ? qui fait ça ? qui est là pour ça ? Nous voyons devant nous comme une porte = échancrure de roche dans la roche = concavité ? Nous nous infiltrons en elle. nous entrons à pas comptés, marchant lentement, sans bruit, dans une direction comme voulue par la bande pariétale. Nous sommes deux (2). nous ne sommes pas de trop à deux (2). car à deux c’e’st mieux ! au moins à deux, etc. nous voulons toucgher ici au plus vif du verbe ! Nous voulons ici ensemble toucher le vif du pklus vif du verbe déposé. noussommes deux ici (roche) qui touchons au vif du ver-be nacré. Nous nous excusons ou presque de toucher. Nous nous excusons d’avoir touché mais il le fallait car nous sommes pris et prises = prisonniers et prisonniéres d’un état de fait qui nous voit grimper, léviter, charger, piquer roche et entrer cfomme par miracle. ,nous avons pour nous ce pic de v erbe acéré, nous nous en servons cfomme on peut le penser et entrons
. Nous nous immisçons en roche = en ce sein des seins pariétal animalier tempporel de
roche. nous devons toucher la roche. Nous nous devons de faire ainsi que nous soyons comme accolés à pareille «roche des tourments» liées à une vie humaine (contractée) à devoir endurer vaille que vaille. nous devons pousser la chose ... au plus loin possible , vers les embruns, vers le son sourdant de pareille ici anfractuosité. les mots sont de roche dure mais ils vont vers pareille entrée et savent «naviguer» dans un sein pareil, aux donées de roche déployée. les mots naviguent, flottent, aident, tamponnent. Je vois ici la roche s’ouvrir et moi (nous) d’y entrer. d’entrer en (oche pour la vie ! d’entrer vif en elle et de vite chercher à m’y loger sans crainte, sans souci. Je me loge. je me love. je m’accoude. j’entre en roche comme en religion : ici lka parole est verte. ici la roche est un antre? ici le verbe est une plante ou comment ? qui pousse en moi comme une branche. Mort de rage est là quui menace, saleté ! nous voulons compren dre. Nous devons comprendre. nous voulons cerner ! Nous voulons ensemble cerner au mieux. nous voulons ensemble cerner ce qui est et ne plus recvuler. notre but est affiché depuis la nuit des temps dits «pariétaux» c’est dire ! notre but est notre ambition est notre projet est nottre trajet est deVerbe constitué etc. charges comprises. car la charge ici est massive soit considérable. on sait ça comme quoi le verbe est animalier qui cherche à se lover non dans le passeé mais dans le présent adoubé par l’avenir du dire déplissé comme une chemise (chandail ? jacquette ? chasuble ?). nous disons que noys voulons cerner au mieux, les contours d’une sorte d’antre fzit de verbe animalier : cette chose-grotte est chose-sein. notre but est de nous afficher nous-mêmes sur roche, sur paroi comme aurochs des prés ou autres betes cavalières, chargeant, pouvant du moins charger que tru chargeras dans le tas. nous nous affichons en tant que nous serions bêtres nous-mêmes, et de même ordre divin = aurochs et autres betes à cornes et des prés. nous nous approchons de la bête monstre, elle eswt là devant nous qui cherche à nbous parler et à nous donner ce la de base (musical dès lors) qu’il nous sied
(à nous) d’activer fissa par la bande : la la la ! nous chantons ce la de contrebande
, ! nous sommes chanteurs d’une rage à être prisonnier prisonnière dans un sas de roche tourmenté. Nous ne voulons pas trépasser, nbous voulons tenir en roche le Temps le plus approprié à une vie longue. nous voulons aller fissa en roche , traverser la roche et nous retrouver, au fond d’iccelle (croisée des chemins), à devoir toucher (touche que tu toucheras) la porte d’entrée à une autre cavité cachée ou celle-ci cachée qui serait pour nous l’entrée parfaite, l’idéale;. nous sommes (à deux) contre = accolés. Nous cherchons à passer la tête = à naittre à cette sorte de nouvelle vie qui semble pour nous se tracer devant nous. Nous sommes deux qui ici cherchons à) passer la tête soit à renaitte là, ici, roche, galère. nous voulons essayer de passer la tête c’’esst galère ! Comment faire pour passer la tête ? comment faire là ou ici pour passer la tete et le reste à travers ... la roche du temps ? soit : crever (percer) l’écran du temps ? comment on peut faire ? comment cette chose ici (la mort en roche) est-elle comme dépassable ou traversable ou perçable ? Nous nous immisçons enn roche et cherchons. nous sommes deux qui (ensembkle = main dans la main) cherchons à percer l’écran, la feuille, la fibre du temps. nous voulons percer cela qyyi devant nous déploie ses ailes de géant. l’animal ici devant est comme ailé on dirait. On dirait cela, comme quoi ici bas règne l’animal ! l’animal est roi, qui rèeg,ne sur terre paertout et même en ous. nous voyons la chose, nous la comprenons : une bete
en nous est logée qui cherche à sortir son nez ou bec ou museau. nous sommes occupés ou avons en nous cette bete, par cette bete. nous sommes occupés par en nous cettye bête de la paroi dure. l’animal est en nous du verbe. la mort est greffée sur pareille chose déplacée. ou disons placée et où ça placée ? en nou--mêmes. Nous voulons comprendre tout cela ici à la lumière de la vo... voix qui parle en nous ? ou de quoi d’autre ? une voix en nous s’exprime, dit fissa ce qu’elle a à dire, ecxprime ses vues sur la roche, dame le pion à Mort la Grande Bécasse, etc. voix de rage en nous, qui n’en demandions pas autant. Nous nous approchhons d’une bete de joie. la bete est devant nous, qui semble voir en nous la bete contenue en nous : de bête à bête. Nous sommes postés ici mêmev (roche) sur paroi = l’endroit des betes perlées. nous ne voulons pas mourir et voilà pourquoi nous sommes ici entrés en roche (la vie) par la bande (le langage inculqué ezn nous). nous sommes éduqués.nous oparlons l’idiome loco-régional que l’on nous a appris conséquemment, et cet idiome à présent est incrusté et ne sw’en laisse pas conter tu peux le croire. nous sommes à devoir comp^ter les mots les uns les autres,; afin de comprendre ce qui est, cette chose en nous qui est du passé, qui est temps vécu = mort. nous l’offrons à qui de droit, devant soi = postillons. nous ne voulons pas passer l’arme à gauche (point de ça simone !) : non ! Nous voulons creuser la roche
et du coup toucher la Chose devant soi qui est... un animal on xsait cela ! l’antre de la bête ou bien ... la bête elle-même ? ou bien les deux mon caporal ? nous cherchons à vif ! Nous devons ensemble nous positionner dans bien xdes domaines et toucher les choses pour de vrai de préférence. Nous voulons comprendre les données de base présidant la Chose, soit la Voix, ce qu’elle est pour nous qui ici nous enfonçons dans lke Verbe vif de rage incluse. NBous voulons cerner les données dx’une rage à être on le comprend. Nous sommes qui voulons cerner ensemvbvle et en avancer grandement sur ce chemin des connaiossances eswssezntielles = vives = premières. nous nous approchons de la bête et cgherchons à toucher sa pelisse. devant soi il y a la bête. une bête trône devant nous. nous sommes deux qui nous inclinons . une bete devant nous est là qui nous en impose par sonn poids, sa masse, son allant de rage, son pas lourd? voi;là ce qui est. nous sommes à ses pieds comme deux enfants des landes, pezrdus, perdus dans les prés, dans les prairies, dans les bois et sous-bois. nous voulons comprendre ce que c’est que c ette chose ici pour nous d’une sorte de chant choral(?) qui vient hjusqu’à nous. nous voulons cernner des choses fines, vraies, avérées, qui puissent nous aider pertinemment et concrètement sur ce chemin (devant nous) des connnaissances définitives. pour cela : un mot d’ordre : fiissa ! pas d’autree moyen que la vitesse ! ce qui vien t de chic impose sa loi ! la chose est rugueuse mais a le mérite d’exister c’est déjà ça ! je vois cette cjose en moi qui a pour nom la mort. elle est toute entortillée au Verbe, et, de ce fait, semble se comp^laire à pareil embrouillamini. on dirzait que ça lui convient ! je vois lma roche dezvant moi= la bete = la gravure = du verbe = l’homme ancien ? je veux être cette bete que je porte en moi et, ainsi, déposer icelle, vite fait, sur ce seuil de basse-fosse, sur roche attitrée ? Je veux être vif = en vie : à jamais on l’a dit . l’immortalité ! cfomment s’y coller ? comment comprendre ? commùent donc toucher latimbale ? comment faiore ainsi, que des choses soient pour nous choses de rage à naitre, à être sur terre, à v enir?-? car voilà ce que je vois devant moi : une sorte de paroi du monde»»»»», qui est (sezrait) la vie e lle-même
avec ses soucis, ses coups durs ou autres coups du sort. nous voulons savoir ensemble (en même temps) ce qui est ici pour soi en attente.en attente d’une réponse : en attente d’une sorte de parade ... à la mort. La mort on le voit est toute entortillée
au verbe de la vie interne à soi. on comprend que les choses ne vont pas de soi, que rien n,e découle de rien sans chose cachées. On voit ce qui est qui nous regarde et nous de nous en étonner permanemment si tant est, ou si chose se peut. nous voulons piger vif la vie, la mort aussi. but avoué est à moitié touché. Nous devons pisser (copie de rage) et aussi filer doux à la dérobée, car, nous sommes postés, nous nous so:mmes logés ou lovés dans la roche... à la place de l’animal, et ça l’animzal nj’aime pas, donc : fuyons ! allons voir ailleurs si on y est, etc?. je suyis celui-là qui cherche à comprendre des données de base concernant de fait cette chose devant soi d’un animal de poids. outrage ? nous nous sento,ns comme conditionné, enserrés, encerclés, c ompris ou comme comprimés. Nous vcoulons nous échapper (par la bande ?) de la cape d’une sorte de raison de base ... adjacente au dieu de la mort (entortillement ?). nous sommes à vouloir chercher ensemble des données de rage tantrique, etc. Fuyons la raison ! ou pas vraiment : fuyons l’analyse . ou comment ? Fuyons tout court, à bride abatuue, à toute blinde, dans le temps (soulignezr «dans le temps»-). je suis homme qui (ou femme) va vif devant lui (ou elle) : un chemin de croix pour une sorte de réserve à faire pour soi en matière de ... joie à être (à naitre, etc). Nous ne voulons pas pâsser àç trépzas. vifs et vives voulons rester et fissa. je rega rde devant moi, ce temps déplissé est du temps de rage. ,je suyis ceet homme cheveux courts, pas bronzé, menu (?) ou potelet qu’importe ! je vais dans kla roche. je m’avance en elle. je cherche à cvomprendre: à comprendre ici cette chose nommée «sas». Je suis inséré en cette roche pariétale capitale =antre = outre = réduit = caverne =
pièce = sas. nous voulons comprendre ce que est ce lieu , d’un dezvant de soi offert. il sezmblerait que nbous ayons , à cerner de près pareilles données concernant la mort. admettons un antre devant soi. de quoi est-il fait ? de magie ? de quoi donc ? nous devons à présent explorer ensemble les tenants et les aboutissants de la magie telle qu’elle semble opérer en nous, dans notre cavité perso (antre-outre de roche dure) . nous voulons comprendre ce qui est , et pour cela nous devons rester éveillées , ne pas glisser subrepticement, ne pas s’endormir sur ses l auriers et y aller ! tout de go ! vif fissa ! Ne pas trébucher ! tenir bon la travée (sa travée) et ne pas en démordre ou s’en éloigner car là (sa travée) est la vérité on le voit. on doit faire cettye chose ensemble qui est de comp^rendre et comprendre au mieux les données les plus fines et perceptibles possib le. Nous cdevons touchger à pareille roche et ne pas sommbrer soit chuter de tout son long par tezrre (en arrière par terre, ou en avant peu importe : ne pas sombrer coute que coute, et d'y akller fissa en roche debout, droit posté, etc). Nous devons toucher la roche pour nous. Nous nous devons, pour nous, de toucher la roche. nous devons veiller à ne jamais sombrer mais à toujours tenir bien droit, ou à nous tenir droit face à l’animal consacré. La bete dezvant soi est une bêzte-monstre, éminaemment forte, qui connait beaucoup de choses qu’elle serait sans doute susceptible de nous divulguer le cas échéant. une bete(devant soi est une bete à chochoter, si possible, ou disons à ne pàas effrayer, à toujours veiller à la tenir en vrai comme rassurée face à nous qui nous a pprochons d’elle à pas menus. nous sommesq deux êtres (ensemble) qui cherchons vaille que vaille des donhées «de profondeur» concernant ce que c’est que la mort, la vie, le verbe, les embruns, lm’au-delà etc. on sait que l’au-delà (déjà) est une gageure. On sait très bien cette chose, comme quoi l’au-delà est une sorte de prairie bien verte et lumineuse. on voit y brouter ou y paitre moultes bhetes herbivores. kle cheval en (très) bonne place (la première) . et l’aurochs alors ? bon dernier, qui traine sa misère ? qui fait long, fastidueux, qui traine que tu trainezras sans cesse ? Nous pensons aux betes. nous voyons ce s betes devant nous recelant le temps cd’une vie à vivre, et la mort comme enchevétrée à notre» tige». a pareille tige pariéta le, etc. Nous njous enfonçons dans la roche. je regarde un peu autour de moi et que vois-je ? eh bien ... je vois que des choses sont en train de se tramer que je n’attendais pas forcément. une Voix parmi d’autres s’élève, quiiu dit ce qu’elle a à dire. et qu’a-t-elle à dire ? elle est Voix de Rage au singulier(rage) et voix de rages (au pluriel). car la rage a fait des petits qsui brooutzent (tous) sur pareille prairie-aux-embruns de l’au-delà à une vie terrestre lambda. nous cherchons ensembvle à comprendxre ces données de rage(s) ici déployées, données d’une rage à être nanti ... de ce bec de perce-paroi ! et auussi d’une rage à naittre dans un sein des seins clôturé comme une prairie. je trace des traits à même la roche. j’essaie cde co:mpre ndre ces traits (venus à moi) ce qu’ils représentent, ce à quoi ils se rapportent. Je cherche à trouver pour ainsi dire des choses de poids à même la roche. Comment faire ? Je voudrais connaitre un certain nombres de clés ... susceptibles d’ouvrir x et x portes de destinée. comment trouver ? nous cherchons ensemble les clés un peu partout à la surface de la terre. Nous cherchons depuis des lustresc ensemble, partout, dans tous les coins et recoins du monde. ou sont passé les clés qui ouvraieznt des portes ? ou sont donc passées ces clés de base, clés de choc avec paroi de roche, où ? nous sommes deux, nous voulons comprendre ensemble, nous voulons toucher la roche et la pêrcer ensemble : verbatim au plus haut des cieux ! Nous cherchons à léviter ! grimpons ! cherchons la lévitation ! cherchons ensemble icelle ! Ne nous laissons pas démonter mais allons profond, creusons, faisons obédience (etc) à meme la paroi du monde. nous ne sommes pas de trop de deux pour creuser la roche et trouver qui des choses graves, qui des choses moins graves, etc, mais ensemble, creusons pour la bonne cause, qui est de nous voir enfin comme récompensés de tout ce travail par nous effectué à même la terre, terre-mère, soit sur roche = gravure au stylet, dessins animés etc. Homme des cavernes. je suis homme des cavernes. je chante à tuee-tête comme l’homme des cavernes. je chante que tu chanteras ainsi, je file, je chante en filant à même la paroi de roche, soit en m’’immisçant en elle, tete première comme un nouveau-né sortant du ventre de sa mère. je ne suis capitaine de rien (pas militaire). je cherche une voie d’abord pour pouvoir perfuser la roche de mon sang chargé de betes, de betes de roche. Je cherche. Je veux percer. Je veux passer l’épreuve du sang soit du sang donné par la bande et ensuite me ficher ou voir à me ficher plus loin en cette roche dure (une vie de base). je veux etre pris en elle = choyé.
mon sang donné je veux pouvoir aller à me porter plus loin = dans le sas des sas, en ce lieu des vérités indéfinissables ou incommensuralbles ou bien imprévues. car, la vie de roche contient l’imprévu des temps à vivre dans le temps. Je cherche à comprendre ce qui est en ce verbe de choix. qu’est-il pour nous ? tampon ? molleton ? condition sine qua non à un passage dans l’au-delà de la paroi du monde ? Je cherche avec entrain et conviction. je fouille dans tous les coins. je ne suis pas en reste de fouiller que tu fouilleras comme un forcené qui ne s’arrete ou ne s’arreterait jamais tou du long mais continuerait permùanemment son vibrant travail de sape, son chemin de ronde, son entrée dans la matière des données de base (rupestres). Je cherche = jke chante, car le chant induit fortement les recherches, qui incline, incurve, déplace, etc le Verbe dressé. je cherche une excpression à du mystère?. ce qui est ici se loge à vif en cette plaie en quelque sorte d’une hjoue blzessée transpercée pour servir (incidemment) de bouche. je veux être ainsi adoubé par cette autre «bouche de la mort» d’un devant de soi déployé. Je file Phil ! Je fonce Alphonse ! Je regarde Rémi Garde etc ! Je suis l’homme des parois de rage, calfeutré dans son antre, cherchant sxa chaine, tramant ses dires à même sa paroi de charme, etc. Qui veut aider ici pour y voir plus clair sans trébucher ? qui donne ? qui veut faire un geste pour cette recherche à mener ? qui va là sur rail s ? Je regarde, je vois devant moi la roche, je suis proche de la roche, j’apose mes mains sur pareille roche froide. je suis là pour ça. je veux savoir les choses ce qu’elles sont et ne sont pas. je veux être cela que nous voyons devant,, qui est animal, qui est bison, qui est buffle, qui est aurochs, quyi est antilope, bouquetin, lion, ou ours des cavernes. je m’appelle ainsi que l’on dit à voix hjaute en classe, par mon nom. Je tombe ! aie je tombe ! aie aie je tombe ! mille dieux de rage assoupis (les diieux sont assoupis et la rage aussi !). qui parle en mon nom ? qui cherche pour moi à même la pierre une entrée de pa roi ? qui veut m’aider ? qui comprend ce qui est devant ? qsui voit le sas ? l’antre ? l’outre ? la cavité ? Je m’avance et comp^rend des choses. un jour prochain j’en saurai davantage. il y a loin de moi à cette chose, qyui le sait, mais voilà, je suis prêt à braver la roche, m’immiscer fissa, et tomber nez à nnez si tant est avec une quelqconque (?) déité dite « de la roche et des touyrments», quyi sait ? Je suis l’homme au sang qui bout en ses veines. je m’appellme ainsi que je m’appelle, soit du nom porté. je suis ombre = homme (as)--tu pigé ici l’allusion de masse ?). j’opte pour une voie neuve en cette roche dure, j’opte ainsi (pour moi)- pour (en vrai) nouvelle entrée de base = les données données = la paroi percée = le sang donné. je donne mon sang à la paroi du
monde. c’est ainsi qu’ici je suis, à vouloir donner que tu donneras mon sang à la volée , comme une balle à attrapper ? comme balle jetée ? comme base vive déployée ? comme quoi ? flux sanguin qui est donné à travers la fente rocheuse; invcursion plénière. sang de base consacré. règles. temporalités lunaires; Handicap. obtention d’une prime à l’embauche. collagène. attitude de paroi des monstres? confort manquant, souplesse défaillante, âge gagnant. je tombe ! je suis tombé en arrière et je me suis esquinté les omoplates. je sombre. je suis ombre . je veux être ainsi touché comme par la grâce d’un qui sezrait présent à mes cvôtés pour 1 me soulager , 2 m’aider, 3 me donner du lest, 4, m’octroyer quelques données à me mettre sous la dent en termes de nutrimùents. je veux être pris en considération , par la bande, or ce n’est pas simple, il ,ne suffit pas «d’en être» = de la confrérie, encore faut il savoir «naviguer», «nager», «flotter», «en avancer fissa’» dans les eaux du temps. BNous voulons comprendre à fond, et pour comprendre à fond nous devons percer la chose jusqu’au fond = à la garde. nous devons aller en roche à la recherche d’une vérité concernant la mort, c e qu’elle est et le pourquyoi elle est au lieu de ne pas être. car les choses ont l’air (toujours, mince !!!!!) d’aller de soi or pas ! que non ! on peut pas le dire, et cependant... Les mots influent, gravement, qui sont formés sur tramed’autorité. les mots ont ce semblant de base, autoritaire, qui forme les choses dans un sens tout de persuasion, de certitude. nous disons que le langage parlé, les mots de rage, le parler des mots inculqués, est basé sur une trame dite «d»’autorité» qui en impose et font penser, à tout bout de champ, que les choses (toutes ou presques) vont de soi, sont vraies, ne souffrent aucune voix contraire. or c’est faux ! les mots tremblent sur leur siège ! ils
sont menacés. les mots tremblent fortement qui sont infoutus de teniçr parole longtemps, et ont vite fait de tomber à l’eau, de dater, etc. Nous voulons comprendre ici les données vives liéesz à la mort. nous voulons cerner au mieux ce ghenre de données primaires ou premières à même la terre. car, les mots sortentb (sourdent) de terre c’’szt un fait. la terre recèle les mots. La terre est l’antre des mots . la terre est le cercueil des mots et le berceau. ou 1 le berceau, 2 le cercueil, etc. je parle tout bas car ... je sais que je suis pisté ! je connais (de loin ?) l’olibrius, il s’agit d’un Roi. oui, Méga°_roi de la Roche du Temps, du chateau. je cherche à comprendre ce tout mais comment car avec quelq mots ? Je suis sur roche un homme perdu. je suis homme perdu sur toche des temps et je vais et viens incidemment à la recherche d’une déité perlière (perlée
?) qui puisse m’aider dans mes recherches (souterraines ? aériennes ? à ciel levé ?). Je chezrche que tu chercheras en vibrant. Je suis un homme des guerres aux tourments mais comment veuxtu faire la guerre aux tourments ? Je tâche d’y voir clair au plus, et pour cela je me rapproche de la paroi meuble, je m’approche d’elle au plus possible que je peux. jhe vais ainsi. hje touche. c’est touché. je sens en moi la force gagner qui veut me donner le peps nécessaire à un jet brusque de mon moi ... tracé à la ronde : pif ! adoubé = inséré ! Je suis entré et je m’assied un temps en roche. dur de ne pas souffler ! Je creuse ! Je veux être là cet homme sans voix qui va de l’avant et s’enfonce ici (roche) da,ns les sphères d’une sorte d’au-delà à une autre roche, ceklle -là, à savoir : roche des embruns de bord de mer. Je veux être reconnu comme homme des prés chargé de victuaillesz à devoir donner oà une déité de passage. qui est-elle ? je veux toucher roche-verbe. je veux cerner verbe-roche. qui est qui ? la mort est elle salutaire ? La
mort a t elle pour elle de quoi se
vanter ? est elle maitressse ? que dit elle ? ou est elle logée ? en mon sein de base ? verbe-cancrelat ? chanoine en moi ? je veux etre ici compris pour celui ou pris comme celui ou pour celui, enfin pris-compris pour celui-là que, en vrai, je suis, or qui suis-je ? Je cgherche à comp^rendre x données ici de base royale, ce que sont icelles sur un pré, dans un champ etc, pour moi qui veut vaille que vaille m’approcher d’elles pour les soupeser, les jauger, les prendre en main pour m’en faire une idée et les nommer (renommer ?) le cas échéant. je suis homme des tourments qui cherche (ici et là) sa gouverne, son chef en son propre sein de base. je cherche à même la roche gravée, soit ainsi plaqué contre icelle, mis à pklat sur elle = appuyé etc. je suis homme qui (dans son sein) contient du verbe, et ce verbe est natif, et nominatif. je cxherche à comp^rendre un certzain nombre de données qui pourraient toutes éventuellement faire l’affaire et me donner les ailes nécessaires à un envol, de fait, dans lkes règles. Je veux être ainsi soulevé et je l’annonce en pâreille roche ou en ce sas de roche, c’està xdire que j’annonce la couleur de cette chose que pour ma part je souhaite instamment pouvoir développer incidemment. je m’appelle ainsi que l’on me nomme et ainsi nommé j’avance d’un trait, d’une foulé et m’incruste vif (le passzé donné) sur roche des bois et des forêts dites «domaniales» il se pourrait. je vais en roche nommé. je suis nommé. je suis homme nommé. je suis bêtye nommé. je suis bête de paroi nommé. je suis homme-femme xdes parois nommé. Je veux l’etre et le rester. je ne souhaite pas perdre le nord, je souhaite le conszerver et savoir me repérer en toutes contrés (boussole du Verbe enchâssé en ma gouverne) . je tremble quelquefois devant l’adversité mais pas cette fois on le voit : je me risque à nommer la mort ! Je pzarle d’elle à des temps conjugués et ne m’en laisse pas conter pour rien , ou sinon pour rien pour me faire blouser par icelle. car la mort est un chenapan de sa rage. la mort est toujours là (présente) pour vous blouser, pour vous attrapper. La présence au monde de la mort ne fait pas xde doute, car, on la sait logée dans un antre qui est un ventre qui est un sein contenant des bêtres. et si ces betes contenaient la mort ? l’abritaient ? nous ne savons pas mais nous chercghons coûte que coûte et sans rechign er. on se doute ici que le mot induit la chose recherchée ou plutot : le tempo, induit (fortement) le déroulé de ce qui se dit en termes ici de recherche à mener, à conduire. la dite «musique» ici fortement indyuit qui conduit le dire et le canalise à son gré. Or voilà ce que je vois ici : je vois une mort, la mort, aller et venir en moi. le passé de moi empiète sur une sorte de paroi de temps qui est la sorte de paroi du temps dite «du temps présent». le temps est don à dé»ité, mais quel don !Le temps est déposé au pied de la roche du monde = sur la terre ferme = le plancher des vaches laitières. je suis à la recherche d’une voie d’abord afin de perfuser le temps de mon propre sang. je cherche à perfuser la roche de mon propre sang ou avec icelui on dira en premier de préférence. Je cherche ici à donner mon sang à l’intérieur du temps = règles ? Je suis homme au sang chaud bouylla nt cherchant chose = don. Je suis homme des parois du monde, je suis ombre et homme = hombre = animal = animaux car je suiis double ou en moi doublement habité par deux tetes chercheuses qui cgherchent (les deux) à donner du sang pour ainsi dire par la bande. je veux être a insi considérés comme icelui donnant du sang de lui à déité nacrée, à ce dieu des parois mobiles. je m’applique. hje tente une approche presqaue rebelle. jhe veux être un homme déployé et pour ce faire jentre dans le temps d’un déroulé en vrai quasi monacal. disons pariétal et ça fera l’affaire on voit. on voit ces betes de choiçx (bouquetins ? buffles ? bisons ? ) aller et venir sur roche comme da ns le temps. ce sont de bien belles betes au demeurant, on voit ça. on dit qu’il s’agit du temps ainsi déposé mais du temps passé qui donc ne jouit plus du même «train de vie» que la vraie vie encore tremblante. La vie vive est chose rude mais tenace. Je cherche une voie, une voie d’abord pour une perfusion voire une transfusion. qui voudra donner le sang de son passé passé ? qui perle ? ou qui parle à travezrs le sang ? qui veut y toucher (à la roche) sans se brûlerr ? qui a mis ses mains devant et tracé la Chjose du temps saccadé? Je vois devant moi une chose rude, cette chose est une chose dure, il s’agit d’un être de paroi. Chargement. qui va là sur roche ? qui me veut ? qui voudrzait incidemment de moi ? qui pour me comprendre ici ? qui me co:mprendra et m’écouteera d’abord et me donnera des garanties concernant la mort ? c’est à dire : qui pour moi me secondera, ou m’accompagnera dans ce saut de rage , dans un saut de rage, de là à là: qui ? Je suis homme des parois de roche dure, je m’enfonce en elle, je cherche mon nom : quel est-il ? doit il se terminer fiszaa ou doit il continuer le temps d’une vie allouée ? je ne cherche pas la Chose pour la Chose, mais pour me sauver, ou quoi ? comp^rendre ? qsue comprendre ? me tenir coi ? je cherche faille pour me protéger, éviter les coups du sort et les coups de bâton. je vais en cette roche innoccement quadsiment (?) à la poursuyite d’une sorte de donnée royale, princière, vive comme l’or. cetye donnée, ici, porte un nom, et ce nom je vais à mon tour vous le donner si tant est. le
nom ici est.... Chose = bidule ou machin dit «de la roche des apprêts» . retenez son nom, soit la fin. car la roche des apprêts» n’sst pas rien. il s’agit ici d’une sorte de denrée, de chose à manger , à ingurgiter. la mort a toujours fzaim et jamais n’est rassassiée hélas. la mort mange = gagne du terrain, à mesure que nous a vançons en âge. la mort est Chose rugueuse, qui file vif ici (roche) sa pelote à faire des chjoses et d’autres à qui mieux mieux afin de vous comme pousser à la faute et vous faire tomber illico presto sur roche. nom de nom ! mzais qu’est-ce que c’est que ce travail de saligaud ! car, la mort est à injurier ! toujours ! volontiers ! permanemment ! car elle le mérite : elle mérite les mots de forçage, l’incandescence, les feux de l’enfer des mots déployés. je regarde loin et quoi vois-je ? eh bien ces apprêts = cette
chosedéposée= cette chose comme crémeuse, huile de bain ? huile tout court ? huile à masser ? huile d’enduit ? huile alimentaire . huile des tourments de rage et autres faits divers? Je cherche dans la profondeur d’un sein qui est ce sein qyui est le mien. oh voilà la chose rugueuse enfin décrite, sur rochje : il était plus que temps. c’est fait et on s’en réhjouit ensemble. je tombe sur le cul et me ramasse. je suis ou serzais cet homme dees temps déployés ou déroulés comme ruban flottant flottant dans le vent. il s&’agit(peut-être) d’une... gamète ? oh peut-être ici cette chose en don et dé»posé dans le temps lunaire d’une déité est clle-ci que nous pouvons toucher incidemment peut-être par la bande ? qui le sait ? nous passons et pensons , et pensant et passant nous abordons les questions cruciales = celles qui importent au plus haut point et nécessitent réflexion profonde, échanges nombreux, confrontations vertigineuses, mises à plat sur un devant à soi du genre table ou tablée. je vois cela sous l’oeil (en moi ?) de la bête de rage, cettye bête multi-^séculaire, apparté. je cherche à la cerner du mieux possible : est-elle en moi ? est elle si vieille ? est elle une aide ou au contrzaire un handicap ? surcoût ? surpoids ? Surcouf ? je cherche à cerner le plus possible les contours de cette bp^te-mot en mot, ce mot de la mort ! ah voilà ! le voilà qui pointe son museau ! le mot si costaud, ce mot si prégnant, ce mot-massue si vif et vigoureux = ou égalerait ce «beau» (?) mot de «mort», ou même ces mots accolés de «mort à
l’oeuvre», etc. est-ce cela ? est)--on sûr s de cette chose ? peut
-on dire ainsi sans cse tromper ? est on sûr que le mot-$bête par excellen,ce est c e nom ou mot de «mort» ? on ne sait pas. on cherche dans les profondeurs. on ne veut pas passer à côté d’un xsavoir immense mais plutôt comprendre, fouiller, nous jeter à corps perdu dans la recherche des raisons initiatrices et des mots de la base de l’être. nouys disons cette chose enswemble (ou nousd disions) comme quoi merdum ! va la mort te faire foutre ! va dégage! va nu pieds de merde va loin et ne reviens pas», etc. Nous insultons. nous injurons. nous traitons la mort comme une merde, et plus que ça, comme moins que ça. NOus traitons la mort de «petite merde «. De «petite à moyenne merde»,; ou de moyenne à grosse merd» etc. Nous n’y allons pas avec le dos de la cuillère. «saleté, dégage de là», etc. nous avons compris cette chose comme quoi, la mort-déité a à être insultée pour être «chargée». nous voulons cela, charger, charger la mort, et pour cela une seule chose à faire instamment, et cette chose = in jurier fissa, la traiter de tous les noms, la foutre minable comme à l’ensevelir de termes notables. nous pensons que c ette chose est rude à faire c’est un fait, mais nécessaire à la gouverne, à bonne gouverne pour nous, à bonne gouverne pour elle (nutriment de chargement) mais aussi pour nous qui, ainsi faisant, pouvons un temps nous mettrre ainsi à l’abri de ses dents à elle (mangetou). Je cherche à comprendre au mieux les données rudes, celles qui sont dures à devoir déposer, comme les insultes, les gros mots, les injures et autres blasphèmes éducateurs. car ic, nous avons affaire à une bouche-monstre. Elle est grande comme la mort, ou oui : la mort ici a grande bouche d’engloutissement notable. je cherche des mots d’une rage à mettre sur roche, mots d’argot ? mots de merde . mots cvomment ? nous nous sommes approcjjés de la porte du temps et nous avons passé la tête un court instant pour y mieux distinguer d’éventuelles formes qui seraient logées à l’i,nté»rieur d’elle. et qu’avons-nous vu de si précieux ? un homme ? un homme nu ? un homme nu touchzant la bête ? une bête ? une bête aà ses c^otés ? wquii est-on ici qui parlons de cette chose ? qui pârle ici même à prôpos des temps d’allouage ? nous voulons comprendre ensembvle ce qui est qui ici semble se tramer. une porte (?) ouverte. un passage de grotte disons. excavation ? anfractuosité ? damnation ? nous entrons. nous sommes en un sas de roche de choix (toujours) qui nous avançons et chgerchons à être. nous cherchons des données de base royale. notre but ici est de donner des nutrimentsd de choix à une bouche ouverte ou à la bouche ouverte d’un être glouton plus que de coutume. nous voulons percer l(hymen de la roche dure des temps octroyés à une (un ?) vie (vit ?) de parole. Homme court, as)-tu vu la roche trembler ? homme aztèque, es tu de la roche comme une déité nacrée ? homme tampon, saignes tu ? homme hybride, as tu de la peine ? sais tu naviguer ? j’entre en roche nu. je v eux entrer en roche nu. homme je suis qui en roche veut ou voudrait ou
voudra entrer nu. pas plus. Pas davantage. rien de plus que cette cxhose d’une nudité à jama is.soyons chiche ici de dires alloués et donnons du dire à foison : pleurons ! Car ici, dire = (oui ?) pleurer sa rage d’être ... un enfant égaré dans un sas de roche dure. nous voulons comprendre au plus, et pour comprendre au plus nous devons pleurer !ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! oui ici ! car oui ici c’est ! c’sst ici oui que c’est, et quoi c’est ? c’est la vérité ! la vérité des vérrités (V majuscule) passe, passera, passe toujours, par du verbe dru = qui pleure sa rage enfantine (nacrée) dans le sang donné. j’opte pour le sang. je chevaucxhe le temps. je rentre dedans. j’entre en roche = je m’infiltre = je me glisse = fuselage = gaine vive au sein de l’être. j’opte ainsi pour du sang touché comme effluves, embruns et autres brumes de passage. je suis hjomme-embruns à mon tour car je passe ! je passe dans le vent. jentre. j’essaie grave d’entrer mais le vent me refoule, me repousse , m’empêche de progresser, me flanque la trouille qui me crie dessus vcomme un forcené. vent fol des parois de roche. je suis sourd (devenu ?) à ses appels de rage déplacés. je veux y aller de mon propre chef pour comprendre (viser) et en revenir instamment sans y passer complètement, mais cela, tu parles, la mort n’en veut pas qui me refoule en veux tu en voilà comme (à son tour ?) une merde ! un qui ne compte pas ! un qui ne fait pas le compte ou n’entre pas dans le décompte ou ne fait pas partie du nombre. est-ce cela ? je voulais entrer et voir (com^prendre , jeter un oeil) mais non ! pas d’oeil ici à jeter qui se voit refloulé, écarté , eloigné du globe et tenant à peine ainsi : par un nerf atttenant au cervelet. fichtre ! quel
vent ! il s’agit du vent de la mort ! le vent furieux tenace, qui nous pousse vif, ou qui vif sait nous repousser colmme de rien, comme un fétu de paille, une herbe dans le vent, un rien pariétal : aurochs ? hum ! l(aurochs campe sur ses positions et ... resiste à mort ! c’est à dire à la mort (il faut). l’aurochs ou le bison, le buffle ou le méga)-chevreuil, le troupeau de buffle, les chevaux, les antilopes et les rhinocéros, tout cela fait bloc et tient bon face aux courant venteux provenant d’icelle échancrure de roche de la mort à l’oeuvre buffant de tout son saoul sa gageure, son embonpoint, sa mainmise, son train, sa rage perlée ou perlière, son aimant, son sel, sa vie , sa chance, son paradis.
7/3/2022
Notre but est de comprendre dans les profondeurs le plus que nous pouvons concernant ici icelle paroi et icelui «devant» qui nous regarde. Pour ce faire nous nous blotissons l’un l’auttre, nous tentons de faire coprps le plus possible, soit 1 corps, 1 corps regroupant nos deux corps ainsi soudés par ... du Verbe. Nous cherchons ensemble à comme nous projeter en cette roche des données de base. Nous sommes ici deux pour un. Nous cherchons à comprendre dans la profondeur d’une joie ainsi présentée. Nous nous avançons ensemble soit soudés soit unis soit pris comme on dira de deux morceaux de bois collés entre eux que la colle a pris, qu’ils sont ainsi unis en quelque sorte par la colle ici d’un effet de rage?.; nous nous blotissons et en avançons sur ce chemin ici d’une roche dure, sur pareil chemin de rage, sur une voie ou route de passage, etc. car, pour nous, la vie devant soi», ets celle ci que nous voyons formée comme une masse déposée au pied d’une divinité, un présent d’offrande, du temps pour les rêves, une voie de rage, un essai de doublement des choses du monde. Nous nous avançons unis et nous regardons ce qui advient, et qu’advient-il ? Nous voulons aller ensemble au plus profond de pareille paroi. notre envie est de comprendrec dans la profondeur de la paroi ce qui donc se passe, ce qui est et ce qui ainsi nous regarde. Nous cherchons à nouys blottir en elle, à creuser profond jusqu’à toucher le Verbe si tant est. czar le verbe est ici logé qui nous regarde. il a fort à faire : il se doit de nous suivre à la trace et ainsi fait, de nous espionner ou sinon de nous suivrre sans arret, nous mater de base, etc, de façon à ne jamais , pour ainsi dire, avec nous, perdre le contact. nous devons comprendre ensemble ce qui est ici de cette chose qui va là, en suite royale, pour nous espionner de visu. Il s’agit de quoi ? il s’agit du Verbe. car, le verbe est là qui nous regarde de là-bas ... soit de là ... soit d’ici ... soit de tout près = cet endroit de base, ce lieu des dépôts d’offrande, ce seuil. or, quel est)il ? qyuoi donc est ce seuil ici présent ? verbe incarné ? chaleur de type rut ? amitié de rage ? ombre ? NOus voulons comprendre ensemble ces données qui s’offrent à nous et pour cela , nous avons ensemble décidé en amont de nous loger en cette roche (dure) des tourments en veuxx tu en voilà, collé serré, en elle comme deux oiseaux ou oiselets ou oisillons qui de fait se pelotonnent pour braver lesdites choses de la vie. nous devons ensemble cerner (là) une vérité de base qui nous tend les bras, et cette vérité est celle-ci que nous devons comprendre ensemble par la base, par le pied pour ainsi dire, chose à vite vite cerner par la base ensemble et vas-y à y comprendre davantage sans cela ! Car, la vie naissante ici est vie de rage. un poids lourd. un beau poids qui pèse son pesant de rage !! nouxs voulons comprendre ensemble cette chose d’une Voix qui parle haut, nous dit de toujours nbous tenir prêt et prête à tout moment, ne nous l^zache pas «la grappe», nous sermonne un peu aux entournures, nous parle d’une voix qui va de son allant nacré, de son timbbre lourd. nous devons comprendre ensemble un certain nombre de données liés à des sortes de vérités qui sont vérités de bon aloi, qui sont vérités de première instance, chant d’azur, honte bue. Nous nous faufilons à travers la paroi et hurlons notre rage à être ainsi tenues par (en nous ?) cette voix de rage introdyite, ce chant fzaux, cette sorte d’incartade, etc. il s’agit pour nous de nous (en quelque sorte) délivrer ensemble de ce mal de rage à être un animal en soi contenu. Nous ne voulons pas décéder et cela étant dit nous nous introduyisons ensemnble au coeur du temple, en ce coeur des coeurs, au fin fond. nous tenons à ne pas lâcher notre mission, nous tenons à poursuivre ensembvle sur notre lancée et à ne pas lâcher pareille mission qui nous voit aller dans la roche du temps à la recherche de la vérité des véérités. notre encvie est délimitée. elle appartient à un corpus. elle est introdyuite, elle est achevée et acheminée. Nous disons que nous voulons comprendre ensemble cette Vérité de rage déposée ou comme déposée sur le seuil ici d’une sorte d’Entrée en matière. notre vie est dépandante d’icelle = cette Cjose devant soi, ce bouledogue ou sinon cette bête-monstre, chenapan des loges, homme-bete ou bete-homme des apprêts. Nous nous voyons ainsi comme perdus, ou comment sinon ? détachés ? décollés de pareille roche ? et à nous de nouds y replonger comme par lma bande = par le temps ? nous voulons entrer en cette roche de paroi, de paroi dure, entrer en elle et mieux cerner dès lors l'ensemble des tenants et des aboutissants de cette voie d’abord, de ce chemin sa,nglant, de pâreille issue devant soi qui semble vouloir pour ainsi dire nous ouvrir ses bras comme un ami ou une ami (e) chr(esrs. nous Voulons entrer en cette Chose devant soi qui est de ml’ordre des choses données, qui est outil , siège, pa role, contact, etc pour nous. Il s’agit ici , de toucher la parole de front. il s’agit ici, pour nous, de toucher icelle, de front, et de lui bparler. s’agit-il pour nous de toucgher icelle (pa role de front) et de lui parler ? Il semblerait que oui ! Il nous swemble ici que nous devons aller au fond en quelque sorte d’une sorte de paroi des profondeurs verbalkes, nous devons cerner ici ensemble les fonds de la roche afin de mieux comprendre les données de base présidant (de fait) la vie de ta race ! Nous voulons aoinsi ensemble toucher le fond. Nous devons ensemble (toi et moi en nous) toucher le fond d’une sorte de langage abrupt, sorte d’incartade ici tenue, qui est écart, qui est encart. Nous voulons toucher le fond d’une sorte de roche du temps. pour cela nou!s nouys blotissons l’un l’autre, l’un dans l’autre, nous faoisons corps. La chose estcruciale. Il faut voir cela, comùme quoi pareil effort ici = une volonté = un désir = cette envie en nous de traverser la roche (le temps) et de nous loger ... à la droite d’une déité ... qui serait celle-là même que nous espérions rencontrer depuis longtemps ! Nous disons cette chose , là, comme quyoi icelle déité de roche = une sorte de divinité des choses du monde = un voeu, une sorte de V, etc,, qui est ce V moultes fois rencontrées depuis notree naissance = vbVérité de bon aloi = Vérité des Véreités = vanu pieds. Nous disonsq ici que nous devons toucher ce va nu pied venant vers nous, le toucher du bout des doigts, le toucher à même la roche des temps (du Temps). Nous voulons toucher cette ombre, cet homme, cette Chgose, ce Vent, ce va-nu pied tel qu’il nous apparait. Nous voulons toucher cet homme devant nous qui nous regarde et semble vouloir nou
!s parler. Nous voulons aller vers lui, nous voulons le toucher au vif. Nous ne voulons pas le laisser de côté et le snober mais tout au contraire le toucher de nos dix doigts, le touchger en vrai, concrètement, pleinement et amicalement. il sw’agit pour nous de comprendre ici la raison qyui nous pousse (de conncert) à vouloir en vrai aller profond dans pareille loge ou roche de contenance. nous sommes ainsi ensemble mis ou mises ou soudées, pour un faire qyui concerne ici la Vérité des Vérités, ce quartier, cette loge, ce sein, cet endroit des données profondes ou aux données profondes, ce drôle d’endroit», etc. Nous voulons ensemble toucher cette chose devant noys qui nous regarde, il s’agit peut-être ici d’une sorte d’entit-é de base, formée ou dessinée par un homme ou une femme des cavernes : un aurochs ? nous voulons essayer ensemblke de nous approcher d’icelui aurochs. Notre envie est de nous approcher, à pas doux, de pareille bête de poids conséquent. nous voyons la bête devant nous , eelle est drôlement osseuse et massive et forte-folle, etc, elle pèse son pesant de rage c’est un fait. Nous voulons ensemble nous en approcher via l’emploi de «verbe de poids» tout autant = feu contre un feu ou comment ? nous faisons le pendant ! Nous tentons ici de faire ainsi que la chose soit, que pareille chose ici d’une sorte en quelques sorte de contre-poids, ou bien de contre-chant, ou de contre-balancement puissent nous donner de quoi rétorquer et peser en face, peser à notre tour face à la bete devant nous dressée qui nous regarde méchamment et semble vouloir attenter à notre vie de rage à nous. Nous cherchons à comprendre
ensemble x et x données qui nous en apprendraioent en quelque sorte sur les rudiments d’une façon d’agir en face» de pareille bete. Nous voulons apprendre ensemble à comment nous en sortir, à comment contourner, à comment toucher
sans se brûler les ailes, etc?. Nous sommes deux. Nous sommes soudés. Nous sommes unis pour la vie en un sein de première instance. Qui vient à nous qui nous regarde ? eh bien peut-être est-ce un aurochs ? ou bien qui d’autre ? qui veut nous voir et nous parler ? qyui veut nous toucher à son tour ? qui est là pour nous, qui veut nous toucher et nous adresser mla parole ? une sorte de bête de rage enfin dressée ? une sorte de bete des parois ? animal domestiqué par lm’homme des cavernes ? animal des parois mobiles ? animal mobile des parois d’une sorte de rage à être ? qui veut savoir ? qui dit que cela est ? qui en nous parle un langage des entrées en roche ? qui veut nous toucher à même notre peau d’enfant naissant ? qui veut nous toucher déjà tout enfant ? qiu a compris ceztte chose ici d’une sorte de parole ... incarnée, devant soi (le passé déposé) qui nous regarde ou regarderait fixement comme un dératé ou désaxé ou comme le fol de sa rage à être devant nous l’homme-ombre des parois du monde : qui ? car, la vie est vie de rage, elle se déploie en quelque sorte dans le temps comme un ruban. Nous ne sommes pas trop ainsi de deux, pour aller en cette roche dure d’un verbe incarné = une mesure, un poids, une sorte de poids de rage, drôle de mesure etc. nous cgherchons. Notre but est là quyi est noté en toutes lettrees sur la roche et ne souffre d’aucune sorte de , comment dire ? déclinaison ? non ! comment alors ? nous cherchons ! nous sommes sur un chemin : est-il le bon ? devons-nous poursuivre l’aventure ? devons^-nous creuser plus avant la roche et tenter de «lever des lièvres » pour ainsi dire = des données = des savoirs = des données de base = des
savoirs de roche, etc : devons nous creuser ensemble ? devons- nous creuser le Temps du dire assoupi ? devons-nous creuser assoupis le temps du dire ? quelle est donc la vérité à mettree en branle ensembkle ? qui connait le chant de la roche ? qui a cerné ou bien comp^ris icelle chanson des grandes largeurs ? Nous ne voulons pas cessezr de gagner du terrain à petits pas comme nous faisons. nous savons que nous sommes deux à chezrcher ensemble le chemùin menant à la paroi des vérités de poids. Le poids ici importe, qui parle fort, quyi vitupère, gronde, pèse lourd son poids autoritaire, son poids de paroles fortes,
de paroles rudes. Nous sommes sous le choc ici d’une sorte d’image , ou d’une imagerie votive conséquaente : quelle est)-elle ? patriarche ? homme fort de sa force brute ? colère idoine ? Qui s’avance .? qui est là qyui nous regarde avec nos propres yeux pour ainsi dire (= ici ! en-soi des pârois ! charge première ! naissance assistée !). Nous voulons aller en roche à la renconttre de l’aurochs des p^rés ou de quelle autre bête ici même sinon ? bicxhe des bois jolis ? chevreuil au débotté ? cerf des paroles avouées ? Je suis l’homme-femme assoupi parlant sa lmangue vive (de la vie) à même le temps déployé comme un tapis. je regarde devant moi et vois la CHose ici qui se dandine, qui jhoue pour ainsi dire de son popotin, qui m’attire à elle, semble chercher ici à me faire aller quelque part que je ne connais pas encore. où ça ? ici même ? seuil de base, corps de ferme, danse natale, colère du vin, chaleur des parois étanches, contrechant pour le coup votif, dureté à même les temps dessinés par des hjommes et par des femmes de temps plus qu’anciens. nous nous acheminons et grimpons et montons sur la bete et sur la bete (ainsi montés) nous y voyons loin. nous voyons tout le paysage; il s’agit d’une vallée, il s’agit d’herbages, de bois et de sous bois : la campagne environnante. Qui sait où c’est ? qui connait les lieux pour nous aider à nous rep^érer ? Qui sait de quoi il en retourne ici ? qui ici a déjà parcouru les lieux et pourrait nous indiquer ce qui est, par où passer au juste, comment ne pas se fourvoyer mais tout au contrzaire trouver le chemin qui convient, ce chemmin de rage prégnante, ce chemin de voix offertes, hurlée ou pas mais posées comme des présents dans une caissee, ou comment dirons nous la chose ici présentée ? Nous ne voulons pzas tomber à la renverse. notre but ici est de nous tenir bien campés sur nos quatre pattes, sur nous guibolles, sur nos étais. nous voulons aller ensemble (elle et moi) en roche ainsi et ainsi muni (étoffées) comme nbous le sommes : voix, peau de rage, pleurs, cris des chants du temps, etc. chqacun chacune voit ce qu’il doit voir. il sw’agit en vrai d’ouvrir l’oeil et de ne pas du coup se faire embarquer dans une tourmante qui vous ficherait vite fait bien fait plus basque terre, c’est sûr ! c’est écrit ! cela est écrit ici sur roche par un homme des cavernes ou par une femme des caverne c’est égal puisque derriière cet homme ou cette femme il y a qui , il y a la bete des rocghes dures ! il y a l’aurochs velus ! chevelus ! poilus ‘ etc, cette bete-mot déplissée qui dit son trajet et son dire de base tel que nous serions nous à devoir l’entendre. nous nous blotissons et cherchons à comprendre ici cette chose d’une roche dure de la Vie, ici, déployée = temps d’un parler vif, temps venu d’un dire homologué, temps enfin arrivé d’une venue venant direct des prés de roche. qui vient ici ? qui s’approche ? une bête, c’est ainsi ! Nous voyons la bête et elle nous voit. nous sommes face à face. il s’agit d’une rencontre ... cruciale = première = primitive = collégiale ou comment dirons nous ensemble pour la qualifier ? qui est là en nous qui cherche une voix ? qui cherche une voiix et une voie ? qui cherche passxage de stentor ? qui cherche en nous ici ce passage pour la voix qui déclamera son statut de rage ? qui est là en moi qui parle pour moi et chyante à tue-tete un pareil chant de rage pêrlée .? je cherche = nous cherchons = nous pleurons = nous allons sur roche du temps («la vie devant soi») à la recherche d’une sorte d’entrée en matière capable ainsi de nous pousser ou diriger vers des v érités à bien cerner ensemble = elle et moi en moi. Nous = je + je = une sorte de jeu d’enfant à mêmùe terre-mère = tourments ? Nous voulons comp^rendre ce qui est, et pour cela nous allons ensemble ici en roche toucher la paroi du monde = du verbe perlé. nous voulons ensemble toucher cette roche du temps déployé, déployé par la bande (langagière) d’une destinée en ^particulier, soit d’une destinée appartenant à tel ou tel sur la surface de la Terrre. nous nous accolons = nous faisons corps = nous naissons = nous sommes cdeux = nous sommes enfants = nous sommes pris = nous sommes compris = nouis sommes ici comme dans un antre de mère vive. Nous cherchons ce dire de nous, qui puisse indiquer un trajet, une direction, un passdage, une entrée, ou bien une sortie etc. Nous ne voulons pas perdre le nord ! Nous voulons aller en roche dans le temps qui est temps d’une roche des TEmps. nous voulons toucher à une cxhose qui sezrait ... chose de la vérité des temps offerts comme par la bande (langagière) d’une sorte d’embardée princière (premmière). Ici est la Vérité. Ici nous touchons à quelque chose des profondeurs, et, le touchant, nous nous faufilons dans ce sas de paroi meuble = mobile. nous cherchons les mots de la chance. nous voulons toucher la roche à même le Verbe ... soit la peau du monde ? peut-on ? peut-on toucher à vif pâreille pelisse de bete venue devant nous nous offrir son être divin ? qui parle quand je parle ? qui en moi parle quand je parle ? qui dit en moi ce qu’il a à dire ? qui parle pour moi ? qsui pour moi
exprime ses pensées de rage ? rage belle, rage rebelle, rage des abris, des antres, des zones de replis, des sas. Nous creusons la roche du temps, nous cherchons à comprtendre les données subtiles. qui va de l’avant ici même (chant) sinon l’ettre en soi de la rage à être ? à quoi être? à être un enfant de la pa role due ! ou quoi d’autre ? car, voici le temps venu de casser la glace, de briser ici ce qui gêne aux entournures = ce corps ! Nous voulons aller profond et comprendre enfin les données qui ici président à une installation en soi d’une bête de poids comme surneuméraire à notre corps. Nous voulons comprendre en ous pourquoi ici même (corps) cette bete comme surnuméraire = un doigt, une main de trop , pourqyoi ? qui en moi se loge ainsi qui veut s’échapper = sortir du cap de ma raison native : qui ? qui cherche à ? qui veut dès lors ? qsui souscrit à ? qui a pâreille volonté comme enracinée en son être, et par là même en nottre fief auto-régulé il semblerait : qui ? qui parle pour moi et dit les mots d’un cap de première ? qui en moi est la bête à voix, à verbe, à co:;ère, à haine = ce mal à être un homme de joie tel que je me dois (? ) ici -bas (?) de l’être pour moi. Est-ce cela ? Je suis chercheur, je cherche en laboratoire. mon être chercxhe en laboratoire. nous sommes deux (l’êytre et moi en moi) quyi cherchons de concert en laboratoire = toit du monde ! caillou ! ordonnance ! Je veux toucher la roche du temps et la traverser à l’aide de (nonchalamment, mùais vivement) mon pic attitré de roche ou de percée de roche = cette chose rosse sortant de ma bouche grande ouverte. passage forcé. cailloutage, etc. je xse,ns cette chose ici d’une traversée en moi de la bete de poids surnuméraire. la bete traverse, pazsse un cap = une raison humaine = un phrasé alzambiqué, etc. la bete est sous le charme d’une voix externe, un chant nuptial, pa role d’évangile, attirance de re^ve ou des rêves, chant d’azur émancipé. je tente une approche et touche la roche. je suis un homme des (doux) sentiments de base masquant bisque rage d’enfance incréée. Je vais sur le parvis. je m’approche de pareille bête meurtrie, qui, devant, devant nous, cherche à nous parler, à commmuniquer l’ensemble des données de présidence. Nous voyons la bête devant nous, comme une hydre (un ?) , comme quoi ? nous voyons icellle bête devant soi, elle charge, elle pose, elle pèse, elle est grosse, elle mesure long et profond et haut. qsui est-ezlle ? est-elle pour nous la Voix ? est-elle pour nous la Voix qui gronde ? squi est-elle ? qui est-elle pour nous ? qui est-ellle devant nous ? qui est-elle qui nous mate dur ? qui est-elle qui cherche à nous toucher de même ? est elle en vie ? est elle en mort ? est elle un rire fort voire trop fort qui nous assourdit ? que veut-elle avec nous ? veut-elle nouys faire du tort ? veut-elle nous toucher à mort soit à kla mort ? veut elle nous toucher jusqu’à ce que la mort s’ensuive et nous laisse là, pantelant ou pantelante, sur roche tremblant ou tremblante, sur roche assoupies, morts ou mortes comme de juste, misérables ? a t elle envie de nous voir morts ou mortes et entérrés ? a t ellle envie de nous voir retrouver la terre ? a t elle envie de nous voir nous immiscer dans la roche sinon de terre mère (ouh !) disons de la roche du temps , disons de pareille roche du temps : estt ce ainsi que les choses tournent ? ou s’en retournent ? Est-ce ainsi que nous devons faire = toucgher ... le Temps par la bande ? Devons-nous aller en roche dans le sang, ou comment devons-nous faire ? Nous voulons aller en roche dans le sang ! nous voulons aller dans le temps devant = le sang versé = donné = offert devant = offrande à déité consacrée = offrande aux dieux des pzarois perlées ! Nous sommes deux : outrage !! nous sommes deux qui venons dedans et creusons de notre rage ! Nous disons ici que nous cherchgons ensemble à poser des banderilles, à touchyer de biais dans un premier temps, mais pour ensuite aller au loin, au p;us profond, au plus que nous pouvons aller. Nous voulons aller au loin, chercher de quoi comprendre ce qui est qui nous entoure . Nous voulons toucher la roche du temps et ainsi faisant aller loin dans les connaiossa ces, percer roche pour trouver, percer icelle (roche du temps) pour trouver sortes de vérités à transposer, à poser sur paroi comme dessinées, gravées, à même la pierre. Nous voulons aller profond et toucher le verbe incarné = la roche mobile, l’onglet, l’antre, le bonhomme des temps, l’hydre chevelu, le tourment des ans, la peine, le vif ou kle plus vif de la colèreancrée. notre but est affiché et porte un nom, un nom de rage s’il en est, qui est celui que nous portons chacun et chacune pour soi depuis la naissan,ce. voilà qui est dit deux fois (au moins) sur paroi mobile. nous avons à dire ici une chose rude, cette cxhose est rude du fait (oui !) que nous sommes nu.es et frêles et perdus commùe deux enfants qui (dans la forêt, dans un bois) cherchent à s’y retrouver?. nous sommes deux qui sommes égarées et qui de ce fait cherchons à nhous y retrouver, à trouver passage, à trouver par où passer ensembvle sans, plus que dee coutume, avoir à galérer pour faire ainsi qu’une clairière, un chant, une voix nous apparaissent et nous disent ce qui est et comment aller. nous voulons toucher kla chose ou chose de poids devant nouys = masse = poids lours = remorque = chaine = trame = tissage des endroits perdus = colère d’une déité incorporée. je suis l’homme ici qui va à la recherche d’une déité incorporée à la paroi du temps. je vais, vers elle, en parlant, marchanht etc. Et si le temps était ce dieu «de rage assoupi» ? ou non : cette déité des passages induyits ? ou bien : ce cheval ? aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah voilà lui ! Voilà itou ! ou voilà ce qui est qui va et nous regarde devant nou!s, qui ici se pointe,
qui pointe son museau, qui campe, qui se campe devant nous dressé comme un piquet. je suis là qui voit la bête devant moi (mes yeux sont ouverts sur le monde) et cette bête est bete de joie = je, pour ma gouverne, gouverne première (printanière) mais ... quoi de plus en vérité ? je = joie. je = jeu. joie = jeu. Jeu = voix qui cherche à se faire entendre «par la bande» c’est dit. je suis «je», homme des ravins, des endroits de dangers divers, endroits comme ouverts et qui sont risqués. Je veux faire ainsi que je pûisse aller, fissa, à travers la lande, à cheval, à) la recherche d’une déité des prés, des praireis, des bois et si-ous bois, en la personne de Bambi (peut-^ttre) ou de qui, sinon ? car ici, le chevreuil conserve à nos yeux ses attraits. il est juste ici de dire ainsi, comme quoi la biche, le chevreuil, le cerf, le mégacerf, etc, conservent à nos yeux tous leurs attraits, et ne manquent pas de nous attirer. nous devons comprendre loin ce qui est ici question attraits, et commùent cela ? en parlant à tout va à tue -t^te à mêzme la roche du temps ? en faisant squoi ? Nous voulons aller loin dans des domaines en vrai de connaissances encore inexplorés de nouis. nous voulons essayer de comprendre ensemble ce qui est, qauestion roche, roche meuble , roche mobile, roche dure ou pas, etc. nous nous approchons d’une bête rosse, bête massive, elle trône grave devant nous et nous regarde. qui est-elle ? le passé ? le pazssé déposé .? lez présent sur roche : cette offrande du passé ? lme présent ici est ou serait du passé que nous déposons / déposerions (de rage ?) à même la roche du temps ? est il ce passé déposé de la sorte ? est il une offre vaine ? est ce ainsi que les choses sont comme par la bande ? nous cherchons ensemble = à deux = vifs /vives = nous = NOUS = vous aussi , à comprendre cette chose d’un devant de soi temporel habité de fait par une masse qui est langage et plus que ça, qui est le Verbe de céansq, la roche plénière, le temps adoubé, le parlement. nous voulons aller en roche pour dire la chose et du coup la mettre (vite fait) en ceette sorte de lumière vive qui est celle d’une entrée solaire dans la pierre, au coeur d’icelle, au plus profond du coeur (pariétal) d’une sorte de donnée ... de base royale. Je = jeu = j’ y ! j’y quoi ? j’y suis j’y reste ! Car ainsi est-ce, que (là, pour soi) je = j’y = joie. je vuex être ici pour toi l’homme du comment dire changement brutal de paradigme . changement des changements. Je suis homme défait (ou tout comme) pour un dépliement de l’être en moi. je suis l’homme défait (déplissé ?) en moi par le temps du verbe ou comùment sinon ? je suis déplissé par le temps, je suis déployé, déplissé-dép^
loyé, dans le temps ici d’un xdéroulé de rage vive = en vie. qui l’eût cru ici ? qyui a cru que cette chose
allait vraiment advenir ? déplioement, déplissement, dépleoiement, etc, dans le temps = verbe assidu ! assoupi ? je vveux toucher à Roche des prés. Je veux me rapprocher de roche des prés. je veux être roche des prés. je veux comprendre icelllle rochge des prés adjacents concomittants. Je suis (szerais) un homme au sang coulant dans des veines de temps. Je serais un homme ou cet homme des temps au sang royal coulant en moi commùe une sorte de denrée de choix, aide alimentaire, nutriment donné par la bande en moi. Je syuis ou szerais cet homme dit femme dit homme allant de l’avant, dans le temps, comme dans une roche qui serait percée. je suis celui-ci qiu veut toucher la roche rude, rude et dure des parois, du monde entouurant, etc; Je veux ettre homme de la joie à naitre ... au monde verbal . Qui le croit ? qui est pour moi être de bon aloi ? qui est ici ou là pour moi cet être donné, ce don de rage, cette voix ? qui suis-je que je ne suis pas ? qui est là pour moi comme une sorte de paroi votive à devoir percer ou comment sinon ? Je veux ^$etre l’homme de la rage à être. je veux être l’homme aux sentiments exacerbés, a&ux paroles fortes, au sang chaud, aux allures de bêtes qui grondent. bete monstre = betes-mots de rage = parler de la lande = paratonnerre. je veux là être ça= cette bete fauve forte: lion ? cri ? vue d’ensemble sur une vallée primzaire ? Je veux être ici un homme qui voit et pige vif et peut dès lors aller plus loin xdans le domaine de la connaiossance des choses natives. je veux être homme des temp^s impartis, offert en offrande pour ainsi dire (d'une part de moi = le passé nacré) et pour cela («à toi à moi») la balancelle ! la balance ! la balançoire ! l’escarpolette ! je me joue d’un monde, enfantin, à comprendre par la bande = la raison première, à savoir ce monde (intéreiur) des rochers de grave, de roche allouée. je vais (vite !) en c e sein des seins. mon antre est celui-là même que je vois se dessiner (devant moi) à main levée:= effigie d’antre, ventre dur, colère allouée, gageure sur paroi de roche, escarpolette, dancing. je suis cet homme des roches allouées à une vie rêvée ou tout comme en v érité car,peut-on se fier aux donn,ées de base ? à pareilles données qui (dépôsées en nous) nous semblent comme surajoutées à de l’etre ici comme caché en nous va-t-en savoir où. Nous voulons vider le corps (le notre) de sa chair de base et le remplir de vie d’emprunt, de vie éternelle. comment faire ? par le verbe ? alors si c’set ainsi , comment ? comment on peut faire eznsemble pour s’y prendre et déloger ainsi la bête en soi ou en ous autres qui so:mes pleins et pleines d’une sorte de masse dure (temporelle) comme d'un intrus : comment pouvons nbous ? il y a en ous une sorte de masse de poids (masse dure ici ou là) en nous, qui sembkle ou semblerait vouloir peser = pesezr lourd dans la balance = enquiquiner. Nous voulons toucher pareille masse qui (masse) se laisse regarder en tant que telle quoiqu’elle sache (au fond d’eele-même) que cela m^eme qu’elle montrre d’elle n’est pas elle à proprement parler mais succédané. Nous nous approchons d’une sorte de masse posée devant nous. nous sommes deux (comme toujours) qui cherchons à contourner la cxghose, à la voir sous toutes ses coutures, à prendree la température de cette chose ici déposée. nous essayons de faire cette chose de pouvoir nous approcher. Nous sommes qui cherchons à nous approcher de la bête. cette bete est lourde, pesante, massive, un poids de rage, poids mort comment dire, âne mort, poids lourrd de sa rage, bete prisonnière d’un effet de masse. je m’approche de la bête ici meme déposée comme un présent (offrande) aux pied d’une divinité (le temps est posé conséquemment). la déité de paroi dure est une déité de rage, déité postée sur ce devant comme (qui sait ?) un Père en soi autoritaire et menaçant. je vois la chose crument à présent et je chercjhe à la décrire au mieux possible. la bete (devant soi) = bete de paroi = dessin. ok . mais pazs seulement cela (on le comprend bien) ... mais aussi : l’aurochs = le Verbe échevelé = cette masse dure (une masse déployée !) qsui est, devant nous, du temps à dépenser ... encore à venir. le temps devant soi est masse bestiale, agréments de rage, perles posées en guise de dons à une sorte d’animal phénoménal, charge majeure, colère intégrée. la ici (bete) est , o,n le voit , rage à (ici même) etre l’enfant ou lk’enfance. je = cet enfant portant
pareilllee bete de poids en soi : cxomment faire en étant enfant ? eh bien en ‘subodorant» la chose : perspectives, projections, ciné-pariétal, catalogue pour une destinée à vivre tout du long en tant que voie d’abord à déité. je suis l’enfant-de-rage, l’enfant-roi, aurochs nouveau-né,, vile pensée de base ? cariatide ? Qui suis je ? Je suis homme-bete = mot de rage? Verbe cru ! bisque bisque la pareille ! va au loin et vois ! mate ! charge la Chose, cette chose devant toi, cette chose devant toi qyui la regarde ! et elle de même, de te regarder vive, de regarder à vif, de voir à vif et fissa la chose en toi, qui est quoi qyuui est du verbe de parade ! charlatanisme ! oh l’envoyé ! oh le larbin ! oh l’homme à tout faire ! oh galère ! oh homme de peu qui vaque à ses affa ires do:mestiques coutumières ! qui es-tu homme du balai ? je suis homme balai, je ramasse grave, j’en prends en veux tu en voilà à longueur d’année, je ne suis à l’abri de rien. ma vie est une chierie ou comment ? chienlit ou quoi ? on dit comment ? Oh ma vie ! rudesse ! royauté mais rude ! ouh la, vif de vif à la rude, etc. Jecherche à me glisser dans une roche des parois mobiles, des parois du monde vivant, charlatanisme et autres viies d’esprit à ne pas suivre ! squi a dit que vif = vivant ? quui dit que vie vive = la vie, quand le vif du présent déployé (offrande) est du vif décédé, trépassé = le passé (très passzé c’est fzait !). je cherche à comprendre. je suis celui-ci dit «de roche dure», l’homme écartelé en lui par du verbe ici de bon poids surnuméraire./ mon nom est affiché à l’entrée du monde sur ponton, comme sur panneau (panonceau) de signalisation rupestre. aurochs dis-je ! Je m’appelle l’aurochs ou même Aurochs tout court. quand je chante on dit ou on dirait que les choses vont ou vont mùieux. ma voix se greffe à la roche du temps déployé, déplissé à même la pierre tombale (ou à même la pierre d’offrande). je vois loin car je suis en moi porteur de l’oeil bestiazl de la bete cachée en mon sein (surnuméraire) d’homme (feemme) des données de rage. hje file (vif) sur roche et voit cette chose de la mort à l’oeuvre incidemment. hje veux toucher zau verbe sacré, merde ! Moi ici je veux ! Je suis fhomme et fhemme ou qui suis-je, en roche du temps logé(e) ? Je me positionne en tant qu’être de paroi recherchant la vérité sur une chose déplacée ou si,non déplacée peut-être placée à bon droit mais menaçante incidemment, pour nous ou à nos yeux, du fait qu’elle charge ! qu’elle rue ! qu’elle vitupère gravement ! qu’elle nous regarde (devant) d’un air de deux airs ! je veux être homme des temps forts et moins celui -là des temps affaiblis par des coups de masse de rage sur nous (habilitatation) qui cgherchons ensemble à savoir du monde ce qu’il est en vrai. nous voulons toucher et cerner, soiyt : toucgher-cerner et c’sest marre pour ainsi dire ! Je suis cet homme qui (en vrai) cherche que tu chercheras , et vibre que tu vibreras, et fouille que tu fouilleras, et vais que tu iras, ou va que tu iras, etc ! un cghercheur de perle princière ! un chercheur de rage allouée ! homme-femme-enfant (un seul être vous manque et tout est dépeuplé) de la rage à être l’etre des tourments, des ennuis de toutes sortes, sur roche. comment être sinon vif ici, pour être = pour être vivant de roche dure ou dit vivant de roche dure : commùent ? je m’enfonce pas à pas. j’avance en cette roche dure des temps donnész donnés par soi (ou par nous) à l’entrée (= à la naissance de notre mobile). quand je touche vla paroi ça va. je suis homme des temps vifs comme amenés à ébuliition ou tout comme afin de , enfin, déployer pour nous la Chose, d’une vérité à pouvoir (devoir et savoir) graver à même la roche. je m’enfonce en elle. je suis comme dévasté par en mùoi du parler brutal (hominien bestial) qui plombe, m’empêche d’être si tant est, et me catapulte ou presque (direct) en tombe de hjoie (ou non : en tombe ... pour soi). Je vais ainsi qui m’avance en paroi , cherchant un mot, un nom, une parole de bienvenue mais elle ne vient pas : pourquoi ? qui a dit que j’étaios frêle ? qui a dit que j’étais menu ? que j’étais timide et doux comme un animal de douce comp)agnie ? qui a parlé de moi ainsi ? qui me voit ainsi ? qui sait de moi des choses de razge ? qui comprend de moi icelles choses d’une foi à être ici lm’homme-femme des parois ? qui pour me plaire ainsi ? qui voudra me dire ce qui est de pareille donnée mais pas seulement, aussi du Verbe déposé en guise de présent, et où ? sur ce devant de soi dit «temporel» = masse bestiale ventripotente, bouc ? Je fonce rude. Je colle à la source. la voie s’ouvre devant moi au fur et à mesure mais en vérité de qyuoi s’agit-il au juste ? est-ce voie d’abord pour une perfusion de l’etre ? est-ce voie d’abord pour une perfusion d’etre à petits pas ? qui porte en moi la raison ? quoi en moi se parle ainsi ? qui parle et porte en moi cette raison ? qui est qui en moi ? suis-je moi pour moi ou bien je suis la voie de l’animal battu, aux coups reçus ? Suis je bete de paroi meuble ? suis je ignare ? suis je l’enfant vil de la naidssance, recouvert de merdxe et autre vernix de bienvenue ? comment suis-je ? suis-je le parfait bandit terrestre ? cvolère des dieux ? cocoricocoboy ? chercheur d’empreintes ? colllargol ? qsui suis je ? un petit de rien du tout déposé en roche par la bande langafière d’une confrérie antédiluvienne ? les mots quye j’apprends sont des mots de rage latents, ils s’incrustent en moi comme des pseudocytes sur des leucocytes. je tombe des nues ! ma voix se porte loin qui hurle sa joie... d’être je, homme, femme, grizzli, enfantillage, animal poilu on l’a vu, homm-bête du monde adjacent ou dit tel. qui voudra de moi kle moment venu ? soit le moment de ma finaison, de ma fin de vie, de ma livraison : qui ? jke voudrais savoir ca r il en va de mon désir à être vif, encore et toujours, soit le demeurer. qui donc vibre en moi qui me connait de pied en cap et sait ou saurait tout de moi (depuis le début et au delà même du temps présent les données futures : vernis du passé déposé pour ici l’avenir d’un dieu des parois) . je me pose ainsi comme icelui qui cherche que tu chercheras. un chercheur. un homme de la science et des données a priori riches d’enseigneme,nts. homme-science ou chaman peut-^tre va savoir ! qui sait qyuoi sur la question qui nous occupe ? qui peut dire là (devant ! de suite !) ce qu’il sait , soit tout à trac l’étendue de ses connaissances. mort je monte, vif je tombe. c’est dit. Car, la vie est ce mouvement de glissade en arrière (sur le cul) jusqu’à nouyvel ordre ou un nouvel des choses. je tombe = je file = je vibre, et vibrant m’incline et me loge = me confond à terre-mère. qui va là sur terre ? le père de la joie d’etre .? petit père des parois dures ? je suis l’homme des parois du temps comme enseveli par le verbe naissant et prenant (vite fait bien fait) la tangente = le temps on l’a compris. je cède, j’ai tenu longtemps. je craque, j’ai tenu des années durant et j’aurais fait (dès lors) mon possible pour aller ainsi, en roche des temps, à la recherche de la vérité dite des vérités concernant icelle la mort, cette chose des embruns, des effluves, des senteurs des bois, etc. qui donc me dsdonnera de quoi m’exprimer par la bande ? qui saura trouer ma joue de base et fzaire en sorte que des mots de moi puissent s’échapper direction la joie, le je, le je de l’enfant narquois ? Je cherche une base à un dire fort, ici sur la roche, bete dessiknée en transe, etc, et cela, ce dire (cette recherche) concerne ma vie, sa vitaluiité disons, son désir en elle de toujours aller vaers un maintien des forces vives , soit des forces qui, en soi, tiennent bon pour aller plus loin , toujours, à la rencontre du pot aux roses, du piquet de rage, du poteau d’anggle etcx. on co:prend en nous que tout cela est d’une importance capitale ! c’est un dire à formuler fissa comme il se doit et aussi à incruster sur roche comme parole qui serait parole d’évangélisation, comme pariole (de paroi) coriace. je vais donc sur pâroi afin de dessiner pareilles parioles coriaces prêtes à faire entendre toutes leur fond de haine et de méchanceté, de vilénie, à l’encontre de la mort soit de Mort la Rage à être. je cherche issue. je veux toucher = trouver une issue
à pareille enclave. car la vie est une enclave (qui contienbt la mort) que le verbe définit, en tant que telle?. car, le verbe est, lui-:même, donnée de rage à être , soit la mort en nous incorporée = mise par à-coups au fil du temps et des épreuves traversées du quotidien. on voit ce qui est quui vient à nous, ces données dites «incorporées» sont «natives» = brûlent à vif (au fur et à) mesure) leur chandelle en nous ... qui allons, fissa, vers elles (?) ou pas peutêtre mais qui sommes enfants du jeu à être hommes-femmes de la préhistoire, pré - «histoire narrée». HJe veux
comprendre sciemment
ce qui est = le Verbe de joie, le Verbe de rage, ce qui est ici en tant que parioles menacées, paroles des apprêts comme menacées par la mort en elles. la (ici) mort (belle ?) de la rage à être soi. je vois cela (la mort entortillée) comme une sqorte de chose de nacre, chose belle car fluorescente, etc, et cette chose (dite «belle») est comme naissante, à même la racine du langage incorporée.
je cherche la voie ici, le parcours, la trtrace, le chenal, le passage ouvert pour une entrée facilitée de mobile foetal incorporé. je cherche passage (trou) dans du Verbe (Verbe «de paroi»), pour aller loin, creuser-crever la CXhose du temps immmanent. je veux pouvoir trouer la roche du temps par du verbe contenant la mort. la ici (mort) est , comment dire ? «belle» ?, qui s’apparente àç du verbe ? je veux ou je voudrais aller au plus profond d’une parole incorporée par .... la mort en soi (la mort d’une betye forte) ! je veux comprendre cette cghose en moi, dx’un verbe de poids (u ne lourdeur) contenant la mort qui est la bête de paroi gravée ou dessiknée par l’homme ou par la femme des cavernes. car, la mort en nous trace que tu tracezras sa voie de «belle» bete menaçante, déployé (temporellement déployée) par une bande langagière inculquée. quoi donc , la mort, est-)elle pour nous, qui avons en ous du verbe ? ezh bien en vérité : la mort est du verbe, la mort est le Verbe. nous parlons la mort. parler = dire celle-ci qui en nous est comme incrustée pour mieux nous plisser, pour nous faire plier, etc? je comprends la chose ainsi et tente incidemment à poartager ce dire un peu tourmenté il est vrai mais dit avec le coeur, avec en moi ce que mon être au plus profond contient, en termes de joie ... à dire kles choses du temps. la mort en moi est le verbe. la chose ici qui est et que donc je partage en l’énonçant, est cette chose comme quoi la mort (celle-là qui nous «brûle» les lèvres) est ... du contenu verbal. les mots de ta rage sont : verbe , dires, parler, mots-bêtes,; etc, ou vo cables. Qyui disent (tous) cette chjose comme quoi la mort en nous loge dans le verbe ! et ... la vie alors ? le coeur ? oui en effet le coeur, il se peut. nous cherchons , et nous en sommes au tout début, nous avons encore fort à faire et rien n’est fait. les mots s’agglutinent à qui mieux mieux mzais que disent-ils ? voilà ce à quoi nos recherches se sont attelées. nous cherchons vivement, patiemment, séerieusement des dires de poids (de genre aurifgnaciens) qui puissent «aller» avec une sorte de chevauchée brsusque au fond d’une grotte, sur parois toutes éclairées à loa lumière, vibrante, virevoltante, des torches. la dite mort est de la mort dite. seulement ? la mort est du dire, et aussi : le dire est la mort. Comment dire cette chose ? voyons : on dit cela, comme quoi le dire contient la mort, et la mort le dire. erst-ce ainsi que les choses sont ? que voyons-nous qui s’adresse à nous ? que sommes-nous qyui allons ensemble (toi et moi main da,ns la main) à même la roche ? Nous sommes des êtres de peu, eanimaux de rage, chien et cheats (?) quyi allons ensemble nous enfoncer ou pour nous enfoncer dans une pierre, une pierre ... à graver avec des noms, à graver en transe, etc. nous cherchons à signifier pour dire ce fait comme quyoi la bete dessinée est grosse de son être-vie de rage à sauver. mot de la roche complète. mot d’une roche entière, pleine, masse de paroles viles, conjugaisons. je tourne et retourne une langue en bouche de joie. je suyis celui-ci qui va en roche à la rencontre d’une déité de type bléssée, de type touchée par la bande (langagière ? ) du temps adonné. Je chante à tue-tête mon sonnet de bete de rage. je chante que tu chanteras ce chant de la rage à être le porte-parole attitré d’une bete (de roche) en moi, mort va nu pied, mort de colère à être la mort, mort dure, mort tenace, mort cvoriace, mort ... «connasse» ! on l’a dit (ezntendu). je suis homme qui , sur roche, cherche à comprendre cette chose d’une mort de peu (?) qyui viendrai morveuse me toucher pour me mettre à mzal voire me tuer. je veux pas ça ! je suis homme là qui ne veut pas de la mort pour lui enrubannée à du Verbe inculqué
à la naissance , et qui cherche
à s’en libérer = dégager = à décoller la mort du verbe, merdum ? car, quoi au fond ? sinon icelle ici mort de la rage d’être cette chose, mort de rage à être, fille de rage, fils de = fils de rage idem. comment s’échapper (sortir) sinon ai nsi faisant = par du verbe dru dép^loyé» et qui file fissa sa gouverne, tisse que tu tissezras, iras, etc, à même le temps ici déroulé comme une bande. je commence. je débute ainsi le voyage. l’embardée votive. je commence incidemenht et jke sais cela comme quoi kle chemin est ardu, long de sa rage (aussi ?) à être : même rage que la précédente ? simili-rage ? simulation ? simulacre de rage adoubée ? les mots contienhent la mort. la mort loge dans le Verbe. le verbe contient la Mort. la Mort loge dans le Verbe dép^loyée temporellement et s’en plaint grave depuis eh bien les premiers moments de notre venue (engagement) sur terre-mère (tourments). qui l’eût cru ? comme quoi la mort est dans le verbe (ver dans la pomme) qui dit son fait brutal et apeure ! délivrons-nous-en et allons par les chemins de la roche des temps nous porter, vaillants et vaillantes, à d’autres recherches, à d’autres fêtes. ou vers d’autres fêtes, recherches, embardées, etcx; filons sur monture. canassons ! fuyons ! cha rgeons ! faisons comme si , d’aventure, la mort n’étzait pas en nous contenue, comme le ver est dans le fruit. faisons comme si nous étions indemne, non recevable ou comment dire : vierges ? notre voix pousse ce qu’elle veut bien dire, en passant, monture, cheval, nous sommes portés et disons. que disons nous de si malin en vérité ? oh, peut-être... rien ? Ou bien : ça , cette chose comme quoi ... nous sommes porteurs / porteuses de la mort en nous (dans le verbe ) et pas... au delà. est ce cela ? Est ce ainsi que la mort est ? est ce cette chose qui est à dire et aucune autre ? la mort est en nous logée, dedxans, comme une bete de poifds massif. il s’agit du verbe. ou «de» vervbe. car, le verbe en nous est une sorte d’entité majeure, comme (pour ainsi dire) en,châssé en nous (perle princière sur anneau d’or) et cela est ainsi que nous comprenons ici cette chose comme quoi la mort (le Verb’) est à proscrire dans le temps = à brûler. je cherche une vooie d’abord. où la trouver sans rire, où donc la dénnicher sans s’esclaffer, sans honte, sans rougir de honte ? nous cherchons la mort. nous cherchons disons à situer la mort «sur léchiquier». où se loge t elle ? eh bien... dans le verbe ! oh voilà ! oh la trouvaille ! et donc ? à p^résent ? tu fais quoi ? tu vois quoi ? tu dis quoi ? tu vas où avec pareil dire ? où veux tu aller ou en venir ? quel être es tu pou$r dire une chose pareille ? qui es-tu pour parler ainsi et faire cette chose (ici) d’une parole déplissée comme ruban dit de données premières, à même le vent, changeant, tourneboulant mais toujours étant ce ruban d’une rage (vive) à etre vivantet vivante? qui est là pour nous parler de ça qui nous échappe grandement du fait de notre infirmité intellectuelle : qui ? je voudrais comprendre les lointains, les fonds de roche, le fin fond du temps, les trous de basse-fosses de ce temps royal ici déployé pour une vie à la sauvette, pour pareille vie de grâce, pour pareille vie chanceuse ou sin on chanceuse comme «aidée». nous voulons savoir cela qui existe en nous en tant que bete de poids fort, qui renâcle, qui hurle, qui cxherche issue, : est-eklle... la mort ? la mort qui dès lors chercherait vivement à sortir de nous à toute vitesse, ou comment ? mordicus ? qui chercherait mordicus (plutot mordicus) à sortir de nous coute que coute, pour une question (pour zlle) de survie, etc. Est c de c ela que nous devons parler et si oui le doit-on en
parteils termes ? doit-on agir de la sorte ? doit on poser des mots sur roche comme autant d’aurochs (surnuméraires ?) censées éloigner le verbe de nous, de l’antre des jhoies de la vie en nous ? je ne veux pas que la mort-verbe s’incruste en moi ! je dois la cxhasser ! je me dois de chasser l’aurochs qui est en moi ! je me dois de chasser la grosse berte (= la mort-verbe) en moi contebnue ! qu’elle s’en allât )! qu’elle filât ! qu’elle nous laissat tranquille une bonne fois pour toutes et ne revint pas à la charge; je comprends la chose rude, cette voix ici plombante, hurlant son dézir, son vouloir, son envie de nous oter la vie, de prendre de nous non point de la rage seule mais la vie de base. et nous de rétorquer en quelque sorte par du verbe vif de roche incrusté, et qui va loin dans un dire de paroi gravée, qui va dire loin, qui cherche à dire loin, qui va à graver loin son propre dire. je grave mon dire (auochs aux confins) et ce faisant je «plombe» la mort, je la gruge finement (un temps qui est le Temps, ni plus ni moins). grugeons la mort néfaste. grugeons-la comme nous savons ensemble faire très bien cette cxhose, déroulons. faisons ensemble ce déroulement = temps = Temps = musique = verbe musical de contre-
bande/. je sais (ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !) la mort ici comme étant incluse (
introduite) en moi ou dans moi à la manière d’un poids mort. cependant, je dois faire ainsi que cette mort (incluse en moi) ne sorte pas sinon comment ? sque dois je faire, le verbe, la mort : la mort contenue dans le verbe. or, le verbe est en nous depuis la nuit des temps. que faire ? chasser les démons ! chasser de moi le mot mort et non pas le mot seulement, aussi la mort-bête : aurochs ! ah voilà le pot aux roses ? que penser ? qui croire ? à qui se fier ? qui dit vrai ? qui dit le vrai ? qui parle sciemment pour dire la vérité (la
sachant si tant est)? qui est pour moi l’ombre de cet être de paroles justes ? qui voudra dire ce qui est et ce qui n’est pas ? je vois devant mpoi se dessziner (malgré moi ?) des betes de poids. elles sont cela même que nous voulons, cette chose rude ... comme tourments de vie, méchancetés de vie tout autant et autres vileniesq. nous hurlons injurons la Chose : «merd»use ! merde et merdum ! merdeux», ainsi tout du long?. et ce verbe, déclamé, devient du verbe ... d’injure gra&vé. gravé au stylet de l’homme ou de la femme des cavernes. Blasphéèmes, livraisons d’injures, convalmescence, congratulations, pleurs, chaleurs vives, tombereau de mots votifs de type gros mots par la bande; je regarde les lointzains, je vois la parade. je regarde au loin (aller et venir) les cerfs, les biches des bois, les chevreuils amis. nous devons toucher la roche ensemble. viens le cerf ! viens t’accoupler ! viens la biche ! viens te szrrer et me monter ! je suis celui ou celle que tu es. joignons-nous de destinée pour une sorte d'embardée et traversons de fait les contrées rupestres. betes-joie de poids ... pour une embardée salvatrice. je regarde = je vois ... la roche d u ttemps. le mot mort a deux entrées : 1, celle de la mort en tant que telle = le temps de la mort. 2, celle de la mort en tant quu’événezment de survenue vive; je dis ce qui est pour moi squi me semble être comme une parade, devant moi, chargeant dans le temps son apport de base sensique. Je regarde devant moi. je vois une chose rude. son apport est de type bestial. il s’agit d’une bête de poids, d’une masse énorme, considérable. un volume conséquent. il s’agit du Temps. le Temps ici est ce devant de vie à vivre devant dsoi = hors de soi = bete-mot de rage folle dessinée, ou gravée, sur paroi de roche, à la manière du magdalénien. je vois hommes sur roche = aurochs. vies de sauvetage. qui est qui ? je vois les mots devant comme mots de rage pour une incursion dans le domaine de la mort de l’être. je vois icelle chose devant moi, pousséeé en moi comme par la bande (transe) s’inscrire à vif à m$ême la roche (le dur) de ce Temps imparti à une vie. la mort gagne mais ici le temps déploie son drole de facial de rage à être vivant. je veux être cetteChose ici accumulée : dires sauvages, grinçants, vifs, honteux, déployés à vif, mis sur roche à la volée. je veux être l’homme de ce déploiemeznt conséquent. je veux penser la XChose du temps. Je suis cette Chose rude déployée sur roche (temps) à la manière (surnuméraire) des hommes et femmes des temps des cavernes. hommes et femmes regroupées sous une même égide, celle de la Voix qui parle au nom des hommes et femmes toutes soudées, regroupées;, envahies par du dire fol de transe endiablée. Qui va là, du tourment? Moi iici ! moi qui brûle ... mon passé sur roche déposé ! chant du roc aggravé ! Je cherche un endroit où pouvoir déposer mon «joli barda» de contrebande ... dans le temps peut-etre ? Ou sinon où ? je vois la chose comme quoi je suis un être en vie du fait du Verbe-mort en moi. et comment cela ? c’est ... ce qui reste à comprendre, ou à explorer prochainement incidemment. nous devons aller au loin ainsi armés et touchger la roche du temps aux endroits magiques, aux endroits qui sont comme des points de paroles magiques. nous devons prochainement comprendre ce qsui est de cette chose de parois ou d’endroits dits magiques. nous devons ensemble nous pencher sérieusement sur la question de la magie, de la magie toute contenue en pareils endroits de parois (et pas à d’autres il semblerzait dès lors ? ). nous nous approcherons ensemble de ladite roche (à deux mains, soit à quatre) et ce faisant
nous pourrons comp^rendre mieux les données de base concernant une certaine chose dite (comme) «relevant de la magie des choses»,. nous voulons aller jusqu'au lointain des roches , combler notre soif (indemneà ce jour) de connaissances. nous voulons toucher la roche des savoirs, la roche magique. nous voulons toucher la roche magique (animée à notre approche) des savoirs de base : quoi la mort est ? quoi la vie est ? quoi le Verbe est ? quoi le sang est ? quoi la vie + la mort sont ? quoi la vie + le Verbe sont ? quoi la mort + le verbe sont ? quoi en soi (en nous) est magique : l’aurochs de contenance(?) ? le cheval en nous ? la bete furieuse ? la mort incluse dans (en nous ) le verbe du dire princier ? la mort est-elle chevauchant la vie comme la bete dxes prairies ? la mort est elle en nous comme pour ainsi dire cxhevaucxhant la vie comme elle cxhevaucherait une bete sur la prairie : cheval de la rage ? jument des apprets de base ? qui le sait ?
2/3/2022
Nous voulons comprendre ce qui est incifdemment de ce qu’on voit qu’on voit devant soi. nous = nous deux. car nous sommes deux, nous sommes soudés, nous avançons ensemble de concert, nous sommes deux pour une connaissance (ou reconnaissance) de paroi. Nous sommes soudés comme les 5 doigts de la main. Nous nous avançons dfe concert, nous marchons d’un pas décidé, nous voulons comprendre les tenants et les aboutissants de pareiille ouverture de roche, devant soi, ce qu’il en est au juste, ce dont il s’agit en clair de cela qui (pour nous) est d’une importance majeure, à savoir le mot de lza fin. il s’agit pour nous de comprendre ce mot, cette cchose, ce mot de fin de roche , ou de fin fond. cazr il s(‘agit ici de bien comprendre cette chose, à deux, ce trou de roche de paroi, cette chose ici qui semble s’ouvrir devant nous à notre mesure. Nous voulons comprendrde ;les données rupestres les plus fines (= ces dessins de bêtes) et pour ce faire nous devons nous inciter, nous provoquer, nous bousculer ensemble, pour aller fissa, pour entrer en roche, pour nous immiscer. Nous devons comprendre ensemble le pourquoi nous nous plaçons ainsi à deux de telle sorte que soyons (dès lors) en mesure, de comprendre cette chose d’une excavation, d’une sorte de fissure par où donc passer le corps, ce trou de la roche (devant soi) par où un corps peut ou pourrait passer. et pour cela, une chose dd’envergure : ici = la vie devant soi = le temps à venir = des mains sur un devant de soi comme déposé. Je vois devant moi qu’une cjhose semble ou semblerait vouloir se dessiner qui ressemble ou ressemblerait à une bete de paroi aurignacienne. Je vois devant moi cette bete qui va et qui vient, je vois cette bete meugler, trépigner voire s’énerver. je sais de quoio il s’agit. Il s’agit ici de Verbe, de verbe nacré, de beauté nacrée, d’une bete belle, etc. une bete forte et belle, bete belle et forte, qui va de l’avant, qui meugle, qui trépigne, qui s’énerve volontiers. Je vois devant moi pareille bête des apprêts qui cherche à s’approcher de moi dirait-on, ou du moins qui regarde en ma direction et cherche à entrer en contact. Est-elle pour moi une alliée ? est-elle pour moi une ennemie ? a-t-elle pour moi de la bienveillance en elle ou bien veut-elle me faire du tort ? Je suis en roche pour lyui parler. je suis comme entré dans la roche (le dur) du temps pour tenter de lui parler, de l’approcher, dans le but d’échanger avec elle. Est-elle en capacité de pouvoir échanger avec moi ? a-t-elle de quoi correspondre et me comp^rendre ? je veux etre une bete comme elle, ici même, afin de pouvoir lui parler, lui donner le change. Une bete est devant moi , dans ce temps imparti d’un devant de soi temporel. Il s’agit d’une bête de bon pôids, pesant de toute sa grosseur sur pareille «pierre de vie» devant soi , qui est seuil de vie-mort à venir , ou bien entrée pour une parade. Je vois devant mpoi cette entrée et cette bête. Il s’agit ici de comprendre cette bête (dans l’entrée) comme notre propre amie de roche, la parleuse, l’entremextteuse aussi. on voit la bete ici postée au beau milieu de la prairie. on voit ce préfleuri de la prairie. Il y a là des fleurs de
choix. Noius voyons la bête (cerf de rage ?) qui est là, dans l’encadrement de la porte, au seuil de lza prairie, prêt à bondir et à nous inviter (inciter) à bien vouloir le suivre dans sa course. Nous aimons ce cerf de roche mzis nous hésitons car la mort est un curieux pays, il semblerait. Il est pour nous une chose ici à souligner et cette chose est cela , comme quoi la bête devant soi est bête des azpprêts, et nous du coup d’hésiter à nous lancer à sa poursuite au sein de la prairie soit de la mort incluse en roche comme une entité, une encklave ou un sas. Nous voulons comprendre cette chose (ici) d’une sorte d’enclave à parois, à murs d’enceinte mais commùent ? et c’est là que le chevreuil, la biche, le cerf ou l’ours des cavernes pourraient nous aider , car la bêtye sait. La bête est savante. La bête sait des choses. la bête en sait long, en sait suffisamment pour nous en apprendre sans doute tant et plus c’est un fait. Nous voulons comprendre ce qu’ici la bête du devant pourrait nous indiquer ezt nous donner en termes de données premières. Nous cherchons à lui parler. elle est devant nous, elle pavane. elle est devant nous qui fait la belle, qui se montre à nous sous ses plus beaux attraits, elle fait la roue, elle fait la belle devant nous. ET nous d’eessayer de la comprendre afin d’en avancer plus plus dans toutes nos recherches sur prairie, à propos de la mort, du rapport mort/bête, du rapport entre d’un côté la mort et de l’autre le verbe (par exemple). ici, l’animal en sait long (on le comprend). La bête ... connait la musique des sphères, le train de la vie, le chant de la prairie, la magie des perles, etc. la bête en connait un rayon. elle n’est pas née de la dernière pluie et son savoir est dingue, est pprofonds;, va loin, va dans les propfondeurs de la roche du temps, car , la bête est temporelle. son élan de vie est une sorte d’entrain musical, de mélodie, de chant des profondeurs. ce chant est le chant de la terre. il s’agit ici de cerner cela comme quoi la terre ici est une sorte d'ouverture pour un chant venant des profondeurs. On sait que la bête entend ce chant (toutes les bêtes) . toutes les bêtes sont à l’unisson du «chant» de la terre = d’une vibration, d’une secousse, d’un bruit des tréfonds, etc. La bête est (en vrai) come branchée direct ici, à mêmùe le «bruit» du monde adjacent, alors que nous.... moins ? on cherche ! on veut savoir ! On en a pas fiini de chercher et de savoir, de chercher à savoir, de creuser (dans de nombreux sens) pour bien comprendre de quoi il s’agit. Nous voulons toucher la timbale
du temps à travers la bête. ici, une bête nous parle en direct, via la roche devant soi (aurignacienne etc) et du coup ... on écoute à fond ce qui est dit, ce que la bête dit , ce que la biche ou le chevreuil disent?. Nous voulons comprendre ensemble les données liées à la musique des embruns, au chant de la terre, à ce qui sort de terre, au chant du monde. ce chant venant des profondeurs vient à nous via le chant (le cri ?) d’une bête ici postée, soit dans l’encadrement d’une porte cochère = ,ici, la fin de vie la bien nommée, la mort en personne. Nous voulons comp^rendre toutes ces données de base ici pour nouds pour aller loin dans nos réflexions et mieux cerner l’ensemble des données offertezs pzar la bande lan,ghagière intégrée. nous savons que cette bande a fort à voir avec le sang. nous nous appuyons sur de tels savoirs pour en avancer sur un chemin ardu s’il en est, qui est chemin des connaissances affichées, montrées pour ainsi dire. notre but est de creuser la roche jusqu’à l’animal. et l’animal atteint de voir avec lui à comprendre un certainn nombre de pourquoi et de commùent. qui parle en moi = qui parle à travers moi = ma voix) ? qui parle à travers ma voix ? qui parle pour moi ? qui en moi s’agite ? squel animal en moi s’agitte ? quel est cet animal qui en mois s’agite ? quel
est donc cet animal qui s’agite en moi ? qui est)il ^pour de vrai ? qui estil pour de faux et qui parait être pour de vrai ? etc. car lma bête en moi parle que tu parleras, et ce sans cesse. il s’agit de fait d’un flot continu , une mer, un ru, une avalanche de paroles «bêtes» soit fortes et massives, un poids de plusieurs kilos voire davantage, car, la bête ici est bête de belle taille, elle pèse lours dans la balance, elle en impose, elle est une force vive, elle va loin et profond du fait de sa masse qui pèse et force barrage. Je suis avecv elle celui-là qui cherche à percer des mystères. Je suis cet homme fou-vif, cette ombre sur de l’herbe, ce fennec peut-être moi-même ou bien quoi d’autre ? Je cherche à cerner ce qui devant
moi se trame ; une bête se poste = se positionne dans l’encadrement d’une porte d’entrée, elle me fait signe de la suivre sans tarder, ce que je fais. et là me voilà qui me retrouve dans un sas de vie de rage, une sorte d’enclkave vitrée ou sinon viitrée luminueuse, éclairée de part en part, enveloppant mùon corps d’une douce lumière vive. Je suis avec un animal des prés et j’essai-e de comprendre ce ^pour quoi cet animal est là qui m’a poussé à bien vouloir aller vers lui et traverser la roche à la une à la deux. Celui-ci (l’animal en question) est bete des prés et des bois. il s’agit d’un c
erf de grand ramaghe. Je sais qu’un cerf est bete royale. on sait cette chose depûis fort longtezmps
, comme quoi un cerf de parade = objet d’attention. je file vers lui pour ne pas le perdre de vue. mon interet est de bien mù’enchainer à ses pas et de bien garder contact avec lui, ne sezrzait-ce que visuel . une bete-devant de soi = un devant de soi animalier = une vue d’esprit salutaire = une sorte de main offerte (deux) qui est (qui sont) main (s) du temps imparti à vivre. je vois cette bête ici comme celllle qui me guide dans la vie de la mort à l’oeuvre. on voit ici cette chose d’une main (de deux ?) qui est (qui sont ?) dès lors cette (ces?) main(s ?) tendue (s ?) ou bien comment ? on sait une main (ou deiux) devant soi, ces mains sqont de bête, sont de provenance animalière, elles sont là ou elle est là (la main) pour nous aider à ici franchir (verbalement) le pas d’une vie à vivre tout du long. on sait que cette main = une chose rude. je vois près de moi (déposé) une sorte de corps mort de bete ou bien une sorte de chemise froissée enseanglantée, ou quoii donc , je suis à la recherc he de la v érité sur terre. je suis à la recherche d’une vérité a ttenante à une paroi temporelle. on est plusierurs ainsi à travers le monde , qui ncghercghons des vérités de grande (et première) importance. nous voulons creuser cette idée commùe quoi le Verbe est dans le sang comme le ver est dans la pomme. un ver de pomme cherche issue. la bete en ous aussi. et voilà pourquoi nous raisonnons, nous batissons des architectures de raisonnemenrtts, nous cherchons une compréhensiuon mutuelle. nous ne voulonbs pas céder, nous voulons intercéder et gravir les échelons de la paroi aurignacienne ou néandertalienne. nousd devons comprendre tous ensembvle (une humanité) ce qui surnage ici en termes de paroles offertes ezn guise de présents à déposer sur table, table a ux offra des, sur seuil ou sur paroi. nos mots sont des bêtes-mots, sont des bêtes et bêtes. nous voulons comprendre au plus loin et aller ainsi de découvert en dsécouverte. Nous sommes deux qui voulons ensemble toucher la paroi des choses cachées ... à la vue de l’homme et de la femme.
Nous ne voulons pas passer à côté sans savoir, ou sans rien y voir, mais tout au contraire emmagasinner des données et en avancer sur la v oie des connaissances les plus achevées sur la question de la mort en atteznte, de la vie déposée pour de faux, de la mort en branche, de la vie des sphères attenante à une vie telle que celle que nous vivons sur le plancher des vaches. Nous ne voulons pas nous affoler mzais placidement ou calmement avancer sur ce chemin (escarpé) des connaissances brutes, des données de rage ou de la rage, des embruns, des apprets, des chants des profondeurs. la bete devant soi sort (est sortie) de soi via la bande langagière et à présent comment faire ? comment comprendre cette bete, son parcours, son but de vie, ses intentions rupestres, son cri ?. nous voulons comprendre ensemblme (la bete et moi) les données du monde adjacent qui est le monde vif et beau d’un sas de prairie. nous voul:ons cerner dans loa longueur du temps ce qui est qui est, et inversement ce qui n’st pas dans ce qui n’est pas. car il va de soi que nous sommes touchés, meurtris, ou susceptibles d’être touchée s ou meurtris. Nous avons devant nous une bête sortie de nous par la bande langagière. Cette bête est bête de roche, qui pèse un âne mort et jamais à nos yeux ne s’en laissera conter si aisé ment ! car, elle trépigne continument (en nous déjà : le sang, et à présent hors de nous : les effluves). Je vois devannt moi cette bete qui se tiennt droite et nous fait des signes (kabbalistiques ?) afin que voilà, on puiisse la suivre et entrer de ce fait dans le sein des seins ou sas des sas. nous obtempérons et entrons. décrivons. nous voyons des choses, nous voyons de l’herbe, nous voyons de la lumière, nouis voyons une belle lumière sur une prairie (un fond d’écran ?) . Nous avons devant nous de l’herbe et des betes (bouquetins ?) qui paissent. il y a des champs à perte de vue, tout un paysage de nature. du vert en veux)tu en voilà. soleil et clarté sur les prés. des betes qui paissent et batifolent. univers p)rairial ensoleillé. une sorte d’encklave rustique, une sorte de troué-e dans une adversité. Je vois l’herbe verte devant moi et j’avance en elle. touché ! j’ai touché l’herbe ! je suis entré dans l’herbe. il ya beaucoup d’herbe : elle monte haut. je suisq entré en elle et à présent je suis comme l’enfant qui cherchant a trouvé, ou qui même sans chercher si volontairement a fini par trouver quelques données de roche. je suis ou serais cet enfant des prés qui sans vraiment chercher (ou si ?) a trouvé. et ce qu’il a trouvé relè ve de données fondamentales. nbous sommes
des enfants qui pour le coup nous avançons sur roche = dans les prés, à la recherche d’une découverte à faire incidemment, un trésor de beaiuté (?) ou un trésor des templiers, ou bien la clé des champs, ou bien la clé musicale des chants, ou bien la cklé musicale des données de base? nous voulons trouver ce pour quoi le temps est dit le chant est dit la roche est dit le verbe est dit l’animal . notre envie (
enfantine ici) est de dire ce quyi est. ce qui est serait ce qui se voit. pas seulement mais pour paertie?. nous disons dès lors que nous sommes les enfants de la pprairie qui nous enfonçons, ici, dans les herbes vertes, hautes, à la recherche du trou de céans, passage idoine, excavation et perfgoration, trou non-borgne si tant est = pasdsage pour une entrée. nous sommes enfants en nous, qui cherchons à découvrir kle pot au x rooses et pour cela nous chantons à tue-tête le chant de la roche perlée. nous chantons haut et fort ce chant de roche dure, ce chant venimeux, cette drôle de parade mortuaire, ce chant des sphères dernières. nous voulons ensemble trouer la paroi et nous immiscer bon an mal an à travers elle. la vie est une chose vive mais la mort aussi étrangement. la vie est vive, et la mort est vive. La vie est une sortie et la mort aussi. des passages différents mais... concomitants ? Nous cherchons ! nous voulons cerner des données. nous voulons toucher à des données de poids «qui puissent le faire urgemment». Nous voyons cette chose (en tant qu’enfant) s-d’une sorte de praiorie des roches, lieu des betes des prés, lieux des cavalcades. nous voulons aller au loin en cette roche du monde,
en cette chose de l’autre côpté du monde, en ce sas. trouveropns- nous ensemble kle secret ? quel est ce secret ? qui connait au juste (exactement) les mots du secret ? qui peut parler au nom du secret ? je veux toucher à une bande royale langagière qui le fasse. je ve»ux toucher à un Verbe de joie. je ne veux pas rester en carafe mais aller profond au sein des connaissances. ma voix est voix qui porte comme celle peut-etre d’un enfant de peu mais enfin je cherche, je ne cède pas, je poursuis sur mode déraison mais pêu importe ! le but ici est de trouver «des chose», du menu fretin pour certains peut-être mais pour nous ce menu fretins est plutot des merveilles, des données riiiiches, des données solides qui imposent leur étant à même une roche, roche souterraine. nous cherchons partout (soit dans kle temps ici) des données de roche dure = des choses de poids , afin de comp^rendre le monde, l’(étudier au mieux, toucher la timbale «aux enjeux de base». nous sommes ou serions des enfants. nous sommes ou serions des enfants qui cherchent, qui creusent des puits, qui soulèvent des fourrész, qui zyeute à la toque ici et là la rocxhe du temps à la recherche de données qui pûiissent informer quiconque de ce qui est au monde (ou derrière» le monde) en tant que choses de la vérité la plus extrême, la plus fine, la plus ancrée. Je suis un homme-bete qui cherche avec en lmoi une voix jeune de parade,, voix d’emprunt surnuméraire, qualité à zéro degré de mensonge en vrai. je cherche une façon en roche d’y voir clair le plus que je peux. ma voix porte ce qU4elle porte mais en vérité peu importe, car je cherche que tu chercheras, à tout va, à fond, au fond, dans la profondeur du monde adjacent et ce à travers le verbe ancestral, ses réseaux internes, ses relais en roche, la faconde. nous devons aller eznsemble (qui ?) à la recherche de données de base, de choses de poids = aurochs, de belles et douces vérités qui en imposent (verbe perlée) etc ; le chant de la paroi file et vibre. nous savons que nous devons aller en roche à deux (toi, moi) et ce main dans la main (à toi, à moi) afin de pouvoir ensemble nous introduire illicoo presto en cette zone de temps impartyi, en cette matière temporelle et aussi musicale de la roche dure ; nous ne voulons pas succomber mais plutôt poursuivre sur notre lancée et tentezr d’y voir (enfin) suffisamment clair pour pouvoir nous prononcer sur la question des vérités cachées du monde (s’il en est). nous voulons trouver «des choses de poids», ces choses nous les a ppelons du nom de la bête ici postée devant. nous cherchons une sorte de définition. le but ici est de cerner ce qui est, à la lumière conjuguée de la cla rté céleste et du soleil de roche dure et xdes apprêtsq. nous vou:lons enttrer dans cette zone de vérité;; nous voulons percer la roche et nous loger en elle instamment. la beauté des lieux incite à se poser et à seulement contemplér le paysage. nous nous approcjhons du cerf géant.. nous voulons toucher icelui en son pelage dru. nouys voulons toucher la bete de crin. nous aspirons tous et toutes à dire des choses dee poids , soit à révéler un certain nombre de secrets ... contenus ici bas. peut-on et si oui commeznt ? en tournant sa langue dans sa bouche ? en pleurant ? en ouvrant son coeur ? en pissant ou chiant ? en parlant tout haut ? en gueulan,t même ? en donnant du fil à retordre à son entourage proche ? en oinspectant le dessous des cartes ? en levant lkes jupes des femmes de tout ages ou presque ? en faisant comment ? nous diso,ns que nous devons comprendxddre
ce qui est du monde = ses dons de choix, ses offrandes, à même le Verbe comme ... turgescent.?. le but ici est de toucher au but = de comprendre le mot de la fin. Le mot dit dans une prairie. ou le mot prononcé en cette prairie par une sorte d’animal de base, animal au poil serré, bete des embruns, bete au chant, bete aux cornes ou aux bois de roche. je cherche à comprendre = percer un secret mais il n’est poas facile d’atteinte et je je ne cesse de percer, de faire en sorte que pa reil secret me tombât dessus comme un fait exprès. enfant de lka roche aux tourments de mille sortes, je m’avance et donne mon la de contrebande : vie flouée pour ainsi dire = le passé. mais ... le passé seul ne suffit pas. Seul il n’eswst pas assez, ne pèse pas assez , ne pè§se pas assez dans la balance, ne pèse pas assez lourd pour la mort à l ‘euvrre, ne pèse pas son pôids de rage dure, ou si oui incomlplètement aux yeux de l’entité déjà nomméee plus haut. Nous disons cela comme quoi les mots ne sont pas suffisant pour dire ainsi qu’ils feraient bon poids dans la balance qyui est cellle xde la mort à l’oeuvre. on dit cette chose, on dit ainsi. on pense que la vie passée (qui n’est que du passé) ainsi déposée devant soi (dans ce temps d’un avenir direct et tombal pour ainsi dire , quoique non) n’est pas suffisant aux yeux de la mort. il en faut plusz (eh comment !) pour la contenter. nous disons que le passé seul ne suffit pas pour contenter la mort, le feu vif
et impactant du passé (mort oui, mais pas assez fort , ou pas assez vif) n’est pas chose qui pour elle (mort) en impose asssez et fasse illusion assez de temps pour que nous puissions faire pour nous une sorte d’écart ou de pas d’écart temporel qui
nous tînt en vie incidemment plus longuement. nous disons que nous sommes qui cherchons à dire-faire un pas d’écart un temps. et pour ce faire, ici : le v erbe. verbe pariétal ety monacal pour ainsi dire. verbe dressé, verbe en berne ou pas mais verbe de paroi, de roche dure, de sein des seins. nous nous immisçons en cette roche du temps alloué à un devant de soi de rage à être coûte que coûte vif ou vive et non mort ou morte. nous voyons la roche devant nous, nous pouvons toucher icelle sans crainte. nous voulons aller en elle dans la profondeur et comprtendre kles données basiques initales. je est je mais pas xseulement. je est nous mais pas sezulement. je est un ensembkle de données peerlières princières. je est effluves. je s’infilttree ici dans la durée en équilibre. je est une tentative de «raisonnement par la bande» à propos du temps. je s’incruste dans la pierre comme pic de roche à pezrcer la roche. je est vers de roche, et ver de pomme. je est chant et champ. je : glisse sur les mots, d’un mot l’autre continument, sort de sa bulle précipitamment et grave que tu gravezras à lka manière toute pariétale d’uun homme ou d'une femme des temps des cavernes. je suis hyomme-femme soudés entre eux. je suis homm-femme soudés, qui tremble, qui a froid, qui cherche un reayon de lune ou de soleil. je veux toucher la pareoi du monde (kle verbe) et pour cela, je parle en continu et jamais ne cesse si possible. je creuse’ à même la roche dure. je veux toucher à cette roche dure et rude et, commen,t ? , rugueuse, d’une sorte de peau de paroi rocheuse, de paroi du temps. vive la vie sur terre parlante ! vive ici la vie parlante à traversz la pierre,, la roche du temps ! je veux être ici homme considéré, aimé, qui veut cette chose pourv lui, d’un nom donné qui, en vrai, lui plaisze et qui aillle (au mieux) à son teint d’enfant naissant. je cherche à percer la pierre. pour cela les mots. pour cela il ya lkes mots, le verbe dru, les mots de derrière, les mots à hurler au fond des cavernes. je hurle ! j’hurle comme un dxexaxé ! J’hurle à fond les manivelles ! je plaide coupable et invective concomitament ! je dis que je poses (dépose) la vie passeé ou du passé sur la pi
erre, en lieu et pklace d’une vie humaine, d’une vie pour le coup complète, entière, exa cte. or, vas-y !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! je donne voix passée, voix d’ombre !Je donne peu. je donne mon passé en tant que tel = une faillite.
et la mort, of course, de rouméguer, de râler haut et fort , de se pl;aindre et de pleurer que ce qui est donné (par moi, en mon nom) ne lui sudfit pas. elle se moque du pzassé. ce qu’elle veut n’est cpas de ce passé bruûlé mais ... de la brûlure, en nous de la bnrûlire vive, du fond de partage, etc. le fond de roche est ouverture vers un au-delà auquel nous n’avons pas accès. nous voulons comp^rendre ce passage ensemble, ce qu’il est au juste : une naissance ? une seconde naissance .? une renaisszance ? une mort-naissance ? ce que nous voulons pour nous égale cette chose d’une sorte de donnée de base rupestre = ce cheval en nous, cette bete en nous ! nous voulons toucher la bete en ous mais ou est-elle ? comment faire ? devons-nous «entrrer» en nous à lka recherchez de la bête ? devons-nous percer en nous une chose de nous ... pour trouver où donc en bnous se loge ou logerait pareille bete de la vérité: devons- nous percer ? devons-nous toucher la roche = le verbe? comment faire pour toucher le verbe ? commùent faire pour toucher le verbe ? comment faire pour toucher le verbe d’une roche dure ? comment faire pour toucxher le verbe ... tendu comme un arc ? comment faire pour touchger à vif et sans contraefaçon le verbe ... tendu comme arc ou comme une arbalète ? je cherche à comprtendre les données de rage en soi contenue et qui ne demandent rien de moins que de sortir de nous pour allezr fissa voir à xse loger en roche en l’une de ces anfractuosités poreuses, etc. je suis hommbête qui veut toucger à kla paroi =à la timbale. je chezrche vif ! je cherche à fond ! je cours et je vole ! je suis être ailé comme le cerf volant de la rage des temps. mon nom s’incruste à
même la paroi : aurochs de la rage à être un aurochs. je suis homme qui veut comprtendre
kles données qui sont à la ba se d’une sorte de pareoi du monde. je me prénommre Averell, je suis niais, je comprends les choses à peine, et cependant ai droit de cité en cette chose que malgré ma très grande bêztise devant l’éternel je n’en suis pas moins un êttre pensant, qui réflévchit, qui cherche à comp^
rendre, soupèse des mots, va dans le sas des choses retenues et à comprendre un jour, etc. Oui je suis crétin c’’st entendu. je ne vole pas haut. cepenfant je vole, je monte, je m’envole. je suis oiseau de branche, ou bien oiseau-ma rtinet qui jama is (?) ne se pose de son vivant. j’essaaie moridicus de comprendre les choses du monde, la mort en son logis, la vie en son autre logis, etc. la porte d’entrée. la paroi d’un couloir de rage. un b ruit dans le fond, au fin fond du monde. une voix appelle ! elle crie de toute sa misère ce qui est , ce qui est qui va se tramant.Je cherche à etre cette chose d’une voix qui dirait, en vrai, ce qui est, soit : ce qui serait pour elle comme aux yeux d’une bete des prés. je veux essayer de comprendre ce qui est qui est devant moi, ce qui devant moi se trame. je veux essayer de co:mprtendre les choses du monde au mmieux, essayer de :m’intégrer à une sorte de vision globale qui me dépasserait (de loin) mais m’engloberait. mon souci premier est de m’inviter à pareille supervision , à ce genre de supervision collègiale, à pareille chose d’une sorte de vision supraglobale sur le monde, qui verrait dès lors le tout, ssoit : chaque chose d’un tout intégral. je serais cet homme qui, bon an mal an, cherche à tirer profit d’une course vive aux données diverses. je m’infiltre cvommùe un agent double dans la prairezie. mon souci constant est de bien cerner lmes enjeux qui président ici aux choses du monde. mon souci premier est de percer vla roche, et de m’introduire du coup en une sorte de conversation supra cérébrale comprenant ;kes données du temps soit du temps adjacent à une vie vive,mais aussi les données de la roche dure, soit les betess , dessdinées, gravées, qui paradent et semblent nous interpe:ller de loin pour nous dire qUelque chose. qu’ont-elles à ous dire de si vif ? qu’ont-elles à bnouds donner comme renseignements de première main ? veulent- e;lles nous troubeler par des dires de poids ? veulent-elles nous toucher de leur museau pour ainsi dire de bete de poids ? sont-elles pour nous des v érités premières ... en l’état ? mots-bêtes de charge ? mots qui sont des betes et qui parlent en
leur nom à travers le nom que nous leur donnons par misère ? je suis à la recherche d’une v érité qui pl;ombe, qui pèse dans la balance, ou qui pèserait dans la balance. je veux être considéré à l’aégal de ceux et celles qui , comme moi, cherchent de leur côtés des choses de poids, des vé»rités premières et autres évclaircissements. nous sommes tous et toutes parties prenantes dans le grand concert de la Voix des choses du monde. qui est là qui parle en moi sinon cet autre moi de contrabande ! je veux essayer moi-même par la bande (= avec le temps en quelque sorte comme allié) de creuser le plus loin possible la terre des apprêts et trouver en elle de quoi me sustenter un temps en termes de données probantes pouvant m’éclairer sur les (diverses) affaires courantes, celles qui ici sont pour nous attenantes aux choses du monde. Nous devons ensemble comprendre ce qui est,, à la lumière vive des données qui sont données de roche, de paroi rocheuses et zautres pierre de taille ou d’offrande. nous voulons percer les mystères de ... l’au-delà à une vie brève. pour cela il y a le verbe, soi le Verbe dresszé pour un faire. je pèse les mopts afin de me fa ire comprendre le plus possible du plus grand nombre. Je veucx êtres pris pour un être de la joie à êttre. Je ne veucx pas être pris pour un être qui serait celui-là que la mort rejette. mon moi est une chose rude, qui perle, qui perd d’elle ses attraits au fur et à mesure que le verbe croit en moi. Croit , du verbe croitre et non du verbe croire, quoique. car, ici, le verbe est aussi cette chose en soi qui tend à montreer, de lui, un visage proche de la foi. je suis donc je crois. et en quoi crois)-je ? je crois en du verbe pris comme une sorte en soi de bête forte = fauve = de poids = pesante = lourde = qui sème sa charge = qui en impose beaucoup et longtemps pour comme nous aider instamment à tenir en vie le plus longtemps possible. je regarde devant moi et ce que je vois est une chose rude mais tenace. je vois la bete. je vois devant moi la bête. devant moi est une bête qui est une bete de la joie à être, et voilà pourqauoi nous cherchons sxans cesse, en vivant notre vie sur terre, à nous app^rocher d’icelle bête qui est bête de la joie à naitre. Je pe nse ici = je suis ici la b^ete de la joie ... à naitre nommé. Je suis homme des embruns. je vais sur roche regarder au loin les donnnées de base à une vie humaine. je veux connzaitre ces données. je veux toucher la mort pour la comprendre et comprendre ce qu’il en serait si moi même en était = de la mort comme elle. or, ce que je vois, ce que depuis la vie que je vis il me sembkle voir de la mort, est cela, co:mme quoi la mort est vive comme une vie vive. je vois cela, cette mort vive, comme une donnée qui, pour nous qui cherchons, sonne fort à nos oreilles qui sont ceklles d’hommes et femmes des prés. Nous sommes néandertaliens néandertaliennes ou aurignaciens aurignaciennes en nous mêmes pazr nos orteilles = nous sommes restées hommes et femmes des prés via le son qui vient sonner à nos oreilles. Balafon ! balafon ! balafon
moqueur ! je cherche ici une chose de poids. je v eux toucher la mort dans son terrier sans pour autant moi-même ezt à jamais (dit-on) passer l’arme à gauche. mon but n’est pas de sombrer. mon but est de connaitre ce qui est dans ce qui vient. et ce qui vient vient vite, vient vers moi si vite qu’il est difficile de cerner avec justesse et ce permanemment les données de base du monde, soit les outils de comprenure, les outils de rage, les cerner au mieux, il est difficile, ensemble (une humanité) de co:mprendre ces données, ces outils, ces bruits, avec pour nous comme seul bagage la raison de l’homme ou de la femme perdu dans le temps. notre voix porte mais porte peu. notre voix est une sorte de parole à vide. il est nécessaire de penser les choses à la lumièrre d’une sorte de parole «p;leine» = enceinte d’un double de soi animal. je veux être pris, je veux être compris, je veux être adoubé voire considéré par mes pairs
comme celui-là qui, parlant, chasse des démons. mes pairs sont ceux qui , comme moi, parlent vif à d’autrews qu’à soi; je cherche ici (dans ce sas de bienvenue) une parole animalière(animale ?) qui puiisse ou pourrait me guider ... sur la voie , peut-etre, d’une vérité de bon aloi. ce qeue je cherche est une vérité ancré dans une roche. cette roche est faite de temps comme amonczelés. Temps d’amoncellement pour une sorte d'embardée rendue possible à maints hommes et à maintes femmes des cavernes dont nous sommes. car, je suis homme des cavernes, je suis cet homme gravant la paroi, la paroi du temps. je suis (aussi) cette femme aux attraits, dessinant sur roche l’antilopê, le buffle orgueilleux, la bete de rage sanglante; Je suis celui-ci et celle-l)à . je veux etre homme et femme à la fois , afin de comprendre au mieux ce qui est devant moi dans ce que je vois. je suis homme vif et feeme vive = en vie , sur rochje, comme l’animal ... dans le sein des seins pariétal. je suis ce même être de vie. je vais et je viens vers lui, verts la b ête dessinées, cvers la bete en sang, vers une bete qui se fait ainsi apprécier par une déité (de base) aimante. car, la mort nous aime. la mort nous aime ta nt, qu’elle nous veut pour elle, qu’elle cxherche urgemment à nous prendre en elle, ou sous son ai;:le.la mort est pour nous cette aile qui, bon an mal an, cherche couramment, urgemment, vivement , à nous prendre au vif de notre floraison , sous l’aile d’elle qui, ici (sas) est celle de la vie ... en la mort. nous avons cette chance ou chose, pour nous, de pouvoir voir l’aile sur la roche. quelle est-elle ? eh bien elle est celle-là que nous voyons se dessiner, à) part nous et comme par devers nous, sous
nos yeux, à même la roche, entre nos mains. nous sqommes pris ainsi par un feu en nous de rage, qui, vif, hainueux, tend à faire sur roche tout le mal que nous souhaitons en fait offrir à cette déité. nous sommes hommes et femmes des enfants qui haïssons la mort. nouys voulons la mort de la mort. nous dessinons sur roche la mort de la mort à travers ... la vie de la vie. nous voulons aller en roche comme deux (elle et moi) qui savons de quoi il en retourne entre nos bras, entre nos mains, depuis nous qui sommes comme lévitant, en grotte, pris et prise en une sorte de tourmente qui nous voit ici co:mme léviter pour aller fissa tracer les tréits (sur roche) de la bete en sang, de cette bete-verbe qui pour ainsi dire dit ce qui en elle ecxiste de plus prégnant en termes de vie offerte. je suis hjomme et femm, l’enfant de la roche. je cherche à faire ainsi
que le verbe dise ce qu’il a à dire de plus urgent?$-. je ne cherche pas l’amoncellement pour l’amoncekllement mais à tracer les traits nécessairees en quelque sorte à une vision. ce qui m’importe ici est ... ce dire de la joie à être (ou naitre) je = nous = l’homme ... doublé de la femme. ou bien un je de rage qui soit celui-ci , que nous nous voulons, pour (a insi) faire (depuis nous) all»égeance. ici allégeannce, pour aller plus loin et tenir encore devant soi le ou ce présent ... donné à une déité en tant que présent de réserve. je suis homme débordé mais qui cherche l’être ... dans le vent sortant, d’une anfractuosité menaçante. je veux toucher pareille menace, je veux pouvoir toucher à pareille menace plénière. je suis homme des tourments, homme des roches dures, du temps présent, du temps offert au présent comme un présent à déposer sur roche. mon coeur dit ce que la vie ... l’oblige à dire ... à dire à la mort. Ou plutôt : mon coeur battant ... dit à la mort (qui est là près de luii, à comme veiller sur lui, à lui chercher querelle aussi), mon coeur dirt ce que la vie en lui lui demande (urgemment) de dire. je suis celui-ci qui parle et qui, parlant, sauve ... un dire de la mort de kl’âme. je suis (je serais) unn être calculateur. je compte chaque battezment-. je vais devant à la recherche d’une vérité (vérité de poids) qui soit pour moi une aide substantielle à un maintien (en moi) d’u ne poussée (vive) de vie vive. je suis cette ombre déplacée. je suis celui-là , qui veut aller loin dans la roche, à la rechercjhje d’une sorte de donnée votive, et pour cela je me dois de toucher le verbe ... de la foi dans l’être. je touche ! je touche et touchant (forcément !) je suis touché et ... voilà où le bât blesse ! car, touchant on se trouve touché et touché on se trouve blessé. je voudrais comprendre à jamais les données franches d’une vie à vivre ! je cherche (ici même) à comprendre au mieux ce qui est de cette chose en moi, d’une bête de joie (ce je !) qui cherche à être ailleurs qu’en moi, soit : dans la mort ! or, mèfle ! nooooooooooooooooooooooo
n , merdum non ! pas vouloir ! moi enfant ! moi pas avoir envie ! moi enfant parle pas ! moi qui suis enfant peux pas ! sait pas comme il faut ! peux pas bien ! sait pas bien ! parle à peine ! voilà ! et donc du coup comment on fait ? si en moi l’enfant ne parle pas car il ne sait pas, qui pour lui va prendre la parole ? qui prendra pour lui la pa(o;:e ? un dieu ? la rage ? la bête ? laquelle ? le serpent $? la vipère ? le père ? le sang ? la chance ? le verbe ? le verbe menaçant ? la prière ? la joie ? je ? et nous voilà cherchant ici et là ce qui est de fait dans ce qui se trame ! nous ne sommes pas sortis de l’auberge ! nous avons du pain sur la planche ! nous devons nous serrer les coudes ! nous avons de quoi faire ! nous ne sommes pas en manque de quoi que ce soit en ce qui concerne ce qui reste à faire pour comprendre ici les tenants et les aboutissants d’une vie sur terre, avec : temps de vie effective (fluctuant) et temps de
mort (enterrée ?) qui en vrai peut varier selon les données qui seraient les noôtres ... au moment de notre mort. Je suis ici pour faire cette chose ,
d’un calcul, d’une sorte de calcul de base, concernant les jours à vivre vif et ceux qui seraient (peut-être) à vivre non-vif = mort. je cherche devant moi (ici bas mais dans le fond des choses recentrées) ce qui est qui puiisse m’offrir en quelque sorte des donnéesz dde base ... intéressantes à plus d’un tittre. je veux toucher cela même qui vient à moi dans le temps. mon soucib ici est de toucher vif la mort contenu dans ce daevant de soi interplacé. je veux être homme comme bete des parois du monde = un homme ... devenu bouquetin ou bison ou cheval. je suis : homme de rage au sang chaud, au sang qui vibbre en lui comme du verbe. jke cherche à toucher roche de mon pic (acéré) de verbe, pour percer icelle (illico presto) afin de percer par la même le mystè§re de la destinée. ce pic est cette chose, en bout de moi , qui pisse sa gourme, qui va ou ira à vau l’eau ou pas mais tente ou tentera une approche liquide, effluves ... ou sinon comment ? volatile ? Je cherche à comp^rendre les données (de fait) les plus fines et les plus naissantes. jhe veux toucher la roche des temps alloués de ma pique perlée, plzine de Verbe , de verve, de paroles vives, de cris de haine et de joie mêlées. mon coeur est tendu à l’extrè:me : je monte ! je me hausse ! ou plutôt : je suis haussé, porté et me voit monter comme soulevé par en moi une sorte de bras qui me soupèse, me portye haut et me fait tracer sur roche des betes des prés. je suis homme des paroles dites à la voléée
et tracée de fait sur pierre au stylet. je suis un homme à la voix perchée. je suis homm des apprêts , qsui cherche à comp^rendre au loin ce qui se dessine et qui sembvle vouloir me parler (qui sait ?) en son langage. quoi lire ? que co:mprtendre dans ces dires d’homme des cavernes ? que la vie e-st vive sur paroi qui n’est pas la vie vraie ? que la vie dxes betes est vive sur roche mais c’est faux en vérité ? que la mort est soudée au verbe ? comment cette chose , comment l’exp;liquer ? si la mort est, en effet, soudée au Verbe alors l’animal en moi erst soudé au verbe et de fait à la mort ! eh bien ... peut-être ! très certainement ! peut-être qu’en effet il est cette chose comme quoi la mort est soudée (enlacée) au verbe ! qui l’eut crû ? la mort est vie de rêve ... enlacée à du verbe vif ! la mort est cette chose d’une sorte de parole en soi, accrochée à une roche, à un pic de roche (etc) qui fait d’elle une sorte de conseillère attitrée. je la vois qui s’agrippe au verbe comme un fil de soie. Je veux la comprendre et pour la comprendre il faut la toucher. il faut faire cette cxhose de toucher la
mort.; mais comment faire ici ou là pour la toucher ? est)-elle touchable ? est-elle intouchable ? est-elle donnée ? est-elle une offrande à son tour ? est-elle enlacée ou entrelacée à du verbe et si oui à du verbe à qui ? je cherche à fond kles manivellkes ! je ne m’en laisse pas conter outre mesure ! je veux tracer ma route, tracer au mieux et cerner. Mon coeur bat comme celui d’une bete de joie et j’en suis bien aise, car je veux que ma vie perdurâ t et tint bon sa chandelle verte. je suis animal. je suis Bête. Je suis un
animal des données profondes , et je veux trouver sur terree cxde quoi me loger, me mettre à l’abri, me protéger des intempéries et des prédations. je m’appelle du nom doux de Spi l’homme des parois du temps. j’opte pour un autre nom que kle sus-cité par la bande. je cherche fortune dans le temps donné d’un déploiement, ou comme fortune car kje chgerche à moitié car je suis cherché, je suis comme (en moi même) cherché par la bête qyui se joue de moi et moi de suivre ses prérogatives et ses volontés. je fouille dans la roche dure à la recherche de données de base qui piuiisse nous donner de quoi avancer sur la voie des connaissan,ces majeures. mon coeur est une sorte de machine à être. je veux sortir de là (sas) et aller là (autre sas) pour comprendre ce qui est d’une vie terrestre. je vais vif. je suis l’homme au passé déposé. Je ne veux pas tomber à la renverse mais tout au vcontraire rester droit et voir devant moi les présents de taille déposés en guise d’offrandes. je les vois qui trônent devant moi = le présent, la cxhose offerte et le temps passé déposé. je vais vers la roche et touche. Je suis l’homme aux bras ouverts. je ne tombe pas à la renverse mais je tiens. nous voulons comprebdre loin et profond les choses encerclées, les choses situées, celles qui sont déposées ici ou là dans le monde. notre besoin est incommensurable de vouloir comprendre mais cvomment quand les mots surnagent qui nous font espérer et ce faisant sont liés à la mort. la mort et les mots sont main dans la main. ou : le v erbe et la mort sont main dans la main. ou
zncore : mort et verbe sont main dans la main. Ou bien verbe et mort main dans la main. je cherche que tu chercheras les mots insérés qui sont dans la paroi comme adoubés par la mort à l’oeuvre. nous devvons comprtendre un grand nombre de données de rage et pour ce faire : aller fissa ! filer à l’anglaise ! tracer ! faire vite fait! pistonner ! par la bande aller et tracer que tu traceras qui des buffles, qui des bisons ! Je vais dans la roche, je vois ce qui est : des betes sur un pré et qauoi d’autre ? dees entrées de groottte,
et quoi d’autre ? je ne sais ! je regarde, jke regarde de pl;us près mais il n’est pas facile i ci de distinguer les choses en vrai, car nombre d’entre elles ne sont pas en vrai mais seulement ... enfants (?) du Verbe ! Je m’approchhe d’une biche , je m’approche d’un chevreuil, je m’approche d(une bete des bois, je suis l’homme des approches de prairie. la biche est douce comme de la soie. Le cerf lme regarde méchamment, qui se demande ce que je lui veux incidemment. Je vais vers eux et cherche à lkes toucher en vrai. mais sont-ils vrais ? sont-ils en chair ? ont-ils de vrais attributs sexuels, de vrais bois, etc? je me le demande, à présent. rien n’est moins sûr il sembklerait. et cependant ces bêtes me parlent, $me regardent, me parlent avec des mots, des mots de contrebeande ma is ce sont des :mots. je veux les comprendre. La mort dans la vie. Où est elle située ? que fait-elle de ses journées ? la mort est-elle si occupée au jour le jhour ? est elle réellement sur le qui vive en permanence ou prend-elle le plus souvent ses aises, le soleil ... en terrasse ? Qui ou quoi est la mort ? Nous voulons comprendre ce qui est et pour cela nous devons cerner (au mieux) les contours du Verbe, car la =mort est dans le verbe et le verbe dans la mort (cul et chemise) on l’a dit ! La mort et le verbe font bon ménage, ou disons qu’ils sont en ménage. ils couchent ensemble. ils sont ensembkle. ils sortent ensembvle = ils sont ensemble dans l’intimité. je cherche à comptrendre ce qui est, et ce que je vois c’est que la mort est une sorte de don,née de poids qui tend à devenir ... Êttre, au fur et à mesure que le temps grossit d’une vie particulière. je cherche en roche des motifs qui soient des formes qui puissent nous donner un quelque chose à butiner. ,je veux être pris en considération
. je veux être comme priis en une sorte de considération. respêct à personne en danger peut-êtrte pas mais enfin le respect qui serait kla première des choses. donc, la mort : respect à mon encontre. tu me dois le respect en permanence. tu ne dois pas encombrer les lieux mais déguerpir vite fait bien fait et nous laisser aller à nottre guise soit longtemps si tel est notre voeu le plus cher. nous voulons comprendre ensemble (elle et moi = une paire) les choses de poids qui font que voilà, nous avons, pour nous, à cerner le Mal par la bande et non point frontalement comme ccertains le croient. le Mal est bien enfoui en nous, il se loge là pour de vrai, il prend placce, il est inscrit en nous comme un silence dit des profondeurs, comme anguille sous roche, comme bête des tréfonds. je suis homme des fonds de la rage à être et veux comprendre ce qui est ici (roche) qui existe en tant que tel et n’est pas du mirage ou seul mirage. voilà , la mort, ce qui lui passe par la tête !Elle pense « la vie» sans cesse. elle veut de la vie,
elle souhaite pour elle la vie, elle ne veut rien d’autre que la vie pour elle (s’en rassasier, s’en foutre plein la la:mpê, etc). La mort aime la vie. la mort en vie aime la vie en vie. et nous, ce que nous donnons, c’est de la vie en mort = le passé brûlé ! et la mort de rénacler... où ça ? en
nous ? comment ? par le sang ? et si par le sang comment ? NOus voulons savoir, nous voulons en savoir long, nous voulons trouver. la mort est liée à la vie (tressée à elle) par le Verbe. la mort n’est ni devant ni derrière mais liée à nous (tressée) par le verbe serpentin en ous (un caducée ?). nous voulons comprendre vif et pour ce faire comment faire ? nous voulons ensemble ici comprendre et cela pourquoi ? parce que nous voulons être in-formés c’est-à-dire formés, en ous, comme est en nous la prière induite. nous voulons aller en roche des prés ceuillir des herbes, ;les brûler, les offrir à une déité de parade. nhotre envie est notre vie. les mots caracolent dans le tezmps et font diversion. les mots sont tresszés à l’être et ne peuvent facilement être débarqués (et si oui comment ? qu’on me le dise !). je sais cela, comme quoi les mots sont (pour moi) adjuvants à autre chose en soi qui perdure un tempsz puis finit par s’étouffer et céder. je comprends les données de base (de rage ?) mais enfin la terre est ronde et non p;late ! le ciel est bleu et non vert, et . kje suis «branché». je vois avec des yeux de rage.
mon coeur voit pareil. ma voix se perd. ma voix est sans importance notoire, elle fait ce qu’elle peut et que peut-elle sinon peu een vérité, quyi a vite fait de dérailler comme la voix qui mue du jeune blanc-bec. Je cherche à comprendre, dans un tas de choses ent&assées, ce qui est et ce qui n’est pas. mon nom est un nom d’emprunt que je n’aime pas plus que ça mais peu importe. ce qui compte c’est la voix ! la voix de rage ou pas mais cette voix qui sort de moi comme un cracxhat. JE veux être pris pour ce que je suis et pas pour autre chose ! je veux être priis et du coup, considéré pour cela même que je suis (mais que suis-je ?) et non pour quelque chose ou qsuelqu’un d’autre qyui en vrai se verrait payer à ma place, ou moi à la sienne plutôt ? Je ne suis rien de plus q’un verbe de poids sur paroi, ici la bete de réserve, la bête rosse. mon nom trône c’est un fait, se voit réifié, etc, mais en vérité il est peu de chose. il n’est pas si fin. il ne donne pas grand-chose. il est ce qu’il est mais ne porte pas loin.Je sais bien cette chose comme quoi un nom xe famille est une chose prise à part par en soi la mort. comment cela ? par la bande = par la bande langagière = par kle temps. nous nous agenouillons côte à côte et regardons au-devant de nous ce qui se dessine sous nos mains. il s’agit de betes de cazvernes ou autre bêtes des prés ou des bois = l’ours des cavernes mais aussi le cerf, la biche, la jument, la bisonne. je regzrde ce qui est. la mort est toute assujettie au verbe. le sujet du verbe se voit accouplé )à cette chose (en vrai ?) de la mort de l’être; je regarde innocemment mais en vérité peut-être pas tant que ça. je suis cet homme qui va devant et court et traine sa misère et fonce et trainaille selon les moments. je vois loin. mon etre est l’etyre de la jhoie à être. je veux etre vif permanemment et ne pas tomber en arrière ni :même )à kla renverse. mon coeur bat et tant qu’il bat c’est donc que l;’animal en moi est toujours là comme une sentinelle. je veux être adoubé par qui xde droit qui me dirait oui, szoit un oui massif comme aurochs des prairies. ce ouiii serait la marque d’une sorte de /
d’une sorte de, peut-être, volonté ancrée, pleine, venant de l’après, de me voir secondé par en moi la bête majeure. je dis oui à cette bête. je me la veux pour moi dedans comme un -enfant. je veux etre enceint (ou enceinte) d’elle. vive la bete en moi ! vive elle ! que vive la bête en moi ! qu’elle soit toujours là ! que la bête en moi gouverne ! que la bête en moi à jama is gouverne ! qu’à jamais en moi la bête soit le guide de mes pas ! Je veux de cette bête en moi pour être mon être de joie = je ! Je veux ça ! je la veux pour moi comme la bête qui en moi serait c elle-là que la mort voudrait mais n’aurait pas ! Je suis être de vie et de mort puisqu’en moi la mort (dans le verbe !!!!!) erst insc rite en vrai. Je suis adoubé. Je suis betye en moi de rage dans le sang. HJe suis cette bete en moi qui se peletonne et chyerche son aise. je veux de cette bete en moi à jamais enchevêtrée au Verbe de la mort . je suis homme-ommbre bete-mot qui (un jour) va tomber et va succomber et mourra et alors on verra cve qu’on verra. je veux ne pas. je suis l’être qsui veut ne pas. Soit : tomber à la renverse, t^$ete la première, dans les bras non de morphée mais d’une sorte de bete de joie en soi. je suis homme des parois du temps, qui irait tremblant mais tiendrait le cap de sa rage à être un enfant.
1/3/2022
Qui est là devant soi pour soi ? qui nous regarde ? qui s’approche ? qui vient à notre rencontre ? Nous cherchons ensemble à comprendre les données prési