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12/9/2024

On est nées de base sur paroi. On cherche à co:prendre, ce qui est et ce qui n'est pas. On envoie du bois ! On est celtes, fraîches natives, on cccherche. On est qui pour le coup cherchons, ensemble, à trouver (ici et là) de quoi comprendre. On est nées d'une sorte de rage dite "de paroi". Onn avance, on y va gaiement , on trace, on veut comptrendre. On est deux pour la parade cette fois. ON est nées deux (à deux) pour une sorte d'entrée en fanfare ! on veut y croire ! on 

veut en vrai toucher la pierre froide ! On est comme allouées ensemble  ("à toi à moi") à une sorte de "parade de paroi", genre cavalcade, ; on est deux pour ça : de rage, traverser la place, soit le pré, l'endroit des fées et autres eêtres de la rage et des données sauvages, genre : buffles déplacés, bisonnes des fées et autres bouqaietins tenaces

. On est bêtes de poids sur la place et on avance au pas. On y va ! On aime aller ! On a (grave) envie de cerner, un certain nombre de données de base , relatives ici à une sorte de ... mebnace ? On voit ! on creuse ! on essaie de pour le coup cerner ensemble les données qui sse présente

"nt. On est qui ? des bêtes de foire ? on ne sait pas. ON veut comprendre ce qu'on voit de là, de notre place, si tant est qu'on puisse ensemble se pencher et voir de près (ic-ci ou là) les données tangibles, de type "roche rude,", , "anfractuosiité des fées", "gentes dames au débotté comme soulevées",. On essaie de cerner les données données, gentes dames et fées des fées si tant est. On entre ! On veut toucher ensemble à cette sarabande ! On est accolées ! On veut de fait essayer de toucher accolées à cette sarabande de données comme télépoertées. On regarde et ce qu'on voit ne laisse pas de nous surprendre ! On voit ça : la bande, la paroi, la paroi des Rois, Reines de contrebande. On est deux pour ici en vrai tenter de comprendre un tant soit peu un certain nombre de donnéeds données ensemble par la ba,nde , c'est un fait. On cherche à deux l'entrée : où elle est ? elle est par là située , à nous de trouver. on est comme touchées (en vrai) par les fées , et du coup : o,n trace ! on y va vif ! on veut ensemble traverser la roche des données de base et autres vférités ancrées (nacrées) . Qui on est ? des enfants sages ! Filles allouées à) une sorte de parade, sur roche ornée, fille allouées à une sorte de parade, vive et enjouée, sur roche ornée. On cherche ensemble ici ou là, l'entrée, où elle est, et on espère pour de vrai, à u,n moment ou à un autre, arriver à trouver (peut-être ?) la chose et du coup passer, traverser la roche "àla une à la deudx" sans anicroches. On est deux serrées accolées.On a méga-envie de traverser ensemble sans p)einer de base. On veut toucher à cette "

déité des déités". On est blindées ! armées ! tenaces ! motivées ! on va y arriver ! On est comme accolées de base ensemble pour tracer et du coup cerner, ici,  quelques données . On est pour ainsi dire "nées de rage", on est cernées, on veut toucher à cette (sorte de) "Romance des prés" et du coup nous infiltrer, comme à la parade, toucher les nénés, coller à la bande, ne pl;us rien lâcher de préférence. On est nées pour ^etre F2es , de base ! On est n"ées de rage, ensemble, accolées, pour être (un jour : dans la mort) fée ! on le sait ! on creuse ! on veut toucher à cette sorte de 

DOnnée Allouéeé

à une sorte de ... denrée ? on dirait ! vivres de passage ? On est comme ensemble touchées par , en vrai, une bête allouée à une rage d'être (ici, sur pré) bête des fées ! Qui on est ? Sage ! le sage ! la  sage ! sage femme des denrées ! quand on veut on trace , pas vrai ? on va , on avance. On est comme soudées ensembkle. On est accolées parce qu'on est nées.

On est nées. 

On est accolées. 

On veut cerner-toucher les données de base. 

On est comme cernées-touchées de rage. 

On veut toucher ensemble, dire et aller, comprendre les données, toucher-cerner ce qui est = aller. 

On est nées sur place : pré, de rage, survoltées. 

On cherche à comprendre les données données. 

On est comme deux soeurs données, allouées cernées. 

On veut (de fait) cerner des données qui puissent grave nous inspirer et nous faire comprendre ce qui est ici qui nous regharde. On regarde ! on voit des données . Données vives allouées à une sorte de romance, romance sucrée. Qu'est-ce que c'est ? du petit lait ? Qui saiot ! on avanvce ! on est comme ensemble cernées, de base sur pré , par une sorte de paroi "de circonstance". On veut comprendre ensemble ce qu'il en est. Ce qu'il est ici, ce que c'est que cette chose, d'une sorte de "rotonde des fées". On va à sa rencontre. On court on vole (fée ) /; On est cvomme accolées pour en vrai marcher, courir

et- coller jusqu'au muret qui semble nous interpeller on dirait. On mate ! on voit ce qui est, qui est,

une sorte de paassage, trou denté, sorte de trait ou de trait de rage par où peut-etre ensemble s'immiszcer. On veut toucher à cette sorte de muret des dits pazssages alloués cernés. On veut ensemble (qui sait ?) passer , mais pour le coup, sans y laisser des plumes (à jamaios) mais comme qui diraot, "par contrebande", " à la une à la deux on passe", on veut passer sans y passer "en vrai" : JEU ! JEU des RAGES ! JEU DU FEU, DES DONNÉES DE BASE, DU SANG FIELLEUX ! On veut comprendre ensemsmble ce qui est (en ce muret) "de la chance et des données données par contrebande", et pour ça, on mate ! on va loin, en cette chose-là ! mur des voix ! On mate = on entre ! On passe un doigt, l'oeil de base, 

une langue, un bras de soi. On cherche à comme quyi dirait entrter ici comme par mégarde, mais ... sans y passer de préférence ! droit ! On est ensemble, comme "touchées par la grâce"... d'une sorte de paroi des bases ! 

On voit ce qu'on voitb : la place, pré des bases, bêtes reines et autres fées des bois. On est cfomme touchées ensemble sur paroi ! on veut toucher à une sorte ici de panse ou qau'est-ce que c'est que ça qui semble aller vers nous nous approcher de face à vcouloir nous toucher  comme on pourrait de fait peut-être le pensezr ensemble. 

On est nées fées, on regarde, on veut toucher la pabnse ? A qui elle est ? On est cernées. On voit quoi ,la base. Les données fgenrées. On est comme cernées ensemble sur pré ! on veut toucher à cette déité des déités commev représentée sur paroi aux fées . On est bêtes des prés. 

On voit ce qu'on voit. Et ce qu'on voit (là-bas) est comme dressé sur ses pattes (arrière) d'ours de paroi. On regarde large. On voit un convoi, une sorte de parade. b^retes de la foi dans l'être des Voix. on est comme touchées ensemble par ici la bête des données du Roi, de la REine -Bête, des "Vives & Genrées" de type Belettes, Furets, Betes au museau carré et autres gentes Celtes. On est nées ici sur pré la vie passée. on est nées sur un pré auxd fées, et du coup on cherche ! On veut toucher. on a super envie ensemble de toucher à cette Déité dont on n'arrête pas d'entendre parler; Qui c'est ? On ne sait ! on ne sait pas ! On cherche ici et là , on cherche accolées (soudées) ici et là mais voilà ! on est comme deux bêtes (cendrées) accolées qui, là, sur pré, voient ce qu'elles voient, essaioent de fait, de cerner de près, les données en herbe, données fines et vertes (comme du verbe) ... mais ... On est nées Betes de paroi. On veut touchetv à une Déité "des cimetière". On est qui ? des bêtes de terre, bêtenues et vertes. on est velues ! On est nues velues ! On est en colère ! On a vécu et nous voilà "venues", sur pré des fées, quasi en colère après les données ! 

On espère un jour pouvoir coller à une vérité des vérités ! 

On est comme nées sur terre accolées et alors voilà on veut toucher, coller, dire et "donner du vrai" à celles et ceux qui de fait espèrent ! On est nées en vrai sur terre pour cerner des choses ensemble sans trainer et du coup comprendre ce qui est, en matière de vérité, qui on est qui on veut être, ce que c'est que cette chose qui en vrai semble nous regarder, alors même que nous, on s'en fiche pas mal puisque, nous, ce qu'on recherche pour le coup c'est de nous promener sur la jetée et de cerner ensemble ce squi est, en cette cjhose d'une sorte de paroi auxd fées. On veut comprendre ensemble les données données, le bois les denrées la chance la paroi, le fil de l'âme, l'envie allouée à une parade, on est néees de base sur paroi des voix, on veut cerner et du cfoup toucher et aller et faire ainsi que la paroi de base soit (pour nous) une sorte de façade qui en vrai pourrraiot nous en apprendre tant et plus en face et nous donner de quoi nous retourner, mais comme sans nous retourner si tant est ! on est nées de rage fées, on voulait en avancer ensemble et filer, tracer, cerner les données telles qu'elle se présenteznt de fait et du coup poster, dire et manger, coller aux données

 , dire ce qui est qui nous regarde en vrai comme si dxe fait on étaiot des fées du fait que voil:à on vit "ensemble" commpe qui dirait, accolées, collées, soudées, montées (qui sait ?) sur base traçante, on veut ou on voulait toucher à cette déité des déité et nous voilà ensembkle qui cherchons de fait à pour le coup nous approcher le plus possible et sans traîner d'une sorte de fée , ou fée des fées, qui serait LA F2E des données de genre ! vitalité ! clatrté ! sarabande ! on est nées fées sur pré et on s'envole comme à jamaios en ces contrées, on court on vole, on veut toucher à cette sorte de clarté personnifiée, tracée et gravée, on veut en abvancer et comme qui dirait creuser ensemble une sorte de tranchée, à prendre, tranchée des prés à pouvoir prendre endsemble = emprunter de fait sans y penser ... ce searit gténial ! on veut coller à cette chose d'une sorte de donnée aux fées, vive clarté s'il en est et chance sur pré comme une sorte de romance donnée tracée gravée de base par des fées ou par des bêtes-fées, ou par des bêtes-fées toutes allouées à pareille envolée. On cherche à ensemble du coup cerner de près ce qui est qui nous regarde, on a méga envie de comprendre un certain  ombre de données de base, données fines ,gravées, soulevées, prises, nacrées. on veut toucher à cette déioté des déiotés des bords de vase, bords de l'aeau de l'ange. On a méga envie ensemble de toucher à cette déité "des fées", à cette déité dite "des fées", à pareille fée des données lacutstres, la toucher de rage, ensemble sans trainer, sans chercher pour autant à cerner de rage les données données, mais en faisant ainsi que des choses de près puyissent opérer et aller et vite comme s'incurver ou s'incruster de 

base sur un pré, une sorte de pré, sur paroi des fées, pré -paeroi, et ainsi aller, toucher, pouvoir penser, dire et coller. On y va ! On veut toucher à cette chose d'une sorte en soi de paroi des parois et du coup passer, traverser comme à l'arraché, cette sorte de donnée de base, qui elle est, ce que c'rst, ce qu'elle pense, quoi c'est qui nous regarde et sembleraoit voiuloir de fait nous toucher cfolmme si en vrai on était en transe et comme si en vrai on voulait ensemble aller loin en cette chose d'une sorte de parade aux fées qui pour le coup nous donnezrtait de quoi comprendre situer cerner la romance telle qu'elle se présente ou se présenterait à nos gouvernes (déplacées) sur roche. On voudraiot ensembkle aller loin en cette chose d'une voix de  base, et du cfoup cerner ce qui est en vrai, cette chose des données de 

rage. On veut ou on voulait comprendre ensemble les données de base et voilà qiu'à présent, on cherche : la rage et les tourmentsz, les bois de contrezbande et autres vies  de saint, sur place, on est nées ! on est comme nées ensemble d'une sorte de face ou fa çade "aux tourments , cris de joie et romance, chance et cran" ! o,n est sagezs ! on veut toucher ! on veut alller ! on a méga envie ensemble si possible de cerner toutes les données qui se présent'nt et semblent vouloir noud parkler. On est là commpe cernées par une sorte de paroi des Rois et REines DE SAba. On a méga encvie ensemble de comprendre et de toucher à cette sorte de donnée de base, et du coup aler , filer, faire aionsi  que des données de rage puissent (en vrai) être  déroulées comme par lma bande et (de prédsférence) sans trainer. On est allouées à une sorte en szoi de rage, à être des fées dites "de contrebande", ça le fait ! et du coup on en avan ce ! On file grave ! On est nées de rage fée car ... on est ,née ! et voilà, c'est fait ! "fait" pour "fée" c'est un fait ! car, on pourrait avancer, que , fée = fait ! un fait = une fée ! ou peut-etre des ?  faits = fées ? On regarde ! On voit des choses qui se opassent

. On voit ça, en face : la paroi des ROis , cdes données de base. On veut toucher à cette sorte de passage aux fées de contrebande, aux fées (allouées) des données (de base) déroulées. On est  ainsi faites pour cerner de près ces sortes de données aux fées. On veut toucher toucher toucher toucher à cette chose ensemble , ce tracé aux fées, 

cette sorte de parade (détailléesz) qui sembleraient comme voiuloir nous parler par la bande. Qui c'est ? o,n ne sait , mais voilà, on veut comprendre (grave) ce qui est, et du coup en avancer dans les recherches "de façade" et autres types de recherches "sardes". On est accolées parvce qu'on  veut toucher , dxe face, à une denrée, et du coup, essayer de comprendre les données de base ce qu'elles sqont en termes de passion, de religion, de crzoyance fondée ou non mùais commea,ncrées dans le langage, la langue telle q'elle se parle, les opinoions, les dictons et aiutres sermons prononcés de face. On est nées de  base fée parce que voi;à, on est nées ! Naitre = naitre fée dès lors qu'on entre dans l'antre de la mort à l'oeuvre ! On est accolées, on danse ! on file ! on aime ! on veut toucher à cette déité des donnéessuprêmes . On est nées des féesn , on aime être fée, charger, toucher,n coller à une vérité post-cimetière ! On est qui ? on est bête de parade verte ! bête verte dite "de parade". On veut aimer, toucher, creuser, comprendre et cerner un grand nombre de données de contrebande si jamaios. On est bêtes ici de parade parce que voilà, on est nées ! on est re-nées ! on renait de base dès que mort "à tout jamais" tu parles ! On ,ne sait quoi penser en vrai, mais la mort est là pour (il semblerait) nous indsdiquer par où passer, pas plus sorcier que ça en vrai ! On entre ! on veut comprendre = toucgher, et pour cela, à la une à la deux, la romance  ! chant des voix de s rages ! on est cfomme accolées ense'mble à une don,néec, et nous voilàcensemble qui cherchons parade, vents des fées, commandes, vitalité et vie ancrée sur place commê centrée. on est des fées deecontrebande ! fée des fées de contrebande, ça le fait ! On veut grave aller, rentrer, coller, pisser et charger sur place (pré) comme par la ba,nde (ici cernée) des données de base (acidulées) qui nous font face. On est nées fées parce qu'on est née ! On voulait le co:prendre, on dirait que c'est fait. On, dirait que les choses peu à peu commencent à (raisonnablement ?) s'organiser, ce serait pas mal mais en vrai c'esst pas gagné on dirait, on a encvore du c hemincomme s'il s'en traçait au fur et à mesure devant nous au pied levé. On est née fée du fait qu'on est née, c'est un fait ! On voit ici de près le pré, la place, les données allouéex à un espavce situé , en vrai, entre des murailles (muret) d'enceinte allouée à une sorte ici de cimetière dit "des fées et bêtes de paroi". On aime ! on voit ça ! on comme,nce à compfendre (qui sait ?) un certain  nombre de données de choix, qui pourraient bpeut-etre nous donner

 de quoi en vrai nous situer,sur ce pré aus fées, en tant que ROI, REINE, PRINCE DES F2ES, PRINCESSE (IMBERBE) GENRées, on aime ! coeur d'acier ! on aime follement les fées, les bêtess allouées à une sorte de par(oi "de cimetière" et

 autres bêtes-mots venus de derrioère ... de derière les fagot§s ! On aime grave cerner et toucher, aller et donner, faire et tomber, creuser les mots d'une sorte de plage allouée de fait aux do nnées "étranges" s'il en est. On cherche grave ! On veut toucher à cette denrée ! donnée des prés ! On veut comme toucher en  vrai à une sorte de donnée de base, genrée si tant est mais est-ce ? est-ce en vrai ce qui est, qui ici se tresse ou semble ou semblerait vouloir peut-être se tresser , se tressezr ou se dresser de rage, comme par bravade ? On regarde ! 

On est deux pour être fée de base. on entre ! 

On veut comprendre les données de base. 

On veut grave comprendre ces données de base. 

Ce qsue c'sest en vrai, ce que c'rest que cette chance, ce tracé, cette sorte de donnée posée (déposée) sur plkace : pré ! pré aux fées, aux bêtes de masse, aux abords nacrés, aux fortifications dorés qui sembleraient vouloir comme nous éclairer pour qu'en vrai on puisse ensemble et nous repérer et en avancer, sans traîner, sans cctrop galérer jusqu'aux dits "confins" dees données Suprêmes telles que rencontrées ici même. On aime ! On a méga envie de tracer sur herbe des données , nos propres données si tant est ! On a méga envie ensemble de toucxher à une sorte de donnée dite "de cimetière" , si on pouvait ! Car on aime ! grave on aime ! on adore en vraéi c e genre de problème donné ! On aime grave aller dans un pré à) la recherche de données dorés ou disons nacrés, ou bien allouées à une sorte de clarté donnée. On 

aime cerner , regarfder, comprendre , toucher, faire et contrefaire. On a méga-envie d'aller ensembkle à la rechezrche de données de base "non contrariées" s'il en est ! On se regarde ! On veut toucher à cette déité de contrebande, la toucher en vrai pour mieux comprendre ce qu''lle est en vrai, de quoi elle est faiote et en quoi elle nous intéresse, p arce qjue c'est vrai que pour le cou!p la mort nous interesse et même beéucoup ! elle nous interesse beaucoup parce qu'on l'aime ? parce que quoi ? parce qu'on y croit , voilà ! on croit (de base) à la mort dite "du cimetière". on croit grave en elle, alors même que voilà : la mort est telle que , ma foi, la rage est là qui se fiche d'elle (de paroi, rage de paroi). On vitupère ! on

 aboie ! on meugle ! on crie à tout va comme des bêtes, bêtes de 

poids et ça le fera, du mome,nt qu'on est bête ! On entree ! on court sur pattes. On cveut grave cerner ensemble, la paroi, le sang, la chance, les données acerbes, le vent qui devant nous semble venir excprèds vers nous, souffler sur nous à nous faire chuter  c'est fou ! qui il est ? quel est donc ce vent des contrées folles ? est)--il vent des fous ? vent docte ? vent des vives contrées aux fées ? On cherche ... à genouyx, on dirait (parce qu'on est tombées !). On prie ? on est comme touchées par une sorte ici, de 

 "donnée des données follasses" ! Vent fou, tu sais ! On est "entre" ! On est dans l'antre"entre" , c'est un fait. On est accolées et du coup ... on chante ! on ne s'arrête plus , du coup, de cha,nter, pousser la romance ! On est de s fées de La rage allouée à pareiullle romance ! On a méga-envie de comprendre ensemble, si jamùais, les données de base à quoi elles ressemblent et ce que en vrai on pôurrait ensemble en tirer comme conséquences. Qui on est ? on est ... eh bé

 Nées ! On est Nées de rage un matin de Chance. On voulait xsavooir, on est bien tombées : naéissance ! carrotage ! on a creusé avec notrenez ou comment ou qu'est-ce la Terre. On est nées de fait sur Terre CElte. On voulait, eh bé c'est fait ! fée du cimetière, voilà les données.;: On aime ! On veut grave toucher à cette sorte de donnée des données allouées à une sorte de misère elle-même allouée à une sorte de paroi " a ux fées et autres êttres des contrées alertes vertes". on aime aimer ! on veut toucher ! onveut grave tracer des tréits, et comprendre, charger, filer, cerner grave les denrées, offrandes, vivres divers comme déposés au pied de l'Ebre. On veut : 

TOUCHER, FAIRE, DIRE, COMPRENDRE, SALUER, ALLER, COMMA?NDER UNE LIMONADE AU CAF2 DU PRÉ, COLMATER LES FUITES DE ROCHE, CENTRER LES DONN2ES DONN2ES ET AUTRES DONN2ES GENR2ES, ALLOUER À PAREILLE ROCHE UNE SORTE DE DIRE DE F2E? QUI SERAIT DU DIRE ALLOU2 

(LUI_MËME° À UNE SORTE DE PAROLE DOCTE, GENRE : POLISSONNE ? o,nn ne sait ! on veut toucher pzarce qu'on est nées et parce qu'on est fée ! on est ailée ! elle = ailes, vie = vit; chant = champs, cri = christ, et éutres mots à l'arraché du temps (situé). On est comme nées de base Fée , parce que voilàà, on le voulait ! on voulait cerner , on voulait grave traverser la roche et passer de l'autre côté ! On voulait de rage aller  comme à la traversée d'une sorte de donnée aux fées : roche salutaire, roc cendré, rocher aux bêtres dorées, vie des vies allouées à une infinité de données en herbe . qii on est ? Des fées "de cimetière" ... pêut-êttre. On cherche. On est femmes situées sur pré en tant q<u'on est des fées de type "celte" , sitiuées, centrées, accolées, cernées ou comme cernées ici même, en cette conttrée toute entourée d'une sorte de murette aux données "certaines, assurées, fixées, comme soupesées,". On est des fées celtes ! celtes fées aux données certainesz, comme affichées-avérées sur roche du pré ! On  veut toucher à  cette Sommité des Sommuité = Déité des Déités. Qui c'est ? cf'est ELLLE, l'AILE des données, des données sur pré. L'aile est la donnée suprême ! AILE = ELLE = DIRES DES ENTRÉES ; ON l'aime ! on veut grave ensemble soudées comprendre ici même les données genrées de la mort à l'oeuvre

 on dirait ! grave ! gravissime en vrai ! grave de chez grave ! on a cerné : la mort est genrée ! oh on dirait ! on dirait en vrai que la mort est genrée cfomme une romance, l'arlequinade; la parade ou cavalc ade aux bhetes de masse , genre bête de trait, poidsde danse, cris comme affolés. On est grave tracée à main levée dans une sorte de transe ou danse déployée parmi les bêtes (mots) des prés et autres champs de blé. On est nées en transe : cris de joie (de vie) à tous les étages ... de la foi dans le langage (acidulé) d'une langue parlée de type romance chantée ! une fée est née ! ONN veut toucher à cette sorte de donnée de base ! qui on est ? eh bien peut-êttre en effet une "fée de roman,ce" ! une chance ! une sorte de fée en transe ! la romance allouée à u ne chance (d'être née fée ? qui sait ?). On veut toucher à cette sorte de donnée aux fées et du coup tracer, creuser, faire ainsi le trajet d'une sorte de balade endiablée ! On entre . Qui on est ? une fée de la cxhan,ce ! qui sait ? on e'st entrées. On veut comme (ensemble) cerner-

toucher cet attirail arqué, ce corset, cette sorte d'aaprêt de type corset aux ailes soudées. On est nées fées car on est nées ! on est bêtes monstres ou bêtes-poids ou même bêtes-mots de la foi en cette chose, d'une mort genrée, mort-fée et le tour est joué, les JEux sont faits , fées des voix sucrés, allouées à (comme qui dirait) ... une roche ? un rocher tracé ? ROC et ARMÉE ? On est comme accolées (de base ) toi et moi à une sorte  de donnéedes bois, sous-bois, forêts d'oc/.  on aime ça, les bois aux bêtes à bois ! On veut toucher ! toucher l'ëtre aux vives clartés

 ou "des vives clartés". On est accolées et nous voilà qui, en  vrai, voulons cerner ensemble des données (de base rupestres) comme si en fait on était sur pied pour cerner, coller, coller à cette sorte (pour le coup) de bête de par(oi . On dirait : le buffle ! la jument ! le bison des bois ! l'antilope des amùants / amantes ! On voit ça : charge ! charge et foi dans l'âme. On compense par la chance. On ve'ut comprendre. On est deux qui (pour le coup et parce que voilà) voulons grave cerner cette joie, roma,nce, ce tracé, tralala, cette sorte de parade, ce trajet,  cette donnée de base, joie des fées, une sortte (en soi) de promenade sur chemin orné par des sortes de bêtes de poids comme s'il en pissait ! On est là : on voit. Qu'est-ce qu'on voit ? cette charge ! charge de 

paroi sur place ! On y va de son envie de dire ce que c'est que ça, cette charge, pour nous (fée des fois) qui voulons comprendre . On charge de base ! on charge ensemble ! On charge de base ensemble après la charge sur paroi des Bêtes des ROix ! on en avance. On a grave envie de comprendre alors voilà, du coup, on ne lambine pas, on file on trace grave, on y va royal, royale, on veut dire et faire cette chose , d'uje sorte en soi de parade , à hue et à dia, comme dans la Romance dite "des données de vie et autre mort genrée". Qui on 

est ? des fées , ici, en vie , de contrebande si jamais. On est fée de rage , pouvant dire et faire ensemble (en même temps) 

parade notoire, cavalcade, parade de genre. On est comme cernées ensemble par en vrai une sorte de barricade ! un drôle de trait ! de muret ! une sorte d'enciente allouée à un cimetière ou au cimet§ière dit (ici) des données suprêmes. On est nées fées dès lors qu'on est nées (dans la mort sur pré, mort genrée saluée, mort des données ou aux données secondes, LA mort Vérité) . O0n ve'ut toucher -à cette chose, d'une sorte de denrée des fées. Frai ! Charge ! colle ! pamoîson ! cohorte ! vie docte ! on est nées sur pré d'une sorte de contrée dont le nom m'échappe ici mais qiui est contrée aux données doctes. On

 est nées sur pré comme à l'arraché, on est nées de fait sur pré par les pieds ou sinon par les pieds par l'épaule ou sinon comment ? tête-bélier ? au vrai  desz données ? tête allouée à uene sorte de percée en force ? la cohorte ? les données de rage et autres bêtes-mots de base, comme 

tracés ? on est nées fées au passage (de vie allouée à une terre meuble, à trépâs lié à une sorte de pré aux herbes à brouter). On est dès loàrs devenues fée du fait q'on est passées comme à l'arraché à trvavers lpa p)aroi, entre ça (vie de base) et ça (mort genrée) . c'est un fait ! çarecommence ! on charge ! on y va ! on a besoin ensemble d'y aller sans plus traîner que ça ! on a besoin de consqacrer son temps ou un peu de son temps à cette szorte de Romance (ici) à comprendre. On est fées nées, tu penses ! On est fées sur pré qui cherchons Romance : ça le fait ! on entre ! on s'avance ! on avance un pied : chant des bois et sousz-bois comme en transe ! On est là pour ça : cerner et toucher, passer (comme par chance) à travers le muret, la paroi des Voix, mùuraille ou paroi allouée aux Voix ditesx "de la chance et du trépas". On entre . On est entre ça et ça = deux parois 

(un ventre ?). On veut grave cerner = toucher, à cette sorte de paroi de genre ! On est quoi ? panse ? Une panse en transe ? qui est quoi du coup en vrai : romance ? chant des bois ? parade nuptiale et tra&lala ? NAISSANCE ? On veut croire ensemble (toi et moi) ennotre bonne étoile de 

Java ! On est là en transe enwemble pour comprtendre des fois ce sque c'est que ça, la transe, la par ade, cavalcade gr avée comme à main levée par l'êttre des fées, homme-femme des temps reculés, qui cherchait pitance, vérité, appui, connaissance, vie dans la duré. On est entrées ensemble un peu chahutées mais on est entrées et, à présent, on cherche à comprendre, ce pré (paradis aux fées)c  e qu'il est en vrai, cette sorte de prairie "nacrée" , à qui elle est ou quoi ou qu'est-ce en vérité et qui nous 

intéersesswe . On est nées fée deès que mort et enterré. On est né fée, dès que mort et enterré. On est né (homme) fée (femme) dès que mort et enterré, car on meurt en tant qu'homme des prés, pour nâiotre femme à tout j amais la paroi passée ! on meurt homme dit du pré, mais du pré tracé, comme dessiné ou gravé à main levée par un ancêtre ou une ancêtre des cavernes. On est nées ! on est passées ! on est fées nées du fait qu'on est p)assées. On voulaiot être fée eh bé c'est fait , on est ! on naît ! on naît fée du moment qu'on naît, ici -même, dans la mort à l'oeuvre = genrée ! Car, voilà, ce qui est qui est, on dirait, la mort est (qui sait ?) genrée à jamaios (après le cimetière) . On estensemble comme soudées en tant que fée parce qu'on est des ailes, ellesxc =ailes; deux ail:les soudéees, accolées,, centréezs, qui voulons (en  vrai) nbous envoler vite fait à tire-d'aile, vers de nouvelles contrées post-cimetière on dirait et à jamais ! on est des ailes de fée rupestre. on est fée des fées rupestre ailées. On est fée ailée du fait qu'on est fée dès la mort actée ! c'est un fait ! On est dezux fés ou une fée / deuix ailes. On est deux ailes pour une fée on xdirait, post-cimetière = vie derrière, mort devant en tant que pré à visiter ou sinon comment : pré aux herbes folles à brouter sans arrêt ? On vole ! on s'est envolées sur roche ! on est hautes ! hot et hautes ! on est hautes de principe actives ! On est hautes sur roche allouée à une sorte de principe (inné) lié de fait à une sorte de désir comme ici ancré en notre volonté de fée des prés. On entre ! on veut toucher à 

cette D2ité" des contrebandes elles -mêmes allouéesz à une sorte de parade (nuptiale ?) animale de façade. cris de joie à tous les étages, ma foi, ça envoie ! ça ne traîne pas ! ça fonce ! ça y va ! c'est u ne sorte de paroi de rage, ainsi passée ! On est nées de base sur roche allouée à une sorte de passé comme déposé en tant que

 vivres (offrandes) consacré (e)s. On est ensemble "de la Romance" , du fait qu'on est entrées et qu'on regarde ensemble, ce qui est qui nous entoure , de fait, en ce pré des données actives. ON est femmes-fées à la retombée ! On veut cfoller à une déité de vie et ne pas succomber aux envies néfastes de la mort genrée comme elle se présente. On est fées pro-actives du fait que (en vrai) on est passées ! on a passé la roche initiale (par chance) et nous voilà dressée (comê dressée) sur patte, en ce pré, à vouloir comprendre (svp) les données de base ce que c'est, à quoi ça ressemble on dirait , ou disons : à quoi on peut ou on pourraiot s'attendte en termes de ... fin ? finition ? finitude ? On cherche. On est doctes, en vrai. On n'arrêtre pas de chercher, d'eesayer ensemble de comprtendre si possible loin ce qui est qui se présente , pour nous, dans la mort, qyui est la mort-ombrte, mort aux ombres, mort -hommes, mort des hommes, mort-aulne, mort des aulnes. On est fée faite fête ! On veut toucher ensemble (à toi à 

moi) à cette sorte de Romance de Paroi : CAvalcade Rare, Rave Anale, Charge sale, conséquence d'une entrée salace, vive insalubrité de façade et autres saletés mal négociées. Ou bien ... autre chose ? une sorte de vie aux envies tracées comme par la bande d'une sorte d'enfance sucrée ? On voit les nénés ! le lait ! cette chance comme présentée, ou  représentée (de face) ,par une sorte de donnée donnée, vive donnée de par la bande et ça le fait en v rai. On entre ! on est FEmme-fée à la retombée, alors m-eme que jusque là on étiet un homme, nous voilà tracé , du coup tracée = dessinée , gravée, par une sorte de piolet ou de piquet qui est pic de rage à la dérobée ! On entre ! On est comme cernées eznsemble par la bande

 toute acidulée d'une szorte de contre-danse, contrze-bande ou contre-da,nse toute enjouée qui est danse sur pré, chant olé olé et des pas de côté ! On veut comprendre ensemble si j,amais un grand nombre de données de base, les jauger, les soupeser, les faire nôttees si possible à jamais afin de durer ou de pouvoir durer (ensemble : ailes) dans le temps sacré d'une sorte de Passion des Fées. On est entrées et du coup nous cvoilà adoubées ! On est cfomme cernées de près par une sorte de tracé aux données  "étanches"

♥️😀

on est nées  !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! de base, comme si en vrai on était des fées au passage ! On est nées accolées ! soudées ! frontales ! vives et centrées comme par la bande dès qu'entrées en cette danse (sarabande) aux données genrées. On est fée de base rare, collées, soudées, on est entrées dè!s lors qu'on est nées (de rage) dans la mort genrée telle qu'elle se présente avec ses nénés (on dirait) ! On veut comprendre alors du coup et forcément on creuse grave (loin) au sein des connaissances (du langage dit "articulé") en espérant monts et merveilles et autres 

données "de cimetière" pouvant nous indiqauer (en termes clairs) ce qu'il en est ou pas de la "mort sur parroi

", ou "mort de paroi" , ou "mort dans l'au delà de la paroi", ou "mort de l'au delà", ou "mort /au-delà" . On est accolées et on cherche du coup à comme nous envoler en vrai e,n grotte à jaémais si jamais ! On veut VOLER, VOLER GRAVE, VOLER, VOLER TOUJOURS ET TOUJOURS GRAVE VOLER À JAMAIS en ce pré aux anges, pré des fées et des données ensemble ou ensemble liées par des faits de type "contredanses ". On veut toucher à cette vérité des données "morda,ntes". qui on est ? on est FÉE de type Accolées. On est fée de base, comme cinturées ! On est femmes au débotté la mort allouée à une sorte de Romance Triste, CHant duu Cygne, vive saleté. On veut toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher 

toucher toucher toucher toucher toucher tyoucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucxher topyuchetv toucher toucher toucxgherty

 toutchert à cette vé&rité des vérités acides ou sinon acide acidulée, de type "néné" (on dirait). et cze "néné" est le néné de l'être alloué à la mort deonnée (genrée) située, en ce pré aux fées (on dirait) . On imagione ! On est là (on dirait) pour durer. On veut toucher à  cette vérité placide de type "durée", qui sait ? on s'active ! on y va fissa ! on est arrivée tout là

-b as (fin du pré) avec en nous (fée) l'idée de traverser, une nouvelle (dernière ?) fois la roche-ceinture . On voit ça . On est venues à petits pas, on voit. On est proche de la paroi , l'u;time parois, aux données dites "de base et d'effroi". On veut comprendre sarde. Comprendre le xarde. On veut grave comprendre le sarde . On vreut toiucher à l'ultime paroi aux données sardes ou dites "sardes". Que sont ces données ? que sont donc ces données "sardes" ? On regarde ensemble, à travers la roche finale, ce qui est qui semble ou sembleréit vouloir (ici) noud parler, nous faire signe, nous i,terpeler, nous dire une sorte (qui sait ?) de vérité, qui wserait une clé pour en vrai enttrer à l'intérieur de cette sorte d'enceinte vootive. On regarde. On est là (nous deux = fée) pour regarder. on voit un muret. une sorte de palissade, de muret d'enciente, forteresse. On rtegarde ce mureet. 

On cherche une e,ntrée, un passage . On est mort et enterré on le sait, et ici (en  ce pré) du coup transformé, xdans la mort transfoprmé en fée on le sait,  on naît fée ( transformé en fée) la mort actée, et là, en tant que fée (deux fe'mmes formant, xde fait, les deux ailes allouées soudées) on se rapproche d'une sorte à nouvrzau de muret, qui est muret de fin de pré. on mate ! On veut cerner-toucher c'esst à dire comp^rendre (à jamais) l'antre , tel que montré (présenté) en ce pré, des base, des données latentesx. On est né fée 

la mort actée, nous voici amennée (dès lors en tant que fée = femmes) vers ce trait, de fin de pré, anfractuosité de façade, traiot tracé a-à main levée pour une entrée de face, traversée de rage, immixtion au débotté sans plus tarder et pasdsage (donné ) de l'autre côté, côté néné (on dirait) . Qui sait ce qui est ? qui connait le Verbe ? qui connait les données données telles que verbalisées sur herbe ? On cherche à c erner mais ce n'est pas sisimple ! il faut grave tracer, passer, coller, dire et affronter le Verbe en ses données (de Verbe Nacré). On se doit dx'y aller comme à l'arraché sans trainer si on veiut tracer, tracer-graver ce Verbe comme alloué à une sorte de pré "de réserve". On est nées de rage Fée sur herbe (verbe) allouée à une sorte de contrée "'rêvée" , mais est-ce ? est-ce en vrai la contrée du r^ve que cette contrée ? le sait-on een vrai ? savons-nous des choses ? savons-nous de fait ce qu'il en est, de la 

parole, des données du verbe ancré, des mots de la rage à dire les faits et les 

méfaits d'une sorte de pré comme ceinturé ? On ne sait ! on ne sait ce qui est en  vrai ! On porte parole ! On porte ici une sorte de parole donnée à des féits ! On cfolle ! On est accolées ! on est fées accolées du fait que voilà, on est fées ailées, fées des fées ailées ! On est fées -femmes = ailées, du fait que voilà, on ose ! on ose "répondre " ! on ose grave "répondre " ! on ose (c'sst le mot) RÉPONDRE , RÉPONDRE ACIDULÉ ! RÉPÔNDRE AUXX NÉNÉS ! ON OSE RÉPONDRE = S'OPPOSER , C'EST UN FAIT AVÉRÉ ! ON OSE GRAVEV REPONDRE = S'POPPOSER AUX DIVERS NÉNÉS RENCONTRÉS : C'EST UN FAIT AVÉRÉ ! On ose s'opposer = on conttre = on dit non à jamais, à la mort qui rode (les nénés ?). On vfeut dire ici notre féit et nous opposer aux dires alloués à une mort genrée. oN s'oppose ! on veut opposer aux nénés nos propres nhénés ? on ne sait ! on veut toucgher à Déité ,, ça oui, mais pour le reste, et c e qui est d'une sorte de donnée

 genrée (dans la mort actée) on ne sait ! doit)-on de nouveau traverser ? doit-on passer à) travers ce muret dit "des nénés" comme d'un cimetière ? On ne saiot ! On voudrait en vrai pêu-^rtre en effet connaître les donnéesz ou davantage de données afin de mieux se faire une (ou son) idée concernant eh bé oui, cette sorte de donnée "de cimetière" = située, mais on ne xait en vrai à qui ou à quoi se fier. Que ou qui doit-on écouter ? le 

Verbe ? 

l'éloquence tracée ? la parade acidulée d'une sorte d'entrée fissa dans la matière (provoquée) du Verbe comme chahuté ? qui saiot dire ce qui est sans se tromper ? On veut dire et être fée , dire en tant que fée et être fée pour dire, dire ce qui est ici qui  est (de fait) la Vérité (ou seraéit) "des Vérités", est)-ce possible ? on se dit que c'est possible ! On se dit, à part nous, entre nous (ellesz = ailes = fée) que peut-être en effet, la chose est possible ! on doit pouvoir

 creuser, trouver, cerner, toucher, comprendre, connaitrte davantage, composer, faire et être fée, chercher, soupeser les données - pour 

être en vrai ... eh bé  

... ce q'on  est ! ce qu'en vrai "au fond de soi" on est ! ce qu"'en vrai peut-^tre, qui xsait ? on est, on sezrait, tout au fond desoi, en tant qu"être rebelle", opposant du pré ou l'opposant du pré, l'être en guerre contre ... les nénés ? les nénés "du cimetière ? ça m'étonnertait ! plutôt le contraire ! le gouût du sucré c'est un fait à ne pas négliger ! On voit la Terre, au loin, approcher ! on est déboussolées peut-êrtrree mais on tient (comme qui diréit) aux tracés, aéux traits dessinées ou gravées, aux bêtes montrées. On est fée -bête si tant est, ou disons comme ellesc: fée-bête "aciidulée" des parois ornées. On veut toucher à une vérité de cimetière , vivacité, chaleur et moiteur, intimioté, sexualité , vitalité. On veut toucher à une sorte de donnée donnée comme présentées  à jamais sur de l'herbe de pré, au milieu des bêtes. On est née fée du fait qu'on est née dans la mort allouée à un pré aux herbes à (pour le coup) brouter comme des bêtres. Bêtes betes on 

est , ou pas , mais bêtes des prés, bêtes de toundra, de bois et sou-bois, beêtes-mots des rages cde paroi et autres rages déployées du fait que voilà, on est entrées, on a traversé , et ayant travezrséeé on s'est cde fait ensemble retrouvées comme du coup emportées par une sorte de "souffle vital" nous donnant élan, allant, vitalité, afin de pour le coup aller au plus profond (lointain) chercher, comme , une sorte de trait ou de tracé pouvant laisser passer notre corps de fé né (en vrai) au passage. Fée on est qui vouloçns(re) p asser comme aux temps premiers, à travers la roche -ceinture, aux données pour le coup mâtures (cette fois) on dira ça. On veut toucher

 toucher toucher de base à ça : ce trait dit "de rage" sur paroi, passage des rois, tréit des fées pour un passage étroit peut-^tre mais bel et bien là, pour les Rois et R"ines de SAba, qu'ielles puiisent passer (de rage ou pas) à travers la roche ainsi proposée. On veut coller = dire = parler = montrer, et du coup (ROI et REINE de SABA) aller ! passer ! traverser une dernière (?) fois cete sorte d'enceinte de joie, mur des voix, murette agrtaire, tour de ronde comme une sorte (en soi) de rotonde qui, ici ou là, se montre comme un doigt, une 

main chaude, l'oeil de l'ogre. On est F2e des bases hautesz. On est comme accolées sur roche "à la une à la deux" on saute ! on monte ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucxher toucxher toucxher toucxher toucher toucher toucher topucher toucher toucher à  c egtte sorte de donnée de rage telle que déployée sous notre nez de fée. On est fée-bête, tracée, envolée, qui cherchons l'Entrée, ou un e entrée par où en vraéi ensemble passer le corps resserré, comme autocentrée. On veut coller (sse coller) pour passer ! coller serré afin de pour le coup enfin arriver à passer qui le cou qui la queue qui l'oeil qui la langue (blanche). Passer = trépasser mais sans vraiment (du coup ?) disparaitre. On veut être Fée pour l'éternité , est-ce ? On veut :

dire, coller, cerner, coller-cerner, faire ainsiu que des choses soient, qui restent (sur pré ) à jamais on dirait, et du coup regarder (en face) les nénés de l'Ebre ! qu'est)ce donc que

 l'Ebre ? alors ,... l'Ebre, ici (pré) est une sorte de donnée genrée comme on en connait (des tas !),  dans les cimetières ... de Java. Et du coup l'Ebre, est une sorte de donnée, de type "livresque" et comme allouée (direct !) au Verbe tracé sur paroi aux fées. On colle du VErbe ! On dit ça, comme quoi le VErbe, est un tracé acté sur roche déplissé, en tant que donnée donnée par les fées et les bêtes, F2e-Bête centrée, comme (elle-même)accolé ou collé au verbe. on eszaie ensemble de s'y retyrouver mais la chose en vrai est assez comp acte, compacte et corsée, et du coup difficile à cerner. On vzeut toucher à une Déité des D2ités, et du coup on essaie (enwsemble) de (pour ainsi dire) dé

-ficeler le petit paquet dxit "de contrzaebande". On veut toucher = dire, mais piour dire il faut toucher, alors voi:à ! ça nous met en branle ! ça nous met bizarre ! ça nous renvoie à des ou nos propres recherchhes, de type 

frontales à jamais on dirait mais en vrai on ne sait, car on est passées (ensemble)  comme un fait exprès sans vraiment comprendre ce qui est , ce qui se passait au passage, et du cvoup voilà , on est perturbées ! on ne sait p;lus trop où on est ! peu importe ! on est passées ! on cherche à  c erner ! on veut toucher à une Déité, notoire si jamais ! doit-on lui parlerr ? l'apostriopher ? lui dire quelque chose de particulier pour la charmer, afin de la charmer pour mieux l'aborder et du coup la faire parler ? Nous voulons nous approcher enxemble d'une vérité liée au langage, a&u parlé, aux données verbales. On peut en vrai ici comprendre nos sortes (en szoi) de volontés ancrées comme du Verbe dit "des pr"s", "des prairies savantes". On est née fée, au passage (de vie à trépas) et, à présent, on cherchje à comprendre ce qui nousq a  

ttend. Va ton toucher des dividendes (dividendes de la foi dans le langage ? ) ? ou pas ? on ne sait pas ! On cherche ensemble, à comprendre la Foi (dans le lan gage) ce que c'est. Est)-ce une sorte de croyance inoculée dans notre ventre (

antre) de bêtye-fée devenue "croyante", au passage d'un muret ? Ou bbien , sorte de tracé comme conjurant un certaéin nombre en soi de sorts (sortilèges) alloués à des bêtres , bêtes de paroi = mots du Verbe Sondé ? On cherche grave ce qui est en cette sorte de tracé "de bout des bouts" d'une vie donnée, mais, en vrai, ça nous met, un peu, en difficulté, car ensemble, peuêtre (fée), on est un peu armée mais pas tant que ça 

! On doit se recentrer, se remmettre ensemble de la travezrsée  à travers la roche (initiale ) é&ux données frontales telle qu'appréhendée aux temps premiers. on est née fée au pazssage, ok, mais on doit encore chercvher à comprendre, qui on est , dans un pré, ici même, au milieu des bêtes, qui on est qu'on se doit d'êttre pour au mieux cerner les données rupestres et autres tracées qui, devant nous, sont encore (ou rewstent encore) à apparaitre, à se montrerr, à montrer de fait leur sorte de "nénés" tels que notifiées (plus haut) en ces sortes de données gravées  sur roche des fées. On veut toucher à une vérité de type "déité" sait-on jamais .... ça serait grandiose ! 

vraiment coool ! de'ainsi pour le coup arrtiver à toucher à cette Déité sucré appelée Néné, par la bande ! on adorerait ! on signerait demain, des deux mains , c'rest une certitude ! on adorerait comprendre ensemble ce qui 

est ici, qui swembleraéit vouloir (on dirait) parler, et dire ce qui est , concernant (peiut-êtte) le Verbe alloué ici aux Nénés dits "de la chance , de fait, au passage". On veut toucher à cette sorte de "néné" de base, néné né pour un passage à l'acte : chalutier ! On tremble ! on est secouées ! on est touhtes secouées ! on tremble ! chalutier ! on veut enttrer mais on est comme secouées parce qu'on a peur(grave) d'y 

passer à tout jamais ! comment co:mprendre ? comment prendre ? comment cerner ? comment s'y prendre ? comment faiore pour aller ensemble, au plus profond des données étranges, cerner-toucher, touxcher -cerner à cdes données des bouts de rage, bouts des bouts des finitudes prairiales animales et florales : comment  ? On charge = on cherche. Pas facile ensemble de trouver. ensembvle ou pas , pas simple ! Pas si simple ni aisé de s'y (ensemble ou pas) reytrouver ! on charge 

grave = on cherche ! on y  croit ! on veut toucher à cette croix du bout du monde dit "de la foi" , soit "de la foi dans le langage". on est blindées ! cernées ! secouées ! traquées peut-être mais en vrai : on charge ! bélier né on en avance, vers une Déité des D2ités notoires (si jamais).

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9/9/2024

On aime ! on veut percer et qu'sst-ce qu'on fait on perce ! on vca profond dedans cgercher des choses, du tracé, des données, de la Bête des prés si tant est et on est nous -mêmes (en vrai) des bêtres, betses fauves, cris de joie, hommelette/femmelette de paroi, on est l'Ambivalence Reine, le tracé fait foi qui nous amène jusqu'au cimetière et puis au-delà sous forme princière. 

On aime ! on veut ça ! faire ainsi cortège ! tralala ! parade et passade on trace ! cavalcade ! le corso des Rois, l'Ambivalence ça nous va parce qu'on aime ça , on en redemande à chaque fois ! vive le Roi des SArabandes, le salut des Voix de Propagande ! on est Reines des joies, joies sur -terre-mère, on est comme ça = Premières, charge d'âme et Princesses, Filles de Joie et vives "écolières ! on y va ! on rage ! on ne rage pas ! on vire ! on ne vire pas ! on cherche ! on ne cherche pas ! on est cfomme allouées ensemble ("toi et moi") à une Ambiuvaleznce patente. 

On veut croire en sa bonne étoile : "toi et moi" par là, "passant "le cadvare  , c'est-àdire "le dépassant", et nous voilà FEmmes, toi et moi en FEmmes, un tracé, une sorte de sarabande, on est des fées de contrenbande, on veut y croire. On est là pour comprendre un certain nombre de données de choix, et ces données sont (comme) pour nous ( pour nous deux)faites de bois, de matière inflammabkle, on voit ça ! ça crame ! ça y va ! bois des Rois et Reines de Saba ! on trlaiîne la patte, on creuse, on creuse ensemble, on cherche à cerner-comprendre, ici même, ce tracé des rois, ce qu'il est de base pour Soi, caminade. 

On y va ! On aime ça ! On veut comprendre le tracé des reines, reines de Saba. On cherche à comprendre ce qu'on voit , cette chose devant soi (ou devant nous) qui nous regarde. On aime ça ! on regarde à notre tour la sarabande devant soi, cette chose des parois ! on  trace ! on veut comprendre ! On est là ensemble accoléezs sezrrées, pour de fait en avancer (on dirait) dans les connaissances concernant la Fée, cette trace, ce tracé des Fées, cette Chance Et Parade,sorte de tracé des Antres, cavalalcades. On est comme soudées ensemble par la bande et du coup on voit  ! cette chose des parois, qui tremble ! on voit ça ! on trace ! 

on est danss un pré . 

On est accolées dans un pré. On veut toucher à cette déité des données frontales et l'aimer . On veut coller à cette déité des données de base et l'aimer de Rage ! On veut tracer ! On s'est pour ainsi dire rapprochées ensemble des données (Ultimes) de la Face. On est quasi arrivées ensemble au point de passage. Qyui on est ? on est Fée ! fée des RAges on dirait. On est passsées de là à là , auprès des bêtes de paroi, dans une s orte de course effrénée jusqu'aux confins du pré. On est nées de La Rage d' être enfin passée, d'avoir traversée et du coup d'être tombées ou comme tombées dans un pré, champ des fées et des bêtes-Monstres,c  ris de jhoie toutes les secondes ! égrenage des données frontales , temporisation des données. On est nées ! On est passées ! On est passées de l'aiutre côté ! Qui on est ? FACE ! Pile et face on dirait ! chamade ! 

On cherche à comprendre les données données, le tri frontal, cette vie en libre accès de l'autre cfôté et ça vente ! oh, qu'est-ce que ça vente ! ça envoie ! ça crache ! ça y va , et nous (la Fée) voulons cerner de base ce qui est, concernant la Charge, le Passé, le Passé posé comme (en tant que) offrande, les données données ssont les données poséeees (ou déposées) sur roche des Prés. 

On est Fée de base, faite ensembkle d'un rapprochement-collage d'ailes entre eklles , pas plus compliqué que ça en fait ! On est ELLES = AILES des Données Données sous forme de ... Fée des F2es ! 

on croit rêver mais rien du tout ! on est fée pour de vrai ! une fée en herbe ça le fait et en plus c'est vrai ! 

On est la Fée de l'Herbe , des données ancrées, Verbe alloué à un tracé de fée, à une sorte de tracé de tfée sur herbe en herbe, fée en herbe sur herbe, fée des fées on aime ! on est fée noius-mêmes ! fée des Fêttes ! 

On aime fééet^ter l'Herbe , le champ de blé, les données primaires, le Passé posé, la belle meunière,; l'anfracrtuosité première, l'Envolée des Envolées . 

On est une fée du fait qu'on s'aime ! qu'on fait coprps ensemble dans l'adversité, qu'on ose des faits, qu'on se tripotte, baise, cherche, colle, peénètre. On est bêtes de roche découvertes. On veut s'aimer sur roche comme des bêtes. on a pas envie de traîner mais tout le contraire, filer grave à perdre haleine, s'époumoner, filer -tracer, chercher loin la roche "des confins", l'aimer, s'en rapprocher, faire son chemin. On est Fé2e des Fées sur Herbe (Verbe) des contrées ruprestres (néandertaliennes on le sait) et on va vers elle, la contrée des fins et autres confins dits "de cimetière". 

On cherche vif à tracer des traits qui indiqueraient en vrai CE QU'ON CHERCHE en termes de DONN2ES DES DONN2ES RUPESTRES, à savoir : le VERBE, VERBE en HERBE Tu lre sais, c'est gravé, çàa tresses ! ça tresse et trace en vrai ce qui est question volontées, recherches, tracés et données recherchées, solennités et éutres envies de cimetière. On veut toucher touchert toucher à cette Bête Allouée à un cimetière : laquelle c'est ? bête à cornes surnumeraires ? cheval fou ? bêtes des denrées toutes absorbées ? aNtilots des prés ? On cherche ! on est accolées comme deux frères, soeurs nacré.es ! on veut toucher toucher toucher à cette  sorte de donnée allouée à du VErbe de Fée (de cimetière) s'il en est ! On est soeurs Brontë, Colère, Charge du Passé, australopuithèque si jamais au débotté, on cherche à cerner ce qui est qui est colloé à une sorte de passé qui est passé de cimetière, charge allouée à un passé de traîne, on rêve ! on ne rêve pas ! on est là ! on est pas là ! on charge ! on ne charge pas ! on crie ! on ne crie pas ! on vire ! on ne vire pas ! on file ! on ne file pas ! 

on y  va gaiement question VGerbe sous le vent ! On est blême ! on est fouettées par du vent -colère alloué à du Verbe, vent donné ! On est face à face un vent des prés ! on s'en prend plein la figure c'est un fait mais enfin on en avance, on fait face, on trace, on grave grave szur roche des traits représentant la charge. 

On est comme nées, bêtes de charge de paroi, bois des Rois ! Mats de contrebande ! on trace ! 

On veut en avancer ensemble "à toi à moi" en cette "Romance de paroi", comme (en tant que) bêtes de charge, traits, somme etc., du moment qu'on trace ! qu'on avance ! on veut ça. 

On ne veut pas rester sur place à attendre (quoi ?) mais tracer de rage verz là)-bas la place, trait des Voicx, on entre ! on est allouées ensembke (femmes dans la mort dite "trépas")  à une sorte de paroi de CFontrebande ! ça bande ! ça envoie ! ça charge ! ça y va ! On est là pour chercher à comprendre ensemble ça ! Cette voicx des voix : qui parle en soi ? qui est là qui dit ça, ce qu'il pense ! ce qui est, ce qui se trame, ce qui se dessine, ce qui se grave. On entte ! on est vfemmes de la mort en herbe, femmes-voix. 

On est accolées de base à (depuis) notre entrée . 

On est Femmes dees prés en tant qu'on est deux pour "faire" une Fée, Fée duPaysage. On est femmes allouées à un pré en tant que Fée de Paysasage, tracées, marquée, ancrée sur son territoire aux bêtes de charge, on s'y plaît ok mais on voudrait aller (comme à l'arraché) chercher plus avant la somme, totale, du firmament, cette roche terminale "des tourments" , ce qu'elle est en termes de données frontales, permanentesz, qui elle représente, qu'est-elle est en vrai qui pour le coup nous interpelle et semblerait (on dirait) nous parler en vrai, c'est dingue ! 

On a envie grave de se rapprocher de ce muret des fins de pré, toucher la roche au plus près, toucher toucher ensemble (fée) la roche allouée à cette sorte de passage d'un pré l'autre, ou sinon d'un pré , vers une sorte de donnée marine (maritime) cernée. 

on est comme nées (ensemble) au passage (de vie à trépas) en cette chose d'une sorte (?)  de pré alloué à du Verbe de Choix : verbe acté, vertbe des contrées célestes, verbe-bête et autres données, verbe de l'herbe et des champs de blé, verbe Celte. On veut toucher à ce muret "des entrées célestes". On veut "attrapper la bête". On veut passer ici par la tête, et nai^tre; Ou comme naîtte (à la une à la cdeux) en ce rOyaume des Embruns, MEr salutaire, Chant des FIns CErtaines, corazón, jeu de la passion, cortège des Poltrons et autres Spigolon de Tête. 

On est accolées comme des bêtes et on s'aime. On veut toucher à une D2ité ! on veut cerner ! on veut grave tracer ! filer ! aller ! chercher la Reine, le Petit Colère, les données allouées à un (drôle de) cimetière aux entrées de Fée comme fêtées. 

On a grave envie ensemble de nous avancer et de cerner la base ce que c'est, en termes de rage : betes des prés ? bêtes reines des contrées sévères ? qui on est  :  Fée ? Fée du passé collé? on est la Fée donné e ? Fé des Fées telles qi'on aimerait toutes les connaître en vrai sur terre ? 

Mais ... on est sur terre ! on est sur terre au cimetière ! on est collées , ensemble (femmesc= ailes) dans un cimetière dont le nom est : Terre ! terre des données, données salutaires et autres données  de type "légendaires". On est nées sur terre Ailes pour mieux en vrai monter en tant que telles une fois la roche passée. On est nées Fée ensemble dans un ciçmetière, nous voilà comme couronnées ! On aime ! 

On est reines des prés, charges allouées à un rêve, à une envie vive de durer , en ce cimetière, en tant que fée céleste, vive et nue comme un ver de terre. 

On est nées de  base sur pré en tant que Fée de cimetière. On est nées AILES, ELLEs, FEMMES DU pré , Felmmes des PRés, femme -flamme, ailées, chargées d'aller, en vrai, 

vers la murette, le muret des fins de prés , muret/murette des données (frontales) terminales. On veut tracer de près ce qui est. Chercher àb cerner, comprendre et prendre ce qui est, en termes de Voix. 

On est nées de rage sur paroi (en transe) Femmes (deux femmes) formant Fée des Passagesz de là à) là, soit du pré à l'après. On cherche à cerner  ce qui est à travers le VErbe comme déplisséb sur de l'herbe de pré . 

On est comme des bêtes ! on broute (à tout jamais) l'herbe verte. On broute que tru brouteras (à tout jamais) L4HERBE VERTE des parois (s'il en est !!!) et ça le fait ! ça charge ! ça envoie ! ça crache ! ça ne lambine pas car ça y va genre filage, enfilage, ,  filament des voix ça trace ! 

On est là qui ensemble sommes cette "somme de voix" ou quoi, qui tremblent ou pas, chantent ou pas, parlent ou pas mais quoiqu'il en soit elles tracent ! elles filent, tout bas peut-etre leur romance, mais voilà : elles tracent grave sur paroi la Bpête (justement) des Voix , dites (les voix) " du cimetière - aux données premières". 

On est Femmes sardes : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! et aussi : sagesc, oui encore ! et tant d'autres formes ! On est FEmmes des Bois de Bas-äge. On avance ! On veut cfomprendre, en tant que Fée allouée à un passage (vie /trépas), qui en vrai on est et à quoi on ressembke. Oui en vrai au fait, à quoi on ressemble ? est-ce qu'on ressemble à une Fée Clochette genre walt disney ? à une fée des fées genre une sorcière  ? à la Fée dees prés et autres cimetières (car le pré, le paradis, est un cimetière : ça c'est dit !).   ? 

On est qui ? on ressemble à qui ? on est qui en vrai ?  doit-on pleurer la vie passéex ? sommes-nous nées ainsi accolées une fois la vie morte et enterrée ? 

On cherche à cerner les données de base, ce que c'est. On est nées d'une RAge à (ensemble) déposer sur pré un passé de poids (Temps des Actes) et tracer ! filer ! chercher ailleurs en ce pré le sentier menant (de fait) aux finalités , fins de pré, muraille. On est nées Fée de Rage sur pré (parade  = paradis) et on trace ! en tra&nse ! le tracé rêvé, l'estocade ! vivacité à tous les étages : on est des fées , et dès loçrs on en avance comme au pas de charge (si tant est) concernant une fée "pleine de grâce", allouée, cernée, vive et nacrée, fée des fées. On est F2e au p assage = fête des prés. On est des fées de fête en vrai allouée à une sorte de pré de la Rage . 

On est : Fée de fête, fée des fées tracées. 

On veut ensemble en vrai cerner un  certzin nombre de données toutestracées (sur roche) à main levée par (on dirait) une main de fée : qui sait ? néandertalienne on dirait. 

On aime ! on aoime les fées ! On a envie nous-mêmes d'être fée allouée à une co,ntrée poste-cimetière s'il esn est ! On veut tracer sur herbe un tracé de Verbe et y aller, en vrai, à fond la caisse ! comme envolées ! comme soulevées par (squi sait ?) du Verbe d'Envolée ! On est nées sur herbe comme soulevées par du Verbe SZAcré (Naccré) ! 

On aime ! on veut aimer ! On veut toucher à cette Déité des Fins de Règne : confins-nés. O,n aime être Fée de Baise, Congrtatulatiuioons sur Herbe, Pamôison et autres faits de fête, concentration. On est des fées du cimetière cherchant vif à traverser  (ensemble) le pré aux bêtes, pour nous (comme) téleéporter hors cimetière, vers d'aéutres contrées qui nous accueilleraient comme si en vrai on était (nous-mêmes) des bêtes, bêtes reines, bêtes des prés, des cimetières aux données données par (on dirait) des sortes de ... fées, fées en herbe ? 

On est bpêtes ! on est des bêtes ! On cherche ! On est accolées ensemble soudées. On veut toucher à une déité dite "du cimetière et autres contrées déplissées temporelles". qui  on est ? ELLES + AILES. On est (comme qui ndirait) des a&iles de fée. 

Un homme mort (ou trépassé) devient femmes des pré, deuix femmes allouées à une (sorte de) corps de fée en tant qu'elles (ces femmes = elle"s") forment lmes deux ailes d'une fée en herbe ! 

passé ! passé clotûré ! ça ferme ! on ferme  !on est fermé ! on ferme le Passé comme avec un couvercle dont le nom est : Fée, Fée des f2es, on ferme ! on a fermé ! on a baiissé de près ce qu'on devait baisser :  garde et  porte d'entrée ! On est fée des fées en ce cimetière des données serrées, actées, déposées, données sur rtoche à l'arraché, lmise sur piedfs dès que (pour le coup) nées sur roche et allez ! filez ! foncez ! allez-y donc fronteal sur ce pré des fées ! courez sans vous retournrez ! atteignez la Chose , là-bas, deployée, qui guette, vous regarde faire (aller et venir) et rêve (en vrai) de vous dévorer on dirait.

 On a ^méga envie ensemble de toucher le Vrai de cette (sorte de) PArade Géante.Elle est qui ou quoi en vérité, on ne la sait p as. On voudrait c'est sûr comprendre mais cxomptendre quoi ? la p arade (aux bêtes de foire ?) ? paradis des Voix ? On cherche à comprendre ce qu'on voit, à quoi ça ressemble, à quoi on pourrait ensemble ici penser de fait que ça ressemblerait en termes de paroi, de roche ornée et auttres grottes ornementées. Grotte aux Fées ? peut-être ! On ne sait pas. On est baba devant (ou cois, coites) mais pas plus que ça ! si seulement on pouvait en vrai cerner ensembke et dans le détail les données frontales ! On dirait (de concert) ce qui est. On cne dirait pas ce qui n'est pas, mais on dirait (de rage) ce qui est en vra i. On pouurrait grave dénoncer ou je ne sais qauoi les données raciales et autres vilénies de base, attribuées à une sorte en soi de primauté frontale de données données comme à la parade. On voudrait comprendre ! On voudrait c   erner ! On veut comprendre et aussi cerner  eh bien tout ce qui se passe, ici, en ce pré ! les bêtes qui broutent, le soleil alloué, les clartés ett les herbes nacrées, le tracé sur herbev = sentierr, l'herbe verte. 

On est nées dans l'herbe verte, comme en vrai allouées à une sorte de marche forcée vers des confins de fin de pré. On est nées fées pour en avancer et ne pas trai^ner. On est nées fées sur herbe en tant que telle (fés ? herbe !) et on fiile dès que nées car on est pressées (commùe présseées) par les données liées à une sorte de (il semblerait) souffle de base, vent de face, souffle vif des souffles allouées à une sorte ici d'enclave aux données doonnées comme soupesées , ou même szoulevées. 

On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher t(oucher svp, à cette D2ité des D2ités des D2ités des Déités surnuméraires afiliées ou allouées à une sorte de "crête" sur pré, sorte de monts "des Prés" comme une murette, muret, mur d'enceinte il semblerait , et nous de vouloir pour le coup aller (ensemble accolées) voir ce qu'il en est, en vrai, de près. 

est-ce la murette (des passages alloués à dxes, qui sait ? szortes de  naissances), toujours la même ? on dirait ! on dirait qu'en effet ... on retombe en enfance ! quelque chose comme ça : ça y ressemble. Car, la paroi semble similaire à celle déjà traversée à notre naissance. Car , on dirait en effet qi'il y a (ou qu'uil y aurait) en ce roc des fins, une sorte (fine) d'anfractuoisité par où en vrai (ensemble : fée ) on pourrait passer comme à la parade. Car (aussi), la vie (ici) semble se poursuivre, s'allonger, faire suite. Suite acide ! suite ancrée nacrée dans un ciel de suite  (pour le coup) nacré ! . 

On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à c ette chose ici trouvée, de type "donnée des données " = Femmes au débotté ? femmes fluides ? fines ? fermes ? doublées ou dédoublées ... hommelettes ? On chercvhe ! 

Onj a envie grave de chercher ensemble des dopnnées. On veut ensemble essayer de trouver , des données qui toutes le fassent.  si possible ensemble on veut edszayyer de trouver le plus possible de dopnnéesv concernant la mort ce qu'eelle est , ce qu'elle n'est pas tout autant et autres vérités concernant de près le firmament, l'après, les choses du temps, l'avenir des fées. 

On vzeut toucher à une déoté si tant est. On a méga envie de pour le coup nous approcher znsemble d'une vérité, d'une déité qui serait vérité , ou d'une vérité qui serait une déité. 

On est deux femmes allouées à un peu d'herbe (un pré ) et c'sset en tant que telles qu'on veut (voudrait) en avancer dans ce qsui est ici une sorte de pré aux données serrées, aux faits vrais, aux petites et grandes vérités concernant de fait la vie sur terre, et la vie hors de la terre si jamais. 

On est des fées de cfimetière et aéussi des fées d'hors cimetière, des conntrées lointainesz en dehors du cimetière dont le nom est Terre. 

On a envie e,nsemble de comprendre un certain nombre de données concer nant la Terre, et si possible ensemble (oui) et : sans lambiner, de préférence, car, en vrai, le temps presse, qui nous pousse à "dire-faire" une sorte de Parade des Dionnées Données ou aux données Données de type "offrandes à D2ité". 

On veut toucher = on vveut cerner. ON veut comprendre = on veut combler (de faits) les trous de l'âge alloué à un tracé. 

On est des féesz comme (toutes) cernées par la bande (acidulée ?) d'une sorte de Parole Sage, SAge et Sale qui plus est , mais ça marche ensemble on dirait. 

On veut toucher ensemble parce qu'on est ensemble et qu'on veut toucher ! 

On est sages, sardes, femmes sardes, dans la mort alloué"es, ou dans la mort comme allouées à ce qui (en vrai) est Sage = sale = dits des prés, dits vifs des prés aux données.

On a envie ensemble de cerner-toucher à une vérité de base, dont en vrai le nom serait celui, ici rencontré , à savoir .... Déité ! D2ité des Fées ! Charges d'âme et autres charges -pioids de base déposées comme à la parade. 

be'$êtes de la foi dans l'herbe. On aime ! 

On a envie ensembkle de toucher à cette chose d'une bête, aux herbes vertes (herbe à brouter) et du cfoup on se rapproche d'elle , à la caresser , on se rapprocheau plus près pour cette chose de la caresser ici sans tra^$iner, et c'sst ce qu'on fait, on la caresse, on aime ça la caresser, on ne s'en laisse pas conter ! on l'aime ! on a envie d'elle en tant que telle ! la manger ?

On est des fées de cimetière, et on aime l'herbe, l'herbe des prés.

On est des fées comme allouées à une sorte de cimetière, et du cfoup on veut ensemble si possible tracer, un certain  nombre de données de base , tracer-marquer, dire-marquer, un certain nombre de données de type "visibilités des visibilités" et auttres traéits ici affirmés (haut et fort) comme (en tant que) "Véritész des Corps". 

On est deux à 'arraché, on erst passées, on est néesz sur herbe : ploc ! on est tombées. 

On veut de fait ensembkle ici comprendre les données sondées, les faire nôtres à la retombée , les aimer ou tout cfomme, et, dès lors (qu'on aime ces données) , prendre ses jambes au corps et vite tracer, filer(, courir sans traîner, vers ces données auttres des fins de pré et autres "finalités des finalités gravées". 

On est d'accord : on aime aimer le Corps de la Fée ! 

On est fortes femmes lourdes à l'arraché (la retombée) , nous voici transformées en Fée, Fée d'ombre, on est néee ! on est Fée née nue sur herbe du pré sur le cul.

On a ensemble envie de tracer et d'aller (au loin) rechercher ce qui est, en termes de données "velues" ou poilue", de type animales, "animalité de façade". 

Qui on est ? on est des fe"lmes, ici, devenues Fée, Fée des ombres (hommes) cachées ! On est des Fées de base nues, qui (en vrai) chervheons (ensemble) à comprendre par le menu, ce qui est  ici (sur roche ornée) et ce qui n'est pas, ce qui en vrai n'existe pas, voire : n'a jamais existé ! 

On veut toucher à une sorte de Denrée d'offrande, qsui serait ... des vivres dits "de contrebande" = chapardés, volés, cueillies commùe à l'improviste et à l'arraché sans plus chercher. 

On veut toucher (grave) à une déioté des Déirtttés. Et pour cela : filer ! filer vif et sans chipoter ! filer grave en ces prés, vers (il semblerait) la Parade Finale ou Parade Terminale aux données actées comme de façade !

On ne rêve pas , en vrzai, on acte !

On est néesvd'une sorte de rage à vouloir ensembvke (deux femmes) s'immisver en ces contrées post-pariétale, et, une fois nées (comme à la parade = paradis = pré) on a vite couru vers là-bas cette (szorte de) muraille des fées, ou muraille aux fées , qui nous fait ou faisait face, nous attrirait, semblait comme nous appeler , nous interpeler, et nous (du coup) d'y aller sans plus traîner, àà grande enjambée, en courant-volant comme les fées qu'on est en vrai, et du cou voilà : on est arrivées ! on regarde ! on voit ça : la grève ! grave on voit ! on est femmes-fée , deux femmes pour une fée", on avance (on en a avancé !) et voilà, on mate ! on regarde au plus près ce qui est, on cherche à comprendre. qu'est-ce que c'esrt qui nous regarde ? qu'est-ce que c'sset qui nous fait face en vrai ? on est qui en vrai, qui (ensemble) cherchons à cerner un certain nombre de données de base , de données données ? On est nées sur place fée,  et à présent on cherche à cerner, face au muret, les données finales ! ce qui est ! ce qui est qui nous regarde ! 

On charge = on cherche. 

On ne veut plus traîner, on veut au contraire pistonner, trouver ensemble une manière d'y aller ensemble et cette manière, on croit l'avoir enj vrai trouvé, ici-même (cimetière), en la personne d'une fée en herbe, fée des fées, fée-manière ou fée maniérée peut- être mais on l'aime ! on aime cette fée qi'on est ! cette fée en herbe , fée des fées d'un cimetière alloué au passzé et aux chrysanthèmes ! 

On est féess de rêve, chercvhe-merde peut-être qui saiit ? on sème ! la merde ? on ne sait ! on est fée de traîne, données des données, on s'aime ! on sème ! on sème la merde ... ou pas la merde mais (qui sait ?) du Verbe doré ! chant docte ! parole enlevées ! vents de bord et autres souflles acidulées comme s'il en pleuvait ! cohorte !

On est des fées de rage sondée !

On veut se rapprocher ensemble de la vie aprtès la mort. On veut se rapprocher ensemble ici (pré) de la vie postée (?) après, soit après la mort. 

on a grave envie ensemble de toucher à cette sorte de divibnité qui nous ressemble ou nous ressemblezrait ç-à jamais qui sait, du moment qu'on sème ! 

On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une sorte de donnée de rage, qui serait en vrai donnée de base pour (enfin) comprendre ensemble (gouines-fée) ce qu'on est en termes de base, en termes de données de base, gentesdames au débotté et autres fées de contrebande (" quand ça bande on contrebande "). 

On est nées fées , on veut cerner ensemble ce qui se présente en termes de données de rage, dans la mort. 

On est (dans la mort !!) nées fée, Fée au singulier car on est nées (deux femmes) pour nous retrouver comme unifiée , réunie (de base) en ce corps (alloué) d'une "Fée des prés et autres champs dits de parade" (de parade abncrée dans un paysage). 

Qui on est en vrai ? Charme ! vie ! passé donné comme une denrée ! une sorte de Fée des Données genrées, un acte alloué à une volonté !

On est passées, ensemble, à trvaers une roche donnée, on l'a traversé, on a aimé la traverser car nous voilà (du coup) transformées en Fée , Fée au singulier, du fait que voilà, on s'est retrouvé&es (sur pré) accolées (ailes au débotté) transformées en Fée, Fée des ombres et des données données comme une sorte de cohorte d'ombres (hommes, bnêtes, poids, somme, traits droits).

On veut ensemble de grâce toucher yeah !!!!!!!

O,n veut yeah ensemble de gr^$ace toucher = cerner = dire = faire = chanter ! chanter haut , fort, à tue-t^te , les données découvertes (comme au débotté, ou à l'arraché) au passage (ici-même) de'une sorte de "rocher des rocher" de type ... "fenêtre" ? feu de l'être ? 

On veut toucher ensembleb à cette déité de cimetière. Toucher elle = son aile ?

On est nées Fée car on est (dans la mort) nées en tant que ... elles ! ailes ! Ailes allouées à un cotrps de fée de type rupestre , uune forte tête !

On est comme cernées, tracées sur roche à main levée, par, qui sait ? une bête ! une bête nous aurait en vrai ... dessiné , gravé, tracé au débotté sans sourciller à main levée, et du cfoup montré , haut, soulevées, comme êtres de paroi de rage, hommelettes de bas-étage, femmes sardes (!) accolées pour former la Reine, Reiine des prés, Fées des f2es et diu cimetière !

On aime !

On a grave envie d'aimer ! On veut azimer grave cette fée (du cimetière) comme "retrouvée" !

On est femmes des prés devenues fée par (?) un effet de manche (contrebande) à la une à la deux nous voilà transformées ça le fait ! pamoison ! cri de joie à l'unisson ! on est nées fée du fait que nous voilà ... ailées ? ailes allouées à une fée des prés ? On aime ! on est nées ailées (au cimetière) du fait que nous voilà (dans "la mort en herbe") transformées ou comme tra&nsformées en Fée Ailée du fait qu'on est ELLEs = femmes des prés à la retombée dès que "passées" = mortes en tant qu'humaines, homme mort-né sombre dans l'herbe pour former (lui) le fumierr "des prospérités". on aime !

On est felmlesb des prés allouées à un corps de fée dit "surnumeéraire" , du fait qsue voilà, il vient se rajouter à ce qu'on voit !$

On aime ! on a envie d'aimer ! on est fée des prés, gentes denrées, vives donées, offrandes et dons de soi sur roche gravé come à la parade devanr t szoi. 

On est bêtes de somme ... ailées ! vaches sacrées ... ailées ! cris de joie à l'unisson, troupe soudée, on creuse devant zoi la roche pour en vrai passer, traverser,  geagner (vite et bien) les embruns, fins de pré, murailles aux données (frontales) finales.

On est femmes allouées à une sorte de recherche (vive) à travers la plaine aux données données de type animalières; 

QUI on e'st ? on est F2e ! Fée des Fées ! gentesdames allouées à un pré (p arade) p ariétal.

Cherchons ensemble ce qui est du coup en tant que fée ! 

on veut comprendre, on veut grave comprendre, on a envie grave de comprendre, toucher et comprendrr, ces ... nénés de base, seins soudés , ce que c'est ! ce lait = tout ce lait ! une montagne ! primauté , principauté ! corsage ! 

On a envie ensemble grave de téter, téter les nénées, des femmes sardes, sages, sales.

on veut cfoller ! cfolloer vivves à ces données de base ! ce que c'r'st que ces données on se le demande ! On veut toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher touchet toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher oucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tou-cher à ces données ou sortes de données en forme de nénés à lait (on dirait) . 

On nveut de vfait ensembleb (accolées, collées) comprendre ce qsui est, c e vqui se présente, ce qui nous fait face (dans la mort) en termes de données de type nénés ! 

On a méga-envie de base de comprendree ensemble ce qui est qui se présente , se place en face, se présente de fait , face à face, né !

On est nées de base Fée , on veut cerner ensembke les nénés ! les nénés nés !

On est fée de base dans la mort,on vgeut comprendre les nénés qui (en vrai) , face à nous, se présentzent comme au débotté ! qui c'est ? qui est là qui se présente ? Eh bé voilèà en vrai ce qu'on veut comprendre ! en clair (et pour pas cher) à qui sont ces nénés en vrai. 

En clair, en vrai, à qui sont ces nénés qui sont, pour le coup, disposés devant nous pour être (on dirait!) tétés ! 

On est Fée de Rage sur pré, on veut cfomprendre les  nénés de  base, ce que c'est, en termes de Rage,, de Paroi Frontale, de donnée allouée à une vérité frpntale type "déité des Déités". Sont-ce vraiment des nénédss ? sont-ce vraiment des nénés à la&it ? est)-ce que vraiment de fait c'est (pour nous) des seins à teter come par la bande ? sommes-nous dans la mort des fées nouveaux-nés, fées nouvellement nées qui chercherions comme des affddammées à téter sans tarder ou traîner ? sommes-nous fri andes de lait ?. sommes-nouqs affammées  ? Voumlons-nous sans tarder ni traîner téter ? faire ainsi qu'on puisse §ttéter et s'alimenter du bon lait de la vache sacrée ? 

NOUS VOULONS COLLER À UNE ROCHE POUR LA TRAVERSER, EN TANT QU4ON EST UN HOMME AU SOINGULIER, ET UNE FOIS PASSÉ, SOIT MORT ET ENTERRÉ, SE RETROUVER "DE L4AUTRE CÖTÉ", COMME TRANSFORLMÉ EN F2E ! F2E AUX AILES ! FÉE AILÉES COMME SIL EN PLEUVAIT EN CE CIMETIÈRE-PRÉ DE TYPE PRÉ AUX F2ES ET AUX BËTES "SURNUM2RAIRES". ON EST DES F2ES DE RAGE SUPRË4ME ALLOUÉES À UN CIMETIÈRE AUX DONN2ES DONN2ES DU VERBE SOULEVÉ, SOUPESÉ, ENVOLÉ, POSÉ COME SUR HERBE AU PIED DUNE DIVIN9TÉ, PIS DE VACHE À TÉTER COMME HERBE À BROUTER, MËME SCÈNE ! 

on est néesc sur herbe Fée au âssage tracé d'une sortre d'embardée au sein du verbe (vie vive dépôsée) et des données de roche sacrée. 

Vache à lait c'est elle , on la reconnait, elle trône sur l'herbe, c'est la fée Laitière, vache af-gréee par une sorte de divinité allouée au dit Verbe tel que consacré, par , ici, la bête bête, l'idiotie, chants en herbe, vives coneries de tra&îne comme vilénie et autres âneries salutaires (qui sait ?).

On veut : et toucher et paîttre ! c'est un fait qu'il nous faut souligner sans plus de réserve on le sait, on est nées ! on est nées dans uncimetière ! ça le fait sévère ! c'st pas rien en vrai ! on est fée de cimetière si tant est ! c'est nous la Fée du pré, l'emportée , la rosse ou pas mais celle qui va là, comme à l'arraché, nous accompagner et sans sourciller jusqu'au fin fond du pré aux portes des données fianales et autres murs de Fond de salle communale ou quelqaue chose de ce genre, muraille, mur du son. 

on aime tracer ! On veut coller ! On veut grave coller et tracer sur roche un ensembke (pour le coup) de choses doctes, de type : fruits acidulés, vivres, dons, cornichons, poissons. 

On aime être Fée ! On veut grave tracer en tant que fée sur roche des traits, traits de coupe, tra&its des traits. On veut dessiner. On veut graver des traéits de roche, traits des traéits sur roche, données, données des données. 

on est des fées de co ntrebande, chance ! On veut (ensemble) traverser le pré, comme à la volette vite fait et, tout aussi vite fait, gagner la r(oche terminale, les embruns, sons de roche frontales, sons comme sourdant d'une roche de type "frontale", "frontale perforée", et on regarde ! perforée (la roche) et on regarde ! on voit ! on regarde et du cfoup on voit ! on voit ça : des traits , tré&its de coupe par où passr on le sait , qui un oeil qui un bras, qui la t^$ete, qui le pied ou la quiquette si ja&maisv (qauand on en est armé !). ON veut toucher toucher toucgher toucher tyoucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher à cette sorte de murette aux données toutes ancrées comme des croix de cimaetière on dirait mais est-ce ? est-ce vrai  ? est-ce en vrai ce genre de données qu'on seraéit en vrai à vouloir ensemble (main dans la main ) comprendre ? sommes-nous fée de contrebande ? sommes)-nous fée sans bande ? sommes nous fées en ba,nde ? un troupeau de fées du genre , peut-^tte, des vaches ? Sommes-nous des vaches ? vaches à lait sacrées ? qui on est ? 

On est femmes sardes ! sardes sages sales ou pas ! sommes-nous sales ? peut-être pas ! sardes ? Pas davantage ! sages ! certainement pas ! ou alors de rage ! on y croit ! on charge on fonce grave ! on est femmes des parois de l'^$ame et znsenmble on fil droit vers là-bas la place, la paroi finale, paroi des parois qui semble , on dirait , peut-être, nous apostropher, comme si on était en vraéi fée des Rages prêtes à nous donner ma&is que dalle ! on ne veut pas ensembble ou pas (d'ailleurs) nous donner en offrande ! on est pas des fées bornées ! On est fortes ! on colle au pré. VACHE À LAIT C'EST UN FAIT AVÉRÉ ! ON est des fées de type v"vaches à laéit" alors arrêttz de vous époumoner à nous apostropher pour nouqs attirer de fait en vos filets ! on ne veut en aucune façon trépasser ! jamais ! hé, pas si connes en tant que telles ! on veut durer dans la durée en tant que vaches à lait à pouvoir (par qui en vrai ?) téter ! On veut duurer ! tracer, dire, charger, comprendre, szoulever et soupezser les charges! on a envie grave ensemble dee  durer ce qu'on peut durer et même davantage si on pouviat, en tant que vache sacré pouvant allaitrer (de préférence) et, du coup .. donner ! donner du lait c'dsst donner ! donner un peu de son lait = donner ! on est vaches sacrées, vies données pour une e,nvie ici de durer , szoit de durer en vie .. dans la vie ! Dans la vie de la mort c'est dit (et inscrit) sur ce corps d'une fée allouée à un pré ! On est nées (dansz la mort) fée, c'est un fait !

On est ensemble nées, en vrai, dans la mort, en tant que fée ! fée au singulier. 

Récapiitulons : homme on meurt, on devient femmes au débotté, deiux femmes allouéess à une sorte d'entité dont le nom est "Fée". Ainsi transformé, on n'est plus cet homme du passé (l'ombre d'un ^ttre de la terre meuble) mais femmes comme dupliquée, et nous voilà qui (de fait) formons les ailes d'une sorte de divinité genre Fée, ou même fée des frées. 

On aime ! 

♥️ ! 

on est fées des coeurs ! 

♥️ !

On veut grave toucher à cette Déité des cimetières, et pou$r ça (cela) : ça , le trait, le trait tracé, gravé, dessiné à main levaéé et comme né (ici paroi) d'une sorte de transe (de da&nse) enlevée ! on y croit ! on est femmes de paroi (devenues fée) qui (de fait) gravons de rage, la vache à lait, la bête de pôids, vive et ancrée, comme à la parade, pour charger ! convaincre ezt tromper, qui sait ? cette sorte de "divinité céleste" aux données de choix, Déité rupestres et autres Di'eu dit "des parois". On veut aller de base ensemble au co'eur de la paroi  ("des confins de bout du monde"), on veut ça, et c'est à ça qu'u  'on pense (ma foi) quand on danse, qu'on entre en transe, à la foi dans l'au-delà, à la chance, au vents dits "de face".

On est femmes allouées à une danse de parade ! 

On danse ! on est femmes chantantes dansantes venant toucher , comme soulevées, une sorte de Divinité pleine de grâce, Mzarie Galante sur paroi ,forme sage.

On a ensembke en vrai envie de com^prendre, en soi (?) ce qui nous ressemble au sein de la pa&roi.

On a grave ense'mble envie de commprendre les données de base, fruits secs, fruits des bois, fruits juteux tombés de l'arbre, fruits données comme autant d'offrandes à une déité sucrée ;, déité des déités elle-même sucrée comme à) la parade ! on veut ça := co:mprendre ce qui est qui nous est donné ! du lait ? lait sucré comme s'il en pleuvait ? on en pleureurait ! on est des nouveau-njées , nouvellement néee  à loa retombéec (par la bande) sur paroi du Roi, des REines de charme et autres princes et dames des bois ! on entre dans l'antre , on voit ça : convoi ! charge mentale ! parade = paradisz ! betes de poids sur roche lambda et ça charge ! convoi ! 

On seraéit (ensemble) données pour cxharge, sommerondes, on dirait ça. 

On veut (nous deux , à toi à moi) comprendte grave, ce qui est qui nous regarde : une vache ?

On a (ensemble) on dirait (en vrai) en vie (grave) de comprendre cete vache ce qu'elle est en terme de .. lait, lait sucré de contrebande ça le fait ! c'est vrai que c'est sucré ! on aime le sucré mais en vrai pour le coup ici c''sst (juste) méga-sucré ! ça envoie ! ça calme ! c anadou de rage, tu m'as compris ! envoie ! on cale ! on est là pour ça:  dire, et donner , cela même qu'on aimerait, de fait, pour nous, êttre "gratifiées" , tu vois la para de !

On veut toucher à cette déité des charges ! on veut (grave) toucher ensemble , à cette sorte pour le coup de déoité des cxharges : qui c'sst ? c'est MARIE BLAFARDE ? l'amante vénérable ? vache tendre ? vache à lait de l'age tendre : sacrée ? sucrée ? Lait de  base comme consacré en vrai par la bande ici animalière d'unse sorte de pazsabge (de charme) àtravers les herbesz, enjambées, on passe, on est nées pour traverser le pré "paradisiaque", et aller plus loin , de l'autre côpté,, chercher le tracé, le tra&it, trait d'ombre ? traéit plutôt de clarté, de type "anfractuosité" et ça le fait !

On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une sorte de "denré"e" du bout des roches , denrées des denréesc= données = don = LAIT ! LE LAIT ! LAIT DES OMBRES ? QUI SAIT ? ON NE SAIT CAR ON EST ... DES NOUVEA21UX-NÉES DE L'OMBRE ! on veut grave s'aimer : va)--t-on y arriver ? on est nées de fait sur un pré d'ombre, d'ombre ou de clarté peu importe, car , ce qui compte, en vrai, c'est d'être nées fée, en tant que bête (bête ?) des prés. 

on est fée de cimetière, on veut en avancer et, de  fait, on trace sévère ! on file on vole ! on survole les données mais c'sst ainsi qu'on en avance sinon comùent faire ? ici le nez flanqué, dans l'herbe funaéraire ? Jamais ! survoler c'est un fzait qui (en vrai) nous intéresse, ou sinon un fait un état de fait ! On aime grave survoler sans rtrop s'arrêtrer. On pense (à part nous, en tant que fée) que, de survoler les données prairiales, est de loin préférable à une sorte d'examen de b ase, de base chelou car il freine tout, or le tréit ici à bien cerner, les donné&es de rage , à ici cfomptrendre, sont tous et toutes lié.es à cette chose déplissée ici en tant que volonté, désir ancré, de (pour le coup) tracer ! filer ! aller fissa au sein de la par(oi(pré docte) sans traîner ! fissa est la vérité si tant est ! on ne doit en aucune sorte lambiner si on veut tracer (à main levée) la bête de somme (Vérité des Vérités). On est femmes nées (d'une roche) dans la mort , transformées en frée, deux femmes pour une fée, voilà le compte .

Deux pour une et les vaches (dit-on) seront bien gardées , mèfle !$

On veut durer. 

On a méga-envie de durer, de cerner ensemble un grand nombre de données liées à la mort. On veut toucher à une déité frontale, genre pariétale : une armée de bêtes groossses, aurochs et biseonnes, buffles et juments de roche. On veut tracer = filer = dire vite fait son propre fait qui seraéit cette chose (en vrai) comme quoi voilà : on était un homme, on s'est (dans la mort) transformé en femmes, ailes dites "des données", formant fée de base', fée des fées pour une embase de type "denré"ée, offreande, don de lait". Qui on est  ? des fées ! fortes soudaines ambrées nacrées lactées ! Fée d'herbe ou alors fée en herbe ! 

On veut toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tyoucxher toucher toucher à ces nénés de cimetière ! qui on est ? des nénés ? on ne sait ! on est pas des fées nous-mêmes avant de nai^tre fée en vrai ! on a besoin de traverser la roche (surnuméraire) aurignacienne auxsvdonnées données p)ar (peut-êtte ?) des fées dites "de cfimetière" à jamais (à jamais "de cimetière" ?). 

On veut toucher (en vrai) de rage , les donné&es, données doctes, les données données , données données doctes, type "denrées = dons = LAIT ! ".

Lait des féesn ! on croit rêver ! rêve-t-on  ? pas le moins du monde ! on est né- su!r terre pour tracer jusqu'au cimetière où pouvoir trouver (en tant que fée, homme transforlmé en ailes de fée) le lait de sa Bête ! On aime ! like au jugé ! coeur d'acier ! coeur surnuméraire on aime ! on veut aimer, faire, dire et charger, cette bête des prés, lui donner de l'herbe, la soigner en herbe verte : verbe ! traits tracé à main levé comme d'une bhête desb  données rupestres (buffle d'oc).

On a ensemble envie vraiment de nous aimer-aider en tant que femmes allouéesz ensemble à une sorte de donnée, de type cha&rrue, soc d'oc ! et on trace (traits) pour la parade (paradis) au pied levé, ça le fait ! 

On veut de fait enwemble, devenir la Fée, F2e des ombres ? Fée des fées ? On colle aux ombres, aux parties molles, aux endroitsz mouillées pou r mieux traverser = passer, passer et du coup traversert pour dèsz lors enwemble, nous retyrouver, comme tombées, de l'autre côté , femmes. Tombées en tant que transformée, femmes (deux femmes) sur pré ! ça le fait ! dingue et même plus que diongue ! ... "taré " ????? on ne sait ! on cherche à connaoitte, mieux (toujours) , les données données offertes ouvertes,; si tant est ! si jamais ! 

On 'st cfomme accolées à une sorte de cimetière aux données tracées, données comme du petit lait ! lait de fée ?

On a envie ensemble grave de tracer un certtain nombre de données de base, données fortes-folles, comme (pour le coup) doublées de lait (sucré) comme acidulé, vivement sucré on dirait. 

On veut toucher à cette déité lactée ! vache des prés ! vache à lait avgec ou sans lait on en recdemande ! on est fée des fées ou vaches à lait on ne sait maids grave on veut comprtendre et vite, sans traîner, car le temps défile qui nous voit veillir et nous ratatiner ou comme nous ratatiner sans nousprootéger, ou sans plus (on dira) nous protéger ou nous soulager.

On est F2E, F2E des voix, Fée des fées des voix de l'au-delà.

ON VEUT GRAVE ENSEMBLE COMPRENDRE QUI ON EST EN FAIT DE FÉE. On est qui ? quête ? marchand d'allumetezss ! 

On est qui ? "quête ! marchand d'allumettes , si t'en as pas t'en achètes, rue de la braguette ! ". On aime ! coeur du foie ! On veut grave cerner, toucher, comprendre, dérouler, comprendre, chercher les clées, le sens de la marche . Des données. Des tas. Des tas cde DOnnées de type "véritées", ça le fezrait. On serait les reines, Reines de sab a, Roi des ROis Chargés (toutes et tous) de victuailles dorées, ça le ferait ! On veut e,nsembke grave ma,nger, boire,et auusi chier , pisser, etre Vache à Lait et se comporeter comme exactement la vache sur pré se comporte en vrai. Brouter mais chier, boire mais pisser ! ça le vfait ou ferait grave, c'st un fait ! ça parade ! ça envoie ! ça gagne ! ça charge du bois ! Qui on est de fait ? eh bé ... Fée des Fées des Bois de COntrebande : charge mentale ! Fichtre, on e,nvoie ! on voit ce qu'on voit et du coup on envoit come à la parade (sur paroi) les bêtes de charge, l'antilope ... sarde ? on ne sait pas sa provenance ! On est là pour com)rendre. On avance à pretits pas. Il faut nous comprendre. On est là pour ça, comprendre, mais à pertits pas car on peut pas, de fazit, aller , nous dirons, " plus vite en vérité que la musique" , voilà l'acmé ! le dire des faits  ! la musique oui, active à son rythme, x données dites "des vérités" , et du coup ça le fait ! la musique ici est vivacité, qui en vrai, dicte ! donne le tracé, charge la donne, pond son oeuf de Rome, ne peut autrement donner que comme elle fait ! musique du vivre (dans la mort) la (vraie) vérité des corps, âmes, tourments et supplices, chants des Reines et rOis. 

On est nées Fées de RAge en cette chose d'une sorte de parade ! effroi ! chance ! considérations de b ase ! vivisections ? On enttre ! on est deux de base à la décharge ! on veut grave devenir la Fée des rages ! On va (veut ?) être comme aidées , soulevées , soupesées et soulevées ensemble, par un vent de face" ! vrai !

On a envie méga d'aimer , e^tre soulevées par(ici) VENT ! VENT donné ! VENT DES CONTRÉES De RAGE, ou contrée de la rage, d'être (en fait) nées nues du cul de l'antre ! VIVE LE CUL ! vive l'âme mise à nu au paszsage, on entre ! 

on entree comme dans un cul ! 

on entre grave comme dans un "cul de base" ! on veut comprendre = toucxher ! on veut grave toucher = comprendre, sans traîner, ce qui est qui nous fait face . On ne veut guère lambiner mais au contré&ire, toucher et donner, donner et toucher sans attendre, filer ! grave tracer ! courir sur le pré et aller, ensemble (main dans la main) vers ce muret de contrebande tant cité, décrit, nommé, alloué ! On veut toucher à ce muret des anfractuosiçtés dites "de contrebande" car en  vrai, ce muret est muret des rages ! des rages allouées à une vérité ancrée, fistée, entrée, de type enculage de donnée donnée comme par la bande et on se tait ! le fait est tracé ! merde au données ! on est collées !

On cveut grave comprendre x données, de quoi on parle, ce qui est , qui donc est qui en cette sorte de charade allouée à un dire sacré , qui parle, qui est,, qui se pavane, qui est autocentré, qui voile, qui se taitb ou au contraire parle (vif) , et diu coup dévoile (qui sait ?) ce qu'il a en lui de plusancré qui serait caché ou sinon caché masqué  : qui ? ON cherche ! on cherche à vif ! on veut toucher, on veut croire; dire et aéller comme à la retombée sur roche d'un pré, et tracer , dessiner à maéin levée une sorte de bête allouée à une vérité dite "de cimetière et autres terres aux corps sondés". On est devenues bêztes à tout jamais, du fait que voilà, le VErbe est passé (qyi ne passe pas , en vrai) à jamais !

vie des bêtesz. Vies de betes ailées. 

Ici la vie des bêtes ailées. VFaches à lait. 

Bêtes bêtes, betes des prés . BeBelles bêtes des prés. Betes-verbe. Betes-mots des prés. Vaches des prés bêtes. Betes-Vaches des prés bêtrs. Vaches-bêtes des prés bêtrs. Vaches sur pré allouées à une terre dont le nom est cimetières , cimetière des données ou aux données de type vérités des prés. On aime ; du coup : on like, à jamais, pour la parade (= p$paradis rupestre et autres vies tracées, comme au pied levé).

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6/9/2024

On a méga envie ensemble de cerner au plus près, les données d'une sorte de vérité déployée ou qui en vrai serait comme déoployée à nos pieds. On regarde ensemble. On est ensemble pour cerner, soit toucher à une vérité. On ab méga envie pour ainsi dire de cerner et d'en avancer , et pour cerner ensemble et en avancer, on doit pouvoir creuser, êttre en capapacité ensemble de creuser profond, d'aller loin, de s'immiscer ensembkle dans les profondeurs (ici même) de cette paroi

 ou sorte de paroi dont le nom (pour le coup) est "DOnnées " . Ou : "données des Données". On en avance parce que, voilà, on croit à ça, à cette chose, à (ici) ce train de vie comme un allant , une sorte d'allant ou d'élan à même la roche. On est accoléres ... parce qu'on s'aime, ni pluds ni moins ! On est ensemblev, accolées, parce que voilà, on ss'aime énormément, c'est-à-dre qu'ensemble on fait cotrps , on est super unies, on est deux ailes pour un être ou même pour être, ici, cette sorte de Fée du Logis, du logis de l'âme ou de je ne sais quoi qui vole et vire, va et vient en cet antre des données Suprêmes/ Donc

 voilà. On est là ensemble pourr ça : cerner que tu cerneras , etc. On en avance oparce <u'on y croit, ou  du moins parce qu'on veut essayer , d'y croire ++ , d'y aller ici de notre envie, de passer ensemble qui le nez qui la 

barbe, et du coup se retrouver ensemble de l'autre côté, côté pré. On est dans un pré. On regarde (tranquilleùment) les alentours, ce qui se trame (ou pas) près de nous,  ce qui se passe ou trame, bêtes de la joie, bête-poids. On les regarde +++. On a envie grave de les approcher et de les toucher. On a envie grave de nous appreocher de ces bêtes de poids qui sont bêtes de joie (allégraesse) qui nous matent grave, nous regarde nt en vrai comme si (qui sait ?) on était toutes des extrra-terestres ! dingue ! Sommes-nous des extra-terrestres ? peut-être. Qui en vrai sait ça et peut (pourrait) nous aider à y voir clair, ici- bas ? Bé, peut-^tte en vrai : personne !!!! personne en vrai qui sache dire , expliquer, rapprorter des choses en vrai ! On espère mais en fait jamais ça n'arrive, jamais jusqu'à au jourd'hui on peut dire que c'est arrivé , que quelqu'une ou quelqi'un se pointe ou se pointaât et vînt à nous dire ce qui est en vrai en termes de vérités avérées, de vraie vérité des vérités !! Oubliesc : jamais !et c'ssetvraiment dommage ! parce que nous, voilà, on adorerait ça, que quelqu'une ou quelqu'un, quelqu'un ou quelqu'une vînt à nous (nbous deux) nous dire ce qui est en vrai, les donné'es Suprêmes nous les exposer, nous les donner, nous donner une sorte ou un xwemblant de vérité qui eut pu nous aider à comprendre la mort ce que c'est et tout ce qui reste à cfomprendre, toutes les données données, les petits faits, la vie en ses attraits, etc. On est super ensemble curieuses vraiment, d'un tant siiot peu s'approcher d'une sorte de v érité "scellée

" si tant est. franchement ce serait top, m^rme topissime. On est super friandes de pareilles offrandes ! on adore (nous deux) (pareil) pareilles offrrandes : dingue ! dingue comme on adore ! Ah si seulement on pouvaiot comme ça (au débotté) comprendre, accueillir, 

emmagasiner des doonnées qui soient fiabkles, concernant la mort, ce serait top ! On a envie (auprès des bêtes de paroi) de (pour le coup) cerner grave (graver ? ) ce type de données Sup^rêmes , Suprêmes des Féees. On a super envie ensemble de nous approcher d'une sorte (en soi) de (disons) Véroité des Vérités, de type Bison, Bisonnée, BUfflette et buffles cendrées, Antilopre$es au pas chassé, etc. Toutes ces bêtes de paroi sont bêtes-mots de rage faisant (grave ! )poids dans la balance afin de faire accroire aux dieux des Envois, que voilà : on ne se moque pas cde leur figure,; on donne de quoi, on est pas là pour se moquer de leur minois et autres face de rat, on pèse ! on fait poids ! on baise, on est là pour ça : donner ! donner à cette Déité, à ces Dieux des Féeees, à ce Dieu olé-Olé, eh bé ça, ce tralala, cette ribambelle d'animaux Suprêmes, de bêtes affolées, RAge d'être. On est comme nées nous deux dans un pré au milieudxes bêtesdans la mort. On est comme nous deux nées de fait ensemble côte à côte dans la mort au milieu des bêtes qui pèsent. On est comme nées sur pré au milieu des bêtes qui baisent, pèsent, font effet ou font de l'effet auprès des divinités. On est accolées aussi parce qu'on ne veutsurtout pas se lâcher ô grand jamais ! On veut grave ici rester soudées comme on est ! coll"ées = accolées = serrées. On est côte à côte serrées accolées comme dans

 une tombe (on dirait , estce qie c'est vrai ? on ne sait pas ! on cherche ! on va ! on avance pas à) pas au sein dxes connaissances) . On veut cerner parce qu'on est nées de fait dans une paroi, dans une sorte de paroi contenant qyuoi ? contenant un pré ,; une sorte de pré, une sorte de prairie quasi "minée" on dirait ! On est nées d'une sorte de RAge à n^aitre fée, de fait, dans un pré. On veiut toucher la bête aux fées ... pour devenir Fée ? On cherche ! On a méga envie de cerner un grand nombre de données de type "cimetière" si on pouva it. On est accolées pa rce qu'on s'aime et 

parce que voilà, on veut toucher à cette chose là, là bas, à) ce tas, à ce tas de bois, à cette chose là-bas d'une sorte de tas de bois, ou de tas tout court on sait pas de quoi, ce genre de choses. On est néesz sur roche fa ce au tas ! On veut comprendre. On a envie ici de comprendre, de toucher du bois, de cerner, de tracer, d'aller en ce pré à vive allure (tracer) jusquà cet endroit là-bzs , qui semble nous mater ou nous regarder sans s'arrêter, qu'est-ce qu'il nous veuit en vrai ? cherche -t-il à nous déstabiliser ? à nous vfaire chuter ? à nous troubler ? à nous faire du mal ? Onn avance ensemble pas à pas, vers ce tas, tas de bois ou pas, pierre d'angle ou pas,champ des rages ou pas , on ne sait pas. On en avance ensemblke fissa à petits bras ou pas mais on avance ! on est là ! on est au rdv de l'âme ! on  veut comprendre alors f orcément on essaie d'aller profond en cette

 grotte "des tourmentrs et autres  vilénies" de l'âge (des  âges) . On dira. On est là ensemble accolées, cernées de base, et du coup on essaie peu à peu, à petits pas, petites 

enjambées sur terre allouée, d'en avancer, de marcher vers ça, là-bas, tas de sable ou tas de bois, qui sembleraiot comme nous attendre, on dirait, au pied levé. On rzegartde.. qui on est pour Ça ? ben ... on ne sait pas, vu qu'on est changées ! qu'on est deveznues femmes (FAme) à la retombée, à la retombée des âges et dans la mort. On est devenues ensembkle tout à coup, au passdage, nues, des femmes ! grave ! grave on est devenues ! Jamaios on aurait cru et pourtgant voilà, c'est un fait avéré, vrai, inscrit en  vrai dans kle registree des données de "l'âme", pour ainsi dire. au passage (de vie à trépas) on est devenues femmes autant qu'avant on pouvait être, en tant qu'homme, homme au singuleier. À présent voilà ! Femmes au débotté ! femmes ancrées dans une rochze dite "aux données", on est nées ; et on est nues. Nées et nues. Nues et nées, et nées velues ! On est nées nues et velues, sur roche, paroi molle, pierre d'achopppe ! On était ensemble avant des hommes ou même homme (ou femme : humain / 

hjumaine isolées !) , et voilà qu'au passage on s'est retrouvées comme nées Fées, enfin fées, disons Ailes = Elles. On est nées sur pierre (rocher) fées, c'est-à-dire transfor(mées en fée

 , . On est passées à travers la roche vers la mort ou dans la mort, pour (dirait-on) devenir Fée ! une fée des fées ! On veut toucher à cette chose d'une sorte de bête énorme , genre cerf géant ou même Bison Vif, et une fois la bpête touchée, tracezr ! tracer à toutes enjambées vers cette déité des bouts de roche ou rocher : finalités, cloisons ultimes et données scéllées. Vers cette Déioté des bouts de bout. Bouts aux ombres et autres clartés cachéessi on y regarde de près, si on se pencxhe un tantinet on voit la chose, la clarté ancrée, cette sorte de faible luminosité à son approche, et puis la cghose (la lumière, l'ensoleillemùent) se met comme à s'allonger ou s'étirer ou se dfila ter et là, plein feu sur le nacré (le nacre);, l'ambre alloué à cette Déité des Données Rupestres. On essaie bien sûr enxsembkle de ne pas y passer et de tenir droit, de tenir en vrai méga droit sans flancher, sans se laisser aller. On est nues parce qu'on est passées à travers la roche, on a perdu nos tenues au passage, on est devenues nues enwsemblke quand on est passées, quand on a traversé (de rage) la paroi aux bêtes (à la nage ? de rage ?). On est comme vues nus (de base) p âr ici une sorte ... d'oeil de vie ! Oeil de vie de Poids. Une sorte 

de Voix nous parle ! On essaie de comprendre. On veut colmprendre ensembkle . oN veut toucxher à une Déité de Poids (charme) "qui le f asse", qui puisse nous donner de quoi enfin comlprendre les données, ce qui est en  vrai et ce qui n'est pas, pas fiable, etc. Peut-etree qu'un jour on y arrivera, à ça, comprendre. Comprendre grave les données rupestres, dessins de paroi, chants de charge, poids des Rois, Reines et Rois de co,ntreba,nde. On a grabve eznvie de comprendre, et aussi du coup de toucher à  ette sorte de parade dessinée, à ce cghant total aux données rares ! aux données de charge. On est accolées, on marche, on avance sur un  pré, on veut se rapprocxhef ainsi accolées ou sezrrées. La cloison finale 

lA cloison finale esst située eh bé en face ! On y va tout droit ! On veut cerner ensemvlble les données de base,  ce qui est

 qui charge, passe, vient, s'ouvre, etc. pour soi au passage. On y croit ! On est ensemble là pour ça : co:mprendre et y  croire. On est nées fées sur pré parce qu'on est passées comme à la parade ensemble femmes (au pied levé, e,n transe) et on chante ! grave ! on y va ! on chante à tout va ! à tue-tête ensembke ! On trace ! on chante , on charge . Chanter = (on dirait) charger. Va comprendre ! Va y comprendre quelque chose, à tout ça ! On essaie ensemble (en tant que femmes nées,  et nées dans un pré au milieu des bêtes, des bêtes de somme) mais ... comment faire , hé ! Comment faire en vraéi pour cerner -comprendre ensembvkle les données de base qui (ici, en face) sont dressées comme pour nous (mieux !!!) embobiner , qui sait ? On est nées fées sur pré. On est des fées de base sur un pré. On avance sur un pré en tant que fée (= deux femmes). Une Féec = deux femmes (l'homme ? en c endres). On eesaie 

traquet traquet d'en avancer (si possible) dans les conn aissances concernant la mort, le langage , le langage de la foi, le ou les langage.s articulés, qui sont lang ages parlés, dits, dits sur roche dure. On avance pas à pas, on charge = on chante

😀

On veut  : 

Comprtendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est en face, ce qu'on voit, ce qu'on voit qui s'offre, qui s'avance, vient, va et vient, s'approche on dirait de ça = soi = nous autres = nous deux = MOi = cette Chose = ce (ou cette sorte de) tralala en formes de ... Bosse ? Bosse-bois ? bosse en bois ? crosse ? oh, on sait pas ! On cherche à comprendre tout ça (de la mort à l'oeuvre et autres tralala) mais en vrai on ne sait pas ! La crosees ? la crosse de quoi ? d'une sorte d'armada sur pattes ? l'anuimal des bois ? Cerf de (ou du) courage ? On voit quoi on voit la paroi ! Le vent en face est viçf et chaud, qui nbous cingle le visage. On veut nous deux  cerner , toucher du doigt les données de rage. On est nées "sur place" sur paroi, Fées des bases, des Envies de vie, Fées de Rage. obn est nées Fée ! Fée-Foi ! On a méga envie de comprendre en quoi cette chose est ... reévolutionnaire  ! Oh peuit-^tre pas tant que ça en vrai ou quoi  ? On est nées Fée au paszsage (de vie à trépas) et c'est en tant que fée qu'on va plus loin ,, ttout au fond du pré, chercher, essayer de dénicher, creuser, essayer de 

cernezr une sorte de vérité concernant ... ce qui est ici (Royaume du Trépas) qui nous invite à (pour le coup) comme nous avancer, vers un trou, trou de boue, trou de terre, trouée par terre ou comment ? fosse et mer ? On est Nées ensembkle pour aller (nous dirons) chercvher  ... pitance dans un trou ! charger = chanter. On est nées Fée sur paroi aux bnêtes (parmi elles) et à présent on veut continuer ou on voudrait continuer sur notre lancée et aller plus loin dans les connaissances concernant la mort. On dira donc, que voilà : la mort (en soi) est une encklave

, un pré, de type paradis sûprême, Paradis des Paradis. La mort est donc ce pré ou paradis (pré et paraadis c'est pareil). La mort est une encklave de la vie (ou dans la vie) : bulle d'air ! vent de folie !  fée jolie, bruits de mer). On est nées Fée en Par adis (p aradise) et on avise ! On voit ! on reg arde ! on est au milmerieu (au beau milieu) des données fortes, des données de poids : on voit ça. la mort en ce cas, est (une

 sorte de ) Para dis des Paradis : ok. Enclave "marine" ou "maritime". pré a ux fées, aux bêtes allouées (dites "de cimetioère"). On est nées fée comme à la retombée quand on est passé, quand , en tant qu'homme au singulier , "à la une à la deux" on est passé ! on a traversé et du coup on s'est retrpuvé, en ce par adis ... eh bé tout chose ! c'esst-à-dire transformé ! transformé en femmes ! deux femmes (deux ailes) pour (en vrai) faire Fée, être Fée ou cette Fée de contrebande, des données de base liées à la rage, à la Rage grave, d'êztre, du coup, passé seul (sur patte) pour se retrouver ailé de base, ailes au taquet !, va et vient sur pré , charge fronrtale, vivacité, vélocité ,chance. On est devenues Fée au passage : la FéÉe-E ! La fée grave ! On est née fée sur pa-ttes dans un pré : mort des anges, mort  donnée, mort de l'homme et donc naissance de la fée des Plac -ges. On essair$e enwsembkle de nous rapprocher , de cettte sorte de muraille (terminale), ce fronton. on essaie ensemble (ici même) et comme (pour le coup) soudées, de cerner-toucher, comprendre et graver, dire et faire cette sorte  

dire et faire ensemblke, cette sorte

en vrai de vérité supr^me , la sceller, l'inscrire comme à tout jamais dans la pierre ... "aux données Suprêmes". on est nées (dans la mort) fée : voilà ce qui est. Gravons-le swur pierre ! On est nées Fée dans cette chose d'une sorte d'encklave de vie, d'enclave contenue en 

vrai à l'intyérieur de la vie, on dirait; Du coup, la mort est cette bulle (ou bulle de temps, ou d'espace -temps) qui est bulle insérée dans une sorte d'infini sacré (nacré) ou d'infini de vie ou de la vie. Enclave)-bulle allouée à une sorte, d'immensité "lacustre ", mer des données données, océan de ruse , vents nature ! On veut toucher ! on veut se rapprocher du bout du bout. on a envie de toucher loin, à l'intérieur du pré, les donnéesz données de cette "ruse" mentio,nnée. , ici notifiée. On est Femmes nues sur roche nue. On veut toucher la mort de prés, disons : gambader, aller /venir ensemble (à grandes enjambées) dans ce pré , au milieu de toutes ces bêtes velues qui semblent ou sembleraio'nt nous regarder avec peut-^ttre de l'étonnement , qui sait ? est-ce que les b^êtes (ici) s'attendent ou s'aéttendaient, à nous voir arriver près d'elles ? sont-elles habituiées à croiser des Fées aux données Suprêmes?aiment-elles nou!s avoir près d'elles ? On est nées fée sur rochje à la traversée ou à la retombée et à

 présent on se promène (d ans l'herbe) au milieu de toutes ces bêtes représentées, dessiné&es ou gra vées par l'^tre(homme-femme) des c avernes ! On est insérézes . On est AiLes ! Ailes de Fée à jamaos ... ou disons : à jamaios ici -même sur pré (champs des do nnées données) . On esqt cernées, entourées, cloisonnées en v rai (cercle) et du coup on aimerait sortir enwemble (ailes) de ce pré, de cet ancrage? comment faire ? comment 

faire pour comprendre ? pour aller , toucher etpasser : comment s'y prendre ? faut-il aller ensemble chercher à passer de rage  à l'abordage ? doit-on pousser comme des malades ? comment faire ? On est nées sages, bellesfées des passages. On a super envie de comprendre par ùoù passer, commùent faire pour tracer, charger, cerner de base x et x données qui nouds permettrraient de comprendre  ce qui est en vrai 

, ce qui se présente, ce qui est comme à nous attendre au-delà du tas, des données déposées comme par contrebande sur paroi. On Regarde . On est accolées. On veut toucher ensemble et traverser, cerner, passer, voir et ressentir les choses d'une sorte... d' "après" (de base). Un "aéprès les nénés" ? un "ap^rès" quoi ? On est accolées en tant que fée (ailes d'une fée = femmes nées ) et du coup, on vole ! on 

trace ! on avance à pas comptés. On veut comme toucher ensemble à cette déité des données sacrées d'une sorte de paradancrée, innée, allouée à une charge (un chant) attribuée (proféré). On avance ! pas à pads ! comme par miracle ! le miracle de la foi dans le langage articulé dit "de contrebande" d'une sorte de paroi (voie) qui ... nous ressemble ou nou!s ressemblerait, au niveau de l'image, des données visibles et autres traits d'attraits. On est nées Fée à la retombée, et on tente une nouvelle traversée, cette fois comme à) contrevoie, à la rammasse, comment dire ? en chargeant la mule (la paroi) de tout ce qui'on a en soi en termes de rage ! Chargeons ! poussons grave ! gravons et gravissons ! gravissons et gravons ! allons haut de bhase sur paroi des Rois et Reines ! On veut comprendre les données s uprêmes ! toucxher au -delà du tas, les données allouées à un "espace-temps post-cimetière

" s'il en est , soit : hors l'enclave de la mort à l'oeuvre , au delà. ET au-del:à y a quyoi ? eh bien ... on dirait que oui ...  a&près (en dehors de) l 'espace de la mor t (ou 

enclave), espace de la mort situé (de fait) à l'intériuer de la vie, il y cet espace eeh bien ... toujours le même : les entours ! Car la vie est colmme un océan sans fin (non terreswtre : céleste, cosmique) et la mort l'enclave insulaire, une sorte d'enceinte de forteresse . On est cfomme nées Fée, au passage (de vie à trépas), pour comprendre cet état de fée (d'une mort insulaire, vie à l'infini sans terme, à l'infini et dès lors sans terme). On est née Fée de Rage, Fée-Foi, Fée de la Foi et des Paysages. On vole comme des fées parce qu'on est (dans la mort) devenues fée ! On regarde ! on cherche à cerner au-delà de soi, au delà du pré et de la paroi (la paroi d'enceinte) ce qu'il y a. La vie ce que c'est pour szoi , pour soi-même en tant qu'on est devenu fée, au passage, au débotté. On essaie ensemble de comprendre les données profondes

 , contenues en roche, ce qu'elles (ces données) contiennent de plus ancrées si jamaios et cette chose, cette recherche) nous tient fort à coeur (au coeur) car voilà : on aime ! on aime chercher, dénicher, fouiller, chercher dans du Verbe une Vérité ou sorte de Vérité en Herbe ! On aime l'herbe, les fleurs de type pâqsuerettes

, fleurs des prés on aime, fleurs allouées à une sorte de pré de type champ chanté, chant des Fées, chant du Passé. On est des fées chanta,ntes ! fées qui vont et viennent sur pré (à la volette) en chyantant pa rfoisz à tue-tête parfois pas. On est nées sur pré en herbe , on volette , on a super envie de troucher-cerner une vérité qui sera&it de fait liée à une sorte de donnée des Herbes. On cherche ! on cueille ! On veut allouer à l'herbe les données du Verbe (si tant est) . On est nées sur pré pour être aussi Herbe ! Herbe Sacrée ! Herbe des Herbes (comme du Verbe). On est nées Fée sur Herbe pour ... qui sait ? brouter ? ma,nger manger manger sans cesse de l'herbe, bête des prés ... vache à lait ? Fée )-Vache à lait sur pré ? On est née Fée parce qu'on aime l'herbe ! On ne peut pas s'en passer. On adore l'herbe des prés, des chemins tracés, des voies allouées aux bêtes de somme et autres champs aux pâqurettes (fines pâqurerettes). On veut toucher toucher toucher ensemble et comme de concert la chose, ici, tracée = trait ! trait des 

données ! un trait = une clause. On veut toucher = aller ! Faire son chemin de ronde, inspecter les abords de la chose (cette enceinte de la mort à l'oeuvre) . CFomment cerner ? qui croire ? sommes-nous ... D ;;;; C ;;;;; D  ? autant que née fée ? Sommes-nous DCD auta,nt (ouà égalit é) que nous sommes Nées  à une vie de fée (sur roche sondée) ? Sommes -nous et mortes et en vie , e,n ce pré-paradis ? Sommes

-nous (en ce prparadiis) et mortes et en vie  : les deux choses consacrées ? Nous nous approchons d'une sorte de paroi finale 

(pour la cent cinquante millième fois peut-^tte)  :

 on regarde. On cherche à comprendre = voir/ a comprendre les données de base d'une sorte de paroi finale, dite 

"Paroi des 😀 Parois".On est 

accolées, on est comme collées , accolées-colléezs l'une l'autre ou l'une à l'autre. On a -envie d'en avancer fissa au sein des données. 

On est nées Fée (une Fée) en ces contrées dites "de la mort à l'oeuvre", et forcément ça pousse à penser, à enviçsager du coup "la suite", ce qui pourrait nous arriver de vif, de corsé ! en termes de données finales ou terminales si jamais ... mais on dirait e'n vrai qe (qui sait ?) les données finales , ou ces données finales ou terminales, peit-p^^tre, ne sont pas, c'est-à-dire qu'elles n'existent pas, qu'elles sont imagin aires, qu'ellesne vivent opas dans les termes ou le parlé de bhase, qau'elles n'existent nulle part sur terre, ni même dans les airs. En ezffet, il sezmblefait que des données dites "finales" ne sont pas vfinales en soi (sinon en tant que fin de tas, ou plutôt : tas de fin). Parce que voilà : à partyir de là : la paroi, la Paroi du Roi , de lA reine et des Princes des Voix, à partir de cette paroi , commence ... eh bé ça : le sommet ! la plage ! l'océen des rêves, "baise-moi le ciel t'aidera", "touche-moi la vie sera ", "aime-moi et on y verra clair (en pleine lumière)", "chante moi tout bas et on saura ", déshabille-moi et je serai à toi (en Herbe) l'Herbe"". on regharde à 

travers la paroi, le sang, les choses viçtales, le tic tac ... whaouh ! On veut toucgher à cette

 chose rude d'une sorte de paroi des finitudes (de la mort à l'oeuvre) et des commencements (des données rupestres : champs, à perte de vue, sur une étendue). On est Fées -bêtes belles, belles bêtes = grasses et groossses bêtes d'abordage. On aime êtree ELES ! AILES ! FéE des vies allouées à de l'Herbe des pré (à brouter). On est Des fées de contrezbande comme par chance, qui voulo n s toucher à cette Déité d'une sorte de Chance accordé à une Fée des Fins de Cercle et auttres enclaves Rupestres. sommes-nbous de taille à comp^rendre, en vrai, ce qui est après le cimetière  ? L'infinni sondé ? l'immensité bleutée ? Mer des Rives ? mer des données comme allouées à une dérive (à jamùais) sur 

AIR CONGRÉS

 ? ON ne désispère pas de nous y retrouver mais c'est un fait que la chose n''st pas si simple qu'elle aurait pu ici sembler l'êttre, ni simple ni facile à cerner, mais tout le contraire. on  voit des chosesq, on remarque, on note (on prend des notes) mais de base on cale ! souvent ! fréquemment ! cfar voilà la chose : on est nées homme , on meurt en tantb que femmes , deux femmes (en vrai) à la retombée, dans une fosse d'un  pré, on est enterré mais lmes ailes montent, elles,,,, 

vont et viennent (vol!ètent) à jamais hors cimetière ! Elles, elles sont nées sur herbe (pré) en tant que fée, qauand nous , l'homme au singulier, mort et enterré, est scotché de fait (à jamais) à la terre, pauvre hère, bien fait, il n'en valait pas plus la pêine ! il ne valait guère la peine d'êttre conservé ou prolongé vu le caractère. On est nées fée Suprême ! vive donnée ! ça le fait ! et sur herbe qui plus est ! On est nées sur herbe verte, chants du coq, voix du coprtps, chants celtes (sveltes) et faux accords ! On est dans un cimetière, mais la fée, elle, sait (très bien) s'envoler, s'en échapper, s'envoler de ces deux ailes, 

et du coup s'échapper de ce semblant de cimetière aux données rupestres (paroi d'or, roche des données  du corps). On s'est envolées ! on vole on court ! on est des fées de cour, cour romaine, céleste, chantée. On est des fées post-cimetière car on sait voler ! on est moins bêtes que la moyenne ! fée des fées on volette et du coup, houp, on sort du cimetière , à jamais, horrs pré, hors prairie rupestre, sorte d'encklave aux données animalièresq ... on l'a dépassé ! on est cfomme à présent allouées à des données, de type céleste, champ d'azur, ailes au vent frais . On cherche à cerner un certain nombre de données célestes, de données des données mais ensemble comment faire pour s'y retrouver, quan,d on s ait pas parr où passer, où 

s'avancer, vers où aller en ce domaine  des clartés et autres champs donnés du Verbe comme alloué à une sorte dee "Lumière Sacrée" (?) , qui sait ? On est Femmes fées, Fe"mmes aux données données grâce aux fées , et au fait des fées. Qui on est ? AILES ! AILES d'herbe ! hé hé ! une aile ! une sorte d'aile allouée à une vérité céleste. On Veut cer ner encszemble si possible un grand nombre de données, et chercher du coup à passer à travers une sorte de ... passage (oui) aux donné&es donné&es, par (ici) la bande (celle du p arler, du Verbe sacré, dees mots de rage et autres termes animaliers). on est nées femmes sur pré. On est néesz Felmmes fées. On est nées Fées sur pré. On est nées Fée-femmes. On est nées Fée sur herbe par la bande et nous voilà commê a&llouées (de base) à une sorte de paroi aux données vives, chaergées, vraéies. On est entrées ! On veut toucher à cette sorte de.... vie vive , corps velu, animzl poilu,charge maître, tracé sur paroi des fées, bêtes dessinées. On est nues velues poilues non épilées = fée s ! On est des fées non épilées ça le faéit ! on plaît ! on est fée non épilées des nénés, du sexe alloué, des aisselles et de la ré, qu'est--ce qu'on en a à braire ! on est ! on est belles ! belles bêtes des prés ! vives et colère d'être nées sur herbe à jamais sans  verbe ! ou sinon  sans verbe sans ailes ? sommes nous des bhêtes nées sans ailes, genre vaches sacrées laitières (ou bisons futés) ? Sommes npous des bêtes fées , ou non : pas fées ? Sommes nous des bêtes des prés genre buffles cernés,, bisons futés et autres 

ourses des cavernes, ou non : fées ! des fées ! des fées ailées ! Sommes-nous des fées ailées ? sommes nouus des vaches ailées ? les fées ailéesz excistent-elles ? et, les vaches ailées à lait ? avons-nous des ailes ? portonsz-nous des ailes sur pré  ? sommes-nous des fées à ailes ? sommes nous des ailesz, ailes, elles, fées des prés avecv des ailes comme déployées et on volette ! on ne cesse en vrai de voleter dfepuis qu'on est nées (dans la mort à 

l'oeuvre , on dirait) ? On essaie de sz'y retyrouver mais évidemenmmrnt que la chose est loin, d'être actée, complète, certaine, avérée, située, donnée, comme stipulée ; on regarde "par la fenêtre". On regarde ici ensemble si on peut "par la fenêtre"; on regarde à deux, on se rapproche, on veut voir le feu, les ondes, les données marines, 

les sortes de vagues 

les sorrtes de vagues allouées à une sorte de marée. On mate ! On mate grave. On est posées. On regarde sans sourciller, posées, on mate depuis où on est : la Rage. On veut de préférence et si possible aentrer (en ce roc des finalités) et regarder ce qui est. Regarder sans y passer, ce qui est qui est, en termes de données données, dopnnées vives, données des données. On veut toucher à ce rocher des contrebandes et du coup traverser (fissa) sans tarder ou traîner , et surtout sans succomber ! sans y passer ! on veut passer un oeil, un memebre, le nez, l'oiel sage, le nez des nez ! comment passer un nez ? vcomment un oeil passer ? comment tu fais pour passer un nez , un oeil, des lèvres, un sexe pointé, un petit véhicule alloué à une sorte d'immixion-pénétration de Saturne ? On est Beauité Sacré des 

"FinitUdes des Preés" , on dirait. Et du co!p on est achapeautées ou comme chaépeautées ! couvertes à fine allure, on est comme des fées Beauté, Fées des fées ! Grasses naturevives d'allure et chapeaiutées on est ! On veut tracer ! charger, toucher, collzr, essayer de s'en tirer sans se blesser, coller à une dune,; à un mont pelé, à un tas de sable centré, à une sorte de mont de Vulve. On est qui ? Quête, d'une sorte de vil ministère ! l'entubé ! le qui veut passer = pénétrer la roche , la dernièere : comment faire ? comment faire pour en vrai passer et coller aux données Suprêmes ? y aller de son chant de terre ? mais comment chanter : à tue-tête ? comme les fées quand elles s'y perden, voire perdent pied et ne savent plus où donner de la tête, te'llement elles sonht paumées et ne savent plus

 comment se repérer ? on est fées de fées ! AILES, AILES AU DÉBOTTÉ, 

AILES DES PRÉS. On est comme des ailes sur corset, avec forcebretelles on dirait, robe de fée, de f"ée szvelte et ondulée. On est cfomme fée ondulée ! On cherche à cerner ce qui est, en fait d'herbe des prés et autre Verbe des COntrées Pöst-cimetière. La vie est-elle éternelle ? la vie contient-elle en elle l'encklave (l'enceinte) "MORT" ? La vie est-elle une sorte de contrée sans fin (= céleste) ? la mort est-elle "située", délimité, agraire, réservée à des bêtes "sommaires" et autres hommes ou femmes trnsformées, au passage , en fée ? doit on mourir pour renaittre ? doit-on entrerr en ce royaéume post-cimetioère, puis  le retraverser et dès lors revenir  com^ 

(un peu) e,n arrière, du fait que voilà, la vie est partout présente tout autour de nous, qui influence, résou grave les énigmes, joue de nous et en dehors de nous, chante grave ! chante sa&ns arrêt ! chyante que tru chyanter as , et nous bien szûr on aime ça , le chant, la chansonnette, la parade, la chanson des biches , des cerfs à bois, des chevreuils sonnés. On veut toucher aux bêtes des prés ! pourquoi fzaire ? pour pouvoir s'aimer pour ainsi dire : copuler ? copuler, c'est un peu "rustique", mais oui, peut-^tre, on dfirait "copuler", c'esst pas loin en vrai de la vérité ou d'une sorte de vérité. Copuler pour copuler , pas quand même, mais pour ... tracer = fiiler = foncer = faire vite ! cettte chose en soi, ici, d'une (sqorte de) vive traversée, comme à l('improviste, des données finales et autres données deonnées par la bande (il semblerait). On est nées par la ma,nche, on est passées, on regarde, on vgoit loin les vagues, aéu loin : les vagues doréesz, et ces vagues loin, on les voit super loin parce qi'"on est nées et qaue nos yeux sont neufs , q ui se prête,nt au jeu ! On est nées fées sur roche à tout jamais : ça va le faire !!!!!!!! ça le fait déjà, du reste. On a&ime ! On veut pour de vrai toucher aux nénés de l'être alloué à une donnée, elle-même liée à la mort. Et cet être est : lA mort !Mort au carré ! On est néesz Fée pour toucher, tracer, toucher vif à ce tracé (ici, roche, un bison des prés) de la mort à l'oeuvre bonne dessinatrice à 

main levé, qui dessine vite lpes données données (mises, prises, e,nvies, mainmises, etc.) d'une sorte de Déité Vive ! Déité des D2irtés des Prés pour ainsi dire. On est vives car on est , on est nées vives du fait qu'on est, qu'oon est 

njées; on aime a&ller, touchezr ;,, conchier, chier, tracer et pisser sur herbe des prés, à l'abri des regards indiscret. on veut aller  de fait ensemble loin en la forêt et du coup compre dre à fond la Roche Allouée à cette sorte de m%ainmise d'une Déité sur des données comme déposées à ses piefds (on dirait). On est femmes des prés et c'est vrai qu'ensembkle et de préférence on a super envie de tracer (en transe) ces bêtes des prés, telles que les antilopes, les chevaux dee c arosse, les lionnes graciles, lesbêtes à bonnet, l es ourses placidesz. on est femmes des prés "passées", c'està dire que, pas plus tard que tout de suite, on a travezrsé la roche à la une à la deux §ête première (la caboche est dure) et voilà, on est passséesz ! on est dans un pré, on mate ! on ne veut pas se faire arnaquer mais on veut pouvoir s'en tirer , sans honte, sans dégâts, sans lombre d'un doute concernant la voie , ici, choisie par nous auttres, fées de  c e logis (enclave) natif. on est nées fées sur roche ! vive les fées ! soignons notre approche ! essayons ensembkle de nous approcxher le plus possible d'une fée "des précipices" szans tomber ! allons vite pour la retrouver ! la coller ! la cerner ! la suivre ! la toucher come on toucxhezrait un êtte r^

vé ! On est bêtes de prés, fées, bêtes et fées, fée des prés, bêtes et fées des prés : sommes-nous fée ? spommes-nous bête ? pouvons-nous ^etre à) la fois bete et fée ? est-ce possible enszmble, en vrai, d'êtrte (qu'on soit) bête et fée? pouvons-nous nous rapprocher de  cette bêzte, aéux données rupestres, néandertlienne ou aur(ignacienne ? sommes-nous assez calées pour du coup comprendre enswemble au fin fon les choses d'une sorte de donnée sacrée, quasi genrée, vive et tracée à main levée comme par la bande ,  et qiu nous chercherait (peut-êttre) des noises ? On est fées

 du pré, on edssaie de se rapprocher d'une b$ete broutant, qui est-elle ? Bovidé ? On la regarde. On veut ensemble (AILES) la monter, la chevaucher qui sait ? on est des ailes, on peut monter et porter et faire s'envoler et naviguer ! on aime s'envoler ensemble da&ns les airs, aller haut le pluqs possible, essa&yer de toucher à cette sorte de vive entité dont on dirait en vrai qu'elle est ivre ! ... l'sest-elle, au juste ? difficile de se prononcer tant elle semble ... lointaine ? alors même qu'elle est près ? allez comprendre ! on est fée des bases. On a super envie  de pour le coup toucher e,nsemble à cette vie d'après la mort, à cette chose , eçszpôsée sur roche, comme agrès ! et nous d'en jhouer ! on est fées de force allouée à une roche (il semblera&it) et à ce tittre on se sent comme obligée, de se tenir vive, portée, comme dressée, droite et pomponée , frée des fées ! on vire ! on vibre ! on hurle un temps puis on se tait ! on rit ! on pisse (on fait pipi) ! 

on chie (on fait cac a) ! On est fées filles, filles fées à jamais squr une sorte de paroi votive : est-ce vrai ? sommes-nous ... l acustre ? 

Nous on aimezrait vraiment un jour comprendre les données qui en vrai président ou présideraient à cette chose, ici, qu'on voit devant soi et qui est (on vous le donne en mille) une sorte de paroi votive, oui, de mur ou de paroi sur lequel ou laquelle on peuit sans se gêzner tracer les noms (les différents noms) des convives . On est des fées parce que voilà on a passé (autrefois) la roche (à la naiss ance, disons ) et maintenant nous voilà commeengluéew (prises aux piègesz des données données) à même une roche, à même une sqorte de "cloison du fond ". On a e,nvie ensemble, c'est sûr, de comprendre, peut-^rtretre, un peu plus sérieiusement , un certain nombre de choses qui sont choses d'une soerte de passage au débotté d'une roche ornementée par des gommes ou par des femmes de lan préhistoire. on se dit que nousq auusi on appartiendrait en quelque sorte à  ette préhistoire aux données gravées , dessi nées, etc. on cherche ensembvle à comprendre pas mal de chowses, en cette encxlave (de la mort à l'oeuvre) à l'intériuerr de la vie, car à préwsent, c ette chose nbous semble plus q'évidente, nous sezmble presqu'acquyise, comme qauoi la mort n''st qu"'une encklave de la vie, une sorte de prairie-filtre, pré admis mais comme 

remise, sas, sas des sas. Passage. Préambule. Nous vcoilà qui sommes presque, à vouloir ensemble travezrser la roche une deuxième fois, vers quyoi ? c'r'st ça qu'on a, en vraéi, du mal (pas mal) à comprendre. Si, en vrai, on rehg rde ensemble cdans le même sens, alors on peut se rendre à l'évidence que voilà, on est deux en soi : deux ailes , une paire ! On m ate ! on mate grave ! Ailes et Yeux de rage !  on est presqau'envieuxses parce que oui, en vrai, on a pas du tout du tout envie de subir ici une sorte de coupezret, de couperet à nénés ! On veut ensemble nous (en vrai) garder nos nénés, nos nénés à lait. on veut allaitter ! on a super envie (en vrai) d'allaiter ! on veut donner le sein (dit "des prairies") au petit malin qui un jou!r, peut-^tre, nous ... éventr

terrera ?on esppère pas ! on veut comprendre, pas davantage. On ne veut pas servir d'appât, dee bête-appât de ch asse , d'appat de Roi ! nous onn aime grave aller fissa sur roche là-bas chercher pitance et c'est marre ! On regarde tout ce tralala de groote, chants doctes, cris de jhoie, danses "hautescx"s" et "hot", falbalas . On aime les grottes et la toundra, transes hautes ("hot") et tralalas au son des tambourins dits "de paroi"/; On est Fées de base, Femmes ailées, douces romances, envies de lait. quand on entre en cette contrée (antre aux fées) on devient nousz-mêmes des vfées ou si non des fées , ailéesz, ailées comme des fées, montées, armées, acheminées, adulées. on aime tracer sur roche des se ntiers, 

qaui pôurraient nous guider jusqu'aux confins du pré, vers cette roche imberbe des données ultimes ! on aime ! on veut toucher à cette roche dees données ultimes, 

😀   

aller, chanter, cerner, comprendre, dire et pousser , ici, e,nsemble, une sorte de chanson des ombres ! saluer et passer ! On est nées fées quand on est passées ! On veut toucher à cette sorte d'entité de bout de roche 

allouée aux féesc. On est nées fées quand on est passées. ON veut toucher à cette sorte d'entité sacrée, dont le nom (deité) nous porte jusqu'au bout du bout des données données . On veut toucher = cerner = dire = aller = partir , = faire ce qui nous plaît en termes dallers et de venues allouées à (ici) une sorte de pré , de  prairie des filtress. On est femmes-fées données à une sorte de parler aux données enragées. Qui on est ? on est des fées, on veut tracer, on veut en avancer sur roche et du coup cerner ense"mble, un grand nomnbre de données de base. Qui on est ? bêtes et fées ,! ou sinon bêtes et fées, bêtes-fées, fées-bêtes : on ne sait pas . On cherrche vaéillamment, religieusemrent, fionement , finement ou grossièrement mais asssurément, à 

comprendre = cerner, les dfonnées qui , à nous deux, femmes des prés, se présente"nt, en termes de voeux, voeux des bois et forêts, voeux peut-être miteux mais voeux tout de même alloués à une sorte de recherche mênée (tambour 

battant) par (en nous) qui de droit, à savoir un Moi, une sorte de Moi de bas bâge, petits pas par petits pas, basse rage. On est là ensemble il semble pôur cerner et dessiner une bête des données de base. On veut ensembvle en avancer xans cette sorte de remue-ménage aux données de poids, qui (en vrai) sembleznt être là, pour ça : nous faire espérer, nous donner de quoi croire en cette chose d'une sorte en soi de donnée, de type "foi", "foi grave", "foi des fois", de type "croyance en l'au-delà". On en avance ensemble (femmes) car on croit à ça, cette Romance de Paroi, ces  

B:êtes Gravées, ce côté champêztres, cette Herbe, ces Fées. On est allouées à une szorte de tracé de Joie , qui est tracé sur Herbe dit "paradisiaque" des données prairiales. On veut se rapprocher ensemble d'une vérité,d'une sorte de donnée de base de type "vérité de contrebande", de type "donnée des données", et là, une fpois ancrées, touchger ensemble à cette sorte dee paroi "étrenge " ou pas mais située, quyi nous regarde ou nous regarderait en tant que fées, en tant que femmes-fées allouées à une sorte de roma

nce des données finales, actées et situées sur pré comme à la parade. On est femmes fées, charges mentales. On veut toucher à cette déité vdes prés et autres zones terminales d'une enceinte ici donnée à une (sorte de) "Vérité Pariétale". Qui on est ? bêtes de poids ici, fée des Fées là , au choix ! On aime aller, donner, guider, conduire, escortter en tant que fée motrice, on aime accompagner l'être &lloué à une sort e d'emprise qui le mène (vivement) de l'autre côté, vers les

 confins et autres vents de face des données finales. On est fées dites d'escorte ! charges doctes ! On fonce. oN peut foncer car on est aillées, et ainsi ailé&es on peut tracer, dessiner, graver et gravir, bousculer l'ensembke des données et offrir à celles qui en vrai le souhaiteraient nos propres ailes décorées, finement dessinées, translucides et fines, pour voler, les aider à s'envoler, à grimper, à monter haut vers une sorte de sortie d'attaque ! qui plus est : grande ouverte pour faciliter lre passage ici d'un corps donné en vrai. On est des fées d'aide a&u passage (en résumé). Fée des faées, fées doctes, fées sa vantes, frées aidantes. Car

 on veut grave aider sans sourciller ! Coeur des charmes ! On est gentes damesz, fées des bases, vives gentes aux envies pressantes de pouvoir de fait et sans trembler accompagner (en ce royaume de la mort actée) celles qui , e,nvrai, le voudraient. On est fées des fées de la ROmance. On veut t§oucxher à ce qui est ici de l'ordre de la transe (danse parlée) et qui de fait nous aide  ou nous aiderait, à nous porter plus loin en ces contrées dites "des connaiisa,nces des données données des te"mps reculées". On veut aller , danser, chanter, graéver sur roche les noms alloués à des entités de type "divinités" et autres "déessses des Rochers". on aime tracer, dire et donner. fées des fées on est, qui voulons de fait charger = chanter, sur roche nos chants alloués à une V2érité . On veut toucher à cette vérité de poche. On veut toucher à cette vérité de roche ! On ne veut pas du tout lambiner, mais tracer ! cerner ! comprendre ! situer ! aller vers une destinée ! charger sur roche les données a&ilées 

et les  restituer de force comme du lait szorti d'une sorte de "sein de roche ou de rocher". On veut donner du laéit à celles qui ici chercheznht à teter : fées des fées et autres entités nhées du passage de vie à trépas s'il en est ! On est nous-mêmes cfomme livrées à une sorte  de nourrice ancienne, fée ancrée, bonne laitière, vaches des prés nourricières : on l'aime ! On veut toucher à ses nénés, pis sur herbe, entités lactées. On aéime le pré, l'herbe, le lait, les données, le tracé des traits, l'enveloppe charnelle, Bison Fûté ! On est Femmes à lait, vie actées, vie actée dans une sqorte pour le coup d'enclave souterraine de type "grotte auxb fées" ! On aime ! on dit (largement) qu'on aime ! on est pas chiches ni d'aimer ni de dire qu'on aime ! on est vive s parleuses, et vives fées des données données (dites, pôrtées, apportées, déposéeees, offertes). On veut se rapprocher 

enwsemble d'une vérité qui , de fait, pûisse nous aider à nous téleporter ensembvle le plus loin possible de cette contrée dite "de la

 mort à l'oeuvre" et du coup traverser la roche une foisq e,ncore, quiitter ce pré et trouver ailleurs de quoi se nourrir et poursuivre (enxembvle) notre sorte de promenade ou de szortie de roche, à la recherc he de données (de fait) avérées, de mots crédibles et autres vérités concernant, pour le coup, la vie venant non pas après la vie direzctement mais après la mort, du moins la mort qu'on vient (ici) de connaitre et dx'explorer en tant que fée logée e,n ce pré &ux herbes bonne nourricières. On a en vie, à présent, d'explorer le firmamantb . On veut à présent, toucher à quelque chose de nouveau, qui ne soit plus l'herbe du pré. On veut téter le lait des  nénées de maman comme autreefois on tétait . On veut en tant que fées, à présent se téleporter, ou comme se téléporter , d'un pré alloué àune enclave pariétale de type "pré ou prairie édenique d'une mort acté", à un tout autre lieu do nné, à une tout autre paroi dees fées ou tout autres  enclave située hors contrée des données prairiéles. Qui on est hors contrée ? encore des Fées ? encore des fées allouées à une contrée ? Peit^rtre

 que oui, ou peut-être que non. On voit ! on mate ! on regarde deva&nt szoi ce qui se trame ! on cherche à comprendre ensemble la paroi, les donné&es de base d'une sorte en soi xde paroi des Rois, Reines de Beauté et Roi des petits pas. On mate grave ! on veut toucher (pour de vrai) aux nénées de cette

 Déité De Rage, aux nénés de cette Déité dite de la Rage : qui c'est ? qui donc est cette Déité des wse'mblants d'espace ? Qui donc est cette Dé&ité , dite "des Déités et des dOnnnées Données de la Rage" ? Qui est-elle, sinon une Fée ? Qui donc est cegtte "Déité Des Déités des Données Dites Supr^'mes " '(s'il en est !)? ON mate ++, on regarde à travers les "persiennes" ce qui est. Et ducoup on voit en effet, les nénées de l'ange Surprême. ses nénés à lait ! charge d'ange ! faits des fées : le lai-t. Le lait directement comme provenant du néné lacté de l'ange des fées. On mate = on prend = on voit = on sent = on veut = on dit = on regarde, ici même (ppré passé) les données frontales, de type ... NÉNÉ S  = Lait ! On est nées sur pré, on a gagné en vrai la paroi finale, on regarde ce qui est (au sin

 xes vagues) on voit ... des nénés , nénés nés de la r age et des envies (ancréses) de perdurer da,n s la Romance d'une Vie allouée à une Destinée Frontale. Cris ! chants ! danses en transe ! chants des vies n acréeqs, voire acidulées! On veut toucher toucher toucxher toucher toucher ! on veut toucher toucher toucher toucher toucxher ! on veut de fait toucxher toucher toucher toucher (oucher ! on veut en vrai (ensemble 

: nez à nez ) toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher ! toucher nz à nez ! toucher à ces nénés ! grave les touchezr ! les téter ! téter aux nénés ! téter grave les nénés plein de lait ! boire le lait ! téter ! téter les nénéds sans traîner, sans tarder, sans atgtendre, sans lambiner ! téter grave lzes nénésxdits "du fir(mamant" tel qu'il se présente sur les debcvants, finn de pré, débu!t de nouvelles données de type "nénés". On chezrche à entrer ensembvle (vives et armées) en cette sorte d'entité nouvelle, clairière passée. Nous voyons ici se tracer une sorte d'anfractuoisté sur pierre par où ensemble peutêtre, en tant que fée, pouvoir s'immmiscer afin d'a&tteindre sans traéîner (parce q'on a faim de lait) les nénés de l 'ëtre ! ceux qu'on espère, ppère !  ceux là (de nénés) qu'on aime à jamaios ! On veut toucher à ces nénés de l'ëtre ! On veut grave les téter ! On veut aller vers ces nénés de l'être ! car, en vrai, on les aime plus que jamais ! on les adore même ! on les aime à jamais, post-pré, post-cimetière, post-donnéess des données, post -croyances allouées à de l'herbe, post-bêtes sur pré. On est Fées passé&es par une sorte d'anfractuosité, de type "persienne" . On voulait passer, nous voilà (en plus

) en train dxe mater , les nénées de l'êttee, de l'être &lloué à une sorte de contrée hors cimet§ière. retour à Minerve ? qui le sait ? on cherche à  c erner ou toucher-cerner ce que sont ces nénés, toucher -cerner ces sortes de nénésxp post -cimetière. On veut grave les aimer, les toucher afin de teter, en vrai, le lait qi'ils contiennent

 , et du coup s'alimenter, se remplir cfomme des nouveaux-nées, nouvelles-nées d'un père et dd'eune mère. On veut toucher à cette chose, ici, d'uneb sorte, nouvelle, nouvellement née, de train arrière, de donnée comme "entrée" par un petit côté d'un cimetièfre, NÉNÉ ! NÉNÉ DES NÉNÉS ! NÉNÉ NÉ ! NÉNÉ NÉ NÉ DES NÉNÉS ! NÉNÉS DES NÉNÉS ! NÉNÉ NÉ COMME PAR DERRIÈRE ! NÉNÉ NÉ DES NÉNÉS COMME PAR DERRIÈRE !  une sorte de cl

arté post -cimetière allouée aux nénés de l'herbe ! de l'être aux herbes ! de l'être des données de l'erbe !

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2/9/2024

on est nues . on est comme nues parce qu'on est passées de frpont ensemble (vite fait) à travers la roche et du coup on s'est retrouvées comme dénudées au passaghe . on est venues ensemble main dans la main, on voulait vraiment comprendre les données, c'est-à-dire cet ensemble de données qui sont ici (devant nous) comme déposéees, et du coup on est accolées. On est nues, disons, et accolées, et c'est nues et accolées que du coup on en avance

 sur cette prairie, qui est cette "terre d'accueil" qui, en vrai, nous adopte (on dira) côte à côte, nous invite à faire ainsi qi'ensemble on se sente, ou sentît, comme chez soi, ici. on est deux, deux femmes, sur roche-pré. 

On aime beaucoup nous promener ensemblre et regarder un peu partout autourcde nous le paysage, en profiter, aller et venir tout en progressant tranquillement vers ces confins qui , au loin, sembleraient nous appeler ; une muraille, une sorte de paroi d''enceinte ou d'enclave tout autour de nous, comme si en vrai on était ceintes, entourées de ces murets autour de nous qui formeraient une sorte (pour nous ou à nos yeux) de forteresse, de prison insulaire ou ce genre de lieu dit "d"'isolement". on est nous deux arrivées (tranquillement) dans un pré, au milieu des bovidés, des bêtes de somme, bêtes de traits "ÉNORMES". On est deux (deux femmes) qui voulons du coup , parmi ces bêtes, comprendre l'aspect insulaire des lieux traversés. Qui on est en vrai. qu'est-ce que ça veut dire que d'être femmes (filles) en ce lieu d'enceinte. comment arriver à deux (

côte à côte) à toucher du doigt une vérité "de poids" quelle qu'elle soit. A qauoi ressemble la paroi finale ; est-elle percée pour pouvopir passer, est-elle ouverte comme si (des fois) on devait passer coûte que cou^te dès que arrivées, comme si le passage, en elle (cette paroi), était là pour ça (passer) c'est-à-fdire pour nous. nous nous approchons vivement

, à bonne allure disons, de cette roche dite "finale", nous avonds envie (énormément) de comprendre à quoi elle reseemble, ce qu'elle est en vrai, si elle est une sqorte de passage, de porte ou de pporche. On veut savoir. On a envie de savoir parce qu'on est curieuses (énormément) de nature et aussi parce que notre vie ici est en jeu on dfirait, on dirait que nortre vie ou notre à-venir ici est en jeu; se risque, ou est "à risque". on veut du coup, toutes les deux, comprendrece risque, ce qu"'il recouvre; est-ce que par hasard, si on "passe" complètelment (là-bas, au fond du pré, la paroi finale) eh bie,n, du coup, c'en sera terminé pour nous, de la vie

 vive, de la vie en tant que vie vive ? Est-ce que de passer là-bas la roche finale signera notre "décrépitude" à jamais ? On ne sait pas ! On voudrait c'estsûr savoir et du coup aviser, se positionner

 pour ainsi dire. On voudrait connaîttre ici et là (en  c e pré) les tenants et les aboutissants de toute cette aventure qui est l'aventure de deux femmes accolées nues marchant da,ns un pré, sur roche allouée à une sorte de "Vérité Lacustree". On est entourées et on mate grave les données. On est ensemble accolées pour du coup comprendre toutes ces fdonnées lacustres, ce qi'elles sqont pour nous. On est deux ensemble, on est vives, on en avance. On est ensemble pour cerner et avancer, pour en avancer de base dans les connaissances et traverser la lande vite, très vite si possible afin de nous comme "téléporter" jusqu'au bout du bout en quelques foulées. On est ensemble ici deux femmes qui voulons comprendre les données qui nous attendent tout au bout du bout

 du pré. On en avance ! On file, on trace, on fonce, on essaie d'aller le plus vite possible parce que voilà, on est là pour ça : vite foncer pour vite comprendre, c'est-àdire en vrai se rendre compte de ce vqui est, de ce qui nous attend en termes de "

destinée", de ce qui sembke être posté comme sorte de Déité, de Divinité, de Dieu des Données ou quelque chose de ce genre, disposé, posé allongé, allongé ou dressé; on a envie ensemble de s'en rapprocher, de voir de près cette Divinité comment du coup ele est disposée, dans le paysage; On est ensemble ici qui en vrai voulons nous approcher de cette D2ité

 du bout du pré, la toucher pour la cerner (etc.) et peut-^tte ... passer, à travers la p)aroi , la par'oi finale, afin de mater ce qui est, qui sembloerait nous appeler, nous inviter à traverser, à passer, à faire un bond, le saut de l'ange ou quelque chose peut-être de ce genre. On veut comprendre les données quiu se présentent, ce qu'elles sont en vrai, à quoi la mort (la mort ?) ça ressemble, de quoi elle est faite , de quoi la mort (la mort !) est faite, en quelle matière. On est accolées, on se colle ou on se serre l'une l'auttre ou l'une à lm'autre. On est nées dans ce pré AILES, on est cdeux ailes (en ce pré) qui formons réunies une sorte de Fée dite "du cimetière" ! On est ensemble nées sur pré au passage (premier) d'e cette roche ornementée qu'on

 voyait ici se dessiner avant d'entrer, au ffond de la grotte. on est passées et du cfoup  à présent on peiut dire que oui, on est dans un pré, on est Fée, on est cette personne toute fine translucide volante qyui file, virevolte, fonce, va droit ou pas mais ne s'arrête pas. Oon est devenues du coup, après être passées , Fée ! Une fée des prés. On aime beaucoup les fées ou on aimait beaéucoup les fées et maintenant c'est nous

 (hommes ou femmes) qui sommes Fée ! On adore cette chose, cet état de chose ! on est ensemble d ans l'adoration, l'amour de cette chose. On est devenues fée, on est passées et du coup nbous volià deveunes fées ! 

On est nées fée ici, pré, prairie, sorte d'enceinte cloturée, fée parmi des bêtes, fée des fées. on regarde ensemble au loin. on a méga encvie de comprendre les données, ce qui se trame , en vrai, pour nous, en tant que fée. on a super envie de cerner les données de base d'une sorte (pour nous) de destinée à travers la lande : qui on est et qui on est pas, pour nous cette chose a bre&ucoup d'importance. on a envie de s'avancer, d'en avancer, d'avancer ou donc de s'avancer dans les connaissancesz. qui on est, qui on est pas. Ce qu'être (dans ce pré) signifie, en termes de dponnées l acustres. ce que d'être en vie (dans un pré rempli de bêtes-poids et autres bêtes-masse) signifie. On file ! On est nées ensemble au passage, ici même en ce pré aux bêtes de masse ou aux bêtes-masses, on regarde deva,nt nous la chose comme se ddessiner, on essaie de cerner au mieux toutes les données qui se présentent, ce qu'elles signifient, ce qu'elles recouvrent en termes de présents donnés, déposés ou dispôsées sur une sorte de "parterre terminal". On est accolées parce qu'on est nées (de rage, on diraiot) dans un pré, sur de l'herbeb à 

brouter, nues comme des vers et quasi velues comme des bêtes, ou comme ici ces bêtes (cervidés ?) qui sont celles qui ne cessaent en vrai de nous mater ! On est toutes deux allouées, allouées à un pré, à l'herbe, aux bêtes des prés, aux fleurs parfumées. On est nées sur herbe, et une fois nées on est bien obligées de nous redresser, d'en avancer, de tracer, dev marcher ebnsemble eh bé oui, vers cette roche terminale, roche d'enceinte ou d'enclave, aller au plus vite vers e,lle essayer de la 

comprendre, de comprendre cequ'elle représente, ce qu'elle est, ce qu'elle cache, ce qu'elle recèle en fait de données suprêmes. on est deux femmes sur un pré, qui (du coup) vont et viennent, se promènent, cherchent sans cesse à se rapprocher d'une sorte de donnée finale qui est cette chose lointaine mais pas tant que ça een vrai , qui est ou qui serait cette sorte de "pa ssage aux fées", ou p"passage des fées", tout au fond du pré, à même la pierre, dans le muret , dans la pierre du muret une sorte d'anfractouosité qui serait comme une sorte de portière, de porche tracé, de porte "au fées " ou "des faits". On cherche ! IOn est pas encore arrivées ! on est loin du compte. on a envie c'est sûr d'en découdre et vite, de savoir (ensemble) vite fait, de vite fait comprendre ou

 savoir ce qui est qui , du coup, devant, semblerait vouloir nbous attezndre , semblerait presque nous guetter pour nous surprendre

 , nous crocheter, nous attrap^per. on est nées sur pré parce vqu'on est passées , on est nées de base ensembkle pour former la Fée dite "des prés". On est deux

 femmes, à la retombée, formant une Fée allouée à un pré aux bêtes de somme. On peut dire qu'on est bien ezntourées ! On voulait cerner ce qui est, ce qui est sur pré, eh bé voilà ! des bêtes de bon poids, bêtes de somme sans tralala, bêtes simples, placides, broutant l'herbe folle, cherchant à brouter sans ceese de cette herbe dxes "prés aux fées" et comme nous lorgnza,nt de biais tandiçs qu'on progreese , accolées, serrées, main dans la main, au milieu du pré, dans la luzerne. on marche traquet traquet. On est deux femmesc allouées (disons "allouées") à un pré qui est le "pré aux fées". On aime aller, marcher, s'acvancer, c'est pas un problème. On adore se promener, se balader, faire des découvertes, regarder autour de nous ce qui est, ce qui est en termes de végétation ou de faune attitrée . on aime les prés. On a envie ensemble de cerner au plus près tout ce qui est ici, 

qui nous cerne, nous contient comme accolées, serrées dans la luzerne. On aime marcher main dans la main à travers les prés, à travers les champs, dans l'herbe à brouter, dans les cimet§ières et autresc enceintes. On est des fées nous -mêmes on dirait. On est comme des fées qui cherchons ensemble traquet traquet à comprendre , incidemment, un grand nombre de données, concernant la Rage, soit la RAge de comprendre, ce qui, ici, en nous, nous anime fortement et conhjointement. on est nées fées sur pré c'est un fait, et 

en plus ça rime ! On est nées sur une roche ou dans un pré (pré de roche) et, nées nues et 

comme déjà mentionné (plus haut), on est comme allouéess à une soerte de recherche ardue, de recherche dure, de recherche à pour le coup mener de front ensemble ici, conjointement, pour la bonne cause, c'est à dire dans le but de pouvoir ensemble dénicher sans peine , une sorte de "vérité des vérités" qui serait la vérité-déité co,ncerna,nt la mort, ce que la mort est. Ce q('est en vrai cette chose en vie dont le nom (ou nom d'emprunt) est MORT, LA MORT. On regarde. on veut se rap^procher. on veut toucher mais pour toucher il faut être nées et pour être nées il faut passer et pour passer il faut traverser , traverser à deux (main dans la main) la roche "aux données primaires " (celle des aurochs et auttres bhêtes de la préhistoire de forte taille). qui on est ? peut-^tre des fées ! on ne sa it pas. on a envie ensemble de tracer sur pré une sorte de sentier pouvant nous mener 

jusqu'aux confins, de préfrérence, alors voilà ! on trace ! on fonce grave dans le tas ! on a pas envie spécialement de trainer dans la souffrance mais en vrai tout le contraire ! filezr ! grave filer ! foncer à toute blinde pour ensemble chercher à comprendre par où on pourrait passer, et du coup trouver une sorte de passage "des "" confins" , "des données finales". on est des fées

 , on avance, on fonce ! On est devenues au passage des fées, au passage de loa roche ornée on est devenues fées , nues, dans un pré, comme déposées. on est entrées ensemble et à présent (ou maintenant ) qu'est-ce qu'on fait ? on dira qu'on fait pitié ou peut$-p^trte pas mâis on est là, on cherche sans ceesse, on ne lâche pas le morceau, on en veut ! on veut t§oucher à cette sorte de donnée qui serait sorte de déité , déité des déioté, liées à la mort tracée. On regarde ensemble ce qui est tracé. est-ce une b ête-mot ? est-ce que c'est unmot , mot-bête ? On est accolées. On est nées dans un pré accolées ! On est nées dans un pré dont le nom est "la mort" accolées pour former la Fée. Deux femmes accolées forment la Fée ! Deux femmes qui, accolées (main dans la main) forment une Fée dite "des prés". on avance !nOn cherche grave ! On est ensemble pour comprendre assocxiées et du coup, on trace ! on fonce ! on va ! On ne traîne pas 

mla savate ! On a envie que les choses avancent, aillent, se forment, se trament, se goupillent ense"mbvkle , pour ça : comprendre ! comprendre ensemble, ensemble toucher à une vérité de poids, faire ainsi que les choses ici 

b as (france ?) aéillent ... ou pas ? On mate ! On est ensemble. On est nées sur place (

France"). on a supezr envie de comptendre ensemble, les données qui se prése"ntent et semblent nous parler. Comment on pourrait faire ensemble pour comprendre ces données ? comment

 en vrai ensemble on pourrait faiore pour toucxher à cetre chose d'une vérité des vérités ? On est nées dans l'herbe fraîche au milieu des bêtes. On voulait en avancer et cerner les données, treacer, dessiner à main levée ces bêtes

, mais pour dessiner il faut cerner et pour cerner il faut passer ! il faut travezrser ! donc : on traverse. Et du coup on se retrouve nues ou cfomme nues au milieu d'un pré, quasi à brouter de l'herbe ! On est nées da,ns l'herbe à  quasi brouter comme des bêtes ! c'est un truc ! ça réveille ! On est p)assées et nous voilà comme "considérées" (de fait) par un troupeau enteier de bêtes (de somme) dans un pré ! c'st ouf ! On mate ! 

à notre tour de mater. on a envie

 de nous rapprocher de toutes ces bêtes des prés pour leurr pa rler mais commenjt en vrai par(ler à des bêtes , à ces b^-eztes des prés, prairies, bhois et sous-bois ; comment ? on ne sait pas ! on nje sait pas (encore ?) pa&rler le langage des bêtes . le langage de certaines bêtes. on aimaerait beaéucou!p savoir m ais voilà, c'est pas (encore ?) le cas, hélas ! on pourrait se comprendre, se dire xdes choses à priopos du monde, des données de vie, des données concernant la vie, mais comment quand le langagfe est inexistant pour ainsi dire, quand les possibilitées langagières ou verbales d'échange, entre humains / humaines et bêtes, n'existe"ntb pas, ne sont pas : comment ? on est nées dans un pré. On  vfoulait tracer sanns trai^ner puisque, de toutes façons, c'est (précisément) ce qu'on a à faiore, ce qu'on à a faire de plus urgent on dirait, mais il y a les bêtes, ces bêtes des prés, qui nous retiennent, qui nous intriguent, nous plaisent, nous font lambiner un peu près d'elle parce qu'on les aime et aussi qi'on est super curieuses de mieux les connaîttre, de savoir en vrai comment elles sonrt de près, ce qu'elles font à notree approche, ce qui les interessent bquand on les approche, si on les effraie ou pas  : au contreaire, si on les attire, si (même) on leur fait envie. ON est comme des fées-

surprise ! on est nées dans un pré (la mort) fée ! on est nées fée dans un pré (ou sorte de) : la mort. Pré = MOrt (on dirait ou on dira) . On est nées dans la mort ... FÉE ! On est nées fée (une fée) dans un pré qui est le pré dit "de la mort" , ou même la mort. Mla mort ou le pré, c'est la m-eme chose. La mort est un pré, une enclave, 

enceinte, bois et sou-bois. Murée ! Muraille tout autour d'un pré ! On est donc nées (à nottre mort) dans un pré cloturé qui est pré ou prairie aux fées. On est  nées de fait  dans un pré qui est le pré de la mort à l'ouevre on dirait ! On est ensemble (dans ce pré- ) accolées, pour former la fée. on est , deux femmes = elles = ailes, formant fée ! On veut cerner c'est une évidence ! on a aucune envie ici (puisqu'on y est !) de passer à côté mais au contraire profiter d'être nées en ce pré pour cerner = toucher à une sorte de ... denrée ? opffrande ? un présent donné déposé ? on est ensemble pour former la fée, celle de la Romance, des Chants gaisz, des musqiques tendres, douces et sucrées. on veut ensemble en vrai nous approcher le plus possible si possible d'une vérité qui saurait nous donner en toutes lettrees une (sorte de) solution à un probmlème qui serait le problème de la Destinée, le problème des données données par (peut-^tre) une (sorte de) déité des déités ! On est colère ! on est excitées à l'idée de connaîttre,

 de nous approcher de cette vérité, de cette déité des déités, alors même qu'on a pas envie d' y passer mais plutôt de perdurer à jamais en ce pré aux fées. Ce que nous on aime c''st de durer et pas du trout d'y passer. On est ensemble accolées aussi, parce qu'on veut le plus possibloe durer, nje pas sombrer dansz l'adversité mais chercher à toujours toujours tenir tête, à se redresser, à en avancer sa&nzs traîner, à faire ainsi qu'on soit toujours sur pied, colère peut-^tre mais sur pied, dressées, fée dressée ! et pas mise à pied ou foulée aux pieds ou même décalquées ! On a envie ensemble de durer (dans ce pré)pour cdomprendre, soit nous rapprocher de cette "déité des déité" dont en vrai on dira que le nom (pour le coup) est (de fait) "la mort du bout", ou "la mort ici du bout du bout". On est touchées ! On a envie ensemble de caracoler, en tête de proue, pour ici (pré) comprendre (debout) tout un ensemble de données données comme par la bande par iune sorte d'entité de base, pleine de charmes et pleiine de grâces, dont le nom swzerait (peut-être  ? qui

 sait ?) D2ITÉ DES DÉItés.  on essaie grave de comprendre ensemble mais c'est pas gagn"é c'est sûr. Pour en avancer (dans les connaissances) le mieux c'est peut-^tre, oui, de tracer-dessiner par la bhande, sur rocher , roc ou roche des prés, les animaux de la pa rade, les b^$etes de foire, les bêtes-poids comme sus-nommées. Et foncer ! courir ! vite sauter à tr&vezrs la roche et se retrouver peut-êyre en effet sonnées mais qu'importe ! on est nées fgée aprèes"" la roche ! On est passées  et du coup on est devbenue fée ! C'est un truc ! truc de ouf ! On avaiyt cegtte chose, en nous, de (pour le coup) vouloir (grave !) travezrser la roche (à la une à la deux !) , eh bé voilà ! ça , c'est fait ! c'est acté ! On a passé le bout de son nez et zou, le coprps en entier et on est passées ! on était au singulier (un homme ou une femme) et une fois passé (passée) , c'esst-à-dire né (née) , bnous voilà plurielles

 ! c'est-dire "elles" = ailes = deux ailes pour une fée allouée à un pré ! préambule; On est nées dans un pré qui vient après la roche orné , et précède la paroi dite "des fins de pré", ou paroi "des confins" (en vrai, il s'agit de lma même paroi comme dèjà paassée tête preùmière, la paroi des rois, cloture-paroi, paroi d'enceinte). on veut toucher ! toucher la paroi ! On est là colmmme dans un cime"tière ( ON EST dans un cimetière !) et on 

a super envie ensemble d'y aller, de courir à peerrdre haleine vers (du coup) la roche ultime, der des ders, qui est roche des confins, qui est roche à (encore !) travezrser (ensemble) pour la bonne cause ! comprendre , cerner, cerner-tpoucher, comprendre-toucher, etc.On est là, deux femmes, pôur ça , et grave ! On a pas envie spécialement de perdre la face , on veut tenir xdroit, ensembvle, dans nos sandales ( même si vcoilà, de base, on est nues ! cul nu !). On veut comptrendre parce qu'on veut tracer ! = en avancer (dans les connaissa&nces ) sans traîner la patte. QUi on est ? des femmes du sable ! On est nées sur pré pour comprendre (grave) les données les plus enfouies pour ainsi dire dans la lave, dans le xable, en ces contrées (pays) sages. on est deux femmes ici comme à la retombée szur sable , mais comment cerner, toucher, aller, sinon (peut-être) en faisant ensemble, l'effort intense de nous redreseer sans traîner comme à la parade, et ;... allez ! on trace ! on ne traîne plus 

! On en avance cul nu, quelle importance ! ce qui cfompte c'est d'y aller , de marcher, de tracer sur roche, de ne plus co:mpter à la dépense mais en vrai de foncer et sans se retourner ! On est deux femmes

 nues sur roche, et ce qu'on cherche ensemble ici est une chose que peut-^tre on aimerait garder pôur soi un temps , afin de bien la mesurer, la jauger, l'explorer, avant de dicvulguer au tout-venant la chose sur pied ! On est deux femmes nées pour être fée (une fée) sur roche, et voilà la chose ! On est fortes ! on fonce ! On est nées pour foncer, tracer, filer à grandes enjambées. On est ense'mble pour percer la roche finale associéesw. on est comme assqociées (ensemble : main dans la main) pour essayer (si possible et vite fait) de toucher à cette vérité dite "des parois dites des finalités". mais que sont les finalités ? qui voi!t bien ce qui est en ces confins ? qui sait, ce qui est en ces confins ? qui comprend les choses bien ?  qui comprend par le menu, les données premières , et les données dernières ? qui ? On est des bêtes de praoerie. 

On pète. On est bêtes-mots. On est fée de base et bête-mot. On est ensemble dans un pré , on se ressemble ! On est deux fgemmes nées sur roche (pré) ensemble (accolées) prêtes à tracer (filer) vers la roche finzale. ON se regarde . On est des fées ensemble dans la lande. Fée. 

on est ensemble fé&e, formant fée, deux femmes pour une fée/ 

on a envie grave, de comprendre les données. On est nées des fées ok, mais qu'est-ce que ça veut dire ? qui peut donc nous expliquer sans nous berner ? On nous dit ici ou là qu'on est nés fée, qu'on était singulier (au szingulier) et que voilà, nous cvoilà p^lurielles = deux ! d"ux fezmmes ! deux femmes formant la Fée. En résumé on peut avancer qu'en vrai la Fée (dite "de la mort acquise") naît, à l'arrivée sur roche, de deux eailes de poids léger ! ou sinon de quoi d'autre

 en fait ? On a envie de cerner ensemble plein de choses qui pourraioent nous indiquer paroù passer ou par ouù nous immiuscer pour arriver à pour le coup cerner une sorte de vérité (en transe ?) mais comment passer ? comment on peut faire pour passer ensemùble ? On est pas nées pour nous cacher; on veut se montrer, t§oucher roche, aller profond, connaoitre la chanson 

des rocs, le chant mooncorde (qui sait ?) qui seréit celui d'une sorte de TRONC, de BUSTE-MOT, DE BUSTE_ROI, REINE DES MO0TS DES BOIS ET SOUS_BOIS ! Qui est qui ici ? va savoir , va chyercher , va ! va comprendre ! On regarde ici ensemble parce que voilà on veut essayer de passer, qui iun oeil qui le nez, à travezrs la roche (voir / humer) mais en vrai, pas s-ûr que ça suffiçse pour (pour le coup)c  erner de près (serrer) une vérité, sur ces contrées dites "dee la mort à l'oeuvre" commê sus-nomm^ée. on voudrait ensemble, c'est une évidence, tra cer, toucher etc., la roche, la paroi finale et passer et du cfou!p comprendre (découvrir) ce qu'il y a après , après le pré, soit après la mort. Parce que si la mùort est une enclave dans la vie (ilot ou ile) alors la vie apres la mort repren ses droits (quelque chose comme ses cdroits) la mort passée. Mais d'abord, peut-on parler de "mort passée " ?? doit-on parler de "mort passée "? Qcommenjt parler ? Qui sait ce qui est ? On se dit que la mort une fois passée, on retrouvera (peut-être) la vie. On se dit que , une fois la mort passée, on retrouvera (qui sait ? ) l a vie qu'on avait comme laissé de côté , m ais est-ce que c'est  vrai ? on se dit que voilà, la mort est

 là comme une sorte 

(peut-être) d'enclave (un ilot) au sein de l'océan de vie ou de la vie, de l'infini de la vie. on se dit qe la mort (pré aux fées) est un ilôt, au sein de la vie, en son sein cerné (comme dans  tout sein). Ca&r voilà, la mort (celle dont on parle e,ntre humains / humaines) est une enclave de type "ile", "ile" ou "ilôt", et du coup , est comme isolée, comme xweule ou isolée, au milieu d'une szorte de mer infinie, étendue, mer sans fin des étendues. On essaie enwemble de toucher à des données qyi en vréai ne sont pas tellement débattues tout compte fait, cela du faéit qaue la chose est ardue et pr$ete à rire , souvent. La chose souvent appelle le rire ! c'est même ce qui (en vrai) en fait une sorte de ... comment dire ? repoussoir ? 

On cherche ! on est comme (toutes deux) ibvres ! on est comme rendues ivres, de par ce savoir ou de par ces rechersches  menées de concert, nous deux ensemble, dans un pré, sur roche, jusqu'à plus soif on dirait et du coup voilà, on est ivresz, pompettes grave ! on roulerait presque sous la table tellement on est saoules (ou saoulées) ! On a envie de décuver ! on veut se poser. On est comme deux femmes allouées à une sorte de donnée de rage, mais nous on veut tracer , aller, courir vite, sortir de cette il ! On ne veut plus rester

 ici ! on veut quitter l'ile (ilot) aux corbeaux ! aux mots ! On a envfie plut^$ot (que de rester) d'aller loin nous projeter dans le futur (peut-être) comme dessiné, au loin, sur uun rochezr, par un êtte néandertalienn (un mot = une somme = une bête de somme). on a envie de base de nous échapper et d'aller, de filer, de passer de  l'autre côté et du coup de revenir (revenir ?)- à la vie antérieure, )à la vie avant la mort (si elle existe mais on dirait). On Veut aller loin &près la rive ! On est deux filles pour une fée (hformer une fée) , duu coup on peut nhaviguer, flotter, voler, flotter da&nsz les airs, ramer, aller, filer vives ! faire le chemin quy nousz plaît, et du cfoup sortir du pré. si on y arrive ! cfomment faire pour sortir du pré et filer ? On est nées filles (femmes = elles) sur une ile (il) , un pré, le pré dit "des fées". Qui est là pour nous dire ce qui est en vrai ? On est nées filles sur pré allloué à une

 vérité "divine" ! On aimeraiot passer de l'a&utre côté mais comme,nt on peut passer qua,nd on est comùe clouées  /rivées à une ile ? On a encvie ensemble de comprendre

 les données utiles. On trace e,nsemble des bêtes de roche. On veut toucher à cette chose d'une sorte de paroi finale (der des ders à la pârade") : ça le fait ! On vgoudrait comprendre et du coup toucher. a cette déité des déités ? peut-êtte ! On cherchen! on est pas encore arrivées au bout de nos recherches. on a encore fort à fair". On  veut monter, grimper, sortir la tête, comment fzaire ? on est deux fe"mmes cflouées ou comme clouées dans un cimetière auxd données cezrnées, mais nous on voudrait grave s'échapperr , ne plus rester comme fixées à une sorte de cloître coincé, mais vite fait filer, sortir la tête, chercvher l 'air "et le reste" comme qui diréit ... et, c'est quoi , "le reste", en vrai ? l'air et le reste : une sorte de donnée de

 rage, souffle saint, vent de face. Est-ce que c'est ça ? ce train de rage face à soi ? Ou alors autre chose dont on ne sait au fond pas  grand-chose? on devinera un jour ce que c'est, qui sait ? et du coup onn pouurra en parler sans g-êne, crainte ou retenue, tellement on sera sûres, sûres du fait, de ce qui est, de ce à qauoi la mort ressemble

 en vrai : chance ? charme ? chant ? quelque chose qui comme,nceréit par ce "ch" aux données vives ? On verra bien ! On a encore pas mal de chemin ensemble à faire jusqu'au bout du bout tel qu'annonczé préalabloement par les instances du langage , de la langue, d'une langue en soi, d'un langage de base, langue parlée entre soi et soi. On sa&it pertinnement que le chemin en vrai est encore long, qui ne cessaera np)eut-^zetre jamais , qaui sait ? On trace ensembvle squr roche notre avancée. On est accolées parce qu'on s'aime. on ne veut plus se lâcher parce qu'en vrai on s'aime à la folie, sans haine ! On veut toucher à une vérité dite "de cimetière" si jamais, et cela : ensemble, accolées, montées, en transe, en transe si ja&ma&is. On est deux femmes nées sur pré la mort venue à la retombée ! on en voulait ! on a reçu ! on a eu ce qu'on esprérait ! On est moitié velues (cul nu) 

ça le fait ! On a grave envie d'y aller ventrues eh bé c'est fait ! on a été ! On voulait toucher à cette sorte de muret des bouts de roche, on y est arrivées et sans traîner parce qu'on fonce , on a l'habitude de foncer , on ne fait pas dans le traquet-traquet , ou parfois, mais en vrai, le plus souvent, on fonce ! on ne lambine pas ! on envoie! On est motibvées lancées ! On est là pour tracer (sur pré) pour (en vrai) en avancer dans cette cchose d'une vérité allouée à une destinée (à une déité ?) qui seraéit"de roche", dite "de roche". On veut toucher , ou on voudrait toucher à une chose quyi serait, ici, une chose nue, complètement nue, peut-^tre velue mais pas forcément. toucher à une chose qui peut§être sera&it nue, nous intéresserait énormémeément parce qu'elle seraéit comme une sorte de choses sachanjt parler et du coup dire ce qui est question vérité, ce qu'est la mort en vrai, ce que c'est que la mort en vrai pour a&insi dire. Si on trace alors peut-^tre que (qui sait ?) des choses arriveront peu-êtrre à se révéler ou être révélées, des données, des données de base viendront comme affleurer la surface et du coup se donner à 

compre ndre. On essaie d'en avancer de base le plus possibhle ensemble pour comprendre. On avance grave ! on essaie du moins, de (grave !) tracer un chemin sur sable, sur roche des pré"s" ; on trace ! On est d'ux femmes ensemble , ama,ntes , amoureuses des données, mais surtout amoureuses "des nénés des fées " (?) qui (pezutêtre ?) commandent à "déité" (?) on ne sait ! On avance parce qu'on est ensemble , on cherche à comprtendre . Qui est qui en ces dites "contrées aux nénés" ("nénés des fées" ? ). O,n est passées ensemble parce qu'on le voulait, on voulmait passer et voi!là, on est passées, on a travezrsé la lande, on a 

traversé le pré, la praierie des changes. On est à présent au pied de la pa'(oi finale dite "de circonsrtance". On

 regarde de près les anfractuoisités qui se présentent. On essaie de paqsser (d'y passer) le bout du nez, on tente notre chance. On veut (on voudrait) voir ce qui est. A quoi ça resseemble de près au jugé : à une langue ? On regarde. on a envie de passer la langue, oui. On est arrivées enxsembvle jusque là pour peutêtte en effet )asser la langue. On est arrivées ensemble jusqiu'à ce muret, pour peut-être en effet passer la langue (lécher  ? la roche finale ? ) . Qui sait ?  On est accolées et on essaie de travezrser e"nszmbvle un vcertain nombre de données. On a grandi ensemble ? on a évolué, on a grandi et évoluédans ce pré, et nous voilà comme dépôsées au pied d'une muraille ! hé ! on ne sait pas ce qu'il en est en vrai m&is quand même ça le fait ! on dira (même) que ça le féit gra&ve ! ça le fait des masses ! On est nées ! nées de rage ! on est nées de rage sur le sable, dans un pré, sur l'herbe des prés, de rage allouées à un pré, à de l'herbe à brouter, herbe à vache. On est nées dans l'herbe des prés près des bêtes de pré. On est bhêtes nous-mêmes (à la retombée) -on dirait, et peut§-^tre qu'en vrai on le sait au fond de nous-^mêmes sans avoir

 à le rechercher ou à le chercher ou à le retrouver, car en nous, on sait, on saurait, on devinera&it, on a&ur&ait acquis, on a&uré&it des acquis à jamais ancrées mais dont on ne voit pas toujours d'emblée (une fois en vie) les données, les composantes affiliées, les tenants et les aboutissant(sz. On ne s ait pas toujours en nous vfoir ce qui est, ce qui pré-existe, ce qui est tapi, ce qui est enfoui, contenu et su (de nousz) au plus profond de nous. On ne s ait pas tout. On cherche à comprendre, cerner loin, mais c'est sûr que plein de choses en nous restent encore à comprendre, cerner et déchiffer. On est pasvencore arribvées au 

bout des connaissances. on veut en avancer c'est une évidence mais comment en avancer ense'mvvle zans tracer, sans foncxer , sans filer  ? On est ensemble sur un pré (posées) et on regarde autour de nous ce qui se présente" question bêtes des prés, et aussi paysage, et aussi 

les lointains , ce que c'est, qu'est-ce qu'il y a au loin qui nous regarde ou paraît nous regharder comme de biais. une muraille ? on dirait. enceinte globale ! une sorte de muraillle almlouée à une forteresse (un fort), cloturée. On essaie d'en avancer gtrave. qui on est ? on sait pas ! On croit savoir mais au fond de soi on ne sait pas , car on est '"en transe", on est hantées, envahies, occupées. On est comme envahies en nous par du la,ngage, par des données de rage, par mille et une données allouées  à un passé , à du passévde contrebande, et donc, ici, ensemble, on est comme confrontées à une image, à l'image d'une sorte de convoi (en szoi) qui est convoi dee base "méchante", , une sorte de convoi de rage ("méchante") qui sezrait (du coup) là, pour nous, nous aider (fissa) à comp)rendre, un certain n ombre de donnéesz de poids qui pourraient (en vrai) nous donner pour le coup à cfomprendre (sur paroi) ce qui est et ce qui n'eswt pas. jE 

Je suis là. Je cherche. Je suis arrivé. Je veux comp)rendre. Je suis né. Je suis né sur roche des données. Je regarde au loin ce qui est qui semble ou semblerait vouloir me parler , on dirait. Je suis née fée e,n tanrt que telle (avec des ailes) sur un pré ou dans un pré (cimetière) isolé. Je suis née

 fée de cimetière. Je suis une fée. JE suis la fée dite "du  cimetière" (mouche à merde ?). On est nées sur roche allouée (à une déité des vérités) et nous voilà devenues ...? fée ! UNe fée ! Fée des bases tracées ! Je regarde. Je" vois devant moi ce qui est qui me regarde, qui est là pour moi on dirait , porte p)ersonnzalisée. On regarde = on est. On a envie grave de comprendre un grand nombre de données, mùais pour comprendre on doit s'accoler, c'est à-dire se coller ensembvle, s'épouser pourvainsi dire, faire en sorte que voilà, ensemble, on fasse corps, à la une à la deux, sans plus sourciller ! On veut aller ! on veut tracer ensepmble et toucher, par la fenêtre, à une deéité postée derrière ! Je ne saios pas qui on est mais voillà, on est, puisqi'on naît ! et qu'on naît dans la d ouleur, peutêrte ! ON veut coller ensemble à une soerte de paroi "m'euble" afin de (pour le coup) arriver à passer. fEmmes on est à la retombée, deux f"mmesz, alors mêmes que judsque là (avant la traversée ) on était femme (une) ou homme (un) mais (du coup) toujoursz

 au singuliert ! c'est étra,ge ! On veut passer ensemble à travers la roche finale pour cdomprendre, cette fée, cette sorte de fée qui est donc la fée dees données tracées sur roche des prés, cette fée, comênt la cerner, qui elle est, que penser de certte fée des rages allouées à une Romance ? On acavance ensemble. On a envie de gagner grave du terrain, jyusqu'aux données finales, pariétales , ultimes, terminales. IOn a super envie de comprendre 

enszmbhle les données finales, ce qui est qui se pavane ou comme se pavane ou se pavanerait en roche finale, en cette sorte de paroi des fins et des confins. On est deux fe"mmes ! Deux femmes formant FÉE !  on est donc fée nous-mêmes. On est fée des ragesz et on trace. On est insulaires. On a envie d'aller ensemble loin en ces contrées toutes liées à des savoirs "loi ntains", c'est-à-dire enfouyies, encastrées, serrés, plo,ngés, cachés. Femmes on est , qui voulons comptendre ! On regarde les nénés à lait, à téter. Les nénés à lait = à téter. on regarde les nénés à l&it, on veut téter. On a& super envie de téter aux nénés de la vie déployée, déployée sur pré (pis des vaches pour ne pas les nommer, en vrai). On est :

femmes dees prés, formant fée

femmes des données de base

femmes déplissées,accolées, formant Fée au singulier. On est ELLES / AILES qui formons en vr'ai une fé&e aux ailes. On a envie ensemble de tracer sur roche, à la volette, des données de force. On veut toucher à une sorte de donnée rupestre, donnée des données. on reg ardee ce qui est ense"ùble sur rocher, r('oche allouée à une vérité divinatoiree (ou pouvant deviner des vérités et les évoquer). femmes des prés, fées. femmes-fée des p^ré : on est nées ! On est mortes et enterrées mais voiloà .... transfoprmées (fissa) ennfée des prés ! c'est ça ! ça envoie ! ça le fait sans se gêner. On regarde tout autour de nous le paysage. On a envie grave de comprendre ensemble ce qui est autour de nous qui semble se montrer ou vouloir se montrer comme à la parade , mais est -

ce que c'est vrai ? on est là , motivées, on regarde, on regarde l;oin les données qui sont (on dirait) tracées comme à ma&in lev&ée, en tra&nse, par (qui sait ?) des ... bêtes .? Bêtes-reines ? bêtes des prés ? On ne sait pas ce q'il en est mais bon, on cherche au plus près à comprendre et à cerner les donnéesz f(ontales (pariétales) telles qu'elles se présentent de concert , en vrai, à notre gouverne qui est , pour nous, comme un sens (inné ?) des données à déceler sur roche des prés. On cherche vaillamment et sans traî n er , à comprendre ce qui est ici (pré) en  termes de données finale. Qui on est ? eh bien, peut-^ettre, des agents du charme ? agents / agentes, c'est-à dire des agentes ! des agentesz allouées à une sorte de divinité incantatoire. On est deux femmes ensemble ici nées à "la vie dans la mort" par une sorte  de ... donnée, 

pâr une sorte de donnée, de poussée, 

dee rage, de poussée de rage ou de donnée de rage, pouvant , en vrai , exoplioquer ici, cette sorte de passage comme, on l'a vu, évoqué plus haut, en termes de "chance, chant, charme". On est entrées ensemble dans ce prépar chance, ou bien par le charme (ou du fait  du charme) d'une fée, d'un chant, d'une sorte de chant comme chanté par une fée, ou comment ? On est passées ! on a mis le nez, puis le reste, et voilà ! On a réussi à traverser ici ce rocher des données dessinées (bêtes des p^rés) p)ar des eêtres d'il y a des milliers et des milliers d'années. On s'est retrouvées de fait à la retombée, dans un pré, pré d'herbes, au milieu des herbes, des vaches et autres mammifères, on est nées ! On voulait traverser c'est fait !! et là, 

on se retrouve transformés en fée ! fée insulaire ! c'est ding!ue ! On voit les choses se tramer, et parfois on est concernées, concernées de base et comme au pre"mier chef. On est nées sur pré Fée, transformé en fée, et nous voilà qui voletons en direction, direct, des roches (finales) de l 'enclave (enceinte) où l'on est tombées, ensemble, )as plus tard que toutt à l'heure (= une vie). Unevie d ans la mort). On est deux fe"mmes ensemble accolées , à la colle, afficxhées, qui sont enswemble dans la vie "de la mort allouée à une prairie". Qui on est ? deux fe"mmes des prés. On veut ensemble aller si possible loin dans les connaissancesz à (ici) developper enxsemble concernant ce qui est sur pré et ce qii n'sst pas, et auusi ce qui est qui nous reseemble , sur rocher gravée. Traits . Mains/; FAces.Dessins. On veut ensemble aller loin, de préfére,nce. On a envie de faire enwsemble un bon bout de chemin en ces connaiçssances, ou sur ce chemein de la connaissance des données rupestres et autres destins frontaux pariétaux. Ce qui nous retient (ici) c'est (en 

dehors de l'envie de tracer) de comprendre, loin et profond, ce qui est "en face"", sur roche finale, qui nous regarde ou para&ît nous regarder. On ne veut pas tremblert, on veut tracer ! On veut aller ensemble, toucher de connive,nce, ce qui est sur roche à nous attendtre . On est nées 

pour tracer ! On est nées, dans la mort (le pré des fées) pour tracergr ave les données rupestres qui nous apparaissaeent ici en transe. Dans la transze. ON regarde et on s'aperçoit, voilà, que ça va ! que c'en avance ! qu'on peut aller de  base ensemble et main dans la main sans y perdre bêtement notre latin ! on pêut touccher de près la bande ! on peut se rapprocher, sa ns trainer, de cette roche des données finales, paroi des parois, der des ders; la toucher et la creuser afin de passer, soit  de passer le nez, la bar'be, une mèche peignée, doigt de pied, sexe dressé, sourcil allonghé. On veut passer ensemble (nous deux) nos "nénés " (qui 

sait ?) pour ici allaiter le dieu alloué à une sorte de muraille aux données ancrées. On est Femmes 

aux données lactées. On veut coller , ici, à une Déité

 des données ancrées, pour l'allaiter, pour lui donner du léit (nottre lait) sans traîçner. On regarde de base ce qui est, la fente, le passage, le hjour dessiné, le's données de rage, et du coup on ch arge ! On a mega envie ensembke de passer ! traverser ce muret "de la chance, du chant et du charme" pour ensemble nous téléporter (du coup) de l'autre co^té, côté mer des âmes, mer allouée à une vie après la mort (qui sait ?). On veut p asser, soit trépasser, mais ici : passer de la mort à la vie . Il y a ainsi pour nous une chose qui est, en vrai, à ne pas sous-estimer, et cette choswe est du coup cela, qu'il nous p^lait d'évoquer sur paroi. Cette chose , est une chose déposée : animal des prés et prairies bvoisées (ou pas) allouéeés à des bêtes de poids et autres bêtes aux données rupestres. On voit ensemble loin,le tracé frontal. on veut comprendre, on veut toucher : on va ! On veut a;ller ensemble là-bas (lointains frontaux) pour comme retrouver un air des données qui étaeint celles (avant la mort) qui nous appartenaient , ou quelque chose de cet ordre. On veut donner de soi , donner de son soi, donner grave de son propre soi, à cette sorte de face de rat ! On avance ! On trace ! On nest a&

ccolées (deux femmes pôur faire une fée) et on avance : on fonce oon file, on est vives ! on vole ! on s'enviole ! on entre en tra,nse = on s'enviole ! c'est-àdire qu'on lévite ! On est npassée ensemble, à travers la roche primaire, on passera ensemble sans forcer (on l'espère) à travers la roche secondaire. On est devenues Fée, (de base) par la bande animalière d'une roche orneme,tée : on peut le jurer (le certifier) . On est nées fée du fait qi'on est mort (du coup mortes ?) . On est mort en ta,nt qyue tel, nous voici nées (deux fe"mmes à la retombée) formant Fé"e , du fait que nous sommes, nous (devenues), des ailes (elles) en vrai. On devient Ailes ,

 la mort venue (cul nu). O,n vole, on volette ! on aime ! on file ! on trace des traits, on est nées pour être fées, fée des rêves. On veut toucher à  cette sorte en sooi de déiité des cimetières et autres champs dits "réservéés". Qui on est ? Une fée, à nâitre. On est commê une fée alloué à une sorte de contrée (un cimetière) insulaire !On veut aller loin vers lles données données des cloisons dernières. Si possible entières, sans flancher. on est femmes des prés, on veut toucher à cette déité post-cimeetière. On veut l'aimer, loa toucher, la connaître ou la reconnaîttre. Qui elle est ? à quoi ressemble-t-elle ? quels sifgnes sur elle la distingue ? qui la connaît sur terre (ou qui, sur terre, la connaît  ?). Qui sait ce qu'il en est de ce t espace post-cimetière : vie après la mort ?Car, on dirait volontiers que la mort , est une sorte de .. passage forecé, ancré, prélude à une destinée (éclairé) d'un après -cimetière. On

 comme,nce à se le demander. On se dit que peut-^tre en effet, la terre est une sorte de pré (entier) dans lesquel viendrait s'insérer une sorte d'enclave $tracé au pied levéé p)ar une sorte de divinité rupestre : qui sait ? Ou alors autre chose : un ocean ? On essaie de deviner. Qui on est. C e squ'on cherche en vréi à faire . qui on voudrait être. Ce que c'est que cette 

déité dont le nom déjà ("Déité") nous effraie. On veut ensemvlble si possible aller pour (du coup) se rapprocher d'une sorte de bête des prész dont le nom (en vrai) est (serait) "Déité des Déités", qui sait ? On regarde ! on trace ! on dessinhe des traitsq. On veut comprenfdre, cerner, prendre et aller. qui on est en vrai ? on ne sait pas mais ça n'empêche pas qu'on cherche ! on y va ! on creuse l:oin ! on veut ensemble creuser loin, dire et faire sans pleurer, aller enswemble de son pas p)rincier, chercher la bête, "le denier des bêtes". On cherche ! on a envie (méga) de trouver à cerner ce qui est sur rocher, sur roche pleine, sur paroi ornée et autres murs des cavalcades ici creusées. Femmes = données. Données = femmmes. On est comme allouées à une destinée frontale , on ma&rche ! On est passées d'une sorte de pré (her b es et fleurettes) à une sorte de rocher, de roche (terminale) au nom qui reste de fait à apprendre ou comprendre ou trouver allouée à un nouvrau passage, celui de la mort à lma vie renaoissante. Quand on meurt on dit qu'on passe, mais passer ici est un m oment donné , à dépasser. On entre en transe, on se retrouve Fée ! Fée des prés ! On aime êztre Fée ! On est devenues Fée du fait de la transe ! On est entrées (nous deux) dans la transe, et nous voilà à présent transcformée, en une sorte de fée "des données de base". 

nous voilà aimées ! nous voilà comblées ! tenues en révérence ! On voulait passer ensemble ("à la une -à la deux") la chose est faite désormais et pas qui'un peu ! on est comme adulées pour ainsi dire en tant que fée en transe , uune cha,nce ! on est aiméez , adulées quasi, adoptées ! on veut tracer, per cer  et aller de l'autre côté; côté "sarde". Le côté des côtés "'sardes". Est-ce que c'est ok ? peut-on passer sans y passezr ? ju!ste changer de côté ? permuter ? peut-on se glisser sans du coup y passer  ? on  est nées fée la mort venue, on voudrait dès lors, e,n

 ta,nt que" telle, profiter des ailes pour nous envoler et nous libérer de cette enceinte (insulaire) dont le nom esrt PRÉ, le Pré, cette chose  allouée à une vérité creusée, de type trou de cimetière. On est femmes dees prész. On aéime tracer, à main levée, tout un tas de dessins de fées, de traits hachurés, de bêtes agraires, et passer , ainsi, pzar la bande, un messsage comme déposé . On veut toucher à cette bande de type animal, tracer a&u pied levé, et puis monter, léviter, grimper, alller tout en haut de cette sorte de par'oi frontale aux données capitales. On est fée de roche. Foi et fée. On est fée allouée à une foi. On est entrées dans un e paroi, on a creusé, on a traversé, on est passées ensemble à la retombée de l'autre côté : croix de bois ! On veut comprendre, soit toucher à une sorte (ensemble ) de vérité qui soit la vérité ici d'e 

la foi en la féee donnée . On est entrées. On veut toucher. On vole. on est fée de roche, fée des prés. On s"'approche des données finales, roche des confins. On veut coller , épouser la roche des confins. Passer.Traverser. Coller pour passer 

et traverser, et nous retrouver (encore fée ? ) de l'autre côté, toute retournée , qui sait ? 

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30/8/2024

Que sont les confins ? les confins sont ces bouts de bout de pré, ces bouts ou finalités des prés de derrière une roche ornementée comme nous venons ensemble (elle et moi-même en nous pour ainsi dire)) de la traverser fidssa.

On est ensemble sur ce pré aux vaches, aux bêtes de poids, et on mate grave tout autour de nous les choses qui en fait, semblent plus se promener  qu'autre chose et nonchalamnent le plus souvent. On est deux qui en vrai sommes pour le coup accolées pour en avancer , car pour en avancer, le mieux ici (en ce pré) c'est d'être accolées c'est-à-dire soudées, prises ensemble, collées de près ou serrées de manière à pouvoir, du coup, mieux aborder les données qui se présentent devant nous et qui (on le voit à présen

t) sont celles relevant  d'une sorte de "déité des déités" dont le nom en vrai est La Mort il semmblzearait. On est accolées parce que voilà, on a super envie de gagner du terrain en ce pré, qui est le pré sur lequel ici, à la retombée, la paroi franchie, on a atterrri comme qui dirait en vrai sur le cul nu ! on est tombées toutes deux cul nu en ce pré aux vaches, aux bêtes massives, bovidés des bovidés. On voulait traverser la roche ensemble eh bien c'est fait ! on peut direça, on a réussi ensemble, sans sourciller et finamlement sans trop peiner , à traverser la roche, à passer de l'autre côté et à cerner du coup la plupart des données de base, qui ici sont comme déposées sur place, posées ou déposées, afin que des meufs comme nous , au bout du compte s'en emparent et en fassent bon usage. On regarde tout autour de nous ce qyui se passe, les données brutes, soit tout près ces bêtes pour le coup de bellke allure, bêtes-mots qui sont les figures des lieux, bêtes-masses. On les rtegarde le plus attentivement possible et  on essaire ensembkle de les app^rocher, pour les caresser soit (aussi) les comprendre, les toucher du doigt ((un doigt suffit) pour nous rtendre compte nous deux de ce que ces bpêtes en soi représentent ici, en ce pré post-paroi, en ce pré aux herbes folles et autres fleurs multicolores. On est femmes ensemble qui allons pour (du coup) essayer de comprendre ce qu'on peut de ce qui se trame, en ces lieux aux vaches et autres herbes de saision : on fait ce qu'on peut ! on est accolées pour comprendre

 mieux, pousser en ce pré, en avancer le plus qu'on peut ensembkle et du coup tracer le plius viote possible vers peut-être ces confins sus-mentionnées qui sont donc des "finalités de roche" dirait-on. On avance ensemble , on regarde, on est là ensemble pour comprendre ce qui est, le plus possible et ce qui donc se trame en cesz contrées de "bout du mùonde". qui on est en vrai ? 

des filles , des femmes allouéres à une recherche menée pour ainsi dire tambour battant, filles et fées sur pré pour ainsi dire, on essaie d'en avancer ensemble dans lezs connaissances et de travcer ensembvle une (sorte de) voie d'abord, un passage, un sentier vers cette Déité des Déités qui est la déité (qui sait ?) des données dernières, données des confins, des fins de pré, des ultimes tracés qui sont ceux de base qui , devant nous, semblent ou sembleraient nous regarder en face et quasiment vouloir peut-être nous parler du paysage, de ce qui est qui se présente , s'offre à nous en fait de données. On mate grave ! On est accolées pour le coup pour mater et, tant qi'à faire, mater grave, espîonner quasi, ne pas se laiiser distrteaire ni accaparer par quoi que ce soit autour de nous mais tout le contraire, garder un cap, tracer c'est garder un cap, c'est filer, c'est en avancer sans traîner mais toujours en fait dans une même direction donnée. On veut essayer ensemble de comprendre les données qui se 

présentent, s'offrent à nous comme par la bande et semblent ou sembleraient vouloir nous attirer dans ses filets ! On est ensemble accolées comme une fée, comme fée des données, et on regarde, on voit autour de nous des choses comme se disposer de part et d'autres, et ces choses en fait sont des êtres allouées à une roche, des données de roche du coup, bêtes de paroi, bêtes ou bêtes-monstres plutôt puisqu'elles sont grasses et grooses voire énorme pour en vérité en imposer le plus possible, en jezter le plus possible, faire en sorte qu'elles puissent être vues ou perçues co:mme des êtres vifs ++ ! êtres de vie majeure, êtres de vie maxi et non cadavériques, ou même dégradées;, rien de cela ! On est passées ensemble à travezrs une paroi pour vpilà (c'est vrai) comprendre ce qui est autour de soi en ce pré aux bêtes de poids qui (on le v

oi) en jettent grave ! font fde l'effet, montrent d'elles un côté qui sans se tromper impacte grave ! impacte énormément et du coup fait ainsi que la bête -somme ou sommité, se voit prise par ici la Déité pour une sorte de vie majorée, une sorte de vie +, qui serait du coup adoubée ou comment dire ? par la mort soit la mort en personne ! On s'est rapprochées ensemble 

côte à côte d'une sorte de paroi finale ou terminale et c'est précisément à cet endroit qii'on cherche à, pour le coup, passer à présent, à présent on veut passer une fois encore, on veut traverser, gagner sur la roche dite "des confins" tesl qu'ils se présentent en dur à nos gouvernes. On est des fées de roche , on essaie ensemble de nous avancer vers ces données de bout de bout et du coup cerner de près les moindres aspérités de cette roche qu'on a (qu'on aurait) sous nottree nez. On est passées ensemble, dans un premier temps, à travers "la Roche des Tourments" (liée à une vie terrezstre) , on a de fait atterri dans un pré (un pré aux vaches) et nous voilà à présent qui avons gagné le roche dite "terminale", celle des confins, cette muraille des données ultimes et là, on regarde de près, on cheche u  n passaghe, une sorte dr'anfractuoisité par laquelle pouvoir s'immiscer si tant est, et du coup passer et du coup voir ce qui, de l'autre côté, sezmblerait vouloir exister à jamaéis ! On regarde ensemble comme on peut en essayant d'ouvrir nos yeux le plus possible ! On s'est app^rochées de cette roche des confins, afin de comprtendre c''sstà dire voir, les données dites "données" qui seraient co:me à nous attendre, à nous attendre 

grave car les temps sont graves diirait-on, qui sont ceux liés à une siorte en soi de déité nacrée, sacrée, dont le nom à présent on le sait est La Mort . La mort en ces contrées. On essaioe de regardxer soit de passer un oeil à travers la roche. on a pas fini d'espionner ou d'essayer d'espionner. On arrive (à peine !) et en vrai c'est loin encore d'être gagné ! On veut ensemble regarder, derière la roche, ou diso,ns l'ultime roche ce qui est, ce qui semblerait êttre et exister (la différe,nce enttre être et exister ?) et pour ça on fait corps en tant que fée ailée , voilà on est fée qui faisons corps ! on est ailées ! on est des ailes rap^p^rochées qui, ici même, devant cette paroi ultime ou dite telle, cherchons à creuser ou (disons) nouys infilttrer, traverser la roche, la paroi de fin, la paroi qui sans doute est la même qu'à l'entrée sauf que voilà, on l'aborderaéit ou on l'aborde par un tout autre côté que par celui abordé à notre entrée, ici, dans le pré. Pour ainsi dire , on peut avancer cette chose, comme quoi la roche est ici posée, déposée, comment dire ? en forme de rotonde : on entre d'un côté (quel qu'il soit) on court on vole à travers le pré, 

ici, aux bêtes-poids ou la praiorie aux herbes hautes (ok), et nous voilà du coup arrivées côte à côte, à la fin du pré  ou à la fin de la praierie, à nouveau devant une roche mais en vrai cette roche on la connait ! on l'a déjà rebncontré ! on l'a déjà vu à l'entrée du pré. Il s'agit de la même rocjhe ici et là, car en  vrai la paroi est paroi de rotonde : qu'on se le dise haut et fort si possible ! que tous et toutes, toutes et tous (touxtes) on arrive à se le dire , on arrive à le comprendre à toustes, on arrive grave à comprendre cette chose comme quoi la mort est hors de l'encklave ! comme quoi la mort en vrai est en dehors de cette encklave-pré ou alors non ! cette enclave-pré en effet est le royaume, ou serait le royaume "de la mort", pré aux vaches, soit une sorte en soi de "petit paradis", peut-^tte. Et la vie, après ce "petit paradis", 

reprendraéit "les rênes " , qui le sait ? qui saura nous dire et nous expliquer sans nous tromper ce qui est en vrai sur terre et au-delà ? On est des fées parce qu'on a des ailes ! On est elles (dans la mort = dans le pré) pzarce qu'on a des ailes. On est pour ainsi dire dans la mort AILES = ELLES. L'homme est mort et enterré quand la femme (elle) poursuit en vrai le chemin des êtres (ou dit tels), arrive à durer, continuer son petit chemin des fées traquet traquet , et du coup arrive à se pointer au-devant des Ultimes Données qui sont les données d'après le cimetière ! On essaie de nous y retrouver mais ce n'rest pas simple en vérité car les données de base en vréi se chevauchent ou se croisent sans arrêt, et pour "garder le fil" , et ne pas en prendre un autre involontairement c'est coton ! On eesaie sans ceesse en tant que fée de garder le fil toujours le même, sans le lâcher, sans en prendre un aiutre qui nous fourvoierait ou plutôt nous fearait nous perdre ou nous égarerait , nous tromperait. On essaie nous deux en tant que Fée de base , de garder le fil , de tenir le fil, de suivre un seul fil toujours le même, pour savoir, comprendre, où ce fil pourrait nous mener, jusqu'où ce fil pourrait en vé(ité nous mener ou nous conduire. On est accolées en tant que nous sommes ELLES = des 

AILES, ou dit autreement : F2ée ! On est une fée parce qu'on a des ailes et pârce qu'on est elles dans la mort. On traverse au singulier pour mieux se retrouver plurielle dans la mort. On traverse en tant qu'homme (par exempl) singulier, et une fois passé on se retrouve transformé en ELLEs, deux ailes, ailes de fée , et du cdoup F2ée ! fait comme des rats ? fait et défait ? on est passé de l'auitre côté de cette roche primaire (ornementée de bêtes néandertaliennes) et à 

présent nous cvoici devenues Ailes, = ELLEs, Fée des F2es, qui volons de nos propres ailes jusqu'au domaine dit "de satiété". On est nées sur l'herbe ! On est nées fées sur l'herbe cdes pré d'une enckave (ou enceinte) post-cimetière. On voulairt ensemble toucher à cette roche des donées telle que présentée (postée) devant nous à nos gouvernes eh bé voilà, on dira que c'est fait ,! la chose est actée ! on a traversé ensemble ce rocher "des fées", on se retrouve comme par vla bande acculées à devoir gagner (fissa) sur la l'ande l'autre bout (pour ainsi dire) de la paroi, en face ! car en fait de bout, la cjhose (pour ainsi dire) n'existe pas, lles bouts de roche (là) sont légions qui tous "nous regardenbt" à égale distance si par exemple onn est comme positionnées au milieu de l'enclave-rosace. On est devenu Fée, une fée de base. On voulaéit vraiment ensemble traverser le rocher 1, eh bien voilà c'estexactemennt ce qu'on a fait en le faisant ! on voulait tracer à travers un rocher , un rocher ornementé, eh bé oui, on a traversé, on a foncé comme des malades parce qu'on est mal ades ! on est des coriaces ! on voulait en avancer en termes de connaissa,nce et duu coup on est passées, on a traversé la roche 1, celle de l'enfance qui sait ? on s'est retrouvé à l'intérieur d'un pré nanti d'herbes hautes et de bêtes de poids, on les a regardé, on les a maté et puis on a continué à tracer,n,à marcher, à nous tenir la mai,nn, à ne pas nous désunir, à suivre le fil ! 

pour aller au loin retrouver la roche  toujours la :même, mais cette fois en face, de l'autre côté du opré, pile poil en face on dirait, car on le sait la roche du pré" , est en forme de couronne, d'enclave ronde, de rotonde, de forteresse ronde, de'enceinte close. On arrive pas )-à pas, on a tracé, maintenant on veut se rapprocher le plius possible de la roche ultime, des données ultimes. On a vraiment ensemble envie de comprendre, au miuex, ce qui est qui semblerait en vrai vouloir nous parler ! peut-ettre qu'en effet la Chose (ce dieu de la mort, ou même la mort) veut nous parler, nous dire des choses précises, nous donner le fin mot, nous indiquer la marche à

 suivre pour durer, pour bne pas nous aarêter mais au contrezaire poursuivre sans cesse notre sorte de bonholmme de chemin de vie. On est Fée ici qui du coup cherchons à comprendre par où passer dans cette roche d'une sorte de rotonde allouée à un pré aux herbes hautes. On est passées ensemble, on est femmes enwsemble qui avons réussi à traverser, une première fois, la roche ornée (de b^pêtes de poids) et à prése,nt on veut pouvoir nous introduyire au plus avancé et au plus profond de cette sorte de paroi des fins de vie ou des fins de mort si le pré est la mort soit la vie apreès la vie. On est femmes dans la mort parce qu'on s'est données ! on a vraiment cherc hè à passer ! à donner de soi npotre passé , à traverser la chaussée, la roche allouée, la paroi ornée. On a vraiment fait tout ce qu'on poiuvait pour passer et du coup on est pasdsées, on s'est retroubvées de l'autre côté à la retombée prêtes à comprendre ou disons cerner, essayer du moins, de comprendre ensembkle les données offertes dans ce pré qaui sezmblerait êtrte "le pré de la mort" si tant est ! un pré ou une 

prairie alloué (e) à une sorte de clairière aux données de poids, d'enceinte de choix. on est des femmes -fées comme allouées nouys-mêmes à cette enceinte, à cette sorte de prairie "céleste". On est deuxaccolées de base ensem ble toi et moi, en cette sorte d'enclave, de pré-enclave, de pré-enceinte. On est passées parce qu'on le voulait et tellement on dirait que du coup la chose est arrivée ! qui sait ? On voulait passer de l'autre côté (d'où la transe) eh bé voilà c'est comme qui diraiot fait ! on y est ! on est postées debout après nous être relevées, on est postées, ensemble, en ce pré des convenances. On voulait figurer au même tittre en vrai que ces bêtes de paroi ornée, que ces bêtes ici massib ves, grooses de leur poids de rage. On aime beaucoup cezs bêtes les approcher, les caresser. On se sent un peu-beaucoup bhêtes de poids et masse nous mêmes. On chyerche grave à cerner xdes bêtes ou bêtes -mots de roche ce qu'elles cachent, ce qu'elles contiennent en termes de données de base. sont§-elles données elles-mêmes ? il sembvlezrait que oui ! que les bêztes de roche (dessinées, gravées par des êtres anciens) soient bêtes -mots de poids, qui donc pèsent leur compta,nt dans la ba lance, leur sorte de comptant fatal/ on regarde ensemble toutes ces bêtes qui à leur tour nous regardent, et du coup on se dit que nous aussi peut-être on est des bêztes comme elles, 

on contient aussi notre comptant de mots de poids, de parioles "graves", de mots qui parlent ". On se dit qaue peut-^tre nous auusi on est des femmes qui cherchons à comprendre un mùaximum de choses qui en vrai seraient comme contenues dans la roche . Mots de saison, gros mots, mots des passions, mots gros d'une sqorte de passion à pour le coup vouloir comprendre mordicus "ce qui se passe", , c'est-à-dire ce qui est qui dazevant nous seprésente en termes de données de contrzeba,nde. On cherche ensemble à toucher un certain nombre de données, disons à toucxher-cerner un certain  nombre de données qui seraient les dobnées qui pourraient d'elles-mêmes nous indiquer sans nous tromper la marche à suivre et que"l chemin de préférence devoir emprunter pour aller loin le plus possible , tracer vite, courir et g-agner la rive sans trébucher. on est xes femmes fées parce que oui, c'est ça, on est ailées, ailes des prés", on est des ailes ou 

AILES et du coup on peut en vavancer parce qu'on peut voler, on peut survoler , gagner bneaucoup de temps de ce fait car voler active grave toute progression active dans un paysage quel qu'il soit. En volant c'est sûr qu'on en avabnce ! on en avance beaucoup plus qu'à petits pas ! On voit large, on trace, on avance grave , on survole peut-^tte mais pêu importe  qauand le but est d'arriver à un point b ! On s'en fiche un peu (pas tout à fait mais quand même) du paysage traverseé, qauand le but est d'arriver à un point b, à une destinée précise, à un point p^récis dessiné, tracé, ou même gravé sur une roche des confins ou dite "des confins". On a envie d'aller vite aussi parce qu'on est préessées de savoir ce qui est là-bas en toutes fins de roche . On a grave envie de savoir là-bas les donnéess finales à quoi elles ressemblent, ce qu'elles sqont pour nous (comme pour tout ou toute un chacun ou une chacune) on imagine ! On est des fées ici (la mort ?) parce que, la roche passée, on est devenues fées ! On était au singulier (il ou elle) on est au pluriel... mais pas ielles ! non ! elles ! car : elles = ailes = fée ! Comment il faiut 

le dire pour pouvoir enfin être entendues, perçues, vues, admises etc. ? On a beaucoup tracé, on a fait pas mal de route, on a survolé pas mal de contrées en ces présq, et mainteznant on peut dire qu'on est arrivées ou comme arrivées à destination c'est-à-dire à ce point de rage d"'iune szorte de cloison finale. On rzeagadre (forc"ément !). On mate grave ! On cherche le pasdage ou un passage, une anfractuosité qui pour nous permette passage, un trou ou une trouée, une sorte de fissure pouvant faire penser s-que derrière elle, se trouverait quelque chose comme une ouverture, une szorte d'ouverture monstre, cavité des cavités, une sorte de mer allouée à une infinité mais en vrai on ne sait quoi penser ensembke de cette chose d'une sorte d'entité lacustre telle que squspectée. On est fées de contrebande pour ainsi dire et du coup, en tant que fée, on en avance oui (on court on vole) m&is, en vrai, on devine quoi ? on comprtend quoi ? on essaie de cerner parce que voil;à on veut cerner, et c'est en tant que fée (dans la mort acquise) qi'on veut ça ! on est fées pour ça ! on est fées pour cerner des faits (des faits de roche) car pour le coup en vrai szeules les fées ont la possiobilté 

(eh bien en tant que fées) de cerner un certain nombre de données de  base. Parce q'elles volent et qu'elles survolent ? peut-^ttree ! On ne sait pas vra&iment pourquopi les fées savent des choses ou tant de choses concernant la mort ! on dirait peut-^tre à notre avis que c'est parce que oui, elles volent de leur p^ropre ailes et haut, fissa, sansembarras, sans traîner, sans lambiner. Les fées ont des ailes qui en vrai leur permettent de "tracer " (dessiner ?) comme "à main levée" sur roche des prés. On saéit ça d'elles ! On leas aime beaucoup depuis notre entrée en ce pré aux herbes parce que voilà on est comme elles, fées nous-mêmes dans le cas où on l'oublieraéit. on est au passage de la roche dite première ou prim&aire, de venues fées nous-mêmes, une fée à 2 ailes = elles (deux). on peut dire même sans ecxagérer ni trop se tromper qu'on /

... s'aime ! on est toutes deux comme nées à ^$etre pour nous deux chacune l'être cde chacune ! fées aimées ! on est femmes-fées, on aime s'aimer et énormément. On adore cette chose ensemble de s'aimer à jamais en ce pré des bases. On est des fées parce qu'on est ailées (ni plus ni moins) . On est ailées parce qu'on est des fées ! On est entrées "par le cimetioère" , on est dans un pré, un pré rempplie d'herbe comme tous les prés, et maintenant nous voilà allouées ou comme allouées à u,ne roche terminale qui est roche des données finales. On est &u pied cde cette roche ! on est accolmées ou serrées au pied de cette r'oche, on est comme collées (nous deux) à elle et notre volonté, est de ne pas nous en décoller grave de sitôt si tant est mais d'y rester, de rester collées ensembve à cette sorte de cloison finale, der des 

der. On est collées à la cloison finale. On voudrait passer un oeil et regarder. juste un oeil le passer à travers la roche par un interstice ou une sorte de petiotevanfractuoisté pouvant laisser passer un organe, un petit rien (ou pas loin) en termes d'organe, genre un oeil afin de "cerner", ou de pouvoir "cerner", ce qui est de l'a&utre côté . Le sait-o,n n ? sAvons-nous ce qui, de l'autre côté, est ? se tra&me ou se tramerait  ? est-ce que lma mort de faéit est juste l'enclave du preé aux bêtes toutes dessinées ou gravées ou bvien est-elle en vrai située hors enclave ou enceinte aux herbes et autres bêtes (monstres ?) de roche ? On essaie de cerner ensemble nous deux (touxtrs deux) les données qui sec présentent maéis voilà, on fait ce qu'on peut , la chose est loin d'e^tre gagnée d'avance, on a beaucoup de choses (en soucffrance) qui nous attendent et on se doit de les "honorer", si jamais, avant de nous lancer dans un marché de contrebande tel que celui d

es données allouées est, on diraiot. on a à creuser loin et longtemps lma roche des donnéezs finales pour en vrai comprendre ce qui est inscrit en elle en termes pour le coup de vérités des vérités/. On cherche c'est d'abord parce qu'on aime chercher ! on est très férues nous deux de cette chose d'enqiuêter sans ceese, de'ess ayer de tracer , trouver, tomber sur , eh bé peut-^ttrre "des lettres " (?) ou sinon des lettres des données qui de fait auraient ou porteraient en elles un sens ancré ou avéré, affiché, donné. on est des fées "de cimetière" ! on est passées à rtravers la roche et on s'est retrouvées rtoutes transgformées en fée alors même que rien avant la mort n'aurait pu le laisser présager ! on est scotchées de cet éta de choses ! Ja&mais on aurait pu penser que la chose arriverait, qui nouss aurai vu nous transformer comme qui dirait en fée ! en fée peut-être chelous mais fée tout de même c'szst à dire ailée à la 

baguette ! dingue ! jamais en vrai on aurait pensé à cettye chose qu'on deviendrait, qu'on serait à présent devenues, la mort  venue ! On s'est retrouvées nues (cul nu) " de l'autre côté" commê à la retombée et à vrai dire on en est encore toutes retournées ! jamais on aurait pu penser que cettye chose un jou!r nous arriverzait, qu'on se retrouve nues (cul nu) dans un ppré, sur l'herbe verte et haute d'un pré où des bêtes de somme (de poids et bâtées) broutent sans s'arrêter. on voit ce qui est ici qui nous entoure. On aime beaucoup les bêtes de poids qui en imposent et font penser qu'elles sont fortes choses, fortes données, quand en vrai elles ne le sont pas ! seulement cdes bêtes de paroi : gravures de bois, dessins de choix. On est devenues fées parce qu'ion est comme "tombées " de l'autre côté ! chute ! on a traversé la roche 

ensembvle vite fait , et quand on est passées on a compris, qvite fait, qu'on t arderait pas à "se ramasser" à la retombée ! et c'est exactement ce qui esst arrrivé ! on a chuté ! on est tombées, vite fait ! on s'est retrouvées nous deux , toutes deuxd, le cul dans l'herbe fraîche, humide, à  tenter de nous redresser, et on s'est vite redressées ! on ne voulait pas rester plus llongtemps dans cette herbe humide mais nous relever et du coup, étant ailées, nous envoler (à la tire) sans traîner , et geagner "la rive", l'autre c^oté du pré. Onn est des fées qui pouvons voler (comme toutes les fées) et nous le faisons ! Nous sommes kles fées du pré . nous avo,ns ensemble à beaucoup encore cerner ce qui est sur roche, ce qui se présente en termes de savoirs ancrés ou de connaissqances profondes qui (qui sait ?) seraient de fait contenuess, et contuneues dans  une langue donnée. On est fées pour chercher (dans la mort) du contenu. On ne veut pas ou pas plus ou plus passer à)à côté d'un certain  n ombtre de vdonnées qui seraéient aéllouées à une sorte de roche ou de rocher qui se présenterait (pendant la vie) à notre propre gouverne d'êttre des parois et des cavernesc (hommes ou femmes, même combat) . On voit là qu'on a 

encore fort à faire, pas mal à creusert, beaucoup à comprendre-cerner , donc encore beauxcoup à "toucher par la bande" 

si on est (ensemble) des fées dites de paroi, de roche primitive ornée, d'espace de pré. on est ensemble cdomme si en vrai on devait ne plus jamais se quitter, et est-ce le cas ? sommes -nous vraiment amenées (par la vie des vies ) à ne jamaéis nous séparer ? On est des fées sur roche ou sur rocher et on veut toucgher, ensembke (de la main), cet a,ge du bien ! cette sorte d'ange, dont le nom (on dirait) est peut-^tre "Mort", on sinon "Mort" , "La Mort"  . On s'est rapprochées vite fait de la paeroi qu'on voit là-bas au loin comme nou!s n arguer et le fait -elle en  vrai ? on ne sa it )as mais en attendant on ne lambine pas, on y va grave ! on cherche à comprendre +++ 

ce qui est devant soi (devant nous) en termes de Romance, Récit vrai et doux, Paroles d'enfance". On est ensemble toutes  les deux dxes fées qu'on dirait (en haut lieu ?) 

de contreba,nde mais est-ce que c'est vrai ? rst-ce que vraiment on est toutes deux dxes fées de contrebande ? On est fées des fées, on est des fées de base allouées à un pré mais a^près ? est-ce qu'on est vraiment dava,ntage ? est-ce que vra&iment on est des fées, dites de contrezba,nde, à jamais ? c'est s^$ur que nous on voudrait compre,ndre grave et du coup tracer sans traîner sur roche des dessins d'enfance, des données rupestres, bêtes masse, mammouths et autres bovidés sacrés cfomme une vache, un bison, un buffle, un ours ou une ourse des cavernes et autres bêtes faisant impression et pouvant (hé !) convaincre, museler, éteindre toute velléité de rebellion à l'en

contre de ces bêtes de cloison. On est arrivées ensembkle sur pattes mais on est fées (dans la mort) ailées , et du cfoup o, n en avance grave dans les connaissances ! on survole pet-^tre , c'est vrai, mais voilà, ça n'a pas que du mauvais ! on trace ! ça nous permet grave de tracer et d'ezn avancer (fissa) en termes de connaiszances de paroi ou concerna,nt la (une) paroi dite "préhistoriqaue" gravée. fée des fées. on est fée parce qu'on est devenue's (en mourant) des fées. Avant (avant la motrt) on était pas des fées. C'dst xezulement à notre mort (au singulier) qu'on est devenue fée ! fée des baises ! fée des baisers ! On est morts et on est re-nées (dans la mort) fée comme un fait exprès ! une fée = 2 ailes (ou 1 pa&ire d'ailes). On est nées fée dans la mort telle q'a&lllouée à une (sorte de) destinée singulière qui , pour chacune et chacun, est un tracé sur pré ,, de type dessin détaillé, trait effectué d'un trait, une sorte de tracé caché comme pré-existant à toutes soprtes d'exoistence humaine. On comprend de ce fait que la vie en soi est hors enclave, hors lm'enclave de la mùort, et du coup que la mort n('est pas vraiment un après à jamais mais une sorte de pré, d'enceinte "cloturé" à l'i,téroiuyir d'un champ plus large que serait 

la vie. en vrai, comme si la mort était une sorte d'enclos de prairie, à l'intérieur de la vie, en son sein pour ainsi dire./ Comme si en vrai la mort était contenue dans la vie et non en dehors ! une sorte d'îlot de vie qui seraiot un ilôt de mort ou sorte d'ilôt de mort, qui viendrait à nous (épouser nos envies) le moment venu (celelui de notre mort) mais en vrai ne serait pas donné à jamais sans issue. on se dit que peut-être oui, en effet, la mùort sezrait une sorte d'enclos, à l'intérieur de la

 vie, une soprte d'enclave, à travezrser, à passer , et après, ap^rès ce pré, de nouveau la vie ! l'océean de la vie ! la mer agitée ! cette sorte de mer sans fin ou bien où, cette fin éventuelle pourrait être en vrai située en ces contrées terrestres (humaines ?) etc. ? On est accolées parce qu'on est ailées ! c'est pas compliqué ! Si on est (depuis le début) dite ou présentées en tant qu'on est ou qu'on serait accolées", ne cherche pas plus loin c'est parce que voilà, oui, on est ailées ! on est munies ou nanties d'ailes , d'ailes de survie (de survol et de survie) avec lesqauelles on peut plus facilement "tracer" c'rst à dire en avancer, voler, aller,  gagner, faire ainsi qi'on ne soit pas larguées de préférence" mais tout au contraéire , comme pointées ou à la pointe d'une szorte de recherche , pointéesz ezn tant qu'on seraéit devant ou sur un deva,nt qui nous montrezrait du coup à notre avantage, c'rest pas mal ! on veut aller , et aller c'est traverser, à la nage ou comme à la nage, la "paroi du monde". On veut ensemble aller loin le plus possible, sur ce chemin d'une sorte de ballade active, "ou de "balade vive" c'est)-à-dire "en vie", , sans plus traîner, en essayant de préférence ensemble de toucher aux dopnnées données comme déposées sur l'autre rive, cette chose d'une sqorte de rive allouée à uene sorte de sortie ! car une île est accostée, dans un premier temps, puis comment ? qyuittée ? à jam&is ? on voit, loin, la pierre tombale des fins ou des confins, et du coup c'est szûr que nous ensembke (deux femmes = ELLES = AILES) on veut gagner vers elle ou vite fait aller vers elle tracer, 

chercher, co:mprendre, faire ainsi que les données données de la contrebande affichée puissent nous aider à cerner de près, les enjeux, ce qui est en jeu qui ici (après la mort ?) se joue, de sérieud ! on est femmes fées, ok, on est deux (pour le mieux) mais aussi : on est allouées à 

une prairie, on est aidées ici par des bêtes monstres, bêtes de paroi comme autant de "mots de choix" ayant contenance. On est passées ensemble à travers la rochje parce que oui on voulaiot comptendre, on ne voulaiot pas rester complètement ignares, on voulaiot vréiment aller et tracer, en cette lande de la mort à lm' oeuvre et ça, de préférence, sans traîner plus qu'il n'en faut , car, la vérité est vite oubliée, ou plutôt ratée, etc. Pluto^t ratée si on n'y prend gaarde pas tout à fait ou pas assrz. On a vite fait de la rater , comme on raterait la diligence. Nous on veut comprendre vif ! on ne veut pas passer à côté parvce qu'on traînerait et qu'on serait de celles qui "comprenhentb les choses sans les toucher "! nous non ! on veut toucher ! pour comprendre ou mieux comprendre nous on dit qu'il faut impérativement toucher , et pas qu'un peu ! vraiment ! tater ! prendre la mesure des données chargées ! On se rapproche des données de roche , on regarde devant soi la Chose, ce'tte sorte de Paroi Finale 

qui, devant nous (soi) seraéit à nous tendrte ses bras comê qui dirait mais est-ce vrai ? on veut bien le croire ! on veut croire en cette chose de par(oi "bavarde", on ne sait pas, on est ouvertes à ça comme à mille autres choses concernant, e,ncore, la paroi de roche, la première à l'entrée ou  l'ultime il semblera&it à la sortie. On veut toucher à cette chose d'une roche de szortie et du coup comme traverser encore cette même roche mais en vrai, et pour le coup, à un autre endroit qu'à l'entrée. On veut toucher à cette roche ultime dite "des secrets", et pour ça come,nt on faot eh bé peut-^tre on passe un pied, une main, un doigt, un oeil , quelque chose de menu de soi, partie congrue, afin de pouvoir (ce faisant) peut-être explorer un tant soit peu LA BÊTE ! quelle b^rete ? La bête-Dieu ! La des ! la des bêtes ! ou  (mieux)  : LA BË TE DES BËTES" ! On veut touchert à elle parce qu'on l'aime, et parce qau'on y croit ! parce qu'on veut aller là-bas, comprtendre ce qui est et qui (il sembleraéit) nous tend ses bras, son gousset, nous donne le la, nous entraine de sa voix vers une sorte d'au-delà de paroi qui , peut-^tre , pourraéit être ... eh bien, une plaine ? une sorte de plaine cendrée ? une sorte de contrée dorée ? cendrée et aussi dorée ? La MER ? Peut-^trre. On cherche ensembvle et on a pas fini ! On a encore pas mal à comprendre, de chemin à faire, de mots à cerner (bêtes-mots), de mots à graver. On est des fées parce que c'est vrai que nous on est ailées et que du coup on avance vite, on trace, on va vite vers ... n'importe quoi qui nous attirrezraiot de base avec des mots de contrebande si jamais. c'est vgrai que d'être fée permet gra ve d'en avancer et de tra&cer à main levé&e des bêtes (de poids et de masse) zur roche à jamais ou presqaue. on aime beaucoup nous deux être des fées et du coup tracer comme à mé&in levée (en lévitatiobn et en transe") des mots-dieux, mots doctes, des bêtes grosses, des données de roche !

 on adore ! s^r que nous on a cvite fait de nous portersur n'importe quel côté ou dans ou vers n'importe quel côté du fait qu'en effet on est des fées, on est ailées, et c'est méga-aidant pour voler , nous diriger , nous rendre vers telle contreé ou telle auttre sans être g

^énées. On a&ime les grootes. onj aime entrer dans une grotte. On adore entreer dans des grottes  de roche. on a vite fait ensemble d'entrer main dans la main dans une grotte oarce qu'on s'aéime ! ni plus ni moins ! Si on s' aime alors oui on peut plus facilement ou carrément aiosément entrer à l'intériuer d'une sorte de oaroi de rage ou dite de rage. en s'aéimant les choses pour le coup sont grande"ment f acilitées. On se dit que, en effet, si on s'aime, alors on peut tracer des bêtes, dessiner, graver vite fait d'un seul trait, des bêtes-mots (mots-bêtes) de roche allouée à une sorte de destinée rupestre, terrestre, a,ncrées, tracée à main levée et c'est fait. ON est des fées qui allons vite retrouver la roche au fond du pré parce que oui, on court on vole, on l'a dit. On a envie grave enwsemble (AILES) de cerner un certain  omùbre de données de base qui seréient pour nous quelque chose comme des données (données des données) qui resteré&ieznt c'est sûr encore et toujourzs à comprendre ou déchiffrer, méis au moins on les aurait par-devers nous comme en magasin, pour les étudier ou mieuxx les étuduier pour vraiment les comprtendre, dans chacunes de vleur compôsante, et peut-être à jzmais qui sait. On veut toucher à cette sorte de cloison finale qui donc seré&it cfomme "parlante" ! l'est-elle en vrai ? parle-t-elle vraiment quand on la croise (qu'on l'aborde") ? Que doit-on penser de cette chose ? qsue doit-on vraiment penser de cette sorte de cloison dite "des finalités  ? Eh bé on en sait rien , parce qu'on est bêtes-mots de base nées sans être vraiment nées ! on est com

me des fées ok mais en vrai on est ... fictives ? Oh on ne sa it ! On ne sait ce qui est vra&i ! On a super envie ensemble d'aller fureter en  cette sorte de rive ultime c'est sûr mais si c'est pour le coup pour y passer , à jam&is , et ne plus pouvgoir re'spirer, mârcher, vivre ! tu nous acs compris ! on préfère ne pas ! on préfère aller tranquille sur ce pré (comme les vaches autour de nous, les buffles, les bisonnes, les chevreuilles brunes) nous promener, muysarder voire jouer. ON aime jouer ! Le jeu est central en ce lieu de feu. On est cfomme allouées toutes deux à un pré , et dans ce pré on aime jouer, nous courir après, nous "chervcher", nous "ezmbêter", faire ainsi qu'on puisse ensemble se délasser ou s'oublier ! s'oubluier est capital ici, en ce pré ! on doit s'oublioer 

et du coup jouer (par moments) comme des enfa,nts. On joue au feu de la Zaint-Jean, au petit poucet, au ma&rchand et à lmza marchande, aux jeu de dé. C'est vrai qaue nous en tant que fée on adore jhouer et d'ailleur on joue, on hjoue sans cesse, on n'arrpête pas de jouer, d'aller et de venir sur roche nous poster, courir, crapahuter, monter et descendre sans jamais tomber de préférence, c'r'st aussi le jeu ! On aime aller, sur roche, cerner, un grand nombre de données, et essayer au maximum de comprendre loiin ces choses des roches ce qu'elles sont ou szraient qu'il nous incomberait de comprendre ensemble. On veut allmer enxsembvle loin parce que nous ce qui nou s plaît le plus c'est cette chose d'une sorte de rotonde, d'enclave "fermée" (comme toute e n clave !) qui seraéit l'enclave allouée à une mort terrestre  don,née pâr la bande à telle ou telle persopnnaélité, mais en fait, cette enclave est délimitée (comme toute enclave) et de ce fait permet en qu'lque sorte la retraversée comme à reculons de la chose, soit latraversée nouvellement effectuée de cette même roche des comme

ncementsz mais prise pour le coup ailleurs, autre endroit de roche mais (de fait) même pâroi-cloison. On est donc a&rrivées ensemble devant elle, . On se raopporoche d'elle le plus p^rès possible. Que fait-on ? on met (par exempl) un nez en elle ! juste un nez ! on hume ! que sent-on ? des odeurs pârtuicuklières, on dira "iodées" . Hé hé ! serait-ce (de l('autree côté) une mer don,ée ? ça se pourrait ! entous cas ça (cette chose) revient sans cesse ! on le voit ! on voit ça que sans cesse ça revient, que sans cesse on dirait , dans la conversation, ça revient ! ça n'arrête pas d'être là comme une sorte de Paroi de Choix ! et nous du coup d'y  c roire,; d'y souscrire, de penser à elle comme par exemple à une zorte de paroi de contrebande . On a ensemble envie ici d'aller loin dans les connaissancesz, au sujet de cette praierie ou de ce pré aux herbes hautes, aéux massifs fleuris, aux bêtes de poids. On est associées ensemble sur une paroi et c'est ainsi que nous on passe, en étant

 scotchées, collées, ou collées-serrées l'une à l'autre comme à tout jamaisz et hop ! on passe la numéro 1 , des parois de base, direction cette prairie comùe enchantée du fait que sur elle est tombée une zorte de lumière (des fées ?) surnaturelles ! clarté vive on le s&it! Et puis une fois la paroi passée, on se fdirige de l'autre cfôté, pile poil en face on dirait vers cette sorte d'anfractuosité par où, on pouurait dire, "repasser" , ma&is en vrai, s'il s'agit de la même paroi (en forme d'e,n ceinte) il ne s'agit pas (forcément !) du même côté envisagé ou rencontré. On se retrouve donc nous deux de l'autre côté prêtes en vrai à (re) traverser, à (disons) retraverser , de l'auttre côté, c'est-à-dire du côté où , en vrai, on était avant d'arriver, avant de nous retrouver (à deux) en ce pré fleurii. De l'autre côté ce sezréit comme si on revenait ensembke là où avant on était : un ventre ? On ne sait pas mais c'est vrai que en effet la question se pose, pourrait se poser et ce seraéit à nous en vrai d'y répondre mais comment  y répôndre ? Comment répondre à pareille question qui semble (presque) folle tellement c'est gros ! comment répondre, ou plu$tôt (déjà) : comment, en vrai, poser la question, en quels termes ? on se dit qaue oui peut-^t

re si on retraverse, du coup on revient là où onn était. retrour à la maison. retournement de zi(§iua&tion. retour (ou szorte de retour) à l'envoyeureuxse ? On Regarde ! On est qauand même ensemble méga-présentes pour  essayer de dénouer  les fils le plus possible, cvomprendre pasc mal de choses de base;,, essayer de faire en sorte de cernerv de près la plupart des éléments d'une romance (romance de vie, de vie dans la vie) qu'on pourrait facilement prendre pour (peut-être) une "mort de tête" ? On est entrées parce qu'on le voulait ! a-à présent eh bé on veut sortir ,! on est entrées ici (encflave, enceinte, prairie céleste : la mort ou "mort de tête"), maintenant voilà, on a d'autres envies et on y tient. on veut sortir  ! on a szuper super envie de szortir de la prairie, de gagner vite fait la rive  opposée à celle de l'entrée et de passer ! de complètement passer à travers elle et voir ce qui est (de l'autre côté) qui se tra&meraéit en termes de vie, a^rès l'épisode (narré) de la mort à lm'oeuvre (sur terre). on a envie (grave) de comprendre ensemble ce qui est, le pourquoi on se retrouve à deux (deux femmes

) dans la mort et plus du tout d'homme ! On a méga envie de le com^rendre ! On est deux femmes dans la mort, comme accolées (collées) et maintenant qzu'on sait (qu'on est deux femmes) on a super envie d'aller comme  à la chasse de données de poids, soit de données qui grave pèse ou pèsera&ient dans la balance ! On voit loin là-bas les bases . On veut 

On veut coller à une sorte en soi de Vérité qui sezraéit de fait cette sorte de vVérité qu'on croit pouvoir ensemble déceler (desceller) à l'intérouir d'une soprte (ici) de paroi de roche ou rocher. On a juste envie de cerner toutes les données lié&es à une ... szorte de vie ... après la mort pour ainsi dire. Car, admettons que la mort terrestre (humaine mais pas que : animale, etc.) soit une île, alors lma vie est comme une mer ! et nous on le pense , disons quon le mpense un peu nous deux. On diraéiot que nous on pense un peu cette chose , comme quoi la mort (déité de poids) est une île ou comme une île , et du coup la vie (tout autour) ne s'arrête pas, est infinie, va loin à jamais dans un infini qu'en vrai il nous est impossible 

RAISONNABLE%MENT de comptendre, car comment comprendre l'infini ? Comment faore ensemble pour comprendre l'infini ? comment faire ensemble pour cfomprendreETRRAISONNABLEMENT la notion d'ibnfini ! impossoble ! l'esprit ici ne le permet pas, l'espriot hiumain. Seul peutêttre la Foi, LA foi dans le LAngage , dans la LAngue incrustée, acquise, inséerée soit inculquée. On est des femmes fées qui ici pensons que peu

t-^tree un jhour on va y arriver , à le comprtendre, à comp^rendre cet état de fait comme quoi la vie est infinie mais ne peut être envisagée réellement en tant que tel (telle ?) de notre vivant. Qui , pour de vrai, comprend vraiment ce que c'est qaue l'infini ? Une femme ? deux femmes ensembvke ? plus ! On est entrées ensemble, doit-on ensemble ressortir ? devonsz-nous en tant que femmeb ensemble ressortir de cette enclave dans laquelle notre envie n'est pas (n'a en vrai jamais été) de nous y engluer à jamais ! On a super e,nvie d'aller, au plus lointain possible, en cette sorte de chose acquise, genre "un parler", langue donnée, pour du coup y trouver des données, des pistes, des choses de poids qui pour nous puiisent fa&ire en sorte que voilà, on puiise mieux voir"" ce qui est en ces contrées (de la mort à l'oeuvre ?) qui soit, pour le coup, dignes de FOi, mais vas)-y ! pas si facile ! 

La Foi est là qui est soumise à une sorte de mainmise de la langue sur soi. On est envahies ! On est des fées qui sommes envahies ! Une fée de fait est envahie de base ! sûr ! On regarde. C'est vréi que nous on essaie ensemble de nous approcher le plusz possible d'une vérité acquise, d'une sorte en soi de vérité qui (pour nous) puyisse nbousq aider à mettre, de fait, au jour, un certain nommbre de donnéesz portées, de données allouées ou portées, de données de base portées ou allouées en cette sorte de contrée (toute) cloturée. On est des filles (femmmes fées) "de la rage d"être nées", c'est cfomme ça qu'on se présent e quaénd on nous demande. On est arrivées tout près, da,ns la lande, d'une sorte de passage assez étroit mais peut-^tte que , en vrai, ça va le faire, on pourra passer. On est arrivées ensemble ici, en cette fin de roche prairiale, pour comprtendre ici ou là où pouvoir troucver par où pouvoir passer sans y rester. On veut toucher à cette Déité des D2ités ok mais pour cela d'abord il faut arriver (ensemble) à traverser la "Rive Ultime", ce passage vrai (né ?) qui serait Le Passaghe des Fées ! ce seraéit parfait ! On essaire de traverser ensemble cet te sorte d'ultime pasdage  et pour cela, eh bien : fissa ! droit devant ! ne lambinons pasb ! cherchons ensemble à s'immiscer 

(nous immiscer) le plus possible sans trezmbler une sevconde ou même défaillir, tomber dans les pommes ou seulemùent faiblir ! Si on peut passer (arriver à passer) passons ! ne recvulons p^lus ! ne lambinons plus ! allons loin en roche pour en vrai chercher des solutions à une énigme qu'on se pose ensembvle ici ou làb , inciçdemment,. 

On est des femmes (deux femmes) dans la mort : pourquoi ? poirquyoi pas des hommes (deux hommes ?) ? Parce que l'homme lâche prise dès que mort ! son corps reste genré (dirons-nous vite fait) mais son "hominit"éé, ou sa "virilité"  ou son statut d'homme "velu" disparait ! l'hommemasculinité, à la mort, disparaiît à jamais ! l'homme est transition (ou éléments de transition) ;. De coordination, mais quand il est mort il est mort ! quand l'homme est mort (à sa mort terrestre) il est mort et disparait, peu à peu, sous terre (dans la terre des aieuxw-aiueules). Seukle la femme persisqte et de fait dure en tant que fée. Deux felmmes (ailes) pour une fée sur herbe ! On voit les néeénés ! les herbes et, au-dessus (?) des herbesz, les nénés ! On aime ! On adore aller dans l'herbe (et aussi "nos nénés" peut-^tre, peut-être pas, peut-êttre pas tant que ça ou même pas du tout : qui sait ?). On a envie d'aller enssemble jusq' au bout du bout du pré alloué à une mort humaine ou hominienne , et en vrai c'est exactement ensemble ce qu'on fait en tant que tra&nsformé 

(l'homme) en fée (deux femmes allouées à , de fait, un corps volant). On est arrivées comme serrées (l'une contre l'autre)) dans un pré et à présent on a super envie de nous en échapper, de tra&verser (re) la roche allouée (de type cloiszon) et vite fait nous rendre si possible (si possible sans trépassr) de l'autre côté, côté embruns, ressac, bruits de fond, mer de rage ou, sinon de rage, de quoi ? des âges ?. On eesaie enwemble de comptrendre au mieux les mots de base, ce qui est qui est etc., ensemble "toi et moi'" comme par la bande, si ça se pouvait ! si seulement ensemble on pouvait comprendre et toucher le maximum de choses aidant (chacunes) à (en vrai) nous dirige

r ou à nous guider jusqu'à la Vérité des Vériotés ! on serait aux anges ! on sezraiot ravies ! on ne démanderait pas davantage ! on serait aéux anges comme ravies, et du coup souriantes , vraimeznt charmantes, avenantes, vivement présentes et comme ... aimantes ? On est des femmes nues, cul-nu, qui (pour le coup) vont et viennent dans une praierie, courent à perdre haleine : hjouent. Nous aimons beaucoupbeaucoup jouer, nous trémousser, charger, nous amuser sur un pré, essayer de nous parler, essayer de nous comprendre, essayer d'en avancer dans cette chose d'une envie (grave) de connive,nces 

(connexions) entre nous deux qui szommes Ailes de roche allouée à une sorte de Déoité. On est nées sur pré femmes (ailes) dès que trépassées ! on était un homme, on mùeurt, on devient des femmes (de"ux femmes) allouées (elle$-même) à ... un corps de fée, c'est dingue ! pourtaént, on diraiot. On dirait vréiment que cette chose (d'une zorte de transformation 'upestre : transe et métamophose) est réelle, est tout à fait possible ici même dans le concret : est-ce que c'est vrai ? On dirait vrai:ment que, en mourant, notre corps d'homme (mâle !) se transforme (mue : une mue ?) pour ne laisser sur roche , en vie, que (de fait) la femme (les ) contenue(s) en lui. femmes allouées à une vie après la vie. On essaie en vrai ensemble de co:mprendre toutes ces données, ce qu'elles recèlent en termes de "vérité à jamais", mais évidemment que, en vrai, les choses, pour le coup, ne sont pas tranchées ! ne sont pas données d'emblée ! on doit chercher logngtemps ensemble dans la durée ce qui est en vrai, ce qui existe piour de bon concezrnant la mort, le paqszage à l'acte, les transformations ou les métampprphoses d'un type d'être dont le nom, à chasque fois, change, peut-être, mais les conséquences (disons : charnelles) sont les mêmes à chaque mort ou disparition, ou restent les m^rmes à peu de choses près. Un homme mort est un homme-mort : "devient" femmes. En vrai l'homme ne "devient" pas femmes, il libère deux fvemmes contenues en lui depuis sa naissance  ! Il laisse renaitre, et lui, disparait sans laisser d'adresse autre que celle du cimetière et c'est bien assez pour le repérer. l'homme disparait. La femme renaît ! enfin aailes ! on aime , on 

adore les fées, les ailes des fées. On est nées fée de fait, une fois l'homme mort et enterrré, bien fait ! On est passées ensembvke de l'autre côté, côté pré, et à présent on charge cherche à (comme) revenir en arrière, disons : re-traverser "la roche aux fées", roche dure des données de base du pré. re-traverser, comme "en arrière", ce qui est mais non ! il ne s'agit pas d'un retour en arrière. Il s'agit d'une avancée, à travers une roche d'enceinte, une szorte de sortie de cimetière. On a cru y rester, que dalle, on se libère ! on essaie ensembkle en tant que femme rapprochées, quasi scellées ensemble, (

lesbioennes) de se libérer, de passer, de sortir du pré , de sortir du pré et du coup aller mais

 où ? personne ne sa&it ! On veut comprendre eznsembkle loin, cde fait, un grand nombre de données de base et bon, peut-être, à la fin, on saura discerner le faux du vrai, on pourra comptendre, c'est)-àdire .. toucher aux nénés ? au nénés lactés ... qui sait ?

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26/8/2024

On regarde dans le même sens. on est accolées et (pour ainsi dire) jumelées. On s'avance ! On en avance dans les connaissances. on est ensemble accolées ou comme accolées qui cherchons ardemment à cerner le maximum (ici) de données concernant la roche, la paroi, le sens de la marche, les tenznts et les aboutissants concernant le dieu  des Données Lacustres. On y va ! on fonce grave ! on ne s'en laisse ni conter ni surprendre en vrai ! On cherche à entrer en roche incidemment, vivement, d'un trait ! On veut passer , et du coup on charge ! on tra cfe ! on passe ensemble le dos rond ! on veut coller grave aux données du front et du 

coup passer ! On dit qu'on passe ! On dit qu'on est passé ! On dit qu'on est à présent de l'autre côté et (pour le dire vite) c'est ici que ça commence pour de vrai (qui sait ?). On est entrées et on regarde autour de nous les données. On est pas toutes seules ! on est accompagnées ! buffles et bovidés divers ou autres bovidés divers ! onb mate ! On est accolées à une sorte de "pré des prés", pré aux herbes allouées à une Vérioté Verbale. On est entrées et on regarde. On mate ! On veut  / on voudrait comprendre ++++++++++++++++++++++++ ce qui est ici en termes de bêtes assoupies, 

frontales, massives et broutant sans cesse l'herbe allouée. On est cfomme nées à une vie nouvelle (dans la mort ?). On est nées en elle ! On est nées de fait en cette vie nouvelle ! On est cernées ! on est entourées, de bêtes de poids, de mots-bêtes de paroi. On regarde ce qui est autour de soi et quoi on voit on voit ça : la roche aux données, rotonde, paroi moite des données de base , vives clartés, et au loin une sorte de passage par où peut-être passer on dirait. On est Femmes de Rage ! Fées ! Fées en vrai ! Fées de l'être ! fées doctes allouées (elles-mêmes) à une vérité dite  "de rotonde". On regarde ensemble et du coup on cherche , à comprendre ensemble : ce qu'on erst, qui on est, ce qu'on fait là, pourquoi on est là, qu'est-ce qui nous attend devant, de quoi l'avenir (pour nous deux) sera fait, qui erst qui en ces contrées, qui mange qui (ou quoi ?). On mate grave ! on veut cerner les choses de la Roche , et (de fait) aller, ensemble, au plus 

profopnd à l'intérieur des connaissances. On est entrées ensemble à deux (il fallait être deux, et deux femmes qui plus est) et, à présent, on cherche à comprendre = toucher , toucher à cette vérité des Roches, au Données précoces, au Données frontalrs dites "de paroi", aux données Royales, Reinales, des Roches de La Loi. On est comme nées, ensemble, dans une paroi, fond de Roche. On est entrées de base , on mate grave et ce qu'on voit ne laisse pas de nous surprendre ! On vgoit quoi ? on voit des traces (sur roche) de sang facial ! Ouh ouh c'est un fait ! C'est fgort ! ça cogne ! ça envoie ! On y croit fort ! On veut cerner de Rage ce qui est en ces parois dites "de la 

Foi". On veut toucher ensemble la paroi du bout du monde, l'ultime Allouée. L'Emportée. On veut toucgher ensemble la Rotondité des Rotonditéds ! On est nées de base en  cette roche Fées, On est nées Fées de base en cette roche. On veut comprendre les données. Cerner de près. Faire ainsi qu'on puisse aller ensemble loin à l'intérieur des connaissances liées à un pré, à une sorte de clairière aux données rupestres, et , tout au fond, l'Anfractuoisté Salutaire, Passage en vrai au débotté, Fene^tre, clarté, bruit de Fée ou qui c''st, qui est là en vrai ? Qui parle ou chante ? qui est là derrière qui, peut-être, parle, nous sussure un 

certain nombre de données de base, chante a capella, fait des pas. On est nées de base sur paroi (ou dans) et nous voilà ensemble 

et nous voilà, ensemble (main dans la main) qui allons (fissa) vers la roche dernière, la Rotondité Salutaiore, l'emportée, la donnée dernière, qui elle est ? On ne sait mais on cherche ! On cherche à cerner ce qui est en cette sorte de clairière des données rupestres !haut les faits ! On cherche ! on ne traîne p;us ! On est accolées par le cul on dirait, et du cfoup nous voilà haussées , comme haussées à notte tour, pour cerner de près (ainsi soulevées) les données Hautaines ! On cherche ! On est Femmes des prés accolées, à une Déité de fond de Roche ! vivacité ! traits

 de fée ! chants doctes ! on trace à main levée ce qui est qui fi gure le vrai ! on y croit ! On force la donne ! on danse ! on est là chantantes ! On aime tracer, dessiner , graver sur roche ce qui est qui nous anime ! bêtes des prés ! données fines ! On court on vole ! On est fortes ! on colle ! On est accolées sur pré et on cherche cde fait un grand nombre de données donnéers, de xdonnées de force ! On est  nées sur roche allouée, à une sorte de Véroité dite des Vérités qui serait en vrai la Vérité des Fées et autres 

Vies Alternatives s(il en est. On est nées Fées sur pré ! On trace ! On 

avance ! On veut toucher à une Déité de bout de Roche. On est accolées. On est qui ? on est nées en vrai sur roche allouée à une Vérité des Vérités. On cherche ensemble de près à c  erner sur roche les données données et du coup à en avancer, à aller toujours plus loinsur ce chemin des données Actives Fines. On est Femmes des prés fines, on touche aux données, on trace à main levée à vol;onté, on est auusi activesz, vives, enjouées, sélectivesz, rudes d'attitude ou pas rudes mais costaudes

 et prêtes à (pour le coup) tenir sur pied devant l'adversité. On est Femmes des prés cernéeds et cependant on cherche à passer, soit trouver en cetteenceinte 

une sorte d'entrée (qui sait ?) vers un ciel de rêve ou toute autre clarté allouée à un liointain tracé. On cherche ! On est nées sur roche ensemble comme pour chercher, en certte sorte de Rotonde , une sorte d'entrée (ou de sortie) de vie. On est comme cernées par, autour de nous, la roche  -rotonde. On rezgarde ! On cgherche à passer ! à traverser ! à, de fait, aller plus loin en ces contrées, et à traverser la Roche Finale, la Donnée donnée des fins de roche : ce qui est qui nous fait face (adversité ?) et qui nous regarde ou paraît nous regarder il semblerait. on est là sur place allouées à une sorte de mission locale, celle de tracezr comme à main levé&ée la bête des prés de pasdsage, celle qui permet l'entrée on dirait, bête de charge et so:mité ! La tracer de mémoire et à main levée ! la graver de rage ! transe ! envolée ! grâce ! on dirait le frai ! On charge ! On est bêtes nous-mmêmes au tracé ! comme transfoprmées ! On veut comprendre = donner. Mais pour comprendre-donner il faut (il est bon de) cherchyer ensemble par où passer en cette 

sorte de Roche des Fées ! où passer ? on se le demande ! on est accolées ! On charge ! on regarde ce qui est qui est et du coup comment trouver ? comment faire pour trouver. Peut-être déjà se poser, souffler, faire un pas de côté, regarder aéttentivement ensemble ce qui est autour de nous qui nbous ressemble ou pas mais nous semble comme parler ou nous parler , qui cherchons ensemble à tracer des traits, des dessins de bêtes sacrées et autres fêtes rupestres engjouées. On est nées fées dès la mort actée ! O,n meurt un matin et on devient fée dans la foulée (= Elles). On est fées de Rage nées ensemble dans la mort des âges accumulés. On entre ! on cherche de fait (grave !) à) comprendre ce qui est mais comment comprtendre, toucher, saisir et cerner ? comment faire pour aller plus loin et "passer" ou comme "passer" ? cAr en vrai si opn passe on meurt ! Si par mégarde, ou malheur, on passe (ne serait-ce qu'un 

doigt) on meurt ! On est là ensemble deux (deux femmes) pour ... eh bé oui , misère, entendre = comprendre, ce qui est ! ce qui est qui nous regarde (nous concerne) au premier chef ! LA DONNÉE des Donnée ! Celle-là, qui se pointe en face quand on naît ensemble sur "Roche aux Fées" (ou dite "des prés"). On est entrée ! on a cerné ! on veut toucher toucher mais pour toucher toucher (y toucher) il faut avancer, pousser plus loin sur un chemin des fées, aller de conserve et tracer,charger, faire ainsi qu'on puisee gagner, sur roche, le sentier des vérités ! On cherche à comprendre ++, on est ensemble pour comprendre en vrai ce qui est ! On ne veut pas se laiisser démonter ! On veut gagner sur roche le sentier, le tracé; la voie allouée à une Vérité donnée. Qui on est ?., On est les Fées de Bas-Étage comme qui dirait ! On est entrée en tant que bête (homme gra-vé) on swe retrouve Femmes (deux vfemmes accolées

) à la retombée ! On est des Fées de base ! On charge grave ! On veut avancer , paqsser, durer, dire, cerner les chances, conduire, fermer,; comprendre-situer et donner-permettee une avancée du coup conséquente en ces prés aux charmes. on est femmes nées, femmes nées des prés ! on est femmes nées, femmres nées sur )ré ! on chante ! on aime chanter alors on chante ! on y va grrave ! on est femmes allouées à une roma,nce sur pré alloué à une Vérité Frappante. On cherche à coller à cette v2rité sans plus d'ambages si tant est. Qui on est ? on est des fées (de base) quyi cherchons enswemble (ailes allouées à une Vérité) l'entrée de passage, ANFRA CRTUOSITÉ de RAGE, tracé fait, trou de roche en vérité par où s'immiscer. Et pour cela .... fissa ! à l'abordage ! vélléites ! charge frontale ! bélier ! il faiut pousser ! pousser grave les entrées ! les divers pasdsages et autres portes "des données de contrebande ". On veut passer-pousser, et pour passer-pousser iol faut cerner ensemble pour le coup le b on côté (sur roche) au débotté ! On travce ! Traçons ! chargeons grave ce qui est qui est en nous bêtes des prés ! On va vers un trait ! on acte ! on veut toucher à cdette sorte de donnée de base, dont le niom sur place est "Déité gravée", "Romzance allouée à une Déité", " Chance

 des prés","vive Clarté au jugé", "Parade et autres Cavalcades pariétales données". On est passées sur pré, on voudrait continuerfr  ensemble ce trajet de base, ce tracé vers une Donnée autrement "Pre,na,nte" on dirait. On est fées de base nées sur place (dans la mort) pour en  vrai comprendre : ce qui est, ce qui vient, ce vqui va, ce qui adviebtnt, ce qui se présente, ce qui file, ce qui vole, ce qui se soulève, ce qui s'envole, lévite, fonce, monte, cherche à aller haut vers une sorte de "boyau" ou "espace-boyau" qui (en vrai) nous laisserait comme pouvant aller ensemble si jalmais par lui de l'autre côté , qui sait ? 

🤔

On regarde ensembke ce qui est ! On est accolées-acculées ! on est nées sur place en ce rocher des données rustiques, rupêstres, alpestres, chargées, et on cherche à cerner ce qui est. vivement l'acmé ! Qu'on y trouve des denrées-données, vives cklartés allouées à des sortes de données acides. On est nées fées ! on est (dans la mort avide) nées Fées à jamais et on le sait ! on est conscientes (ensemble) de cette emprise qui, sur bnous, bnous fait (fort, grave) de l'effet c'est un fait ! Onreste placides mais on est aux aguets ! On se tient un peu en retrait ! On ne veut pas tré-passer ! on veut demeurer. On est nées vives  , on veut en 

vrai rester aussi vives si jamais ou si possible ! On Veut ToUchezr toucher toucher toucxher toucher toucher toucher

 toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une V2RIté des Vérités à jamais = autre emprise !  cri ! saleté des saletés, on s'enfiuit ! on ne veut opas rester bouche bée à se faire berner par cette Déité des Données Vives, mais tracer, aller, fuir , courir, à grande enjambées, vers une autre frise, autres parades sur paroi gravée, charges diverses allouées à une  vérité-surprise, vérité des vérités ghravées comme p ar surprise sur paroi lisse . On est co:mme nées de rage sur pré, fées ! on veut toucher à une Vérité de mise ! On ne veut pas sombrer ! devenir vides , mais ghravir les marches de la Vérité et de fait se remplir de denrées ou de données faisant fonction

 de prises, de prises allouées à une envie (criante) de cerner (en vrai) les données données , et ce ssans lâcher prise si tant est en fait. On est femmes des prés (à la  retombée) qui voulons avanncer ou 

en avancer (ensemble main dans la main) sur pré et du coup comprendre les données  données de base, bêtes-mots de roche et de rochers, cris de joie et de colère non rentrée, chants doctes, chants d'effroi et autres chansons graves déclamées de vive voix. On croitpouvoir ensemble cerner en vrai ce qui est mais ce n''st pas gagné car pour comptrendre il faut coller à une roche "des prés", et pour cela ... il faut s'avancer, faire corps ensembke (deux felmmmes) , sauter et passer ! On est nées Femmes sur pré , on veut toucxher-cerner les données de Rage et cerner ensemble ce qui est qui nous regarde (on dirait) sans discontinuer. On est femmes des prés. On est n,ées sur roche à la retombée. Mortes-nées on est nées sur roche et on voit ce qui est : cohorte ! de bêtes de poids ! et autres tralalas comme gravész à main levée sur 

paroi (par soi ?). On veut ouon voudrait comp^rendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est ici qui peut-être nous regarde. 

on se dit que oui peut-êztre en effet pour comprendre il erst bon de s'avancer d'un pas, voire  deux. De faire en sorte que, cette voie , sur place, qu'on emprunte ensemble, soit la voie des Voies - qui sait ? On est nées fées parce qu'on est passées ! on est passées de l'autre côté et du coup voilà, on se transforme en fée ! ailes de paroi ! chanterelles ! on y va ! on aime ! on est bêtes des

 bois, des forêts, des champs de joie et autres prés allouées aux données de poids. quand on aime il faut gagner (plus loin) 

le chemin dévolu aux données Velues ! Qui on est ? On est des fées ! fées chelous des prés ! on trace (comme) à) main levée sur place, en tant qu'on est ... des fées des prés ? Qui saiot ? on essaie ensemble de comprendre et, du coup, s'avancer ensemb le, tracer , chercher à percer, cerner, toucxher la Base ! la Donné des Données de RAge. On est accolées ! on se colle grave (ici : paroi) l'une à l'autre en vrai. On veut toucher toucher toucher toucher à cette Donnée grave des Données, et tracer ensemble (vite fait) en transe les effets, les vifs effets, les tracés, les mots allouész à une prise, Chants des fées, vives

 aminosités et autres rancoeurs rentrée. On est "Fées des Prés" sur pré, on est chargées, on vo:le, on est nées sur roche pour voler ! On est des Fées vives ! On est accolées à une roche de données diverses et autres faits vrais . Qui on est ? On est ... eh bé oui : des fées  ! gentes Fées de base on est passées, on est entrées (rotonde aux données) et, on cherche à , comme qui dirait, nous retirer ? on ne sait ! on cherche ! on  veut toucher ! toucher est la vérité ! toc et toc on est p  

âssées et on cherche ensemble,  à gagner la rive, l'autre rive (si tant est !) et pour ça on file ! on y va ! on ne lambine pas ! On veut comprendre ensemble et tracer de près, ce type de données royales ! On veut toucher ensemble les donées don,ées du bout du bout du monde alloué à une vérité massive ! on est né'es d'une rage  active ! on est  passées sur pré ! on est nées à une rive vive ! chant doté de mots de friche ! On est accolées et on chante ! On veut cerner e,nsembvle (via le chant ? la romance ?) les données,   et , en vrai, ça se pourrait ! Il bnous suffirait de fait de ... soufflezr = respirerr ? On ne s ait mais on est (méga

) actives en vrai dans le genre on dirait, on file ! On est fées des Rives ! On veut durer ! cerner = toucher. Toucher = dire. Dire = accentuer. Accentuer = tuer.  Tuer

 = vivre . Vivre = comprendre lles données données par, ici, une rive a&llouée à une sqorte ... d'enceinte solaire (il semblerait). On est femmes vives dans la mort active ! on veut cerner = vivre ! saluuer laé frise , les bêtes enchantéesz, les données rupestres en forme de bêtes ! Car on est comme elles : fées-bêtes ! On cherche (pour de vrai) à être des (ensembvke cernées) qui (de fait) voulons grave graver, (en fait) ce qui est qui est qui nous fait face et semble nous "parler" en toute confiance de connivence. Mais ... 'st-vce vrai ? sommes-nous leur chance ? avoçbs-nous pour elles de quoi satisfaire (incidemment) leurs drîoles d'ardeurs conséquentes ? On avance ! On trembke ! On cherche à pour le coup comp)rendre e,nsembke ces ardeurs, ces vivesz envies et autres vifs désirs de type sexuels ancrés, tracés, marqués -accentuées en ces bêtess massives qui (toutes) broutent que tu brouteras  ensem ble en ces prés aux données actives comme des denrées et autres vivres 

déposés aux pieds de Déité l'Acmé ! ;On est vives fées ! chances-nées ! On court vite ! on file ! on ne lambin e pas (jamais) tant qu'on est "libres" de nos gestes alloués (ici) à une Envie de Verbe ! On est filles des prész, femmes enjouées, colère et tracé, on veut toucher à une Déité disons

 Lascive ou sinon lascive massive, ou sinon massive passive, ou sinon passive gracile, ou sqinon gracile active, ou szinon active acide , ou sqinon acide placide, ou sinon pl acide  massive ... et ça recommence ! on dans e ! on veut être des (ensemble) qui (en vrai et de fait) dansent que tu dansezras ta Romance' (ou sur ta romance) sans (ou avezc ) les bras ! danse slave ! danse de paroi ! charge de pas ! danse en traénse ! caillouttage ! On est femmes dites "fées des données de base". On aime aller ensemble sur paroi, à la recherche (ensemble) d'une sorte de Romance Grave, charge mentale, bleus de l'âme, une cxhatte sur un toit brûlant, chien ou chat de race sur paroi, va-et-vient vivace, tralala et a&utres falbalas sur bande; ion est accolées (de rage) pârce qu'on s'aime, ne cherche pas ! Ce qu'on est c'est ça : la bande ! bandana ! charge de France;, doigts  des Rois et reines, Reines et Rois ! on veut cfomprendre , et ces reines et ces rois de base. Qui sont-IELLES en vrai ? Fées Des V2rités ! Croyez-vous aux fées ? vous devriez ! car les faits (

de base) néissent en vérité (au nez et à la barbe d'une Déité) sur "terrain advesrse " (qui le sa it ?). Fées = fées des Fées = Fées actées en ce cimetière des données rupestres. Ëtre = faire ! On pousse (sur roche) ensemble les données qui

 toutes sont (de fait) à pousser ! On veut t(oucher = dire = faire = cocher = comprendre , les deonnées du VErbe ! on naît ! On naît ! On na ît ! on ,naît ensemble par le lait, l a chance, la romance, le passé xdonné-déposé, les branches. qui on est ? On est bêtes de pa roi de Rage. Charpentées,massives et (plus ou moins) dures au toucher : non -fées ? fées ? On est passées ! on veut toucher-toucher = y toucher = cerner-comprendre = considérer et juger ce qaui est qui pourrait en  vrai (tr ès certainement) nous en apprendre à satiété ! Car, en vrai, la Mort  est ... XSATIÉTÉ ! , on le sait ! On sait très bien (à présent) que (en vrai) la mort est satiété, tourment c'est un fait mais également "satiét é" ! on veut toucxher ! On veut

 touchert-donner ! donner du blé ! oseille allouée ! bretelles ! le passé et le présent sur herbe, les tourments mais pas seulementn  : tout ce qui est qui en vérité fait ou ferait de l'effet, brillerait, en imposerait, fezrait penser que ce qui est ici donné (Vie Vive) est vrai , quand en vérité ... tu penses si c'est vrai ! Pacotilles que la vie donnée (le Passé) et rien d'autre dans un premier temps q'on voudraitb (de fait) voir durer indéfiniment. On esqt fées en herbev (des herbes) et on volette

 ! on adore voletter ;! on aime léviter ! oh, on a&dore ça , léviter, monter, se hausser, grimper, toucher à ce drôle de firmament alloué à une sorte de donnée murale,donné des données. On veut : comprendre, dire, toucher, aller, cerner, pisser, donner, chier et pisser et aussi aller, faire, produyire, considérer, consigner, promettre, poussser, mettre, faire figurer, dessiner à main levée en transe l'animal des prés sur roche "imberbe". dessiner la bête et le pré (l'herbe) sans fraisz ! On est bêtes nous -mêmes (fée-bete) et on trace ensemble de près les données offertes (en vrai) par la bande (nacré / sacrée) des données actées diteexw (

pour le coup) "de contraebande " ! c'est un fait ... on bande ! on bande puis on naît ! on naît (au passage) Femmes (Fées) aux données données (de type bêtes-poids de charge : bisons, bisonnes, buffles, buflettes, chevales trac&és, "belles-bêtes", ....). On est allouées à une sorte de donné&e tracée à main levée pôst-cimetière ! à moins qu'il ne s'agissee d'herbes ! d'herbes des prés comme fauchés ? On est des bêtes belles on le sait (poids des Rois et Reines) mais voilà , on veut bien peser (grave) d ns la balance, figurer et faire son petit effet, il n'empeche que, voilà, on veut ensemble (pour le coup) con,&aitre pour de vrai la transe ! danser les mains levées , tourner et sans cesse tourner sans trezmbker ! faire-dire ce qui est en dansant sur pré x et x romances charmaéntes ! On veut comprendre = toucher et cernezr et du coup peut-êztre peser, mais commentb peser ? comment faire pour peser et en imposer , faire ainsi que l'Autre nous considérât comme ... non-ratées ? On est posées ! On est pauvres ! on est pas friquées ! on est nées pas friqées donc pauvres question money , tu sais ! On veut toucher toucher toucher toucxher toucher toucher à cette chose, d'une sorte d'envolée rapide, vive, d'un tracé sur roche (on dirait) vers déité : est-ce vrai ? on 

colle, ensemble, à la roche. On fait tout ensemble (on est collées). On ne l$ache pas une seconde. On est bêtes (des prés)"femmelles". FEMMES DES PR2S ON EST NéES ! FEMMES ON EST DES PRéS N2ES ! oN est des femmes des prés, fées, femmes,

 nées sur pré, en forme de fées . On est fées-femmes tracées gravées par (il sembleraiot) des êtres (de néandertal ?) qui auraient été (de fait) soulevész, en transe, en lévitation, par les fées de Saison, fruits de la passion, denrée zucrée comme du lait. On aime le lait ! On veut toucher à une vérité gravée et ne pas céder; On veut cerner ce qui est et du coup tracer un certain nombre de dsonnées lactées (frai, sexe et pamoison°) . On aime ! on veut grave a&imer, cerner, passer, ne pas y passer (trépasser) ma&is passer, à l'occasion, qui un doigt de pied, qui le 

nez, et cerner (de près) les données données de cet auttre côté d'une sorte de muret dont le nom , en fait, est : ... CORNICHON !

 Nichon ? oh , qui sait ? Qui sait ce qui est ! On imagine ! on se fait le film ! On est nées vives et on se fait 

le film ! que penser ? comment se retournezr ? comùent dire et aller toucher ? On est femmesv szur pied (massives) qui fonçons tête baissée (bélier) vers c ette Déité Frappée qu"ion dit lascive mais en vérité c'est pas tout à fait vrai il semblerait ! On est mises et prisesc  en Fées, et du coup dqu'est-ce qu'on fait ? on vole ! grave on y va ! on veut toucher de base, et donc voler = léviter = monter en cette "cave", à parois (ornementée) des parois. qui on est ? Filles ! filles des blés ! filles nées (sur roche) àune vie comme surajoutée, surnuméraire et szoulignée par (va savoir) telle déité qui (peut-être) existerait de mise sur paroi gravée ou dessinée. On cxhezrche une entrée sur roche tracée. fond du fond on  veut toucher, entendre, comprendre, ressentir. On dirait que (qui sait ?) ce passage, juste là, devant soi, est passage d'une vie de gharde ! vraie de vraie ! On regarde . On est nées filles (dans la mort) on veut (on voudrait, qui sait ?) le rester à jamais, soit continue"r (de rage) à ^$etre filles ! filles allouées à une destinée de vie, à destinée en propre, de vie vive allouée à 

une roche (paroi) du monde. On voudrait (de fait) aller loin e,n cette "Cloison des Cloisons" ! Passer ! Passer de l'autre côté ! côté "embrunsz", "plage", "bruits de fond", cri de bêtes sardes ! on est fiilles (femmes) sur le pond ! on trace ! on est faites de son on dirait : cris de la passion ! on grave ! on chante ! on crie (oui) sans cesse, sans traîner; on est nées de ba&se Femmes dans la mort et on romance ou romancerait grave ce qui est en vrai, on sait. On veut : passer, passer sans y passer ! chargeons ! filons ! allons loin ! creusons ensemble ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ la roche brunie ! On veut grave ensemble comprendre ce qui est ici qui nous regarde, et du coup cerner la Romance aux Données Données. On aime travezrser la lande : on le fait ! on trace ! On avance grave . On est nées Fées comme au passage et ça le fait en vrai ! Fées on est , qui cherchons passage (au débotté) au fond du pré(par où passer sans se démonter). Qui on 

est ? zh bien peu-être des fées, fées-femmes qui cherchons ensemble à (au mieux ou pour le mieux) figurer ensemble sur roche gravée, dessinée,au nez et à la barbe d'une (sorte de) Déité de Charme. On est fées nées au passage (tête adjacente). On aime tracer (filer) , du coup on fonce ! on y va gaiement, on montre. on aime mo,nter, se hausser ou nous hausser, grimper, se soulever ou être sqoulevéesz, charger (tout en -haut des dunes) les données allouées à une sorte de ... "passé donné" ? octroyé ? déposé comme à l'aventure et on se prend ensemble à rêver, que la vie pourrait du coup durer en vrai une éte"rnité ! on est fées de rage qui aimons

 danser, en transe (ce qu"on fait). On est déposées ! posées ! chargées de mots de  base animalierrs sur roche. On aime allerensemble et combiner, alterner, chercher à pour le coup se démerder ensemble ou par'fois séparéement, mais en vrai jamais tout à fait : on est accolées ou cfomme accolées dans l'instant si jamais ! dans le temps accolées sinon dans le pré ! on est collées ! on aime toucher, dire, pêrcer, chercher à trouver, 

comprendre ou faire- dire ce qui est en vrai , et a&ussi le reste : fauusetés, vivfs mensonges sur pied, genres déposées en branle, corrosion des données de base, fausses-clés de contrebande. On est come cernées ensemble par des sortes de données de type "vies a&ctives allouées" , quand en vrai les données données (par nous déposées) ne sont pas "vraies" mais "fictives" : fruits ! on est comme allouées à une vérité des prés dont le nom est : fée ! on le sait et on y croit fissa ! On est nées au passage, au débotté de la paroi des prés (ou dite des prés) ! on voit ça, qu'on est nées de rage ensemble à toi à moi come à la parade : ça y va ! ça gagne ! c'est coriace ! ça ne lambine pas ! ça cherche sérieux à comprendre les données de base sur paroi. "qui est quoi ? qauoi est qui ? et autres romances" ! On est nées pour être (dans la mort) des fées (défaits, et du coup des fées ) et c'est ce qu'on est ! Fées d'auge ! ftées dorées ! Fées de base morte mais vas-y, regarde , cherche à comprendre ! elles sont nées ou bel et bien nées ! on adore ! on est fées des prés chassés ! on a&ime aller, tracer et cerner, pisser et caguer, cernezr et douter, prendre et a&llouer, filer à l'anglaise, ne pas nous décourager, percer les mystères de la Charité, pisser peut-^tre, et aussi chier, mais aussi s!uer, perler, mouiller, comme des bêtes ! On veut toucher à cette SATIÉTÉ de Cimetière (?) qui auréit de fait mainmise entièrement sur les dfifférentes données données par l a Terre, Terre-Mère, 

Donnés des Données. O0n est néeees de rage Verbe (herbe ?) et du coup on devient Fée , ou peut$$êtree FEmme-Fée szur HErbe, qui voulons comprendre eznszmble ce qui est en ce's murets de rage, "pariétales" et autre parois dite "de la foi". Quand on aime on dit qu'il faut tracer ! 

Quand on aime on dit qu'il est préférabkle de tracer ! 

On veut dès lors tracer, graver, dire, montrer, chercher à trouver (dans le dictionna&ire ? ) une définotion ancrée, certaine, avéré , au mot "cimetière" (ça nous aiderait un tantinet ... peut-être). on est comme nées fées sur herbe ! fées des fées ! ça le fait ! la peiine, la guerre, les diverseds monstruosités de l'être, les méchancetés, tout ça : du balai ! la fée desz fées sait faire ! se débarrasser de ce qui est faible e"n termes de données données de (pour le coup) vérité ! cherrchons plutôt à (ensemble : soudées) co

:mprendre ce qui est de ces contrées "hors cimetière" si tant est ! mais le "hors-cimetière" est-il (de fait) qui serait en vrai ! y a til des endroits sur terre (à la longue) hors cimetière ? on ne sait ! qui sait ? qui conna it ? On est femmes-fées des prés, allouées eznsemble (accolées) à une vérité de base, genre "donnée des données". On trace ! on cherche ensemble à en vrai tracer, sur roche, un chemin de halage (des prés) si jamais. On est femmes touchées et ça fait (parfoisz) chier ! On est femmes / fées-des-prés touchées ça fait chier quand on ne veut pas l'êttre ! sidérées ! frappées des instances ! acculées !  ça fait grave suer ! On entre ! on entre par un trait sur roche de passage ! On est néezs fées et on trace ! On file grave ! On veut aller-donner, toucher-tracer, faé ire-donner, dire-coller, choquer ? Ancrer ? colmater  ? Consulter les fées  ? On compte les données données sur roche : on est étonnées du nombre ! On est accolées et a&cculées ! On fonce ! On veut toucher-toucher à cette déité aux données données de type Vérités de Cimetière (à jamais). On est faibles ! Fées des fées on

 cherche à en vrai découvrir ce qui est qui est en ce cimetière aux vraéis effets.  Qii on est  ? on est des fées dites "de base motrice", on court on v ole avec hélices ! on lévite ! Haut les coeurs chauds ! on lévite ! on va haut ! On monte sur un tonneau, une sorte de guimbarde. On veut voir d'en haut de base. On est faites pour en haut y voir , et tracer a&u cordeau les données frontales, telles qu'en vraéi elles semblent cvouloir (peut-être) se donner à nous, qui voulons comptrendre et tracer. On est femmes sardes ! sardes  et salées ! on est femmes salées , sardes et nacrées

 ! nacrées comme le passé (ou dit "passé de sarabande"). On aime ! on valide ! on adore aller d'une rive (ici : avant -sc!ène) à une auttre , là : après-scène. Ça y va ! ça draine ! ça cocotte ! ça fouette ! on sent la toison reine, le poisson, la mer de rêve, les melons, les champigons, le sable sur grève, les traines. On est femmes sur monts, charge d'âme, alluvions, semence, cornichon (nichons ? ) sur panse ! On compte les tétons ! on est FEmmes sardes et on comp)te ensemble les tétons ! On est sur place eznwmble pour en vrai le pluq possible chercher à comprendre et aller (fissa) au-devant de soi, pour :

- comprendre'

- toucher 

- aller 

- pisser

- chier de connivence

- comprendre oui, les do,nnnées active's (vérité) qui expliqueraient le pourqauoi du commentJE est passé, comme un tourment dans une frise. JE donné sur grille : chants -tourments, sentiments, pleurs tristes. On est prises ! Vies des vies comme prises, soumises ... et ça fait chier ! On tente à notre tour une sorte de prise, qui pourréit (au p azsage) nous aider à (peut-être) nous éloigner de la Mort-Déité à jamais ! On est femmes ou filles / Fées de rage. On veut toucher ensemble à (ici meme) des données de base, poids de choixs , romances cracra (peut-êttre) ou pas : ça 

se voit. La Rage est là ! qui, on dirait .... fait rage ! ça y va ! on trace grave ! On veut ensemble en tant que femmrs (fées) comprendre les b ases (ou les données de base), vérités ancrées (toutes) dans la masse ! qUi sait si en vraéi on peut y arriver, si on pourrait ? Ça le ferait ! ça serait sympa , de fait, que ça le fasse un t§antinet, qui sait ? On est nées fées sur place (ici la mort) à la "retombée mausszade" ! on est nées fées sur paroi au p âssagge ça le fait ! On voulaéit comprtendre ce qui est et , au bout du compte, il semblerait qu'on puiise (en effet) comprtendre, un paquet de choses de près, en forçant la donne ! qui on est ? des féesz, c'sst un fait ! homme défait devient des fées en nombbre (= 2). On est fées nées, sur base "mortelle". qui on est ? xdes fées ! On s'aime ! On veut s'aimer ! On ne veut pas se laisser aller ou 

nous laisser aller à rien glander en termes de recherche de données actées, mais tout au contraire ne pas s'arrêter à chercher, chercher grave, ici et là, toutes les données (possibles et imaginables) susceptibles de nous éclairer, en ce qui concerne... la lande, le pré, les fleursq alllouées, les bêtes de masse, les bêtes-mots et les mots-bêtes, le temps qu'il f

ait. On est des fées de contrebande on dirait ! tirées, poussées, bousculées ? On fait face ! On veut demeurer ! ne pas se laisser intimider , ou ne pas nous laéisszr intimider ma-is tenir tête, le front haut, tue-tête ! faire ainsi enwsemble qi'on puiise comprendre, les données rageuses, la Foi en  cette lande entre deux parois ! La Rotonde est là (poitrail ?) : on y va grave ! On charge ! on veut ensemble comme un fait exprès cerner-comprendre l'alloué, le composé, l'e patent idoine , le chargé et l'exposé. On ne sait qui croire ! le placier ? le père Frappé ? l'entourage du père Frappé ? l'antenne aux nénés ? Le cimetière ? On est cfomme

 cernées de base par des faits qui , s'accumulant, fondent un paysage de firmament, ou sinon de fir'mamant de base, paysqage sage, champs ! champ des tourments ou dit "des tou'rme"nts". ON veut ensemble (toi et moi) comprendre les données active's,foi, Cri, charge, religion des parois, dessins doctes, prix d'ami, délivrances. Onj veut comprendre ensemble cette délivrance. On veut ensemble aller (si possible loin) à la recherche d'une vérité "intense". qii o,n est ? des nénés ? quéqués ? ... chr(ist assoupi ? On cherche e,nsemble. On aimerait grave comprendre, ensemble, ce qui en vrai ici (paroi) se trame de concert et semble (peut-être) vouloir, comme nous attendre pour nous dépiauter, nous faire chuter, nhous surprendre et nous blesser comme à jamais. On est fe"mmes)fées des prés, on aime s'aimer sur la lande, en tant que femmes ensemble (se toucher). On aéime se "gouiner" de rage ! farce ! confiance ! on s'aime ainsi ailées ! Fées de France ! On aime s'aimer, s'aiguiller, se lover, se former en roche ! être bêtes des roches soudées ! coller à cette 

cxhose d'une szorte de donnée un temps morose mais 

pas à jamais ! les choses szont ensembvle, qui s'affrontent, se corrompent, se fronce nt et tombent, changent de parois, de visages et de traits (de base) sur roche il semblerait. On rst là ! toustes prises, parle cul, la rage, le tracé nu, l'emphase ! mille vertus font le cul de l'âme ! de l'âne ? on entre ! on voudrait de fait ensemble se loger en cette szorte de passage à même la roche ici imberbe. On aime assseez se dire que voilà, la roche, dite (donc) imberbe, est roche nacrée = sacrée ! on cherche ensembmble, sans tra&îner, ce qui se pourrait. on est femmes des prés , des cimetoères, des données sur les êtres alloués (de fait) à une Déité, celle des Prés. On veut ensemble e,n tant qaue f"mmes toucher, prendre, sitruer, deonner, percer, passer , connaître les données données où elles sont en vrai, charger toison, pisser sur le pont, caguer sans raison ! On est fées nées sur le ponton ! pisson-chions et laissons ! On aime, et pisser et chier en rond, autant qzu'on est ! c'est couillon peut-ettre mais c'est vrai ! ORAISON ! CHAPEAU MELON

 ! CARGAISON DE DONN2ES ALLOU2ES À UNE PASSION ! ON adore donner, percer, comptendre, se lover et s'allouer à une sorte de raison de garde, rationalité de 

façade ! ça le fait "bonbon" on dirait, même si c'est pas vrai au fond ou pas tout à fai. On compte les moutons ! on s'endormirait. On est collées et accolées. ou accolées et en vrai collées. Femmes-fées on est, qui cherchons TOISON (d'or ?) des temps "percés ". On est tracées sur rocxhe, faisant fonction de données de rage. 

On est fées de RAge ! On est fées des prés ! On charge sur roche percée notre szorte de ramage ! bois des ors ! tra&its du sort ! On veut s'aimer sur prés, se toucher, se doigter, se caresser, se faire x et x choses ensemble sans traîner ! se bercer, pelotter, toucher de près. S'aimer fort (se lécher le corps) . s'embaumer ! se molletonner ! S'emballer comme un mort ! S'aimer fort = s'embaumer on dirait. On veut creuser ! Faire et donner ! charger, permettre, toucher et aller, dire et porter sur roche les données. On est fées dde base femmes allouées. Cris de nouveua -né ! Onntrace ! On vioudrait comprendre ensemble ce qyui est qui semble se pointer sur place, faire son effet, se montrer et nous d'y penser. On veut

 aller ensemble par le pré chercher Romance, Chants de Fée, Parades chantées, Cris des Prés, Sortes d'enfance. On est nés Fées en tant qu'on est; On veut ensemble ici comprendre les données, en faisant en sorte (de fait) qu'on puisse tracer (sur roche) ce qui est qyui nous app&raéit. On veut chercher (et du coup si possible trouver) ddes vérités qui puissent nous aider à (en vrai) comprendre ce qui est, ce qui se passe , ce qui est qui se passe ou se tra&me en termes de passages (dits "au débotté") de vie à trépas ou quelqaue chose de cet ordre -là. On est nées (dans

 la mort : au passage) fées ! soit dédoublé ! on est homme défait ! dédoublé ! fait 

femmes au débotté (ici) au passage = fées des fées , qui cherchons Romance à déplier, donner, lisser, comprendre, tracer, déployer, dire et poser. On est des fées de contrebande. On voudrait ensemble savoir composer les chants de "la chance", les données de g arde et autres chansonnetes haletantes. On est des Fées "de passage" ou "au passage", féess du passa&ge, fées ainsi formées ! On aime passer, traverser "la Roche aux Fées ", comprtendre les doné&es de base. Aurochnoïdicité de Rage ? on ne sa&it ! on trace grave ! vivacité et pugnacité font très bon ménage  en vérité. Le soleil est haut qui semble briller pour nous inonder de sa douce chaleur animale ! on aime aimer ! on aime tracer et toucher les bêtes dees prés : buflettes à jamais, buffle sablé, chevaux des prés, charge-bisonnnes et autres bovidés dits "de saison" comme les fruits de la Passion. On aime s'aimer (aussi) de saison (en vrai). On cueille les baies. On est Femmes)

-Fées sachant chasser. On se colle ensemble ici au débotté au cul en vrai l'une de l'autre, à ne pas, jamais, s'éloigner (pour le coup) l'une (la lune ) de l'autre (le soleil). On e'st des fées faites fées par (en fait) un coup de lune ou de Soleil il sembvlerait (ça le ferait) .On VeUT cerner ce qui est pour de vrai afin de mieux comprendre  les tracés de rage. On est fées de base, chants royaux, reines des prés, pesage et montrage. quan,d on aime il fait monter haut (sur place") par la bande ! creuser ! chercher ! prendre ! craindre ! coller ! cerner ! ALller loin en ces contrées dites "du cimetière" alors même que ce ,n'est pas vrai ! elles ne sont pas "du cimetière" mais post-cimetière on dirait. On st nées toutes post-cime'tière en ces contrées. On est accolées qui voulons cerner ce qui est, qui serait actif, vif, et saurait nous indiquer la voie (

le chemin) la (le ) plus propice pour nous aéider à (peutêrtre, si jamais) cooimp rendre où tout ça (la lune, le soleil) pourrait nous mener. On est femmes de la Foi dans l'Âme ! Fées des Fées aux données de Rage ! On passe ! On veut comprendre ensemble (accolées) ce 

qui est, qui sembvle nous aller. on entre ! on est entrées (de base) en tant que fées (au passs ge) et on trace , on fait son effet, on court on trace ! on est comme nées a&u nez et à la Barbe d'une Déité attitrée à un Passage nommmé, marqué, signalé sur bande, allouée ! On éime s'aimezr . On veut tracer. On veut pousser de ra&ge les donnéesz, les avancer, les signaler, les tracer sur roche allouée, les faire monter, les hisser ! On est fées d'entre" les fées. On veut comprendre ensemble ce qui est qui pourrait nhous aider à cerner plus avant (encore) cette histoire de fait de romance allouée à une sorte de passage "au déb otté" (de vie à tré&pas). qui on est ? On est des fées. On cherche à cerner ensemble les faits. On veut cfo:mprendre -toucxher = dire et faire à jamais une sorte de tracé qui szerait de fait l;e dessin en vrai des données avérées, concrètes, concernant la vie allouée à la mort, l'entubage-né, la chose sur pied, l'import. On est nées fées dans la mort (ni plus ni moins) et ça se sait. qUand on meurt onpasse (de rage) d'un port, à une sorte 

de cloison  des ors. ors des fées de Rage. Ors des morts. On porte Ramages ! Cadrat d'ior ! Ors de Rage. Ors des ors. Façade. On aime ensemble (fées) coller à ... eh bé à cette sorte de Paroi des Rages ! La Paroi de l'or sage, mage, passé . On cfompte les faits. On est passées près d'y passer à jamais ! On est fées des RAges Vives. On aime aller ensemble d'une rive l'autre, s'époumoner à force de chanter, gueuler, dire nos vérotés (nos 4 vérotés) , souscrire à une sorte de Passé tel qu'il se seraéit déroulé en vrai szur roche allouée à une Vérité Ancré de type Religiosité . On e'st nées sur pré , filles-fées de contrebande un peu chahutées, ensemble, on sait se lover ! se positionner ! comprendre ! sonder ! toucher et 

passer près ! se donner ! aller sur pied jusqau'au pied des Tra&its dits "des Déités Allouées à un Dire Doré comme les blés". on est fées accolées à une sorte de pré aux fruits déposées. On court on vole. On dirait en vrai qu'on vole ! et peut-être qu'en effet en vraéi on vole ! On va haut sur Roche ! Tonneau ! on est ivres mortes ! On aime le Beau ou Bel Alcool de Peau. on est filles des prés, fées nées, on est assoiffrées ! on aéime (en vrai) le Beau Vidé ! On veut trouver, cerner et toucxher, comprendre un grand nombre de données,sopnder, permettre, charger et coller, ensemble (toi et moi , à toi à moi, à la 

une à la deux), à la paroi finale (terminale) d'une enclave. On 

est passées de l'autre côté, nous voici dès lors, avec l'envie de travezrser en son entier cette sorte d'enclave tracée, ancrée, qui seraéit une sorte de pré dit "des prés ... et des  charges mentales". On veut cfoller ensemble (nu pieds) à la lande. On marche en sandale  ... non, sans sandales ... on marche pieds nus sans nu-pieds, on est nues ! on trace ! on est fées ! on est velues ! on veut toucher , comprendre, cerner et pister. On veut chercher ensemble les données données te'llrs qu'elles se présentent. on est accolées de rage pour ce fait : comprendre-toucxher et du coup aller ! filezr ! foncer ! chercher ensemble si possible (en vrai) une vérité comme stipulée ! qui saura ou xaurait nous aider sait-on jamais ! On est fée des fées. On veut cerner-toucher ensemble les données telles q'elles sex présentent (de rage) devant nous , le temp)s venu. On est accolées, velues, nues, pieds nus, sans sandales .On  v eut 

: comprendre vif, charger fort, aller loin, porter haut, cerner de prèsz, szignaler sans traîner, coller &u plus juste, permettre un toucher

, contraindre à se lover, activer en vrai, une Vérité des Vérités telle qi'on aimerait à jamais pouvoir (si possible) en hjouir de fait, en cette contrée, sous le vent buffant, ici, en ce tourment. On est Fée des Fées de La Rage nées, nées pour être, faire, dire, combler et donner ! On est fées comme nées d'une Rage d'ëtre , sous le vent, poussée à Faire-Dire ce qui est qui est, qui serait Le Mot , La donnée Verbale Allouée (de fait) à une Timballe, celle Des aAFFaires "sales". On colle aux données. On cherche ! On veut trouver-cerner. On cherche à cerner-comprendre : qui on est, qui on est pas, ce qu'on veut toucher, ce qu'on ne veut en aéucun cas toucher, ce qu'on est pour soi, ce qu'on est pour les autres que soi, ce qu'on regarde en face de soi, ce qu'eon voit, ce qi'on ne   voit pas. On avancev pas à pas. On trace sa voie . 

On est Fée de base allouées à une Voie De Rage. On est là ensemble accolées (femmes) pour comprendre ensembvle la paroi, le Roi, La Donnée de base, la (ou les) Donnée(s) Docte(s) et autres Chants Malins ; la base, le rampant, la bande, le Prince de Séant, la Balle. On regarde . On est nées sur pré dès la mort actée (au passage du pré). On colle grave ! On est comme défait au passage et du coup 

transformé en fait en fées de base. Qui on est ? dans la mort ? des fées ! fées aux ailes d'or ! On est passées ! on a traversé vite fait la Donnée de base et du coup nous voiçci comme ailées , soit munies d'ailes de fée comme en vrai (on croit rêver ! ) On aime les féesz ! on cherche à cerner ensemble ces fées ce qu'elles sohnt en vérité opur notre gouverne ou ce qu'elles seraéient. On aime les fées comme nousz-mêmes (mais en vrai : s'aime-t-on ? o u s'aime-t-on autant qau'il paraitraéit ou qu'il le faudréit ?°. On est femmes accolées car voilà, on a traversé (ensemble) le "pont", la charge allouée à une parade. On est fe'mmes des prés et fées de base ! on est collées de r age à u n e sorte de "guimb arde" aux dopnnées "étranges" on dirait . Que sont ces données ? desbases allouées à un pré ! Gentes dames : buflettes nacrées, bisonnes charmées, chevales des fées, bouquetines 

ancrées, ourses des p)rairies et du paradis, lionnes allouées à une vérité chargée, biches accolées. On est sur pied. On veut toucher à une sorte de paroi donnée. On veut ensemble si possible aller au plus loin des données allouées à une vérité, rupestre, du genre "buflette". qui on est ? on e'st de s fées de Rage touchées par (peut)être) une grâce, à être des bêtes ! On court on vole ! on monte ! on s'érige ! On a envie de vivre ensemble en cette sorte de prairie notre vie d'infante sage ! On ne veut pas mourir ô grand jamais ! on veut vivre pour toujours ! ne pas trépasser ! aller ! charger ! donner ! coller ! dire ! pousser ! comprendre ensembleb les données tracées (szur roche) à ùain levée , pâr quelques êtres des temps reculés . on est nées szur roche Fées, la mort passée ! On est Fées, nées, de fait , la mort venue (passée) à jamais ! Fées d'entre les Fées nues ! On est nues de fait parmi les Fées ! On s'aime nues ! on se veut nues ! 

on aime être nues ! on aime toutes deux êztre nues, du cul, l'une pour l'auttre, sans arrêt. On aéime toutes deux être nues (

complètement) l'une pour l'auttre. On se plaît nues ! on s'aime (zinsi) nues ! On adore être nues et se balader nues et se promener en ces contrées nues, complètement

 nues, sur un pré, au miieu des bêtes des prés, bêtes nues elles aussi quoique velues, alors que nous ... pas autant  velues, quoiqu'un peu poilues, voire (parfois) beéucoup poilues, selon les moments , en vrai, de l'année. Car, par moments, on est plus poilues du fait que voilçà, ça pouusse, très !

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23/8/2024

On regarde ensemble dans le même sens et on s'interroge. On aime comprendre et tracer. On est deux. On est deux pour être , pour ainsi dire, celles qui pourront dfe fait à lea une à la deux traverser la roche. oON se doit de traverser et du coup on trace ! on fonce ! On y va de concert

 car voilà, on s'aime ! On aime aller ensemblee à travers cette roche dite "des embruns". On se doit ensemble de tracer et d'y aller ! On le veut ! On veut tracer, filer, coller aux données, faire ainsi qu'on puisse coller ou traverser, passer de l'autre côté, filer grave, foncer à travers la lande, se joindre ensemble auux bêtes (nombreuses) des prés. On est nées pour être elles, les fées , les fées de la lande. On veut cerner et du coup voilà, on passe tête la première à travers la paroi , car on veut toucher ici et là à cette sorte dedonnée suprême dont le nom en toutes lettres est "Déité des Déités agraires". On connaît ! On est passéess de l'aiutre côté, on a traversé la roche "des prés", on est tombées comme à la renverse de l'autre côté et nous voilà alliées aux beters-mots, bouquetins et bouquetrines, buffles tracés, bufflettes olé olé,charmes et douceurs des prés, on est accolées, collées à elles, à pareilles bêtes. On aime ! On veut aller près 

d'elles ! on veut cerner-toucher ces bêtes, les aimrer et en vrai c'est ce qu'on fait ! on les aime de près ! on aime ces bêtes , on aime les toucher, les toucher de plus belle. On estvaccolées à pareilles bêtes , on veut les toucher, les aimer, les approcher (de fait) au plus près. On est ou on serait comme elles des bêtes. On est bêtes des prés comme elles. On veut les toucher , les aimer, les dessiner, les approcher de près. Qui on est ? On est bêtes des prés. On s'aime ! on veut tracer, aller, courir sans traaîner, faire ainsi qu'on puisse s'approcher des parois du Verbe, coller à cette Déité du cimetière dont le nom (genré) est : Tête ! Onest nées sur herbe, on trace, on va grave pour tracer sa voie ! On est comme nées du Verbe sur paroi sous fgorme animalière on le voit. On est bêtes de scène , somm, traits, fortes têtes on est , et aussi guerrières, allumées, vives

 et colère si jamais ! On est nées pour être elles : les fées ! dans la mort du cimetière être des fées, ou Les F2es, Les Fées des Herbes. On e'st nées pour être fées et du coup on trace , on avance, on file, on ne s'en laisse pas conter, on veut comptrendre +++ ce qui est et du coup voilà ce qu'on fait : on file fissa ! on y va ! on cherche à hue et à dia ce qui est, c'est-à-dire les données données, le tracé ancré, l'omoplate délivrée, la chance aux agrès, la timballe, tout ce qui est qui puisse nous aider un tant soit peu à comprendre ce qui est devant (en face) à nous attttendre fixement et patiemment. On trace ! On reg arde. on est pasdsées de l'auttre côté, côté champ ou pré, côté bêtes fortes, on est entrées et du coup on trace ! on y va gaiement ! on cherche (ensemble) à gagner la place, le  traczé sur pré attitré, la voiie de base. On veut aller ! tracer et gagner ce qui est en vrai cette voie tracée pôur aller fissa (jusqu'au bout du bout) en face : la Paroi ! La Chance au grattage ! on voit ! On voit au loin la Paroi ! l'amiante ou sinon quoi ? On est nées de rage (d'une rage) et on voit quoi on voit ça : ce qui est 

là-bas, ce tracé de base, voie des voies on y va ! on trace ! on va droit ! on est femmes des prés à la retombée, on trace de fait, vers cette sorte de "D2ité des Déitéds" qui semblerait nous faire face. On est accolées (nous deux) en face à face avec ... eh bé Elle, cette Chose imberbe ! Déité ! Chant des prés ! Romance

 ! On est passées à travers la roche direction le pré et à présxent on se rapproche à nouveau de la roche (en rotonde) afin de (une fois encore) traverser la roche, passer, voir ensemble de l'autre côté ce qui est, ce qui en vérité est ou serait qui nous attendrait ! On veut comprendre grave ensemble les données données de la roche ultime ! Roche allouées à une Vérité Sacrée, riche en données de toutes sortes concernant la

 Mort, Vie et Mort accouplées, Chants du Sort, des Envies gravées, des Bêtes Montrées. on mate ! matons ! regardons les choses en face et en vrai essayons de comprtendre les données les plius ancrées ce qu'elles auraoent à nous révéler en termes de définitions ou de révélations concernant la mort. Alors .... on pourraiot dire ou avancer ceci, ici, cette chose (dite "de paroi"), comme quoi en vrai, la mort est ... Satiété ! hé hé ! On voit ça ! On est nées pour aller toucher à cette Déité dite "de paroi". On est accolées (à deux) pour eh bé voilà tracer ! coller à la Donnée, aller graver, charger, faire ainsi que Déité soit comme rassasiée , d'ùo les nénés et le prix du Lait , c'est ! c'est ainsi que c'est !! On essaie ensemble de se rapprocher des néenés de  base (d'une roche allouée à une sorte en soi de mamelon) et ce faisant , qu'est-ce qu'on fait ? on trace ! On colle ! on fonce ! on veut cfomprendre ce qui est ! On veut toucher au mamelon "montón", on veut y allezr ! on veut traverser et passer, se placer, coller pour passer, coller à deux pour du coup passer, traverser la roche, la paroi du monde, le sommet, la roche allouée à cette Déité des Déités . On veut coller et 

traverser ! aller dec l'autre côté et filer ! courir à travers le pré ! aller vite au fond du pré pour cerner les do nnées 

ditrtes "disposées" comme à l'arraché, déposées sur pré, allouées à une soprte de pré aux données données de type (fortement) animalières. On connait ! on comprend des choses. On veut toucher la Roche du fond. On veut tracer sur elle les données premières, coller, s'approcher de front, comprendre et toucher. qui on est ? on est nées Fées au cimetière on dirait : AILES. On veut être AILES, AILES ALLOUÉES à une sorte de donnée de type Déité dont le nom en vrai (en toutes lettres) est FÉE ! Fée de Rage ! Fée de base ! Fée docte ! Fée des

 prés ! fée des données fortes , genre animalières néandertaliennes ! on est nées fées ! on est passées ! on est da,ns le pré ! on a travezrseé comme à la dérobée la roche prioiùmaire, le roc alloué à un cimetière (sorte de) et nous voilà,"tombées" dans un pré, champ de luzerb-nz aux bêters gravées, on aime ! On marche ensemble au son des musezttes. On est allouées à ce pré en herbe. On marche au frais. On aime marcher. On va ainsi nous promener , charger, courir et se pôser, brouter, brouter 

comme elles, toutes ces bêtes  comme affiliées à une vérité "des prés". On est bêtes comme elles (fées-bêtes" , qui faisons ensemble le chemin des fées" on dirait.; On est nées fées sur herbe dans la Mort donné; on est nées (renées) en cette herbe des données rupestres. On veut cerner ! toucher ! aller ! comprendre cec qui est qui est ou qui serait pour nous la fleur (la crème) des données si tant est ! On veut tracer ! courir ! jouer ! ne p âsz vréritablement mourir soit défaillir mais tout au contrzaire se coller (l(une à l'autte) et tenir  allouées à pareilles données dites "des prés". On veut cerner les données rupestres. Aller ensembkle jusqu'au bout du bout de pareille pour le coup enclave prairiale : toucher à certe vérité donnée de type cloison murale. On veut aller ensezmble jusqu('au bouyt du bout, pour comprendre, toucher, regarder, presque espionner ce qui est qui en vérité ici (prairie aux fées) se trame ou se tramerait. On est F2ES de rage en ces contrées et on veut de rage, du coup, comprtendre ! toucher ! aller ! ne pas sombrer ! faire fi des bases allouées à un cimetière mais coller ! coller à cette soerte de donnée finale ou terminale, coller grave ! regarder ! toucher ! se glisser autant que possible ! regarder les données possibles, le tracé nacré, l'embarrure, le passé, le dieu donné, l'embrasure, l'envoyé, le déplacé, la turne, l'emporté, le vif et la plume, le petrit oiseau de bonnhe augure, l'idiot, le conno, le p)arfait conno ou qui d'autre quyi est là qui serait comme à nous attendre comme un nigaud ? On est de base Fées des F2es, qui voulons dans ce "pré des Fées" comprendre. On est F2es faites ! pour l'Herbe, le pré, le c hamp des fées, le tracé a:lloué à une sorte de sentier menant tout droit (hors cimetière) à ce passage étroit d'un mur de derrière, vers là-bas, la plaine, la toundra, le soleil vert, la cghaine des neiges, le donné royal, l'amulette, le prairial suprême, 

l'ontogénè-se. On vezut ou on voudrait ensemble faire (ici) cette chose à deux (on est deux) qui est .... de comprendre "sec" , les données du VErbe envieux ! On veut grave ensemble cerner, toucher aux données, cerner ces dopnnées ou données des rêves ou sinon des rêves des pensées allouées à une sorte de Passé , dit "de cimetière", mais en vrai le cimetière est une sorte de pré alloué à du Verbe Nacré (sacré ?) de type Vérité des Vérités. On trace sur pré chemin de passage, on fonce grave, on court on vole (inclinaison, lévitation) et du coup on gagne (fissa !) la Paroi de Roche Finale, là-bas, le tracé des bases, le Fond de Barrage. On regarde ! On voit quoi ? des traces de pas ? on y croit ! On veut ensemble (main dans la main) comprendre les traces, les données de Rage dxes Paraois Finales. On rzegarde. On voit quoi ? une sorte de paroi qui , peut-être, s'ouvrirait à noptre passage,, ou pas ? Ouverte de base = échancrée ? On ne sa it pas ! On cherche grave ! On veiut passer ensembke, toucher D2ioté, Voir / comprendre les Données des Fées ou dites "des Fées", ce qui est, ce qui se passe, ce qui se trame, ce qui se rassemble, se qui se fait , ce qui est qui se fait, ce qui est qui tremble. On veut de fait ensemble si possible au maximum comprendre sezrré ! toucher Déité ! Toucher à cette Déité des Rages ! qui c'est ? "c'est l'plombier" ... des parrages ? On ne sait ! on veut comprendre = voir, voir de base les données actées, la fumée des paysages, les cl artés, entendre le cha nt comme alloué à une sorte d'anfractuosité permettant grave pour de vrai un passage à travers la roche elle-même allouée à pareille contrée praioriale. On entre ! enfin disons on essaie d'entrer, de passer un oeil au jugé, cerner-toucher vite fait les traits, les formes oblongues,l es fumées, les 

clartés de près. On est nées fées on s'ap^proche des fumées. On est , dans la mort, nées fées, transformées, transformé en fées, transformé d'homme au singulier en fées, au nombre de deux il semblerait

 (ça le fait !) et nous voilà sur pré à chercher (rechercher) la Chose, le TRacé tracé, l'anfractuopsité de Rotonde, le pasdsage alloué à une sorte d'entrée du coup dite"de fée" telle qu'il semblerait qu'il nous fût alloué ! On est fées de trait ! On trace ! on colle ! on fo,nce ! on veut toucher à ce tracé "du bout du monde". On veut toucxher toucher toucher , à ce tracé tracé tracé ! du bout du bout du bout , du monde alloué à une Vérité Acté de type Déité il xsemblerait. On esty accolées (§serrées l'une à l'autre) et on cherche à (re)traverser la roche, après l'avoir unre première fois (de fait) traversée, nous voici, après le pré trouvé, qui cherchons ensemble (fée = AILES) à re-^(pour le coup) traverser, la Roche-Rotonde, l'ambra sure ; l a retravezrser (en vrai)  pour ainsi dire, soit la retrouver , la voir se tramer, la toucher, la toucher dxe près, cerner-allouer, à pâreille Donnée, une sorte de "Vérité des Vérités". Comprendre. Cerner = toucher = dire. On veut dire et cerner ce qui est afin de OUI, faire ain,si, que pareille donnée terminale (genre "vie après la mort-vie") soit vivace ! On entre ! on entre (si on peut) un oeil ou sinon quoi ? On entre, qui un oeil de Rage, qui un doigt. ON est au fond du pré. Rotondité des contrées, on a gagné le fond qui est fond de  b ase pierrale, pierreuse, mur d'enceinte fait de pierres , roches,

 roc durs, mots des fées. On veut toucher à une Déité matûre ! et du  coup (OUI !) cerner ! , toucher = cerner = dessiner (de traits) les données, de base motrices, genre "animaux des prés", bufflettes allouées à une m atrice, bisons futés. On est comme accolées à une roche, de rtype "rotonde" des prés. On veut COMPRENDRE= COMPRENDRE LES faits. On veut ici toucgher pour (du coup) traverser, maiis cxomment traverser sans percer, et percer sans y passer ? C'est une sorte de ,  sorte de , qui sait, casse-tête ? il sembleraiot ! On est bêtes, on chzerche, on ne xsait ce qui est ! On aimezrait grave connaittere, ensembkle, ces données de base, les jauger, les soupeser et voir ici (de près) ce qu'elles contienhent ou contiendraient en termes de vérité attitrée. On est qui en vrai ici ? des fées ? oon ne saiot ! ELLES ! peut-^tre ! Ailes ! qui sait ? on pourrait tracer

, chercher, sui vre un tracé, essayer de comprendre les faits tels qu''ils nous apparaissent au débotté. On serait aéinsi éclairées ! mais comment faire ? qui on est en vrai 

en ce post-cimetière aux données allouées à une vérité de verbe ? On ne sait ! On chercvhe à cerner ! On est comme passées à travezrs la pierre une première fois (on dira : la mort) et nous voilà là (pré aux bêtes fortes) qui cherchons (de force) à essayer de, non pas en vrai rebrousser chemin, mais, en quelque sorte, retrouver la pierre plus loin (la même en rotonde) afin de, pour le coup, ensemble (main dans la main) tenter cette approche d'une sorte de ... re-passage, ou colmment dire, re-passage de vie, de vie-mort à ... tré&^pas ? ou quoi ? re-la vie de l'au-delà de l'au-delà ? On cherche grave ! on est pas encore arrivées ! on a pas mal de chemin "en souffrance" qui, en vrai, peutêtre, nbous attend ou attendrait incidemment on a cru comprendre

; on veut aller profondcxhercher ensemble à pour le coup comprendre ces données dites "des fées", car, elles sont comme i,ntroduites (avancées) par des sortes de fées liées à la mort ce qu'elle est (paire d'ailes ?). On est ensemble arrivées à passer de l'autre côté une première fois la roche, mùaintenant voilà : RE. Re la roche si tant est. Rotonde ! on se retrouve nez à nez comme qui dirait avec à nouveau la roche, la paroi frontale, les bêtes de rage, le passé, la place, l'avancée frontale pariétale, roche aux apprêts, façade, cloison murale, tracés de base, vérités. On veut passer ensembkle à toi à moi cette façade de paroi et du coup quoi ? se retrouver comme à l'ambassade  ? re-passage pour une retrouvaille ? quoi ? on ne sait pas mais voilà on trace ! on ne lambine pas ! On veut grave comprendre, la charade ! On est là pour ça : enttrer, courir, passer, comprtendre, toucher. On voit ce qu'on voit. On est nées sur pré Fées, nous voilà comme sommées de re-passer à travers la Roche, de l'autre côté... côté  vie de Base ? vie-Vie ? vive vie d'entre les vies de base ? vie des vives données de base ? On est nées fées ici (la mort) et nous voilà, comme recondyuites (toi et moi pour Soi) comme à domi$cile ! On est touchées ! On cherche à cerner ! On  veut grave trouver ! trouver graveà , pour le coup, comprtendre (ensemble) ce qui est ici, qui semble aller, se tramer, se faire, se monter, se dessiner. Une sorte de ... mât de rêve ? :mât de misaine ? tri actif ? rotation ? On est deux pour en vrai être Fée des fées, on est dans un pré rempli (ici) de bêtes de pré, 

on marche têtes haute, on est accolées, on se donne la main, on est des fées nous-mêmrs, ou une Fée de cimetière, ou sinon fée de cimetière, Fées des prés, FÉEs de ce pré aux b^tes de somme ; ou sinon des fées dites "de parole", "Fées de Verbe"; on est entrées ! On vouklait grave, essayer de toucher à cette D2ité des Déités dites "de cimetière", on y est ! On est passdées ! on a touché ! On est comme en vrai entréées ensemble tête premioère en  ce pré de Rage, la tête relevéée, on est nées ! nées de Rage ensemble ! On est néesz de base sur herbe ! On est fées faites ! On aime ! ! on s'aime ! On veut toucher, aller, cerner, comprendre, allouer, dire, pousser les données vers (peut-être) une sorte d'enclave ou non, de passage, ou comment ? on enttre ! on est entre ! enttre deux parois de base d'une même en soi rotondité ! On est soumises à une sqorte d'"enclavité" de référence ou quelque chose du même genre et du coup on trace ! on court on vole ! on s'envole ! on est comme envolées, voleuses, volantes, on passe ! On s'approche ensemble ! On veut comprtendre ! on veut aller ! on cveut faire ainsi qu'on puisse ezntrter tête première e,n c ette roche des données dernières. Qui on est ? on est allouées à une roche

 ultime aux données données , du genre Vérités ! On veut toucher ? On voudrait grave toucher ! On voudrait grave allezr profond en pareille donnée allouée au tréfond des roches ! de la roche rude. On veut, ensemble, aller toucher. On veut grave ensembke toc-toucher la roche allouéeé à une vérité dite "des tréfonds". qui on est ? On est (dans la mort) F&ée ! On est Fée de RAge , dans la mort. On est  commùe en vrai fée, en cette chose d'une enclavee paradisiaque dont le nom serait (de fait) La Mort ! La (en vrai) Mort d'Homme ou de Femme, Mort de l'Homme fait, qui, en  vrai, dans la mort, devient Elles = Ailes = Fée ! c'est un fait avéré ! post-cimetière ! les nénés ! la grève! le sommet de tête ! l'envolée des envolées ! la pierre ! le donné et le jaugé ! l'alouette ! on jette ici les données do nnées commùe en vrai elles nous viennent , on est nées de base imberbe, on est fauchées comme les blés au cimetière, on est allouées à une roche pleine, forte tête, dureté 

mùère, frai ! On edssaie en vrai de cerner les données les plus ancrées en cette terre mais voilà, la vérité est (quand même) difficile à atteindre, il faut s'y coller, il ne faut pas lambiner ! il faut chercher de près à cerner ce qui est, à comprendre , à aller profond en ces sortes de données frontales, qui sont (ou serzient) données axiales = vérités xde base "à tout jamais". On est icfi ensemble pour (qui sait ?) toucgher le... ventre de la Rage allouée à une Sommité de type Bisonne, Buflette touchée, Cheval-Amazone, Chavalité de zone. On est Bêtes de somme= Fées c'est vrai ! ça peut paraiotre exagéré et pourtant c'est un fait ! On est nées bêtes de somme  / fée en  ces contrées des bouts de mondxe d'une vie siur terre, et la roche passée, nous voici transfor(mées ! fées ! fées de Rage ! Trouée ! cri dee base ! On veut toucher toucher toucher , cerner cerner cerner, dire dire dire , en trinité les données données (donées). On ne veut pas faivblir ! on veut coller à Déité aux données sauvages et cerner de près et sans ambages ce qui est qui semblerait vouloir nous séduire. On est Femmes des prés allouées à une Sommité lascive. On aime aller sur pré saillir ! On aime "baiser", toucher-toucher, se lécher , se laisser aller, se 

faire grimper, se faire monter, se faire foutre voire enculer, se faire traduire ! On est comme nées (sur roche) à la une à la deux, vives fées des Roches ! On est nées gouines (en cette sorte de roche des prés dont le nom, attitreé, est : eh bé qui sait .... la mort.... en vrai ? on ignore !On ne sait ce qui est ! On subodore !). On est comme allouées (fées) à une sorte de cohorte de type "bisonne" et du coup on suit ! on colle ! on colle au troupeau! on est comme accolées à un troupeau (ou sorte de troupeau) de bmêtes de pré. Collées accolées on est. On colle ! aux bêtes fortes, aucx bêtes massives, au troupeau de peaux. On est Fées de Vie, Chance accrue, Vives Allouéesz, Franches Venues, Mouches de Rue. OIn est nées sur pré à la retombée quand on est venues, qu'on a traversé ! On est nées à l'in stant précis où on est passées "de l'autre côté" , à la une à la deux le roc des Données. On a paqssé ensemble le minois, le torse nu, on est nées (sur pré) ainsi tracées, on s'est regroupéses pour former ... 

FÉE, de base nue ! On est née F2e ! Ailes Dorées ! On est ensemble comme entrées en cette chose d'une sorte de prairie lacusttre, pré des mille donnéesz , pré animalier. On est entrées et on s'est retrouvées comme allouéere de fait à une vérité , elle-même liée à la rotondité des contrées rencontrées. qui on est ? Des fées ! dans l a mort des fées ! On est fées = ailes. On aime êztre Ailes ! On veut ! On veut (en vrai) être Elles , dans la mort . On veut dans la mùort en vrai e^tre ailes ! Elles ! elles desz données? elles-données, Données, DONNE. On veut grave en elle (la mort) Être FEMMES ! FEMMES -DONNE. On veut ! on veut on voudrait ! grave dans la mort ! être cette chose , d'une femme-donne. On veut toucxher à cette déioté du bout du monde (allouée à une roche qui serait toute à graver). On est femmes des prés , Joconde ! On ose ! on veuyt toucher toucher toucher à cette trinité , qui erst cette cohotrte : une bête de somme, une bête-mot, une bête de poids. On aime ça ! aller et venir en ça : la roche ! traverser ensemble, main dans main, comme accoléesz à une Vérité (Priofonde) de Roche, Paroi, Pierre d'ombre. On est paqsssées de rage à travers ça, la roche des prés, nous voilà Colère !

 Fée des fées toute en colère d'avoir traversé sans céder ? ou sinon sans céder sans quoi ? On est nées ! on est enfin nées ! on est nées de RAge sans céder c'est un fait ! on est passées ! on est nées dans un pré, on se retrouve comme nées de rage dans un pré rempli de vaches ! c'est fait ! on est accolées ! on veut cerner-comprendre, chercher ce qui est, akller ensemble icxi sur place toucher à cette déité des déités frontal on dirait ou alors (sinon frontale) temporale ? on colle aux nénés ! on tète la bête ! on est bêtres nous-mêmes sachant téter, on aime ! on aime le lait (téter) , chercher à comprendre via du laéit, ce qui est qui estr en cette sorte de rotondité ou d'enclave à jamais, ou sinon à jamais , le temps de passer, de travezrser, d'aller vers ces contrées de charme, bout du bout des antres,, on croit comprendre. On est passées, et du coup on veut cerner les données finales. On est qui ? On est nées sur pl ace fées ! nées Fées ennoblies de base on avance,, on trace, on file à toutes enjambées (?) vers les données finales, mur aux fées, antre terminal, cage dorée. qui on est ici (dans l'antre de la mort) ? des fées ! Fées du logis ! on est accolées ! On est nées de rage en ces contrées fées = mouches tsé-tsé ! On veut toucher à cette Déité des Roches Sacrées , Déité des D2ités. On est passées et o,n veut tracer et du coup quoi ? re-passezr ? re-voir du pays ? re-venir à la Vie en vie ? ret ourner à ses envies d'avant la roche ornementée ? chasse au dzébotté ? cueillete assoiffée , ,course à travers les prés ? ceux de l'avant-scène de la 

mort en herbe ? On ne xsait ! On est nées puis re-nées puis pâssées puis ... ou sinon passées  : pré-passées. Ou sinon pré-pa ssées : comm" pré-passées. On oses ! on est cfomme nées, sur herbe, à la retombée, des fées. On est comme nées fées à lma retombée ! On veut cerner ! toucher ! aller ! comprendre ! faire ! allouer à une roche u ne sorte de sommité, de 

cimetière ou dite "de cimùetière". On veut dire et cerner, chercher et faire, trouver, cacher, pondre et coincer, soulager. on est nées femmelles dans la mort en herbe on dirait. O,,n veut coller à cette déité des données dernières. quand on naît on naît herbe, trait, colère, femme des prés, herbe verte, colère innée et ancrée, soulevée, fière, chargée de verbe. On veut toucher toucher toucher, à) cette Déité des données Sûpremes . On est comme néezs à une véroité soudaine enfin soulevée da ns l'herbe = envolée ! fée ! fée ! fée de base des données de l'herbe ! fée des fées on aime ! On veut aller, toucher et tracer, comprendre, cerner, aller grave au plus loin des données p^rairiales rechercherv le trait, le tracé, le dessin acté, l'herbe des prés en sezrait transformée 

! On aime aller sur herbe chasser comme qui dirait une vérité poxst-cimetière. Cerner-allouer. faire et dire. Chercher les données du rire, de la joie montrée, des actions mennées à même le pré. on est femmes des prés allouéesz à une sorte (en soi) de mise à bas des données "brutales". Qui donc pourrait ou peut nous cfomptrendre en ça ? MOI ? Ce Moi de bas-étage genre "maussade" ? On est co:mme a&ccolées par la bande, à une donnée de type "romance", et cela nous sied on dirait. On est "douce-france-allouées", on est nées de base en france, fées ! On est accolées en forme de fée. On est femmes d'une romance et du coup on entrte, à travers la roche, vers un pré de base, pré des prés, emplis (grave) de bêtes dites "de la chance", bêtes allouéesz à une sorte de donnée  

de base sale , saleté, ou peut-etre ... s age ? On est nées sur pré comme à la parade ! On est comme entrées ensemblke tête -pied, en force comme des malades, on voulaéit percer ! On est passées ! On veut coller ! On veut tracer ! On veut être 

nées, de  base sur pré ensemble soulevées ! comme soupesées ! envolées ! On veut voler ! tracer ! filer ! comprendre enxemble follement ce qui est qyi nous concerne ou nous concernerait de près, et qui est cette chose cfomme vqyuoi on s'aime ! follement ! en ces contrées post^cimetière il semblerait. On est femmes-fées des p^rés alloués à une sorte de contrée post-cimetière, aux données données "par derrière", "à l'arraché", comme un sort jeté ! On est passéesz à travers elle (la r(oche allouées à une vérité) et nous voilà comme tombées dans lm'herbe au milieu des b^$etes (poids des Rois et RE"ines) à chercher à nous recdresser. On est redressées. On court on vole. On ne s'en l&isse pas conter plus 

qu'il 'en faut, on trace au cordeau, on file à l'anglaise, on s'aime follement sur herbe, on est "belles bêtes" de paroi de Roche. On aimùe aller ! s'(aoimer de près ! cerner les dobnnées acxiales, la vie ce qu'elle est, les données frontales = les envies. C e qui est est, ce qui n''st pas n'est pas. Le sait-on assez ? on va droit vers ça : la porte ! On voit ça : la roche aux données profondes. On veut passer ! aller de l'autre côté, à la recherche de données fiables oiu disons "tenables". On aime grave nous pointer deva&ntt la porte des données finales. ToUcher ! faire ! graver ! dessiner ! On vezut grave dessiner des bêtesz à main levée ! bêtes de roche = bêtes de poids. On les aime ghrave ! on aime ensemble grave les bêtes de poids sur paroi. On est FEmmes Sardes (?) : qui le croit ? On est des femmes sardes, on chante grave, on veut comprendre le pourquyoi dxes choses ici -bas et ici -haut entre deux voies (deux pas ? deux tas ?). On y  c roit car on est là, qui voulons cerner la rOùmance" des parois et autres chants en transe ! Sarde tu le  crois ? Sage sarde ? On y va ! on chante en transe ! tra nse xde paroi ! on y va et on y croit ! on est en transe ! on 

chante ça en transe va comprendre ! On est là pour ça : la transe-danse de paroi de Soi !IoN entre ! on entre ! on entre dans l'antre ! on est comê en transe ! en nage ! on sue de rage ! On est femmes sardes ! toutes nues on sue ! on est femmes sardes sur paroi de RAge ! cris de joie ! allelluyah, charges mentales, frontales ! cri d'effroi ! On passe ! on passe ensembvle ! Ailes de paroi ! on passe on trace ! on dessine sur ^lace (paroi) lza Chose de Poids dont le nom (de base ) est :

Charge ! poids ! rage ! dire de poids ! verbe à la noix ! potage ! charge de bois ! ramages en veux-tu en voilà ! CERf de bois et de sous-bois ! BEtes de poids = vie saubvage ! On aime ça, ensemble, tracer. On aéime ensemble ici et là (sur paroi) tracer : qui ça (le bison du Roi) , qui ça (la biosonne sarde). On y va de base sans tralala ! on est là ! on passe ! on trace ! ion va grave sur paroi tracer la charge, l'animzl "sacré" = "nacré" = "posé". On est comme nées fées dans la mort actée , c 'est grave ! disons : gravement acté, mais en vrai c'est "que dalle", petit fait ! On est ezntrées ! On est passées ! On est dans un pré aux bêtes de charge..  on les voit brouter, qui sont allouées à une herbe rase, on les voit aller. On les aime grave ! on est aimées ! on est aimées des bêtes de base, et on aime aimer les bêtes de poids : balancier ! On aime, on est aimées ! la b alance souveraine ! souterraine ! le tracé en forme de trajet ! on aime ! On est nées imberbes

, on est passées, on voulait connaéître les contrées, le paysage genré, les peuplades, les actes tracéés cfomme à la parade : on va dire que c'esty ok ! On va dans la lande. On court à volonté. On aime les branches, les données prairoa&les, fruits des fées, bouillons. On aime aller ensemble comme à califourchon sur notre branche ! On est nées fées sur p;lace, on va vers le fond, on trace . On est nées féees de base. On est Fées nées sur place, la roche passée. On veut cerner-comprendre ! aller-toucher, faire-dire, vivre-tomber, se coucher-tracer, donner-coller, dater-saluer, vaincre les données de rage ou comment dire ? les toucher ? On est comme alouées ensemble à une base de données dont l e nom ebn nn vrai , est : MORT ! comme à l'araché ! On connaiot l'entrée ! on est néesz de base fées en ces contré&es la roche passée. dans la mort on sombre ! on trépasse, on tombe de haut homme, mais femme on se surpasse, on passe les rages, on renai^t grave, F2E  ! F2E des F2ES ! On re-nait en tant que FÉE ! on passe , on repasse ! on volette à la retombée ! on se redresse quand l'homme ( lui) cède, tombe, s'aplatit, trace, se frappe, se fracasse, n'est plus, qui trépasse le goulu ! On nait fée-

femme des présc à la retombée : la chance ! une chance ! On est femmes née, don,ée, faite fée à la retombée la mort venue nue ! On est fe"mmes des prés, on est nées sous roche, on va loin . On vole ! on vole on volette ! on volette on vole ! On veut être, faire, dire, aller, cocher les traits. courir sans désemparer ! aller ! toucher ! faire ! cerner ! comprendre ! pisser et cghier de bonne grâce , comme des benêts ! faire sensation ! toucher les nénés ! avoir raison ! tomber puis se redresser ! souder ! pointer ! aller ! dire et sonder ! faire fi des données sans nom, allouer à Roche son Nom, se donner, gagner du galon en forme de Melon, c'sst un fait. On est connnes roches, cons doctes, on tombe ! On est accolées à une roche aux données données. On est nées sur Roche Fées, et on s'aime à la  volée (à la volette) comme des bêtes, comme bêtes (en vrai ) de paroi vue. On s aute ! on gag,ne la rive ! on est nues du cul ! on, veut toucher à cette chose d'une sorte de paroi "du bout du mon,de", paroi des parois, paroi dite "secondaire" car, elle arrive (en vrai) après la paroi ditee "primaire", après le pré (le pré-ambule rupestre de type agraire, prairaial, fleuri) comme une sorte de post )-cimetière, genre mùur de fin, cloioson finale , mur du son. On est femmes sardes sur roche

 p^leine. On traverse ! on entre da,ns l'antre. On veut comptendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ les données fro ntale, ce quiu est qui nouys fait face. qui on est ? heh bé peut-être des fées , en vrai. On meurt, on meurt en tant qu'on est par exemple un homme (singulier

) et, dans la mort, on dirait qu'on est transformé en femmess, en femmes de pré, en femmes-fées des prés, en une fée des pré, fée aux ailes nacrées, dorées, allouées à une sorte de "mât de  misaine" , on diraiot. On essaie de s'y retrouver dans cette sorte de po!ème aux données dibverses, mais en vrai c'est pas gagné ! d'abord parce que, pas sûr en vrai que ce soit un poème (du genre lettré) mais surtout parce que la mort est une sorte d'entité genre cadenassée, cloitrée, qui nécessite beaucoup de doigté afin de l'approcher dans ce qu'elle est, qui vous (vite fait) met sur le côté question vérité ou profondeur des données. On essaie de tracer mais ce n'sst pas simple !! on, essaie bien de cerner-tracer, la bête, la belette, le cheval;

, l'ourse des prés, le buffle acoutré, mais voilà, la chose n'est pas données d'emblée ! faut cravacher ! Faut y aller ! faut s'y coller en  vraéi ! faut ne pas lambiner pour de fait s'y coller et pas à moiti"é ! On esty qui ? quête ! on guette ! on essaie ensemble, entant que femmes ici accouplées, de tracer la Charte audx Données données. On est femmes des prés : on grave ! On dessine à main levée les bêtes allouées. On les aime ! opn veut grave les aimer en tant que telles. elles sont nos soeurs de boh^me (sacrée) et de contrée ! on les aime de près, de loin, de rage, sous le vent, n'importe comment . Soeurs de lait c'est un fait ! soeurettes ! on aime le lait, le nacré, la crème, le chrème, les données actées, lactées, tracées sur rochje à main levé&e comme du verbe du passé. On aime tracer ! on trace le Verbe ! bêtes-mots de poids sur roche

 = ÇA , La donne, les données de base, le tr acé primal = la chance au grattage et autres jeux des rages suivants. On est comme des Fées du Tourment (ou des tourments) chantantes. On aime chanter ! on cherche à cerner ! on veut comprendre, almlouer et donner, faiore un choix de Roi, de REine Touchée, de petit bébé ( des bois et sous-bois  : faon des aires). On est nées de rage à l'arraché, on fait chemin inverse ! on revient sur place : ventre des données ! on veut comprendre : qui on est. On veut ensemble grave se coller à une sorte de recherche allouéev à une contrée par delà l'ère du cimetière. Qui on est ?

Eh bé évidemment que, voilà, on ne sait pas vraiment. On aimerait beaucoup en savoir dabvantage et du coup pouvoir (pluqs facilement) cfomprendre ici ou là ce zui se tra&me, en  ette sorte de paroi d'un antre qui est un entre, l'entre-choses de paroi. On est femmes sardes, et du coup, en transe, on essaie de fait de cfomprendre ensemble les données de base. qui on est ? peut-êtte en effet des fées, mais rien n'eswsdt moins sûr en vérité. On cherche à cerner de base les données, ce qui est qui semble se tramer, se tracer à main lezvée sur roche : bousquetins des prés ? qui sait ! on espère un jour pouvoir ici cfomprendre les données de près, celles qui 

en vrai sembvlent "gouverner" de conserve les vies a&llouées à une aire, à un pré d'herbe, à une sorte (qui sait ?) d'enclave dorée genre cimetière dezs données don,nées. On est allouées nous-mêmes à une sorte de "cl arté" , qui semble ou semblerait venir ou provenir d'une abnfractuosité tracédans la pierre. Qui le sait ? On tremble ! On est femmes tremblantres sous un vent de face ! il faut dsire que ça "buffe" grave ! ça envoie ! ça frappe ! On voit ça ! On est des fées-femmes de paroi qui (ensemble) cherchent à comprendre et tracer sur roche les données suprêmes, rencontrées, trouvées au passage,, relevées : qui on est et qui on est pas, les herbes../ parmi les plus courantes, noms des rois et reines, tralala sur herbe ça envoie ! ce qui est qui va devant soi nous conduire en vrai et fissa vers ce tas, là-bas. Romance, charabia, transe, envois de bois, connaiossance des connaéissance's. On y va car on aime ça ! On veut (on cherche à ) comprendre grave cet envoi cde choix ! on est là pour ça : acter la romance, chercher en transe, doubler nos 

chances d'y voir grave clair en cette sqorte de maison des bases, trou du con, maison sage, traduction. On e,ntre ! l'oeil ! la chance ! on entre = la chance ! de pouvoir ainsi ensemble un oeil passer en transe ou comme qui dirait il sembleraiot en tra&nse ! On regarde. On est né"es de base en transe (pour le dire vite) . un accouchement en vrai est une transe ou comme qui dirait : Trandse des Transes. Accoucher c'st entrer en transe (de rage). Qui on est ? Transes ! charge reine, point de croix ! On est comme nées sur herbe à une fée des fées, Reines des prés. On veut comprendre e,nsermble, un certain nombre de données de base, et pour cela, le mieux, c'est de pour le coup cerner les données (les données de base) dans un pré : bêtes

 allouées, betes des prés, b êtesz-masse sur roche tracée ou ornementée. on regharde. Il faut cerner ! On se doit d'aller, comme à l'abordage d'une vérité de façade ! 

on est fées de  b base de base 

allouée à une sorte de denrée ! On colle au verbe ! On creuse ! On est accolées à du Verbe de Fée ! On est femmesz cdes prés allouées à un Verbe de Fée de type Verbe Ailée ! p ôuvant naviguer (d'un endroit l'autre) à la volette, au passé, au temps donné. On aime ! on essa&ie de cerner ce qui est, en cette sorte de pré des prés. On est femmes des prés ok mais aussi ... fée ! On est fée des fées ! charge docte et tracé sur roche (une amulette ?). on est nées sur roche Fée, en tant qu'on est nées allouées à une Vérité c ertaine (charghée). On colle ! on est deux (accolées) qui sommes Ailes d'une Fée des Herbes(en herbe ?)! Qui on est ? du coup : une fée ! Fée des prés en tant que telle. On veut toucher à cette déité, des herbes semées, verbe de cimetoère , herb-verbe de cimetière peut-^tre ... qui on est ? on est cette herbe ? ce tracé à main levé sur roche ornementée d'une grotte cachée sous un monticule (ou sorte de) de flore diverse. On entre ! On est coomme entrées ensemble

 ("à toi à moi") dans l'antre. On est cfomme soupeséees ! szoulevées ! montrées-montées ! mises sur pied ou quelque chose d'approchant ! On est nées de base sous le vent comme nacrées ! soupesées nacrées on est nées fées , aaux ailes translucides dorées, vives et nues, ! on est nées fées nues ! on pue du cul ! on aime voletter e,n grâce ! on est nues superbes velues ! papillonante on pue ou on pue pas mais on envoie ! on veut tracer ! aller de rage ! graver et gravir ! toucher sans embages les données lactées actées du message en ces contrées, rencontré (le messaege) colmme tracé (par qui  ? on ne sait !)) comme à main levée et d'un saeul trait sur roche préparée. On voit les nénés ! les traits marqués ! les dessins allouées ! bêtes de rage, poids et masse. On estcomme nées ensemble à la retombée. On croit comprendre les nénés, le 

lait , PIS de l'homme ou de la fzemme, a vant le passage (en l'occurence :  la femme) , et nous d'eesayer de comprtendre ce qui est en vrai, les données de base, les do nnées actées, le charme, la chance, le chant des fées, la parade ou la cavalcade, les chevaux et chevales lancées à travers la (les) lande(s). On essaie de comprendre)- cerner, les bases, ici, d'une sorte de romance (roman ?) des prés. chant de garde ! monstruosités ! méchancetés ! croyances diverses comme distinguées, on dirait. On est entrées 

On est entrées en ces contrées par le biais en vrai d'une sorte de donnée larvée ! On a prié ! on a parlxé ! On s'est rapprochées ensemble de la roche lisse, on l'a caressé pour 

ainsi dire, et, d'un couop d'un seul, comme à l'arraché, ion a jeté nos forces (toutes) en cet élan qui bnouq a vu passer en force les tourments, la roche aéux tourments, et du coup, traverser ensemble (à la une à la deuxd) le pic (ici) du mont de Rage des données rupestres et autres envois (pariétaux frontaux). On colle = on ose ! c'est un fait. À ne pas négliger. On est nées fées parce qu"'on est passées , c'est ainsi qe c'est. On est fées nées ! on voulait c'est fait ! on voulaiot grave ensemble passer eh bé c'est fait ! nous voiulà cfomme entrées en ça : la roche ! le roc du tas ! la roche profonde (toundra) ! On colle = on ose = on trace (grave) un certain nombre de données de base ! On est femmes allouées à une sorte de Passé Maussade mais voilà ! "en passant je passe" comme qui dirait ! On tracverse enszmble, on se retrouve de l'auttre côté (dans la lande), on veut continuer, aller loin (de rage) vers le pré, au delà du pré, retrouver la roche finale (cloturante) et à nouveau (qui sait ?) la traverser, ensemble, comme' à l('unisson et par la bande, à la une à la deux comprendre ! sauter-comprendre ! touxcher-comprendsre ! sonder grave les données finales, traversrer ensemble la paroi florale des embruns, des bords de mer sage, de mer attitrée, sondée, vue et bue . on est comme des fées de contrebande la nuit venue. On veut toucher ensemble si possible la monnaéioe d'échange, les choses dites "de la rue", le tracé nu, l'épopée franc-comptoise si jamais et autres romances allouées à des territoires donnés. On est accolées de base à des données de fond de Rage, tracées, dessinées, accolées.  nousq sommes en transe ! nous sommes elles, qui voulonstracer (ensemble

) en transe, les bêtesde pooids, sur p aroi de groote souterraines. on trace ! on est cfomme allouées à faire ce tr acé  ici, sur roche imberbe ! On est nées (dans la mort) fée ! car : aimées du cimetioère (des) et desdonnées prezmières genre humanisées ! On guette ! on mate sévère ! on veut toucher à cdette déité "des cimetières" si tant est, comprendre ensemble (ici) qui on est, qui on semble êttre, quyi on veut être, qui on veut toucher en fait de bêtes, qui on veut cerner = dessiner et du coup connaîttre. betes des prés = betes-formes. On est nées sur roche des prés ! On est comme allouées à une destinée de type "colère" , "rage des prés", "emportement salutaire", "remontées de bretelles". On est des femmes en colère ! on veut gueuler ! trpoubler l'ordre ! essayer ensemble de cerner les

 choses qui en vrai corrompent, font du tort, faussent ! Comprendre ensemble c'est tracer

 ensemble, à main levée, une bête dite "de cohorte" (genre bouquetin et tine) et du coup cerner ! touchezr ! cerner et toucher à cette Déité du bout du monde. On est nées sur roche, puis sur pré, à nouveau sur roche : trinité des temps donnéess !On aime grave aller sur roche tracer, qui des bêtes-mots (de type genrés) qui des mots -bêtes (de type alloués à une plainte). On est n,ées Fées sur roche et pré.... pour la bonne cause : le salut des âzmes, des envies prégantes , des (de fait) vies de base. On veut ou on voudrait ensembkle chercher les dires donnés et autres dits de contrebande . on est nées ! on est enfin nées ! on est comme nés ! on est comme nés sur pré ! on s'aime sur pré ! on est fées nées sur pré au pazdsage des données genrées ! On est passées ! on est trépassées = passées = faites fées ! On veut ensemble en vréi eessayer de cerner un certéin nombre de données de  base, et du coup co:prendre ce qui est qui semblerait vouloir, arriver, ici, de rage, devant nous, comme un fait exprès. On est Femmes de paroi "étrange", genre "paroides rois ", romance, transe, faits actés. On fait celles ensemble qui voulons

-cherchons ici à comptendre la paroi des rois , ou dite "des rois", ce que c'est en vrai, ce que c'est que ça ! On y croit ! on entre ! on veut co:mprendre grave et, qui sait, on va peut-être un jour y arriver ! toucher les né,nées ? le L;ait ? téter ? qui sait ! on est prêtes grave ! prêtes à téter la Vérité de l'(antre ! La Donnée Lactée ! La cerner de rage ! on est nées !  on veut téter ! on veut grave téter, de base ! en rage ! enragées comme des nouveaux

-nées en vrai affamées ! femmes nouvellement née's nous sommes enragées car affamées, nous vpulons téter ! téter le lait de l'infa

,nte ! soulevées ! touchées ! soupesées ! come soulevées de base à l'arraché ! on est comme soulevées = montéesz ! on monte ! on s'envole dans le vent donné ! on monte on s'envole ! on est comme soulevées-montrées, au Dieu des Passions ! On entre en lévitation ! on monte grave le long de la cloison ! Antre des passions ! En lévitation on entre ! ion est femmes entrées, en lévitation, en cestte chose d'une sorte d'enclos-antre "aux Passions" des Données de b ase du Temps alloué (en vrai) à une sorte de Romance aux données chantantes (chantées) de contrebande. On est Fées ! Fées doctes : pleines de savoirs de roche (en veux-tu en cvoilà) !On monte ! on grimpe la Roche de la Mort à l'oeuvre ! On est nées fées sur place (MORT) et on en avance (ENVOL) à mesure qu'on avance (,TIRE-LARIgot) sur place . On est aimées des fées. Fées nous-mêmes (qui sait ?) aéimantes. On veut

 toucher toucher toucxher toucxher toucxher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucxher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher à cette Déités dite "des embruns". on veut s'aimer ! sur une plage sur un oreiller ! On veut grave s'aimer de psès, se renifler, se humer, se mater;, se masser, se  toucxher en vrai et pas pour xde faux ! se renifler les coins les plus cachés ! se sentir à tous les  niveaux ! se pétrir ! se toucher en vrai et du cxoup se cerner ! On est nées pour (dans la mort) se

 toucher de près ! devenir fées  ! se sentir / wse renifler les parties "honteuses"

 ou dites telles pour de vrai, et du coup cerner ou mieux cerner qui on est, à qui on ressemble, ce qu'on est en vrai en fait xde bêtes, ici, de roche et de romance. On est  néesfées ! on est (dans la mort) nées fées ! on pôrte un nom (%Moi : 

SPIGOLON) puis on p$erd son nom ! On est femmes sur pré de type  JETON, puis on s'approche à pasx comptés d'une cloisobn, d'un mur du son, on essaie de cerner la cxhose, de cerner ensemble la cloison, le son, la romance, le nom (nom alloué) et du coup comprendre : qui on est , en termes de Nom de famille donné, qui on est pas, ce qu'on veut ou pas (en fait de données allouées) e,n tant qu'on est untel ou une telle dénommées. On est des fées  sur pré, on trace, on volette, on monte !On porte le nom qaui (en vrai) nouqs a été (gentiment ou p)as) donné de fait quand on est nées. Fées de la Passion ! Chance de couillon (de couillonne si tant est). On est pasdsées ! on a passéle

 mur du son (le Rubicon ?) . On s'eest comme du coup retrouvées ensemble sur cloison ! on cherche à co:mprendre. On veut cerner de fait les données de pré, celkes des fronts, des cloisons du front, des poarois nues, des roches allouées à une groote elle-m:ême allouées à une sorte de donnée de base genre vérité dite "des vérités offertes en transe" . On veut enwsemble comprendre, cxes donnérs de bout de roche, ce qu'elles sont en termes de raison, de verbe "bon ton", de croyances "à l'unisson"n. On ose passer ! on se pose. On regarde les données posées ou déposéees sur roche. Les denrées pour nouveaux-nés

. Le LAIT ! Les traéits. Les données données. Genre potions. On veut cerner l;es traits tracées sur roche allouées à une guérison. Guérison des guérisons. On voudrait comprtendre, toucher, cerner, chercher, pousser, poindre, allouer à une roche une vérité, de type ornée, décorée, gravée, dessinée. On est nées fées pôur comprendre la mort ce qu'elle est.Traits des traits. On cherche ensemble ce qui est qui est en termes de données lactées. Fruits des nénés ! On est nées (dans la mort "lacteée") fée ! fée des fé&es tracées . On veut toucher =  cer ner = pister = comprendre = poser = dsire = coller = faire = jouer = entrer en colère = pisser ou chier le dire larvé ! On est nées de base soulevées ! femmesaux attraits et autres charmes aux 

nénés lactées ! Rage ! RAge ! RAge ! RAGGE des Rages ! RAge ! RAges ! RAGes des RAges ! RAges-Nées ! RAges des r ages ! Rages née des RAges nées ! RAge ! rage ! Rage en transe ! r age en transe dews Rages nées ! RAge des rages nées ! rage des rages nées ! rage des rages et dxes rages nées ! on est entrées ! on est en transe

 entrées ! Rage aux nénés ! lactées ! rage lactée ! rage en transe actée sacrée ! rage sacrée en transe actée ! rage Aux Nénés lactée s comme en transe entrées ! on est entrées ensemble comme en transe ou dans la transe, de rage ou de rage lactée ! on est entrées ensemble (fées) en transe ! lactées ! actées ! de rage ! comme à l'iunsisson d'un son donné ! le son des nénés ? le son alloué à une entrée ? son des données ? on est entrées ensemble en  transe au son des données allouées au Verbe, fruits de saison, lait de bière, boisson ou potion, chant des bêtesz, poison. Bière-picon.

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20/8/2024

On veut cerner ensemble ce qui est qui est. On ne veut plus se laisser absorber mais tracer, dessiner à main levée, qui des bêtes-mots qui des mots-bêtes. Ce qui est qui vient , sous nous, se loger. On veut toucher à DFéité , toucher graveb! On voudrait aller, cerner et comprendre, les données primaires. On aime aller ! Onn avance = on en avance dans les connaissances. Qui on est ? on est ... bêtes de poids de rage ! on est bêtes-mots, de poids de rage . Mots de trop ? qui sait ? On avance = on en avance ! on trace ! on y va ! on ne lambine pas plus que ça ! On cherche à comptrendre, à allrer profopndd, à enttrerplus en avant en cette roche aiux données fortes. On est 

accolées et (de fait) on trace pour aller profond chercher à comprendre ce qui est en cette chose d'une sorte de romance des contrées lacustres, lacustres ou prairiales, les deux qui sait ? On est bêtes ensemble qui marvchons, allons, passo,ns, chercghpons à graviter, à cerner, toucher-toucher, aller et venir = danser (tourbillonner) sur l'herbe. On est bêtes-poids, gentes dames de paroi, princesses sévères allouées à une vérité dite "des cimetières". On est nées pour aller ensemble dans la mort pour ainsi dire main dans la main en amoureuses. On s'aime ! on aime s'aimer ! on avance grave en ces prés, on y va ! militaiores ! gens d'armes = gentes saluées, 

comme,ntées, aimées, portées. On aime aller ensemble à la une à la deux vers ce tracé de bout de bout, porte fionale, anfractuosité de base,scscission. On est comme nées pour être ensezmble à la une à la deux des b^-etes de charme ! on creuse et on trace ! on marche (tagada) vers la plage, le sommeil des âmes, l'intranquillité des bases : le malin ? On creuse une trace. On est fortes. On se dfonne la main. On veut ensemble satisfaire nos besoins en termes de parade "totale", de données de base , de charge frontale. On aime ! on est deux pour être. On veut cerner ensemble les données fractales. Ce qui est qui est, et qui on est ? on ne sait ! On trace les nénés, les données coriaces, ampoulées, aimées, touchées : terre cuite, potager, vivres posés. On aime donner ! on, est femmes des prés à la parade, ontrace ensemble allouées, on creuse lezs dobnnées, on charge le mulet, on s'aime ! On est deux ici ensemble pour comprendre ou chercher à comprendre au plus profond les données de base frontales : bêtes-monstres, poids du Roi, fruiots d'amour, chants de ronde-bosse, cris de joie et autres hourra à travers la lande

 ! On y croit fissa ! on aime aller ensemble à la une à la deux en cette paroi, comprendre = toucgher. On aime ! on s'aime grave ! on aime de fait aller par la lande en reconnaiossance si tant est. On eswt femmes comme à la parade et du coup on en avance! On est trace de vie ! on charge ! on est accolées ! On veut toucher (pouvoir toucher) les données frontales et, une fois encore, traverser ! traverser brutal ! traverser de rage ! aller sans venir ! aller de l'autre côté et non  rebvenir ? revenir ou pas mais comp^rendre une bobnne fois ce qui se trame ou pas, qui nous reg

arde = nous concerne et puis ... à jamais il semblerait ! On "gratte" ! on essaie de passer la patte ! comment traverser ? comment en vrai traverser la roche (finale) sans (pour le coup) y passer à tout jamais ? c'est une question ! " the " ! pas qu'un peu ! ça charge ! c('est un fait de base ! on veut ! on voudrait ! on fait le voeu ! on voudrait comprte ndre tout un ensemble, les données frontalees finales ce qu'elles sont ou pas, la clarté fractale, les embruns, le chant sarde, la beauté

 des unes et des uns en face, ce qu'elle est. Ce qu'elle revêt. On trace ! on dessine de mémoire. On y croit de base ! On veut ça, comprendre, traverser, charger, allouer à une roche un savoir Immmense ! grave !Une somme de données totales !qui on est. Où on va. Ce qui est . CE qi n'est pas. Ce qu'on envisage et tout un tas (un tralala) de choses vivantes. De choses de soi. pointes basses. Points de croixw. Pärades. Carrotage. On veut ça, toucgher grave, aller dedans, pousser, cerner grave les données de rage, creuser, faire front, aller au plus profond 

aller auplus profopnd des données données comme en contreba,nde par la bhande. On est qui ? QUÊTE ! on est bête = bête-mot de fort tonnage ! on trace les faits ! sans embages, à la dérobée, fusellage. On est accolées ensemble sur un pré comme deux mémés. On veut grave  cerner les données allouées à (il semblerait) une sorte en soi de passage , à travezrs ... le Temps ? ou quoi d'autre sinhon ? le (les) sentiment(s) ? On est côte à) côte. On se serre les coudes. on est vaillantes grave et on cherche ensemble (une fois toi une fois moi) à comprendre les données de b ase, ce qui est, ce qui s'avance, x-ce qui est ici qui se présente et nous séduit ou pas mais nous interpelle. qau'est-ce qui est en vrai ? qui sait ? u ne chance = un chant. Une chance = une chansonb. Uun air de front ! une romance de cloison (de la passion). On estaccolées (l;'une l'autre) et on cherche à toucher à la rocjhe ditec "terminale" des passions, des données de fond. On est proches d'y passer (tout proches) mais non ! on tient bon ! on trace mais on tient bon ! on ne veut pas faillir à la tâche de (comme qui dirait) tenir bon "intrinséquement". On est toute RAGE ! vives de chez vives. On est allouées à une sorte en soi de Volonté devenue Acidité. On veut toucher de près à cette chose d'un e sorte de cloison "du bout du monde", ce qu'elle est, ce qu'elle nous propose, à quoi elle ressemble, en vrai ; parl

e-t-elle ? dit -elle des choses de poids ? de quoi se moque-t-ellke ? est-elle la FOI ? est-elle Bête ? Voix ? Cratère ? On ne xsait pas ! On entre ! on entre ensemble à quatre patttes ! on essaie d'entrer ensemble à quatre pattes. On essauie de regarder parvfla fente ! on essaie cde comprendre ensemble ce qui est qui nous regarde, nous voit (nous verrait) comme par la bande (langagière articulée) il semblerait. On est nées de rage "ailes" ! on est traversées de base par les fées qui nbous gouvernent, nous aident à aller (graviter) ; à croire, à peznser et parler sur terre jusqu'au cimetière et aprèes le cimetoière elles reprenneznt leurs ailes, elles vont ! elles ne trainent pas ou plus , elles tracentà fond, fonc

ent grave sur la place, filent à la façon des âmes ! Elles sont fortes et graves, douces et nues, bêtes belles sur paroi nue. elles nous regarde,nt . elles aiment tracer. Elles vont ensemble sur un pré paradisiaque ensemble toucher à cette déité des déités telle qu'on la connait "dans le langage " = maturité ! chant docte ! vivacité ancrée devant la porte on opte ! on opte ensemble grave pour

 ... la Foi en cette chose d'une Fée des prés, vivacité ! papillonage ! sciintillements des âges les uns puis les auttres un Temps. On est cohorte ! gentes dorées, cherche-tombe, vives données devant la porte à espérer. mais qui sait ce qui est ? qui conna^$it ? qui saura nous aider à traverser , passer, regarder, sentir et toucher, ressentir, aimer les données de base, lesz dfonnées données par la bande = le langage articulé sorti des nuées et comme allouéé à une sorte de romance "sarde". On ne sait ! on est bêtyes-masse, charge frontale, poids de choix, attelage. quand on y va on y va ! on ne lambine pas ! on trace paroi. On est bath ! bêtes ! blêmes ! et aussi offertes sur paroi comme des :mots de l'au-delà ou quelque chose comme ça ! On est bêtes de poids sur paroi à la charge ! on trace grave (fissa !) pour ensezmble (si possible) comprendre à toi à moi, les données profondes, les entrées en force, les passages ici réitérées, les envies profondes de gaieté, de hjoie, de

 solennité, de vivacité, d'estomacv. On est nées sur herbe dans la mort ! On est femmes fardées, vives alliées, vives données allouées, vives clartés surnommées, chants des fées (des prés) sur herbe volée ! On est bêtes ! bêtes-somme = bêtes (en vrai) de somme (sommeil ?) sur herbe volée (ou comme volée) dans le Ciel ! Oh ! qui sait si c'est vrai ! On cherche ! on n'est pas en pzeine cde chercher, on trace ! on dessine à main levée les bêtes rupestres := les données de poids , la plèbe, la paroi des Rois, les données accolées ou colmme accolées à un Sa voir de Roi. On est bêtes des prés Souveraines ! chouette ! on est nées ! on est passées ! on veut cerner ! on veut toucxher à cette chose d'une sorte fde donée de rêve, ce que c'est, ce que ça semblerait que c'est, ce qu'il en serait en v rai. On est nées ensemble sur herbe REines ! Reines de beauté ? Reines ! Reines des prés ! On s'aime = on sème . Concours de beauté ? 

On ne sait jamais ce qu'il en est, mùais on dirait plutôt qu'il s'agirait d'une sqorte de course allouée à une sorte de contrée dite "des prés". On est accolées acculées. On est bêtes acculées accolées jusqu'au cimetière ou sinon jusqu'ouù qui serait le bout ? On est comme "touchées" =traversées ! On est traversées = tyouchjées = dites = parlées = rendues (qui sait ?) à la vie. On est femmes des prés "surnuméraires". On voudrait si possible ensemble comprendre un maxiùum de données données concernant la vie, la mort, ce qui erst sur terre qui nous voit aller, tracer vif, charger, et donc aussi la mort (au débotté) ce qu'elle est. On est femmes des parois de charge. On est fortes ! On pousse ! On est grave forte quand on pousse ! On ne veut pas passer pour ce qu'on est pas, jamais ! on ne veut pas pâsser pour ...  eh bé ça qui est là : l'homme des bois ! Le chant dit "des pârois" est un chant de contrebande ! on est femmes des paroois de roche, on avance, on trace, on pousse grave. L'homme pas. Il (lui) ne pousse pas : il cache ses doigts ! il est coriace dans le genre mais 

pas là pour ça (pousser grave). O, n est femmes du bout du bou ! On entre dans l'antre ! on veut toucher à ceztte chose , d'une sorte (en soi) de pzaroi de roche, chant des prés, vives clartés, sons / images allouées à une vérité de roche. qui on est. Qui on semble être. Qui on regarde. qui est là qui, en vrai, se pavane, se dandine grave, fait le beau du Roi, charge dgrave la paroi de mots de poids : qui ? On est deux pour ça, le comprendre, le toucher du doigt. femmes slaves, sardes, sales, sages, esclaves des parois peut-être pas, et pas non plus sages, ou non plus sales, ou non plus sardes en vrai, alors quoi ? maussades ? pas ça ? On passe ! on cherche ! on entre ! on 

veut de fait toucher, et puis de bonne grâce la Paroi du bout du monde de la Foi dans le langage (la langue) des envois. On est femmes de pA roi sage, sentiments dde poids, on charge ! on y va ! on pousse ! on creuse ! on veut comprendre ! on veut toucher ! on veut y aller ! on ne veut pas lambiner mais cerner-pousser, dire-connaîttre, charger-tomber, aller-toucher à cette donnéee   dite "de cimetière" qu'il nous sied de mieux connaîttre, à la retombée. on est nées femmes (deux femmes) en  cette chose d'une sorte (en soi ?) de cimetière "cdes données". On est nées de base femmes dans la mort : deux ! Deux qui sont : SOMME ! sont : SOMME et poids de CHOIX ! ROI ! ROI /REINE en tralala (romance). On pense ! on est là pour comprtendre en transe si tant est ! On trace et on charge , on pousse et on cerne, on veut aller ensemble dans la luzerne courir grave sans traîner = y aller ! charger de base, toucher, courir, se vautrer = s'aimer sur un pré comme bêztes de poids salutaires ! on s'aime ! On court sur herbe, on va ! on veut ensemble de bonne grâce (en toute bonne foi) chercher à comptrendre ce qui va là qui nous inquiète peut-être pas ni ne nousq désès

père mais voilà : on est là ! on regarde ! on se pôse des questions de base. On se dit que la vie, sur terre, est une cxhose, et la vie au-delà de la Terre  une  autre, on ne xsait âs. On est femmes de paroi  ! Deux pour être ! pour coller" ! Pour aller ! deux ailes allouées à un corps de "rêve" si tant est ! corps doux ! corps de bois. cOrps chantant "tralala" sa rage , on voit ! On est femmes de base, nées nénés comme il se doit (seins de tresse) et on va, à la une à la deux, vers ça : la Règle ! le Roi ! la Reine ! La paroi frontale fiinale ! L'endroit de choix ! la Voie ! L'envolée des voies ? on creuse là ensemble le tas, on cherche passage, une voie d'accès si tant est, trou de base, petit passage qui serait pour nous comme un chas ! pour être Soi (nous deux) comme travrersières, passagères, volontaires, solictaires !On aime (grave) mater, tu penses ! on adore ça ! comprtendre est jeu de base, une sorte de donnée ancrée. Comprendre ou vouloir comprerendre est une sorte (on dirait) de jeu, de jeu quasi enraciné (par la bande) dans le langage dit articulé d'une langue qu'eklle qu'elle soit. Une langue pârlée contienndrait la Rage en vrai nécessaire à une sorte de vouloir-percer, de vouloir-comprtendre. On est femmes sages = savantes, 

de  ce fait : on entre ! Entrantes ! On entre ensemble (ffemes allouées) dans l'antre de la Voie de base. On est collées = accolées. Femmes accolées pour une virée à travezrs la la,nde juèsqu'au bout du bout alloué, donné, octroyé à un passage au débotté, qui serait le passage "final", le cdernier , dernier des derniers à devoir comprendre ou prendre, à emprunter, à faire ensemble à la une à la dfeux via /... la romance ? la romance vive ? Vive romance donnée par la bande (langagière animalière) du TEmps (peut-etre, qui sait ?) déroulé de rage ! On est femmes des prés = fées ! on trace = on dessine vite = à main levée, les données données de la lande. On aéime tracer = on aime aller ! Aller grave dans le pré "des fées" , c'sst aller ensemble (de conserve) comme en vrai des ail:es, deux ailes allouées à une sorte de Romance dite "de paroi" ,. On entre ! on entre ensemble. On est là qui (de fait) voulons comprendre ce qui est qui va, qui nous voit, qui regharde, nous regarde fixement ou pas mais sans trâi,ner, sanscesse, sans tarder. On est femmes des prés à la retombée 

le cimetière une fois pâssé. femmes on est la mort allouée. On est femmes des p^rés dans la mort donnée. On est (dans la mort) femmes sardes. On est comme allouées ensemble dans la mort en tant que femme dédoublée, du coup tracées ! On est des (deuxd) femmes des dieeux ! On est des (deux) femme-Dieu tu m'as saisi ! On est des comme qui , ensemble, vont grave, chercher à comprendre les données données telles qu'il nous apparrait qu'elles sembleraient se dessiner à la parade, ou comme à la p ara de . On veut : toucher, dire, sonder, poser, comprendre ce qui est, aller et encore aller sur herbe comme (comme qui dirait)- des bêtrs. Car en vrai bêtes on est, bêtes "de cimetière" = bêtes des prés, charges-nées, poids de Roi saluutaire, vives alacrités, pince-nez, colère on le sait ! On est nées colère, du fait que voilà ... l'aventure sur terre est singulière, quand en vrai la vie (dans la mort de fait) est plurielle ! pleine ! chargée ! somme des prés ! Dans la vie sur terre on vit (toutes et tous) des vies singulières, quand en vrai avant la cvie sur terre et aussi après, la vcie était et redevient pl;urielle et allouée (en plus !) à une Déoité des Déité = vérité des Vérités = Bête des prés ! 

bêzte bête peut-être ou pas bête mais en vrai comme dessinée à main levaée par des "mains surnuméraires", sur paroi pleine, chant des Rois et Reines, TRALALA on aime ! on y va ! chants doctes ! on y va ! chantons ! berçons ou hurlons ! dansons ! faisons de fait honeur aux monts, aux dunes des voies, au Pilat ! À la VOie de là, menant (vite fait) vers ça qui est là-bas la (qui saitt ?) plage des Rois ? On y  croiit ! Des reines et des rois ? on voudrait y c roire , toucher, les toucher de fa ce, toucher ensemble, toucher de fait les données de base, les données frontales. On est là (deux femmes sur paroi) qui voulons comprendre, ensemble (on se tient et se soutient) ce qui est qui nous regarde (devant soi) à travers (en vrai) la roche des bois, le tracé (de rage) longitudinal. c'est quoi ? on ne sait pas ! On aimerait (c'est une évidence) avancer dans les connaissances,, essayer de comprensdre les données de base (frontales) devant soi, les rages diverses, r(omanc

es de choix et autres tralala de convenance. On est l:à pour ça ensemble ! On colle ensemble. On se colle l'une à l'auttre : on veut ça ! On est bête de joie, cri de hjoie, chant de joie = JOIE de Roche ! On est JOIE de Base, tracé faste, cri de joie sur bande, vent de face, trait aimé,voie des données. On est nées comme à nous ^memes un jour ensemble par la bande (animalière) du langage ! on est nées de rage par la bande sur paroi de base : les nénés ! seins de glace ? vies des vies ! lait ! LE LAIT ! LA vie le lait ! On est nées de rage sur paroi gravée comme à l'embuscade, c'est fait ! On voulait , on y est arriovées ! On voulait passer (de rage) eh bé c'est fait ! femmes-attraits, on passe ! on passe sur pré ! on est nées pour passer la base des fées, on le fait. homme aux mots des veaux, on devient FEMMEs allouées à une Romance dite des n"énés"  = nées ! On est coriaces à jamais ! tracées de fait ! cfomme à la ramasse mais en vrai on est, cfomm

e un fait exprès, nées sauvages ! sortes de voix doctorales ! On se tient tout pprès de sombrer mais non ! on tyient ! femmes nées pour durer o,n tient, quand l'homme est lui allouée à une sorte de chemin qui se termine ou se terminerait au fond d'un fossé ! hommes faits ! refaits ! femmes nées, elle, en vrai, dans la mort, à une vie nouvelle !on l'aime ! on l'aime des dieux ! On veut ELLE ! on veut être elle ! don de dieu sur roche des voeux ! IOn aime Elle = AILE = Noeud = vie des feux ! On veut cerner ensemble ce qui est qui est, ce qui nous ressemble , ce qui va, ce qui tremble , ce qui est là pour soi nous aider à comprtendre (loin)

 les données de base ce que c'est et aussi en vrai ce que (peut-être) c'est pas ! on est là grave pour ça ! comprendre en soi = preendre pour soi. La Romance. Le chant des parois. Le cri de hjoie. L"épopée frontale pariétale. La Paroi en soi. La Chance ! la cxhance = la foi ! la foi = la jhoie. La Joie = la Parade (animalee ou animalière) sur pa roi. On entre en ça, la Roche Rude, par la bande (langue) une fois ! et là, on trace ! une foisz là on en avance ! on trace = on grave grave ezt puis on regarde et là on voit quoi ? la Chance ! Le tracé frontal est chance = charge de joie ! On est fe"mmes des parois du monde . On est femmes des mondes alloués. On veut ou on voudrait cerner de base parr la bande c  e qyui est qui cxharge et puis voilà, comp^rendre grave, les données de rage, les données dsonnées qui sont données de front, charge mentale, cloison ou de cloison. on fonce ! Fonçons ! courons ! traçons ! pissons ! faisons co:mptendsre ensemble à cette Chose, Chose du Fond, qu'on est en bande ! qu'on fait front ensemble ! force d'union ! On veut ensemble faire (ainsi) impression ! On veut en jeter grave ensemble. faire ainsi ensemb le que voilà, la mort ! la mort reculât grave ! se couchât ! se mît à part comme en vavcances de la Foi , des données de b ase ! On voit ce qu'on voit. On esqt femmes des prés. On veut toucxher ! Toucher grave à cette chose ici d'une sorte en soi de Déoté des Déités dite "de fa çade" ! croix de bois ! 

christ de contrebande ! charge mentale ! voix = voie de rage ! cri de joie et de poids ensemble ça y va on croit le comprendre. on entre ! vois ça ! reg adre ! vois la Roche à travezrser ! la Chose du pré ! l'herbe allouée ! le soleil nacré ! entre ! passe ! touche ! va ! traverse ! cherche à cerner = faire ! va pour être ! aide-toi le ciel t'aidera ! Coàmmence ! On est femmes des paroois aiméesz, on a traversé comme à la déerobée ensemble les données frontales, le Moi. ,A présent nous devons ensemble 

A p^résent nous devons ensemble pour le coup aller, comme énervées, vers ces données ditees "des nénés" chercher du lait. On est nées ! on est nnées de rage ! on est néesz de base ! rage et base font bon ménage ! On est fe'mmes néées sur roche "aux nénés". On veut toucher ! toucher ! toucher les nénés ! On voudrait toucher ! On voudrait de fait toucher les n,énés ! on veut / on voudrait : toucher les nénés ! boire le lait  ! chanter ! souffler ! aller ! dire et chanter ! On est femmes nées (de rage) dans la mort "de base", celle des données données allouées , à une romance, à un chant des prés, àune danse en transe, à une sorte de clarté naissante, à une sioorte en szoi de volonté coriace (ou tenace) de vouloir aller (tantôt) par les prés à la recherche des denrées, viçvres et autres offrandes alimentaires . On est comme nées sur terre pour aller = manger, courir, faire, tracer, copmprndre, soulever, perdre, charger et cerner. On veut être des fées sur terre ! fées des fées . L'est-on ? 

sommes-nous ici des fées de rêve ? Avo-nous de quoi cerner les données dites "surnuméraires" et autres traitsz lovés ? sommes-nous Fées de Terre ? charges nées salutaires, pour aimer , de près, les êtres ? On s'aime = on se sait aimées ! par ELLES : les F2ES ! F2es des Rêves sur Terre , et F2es des données Célestess . On veut toucxher à cette Déité des données "Superbes" , soit "Belles", szoit "sublimes", soit "vives" ! On est nées sublimes de clarté, puis on sombre corps et âmes en vrai, pour renaitre Débottées ! sur Roche des Prés ! F2es retrouvées ! On s'aime ! on est re-nées comme à la retombée du cimetière, dans un pré, sur herbe, défait, défaites ! On s'aime ! on se veut aimées ! On veut toucher aux glaires, aux fruyits blets, aux chrèmes, aux sang séxché, aux liquides allouées à une vie p assée. On veut toucher ! on voudrait toucher ! toucher les nénés ! on voudrait toucher ! on voudrait grave toucher ! on voudrait ensemble en vrai grave toucher ! dire et aller ! cerner-pointer ! dire et coller !donner ! cerner ! faire ! composer un certain nombre de tracé sur roche allouée, de type cavalcade au débotté et autres parades armées. gentes dames sur rocher, cris des fées, voix donnés aux hommes et aux femmes cernées commê pa r la bande". hommes-troncs, femmes-passions, gens et gentes rosses ou sinon, sino n rosses, pauvres ! pauvre en paroles ! On le voit ! On voit ça ! la Chose ! La Paroi de Choix est paroi des voix comme soupesées. On veut s'avancer, on va ! on voudrait cerner de fait les données (przmières princières), les toucher (pour ainsi 

dire) comme des nénés, mais comment ensemble faire ? par le nez ? les toucher du nez ? les renifler ? On s'approche d'elles. On est tout près. On colle presqaue aux nénés ! on veut téter ! on voudrait de fait téter les néenés (surnuméraires) dee la Charité sur Herbe, Clarté, Découverte, Vie tracée, Lumière. On aime ainsi s'aimer face aux nénés des Bêtes! Pis d'amie , belette et autres bêtes vives des bois et forêts, campagnes cendrées , cimetyière tout autant. on entre par derrière ! on voudrait ! on voudrait ensemble entrer par derrière! Aller ! toucher à cette Déité des Parois desRoches! creuser ! chercher ! aller ! dire ! faiore ainsi ensemble q<ue la vie, ne s'arrêta^t pas à la naissance, à la pa roi, aux voies de b ase (sur façade) de paroi, aux tracés "étranges". On veut de fait ensemble aller (grave) sur roche tracer, dessiner les choses. ON est nées sur roche pour (en vrai) creuser sa tombe comme qui dirait = vie des vies. On voudrait ensemble svp tracer ! dessiner la charge, la parole docte = Auroque ! bisonne des prés, chants d'amont, vie des env

ies, cloportes et autres bêtes vives -des terres brûlées. On est comme né&es (ensemble) par des traitsq, dessinéesz, sur roche allouées, comme à la renvezrse : oups ! on aime ! On est femmes des prés ensemble cernées.. On avance pas à p as vers une sorte de clarté de l'au-delà m:ais va&s)-y comprendre ! Va cerner ! va penser à cxharge ! va donc allouer à une sorte de romance le tracé donné des données de rage et autres vilosités ! Craque ! craque ! craque ! tu serasx ... née ! Craque sur roche ! d""éplisse-toi et va ! on est là pour 

toi ! on est dans l'antre avec toi ! on est les bêtes de paroi surnuméraires ! bêtes de hjoie surnuméraires ! on est là pour toi n'aies c rainte, dès lors va ! charge ! trace ! entre ! cours ! va sur roche et cours ! soit : cours car voilà ! au pa szage, l'un devient Deux ! de'ux pourr être Ailes ! Voeux ! Feux ! Vies des pré de loge ! On est n éesz eznsemble sur paroi. On veut comprendre les données de base. on est des femmesc nues. quand on parle on trace. on est des femmes velues, 

on est des femmes velues, nues, venues, crues, simplement tracées comme à main levée. on est femmes nues et velues, cul - nu ! On veut tpoucher ensemble si jamais à cette déoité des déité du Cul ! hé, tu le sais. On est néesvelues nues, crues, vives et belles, chargées d'être. On voudrait toucher à cette Déité des Déités, dont le nom de scène est ... Amour ! Amourette ! On l'aime ! On est aimées ! On est aimées par Elle on dirait. On voudrrait grave aller versz elle (D2ité des D2ités) mais ce n'est pas simple ! Il faut charger ! azrmer et tirer ! c''st dur ! ça demande du doigté ! de la dextérité ! l'amplitude, les données, la chance, une soerte de volonté . On regarde pa r la fente 

On regarde ensemble par la fe"nte

Enxemble ici (paroi terminale) on regarde par la fente : qu'est-ce qu'on voit ? on voit ça : du bois ! du bois de base  ! 

qu'est-ce qu'on voit ? On voit ça : du bvois ! du bois d'antre  ! de la jhoie en branche ! On regarde , et ce qu'on voit c'est ça (il semblerait) : de l'ambre ! On est comme nées, ensemble, à la retombée, on veut co:mprendre et cerner, toucher les nénés, boire le lait, aller et tracer, perforer la roche finale ! se coucxher ! On nserait allouées znsemble à une sorte de donnée de base. qi on est ? eh bé, qui sait ? des êtres ... d'une autre planète ? qui le sa&it ? soeurs de lait d'une a utre planète que la terre ! qui le sait ? On est nées sur terre au singulier (un homme ou une homme) et nous voilà, à la mort, tra&nsformées de rage ! femme ! femmes ! femmes des prés qui, en vrai, ne vzulent ou ne voudraient plus se lâcgher , ni se perdre. ON est comme nées à une sorte en soi de Vie Souveraine, Chant des Roches Lovées dans une grotte. On est nées VFORTES ! VIVES ! CHAE_RGÉeS ! Sorte de données de base, La Donnée. LA Donnée de s Données ! On charge ! On voudrait aller (gra&ve) au plus loin parmi les données ou entre les données. On est femmes des p^rés (fées) qui voulons tracer , tracer grave, les données de base , fées des prés traçantes ! On veut comprendre et aller, toucher et dire, faire et passer, comprendre et allouer, cerner et poindre, charger et peindre, toucher et pousser , faire ainsi que les fées co:mprtzennent ! E^tre = faire. On est nées fées, ailes, données des données; dans la mort Souveraiaine, surnuméraire ! On est néesFÉes en ceette sorte de rocher de groote, incurvé, tracé, comme soulevé !Fête ! fées des fêtes !  On veut aller, toucxher, dire, dire ce qui est, comprendre, soupêser, xcerner, comprendre, surprendre, pisser, donner, allouer par la bande, siffler, chanter, pieindsre et dessiner, coller et s'accoler, porter, naître, corser, narrer, feindre, soulager, crier, jouer, aller et sentir le's données données d'une rage (déplacée ?) à vouloir être, mordicus, des fées et princesses ;. qui est qui ici ? Qui veut qauoi ? qui est là ? qui veiut comp^rendsre ce qui en soi se trame ou tramerait de base ou semblerait de base se tréamer. On est là pour ça ! charmer = toucher. Dire = comprendre. donner = faire, etc. toute une sarabande, sur paroi, de verbes. Etc. On voit ce convoi ! ça charge ! ça envoie ! ça 

ne tremble pas ! ça porte la joie, le sens de la joie ! ça trace ! On voit ça ! on y croit plus qu'à "l'être" de l'envoi ! On aime ça. iOn est bêztes de paroi, de style buflette, et oui, on envoie ! on envoie du bois ! On est bêtes de jhoie et on envoie du bois. qauand on éime on voit ! ... ça : la Bête Sévère, dite "de paroi" ; bête bête (?) de cimetière ? cri de joie sur terre ? on aime ! on l'aime ! on aimerait (grave) la toucher en face, la comprendre c'est un fait m&is aussi la toucher , la caresser, la toucher ou la caresser ; pour ça : lui faire comprezndre, en vrai, que, ma foi, ça va, on est pas des monstres de p aroi ! on aime la HJoie ; pas des rabats-joie. On est : femmes nées sur roche, à la une à la deux, à la mort de l'homme (l'homme au singulier , genré).On est femmes ensemble allouées. On est entrées ensemble à la une à la de"ux sans tergiverserr ni dészmparer. On veut dire-faire(grave) x et x 

choses sur roche, à savoir : cela ! la Joie ! faire et dire, dire et faire : dans la joie pour a&insi dire ! tracer ! se lover ! chercher ici ou là à co:mprendre qui de quoi  et quoi de qui  ! car , en vrai, on ne sait toujoursz pâs "qui on est" ! on aimeraéit fort 

le savoir ensemble , le comprendre, pouvoir (en vrai) pour nous savoir, toucher du doigt, soit se reconnéître" soi dans la paroi, se comprendre soi-même, ce qu'on est en vrai ! ce qu'"on est en tant qu'on est nées (sur roche) da,ns la mort , femmes surnuméraires (... et dans tous les cas ? peut-êttree). On voit ça, comme quoi la mort est une sorte de "paroi de roche" à traverser. O,n erst femmes des prés chargées, sommées, tenues à cerner ce qui est dans ce qui nous regarde. mais voilà, ce n'sst pas une chose facile ! il y faut du doigté ! de la dextérité ! du sang-froid et de l'opiniatreté comme jamais car cerner est dur ! pas facile ! une sorte de défi qu'on (ici) se fait comme à la retombée : à toi à moi les don,ées suprêmes. "j'aiùerais comprendxre "dit-on "ce qui est qui est qui nous con-cerne !". Peut-êtte, sweul"ment voilà : on aime ! on s'aime ! ça pèse son poifds ! ça "infecte" ! ça fait ça que ça '"infecte",,, d

'une certzaine manière; la voie est la voix ! le cha,nt est la voie. Le chant est total. Il est Voie d'a&bord sans misère ! On aime le cha,nt ! On veut ou on voudrait ensemble (de préférence) comprendre (grave) ce qui est ici qui nous regarde. il s'agit ici, d'une sorte de ... roma,nce . romance des fées ? qui bnous regarderaéit au sens de concerner, nous concernerait dès lors de pr(ès vcar nous sommes en demande à j&mais de sortes de connaisxsa nces allouées à une romance ! On trace! on marche ! on avance à pas comp)tés, chassés. On est bêtes de poids sur roche, tr&its de joue, tra&céz doctes, cris de joie (hourra) et aéutres vies montrées. On est de"ux femmes au débotté tracées. On est femmes tracés sous forme animale ! On est f"mmes des prés allouées à une roche. On est      

femmes  "à cornes". bêtes-monstres de paroi ocre. On aime aller ! on veut grave aller sur roche, à la rencfontre d'une vérité, d'un tra&it (en v' rai) sailla&nt de vérité, tra&it nacré acté, dessiné à main levée, viçf et léger. on serait et on est ! femmes allouées à un "post-cimetière time" ! on veut toucher ! on voudrait comprtendre ! toucher grave (gravé) à Déité. On est femmes olé olé sur roche allouée , qui sait ? ou sinon olé olé, aimées ! touchées &ux n,énés  = aimées pour le lait ! on veut cerner-aller, faire éinsi ici que les choses allassent, ensemble, comme il semblerait qu'elles aient toutes  (de fait) à devoir aler. 

On est des qui, desz données, 

données qui. 

On est des femmes qui, ensemble, sont données de rage, donné&es doctes. On est femmes des p^rés , données, déposées, posées, mises sur pied et déposéees; on est femmes a llouées à un e sqorte de romance dite "du bout du monde". qui on est ? eh bé ça, peut-êtte : belle bête, bête de paroi, bête-mot de somme,  bêtesde traits, bêtes-monstres qui en imposqent, posent là leur sorte de poids . Onj regarde ! On voit le contour, les bêtes en marche, rugissantes, les massifs, les tas de bois, Verbe-pöids de Rage. On est femmes de paroi, on entre. On voudraéit com)rendre exemble ce convoiç de b-etes de poids, genre ... romance ? verbe haut ? transe ? une sorte d'insulte extrèmê, forte et salée. VERBE AU DÉBOTTÉ. Verbe au débotté. VERBE AUB DÉBOTTÉ DE GRÂCE , VERBE GRAVE AU DÉBOTTÉ DE GXRÂCE ! GRAVE , VERBE, TRACE, POUR LA FOI EN L'ÊTREE ICI SURNUMÉRAIRE , DE LA JOIE. ON VEUT COMPRENDRE (GRAVE) LES DONNÉES TRACÉES SUR R'OCHE (AUROCHS, AUROQUES, CHEVAUXS, CHEVALES, BISONS , BIOSONNES, BUFFLETTES ET ANTILOPES).o n est DEUX

 pour une comprenure axiale : va-t-on ici un jour prochain (lointain ?) arriver à cerner un certain nombre de don,nées comme"de contrebande " ? eh bé qui sait ? on ne sait pas ! on est femmes sardes, sages ou pas ml:ais ce qu'on veut, en vrai on le veutb , et pas qu"'un peu ! à mort ! on veut grave à mort aller fissa, sur roche tracer ! cerner d'approche les données ! dire et jouer ! aller sur pré jouer à ça, jeu de l'oie ! On est femmes des prés donnés, qui sommes néesz femme ou homme au singulier, meure'nt femmes au p)luriel à jamais, c'sest  acté ou tout comme. on veut être , toucher et creuser, dire, poser et aller, faire, chanter et danser, e,n transe, les traits de la roche. traits dansés sur roche à toi à moi, on dira que ça fusionne ! ça remplit de chants la grotte. on est dedans ! on est accolées. On veut cerner de près ce qui est. On essaie de cerner ce qui est ensemble en cette grotte, les don,ées donnéesz. On essaie ! Qui on est ? des données = des qui sont dsonnées , ou même (qui sait ?) qui se do nne,nt ? On est nées (sur roche) à la traversée (ça le fait) et voilà ce qui est , qui semble se dérouler ou comme se dérouler : une femme est née de deux femmes ! fée ! fée de base ! fée née aux nénés (élevée aux nénés)! On regarde ! on voit des cxdhoses,. On voit un convoi , de bêtes de poids (c'est dr'ôle , on dirait un tas). on est sous les ordres   d'une sorte de cohorte de bêtes de poids. on est fortes, folles, rosses, drôles/ Bêtes de poids en vrai ça vous pose ! Ça promet ! ça ose ! c'st osé 

! On monte ! montons en grotte ! faisons l'ascension ensemble motibvées ! ne traéinons pas outre mesure mais creusons ! chargeons ! allons vif sur roche au diapason et chercho,ns à (nous deux) déplacer la cloison et passer ! qui un oeil qui de'ux, mais ... de fait, passer un peu, un p)et§it peu, afiin de cerner (ensemble) les données qui sont ici celles d'un derrière, d'un derrière de roche gravée. voyons ! que voit-on ? on dirait ... de la 

on dirait ... de la mousse bulleuse ! du mouusseux de trait ! de la bulle mousseuse ! traitsz animaliers ! ça pisse ! c''st liquide on dirait. On fdirait que derrière en vrai il y a du liquide, il y a ou i;l yy aurait pas mal de liquide, genre : MER ! mer d'embriuns ! On dirait cela ! du liquide "de paroi" , si tant est que ça existe. On dirzit cette chose de poids, là, comme quoi , derrière, fin fond, la mer de roche, les embruns, la mousse des rois, monte-ch arge, l'au-delà de l'ambre, une sorte de voix, venant nous dire le tourment des âmes de la joie à être là, passées par derrière, sous un vent de face face au cimetière. On voit , ce convoi en face : bêtes de poids. Et derrière ...? la JHoie ! ou le Temps de la Joie allouée à une Voix de type voix grave, sourde, posée, mesurée, lourde, accolée, celte, abonnée à une sorte de volonté de nous voir sombrer. On ne l'écoute pas outre-mesure, on est pas gaga ! on est bêtes de poids mais pas gaga ! On ne veut pas l'êttre. Ce qu'on veut pour nous c'est ça : la chance ! un tracé de choix, une romance, un tracé chargé de mots de base, une sorte de romance à toi à moi de bonne chance, tralala de la foi et auttrezs croyances. On entre !

 qui on est ? On est des femmes dites "des prés" comme dans la reomance d'une sorte de peuplade "acidulée", celle des branches, des arbres fruitiers et autres plantes paradisiaques. On est femmes allouées à un pré de base; On en avance dans les conna-issance ! on ne veut pas sombrer ! on veut (de fait) perdureer à jamais = cerner les données pour mieux les comp)rendre. on veut tente"r sa chance ! notre chance !! aller, toucher, cerner, pisser et c aguer, dire ce qui est sans embâges, ne pas louvoyer, être francs et franches de collier, dire les données comme e'lmlesz npous sont dpnnées si tant est ! On est nées de base "romance". On est entrées ! on est passées ! on a creusé et voiulà, on es entrées ! on est grave enseùmble ezntrées et nous voilà tenues à tracer  les données qui nous sont données. on est velues, nues, nées nues et velues cfomme bêtes des prés allouées à une naissance, sur l'herbe faste, sous un ciel des rois, alarmées, scintyillantes, accolées, brillantes, soupeséeqs, invitées à cerner les données astrales pour l'éternité (ciel de base et aéutres envois dits "du bonnet et de l'âne attitré"). On aime  la chance; On est grave ensemble (nous deux) qi voulons comp^rendre :

 1, les vues de base, 2, les données royales, 3, la vie en ses plis, 4, le vent de face, 5, la vie en ses plis, ici soulevée comme un drap de bain, et dessous ... eh bé la vie, encore, comme sou-mise !, 6, les données fractales et autres éboulis de vie; 7, la Joie, 8, l'ombre sur le tas, 9, l'envie de soi, 10, on recommence ! On est bêztes de poids sur paroi -romance, cha,nt de soi = tralala sur bande (de fait) pariétale et ça se voit, ça chante grave, c'st la HJoie ! On voit ça ! 

On est entrées ense'mble. On est comme allouées e,nsemble à un e voie, un tracé de choix, accès fin de paroi par où ensemble, vite passer, s'immiscer, et du coup passer , en vtai , de l'autre côté. on essaie de fait de cerner la voie, où elle est en vrai, par où ça commen,ce. on regarde ! on est des qui sommes ensemble qui (en vrai) regatrdent ! On est nées de rage ensemble, pour tracer sur roche lesz don,ées naissante's. 

Bêtes de pôids (de masse) sont ce tralala dont on parle (chants d'azur, chants doctes). et ce trralala ... indique la voie ! ça chante ! ça chante, et , du coup, ça p asse (pour le dire vite) ! d'où le fait que voilà, on est comme accolées ensemble à toi à moi, et c'est du coup ensemble qu'on ess&ie (qui sait ?) de comprendre, d'aller, de donner du ventre, des fessiers, du buste et des nénés pour comprendre, toucher, cerner, considérer tout un ensemble de données données comme p ar la ba,nde par une Entité dont le nom, pour ainsi dire, serait (peut-être) Déité (Maïté ? on ne sait !). On est accolées ensemble (main dans la main) à une roche. On ne veut pas sombrer c'est un fait (comme les hommes hommes) mais (pour le coup) pêrdurer ! perdurer -durer à jamais si tant est ... On est nées de Rage (d(une Rage) et nous voilà comme touchées , ensemble, par la bande, sous le joug d'une loi de base = looi des voies, qui est la loi d'un paysage de passage, chant de joie et loi, certitudes et amertumes, c hance et charge : la Voix ! ça se voit ! c'est un drôle de contrat qui nous lie là ensemble ! une sorte d'embuscade, ou quoi ? tracé fou ? cueillette ? on va devoir (il semblerait) sortir les assiettes , les couverts, les verres ; l e pain et le vin ? on ne sait pas mais ça se pourrait bien ! On mate grave ! On est  , femmes a ux prés, comme  bulflettes--entités. On broute ! on est comme cernées de base ensemble alentour. fruits des monts. Monts des fruits. monts des données rudes. Asphyxie ? On dure ! on trace vif ! on y croit ! on voit ! on mate ! on veut être des (ensemble) qui tracent, ne lésinent pas sur la dépense, vont droit, chargent que tu chargeras, vont jusqu'au final ensemble s'épauler (voire s'aimer) et ça le fait (le ferait) pour l'éternité qui sait ! on entre dans l'antre. une voix est u ne voie car 

elle creuse l'espace et nous aide grave à nous orienter c'est un fait, et du coup nous voilà qui (de fait) traçons grave sur roche des prés, chemin de passage, tracé,, bêtes de csomme sous le nez, on est bêtes nousz-mêmes, colère, vivacité, charge-née ! On est accolées qui poussons jusqi'aux nénés de l'être ! LAIT ! Du lait plénipotencière ! plénipotencier ? On veut aimer le lait, s'aimer xdans le lait. le lait est nacré et sacré. On veut ensemble s'aimer grave da&ns le lait ! On est nées pour s'aimer ensemble dans du laéit, dans un bain de la&it "de l'autre côté". On est femmes des prés, on veut toucher, tracer, cerner et coller. On ne veut en aucun cas sombrerr, mais tout au contraire pezrdurer, charger, dire et aller, coller à une sorte de "mât de misaine" et tracer := naviguer sur mer souveraine. Mer des données. On est nées sur mer allouée à une sorte de donnée dite"surnuméraire" vsouveraine salutaire. On est des foemmes aux données données souterraine; qui on etst ? des fées ! on le s a it ! on est fées faites Mort ! On est Fées de la Mort. On est des Fées comme "De la mort" ! On aime être Fées allouées à la Mort, comùe qui dirait. On est nées sur roche Fées, et du coup  on est allouées à une sorte de don,ée liée à la mort dans ce qu'elle est. On regarde dzvant soi et  c e co,nvoi de b^-etes fortes est (exactement) ce convoi de bêtes rosses liées )à la mort. On mate ! on veut comprendre ça et ça. On voudrait de grâce aller ^)rofond et pour cela, il 

est mieux de tracer (à main levée) les bêtes de poids , bêtes belles = masses ! Poids de RAge! On voit ! on est là pour ça, voir ensemble, aller grave, toucher, cerner de p^rsès, aller ensemble, se "toucxher" la main et ce faisant tracer, courir,, gravir, toucher, se donner, faore fropnt, allouer à une roche u ne Passion, coller à une roche son nom, le graver de front à l'unisson, deux noms font le nom de la Chose. On est passées ensemble sous les peupliersz. On entre ! On est fe"mmes allouées ensemble (deux femmes) à un antre. On aime aller vers plus de clarté, de vives clartés souterrainezs./ On veut dire et faire, charger et aller, comprendre et soupeser, soulever et ne pas tomber. On est bêtes de somme nées d'une sqorte de parade (ici : paroi) grégaire on le voit, ça ne nous choque p)as , on aime ! on est là enseùùmble (à toi à moi) pour être et du coup être unebête, bête de hjoie (pâroi)bsur herbe, légère ou pas, le tout est d'être, sur roche des bois, l'êttre surnuméraire salutaire qu'il nous sied (ô cfombien !) d'êttre. car voilà : o, n 

est là pour cerner ensemble cette jHoie de l'être en tant que bête. On est femmes des prés, allouées à une Dewstinée, dont le nom est Pré, Herbe, Prairie ou Champ de luzerne. QZui on est ? On est des femmes souveraines, acc

olées, qui voulons perdurer, foncent, creusent "dans" la vérité le sillon de l'être-bête tel qu'il nous apparraît (on dirait) dans les rêves.On veut ensemble en  vrai toucher à cette' d"éité "des données sup^rêmes", la toucher de près, sonder son êttre, regarder ce qu'il en est (de fait) dans la clarté, peser et toucher, coller et monter, a&ller sur herbe jouer, s'amuser, comme des belettes. On est n,ées, sur pré, belettes en colère (?) ou peut-être auroques enjouées (?). Qui le sait ? l'herbe est verte !on est bêtes de jeu. On s'aime à qui mieux mieux couchées dans la luezerne nues. on se sent le cul. l'herbe est verte sous le cul; on aime ! l'herbe verte et le cul ! On s'aime ! On trace ! On regarde. ON veut cerner ensemble les données "étra,nges", les tracés patents, l'antre menaçant, la chance, les tourments, les traces frontales, les bêtes de poids sur cloison murale. On y croit ! On est là pour ça : croire ! ne pas sombrer, chercher pitance, soupeser le blé, les graiines et autres céréales. On aime aimer . On veut toucher à cette déoité des parades allouées à une sqorte de mur de piété, charge sarde,  calamités. On veut être près. Toucxher. Toucxher déité. Toucher; Toucher à cette Déité. Toucher à cette Déité des Déités. La toucher de base ! Toucher ! Toucher grave ! 

Toucher) à cette sorte pour le coup de D2oté des D2ités. On veut comptendre (à deuxd) la Chance = la VOie = Le Temps./ On est comme deux enfants qui ch assent ! On est femmes chasseresses et on en avance dans les connaissa,cesz sur terre, sur paroi, sur ciel, au temps donné des donnés frontales, sur  charrue, hjoug et bois. On est deux femmes de paroi "étrzange" (la paroi étrange, et femmes étranges... car voilà : on s'aime là, dans la voix !!!!! étrange, n'est-ce pas ?°). On charge ! On est comme toutes deux cernéess ensemble à toi à moi dans une soerte de parade dont le motto (on dira) est ça : "une voix pour soi ". On colle ! montons ! traçons ! courons ! creusons ! perçons ! fraisons corps ensemble ! chervchons le plus possible à comprendre ce qu'on voit d'ici (champ des effets) qui nous "regarde " de près (ou semblerait) . On est deux femmes soulevées ! on est femmes soulevées de près ! on est femmes qui , soulevéesainsi, lévitent, vont, touchent, sortent, wsautent. on vgoit loin ensemble ma foi : loin .... derrière soi , la plage , le sommet, la crête, les embruns de bord de mùer, les plages sondées, le courant marin, le sable, 

l'alchimie des algues et autres coquillages. On veut comptendre, toucher,, cerner, aller sous l'effet desz données données ingurgitées. S'aimer tout près = se lécher. être Fées des Rêves si tant est. faire ainsi qu'on soit "solidaires" , allouées à une grêve, aux abords des prés, vagues d'herbe, cris des joies. On est accolées sur rochetracée (ornementée) comme un cimetière , comme un cimetière l'est, est ornementé, décoré, enjolivé peu-têtre. on est comme nées sur l'herbe des prés ! obn est nées d'uncimetière ! on a traversé les différentes contrées post-cimetière et à présent on sait mieux qui on est ou même ce qu'on est, notre identité de genre et nombre, les données de force, nom / prénom et qualités diverses. On est nées sur roche deux. On est nées sur Roche au nombre de deux. On est deux main dans la main sur roche, nées sur pré, chargées, accolées. On est femmes (deuxd) qui (en vrai) étaient peut-être encore homme (au singulier) "derrière". On veut cerner ! toucher ! aller ! comprendre ! soupeserr ! soulever ! charger ! pisser ! ne pas couler ! compter ! perdre ! charger les données salutaires ! pisser de près ! aller et coincer, dire et pousser le Verbe, dès lors, vers ... la rivière ? l'ondée ? la grève ? le courant altier ? les remous mousseux ? les bêtes des Dieux ? Le collé-serré surnuméraire dune sorte d'antre merveilleux ? On est cfomme des féesz de ba

s-étage, misérable miracle, on veut les cieux mais vas-y voir ensemble ! c'ewst merdeux ! ça tremble ! c'st peureux ! ça chante grave ! ça vous glace ! vous transit de base de la tête aux pieds. On veut comprendre,; alors voilà, on comp^te nos pas. On est franches . On est là pour ça, comprendre par l a ba,nde un certain  om

bre de données de base, ce que c'est, ce que c'est pas, ce qu'il advient, ce qui se trme içci bas , et aussi plus haut, là-bas, tout là-bas, vers les embruns, ce paysage sous-marin, la Chance des pages, le sommeil, la Voie de face. Une entrée  en vrai. Un drôle de passage pour Fées qu'on serait. Une sorte de porte sauvag . un endroit par où ensemble aller comme à la ramasse ! On est nées sur pré. On charge ! on pousse grave ! on veut tracer = allouer à uen D2ité toute (ici ) cette charge mentale (mots de la tribu) dont on est redevables il semblerait ... du seul fait d'être nées, qui sait ! 

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17/8/2024

On est deux pour être. On veut cerner ! On est accolées. 

On est ensemble pour cerner ce qui en vfrai semble nous "regarder", noud voir en qauelque sorte à travers la Chose ! On est deux ensemble ! on avance ! on est cernées , on est colme allouées à cette Chose , des données premières , princières ! On veut : et cerner et c omprendrte, et toucher et dire ! On veut : aller ensemble, fissa, à la une à la deux, comme à l'avenrture ! chercher quoi ? chercher ça ! cela là qui, en vérité, semble ou semblerait nous regarder en face ; et c'est quoi ? c'est l'plombier des charges ! l'envahi ! le guetteur ! le crac de la bande ! On regarde et forcément on voit des choses devant soi qui se pavanent ! roue dentée ! crénelée ! on comprend des choses, ou du moins on cherche 

à comprendre, ensemble, un certain nombre de données de base concernzant la vie dans ce qu'elle a de plus profond, de plus ancré, de plus enraciné en vrai par la bande dans ... preut-êtee en effet, ce seuil dit de rage, cette chose des confins : la mort ! oh, voilà ça , qui (qui sait ?) nous regarde comme parr en b as ! on y va ! on charge ensemble ! on essaie, du coup, de comprendre ensemble ce qui est qui vient vers Soi = Nousq de rage ! On est , eh bien, accolées de base, car surfaites = faites sur ! faites ensemble sur le tas ! de rage ! sous le Verbe à ras ! la chance ! on avance ! on 

entre ! on veut cerner-comprendre ensemble un certain  niomvbre de donneées de bhase, ce qui est, ce quin'est pas, ce qui va là ou nhe va pas là . On veut ou on voudrait ensezmble, cerner un certain  nombre de données acides, données de parade, données-vies, charges mentales,, supllices à vrai dire , à moins que ce ne soit la Chance en soi d'être et de paraître celui ou celle qu'on  est pas ! charge rude sur paroi := bufflette ! oh voilà ! on y croit ! o,n est buflle-bufflette de paroi ! homme et femme lambda ! caramba ! On avcance ! On veut ou on vouderait ensemble comprendre un certain  iombre de dionnées de rage, ce qui est qui est, ce qui semble comme aller de soi, ce qui charge ! ce qui va et ce quine va pas. On est face à face (la paroi et Moi = Nous = Vous = celles des envies (folles) de Vie !) . On aime ! on est comme Amour alloué de Caérême , chant total, pisse-vin, toucghe)-misère, octogone ! On est comme deux "connes" qui voulo ns aller (de rage), à la une à la deux, à la recgerherche d'une Vérité disons de bas-étage (qui sait ?) ou quoi (sinon) d'autre ? Car on sait ensembvle

 traverser la roche ! aller vif ! toucher le nacré et passer qui son doigt de fée, qui sa serpette, qui son sang des règles, qui son oeil de bois ! On est femmes sûres ! corps à coeur ! vives alkacrités massives genre bêtes des przairies  et autres prés acidulées. On avance ensembkle ! On veutcverner ! comprendre, allouer ! dire et toucher ! Etre près de cette b^ete de derière , chercher à cerner ce qui est !

On veut être ensemble des , qui (de fait) veulent traverser (ensemble) les données ddonnées de type roc et pré, roche allou"éée, roc des données vives, trimballum ! On est comme nées pour être ensembkle (ici) comme traversantes ! On avance ensemble ! On nest deux ! on collle ! on veut aller de rage ensemble 

au fond du fond des roches de base , trou du con ! on est comme nées pour être allouées, à un ..  con de rage ? qui sait ? qui le sai -t en vérité ? On veut

 : toucher-aller, dire-faire, comprendre et s' avancer ensemble, à toi à moi, sur la lande par la ban,de ! On est femmes des prés ensemble ! on est passées ! on est nées de cette sorte de paroi "étrange", -dureté parmi les duretés, charge totale, enfilade, coeur des joies. On est sages = sades = vagues = mer en vrai saumârttre ou sinon saumêztre ... mârttre ? Onn y croit ! Allons-y ensemble à toi à moi comme à la parade et peut-être o,n  y verra de grâce les données de poids qui (ensemble) pourront faire, ou le faire , on le voit, qui sauront nous dire, faire comprendre, etc., ce qui est qui est et du coup (aussi) ce qui est qui (peut-être) en vrzai n'rst pas, ou pas complètement ! Car la vie ici est une sorte de paroi intime , creux des fois (ou de la foi) en l'au-delà . On est nous ^mêlmes pour nous-mêmes intimes . on essaie d'aller ensembloe au plus profond, on est sur un chemin p)rairail  et du coup on marche, traquet-traquet, mzain dans la main , à l'intériouer

 de cette cavité prairioale, on est accolées, on marche ainsi accolées, on est nues, femmes nues accolées qui marchent, vont ensemble droit, en avancent, vont vers , vont ensemble, vont droit ensemble vers là-bas cette chose en offrande qui est quoi, qui est la Rage, faite Vie de base ! cchant du coq ! mort et grève ! On est comme deux ensemble soudées accolées, qui marcjhont d'un pas vif (ou pas) vers elle : la mort -grève ! On est soudées pour ça et on marche vif ! on est sur le pré aux buffles et buflettes, on est dans l'herbe, on est bêtes nous-mêmes. On veut aller profond toiucher à cetre chose d'une soerte de cloison du bout du monde ! qui saura nous dire ce que c'est que cette cxhose devfant soi, de type cloison ? qaui est là devant nous qui cxharge ? qui charge devant nous pour ça, nous "inclure" fissa part la bhande et v as-y comprendre, zzar atoustra ! On est femmes des prairies vertes, bêtes de poids, charge rebelle, on est là pour ça : aller (de plus belle) vers ça, genre "la misère", genre "le tombeau", gentrre "l'emportée", genre "le tonneau aux données acculées". On est deux pour être celles qu'ion voudrait conna&îtte (en soi) à toi à moi commùe à la parade ! Qui on est ? eh bé, peut-être, celles qui pèsent ! oh peut-êtte ! celles qui (ici) vont ainsi  verts elle (la cloison frontale) d'un pas lourd ! .... ou d'un pas léger s'i elles sont belettes ! On est

 fées ! faites ! dures au toucher ! chezrche-mercde, crudités ! On est comme cernées-accolées à l'être et du cou!p on 

cernne ce qui est qui se présente sous nos yeux de bête ! On était bêtes avant de naître on renaît bêtes (dans la mort). On veut (on voudrzaiot) de fait aller = cerner = dire ce qui est, et ne plus se perdre,; mais tracezr ! tracer grave ! charger ! toucher à cette chose devant soi df'une sorte d'"oubliette"des données , qui , en vrai, sauraient grave nous informer sur ce qui est et sur (aussi) ce qui n'est pas , en matière de (pour le coup) données, de type "mortuaire". On est nées pour être ensembloe dans la mort des fées dites "de basse-mesure", chant des dunes, foi en Soi en tant que Fée des dunes. On est comme allouéews ensemble (nacrées) à  cette chiose d'une sorte de do,nnée épique ! tarantule ! danse des turnes ! On est là pour ça : la danse (la transe) = la rumba (sur toundra) et autres danses macab

 res ! on y va ! on lance les bras les jambes ! on tourne sur soi ! sarabande ! cxharge-chant   ! charge et chant venu de soi ! On entre ! On est comme ensemble nues cooll"ées fissa de rage pour ça : aller-danser, courir et toucher, comprtendre et coller, traverser les prés jusqu'au bout du bout qui nous est donné à la une à la deux com^me par la bande (langagière) animalière des do nnées muralesx (frontales) de paroi ! On avance ! on est deux pour ça = comprtendre = dire = faire

, et  ce faisant tracer ! aller comme à la parade ! s'incruster ! toucher la bande des données données en face ! connaître ensemble "l'interface" aux données données, "l'interface" alloué à une charge (ici mentale) de type "donnée des données" et c'est marre à tout j amais on dirait. On est qui ? 

on est — fe'mmes doctes, genre "mortes". 

On est — douces et vives, rudes et armées, on est nées pour être (il semblerait) allouées à "une mort certaine prolongé". On est femmes cernées de base par la bande et du coup voilà on avance, on trace, on y va ! on veut comprendre lma paroi, le sens de la marche, les données de base, les procès, les envies naissantes, la donnée su pr^éme et c eklle (aussi)  au ras de la terre. on est nées (ensemble) à la retombée , comme soulevées, mo ntrées, chargées ! On avance ensemble des deux pieds sur roche des prés , on est saintes âmes, charges sales, charge au nez et à la b arbe des divinités, chant des voix, peuplades de toundra, canotage. On est apeurées ou pas , en attendant on y croit ! on va ddevant soi, on trace des traits de paroi, on creuse on dessine, on est 

soulevées ! montées ! redressées ! allouées à la roche en tant que fé&es sinon carabosee fées des prés ! On aime ! on chante ! on va sur herbe au milieu des vaches ! on est vfaches sardes ! on est nées sur pré pour (dans la mort) être (redevenir) vaches ! vaches à lait ! 

bêtyes des prés ! charges ! divinités ! âmes ! car la vache sur pré erst l'âme des données ! on est nées vaches dans la mort donnée ! on est re-nées vaches ! on veut toucher-cerner la vache = la comprendre à jamais et devenir vache nous m^rmes si tant est et par la bande , qui saiot ? On veut vachge, être. On veut vaches, devenir ensemble. On veut grave ensemble aller et toucher à cette sorte de donnée de rage, vache à lait ! on tremble de n'y pas (ensemble !) arriver si jamais ! on veut comprtendre = être = dire = faire = aller = toucher à cette sorte en soi de sa r abande des co nntrées de base. O,n est nnéesq pour être fezmmes à tout jamais , qui sque l'on soit , qu'on le sache ! on est nées pour être (dans la mort) femmes à tout jamais , qui que l'"on soit ! on est nées sur terre, né, née,, nés, nées, pour (dans la mort soudaine) devenir (= recdevenir) femmes (au pl;uriel car 2) à kj&mais ! On est accoilées ! on est femmes jumelées, femmes slaves, charges, corps de rage, dupliçcités faites charge, corps de joie maussade ou pas mais comme élancé, corps de type flèche , corps de rage alloué à une cxharge de paroi de  base, charge' née. On est né qui on est, ^pour mourir alloué, à une

 sorte de donnée de type  "femmes" . On est accolées, soudées, collées, comme allouées à u ne sorte de paroi de rage, "confinade", charge finale ! On est nées ensemble, on veut tracer ! On regarde devant soi la base des données, on est comme cernées et on avance ensemble, on y va ! On est femmes des bois, des parois, des choix du roi, des choix princiers, des reines des prés, fentes labiales ! On veut ensemble au mieux co:mprendre ce qui est da ns ce qu'on voit (verrait) devant soi comme à la parade ! qui on est ? on est Roi et Reine ! chant du cru ! IOn est 

bêtes sur rocher comme gravées, et on veut "tracezr" = traverser 

la roche, aller là ensemble à la chamade ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! topucher ! toucher ! touxcher ! toucxher ! toucxher ! toucher ! tpoucher ! toucher à ce qui est en vrai qui nous regadfrde, nous reluque grave, bnous m ate de près, nous mate grave, bnous veut "en entier" mais comment de fait se sousqtraire, à pareille volonté venu des confins , des données dernières . cfommùent faire pour ne pas céder ? pour aller sur pré sans pour autant succomber à l'appel de la forêt dernière, des données dernières, des dernières volontésq, des vives clartés de derrière ? On veut (on voudrait) ensembvke chercher à comptrendre. On aimezrait beaucoup aller ensemble pour trouver , en cette chose des données ultimes, ce qui est. On rezgarde devant soi, on mate.

 on veut cerner ensemble les données et pour cela le mieux c'est d'y aller ensemble à toi à moi cfomme à la parade, charge frontale !charge grrave ! tr aversée ! on trace ! On passe ! on regarde , on est allouées à une sorte de prairie de base genre pâradisiaque, on y croit ! On veut aller , marcher, courir, travezrser le pré, comprendre les données, aller et regarder les bêtes qui (en vrai) br(outent que tu brouteras comme à la parade ensemble. on est accxulées ! on est entrées ! on est entrées car femmrss soudées, femmes doctes, collées)-accolées. On est entrées en tant que femmes aux données données. On est pasdsées de l'autree côté. On est pasdsées enj tant que femmes dédoublées ! femme dédoublée (au singulier) = femmes dédoublées (au pluriel) ! le singulier l'"emportreait ? le pluriel est né ? le singulier se verrait transforl$mé en pluriel des prés ? on est felmmes allouées à une sorte de prairie de base de type contrée comme cernée, entourée, constrite. On veut toucher à cette Déité des bouts des roches, déité des déités, qyui, en vrai, serait celle qui (de fait) nous rtegarderait ... par derrière ! de tous les côtés ! on est "faites " , fées, doucemenrt cernées ! commandées ! charbgées de tête ! comme trimballées sur herbe ! on est 

entourées d'une "murerttte" aéux données données par "qui on sait", mais le sait-on en vrai autant ? qu'en sait-on de ce manant ? qui est )-il qui sait qui on est? On est nées ensemble riches de données données concernant la mort ! On veut tpoucher ! toucher ! toucxher ! toucher ! tpucher! toucher à cegtte déité des déités graciles, fines, élancée, nacrée-sacrée, on file ! vivement qu'on sache : qui est qui comme pa r la bande ! on entre ! on est entrées ensemble. On veut toucher à cette sorte de donnée de  base ,  genre "Dulcinée". On aime les fées ! les donné&es prairiales ! les entrées de rage, le sommet, la charge mentale, l'épopée, l'onctuosité de 

façade, lea cloison terminale, la cxlarté donnée, les embruns sauvés, le chant de la roche et autrees sons sans anicroches ! On aime chercher ! on se jette dans le t as ! on entre ! on est acculées ! on est deux pour être ensemble l'êztre des ,prés (buflette au dé&botté, genre bisonne des prés). On est bêts aux données données comme par la ba,nde (ici lang agière) animzalière gravée. On aime ! on aime aimer la bête dessinée ! on est bête nousz-mêmes ! on hurle ! on creuse ! on v a ! on est comme deux fées de paroi ! on est fée des prés et des parois du bout de l'âme ! on est accolées ! On se colle l'une à l'autre pour enttrer (pouvoir entrer) sans anicroche, sans se blesser, sans y passer . On est femmes données, o,n est mortes-nées = vives-allouées à une sorte de paroi "du bout du monde". On y croit ! on voit ce convoi , bêtes de roche, gravures et morsures, traits de force, mains lambdas, genttes dames sur paroi, fentes. On aime ça ! on veut touxcher à ça ! la charge mentale (ici) de façade ! le tracé des reines et des rois ! la paroi première ! l'emportée massive, le donné de choix, l'aura

 ! On est femmes de paroi, on est accolées, on est entrées, on est comme toucheées par (ici) la grâce d'être ça : la Rage ! l'envahidssement de soi par la bande , la colère immmense

, l'ire envoutante , peut-etre (du coup ) la transe ! on voit ce qu'on voit ! on est felmmmes de paroio en transe (danse en nage) et du coup on en avance (ici) dans les données savantes. On est comme (re) nées à une vie de base 

à

àune vie 

de base mordante, 

à une sorte en soi de vie, de base "mourante", de base "montante" ;... 

à Vie -Mort de base, à Mort-en-vie  de base montante ? à Vie = Mort en cette Roche , aux données acides voire acidulées ? On colle ! grave ! on est mortes = vives ! vives dansz la 

mort mais comment comprtendre ? en tant que femmes déplacées. On est nées femmesz (de fait) dans cela qui est (ici) la..  eh bien, la donnée Su^prê'me ! charge ! poids ! cri ! colèvre de prairie ! on veut toucher à cette déoité des déités transies ! "quui c'ewst ?", c'est l'plombier des prés ! l'Anarchie faite Fée , persi-obnifiée ! On aime ! on like grave et plutôt deux fois qu'une ! on aime les fées, les donnéesz données, lesc présences, le p assé des prés, le chant de la bande, l'envolée toteale ... et la chance ! On veut toucher à cette déoité des données suprêmes dont on parlait. On est qui ? "'quête" ! on est cfomme nées (de base) femmes (ensemble accol"éées) dans un cimetière. On veut toucher-cerner = passer le nez , qui 

un oeil qui deux ! et mater-sentire = renifler-reluquer = comprendre. Ce qui est qui est derière la paroi (cloison) termi nale. Minois ? minou  ? moi ? ma don,née"colère" ? mon ch at  ? mon (mon ?) chant , dit "chant des dunes et des monts de bosse " ? On est femmes doctes dans la mort. On est , dans la mort, femmes doctes. On veut = on voudrait : cerner gra ve, les données de base. Toi et moi. Ensemble. Associées. Femmes de roche à la retombée on se consacre à mieux cerner ce qui est qui est da&ns ce convoi du bout du monde : la paroi des roches, le dessin total, l'envolée, la montée, la parade aux bêtes sacrées (vaches à la&it, bêtes-monstres, données des données, cohorte). On aime alller (ensemble) à la retombée et toucher = dire ce qui est qui est, et aussi cezrner = 

dessiner , ce pré,  ce champ, ces contrées prairailes, herbes "tout venant" et autres luzernes. On  est "devant" ! on creuse à vif la roche Du Temps, c ar oui, on est comme "devant", postées à la base, posées, contenue's, accolées, montées. femmes des données données on est passées et à présent on peut (grave) chevaucxher la lande à toute enjambée et aller juèsqu'au portail dit portail des fé&es , une rooche en poste , trou du cul des roches ou des données de roche. On colle ! on ne s'arrête pas de coller ! On est comme touchées, faites, entrées, passées, on mate ! On reg rde ! On veut aller de fait comme par la bande recher c her, qui l'entrée qui la sortie, mais du coup "un passage de rage", trou de base. On est cdomme néesz ennsemble (à toi à mùoi) par la bande en  ette sorte cde champ de paroi" donjt le nom est ça : parade ! 

coin de rue ! charge -avenue (advenue ?) ! poids de taille ! On est FEMMES DES DONNJ2ES DE BASE, on est FEMMES DES DONN2ES DE BASE , on est FEMMESCV AUX DONN2ES DE BASE ! On est FEMMES NUES AUX DONN2ES DE BASE ! on est FEMMES DES DONN2ES NUES  ! on est FEMMES DES DONN2ES DE BASE NUES ! on est FEMMES NUES AUX DONN2ES DU TROU DU CUL ! on est FEMMES N2ES AUX DONN2ES DU TROU DU CUL ! on est feMMES N2ES E?SEM%BLE AUXD  DONN2ES GRAVE DU TROU DU CUL OU DITE " DU TROU DU CUL"  ! on est des 

.... FEZLMES , DOCTES, SACVANTES, AUX DONN2ES STRANGE ! 

AUX DONNJ2ES DONN2ES DITES IL SE4MBLERAIT° "DU TROU DU CVUL" ! On est femmes par lma bande et par le menu, "du trou du cul" et ça bande ! grave ! -ça remu e d ans l'antre ! c'est couillu de rage (cousu !) ! ça charge gra ve ! on est nues vues, vues nues, on est nues et vues : on entre ensembleb = main dans main ! On est passées compme par la bande à une sorte de nouvell e

 charge ! on est accolées ! On est nées ensemble d ans la mort ! on est (dans la mort) comme nées (ensemble) à une sorte de nouvelle vie dont le nom ici est : vie des vies ! colère monstre ! cxhant fort ! communication de l'au-delà à travezrs en vrai la paroi de roche, ou p aroi des Rois (Reines cachées, RRois des Fées, sarabandes) ON veut (on voudrait ) collezr , ensemble ici comme aallouées, à une Roche terminale, genre "

paradisiaque" si tant est. On est femmes des prés, charges frontales, fées des p^rés = chance ! on aime ! on aime grave ! on veiut grave aimer de près ! on veut de près aimer grave = toucher ! on a&ime aimezr ! on aime aller ! on aime cerner ! on aime se toucher ! on aime se branler ! on aime comùprendre ce qui est en cette chose d'une sorte de "mansarde" de l'au-delà (dans l'au-delà) de typee "par adisiaque" . on aime ça ! on entre ! on est entourées ! on est au milieu du pré, parmi x et x bêtes broutant l'herbe fgrasse. On voit autour de bnous la Chose de ba se, le bâti. On voit la Roche, la Rotonde, lemporté, le décollé. On voit de fait la Roche des Fées. La murette donnée. On voit ce qui est , on entre en vrai, on est accolées, on fait corps , on fait fée". O,

n est femmes-fées allouéesz à une sorte de "roche des prés", et là, entrées ou une fois entrées, on cherche à toucxher toucher toucher toucher à cette sorte de ... muret ? mur de roche déjà traversé ? on essaie de cerner ce qui est. On cherche ! on veut toucher c'sst un fait mais aussi "p asser" ! on voudrait ensemble, parce que nées ensemble, traverser . Passer ensemble, aller, comprendre, traverser la roche, passer cfomme en force ou sinon comment ? comment en vrai pour le coup p asser ? commùent faire ensemble pour p asser la roche des données finales ? en force, vraiment ? ou sinon comment ? par la bande sonore des enttrées parlées ?par le TEmps ? au moyen

 du temps ? On est comme nées ensemble dans la roche, et (en vrai) à prése"nt, on aimezrait re-travezrser dans l'autre sens ! aller loin dans "les données", faire ainsi qu'on puissee aller comme en une sorte de retour, de re-quelque cxhose à rebours ! Qui on est ? on est FEMMES N2ES PAR LA BANDE ! PAR LA BANDE FORTE ! D'UNE SORTE DE DONN2E, 

d'une sorte de do nnée vivante ! CHARGE DOCTE ! PAMOISON ET CJHAMPIGNON ! On ose ! on ose aller ju!sque devant la porte aux données finales rezgarfdrrer. regarder ce qui est. Ce quyi se tra&me. De quyoi donc la "mort" (?) est faite . Ce qui est derrière le mur en rotonde . ce qui est derrière ce mur alloué à une sorte de charge praoriale (ventre ?). O,n est FEMMES AUX FOLLES DONN2ES , FEMMES AUX DONN2ES FOLLES ALLOU2ÉES à DU VERBE, FEMMES (DEUX FELMMES°) ALLOU2ÉE (ENSEMBLE) à) UNE SORTE DE PAROI DE BOUT DE ROCHE (MA FOI°)ENSEMBLE. ON veut grave tracer-pisser, se toucher-baiszer, a&ller et venir, se doigter du feu de dieu, comprendre les données frontales = pisser ! pisser À la ré, connaéître le pré, les bêtes, le vent, l'herbe, le champ et le chant donné. On aime s'aimer sur roche allouée

. On veut êztre fées ! fées des bosses et autres dunes de paroi (religiosités). On aime tracer ! topucher terre ! pondre ! coller ! faire ! dire et faire ce qui est ! pousser vers déité des ciment§ières nos envies sacrées ! colmater par (comme qui dirait) du verbe ! On est nées sur terre allouées à une sorte de verbe des prés, chants des rues, vives amabilités, cortège. On est femmes dees prés, on est femmes des  données ardues. On est (dans la mort

) re-nées   ! On veut cerner ! Qui on est ? nues ! on est nues (de base) velues, vives et crues. Mues. On est mues de base. Mues et nues. Bêtes des prés sur la place. charge de rue ! antre. On est cfomme znsemble toi et moi en  nous (offrande) comme szoulevées nues par la bande en ce sas des sas. On veut toucher ! on veut aller ! on veut cerner ! on veut dire et faire ! on voudrait de fait dire et faire ! on voudrait de fait ensemble dire et faire ici, en ce sas des sas, une sorte de cortège. genre sarabande. coller. On veut coller ! on veut coller ensemble . On voudraitb ensemble coller .L On voudrait ensemble nous deux coller , coller grave ensemble : toucher ! toucher Déité des Déités et autres divinités de roche si tant est. coller grave à cete chose 

d'une sorte de donnée donnée tellle que présentée divinement sur pa&roi du Temps. On veut : cooler, allmer, dire, cha&rger, chanter, faire, comprendre, disposer, aller vif et comme "soulever" la roche pour passer, dire ce qui est, chercher sens, poindre, calfeutrer, comprendre les données données, filer, pousser, pisser dru, e't aussi chier = se vider ! c'est important ! On veut : faire)dire, comprtendre-allouer, comprendre-percer, percer-toucher, traverser l;e muret et aller de fait ensemble (main dansz la main) de l'autre côté ! on aime toucxher ! on aéime comptendre et dire ce qui est qui est. on ne veut pas passer à côté des choses de la Vérité, comme conduite. On veut : toucxher-passer, cfomprendre-allouer, dire-faire, communiquer, faire ainsi que pour le coup les données soient posées et ciomme consignées sur roche . On est nées sur roche comme à la parade poour ainsi comptrendre ensemble ce qui est qui se dessine (dessinerait) vraiment (de base) pour des ans et des ans. On est femmes fortes (grosses

) des données données comme p ar la bande ! on veut toucher-comprendre cesz données (fortes ?) allouées, ce que c'est en vériité,, ce que ces données e"n vr(ai xcachent ou cacheraient en termes pour le coup de connaissances concernant la mort. On est femmes fortes, fortes = groseess = savantes = pleines = pesantes = sachant tracer, dessooiner, comprendre, traverser la roche et passer sans forcer (?) de l'autre côté il semblerait. On est nées sur place (roche') pour tracer (dessiner) et (de fait) traverser la roche, se retrouver ensemble femmes (deux) de l'autre côté (dédoublées) et du coup prêtes à creuser (en vrai) plus loin, toujpurs plus loin, vers cettte déité dees déités surnuméraire. On est prêtes ! o n creuse ! on t§race ! on va& ! on en avance grave ! On veut

 toucher-cerner de baseles données. On est FEMMES DES DONNÉES donnÉEs ! on est allouées à cette déité des rages naissantes ! on est cfomme allouées à cette  déité des données savantes ! On est nées homme ou femme sur terre au singulier, on meurt transformé.es : femmes ! femmes = de'ux femmes ! en vrai ! dans la mort ! allouée à une mort données, celle du Verbe faisant la navette (vie / mort surnuméraire). On aime toucher ! se toucxher ! béiser ! se mettre ! se doigter ! se tripotter et se lécher ! et se humer ! se renifler ! se salir de la tête aux piedsz si jamais ! femmes fées ! fermes ! douces en colère ou dures soupesées ! On se lèche ! frêles ? raides ? cools ? on entre, en cette herbe d'un pré (alloué à une entrée) par le cimetière , direction les termes. On veut : et coller et toucher, et aller et cerner, et dire et passer, et passer et toucher, et cerner et dire. On veut ensemble traverser la base (prairiaéles) aux données rupestres, chargess folles, bêtes fortesq, cornes et coups de pied, bêtes-monstres, vaches à lait, bisonnes, bises et cohortes, contre-alléeez. On eswt comme nées (ensemble) et on veut toucher ! toucxher = faire = aller = connaîtte . on veut toucher pour ainsi dire les nénés de l'être ? femmes entre elles c'est un fait ! On veut ensemble s'accoler à cette sorte de cloison dernière aux données deonnées  ! on aimerait ! On veut toucher à cette chose d'une sorte de donnée venue comme de derrière ici la murette allouée à un cimetière (ou genre de)! Qui on est ? on est bêtes desz prés ! On est bêtes des prés en ce cimetière "de la mort à l'oeuvre" tel qu'il nous apparait ou nouq apparaitrait sur herbe ! On est nées de rage pour être, pour de fait être Fées  , être Fées des Herbes ! cxhants des Fées sur roche imberbe ! traverser ! nées pour traverser ! nées pour êztre des fées ou "dans la mort : des fées " ! fils de 

l'herbe = filles nées comme soulevées, montées-montrées, portées. Cimetière des données de l'herbe ! On est nées sur herbe à une vie nouvelle faite de données données et comme soulevéesz vers Elle, l'Herbe , l'$Herbe des prés. On a&ime aimezr l'herhe, l'herbe des préds. On veut passer à nouveau de l'a utre  côté = traversefr le mur, le muret, la murette "a&ux donnézss " et du coup comp)rendre (ensemble ++) ce qui est en cette chose d'un e sorte de passage nu, tracé  nu par où, de fait, s'immiscer ensemble = à toi à moi, aller vif en ça, en cette sorte de paroi trouée, crteusée ! On est nées ! on est passées une opremière fois, nous voilà donc qui sommes ensemble faites fées de fait ! On est comme entrées on dirait par la roche à rebrousse-poil ou sinon

 comment ? à la pa rade ? charge des charges ? on ess&ie ensemble de touchezr à cette cxjose d'une sqorte de muretde ba se, ce qu'il est c'est quoi ? mur des Rois ? mur /muret des REines de Saba (de P aroi ?) ? liens ici entre roi e't paroi , reines et fées, genres de données , perles et paroles allouées à une sorte de roche des prés. On aime tracer = travezrser cette roche donnée , par du verbe oui, par (en l'occurence) du Verbe "de Roche"" : cris de la passion , chants doctes, voix de fée, cohorte animalière finement gravée, pâroles de r'oche tracées, voix des morts et des mortes. On est morts-nées pour ainsi dire. Finement tracées sur roche on naît (on renaît) à une vie autre, celle des confins, des fins de roche, fin des fins. IOn aime s'accoler( à une szoerte de paroi de roche) pour cerner, toucher, comprtendre, faire ainsi que (par exemple) on puisse a&u mieux toucher (cerner-comprendre) cette Déité des Déités de Roche, Dieu des Dieix  et autres Personnalité de base forte, dure comme la musique comme enracinée en cette dureté de roche gravée. On aime grave aller verscette Déité des Déités des données frontales et autres genres de données de roche telles que "visitées " par des fées. On voudrait ensemble traverser ici la roche des prés, retrouver l'allant = le temps. Traverser = charger ! charger tracer ! On voudrait vraiment coller , à ceette soerte de donnée du bou!t du 

monde , coller-achever ! on aimera&it ! on vouydrayt ! on croit pouvoir tracer et de fait cerner-comprtendre ce qui est qui est, qui se présente et sembkle vouloir cfomme nous parler, noàus apostropher pour nous demander qauelque chose qui wserait pe"ut)-êtteune sorte de vérité sur terre si tant est ! qui on est 

en vrai ? )eut-être, voilà, des fées, qui sait ? on creuse la roche allouée ! On passe ! Fées des  herbes ! Femmes des prés alloués à une Parol:e dite "de cimetière" . Frai des fées ! On aime ! ion aime grave pouvoir frayer  ! On adore ! On aime le xsece  aux données données ! On aime grave ici (sur terre) le sece" a&lloué à une Vérité dite "INTRINSÈQUE " , c'est vrai ! on aime ensemble ! on aime aimer comme à la parade le frai ! l'enfilade ! on veut s'aimer ! se toucher ! se mettree femme, se mettre en tant qu'on est femmes, deux femmes à la parade, au chandelier ! on veut ensemble toucher femme  / femme les donnéesq. On veut en tant que femmes dans la moçrt toucher = se toucher, tou!cher D2ité, se doihgter ensemble en tant que fées (doigts de fée = doigté = doigté de déité). On entre 

dans l'antre ! on est comme entrées ensemble dans l'antre et du coup on cherche à s'aimer, à en avancer, à tracer, à courir sans désemparer. On veut : et dire et toucher, et faire et aller, et coller et passer, et co:mprendsre et s'a madouer si jamais mais le peut-on enb vrai ? qui on est ? on est Fées ! Fées des Hommes mortsz ! fées comme aya&nt pris la place (dans la mort) de l'homme hier encore en vie ! car, si un homme cdans la vie sur terre ùeurt, alors il se transforme illico -presto, en femmes des prés se tenant la m&in ! deux femmes allouées grave à une roche, ça le fait ! homme au singulier, mourant, devient femmes (deux femmes ) au pluriel c'esst un fait à présent largement avéré et comme installé )parmi les connaiissqa nces liées aux faits et gestes de la mort à l'oeuvre et de la vie dite "surnuméraire" . On veut toucher à cette vérité dernière : clarté ! vivacité des clartés dernières ! embruns ! sons de roche 

(clocheztes ?), animaux sacrés . on ne sait pas ce qui est au juste vraiment en vrai mais quand même, on subodore ! on veut êtreaccolées, se toucher, faire corps de près, toucher à cette Déité "des fonds de réserve". On aime grave tracer serré ! comprendre les données rupestres : les aurochs chargés, les bêtes de foire (de foirail), les buffles ailées et autres vaches à l, ait sacré sucré. Aime ! charge ! croit ! voit ! perce ! perle ! parle ! va ! chetrche si possible à (toujours) mieux cerner-comp)rendsre les données données comme par la bhande. vives monstruosités de façade" ? on est comme nées ensemble par la bande (le langage parlé) sur roche des prés (temps frontal) comme p ar 

la bhande (des idiomes articulés). "Qui est né ?" = "qui va là ?". On s'en sera&it douté ! on est femmes doctes ! soit : sachant (sachantes) mille et une choses concerna&,t le sang, le corps en son entier, loes fonctions vitales, les données des fées concernant le cr(âne, le cervelet, la pie'-mère et autres dure-mère ou corps calleux "de destiné". qui on est ? On est — femmes "folles-fortes" = tourmentées = tournées = mises en forme . comme on est on va ! on entre ! on est ensemble on dirait pour peut-^tre mieux, comprendre-cerner les données de base , charges mentales, croix de bois, p)assages, mots des reines et rois, traces. quand JE bande , JE va ! Je se passe de Moi , car sale ! sage ? sarde ? charge ? On est comme c ernées de base ensemble par la bande, on est accolées, acculées, poussées, poussées de près et on essaie de fai-t ensemble de co:mprendre les données, ce qui est qu'on est des fées et pas des êtres comme nécrosés ! On veut : toucher à cette chose d'une sorte (en

 szoi) de Déité de cimetière ! Charge allouée à une pierre, à une donnée, à un muret, au mur des données allouées à la pierre. Qui on est . des fées ! fées de cimetière = verbe ? On ne sait mais ça sz pourrait ! O, est cfomme pa&

ssées ensemb le tête première à l'entrée , et nous voilà comme alertées, situées, chargées, mises sur pied, prêtes à y aller, ensemble, vivement, vers déité des parois terminales ou finales des confins de l'âme. on entre à pas chassés peut-être mais en vrai ! on rst acculées ou tout comme. On entre, vives et sacrées, acculées. On veut toucher à  ce qui est de ce muret de fond de pré . Fond de pré de base. On veut toucher à ce muret, aux donné&es centrales, auxs données dpnnées. on veut touxcher ens'"mble ! vivement aller ! cerner-comprendre ! crever l'abcès mais crever l'abcès c''rst un truc de ouf en vrai, pas si simple'à faire pour de vrai ! en vrai c'est (c''st simple) pas une sinécure ! On est des femmes de paroi entrées, entrées en tant que fées on dira&it. On aime tracverser. On est p assées. On s'est retrouvées de fait de l'autre côté, et voilà, à présent, on est comme 

soulevées, on veut toucxher , on veut cerner les données frontales , ce qu'elles sont vues de près, à qyuoi elles ressemblent, sur quyoi elles donnent, à quoi on doit s'attendre, qu'est)ce qu'il en est en 

vrai des paroles de vérité ou des paroles doctes. On reg arde ensemble . on se penche dngereusement; on veut com^rendre ensembvle ce qui est ici qui semblezraéit vouliior nous donner à c erner  ensembvle les données de base, donnnées rudes. Qui , qui on est, qui en vrai on est ? On est F2ES ! FÉES aux DIONNÉES DONN2ES COMME PAR LA BANDE LANGAGI7RE DES

 ENVIES NACRÉES DE VIE ALLOUÉE À UNE SORTE EN SOI DE CIMETI97RE AUX DONN2ES DONN2ES ! on aime aller , faire et montrer, toucher et graviter (graver) autour du Verbe de la Foi d&ns les Données Données sorties du cimzetière. on touxche a&ux nénés ! lait des Fées de cimetière ! Lait (en qauelque sorte) sucré ! lait dit "maternel" du fait qu'il appartient aux mères allouées à une Roche dite (elle) Primaire". (première et pri-mère, pré-mère). On est ,-néesz sur roche à la traversée c'est un fait, eet du coup (à présent) nous cvoici comme ezntrées tête prmière dans la vie, "vie vive aux données de Fée, vie des Fées des Rages et autres  

Fées allouées à la marge". quion est ? On est des Fées de base anale, conaissances , gentes dames, frappes (petites frappes) au firmament , druplicités. on voudrait grave ensemble en avancer dans les connaissances mais c'est vrai que la chose en vrai n'est pas automatique ou plutôt , ne marche pas automatiquement de pair  (ou si ?) avec le langa ge, la langue dite " articulée". on voudrait savoir grave ce qui est partout ici (le cimetière) sa ns avoir à se prostituer de fait, se donne'r en écha,nge, se donner entièremebt (corops et âme, etc.) à la mort  donné, à cette Chose en vrai de la Mort Donnée, déposée ou sinon déposée tracée ! On cherche à comprendre ici , là, ensemble, fissa, à cforps perdu, ce qui est devant, ce squi se présente en tant que Devant, Devanture, champ des duretés, champ vif. on voudrait ensemble ici et là co:prendre les don,ées actées mais c'est  vrai en fait, que (pour le coup) la chose (à comprendre) est rude , et pas qu'un peu ! on se doit ensemble (pour co:prendre), à toi à moi, de cravacher, de cravacher dur ! d'y alller ! de cerner-toucxher ! de dire-allouer, de p^rendre ! faire ! aller ! cfomprendre ! composer ! allouer ! cerner ! cher cher ensemble, sur roche (pa&roi), mles mots des fées = Verbe Haut ! Colère ! Gravité ! GHravité Sacrée !

 On sait  e qu'il en est car

 nous ^-mêmes sommes (en vr ai) Colère, mille fois colère ou un million de fois comme colère, ou ditzs "Colère", car voi;là .... on 

ne veut pas passer pour ce qu'on est pas ! on ne veut pas p asser pour je sais pas quoi qau'en vrai on est pas ! On est pas n'importe qauoi ! On est BHêtes de poids, sous joug, pour tracer-tracer , tracer grave le sillon de terre. On est fermes ! femmes fermes ! deux femmes sur terre ? dans la mort deux femmes, au sillon de l'être ? on cherc

 he ! On est femmes d'une foi dans... l'être de la foi ? du foie  ? On est  comme "surnuméraires " On veut toucher à cette" chose, là-bas, d'une sorte de paroi. On veut : toucxher, dire, chercher, 

cdomprendre, cerner, peser, faire, disposer, aller, cerner-dire, permuter les dires, les tempora&lités, creuser roche et trzaverser icelle ici d'un même élan si tant est. on veut ensemble aller comme à reculons ! qui on est ? des millions d'$etres surnuméraires alloués à une Roche Sacrée ! Femmelettes-goutellettes ? On est femmes serrées, accolées, sacrées et sucrées, qui voulons comprendre, dire, porter, se poser, chezrcher à dire, peser et porter le Verbe au pluqs Haut des Données MOntrées . Porter ce Verbe Haut en ce cimetière. verbe Haut = Cime-tière. Chans choraux ! on entre ! entrons ! fouillons ! c reusons roche ensemble au plus profond. femmes dans

 la mort. femmes dans la mort. Homme moussaillon dansz la vie sur terre. femmes (deux femmes) comme szoulevées-montrées, dans la mort en vie, mort des ombres §(= contenanrt des ombres, ombrezs qui sont, elles, des hommes tapis). vives ! trappues ! collées ! femmes collées, vives et trapues ! collées ! chargées ! craintes ! corsées ! On les aime ! on aime grave les aimer (femmes = féesw) . on aime les Fées , Fées des 

prés, cortège de fées, fées clochettes et autrexs fées au débotté sachant se pavaner, tortilller, se montrer, cherc her à plaire, se placer, etc. la vie ici des fées des roches des bois , est une vie comme de parade ! chant ! choix ! vin montant vite fait à la tête vous sa&oûlant ! On aime travcer ! chercher le firmamaent en cette chose de la mort à l'oeuvre on ne sait jamais, on ne sait jamais szi

 par h asard on ne pourrait pas le trouver, le toucher pour insi dire . On est arrivées tête la première. entrées ! on est comme arrivées tête la prezmièreensezmble ici (paroi / paradisz), à présent voilà, il faudrait pouvoir (vite) s'en échapper, szortir du pré, travezrser et du coup se retrouver ailleurs, szoit : de l'autre côté de ce dit par adis ! on veut comprendre ce qui est ici, 

cette chose d'u ne sorte en szoi d'enclave supra-sensor(ielle, szurn aturelle, hors temps , hors espace qui sait, on entre. quand on entre, il est bon de cerner dès lors ce qui se préswente en termes de données frontales tout &utour de soi. on voit, on voit parfaitement ; ici  : bêtes dee paroi; Là : mots des roches surnaturezles (her(b ?). Qui  ou 

 quoi ? Quand on entre , on se doit de chercher à com^rendre, cerne"r ou saisir, des sortes en soi de "théorèmes" a&ux do nnées centrales, primaéirees et princières. On est nées de rage da&ns la mort Fées. On est nées Fées de rage dans la mort. on estdans la mort nées Fées de Rag". On est nées de Rage Fées dans la mort. Dans la mort, on est nées Fées de r(age, et pas (envrai) pour rire, pour plaisanter ! pas du tout ! On est nées VFées ! on vole, on volette ! on est nées des prés ! c'est chouette, vif, vivant, plzisant ! On se plaît 

en Fées ! On se voulait fées, eh bé voilà ! on est ! on est entrées ! on est femmes des prés ! fines mouches ! trempées et mouillées ! on est Fées )Moucxhes, Fées des présn! frappées ! allumées ! vives ! chargées ! on est nées Fées sur vaches des prés = mouches ? mouches ambula,ntes  ? mouches savantes ? qyi on est ? on est des mouches  ? On se le demande ! on veut comprendree. dans la mort ce qu'on est. Ce qu'on est (dans la mort) on sait pas (vraimùent) c e que c'est . des mouches des prés ? fées clochettes ? qui sait ? 

quand on chante on est là vaillantes, sur pied, prêtes à c ernezr (de près) ce qui est , comprendre, soupeser = soulever. on est entrées ensembvle et à présent on essa&ie ensemble (toujours) de comprendre, de s'avancer ou d'en avancer dans les connéiss&nces. On voudrait de fait ensemble cdomprendre (++) les données de ba se gravées, les dessqins au débotté (au pied levé) de l 'homm-femme de Néandertal, des temps reculéew, des ébuts (?) de l'humanité. on est femmes des préqs ! deux femmmes da ns un pré se baisent grave ! charges mentales ! poids total ! mesures de base ! finitudes ! frontitudes ! collures ! echancrures ! On baise ! grave on ensemble baise ou baisons, sur roche-rocher, on y va ! on ne lambine pas (pour ça) ! On veut grave s'aimer, sur rocher, roche des prés, sans désemparer ! se toucher ! se doigter ! se donner l'une à l'autrepour l'éter

 nité ! s'a&imer vive"ment en ce pré ! Herbe au cul des p assions, des envies de Vie, des données deonnées et autres nudités zn mat(ière de Vérrité. On est nées nues , puant du cul

 ! velues ! charnues ! crues ! On est feemmes rudesz, connues. On est e ntrées en ceztte roche

 des données comme à reculons on dirait ou sinon ? à califourchon ? comme des cons (connes) ? On cherche ! On éimerait grave mieux ou au mieux cerner les données de base, les (comme quij dirait) toucher ensemble, soit "à toi à moi" comme p ar la bande. on aimerait pouvoir aller profond ensemble, se toucher ! aller ! faire ! tenir !contenir les choses, les données de base, le sang de la r age pissant, pisse-rage de la foi sur rocher trzmblant ! On est femmes ici des données colportées ! femmes savants-sachantes ! Fruitsq desw ronces ! On est malhab!iles sur paroi parfois et parfoids pas ! On s'aime ! on s'aime d'amour ou d'un amour céleste ! célèbre  ! On aime l'herbe, la paroi, le sang, les données de base et autres b ase de donnés . On est bêtes 

des prés et belles et tracées. On est bêtes des prés en herbe. champs de luzerne sous lpes pieds. On s'aime ! on aime s'aimezr ! sur l'herbe et pas à moitié ! On est" belles b^-etes" c'sst un fait. cherxheons grave ensemble à comprendre" c et ét at de fait ce qu'il est ! vive l' ar(mée tu p ârles ! vive l'e,ntrée des passantes (vaches à lait) à traversq ;a r'oche prenante ! On est nées ensemble ! jumelées ou comme jumelées  ! en cette roche et à la travezrsée ! fente labiale

 ? creux des fois ? un tracé creusé ? On est femmes des prés . Nues ou à peu près. On aime être néesz &insi accolées à un e sorte de donnée dz rage, de type "paroi", "la oparoi des rois", "la parois 

dite des reines et des rois". pa&roi de choix. On est comme néesz main dans la mùain ense'mble d'une Sommité, qui sait ? On éime aller ! chercher ! toucher ! toucher grave à Déité ! l'aimer ! la toucher (de bonne grâce") à l'envelopper ! l'emporter ou comment ? tracer au débottté les traits debase l;a représentant (de face) : déité des prés = vache àlait, c'est troublant mais c'est un fait, avéré et vra&i, vrai de chez vrai! on est monté , on a voul u cr(eusé et on a creusé. On est bêtes de poids dans u npré . ce pré est une e nclave, un champ cloturé. Au delà du champ c-loturé il swembllera&it qu'il y ait la Vie telle qu'on la connait à quelque chose près si tant est. on essaie de fa itde pour le coup s'imaginer au d"ébotté de quoi il en retourne, 

question vie après la vie, ou même au)^delà. On regarde loin. On voit des clartés, de la fumée(embruns ?), des données fugaces, de la brume ou quoi derrière la paroi là)-bas, en face, fond des fonds des landes. Qui on est ? on est ... eh bé dees vaches àlait ! vaches des prés ! broutant en veuxs-tu en voilà pâr la b ande l'herbe vezrte allouée à pareille enclave" ! Fil de la passion ! Charge rude des envies de Vie dite "permanente", "durant", "maintenue longtemps". On est comme nées sur une roche bi-pol;a&ires. On est nées comme bi

-polaires sur une roche. On est ensemble comme nées (de rage) szous le vent ! ça buffe grave ! c'est du vent de face ! pets à tous les étages ! ça sent ! ça cocotte grave  ! vents des sables ? vents ardus ! ça pue du cul ! On dirait l'odeur du sang ! L'odeur des  prés ! la senteur acidulée (qui sa&it ?) des prés avenants. on est entrées, on a vu ce qu'iul y avait. ZSoit : bé ça ! des (ensemble accolées) bêtes des prés, hgrégarité si tant est, tout à l'avenant dans un pré acté. IOn est nées d'une mère allouée à une terre. On (dans la mort) rena&ît, car devenues terriennes on est passées, on atraversé ensemble les données (données rudes et dures) et nous voilà comme allouées à une Déioté Matûree, mûre , grave mûre ! on saigne tout

 c e qui est ! on saigne sur paroib aux herbes, tout ce qu'on sait, ezt que sait - on ? eh bien, au fond, pas mal de choses en vrai. On sait qu'on naît (parfois) "homme" (dit-on) , et que, dans la mort  : inversiobn ! dédoublement  ! gros changement ! nous cvoici de fait transformé, d'un homme nous voici passées ! devenues femmesc = fame = renommée = femmes des prés ainsi renommées. On est comme nées (de base) homme sa ns pré, nous voici mort-né devenu femmes a

llouées à (ici) un pré de rage ! vfivement l'été !, qu'on sache ! qu'on en sache mieux en vérité de ce qui est qui nous reg arde, semble nous lorgner de la tête aux piedsz ! charge mentale la voi:là ! on est rega rdé ! on l'ét§ait , l'est)-on ? en vrai est-on encore et toujoursn regardéées ? pezut-êtte bien que oui, qui sait ! szommes-nous femmes des pr)és, à la retombée devenues ? sommrsz-nous acidulées ? avons-nous de quoi nous nommer nous-mêmeq ? qui sommes-nous devenues

 ? qui sommes-nous ensemble (soit main dans la main soit deux mains suur qauatre) devenues ? puons-nous du cul ? sommes-nous ventripotentes ? avons-nous du cul ? des jambes ? de la viande nue  , crue ? Sommes-nous nues de la tête aéu cul ? que vou:onsz-nous comprendre ? voulonjsz-nous cerner la chance  ? la parade devant nous tracée, deessinée  ,- comme à  main lzvée ? voulonsz-nous faire et donner, tracer et coller ? pisser -chier = se vider de

 tout ce qui en nous semble (juste) transiter ? J'aime = Je suis = Nous fa&isons ! Je = Me = Ne = DIT.

 Quyi dit ? eh bé, x

dit. C'est ce x, l'inommée ? qui dit. Et que dit-il, ou elle ? iele dit que "merde, ça suffit, des faits exprès !", on est colère ! on neveut pasombrer ! on veut s'aimer ! on veut aller sur trrrrrrrtre , oui ! terrrtre ! dune des monnaies ! monts de piété ! chercher non la misère mais tout le contraire, la richesse ! l'argent frais ! le solde posté ! motsq des roches animaux ! coins des hommes, femmes au tombeau ! on est ormes = ormeaux = hors mots, quand on sonde ! quand on ose ! quand on sombre en tahnt que homme du tombeau = femmes au lamparo ! chalumeau ! on est doctes (femmes doctes) dès que ... mort s ? mortes ? comment dire ce qui est qui est, quand on naît à une vie nouvelle   da,ns la mort ? comment stipuler ? qauand on naît on naît Fée ! fée = fée des  ormes ! On est femmes docdtes ! femmes aux mots ! cxharges mentales au lamparo, on acte : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 1(, 16, on y croit ! on 

trace ! on mesure de nos pas le champ dxe la lande, on trace grave ! on en avance ! femmes des bois ! on est toutes flammes pour ça : co:mprendre ! tracer = donner ! donner de la voix ? qui sait ! 

on ne lambine pas ! on en avance ! on ne traîne pas ! on veut grave cerner ce qui est qui nousc regarde et semble nous sommer (peut-être) de nous prononcer, de nous présenter, de nous étendre ! on dit (en vrai) "merde" aux nénés et aux quéqués ! ils nous emmerdent ! on ne veut pas (ou plus) avoir adfffaire à eux ! qu'ils disparaissent ! nous laissent ainszi sans eux , chercher en vrai la chose des cieux, le dieu agraire, le

 mieux des dieux des terres agraires. Qui dit mieux ?

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2/8/2024

On est comme nées pour être ensemble celles qui en vrai cherchent à cerner le bout du bout de l'antre, ce que c'est, ce qu'il recèlerait ou comprendrait en termes de données de base. On est nées pour chercher endsemble comme qui dirait. On en avance ! on court on vole ! on veut ou on voudrait cerner de rage ce qui est 

et du coup, voilà ! on est là ensemble, on se tient la main, on est accolées, on se colle l'une à l'autre comme (comme qui dirait) des méains jointes ! deux mains ! on est collées ! femmes collées on entre ! on passe ! on passe ensemble ainsi collées ou accolées comme deux mains jointes peut-être dans la prière ou alors, peut-etre, dans une sorte d'accolade, de présence à l'autre, don de soi pour la parade (l'apparat) etc.. on est bêtes de fosse ! on colle ! on trace ! On veut cerner ensemble ici et là les données supr^mes ! celles 

qui "gouvernent", celles qui "trônenrt" devant nous, nous lorgnent ! O,

n est femmes des prés, et aussi on trace vif, on creuse, on dessine sur pâroi les bêtes des bois, des foêtrs, des champs de luzerne. On est côte à côte ! on avance = on va ! on erst côte à côte qui allons bon an mal an "àtoi à mùoi" ensemble sur un champ, marchons droit, filons vers là-bas à l'horizon la pierre , la paroi profonde, ce tracé de rotonde devant soi, ce mur des catacombes et autres données données pour , soi, une fois, un de ces quatre, comprendre. On ebn avance grave et du coup nous voilà ici comme au pied du mur, qui voulons ensemble entrer fissa, passer, regarder forcément ici ou

 là ce qui se passe, ce qui se présente, à soi = nous, ce qui est présent et présence, le présent du temps et la présence des données de base devant soi, qui tremblent, qui semblent bouger, qui sont comme toutes "chose" de nous voir arriver on dirait. On est accolées ! on regarde ! On voit quoi ? on voit ça : embruns de bord de mùer maussade, champ de flleur, vive clarté des bouts de mùonde et autres luminosités toutes acidulées ! On voudraiot passer mais sans y passer ! On entre ! on est collées-accolées ! on est prêrtes à ... naîttre à l'autre côté ou de l'autre côté à cette sorte de donnée donnée  de base, chant des ombres (hommes ?) ou comment ? on essaie du coup de fait de cerner, ce qui est dedans ! on est pas "arrivées" ! on cherche à percer , qui de la dent, qui de l'oeil énucléé, qui du doigt pointé ou de la main posée ou apposée, du pied de l'avant, du sexe dressé pour ceux ou celles que le sexe sied ! on est comme cernées

 ! on est comme ceinturées ! on est prises de fait sur le fairtt, cherchant non misère mais bonté, donnée des données d'une sorte de 

bonté donnée, offerte, déposée, posée sur roche à jamais ! On serait colère et on verrait des choses trembler : feux des roches ? On est passées (iun peu !) de l'aiutre côté ! on aime ! on est  bêtes des prés , charges rudes, sommités grégaires, chants de lutte, romancières. On veut cerner cer ner cerner les données posées sur roche à la une à la deux devant soi, nous de base vôtre. On colle ! On est posée collées ! On monte ! on traverse ainsi la roche ! montons ! on est montées ! 

On veut toucher ! On veut cerner la base des données données. On veut toucher à cette base des données données ! On veut ou on voudrait toucher ensemble ici , à (donc) cela : base ! base des données ! données données ! Chose ! choses des traits ! traits ! traits de rage ! convivivialité des êtres allouées à une roche si tant est ! On entre ! On veut cerner ensemble, tout un ensemble de données qui de fait seraient à m^me de nous éclairer un tantinet sur ce que c'est que cette chose d'u ne sorte d'au-delà du monde, chose rude dont le nom en vrai serait (qui sait ?) "la mort" !On est donc passées ensemble (deuxd femmes) pour toucher à cette "donné". On est âssée ou comme passées par la bande ! on est comme "éjaculées" de rage ! On est passées et nous voilà (en vrai) siituées de l'autte côté ! on  est entrées, ou disons comme entréesz car en vérité on a passé quoi ? le bout du nrz ? guère davantage ! vit et vie des données passées, du passé de contrebande ! chalutier ! On est comme cernées (ok par la bande ) mais va comprendre ce que c'est en vrai ! que cette chose d'une entrée ... p ar contrebande ! Vie du vit ? est-ce ici  la

 chose trempée ? le calé ? le c aché ? le passé de rage qui serait ... juste du passé ? On est accolées en tant que femmes soupesées et soulevées de base par ... eh bien, qui sait ? du vent ? en rafale ? vent d'autan ? charge 

venteuse des amants et amantes du temps ? on entre par devant, qui un nez qui sa barbe , et du coup on voit ! voyance ! à tous les étages ! un certain nombre de données de face (base) déposées (de rage?) devant nous qui (pour le coup) n'en loupons plus (pas) une s('il vous plaît ! . on regarde. On voit. On mate grave ! grave gracve ! On voit quoi on voit ../   eh bé ça ! cette chose à ras, ce tapis de base, point de charge, tableau gris, passade, gens des envies vives, vives gentes et vifs manants, vives manantes, gentes dames et vives amantes, lm'Amoiureuse Transi, transitoire, chargée, posée sur roche : une Fée des Fées qui  nous regarde

 ! oghé la fée ! ohé la jolie fée ! oh la fée ohé ! on est accolées ! 

on chante ! on est posée, et du coup on se permet ensemble de chanter "à toi à moi" ce qui est,  de cette entrée ou virée de charge ! On regarde ! ohé la fée , qui tu es ? On est accolées ! on regarde ensemble les données données . On veut cerner ensemble ce qui est qui charge , 

qui est comme qui dirait donné ! vertsé, accolé, déposé , sur roche des prés comme à la ârade. On veut ou on voudrait cerner la Base des données. Ce que c'est et du coup co:mprendre dans les faits les mots de la charge, le taureau, l'antilope grave, le bison coté, buffle au cordeau, bufflette au poteau, l'angevine, le syndrôme du couteau, la bête chevaline, l'ours des Baux du Grau, l'intrépide bise. On est montées comme sur 

une soorte de pic;

On est comme nées sur roche des prés pour de fait cerner des données de base qui (toutes) seraient, disons, sinon animalières, animales ? on entre . On veut cerner-toucher, pousser-aller, dire et porter le dire, enfoncer les portes d'une sorte de maison natale ! on regarde ! on cveut ciomprendre ensemble et du coup  passer. car qui dit "comprendre ensemble ("à toi à moi")" dit "p asser", dit "trépâsser" mais sans y passer ou disons sans vraiment succomber aux chaermes, non ! tenir bon ! se dresser ! tenir de face ! ^$etre droit sur place ! chercher ! aller et venir comme à la par ade ensemble en ce passage ! On est d'ux femmes qui ensemble en vrai cherchons à comprendre un  certain nombre de données de face. On voudrait vraiment ensemble comptendre ce qui est qui se présente et ce sans succomber c'est-à-dire sans tomber ici ou là de préférence. On est grave ensemble elle et moi = nous, accolées, et c'est ainsi (accolées) qu'on regarde, qu'on s'approche de la roche terminale, roche de rotonde ou d'enclave. On voudrait vraiment ensemble comprendre c''szt-à-dire cerner, de près, ce qui est qui semblerait qyui sait ? nous regarder comme par la bande, qui viendrait ainsi vers nous, nous mater, nous reluquer, nous lorgner comme un fou

, comme si en vrai on était, nous, bêtes de paroi de rage, de là ! on voudrait ensemble , nous, aller ! aller loin ! plus loin , soit toujours plus loin ! on voudrait vraiment ensemble comprendre loin, c'est-à-dire beaucoup ! on voudrait chercher et trouver, trouver et  cerner, cerner  et poser. On aimerait c''st un gfait (grave) comprendre, un grand nombre de données données,, mais comment comprendre ?en touchant la Roche des prés ? en se lovgeant tête la première en elle ? en faisant corps en vrai : deux femmes comme "célibataires, ou soingulièr"'es" se serreraient pour former de fait un corps de ... mer ? chant ? cri ? christ ? ohé ohé on colle ! on est comme néesde la roche et voilà qu'on se met ensemble à (on dirait) coller ! coller

 grave ! On est accolées sur place (pré aux fées ) et nous voilà cdomme cherchant ensemble à (du coup) toucher à cette Vérité d'un chant donné ! Quel est-il ? qui chante en ces contrées ? de quel chant s'agit-il ? qui est derrière ? qui donc est derrièree le chant ? qui veut nous entourlouper par ce chant ? qui veut nous enfumer ou nous endormir ou nous blouser ou nous faire défaillir ? qui donc est là, derrière, sous le vent, qui guette , chante, va, se promène et ne cesse de nous regarder comme à la dérobée, mais, chante ! il est vif du tertre ! il mate sévère sur son pic de gué ! il ne nous abandonne plusz ! il nous guette sévère en père sévère ! il est fils et père, charge allouée à ... eh bie,n oui, cette dune en soi, ce bloc, ou tonneuau de joie, tertre ! 

dune du pot ! On est comme mirées ! On est comme acculées ! On est prises sur lme fait ! on est guettées ! Oh oh on l'est ! On est vues depuis la dune et comment faire pour ne plusz ? On est bêtes de scènes (paroi), qui voulons ensemble (grave !) aller, au plus profond de l'antre, charger = cerner, charger = comprendre, cette chose devant soi dont le nom (de base) est gravé comme sous le vent ! données ! les données ! la Chose ! le Temps ! Temps donné sous le vent ! On est accolées et on mate ces données qui (de fait) sont données qui (qui sa&it ?) nous incombent ! on est n,ées sur base nautique, on est nées vives, vives et ailées, on est nées du pré, de l'ombre, sous le gué. On est nées vives ! vouivres ? on est nées  de rage ! On veut toucher ! On est cfomme accolées de rage à une sorte de donnée et nous voilà nées ! On est cfomme accolées opour en vraéi eh bé être nées ! On avance ! un pied ! on trace ! On est fe'mmes des prés dits "de la romance", et c'est ainsi, en tant que femmes allouées à un pré, qu'on trace, qu'on avance un pied, qu'on va, qu'on se déplace cahin caha, sur place , o,n voit ! On voit là-bas la vive clarté allouée à la paroi dernière, cette Chose de poids, cimetière, gré et bois, charge entière, paéroi des rois et des reines

 ; la Samba ! on entend ça ! mais est-ce vraiment la Samba ? la rumba ? la salsa peut-^tre ? quoi ? une sorte de musiqzue belle semble de fait émerger d'une sorte de trou des Fées (dit "des fées") qui serait, ici même, cet endroit par lequel en vrai on voudrait passer pour comprendre ensemble de l'aéutre côté eh bé ce qu'il y a. une sorte de cha-cha-cha des temps alloués à une roche ? Une sorte  de musique folle ? entraînante et délurée ou débridée ? On est acxcolées (FEMMES DES DONN2ES) et du coup on essaie, en vrai, d'entendre-cvomprtendre ce que c'est que cette sorte de musique des attraits, musique des Fées. Qui "chante" ? qui "joue" de la vioole ? du pipeau d'eau ? de la mandragore ? Qui joue du saxo ? Qui s'époumone ? On est comme nées fées sur roche dès que trépassées. Disons pluto^to que oui, on naît sur roche dans la mort comme doublées, colmme dédoublées, comme si, en mourant, d'1 on devient 2, pour l'éternité

 des tempsz, mais voilà : deyux femmes pour une Fame (renommée) déposée. On est comme néesxc,de rage, Femmes , la mort advenue, sur roche des prés, conclues/ On est femmes des prés = Fées, nées de rage par la bande (ici , du coup, animale) pour cerner ! cerner grave ! toucher ! toucher à cette déité (de fait) des parages ou de ces parages dont le nom (dans l'intimité) est... eh bien .... on dirait .... qui sait ? ;;.. on voudrait le dire ! on voudrait vraiment ici ensemblre maéin dans la main dire ... on voudrait ou 

on veut, mais ici on voit que ... que quoi ? dur à dire ! hiatus des parois ! on essaie, on franchit des fois le pas, maéis en vrai c'est dur ! comment faire ici ou là pour en vrai ensemble "à toi à moi" nommer cette sorte en soi, de déité des déités ? on voudraiot ! on di ... oh on dit quyoi ? on dit ce qui est, ce qu'on voit = ce convoi ! buffles à sati"été, monstres des prés, les bisons et les bisonnes nacrées sont comme des succédanées d'une sorte de Vérité des Vérités dont le nom pour de vrai est ... et ici : un blanc ! alors même qu'on le sait ! qu'on connaît ! qu'on pourrait nommer (et d'ailleurs parfoidss on le fait) mais bon ... on est nées pour 

prononcer (qui sait ?) le VErbe du Temps comme à la par ade , pour comprendre = prendre , et prendre = dire , et dire

 = nommer , et nommer = nommer déité des déités... pour (comme qui dirait) paqsser ,; szoit passer le temps = les tourme,nts de l'âme ! on est nées de base accolées, on parle ! on dit ! on dit ici et là des mots allouész à une vie dite temporo-spatiale ! On colle ! on est accolées de rage à donc ici cette chose, d'une sorte de PAROLE DOCTe ! oh oh ! et si c'était vrai ! On regarde ! on est deux "massives accolées" qui(en vrai) vont (fissa) à la rencontre de (peut-être) l'ultime p aroi ! paroi des parois (rotonde) ;: on y croit ! on fonce ! on ose ! on veut voir des choses ! paroi = parole = rotonde = mort ! voilà l'arme ! Le port des ports ! port d'arme ! on colle à une sorte de données lacustre des données de base de la Voie telle qu'elle est là qui on dirait nous voit, ou si ne nous voit pas semble ! On est comme nées ensemble en semble ! en, plus loin, semble = sang bleu ! sang des Reines-Rois des Parades Martiales ! äme et arme comme à la parade ! charge ! chant ! chant des champs ! champs fleuris ici, vert pré, chose en vrai paradisiaque on dirait. On est femmes accolées ensemble, 

qui voulons comprtendre ensemble ce "semble", cet ensemble, cette chose en sang, ce sang de contrebande ou de connivence, ce sang blanc et ce sang bleuu, ce sandg dit "des rages", "des 

tourments de l'âme". Qui dit mieux ? On est données = données par .... (on ne sait) , et données = les données, les bases, les outils de connaissance, le Savoir ancré ou alloué au Temps via la rampe de lancement dont le nom (en vrai) est... eh bé peut-être... buffle ? bufflette ? bique ? biquette ? une sorte de bête en forme de manège ? On est cfomme néeds sur pré , chererchant clarté ! on cherche à cerner cette donc clarté dite surnuméraire des données allouées à une roche temporo-spatiazle de type rocher, roche, roc, roc des vies de base, roc et toc ! On est comme passées, à travers la roche, direction le pré, et une fois pasées, une fois insérées, intégrées, allouées, prises de fait, on va (fissa) jusqu'au bout du bout si tant est , soit : de l'autre co^té, vers FIBNALITÉ DES FINALITÉS = fond de pré = rotonde = ROME ! oh on ose ! On est comme nées à une szorte de données "fatale" quyi (en vérité) serait donnée (une donnée) des bases royales (reinales) à juger

 = jauger = soupedser = soulever et montrer ! on voit la donnée ! on mate ! on lévite comme à tout jamais  sur pré, et, ce faisant, nous voici comme nées à une Vérité Tantrique allouée à ... une bique ? on dirait !Allouée de fait à une soerte de donnée, de type' bique, biquet, biquette des prés, bique-nique, vive bique sur p^ré, cherchant toujours (incessamment) à s'amusezr, à jouer , à

 courir ezt danser, à sautiller et gambader. On éime  ces fées ! bique des prés allouées à Déité, va sur pré xcharger-danser, nous amadouer, nous attirer, nous faire aller, nous condyuirede fait vers cette sorte de finalité des données prairia&les : ce muret ! cette face ou façade ! fin de vie ! Et nous, du coup, en tant que femmes (nous tenant la main) on va, on vole, on lévite, on suiyt la bis-que , le biquet, bique femmelle / bique mâle, à jamais, on aime ! On s'aime ! on est colléees/ accolées pour en vrai s'aimer : au cul de la bique ! on la suit ! le biquet ! bique et biquet nous mènent pour de vrai au "cimetière" des données données. On aime ! on aéime aller , bouger, danser ! au cul de la bique et du biqauet, ou bique ou biquet, on a&ime aller ! suivre ! être happées ! être prises ! êtres conduites ! ça nous plaît ! On veut aller vaéillantes ! vaillament aller ! Toucher ! toucher ROche des données ultimes . nous voilà arrivées . On est face ensemble à ce rocher du bout (?) du pré ! bout des bouts partout ! on est arrivérs ! on est à côté ! on est au pied des fées; 

IOn est fées nous -mêmes qui sait ? 

on est arerrivées au pied des fées, on est bêtes des prés ! on est accolées-acculées et du coup on est serrées , toutes pelotonnées , pour former ce que d'aucuns et d'aucunes appaelent UNE .... FÉE des FÉES . On est femmes-bêtes, Fées des fées, on est fées des fait s sur roche des prés. On est accolées ! accolées-acculées ! cimetière des données somaires. On nait ! on renait à la guerre comme à la guerre fées . On renait en tant que fées dès que passé le cimetière ! feées des fées on est comme re-nées , de bonne guerre, en vrai, sur l'herbe, sous un vent montant (de colère) on dirait du firmament, sauf qu'il semble rupestre plus que céleste, ou cfomment  ? on est nées Fées ! on entre ! on est toutes deux accoléequi voulons comptendre : 1, la Fée, 2, les Données, 3, la Paroi qui searoit "

Parole" allouée à une Roche  ou un Rocher, 4, le Bison des prés (la bidsonne), 5, l'antilope , 6, la chevale (le cheval) sur pattes dressée ! On veut (fées) comprendre (ainsi re-nées) ce qui est qui charge, va, soulève, vit, tremble, nous commande, nous conduyit, nous mène, nhous contient et nous retient. On est nées à une vie nouvemlle en tant que fées des fées surnuméraires, femmes allouées à une sorte de "rotondité rupestre", rocxhe agréée, paroi celte, roc des oies. On est cfomme cernées ! on est cfomme toucheées ! on veut aller ! dire et prendre, faire et comprendre, donner et apposer sur roche x mains comme mutipliées desz chants eux-

mêmes a&llouées à une qsorte de donnée de rage dont le nom serait (dans notre langage) "Vérité" ! soit : "Vérité des Vérités". Ça le fa&it  ! ça envoie ! c''st bath ! c'est un fait avéré que c'est bath ! on aime ! on entre ! on essaie ! on est cfomme  nées de rage à une sorte de ... eh bien peuêtre... vérité des vérités, qui serait... un a,nge ? musicalement "amené " par la bande (musicale , de fait, des données données ) ? O,n entre ! on est VErbe d'allant ! Un verbe est né qui se soumet (en vrai) aux allants (chantonnés) de l'ëtre. Qui on est ? on est nées de rage sous un vent de face ! souffle démultiplié comme dans la romance ! On colle ! on veut coller ! on ose aller-toucher à cette ici donnée de cimetière, comme quoi le verbe alloué à une "mort certaine" est verbe d'herbe ou verbe des prés (des prés de données) qui est Verbe de l'$etre tel q'il nous semble se montrer,à la mort donnée . On est accolées, on gère ! grave ! les données ! On est nées pour ^rtre (de fait) allouées à une sorte de colère qui est chant, chant donné, chant des données. On est comme soulevées de base p ar ce chant (surnuméraire) des données données du Verbe de la mort à l'aise ! On est cfomme nées à elle, Blaise ! On veut toucher ! toucxher-cerner, faire)aller, comprendre-dire, faire et tomber dans l'herbe et de se relever et marcher et aller vers ce dit "cimetière" des donnéesz terrestres   . qui on est ? des (ici même) qui (en vie) voulons cerner (ensemble) ce qyui est (de fait) de la mort en ces contrées telles que représentées de rage sur paroi et autres pierres par des hommes et femmes des cavernes

 ! On est nées rupetrses ! on est nées bisonnes et buflettes ! on est bêtes de somme et sommité, fame au taquet ! On est célèbres (des Célébrités), Brtitney ! Chou à la crème, sensibilité ! On veut faire -dire, chercher-trouver, coller-décoller, aller et venir sans sombrer mais tout le contraire : durer dans la durée de l'être alloué à un dit "cimetière" 

aux données données. on paér(le gras ! cel te ! on est là pour ça : aller ! charger et comprendre dans le tas ! Qui on est. Qui on est pas. Ce qu'on veut. Ce qu'on veut pas. Dire et toucher = ne pas sombrer . On est FEMMES AU Débotté qui de fait voulons acter la chose ainsi nommée ("cimetière aux données") sur Herbe. On colle !

On ose ! on entre ! on pose nos mains sur les hanches ! on est des qui (en tant que telles) vont, filent, mais parfois se posent, mains posées, et souffllent un tantinet avant de re- y aller en vrai, comme à la dérobée. EMMES altruites artistes on dirait. En vrai pas tout à fait. On colle aux Vérités tracées ! On est gouines, charges, vivres, sommets / sommités, FAME ambrée , charge mentales, nénés, condomines. On veut : 

toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher tucher topucher tpoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tpucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher touchr 

à cette Déité des D2ités iici nommée (ou dénommée) N2N2 ! N2N2 des N2N2S ! nommée "Les nénés". On entre ! ventre ! corps ! on veut cerner ensemble la mort, en vrai , ce que c'est ! Des nénés ? eh bé ... qui s&ait ? on est comme passées à travers la roche à la recherche d'une vérité qui eût pu nous donner en vrai un pêu de cette chose qu'il pour nous serait bien utile ,pour le coup, d'avoir en propre. A savoir : le savoir ! la connéissance dite "grave" des données spéciales concernant la mort en ses contrées,. OOn veut = on voudrait ! Comprendre oui. Et aussi cerner = entourer = cercler = prendre ici même en son sein le Verbe, le faire fructifier (fruit de la pâssion) et puis le mettre au monde incidemment comme "un fait exprès"  et par la bande sur paroi des Reines et des Rois Nacrées. On est comme nées sur roche d'une sorte de Pässion Christizque allouée au VErbe de la Foi dans la mort Certaine. On colle ! on est deux qiu, ensemble, main et main (on voit) chargeons = chantons ! cfomme à la parade, la chanson des Rois de Faça de, Reines au diapâson

, saint-ignace au violon, on ose ! On est fe'mmes des prés f= ées. Homme trépassé a donné son "âme" à la fée des prés, ailes, ailes passagères, vont et viennent, volettent vers en vréi ce trait donnné a&u x confins des herbes ! On volette avec elle ! fée ! fée des fées est nottre fée ! on l'aime ! on veut la toucher ! la toucher afin de mieux en vérité la connaitre si tant est, car est-elle en vrai ? corporelle ? on dirait ! mort donnée ! mort ! mort allouée ! mort ! mort actée ! motrt des données données ou aux donnéeds données ! on est "raccord" ! on veut aller, toucher, cerner, pister, cpmprendre, rendre, soulever, soupeser, être et avoir en 

vrai sur soi cette chose d'une aile (deux) qui nous siérait de fait, nous irait de même comme un gant, bretelle, jupe des données, verbe de terre, chapiteau, verbe comme s'il en pleuvait sur notre tête et nous ferait pousser comme ailleurs l'herbe à brouter. On est nées comme cernées par (autour de nous) de l'herbe (paradis) sur pré ! On est bêtes des prés aéinsi montrées ! Montrées et montées , car soulevées , car ailées ! vaches à lait = vaches ailées , pour aller (de fait) ainsi ailées vers le cimetière des données données = le Verbe ? verbe des prés ? On croit rêver mais en vrai guère on ne rêve ! on est ! on est nées ! on est allouées à l'herbe , au pré à brouter, aux champs et prés d'une sorte d'enclave szurhumaine', surnuméraire, céleste, sainte, consacrée, chargée de Verbe comme s'il en pleuvait ... par derrière ! Car / le passé ! le pâzssé nous suit ou nous colle au dxerrière ! on est nées et voilà le Passé passé , qui (en vrai) nous suit de près, ne nous quitte plus jusqu'au cimetière ! on est ailées ! vaches et buflettes ailées, les bisonnes . On est bisonnes ailées (par le Verbe de la Foi dans l'être de la mort à l'oeuvre en ce cimetière aucx x données données) . On veut grave toucher nos ailes ! obn veut s'aimer dans l'herbe ! se gouiner tantôt ! s'allouer au cxhapêau (chapiteau) sur tête ! On est bêtes de roche sondée, dessinée , ornementée, et on s'agrège ! entre nous on s'agrège ! On est des bêtes fortes, sommes folles, cris de vie, fortes charges, poids de masse, parades

 graves, chants lourds des bouts du bout des vies. On se masse ! on fait masse ! on veut grave peserrdans la balance ! On est bêtes des prés de charge = sommité = renommée = fame = genre "on me connaiît" , ça le fait grave !". Quii on est ? on est nées par chance par la bande (animalo)-langagière) d'(une sorte de paroi souterraine, galerie-boyau, anttre, caverne, trou des razts et autres bêtes rampantes. On &ime ça ! la rage ! la sa&mba ! la transe ! le canal des voies vers l'au-delà ! la chance = la danse = la transe = la voie = l'animal de la foi = l'antre ! On est comme touchées à la base dès notre naissance sur paroi ! touchées quasi coulées mais voilà ! on est entrées ! on a franchi la roche ! on est passées ! on est passées avec notre passé, derrière ici la paroi du roc . On est passées = on a frnchi = on a traversé = on a creusé = on a conclu = on est nues ! nues de base ! nus du cul ! on aime aller (nous) nues grave ! on adore aller nues de base, cul nu, vers (on dira) l'au-

delà , l'au-delà du cul ? pourquoi p as ? après "le cul" il ya ça , l'au-delà des aâmes , armes, bras, charmes, gravats, cendres, à toi à moi la voie du passage, passage de l'antre, l'intrioduction dans une sorte de cloison qui serait comme une sorte de rotondité ou même enclave des Passions ! On est = on est nées ! voilà ce qui est ! je (on) suis (est) né (es) = je suis ... ce jambon ! cette domination ! ce trait = on ! homme des contrées "du bout du monde". Quand on naît homme dans la vie (jambon) on meurt en tant que femmes des données célestes (fées aux deux ailes). On nait Homme (premier temps) , on meurt Femmr

es (deuxième temps) . On renait ...  tyroisième temps, vive clarté, chant montant, vie  des vies comme sourdant d'un puits ! vie vive = eau vive = paradis = vie des vies  = chants de vie = vie ! Vie = vive animalité sacrée ! On est comme entrées d ns une roche tête première. On est nées sur hrerbe ok , à présent on sepromène. On veut dire et toucher, mais pour dire et toucher il faut sonder ! coller ! cerner la roche ! szi possible (préférentiellement) à deux ! aller, à la rencontre du feu, de la vive clarté, des données allouées à une sorte de cloison, et à son derrière, à ce qui est derrière (en vrai) cette cloison des données rupestres dernières. qui on est en vrai ? FÉES ? qui sait ? ELLES ? hé ! peut-être en effet szommes-nous elles , elles aux attraits ! on est (homme) femmes cachées ! homme de la vie avant le pré ! femmes de la vie après le pré. Pré = pré-ambule = pré en bulle = pré enclavé ou comme qui diraéit muré, entouré, encerclé par un muret qui fait du pré ce pré nacré, cerné, comme touché ! On est bêtes-FOI ! rage des parois ! foi en l'au-delà de base : la paroi = la parolr !. La parole  "porte" la foi comme la foi "porte " la parole : "à toi à moi" ça sonde ! ça y va va ! ça charge gravze ! grave ça y va ! on entre ! femmes entrent ! femmes des parois entrent ! femmes de la foi dans l'âme ici, de l'au-delà à la paroi ! On est des femmes szous paroi, o, est comme soudées à elle , et nous (entre nous) p areil. On est vivrres ! herbe ! mangeailles ! offrandes ! vives et vivres ou vouivres ! quoi ? on entre ! On entre par la bande ici animale de paroi. On entre par le ventre" ! On entre grave de face !on pousse ! va ! colle ! fonce ! foncefissa ! va ! colle ! essaie donc de comprendre ce qui est qui est là devant toi qui ose , quoi ? te donner du rose !

 du doux anuimalier ! chose nouvellement né et comme déposée sur rose ! On est comme nées toutes "chose" dans un pré sur une rose ! Nées sur pré ! on aime aller ! on veut toucher toucher toucher, on veut toucher toucher toucher , on voudraot toucxher toucher toucher, on voudraiot trpucher toucher toucher, on voudraéit grave ensemble toucher toucher topucher à cette déité des données de base, charge d'âme ! viva lacrité, charge mentale, solidiarité des nénés , chyant des bas (des bas fonds-) de l'âme. On entre ! RAGE ! Excentricité ! connaéissance actée ! fatalité ! colère sur pré ! on va vers Déité pour en vrai la toucher comme dans la rommance = "la toucxher, la toucher la rtoucher ...". Qui on est ? on est (dans la mort) des fées ! fées aux ailes nacrées ! diaphanités nacrées surnumérairres célestes allouées à un pré d'herbe ! collées ! On colle au pré ! tête dans l'herbe ! on aime brouter ! on est bêtes belles ou belles bêtes du fait qu'on est grasse et fortes et dures et ventrues et comme charnues. Vaches d'ambre ! on entte dans l'antre "farfelu (?)" des données du cul ! IOn aime ! oh, peut-^tre ... enfin oui ... le cul , la baéise des bêtes ... on aime le cul 

et la baise nue comme des bêtes bêtes nues du cul ! On est comme Colère ! IRE à vu ! chant des grèves ! velues, ventrues, voulues ! On aime être nues dans un cimetière, merdre ! Comme nues ! = velues-poilues-cornues ! ça allège ! ça nous pénètre ! c'est couillu ! ça pue du cul ! c'rst bête et mouru ! On aime ! On est bêtes des bêtes ! on est comme nues dans un cimetière = pré aux herbes ! car la terre entière ne cherchez pas est un cimetière . La vie sur terre est un cimetière ! ici-bas est tout entier un cimetière ! la vie en soi (la réalité de la paroi ?) est un cimztière où l'omme et la femme ont 

mouru ! à toi à moi ! ça pue du cul , c'est bath ! ça charge ! ça fonce ! ça fonce dans le cul ! ça danse sévère ! c'est couillu du cul et ça persévère ! on aime ! On veut toucxher dee fait les fées sur terre maie où et comment ? où sont-elles et comment s'y prendre si ta&nt est qu'on saurait l'endroit où pouvoir les trouverv (dénicher) ensembvle ! On est nées d'une sorte de rage à la bn ase, de base de rage. cri de la passion. Mirage ? SPIGOLON ? MIRAGE SPIGOLON ? SPIGOLON %IRAGE ? on est nées de base simple trouffion, gns de la base, sous-menton, petit pont, coquelet desz prés, ding ding dong ! On a&ime aller enbsemble à la rencontre de données de bout de pont, c'est vrai. qauand on aime il faut y aller ! il faut cerner, toucher, s'avancer, essayer de cernerv  de près et avancer à reculons ou pas à reculons maisv avancer = en avancer ! On est un peu préssées ! on veut grave toucher cette sorte (du coup) de déité, qui serait cette chose des données données : poison . fiction ? boisson ? poisson ? On est n"éées sur herbe d'un pré dit surnuméraire, pré-acté, pré)cité, pré)-caché, pré-armé, pré-indiqué.On veut cerner = dire, et pouvoir

 écrire (ce dire) sur roche tremblante sous le feu des lampes ! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on estnées bêtes sur paroi , charges doctes, poids de roche ,; et nous vpoilà convoi en force traversant le temps, passé-présent, vers l'ombre ! l'ombre du tourment ! On ose ! on est comme deux qui , , doctes, voulons dire-toucher la Chose qau'on connaiot ! l'ombre ? l'orme ? l'homme ? l'ambre ? l'âtre ? l'antre ? l'être ?l'entre ? l'entre-deux-feux ? Le paratonnerrre ? Le feu ? fils de ? commissures ? fille des fissures ? Fées ? On veut aller, comprendre et cerner la roche, dessiner etdu doup creuserr un certain nombre

 de qauestions, ditesc"d'envergure" ett on sait pourqauoi ! ailes de papilons ! la foi ! la foi en ça : la chose du fond ! on y croit ! on ne croit qu'à ça ! on est bêtes du port, on entre, on voit, on comprend là que en vrai, on dirait, des choses se passent ou se passeraient dev anrt soi ! diantre ! fruits de la p assion ! on est comme deux êtres dits bêtes (couillons, couillonnes) sur pré, et qu'est-ce qu'on fait ? on fait pitié ! va cerner ! ose ! compte ! foule ! vit ! chie ! colle à Roche des Malappris (les Hommes) et fous-la leur profond si tu oses , oses ! VA ! compte tes pas ! tu es né sous roche homme, te voilà née femmes en roche, deux femmes et basta pour toi ! ça le fera ! On est cxomme Betes de somme lambda mais zn vrai pas tant que ça ! Sommet des parois ! sommitées des sommoités qui le croirait ? FAME DES AR%MÉES DE L'ÄME ! on y croit ! on veut toucher paroi ! toucher l'arme ! fée des rois ! fées reines aux abois ou pas , car l'ombre est souveraine , va, se pose là sur un bras, charge, commande

, tue le Roi, et la Reine est enfin Première, Fée des Rois traqués la voilà Nommée Duchesse, dure-mère, collagène, veine, voix, voix de là = l'au-delà des Rois/ Ombre-homme abasourdie s'efface laisszant place à Reine Mère des Paérois des traces. On voit tout ça de face ! cxharge d'âmz ! chant total ! un parterre d'amês cforiaces : des bisons ! des buffles ! des cheveaéux de tra&it et autres vaches à léit . Vive la Na&ture des données tracées ! chants rocheux, pariétaux, muraux, sur pierre allouée à ce cimetière ! On est comme nées à la paroi d'herbe ! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime ! on en veut  grave ! on veut grave aller ! on veut toucher à cette déité, des p)arois des Rages, des données F&atales, vraies, ancrées, avérées; On est femmes des prés dans la mort. Mort -des prés de base, mort des données nées de  la base. On est entrées . On voulait comptendre. On voulait vraéiment com^rendre ce qui est ici, mais pour comprendre ce qui est ici il faut  a  ller ensembleble, il faut tracer, cerner ensemble, tout faire ensemble, se toucher la main, monter , grimper, soit léviter ensemble, et alors peut

-^tre en effet, on peut comprendre, on peuttoucher, on peut cerner , on peut allouer à une roche une romance, faire ainsi qu'une sorte de romance ici soit (ou nous soit) donnée en  vrai comme une dionnée, donnée des données. Quand on aime il faut tracer c'est un fait, et c'est ce qu'on fait. On voit loin là-bas les contrées, les choses  de la foi, l'attirail, la roche dernière. Une sorte de clarté en fond de cimetière qui s&it ? on esa&ie ensemble de cerner de près toutes ces données mais en vrai la cxhoqse n''sst pas aussi simple qu'il y paraît car on doit pour le coup s'approcher au plus près et s'approcher près c'est risquer d'y passer à  jamais et à dire vrai, on ne veut pas y passer, on ne veut pas s'y risquer , on ne veut pas se pencher, passer qui le nez qui l'oeil. On veut rester = demeurer en vie, le plus possible. Rester =demeurer le plus longtemps possible en vie de ce c$oté du pré ! On veut en vrai regarder mais comme,nt regarder sans trépasser ? là est la qauestion UNE ! O n le sa&it ! le but ! la charge rude" ! on s&ait ce qui est ! on est pas des bébész ! et mê'me on sezrait des bébéd qu'on saurait ! car , meme les bébés savent cette chose, d'une "fin de pré", d'une clarté, d'une anfractuosité, d'une sorte de passage fait exprès pour aller ensemble (femmes = fame) à jamais vers ELLE, lA clarté on dirait, l'AILE ! l'amportée , l'emportée des emportées . On aime aller ! on est AILES avant de naître et nous voilà comme re-nées et du coup à nouveéu Ailes (ELLes) de Fées ! on est comme re-nées au nez et à la barbe de la Souveraine Reine des COntrées Armées , Mort au Taquet. On est nées sur terre ce qu'on est qu'on ne sait (ce que c'est) en vrai, qu'importe, on re-nait dans la mort telle qu'en vrai on était ava&nt de nâittree, ava,nt de 

nâitre sur terre, on renaît "à la une à la deux" ce qu'on était ou eut été ! on re-naît femmes des herbes, vaches sacrées, par la colère d'une entrée frontale par(iétale (à main levée) nous voici fatales ! Vaches sur pré olé olé ça gagne ! ça se dilate ! c'est fait exprès ! ça va aller jusqu'à la pa rade et après ... les nénés ? les "nénés de l(après " ? On se colle de ba se à une sorte de paroi de rage. On est cotées = aimées = reconnues en tant que telles : vaches sur pré ailées !c 'est dingue ! on aime les fées ! les ailes ! les vaches à laéit sacrées ! les données pre"mières. On aime aller tête première, toucher déité, cerner et voler de nhosz propres ailes et monter vers la lumière. Qu'est-elle ? celle d'une fée clochette ? d'une 

allumette ? fée aux allumettes ? On voit la clarté on dxirait mais est-ce ? et si c'est , qu'est-ce ? une caisse ? une sorte de pet ? fumerolle fumatière fumée ! On est bêtes des prész allouéesz à une sorte de parade gigantesque, parade sur pré gigantesque elle-même allouée à une szorte de donnée des rages aniùalières, elle-mmeême allouée à une sorte (on dirait) d'aubade ! on entre ! entrons (ensemble) ! toucheons ! touchons à cette face offerte, ce visage de la foi, nez, barbe et menton, front des bords, casque aux abords, yeux mieux  , langue lourde , poils ! ON cherche ! à qui, ça pourrait ressembler (la mort). On est proche qui sait (?) de cfomptendre et de trouver, mais encore non, on est sur un chemin de vie, on profgreese de folie mais ça file à une vitesse !!!!!!!!!! va comprendre = cerner = te poser ! c'est pas ghagné ! on est entrées en se tenant la main (deux mains) , à présent on aimerait aller plus loin , dans les connéissanxces (concer nant la mùort) mais aussi en cette roche des parois profondes, roche de rotonde ! mur d'enceinte sous le vent des ombres /

murs d'enceinte sous le vent ! On monte ! on grimpe vif ! On est accoléesz prêtes à traverser l'utlime "donnée" allouée à un muret (dit "de cimetière" ou " du cimetière qu'est la vie" ou du "cimetière de la vie" ou xd"u cimetière-vie"). On monte ! on grimpe ! on fonce car on a des ailes ! on est mort homme , on renait (dans la mort) ailée cs'est un fait ! charge d'homme ! femmes des prés 

= vaches sacrées = chants de roche = vivacités = optimum des donnéesz allouées à une Vérité gravée  ! On enttre ! on commande ! on est bêtes des prés ! On mate ! On = homme = femmes = bêtes allouées à une roche docte (ou dite "docte" car pleines de données) . On est comme nées ensemble par la bande animalière d'une sorte de parole "sale" ! va comptendre ! qui sait ? qui comprend l'ense'mble des données de fait ? des données cde rage dite "pariétale" à jamais ! qui ? "L'plombier" ? lxa bête gravée ? l'antilope zébrée ? la lionne des cavernes et des bois et forêts ? le (la) bouquetin (tine) ?La buflette rameutée ? la bisonne chargée ? la bête de somme (NOUS° sur pied ? On est ce trait de rage dessiné ! mains surnuméraires souffl"ées, bêtes raides ou nacrées, cernées ou effleurées, tracées au fusain ou gravaées de près ! lévitons ensemble ! allons ! faisons fi des contingences ! lévitons ! Soyons doctes ! savantes fées ! braves fées des prés, dessinant à main levée la Chance ! le sommet ! la chance au sommet ! On est femmes nées d'une sorte de parade sur paroi naissante, on est allées, on a touché, on veut aller plus loin comprendre davantage, de ce qui est dans ce qui sexprése"nte. On est Fées des entrées de face ! charge frontale ! de la corne et des na&seaux, on entre fatales ! Bêtes des 

prés ! Bêtes-mots de Rage ! on passe ensemble de l'autre côté mais va comprendre ce qui est en ces lieux dee contrebande, soit de bande et de contrebande ! on est nées homme au singulier (singularité) ion meurt fmmes (données) au plriel ( sommités des sommités = Fame agréée). On meurt homme, on re-nait femmes (en tant que femmes) dans la ùmort. fe"mmes = fame = sommes.. Amês -sommes ! Somme des sommes. NOUS ! SOmmes = NOUS ! car NOUS = sOMMES ! des sommes (bêtes de somme). On est femmes des prés  ayant traverséees comme à la parade la paroi ! parole-paroi ! choix des rois -reines, chose des données concrètes, fruits, offrandes près du puits, choses déposées sur une branche, données dites "données". Quand on éime en vrai c''st mieux de s'en

 aller vers  Déité (fonfd

 du pré). On veut aimer ! sur une roche szur un templiezr ! sur une chose donnée des donnée, fruits de la passion, colère de front, mots des cherche-m erde ! On aime ! on aime grave ! On veut toucher la roche lointaine à jamaéis soit ne p âs trépasser; mais pour cela on doit s'aimer ! s'aimer nues par terre, se lécher le cul, les glaires, les parties charnues, les données imber bes, les joues et les orteilles. On est nues de cul ! "szous le verbe

 ", "sous l'emprise du verbe ", "sous l'emprise notoire , commune, allouée, du Verbe". Soit : fortement conditionnées c'est un  fait ! femmes comme agrégées, comme accolées. On est femmes accolées dans un pré, par terre, nues velues, on s'aime, c'est le pied ! on aime sw'aimer = se toucher = se renifler = se lécher = se "mettre" / On aime SEX ! Sex ancré ! sex et autres animéalités de conserve, sex acté, sexe vendémi&aire ! charge allouée à du sexe de pré ! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Qui on est ? on est bhêtes des prés, souveraines, reines, femmes au débotté, nues et velues, voire méga-poilues même du cul, ou moins du cul mais quand même en vrai pas mal poilues, ailmleurs imberbe, bêtes vues, bêtes-mots de rage, bêtes-mots disant la rage d'être connues, vue-connues, bêtrs vues et connues de cet te sorte d'hurluberlu des données finales ou terminales . Qyui l'eût cr(u ! L'ombre sur la place ! Ou sinon ... le rût ? la charge-dard ? Qui ici sait ce qui est ? On est montées ensemble ici le long de la paroi à la recher che d'une vérité qui fut de bon aloi, de belle densité, de bon rapport, de belle tenue si jama&is. On aimerait compre"ndre ensemble si possible un maximum de choses, de données, des données comme s'il en pleuvait on voudrait ! On est nées vel ues et poilues, pa&rce que oui ... chevalines on est ! ou bien .... bouquetines ! ou même léonines ! On est entrées en roche ense'mble à la une à la deux au pas

 de charge, et une fois entrées, on a cherché ensemble à pour le coup nous rapp^rocher d'une sorte d'anfractuoisité de la paroi finale

 dans icelle roche des données finales, mur d'enceinte tout du long où qu'on reg arde ! piston ! ça commande ! on voit très bien le rond, la rondeur de base, muraille-muret féisant cour (courette) d'intériuer pour a&insi diire (une szorte de jardinet). On aime ! on aime grave aimer ! on aime aller à se porter, à s'allonger, à se coucher , près d'une fée on dirait (on dirait une fée ). On se couche près de la fée. On aime les fées. On est mort et dsu coup on s'est rappr(ochées d'une sorte de fée allongée. On est vaches à laéit dans la mort ! qu'on se le dise ! on est comme des vaches à lait aéilées ! on vole ! on s'élève ! on monte ! on grimpe ! on est nées actées sur herbe allouée à un pré, nous voici devenues toutes légères, celetses , celtes / célestes.En vrai célestes !

 on volette ! On est nées sur l'herbe, on se lève, on s'élève ailées (vaches-fées) , et voilà : on grimpe les diverses allées, les di vers niveaéuxs, les hauteurs nacrées, les traéits ! On est vaches reines souverazines qui aiment grimper pour aller tracer ! on aime ! on aime aller ! ion veut tracer ici ou là des bêtes des prés afin d'amadouer (on le sa&it) qui de droit qui se reconna&itra on jurerait ! On est fées et vivacités ! vivacités et fées ! fées des vivacités ! Gentes viles fades fe'mmes ? des sorcières-fées à jamais ? du balai les commentaires ! on est M ! M comme Mort ! on est fe'mmes allouées à une mort dite "de cimetière" mais en vrai c'est .................................................................................................................................................................... faux ! fausse donnée ! contre-vérité allouée à des traits gravés ! On est fées des données sages ! on est accolées à une rage dite "des rages". Pas sale forcémént, ni maussade obligatoirement ! On est fées des prés, ailées (vaches saoules) , on monte et on descent ! on volette ! on va et on vient ! on est en haut , on est en bas !  le troupeau, l'herbe, les fleurettes, puis, plus haut , le ciel, le bleuté, les nuagess cuivrées. On est bêtes aimées, on volette. On aéime voleter. On adore l'herbe des prés, mais aussi les nuées, le ciel bleu, les rayons dorés, l'ensoleillement lunaire, les contrées célestes. On est nées sur roche a&llouée à une sorte de cimetière des données frontales (animalités) et on avance ! on en 

avance ! on creuse grave ! on veut toucher à cette déité frontale auxd données cruciales ! on est n,ées fades (homme) ion meurt moins fades (femmes) : est-ce vrai ? car, si fée = fade , alors fée = folle ? On colle ! on est collées ! collées à la roche des données données il semblezrait ! On veut toucxher = on veut aller !, faéire-dire, ne pas sombrer mais comme travezrser lultime roche dite "des données profondes". Rotonde. Rotondité. Mur d'enceinte. VIvacité. On est comme nées (appelées) à re-naître dans un pré, au-delà ma foi, cerner, toucher, passer. qu'est-ce qi'il y a de l'autre c^té ? une voie d' accès vers une déité doonné. une sorte de âssage à tout jamais vers une déité. Cette déité est nacrée et sacrée. Elle porte le nom non deson père mais de sa mère, dure mère. Elle porte le nom d'une sorte de .. dure)mère, cervelet, pie-mère et autres corps calleux dénichés ! Qui c'est ? "c'est l'plombier" ? pas en vrai ! plut^ot le passé ! Le Passé des offre allouées ! ässé docte = souveraineté des données tracées (aurochs et bisons, buffles et buflettes, chevales amaozzones, crins des crêtes, ourses et lionnes, gens des fronts, b^$etes sales). On croit mourir de front, on se retrouve charges d'âme ! On est homme à l'unisson d'un temps de façade, on meurt femmes fractales, déployées, déplissées, désarmées, calmées, sondées, dédouvblées , dépliées. On est pour ainsi dire devenues, ren mourant, femmes , ouplutôt "des femmes", soit deux femmes, à la une à la deux, qui (en vrai) se tienne,nt par la main , ou se donnent la méin, ne se lâchent plus (pas) et 

avancent ! on est femmes de parois de choix ! on est entrées ens"mble comme p ar la bande . On voulait re-naître , c'est fait ! on voulait "se retrouver" ! c'set fait ! on voul&it  revenir comme, en arrière, au temps donné d'avant (la n&issa,nce sur terre) on va dire que c'est fait. On voulait revenir een a&rrière = au temps bébé ? bé peut-êtte ! La mort serait ce temps (dès lors) du bébé retrouvé ? la mort en vrai seraéit ce temps du bébé sacré ? La mùort seraéit en vrai ce temps sacré du bébé acté ? La mort on dirait serait le temps d'avant , d'avant notre nniassance ? On est comme allouéesz à une sorte de donnée rupestre, de type : anfractuoisité par laquelle on peut passer ou on pourrait p asser ense'mbke, à toi  à moi, hop ! on entre ! on est entrées ! on  est da,ns  (sur) le pré ! on est au milieu des b$etes, on broute avec elles ! on veut grave en vrai leur ressembler  si 

ta,nt est. on est bêtes des prés comme elles ! on mange l'herbe = le verbe (qui sait ?) . On est bêtes des prés, cernées, cerclées, entourées, encerclées par, autour de nous, une sorte de muret ou de murette, de cimetière (rotondité = enceinte) qui nous pléaiît sévère,nous fait grave de l'effet, semble nous appeler, nous entraîne à nous en rapprochezr pour esszayer, qui sait , un de ces quatre , de le traverser (le muret) ou bien la traverser (la murette) à jamais (genre : j'y suis j'y vais !) et du coup : cerner = comprendre = allouer à un ciel donné une romance d'éternité,  hé hé ! on dirait !

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23/7/2024

on est compagnes de paroi , à savoir qu'on est (ensemble) là pour ça : toucher -tremper, cerner-coller, pousser-charmer une sorte ici de déité des déités dont le nom est : 

on vous le donne en mille ! ... lA MORT !!!!!!!!! MORT ! MOTRT des Données (ou dite "des Données ...") Lacustres ! on est là ensemble, femmes accolées des bouts du bout d'un pré 

qiui (femmes qui) voulons comprendre "un ta,ntinet" la Chose , à savoir la mort ! ce que c'est ! ce que c'est pas ! Parce que mla mort est (une chose) et n'est pas (un certain nombre de choses ). On s'approche ensemble d'unev sorte de pzaroi de bout du monde ! on s'approche ensemble à la une à la deux ! on y va ! on tremble pas ! on casse Paroi tu penses ! on est là pour ça ! passer ! passer son passé comme en contrebande ! hé hé ! c'est la joie ! ça chante et ça y va ! On nest comme des faons ! on est accoléesz pour ensemble former une sorte de parade dans l'au-delà, qui sait ? On est femmes des prés et ça chante tout aoutour de nous, c'est fou ! On est accolées comme par la bande (ici-) déplissée, d'une sorte de chant assourdi montant des abrisb! On voit pas des masses ùmais bon onb essaie, de base, ensemble, d'y aller, de creuser, de cerner ce qui est et puis, aussi, de glisser son nez 

! On reagerde = on mate sec ! On est, ensemblke, deux femmes = deux ailes = un ange des parois de bêtes. On veut oui oui cerner ! on voudrait oh oui comprendre ! oh oh on est là pour ça ! on en avance ! on creuse paroi et puis droit ! on est comme touchées par la gra^ce ! On nenvoie du bois en façade et au-delà ! On est entrées ensemble, on se tenait lza main, on était toutes deux cernées ou commne cern"éées ou concernées ! On regardait , on voulait y aller ! toucher de base, creuser, aéller loin, faire ainsi que des choses se passent, aller dans la nasse (et masse) à la renco,ntre de lendemains ou comment dire ? Plonger ? Faire ? chercher ? aller ensemble tête

 première et là (en ce coin de Rage) toucher ! oh oh il faut toucher pour comprendre , c'est un fait ! si en vrai tu veux toucher il faut que tu avances ! Et si tu veux comprendre il faut toucher, il faut que voilà, tu puissees toucher la paroii ! mains surnuméraires en veux-tu en voilà , c'est comme un droit ! donc : va ! fonce ! creuse ! fiche ta paume et n('hésite plus à tracer, à filer, à entrrrer en roche ! On est accolés en tant que femmes des parois collées à roche ! On est là ensemble pour comprendre = cocher, cocher grave ! tracer , tracer grave, aller, aller grave ensemble, sans nous retourner de préférence, on y croit ! On s'est approchées enselmble d'une sorte de paroi de cRage, paroi SAge, paroi des patois. On regharde. on est enserrées ! enfermées , contournées, 

on est comme insérréeées dedans la roche en  certte sorte de R_O_T_O_N_D_D_E qui , en vrai, est sorte d_E-N_C_L_O_S, qui nous intègre comme il faut on ndirait. On dirait en vrai que cet enclos du bout du monde (l'après-vie ici) est un enclos de bêtes de masse ! bêtes à peaux ! à via,nde ! cornes et sabots ! On en redemande 

! on est comme des veaux, vaches, bêtes à viande, crapauds ! on est comme des bêtes de parois blanches ! on est entrées ! on s'est accolées ensembledès le passage au lamparo sous l'oeil (avisé) des bêtes-mots (de race laitière). Onn est comme elles !peaux = mots ! On reg arde loin , au plus possible loin, les données de base sévères, on y croit ! on veut ça : la Rage ! la voie ! le passage à trois ? On rezgarde ! On veut toucher de rage laparooi et comprendre et aller et cerner et dire et se lover en elle "pour l'éternité" en colère  (on dirait : est-ce vrai ? on n'en sait rien ! on est ign ares !). On avance . on est 

comme deux (nous deux) ailes de balle ! On nentre ! On est accolées-soudées sur roche au pré ! qui on est ? on est .... doubles ! hé hé ! dédoublées ! oh oh ! on est comme doublées ou dédoublées de base par on dirait quelque cxhose qui nous regarde ... mais c'est quoi ? l"'oeil de la Paroi ? ça ? on ne sait pas ! l'oeil de la paroi est ça qu'on ne voit pas car on est "en transe " , on lévite grave ! on dandse ! on y va ! on est comme de base soulevées par en soi une bête de choix (de poids) qui nous avance, nous pose là, knous montre, nous fait grimper, aller sur roche, et par la foi en ce binôme qu'ici on forme on y croit ! à ça ! cette chose en soi ou sotrte de soi, qui en vrai nous ferait ça ! nous soulèverait de Rage ! nous ferait 

aller (sur base des parois) comprendre et du coup cerner (= dessiner) et tracer de fait des traits de rage, traits doctes, sentiments forts et autres émotions drôles ! On veut toucher à Déité et une fois fait : aller direct, vers ... là-bas ! charge ! concentiment ! concgrégation ! continent des continents ! considération ! colporttage ! conditionnement ! consentiment et contentement ! On est femmesc= fame ! charge de rage ! sens des traitsz qui tous on dirait vont vers cette Déité des D2itées des RAges 

rupestres ! gentes dames livresques on serait allées ! on aurait touchée à elle !, la Belle ! L'Éternelle Allouée à une Roche dite "des prés "(Desprez "?) Qui est Somme FORTE

 ! contententement ! conditionnrment ! grosse ! chargement ! poids d'ombre (homme) sous le vent , c'est dit ! On na compris . L'homme meurt par la pariole ! on entre ! on est comme touchées de grâce à la une à la deux ça charge ! on est femmes doctes ! on est comme accolées (de base) au passage ! dans la mort l'homme prend pour lui sa dose de rancoeurs (d'un attrappe-coeurs) tu penses : au pli oui ! nous soulevées, lui fait pitié ! il est comme touché (lui) par la bande quand nous, on se lève ! nous = deux ailes (hé ?) de papillonj ! tu as saisi ? On est passées, il trépasse ! pauvre données de rage ! il est né, il est passé, il est mort sur pied ! 

quan,d deux ailes ensemble sous le vent, semblent de faéit vouloir se déployer continument comme à la parade ça le fait et grave ! on est femmes pour le coup des rages du savoir ! sage-femmes au débotté de l'âme on est nées comme par chance ! on est accolées et soulevées ! ça chante des masses ! on aime aller ! on est entrées, on a touchéesc à ceyte Déité des parois de base. On voulait aller chercher ensemble des roses des prés, des bêtes de poids, des fleurs de coljère et autres mimosa par la foi mais gare ! ici est une bête de fort poids qui nnouys regarde, qui nous suit à la trace ou nous suivrait : qui c'est ? "c'est l'plombier" ... des bases ! bêtes des parois de charge ! conditionnement jusqu'au trépas, et puis "là" on passe ! on traversrse  la paroi ! on passe ensemble car voilà : on est femmes, deux femmes de paroi, deux femmes allouéees à une par(oi. On passe en tant que femmes, ou : qu'on est femmes ! Et du coup, passant ainsi, passant "FEMMES", on est comme groggy,./ Sur le coup sonnées. On est entrées qauand l'homme a sombré hé ! c'est un fait ! voire un fait exprès ! l'homme

 devient femme