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13/3/2025

On trace ! On cherche à ensemble ("toi et moi")  comprendre ici et là, tout un tas de choses en ballance : les tracas de soi, les parades, une sorte de paroi devant soi qui, en vrai , est (serait ?) notre chance ! On est les fée ici , de la transe en ce parvis ! On veut comprendre = on veut tracer,toucher, creuser et nous lover, en ce dit "pays sage" des tracés. On est femmes sardes, collabées, accolées, de telle sorte que voilà, en vrai, on est là,  tracées, comme (qui sait ?) deux ailes de fée, qui se seraiot ensemble faufilé jusqu'aux nénés post-p^ré, au plud lointain envisagé. On cherche ensemble en vrai, ça signifie qu'uon cherche à faire auinsi que cette vie ici (entre deux parois) soit une vie de type "prairiale" , . On va, on trace, on creuse, on dit que ça (la voix) est une sorte de "cri de rage" en veux tu en voilà, qui nous donnne de quoi passer (de face) en ce paysage de la paroi. On entre ! on veut croire en ce qu'on voit d'unebsorte de ... croix, qui, de fait , serait pour nous .... eh bé Tout ! et pas : rien du Tout ! On est la Fée des formes, on entre en force, on charge aux épaules ! ailes et torse ! on est fée-forme entrant (de face) en ce paysage d'une sorte de façade intense, façade de traces, traits marqués, on charge = on entre = on passe = on traverse = on se retrouve cul oar-dessus tête comme à la ramasse le nez dans l'herbe au milieu des bêtes, bêtes de poids, broutant herbe sans gêne. On est les fée s du Verbe-Herbe, ou bien de l'herbe-verbe, herbe verte -verbe ..... dans un "sas de Rêve " ou semblant de sas, car, voilà, on est là, comme deux en soi, deuxc pour un Soi dit "de parade" au milieu des traces . On voit .......... la voie ! = le tracé ancré, sentier, menuet. On danse ! On est passée s ! On voulait eh bé c'est fait. A présent on se doit de bien considérer les choses avenantes en tant que données qui, toutes, peuvent ou pourréient nous renseigner sur ce qui est en cette sorte de prairie "filtrée" des bêtes "remontées", rosses, groosssses, broutanjt herbe du pré sans s'arrêter . On est la Fée du pré, on aime aller = danser = se donner : on monte ! On remonte ! on veut toucher toucher toucher à cette chose d'une "Porte Docte" = le Passé ! la trace innée ! une chose du passé est portée (ou reportée) sur Ombre et nous ,

et nous de l'approcher si possible au plus près ! On veut toucher toucher toucher toucher à cette chose , d'une sorte de dopnnée haute, à devoir toucxher ! Et nous 

d'y aller , de gagner sur la chose sans jamais traîner car voilà, on veut et voit ça, parade nuptiale, traits de soi, porte et mansarde, on vfeut comprendre et toucher ensemble cette sorte de ................. Roi ? REine d'Ambre ? une Voie est là pour soi, à prendre et .... hop, nous voilà là, prête à comprendre u n post-paroi, paysage des voies, ..... croix de bois ? On va ! on monte ! on cherche Trône ..... ou sinon Trône Porte, Porte aux voies à dfevoir voir ensembkle une fois là ! car voilà : on est passée ensemble. grave on voulait. On voulait grave ça, passer ensemble. On voulait grave travezrsrrer pareil muret des fobnds de pré et du cfoup poussser, pousssr loin en ce tracé, et gagner de chez gagner l'après-pré dit "Mer ÉGée" ou sinon  "Égeé" "mer desv Fées" ou sinon "mer des Fées" "mer des traitsz" ou "mer-néné" ! car il s'agirait ....... d'une mer de Lait ! hé ! qui sait ? qui sait en vrai ce que ça serait qyue cette sorte de marée de Roche ? une sorte de ........... mer morte ? On ne sait de fait ce que c'est en vrai ! onn cherche un Nom caché ! On aimerait (grabve) soulever le lièvre, et tracer, tracer sans s'arrêtrer , le plus grand nombre de Vérités qui (de fait) seraient pour le coup, les Vérités dites "intrinsèques" à une sorte d'après-pré céleste ! on cherche ! On veut grave grave trouver et pas à moitié ! chercher paertout, en ces quartiers de l'après-pré céleste, un coin dit "donné" aux vérités ancrées, genre "saturées"  = complètement vraies ! On a encvcie grave, de tracer de chez tracer sans jamais traîner, mais fissa aller et gagnezr gagner gagner sur ça, cette après-paroi , après-pré et re-après (en quelque sorte) paroi, qui nous voit tracer = filer = foncer , vers .......... Néné né dans une sorte de .... fossé ? creux des voix ? chose haute mais quoi ? après-porte ok on voit ça, mais en vrai quoi après la porte ? une sorte de Voie mais qui serait quoi  :  on mo nte sur quoi (en nqiuelque sorte) ? Voie de s Rois / reines des Tas ? tas de quoi ? on monte ! on cherche en soi de quoi cernert-piger de fait, un certain  ombre de vdo nnées ancrées , ancrées de chez ancrées, en cette sorte de Mer Donnéb e, Mer des fées ou dite "des Fées" ok, mais où elle est en ce post-muret ? et que fait-elle d'elle en vrai ? des vaguelettes ? vagues vertes ? On cherche ! grave on recherche ! on ne s'arrête pas de , pour le coup, tracer - gagner et filer-creuser afin de trouver qui de vquoi est là qui nous regarderait de biais peut-être pas, qui noius regarderait de biaiçs ou peut-être pas mais qui serait là à grave nous mater pour nous attirer, nous faire aller jusqu'à nous présen(ter, à ses ...  nénés nés ? sein de trait ? vache à lait ? on ne sait pas ! On voit que qiuelque chose ici se ttrame en vrai mais quoi ? ou se tramerait, genre .... lait tiré ! lait treait ! et trait de lait à siphoner (avidement) si tant est (ou si jamais) ! On est tr&acée, on est pour ainsi dire toute dessinée prête à traverser l'ultime muret en rotondité et nous reytrouver ... à vouloir ou devoir ( ... vouloir !) téter de l'autre côpté, le bon lait tiré, lait entier, d-'une FVache sacréee , qui sa it ? On trace ! on en avance. On veut comprendre ce qui est, de cette voie-là, qui nous "tend les bras" .... et nous de voir ces bras comme deux bras de ................................... mer

 des Rois/ Reines 

reines des Lois ? on voit là-bas les vagues post-paroi, Chance des Treanses ! on voit les Roi / Reine des Transes, Treanses et danses et falbvalas ! On bveut ou on voudrait toucher à ce qu'on voit là, qui , on dirait, se pavane ..................... c'est quoi ? .................................................................. on cherche ! on ne sait pas ! mirage de la foi ? une croix ?  croix céleste , ça peut ou pourrait être ! On cherche une Croix quand, peut)-être (qui sait ? ), il n'y en a pas ! On mate sévère ! On essaie de faire ................................... ça : Corps de Selle ! tresse ! une sorte de tresse !  iun e sorte de tracé de tresse, vers ELLE ............... vache à la&it ??? on ne sait . Et du coup on cherche , on recherchge un accès. On est passée en tant que fée "derrière", et , à présent, on se ditb que, peut-être, ce qui serait bien ce serait , d'y aller ensembleb à fond la caisse sans tarder , et du coup nous téléporter ou comme nous téléporter ... jusqau'aux dits "nénés de l'ombre", ", ombre haute = ombre portée, qui serait ... ombre donnée par ... eh bien on ne sait ! on cherche encore ! on n'a pas fini de chercher mais pasb grave en vérité car, on y croit, on est plus que motivcées, on croit grave au ..... passé né ou re-né après le pré, l'herbe folle et autres herbes haéutes. On croit grave à une sorte de Passé quyi reviendr&it comme nous titiller et nous m=ontrer des choses , choses drôles, comme  : une sorte de Corolle ! Fleur -hole ! fleutr des fgleurs à corolle-hole ! porte des données données ! amabilité ! retour aux nénés comme qui dirait et la chose sezrait toute entérinée , achevée, adotptée, mise surt pieds et lancée de chez lancé à jamais vers une Vie nouvellement teracée de trype "Destihnée Sacrée". On est Fée un temps paradisiaque (prairal ou pré-al) et puis voilà, on sort de là (enceinte / voie) et on voit quoi , on voit ça : La chose Haute = Trône ! Trône de bois ! Sein de cCrosse ! Lait -Voix ! à boire, pour, soi , changer de croix ? On antre ! on entre entre ! entre deux voies : une sorte de ..................................................... sente (csentier d'ambre) à prendre . On va là ensemble, on "marche", on en avance, on va en cette voie "de chambre" chercher "sente" = sentier d'ambre à soi. On ne veut pas s'arrêter là ! on veut grave comprendre, la Foi, en soi, à quoi elle se rapporte et qu('est-ce qui pourré&it, nous dire des choses , révéler, donner à nos gouyvernes de quoi tracer , cerner et allervers plus de V2rités sur .... ces Nénés , de l'outre-monde ! On veut creuser pour ainsi dire "dans"" la V2rité , et puis comment on veut !! On ne veiut pas "passer à côté" sans avoir un minimum creusé de chez creusé en cette sorte de ......................... mont aux Nénés ? Monts)-Traitsb ? mont des TRaits ? Monts-Néné ? Mo ntée ? On est née de fait ..... à ce Passé post-pré qui (en vrai) nous intéresse grave, car, on veut ........................................................... 

(roulements de tambour) .............................................

RESSUCSCITER EN CES CONTRÉES DITES "DU PASSÉ" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et en plus c'est vrai ! on ne veiut pasc"rester à) quai" jamais mais (vrai !) ressusciter de chez ressusciter le muret (mur du son- ) une fois passé , se retrouver comme (quiu sait) ?) peut-p^être "dépossésdeée " en qielque sorte d'une sorte de Personne Nôttre,; mais peu importe ! on monte ! on ose ! on monte haute ! mort d'homme, donne : Haute Forme d'Hole , genre Famme Accorte,,Traits de Forme Haute, Fée-Bébé de Roche, fabulosité grosse , Ombre-hombre-Nombre sur Passé vde Porte ! On mùonte ! on est haute ! on est grave haute ! on est femme d'hole, ombrte nôttre passé la porte. On veut de fait toucher toucher troucher toucher à cegtte chose d'une bsorte (il semblerait) de "Néné du Passé" , passé de rocxhe (?) , et aller ..... tracer = téter ! car, téter est de fait la chose 

 à  ne pas snober ! On se doit gravfe cde téter le lait (post-porte) et de s'en pourléchezr nos  babines mouillées ! téter = manger = prendre = comprtendre les données du laitb , en tant que membres situés d'une sorte de "langue-force " ! mots de porte = mots d'ombre = mets = lait !du bon lait des ombres,  ombres mortes (mortes ?) et autres zones a ncrées, où on ne sait en vrai car, on ne voit pas loin ... au-delà des ombres ! On voudrait ! on voudrait bien ! On grave aimeréit ou voudrait bien en vrai , voir loin loin loin, aiu plus lointain des zones p^rofondes, loin dans l'ombre , l"'éclairer, éclairer la zone, les confins, fins de roche (?)  des données Hautes, fin des fins de Trône ou Commenjt ? Haute Époque au firmament ? haute Roche d'Ombre ? Zonee Ronde ?   Forme de ............................... croptte ? ......................./..... corps ? ............................... cône , ....................................... cône-zone ? ...................... con d'hole ? ............................................... dôme , ............................................................................................... comme une ombre qui (ici : post-prairie) montrezait la Choseb à devoir  approcher en tant que ............... Baby-doll ? ou seulement de .... Bébé-né , la mort passée ? On veut toucher à ce Néné des Données Hautes, à cette sorte de Passé des "promenades endiablées" du genre ... tarentelle ? et auteed deanses surexcités ! ON ne veut pas aller pour aller mais grave aller de fait pour en vrai cfomprendre de chez comp^rtendre de quoi ifci il en retourne ou en retournerait de cette chose ou sorte de chose intense , dont le nom en france est : LE PASSÉ-DANSE ! sorte de danse dense ! danse ensemble ! sarabande en bande ! on avance ! on tourne -vire du ventre ! ça incise ! ça rentre ! ça envoie et charme ! on danse en transe et du coup .... on passe, grave, à travers la Paroi, la Paroi du Roi , des "REibnes FRanches" et autres "REines des Voix" . On est la fée dite "surnuméraire" aux dixd doigts et autrees ailes "de paroi" ! ça enfle ! ça envoiue du bois quand on passe .... car on passe là (passage de france ?) jusque là : sein des traces, lait amer, trait des traits sacrées, paire de nénés traits. On ne veut pas ou plus, en  vrai, passer à côté, d'un tel massif de traéits, mais tout au contrzaire, en profiter sans se monter le bourrichon ou se poser triop de vquestions, de celles qui, de fait, désespèreznt et vous fichent le bourdon pour la semaine ! non ! On veut aller fissa (hors cimetière) toucher le pompom ! on aime ! téter de chez téter, un peu de ce lait desvFonds . creuser = dire ce qui est en ce tréfond hors cimetière et dont le nom est ......... Terre-Mère ? re ? re-terre-mère mes aïeuxd / aïeules ? en mieux ? On cherche ! On veut (on voudrait) cerner au plus pr§ès, une sorte de "vérité des vérité" qui , de fait, pourrait rapidement à nous se révéler en ses quartiers et nous dire ce qui est d'une sorte "d'après" . "daprès cimetière", "d'après quartier d'herbes" ........  et nous enseigner "ce qu'il  faut faire" pour en vrai durer de chez durer en cette sorte de contrée posqt-herbe ............ comment Faire .............. comment tracer ............. comment dire les données qui nous seréient données et de pied ferme ou à main mlevée ou peu importe la manière, le tout ici est de pouvoir compter sur un tracé : ferme, ancré, comme enraciné ....... dans le Verbe ? Hé ! voilà qui , en vrai, grandement nous intéresesse ! qu'est-ce que c'est que ce dit "enracinement"des vies ou de la vie dans une sorte de "paradis" que serait ..... le VErbe ! on l'a dit ! on a diçt "le Verbe" ! est)$-ce qyue ça sufiit ? est-ce que dire ça suffit pour être ? on a dit "le VErbe" en ce dit "Paradis interne" à une sorte de prairie, prairie post-mortem ou disons d'après la vie ! vie de terre ! paradis des VIes interneszc à ici une sorte de vie comme inscrite entière en ce dit pays "des do nnées de Roche Haute". On monte ! On dit ici que de fait la vie, post-mortem, est Vie de traîne , traîne d'herbe, puis, au plus loin des lointains mordorés, à la fin du pré, une sorte de "contréeb du Verbe " ou comment oub qu'est^-ce ? On veut trouver ! trouver ou se retyrouver ! on ne veut rien lâcher. On veut trouver ensembkle les données de base qui, ici, nous dirait en vrai ce qu'il en est de nos "souffrances passées" et aussi de la France Narrée, france du français en tant que langue saturée, pratiquée, inculquée-gravée, enracinée en nos antres de fée tracée à mainn levée sur "paroi franche". On cherche ensemble ici et là une sorte dee ....... tas ? tas de vfeuilles ensemble ? tas de Voix ? voix de l'au-delà .... aux antresz ? ?On veut ça : le Ça ! la Charge ! une charge en soi afin de mieux comprendre = poussser, pousssr droit dans ça, l'ambre ! ombre des Rois / Reines des Voix ? On veut : 

comprendre ensemblke pas mal de choses

cerner ensembvle le polus possible 

toucgher ensembkle à une (sorte de) bête de CFRance (farce) ma foi

tracer eznsemble ici ou là ... eh bé ce qu'on pense qui serait en vréi et pourrait nous aider à nous y retrouver en cette marmelade de données données.

Chercher = dire ce qui est, de ce dit muret "des finalités", et toucxher = aller = fonder = crueser = sonder ledit Passé des Données Ancrées, de type .... le français (langue .... sarde ? sale ? sade ou maiussade ? ) et allez ! on chasse les noires (mauvaises ) pensées et de tracer ensemble le Tracé aux fées "paradisaiqque" (le tracé) jusqu"'aux dits "Nénés Intenses" = plein de lait frais à devoir téter ... dx'urgence ! On voudrait ! On ne veut pas (on l'a dit x et x fois) passer à côté, d'un lait aussi sucré-salé voire acidulé tel que rencontré .... APRÈS ........... APRÈS LA MORT DU PRÉ .......... APRÈS LE PRÉ QUI EST LE TERRITOIRE "ANCRÉ" DE LA MORT DONNÉE .......... APRÈS ICI CE PRÉ QUI EST L'APRÈS D'UNE SORTE DE VIE DONNÉE  , COMME SOULEVÉE , ET PUIS VIENT L'APRÈS , SOIT L'APRÈS -PRÉ QUI EST DE FAIT CE DIT "SEIN DONNÉ" D'UNE SORTE DE MÈ!RE ALLOUÉE À UNE SORTE DE ..... PASSÉ NÉ OU MÊME RE-NÉ À LA VIE ... TRACÉE EN SAINTETÉ OU DITS DE SAINTETÉ ! on est  ici ................. en vie ............................... vie vraie ............................................................. sur un  néné à lait à pouvoir téter et c'sst exactement (de fait) ce qu'on fait en tant qu'on renaît, qu'on redevient Bébé sachant téter de vchez téter le lait (Verbe français AQUI) du Néné Trouvé ! On re-vit ! On re-devient Vif / vive des traits , on revit comme qui dirait et c'est un fait qu'on doit ou qu'on se doit de bien considérer si on veut "tracer" = "cerner" . Car, tracer = cerner ! courir = comprendre et comme relever (des entrailles) les données franches ! On ne doit pas (du tout) lésiner sur ces données mais les toutes bien considérer dans ce qu'elles montrent (montrre raiaent) et présentent  de la Vérité . Sachez  toucher ! sachez vous approcher et aussi toucher de chrz toucher à ce Néné-né né post-pré et rempli de lait qui est du ........  erbe-Lait ! VErbe-Herbe-Lzit ! toute une chaîne de  données tracées faisantr la navettre, enttre d'un côré la bête, la bête du pré, broutant l'herbe, et de l'autree le néné , le Pis tracé ou dessiné, empli de bon laiot ferme (ou lait de ferme) à bien déguster ou même profiter. Il faut toucher , toucher de près, afin de téter, et téter c'est aimer ! On veut de fait aimer (= téter) ce lait de traite , et être comme toute re-née , revenue nue à une vie relue, re-tracée, re-compiosée et re-trouvée au -delà du pré  , du pré donné (Mort-mort au taquet) sur Néné  Rompu aux finéalités toutes lactées , genre Voie Du Cru, Vloie Lactée Vue , ÉToile et trait. On est re-née sur un Passé connu mais oublié ou sinon oublié effacé ....... ou sinon efgfacé aloué à une sorte de ............................. petite mort ............... = ombre ? On monte !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! hautesc = 

le plus haut qu'on puissse !.............?.?.???????????????????????????????????/........................ ivres ? ......................On ne veut pas passer pour ce qu'on est pas, on veut en av ancer ensemble en cette toundra qui nous "tend ses bras" et nous (il semblerait) rassemble ensemble afin de voilà, faire de nous, sorte de COnvoi de .............. gnous ???? gnous de l'au-delà ? tu vois ça ! ça enttre par là ! ça n'arrête pas ! convoi dit "de sages " et autres s""savantes d'antre" ! On est  entre ! on s'interdessine ! on ne veut pas manqauer la prise ! On veut "FIGURER" sur l'affiche et du coup COMPTER DE CHEZ COMPTER en tant que fée aimée , fée adoptée, puis ........ bébé ............ au-delà du muret soit du cimetière ... "aux fées et aux herbes" . Tracer = aimer. Dire = toucher . Conduire = poussser ; Charger = donner. Porter = consacrer , à une sorte de donnée, un Rire en vrai, charges comprirses = le Passéb ! car, le Passé est ....... Rire Frais , Rire Entier ... comme du lait non-écrémé ! ça le fait en v  rai ! ça enfle ! l'Antre, l'Antre aux données, se voit (comme qui dirait) visiter par (ici même : pré-) une "fée de france" = fran che camarade en transe ! fée de france = parlant force mots de frannce en transe , ou , sinon en transe : de base ! mais la base est transe (en vrai) ou sinon transe : danse ! danse-transe au taquet et le tour est hjoué, on entrte ! on entre en cet antre aux donnée"s larvées, pré, pré des prés, paradis sondé, paradis du dit, par adis -centtre et nous voilà en tant que fée ailée (= transformée en fée) qui marchons ensemble et de connivence (aile et aile) vers ....... sorte de Passé de Rage  ..... Passé -trait , ou même : trait du Passé, trait des traits d'un passé en ffrance (en langue de france plus qu'en france)! . uN passé est né (re-né) qui était "en souffrance" en ce Néné ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait dense ! lait rance ? lait des laits de france franche , sioit : du français lacté ou quelque chose de cet ordre (aux laits) . On est lA fée en somme des dOnnées Intenses, du Passé caché,, des souffrances larvées et autresc maux de trait à jamais enkystés ! qui on est ? trait ? treait de fée ou trace ? charge ? charge-trait qui serait trace, trace de fée ? rtrait sur pieds et on dirait que ça serait ........ intense, comme donnée ! On ne sait ! on creuse ! on n'en a pas fini de creuser ! On n'arrête pas de cfreuser, creuse que tu creuseras, on envoie ! on envoie de ça : la transe = la danse = parade = paradis du dit ! charge mentale ! mise en plis et autres parades, aux bêtes )-foirail (ou plutôt "de foirail") . On est comme nue venue la mort mordue. On est  vue nue dans la mort crue ! on monte ! hop ! on ne cesse ensrmble (ailes , ailes, ailes, ailes) de monter-comprendre = grimper, fgrimper de chez grimper pareille montée aux divinités . Qui on est ? fée, puids Bébé, puis ........................................................ qui sait ?????? ;......................... qui sait dire en vrai les différentes directions données à une vie ressuscitée ou come ressuscité par l'effet du ......... rire alloué ? à une sorte de ...... néné post-pré ? On veut de fait ensemble "toi et moi" creuser et du coup toucher ......... à du dire de fée , à des dires ici de fée Nacrée, à des dires enthousiasmés de fée ancrée à une sorte de TRacé de Pré, sentier, voie menant direct aux données lactées, célestes , vraies, d'une sorte (pour nous) de Vie REjouée ! 

On touche le néné= on boit du lait ! ça le fait de fait ! ça envoie du bois : vois ! bois ! ne t'arrête pas ! bois de ça qui est du lait dit "des voix de l'au-delà ddes voixb " ......................................... Qui on est ? on veut en  vrai essayer ensemble de le deviner ici ou là en ces "contrées sages". On est toutes en vrai comme "remont"ées" , du fait que voilà, on s'est sentie un peu "ignorée" en tant que fée, mais c'st parce que en vrai quand on est passée ....... on n'était déjçà plus ... Fée, méais redevenue (pour ainsi dire) un Bébé nu ! bvébé tout nu renaissant à cru , Du Passé Connu (§reconnu ?). On est Fée un temps patent, mais passé ce temps, on devient "Bébé des Champs" = des données profondes hautes (hautes = profondes). On devioent ... Autree. Bébé d'Ombre (des ombres) renaissant ! On est l('ombre de l'ombre d'une sorte de ...................... porte aux ... Mortes ?? Ombre des ombres hautes ? Ombres Hautes des Données profondes : bébé -né de poche  haute ................... en son ombre ? On monte ! On veut c'est vrai aller ensembkle à la recherche d'une sorte de ............... co:pte ..................... compte docte ...................................................................... ................. et auttres comptes courants ............../../..//////./.................................../................................... afin de pour le coup cerner-toucher à ces bijous données , données données, du dire caché ! chou caillou hiboux : on dirait du lzait ! en est-ce de fait ? on chercghe ! on ne cesse de chercher en vrai , ce qui ici est qui pourrait sans exagérer nous aider à situer de près, ce qui est qui nous rassemble et nouscresseemblke : traits ! traits des traits ! génétiquement anccré il semblerait mais est-ce vrai ? ou : est-ce en vrai ce qui est qui compterait, au t aquet  le plus, sans rigoler ? On ne sait car,

 on est pas non plus toujopurs topujours armées pour comprendre ou cerner un Tout qui seréit le TRout des "Données-Force", car , voilà la chose : on ...... tète l'ombre ! on ne cesse ça : de (vaile que vaille) téter là, le lait -voix , la voie -là des données de RAge, TRanse ! transe rance ? non pas ! on entre ! on entre en transe ça se voit : on bande ? on bande sa voix ! on parade ! on cracche ! pisse-roide ! on ttrace ! On fait caca , va ! on envoie ! on est pas là pour faire sa méchante hautaine et fière soeur de Rage, mais quoi ? dire de soi, les sentiments sages, les données de base qui, pour le coup, seraient "du doux" ............ aller de chez aller comme un bébé téter , car, en vrai : ON EST

 CE BÉBÉ DU TRAIT ! ON EST 

devenue (de fait) un bébé, quand la mort est tombée, quand, là-bas, derrière nous, la mort a chu ! a sombré en ses quartiers au pré ! on est en vraie (fée) devenue bébé (vrai) nu ! ce bébé non-genré aux données lactées . On est née au néné , né/née aux nénés du cru .................. à donc pôuvoir de fait téter de chez téter le lait (le bon lait) de la bête-trait ou bête de trait , vache à lait sacré, nacrée, ancrée en ce passé des données celestes  (celtes ?) . On cherche en vrai à comme qui dirait ne pas oublier ce qui est mais comment faire quand de fée on se voit transformée (de force ou de gré) en cette sorte de bébé de trait, bébé -herbe, bébé né le mur du son passé , à une vie nouvelle , xde trype ........ Verbe ! verbe tracé ! verbe relevé, retracé, remmonté, recomposé en une sorte de Chair Ancrée ... en un Passé de Vie Entière entièrement renouvelée ...... qui sait ? on est née bébé aux traitsq, qui sont traits de ressemblance avec (ici) une sorte de ............................... transe ? danse en transe ? chance ? On entre ! On veut passer passrr passr ensemble (contredanse) le muret , et tracer tracer tracer, sans se retourner jamais, vers ici un N2né qui seraéit le n2né ... des "Données Intenses" du PAssé reformé ou sinon reformé re-assemblé ou sinon re-assemblé re-porté comme à ébullitio,n ou non, à ............................................................................................................. point nommé  = Trait des TRaiots ? ................................................/............. On veut = on voudrait .................../........................................................... toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher au plus près du plus près les nénés donnés à devoir (pouvoir) téter sans traéîner : hop ! on s'y met et pas plius tard que tout de suite en vrai une fois née (re-née) et le tour est joué ! on ne veut p)as passer , à côté du lait , et s'en priver ! nâ ! on veut quoi ? on veut :

sonder là la voie,

dire ce qu'on vcoit de pareil convoi de bêtes de poids,

chercher là, et là-bas de fait, .......... un tracé tracé menant ainsi au chant ............ et, pas qu'au chant, aussi aux ... champs, champs de blé et autres céréales ancestrales (données données) .ON veut toucher parce qu'on veut creusqer, creussezr = toucher, toucher = creuser, et bnous, du coup, on ne veut plus du tout s'arrêter de creuser ,  en ce terreier dit "des données héautainesz" et autres donnhées post-mortalité. On veut :

creuser dur

charger de chez charger

compioser en quelque sorte avec le passé

dire les données, donner les dires

porter = soulever = rassembler, ici et là, devajnt soi, les données de roche , porte à porte. On est née Bébé la mort dépassée, on devient Forte, Forte Morte ? On devient .........../..............eh bé, ledit  bvébé de la Roche Passée ! re-né ! on renaît

 au temp)s Passé, ou comment ? car, voilà la voie (voie lactée tracée) qiu'on voit : Parabole ! Hole ! trou de voix ! la voix szerait la voie serait la chyose qui (ma foi ?) nous ferait ..............d xrôle, en tant que vcoilà, nous serions Chose = toute chose, de nousc sentir là, comme revenue nue à du convenu, ou du déjà vu , ou comment SVP on pourrait cernerrt , cerner-distinguer, trzacer, noter en vrai, cette chose comme retrouvée ou sinon retrouvée reformée ? On est re-née de fait après ..................... après ce trait dit "trait de fée" ? On veut toucher toucher touycher à une v2rité qui pour le coup serait physiqauement concrètement rejouée ou reformulée à un temps du passé mais qui serait ........ devant, avalisé, colmme une sorte de donnée "venante" ! re-naissante ! On est Née  ! yeeeeeeeeeeeeehhh ! re-la vie des formes et autres traéiots tracés "devant la porte" ! hautes forces ! corps et ports ! sons de cloche au plus haiut degré ! On veut en vrai essayer (nous-mêmes par nous-mêmes) d'y aller (pas à moitièé) vers ledit "théoprème" des données tracées comme à main levéevp)ar une femme (on le dirait) néanbdxertalienne ou disons ancienne, anciennement ancréeb en cette sorte de

 "Poème aux Avancées" . On est Fée des F2es, puis Bébé né, puis ....................... re-le trait .................. très accfentué ................................. sur pierre ! hé ! trait = traite = filet = lait ! le trét est du lait .......... qu'on aime téter = boire à la coulée, au donné tracé et autre type de giclée en herbe ! lait de traite = verbe ! verbe ancré = inculqué = enraciné = donné de chez donné comme de l'herbe du sentier ! On veut touycher toycher touycher toucher toucher toucher toucher troucher à cesc données en herbe verte sur-représentées mais c'est (de fait) ce qu'il nous fallait pour durer, aller de chez aller au plus lointin piossible des données tracées, célébrités, célébrités, célebrités, célé-brités, célébrités, de bonne renommée, dic-vinités, célébgriotés de bonne renommée = remises ! sur pieds portées ! re-composées ! hautement remontée en termes d'ire et autrszccolères divines mais mèfle ! on le voulait : on voulait durer ! on voulait téter et du coup durer, endurer ok méis durer ! Car , vie entière = vie chargée de Verbe ... a(alambiqué ? qu'est-ce que ça peut faire ! ce qui compte ici c'est de durer le plus possible, et du coup ... de teter la frise ! cerise ! traits avcidulés ! lait de frise en friche et autres laits pour ainsi dire saturés de données la ctées , de type ............................................................../................................................ amabilités ? ../................................./ vivacités ? ........................................... saintetés ? ................/...................... visiblités ? ................../............. ou, au contraire , invisibilités ? ..........................On cherche ! on n'arrête pas dfe chercher dans l'herbe  , dans le pré, partout où on est, les données premières, ce qui a ou aura ou aurait de fait "cvonditionné" le Théorème; On cherche en vrai : on tète ! On ne cesse de boire de ce lait de traite , lait acidulé d'un corps donné qui se serait ainszi offert à notre volonté dee pouvoir durer de chez durer sur terre, en tant qu'être alloué à une sorte de "divinité" dont le nom est ..... VERBE ! VERBE DE TRAIT (DE TRAITE) ET LE TOUR EST JOUÉ SANS TRAÎNER ! ONn veut toucher =  cerner = dire = conduire, ici ou là, le  verbe ..... e,n ce sas des Voix ! voix de l'au-delà à soi .... outre-mère ! port aux Princes et Princesses-Hourra ! On voit ça : -phrases denses, danse en transe, parades de rage et autres rage-sparadrap ....... DAnse de Voix ! charges mentales , ça envoie sale .... ou pas mais qu'est-ce que ça envoie ! On passe ! on trace ! on veut comprendre (dans la foi) le fait que voilà : la mort (verbale) est incommensurable ! ne se peut pas, est inenvisageable : pas la place, car , voilà , la Mort est ........... phrase, que ça ! une phrase de passe, de passage, trace -tré&its de fée de rage ! une sorte de Passé qui , de fait, régulièrement, refait surface et vient combler ...... l'espace ! l'espace dense des données phrasées (verbales) allouées ainsi à ........... eh bien .....  la CXhance = Danse (Endiablée) des donnéesd franches. On est la fée devenue un bébé la mort enterrée. car, oui , la mort, lma mort n'est pas donnée pour vraéiment (vraiment) longtemps durer , elle a son temps comme accordé , etnous, dès lors, de nous "re-dresszr" en tant que re-nouveéau-né re-né à une vie tracée, de toute éternité, da,ns le VErbe donnéinculqué jamais oublié : une manne de base, sein porté, chance (voilà la chance) du néné ! lait ! lait des laits traqués ou tracés ou donné ici de préférence à tel bébé alloué à une sorte de ....... Passé ........ en particulier. On veut :

dire et donner, pousssrr le trait, coller au ventre, portezr des données qui bnous sezraient données (au passage) de face, par .............. hé, une Divinité ! de type .......................................................................................... lait ! Le lait, du coup, serait une Divinité ..................... divinité lacté intense ........................ quelle chance ! on croit rêver ! on est , paspossible, charm"ée ! ou comment dire ! aimée ! aimée des fées ? ...............................././..... quelle chance en vrai ! on est soulevée ! on est soutenue nue comme à la criée et même cornue ou sinon cornue, boisée ???? on ne sait ! bête  velue ? bête à cru ? On est bête de trait (de fait ?) pour être ainsi aussi aidée, voire soutenue, par (qzui sait ?) une Divinité  du cru ? genre : Renommée Tracée ? Énormité, d'une sorte dee Renommée, qui, en vrai, nous collerait , alors même que nous, on se voulait ... quoi ? plutôt cachée, calfeutrée ............. ancrée en nos qu artiers et pas fgorcément aussi  montrée ou présentée  ! On veut toucher ok mais .......................................... à moitié cachée ..................................... immiscée ................................................... collée au néné ............................................ nez sur néné .............. à téter sezrrée ! ............................. sans jamais lâcher ! jamais ! non vu de près en fait ! car : nez à nez avec le néné-né la mort passée ! On est Bébé né, pouvant de fait téter vrai le lait ancré ! trait de fée sur Le passé re-né ! on est ! on est ! on renaît = on est ! on est née Bébé au Passé comme qui diraéit ! On nhe veut pas lâcher  le trait doré ! mais, creuser sanqs jamais ws'arrêyer  le tra&it dfes traits : une virée , une sorte de tracé donné, de type ........................................ sillon, , ................. tout au fond ! ;;............ trait d'union ! ..................................................................... on fonce ............................ on mùonte ....................../............. on veut = on voudrait //..................... aller de chez aller ensemble (fée) vers un e sorte de "dimanche enluminé" .............; flamme dorée .............. feu des treacés dorés .................. or des fées lactées .................../... bonté ! BOontées données et &utres amabilités, toutes deéployées ............................................................................ ceuser creuser creuser creuserv creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser s-creuser creuser cfreuser en ce Passé des données "de porte" ... hautes, hautes données et haute porte ! le Passé est né qui nous importe ! Haute Porte dite "du Passé de Roche". On monte = on ose = on dit := on charge = on est meurtrie ou pas , l'important c'est d'y croire et de toujours toujours touhjours aklller , de préférence, en ce quartier des fées, à la recherche d'une Entrée, Entrée de base pouvant mener, de fait , à ce Passé ... dit "de france", car, en ce qui nous concerne, on est née s (de rage) en france = en ce passé de langue sarde, langue de fée comme allouée à une sorte de passé de france, langue collée, soudée, accrochée à une sorte de ................... portée, portée des portées ................................. endiavbvlée ................. qui ressemùble, à s'y tromper, à une sorte de ............./...... parade,  parade animale ! a nimalité ... des données de Rage ....... mots tracés = bêtes de trait ................................. devenues franches = langagières = fraisches ............................ et ancrées de faéit en cette langue du français .......... dxes dernières flèches. On est née sur pied ............. dans la langue-flèche, ainsi tracée. On  est re-née sans cesse ! un tracé de terre ! une (sorte de) traversée des espaces vrais = termes ! une virée céleste ! THE virée terrezstre ........ et céleste si tant est ! On aime ! On veut durer de chrz durer et aller de chez aller, aéprès le cimetière, en ces contrées du Verbe faisant navette ou la navette, entre la mort dite "du cimetière" (paradis "céleste" agraire) et ce Passé aux Données Allouées à une Re-naiisance Fière ! le  Passé reciomposé ! alouette alouette ! un passé de traite (lait) sur-représenté ! car : posé ! déposé ! reposé ! re-reposé ! on est re-né  et re-née ! sur Passé de T^ete , genre "remontée" = "colère" ! grave énervée et nous voilà qui revenons (mamá montón !) en ces données do nnées d'une terre allouée à une vie entière surdimensionnée , hé ! parce qu'en vrai, voilà, on va ! on trace ! on avance ! on ne reste pas en place ! on est fille-fée aux traits marqués, on ressembkle à sa moitié ! aile de fée ............. cherchant aile de fée .............. désesopéreémznt .........../.................... sur le chantier. On veut creuser (jusqu'au firmament) un sentier à pouvoir emprunter, et (du coup)  charger , de données données par une Sommité dont le Nom de fait , est :

TRAIT 

TRAIT

TRAIT DES TRAITS 

UNE SORTE DE TRAIT 

TRAIT NÉ SUR PRÉ UNE FOIS PASSÉE 

UNE FOIS QUE SOI ON SERA PASSÉE OU SERAIT PASSÉE, 

PASSÉ OU PASSÉE CAR , EN VRAI (AU PASSAGE) CHANGÉE

HOMME DEVIENT FEMMES

FEMMES : FÉE 

FEMMES -FÉE DES DONNÉES DE BASE ............................ON AVANCE ! On trace, creuse, vire, vole, on monte ! On veut en vrai voler de chez voler jusqau'au ditb "néné des données de Rovche" ........... Rocxhe Haiute ............ poertte ................. porte d'entrée d'époque ou d'une époque haute ............. TOUCHER = TOUCHER, 

creuser / creiuser, 

dire/ dire, et du coup : aller = aller ............ vers pareille contréecvdite "du passé"

;;;;;; Audelà du pré, au-delà du saint-pré tel que parcouru e,n tant que ... fée ailée nue ............... jusqu'au dernier muret ici rencontré ! On est née ! née bébé sur pied ......... la mort archivée ! On renaît ! nu e ! nue des nues ! on renaît (post-pré) aux nues allouées à une vie revue et comme corrigée : le passé ! hé ! nue de chez nue et vue ! On est :

le bébé .................................................................... des données revuesxc .................................................../....................................................................................

On essaie ensemble de nous y retrouver ici en ce chanteier mais c'est vrai que cette chose n'st pas aisée, demande beaucoup , beaucoup

de concentration, de sérieux, de /

de concentration, d'investidssements, d'investissements partagés, de /

demande beaucoup 

beaucoup d'engagements 

Dzemande de, pour le coup, nous donner ensemble (toi et moi) à deux cent pour cent, . On veut, ensembkle, aller loin, en ces dites "contrées révéleées" et aussi toucher à une sorte si possible de vérité vraeie qui pourrait nous aider à nous y rterouver sur cescquestions dites "de mort"talité" , de "mortancréée" , de "mort allouée" à un Passé représenté, cf'est)-à-dire rejoué . On veut toucher à quelque chose, qui sezrait vrai, qui ne seréit pas du chiqué mais au contraire , à une vérioté tout ce qu'il y a ou qu'il y aurait de plus avérée, de pluqs fiable, de plus envisageable en tant que vérité des vérités pouvant donner (offrir) de quoi comprendre, cerner, mieux cerner ce qu'il en est, pour ainsi dire, de la vie -souffreance, vie tracée, vie à devoir subir (de gré ou de for ce) en son propre sabir. ON est née fée on dira "de tré&it" , car voilà : le temps passe, qui bnous voit tracer de chez tracer (en surface) une sorte de trait de type "pariétal -frontal" sur paroi franche . On veut :

toucher toucxhret toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher touxccher toucher toucher toucher toucher toucher troucher touchrt toucher toucher ctoucher toucher toucher toucher toucher touchef toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui, en vrai, nous ressemble ou nous reseemblzerait bquestion traits, trais ancrés, de la face et des doigts de pied , teréits falmiliers, ressemblances ancrées, connivences, familaerités de france et autrs ancrages sur-saturés ou sur-représentés du fait que voilà, on se ressemble, on a des traits communs de type ... ressemblances, marquées, incarnés, on se ressemble en vrai : on est "semblables" = moitiées de moitiées de moitiées de moitiés de x et x moitiées ici ou là nées (rencontrées) qyui nous "font face" ! On est fée franche, fée ornée, fée de rage, fée sainte-face des donnéestracées, puis .......;;;.......................................... hors du pré paradisiaque ............./............................. hors du puits ..................................................................................................... (dans "l'oubli " d'une nouvelle vie comme renaissante) ....................................................... B ............. B ........................................................................BB ........................................................ BB DE RAGE /...................................................... tétant ................................................; le sein don,é par le Passé-souffrance, 

incarné, fait, alloué, à une sorte de ........../............................... langue ................. langue intense = incorporée ................................... comme par la ba,nde . On veut toucher = porter = dire = sonder = conduire = pousssrrt = aller = faire = passer = chercher = rechercher = centrer , ici et là, le VErbe .................. sur Paroi-Toundra ! voilà ! on trace ! on avance ! on veut ça : la transe-parade, la voix, la Roche Intense, Voix des Voix et nous voilà, quyi traçons sur place, de connivence, une voie, voie des Voies sur Tremble ! car, on trace-touche, touche-trace, à pareille Paroi des Données Franchesc: Bêtes-Rois .......... bêtes-Reines ........ de pAroi -Foie ! traces de france = franches = de langue franche = danse ! On veut : 

tracer de chez tracer

dire vde chez dire 

aller de chez alller

poussser de chrz pousssr

se donner de chezv se donner

comprendre de chez comp)rendre les données intenses d'une sorte de passé de france = le passé moiré, comme dessiné, à la volée, par ... eh bien ,; qui sait ? une sorte vde ...... fée franche, de type F2e des Prés toute Acidulée , qui se seréit comme proposée, pour,, de fait, nous aider à nous y retrouver en ces dites contrées aux bêtes de trait. On veut :

toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher ... mes aïeux , mes aïeules en vrai, à ce qui est qui nous resse'mble ou njous reseemblerait comme deux gouttes d'eau : 

TRAITS , TEAIOTS DES TRAITS, TREAITS MARQUÉS, TRÉITS FAMILIERS , TEA&ITS COMME ANCRÉES OU GÉNÉTIQUEMENT ANCRÉS EN TANT QUE DONNÉES DONNÉES PAR UNE SOMMITÉ DES DONNÉES ANCRÉES . On veut toucher à ce néné au lait et deès lors téter sans discontinuer , sans s'en lassser, ou sinon peut-être (oui) une fois rassasiée, car ........ le lait, dieu que c'est .............. bon de chez bon ! une tuerie on dit ! on adoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooopooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooollooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooloooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooopooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooopppooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooopooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooore le lait ! on adoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooofre le lait ! on  adooore ! on aime trop ! on aime vachement le lait de trait ! on pourerait en téter szans s'arrêter pendanrt des années comme qui dirait ! On aime grandement = vacheme t = énormément, le lait de trait, lait frais, lait tout chaudsorti illico du néné en vrai ! On aime téter, on pourraitb téter sans vraiment s'arrêter pendant des années. On aiùme en vrai le lait donné, le lait qui suinte ou suinterait, le l ait giclé, une giclée de lait dans le gosier, téter téter téter, on adoore téter. On aime grandement = vachement téter , sans traîner, sans se faitiguer, téter de chez téter loe bon lait de mère, mère nourricière, vache sacrée, vfacche allouée à un post-cimetière d-ont, en vrai, le nom serait : le Passé , le PAssé de mère ? passé frais ? passé du passé ? ou "au passé" ? passé de trait ? passé-trait des données de ferme ? une fer(me (qui sait ?) "du passé" dont serait issue  la vache ...... sacrée (?) ... qu'on aurait bue ? dont on aurait peut-être bu le la&it , lait né ? On chercghe .......... ensemble ....................................... accolée en tant qu'ailes accolées , soudées, à une sorte de ...... oui, peut-êttre, trait ! tra&i des traits , qui nous tiendrait "ferme", nous rattacherait ou lierait l'une l'a&utre (à tout jamais) en tant que fée ............... On aime le lait . On aime grave les choses lactées, comme le fromage, petit lait, crème et fleur de lait, beurre salé, crème écrémèée et autrss léits frais ainsi tétés. On aime le lait, les choses lactées , comme  ........... la voie, dite lactée, les étoiles de lait et autres traits étoilés lactées ainsi avisés ou visualisés . On est :

tête , trait , tête 

allouée à des traits.

On veut toucher de chez t §(oucher à une sorte de donnée dont le nom est "TRAITS", car, en vrai, on veut ............................................ on voudrait ........................ peut -être ........................... rtessembler un peu .......................... à) l'être de feu ....................... feu l'être amoureux ; ................................................... naître /paraître ................................ à quelque chose près .................   à quelque chose commre ... une herbe ................................................................................................................................... deux herbes ................................ deux brins d'herbe ........................................................................................ à peu de choses près les mêmes ! .................................................................................. naître même ................................................................. toucher toucher topuycher topuycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher rtoucher à ce qui est qui , de fait, 

nous intéresse, nous captive, nous fait r,êver et halluciner, en tant que ............ fée du pré , Fée des termes , fée des der nières volontés sur pré et autres prairies vertes, fée ancrée en un jardin d'éden et autres potagers ................................. on veut creuser, creuser, creuser le Verbe comme qui diraiot (= l'herbe ?) un tracé ? une sorte de "sentier de VErbe" pouvant traverser sans traîner les allées (ou : difrérentes allées) des Termes, sqoit des données données d'une sorte d'éden consacré. On voudraoit = on veut :

toucher à c e qui est qui reprsénterait le VErbe = des traits ! traits acidulés ! bêtesde trait comme s'il en pleuvait sur paroi sacrée ! paroi roide ! rude paroi dure ! On est née Fée de bure, on pousse l'aventure, on trace et retrace, on va loin de base, ensemble ailé, jusqu'aux extrémités des extrémités ainsi touchées (trouvées) aux confins du pré. On veut passer vers .............. du Passé de Rage ................ téter rageusement le lait d'en face ! trouver = prendre = téter ! trouver le néné = (si on le fait bien) téter ! Car, téter est tout un  truc ! On se doit de bien apposer ..... sa bouche turquoise ! et oup, gloup, avaler, le bon lait de l'ambre (ombre ? ) versée ! trait = d'un tra&it ! bon lait = bon trait ! On veut s'alimenter du bon lait de Roche , bonne sorte. On veut :

toucher toucher toucher = téter téter téter ; toucher = téter ; téter = touchezr . On a envie en vréi de bien téter le bon lait de l'hydre , ici l'hydre, l'hydre sacrée = l'hydre ivre ! une hydre = un trait comme dup^liqué ! ivre ! hydre ivre ! On veut (de fait) téter l'hydre, sans trembler, sans jamais s'arrêter, en faisant ainsi qu'on fût rassasiée de chez rassasiée le mome,nt venu = en matinée, nue, accolées (ailes collées) pour former de fait ...........; cette fée de trait ............... changée en bébé .......... bébé nue ............. connue = nommée ............................... à jamais ....................... comme étant le bébé des dsonnées données en termes de .............. ^passé ! le passé ! passé né sur traits des traiots , genre tra&it de lait .............. une pissée ou sorte de pissée .................... allouée au néné tout empli de lait à  , oup,

avaler si tant est ..................... Le passé est né , qui nous "reconnaît" en tant que .... Bébé ! Et donc ................. nous voici (dès lors) comme adoubée, revue et corrigée. ON veut (on voudrait) toucher toucher toucher toucher toucher touctoucxher toucher toucher touycher toucxher toucher toucher rtoucher toycher trouycher toucher toucher toucher toucher touycher touycher à ce dit Néné-né le Passé re- donné ou re-alloué ou re-convqoqué ou re-tracé le pré quiité (paradis aux fées ) . On renaît, et ce faisant : on est ............ des rev-enantes d'antre. Portées cernées, allouées postées, chargées secondées, ceinturées aimées ou comme aimées des fées il semblerait  : vrai.

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11/3/2025

On veut ensemble aller au plus lointain possible, à la recherche de données qui , toutes, pourraient, en vrai, nous donner de fait de quoi comprendre un certin nombre de Choses de base. Traits et retraits. On cherche à s'immiscer, et poutr s'immiscer il est pour ainsi dire nécessaire de tracer des traits (sur place) à main levée. Creuser = dooner = dire = sentir, ici même, ce qui est qui se présenrte. On est née fée, passée la rambarde, et nous voilà toutes acidulées qui cgherchons place, ici ou là, le mur du son passé il semblerait, à la recherche d'un Tracé, qui serait ... THE tr&-ACÉ SVP; O n veut toucher toucher toucher à une xorte de Néné de Roche = le Passé, et, pourça, en avancer ensemble, creuser par pelletée, chercher de chez chercher : 

une base, un tracé "serré", une sorte de "mansarde" où de fait pouvoir se réfugier et y rester afin de pour le coup comprendre (à genoux ?-) les données cruciales. Ce qui est qui est et qui (peut-être) nous regaddrerderait , nous epierait, nous materait grave = de la tête aux pieds, ... y compris les ailes, bec de trait et autres attelles. On veut toucher à ce Néné post-cimetière et cerner au plus près : 

la Tête, Le Tracé, les fines lignes et autres signes d'un Néné de  Vigne, Vigne à Lait ! On est la fée rasante , traçante, allouée à une demande. On est née sur Roche accolée, et on monte (on est montée) de roche en roche par paliers jusqu'au "bout du monde" : Néné ! ah, ça le fait (de base) c'est un fait ! dingue de chez dingue, vitesse grand V ! ouh, on est montées de chez montées et nous voilà comme toute reconstituée .....  Bébé ! un bébé saleé -sucré qui du coup aime grave le lait à s'en barbouiller la figure, d'aventure. On aime le lait (grave) on est nées bébé , le "mur du son" passé, mort dure au taquet laissée de côté.... on trace vers Néné ; on veut grave téter et ne ljamais, en vérité,

 jamais plus regarder ..... côté pré, côté herbe des traits, pré des données de l'herbe et autres flore détaillée. On est née Fée sur pré ok mais à présent on n'est plus des fées, on est le Bébé dit Alloué à une sorte de ... mansuétude, drôle d'aventure. Bébétrait. Sorte de Bébé devenu vrai qui veut téter du lait. On est ... Fée de Bure, puis Bébé -trait. On est passée ! ................................... on a trzaversé le muret (mur du son) sans traîner. On voulait de faiot gravement cerner les données données du Monbde TRacé, eh bé voilà, on dira qu'on a, comme en vrai commencé 

à ici clarifier un certain nombre de données de base . Ce que c'est que cette plage, les nénés du pont, traits d'emphase et autres mamelons "montón". On est passées sages = savantes ! ohé du bonnet, on entre ! On sait ! on a cerné le Tremble et à présent on veut toucher de chez toucher à ce qui se présente en fait de Néné-Trait ou Néné à Lait, Néné né squr pied comme il sembvlerait ..... À nous de piger et toucher, dire et aller et, du coup, en avancer grave, filer de chez filer vers pareille mansarde aux dobnnées ancrées, de type "Rage", "Rage de Fée" et autres "Rages sentimentales" . On veut creuser ensemble ce qui est qui se présente à notre juger .... car, voilà, on est née Fée à la traversée mla mort donnée, on veut Cerner = dire = faire = toucher = être sur pied cette sorte de .... bébé né , la mort éloignée, vers un Néné de TRait à pouvoir téter sans se gêner , s'en mettree sans compter jusqu'au trait des traits, qui serait ... Bec ! bec des Ombres ! une sorte ! Bec des becs sur ciel de Trait ! On est Bébé à bec !bébé-bec aux données traquées ! cher bébé. On veut toucher à ce qui est que nous voyons aller : Néné , et téter ! le bon lait de Roche, bonne pioche. 

On veut dire ici le dire, aux données vi ves, traits-surprise. Qui est qui . Que penser. quoi chercher ou rechercher en cette frise "olé olé" (qui sait ?) qui nous "regaddrderait et nous (comme) dévisagerait parce que voilà, on est passée et, à présent, on ressemble ou ressembklerait volontiers, à une sorte de.....bébé à bec ! diongue ! dingue et sacré ou sacrément dingo , au poteau ! On veut :

dire de c hez dire

cerner de chez cerner

coller de chez coller

infduire de chez induire

situer de chez situer

aller de chez aller 

toucher à ce qui est qui se présenterait le mur du son passé à nos propres données en fait de traits. Car oui, nous sommes qui avons-voulons, cherchons-recherchons, traçons-montons, cueillons-creusons ......... des choses doctes ........ hautes ...... genre : Raisons. Et du coup ........ eh bé oui, on est comme folles ou fous, selon. Bec et trou. on veut toucher à ce dit "mamelon" des Roues ............................................................................................................ lements  du Temps ! et tracer lentement puis moins lkentement, le trait du firmament ! haiute époque ! temps devant ! chants et champs ! Une sorte de "Parole d'Avant" qui serait dès lors Haute   = devant, la Parole du TEmps, Temps des Chants , Temps tant ! car, oh, peut-être, en effet, le TEmps, le temps traqué, est Temps des Cghants ... de Haute Futaîe ... qui saiot ? Branche haute , bec de trait, parole docte, trait des traits qui sait si en vrai la Parole Haute ne sezrait en vérité pas ce ..... tracé, de fée passée, de fée née, de fée Ronde, passée la porte ? on veut :

dire et sonder,, tpucher et creuser, filer et pousssr, charger et situer (de roche en roche) les données de roche . eT alller, continuer sans désemparer ni trainailler notre chemin de Ronde. Un passé est re-né qui nous attirait ou attendait. Ce passé est un passé post-roche, post-pré , qui nous "reconnaît" en tant que noius sommes "des fées" toutes transformées de la tête aux pieds, en ... bébé docte ! une sorte de bébé post-roche, bébé-fée (on dirait) ou sinon fée, a&ilé ? bébé-ailé ? on ne sait ! ange à moitié ? on cherche ! on s'en enquiert ! on veut tracer du vrai. Creuser = dire = cghanter = finir ! Qui on est sinon Bébé ..... ?. un trait ? trait vif comme tracé (ici ou là) à ma&in levé, par une sorte d'animal traqué ? on veut : dire et dire, sans cesssr, notree dire bébé ! bébé né (à tire d'aile) sur ciel de traîne .... étoilé. On veut creuser = centrer, un dire de trait = une vie  ! la mort dépassée. Creuser Vie sur Passé de trait. Cgharges comprises. On a envie (ensemble) de toucher, la base des données acides , et du coup aussi d'en avancer comme acccolées, vers une frise qui serait la frise aux données actives. on est née fée de base sur pré, puis, le mur du son (muret) passé, on a éteé (comme) troute transformée en béb"éé -Frise, bébé-trait, bébé -friche, bébé triat des traits, qui cherche que tu cghezrcheras (de rage ?) à grave téter, boire son lait = manger (comme qui dirait) sans trainer, sans plus lambiner. Téter. Dire. Pousser. Creuser. chercher Néné du dire en Ciel de Trait. Chercher ............... dires comme tous alloués à une sorte de ....... passé, de Terre promise, surprise ! Qui est qui, en ces données vives ? que penser du Rire ? que Chercher ou recherc her ? que dire des doonées du dire ? on veut ..................................................................... touchef toucher toucher à une sorte de "passé vif", qui serait le pa ssé ... du dire  tracé, et autres passés -frise aux données actives (vies des vies, sang du sang, sentiments du temps, colères vives). On est née Bébé le muret traversé, mort distancée, et on file (vite !) vers Néné né = ce néné  du lait aux données vives et autres données des données. On a grave ensemble envie pour ainsi dire de tracer , vers un Néné, "le Chemin du vide" tel qu'il semblerait qu'il faille (qui sait ?) le tracer vif, une fois passée. ou : une fois le muret ou mur diu son passé. tracer de chez tracer ce dit "chemin actif", du vide"sacré", vers ce Néné acidulé aux données vives, genre ......... Vie, VIe réactivée, VIe des VIes à j amais ttteracée, sur Terre Promise toute retrouvée. On a envie en vrai de l'embrasser , d'embrasserr Néné = téter , téter Lait de tire, laitentier, lait de mère-sourire, rire, vie vive, sainteté de Rive ! On veut : 

coller et tracer, charger et donner, poussser et confondre, soulever et fondre, toucher toucher toucher toucher et se poster aux avant-postes sur une montée pour regarder -mirer, n'en rien louper, du spectacle sonore d'une "trajectoire haute" .....sonde ;;; .......................sonde sonore ............................ haute sonde sonore ................................................. On monte. On veut aller 

Hautes ! Hautes de cherz hautes, et .............. creuser de chez creuser les traits, d'une sorte d'époque "enlevée", qui serait haute = avancée = postée haut = tout en haut des Mots, mots-bêtes de trot, trot-galop des mots (mots-animaux) tracés au lmamparo, à la lumière-chalumeau d'une (sorte de) Secte Néandertalienne ................... ou plus ancienne même ............................................. femme / homme saintes .................................... un Carré ....................... Secte des sectes au carré ! tracé ! Fée d'herbe devenant Bébé se verrait allouer (à son E^tre) du VErbe ! verbe comme né au passage des Traits .............. une sorte de DOnnée de traits qui nous verrait (de fait) en tant que néandertaliennes / néandertaliens , comme consacrées ... Fées DEs terres, F2es ici allouées à un cimetière ...... avant (devant) l('envolée Certaine, ce trait dsans la lumière ................... traits des traits d'une fée i=mberbe toute ici tracée ...... montant déployée, déployée montant, volant, allant, vers ...... ezlle : la (cette) drôle de Mer D'Elfe ! sorte de Mer de Quarantaine ............................................................. = mer -née, la mort passée .............................. ; la mer-néné ? oN ne sait ! on a envie ensembke de cerner la chose mais ........................ ce n''st pas donné ! ça demande de s'y en vrai coller de chez coller sans jamais flaner ..................... on se doit de bien considérer un Touut Cendré , regarder par en dessoius, dessus et par côté, ce qui est qui est ...................... afibn de bioen c  ernertout un ensemble de données de Verbe, données celtes peut-êtte, ou mésopotamiennes ou (autres) mêmes données vieilles. On est née Bébé = le bébé , la mort passée , et nous voilà qui sommes collée à une sorte de  .......................... trait ? ........................ trait aimé ? ..................... trait "super" ................ "super aimé" ............................... on veut toucher de chez toucher et ...., de fait, tracer tracer tracer = filer filer filer = traquer traquer traquer = chasssr chassser chassserr, la Bête Vive, COrps entier, Néné ? On est né au Néné (re-né) prête à téter sans discontinuer le bon lait de l'hydre ! filer = tirer = donner = chercher = sonder = pouyssser = creuser , sur terre allouée, une sqorte de (en vrai) ........ trou d'ombre ? t§ombe ? où donc se placer ou pouvoir se placer allongée ........ à jamais ................................ coomme enterrée ......................................................... mais ............/........................................................................ mais ................ sans déconner .............../................................................................................. on renaît ! ............................... vive ........................................................ vive de chez vive ............................ post-pré teracé ..................................................coleée au dit néné de .... l'Hydre ? vrai ? Hydre au débotté qui serait comme à se donner , à se preésenter, à donner son lait, à nous faire téter .... pour le coup à jamais ? On veut : dire de chez dire, aller de chez aller, cerner de chez cerner, une sorte de tracer "ivre" , ivre tracé........ sur pieds ? On veut coller, dire et sonder, pouyssser et vivre, consacrer un dire à une sorte de denrée"acide" qui serait de mise en cette sorte de "remise" aux données lactées, genre Lait des Laits. ON veut creuser = porter =cgharger = comprendre = entendre = sonder = souder = se donner à une sorte de BNéné-Surprise, néné vif au lait actif ! Qui on est ? tra&it ! trait des traits ! Qui on cherche à être ? une sorte de .......... tête ?.........................tête-noeud ? ............................ tête de noeud  ? .................................... t^te-voeu ? ............................................... tête à bec ? ..................... à bec ou nez creux ? ./....?..??.?.??............................. bec de Feu ? .................................................................................................................................................. on veut : 

dire et donner, coller et faire, chercher et consacrer, poussser et a ller, charger et poster, sonder la colère, poussser de chez poussser , dire de chez dire, consacrer sa vie à cghercher le dire , dire cerné, pouvant sans surpruise octroyer , ooffrir, déposerr, Vérité des Vérités, qui sait ? On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toucher toucher toycher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toycher toucher rtoucher toucher touycher à ce qui est qui nous rezgadre ou nous regarderait de biais le "mur du son" passé, à savcoir : la mort ... dépassée ! comme "archivée" . On est née  Bébé prête à téter le bon lait de Mère, aux données de Terre. On veut :  creuser = donner, dire = sonder; c harger = soupeser , coller = souder , prendre = comprendre, sentir = ressentir, poster = centrer, porter = déposer , sur muret, un certain nombre de données rupestres, de type "Bêtes" , "Bêtres de trait" et é&utres "Bêtes autoportées" , genre / 

RTresses ........ tresses d'herbes ............. tressees toutes allouées à un pré tracé ......  tresseees de données en herbe .......... traiots des tra&its h achurés sur pré celeste" ................... un tracé est un tracé.  On est Fée des Fées sur pré alloué à un Passage Éclair à travers la Terre. Vie vive donnée le Mur passé , en tant que fée des fées ainszi "dessinée" à grands traits : bêtes aux herbes ! et de là, de ce pré des prés, treacer de chez tracer vers ce dernier muret aux données du VErbe, creuser de chez creuser , essayer (de fait) de passer du bec = pousssrer, piquer, poussser de chez poussserr et du coup percer et ayant percé , se retrouver de kl'autre côtré, côté ... verbe ? néné-verbe ? à tzéter le verbe = Lait, d'un  Néné de Bière. Lait de trait le muret pasdsé ! mer ! mer ! mer cendrée ! mer auréolée ! mer d'époque ancienne .... re-la mer donnée dotée de lumières, clartés, scintillements dorés et autres reflets surnuméraires ! Mer des traits, vagulelettes , vagues portées, chants marins montés, chaudes aiguesz ! On veut toucher = dire = donner = comprendre = sonder = prendre = charger = soulever en transe les données d'offrande = vivres à satiété, chairetés, dons de lait, commandes et autres montagnes de mets. On a envie en vrai de cerner-toucher ce Néné de trait et téter. On veut creuser (ensemble) un tracé, qui serait tracé-treait sd'une sorte de Dessin de Rage ainsi évoqué. On veut toucher à une sorte de ...................... ventre ? ............... an,tre ? ............................................................... ventre-anttre ? .................................................................. néné né le muret passé , comme une (sorte de) ........... entraille-noeud ? ............................................................... feu ? ............................................................................................... on est ... deux ! deux de dieu qui vont par deux au feu téter mieux ! ........................................... téter de chgez téter ce feu des feux de dieu , Lait Des tra&its ! lait des laits d'un Dieu comme donné squr pieds, le Mur (la mort) passé ! olé ! On veut cerner ! creuser creusezrf creuser creuser sans discontinuer tel ou tel "fossé" aux données données e't autres traits de sainteté. toucher = dire = vivre ! Foncer = virer = courir = pistonner en vrai ! Toucher = vivre ( vivoter) c e Vivre ici Accolé à un grand nombre de DOnnées Acides . On veut :

fonder = donner = poussser = cerner = tracer = cxhercher ou rechercher le dire en vrai consacré, à une sorte de "Passé des Passés" tel qu'engendré la mort archivée (mur des Hauts Niveaux). et du coup : creuser creuser creuserf creuser creuser creuser creuser, dire dire dire dire, poussser en vrai un dire Nacré tel que représenté ... en ce mur des fées passé. On estnée Bébé ...... Bébé -Dires........... Bébé né pour dire .......... eh bé ........... le Lait de l'Hydre ! bête à vivres ! Téter = brouter ! ch aerger = porter ! voler = donner ! coller = sonder ! perdre = oublier, de fait, un c  ertain nombre vde "données vives" genre vivres , dons des fées, présence lactée, vente à la criée. On voulait de fait, en vrai cerner, un certain nombre de données actives, les comme soupeszer , les tester, les enregistrer = les noter , les porter à vivre, leur doooner de quoi pouvoir (de fait) être relevées ou sinon relevées sondées ! tracer ! filer ! charger ! poiussser ! creuser ! dire et donner le tzracé du dire tel qu'évoqué en pré -néné ......................... On veut grave cerner un grand nombre de données de frise. Qui connaît le Dire ? qui sait ce que Dire est ? qui , en vrai, du Dire, connaît les clartés ? qui Chante Vrai ? qui peut toucher de chez toucher le Dire Sacré .............................. sorte de Donnée Ici Allouée à un Chant de Fée ................................. chant des Fé"es Acides ................................................. qui connaît ces vivres et autres dopnnées auix donnéesz vives ? ....................................... on avance . On en avance. on est ensemble ici postée à essayer de rechercher (de fait) des do nnées pâtentes sur laquelles en vrai pouvoir s'appuyer pour enfin comprendre ce qui est qui, sous nos yeux de "fée-bébé", fée transformée en bébé, semblerait vouloir" peut-être se monttrer , se laissser déchiffrter. On est deux (ailes de feu) qui , en vrai, cherchons haut Le Dire de Trop. car, Dire = Vivre =être Bête , 

Bête-mot. On est sur pied prête, à, là, postparoi des paroios, voir = boire ........... Lait = Vrai ! Et comprendre de fait un  ertain nombre de données données, monacales, autocentrées, autocontrôlées, autoaccolées ensemble , une sorte de .... trace-tache, trait des traits , sorte de "passage genrée" (?) on ne sait, qui serait en vrai ............. un passage-gonades ......................... situé ...................... trait des traits à comme relever (de fait) au dit "passage ensemble" tout accolées, comme soudées à une sorte de motif central : bâtonnet ! On veut toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toycher toucher toucher touycher touycher toucher toycher toycher touchefr topucher toucher toucher toycher toycher toucher trouycher toucher touycher toycher tocher touycher toucher à ce qui est qui seprésenretrait ... sous nos yeux touchés ! on veut creuserr = dsonner = centrer et de fait cerner  les données de ftranse (transe de fée) sur Passé de France ... comme qui dirait. 

On veut aller ensemble à la recherche de données qui, toutes ensembkle rassemblées, pourraient grave nous guider (sérieuseme,nt) vers une destinée , un chemin tracé, qaui serait pour le coup "aidant". Car nous, on est nées en vrai poiur rechercher post-pré tout un tas de choses à creuser, à essayer de déchiffrer sans se casssr le nez ... mais tout de même ! On veut toucher à une "forme de vérité" du Verbe en herbe, trouver c'est creuser, et creuser c'est cerner ! on cherche un trait par où ensembvle nous (de préférence) immiscer, et du cfoup traverser, passsr, se faufiler afin de (pour le  coup) pouvoir "ensemble" nous trouver comme située de l'Autre Côté des données murales pariétales, à savoir ...... là-bas : le NOuveau Sabbah ! re-nouveau des tas ! On entre. On entrte en transe ensemble , on y va ! On se rassemble = on fait corps. On est ensemble un corps ! corps d'or ! On veut ensemble recevoir ... la nourriture franche = trait de lait, lait acidulé, lait de trait , et du coup téter. On est Fée -Bébé, ou disons : fée au passage devenue bébé, re-bvébé d'or, tétant fort. On est la Fée raccord. Charge haute sur Montagne Haute. Montagne du Port. On veut :

dire de chez dire un dire

faire de chez faire un faire

creuser ivre les données du dire , et y aller = foncer ! charger ! tracer ! porter ! coller ! cerner ! centrer ! centrer grave les dooonées et essayer ensemble de toucher à ce qui seprésente en termes de néné ici alloué à une Vérité C-entrée, de type .... entrailles ? viscosités des viscosités .... d'entrailles de Bête traquée ? On ne sait ce qui est ! on cherche en vrai assidument, sans ceese, les données du Verbe, ce qui est en vréi qui (de fait) nous intéresse ou grave pourrait, comme un fait exprès, nous intéresssrr sans nous importuner loe moins du monde une seconde . Toucher ! dire et aller ! creuserà la ronde ! porter de chez porter la Parole Haute comme auto-centrée vers une sorte de ................. "muretrtrte sonore" , "murette sonore haute" , "murette des données sonores hautes" . Un trait = une porte. On monte ! On veut de fait aller ensemble ainsi accolées (ailes / trait) vers une sorte de tracé, "tracé du dimancghe", un tracé dxe FRance, Trait des tRais ... de Rage Allouée ... à une langue ! france = Langfue = Trait = Centre = Ventrte ! traits noués ! ventre nooué du fait qu'en vrai ...... le centre est comme sondé ...... ventre-centre du français "parlé" ..... antrte donné ................. traits des trais centrés en ce terrier ........... d'un ventre sondé ! antre au pied levé se voit sondsé par une sqorte de Traqueuse-née, Fée des Fées donnée, cherchant Vérité = Déité = Donnée = Divinioté des DIvinités ... "antrales" (ventreales ?)! On veut :

dire, donner, souder, creuser, charger, forcer, tracer; poussser, allouer à , porter, consacrer à Soi un passé de traits (traites sages = lait de fée-vache) et coller, coller de près, à une qsorte de .................. mansarde ......... habitacle .............. où pouvoir séjourner afin d'étudier (de base) les données du tréit tel qu'il nous p apparaîot ou nous apparaiotrait le mur du son passé, soiot "après" ........ après le pré paradisiaque, après l'herbe sacrée = Verbe, vers ........ Néné ? il semblerait ! un néné de lait .................. laéit-verbe alloué .......... verbe-navette ! on veut toucher toucher toucher touycher toucher toucher topucher toucher toucher toucher à ce verbe -navette icfi évoqué et qui wserait le Verbe des Données en Herbe, herbe de pré, faisant comme (en quelque sorte) jonction nette, entre d'un côté le Passé, le Passé des traits , et de l'autre .... eh bien, le Passé, le Passé re-né, re-tracé, re-montré, re-venu des trous, des trous rouges ! passé-trait des creux traqués ! On est la fée-bébé , charge -née sur une sorte de "tracé ancré" post-cimetièfre, au-delà du pré. Au-delà du pré , il y &urait ............./............................ eh bé, en vrai ................................ du Verbe , mais ........ genre Verbe de TRa&it ................. Verbe Altier ................. verbe de trait donnant de fait son ëtre de traîne .............................. = une coulé ................................ coulure aimée ............................ mouillure ........................ lait né des laits, des laits de terre ........................... l&it de mère ! ................... on aime ! On est charmée ! ............................... on voulait grave téter eh bé vpoilà que, ça y est, on peut de fait faire ce qu'on éime, s'en donner, boire du laéit = sonder, en vraéi, le corps de mère, son passé nacré, le Verbe porté, les données du VErbe ici consacré et comme adoubé par une mère du coup nourricière , mamelles , seins de fée, chaudes aigues, lait de trait, lait -né dès que tiré ! on aime ! on aime le lait, la bière, les données tracées, le post-cimetière et ce qui est de fait qui nous semble ici nous rezluquer comme "à jamais" on dirait. On aime aller tout près téter . téter d'un tréit ! gloup, la bière ! on v  eut : creuser de chez creuser, aaller de chez aller vers ici ce néné, ou néné des termes , ter:mes alloués à une sorte de Donnée dont le nom (de fait) est Verbe , VErbe des Divinités / Déessses, Verbe de trait = Lait  = Lait céleste = Déité lactée et autres D2ités aux dsonhées célestes (célébrités) : on aime ! On veut creuser de chez creuser les données célestes, le tracé tracé, l-a Scène, un Piquet de Grève, le Passé chargé, les données Ancienbes mésopotamienhes et même plus lointaines : traits, traits, traits, teaits , teaits , traits , teaits , tréirts des tr&its de bonne couvée et autres tré&its de REIne, car la Mort est REine , mort Haute aux tra&its de Fée , qui sait ? on est née Fée puis devenue Bébé on ne s'arrête plus (plus jamais) de Téter, de Téter Déesse, Mort-Mort des Coulées de Tresse , Tresse de Lait ! traitsb! traiots de lait sortant d'un corps dit "de Haute Mort". mort-Hole, MOrt-Manne, mort Haute- Manne aux Traits donnés. Chose. Porte. Hauite POrte. Porte Haute par où passerr si on veut

 "durer de chez durer" en tant que Bébé sachant téter le bon lait de Mère, Mort-mère traquée ? mort-mère allouée à une sorte de Contrée post-herbe = post-pré = post-cimetière. Au-delà des herbesz, herbes vertes, au-delà des tréits d'herbe et autres tréits en herbe de paroi . On a la Foi . On est Bébé -Roi (?) ou pas, mais là ! prête à ça = boire ! boire La Voix ......L...................................................................................... elle .................................... a-ile ? ............................................................................................ on aime ! On s'ewst rapprochée d'un muret à la recherche d'u ne entrée patr où pouvoir paqssszr. C'sest v  rai que nous on voulait s ans cesse trouver en vrai une sorte de passage)-né par où "ensemble" (ailes de fée) on aurait pu passer sans se blessser, sans peiner. On cherchéit sur roche ici ou là ledit tracé ou voie d'abord par où, d'un commun accord, on aurait pu en  vrai teraverser la roche, d'une sorte de bond raccord, de bond ou  saut raccford, et hop ! on ose ! on monte ! on trace ! on cherche , on veut savoir. On est haute, Sorte de ..................................................... Chose : ..................................................................................... corps de mort ? ............. morte ? ................................................... ou &lors :sorte (en soi) de  ................... "renouveau" ..................................... dans le sens ici de "mot nouveau" sur Passé de porte. On monte. On ose ! On creuse ! on veut (en vrai) tenter , et du coup s'av ancer, eau plus haut possible, vers Néné qui est (en vrai) ce Néné de piste, Néné-trait de Rive, à pouvoir-devoir (ici) téter, sans ... ne plus s'en soucier en vrai, une fois placée ! On aime téter ! on veut de chez veut, ensembkle, téter ! toucher touycher toucher toycher toucher toucher toycher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toycher toucher toucher à ce néné desw "dsonnées divines" = du lait ! lait nacré de première coulée ! lait né ainsi nacré / cendré , pour être av alé ! Lait de Trait-né, charge de féu, son de clocxhe au mieux, Ombre Haute. On veut toucxher à c e qui est ici qui, en vérité, sembleraiot vou:loiur grave nous parler,s' aderessser à nous qui voulons tout, à savoir .... du lait ! car, le lait)-né ainsi tiré ou trait, est un Tout ... doux, Tout (de trait) qui peut sans faute alimenter 

Bébé en entier lza plupart du temps. On est né Bébé la mort traversée et laissée de côté, c'est-àdire qu'on renaît, on revient à une sorte de Parole-Forme, Forme-Trait, trait-Forme ou Parole Haute en forme de TRait, Trait tracé acté sur ROcher. On revient = on remonte, on rededevient, on raccrtoche ou non ....... on se raccroche .......... on reprend "du galonn" ..... hop ! haute porte des noms, on monte, spigolon de pôrte, vers, ici, ............... le Son, ................... Son de cloche ou ..... "même son de clochev"........... ton sur ton ..................... "parole parole" ................... Chanson Haute ..........................mont de Bosse et hop, la Chanson , l'air du fond, fond de l'air donné une fois passé, vers ............... le Passé tracé ............................ comme "apporté" via le lait donné ! ça le fait ou le ferait, qui sait ? Qui en vrai sa&it ce qui est ici qui nous apparaitrait une fois "clampsée" ? qyui coonnait la Roche .... de fond en comble ? qui sait naviguer ( en vrai) en cette sorte de ...... Passé de ROche -Porte, porte passée. Qui co nnaît kles rudiments de l'Ombre ? le Passé outré ? la Roche montrée ? le corps assommé ? l'orme ? Qui sait (sur traits) ce qui est qui (de fait) poussseraiot , s'élèverait, germerait , et saurait à nouveau comme nous ...... enfanter ? On chercghe la Fée ! On ne veut pas du tout sombrer, on veut pouvoir durer, tracer en  vrai,poussser jusqu'aux nénés au lait, pour (du coup) aller ainsi vers ledit Laiot d'e,nvie ! et du coup avaler ! boire le lait = se donner à , il semblerait, une sqorte de Néné né la mort passée ! Néné né kla mort actée, comme archivée, entérinée, passdée, dépassée. On veut de fait ........ creuser creuser creusqer creuser à  cette sorte de Donnée de Rocxhe ! = Passé-Porte ! porte haute d'un pAssévde Roche .......................... on monte ! ...............................................................................................................................................On est passée de fait de l'Autre Côté à la recherche du Passé, on l'a peut-être, au bout du compte, trouvé, il s'appellezrait : Lait, lait de ROche. on a peut-^$etre "compris" des choses, concernant la mort. Qi-u'est-ce qu'on a compris ? une chose haute, porte haute, trou de Roue, base haute d'une sorte en soi de "trou -roue" par où (de fait) passer ............. bout de son nez né (ou re-né) ! il semblerait. On est née Chelou la Mort Actée, c'est vrai ! On veut : 

toucher de chez toucher

poussser de chez pousssrr

creuser de chez creuser

essayer de cerner les données prégnantes et &ller "en bande" à la recherche de Passés de base, Passés denses, Passés de france du  fait que voilà, notre langue est de là, et, par conséqueznt, semble ici être à ....... nouys attendre ? ou, sinon attendrte , .........................approcher ? On est Bébé (devenue bébé) une fois mort(e) et enterré(e) on dirait. On se dirait qu'en vrai, une fois l'homme mort et enterré, la Fée des Fées r"remonte" haute ! sort du "trait" et, chose, comment, monte, monte haute, laissant derrière elle "les tourments", toutes ces choses des tourments, elle ose-monte ! Elle sort de l'Ombre ! hop ! homme -corps est mort et pourrit dans l'ombre. fée des traits monte et sort et creuse et file et va et cxharge samba ! tralala! danse-transe ! face ! fonce ! trace danse ! transe des voix ! ça balance ! ça balance grave ! voie des voix de l'au-delà ! On est la Fée né ... sur pré la mort passée, on traverse le pré, le pré aux herbes, et , le pré traversé  , ainsi "tracé", on vient "buter", "buter contre" .........../........ le néné ! sein lacté ! chose chaude ! du lait ! comme ws'il en pissait ! jet ! jet dru du lait cru ! ça le fait ! c'est pour nous aider ! On veut grave avaler , téter, aspirer, boire le lait on dira le plus frais du néné donné. vue sur le passé . c''st un fait à présent (maintenant) avéré ....... ce dit "trait de lait" ainsi siphonné ! On veut toucher rtoucher touycher toucher toucher toucher toucher, à ce dit néné des données données ! traits très ma rqués , ancfiennetés, ancestralités des données tracées sur piquet de trait ! on veut monter. On veut creuserr. On veut aller hautes, vers ...... la porte , ce tracé de porte ou d'une porte-née tout en haut des hauts. On veut toucher de chez toucher la roche-Chose, Passé-né, POrte Haute, POst-pré de roche, une sorte de donnée de Roche a&insi Sondée via ............... ce tr acé donné, genre Lait de Tréit. On voit tout ça, on monte, on veut savoir les choses d'une sorte de ................................................... voie d'abord  haute, ............................................................ porte des portes , ............................................................................................ haute porte des deonnées de roche .......... de Mort-Haute ............................. mort ultime, mort  des fins de friche, Mort Maritime .................................................... don .................................... don du front ....................................................................................... un don ................................... don des dons dondaines .................... chanson .................. haute chanson , dondaine du front .......................................................................... pompom .................................................................................................... attrapper pompom ........................... hop .................................................................... don des dons-pompoms de la plus haute époque, genre : le fond ! ............................................................................. on monte ton sur tobn ..................................................alluvions ...................................moisson ............................................................................................................................................... toucher topucher touycher topuycxher toycher toycher toycher topyucher toycher touycher topycher touycher touycher toycher trouycher touycher toucher toycher toycher touycher touycher touycher toucher toucher toycher tyoycher toycher à ce qui donc ici en vrai nous appararît comme pouvant nous informer sur ce qui est la mort passée, à savoirt : le fond ! fond des fonds du Pont !chose haute des données profondes . on est :

fée puis bébé sachant téter le lé&it des Hautes Portes. On veut toucher à  e qui est qui, en vrai, nhous mate grave, ne cesse de nous mirer, nous regarde de face et de côté, de tous les côptés sans cessser, sans jamais nous lâcher la moindre seconde ! on se sent épiée ! on se sent surveillée grave ! on a envie de l'envoyer bouler ,  = de le rejeter, de le laissser tomber ou de le faire taire ! on veut tracer sans se gêner ni être gênée ! on ne veut pas d'un Magister nous guettant sans fin , ni d'un Ministère des Vues-de-près, mais se wsentir ou nhous sentir comme qui dirait "ailée" , sansêtre plus que ça importunée (de préférence). On veut en avancer ""ensemble" ... "dans le français ", en cette langue ici donnée à notre naiosszance, langue de trait qui est donc kle françaéis, et nous dès lors, dès lors que ... cvoilà, on est née fée comme à la retombée sur paroi de roche, on cherche à cerner (sans traîner) ce que pareille "langue de poche" contiendrait en termes de "données profondes" ou de "donné"es donées profondes" ainsi explorées en cette roche attribuée. On veut toucgher à une Vérité de Roche.. ON est d'uxx ! On est deux en Roche en creux. On est les deux qui , en roche, en creux ou comme en creux, veulent sérieusement et vaillamment, toucher de chez toucher à ce dit "secret" qui serait lové ou comme lové en (ici) ce creux, dx'une donnée de porte, donnée forte et haute, traits animaliers = mots de roche centrés , ou mots centréewss de roche, mots -ombre. On est 

Fée, qui cgherche Sorte de ................................. traits alloués à un mot en entier , et ce mot est ............................................ ART ? .................... de part en part ? ..................................................... art-mort ? ..................... .............................................................................................................. on ne sait ! ......................................../.... on monte hautes vers, en vrai, ce néné des ombres , afin de oui, aller grave chercher à (de fait) téter de chez téterr ce ...... corps de lait .......... corps d'or ! lait de mort ? ............................................ on veut toucher toucher toucher à c e dit "corps de lait" qui serait .............. le corps de la mort ? de la mort passée ? du passé mort ? du passé mort qui seréiot comme réactivé du fait de la tétee? car, le bébé tétant, le lmait de fait se met à gicler ! c'est , en vrai, pour ainsi dire, le bébé .... quyi fait que la téteée est ! car, si bébé ne peut pas téter, le laéit n''st pas produit en vrai ! il reste à quai ! et du coup  ...................................................... la vie .................. ne peut pas re _ venir ici, se re-donner de fait, re-dire son fait, redire les traiots, re-verbaliser .... le Rire , etc. On veut toucher = on veut tracer = on veut creuser = on veut dire ! Dire et rire, les données du ....... vide ? vide parfait ?OOn est ............................ ivres ! Ivres de Rires ! On est les fées ivres, d(un Rire des Rires ! On veut creuser ............................................... ccreuser = jongler = jouer = pousser = aller = centrer = fermer = allouer à une Sommité (l'Hydre) les Données du Rire (du vide parfait ?) il semblerait. On veut toucher à ce qui est qui ici serait ....... du Vide -Rire parfait = le Néné du lait ! trait des traits acidulés ! on veut téter gtéter téter téter téter téter téter téter té&ter gétyezr téter téter téter téter téter à ce néné-né des données du Vide, Vide à lait ! et creuser creuser creuser creuser "sans rire" so n propre tracé, de vie ici post-pré, à la recherche de la vérité , soit de la vérité lactée ! néné né en vie la mort archivée, comme entérinée. Vie nouvelle autoproclamée comme qui dirait, dsu fait que ....... voilà, on est là ! on entre ! on passe un membre, l'autre, tête et corps entier, on monte ! on est née ! née divinisée comme qui dirait = bébé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bébé post-pré !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bébé des bébés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut toucher de chez toucher néné !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! téter de chez téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! cerner de chez cerner !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! évoquer ... ce néné du lait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! traits, traits, traits, traits !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut creuser de chez creuser ce qui ici est qui se montreraiot sans traîner = ce néné post-pré = ............... mort allouée ! mort tracée ? mort donnée ainsi transformée en une sorte de ... Don de Vie VRaie, rejouée ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toycher toucher rtoycxher rtoucher toucher, à ce dit "néné post-pré" relevant de la vie "rejouée" par la mort meurtrie ! mort de la moprt ! 

mort en vrai de la mort des prés !

mort de fait de la mort "cendrée"

mort en vréi de Mort-Mort accolée à une sorte de denrée = le lait , lait à profusion pouvant en vrai nous apporter ............. le son ! la clarté d'un son ! musicalité et tracé de fée .................... chanson .............. chansonnette de rondes et autres sons de cloches ! traits tirés ! salubrités ! chants de porte ! sons de roche et autres musiqaues d'approche, d'approche hauvte. oN veut creuser (ensemble) la chose et du coup cerner (au plus près) les données qui ici s'oofrriraient à une sorte de compréhension ... sonore, genre : "rondes", "rondes enfantines et autres comp)tines". On cvompte ! hop, on saute ! le tour est joué ! on veut pouvoir sauter, de roche en roche, sans se blessser, sans y rester, sans faire (aussi ... non plus ?) de simagrées ! On est /................................

re-née ! ............................................................. re-née de fait ........................ comptons ! chantons ! jouons ! allons ! ..................... pistonnons sur roche à la recherche d'une sorte, ici,   ............................. de son ! son de roche ! musique de porte ! le tracé sacré est sorte de "tracé sonore" on dirait : muysiqaue des fées ? musique haute ? musique au taquet des données profondes ? on veut trouver ensemble les données, données hautes en musivcalité profonde ! est-ce qu'on pourrait (en vrai) ensemble s'asocier afin de dénicher .......... le trait sonore ! la corde ! trait de corde trezssée ! sonorités raccord, et accvordées, ou comme accordées-raccordées, à une sorte de tracé de porte = p)assage de fée, vers ................. bébé, sachant crier sa faim tenace , son envie de lait ! famine - fermeté ! On veut toucher toucxher toucher tpoucher toucher touycher toycher rtouycher toucher touycher toucher toycher touycher toucher toucxher rtoucher touycher toycher toucher touycher toucher trouycher toucher à ce néné des données profondes post- ombre. On veut en vrai toucher rtoucher touycher toucher touycher toycher touycher toycher toycher toycher rtoucher toycher toucher à ce qui est qui, pour le coup, se montrearait ainsi comme une sorte de "denr"ée haute"............ lait de porte ! lait haut des hauts niveaux ! laitde roche Haute, trait de lait sucré sur POrte Sauvée ! corde ! corde -roche ! cvorde sur ciel-de-roche ! Haute époque , on monte ! on ose ! on creuse ! on est 

Sorte de Tracé de Roche sur Passé de trait ...................................................................................... on reg arde ici ce qui est qui, en vréi, semble vouloir (sans traîner) se présenter, décliner son identité et nous parler (de fait) du pays des TRaits et autres Tracés Accentués  = Sonorités des Données Vraieszc = chants des Traits ....... ou chants de trait et autres Chants de Bêtes Alloués ... à une sorte de Passé (comme "sillonné"). On regharde, on mate, on se place (ainsi) ici , de telle sorte que, pour insi dire, on veut ça : vivre = revivre ! vivre la Voix ! vivre ensemble ! sourire ! On a envie de pour le coup se retrouver non pas ou plus sur les genoux mais comme "toutes remontées", reboostées , redéployéez, du fait ..... eh bé oui, de ce lait donné, une fois mort et enterré, une fois (en soi) l'homme mort-enterré archivé, place à la fée, fée ailée, sachant voler jusqu'aà ce néné dit "des traits tirés" ..... plein de lait dit "ravigorant" ! etnous voilà dès lors re-née  = bébé ou re-bébé ! re-le bébé né ! re-né des tracés sur pieds ! on aime le lait ! onre-naît  vrai (en vrai) celle qu'on était avant d'avoir, pour le coup, succombée au présent : cou / caillou / genou / hibou, dans le temps. On revient (ou redevient) Verte ! vert pré ! pré acidulé ! genre : teracé à main levée sur rocxhe cachée ...... fonds des oùmbres, Hautes Ombres des Parois Ornées ............... piorte haute ) d'entrée , vers ce ...................................... néné-né ////////.............. lait de roche ou des rochers ................ lait acidulé des roches gravées ........................ traots de fée .......................................... traits de bêtes de trait .................................................... big bisons ............................... un bison est né, son nom est marqué sur roche des Fées : spigolon, petit patapôn, ombre, sorte d'ombre, ombre des données de roche. Nom tracé = traiots de fée. On monte. M%ontons ! Allons ! touchons à X données "rondes" , de type ........................ néné-né la mort passée ................. lait des laits ................... on ne peut plus s'en passr, on veut grave toucher, toucher de chez toucher, à ce " néné du bout de Roche" .................. anfractuosité profonde. on est la Fée des Roches devenue Bénbé, la POrte (haute) enfin passée ................................... on mùonte haute sur Haut Rocher des Données de Porte ........................ en cohorte !!!!! Haute Époque aux bêtes de roche : bouquetins saints et &autres bouquetines fluides ! le passé ! passé de trait ! on veut compter avant de jouer ! et du cdoup .............. filer filer filer vers ce dit "néné" de la haute époque des temps reculés (très! ) . On ose aller. On ose grave rechercher, ici ou là, les sorte decv"messages-traces" qui, pour ainsi dire, seraient comme posés, à la une à la deux, sur des rochers et augtres sortes de parois "du feu de dieu" à notre (il wsemblerait) adresse ou attention, du fait qu'en effet, les tréitst tracés (bêtes à bon dieu) nous plaisent / intéressent / captivent sans cesse : on aime ! On aime grave les données fermes, données hautes et profondesq. On cherche enwsembkle depuis des années à y comprendre un   tantinet en ces choses de roche et autres types de rochers orns$és , soit : qui on est ? à qui on ressemblerait, qau'est-ce que c'est que cette Rocghe Haute ? qui on est en ces quaertiers de Roche Ornée ? est-ce qu'on est "de porte" ? sommes-bnous "bêtes de Somme" ? somme comme ........ une somme ? un SOmme ? somme-sommeil des données ancrées ainsi engoncées ? On veut tracer = on veut creuser. Ce vqu'on est = une donnée ! Ce qu"'on veiut ou voudrait relever (et  cerner) = un tracé de traits genre Vérité, sur ................. MORT_OMBRE, MORT-DE -PORTE, MORT-HAUTE et autres ROCHES -NÉES sur terre allouée à pareille advenue gravée, traéits des traits. On est née ......... au Passé dit "de roche ornée". On est comme née ........ sans arrêts ! = re-née à perpétuité : nue / connue ! Nue / vue ! nue  / bue ! On odse !  on est haute ! On est de La plus Haute Branche Accorte ! genre : 

Malebranche ? branche dx'Ambre ? Ambre d'arbre ? Mâche ? mâche )-d'herbe en branche ? On est le

a Fée des données de base ainsi transvasées ;;;; ............................ en ces qu artiers ! quartiers "denses" aux données intenses. On veut toucher de chez toucher, cerner de chez cerner, aller de chez aller, creuser de chez creuser, pousser de chez pousser, centrer ainsi le Féait Vrai en cette sqorte de Paroi de base, Paroi Roide, à devoir passserr = traverser "ensemble" = ailée ! de préférence ailée, car .............. le Passé en souffrance a (aurait) droit de cité, devrait êttre noté, diffusé, tracé, qui nous (en nous) remonterait de base ......................... et nous requinquerait ............. et (aussi) nous aiderait à ainsi aller ,sans trop tituber ou même merdouiller ................... et du coup tracer ! vers ............. hé hé ................ le Passé "français" ! une la ngue "donnée" = "inculquée", jusqu'aux nénés de lait (emplidelait sucré ! ) . trait ;

TRAIT DES TRAÉITS ! TRAITS ACIDULÉS ! TRAITS DE SAINTETÉ ! CHARGE ALLOUÉE À UNE SORTE DE NÉNÉ COMME UN FAIT EXPRÈS  = LAIT , DU LAIT, UN BON PEU DE LAIT, LAIT DE TRAIT POST -PRÉ , A FOISON, BONNE DIFFUSION, MAMÀ MONTÒN ! MONTAGNE DE TRAITS = PLUIE DE LAIT ! S ACHONS TÉTER LE LAIT DE TRAIT ! OSONS ! TÉTONS TÉTON ! SOYOPNS ............. CE DIT "BÉBÉ DE TRAIT" , BÉBÉ-SOMME OU DE SOMME ! ENVOLÉ ! HAU T VOL SUR UN PASSÉ ... DE ROCHE ORNÉE ! CREUSONS ....................................................................... la nécropole des passions (du passé rond) ...................................................................... osons de chez osons tracer ............... pareilles maisons ......................... nécropolisons, le passé re-né ! ...................... en maisons de traéits : maison une, le Pasdsé. Maison deux : les traits. Maison trois : le bébé . Maison quatre : le lait ! M aison cinq : la vie rêvée. Maison six : une sorte de maisonnée pour les jours passés tout enchevêtrés , genre  

.......... tente ? Maison sept : ombres portées. Maison huit : ........................................................................................................................................................................ vitalités et autres vituperations aux actions hautes et autres liveraisons de roche ! maison neuf et dernière : le Nom ! nom de scène en herbe, nom des Noms de Roche et autreez noms de bêtes zaltières ! traits de fée sur paroi-colère . On aime ! On veut aller, dire, creuser, chercher, conduire (ici ou là) le dire en ses quartierts et aussi sec les afficher afin que oui, un jour ou l'autre, on puyiisse re-lire ce qui (en vérité) était,, en termes de ouï-dires et autres paroles

 lâchées sur pré, prairie fine, champs de blé. On compte, comptines ! on est filles, vrilles, fée des prés ! danses allouées à une sorte de famille ! sainte famille ! traits des traits sur ................. le Passé Nacré ! ancré ? vif ! On veut cerner, ledit vif passé aux allures de Frai ! chair vive ! unee frise ................................. bêtes vives ......................... (en crise) .................. pissent ! pissent que tu pissseras , et puis s'en va ! là ! toucher rtoucher toucher , herbe sacrée = brouter ! dire ^-brouter, aller-monter, faire-caguer, donner-allouer, cerner-saisir, finir et passer = passerr et finir, et du coup ............................. traverserr ........................................... vers ledit pass é ... aux cerises ! Frise ! bhêtes ivres ! bêtes de trait ivres sur muret du pré ! On est née fée en ce champ de blé ! on veut aller (ou on voudrait aller) de l'autre côté, subjuguée ! saoulée ! ivre de traits ! afin cde (pour le coup) trouver à enfin téter, d'un tréit, le lait chelou ! chelou ? 

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7/3/2024

Onn est ensemble . On veut ensemble essayer de comprendre les données de base. ce qui est et ce qui va. Ce qui se trame etce qui là-bas nous regarde "à toi à moi" sans faire de vagues. On est là ! Là de base pour ça : entrer , toucher, cerner, s'accoler (de rage !) sur piquet, faire ainsi que ce qui nous regarde soit comme "saisi" par notre sorte de Tracé Fini ! charge ! passe d'arme ! On veut grave tracer de chez tracer nos larmes ou ... comment

 on pourraiit dire, ici, qui le fasse ? "larmes de Vie" ? On est bénies ! On veut :

dire ce qui est

charger le mulet

tracer de chez tracer

comprendre ensemble les données ... d'une Parade, Parade de Charme, Croisade ! portée large ! des bêtes cendérées sont tra cées comme à main levée tandis q'on passe ..... sur paroi des rages ...... nos ailes courbées comme qui dirait. On est là Face à face face à Dame-Roi / Reine-Sir de s envies tracées. On veut : 

dire de chez dire

pousser de chez pousser

passer (ensemble) muscade et hop, le Passév "est né" il semblerait, qui nous donne ses nénés tout ^lein de lait ! on peut rêver ! On est nées fées sur pré nous voilà bgébév ! bgébé ! bébé ! et , de fait, en tant que bébé nouvellement constitué , on s'approche traquet -traquet dudit néné répertorié et qu'est-ce qu'on fait ? on tète tête eznfoncée ! On ne s'arrête plus de téter ! on aime ! ah ce qu'on aime en vrai le lait de mère ! ça le fait ! c'est frais ! acidulé ! on dirait ... de l'herbe ! herbe post-pré, qyui serait du coup (pour nous) une sorte d'atout de première : cou caillou genou et c'rst le terme tel que oui, on voit, on cerne dde fait, terme-né après le pré = bébé ! un bébé est né qui nvitupère ! Il crie sans cesse ! il feut téter ! il ne peut plus patienter  ! il veut :

toucher toucher toucher à ce néné post-cimetière : les donnéesv  ! les donnnées ! les données ! les données de lait .... et tout ce qui y est accolé , comme :

le Passé, Les Traits des Traits, les Choses Soulefgvées, Le Passé Tracé, les attentes de Tracés tracés. On veut coller, dire et donner, poussserr, charger, se donner et aussi perler ! creuser de chez creuser en termes de données toutesallouées  à un passé ici consacré : squi on est = qui on était ! et le tour est joué . On n veut dire dire dire, ce qyi ici se dessine ou se dessinerait de fait = l'hydre. tete avide. qui est qui ? qui chante ? qui rentre en transe et danse et gigote et va ? qui de là ? on entre = on passe = on trace ! on ne lambibne pas, Sacha ! On est donc parties pour ....... descendre ensemble, le Pavé des Lois , la Rue Tremble, PLace Centrale et, là-bas ......... l'Antre Roi, Porte Haute des Voix, une sorte de cohorte et nous voilà toutes accortes , prêtes à ça : entrer là, ailes à soi , sur roche ! On veut :

direc et donner, porter néné à son point d'acmé et téter , téter sans discontinuer : boire du lait de Fée ? qui sait ? on est nous-mêmes fées alors dès lors, que pensezr ? que voir  ? que dire qui en vrai dise la vérité dite "des vérités" ? On ne sait de fait. on est née Bébé le muret enfin traversé, le dernier,. On veut toucher à ce Néné du bout du monde, et du coup "centrer"  la Chose qui (ici) nous importe :pioint d'entrée = porte = porte haute =  haute porte des données "fortes". On est née Bébé ! babyphone ! On veut gueuler de chez gueuler notre envie de lait à tout cassrr ! On ne veut pas passer à côté ! On veut téter le bon lait de l'hydre, de l'hydre Allouée à une ... sorte d'Usine ?? d'usine grise ? usine à sortes de (qui sait ?) produits laitiers ? ou quoi ou qu'est-ce ? IUne sorte de maison vide ? On est entrée ! on a voulu toucher Néné et on y est arrivé on dirait ! On veut coller coller coller collerf et du coup tracer de chez tracer le trait , qui est THE Trait, trait de Fée ! On veut coller à ce Néné d'usine : le téter ! téter l'hydre ! Lait de trait ! miam avaler , et du cfoup .... on serait commev re-née de fait, à une vie nouvellement tracée ......................... dans le passé ? on voudrait grave en avancer et en  vrai comprendre, une fois pour toutes (comme qui dirait) les données d'un Tout qui nous attendrait dans la nuit aux Traits ! traits d'ombres ! On monte ! On est nées fée sur pré et nous voilà re-née, post-pré , dans la nuit profonde d'une .... tombe ? tombe à Gnou ? tombe haute ? à genoux les gnous ? On monte ! On veut ....... eh bé oui, creuser de chez creuser (post-rotonde) le Passé , Passé né post-pré, la mort passée. Car, la mort fait long feu qui naît puis cède, et léisse de fait, devant nos yeux, le Passé renaître ! tracé ! être alloué à une siorte de .... bête Vraieb....... genre .......... buflette ? ;;;;;;;;;;...... On cherche ! on ne sait en vrai la bête que c'est, mais voilà, il s'agit d'une bête, à présent on le sait. On est bête (ou bvien bpête) mais quanfd même, on sait, eh bé ... un certain nombre de choses allouées ... à une sorte de fenêtrte .... donnant (de fait) sur ......... Le passé de l'ÊTRE , Passé des Passés. On veut connaître ce Passé de près, ce qu'il tra^ine, ce qu'il porte à son faîte, ce qu'il est, cequ'il charrie (en vrai) en lui. On veut :

dire et prendre, porter à incandescence, allouer à une gente les données tracées, gente animale dite "pariétale". On ne veut plus s'en laisssr conter mais prendre à bras le corps comme qui dirait ..... ce Passé des TRaits ! Lait ! lait ... animalierrr ? ça se pourrait ! lait de vache des prés ? qui sait ? ou alors .... lait entier de Mère amère ? On cherche ! on veut : creuser de chrez creuser les différents termes d'une contrée de type post-muret , post-cimetière, post traîinées sur herbe et autres virevoltes aiutocentrées de fée accorte . Toucher = faire = dire = cgharger, et à présent  .... comment ?  aller de chez aller (post-cimetière) en direction de ces données de Tertre ! Les Données ! la perle ! le Passé est né qui nous observe ou nous observerait sans traîner ! il nous "aime " ou nous "aimezraoit" , qui sait  ? On veut creuser" les termesz, on voudrait (de fait) les creuser ......... sous terre ?? on veut : 

dire de chez dire

toucher de chez toucher

creuser le dire alloué à une Sorte de Passé "Splendide", de type "Donnée Acide" = le Passé ! passé ... vide ? une ... usine ? usine du Vide ? On veut :

dire, aller, creuser oui, creuser vif = vive !toucher Néné ! téter de chez téter ....... ce vide ? vide à lait ? on veut ..................................................... cerner de chez cerner une sorte de donnée active et de fait "l'artrraopper" et s'en "gargariser" sans se faire plus que ça suer ! car voilà, on aime ! on aime le laiot ! on aime ça ! on veut làb (post pré) téter ça ! ne plus s'en passsr ........ de ce passé de Soi comme qui dirait ! On est là pourt téter pour ainsi dire à ce bon lait d'un "entre-soi" cfomme "remonté". Qui on est ? on est ............... des données ? ............. des sortes de données de Choix ? ................. poids ? on serait des POids = Buffles-tas ? On voit ça ....... la plaine .......... horizon là-bas = Foioe ! foie de bête ! On croit à ça , à ce qu'on voit, à ce convoi de bêtes-êtresz dites "de la foi en l'Être " ..... mafoi. On veut ;... oh, peut-êttre, être ? Et , de là, devenir ... bête nous-même ? On voit Convoi, on avance, on charge, on monte, on cherche, on est devenues Ombre , ombre desOmnbres ? On veut :

`pousssrr de chez poussrr en nombre, aller de chez aller en nombre, creuser de chez creuser en nombre ..... nombre d'ombres , d'ombres-hommres , homme-ombre ! traits ! traits nés sur un tracé de terre ! On veut :

creuser, dire, pousserr, chargher, aller , faire ainsi que cette contrée devant nous alloué e à une sorte de Passé soit enfin ... v raie, qui nous aiderait à nous y reconnaîtrte et du coup, à en avancer, en ces contrées post-cimetière, post-allée de bière, Tertre, Teretre aux données données et autres faits post-herbe . Le pasdé est passé de tertre ... tertre du Pasdsé. On aime ! on demande Elle , Elle en v  rai = V2rité Tracée ......................... on veut toucher = la toucher ! LA Terre ? Toucher terre = passer  ? On cherche ! on ne  eut pas se laisser faire ! on veut comprendre les dsonnées données. On est là de fait, pour ensemble comprendre ce qui pour le coup nouys regarde ou nous regarderait sans pour autant nous faire trembler d e peur d'y passr . On est nées fée sur pré parce que voilà on est tombée sur ça : l'herbe tracée, cxhamp de traits, bêtes nacrées (sacrées) qui broutaient. et nous de nous y coller à ...... pour le coup, treacer vif une course de fou ! de folle du trou ! trou d'ombre tout au bout = trou des fous et folles par où, du coup, passer porte. On veut :

dire et donner, faire et consacrer, charger et pousssr, aller et tendre, porter sur pieds et comprendre, faire aller, dire ce qui est, poussr son fait et du coup ...... tracer de chez tracer le Verbe Alloué à une sorte de Passé "surnuméraire" = le P assé re-^passé ! re-le Passé-né ! Passé /passé Ou comment dire ce Tr acé , cette "bête", buflettealloué à un post-cimetière aux deonnées creusées .... dans l'herbe : on ne sait ! On  veut toucher le nez, la têt, le tracé sur herbe et autres traits de fantaisie grégaire. On est vives et vraies, vives alacrités, charges cendrées, fée des fées, vie louée ! On ne veut plus s'arrêter mais vivement aller jusqu'au tracé dit "des amabilités". Qui donc est-ion en ce vallon ? Une sorte de .........../................................... bébé docte ! le mignon ! la chjose ! Haute ! On est drôle , on est le mignon drôle d'une sorte  de Passion ... des CHoses Hautes, genre "melon". On veut :

dire dire dirte dire

êtrte êtte êttre êttre

faire faire faire faire

cgharger chargher charger charger

coller coller colmler coller

cerner cerner cerner cerner

comprendre comprendre comprendre comprendre 

consacrer consacrer consacrer concsacrer

Tenir et porter. Aller et centrer. Charger et du coup colmater, la Masse, la Trouée, Passage de Fée, Entrée. On veut (grave) s'harnacher à la rambarde et ne plus lâcher mais .............. cerner de chez cerner les données adjacentes à pareille contrée ! toucher = téter, on sait. On veut comprendre "large", porter louin la charge, situer le fait, cerner de chez cerner d'un trait le Sein de garde, 

et du coup ........ téter tendre ! boire l'ambre ! Lait d'été ! bon lait d'ivoire ! Lait sucré-salé d'une mère avouée ! On entre ! on passe ! le pasdsé notoire ! l'embardée ! l'arme blanche ! le Passé de trait est du passé de fée est du passé né comme s'il revenait ....... revenait à la charge et du coup se donnait ...... à boire !!!!!!! lait des laits ! lait des traits ! traits de rage ! rage vraie ! vrai passage et autres faiots de fée ! On est entrée en tant que fée , on est passée, on regarde, on est (comme qui dirait) toute transformée qui nous sommes "changée" en ..... bébé noir ? bébé du soir ? On est passée ! on est entrée ! on est ................................... bÉBÉ DES BÉBÉS SUR PIEDS ! On veut toucher à ce qui est qui dezvant nous pointe "sion nez" ou "nez de base" : le Néné ? on pourrait le penser. On est Bébé du sdoir et à ce titre on veut ......... boire ! grave du lait ! lait de trait ! Lait donné , et hop, de dernière cuvée qyuui sait ? On charge ! On est fée des fées enfin passée, qui (de fait) trace de chez trace un tracé comme alloué à une charge : p ârade ! on entre ! fonçons grave ! montons ! allons ! car, le Passdé de fait, est Passé de base comme "déli vré " de ........ charges lmentales ? mots des bonds, Mots d'ombre et autres mots bde Roche ? Hors !!!!!!!!! Hors du MOnde d'or !!!!!!!!!!!!!!!!!! Passé hors Clause !  On monte . On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à  e qui est qui (en vrai) nous mate ou nous lmartterait ou sembkeraiot (gravce) nous mater pour mieux nous amadouer et nous croquer ! mais voilà : on est fée -bébé ou pliutôt bgébé ( = à présent : juste  ce bébé tétant) et du coup, on renâcle ! on n''sst pas à genoux face à l'Oracle ! on est pas fou / folle de base !  née Bébé de rage on sait crier ! dire notre fait, notre envie de téter et c'est marre ! le bon lait des larmes ! On veut :

creuser, dire, porter, charger, pissserrt, allouer à une denrée genre le laitb les attributs diversifiés d'une sorte de  "Vérité post-mortem" : qui connaît ? qui sait en vrai de quoi il en retournerait si jhamais ? On cherche de près sur pré puis au-delà du pré, en ces régions de "bord de mer" alloué au creux ; au trou d'ombre et autres fosse ... post-porte. O,n veut : faire haute, dire haut, chercher haut, aller haute. On ne veut pas (plus) traîner là, en pareil caniveau des voix , mais haut de cghez haut aller ....... jusqu'au néné du lait afin de téter sans désemparer et s'en gargariser et pas à moitié ! Née pour être ainsi ...... The Baby vif ! tétant d'allant ! se pourléchant devant les babines blanches ! On entre ! On est passée (fée /bébé) de l'autre côté, côté voie lactée, ciel étoilé, chant de fée, volonté ancré, langage ! langagage alloué à une Sommité Traquée ou comme traquée = le Vrai ! la Divinité des Divinité ainsi "reluquée" et nous voilà ................. touchée ? touchée en vrai ? On veut ;: 

creuser creuser creuser le Passé, et du coup s'immiscer en cette sorte de contrée du bout des Mondes. Et là, regarder .......... la chose. L'ombre portée ? La sorte de Cohorte Énorme ............ buffkles au taquet ? buffles des préqs ? bufflettes cendrées et autres bêtes de trait ? On dirait ! On veut toucher ou on voudraiyt tpucher à  ette bête-né, à ce tracé, dit "des fées" , et autres gravures dessinées comme à main levée sutr paroi des fées. On veut creuser = dire = vivre ! charger = centrer s-on dire et pousssr de chez poussser afibn de pénérttrer de fait ledit passé des données du Vivre, qui sait ! On veut toucher........... parce qu'on veut vivre = poursuyivre . On ne veut pas (du tout) en finir .... mais , en vrai, continuer, aller plus avant de fait, tracer trait des traits et ...... ma&ter de chez mater le Passé de Frise . On est née Bébé ...................................... la mort archivée. On a regardeé le Néné et on s'est placé ...... de façon à voilà, pouvoir s ans frais téter de chez téter p areil ... mamelon "montón". On veut avaler , boire, ingurgiter, pareil lait ..... de frise ? et du coup : grossir ! grandir !  s'élever ! aller sur pieds courir, gambader, sautiller, fré mir ! On est le bébé dit ! on veut de fait c erner le Vif et le Motif ! On ne veut plus 

se laissser berner, méis aller ./.......................................................................................... pouser poussser poussser ........................... dire dire dirte ................................. creuser creuser creuser .......................................... porter porter porter ..................................... monter monter monter .................... et du coup cerner, co:mprendre , saisir, faire eainsi acte de présence en ce Passé "de FRance " !!!!!!!!!!!!!!! hé ! en vrai, il sembleraiot , car ......... né en France ...................... porté ............... ficelé ................... enclavé ......................... vivement la Transe , et qu'on s'en balance ! tracer = dire = charger = construire = donner , à soi-mpême, ce dit "lait des termes" = vérités du trait et autres vérités tracés sur herbe et au-delà de l'herbe ..... post-muret . On veut toucher à  ce qui est qui ................ se présente en vrai, sous nos yeux comme éberlués : ........ un Néné ! et nous d'y aller ......... à le tetér de chez téter en vrai ! lait ! lait de trait ! boire le lait de cette sorte de Néné dudit Passé hors Cimet!ière ..... din gue ! On voiudrait  tout ça de fait le cerner sans s'y perdre. Qui on est la mort acté ? et déjà dans la vie : le Père ? le Vit ? la terre ? de la terre de vie ?  Ver de terre ? traits nés ? charge fière ? volonté des 4 volontés et autres volontés premières ? une sorte de Perte en herbe ? un V ? la lettree V ? une bière ? sorte de Chassé)-croisé avec, ici ....... le Passé retreacé ? On cgherche ! homme cendré ? femme céleste ? On voudrait .................. se rapprocher sans frais des données entières et creuser, les creuser en vrai, les mieux situer et les mieux connaîttre si tzant est. On est la Fée du tertre comme qui dirait. On veut aller, foncer, permettre, situer, charger, porter, metttrre, se donner et colmater le VErbe ou VerbevTroué ....... car, on dirait que (de fait) le Verbe ....... est cfomme "troué" par ................... mèfle ... le Passé ! oh, ça se pourrait ! on cherche ! on veut grave situer ensemble un $certain  ombre de do nnées de base et du coup : treacer = ezn avancer (en vrai) dans les "connaissabnces patentes" d'un ciel étoilé. Car, le ciel est là, devant soi, qui nous apparaît, nous parle ou nous parlerait , nous donnerait de quoi "situer", "porter", "aller", sans se retourner (ou avoir à, de fait , se retourner). On veut touchger ................Étoile d'Ambre , Étoile -TRait, charge sale ou sinon sale comme un peu salie du fait de l'ambre . On veut :

dire et donner de fait

aller et porter loin

les données du trait ..................................................................... enfibn ! VCar, on erst née bébé la mort passée = on renaît = on revient = on se remet sur pieds sur terre allouée à une sorte de chemin "des f"ée""s ou des "données tracées" . On veut coller , et dè§s lors se poster ...... contre. Contre le muret dit "des finalités". Et de là; traverser, passsr, vers .... le Passé de TRait , l'Ombre, l'Ombre d'homme ? on ne sait ! juste une Ombrev ? on ne sxait ! On est fée devenue bébé, la nuit venue ! après le pré du hjour, le Néné -nuit des abats-jours. On veut creuser de chez creuser ledit Passé aux acidités, et y aller, de fait, sans trainer, vers pareille donnée donnée aux traits alloués .........../............................. aimer 

 Aimer ce qui ici est, qui sembke nous ....... aimer ? en retoiur ! On pourrait le penser. Car, vois l'ambre !  vois le doigt ! vois la branche d'arbrte ! la paroi des voix et autres passes d'armes ! vois et fais, de fait, ce que de droit tu dois , à savoir ............................................................................................................................................................... téter ! .................... téter néné dit "du passé" ! ..................... ne te laisse pas aller ! ................ tète le ... veRbe -Creux ! .................................. olé ! ............................ cherche sans tarder à bien téter le lait de ....... l'herbe -vraie ! et tu seras ............ heu-reux ! heu-reux bébé des voix  ! le (la) bébé né(e) des feux du Creux ! ................... = le Passé . Et nous de nous y replonger comme en apnée comme qui dirait ! feu ! allez !

 filons ! 

traçons ... "mamelon" ! ne trainaillons pas mais geagnons grave sur p areille voie menant à l'au-delà d'une sorte de paroi de Rage ! LA PAROI ! Paroi "strange" mais voilà : on avance ! on va ! on en avance ! on voit ce qu'on voit qui va et ne nouys laisse pas en branle , mais .................................................................................... donne de soi  ............ lait de voix ............................  laoit d'ombre ................... la (ma) foi des données hautresc .................................... dite "de porte" ! On monte. On veut toucher de fait les données perlées, et du coup grave tracer sur pieds ... les données genrées ! homme / gfemme ddes allées, femme / homme autoproclamées ça fait son effet ! On veut tracer k'hominidité des données genrées de type Feminité auto-allouée sur pré dépassé . On est née Fée (on était genré ....) sur pré des traits, nous voici comme ... dé-genré de fait, passé le muret, sur Néné ! bébé ! bvébé-nuit ! bébé tétant néné au lait la nuit. tracer = dire = faire = charger = donner .............. et aller de cherz aller vers une sorte de donnée acide.... dont le nom serait : Placide ! ohé ! on peut inventer ! Les traits situés soont traits de cire ! pâte à traits ! faussetés de cire = vies tracées comme vraioes quand de fait , les vies données, ici, sur pré, sqont ........................................ pour ai,nsi dire .../................. vides ! faussetés ! vivacités ! mais vivacités ............. n'est pas Vie en vrai ! Vivacités des Vivacités ............................. n''st pas vie vive telle qu'espérée p ar , de fait, Divcinité. On veut creuser = donner = trzacer = charger = donner (de fait) les données de base ..... à une Déité Notoire = Divine Moitié ? la Semblable ? l'âme allouée à une sorte de "Corps entier" , qui serait ....... la trace ! Le pasdsé de cgharge ! l'amporté des emportés de rage ! Un "passé -charme", genre .................... une portée ! bêtes consacrées ! ribambellisées ! On ne sait ! On trace, on monte, on avance, on charge. on veut toucher touycher toucher toucher à une sorte de corolle du temps passé, sorte innée. Et nous d'y aaller ...... de notre sorte de ...... rechercvhe folle (affolée) de termes avérés ! On cherche ! On veut creuser creuser creuser de fait un certain  ombre vde "données de tertre", tertre)-né post-pré, post-cimetière celte, hors tracés de pré, d'herbesz vertes. Hors = en dehors, de cette sorte de .............. Roche Haute ! Roche_porte . Hors des bonds et autres sauts de bêtes-mots. le ;:Passé est du Passé de trop ! On monte. On veut en vrai akler, jusqu'au plus haut tracé, direction néné, et du coup : téter, téter, téter, téter, téter , téter, téter, téter, téter , téter, téter , téter, téter , téter , téter, téter, téter, téter téter, téter, téter, téter, téter, téter, téter, téter , téter, téter 

, téter ,téter , téter , téter, téter, téter , téter , térter sans s'arrêter,  le lait frais, entier, acidulé, du néné tracé ! treait ! trait étoilé ! trait des teaits squr ciel sacré ! On veut gracve  cerner (ensemble) les données du trait .............. pour mieux situer , de fait, où on est, en tant que bébé né dans un post-pré aux données lactées. Voie des fées ? voies des ombres portées ? traits sur traits et le tour est joué ? re-lecture dure ? re-le passdé tracé ? re-la vie rude ? le trait alloué à une sorte d'aventure diurne ? On est Bébé, Bébé de trait. On est le b ébé -né d'une sorte de Passage Roide. On est le Bébé-né des idées noires. On est passé ............................................................................... t^te froide ! ......................................................................................................... vers le Lait , Lait de FAme ! trace ! t rait ! naissance ! le passé, en ... France- souffranc"'e, ....................... re-levé ! ................................. la danse .......................... transe en branle ..................., et du coup : la Chance ? ....................................... on veut espérer. On veut toucher , donner et prendre, et auusi comprendre, ce qui donc de base est à espérer, à chercher à comprendre, à vouloir pour soi en ces extrémités. On veut ça ! la transe ! le passé reconvoqué sezrait, dès lors, du passé de charge = traits de fée , forces mentales, pensées, parade franche et autres danses au pied levé : la chance ! bal de traitsz ! bises et bisonnées se tapent la maille ! On veut grave cerner (ensemble) les données, données franches et auttres types de données-siouffrances, vives alacrités, charges de fée, financesz./ On est lA fée devezbnue Bébé une fois passée par ce dit muret "des finalités" ... prairiales. sorte de Passé de Fame = Re-nommée des envies de transe. on entere !on entrte ensemble ! On veut creuser (ensemble) le passé, qui en vr&i serait (deux points, ouvrez les guiillemets) : 

"du passé dense"

"du p assé de trait"

"paqssé né en france"

" passé -pré ? "

" p assdé comme "actualisé" en termes de "souffrance" ici re-alloouées"

On veut toucher de chez toucher à ce Passév des Connivences et autres Confidences Sacrées ! et tracer : dessiner! beêtes Rares, Aurochnodoïtées des fo(mes animalves, bouquetinerie fronrtale pariétale ancestreale . puits ! Puits sans fond du Paradis ! On entre ! On veut .......................................................................... sans déconner ...................................... oh , sa$ns déconner ............................................................................ aller, filer, foncer, vibrer, courir, pistonner de chez pistonner sans jamais trembler , aller de chez aller, faire ainsi tracé, coller aux dires sacrés d'un tracé de vie, chanter ! chanter vif (vive) les données du Rire. ET du cfoup : envoyer ! faire son effet ! charger , charger de fait, tracer ! dire ce qui est qui est, ne pas traîner, ne pas se laisserr démonter, ne pas (jamais) se laiiser traverser par des (sortes de) pensées qui  (de fait) ne wseraient pas tout -à fait ...... célestes ? Oh ! peut-être ! on cherche ! on ne sait ! On est fé -être, = à la fêzte car ...................................................... transformée ......... de fait, en bébé , le mur (dernier) passé et hop ! on tète ! tête première ! lait de l'herbe ................ça fouette ! c'est corsé ! pas pour les mauviettes ! ça envoie sa crème et son petit lait comme un fait exprès ! c'est l'herbe du pré qui fait Trait ! Qui imprègne. On est née le Bébé des Herbesz ! On veut creuser Néné = Téter ........ sans frais, le bon lait de l'herbe .......... du pré carré ! On aime ! On monte ! On ose ! On est fée de bosse d'Ombre, et on cherche ! qui on est ? les données Vertes, le Passé en Selle, une soerte de tracé, sans Verbe, ici gravé ............. germes, germes d'herbe. Unre graine. un mot-graine surr paroi des motqs. On monte haute ................. haute roche ....................................le niveau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça porte ! ça envoiue des mots , ça lorgne ! .................................................... vois le niveau ! monte ! colle !va là et reste là sans faute ! ...................................................................................................... on est hautes , hautes de chez hautes. On est hautes de chez hautes fortes. On est Bébé post-pré , sachant téter inné ! On est bouche-trait  sur sein donné de lait. sachant grave téter de chez téter le Beau Néné empli de lait sucré ! mare nostrum et autre collostrum acidulé du Néné Donné. On est née Bébé la mort "traversée". On re-naît , hé ! vérité ! ça le fzait ! on est passée de chez passée .................................................... à travers le muret (la murette de pierrree) et nous voilà toute "remontée" qui cherchons le TErme, Mot d'herbe (Verbe) à decvoir cerner = mémorisezr pour l'Éternité (il sembklerait) ........... mais voilà ............. ce termes ............. où il est . quel esty-il en vrai ? est-ce un termes en toutes lettres ? ou bien : signe étoilé ? verbe-nacré ? vent de sable ? on entre ensemble ! fées ;;;;;;;;;;; on enttre ;;;;;;;;;;;; fée des fées ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;; fée devenue quoi, devenue bébé dit "des lois" ;;;;;;;; croix de bois ! chants sardes ! peuplades de rage ! Passé-trait et voilà les faits ! On veut toucher à ce qui est qui ici se présente à nos mains donnés et autres yeux éber;lués ..................... la Rage ? Le treacé de RAge ? Passé re-tracé sur place ? un passé chasse un passé ? le passé des transes ? On est comme envolées ............ hop, effacées ? On entre ! on veut comprendre alors voi:là on entre en ......................... la paroi des transes ! On est née Fée de Fra,nce ? oh, France / navarres ,

on s'en balance de ! On est .............. (grave) ................ mentales : qui dit mieux , ou dirait mieux question "parade", "jeux", "creux" ? On Passe ! charge "sale" ! feu ! Cherchons (à deux) les do nnées de rage et .................................. vite ! fuyons !  ne cherchons pas davantage ! allons ! Le mot est rond ! la Chose est haute, qui nous voit volante, montante, essaya,nt (de base) de tracer sur roche, qui sait, un sentier, sentier d'approche, de montée profonde" ....././ et autrtes recherches hautes. fée-bébé ! ça le fait ! on est née .........../...................................................................... eh bé ......................................... post-mortem .........................; bébé ! ................................ re ............................... re ............................. re ................................................. re ............................ re areu ..................................... recommencements "heureucx" ...................................... retracés de base ................................................................. re-balancements de charge ............................. re)-livraison "hard" ................................................ voeux pieux ............................................ amandes .............. noueuds ...........;;;;............................................................ noeuds d'amandes au mieux .......................................................... re .........................................../....................... re le temps miteux ../.......................... l'ensemencement des creux ............................. on veut :

être Verbe, faire Celte, toucher pied, Tracer de chez tracer, creuser treait et autres "treacés de Fée", se donner corps et âe aux Saintesz Sacrées et Autres Saintes Surnuméraires des Hautes Contrées. Faire = donner = dire = froncer = coller = charger, charger ivre ! dire vif ! porter ! creuser ! allouer à un Rire une sorte (en vrai) de Dire Cerné, de type ....................... souveraineté des Tracés Cupides ! le charnier ? loa vie passée ? vie et contrevie et autres vies "salées" ? On veut toucher en cvrai la vie passée , soit ............ le passé Nacré ! = l'entre-vies ................................. paradisiaque ? = pré de rage ? herbes en folioe ? bêtes de taille ? cris d'envie ? on charge ! On est née fée, en promenade sur un pré , et ... on regarde les bêtes (comme nous ?) passer ........ traces ! craies ! bousculades ! débordements de rage sur paroi ornée ! faceà nez ! mains outrées ! mains des mains sur main des mains ! une sorte de .... passé de mains ! sur paroi de fée. Chants latins. porte d'entrée. sainteté ! chants sacrés et autres cris de faim : ouin !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ouiiiiinnnn !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on a faim !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! grave faim !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! faim de lait sucré -salé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! sans déconner ! on est ...................... les affamées des traits sur par(oi des fées ! Et on veut .................passer passer passr ....................... v  ers : le Néné, des Contrées dernières ...... outre-muret .................. post-cimetière, mort enterrée, aller, filer, traverser le dernier muret, direction .......... tertre ! tertre ! tertre au néné ?  tertre des tertres eet ..... le Néné re-naît qui pourrait (ferme) nous donner son lait et du coup nous calmer, nous satisfaire, nous alimenter et nous donner de quoi .......... tracer de chez tracer .................. le trait de l'herbe = Verbe ! le français (ici) sur pied ferme, et voilà le trait ! Chose Alloué Surnuméraire : terme-né , le Terme des traits , genre le passé ...........................  "recomposé" ! hé ! dingue ! On veut :

aller, aller , pôrter, dire, aller, porter, dire , sonder,; aller, porter, dire, sonder, aller , aller , 

creuser et sartisfaire nos envies de l;ait en tant que bébé, bébé né post-pré (après le cimetière) à jamais ....... ou sinon à jamù&is .......... un certyain temps patent, de terme à terme , vibrant, sondant, creusant, pistonnant et s'alignant ainsi face aux Roches Transies et autres Murs de Bosse  : paradis. On monte. on est hautes. On aime l'ombre .... ou sinon l'iombre, l'es données   hautesz ............... = profondes. On monte sur Roche et hop ..... direction la noce ! fêzte et rondes ! une sqorte de nouba sur grotte , Paroles ! On monte. qui on est on est le g&ébé né , bébé -sonde. On veut téter. 

que. On ne veut que ça ! téter en ces bras-là ...../........ de la Diva ! Roche Haute ! trait de porte. On veut en vrai creuser sans se soucier de qui de quoi est né sur pré ou pas ........... car, nous, ............ on veut avant tout, ....../....... teter le Néné né du trou ! lait de gnou ! Lait frais .....................sucré-salé on dirait .......................... jus nacré ................................. coulrzereait en nos gosiers ... de bébé-né ............................................ la mort dépassée. On est la Fée chantée : hibou caillou genou, et nous voilà toute trans-formée en bébé -né du fond des prés ! calculé ! situé ! sachant (grave) prendre le néné et téter comme une sorte de ........... bébé de trait, hé ! on dirait ! ça m arche ! On est (on serait) de base animale quoique ! Ou alors quoi ? la Rage ? passe d'ambre ? une sorte de (en soi ?) passé de base .......... qui remonte large, reviendrait de rage refaire surface ? On entre = on entend = on comprend = on cerne = on trace = on file = on tresse = on trie = on est la Fille Fée des Vies Tracées sur ROche Ornée ............ dezvenue Bébé à la traversée de la mort Donnée (comme s'il en pleuvait, qui sait ?). On est passée nue .......... hé, cul nu ! bébé -trait ...... vers les Nues Étoilées d'un ciel donné ............... velue ? ................... poilue ?  ..................... cornues ? /.............................................................................................Montons haute sur roche VUe, alloons de bosse en bosse et tétons "Roche du Cru", aux données fortes : lait alloué à une sorte de .................... passé Lacté de type Lait ! Lait de trait ! lait de mère-née, mère Salutaiore . On veut creuser = dire = cendrer = charger = construyire = filer = piousserr = chanter = perdurer = donner ........................................... afin de nous "instruire" ................. sur, ici, ce qui est ................................... qui nous regarderait .................. sans discontinuer : qui c''st ? le druide ? le Passé "fluide" ? le Passé "outré" ? La Vive Clarté des DObnnées Tacites ? un passé de trait ? l"emportée des emportées qui nous avalaerait d'un trait ........ gloups ? ezt nous .... hum, roterait, dans la foulé ? On est née fée sur pré (une fois mort et enterré) et à présent le temps, le temps de l'enfant, l'ensemencement. On est touchée ! on est grave touchée. On ea envie de tout balancer on dirait parce que voilà, on est grave touchée icio-bas, sur pré-pré soit en ces contrées des données terrestrtes ... françaisesq (ici françaises). On est  comme une sorte de Fée Marraine .................................... en germe ! terme ! date du terme ferme ! Aloons donc ! creusons de passion ! chargeons-butons ! eesayons de raison, de tracer (creuser) Roche ................ du front ! coup s forts ! sortes de coups forts sur Pierre d'effort. On est bêtes-corps. On veut (hautement) passer mentalement ................. la Paroi Ornée d'une Groote Ajourée . Et du coup .................. le pré , nous y retrouver ! et là : chanter salé ! creuser sentier ! s'en donner à coeur hjoie des données de base !  aimer ! s'accoupler ! se donner de charme et toucher Traces ! creuser = cendrer ! 

 pousssr de chez pousssr ensemble "" la Romance = le passé du pré ! avant ledit passé post -pré = Lait ! L ait frais en conformité. On aimeraiot ............../././...................... allert aller aller, chanter chanter chanter , dire de chez dire ici (paroi) la Niche des Fois, Fois en ce qui est "en face"  ..................................... la Muraillme Ultime ................................................. "m aritime" ........................................................................ mer des traits de rage ..........vaguesc ...................................................................................... vagues des plageS ........................................... on tyrace ........................................... on aimerait = on voudraoit = on espère ............................ pôuvoir de fait, aller sur tracé ...................... v  ers ce Néné des Elfes, Néné Né à la tracversée et nous voilà cfomme alimentéez "de pied ferme" ! on aime ! on veut ! on est Bébé Heureux / heureuse post-sentier ... aux herbesz vertes , et du coup ..... on tète , tête première, Lait de ferme ........... lait enteier non -écrémé ............... ;lait chaud "de ta mère" .................. du "tuyau" .................................... lait nacré des hauts ................ grave (de fait) coté , soit méga-coté question qualité ! lait frais ! lait nacré sacré ! ancré de chez ancré en cxe Néné ... des Contrées Célestesc : le Passé ! car , lme Passé est .....................c éleste ................................ il sembkerait ! cherche ! cherchge à cerner = dessiner.............. le Passé en herbe ............... et tu sauras tracer sur pied les données du VErbe ............. tel qu'il est "en sainteté" ........ son "être" .............. wses longueurs de traîne ............... son (propre) passé de Verbe "inné" soit "alloué" soit "donné" soit "porté"" par (il semblerait) un ciel sacréb = le Terme  = date fixée , accrochée, située, comme tracée sur une sorte de ................. treait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! d'herbe verte !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! près pré ! et ça le fait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! herbe verte = trait des traits ........ des donnéesq du Verbe ! Verbe alloué ! verbe "cendré" , de type ............................ termes ! termes tracés ! On veut :

aimer, dire, sonder, construire, poussser, creuser, chyercher, aller, commencer à en vrai tracer une sorte de cxhemin "de fuite", chemin "fluide" sur Passé de Tire. On est la Fée Intime, celllle qui est née , ici, fille, sur praieie des filtres, et voilà là qu'on se voit à , il semblerait, vouloir de fait , aller là-bas, voie des Rois, Reines de Saba ou quoi ? reines et Rois des Foies, entrailles des Sages. On voit ! on voit q uoi ? on voit un Convoi ! de bêtes sardesz ......./........../............... des envois de masse ! .......?......................... ch arges d'antre ! ......................... poids de  croix ............................ on trace = on avance = on va = on monte = on s'envole ! on est hautes car, on monte haute ! on s'accroche ! on ne lâche pas (plus) la paroi de Porte. On veut ça :

LA VOIX !

VOIX DE BOIS !

TRAIT DE RAGE SUR PAROI D'EN FACE = LA VOIE .....................OÙ POUVOIR (DE SOI) PASSER NEZ / TREAIT / DOIGT DE FÉE ...... On voit ! on voit là la voie, l'(entrée, le trait ... d'une sorte d'entrée pour fée acidulée telle qu'on est de fait, il semblerait,  en vrai. On est ................................................ lettrée ................................ hé ! ../.................. .............?.?.....?............................................ fée ,-comme lettreée ? .................................... faite de données données de type : termes ? lettres ornées ? trans-identités marquées, gravées, tracées ? On cherche ! On est comme toutrzsx"retournées" de nous savoirv (enfin) passées, ou comme passées, à travers ! on nje pensait pas y arriver .... eh bé si ! tracées = passées ! on pouvait le pensqer ! On est née fée traccée ...................... à la craie ? ..................... sur paroi de Roche-Porte, née = vue = nue ! 

On est nue-fée, sur ........................................ pré-passé ! ............................................ prtête à traverser (à nouveau) d'un trait , le muret des fées " , dit "muret des fées" car ....................... posté, haut posté, hors du pré, pour un passage accordé aux (ou des) fées alloués à pareille copntrée enclavée .............  v ers ..............le Passé dit "surnuméraire", aux données l actées ! sein de lait ! sainte ! sainteté lactée comlme affirmée et avalisée par ........... qui sait ? .............. un TERAIT ? TRAIT DES TRAITS ? ............. trait ferme;.............?.????.?......................../.................................................................................... trait des traits comme alloué à une sorte de "germe imberbe", nouveau-né, genre "bébé-germe", petits pieds. On veut toucher de chez toucher ce germe , cette graine ici centrée , trait des treaéits sur herbe verte auto-proclamée, ou disons ............... auto-postée .............. auto-centrée .................. prête à traverser ce dernier muret dit "du cimetière" et gagner de fait l'esopace"derrière" : ..........//./............. mère ! ............................... mer amère .................. mère née ................................................... aux données lactées ............ mer de lait ............................... qui c'est ? Déité ? "Mort-Mort-Mort des Traéits" ou dite telle ? Une s  ommité Maternelle ? matérielle ? Sommité vdes Sommités Ancrées ? Verbe ? Verbe D'aile ? Une Sorte (en vrazi) de Verbe Tracé de type Ailes ? éai:les de fée ? car, le Verbe seréit ..... treait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! trait allouée à une sorte de .............; p)aire ................... paire d'ailes ! ailes de fé ! fée des fées ! On aime ! on like grave" ! on veut :

dire de chez dire ce passé dit "surnuméraire"

cxharger grave kles données du verbe, verbe dit "imberbe"

sonder de chz sonder les termes du passé Nacré

poussszr la Porte des Toilettres et aller pissser

toucher néné pour Téter de fait le Lait Entier

creuser freuser creuser d'un trait d'un seul .... ledit "Passé des Finalités" il sembleréait

Chercher querelle ! à qui ? au Trait ! tRait très traqué, du fait que voilà ............. on a traversé l'ultime (der des ders) parois vive .......  vers là-bas, la Rive, Le Passé de Rive , Trait deesx foiesz .................. voie et voix ...................... le langage- )trace ....................... d'une sorte de "charade " ..... sarde ?. On voit ç a : la panse . Le néné "de France" ! lait tracé ........... la planche ................. on est née (re-née) bébé ............. de l'Aiutre Côté, cherchant Lait à pouvoir téter sans désemparer ! car, on aime (grave) le lait ! on le vénère ! on ne v eut pas rester de fait sans pouvoir téter , mais , grave de chrz grave, bnous alimenter à même ce Néné dit "surnuméraire" : passé remonté, sainte Chapelle, un trait est un treait "qui nous appelle" (ou semblezraoit) en tant qu'il seraiyt .... liié au Verbe ! Verbe d'ailes ! Trait des traits au milieu des ailkes = Verbe -Treait donné ........... des doonnées  imbervbes .................. d'un (d'une : sorte de) nouveau-né post -pré............... saint sourcier ............. On aime ! on dit qu'on aime ! On veut : 

creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creiuser crsreuser creuser cdreuser creuser creuser , dce qui est, ce qui nous plaît, sur ce dit "tertre" des données dernières . On ne veut pas se laissser faire ! on veut (grave) tracer, foncer, faire de fait les choses qui nous plaisent (en ces quartiers) et seulement après ................... cxhehercher, chercher en vrai ce qui ici nous semble, ou semblerait être , ........ à devoir chercher en priorité ....... le Nénév ? Sein donnév ? lait ? On dit (de fait) que le Pis est né post-mortem.................................(Spi ?) ..................?........ est-cve vrai ? est-ce ? est-ce une Vérité tout ce qu'il y a de plus vrai ? Ça reste à prouver iul semblerait. On cherche. On ne cesdse de chercher. On a grave envie eznsemble (ailes) de trouver et, une fois cela fait, une fois ma foi qu'on aura trouvé, on pourra ......... traverser ce Tertre, Passé Des Traiotsz, ce post-cimetière aux Données Célestesxs .................... traits sur traits : une étoile est née ! vé ! comme ça le fait ! dingue ! oh, on aime ! on veut être ........................... eh bé , dans les  tuyaux ! et mieux connaître ... Dieu, D2esse, Déeeses ... et ses soeurs et frères, Mots de TRop et Porte Haute des Données profondes hors mots. On est:

fée des traits un temps, puis : bhébé des bébés-nés sur Passé de trait ! dingue ! On aime ! On veuit :

dire dire dire dire dsiredire dire dire dire dire dire dire dsire dired iore dire dire dire dire dire dire dire dire xdire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire vdirevdireccxdire dire dire vdire direb dire dire dire dire dire dire dired dievdired dire dire dire dire direvdire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire diore dire dsiren dsire direb dirednire dire dired idrer dire dire dsire dire dire dire dire dire dire dsiree bdire dire dire dire dsire dsire dsire sire bsireb dsiredc dire dire dsire dire dire dire de chez dire le dire du dire , et dès lors creuser, creuser de chez creuser , le dire "outré", trait des tréts, trait germé, entre ...... deux  passés comme "prsésentés" en ces contrées dites "pré" ........... du fait que .......... oui , ici, ................... ubn pré précède le Pasdsé , qui lui même précède ................ un pré .................. il semblerait . On veut toucher , on vgeut téter, on veut du lait ! vive le lait , le lait entier ! lait de vie donné ! vive le lait ! vive la vie ! et , en vrai, le lait de vie ! On vfeut (de fait) vivre sa vie .....  de type "lactée" à jamais ! re-commencer , re- re - reà jamais téter............. le lait frais ............... de la vie lactée ! on veut :

donner donner donner donner, creuser creuiser creuser, creuser, chargercharger cxharger charger, dire dire dire dire, sonder sonder sonder sonder, porter porter porter porter , décidet décider décider décider et dès lçrs s'immiscer , en douce (on dirait en douce), en ces contrées dites "des finalités", ........................................... sweins de trait .................................................................................................... sein donné ........................... ............................................. seinn-s des seins donnéews ........................ et téter ;, téter , téter, téter sans discontinuer , afin de bien s'alimenter pour pouvoir perdurer en termes de vitalité. Téter = porter ......... porter = téter. Trait !  Traiot porté des données hautes . On monte . On veut creuser, dire et sonder, charger, soulever, comprendre, cerner au plus près les données de bhranche. On est née "La Fée du pré" la mort actée, nous voiulà devebnue bébé le mur du fond (du son ?) passé .... sachant téter et ne s'en privant pas ô grand jamais, car, on aime ça ! grave ! On raffiole de ça ! on adore ! grave de chez grave ici on aime ça : téter vrai le passé lacté, Termes frais, MOts de crème et chrème ! oint et ouiiiiiiin ............... on aime ! on cherche ! oh on cherche .............. le néné né du sein Donné ! ......... afin de OUI

téter de chez téter

lait des laits donnés = herbe = verbe (comme qui dirait) et ça le fait (un trait : trait d'herbve !. 

Fée nacrée, fée des fêtes, fée d'herbe, fée des fées devient de fait au passage alloué .................................. sorte de B2B2 surnuméraire ............. du passé ! un bébé du passé revenant sur terre ? On peut rêver ! on aime ! on aime l'idée ! on cherche ! on veut .......................................................................  erner cerner cernerf  cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner  erner cerner cerner cerner cerner cerncerncerner vcerner cerner cerncer cerner cerner derner cerner cerner cernerr cerner cerner cerner cderner cerner cerner cerner cerner cdeerner cerner cerner cerner cerner cernerv cerner cernercerner cerner cerner cerner dener cernercdener cerner ernercernerrcdenercerner dernerv cerner cerner cerner cerner cerner cerner de chez cerner ledit sein donnév = dessiner, sur roche ornée, le tr&acé donné ds'une sqorte de "rotondité" olé olé  de type ............................... néné ! néné à lait , à pour le coup  téter en tant qu'on est , de fait, un / une Bébébé )-)-né(e) sur terre "brûlée" des données en herbe ! tertre ! tertre alloué à une infinité (iun infini) de dires étagés ......................... tracés .......................... alignés ............................................ tenus .................................. sur ciel en vue ! On est ................... nue ...............................; née ............................. vue .................................. au Passé des traits" ........................... = connue ! .............................  à jamais, par , il semblerait, sorte de D2ité des D2ités, de Type ................................................................./....... Trait ? trait des traits ? et , qu'est-ce que ça serait ? une sorte de .... tiret, entre deux moitiés ? genre .................... corps de fée ? .................................. genre "trait des traits" alloués ... à une sorte de ............................ "tracés de fée" ? .................................................................................................. on ne sait ................................................................................................................................................................................. mon dieu.

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4/3/2025

On veut comprendre = descendre = passer = enttrer = faire = chercher ici et là , "de l'aiutre côté" , une sorte de "manière" ... afin de (pour le coup) TRACER de chesz tracer un trait = vitesse ! Vitesse "des prés" ... on aime ! On veut toucher à ce Néné post-pré et pour ce faire il faut "tracer " = dessiner et filer ... à fond la caisse comme qui dirait. On a envie en vrai de ... dessiner les termes d'une sorte de (en fait) charge de terre  = pelletée, pour recouvrir ... le Verbe ? le tracé alloué à des termes "vrais" : mots de bêtrs ? On cherche ! on cherche ici et là à dessioner ce terme, dont voilà, on cherche ensemble, ou on rechercherait ensemble, "toi et moi", une sorte de définition , 

de définition ,

de définirtion "parfaite" ! on cherche ! On ne veut pas lâcher ! on veut toucher à ce qui est qui dit 

La Vérité telle q'elle est ou serait sous nos yeux de fées. On veut toucher à ce Néné du bout du monde, post-pré, post prairie fleurie et habitée 

de  bêtes =  bêtes-vies. On veut :

dire ce qyui est ici,, qui nous accompagne et noius regarde ,

dire ce qui est qui ici nous regarde 

et nous accompagne, bêtes des prés, bêtes-mots de Rage, on enttre ! on veut toucher à ce Néné (post-pré) des  "Contrées lointaines"  hors paysages (il sembklerait !) et aller. Dire et toucher. Faire et mesurer. Chercher de cghez chercher ensemble post-muret, les donnnées de base. Qui on est . A quoi on ressemble post-muret. qu'est-ce qu'on veut trouver"qui le fassse"". Sommes -nous des "fées de rage" ou alors ..... bêtes-traits ? traits tracés à mzin levée sur face pariétale ? On veut creuser ensembvle ce muret des Chances, passer, passer ense mble = allouer à un passage une sorte de "Persévérance" incroyable ! Qui on est, et aussi : ce qui est qui , en nous, nous pousse ou poussserait à vouloir entrer .... qu'rst-ce que c'est . On avance , on trace, on file, on monte, on creuse, on trace de chez trace le muret d'en face,, fin de pré des Rages et autres colères tenaces (contre Déité La mort de base ? ). on commence ... le treacé : 

traits, trais des traits, traits de charge, bêtesallouées à une sorte de "Parade Cendrée" ! On est nées fées en ce paysage, des prairies 

des prés 

des prairies touchées, des prairies aux fé"ées

des prairies aux couleurs vives et autres 

couleurs acides. On veut :

dire dire dire dire dire dire dire ici et là ce qui nous habite en fait de croyances en ... eh bé, disons, la Rage, ici, de dire en vie ce quyi nous rassemble , nous réunit, nous assemble .... ailes de vie ! vie des vies ! Charge mentale d'une sorte d'envie en nouds "emboutie" ! On passe ! On creuse large . On veut toucher à ce Ramage, Bois de base . On veut :

dire et dire vif, aller en ce pré et coiurir sans traîner, vers ce dit "muret des Alacrités" . Charger. Si possible cgharger = foncer = passer = passer vif ce muret des traits et nous retrouvrer , en tant quye fée ailée, de l'Autre Côté, à regarder -mirer, chercher de chez chercher ici et là quelques vérités, traits tracés , objets, données .... qui nous enseigneraient ou nous renseiegneraient sur ce que c'est que cce dit "P assé" ... à venir ! CAr, on sait, on devine, on se doute fort, on veut, on est fines, on veut cerner mais voilà on sait, on voit, on ose ensemble ici et là, toucher la paroi .... et du coup Passer (trépasserr ?) , passer vives ... de l'autre côté, côté "vivres " = Passé, les vivres du Passé = le Lait ? offrande à la MOrtl-Déité des Données de Roche. On veut toucher à ce Néné des Ordres. ON est de"ux .......... on est en vrai (en soi : fée) deux ! deux aiIles de feu, deux par deux on ose, on est dieux de Bosse, dieux De Rage Rosse ! Fée des données hautes , genre Dieux de Bosse Haéute. Dieux de s Feux des tracés de Roche. On veut :

dire, haut et fort, ce tracé tracé, dessiner , graver , D2ité ! Déité des D2ité  ! Dieux-déessses vraies ! charges à trait ! creuser = creuser = creuser = creuserv = creuser = creuserv , les données de Rovche, et de Rocher. Qui on est ? On est Fée -déesess allouée à une sorte de ..... Tresse ? Trois fils entrezcroisés sur pré et ça le ferait pour en  vrai nous aider à (ici) trépassser sans vraiment passer ! on cherche ! on est née sur pré à la retiombée sans  se casser le bout du nez mais un peu remuée, quand même, mais enfin on cherche ! on ne trai^ne pas, on trace, on avance, on voit, on voit ça : la Trace, sur Par'oi, d'une sorte , en soi, de "parade" , "parade étrange", faite ici et là de Bêtes de CHarme et autres Bêtes-mots de base. On voit Convoi (ou ce convoi) en face ! la PArade aux Charmes ! treaits de voix ! cris d'effroi ! un chant sarde ou pas mais ça envoit des masses ! tralalalalalala sur paroi, ça chante ! ça creuse la Foi ! ça ne lésinhe pas sur les enviois ! mains de maintenance ! maintenance en transe ! on danse ! on voit là ce convoi des phrases ... de toundra ! bêtes de paroi ! Bêtes vives et autres la la la des Rives ! On voit ça . On ne veut pas lâcher le tas mais ... tracer = passer = entrer = se retyrouver ainsio "ailée" de l'autre côté, côté rocher, à gambader ainszi accompagnée par X 

b^tes de Trait qui nous observe ou nous observeraient, semblent nous observer ou sembleraient , et nous .... de même . On mate la Bête, on la meate grave, on avance. On cherche passage, passage de fée entre bêtes de trait .... on trace. oN veut comprendre ici ce paysage ce qu'il est en vvv'ai, en termes de données premières. Qu'est-ce que c'est donc, que ce opré aux herbes ? qu'est-ce que c'est que cette herbe verte ? qu'es-ce que c'est que ce Verbe ÊTRE ici décliné ... au passé ? on cherchje ! on veut trouver-toucher, cerner les données, creuser de chez creuser le Vezrbe, et y aller de notre Théorème Princier ...  car, en vrai, les donées du Verbe ÊTRE sont données "fermes" . On sait ce qui est. on est nées fées eyt en vrai on sait , que, voilà, là, les bêtes de paroi, sont bhêtes de hjoie = je ! je = joie et joie = je ! On veut aller , aller et tracer, sur pré Alloué à une sorte de "tracé des FEux" ! On est : fée des fées ! trait des traits ! creux / creuses ...... et on court sur cours ! On veut .............................................................. dire de chez dire, ici (pré) ce qui est qui est, en termes de données de fée : 

- le passé devant : qu'est)-ce que c'est. 

- le présent des présentsc: ce que c'est. 

- la hjoie allouée (à une sorte ici de pré, ou de prairie cendrées) : qu'est-ce que c'est en vrai. 

On veut :

aller vive (vivre ?) , dire, creuser et plonger, plonger ivre , ivre de chez ivre ... en ce p assé "de frise" = le Passé post-pré ! la  vive clarté insoumise ! lr Passé post pré... est passé de frise ... est passé de Trait ! On veut :

dire dire dire dire ici (le trait) ce qui est quyi est, de fait, pour une fée. On veut : 

ensemble toucher à cettte frise ici des dires et autres tréits de vérirté. Le passé lacté ? le passé aux nénés ? le passé au lait ? passé-lait de tire et autres traites vives ? traits ? On est ivres ! ivres de lait ! ivres en vrai de lait de pis ! on veut :

creuser creuser creuser creuser, et téter téter téter téter .... pis que pendre ? les données données ou comment ; téter .... téter le néné, téter dur Néné, pour mieux s'alimenter  ..... aller, creuser = vibrer, dire, charger = constryuire. On veut ................................. dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire ce qui est, en vrai, qui (de fait) nous attire , là, en ses filets dorés! drîoles de dires ! on va y passer ! on va clampsezr ! on va trépasser ! on va disoparâitre d'un trait ..... de RAge Cendré, si jamais. Mais voilà ............. on est la Fée dite "du PAs" ! On ne veut pas , on ne traîne pas, on ne lambine pas, on ne se -laisse pas aller à se laisser toucher comme ça, par, là, le OPasséRoi ! on ne veut pas de ça, Cerise ! On veut ........................ "poussserr à deux ""'" la Chose Permise, ou comment dire ? Aller = poussser, = faire = creuser et du coup passer, passer de l'autre côté mais, de fait, sans trépassser, sans y passer en vrai, sans devoir succomber à jamais ! frise ! et, on touche la Touche ! on veut : à deux, aller, dire et passer, et mater de chez mater ... eh bé, un certain nombre de données de fait, à savoir :

un trait = un trait de fée

un signe alloué = un signe alloué au taquet

Creuser = faire = donner = charfger = toucher à ce qui est ici post-muret, à savoir ........ un néné, qui sait ? plein de lait sucré ça le fait, et nous d'y aller, d'e s'y vautrer , de s'y coller, de s'y donner pour en  vréai téter (mort haute) Lait Des Morts et MOrtes ? oh ..................... on monte ! On veut haut les Hauts de Roche atteindre, de Haut ! Toucxgher-creuser ! Téter haut le SEin des Hauts. On est kla F2e en vrai du Haut Niveau, sachant grave ... prendre Cavale ! On est ............................ fée de trait ! cgharge mentale ! trait ! roche cernée ! On est la fée des données hautes toutes lactées (étoilées ?)  et on ose ! on ose alller , aller creuser et dire et charger, dire kles données, creuser grave un sentier, charger de chez chazrger telle porte d'entrée ! de rotonde vraie. on veut : 

allouer, à une sorte d'éternité (contrée), kles données de Roche : bisons futés et autres Bêtes Grosses (de trait et de somme). On veut toucher à ce néné du bout du monde et le téter sans discontinuer ..... à la ronde ou comment ça serait de fait ? à l'ombre ? On veut .... aller de chez aller, dire de chez dire, tracer de chez tracer, percer de chez percer, combler de lait notre IRE Enjouée ! colère vive ancrée, sang placé, trait des tra&its  sur paroi mobile (comique ?) . On veut :

toucher ivre ce tracé de bile , colère vive, sang glacé , et tracer de chhez tracer cette ire à jamais , sur roche allouée de grotte divine ou sinon divine ... vitrine ! On veut : dire dire dire en vrai, les données nées ! sur roche de pré ! creuser ! creuser-allouer à une sorte de muret (de fin de pré) un certain  ombre vde données de frise ............ genre "animalières". Le Passé est Animalieer . Serait ? On cherche !!!!!! On n'arrête pas de chercgher et de mater et d'eesayer de nous 

et d'eesayer de nous y reconnaître en ces drôles de contrées en herbe ! qu'est-ce quye c'est que l'herbe ? des treaits ! Que sont ces traits dont vous parlez ? des fées ! oh o h .... et si c'eétait vrai , et pas faux ? On monte haut. On veut atteindre le plus haiut niveau des données cde l'herbe , herbe verte, traits de fée sur pré. On veut : toucher de chez toucher .... le Verbe comme qui dirait ! mais, est-ce qu'on peut en  v rai toucher .... le Verbe ? est ce que le   erbe en  vrai peut être trouché ? qu'est-ce que ce'est que ce dit "blème" des données du Verbe  ainsi pprésenté ? on ne sait ! On est fée tracée, on cherche, on regarde ce qui est qui est près, on cherche l'entrée ! On est cfommpe il sembklerait dans un cilmetière aux données vertes. grises cendrées mais aussi vertes comme les prés. Car, oui, on est passées, on s'est comme retrouvées sur un pré, à devoir brouter (sans rtraîner) de l'herbe ! herbe verte des prés alloués à ce treacé de Verbe. Genre Herbe en Herbe ..... Herbe VErte sans frais. On aime ! on aime brouter comme on aime téter. On aime aller ! cghercher du lait à la ferme d'à côté ou de proximité il sembklerait : veau de trait ! vcache à lait ! colère ! sainteté ! une adresse : le Passé !!!! Passé né après .... c'esst-à-dire , après le pré, post-pré si vous préférerz , car voilà, le Passé esrt ce TRacé aux fées post--pré en herbe ................... verbe ........................ passé-VErbe ...................... un passdé de VERbe ! va -et-vient du verbe au sein des données, données Hautes ....................................... de Haute PORTE ! On est :

fée des fées, fées allouées à une sorte de dsonnée donnée, fée des fêtes et autres joyeusetés, fée d'herbe ou même fée en herbe . Un tracé. Une sorte de trait = brin d'herbe ajouré. On veut creuser le  Erbe dans sa chair ... de fait accolée à une sorte de ... peau ttracée ........ dessinée ............ ou même imaginée par une fée dite "des prés" , qui sait ? On aime aller, on creuse des traits, on trace grave son sentier, on entre ! On a grave envie ensemble, d'y aller sans traîner soit sans lambiuner, creuser de chez creuser son ambre, tracer son tracé-sentier, fgagner là-haut haut les Trembles = le P assé du Haut, Haut Niveau ...... la Chyance ! On veut allker ensemble = ailée ....... judsqu'au dit "Passé des Données intendses", dites "Intenses Données de la CHance et du Passé de TRait". Creuser = dire, et dire = creuser. Creuser Fossé , dire le fait , comme quoi le VRai est ............................ dudire de LAit ! lait de rtrait ! lait frais ! lairt de vache à lait ! non écrémé ! On veut :

dire ce qsui est, voir ce qui se voit, faire ainsi que des données de base noius soient révélées et à tout jamais si tant est ....... ; on vibre ! on veut creuser .... eh bé quoi le Rire ! ici, aux données vives ! RIRE-TRAIT ET AUTRES JOYEUSETÉS , QUI SAIT ?On veut : rire de chez rire = tracer = creuser = foncer , à toutes enjambées, vers du dire frais ! = vérités des cvérités , des 4 vérités (décomptées) et autres vérités des Vérités. On veut toucher toucher toucher à ce qui est icfi qaui semblerait vouloir (de fait) nous parh$ler de faits que nous saurions (en vrai) tracer )- dessiner (nous) dans la foulée ..... il semblerait ......... car, on est, on sezrait, on serait des ....... qui savent tracer , dessiner)-graver, ce qui est qui est en termes de ................ vis-)à -vis ....................... visages alloués .................... faces vraies ............................................. En effet, on pourrait (pour ainsi dire) dessiner-graver , en vrai, les données récoltées ......... en nos sortes d'embardées nacrées ..................... trabnses de fée ............................ transes-danses sur pré ................................. récolter, et dès lors vite tracer pour mémoriser .......................... les données du Vivre , VIvre VIte , ainsi rencontré post-mure t des Dires ........................................... toucgher = faire = centrer = creuser = faire = centrer = charger = poussser = allouer à une Entité Donnée un "titre" d'étrangeté, et autres bizarrerie de trait. On veut toucher touycher toucher, de chez toucher toucher toucher, et aussi creuser creuser creuser, de chez creuser creuser creuser, mais aussi allervaller laller aller, de chez aller aller aller , et du coup : tracer ! grave trracer ! creuser sillon de données = sentier , jusqu'aux dits "nénés alloués à une Sommité" .... genre déité des déités, Déessse-née post-pré (hors cimetière) en Pays de Bière ! LAit ! lait donné, perlé. On veut creuser. on voudrait aller. on veut toucgher. On voudrait cerner en vrai ;;;

 ......................../

quelques faits vrais s'il en est ............ et on sezrait du coup complètement ok, de fait, car comblée , soit comblée de lait, lait sucré , sucré-salé, qui saurait grave en vrai nous satsifaire et peut-être même nous complaire ! complaire-combler. ON veut toucher Néné du Lait sans trop tarder dès que née sur pied ! traite ! tétée ! s'alimenter de fait ! aimezr ! lécher ainsi le lait de l'herbe" = le VErbe ! VCerbe-trait faisant (comme qui dirait) la Navette .... à toi à moi ..... de là à là ...... verbe-Navette ........ verbe de la Foi en l'Être ! nouba ! tralala ! chants celtes ! la paroi en joie ! une sorte de fête de voix ! on voit ça ! ça chante la la la la transe ! ça encvoie du bois ... de charme, et autrezs bois

 de bonne combustion, genre .... mélèzes ? bois des chataîgnes ? bois-de chêne ? On voit là le bois brûler sa graisse ! On veut ça : la jhoie ! la belle colère ! Le ÇAA, le Moi, le sur-moi de Tresse, l'envoi deSoi, la Tresse vAncienne et le TRacé comme vfaisant Foi sur Trait de Perte. On voit :

La chose de Soi = l'envoi 

La tresse = la voix 

Le ciel = l'émoi 

On est : bête, bête-maîtresse des contrées du verbe = pré de choix, post-paroi, en ce cimetière. On veut de fait .......... creuser de  chez creuser (en vrai) notre propre voix qui serait la voix des par(ois du Verbe" , et au-delà ...... la Haute Plaine, le Tracé des bois, la lointzaine CHaîne, là-bas, Voie des Voies. On veut connaître. On veut toucher-connaître cette voie afin ici de (pour le coup) passer le genou, la tête, bras en fête, pieds de traîne, le cucu celte ! On est nues ! n ues de chez nues ! cul nu / Vertes ! on aime ! on aime (grave) être nues ,  et tracer de base vers, .................................................................................. au large, ................................. la mer .............................. lezs vagues ................................... vagues vagues .................................. vaguement nacrées comme qui dirait ....................... et autres traits lactés il semblerait ................... mer de lait ? ................... laiot de mèrehâlée ? ............................................................................. on ne sait ! ................................ on cherche , on recherche, on s'emploie de base à ici chercher (en vrai) ce qui est qui est, en termes de ............ "néné des nénés" et autres termes ............... termes de traits .......... traits fermes et autres traits post-cimetière des données en herbe ! ça le fait ! on est ELLES ........ CELLES QUI ............ CELLES-LÀ QUI, DE FAIT .............. SAVENT TRACER-TRAQUER .......... LE  VERBE ËZTRE ............... EN SES MULTIPLES CONJUGALITÉS VERTES ! ........ OU QUOI OU QU'EST-CE EN VRAI ? CAR, .......... le Passé est dit Passé car il est Pas assez Pour ainsi dire. Pas a sserz "vivant" aux yeux du premier rang ! On veut.......... eh bé oui ........ toucgher de chez toucher ...... le sang ......... les données ancrées (et encrées) dans le sang ................................... fluides alloués ! teraits tracés ! vélléités ! On veut : 

tracer tracer tracer tracer

creuser creuser creuser

dire dire dire le vrai

charger = donner = faire = aller,

sur son petit baudet, à la recherche de la Vérité ou Vérité Vraie des DonnéesUltimes , genrre ........... frise ! frise du Rire ça défrise ! hé ! qui sait ? on veut ..... et toucher et dire = toucher-dire .... le Passé du Rire = LAIT ! lait trait ! trait de lait tombant pile en ce gosier ! on veut téter ! creuser d'un trait le SEin donné = tracer = boire = chzrarger = vivre vite .... ces donées dites "de frise" et autres "parades vites". On veuut :

faire -toucher et toucher-faire, les données du verbe . Allouer à une Sommité des Termes, les dites "4 Vérités" du Verbe. Que sont -elles ? eh bien ......... on diraiot ........ on se laisserait en vrai aller à penser .................. que de fait ................. les Vérités ici relatées .............. 4 Vérités ............................ sont celles qui ; en fait ; concerneraient de près ............ le pré ! l'herbe ! l'herbe verte post -mur d'entrée ! herbe)-verbe au débotté ! et autres traits des traits alloués à un pré, en termes de ............ brins des brins ............. d'herbe-verbe tracée ........ Un pré est un pré .................. = pré cendré ................................ pré-tracé des Finalités post-muret ...........................  une av$cancée verte ................ un avant-scène (une?) et voilà le fait ! On veut toucher , soit creuser, la terre cendrée et du coup cerner;, cerner -tracer les données de fait les plus actuelles concernant le VErbe , ce qu'il est , en termes de données certainesz ! On cherche ! on avance "ensembkle". On est "de la bande". On est grave ensembkle (ailées) ... "de la bande". On veut .......... toucgher toucher toucher à ce qui est devant, qui ......... nous ressemble ? nous ressembleraient, partant ! nous regarderait et nous ressembklerait, qui sait ? On veut : dire de chez dire nottre sentiment, et ainsi fait, l'écrire noir sur blanc sur pareille "frise du firmament" ..... Charme d'Ambre ! un parent / une parente ! on entre ! on veut ici et là comprendre le Tourment, Tourbillon de base, le sel de sa Racde ou comment (comment ça) de face, la Paroi, soit l'Étrange Voix ... des Chants de la Rage ! On cherche ensembke : née ! deux ailes de trait comme qyui dirait et ça serait 

ce qui nous distingue, en termes de traits . On veut :

dire et toucher

cerner dur, co:mprendre le mur

les données de base

le Passé est une Entité

Il s'agit de le comprendre .... à jamais, via ...... le Passé ! le Passé réitéré ... en face, tracé. On est née fée comme à la parade. On voulait toucher à une bête sage ("bison des fées") nous voilà comme décentrée, décalée voire écartée , qui ne pouvons en vrai ...... toucher de chrz toucher, à cette (donc) bête de base, bête-trait ou bête de trait.... qui nous regarde ! Mèfle , ça fait suer, qu'on ne puisse en vrai la toucher , la rtoucher en vrai, juste la toucher pour (de fait) nous rendre à l'évidence que , en vrai , la Bête de La Roche Haute est bête de Trait, dite  .... pré-porte, enclavée, comme "emmurée" en cette Contrée de la Dite "Roche De Grotte". On veut / voudrait cerner la chose et cela à jamais car voilà.... on est montée ! on a volé ! on a volé haut ! haute porte ... des données hautes ! On veut / voudrait de fait, cerner pareils faits qui nous sezraient montrés une fois passée ... ou : le nez (la tête ?) passé (et passée ) ? On est BHête de TRAit / fée ............................. bête (à deux têtes) de trait. On est fée ailée (deux ailes) / bête de trait (deux têtes) .... ça le fait de fait ! on est ailée , .... sur Passé Tracé derrière .......... derrière pareil muret .............. qui nous fait fête ............ sous le nez ! tracé-né la mort dépassée, archivée, entérinée. On veut grave ensemble dire, dire-cerbner, les données du Rire tel que trimballé de l'autre côté on dirait. On veut / on voudrait ........................................ de fait ................................. cpomprendre ce Rire ............................... toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchercvtoucher touchger topucher toucher toucher toucher vtoucher toucher toucher touchervtoucher rtoucher toucher toucher toucher toucherv touchervtouchertopuchervctouchervtoucher trouchervtoucherctoucherctoucher touchervtouycherctouchervctrouchercvtouchervctoucherctoucherctoucherctroucherctoucher troucherctouchervtouchercvtoucher touycher toychercvtouycherctoucxhervtouycherctouycherctoucherctoucherctoucxherctoucherctoucherctouchercvtouycherctoucherctoucherctyouchercyoucgherctoychercvtouycherctouycherctyoucherctouycherctouycherctoycherctouychercvtoycherctoucherctoychervctoycherctouycgerctouychervtoychercvtoucgherttctouchervtouycher touycher croucher touycherctoucherctouchervtouychervtouchertoucherctouchertvtouycherctoucherfctouycher touychercrtouycherctoucher troucherctoucherc toucher toucherc tyoucherctoucgerrtiyupouycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucherctoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher touchervtoucher toucher toucher toucdher toucher toucher toucher toucherv toucher touycher toucher à ce qui est qui en cvrai nous "regardre" ou nous "regardeeait" (depuis la mort) en face ! Mort de base = l'après-mort ? ce qui se passe ou se présente "après la mort", en termes de Parade , de Passage, de TRaces, de Dires de Rage. Post-pré = les contrées situées derrière le muret = hors du pré ! des données prairilaes . On veut : 

toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher = faire toc ! sur Passé post-roche ! haute Porte ! traverser le gué, nous faufiler, niouys immiscer traquet-traquet et du coup passer vers ..... ledit Paszé aux Nénés A imés . Plein de LAit ! hé ! et téter ! téter = toucher, forcé ! on ne peut de fait téter sans toucher, voilà l'acmé ! Si vous voulez en vrai ou pour de vrai téter (téter du lait) vous devez, IMMANQUABLEMENT, toucher ce Néné dit "Néné des Nénés" du Dire ... Alloué au lait ! verbe de trait (pour ainsi dire) . Lait-Verbe vrai dxes données ultimes (post-pré = post -muret = post-herbves cendrées ) . On veut creuser d'un trait (d(un trait d'un seul !) la Chyarge Sacrée = le Passé re-né, lait de frai, Haute Parole des Données Profondes ................ on vouydrait / on veut ..... eh bé oui tracer ou même : creuser , un fossé, une tombe, trou de basse-fosse oùu de fait pouvoir , ainsi ailée, eh bé non ................................. pas du tout du tout s'y enterrer mais pouvoir depuis lui s'envoler = prendre envol de fée ;;;;; Aller de chez aller vers Ciel Étoilé aux données hautes , hors tombe ! hors tracé de poste pour Éternité terrée. On ne veut pas (jamais!) se mettre ainsi collée à une roche -tombemais aller, soit nous envoler, faire ainsi tracé, de Termes Alloués à une sorte de Montée des MOntées accortes .......................... multiplicité des données de roche, tri, portes hautes soiht portes de Coche ! à toucher dès lors , = toquer ! On veut (on voudrait) aller, situer, faire , donner, sentir, vibrer, charger, soulever de près, consentir à ici  cerner (en cvrai) les données dernières, qui seraient ........... premières ! une absurdité ? théatre de fées ? on cherche ! on est njée fée pour aller de fait commùe rechezrcher (chercher) un terme : finalité  et verbe ! Le tracé tracé ! la charge fondée ! le creuset ! le Chrême, Carême, Quarantaine ! trait des traits du PAssé-dondaine ! le Passdé du Trait est une sorte de Donnée de Bière ............ mais sans bière ! étrangeté ! trait des traits : poème ? on le saurait ! On veut cocher = cerner, = dire = faire = vivre ................................... tout un tas de choses vives ! LA toundra, LA p aroi, LA roche de Haute-Voix, LA parade des Voix et autres Chants de l'au-delà ! l'entre-soi de l'antre à soi ! PARADI DE RAGe  ! passoire ! On entre ! on est fée d'a

mbre . Une âme ? Soi de rage ? poids ? bête-poids squr pré de branche ? Une sorte de Passe-voie ? d'aide au passage ? passe-trace ? On entre. On veut comprendre = dire = aller = chercher = passer ...................... le passé de L''Hydre ........... ainsi rencontrée . Une sorte de PAssé du Rire (gros rire) déclamé .... et ce vserait le Rire ici alloué à une sorte de Contrée Traquée ...... post-pré .................. au lait donné .................... une coulée ou même giclée de lait de trait ! lait non -écrémé d'un sein de ......... fée des fées ? on ne sait ! à qui ce sein est, que nous ne saurioons voir ! qui connaît ? qui connaiît son fait ? la chose nacrée, lait de trait post-muret et nous (fées ailées) nous serions rassasiées pour ainsi dire .... à tout jamais ? on est La Fée au Lait, du fait (ou de ce fait) et on  est ELLES ................ELLES DONN2ES ...................................................ELLES = DES DONNÉES, DES DONNÉES EN VRAI À EXPLORER, À CONSIDÉRER, DONNÉES PREMIÈRES, DONNÉES-VERBE  . On est Fée-donnée, ou alors ... donnée des données / fée ? O,n est sur pied prête à nous envoler jusqu'au-delà de l'herbe szoit du cimetière ! merde ! on aime voler ! pourquoi en vrai on s'en priverait ! on aime grave aller, monter, cerner, chercher, comprendre, soulever néné, le bien situer / placer , entre nos lèvres (balbutiantes) de bébé ailé , ange posté, angelot post-pré, angelote allouée à une sorte de Néné de POche , POche Haute = VEntre d'Ambre , Porte (de La mort Haute) "seconde" .................... xweconde des secondes ............................................... sous le vent de roche ................................................................................................soit : La mort morte ? = VIE = re-vie ? ................../....................................... re ...................................................................... re- le feu /.........................re l'envie ....................... re le noeud des données rudes et du coup l'aventure , ici, d'une vie "d'allure" ............................... huuuuu ! ........................................ huuuu coco de bure ! ........................................ huuuuuuuuuu l'a:mi ! .......................... vibre ! court ! monte ! saute ! va ! charge ! foncxe dans le tas de ladite bande et charge , sur paroi, ta flalmmme ! on y croit ! on y croit ensemble ! = 

AILES de TRAIT ! tayaut ! ambre ! boyau ! charge mentale ! trait de faux ! porte sarde ! on entre ..................................................................... on est "ensemble" un couple de ch arges .................................. charges d'âmes ................................... vie , ......................................... vile vie ,........................... vie vile ............................................... assoupie ................................ envie vive de vies viles ......................................... pour la vie ! ........../................................................... ambre ......... âme ............. antre ............... ancre ............... arme .................. astre  ..................... lait des fées à devoir téter le mur passé, à savoir ici : ce tracé = paradis centré ! ....................................... chgarger = donner = faire = dire = allouer à une Entité genre D2ité (MORT OLÉ OLÉ) la Parole Haute de La Fée de ROche + le Verbe tr acé, ancré, in-cul-qué en cette sorte ( en soi ) de poche de Roche .......... foi ! FOI ou foie ! .................. on monte ! on remonte ! on veut de fait aller  sur roche (ici) creuser les tr&its .......... d'une sorte de donnée de fait, donnée docte, qui dirait en vréi ce qui (sur la mort : dessus) est, qui nous apparaitrarit si on poiuvait comme qui dirait traverser pour de vraéi le muret des murets , celui des fins de pré (pré = p aradis) et qui nhous est donné à (en fait) mater de chez m ater, pour y trouver .............. eh bé ............. pâr où nous .......... nous infiltrer ...... passzr ................ passer de biais ou pas de biais mais, en vrai, ................ treaverser de chez travezrser ....... afin de gagner ......... lA rive Finale, le Passé initial ? le dit post-pré aux données "cruciales" ........... CHANCE ..................... CHANCE-TRANSE ................. CHANCEDES ANTRES ................. et du coup comprendre (à jamais ?) ce que la Chance ici reprrésente, en termes de données centrales, patentes , patentes et ancestrales, à devoir cerner et deécortiquer, qui sait ? par la bande ...... ça se pourrazit ! On c

herche ensemble (ensemble = ailée ) à du cfoup .... cerner = détourrer ........ le Passé de CHambre, Musique -née, musicalité des données lactées (?) : la transe ? on veut téter-aimer, charger de lait notre (sorte de) "panse des données", et se requinquer sans plus tarder car, ............. la faim tenaille, qui nous fait crier, hurler, pleurer comme jamais ! et du coup ................... perler, suer, rougir, nous époumoner ............. nous faire envahir ! Car, de fait, bébé né post-pré, on sait grave criezr-hurler, nous imposer ! On est l'affamée-fée des données dernières (situées) en herbe postherbe. On veut grave eh bé téter c'est vrai ! du coup : hurlements de loup / louve ! le Passé armé ! La roche traversée ! KLe pasdsé est du dire-né, genre VErbe de treait, Verbe-herbe (?) consacrée = saluée par (on dirait) l'Être aux tracés de bêtes b(bêtes-traits ou de trait) sur pierre. On veut / on voudrait........................... aimer l'herbe à jamais : creuser ! brouter sur pré.... nhe plus s'en éloigner , ou : ne plus s'éloigner "pour de vrai" , de ce pré aux herbes vertes . Mais : toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher = brouter broutezr brouter brouter brouter brouter brouter briouter brouter brouter brouter brouter ... herbe du pré "centenaire" ou "multi-centenaire" ..../ "millénaire" ? multi-millénaire" ? c'est possiblement vrai ! car , lo'herbe, l'herbe verte, l'herbe-verbe , est ......................... tagadagada ........................ roulements des voix  .................................................................................................................................................. : verbe -voix ................................. dite "de l'Au-Delà" ...................................... dsorte de "tralala" incommensurable et même indéfinissable car, voilà, le VErbe-Voix (venant de l'au)-delà) est cette trace sur oparoi , que l'homme / femme , la femme/ homme des PArois, cxharge (de Soi ) ;;;;;;;;;;;............................................ et (pouyr ainsi dire) "envoie ,...... adresse , .................. poste là : paroi de Soi .................................. vers ELLE .....................................................................aILE ......................................AILES DES AILES ................................................. "tralala", des re-naissances post paroi, et même au-delà, post paroi paradisuaque = toundra ? post-toundra ? post-transe ? post-vacxances ? On entre en cetantre des données de Rage, Rage en soi, et ........... on en avance .......... on trace grave ! on veut : comprendre-espérer, dire-saluer, charger-visiter, poussser-convaindcre, saturer de traits les données en herbe, traits de vfée, traits d'herbe, herbe des données en herbe. Le Passé est une dr

ôle de "contrée déserte ", ...... qui serait .......... Mer / mère ? le Pasdsé ancré , ainsi déplissé : vaguelettes, sur poste à galette ! le Passé Ancré  ancré en ces contrées de ..... HOMMelette/ FEMMElette, aux données de trait  : somme rondelette : Un passé craché ! traits ! traits ancrés ! masques de fée ! On veut (on voudrait) : 

toucher de chez toucxher

cerner dev chez cerner

creuser de chrz creuser

aller de chez aller

porter de chez porter

dire de chez dire

sonder devchez sonder

poussser de chez poussser 

comprendre de chez comprendre

centerr de chez centrer 

connaître de chez connaître 

combler de chez combler

vouloir de chez vouloir 

ancrer de chz abncrer 

jouer de chez jouer 

téter de chez téter pareils nénés ici alloués à une Déité dont le nom est 

MÈRE HATURELLE (!!!!!!!!!!!) À JAMAIS ! on cherche ! ion veut creuser

de chez creuser(, pareils traits de "terre" et autres tracés comme sillonnées . on est la Fée post-tarentelle, hors pré, passée des sentiers, de l'autree côté enfin arrivée. Qui tête ! tète que rtu tèteras, ce lait de mère amer ....... ou pas, selon l'état. On est fée des Fées ainsi allouée à une qsorte de contrée (dite "du Passé") hors cimetière: retournée à Mère ! on croit rêver mais on ne rêve pas, le lait est là, faisant foi ! qui nous désaltère, nous rend gaie, altière, première de cordée, fière, très. On est : fée des Fées sur Herbe verte puis ......... le bébé des Bébés qui sait, saurait, saura, ce qui est de ...... là = l'au-delà = post-paroi, post-cimetière, post-mort de soi ............ la crème légère, loi des lois. On voit ça : la panse, pis entier, à pouvgoir téter, y aller de son envolée et du coup grave attrapper et dès loçrs téter (en vrai) sans s'en éloigner car, de fait, le pis est "pis de base" qui, pour nous, nous charme, 

nous fait grave aimer le trait, la cxharge de rage, le Passé de Trait = CXance allouée ... à une sorte de Donnée de Charme ....................... Déité Ancrée  ................ mais qui c'est en vrai ??????.?.?.?????????????? qui donc en vrai est cette

 "Déoité attenante" au "Passé de Trait " ???????????????? oh, comme on voudrait (de base) comprendre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! toucxher toucxher toucxher à pareille Donnée "autoportée" !!!!!!!!!!!!!! et, de fait, cerner-centrer, cerner-chezrcher, charger-centrer etc., le dire touché ou qui de quoi !  quoi là, qui , pour nous, serait "LE CLOU"  !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! mais où , où est donc ce ........ clou fou ? On cherche sévère ! grave on cherche sévèreb ! on est dingue à l a recherche ! on veut / on voudrait ! On ne s'en laisse pas (plus) conter depuis ......... une éternité ! mais jamais , jamais en vrai on s'y reconnaît ! on est comme "blousée" ! grave "blousée" , qui cherche sans se relâcher mais jamais n'atteint, post-pré, les contrées de Mère, l'altitude (ici) de Porte haute ........ longitude et latitude de la Mort Forte. On est fée-mesure, calme et usure. On veut :

aller ................................................... creuser ................................ porter ..................................................................... dire et sonder ........................ poussserr le dire vers ... l'au-delà en vrai du rire alloué à une Sommité ici genrée ............ mais est-ce vrai .......... ?     .................. c'est-à-dire : est-ce que le genre ici attribué à cette Sommité (boeuf musqué, buffle au taquet......) est vraiment le fait ? genre consacré, genre vraiment vrai ou comme avéré à tout jamais ? On n'en est pas sûre ! On veut toucher , ou on veut bien toucher, mais (de fait) le genre donné (dit "donné") est ........ un luxe ! parure ! ornements d'allure ! bure ? oh, en vrai, on ne sait , mais les choses sont, qui (pour le couop) nous échappent grave (soucvent) et nhous laissent en carafe (ronds de flan !). On est nues ! 

On porte parole des nues ! On veut :

allouer à une roche, la bonne parole du cru ! et du coup :

être mai^tre  / maîtresse, des données de l'herbeb = le Passé tracé ..... au-delà du trait .................................. ainsi poussé ! et nous (fée) de nouds y coltiner sans traîner car, on aime tracer ! filer ! voler ! foncer ! pistonner ! prendre de la vitesse ! nhe pas s'en faire ! ne pax s'en laiiszr conter mais tracer, tracer vrai de chrz tracer vrai, du .... verbe d'herbe (verbe en herbe) sur pré .... jusqu'aux dits Nénéds "du terme" ! date-clé ! date des dernières règles ainsi disposées permettant cde fait le calcul du Terme = le Passé tracé , chant de Poste, villosités dites "de porte", HOMBRE PORT-ÉE ..... HAUTE ! , car, on est .... fée, de l'ambre aimée, fée des fées saluées, charge haute des hautes contrées, pertes de poche, le passé comme en ligne de (roche -)mire des données ! On monte. On veut / on voudrait (ici et là) aller creuser .... ce qui devant soi se montre, en termes de .... nénés nhés, post-pré, pour notre 

(sorte de ) goucverne, allouée à  

(sortede ) recherche ancrée, recherche de termes. Qui est qui, en c  ette contrée. Qu'est-ce qu'on sait du Verbe ËTRE.Que penser d'une "remontée" sur une roche à traits, vers .... du V Erbe. Que dire des traitsz. Que penser du foyer. qu'rst-ce que c'est que ce tracé de Verbe au-delà des traitsc .............. du Lait ? du bon lait de Ferme ? lait entier ? verbe)-lait comme s'il en pissait directement en nos gosiers ? On cherche ! on veut /.......................................................................................................................... touchefr -dire ........................................ dire-toucher .............. les données du rire , 

RIRE OLÉ OLÉ  DES DONNÉES DU "VIVRE" SUR RIVE ALLOUÉE À UNE SORTE DE PASSÉ DE FRISE . et, qu'est-ce que c'est que ce .... "passé de frise" ? eh bien ..... on dirait ....... que ce Rire, est une sorte de donnée, telle que, en vrai, de fait, en défintivee, il semblerait, ....................................................... on ne puyisse pas, pour vivre , se passer ................. = rire ancré .............................................. incorporreé .............. pôur pouvoir en vrai continuer de chez continuer à vivre "en société" ;................... rire-vivres (offrandes divihnes) qui sait ! on est féenée , on est entrée, on est allouée à un pré (u n temps) puis voilà ;;;;; on traverse, la dite "p aroi finale" ou "paroi des parois", on charge "ensemble", on y va car on y croit , et là ............. paf ! ........................ dans le tas ! ................................................................................ lait de l'au-delà ...............ÉTOILE DES ROIS ET REINES RARES ............................... voix des voix ........... ça "parle" ................................ça "dit" drôle, des choses, ombres ..................................... voix doctesc.................................... chants de voix hautes ................................................................. on est pour ainsi dire sous contrôle ............ d'une voix de ronde ............................................................................. chants doctes, chants de Roi / RTeines à voix, chants de porte, chansonettes "roses" ................................................ post-paroi et au-delà ! ............... le chant vient (viendrait) de là = ....................... soit d'une sorte d'au-delà ............................... pôst-parade animale, post dessin de carne, post-mur de rage, post-oléo-ducs et duchesses-traces ......... sang des voix ............ charges ! charges ! chatrges ! tchat ! On entre ! On veut de fait ensembvke se trouver (de rage) sur faîtage ............. et , voir ! voir, au loin, les lointains, mer plane, vagues, vagues sages, mer acidulée, charmes matés , tracés-nés , allures des traits ......................... vues sur le Passé ! oh, ça le ferait ! qui sait ? On veut ................................................................................. toucgher toucxher toucher à ce Néné, des dOnnées "divines" , vives, à téter d'un trait , on diraéit. Quyi connaît le Titre, ici, de ce ...  heu ... filmm (?) projeté .... au ciné des fées (?) ? oh"é ! On est montéesv ........................................................................ hautescx................................. haut ...................................... hauts des Animaux ...............Animaux de ROCHE .................Porte / Tonneau / Niveau ./............................... coprps de mots nouveaux ................  tout en haut des Hauts ................................ à la porte du Tonneau  ................ sorte de poteau , qui dirait la Chose........................................................................................................... mot ........................... mot de trop .................. nom ...................... nom gros  ou ............................. gros mot ................................................... le plus gros ................. mais quel est le (ou ce) mot, le plus gros de fait ? ........................ quel est donc de fait le mot dit " le plus gros" ? .?.......................... le plus gros des mots .../ ? ..................... quel est-il de fait ? .........................Mot-gros des mots-gros ........................ quel est-ce ? .............................................................................. meu ........... meu meu ........................ meu des meumeu  des meus de la ....................................... mort ? ..................................... meu-mort ? .................................. ................................................................................................................ on veut / on voudrait (grave) comprendre (ici et là, sur roche) ce qui est qu'on voit = la poche ? une sorte de Poche de VOix ............................................................... qu'est-ce que c'est que ça ? ................ poche... des voix de Soi ? .............. honte ! honte sur Roche ! voix de honte ! tralala là qui (en soi) ne nous faisait pas honte, jusque là , mais .... sorti de soi : la honte ! honte des hontes ! on sait ça ! on est gros / grosse de ça, Honte sur soi , Chose Profonde, POrte Close ... sur l'en-soi des VOix de Roche ! Haute Honte ! on monte ! on veut, parce que voilà, dire-faire ça, ce genre de tracé-là, sur roche aux Voix, afin cde comprendre , dans ses grandes lignes et/ou grandes largeurs, ce qui ici (en soi) nous attire 

en ce sas de base dont le nom, pour le coup , est ....

 Base ! Base Rase ! Base des Bases ! cou caillou genou ! sorte de .... passage vers ...... une sorte ici de donnée verte, ...... Herbe ?  Herbe ... de Prairie VErte" ? Peut-êttre . On pourrait en vrai, en effet, le penser et s'y fier, qui sait ? On est née fée, on devient .................. autre , la Porte (Haute) ainsi passée vers ....... du PAssé de trait ! dingue ! dingue c'est ! car, Autre on naît, la porte passée ! plus (du tou ?) fée mais ce Bébé de POche, bien hjouflu dodu, Bébé docdte, de parole et autres, paroles donnéeqs, verbalisées en ses quartiers. On est re-nées hé hé ! le muret passé, on re-naît Vraie ! Vérité ! Vérité allouée à une sorte (decvant !!!) de Passé Monstre .... THE PASSÉ DES TRAITS ........ une sorte de Passé de POche comme qui dirait, mais ici la Poche = l'outre des Données, des Données rondes ! une qsorte d'enveloppe "haute", portée, soulevée et trimballée,

 de laquelle de fait , un jour, on pourra sortir, sortir sans frais,  

de laquelle on pourra, un jour, aussi, parler, parler à qui de droit ........ tout là-b as ........... : fin de paroi ! Peut-êtrte pas, mais voilà : on monte. On creuse la Rocxhe. On envoie de soi. On est là Hautes Voix (voix de Porte) pour ça, charger docte (dans le xsang) les "parolres dees mortes """""""""", "mortesconsacrées " = maternisées ? on ne sait ! on est passée ! on a traversé de chez traversé et nous voilà en ces contrées comme  adoubée par une sorte de D2ité dont le nom (petit nom) est ... "Mort dorée" .... hé, qui sait ? ça se pourrait , q'uen vrai en effet ........... la mort soit dorée ! une sorte de Donnée Dorée qui nhous éclairerait (à profusion ?) de ses doux (durs ?) rayonsz comme tracés sur .................... un vallon ? un nouveauu pont ? une sorte de Ballon de Roche ? "Mamá montón" ? ... tas d'ors ? On veut = on voudrait .... à jamais ! On est : traits, traits de fée, traits alloués à une fée dite "des fées". On veut  : creuser = creuser = creuser  = dire  ................... au plus près, ce qui est, ce qui est pour soi (pour nous) la Donnée de Base = le Passé Notoire ? On y va ! on enttre ! on veut grave ça : trouer la paroi et nous rendre "ma foi" qsans plus de jérémiades .... au plus loin possible ....... sur prairie aux filtres .......... tout là-b as .......... la Chance ............ transe et sabbah ............. creuser de chez creuser la "Panse" ........ = ce "muret des Charmes" ............ vers Néné ! bnéné des Nénés ! on y croit "ensembkle", car, voilà : soi = deux ! on est "deux" en Soi = deux feux ! deux dieu/ déesess tendres ! On est ailées et de ce fait ............................./........ DEUX ! DEUX AILES DE FEU ! on entre .... à deux ! en ce territoirev aux données "immenses". On veut (on voudrait !) comprendre = situer, de près, ce qui est, qui en vrai (de fait) se trame ou tramezrait dans les p arages. Devons-nbous téter de base ? devons-nous de fait retrouver le lait, lait entier, de mère vraie ? doit-on toucxher à ce Néné ... des Données DErnières (en vrai : premières) ? Qui connaît (qui a) la clé ? qui sait ? qui comprend les donnéess de Rage, donnéesz de lA  Rage ? qui sait de fait ce qui ici est qui nous enveloppe de ses dires ancrés ? Qui est en nous "derrière" nous, en termes de ..... fée ?. lait ? trait ? On ne sait ! on ne lâche pas (plus). On y croit (ddur) . On a la Foi ! on entre ! diantre ! ça envoie ! odeur de soi ? on est ........................ sub de chez sub

-mergée ? 

-juguée ? 

peut-être -juguée en effet ! On voit ! on voit là la Roche passée la sorte de ....... voie ? Voie tracée ? voie des v  oies tracées ? allouée à une sorte de donnée lactée ..... dès lors : voie lactée ? ciel de traits ? ceiel en herbe ? on est née fée des fées sur pré, post paroi gravée (paroi néandertalienne) et à présent ..... eh bé voilà , voilà en vrai les ditezsc données telles que représentées en ce ciel des traits , ciel doré ! chapiteau des mots ! signes ancrés à savoir déchiffrer comme qui dirait ! trot ! galop ! galop des mots de trop = bêtes-mots .... de type  : bêtes proches ! On monte ! On est haute. On est sur les hauts à mater les mots (bêtes-mots) .On monte haut. Au plus haut niveau de la grotte , crotte ! On est comme ....................... touchée ............................ émotionnée ................................................. sensibilsée ................................................................. émue de chez émue, à jamais ................., car voilà la Voie, ................ porte haute ....... voie ......../ porte des portes ....... voie de l'au)-delà à la paroi ......... voie haute ........ porte des voies hautes ...../..... haute voie de l'au-delà à la paroi haute, et  "hot" .................. voie des voies des tas ........... tas des tas des  os  de roche ....../.............................................. nécropole haute ..................... , voie haute ............... et haute voix .................................... voix de roche ..................... croix ! ............... croix des croix ! .................  vin de roche et autres vins de porte ................./....................................... Le passé faisant foi, on monte ! ......... vers la Roche-Porte....................... d'une sorte de Paroi de grotte, genre .........,ça .............................. l'ombre ! l'ombre de Soi ?  

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2/3/2025

On mate ! on mate grave ! on veut grave ensemble mater ! on veut ensemble voir au plus près les données rupestres , et, au-fdelà, le pré, le passage cendré , les données (frontales) d'un muret 

de bout de Roche. Qui on est ? on est .... eh bé les F2es du  "Territoire Alloueé"  = la prairie  Cernée à l'herbe attitrée et autres faits ddes zones aux bêtes -monde. On veut toucher à ce qui est, ici, qui se montre =

Le Passé ... le Passé d'époque ! La Xhose ! On est née Fée ensemble ailé ! On veut toucher à ce muret de fin de pré et du coup passer .... traverser l'ultime rocher, creuser de chez creuser afin de , pour le coup, passer tête et cou, les ailes, les gambettes, t tout un tout, etdu coup ... eh bé oui !! mater de chez mater le Tertre ! Ici même ! 

on est née Fée et on traverse et on regarde "ensemble" la Comète = le Passé post-herbe ! hé hé ! on y est ! on le voulait. on (ensemble) grave voulions, ici même (territoirtee de lacMort en herbe) y alleller et du coup mater /.... mater = colmater ! L Le Passé &ux Nénés ! soit ....... Le lait : le téter ! Car voilà, on est F2e du Pré qui aimons, ou qui aime le lait, lait post herbe comme qui diréit, car , pour qu'il y ait du lait il nous faut ou il y faut de l'herbe c'est un fait ! soit : du Verbe ... aux données célestes ! On dirait c'est vrai ! on dirait du Verbe, des données du Rêve et autres vents Célèbres. On cherche ! On veut trouver ! on veut grave en vrai trouver de chez trouver quelque chose des traits ... qui serait .... cette chose du VErbe en fait alloué à une sorte de donnée Céleste = le Passé ! Car, le passé est né "APRÈS" .... après ce qui de fait se présenterait la mort donnée. 

On est née Fée sur herbe et nous voilà comme passé dns un passé post-cimetière aux données célestes, de type ... VERbe à traitsz ! On cherche ! On veut trouver un certain  nombre de données  "sévères", tracer, creuser, poussser, aller au plus près et essayer ensembvle (NOUS) de repérer ici et là, le muret passé, un certain nombre de données de poids qui szoient données ... fiables et graves, graves et fiabkles ,

données de Joie, tracés fermes, TRalalas Tenaces, VEnts de face et autres dits ... d'effroi, mais qui peut-être "ne le fassent pas" car  voilà, on veut passer (de Fait) la Rage ... sans pleurer, sans être trop importunées, en toute candeur post-pré, chercher moussse, fleurs, vents dou!x et autres caresses sur le cou .... grave entrer (nous) dans le doux ! On voudrait (en vrai) en tant que F2e , aller, cerner, toucghhher , sans plus que ça (de fait) en baver car voilà, on est Fée ... aimant le tpoucher doux, carresesx sur genoux, douces frôléisons des joues et autres  bises sr cou mais ... sans secousses , sans pousse-tombe sur pont d'ombre. On veut :

dire et donner

donner et dire 

ce qui est qui est , les tra cés 

 dee Buffle sur Pré, les sorties de bure, le tracé ancré nacré, la CHoseRude, don donné, porte allouée, on veut toucher à ce Néné post-pré, qyui est ... eh biennous dirons "Le Néné du PAssé " s'il en est , qui sait ? On cherche haut : oN veut ensemble aller très haut, toucher à cette sorte de N2né des Hauts, qui ici sqerait   ... cette (Sorte de) DOn dev Lait , aux données ancrées, données doctes de fait et telles qu'en  vfzai, les touchant, les voyant, les cernant, nous serions comme ensembke informées de ce qui est .... aprsès la mort ! Car, la mort, la mort allouée au passé, est Mort comme constituée de DOctes DOnnées telles qu'en vrai on pourrrait les toucgher, les prendre comme qui dirait ... de près, e,n nos bras tout serrés, enlacés autour, ou ... comment ?  en nos bras mis sur pieds ? hum ... non ! Alors peuettre .... accolées ? on cherche ! On veut toucgher à ce Passé dit "du Néné" car, lE p assé est, dudit Lait, Le Fait ! Il est né LAIT ! IL est du LAit de fait ! Il est LAit alloué à une dsorte en soi de D2ité des D2ités comme on voudrait en  vrai les approcher. oN veut : 

creusqer creuser creuser , la chose enterrée. Et trouver (du coup) le bout, le tra&cé debout, la chose Haute qui, ici, devant nous, se montrrezrait ... "Comme". On veut: 

dire, sonder, poussser, souder, creuser, aller, faire, chercher ici et là les données de Terrre, porter loin le VErbe ... dev lk'autre côté , et du coup tracer, creuser-tracer = dire-faire et aller, aller loin post -cimetière vers les Traits ou TRaits des TRaiots qui sont TRaits de Mère  = Nénés ! Lait d'herbe , lait des Laits post-herbe ainsi constitué = consacré = fermenté ! On veut de fait tracer de chez tracer quelque chose en  vrai qui puiszse le faire, et du coup alloiuer à du Verbe tracé un  ertain  nombre de données en  rai, genre vériotés, vérités post-pré = verbe Vrai, Don de Lait, porte Ouvertes et autres invitation-colère ! On cherche à cerner ! on voudrait trouver ! On est née Fée au Passage CEndré, nous voilà comme "relevée" prête à , du coup, toucher-toucher devant nous lo"a Tête, les genoux, les Nénés Doux, lait de Mère à nous ! la bière ! sein post-herbe comme un don aux lèvres ! On est : 

vivces de chez vives, ivres de chyez ivres, d'un dire qui est ... ;lAit de Tire ! le Passé du VIvre ! l'envolée native ! On est ...................................................................... fée ...................... vfée ailée ....................................... fée tracée ............................................ on voudrait en vrai grave toucher, à ce N2né ... du DIre Fou, le toucher de près = "l'embrasser" comme qyui dirait = téter ! téter dur ! ne plus s'arrêter ! téter téter téter ! et du coup (comme) nous (se ) rasssasier de lait et pouvoir ainsi, tout tranquillement, se poser, respirer, se délassser, digérer le Vrai des données Acides,. alller vivre ainsi sur post-pré des Vivres. toucher, creuser, faire et donner, sonder-vibrer, aller-cerner, faire ainsi post-pré 

 les recherches avides telles que dénommées, les poursuivre et les creuser, les suivre de près ou ... comment dire ? rechercher = faire tracé ! Dire = sonder ! On est la Fée des Données Vives, telles que des 

tracés sous dictée le dire Alloué à une sorte de .... pAssé du Vivre ! le Passé du Dit, du VERbe Dit, des Mots-bêtes du TRi. On est née F2e le mur du Son passé, on veut en vrai creuser ensembvle ..... le pré = tracer ! courir ! vibrer ! nous envoler, chercher de chez chercher à nous téléporter ici ou là en ce Passé, des Dires CRe"usés ! qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est que le dire creusé " ? Eh bien, le "Dire Creuséé" est : 

du Dire post-pré, Lait comme alloué, lait de N2né du Vivre , Lait des Laits. Le passé est du passé de Lait ! On veut :

toucher de chez touchezr

dire de chez dire

creuser de chez creuser

faire de chez faire

aller de chez aller

fonder de chez fonder 

donner de chez donner

poussser de cyez pousser

combler de chez combler et peu-être, aussi, ensemble (un ensemble d'ailes) toucher à ce qui est ici, qui ... se soulève = des "paerties" ... de Mère ! on cherche ! on est née fée à la retombée il swemblerait, on veut toucher à ces nénés de mère, en vrai ealloués à une sorte de ... 

passé pôst-cimetière, 

retour de manivelle ! 

On creuse sur terre, on est Fée sondeuses,creuseuses, cxhercheuses de ... Verbe ds'Herbe ! On veut toucher à ce qui est qui devant nous (hauteur de genoux) semblerait vouloiur comme nous dire (en particulier)une chose de Porte, une Chose Grosse, Vérité de  Roche, et cette V2r(ité, ainsi déssinée , serait V2rité telle que nous (fées des prés) on pouvait en rêzver depuis de longues années. On veut toucgher-rêver, soittoucher-aimer, soit touchger-creuser, creuser de chez creuser, le Verbe ! ainsi fait ! et, /......................................... aller aller aller ainsi ailée jusqu'au bout du 

 "Tracé aux fées" (dit "Tracés aux fées") qui estici (pour nous) le Sentier Alloué par lequel passer ou devoir passer pour de féit atteindre ... le Passé Donné, Passé Frais, Vrai Passé post-cimetière, retour éternel ! On aime ! on est née Fée pour une 2tezrnité de données fraîches ! le passé est ainsi "touché" qui serait (est) ....... le VErbe du pré ? Verbe post -pré mais venant du pré ! On aime ! on veut creuser, dire, s-o,nnnder, chercher (grave) le dire alloué qui serait : Donnée Vive, Donnée du Dire ! On veut toucher en vrai le Passé a ux nénés et téter de chez téter le bon lait de l'hydre ! qui c'est ? qui est l'hydre ? eh bé ......... ELLE en vrai , D2ité des d2oité , Le passé ! le p assé tracé, passé cru, passé nu, passé des dires nus tels qu'aimés de visu ! 

On trace ! on en avance, on aime l'ambiance. On est comme venus ici exprès poiur découvrir de près ce qui est qui, de fait, semblerait, en quuelque sorte, vouloir nous .... toucher, toucher de chrz toucher = émouvoir = accaparer = manger ! Qui est là en vrai ? eh bé ................. néné ! THE néné des termes. Le pas

s

é serait du VErbe, nbous regarderait post-herbe, materait de chez ma terait sans nous lâcher, ferait grave cette sorte de "reluquade" ;;;; de la tête aux pieds ! Ne nous (jamais !) lâcgherait , qyi bnous voudrait à lui comme pour l'éternité il semblerait. On veut aller eznsemble ...... voler ! voler sur pré puis post-pré au-delà des données de trype bêtes, bêtes des prés, et creuser, creuser la murettte, le muret de Ch âsse, traverser, passerr, passer ailée, traverser "le dernier muret" , "dernière murette", aller, poussser, toucher, pointer son nez de fine Bête en cetrtte sorte de contrée des "données dernières" = le P assé ! passé "emmuré" ? qui sait ? On cherche ! grave grave gra ve on est des qui, ici (post-pré) chyerchons assidument et "religiuerseement" à "comprendre " = prendre , un grand nombre de données de base, ce qui est de fait, ce qui se présente, ce qui tremble ou tremblerait à notre passage , ici ailé, ce qui se passe ou passerait à nos côtés .... 

on veut toucher,

 toucher = vivre = dire. 

On a (grave !) envie de, eh bé quoi ! toucher le Lait = téter ! rien que ça ! On veut grave y aller, de notre drôle de tétee, et du coup .............. nous alimenter, au bon lait des Larmes ! Le passé ! le passé de Charme ! le tracé passé ! trait des traits outrés ! on veut creuser .. une "promenade" ,; allée aux platanes, sorte de Passé De rage aux données Sages ! creuser = dire = centrer ! centrer les Données au milieu des arbres ! le Passé est né ... sur place ! rotondité nacrée ici allouée à une (sorte de) 

"Parade Animale" .... pour (en vrai) , à venir, une

 (sorte de) "ter aversée du Dire""" ! On veut y penser ! on veut grave cerner ! Toucher = cerner , et cer ner = dire, dire de fait, ici et là sur pré ...  sur pré et au-delà, les 4 Vérités dès lors Allouées à un DIRE VRAI comme iil se pourrait. On veut vivre . Ne pas succomber ô grand jamais mais en vrai poursuivre, aller de chez aller, pousser de chyez pousser, tracer de chez tracer, continuer = dire dire dire, ce qii est qui est, données ivres d'une sorte de poussée du ... "VIvre Vite" ! Le passé ! Le passé ... outré ? le Vivre ! l'enflé ! On v eut :

dire de chez dire

creuser de chez creuser

vaincre la timidité

poser et toucher, faire et aller, pondre et mettre, souder et sonder, faire et contrefaire, voler de nos propres ailes jusqu'aux dits nénés "post-cimetières" aux données ancrées, données fermes, données allouées à une sorte (en soi) de Passé Nacré, de type .... "sperme" ? on ne sait ! on cherche ! grave de gravité ! On veut : 

creuser creuser creuser , donnner donner donner, faire faire faire, dire dire diore, chercher chercher chercher , compter compter compter, scinder scinder scinder, vicvre vivre vivre, vivre vite les données du dire ivre ! et aller , en ce pré, jusqu'au boiut de l'allée, pour y rtyerouver .... eh bien .... le Passé du Vivre, ainsi Compté ! dire des do, n nées Du vivre centré ! le passé est ... vide ? vide de traits ? ou , au contreaire, empli ! comme rempli ! rempli ici de ... VErbe Né comme tracé à m ain le vée en des temps reculés (n"éandertaliens ?) ? On veut (de fait) trouver ! chercher = faire. Faire = chercher. On est née Fée un jour du mois de mai, on voulait toucher (aux nénés post-pré) et du coup téter , mais voilà, on est cdomme "tombée" (de base) sur le pré, on a chuté grave, on est passée ok mais on en est comme de fait revenue blessée, ou sinon blessée cabossée ! On veut :

dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire ici (pré) le Passé à venir = le TRacé post-pré = l'envolé .... des données creusées = l'IRE ! colère vive ! Colèredu Dire Ivre ici accordé à une D2ité ... dont le nom (de base) est  :

LA 

LA la 

LA LA LA

la ...... la m........... la de M..................... moror ..... mort ........... mmmmmort de ce qui .......... en v rai est ............... dit. Mort de ce qui en vrai est dit ici, post-pré ? MMMMMMMMMMMMMooort de ce qui .......... MOrt de ce qui ici .................... mort ici de ce qui en vfrai est, qui ....... dit ? mort de ce qui est en vrai ce qui ................................................dit ..................................................... vrai ? On ne saiy ! on a du mal (grave) à parler , à prononcer.   mort ! Mort don ! don de Mort des Hauts Niveaux ! Mort-Ombre. Pont ? On veut :

dire de cherz dire, faire de chez faire, creuser de chez creuser, être de chez être, aller de chez aller, fonder de chez fonder, fondre de chez fondre, soulever de chez soulever, ancrer de chez ancrer 

dire en cvrai ce qui est en ces contrées du vivre sur pré, et du coup : SAISIR ! 

poussszrr de chez pousser kles données données jusqu'au bout duu bout de ... l'Allée aux peupliers, aux herbes cendrées, aux orangers, aux données données de type graminées. On aime et tracer et creuser, et du coup ....... voilà ce qu'on fait ......... PITiÉ ! pitié grave en vrai ! car, on charge . on e,nntre . On passe. on y va de tout son p ôids de charge (felmme sarde) . On veut ça : l'enfance ! le Passé en france (en face). toucher = dire = cerner = opasser .... et passser = faire = creuser = dire = contrefaire et ainsi faisant : traverser la Terre ! tomber bnez à nez .... avec en  vrai ..... le VErbe Pezrsonnifié , yé ! on aime ! coeur d'aime ! on aime certaine ! on veut vrai aller ! toucher-testezr = téter 

..... le bon lait de l'herbe v erte ! 

les Né-nés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! les Né-nés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! l:es Né-nés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh, comme on les aime ! gravfe on aime ..... on aime téter , lécher )japper, le bon lait de l'herbev = le Passé de Mère .... il wsemblerait ! mais, en vrai, qu'rst-ce qu'on en xsait ? on sait .... peu , du feu ! On voudrait, de fait, ensemble, fées, toucher de chez troucher, à cette (en soi) sorte de Vérité dite "de la foi" , mais vpilà ..... on est ........ juste tracée, dessinée à main levée, bête de pré, bouquetine ailée ok mais en vrai le vrai est .......... dificile à cerner-circonscrire -sonder,; car, ...................................... placé de chez placé de biais ...... comme qui dirait "de l'auttree côté" et c'est un truc de ouf en  vrai, que cette chose ancrée ici ..... qui nous mate de front(, nous regarde y aller  (borouter) et ne nous lâche pl!s en vrai de nous mater.  Néné. Le Néné Vrai. Lait . Lait frais . Lait non pasteurisé. Cl asséPremier. On veut :

Toucher = dire = vivre..... les données nacrées , sur Rive. On a envie ensemble de toucher à l'ambree, et d'y aller de nottre (en vrai) petite promenade ...   da,ns la mort actée, qui est "morthaute"  ici comme allouée à un Rocher de Porte. On est née Fée la mort donnée, sur pré , sur herbe à brouter, et, une fois cette chose comme entérinée (pour ainsi dire) on cherche à traverser (une fois de plus) le muret donné, roche du pré, vers .... l'inconnu des faits, l'invconnu nu, l'inconnu cru.... des faits et gestes post-prairie vue. On cherche à (en tant que fée de là)- aller loin vers ce "là-bas"  ... des expédients, vivres, tourments, crainrtes vives, sentiments latents, vie à vivre (revicvre) un temps. On veut en vrai ensemble accolées aller, vers ce tracé pôst^pré des données concrètes, de la mort en VErbe. CXhercher = faire et faire =chezrcher . on veut toucher ! faire-dire ce qui est ici qui, en vrai,; nous intéresse grave (au plus haut point des points) car voilà , on aime ! on veut :

creuser creuser creuser 

dire dire dire

sourire sourire sourire

charger charger charger

paqsser p asser passer

aller aller aller 

combler combler combler , ledit passé , de "dires enjoués""", qui , "dires enjoués" , sont comme des données de type données-vivres, victuailles cendrées, vivres consqacrés, offrandes à déités en conformité. On a envie en vrai de dire-tracer ce qui est qui , pour nous , sembvlerait avoir à (en vrai) se dessiner, ici et là (de fait) sur parooi, de façon à voilà, nous aider à , pour ainsi dire, creuser la voie ou notre voie, vers du Dire de FOi ! foi en l'au-delà ! en certte sorte d'au-delà dit "de Paroi" . Car , on entre, on entre "ensemble " ("à toi à moi") en c et antre , en tant qu'on croit ou qu'on y croit ! ....../ à quoi ? au VEntre SAge ! Au Don de soi sur Page d'Ambre ! le pAssé cherché ! la PLace des Fées ! On est comme (ainsi) située de chez située sur Pré aux fées en tant que P assagère allouée à une recherche (en  vrai) de données en herbe ... vers N2N2 , dit "Le Néné " du Passé du Verbe ! quyi on est ? dans la mort : fée ! p

ôst-mort : bébé ! s achant téter le lait de l'herbe comme qui(Déité ?) dirait et ça le ferait ! On veut creuser parce qu'on aime creuser, toucher de chez touchezr, poussserr de chyez poussser ... la cjhansonnette ! ah ce qu'on aime ! on aime (de fait) grave chanter ou chantonner sur pré (et au)delà) la Chansonnettte "de Toundra" , VZrbe Frais, CXhants Salés, Vents de trait ! On veut : 

dire chanter; chanter fonder, fonder saler, tracer chanter, suivre et creuser sa prop^re "destinée chantée" comme un fait exprès (qui sa&it ?) . Croire en ce tracé dit "de destinée" comme (déjà) ancré post-paroi, et du coup .... y aller, grave, de sa voix de fée, chanter, chanter, chanter, chantonner sur pré le Chant de la Lande, du Passé aux fées, des Données SAges (savantes ) et autres données-traits de grande importance (le SAvoir Immense = les Connaissances, les plus grandes , avérées ). On veut toucxhger à un certain niveau de connaissance , de niveau dense. On veut grave CERNER , CERNER grave les données, DOnnées DENSES et autres DOnnées, dites "de la TRanse ... d$u Passé" .... car, le Passé ainsi cerné, ainsi consacré (et reluqué) est du Paszé de .... transe post-pré ! transe tracée sur pieds, sur Paroi de la Chance et des Faits Vrais ou petits faits Vrais. On ve'ut :

creuser creuser creuszer creuser à une sorte de 

Do nnée des TRanses, Transes Aérées, ventilées, insufflées, soufflées ....... comme poussées voire

 é- ........................ élancéees ou ./......... amorcées ;;;;;;;;:.................... ou ..... oh comment cette chose ici, d'un air de deux airs qui ........... , pour le coup, fait bouger le doux , ...................................................... fait en avancer , creuser, aller .......... sur pieds-genous ..... eh bé : le Passé ! ledit "Passé aux traits" ...../....... le fait s'ancrer , du fait que le souffle (souffle fou) faiit vibrer le doux d'un Verbe du Nous ! On creuse = on cherche = on veut = on va = on entre = on situe = on avance, grave , vers la CErtitude Frontale Pariétale des Données 

de l'Antre Sage (= Savant). On est comme entrée "ensemble" sage ......... va comprendre ! Homme  est 1

FEmmes suivent, sont 2

Un homme meurt, est enterré, et disparaît dans l'herbe du preé. Deux femmes se complètent ensemble qui, de fait, deviennent ..... une F2e ! fée volante ! Fée du pré. Paradisiaque. Ainsi fait, la fée (§deux femmes) entre en transe, va et vient, 

bêtes de somme sur terrain tracée, 

monte, trace, poussee, et du coup se retrouve ... tout en haut des Hauts Niveaux, sur Paroi de Roche, )à frapper aux portes ( La Porte) des Données Hautescx....... vers ...... muzo  ! Placid et muzo ? Haute POrte aux données hautes ! Une sorte de "museau de Roche""", "The Museau des Hautes rOches". On monte ! on veut haut treacer la Roche, le tracé des mots, Verbe docte, Données Force (fortes) et autres Verbves Ancestraux. On est Fée Folle (?)  .... heu, pâs si folle, mais (pour dire) dite "folle" , car ..... , volante , en transe-danse sans cessser, on renvoie des choses denses, on passe grave pour ... Gaga, Fada, Nana f^elée ! quand, en v  rai : pas ! on voit ! on envoie ! on est Fée Savante sur voie ! On en avance dans les connaissances .............................................. on en abvance grave d ans les connaissances ............... on envoie du bois  , dense ! On va ! on trace ! on file ! on charge ! on syuit à la trace .... un  certain "dire de CXharge", "dire-voix", qui est du dire de Tracé de Rage et autres TRaits de Maintenance (alloué à la chance !). On envoie grave sur paroi ....... des envois ! = des données bestiales (animales) telles que :

Bufflets, Bouquetées, Bouquettes des prés, Bouclettes Autoportées et autres bêtes cendrées. Betes de fête. Bêtes-herbe. On veut creuser, parce qu'on aime ! on aime en vrai creuser de vchez creuqser.... ce cimetière .... xdes données cendrées, de type bêtes, bêtes-mots des prés et autres prairies verte's : le pré-passé de fait comme on pourrait (ensemble""") le penser, en vrai. On entre ! on est fée du pré qui est entrée à la retombée du fait d'un  piqué ! et nous voilà qui sommes née ! née de chez née ... sur un pré "immense" , de la taille (en vraéi) d'une contrée, d'un territoire entier alloué à .... lA chance Avérée, Chance des TRaquéess ! Chance Ample ! On veut vraiment de chez vr'ziment toucher ..... à  ce dit Néné post-pré qui (ici = là-) serait de fait à nous attendre .... les bras  croiqsés ? Poiur nous donner de quoi téyter qui sait ? ou alors nous, nous absorber , avaler , ingurgieter, prendre dans sqon anttre -ventre ? on ne sait de fait. On est pas encore arrivées  ici (passé) jusqu'au bout des Vérités . On veut y aller mais en vrai ..... cc'est p as à côté ! ça demande grave de durer, de tracer dans la durée s ans jamais cessser, tracer de chez tracer, un grand nombre de bdonnées de Rage et autres Sentiments de base. Tracés nés sur pieds sur Paroi Dense = le Pré, la Prairie aux féess, ....... herbe de passage , Verbe Enfl"-é , Passes d'armes , on ne sait, on entre. on veut :

toucher toucher tyoucher toucher toucher au mieux , en termes de Passé Tracé .... loin des yeux ,.......................... finnal ............................ terminal ..............................................................  fin de bal ................................................ on mate ......................... on veut comprendre ................ on veut toucher ............ creuser ........ do,nner ........... poussser ......... aller ........... chercher /.......... sonder ......... allouer, à xdes données, du sand frais ................... poster ........ poster de chez poster les faits .......... sur mur alloué à ici des données à (pour ainsi dire) faire entrer / incorporer .............././................... xans sourciller ......../ comme instagrammées , ............../.................... vérités ,................. vérités suppos"ées , ................... le Passé des Données Tracées .................on est nées ! bnées fées ! fées nées ! avant dde pour le coup devenir .......... autres = bébés ! prêtes à téter le lait = le Passé des TRaitsv = l'Immanence ! chants des transes ! loyauté ! pertesz et frais, chance ou malchance, il faut croire en sa ....... , en face, étoile vraie, d'u nCiel de trait ......... : base mouvante ? bovidé ? On entre. On veut toucher à ce qui ici se présente sur pieds à nos propres données. On veut "se mélanger" = s"aimer, en transe, sur ce pré de la chance innée. On veut :

creuser de cvhz creuser

aller de chez aller

pousser de chez pousssr

dire de chez dire

 forcer de chyez forcer

aller de chez aller

caler de chz caler

pondre de chez pondre , et poindre de cherz poindre,

feindre et donner de chez feindre et donner ;;;;l Le Trait, Le tracé de Fée, L'ombre Haute auto-proclamée et autres chants de Porte. Oiseau ! on serait oiseaiu, oiseau haut / haute(une oiseau) .La Haute Chose d'un Bec d'eau. bec-Muesau placide / acide , d'une sorte des Hauts, Verbe haut, d'un ciel de Trot . On est oiseau de Roche, le veau d'eau comme ailé de peau. verbe du Tonneau. Oiseau-peau des trots sur Roche. on veut : 

dire de chez dire les données acides. Poussszr de près ce dire nacré. Chercher = sonder. Fauire = comprendre. Entreer = centrer. Fonder = filer. Pousszr-vivre = vivre-poussrer , et du coup cerner , en vrai, les données les plus ancvcrées, dans une sorte de "contrée du Rire" ...... qui serait "contrée avérée" pour une (szorte de) rixxe ??? bataille sur frise ?????? comba&t des combats -surprises ? on ne sait pas ! on veut croire, aller toucher (Néné) vif, soit téter le vbon lait de l'hydre , mais ............................................................................/.........................  de fait, c'est pas gagné ! On se doit de persévèrerer .............................  creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser grave sur pied les dsonnées du ..................................................... RIRE , RIRE OUTRÉ , RIRE GRAVE , RIRE DES RIRES GRAVES, RIRE ENFLÉ, RIRE GROS DES RIRES GROS, GROS RIRES AU MUSEAU, RIRES DU MUSEAU, GROS DES GROS RIRES DU MUSEAU, RIRES DE PEAU, RIRE-MOT, RIRE GROS DES EZNTRÉES DU VIVRE, VIE DE VIES DU RIRE GROS, GROS RIRE DU VIDE ET AUTRES VIE DE MOT, VIE DE RIRE, RIRE-VIE DES MOTS DE TROP, ;... ET DES MOTS DE TROT ! CAR, CHEVAL HAUT ! CHEVAUX ET CXHEV&LES DES TROTS , SOIT DES TROTS DE MOTS DE HAUT NIVEAU DEE PEAU ! On est : fée du pré, fée-chevale ailée, fée de trot-mot, fée-peau des traits sur Hauts. On est : 

entrée, passée, rentrée, ayant passé-creusé  

la Roche initiale (données dénommées) , et du coup traçant (sur pieds) les Mots du frai =

don, pont, fond, allons ! Creusons de chez creusons le fond , pour ensemble tracer profnd et atteindre de front la Cloison des Fins de Poste. On monte ! On veut grave alller parvce qu'en vrai on aime ! on aime grave &aller creuser, foncer, tracer, chercher à gagner toujoutrs plus loin les données dernières d'une sorte de contréepost-herbe (post-herbe ? ) aux données l a ctées ... peut-êztre ! On est née Fée pour une recherche , recherche centrée sur le Verbe alloué à un rapport dit "de proximioté" entre d'un  côté la vie avérée, et de l'autre la mort, le passzé rejoué, les données "profondes" des Rocxhesrs de haute haute Montée. On veut :

dire dire dire

faire faire faire

cerner cerner cerner

pousssr poussser poussser 

chercher cher her chercherv

contrer contrer contrrer

fabuler le VErbe tel que rencontré, "un matin du mois de Mars ... ", en ce tracé dudit "Paszé post-herbe", qyui seréait .... eh bé peut-êztre : 

du PAssé en Herbe  verte, Minorrisé, minoré, émasculé sur pré , chzerche-traîne et autres effets de la Fé Marraine. On veut : dire les faitsz, les donner sur pieds (ou redonner) et ainsi fait alller = creuser = pousssrr = tracer, toujours et encore ici, sur paliers, les traits du Verbe Cendré ainsi posté ! verbe^-herbe ... pour du lait allouéà une sorte de Passé de Traîne ! re-passé ou re-le passé qui szrait de fait ainsi re-joué, la mort archivée. car, la mort, la mort haute, celle post-porte, lA mort dite "de porte", est mort (de base) morte ! haute mort des données fortes = 

vie ... qui revit, ou quelque ch^-osqe de cet hordre ! haute porte pour un nouvel ordrev ! On veut donc : être sorte, ici, de Chose Haute ........... vie ................ vite ................. vie /...................... vite ....................................... une vie vite ........................................................................ vite vie des vies, rtracées allouées ......................................... sur rive post-pré ...............................///////////////.........................................  c entréec ....... vie centrée ........ vie post-muret centrée .................................... après la mort, la vie centrée .................................. vie du passé comme qyui dirait, ça se pourrait ! on veut cerner-toucher , dire-sonder, creuser ledit passé ... "des données avides". On est : 

Fée du pré

puis : bébounet ! 

Le bébé sacré ! bébvé-fée post-pré aux données tracées sur ciel étoilé d'une vie lointaine ainsi creuseée ! ............................................ le passé ér-toilé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! hé hé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ey si c'était de fait : le Passé Étoilé, le vide ? ou comment dire .................. l'(affranchi des (dites) "données du pré", le Passé post-pré , les Rives , les Données ultimes ........ ciel du Vide tellement empli , dx'une sorte de Vie comme "Ancrée des Traits """ : qyui le sait ? qui sait de fait ici ce qui est , en ce tracé xdes fées, des données vives ainsi szcotcxhées ou punaisées sur une sorte de Panneau " du Rire Gros " ? On monte . On veut haut comprendre les données de trop. Ou comme qui dirait "de trop"... cxar, en vrai, le sqont-elles de fait, ces données ... "de trop" ? sont-elles en vrai "surnuméraires", soit données de trop cfomme doigts faux et autres mains doublées de l'ÊTRE-Faux ? On ose = on monte. creusons gros. Cherchons haut outre(ou hors) caniveau, la Pärole Docte. On veut (de base) sortir de l'emphase ............................. âis voilà , c'est pas si simple, ;;............................................. ça demande  "persévérance", "sainteté", "croyances", "vivacité", senttiments de confianc", "alacrité". On veut toucxher-comprendre (à) déité , 

 ce Ça , des données rêvées, tracées, mais pour cela ................................... toucher de chez toucher ................................... de fait ........................... un grand nombre de données de porte. Soit : traits . Traits-force. Traits tracés. traits-sillons de roche. Treéits des traits de poche, "poche-melon". ssorte de "Grosse POche d'.....................étron"s ???? hum ............................ on ose ! ...................... on chercjhe ! on creuse ! on entrte ! on poussse ! on tente sa chance, ici et là (sur pré de base) . On veut creuser = donner, toucher = dire, aller = sentir, donner = partager, en vréi, un certain nombre de données de rage et autres vies passées comme ... "remontées de face" ! 

sur un pied, on danse !  on est née ! née, en f()a(n)ce, ....... trait ! trait de fée de Rage m enaçante ! ............................................................................................................./...................allouée .... allouée .... allouée .......... à une p anse , aux données "IMMENSES"  et autres "données de base" (le Passé "ancré") . on est des fées  des ... charges mentales, fées cernées pour des remontées de tracé passé ! passes de fée , traits acidulés, chyarges centrées, points de renaissances, le PAssé des Transes ......... Sainteté ......... Sainteté des données lactées ............... sein des seins = wsaint des saints ..... aux Vraies Vérités et autres traits actés. On veut : dire dire dire, monter monter monter, consacrer au "néné du dire" toute son assiduité ou comment dire ? son ................................... passé remonté ? ..............................remonté du Rire ? .............. des contrées du RIre si tant est ????? ...................................??.??............................................................................ on veut toucher topucher topucxher topucher toucxher topucher toucher touycher toucher toucher touycher touycher toucher toycher touycher touycher toucher touycher touycher touycher toycher toucher à c ces donhées "ivres" ;; ................. allerde chez allerf jusqu'au passé du Rire, du Rire CEntré = Le Padssé Ancré sur RIve TRacéee d'une sorte de....... "VIvre vite" ............. qu'est-ce que ça veut deire ? ça veut dire que voilà /.......... le Passé fait Foi, qui voit ! qui voit droit la voie ! voie des rOis-Reines de Choix ; ......... traces ............. traces ............ traces des voix .................. voix de bois ............. voix des bois .......... voix comme sorties des bois et des sous-bois ... du vivre  ancré ........................ = de la vie ancrée .................. de la vie à jamais ancrév e ................. creusée ........... enterée comme il semblerait ........... vie poussée de chez pôussée ................... construite, comme une  sqorte de "remise", .................... vite ! ............./. enflée ! outre des fées ! vie vite centrée et ça le vfait ou ferait à jamais qui sait ???? ......................../........ ;l'idée ici est de cernezr en vr&i le plusgrand nombre de données concernant ce Rire ici évoqué en tant qu'il serait ... du "Gros Rire" des Contrées du Vide, post-pré, post-p aroi de base, hors champ, hors courant./ Et ducoup : cerner = comprendre de près, les données patentes , ce sur quoi on peut tranquillement tabler, ce qui est de fait et ce qui , tout au contraire, ne ''st pas ou pas entièrement ; le Verbe de Rocxhe aidant (mots-trots). Oln veut de fait ensemble (accolées) comp^rendre ça : la HJoie de base, Le passé dit Renaissant, l'Onctuosité Passante, le CHantTourment, Chansonnette Étrange et autres ppetits chants des petites gens. On veut en  v rai, eh bien oui, creuser ! creuser ce chant dit "des tracés de base", et comprendre dès lçrs "ce qui se passe" oou même "ce qui est" une fois la mort attestée. ca&r, en vrai, si le passé est tel qu'il nous &pparaît, alors ............. le ciel ........... le ciel étoilé ............... est ce dit p assé "ÉTRANGE"  tel que rel até ! On peut rêver ! on peut penser pour ainsi dire à une cxhose qui serait de fait comme remontée à travers les données ici rencontrées (du Verbe salué). On veut : oui , aimer, aimer dire et chanter, ce qui est de fait qui nous "appara^trait" comme vrai .... qui sait ? On veut : tracer sur pieds, les données du verbe ! = charger charger charger charger en vrai , les données données (rencontrées) de mots de têyte ! = le Passé en herbe = l'assemblée des termes ! On veut creuser parce qu'en vrai voilà, on éime ! on aime ça ! charge que tu chargeras ! donne que tu donneras ! file que tu fileras ! ta pelote de voix ! sonde ! sonde ça : la panse ! va ! va là-bas "creuser ta CHance" szur Toundra aux bois et sous-bois des TRanses ! On veut ça : la chance ! Pa ssé dense. port de Haute transe et autres tenues franches. On est née sur pied, la fée des transes et autres danses des paroisq.?P°ariétales en diable on envoie ! chants ma ssue et autrszxmots vus ! nus ? on entre ! on entre en transwe ! on est nues de rage vues ! car : on danse ! on crreuse ensemble ! on entre ensemble dans l'antre dees données "Immenses". Qui on est de fait  en vrai ...... ? ......... eh bé .... "TRanse"" , Transe-tracée",  transe-danse", "transe allouée à une danse intense. ON veut toucher de chez toucher à  c e tracé des Panses et des Pensées Franches, en français , car ................................................................ le vfrançais est notre langue, langue icide fée, de petite fée du dimanche ! on entre ! on veut toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toyucher touycher toucher toucher toucher toucher touychezr toucher toucher toucxher toucher toucher ftoucher toucher troucher touycher touycher toyucher toucher toucher vtoucxher toucher touchervtouchervtroucherctouchercrtouchervtoucher touchercrtoucher toycher toucxhertctouchercyouchercvtoycherctoyucherctoucherctouycherctyouchervtrouchervtouychercvtoyuchercvtouchervtouchervtoucherctouycherctpoucherctoucherctoucherctoucxherctouchercrtoucher toucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucxherctyotiucgher rtoucherctoucherctoucherctoucherctouchercrouchgerctoucherctouchercyoucherctoucher crtoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctouchercroucherrctoucxhercrtouycherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctouchervtoucher toucherctouycherctoucherctouchercvtoucherctoucherccvtouycherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoycherctouycherctoucherctoucherctoucherctoucfhetrvtouycher toycher toucher toucher toucher youcher toucher toucher toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher toucher touchr toycher toucher vyouycher toucher toucher touycherb toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toyucher touycher à ce N2né du bout du bout du monde Étoilé, il sermbvlerait (lacté) . Et du coup ..... tracer ! creuser ! centrer ! poster ! poster de chez poster ainsi ce trait (trait de somme) "au passé" = "au temps (grammatical ?) passé" = l'ombre , le trait, trait dooné d'un e sorte d'ombfre, d'ombre sur pré , trait très marqué comme qui dirait = Ombre / honte / homme ................. en vrai ? on monte ! On veut grave y aller, en termes ici de connaisqsance . on a envie de bien cerner toutes ces différentes données, données sur un  pré, et, cette chose avérée ou enregistrée, aller plus loin , pousssr loin les recherches ferme, tracer au stylet, à la poijnte, au coin, ce qui est qui , sur ciel, de traits, apparait ou nous apparaîtrait sans traîner, sans se faire prier. On veut toucher "à satiété" à toutes sortes de données célestesdx : traits de fée, fenêztres dorées, plainte remontées, tracés de néné, bêtesde roche et autres bêtes des contréees hautes genre antilopes, bisons du front, buffles accortes, chevaux de trot, aurochs ados. On veut aller, soit creuser. tracer ici et là sur roche de paroi les données de POrte. Mots des Ombres portées. Mots doctes "aniùmaux". sOrtes de Passages "drôles" et autresq farces hautes . Traits d'esprit tracés zur porteb haute ou dite haute aux données données. On monte ! on veut toucher toucher toucher toucher toucher touycxher toucher toucher toucher toucher toycher touycher toucher toucher touycher toucxher toucher toucher touchervtoucher à ce qui est

à ce qui entre 

à ce qui sexprésente 

à ce qui est en demande 

à ce qui en vrai se voit de là : la paroi

à ce qui tremble de hjoie à l'idée de fraire , ici bas, la fête, fêyte aux bêtres de poids, genre "voix des bois", . On veut dès lors "ensemble " (szoi) comprendre et toucher, cette ......... Sommité HAute, SOmmité de POrte : AUroque ! AUROQUE EN VRAI COMME CERNÉE , DONNÉE, TRACÉE-TRAQUÉE,VIVE ET ÉLANCÉE, QUI CHERCHERAIT TRAQUET-TRAQUET À NOUS AMADOUER SANS TARDER, EN NOUS PA RLANT D'UNE VOIX SUSURRÉE , NOUS DISANT .... LE LAIT ! LAIT DE VOIXX ! LAIT-VERBE SACRÉ ! SAINTETÉ L ACTÉE DES DONNÉES DE L'HERBE ... ON CROIT RÊVER ... MAIS EN VRAI, LA CHOSE EST VRAIE ! SCÈNE ! SCÈNE SAINTE = LE TRACÉ FRAPPÉ COMME UNE MONNAIE ..... ON  veut toucher cde chez toucher à une vérité en v raie, qyi serait sainte, xsainte et sacrée, de type "CXh arité" , "Charité consacrée" , "Charité Vraie" des dxonnées en herbe, 

adolescere

adolescere

adolescere

adolescere

adolescere

adolescere

adolescere = en herbe , de pré et de près, car ................. on aime !!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime grave l'herbe, le passé = passé remonté, le pré, ce qui "précède", les trajets, la route des fées, l'ombre du doute, l'envoyé des données outre. On veut creuser de chez creuser la poutre ! consacrer = tracer. Dire = passer. Poindre = ponctionner ......... de lait le Néné !verbe, verbe, verbve, verbe, verbe , verbe en herbe d'herbe  verte comme les traits (ici) des dessins de traîne ! l'amitié ! les restes centrés ! la chance acidulée ! le Passé est (pour ainsi dire) TRAITS . TRAITS CONSACRÉES. TRAÉITS APPOSÉES SUR PIERRE RÈCHE. MAINS SURNUMÉRAIRES ! MAINS SURNUMÉRAIRES. MAINS QSURNUMÉRAIRES . MAINS OUTRÉES, TRAQUÉESZ, CRACHÉES ! TOUTES CRACHÉES ! SUR PAROI DE ROCHE CACHÉE , AU FIN FOND DES OMBRES. on est née fée = fée des prés = fées prairiales des "saturnales", et autres fêtes de contrée . On veut gr ave tr acer-aimer pareille S&turnales Olé olé , sans déconner. Grave aimer. Grave charger. On veut sans rire aller, vers ............ ciell des fées ............. étoilé de chez étoilé comme au débotté !aimer = dire = faire =cerner = poussser = comprendre = entendre = mesurer = pister = saluer la Hampe ! trait des traits ! Ambre aimé ! trait des traits tracés sur ciel de tra&it ! on entre ................................................................................. on veut toucher à ce Néné "des données lactées" ....... ventre ./............ ventre de trait ! pis des pis ! pis des spi de rage "dense" ! traits tracés à main levée p& r une dame de connivence : à l'ancienneté ............................................................... aimée ................... comme adulée ................................. allouée à une sorte de parade à ....., en vrai ...., ici, ............... tracer de chez tracer..............au stylet, .......................... au soufflet ?/................à la paille (courte-paille ?) ................... comme Passé de CHarme et autres faits ancrés .......... qui swait ? qui connait en  vrai les "souffrances du passé tracé" ? qui sait ce qui est qui reste à supporter en termes de passé "de face" ? qui cfomp^rend = entend les données profondes hautes (dolors post-porte) ? On veut creuser la roche, dessiner, graver vif un certain nombre de tracés dits "animaliers" mais il s'agit (au bout du compte) de "mots de porte" et autres "envois des hauts" hors caniveau. On veut (de fait) toucher de chez toucher, à cette sorte de donnée, de "porte haute" (on dira étoilée) qui est ce "ciel de roche", "ciel de mer", "ciel des ombre's hautes". On est La fée "Des Roches Gravées", sachant "percer" (sans traîner) la pierre de porte, et passer , passer dès lors vers .... ce passé aux traits, traits tirés, des doonnées "accortes" (étoiles de la mort haute). On est née fé car on s'aimait ! On est nées des fées (fée au singulier ?) car on s'aimait = on s'accolait , on voulait se souder, se coller ailée ! Et tracer ! et en vréai on trace, ok ....... mais bon .......... le chemin est rude , d'aventure ! on doit peiner, tracer de chez travcer c'est vrai mais le temps dure , temps dur, qui nous voit fatiguer de chz fatiguer malgré notre allure , notre foi et aussi bien la vie (en nous) qui carbure ! ç'est dur ! ça envoie du bois ... dans les rainures ! pas si simple ma foi de cerner .......................  c e qui est ............. qui là-bas de fait ...................... nous reluque ! grave nous relusque ! faut trimer ! voler-voleter ....... de bon augure ok mais ... c'rst un fait : on doit tracer / trimer jusqu'au bout des tréits ............/........................ = creuser ! tombe de bure ? on ne sait ! on monte ! on creuse haut les mots "de trop" .............................................. vive allure ............/........................................ au chalumeau ....................................... et à la revoyure ....................... tracé de mots de trop sur paroi rude ................................................................................................................................................................................. au tro

t .......................................................................... au galop au galop au galop ........................... de bonne mesure ! ON est néedc, sur pieds,la mort ancrée, on veut ... monter ! aller haut sur Hauts, vers ce ..... néné des HAuts et autres sein donné "de bonne aventure" ! le niveau ! roche en gros ! époque des mots et autres traits des hauts ! On veut toucher rtoucher touchezr rtoucher toucher toucher rtoucher toucher à ce qui est qui semblezrait de fait vouloir nous aider, à cerner les données de près . Données doctes des faits avérées entérinés, faits des fées. On aime ...... et du coup on sème ! On veut grave cerner , aller sur pré à la recherche de données "semées" et autres graines de tracés en herbe . Traits ici comme 

gravés-dessinés 

à main levée en vrai. Hezrbes ? ça se peut ou se pourrait , ça ressembkle en ezffet à quelque chose (on dirait) de similaire : pluie de traits ... d'herbe ? on dirait que c''st , de fait, en vrai, des sortes de traits allouées, sur roche) à un dessin de ........... pré ??? qui le qsait ? qui connait la chose , la chose profonde ? On veut creuser creuser creuser la roche, paroi haute, et trouver , trouver de chez trouver ..... des choses ! des données de porte , genre vérités sacrées, choses doctes, paroles hautes, mots sacrézset autres parabioles accortes (don de fée). On veut aimer aimer. On voudréait toucher , à ce (dit) "néné des c atacombes" ......... oh, de près si tant est, pour, en vrai, mieux téter de chez téter et se rassasier du bon lait de roche (trait). On veut :

creuser creuser creuser creuser creuser creurser, creuser en vrai la roche meuble (fontes) et "aller" .............. = pistonner ! ......... poussser de chez poussszrc la carmagnole, danse "saturée", danse-transe au taquet ! ronces ! foin ! herbves folles ! on monte ! on saute ! on ne s'e,n laisse pas conter mais grave on monte-saute, alloons loin ! cherchons le train, bon train d'époque haute : le tintouin ! la roche haute et tout ce qui ici (de fait) s'ensuit, en termes de roche, de tracé de portte et autres mots hauts. On veut toucher toucher toucher au plus haut niveau la roche "accorte" .................... mots des mots ...../.................... mots-bêtes au lamparo ................................. on mùonte sur les hauts de Roche HAute dite "des moçts hauts de haute Époque". On veut grave dire, ou comme dire , les données de ROche, sur frise = dessiner-tracer, sans traîner, et de féit construire ./........... sorte d'ÉGLISE  .......................................................................................................................................... sorte d'ÉGLISE DU VIVRE ........ sur p aroi de fée ou de fée-fée, fée ailée tracée. On veut :

toucher touycher touycher toucher toucher touycher touycher touycher toucher toucher touycher touycher toucher toucher roucher troucher toucher toucher toucher rtoucher rtoucher troucher toucher toucher trouchervtoucher toucxherctoucher touycher à ce né né dit "du passé ancré" ! Et téter, forcé ! cxar oui, on se sehnt obligée, car ...... on adore le lait ! on ne peut y résister ! on veut téter téter téter de féait ici ce lait, des données hautes, genre "de porte" ... et même plus hautes ! On voudrait :

 aller , sonder, pister, cerner sans traîner, poussser poussser poussserde fait ce trait, jusqu"'aux données hautezs ou les plus hautes jamais rencontrées .... étoilées ? oj,n monte ! on monte hautes de chez haautes ! on monte de chez haut des hauts sur Roche des Mots (paroi docte)?. On se prénomme ............... Pou ! .................. le POu ! ......................... petit Pöu ( philipou) des trous et autres traits de Roche .... où donc pouvoir, dès lors, passer le nez né , et enttrer. On veut creuser de chyez creuser la roche à ici traverser et sans compter. creuser creuser creuser Roche au pré , passer, saluer , s'approcher des bêtes de trait, continuer, voler / voleter et se porter jusqu'aux nénés des données lactées genre étoilées , mer de S&inteté L actée , traits des traits tracés à main levée par une F2e Ancienne , qui sait. On veut : aller, dire, poster, construoire, chercher, donner, filer, chercher, sédiuire de près, pareille Sommité agraire, bovidé des bovidés des terrres et autres sols sacrés ! terre des terres, terre swaluée, terre auto-centrée ! on cxherche à ...... peut-^tre , creuser de chesz creuser le ...................... "szillon de l'être" spigrocon !  ....................... spigolon des termes ! tete ? trait né ? cherche-merde ? on ne sait ! on creuse / aime ! on veut de fait :

toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui ici se présente, en vrai, à nos instances ! le Passé ! le Passé Remonté ! P assé dense comme les blés ! on entre, on entre "ensembvkle" en transe, ailes déployées. On est la Fée des Panses, ici lovée./ On veut tracer sur pied l'être des données tel qu'on se le représente = 

acidulé, vrai, ancré, soulevé, tout remué, chargé de bonne intensité, comme tracé à main levé, chahuté, coché, pris sur le fait d'une sorte d'envolé massive, une frise , trait de frai , âme cxomprise. On veut creuser, dire et sonder, porter-mesurer, aller-donner, vlouloir aller ............. sans plus se retourner, vers un ciel lacté = sainteté lactée = ciel aimé. Chercher la frise, le dessin de l'hydre, signe (signe tracé) d'un trait du dire, du "dire Accouplé""""" , "Dire centré", "dire des dires et autres dires genrés" . traits des traits. Vie des vies. Son des Sons. Mises en pli de dires sacrés sur paroi pré-pré. Car, la paroi devant soi, est paroi pré-pré, qui renvoie aux données des données, de type "bestiales /animales". On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une sorte de ...... parade sarde ? on ne sait ! sarde ou pas sarde on veut toucxher à ce qui est qui nous regarde ou nhous regardrrsrait comme de biais , de type manaçant / menaçante, regard en biais qui szerait mécontent vis à vis en vrai de ce qui, de nous, est donné = vivacités, vivacités, vivacirés, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivcacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacitésq , vivacités, vivacités, vivacités, vivcacités , vicacités , vivacités, vivacités, vivacités  , vivcacités , vivacités, vivcacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vicacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités , vivacités, vivcacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivcacirés, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vi vav-xités, vivacités mais, en vrai, 

jamais la vie , la vie pour de vrai, 

et ça le cfait grave chier, suer , râler, car, de fait, la Mort est super centrée sur , ici, ce genre de "do nnéé xde vie", , de données vives ws'il en est . Elle veut grave la vie, la vie-vie, et pas du

 "wemvblant de vie" (les vivacités) 

qui fait son effet ou son petit efffdet mais en vrai ne comble pas (jamais) l'en-vie de vie vraie (complète) de La mort Haute. On donne, on rallonge, o,n pousse. hautes formes sur paroi de Roche : auroques, buffles d'oc, antilopes des sons de cloche, bouquetines vives (très) et autres cerfs de haute Volée, mais la Vie de FAit (Vie-vie)  : jamiais (sur paroi-muret) !

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25/2/2025

On est (on serait) deux pour ça : ici cerner , ici cerner un certain nombre de données de base, par exemple  : ce qui est qui nous fait face qu'eest)-ce que c'est . On mate ! hou, on voit ! on regarde "grave". On envoie du bois ! on est là pour ensemble comprendre un certain nombre de données de Rage ! les tracas, les ambivalences, les  voix, la Chance au Passage et autres tralalas de mainrtenance. On y croit ! on veut toucher de chez toucher à ce qui ici (en soi) se présente, en tant que voilà , une sorte de Domaine Dense, Pré aux Bois, SSainte Place, un endroit de Base pour des Sortes de promenade en veux-tu en voilà vers plus loin (là-bas) lav Muraille . On voit là-béas ce qui se présente, en tant que Ça : Mur de Passage en Transe, une sorte de voie pour un passage en transe jusqu'aàl'au-delà de l'au-delà de la Parioi . On veut toucher ensemble à cette chose d'un TRacé de base ... pour Soi, à savoir ............. iune VOie, UNe sorte de VOIE, qui, ici, en face, nous "regarde". est-elle un trou, trou dans le paysage ? ou bien : échancrure nature ? un passage "intense" ? trou du Moi ? un passage dit "de Paroi attirante""" ? Quoi, ça ? On enttre ! on entrte "ensemble". On veut aller en vrai au plus profond de cette Chose "iintense". une voie pour l'au-de;à ... ça serait BHath ! O,n y croit et du coup on voit ! on entre en cet antre "au-delàa" ... et qu'est-ce qu'on voit ? on voit ici

eh bien des choses qu'on ne pensait pas en vrai trouver en cet endroit, comme, par exemple : des (sorttrezs de) traces de pas, des traces de passage anciens, des chemins, plein de chemins qui sont des chemins qui on dirait mènent loin, mènent ou mèneraient peut-être au trèe-loin ou bien au plus loin lointain d'un au-delà à ÇA, qu'on voit devant soi : la paroi, la paroi "des bois". On regarde et on -se demande si des fois on ne pourrait pas ici creuser ensembkle vers ces  "lendemains de base" . Et du coup en avancer ensemble (grave) dans les connaissances. On veut ensembkle en vrai intensément touchger à ces contrées qui nous rassemblent ou nous rassembleraient une fois la paroi (des fonds de pré)- traversé , traversé de rage, vers cela , là-bas, qyui nous regarde, sans  nous l^cher, sans nous abandionner une seconde. Qui c'est ? peu-têtre ... Chose ? Une sorte (qui sait ?) de Donnée d'outre-monde ? une sorte de Donnée de Roche ? 

on mate ! Qu'est-ce qu'on voit en vrai ? on voit des sortes de données "potaches" .... traits de Voies = des tracés , à même le .................. Passé de SOi ? qui le sait ? quyi voit ? qui comprend ici ce qui est qui se présente à nos endroits (à notre endroit) ? On creuse la VOie car voilà, on veut cerner ensemble ces "données intenses" post-paroi, post-paroi du pré = paroi 2, de par la foi. On veut : 

- toucher toucher toucher

- cerner cerner cerner 

-entendre entendre entendree

- cntrer co ntrer co ntrer .... et du coup tracer ! car, nous, notre volonté la plusq ancrée , est de toujours toujours toujours continuer de chez continuer à creuser creusezr creuser, cette sorte en soi de paroi, des ROIS_REINES de là, la BAse, BVase Antrale. On a envie ensemble de creuser le plus possible  c  e qyui donc, ici, devant nous, se présente, se présente à nous et nous fait signe, et, ce signe , en vrai, à nous d'apprendre (pour ainsi dire) à le lire, à le comprendre ensemble, à savoir le voir, à cerner ses traits, sa façon de nous aborder ou de nous toucgher, à le voir en ce qu'il est en tant que (pour le coup) Message à destinée. On essaie de se rapprocher, le plus possible, ensemble , de ce trait aux do nnées lactées (nacrées) . On veut toucher à cette chose déployèée, qui fvoudrait, peut-êttre en vrai, nous rensezigner sur, ou nous enseigner le .... "Théoreme Ondulé " de la Vérité Tracée ... ? on ne s ait ! On est accolé&es (on est collées) et on trace de fait ensemble vers ici ce ... Tracé, d'une sorte de Charade on dirait, Charade-Trace, Charade qui saurait (en  vrai) nous donner, des sortes de Réponses comme Soulevées, Réponses au TAqsuet, concernant la Chose = la VFoie = la Mort à bout de bras ...  ou quelque chose comme ça . On a envie ensemblke de toucher à ce qyui se présente et nous regarde de la tête aux pieds. On a envie de ensemble) toucher-cerner, un certain  ombvre de données de base, des données de Rage, données "Denses" qui, de fait, serait ici (pour nous), 

des "données" Coriaces", Données Dures s'il en est , à devoir, du coup, "envisager " ou "appréhender" ensemble dans leurs longitudes et latitudes d'altitude. voyons ça ! creusons ! essayons de voir un peu, ensembkle, ça ! ce qui est là qui semble devoir (de base) "noius parler" par des sortes de "treaits" (de Rage) "à toi à moi", qui sont traitsq pour ainsi dire sur ... paroi de base ! paroi dite  "de-roi , -et-de -reine -

... de Rage" , on croit. On veut toucgher à cette sorte de .... post-pré (pour ainsi dire) "des temps alloués", traverser, passr sur pieds, aller de l'autre côté, essayer de cerner , cerner de près, les données "iintenses" telles qu'elles nous apparaissent ou nous apparaitraient en face . On est :

Bêtes sages, Bêtes-Foi, Bêtes-Traces, Bêtes-Envois, Bêtes)--Crasse, Bête des Données de base en soi = traces sur paroi de CXhâsse ! On est là ! on entrte ! on veut comprendre , et, du coup, intensément nous appriocher de ce qui est, la Paroi Passée, Paroi Haute des Données Profgondes. On veut c'est vrai toucher ensembke à ce qui (pour le coup) ici , pourrait grave nous dire des choses, choses et autres concernant en vrai eh bien tout un ensemble de données progfiondes qyi pourraient de base nous donner de fait de quoi cerner = toucher à ,

un certain nombre de choses liées à la Foi. À la foi profonde en l'au-delà. Par eexmple : des tracés, des traits, des desssins sur murets et autres tracés à main levée. On veut toucher (de notre côté) des Données. Les toucher = les appréhender par ... du doigté de près  , à savoir : par des sortes de pose

 de main sur muret ! On veut toucgherb! on veut s'accoler ! soit ... s'acvoqyuiner ? on ne sait ! mzais coller de chez coller à cette Chose , à cette sorte de  Passé, de Passé REmonté ! Remonté des catacombes ! On veut toucher de chez toucher à ce Passé des Catacombes ! et "tracer" = filer = foncer = aller, dare-dare vers ... ce Passé qu'on ditb "Remonté" comme si de fait ça se pouvait mais qu'est-ce qu'on en sait ? On est nées de fait fées sur pré pour .... peut-êttre ? tracezr ! = foncer = ttrraverser, par ... "la fenêtre de l'être" ? le muret Dernier ! On veut ............ coller de chez coller à pareil muret des Données Dernières et ... tracer ! traversezr "en entier" le "Cimetière du pré", et alller ..... loin .......... toucher /............. N2né ! le Néné du Verbe = le Lait ? on ne sait ! on cherche ! on a grave envie ... de trouver ,

à cerner , à comprendre, à voir de près et clair ce qui est qui se présennte, à nos doigts de fée, ailes déplissées, jambes élancées prêtes à npoous propulser vers une sorte de CIel Lacté ! néné ! néné ! néné ! néné ! on veut toucher = téter ! c'sst vrai que nous (fée) on aime (on adore) téter ! on veut toucher à ce Néné du Bout du Monde " ! le Néné est né qui serait "the Néné" de l'Aube ! trait du lait ! on veut creuser ! on veut toucher-creuser sur pied ailé ce Néné au Lait ! et téter ! boire si tant est ! toucher de chez touchezr et y aller de nootre traduction-passion ! On veut :

creuser de chez creuser

aller de chez aller

toucher de chez toucxhezr

poser de chez poser

faire de chez faire 

Nous donner à  e trracxé du bout des bouts des données Debout . Qui on est ? des fées ! fées passées post-pré, post-données prairiales des tracés de base. On veut aller "ensemble "", de RAge, 

Au plus loin de là.  La base navale ? Mer de poix ? Traits tracés comme des vagues ? l'eau de là-bas ? l'(envoi, ou l'envoidde l'envoi de Charme ? On ne voit pas tout du tout. On voit des bouts . On veut , on voudrait, voir plus , et du coup ..... cerner ! cerner grave, les données données par une sorte de , oui, Vague sur le Quai ! la chance sur trait ! une sorte de Passé Intense, qui remonterait et saurait nous dire ou indiquer ce quy'il en est de cette chose ici tr acée comme à main levée et dont le nom est :

Vague ? Vache ? on ne sait en v  rai ! on est née sur opieds Fée ailée dans un pré la mort donnée, à préxsent voilà, on avance ! on creuse Voie ! on veut co:=prendre ensemble "des donn"ées ", et tracer, ensemblke, post-pré, un "sentier des connaissances" comme qui dirait ! On est nées Fée de Rage la Mort donnée ! devenu F2e ! Fée des prés ! On meurt et, automatiquement, on devient (qu(on fût homme ou femme) fée, l'homme disparait, la femme trace, la Fée naît ! on entre ! On est née "enwsezmùble " =  traits ! traits de "fée de connivence" on croirait ! On veut :

toucher à  e quyi est qui nous "rassemble". On est née en France (il semblerait) et à présent on veiut tracer, au plus près, les données de RAge, kles Do nnées de Base, ce qui est qui est qui ici env  rai se préwsenteraiet et nous donnerait de quoi  cer ner-toucher à des données telles que voilà, on pouurait, avec elles, toucher toucher au Néné post-pré = le Né,né , Néné né Lacté à pouvoir tétezr ! On veut de fait toucher de chez toucher à ce qui est qui est qui nous regarde ou nous regarderait sans discontinuer une vie Durant ! L'oeil des Treaits ! traits des Traits ! On est Fée de fait la mort donnée ! OUT, l'homme ombré ! l'homme au port ! l'homme est écarté , mort = enterré et auttres faits. On est passées ! fées ! fées ! fées on est ! On est des fées pzrmi les fées xd'une sorte de Contrée des Données Ancrées ... le Pré aux traits ! bêtes de Somme et autres Bêtes de trait ! beêtes "de la mort" , ohhh ! Ce qui est ! On est nées ! on est parmi les bêtes Grossses : bisonnée de roche ! On porte ailes de fée sur pré aux tracés ! nées fées ! homme enteré laissé derrière, dans la terre ! et ici ...... une envolée , envolée de fée dite "surnuméraire" ailée ! on est montées ! on a franchi pâs mal de paliers et nous voilà comme "adoubées" par une sorte de Prairie aux données fvrontales  , THE pRAIRIE, la chance ! fée de FRance ? non ! du français , la langue ! langue usitée, ici p arlée, le fr ançais du ventre ! On veut :

coller coller coller

donner donner donner

faire faire faire

creuser creuser creuser 

connaître connaître connaître

dire dire dire 

cer ner cerner  ern er

CHerc her à , pour le coup, aimer ! aimer la Base de Do nnées ! comprtendre = aimer, imer creusezr, toucgher, cerner le Verbe comme Déployé la mort ainsi abordée. On veuit : 

toucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est ici qui nous dirait ce qu'il faut penserv de ce cimetière aux données  tracées comme sortes de traits .. de Basse Porte. On veut :

toucher touchger toucher toucher toucher toucher à ce quyiu est qui; , en vrai, EST . A savoir : la Rage ! Rage acidulée, d'un tRait de Base ! tracé ! trait des traits tracé à main levée sur .... Néné ! trait de lait ! la Rage ! le Passé comme remonté et nous voilà qui sommes là, en tant que Fée post-pré, à cghercher ensemble  à pouvoir comprendre ici et là ce qui se présente à nos .... doigts effilés (?) ou pas mais qui , de fait, cgherchent à ... toucher que tu toucheras, le Néné du Lait, à téter, tête première. lait pour Fée Primaire ! Le sacré ! la vive intensité de l'êttre, ! le Passé rena^it à l'Être et se donne et pas à mpoitié ! On veut toucher à ce quyi est qui ici se préxwe,nte et cherche à nous donner de quoi cerner les données inte"nses ou dites telles. on aimerait pouvoir ensemble comprendre, ici ou là, ce qui est qui se présente à soi, données denses, treaits de fée, charges outrées, colle et collier. On est nées Fées sur pré et à présent on veut graver, creuser, tracer etc., un certain  nombre de Dessins de Foi , traits des traits, sur Paroi Finale, Ultime Paroi aux tracés de Charme : bisonnée ! traits frappés, creusés, armés, crachés, soufflés, dessinés (de Rage) sur Roche frontale. on a envie ensembke en vrai, de comprendre-cerner un certain nombre de données de base, des treacés de rage ... mais pas que, aussi des sortes d'envolées notoires, de type "traductions fatales". qui est qui et quoi est quoi . Toucher à cette sorte ici de "limonade" sur paroi. La Foi est une sorte de ... P aroi de Base. On envoie ! on entre ! on renttrree ! on rentre là ! on ne veut pas aller plus loin dans la panade, mais tracer , aller, se sauver, cerner, piger, allouer à une sorte de Tracé un sembklant (de fait) de Vérité. On est née ! née fée ! homme achevé, fée  né , ailée ! On ne veut plus tracer pour tracer , mais tracer pour ... tracer = filer ! passer ! pâsser de fait en tant que fée (bêrte de trait) vers ce Passé du Néné du Lait ! = téter ! tête allouée à une sorte de tétée de Verbe-lait = V-herbe = Verbe d'herbe " ! On aime ! OPn veut creuser cequi ici est, qyui se présente à nnousq en tant qu'on est des ............................ êtres(de pré) ailés ! ............................................................................................................................................... on veut grave aimezr = dire = cerner = comprendre = conjuguer .... un cdeertain nombre de données de base ! les comprendre = les toucher ! On veut :

toucher toucher toucher à ce qui est qui se présente ! On veut : aoimer ....................................................................................................................................................................les traits, traits de RAge , Traits Tr acés du Passé de bbase ..............................un néné est né qui se présente acidulé prête à être tété ! ................................................................................... on veut le téter ! l'aimer! boire du lait ! s'en garga(riser en tant que Fée Tracé sur pieds dans la mort donnée dite "du bout du bout des contrées aux fées ". On veut toucher à ce qui est qui se présente on dira "debout". On entre ! on entre à genoux ! on est au bout du bout du bout du bout, prête à ... entendre .... la VOix Ample ...... d'une sorte de REine De Rage ......... Tra cée .............  rEine des Données de base .............. Rei,nes des Entrées ..... sorties de La,ngue ! loa Paroi est franche ! sondée !  creusée sous nos pieds ! on  veut (nous : fées !) s'envoler sans plus (ezn vrai !) faire desimagrées mais y aller ! poussser de chez pousser ! tracer de chez tracer ! aller de chez aller ! faire ainsi que les dsonnées en vrai sooient, pour nous ... eh bé données, peut-^tre ... petit bout par petit bout ... ou alors d'emblée ? toutes données et on saurait  ? une fdois pour toutes on saurait à quoi se fier ? On est nées Fées du Bois Menu, on volette, on veut comprendre ce qui est, on cherche loin, on veuit aller ... au plus loin des contrées ici toutes représentées à notre approche. Creuser c'est cerner, on sait. Qui on est ? des fées, sur pieds, qui sont a&ilées du fait que voilà.... fée = ailes ! On aime être fée parce que voilà, on est munies d'ailes. On v  eut ensemble gagner sur pré les dernierts contreforts, comme tracés , qui seraient (pêut-êrte) sortes de Murs d'enceinte, de Rotonde Allouée, d'enclave profonde aux herbes folles et bhêtes desomme que .... bnous sommes ? fée / bête de somme ? fée / bête de trait ? qui so=mmes-nous en somme ? fé de Somme ? fée de TRait ? fée adoubée dédoublée doublée ? on cherche enxwemble ici et là sutr pré à du coup envisager ce qui se pourrait en termes de réponses à des questions "profondes". On veut (certes) aimer (aimer cerner) mais aussi "toucher" , toucher à ce quyi est en termes de ....  Plaie ? on ne sait ! en termes de .... Chose a&llouée ... à .............. La Moprt ? peut-^tre ! 

oh, peut-êttre ! on cherche , on avance ensemble (... on est des ailes !). On est née Fée au passage Donné (= le trépas cendré) et passé ça, donc : le  ou la pré-toundra, nous voilà accolé à une sorte de muret, soit de muret de fond d'allée, prête à "déjouer", à "lâcher les treaits" , à se "dépiauter" d'un cezrtain nombre de "qualités certaines" , du genre ........... la traine ! les ailes ! le diadème ! les bouclettes et autres traits cilaires ! et hop ...... avoté ! .................. on est passée ! on est passée...  xde l'autre côté du muret vers ..... la "Mer des Herbes" ? Mer Haute du Verbe ? mer des Traits hors Roche ? On est la fée Haute ou ... on sezrait ? on monte ? dans la mort alvé-olée on monte, vrai ? On, monte haute ? feé-femme du pré, monte haute la mort (ultime) allouée ? On veut creuser = dire = faire =  cerner = comprendre =cxher cher = aller = sentir = franchir , ici ou là (treait d'ultime paroi) la Rive , RIve en Soi de l'Au-delà à soi ! la Chance = la transe ! On veut toucgher à ce qui se présente ou se prése nterait, en termes de :

Connaissance des Entrées , des TRacés de fée, CXharfge Haute sur Muret de Roche ! creiusons-filons ! ou même : creusons le filon ! Cherchons docte ! pousso,ns grave la Chose,  d'une sorte de tracé de fouille ! allons ! chercheons ! filons de fait sur tracé haut ! allons toucher à cette sorte de ... Passé Haut .......... Enfance du trot .......... enfance du trot ..................................  creusons "haut" la Chose ...... Le passdé est une réponse. Il sermbvlzaerait de fait que le Passé  fusse Réponse .... ancrée ....... en cette chose d'un ........ Néné de lait ! et du coup, on peut téter ! tétons ! allons sur pieds à la rencontre de ce lait , cxherchons ensemble ce qui est qui est, qui nouis "r assemble" ou nous "r asssemblerait" autour du lait, lait de trait ! courrons ! fil:ons ! chezrcjons ! cernons ! poussons ! poussons vif la Chosqe Haute ! le Passé est cpomme "remonté des catacombes"" où il se terrait ! on veut tracer et du coup cerner tout un tas de données de type "bêtes de treait", '"bêztes de paroi", "bêtes s ur roche donnée", , et .............. voies ! voies d'accès ! On veut toucher toucher toucher toucher à ce qui est ici qui se présente en tant que Lait Donné , à téter, à ingurgiter = avaler pour se requinquer . Toucher = dire = faire = cer ner = cxomprendre = induire = szoulever = pouysser = calibrer un dire aux données du Rire ! Le Passé ! le passé traqué ? ou disons : poussé" ! car, le Passé est avant tout , du Rire de Pré ! Passé-Rire = Vie de RAge = Vent de face , prout ! la chance ! on entrte ! on creuse dense en transe ! filon ! trai du fion ! on veut :

coller coller coller coller

chercher chercher 

dire dire dire dire

sonder sonder sonder sonder

pousssr poussser pousser pousser

creuser creuser creuser crreuser

adouber adouber adouber adouber 

faire faire faire faire 

centreer center centrer centrer 

comprendre ensemble et toucgher ensembgke .... à ce Néné de Contreba,nde : THE Néné de Contrebande ! = le Passé ! le Passé Intense ! car, le P assé est né, qui nous attire à lui au plus profond ici xdes données données telles que rencontrées , offertes allouées , à une sorte de Tracé donné. On veut creuser de chez creuser le M%ur du Son ..... poussser poussser poussser vers le Fond, Roche Haute, la plus Profonde, Haute Roche des TRacés de porte. On est qui ? on est Fée haute, passée, qui avons travezrsé le muret DErniezr et nbous sommes comme retrouvées .... de l'Autre Côté, à devoir "sonder "(en vrai) les données Hautes = le Néné des Nénés , Roche au pré passé, la Haute Futaie, Mer des traits ! vaguelettes ! vagues et vaguelettes ! mer ancrée ! mer des données vertes ! traits sur traits ! Verbe centré ! on veut toucher à ce qui est qui wsembleraiot vouloir, ici, nous donner, des sortes de ....................../.................................................................................................. vraies vérités tracées ./............ treaits = vérités ,.............................../.................... traits ancrés ........................... oiN aime teracer et cerner, chercher et toucher et diu coup possusser, pousserr haut le Verbe "chaud" ! Toucher ! On veut :

dire de chez dire, êtrte de chez êttre, creuser de chez creuser, faire de chrez faire, cerner de cherz cerner, poussserrt (en vrai) de chez pousssr, co nnaître de chez connaître, cerner de vchez cerner, centrer de chez centrer, pisserrt de chez pisser . qui on est ? bêtes de trait / fées ... ça le fait ou le ferait ! car, en vrai ................. on aime êztre ! dire et coller, cerner et comprendre, charger et filer, sonder et marcher, voler et monter , monter vers ELLE , ELLE VRAIE , ELLE ... DONN2E XDES DOONN2ES, la DONN2E DES DONN2E, DONN2E VRAIE,, VRAIE DONN2E DES DONNÉESQ , Vraie de vrai ! On l'aime ! on veut CERner = enrober ! donner = dire = faire = coller = ciomprendre =cghercher = sonder ...... un certain nombre de "données intenses"  , qui seraient .... eh bé oui peut-^tre .... dxes contrées , aires désertes, mers Égée ou autres mers post-pré ! On veut :

toucgher touycher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher ... à ce Passé de Mer, Mer Des Fées qui ont (de fait) traversé la Roche, Roche DOnnée, vers du Passé d'encoche ! trait ! trait nacré ! trait très très nacré ! on dirait ! On creuse  un trait, et dans ce trait ou par ce traiot on essaie........../............................................. eh bien oui, de s'immiscer, d'entrer, de se loger, de se placer et de passzr ainsi pelotonnée  vers une Contrée, ou Contrée Nouvelle , dont le Nom erst ...... kle Passé ! le Passé de l'ÊTRE, Passé Né = re-né ... ou comment stipuler ? On veut creuser (ensemble) ce Pasdsé , mais comment creuser ? voix de Roche = voie donnée = sentier ! tracé né sur sol de Roche  ! on vfeut aller aller aller comme à nous envoler de tant aller ailée ! Volons haute ! montons ! fouillons ! creusons, THE Roche aux Passions ! et allons (si possible vive) vers pareille Cloison, Cloioson de l'Impossible , ou du non-impoosible, ou deu inconcxevable , ou du cfoncevable ..... mais allons ! creusons ! foulons sol, post plancher des vaches ! allons bon train ensemble vers le fond ... xdes fonds de RAge : la P assion ! Le Ventre ! le Front ! Antrte et Fond ensemble ! On veut comprendre et, de ce fait, on entre dans l'antre, ici, des Passions Franches , Passions des Passions Franches et autres Passions de branche. montons ! on veut ................................................êytre .............. née ................... dans la mort des contrées ... du Passé ................ bébé ! ............. re-bébé ! .................. à nouveau ancré ! fait ! chargé ! alloué à une sorte de "contrée profonde" , de type ........ re-rotonde ? On ne s ait ! O,n mùonte ! ..................................... l'homme desc ent la femme monte ! ............... monte haute ! .................. ailée de Ro-che ................................. homme croche (accroche)........................ bec dans l'aue de roche : caniveau, le drôle, au museau ! ............................................ paroles ! .............../............./. fée vhaute monte et cherche porte ! ................... porte des Hauts ;............... szorte de porte Haute des Données Profondes sur Poteau ! ........................................................................ o,n veut grave (ensemble) toucher de face, ce squi est qui en vrai nous rassemble ou nous adjoint ou adjoindrait de connivence ! on est née Fée la mort donnée sur pré (pré paradisiaque) et ... le pré "consommé"", on se prése nte "ensxemble" (ailes de fée) ........ à cette sorte de Donnée "intense" , Feu des treaits , traits des traits, ........ engeance ? p)eut-^tre pas en vérité mais quelque chose comme ... sorte de ....... connaissance ............... une façade ??   ....................../....... face allouée à une szorte de Parade ? parade d'antre ? ........................../....................... on veut cerner mais pour en vrai de fait, cerner de chez cerner ... eh bé vas-y, creuse, creuse e,n transe ! pas si aisé ! ça trezmble ! c'est pas do nné ! ça demande oui un vrai doigté , deoigté de fée , qqui parfois manque ! la malchance ! O, n entre ! on veut coller de chez coller à une destinée-parade, le tracé "français" est (ici) trace de base, mortt allouée à une sorte de p)assé de FRance, un Passé mort-né qui ici re-naît, comme par miracle, du néné donnév = lait ! Lait dense ! voilà le Lait ! Lait post -pré tel qu'on le rêvait , le voilà "acté" ! trait ! trait ! treait donné ! trait des teraits donnés, sur Passé Intense tel qu'imaginé en quelque sorte dans nos pensées. on est entrées .............................../ poussons donc la promenade ............................ au p^lus loin possible qui se pourrait ................................ v ers ces données dites "du bout duu monde" et des copntrées "hhautes", dont plus haut on parla&it : c'est quelque chose ! ........................... on monte haute car voilà, ..... on est Hautes de chez Hautes, F2es de POche ! poche et Roche ! F"éée Forte  !Fée de porte ! on monte ! ................................................................................................................... on veut toucgher toucher troucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui , tout en haut de cette CDhose Haute, nous "contrôle" (?) ou nous contrôlerait (?) qui sait, sans discontinuer = tout du long de notre avancée ou ascension ou montée / envolée. On est née Fée Forte ! accorte , quand ............"morte" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! il semblerait. Ce qui, en vrai, signifie que cvoilà : on est ................................................................................ comme accordée .......... à une voix ........... voix de l'au-delà ............... aux données de base = voix dense ! voix intense ! = voix des voix = ............... voix de Rage  ! .....................................; VOIX = VOIX DENSE ................................................................................................... Ici on veut comprendre ensemble, eh bé des chjoses  qui pourraient peut-êttre,  il semblerait, nous ap^porter, qui sait ? des vrépônses, à pas mal de questions qu'on se pose et qu'on se pose ici,  de"puis,  eh bé ... pas mal de temps, de fait, maintenant. qu'est-ce que ici en vrzai cette CHose, d'une Soerte dee Porte Haute, pourrait nous do,nner ou offrrir, en termes de Données profondes ? ,on veut trouver. On est vachement motivées parce qu'on est des fées, on est toutes passées (dans un premier temps) à travers la roche ou "roche -roche", mur de grotte, p âroi "hot" , et mainteneant voilà, maintenant que nous voilà passée pour ainsi dire de l' autre côté, côté pré, côté "paradis sacré" ou "quelque chose  comme sacré", bnous cvoilàb qui voulons toucher à une sorte de contrée qu'on dirait   , on dirait, "définitive" ... de type "portée" ........ de type "ligne ou tr ait" sur laquelle ou sur lequel pouvoir de fait s'installer comme qui dirait "l'ooiseau ou un oiseau de ligne" ! On a envie de vivre ! sans céder ! d'aller, si possibvle, au plus loin tr acer! chercher donc cette ligne post-pré qui sezrait " la Ligne divine" ........... treait des traits ...... fine et gracile ligne post-pré ! une ligne "active" ................ qu'est)ce qu'en vrai ça pourrait être ici de fait , que cette ligne "auto-portée" comme une sorte dee ............. ligne vive ................... ligne allouée à un tracé de rive ..........................ligne de trait ???? ligne du Passé ? qu'est-ce que ça sezrait (alors) que cette ligne, içci allouée, à ........ des vivrzess ? ma Voix ? Chant de Rive Sur Tas ? trait de soi ? vivres et autres offrandes allouées à une vie ....... après la vie  ......... ap^rès la mort pour ainsi dire, mùort comme prise en sandwich entre ici la 

Vie de base, TErre Maternelle, et là, la 

Vie "Intense", dite "du Passé de RAge " ....................... 

Est-elle (ccete vielointaine) Vie Passée, Vie déjà cernée ? Comment le comprendsre. ? Qui en vrai saurait nhous tuyauter sans se moquer ? Peut)--on toucher à une véreité de base sans pleurer, sans êtrte "touvcchée" ? sans être déboussolée par (il semblerait) un  ertain  ombre de vdonnées, données en souffrance, qui, peut-êttre, nous mettreait ... plus bas que terre ? On cherche ! On a envie ensemble de trouver ce qui, dans la tourmente de la "mort en vie", bnous rassemble, nous réunit, fait de nous (elles) une Fée ... de Vie Intense, allouée à un Passé de France (du français de base = le français de lan gue) ....... On est née ! On est l'ainée ! le bébé tracé ! la chambre ! onctuousité ! pré aux fées ! gentes dames du Passé des Données de France, hé ! du français en tant que langue , faut-il préciser  ? car, ici, le français, est cette langue à déboiser ! à mettre en (comme qui dirait) charpies, si tant est ! langue-née sur pied un jour d'été ....... pour ainsi traverser ....... la Vie en ses Contrées ............ jusqu'au bout Nacré ................. Finalités des Finalités et autres Traits ici alloués à une sorte de Dérive Vive ..... sur Passé ! trait acté sembleréait du Rire ! rire hautement pratique ! car : il chasse le Vide ! On veut :

toucher touychertoucher toucxher toucxher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est ici qui semblraearait voiuloir comme '"nous parler" ..................... nous donner du "néné" comme à téter ! = LAIT , LAIT post-pré ! lait du Rire ? on veut :

toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher  ce qui e,n vréi i-ici dse présenterait, en tant que ça sera&it de fait du ... Gros RIre du Rire ! Rire gros post-tonneaux ! Rire Ivre ! On cherche le mot ! on veut construiore (ici ) tout un chapiteau où pouvoir (au bas mot) "toucher" (de près) la Chose aux Fées = le Trait ..... de "Mort Active" , Donnée Ivre, SAinte Vive ! Le tracé ! trait ! trait de vie vive ! trait des traits du Rire sur Passé "en friche" ! trique ? on ne swait ! trait de Trique ? On ne sait ! on veut ............ évacuer ............. les données tracées ........ d'un Verbe Centré .......... pro-clamé ........... à grave déquiller ........./.... verb e des Données Données xsans qu'on ait été de près ou de loin (à l'entrée !) consultée et ça fait chier ! On nhe veut pas du V erbe -trique ! tralala ! on veut ça : 

vivre  ! fée ! vivre fée sur pré puis hors pré ! t§racer = donner = dire = faire = donner, à du VErbe, les Données Actives ......... d'une sorte de ..... "RIRE  des COntrées" telles que rencontrées le  Muret (de s fibnalités) traversé ! En gros : on veut grave se débarrasssr, ici, d'une sorte de donnée active  , auto-genrée, de type Tracé Tracé, trait De vive Alacrité, qui serait comme adoubé par ......... l'Hydre ? va suer ! va-t-en creuser Tom b e des Traits ! laisse-nous aller ! fée ! fée-fille ! vive ! pas un centime sur ce trait on ne mettreait, ce trait ivre , d'une sorte d'Hy§dre ... alloué à un VIvre tel que Ce que là, on croit voir, voir Venir, ainsi donné, le Jour où , de fait , on est né (é !) homme dee crue ! va-nu ! hombre du cru ! Pelote d'hôte ! On n'en veut plus ! m âis comment du coup ........... chasser la crotte ???? .......................... cfomment "caguer l'homme" ???????????????? comment "pousssr" ?????????????? ???.?.??? et faire tomber sans se déliter ??????.???? ??????????????????????? comment dire ce Passé Nacré et l"'évacuer , ne plus avoir à en subir les données ou données de base, et autress méchancetés teznaces ? ................................................... verbe lié ! ça fait chier ! on veut creuser creuser creuser un certéin nombre de vdonnées de Rage ......... et toucher toucxher toucher à ce qui est "en face" = Face ! Face aux traits .... "intenses" .......... Le Passeé français de contenance = du passé de Face ! traits ! ttraits des traits ! pousse-café ! on entre ! ............... on veut toucgher de chrez toucher à ce qui est en face , qui, pour le coup, voudrait, de nous ....... eh bé TOUT ! sans trier ! tout de nous et le tour est ou seraéit hjoué ! mais nous ............ on ne veut pas se laissser absorber (chou caillou genou) comme éberluées, mais tenir bon , sur pieds, dans l'adversité d'une sorte d' avancée (attitrée) vers nous,  avancée chelou ! qui voudrait de nous .... TOUT ! tout de nous ! passé et contre-passé ! le temps en son enteier = chou caiullou geniou hibou gnou ! et nous ......... de ne pas pour le coup nous laiisser attirer ou même intimider ....................... et : CONTRER ! CONTRER OUPS ! ALLER ! CREUSER :/ CONTRER ! On veut (on voudrait) arriver à (en vrai) décoller........ nous décoller ........../ en vrai .......... décoller ./......... nous décoller ............ trac ezr de chez tracer un dire "décollé" des données "chelous" du Verbe alloué à une sorte d'entité ancrée, de type Sommité ? Ombre POrtée, Masculibnité sur pieds et autres Hominitudes TRansférées qui grave font suer .... quand on le xsait ! Qui on est ? qui en vrzai on est ? quii de fait en vrai on est ou on seraoit ? fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! d ans la mort : fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! dans la mort : fée des fées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et après la mort ..... le Bébé tracé ! bébé née sur pieds ! au-delà du pré .................................................... on veut :

toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toyucher toucher 

vivre = creuser = dire = faire = comprendre = chercher = cerner 

un certain nombre de données tenaces 

données des données teznaces 

creusements-tracés en chambrte 

on veut : tioucher, diantre ! percer de chyez percer, aller vif et creuser, pousszr de chez pousssr du ventre ! cintrer ! allouer, à une sorte de poussé"e, du VErbe "de France " , ventre d'antrte ! ça rentre ! c'est cinglé ou sinon cinglé ça flambe ! traits des traits sur du Passé de Vzntre , qui sait ? On veut comprendre. On a envie en vrai ensemble de cezrner et de comptendre ce passé, aux données intenses, ce qu'il est, depuyis ..... eh bé, la langue ! une langue allouée ou inculquée, 

depuis ses traits, traits de langue incorporée, ce qyui est, ce qui est de fait qui se présente ou se présenterait en tant que .... "traits de langue" , traits portés", traits des teraits alloués à une sorte de : Panse, VEntre, Antre, Intestinalités des Données franches .... qu'est-ce qu'en vraéi il se pourrait que ce fusse de faéit ? qui sait (des données) les données , les traits de portée, les entrées ? Qui vconnaît en vrai les NOms Posés sur Paroi aux fées ? on est nées fées ......................... patadisziaques ...................................................... ailéesc ............................... allouées à une sorte de Parade .................... chargée ................./.. centrale ........... accvordée ............. poussée ........./........................................ aimée ........................ qui de fait nous plaît ........... nous enchante ............ nous fait rêver ........................................... nous donne Allant 

et ,

Comment, Charme ? Charme de Fée ? oh, copmme on aimrerait si ça se pouvaiot ! On adoreraiot ! On aimerait grave renvoyer du ... CHarme, genre ... "ambre " !!!!!!! ........ ah si on pouvaiot ! ................;................... comme on aimerait ! ................................................................. on adorerait ! ........................ grave on voudrait ! ...................../....../.....Ça serait "génial" ! ..... grave "génial" de fait ! ............................................................................................................................................. va)-t-o,nn y arriver ? ........................... il semblerait .... 

que non !! que, en vrai, le Passév Tracé soit (en vrai) du Faux Allié  ........... treaits masqués .................. pas forcément super aidant en termes de recherches, ici, de vérités ............................. alors voilà, on trace sur pré, on avance, on fonce en bande , on est accolées, femmes-fées sur pré (les hommes ? morts et enterrés , bien fait ! ils ont assez duré ! on les connaît ! ils sombrent !). Qui on est ? 

Des ........ qui ......... de fait ............. montent ............ hautes .......... sur paroi dee roche ................................vers la Haute ........ Hotte Haute ................................. hotte Haute des Données de Roche ............................../............................ sans traîner ! sans cher cher à se défiler ou à se cacher .......................... sainte Fée d'époque ! ...................ombre des données de Roche , on veut creuserb ! dire et donner , faire et aller, chercher et coller, monter dev chez monter et ne plus jaùais se laisser comme embobiner par ...... eh bé ici la Chjose : OMBRE ! HOLMME ! HOMME-OMBRE ! CE TRAIT D'HOMME D'OMBRE OU DE L'OMBRE .... QUI FAIT SUER ! GRAVE SUER ! VA-LA-MORT-CENDRÉE ! TU CONNAIS ! honte à l'homme d'avoir alloué à un dire donné, les traits d'une ombre ! ombre-née, quand la clarté devait ! On veut :

coller coller coller coller coller aux nénés et téter en tant que bébé le bon lait tiré à la force de la sucée ! de la belle téteé toute acidulée ! on veut (en vrai) toucher toucher à ce néné des dires lactés ! et tracer ! toucher ! pousssr ! creuserr ! conduire ici .... le Verbe ancré, vcers ce n éné du Rire Incortporé ! rire-lait ! trait de lait = Rire ancré ! on a en vrai envie ici d'aller, au plus près, toucher de chez toucher, le Néné Vie, Néné en vie , empli, rempli, de Lait Adoubé p)ar l'Entité Chelou de bout de tracxé ! on veut grave toucher ! pousssr , pousssr et creuser, creuser et cerner un certain  ombre de données actives . On veut ........................ eh bé, vivre ! vivre vite ? vivre ! ivre ? vivre ! nj'importe comment , dsu moment que voilà .......... on est à même de pouvoir cerner, comprendre, toucher, ce dit "Néné des cobtrebandes" ...... d'une vie post-pré = le Passé ! le Passé ancré ! rires (ici) déployés ? on ne sait ! On a en vrai méga-envie ensemble de cerner tout un tas de données comme allouéesz à une sqorte de tracé ... du Vivre Dobnné. Qui veut aimer ? qui cvveut toucher ? qui donc de fait veut vraiment cerner et du coup avaler ? On veut (nous !) :

dire de chez dire

cerner de chez cerner

poussser de chez poussser

comprendre de chez comprendre

allouer de chez allouer

pister de chez pister

consacrer de chez consacrer

aider de chez aider

mettre sur pieds, postuler, ne pas tomber, creuser, et faire et dire , et dire et faire, sans trembler, ce p ôur quoi on serait née (fée) à la retombée .... et pas Homme-Ombre , Satané, car ........... tracée = née fée = envolée = éilée !!!! On est n ée (dans la mort) ailée .... sibnon à jamais, le temps de la traversée .... du pré -sentier .... jusqu'au trait des traits du néné Lacté comme qui dirait. fée des Fées sur pieds dans la mort actée (archivée) . On est née ! fée vraie ! toute ailée sur pied, p^rête à tracer, charger, creuser, filer, onduler de grâce sur pierre des traces ! chants du pré ! bêtres de trai = pastorales  allouées à une sorte de "Romance Cendrée" ! on veut (on voudrait ) creuser de chez ccreuser en transe .... le Passé ! mais comment creuser ??? comment charger ? comment cerner ? comment aller de base en base sans tomber , tréb ucher, se prendre (et comme il faut !) les pieds ... dans le passé dit "des Outrances " ? des outrances ??? ou : des convenances ? plutôt des convenances ? On veut , eh bé, le bon mot ! le Verbe haut ! la franche transe et autres pensées franches ! On veut .................... haut .......................... creuser ................... les mots ................... sur pieds ! et ne plus nous arrêter, car voilà, on est passée ! car à la retombée sur pré on s'est retrouvée ou comme retrouvée toute remopntée et prête à (de fait) continuer sur notre lancée sans discontinuer et ce jusqu'au néné du bout du bout tel que déposé" (?) sur Paroi Finale, ou Post-pré de base ...../..... Fins des Traits de Rage ...... fins des Prés de Base ........... finalités ancrés / sapiences ! Les données franches . On veut toucher à ce qui est qui se présente à nous tout au bout ! et ce qui est, est :

- des genoux ?

- des bouts de bouts ? 

- du lait de gnou ?

- le passé du trou ? du trou de boue ? Fosse haute ? tombe des tombes ? 

On veut toucher à une Vérité post-pré et l'avaler ou comme l'avaler = l'incorporer à notre poropre condition de fée ici allouée à ...... sorte de région ......... du VERbe ....... bas ? On monte !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut haut allerr !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!  creuser = dire ce qui est dsans les allées du bout de Roche ! ne pas traîner = filer = tracer (à main levée ?) la Chose ! le Fait ! l'Ombre ! le ässé est né ...... qui re-bnaît en vérité !! et nous laisse ller pour comme téter le bout acidulé d'un néné ancré ! On aime ! mèfle ! on voulait eh bé on peut et pas qu'un peu : téter le  V erbe .............. des données en herbe ! feu ! fonçons bon ! creusons ! cxhargeons ! filons ! creusons sans rire .... ou si : rions ? chargeons grave les données de base d(une voix antrale : bouts de son, voix de  rage, cris dits, posts de roche, ambitions ! On aime l'Ambre ! le poisson ! la chance des fondfs ! le tréfonds ! l'ambiance. On est :

fées des traits de rage, traits des fées de bnase, fée des traits de rage, traits des fées de  base etvautres "fées -montòn" ! tronc ! porte haute ! allons ! filons de chez filons ! soyons docte ! allonspistonnons ! forçons et fonçons ! on est Haute du Tronc, Ailes fortes, nous volons , nhaviguons, voletons, traçons, creusons, cherchons ........ à, de fait, creuser de chhez creuqser ..... une sorte de trait ...... qui soit ... une porte ..... vers ....... le Passé pôst-roche ! ancestralités des "données franches" , et autres eéthymologie -graphie de maintenance  .... ! vies dees vies ... =

vies desvies des données graphiques = traits sur traits, mots alloués à une sorte de tracé de fée. On monte ! ............................................... on monte haute ...................... on creuse , monte, va, fonce ! ............. sur paroi puis au-delà de la paroi .... direction la Haute ! Haute Voix des Tombes ... TRombes ? On monte Haute ! on y croit ! on veut ça ! on envoie ! on trace ! on charge ! on veut toucher de Rage la Paroi de Base , les envois, la Croix, le Don de soi comme en contrebande ! la Voie ! croix de bois = trait de base : un envoi pour Soi .... de Vent de Rage ! saint--Portage ! Une szorte de vent de transe ! l'en-vent ! en-vent ainsi donné comme ..... extrait du Passé ;! mais est-ce vrai ? peut-on coller ? dire et charger ? sonder /? pister ? allouer à une Vérité Nommée le Poids du Passé tel que rencontré ? qauand on aime il faut tracer, quand on aime il faut filer ! il ne faut pas traîner mais grave filer .... est-ce vrai ? on veut : aller, dire, charger, pousssr, donner, faire, centrer, conduire et pousqsserr, aimer, changer, donner du lait, téter, monter et chercher à attrapper le bout du néné pouyr du coup téter sans traîner ! aimer téter ! On vouxdrait ensemble traverser le pré et nous portyer de fait jusqu'au bout du pré, pour du coup téter ! téter de près , ce fameux néné ici alloué à une sorte de Donnée des Do nnées sur Pieds = Entité des Entités .... Quij c'r'st ? eh bé .............................. un Bébé ? ...................... déité nacrée 

*?, ......................... une "BNEAUTÉ" ?? ........................ sauintetyé ????. charge de frai ???????  ......................................... en vrai, on veut grave cerner les données de base et du coup passer, traverser la Base, passer le bout du nez, les ailes pliées, cotrps de rage, petits pieds , odeur (oui) de sainteté ! odor sanctifiée ! fumet ! fumet des prés ! fée passée se relèverait de l'autre côté en forme de .................. bébé ! bébé des bébés!  bébé d'or ! or de la mort ! corps d'or ! or des ors ! oralité ! On veut :

toucher toucher toucher toucher toucher 

dire dire dire dire dire 

verser verser verser verser verser

coller coller coller coller coller 

cerner cerner cerner cerner cerner

parler parmer parler parmer

chercher chyercher cher her chercher chercher

poster poster poster poster poster 

entreprendre entreprendre ventreprendre entreprendre

sitruer situer situer situer situerr

porter porter porter porter porter piorter

voller voler voler voler voler

centrer centrerr centeer centrer et comme "recentrer", le dire des données, des données Hautes: le Passé. Le Passé est le Passé de Roche, l'embrassé, l(enveloppé. On v  eut de fait ensemble eessayer de (pour le coup) le soulever de chez soulever ... à genoux, et là, à bout de bras, le porter haut jusqu(au "tonneau" ! et ............. verser son eau , eau de lait, comme s'il en pleuvait ! ou tout de go sans plus traîner ! lait acté ! dans son pot ! et le vin est tiré comme qui dirait ! vin de lait sur pied ! treait tracé à la volée ! on est parée ! toute habillée pour aller danser la danse des fées ! On est :

oui ... parée, habillée, tracée, collée, accollée à une donnée, donnée haute. On est la Fée dite "de la Haute" et aussi "des Tonneaux de mots" ! creusons Roche ! montons haut et haute ! alloons ! car, ici , la vie, la vie après la mort, est Passé Vif ! traits tracés, dessins de bêtes -traits (bêtes de trait) et autrscSommités animalière'sz des Tranchées. On a ime tracer = dessiner des traits = mots des prés . On veut coller = dire = sonder = comprendre = charger = passsr = entrer = consacrer son dire à une sorte de recherche active, autour .... du Passé ! ce qu'il a été en vrai .... :  du Rire ? du Passé de Rire ? ou bien ................... 

du passé de frise ? bêtes acides ? bisonnées trisqtes ? buffles arqués ? bouquetines voisines , ourses ancrées ? LE passé en crise ? bêtes decirque ? ou de trait sur pré ? de somme alloué à une sorte de contrée "du rire"  ? On est née Fée, on était auparavant hominidé de type homme centré, nous voici (enfin ??) transformé, e,n .................. fée des Fées sur pré ! à la bone heure de la Chandeleur ! on peut aimer ! on peut grave se délasser, s'étirer, se prél asssrr, se laisssr (enfin ?) aller ....... nouveauté ! genre changé, c''est frais ! ça le fait ! vive le l:ait ! On erst née F2e la mort allouée, enfin transformé, Verbe de TRait ! vErbe d'herbe ! Sainteté Nacré ça se pourrait que ......../...../... pour le coup, l'herbe soit vraiment verte : dans le trou ???? hé, qui sait ? qui sait le terme ? qui connaît en vrai la couleur de l'herbe la mort donnée ? qui sait ce qui est en ce pré en termes de Verbe  ? Bisonnée ? Buflette et Bouqyuetin des Trains ? Le gibier ? On veut en vrai (de notree côté) toucher de chez troucher à ue sorte de Néné post-verbe ............. mais est-ce en vrai ce qu'il faudrait, plutôt que  .... parler ? On cherche ! On veut toucher de chez toucher, et ussi creuser de chez creuser, et aussi aller de chez aller, et aussi  foncer de chez foncer, et auusi dire de chrz dire, et auusi regarder, tout autour de nous, les données porogfpondes, ce qui est qui nou s  aborde " , le Tracé de Fou",. L'ombre ? l'ombre docte ? Le mou ? le bout doux ? la Chose Haute ? Lait (animalier) de cohorte ? on monte ! on monte ! on monte ............................ on est hautes ........... montées hautes .................... hautement postées par la Parole HAute ! traits anim aliers ............ / cohortes d'époque ................ un tracé de ROche et la CHoqse est ! qui sera la Chose ici Adoubée ................................... accorte ......./../............ allouée ................../................... apportée .......................

sondée ..................................................... comme déployée .....................................................

:

.... ventrue ? ............ nue  , ? ...................... venue ............ pour (en vrai ?) nous rencontrer , le néné donné .................................. à téter ................................................................................ néné né nu ...................................................................................................................... POST PRÉ ........................................... la nuit venue ?

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14/2/2025

on trace grave ! on envoie ! on envoie du bois ! On ne veut pas être (de fait)- à la ramasse mais ... aller, courir, creuser, dire et creuser, charger, donner de soi en termes d'avancée, de creusement dit "de p aroi" et autres types de trouées frontales pariétales ! on envoie ! On veut en vrai creuser de chez creuser s&ns jamais s'arrêter , car, voilà, on veut "ensemble " toucher, à ce qui là-bas, en face, tout là-bas, après ce "tra&it de choix", semble nous attendre : la Voix des Pa'(rois , des Parois de Rage , Parois des Rois et REinbes de Là, la Trace, le TRacé des Voix, Voix de France ... ou quyoi ? car ici, le Français (la languue) est là pour nous (qui sait ?) "expliquer" La Pa rade, Pa r ade Animale en veux-tu en voilà on en redemande ! on veut ça, la P arade ... et comprendre, cerner, toucher Néné, Toucher grave le Néné du Lait = téter ! téter en face .... le français (la langue) comme qui dirait. mais, peut-on, véritablement ... téter le français (la langue) ? peut-on des peutons téter le Frgançais ? téter svp ? p)eut-on des peutons téter le français ? téter gr ave le Néné Français , soit ... le Français en tant que "langiue consacrée" ? on cherche à cerner ! on veut toucher toucher et du coup cerner, ce Néné, Néné du français, de l'herbe alloiuée à un idiome ici donné pour ainsi dire en tant que tel = le français, des données des TRaces

🙂

On est qui ? on est F2e des Rages ! ailées ! qui virent et tracent sur leur sentier à même le pré ! On e,ntre ! On veut toucher toucher touchger toucxher à ce présent donné en tant que, pour le coup, do nnée de base  = le Passé ... ou quoi ou qu'est-ce  ? quyi on est ? On nest la Fée "surnuméraire" ! Un chantier ! chant des données ! On vreut toucher à l'herbe = brouter, puis, le mur passé, mur des données hautes (dernier muret) on veut téter au lait de "Bonne Mère" , l'allouée des Termes , des Termes FRançais (en fr ançais) on l'a deviné! on veut coller à ce Néné dit "à téter" et ça le fcait . On ne veut pas (plus) passer à côpté mais grave tétrer  au "lairt des données" telles que "déposées" post-herbe, hors sentier, mur du fond passé, de l'auytre côté, côté ... VErbe ????? on dirait ! On dirait bien que cde l'aiutre côté, ce lait, ce fameux lait qui nous attend ou nbous attendraiot, en vraiii serait ... du Vezrbe ! Verbe-lait s'il en est ! verbe-termes ! termes des données = Verbe alloué à une sorte de ... B2bé post herbe (en herbe ?) qui voudrait (grave de chez graave!) téter téter téter sans se soucier de ce vqui estcen vrai qui voudrait peut-êtrte, lui ... l'avaler ?,le digérer ? le chier ? le quoi ? on ne sait pas ! on mate ! on aime ! on aime le lait-verbe et  on se gêne en rien pour (du coupb) vtéter, à ce bon lait de trait, charge-née, mots des Termes, Fond  Haut, Mots d'eau, trait des traits post herbe , soit : VERBE : OK !

car voilà, en  vrai, ce qui est ici, qui nous regarder ait et qui saurait nous indiquer un certain  nombre de données premières, 

Le Néné , Le Néné des Termes (des "Finalitées" ) est ....  Néné-Verbe en tant que c'est (pour ainsi dire) ... ou ce serait, du "Petit Lait de Trait" : Lait d'herbe ? lait en herbe verte, Lait Trait = Verrbe alloué à une sorte de donnée dernière, à savoir ... Déité Colère ! La Colère en  vrai incarnée ! celle-là qui vitupère ou ne cesse de vitupérer ! ... après qui ? après nous , forcé ! qui donnons de nous .... quelques rares do nnées d'un tout et non le tout dès que nées sur terre ! merdou ! on ne veut pas (du tout) donner tout ! on n'a pas voulu (du tout) donner le tout dès que "sorties du trou" !!!! on veut : toucgher Néné = téter, s ans nous retourner, et en avancer, en termes (tracés) de Connaissances Pariéto-frontales : les donné'es de Rage, Bêtes de CFrance (du français en tant que langue, ici, inculquée) et tracer ! filer ! courir sansz traôiner ni désemparer et à fond la caisse, on aime ! on est né'es Fées "à la retombée" dès qu'ayant passé , sands frais, le mueret

 des do nnées rupestres : aurochnodoÎtés des tracés de bêtes. On aime ! On veut :

toucher toucher troucher toucher toucxher toucher à ces dits "aénimaux-termes" ; mots-bpetes de prairie", gens -bêtes du pré fleuri , et autres bêtessynthèses. 

On veut grave cern er = toucher = comprendre, ensemble, ici , kles dits et redits (en français !) de base. qiu'estr-ce que c'eswt que ces Nénés des Rages ? ce lait, cette onctuosité patente : qu'est-ce que c'est ? peut-o,n le co:mprendre ? cerner ? creuser ?, chercher ?? dire et donner ? toucher à ce Né né des Contrebbnandes allouéesz à une (sorte de) Post-^muret d'après la bande (le pré) telle que rencontrée la mort adoptée ? On veut .... cvreuserr, oui, Néné , pour ainsi dire = téter le dire ! téter de chez téter le dire lacté , Verbe des Prés (?) = charge-née comme à la traversée , d'un pré d'herbe à ... eh bé ... on ne sait quoi .... la TErre ? re-terre des Feu!x ? le Termes mes aïeux / aïeules .... en creudx ? on cherche !!!! on cherche miueux !!!!! on veut "sortir du cimetière d'herbe " et, de fait, aller, filer, foncer, tracer, chercher de chez chercher X et X données sur ... le passé ? Passé post-pré comme qui dirait ? chercher de chez chercher X données à propos du Passé tel que rencontré en "finalité" en termes de Terme ? on cherche ! on veut ! on veut grave nmieux ! on veut toucher de chez toucher (en vréai) le Terme = le Néné ! la terre ! terre, terre ! terre en vue des Cieux ! la Mère ! le tracé des Dieux (odieux ?) ! La Reine sur le fEu ! colère ! colère ! colère ! colèree des dieux , déesssqes des Terres ! le Passé en creux , la Terre aux aïeux  / aïeules du Feu, on est nous-mêmes (fortement) colère ... de ce que eux / elles (dieux / déessses) sachent mieux que noumêmes ... ce qui est qui est , en termes de Traits, Treaits de Base, traits droits sur ... Foie ! charges mentales ! qui de quoi est là après la Parade  ? Lait des "Traits de Rage" comme saturés, tracés à main lmevée, traits du Passé d'un ppassé acté , charges pré-pré , pré -herbe sacrée, pré-prairie saluée par X bêtes "à jarret" ! on veut toucher ! On ne veut pas se ;laissser démonter ! on veut toucher de fait à ce "jarret des Contrebandes" , "Le Jarret" , Jarret des Jarrets sur place ! une Donnée comme demandée ! trace ! trace d'un passé pasdsé, d'(une charge, d'une entrée, d'une sorte d'avancée "mouvante" , on est née ! née "fée de France" (du français !!!) . Fée des F2es comme "en souffrance" de termes alloués et autres dfonnées de type connaissances , connaissances densesq. On veut :

toucher toucher toucxgher toucher troucher à ce qui se présente ici , en termes (pour le coup) de sortes de données frtontale  et autrtes sortes de données "postales". Lettrées. Chargées. Creusées. On entre !!!!!!!!!!!!! entrons "ensembkle" !!!!!!!!!!ailes de fée cxomme à la parade ! en franchise postale (comme on le dirait) on entre ! on rentre ! On veut creuser ensemble les données de base, et pour le coup trouvezr-cerner ce quyi ici (post pré) est comme donné, qui saurait nous donner (au plus près) les Mots Sacrész à devoir Cerner = toucher = 

📸 / comprendre = adopter ! On veut :

toucxger de chez toucxher

creuser de chez creusqer

cerner de chez cernder

pister de chez pister 

dire de chez dire

allouer de cghez allouer

poser de chyez poser 

avaler de chez avaler ... du dire de Fée comme du pêtit lait, ça le fait ! on veut téter ! on veut comme construire un Dire ici, comme tracé à main levée comme à l'arraché , et filer ! creuser-filer ! tracer de chez tracezr ! se laissrr porter ou flotter ou guider par , on dirait, un ... fluide ! qui'est-ce que c'sst ? Dires de fée ? dires-fluides ? fluide-dires aux donnéesz allouées comme qui dirait ? On cherche à trouver ! On veut creuser de chez creuser sans désemparer, sans se démotiver, sans se dire que, e,n  vrai, les dites "données fluifdes" ne seraient, pour ainsi dire , pas données en  vrai, or ..... il sembklerait  que, dans la mort, mort haute, les données de base , données flmuides si tant est, soient ... lAit ! Lait de F2e et autres Lait français (le fr ançais : la langue !) ! s'il vous plaîot ! on veut :

toucher toucher toucxher toucher toucher toucher à ce qui est qui se présente sans traîner dsès que M%ort Finale allouée à une sortre (ici : pré) de "Fée De Rome" ! Rome-Haute = Etablissement Doré aux accents du Passé tels que rencontrée (qui sait ?) dans (peut-être) ... son enfance ! transe ! transe allouée à une danse sur ... passé Donné ... comme Donnée de Base = un traiyt ! trait de france = en fran,çais , la langue = (pour moi ?) le Pässé , tel que ... chahuté "en face" , Päriétale , pariétale donnée des données frontales ! On veut aimer ! creuser, toucxhger, dire et c  erner, poussser, poussser , pôusser sans traôi,ner ni lambiner et trouc-ver, dans les faits post-pré, de quoi cerner (ezn vrai) ce qui est , ce qui nous attendrait, bnous regardera it, nous materait de la tête aux pieds ! FRange ? une FRange ? frange donnée tracée ? frange des Franges ici allouées à une sorte de Passé en France , genre : enfance ou petite enfance .... à volonté ? on ne sait ! On charge. On veut (c'rest vrai) com:prendrre, toucher à Une Vérité Patente, mais ... en  vrzi, , en v  rai et pour autant, on ne veut pas y laisserr la santé ! y rester ! tomber ! ne plus savoir comment avancer ! être touchée en quelque sorte...  dans le sens où on serait touchée à la vie à la mort en plein centre ! on veut (de fait) perdurer = continiuer = suivre le sentier tel qu'il est tracdé juste sous nos pieds, pieds de fée = petits pieds "français" puisque voilà, nptrte langue impacte , qui se logezrait (qui sait ?) jusque dans nos pieds ! pieds de jeunes et jolies fée des prés, post-premier muret ! On danse ! gentes dalmes au croisillon des franges ! genteoiseaux -moineaux (moineaux d'eau) qui dansent ! dansons ! creusons ! allons ! fonçons ! mangeons ! organisons ensemble THe Parade ! Paradis des Franges-Party ! on entre ! on veut comprendre = dire = faire = charger = connai^tre = enttrer ! oN veut toucher toucher toucher toucher toucher à ce muret dit "des Convenances allouées" ...  mais, de quelles convenances veut-on parler ? qu'en est-il pour de vrai de ces dites "Convenances sur pré" ? qaue doit-on penser de pareils dires adressées  et comme "postés" .? ? qui connaît en vrai la "Vérité des Vérités" ici allouée à une sorte de Donnée post-pré ... qui serait : le Rire ? rire en Frise ? rire comme tracé sur sein de trait ? rire-Dire sur ... passé re-donné comme une donnée, donnée post-pré ? on "hallucine " ! On veut y c  roire dur mais ... comment croire à pareille donnée si ... "frappée" ? On cherche ! on veut toucher toucher à ce qui est , qui se présente et se montre en vrai = le ... Néné des Termes ! oh oh Néné ! Néné du Verbe ? on le dirait ! trait et traite = traité ! Un tyraité du Verbe ! Verbe-Lait alloué à une sorte de ... colère, Colère "rentrée" ? Da,ns un ... corps de termes ???????????? on ne sait !!!!! on cherche ! cherchons bon ! ne lésinons pas sur la Recherche ! octroyons ! donno ns ! en temps et en pécuniaire ! de quoi toucher au VErbe, ce que c'est .... lait d'herbe ? d'herbe  verte ?   Herbe-Verbe en herbe ? On est montées sur Monts du Fond, on veut creuser le Tronc , toucher , toucher , touycher, toucher, toucher , toucher à ce 

 NBéné-tronc ! et téter ! car, le lait, lait bon, est Verbe de trait = trait d'herbe donnée = vérité des vérité ... sur La mort Allouée à ... un Passé ici (en ce qui me concerne) françaios , on lecroirait ! langue influerait ! chaque langue donnée donne ou donnezrait ce ton de Vérité à un passé donné ! Chargeons ! creusons ! allons profond ! cherchons ensembvle à (qui sait ?) donner de chez donner une soerte de Donnée Réelle, Concrète, genre " Crécelle" , Trait de Fée , Porte-Mère, Creuset ! on veut :

dirte dire dire dire

aller aller aller aller

toucher topucher toucher tropucher

cerner cerner cerner cer ner cer ner

faire faire faire faire

charger charger charhggger charger

... et du coup allouer à une sorte de contrée post-cimetière un certain nombre de données dites "s alutaires" de dtype "grgravures sacréesw", "dessins tr acés", "chargesws lunaoires", "herbes-traits popoortés", ""Fontanelles". Onn veut :

toucher, toucher, toucher, toucher , toucher, toucher à ce Néné post-pré qui est le Sein ici d'une sorte de Mère des Mèress = la Mere , la Donnée Supprême, Terre d'Elfe, terre-Mère allouée à une sorte de Passé ré-itéereé comme qui dirait ! sommes -nous claires ? sommes-bnous pour le coup suffisamment claiores

 ... à genoux ? doit-on pour le coup redonner du mou, d-dire la prière, dire mieux la Scène, dire-faire ? doit-on ... creuser la terre ? charger de bonne guerre les données ruperstres, re- ? re-charger, re de chezz re- ? on veut ! on veut toucher ! on ne veut pas se laisser démonter mais re- ! re-creuser ce trait aux données suprêmes ! bonne mère ! tracée ! tracé des tracés ! colère amlllouée à une sorte de .... rengaine sifflottée ou sinon sifflottée susurrée ou sinon susurrée chantonnée ou sinon chantonnée .. chantée, souveraine, comme Donnée Suprême = cha,nts des prés ! chants tracés ! chants du Verbe alloué à un tracé sur huerbe cde type sentier ! le chantier ! chants des fées ! chant Haut comme au roseau, au drôle de pipaeau, chalumeau, tonneau et boyau, musuique d'eklfes (d'herbes ?) : vents faux ! vents de trop ! faus vent du poteau ! pets de mots ! On monte !

Montons haut ! hautes ! haute roche ....................................... coprs sans faute .................................... allons, traçons, filons, cherchons, creusons ensemble les données tenaces, roche-mot de rage, trait des traits dits "sur pré" , charges en flamme,; dépôts et tracés de  parade ! On entre !  on veut grave toucher-téter  en vrai la Chose Frontale = ce Néné des transes ..../ qui c'est ? une sorte de Dieu Comme

 Déposé sur  Bande ? DSieu des F2es serait celui  qui, ici, de fait, nous irait, nbous conviendrait, nous s atisferait en termes de données de base. Dieu Nacré = soudé = donné = porté = chargé et le tour est joué ! dieu des fées = Dents de lait ! la Rage au taquet ! souffrances ! santé touchée ! on veut comprendre = cerner, cette "dent de lait" à qui elle est ? à cette sorte de ... Divinité Nacré qu'on retrouve en face ou retrouverait (post ^-muret der,nier ) ? qui (en vrai) saéit les données finales ce que c'est ? Qui connaît l'esp âce des Traits ,

l'esopace des Traits tels que dessinés comme à la p arade lme muret passé , vers ... le passzé , Pasdsé né , Passdé re-né ! On chercghe à  c erner , de fait, mais ce n''st pas donné ! Dieu des Fées on veut les mieux cerner, toucher à leur réalité : Dieux alloués ? dieux collés ? dieu tracxés ? dieusx -F2es, eux ou ... elles- mêmes , en mieux ? dieux mieux = Déesses des Voeux ? Ccharges -dires sur le Feu ? On veut :

dire dire dire dire

serrer serrtrr serrreer serrrer

toucher topucxher roucxher toucher 

creuser creuser crteuser creuser

ferrer ferrer ferrer ferrer

mordre mordre mordre mordre 

cerner cerner cerner  erner

allouer à une sorte de "donn"ée" , lke pouvopir d'un "dire sacré", qui serait "The Dire" tel que consacré (qui sait ? ) p ar ... le néné des Rives ! le Passé-frise ! le Pasdsé Passé ! l'enfance rejouée, re-tracée, re-prise ! on veut troucgher à ce qui est qui en vrai saurait (de fait) nous dsonner de quoi nous ... redorer la c erise ! frise hallucinée ! bêtes de trait ! au t aquet ! vives ! placides mais vives !  aurochnoïdites ! traits vifs sur Mur d'eau et autres  Murs-Frontons ! colle ! haute porte au museau ! la roche aux Mots ! La Pa ssion ! Roche-trot ! portes des données de Roche sur Haut s, et autres Monts des Colles Fortes ! le poteau ! roche-poteau ! colle et anti-colle des mots de trop ! on monte ! on  veut être  hautes et creuser là-haut la Roche aux mots , qui est Roche des trots et autres galops ! on monte ! on veut :

dire , toucher, cerner, pawssser, chercher, faire, allouer à ce (dit) "Néné des Danses Emportées" les traits d'une sorte de ... Rire tracé ! rires de fée ! charge ivcre ! toucher de chez touchezr à ce qui est qui nous regaddreait sans sourciller, sans être pourb le moins gênée, sans lâcher, sans nous lâcher une seule seconde de... eh bé, nous mater ! de la tête aux pieds ! dieu tracé ! dieu = néné ? néné né post-pré ? qui sait ? on est ...? fée des Fées sur pré ! on veut ...........................................................................................TRAVERTSER ................................................. TATER ........................................... téter à ce néné des données de fuite ! ............................... tracer = dire = creuser = faire = consacrer à pareil rire une sorte de .... euh ... d'eétude , d"'étude portée, sans traîner, tracée, sur muret ! On veut :

Toucher de chez toucher

creuser de chez creuser

dire de chez dire

aller de chez akller 

perdre de chez perdre

poser de chez poser

aller de cherz aller bien au-delà du cimetière , et coller, coller à ce Néné post-pré, afin de pour le coup "étudier" : l$a Reine, le Passé de traîne , les données premières "maternezlles" ; sein donné = lait -termes = Verbe ! verbe-lait comme à la retombée post-pré dx'herbe, pré des prés la mort donnée (la mort première). On veut : Toucher toucher toucher toucher toucher à ce Néné du Verbe-Lait alloué par une sorte de "Doonne -VErte" , Porte Annelée , Pporte "chaude", Passé ! le Passé ! Le dit "Passé des passés" . On monte, on monte hautes . On veut monter monter monter monter monter monter monter monter .................... .  .................................... ne jamais plus nous arrêzter en vrai de monter mais tracerv , treacer de chez tracver lze Trait de la Montée vers Chose, ce Néné de POrte , Lait des Laits , Haute-Mort des Données Treacées = M%ort haute = MOrt-Mère sacrée (cernée) comme en colère;.... car ............................................................ car ............................................................car ................................... elle aime ! elle aime aller , toucher, cerner elle-même les données données par ......... les F2es ? fées de lm'herbe verte ? fées actées sur pré au passage tr acé ? fée des "Frères et szoeurs de bière" ? On aime ! La mort aime ! On aime et la mort aime ! le tracé Nacré ! termes ! termes sacrés ! termes d'herbe = traits de fée ! traits des trait§s que la Mort Aime et veut ...... manger ? ............. avaler ? .............. ingurgiter ? ........................... on ne sait ! on ne sait ce qui est ! on aimerait ! on aimerait en  v rai connaître, toucher à cette Vérité-Colère de la Mère-Sondée, post muret on séit, ça on sait, mais en vrai , elle, qui elle est, qui est Mère-Sondée on ne sait ! mère-Colère ok mais qui en vérityé ? On cherche ! on veut :Toucgher toucher toucher toucxhezr toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucxher à ce dit "nénné" des données en vrai "surnaturelles", et cerner au plus près, ou le plus près possible, pareilles vérités poqst-pré, de type "Vivrres", "Offrandes vives", "Dons de Trai t" , "charges sensibles" et autres données comme déposées sur frise : desibnnées, gravéees, creusées au stylet, au calumet, au feu cendrée, au soufflet et à la tire ! on touche le néné du Dire ! lait ! lait ! l:ait ! lait ! lait ! laziot ! lait ! lait ! lait ! on veut téter ! on veut / on voudrait ! grave téter du lait .... sans souyrciller ou (même)..... en sourcillant, peu nous en chaut en  vrai puisque .... on est re-nées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! le pré dépassé ............................................................... le pré laissé .................................................... vite, téter ! ................... téter de chez téter ! .......................... le bon lait de tire ! ..................../.................... tire-lait du Rire ! tirons aimons ! tétons ! Lait-Donné vif , vif lait de tire ! Aimons léchhons ! avalons ! tétons le téton et avalons de ce Lait-Vivres ! buvons  vi ves ! A imons donc le lait de tire ! .............. vives ! soyons vives ! ..... fée vive sur Sein Offert, comme à découvert, la mort acquise""" ! On monte sur frise ! chargeons ! allons ! creusons ! traçons ! aiùmons -nous les uns les autres, et aussi les unes ! et aussi les ... unes diurnes ! Montons ! saluons ! creusons ! cherchons ! traçons ! Qui mesure ?. qui conclut ? qui juge ? qui dit le Dit ? qui sait la mesure, les données de Bure et auitres traits de prix ? Qui porte sur Soi la Parure ? Quyi "Envfoie" ? On veut :

aller aller aller aller 

donner donner donner donner

creuser creuser creuser creuser

faire faire faire faire

cxgharger charger charger chargezr

dire dire dire dire 

porter porter pôrter porter 

froncer froncer froncer gfroncer

Aller au plus près du Néné des TRaits ! sur peau halée, téter de chrez téter le lait ! le bon lait de Mère ! Lait nacré acidulé, cendré nacré, acidulé cendré, nacré s acré, sacré nacré on dirait ! lait aimé ! lait adulé ! lait véné ré ! lait des laits comme s'il en pleuvait ! on veuut aimer ! aimer aimer aimer aimezr , dire dire dire dire , toucher toucher toucher toucher , faire faire faire faire, donner donner donner donner, crteuser creuser creuser creuser, et du coup cerner, un certain nombtre de vdonnées données, ce que c'est, ce que ça serait, ce q'uelles pourréaieznht être en termes de données suprêmes ! données fermes ! données  vraiment actées allouées à ... ici-même, le Terme ! loi des Herbesb ! loi allouée à une sorte de ... Paroi-Néné ! Foi de Roi-reine Centrées ! Fées passées deviennent... Bébés surnuméraires alloués à une sorte de terme qui est .... du lait ! finalité = lait ! Fin-Faim tracée on penszerait et on ne serait pas loin peut-^etre de la Vérité ! ça fait trembler ! On est Fée = faite ! faite fée pour y aller (à travezrs le pré) vers le Néné -Verbe, ou VErbe Lait en termes de terme ! fin-faim des données Suprêmes ! Lait cdes Laits au décours du terme = fin tracée ... fin des données r(upestrszs ou quoi ou qu'est-ce ? peut-on statuer ? peut-on finaliszer ? peut-on tracer (à main lmevée) le dit term e des do nnées dernières ou qui seraient dernièress ? Qui le sait de fait .... Sinon ...../ la Reine ? Abeille ? A- bé - elle peut-etre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on l'aime !!!!!!!!!!!!!!!!! on aime qu'elle !!!!!!!!!!!!!!!!! l'abeille des dionnées "humaines" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! traits donnés , charges d'elfe, traits tracés, vérités de l'herbe des prés traversés, verité vertes ! on veut creuser sans se retourner .... la Roche Souveraibne = le dernier quartier ... vers du VErb"-Lait de Néné D'Elfe ! traits ! traits ! traits nacrés ! traits des traits ! on veut monter et toucxher au Néné et téter et sw'en remplir grave la bedaine ! on est le .......................... Bébé né ! bébénou né ! Bébé des Bébés ........................ post-herbe du pré , comme re-né à u ne vie nouvelle ! re-la vie celte ! re-vie des vies sur roche première : l'envie ! don d'e rôle , porte poussée, on rôde et nous vcoilà re-née ! verbve passé ! grève ! pré traqué ! charge de trait ! bêtes montées ! 

On veut en vrai  creusezr de chez creuser à ce qui est qui se .... re-présenterait, à terme, sous nos pieds , acté ! soit : la Terre ! terre des données Du Verbe re-placé (oeillères) comme auparavant, de fait il swemblerait qu'on fût "au courant" , informées des faits tels que tracés , tels que faits, formés, tels que déroulés sur Passé Primaire comme re-donné ou re-nouvel-é ! on aime ! on aime le laiot et ce genre de faits co:mme re-portés ! re-donnés, re-tracés, ree-posés sur Passé  ! comme qui dirait ! on aime ! ................................................................................................................................................................................................................................................ aimons ! .......................... revenons à nos abnciennes terres ! ............................................ traçons , creusons, cherchons , montons, perçons, traquons de fait les termes de Raison qui , peut-être, en  vrai, qiu sait ? pourraient ghrave nbous aider à ..... on dirait ........... toucxher Téton ! téton des tétons ........................ afin de , peut-êttre, on aimerait .................. teter téter téter .................. en tant que "nouvellement né" ...... ou même re-né , à la vie à la mort, sur "Terre (re-terre) des données Passées " il semblerait. On aime ! On veut aler aller aller (souveraiunes) vers ................... Néné Alloué au VErbe via Le lAit ! Lait des termes = VErbe, VErbe Nacré = sacré = Verbe-Lait des Données Suprêmesz = Verbe-Herbe ...... auto)-proclamé comme de fait  ! on chercghe ! on veut toucher à ce Néné du Verbe ! on veut pouvoitr téter le Lait de l'Herbe ou Lait de Fée ou lait du pré ou comment, Lait post-pré, post-herbe, post-fée , post treacé rupestre et autres traits animalierrs ? On cherche ! on cherche à trouver ! on cveut trouver un certain nombre de données de terme, genre : 

-mots gravés

-mains courantesz 

-pportes d'entrée

- vies de pré

- peertres blanches et autrees dons de lait (sur sxe,ntier)

- saints de glace et autres saints et saibntes allouées à une .... branche tracée, comme à main levée, en tra&nse ! traits ! traits super-motivés ! tr acezs ! traces d'encre ! animaux de roche aimés , animaux -mots et -b$êtes-verbes sur-cités ! surajoutés ! surdéposées sur rtoche gravée ! on veut touycher touycher touycher toucher toucher toucxher toucxher toucher à ce dénivelè, hernbes vertes, pré, pré aux données vertes, prairie aux féesx et autres elfes rencontrées le mur passé, la mort donnée, mort primùa&ire et le tour est jhoué on est tyransportée ! transportée et transformée ... en fée-DAmoiselle, fée du pré sachant voler, aklller et tourner,n, virevolter, tracer, creuser, filer, chercher,cerner et se rapprocher (peu à peu) du muret dernier, fond de cimetière, fon  de pré aimé, vers .... le DErrière ! Cul-Néné du VErbe ! lait ! lait ! lait ! lait donné à force de tracer ... ou sinon d'aimzr .... ou sinon de forcer ..../ forcer (de fait) le V  erbe du Pré, parler sanqs dsiscontinuer et du coup le trait, trait de roche aux fées, se fait, qui nous permet de pouvoir passer, tête première, à la une à la deux sans fauute ! hop ! on est née !  bébé ! bébé -dxes treaits ! vbébéds des bébés on est, qui allons de ce fait et sans plus tra îner téter de chezz téter l:e sein nacré ! sein d'herbe ! sein des sweins nacrés ! sein tracé post-pré on aime téter ! grave on aime ! on est nées ! nées bébés comme àla retombée de ce "hors-cimetière" ! traits ! traits ! traits ! treaitsq ! treaitsq ! traits ! traits ! traitsq ! très ! très on aime ! très on veut ! très téter ! de ce sein tracé ! rond de roche alloué à une sorte de ...................................... porte ???? ????  porte haute ?mieux ? porte très-haute ?????? on veut toucher toucher toucher toucher toucher toucxher à cette sorte de donnée haute, genre ......... faute ?????? ?????????????????? toucher = cerner = faire = copnsacrer = donner = dire = aller = cerner ............... une sorte de donnée post-bière = trait, trait de lait "surnuméraire" salutaire ! tétons fort de base ici pareille laitance ! aimons ! aimons donc ! allons ! Creusons Roche Finale et traçons ! car, voilà, le dxrappé, la base, une sorte de tracé de f ace : viçsage ? on entre ! entrons de front ! que voyons -nbous quyi se révèle (montrte) à nous ? un visage de gnou ? bête d'antre ? vie animale ? bête grave (gravée ?) semblant traces sur tracé de taille  ? On e,ntre . On regarde. on ne veut rien louper et tout relever, noter, tr acer de côté, ne pas laisser, ne pas oublier. Traiots des traits . Bêtes grasses. bêtes Fortes. Betes de trait (de somme) . Somme haute . Somme Énorme comme qui dirait = hén aurme ! = le .... Passé ? car, le Passé en vrai est .... Énorme ! on sait ! on sait de fait que, en vrai, le Passé, oui, dingue énorme il est , c'est vrai ! gros de sa force d'ombrte , d'ombtre folle ! Passé Haut, semble (pour nous) Ombre Haute, de Bête de POrte .................................................................. côte , côte des ombres, côte haute, .................................................................... donnée des donnéeshautes = trait ! trait tracé à main levée par l'homme-femme des denrées, ou dite des denrées de France ! pôurquyoi "de france" .... parce quye ........... la langue ! ici : le français poiur "la Fr ance" c'sest un fait ! on e ntre ! transe ! danse ! fr$anche cxavalcade ! on entre en cette sorte de france-franche .... langue franche de france ou quoi ou qu'est-ce en termes de mots et autres termes dits "de France" ? Ambre ? ambre d'ambre ? on  creuse , on avance ! o n cgherche, on pousse ! on veut, on gagne ! on gagne la brousse ! on avance en transe ! on est paqssées sur muret de base ...... on est entrées comme à la p arade ..... on veut tracer , creuser, nbous avancer et du coup au mieux cerner les dsonnées primaires, de type "vérités en herbe" . On veut :

cerner cerner  erner cerner cer ner  cernerv cerner cerner cer ner  cerner cerner de p^rès ce qui est qui serait à nous mater de la tête aux pieds sans se gêner ! on veut gagner le fond du pré et là, devant re-paroi, tracer = traverser , et du coup .... pzassser (de fait) de l'autre côté, côté cote des traits (traits de lait) afin de (pour le coup ... à genoux ? ) téter de chez téter le bon lait de trait, lait tiré, lait trait comme quii dirait, d'un Néné SAcré (sacré N2né !) et hop  ! léché ! tracé ! alimeznté ! fait bébé ! fait ou faite car , Fée faite ! faite (au jugé) bébé = Le Bébé post-herbe ! Un trait et l'affaire est faite ! trait de laéit pôst-sentier, post-herbe, post-pré ! tracé des tracés on croit connaitre car,; voilà, on a vécu ça, augtrefois, déjà .... la base, la base antrale, le lait donné, sein de rage, lait lettré  comme une sorte de donnée de face, genre "message" = "oracle" = donnée-née sur place, nez acollé à Sein de Charme empli de bon léit de l'Ambre ! Aimé ! lait aimé en face ! on veut téter ! toucher = aimer = dire =cerner = comprendre = faire = connaîttre = porter = aduler = pousserr = chercher = contrôler = cerner-dire = poster-accoler = vendre-sonder  et courir vite vers .......................................... un trait ................................... trait des fées ? ............................. trait d'herbe donnée , broutée, avalée ?.........................../...... trait des traits d'un pré vert donné comme à la retombée ...? ................................................................................................./........................................................................................................... qui sait ? qui connaît le terme  ? La date du terme ? le tracé do nné en termes de terme, de fin de p ^ré, de confins ? qui sait de fait ce qui est de base, en ces quartiers des données rupestres ? qyi connaît le "vrai" sentier menant aux données , ici, lactées , comme il semblerait : le pr^etre des Fées ? pasteur / pasteuse, aux données dites "les bienheureuses"? Pasteuse / pasteure , pasteurs alloués à un tracé ? pasteure des do nnées de Rage, .... pasteuses ? On zntre !ON veut comprendre l'Antre, le DErnier! aller = toucxgher . Quijconnaît le bra,nle ? qui connaôt l'emphase ? qui connaît le TR acé de face ? qui sait de fait ce qui est en face (ou serait) qui nous concernerait en première instance ? Le Passé serait de rage déposé ? lE passé de fait serait, qui nous atttrezndrait ... comme par miracle ? re-tracé de rage : le Passé "cramé" ? comme "carbonisé" ? qui connaît les traits, la charade, les mots accolés, la phrase, les donnéesz de base ? qui sait en vrai ce qui pour le coup serait à comme nous attendre .... les bras c  roisés ? la flamme allumée ? l'oeil enragé ? la boiuche béante ? seins donnés ça ba rde ! on va "ramasser" ! grave, post -pré ! ça va pas traôiner ça y ressemble ! On veut :

téter téter téter téter téter téter tyéyter téter tétyer téter téter téter 

toucher toucher toucher toucher toucher touycxher touycher topucher toucher toucher rtouycher toucher ;, à ce dit "néné" des données (coudées ?) fr anches ! on entre ! on mate (à nous de mater ! 😉). On veut toucher = cerner, à ce dit "mirage" des contrés "célestes" ............. qui on est dans la mort souveraine ? est^-on fée ? fée sacrée , nacrée, armée , armée d'ailes ? Ou plus du tout fée mais ........ elfe ? elfe d"'herbe ? ou ................................. bébounet ??????? bébé pôst-pré , le Terme ?    ; ................................. bébé re-né comme à (dans) l'antiquité ??? ?????? bébé celte ? vrzai ? chargé des dires alloués à (en vérité) la bête, bête de trait et autres activités ? On cherche ! on est pas arrivée ! on v  eut toucher de chez touchezr aux traits assurés et autresx traits gravés à mêmùe la pierre ............ etdu coup passer ............. vers le passé ............ chargé du passé ............ tel que déjà vécu le temps passé , on sait ! on va nu ................... on trotte ! ....................... on mo nte ! ............................... on est hautes de chez hnautes ! on monte cul-nu vers la Haute TEnue ! Hzaute Porte aux DOnnées de Roche ...................../ colle qui colle ! ........................... on colle à la Roche ! .................. on monte sur Roche et POtea&u de Mots ................................................................. on monte ! hautes ! hauteurs hautes , "au trot" .......................................... vers le Mot de l'Ombre, ce mot ! .............................. le mot "ombre" ........... "ombre des mots" ................................................................ on exst hautes et hot .......................... vers ce haut des mots de trop ! .................................... haut niveau de Roche ................................ on monte ........................................ creusons haut le niveau "des mots" , des tracés de Roche Haute , genre animaux, bêtes de trot, mots de trop et autres termes ... des termes, sur poteau de Roche ...... Haute .................... on monte ! On veut aller-coller, faire-dire, toucher-cerner, pousser-alimenter, porter-charger, donner-consacrer, fficher et mettre, peut-^ttre, nos lèvres (babines) sur tétine ! et ........................................................................ téter ................... le lait ........... lait de frise .......................... le bon lait de prise .........?........................lait des laits de frise-prise ?................................. lait aimé .........................................On veut grave troucher à ce néné qui est icfi (devant) cette sorte de donnée directe telle que oui, on veut, on aimeraiot, pouvoir téter sans nous arrêter, et du coup grabve nbous alimenter, à satiété ou jusqu'à satiété, et ce sans traîner, sans laissser tomber, cxar, oui, en vrai, on est le bébé de la Friche ! on a traversé le dernier muret, on a réussi à passer de l'autre côté, côté cote "endiabllée" et à présent  bnous voilà "morte-née", comment dire, née de fait dans la mort passée, dépassée, traversée,  à téter le Néné des Données "reprises". DesVies allouées à une sorte de reprise, de retour des Rages, squr Paroi de face, Terre Ancrée, Terre tracée, Terre agraire. Retour  vers les données priimaires, les données premières, verbe au taquet ! la vie allouée à une sqorte de -passé 

 re-conclu, re-lu ! cxharge dee trait ! bêtes-masse sur Passé de RAge ! on est née re-Bébé la Mort actée, actée ou comme "travezrsée" = passée = dépassée . car, la mort n'a qu'un temps, au présent. La mort est antichambvre d'une vie rebelle ! IOn entre, on passe, on franchit l'embase,on est re-la vie naissa nte ..... sur terre ftranche ! terre à vers de base = ombilics-lombrics ? la chance ! en transe on dance ! "baby dance" ! charge grave ! traits des trraits de base ! "on s'balance" ! Aïe ! on est comme re-née à u ne sorte de TRacé qui est .... eh bé ..... d

u PAssé ! passé xdense, compac té, comme re-alloué à une sorte de vie renaissantre, genre ...... trace .............. trace sur pieds ........................... parade ? ........................................... farce ? ...................... on renaît ou on renaîtraiot comme àla p arade, sur pieds, genre "traits de rage" personnifié s !!!!!!!   qui le sait ? On est pasdsées ! on a creuseé la roche tendre et nous voi:à toutes qui savons" comprendre .....= toucxher ! toucher de chezz toucher à u n e sorte de 

donnée franche, tracée, ronde de base comme 

 une sqorte d(offrande  ...... en forme de ............. pômme des portées ? On veut : comprendre = faire = dire = charger =  c erner = voir = b,âtir = szoulever = centrer = téter = se soulager = sentir = vivre = fonder = pârler = mùresurer = charger = pousser = coller = dire = contrôler le dire = rire = pister = vivre ou même revivre = porter, au plus haiut niveau possible, le Passé de trop ! et cela : 

- sans rire !

- sans trahir !

- sans prtrdre lenord ni la face de face !

%Mais ...................................e,n , si possible, creusant , creusant, creusant, creusant , de rage, les .......... "moments de transe", moments fastes ! fastes moments ! ............................................. des données données comme par la bande ............ en creusant-cherchant, poussant loi,n les dites recherches et autresc "quêtes vivantes" ! On entre ! ........................................................................................ on ne veut pas baissser la garde, mais pôursuivre, grave, sur la piste,; ce tracé de base, ces szortes (vraies) de rec herches franches ! aller et donner, faire et pôrter, vivre et tr acer, soulever = dire, et dire = soulever , qui le sait ? qui connaîot les ressorts du Rire, du Gros Rire des Contrées, Contrées éÉchaudées,   ? qui s&it du Rire ce qu'il en est en termes de DSonnées Vivves ? qui connzaît les traits re-montés, re-venus sur pieds ...... du fait que nous voilà comme toutes changées, transformées, modifiées, re-lookées comme qui dirait ! non plus la fée du pré..../ mais le Bébé post-pré ! Bébé des Béb és sachant (grave) téter du lait, Lait des TRaits ! à ce qu'il paraîat ! on veut biezn le croire, on est bienveillantes, toutes bienveillance ! on entre ! On entre dans l'antre. On veut toucher à  c e Néné "de FRance" , Néné né dee la langfue de France ? on dirait l'enfance ! ça le fait ! on tr ace. On veut :

toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycxher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toycher toucgezrttr à ce qui est qui se présente kla mort passée, entérinée, archivée ! car, la mort, en vrai, en cvrai de vrai, la mprt est cfomme à archiver le Néné Tracé , . La mort, La mort en tant que pré, prairie aux bêtes de trait et autres bêtes dfe bon poids de base, La Mort dite "des Parades" , a sa vie de base, son tempsq meurtri, sa durée tracée comme enregistrée, et, de fait,  à un moment ou à un autre, "passe" ! tombe en tombe ! s'enfonce ! coule ! fuit ! sombre comme une ombre et c'en est fini ! quand............ la vie vive des traits ........................... fait la nique et fraie, son chemin  de suite ! vite ! sur mpieds ! le Bébé ! le dit "Bébé" des envies de Vie comme re-tracée la main levée ! vive vie re-marquée ! olé ! vie vive des tracés montés ! montées et montrés ! on est re-née sur Terre re-trouvée ! La vie comme elle est ! le Passé re-acté, re-noté, re-cherché, re-collé, re-visité, re-p arlé, re-touché de près, re-porté , rte-sondé la mort morte et enterrée, ou : une fois morte et enterrée ! car, la mort a sa vie, qui n''st pas (du tout) donnée en  vrai de toute éternité ou pour l"'éternité, ! lamort est "chiffrée" ; son temps est réduit ; elle ne fait que pâsser, elle finit par (à un ùmoment ou à un auttr) sombrer et couler et se voir enterrée le cul tannée ! La mort est comptée. So,n temps traqué. Sa vie cernée. On veut dès lors "la traverser" , de fait, à toutes enhjambées et vite fait la dépasser, la doubler, la laisssrr de côté ou sur le côté et tracer de chez tracer sans plus se souvcier de  ce qu'elle deviendrait "derrière" ! tracer = gravir = grimper = monter = aller, hors du pré, )à la recherche de la Vie CHargée ou comme Rechargée ! filer de chrz filer, aller de chez aller, creuser de chez creuser, faire de chez  faire, sonder de chez sonder, fondre de chez fondre et du coup tr averser , aller sans se retrourner , foncer foncer foncer foncer foncer foncer foncer foncxer vers ce Nén é des Hautes Contrées qyui seraieznt allouées (destinées) àune sorte dx'après -mort, d'après vie et mort, nouveauté, nouvelle doonnée ou nouvelle donne ! tracé ! traits tirés ! le :ait ! le lait dsonné après l:a mort, comme qui dirait  ! tétons donc ! tétons donc le lait tiré , traoit ! le lait trait buvons, tétons , avalons ! et creusons szillon ! chargeons ! allons ensemble vers ce mamemlon , à la recherche de cet aliment dont le nom de fait est "LAIT", "LAIT DE TRAIT", "LAIT DES MONTS", "LAIT BON", "LAIT DES ROCHES HAUTES", "LAIT NACRÉ DE LA HAUTE PORTE", "LAIT DU MONT DE PORTE", "LAIT A,NCRÉ", "LAIT SUR PIED ET ÇA LE VFAIT", "LAIT DE FÉE PASSÉE", "LAIT D'ÉPOQUE", "LAIT DE ROCHE HAUTE", "LAIT DES LAITS", "LAITS NACRÉS", "LAIT DES DSONNÉES DONNÉES", "LAIT DU MONT DES BOSSES", "LAIT AU LAIT DE ROCHE", "LAIT POST-PRÉ", , POSTOMBRE", "POST-ANNÉE DE FRAI", "LAIT AUX DONNÉES HAUTES", "LAIT NON-ÉCRÉMÉ", "LAIT ENTIER", "LAIT DE SUITE APPORTÉ", "LAIT POUSSÉ", "LAIT DES FÉES ET AUTRTES AL:LIÉES", "LAIT DE GROTTE". On veut toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher à ce néné empli de lait,lait calqué ou décalqué sur du lait d'époque,ancienneté ! On vgeut :

téter, téter, téter , téter à  c e néné qui, xde fait , ressemble à s'y trompêr à un néné qu'on aurait de fait déjà rencontré "à l'époque", qua,nd on était docte, bébé né, bébé drôle, un bébé pré -pré, pré-herbe folle . On veut :

téter téter téter téter = toucher touycher toucher toucher = dire dire dsire dire = faire faire faire faire = coller coller coller coller = sonder sonder sonder sonder , et du coup travcer,, charger, poeerter de faiot la Parole Donnée vers la Rive Tracée, ce TRait des dOnnéees comme Remontées, Vies re-allouées, Vie à nouveau tracées pour la postérité il semblerait .... sur Passé des Dires. On veut toucber toucher toucher toucher toucher toucher tpucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchjer toucher toucher toucher = téter téter  téter téter téter téter téyter téter tétyer téter téter tétezr téter téter téter té&tezr téter téter tyéter téter à ce Néné des Données Connues, Vues, Entendues, Revues, Sues, comme toutes nues. On veut : aller, dfire, sonder, tracer, chercgher ici ou là X vérités de poids et du coup (peut-êtrte) être, là (sur paroi de rage) celles "quyi y voient " , "qui envoient du bois" mais aussi "qui en voient de toutes les couleurs"  sur ça, cette chose en tas devant soi : 

la base, le tracé, la voie, la rage des voix, ce tracé de branche. Une Voie vers la voix ? la trace entre   ............................. (ezntre deuix parois ?) .............................  et une voie des Rois et REines de là, l'au-delà des voies ? ........................./.................................................................................... on entre ! ............../............................. on veut ça .............................................. poussser (là) la sérénade  ................................... téter , téter grave le Néné de l'antre ............................................................................................... le lait alloué à une base ici, de fait, lactée, comme une sorte de dsonnée des rages et autres colères rentrées .... du fzit que ....... on est née ?  on est re-née ? on est re-arrivée ? re-là qui voulons téter ? ................................... quoi se pourraiit ? qu'est-ce qu'il wse pourrait ? qu'est-ce que ça pourrait que ce sqoit en  v rai qui nous arriveraiot ? qui on est ? qui on est pour le Néné ? qui en  vrai on est ou on serait pour ledit Néné des

 "Franches Coudées dxe FTRance "..... ? 

une sorte de ....................... bébé d'ambre ? ....................................................... bébé des bébés de France ? du français plutôt, en tant que langue ........ langue des trots ................. des galops, sur bande traçante et autres pré haut ..................................................................................... on entre ! on entre eentre ! on e,ntre dans l'antre ! on veut haut comprendre (loin) les choses de l'antre, soit : ces mots, mots-ombres et autrees nimaux -mots , douces paroles, mots de trop sur paroi haute ................................................................................................................................................... on monte ............?................... on est hautes ..................... on monte ...................... obn est haut eet hautes .....................................................................  on veut toucher toucher toucxher à ce Néné "du bout du monde" . qu'est-ce que c'sst ? qu'est-il en vrai ? à quoi est-il lié ? qui sait ce qu'il en est e'n vrai ? faut-il croire à une vérité post-pré doont le nom ou petit nom serait "Néné" , soit "sein Donné " ? peut-on se fier à c  e type de donnée donnée ? qui sait ce qui esrt d'une sorte d'après , après-pré ? qui connaît les .... "ressorts du rire" tel que détroussé, au décours d'une sqorte, ici, de "dérive" ? Qui connait le vrai, le Faux Tracé, les Données Fluides, Le passé en tant que dsonnée nouvellement (il semblerait) allouée à une sorte de Futur comme déjà Tracé, les mai,ns liées ? Qui sait ce qui est, ce qui se dessine ou se dessinerait une fois passé le dernier muret des données prairieles et autres données  pastorales ? On veut toucher = on veut aimerr = on veut être = on veut dirre = on veut comprendre = on veut cerner = on veut aller = on veut saluer , saluer la Base ! chercher = sonder . Dire = porter . Faire = braver. Donner = charger. Porter = induire. vivre = poursuivre sur sa lancée tel tracé donné, et aller, poussser, creuser sans -traîner, charger charger charger, ne jamùais s'arrezter de creuser m^ais tout le contraire : saturer, saturer, saturer, saturer, satureer de dires les parois de Roche d'une sorte de ...... nouvelle Vie VIve .................... nouveautés du VIvre .......................................... re-vie des envies de vivre ....................................... nouvaeu tracé. FRai. VIE VITE. 

Trait des traits . CHances au taquet. Pré dépassé et idem le muret, les finalités. On veut toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher touycher toucher roucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toycher touycher à ce Néné des Données Innées : quelles sont-elles ? on ne sait ! on cherche ! on est blêmes ! blêlmes en vrai xde chercher et encore chercher et toujours chercgher les données données telles que'elles sezraient (en vrai) à débusquer sur herbe, sur tracé dee pré, sur swentier, sur herbe coupée, sur praierioe aux fées ou autrezs champs aux herbesz vertes : qui sait ? on aime = on traîne = on mate = on cherche, ici et là, le pa ssage .... tout droit( ? ) vers ..........................................................................l'au-delà ? waouh !

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10/2/2025

on regarde; On etst là pour ça. toucher-envisager les choses en face. Ce qui est et ce qui n'est pas. On avance = on en avance dans les connaossances. On veutcomprendre = toucher = faire-dire ce qui est, et ce qui est est : ce selmbklant de trace, cette voie de rage, ce tracé de base. On regarde , et ce qu'on voit est ... un convoi ! les traces d'une sorte en soi d'au-delà à soi ... La Rage ? La toundra ? un espace de passage ? une sorte de paroi des traces en veux-tu en voilà ? on veut comprendre = on veut toucher = on veut cerner = on veut s'e nfoncer = on veut entrer = on veut s'knscrire = on veut aller au plus profond de cette roche aux données profondes. Qui on est ? la fée ... C arabosse ? une zorte de Donnée des Rondes ? Un trait ? on ose ! on est passée ! on a pour ainsi dire travezrsé la Roche et nous voilà comme allouée à une sqorte de "rotonde" des contrées retorses. une vie de pré. Champs de blé , qui sait ? On est passée = on a franchi la (première) porte = la paroi des ombres. a présent .... la seconde, fond du pré, herbe à brouter puis un muret, un tracé accouplé à une sorte de muret des fonds. on voit la chose. On s'approche. On veut toucher et à nouveau entrer, .... cette fois : en ce muret des fonds de pré et autres champ donné. On veut entrer à la une à la deux sans traîner. qui on est ? "Chose", soit ... "hombre" ? on cherche à cerner qui en vrai ça se pourrait qu'on fusse en ce pré : une fée ? fée des prés tracés ? On est montées . On veut toucgher à ce qui est en ces contrées de roche  pour ... cerner-comprtendre les données "hautes" = lointaines = anciennesc (on le sait). On cherche ! On veut toucher toucher toucher ... eh bé oui ! à ce Néné des Données Hautes ! = le Passé ! Le passé est cette sorte de Donnée Haute dont on espéraot, un jour, voir ... le nez ? quelque chose de près, quelque chose qui (en vrai) fut, pourt nous, de première importance,  ... France ? Français ? le FRançais des transes ? langue innée ! oh oh va comprendre les traits, les données hachiurées, le tracé des causes et autres frarandoles ajoutées .... On est né "français" soit parlant kle français, langue de Roche, et àprésent ... on mionte ! montons droit comme allouée à pareille ombre ! cherchons ! creusons roche et tra çons ! On est nées Nées , on veut toucher, on veut être, ceklle, ici, qui, en vrai, comprendrait, un certtain  ombre de donnéess des roches, ce que c'est que la Parole , Parole Donnée, quand on est Fée de Poche, Haute Fée tracée, Fée du pré la mort achevée ou sqinon achebvée ... "entrvouerte" comme une fenêtre ... qui sait ? On est née en ce pré Fée, on monte, on veut rapidement gagner ... les Nénés qui , comme squrajourées à du post-muret, seraient en quelque sorte à nouds interpeller poutr nous quasi ovbliger à les rejoinfdre aefin de les "toucher" soit téter leur lait . Car, de quooi s'agit-il en vérité ? il s'agit d'une chose  Haute (tracée) qui de f ait ressembke, àpreu de chose près , à une sqorte de Ronde , rOnde Portée, Ronde Portée Haute, Rondeur Apportée Haute, Haute Rondeur fois deux Hautes, Hautes Rondeur Fortes remplies de LAit = Le Pass"é è!!! Le Passé est né la porte passée ! LKa porte du pré ! Passé né le muret passé. On veut cerner = traverser = passer, sans traîner, de l'autre côté et ... enfin .... cerner = entourer ... kes Choses .... le TRacé de Poche : mots des Fées telles qu'elles se retrouvent ou se retrouveraient comme ... adoubées ? par ... eon dirait ... une sorte de "Méère des fées " , l'encoche ..... La Matrone ? la Donnée des Données ? On cherche encoreb ! on est pas arrivée ! on veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette Roche "des Finalités" et voir en vrai de quoi il en retourne question Néné et Lait et envie de cerner. Car, qui est là derrière à nous attendre comme qui dirait ? un (deux ?) sein (S) de Pocghe ? une sorte de Giron De Roche ? ?? ...... creusons ! allons ! essayons de fait de trouver ce qui en  vrai est là qui serait à, comme nous regarder d'en bas, ou comment dire ... de la Tête aux pieds, comment on serait, les habits qu'on porte, notre fdaçon d'aller, de nous tenir ou comporter, nos méthodes et autres actuions dérivées, notre fa,çon de parler et autres accentuations profondes, nos attraits, boucles dorées, yeux de fée, lèvres allouées, bras cendrées et autrsc ailes "de rotonde", car voilà, ce qui est en  vrai est cette choseb (nous concernant) .... comme quoi Roche = Poche  ! roche aux Fées = POche allouée à une sorte d'enclave cernée, par ... du muret, une sorte de muraille Haute , genre : "Mur du Son" des "Finalités Tracées" , Haute Murettte Classée ! On guette ! On est née fée comme à la traversée (la mort donnée : première instance) nous voilà en train de voler (transe) jusqu'à un muret (muraille "de France") qui nous échoirait (en vrai) au sortir du pré tel que traversé au miloieu des bêtes toutes broutant l'herbe. Et à présent ... la chose : le "Passé des Tronches" ?????? on monte ! monter = oser. On veut toucher profondément ce qui en vrai serait à donc à nous comme se présenter en tant que Néné à tétezr sans plus tarder. On est montée, on a traversé, on est accolée ou comme accolmée à cette Chiose dont le nom ou opetit nom ici est ... Néné-dit ! néné-dit des Données profondes. Chose" de prix ! On tetèe "la vie" ! dinguerie ! Lait des Vies Sacrées ! Charge de lait ! point et traits sur une sorte de "Muret des Vies" qu'on aurait trac-versé ou comment ici dire ce qui est en vrai ? on passe ... on tré-passe ok, on passe ici le trait de ce muret "des finalités" et, une fois celui-ci passé, qu'est-ce qu'on fait ? on .... revient à la vie ... en forme de Bébé Donné ... trait des fées devient Bébé né ou re-né à une vie recommencée et le tour (tour de roue) est joué ! grave tracé ! grave eznregistré comme qui dirait ! champ de blé, muret, néné : le trajet ! On veut en  vrai cerner-toucher à ce qui est de "l'autree côté" qui serait à nous regarder, nous mater de la tête aux pieds pour mieux nous cerner et nous obliger quasi à se coller à lui (elle ?) , sein de traîne, Néné post-herbe, Néné Né à la (deuxième) retombée des Plaines ! on aime ! Quoi ? le lait de l'Herbe = Verbe ! tracxés d'herbves vertes on en a soupé, ok, mais en vrai ... on aime ! chanter = passer = trépasser ... on dirait. le Chant ici est le TRacé des Plaines. on veut toucher = on veut creuser = on veut aller = on veut comprtendre = on veut chercher = on veut nous enfoncer ou s'enfo cer en cette sorte de

 "Parade du pré" telle que rencontrée la mort allouée, et chanter ! chanter de RAge ... eh bé ça : 

le Néné De France ! ho !

 fran!çais ! Néné Né français : la langue , le Passé de France = (essentiellement, on sait) le fvrançais, cette langue (ici) inculquée, allouée, enfoncée, donnée, pour ... comprendre = prendre = faire = charger .... sa colère saine ! Son envie de Tracer, sans tr îner, vers ... EZLLE .... LA Des Voies de ROche qui, ici, nous semble la plus proche , la plus comment, Accorte, prête à nous comment, Adouber-aimer, non point aduler mais aimer dans sa poche ou comment : reconnaittre "Haute" ? On trace ! On avance ! On veut :

toucher N2né = toucher Néné = toucher Néné = Toucher Néné, qui est ... ce Néné de l'Ombre, muret traversé, Autre côté, côté Ombre = SSainteté des Données Profondes. voies des Ombres Hautes. Chose du monde. Frai ??????? On veut toucgher à ce néné du Lait et du coup téter, car toucher c'sst téter, pas autre chose ! téter kle lait De haute Couvée ! On veut :

Du lait de poche ! Poche de Lait ! Lait de POche HAute = Lait sucré - s alé donné par une sorte de Mère la Pitié (ou Bonne Mère) allouée à une sorte de COntrée Donnée, Porte Haute , Chose MOntrée, SEin tracé, lait à boire sans tarder car Faim il fait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime ! on a méga en vie en vrai de comprendre le plus, le plus qu'on peut, de cetre sorte de romance des données lointaines et du coup tracer, sur herbe puis post-herbe, une sorte de"csentier des sentiers" qui pourraient sans faute nous conduire ensembkle (ailes) au plus près de fait de cette chose telle que narrée (ici ou là) dont le nom est .... ELFe ? ElFE Roi ? Reine Elfe ? Voie Des Voies ? Voix ? Voix -Elfe ou ELfe -VOi-x ? Le quoi ? le ou la ? On cherche ! on veut de fait comprrendre grave. Toucher ou cerner = faire / entreprendre . Ne plus en  vrai se les croiser mais grave en avancer ! chercher chercher chercher chezr cher chercher hchercher à comprendre ++++++++++++++++++++++++++++++++ ici (ou l;à ) ce qsui estde cet "âge tendre" du Néné des Bandes .... un tracé "français" ? pour soi "français" ? qui contiendrait (qui sait ?) un certain nombre de ... Données de Rage ? Données Fades ? données Hautes ? données Coriaces ? Données comme tracées sur porte Haute (porte d'entrée d'une contrée Haute ) ... on veut en  vrai cerner la chose, ce qui est, ce qui semblerait, ce qui se pourrait, ce qui serait qui serait à nous mater sans discontinuer (une vie durant) . O-On veut ..... dire dire dire dire les Choses du pré (de la mort actée) ok, mais aussi : ce tr acé tracé, cette sorte de montée vers une É2poque allouée (il sembklerait) à un N2né "de Roche" , roche Haute, Néné né à la retombé un muret passé, muret dit "des finalités" , et des données Haiutes. ON veut toucher toucher toucher toucher Néné Né post-Rovcche, et creuser = térter ? Soit téter le lait d'une Donnée GHaute . Un trait ? trait des traits ? trait de fée post-pré ? on est "couillonne" ! (couillonnnée ?) car, voilà, on ne sait à quel saint se vouer ! qui croire en ces contrées post-muret, poszt-finalités ? à qui se fier ? qui écoueter ? Qui téter en  vrai ?  mère de Lait = Soeur des Fées ? qui sait ? on veut 

téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téyt ter téter téter téter à ce Néné post-pré = Donné ! oiuvertement Donné le Mur passé (mur du passé ou dit "du passé" ?) . On aime ! on aime téter. On aime le lait plus qu'il y paraît, on est Bébé, changé, renouvelé, remis sur pied, re-tracé et nous voiulà traîné come qui dirait vers une vie nouvellke ou nouvellement donné non pas sur herbe, mais sur ... pieds ! nos pieds ! petits pieds de terre ! soulevés ! on est re-née ! bière passée nous voici, en quelque sorte, re-tracée, quyi nous voulobns Homme, Homme ou Femme post-ombre, Homme Haute, Femme Haut post-tonneau, post-cuvée des mots. On monte ! On est fée des Ombres avant même de revoir la Bonde, le tyuyau, la Roche des MOts et hop, on ose comme Soulever la Trappe aux données, aux données de troop, voir Satrape, Donatello, Le Roi de Sardane, L'Ambre, Le Passé Des Veaux et autres bêtes à ùmuseau. On danse ! naissance = renaissance post-boyau ! hors Groote des Peaux et autres Cavernes aux asticots ! obn est re-née LE TRacé français, la TRanse aux Données, Fée actée est devenue Bébvé soit re-née à une Vie post Porte ! Vrai ! renaissance en transe dx'une sorte de Bande ! troupeau ! meute Haute ! vies de Veaux et autres "bêtes de mots". On monte ! On veut toucher à ce qui est qui en  vrzai pourrfait grave nous éduquer et nous faire comprendre , une fois n'rst pas jamais,  c e quyi est de cette transe, de ces mots dits "de trop", de pareille Romance post-trot, de la Danse et des Données dansantes d'une sorte de Parade Franche . on est nées Fées comme à kla parade, on le sait, que va -t-on dès lors devenir tantôt, la Roche passée ? la dernière murette ici traversée, le dernier muret ? Car, on aime , ok, voler ou voleter, c'est un fait. dans la mort on aime. Mais quoi ? qui on est quand on est passée ? qui on devient en la matière ? devient-ion ... Reine ? REine des Pieds ? reine de la Haine toute treacée sur paroi nouvelle ? ou bien .... REine aux données lactées comme sus-nommées en d'autres moments-clés ? On cherche ! on veut toucgher à  e qui est qui ici se oprésenterait à nosmirettes (soit : à regarder) . On est ........................................ Bébé ! /..................... bébé né sur Passé comme qui dirait. On est un bébé, on veut téter, on veut boire du lait, on a faim, on a ...  

super faim de lait, on aime le lait, on est redevcenue ... un bébé, une sorte de bébé nu, béb é des bébés nus , au contact du pré, de l'herbe, du Verbe, Verbe Vu ? vcerbe nu ? verbe d'herbe verte et autres herbes des données de roche la mort allouée ? On ne sait ! on est de fait Ce bébé de POche , une sorte. Sorte de Bébe des OMbres ! dans la poche, poche des Fées ? qui sait ? On monte ! montons haute ! treaçons sur roche une sorte de Porte où pouvoir ensemble passaer : la menotte, l'épaule, le crane perlé, toute la Gomme ! Passons ! naissons ! le Passé est le Passé qui en v  rai est régulièrement renouvelé la mort une fois traversée ou même dépassée. On regtrouve Néné ! NBéné né après ... lA mort Haute dite "de POrte" . On monte . On veut toucher à ce Néné, des Ombres Supposées, et du coup téter pour nous "requinquer", nous almimenter, nous faire monter, nous aider à continuer notre (sorte de) "ASCENSION DE POCHE", on dirait ! tétons téton ! soyons centrée ! recentrons ! tétons l'Ombre ! Ne transigeons plus ou pas mais allons-y de ce pas vers du laéit de là, lait de franche Contrée , Lait d'Ombre ou des Ombres, Laitr des Laits adoubés par quelque (ici, en vérité) Divinités qui nous espionnerait ou du moins materait de la tête aux pieds sans discontinuer afin de bien se rassurer sur notre personne, qui on est, quel genre de bonhomme ou de bonne femme, Haute (ou haut ) , on serait de fait une fois la Mort dépassée (en quelque sorte) au sortir du pré , pré aux Fées d'époque : qui ? qui on est ? qui on est pas ? qui en vrai on est en fait de Bébé ? fille ou garçon ? tête de tronc ? fée donnée ? ton sur ton ? Bénbé aux traits de Fée ou bien aux données tracées de type Bufflet ? buffle-né ? On est née ici Fille-Bébé sur Passé de treait. Voilà ce qui est. On re-naît , on pâsse. Le Passé en face ! en face des traits ! traits de rage pour en vrai une sorte de FAce, Face d x'Ambre ! chair-née, Face Allouée à une sorte de Passé Noiurricier comme il en sezrait la mort "traverséeé", qui sait ! On entre. On entre en transe. On est une fée quiu veut en vrai entrer sans se retourner et chercher ici ou là à comprendre les données de base, ce qui est en fait de N32éné donné comme en soudffrance. Qui on est face aux nénés de Rzage ? des bébés ? on le supposerait. On serait enclines à le pennser. Car, en vrai, ce qu'on voit ressembkle fortemehnt à une sorte de rondeur aimable , de type sein de base, sein donné, sein aux traits lactés et autres perles de lait . On veut c'est vrai en tant que bébé nouvellement né ou re-né téter, térter grave pour s'alimenter, calmer sa faim tenace, se donner des forces notables, en avancer poiur la parade, s'élever. On veut téter de chez téter comme à la parade ! et du coup s'élever, grandir vif, charger, poussser, pouysssrrt sur pré ou non sur pré mais grave poussser ... "comme des champignons" comme qui dirait ; ou des melons, ou des fruits de saison. POires au taquet, cerisedes fées, tomates cendrées, pomme d'or. On veut tétrer à ce qwui est le Passé Touché. on veut téter à ce Néné "des Finalitéqs". Car, la mort donnée, traversée, dépassée, le terrain post-fée alors tracé eswt une sorte de .... champ donné, de type "toundra", àperpétuité, qui nous va ! LAIYT ! LAIT à l'arrivée ! lait des rois, Reibnes de Là (l'au-delà) et autres laits genre "pour-soi". On veut :

dire dire dire dire 

donner donner donner donner

faire faire faire faire

charger charger charger charger

$toucher toucher toucher toucher

coller coller coller coller

entrouvrir entrouvrir entrouvrir entrouvrir

cerner cerner cerner cerner

contraindre contraindre contraindrte contraindre

soulebver soulever soulever soulever

pousser pousser pousser pousser 

cacher cacher cacher cacher

mettre mettre mettre mettre 

sonder sonder sonder sonder 

porter porter porter porter 

bouster bouster bouster touster

ifgnorer ignorte ignorer ignorer

louer louer louer louer, quelques divinités ou déités a-temporelles et autres Dieux Portées sur Tracé dOnné , genre Trait des Traits , traits Donnés sur ... hautes Roches aucx nénés ! le pied ! la Pause café ! on ose ! on veut monter monter monter au plus haut niveau des données de Roche-. Qui on est ? on est .... la Chose ! ponte ! ponte haute ! oeuf de Rotonde ! Corps d'Hole ! charmeuse -ombre aux données de Morte .... ou quelque cxhose de cet ordre ! qui sait ? On est ... née Haute, sur trait, trait dit "des fées Ancrées". On monte sur Passé. On veut :

toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher à ce Passé dit " Des Passés  des traits". Charger = cerner = faire = contrer = toucher, de fait, à un néné "surnuméraire" on le dirait, de type "sein de traîne" , un donné pour un reçu et autres échange advenu nu. On aime ! On veuy :

toucher rtoucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui se présente à nos yeux étonnés, ou sinon étonnés , quand même surpris , de tant de lait donné le Mur ( de la mort !) passé , car, de fait, il s'agit bien d'une sorte d'entrée (ou de sortie) vers une sorte de ... contrée au Lait ! Lait de vie ! vie ! vie haute ! vie à la seconde ! vie des vies tracées comme ré-injectées à traversc ... la Parole ! Haute chose ! trait des traits = la Parole Haute = les données de Poche = le PApssé tel que re-traversé et remis sur pied en quelque sorte le Muret passé, soit la "mort Haute". Car, il ya, pour de vrai, en roche , uyne Mort dite "basse" , menace, trace, aurocnoisdités des données pariétlales et autres animzlités gravées, et la mort "Haute" des données ou aux données "profondes", de type ... nénés , Nénés nés hors roche, hors Tracé s ddits "animalirers" et autres gravures de roche. Passé né, Néné né au  passé ... comme qui dirait. Re-^looké ! re-néné de près. Re-envoi aux données de traits, genre "revoyure" et autres retrouvailles nacrées (sacrées) . On essaie ici en vrai et de fait de cerner ce qui est qui nouis attendrait ou seraéit colmme qui dirait à nous attendre de"l'aiutre cvôté", les bras croisés ou sinon croisés les bras donnés ou comment, postés ? portés ? alloués ? ouverts aux bébés ? On cherchge c e qui est qui est ou serait$. On est née Bébé la mort donnée ! on re^-naît à travers le l:ait. On est la Fée qui va, sur roche au-delà, devenir 

Bébé des Bras. Bébétrait des Voix . charged'ombre ou quelque chose colmme ça. On monte. On veut :

monter monter toucxher toucher 

toucher toucher creuser creuser 

creuser creuser centrer centrer

centrer centrer poussser poussserr

et enfin cerner, qui sait, le plus grand bnombre de données de Roche, ce qui est sur-fait, ce qui ressembkle à du Néné, ce qui n'en est pas, le vrai de l'ivraie, le fau-pas, le vrai treacé, la Riooche Haute et celle qui n'en est pas, les Paroles Force eyt celles qui resteznt en bas, qui ne "volent pas" , soit : qui ne volent pas haut et ne nous renseignent pas pour ainsi dire tant que ça , ou comme on le voudrait, comme du moins on l'espèrerait, car, en vrai, on veut toucher à cette vcérité , des données dees Ombres. Qu'erst-ce que c'sst que l'Ombre ? qu'est-ce que c'est que l'Ambre ? qu'est)-ce que c'est que cette Roche en Chambrte .... Cercle des Fées ..... tr acé donné .... centre- du -pré qui serait de fait l'endroit idoine où devoir brouter quand on est (comme supposé) bête (soi-même) de treait une fois mort et enterré ! car : `

l'homme (homme) meurt

tombe, hop

tombe hop

l'homme , l'homm-masculinité, ne porte pas loin la mort donnée

va en tombe, tombe, va sous terre tracer cimetière aux données posées ou apposées

La Femme, ELLe, est AILe, vole,, trace, monte, cohorte, cohorte animalière, Bêtes de Sopmme, ne tombe, ne tombe jamais, hamais ne tombe, monte, haute : F2E des prés ! FÉE SURNUMÉRAIRE , FÉE ALLOUÉE À UN TRACÉ, SUR HERBE VERTE , SUR VEZRBE IL SEMBLERAIT OU COMMENT OU QU'EST-CE ? LE TREACÉ AUX FÉES EST UN TRACÉ SURNUMÉARAIRE = RAJOUTÉ AUX TRAITS TELS QUE DÉJÀ TRACÉS PAR, ON DIRAIT, .... DES ELFES ? DES ELFES CENDRÉS ! ELFES DE L'HERBE ET DES CHAMPS LOUÉS ! ON EST FÉE À LA MORT ACTÉE ! herbe des prés à brouter ! on aéime l'herbe, on broute kle pré, on est bêtes-verbe aux données cernéees, comme allouées à une sorte de vie recentrée autour d'une ... donnée verte, donné allouée à une bête d'herbe. en herbe ? on cherche ! qui on est ? on est ...  la Fée qui, au passage tracé, est .........../..................................... monnté e car............................. elle wsait voler (elle est ailée) qui sait tracer et rechercgher à comment faire pour de fait s'élever le plus possible vers ................... la Vérité .... des Données de Terre ! cxher-che-vérité qu'on l'appelle ou l'appellerait ! on aime ! on aime grave se porter ensemble : ailes collées . On entre. On veut :

toucher toucher topucher toucher toucher trouycher toucher à ce qui est qui nous r assemble, nous étreint, nous "condense", nous recentre, nous adjloint, nous colle ensemble ! bébé né sur (petits) pieds de "renaiisasnce". Un trait. Un trait tracé et ça le fait : re-ttrait ! re-tracé ! re-passé ! re- le tracé nacré et le bébé est né qui ... nous ressemblerait à quelque cxhoses près au nivreau des traits . cheveux bouclés. Petit nez busqué. Cou porté. doigts de pieds et autres accents do nnés. On veut re-aller

re-coller

re-tracer

re-adouber

re-colmmater

-re-siphonner kle néné comme empli de lait, de bon lait sucré comme sw'il en pleuvait dans notre gosier ! hum le lait ! lait des traits on est super-

aimantes /aimants en vrai. On veut téter = on veut graver , gravir, grave gravir, grandir. On veut toucher toucher toucxbher toucher toucher toucher à ce qui de fait se présenterait qyuii wserait "la vie" toute ré-injectée ou re-donnée au passage des traits des finalités. 

Toucher = trouver = cerner = retrouver , en vrai, un semblant de vie comme au temps passé ! comme on connaissait avanrt d'y passer ou comment avant ? avant l'envolée, le départ-né, la mort archivée.... Mais voilà ! Roche-nouba, on est à nouveau là, post paroi, quivoulons rte-tracer la voie et .................................................... cerbner cerner cerner la Chose ici-b as comme consacrée, à nouveau sacrée ou comme consacrée par une .... quoi ? Sorte de quoi ? Divinité-lambda ? Déité -Roi ? Reine des Bois ? F2e-Reine aux quatre bras ? pérenne ....... ? On cherche ! on veut aimer, toucher-aimer, tracer, tracer-aimer, coller, coller-aimer et du cfoup aller, cerner, souffler et en v  rai trouver (si possible) vérité allouée à une sorte de "missive" en langue "de suite", qui saurait nous dire .... eh bien ...... la Suite ! ce qui est ! ce qui en vrai serait (sera) à nous attendre dans l'au-delà à soi ................... car, l'au-delà erst "au-delà à soi", à son propre soi qui comprend "son monde", chacun / chacune son (propre) monde tout entortillé des tracés de roche . On monte ! on veut et on voit ça : la Tombe, haute Tombe des Voix, nous .......... on mionte ! on laisse ça (la Tombe) à ce qui "ne v  eut (?) pas" alors que bnous , ................................................................................ENVOL .....................................................ENVOL POST-MORT.......................................................................AILES DÉP:OYÉES HAUTESXS .........../.................................. HORS TOMBE ..................... ON MÙO NTE ............................................................................................................................... ON EST NÉES FÉE COMME À LA RETOMBÉE ............................ SUR PRÉ AUX HERBES = HERBES FOLLES CVOMME ALLOUÉES-)TRACÉES OU DESSIONÉES -GRAVÉES PAR QUELQUE HOMINIDÉS OU FEMMES  DE LAIT AUX TEMPS DES TRACÉS DITS "À MAIN LEVÉE" ........................ COHORTES ............. BÊTES DE SOMME ..................... AÉUIROCHS ET BÊTYES DE PORTE ......................... ANTIL:IOPES, BOUQUETINS, BISONS , BUFFLES ET DAIMS ....../.............. DE ROCHE HAUTE ...................................... POULAINS ........................................................... OURS D'ÉPOQUE HAUTE ET OURSES RONDESC................................................... DOUX BISONS, DOUCES BISONNES .................................... OMBRES ............................................................ Oon monte,; on est hautes, on est femmes des portes, on est fée-femmes des données de roche, on veut toucher toucher toucher aux données post-porte telles que rencontrées le mur (du fonds) passé ! treaits ! terait des traits ! on est fée-femme dans la mort actée ça le fait. On est passée car on voulait en tant que femme ailée aller, aller jusqu'au néné, néné né le mur du fonds passé , côté Trait, Trait des traits ! Parole ! ombre = parole = langue d'attrait = ombre ! On est Hautes Formes, Fée )-des fées, Femme allouée à une roche, Femme Forte, Colle ! Colle accorte ! On  eut toucxher à ce "néné du bout du monde". On ne veut pas passer à côté sans véritable:ent pouvoiurt pour ainsi dire le toucher afin de téter son lait "enjoué". On veut grave téter de ce lait de Roche ! lait de Fée ? lait des ombres portées ? lait-Parole ? parole de lait ? lait-Ombre ? lait de fée aux traits ? Trait de Lait sacré ou Nacré du pAssé donné (re-donné) ? On est La Fée Dite "aux données ancrées" , qui veut :

touchertoucher toucher

donner donner donner

verbaliser verbaliser ver aliser

les données de Roche (ici)) afin de (pôur le coup) ne pas les oublier, les archiver, kles tenir de près, les piouvoir creuser comme à vo:;onté si jhamais ! tracer = tracer = teacer = teacer = tacer = tracer = tracer = tracer , les données de roche , sur .......... néné ? hé ! qui sait ? qui connai^t de fait (en vrai) les données avcérées ? L('ombre ? l'ombre alloué à une sorte de contrée "porofonde" .... post-porte ? on monte. Montons  haute. Allons. Creusons donc la Roche Haute, passons, passons qui un nerz, qui un doigt (dioigt de fée) qui un pied, qui son aile gauche. Et voyons. Visionnons. regardons la Bosse. Sein docte. Sein des wseins. Poche. Poche d'ombres . Poche Haute. Sein de poche. Colle ? coolle dx'ombres ? colle d'homme ? chose comme ici collée ... par les pieds ? qu'est-ce qui est qi'on poiurrait toucher et peut-être mieux cerner et du coup rapporter afin d'en consig ner les grandes lig nes, telles que (devant nous) se dessinant au fur et à mesure de nos avancées en pareille contré dite "du bout dui monde". On est née fée la mort donnée. Nous voici modifiée", devenue Bébé, re-Bébé des traits , teraits de lait. On est nue ............ cul-nu ................. crue ......................  nue et crue ..................................... le Bébé des Bébés comme à la retombée cul -nu .... de l'autre Côté de la Rue, ou comment ou qu'est-ce ? nu sur le cul ? revu ? re-née nue ? nu et vue ? On est passée , on a osé, on a regardé, on a voulu a;lller en ces contrées chercher de chez chercher la moindre parcelkles comme qui dirait de vraie vérité, afin de oui ...................... coler ! coller grave à ça : sein des seins lactés ! le lait ! ah, le l ait ! oh le lait, laiot post-pré ! on veut téyter ! On veut grave s'en pourlécher et ne pas traîner, téter, téter Néné ! on adorerait .... on dirait de fait qu'on adoreraiot , en vrai, re-piouvoir téter au néné pôst-pré , ou "Néné du Passé" il semblerait. On veut :

dire dire dire

cerner cerner cerner

coller coller coller, son petit nez, au néné , et téter ! grave téter, aller, cerner, chercher, coller oui son nez, pour téter Néné sans se tracasser ! boire du lzait ! lAit donné ! lait alloué à une sorte de Mère Donnée, Commme l'herbe ! Comme un Pré, Comme Herbe Verte, Verbe ! verbe  vrai,

ON VEUT TOUCHER À CE NÉNÉ DES DIONNÉES DU VERBE

ON VEUT COMME QUI DIRAIT TOUCHER

À CES DONNÉES DU VERBVE-HERBE

HERBE DES PRÉS SERAIT DU VERBE NÉ

VERBE CD'HERBE NÉ SUR PRÉ À LA RETOMBÉE

LE VERBE EST DONNÉE, DONNÉE DES DONNÉES, VERBE-DON DE LAIT

VERBE-COLÈRE = LAIT DU PRÉ OU MÊME POST-PRÉ 

On veut toucgher à ce qui se prsénterait en termes de néné-colère : sein daté ? sein alloué à une sorte de ... Femme Mortelle ? sein chargé de données lactées ? Sein surnuméraire comme saturé , saturé de lait ? Lait de bière ?. sein porté ? chant des Femmes agraires ? le Passé remonté remonte ses traits de haute colère (ou remonterait) ? On ne sait ! on cherche, on creuse, on va, on trace. On en a vance "enxemble" dans les connaissancesc. Java,; Sumatra, la Transe, la Paroi des Voix, le Passé de France, une voix est une voix, la Chance, Parade des traces et autres bêrtes-mots du ventrte. On va , on creuse, on porte, on colle. On cherche voie d'abord, porte et haute Tour d'époque. On creuse haut la Roche des Portes. On monte. On veut :

faire faire faire faire = donnner donner donnerdonner = dire dire dire dire = sonder sonder sonder sonder = charger kles données, les données de  base, sur mulet, et du coup marcher, poussser, creuser sur Terre des Fées (le pré) notre petite aventurette aux allures de retraite vers .... le Passé ? qui sait ? ça se peut ou pourrait ! on est Femmelette / omelette cendrée, née Fée à la retombée, on cherche l'(entrée vers une sorte de ... sortie complète, porte Des fées, trait des traits par où de fait pouvoir passzr vers .... le Passé dit "des amulettes, et autres grigris" ... oh cvomme on aime ! on aime la vie ! roche imberbe ! vie des vies comme à l'ancienne : le Verbe ! aigri ? non pas ! npuvellement remis ! remis sur pierres ! On aime ! on cherche. On erst nues du cul mais peu importe la tenue (oula non-tenue) du moment qu'on s'aime ... qu'on s'aime soi-même, qu'on est nue pour .... être ! être Bête, Bëte-mot de ROche ainsi accolée à une sorte de Donnée Profonde .... ??? hé, on va y arriver ! ON guette ! on veut trouver = on veut cerner = on veut s'avancer = on veut charger = on veut toucher toucbgher toucher toucher, à) ce dit  "néné  de France" (du français, en vrai : la langue) et tracer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! tracer de chez rtracer , en avancer, comprendre-toucxher à ce néné , comptendre ce néné et de fait le toucher comme par contrebande, en ces contrées (ici) post-parade, post-nouba des transes, post-sarabandes, post bzatailles navales. On veut ça ! Creuser de chez creuser la bande, la paroi de FRance, France en branle, le Passé de soi, la belle Romùance d'autrefois ? on entre ! on veut toucher à ce qui se présente, en termes de voies, voies sages, voies de grâce, vois-parades et falbala, voies d'en face, voiues de passe et passage vers un au-delà de surface, voies des voies et voies-tralala. On veut comprendre ce qu'on voit en ce convoi de bêtes de masse et autres mots de rage "caca". tracer = dire = venir. On est née .... fée ! fée du pré. On est re-née ... Bébé ! Bébé post-pré = achevée ! le tracé, la ronde, le passé de porte, l'ombre portée sur une Chose des données profondes. Qui on est ? qu'est-ce qu'on porte ? que voit-on post-porte ? que savons-nous de cette porte haute ? qui est né ou re-né (de nous) la porte haute une fois passée , ou qui re-naît de bnous ? que voit-on au plus lointain d'une sorte d'époque haute .... bnéandertalienne ? sumérienne ? africaine ? celte ? d'herbe verte ? VErbe du VErbe ? Verbe ancré sur pieds et autres piquets ? On cherche .... On creuse ...... on monte ....... on  veut entrer ensemble ........ voler .......... dire et porter ici oulà la paro:e haute ........ sur paroi et au-delà ............... hautes voix des voix seraietnt ... celle qu'on transporte (incidemment) avec soi, comme une sorte de ........... cohorte ! beêtes hautes ! bêtes fortes ! auroques ! aurochs/auroques et autres biçsones de l'au-delà, l'au-delà de soi .... hautes roches et par(ois de choix , grootes des portes, sondes, sons de roche ..... chants doctes ! On monte. ON ose. On veut aimer. On a envie en vrai de creuser de chez creuser cette espèce de "P al ais de ROche" ici donné. Qu''st-ce que c'est que ce palais ? une poche ? une sorte de .... poche à lait ?. sein do,nné par la Pärole ? On veut rêver ! On veut toucher toucher toucher rtoucher troucher trouycxher toucher toucher touxher roucher toucher toucxher toucher à ce Néné empmpli de lait comme à l'époque où on était bébé, sur pieds, dans notre lit douillet, à juste avoir (comme qui diurait) à "rêver" à ce qui est , en termes de données de porte, porte ouverte sur Satiété et autres données fortes. On veut coller à ce qui erst en tyermes de données lactées : le lait , mais aussi ///...... le Verbe ? l'herbe ? le tracé du pré ? la chansonnettre des do nnées prairiales et autres saturnales ? le Pasddsé ? on veut pouvoir de fait cerner un plus grand nombre de ddonnées et ce sans traîner, sans se lamenter, sans s'offusquer à tousq moments, et râler sans cesse comme quoi en vrai on seraiot comme abandonnées ou laissées de côté, alors même qu'on est .... pour ainsi dire ...... dans la mort sauvées ! c'erst dire ! vive l'Hydre  ! on est .... ici en vie vite ! on est vite en vie ici car fée ! transformée en fée on ne cesse de vivre et vivre vite jusqu'aux .... néné nés de l'après le pré ! On veut :

creuser de chez crteuser

dire de chez dire

aller de chez aller

poussser de chez poussser

cerner de chez cerner

pister de chez pister

contrter de chez contrer

csoulever decherz soulever ... le voile de l'obscurité il wemblerait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on pourrait le penser !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vas-y cerner !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! chezrche à dépâssrr les données données ou qui semblaertaient avoir été données , un jour passé, comme à la retombée................................................. qui le sait ? ........................................ qui cerne en v  rai ;es données profondes ? qui comprend la Chose : Rotonde, Ronde, Ronde-Bosse, POrte, Porte Haute. Qui ? l'Ombre ? mais ................... qui c'est ? .................................. qui est l'Ombre ???? qui en vrai est ou serait cette "Ombre" dont la mort serait tributaoire ou comment dire , née d'elle ? On cherche ! on veut :

toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher = téter téter gtéter gtéter téter gtéter téter 

aux Nénbés post-herbe .......................... verbe ? Verbe de lait ? on cherche ! on veut en vrai cerner ensemble les données de base, comprendre ense:mble les Données données et autres traits de vérité. 

On est entrées, on est des fées, on se promène traquet-traquett en ces contrées, dites "contréés d'herbe" , on avance entre les bêtes, bêtes de bon poifds de rafge, bêtes-poids pour la parade sur paroi de choix, on est "ensembkle " : deux ailes, deux ailes pour faire ( de fait) fée , et ça le fait assez pour pouvoir .... s'envoler de base, voler de chez voler = monter = aller au plus haut possible vers .... eh bé ce dit néné "des contreb andes" ,THE néné post-pré , kla cxhance ! on est cocufiée ! on entre ! on entre en transe en ce dernier quartier qui est l'endroit pour ainsi dire des données finales et aiutres "traits de satiété" ..... la chance ! cocufiée comme jamais méis qu'est-ce qu'on s'en branle on renâit dsan l'antre ! on est allaitée ! on boit le lait du ventre , le Passé ! le Néné né à unPassé de "Franche Camargue" ! ailée ! riz ailée et autres mets de France , le français nacré, langue de FRance re-donnée, langue d'ambre, lait des laits : passages forcés on est passée et on recommence : le néné, la frange, l'allouée des transes, un passé recommencé sur pré teracé colmme à l'entre-soi des données données

comme à lkla reztombée ... en enfance ! On veut :

toucherr toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher touchjer toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce quui se oprésente à nouds lke mur du fonds passé . Soit : le Néné ! kle lait né, lait des laits enfin "tiré" , ou "trait" cfomme qui dirait en parlant des bêtrs et autres animaux de ferme. On veut : etre, porter, faire, sonder, creuser, finaliser, comprendre et cerner , au plus près, les données de l'herbve, du pré vert, du Verbe donné (dicté) un jour passé, de l'ombrte portée et autres trait des tréits ainbsi rapportés. On veut creuser cette sortte dee ..... chose "drôle" .... un tracé sur pieds ? une p arole ... personnifiée ? qu'est)ce que ça serait ? on veut en vrai , reytrouver ..... quelque chose .... du opassé acté ? une sorte de ..... parole haute ? qu'rst)-ce que c'est ? qu'est)-ce que c'est que la P arole Haute ? parole ...  de laiot ? lait "docte" ? lait des laits doctes ? qui sait ? qui comprend les choses, d'une sorte de cxontrée lactée comme intitulée, il sembklerait, ou on se trompee ? IOn eqst née fée la mort donnée. BNous voici rezfaite" comme qui dirait .... en forme (nouvelle) de ... bébé né, né post pré, tout chou tout mig no net avec ses traits tout fins de bébé allaité, coucouné en son lit (coufin) douillet ! on est ..............................................................................................................................NÉ BÉBÉ , NÉE BÉBÉ À JAMAIS ! BÉBÉ À JAMAIS ! À JAMAIS BÉBÉ ! LE BÉBÉ ! RE-NÉ ! ON EST LE RE-BÉBÉ ! BÉBÉ-RE AREU ! BÉBÉ DES BÉBÉS QUI DIT RE, RE-NÉ, AREU-NÉ ! NÉ AREU ! BÉBÉ SUR PIEDS RE- ........................... comme un fait exprès. On veut :

dire dire dire

aller aller aller

conduire conduire conduifre

faire faire fairte 

cerner cerner cerner

chercher chercher chercher 

allouer à une sorte de contrée finale, une (qui sait ?) vérité fatale .... et pousssrr ! pousssr  vite, pussrr fort et haut, le "Vivre" ... aux accents de mort ou comment dire ? post-mort ? On veut re = re-vivre = re-venir (ivre ?) vivre .... les données de ROche ! Porte Haute ! Chapiteau ! creusezr ruisseau, ru de roche sur pré aux mots. On veut : dire-allouer, c  erner-coller, faire-charger, cerner-scinder, creuser lke Passé comme une denrée à pleines bouchées  ! mordre ! allouer à un met une sorte de note, et passer ! poussser ! alerr sur pieds vers ce ............. néné nouvellement donné (re-donné) comme une sorte de denrée haute ou d'époque haute = du Passé , Du passé dit des temps "allouées" à une sorte, ici, d'ère première, primaire, ancienne , regtroiouvée. On aime. Le lait frai. La Scène. Le Passé de traîne. Le passé allé. L'ombfre souterraine. On v  eut de fait creuserv de chez creuser en ce passé "des petites mis-ères et autres petits faits vrais", gernre b analités, faits d'herbe, pré des prés, bêtes-verbe surchamp alloué à une sorte de Passé ... des Convenances et autres habitudesz de Franc'e. On veut grave cerner ce genre de données passées . données denses. Traits tracés à même la paroi des franges et autres formes amples. On entre. On veut : toucher de chez toucher lers données de base, de type denrées, offrandes, vivres déposée, fruits donnés, dons frais. On veut ............................................................................... creuser creuser creuser ..../................................. le passé ou vers le passé ...................... voie de fait ................ trajet ................................................ dsorte de sentier ou de tr acé par où en vrai on pourraiot passer (ensemble) sans se retournerv ............................................ ailes déployées .............. en reconnzaissancec...................... pour cvomprendre ...... voir .............. mater ................  cerner X données qui pourraient nous aider à grave nous repérer ............ en ces derniers"" quartierrs , de type "cvontrées allouées", à une sorte de) "cimetière du VErbe" ......... mais est)-ce ? ................. est-ce en vrai ici (pré) une sorte de , "cimetière  du Verbe" ?? ................................................... merde ! ................... non ! ................................ le Verbe on le voit fait ça : la navette ..... de là à là ! ddu pré à là-bas et de là-bas à là, l'avant-scène ! merde ! on voit ! on eswt là ! on mate paroi et plus que paroi, dedans l'antre = le ventre ! le foie ! les entraillles de (pour ainsi dire) l'au-delà de soi, la Chance ! l'audace ! le cran ! l'envie pressante ! le vent ...... vent de face ! ........... on entre ............... on entre ............... on entre .............. on entre ............... oin entre ............... on entre ............. on entre ............ on entre ................. on entre ............ on entre ................... on entyre ............. on entre .?........... on entre ............. on entre ............. on entre ..?.......... on entre ................. on entre ............. on entre ............... on entre ............. on entere en teranse ! on envoie ! on en voit des masses ! on voit ça : la Rage, Rage de l'au-delà, la base , le tracé des Rois, l'embase et autreswsxtraits des traits post-paroi ............. genre .........................fleurs d'acanthe ?????????? fleurs des voix ?????????????? feuilles amables ??????????????.?? croix ??????????????????? croix slaves ..??????????????????????? CHarmes ?????? ????????? ?? ?? ? On envoie ............................................on entre ............. on entre .............. on entre .............. on entrev................ on entre ............. on, entre ............... on entyre ........... on e yre ?................on entre ................ on enttre ..........   on entre ........... on e gnttre gra ve .................... on entre grave de chrz grave ensemble = ailée ! car, nous sommes (je suis) ailée ............. à jamais ! .............. à jamais ailmée ! vive et tracée en forme de fée .........../...................... fée née la mort donnée ......................................................... fée des fées .................. puis quoi ? après la fée vient la toundra, le passé des voix, le passé loacté et ses seins de pôids .................LAIT ...................................... LAIT ALLOUÉ ................... LMAIT LOUÉ .................................... LAIT ADOUBÉ .................. LÉIT POST-PRÉ......................................... LE LAIT EST U E SORTE DE DENRÉE DE CHOIX, POUVANT SANS CVONTESTE NOIURRIR COMME IL SE DOIT N'I:MPORTE QUEL ÊTRE TERRESTRE QUI, DE FAIT, VIE NDRAIT À CHERCHER, ICI OU LÀ, DE QUOI S'ALIMENTER SANS PLUS TRAÎNER NI LAMBINER ................................. BÉBÉ DES BÉBÉS À JAMAIS RE-NÉ ! ON VEUT RÊVER , ON VEUT ... OU ON PEUT ... RÊVER...................... creuser = donner = dire = faire = comprendre = cxgharger = donner = cerner = porter =fonder = voler = chertcher ou rechercher un certain nombre de données, avérées ou comme avérées, qui pourraientr de fait nous donner grave de quoi penser, méditer, comprendre, chercher entrées ou sorties de base, le Passé sezrait l'entrée (ou : entrée de contrebande) vers ......................./................................................................................................................................................. un ............................. une ................................... soorte de .......................................... re ................./..................... re quelque chosecx qui sait ? ......../................... renaiossance grave ........................ grave renaissance ............................... fait vrai .................... vrai fait .................. un ou une ...................................... fait vrai ou vérité des faits .............................. trajet diurne ...................... sentyier dit "des fées" verts une aventure ............... aux allures de ........................re .................... re-visite .............................. = re-tracé .................................................. re -visite allouée à une sorte depassé re)-né ................................re-la chose "bornée"..............................qui le sait ? sait-on jamais ! qui ? ................................... vivre = dire = charger = comprendre = composer = faire = soulager = complaire = poerter = noter = fondser = sonder = mener = dire-faire ce qui est en ces contrées post-muret de type ...................NÉNÉ NÉ LA MORT DÉPASSÉE.......... car, la mort, en  vrai, bn''st pas "à jaùmais", elle est vite traversée , en fée, vers du Néné-né empli de lait comme s'il en pleuvait ! pluie ici de lait frais ! dinguerie ! ça le fait en vrai comme à dire vrai jamais ç'a l'a fait ! dingue nacré ! dingue sacré ! dingue lait des laits ! on aime à jamais ! On veut (grave) sans plus s' arrêter (jamais) : téter ! on veut téter (grave) le lait, sans s'arrêyter jamais ! on veut grave s'alimùenter ..............de bon lait de trait ! trait des traots sur passé de frai ! .... à jamais ! ................ pour ainsi dire : pour la vie  !vie vive (sur pieds) re-née ! ......................................................... on veut creuser ....... donner ......... allouer ........ bercer ............ pouyssser ................. pousssrrde chez poussserr et du coup tracer ! filer ! à toutes enjambées ......... vers une vie nouvellement re-née commeun fait exp^rès, du fait ......... du néné ! qui est rempli de lait à piouvoir téter ... si on sait ! or , téter est inné ! on le sait ! tout bébé s ait téter ! y a -t-il des bébés qui en vrai ne sabcvent pas téter ? oh treès certainement ! mais généralement .... tout bébé né surt pied sait, sait téter de chez téter, prend le sein à grande bouchée,  sait avaler et ingurgiter et roter ! .................................................................................../..................................... l$e lait ................................ lait de mère ................. lait de mère-mort .........?......................... ombrte ...................................ombre de la mort .................pôrte ................ cohorte ................. sorte de "cohorte de porte" .................................................................. big-bison de roche ......./..................... dessibnons ! .... gravons ! .......................................................................... ombres aàfoison ...................... on =monte ................................... on veut topucher topucher tpucher tpycher youcher à ceyte zorte de dopnnée de roche = porte ! porte d'entrée (de sortie) de poche ... ou comme qui dirait de pôche , car, voilà, on est là : entrée .......................... pôrtée ........................................ soulevée ................................................ on ne veut p^lus s'arrêter :ais au contraiore pezrsister dans notre avancée à grandes enjambées et du coup ....... crteuser de chez creuser les données ... "chelous" ?.... qui sait ? Qui sait ces données ce qu'elles seraient pour nous le mur (du fonds) passé ! on trace .............................. on avance ! ............................... on charge .......................................................................... on est née Bébé au-delà du pré. On veut toucher à ce quii esten forme de Néné et du coup téter. On aime lae lait car on est (de fait) ...... des  ébés ........................ aimantgrave téter ........................ prendre le sein donné ......................... s'y accrocher ...../........................... attraopper ............................. avaler................................. déglutir pour de vrai .................... aspirrer .............................................mort-mère donnée ............ = vie retrouvée comme qui dirait ........... que ça se pourrai!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh à jhamais !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! qui sait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! le Passé donné !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! v  rai passé donné et à jamais ilm wemblaezrait ..... = d'éternité ........ pour de vrtai ! ..................éternelle donnée a-genrée , on dirait ............................ bébé des bébés ... remis sur pieds la mort passée ....................... re re re rere re rere -né à la vie donnée .......... vie vive des a:lacrités mais vie vive do nnée pour ainsi dbire "tout de même", de fait ......................................... on veut :

toucher toucher toucher toucher topuycher aux dits "Nénés" des données intenses. Traverser = p   âsser, cvomme en contrebande, le muret ou mur du fond du pré, versle Passé donné , qyui est Vie re--donnée à une sorte de Bébbé dit "des alacrités" ...... que dire ? on s'y fait ! on entre .... on passe ..... on envoie ......... on veut comprendre = toucher = cxerner = passer = poussserr = faire et sonder un certain  nombre de données données, données sur pieds au delà des traits. On veut :

toucxher toucher topucher topucher toucher toucher toucher à c  e quiest au delà des treaits, treaits du muret. Et du coup .............................................................................................. téter ...................................... téter =téter, pôur de vrai, le lait de mère = VErbe ! verbe nacré ! arme des fées ! vérités des vérités et autres mots de la colère ancrée , du fait que voilà ........ l'herbe .......... l'herbe du pré ............ est comme "brûl"ée" ,, qui sait ? pâr quel soleil ancré  ? par quelle sortrte de "lumière des lumières" ainsi portée ou déposée sur ml'herbe (verte) des données en herbe .... ? On cherche ! on veiut aimer, toucher et creuser, et f&ire ainsi que la colère (en soi) jamais ne retombe m  ais tout au contraire monte, monte haute, explose, pète grave à la face du MOnstre , envoie, le fasse, parade, nous fasse ainsi un peu encore perdurer sur place ..... aller et venir .... voler ou voleter ........ tracer ......... comprendre ou chercher à comprendre en vrai ce qui est qui peut^$etre nous "ressemble" ou nous "ressemblezraigt" en termes de traits alloués, traits de ressemblance, traits marqués, traits des traits, sur un visage re-formé, re-tracé, re-armé .............. sur place ............ post-pré ............... ressemblances au c arré qui sait ? ......................on entre ................ on entre ................ on entre ............... on entre ............... on entre ........... on en tre .............. on entere ................ on entre ............... on entre .................. on entre ...../............ on entre.............. on entre ............. on entre ................. on entee ............. on entede ........... on enbtre ............. on entre ............... on entree ............... on entre ............... on entre ............... obn entree da ns l'antre aux données de base ............... le pAssé nacré ........... l'antre alloué à une sorte de Passé Tracé, de type "renaissance" à une vie ancrée ........... par chance ! 

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7/2/2025

on regarde. On essaie de cerner-toucher. on a envie grave de se retrouver en vrai comme en quarante à téter du lait ! on aime le lait, grave ! on veut téter ! on adore le lait, et de fait, on aimerait ensembvle (on est ailée) aller, pzasser, tracer, ensemble en vrai nous retrouver de l'autre côté à téter du lait soit du bon lait de france = du français ! la cghance ! levPassé ! le passé en transe ! ce que c'est que ce passé des convenances ! eh bien ... une sorte de ... voyons ... charade ? le Passé est le Passé tel qu'imaginé ... depuis la Base (ici) des données pariétales, on pourrait le pensezr. On veut : aller = donner, à ce dit "Pässé" , les données de france , soit  : du français ! accolades ? minorités ? Verbe fade ? à jamais ! crroyances ? il semblerait ! on veut comprtendre = comprendre-toucher, à cette Chose en face" ... = le Tracé de l'Ambre ! croisades ! traits des traits ! on a envie ensemble ailées de nous retrouver comme qui dirait de l'autre côté à chercgher de rage ce qui est, dans le français, à ce sujet ! la transe ! parades ! parades animales ! aurochnodoïtées de rage ! le ptracé = le Passé ! traits sur Néné = du lait ! on ezntre ! on veut toucher à ce néné dit "du franççais" en tantt que langue comme acidulée il semblerait ! 

on a envie ensemble (fée) d'aller toucher, d'aller comme à "toucher-cerner" ici même la Panse , le Néné collé, le lait des traces sur Passé en vrai comme accolés, les données données et autres traits dits "des convenances". On veut toucher de chez toucher à ce qui se présente en fait de Néné ... Traits portés ! chants des fées, croyances dites "abdominales" ! le Passé collé ou accolé à une panse ! le pied ! la chance ! on veut toucher toucxher toucxher toucher topucher à ce Néné des "Promenades" en ce Passé*. .... croyances comme acidulées on ntrace ! on mate ! on veut grave mater et deu coup comptrendre = espérer ! toucher toucher toucher à ce dit "passé des entrées en fanfare" en cette chose d'une sorte d'antre, panse abdominale c'est vrai, une sorte peut-être (qui sait ?) d'outre allouée à un Passé des Faits et autres effets du temps consacré . On veut :

toucher de chez toucher 

aller de chez aaller

faire de  chrz faire

coller de chez coller

permettre de chez prrmettre

cerner de chez cerner , et du coup ne plus nous en retourner mais tout au contraire aller, filer, gagner plus loin les dunes altières, le sommet du nez, la roche laitière, ce Passé alloué à comme il semblerait un Néné de première  ... qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est que ce néné ? la tête ? leepaSséé tel que rêvé ? une sorte de mise en bière ? un nez ? vraiment un nez ? un  nez, qu'est)-ce que çàa vient faire ? nez dezs nez ? nez de tête ? nez alloué à une sorte d'entité de tête ? un tracé comme dessiné ...  à main levé ? du verbe ? verbe-nez  ... est-ce que ça se pourrait ? on cherche, on veut trouver = toucher . Ce qu'on veut (pour nous) c'est trouver = toucher = comprendre = VOIR ! voir de près ce Néné des termes ou dit des termes"/.. Ce que c'est en vrai on aimerait connaîitre . Approcher. cerner, au plus d'intimité ! et du coup aimer, qui sait ? toucher-aimer à ce Néné empli de lait qu'on voudrait tétéer = cerner = comprendre et pasvà miooiitéé ! jusqu'au terme= le Verbe ! finalité = verbe-né comme s'il en pleuvait ! de quoi ? eh bé du Verbe ! pisse-bière ! trait des traits ! chants celltesc et autres chansonnetttes yéyé ! on aime ! graveb on aime ! on veut eh bé oui toucher à cette sorte de tracé de tête ! le néné ! le néné ! le néné ! le néné né ! comme on l'aime ! acidulé ou pas on l'aime ! on aime téter à cette "tête à lait" telle que rencontrée le muret passé (dépassé) et du coup traversé ! On aime téter à cette sorte en soi, de trouble-miszère ou trouble-fête ou quoi ? trouble-tout ? on voit ça : le trait (trait de lait) , la roche, la paroi de roche et son ajout de jhoie ... le Roi ! la Tombe ! la Joie -Roi, le Passé en trombe, le donné en tas , la colle, colle-voix, le col ! On voit tout ça de là et on se dit ensemble que voilà, on est comme données à un e sqorte en soi, de .... Carmagnole ! danse folle ! trait porté ! charge haute = le Passé, le passé comme retrouvé , la colle d''hôte, l'ombre rapportée, le port et l'ombre, l'homme mort-né iune fois décédé , quand la fée s'envole "à ses côtés" il semblerait, vole folle et va comme à se poster sur ... pÂrole HAute : = N2N2 ! trait né ! chant des fées ! colle haute sur Padssé comme acidulé yéyé, ou sinon yéyé enjoué et le tour est joué ! on veut :

coller = compter = dire = faire = aller = donner = porter à ce néné ... la bonne parole des fées , soit du tracé ! qui on est ? Homme-Hole ? ou alors : colle ? mets ? denrées ? offrandes accortes ? chiée ? comme : déplacée sur porte ? On veut ensembkle en vrai toucher à ce néné à lait et de fait le téter à jamais si on pouvait . On voudrait en vrai téter ce néné jusqu'au terme des hautesparoles ou comment on pouurrrait en vrai nous exprimer ? on veut :

dire = faire

ce qui est qui est le mueret passé (dépassé, traversé-) ,

à savoioirr : la Bête ! le passé est le passé mais la bête est la bête ! qui nhous attendrait, qui nhous materait, qui serait "imberbe" et "indemne" de données tracées, de traits ajoutés, de passé donné et autres qualités. On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce néné "post)-cimetière" des données allouées à une sorte dee Passé poàst-herbes, post-pré, dit "Passé des Passés " car "Passé retrouvé" la mort entérinée (laissée loin derrière, dans le pré, l'herbe, le fossé, la crête) . On veut :

toucher toucher toucher toucher à ce dit passé post-cimetière ou post-herbe . Qu'est-ce que c'est que ce passé "en herbe"  ... du passé retrouvé, coome "emblême" ? un tracé de fée ? le passé de REine ? le passé tracé sur paroi héautaine ? Chair ? ... allées des oliviers vers la Terre Allouée à une Sommité certai ne ? une sorte d '"alacrité soudaine" ? trait acidulé ? chant des siorènes ? traînes sur pied ? ... pollen ? on veut cerner = toucher,; mais pour cela il faut (il est, ou serait, nécessaire de) pour le coup , tracer de chez tracer ... sans débander ni désemparer ! toucher toucher à ce qui est qui se présente sous notre nez ... de fée ambulante ! le trait = trait de lait ! pisse-maigre ! chant des herbes ? cham de blé ? chant celestes  celtes ? Chants nacrés et autres sornettes ? on colle ! on colle au poste , l'oreille ! traits des fées sur ronde accorte ! on mionte. On veut monter monter monter monter monter encore et encore le niveauu sonore ... du Passé nacré, passé des passés et autres passés d'hôte ! On monte ! On veut toucgher à ce néné des dionnées hautes et ...  treaversezr , tracer, aller, courir, vivre "la mort haute " ? ou comment dire cette chose d'une sorte d'après-mort qui (de fait) nous "regarderait" au sens où celle-ci peut-être nous concernerait, serait en vrai une question pour nous profondee à explorer  ! comment toucher ? comment cer ner ? comment voir ? comment comprendre ? comment nous approcher ensemble ? qui accoster ? à qui demander ? à quoi nous fier ou nous intéresser ? On veut toucher de chez toucher à ce Néné "de contreba,nde" , passées (nous) ici mais quand, en cet antre , 

enn ce Passage déplissé, chance, trait outré, ventre ! On veut 

toucher-cerner, dire-allouer, passer-donner, coller-fendre, les données de l'antre , et ces données en  vrai les comprendre sans frais ! en juste tétant néné, si on pouvait ! ça serait bath ! ça nous irait ! ça nbous (grave) irait au centime près ! chance donnée ! charge allouée ! vent des sables ! un passé est un passé ! la france au français ?? que dalle ! le tracé ! la charge ! l'encollé des traces, on veut toucher ! toucher-cerner de fait cette langue et merde à la France ! coller = donner = dire = faire = charger = composer ensembkle (ailée) cette Romance , d'une charge a nti-)france, allouée à une sorte de passage outré . Comprendre = toucher = dire = aller. Et ainsi de bsuite vers .... N2Né ! Néné né post pré ! "vamos" ensembkle ! creusons ! allons ! chargeons ! la france maussade : au pilon ! on veut : toucher grave , aller ensemblke, voleter, cueillir et récolter ici ou là(post pré) de quoi ensemble pouvoir nous, pour le coup, alimenter grave ! manger  = téter = ingurgiter, un certain n ombre cde données de rage, rage-née de par l'ambiance ! trait porté ! charge allouée à une lzangue : transposée, déposée, intégrée comme par "la bande sale". On veut :

dire dire dire

vaincre vaincre vaincre ... la timidité, d'avoir à dire ! de nous avancer, de nous préseneter, de parler comme qui dirait "publiques", chercher, toucher, porter, séduire ? .... séduire ?  oN veut en vrai aller de chez aller de dires en dires jusqu"'au Passé qui est Néné on le sait ! et là : vivre ! vivre sans céder , akller, conduire (pour ainsi dçire) notre vie "altruiste" , sainte vérité, chants portés, vivres = mets = denrées = ... lait nacré et acidulé ! teter téter téter téter à ce lait des Rives ! aimer ! aimer vivre , vivre de chrz vivre, en ce coin en friche dit "du lait" et autres mets lactés. On veut :

toucher troucher toucher troucher toucher toucher à N2né né , boire son lait, nbous en mettre plein le vgosier, s'en pourlécher , de fait, les babines comme un chatonnet , aller de chez aller ainsi rassasié pour nous reposer, dans ce coin en friche des données données, par ... le Passé près, le Passé tout près, Le Pasdsé des Passés ... qui est ... eh bien ... la Vie vive, redonnée à une sorte de ... bébé d'en rire ! né "Trait" ...  trait des dires outrés genre sala cité et autres traits tracés pour faire rigoler. Faée ! fée on est ! fée des fées on est ! on a le droit de dire-rire, d'y aller dans le rire et les dires outrées ! se montrer comiques ! faire "Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii" (ou dire) ! y aller ! creuser de chez creuser la voie du Rire outré post-muret ! Car, le Rire, le Gros Rire, est "donnée ivre" allouée à une sorte de Passé à vivre, la mort dépassée.toucher = t oucher. Féire = faire. Chargher = charger.  Cerner = cerner. Porter = porter. vendre = vendre. Monter = monter. Allouer à une offrrande un trait = dire ce qui est en matière de ... LAit Ancré, donné,disposé. On veut creuser. On veut toucher. On veut faire-aimer. On veut dire le Trait, montrer, monter haéut le Niveau des mots , et y aller de notre couplet concernant ce Haut, ces Hauteurs de mots, hauts mots cde Rage Perlée ! chant(s d'oiseau, de moineau, corbeau, mot de trop ! on veut :

dire -allouer, pisser-chier, cerner-donner, accoler, à une sorte de trait, les données du Verbe nacré .... le Rire ? le Passé d'en rire ? l'hydre ivre ? le ... Vivre, sur Passé Ivre ? touché ! touché-coulé comme qui dirait ! ivre des données avides ! Vivre = aller = connaître = porter = vaincre = charger  = donner. On est née Fée la mort passé , ou comment dire cetrte chose, d'une sorte (haute) de donnée d u rire ? Vivre = .............. rire ? rire du rire ? on est Fée, on est née, on est accolée, on est comme aimantée, on se tient par le néné ou je te sais ! on eswt ailes allouées à ... du verbe de terre ? on cherche ! fée des fées du cimetière on trace , on traverse, on passe , et nous voilà "re-transformées" , comme changées du tout au tout . De fée, nous voici changée een une sorte de Bébé post-pré , sachant (c'est inné!) téter néné sans traîner ! téter de chez téter et les vacghes seront bien gardées (les vaches sacrées) ça le fait ! ion veut :

dir-allouer à un dire nacré ... eh bé ça : le Rire ! = ce qui est, la mortancrée ou une fois ancrée = entérinée, ou deépassée (acquise) . On est la fée des données grises et autres données de frise ! genre : biches , boeufs de porte, buffles hautes, chevaleuses accortes,  bêtes -roche et autres traits donnés sur paroi (haute) décorée. On veut : dire dire, faire faire, et courir ! à toute blinde = vite !  sur .... passé ! sur passé des dires ! comment dire ? on est :

née

fée

en  vrai 

sur pied 

envolée de chez envolée

on est fée née comme envolée la mort ancrée ! hé ! 

soyons ivre ! touchons l'hydre ! filons et creusons ! portons haut "le mot de trop" sur roche accorte ! = gravons , dessinons, traçons la Chose ! ne nous arrùetons plus de dessiner la Chose Haute = bisonnée sur pied et autres bêtes de trait nés. On veut : coller au néné = téter ! téter très ! ou téter trait ! trait de lait = filet ! On aime le lait. On adore le lait. On veut téter le lait de bonne Mère chahutée, le français salopé, le passé de pied, la Haine ? peut-eytre pas tout à fait mais la colère saine ça se pourrait ! car, merde, trait pour trait, on veut ou on voudrait, de vfait, "rendre la pareille" et détester en vrai cette France Altière, VErbe  à nez ! tracé fait ou refait, charge haute auto-centrée ! parioles, du passé, remonteraient ou "comme remonteraient" au niveau des ... portes

 comme rajoutées à

 une sorte d'alcôve, entrée haute, sas de roche , nous voilà aidée ! on monte ! on veut passer ! passer et nous retrouver, incidemment, côté néné à comme téter  

jusqu'à satiété ! trait . Trait donné. Trait pour Fée on est née pour Téter. fée qui tète aime ! fée qui tète aime aller, à toucher ce qui est , en termes ici de ... Vérité Donnée ! le Passé est la V2rité ! Le Passé Nacxré ou pas NAcré est (de fait) "la Vérité, toute la Vérité ", Jugement Dernier . On veut ensemble y aller en ce Passé de contrebande, pour ... t(oucher toucher toucher, à ce qui se présente ou se présenterait <question VFérité ! qu'r'st ce que c'est ? qu'est-ce que la Vérité des fAits .... ? eh bien .... la Scène ! trait treacéews . sainte Colère et inimitiées . vraies tracés sur pea u de Bête ? on cherche ! on aime chercher. On est "colère" c'est un fait, mais on aime ! on aime être "colère", on a notre petit caractère . On veut toucher à cette ... Sainteté allouée au Verbe ! qu'est-ce que c'est que cette ... SAinteté allouée  aU verbe ? duu pAsssé ? qui sait ! ça se pourrait ! ça pourrait être, ça pourrait en vrai être que ... voilà là, la Chose est Là , elle est pleine, elle regorge de ça : sainte laitière, LAIT, LAIT, LAIT, LAIT, LAIT, LAIT, LAIR

$T, LAIRT, LAIT, LAIT, LAIT, LAIOT, LAIT, LAIT DE MÈRE, LAIT CELTE, LAIT CÉLESTE, LAIT AIMÉ VOIRE ADULÉ, VOIRE ADORÉ COMME UNE DÉITÉ POST-BIÈRE ! LE TRACÉ ANCRÉ EST UN TRACÉ POST-BIÈRE ÇA SE SAIT ! ON AIME ... QUOI ? TÉTER ! TOUCHER À CE NÉNÉ DU LAIT ! ON AIME LE L:AIT COMME ON AIME LA SCÈNE ! LE PASSÉ NACRÉ EST UN PASSÉ POST )--FINALITÉ SOIT POST-CIMETIÈRE ! PASSÉ NÉ SUR TRACÉ RUPESTRE ! LE PAQSSÉ POST-BIÈRE EST UN PASSÉ NACRÉ VOIRE ACIDULÉ QU'IL NOUS PLAIRAIT EN VRAI "D"'ÉPOUSEZR" À L'ANCIENNE, LES BANS DÉPOSÉS, TREAITEUR-CHARCUTEIER, DISCO DES CONNTRÉES , RIZ SOUFFLÉS, CHANTS DONNÉS ET AUTRES VINS VERSÉS SUR TRAÎNE ! ON VEUT AIMER ! on veut grave toucgher (en tant que fée ... devenu bébé !) à ce néné des traits (traite verte). toucher toucher toucher toucher toucher toucher àc  e dit 

"néné des termes" = du Vzrbe ! verbe "outré" , poerté ou comme poussé à ici "révéler", le ... "théorème" ! le tracé ! l'antienne! couplet fait ! chant d'elfe ! une sorte de parade indienne ! tralala plumé ! chant d'armes ! confettis de char

me ! On veut : dire dire dire dire dire dire; ce qui est qui nous attire, nous plaît, nous incite à aimer, nous fait de l'effet, nous attise et nous met le feu comme qui dirait à nos ailes allouées à une sorte de "piquet de rive" ! fée du dire ! fée saleé" ! fée donnée à une sorte de ... passé ancré, la mort dépassée. on veut aimer " veut dire "on veut creusezr". Pas difficile ! on veut creuser = on veut toucher = on veut dire = on veut parler et donner au Passdé nos quatre vérités concernant /... le Rire ! le dit "Rire outré" , fou rire ça le fait, autant que le dire dit "raisonné" , et peut-être "pire" ! on veut toucher et vivre. Coller-aoimer. Déduire et recompter. porter et cocher. pousser le Rire jusqu'au bout du bout d'une sorte d'allée, du Passé en friche ! le passé !!! le passé en friche !!!! qu'est-ce en vrai que cette sorte de Passé donné qui donc serait à , qui sait ? défricher ... sans traîner ? sans lambiner  ? à fond de trait ? Qu'est-ce que c'est, que ce dit "passé ... des données en friche" ? une sorte de ... vie passée, comme enkystée ? le passé du dire tracé ? la riuine des données données, le jour de notre arrivée ? on est née Fée dans la mort actée. On veut continuer à (si possible)  comment, disons, dériver ? aller sur pied ou même voler, de rive en rive , en ce passé comme déployé devant nos yeux tout chose, éberlués, tout "touchés" par cette chose haute présentée, ou comme présentée, et qui nous accoste ou nous accostezrait sans se gêner ! qui,nc'est ? la Roche ? le Passé de Roche ? Porte ? porte ouverte sur une sorte de ... passé en herbe ... à (comme qui dirait) retrouver indemne ? même ? le même ? le même vu de près, ou : à nouveau vu de près ? néné ? néné re-né comme une sorte de  donnée ...  re-donnée ? donnée-verbe ? chair allouée de fait, à un Verbe dit "des contrées post-pré" ? 

on veut creuser)-toucher et de ce fait aller, cerner, porter, charger, comprendre et pas àmoitié" tout un ensembkle de données données comme par la bande, une fois la mort comme enregistyrée, classée ou entérinée. On fait pitié ? on avance ! on  creuse grave ! ça y va ! on se balance ! cha cha cha on danse sarde, on trace, on va, on est là ! porte d'entrée (devant soi) on entre, on passe le gué, on rentre ! on est née Bénbé aux embrassades. On veut cerner Néné , toucheer-téter, boire du l:ait "de contrebande" s'il en est, du moment que nous on est alimentées on marche ! on est ok ! On veut téter Néné de contrebande ou pas de contrebande", on est pour ainsi dire "pas français" de marque , en vrai ! on est "rapportées", et on s'en balance ! trait pour trait on charge ! le français tracé, la chaerge mentale, obstinée, on creuse le trait, on porte hzut 

la colère innée ! on veut coller ! coller grave, à une sorte de Passage comme déployé, qui nous inviterait" à (de fait) nous immiscer, en cette sorte de contrée maussade, genre antre, ventre, outre dee panse, intestinale ou abdominale, on entre ! On veut grave aimer , aimer de cherz aimer, la panse , le tracé en transe ; gentes dames et damoiseaux de france : au poteau ! transe ! cgharge dense ! on trace sur panse les données de rage qui nous "embarraseent" .... cpomme qui dirait en face. On est nhée ... fée , fée des prés, fées sur pied sachant voler, et nous voilà toutes remontées, de fait , car, envahies, envahies vives, par du verbe vide ! tri ! piste ! charge ! trait donné sur paroi hautement "saluée" = sacralisée. Qui on est ? la des Fées de base, sachant dire, ici, ce que bon luyi semble en termes de dits ... du Rire Ivre ! vrai tracé et autres traits des fées sur roche ornée ! la piste ! le vfrançais d'en rire = langue au lait ! point d'acmé, mais la rase friche, trait des traits au ras des titres surcotés, surévaluées. On est Fée ivre le muret passé, ivre de lzait : bébé ! le bébé de lla friche al:louée à une sorte de contrée  ... du Rire ! est-ce que c'sst possible ? on veut : toucher toucher toucher toucher toucher toucher ......................................... toucher toucher toucher ........................................ toucher toucxher toucher ............./.................à-à ce néné donné la mort dépa sdsée. car, la mort n'est pas "d'éternité", ele 

se pose là, lelle semble "à jamais" mais tralala ! la vérité, la vopilà : la mort est dires, dires de trait, dires vides, dires alloués à une sorte en  rai de "pré" comme donné à une sorte de tracé, qui dit le vide, le paqssage ancré, la traversée de fait vers une sorte de propriété de type : enceinte allouée, fortifications herborée, rond de roche ou pré aux fées, mais voilà ... la suite, 

la siiute ivre, eest cette suite comme déplissée une fois l'enceinte quiitée ! ou comme traversée ... d'un rire (ivre et outré) qui permet le Titre; le Vrai Titre de ... "Bébé" , accolé à une Sommité qui est : le N2N2 DE TRAIT ? LA RIVE PASDSÉE = le Passé-Rire ! tracé ! faits ! faits vrais ! chants salés ! iune vérité qui de fait nous serait allouée une fois dépassée ou comme dépassée la mort donnée, cette sorte de finalité qu'on dirait promise ou comme promise "à jamais"  m ais ... rien du tout ! le bébé ! le bébé ! bébénou ! le bébé, olé ! le bébé-lait ! ou le bébé de lait ! née au néné du passé remontée ou même re)-donné, ou re-deployé , ou re-montré, ou re-collé à nos bouches de fée ici transcformées ! On veut en vrai aimer , aimer le lait du passé remonté. ; On veuyt grave aimezr et téter, téter et aimer, ce lait sucré, ou sucré-salé, qui nous "pend au nez " : on aime ! on lèche ! on tète ! dingue comme on aime ! c'est la vérité ! on aime téter sans plus de gêne, sans traîner, le lait ou le bon lait de mère , lait nacré-acidulé comme on l'aime, comme on aime en teter la mort passée. Aimer téter est la vérité ! on aime ! on est bébé né dans le post)pré ou le post-herbe d'une sorte de "propriété " de type encklavéée, éden, paradis des fées et bêtes de trait (est-ce kles mêmes ?) . On aime ! on veut graver ......... grave graver .......??.?....  les bêztes de trait sur roche allouée à une sorte de "poème-théorème" aux "données outrées" : insultes-mères, blasphèmes, mots ultra-grossier à l'encontre d'une déité ici personnifiée en termes liés à une sqorte d'entité dont le nom en vrai , est .... mère ! mort-mère ! mère-mort ! ou même : mère -la-mort ! car, la mort est mère ! merde ! on avance ! on creuse ! on charge ! on fonce ! on veut (grave) tracer et comprendre et toucher et cerner et aller et vivre en ces contrées pré-rive kles données du vivre ! fée ! en premier! puis, le muret passé, on deviendra ... eh bé .... le ...

Bébé -toundra ? bébé-transe ? trans-genre ? accolé à une sorte de "paroi intense" ou de ... post-paroi dense ? ... ou de qiuoi qui sezrait là (ou sera là) à nous "attendre" les bras en croix ? la Chance ? h"é, on voit ça et on en reparle, car voilà, on est là ... on tète la Voix, on tète grave (sale?) la Voix des Voix = LAIT DENSE, lait des laits intenses ! lait entier fait de rages avérées ! rages des rages ! traits des traits ! danse en face ! le Passé est re-né qui nous embrasse ou nous e,mbrasserait szans traîner et sans se gêbner ! danse sur Passé en France, le pied ? on entre ! on entre dans la danse-transe ! on entre dans la danse en transe ! cette dxanse ! menuet ? lla danse des Né n és ? danse du ventre loué ? vrai ? vérité nacrée ? charge de fée ? panse ? Panse dense ? On est ................................................ allouée ! ........................ à du Verbe de trait ...................................................... venu d'où ? de france, ohé ! ........................................................... transe , du français de rage ...................../........................ accolé, ou comme accolé, à ...... une sorte de passé intense qui, en vrai, est passsé de transe ......................................... pasdsé du passé ................ perte franche ................ portée ...............musique d'ambiance ....................... disco-transe et autres musiques de rage ............. treaits ! .......... treaits nés ! /..................................... on est entrées, on est dedans, on est accolées, on est serrées-collées à une sorte de néné donné qu'on s"'évezrtue à (ensembkle ?) téter ! bébé-fée ? fée-bébé ? ou seulement (le muret pâssé) bébé des bébés ? eh bé .... en effet .... qui sait ? ...... seulement Bébé ? qui tète que tu tèterais sans discontinuer telllemenht il aime, tellement voiulà, il cherche ! il va ! il veut ! il veut du lait mieux ! il veut toucher de chez toucher pour mieux téter de chez téter, le lait de mère, lait post-pré de bonne mère des données post-terre. On aime ! traits ! traits de fée on veut passer et vite aller téter une fois transformée, de fée en bébé d'air ! qui, bébé d'air, aime et sait , de fait, téter Néné sans sourciller, les lèvres bien placées, coussinet de tétée et autres critères de bonne tétée ! on sait ! on est Verbe -Lait ! né bébé ! né Fée puis né bébé .... sur terre ? on cherche ! néné ! on cherche à téter ... le néné en herbe d'une sorte de mère dont le nom serait "Terre" ? on cherche ! on pousse ! on va ! ................././............................................................................../................................................./.............. on avance à petits pas mais voilà .......................... on veut comprendre ......................... téter-comprendre ........../........... teéter = comprtendre , on ne sait ! ........................................... téter de chez té ter à ce néné de contree bande ça le ferait mais en a -t-on le droit ? en france des fois ? france d'antre ? france à antre ? franche voie des parois "amples" ? france en bois ? On entre ! on veut ça : comprendre, toucgher, aller /./......................... per cer .................................. cer ner)-pezr cer = do nner-allouer, à une sorte de contrée (genre ...  "la France") les données données telles que rencontrées, ensemblve , la mort avérée. On veut toucgher de chez touchezr, mais aussi ""entendre" .................. saisir et cerner, ce qui est qui est , qui nous regarde ou nous regardrerait ("intense") sur Néné .... ou disons : depuis ! Car voilà, ici (pré) on voit ... que dalle , sibnon le puits, le haut du puits, la porte des donnéescde roche, ok, mais au-delà c''st le noir dense ! on y voit que dalle ! rien à observer qui puisse nous aider à noue réperer ou à nous situer en cette sorte de fin de contrée de type "murzaille", "muraiolle des fées", "muraille à passer" . On est née Fée  et voilà ce qu'on aimerait, le pré traversé. La Rage ! rage du passé, du passé de france ! merde au Verbe tracé ! on entre ! on veut grave .... toucher ! toucher l'antre, la chose en face, ce qui est de l'autee cpôté qui szrait comme à nous regarder aller et venir (voleter) dans une bsorte de parade en transe ... on dirait. On est entrée ! on a passé la Porte Haute. Parole. Pré passzé, parole outrée, Rire Docte, nous voilà ainsi déposée, post-pré, sur Néné à téter , de Mort-la-Mère des contrées ... dcxernières ? qui sait ! éternelle remontée des traits ! bêtes de frai ! charges altières ! le français (la langue) en tant que treacé permettant l'entrée, un pied dedans un pied dehors, musicalité des données acerbes, un treacé (de fée) dans l'herbe verte , puis le trait des données "dernières" .... ou qui sembleraient êttrev les dernières , à jamais, mais on ne xait. IL se peut que le Tout renaisse ,sans arrêt, roue crantée, colère des attreaits, gestes d'elfe, vérités emportées, portes soulevées, on monte ! le poteau des ombres est haut placé mais on y monte le toucher ou pour en vrai ensemble (fée) le toucher sans traîner, trait de fée dans la Haute Fumée de Groote. haute POrte des Données Accortes. Portes hautes allouées à une Vérité de Roche = le Passé ! le passé nacré ! haute Vérité dont le nom en vrai est : " Le passé". Car, le Passé en v  rai, est du donné dee roche ornée ! qu'on se le dise à tout jamais ! lke passé est ... frise , traits tracés, bêtes de trait sur roche exqauise de grotte de mise. traits des traits semblant bêtes allouées à une sorte de danse effreénée sur frise gravée. On est née ! née fée ! fée des prés ! fée hautes ! qui, ici, voulons tracer de chez tracer la roche ... dans la roche ! quiooi ? l'éternité de la Parole Haute" = le Passé, Passé post-pré = Passé re-né, à jamais, hors poche ou antre-ventre, sur pied. On est comme accolées à une sorte de donnée dont le nom est ... "treacé", "le tracé", "le tracé de fée", "la danse en trabnse" = le Passé ... en face ! trait porté ! charge d'antre ! On veut toucher à ce néné ... des données d'en face .... néné né après le pré (la base) et nous voilà (peut-être( enfin armée, pour demezurer , qui sait ? sur place : sur néné ! à pouvoir-devoir téter le lait ... des p "rages ambulantes". On veut grav e cerner les données de base, les aimer, les approcher sans se démonter , faire connaissance ................................................................................. pister ...................... mater .......................... mirer ............................ regarder en face ........................................... ou essayer de regarder en face ............................... à mieux cerner les bases ................... ce qui est quiest ................. en cet antre (?) post -pré, qsui en vrai rrreessemblerait à s'y méprendre , à une siorte de passage, trait defée, passage "entre", petit trait qui permetrrait de pouvoir aller, entrer, s'immiscer, sans perdre connaissance et du coup regarder, en profitetrr pour regarder-cerner les données intenses, d'une sorte de ... Passé de FRance ??? un passé de FRance ???? .... français ??????????????? mais qu'est-ce qu'on s'en bral,nle ou s'en branlerait !!!!!!!!! eh bé .... pas tout à fait ! car, voilà, le français est ici la langue des contrées présentes ! on veut toucher ! on veut comprtendre ! le français en tant que langue ici exoplorée, remuée, bousculée, et même "évzentrée" et du coup sondée ! pour, au vrai, de fait, cerner, toucher, porter, aller, coller, dsire et donner , un certain nombtre de données de rage (le Passé pèserait) qu'il nous incomberait de devoir comprendre et du coup amener, en vrai, jusqu'au ... néné né post-parade, post-charade, post paroi ornée et autrecs foirades ! on veut ;

téter téter téter

dire dire dire

aimer aimer aimer 

chercher chercher 

coller coller coller

entreprendre entreprendre entreprendre 

cerner cerner cerner

co

ntôler contrôler contrôler ce qui ici est, qui semblerait cvouloir... nous parler, au plus près, et nous donner de quoi nous repérer en ces drôles de contreées post-pré : où on est ? en vrai, où on est ? où donc est-on en ce "vallon" ? sur roche post-pré ... mais de quelle roche il s'agirait ? roche-motte ? roche-haute ? roche -sein post-porte ? roche du Néné de Roche , de Rocher ? roc post pré né sur pied la Roche une fois traversée ? on monte ! on ose monter. On veut en  vrai gravir les échelons du terme , et courir, aller, filer, monter de chez monter c'est vrai, tracer, aller vite jusqu'au bout du bout qui serait ... un gnou ? genou ? nous ? nouys-mêmes ? re-nous au bvout du bout ? recommencement aux extrèmes ? retour de manivelle ? porte haute vers re-port ? re-colère ? re-naissance / transe et autrzs sarabandes ornementales ? mésopotamiennes ? béandertaliennes !  DANSE ! DANSE ! danse en transe ! parade ! paradis de france (france-alibi) ! CHA RGE DENSE ! ON EST PAS AU LIT ! ON EN AVANCE ! ON VEUT COMPRENDRE ! ON EST EN VIE ! ON ENTRE !  on est vives vies des données uintenses ! cris ! ........................................... cris de vie ........................... cris des cris des vies données comme à :la p aracde ................................. charges ! ................................. bouquetins matin ..................... buffle coriace ..................... automates ......../................................................. bêyes de trace ................................................................ bouquetines vives et autres liones ...... de porte .................... haiutes ......... hautes lionnes et haute porte ................... mots de rage au niveau du Haut : des Alpages ........................./.................. poteau ! ................ poteau hau .......................... mots de roche sur poteau du haut .......................ANICROCHES ? ......................................montons haut et regardons la roche-poche, le niveau de l('eaiu, les données groosses, le Passé de Porte et autres mots-a nimaiux , gros mots, drôles de mots ............rires bgros ! .........................................mort au c aniveau ............................................................ ? au caniveau, la mort ! ...............................  ouste ! du balai! va te faire cerner par qui sait qui saurait , t"'entuber sans désarmer , qui ? on cherche ! ......................................../   on veut "tuer la mort" ................ tuer de chrz tuzr .................................................................Immovtrtelle, la tuer ! tu es ..................... , en vrai, immortelle peut-être, mais nous (BÉBÉS°) on a envie de te tuer, et ça sans traîner, en tétant néné ! ........../................................ merde ! ................................................................. on veut toucher toucher touycher touycher touycher toucher toucher touycher touycher toucher toucher toucher toucher touycher toyucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher touycher à ce qui est quui nous espionnerait, comme qui dirair, "par derrioère", par derrière "son "néné" , on ne sait, on veut cerner, toucher-aimer, mais pour ce faire, le mieux c'est ou ce serait de satisfaire ses envies cde lait , de lait nacré ou pas nacré , mais de (en vrai) téter sans traîner, leb bon lait de Mort-Mère artablée, attablée sur herbe ?) = le Passé ? on cherche ! on a envie ensembkle de trouver, des choses du français de base, ce qui est qui est en cette chose d'une langue ainsi (en nous) e-inculquée de base, ce qu'elle est, ce qu'elle dit des traits, ,,ce qu'elle recèle ou contient-contiendrait, en termes de connaissances, de données intenses concernant la transe-danse , transe pariétale aux bêtes de rage et autres "bêtes-monnaies". Car, la transe sur paroi de rage, est transe "monnayée" ! transe donnée , pèse son poids en termes de monnaie , voix, traits des traits, charges de fée, colle ancrée sur roche haute, prêts sur prêts. On colle ! on monte ! on veut (de fait) toucher-coller à cette porte haute des données "ultimes" ou dites telles il sembkerait depuis (peut-être) une éternité, et nous de nous y coller ... faut-il être bête ! à jamais "tarée " , qui sait ? car, oui, on cherc he, on est nues dans l'herbe, on cherche l'(entrée et ça bne va jamais mais on s'entête, on ne veut pas du tout (jamais) arrêztrrrer, arrêter de chercher ... parce qu'on aime ! on adore de fait ainsi chercher ou rechercher une sorte d'entrée vezrs une destinée qui nous renseignerait en vrai sur ce que c'est que cette chose qui seraieaut ou nous szrait offerte, le mur ou le muret passé ou une fois passé, ce mur ou ce muret"des finalitéqs" une fois traversé, qu'est-ece qu'il y aurait qu'on devrait "déchifffrer " ? de l'herbe ? encvore de l'herbe ? un néné né qui serait à téter sans plus traîner ? néné-verbe , ou Verbe-lait : est-ce vrai ? peut-on arrivr en vrai à cerner ce qui est, la mort "achevée" ? car, on voudrait ! grave en vrai on aimerait comprendre = toucher , à ce ddit Néné "de la Vérité" aux traits lactés ! qui c'sst ? ou disons : qu'est-ce que c'est que ce dit "Néné aux traits lactés " ? on ne sait ! On veut cerner-toucher à une vérité, de type, voilà, lactée ou plutôt lactée, mais cela .... colmment faire , comment tracer, comment fzire pour tracer ou nous y retrouver ? On esrt ailes accolées form ant fée sur pré, mais le pré passé voilà -t-il pas qu'on se retrouve ... à nouveau transformée ! devenue .... b ébé ! oh, hop ! changement, changement de tropppe, ! le passé, lui, remonté, nous accueille ou accueillerait en ses filets, et nous cvoilà scotchée ! toute sctochée-collée à ... un néné post-pré, néné dit "du Passé" , du coup : remonté , ou comme remonté ... xde où ? des catacombes du passé ? du Passé mort-né ?,du passé enterré ? mais qu'est-ce qye ça veut dire ? on est née Bébé dans la nbuit des fées ! on monte ! ........................................ on es t hzautes ............................ hautes de chez hautesc ................./... tracées ! /................ cohorte de porte ..........................bêtes de roche ........................................................ bufflettes armées .......................................................... ourses de guerre ..................................... on veut toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher à ce néné des dits Nénés de l'avant-guerre, des données ctracées, des herbes brûlées .........../......... nénés nés pour être tétés sans plus trîner par, qui Sait ? , bébé né sur pied la mort traversée ! On est née bébé ! .............................. bébé-verbe ! ..................................................................................... tétant lait de verbe .............................................  V erbe-herbe ................................................ VHERBE DES PARENTS, DES ARMES DE BASE, DU PASSÉ DE RAGE ET AUTRES TEMPS (PLUTÔT) "MENAÇANTS" .............................................. on veut comprtendre -aller , toucher-porter, dire-entreperendre et du coup colmater, "ensemble", les trouées de base , genre : trous de rage sur paroi franche ! le Passé est né ! Le passé en  vrai est né ! vive le Passé re-né ! le Passé des Passés est à nouveau né, qui nous ressemble ! hourra la foi ! on trembke de hjoie ! on en redemande ! hourra ! charge-roi on entre, on va, on creuse, on abats des arbresc peurt-être pas mais ... on en avance grave hou la la ! la chance ! le temps est là, qui nous "embrasse" ! On va ! On  eut co:mprendre la toundra, le Passé de cxharge, ce qui va et ce qui ne va pas, les données intenses, les bras, les jambes,  face d'Ange, le Passé de poids, les mots de l'au-delàk, la transe, la danse, la frange, le mottet, la danse de FRance et autres débandades intenses, la Paroi des Voix, le Buffle de FRance, La Reine postée et ses deux valets. DAnse ! Rage ! Transe ! on est "entre" ! on veut toucher de chez toucher à ce qui se oprésente en termes de données ici allouées à une sorte de parade, genrefoire, foire aux bêtes-masses et autres bêtes dites "de trait" car sachyant sillonner sans désemparer la terre de base, les mottes allouées à un ne sorte de contrée de rage, le Passé. On est nhé Bébé ! bébé on est née ! on veut toucher à ce quiest (ici) qui nous rezgarde aller, nous infiltrer, treacer trait sur trait, et chercher à toucher à ce Néné des Données finales ou dites finales . On est née Fée puis re-née oà une vie nouvelle, autre, modifiée, qui bnous voit téter de cvhez téter ledit Néné des données "remontées" , ou "remontées à la surface" : le Passé Recomposé, Passé dense , remonté, repositionné, re-pris à bon prix ! On veut de fait ...... touchger de chez touchezr , ce donc dit"bébé" du passé outré , et du coup , aller de chz aller, jusqu'au boput du bout , d'une vraie tétée , d'une vraie "tétée des tétées" . On veut ........................................................ aimezr .....................././../.....................................aimer de chez aimer ....................... dire ............................. dire de chez dire ...................... foncer /./...................... foncer de chez foncer ......................... donner ................................ donner de chez donner ..................... forcer .............................. forcer de chez forcer ....................... poussser .................... poussser dev chez poussser .......................... coller ................... coller de chez cvoller ................................ comprendre et cerner .................................. comprte ndre et cerner de chrz ... eh bé, comprendre et cerner ! ........ et toucher N2né , pour en vrai et enfin téter , le lait des laits ! lait sucré-salé comme sw'il en pleuvait : treaits ! filets ! filets vraisz de lait éjecté dans notre gosier ! .................................... on veut aimer ...................... aimer de chez cerner ! et cerner (de fait) de chez aimer , chassé-croisqé ! on veut toucher à ce N2né dit "du Passé", du pâssé remonté, et se gargariser de lait à j amais ! car, le lait est le lait est le lait est le lait de l'herbe-verbe ! à jamais verte , à jamais verbe ! on le xait et on s'en repait ! On aime ! .................................................../..................................................................................... on aime le Verbe et le VErbe-Lait des dopnnées dernières : chassé-croisé sur pierre de tra&it ! le Passé est né qui semblait enterré, mais que dalle ! pôint de dalle ! ouverture de face ou façade, le Passé ancré est passé de rage à jamais tracé, forte renaissance, remontée en transe, traversée de rage et le cvoilà qui est, post-pré, Né ! né comme à loa retombée , de face, Néné ! On veut :

dire dire dire dire, ce qui est du dire 

être etre être, ce qui est de l'être

faire faire faire, ce qui est du faire

porter porter porter , ce qui est à porter 

et cerner-toucher à ce quin se présente en fait de néné la mort acceptée. Qu'est-ce que c'est ? on ne sait mais on szubodore. Un néné ? ça se pourrait ! du lait ? on aimerait ; De la Roche aux fées,  ? Hum, on nre sait ! on entre ! on est fée de france ou disons .... du français (la langue) parce que pour en vrai ce qui est de la Fr a,ce, on s'en branle grave, on ne veut même pas en parler, on en a soupé ! on est pour ainsi dire dans ce français-klangue jusqu'au cou coupé ! ça impacte ! ça nous embarque ! ça fait, ou ferait de nous, des ... Fées de Rage , fée tracées , f eé des prés des Ambassades aux données chargées cvomme à la parade . Traits . Bêtes de trait. Merde à La France rencontrée, on veut parler de base le français traqué, et marre ! charvger ! poussserr ! creuser ! entreprendre une sorte de trouée ou de percée en cette rocxhe-né des grottes -antres. France au pied, le français entre. Les données accolé&es à une sorte de "mansarde", de maison carrée (ronde rotonde) de base tracée. Chercher et cerner à quoi ça ressembvle : portéev ? base navale  ? pré ? on veut dire et aller, faire et coin-cer, donner et ruser, peser et viser, être et naître à une vie nouvelle "d'éternité " si tant est et qu'est-ce qu'on en s ait ? on chercghe le trait, passage des fées, entrée, trait gravéb par où s'immiscer sans désemparer et pouvoir passer pour (du coup) se retrouver à pouvoir rezgarder (donc : de l'autre côté) ce qui est qui est, qui nous regarderait aller, tracer, chercher, reluquer, cerner x données et nous bousculer à devoir de fait , ici, comprendre, comprendre "ensemble", ce qui se présente en termes de ... "façade intense" ..... ce que c'est ........ ce qui est .......... ce qiiui se trame ..................c.  e qiui ici en vrai se trame, qui nous regarde, nous épie, nous mate de la tête aux pieds ........................ épi de blé ......./............... riz complet ............................ vie sur pied ..................................... trait sur trait ................................. vie allouée à une véroité"outrée" , du genre  : mots orduriers ! ........................................../............................. qui sait ? ........................................................................ on a envie, en vrai, de pouvoir (sans traîner) chercher à cerner, à cerner de près, ce qui est qui nous regarderait ici de pied en cap, du moment en fait que nous voi:là passées, comme, toutes , pour le coup, remontées de chez remontées, du fait que oui, on a les crocs ! on est colère ! on est les fées (ou la fée) colère ! cxar, oui, on voulait en vrai, tracer et cerner, sans succomber, sans se casser le bout du nez , et nous voilà, comme un fait exprès .... chahutée et comme transformées, de but en blanc, en ..... eh bé B2B2 !! merdxum ! on voulait demeurer (de fait) fée , pas  nous transformer ou être transformée ! en (qui p^lus est) bébé ! béb é né ! nouveau-né cherchant de fait à tout de suite téter ... téter le nén"é ! oh zut et mèfle ! merde / enculé / mèfle", on voulait demeurer .................................. demeurer fée ....................... fée des terres aux bêtes ................... pré aux fées agrairesx .................................................................... fées ailées ok mais les pieds sur terre, merdxe ;! .............................. =erde de chez merde ! ça nous fait suer ! .................... grave ça nous emmerde ! ................................................................ on veut (on voudrait) rester fée , fée des bêtes, fée-bête, bête de trait, bête des parois de traites, bêtes-nées sur paroi ornée ! merde ! .................................. nous voilà ... bébé ! transformée ! changée ! re-née ! re-re-re-re tracée ................/........... à jamais ? on ne sait car, voilà, le bébé sait mais ne dit pas, ne dira jamais, car  bébé né deviendra .... non-bébé, et perdxra (en quelques sorte) les do,nnées données au passage de porte ! ............................................................................. porte haute .............................. porte des portes et autres passages doctes .................... hourra ! houura la foi ! ....................... porte haute pour passage hot ! ........................... voilà ce qui (nous) va ! on mùonte ! on re-monte ! on gravit la paroi ... au son des cloches, des voix, voix de l'au-delà, sons de poche ! tralala , glouglou roi et autresbruits detrype borborygmes 

borborutmes borboruitmes non inteintionnels ! voix ! voix de ventre entre ! La voix ! on envoie ! transe ! on charge ! on veut comprendre grave les données du ventre : samba ? traits des voix qui feraioent sens ? portage de voix ? antre de paroi ? On veut : dire et sonder, faire et chercher, comprendre les données les plus ancrées, faire ainsi que la vérité telle qu'espérée puiise de fait "remonter" via ... le passé, qui sait ? passé-transe ? on veut y compter ! On veut toucher et espérer, tenir et gronder, dcrier et coller, cerner et portert, porter loin les remontrances, chercgher dense, creuser, voir loin, essayer de se porter au plus lointain du plus lointain, du post-pré possible ... les nénés ? le passé .? la france allouée à une sorte de Passé d'enfance ? on veut grave toucher à ce Néné des Contrebandes. Qu'st-ce que c'est ? est-ce un v  rai néné empli de lait ? est-ce un néné prêt -à téter de fait ? est-ce vraiment un "vrai de vrai néné" ... à téter de près ? qu'est-ce que c'est que ce néné ? néné népost pré ? est -ce que ça swe pourrait ? qu'est-ce que c'est que ce néné dit "des nénés " ? un ..... trait ? trait comme tracé dans "l'éternité" des données de roche ? post-roche ? néné né sur pied la mort (ladite mort) actée ou une fois actée ? qu'est-ce que c'est que ce dit "néné de poche" ? une sorte de "Roche au lait " ? rocher dit "de lait"" ? lait de roche ? lait-né ? lait de trait ? trait de lait ? lait alloué ou ainsi alloué à une sorte de rondeur de roche : le Passé ? qu'r'st)-ce que c'est que le passé ? la Rocxhe ? les données de Roche ? un trait ! une sorte de trait alloué à une sorte de donnée de roche ? le passé passé ? trait de fée donnée sur Roche des traits  ? une sorte de .... porte ouverte sur ..... les données sûres .... de la vie offerte , comme qui dirait : à jaùmais ? On espère ! On mate grave. On n'en loupe pas une. On essaie de comprendre les demi-mesures, mesures et alluresz, les données des termes, les entrées et les sorties, les mots de bêtes, Paradis. On cherche. Vie vite. traits ! oups, c''st fait ! trzait de coupe, et hop, immixtion du front ! haute porte ! le pasqsage docte ! trahisobn de roche ? crevaison ? on monte ! .................................................... hautes ..................................................................................................................... on creuse-monte ........./...........  on veut en vrai toucher le Vrai .............. dire et toucher, faire et aller, cerner et ne pas succomber.............. aller de chez aller, cerner de chez cerner, pister de chez pister, dire de chez dire, coller de chez coller, voler de chez voler, tracer, aller-faire, pousser, dire-cerner, chercher, pouuser-comprendre, en vrai, les données de branche : 

il était une fois, sur terre, une sorte de donnée en herbe dont le nom , ma foi, était .... et là : trait ! de coupe sagittale, la paroi trembkle, rupture de vvoix, pas de chance on ne saura pas ! la transe ! la danse dxes Voix, paroi-anttre, on veut (de fait) aller-cerner ce qui, ici, est VOIX ou VOIE, trait de VOIX ou trait de VOIE, la vie ou le vit, le chant ou le cxhamp, l'envoi ou l'en-voix, les données de base, les données de rage, les données sardes, les données données comme à la parade et autres vérités basiques de paroi de charge. traits de coupe, oups, chute sabrée ! On veut toucher toucher, cerner cernerr, dire dire dire, composer composer, déduire déduire, compter compter, faire ainsi qu'en  vrai on puyiise ici (paroi) en avancer le plus possible dans les connaissances et auttres savoirs concernant .... la transe ? panse ? chance ? france ?  et autres données données de face . On monte / on entre ! traces , vies, trous, charges. On est Fée de base sur paroi "étanche" : le langage = le langage-envoi, la charge mentale, traits de voix sur pierre tombale on voit ça . On entre. On est là. On regarde . On cherche sqa voie. Passage. trait. porte ............................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................porte astrale.

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3/2/2025

On veut comprendre = on veut toucher à ce Néné de Contrbande, alloué ou comme alloué à une sorte de Donnée de Base post-muret = le tracé de l'Ambre ? on ne sait ! On cherche à cerner mais ce n'est pas donné car, oui, en vrai, il faut traverser , passer, passrr de l'autre côpté du muret ... sans s'abîmer, et pour ce faire il y faut du doigté, de la oersévérance, du doigté pour ainsi dire jugulé, de l'a persévérance sans lâcher. Du vif des clartés et autres qualités  donnés comme par la bande. On veut en vrai toucher à ce qui se présente de l'autre côté, et pour toucgher à ce qui secprésenbte de l'autre côté il ne faut pas traîner , il faut treacer, ilfau t creuser de cghez creuser la roche finale, ce lmuret bien nommé qui nous sép are de la Vérité des Données de Base : ce que c'est que ce Néné, la Branche, le Tracé des Fées post-muret, les Ambivalence s Nacrées, la Chance au Passé, les Données de Rage. On avance. on veut grave passer ensemble : fées. passer de chez passer ensembkle et regarder et ne rien louper de ce qui se treame / présente quasi à nos côrtés puisque la Chose ...  n ous fait face, qui regarde-mate ce qu'on fait sans nous abandonner jamais. On mate ! à notre toutr on mate ... mais, comment mater qauand on est comme nous, de Rage, les Gnous de la Parade et autres buffles dits "Du /Mou" ? on mate mais voilà ... on rate ? on ne voit pas ! on gvoit ? on voit quoi ? on voit ça : la Base-Toundra (les plaoines de base) ? le Nacré Tracé ? l'Ambassade aux données données ? On voit qauoi passé la Marche ? le Passé ? passé re-né comme à la p arade post muret ? on mate grave. On a envie méga de (pour le coup) cerner-comprendre lers données de Rage de la Mort "en veux-tu en voilà" qui, de fait , serait de connivence , avec ... eh bé, cette sorte de "fée" allouée au tracé post -muret de base. = la Fée F ade ? fée des traits et autres tracés de Nénés = Lait ? fée-Lait ? ça se pourrait ? que la Fée post-muret soit du lait ? du lait pour Bébé ... ou alors le Bébé (lui-même) comme on l'aime ! Bébé des Bébés ? on cherche ! on veut : 

toucher de chez toucher à ce qui est qui, dans la mort, est. et pour toucher il faut traverser. et pour traveserser il fautpassser , aller, creuser, tracer trait et creuser à même les données murales  ! poussserr ... chercher à passer qui le bout du nez qui les ailes de ce fait un tantinet rognées si l'ion n'y prend garde, c'est vite fait ! On cherche ! ... à passer c'est un fait ! on espère ! on veut toucgher à ce qui est (ici = MOrt)à nos pieds ou plus loin si jamais. Qui on est ? frée ! fée nous-mêmes. Fée du préjuste traversé. on est passé d'un pré (cimetière ?) à une sorte de ... plaine pleine ! plaine des données " achzevées" ... plaine aux données données à qui traverse le muret sans désemparer "à la Romaine" ! On aime ! on veut toucher ! On veut aller si possible loin sans jamais rtraîner mais tout le contreaire : tracer, filer, ne pas traîner jamais et y aller de noc "commrentaires" concernant le Passé ici rencontré ... notre passé .... passé "en herbe" si tant est, Passé "blême" ? on ne sait ! passé des Passés et ça le fait ou le ferait ! On aime ! on veut creuser de chez creuser la Terre ... du Passé comme qui dirait ! On veut toucher à ce Passé vpost-cimetière = se retourner, revenir pour ainsi dire ... en arrière, si l'on pouvait, et regarder "derrière" ce qui est qui nous i téresse . Le passé est né (= re-né) "derrière" ... Passé-né, passé des Passés-nés ! ion aime ! on aime .. le lait, alors forcément, le Passé, on aime ! on aime téter ! on a envie de lait , d'eau des Fées et de ... Lait amer ! On veut ... téter téter téter téter téter, de ce lait de Mère et cela en vrai, directement branchée, carrrément allouée à une sorte de téton nacré du genre "bouton", "bouton doré" , sein de charité, caresse mère, fait loué , tréit des traits sur Roche Passée. On aime = on veut toucher ! Toucher cde chez toucher à ce .. néné = néné d'herbe ? on ne sait de quioi en vrai, le Néné (le fameux Néné), est fait ; ... de Lzait de Mère ? de'herbe verte ? de mots des prés comme ... conservés ? mots tracés qui seraient passés, sans tra^îner, de l'autre côrté (via le cilmetière) jusqu'aux nénés (post-muret) tels qu'on les reconnaît ? on cherche ! et si le Verbe était .. ancré  , comme qui dirait ... : éternité ? on cherche ! on est dans un pré prête à traverser et nous retrouver de l'autre côté de ce cimetière, ici, aux herbes vertes. Et de là, nous retrouver ainsi adoubée par ... qui sait ? une sorte de ... Bête post-pré, Bête de TRait, Bête-Somme (en somme) ou Béte Grosse des Travées ... Bête de Somme post-pré qui nous regarderait en vrai sans loucher et nous inviterait à venir lui donner quelque chose (de fait) comme une sorte de ... tétée ? tétée Rosse ? tétée forte ? tétée des Tétées ...  en somme ? On est Fée des Fées voulant (grave) téter la Chose = pis d'Ombre ! ce Néné né ! cette "sorte de Néné" qyi serait né, directement, depuis le (ou du) Passéprésent (ici présent) . On cherche ensembkle (ailées !) . On se resdsembvke ... et qui se ressemble s'assemble : ailées ! on aime ! on aime nos ailes ! on s'aime ! on veut s'aimer et tracer et traverser et passer ensembgle (ici même) post "muret de FRance" ! gracve , on veut ! on veut grave ! on ne veut que ! on ne veut que, cette chose ensembkle, à qui mieux mieux : la Trace ! le Passé Furieuux, la Rage des Dieix, le Passé Humble et miséricordieux qui nbous ferait face et nous ferait pour ainsi dire dire (enfin) les mots de la fin (mes aieux / aieules) sans fin ! On veut ! on ne veut que ! on aime ! on aime Ce trait, ici alloué à une Sommité aux Données Données : Bufle au taqauet ! bison fûté ! chevaux ailéss ! bouquetibnes cousines ! ours et ourses mal léchées qui nous regharderait sans discontinuer, depuis la Coursive ! ailées toutes sur pré , nous voici comme "adoubées" post-pré par une sorte de Bête Lascive , ou sinon lascive vive, ou zinon vive lucide, ou sinon lucide avide ! voilà : avide ! = prête à ça : se remplir de voix ! voix de l'au-delà ? du moment (voilà) qu'on est là ? on voit ! qu'est-ve qu'on voit ? la cîme ! la cime des boios ! le Haut de là ! 

la Paroi franchie le Passé naquit et nous vit aklller comme à kla retombée post -pré ! 

vie de fée allouée à un post-muret aux données données vives et comme données à une sorte de ... plaine vide (vidée ?) de type ... Sein Donné, comme au débotté ! la Chine ! le tracé des Ruines ? Omeleztte fine et autres mets post-pré comme s'il en pleuvait, qui sait ? On veut toucher à ce Néné dit "du Passé re-né". Et pour toucher à ce Néné , le mieux c'est de ... rire, à gorge déployée, sans sourciller, sans se gêner, sqans se faire mousser, sans honte ni contrariété. Téter ! téter ! dsu lait de Néné, dont le treacé serait comme dessiné par , qui sait ? la Fée de l'Hydre ? on ne sait en vrai mais ... on szoupçonhe, on se dit que peut-être, en effet, l'Hydre ... ou sinon l'hydre , quoi ? car voilà : le lait coule ou coulerait, nous alimenteraitb en Passé Uytile, nous ravigorerait et nous ferait du coup peut-être "revenir" à quelque chose de (à nouveau ) concret  ... comme l'huile, le vin, l'eau acide, le pain, la farine ...  vivement la quille ! On esrt Fée-Vrille, et ...eh bé oui , on veut VIVRE ! sans céder ou sans jamais cesser , céder ou cessser. On veut ... vivre vite ! treacer = filer. Comprtendre = pistonner. Prendre = cgharger et trouver jonquilles, fleurs des prés, myosotis des rives, bleuets et autres m arguerites coupées. Cxharger = dire. faire = montrer. dire = Rire. Allouer = ccernber ce qui, post pré, se donne à vivre à tout jamais , ou se donneraiot. On a envie en vrai de toucher 

 à ce qui est qui serait de fait ... eh bé du Néné, du Néné de Fille ? Fille Ivre ? Fille des post-prés telles qu'ion pourrait (de fait) les aimezr , car , le lait on voudrait ! téter de chez téter ? qui le sait ? qui connait la Fille ? le tracé humide, goutte de lait, collostrum nacré, lait de fée-fille ainsi rencontrée et dont le nom ici est ... Passé ! Padssé-Quille ! tracé ! trait des traits ... de lait = Fille-Quille. traits ici allouées à une sorte  de Néné de Fille, tel qu'aimmé car plein de lait salé-sucré tel qu'on aimme en vrai le téter vif ! vives ! on veut toucher ! On ne veut p as traîner mais vite vite vite aller vers l'IF, le trait sucré -salé, téter de chez téter et nous en foutre plein le gosier, de ce lait de TRait, lait Nacré,lait de Fille allouée à une Sorte de Passé ... en friche ? ... qui sait ? on est :

née fée la mort venue

transformée en Bébé kla mort dépassée

Re-né à la vie le tracé (trajet) acté = abouti ! 

On veut :

creuser de chez creuser, non la meu mais les données de traits telles que rencontrées post-muret = post-absurdité (?) des données de Roche ? ... ou disons : post-approche des Bêtes MOroses et autres Bêtyes de Cloison. On veut toucgher à  c e qui pôur le coup pour nous nbous semmbble "de bon ton" , soit : pasx (du tout) maussades ! mais, gais comme pinsons, bgelles parades , promenades avffables, points des ponts et autres pontons ! Chance au tison ! la PARADE ! le trajet du front ! La palme de plage ! amuwsements sardes et autres faits du genre sade !le tracé nacré est le tracé de b ase.  Chair à pâté ? pas que je sache. LE treacé des f ées est (serait) préférabl ! On veut toucher = dire = faire =c erner = comp^rtendre = consacrer = allouer, à un faire, iun dire des prés, et aimer ! aimer grave le p âté pas spécialement, mais l'ambience ! le Néné sage ! pas sade mais sage , du Verbe ..... "Sager" ? ... SCerner, comprendre, toucher le Néné, toucher de chez toucher à ce dit "néné ... du passé" alloué à une sorte de SAvoir de RAge = le fait vrai = Vérité NAcré , jambage , trait ancré , Passé Sage sur Passé de Rage = superposition des passés de base, et nous voilà"aiméz" = allouée, à une sorte de Passé re-né du fait du Néné ainsi tété ! On sait ! on sait ce fait ! On est née (re-née) post-pré, post plaine, post -treacés de traits : post-lait ? post -muret = plaine ! La des plaines pleine ! pleine de lait du fait que, oui ... le lait coule à verse ! dans le gosier ! direct tement coulé ! coule le lait post pré ... 

en notre bouche ouverte ... de Bébé, de Bébé alloué à ici cette plaine aux données dernoières = le Passé ! comme Nacré ! sacré Passé ! dire chargé ! On aime téter , c'est un fait qu'on ne saurait masquer, tout le contraire ! téter de tête ! téter vrai = en vrai, le cimetière loin derrière ;;; la vie re-née ! . On aime le Lait des données dernières ... premières ! les dernieres seront les premières, puisqu'on renaît à de nouvelles terres et autres cxhamps de blé tracés  ! vrai ! carrsese données ! aimée ! doucement nourrie, d'herbes vertes et autres pa^querettes ! vaches à traire ! souris verte ! on aime ! on veut ! on creuse de notre mieux. On creuse la terre, les données de l'herbe, le rtracé intègre et autres traits (de roche) nominaux : aurochs-ombre et autres bêtes à museaux, de type : antiloipes, bisons doctes, chevaux, chevales de trot, rhinocérosse, corps de peau, buffffle au tonneau, ours-de-poche. animaux-mots des données de Roche tracées au couteau. On veut comprtendre le morceau. La Roche au tonneau, l'ivresse des mots , des mots de trop, des mots-animaux sur peau, et autres mots des catacombes. Le Mot "Mot" ! Le mot des Approches de Roche = Comptes, Comptes FAux ? comptes de Poche = anicroches. tonneau ! je ne boirais pas de ton eau , mais de vin de Roche et autres A2lcools Hauts en termes de Niveau. on monte ! honte ? on veut aller ensemble au plus haut niveau des Données de Rage .... et du coup , toucher ! la base ! les pieds ? qui sait ? le Passdé de Frange ? l'Ambre ? l'Ombre portée ? la chaleur tournante du Passé re-né ? Qui le sait en vrai ? qui connéaît d'assez près les données romanches ? le Passé Nacré, la Panse, les Nénés, le Lait Fran c et kles nénés nés ? qui sait de fait ce qu'il  en est, et saurait du coup nous l'indiquer et nous gbuider en ce p assé re-né tel que "retrouvé" la mort passdée comme qui dirait ! né pour être né ! le trait ! la charge = l"'endurance. trait pour trait on veut toucher de chez toucher à ce néné des correspondances et autres assonances liées au Passé tel qu'approché dans une sorte de ... "plaine imm-ense" .... champ de base ... toundra ... Toundsra sans bois (sinon ceux de l'arbre ?) on ezntre ! on veut : 

toucher toucher toucher toucher = téter téter téter téter  , sans faillir ni faiblir et sans non plus traîner car on veut tracer = boire du lait pour en vrai se reqauinquer et pouvoir de fait vite se redressser et re-aller, par les forêts, les prés, les rues vives, charger, chanter, parler la Vie des Données Vives et autres Chastetés bie n situées  , qui sait ? Ontétte le lait ! on aime téter?. On ne veut pas s' arrêterr de téter. ce qu'on veut c'est téter., téter sans s'arrêter, du bon lait de Pis et autres seins nacrés au Bon lait de Vie. Vie post-pré tu m'as saisi : l'envie ! l'envie vive de lait ... salé-sucré ! lait des laits alloués à une vie aimée, acidulée, comme allouée à une sorte de Passé post-pré ! qui connaît ? qui sait de ce Passé ce qu'on pourrait de fait en dire qui soit vrai et non frelaté ? qui connait les traits, la rive, les données en vrai de ce Passé des Rives, des Données Acides et autres dons post-pré qui nous "regarderait" ... vivre = arriver , qui sait ? qui sait de fait chanter ? Qui connéît la Rive-Friche ... la plaine aride... le Passé Vide  ... vidé ? ON  veut toucher de chez tpoucher à cettye sorte de donnée, de donnée vive, qyui serait comme dio nnée à une sorte de Passé tel qu'espéré . On veu t :

Toucher toucher toucher toucher

vivre vivre vivre vivre 

cer ner cerner cerner cerner 

consolider consolioder consolider consolider

alouer allouer allouer allouer

passer passser passer passser

cerner les données et les cirvconscrire, et du coup comprendre sans rire ce qui est qui , e,n vrai et de fait, nous attend ou ous attendrait post-pré, post le pré des dooonnées tracées de type bêtes vives , et, le muret passé, mur aux données de rive, toucher, toucher grave et sans pleurer les données vives d'un Néné à lait, soit rempli de lait, lait acide, ou très légèrement acide mais sucré-salé, aimé, adulé. On veut téter de chez téter pareil "lait de rive". Qui sait ce que c'est que ce dit-lait aux données "riches" ? lait post-pré du Passé Donné, re-donné, au passage (ici) du muret dit "des finalités" et autres fins de pré. On veut toucher à ce néné des données riches.Tracer = cerner, et cerner = toucher. Dès lors : tr acer = toucgher ! toucher l'OR, la Belle REmise, l'Ombre ocre, l('ombre du Sort, l'HOMMEACCOLÉ couché ? la Mort ? 

oh, la mort ? 

mort en haut ? 

on trouverait bde fait la Mort... fond du tonneau ;;; en haut ? on cherche , on regarde, on va, on monte ! on ne se l asse pas de creuser paroi ! on entre ! On aime ça : le chyant de l'antre. On veut : 

dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire diredirediredire dire dire dire dired dire dire dire dire dire et du coup ; ...? percer ! percer de cherz prercer les données du Rire ou quelqaue chose de ce type on dirait de fait ! ivre ! ivre de chez ivre on veut ... toucher toucxher toucher à l'Hydre, ici consacré = adulée ! aimée de chez aimée du fait que l'hydre est ... "de toute beauté ivre"  ... vive l'hydre ! vive de chez vive l'hydre du pré ici deépassé ! vie post-pré = mort acculée ! On veut toucgher de chyez toucher à l'hydre, ainsi rencontrée, loa mort "passée" ... car, 

la mort ...

la mort a ...

une fin en soi, na !

voilà ! on sait ça !

on va ! 

on creuse là les données cde paroi !

on ne s'en lasse pas , on y croit ! on veut ça : croix de bois et a utres croix dites "des Voix ". Ch arge haute de typecP aroles = Paraboles. On est

 Hautes Fées de Roche, p)rêtes à chose, à comment, à aller direct , et sans traîner, vers ce tracé dit "du Néné à téter" la mort dépassée (une fois passée ou dépassée) . on veut toucher à ce néné des finalités ou dites "finalités" , et en avancer ! tracer ! tracer sur pré ! aller ! creuser ! chargerf ! dire et donner à ce nhéné de notre bouche ouverte toute prête ! téter ! boire le lait, en tant que Bébbé nhé ... dans la mort  allouée à, dès lors, une sorte de fée transformée, genre dépassé, genre ainsi effacé ! On veut toucher. On ne veiut pas traîner mais foncer. On veut toucher à ce Néné né .. des données Finales, voix de rage, Trait Nacré, Âme sarde (sage) des données frontales la mort d&épassée (ancrée). On aime aller "ensembke" (= ailée) vers ELLE ... Tracé-né, Vert de terre, XCharge Vraie, HERbe, Trait d'herbe ....? le Passé ainsi tracé / sillon -né ? pont de Roche N acré ? Pertte sèche et autres faits vrais (ou petits -faits vrais) ? qui sait ? car, en  vrai ... on aime ... silloner ! la terre , le pré, l'herbe, le Passé ! Qui le sxait en v  rai ? comment l'exp;iquer ? ciomment faire en vrai pour expliquer ici même ce qui est sur cette szorte de question en herbe ? comment faire pour donner, à ceux / celles qui aiment, un savoir de Roche tel que, pour le coup, on porte ... au cou ? on est ailées ! on est ailes ! elles-fées = ailes ! traits ! bêtes de trait ! tracé ! un tracé post mort naturelle = un traéit ! trait sur herbe ! terre saoulée, sillonnée, tracée , sur Roche de Tertre ! Sainte ! ON est /.... née sur pré la Fée "du Cimetière d'herbe" , ey on volette à la volette , sans tarder dès que passée ! On aime aller. On veut toucxher toucher toucher toucher toucher toucher topucher topucher toucher topucher à ce néné aux données "vertes". sans déconner . Sans traîner tu m'as cerné ! on aime : filer, cerner, comprendre, endurer, se poster, chercher, filer à l'anglaise, semer, concerner, troubler, chahuter, perdre sans perdre, toucher de fait au N2né duu Lait, ne pas succomber mais au contraire faire front, composer avec l'adversité  , se toucher, braire, allouer, à une Sommité, les traits de l'Herbe, le Passé est né (re-né) qui nous "regarde" faire on dirait. Yeux de Braise ? on veut toucher à ce néné post-pré afin de le téter et du coup cerbner, les données fermes, les données données de l'herbe verte ainsi broutée et du coup d igérées, transformée en Verbe aux Données en verve ! traéits des traits, frai, charge olé olé, prières, dons de craie, Herbe-Verbe comme avalé le hjour ouù, il semblerait, on est née ! non pas (encore = de nouveau) fée mais Bébé ! Bébé du VErbee-herbe à jalmais rtracé (le Verbe) sur la terre ferme ... qui sait ? on cherche ! on ne veut pas laisserr tomber.

On veut ensembvle cerner les données, afin de cdomposer , une sorte de Chant ... aux Herbes Vertes , un "trait de lumière" , une Absurdité peut-êtte lunaire on ne sait, on cherche ! on est peut-êtte mal léchées , mal éduquées, mal peignées, fée aux herbes rêches et autres pailles mal placées, qu'importe ! on monte. un tracé est un tracé. La roche "monte". Ça (on dirait ) monte. grave dans tous les cas. On voit ça que voilà (en vérité) la Roche est pente à ainsi remonter jusqu'au dit "néné" post muret  = post-fins de tracé. Alloué ! Néné né alloué à une fin de pré, ça le fait ! genre : trait, trait des trait post pré ! treait de fée traqueée ou sinon traquée poussée, poussée à tra verséer de fait, ce fameux muret dit "du cimetière" , on sourit ! on est AILES; AILES d'une fée en her be, trait d'elfe, un tracé d'herbe ou sorte de. On aime ! on veut. On veut cerner sans débander les données sommaires , rupestres, des finalitésq. Qui on est en cette herbe "aux fées" ... fée nous-même ! on sait, on aime, on va, on creuse, on veut toucher, chercher et cerner , et, de fait, se comme téleporter de l'Aiutre côté de ce "cimetièr aux herbes", et, là-bas, en cet autre côté des voies, chercher, chercher grave des données de Choix, Données Doctes ma Foi, toucher, aller, cerner La Roche, Le Néné de rOche (?) ... Envoi ! envoi ! en voi ! envoi de Roi / reine de l'Au-Delà ! sarde ! sarde-Roi de là, Reine sarde des Paroois ! sarde halte ! halte sarde ! sein né post pré comme à téter sarde ! téter sarde = donner = dire = passer = construiore = monter =chercher = centrer = porter = poser = donner à une Sommité (du genre : Gros Néné de Buffle, Buflette Nacrée) une sorte de... pensée ... pensée "remontée" ... haine ? pâs en vrzai mais ... sorte de pensée "verte" ... charge "verte" sur paroi de roche ainsi percée puis traversée sans la moindre anicroche si tant est ! fée des fées ! cherche-traîne (trai^ne ici allouée à une F2e de FeRme) ! le Passé re-né serait du Verbe d'herbe ! vérité succrée et vérité salée forment le Terme -né d'une sorte de Passé "indemne" re-né, la mort entérinée (actée sur pré-poème ?qui sait ?). on aime ce trait, le Passé -né . L'herbe"-verbe des données tr acées à même la terre, la paroi haute, le fond de Carosses, le Ponton du front. Tombe ? tombe donnée ? tombe haute ? basse tombe ? tombe des tombes ... et le tour est hjoué à jamais, pour ... l'ombre ... l'ombre-homme aux données de Roche ... homme qui laisse (ou perd) son ombre d'homme et ... monte .... transformé .... e,n ... deux femmes Hautes, hautesz femmes formant ailes ... d'une fée en herbe la paroi passée ! on le sait. on est montées. On est montée haute. On veut ou on voudrait en vrai aller sans trainer haut le pls possible en ce rocher des dites "traversées de poche". haute poche aux dooonées hautes. On veut toucher toucher toucher toucher toucher à ce néné klà-bas posté qui, pour le coup, nous attendrait "les bras croisés" comme quin dirairt; dieu des doonnées tracées ? Dieu -dé ? dé né ? dé ? dé lancé ? ,dé du dé ? dé-dieu -né post pré post parade ... ? duieu des Fées sur Passé ? dieu d'Ambre ? D!ieu Vieux ? DEieu des Dieux Vieux ? dieu alloué à une charade ? charade-p arade ? on veut ! on veut eux : les dieux de la Bande ! dieux-déesswses ensemble , trais de feu ! on veut ! aimer = dire. Chercher = conduire. Dire = toucher/ Toucher= cer ner. Cerner = comprendre , comprtendre ensembke , et faire-dire ce qui est, ici, qui nous "rassembke" en tant que cvoilà, on est Aile chacune d'une fée Lacustre ! de paroi. Ça charge ! charge et chante. Ça  envoie du bois. Ça trace ! On y va . On veut ça : la chance, la Nouba, la Fête ensemble, la Joie de paroi, le chant des Ombres à soi, la Voix ! ombre ! ombre à soi sur paroi de France (?) d'antre. On veut ça. une voie de choix, pour enfin ensembkle, aller grave, à dire-faire ici, ce qui donc nous intéresse ma foi, la charge ! poussée docte ! haute porte ! on est née fée la roche traversée ; à présent ... la porte ! les sentiments hauts sur paroi donnée comme à l'arrivée ! On monte . On veut ................................................. toucher tpucher toucher ........................ le ,néné post pré ...................... s ansz louvoyer ni traîner .................... :ais au contraire pistonner sans désemparer et tracer de fait, notre "sorte de" ..... "sillon des traînées" ............... traits sur pré .......... tracés nacrés et autres "tracées dfe fée" ........... car voilà , on est F2e des prés, fée docte, on monte, on veut grave aller, en haut, cerner , cerner de près, les dits "nénés" des données hautesx  .... diei d'eau ? porte haute et, derrière la porte, .. de l'eau ? lait  d'eau ? eaude lait en trop ? haute porte ouvrant sur (en qauelque sorte) une sorte de ... tonneau ?, tonneau de peau ? ombre sur tonneau ? haute mort aux vin nouveau  ? On monte haut à la recherche du niveau. On est F2e De roche sur (à présent) tonneau, rempli de ... flotte ? haute flotte ? lait de porte ? ..................... (crotte ?) .................................................................................................................................................................................................................................././....................................................................................................................................... on monte !  on veut aller haut. 

On a envie ensemble d'aller haut le plus possible parce que nous ; vfoilà, ce qu'on veut c'est ça, passé la roche, aller profond, vers ce genre en soi de donnée de porte. Uune sorte dee paroi des Rois. LOa chose haute qui nous voit . Nous verrait qui sait faéire la java ! on monte ! on est haute ! haute on est ! on montepost-pré sur une sorte de ... bosse ? sein nacré ? Chose galbée ? motte ? lait donné sucré-salé sembkle nous alimenter sans nous empoisonner ! riche donnée! On veut toucher , toucher de près, cerner, coller, faire exprès, téter de chez téter . On veut toucher toucher toucher toucher touycher touchezr toucher toucher toucher toucher à c  e néné des doonnées doctes s'il en est. Néné "de porte" sur post-pré ... qui serait .... cette sorte (ici) de ... plaine pleine, aux données .... "blêmes" ? On aime ! o,n veut creuser dans ces données pour y trouver ... eh bé de quooi ...

rassasier notre curiosité, si tannt est ! Et du coup cerner, en vrai, la Vérité des V2ritész, concernant .... la HAine = la mort ! cette sorte de Sort, vilain Sort, aux données blêmes ! on aime ? on aime ça ? On voit ce qu'on voit ! on ne se lasse pas ensemble de tracer et cher her à comprendre, ici,

la toundra, plaine salée, champ des voix, pararadis des voix. On monte . On est Hautes . Ailes de Porte. on monte hautes vers là-bas la Voie des voies = la Porte, donnant sur .... la voix ? voix des hautes Ombvres ? Voix des Rois et Reines des Voix .... voix de choix post pré de paroi ! On voit ça :

la plaine = la toundra

des arbres ici ou là, à moi,ns que ce ne soit des ... bois de bhêtes (cervfs ancrés et autres cerves allouées à une plaine)

feuilles d'herbe

traits sur traits de type sentiers

herbe à perte d'herbe

verbe saint ici accolé à une sorte de donnée en herbe = l'herbe ! traits ! fée du pré cherche en vrai la Scène ! qu'est-ce que c'est ou : qu'est-vce que ça pourrait être vu de près, que cette sorte de scène enjouée , de type "recherche de vérité" dans les termes ! traits données ! chants de fée ! craintes ! pertes ! sang donné post-pré ça le fait ! on veut (voudrait) rtoucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher à ce Néné post)-cimetière , qui, donc, serait THE Nénéb post-herbe, à savoir ... cdu Verbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh oh en vréi ? Verbe post -pré qui nous pour ainsi dire alimenterait à la façon d'un lait sucré-salé , de type  (hum) "bouillon" ? On chercvhe ! On veut trouver ici ou là (la mort comme archivée) eh bé ça .... la toundra ! grave la toundra ! la toundra des voix ! on veut ça, na ! toucher-trouver = dire-faire c'est un fait dont on ne peut pls se défaire ou se démarquer ! on est fait-faite ! homme des contrées pré-pré, devgient femmpes comme au débotté la paroi traversé, et trouve un pré ; le Pré , sur leqsuel des bêtes (de bon poids decharge) paissent ; va plus loin, monte et trace, et, fin de rage, trouve Voie d'accès comme à la parade en un dernier muret dit "des assonances " , et là ... cxharge ! charge que tu chargeras  ! va ! fonce ! creuse ma foi! ne s'arrête pas ou plus ! met son âme à nu et comme un fait exprès se retrouve ... cul nu (hé! ) de l'Autre Côté, Côté "RUE" , à chercher cherc her chercher, zur plaine au Lait, le Verbe Nacré ; Voix de Trait, VERBE D'HERBE , VERBE ALLOUÉ, VERBE CENTRÉ COMME QUI DIRAIT, VERBE-ELFE ON NE SAIT JAMAIS. ON A ENVIE D'AIMER CE VERBE DIT "NACRÉ" , DU FAIT QUE VOILÀ, LE VERBE EST DU LAIT OU COMME DU LAIT, IL DÉSALLTÈRE, NOURRIT BÉBÉ OU SON BÉBÉ, NE S'EN LAISSE PAS CONTER MAIS AIMEALLER, S'ANCRER, MISÈERE, EN CE BÉBÉ RE-NÉ SUR PASSÉ FRÈRE. On veut aimer ce Verbe Ailé ! verbe sanitaire ! on veut toucher à ici le trait du verbe tracéb ! chercher cher her chercher , à quoi ? à, ELLE, la toucher, l'herbe = le verbe = la voix ! voix des ROis/REines de l'au-delà de soi . La peine. La paroi. Le verbe . Les trois voies sobht là qui nous "atteignent" ! 

voie ! voie des rois ! voie des reines allègres ! on veut ça : faire faire, dire dire, donner de chez donner le dire, faire dire ici la chose "animalière" des parois de Roche. pont des portes. POrtes hautes. toundra. Cerf de Java. Cerfs rois de Sumatra. Cerves des Parois de porte ! haute roche vers là-basz, la Voie des Rois et REines de l'au-delà à soi, mort-ombre, ombre haute, mort haute, ombre haute, mort de l'ombre haute, voix ! on entend ça et du coup on monte aéu delà de soi  ................................../............... haute porte des parois de poche ........................ cohortte ............................. bêtes de poids en tant qu'hôtes .................hotesses accortes ........................ beêtes dee roche accortes et hautesc.......././......... une voie vers l'au-delà ......................... la porte ................ l;'ombre ............... l'ambre ................. l'orme ......../.... la tombe ............... la voie haute vers "l'au-delà à la tombe" = la voix ! ....................................... voix d'un roi / reine de là ....................... porte haute post envoi ..... post-paroi , post-pré animalier, post-teracé de près , trait de fée, post-herbe ................................Un verbe est né dont le nom est "LAIT" on le sait ! lait aciduylé comme s'il en pleuvait  : en pleut-il ? on ne sait ! on veut toucher toucher toucher à ce néné desvoies pour ainsi dire nominales et autres contrées post-parade animale. Peut-on ainsi cerner ? toucher Néné et du coup cerner ? cerner de près ledit Néné ... des Causes Frontales ? qu'est-ce que c'est que ce Pont ? et, qu'est-ce que c'est que cette chose ronde ? Qu'est-ce que c'rst que cette chose ronde ... post-pré ? sein docte ? haute chose ronde ? néné né la porte passée ? sein de ROche / poche sur plaine allouée à une sorte de .... chant sacré ? On cherche. On a ernvie c'sset vrai ensembvle de plus loin toujours allerpour trouver-toucher , ce qui est , ce qui ici se présente ou se présenterait, en ces contrées "finales" mais est-cve vrai ? sont-elles en bvrai finales -terminales ? sont-elles fin de pré ? sont-elles (ces contrées "immenses") des finaliktés ... ou ça recommen,ce ? le néné, le bébé, la tétée .... .? comme en 40 ... qui s ait ? on voudrait comprendre et pour compre,ndre comment de fait se comporter ensemble ainsi accollées (= fée) ?, sommes-nous fée encore en ces contrées  ? sommes-nous transformée ? sommes-nous de fait changée , en une sorte de bébé loué ? come adulé ? On ne sait en vrai mais oui, on va, on monte, on court, on vole, on ne s'arrête pas de chercher ici ou là , ce qui semble nous intéresser et nous regarder au plus près, cvomme qui dirait. A savoir : le SA voir ! La rage". Le trait. L'Antre ainsi trouvé . La porte sur Néné qui sezrait à nous donner de son Verbe"-Lait tout acidulé comme s'il en pleuvait. On veut toucher à ce Néné des Ombres ! toucher toucher à ce Néné ! à ce Néné né ! le toucher le toucher ! toucher en vréi à ce dit "néné" alloué à une plaine toute formée, qui est plaine au lait, lait de cxhèvre, lait de fée, vache à lait, bufflette nacrée, bise au taquet, ourse polaire. On veut aimùezr ! etre et tracer ! charger, de toute sa colère sur pied , pareils nénés afin de les téter sans plus tarder et s'en délecter sans plus de contreaintes ! téter , téter, téter, téter post-cimetière .... eh bé oui, pour ainsi dire, le Passé ! passé dit "fde roche". Trait des F2es Hautes ! la Fée Hhaute ainsi transformée en une sorte de Bébé de POche post-pré et autres traits sur herbe hautes. On monte. On monte haute ........................ vfée des Fées ............................... tétons téton ! ............................... de la Mort Haute ...................... l:a mort haute est téton ......................... haute Mort = Téton docte .................. mort haute = haute CHose ... à téton, de type  ..... SEin docte ! ............ néné né post porte ! laCHose dite "à lait" = allée ! , qui xait ? On cherche à cerner -toucher ! on veut toucher-cerner. Dire et faire. Traverser. CReuser et aller, post-cimetière, à la rencvontre des "Données en herbe" = VERBE ! BVERBE VNACRÉ ! TRACÉ NÉ SUR PLAINE ALERTE! VRai tracé post-cimetière = verbe , voix, voix de choix . On veut : 

dire dire

faire faire

être être

combler combler

chargerv charger

tomber tomber

comprtendre comprendre 

cerner cerner

toucher troucher toucher toucher

aller aller aller aller 

cerner-dire et toucher-coller

et monter ! grave monter ! haut aller ! vers ce lait haut des doonées post-pré comme on en voudrait sans jamais se lasser ! On veut, grave (là ! post paroi, post post paroi) téter Néné ! le (sans arrêt) téter de chez téter et du coup eh bé oui (pas obligé en vrai) aimer ! oaimer téter le Néné en Vie (dans la mort outrée!. Le , grave, téter de chrz téter. Aimer aimer aimezr aimer, téter ce  néné dees données de vie (dans la mort gravée ! on croit rêver !)./; vie haute .... après la (dite) mort-ombre ! on envoie !On monte. On veut ça et ça : la hjoie et l;a Foi ! Paroles hautes et joie des joies. On aime ça. on veut toucher à ce qui donc ici, de fait , sortirait en hjoie ...son néné sucré , et vas-y de nous donner , de ce fait, cde quoi grave téter de chez téter sans se gh^-ener . on voit ça. on tète là, sur terttre. Sur motte-joie, crête, monts des voies, Hauteur Ronde. On monte ! tétons droit ! montons donc, téter Roi /Reine de saba, ça envoie ! ça nourrit son Soi ! c'st folie haute ! On voit ! On tète ça, la Voix ... verbeau -delà ...... au-delà de la Paroi ................................................................./..//////./.............................................................................................V ERBE_VOIX ./.................................................................... VERBE DES VOIX .........?..?.?.?.......................... HERBE DE TOUNDRRA .../........................... OUI ÇA ENVOIE ET PAS POUR DE RIRE, ÇA ;; ............................. LOIN DE LÀ ............................ÇA ENVOIE DES MASSES ET VOILÀ .................... POST PAROI, POST PRÉ , POST, DE NOUVEAU, PAROI ... MA FOI ............................ trait haut sur plzaine du pô ; ............................... poteau ........?..........................  v  erbe-animaux ? ........................................................ on monte ! on veut aller haiut.. On veut toucher au plus haut niveau les choses doctes , toucher -treacer, cerner -configurer , et du coup en avancer , de base, dans les connaissances concernant la Frange, cette sorte de donnée de rage,  tracé-né comme à la retombée la mort à soi donnée par ... on ne sait ! on est ... idiot/ idiote comme ses pieds, idiote/idiopt comme des sot et sottes ! drôle ? pas trop ! on veut le Niveau ! etre grave au niveau du lot ! pas forcément idiot / idiote , mais ;... pltôt ... fortes ! fortes en ces questions de porte, de passage haut, de tracé haut, de porte docte, de plaine accorte et autress champ aux données doctes accortes ! on veut :

toucher-dire et dire toucher, faire-aller et aller-faire, cerner-poser et poser-cerner, et du cfoup , tracer !!!!!!!!!!!!! sur pieds, les bêtes de trait qui touteszc, il wsemblerait, cherchent ou chercheraient à nous amadouer,  nous approcher, nous aimer, nous comp^rendre, nous prendre, nous tenir à leurs cvôtés et nbous mater en tant qu'on serait, qui sait ? leurs sembvlables et ça se pourrait car, en  vrai, on se ressembkle, on est pas en reste de se ressemvker, on entre ! on entre ensembkle ! on veut toucher à ce néné des Assonances et autres connivences post-pré ! romance ? il se pourrait ! chance ? à jamais ! transe ? acidulée ! danse de quartier ? ça le fait sans frais ! c'est une sorte de

 Passé de 🫐 branche ! 

traits traits traits passés  ! traits du passé wserait comme re-nés, au passage du trait ! alloué ! fait ! entériné ! on le voulait ? eh bé ma foi voilà, la chose est tracée , qui nous renvoie, comme qui dirait, une sorte de chemin de croix dans le domaine de la foi et des croyances en l'au-delà ! car, voilà, on y croit , on voit ce qu'on voit, et ce qu'on voit c'est ça : la chance ! parade ! tralala de contrebande ! ça envoie du bois dès que le Verbe est là, qui trace-bande sa bande de voix . Chaerge astrale. Pets de rage . Croix de bois sur place. Chyrists donnés de base et la chose est (dira-t-on ) classée, pour une éternité ... mais est-ce vrai ? doit-on charger , xsaigner, percer, chercher à creuser, à passer, à traverser encore .. la CJHose ? le ... passé post-porte ? encore ? 

on voit ce qu'on voit, et ce qu'on voit ressemble à cette chose d'une sorte de .... porte des portes ? on entre ! on veut toucher aux seins de RAge, téter ! téter grave ! sans traîner ! téter de fait le néné de france = le français = le lait ? ça se pourrait ! ça se pourrait en vrai que le français (la langue) soit du lait = sucré /salé comme le lait de contrebande post-muret ! du verbe (du lait ?) à jamais ? quyi le sait ? qui sait en v  rai ce qu'il en est de ce dit Verbe des Vooies lactées ! des voies "aériennes" ("aérées" ?) qui (semble-t-il, ou semblerait-il) nous gouvernent ...  qsui le sa&it de fait ? On cherche ! on creuse sur pré puis au-delà du pré .. le .../. tertre ? le Sommet ? Dune traquée ? On cherche. On ne veut pas laissser tomber mais tout au contraire essayer au plus près de nous raaprocxher ensemble (ailée) de ce tracé Verbal des termes, et autres mots de force dits Ancrés comme à tout jamais " (est)--ce vrai ? ) . On pousse fort. On veut passer, retrouver le Passé . Chercher à se glisser / faufiler entre x données de type Denrées (?) = baies ? On veut creuser et pour creuser il (nous) faut traverser (à jamais ?) la contrée post-pré , à savoir ce champs ici alloué à x bêtesde traits qui sont soeurs de lait, peut-^tre, mais ... le lait ... le lait du Néné ...... le lait en herbe verte genre Verbe ..... eh bé ce VErbe est .... plus loin ..... post-pré on le sait ......./.. hors giron du pré aux bêtes de trait ........ au-delà du muret ......... on veut trouver !  ...........................................dire dire dire; creuser creuser creuser; faire faire faire ; aller aller aller, et ne plus nous retourner de fait vers des bêtes de trait de par(oi de roche, les "abandonner", les laissr  entre elles superposées, traits sur traits , pour mieux nous enfoncer en ce poçst-pré de type "plaine pleine" ... tertre ............... tertre acidulé ........................... tertre de traite ........................ LAIT LAIT LZIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAOT LAIT LAOT LAIOTB LAIT LAIOT LAIOT LAIOT LAIT LAIOT LAIT LAIOT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT D'HERBE SI JAMAIS = VERBE ! TRAITS ! FAITS ! DONNÉES ! SAINTETÉS COME ANCRÉES EN DU VERBE NACRÉ, NACRÉ COMME DU LAIT , LAIT POST-PRÉ = VERBE, SUR PASSÉ DE TERTRE ! Herbe-Verbe = Faits de fée, commr qui dirai. Est-ce vrai de chez vrai ? on peut en doouter... et cependant .... on y croit ferme ! c'est ancré ! on ne peut y couper ! le Verbe (en n  ous ) est ancréà jamais et ne pourra jamais être oublié ou écarté, même dans l'adversité, par eexmpmple de la mort à l'oeuvre ! verve-herbe est né à jamais, sur terre (?) et dans les cieux(?), en tant que ... colère des Dieux mon vieux ! sanitaire salutaire surnuméraire sumérioenne chahutée donnée d'une sorte de ... fenêtre comme treacée à même une sorte de muret de prêche !  On  cherche ! On veut ..... eh bien ....... creuser La Chose ....... creuser creuser creuser ............ non pas tombe mais, en vrai, POrte ! porte Haute, par où (nous) passer , et pouvopir nous transporter (ailée) de l'autre côté,,côté post-pré, afin de regarder, mirer, ce qui est qui de fait wserait comme donné , offert à visionner, mater de chez mater. On veut mater !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on adore mater !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut grave mater !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ne plus s'arrêter en vrai d'ici mater les choses données ou comme donnés, de type : voies d'accès, argbres de fée", craies, tracés sur pieds, dons posés comme offrrandes (ailleurs ) à Déités, traits ddes traits ;.............. on veut toucher à ce Néné de l'au-delà du pré ...... Néné né dans le Passé on dirait. Est-ce vrai ? est-ce vraiment vrai ? p)eut-on se fier à c  e qui il semblerait nous apparr'aît, les doonnézes s'affichant sous nos yeux tout éberlués , tout sidérés? Peut-on croire en ces données "montantes" ? IOn veut (c'st sûr) toucher de chez toucher les données sûres si tant est ! Ne pas (s'il vous plaît) passer à côté m ais affiner de chz affiner, notre (sorte de) cfomprenure. Qu'est-ce qui est en vrai de tous ces couplets ? qu'est-ce qu'on peut garder ? qu'est)-ce q'on peut décemment enregistrer, adopter, emmagasinner ? que peut)-on conserver de cet ensemble de données allouées à une sorte de "paroi grotesque" ? Des voix ? Mots de tête ? chants celtes ? voix des Rois et Reine de la Voie post-herbe ? quoi ? on ne sait  as. on est ;"bêtes". On voit mais ... on ne sait pas vraiment ensemble ce qu'ion voit ! on est ultrza-bêtes , on vole bas. On ne voit pas loin au loin, là-bas, les données de RAge, l'antre, les embruns de Nacre, ..... quoi ? Nouba ? cha cha cha ? ça danse ? transe ? on voit quoi ? on voit /... la panse ! Roi et REine en place ! panse-Foie ! trait de voie ! trait des traits vers un au-delà qui , de fait, nous envoie parfois .... des messages de joie ? lait des voies ? laits sucréss de l'au-delà ? On voit ! on absorbe ! on avale grave : lait de joie ! lait post-pré des données des pklaines et autres toundra ! 

PASSÉ DIT "ACTÉ", PASSÉ DIT "POST-PRÉ", PASSÉ DIT "DES PASSÉS", PASSÉ COMME DÉTERRÉ ET ÇA LE FAIT OU LE FERAIT. Qui on est ? on est le bébé ! qui en vrai on est ? on est le bébé du trait lacté ! qui en vrai on est ? on eswt ici (post pré) le bébé dit

 "des vies lactées et autres traits du passé passé" ! On re-naît à la vie passée ! on revient aux nénés ! au lait de bonne mère ! au travcé dit "acidulé", mi sucré, mi salé comme qui dirait , et ce .... via le Verbe ! verbe d'hherbe ! verbe en herbe ! verbe vieux si on veut et c"pendant en herbe (continuellement pour aionsi dire) car, éternellement re-naissant, de par son être "enfant" ! verbe-en-herbe des parents, des prêtresz, des "hommes-femmes" de tête. Verbe-êttre aux traits "chyarmants" ... à la revoyure ! On cherche monture ! passé né ! passé des passés enfin retrouvées ! on va, vive allure, tracer ! on , vive allure, allons ! montons ! essayons ensemble de  cerner-com^prendre, ici, tout un ensemble de "raisons de roche", ce qu'elles sont, ce à qiouoi (de fait) elles se rapportent, ce qu'elles comportent ou comporteraient en termes de raisons à certyai,nes données qui sont celles de nos vies ancrées , ou seraient. qiui connaît les mots du fond ? qui cherche à en vrai toucher de front ; cxes donc dites dfonnées ici allouées à une sorte de treacé des prés ... post-pré ? soit .. ancrées à une sorte de plaine étirée jusqu'aux ... nénész vrais ? On ne sait ! on est nées Fées à la traversée (une fois morts /mortes) et du coup transformé(e)s de force , mais voilà .... la mort comme "traversée" , ou , comment, "dépassée", nous voilà ........... redevenue enfant , fée devenue faon, enfant, Bébé -né, post-pré si ça se pourrait, au passé ! grave c''est vrai ! Verbe aidant ! carvoilà : le VErbe est là, ma foi,, qui nous entraîne en ses filets et nous pousse à entrer, nous infiulttrer, nous ancrer, nous placer, nouqs donner et nous monter de roche ! traits donnés sur poche aux fées ! creuset ! coque d'homme / femme traquées , o,n sait ! on monte ! ..................................... on veut monter ........... on veut toucher ......... néné ........... néné né ....../......... néné né au passé ............................ néné des nénés ............... treaits des fés en vrai passés ......................................................... on veut toucher à ce néné de l'ombre (de la mort cxachée : qui c'est ?) .........../................. toucher de chyez toucher à ce néné né ( de la mort cachée, mais en vrai : esty-elle invitée ? hôte ? grosse ? forte ? lait des laits ?) .... On monte ! ..................../....... on v  eut monter monter monter ... hzaut monter de cvhez haut ................... monter haut de chez haut .............. haut de chez haut sans céder ni rétrograder ............... vcoler voler ............ voletter ............/ voletter de chez voletter .............................. tr acer tracer tracer , de fait,  notre ( supposée) destinée de fée toute transformée ...................................... en bébé re-né ! .............................................filer ! ...................voler ! ............. pistonner , tracer, ne plus nous arrêter et du coup treacer sans tergiverser lme trait dit "des fées" jusqu'aux nénés nés  (de la mort pouussé"e jusqu'au plus près de ce qu'elle est !) ...................... pousseeer poussser poussser .......................... la porte des données ou aux données .......... creuser de chez creuser, la roche, le pré, l'ultime roche,; et du coup, post-pré, trouver .... eh bé le N2né, néné à téter, à téter sans tréîner, jusqu'aà  plus s oif si tant est , afin de se rassasier et du coup : renaître ! être ! faire ! chercher ! coçller ! dire ! cerner en vrai les contoursc du Verbe (aéinsi exploré) de la mort à naître ! trait des traits aciduléexss sur tertre ! motte d'herbe ! Verbe-herbe au taquet, et les vaches seronht§ bien gartdées on dirait ! On est née Verbe d'herbe dans la mort allouée à une sorte de contrée post -preé, de type plaine, plaine immense genre Antre , Antre aux Transes ! FRance ? le français (la langue ?) ? qyui sait ! on entre ! ./.................................................. fée de france ? ........................ le français langue de la transex ?????????????????????????? à jamais ? .............//....................................... on peut rêver ! ?................. on veut coller , toucher , cerner, aller, faire et portezr, ici (ailée) la parole haute d'une sorte de .... néné de POche ! ROme ? rome ailée ? la roche Passée ? trait des traits et bnous voilà comme "recomposée" ... bébé ! bébé ! bébé docte ! bébé des bébés doctes ! haute porte enfin passée nous voici doctes ! bébé docte ! trait des traits sur passé outré ! come re-soulevé ! re-tracé ! re-re-tout à jamais ! éternité ! bébé né sur pied pour une éternité dee Verbve Alloué ... par charité ! le pied ! l'ombre portée ! Chose ancrée ! frai ! trait nacré ! sonde allouée à une VFérité postée comme à l'arrachée et nous voi:là re-né devant la porte, touché ! On veut :

creuser

donner

pondre

toucher

cerner

poser

connaîotre du Verbe les données ancrées qui, de fait, pourraient s'avérer , en vrai, super de chez superrutiles , si tant est, pour en avancer, grave, dans les connaissances . a savoir : en cette chose d'un savoir Iùmmense , concernant l a Voie, la Voie de Passage, le trait  , trait orné par où , obn pouurrait peutêytre (ailée ?) passzrr à tout jamais et du coup co nnéaitre de plus près ce qui est qui en vrai seraéit (qui sait ?) à noius attendre de pied ferme (?) de l'autre côté , cvôté néné, néné en herbe, néné dit "du verbe  et des données ancrées ", néné né à la retombée , à moins qu'il ne s'agisse de néné ancré en cegtte "roche ultime des données" ici treaversée , post-pré, post-herbe, post-bêtes de trait, sur plaine, plaine -immensité, plaine à pertte de tracés ... plzine pleine de données qui (qui sait  ?) seraient lavctées comme (comme qui dirait) la voie céleste, en ces révolutions agraires et autres circonvoluctions rupewstres chahutées. Traits.

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28/1/2025

on cherche = on furète ! On veut svp cerner les données de ce qui se présente sous nos yeux de fées allouées à une sorte de rotonde aux bêtes de trait et autres bêtes dites "des tracés sur herbe broutée". qui on est ? Fée des Fées sur pré "de Roche" ! hop ! on monte ! on grimpe sur Roche au plius haut niveau des nivgeaux ! Hop ! montons fort ! alloons ! traçons de chez traçons ! filons , creusons, traçons fort notre sillon ! On est Bêtes-Fée de somme, hop ! on monte ! Ailées en vrai ! on est les fées pour ainsi dire des données de Roche, et du coup, on monte, on cherche ensemble à  oui, du coup, monter, monter sans plusz attendre et à nous poster ... au plus près il semblerait de ce muret dit "des finalitées" qui, de fait, est ce muret qu'on peut ou qu'on pourra trouver ... tout au bout de cette sorte de rotonde aux gnous, aux buffles oufs, aux antilopres des antipodes et autres betes de paroi de Grotte, s'il en est. On cherche, vaille que vaille, à comprendre ensemble ce qui est ici qui semble on dirait vouloir nous parler mzais est-ce que c'set vrai ? on cherche à ici nous rapprocher de ce muret qu'on dit ou dirait "des finalitésés" et une fois, ainsi, sises à son côté ou à ses côtés, eh bé ça : toucher ! Car, nous, on a vraiment envie et pâs qu'iun peu, "d'y aller", c'est-à-dire de toucher de chez toucher à ce muret fiinal, à ce muret d'enceinte terminal, à ceztte sorte de muraille à, de fait, traverser ... fissa ? pourquoio pas ? et du coup "passer" comme ailes de Fée qui s'infiltreraient accolées à travers telle anfractuosité tracée à cet effet. On tente ! on entre ! On veut comprendre ça veut dire ça, qu'on veut (en vrai) traverser, conjointement et sans traiîner, cette sorte de muret dit "des convenances " , on ne sait pourquoi. On entree = on pasqse. On veut passer et pas trépasser ou ... oui , trépassr ? ça m'étonnerait. OEn tant que Fée on veut passer,  ici, ce muret, mais sans trépasser ! On nveut tracer mais sans succomber. Notre ambition ou notre but ou même notre envie ici, est de pour ainsi dire treaverser ledit muret ("des finalité"s) mais, en vrai, sans trépasser, sans succcomber. On a super envie  de pour le coup pouvoir ensemble, en vie, tracer soit continuer sur notre lancée et du coup en avancer le plus possible dans les connaissances ditesc "frontales". On veut (on voudriat) comprendre, les Données Dernières = ce qui est (qui trône) en ces antresb (ou fossés) hors pré, hors prairie céleste au x bêtes de trait et autres bêtes néanderrtaliennes. On veut ... ehh bien, cette chose : toucher, Les Nénés à Lait. C'est-à-dire creuser, foncer, pousser, chercher loin ensemble accolées les données profondes qui, en vrai, pourraient nous renseigner sur ce qui est ici, en Roche, des finalités teles qu'évoquées. On a envie ensembke de toucher à des choses nouvelles qui, de fait, pourraient grave nouys placer sur de nouvelles pisztes jamaisb à ce jour encore emprunjtées. Et pour cela, le plus simple, le voilà /: tracer ! creuser ! filer ! ne jamais si possible s'arrêter où qu'on nsoit placées, car voilà, on rentre ! on entre en cette sorte de Paroi du bout du monde et là, ob-n tente "une approcxhe Haute" , genre : contrôlr, genre contrôle des Normes ! On veut tracer et contrôler = mater. On veiut = on voudrait, mater mater mater au plus haut niveau et du coup eessayer de pour le coup se rapprocher un tantinet de cette Vérité dite ... "des Trous". car, que sait-on des trous ? que savons-nous concrètement des TRous,  tesls qu'on peut peut-^tre en trouver tracdés ou dessinées le Muret passé ? On ne sait rien ou pas grand-chose. On a&imerait enh  vrai s'y connaître mieux ou un peu mieux. On voudrait cerner au mieux nou!s deux, les données qui sont comme "exposées" de laAutre côté de ce muret dont on ne fait que p arler en particulier , mais qui en vrai est ce même muret déjà rencontré "de l'autre côt"é" quand on est rentrées en cette sorte de jardin des Fées . Mur rond des Zones Allouées aux Betesc du front . On connaît. On trace. ON regarde. On cher che. ON creuse. Ici le but (avoué) est de treacer profond son propre silloon. DEe creuser en vrai que tru creuseras ton ^propre pour le coup sillon de HJoie, creuser profond son prpopre silloon ... jusqu'au Front = ce muret des bas-fonds, des données profondes hautes. Et ......... regarderv +++++++++++++++++++++++++/+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ au plus près de ces Nénés dont on ne sait en vraéi pas grand-chose hormis cette histroire de Lait. Car, à qui sont cesz nénés ? à qiui appartientent en  vrai ces Nénés tels que rencontrés eh bé oui, le muret passé ou traversé. ? On mate ! A qui donc ces seins dits "de Mère" appartienhent -ils qu'on ne connaitrait pas ou qu'on ne connaotrait ni d'Eve ni d'Adam ? à peut-tre une sorte d'entité "imberbe" ? à une Autree F2e Souveraine ? la Reine ? L'abaielle-fée Reine ? loa Belle Reine des Contrées Absolues Finales ? à qui ces seins-nénés ^peuvent-ils donc appartenir qu'on ne connaîtrait, qu'on devooinerait peiut-être mais qu'on en vrai ne conaîtrait ni d'Eve ni d'aADm ? à une sirène ? à une Fille -Elfe ? à un Homme-tronc ? sorte de Front ? on cherche ! on a pas fini, en vrai, de cxhercher et de creuser mais bpeu importe car, en vérité, on aime creuser, chercher, fouiller comme des furets, ici ou là la terre, la paroi, le tertre, les données de Roche et autres  sortes de renseignements existentiels de première. On aime. On aime fort creuser ensemble ce tracé donné (comme par la bande) et trouver si jamais un certain nombre de renseignements peut-êtte premiers , peut-^tre primitifs ou sinon primitifs ancrés au plus profond des données terrestres . On est Fée d'Herbe, Fée des prés, on ne cesse de voleter à la recherche de données en herbe (ou pas) pouvant si possible nous (grave) renseigner de plus près sur ce qui est qui existe la mort pour ainsi dire "traversée". par exemple , eh bé oui : ces Nénés dits "de contrebande" .... lait de vie ! charge ! fente !fente ! Trait de vie szur paroi finale ! On e,tre ! on est nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! de chez Nées ! On est rentrées comme en biais mais quand même entrées. On le vouylait, on pourra dire que c'est fait ! On voulait tracer ensemble ici ce trait d'une sorte de ... passé de Branche(?) , eh bé voilà, considérons mla chhose comme entérinée, ou actée . Allons creuser ensemble ce fameux Néné = teter ! Car, creuser = téter, en ces contrées des zones profondes. Nées = Passées. Car, on est nées sur pré (fée) nous voilà comme re-née hors pré (Néné ?) . On veut toucher à ce qui se présente ici (ici même) sous nos yeux. Qu'est-ce que ça peut être ? on cherche à deucx (deux ailes) à nous (pour le coup) rapprocher, le plus qu'on peut, de cette sorte de zone dernière qui est zone des tracés hors pré. Qui on est en cette contrée ? encore Fée ? bête de trait ? bêtes de trait ... au pluriel ? fée des TRaits ? ou alors ... tout autee chose .... une sorte de ..... Bébé d'Or ?  Bébé des Bébés ? On est la F2e du pré qui veut passer à travers ce muret ou dernier muret direction la Roche, soit la Roche Ultime aux doonnées Vives. Un bébé... eh bé qui sait, ça se pourrait ! On ne sait ce qu'on est la mort passée. On ne sa&it pazs en vrai ce qu'on devient une fdois morte et enterrée pour ainsi parler. qu'est-ce qu'on devient ? qu'est)ce qu'on fait ? nque faisonsz-nous le Muret des Finalités (hors rotonde) u ne fois passé ? Peut-être ... pitié ? faisons-nous pitié ? faisons-nous réellement pitié le muret une fois tracversé ? faisons nous pitié de fait ? tétonsz-nous ? sommes-nous en train de téter , de téter au frais ? de téter au chaud ? chaud les Animaux ? On cherche. On creuse nptre pensée. L'important (le tout) est de creuser sans discontinuer à travers les prés une sorte de sxentier qui pourrait éventuellement nous amener au plus profond des données de Roche, genre "connaissances des bas-fonds et autres fonds des Roches Hautes". On monte . C'est-à-dire que voilà, en creusant (bizaremment) on monte . On va haut. On veut toucher ensemble à ce Niveau, le plus Haut qui se puisse atteindre et là mater, mater grave,= observer, nhe rie,n léisser passer , mirer, mirer grave les Nénés si tant est et aussi (sait-on jamais) tout ce qui autour ou à côté, aux alentours de ces nénés, pourrait évezntuellement trouver à s'y trouver, genre ... tracé .... tracé-filament .... trait ..... trait ourlé ....... treait des traits ourlées ..... trait des traits ...... trait orné de nouveaux traits ourlés .... ourléscpar paeut-êtte d'autres fées ... ou qui ou qu'est-ce .... qyui seraient déjà passées et donc auraient treacé des traits dits "de Tresse" " .... tresses ourlées, gravées ..... tresses de fée ? on ne sait ..... tresse-graisse ....... tresse de graissse ....... tresse ddes tresses de graissse et autres tressesv ici ourlées par peut-^tee d'autres fées que nous qui (auteefois ?) seraient venues, ici même, pour connaître par le menu les données post-herbe telloes que nous mêmes aujourd'hui même on aime ! on ma te ! on regarde ! on cherche à comprendre. Qui on est ? celles post )-pré ici passées comme par contrebande en ce muret des données Dernières d'Antre. Fée. On est F2E. Fée des prés puis hors du pré .... bébé ? on ne xsait! on cherche à cerner. A si possible essayer de toucher à quelque chose qui pourrait ici de près ou de loin ressembler à une chose ... ourlée ? genre quoi ? Oreille de Roi ? oreillette de PAroi ? oreillette de REIne et Roo des Fois , foi dans l'ombre ou foi en cette chose dont le nom est "Ombre" ? On est la F2e Dite 3Souveraiene, souveraine-souterraine, on creuse ! ma foi on creuse ! on ne se lasse pas de toujours et encore creuser de cette roche des données ou aux données "de poche" , soit "de gonfle". On monte. On monte Haut Les Anim aux . On creuse-monte haut. On vfeut toucher à ces données de Roche Haute, et tracer, creuser, dire et donner. On est nées Fée à la traversée du premier muret (ou disons du premierr) puis bnous voilà qui sommes allées ici au plus lointain, hors pré, les ailes déployées, pour essayer (en vain ?) de cerner au plus près les données des Rêves , des Songes Ourlés (?), des Termes Certains, des Vérités telles que, peut-êztre ou en vrai, espéréesz . s oit recherchées. On veut toucher ! Qui pour nous aider ? c'est vrai que nous ce qu'on aimerait en vrai le plus, ce serait peut-^tre de pouvoir connaître (un de ces quatre) une sorte de  Vrai Parade, Vraie Tracé ou autres FVérités de Charge. qui connaît ce genre de données en France ? en France ou hors de France, la question n'st pas de la France, .... du français ?, ah ! voilà ! la question, ici ou là, est peut-être liée de fait, à une langue (une langue p arlée) en particukloer, et du coup, ici, le Français (la France on s'en branle!). On voit. On voit ce Ro , ce Roi des ROis, Reine de SAb on voit. On mate gr ave Roi , Reine de là ou de l('au-delà. Roi et REine Reines. roi reine et Reine Reine : ça ! On voit. on ne traîne pas mais tot le contraire , on file droit ! charge souveraieane , trait des Fées sur Pré allouée à une sorte de ... cimetière ... des Données " ? on ne sait ce qui est en vrai mais on est accolées comme qui dirait pour en vrai cherc her chercher cher cher sans désemparer, un chemin non de traîne mais de type VFOIE , Voie aute, VOIe de ROche GHAUTE , VOIE DES VOIES Et là, eh bien .... l'emprunter compme à jamais sans désemparer ou discontinuer car voilà, on aime. On aime voler, marcher, cerner, filer, ne pas nous arrêter mais toujours aller. On adore aller. on ne veut âs traîner mais fissa aller,; sans nbous retourner, vers ce dit "Néné des Fées" (?) ... qui sait ? On monte. On creuse Roche. ON veut toucher à cette Chose d'une sorte de ... mont, Des Hautes Sphères SOuveraibnes. La .... ici .... mort BELLE ...... Mort Haute ..... hyautte mort des données "rondes". Quoi est-ce en somme ? une motte ? une sorte de motte haute ? haut niveau de roche ? ou .... caniveau haut ? haut canivrzeau ? On veut ................................................................................................ toucher en vrai au plus près ce qui pourrait êztre en ce lieu dernier ou dit "dernier", il semblerait, ey pour cela , le mieux, c'est de se rapprocher le plus possibvle de ce muret aux données tracées, de mater de près, de ne rie,n lmaisser de côté mais au contraire tout, ou le plus possibvle, repérer , tenir, conserver, mater de chez mater, essayer de "relever" et du coup cerner soit situer, ce'rner = situer, etc. on cherche ça : la Chance ! On y va ! on cherche, en transe, ça : la Chance Des Voix ! on veut comprendre et du coup voilà : on creuse-trace le T6racé des Chances. On envoie ! on veut cerner (les Choses de Roche) au plus serré. On ne veut pas laisser pisser. On veut :

creuser de chez creuser la roche aux données profoneddss, 

dire de chez dire ce qui est en cette roche Haute

faire de chez faire tous les relevés , et les noter par le menu sur roche nue

coller de chez coller à ce Néné su braepticement rencontré on dirait tandis qu'on creusait ou disons qu'on cherchait ou rechercvhait des choses à se pour ainsi dire mettre sous la dent, grignoter , toucher exprès, essayer de "goûter" au plus près = commpe qui dirait une sorte de "lait de jouvence" ... trait ? trait de lait ? treait lacté sorti d'un Néné post-pré ? on est montéesz et on s'est retrouvées  accolées, comme Fée de Bosse. Bosse H aute. On estb montées de chez montées et on s'est retrouvées de fait a&insi accolées à une sorte de Muret des Roches Allouées à une sqorte de Roto nde des Données Profondes et autres Bêtes dites "hautes" , type Bisons, Bidsonnes, Buffles-Poorc,  Hommed'Ombre, Corps MOrt. On monte ! On veut ensemble situer ou pouvoir situer un  certain n ombre de données hautes, telles que par exemple celles concernaént le Vzent, Pet de Nonne, Ombre . On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce Néné "raccord" . Plaie ? ou non : trait ? trait olé olé ? ou non : trait de fée siur le Passé ? mais comment en vrai cette Choseb ? on cherche encore. On ne lâche rien. On a envvie encore de toucghezr à ce qui est en termes de données (primzaires) lointaines (hautes) . Monter = toucher à ce genre en vrai, de Néné des Termes .... en français ? peut-^tre ! Peut-être en français car ici le fran;çais est terme! trait ! trait de fée. On cherche ! On veut toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher à ce Néné post-cimetière dont le treacé sezrait "du terme", "du terme français" en ce quyi nous concerne mais aillezrs , de fait, ça sera en anglais, ou en latin, ou en chinois, ou en bengali ou autre langues rencontrées incidemment le mur traversé. On est nées Françaises de trait, nous voilà traçant ainsi sentier en cettez langue du Français de serre. On est nées Fées sur terre allouée à du Français, en termes de termes. termes vrais. on aime ... ou pas, mais la langue en soi est incrustée, qui jamaiçs pour ainsi dire ne peut disparaître ! c'est ancré ! à jamais ! comme du lait ! ça pèse ! ça envoie ! c'st là come une sorte de misaine, trait des Rois-Reines des Données Anciennes post-paroi et même au-delà, ma foi. car, O,  n aiome la Foi ! on veut ça ! termes d'elfe. Creux des Voix. Choisx de Roi. pertes sèches ici ou là mais voilà, on ne traîne pas, on entre en soi, on creuse, on monte, on va, on avance, on porte, on veut ensemble, dire et donner ce qui pourraitbpeut-êtte nous arranfger (grave) de comprendre. tracer = porter, et porter = tracer. D'où la Voie à ici emprunter ensembke" (ailée) pour comprendre " = toucher, à donc ce dit "néné des Rages" de la Voie des Trembles. Que sont donc, ici, les trezmbles ? nos amies ! nos sortes de Chattes de Vie ! chattières par où, en v  rai, on dira qu'on pourrait .... passer , donc, en vie (et pas écornées !). Chattes ou chattières des données de bnase , on entre ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! vie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!, à) jamais la vie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ç a tremble, c'est la vie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! c'st dingue quand on y pense !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!  on aime grave !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça nous plaît de folie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! plaisir et joie immenses hors prairie ? on entre ! On veut comp)rendre ensemble cette donc folie, ce sang d'encre, cette joie profonde, ce tracé hors rotonde, hors pré aux Bêtes Grosses, ce trait ! Quoi donc ce teait EST ? qui le sait ? teait de Rochye "Grossee" ? Treait des teaiyts chevelu velu ? Haute Roche aux données de Poche ? fond de grotte ? porte close ? Mots de peau ? On creuse aux Animaux ! On dit qu'on creuse ici "aux animaux" . On monte haut . haut des Hauts. on veut toucher toucher toucher toucher au plus haut niveau des Boyaux(  hors peau ? ). On veut :

dire dire dire dire 

ce qui ici est comme szoulecvé

l'entrée vive d'une sorte de trait

le pet ? la rive ? le pcré alloué ? la friche ?

Creuser = dire = fairev = mettre = charger = comprendre = situer et ne plus s'arrêter de cchercher à pour le coup ensemble sans traîner comprendre ... jusqu'au trou ! mais, de quel trou veut-on parler ? du trou ouf ? du trou de ouf des données complètesc?  du traczéé treacé à même la bête ? d'unn  trait "honnête" ? d'une sorte de "perle" comme ici glissée à même l'herbe bsur un pré de Traîne ? on cherche ! on ne sait pas. On veut comprendre là la Chose des Voix mais la Chose des Voix ne se laisse pas si aisément cerner par des Fées comme ça. On veut toucxher à ça (la Chose Hzaute) mais voilà, comment toucher quand la Chose est ... si haute que...... pas simple en  vrai de s'y coller sa&ns y laisser un tantinet de plumes nacrées il semblerait. On est la Fée a!ux plumes nacrées (on sezrait) et c'est ainsi nqu'on pourrait grimper soit nous envoler sans sourciçller, sans se casser le n ez, sans traîner ni lambiner, sans faire plus de simagrés. Aimer = dire. Faire = consdtruire. Chercher = fuir. Toucher = allouer à une Rive un certain  ombre de données-surprise... par exemple : les données de branche ! le Passé pour ainsi dire , e,n termes de Rives. le Passé Tracé est le Passé ancré, Rives de pré ... riuives Vives ! On veut cerner ! on veut creuser ! on veut toucher , toucher et Rire si tant est car on est Vive , pleine en vrai de vie vive hors Passé ... mais, que peut-on en dire, de ce Rire ? que peut-on en révéler qui nous sqoit ou bnous serait super utile pour de fait continuer, sur notre lancée) , à chercher de fait une sqorte en soi de Vérité des Véeéirités" le passé "serré" ou recherch"éée" ? On veut cerner = on veut toucxher. et du cfoup, eh beé oui .......... construiore, une sorte de Poche Vide, à habiter. Genre ... outre. Genre .... yourte ? genre .... abri des vies ? On est passées ...... passées de chez passéesc, ..................  vives de chyez vives ?.................... fée des prés on a traversé à la retombée une friche et ce jusqu'au muret aux données vives , lesz plus vives ou lesz plus vives des données ou parmi les données ici données. Qui on est ? 

VIVES 

Donnnées Vives on est en vrai ! vives de chez vicves on est. Vives fées des Données Vivfes et aéutres dOnnées (ici) de Rive ! treaits ! teaits des F2es . trait alloué à une Fée du pré .... pour ainsi cerner = toucher, à ce ........... ou ce ................ N2N2 né post-pré ! hé ! comme un fait exprès  ! retour sur facture ! le treacé ! le trait ! la Haute Futaie ! le met ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait de bel attreait !   lait des prés ! on veut téter ............................................................................................................................................................................................................................................ grave on  veut téter ....  téreter de chez téter la Chose aux Nénés , ..... cjhose Haute ? Chose des CHoses Hautes ? Trait ? trait des F2es sr pré ? trait né ? On ose ! on monte ! on veut ou on voudrait de fait, cerner-toucher à ces Nénés de contrebande et, du coup, grave téter de chez téter sans nous arrêter ! finaliser ! §toucher-percer ! téter = toucher ! dire et donner . Percer ! Creuser . Dire et creuser ce dit Néné aux données "de france" mais en vérité ... de "langue". Car, ici, la langue , ok , est le Français, mais chaque langue en  vrai le fait ! est semblable en vrai , enn termes de données dites "de contraebande" et ce .... au taquet ! au taquet c'est ! langue au taquet quelqque soit de fait sa provenance, son p)arcours de voie, sa trace ardeznte, ses envois et autres traits de rage szur paroi. une langue est une langue ... de Roi / REine de Saba ! la chance en transe ! la Nouba ! la danse ! cha cha cha ça envoie ! la langue "danse", trace sa voie, creuse que tru creuseras jusqu'à la paroi et entre et file et vole et fond, fond sur sa proie : La mort des Hommes Au-delà, Hommes-Femmes de Roi/REine Céleste, Charge Et masse de Choix, POrte Haute ça y va, on monte, on monte Hautes, on est Fées des prés Hautes, Fée Hautes des Pré Hauts des Données De roche hors mots ? Ou pas hors mots mùais Hai-utes ! hzutes de chez hautes ! fées gHautes "du Tonneau" , du vin nouveau, de La roche aux mots. On creuse les niveaux. on onte. On monte Hautes. on est montés Hautes. On veut grave aller Haut en ces données des Peaux etv autres reliquats des Roches : Animaux-Mots de Basse-Crotte, POrte Docte, Pertes au niveau des caniveaux, Chochottes, Mort des hommpes-ho nte et autres hommes sans motte. porcs. Nés à la mort. On monte. On monte Hautes ... nous ! On ose . On  veut  en vrai, essayer ensemvbke de nous propulser : en branle. qui sait cerner ? qui en vrai connaîtb les données ou les différentes données telles qu'on voudrait les approchjer, ici, au plus près, pour les mieux 

 cerner-comprendre "ensembkle" , qui  sait ? qui connaît ? qui ne trembke pas àl'idée de creuser ? qui veut y aller et passer, et se retrouver hors muret, en dehors du pré, hors mots des Rochers, qui sait ? pour .... eh bé oui toucher de chez toucher........ à ce N2N2 né ! à cette espèce dee Néné à Lait ........ trait ............. trait de fée olé olé pas vrai ! pas olé olé , juste envolée ! volante ! aimante ! tendre ! cherchant pitaénce, mots du VRai, tracés frais, connaissances sur Paroi Des Morts. Haute. Haute F2ée. Haute ROche. Haute Montée vers ... autre chose, en termes de Données Hautes. Le Passé des traits . Fée des fées. traits sur Roche Haute = trait nacré, trait né sur Passéb ? On chercherait de fa&it à ensemble nous jeter .... à ses pieds , si tant est ? On ne sait ! on monte hautes. On regarde loin. On voit ou on verrait .... des Choses ! choses de Roche ! traits ? traits et bosses ? On va ! o n creuse à tout va ! on veut toucher touchertoucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher, à cette sorte de Paroi Frontale des Données finales ou aux données finales ne confondons pas. Un nRoi est un Roi. Roi de S rdanapa&le ou de l'au-delà un Roi est un roi. Et le Roi menace ! ou : tout Roi menace ! là = là-bas, sur ... "Tremble" .... ça envoie ! ça gronde sa menace... pas lambda, ça envoie du bois en termes de "menace de choix", c'est grave ! c'est ma foi on dira grave de chez grave, en termes de menace bgrave. On veut (on voudrait) cette menace la comprendre. Qu'est-ce qye c'est que ça ? ce trait-là, cette sorte d'enfilade de Parois en veux-rtu en voilà ! qau'est-ce que c'est que ça ;... on ne sait pas ! on entre ! on entre en cet a xntre et là, on mate, mùate que tu materas, ce "Trezmble", cette voix ... voix hésitante ? ce s mots de 🕵🏼‍♂️ choix ? Romance ! Transe ! danse ! parade de bande ! cha cha cha à ptout va ! 

Connaissancesc .

Don de soi.

On entre ensemble ...........................KK..K...................................................... on danse .........K.K.............................................................. on veut toucxher ensemble à ce tracé donné qui, en vréi, ressemblerait à s'y méprendre à une sorte de tracé "de France" , ou "en français de Rage"  si tant est, F"français" en vrai peut-être maussade mais qu'est-ce qu'on nen sait ? on passe ! on veut toucher de chez toucher ! on ne fait que passer ! la chance des fées ! entrée sur pré puis sortie sur pieds ! amitiés ! On veut toucher en transe le Palais des TRe"mbles. Traîner un tantinet pmais pas ,; de préférence, sans .... aimer toucher ! creuser, cerner, dire et porter, coller, se donner à ce Néné post pré rempli de laéit qui en vrai pourrait grave nous appoeerter de quoi comprendre de chez comprendre un grzand nombre de données telles qu'on espérait un jour pouvoir ensemble les cerner ici sans traéîner ni se laisser pour aiçnsi dire déborder ou engloutir parce que trop ou pas assez ancrées ou incrustées en cette sorte de "Contré  des Rives" de type ... Vide ? on ne saiyt ! on veut :

toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher )-à ce n2né du Vide ? Du vide alloué à du lait, c'est ? c'est-àdire qui est ... comme une sorte de poche à remplir ou comment de lait ? poche à lait ? pas vrai ! le lait "resp^pire" ! vit sa vie au tracé, vie sa vie de lait comme acheminé ! on vibre ! on veut téyter ! téter ! téter sans nous arrêter jamais car, on aime (grave) téter ! téter du lait de trait ! fée des fées qzui aiùmopns téter de ce lait du "vide" , lait de trait , Lait Ancré, La&it du Passé tel quedécelé il s emblerait. On veut /:

toucher toucher toucher 

dire dire dire

faire faire faire

^$eetre être êtte

combler combler combler

cerner cerner cerner

allouer allouer allouer 

chercher cherc her chercherv 

sentirr sentir sentir

sonder sonder sonder

perdre perdre perdre

porter pôrter porter

coller coller coller 

coller hgrave, à ces Nénés de l'Outremonde s'il en est  = ..................... le Passé ? le Passé post-pré ? on ne sait ce passé en v  rai ce que c'est mais on monte ! on monte hautes en termes de données ici abordées, on monte sur pieds, on monte envolées, on monte hautes sur (ou vers) Passé Passé. On ne veut pas traîner jaùmais. ce qu'on veut c'est tracer := filer = foncer = se porter au plus rapide et au plus près du Néné avide ... ou comment dire ? qui donc ici estb avide ? On veut toucher de chez toucher le Vide (?) du Néné , le Vide Ivre ? Vide ainsi rempli de Vivres ? On mùonte ! on creuse ! on aime ! on cherche ! qui on est ? on est une fée, on est ailée, au début on était pas fée, on était femme ou homme ou bêtes ou autre, et puis voilà, à la pour ainsi dire travézrsée, d'une sorte de paroi de roche , paroi dont le nom, en vrai, est "MORT", on s'est retrouvé , ainsi, toute chose, car, transformée, de la sorte, en Fée, : fée Ailée, du fait que voilà, on s'est retrouvées dédoublées, ou comme dédoublées, en deux F ou Femmes , formant Fée de Rage, F2e des Prés, on est donc ailées ! Fée ailée, F2e des Prés ailée, on monte. on peut voler puisqu'on est éilée, qu'on est accoûtrée d'une sorte sur nous de 

paires d'ailes aii,nsi dessinées ou comme dessinées ! traits en herbe.vin de messe. Porte Haéute : on monte ! volons ! on creuse. Allons. Fonçons et regardeons , à pouvoir ensdemble si possible nous peut-^tre propulser , en ce vide des nénés nés. mais, qel vide ????????????? car, où vois-tu du vide ????????.???????????? de ..... l'avide ? bouche a vide ? bouche vide avide ? On monte ! on veut toucher à ce qui est qui pour le coup, envers nous, nous chose, bnous comment, nous montre x et x choses, liées aux tourments, aux épreuves de roche, aux douleurs de la mort, a&ux passages rosses. On monte. Qii on est ? on sezrait envrai xde petrits êtres alloués à une soerte de contrée qui serait : un Eden, sorte d'Eden ici comme rempli de Bêtes de treait. On regarderé&it ce qui est qui se présenterait à nos côtés. On cherche à copiner, à se faire bien, à symparthiser, à faire en sorte que , Le Trait, Le trait Donné, soye en vérité ... le mieux, question Trait des Traits , des Données Suprêmes et autres Traits aux Fées en Herbe verte. on est née sur pré, nous voilà rebelle ! voulant contrer , faire ainsi que Be'lle soye repoussée, Belle Des Traits Tracés de Type Mortuéires. Merde. Pousser de chez pousszsr ou repousser celle , qui, ici, vrai, sait, saurait, nous ..... qui sait ? manger de chyez manger = bouffer lle nez ! merde ! pas le nez ! pas le nez ni le néné ! on est pas à bouffer , ni à teéter ! on veut (nous !!!!!!) téter et pas le contraiore ! serait-o,n piégée ? serait-on ainsi comme renversée , soutirée, portée à êttre inverse ? tracassée ! renversée de chez renversée comme ... une omelette ! ah ahn ça se pouurait ! ça le feraot ! on capitulerait ? on serait (ainsi) comme soudés , soudés à la terre, enterés ? homme l'enterré, la femme Supr^me, l'Elfe-Fée enfin libérée de l'ëtre des Prés ! merde ! lze tracé des Fées est Tracé ici des herbes Donnés, pour en vrai (peut-^tre) pouvoir se purger et p)artir (repartir) de plus belle en ces contrées de bord de Veine ! trait ! trait acté ! on aime ... on aime aimer les traits, les données du Verbe , Données vertes. on aime. on veut aimer toucher à ce Néné en herbe et pas le contrzaire (se faire toucher de chez toucxher les nénés du Verbve .... si tant est !). On est :

VERBE-HERBE-TRAIT d'HERbe

Fée des fées squr pré

Verbe-Treait sur pré des fées

Verbe-ëtre des données en herbe

Traits des traits comme gravé ou dessinés à main levaée pâr , qui sait  , Une fée en herbe

verbe de treait, somme haute, vent de roche

PET

PET

PET

PET 

Pet de roche, PEt de nonne haute , près de porte. haute porte et autres entrées ou passages de Ronde. haute Porte Acidulée. Verbe au taquet. Crête. On est née Fée à la traversée on opoursuit en rêve, ou comme qui dirait en rêve, notre sorte d'aventure "pleine", ce trajet, ce tracé des fées, cette sorte de sentier aux données en herbe, genre : vérités du genre, sentiments frnçais dits "de cfontrebande", portes (peut-être) d'entrées vers des données immenses et autres vérités cachées, hautes données le pré passé, sur x sujets de sa Majesté, la Roche, Roche Haute , de la MOrt De pOrte. Mort Haute. Haute Porte des Données Moroses. hautes de chyez hautes on mùonte ! On vole ! On monte ! On veut :

toucxherr, toucher, toucher, toucher, toucher, toucxher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucxher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher , toucher à ce Néné pôst ^pré du coup comme remmpli de lait avant d'en être (par nous ) vidé , est-ce cette chose ? chose haute ? on a envie, en vréi, de cerner,le plusvqu'on peut, toutes ces choses qui en vrai nous importent fort, car nottre envie est de touhjours nous approcher le plus possible de la vérité en ses moindres effets ou contrées ou zones. On est allouée ici (ailée !) à un trajet à parcourir si possible vite, vers, eh bien, cette sqorte de porte haute, tout en haut des roches, trait tracé par on ne sait qui l'auréit gravé, ou disons dessiné. On cherche. Sûr que nous on veut .... eh bé tout ! tout de chez tout ! = les données du Tout, c''st tout ! c'est immense ok, mais on est Fée du pré , et du coup, on se doit de rechercher et sans traîner toute la V2rité sur Tout et sur ce tout tout ce qu'on ne sa&it de fait plus volo ntiers ! à genousx . Les mains jointes. les yeux baissés. prier. creuser. dure r. ¨$Porter de chez porter. Comprendre  e qui est, qui ... nous ressemble ou nous ressemblerait par de nombreux pour ainsi dire "traits de connivence", qui sait ? On est née franches, traits sur traits, allouée à une branche, branche des fées, et on avance, traquet-traquet, sans traéîner, vers un tracé de Rage déssiné, gravé, porté, qui soit cfomme un tracé de Branche, trait pour trait. On entre ! on passe ! on veut toucher. on veut aimer. On veut aller. on veut cerner . on ne veut pas rtester en carafe sur les bas-côtés mais oui ........................................................................ cerner de chez cerner lesdits Nénés ...... de France ? du Français en tant que langue ? on est fée du pré, on creuse le trait, on trace dense, on veut AIMER DE CHRZ AIMER, LA RAGE D'Y ALLER ICI (ANTRE POST-PRÉ) SANS TRAÎNER NI CHERCHER À SE DÉBINER ! CAR ON EST NÉE FÉE AU PASSAGE, LA MORT ALOUÉE, UNE FOIS ALLOUÉE, ET LÀ, UNE FOIS NÉE, ON MATE, ON VEUT CERNER, COMPRENDRE , POERTER, ALLER VERS CE NÉNÉ DIT DE CONTREBANDE, CAR .... SACRÉ ? SACRÉ NÉNÉ ? QUI NOUS "REG ARDERAIT" COMME DE BIAIS AFIN DE GRAVE NOUS INCITER ET SANS LAMBINER À LE TÉTER, À TÉTER DE SON LAIT POST-PRÉ SI TANT EST, LAIT DU L IT, LAIT DU LAIT NACRÉ, LAIT DES LAITS TRAQUÉS, LAIT DES LAITS ADORÉS, LAIT D'EKLFE ? L IT D'HERBE ? LAIT DOCTE ? LAIT DE PORTE ? On cherche réponse. on aime chercher. on aime déceler-creuser, déce"ler-desceller. faire ainsi que des vérités, soient comme enfin montrées ou révélées "à la fa&ce du monde " . trait sur traits. Fée du pré. xhants de ROche Haute. POrte haute dxes données de Roche toute ornementée de Betes de poids et autres bêtes de Java. rage-ma te, mate-rage. Mate-rang. rang de mate. Porte-rang de Rage-mate. Traits des traits sur paroi ornée par (ici) des sortes d'ovidés de Classe Royale ! fée des fées. Tracés sur tracés. reconnaissance (à l'arraché) de traits , de semblance  familiale ... on le dirait. on entre ensemble et nous voilà comme accolées (surmontées ,) pour former ... la Fé !  la Fée du pré, celle qu"'on voit ici voler vers sa destinée, de type "muret ", "muret des murets". fée des prés sur pieds sachant voler. fée de Roche haute se portant h&ute. Trait sur traits d'époque  haute, de type "ornée". On peut toucher à ce Néné de porte s'il vous plaît = téter ? ou pas du tout toucher jamais , car ... morte ? oh, on monte ! on monte haut tous les niveaux. On veut :

toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tpucher toucher toucher toucher toucher à différents niveaux de roche, tracer haut , creuser haut, percer, toucher de chez touchezr les différents niveaux de Roche aux Animauc ou aux mots-animaux. On aime l'animo, le trot de l'animo, le tracé haut de l'animo de ^poche-roche = le mot ! mot de trop ! porte haute ... à mots de Roche ! mots de peau et autres mots post-anicroche, au tombeau. on monte ! On veut :

dire dire dire 

comprendre comprendre

cerner cerner cerner

toucherg toucxher toucher

étendre étendre étendre, ici, x données de roche sur un pré, les soupeser, les regadredr , les étudier, essayer de cerner, en elle, ce qui est, en termes de données de porte, ce qii est en vrai, cequi se montre en termes de "do nnées accortes", et, du coup .... tracer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! nà main levée, des sortes de "réponses" à une sorte de-'injonctionn qui , pour le coup, nous serait faite ....à genoux ? mais alors, par qui ? qui ici est qui nous demande de .... passer le bout du nez comme qui dirait , qui ? qui vient ? qui veut ? qui nous implore ? qui pleure à sa porte ? quand nous, fée du pré, on ne veut que .... téter  Néné, des V2rités de Roche post-pré ! du moins il semblerait !  téter ! téter ce trait ! teter le Néné !  le teter de près nu ! sein nu et nous nue ! fée nue sur néné nu ! et le téter de chez téter sans s'arrêter si tant est ! car, on est la Fée du paysage, aimant téter le Lait tracé, le lait du français, la langue-lait de type Chance ! trait de chance iciaccordée à une sorte de balade pour le coup chantée par une Fée en promenade post-muret, loin des bêtes de pré et autres fleurs-fleurettes, dessinées, gravées, comme déplissées. On aime té ter ! On veut :

toucher touche r toucher toucher toucher , ce néné du verbe-lait ! chair beige ! trait acidulé comme le lzait du siège , le Passé ! pré passé ! pré des prés enfin dépassé, direction le Passé dit "surnuméraire" des temps allouées à une sorte de donnée du Verbe = le Lait ! lait des laits ! lait ainsi tétée par une fée passée pour ainsi dire de l'autre côté ou qui serait passée de l'autre côté, souveraine, première, cernée, aimée, adulée, chouchoutée, prise ainsi comme une aile alanguie de type "remède". On aiùme ! On veut aimer = toucher = dire= sonder, et nous porter de fait à ses côtés, au côté du Verbe .... du VErbe-Néné , est-ce en v  rai ce qu'on rechercherait en tant que Fée du pré  Souveraine car étant passée de l'Autre Côté sans se casser le bout du nez, le cul ... ou (oui) le bvout du nez . 

On trace sur pré ... trait de Chance, Parade Allouée, Betes cde Charge sans Passé ou si , chargée (et comment !) d'un passé de Farce ? france ? 

farce, France, qui sait ? mais plus que chargée on dirait ! et du coup ....pesante ! grave pesante ! portée mais chargée ! soulevée soupesée mais lourde de données de Rage = le Passé, le Passé cxloturé, la panse ! la pensée !  le nez de Rgae et les boyaux de panse emberlificotés ! charge mentale ! empotée en sa cxharge ! traits sur traits et autres tracés (de contrebande) du Passé ! Le passé contre le passé ? la Rage des fées ? on entre .................................................................................................................................... on veut entrer ................................................ toucher tpoucher topucher toucher tpicher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tucher toucher toucher toucher toucher touchert-t de chez toucher à ce néné post -pré = nez ? ion ne sait ! o,n entre ! on veut comprendree ensemble un certain nombre de données de Chambre : 

- qui on est ? 

- à qui on eresemble ?

- sommes-nous réellement dans la mort Fée ?

-pouvo,s-nous comprendre, la Romance, sur Paroi ornée ?

- Sommes nous grosse de données des Trembles -

- avons-nous de quoi en vrai nous présenter en tant que memnbre desz Données de Rage ? - sommes-nous allouée à une sorte de Contrée Immmense elle-même liée à une sorte de Contrée des Chances et autres V   érités liée à la Chance ?

Avons-nous ennous de quoi cerner pour ainsi dire les donnéesz de branche, le Passé alloué  à un post-pré, la Chance de Cerner ensemble les Données de Rage et autres données franches", le Tracé , tracé des TRacés ainsi donné come par contrebande à une Somité ainsi rencontrée (sur ce sentier menant à ... l'antre ? à l'antre entre ? antre des fées et autres créatures tendres ?). On est née sur pré Fée, cherchant Vérité (de préférence ?) en cette sorte de (qui sait ?) ... nouveau pré ? qui serait du coup alloué, à une zone post-Passé René. Chais. Vin d'herbe. Portée avinée. Alcohol des passages doctes : on monte. montons. portons haut le Vin npouveau. faisons ainsi que tout soit nouveau le temps des trav&ux ! creusons ! traçons ! louons au plus haut du p^lus haut des niveaux ... et cherchons taïaut le h aut des Hauts ! taï aut de chez taïaut, creusons, filons, traçons, montons , montons aut de chz haut ce ponton des mots ou desmots-animaus dits "de trop". car, les mots (de f ait) sont toujours "de trop" , qui ne savent pas, en vrai, cerner le vrai, mais aident à p assrr, de fait, le bout dunez, en ces contrées des données tracées, genre "mortifiées" mais est-ce vrai ? est-ce ça le mot des données, ce mot de "mortifiées" ou même ... "mortifères" ? on cherche ! qui donc le sait ici dans l'assemblée ? pas bézzef il semblerait ! on est fée du pré la mort acté, et après, soit a^rès le p)reé, on est ... eh bé" bébé ! the bébé ! le bébé né ! ou comme re-né, à une vie nouvelle ! vin de serre ! chants laétins ! plaine ! romarin ! traits d'elfes sur la fin ! on aime !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh on aime !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime en latin ? .................... bas-latin de messe ? .................................... bvas-latin de presse 😞 ? .........../////...../........................... tresse ? ..........?..................................... hum .......................... on cherche ................................................................. on creuse le TEmps .......................................... vent docte ............... hyaute pporte ? ........................................................... haute porte morte ? ...................................................mort ? .......................... la mort ? ..........................................matinale ............................ on entree. On aime. On monte. On compte. on voit. On voit ce qu'ion voit, et ce qu'on voit c'est ça : la Chance ! le pâssageen trznse ! voix de l'au-delà, franges , nouba. On veut eense'mble (ailes allouées) comprendre ce qui est , sans  amais cesser, aller, cerner, gravir laé pente, et,

 nous porter au plus près de ce Néné de Contrebande, ainsi "déplié" , "déplié" ou montré, ou découvert ainsi cerné, cerné de chez cerné, lait ! Lait des laits sucrés-nacrés, tout acidulés. 

Lait de trait ou trait de lait 🧃

porté ! apporté ! né ! lait né ! né lait ! ohé on sait ! on monte ! on creuse ! on veut ! on ose! on est des fées de Rage nées sur Roche au pré ! fées des fées surnuméraires agraires , parmi les bêtes , les tracés, les dessins de gré, l'herbe verte et autres flores des données de roche . porte haute. haute porte . Colle .........................................................................../....................................................... colle haute ............... pôrtée de fée sur portée de fée ....................... musioque allouée à une destinée "genrée" ou "pseudo-genrée" .............................. les données dsu pré ............. haute destinée ainsi a-genrée ou  bien, au contraire, genrée , mais de type "imberbe" , fée des prés ainsi non -binaire , le tracé, la main au collet, peerte sèche de données et deès lors l'envolée, l'envol haut, direction ... le Passé, le Passé de POrte ! ostrogoh, homme-heaume, femmehaute, homme-femme au tonneau, AMBRE ! AMBRE sans MOTS ! le tonneau des mots  ! roche aux mots des do nnées accortes , le poteau . On mùonte. On est hautes et hauts c'est-àdire hautes, car dans hautes il y a haut, mais dans hauts il n'y a pas hautes ! le niveau des roches ! le tonneau des mots est un tonneau "de poche" , vin nouveau ! sonde ! chose à mots sur mots de trop ! on monte !  On  veut grave toucher de ce tonneau, et boire ! téter ! née fée pour, pour ainsi dire, un jour téter, ou re-téter comme qui dirait, ce la&it du tonneau, petit lait frais ... ou chaud, selon le niveau , la hauteur du pot. On mùonte ! haute porte. haute Mort. Mort HAUte. Haute mort de POerte. Haute mort des Portes HAutes. haut mot ! Haut mot de la mort haute. M%ort haute des mots hauts. hauts des hauts des mots de Mort. Mort des Mots hauts , = la Mort. 

= mort des mots 

=mort des mots hauts

= mort des hauts mots de trop

=mort, motrt d'homme; mort du mot hommeOn monte. O,nn est née Fée sur pré aux ombres, un tracé nacré, une ombre portée, ici dans un pré, sur l'herbe aviné : trait ! très avinée. Le pré est pré , des dites "données vraies" , qui sait. On monte. 

On est ensemble ici qui cherchons un endroit par où on pourrait peut-être passer sans se faire refouler. Quand on passe on voit, qu'on est (au final) regardées maisb on s'en fiche grave, on s'en fout pas lmal, car pour nous, l(important ioci, c'est de pouvoir passer sans plus se faire remarsquer , et du coup e n avancer et nous porter le plus loin possible des possibles. On aime aller ensemble dans un pré chercher des données , et , si tant est , en trpuver, en ramassr, en cueillir, ou en recueillir./ On aime grave nous promener en ces contrées et si possible ramasssrr le plus possible de ces données qu"'on dit "avinées" mais en  fvvrai, on ne s ait pas si c''st vrai ou si, au contraire, c'est des conneries. On cherche ensemble à aller loin en quelque sorte dans la contrebande. On est accolées (on est les ailes d('une fée des prés) et c'estv , accolées  insi, qu'on cjerche ensemble à traverser le champ pour le coup octroyé à une "sorte de Fée" telle qu'on l'est, une fois la paroi de Roche (la prezmière fois) traversée au moment du DC. ON aime aller bensemble ainsi nous promener sur pré et chercher à nous acheminer pour ainsi dire jusqi'aux nénés, soit au-delà du près, zu-delà de la mort "empaysagée", de la mort illuminée ou cxxomme illuminée . On a envie en vrai, de chercher à comprendre ce pré, cettte sorte de jardin des fées, et pourquoi ce jardin, en vrai, est une étape ou sorte d'ét pe)-allouée. Qu'estce que c'est que cette étapr, que ce pré d'étape, ou d'étape allouée ? qu'eswt-ce qu'il en est en  v rai ? qu'est-ce qu'on peut en penser ? qu'ewst-ce que c'est que cette cbhose d'une étape ainsi allouée à une sorte de pré aux fées ? et d'abord : sommes-nous dans la mort fée ? devenons-nous en vrai dans la mort fée ? sommes-nous dans la mort des fées ? une fée ? nous transformons-nous , d ns la mort, en, 1, femmes "dédoublées", femmes données pour , 2, devenir fée, une fée, une fée ailée ... à tout jamais, ou : le temps d'aller pour ainsi dire sur ce pré, jusq'au muret dit "des données (ici) dernières" ? un trajet de fée agraire, de fée faite pour tracer = silloner la terre ou terre des fées = un pré ! On aime aller . On regza rde' les bêtesq, les "morceaux de verbe" , ce treacé, bêtes de trait treacées-dessinées comme à main levée par (de fait) des êtres du passé tel qu'oublié à tout jamais : le Verbe ? l'Herbe ? train de roche agrair e ? On cherche ... on cherche à toucher (en tant qye fée) à ce Verbe d'herbe, qu'est-ce que c'est ? ....................... du lait ? petit lait ? lait petit des peines ? On cherche ! On creuse ! on monte ! on ose !

Le Passé de porte. pamoison, et hop, on tombe ....................../................ on tombe dans la tombe de la raison ..................................... ombfre ............................. on sombre .............................. sombrons ! .................................... tombons "haute" ......................... haut des hauts hors nivrezaux ........................................................... honte ? .................................................. haut .............................. eau .................................................... le niveau de l('eau ............ de roche haute ................ de grotte de Niaux .................. grioote haute ........................................ une porte ................................... la mort ........... haute ............ mort haute .................................... haute Mort hors niveau ...........................................mogrt des Morts des Hauts NIveaux ............................................ cohorte d'animaux à pêaux ! chose haute = mort haute et autres fins de mots ................................................................................................................................... colle ............................ça colle à la peau ............... chalumeau............. chaleur haute ........................ fuseau ................ mots de trop : hop ! ......................................................

...................... ................/................ seau d'eau .................. corps ........... d'animaux -mots et autrzx bêtes-mots de roche haute ......... sein de pré ? selle donnée ? crins ? crinières ? ..................................././..................... on aime : le pré , l'herbe, les données prairieles et autres herbes printanières d'un treacé de fée .................................. fée haute ................................... fée du pré se place haute pour mater de chez mater la roche ornée ou ainsoi ornée de bêtes de porte ............................ buffles frais ............................................... ours des fées ............../....................../........ Bises et Bisonnées de près .......................................................... rennes et reins tracés ........................ accolées ............... sondés ............. portés .............. gracvés au jeté , au soufflet, au trait tiré, à la marelle ............................ jeu d'herbe ./.......................................................... pré aux fées aimant tracer et gagner muret, muret dit "des find de pré " et autres fins des fins de l'herbe " ............... fée ainsi allouée à une sqorte de parcours -santé vers une sqorte de muret pouvant laissr passer (qui sait ?) un certain nombre de "fée Des Fées" ainsi nominées ............. Fée D'HErbe .................... allez ! à toi de jouer ! ..................................... passe  porte ! .......... sait-on jamais ce qu'il en serait , si jamais en vrai tu cherchaias à passer (de gré ?) la Roche , et à regarder , dedans, la porte passée, le dedans ! ce qui est ! ce qui y bouge en vrai ..... )ar exemple : ............ des nénés ? .............. oh en vrai ? .................... des nénés "de roche" ?................. roche aute ? /................ drôle de chjose ............... est-ce (vraiment) des nénés  ? ....../........................ est-ce (en vrai) de ces nénés, dont on dit qu'ils sont pleins de lait, de laitb à téter , lait de vie ? .........../........ mais, les nénés de qui ? d'une divinoité ? déité lactée ? en vrai ? le Vit ? la Vie ? la denrée ? la vile denrée ? ou (au contraire) l'amie ? Vie d'herbe ? vie du verbe auto-engendré à travers le lait ? verbe ainsi décuplé ? reporté ? re-apporté ? re-accumulé en des Nénés post-pré, post jardinnet ? On veut toucher toucher toucher à des nénés post-pré dont on pouurait en retirer un certain nombre de données, concernant la vie. Est-ce que la vie finit ? est-ce qu'en vrai on peut dire icfi que la vie un jour se finit ou alors non, continuation, continuation sous forrme autre, transformation, centrifugation et transformation en horde de bêtes hautes ? on monte ! on grimpe haut tous les ni v eaux . On est haut et aute, haut animaux et hautes Bêtes aux mots , hautes et hauts . Mots hauts. Hauts mots, d'un  ..... passé nouveau, du genre : groote, aux mots de trot.

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24/1/2025

on veut toucher à ces nénés qui sont Nénésb pour ainsi dire des Données Frontales . On veut grave "y aller" , chercher, cer ner, comprendre ensemble ce qyi est qui devant nous qui sommes fée , se présente ou se présentzerait,  ... pour nous adopterb , qui sait ? chercher = dire = faire = toucher, et nous , en tant qure fée, ce qu'on aime ici eh bé oui, c"'est cette chose pas concventionnelle , de toucher 

cette herbe-verbe, 

ce tracé vers les nénées et , au final, ces drôles de Nénés de Rage, dits "Nénés de Rage" , soit ces Nénés qui, ici -:même, fin de Roche, nous "arttendent" ou nous "attendraient" on dirait ! Lait post-pré = lait de Rage ou Lzit De ... Mage ! on est néesb ! nées Fée à jamaos en ce SAS ! On veut toucher de chez toucher à ces données post -pré, qyui donc seraient données des traces et autresvtracés à do nnées.; ON colle ! on veut coller . On aime aller de préférence ensemble (ailes soudées) et là, en ce tte szorte de muraille-centre, traverser de chez traverser , ne pas reculer, foncer et aller, filer, regarder, ne rien louper, chercher à pour le coup se rapprocher de ce qui se présente devant soi en termes de Romance , ici, de l'au-delà / 

Une sorte de donnée de Rage

un Passé i,ntense

Bébé né  

Bébépost-pré ça se pourrait ! On veut, ensemble ailé, toucher, toucher La Base du Néné, un tracé, TRAIT, trait des traits ... mais en vrai qu'est-ce que c'est que ce trait ? On essaie de s'en rapprocher afin de le juger, de le regarder, de l'observer sous toutes ses coutures, de toucher ce qu'il est ... qu'est-ce en vrai que ce trait post-pré ? qu'est-ce que ça devant soi est ? Trait des données dures ? chants de RAge avec monture ? cri de joie dans la toundra ? encolure ? blessure ? pointure ? On est ailé en vrai pour pouvoir essayer au taquet de trouver ce que c'est sans avoir à se casser le bout du nez mais au contraire trouver au plus pressé ce qui est dans ce qqu'on voit de cette Rage de Paroi Finale . Ce que c'est c'est ça : cette Rage .... on dirait ça ! On voit ça : la Rage post paroi. Le temps d'en Face, ce Passé des Mages ! Droit ! Ce passé de poids ! masse -mage , va comprendre ! On nentre ! on veut en vrai enteer et ne jamais plus se retourner mais vite tracer, ensemble (on est Ailes de fée), ce tracé frontal, menant direct )à cette sorte de "contrèe première" , première ou dernière (?) on ne sait mais en vrai voilà ce qu'on faitv : on trace ! de rage, comme le Passé ! on trace ici de Rage comme le PAssé, une sorte de tracé "outré",  qui serait un tracé menant de base à ce ... fourré ? à ce .... bosquet ? à ce ... tracé des données vraies de type "fourragère en herbev" ... VErbe ? on cherche ! On na parfois le xsentiment d'y arriver, c'est-à-dire 

à trouver, à cerner ce qui est, à se rapprocher d'une sorte de vérité, mais pas su^r tant que ça en vérité, car voilà, le langage parlé est langage de Fée ! fée d'herbe ! on sait cela et cependant ... on continue ensemble (ailes) à dire et faire, à pousssrr, à, pour ainsi dire, concommittament ttracer une sorte de sentier dans l'herbe jusqu'au muret , jusqu'au bout du bout des données prairiales . tracer = dire . Dire = tracer. percer = donner / Donner = conduire, jusqu'au muret, ces beêtes de trait qui en vrai grave (en quelque sorte) nous ressemblent . Elles sont "musquées", elles sont "grosses et fortes" . ON les aimme grave . On avance . On veut toucher à leur pelisse lisse ! On aime ces bêtes de trait . Ces Tracés animaliers. cette chose Rosse des prés ! Onn adore, on veut les ammener avec nous (fées) jyusqu'au muret dit "des finalités" et peut être du coup leutr montrer ce qui est qui là 

semblerait avoir à nous attendre, à patienter après nptre arrivée . Mais elles, les bêtes de trait, jamais ne veulent traverser . Elles veulent juste rester, de ce côté-ci du pré, à brouter de l'herbe et ruminer et ... basta cosi, pour elles, pas bêtes, pas envie de se fourvoyer ou de se risquer à voir de l'autre côté ce qui se tramerait ! elles préfèrent l'herbe que le Verbe , ou un éventuel Verbe de trait , pas folles en  vér(ité , elles aiment l'herbe fourragère, l'herbe des p^rés 

et pas forcément ... le Passé post-pré ! tu cernes ? tu comprends le Tout, l'herbe et le VErbe, l'herbe mangetout, le Verbe "superbe", l'ombre des Loups ? On cherche ! On est née Fée sur herbe, à présent, fissa ! traço ns grave sur Toundra notre sorte de chemin de Charge, et creusons ! cherchons grave ensemble à ainsi trouver ce qui il se pouurait serait à comme nous attendtere toutes deux (main dans la main ?) au débotté, au tournant du pré, à la salade, au tracé-né pour promenade endiablée et autres sentiers de balade allouée à un endroit post-pré ! va comprendre ! v a donc essayer en vrai et pour de bon à y comp^rendre quelque cxhose à , eh bé oui, justement, cette sqorte de salade ... au firmament ! qu'est)-ce que c'est que cette chose Haute ? une Parade Musicale ? cordes ? cuivres ? des cymbales ... de Passage ? une sorte de musique "sarde" ? On est La Fée dite "du passage" ("du passage outré" ) d'un pAssé de foire (animalier) à un passé de Rage (contrôlé ?). On est Passées ensemble (deux femmes, ici, et de fait, accolées) pour gformer au final (sur pré) la Fée , dite "des contrebandes adoptées", 

et là, en  ce pré, on trace c'rst un fait, on vole à fond de cale, on appuie grave sur la pédale ! et hop, du Trognon ! on monte ! on monte haut sur ce tonneau, on veut toucher de chez toucher à ce qiui là se trame, en termes de Passé de CXHarge ! qu'st-ce que c'est que ce passé ? en quoi ça pourrait en vrai nous intéresser , sommes-nous assez coriaces pour en vrai comprendre ce Passé aux Données FRanches ? car, le Passé de Rage est Passé de TReaces ! traces de pieds , qui sait , post-muret! de petits pieds et autres traits d"'enfance ! On nveut comprenndre ensemble (fée) ces pieds, ce tracé aux traits, cette sorte de Passé d'enfance post-muret  on croit rêver! Qui on est ? on est ... eh bé .... 

des fées ! fées sur pré ! puis fée comme accolées à un muret "des Finalités" ! fond de cale, oui, car, on a tracé, on a voleté sans nous arrêter et on s'est retrouvées ensemble comme collées à une sqorte de Muraille, Façadee-Muraille, Mur d'enceinte sarde,

 à une sorte de Cloison Frontale : .... le Passé ! oups ! qui sait ? Qui sait ce qui est, de fait, cde cette sorte de ... pAssé des traits ! traits d'enfance sa rde ? unj tracé, sur Paroi de RAge ? passé "bousculé " ? charge moentale ? monacale ? Passé-né ? On est Fée de pré, Fée d'herbe, on est La Fée de L'herbe attribuée à une bête sur paroi ornée, et à présent, on guette , on mate sévère à travers la flèche. On veut toucher parce que voilà on aime ça, ça nous va. On veut en  vrai toucher de chez toucher à cette sorte de paroi post-herbe , qui serait ... paroi des Rois et Reines ? une sqorte de Cimetière aux données allouées à une Vérité des TErmes. on cherche . On veut trouver et pour trouver il faut nous avancer, passer le nez, un oeil, une aile, mater . Mater de chez mater  cette sorte de "fenêtr sur le passé ", qu'estce que ça serait ? qu'est ce qu'en vérité ça pourrait être, de fait ? une sorte de ... Musette ? Chants dressés ? sorte de musiquette dont le nom gravé sezrait "Musette" ou sinon "Musettr" " .... Chants Donnés" ? chants des Tombes et autres tombeaux allouées à une sorte de PAssé en herbe post-kherbe ?On est Fée Faite pour creuser. On veut trouver de chez trouver , et passer ... OPasser de pied ! tracer, cerner, comprendre et contrôler les charges, au passage, si tant est. Ne plus jamais nous retirer de cette sorte de passage "olé olé" pour vainsi dire, et du coup traverser, passr de l'autee côté, côté Tracé, cerner ce tracé et essayer, si possible et sans traîner, de (pour le coup) cerner les traits les plus visibkes, compréhensibles, Cernables, jugeables. On veut dire : le Passage au Centre. Le chanter. 

On voudrait passer en vrai vers ce Passé ok, mais ,

 tout en passant "olé olé", le chanter, ou chanter "ensemble" son avènement, en ce t Ensemble Animalier de Contreenbande , qui sezrait Acté, qui serait .... une sorte (allouée) de pArade charmante, soit , de l'autre Côté en quelque soerte de ce pré des Prés ?  hum  ! Pas dit ! les bêtres (pour le coup) se plaisent ici, et jamais ne veulent (elles)- traverser, la Roche finale, s'échapper, passer outre pré, jamais il selmblerait ! Alors voilà pourquoi on se dit ou dirait, ici, que voilà, on est là, on mate, on est à deux doigts de la fente et là, on fait quoi ? on trace ? on entre ? on cherche à ensembkle s'immiscer de rage ? on est ou serait accolées parce qu'on est Ailes et que , étanjt Ailes, on est accolées = soudées à une Charge dite "des fées" de type .... Passé  ? on cherche le trait , trait docte, de passage Haut. On veut en vrzai toucher à ce ... tonneau gros, de bout de Paroi Haute. On monte. On  veut aller au plus lointain possible ensemble en ces contrées. On ne veut certes pas lambiner jamais, mais tracer, creusern, filer, cerner, toucher, controôloer ce qui se fait, aller de chez aller en ce muret = traverser de chez traverser sans nous retourner, et chercher de chrz chervher . Qui connaît le post-pré ?  l'antiennhe ? les chants post-herbe ? On aime. On veut aimer . en vrai nous on aime. Ce qui est qui est , et nous plaîot = l'herbe du pré, les bêtes tracées (gravées au piolet). les Herbes à brouter. L'herbe verte du pré. On aime assez, mais voilà ... on est méga-méga-intriguées ! on veut toucher à ces Nénnés dits "du Passé" comme s'il en pleuvait (en pleuvait du Passé). Et du coup, nous voilà toutes chose , drôles, comme soulevées, toutes tracasszées, bouleversées, remuées, on veut toucher ! toucher au passé ! mais comment ce Passé aux Nénés (vrai ?) arriver de fait à réellement le toucher en ce qu'il est : Lait !, comment en  vrai ? comment faire pour cerner-toucher cette chose, d'un Passé "Surnuméraire" ? qu'est-ce que c'sst qu'un Passé dit ... "Surnuméraire" ? Passé "outré " ? Passé des Passés ? Passé denté ? Passé sorti de son Tracé ? qu'est-ce que c'est que ce Passé "de Chambre"  ? une sorte (à nouveau ?) d'enclave (antre) de Roche ? Bulle d'eau ? Caniveau ? on cherche fort ! on veut toucher = dire . 

cce qu'on veut pour nous le plus, c'est de construire, ensembke, une Cloison de Convenance, Mur du Son, Entrailles à Passion, ey co:mptendre . Qu'est-ce qu'on peut comp^rendre ? qu''st ce qu'ici (post- pré ?) on peut ou on pouurait arriver à comprendre de près ou au plus près ? La Rage ? Rage-trahison ? la france = le français de Pont ? L'enfance ? enfance à moisson ? On entre ensemble, on creuse en façade, on passe le nez, on mate la trace, le Passé, Néné né, l'aubade . On est ... eh bé ... née sur place ! en ce "post-promebnade'-sentier", treacé des fées, trait des TRaits jusqu'au Passé dit "de contrebande" (ou ... on l'a dit : surnumerairement comme alloué à une sorte de treacé de Rage, post-pré, qui sait ?) . On est entrée. On mate l'Ambre. On veut toucher. Touchons l'ambre. On aime toucher alors voilà, on ne s'en prive pas ! On veut cerner -coller-comprendre-saturer de traits, à njotre tour, ce dit pa ssé "des alentours". On dessine des traits. On a la main levée. Transe ! transe au taquet. Pertes de fée. Charge allouées à un Passé de TRaitsz . Pertes séches. trait des traits sur Passé sans Herbe ... mais avecd ... des Mets ? Denrées ? Dons de lait ? on touche aux nénés. On touche ici à ces nénés de trait, trait comme acidulés . On est nées sur pré à la retombée on le sait , et nous voilà quitraversons de Rage ce "fourré d branches", pour du coup "ensemble"" (2 femmes pour 1 fée) nous trouver ou retrouver de l'autre côté, à mater l'Ensemble ... l'Enfance ! ce Passé de contrebande enfin ciblé. Cette farce. Ce passé hors muret ou le muret passé ou traversé. Trait d'enfance sur Passé en France (on le dirait, vu les membres et autres traits donnés en contreba,nde). Traits ! fée ! charge ! cris ! ombres ! qui est là qui veut ici nous comme attribuer le Nom de fée de sa Rage-Verbe , qui ? On aimerait, nous-mêmes, le trouver, ou le dénicher. On aimerait en tant que fée de Cimetière(?) trouver. Trouver à toucher, à toucher-accoler, dire et faire, cerner, ne pas perdre, ni tomber, mais aller et continuer à creuser dans l'herbe (en premier) un sentier, puis, post-herbe, ce TRacé nacré ainsi attribué on dirait, par des mots de bêtes, qui sait ? On chervhe à tracer. On voudrait arriver ensemble à mieux cerner ce qu'il en est de ces nénés dits "ajoutés" à un passé nacré. on voudrait c'est sûr ensemble trouver ce qui pourrait être, qui nous soit "donné" de base pour nous enchanter, nous donner des ailes si jamais . on ne veut pas laissser tomber en quelque sorte nos recherches en herbe mais tout le contrzaire, continuer sans arrêts à chercher ensembgle (ailes de fée) à comprendre, ou cxhercjer à comprendre, ces données post-herbe ou post-muret à quoi ça ressemble . Car, quand même, ces données, cette sorte de treacé nacré, on a comme une vague idée à quoi de base ça pourrait peut-êtte reseembler , et donc nous indiquer (qui sait ?) la voie ou le chemin à suivre pour mieux s'orienter en ce Passé des traits, ou dit "Passé des traits " ... "bêtes de TRait" ? on cherche . On ne lâche pas ou plus l'affaire. On y croit. On veut tracer sur pied le dessin de l'ëttre, peut-êtte. Ou szinon de cet "ëtre des Eyttres" , Le ... Bison ?. tracer Bison = tracer net la Chose des Monts ! outre-parade. On nveut comprendre = on veut ou on voudrait comprendre ensemble, les données de RAge ! tracé-né = 

vcérité de passage". On veut toucher parce que voilà, toucher = charger = cerner = traverser = téter à ce néné des contrebandes ajoutées. Creuser = dire = faire = penser = comprendre = exposer du Verbe sur l'Allée des Fées. Cerner = dire = porter = toucher. On veut grave (nous), toucher de chez toucher ... le N2né post-pré  = le Passé . LePassé post-pré = le Tracé des Fées  = bêtes-de -trait et autres bêtes des moissons. cerner-toucher  = dire allouer.... à un muret, Passage d'entrée , vers MORT PERSONNIFIée = Colère ! la colère à jamais , en la mort entière ! contrée -née au pa ssage tracé post cimetière, on est abonnées ! On ntrace grave. On touche l'Ambre. on aime coller. On veut avancer. On entre dajs l'aNtre aux Nénés et là .../ vite, tétetrr !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! téter de chez téter et ne plus se retourner ! l'enfance , le Passé donné, la Chance, Trait des traits post-pré comme "donnés" en contrebande par ... Néné ? un néné ? lait ? lait-Passé ? passé-lait ? du passé sous forme de lait ? ou du lait du passé ? passé trtracé ? On est "alimentées" de lait de France (transe) , on veut téter de chez vtéter, treacer-téter, téter -tracer dee ce lait "français " (du français ?). On veut toucher toucher toucher toucher toucxher toucher à ce Néné "français" tu penses , un trait ! oups, avalé ! ça rentre ! ça entre dans l'antre ! treacé-né sur pré de  France , qui sait ? mais la France n'est opas le Français ! Charge-née sur paroi aux fées. O n est entrées, on a regardé, on mate = on a maté, on a touché un tantinet (à l'ambre) et à présent on se concentre ... sur Néné ! ce trait ! ce Passé dit "des traits alloués à une Façade : face de fée ?  ". On est entrées ensembke et nous voilà toutes remuées voire sidérées par cette chose en face qui à nous ici se présente toute éberluée ou contrariée ... MOrt MOrt donnée ! mort des Morts données ! données des données! On veut toucher à ses Nénés ... car , la mort (vrai !) a des Nénés qui sont Nénés dits "du Passé / a&lloué à une Vie" ! tè ! La Vie ! tu m'as compris ! rire chargé sous mise en pli!, cape et bonnet. Cri ! On est née La Fée, on veut toucher à ce Néné, des Données Coriaces. Ambre ? Honte ? oMbre ? Homme ? Mer ambrée sur passage d'antre, vers ... densité ?,intensité ? trait chargé ? pets ? pet des pets ? oh, on ne sait ce qui ici en vrai EST. Qu'est-ce que c'est qui icfi EST , de fait : un pet ? pet des traéits ? trait des pets ? pépé ? On guette ! on cherche. Qui on est ? le pet ?. qui on serait, car, onn ne sait en vrai qui on est sur herbe, szur pré, puis le pré passé, qui on est le pré ou la prairie aux bêtes une fois passée, on aimerait grave le savoir en vrai , qui on est , qui on est pas, à quoi on ressemble vu de là, là-bas, l'A,ntre, la Post-paroi Face. On entre dans l'Antre. on veut toucher à ce qui se présente et du coup miuex comprendre les données (vraoment ?) finales.

On est entrées un jour parce qu'on le voulait , et c'sst là qu'en vrai on s'est dit que nous, on avaiy grave envie de creuser, de creuser profond, toutes ces questions de vie et de mort, parce que nous, ce dont on a de fait super envie c'est ça, de cerner au plus ^rofond les choses frontales, les données qui se présentent au fur et à mesure que le temps passe et qaue donc "ensemble" (pour ainsi dire) on en avance, on creuse , on cherche, on touche,on touche à des notions toutes plus "denses" les unes que les autres si tant est. On est Feée -femmes au tr cé, on est entrées et du coup c'esest sûr que nous on a méga-envie d'en avancer le plus possible au sein des connészan ces , et mieux comprendre un Tout, qui est ce Tout ... des données intenses, des données de Rage, des données denses intenses de La mort Donnée de pareille Co ntrée. On a envieb ensemble de peut-êtte plus se projeter que ja&mais, en cet antre aux données données de type : "données denses", " Données Intenses", ou "Données des Données des Données de rage"; Car, voilà, on a pour nous de vouloir ça : coller ! coller aux Nénés, aux Nénés du Paszé ou, disons, de ce Passé de Contrebande ici rajouté, ou comme rajouté , genre Passé Allouéà une Contrée dite "de la Vérité". Un passé = une contrée. ET ce Passé "surnuméraire", est un pASé "en herbe " post-herbe. disons : La Contrée Céleste. Passé-né post-cimetière et autres terrrs araires arables. on cherche ce Passé ici (hors cimetière), la mort ainsi entérinée. On cherche ou on chercherait. on a besoin d'herbes du pré pourven avancer (= le Verbe") et du coup on est à sans cesse ruminer, mâcher, manger ou brouter de ce verbe ancré à jamais qui est Verbe des prés ; pré-Ailes ? ou pré-prés ? ou pré-elfes ? on est nées fées sur pré la Mort intégrée, à présent on essaie ensemble de nous rapproxche"r d'une sorte de Présent-Passé, d'une sorte de Passé-présent, qui pourrait ressembler (qui sait ?) à une sorte de Tourmente de données toutesrassemblées, genre ... tourmentes allouées à une sorte DE donnée de RAge sur-alimentée (?) comme qui dirait. On entre en cet Antre aux données tracées. Le muret est muret de taille. Il faut pouvoir le traverser et sans s'esquinter au passage, c'est pas gagné. On veut passzr ledit muret, sans (si possible) s'esquinter vla face, ni la face ni les ailes , ni rien , car, merde , on veut rester de base Fée pouvant voleter sans entraves ! On aime voler. On veut pouvoir continuer à en vrai nous envoler commê à la pa rade, en ces contrées des promenades pré-passé, puis au delà du pré, en ce Passé des Convenances explosées ou sinon explosées, bousculées, mises à pieds, re tracées;. On est nue ! nue de chez nue ! VERbe nu du Passé connu. On veut aller, sur roche profonde , nue. On veut aller nue sur roche profond e. Nue de chez nue on voudrait tracer ... vers gorge profondee? trait des traits ? Nue de chez nue : tracer ! pousssrr, dire et cerner . On est la Fée du pré qui est passée, et qui (à présent) veut cerner

 lkes données des Roches, ce Passé de Poche : outre aux données Rosses si tant est, qui sait ? on est accolées parce que voilà, on est des fées, et les fées ont deux a iles qui sont accolées à une sorte il semblerait de tige filetée qu'on dirait ... du Verbe ? peut-êtecpas, disons ... de l'herbe ou quelque chose comme ça ? herbe ?????? on dirait pas ! plutôt ... du verre, tu crois pas ? verre d'elfe ou autres êtres ici transparents, comme ... eh bé oui, du verre, eau de l'ëtre, voie comme donnée de Rage en na&ge ! On voit ce qu'on voit ! On aime ça : la Rage. On veut c'est vrai ensemble ainsi ailée : comprendre dans le sas, comme découvert, toucher, t§oucher aux Nénés, aux Nénés du passéb ou du passé de contrebande ainsi passé, le passé dit "passé... comme en contreebande" , via ... ce trait ou trait alloué à la ... cxhance ... de pouvoir ainsi (fée) passer ! traverser, faire ainsi comme un saut de carpe ... en ce Passé de Chambre ! on entre ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à c  e qui se présente ici ou se présenterait (pour ainsi dire) à nos acabits ! drôle de denrée : du lait, comme s'il en pleuvait ou pissait , dingue ! on veut téter ! téter de ce trait ! de ce lait de trait, de traite post-pré comme qui dirait, en vrai, s'il (si elle) voyait ce qui ici est, qui se présente à nos yeux tout éberlués ! onn est nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! sur pré puis, au-delà du pré, re-nées ! comme acidulés , prêtes à rencontrer (qui sait ?) le Dieu des F2es il sembvlerait ou comme qui diraoit. On veut toucher tpucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette sorte en soi de DIeu de l'au-delà à soi = (ou égalerait) ... un ... TRAIT ????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????? trait du milieu ????????????????????????????????????????? trait des traits disposé en ce milieu pour ainsi dire des dfonnées frontales ?????????????????????????????????? treait des traits tracés au milieu ??????????????????????????????????????? trait-fente ? trait-d'antre ! entrée d'antre ! trait de F2e sur ventre ? V ? ........ qui le sait ? qui sait ce que ce V est  ? une sorte de passage vers ... l'enfance  ? 

hein ?? Trait des rages du Passage Ancré ? on est la fée et à ce titre on veut cerner ! qui on est, et aussi qui on est pas. Ce qui nous fait tracas c'est ça, cette chose, à déciscerner ici ou déceler là, devant soi. qu'sst )-ce que c'est que cette sorte de paroi "finale" ? qu'est-ce que c'est que cette sorte en soi de P aroi post-pré, au-delà du pré, au-delà de lamort "Des rois et Reionnes de Sa&bba", ce passage étroit, cette fente d'antre, et du coup, cet anttre , cet Antre de Poids, CHarge, Temps, porte des temps, Enfance en France, Tourments de chez tourments. On est La Fée Passée. Oon cherche à entrer en ce trait ou par ce tra&it donnant sur ... le Passé, qzui sait? d'une sorte de vie allouée à une sorte dev donnée intense. parade. Cavalcade. ¨romenade chahiutée ou un peu dér a ngée. On entre ! ça nous plaôt. On croit comprendre ce passé ce que ça pourraot, peutetr , etre, à nos mirettes , ou peut-etre, qui sait ? à qzuoi sur pieds ça pourrait re'ssembler. On veut toucher de chez toucher à ce Passév surnumair". Le cerner = dessiner = tracer =composer = inventer le Verbe aux données en herbe. On veut toucher à ce Néné poszt-cimetière, Néné Né pour être tété par une sorte ici de Fée des données, des données en herbe, genre .... Fée Faite, Fée-Bête, Fée-Bête de trait, ça se pourrait (on cherche). qui on est ? peut-être en effet une bête des prés : sautere"lle ? non .... plutôt bête de trait ge,nre bovidé, bovidé des prés, à pâqueterrttes. On éime ! on adore tous les bovidés et autres bêtes à corne. on aime beaucoup beaucoup les bêtes. on adore les bêtes dites "de paroi", on aime ça. On adore les bêtes de roche et autrs bêtes ornant de leur tracé les parois de roche. qui on est ? néandertalienenes "visitées" , "visitées par les fées", ne cherche plus / O,nest nues de chez nues ! cul nu ! feée d'herbe sur le cul on pue mais qu'est-ce qye ça peut faire ... puisqau'on est ve"nuesz ! on est maigres ou pas maigres mais nues ! qu'est ce que ça peut faire .... eh bé, qu'on soit maigres ou pas maiogres, puisque voilà, on est nues venuesz, ou venues nues "tout près de toi, chevelu" ! post-cimetoère, cul nu, on monte. On est groosesxd'Ombres ! On monte. ON aime être nues velues. Grosses ou pas groosses qu'est-ce qye ça êut faire : on monte ! On veut grave aller , au plus haut des cieux , côté "le mieux" = sur Passé . tracer. faire. Dire. Complaire. Séduire. pOussser. Combler. CHarger. dire. Entrprndre une sorte de Parade. CFomprendre = cerner , les nénés de prés. nénés nés de contrzbande. un certain Passé. LA Chance en cjhambre. Trait tiré. Coup donné. Fente ! Ventre ! pré ! vent de face  ça le fait : pet ? qui sait ! notre chance ! on est née sur pré nous voilà née, cette fois-ci, non plus fée mais ... bébé ! grave ! le  B2bé des rages, un bébé de Rage ! THE bébé né post pré comme à la parade ! Bébé né de base "remuante" . Trait ! un trait, voilà le trait ! trait de souffrance ou de non-souffrance mais trait, rage au taquet, trait de rage dense, un tracé nacré = la CHance ! pezrmettrz que je vous embrasse,  s('il vous -plâit ! on danse ? le néné ! un néné ! un néné sur pied s ! genre: treait des traits qui sauréit de fait nous comptendre, et auxssi nous aimer sans plus de simagrées ! oh, on aimerait ! on voudrait en vréi être née sur place (post pré) en tant que "Bébé étrange" il semblerait mais (pour le coup) aimé ... ou sinon aimé, adopté, ou sinon adppté "reconnu" comme étant le B2bé aux données tracées ...  sur P°ré des Traces et autres tracés "de reconnaissance". Ici le bufflet, le bufflet cendré, là la Méchante Fée aux gros nénés, le Bison arqué, Chevaux Donnés, Chevautins traqués, Buffles au drappé, Antilopes-bouquetines, bouquetins au frais, Vaches à lait, vaches des prés, Porcs amidonnés. O,n veut tloucher à ce qui ici on dirait voudraiot grave, à nous, se donner, mais de notre c^pté, veut-on, tant que ça, aimer , aimer toucher à ce drôle de muret aux données profondeqs ? on dirait que oui, quand même, il semblerait. on dirait qu'en effet on a super envie ici , de cerner des choses qui se passzerait en cetespace (post-muret) des contrées (ultra-profondes) hors roche ou rocher, au-delà des ombres, des ombres portées ,

sur un mamelon, ou genre de ,

mamelon d'un téton. tracer grave, porter, chercher, cerner ou du moins tenter. Qui on est sur pré ? la fée. Et, le pré une fois passé ? la post-fé ! fée cpommme transformée (dès lors) en ... post-fée ! oui mzis encorex? eh bé cette chose d'une qsorte de transformtion, de roche, de porte, de porte de roche . Un tracé ou trait (outtré ?) qui serait (ou est) le tracé ... d'une porte ! porte aux fées" comùme qui ndirait. Passé des p âssés ! Cages allouées à un ;Passé de Roche comme passé (sous roche ?) de l'autre côté ! Cerné, poussé, donné, contrôlé, alloué, passée sur pieds et comme consacré ! On veut toucher de chez toucher, dire le dire, poster, creuser, bousculer ce dit "passé" de poche ! le tracer comme à maéin levé et sans trembler (pa d'anicroches) sur muret ou mur de Roche consacré. tracer = donner = dire = poser= connaître =

 comprendre ensembke un cvertain niombre de données de chambre :

le Passé est ... E,ntrée de base

Le Passé est ... donnée docte

Le poassé ... etc, sur "post-pré'-toundra" . On voit ça . Disons qu'on commence, ensembke, à comprendre le Néné de Base, Sein donné, ce que c'sset. Parce qu'avant (avant avant) on ne comprenait pas , on cherchait grave (desheures durant) mais rien à faire, quand ça ne veut pas ça ne veut pas. On voulait en vrai grave pouvoir comprendre, c'est-à-dire cerner, un  c ertéin nombre de données "de référence", mais voilà, on y arrivait pas, on était ... ultra-méga motivée c'est vrai mais en  vrai ça ne suffisait pas, on éztait toujours plus ou moi,ns dépassées, et, on se creusait de fait les méninges pour en abvancer et treacer et filer et nous repérer en ces contrées dites "de la mprt à l'oeuvre" (un pré, une sorte de pré) . a présent on se permet... de toucher NéN2é ! tu le sais ! le Né,né des Rages ezt autresColères de Base. Rrage-née post-pré tu penses, on sait qui c'est, qui (de fait) est en rage, enragé , on conna^t ou on le connaît . cettz sorte De passé dxe F(ance ... à cracher ! rage oléolé que dalle ! tracé né sur Passé deVentre , pas donné , pas vraiment donné : chereté  ! mets tracés = LAIT ! LAIT DES LAITs ! LAIT DONNÉ CFOMME EN CONTREBANDE PAR UN DIT "NÉNÉ" DE CFRANCE = LE FRANÇAIS  ? ON NE SAIT ! ON EST EN SOUFFRANCE ! ON VEUT TOUCHER-COMPRENDRE = CERNER = POUSSER = CHARGER = 

FORCER LE BARRAGE, PASSR, ET LÀ, CERNER REG

A RDER  LESDONNÉES "INTENSES"  ON DIRAIT : CLARTÉ, LUMIÈRE DORÉE, EMBRASADES.On aime tracer = donner à qui est, ce qui en nous semble vculoir "monter " ... trait de Fée . On veut (voudrait) aller (tracer) vers Néné ! Néné d'Ambre = the Néné . néné né comme à la pa rade,; en ces contrées des post-parades et autres cavalcades olé olé d'animaux de charge (zigottos). On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucjer tpucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher de chez toucherb= donner ! donner de chez donner ... 

les données de roche, et, en échange,t éter ! téter de chez téter, à ses nénés , à ces nénés de poche, poche d'ombres ! téter = 

donner =

faire =

dire =

comprendre un certin nombre de données toutes (il semblerait) de contrebande . 

Qui c'st ?????????????????? c'est l'ouvrier. Le gendarme. Le plombier ou le menuisier. Le Passé chargé comme par la bande  des données de base et autres denrées bien disposées su r un muret des ditesc "offreandes octroyées". Manger = donner = faire = combler = dire. Qui est là pour nous parfaire  ou comme nous parfaire; qui vgoit ça, la peine, les souffrances agraires, les tracas de soi, misère et paroi, la panse, l'offense, l'ombre des voix, le port d'accroche, la Nouba ? on cherche de base. On y croit parce qu'on est franches. On veut comprendre = toucher à ce qui est qui se présente à nos yeux hébétés, ouverts en face,étonnés. Quoi on est ? bêtes de la joie d'en être!  d'être parmi des bêtes ! bêtes de la jpie à naîtr bête ! joie intense ! transe ! portes ouvertes ou toutes portes ouvertes ! grand passage de têtes ! naissance ! connaissance ! reconnaissa,ce ! sang d'encre ! on y croit. On veut toucher ma foi la Panse en transe ! tracas-roi ! porte close ! potage et autress soupes froides ! falbala ça le fait pas ! comment comprendre ? qui 

chercher ? qui rechercher ? à qui s'adresser ? qui emmerder ? qui soeaouler ? qui prendre en vrai ici comme à partyie ou pas à parytie mais à part, et le sommer comme qui dirait de bien vouloir se prononcer ? qui ici ? on est née fée et, du cfoup, on a envie pour ainsi dire de se promener (ensemble) sur le pré et sans plus se faire chier. On est "fée des prés", on se proméène olé olé ou pas olé olé , qu'est-ce qu'on en a à faire , d'être ou ne pas être olé olé en ces contreées "de cimetière" ! On est fée faite pour fêter les Rêves ! rêver et fêter les rêves , fêter l'herbe. On vgeut toucher toucher toucher toucher à ces nénés tracés post-herbe, post-muret ... mais alors où tracés ? sur pieds ! ok mais ouù sur pieds ? eh bé ... sur Passé ! sur une sorte de Passé pâssé, passé sur pieds, passé des passés ! contrebande franche ! contrebande franche ! chère contrebande ! un passé pâssé (de fait) comme en ... contreb nde franche, intense, énervée ! fée ! fée ! fée de Franche contrée ! ambassade des tracés nacrés ! intenses ! faits sur pieds et du coup redressés (comme à la parade) sur muret de chargepariétale, genre "moufflets", genre "bouquetines", genre "big bidson" et autres bêtes à mamelons. On entre. ON rentre dans l'antre. On est bien armées ensemble . On veut comptendre alors on s'arme ! On veut toucher à ce Néné xdes COntrebandes, et y aller : poussser, pousser, poussser, pousser, poussser, pousser autant qu'on peut , charger, cerner, aler , donner, faire un voeu (voeu pieu ?) et se poster au-delà du muret, dans l'atente d'une vérité" qui de fait nous serait allouée ... comme aux petits vieux ? ça fait rêver ! bé ouiais, qui sait , ça se peut ! ça peut en vrai le faire (grave) à nos yeux ! commr à la parade ! voeu de rage ! On est deux = noeud ! on entre ! on entre "entre". On entre en ce feu. feu d'antre. On entre ensemble en ce feu des Rages et autres Colères de base (d'un dieu pieu) et on regarde. qui est là au beau milieu (plein centre) ... Dieu ? le Vieux ? le passé du pieu ? l'antre de naissa,ce ? qui dit mieux ? On entre  ! on est "deux" , "deux de rage" qui voulons comprendre et .... cont^roler la Rage ainsi allouée à une Contredanse sur Passé. qui , en vrai, on est  ?qui ? ......;...................................................................................................................................................................................................................................................................................... AMBRE ? ........................................................ AMBRE ?................................................................. AMBRE ? ........................................................................................................................................... Fourne d'(am bre ? ......................... on entr ! on entre entre !onn entre dans l'antre entre . On veut comprendre ensemble les données de l'antre. On a envie de base de comprendre ensmble les données de l'antre, et du coup grave en avancer, au-delà du muret, passer , pistonner, nouds retrouver  de fait de l'autre côté pour mieux cerner ce qui est qui se présente à nous "avec ses nénés" qu'on dirait ... des genoux ! hou !  genoux de  gnous ! On entre , on regazrde, on se fait une idée, on cghehherche à comprendre-cer,ner, on mate. On est ensemble ou iun ensemble : plutôt un ensemble, ensemble ailé (une fée ailée) et voilà , on danse ! on est en transe ! on veut creuser à fond dans les connaissances et tracer, tracer sur pied tout ce q'ensemble on croit deviner ou pouvoir deviner de ce qui ici, en présence, ou en notre présence, semble se dessiner

 en face, traits, traits des traits, trait s de Rage et autres Colères "IMMENSES" , on sait, on est conscientes ! on a compris grave le blême il y a belle lurette ! certes ! grave certes ! On entre et du coup voilà : on mate 

🤑

Traits 

traits d'ombres allouées à une roche ornée 

traits de fée

traits très appuyés pour rester

treaits des traits cfomme s'il en pleuvait = pluie , et le tour est joué

traits actés = gravés = induits 

post-pré (hé hé) on dirait !

ça plaît. Ç envoie du bois. Ça envoie grave ici du bois de là ! charge, porte, poste, trône, porte-à-porte. On voit ça. Toute une cohorte de "Rats gras" ... Choses d'ici bas , on compte : un , deux, trois, les voilà changés (ces rats gras) en Fée de par(oi, wouah ! ça envoie ! ça trace ! ç a commande sa loi ! c'est bath ! On aime ça. nous vpilà en face qui voulons connaître, eh bien ... Vent de Rage et son COnvoi (tant qu'à faire). POids. POids de roi et Reines. Poids-roi, poids-reine. Pèse-maigre, pèse-rat , chants des toundras et autres plaines : la la la la la la la la la la la la la la la la ;la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la lz  et aussi : ka la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la , et eaussi : la la la la la la la la la la la ka la la la l la la la la la lz la la la la la la la la la la lab la la la la la la la la la lz mhn        lla la la la la la la 

ça envoie ! ça grave envoie du bois ! = trace gr ve! traits de foi ! fente ! fente large et voilà, on passe ! on entre, on veut ça ! On veut ensemble si possible aller au plus profond e,n ces contrées et n e plus remonter mais gegner les bas-fonds, les bas-fonds de roche, tracer, aller, cerner, pister, essayer de toucher à ce ... eh bé qui sait ! néné de l'ombre , de l'ombre allouée à une roche ... pré-pré,, puis post-pré ! On compte : 

un deux trois soleil, la Roche ! 

pré, pré né, pré aux fées, pré acté, pré d'herbes nacrées . On compte. On veut ensemble (qui sait ?) essayer de ne p^lus (ici) nous arrêter pour compter ou comptabiliser mais ... essayer de touchezr les sortes de "nénés de l'ombre" , et dcoup comprendre, cerner  les nénés = les comprendre ou alors (peut-etre) essayer de "visoionner" à travers la roche ces nénés, comprendre -visionner ? On ose ! On passe ! on prend un peu d'avance . On veut toucxher parce qu'on se dit que de t(oucher n ous fera "grandir" à jamais ! on se dit ça. On est là pour tenter une approche de roche.  POur : gravir cette roche, monter hzaut sur roche, tracer. Léviter. Qui sait ? lévitons ! montons ! creusons, ensemble, cette cloison ou da,ns ceyte cloison, des sortes de passages "ronds" par où ensemble nous pourrions peut-^tre, passer, cfomme rn contrebade, jusqu'aux nénés, ou à ces dits "nénés" du coup "de contrebande" , on sait ! fait avéré ! trait des traits ! charge ventrale. On erst nées sur pieds la mùort ainsi "traversée" (disons : 

le muret

le pré

à nouveau le muret

ROTONDE À MURETS

Charge "dr(ôle", haute : ponton ! on ose . On monte. On creuse. on envoie. on veut toucher à cette sorte de paroi des bases latentes et autres ressorts-roi. Fente d'antre : wouah la Voie ! Voie de l'aNtre ça envoie ! quelle chance ! une sorte de chance (sa chance) à prendre ! Antre des antres on voit ça ! quelle cha,ce on a ! mais "on a su la prendre" ! Un antre de Roi et REine de l'au-delà ! ça envoie du bois ! grave ça envoie ! promenade grave ! charge de face! pastorale! On veut toucher toucher toucher; parler parler parler, donner donner donner, dire dire dire, cerner cerner cerner, conduire cionduire conduire, oser oser oser, et du coup se poster au plus près de ces (dits) "nénés de rage" ainsi "rencontrés" comme à la pa r ade post-muret; Qui l'aurait pensé ? qui eut cru trouver (en ces contrées) pareil n éné tout dévoilé et prêt (du coup) à  téter ! car, 

on aime ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ téter ! grave on aime ....................... téter ................................. dingue même comme on aime ici (La Mort) téter ! ............................. amour -haine et cependan ........................... vive le lait ! le lait des contrées "mortifères" (?) comme qui dirait on dirait ............................ fée agraire ! ....................  fée des fées allouées à du post-cimetière aux denrées lactées : bière galactogène ? sein donné ? lait de trait , ... passé ? hé ! qui sait ? on cherche ! ce passé........................ qu'eswt-ce que c'st ? ............. du VErbe ?................. ça se pourrait ! que Le VErbe soit lié, à cette chose ici donnée, Herbe ! herbe de pré ! herbe acidulée ! lait et herbe ! .............................../............ herbe verte s'il en est , toute broutée ! ................................. treaits des treaits en herbe verte ! ........................................................... on aime, on veut aimer, on aime aimer, on aime l'herbe comme dxu  verbe , dingue ! ......................................................................... vive l'herbe et le verbe , de la mùort en herbe ! piètre ? traître ? verbe piètre et tréaître ? qui sait ? on cherche ! on ne dit pas qu'on est maître  ou maîtresse, desdites contrées ! on se tient en retrait, on"gère" ! on  essaie (du moins) de "gérer" à ce qui est, en ces contrées, qu'on se devrzit ou doit de faire sans traîner mais tout le contraire , à fond la caisse ! sans chercher forcément à plaire , on veut tracer ! l'important c'st d'aimer : tracer, filer, ne pas traîner, pistonner, poussser vers , etc. , et du coup .... eh bé certainement, en avancer ! tracer de chez tracer ici en direction de ces nénés, de ces nénés de roche (post-roche) du Passé Recomposé  ou disons re-né , ou comme re-né. On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce passé dit "recomposé" si on pouvzit, mais en vrai, peut-on ? peut-on en vrai toucher à ce P assé dit "recomposé" ? et du coup ... téter ? car, on aime ! oh grave on aime ici téter, lait de mère et autres laits de bonne mère ! On aime ! grave on aime ! on aime téter ! sucer du lait, s'en gargariser, s'en foutre plein le gosier, ne pas s'arrêter dee téter pareil lait ... de roche de Rêve. téter = téter = braire ! Oh, on aime ! grave on regarde! douces on traîne et du coup on guette et du coup, houp, on se jette, sur pareil néné aux données intenses . Traces de pieds sur paroi donnée. Pré acidulé la paroi passée. Muret. Muret de fond de contrée. Et à nouveau qui se présente comme un fait exprès : le muret , la Roche, Roche haute = tombe ? peut -etre pas si vite , ou quoi ? Roched'or ! Vent de Port ! corps du Nord ! Ponte ? pont ? on monte. ON veut aller jusqu'aux Nénés "de porte". Les toquer, leur donner du nôtre afin de les téter et pas à moitié ! haute roche des prés = muret des finalités. On monte. On ose monter. oN est née, sur roche des prés, pour en fait pouvoir monter, ainsi monter, jusqu'au ... passé de Roche ainsi rencontré (ainsi et ici) : Porte d'entrée !Pré Paszé puis le Passé à nouvreau posté ou disons "posté" cfomme qui dirait. "Post" de porte. On monte. on aime aller pour ensemble creuser ou voir à creuser la roche. On monte ! on ose. On  veut 

toucher de chez toucher aux Nénés des Rosezs

Toucher de chez rtoucher aux Nénés des Roses 

Toucher de chez t§oucher à ce Néné de rOche.

qui est qui en ces contrées ? le VErbe est né qui se propose de nous diriger, ou guidr, ou accompagner ... une Vie durant ... jusqu'aux Nénés allouées au lait, Lait Vivant. On veut toucher troucher toucher toucher tpucher toucher tpucher toucher toucher tpucher toucher toucher tucher touchezr à ce Néné des vents et autrx Pets de près ! ça le fait ! traits ! ça le fait très ? trait des traitsz ! couvent ! sentiments condescendants , forces hautes, vents doctes, saints dansants, saintes roches aux tourments , parole et carriole, train avant ! On monte. ON monte hautes. hautes on monte. Vents. Frai. Traits. tracé. Pertes de données mais on s'en fiche on est passées ! fée ! ..................../... devenue bébé, ou rebébé ! ./........ on file ! ...............on garde la fiche ! o,n garde ce qu'oon peut garder : la fiche ! vive l'affiche ! le trait ! la boisson dorée ! amidon ? anis ! anis étoilé , champignions ? on vibre .................... on aimerait grave duerer : durons ! allons ! montons ! chervho ns ensemble à 

tracer de chez tracer 

autour du mamelon, non pas un baiser, mais une sorte de tétée de lait ! lait tracé ! trait de lait :  contrepoison ! fond ! don ! pont ! pont des ponts de Roche Haute .... possédées ..... soudée à une sorte de Parole HOt, genre obscénités et autres traitsz tracés au piquet ! porte ! haute ! roche ! croche ! morte roche des données de porte ? ou roche morte des données de corps ? on ose ! osons ! portons loin notre farandole comme à l'iunisson et filons, gagnons au plus lointain la roche terminale, trait fatal, CON, porte, hzute porte de roche, CON d'homme ? haute roche des données de porte. ON monte. ON monte sur Ombre. Ombre morte. Chair de ROche HAute . Crotte ? On monte . on veut toucher de chez t§oucher à un ensemble de données dont on dirait q'elles sohnt toutes, issues (pour insi dire) d'un néné. oh, ça se pourrait que ce soit vrai  , car, le lait, en soi, offre mille et une "qualités" avéréeées , de type "alacrité", "aminosité", "monstruosité" ou au contreaire "amabilité" ... à nous de cerner et de nous repérer en ces contrées. pas simple mais on devrait y arriver . on estndes  bêtes, bêtes de trait : on sait tracer ! on sait en avancer et nhous poser. on Est le Fée post herbe .......................................... on est la Fée des herbes puis post-herbe ................... mais, post-herbe, on est plus tout à fait fée, mais Bébé ................ car, toute teansformée = renée ! ............................ née bébé le muret passé, ^prête ou pret à téter son lait ..............l ait de néné de ROche Imberbe ........................ car, post-muret il ya du lait .............. la mort est pleine ! pleine de lait ! pleine de chez pleine ! c'est un fait vrai ! tout le monde le sait ! le lait imprègne, le lait est lait d'herbe, d'herbe verte = Verbe ! trait des traits en herbe verte = VErbe ! va et vient du Verbe sur Passé Ancré, très. On mo nte . ON creuse. On porte. On veut toucher de chez toucher ... la POrte Haute , la Toucher de près, monter, creuser et porter comme qui dirait "une pa role de vérité" sur une sorte de ... néné tété. Qi c'est ? ou pltôt : à qui est ce néné ? au Père amadoué ? Au père Pet ? au Pétou-né ? Verbe d'herbe alloué à un "pet en herbe" ? trait des fées  ? on cherche ! on est pas arrivée. On veut toucher c'est vrai mais toucher = creuser = téter et veut-on téter ? somes-nous Bébé ? sommes-nous réellement une sorte à nouvrau de Bébé né au monde ... c'zsst-à-dire , la mort avérée (une fois avérée) ? Hé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ç

a se pourrait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! il se pourrait que ça le soit, mais on ne le sait pas, car un bébé ne se souvient pas et charge, sur place, son "petit matelas" de contenance , contenance d'ambre, d'ambre à aimer = le lait. On monte .............. fée haute ............. porte haute ....................................... haute porte ................... chaude .................. chaude haute porte ........................ trait des treaits à faire durer si tant est /.................................................. qui connait : les données du monde ? qui sait ce qii est en la roche ornée ? qii comprend quelmque cxhose en ces bêtes à cornes ? qui dessine sur pieds la Bête de POrte ? qui cherche à nous révéler , ou qaui chercheraiot  ? que cerner en vrai en ces contrées du bout du mùonde ? on veut toucher m ais veut-on trouver ...  quelque chose à, comme qyi dirait , brouter ? On veut : dire ! dire et faire ! et aller , continuer, treacer sur herbe jusqu'au muret des données dernières . On est née sur pré , fée. Fée en herbe . On veut grimper de chez grimper , et qi'est-ce qu'on fait ? on grimpe!  treaits ! traits des traits des herbes broutées, ruminées ! on aime ! vaches de trait, on est ! on est des fées ... vaches de trait ! on aime ! o n aime ruminer de chez ruminer ... et aussi téter, dès que passée au-delà du treait ! Téter de chez téter, le lait de "boinne mère" tout acidulé. téter = téter = téter /.............. ça le fait (grave) quand on est bébé, de téter mère, le néné de mère, le treacé, la voie lactée .......................................... chercher /................ chzrcher à téter, le sein au lait, d'une sorte d'entité de Plaine ........... qui c'sst ? .............. mort la Souterraine ................................................. le passé ancré .......................... l'herbe alloué à une sorte de misère qui serait ancienne, très .......................................................................... un passé passé ....................... à  travers les persiennes .................. trait des traits sur paroi ornée ................ ? on aime ............ on veut toucher à ce passé surnuméraire = rajouté .................... nouveau passé sur pieds, ça le fait .............................. trait né ! .............. porte haute .................. porte haute et passé haut .............................. trait des fées sur porte de roche haute ....... haut des hauts hors caniveau et autres seaux d'eau ......................... porte haute des anneaux .................. rondeaux ..........................mort la SOutreeaiene aux tréteaux et autres préaux ........................................ toucher touchertoucher ..../........... toucher à ce néné = téter , et ce qu'on veut en vrai c'est : 

T2TER ; TÉTER HAUT; TÉTER SUR TRÉTEAUX HAUT ;HAUT TÉTER LE NÉNÉ DES HZUTS ; HAUT TÉTER LE NÉNÉ HAUT ; TÉTER HAUT PAREIL NÉNÉ BEAU ; CREUSER ET MANGER ; FAIRE AINSI QU'ON SOYE COMBLÉE COMME DES ANIMAUX ;

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20/1/2025

on veut ... eh bien .... COMPRENDRE = CERNER = DIRE = SE TROUVER , POUR AINSI DIRE, ;;; DE L'AUTRE CÔTÉ DE CETTE SORTE DE MURET DES

 "FINITUDES INTENSES " , "THE " MURET ! 

la Chance ! on veut ça : voir et comprendre, ou même .... toucher ! car voilà, il y a ou il y aurait ici, en face, une sorte de paroi des Chances , paroi meuble voire molle, où pouvoir en vrai tracer = traverser sans nous retourner et du coup gagner, au plus lointain de ce qui est, la Rive post -pré on dirait. En tous cas voilà;, on entre "ensemble" = accolées = ailées  = vives et intéressées car oui ;;; on a méga -envie ensemble, de cerner-toucher à ce qui se présente, devant soi (ou nous), en termes de ... Néné de Contrebande ! le (ou THE) Nénné de Contrebande = du lait ! lait de France ? lait de Rage Ancré, invétérée ! on entrev= on creuse = on regarde = on veut en vrai cerner -toucher à cette sorte de Donnée Frontale ... la RAGE ? hé, qui sait ? Une Rage qui dès lors sera it comme personnifiée ? une sorte de RAGE IMMENSEV , GRAVE, FORTE : HZAUTE ? on veut comprendre ! on mate ! On ne lâche plus ... le bébé ! On est accolées de base ensemble (ailes de fée) pour eh bé oui cerner ici, en ce Royaume post-soufffrance, puis post-pré, les données dès lors, d'une sorte de   RAGE IMMMENSE, 

qui serait "raccoçrd", avec LA Vie telle qu'on l'imaginait (peut-êtte) post-pré ou post-prairie "des fées" ... ? on ne sait ! on est nées Fées sur pré et nous voilà , qiui, ayant traversé (à nouveau) la Roche (en ce vpré des vfées ) sommes qui , en vrai, nous retrouvons comme enveloppéesz vpar une sorte de lumière INTENSE ! est-ce ... du lait  ? lait nacré ? est-ce une sorte de blancheur de base ? qu'est)ce en vérité que ces données, bpost-prairie aux herbes et autres fleurs post (?) cimetière  ? on cherche ! on est nées fées, au pré, nous voilà à nouveau peut-etre adoptées, par une sorte ici de ton nacré, blancheur hâlée, ton de données  hautes toutes enluminées comme qui dirait ! est-ce un Pet ? vent de Force Douze ? quoi est ici qui semblerait vouloir nous i nviter à nous allier à une sortte de part(ie coriace (INTENSE°, de type ... Chasse ? ou comment penser ? on regaedrrde ; On veut percer dans ce muret Passage poutr passerr, et c'est ce qu'on fait. Puis, voilà, on entre : ok ! ON est entrées ! F2E ! F2e des prés on est entrées et on regarde et on essaie (au plus près) de comprendre ... eh bé, les Nénés ! ce LAit ! cette trace (au débotté) de Lait De FRance comme qui dirait ! VErbe tracé ? charge ? poil du nez  ? qui donc est là qui nous observerait ? qui nous regarde peut-être de biais mais bne cesse de nous obszerver comme qui dirait ? qui chante ? est-ce chant ou est-ce vent ? pet post-pré ? traces nacrées ? chant des bases et autres CCcHants comme "soulevées " et on comprend ou comprendrait dès lors que le Moment est grave (INTENSE°, et qu'il est temps pour nous (FÉE) de nous transformer, de nous adapter, de devenir (qui sait ?) BéBé comme on était , comme autrefois , pré-pré, on était ! comme auttefois, avant le pré, on était ! On a été ! On veut toucher à ce N2né des CENdres et du coup T2TER ! téter, à s'en faire péter la Panse ! à s'en mettre (intense) jusque là de lait et sans traîner, parce qu'en vrai, le lait, dingue comme, voilà, on ne peut plus de fait s'en passser, tellement en vrai on aime ça ! on raffole du lait ! on ne s'en lasse pas ! On est dingue folles de Lait ! vive le lait et les produits laitiers comme qui dirait ! On veut téter à ce Néné du bout du monde (MORT). On veut grave téter, en tant que fée, à ce néné du bout du bout 

et ne plus lâcher, en tant que bébé, ne jamais plus lâcher (en vrai) ce Néné, qui est Néné pour ainsi dire des données de RAge (incidemment !) il semblerait ....On entre ! On est dans ! on est dans l'antre ! on est Fée en transe ! on danse ! on boit du lait ! oh le laiot ! oh ce lait haut ! oh oh ce lait comme on aime de fait l'absorber et le digérer et même le péter ! On veut toucher de chez toucher à ce Néné à lait De mort de RAge ! mort donnée = mort haussée ! On cherche à cerner . Qui donc est là qui nous regarderait en tant que b(maintenant : après la Fée) Bébé ? qui donc, dans la mort, nous regarde Téter ? La RAge ! et le tracé de RAge ! cette Sommité ! Bête de charge ! mais qui c'est ?????? eh bé ... peut-êttre .... un mirage ? une sorte de donnée de base ... évanescente ? tracé né post-pré, colmme un tracé des Rages Allouées à une sorte, ou une espèce de ... Mirage Accolé  à une "somiyté" des Données FRanches ? on est née Bénbé

 à la travezrrsée, 

comme on était née Fée, plus tôt, pareil :

 à la traversée ! 

on a chargé ! on a passé le pré ! on a gagné le muret ! on a regardé les Nénés ! on a tété ! on a ingurgité du coup pas mal dsde données , et nous voilà refevenues , pour ainsi dire, B2Bé comme on était avant dêtre allouées à une sorte de Donnée Finale genre p)rairie sarde , pré aux fées, parade animale ! On creuse de fait les données de base telles que présentéezs à notre comprenure pas mal embouchée mais enfin on tente ! on essaie grave de comprendre, de nous situer, de cerner loes choses post-pré qui nous attendent ou nous attendraient sait-on jamais ! Bébé ! le Bébvé des Transes ! On est enfin passé et à présent on veut toucher ou on voudrait toucher à quelqaue chose "qui le fasse" aux yeux de D2ité, qui sait ! MOrt au taquet ! La Mort est blousée , ou serait grave blousée , on naît = on re-naît ! on trace ! treacé ! on entre ! entrée ! on regarde intensément ce qui appaaît et donc .... on verrait (on voit) .... 

Des traces ! de la JOie ! du tempsaccolé à un Passé ! unPassé accolé à une Déité , elle même accolée à une sorte de Donnée de RAge ! Paroi passée, voilà en vrai ce qu'on pourrait ... deviner ? détailler ? cerner et toucher ? on mate grave ! on ne s'en laisse plus conter mais donc on mate de chez mater, afin de cerner ici les données qui nous sont données à comprendre . Le Passé !!!!!!!!!le Passé intense ? un passé en France ? transe ? charge du passé sur Donnée de RAge post -muret ? On regarde ce qui est ! On cherche à discerner ici ou là ce qui pourrait nous intéreseer et nous attirer ! On cherche à s'avancer en ce post-muret aux données franches ! Le Bébé est né ! voilà le Bébé ! le bébé des TRanses est enfin re-né, du fait que là (post-muret) il a pour ainsi dire traversé (sous forme de fée) ce tracé = ce treait ! voilà le Bébé ! ici est le Bébé ! le Bébé des Chances est ici orné ! Il est le Bébé des Données De rage ! Il est ce dit "bébé" aux coudées franches ! intenses ! on entre ! téter est la vérité ! téter = t'étais ! mais tu es (il semblerait) re-née , et donc tu peux téter à ce néné des dites données

 de Rage intenses (intenses les données !) On est passées = on a traversé, la dite "façade" d'un tracé aux F2es ! on est passées ensemble ailées, du fait que voilà, on voulait y aller et sans plus tarder, car, on voulait (en vrai) SAVOIR + TOucher à ce qui est ou était ou serait de l'autre Côté pour le coup du pré, comprendre = toucgher, et toucher comprendre, alors on est, comme il semblerait , passées, d'un statut de Fée (fé des prés comme acidulés, les prés) à un statut dit "de Bébé" , qui, ici , post-muret, est le statut de celle ou de celui (indifféremment) qui peut téter à un n2né dit

 "des Données de RAge" (de La moprt cendrée !). 

On veut toucxher-téter à  cette sorte de "donnée  en Bosse" comme une avancée de genre Tombe, TOmbolo, TUmulus ... TRombe ? TRot ? On monte ! on mate ! on mate grave ! On touche ici (post-pré) à quelque chose de

 "complètement intense" ! on veut toucher ou on voulait toucher et à présent voilà que nous toucheons ensembke THE  néné des Données denses ! On entre ! on cherche ! on fouille ! on veut essayer de cerner-toucher à une sorte de Donnée qui serait la Donnée des Données Intenses : franche ! franchement intense ! en (qui sait ?) transe si tant est ! on est passée parce qu'on le voulait en tant que fée, on est entrée et on rzg arde ce qui est et ce qui est ... ne laisse pas de nous intriguer ! on veut c'est vrai aller, au plus profond svp, en cet antre aux données franches ! verbe allié ! on veut aller eh bé en ce .... Passé ? chercher ! chercher large ! chercher ! large chercher ! chercher du large large ! chercher = cerner = dire = pousser = attirer = aller = monter et du coup soulever , de la cryppte, le Passé en friche ! on ne veut pas se laisser démonter ! on veut pouvoir en avancer sans se bklesser ! on ne veut pas se laisser absorber mais téter de chez téter à ce Néné post-crypte (?) si jamais ! On veut pouvoirtr téter sans se bousculer ! On veut toucher topucher toucher, téter téter téter, cerner cerner cerner, aimer aimer aimer , aimer tégter ce lait des Données FRanches ! les Coudées ! l'attente! le tracé ! le Vrai du vrai ! la Chance ! Lesz Nénész tracés = dessinés qui sont là de fait à nous attendre à point nommé car on est nées ! on est Fées passées devebnues Bébés ! qui aimons téter quasi à jamais (en tant que B2bé) ! Qui on est ? des Bébés ! qui on aimerait, en vrai, devenir , dans le futur proche, si on pouvait ...  des bébés ! et, auusi : 

des qui pourraient cerner (en tant qyue Bébé, dès loçrs) ce qui est qui nous attendrait passé le muret des finalités ! un néné ? deux nénés ? trois nénés ? horde de Nénés  ? mer gelée de Nénés ? océan fatal ? charge large ? une mer immense, toute nacrée de nénés Intenses ? on ne sait de fait , mais l'idée est ici de cerner au plus près ces sortes de données coriaces ! essayer ici (en tant que Bébé nouvellement re-né) de toucher de fait à des É2vidences, s'il en est ! et du coup de percer (incidemment) un certain nombre de secrets qui  seraient dès lors "Secrets Éventés", my god ! on Saurait ! on en saurait long ou plus long ! on saurait, de la mort, les ressorts ! on comprendrait ! on pourrait informer, éduquer, donner, redonner, offrir des données et autres clartés , c'esst un fait ! On pourrait peut-êtte alors nous retourner ... mais en vrai est-ce qu'un bébé peut se retourner ? erst-ce qu'un bébé peut réellement, concrètement, sciemment, affirmativement, se retourner vers son pAssé Récent d'embryon flottant ? On est nées Fées dans la mort tracée, puis passé- le pré on renaît, en tant que bébé prêt (prête) à téter si tant est : prête et prêt selon le sexe (? ) donné ! on rêve ! on entre ! on passe ! on creuse ! on veut toucher toucher toucher = donner = faire = dire = cern er = pousser, ici, tel ou tel néné aux données de base = le lait ! ah le lait ! 

LAIT DES LAITS ! 

LAIT INTENSE DIANTRE ! diantre le lait ! quel lait ! lait blanc de Néné post-pré ! Chance ! on pe"ut dire qu'on a de la chance ! on aime le lait et bingo, intense : Lait ! lait des laits ! On en redemanderait tellement c'est frais , ça nous plaît ! on danse ! on est née f2ée puis Bébé puis quoi ? toute mouru du cul ? direction le FRai ? Rage-Trait ? on danserait ? on passe ! on cherche ensemble ici et là (comme à la retombée avec ou sans fraczas) de cerner la CHance, ce que c'est en termes de Donnée Franche et autres données, dites "intense", "intense à jamais" ... On veut toucher à ce Néné des (donc) données Intenses, Denses, Franches, Fortes ! comprendre = donner. Faire = poser . Dire = pointer . Toucher = colmater et du coup toucher à ce qui est qui nous regarde en face , en ce tracé (de Rage) des Données (Franches) Assénées ! Qui c'est ? Le tracé" ! Qui donc c'est, en tant que tracé ? Le trait ! De quel trait veut-on parler ? du trait ... entre les Nénés ! Du trait treacé sur peau de Fée ? non : trait né ! trait ici né entre deux Nénés ... =  entre Né  et Né ! Oh, ok ! On a enregistré ! on voulait cerner eh bé on dira que c'est en que'lque sorte fait ! on sait ! on peut avancer ! on peut chanter ! on peut ghrave chanter à jamais ... les chansons de France oh oh ! France  é& Navarres, tu parles .... en français "de charge" ! TRenet ? le Passé acté ! l'ambassade ! colet-monté on est entrée ici pour chanter et nous voilà toutes remontées qui cherchobns (intense) la ... façade ? ou face née ? trait des traits par où s'immiscer (le nez ?) à tout jamais et s'y instéaller ! car, on naît bébé ok, prêt ou prête à téter ok, mais de quel lait veut-on téter ? lait d'Espagne ? de France ? d'Italie mon quiqui ! du Royzaume des Flandres ? Brindisi ? on est née Bébé on veut toucher néné ! né et né ! on vzut toucher à ce né-né aux données Sardes (qui sait ?) qui nous rassemble (re ? ressembkle ?) on dirait ! on entre ! on entre en  cet antre aux données intenses ! on veut grave de chez grave aller ! tracer ! toucher de chez toucher ! percer ! toucher = percer ! donner = dire ! faire = comprendre et du coup percer,;, cerner, chercher à soulever si ce n'est les nénés, le tracé du Passé et hop, re-née ! née sur pieds ! le Bébé du Traitb ! re-chargé comme une sorte d'entité pré-pré ! hé hé ! on est re-né à une sorte  "d'aventure-conjoncture", en fin relayée , sur papier de frai ! chapeauté ! vive les TRaits et autres gravures ! le bouquet = les données ! chevelures !  parures  ! échancrures ! bures ! Les nénés post-pré donnent belle allure ! 

♥️

on veut aimer

aimer

on veut grave aimer

aimer

grave on veut aimer

aimer

aimer grave ...  trenet ?

aimer, jusqu'au dernier carré des données tracées : chevelures et montures, montures et chevelures  : le Passé traité sur mur ! bêtes d'allure ! bêtes-mots de bure ! un tracé ! une sorte de Passé ttracé comme à mai n levée ! allure et monture ! cavalcade diurne ! le Passé a fine allure ! passé des passés ! On veut toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui nous reg arderait sans sourciller (ou si ?), et nous de nous placer ainsi à ses côtés ! qiui c'est ? le Passé ! Mais qiui, le Passé ? parce qu'on voudrait de fait comprendre , ce Passé, ce que c'est justement, en termescxde :

-monture

-trait

-encolure

- chevelure et autres "parures de bure" . On est   née Bébé post pré ! on veut toucher à ce Néné ok mais : piour mieux traverser, ensemble, la butte, le Mont Doré, le Passé de bure et autres Passés ! qui on est ? qui en vrai on est  ? qui pour le coup en vrai on est et jusqu'au cou ? qui sait de fait qui en  vrai on est ? qui en  vfrai connaît au plus près les données données d'une espèce en fait de clarté diurne ? velouté ? don des Fées ? pré à nouvreau rencontré ? re-le pré ? re-les fées ? re-la meu des données bovinesz ? Pré à brouter ? pré des Prés à devoir brouter et du coup aimer ? On trace grave sur Passé les données Sages ! On est nées fées sur pré, nous voici re-nées allouées à la Bure des données Postées ! pré-pré ! pré-prairie aux fées et autres en vrai bêtes d'allure (aurochs-attiutde). On veut :

dire de chez dire

faire de chrz faire

aimer de chez aimer

cerner de chez cerner

comprendre grave et donner large, les données !

faire ainsi qu'on soye allouées à une vérité "de bout du monde" si tant est ! chercher chercher chercher à kjamais la vérité des choses tracées ! les chercgher dsur pré... mais pas que sur pré, aussi poszt-pré ! de l'autre côté ! côté Chose Actée, tracée post-muret dans une sorte de Clarté toute acidulée, celle des Données dites "allouées" àune sorte de

 "Donnée de rage" = LA MORT ! car, LA MORT, est (on le sait) en rage ! elle enrage grave ! elle nous en veut grave ! elle veut nous manger, avaler, intégrer à sa panse ! elle nous veut gibier ! elle veut nuos intégrer ou comme nous intégrer à sa panse-née ! elle nous veut manger et pas à moitié, en entier, dès que né ! hé ! et voilà de fait le pourquoi des choses ! pourquoi ça ! pourquoi on trace sur paroi ! wouah ! ça flambe ! ça envoie ! ça par ade ! ça rigole pas ! sarde ! charge ! traces des foies ! face à face ! On est Femmes SArdes, point de croix ! on passe  ! on entre en paroi ! femmes aux hardes ! transe et danse sur paroi des Traces ! la Rumba ! le cha cha cha ! la danse en France , tralala ! on veut comptrendre et voilà, on entre ! la paroi !

LA CHANCE !

on entre en cette sorte de paroi aux transes ! trans- paroi de roche, treans-donnée de porte, treans-identité accorte ! treans (peut-être) -génitalité des données de Roche ! TRANSPORT ! trans-tétée ! On veut coller à ce qui est qui serait pour nous comme un néné à lait ! On veut : 

toucher de chez toucher

tracer de chez tracer

percer de chez percer

coller de chez coller

faire de chez faire

comprendre large les données frontales ! couper = coincer, dire = aller, passsrr = poussser, gémir = craindre, charger = poindre et toucher aux Nénés tout acidulées des Coudées FRanches post-

"muret du pré" = post -pré c'est un fait vrai ! On veut :

toucher à ce qui est qui se présente, aà nos yeux hébétés, de Bébé béat ! Toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toycher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher à ce qui est qui se présenterait, pour de vrai, à nos yeux béats ! grands ouverts suur ça : ROche Donnée ! roche tracée ! roche ornée ! roche aux fées ! tracer = dire = faire = comprendre = cerner = consacrer = chapeauter = coller = pointer = sourdre = vivrre sur pré une vie de Fée on dirait. Et nous de nous allonger, de traîner ou traînailler ? eh bé ... pas tant que ça en vérité ! car on y va ! on envoie ! on veut tracer( ! on veut au plus vite gagner les rives du côté post-friche : le Passé ! Car, on le sait (grâce aux nénés post-pré) le Passé est le Futur tracé ! Passé passé ! Passé dur post-mur ! dur ou pas dur, mais passé post-mur ou muret ! On veut toucher et du coup c'est ce qu'on fait , ... et du coup voilà, on est BéBé ! on est redevenue BGébé tout nu ! ou toute nue ! bébé nue des données de rue ! à la rue le dru ! on est ! on est née ! on peut le chanter, l'annoncer, le crier de fait ! rue drue ! Fée des prés sont passées et on conclut! vive le dru ! l(ombre portée sur le muret des prés aéux données ancrés, de type : "sommité" ", "charges allouées", "passé dit passé", "colère rentré"e" et autres "ires ....  farfelues" ? On veut :

dire dire dire = faire faire faire = choquer choquer choquer 

et du coup : AIMER ! ÉIMER DE CHRZ A&IMER LE CUL ! VIVE LE CUL ! VIVE DE CHEZ VIVE, LE CUL DRU , NU, VELU ! VIVE DE CHEZ VIVE, LE TROU DU CUL NU ! VIVE ALLURE ! MONTURE ! BURE ! chants des dunes diurnes ! On ose ! on veut, 

on veut grave : 

AIMER DE CHZ AIMER, DIRE DE CHZ DIRE, PARLER DE CHEZ PARLER, COMPRENDRE DE CHZ COMPRENDRE, ALLOUER DE CHEZ ALLOUER, COLLER DE CHEZ COLLER, CERNER DE CHEZ CERNER, et du coup en avancer (grave) dans la comprenure de , genre : qui on est, qui on est pas, qu'est-ce qu'on veut être ou pas, qu'est-ce qui est sur préb (la mort donnée) et ce qui n'est pas , les données de rage quelles-sont-elles et qu'est-ce qu'elles ne sont pas, etc. On est Fée sutr pré,

 Bébé d'allure post-pré,

 et aussi pré-pré ! vulve ! 

on est nées ! nées ! on est nées ! nées ! on est nées ! nées ! on est nées sur pré feée, et re-le Bébé le pré passé ! car, vivre = donner ! donner du bonnet ! aimer ! charger ! pincer ! comprendre ensemble (ailées) les données "immenses" , szoit (pour ainsi dire) le treacé des monts et autres dômes de Parade sarde ! treacé des tracés ! entreées des entrées ! passez donc muscade, Roc et Gravillons ! chargez ! touchez ! pointez votre nez et essayez de traverser ensembele (d(un même élan de France ) le .... PAssé ? hum... aussi emmuré ? Et de vous retrouver dès lors cvomme "consacrée" par (comme qui dirait) une F2e plus âgée, Fée des F2es qui vous adouberait dès lors en tant que fée nouvellement née à la vie à la mort sur pré (à jamais si jamais !) . On veut toucher de chez toucher à ce néné du Port ! qui il est ? ou : à qui il est ? à une ... Fée ? fée des prés qui serait passée de l'autre côté ? hum, non ! Alors à qui ? à une D2ité des Données Ancrées ainsi allouée à ce treacé de type post-muret ? ça se pourrait ! mais ... de qelle déité il s'agirait alors ? d'une divinité de Roche TRaversée ? sûr ! alors laquelle si c'est si sûr ? Celle qu'on regarde ou qu'on

regarderait entre les Nénés ! 

hein ? 

cEle oui qu'on se plaît à ici rega rder entre les nénés ! 

et donc ? 

le TRAIT ! Déité --Trait ! Trait donné ! un trait ! 

un trait ??????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????? 

un trait ! 

trait donné doré ? 

trait donné doré ! 

mais... qauel trait ? 

trait né entre deux nénés , pas compliqué ! 

Oh oh oh ! voilà qui est comme qui dirait fort de café ! On veut toucher toucxher toucher à ce (dit) "trait des traits" né (de fait) entre deux nénés , il semblerait. Un trait né ! perle de fée ! ... = cherche-merde ? pas vrai ! au contraire ! la douceur et candeur et gentillesse même ! le parfait trait donné post-pré s'il en est ! on aime : coeur ! fleurs ! pré passé , mais les fleurs ! on aime aimer pareil nénés ezt, entre les nénés, le trait donné ... en toute candeur si tant est ! on naît ! on re-naît ! on est renée ! bébébébébébébébé ! on est ! On voulait ALLER, eh bé cf'est fait ! amour doux des Hautes mottes ! chants doudou ! porte haute, on monte ! haute porte , on veut aimer ici tracer (ensemble ?) ce B2B2 post-pré ! on est née du trait post-pré... pour en avancer et gagner de fait l'Amb assade aux N2nés, aux Nénés de RAge ! mort allouée à déité est donnée sarde ! sainte clatrté ! charge dorée ! le Passé sage ! les données allouées à une sorte de "Passé en FRa&nce" = Le Passé tracé ... sur roche tendre : lait ! pré des fées en attente ! le "Passé en FRance" &ccolé de fait à une sorte de "donnée intense" genre "accoléée-seerrée" à la Channce, en vrai, d'être re-née ! tracée ! donnée ! portée ! poussée ! etç'en avance dans les confidences ici notées ! On veut :

coller = coller = coller

dire = dire = dire

passrr = passer = pâsser 

charger = cjharger = charger

composer = composer = cfomposer

et du coup AIMER de chez AIMER le RIRE, RIRE _CLARTÉ, VI VRE ALLOUÉ, PERTE DES PRÉS ! 

on aime ! on veut en vrai aller de chez aller post-cimetière jusqu'aux nénés donnés en bière (qui sait ?) à jamais et ça le ferait , porca  misère ! qui le sait ? qui connaît le Verbe Sacré ? Verbe-bière ? charge allouée à une Vérité Hautaine ? on est née Fée sur pré, mais voilà ce qui est qui est : à présent .... rengaines ! le Tourment des gens ! la haine ! le Passé tout remonté avec son flots de traîne, incidents sur champs, colères des temps, pansements, pertes sèches, vents ! On est Née fée sur pré aux chalands, nous voicfi re-nées sur nouvelle Cité aux clartés souveraines .... prêtes , prêtes à re-tracer un chemin inverse , ou pas (peut-être) inverse mais ... cerclé ? re-lacets ? re des lacets pour une renaissance en herbe dans le VErbe (mordoré) des données de FRance (en l'occurence) ! on acte ! On avance ! On aime aller ! on aime manger ! on aime tracezr ! on aimev téter ! on aime soulever la roche et nous "immiscer-glissser" , jusqu'au bout des fonds des doonnées de poche ! Le Néné sera né quand on aura passé le pré ! néné né post-pré ! néné des Nénés né post-pré en vérité , vérité -déité ! Le Chalet ,! les cordes ! 

la remontée ! le tracé ! la Porte aux Données et autres Vérités post-pré telles qu'espérées ! on veut grave y aller et ne pas nous retourner jamais, mais tracer... comprendre .... soulever .... prendre .... souder à une "branche" une sorte de donnée "étrange" qui serait ... eh bien DOnnée des DOnnées SAges  : le Passé ! ¨Passé alloué à une Déité de Rage, un treacé, une donnée, un mot de pré qui serait peut-être passé de l'autre côté sans traîner ... genre : MAnche ! On enttre ! on veut toucher de chez toucher à cette branche dite "du Passé", qu'est-ce que c'est ? romance ? chant de FRance ? une donnée haute ? Porte d'entrée ça le ferait ? cohorte ? chevaux doctes ? chevaux et chevales Hautes ? Accolées ? données ? cernées ? pistées  ? sur "pré de roche" ? On monte ! montons haut ! creusons ici passage et possibiltées d'ancrage ! commençons ! soyons sage en termes pour le coup de contrition, et allons ! creusons face ! chargeons ! poussons à la cravache Cupidon et entrons ! entrons en hardes ! poussons le boucjhon ! pertes sales on passe ! passons ! naissons ! soyons ! composons sur place un tracé de front : boucs au mont, bisons-tronsc, bufflettons des POnts de base et autres buffles-tout-Amidon ! entrons ! poussojns et entrons , forçons , faisons, collons, pinçons, traçons, pistons sur place .... b^tes-mots de Rage et autres Dictons ! On veut toucher ............................ au vrai du  pré ....................... le mont doré ! la Haute Futaie ! mamelon des mamelons ! .......................................................................................... un pont ! .............................. pont donné .............................../..... aimé ............................. accvolé ici à une cloison ..................................................... cloison-ponton ...... palier ......... tracé de front sur paroi allouée à une sorte de rotondité de base, genre CHatte  d'eau = chateau ! enclave ! fortification de Rage et autres Enceintes Collaborantes ! On entre dans l'antre ! on commande ! on cherche ! on veut toucher à ce Néné du post-muret = le PAssé ! car, le Passé (qui n'est jamais assez) nous regarde sans cesser ! il est peut-être le Passé des Franges, Passé né sur papier de FRance et autres mots d'identité ! intense ! intensité ! traéit ! parade ! cavalcade au cran d'arrêt ! chevauchée sarde ! bêtes lancées sur un muret tout échancré ! traits des traits sur du passé et le tour erst joué on dirait ! on veut toucher ! toucxher à ce muret, des données intenses ! traverser de chez traverser et retrouver là-bas, le mur du fond passé, ... les nénés de rang , le lait, la douceur et la clarté du lait, le Passé Intense d'un V de bébé ! rage et bisque-née ! la chance , transe, panse ! Un néné duvet ! frange sur Passé re-né ! Acte noté ! On voudxrait pas recomme,ncer pour recommencer mais en  vrai on se rend compte ici que le passé tracé est du passé en devenir, comme qui dirait ! Onvoulait tracer et comme un fait exprès, nous voilà qui alloons, en face, retrouver un certain nombre de données qui, en vrai, avant = auparavent, étaient données ... de rages sub-naissantes ! on sait ! on voit ! on entre = on voit ! on a deux yeux pour ça ... et même mieux .... la voix ! moi-voix dite "de passage" , car, la Voix "entre" ! elle est là ! elle  n e cesse pas ou ne cède pas ! elle enttre en l'antre ma foi ! ça passe ! mots de pot ! mots des mots donnés de base entrent ! frappent !collent et entrent ... da,nsz La mortIntense ! = Chance ! Voix de poids ! ça entre ma foi car voilà ! le Verbe de la Foi en la Mort intense entre ! va et vient comme à la parade ! c'est "certain" ! ça crache ! ça trace ! ça envoie grave ! ça en voie du bois sur façade -parade aux bêtes de poids ; bouquetins ! On entre ! entre ! on veut toucher de chez touchezr à l'Ambre ! ambre-née ! néné ! trait ! trait de fée entre les nénés = ce trait = ce foyer = ces données = ce Passé tout échancré = une sorte de Passé de Roche ! Haute POrte ? on veut aller ! on veut creuser ! comprendre = cdonner ! Faire = toucher ! Dire = ancrer ! percer = charger ! bousculer sur pré la bête Rosse, et vite fuir vers ces Nén"és post -pré, qui sait ? on file ! on court à toutes enhjambées ! on ne regarde plus le passé du pré mais ... le passé post-pré, qui se réclame de notre passé mais ... pas sûr qu'il en est ! rien ici de si sûr en vrai ! car, le Passé de soi est enterré ! et, le PAssé disposé (ou comme disposé) devant soi, est nu immaculé ou comment dire, peut-être en effet traversé d'effets d'un passé de roche mais en vrai comme d'une sorte de ... lAit de FEE , Fée HAute, FÉE des fées hautes sur trait de Roche = entrée ! On ose ! on monte ! on veut toucher -aimer, cerner-coller, poster-allouer, vivre et contrer ! aller vers ce Néné tracé ! porter Roche au frais, chercher ! toucher = toucher et aussi cerner (ici)

 le Néné des OMbres (hommes ?) du Passé ! colle ! coll"é ! percé ! perce-monde ! on veut toucher toucher toucher aux nénés des ombres et téter téter téter sans plus s'arrêter ! coller = faire = être = dire = conduire, ici, ce trait, vers ce néné des données vives post-pré ! adouber ! allouer un dire à une Sommité ! chercher = chercher ! vivre = vivre ! dire = dire ! mais oser = faire (pas à moitié) une sorte de cxhemin inverse à jamais, mais en vrai : nouveauté ! passé acté se fait tracé ancré ! chant des fées, vrai passé sur pieds ! on est nées au Passé ! on vient toucher à un Néné né ! percé ! 

lait ! lait ! lat ! lait ! laot ! lait ! lat ! lat ! lat ! lait ! lait ! lait ! ait ! mait !  ait ! lait ! lait ! lait !lmar-t ! lait ! lait! lait lat aot ! lait lait ! lait lait lait ! lait lait lait ! lait lait ! lait ! lait !lait ! lait ! air-t ! lait ! lait ! laot ! m&it !lait ! lait ! lait !lait ! la&it !lait ! mait ! mait ! la&it ! mait lait ! lait ! aot ! la&ot ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! ait ! mait ! lait !aot ! lait ! lait ! lait lait ! ait ! lait ! lait ! ait ! maot ! laéit ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! ait ! lait ! lait !l ait !lait ! lait ! ait ! lait ! lait !l ait ! laot ! lait ! lait lait ! lait ! lait ! laott ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait lait ! lait ! lait ! lait ! lait! ait ! lait ! lait ! lait ! lait ! mait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait! lait!lat! lait! mait! lait ! lait lait ait ! lait ! lait !lait ! lait ! lait lait lait ! lait ! léit ! 

lait acidulé ! lait entier ! lait nacré ! lait donné ! don de lait post-pré ! charge allouée ! don des fées ! tracé ! tracé fait sur pieds ! on naît ! on re-naît ou comment dire ... on ... continue de vivre ! sur rue ! On est le V des données Velues ! volonté ! Vie vive à jamais !un trait ! trait de vie de Rue ! Vie vue ! le Passé attendu ! Rose sacrée ! chants xdes prés ! on est nées ! velues nues accrues ! on aime ! on fonce ! on cherche ! on est la Fée du théorème ! le tracé des formes ! le poison de roche et autres ... poisons sous roche ! Amidon ! Côlons= gros côlons ! Poinçons ! CHose Haute ! = le PArdon ! la Pomme ! Haute trahison sur Front ! ça m-onte ! ça porte ! ................../..........................................................................//........ fonce ........................................ file ........................................ cherche ............................ creuse ...................................... cherche à grave découvrir des cjhoses concernant la mort .................. ce que en vraila mort est ........................ ou bien ce que en vrai la mort serait sans déconner ........................................................... qui le sait ? ./........................... qui saurait nous en informer , et ça serait top ! ................................ qzui saurait en vrai nous donner du Néné sans traîner ? .......................... sans chipoter ! .....................................ça serait   super ! et ça nous comblreraoit comme jamais (de lait ?) ! ...................................... ça nous ferait réemllement du bien et nous apporterait de quoi nous redresser et, aussi, de quoi nous requyinquer sans tarder ! ................................................................. toucher toucher toucher toucher ................................ coller aux nénés ! coller de fait ! coller-tracer à des nénés et ne plus s'arrêter jamais = téter, à jéma&is, de ce lait de "roche -forme" ! .......................................olé ! ................................ trait des traitsq ! .................................... chose haute ................. pôrte ? ........................ porte haute ? ................................comme ici accolée ou adossée à une roche en fin de pré ? .......................... une porte d'entrée vers le monde  ... du Passé Passé ? ..................... mais qu'est-ce que le p ässé PAsseé en vrai ? on aimerait comporendre ensemble ce qui est ! on veut cerner-toucher = comprendre (à jamais) ce que c'est que ce (dit) "Passé Passé de Rage" ! Qu'est)-ce ? quoi est-ce ? on entre ! on entre dans l'antre ! on cherche ! on regarde ! on veut en vrai se rapprocher "ensemble " (ailée) de ce Passé Passé de contrebande ou dit "de contrebande" . Qu'est-ce que c'est ? eh bé , c'est ..... cette Chose HAute ... un tracé , une Note de ROche , le Passé de Porte, donnant (en vrai) sur un Passé de Roche ! né ! passé né ! passé re-né disons et donc né ! c'est un fait avéré , entériné, annoncé" ! ça porte ! ça va haut ! ça remonte, voilà ! le Passé remonte et du coup re-nait ! monte sur ghAuteur des fées ou dite "des fées" . La porte passée (une fois passée) . On mo nte ! du moins on essaie ! on veut toucher de chez touchezr à cette chose ... du Passéb Passé ! hordes ! hordes hautes sur post-pré donné ! on monte ! on veut monter ! on veut coller ! on veut cerner ! on veut toucher de chez toucher à ce qui est,, qui (ici même) re-naît tout bohême ! un tracé des Fées ! en chaîne ! l'aimée ! la belle Ferme ! onctuosité des données de traîne ! ponctualité ! largesse de fée et autres générosités internes ! Dans la mort en vraéi On renaît , d'abord Fée (sur pré) puis Bébé des Traits... collé auc Nénés et buvant du lait ! Lait cde ferme !  lait d'herbe verte ! VERBE ADDORÉ ! VERBE DES PRÉS ! VERBE-HERBE ! TRAIT D'HERBE ET DE LAIT DE LA FERME = VERBE NÉ, CHER VERBE ! ACCOLÉ ACCULÉ À UNE SORTE DE DONNÉE DONNÉE DU GENRE HERBE ! VERBE D'HERBE ET AUTRES SOMMITÉS EN HERBE , GENRE AUROCHNODOÏTÉ, SUR PRÉ ACTÉ ! 

on aime tracer = dessiner, à main levée, la bhête sur pieds = bouquetin ! buffle harnaché ! buffle cendrré ! bufleaccolé à une vérité de roche, 

et la belle bisonne, l'antilope, chevale des formes, chevalines roche aux données hardies ! on monte ! on envoie ! on cherche haut les divers envois ! on ose ! CROSSE ! cforps de peau ! pôrte grosse ! coup d'épée dans l'eau ? on monte haut ! on colle ! haut des hauts ! on est hautes et hot , au chaud ! au chaud des boyaux ! grotte haute ! gros du gros ! on monte ! on veut aller haut ! au plus haut ! chercher cerceaux ! passages doctes ! tréteaux ! poteaux ! tonneaux ! tuyaux ! vins de roche et autres alcoolls hot ! traineaux ! on monte ! on monte haut ! haute roche ! on est haut et hautes !  on monte sur tonneaux de pot ! grotte haute ! gros du gros des bêtes de roche ! chevaux d'eau ! peau des peaux ! on ose ! on veut haut comprendre les données de roche , et  treacer haut les mots de trop ! porte ! ....... porte ! ............ cogner )à la porte ............. tracer ! creuser ! vouloir ! allouer ! chercher ! cerner (ensemble : fée) ce qui est qui nous regarde aller : le Passé ? le Passé tout près ? le passé alloué à une sorte de Donnée de poche = roche ? poche-roche ? roche-poche ? car, la roche (la paroi) est (serait ) une ... poche ? genre poche d'eau ? peau ? peau desq peaux ? on ose ! on veut toucher à ce poteau ! l'ombre ! le poteau des ombres !  On monte ! on monte = on tombe .... mais "en haut" ! sablier de roche ! on ose ! on colle ! on veut (de fait) aller, si possible le plus haut possible et du coup, peut-être, comptrendre = entendre , ce que c'est que ce Néné de contrebande en bande ... et autres "nénés de France" (?) si tant est ou si jamais. Car, ici, la langue en usage, est franche ! trace d'ambre ! cortps naissant ! parade nuptiale dans le firmament ! podagre ! porte forte ! pets de nonne et autres tourments ! on entre ensmble (deux). On Veut (forcément !) cpomptendre les données du Feu , la Charge mentale des données du FEu, et de L'ambre natale : le Passé ! le trait ! la Portealouée ! l'ombre sur le pré ! nuages cendrés ! charges possédées , antre ! L'antre aux Nénés : qu'est-ce que c'est ? une sorte d'antre ancré .... aux nénés tracés .... charade ! On passe ! on est entre ! entre deux nénés et ça le fait ! on veut toucher toucher toucher, coller coller coller, percer percer percer, dire dire dire, allouer allouer allouer, comprendre comprendre comprendre, cerner cerner cerner, faire faire faire, chier chier chier, pistonner de bonne  guerre et tracer sur pré (sans plus de colère) le TRait ! soit le trait des Traits  ! on le sait ! on aime ! on veut aimer ! on veut coller ! dire et centrer, sur herbe, du concret = HERBE = VERBE ... à jamais ! VERBE né des données premières ! hé hé ! découverte ! on sait ! on naît ! on est née fée des prés aux bêtes, mangean l'herbe fourragères de treait ! en beauté ! On veut de fait monter de chrz monter sans désemparer et passer ! passer en vrai ! passer grave de l'autre côté ! = traverser ! pisser ? pisser ou passer ! mais y aller, sans plus traîner, à l'arraché si tant est, l'important c'est de pouvoir passer et aussi, d'aimer aller! filer ! coller ! donner ! porter ! chercher ! comprendre les données du monde, les cerner de roche si tant est et les jeter-poser à la ... FAce de ROche= la Paroi ! Paroi Haute ! Porte ! POrte des ROis et REines des Voix ! hautes portes sur paroi de roche ! bêtes à voix ! traits des treaits sommés ! on ose tracer ! on veut coller ! on aime allrer ! on cherche à souder , à une roche, un trait de Verbe Salutaire, sachant pour ainsi dire faire la navette, entre, d'un côté, le Passé, et de l'autre , Le pASSé passé ! Ombre ! ombre haute ! porte haute aux ombres ! on cherche ! on cherche un tuyau ! une sorte de tuyau de roche (ou boyau ?) qui sache, pour le coup, nous dire sans faute, par oùu peut-tre en vrai passer sans pour autant soi-même se blessser ? On monte ! on ose ! on veut toucher de chez toucher à ce Néné du bout du monde = THE néné ! le des ! le Néné des Nénés et hop ! au trot ! porte à porte ! on monte haut vers ce boyau des Roches ! haute porte sur les Hauts des Monts !  tracversée de Poche! mort ! Mort ho ! ho on ose haut , la mort ! Mont des Hauts de Roche Haute ! poteau ! passer le poteau ! porter héut le mot des Roches = fuseau ! on monte ! on va haut au plus haut ! porte ...... d'une porte l'autre ........ ou d'une porte de roche Hot à une porte de roche Haute ! le poteau ! .......................................................... haut .............................. haut de chez haut ........../........................................... poteua des mots ? ............................... porte close ................................. haute porte closes ? .......................... mots de trop ? ......................................... mots des mots comme des animaux ............................... buffles des peaux ......................................... chevauxde trot ...................................................... bouqurtines andines .......................................................................... vouivres ? ...........................................................................................................................givre? grive ? ...............................................?.?.?.?????....................... on va haut au plus haut niveau ......... herbe-verbe ............................. hautte eau  !......................................... eau des hauts .................................... fenêtre ? ....................................../.................................................................. hautes portresv des données de  roche.................................... seau d'eau ! ...................... sainte roche des données accortes et autres portes   hautes ................................. au cordeau ............... pioche .............................. bonne pioche en poche .................................... on monte, on creuse, on trace, on envoie, on commande, on y va, on ne veut pas rester en râde, mais,

 tracer de chez tracer, la promaenade, le sentier, le chemin sur pré, vers là-bas la mansarde = face aux traits = le Néné ! car, la Roche aux traits = le N2né ! trait des traits = le N2né ! sarabande ! porte d'ensembke ! un passé en FRance sur tracé de base ! le trait = le Passé ! la chance = le Pet ! point des fées sur roche allouée à une sorte de Passé de porte haute ! tracé né ! la Honte ? ho, qui sa&it ? honte haute ? de n'être pas née, une fois le mur passé, à une vie "haute" ? on ne sait ! on monte ! on veut tracer sur roche un trait de chauffe ! tourner et virer , virer et retourner ! aller ! contourner ! vrirevolter ! ne plus nous arrêter jamais mais grave y aller et donner , ici, les mots dits "du passé" , dune Roche Aimée ! on veut coller ! dire et poussrr , aller ! faire ! chercher ! ceindre ! allouer ààun passé un tracé sur pré ! tâcher de percer ! trzit sur traits on veut toucher ! coller ! aimer ! ^rtre, sur pré, L'ÊTRE-FÉE des données de Roche , et hop ! on monte = envol ! ailes déployées ! on monte hautes ! Fées tracées sr roche de porte ! Fée du pré on monte ! vol ! vol de fée ! col de roche tracée ! vol d'ombre ! vol de V ! voie des fées ! on monte ! on veut toucher à ce Néné du bout du monde ! on veut grave l'aimer = l'aduler = l'adorer = l'embrassser = le toucher de près ! haute roche des denrées ! lait ! .................... lait ! ........................ lauiiit ! ....................... lait ! ......................... lait ! ............................ lait ! ............................... lait ! ..................................... lait ! ............................. lait ! ........................................ lait ! ..................................... lait ! ............................................... lait ! ............................................. lait ! ............................................. lait ! ........................................... lait !......................................... lait ! .................................... lait ...................................................... lait de trait ! ....................... trait de lait ! ...................................... on aime le lait ! on veut téter ! on veut grave téter ! on adore le lait ! vite, du léit ! du lait comme s'il en pleuvait ! lait des laits ! lait ........................................................! lait plus qi'aimée ! car, en vrai, le Lait est la DEnrée Suprême ! la crème des crèmes ! on veut téter parce que cvoilà on est pour ainsi dire devenues en vrai (au passza ge final) des bébés de trait ! on aimme le lait parce que voilà, c'est sucré salèé, 

à nous ça nous va car on aime ça ! on en redemande  ! on veut grave ça , pour notre foie, pour nos membres, notre voix, nos hanches, ailes de Choix, ambre ! on veut comprendre = on veut toucher = on veut en avancer ensembkle dans les connaidssances et du coup ne plus jamais nous arrêterr, car .... on envoie ! on trace grave sur paroi les Bêtes de poids : Romance, Toundra, TREanse, PArade, Char de Rage, Bëtes des ROis Et REines de l'au-delà, la Paroi des CHances = la Paroi-Antre = poche des voix d'une répriomande ! on entre ! on veut ça : le ventre ! les données du ventre ! Foie des Reines et rois , passage d'ancre ! On entre par choix = on commande ! On veut ça =

-le tracé dee poids 

- la rage

- la toundra en tant que paysage

- transes 

- treanses et danses - parades nuptiales, ça envoie ! ça crache ! paroi ! roi des poids ! on entre ensemble (femmes) , nous voilà ! femme-fée de rage, trait sur trait , vol de roche allouée : on entre ! on passe ! on cherche ensemble ! on a méga-envie ensemble de comprendre, ls données de base et ce qui s'ensuit, car, on se ressemble grave ! ailes de trait ! charge frontale ! envolée notoire )! naissance ! ................................................................................. naissance en france .................................... porte-voix ......................... connaissances de paroi .............................................. charge et autres traitsde ^poids .......................................... rage ! ......... la rage ! ...................... l'envoi ! ....................... le passage ! ............................................................................................. vrai ! ................ vrai passé de RrAGe , ou des RAges allouées, FRAI ! ................................................. porte d'entrée .................................. entrons ! .................... passons ! ................................... volonsz ............................................ on a méga-envie ensemble de comprendre les données frontales, et du coup en vrai et si possible d'y aller , au plus p

rofond des connaisqances , car voilà, on veut toucher à ça : la Rage, le tracé de RAge, ce tracé tout acidulé qui semblerait ...

comme vouloir à nous nous parler : pourquoi ? qui est donc (ou quoi est donc) ce dit treacé qui ici semblerait .... le tracé d'un ange ! on dirait ! qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est que ce tracé notoire ? du passé ? trait ... 

de Passé  ? antre ? 

une sorte de Passé de Branche ? oiselet ? trait sur trait on aimerait comprendre et à jamaéis ce que c'est que ce passé de branche ou dit "de branche " ! qu'est-ce que c'est en vrai ? une romance ? un treait ? la chance ? un treacé gravé par un être des prés ? femme-bouquretinne ? homme-buffle ? enfant sage (sarde ?) ? On voudrait trouver ! comprendre ! cerner ! posséder les traces, les compter, les énumérer, les poster et les publier afin de mieux les partager et du coup peut-p^ptre trouver, celle ou celui qui saura nous aider , ici, en nos démarches ! on veut pouvoir y croire ! toucher = faire ! comprendre ! souder, à une branche, un SAVOIR IMMENSE, comme qui dirait (hum ! sans se vanter !). On entre ! on entre en transe ! le tracé,  le tracé de branche ! houp la houp ! transe ! transe allouée ! transe sur traits ! pré ! pré de France ! r(omance ! raretézs !  traits postés ! charge ! charge dense  ! le passé est le passé peut-être qui n'est pas assez , et cependant .... rempli de lait hé hé ! on veut téter ! à nous le lait ! on veut grave téter car on aime le lait ! on veut aimer le lait ! on veut toucher, cerner, comprendre le Néné du lait, ce qu'il est ! est-il .... Néné né de fait ? est-il ... n2né né sur pré puis il aurait de fait traversé le muret et .... 

ou alors post-pré ? né post-pré ? 

comme en contrebande passé  ou au contreaire né post -pré ? On ne sait ! on chercheb! on veut toucher-cerner = donner = dire = comprendre, les données entières ! .......................................... faits vrais ...................... portées de VErbe ....................... le tracé alloué à un verbe... "post-cimetière" .............. verbe ver t d'herbe verte ! ........................ treaits des traits alloués aux herbes et autres denrées genrre LAIT  .................. lait des laits ............... lait d'herbe ! .............................. lait vezrt = verbe ! ....................TRAITS !

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17/1/2025

On veut comprendre = on veut toucher ! On ne veut pas se laissser déborder mais grave en avancer ensemble p âr les connaossances ! On cherche Des Données et autresxs Faits de RAge post-muret cfomme s'il en pleuivait ! Comprendre = toucher à ce qui se présente en cette szorte de Façade ! chants d'âmes (armes ?) et autres chants de Contrebande alloués ! On enttre ! on veut enttrer alors vpoilà ! on e ntre ! Onn entre "ensemble" ! On est "Aile's de Fée" sur Place , TTracé-né, Chants graves ! Fée des Fées ça le Fait ou Disons que en vrai on dirait que ça pourrait ! Que ça pourrait q'en étant fée on puisse  grave en avancer  bplus volontiers en ce Pays des Données Franches et autres Trait des tRaits ! 

charges ! colle ! montée sur roche ! traversée de POche ! On ose ! on veut toucher à ce Néné en face : LAIRT ! LAIT de RAGE ! ou COlle-lait de RAGe ! TRace ! on est nées Fées car on est Nées , ensemble, dans la ... mOrt, telle 

que voilà, on l'a (dirait-on !) en FAce : Trace ! CHarge ! POids ! Colle ! on ose ! on veut grave ensemble aller sur ce chemin des conaissances, "connaissancesc de roche" : tralala frontal, pertes à l'ambre, colle-née et autres faits et gestes post-:muret = post de chez (en vrai) post-mortem = ... post-poszt ! On entre ! on veut gagner (ensemble : ailes) la bande des Données Frontales ! On a pour ainsi dire traversé une première fois la roche, là-bas = derrière, et à présent, on  voudrait (de fait) comme re-travezrser, cette roche dernière ou ici dernière = ce muret dit "de cimetière" , et aller, aionsi passées, de l'autre côté, côté Perte, côté Post-herbe, c^oté FRai ! On veut ... eh bé peut-êttre ... allouer, à un CCôté, une sorte de ... Vérité-Déité si ça se pouvait ! On veiut grave cerner et pour cer,ner on a besoin de LAit comme s'il en pleuvait ! toucher = toucxher ... mais pas que ! Toucher aussi égale ... avancer, tracer, chercher à gagner, courir sans treaiîner, pistonner et ne pas se retourner jamaiçs ! On est entrées e,nsemble FEmmes ( F2es) en ce Tracdé de post-  "prairie des Fées", et donc voilà ce qui ici semblerait, qui sait ? se présenter, se monttrer en ses doux attraiots, etc ! On enttre ! charge de Rage ! ON veut passer ensemble ce dernier muret ! mur des donnjées ! colle de trait ! PORTE ! PORTE de ROCHE ! Cporps mauvzais sent la charogne ... mais la fée ! Fée d'ombre, elle , naôit, comme "désodorisée" ça le fait ! ça passe ! ça rentre ! c'est rentré ! on est comme à présent (on dirait) passées de l'autre côté en tant que F2e des Prés (post-pré ) . On veut comprendre qu'est)-ce que ça veut dnire ? eh bé comprendre c'est toucher et aussi ENTTRER ! Tracer le tracé de la Bête de chzrge,  poids -masse, trait des tra&iots ! Bête-Fée sur HErbge , on connzît ! on aime ! on est la Fée qui  aime ici, la Bête comme elle ! On veut coller = cerner ce qui est squi est ! On ne vfeut pas se laisser dominer  par qui seréait devant à nous mater pour nous attirer et nous Avaler !  Que Dalle ! point de ça sur Antre ! On est nées Fée la Paroi passée, on est Fées des Prés, on court on vole, nous voilà arrivées devant la Porte aux OMbres ! charretière on ose ! on veut INSULTER ! faire ainsi que la mort soit ROSE ! trac ! touchée ! on est nées Fée sur pré et nous voilà comme accolées à ce muret dit "des Finalités" ! Qui on est ? on ne sait en vrai ! FEmmes doctes ! Fées ! Allouées ! Dites ! VErbe né ! CHants des prés post données de RAge ! croyances ! compétences  ! contenances ! colle aux fées et on avance pour enfin comprendre ce que c'est quue ce muret des Coudées FRanches (?) ,Données Franches (? ) , Tracés et autres connaissances de Quartier ! Fées ! Fées des prés enfi,n passées (qui sait ?) de l'autre côpté ! On ne veut pas laissser tomber mais au contraire grave en avancer en nos recherches en herbe ! on veut toucher à ce Néné post-herbe (post-Verbe ?) et aller, monter, gafgner, comptrendre ces Nénés des  ^ägesz ce que c'est en vrai ? qquoi, du lait ? Lait de Trait ? traoit ? trait de Lait ? lait-trait  très laid ? des données ? des ... Envois de Masse ? contredanses ? On veut toucher ensembke à ce Néné posqt Trait, et du coup y voir un quelque chose de (disons) un peu (un poil) discernable ou situable ou devinable ou distingable si tant est et on dirait que c'est, qu'en vrai (npost-muret) un quelque chose se tiendrait, de type " Façade" , "Cjharge Mentale (en transe !)", "Portillon-passage" et auttres traits de Sente ! On est nées ! dans la mort voilà on naît , on naoiît Fée ! homme ou femme on naît, dans la mort, Fée ! = Ailée ! femmes des Prés ! Fée-femme allouée à (ici) un pré de rAge ! tracversée de pré de passage ! Danse ! sarabande ! traits des traits ! vents de face mais on en avance ! on  ne veut pas ... se laisser

On ne veut surtout pas se laisser

On ne veut surtout pas se laissszrfenvahir ou quoi ou qu'est-ce mais aller ! voler ! vgoleter ! poussserg loin sur Herbe Verte et gagner le Muret p ôst-Verbe ! On est nées Fée sur Herbe Verte, Verbe, Pets ! On veut coller ensembvke à ce muret post -pré et du coup tracer , p asszr, ne plus reculer mais "y aller" en termes de re-connaisszance, regartds apportés, rechershes de TRaits . On veut toucher à ce Néné post-pré ! parade ! On entre ! regardons ensemble : que voit-on ? Alors vgoilà . On voit ........................................ des mamelons ! ........................................... peau d'ambre ! .............................. lait de charge ! ............... laiot blond ! ...................................pompe grave .......................... ton sur ton ..................... une sorte de mamelon ici se montre en FAce ! on veut comprendre ! on veut toucher ! on veut "essayer de toucher" , ensembkle (ailées ) à cette sorte de Donnée  DE base ! traits de Fée sur Page ? Qui s ait ? on veut toucher ou on voudrait toucher à ce qui est qui ici se présente à nos yeux hébétés ! des nénés ??????????? des nénés en vrai ??????????. en vrai des N2nés ????????? on ne peuyt pas le dire et pourtant c'est vrai ! on voit là Deux N2nés comme pour nous (qui sait ?) montrées , données , allouées ! on veut du coup téter car toucher = téter ! On veut  de la Tête téter ! on ne veut pas passer à côtéb mais (grave) téter ce lait, qui est ... lait de Ren nne ! LAit d'Herbe ! Lait né postmuret post herbe ! trait de Vfée on cherche ! on est nées Fées sur HErbe post-mortem et donc on est comme à présent, la mort passée ", allaitées ! dingiue ! dingue cde chez dingue ! on vcroit rêver ! sommes-nous allaitées ? sommes-nous ainsi nourries de lait de Traéit ? sommes-nous Fées -Femmes tracées, le muret (dernier muret) passé ? sommes-nous Somme de TRait ? bêtes Grosses, passée la porte ? On est Fée Forte , oui ! cohorte ! porte à porte ! va ! va toucher ! va voir ! va cerner ! va comprezndre ce Néné de POrte ce qu'il est en vrai ! qui le saoit ? car, on dirait en vrai , il semblerait, que voilà ! MORt, MOrt des Dons et Ombres, LA mort, cette Chose, soit ........................................... une sorte de..............................................................

...... DOnnée des Ombres ! Dons doctes ! corps ??? 

on veut crerner la chose ou o,n voudrait , de près, cerner la Chose et la toucher, soit cerner-toucher ! On ne veut pas en  vrai l'ignorer ou la snober ou, même, ne pas l'envisager, ou ne du tout l'envisager, ou passer à côté sans la regarder, ! On veut voir ce Néné ! ce Né ... né ! Ce tracé ! ce treacév de nez !  trait de Fée post pré ? on veut cerner = toucher , c'szest vrai mais pour toucher on doit travertser  ! passer muret des données hautes ! haute porte ! porte haute ! Hauts des Hauts de Roche ! Grotte ! Grotte aux données Hautes ! neo-quelque chose ! On monte ! on ne fait que monter ! MOnter de chez Monter ! On veut touchert à ce Néné de POrte ou dit "de Porte" car, ainsi, on se dit que peut-^tre, alors .... on saura, de fait ... eh bien .... ce qui est qui nous regarde Aller, Voler-voleter, nous envoler dans les nuées ! essayer de gagner, au plus près, ce Néné-Déité au Lait non-écrémé ! Lait d'elfe ! lait docte ! lait de traite  et trait ! laitt d'herbe verte des prés et autres prairies vertes ! chants ! On est la Fée des champs et aussi des chants ! On veut toucher à ce Néné dit "des Données de Rage", et du coup peut-être mieux comprendre ensezmbke les données données  à quoi elles ressembkent et ce que donc on pourrait (peut-^trete) en tirer, en termes ici de connaissance post-pré = post-post morteme  comme qui dirait. On est des Féwx, car on naît sur pré, la mort traversée, Mort 1 pour ainsi dire = le Tracé, la CHarge, Bêtes sur pieds, Diplodocuse , bouquetines avides, Oiurs des prés, Bisonnée corsée ! A présent, à présent que nous voilà passées en tant que Fée née, nous devons nous avancer et gafg,ner le plus vite possible eh bien cette autre "rive" = le muret final qui est muret de CGHarge , Muret -Trait, car, voilà, sur lui (dessiné ou inscrit) est mentionné bpar où en v rai on pourrait p asszr pour donc aller (ailées) de l'auttre côté = fin des traits ,

on se pelotonne et on eesaie, en somme ,.... de passer, en ce muret des fins de pré ! porte ! porte haute ! craies ! charges-nées on monte ! on entree en cette sorte de Couvent de Nonnes ! Hoh .... vrai ? chants des prés et nous voilà comme adoubées par (de l'autre côté) un Couvent Tracé ? on est cfomme complètement sonnées de se savoir ainszi abordées ! on voit ce qui est = Néné ! ok , mais Néné de Nonne ? Nonne à néné  ? nonne-néné ? homme ? hole ? colle ? ombre ? on veut en vrai coller de chez coller à ce Néné des Ombres , mais ... est-il Néné de Nonne ? Homme ? ombre-Homme ? Lairt de Nonne et autres Laits sucré)-salé comme à la retombée, en ce Couvent des Charités bien Ordonnées ? On veut aller de chez aller ! touchezr de chrez toucher ! prendre de chez prendre ! dfire de chez dire ! essayer ensembke de Déduire, de nos frais, les achats post)--pré = mots donnés,Verbe Alloué, Images de traits, Charges -Masses de type buffet, buffet-buffle à l'arrivée et ça le fait ! on touche au néné ! enfin touché ! on tète le lait ! lait de ferme ? lait des Laits ? lait d'homme accouplé ? lait  des Rêves ? lait donné par squelque Soeurs Du Verbe ? lait sanctifié ? sacré ? lait de Femmes Touchées la Mort Donnée ? femme-Nonnes au tracé ! 

Fé donné cherche Lait de Nonne ... pour continuer à ici voleter ... en trombe ! cohorte ! corps d'ombres ! monts de Porte ! port d'Olmes ! Corazón ! Et si la mort était ;;; un Homme-nonne ;;; aux nénés donnés ? et si ... et si la Mort -Ombre était Don ? Don de roche  ... Qu sait ? qui comprend et cerne les donnéesc  de près ?  qui sait en  vrai ce qu'il en est de ces données de base ancrées et comme sitiuées sur Herbe de Pré comme Allouées à .... une sorte de  champ, de champ dessiné ! On monte ! on monte haiut ! on veut toucher les Hauts de Roche , et là-haut, basculer ... de Fée devenir  ombre, à nouvrzau Homme : Femme sur pied ? petits pieds = nouveau-né ?  néné là pour nous faire téter et du coup retracer les traits ? re-re-re-re -re-re-re-re-re -re-re-re-re-re-re-re la Vie pré-rocher ? reé-surrgence allouée ? re- la colle en branche ? re-le feu ? re-la Horde ? re-l(encre = l'ancrahge ? re-la Terre Ombre ? les fdonnées de Poche sont sdonnées de Roche ! On veut en v  rai essayer de passer, le muret des données hautes, et voir dès lors en vrai ce qui (peut-^tre) accepterait de nous, ici  : 

informer

éduquer

montrer

faire toucher

fzire sentir

découvrir

révéler de près

faire ainsi nqu'on puisse téter,n, car il s'agit bien de Néné ici , Néné des Nénés , Nénéds nés comme à l'arraché le muret passé ! qui sait ? qui connait les données d'assez près pour pouvoir en vrai nous indiquer (déjà) le chemin à suivre ou emprunter pour en fin et en vrai arriver à ce Néné des Données Vives, mais aussi : qui sait ou qui connaôit ... la Rive ? la des Rives Vives ? d'une sorte de reprise ! qii ? Qui connaoit en  vrzai ce qui est que est la Mort "bien" acquise = traversée ! qui sait ce qui après le pré (donc : post-mortem) EST ? qui connaît de près (d'eassez près) les donnéess post-muret , pour de fait pouvoir nous renseigner et nous donner de quoi nous rassurer , qui ? L'Ombre ? l'Aurochque ? La Bisonne-baronne ? Le Buffle en Or ? l'Ours des Pommesz  ? On est passées mais on est là qui, encore, cherchons, du regard, à cernerds kes Faits ! quels sont)-ils, qui pourraient nous informer-conduire ? Que penser ? que penser en vrai de ces Nénés tels que Rencontrés ? dsont)-ils de vrai nénés de femmes allaitantes ? de femmes nourricières ? ou bien alors de B,êtes ? bmêtes à pis ? ou alors Lait de Roche ? Lait de roc de poids ? Qu'est-ce en  vrai ici , que ce lait comme "sorti du puits " ? est-ce Lait de Vie ? lait des prés et prairies qui aurait traversé, serait passé, aurait squivi le Trait et du coup aurait inondé le Muret  et ce qui s'ensuit : Paysage-Marais, Couvent de Lait, Porte Haute, Commodores ! On est super curieuses de cerner ! On a méga-envie de nous y coller ! de passer et de chercher ou rechercher à nous y coller ! cerner = dire = porter = comprendre = passer = porter ! Allons, en force, toucgher, à ce dit Néné de Nonne , et Téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ah téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! hé téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! hi téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! porter ses lèvres avides !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et du coup avaler !, boire le lait de suite ! tracer = toucher = dire = cerner = pousser = comprendre en tant que Fée les données de Rive ! LAIRt DES PRÉS ! Lait donné par quelqe Nonne au débotté, post-roche = post-rocher ! un tracé de POrte ! les données données sont dopnnées DE roche avant toutes choescv ! on veut toucher = on veut coller = on veut dire = on veut cerner = on veut cfomptendre =on veut entrer = on ne veut pas se laissser démonter, ni démonter ni envahir, mais en vrai treacer ! courir ! filer = pistonner, 

afin de gagner a&u plus v ite, de l'autre côté du pré, la Rive = ce Néné tracé, 

ce Sein donné, Sein -Don de trait, Sein ferme , Lait post-pré qui aurait coulé et du coup ce serait retrouvé comme .... de l'autree côté.... post-muret ...... me'r de lait ???? mer et mère de Lait ? mer des F2es Passées ? mer de lait d'Ombre ? lait laid ? lait de trait ? lait-Ombre ? lait de F2e en Herbe post-mortem-mortem ? On est Fée de fait la mort achevée (mort terrestre) et du coup on peut voler ou s'envoler et du coup tracer et gagner ... eh bé ce Néné , dit "de Nonne  post-pré ", hé hé ! on dirait de l'huile, c'est du lait ! lait des F2es ? lait post-pré = lait donné ? lait desNonnes et autres Soeur(s de Roche .? Post-roche ? nones de l'ombre ? cachées ? nonnes emmurées en son Royaume de La mùort du coup plus qu'achevée ;;; digérée ! oui ? oh ! ah ahh ! on est là pour ça : VOIR ET BOIRE ! voir et BOIRE  LAIT , LAit de NONNE_DON, don de Nonné vNée , en tant que NÉNÉ ! ombre ! ombre et tracé ! charge ! charge et portée ! corps ! corps et montée (ou remontée! et on dira qu'en vrai en effet on pourrait penser, que (vrai) les Données Hautes ... sont Données de ROche = 

boucs et bouques allouées à un pré , paissant de conserve, nonchalantes et nonchalants

buffles d'eau, buffle D'or, corps-don, ponte !

Bison ! Le Bison ! Le Bison accolé à une sorte de Passé de ROche comme présenté ! 

et autres bpêtes de la forêt , des champs de blé, des bois de contrée ! On monte ! on veut c''sst vrai poussszrvla porte et du coup entrer ! contrer ! porter ! ourler ? hurler ? charger ? pister ?ou même ... pissser ? pisser du lait ? On aimezrait vraiment enfin boire ce lait, léit de nonne allouée à une sorte de royaume l'enceinte de la Mort passée ! mais est-ce vrai ? On a envie ensemble de toucher à ce néné qu'on dit d"de contrenbande " m:ais on ne sait si cette appelation est vraiment concordante, ou pas du tout du tout ! on veut c'est vrai comprezndre les données squi hous seraient donnéeedss le pré une fois trac-versé , et du coup enfin pouvoir cerner et au plus près ce qui est la Mort passée. car, on peut pense r, que peut-êtte oui, qui sait ? la mort a Un temps ! ou disons, la mort naturelle, mort -ombre, terres de s terres , a ou aurait, peut-êtte, un temps, qui est celuyi du pré, des prairies vertes = de l'herbe, mais qu'une fois passé ce pré , alors ;a Mort redevient la VIe, les choses renaissent ou reviennent (d'une certaine manière) à elles, et nous voilà du cou!p cfomme à nouveau mpouvant téter ce lait de mère ... o-u sinonn de mère, de nourrice -none ou autres Donnes ? On Est accolées au muret : on ne veut pas laisssrf passer une occasion, en vrai : a&uussi belle, de cerner-toucher les données laitières telles que prése,ntées et révélées ! Lait = Vie = Don = Branche ! oisillon ! passé remonté tracé, et du coup Charge sur pré pour passage de F2e et re -passage / ancrage sur Cottage ! Ponte ! montée ! Ronde ! portée ! cohorte ! Tracé et ça engrange grave ! ça envoie ! ça tranche ! ça envoie du bois come une espérance ! danse et transe ensemble sur paroi pour une sérénade-calvacade-parade de bêtes de HJoie = chevals, bisones roses, buffles au Cor, Oours de porte ! On montev ! on a envie ensemble ici, de (grave) cerner les données, les données de branche comme présentées à la retombée en ce post-muret ! On est la Fée du pré passée ! on mate ! on veut ... DUU NÉNÉ ! grave on veut ... eh bé, du N2né ! pour enfin téter et nous libérer de cette enclave, de ce pré, de cette zone ici à brouter, à chevaucher, à cerner au stylet ! On aimerait ensemble grave traverser la&dite paroi alloué e au Verbe (tout comme l'herbe ) et sortir le Nez ! ce nez de fée ! trait ! passer ! traverser de rage ! filer ! nous retrou ver Sage ,de ce côté  ... côté Lait ! côté du Lait donné

 par quelque femme nourricière genre Mère , hé ! on veut toucher ! toucher au néné = téter , sans nous retourner mais tout le contraire : avancer ! pistonner ! passer ! courir ! aller vgite et ne plus stationner ! courir = dire ! dire et courir = faire ! porter et charger = entrer ! porter aux Fées derrière les données dernières = informer ... comme donc en arrière ou par derrière de ce qui est ! et ce qui est est cette chose d'un Néné , Gros Néné de Femme-Nourrice, Mère -Portée, CHant des Traits ! colère ? hé, peut-être ! on ne sait en vrai ce qui est qui est post)-cimetière,,  qmais c'est vrai qu'on dirait que le Verbe aide ! que, en vrai, le VErbe est de l'herbe, herbeb à bien brouter pour du coup emmagasiner, soit pouvoir tenir et tracer, charger et dire, nous poster au plus près de cedit "Néné des Nénés" post-pré ... mais qu'est-ce ? qu'est-ce que ce Néné post pré tel qu'énnoncé ? Du Verbe-Lait de mère ? lait-Verbe post pré , de mère consacrée ? Post-muret a (aurait) Mère ? une mère Adulée ? Bonne Mère ? trait sur traits nous indiquerait le chemin à, ici (de préférence), de voir suivre pour de fait (ensemble) aller , contuinuer, sans se tromper le moins dsu monde ! porte haute ! le Passé ainsui remonté, on peut pousser la porte et du cfoup traverser et se retrouver, par(mi , cette fois-ci , les Nonnes, Soeurs de CXharité, SEin donné ! sein post-pré donné par Soeur Tracée = Soeur de coeur ! corps et coeur sur roche et le tour est hjoué pour une sorte de ... re

 .... reprise ..... re-donnée des données ....... re-passage au lait entre-temps devenu ... rance ?,  jamais ! mais le Lait ! Lait des prés, post-pré ... LAIT ! Oh on aime ! on veut aimer ! on veut toucher ! on veut cerner ! on veut comprendre ! on veut allouer à une sorte de Rocher en branle ... eh bien .... dxes donnés ! des sortes de petites choses ainsi treacées pour faire accroire que la vie ici (rocher) est bel et bien donnée de fond e n comble quand en v  rai ... que tchi ! la honte ! on a osé corrompre ? o n a osé donnér eh bé nnotre passé pour ainsi dire, le Brûlé, le PAssé Calciné en friche ! Passé né sur pied ainsi donné sur paroi cachée ! on monte ! on ne vfeut pas en vrai réellement corrompre mais donner au plus de ce qu'on porte, à la la Mort de Porte, donc : tracer ! dessiner-graver les Bêtes sur pieds ! Bêtes-Roche ! Corps-Ombre ! Bouquaetins-tintin, bouquetine-tine ! aller = dire = faire = cerner =poussser = chercher = compmprendre = ficher = deée"duire = compacter = vivre = allouer et ainsi passzer (surprise ?) de l'autre côté = côté Néné , soit Néné de Fée-Nonne, ou de Nonhe-Fée ou comment nommer la Donne ? La donnée : comment la nomme"r ? par : une pomme ? pomme des prés ? pomme Haute ? Pomme cernée ? pomme d'homme , de femme Fée , de Bête Grossze sur paroi de roche , genre Auroque ? On est passéecmparce qu'o n le pouvait étant a&ilée , pas compliqué ! pour passer l'ult§ime roche on a juste besoin d'être ailée et ça le fait ! toucgrer = toucher ! dire = dire ! perdre = perdre ! coller = coler ! voir = boire et boire = voir ! c'esest un fait : vrai  ! vrai fait parmi les faits qui pour le coup sont vrais ! toucher = dire = cerner = comprendre = contacter = porter ... et rire ! toucher = sédiure = téter ! 

Tétons Bosse ! tétons à cettte bosses-mamelon ! ne traînons ! poussons ! oups mangeons ! plu^tot buvons ! lait de Roche HAute et autres laits de porte ! Haut le lait, haute la Porte ! On monte ! buvons ! on entre ! tétons ! on tète à foison  ! on adore ! on s'en fout jusqu'au fond du fond ! buvons ! aimons ! coulons ! portons ! centrons ! aimons donner et relever ! faisons ainsi que des données sieont dites "en amont" afin de pour le coup peut-^tre un jour des gens et gentes puissent dire, des données acquises (et relevées), qu'elles étaient vraie's ! pas  chiqué ! pas truquées ! vraies de vrai ! accolées ! dites ! chargées ! conduites ! poursuivies en vrai sur piste ou pré post-roche animée ! colle et traits szur prise ! vert baudet ! monte-cerise ! Le tracé aux fées et autres êtres sur pieds , genre buflettes, bouquetines, léonine's et autrs félines des parois tracées . Vive l'Ambre et le CArré , la Chance ! le Passé en treanse ici dépôsé, c'est un fait qui ne souffre pas (du tout) de concurrence  ! fait des faits on entre ! on passe ! on veut coller = s'accoler. On veut toucher à ce qiii est qui se présente en termes de données, dites "mortuaires", car, de fait, la mort actée se hjoue, ici,  de l'herbe du pré, du pré post-mortem, ce genre de données. On aime ! on veut aller ! toucher = dire = cer ner = composer et du coup tracer (en vrai) les Nénés de l'ombre ! néné né sur du passé de porte, on dirait, est-ce vrai ? ah, il faudrait peutêtre aller le demander à celle qui là-bas semblerait comme vouloir nous accepter et nous ouvrir sa p orte, kj'ai nommé : Nonne ! une Nonne ! Né Nonne ! Haute ! Haute Nonne ! Nonne Haute ! qui c'est ? c'est l'Ombre ici portée sur un muret de roche en fin de compte. On est née Fée dans la MOrt allouée, nous voilà comme re-né grâce au Lait ! Lait de Roche Haute ! post-porte ! lait des laits d'une sorte de donnée Haute mais tracée et du coup accorte ! Montons ! allons ! filons ! essayons ensemble de pousssrr et de traverser et du coup de se positionner de telle sorte ici, qu'on puisses envisager une srte de moment-tétée tel que rêévé ... et cfommbien de fois ! combien de fois rêvé ! eedsayons ! poussons ! poussons drôle peut-être mais ! poussons donc de chez poussons "le blé en herbe" ! creusons ! creusons de fait la Roche Meublée ! le Passé de POrte est un pAssé de re-naissance, à une VIe Haute et Auttre : Parade, Parole, paradis, passage garanti ! On veut Haut comprendre. Dur savoir. Ferme charger. Haut porter c'est un fait ... et puis alors nous laissser aller à du coup regarder sans ceesse les données post-porte, ce nuage de lait, cette blancheur céleste, cet attrait de trait, cette herbe non pls verte maéis deécolorée ! lait ! lait d'herbe ! lait donné ! données = lait ! les données sont du lait de Ferme ! Ferme Forme Haute Nonne Lait ! Lait de Nonne post-pré olé olé qui sait ? car, une Nonne est ... un homme ? Un homme desFées ? fées-Homme ? homme transformé en fée la mort alors allouée ? Homme-fée aimant Néné à bien téter pour se requinquer et pouvoir sans tarder donner ... eh bé peut-êttre, un dernier cfoup de collier , et zou ! virée ! embrassades sages ! corsage ! lait d'emblée de France ! ohé ça danse ! ça tremble ! c'ewt donné sur pied  et ça le fait ! hmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm du lait ! on adore , miam, miam de chyez miam ! on aime le lait ! on adore le lait ! dingue en vrai comme le lait on aime , on aime lécher, téter, ingurgiter ! lait des laits aimé ! On veut téter de chez téter le lait de la nonne ! homme-noonne = fée du pré ainsi passée de l'autre côté il semblerait .... On aime ce lait ........././........................................ mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm on ne peut pas ne pas aimer tellement c'est corsé ! mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm:mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmlmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm, l'important c'dsst d'aoiumer ....................................................................... d'aduler qui sait ? ......................... ce lait post-pré, post-fée, post-muret, post bêtes allouées à une sorte de cloison de roche , genre ... ponton ! ON monte ! on veut aller ! on veut creusezr et aimer ! on veut en vrai grave creuser et grave aimer ce lait donné par une nonne au débotté d'une sorte d'entrée e,n FRont ! colle ! porte ! montée et remontée ! on a envie en vrai d'y aller et de nous retrouver en vrai au plus près des données telles que véhiculées en ce domaine des entrées de Porte ! Lait né ! Roche auprès ! haute Futéîe ! on veut toucher à ce Néné des Données Hautes, les plus Hautes ! on aimerait en vrai excvelleme,nt comprendre véri tablement ce qui se trame en ce domaine (ici) des données lactées. Qu'st-ce que c'est ? du vrai l ait ? de l'herbe recrachée ? du lait de ferme = d'herbe ? Chant ? Cri ? Christ ? porte comme dégondée et o,n monte et on ose et on tète (grave) le Néné Donné ? on est Fée mais le trait passé (une fois passé) on est plus fée ! on devient ... trait ? tracé ? dessin de pieds ? colle-apprêt ? On veut en vrai cer ner ce que en tant que fée du pré (de la mort acté) on devient une fois le pré dépassé, soit post-post -mortem ! hé hé ! c'esst un fait qui en vrai le fait ! donc .... on cherche ! qu'est-ce qu'on peut être une fois en nous la Fée transformée ! Peut-^ttre ... un BéBé ? uune sorte de nouvrzau-né qui verrait, sentiraéit, téterait sa mère , mère à lait ? eh bé on ne sait ! on ne sait en vrai ce que ce bébé est ! on ne sait en vrai ce que pour le coup ce bébé ici (loin !) serait .... une PAire ? un pair ? oun trait pair ? une sorte d'entité nacrée à lmarges données ? une sorte de ... passé surnuméraire et ça le ferait comme à la retombée sur terre ? On cherche à deviner ensemble ici et là ce qui se pourrait ... et du coup comprendre, le Passé, le Passé retrouvé ou sinon retrouvé rebattu ? ou sinon rebattu re-pondu ? On cherche et sévère ! on ne s'arrête pas ou plus ! on ne veut pas lâcher le mât ! on veut grave rester accrochées ! traîner non mais s'incruster en effet ! on veut toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher à ce néné dit "des nénés " , c'est dire ! on aime le Néné du Vivre ! n éné né à tout jamais la mort aéllouée comme enterrée en définitive , ainsui de suite ! Car, la Vie devient Mort qui devient Sort qui devient Vie qui devient sort qiui devient MOrtqui devient Sort qui devient vie qui devient Sort qui devient MOrt qui devient Sort qui DEvient VIe qui devient Sort qui deviet MOrt qui devient VIe qui devient Sort qui devient MOrt qui devient VIe qui devient Sprt qui devient MOrt qui devient VIe qui devient SOrt qui devient MOrt qui devient VIe qui devient SOrt qui devient Mort qui devient Sort qiiu devient VIe qui devient Sort qui devient MOrt qui devie,nt sort aui devient VIe qui deviejt Soprt qui devient MOrt qui devient szort qui devient Vie qui devient le SOrt, qui lui mê'me devient la mort , puis à nouveau le Sort , puids du coup la Vie , Vie ici donnée du fait que voilà, on renaît ! on ne peut que renaître à la vie ! la vie vit sa vie éterneleement rejouée de rage ! trace ! prêts ! visages ! traits sur traits et ion grave grave ! bêtesz ^placides , ou pas p^lacides mais en vrai pesantes ! masse ! charge lour(de pesante ! bêtes-masse de parade et auttrezs charges ! aurchnoïdités de pervformance ! une somme debase et, du coup, on compte ! lka Parade d'armes  ! troupeau en fanfare et autres types d'amoncellements notoires ! on charge ! on veut savoir ! on veut grave savoir , comprzendre, toucher, deviner, c  erner, tracer et  tragverser et aller loin , et essayer de fait de nous téléporter au plus lointain desz connaissances, via (peut-être) le .... VERbe-Lait donné ? ou alors le ... lait-VErbe acculé si tant est ? ou bien , via ... ça : l'ANTRAE ! L'antre-Parade ? On ccherche ensemble ! fée des fées on est entrées comme à la parade, au milieu desz bêtes ici présentes, et maintenant c'est sûr que nous,n, ce qu'on aimerait le plus ce serait de comprendre ensemble ce que c'est que cette charge dite (donc) "de para&de" ... e'st-ce des TRaits ? et si oui de quels traits s'agit)-il ? S'agit-il de traits de rage ? traits-fées ? traits du Passé donné ? traits montés ? traits sur traits et le tour serait joué ? on est comme paumées .... mais voilà, on je lâche pas ! on ne veut surtout pas vlâcher mais tracer de chyez tracer sans jamais renoncer ni même se laissser abattre ! mais tracer tracer tracer, toucher tpucher topucher, combattre combattre combatttee, vivre vivre vivre sur nos deniers, pistonner pistonner pistonner, créer créer créer , poussser poussser pousser , dire dire dire et ne pas céder ! JÉMAIS ! JAMAIE DE  CHEZ JAMAIS Ô GRAND JAMAIS , MZIS Y ALLER DE NOTRE FRISE, DE NOS TRAITS ET AUTRES CERCLES DE BÊTES DE RIVE ! on aime ! on adore ! on n'aime que ça , boire ! boire  du lait ! le lait grave nous plaît ! le lait de chez le lait, grave on dirait nous plaît ! nous enchante ! nous rend faons ! nous rend comme qui dirait faon ou e,nfant ! chants ! chants des prés ! soulèvement ! on veut toucher à ce Néné des Donnes des Prés ou plutôt post-pré !  On ne veut plus s'arrêter de téter mais grave téter à ce lait de Nonne ! le néné ! néné né post-roche on dirait , ou ... hor enclave en rotondité, hors cercles des fées, hors enceinte allouée à une sorte de postérité "t raînante" ! traits ! traits sur traits ! bêtes de trait ! trait de bêtes sur parois 

de roche Haute ! oh oh c'est haut ! ça monte ! onmonte haut ! ho ho ! on monte haut de chez hzaut ! on ose ! on ose monter hzut ! on ne veut pas  lâcher le morceau ! On veut tracer et haut, le tracé des traitsz ! bhêtes à traits ! chevauxd ! chevales au trot ! big-bisons de trop et auttreszv animaux-mots ! creusons ! pistons ! fuyons ! allons ! poussons ! donnons ! allons en sorte que (de front) les choses sortent ! passent! vont ! traversent ! ne cherchent pas- àrester en carafe mais y vont ! vont loin post-parade ! vont leur train mais loin afin de (pour le coup) ... toucher la timbale ? le tracé ancré ? le lointain ... passé, comme "revisité" à la retombée ? qui sait ? On veut :

toucher de chez toucher

dire de chez dire

pzarler de chez parler

comprendre de chez comprendre

composerde chez composer

vivre de chez vivre

emporter de chez emporter

filer de chez filer

hurler (?) de chez hurler, qyi sait ? ou ... hennir ? hennir peut-être ça le ferait, peut-êttee qu'hennir en efffet ça pourrait ! Disons, alors : hennir ! et avançons , hennissons n, traçons , ne lambino,ds plus mais creusons ! creuses que tu creuseras ... eh bien .... la paroi ! la paroi des ROIs, REines de SAba et autresn RBêtes de poids ! 

na ! 

couchons ! baisons dru sur roche ! oeuvrons ! pointons ! poussons ! disons ! allons ! mangeons ! allons dire et auusi faire ! rega rdons ce qui en vrai post-pré nous regarderait sans nous quiiettr ! qui on est ? fée ? on était ! mais à présent, sur le néné, on esrt ... re-bébé ! re-le bébé du trait ! on est passé et rebelote le Passé en trombe ! On, m:onte ! on monte ! on monte haut ! on monte très haut ! on monte haut de chez haut ! on monte ! on va haut ! on avance ! on trace ! on creuse ! on cherche à cfompendre ! on veut haut savoir ! chercher -cerner et toucher -poussser ! dire ce qui est en matière de "doux néné" tel que présenté, montré, découvert et offert à, du coup, téter, pourquoi s'en priver puisqu'en plus on est des bébées ! bébés nées sur post-rocher ! c'est vrai ! on a traversé et on s'est retrouvé, hum, transformées en des ... bébéds de rage ! dingue ! dingue comme c'est ! on aime ! le lait, on aime ! grave on aime ! on est des bébés alors obligatoirement ou disons le plus couramment ou généralement les bésbés nés tèetent volontiers le lait de leur mère , aime!nt ! aiment téter ! et tètent ! le plus couramment ! la plupart du temps ! les bébés enchaînent ! tétées sur tétées ça le fait ! enchai^nennt les tétées et les moments de "traversée du temps" ! enchaînent de chez encfhaînents ces moments , dee :

- tétées , tétées actées, tétées aimées

- traversée du temps, repos tracé, chants dedans, points d'ombre au firmament mais l'ambre, et l'asrtre du Temps, en termes de Tourments !

Lait du TEMps ? lait des ombres portées ? lait de Roche HAute ? lait de cortps ? laitd'Homme ? lait de wsel, d'eau, de roche et autres nutriments vitaux ! On veut téter la Roche aux MOts " ou dite "aux mots" ... c'est dr(ôle ! on aime grave traverser le Temps en tant que sorte de Bébé de RAge, Bébé né de rage, ou Bébé né d'une sorte de Rage Cendrée, accolée à une sorte de "gouverne sienne" ; ... on dirait ! On cherche ! on veut toucher à ce néné en herbe ! vrai de vrai ! toucher de chez toucher à ce bébé en herbe ! herrbe verte sur paroi aux fées ! ça le fait ! dizons qie ça aussi ça le faoit ! on croyait rêver mais que dalle ! on y est ! on peut se pincer ! trait de rage = traits de charge ! passez ! passez donc ensemble (deux femmes) pour devenir fée ! une fée pour deux femmes, ou disons ... un hommme , devient femmes : deux femmes , et, deux femmes , deviennent Fée dite "des prés" !

 homme —>>> femmes x 2 —>>>  fée sur pré ... puis .... —>>> BÉBÉ ? re-né ? re re re ? re la chance et les tourments ? les connaisszances et le prix du sang ? la romance et la cxharade ? Le passé recomposé et le prsent des transes ? temps présents sur bande traçante ? un trait de paraede ? charge ? tri ? portée nue ? puis ... 

du chevelu ? du touffu ? du poilu on en redemeande ? cul nu ? bande ? vues sur la lande ? chevaux d'ange ? 

On e,ntre ! on entre ! on entre ! on e tre ! on entre ! on entre ! on e ntre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on enytre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! onentre ! onentre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! onentre !on entre ! on entre ! on entre dans l'antre ! on entre du coup ensemble (à deux) dans l'antre du fzeu ! feu ! on devient feu= fée ! fée du feu de l'Antre , du foyer ! feu-femme-fée ! d'anttre-foyer ! feu-fée ! fée-feu ! femmesdeux  = fée aimée ! entrée ! ainsi passée ! et du coup soulevée ! hissée ! montée ! On est la Fée qui fait ! on monte ! on ose monter ! on vole ! on ose voler ! on ne veut pas passer à côté mais grave cerner = dire = toucher =comprendre les données en roche ! ce tracé de poche ! pipe ou pipeau ! sons de cloches ! musique de pot ! chants coptes ! peau de trot ! bêtes à croches ! bêtes-mots et autres bêtesd'aloyau ! la Hauteb ! le Passage Docte ! poteau ! crotte ! plumeau ! sorte de tracé sur roche à la chante-peau et autres chants de Roche animaux ! on monte ! haut ! haut ho ! ho c'est haut ! on monte ! encore ! on monte de chez haut encore ! on veut hzut toucher   à ce dit Néné des ESpaces post-porte ! qui connaiît la Roche, les niveaux ? qui saéit  ce sqi ici pourrait, grave (éve"ntuellement) , nous dire des choses et du coup nous comme soulever encore, encfore soulever, soulever de base judsqu'au bgout du bout de cette sorte de chenal pointu ! haute porte ! haut des hauts ! on monte ! on ne lâche plus ! on vole ! on vole haut ................................ haut de chez haut car on est fée ... des données données ici toutes ailées ! on monte de chez monter ! on veut toucher de chez toucher, aux Nénés de Nonne ! hé hé ! ..................................................??....... on est entraînées ! on sait ! ................/............................... on aime voler, nous envoler, creuser et tracer, cerner et pister et nous diriger, donc, vers pareil Néné aux données (premières) souterraines ! LES 

données ! Données Fastes ! Données d'Ambre et autres données ici dé^posées et à visiter ! On monte de rage  ! on vole ! ............................................................................... on avance ! = on en avance ! on veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher à ce Néné donné, de Donna Ma&rie-Ange, Allouée à ... New Bébé ? ............................................./.......................................................... qui le sait ? qui en vrai ici peut dsse prtononcer sans vse tromper ? qui connaît si bien la roche qu'il peut affirmer et trancher ? qui connaôt son monde ? qui sinon la Fée, Fée e,n trombe haute ! fée des Fées de ROche ! haute ! hot ! haute et hot ! on monte ! on y croit ! on ose ! on est vives ethautement (de fait) motivées ! on ne veut pas laisser passer, la Chance, ici accordée, à une sorte, en nous, de Présence (?) ! On entre ! folle entrée ! on pousse au nez ... ezt à la barbhe du Passé , le Néné ! On veut toucher de chez toucher à ce Néné à lait ! lait d'antre ! lait né ! lait rance ? qui sait ? lait de FRance ? pets !! Lait de chance ? on voudrait ! chance et lait sont de connivzence il sembleraiot ! le Passé, la CHance, un tracé et l'ambience est née ! souterraine ! fête foraine ! les bêtes au taquet et nous de mêmes (fées !) ! on aime ! ....................................................... on aime le lait ! la chance du trait ! chance ou charge ça le fait du moment que voilà, on est ailées ! et c''st ce qu'on est ! on charge ! on fonce ! on creuse ! on ose ! on porte ! on veut aller ensemble sans tarder jusqu'au bout du bout du pré, et se retrouver (chelou ?) toutes rezmontées après ... eh bé ... les Nénésc ? la bande ? le corset ? la rage .?? on ne sait ! mais voilà, on veut grave toucher ! toucher de chez toucher  à ces Nénés dits "de contrebande" ... les toucher de pr)(ès ! oh, les embrasservqui sait mais ici c'est téter ! téter le lait ! lait de fhomme et autres fhemme cdes données de Branche , on veut comprendre ! On entre ! .............................................................................. on regarde ....................... on renifle .................... pour comprendre , ................................................ on veut toucher de chrzz toucher, à cette sorte de donnée de base , qui serait .................../.............. une sorte de chance allouée à des "coïncidences " ,  ça se pourrait ! .............................. on charge ! on est nées fée la mort adoubée , nous voici à nouveau blackboulées post-muret ! transformées ! en BB comme qui dirait ! la Chance ? on dirait ! on ne sait quoi penser mais en effet, ça se pourrait ! ça se pourrait de fait qe le passage en ces contrées nous aient rendues peut-êttre plus "intéressantes" ?  on veut monter ! monter haut sur roche , traverser, espérer pouvoir toucher-téter ! aller ! ailée ! ailée ! ............................... aller ailée si tant est ! qui sait ?????????? pisser ! caguer ! tracer ! percer ! pointer ! coller ! cerner ! charger ! allouer à une charge une sorte dee pa rade post-pré ! trinquer ! boire à la santé d'une sqorte de "fée poszt-fée" qui serait devenue BB ! et se serait jetée comme qui dirait sur une sorte de Néné de RAge " harde ! haut ! haute CFhose ! portHaut ! poteau ! horde de mots ! On monte ! on creuse ! on entre ! on veut ensemble saturer de rage les niveaux de mots ! creuser = dire = cerner = bouger .............................................. et bouger = dire = cerner = comptrendre ! ............................... pister ! courir ! aller ! voler ! ne pas faiblir mais se motiver ! ..................................................................................... on veut toucher à ce Néné de Nonne ! ............................................................................................................................. car ............................... on est bébé de porte ! ................................................................................. foufou ............................................. folle ...../.................... fée folle .............................. pas si folle vole ............................ vole haut hors du caniveau ................... s'impose au poteau ................. cfolle ! ................... colle haut ....................................... colle haut de chez haut ............................................. colle au pot ............................. colle de chez colle .................. au poteau  des poteaux ...................................... haute colle .........?..?...?..................... ombre ? ............................................../...................................................................... ombre sur les hauts .........? .......................mots ? mots des hauts ? ............... on monte ! on veut aller haut parce qu'on est hautement

parce qu'on est comme directement 

parce que voilà on veut que (des fois) on puisse

parce que voilà onj dit que parfois on veut ou on voudrait aller ... au plus haut du haut !

parce que en vrai on est des fées ett que du coup les fées eles peuvent grave voler et s'envooler et du ciuoup monter de chrez monter au plus haut du haut chalumeau ! haurt des hauts grave ! on veut gravfe ! hzaut des hauts aller, tracer, toucher, creuser, aller au plus lointain en ces contréesb ici post-muret, post parade, post-animales ? on veut toucher ! on veut ou on voudrait aller (ensemble) à la recherche d'une sorte (lointzine) de ... charge d'âme ? charge comme donnée à une sorte de  "F2licité" , qui serait "La CHance" ! äme battée ! train de fée ! peuplade ! trait de rage serait trait des traits ! trait sur le Passé et on recommence c'est fermé ! on entre ...... on entre ensemble ! on passe ! on est ailées ! on ressemble à s'y méprendre à  ce que autrefdois on était quand on était en transe comme soulevée par des drôles de bras, mains de charge et autres gros bras d'animales rages ! sabbah ! traces ! parades sardes ! traits de jhoie ! La Joie ! les embrassades sur toundra et autres danses nom ades ! la paroi des rois , REines de l'au-delà ! on y croit ! grave on y croit ! on y croitgrave ! on veut comprendre ! dire et donner ! prendre et allouer ! chervher de chez chercher ensemvble ce qui est qui en  vrai pourrait être amené à nous donner de quoi nous repérer, en ce champ (ici !) desz charges et aiutres bêtres de parade , genre .... eh bé le bouqauetin, par exemple ! ou bien ..... la buflle de paroi et autre buflettes "crades" ! le sabbah ! la rage ! le tracé des pas , sur la paroi ! pieds de pas ! pas de pieds et autres ancrages dénombrés ! on chante ! allaluyah de rage ! la paroi ! cjhantons la Paroi ! chants sa rdes ! la paroi des Rois ert REines de là-bas, en cet haut-delà , la Manche ! les données de branche ! haute charge de paroi étanche ! on entre ! on veut toucher de chez toucher à cette sorte de donnée de base = le Passé !hé hé ! qui c'est ? qu'est-ce que ou qui c'est que cette Chose, du Passé ? un trait ? une sorte de donnée "immonde" ? trait des fées sur roche ? craie ? trait de craie sur tombe mùoche ? ............................................................... qui on est ? ....................... qui je suis en tant que Né ??  ........................ gtrait ? trait épais ? .................................. passe-porte ? don de Roche ? pretre né le Temps Passé ? voie de roche et çàa le fait ? corde ? homme-corde ? homme-fée ? homme d'ombre et le tour est joué comme il se pourrait ? qu'importe ! hot ! haute donnée ! haute de chz haute ! on est nées fées ! on est la fée né e ! fée née sur pré sera biento^t ... transformée en bb ! BÉBÉ d'eau ! ombre ! ombre d'eau ! chaud et chaude ! eau chaude à tous les niveaux et, les niveaux : chauds ! on monte ! on veut coller coller coller, dire et donner, cpomprendre et cerner, per cer, trzacer, chercher-rechercher, comprendre grave ce vqui est qui ici serait à comme nous attendre au pied levé,  o!on veut toucher ! dire et monter ! monter sur Néné ! téter ! téter ! téter ! téter sans discontinuer ! téter sans s'arrêter de ce lait de trait ! verbe-lait à jamais ! joinction ! poison ? fond de roche dure ! pamôison ! allure ! hé, on touche au but ! on touche le Néné ! néné post-pré ! on touche grave grave grave ! le néné des nénés ! on veut téter téter téter

comme il semblererait 

le néné de Bure ! charger ! creuser ! toucher = donner ! comprtendre les do nnées de rage les plus ancrées, en cette multitudes de bêtes gravées sur une sorte de montée, haute montée de roche, vers le TREait des traits tel que dessiné par ici un homme ou une femme ou un enfant ou une enfant aux savoirs "immenses", genre "Sge)Rage , rage sage ! traits des fées ! romances ! creusements ! ambrassades au couvent et autres chants !

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2/1/2025

On est nées fée la mort entérinée , et à présent on veut aller au plus lointain possiblee n ce muret des fins de pré et autres promenades. On veut (OUI) traverser de chez traverser ce dernier muret , et COMPRENDRE ce qui est qui, "derrière", nous attendrait comme de bonne guerre ! On veut toucher à ce muret post-pré, et aller aeller aller sans sourciller vers cette chose d'une sorte (qui sait ?) de ... menuet ? danse des terres ? sang de joie ? colère et falbala ? jean-sans-tere ? on ne sait pas ce qu'il y a là-bas mais enfin on espère, pouvoir un de ces quatre peut-être comprendre (enfin comprendre !) ce sque c'est que ça, ce Passé des Mères, ccette  vjoie , ce tombeau des Voix ! On cherche ! On est pas des traîne-misère (du tout) en ce pré-là, mais des qui jamais n'obtempèrent, F2e des Rois et REInes, fée fada peut-être mais pas que ça ! On cherche ! On est là pour cerner et toucher, et aussi enttrer ! On veut en vrai aller chercher au plus lointain (en ce post-muret) les donnéescparmi les plus enracinées, qui seraient patentes, discernables, quasi "embrassables" et qui dès lors sauraient en vrai, nous donner de quooi enfin situer cette Chose de la MOrt Prochaine, dernière . o On ne veut que ça ! On veut aller , on voudrait toucher, 

à cet endroit post muret du pré, traverser "à toi à moi" c'est un fait, mais aussi : comprendre = dire , pour le coup, ce qui est qui vient vers nous, pour ainsi dire,  : les genous ? le cou ? le tracé des Fées déjà passées ? On ne sait ce qui est mais enfi,n on espère que peut-être un d e ces jours prochains, on saura enfin d iscerner ce qui est, parmi ces fumées toutes évaporées d'une sorte de contrée qui reste à cerner , à dessiner, à comprendre en ses données Suprêmes . On cherche ici ensemble ce qui est ! On ne veut pas lâcher la grappe ! on veut grave ici en avancer, sans débander ni désemparer ! on veut toucher à cette sorte (là-bas, post-murzaille) de tracé de Rage ! de tracé de Rage ... on dirait  ! à ce tracé des données sages ! On veut : 

- dire et donner

- coller et faire

- comprendre et apprendre

- choisir et cerner .... les données reines ! quelles sont-elles ? Eh bien, on dirait que voilà, les données reines, par là, sont celles qui (peut-êtte) nous indiquent en elles-mêmes une sorte de chemin à suivre ou à poursuivre ! LE CHEMIN, le chemin des rives, ce chemin des rives ou dit "des rives", qui donc est ce chjemin d'une sorte de dérive, engendrée par (ici) ... le RIRE ! oh ! On voit ça ! on regarde ! on ne voit que ça, ou plus que ça ! On est entrée de Rage en ça (... comme qui dirait) et  voilà que,  maintenant, ensembleb (ELLES°) on voit ! on a les yeux ouverts ! on regarde et on voit ! on voit et on regarde ! on ne s'en lasse pas ! On veut COMPRENDRE, COMPRENDRE DE CHEZ COMPRENDRE = TOUCHER DE CHEZ TOUCHER, À CETTE CHOSE, D'UNE SORTE DE ... POMMADE ? Oh on ne sait pas ! peut-être ! qui sait ? qui sait en vrai ce qui est ? qui en vrai sait ce qui est ici (post ... enième = deuxième  ... paroi) qui en vrai serait ... comme à nous attendre ? On est née F2e à la (première) traversée, celle de la mort comme avérée ou entéreinée ou actée ou enregistrée, et nous voilà qui en ce pré (de la mort actée) courons à vive allure et nous envolons  d'envergure ! ON est née F2e la mort actée et, à présent, nous sommes qui cherchons ... la clé ! ou : comment passer. Ou  : comment donc pouvoir ainsi ailées, ailées comme on est, traverser sans traîner la dernioère ... pelure ! peau de bure ! peau des mots à la revoyure, ou alors comment ? Car, voilà, on est là  : devant paroio. On veut en vrai ensemble (AILÉE) passer ! passer en ce dernier quartier ou, sinon dernier, il semblerait dernier = ultime = finalité ! On veut toucher toucher à ce dernier quartier , à cet ULTIME, à ce tracé tracé des dopnnées données par une sorte en soi de D2ité "des données Ultimes". QUI sait ? le PAssé ! oh qui sait ! le Passé aux N2nés ! aïe, ça se complique ! On voudrait, en vrai, enfin toucher, aux données tangibles, à ce qui est en vrai, qui pourrait "nous dire", si tant est, ce qui est qui peut)-être de fait nous attire, nous tire,cherche à nous coller à ui ou elle, on ne sait ! Le Passé est-il notre passé ? le Passé de l'Hydre ? des données du Vivre  ? Vouivre ? de quel pPassé est-on en tant que F2e la cible ? On ne sait ! On veut toucher à ces Nénésx

 "des données acides" ! On  ne veut pas laisser tomber mais grave en avancer en ce terrain des connaissances (avérées) ultimes ! toucher à ce qui est, le muret passé, c'est comprendre à jamais les raisons du Vivre ! Cela, on le saurait ! ou quelquepart en nous on le saurait, obn comprendrait, on toucgherait à ces Nénés du VIvre en ces contrées Ultimes, celles 

d'un Passé Fluide ! d'un tracé donné fluide et autres fluidité des données avcides post-pré ! On veut grave toucher ... à ces sortes de données Fluides , fluides .... comme du lait ? hé ! ça le fezrait ! on pourrait le penser ! on pourrait en vrai grave penser qu'en effet la mort, en ces derniers quartiers, est comme du lait, une sorte de pommade grège, beige ou semi-beige, petit lait mais rance, petit lait de transe, on veut cerner, on veut en vrai toucgher, on veut goûter à cette sorte (ici) de petit lait (petit lait rance) en transe ! qui sait ? qui pour nous dire c  e qui est qui est, ou qui serait ? qui sait de fait les données dernières  ? les connaît .. comme sa mère , qui ? On cherche ! on n'a pas fini de chercher ! On veut en vrai "y aller" (de notre sorte de recherche) ici à jamais, en ce quartier, post -pré, qui est  quartier des donnéews dernières (peut-êttre) tel qu'il nous apparait en tant que Fée ! Car, Fée on est, la mort donnée ! = ELLES = AILES = F2E FAITE ! on aime ! on aime aller en tant que fée en ce pré, aux données de l'herbe , puis tracer ! Fé des herbes allouées à une zone de denrées ! HERBES accolées ! HErbe des prés est HErbe-VERbe tel que souhaité, on dirait,n, on dirait du Verbe ! Herbe verte = Verbe, des données Genrées ! On aime ! on est passées par delà le muret, le muret des termes, on croit être passées, on est nées au VErbe des Données Tracées (post-pré) = ce tracé aux données Non-Humaines peut-être ... une clarté ? une sorte de clarté "souterraine" ? une sorte de clarté des Clartés ? une soprte de donnée Suprême enfin allouée à une sorte de Donnée Du VErbe ? ON cherche ensemble car soudées, (ensemble car soudées) à com^prendre, grave ! les dfonnées de l'Antre ! Ventre ? Charge antrale ou ventrale ? Charge allouée à une Parade ? Conséquence d'un passé "maussade " ? d'une sorte de PAssé Sage ? D'un tracé de RAge ? on ne sait de fait ce qui en vrai nous attendrait en cet ultime paysage des contrées post pré ! On est accolées = soudées = unies = ELLES = Ailées , pour en vrai ne plus tergiverser mais direct aller vers la Connaisszance des données de Genre ou autres données pour le coup centrales ! On est née Fée comme à la parade et du coup c'est une évidence, que, voilà ... on s"'est envolée ! on mo nte ! on monte quartier par quartier la Haute Paroi  des données Hautes, ou sur la haute , haute paroi, des données Du monde ... de ... l'au-delà ? On voit , on regarde, o,n mate ! On ne veiut pas (certes) passer à côté, mais ... bien cerner les données en présence, les toucher du doigt, comprendre  = charger = poser = toucher à ces Nénés des Données Ultimes , finales, terminales ! Gente Dames ! GEntoiseau ! Menaces ! Corbeaux ! Charge d'eau ! Potage ! On a envie ensemble (ailes de fée-oiseau) de comprendre ces nivrzaux (ou différents niveaux) de co ntrebande . On est comme fortement intéressées pour le s comprtendre et savoir distinguer pour ainsi dire le vrai du faux, ce qui est en  vrai et ce qui n'est pas, est .. "simulation" 

, de base, ou quelque chose comme ça dans le genre farce. On est née Fée sur pré la mort avérée, à présent on charge ! on court on vole ! carmagnole ! on veut grave rejoindre l-à-bas la  toundra ou ce qui, en soi, se présente, en termes de "paysage sage" genre pampa , praiereie sans foi ni loi ou pas mais espaces denses ! le sabbah ! la danse ! la rumba dees antres et autres ventres de la Joie à être ensemble ! Reconnaissance ! Transe de Paroi ( ou de post-paroi! ) .... on entre ! c'sst-àdire que voilà ... on entre dans la danse = on entre en transe ! On veut en vrai de fait toucher à ce qui se présente en termes de reconnaissance des données de soi, telles que déposées (donc : en transe) sur Palier ! Palier dionné ! Marche -pied ! on veut en vrai toucher à ce Néné de l'ultime dobnnée des Données de Rage ainsi affrêtées à un paysage dit "de contrzebande " . La Toundra ? la pampa ? le désert des Lois ? le Passé incommensurable ? Passé de Soi ? Qui est Soi ? Qui donc est , en soi, la Fée ... "de la Reconnaissance de Paroi" ? On est la Fée aux données "graves", on est née Fée comme à la Parade et à présent on veut comprendre le pourquoi des choses (ici -bas ?) mais pas que ça ! aussi les choesc de Toundra et autres Pampas de paysage ! la Pampa des données sardes ? Le tracas ? la Rage ? le Passé de soi, de type "ratage" ? la voix ? la croiux ? le tracé nomade ou autres voies ? On charge grave ! on envoie ! on envoie du bois ou tout le bvois qu'on a en soi en termes de donnée de Rage incommensurable ! ça y va ! ça chaerge grave ! ça envoie en veux)--tu en voilà ! On voit ça ! on ne veut plus laisser passer pour soi l'occasion de peut-^tte et enfin (qui sait ?) comprendre malin, ce qui est dans ce qu'on voit , en termes de bêtes allouées à , il semblerait, la Paroi des Paroois ! betes des Rois et Reines de SAbbah ! vois ça et entre ! grave ton nom sur la façade ! charge ! comprends ça ! file ! va ! foule ! outre ! passe ! cerne ! piste ! cherche ! et jamais si possible ne va  à (de fait) chercher ici à pour le coup te retourner ... comme transie ! car , F2E tu es ! F2e des Fées tu es ! tu es à présent une Fée dees Rages ! Tu es donc passée en transe, en ce pré des Fées, tu es née ! Tu es la Fée ... née du pré ! (Fée) née du pré ou fée née (du pré) , tu es née ! c'est ça qui a son importance ! née en transe ! Tu es Fée des données de la transe ! cxhargée ! allouée à une sorte de Donnée de type Cendre ! Conséque,nce d'une ... traversée sans souffrance, qui sait ? on veut comprendre ! On veut en avancer ensemble dans les connaiszances concernant la Rage, le TRacé en Transe, le Passé donné en ce quartier DErnier, la Souffrance liée au passé, le Mal desDonnées , le Roi et La Reine Accolées à une  c ertaine idée de la Cionnaisszance ! On veut en  vrai comprendre le Passé sans pour autant se retourner mais juste en se braquant comme qui dirait sur ce devant de soi alloué à une sorte de Paroi de la Re-connazissance de faces, de visages de face ... de traits ! On veut toucher à ces données de base, ne pas les snober, les toucher pour mieux les comprendre sans arrêt, et du coup tracer ce qui est ou serait des traits, dits "de reconnaissance" ! On veut aller de bonne grâce ! tracer = aller, comprendre, sonder. Qui sait  c e qu'aller est ? qui en vrai sait de fait ce que "aller" est ? On fonce ! on fonce Alpphonse ! On veut aller en ces contrées de bout d'un ... Moi ... ? de bout de joie ? de boutt des bouts de l'au-delà à soi ? car, l'au-delà est l'au-delà à soi, c'est ça, peut-être, qu'il faut comp^trendre ! il faudrait comprendre que voilà, en vrai l'au-delà, est ... au-delà à soi (de soi) sans autres Parades ! On est La Fée des données rupestres ancestrales (antédiluviennes , genre pré-néandertaliennes) et en co nséquzence ... on croit ! on croit à ça ! à cette sorte de Parade , De tracé de RAge genre Cavalacade , Chevaux Rois, Chevales, Tralala, Embrassades de France, Canevas ! Cataflaque ! Potage et samba sur la Promenade des Bêtes en jhoie ! type : Soi-Rage, Soi-Ani mal des bois, Soi-Buffle de Paroi ! ça y va ! ça charge ! ça envoie grave de la Voix ! ça brame grave ! La Paroi des Rois est la Parois des REines de Paroi ! On veut comprendre ou pouvoir comprendre ici ce genre de messages ! qui est qui , quoi est quoi, qu'rst-ce qui va là, qu'est-ce qui se présente, qu'est-ce qui est qui nous regarde à travers la glace , qu'est-ce qui naît sous nos yeux étonnés. On est Fée du pRé sachant "mater", grave ! car, on est allouées à une sorte de "Raeg ard Intense" ! traversant ! genre "voyance" dans le sang ! on entre ! on veut toucher à l'antre des données du ventre ... ou , szinon du ventre, du Passé ! Passé né la m'ort passée, la mort passée et dépassée du fait que le pré , est comme délimité ! genre : parcelle d'herbes,  allouées à un troupeau de bêtescnéandertaliennes , ou pré ou post... néanderte-laliennes, genre AUROCHS ! AUROQUES DES PRÉS !! On touche à une Vérité ! on croit toucher, on croit qu'on touche en vrai à une vérité ou sorte de vérité des prés puis du post-pré , à savoiir ... du VERbe ! car, le VErbe est Donnée des Données telles que rencontrées derrière ce muret des fins de carême ! touché ! toucheé (on dirait) le Néné ! le Néné du Verbe = Lait ! Lait donné au bébé ! la crème  ou crème de lait ! poème acidulé genre je sui s né à une sorte de Donnée, de L'ombre Portée , Théorème ancré, Tracé des tracés , LAIT-HERBE ! LAIT-HERBE NACRÉE ! POINT ET TRAIT ! CHARGE-NÉE SUR PAROI DE ROCHE DES DONNÉES PROFONDES, CALFEUTRÉES, MASDQUÉES , POST-ROTONDE ! On aime aller se défouler sur pré avant sde s'approcher de$ ces fameux Nénés pour ainsi dire d'un post-pré, d'une sorte ici de quartier alloué à ... LA VÉRITÉ telle qu'on aimezrait en tant que Fée l'approcher à jamais sans jamais s'arrêterr ! 

Fé des prés aime 

La roche des Données Dertnières ! 

celle qu'on voulait pour le coup cerner sans se démonter ou démantibluer ... et toucher sans frais ! On voudrait grave ici, en tant que Fée des Prés, toucher-cerner à une sorte de donnée post-cimetière, genre .... eh bé par exemple .... un tracé ! un trait ! juste le trait ! un trait de données , trait de l'herbe donnée à du VErbe Alloué à une "Vérité des Vérités" de genre D2ité ! ça aide ! ça le fait ! ça ppermet peut-être de s'y retrouver sans plus chercher à se creuser la t ête !  mais y aller ! pousser ! poussrr grave ainsi ailée la

 "Cha,nsonnettre des Fées", ce chant donnné aux Bêtes Cernées, dessinnées, gravées sur Roche Haute des Pzrois de Grotte ! saintes-poches ! poches saintes ! saintes entrées ! entrées saintes ! une sorte de donnée de base, sur façade ! la p aroi des anges et éautres angelots, de France et NAvarres , va comprendre ! la Paroi des transes ? le Passé revigoré ? l'ambiance ! le Passé ambient ? lae Roi et la REine de Céans passant commande ? une sorte de donnée de France ainsi liée à une sorte de parade "dessiné"e comme à la retombée ? On veut toucher à ces données ou à ce type de données ! on ne veut pas laisser ou laisser de côté, l'ensemble des données de France, dites "pariétales". Qui on est pour laissrvtomber, ou éventuellement laissser tomber ? On veut cerner de rage le tracé "français", balade sur pré d'une fée allouée à une sorte de vacance sur lande tracée ! charge d'âme ! gentes dames ! damoiseaux des frances et autres territoires "immémoriaux" , de trypes contrées aux oiseaux, oiselles et autres animaux des airs nouveaux ! On veut :

- toucher de chez toucher

- comprendre de ches comprendre

- coller de chez coller

-permettee de chez permettre, à une bête, d'être Mot de trop ! = gros mot = insulte sanitaire salutaire,

- pister de cgez pister ce mot de trop, en c e cimetière aux oiseaux et autres bêtes de parois hautes et de rochers hauts ! 

On ose !  grave on ose ! on veut grave aller haut sur roche toucher aux oiseaux ! on veut grave sur roche aller haut toucher aux oiseaux / oiselles-mots ! grave toucger ! et grave aller haut ! toucher de chez toucher à ces oiseaux-oiselles des niveaux de l'air ! Aimer ! Coller ! Faire ! Comprendre = toucher, à ce type de bêtes allouées à une sorte de pAroi, d'époque néandertaliene au basmot ! Cerner ! pister ces animaux, ce qu'ils comprennent des données suprêmes .... On aime ! on aime l'oiseau, les bêtes de mots, le treacé fermier, la Roche Rupestre et autres termes alloués à une sorte de cimetière pour ëtres de peau ! Mots des mots ! porte haute ! trompette et carosse ! roi-reine des bosses et autres tertres dee niveau de Roche . On monte ! on veut toucher la Haute  ! Haut Nivreau ! Porte des Mots ! porte Haute des MOts de trop ! porte Haute à mots ! mots des mots de la Haute ! le niveau !!!!! putain le niveau !!!! le niveau de Roche, et autres niveaux de type " de la Haute" et non du caniveau ! On monte ! hou hou c'est chaud , c'est hot = haut , sur paroi du mot ! On veut en vrai cerner, au plus haut niveau, les données les plus profondes concernant la roche des données cruciales (principales) finales ! on ne veut pas passer pour plus bêtes qu'on est mais au contrzire et si possible, impacter ! impacter grave ! dire ce vqui est sans se laisser en  vrai absorber par des données de contrebandes qui seraient toutes néfastes voire délèteres pour nos connaissances ou pour l'acquisition ici (terme, terminus ?)  de connaissances centrales. On a grave envie d'apprendre , de ne rien lâcher de rage mais, tout au cioontraire, continuer, sur notre lancée, à chercher à cvomprendre ensemble, ensemble par ce qu'ailées, à chercher un certain n ombre de données, de genre données "denses" , "intenses", "pleines ou entières", "vibrantes en leur antre", ainsi de suite sur paroi finale, sur paroi Haute, la plus Haute, la plus Haute des Paroois finales ! On cherche ensemble, à (ici) cerner le plus possible de données centrales type "connaissance antrales", et pour ça, forcément on se doit ... d'entrer de rage en ce muret dit "des données, données en transe". On doit pistonner ! on se doit de tracer et pas pour de rire, bel et bien en avancer sans rire en ces contrées pour ainsi dire du post-pré, alloué à la mort donnée ! et ainsi, traverser l'Ultime ! l'ultime quartier ! l'ultime région aux tracés "nommés" comme qui dirait  = le Passé ! le Passé du Mirliton ! Spigoln tu nais ! uTu es né Passé ! tracé ! caché ! coché ! donné sur rocher , la HONTEb ! HONTE DES HONTES ! honeur retrouvé ? cachottier ? pertte de données en trombe ? on veut cerner-toucher à ces donnéesz du bout du monde sans traîner on sait , et ne pas confondre : le  grain de l'ivraie, les données de roche , le Passé et le passé, le tracé d'époque et les données de porte, le malin et le prohibé, la Roche et la Porte Cernée, la Colère MOnstre et la folle "Envolée de l'ombre" ! TToucher ! Toucher à ce qui est de l'ordre du Passé ... de poche s'il en est ! On a envie ensemble (ailée) de cerner ce qii ici est, qui  nous regarde sans cesser, sans nous lâcher ! toucher = dire  = prendre = pârler ! parler = toucher ! toucher = parler ! on ne v eut pas passervà côté du pPASSÉ ainsi développée aéprès ce muret d'une sorte d'enclave toute ceinturée de motbêtes de Rage ! le TRacé Acté , la P arade sur pré, les embrassades et autres jumelages débordants de grâce ! tranquillité ! atteractivité ! absolution et conclusion ! Le genre parade "des ambitions" ! On est la Fée dite "des données de l'ambre et autres matières de présentation" ! feux follets ! croisées ! coques sur pré ! hautes roches et hauts rochers sur lesqulkes et lesquels aller à danser et batifoler comme des forcenées ! nées fées ! fées nées ! néesc fées sur pré ! fées nées sur le pré aux données de Roche ! un tracé nacré ! toute une époque ainsi renseignée, du fait que la roche est ainsi gravée , au piquet, au pic de bosse, au piolet, à l'encoche et autres "serpoletsc de roche" ; Onj est la fée des données de Roche, de Roche de'époque . On veut alller de chez aller au plus lointain (ici alloué) qui se poutrrrait, en matière de données en herbe post-cimetière , ou sinon postcimetière post paroi première ! toucher = dire = cerner = comprendre = considérer = coller = mettre sur roche ce qui est qui nous importe en termes de données données, telles que : encoches, tracés, dessins doctes, mots hauts (ou gros mots), anicroches, paroles de l'ombre ! taureauix ! On veyut toucher àc   e qsui est qui se présente sous forme animale : le taureau, le taureau et la taurelle ; mais aussi le veau, la velle, le chevau , la chevelle, le bison la biselle, le mammouth et mla mamouthe, le petit bufflet et la buflette aux données d'herbe ! l'animo ! le bel oiseau ! l'oiselle aux cornes de mo(szts ! trop de chez trop ! on veut le trop ! le trop gros en herbe et les animaux comme collègues ! On touche à l'herbe ! o n veut le morceau, la plaine, tout le troupeau, le trait des traits sur paroi du Gros ! l'embellie ! On en a pas fini (en tant que "f"ée du logis") de chercher ici (roche aux fées) à 

cerner-toucher, pousser-coller, prendre-permettre, poser-monter, pousser et lâcher les données recherchées ainsi "remontées" ! On veyut : 

- dire dire dire

- tomber tomber tomber

- comptendre le tendre, le dur, et l'à-moitié tendre  (ou l'à-moitié dur) en ces contrées post pré aux données "sûres" ! Qui sait ce qui est ? qui co:mprend ce qui est qiu ici semblerait vouloir se tramer d'aventure ? qui ose ozaimer ? qui veut toucher à ces Nénés des  dOnnéesws de Rage ? qui pousse, qui entre, qui frce, qui force passage, squi veut voir le paysage ? qui veut donc voir le paysage ? qui veut de fait voir le paysage , la paroi de face, le Passé de France, l'emporté, le voilé, la base ? On veut toucher à ce qui se présente en termes de données mammaires, lactées,, et du coup téter on le sait ! on est affamées ! fée affamée cherche du lait à ingurgiter (de bonne mère !s'il en est ) et se désaltérer, s'alimenter, se consolider, se donner de l'air, du Verbe, de l'herbe digérée, du Feu Porté ! On est Fée des Fées ainsi alimentées ! On veut durer dans la durée et du coup y aller, cerner les données, porter loin les mots sondés tels que découverts au pâssage cendré d'une mort actée ! cimetière ! cime tière des données ! pré pré-paroi dernière ! = le Passé ! Car, le Passé est derière ... derrière ce muret ainsi rencontré en ce pré des données allouées à une sorte d'herbe, genre Herbe-Verbe veerte ! le Passé nous attendrait ... en termes de Lait ! Le Passé en herbe ! Verbne né ! pointé, porté, alloué à une Sommité genre D2ité Des Déitées en Herbe ... un bébé ? On veut cerner, ici même (pré des prés), les données Suprêmes mais en vérité on dira que c'est ... méga-loin encore d'être gagné ! On a envie ensemble grave de cerner, les données qui ici se présentent comme à jamais, mais vas-y comprendre en  rai ce genre de données offertes, elles sont corsées ! elles ne se donnent pas frontalement, à tout un chacun ou chacune qui ici viendrait pour ainsi dire les sonder ou pour les sonder. Elles sont méga méga méga coriaces ! elles (en v  rai) ne se laissenty p)as approcher si facilement qu'on pourrait ensembkle le penszr , mais au contré&ire, renâclent ou renâcleraient, ou comme renâclent ou renâcleraient, à donc se laissr aépprocher par des fées cfomme nous nous sommes en ce pré aux données de l'ombre ! on monte parce qu'on est des fées et que les fées montent pârce qu'elles volent et que sachant voler elles peuvent plus facilement comme se téléporter aux plus haut niveau des données données en ce monde dit "des ORaux" ! On veut en vrai ensemble ici comptendre les données de ces Oraux , Oraux Terminaéux ! On veut toucher à ce qui est qui ivci se présente, sans traîner, à nos yeux qu'on dirait (pour le coup)

  écarquillés, tant ils sont grand ouvert pour ne rien rater de cvete sorte de  démonstration 

(pariétale) haute, de Fond de Roche. On est Fée née sur pré de Roche, on monte, on monte haut hautes , on veut toucher ensemble le plus héaut niveau, des choses de la Roche Haute, le Niveau des Hauts Niveaux , Haute CHose des Oraux de POrte ! 

Alorsc , voilà ... 

les Oraux de vPOrete, 

sont, en quelque sorte, les Oraux du plus haut niveau , une sorte de donnée vprofonde ! oraux mots sont mots de porte ! On  veut comprtendre et du coup bpour comprendre on doit incessamment obligatoirement nous approcher ensemble (ELLES nous sommes) d'une sorte d'entrée dee faç ade (ou en façade) permettant passage, glissement, portage et embrassade. On est Fée des Ombres et on aime entter enj pareille roche. on veut comprendre cette roche, ces données de l'ombre, ces Oraux ainsi cités, oou plus haut cités, et pour comprendre on se doit d'entter , en ce petit tracé ou trait , ou par ce tracé, ce traéit aux données, passer tête et ailes et petits pieds, et du coup ... nous retrouver de l'autre côté, à mirer ! à regarder en vrai ce qui est qui semblerait vouloir ici nous aborder pour nous parler et nou!s donner iun certzin nombre SVP d'infos relevées ! 

à nous de savoir faire, ainsi, qu'on puisse ensemble sans traîner, les adopter, les cerner, les faire nôtres en v  rai, loes comprendre pour le coup sans se casser ... le cul ? le nez, la tête allouée à notre sorte de gouvcerne ... de fée cendrée ? On veut toucher à c et ensemble de Nénés ! les Nénésc szont deux ! à cet ensemble de Nénés post-pré, qui est ensembke de JNénés post-muret car, on le sait, le muret du pré est  muret à tra&vaerser , à la une à la deux, sans sourciller, à fond de train, finement sciemment, pour, en vrai, arriver à comprendre , à cerner, à toucher, à poser des mots de base etc, à ce (ou sur ce) quartier post-rotondité, quartier des quartier, quartier des ombres ici portées et comme traversantes et pas à moitié ! les mots sont messagers ! les mots de trop (grosb mots) sont les (vrais) messagers qui peuvent eucx entrer sans se fa&ire coincer ! mots fluides dies données vives ! rapides ! mots des mots de trop ! haute donnée de roche ! mots hauts  ! hauts mots sur roche haute ! traits des treaits comme des animaux ! parades ! grottes ! portes ! prés des prés, puis le muret ouvrant sa porte sur ... eh bien un passé, ou même le Paszé tel qu'il se rapporte ... à des sortes de Nénés de Roche ! on veut toucher ! toucher = téter ... alorsc on veut téter , et sans traîner ! vite fait téter pour nous alimenter en tant que fée homo ! homo hautes ! hautres fées homo de roche ! haut mots donnés , récoltés, portés, amoncelés ! on est la fée des roches hautes qui, en vrai, cherche à se situer sur cette sorte d'échiquier des données de porte, des données hautes, post-mur de fond de roche ! Qui on est ? on est celle, on dirait (en tant que fée), qui cherche à sans cesse combler un ceratin nombre de désirs, ancrés en elle, comme (par exemple) celui ... d'exister, sur pré, post -cimetière ! ou alors celui ... de voiuloir cerner, post-pré, ce qui est qui nous attendrait une fois la mort donnée (actée) ou entérinée ! On veut toucher de chez rtroucher en tant que Fée du pré, les mots de l'ombre = les Oraux ! oh oh ! On a grave envie ensemble ici de nous colloer à cette sorte de recherche de niveaux ! de niveaux de mots ! On a envie en vrai ici ensemble de comprendre grave les données profondes d'une sorte de donnée de roche (néandertaliennne ou aurignaciennne) qui saurait pour le coup nous mettre sur le droit chemin en cevqui concerne ici même un certain  nombre de connaissances dites "de terrain", qui, connaissances , connaiossances intenses, sauraient sans traîner nous indiquer ce qu'il en est, en certtte matière de "la mort sur terr"; , ou de l"la mort donné sur terre" , ce qui est et ce qui n'est pas, en la matière, ou en matioère de paroi "aux Lois" ! parois en herbe ! ou parois de Rois et Reines ou Des rois et des REines ici comme attachées à une sorte de Gouverne ! On voit ce qu'on voit ! et ce qu'on voit est là qui nous regarde pour peut-être mieux (à nous) nous comprendre , nous comprendre-prendre ! On est née Fée sur pré au Grand Passage, à présent on monte ! on vole ! transe fatale et autres envollées de base , ou de lévitation de base ! on entre ! on entre dans l'antre des données dites "terminales" d'un rocher posté en face ! traéit des traits de RAge ! grave ! grave on entre ! nez pointu, cul nu ! feée femme sur paroi Haute , la plus haute, cul velu ! 

on passe la porte ! on passe cette porte

 aux données de base , haute porte aux données de rage, porte haute de la Mort"étranfge" .... on entre ! on est velues ! cul nu velu on entre ! entrons ! essayons de comprendre le message étrange" ! essayons ensemble ici de comprendre, ce qui pour le coup nous semble ou para^t étrange ! qu'est)-ce que ça peut être q ui nous de fait interroge grave  ! On cherche à comprendre ! qu'est-ce qye c'est que ce message , ces Oraux de Rage ; .... qu'est-ce que ça peut être qu'on ne sacheb pas, qu'on n'aies jamais vu ni connu, qu'on ne sache pas même peut-êtte reconnaitre, ou qu'on ne saurait peutêttee ou saura peut-êtte jamais reconnaître ? On est née F2e à cul velu , huhu ! On passe ! Passé D'Ange ? On passe ! PAssé d'Ambre ? On veut comprendre comprendre comprendre sans nous arrêtrer,  cet "Étrange" tel que "dessiné" (prsésentement) sur Porte de Roche ainsi présentée à nos "sons de cloches" ! On monte ! on est nées Fées la bmort entérinée , et à présent on essaie le plus possible de nous rapprocher de cet étrangeté "nature"" telle que représentée v(il semblerait) sur roche de groote et autres rochers , âr des êtres des temps reculéews, de type :

homme-femme cro-magnonesqaues

femme-homme cde type néandertalien 

homme-femmes des grottes sondées, allouées au Passé (sur Terre) tel que rêvé

femme-homme des données De rage et autres données du paysage sage (savant) tel que rencontré la mort ancrée ou enracinée ou entérinée . On est la Fée donnée, sur Roche Cendréev ! Fée des Fées des ROches vives ! un tracz-é de Vouivre ! trait ! trait ! trait très vif ! trait des traits sur roche "endiablée" ornementée ! On veut toucher à ces Nénés des données ditesv "lactées" du fait qu'un Néné eh bé on le sait contient gra&ve le lait qui sert à de fait alimenter en  Erbe les données cdernières ! lait donnév = verbev alloué à un Bébé post-cimetière, ou Bébé des Bébés ! la Haine ? non pas : un tracé ! trait d'herbe ! le Passé comme "remonté" en forme de colère "inn"ée" ou "colère des colères" , IRE centrée, chant des prés ! prêches ! prêches de prêtre ! prêche en herbe de prêtre assisté par une soerte de S1ainte Colère en lui ancrée, ça le fait ou le ferait ! On cherchebà t§oucher, hors pré,, à ces donnéess données de type LAIT_VERBE, verbe d'herbe,, verbe-lait aux données en herbe = tracé  = trait = donnée accordée , ou doonnée accolée à une sorte de "MISÈRE SUR PIED" ... est-ce que ça peut être ? est-ce qu'en vrai ça se pourrait que .... la misère soit Sainte = sanctifiée = acculée à êttre cette sorte de vDonnée Du verbe telle que rencontrée adoubée le muret du pré passé ou une fois passé ? est-ce qu'en  vrai, on pourrait ici (là : post pré) comprendre, cette sorte en soi de "Falbala" , verbe enjoué, en tant que "Donnée De Paroi terminale" ? on ne saoyt pas ! on gratte ! on gratte la peroi ! on bgratte à  ette sorte de paroi ditec"terminale" maéis en vrai on ne sait pas si de tels grattages en soi nous avancent à quoi que ce soit concernant le Charme, Le Tracé Final, La Chance, LE Donné des Rois et Reines de là-b as, l'Au-delà des pas, des pas dansés scandés, des sautillagees s et autres transes pré-muret ... on cherche à comptendre, ces données ce qu'elles contiennent, en termesb de(qui sait ?) vérité ! On est née Fée au p assage cendré, on a couru , on est monté,n , on a traversé nle muret dit "des finalités" et à présent (de fait) nous voilà "remontées" , "toutes remontées", en ce nouveau quartier aux données centrales telles que données, données par la bande, ici, des .... Nénés ? qui sait de ces NÉNÉs ce qu'il faut penser ! qui peut nous aider ? qui peut nous reamener szur roche (au frais) de quoi ... penser .... et panser nos plaies ? qui ? L'Ombre ? L'oMbre Haute ? Le BNOmbre ? Le PAssé d'époque ? Le tracé de POrte ? l'onctuosité d'un lait trait ? Le pissé, le chié , le sué ? La Roche haute des DOnnées De porte telles que consacrées à notre approche ? IUune Donnée mûre ? deux ? deux données données ? une sorte de Passé "de la Comprenure" ... telle que développée en nos jeunes années ? Un bébé ? un petit bébé ? le Bébé Nature ? un e sorte de Bébé de bure ? pli ? pli sur page ? ombre ? homme ? femme ? homme-femme ? femme-homme ? homme et femme ensemble comme soulevées, de par le fait que les voilà comme liées à tout jamais, et transbahutées ? qui sait en vrai ce qu'il  faudrait savoir pour comprendre ? qui en  vrai connéit les données finales, le Passé de Charme, les données allouées à une sorte de parade ici pariétale ? on veut de fait cerner ensemble (en tant que fée ailée), cerner par la bande, mais voilà, le trait, devant soi, n'est pas large ! comment faire dès lors pour ici s'infiltrer ... sans trop peiner , ni se casssr le bout du nez ? la charge ? mentale ? le tracé inné . ?le passé come offert suur place ? une sorte de passé qque nous serions )-à même de véhiculer et de faire remonter comme à la parade sur paroi de M asse ? on cherche à comprendre. ON Veut comprendre ensemble. Homme-femme = femme ! Homme et femme ensemble sont femme de TRait, trait tracé à main levée sur Roche de Grotte Néandertaliennes .... à jamais ! On cherche à c erner = toucher;, toucher = toucher , toucher = toucher aux Nénés vpost-pré ! Toucher = toucher à  ce qui est qui se cprésente à nous le pré dépassé, passé, traversé ! On aime ! o n aime aller ! on veut toucher à ce qui est qui nous regadrerait ... comme par derrière , dingue ! une sorte de "PHÉNOMÈNE" aux yeux à facettes ! va cerner ! va donc en cfomprendre le bien-fondé , ou ce qui est en vérité ! Hydre-né post-rive ! On veut trouver Un dire ! Une donnée vraie ! ce qui est qui ne prêterait plus du tout à rire mais szerait de fait fortement considéré et adoubé et pris pour sinon "donnée des données" mais quand même apprécié et même reconnu par  x (peut-être) sommités de quaert§ier. on est Fée en herbe = en verbe ! Traits des traits post-cimetière, on cherche Une entrée, en pareille Rotonde, Entrée de Ronde, opassage alloué à une sorte de donnée de POrte ! porte Haute ! Le passé en trombe ? on le saurait en vréi il me semble si c'était vrai ! On monte ! on creuse ! on pousse ! on veut toucher de chez toucher à cette sorte dedonnée de ROcche ncomme rencontrée en bnos promenades accumulées. Montons ! osons ! passons ! poussons cette Porte de Roche et regardons donc les données profondes ce qu'elles sont ! que sont les données profondes , qu'e pourrait-on co=ptendre ensemble des données profondes, ou de pareilles données profondes, ou de pareilles données données? On cherche ensemble ! On est accolées. ailes de F2e . Fée d'herbe. On monte, on passe, on cherche, on ose, on regardee, on touche vdes yeux, on cherche à com^rendre... et que comperenosns -nous en pareil paysage ?  que La ùort est Haute ? Ramages ? plumage ? crête  de Rage ? haute Mort sur Paroi de base ? On mate grave ! yeux hagards ? yeux pportées sur Chose post-pré : 

-la haute fûtaie

- le tracé des mots

- l'envolée gracile et autres volée (de base) fluide

- le lait, le lait des animaux, le lait nacré , bleuté, alloué

- l'ombre porté sur un Néné 

- les Oraux de Roche .... 

mùais , que sont les Oraux de Roche ? Eh bien, les ORaux de Roche, nous dirons que voilà, les OPraux de ROche, sont ...................................................... tralalas et falbalas ........................................................................................................................................................ treanses de parois .....?...................../........................................... hauts messages de l'au-delà à cette sorte de paroi des Rois et REines du Sabbah ........................?......................... le charme, la Joie, L'ombre HAute ! ................................................................................... chants de POrte ! on voit ce qu'on voit ! on y croit ! on ne croit qu'à ce convoi , comme Saint-Thomas ! On avance ! O,n monte ! on veut toucher la Haute Paroi , HAute PAroi de l'Au-delà à soi , 

ANTRE, ANTRE DE RAGE, ANTRE DE ROCHE HAUTE, HAUT ANTRE DES DONNÉES DE ROCHE, TOUNDRA, PORTE HAUTE AUX DONNÉES DE POCHE, POINT DE ROCHE AINSI MONTRÉ À TOUT LE MONDE, POINT D'ORGUE

On voit ce convoi, on entre, on veut toucher ensemble les données de base ici déposées comme à la parade, gentes dames, auroques des bois, genstuilhommes des sous-bois de l'ombre ! un teacé de base , deux ombres = deux ailes = une fée imberbe = une fée vde rage qui (ici) sait tracer = voler, s'envoler, mùonter, traverser les contrées post- premier muret, et du coup se comme téléporter jusqu'au bout du bout des ombres, flammes vive's, traits de roche, cheminée ! fHautes données données donnant sur le Passé de l'Ombre ! HOmme-ombre = femmes la mort achevée ou entérinée ! homme du pré, devient Femme Fée aux ailes dorées , quasi translucides, portées, empruntées ! On est Fée Forte ! Haute Fée des POrtes ! On monte ici jusqu'au n2né de l'ombre ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce qui se rapporte à ce Néné de Roche ! Roche Haute = Faconde ! On monte ! on ose ! on monte en trombe ! on ne veut pas lâcher la chose mais (grave) au contriare  .... aller de chrez aller .... poussser de chez poussser .... comprendre de chez comprendre ..... connnaître de chez connaître ..... saturer de TRaits ce tracé ! pousser -, poussrr, pouusser, pousser, pousser grave de colère , pousserf de chez pousser grave de coplère ces ... nénés ? les repoussser ? ne pas téter ? téter et ne pas téter ? téter ou ne pas téter , telle est la question su^rprême (ou serait) ? On cherche ! on veut toucher à une Vérité Su^rême ! O,   eut grvae toucher de chez toucher à une sorte pour le coup de vérité des vérités ! on veut aller , akller de chez aller direct, direction "Vérité-Déité" concernant La mort, M%Ort-Vraie, Mort-Donnée,Mort-Divinité. On v  eut coller à cette vérité (dite "des données profondes") et ... ne plus s'en décoller ! On veut coller de chez coller à cette vérité fdes dites "données en herbe", s'y coller le nez , les ailes , le cucu ambré, les petits pieds = entière ! alloué ! allouée ! allouée en tant que fée ! allouée de chez allouée et ce sans traîner , sans chercher plus que ça à se faire aimer mais quand même, on veut plaire, plzaire à "D2ité La Mort SOuveraoine", lui plaire = lui donner ce qui peut-être pourrait lui plaire en termes de données (Suprêmes) vterrestres , genre : 

- Oraisons Su^rêmes

-  PAmoisons)- Consécrations sur roche interne

On monte ! on osex ! on veut toucher à  c e Néné des Données Hautes ! traverser le muret et donc se retrouver de l'autre côté , côté Haute Futaie, Post-Rotonde, Post-pré, hors du monde des données tracées comme à main levée par l'homme-femme des sdonnées de roche ON monte ! sortons ! allons ! poussons "la porte" , paszsage docte, le Passé ? Poussons ! poussons le Passé comme une porte , porte d'Entrée vers .... eh bé, de nouvelles contrées ! contrées aux fées passées ou déjç-à passées et du coup transformées en ... Nénés ??????????????????????????????????? hé hé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! est-ce que ça se pourrait ? que des féesz, ayant dépassé le muret post-pré, soit à présent comme transformées en .... N2né ??????????????????????????????????????????????????? en un n2né dit "des N2N2S " ? .................................... erst -ce que ça se pourrait en  vrai ????????????????? ?????????????????????????????????????????????????????????????????? qui le sait ? qui sait ce qui est ?????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????? qui en vrai sait ce qui est et qui n'est pas concernant la mort et ses .... "entrechats" ?????????????????????????????????????????????? qui en vrai , connaît le fin mot concernant la mort et ses atteaits de base ?????????????????????? ses données et autres traits ??????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????? qui sait ce qui se treame en elle ? ,qui connzit^ce qui en elle alimente la Voix ? ......................................................le Ver -be ??????????????????????????? l'herbe verte ??????????????????? la Paroi de Choix ???????????????????????????????????????????????????????????????????????????? l'Ombre des Données sur Roche ainsi allouée s à une sorte de ROtonde "enclavée" ? On entre ! on monte ! on sonde ! on regarde ! on vole et volette ! on est Fée post-cimetière et bientôt ... VErvbe ? Verbe-Aile ? Verbe né la mort entérinée de chez entérinée = doubl"éée ? On veut toucher à ce Néné-fée , à cette sorte de Néné qui, avant, dans le pré, était La Fée du pRé , qui le sait ? toucher de chez toucher à cette Fée-NéNé ... de Paroi Haute, Haute Roche-faconde, Née Fée puis Néné  ! Grotte ! porte ! colle ! mont des monts des Hauts Niveaux ! On veut coller ! on veut grave coller ! coller à ce Néné des Hauts des Hauts ! On veut grave coloer au Niveau du Trop, du Trop Haut = du Très Haut (Trait Haut) et ... passer ! filer ! sonder ! do nner ! cerner ! se redresser et regarder autour de soi ce qui se trame e,n termes de paradee de type animale ! trait dxes traits, du plus haut niveau de charge ! Bois des monts ! ramages ! ramures ! bois hauts de Dieu Haut ! Branches ! branches ! branches blanches ! branches hzaut ! branches des branches du plus haut nivraeau ! branches des branches vdes plus hauts niveaux de Mots ! Mots Hauts ! Hauts Mots ! Mots des hauts Niveaux en termes de données de branche  ! haut niveau de base ! très)-haut ! Genre 

SAGE

SAGE DE CHEZ SAGE

SAGE-ÊTRE ... SAGE

SAGE ROI REINE DE LÀ

ROI REINE DES DONNÉES SU^PR^EMES

HOMME AUX MOTS = FEMME MOTS = OMBRE SUR HAUTS 

TRAITS DE LUMIÈRE

TRAITS FERMES

TRAITS DES TRAITS SUR HERBE = BÊTES

On veut haut comprendre le Niveau. L'ombre haute sur Mots, la Paroi Haute, Buffles de Carosse, Bêtes de ROche, Traits altiers, Bêtes Féroces, Lionnes , Lionceaux, Ours de Roche, Bêtes-mots aux données de Porte, crins, poils drus, queues doctes, Chevelures. On aime les bêtes velues, fortes, hautes, masse docte et autres bouquetins des roches. On veut grave cerner ensemble les données ! Cerner = toucher ; toucher = donner ; donner = comprendre ; commprendre = allouer ; allouer = dire ; dire = faire ; faire = porte  ; porter = entreprendre ; entreprendre = toucher ; toucher = commettre ; commetttre = souder ; souder = pister ; pister = lier ; lier = rouler ; roulerr = gravir et du coup monter ici judsqu'aux n2nés post -pré ! et du cfoup les aimer = téter ! teter grave les Nénés vdonnées par , ici, une FEMme .... aux allures de Fée ? Femme-fée des prés ? homme-femme cernée ?  Femme-fée vdu pré cendré ? on veut toucher à ce Néné "des contrées Finales" , ou Nénés "de Branche" ! Coller ! sonder ! toucher = coller et sonder ! on veut aller au plus lointain de l'anttre, toucher ! toucher de chez toucher aux nénés nés ! nénés des n&énés ! nénés d'Ambre ! ..... ombre portée sur un néné d'Ambre ! ombre-ambre ! ambre-ombre ! ambre des ambres ! ombre née ! on entre ! on veut toucher-cerner l'antre de l'ambre ... et AIMER ALLER COLLER ! cernerv = dire = toucher = avoir ! On veut coller-cerner l'avoir ! Etre née Fée post pré en tant que ..... être à Néné s ? Nénés ? ëztre-Néné ? Néné-ëtre ? ëtrtee n2né des Nénés de l'ÊTRE ? Qui sait ? on cherche ! on veut toucher toucher toucher à cevnénév en herbe " post cimetière, post -pré (post-éden) post muret, et coller ! s'y coller de près ! cerner = coller ! collerr = toucher ! toucher = cerner ! on fait corps ensemble = fée ! ailes soudées, pour en vrai et enfin pouvoir sans discuter pouvoir s'envoler en ces confins ou drôles de confins le pré dépassé, passer le trait, passer le trait, filer, coller aux nénés , coller grave aux nénés du post-pré ! et du coup (peut-êtte) téter de chez téter à c  e néné rempli de ce lait salutaire dont plus avant on  discutait sans se tracassser . On veut téter le vLait postv pré ! post-herbe en vrai ! téter de ce lait de l'herbe sans herbe ! herbe ou pas herbe ! téter ! téter frais ! téter le lait de fée des traits ! téter de chez téter sans sourciller, s'e,n mettre plein le gosier, cerner-toucher à ce qui est de ce tracé ! donner = porter ! vivre = coller, à ces ditsc "nénés" en herbe ! herbe verte ! touché ! 

touché ! touchée de près ! on erst la Fée vtopuchéev ! Touchée de près ! fée du pré touchée de près par comme qui dirait une sorte de néné en herbe ! néné né des données rupestresvc bn"éandertaliennnes acidulées ! traits majeurs ! cfolle -ombre ! dictées ! pousse-honte ! poil du nez et autres atrocitész sur roche ! on monte ! on veut toucher à ces nénés du bout du monde et du cfoup AIMER DE CHEZ AIMER LA RONDE

LA ROTONDE -RONDE

CE TRACÉ DE PORTE

CETTE VOIE DE ROCHE HAUTE

TRAIT

TRAIT

TRAIT

TRAIT

TRAIT 

TRAIT 

trait tracé à main levé pzatr l'homme-femme des données (profondes) hautes ! haut nivrau xde roche = chapiteau ! porte haute des données profondes ! Paroles ! Port e = parole ! chants doctes ! traits amis d'animaux de roche ! bouquetinsmonstres! bouquetines hautes ! boucs et béliers des données données cfomme à l'arraché ! antilopes ! antilopes et antilots ! porte ! porte-mots ! colle! colle de peau ! charge haute sur paroi haute ! haute porte sur peau ! peau docte ! haute peau ! peau d'ombre ! peua des peaux des anuimaux ! haute porte aux mots-animaux ! paroles hautes et hot ! hot mot de trop genre insultes à croc ! On monte ! on monte haut armées de crocs ! on monte hot ! chaud de chez chaud ... animaux de roche ! On ose ! on colle ! on est hautes et haut ! mots de trop sur porte de peau ! on colle-ose ! on colle-porte! on colle des mots-animaux sur roche haute ! traits des fées sur Néné ... de haute Porte, et autres passages de fin de Roche ! Trait ! trait ! trait ! traitb ! trait actés ! traits tracés sur roche-Néné , qui sait ? trait bdes traits colmme tracés qui sait à main levée , par une femme des données, femmes rondes, femme ronde des données, femme-homme des données données ainsi allouées à une Sommité ... de Branche ? Cerfe Cendré ! Cerf alloué à un pré ! Cerf des données Hautes ! Cerf soudé ! Cerf des CErfs soudés à une sorte de prairie aux fées ainszi consacrée ... car, CERf des Prés est Cerf alloué à une Vérité "en branche" / BOIS Donné ! bois Haut ! Hautbois du tonneau ! Bois des bois du plus Haut des Bois ! On ose ! Fée des fées ./......................................................... on ose aller .................................... téter ..................................................... le lait de l'Ombre ................................. lzit nacré aux données sucrées-salées ........................ comme un jus de roche ............................. roche nue ............................... vue ........................... entreevue ............................... connue ....................................................... reconnue ..................................................... peut-être reconnue ou enfin reconnue ............................................. nue ? 

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29/12/2024

On veut aller ensemble à la recherche ou comme à la recherche de données "extrèmes" ! On est fées et du coup on cerne ... plein de choses que , en vrai, si on n'était pas fées, on ne pourrait, ... on ne pourrait certainement pas cerner comme on le fait, = "à toi àmoi", dans une sorte (ensemble) de vision  profonde ! on aime ! ça on aime ! çàa on peut dire qu'en vrai on aime, on aime beaucoup,  on est fans ! femmes et fans ! on aime (grave) toucher  à ce qui se présente et qui (devant nous) ouvre une voie d'abord,  pour une soetre de pasdsage (ici) pour fées "de contraebande" = pour passionarias (en quelque sorte) des données cachées et autres secrets "de dernière couvée". on est les fées fans (femmes ) qui aiment ! on aime aller en ces contrées, c'est-àdire  dans un pré, la paroi passée, la paroi des rages, celle qui (ici) nous fait face dans un premier temps et nous attire à elle, nous demande comme "en mariage ! On veut aimer le pré ! on aime ! on trace ! on est (ensemble) les ailes, d'une sorte de "déesse volante" = fée des prés de base ! on aime = on regarde ! on aime tracer , charger et nous porter, au plus loin sur le pré , direction ... eh bien, cette chose lointaine quyi , on dirait, nous regarde, nous mate sévère, ne nous lâche plus, ne veut plus nous abandonner ou nous lâcher ou nous laisser tomber ! c'est qui ? on cherche ! on ne sait pas qui c'est ! on est envahies ensemble comme qui dirait, par une sorte de ... questionnement ? peut-être ! 

par une sorte de questionnement qui nous pousse à aller, à virer , tanguer, tracer, pousszer (loin) la

 "ppromenade rupesttre" , charger ! parce que nous en tant que fée ailéeon veut toucher à  ette sorte de donnée dernière qui, pour le coup, est une sorte de donnée ... comme on les aime = gratinée ! on veut (grave) pour nous,, du gratiné ,ou dans le genre gratiné ! ces sortes de données de base, ou données des données, on les voudrait de préférence "gratinées " = spéciiales, peiut-êttre "paradoxales" ? qui sait ? On voudrait ensemble (on est les ailes de la fée des prés) comprendre ce qui, en vrai, "nous regarde" ! qu'est-ce que c'est ? eh bé ... on est toujoiurs et encore (enselmbke) à se le demander ! à chercher ! On voit bien ivci qu'il y a comme une sorte, peut-être ... d'enduit ? qui recoiuvre ou recouvrirait la paroio ou quelque chose comme ça , un enduit gras , une sorte d'onguent, de crhême ! qu'est-ce que c'est ? eh bien on cherche ! on cherche ce que ça peut être ! qu'est-ce que ça peut être ? on cherche ! on se demande ! on se pose des questions et on regarde et on se dit que oui peut-êttre un jour, on arrivera, à cerner au mieux les donhées (frontales) dernières, ce qui est squi se présente et nous regarde, ce qui en vrai se trame au)-delà des thermes ! On est fée parce qu'on s'aime ! on est ELKLES au pré, on s'aime en vrai ! on s'aime ailée ! on s'aime de preès ! On aime s'aimer ! on trace ! on vole au loin à la recherche de données de bzse, de données de base et d données de rage, on y va ! on gagne Paroi (Paroi SAge, l'ultime Paroi) et là, une fois l'ultime (peut-être) Pzaroii abordée ou atteinte, on voit ! Qu'est-ce qu'on voit ? LA RAGE ! le tracé de rage ! permutation !  fruit de la Passion ! On a touché à cette extrème onction des données dernières ! PARLONS ! PARIONS ! CREVONS LA CHOSE SOUTERRAINE ET PASSONS ! PASSOONS PASSION ! on aime ! on est deux ! deux ailes ! on est les deux ailes du pont ! on trace dans l'herbe ! on veut en vrai aller pour ainsi dire comme pour toucher de chez toucher les données les plus extrèmes = souterraines, d'uneb sorte de contrée "en herbes" ! qu'est-ce que c'est ? eh bien ... peut-être .... une sorte de chemin des traces , caminade ! On veut (ensemble) filer, filer grave jusqu'aux nénés et téter ! on dira que ça, cette chose,  ON VEUT ! = téter ! et pas à moitié ! On veut toucgher à ces nénés qui , devant nous, sont les nénés d'une sorte de donnée frontale telle que par exemple on pourrait s'y attendre ! une sorte ... qui sait ?  de données "rare" ! Une ouvertiure (en soi) dans la mansarde ! qu'est)-ce que ça peut ou pourrait être d'autrev! On regarde , on cherche à passer ! on est au fond du pré, on a retrouvé ou comme retrouvé les données frontales = pzariétales, mais de l'intériuer cette fois-ci, on est inclues , on est nues, on mate ! on veut tioucher = passer, à travers la Buse ou comment dire ici , pour cette sorte de .... conduit ? de ... passage-conduit ? qui est comme une sorte de donnée de base cioomme contigüe à une sorte "d'outre-passage" ... On est prêtes à tenter le voyage ! Est-ce qu'on le pourrait en vrai ou de fait sans dommages ? est-ce qu'on peut de fait réellement envisager ensemble (= ailes d'une fée en herbe) ce voyage en ce paysageb ... des données ultimes post-paroi finale ? On regarde ! trait ! trait des prés" ! trait de ce qui est qui nous regarde (nous regarderait) attentivement ! On est nées de fait sur pré, pour, entre nous, essayer (au maximum) de comprtendre, ce qui ici se passe (ou se passerait) pendant ... qu'ion parle ? pendant quoi ? qu'on chante ? On voit kle passage, c''stàdire qu'on voit, ici, de près (de treès près) ce trait, des données finales = d'anfractuosité, de caverne szsarde (?) ... qui sait ! une sorte de "passage-parade" ! qu'est-ce que c'est que ce tracé sur paroi sage ? On se demande ensemble ce que c'est ! on se regarde et on se pose la question, concernant le front ! qu'est-ce que c'est que ces données de Rage ? Ultime Passion, Trait d'Annge, "Vie des Monts, Panse ! On veut (oui !) comprendre, ensemble conconmittament (on est ailes nées) , ce qui est qui se présente (disons) en "fonnd de caisson" ! On mate grave ! on ne cesse de mater, toucher, caresser, cvomprtendre, qu'est)-ce que c'est que ces ... (dits) "nénés de contrebande" de fond de pré paradisiaque ! qau'est-ce que ça peut êttre ! On cher che ! on trace ! on fonce ! on file ! on est ailes volantes = fée des prés ! on est "encerclées ", entourées de base de données rupestres genre bêtes, bêtes prairiales, bouquetins des rages et auttres bisonnes sondées,buffles alloués, chevaux de trait, charges mentales ! on veut comprendre et pour comprendre il faut (grave) s'activer, toucher aux nénés, pistonner, filer, creuser, cocher la bonne case des données allouées à une vérité ! et ce , sa ns lambiner, sans ne jamais traîner de préférence  ... car, merde, on est fée de base ! on est pas là pour "musarder" si tant est mais creuser, pousser de base notre sorte de petite charge,ailes accolées sur un morceau de poids, dit "léger" ! On est nées ! on est nées Fée on dira "au passage" ! On était X , Y ou Z, nous voilà La Fée post-cimetière , et, dans ce opré aux bêtes de trait, on trace ! on vole que tu voleras jusqu'au bout des champs ici allouées à une sorte de cercle pour initiées on dirait. On est Nées f2e (de fait) au passage (de vie à trépas) et nous voilà comme "activées" par ... qui sait ? Le Verbe de La Foi dans l'Au-delà ? ça se pourrait ! et du cfoup nous voilà là, poussant de bonnne foi notre (peut-être ?) sorte de Romandce des Données de Base = TRALALA, et autres chants Sardes (?) ... va savoir ! on y croit ! on ne croit qu'à ça ! on veut pouvoir toucher au Tralala ou à son Tralala des données Finales ! Arumbaya ! chants sardes = musique d'appât ! On veut ... eh bien, pousser loin, si possible et sans traî ner, nottre sorte de petite charge (ici) "à passion" ! On veut aller ensemble en tant que fée (on en est ou en serait les ailes !) passer ! traverser ! filer ! comprendre de l'autre côté ce qui est qu'on pourrait cerner ! qui est là qui nous regarderait ou même, là, nous regarde en pied, ne nous quitte plus, grave nous reluque de la tête au cul et du cul aux nénés ? SAlace la Divinité ? coriace dans le genre ? pitié ! on n'aimaerait pas (du tout) tomber (de grâce !) sur pareille entité salace ! on veut du léger ! de l'outre-menace, du passé sucré ! beeele ambiance et musique des prés ! On veut paqsser ensembvke (ailes soudées) comme en contrebande mais sans se fâcher ! on veut toucher à ce néné post -pré pour juste téter on dirait parce quye c'est vrai ! du lait ! rien que du lait ! du lzait de France comme qsui dirait ! lait-verbe alloué à une sorte de Romance du passé = l'attelage des bêtes nacrées ! l'attelage-né à la retombée , fait de bêtes nacréeszxquui i (toutes) nous regardent (au passage , à notre passage) comme si en vrai on était comme eelles, Vaches ! Vaches à lait ! bêtes de poids sur un pré de Joie ! Comme on leur ressemble par certains côtées, puidsque (par exemple) on est ailées comme elles, c'est un faiot, mais pour le reste on ne peut pas dire qu'on est, ou qu'on soit "comme elles" tout à fait ... ou si quand même ? soeur de lait ? soeur des données lmactées ? On cherche à cerner ! on veut toucher ! on ne veut pas laisser tomber puisqu'"on y est" ! et que voilà ... le mieux (en ce qui nous concerne, en tant que fée) c'r'st de voler ou voleter, direction ... la Plaine ? le Passé ? Les Nénés Alloués à une contrée ? le P assage Cendré ? lieu d'aisancedonnant ... sur un Passé dit "de contrebande" ? On est fée curieuses (de base) alors ... on chante ! lalala on y croit ! on va loin ensemble ! On veut "creuser la paroi" ... On ne veut pas rester "en carafe " sur paroi mais comme , disons, passer, passer ce Passé ! tracer ! pousser ! creuser à jamais ou sinon à jamais, pour un temps "long", les données rupestres "de la Passion" ! fgond de pré et mamelon ! On aime tracer ! on aime aller ! on aime creuser ! on aime filer ! on aime coller ! on aime (aussi) pisser ! on aime (aussi) chier ! on aime (aussi) tracer de chez tracer sur pré notre sentier menant de préférence au terme d'une sorte de "voyage interne" menant (grave) aux données dernières telles que espérées, espérées commprendre, ou telles qu'on espèree, un jour, pouvoir les comprendre = les cerner, ou telles que peut-être, un jour, on arrivera ensemble = ailée ;, à mieux les cerner et mieux les comprendre ... à tout jamais ? ... qui sait ? on aime = on esp^ère ! On ne voudrait pas passer à côté en étant si près (nous deux !) d'une donnée aussiu souveraine ! merde ! ça serait bête , plus que bête ! on ws'en voudrait ! on s'en mangerait ... les ailes ! merde ! On veut dire et pousser ! on veut grave tracer et y aller au plus profond de ce qui est qui se présente devant nous, soit : à nos yeux  écarquillés ... et à nos genoux, posés sur le pré ! On mate ! Qu'est-ce qu'on voit (à travers la faille) eh bien, post-paroi finale, il y a :

- une sorte de Passé , Passé Sarde

- un tracé post-pré dont le nom m'échappe

- une sorte de Poupée (?) ausx données Sales

- un creuset

-une pomme cendrée

- un .... pet ? à moins qu'il ne s'agisse ... d'une sorte de souffle alloué à une 

-- à moins qu'il ne s'agisse ... d'une sorte de donnée allouée à une sorte d'Entité Venteuse, genre Caliopée (?) ....

- un annneau de buse

- un poteau 

- une sorte d'enclume avec marteau

- Un chapiteau, recouvrant une écluse ...Qyuoi de plus ? Peut-être, et qui nous vient dessus, nous pénètre, un chant ? On est nées fée pour être ainsi enveloppées , on ne sait, lme moment venu ! enveloppées nues ailées portées ! = pour passer ! Passer pour (qui sait ?) toucher-cerner à cetrte sorte d'entité chelou (?) qui serait là peut-être pour (en vrai) ...  nous "happer" (?) ou nous "avaler" (?) ! On bveut colmprendre ensemble les données rupestres, celles de la base amère, et puis les dernières, l'ultime contrée, le tracé des fons cde pré, la parade finale , cavalcade consacrée, trait des traits = ¨Passage czalibré pour ailes repliées quyi s'y faufileraient en vrai ! et hop, le tour est joué ! On a envie enwsemble de comprenndre ces nénées dont on nous parle qu'est-ce que c'est , et du coup, on veut passer, à tyravers la base, passer ensembkle, soudées et accolées et comme en contrebande , soit (oui !) se faufiler, se glisser = se faire (dès lors) toute fines, menues menues, fines de chez fines, et là, incidemment, tracer = traverser = entrer = passer ! pousser = passer ! on veut en vrai passer de l'aurtre côté et ..  est-ce qu'on va réellement y arriver ? .... eh bé .... c'est pas gagné ! ça force ! c'est méga-étroit ! il y faut la foi dans l'au-delà je crois ! il faut poussser ! pousssrrde cherz pousser ! sans traîner ! sans chercher à se défiler ! creuser ! on se doit de creuser ... la Roche Finale, pour en  vrai passer à travers la Manche ! Pässer = toucher = dire = faire = creuser = contrzaindre le passé à vous adpoter ... et ça le fera grave comme qui dirait ! ou, comme qui le souhaiterait ! Entrer = passer = donner (sur un pied) une sorte de pression forte, et hop, sauter ! foncer ! aller par-delà la Roche aux Données Accolées, et du coup ... passer , ailées, de l'autre côté ! ailées = aimées ! ................ ailées on le sait = aimées ............................... ailées à présent on le sait = aimées ...................................... à présent on sait pezrtinnement que AILÉES = AIMÉES, AIMÉES À JAMAIS ! ................................ on le sait de source sûre ! on est accolées ! on monte on vole ! on voit des Nénés comme "bnous regarder" ça fait drôle ! on est Ailmées-Aimées du fait que voilà ... on vole ! on monte ! on est hautes  ! On est nées Fée sur pré au passxage Premier , et nous vopilà qui nous pour ainsi dire priopyulsons de fait au plus lointain du pré tel que dessiné par hommes et femmes CRo-magnons ! le POnt ! Roche Portée ! Colle au Frais ! Porte Donnée donnant sur une sorte cde   "Contrée des contrées" , contenant (surt pied) x et x bêtes de traiot telles qu'appréciées, adulées, consacrérs, aimées, comptés par x et x Fées des prés , qui sait ?On veut toucher à ce Néné de l'au-delà à la paroi ! est-ce le Passé comme en revenance ? un Passé des prés ? des endroits pré-pré ? est-ce du passé comme s'il en pleuvait ...  (pleurait ?) ? On ne sait ! on a envie ensemble pour le coup de nous pencher, sur (ici) un certain nombre de questions pour ainsi dire de grande importance ! genre : la Pa ssiion ! le Trait des traits ! Le Pré alloué à une sorte de Donnée Finale, du coup post -pré !

 La Roche, aux Passions Finales, est celle qui, en fond, nous fait front et comme nous regharde, nous espionnerait§, semble être ici comme à nous espoiunner ou à nous regarder de la tête aux pieds ! grave ! grave kl'Entité ! on veut comprendre ce Néné  , et pour comprendre ce Néné, ou ce Néné à lait, il faut s'infiltrer comme en contrebande à travers ici la Faille Finale, ce tracé d'un trait, ce teait tracé sur Roche (Ultime) post-pré, et du coup s'immiscer et chercher de fait à se faire (si possible) minuscule (le plus possible) sans reculerr, passerr = s'immiscer, passer vif mais rammasséé afin de traverser et de se retyrouver ainsi effilée de l'autre cvôté de ce tracé "en rotondité". Passer = se faire (au plus) celle qui s'effile ou s'affine en roche, se coller ou s'accoller  et faire ensemble (ailes de fée) passage ! pour toucher ! toucher )-cerner ! cerrner-aimer = voleter ! traverser ! 

on acte ! on entre ! on fait le voyage ! on passe ! on se soumet de bonne grâce,

 à ce trait du coup de rage rupestre , c'est-à-dire qu'on essaie de faitt de se faire "petites" , pour passer ! pour arriver à se glisser et à se retrouver de l'autre côté, côté post-pré = pays sage, paysage aux marées (?) oupeut-être aux nénés , qui sait en  vrai ? qui connaîot le Verbe Donné ? qui sait ce qui est post pré, post mortem, ou posst-post morteme ? qui nconnait les données allouées à une sorte d'entité "coriace voire salace " ? On veut comprendre ! Fée des fées on est, et, on veut comprendre ensemble , ensemble nées ! on aimerait ! on voudrait ! on voudraiot grave ensemble comprtendre les données de base ! ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait sans discontinuer et comme à la parade , et du coup pousszer de chez poussr nos recherches antrales, aller et sonder, creuser comme qui dirait pour l'éternité le Verbe de l'Ambre ou qu'est)-ce que ça pourrait de fait être sur pré ? On est nées Fée ... hé ! ... sur pré des fées ! On veut toucher plus loin à ce qui pour le coup nous apparait en termes de Roche Dernière ! teacverser = se faufiler ! se faire mince = mirgue ! et même mirguette si tant est ! toucherr = dire = pousser = consacrer ! Allouer à une sorte de donnée dernière eh bien ... un Passé post-cimetière !!!!!!! qu'est-ce que çac pourrait être de fait ? peut-être en effet deux nénés qui seraient à nouveau à téter ? recommencements en herbe et le tour peut-être en effet, serait joué de chez joué, qui sait ? retour aux sources ? le lait !!! retour au Lait comme s'il en pleuvait ... du pis sacré (spi des données lactées ?) ? On est la Fée en Herbe , on chercvhe, on est limitée, on est fine et menue mais on chervche ! on ne dandine pas du cul ! on est svelte à la recherche ! on est accolées ! on ne lâche plus les données : on persévère ! on se tient postées ! on ne lâchera plus l'affaire ! on est couillues pour ainsi dire = ailées et ça le fait ! les couilles percluses et enterrées on est ailées ! on a perdu l'hominité nature, on est devenues Fées au passage de Bure ! accolées Fées ! les voilà "TRACÉES"  à jamais ! vives et cendrées ! vivacités nées ! confiture ! monture ! allure ! aventure ! on est la Fée  aimée des prés ! = ailée ! On veut grave s'envoler pour pouvoir monter, monter et toucher à cette sorte de fissure sur Roche Dernière = ... un TRAIT .... oui ..... trait des TRaits c'est dit ! .......... iune sorte de trait de fissure par où, éventuellement, pour fée motivée, paqsser .... et motivée on l'est !!!! on ne veut pas laisser passr l'occasion d'y aller, piisqu'on y est invitée il sembvlerait ! tracer = passer ! chargeons monture , crreusons , pistonnons, fouillons, creusons d'envergure ou sinon d'envergure creusons "ramassées" , de fait à pouvoir, pour le coup, passer et du coup traverser et du coup comme se retrouver ainsi vpelotonnées de l'auttre côté, côté ... néné ? on dirait ! du lait ! on dirait du lait ou du petiyt lait comme s'il en pleuvait ! pisse lait ! on dirait du léait , ou de l'eau lactée ! on veut téter ! on dirait comme quyi dirait une sorte de contrée "du lait", lait nature ! lait des fées et autres lactaisons de vulve ou quoi d'autre serait qui nous approcherauit ou même  nous attendrait comme à la revoyure sait)-on jamais (vulve ???) ? On vezut grave comprendre les données finales ! s'il s'agit de lait, de voie lactée, de lait des prés ou bien de lait de vulve si tant est ! qu'est-ce que c'est ? vulve nue ? en vrai ? une sorte de treacé vulvaire tenu ? une sorte de treacé sur pied ? genre : concret  ? artrt concret ? art des données nues s'il en est le Roc passé (roc dit "des finalités") ? On est fcfée des prés et on essaie ensemble de toiucher à ce qii se présente . On veut toucher à e qui se présentevensemble , ensemble = ailées ! On veut ensemble (ailée) toucher à ce qui se présente ! On voudrait ! On éimerait grave ! on a méga-envie ensemble de toucher ici et là le muret passé à ce qui se présente devant nous en termes de données finales, pôst-post-mortem , post-pré  des fées, post vfaches et herbes vertes en herbe ! on aime ! on ne veut plus s'arrêtrerr de chercher mais grave creuser de chez creuser le terrain miné (?) ou sinon miné comme saturé ... saturé de lait ? oh, on ne sait ! on cherche à cerner ! pas facile en vrai de nous y retrouver en ce terrain des données en herbe ! ce qu'on veut (l'important !) c'est d'aimer , de tracer et d'aimer , aimer tracer ! aller, fouiller, creuser, chercher loin, pistonner, pousssr, faire ainsi que donc ce lait dont on nous parle (leit de néné) soit pour nous enfin "cernable" , soit compréhensibkle, visible, touchable, tétable ! peourra-t-on, un jour, toucher à ce dit mùamelon qui serait de fait le Mamelon des Mamelons du Front ? On l'envisage ! on a envie en vrai d'aller à sa rencontre sage ! on a envie en vrai d'aller pour ainsi dire sage (sagement) à sa rencontre ! On veut de préférence aller à sa rencontre, en restant sage ou "sage à sa place " ! On ne veut pas se laisser entraîner par nos pulsions de Fée Nature, mais toucher -téter est (déjà) toute l'aventure, ça se sait ! toucher = cerner , et cer,ner = comprendre ce qui est , ce qui est de ce tracé des données ultimes et autres contrées des dernières rives ! Du lait ??  vraiment que du lait ? une mer de lait ? lait donné à la Fé Nature ? lait des laits ? on cherche à cerner ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ les données ! on veut grave cerner ! touccher de chez toucher à cet ensembleb (on dirait) de données lactées ! qu'est-ce que c'est ? une urne- ? une sorte d'urne à devoiçr combler ? qu'est-ce que c'est en vrai qaue ce dit ... "Néné de bure " ? à quoi il nous fait penser ? qu'est)-ce qu'on piourrait en retirer , ou en penser, en comprendre ensemble en ces traits ? de quoi il s'agirait concernant ce "lait", ou "lait matûre" , ou "lait des laits", ou "lait d'envergure", ou même "lait de trait" , "trait de lait", "lait-trait", lettre à lait", lait -lettree alloué", lzit -verbe considéré", "lait en herbe sur pré", "lait-verbe ancré", lait des laits cernés", "lait de verbe cendré", "lait du Verbe consacré", " Lait-verbe faisant la Navette et autres traits tracés", "Lait des Lettres consacrées aimées adulées " , "lait-miette", "lait- verbe sur pieds = traîne '" ? "Chants des Fées le mmuret passé ? on ne sait ! on veut en vcrai  cerner &u plusz posdsible ce que c'est que ce dit "Verbe-Lait" desendroits post-pré ! et d u coup toucher ? oh peut-être ! toucher de cherz toucher à cet enxsemble de données en herbe qui serait ... eh bien, peut-êtte, donné par, qui sait, une sorte d'Entité-Rotonde ???? on ne sait à quoi ou à qui se fier ou vers qui ou quoi se retourner pour en vrai et enfion compfrendre un ensemble donnée dev données en herbe (Vervbe) sur pré ou sur pré alloué à des sortes de recherches, genre : fouillesterre, creusements de bosse, pelletées profondes ! On ose ! on est fée du pré, on est pas là pour en chier à se mettre à creuser, ou pour en suer, mais tout au contraire ... s'envoler (de booonne grâce) en ces nuées d'une Parade ! voler = monter ! tracer Romance ! filer ! ne pas s'enkyster ou s'enterrer, ou s'embourber ou donc sillonner comme bêtes de traits, qu'on était ou qu'avanjt on était, qu'avant en vrai qui sait on était, mais ça c'était avant ! avant la Remontée ! avant l'envoloée ! le tracé Volant ! l'embardée ! la Montée aux chants des Bêtes Siffleueses ou autres chanteuses ! On est Fée dexs fées qui voulons comprendre pour le coup tout un ensemble , et cet ensemble forcément a grave à voir avec ici toute une cohoerte (pour ainsi dire) de données rupestres, ,, genre : Bêtes-mots tracés haut, bêtes de trait sillonnant la Roche, et traçant cette r(ocheb  pour ... eh bien peut-être ancrer la CHose = l'Entité ! l'entité des entités, qui le sait ? On veut en vraéi essayer  , essayer de cerner ! mais pour en vrai cerner, il faut s'envoler, monter, creuser, passer, pousssrr, essayer de se faufiler, à travers ici une szorte de "conduit docte", , genre "VERBE DE PORTE", et  là, peut-être .... envisager une sorte de passage en force , ou sinon en force, un passage dit "de forcenée ", passage tracé dit "de forcenée" parce que voilà, le paszsage ou ce passage "dfocte" est tout un tralala de Roche ! chant axial ! chant des Voies ! chants forts ! chants des cors ! chants des haiutes pa(ois ! chants de la Foi en l'au-delà du corps ! chants des données hautes et autres chants de s chants  voire des champs ! Chants passés ! chants consacrées ! chants des prés ! chants des Envies de Lait , qui sait ? Car l'envie (de lait ) est première et souveraine et en vrai ne passe jamais ! on dira qu'il ns'agit d'un FAIT VRAI ! cette envie de lait éternelle cfomme il sembklerait ! on cherche ! on veut toucher à cette Vérité des données lactées post-post-mortem ! est-ce que vous pensez que peut-être un jour on arriverait en tant qye fée ailée (la mort passée) à du coup cerner (au plus juste) cesz do nnées lactées puisqu'il semblerait qu'elles soienrt .... vraies ! quyi sait ? Qui sait si la mort, le pré passé (antichambre passée) n'est pas , tout simplement, du laiot ! léit  post-pré ! lait des laits aux données données ! lait d'herbe ? lait des prés ? lait post-pré = post-cimetière = post tracés en herbe ! On veut = on aime ! on aime = on veut ! On est bêtes de feu ! colère ! emportemejnt salutaire ! cri d'effroi et autres poussées dentaires ! lmerde ! on veut mieux ! soit 

DU LAIT DE BONNE GRÄCE À QUI MIOEUX BMIEUX

 tracezr = pousser = dire = commprendre = cher her = dire = passer = cerner = lier = monter = chercher à ici cerner tout un ensemble de données de type lactées, et pour ce faire, eh bien le mieux c'est de creuser à mùême la roche, et ce ... par la parole, VERbe ancré , tracé ! cohortes ! cohortes en ordre ! cohortes aéllouées à une sorte de muret de porte = la Roche Profonde ! toucher  ! toucher = toucher ! toucher l'Ordre ! toucher ! toucher à des données de porte ici consacrée à une sorte de recherche en herbe de type "tracfé", "tracé des treacés" et on est ... fée ! fée des fées ! dingue ! dingue comme çàa le fait ! On ne veut pas passer pour des qui jamais en avancent mais tout le contreaire, gratouiller (dans le Verbe, ou par le Verbe, ou à travers le Verbe) un certain nomùbre de données de ronde ou dites "de ronde", et du coup ... toucgher à ce qui est ou serait en vrai une "Vérité d'époque " , on ne sait jamais ! On ose ! en tout cas on ose, voilà ! on y va ! on creuse ! on veut ça : toucher ! creuser ou toucher! toucher ou creuser ! on veut ça pour soi ! aller et creiuiser de chrz creuser la Roche des "bouts du MOnde" soit .... eh bé là-vbas, ce dit "muret des données en joie " ! On y va ! on fonce ! on veut grave cerner le Lait de la post-Päroi des ombres ... est-ce vrai ? est-ce vraiment cette chosexd ? est-ce en vrai (nous concernant) la Chose de nos tourments ? voulons-nous (en clair) réellement cette chose , d'une sorte de pârole, Verbe Ancré Lacté, ou bien autre chose et si autre chose quelle chose ? est-on assez toutes deux "remontées" pour de fait cerner les données (profondes) lactées ? ou ... pasb vraiment armées comme il le faudrait ? devons-nous repousser lesv limitesc du Verbe Alloué à une sorte de "recherche en herbes" ? devons-bnous hurler avec les bêtes ? devons-nous creuser la Terre et nous enterrer comme on le pensait en des temps reculésx ? devons-nous plaire ? devons-nous pousser le Chant et /ou braire le cas échéant ? qure devons-nous faire et ne pas faire ? savons)-nous nous satisfaire d'un savoir prairial ou bien voulons-nous agtteindre plus loin l'outre-mont aéux données Suprêmes genre La PAssion ! que voulons-nouys faire ? peut-être (de fait) posons-nous la questio,n pour en v(ai cerner ce qui est qui pourraéit nous plaire et inversement nous déplaire . Pouvons-nous copmpcrendre la P assion, ici située ? Pouvons-nous comprendre (ainsi ailées) cette sorte de Passion des MOnts" telle qu'elle nous apparait entière  ? qu'avons-nous dès lors à comprendre pour nous qui pourrait de fait grandement nous aider à nous y retyrouver en ce terrain miné des données dernières comme saturées (on dirait) de lait, de lait des prés ou sinon des prés "de l"herbe" ? On chercvhe ! On a envie pour ainsi dire de se retrouver (enfin) comme pouvant com^prendre les données du Genre, qui est qui en ces contrées, Holmme féminisé, Femme masculinisée, Genre Sarde, Tracé Né, Faée des Fées comme à la p arade : on ne sait en vrai qui est qui sur pareille Roche aux données Grosses ! Mais de fait , on veut ou on voudrait cerner pour pouvoir  en vrai répondre à celles et ceux qui , devant nous, pourrons se présenter éventuellemant comme voulant comp^rendre comme nous ce qui de fait concerne le Genre ... en ces contrées paradisiaques ! On est concernées ! on est comme concernées ! toute une ambience ! on essaie ensemble de s'y retrouver szur la question du genre la mort actée, on tente ! On a envioe ensemble, c'''est vrai, de comprendre (loin) tout cet ensemble de données, concernant ce genre , ce genre de fée dite d" de contrebande " ! qui on est ? eh bien peut-être, en effet .... de l'ambre ! On ne sait en vrai ce qu'on est ! On a znvie ici , sur pré, de mieux cerner les FVérités du GEnre ou du Genre qu'on est "en tant que fée", on a envie de nous y retrouver  ou (sinon) de mieux cerner (de fait) ce qu'on est, en termes de données genrées de type post-mortem. Car, ce squi est ici qui nous semble ou semblerait, est cette chose comme quoi la mort, une fois passée, "trouble le genre ! touble que tru troubleras le genre et sans traîner ni sourciller ! Une sorte de transformzation de rage ! un treacé acté ! le passé faisant poids sur pré, voilà le trait ainsi tracé ! bêtes sur pieds ! ON regarde ! on est bêtes sur pieds njous-mêmes ! on est vaches à lait / fée en herbe, un temps donné ! on est ou on a éteé cette bête des prés, néabndertaliennes ou plus encore aurignaciennes, , c'est un fait avéré ! à présent .... on est ailée comme vache ailée, mais beaucoup plus légèères ! feée en herbe est devenue Fée -Verbe ! Un trait ! Une sorte de trait ! fée-trait = Fée des Fées des Prés = ëtre donné pour une sorte d'entité posté ! postée allouée à une Vérité post-pré , genre ... lAIT ! 

LAIT des HERBES VERTES ! LAIT DES LAITS ET DES HERBES VERTES ! LZAIT SUCRÉ AINSI ALLOUÉB À UNE VÉRITÉ DE TYPE CENDRÉE ET POST-POST-MORTEM, SOIT ... D'APRÈS LE PRÉ ! POST-PRÉ = POST-POST-MORTEM, PUISQUE LE PRÉ = POST-MORTEM ! ON ESSAIE DE NOUS Y RETROUVER ET CE N'EST PAS GAGNÉ ! LA CHOSE N'ST PAS SIMPLE MAIS ARDUE ! ELLE PUE DU CUL ! 

On est née fée quand on est passée, on a couru, on est à présent toute nue (ailée) devant un muret qui en vrai est toujours le même muret ou la même paroi que ceelle qu'on voyait là-bas, à notre aerivée, la paroi des ROis et Reines de SAba, mais, à présent, vue de l'intérieur, sorte de ... muret de forterresse, ou d'enclave (ici) majeure .... On voit ! On est dedans , encerclée ou comme encerclée ! on veut (du coup) "repasser"  = traverser à nouveau (pour ainsi dire) ce muret, ce mùur du fond du pré . On veut passer et du coup cerner ce qui, derrière nousz, attendrait .... herbes ? encore de l'herbe ? du verbe ? verbe en herbe ... ou verbe-Lait ? saura-t-on un jhour cerner ensemble (ailes de fée) les données profondes, cecqui est (de fait) post-rotonde ? saura-t-on un jour toucher à ces dits "BNénés de l'Ombre"  des données Ancrées dans cette sorte de pénombre à expolorer ou qui serait (préférenciellement) à explorer si on le pouvait ... et le peut-on ? sommes-nous assez aérmées pour tracer et  cerner et toucher à une Vérité de niveau "LAIT"? Sommes-nous assez "remontée"és" ? sommes-nous assez "perlées" ? pouvosns -nous sans hésiter nous ancrer en ces contrées et cerner de près le type de données à devoir pour le coup emmaga sinner ? sommes-nous (pour cela) F2es Ailé&es assez"timbrées" ou .... pas timbrées, mais allouées à une sorte de Pensée Massive, Clouée au Passé, Comme sermonnée par en nous des Bêtes de trait ... ? ! On veut AIMER LA ROCHE POUR CE QU'ELLE EST, ON VEUT DIRE L'ULTIMRE ROCHE OU L'ULTIME ROCHER, L'AIMER EN VRAI POUR CE QU'IL EST EN TANT QUE FORME ET, AUSSI, EN TANT QU'IL SERAIT, CE ROCHER, OU QU'ELLE SERAIT, LA ROCHE, L'ANTTRE AUX NÉNÉS ! DINGUE SI C'ÉTAIT VRAI ! OH, ÇA SE  SAURAIT , NON ? PLEIN DE GENS LE DIRAIT, LE CHANTERAIENT, SOONERAIENT L'HALLALI D'UNE DONNÉE OU SORTE DE DONNÉE ICI (ET DÈS LORS) ULTRA-PROFONDE S'IL EN EST ... MAIS JUSTEMENT ...? EST-CE QU'IL EN EST ? EST-CE QU'IL EXISTE EN VRZI SOIT EN TOUTES LETTRES, DES PENSÉES OU VÉ'ITÉS ULTRA-PROFONDES ? PERMETTEZ-MOI D'EN DOUTER ! 

LE VERBE SERMONNE 

LE PAZSSÉ-COHORTE EST POIDS DE DENRÉES 

LA CHOSE HAUTE EST DONNÉE DE GENRE

ON MONTE = ON COMBLE

POUSSSER = TOUCXHER, À CETTE CHOSE D'UNE PAROI HAUTE , TYPE "ENSOLEILLÉE" 

on ne veut pas vraiment creuser "dans la parole" mais ... enttrer, entter de front (et ainsi ailée) par la petite porte, "la porte du fond", telle qu'imaginée ici ou là sur roche par parfois des hommes et d'autres fois des femmes, et parfois même par des hommes-femmes et par des femmes- hommes, au verbe ... Mangé ! On veut toucher à ce qui se présente ! on ne veiut pas passer à côté ! on veut comprendrec les données de chambre de l'Antre alloué à une "Vérité des Vérités de Branche" chamoirée, acidulée, ancrées, saluées, porteuses de données profondes ! on veut coller ! On ne veut pas passr và côté mais au contraire ensemble y aller sans désarmer ! sans se désunir ou se laisser gagner par des données impropres à une sorte d'embardée de type recherche avérée ! mais pousserr ! grave pousser ! pistonner ! grave pistonner ! chervcher = toucher à ce Néné des données finales ! une vache à lait se promenaiot sur un pré , et quand la vache à lait nous a repéré , elle a couru vers nous et jusqau'à nous pour nous lécher , léchezr les genoux ! fée né sur pré léchée par vache à lait ici aux genoux , aux genoux tout crottés, on se fait lécher par une vache à lait c'est fou et où ? eh bé .... dans ce, dit

 "champ d'époque" ou en ce "champ d'époque" ! 

ou en ce pré acté , qui est le pré aux Fées de La mort Avérée, AFFirmée, Allouée à une sorte de .... Parole Docte, type .... Vérité, V2rité des Vérités, ou diosons ... Vérité Déité ou Vérité Divinoité .... Déité des Déités, ou Divinité des Divinités ! on veut toucher à  ce Néné ... "du bout du monde " , qu'est)ce que c'est ? un vrai néné tout acidulé ? un néné en vrai de mére au lait ? une sorte en vrai de poche de lait ? ou quyoi  se pourrait qaui nous enchanterait ou émerveillerait qui sait en vrai et sans nous troubler ? llait des fées de Roche  ? lait POrté jusqu'au tracé ancré d'une roche ornée ? lait des laits des prés ... ou alors, lait lointain des données profondes (encore plus profondes ) ? On est La Fée Ailée aimant le Lait des données profondes , genre "N2né" des endroits post-pré ! post-rotonde on le sait ! lait des nuées ? lait d'une sorte de voie lactée ? lait post-roche = (ou égalerait) une sorte de lait d'une voie lactée ... Encoche ? poche ? poche à lait ?. poche d'ombre ? poche comme outre d'ombre ? poche d'ombre et ça le fait ou le ferait, peut-être, à jamais, et comment (dès lors) s'y retrouver ? On a envie grave ensemble , ensemble en tant qu'on est deux ailes formant fée, ou ELLES des données du pré, de, peut-être et pour le coup, cerner À JAMAIS les données "entières", soit tout un ensembkle de données en herbe (du Verbe !) afin de , ici, en ces contrées, en ces contrées post-muret, cerner ce que c'est que ce Lait tant nommé ! On a envie ensembke de co:m^rendre le pourquyoi c'est ça, ou le pourquoi de cette chose-là ou même pourquoi cette choses est là, soit ce Lait des Rages, Lait Frais, lait de BArbe , Lait Ancré comme à la Parade, Lait né post pré quand on est passée, quand enfin on a (pour ainsi dire) réussi à (ici) se faufiler à travers ce Trait ...  de mur de fin de pré de r(oche, et autres muraille aux données finales (ou termin ales). creuser = donner ! et nous on veut donner , szoit : donner de nous , ok , mais ... pas tout ! de nous donner okk mais en vrai pas tout ! en garder sous le pied (l'aile allouée !) , tracezr = donner = dire = faiore = cer$ner ! toucher = dire = ptendre = comptendre ! qui est qui ici ? qui veut quoi cerner en ces contrées des boiuts d'un bout de pré ? qui ? On est passée qsur pied, on a creusé, on s'est infiltrée, on a voulu passer le bout du nez mais, hmm ... ça pue ! putain ça pue ! grave ça pue du cul ! on s'y attendait pas vraiment en vérité ! on ne s'attendait pas en vérité que pour le coup ça pue du cul ou que ça pue autant du cul ou que ça pue à ce poiint du cul ou disons que ça pue autant des odeurs du cul ou peut-être que voilà, quand ça pue du cul on veut pas ! ou disons .... quyand à ce point ça pue du cul eh bé voilà, on préfère ne pas ! on préfère en rester là ... on préféère pas aller pls loin en cettte floraison de, disons, "senteurs diverses" ou sinon "diverses" étonnannamment distinctes, marquées ou démarquées, présentéesq, portées jusqu'à notte nez ! on veut bien entrer mzis sans y passer ! on veut bien s'immiscer en ce tréit tracé ma&is sans pour autant avoir à subir de telles (comment dire ?) ... atrocités ? peut-être pas "atrocités" mais en vrai ... ça pue , c'est pas franchement farfelu de pour le coup le souligner à cet endroit pour ainsi dire de cet exposé, grave ça pue ! et du coup ... squoi ? on reste là ? sur pré aux bêtes bde paroi ? on ne s'aventure pas davantage hors de là ? on préfère les senteurs de roche, pré fleuri, prairie haiute ! on nhe veut pas se faire empuanter "là-bas" ! on ne le veut pas parce qu'on aime pas ça ! les senteurs du cul à ce point, nous, comment dire, incommodent ... ou pas ? on y  va ? on y va droit ? On s'en fout de ça , on trace  ? on va droit sur paroi coriace ? si ça pue pas grave ! si ça pue : pas grave ! On y va sans faire plus que ça ou tout un tas de manières "sa ges" car ... on est pas sages ! on envoie ! on envoie du bois dès que ç charge... 

en nottre sorte, à nous, de corsage ! voile ! aile ! tête bêche ! trait de fée en herbe ! notre voie est là ! braver tempête ! tracer ! creuser ! filer et toucher à ce convoi du boiut du monde  , à cette zsorte de convoi de .. pets ? du bout du monde ! qu'est-ce que ça peut faire ! on s'e,n fout pas mal ! on adffronte ! on veut comprendre la Parole DOcte ! On ne veut pas passer pour des benêtes de la HJoie en Herbe ! onveut grave cerner ! être "fée savante"! celle qui sait ! celle'-leà (parmi les fées ? ) qui sait ! celle qui (comme toutes les fées ?) saéit ? eh .... peut-être ! il semblrerrzait, il semblerait qu'on veuille l'être ou qu'on veuille de fait être celle (des fées ou en tant que fée)- qui sait ! squi connaît le Verbe ! le V  erbe dit "acidulé" fait dxe lait en herbe ! lait frais ! lait des laits pour une misère ! léit donné même ! une misère mais ... lactée, c'est un fait ! on aime ! grave on aime ! on aime le lait et les cjhoses lactées post-post-cimetière , genre "données données" , car ces d"données-données" si souvent citées sont en vrai du lait, soit du lait mde mère ! on s'en serait douté mais on ne pouviait pas l'affirmer , à présent c'rst (pour ainsi dire) chpse faite ! le lait est avant tout du lzit de mère = une donnée donnée ! on aime le lait et du coup on cède ! on traverse ! on est comme allouées à une treavzersée, de type "remontées de bretelles" mais qu'est-ce que ça peut faire ? on éime y aller , pouusser, tracer, creuser et passer ! On s'en fiche de l'air , vicié ou pas vicié, on aime y aller et trouver ce qui est qui nous regaddreraiot ... de l'autre côté du pré ! tant pis pour le nez ! vive les nénés ! vive le lait ! lait nacré ! sucré acidulé ! on aime le lait ! lait post-herbe = lait post-pré ! lait de mère ? on aime ! on veut creuser de chez creuser le mur aux Données et nous y retrouver , cerner = piger, pour mieux nous situer comme qui dirait sur cet échiquuer des données primairses ! qu'est-ce qui est ici qui semblerait être ? VErbe-Lait nacré post-post-cimmetière ? champ de blé ? pré d'herbes ? chants acidulées ? termes ? On est née Fée la mort advenue, on s'en fout pas mal de ce qui pue du cul, des vents venus d'une roche nue, on fonce ! on s'en fout des ronces ! on est nue velue ! fée des fée des prés comme passées en force en cette sorte de trait dee roteonde ... trait de Cul ? Ré des Ombres ? filons ! 

allons ! essayons de comprendre ce qui est ici qui, pour le coup, semble vouloir nous attirer sans hésiter ... mais alors , ... pourquoi des pêts ? c'est en vrai à ne rien y comprendre ! on tremble ! on est Fée Fine prête à rire ! on veut toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher =btoucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher =toucher = toucher = toucher = toucher = toucher =toucher = topucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucgherb = toucher à ces dits "nénés " de base, à ces nénés dits "de contrebande", ce qui signifierait , que, en vrzi, le lait est comme juxtaposé à une sorte de donnée donné qui , elle, serait, du coup ... allouée au Verbe ? ....ON wse dit que oui,il y aurait du lait, et, accolé au lait, une sorte de donnée ... liée au Verbe .... ? ou alors le lait et le VErbe szeréait pour de vrai une seule et même donnée ? donné des données ? 

Ou alors Lait = Verbe ? 

On cherche (grave !!!) à comprendre le Lait, la Charge, le Trait, le Muret, les Bêtes sur Roche allant et venant, la Vacghe Centrale, le Passé, .... On veut toucher à ce qui se présente à nous, le muret (terminal) p  âssé ou une fois passé : soit à ... du verbe-lait ? du lait-verbe ? Le verbe en tant que lait sucré ? le lait en tant que VErbe acidulé ? Verbe et lait serait de mèche post-post-mortem et à jamais ? est-vce que c'est vrai ? est-ce qu'on pêut décemment affirmer que le Lait est une ... Donnée Du VErbe ? Ver-be nacré sur paroi aux fées ? verbe consacré cvomme s'il en pleuvait ? Verbe des Fées tracées , genre Vaches princière ? On veut toucher = toucher = toucher, mais pour toucxher il faut entrer , en cette sorte de muret, aux données premières ... dxernières ... les premières seront les dernières ....? ou les dernières seront les premières ...? enfin bref ! on aime ! on a des ailes ! on veut voler ! on veut LÉVITER, LÉVITER sur pré  (transe consacrée) et nous porter dès lors jusqu'au muret dit "des données primairses" ici , et "des données dernières" là , ... mais ... ce sont les mêmes ! dingue ! on est fée du pré , on est ailée car ... on s'aime .... à tout jamaiis ! amour fou radial ! chant de roche d'ombre ! cavalcade forte ! On fonce ! alons donc ensemble nous transbahueter et comme bnous accoler à une sorte de muret "des données profondes " ! O,n  veut toucher à ce muret des données Hautes ! on veut grave cerner et toucher et comprendre et y aller de notre envie de voir ensemble ce qui est au-delà de là ! On veut toucher à ce mueeret "des données profondes", poussser et travezrser et nous retrouver, en force, prêtes à mùieux cerner cette histoire de Lait ou de produits lactés, ce qu'elle est, de quoio il s'agit pour de vrai, ce qu'il en retourne en vérité en termes de données maj eures. On est Fée des prés ..................................................................................... fée forte ....................................................... on veut cerner = dire = comprendre les données de base ............... données hautes  .................. d'une sorte de passage  à travers la Roche ........... roche "seconde" ........................ roche de muret de fond de pré  de bosse ............................................. cxerner = toucher .......................... toucher = cerner /.............................. on est née Fée à la retombée la mort avérée ......................... dans un pré ............... sorte de rotonde ................ aux bnêtes de trait , vaches à lait, Choses Hautes, Herbes SAcrées ................................et de ce pré, on veut s'échapper ! ............................................... franchir Une pOrte ................... trait des traits ..................... anfractuosité à "faconde" ............... le PAssé des POrtes ..................... ou même le Passé passé la porte ou e-une fois passée la porte ......... car un e fois passée la Porte on se retrouve ...... eh bé on dirait ...... dans du lait ? ou disons : près du lait ? ................... ou même : accolée au lait ? ...................................................... on veut goûter à ces dits "-nénés" de ROche ! o,n veut lécher le Lait donné , téter de chez téter à ce lait "de Roche " ................ de quoi il s'agirzoit en vrai ? d'une sorte de ............................... Parole ? ..................... Parole DOcte .?........................................................... qui en vrai le sait ? qui vconnaît la bonne parole et saurait la véhiculer, la faire circuler ? qui sait ce qui est en ce qui est des Paroles Hautes post-pré ? qui connaît de près le Néné des Ombres ! voie lactée aciidulée ! sein des ombres post-pré et autres giron déboutonné , qui sait ? qui connaît le Néné comme sa poche ? qui connaît le VRai de l'Ombre, du TRacé Nacré, des POrtes Hautes, Ciel de Traiot, Passion Haute ... au niveau du Passé ? Qui sait de fait ce qiu'est la Porte des Données Profondes ? un trait ? la ré ? le Passé tracé, apporté, posé, accolé, soulevé , mo,ntré, chanté ? on est Fée des Prés de Roche, et on compte : 

un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt, vingt-et-un, vingt-deux, vingt-trois, vingt-quatre, vingt-cinq, vingt-six, vingt-sept, vingt-huit, vingt-neuf, treznte, trente-et)-un, trente-deux, trente-trois, trente-quatre, trente-cinq, trente-six, trente septpt, trente-huit, trente-neuf, quarante, quarante-et-un, quarante-deux, quarante-trois, quarante-quatre, quarante-cinq, qu arante-six, quarante-sept, quarzante-huit, quarante-neuf, cinquante, cinquante-et-un, cinquante-deux, cinquante-trois, cinqiante-quattre, cinquante-cinq, cinquante-six, cinquante-sept, cinquante-huit, cinquante)-neuf, soixante, soixante-et)-un , soixante-deux, soixante-trois, soixante-quatre, soixante-cinq, soixante-six, soixante-sepet, soxante-huit, soixante-neuf, soixante-dix, soixante-et-onze, soixante-douze, soixante-treize, soixante-quatorze, soixante-quinze, soisante-seize, soixante-dix-sept, soixante-dix-huit, soixante-dix-neuf, quatre-vingt !

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19/12/2024

On vreut en tant que fée ailée aller et toucher à cette sorte , au plus lointain, de donnée dernière ! Fée on nest ! Fée des grâces et des données sages ! on veut dire ici sur place (devant le muret) ce qu'on est à une sorte de public ;... nacré ? perlé ? ancré ? qui semble ou semblerait grave nous regarder alors même que nous on affiche un visage plutôt dégagé dans le genre ! On a envie ensemble accolées (ailes) , c'est sûr, de comprendre beaucoup de toute cette histoire de nénéds tracés, de nénés à lait qui comme qui dirait serait devant nous à nous attendre mordicus pour nous donner le bon lait à téter sans sourciller ! On est des vfées ! on aime le lait ! les fées grave aime le lait ! Les fées adorent le lait et jamais ne ratent la moindre occasion pour téter , pour se placer de telle sorte que du lait, 

tombe ou tombât, 

en leur bouche de fait grande ouverte,

en notre bouche grande ouverte ! becquée si tant est ! On est Fée de base aimant le lait et, du coup, le voir tomber dans notre bouche grande ouverte ! on a super envie ensemble (ailes) de comprendre 

 les données de base 

devant nous, sur ce muret post-cimetière ! On est née's Fée du fait qu'on est 

AILES (AILES au débotté) et qu'on aime le lait, de bonne grâce ! On regarde ensemble, devant nous, les données de l'herbe ! On veut toucher à ce qui se présente en la matière et pour ce faire, on est prêtes à faire beaucoupb = mater grave ! cerner  grave ! toucher ici aux nénés de l'arbre ou comment on pourrait dire (en vrai) sans se tromper, parce que nous ... on a méga envie de toucher, ici, à ces nénées de l'arbre ! à ces nénés de l'antre , des données de base, des denrées , du tracé donné qui serait le tracé des données primaires, ou premières = du lait ! oho ! on voit ça ! on voit qu'on en a pas fini de voir, toucher et cerner devant nous un grand nombre de do nnées lacustres comme qui dirait ou peut-être pas lacustre mais quand même largement moiuillées ! de type lait, allez ! ou quelque chose de cet ordre qui serait aussi (de fait) lacté , 

on dirait. On  veut toucher en tant que Fée à ces nénéds du bout du monde, à cette sorte de rotonde (un muret ) et aux nénéds cachés dans l'ombre d'un repli de roche ! On est Fée des données HZutes ! drôle ! on savait pas qu'on était fée, avannt la (première) paroi, c'est àdire avant avant avant , avant en vrai qu'on soit à s'immiscer, 

en tant qu'homme par exemple , 

et voilà qu'au passage on se retrouve transformé, en Fée ailé ! dingue ! ailes = eklles = femmes tracées = betes de trait et du coup ... Fée ! comme c'est bizarre ou étrange ! comme en vrai on pourrait penser que tout ça est comme ... une sorte de propagande peut-être pré-fée ,; ou pro -fée alors que non , pas vraiment en fait, même pas du tout ! Le trait de rage sur paroi correspond (en tout et pour tout) à une sorte de tracé de base, comprenant pour le coup un ensemble de données primaires, primaires et ancrées, qui sont ou seraient les données, en vrai, de "l'ère sévvère" , des temps acculées, etc., et du coup on entre ! on entre parce que voilà on veiut (ensemble) essayer de comprendre les données de base à la lumière des données de rage (pariétales) frontales, aurochs articulées, auroques cendrées, bisons / bisonnes à toucher et à caresser sur pré , ça le fait ! On est montées haut et on regarde, et ce qu'on voit est peut-ettre énorme mais nous, de là où on est, on a beaucoup de mal à se rendre compte ! on a super envie ici ensemble forcément de comprendre mloin en cette sorte de zone prairiale et pour le coup d'en avancer pour ainsi dire dans les connaissances, . On est accolées aussi parce que oui, on danse ! on arrête pas de danser ensemble, ici même, roche ou rocher dit "des convenances" ou "des convenances lactées " ! Onn est accolées parce qu'on est ... "les ailes de la fée en herbe " ! dingue ! jamais on auraiçt pu y penser! On aurait aimé peut-être anticiper mais comment tu veux anticipezr quand au tout départ tu es ... homme, homme à tete d''herbe, et puis une fois la paroi passée tu te retrouve  Aile ! Ailé ! c'est à dire Elle , Elle de Fée ! Dingue ! jamais on aurait pu imaginer que cette chose puisse exiçster ! jamais on aurait pu penser que cette chose en soi (dans la mort une fois actée) puisse en vrai se passer ou se dérouler et du coup nous entraîner dans une sorte de  (qui sait ?) sarabande, de parade immense, au milieu de milliers et de milliers (peut-être) de bêtes tracées = entre 'lles, au milieu d'elles à les mater, à toucher leurs ailes à elles car elles aussi en vrai sont ailées ! dingue ! on voulait passer eh bé on pe'ut dire que, pour le coup, on aura réusssi , on a franchi la base des données et là, on se retrouvfe (on dira) à genoux, par terre dans l'herbe, comme (voilà) soulevées de rage , de base, à chercher à comprendre , à cherc her grave ensembkle 

à com^ptendre comment on peut faire pour ici en vrai, arriver à se redresser et à tracer grabve (et loin) pour arriver à s'échapper de ce pétrin où "quelque chose" nous a fourré ! On veut ensemble aller (au plus loin possible ) pour toucher ou arriver à toucher à ces nénésx dont on a souvent entendu parler ici ou là il y a maintenant un paquet d'années ! on veut toucher à ces nénésx dits "de l'entrée aux vivres ", ou quelque chose qui ressembkle à cette chose = à une sorte de dire "drôle", ; On veut être la Fée qui trouve devant elle une sorte de porte .... un passage "drôle" ?  une sorte de porte où en vrai même ailée et peut-êtrte même justement  en étant ailée, on pourrait passer , on poiurrait de fait s'immisqcezr sans fatiguer, en se laissant "couler" comme qui dirait, gracile, agile, vive, et du coup , étant passée, on pourrait regarder au plus loin ce qui apparaît et qui serait "les lendemains" , les données lointaines ou les plus lointaines, ces données post-traîne ! post-pré (pré aux herbes) , post -tracé de bêtes -poids et autres bêtes de paroi ! On voit ce qu'on voit = un convoi ...  et puyis on va jusque là-bas , la murette dernière, l'ultime mur aux alouettes et là, on est là qu'on cherche ! on cherche sur (cette) pareoi une sorte de "passage drôle" ! ... trait ou croix ou traits de croix ! là ! juste là la croix ! l'endroit par où peut-etre on pourrait accolées et bien regrpuoupée passer même si c'est étriooit ! on veut en vrai ensemble toucher à cette chose qui, devant (on diraoit), nous regarde, nous voit, nous cerne, nous dévisage ... mais qui c'st ? qui est-ce en vrai qui ainsi nous mate sans arrêt ! nous regarde peiner à nous immiscer comme en contrebande alors qu'en vrai on est presque invitées à passer ensemble = accolées parce quailes de fée, parce que oui, on est ailes d'une Fée ailée comme sont les fées ! On vreut toucher ensemble à cette sortye de muret "des contrebandes allouées ", et du cdoup passer ! passer la douane ! le tracé ourlé ! la zone franche qui sait, ou, sinon franche, .... quoi ? policée? On veut ensemble si possiblke passer à travers la lande jusqu'à pénétrerr comme par contrebande le tracé "ourlé" d'une sorte de contrée antrale , autre contrée ! Et du coup .... cerner-comprendre ce qui est ici qui en vrai se passe ou se passerait sanbs que forcément on soit conviées mais bon , si on entre, autant qu'on sache, qu'on comprenne, qu'on voye, qu'on puissee s'avancer jusqu'aà mieux comprendre ce qui est en termes de données post-pré soit post -parade , soit post- paradis pour ainsi dire ! Après la p ar(arade il y a quoi il y a ... eh bien ... du VErbe Tracé ! oulà ! oh oh ! on s'attendait pas mais bon, on veut toucher du dopigt à ce qui est alors vopilà , autant nous avancer au plus lointain en ces copntrées post-^pré, post-post)-morteme et du coup regarder, les yeux écarquillées, ce qui est ici qui est cfomme présenté,, ou proposé à nous, genre ... N2nés ! et nous de vouloir toucxher ! de grave vouloir ici téter à ce Néné dit "des Nénés" tu m'as compris ! Du lait du lait du lait ! on veut téter en tant que fée ! les fées aiment et boivent du lait ! du lzit de prairie = post-prairie qui sait ? les fées on dit ou on dirait qu'elles aimment le lait, qu'elles adorent boire (téter) du lait, qu'elles en boivent ou en boiraient volontiers sans compter ni faire de simagrées ! elles adorent ! elles boivent du lait comme des paroles ! eLles adorentb le lait et du coup nous aussi on adore puisque voilà, on a été chan gé en Fée ! On na été transformées ! On était un homme sur pied, genre "hombre" et nous volià toute (tout ?) transformée (ou transformé ?) en Fée des Paroles ! Fée sur trait de roche ! dinguerie de Poche ! On est devenu fée par la parole ! oho c''st trop ! Onn est passé de "homme" à une Fée cornue, ou sinon cornue velue, ou sinon velue osseuse et quasi monstrueuse, ou sinon osseuse et quasi monstrueuse .... vulve ? Trait sur roche découvert ? Trait des ombres à découvert ? Muse ? On est passéees en tant que F2e ailée, Ailes de Fée, on a en vrai traversé le pré et maintenant, on voit bien que le chemin ici nous mène grave vers ce bout du monde en quelque sorte, vers cette chose au plus lointain du pré, vers cette sorte de treacé de roche ultime, etb qui est peut-être en effet un passage pour fée ailée, fée velue ou pas velue, cornue ou pas cornue, mais ailée ! et du coup nous voiulà postées ! on passe ! trépasser = passer le trait ! on regarde ! on est grave obnubilées mais pas grave , du moment qu'on trace ! on veut toucher à ce néné à lait dit "Néné des Nénés " , eet du coup comprendre peut-etre à jamais ce qui en  vrai se trame en cette roche terminale aux données de base il paraît mais est-ce que c'est vrai ? on cherche ensemble ainsi accolées à cerner-comprendre et toucher, et prendre, prendre les données, prendre pour szoi (en soi) les données qui seraient des denrées qui seraient du Verbe, du Verbe de RAge ou sinon de Rage de La Foi Dans l'Anttre , en cet Antre de l'Au-delà à la P aroi ici (ou là ?) initiale ! Caramba , on charge ! on passe ! le pré passé on chyarge et du coup on passe l'ultime tracé ! On veut cfomprendre ce qui est devant qui est à nous attendre et pour cela le mieux c'est de pour ainsi dire s'activer sans traîner et de filer à toute blinde, à travers la Roche (l'ultime rocher) des données de Poche ! Poche ourlée ! poche ou outre aux données données et situées ! On est Fée des pré, puis Fée de l'Ombre, du tracé traqué ! On a envie ensemble grave d'aller ici au plus pressé vers ces données dxes derniers murets et autres murs ultimes en rotondité. Qui on est ? 

ELLE 

ELLE sur pré 

Aile 

Ailes de fée sur tyracé en herbe ... on est nées sur herbe allouée ! On veut toucher à ce qui est qui wse présente ici sans plus tarder et se recommaande à nos intérets ! On veut toucher parce qu'on est ELLE , F2e d'Herbe, F2e du VErbe en HErbe ! une sorte de ... "macghine de guerre" ???? qui sait en  vrai ce qu'on est la mort passée ! On a voulu entrer en ce muret des données dernières eh bé voilà , on est entrées et du coup on peut regarder(beaucoup) ce qui est ici qui on dirait nous mate ou nous materait en retour ! quoi c'est ? qu'est-ce que c'est qui ici même de fait serait à grave nous mater une fois que nous voilàentrées en tant que Fée Ailée post-cimetière, post-pré, post-post porteme, le trait passé pour ainsi dire et le tour est joué ! On mate et on est matée ! double échange de civilités ! On veut toucher à ce qui se présente en termes de données cde contrebande et on savance, on trace, on est ensemble en vrai accolées parce que voilçà, on forme Fée aux données de RAge ! rage avouée est cfomme à moitié pardonnée , et voilà pourquoi on se permet de s'avancer sans reculer, sans hésiter,n sans traîner, devant nous sur pied puis à la volette comme qui dirait ! fée ailée sait voler et avancer ainsi soulevée ! trait pour trait !on, mate et on est  matée ! matée par les yeux de L'ëtre adoubé , Aimé , ADulé qui sait mais qui c'est ? Dieu le Père , l'épouomoné ? Père sévère et son trait des traits ? Pet en Herbe et autres vents contrairesx ? pets lâchés sur herbe des prés et ça pue la merde ? quoi est-ce ou qu'est)ce ? Une caisse ? Un pet de Fée ? Pet en herbe sur pré et bnous voilà comme enfumée ? On veut toucher ) ce qui est en termes de données de tresse, on ne veut pas passer à côté mais grave toucher à ces données de tresse, ou à ce genre de données en tresse, ou en trainées, ou en filets de Rage, ou en fils consacrées et autres filament fibreux de type ...  Vivres ! et du coup .... cerner ! cerner de près ! toucher = cerner ! On a envie ensemble de toucher à ces données dites "de contrebande" et du coup ... s'immiscer (grave) au plus près de ce qui se présente ! des filets ? des tresses de traits ? des données données de type tracés , traits acidulés , traits nacrés ? On est La Fée du pré passé, on a traversé le muret, on a envie ensemble de se retrouver pour ainsi dire, soit de se poser, et de cerner ici ou là ce qui est pour nous qui en vrai se présenterait incidemment à nos yeux ouverts, à nos mmirettes écarqyuillées pour mieux regarder et cerner la roche, les Données de Roche, de Roche allouée à une ultime Fosse .... On veut ensemble au plus près et au plus pressé co:mprendre ! toucher = comprendre ! on est nées ! dans la mort on naît ! on est nées Fée ailé ! on a traversé et du coup nous voilà comme nées à une sorte de contrée des Fées ! On veut en vrai toucher à ce qui est qui se présente ou se présenterait à nbous qui sommes ailées ! 

Toucher = toucher ! manger = manger ! dire = dire ! pousser = pousser ! fauire = faire ! perdre := perdrev ! charger = charger ! coucher = coucxher ! cendrer = cendrer ! opisser = pisser ! moner = monter ! tater = tâter ! tirer = tirer ! passer = passer ! outrer = outrer ! pondre = pondre ! mater = mater ! voir = voir ! comprendre = comprendre ! concevoir = concevoir ! pister = pister ! souder = souder ! sonder = sonder ! permettre = permettre ! cacher = cacher ! huer = huer ! porter = porter ! cacher = cacher ! vendre = vendre ! jouir = jouir ! jouer = jhouer ! louer = louer ! louer la Divinité dite "des prés"  = louer la Divinité dite "des Prés", et du coup l'aimer ! l'aduler ! la voir comme une sorte de Déité des Déités ! la prendre pour (en soi) ça ! Déité des voix, de l'Antre Final ! On veut aller ensemble loin en cette roche des données ultimrs avouées ! on ne veut pas passer  à côté mais y aller frontal au plus profond qu'on pourrait de fait sans reculer, sans faire faux bond, sans tarder, sans se monter du nez ! mais simplement tracer de chez tracer un trait de rage sur le FRont de ... l'Âme ??????  Ambre ?????? Ombre ?????? Hombre ?????? Hommme ??????? autre ???????? Antre ?????????? on nchyerche grave ici à comprendre, cf'est un fait ! O,n essaie de s'impliquer et dee toucher à ce qui est en termes de Vérité mais évgidemment que ça c'st pas super super facile à réaliser même en tant que fée parce que c'est vrai que forcément il faut être méga-motivée (déjà) en soi pour aller et tracer et pousser la chose jusqu'au bout du bout, maispas que ça ! il faut creuser ! il faut grave creuser et essayer ensemble d e treacer profond les données en roche, genre "traque " ! 

On se doit d'aller loin et de creuser profond, et cette chose est une sorte de "traque de roche" ! On a envie (du coup) de treacer dans la roche les données de rage telles qu'elles se présentenjt à notre (sorte de) 

"gouverne sentimentale" ; .... On veut toucher ensemble (ailées !) la Base ! Le TRait ! Trait de RAge de base ! et tracer = filer = ficeler le trait ou comment on pourrait dire pour ici indsdqiquer qu'en fait on passe à travers un filet qui est un trait qui est un passage tout ce qu'il y a de plus étroit en la m^éatière , genre "fil de soie" ! On entre comme à la p arade et du coup ob nn se reytrouve là, parmi les Bêtes-MOts du Pré- Verbe alloué  àune zone de "recherche" ! On trace ! on y va ! on ne veut pas s'(arrêter là mais pour le coup poursuivre sans traîner sur pré notree sorte de "destin"é du trait" ! On veut (en gros !) ... téter ! on veut trouver du lait ! téter = trouver = prendre = dénicher ! On veut toucher de chez trpucher le lait "de contrebande " et téter .... téter sans se gêner ! pourquoi on se gênerait ? On est passée ! on na traversé ! on s'est rapprochées du muret ! on a regerdé, testeé, tâté, le muret des données dites "terminales" , et )à présent on est en droit de pouvoir y aller ! de (à nouveau) traverser la Roche, Rocxhe-Rotonde, Enceinte--Roche, Roche-Enceinte, Roche-Rotonde des données cdernières .... FILER = Filer ! on trace ! trait ! bête de teait ! trait passé ! on veut passer = entrer = filer = traverser la Roche aux Données "Profondesc" .... VITE ! VITE ! Aller ! passer ! mater ! voir ! essayer en vrai de comprendre ensemble les données du bout du monde post-pré ... c''st -à-dire bien après la mort, après le pré dit "de la Mort en Herbe ou VErbe" , après le pré il y a ce muret "en rotondité" déjà rencontré à l'entrée du pré mais là ... on se doit de fait (comme il semblerait) de re-traverser ledit muret, de re-passer son nez busqué, d'eesayer de se faufiler si  jamais en quelque trait d'anfractuosité ici tracé, et d'entrrr ... sortir du pré pour enttrer en cette sorte de ... contrée nouvelle ... air ..... air alloué à Nouvelle Contré donnée ou accordée ... qui on est ? qui on est post-herbe ? qui on est post-pré ? qii en vrai on est post-pré ,  qui on est le pré passé ? qui on est en  vrai le pré une fois passé ? qui on est ou qui on serait ? on ne veut pas s'éteindre mais durer ! pile wonder ! trait de fée ! chant donné ! fée des fées on est njées sur pré à la retombée et nous voilà .... acidulées ? comme acidulées ? Lait ? Lait post-pré ? lait ou voie lactée ? Lait des prés devient voie lactée comme qui dirait ? On est attreappéees ! on est grave attreappées ! on est retyournées ! on est grave retournées ! on est attrappéeex de chyez  attrappéees et grave retournées de chez retournées ! comment on peut faire en vrai pour maintenant comprendre davantage ce qui se passe ? cfomment on peut faire en  fai t à présent pourb mieucx cerner les données qui se présentent pendant qu'on parle ? on cherche enxsemble à se situer, à cerner les traits, à toucher aux nénés dits "de contrebande" mais en v  rai , on est un peu "isolées", on est pas forcément super aéidées et on rame ! on en avance pas tant que ça ! on aimerait grave en avancer vachement plus, mais voilà on est plutôt (en fait) isolées, esseulées, dans notre sorte de "contrée des fées", et  on est (du coup) un peu "timorées" , un peu"coincé"es" , on a du mal à se libérer et à franchir comme qui dirait un certain nombre de "p aliers" , de traits, de marchepieds, de je ne sais quoi qui serait là à nous mettree déjà et en soi le pied à l'é-etrier une fois pour toutes , et peut-être à jamais, qui sait ? On veut toucher à ce qui se présente ou se présenterait en termes "lactés" mais on est un peu timorées , un peu coincées, un peu "empriuntées", on a du mal à se la&içssr aller et à lâcher la bride ! On est un peu comme empriuntées devant l'Adversité ! On est Fée ok, mais "tranquilles" .... un petit peu  timides ! on veut ici toucher mais ... on ose à peine, de peur de gêner ! On a vraiment en nous une sorte de "mainmise" qui nous freine ou freinerait un petit peu pour ainsi dire dans nos entreprises et du coup on est un peu comme gênées aux entournures et timides et comme empruntées de fait dans nos actes et autres actions, sur pré et au-delà ! On vfeut voir là-bas mais on hédsite ! on craint du danger ! on a peur d'y rester "collées" , de ne plus (après) pouvoir revenir, retrouuser chemin, revenir au pré (brouter ?)  et ... du coup , devoir ... "y rester " à jamais, de l'autre côté ! On veut toucher à ce Néné des Astres, Voie Lactée Ok, mais sans y passer ! On ne veut pas rester cfollées à ces tracés de ciel ambré et autres configurations célestes étoilées ! On veut bien aller, mais (§pour ainsi dire) sans aller ! on veut toucher à ce néné des prés des Rages mais en vrai, sans vraiment "toucher" pour ainsi dire, juste effleurer ? mais effleurer c'est toucher ! alors .... juste regarder... regarder = toucher , regarder = ou égalerait aussi toucher ? On a envie ensemble 

de nous promener ,sans regardder à ce qu'on fait ou pas, ici, en ces contrées post-pré ! on a en vie ensemble de se promener en ces contrées qu'on d it ultimes, et pour le coup sans  v raiment  chercher à pour ainsi dire se retourner ou à revenir méis y aller franco et puis on verra bien (de fait) ce qu'il adviendra ! On est ailées alors en vraéi peut-être qu'on pourrait ici arriver à traverser ce f&meux muret sans trop s'aesquinter au passage, sans trop dse blesser m ais  au contraire passer, commre une szorte de lettre à la poste ! traverser sur roche , toucher aux fins de pré et passer, passer de l'autree côté, de l'autre côté du pré ! filer ! activer ou s'acrtiver ! fissa aller ! aller en vraéi sans plus se retyourner, et essayer de cerner ces ditesc"dopnnées lactées" qu'est-ce que ça pourrait être en vrai qui pourrait nous intéresser au plus haut point vu zu'on est grave méga-motivées à la base ! super motivées à l'idée de compptendre enfin ce qui est en vrai de l'autre côté du pré, soit post-post-mortem ! qu'est-ce qui est qui est qui peut-être serait à nous attendre , à patienter après notre arrivée ! qu'est-ce qui pourrait être ? qu'est-ce qui pourrait être et se treamer et faire ainsi qu'on serait accueillies de fait comme des fées ! ? On est nées ici, pré, prairie, et on veut quiiter cette con trée car, on veut passer de l'autree côté... re-traverser le muret, passer = toucher = filer = se faire menue pour en vraéi se vfaufiler et se glisser ainsi pour mieux atteindre la contrée ultime , l'ultime contrée allouée à une sorte de ... passé Limpide ? de Passé des Passés ? ,Le passé renouvelé ? retour au passé ? au Passé du pré ? au passsé du pré-pré ? au Passé dit "du pré-Pré " ? Qui sait ? qui sait en v rai ? On veut toucher à une chose qui serait "de roche" et filer ok, pousser loin en roche et cerner, toucher aux Nénés ce serait touchert à une sorte de Donnée, de base lactée, qui elle-même serait du lait tout ce qu'il y a de plus lacté ! pis d'herbe ! Veerbe ?????????????? Du Verbe ??????????????? vraiment ça  en herbe ?????????????????????? Verbe donné le muret passé et ce vserait dsu léait ?????????????????? lait alloué à une sorte de muret des données tracées ??????????????? lait-verbe ? ve'rbe"-lait ????????????? lait = (égalerait) Verbe ... à jamais ? qu'est-ce que c'est que ces données post-cimetière puis post-pré puis ... post-passé ???  qui seraient du VErbe-Lait on dirait ? Verbe Lait des Ombres Portées ? On veut en vrai aller = dire = cerner = comp^rendre ce qui est qui se vprésente et nous fait un drôle d'effet dit "de contrebande" il semblerait mais est-ce que c'est vrai ? Est-ce que réellement on peut s'appuyer sur ce type de données "profondesv" ??  est-ce qu'en vrai on peut cerner ce qui est en vrai le muret une fois traversé et du coup ces nouvelles contrées dites "lactées" comme attei ntes de plein pied ? Peut-on ? Peut-on toucher ? est-oon à même en tant que fée ailée de pouvoir toucher à ces données post-pré de type lactées ? voies lactées ? voies ou voix lactées et ça le ferait ? On est comme timorées c'est vrai mais bon ,; on est présentes, on ne lâche rien, o,n entre à pas cpomptés et feutrés , on entre ensemble à pas mesurés et un peu empriuntés ok, mais enfin on entre ! On ne fait pas semblant d'entrer, loin de là, on est présentes ! on y va ! on veut comprendre ce qui est "klà-bas" alors voilà .... on veut toucher à ce qui est qui serait sur place une sorte de Dpnnée Intense ! la donnée de Rage allouée à une sorte de Contrée Finale : Post-pré et pré-P assé ou comment comprendre ? du passé en branche nous attendrait qui nous regarderait comme de biais ? On a envie de cdomprrendre ensemble (ailées) toutes ces données ou sortes de données de base telles que présentées en ces contrées d'un post-muret, et pour ce faire on se dit qu'on a fort à faire, que, en vrai, qui sait ? ces données "profondes", ne nous seront pas forcément données d'emblée mais que voilà, on va avoir à se bouger, à se retrousser les manches si tant est, à se creuser (grave !) les méninges et du coup à fouiller ou fureter, en ces différentes données déposées, pour essayer ensemble d'en extraire au mieux la moelle épinière, le coeur ou les entrailles dites "vives" d'une sorte ici de "Vérité Active" .... Et du cfoup on pourra peut-être, alors (on verra), comprendre = cerner = saisir =  toucher ... cette sorte de donnée lactée, ce qu'elle est pour de vrai ou, a contrario, ce qu'elle n'est pas et ne sera jamais , qui sait ? On est fée -femme au jugé, on est entrées ! on mate ! grave on mate ! on est la fée post-pré qui est passé en transe et nous voilà qui nous incorporons comme à l'arracjhé , en ces contrées de bout de pré, soit en Roche finale ou Terminale appelée "PONTON" ... hé ! nouveauté ! On ne savait pas son nom ! On est heureuse de l'apprendre ! De pouvoir enfin savoir et entendre ! cool ! on aime savoir grave , donc .... On apprécie, la Chose, à son juste prix ! ON a touché , on est passé, on a regardé, on reg arde , on voit la Voie ! oho ! Voie de l'ombre portée ! oh ! On aime l'eau mais plus encore le lait c'est vrai , on peut l'avouer (et l'afficher ou afficher ce fait) . 

On est nées Fée, à la retombée dans le pré, on a couru dans discontinuer et nous voilà toutes vermoulues mais pas grave, on entre ! on entre dans l'antree aux données de Rage ! post-pré c'est fait ! cjhose actée ! on doit pouvoir continuer sans être importunées et dérangées dans nos tribulations de fée en pays de transe ! trait pour traits on en avance ! On creuse des traits mais c'est pour mieux toucher à ce qui se présente devanjt nous en termes de données données , vivement ancrées . On est

F2ES DES F2ES 

FÉES DES TREAITS DE ROCHE 

AIONSI CERNÉES 

DITES ET PORTEÉES , OU DITES PARCE QUE PORTÉES ! VRAI ! VIVES ET NACRÉES ON EST LES FÉES DU DIRE PORTÉ = DES DONNÉES DE RAGE ET AUTRES DONN&ÉES "SALES" , QU'EST-CE QU'ON EN SAIT ,  ? ON A MÉGA-ENVIE DE COMPRENDRE ET DE SE POSER UN TEMPS SUR PLACE (ROMANCE) POUR SOUYFFLER ! ON AIME ALLER EN CES CONTRÉES DE BOUT DE PRÉ POUR COMME QUI DIRAIT ARRIVER À TROUVER UNE SORTE DE VÉRITÉ CONCERNANT ... LA MORT....CE QUI EST QUI NOUS ATTEND EN ELLE , PAYS D'AILES ! 

On a envie de se promener san pour autant traîner parce que voilà, le but ici n'st pas de lambiner (quoique!) 

mais de comprendre a&u mieux ce qui est qui peut-êtte serait à nous mater de biais, pour mieux nous croquer ... qui sait ? et nous avaler et hop, terminé ! on cherchge à cerner ! on cherche à se rapprocher de la vérité ! on cherche à comprendre les données de base ce que ça pourrait en vrai être sur pied, à quoi ça pourrait ressembker , ce que de fait ça pourrait être en termes de données "lactées", "lactées et acidulées" , à quoi ça pourrait au fond ressembler si on s'en rapprochait sans se gêner ... On est allouèées ou comme amllouées nous-mêmes à une sorte de donnée rupestre , genre Trait des Traits Gravés , 

sur Par(oi de grotte (on dira : Haute Paroi de Roche ) et diiu coup c'est sûr 

que, nous, on doit pouvoir aller profond car , voilà, on est comme "touchées " ... ob n est comme super "touchées " , touchées = visées , par , comme il se'mblerait, un ... "Trublion" ???? une sorte de bête des prés , cheval d'Arçon ? bison ? Tronc ? On est touchées et du coup on pleure, et du coup on se met à genou, et du coup on veut se redresser et filer et aller et trracer et ne pas nous retrourner et traverser traversrr traverser traverser traverser traverser traverser le muret premier puis le pré puis le muret à nouvzau trouvé sur notre sentier ! et là ........................... oups ............................. houp ................././...................... PASSER ! .................................................... vetrs le passé ? ...................................... qui sait ? .............................................. qui en vrai sait ce qui pôst-sentier, post muret , EST ? ..................................................... du laiit ? du lait de fée ? du lait dit "acidulé" ? l ait de trait ? lait aimé ? Lait de traite réelle ? Trait ? frai ? Gente Elfe ? ......................................... qui sait ce qui en vrai est qui se présenterait et nous invçiterait à nous placer à ses côtées pour comprendre ou mieux comprendre et aimer, mieux aimezr, les données en herbe post-pré = pôst -praierie = post-muret des Finalités ! qui ? On veut trouver ! toucher ettrouver ! car, on aime toucher et trouver , on aime grave, et toucher et trouver ! on a super envie ensemble (AILES) de touchert-trouver comme par la bande une v érité qui serait prégnante, située, actée, sur laquelle pouvoir s'appuyer, fiable et non friable , Vérité des V2rités ça le ferait ! mais comment s'y prendre ? comment faire pour acter la chose sans s'y perdre ? Comment en vrzi pouvoir toucher à ce n éné dit "de contrebande" comme si en  v rai ça pouvait être vrai ? On veut entrer = toucher, entrer = dire ! on veut dire et toucher ! faire tinter ! activer ! faire en sorte que voilà, le dire puisse (là ?) êytre repéré en tant que Donnée allouée à une sorte de Contrée "Acidulée" genre lactée, comme ... la voie lactée ? étoilesb nées ? On voit ou on ne voit pas mais on est là ! on creuse ! on va ! on b-n'en démords pas et on se dit qu'un jour ou l'autre peut-être on verra ! on saura peut-être, on comprendra,,on touchera à l'herbe des parois des bouts de roche plus que finales .... on saura ce qui se présente , ce qui se pose là devant soi, à quii ça resemble, à qauoi en vrai ça pourrait ressembler en tyermes de ... Voie ? Voie docte ? voix docte ? voie lactée des ROches ? voix docte ? voie des voix et vgoix des voies ? Voies données  pour pouvoir tracer et pour s'autopôrter jusqu'au Néné de l'Ombre ? Néné né à la retombée on dirait, côté ombre ? On veut toucher à ce néné mais pour toucher à ce néné 

 le mieux c'est de ne pas trop traîner et de filer fiszsa jusque dans les

 les bras de cette sorte de Mamma maline , fine, acide, adoubée par une .. Déité des Rimes ! File ! Fonce ! ne renonce pas à faire ainsi ici que s'ouvrât la Porte ou l'Anti-porte (?) Haute ! va ! ............................................................ ne regarde pas à te réfréner mais au contreaire va , file fissa ! ....................................................... va et file ! fonce et cours ! trace ! creuse ! cherche ! touche ! vibre ! cerne ! compose ! absorbe ! prends ! alloue ! piste ! passe ! colle ! porte ! chante ! va sur roche là-bas comprendre les derniersz messages : le tracé de base, l'emporté de rage, l'épopée, l'ombre portée, le denier, le Passé passé qui en vrai ne wserait pas assz aux yeux de cette D2ité des Entrées ! ....................................................................................................................................... fonçons ! ........................ filons ! ......................... esayons ensemble de cerner de base ce .... pONTON ! Drôle de nom pour une sorte de tracé de rage post-pré de base ! On est bon ! ou plutôt on a bon ! on entre ! entrons ! on mate ! matons ! faisons ainsi qu'on puisse en v rai comprendre , les données de base, le tracé de rage, les données basses, le parfait,  l'imparfait, la cendre, le tracé sur muret indiquant de rage par o^ù du coup on pourrait passer ! On a envie ensemble de toucher à ce qui peut-eytre, en vraéi, pourrait ici se présenter sans nous importuner , afin de pour le coup pouvoir nous donner de quoi ruminer et de fait nous alimenter en termes de dennrées à ingurgiter sans hésiter ! vaches ! vaches à lzit ailées ! o n est en tra&nse ! on vezut coller à une sorte de romance, romance "agitée", qui serait la Romance des prés, prés ... ou Parois ... des ROis et Reines de l'au-delà .... l'au-delà à quoi ? à la Rage , va ! à ça : RAge des Rois et Reines de Là-b as, post-terre, post-nouba, post-paroi de choix, post-pré aux herbes ! sanita ! sainte voie ! sainte voie des airs ! charge sur paroi de base ! tralalalalalala ! on danse ! ......... o,n danse en transe, ça ! ce tralala ... des données de Rage !  du Passé, comme remonté de la base et .... acté ! chahuté mais acté = tracé = donné ... et qui sait si "Déité La MOrt" pourra aimer ou apprécier ce que nous offrons, en v  rai, de nous à ces bras ouverts comme sorte de donnée de porte ? On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette sorte de donnée lactée, néné ? peiut-être néné mais en vrai on est pas douées (tout à fait) pour cerner de près , du coup on hésiteb à se prononcer et à affirmer ce que c'est ou ce que c'est pas ... on veut aller mais comment aller sans êttre ailé ? du coup, voilà : on devient Fée, on veut creuser = s'envoler ! on ne veut pas rester à qauai à toujours se morfondre et pleurer et se dire à jamais que la vie est dure à traverser, qaue les données de base sont comme des dés pipés et que la chose , de fait (le tracé) n''st pas donné d'emblée, le tracé (disons) en bonne et due forme, pas gagné ! pas donné d'emblée , qui nous verrait nous redresser ! sûr que nous on est des éefs deRage ! on l'a mauvaise depuis qu'on est nées ! on voulait toucher de chez toucher  la Base de Données  en herbe, mais comment toucxher d'emblée quand d'emblée on est écartéees, décalées, déplacées sur tertre, et va&s-y retrouver le chemin des F2es ! c'est pas gagné comme on le disait ! va toucher ! va être ! va cerner ! va comprendre de près les données données, soit celles qui pourraient certaéinement ou vraisemblablement et durablement t'aider à être en vrai un être choyé, présenté à l'assemblée, ouvertement montré comme l'être aimé de sa mère et de son père sans plus de réserve ! on veut : 

TTOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER AUX NÉNÉS DE LO'ÊTRE SI TANT EST ET EST-CE QU'IL EST TANT ? ON NE SAIT PAS ! ON CHERCHE SUR PAROI ... À COUPS DE SERPE ! DE TREACÉ DE CHOIX ! CHEVAUX DES VOIES ! JUMANTS -TRANSE ! VOIES DES ROIS ET REINES DE LÀ, LA TRANSE, LA PAROI EN TRANSE, CHANTS SALES , CRIS DE HJOIE ET AUTRES INSULTES DEE RAGE, COMPÉTENCES, TRAITS SUR TRAITS POUR UN PASSAGE (EN TRANSE) DANS L'AU-DELÀ À LA PAROI -ANTRE ! 

Fée des fées des tracés sales  ! 

cris de joie aux données sales !

ppoints de croix sur paroi sale !

pains de joie et autres tralala 

sur paroi qui serait la paroi ... aux données de rages ! chants de joie et autres parades aux animaux sales ! points de traits de roche et autres traits de point de roche ! surélévation ! élimination des crottes ! chargement docte ! pontification ! On est féesz hautes ! hautes fées de roche ! porte ! porte enfin tracée on ose entrer et traverser traverser traverser afin de pour le coup enfin nous retrouver de l 'autre côté à cher cher que tu chercheras sans traîner UNE ENTRÉE  qui serait l'ENTRÉE  comme aattendue depuis des nues ! on est fée d'herbe ! fzée des prés ! on veut cfoller , dire et aller, toucher de près à une déoité surnaturelle si jamais et ça se pourrair sait-on jam is, si on pers"évère ! si on persévère ... sans relâcher ! 

On est fée d'herbe et faite d'herbes ! comme transformées ! allouées ! aimées ! broutées qui sait si on eest l'herbe = verbe des contrées prairiales rencontrées ... comme à la parade ! on est allouées à une sorte de prairie de FRance , genre nées, genre déposées ou posées et on entre , plus avant dans l'antre .... acculées ! poussées ! obligées ! comme soumises ici à une sorte de poussée, de type verbale ! 

le treacé ancré de rage , ou non : 

le passé tracé et ancré, nous pousserait à nous positionner (de base) en cesz contrées post-pré telles que rencontrées la mort acceo^ptée ... acceoptée"comme qui dirait ! On est la Fée du pré pré-muret ! pré-allée lactée genre voie lactée .... mais q!'est-ce  onc que la Voie Lactée ? une voie ambré e ? Un trait ? trait d'elfe ? frai ? poste alloué à une sorte de parole "en herbe" genre "parler bébé" ? Qui sait ? qui en vrai connaît ce type de données "de rêve" ? On est la fée postée .... sur preé tracé, cherchant comme à s'extraire ou s'en extraire pour vite fait gagner ce qui sezrait ce trait, ce tracé né, ce trait à traverser, une entrée qui serait 

'ENTRÉE DES ENTRÉES POUR FÉES ET AUTRES ELFES ALLOUÉES À UNE SORTE DE RECHERCHE COMME "ACIDULÉE" , GENRE RECHERCHE EN LAIT ! TERMES, TERMES DONNÉS COMME PERLES DE LAIT ! UN TRACÉ SURNUMÉRAIRE ! UNE SORTTE DE SENTIER SUR HERBE POUR FÉE ET AUTRES BÊTES DE TRAITS GENRE BUFFLETTES, VACHETTES, BISONNETTTES , ANTILOPETTES, CHEVALETTES ! FÉE EN HERBE ! ................................... fée du frai ............................ fée des frais sur pré .......................................... alouettesv ........................................... montées ............................. ou couchées puis qui se redressent et tout d'un coup volettent ou bien se mettent à voleter sans s'arrêter ................................. ion veut toucher de chez toucher ........... aimer être fée et du cfoup voler ................ pousser de chez pousser et monter et voler dans les a irs aimés ......................... VERBE CONCENTRÉ ............. CUEILLETTE ....... POUSSETTE ........... PAROLE EN HERBE ...../....... PISTÉE ET TRACÉE ET POUVANT DÈS LORS ÊTRE EXAMINÉE ................. CONSACRÉE SI TANT EST .......... ON L'ESPÈRE ............... PEUT-ÊTRE, QUI SAIT ? .............. QUI SAIT CE QUI EST EN VRAI ........... CONCERNANT ICI LA MORT EN HERBE, LE TRAJET, LA VOIE LACTÉE, LE NÉNÉ DE PRÈS, L'OMBRE PORTÉE, LE SUMMUN DES DONNÉES DONNÉES, UNE DIVINITÉ LIÉE AU VERBE QUI EST NÉ SUR PRÉ À LA RETOMBÉE LE JOUR OÙ DE FAIT ON EST PÂSSÉ = TRÉPASSÉ ! QUI SAIT ? ON CHERCHE .......................................... on ne veut pzas laisser tomber nullement

 nos recherches en herbe mais tout au contraire continuer, sans désemparer jamais, et tracer de chez tracer le chemin du verbe, treait sur trait , trait de fée par où passer et s'ncruster et se glisser et traverser traverser traverser sans hésiter la roche calcaire, roche des fées, roche haute des fées hautes ! aller = tracer = foncer vers, en vrai, cette sorte de "carrière" qui serait une contrée dite "du Verbe", verbe acideulé des donnéesb dernières, verbe-né, verbe "au taquet", verbe du pré = herbe = denrée ! denrée verte pour former le lait dans le pis des bêtes ! à satiété téter ! téter = toucher! toucher = téter ! on aime ! ............................................................ on a envie grave de se libérer de tout ce qii en nous nous gêne ou nous gênerait comme par en dessous ! on av grave envie de creuser loin, en cette sorte de paroi de roche, et d'aller , pousser, passer ! traverser de chez traverser ! pousser = faire = donner =comprendre =caler = filer = allouer à une roche une donnée "profonde" ! on croit rêver ! .... et cependant ..... on ne rêve pas tant que ça ! on entre ! on va de l'avant le verbe aidant , car, le Verbe est un Allant, est Trait de base, est TRait de RAge ! trait de base alloué à une "renaissance" .... trait des treaits de RAge .......on veut comprendre ! on veut aller ! on veut creuser ! on a envie grave de creuser ! on  veut creuser grave sans treaîner et aller et toucher et comprendre et cerner et pousser loin le plus possible notre 

sorte de percée , d'entrée lucide ! Pousser ! creuser ! chercher ! essayer de percer cette sorte de muret aux données vives ! .......................................................................................................... vives et ancrées ................................................... traversrr = traverser ! .............. toucher = toucher ! :.......................... cfoller = coller .................. comment faire pour aimer ? ................................................ aimer traverser ..................... la RIve .................. l'autre côté ......................... le Rire ? ........./.................. RIRE ? ................................................ rire à tout jamais et du coup aimer ? ............................. qui sait ce qui est  en cette "Rive des DO nnées Ultimes" qui nous attendrait et saurait (qui sait ?) nous donner ... de quoi survivre ? .............................. on veut coller  à cette "rive des données ultimes", traverser = traverser ................. comment sonder ? commrnt toucher ?. comment cerner ? comment se retourner ? comment saturer ? coment poster sur roche les données trouvées, verbe au taquet, rires, vies des vies en herbe et autres prés "qsuperbes" ? Toiucher pour toucher ? toucher pour trouver ? plutôt pour trouver ? Chercher = donner ! On veut coler à cette D2ité "des Données Ultimes", et l'aimer ! l'aimer pour êtree de fait au mieux informées de ce qui est le pré passé si tant est ! On veut cerner cerner cerner cern er cerner  les données ultimes et pousser ! pousssr grave le trait ! trait de vérité ! trait passé ! passer ! poussr ! tracer ! creuser ! allouer à ce "dernier muret" les données  ultimes telles que rencontrées, comprises, prises ! qui sait ? on veut toucher de chez toucher la frise ! le tracé en friche ! les chevaux ! les bêtes de peau ! vaches et taureaux ! troupeaux ! mots ! mots ! mots ! mots ! mots de trop ! mots sur roches à mots ! grotte ornée de mots et ça porte ! ouvre l'antre .... HOmme-MOT De Trop, tremble et entre-meurt , pour une renaiisance ... comme au trot ! pot ! quel pot ! pot docte ! trot et galop ! vers la porte ! points de mots sur paroi haute néandertaéliennne sous chapiteau ! corps mort pousse le port vers un mot de trop ! hot ! cru ! vif ! chaud ! chaud de chez chaud ! paroles hautes = mots de trop = gros mots ! on monte ! fée des tuyaux ... ou des boyaux plutôt ! On monte ! haute ! haute fée cdes mots et autres traits , de base verbale ! chalumeau ! points d'eau ! portes hautes sur paroi de roche ! on monte ! on colle ! on vole ! ................................... haut ....................... haut ......................... haut ..................... hau .......................... hautes ....................... haut et hautes ............................ on monte .......................................... on montev ............................... haut de chez haut ........................ on est hautes ................. fée haute ....................... haute fée aux mots ........................... treaits de rage sur boyaux ............................ corsages ....................................... percée de rage ....................................... on entre ........................ haut .................. haut des hauts ................................................... toit en haut direction les nuages, voie céleste, le passé du mot, l'ombre de l'arbre, le pot ! - .............................................................................. les crocs ? .;.............................. on monte ............ direction la Haute ..................... le Mot de trop ........................ le Pavot .......................... l'Ombre ................ la Porte ................. le creux des ombres ............................................ le Poteau ..................... l'aRche au mots et autres traéits verbaux ...................... arche-mots ................................ haut /........................ hauteur (ici) des mot§s de trop sur paroi de traînes et autres murs de scènes ............................................ colère ..................... cris .............. pis ......................... pis de vache laitière ................ pis des pis .....................spi ..................../.............. spi des spi ? .............................. cris des spis ? ................................ colère !!!!!! ..................... prix à atteindre .................................... co co co co colère sur prairie ! ............................................... poussée d'herbes en herbe ! ............................................. on aime ! ................................................................ on aime l'herbe et la praireie, on veut connaître oui le prix , le prix à )ayer( concernant les données, les données en herbe et autres données comme présentées sur paroi de roche, par (qui sait ?) une sorte de .... Divinité, Divinité Acidulée il semblerait ? ou alors .... LA mort ! A moins que ce ne soit les vmêmes ! Déité des D2ités et MOrt -Allouée sezraient , qui le sait, la même CHose ! ou personne ! 

On cherche ! On veut toucher ! on ne veut pas  forcément se léaiçsser entraîner vers des courants contraires, 

et qui seraient pour nous mauvais car, nous feraient tanguer vite fait ! mais bon .... allons et fillons ! traversons bla ROcghe! tentons, "par pâmoison" peut-être , d'enttrer de front , de bousculer la Porte, tracer ! Passer ! pousser pour passer ! Aller  devant tracer et creuser ! chercher ..... comprendre ..... compôser ....... allouer à une "branche" une sorte de pouvoir des fées, qui ferait d'elle (la "branche") un b âton sacré ! une sorte dee bâton de Rage ! trait ! bâton-trait ! trait des traits ! joug ! joug-né ! trait des treaits actés qui serait le joug sur bêtes allouées à une destinée

 prairiale / pariétale ! 

touché ! pis touché ! touché sur pré ! = tété ! on est née sur pré Fée à la retombée de l'embrasseade dite "pariétale" ça le fait , et nous voilà dès lors transformée ! fée des prés = fée du Verbe ! on s'en serait douté mais enfin voilà, une chose est de penser, une autre de percer , et de se reztrouver comme toutev "remontée" prête à tracer, sur pré en herbes, vers, peut-etre ... une sortie proche ?, le Passé ? Le passé recomposé ? le p âssé alloué à une contrée qui serait celle en vrai d'une sorte d'ère post-cimetière, post-post-mortem ? On est Fée faite , de fait, du fait qu'on est entrée en cette sorte de contrée du Verbe ! Merdre ! Merdre au taquet ! sonnée ! comme brinqueballée mais quand même sur pied , on est svelte !  on tient tête ! on va s'envoler ! On veut toucher à ce qui est qui serait pour nous une sorte de treacé, de tracé de données  sans ... verbe ? On touche = on pébnètre ! Herbe-Verbe au taquet, permettent une entrée salutaire en cesz contrées des données dernières (derrière !) . On est nées fées sur herbe verte ! on est nées fées sur herbe en herbe ! on veut tracer de chyez tracer sur herbe ! pousser ! cvcreuser ! passer au taquet direction le muret des données dernières -= post-pré , et pour celac........................... le VERBE DE PAROI ! TRACÉ DE BÊTES, CHANTS SACRÉS, CUEILLETTES, BÊTES-ELFES, VACHES DE POIDS, AUROCHS DEES ROIS, AUROQUES REINES, CHEVAUX EN SOI , 

On monte ! on va ! on fonce ! on veut toucher à ce qui là (passé le toit) peut nous surprendre : une sorte de donnée sale ? un poids ? une mansarde ? la paroi des parois  ? un chat ? iune chatte ? une sorte de donnée ... sarde ? du patois ? mots du ventre ? un passé nnarquois ? une szorte de parade ? d'anti-loi ? de l'ambre ? sein de rage ? sein donné ? lait ? lait ? lait ? du vrai lait de l'antre ? lait du pis doné ? ambre ? Ambre sucré ? Qui sait ? 

224

5/12/2024

On est fée des Fêtes souterraines comme il semblerait mais en vrai ... célestes ! tracées sur muret ! élémentaires ! chants sacrés à la travaersée ! On aime ! On a méga-envie d'en avancer en ces champs de luzernz jusqu'au muret . On veut toucher à ce qui est qui devant nous semble se montrer alors que nous nous voilà entrées ... On est prêtes ! On est alllouées à une sorte de passage d'herbes ! Saint Tracé des DOnnées VERtes= Verbe ! VErbe tracé !  CHamps de perles ! On veut connaître les données de l'herbe, ce squ'elle estcen vérité ! ce qui en vrai en elle est, qui nous intéresse ! On est F2es des données Vertes ! On est La Fée comme dédoublée (deux ailes sur les côtés) et on s'aime verte ! charge accolée sur train de beauté ! Chants ! On veut comprendre = on veut cerner, et pour cerner, le mieuxc'est de s'avancer, marcher, voler ou voleter, monter, gravrir sur Nénés et du coup ... téter ! grave ! ne pas lésiner ! s'en mettre jusque là de lait afin de satisfaire ses envies toutes naturelles ! qui on est = qui on serait ! on veut toucher "ensemble " à ces nénés dits "de contrzebande" et du coup téter ce qui est qui se présente en termes de lait dit "acidulé" ! téter = prendre ! prendre = comprendre ! comprendre = toucher ! toucher = cerner ! cerner = aimer ! aimer = donner ! donner = dire ! dire = faire ! faire = allouer à une sorte de pré (de pré en herbes) les données données d'une sorte ici de DIvinité qui, de fait, nous regarderait, aller, tracer, courir sur pré, charger, eesayer de nous y retrouver en ce pré "des féées" . On est la Fée du pré céleste ! Tancrède ! ça le fait ! on veut cerner = coller, le VErbe éaux Nénés, tout un poème ! On ne veut pas toucher à ce qui nuit, on veut toucgher à ce qui est qui nous protège ... des ennuis divers et autres cataclysmes de systhème ! On entre ! On est... FEmmes Fortes ! Femmes au taquet ! 

Branche d'aorte, fée des fées ! 

On monte ! on ne veut pas passer à côté de cette sorte de donnée accorte , type "porte", ouverture OVE , charge sur parole ! On est née Ove au vent des fées ! On veut monter = toucher , allouées, à cette sorte de données données de type Vérité de POrte ! Monter = toucher ! On est nées F2e sur pré aux Fées ! On monte sur ...?. eh bé Néné de la maréchaussée ... qui c''rst ? L'Attrappée Céleste ? l'Emportée Celte  ? Le Passé ? Ah , peut-êtte le Passé, en effet ! qui sait ? Le passé Celte comme "remonté" au niveau des pieds, pour marcher, aller, tracer, courir sans traîner sur ce pré d'herbe au milieu des bêtes ! ah, les Bêtes ! cfomme on les aime ! comme on leur ressemble par certains côtés ! On nenttre ! on fait Fée sur pré par nos membres : ailes nacrées ! ON veut toucher à cette sorte de donnée de branche, tracé né, vie des ombres sureprésentées, bêtes en horde, mulets, Verbe, TRacé en herbe d'un voyage sur Néné des Termes ! Qui on est ? ELLLES ! ELLES Au Passé c'est un fait acté ! on était , AVANT .... Elles , sur pré en herbes ! Nous voici re-nées en tznt qu'on est des fées sur pré des Elfes ! Vives Fées ! Chants sacrés des données celtes (célestes ?) et nous voilà comme remontées ou toutes remontées après ... eh bé peut -etre, ce N2né des termes tel que rencontré sur notre trajet ? ou sinon quoi ou qu'est-ce qui se pourrait si ce n'est Néné ? La Peine ? Le passé empêtré ? la Terre des plaines ? l'amputé du VErbe ? l'ombre sur Nez ? Pré ? Pré ambré ? On veut en vrai ensemble (ailes) cerner , cerner grave et sans tarder, les données célestes (sévères ?) qui sont celles d'une sorte de tracé de F2e sur paroi docte , genre néandertalienne ! On est pazssé sur Ombre ! On voulait aller , courir vers une sorte de muret , des données profondes, et du coup : toucher ! grave ! aux dits Nénés de Branche (s'il en est !). On est la Fée des F2es surnaturelles comme remontée sur pré en herbe pour aller téter sans traîner le Néné des Termes ! chercher = toucher ! On est ELLES sur Pré , chantant "comme qui dirait" le Passé TRacé des Données de VErbe ! Sa&inteté allouée à une sorte de passé des hErbes ! Chants du pré ! chants fols ! doux Passé des données tracées, on veut toucher à ces données du pré telles que rencontrées à la traversée ! les toucher = les cerner = les comprendre en entier et pas à mùoitié ! Cerner vif 

ce qui est ! Ne pas perdre pied s'il vious plaît mais creuser , creuser grave et sans traôiner, la Terre des Sardes, le pré alloué à une sorte de Passé de CHarge ! sillonné ! tracé = ancré ! PRé d'oombre portée ! On est ... Ombre ? on est ... OMbre et Fée ? Ombre docte à l'arraché et Fée des Fées sur Pré ? Hum ... on veut toucher à ce qui est en termes dfe données physiques, situées, ancrées, comestibles comme qui dirait ! Herbe sur pied = verbe scandé ! Chants des prés des données lucides ! chantts sacrés permissibles ! vives clartés sur piste ! vents des prés "artistes" ! chants frappés ! On est entrées ensemble (ailes allouéesl) , nous voicfi ... sales ? sardes ? douces et vives sur prairie acide ! On est nées Fées à la traversée quand avant on était Elles ou pas Elles mais Il, Homme ou FEmme isolée ? Charges nacrées , vent de terre au débotté, né pour être enterré et du coup renaître en tant que Fée Ailée post cimetière, ça le fait ! On voulait en vrai toucher de chrz toucher le TEZrme ! Les données en herbe genre Pré des TErmes = V Erbe ! vent des Fées ! un tracé sur préb qui pouvait nous mener tout au bout de l'herbe, près muret des termes, Trait de craie ! On veut toucher ! on veut Coller ! on ne veut pas laisser passer ce trait sans le connaiître en v  rai de près et le toucher, toucher à  sa ... drôle (?) de lumière si tant est ! Aller ! courir ! pousser ! comment tracer ? Comment faire pour passer ? On voit (en cemuret) le trait, le tracé, la veine, cettte sorte de ... "clarté souterraine" ... on aimerait enttrer, passer en tant que Fée et du coup connaîttre de près les données telles que rencontrées, présentées,n, portées, allouées à une sorte de ... pAssé en chaîne ? Trait des TRaits d'un temps passé ? ?Le Passéde Traîne ? lembarqué des données anciennes ? L'ombre sur pré serait en  vrai cette sorte en soi de Passé Tracé, Passé docte ? On veut (en tant qur F2e) connaître la POrte, le pasdsage HOT. L'Entrée ! Qui on est ? Hole ???? Hole = trou sur Porte ? On est F2e Forte ! Chants creusés sur porte on veut toucher ! On veut :

ALLER ALLER ALLER ALLER

DIRE DIRE DIRE DIRE

CREUSER CREUSER CREUSER CREUSER

PORTER PORTER PORTER PORTER 

CONNAÎTRE CONNAÎTTE CONNAÎTTE CONNAÎTTRE

SANCTIFIER SANCTIFIER SANCTIFIER SANCTIFIER

PARLER  PARLER PARLER PARLER

CERNER CERNER CERNER CERNER 

PARADER PARADER PARADER PARADER

COMPRENDRE COMPRENDRE COMPRENDRE COMPRENDRE

ALLOUER 

À une sorte de Passé en branche les données des prés = herbes naturelles, fleurs coupées, bêtes "mortelles", tracés, frai, ponts d'ombre, et ça sezrait le Tout Nacré tel qu'espéré ! On veut toucher à ce qui est qui se présente à nos ailes de fée ! Vent docte ! Souuffle accorte ! pets des pets ! Chants des donnéescomme saluées ! On monte ! on est mon tées ! on v  eut toucher à ce qui est qui se présente sous notre nez, et qui en vrai sezraéit ... eh bien, des Nénés ! Nénés de POrte ! chants de morte ! Pré passé ! ON ose ! on est lma fée des Données Hautes qui de fait veut en vrai toucher à ce qui est qui se présente olé olé comme une sorte de donnée de haute, Haute Volée ! On veut Ailmer ! toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher à ce tracé des Données Folles (fortes ? Hautes ? ) sur N2né post)-pré, dit (le Néné) "du Passé" ! On est fée des fées, on a envie en  vrai de pouvoir sans tarder toucher à une somme de données profondes, tyoucher en vrai , toucher de chez toucher à une somme de données qu'on diraéit "avérée"s , et qui pourraient nous en apprendre long en ce qui est de cette sorte de Néné donné après le pré, après la course au vent maéuvais (pet ?) sur pré, et , le pré passé ainsi, toucher de près à ce muret , à ce mur des finalités qui serait ce muret "des données anciennes", genre : 

Peines, Vezntre , Corps, Souvenances, Craintes, Enfances, Tracé dense, Pertes, Prières, Pas de danse, Colères. 

On veut ensemble (ailes de fée) pousser ! pousser sans traîner ! aller ! forcer ! comprendre = toucher à un muret "des souvenances ", le Passé tracé, l'Antre des Données telles que représentées ... dans le Passé ? On est Fée des Fées ! Fées des données denses ! On veut enttrer ensemble (ailes = ELelles) en  cette Transe - danse consacrée ! chaergger = dire ! On veut comme toucher aux données des Ventres, et creuser sur muret, ... eh bien peut-êtte, en effet, un trait, qui sait ? par où on pourraiot passer sans trop se casser le nez (ou les pieds ? ou le cul doré ?) et y aller, ensemble (ailes naxccrées) sans faire plus que ça de simagrées si tant est ! toucher = aller, passer, se glisser, passer le trait ! passer grave le trait = entrer = connaître = naîttre  = touchger à  ce pPassé des Données en herbe : Verbe ! Verbe Allé ! Verbe au Passé ? qui sait ? qui sait ce qui est ? qui connaît les TErmes ? l'embarqué polaire ? Le chants des sirènes ? L'onctuosité mammaire ? On veut en  vrai ne plus traîner maiçs grave en avancer en  cette sorte de muret aux données "dernières" il sembleraiot (le pré passé). Qui on est ? quii en  vraéi on est ? qui en vrai on sezrait ? qui en v  rai on pourrait être ? qui on serait sur herbe et aussi l'herbe passdée ? qui en  vrai on pourrait être qui , pour le coup, sembleraient "en être" ? qui  ? qui Du Terme sait ? Qui en  vrai connaît les données prochaines = dernières (post-pré s'il-vous-plaît) : l'Herbe ? Le lait ? le Néné ? Le Passé ? le Passé quyi de fait serait comme représenté, personnifié, par une sorte de Néné des Fées qui donnerait son Lait à la criée ? On veut aimer = dire = prendre = circonscrire, et cela , en  vrai pour ainsi dire = à la volée ! sur terre en friche ou pas en friche, l'important c'est (ici) d'aimer = toucher ! Faire prise ! Coller à)  c e qui est qui montre sa Frise ! Toucher frais ! Armer ! souder zon nez ! sonder ! sentir ! Vouloir passer ici (unj trait) son nez de Riche F2e Comme Consacrée ! On a envie en vrai ensemble (ailes nacrées) de se porter (qui sait ?) au plus près  ici de ce muret, de ce muret dit "des données de mise" ! toucher à ce muret, c'est faire preuve de lucidité , de cflarté active, sainteté sur rive ! Charger = dire = prendre = cerner = pîousser, au plus lointain, nos ailes soudées, pour en  vrai s'enfoncer, s'enfoncer de rage, entre les seins dits "de passage", et une fois les seins pasdsés, trouver un ancrage, une sorte de Place, un tracé non  forcément creusé mais une Place o^ù se poser ou reposer, où se mettresur pied, pouvoir regardezr, sentir, cerner, comprendre en vrai, cerner de chez cerner ... le VErbe ? L'onctuosité du Verbe ? Verbe de trait ? trait de VErbe sacré ? Perte ? pont des F2es ? fente aux collets ? Pré surnu:mèraire ? encore un pré ? encore d'e l'herbe ? on veut cerner = faire (pour le coup) amie avecd ... Elle, La Donnée Suprême ? Le LAIt FErme ?

"POussée ancrée porte sa misère sur un pré aux herbes " ; "Trait des traits sait ce qsui est en termes de Therme" ; " Vent mauvais sait donner son fait aux Fées en herbe" ; "pas de côpté sur pré, pousse une Fée à tracer des traits"  . "cris de joie font Gens des LOis " . "Pertes mortellles = Traits en herbe sur pré cerné " . "Gens doctes = Paroliers / parolières de Porte" ; "Poussée tracée = Connaissance ancrée " . "pertes des données faont La PArade des Fées Tracées " . "Connaissance allouée, donne le Vrai (du Vrai) à la Romance du pAssé" . 

On veut : 

COMPRENDRE = DIRE = CHZARGER = PRENDRE = CONNAÎTRE = TOUCGHER = BAISER = ALLOUER À UNE SORTE DE DONNÉE EN BRANCHE LE PASSÉ DES FÉES, CERNER = DIRE LES DONNÉES ACIDES OU MÊME ACIDULÉES DE CE QUI EST QUI SE PRÉSENTE À NOTTRE NEZ À RENIFLER : PETS , ? PETS DES OMBRES PORTÉES ? QU'EST-CE QUE ÇA SZERAIT ? QU'EST-CE QUE ÇA POURRAIT EN VRAI REPRÉSENTER, SDONNER COMME DONNÉES, NOUS FAIRE CERNER = TOUCHER ? ON EST FÉE DOCTE , DITE "DE PORTE" COMME QUI DIRAIT, ET DU CFOUP ON MONTE ! HAIUTE ! ON MONTE HAUTE ! ON VA HAUT ! ON EST FÉE DE PORTE HAUTE ! ON MONTE HAUTE ! ON VA HAUT SUR HAUTS ! HAUTS DE PORTE ACCORTE ! 

on ose !

On est Fée" du pré qui ose, ose aller !

On est la Fée de POrte surmenée (la Fée) et prête à trtraverser, du coup, sans se reéfréner , cette porte dite "des Nénés" ... tracer de chez tracer .... foncer ... creuser .... forcer .... aller au plus lointain possible après ce muret .... dans le vent soufflé ..../. forcer ! franchir ! voler ! tenir ! ne pas sombrer ! tenir encore et soutenir son corps ... 

aux ailes soudées ! contenir ! creuser ! passer ! aller en ces contrées comme saturées de vents mauvais sans lambiner , sans baisser l'échine, sans céder ! afffrronter la Vouyivre ! creuser creuserr creuserr sur Muret si tanjt est ! à travers les fluides ! Ancrer ! entrer = donner ! On a envie en tant que Fée P assée , d'aller loin chercher, ailée, le Mot des Fluides ttels qu'évoqués ! On a encvie de dire ce qui est, ce qui vibre ! traits de Fée sur Pré aux Nénés ? On veut : 

toucher à ce qui est ici qui se présenterait sans tarder, aller loin en ces cvontrées des données acides voire acidulées, comprendre un maximum de ces do nnées du vivre, du mourir, du aller, du prendre , du comprendre ce qui est, toucher à ces nénés dits de "contrebande", permettre à nottre nez de renifler pour ainsi dire les senteurs de l'ambvre, aller sonder la chose ici vqui se présente devant soi en tant que mot de chambre, Verbe Haut, Transe au niveau, Parades endiablées des TRacés Animaux et autres cavalacades au Lamparo ! Dire est une chose fluide ! Faire ? vive  ! on veut (du coup) : SONDER

FAIRE ET ALLER, METTRE ET PERMETTRE, TOUCHER DE CHEZ TOUCHER, FAIIRE AINSI QUE LES NÉNÉS DU VERNBE SOIENT POUR NOUS LES TERMES = LE THERME ! 

Frai des prés ! chants lactés ! vents tracés ! corps entioer ! vivacité ! 

On veut toucher à ce qui se présente sous notre nrez ! On veut ensemble grave toucher à ce qui en  vrai ici se présente, se montre aéré, se pose, se met en branle, donne son lait , veut aimer ! Creuser = dire ! toucher = montrer ! Comment en vrai représenter la Rive ?, comment dire et donner les données du Rire post-pré ? Qui sait en  vrai ce qui est de ce rire ? qui connaît la Mort , Le Port , l'Ancrée  ? Qui szait en  vrai situer les Do nnées dites "de la mort ancrée " ? Qui peut dire et situer, donner données riches, dires de fait, chants tracés , Verbe Lucide ? Qui connaît en vrai l'onctuosité du Rire Lacté ... Le Rire lacté ? qui connaît l'emprise dite "duu Padsszé et des Données Vives du Passé Donné " ? qui sait (pas pour de rire !) ce qu'est le Pré aux Fées, passé, traversé, dépassé ? qui connaît le TRait, Passage Fluyide , Verbe Acide, Toucher Vif sur Mur À frises ? On est la Fée du pré ou

Fée des prés

Fée Docte 

Fée Ancrée = Fée entrée 

Morte ? Non !!! Vive dans la mort donnée ! On est comme née Vive sur pré Alloué à une sorte de donnée de roche, post-mort d'Homme (genré) aux données de porte. Qui connaît ? Qui sait ? qui comprend ? qui a vu ? qsui est revenu ? quii a sondé ? qui a touché de fait au muret post-pré, post-ombre, post-morteme des ombres ? Le Tanné ? le Petit Poucet ? le gentillet ? le Collet monté ? le berné des enfants bernés ? l'animal sacré ? Le passé Donné ? lze  "pas assez donné " des fionalités ? On est Fée faite Fée de vTraîne ! On veut : gravir grave ! sonder de chez sonder le Ventre ! l'antre de Parade ! Charge frontale dite "ventrale" ! le Passé des Ambrassades ! ventre contre ventre ! chants d'écran ! verbe sarde ! paradis blanc ! vie des vies post-chants de Grave ! Frondaison saison ! On veut :

COLLER AUX NÉNÉS DES DONNÉES FINALES = COMPRENDRE VCE QUI SE PRÉSENTE EN TERMES DE DONNÉES DE RAGE, DONNÉES DOCTES, SUR PORTE DES PORTES. 

oN est  nées Fée de Roche ! Ronde bosse ! Crzeusement d'époque haute ! sainteté de roche accorte , fée sur pré de Roche des Données Profondes. On a envie en vrai d'aller chercher de chez chercher le terme qui pourrait (qui sait ?) nous informer , nous donner donnée, nous donner de qauoi pour le coup cerner , les données qui pourraient comme nousz i,ndiquer, de fait, ce qui est, en ces "terres" de fée, terress allouées à une sorte de tracé en herbe : Verbe ?, et comme consacrées par une szorte de di vinité qui sezrait là à toujours mater et  l'herbve du pré et lrsz bêtes qui sont dessinées , gravées comme à main levée ! On veut toucher ensemble à ce qui est qui se présente en tant que né2nés ! voici le Lait ! L'ombre portée d'une sorte de Divinooté lactée on dirait; est-ce que c'est  ? est-ce que cette chose en vréi  ... est ? existe ? nous r egarde ? veut ou voudrait nous "prendre", npus rapter à la retombée, nous absorber, nous avaler comme une sorte de denrée des prés : herbe ? herbe verte ? herbe desHerbes ? herbe sur Pré surnuméraire ? herbe-Verbe ? On veut (on voudrait) cerner ici (de près) cette chose ancrée, toucher aux nNén és c 'est un fait !

OPn voudrait ! on voudrait en  vrai ! vrai de vrai on aimerait ! On voudrait toucher ! toucher de chez toucher ... aux Nénés de l'Antre ! On est F2e des prés tracés , on est accolées en tant qu'on est ... les ailes d'une Fée Tracée ! Ailes soudées ! 

AILES DES FÉES ! AILES CONCRÈTES ! AILES CENDRÉES ! AILES "SURNATURELLES" ON DIRAIT ! ON EST AILES DE FÉE DONNÉE ! ON EST NÉES AILES = ELLES LA MORT DONNÉE ! FI DU FILS ! FI DE L'HOMME-CORPS ! FI DE L'OMBRE SUR LE CFORPS ! FI DU TEMPS PASSÉ ! FÉE ! FÉE DE RAGE ! FÉE NÉE AÉU PASSAGE ! CFORPS MORT ! CORPS DE PASSAGE MORT ! CORPS MORT DIT "DE PASSAGE" ! CORPS DE PORT ! 

 on est fée des  prés  allouéxs  à  une  connaissance des données suprêmes ! on est la fée de l'herbe = du Verbe = du pré = des données de verbev= données vraies ! Verbe au taquet ! Verbe svelte, va et vient  sur herbe comme pour (en vrai) traverser ferme les données allouées à une szorte (ici) de trait dit " du muret". 

On estb la Fée post-cimetière, l'emportée, colère ! née comme à la retombée on veut tracer ! courir et sauter, sautiller, danser, ne plus se reconnaître en tant que f2e mais y aller dans la .... déconstruction de soi et de son passé , si tant est ! Aller = dire = plonger = permettee = faire = comprendre = prendre = sonder , = sonder le trait ! passer ! passer ! passer sans tarder ! tracer = passer !passer = tracer ! ! tr acer Tréit de Rage ... Teait des tRaits de Passage ! passer Nez ! Nez passé , aller, pousserr, entrer plus avant en ces catacombes cendrées , creuser la Roche et traverser de fait les données données ! pousser Hautes les Données du pré telles qu'emportées ! et y aller = pôussser de chez poussszr sans plus lambiner afin de pouvoir ... travezrser la Chose, d'une sorte de Muret (des Finalités) post- pré ! Et voir de l'Autre C^-oté ce qui est en termes de ... Nénés ? qui sa it ?? de nNénés nés comme à la traversée ? ça se pourrait ! qui en vrai sait ? Qui sait ce qui est ? qui connait le VErbe ? les denrées du Verbe : Herbe ? Lait ? lait de l'Herbe allouée ? Lait d'herbe ? Herbe de lait ? herbe à lait ? herbe-verbe à lait cendré, nacré, tracé, aimé ? On aime !!!! On aime le lait !!!! on aéime l'herbe ! on aime aimer le Verbe vdu Trajet, du Tracé fait, du sentier aux données, du passage docte et autres traits par où passer (de porte!) . Aimer = sonder = coller = do,nner = faire = charger = pousser = fondre ! 

On veut (de fait) en tant que fée : 

ALLER SUR ROCHE TRAVERSER

COMPRENDREC LES DONNÉES ACTÉES

POUSSER LA PORTE D'UNE SORTE (IL SEMBLERAIT) D'ENTITÉ LACTÉE

CHAUFFER LES DONNÉES

FONDRE LE PASSÉ, LE CORROMPRE

ALLOUER À UNE PORTE (DITE '"D'ENTRÉE") LES DONNÉES DE ROCHE

COLLABORER EN TANT QUE FÉE AUX RECHERCHES EN HERBE ET AUTTES RECHERCHES SUR PRÉ

TOUCHER LES NÉNÉS

GRAVFE TOUCHER LES NÉNÉS

CERNER = PISTER = CONNAÎTRE CE QUI EST ET LE DONNER À  CEUX ET CELLES QUE ÇA INTÉERESEE ! 

toucher -dire = pister-faire ! Qui sait en vrai ce qui est qui ici nous attendrait le pré (de la mùort donnée) pâssé ? Le curé ? l'ombre-hombre ? cotrps passé enterré ? La Machine Folle ? le Passé des Données Tracées  ? Le Pendu au cul ? L'attrabilaire des cornus ? On est Fée vsvelte : on court on vole ! on ne s'en lasse pas ! on est fine élancée nacrée acidulée accorte montée ! Fée des Données Fortes = folles ! Données des Données , on connait ! on voudrait partager ! pousser (pour ainsi dire) le Tracé de Fée sur .... du Passé re-re-membré ou comment dire ce tracé ? comùent s'exprimer ? comment révéler ? aller sur pré, poser ses pieds, p ûis s'envoiler, monter, toucher de chez toucher, au plus haut possible, le Haut des FRises, le POteau ! le trait né ! le chant lacté ! la la la des rotonditées comme traversées ... par le Haut ! Haut POteau du trait Haut ! Contrer ! toucher ! accoler à ce haut des Hauts son museau, petit nez de Fée consacrée, cherchant issue de base à pouvoir emptrunter comme à la parade , 

PARADSDE AUX ANIMAUX BEAUX 

PARADESZ AUX ANIMAUS DE PEAU

PÂRADES SARDES AUX BÊTES DE MOTS

PA RADES DE MOTS SUR PAROIS DE GROOTE ... DE PORTE ?

Aimer ce qui ici se met en branle en termes  de bêtes "comme à la parade " = toucher Termes des Données de base ! On veut ou on voudrait en vrai pousser (au plus profond) nos recherches pour des connaissances ! passer pré ! oh grave ! aller bien après le pré des rages, pré des bêtes-mots,  des dessins d'animaux, parades notoires, oripeaux, boucs au trot, et , au-delà de ça, eh bé ............................................................................................................................................................... tracer gravce ! travezrser "la lande " , pousserr au plus lointain notre sorte de promenade .... des "confins", sarabande ! On est En Bande ! Bande D'animaux ! Transe ! transe de peaux ! Fée-Bêtesz au Passé d'être et autres Fée des Fées de Fêtes Animalières sur Paroi  aux mots ! Chants Cotés ! Cris des prés ! sang comme    possédé ! Animaux des prés sont Bêtes Lactées ! Vives et Accolées ! troupeau ! troupeau dit "de mots" = Veaux d'Eau ! fond de Roches sr Paroi de poche ! On monte ! on monte par nivrrau ou comme par niveau les marches de Roche ! Porte par porte ? On est Hautes ! Fée Haute sur Paroi Des mots , soit des mots-animaux tracés au cordeau ! porte / ponte ! Chyants d'oiseaux ! corbeaux ! serins ! merles et moineauxd ! chants d'oiseaux au to nneau ! porte docte ! on veut coller à cette sorte de donnée ailée qui bnou!s ressemblerait comme deux gouttes d'eau .... du tonneau ! Peau des peaux ! Porte Docte = porte folle ! On monte ! on monte le Haut du Tonneau d'eau forte ! eau de vie de l'ombre ! chalumeau ! cordeau ! possession de roche et autres feux sacrées de poche , et autres feux sacrésc de poche ... au lamparo ! On est la Fée des données Hautes, volant, allant, voletant sur roche vers l'Entrée profonde ! Traéit aux Bêtes-Mots des Données de poche, ou autres. 

On veut en vrai toucher de chez toucher la Porte ! Comprendre haut. POrter Parole. Voir / savoir les données hautes. Toucher = loucher ! Voir Haut ! Toucher haut Le Verbe d'Eau , l4ombre de l4ombre ! Chalumeau ! ........................................................ toneau ........................ porte ...................... colle ................................................................... pinceau ......................................................................../................................................................................................................................................... chant d'oiseau et autres chants des données hautes ! .................................................... vols hauts ................................ vie des mots des données fortes (folles) et autres mots de trop ........................ corolles ! On veut aimer = dire ! prendre ! scharger ! comprendre grave  et le plus possible de donnnées du pré et, au-delà du pré, du muret, du muret post-pré, du Trait alloué à ce muret dit "des finalité"s  . ON est La Fée qzui veut cerner (de près) les données donnéesz par une sorte de muret des données profondes ou aux données profondes, soit "hautes", enfoncées ou engoncées, ancrées de force (? ) qui sait ? On veut de fait entrer ! aller sur néné tracer, peut-être, les données données ... ou bien juste ... téter ?? Dire le Lait ? traire ? pousser ? coller son nez ! ses l!èvres ! BHouche édentée ! téter de chez téter le n2né en Herbe de lza MOrt Ancré (surnuméraire ? alimentaire ? Sainteté Lactée des DOnnées FErmes en termes de do nnées tracées dites "de Vérité" ? ) . On a envie ... on aurait grave envie .... on aéurait grave envie en vrai ... d'aller téter , "au passé" (?) Le Néné post-pré ! toucher ! toucher au néné post-pré ! grave toucher pour mieux téter et dru cfoup (en vrai) s'alimenter pour pouvoir durer = perdurer = poursuivre, sur  "notre lancée", le chemin des Ombres ou sinon des Ombres des Clartés comme Acidulées ! Hautes ! Clartés Hautes des DOnnées de ROche, de ROche PRofonde et autres ROchesDes Entrées PRofondes. POinter ! toucher le néné au point lacté ! pile pointer ! allouer du Verbe à du lait si tant est = tracer, au débotté, les mots de l'Ogre , du Passé Nacré, des Omb resc sur Ombres, Du passé Acidulé d'un e sorte de Donnée de force ou d'un Passdage en force, sans trembvler (?), sans chercher à plus que ça se dérober mais de fait eh bé .... y aller ! poussezr de chez pousser ! ne pas s'arrêter maéis, au contraire, filer sans traîner ni stopper ni se dérober ! Pousser copmme qui dirait du "blé en herbe" ! Les données du pré ! L'Herbe verte du ... Passé ? Qui sait ?? qui connaît l'Être , le TRacé de l'Être ? Le petit Poucet ?  Le petit "chat botté " ? L'ombre souterraine ! L'Ampoulé du Verbe ? le prêtre ? 

oN cher che ! on cherche sans fin ! on veut toucher ! on aime ! on veut cfoller ! coller nez au muret et aussi renifler et aussi comprendre ! pisser ? aussi pisser ! chier ? aussi chier ! coller son nez à la rembarde du muret des Alpes ! On aimeraéit graver, ici muret, comprendre = toucher = dire  = passer, ert nous retrouver (accolées ) de l'autre côté ... encore fée ? encore ailée ? encore 

en forme de fée qui seraiot comme allouée à un nouvreau pré si tant est ? On veut :

DIRE DIRE DIRE

LE PASSÉ PASSÉ PASSÉ

DE CE QUI NOUS ATTIRE TIRE TIRE

ET NOUS ÉLECTISRISE TRISE TRISE

SANS NOUS ABÎMER BÎMER BÎMER

ET NOUS ACHEVER CHEVER CHEVER

SUR NOTTRE LANCÉE LANCÉE LANCÉE 

FRISE AU TAQUET, CORPS DE DONNÉESZ, PORTE CENTRÉE, PASSAGE HOT, VENT MAUVAÉIS (PET OU GENRE DE PET)

On a méga envie de passer ici à travers ce muret, afin de pour le coup enfioin cerner les données du TRou, ou de ce qui, peut-être (en vérité), serait un trou ou sorte de trou aux donnéees vprofondes, soit fiables ! regarder, c'est voler ... mais pas que ! C'est aussi ... toucher ! toucher de près ! toucher de chez toucher = passer = donner = prendre = comprendre = sonder = pister = pondre = ne pas lambiner mais grave foncer de chez foncer au-delà du Trait, de la Porte Haute, direction (qui sait ?) les Nénés Post-pré, eyt§, éau-delà, la .... Mort comme saturée de .... de Passé ? De PAssé de Coprs ? De' passé de Corps Morts ? On veut .... .......................................... chanter - charger ! .......................... dire-donner ! ............... donner -rire ! dire-rire ! vivre)-rire ! et passer ! .................................................................... traverser ! aller ! souder ! poser ! porter ! cerner ! aller de rive en rive post-pré aux données vives ! charger = vivre (dans la mort active) une sorte de dérive ivre ! Forcer ! pousser ! poussser = forcer ! forcer-pousser une szorte de rire , dès l'entrée sur rive ! traverser ! courir ou voler ! maiçs tailler = se tailler = chercher à (pour le coup) cerner, après le pré, la Rive Cendrée, la vague Nacrée, MEr donnée ! Donnée des Données ! Porte Allouéeb à une sorte de Donnée De ferme ferme ! Possésdée ! comme grillée ! chantée peut-être ! soulevée ! vaguelettes sur Passé olé olé ! on dirait ! mais est)-ce que c'est  vrai ? est-ce qu'en vrai la mort (les oubliettes)c'est la mer (la merde ?) du Passé ? Cran d'arrêt ? Sainteté des saintetés Nacrées, genre Mer Cendrée ? On veut en vrai toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchert toucxher toucher toucher toucher de chrz toucherb la grève ! le muret et après : la merde ? Mère accoléec ? Mer des prés , du passé muré ? mur des Acidités, dees Données TRacées, du Passé Caché,, consacré, enfoui, ôté du pré mais comme rangé passé le muret sur une szorte de jetée du Verbe ! Je tée des jetées ! Jetée des Nénés ? Jetée ferme ! On veut toucher ! on ne veut pas s'arrêter, on veut co ntinuer. On na envie en tant que fée du pré de traverser le"dit muret des find de Règne " (comme qui dirait) et là, une fois passée, fée ou pas fée, cerner = comprendre ce qui est .... une jetée ? une sorte de je tée ? une sorte de mer allouée à une sorte de Passé en herbe ? Mer donnée allouée à du VErbe dit "du Passé " ... Verbe à ailes ? Verbe ailée ? Verbe d'Elles ? Des données Données Souterraines  ? On aimeraéit peut-^$ette (ça le fait) toucher, toucher à ces Données en herbe, à cette sorte de Jetée telle que présentée, à ce muret pâssé puis au tracé sur terre de la vie cachée ... ? tracé né ! tracé post-pré  = post -post mortem s'il en est ! On veut en v rai coller à ce tracé dit "des Nénés" tels qu'ils nous apparéiaitraient post-post mortem à jamais mais qui le sait ? Qui sait ce qui est en vrai, ce qui ici se dessinerait pour ne plus nous quitter en terme de données données genre "théorème", "tracé des tracés", "vie des fées post-pré", "vérités des vérités en branle" . Le Passé serait, qui nous attendrait sans traîner. Un passé de contrebande. Passé des passés. Passé Haut sur Mer Allouée à une sorte de Poteau de Mots ! Cornes folles ! chants d'oiseaux ! paroles paroles ! On est la Fée des Corps Nouveaux, sur pré accorte, puis plage de roche aux vague s de cordes. Port ! Port nouveau ! Port des ports nouveaux ! POrt-La-nouvelle sous peau ! Corps d'or au caniveau, et nous voilà (en tant que renouveau) née Fée au cordeau ! chalumeau ! passage Haut! traversée des Peaux, Langes, Draps, draps de corps et autres linges de passage d'ange .... dans un pôrt ! Haut des Hauts ! poteau ! poteau d'eau ! on monte ! on est hautes ! On est la Fée des Hauts ..... Haute ! On est la Fée Hzaute ... des HAuts Niveaux ! on est passé ... pâr la parole", sur port des peaux ! Haute ! on est Fée Haute post-préau ! passsage accort, trait de la mort, entrée du cvorps mort et hop .... chalumeau ! cendres au tonneau et Verbe au Poteau ! colère ! Entrée svelte et du coup on guette ! On mate (grave) ce qui se présente en termes de mots, de mots d'eau (?) , mots doctes de Porte, mots des MOts. On est la F2e post-pré aux mots (bêtes de peau) qui, de fait, cherche en vrai, à ne plus s'arrêter de voler mais, au contraire.... va au plus lointain ... verbe-MÈRE, trait lointéin des tracés du verbe ! car, le Passé est consacré

LE PASSÉ EST CONSACRÉ

LE PASSÉ COLÈRE

PASSÉ COLÈRE

LE PASSÉ COLÈRE EST COMME CONSACRÉ, LE PASSÉ COLÈRE EST COMME (DE FAIT) CONS&CRÉ, PASSÉ PASSÉ, PASSÉ NÉ DE LA COLÈRE D'ÊTRE COMME ... CHAHUTÉ, BOUSCULÉ, TOUCHÉ, TOUCHÉ DE CHEZ TOUCHÉ, TOUCHÉ BLÊME ! ALLOUÉ À UNE SORTE DE POÈME DES DONNÉES DONNÉES ANCIENNES ! VERBE NÉ SUR PRÉ POUSSE SES DONNÉES JUSQU'AU THÉORÈME DE TYPE "J'AIME", "J'AIME LE  BLÉ ", "L'OMBRE DE L'OMBRE", "LE PASSÉ ALLOUÉ" ... À UNE SORTE DE DONNÉE D'ÉPOQUE NÉANDERTALIENNE COMME QUI DIRAIT ! 

On veut toucher en tant que fée , à ces Nénés dits

 "des données acerbes" , "du passé des données", "du Théorème acidulé" ici ancré dans une sorte de "je t'aime" saturé, super tracé ! On aime ... les Nénés (c''est vrai) mais aussi l'herbe ! le Passé en herbe et a&ussi le léit ! l'herbe à lait ! Théorème né"andertalien des données de porte, forme docte, donnée haute, permissivité ! On veut comme coller en tant que fée à ces nénés de roche ici tracée : porte ! hautes bêtes ancrées ! hautes données ! hautes et chaudes animalités dites "de roche-" : auroches ! auroches des prés ! aurochs et auroques soudées ! sondées ! tracées ! gravées hautes ! sur paroi de "porte"  ceinturée ! On veut ou on voudrait en vrai toucher de chez toucher à cette poerte des données profondes, le tracé du traéit est un tracé de porte, on savait ! disons qu'à présent on sait .... car, on est F2e et la Fée sait , qui connaôt la Roche, le Pré, lae Muret, Le Passé outré, la Parole Haute = Docte , le Néné ça le fait et aussi le Lait, Lait des prés et lait le pré Passé = le Passé de Porte, Passé des passés, Mer Haute des données post-roche, Méditerranée comme qui dirait ça se pourrait ! On veut toucher en tanjt que fée à ce qui est qui (ici même : pré aux fées) porte Parole, veut tracer, s'ancrer, rester ou demeurer sans plus bouger = s'immortaliser ! qui sait ? Sur pré, la Parole est docte .... au-delà ? on ne sait ! on veut cerner ! on voudrait et cerner et dire, de fait, ce qui est qui nous apparaitrait "sans faute" à jamais ... mais .... comment s'ancrer ? comment toucher à ce néné des ombres ? comment perdurer dans la recherche (active) des doonées vives ? On veut : 

DIRE DIRE ET DIRE

CE QUI EST QUI VIBRE

SOUS LE NEZ DE L'HYDRE 

Toucher = verbaliser pour ainsi dire. Charmer = vivre. Dire = cerner , de fait, ce qui est qui respire (en ces contrées) en termes de ... vouivre ? vouivre serpentine ? Vivre serpentine ?  = un trait, au jugé ? une sorte de tracé de vivre = vivre dentelée ? Qui sait parler ? qui sauraéit dire ? qui en  vrai sauraéit nous instruire sans nous tromper et nous éclairer sans plus de triche ? qui ? On éimerzait savoir ici ce qui est qui vit, qui bhouge ou bougerait, sans nous aimer, sans nous aider, sans vouloir nous indiquer la (bonne) marche à suivre jusqu'aux ... nénés ? "Nénés Druides" ? "Nénés fluyides " ? On est passées le nez devant, sans plus traîner au vent ! on veut en vrzai coller aux donnée s sardes ! Les toucher de près ! tracer (sur muret) nos noms de Fée : Airelle Possédée, Chantrelle Accolée, Pastrelle du Blé, POutrelle au Taquet et autres Noms dOnnées De type "Collet", , "Colle

t Monté". Fée sur Pré ravive le dire Sacré, c'est un fait, et pousse à rire ! On veut graver les noms du Rire ! percer = toucher = comprendre = donner = faire = entendre = percer = dire = cerner = pisser ou (on dirait) pisser = pisser du lzait ! pisse adoubée ! lait de roche ! donnée haute sur paroi d'époque ! le tracé est tracé de porte : auroques ! le bison -tronc ! bouc et bouques-bouches ! On ose ! On est osées ! On est cfomme Hautes Osées Fées de roche ! porte d'entrée sur un côté on y va pour frapper , espérer, espérer entrer, être acceptée, être rencontrée, être peut-être même comme "invitée" à regarder là-bas (derrière ?) le ... Passé ? Les Nénés ? Le Verbe ? l'onctuosité du lait de Verbe ? L'ombre saluée ? Le Tracé aux Fées et autres types de tracés vénères ? Charge sur Passé de Dames ! congratulités ! sarabandes ! possession ancrée ! plantes ! fleurs ! tiges de fleurs !! pétalesz ! touché ! toc-touché le Monstre ? touché ! comme en vrai on aimerait toucher, toucher sans hésiter ! toucher à ces Nénés de lo'ombre ! tracer = donner ! dire = poster ! coller = faire ! dire et coller ! dire et monter ! charger = cerner  ! perdre = faire ce qui est qui nous soulagerait ? On veut : 

être sur pré la fée .... puis monter de chez monter  direcvtion un muret , muret des murets, mur au tréait ! et du coup passer ! à travers le trait ! passer -être ! être-passer ! coller son nez et comme renifler avant de pour le coup passer au jugé , comme à l'emporté, dire-passer ! pazsser-dire ! p ôusser = entrer (par le dire de Fée) en cette roche des données dernières .... et ... regarder sans tarder ..... les données "entières" ...... fugacités ....... portées d'ailes .......... pointes acérées .............. colèresd des données sévères /....................... passé ........ le passé celte ........................ tracés des tracés .................... pertes ................................................... VErvbge en herbe .............. contrées des contrées ............................. comme "chapeautées" par du Verbe en herbe , genre Lait ...................... lait sucré sacré ! ...................................  à votre santé ! pré ! pré passé ! pré des prés passé ! traversé (à grandes enjambées) et nous voilà ailées arrivées, sur roche-grève, prêzte à .... cerner ? tracer-dessiner, à main levée ... ce Verbe pôst -pré de type "Néné_Verbe" , ohé ! ça porte ! ça rapporte ! ça emporte ! çàa le fait ! ça donne ! c'est un trait de roche ! trait sucré ! on ose ! On voulait en vrai y aller et voilà, on veut en vrai (de chez "en vrai") tracer-toucher à la Parole dite "de POrte" on dirait .... PArole -Roche ! traits tracés au pied levé par Homme-Femme des Contrées de base : néandertéaliennes nées, néandertélie"ns-nés, Homme et femme au débotté ici associées car, Ombre Portée sur Paroi Létale ! un tracé ! une donnée ! une porte d'entrée ! un trait ! voilà, un trait et ça le fait ! trait d'or ! trait des traits ! trait de Roche Allouée à une sorte de passage en or ! Pré -consorts ! port ! port-sur-mer nacré ! Fée ! Sommes ! trait !  port des ports cendrés ! on monte ! on est raccord ! accolées ! = ailées ! deux ombres pour une fée et ça fait la fée , fée d'oor ! Fée du pré passé, des données profondes ! On est comme percées ! touchées ! collées ! tracées ! montrées ! bousculées mais on est entrées et on porte ! , loin, nos ailes nacrées ! envolées ! hautes ! Homme mort tombe ! fée née s'envole ailée vers d'autres destinées que celles (terreuses) de l'homme dit "tracé", .... drôle ! Haute Fée de Porte, centrée , pousse Haut et Ose, porte, pousser ! et du coup enttrer ... et .... mater ! mater de chez mater Mater  (prononcez "ma terre") ! Air de Fée ! Sons de cloches ! un trait ! une sorte de Parole Haute ! Fée des Fées de Roche .... porte , en vrai, son Ombre Nacré jusqu'au bout du pré, Néné  ! ah Néné ! Néné né ! Néné des Nénés ! à teter au-delà du pré, à bien téter pour bien s'alimenter ! se requinquer ! tracer !pousser au loin la chevauchée, le treacé-trajet .... en jetée ! jetée des jetées ! je tée 

des jetées jetées ! aller au plus profond des dites

 "données alouées", allouées à une sorte de jetéee ... qui le sait ? Qui sait (de fait) ce qui est ? Qui veut dire en  vrai , donner, offrir, dire de fait ? On ...

On est la F2e du prétracé ! On est fée des fées sur pré ! on est (dans la mort) Fée , prête à tracer, sans traîner, vers ... Mamelon ? Petit P°atapon ? Lampion ? Oignon  ? "Om" du carré des Troncs ? Aller-charger ? Prête à dire-coller ? à tracer (au-delà du pré) les données allouées de fait à un tracé de type ... "mamelon" ? toucher -dire, faire-aller, donner données, coller, aucx Nénés du Dire, les Données du Rire ? pousser = pointer ! Faire = charger ! Fée des Fées on est .... jusqu'au rire alloué à une sorte de "dfonnée active" cendrée (?) et cfomme enterrée (?) qui sait ! Pro-hydre  ? On ne sait ! On veut :

TPUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER À L'HYDRE ET SES NÉNÉS ! ALLOUER AUX NÉNÉS LE LAIT ACIDULÉ ! VIVRE ! VIVRE TRANQUILLE DANS LA MORT ACTIVE PRÉ-HYDRE ! COLLER (DE FAIT) AUX NÉNÉS DU TIGRE ! VIVRE = COLLER = CERNER = PISTONNER SANS VRAIMENT RÉELLEMENT TRNAÎNER MAIS GRAVE FILER ! FONCER ! FONCER DE CHEZ FGONCER ! NE PLUS S"'ARRÊTER ! TRACER DE CHEZ TRAVCER ! COLLER AUX NÉNÉS DU VIVRE "TRANQUILLE " À JAMAIS OU COMME À JAMAIS ! VIVRE = DIRE, LE TRACÉ, L'EMPRISE, LE TRAJET, LA PRISE, LES NÉNÉS DE L'HYDRE ET AUTRES DEONNÉES QUI PRÊTENT OU PRÊTERAIENT À RIRE (GRAND RIRE) SUR PAROI (DU VIVRE) CONSACRÉE !

Aller = tracer, dire = donner, pousser = charger ! Qui est qui en ces contrées du Rire cloisonné? Qui cerne ? qui porte ? qui comprend Le Verbe de POrte ?  Les données dites "acidulées" d'une sorte de ... Néné du Rire ! Qui compte ? qui sait dire et rapporter le dire sur paroi de  roche ? qui va loin dans les données et sait treacer comme à main levée les données trouvéezss ? bêtes allouées à une Vérité, bêtes-mots tracés, chants hauts, mots de trop , verbe de peau ! 

On est la Fée des Fées des oripeaux , du Verbe Haut comme portés ! Hautes Fées des c^oteaux ! fée du Pré  des prés ! Fée haute genrée = ailées = segouinée de par les ailes ainszi soudées ! ELLE ! ELLE DE FÉE ! Elle belle ! tr&it acidulé ! Chanteclaire, va nu pied, ferme, de ferme en ferme ! On veut toucher à ce Néné des données donées post-mortem, et ... re-nâitre à jamais hors pré, hors E^tre, sur Passé post-pré ..... dans une sorte de contrée De fée ... Air ! Air alloué à une sorte de contrée-Mer ! MerSoleil, 

Mer Air ! Mer Jetée ! Mer Elle ! Mer de fée Postée ! Tracé, d'air de mer !Pré ................................................ pré /................................................... pRé ............................................................ pré des prés post mortem , qui sait ? ........................................... genre : pré-mer ? ........................................./............................... mer en herbe donnée ? ................................................. mer cendrée ? ........... possédée ? ..................... prise sur le fait ............. ? .....................././............/................................... allouée à une sorte de donnée des données cendrées ................... poussées ...................................................................................................... contrée des contrées cendrées ? .......................................... mer des mers touchées ................./.........................olé olé ..............................................Morte et enterée ? .....................................Le Passé ? ....................................../........................... une sorte de passé montré ? porté ? donné ? rapporté ? remonté des dites "catacombes"d'une sorte de Rotonde ? ......................... un passé ancré ? ................ Une sorte de passé de porte ? passé docte ? traits d'ombre ? vie des prés sur ppied ? Ombre sur Néné et ça fait son effet ou son petit effet de Porte ? Vrai ? .................... ombre nacrée ? Chose sur pied nous verrait aller, tracer, voleter (de r(oche en roche) en ces cxontrées post-porte ! mer méditeérranée ou autre  , mer Égée, MEr morte, MEr Donnée aux Fées de Roche pour .... creuser , de vague en vague, un savoir léger, comme en vrai ailé, genre "sainteté", "sainteté des saintetés" ..... On veut :

eh  bé ............................................... tracer ! ................. filer-foncer ................................. pas nous arrêter .......................... =chercher , à ici cerner = entourer  = circonscrire ................................ une sorte de paroi de roche avérée .............................. vraie .................. native ............. sou dée ... aux Nénés de l'Hydre , qui sait ? .......... vive ......................................... coller ! ............ donner ! ................. p ^)ousser en vrai jusqau'à cette (sorte de) ......... RIVE VIVE ! Rive des RIves ! ....................dès lors allouée ou comme allouée à une sorte de dérive ivre ...................?............... une entrée dans l'antre ................... un pass age acté .................. trait passé .................. poussée du vide comme qui dirait ............ENTRÉE DEES ENTRÉES ..... POUSSÉE DES POUSSÉES ........ RECHERCHE S CONCENTRÉES ....... RECHERCGHES SANS TRAÎNER ........ DE DONNÉES ACTIVES, DE PASSÉS VRAIS, DE DONNÉES RICHES CONCERNANT LA RIVE, LA JETÉE, MER ACIDE, MER CDES DONNÉES, MER VIVE, TRAÉITS DE VAGUES  SUR TRACÉ, MER ALLOUÉE À UNE SORTE DE RECHERCHE ACTIVE HORS LA VIE À VIVRE SUR TERRE DE TRAIT........................... MER GENRÉE COMME QUI DIRAIT = IVRE ! ......... TRAIT DES TRA&ITS = CLARTÉS ! CLARTÉS DITES "DES CLARTÉS", "DES CLARTÉS VIVES" ..................... PONTS DES FÉES = PONTON ....................... SUR VAGUES CENDRÉES , NACRÉES, VIVES DE CHEZ VIVES , ............... LE PASSÉ ACTIF ..........................LE PASSÉ ACTÉ ..................... ENCORE ACTIF COMME QUI DIRAIT, VIA ICI UN TRAIT, TRAIT "DIT",, TRAIT DONNÉ, TRAIT DES TRAITS DE RIVE, POSSÉDÉ, ARMÉ, ALLOUÉ À UNE SORTE DE PASSÉ DE RIVE, PRÉ-ANCRÉ, PRÉ-FÉE .................... RICHE, DE DONNÉES DE RIVE .............. TRAIT DONNÉ VENU (COMME QUI DIRAIT) DU PASSÉ DE RI VE, PRÉ-FÉE, PRÉ-PRÉ-FÉE ........ PRÉ -ACIDITÉ ....... PRÉ_CHAMPS DE BLÉ ET AUTRES SORTES DE PRAIRIES,  DE ROCHE VIVE ! PRÉ DES PRÉS TRACÉS ! 

On est : 

fée des fées sur pré alloué à une vérité active

fée grise des dopnnées acides

 fée du pré post-calamités et autres atriocités des données promises

fée vive au taquet une fois actée = ailée 

fée sur prise

fée active aéllouée à une destinée en rive = ivre

ivre fée aux données genréesz , soumises à une Vérité Tracée , de type "Hydre" .....

Fée Docte de bonne Parole,; Bonne Et Haute P arole sur Paroi de Roche

Fée des traits de porte et autres "Passages Hauts" pour passage d'hôte ,! Préau !

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28/11/2024

On est qui ? On est Fée ! Fée des ombres portées ! Saints de Satiété et autres saintes soulevées ! Chants d'ombre ! on veut toucher-cerner à ce qyui est qui se présente devant nous ! Cerner-allouer, à un trait, les données du monde. qu'est-ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait , qu'est-ce qui est ici qui va et vient et semble vouloir nous parler . On rentre = on va , sur ppareoi, chercher, ensemble, les données profondes. Ailes au taquet savent voleter ! aller et virer, cerner et toucher : enttrer en "rotondité" ! On edt nées Fée comme "à la ramaqsse" = au jugé, sur piere des fées. on veut ensemble s'il-vous-plait aimer , aimer aller, fonvcer, tracer, chercher à comprendre ici les données, les données de base. Qu'est-ce qui est qui nous regarde ? qu'est-ce qui est qui nous embrasse, comme qui dirait ? On cherche en semble (ailes) des données, et ce s données sont : 

RAge, Foi, Traits, Envoi, COlère, Charge Frontale, Seins des Fées et autres seins de Reines allouées à une sorte de denrée lactée , genre Lait ou PEtit Lait .

On est nées Fée sur roche traversée, et à présent on cherche à cerner  

les fonds de pré, les vivacités, les envois de gré ou pas de gré, les  remontrances, le chant des Balances, le TRacé de près ! Charge ! Charge au frais ! Traces mentales de données de Rage ! Qui on est ? peut-être la Fée dite "des parades" ... boeuf de pré, Bisonnne avenantes, Saintes Satiété ! On chzarge = on entre ! on veut (grave ! grave de chez grave !) entrer sans reculer = tracer, foncer, tracer vers les nénés = foncer sur pré comme à la parade + cgharger  = aller, sans traîner, vers une Déité des données Allouées à une sorte ivci fde "Vérité des V2rités" . On est Fée des Fées ! On monte Carosse  = on monte sur paroi des Ombvres !?Néandertaloiennes ! Néandertaliennes ! Néandertaliennes on est nées ! Nées Fées dites "néandertdaliennes" ça ir ait, ou (même) ça le ferait, ! On veut de fait cerner les nénés .... les nénés des Ombres ! L'ombre au frais ! L'ombre portée ici sur néné (?) ! La Chose ! 

Quelle Chose ? On dirait ... "la Chose" qui , ici, serait , à comme nous mater de fond en comble = juger ! Fée caarabosse des données suspectes et autres ronds de bosse, on serait. 

Pour ... Chose ? On est F2e des prés et on monte ! on s'élève ! on grimpe ! on veut toucher (grave !) aux nénés, aux nénés en herbe ! On veut envrai toucher à ces nénés, de l'herbe  broutée ... et ce serait comme une sorte de denrée supplémentaire ! une sorte d'entrée en matière ... ou dans la matière ! Herbe-verbe, société des termes, gentrification du pré, allusions littéraires et autres données de type Lettres ! Onest Fée d'Herbe ! Faite Fée à la criée ... ou à la retombée dans l'herbe, trait passé ! ON veut on voudrait : chercher ! chercher de fait le néné né !Sein des traits sur herbe touchée ! On a, comme en nous ici (ancrée) , cette envie d'y aller sans traîner, vers ce qui est qui nous regarderait sans discontinuerb ... C e muret des prés ou dit des présb ! Cette sorte en vrai de clarté alloué à un trait de muret post pré, post prairie aux Fées, aux Bêtes à brouter, aux Herbes NAcrées ! onn guette ! On vreut en vrai aller au plus lointain des terres ! chercher trait des passages donnés ou comme autorisés ! On est la F2e post pré, faite d'ailes = Femmes, dites "secondées ". on veut :

dire et aller, toucher-coller, faire-comprendre, allouer-permettre, donner-cerner, tempérer-ssonner, chahuter-amadouer, fondre et coller ensemble , iic même, nos ailes , sur mât de misaine , charger, coller = cerner, les données blêmes, le Passé des Fées, l'ancre de misère (de miséricorde) et autres ancrages ici tracé, de type bufflettes, bouquetines affichées, bisonnnes des prés, chevales accrochées sur roche gravée ! On est  des F2es des prés "néandertaliennes" à jamais ! on veut coller )à cette V2rité, genre (ici) Vérités, des Données de l'herbe , ce serait !

Charges ancrées ! Passages ! Tracés vrais ! Peuplades de bêtes tracées sur par(oi cendrée ! 

On veut comprendere ce qui est;,, qui va et viendxrait, nous donnerait du lait, du bon lait sucré , voire sucré-salé ! bouquetinne vive ! On veut grave en tant que voilà, nous sommes Fée, dire et toucher ! comprendre et c erner ! ces sortes de "Nénés de Grande Instance" ! On est née Fée sur branche ! nous voilà "aimée" ! "touchée et aimée" , pour ainsi dire en v  rai ! Qiiu on est ? on est La Fée dite "des Données de branche" (ça le fait !) et on enttr en Antre ! On veut coller = donner = sonder = dire = comprendre =chzarger = colmater = contrer, ici, les données maussades , les contrer de rage ! et tracer, ensemble (ailes de fée comme accolées), le trait de la XGHance sur paroi donnée = sentier, sente, trait surr pré, chemin de randonnée pour fée débutante ! On veut ALLER ! ALLER GRAVE JUSQU4AUX NÉNÉS ET NE PLUS S'ARRÊTER MAIS (FGRAVE) EN AV ANCER SUR PLACE = TRACER ! CHARGER ! CERNER LA RAGE DES DONNÉES ANCRÉESS ! TOUCHER AU MURET ! 

TOUCHER AU MURET !

TOUCHER AU MURET ! 

TOUCHER GRAVE À CE MURET 

DES remontrances, des données de rage et autres vérités de face, train donné, chants de grave collet-monté, vente dx'armes, autorité ! On veut toucher-comprendre ces nénésxs post-pré = entter ! enttrer !

 entrer ! entrer ! entrer ! en vce muret des données finales : qu'est-ce que c'est ? un muret post-pré oui et après ? on veut toucher ensemble (fée) ce muret dit "des vérités classées". On veut toucher "ensezmble" à ce muret des accolades et autres ambivalences ! On veut dire et cerner ces  nénés, les cerner de face, dire ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait en face ! traits ! charges ! sentiments de base sur paroi étanche ! = amitiés,  douceurs et moiteurs ! On veut :

aller sur place chercher à toucher = comprtendre, 

ce muret, les dessous des cartes, le passage, les entrées de base, les données données comme à la parade et autres vérités de Rage . quii c'est (ici devant) qui nous regarde ou nous regarderait sans ceesse ? qui en vrai est né , sur muret, pour comme nous regarder = hjuger = cerner = mater  ? On veut touchger à ce "N2né de Contrebande ", ce qu'il est le comprendre, en termes de "Néné pour F2e" : est-ce que c'est vrai , est-ce que ça se pourrait, est-ce qu'en vrai un néné peut eêtre attribué, la Mort Présente ou une fois Présente = Avérée, affichée, touchée  ? On est lA Fée dite "des doonées en branche", on veut aller (de fait) toucher en face, le Néné de l'(Antrte ! post-muret ? On veut toucher à  ce Néné des contrebandes ... post-muret ! On veut en vrai toucher, à ce Néné (à ces Nénés) de contrebande post-muret = post cloison finale = post -pré aux Fées; = post prairie des ämes bestiales et autres bêtes-mots de Rage ! Toucher = comprendre, car voilà ! On entrte ensemble (ailes allouées) , on gratte au muret ! on veut se faire entendre et que pour nous les choses soient, comme décloisonnées, afin qu'on puissee i-ci passer, qui son nez, qui son pied, qui son oeil, qui son aile tracée ! comprebndre = toucher, en vrai, le Néné des Donnéees, des Données de base ! Mort, dotée de traits de RAge, on veut "te" comprendre ! disz-nous qui tu es ! qui tu es en vreai quand "tu nous rtezgarde" ! On veut envrai toucher ensemble (ailes de fée) les données ancrées sur muret post-pré, post-herbe broutée et autreszx fleurs de terre ! Charger = donner, à un muret, un coup de tête afin de l'abîmer, le trouer ou le percer,creuser en lui un passage de Fée, afin de pour le coup en  vrai enfin pouvoirpasser .. tete ... au Passé ? nez musqué ? pied d'herbe ? Saluer le Terme ? Donner du Passé comme saturé et du coup entrer en ce traéit de lumière ici reytrouvé ou comme retrouvé ! On veut :

dire dire dire

chearger charger charger

cerner cerner cerner

comprendre, au dfébotté, les données de l'herbe soit de l'herbe verte ici renco ntrée, en ce pré udu Verbe Excentré, Du Verbe des données en herbe et autres frivolités ! On est née F2e ,le pré touché, on aime ! On est née fée et on aime, de fait, être Fée en Herbe ! CGHants sacrés ! DChants dits "funéraires" et autres mélodies de règne ! On est passées sur pré direction muret des données concrètes dernières : le tracé des rêves, traits des traits de lumière sur roche calcaire, genre Acidité, Animosité, Méchanceté, Vilaineté des données ici comme représentées sur Muret de Tr^$aine ! Saleté ! On veut crever l'abbcès et du coup passetr à travers le trait, train arrière, 

dernièrecharnière ! porte portée ! On est née Fée vpost-cimetière et c'est ainsi qu'on veut ou qu'on voudrait toucher à ces Nénés, des Herbes ... passées = dépassées ! Toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucxher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher =toucher = topucher = touchger = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher 

à ces nénés nés ... post -herbe = post-verbe ... ESt-ce ? est-ce vrai ? est-ce en vrai quelqueque chose qui se pourrait ou se pourrait être ? nénés nés post prairie du Verbe = post-Verbe , sans reste ? On veut :

dire son passé afin de le caler, ici, sur pré, entre les bêtes-mots dits "des données sauvages et autres cavalcades", charger = donner comme à la pareade son passé tracé = son pâssé de rage, données fortes sur paroi haute, vents de porte ! On est la Fée tracée, qui cherche une Entrée sur Paroi des fonds , va nu pied, vole sur Mont, cherche Parole ! Veut grave toucher à  c e qui se oprésente, au plus profond de l'Ambassade ! le portrait en pied d'une dIvinité ou sorte de divinité, de type ... néné ? est-ce que c'est ? est-ce que ça se pourréait en vrai ? le pré passé ? On veut toucher topucher topucher toucher )à ce Passé des Embrassades, des Touchers lactés et autres baisers sardes... mais, comment "toucher" ? cerner = toucher ok, mais comment de fait en vrai cernerv les dites données ou données de Rage quand elles sont ... cachées ? ancrées ? tracées sur nénés et vas-y toucher ! va comptrendre ! On est fée d'Antre ok mais est-ce en vrai assez ? On veut : 

dire et coller, donner-toucher, centrer et comprendre, monter sur mont De base le se,ntier, grimper, cerner là-haut le TRait alloué à un passage au débotté sans se faire remarquer de trop des Nénézs ou comment aller ? On veut toucher de base à ce qui est qui nous regarde tout en hautde Rage , ou nous regarderait, et pour cela ... tayaut ! grave ! allons bon ! tenons ! ne restons pas (de fait) en carafe mais montons !  chercho ns à comprendre = montons ! gcravissons ! creusons ! traçons sur place le tracé des Rages ! faisons Fi des remontrzances et allons (de bonne grâce) chercher la moisson ! Le pognon ? la Rage !!!!  Le pont de glace ! Trou de Casse ! Pardon ! Le PArdon des Places ! Champollion ! On veut comprendre = dire ! donner = toucher ! plaire = conduire, au passé, les données acti ves ! On ne veut plus se laisser démonter mais grave tracer, foncer, tenir, chercher ensemble (ailes de fée) les données vives de chez vives ! 

le pAssé qui nous ressemble, les nénés post-pré , l'ambivale,nce des données actées, récurrentes, allouées à un Passé de CHance , ce Passé dit "du (Vrai) SEntiment de Branche ", ce Passé acté sur Branche Teracée Sur Paroi des F2es ... Né&ndertaliennnes ! On veut toucher = tracer, et du coup pousser, pousser sans traîner , vers cette Déité des Données Allouées à 

une sorte de trait des données dernières, ce Passé aux N2nés , qui sezrait Passé des Traits, Traites de Pis sur pré dernier (?) ou autres traites sans traîner ! ? ON cherche ! On veut toucher toucxgher toucher, sans gêne, ce Passé siurnuméraire, sein nacré, Néné né comme au passage en vrai ... d'une tête de Fée à travezrs ... le VErbe ? ? qUi sait ? qui saurait nous expliquer le terme , soit le terme donné, alloué à un pré, 

à un pré en herbe, genre .... PR2 des F2ES aux DOnnées Pleinezscx : 

qui ? l'être ? l'ÊTRE SALUÉ , LE DERNIER DES ÊTRES DU PASSÉ DONNÉ , ESTAMPILLÉ , L'ÊTRE POSQTÉ , TRACÉ À MAIN LEVÉ COMME UNE STATUETTE SUR PAROI RUPRESTRE ? On veut savoir le mot  des rages, ce que c'est en ces parages . On veut co:mprendre = dire ! pouvoir dire ! Ce que c'sst que cette CHyance, à nous donnée , de pouvoir tracer, sur pré, le sentier aux données ! trait des traits vers .. une branche de données de base ! chargement de chargements ancrés et autres tracés sur herbes broutées ! On entre = on trace ! On est hnées Fée sur pré passé, on veut tracer sans s'arrêter ! dsans perdre pied ! sans traîner ni lambiner mais grave creuser = chercher de chez chercher ... les ... ambivalences ? les données cruciales ? le Passé des traits et traites de  base ? Le Néné accolé à une sorte de Passé Notoire, genre Ancrage ? Le Passé des Traits de base ? Néné né comme à l'arraché le Nez passé ? On veut :

dire de chez dire ce qui est qui nous reg arde = nous concerne = nous parle, et du coup ... porter sur place (pré ?) les données allouées à une sorte de parade (pariétale)- aux bêtrs cendrées ! cerner = dire ! dire = poster ! pôster = comprtendre et comprendre pôrter ! c'est un faiot ! fait vrai ! charge et portée sur prairie aux fées et aiutres bêtes saluées par hommes et femmes de la Résistance aux données Maussades et autrtes Méchancetés crasses ! On est née Fée au passage alloué à un Passé ! On veut toucher à ce Néné des Données de base, Néné né comme s'il en pleuvait, sur paroi des termes et autres finalités comme dessinées ! Allons sur Mont ! gravissons = volons ! ailes au taquet on doit pouvoir monter sans se casser le nez ! On monte au ju gé ! on est Fée voleuse ! on est accolées = ailées du fait que voilà, on s'est retrouvées (ELLES) sur pré décoré, on a compris l'antienne, on s'est regroupées ou comme regreoupées pour (ensembkle accolées) former F2e pôst cimetière, post paroi orné néandertalienne ou aurignacienne ou solutr&éenne ... et aller ! foncer de chrz foncer vers Elle, Der des DErs des Données Pierrales ! muret des tracés ! Charge d'âme ! trait des traits en luminosité "intacte" ... oh intacte ça le ferait mais est-ce que c'sset vrai ? on est passées ensemble former fée sur p)ré afin de pour le coup pouvoir (toujours ensemble) tracer loin, nootre chemin de connivence, et nous pointer de rage, si tant est, devant donc ce muret dit "des finalités" et auttres "fins de pré de base". toucher = donner. Prendre = faire. Chercgher = plaire. Décorer = allouer à une donnée le VErbe des fées, genre "chargement de rage'-", "tracé vrai", "chance au paassage", "vives denrées", "mots de contrebande et autress mots de fée". On veut :

ALLER DE CHEZ ALLER VERS CE MURET "DES DONNÉES FINALES" QUI SEZRAIENT ... NÉNÉS ? NÉNÉS NÉS COMME À LA PARADE ? 

On cher c he à comprendre ! on a super envie ensemble (ailées) de comprendre et de cerner ce qui , en  vrai, en ce muret, semble nous attendre ! On ne veut pas passer à côté ! on veut aller au plus ancré ! au plus enfoncé ! au plus creusé ! au pls engoncé ! au plus enferré ! au plus éloigné ! de  c e qui est qui nous regarderait depuyis l'acmé de ces données murales ! un muret des Rzages, c'est un fait ! qui, au-delà du pré (pré d'herbes à brouter) serait à nous attendre ou come à nous attendre sans désespérer, le lâdre ! on veut pouvoir  toucher ! toucher de base à ces nénés 

😃 

dits "du p)assé ", , "de l'Antre", "des donn"ées de conjtrebande", "du Passé Ancré = nacré genre Lait de trait " ! On est La Fée post -pré cdes données prairziales, et on veut toucher à ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait sans se gêner ... 

le lâdre ? ... lêtre endeuillé ? l'endeuillé des traits ? "Dom Atrocité" ? On cherche (grave) ensemble à comprendre ce qui est qui serait là à nous mirer ! Qui c'est ? un Pâtre ? Pater mate ? qui, en  vrai, sezrait à nous mirer sans plus que ça (pour ainsi dire) se gêner ? Un pâtre ? une sorte de sorcier ? de petit Sorcier ? Pasteurisé ? On veut toucher ensemble (ailes allouées) àune sorte de Romance ici Personnifiée, de Type : 

Avidité ?

Passé Ancré ? Charge tracée ?

Donnée des Données ? 

vent de face et autres vents de pré ? 

Pets ? 

On veut aller sur place (muret) chercher à comprtendre = cerner = toucher à c  e qui est qui se présente 

à ce qui est qui se présente sans trainer ! On veut :

coller, dire, faire et toucgher, aller et cer ner de fait, les données ici présentes, dire et poster, chercher comme qui dirait Le Néné de l'Hydre ! Oh,on voudrait ! On veut grave cerner (ici et là : muret) toutes ces données, dont le nom sur pré est "Hydre", "Hydre du Vivre ". On veut :

dire dire dire, les données de l'Hydre 

DIre dire dire, les Données du Vivre

Dire dire dire, les Données du DIre ! 

Charger = aimer et aussi c erner, de fait, les données données d'une sorte de passé à devoir déposer comme à la retombée sur muret aux Fées, Muret d'Hydre, des données de l'hydre pour ainsi 

dire , dire , dire .... 

ON VEUT, En vrai, toucher à ce néné de l'Hydre "Remonté" ! On ne veut pas le laisser passer mais lui wsauter au cou (pour ainsi dire) sans traîner car il file vite ! va vite ! file vif et sans lazmbiner ! hydre post-pré des Nénés du Vivre ! Charge allouée (ici) au Verbe post-pré , dxe type "Hydre " ! On veut coller à ces nénés = téter = boire = cerner  = comprendre = prendre = prendre à satiété le bon lait de l'Hydrrree ... est-)ce vrai ? est-ce ce qui est ? doit-on toucher à ce néné ... des données fines , genre "Hydre" , "Hydre" comme .. remonté du Vivre, du vieil Antiride ?  On veut :

DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE 

L'HYDRE L'HYDRE  L'HYDRE  L'HYDRE L'HYDRE

et , de fait, cerner ce dire (dire de l'hydre) en tant qu'il szerait ... le mot du Vivre ! du donné des rives,

 mots d'eau ! 

On veut grave se poser ici, ensemble (ailes de fée), pour (en vrai) chercher à mieux cerner les données hybrides, ce Passé des Traits, Néné né sur rive, Antirides au cachet, le passé sur pied serait dû aux nénés ainsi donnés la mort ultime traversée (c'est-à-dire post-pré) ! dire = Rire ? on veut alller ... sur rive Ul time, toucher de chyez toucher , au ... néné de l'Hydre ? qu'est-ce que ça veut dire ? On veut aller (de base) cerner, ici -m^eme (muret) les données du ... Rire ? Creuser = toucgher ... aux nénés du Rire ? du Rire ... imbécile ? oh, qui sait ? On est née F2e sur pré une fois trépassé, mais doit-on s'enfermer dans un dire acide ? Doit)-on creuser  la niche du passé  ?cerner sans traîner le muret desR Rives et autres Jetées des Données Ultimes ? tracer ? douter ? contrer ? poster ? vivre v-ie du pré et s'en contenter, ou au contraire aller au plus lointain du pré, chercher à tyrouver par où passer le nez, le nez et le pied, et se retrouver cfomme qui dirait de l'autree cvôté d'un muret ou sorte de muret "acide", genre traversée des friches, traversée des traversées, et pouvoir (dès lors) cerner, de fait , ce qui ici se tramerait en termes de ... néné ? néné né ? néné des nénés ? des nénés nés pour être tétés sans discontinuer et sans traîner par un bébé genre Fée Fille ? Fée = deux filles .... On veut.... eh bé .... comprendre gra ve ! les donnéessurprises, les entrées, les dires centrés, les dires sur pré et  c eux qui , pour le cdoup, "dépassent" le pré, d'un doigtb dee pied ou du bout du nez ! L'a rive ! lecreuset ! la friche ! le rameau cendré ! l'affiche ! le donné et le passé ! le trait aux fées et autres semeuses de données moqaueuses ... ou sinon moqueuses genrées , genre attribuées à une sorte de Passé en friche à faire remonter sans triche, sans chercher à pour le coup se faire remarquer plus qu'il n'en faiudrait. Toucher au Néné = Dire le Passé ! Passé-Dire = Données = Vie Passé sur Pré des F2es  ? ou Pas Des Fées ? On veut en vraéi ... ce"rner au plus près le dxire passé ! On veut grave cerner, et du coup toucher, aller, pousser loin le dire des données acides ! toucher = pointer = allouer, à un dire, une sorte d'acidité qui permet de fait de poiuvoir traverser, chiche, le Muret des DOnnées Vivesz ! des données Ultimes ! verbatim ! On est :

F2e faite !

Fée des Fées !

Fées des fées faites ! Fée des Fées des données Ultimes ,, comme qui dirait. ET on veut toucher ! ne plus s'arrêter ou nous arrêter , mais grave tracer ! pousser ! aller ! continuer ! poursuivre sur notre lancée nos recherches de données données et autres traits de vérité par lesquels (pour ainsi dire) on pourrait passer, qui le nerz qui ... l'hydre ? l'hydre native ? qu'est-ce que ça veut dire ? On veut toucher toucher toucher à cette vérité de L'hydre qui sezrait native ... et du coup cerner = deessiner le VRai, Le Donné (en vrai) sur pied, à une sorte de Passé de RIve .... qui sait ? qui comprtend  ... le Rire ? qui en vrai en lui (oou elle) sait ? Qui en vrai cerne le vrai et comprtend la Rive Vive ? Rive outre-pré ... Rive des données "outrées" pour ainsi parler .... On veut coller ! On veut rire et coller, coller aéux Nénés, aux Nénés Ultimes = au Passé du Vivre ici retrouvé comme s'il en pleuvait (pleurait) de rire ? ou pleurait (pleuvait) de vivre ? ou pleuvait (pisssait) d'en rire ? On est la Fée postée  ! Fée du Rire Alloué à une sorte de tracé pré)-rive ! On veut aller ! charger vitte ! ne pas lâcher ! percer de chrez prercer sans abandonner nos recherches actives sur pré alloué à une vérité de type ... "Hydre " ? On veut :

coller de chez coller;

dire de chez dire

donner de cherz donner

faire de chrez faire

porter de chez porter

coller-dire = faire-mettrree = porter-vivre-

On est fée du RIre comme à l'emportée, prête à tracer, sur paroi votive, le nom (en vrai) de ... l'Hydre ? mais qu'est)-ce que c'esst en vrai que l'hydre ? saura-t-on cerner ?. qui saura nous dire ? peut-on connaitre les ressoprts cachés ? le tracé masqué ? l'ombre portée comme pour de vrai maintenue "surprise" ? Qui sait de fait l'Hydre ce que c'est, en dehors du Rire ? On est la Fée du Trait et des données, ancrées sur pré, et à présent on a grave envie de changer, de perdre pied peyut-être pas mais de changer "nos traits", les données données à nos registres; on veut changer, on veut changer de nez, d'oeil alloué, d'ailes  nacrées ! paqsser de l'autree côté du muret pour peut-être changer de r'egistre cfomme qui dirait ! Se trouver changée ! grave relookée , qui sait ? toucher , aux nénés du trait (pis de fée) et du coup comme se transformer, nous même en néné ou va xsavoir ce qsui en vrai pourrait nous arriver le muret (dernier muret) pâssé ou une fois passé comme par surprise ! on voudrait être (changée) et avoir été (fée) sans traîner ! traéverser le TRacé des Doonées en HErbe (verbe) sans chercgher à plus que ça nous faire remarquer des rOis et REines de là-basz, l'ombre portée, la Do nnée post-pré et autres données des données dernières. Saluer le pré (en arrière) et ... passer ! toucher = passer ! aller ! porter notre nez (ainsi passé) jusqu'entre les nénés à nous donnés qui sommes pour le coup comme ici recueillies sur Paroi Genrée ! on est la F2e genrée du pré passé ! vive et accolée ! fée des fées post-pré ainsi passé , nez comme écrasé, à travers un muret de type ... "hydre" ? oh , qui sait ? qui peut dire ? qui ici peut nous dire le mot des données yultimesq ? On veut grave ensemble (ailes allouées-) coimprendre .... ce qui est qui ici serait à se constituer sans RIre : est--ce possible ? Hydre des PAr(ois Ultimes ... qu'est-ce que c'est ? On veut toucher à ce qui est qui nous regarde vivre ou nous regarderait et cher cherait à pôur le coup nous attirer sans rire entre ... ses nénés, dits "de pacotille" ? On veut être et avoir été ! ne pâs trépasser ! poursuivre sur pré mais sans y passer ! c'est)à-dire pouvoir traverser la RIve Ultime mais, en vrai, pouvoir aussi se retourner, une fois passée, sur le pré des données de type cendrées ! QUi on est ? peut-ettre ... post-pré, un néné ? Sein d'herbe craché ? sein des seins traités ? verbe alloué à une sorte de passé touché ? coul"é ? On veut (en tant que fée) toucher à ce néné du VErbe Donné ! tOucher à vif et vif ! ce néné né comme à l'arraché d'une sorte de traversée des Rives ! donner notre nez ! donner le pied, l'oeil tracé, le passé sur pré, notre envie vive de cerner le Dire ! ou Dire alloué à une sorte de Donnée du Rire ! toucher = porter ! Dire = faire ! tenter = comprendre et pousser de rage une sorte de colère en nage ! Attacher, coller, souder, accoler nos ailes au mât du Rêve ! Onctuosité des Nénés en herbe ! douceur nacrée ! peau d'herbe ! sainteté allouée à une sorte de denrée lactée, ça le fait ! On veut téter ! on veut, on voudrait, grave, de fait, téter ! sans tréîner ! le lait cde la Reine ! téter de chez téter et ça nous plzirait ! téter le néné des données acerbes et autres sortes de sagavcité post-prairies aux bêtes ! On veut toucher à ce néné des données tracées, et une fois touché, aller devant, comprendre, regarder, foncer puis se poser, voir de près et cerner, toucher, dire et saisir, un certain nombre de données de vie, genre "post-guerre" ! vivre !  se poster ! se poser sur Rive post-pré ! respirer ! écouter ! sentir ! toucgher à ce néné de l'hydre, ce qu'il est en vrai , cerner ! On veut en tant que fée toucxher de base à ce néné de l'antre des  données ukltimes. a&ller comme au taquet ! pister ! Toucher = pointer ! dire et cerner, le dire nacré d'un savoir des Rives dites "ultimes" si jamais. On est née fée la paroi passée, sur pré alloué nà des bêtes de piste. 

Une fois passée, on court on vole, et donc on peut dire que , en effet, on a comme 

traversé une contrée, une sorte de co ntrée de type pré, pré aux bêtes de poids et autres mots centrés, genre Foi, Foie, Fée, FEu, Faille, etc, et au-delà, on s'est comme (peut-être) rapprochées de cette sorte de paroi Ultime, Paroi des Parois, et après : le vide ? on ne sait pas ! peut-être pas ! Après cette Paroi dite post-pré aux bois, post-prairie des rois et reines des bois, il se pouurrait qu'il y ait .... du Rire ? de la HJOie ? un éir de Java ? une sorte d'entrain "d'autrefois"  qui, pour le coup, serait pour nous comme une sorte de ... Savoir Rageur ? Savoir Anticipzateur ? Savoir Dur ? savoir des SAvoirs durs ? savoir Alloué à une sorte de contrée des contrées post-pré ? Une Sommité nous y attendrait ? une Sorte de Grosse Clarté ? Genre "Clarté des Clartés" ? ON cherche à ensemble (un ensemble ailé) comprendre grave 

x de chez x

données sardes (sardes ?) en vrai , soit : ce qui est qui serait en vrai à pouvoir comprendre sans désemparer, sans pleurer, sans se prendre le chou ou la tête raide ! mais de fait, ainsi, placide, tracer ! dire et tracer les données du Rire ainsi présenté à nos Yeux de peu ! On est: 

Fée des f2ées grave remontées ! on veut, en vraéi, grave comprendre les données données, d'une sorte ici (muret des murets) de tracé ,

d'une sorte ici de treacé, de tracé de base ! Chercher = dire = cerner .......................................................... ce qui est en vrai qui semble de fait nous relu quer sans se gêner ........................................................... "l'enfoiré" (?)  ................................ alors même que nous on essaie (gentimejnt) de nous rapprocher, sans forcer, sans s'imposer, au plus près des nénés .............................. sans la ramener et sans façons ! .................................... / la pilosité, la toison, poils de con sur menton tu penses ! on est montées sur panse ! ventre-mont, on danse ! Charge astrale ! le Pardon des Remontreances ! le POison ! BAlance au diapason ! ça chante ! petit patapon ! contredanse ! parole du front ! Danse - en transe ! une sorte de vision de manche ! le pardon = la danse = le vent = l'ambiance = le TEmps ! On veut en vrai en tant que F2e changer, au passage, de genre  ! devenir .... Menton ???  " Dire haï "  ? Chant de RAge comme sali ? NON !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 

grave de chez grave on veut comprendre ensembkle (ensemble ailé de base) ............................................. et comme (du coup) nous rapprocher (pas à genoux) !) des donnéesz dernières post pré en herbes (verbe) et autres fleurettes ! Dire = compter ! dire sanns rire = compter sans trembler , l'âge des denrées, l'âme des damnés, l'ombre portée, le Vide ! Vie des traits sur RIve ultime : on dirait ! On veut toucher à satiété ! vivre = aimer = monter (sur néné) téter ou pour téter ou chercher à téter ... l'hydre ? On est née F2e POur en vcrai cocher la case 'Hydre " .... est-ce vrai de chrz vrai ? à qui se fier ? comment  cerner le trait ? comment dire et circonscrire (de fait) une vérité vrai qui serait "hors rire" à tout jamais ? On est pas sûres ici que ça puissse  ! grave on aimerait mais il sembvlerait que le Rire en  vrai soit ... massif ! gros nez ! bêtes de trait acide ! chapeauté ornée sur paroi de fée ! fgrave gravée ! grave ancré ! dessiné comme à main levée et c'rst acté pour une éternité de temps alloué à ... eh bé ce rire des doonnées acides ! On a envie en vraéi d'aller sur RIve rechercher le DIre Des DIres tracés ! sans se retourner ! traverser l(ultime "tablée" et nous retrouver , ou se retrouver (ailes = fée) à pouvoir cerner, au frais , les données ultimes, genre : 

vent de fée, 

fond d'air alloué à  

une contré sauvée, 

musaique et clatrté, son des données vives, musicalité des rives et autres sons sur parois grises, tracés des tracés, boutique acxhalandée en termes de vERbe donné, vERbe alloué, VErbe post-pré faiszant l'artiste, passage de mise, pont d'alacrité ! vive sauterie riche ! va nu pied sur friche ! On est la F2e post -pré devenue Passé ! Genre : passé passé ! genre : tracé tracé, sur paroi aux traits dits "de contrzeanbande" ! On est F2e faite enfin Dite sur pied ! treaits des trais en herbe = VErbe ! va et vient "szucré" entre d'un côté l'herbe vdu pré et de l'autre les données profondes (alacrité, sainteté, joyeuseté, rechercge de traits ;;;) . On est la Fée post-tombe ................................................................ on aéimezrait en vrai pouvoir toucher ... aucxx nénés de l'ombre ......................... troucher aux nénés = téter, ok, mais aussi  ... percer ! percer ici loe dire sacré ! l'ombre portée = le trait = le passé = le passé de l'Hydre !!!!!!! ...........................?....///////................... mais qui est l'hydre ? ................... qu'est-ce que c'sstvque l'hydre ??? ........................... on vioudrait grave (de fa it) pouvoir comprendre ce que c'est et dès lors toucher (?) , toucher ... aux nénés ? Aux nénés des rives ? de l'aéprès-pré tel qu'on le connaissait en tant que fée ? Chercher = toucher (on sait) mais aussi cerner ! dire-cerner, pointer, coller-pointer, tenir, vivre, souder, permettre une prise, une sorte de prise ou mainmise ou emprise ! et tracer ! ainsi ! ainsi collées ! ainsi accolées ! tracéer vif de chez tracer vif ! aller sans reculer ! en avancer sur sa lancée ! pistonner .... et se retrouver ainsi avancée de l'autre côté (du pré alloué) à chercher ou chercher à chercher un certain  nombre de do nnées données genre : 

- pardon

- pomme d'or

- vbvvents doctes

- pis de vache

- frais et frai

- envies vives de vraies (avérées) connaissancesz sur le sujet (la mort donnée)

TOucher à des nénés de RIve = sentir (§pour soi) ;le DIre de pOids ... 

OUvrir ! OUvrir de ses doigts le tracé de hjoie .... cueillir ! recueillir ! toucher de chrez toucher ... toucher de chez toucxher (soit toucher du doigt) les données des ROis et REines de là : l'au-delà ! On rêve ! ... ou pas ! ON est là pour ça (fée du trait) comprendre ... cerner ..... chaérger //... colmater et centrer , en vrai, lmes données de base ! chercher = adouber, dire = poindre, pousser = vivre, coller = donner, porter = dire (en vrai) ce qui est de lm'autre côté ... du RIre  pour ainsi dire .... et poster ! ON voudrait de fait chercher sans traîner de l'autre côté les données ultimes, ce qui est qui wsemblerait avoir en  vrai quelque chose à nous dire (à nous, fée post-pré) qui nous fût utile et mêrme plus qu'utile pour nous repérer, nous mieux situer sur cet échiqyuier de l'après-pré, de l'après-rire cendré et autres après-pouliches, chevaux riches, bisons vifs et phacochères "de pastis" ! On est la Fée post-guerre ! vive de cherz vive on veut pouvoir ainsi poursuivre, sur paroi du fond, notre sorte de vive avancée (de base) de raison ! ou sinon de raison ... de passion ? ON colle ! FOrce docte ! passion sur raison force la donne ! On est montée sur canasson et hop on fonce, de raison ! direction le fond ! l'antidote ! la Passion des Ronds ! vive l'ombre ! le Passé -Menton ! le cul de basse fosse mais sans champignon ! Docte ! Donné ! tracé sur roche du Passé ! Mis sur pied ! On veut coller à ce néné des chances allouées à une danse post -pré aux fées ! ET du coup danser ! danser des nénés !  Donner , sur rive ultimes, le Passé ! On est nées F2es au diapason, nous voici devenues vVives ! vives sur Rive ! Vivres = VOuivres ? On veut coller = se coller = se donner = dire et poster (ici : passé) le vfruit de nos pensées ! RIRE ! RIRE de CHHEZ RIRE S'IL VOUS PLA^$IT , OH ON AIMERAIT ! ON VOUDRAIT ! ON NE VOUDRAIT PLUS S'EN PASSER ! RIRE ! OH, LE RIRE ! PASZ À MOITIÉ ! RIRE SANS SE REÉFRÉNER ! RIRE À GORGE DÉPLOYÉE ! LES NÉNÉS ARQUÉS ! GRAVE SE DONNER, ICI (RIVE) AU RIRE VRAI ! PISSÉ ! PRESQUE ACIDULÉ ! DU NÉNÉ TRACÉ ! PIS DES TRAITS SUR RIVE ! CHAT BOTTÉ SURPRISE ! PIS D'HYDRE ? 

Toucher = toucher = toucher = toucherr = toucher

et dire ! Car, le dire est le tracé du rire ! des données du rire ! certifié ! On veut toucher = donner = cerner = copmprendre les données ... du temps passé ? des données cendrées ? des vives remontées de rive ? genre : pistes ? On est la F2e du rire alloué à une sorte de contrée acide ! ver t pré ! On colle au tracé ! on avise ! on veut pistonner et vite aller au plus ancré ! CERISE ! Toucgher aux njénés des vives clartés et du coup cerner ce qui en  vrai sezrait qaui nous regfgharderait sans se gêner de la tête aux pieds ! l'artiste ! con de prise ! émasculé ! taillé ! chârtré ! conquis sur Rive au débotté , à l'article ! Piste ! Vive piste sur contrée post-pré ! Fée des données données a traversé la Rive (le muret) et cherche à  c erner, au plus haut point, les données xultimes ici regroupées comme à la criée ! Vives clartés ! mots post-pré ! CVerbe échancré ! chants de signes ! volontés ! vives clartés dites "riches d"excentricités diverses et variées"  : hydre ? On est née F2e sur pré la mort avérée, et c'est sur pré qu'on glisse , judsqu'à la rive .... rive autogérée qui semble ici comme nous attirer en ses filets ! pour nous attrapper ! nous ancrer ! nous ferrer ! nous traquer à jamais et, nous terrasser qui sait ! Fille-Fée = biche = bête riche = bête-poids sur paroi des rOis et REines de Saba ! ça y va ! danse astrale ! saturnales ! escap ades de paroi ! gentes dames dde la loi antrale !Choix ! ........................................................................................................................................ Rivesaltes ...................................................................... boisson sarde ......................................................... la passion buccale ........................ poi nt de croix .................... passage de rage ..................................... pastaga .............................. on veut grave comprendre dans le tas ce qui fait loi ! ce qui est qui porte ! colle ! pèse ! chante sans arpège, va là-bas (la croix) chercher (de base) les données cruciales, le patois, la charge, l'animal de poids et autres bêtes (néandertaliennes) de paroi : la Rage ! Voix de Poids des Bois ! ............................................................... on veut comprendre = prendre = dire = cerner = pousser = porter = charger = peser = allouer à une sorte d'estocade (finale) un Verbe" de CHoix, genre "herbe", "herbe verte", "herbe en herbe et autres verbes de paroi" . on est née f2e sur pré, hourra ! à présent ... le trait ! pis de la paqssion ! vision ! télévision ! on veut grave toucher &ux nénés du tronc ! charger et porter ! aller et vtracer ! viser le tracé du mont qui pourrait en vrai nous mener plus loin vers l'horiz-on ! Toucher de cherz toucher aux seins de la Passion ! vision des visions ! champignon au front ! OIGNON ! pain  d'herbe sur Mont des Passions ! Comprendre ! saluer ! ancrer ! charger = donner ! pousser de chrz pousser la charge ventrale = le PAssé des charges, le tracé; lanttre ! Saluer = donner ! On veut coller ! dire et pousser ! aller sur un pied jusqu'aux nénés post-pré ainsi alloués à une sorte de clarté de Rive ! vive ! cendrée ? ou sinon cendrée nacrée ? On est lA Fée de l'Hydre ! vive et cernée ! HYdre au taquet  ! vivre ! vivre = dire = chercher = donner à l'herbe les habits du verbe ! vivacités, densités, nervosités, amabi;lités, emprises ! on est la fée des données vives des clartés post-pré ! surprise ! on est passées ! il sembvlerait ! vives ! .......................... vives .................... vives ........................... vi-ves ............................................ sans nous retourner ............................................................................................./............ "l'important c'est d'aimer " ? ..................................... qui sait ? ...................................... qui connait l'emprises . ? ............................. qui sait ce qui est ? ........................................................... qui pour toucher en vrai aux nénés des donnés-surprises ? ............................................................................ qui pôur aller plus loin sur piste ? ........................................l'emballé ? l'altruiste ? l'ombre portée ? le salé , ? le sucré ? Chants des prés ? VIve clarté acidulée serait de mise ici post-rive, on dfirait ................................ mais qui de fait pour le certifier, le notifier, le donner pour acté ? .................. on voudrait grave aller chercher ou rechercher sur rive les données actives non factices concernant La mort et tout ce qui en ressort ! mais cfomment s'y prendre ? ...................................................................................................... via le Son ? ;....;................. ................................................. la chanson ????????? .......................... la transe ? .............................. l'enfance des données du front ? ................. potache ?........................Visions en amont ? ..................................................................................... pamoison ?. ............................................. on veut aller ensemble retrouver ici l'enfnce des passions et des données de base, mais comment s'y p^rendre ? comment dire ?  ? Comment faire ensemble ? ............................................................................................................................................................................................................ qui le sait ? qui pour nous aider ? On veut aller jusqu'aux nénés de la Passion,, 

les toucher de rage = les téter, et une fois tétés, pousser plus loin qui sait ? mais ouù pousser ? Car les nénés sont (seraient) notre horizioon , de fait  ...

qui sait ? Qui saurait ou saura nous enseigner, nous guider vers la raison, vers la vraie vision ? On est la fée du pré qui est comme passée ... de l'autre côté, et à présent nous voici ancrées ! pour de vrai ! sans honte ni contrariété ! vives et postées sur rive de fait allouée à une sorte d'après ! On est nées ! nées sur pied lle muret passé = re-née ! hé hé ! On est passées vers les Nénés , direction genrée ! On vzeut toucher de chez toucher la dite "clarté" aux nénés" .... si on pouvait ! On ne veut pas passer à côté mais grave cerner, cerner les données squi nouys sont montrées, et tracer, sans s'rrêter, vers  .... la Passion ? le PÖison , La pendaison ? La Crucifixion ? Le Mont des FRonts ? Rire et hurler ? Toucher aux nénés ? toucher à ce néné du POnt ? à quoi (en vrai) toucher la rive traversée ? Champignon ? Oignon ? Melon ? pont de roche rude ? Colle et mesures sur patron ! ON ose ! on fonce ! on ne s'arrête plus

on ne s'arrête plus ! 

ooon ne s'rrête plus , on veut toucher le fond ! fond d'or ! fond des fonds sur rive en or ! On file , vives ! ................................................................................................................................................................................................................................................................  cerner = dire = faire = don ner = comprendre = charger =connaitere = comprendre = allouer = partager = faire = mettre = pointer = pistonner sur herbe et, au-delà du pré en herbe, sur paroi des Rois, là-bas, après   ça : la Paroi Finale .................................................................................................................................................. on veut toucher à ce qui est qui se présente, zous nos yeux de fée, de fée sage ! le passé ? La planche ? un tracé de rage ? vent de face et autres souffles destinés ? On est passées et du coup 

on essaie de co:mprendre (en vréi) ce passé, ce qu'il est de fait , 

et ce qu'il n'est pas ..  

ou pas pour soi ! Qui connait la loi ? Qui comprend jusqu'au bout les données de base ? Qui donc a compris ce qui est qui est qui ici fait loi ? Loi des ROis Et Rage de Saba pour REines de choix ! on avance ! on veut comprendre = on veut toucher = on veut donner = on veut allouer à une sorte de denrée une sorte de vérité qui puisse nous guider en vrai sur le chemin tracé des données cruciales, terminalles, finales et ancrées ! Qui on est ? On est nées ! on est la Fée née, sur pré, passée de rage de l'autre côté = post-pré, direction la Base ! les données données d'outre-parades au débotté ! On est vla fée dite "post-parades" il semblerait ; On pourrait le penser . On est passées ! on a touché le Trait des fées ou dit "des fées", on est comme secouée, on est montée, on veut coller à ce néné des données atlantes. On est nées FVées comme à la parade mais, voilà, on veut à présent traverser la lande, filer, chercher loin en contrebande les données de base, se poser, regarder, coller aux nénés, téter de près s'il vous plaît, et du coup ... Aimer grave les données de rage ! données doctes ! lait sur OMbre ! tracé  des tracés ! recherches au taquet ! force données des données de porte ! Chier ? qui sait ? On veut toucher de fait à) ce qui est qui nous regarde et pas pour rigoler il semblerait : néné ? néné desnénés ? l a it brassé ? charge saluée ? Prise au débotté d'une sorte de denrée lactée ? On est la F2e des rages cendrés, on est passées comme à l'arraché de l'autre côté du pré armé, nous voici ccolées ou comme accolées aux nénés des ombres ! saluées ! hé, qui sait ? On est "mortes" ! oh ! "mortes hautes " ! vivement le trzait = la parole docte des données de porte ici genrées, cernées, comme consacrées et du coup aimées. Ombre portées sur porte allouuée à une sorte de Passé Docte  : honte ? On touche à l'acmé ! vie des prés puis vie des faits vrais ! la Rome du pAssé tracé ! Hombre ! Hombtre portée sur porte du Passé ! charge haute ! point d'alacrité sur paroi de roche on voudrait trouver ! fée des fées des données profondes ! coller = dire = cerner = co:mprendre = donner = faire = charger = coller = défaire = porter = allouer à une affaire de données centrées les suites agraires et autres bêtes (fortes) de trait sur pré ! pister = pistonner ! dire = marquer ! chanter = dire ce qui est en ces contrées du bout des roches et autreszs fonds de vive clarté ! honte au passé ? l'approche ! on est née F2e sur pied sur pré ! nous voici passée de l'autre côté, côté honte ? Hydre lactée ?Charge allouée à une sorte de tracé de poche ? On est la fée sans anicroches ... de roche ! Fée des fées ! points de tracé ! colle-cause ! pressée et colmme soulevée sur roche pour pouvoir passer ! on veut toucher = dire = donner = comprendre ....................... les données du ventre ! pisser ! pissrr ! grave se vider ! se vider de son passé de pis envolé ! ...............................................  toucher , a ux nénés tracés ;;................................................é couter les actualités,, qui sait ? et du coup aller, à grandes enjmbées, de l'autree côté du pré, direction la rive, la criée, le bouquet des herbes allouées à une sorte de clarté post-pré, de type clairière  ...... sainteté ............ verbe au ta quet ............................. derrière ! On veut coller ! dire et passer le bout du nez sans nous retourner et enfin en vrai toucher aux nénés ... en herbe .... d'une sorte de contrée située derrière , derrière le pré, l'herbebroutée, les fleurs de sève, le tracé acté, la roche "primaire" .... Sainteté allouée à une sorte de PAssé Colère, PAssé des PAssés on veut cerner ..... on ne veut pas passer à côté mais grave toucher à ce squi est ici qui nous regrderait en propre (opprobre ? honte ?) sans trembler ..... on veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher touycher toucher toucher troucher toucher toucher à du passé ... à ce qui pourrait, de fait, en vrai, ressembler à du passé post --pré de type "clarté", "clarté ouf" ! , qui sait ? ça se pourrait ! passé des passés sur terre bru^lée, calcinée, en toute clarté hors fumées ! 

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24/11/2024

On est deux qui regardons. On ne veut pas céder. On veut tracer et tater. On ne veut pas céder mais y aller, cerner-tpoucgher, coller-ancrer sur roche ce tracé de poche ! On est fée des fées et du coup on essaie en vrai de circumlreer à l'intériiuer de ce fourré ! On mate ! On entre ! On est ddes fées de base ! On veut comprendre-toucher ce qui est, aller et pousser, en face, jusqu'à la muraille ! On est nées fée à la ramasse ! tracées ! fines et élancées ! on veut comprendre = toucher ... aux nénés de l'antre ! Charger et coller (intentionnellement) nos ailes aux rochers , au plus profonds de l'antre des données. On est nées fée de base souterraine ! On est nées féesde rage, etdiu coup on enttre ! On veut chercher = on veut cerner = on veut toucher = on veut dire = on veut aller = on veut ancrer = on veut colmater = on veut toucher = on veut cerner = on veut comprendre ensemble (fée) ce qui est et ce qui n'est pas en cette paroi ! On ne veut pas (plus) passer à côté mais grave toucher, aller, donner, comprendre ensemble (fée) ce qui est ! ce qui ici en vrai nous apparait ! est-ce des nénés ? des sortes devnénés ? nénés des nénés ? qu'est-ce que c'est ? est-ce de ... l'ambre, à toucher de rage ? est-ce de la roche comme il semblerait ? roche d'antre ? On veut comprendre = on veut cerner = on veut toucher = on veut embrasser = on veut coller = on veut se coller, coller rude ! on a grave envie ensembkle (ailes !) de cerner de base cev qui est qui nous regarde ! et si en vrai on était ailes la mort passée ? si, en vrai, nous poussait des ailes sur pré ? On est p)assées et du coup nous voilà ailées ! ailes de fée comme s'il en pleuvait ? On cherche ! on est accolées (serrées) à iune roche dite "des tracés dits surnuméraires" ! On veut (grave  !!!!!!!!! de chez grave ! allmer, comme à l'arraché, tracer sur pré des ronds de rage ! on est nées ! On sort la tête ! ON veut cerner de près ce qui est qui semblerait de fait sans traîner chercher à nous toucher comme si on était ... eh bé nées en vrai ! on chrerche ! On est passées = on a passé la trête ! on voulait eh bé vooilà c'est fait , on est nées AILES ! ELLES des prés = fée sur herbe ! On mange l'herbe ! on est accolées et du coup (attemlées) on mzange = on entrev= on ancre = on est  deux ailes sur un pré aux fées  , qui (nonchalemment ?) vont à se donner, comme il faudrait, à un broutage des données prairiales ! ruminage ! On est pazsssées et on veut comprendre pareil ruminage, ce qu'il en est ! Est-ce rumùinage de fée ?,de vaches à lait ? fée qui serait de fait vache à lait ? fée-vachge dans l'antre ? On est la fée des ancres ! charge sarde ! trait de fée en vrai, sur face de base ! sur tracé ! Aurochnodoïité des données prairiales pariétales ! buffles au pré mangent sale ! sont tracés de rage, vont et viennent et ne s'inquiètent pas de nous voir arriver ... ou pas ! elles ne sont pas "là" mais tout à leur affaire "sale" , ce tracé des rages,ce dessin de barre , victuailles, denrées, données sales, ce passé qui en vrai , ne serait pas assez mais voilà ! il est (pour ainsi dire) comme déposéé ! posé ! mis sur rail ! on chante ! on est entrées en tant qu'on était, à la b ase, UN, nous voilà doublées , dédoublées, tracées fée = dédoublées, comme à la parade ... Fée ailée de base, on est accolées à une sorte d'attelage ! joug de joue ! joue de rage ! passe ! datation des traces ! on est fée des passés graves ! on est actées ! données sardes du Palais ! On ne veut pas passer à côrté mais tout au co nteraire traverser (en face) ce trait, ouverture en vrai, jour de fée, on voit l'acmé ! l'ancre des données ! iune sorte de Rotondité ici infiltrée qui nous permet ou permettrait peut-être de nous immiscer, sans traîner, en ce muret du bout du mo nde des données de roche ! SAnté ! Tchin aux nénés ! Buvons le lait à la santé des Fées "des données de branche" ! On voulait grave passer eh bé la chose (on dira) est actée ! passe et passé ! sur tracé de roche, on ose ! on veut aller ! On ne veut pas s'arrêter mais grave traverser la CHose , qui est Chose comme soulevée ! donnée de Bosse ? qui sait ? On ose ! on passe Carosse ! Royauteé des données de Coche ! LaE passé, qui n'est pas assez (?) est PAssé vd'époque ! On est données (en tant que Fée) comme "Paroles de Roche ", 

on diraiot ! On veut touchger à une cdéité de bout de roche ! On ne veut pas coller pour coller mais coller pour de fait se rapprocgher de cette Déité de Roche ! On est nées Fée sutr pré, nous voilà accolée à une sorte (pour le cfoup) de Fée Desv F2es, Vive Déité des Donnéesz DE poche autocentrée  ! On est accolées en tant qu'ailes de F2e et , eh bé ... on aimerait (mais grave !) nous donner de Rage à cette sorte de Vive Clarté sans ombrages ! Nous donner de fait en tant que fée si tant est ! HOmme libre tu parles ,! On est donné ! on est enterré ! on est passé et nous voilà comme enteré formant herbe du pré à brouter ! à brouter par qui ? par les Fées, aux ailes nacrées ! vaches à lait ! vaches sur pré ! tantriques ! cerné"es ! allouées à une trique, à des batonnets de brique ! chahutées ! bercées ! dessinées à main levée ou même gravées sur paroi de roche ... riche ! On est motrt-né (homme surfait) à la retombée, qui nous voyons comme transformées, de suite, en Fée de pré = Vache à lait szur Herbe tantrique : le pied ! chance au taquet ! finalitésx tantriques des données données compme à coup de triques ! oN  vouylait passer eh bé la chose est comme entérinée et pas à moitié ! On a traversé ! On est passées ! On voulait en vrai cerner le plus possible de données "de suite" eh bien on dirait qu'en  vraéi, les données de base sont comprises , qui, toutes, sans failles, nous permettent de fait, de cerner-comprendre ce qui est qui nous regarde ou nou!s regarderait en face : ce tracé des RAges, pOrte Basse ! Le Procès ! La Cage d'escalier ! l'ancrage "aux nénés"  ! La b ase des données ! Le passé qui n'est pas assez se vioit ici comme déposé sur ... néné de Fée ? de trait ? de somme allouée ? de mot de roche, genre : Trait, 

"Dires de F2é, conscience accordée" ? On veut 

: toucher, de base (ici même), le trait 

Toucher de chez rtoucher de base le trait

Aller et cerner, comprendre et allouer, perdre et gagner, situer 

le trait 

sur une branche et le toucher comme si en vrai ce trait était ... Branche  en vrai ! Etrange ! étrange donnée dite "des F2es" ! On est entrées dans l'antre, on est Fée, on est Ailes de fée, Elles au débotté l'homme décanillé bien fait il suffisait ! On est comme pasdsées ensemble sur pré vaches à lait dites de connive,nce , à brouter de fait l'herbe allouée à une sort e de tracé de France, qui sait ? en français ! la CHance au passé ? le tracé immense ? l'onctuosité des données lactées ? la France Passée ? le tracé des charges, sur pré aux fées, pré de FRance ? On est nées F2e l'homme mort-né ! Onn est La fée des traits de Rage ! On veut toucher à ce qui est qui nous fait face ! Est-ce du lait ? du lait de Néné de base alloué à une sorte de tracé dit (du coup) "lacté " ? On est la Fée "des données de Rage" cernées, c'est-à-dire entourées, dessinées, encercvlées ou comment dire ici qui soit, pour le coup, dicible ? ?On veut ... eh bien ..... allouer, à une Rage, des donnnées de base, genre : densité des traits, vivacité du tracé, véracité des données acftées, sensibilité du toucher, onctuosité des données lactées. On est la Fé"ée de FRance = en français ! On est nées Fée de Rage sur Passé de FRance comme sidéré ! ou comment cerner ? comment dire sans frais ? car, on est nées F2es de Rage sur Passé vde FRance = le françaiis, comme sidérées ! le Français, sidéré ? On charge ! On veut :

toucher de basee les nénées 

toucher grave les denrée's de base

aller et creuser comme à la parade

donner et donner et encore donner de ce qui en vrai ici nous pèse grave ! On veut cerner et toucher et dire et aller et conduire Le trait sur une sorte de Passé dit "des données fluyides" mais est-ce vrai ? est-ce ancré ? est-ce vraiment ici ce qui est qiu'on nous promet ? on voulait dire ... bien des chose de Roche, et autres mots d'homme ! Mots de fée ? oui ! homme transformé devient Fée des prés la mort achevée ! on oses ! On ose Parole = on donne = on sait = on sait grave, en  vrai, ce qui est qui porte Parole jusqu'aux nénées et  ce vqui est est cette Chose d'une sorte de jugé, de dire lacté, de Parole docte sur le pré, lait de fée ! lait d'ombre ! chants larvés de rond de Bosse ! corolle ! drôle de Passé et cependant "dépoque rosse" ! On veut en vrai aller de rage sur un pré, diçrection ... l'Étrange, l'Insensé ! la Chose des traits des fonds de Rage ! traversée forcée do nne une sorte de Tracé de ROnds de jambes ! chahut-né ! pArade ! Densité des données sales ! passages au passé ça se pourraiot et cependant ça ancre ! ç  va dense ! Ça y va de rage sur iun pré aux fées chercher drôle (en soi) de ROmance, des TEmps alloués à une sorte de Passage des contrées lactées ... qui sait ? On chante ! on est chantées ! on entre ! on est entrées ! on colle aux nénés de l'Arbre ! ça le vfait ! grave ! grave ça le fait ! de colloer de RAge (en vraéi) aux Nénés ! espace dédié aux ditesxc"Vérités des données sardes" ...  est-ce vrai ? est-ce ce qui est ? est-ce vraiment vraiment v raiment 

le Vrai aux Nénés tel qu'évoqué de brancghe en branche antériuerement par des Fées de pré ? On vole ! on s'envole au Passé comme qui dirait mais, oublie ... que ça puissee aller aux yeux de Déité ! chante ! LE passé ne suffit pâs dans l'antre ! Il faut donner du ventre, de la Rage vraie ! du vent des sables ! de la meu des prés, du pipi de fée ou d'ange ! traversée des prés ! On veut :

toucher grave à ce qsui est qui se présente devant noius, en papautage ! On veut :

accoler grave , nos ailes de base aux nénés de l'antre ! 

on veut toucher = toucher =

toucher aux nénés 

des données de l'Antre ! et, ne pas se perdre au passage mais s'ancrer, de base, aux tracés dits "des féeés" ici incriustés ! On veut :

toucher de chez toucher = toucher grave , et aller ! foncer sans embages, sans traîner, sans verser de larmes ... ou si ? en versant des larmes ? larmes de Fée ? on veut :

comprendre-allouer, dire-porter, séduire SAinteté des Données Slaves (esclaves ?) s'il en est et cela on ne le sait ! on le sunbodore mais on ne xsait en  vrai ecxactement pas ce qui est (de fait) ô grand jamais ! On aime le Foie ! le FOie de BOis ! l'ombre des fées ! Le tracé alloué à une sorte de donnée de Roche ! On veut passer (peut-être) en force c'est un fait mais sans anicroches ! sans tracer de traits qui fussent plaies ! plaies ou ... traits des Traits ! On veut : 

dire = faire = donner, et du coup tracer de chez tracer la bête cendrée,, loa buflette et le cheval xde trait, bises et bisonnes au taquet amorcent une sorrte de parade monstre sur roche dédiée ! On veut cvomprendre ici ce dit "tracé des fées" en tant qu'il serait ... néandeertalien des données de base ? genrre aurignacien des données de RAge ? on veut cerner de près le dessin de l'âne ! du cheval de trait ! romance de fée sur pierre tombale (on dirait) et, ça le fait sans traîner , sans perdre la face ! On veut comprendre = dire = percer = conduire l'animal blessé sur roche tantrique, au passé ! On veut : toucher = dire = faire = poser = prendre = alllouer à une crique une sorte de musique dédiée aux fées ! musique chantée ! vie de fée sur plage envoûtée, qui sait ? on veut :

dire, poser, charger, déposer denrée, offrandes soulevées et montrées haut aux Dieux de l'eau (de l'HAut ? ) 

[tel que rencontré au /

tel que touché de près des /

tel qu'il serait venu nous aborder et nous parler et nous donner du "hé, la fée au taquet, fais donc ce que je dis de /]

tel que cerné ? tel que doté de traits comme bêtes de pré ? 

Oon veut dire et toucher ! On veut coller ! On ne veut pas (du tout) trépasser mais dire dire dire , trois fois dire ce qui est qui nous attire au vent mauvais = ce tracé des dires, ce P assé accolé à une sorte de Donnée "Risible" ... est-ce vrai ? y a t-il du vrai ... dsa ns le Rire ? et si oui de quel genre de rire ? sacré ? ancré ? ,déployé ? soulevé, comme une sorte de capote à Hydre ? on est nées Fées des Frises, on veut toucher à Déité sacrée des données genrées : est-ce possible ? pêut-on s'ancrer en cette rive aux données placides ? aux données des don nées tantriques  ? avonss-nous de base l'autorisation tacite ? pouvons-nous compter, sur ici ce Rire aux données données ? peut-on  ... survivre ? traverser sans périr ? charger de rires le trajert ? combler ? donner à Déité le Rire déployé des données de l'Hydre ? le Passé ! Le pas des données = le Passé ancré, alloué à une sorte d'Hydre à Faces de Chine !  Chargée  ! cotée ! élue sur Pré comme une bêtedes données-surprises ! On veut en vrai toucher le nu, de l'ombre portée ! on veut grave toucher sans tarder , et monter = s'envoler ! traécer = s'envoler , sur muret ! monter monter monter sans tarder sur ce muret des données acquises = un tracé ! une frise ! bzêtes des données apprises = le français ! la langue du vivre ! le chargé de près en tant que donnée des données surprise ça le fait ! on veut toucher ! on veut aller ! on veut cerner ! on veut dire et allouer aux rires (ici déployés) l$e savoir des F2es ! On ne veut pas passer à côté mais au contraire, grave chercvher à comprtendre ici et là au débotté ce que c'est que ces romances, de roche cendré, de paroi de roche, de groote de fée et autres trous de destinée ! On est la Fée du pré ! vache aux nénés ! on donne du lait qui est du lait sacré = sucré et sale = salé comme xs'il en pleuvait ou pissait ! On rit ! On, est Fille de vie ! F2e des fées sur pré des Vies données, posées, allouées comme dennrées données, au jeté, au craché, au dessiné des traits dits "de roche grise" ! vive les Fées ! Vive le tracé des fées ! la Beauté Soumise à une sorte de DEnrée de frises ! chapeautée ! ornée ! comme soulevée ! mises au pré sous égide ! On veut :

dire dire dire

donner donner donner

faire faire faire

combler combler combler

tracer tracer tracer

pondre pondre pondre

fouluer fouler fouler

permettre permettre permettre

chahuter de près les données de l'herbe = lz passeé des Fées, le tracé, la CHance larvée, l"'2popée des fées sur herbe allouée à une (sorte de) prairi e de vie, vie de traits en herbe ! On veut coller !dire et monter ! forcer Rive ! charger ! foncer ! aller ensembgle (ailes de fée) jusqu'aux données données des (dites) "envies pressantesz et autres impériosités de base" ! Aller = foncer = s'envoler = faire et donner, dire et porter, comprendre et soulever de base les données romanches, sa&rdes, latines, saintes et vives, sur pré aux Vivres et autres bêtes rampantes ! vive l'Hydre ! le passé Romanche ! l'envolé"e (placide) sur branche et autres vies, de Rive Romande ! on veut en vrai cerner la donne des données de Roche ! qui est qui en ces contrées ? qui regarde ou mate qui ? qui cherche qui ? qui veut téter de chez téter le pis ? Qui veut dire et cerner ? Qui est qui de Rage ? qui veut qui de RAge ? qui en vreai comprend ou comprendrait, ce qui est qui se présenteb à nos mirettes grandes ouvertes et autres attentes ? 

On entre ! entrons ! on pose les nmots, qui vont (qui sait ?) peut-etre toucher, cette (sorte de) "Déité des monts " ! 

qui sait ? On est Fée Docte forte (grave ! ) et du cfoup on trace ! on avance ! on fonce sur pré sans traîner ! on fonce sur un pré des Bases, des données naiss antes et autres szortes en soi de Vérités, Chargées de Mots Lactées ! On veut toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui se prése nte ainsi, ainsi dessiné ! les buffles sondés ! les bisons proprets ! l'antilope cendrée, la bisonne)-fée, l'antilope rosse, le'ours morose et l'ourse grossze de ses trais vde Bosse ! On veut:

aller ! virer ! toucher ! cerner ! comprendre ! dire ! pointer ! cerner ce qui est, ici, d'une sorte de donnée acide, acide ou placide , placide ou lactée ou  peut-etre vive ? Vive de chez vive ? mais ... que, vive ? ou alors vide ? On cherche (ardemment) le vrai, d'une sorte de vie allouée à un pré ! On veut toucher (de près) aiux njénés et téter sans traîner ! toucher vif ! prendre et pincer ! téter au néné le lait des données, des données actives ... de la mort à l'oeuvre ??????????????????????????????????????????????? on ne sait ! on veut cerner = on veut toucher, mais pour toucher il faut passer = traverser la Rive, le Tracé des F2es Acides, le Passé ! La Suite des Vies Secondées ! Le Chant du pré = la prairie des Huilesz ! O,n veut : 

dire et sonder le Vide des données acides, perdurer (en vrai) sur pré alloué à une sorte de tétée active ! Donner = permettre = faire ainsi que La Fée des Prés ou dite "Fée des Prés", piuiisses naviguer (sans trainées) sur Rive des Prés aux données actives ! Herbe de suite ! données des do nnées ! on s'active ! on ne veut pas se laisser démonter, ou surprendre, ou même surmo nter, ou mêlme accoler sans prendre garde ! On veut grave rester aux aguets ! toucher de chez toucher mais sans perdre la Face ! rester frais ou fraiches sur pied ! aller = comprendre = donner ! On veut ensembleb en tant que fée (ailes de fée) rester (de fait) serrées, franches, accolées, comme soudées en  vrai par en nous la "branche" des données acides = vives ! la c larté naissante ? le tracé de branche est ou serait clarté ou clarté naissante ? pilosité-vilosité de base ? trait des traits ? Rome en cendre eyt autres chants de Thrace ? On veut, de fait, cerner de chez cerner les données prégnantes et du cpup comprendre ce wqui est qui nouès regarde, sans jamais nous lacher ou nous laisser toùmber ! On est la fée des prés, ici, remontée à jamais parce que voilà, on est entrée ! on est née sur pré ! on veut toucher les nénés fuyants ! on ne  veut pas du tout les louper mais au contraire bien les approcher pour bien les toucher et bie"n les téter jusqu'à la garde si tant est , s'en délecter ! boire leur petit lait ! le donné de l'herbe = le VErbe ! VErbe dense ! tracé de FRance, chants français des do nnées denses, .... "une poule sur un mur, qui picote du painn dur...." et autres romances  ! On veut (en vrai) foutre à mal le FRançais , pour qu'il se balance ! Charger ! tracer de près les données donnéexs comme soulevées, remontées, portées, soupesées et comme déposées en face, sur muret final, ombre grave, chant total et autres traits des F2es alloués au MAL ! tracer = graver grave, ce qui est qui nous regarde en face ... c e visage ! ce néné ! ce Passé ! ces traces ! ce Passé de FRance ! le français de base est comme chahuté, du fait que ... eh bé ....L La chance est pzassée, qui nous recommande ou recommanderait de bien nous installer face à la Branche dite "des donn"éées de Rage", et n'en plus bouger ! maiçs mater ! mate que tu materas le Message ... et le mEssager ... et la Messagère ! Allouée à un TERme ! le mots des fées ! Mot des Ombres Portées sur Néné ! chose ! Chose grosse ! Train de fée sur Pré accort ! On ose ! on ose toucher de chez toucher ! on ose grave aller et toucher sans se gêner ! on veut 

TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER à ces nénés de l'Omb re ! On ne veut pas passer à côté mais grave les toucher de chez toucher sa&ns traîner et sans traînées ! de fait ! car ... on s'aime ! grave ! sur pré ! en tant qu'ailes de Fée ! ailes surnuméraires aux Données Allouées à une sorte (en vrai) de cimetière des Données Actées", genre pinède ! carré vert et frais ! sqaquare alloué à une sorte en vrai de "vérité des Vérités" en herbe = VErbe ! chant cendré ! Chant des chants des chams Donnés ! et autres prés aux Fées type Jardinet, Pré carr(é, jardin de curé, qui sait ? On entre en ce terrain des fées toutes remontées, et, de fait, on monte ! On veut toucher

TOUCHER DE CHEZ TOUCHER

FAIRE DE CHEZ FAIRE

ALLER DEE CHEZ ALLER

DIRE DE CHEZ DIRE

COMBLER DE CHRZ COMBLER

COMPRENDRE UN TANTINET DE CHEZ COMPRENDRE UN TANTINET

CERNER DE CHEZ CERNER DE CHEZ CERNER DE CHEZ DIRE ET DONNER

PERMETTRE = ACCORDER, À) L'AUTTRE, LE PARLER FRANÇAIS, FRANCO-FRANÇAIS TU PARLES SI ÇA LE FAIT ! ÇA ENTRE ! ÇA ENTRE GRAVE AU DÉBOTTÉ DXANS L'ANTRE DES DONNÉES DONNÉES COMME XS'IL EN PISSAIT ! On veut comprebdre ces données, cette chose du français collé, des mots de Rage, xdes données de France et autres ...

données sages ? sardes ? 

ou cendrées ? cendres de FRAnce sur tracé de Fée comme d'un paysage ,  ? paysage sarde ? On est nées fée de fait au passdage... du Passé ?, on veut toucher (de grâce ! ) .... aux dits "né"énés d'en face " : ce treacé, des Fée des  connivence ! 

chance au passage ! travzersée des traversées ! toucher tyoucher toucher à ce qui est qui se présente, ici, au taquet et sans traîner, comme une chance ! chance avouée à moitié cernée, de passer de Frannce (du françai) à une langue slave, esclave, acculée, chahutée, portée, contrée, dotée de référencestoutes plus ou moins cernées, de traits du passé et des effets de manche, genre : vies vives sur pré, fonds de roche creusée, traits de buffles et de chevaux ailész, crosses ! monstres ! mains de traits ! fée surnuméraires  saluées et autres fée en herbe ! pré ! pré ! pré des fées ! pré d''herbes et de verbe m^élés , entrecroisés, entremêlées ! comme soudés ! On veut en  vrai aller sans faute verts ici Nénéb = LE Tracé Monstre, Fin de pré ! carosse rose ! chants des fées aux Herbes Folles ! vent de porte ! coura&nts  ! courants des courants ! vents doctes ! vent des vents ! On porte, on fonce, on compte les dents, on cherche Osmose ! Le pAssé renaissant, l'emporte-porte ! On veut (grave !) aller dedans ... et du coup (grave !) mater ! vioir ce qui est ... des nénés ? du lait ? du vent ? vent de Fée ? fol vent des fées sur Nénés ??? On ne sait ce qui est de fait ! on veut 

TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER à ce qui est qui, ici, se pointe en  vrai sous nos yeux éberluées de faons des tracés ! on veut croire et donner, dire et porter, chanter, pousser, coller, faire et anticiper, dire et parler = chahuter,  le français en herbe, le trainer de cherz traîner dans la luezerne, herbe mouillée, boue d'herbe et de terre allouée à une sorte de donnée en herbe, genre : "vérité des prés , vérités des fées", et ça le fait ou le ferait sans faille ! sans entrave ! sans autres considérations néfastes et autres mots de rage ! vive le tracé ! le bison soudé ! la chevale verte ! le bison du pré, buffle accolé, parade rupestre, pprincipauté des Données Alpestres et autres Royaume Alloué aux Fées en herbe ! pré ! pré ! le pré des herbes vertes ! pré d'herbe et de bêtes toutes Autoproclamées, genre mots-bêtes sur tracé en herbe ! On veut gracver ! on veut grave graver ! dessiner sur pré les données des Frères, Soeurs en charité, Bêtes frères, Bêtes-soeurs lactées, pets de fée sur pré ventilé de fait ! On aime ! on a envie ensemble (ailes) d'y aller , de nos chants sacrés, de ne pas nous  brimer, gêner, empêcher, contraindre, museler, mais , au contraire ... péter !péter de chez péter sans trainer ! sans traîner et sans tra înées ... de merde ! si tant est ! gragve péter ! dfonner ! cerner ! fouler ! aller sur herbe pour donner à téter aux petis de la bête, dit "veau" ! On est : 

Fée d'herbes en herbe, ici ... du verbe !

Dire ! charger ! conduire et pousser ! faire ce qui est qui est qui nous attire ! Aller sur rive pour toucher ... le Vit, des données données ? ou ... DU ViF Donné ? du Vif Lait Doté de Vérités en vrai ? Vit ou vie sur pré on ne sait ! On veut dire et aller = pôusser, ici, notre char à lait sur un sentier de rive , et aller ainsi chahuter le muret, titiller, pour de rire, qui sait ? 

Pousser = dire = faire = chercher =donner à des nénés le lait sacré, sucré, sale et salé , des données du Rire ! Chercher ! dire et poser ! Qui on est ? on est les fées des doonnées -surprises comme déposées de fait en un pré qui est le pré post tracverseé, post v-traversée des mursc de frise et autresz murs aux données du Rire !On veut dire et cfoller à ce muret  nos données acides et autres vér(ités pêchées ! on veut 

TOUCHER = DIRE = FAIRE = PRENDRE = COMPRENDRE = ALLOUER À UNEE SORTE DE PRAIRIE DES FILTRES LE PASSÉ EN BRANCHE, VIE PASSÉE SUR PRÉ DES FÉES ET VIES PASSÉES SUR PRÉS AUX DONNÉES DE FRANCE FRANCHES ! LE FRANÇAIS ALLOUÉ (LA LANGUE) À UNE VÉRITÉ CLASSÉE, ÉTANCHE, SOUPESÉE, COMME SOULEVÉE COMME À LA P ARADE, EN CET ANTRE DESdonnées actées ou sinon actées .... espérées ? On nentre ! On veut toucher à ces nénésx du centre, des données romandes, du tracé fêlé, des vies passées comme allouées à une sorte de romance des temps dépassés, surmontés, donnés sur pied à Déité des F2es et autres BÊTES de Pard ade. On est la Fée des fées , Fée des fées donné ! Onn est Fée des Fées de France ;, c'est-à-dire parlant français, la langue cendrée, ccette langue

 aux accents tracfés , sur pré des données comme "remo ntées". On veut :

surprendre = aller = faire = chercher à) (pour le coup) toucher Romance, toucher Fou , toucher grave, à cette sorte de Romance, comme Persi-onnifiée , la Fée ! Fée docte vdes contrées de Roche , Fée passée sur roche depuis ... l'ombrte ! l'ombre du passé des hommes cernés ! homme mort et enteré laisse son passé "germer" et donner Fée sur Herbe Folle ! Fée ailée de Rpooche ! Fée tracé par quelques entités de Roche surmenées ou par qui d'autre qui saurait tracer, sans se tromper, le Trait des Ombres ici  portées, sur muret de bout du monde ? On est La Fée des prés cendrés ! On veut en vrai cerner de près les données proches = ce muret des roches, des rochers de Porte ... qu'est-ce que c'est ? une sorte de Parole ? de Pa(role-Porte ??? de Porte du pré ? P assaghe de fée et qu'importe ùo ça nous pôrte ? au néné ? au néné né de fait passé la porte ? La porte passée ? une fois passée et du coup ... on compte ou on compterait = on ferait nombre ? on pèserait ? on seraéit "du nombre " ? on pourrait compter et être (un tant soit peu) enfin et à jamais , qui sait, considéereées en tant que 

"Fée, des données de Roche", 

post-morteme , post-cimetière alloué aux données de Rome ? On veut grave y aller, de notre théorème ! pousser = dire et poser ! cerner et prendre (comme qui dirait) le vent de face ! pets ! pétarades sur pré ! charges fatales ! considérations maussades ! poussées d'acné comme par malchance et autres faitsz s ans fraiçsz ! On  veut coller = dire = faire = donner à une sorte de Passé notre sorte de POussée, de genre genrée, donnée, amllouée de fait à un genre donné, de type "cendre" ! Poussée d'acné sur pré comme à la retombée, ça fout le seum et au taquet ! ça nous fait bisquer ! ça nous enquiquinje à jaais ! tracé dense ! faits de fée ! balances et romances sur pré chahuté ! on est accolées = ailes de fée = fée = ELLE ! Âme HAute , le Pré (en  vrai) est Hôte ! chambre d'Hôtes ! pré des fées = rotonde ! une sorte de jardin de bonnes ! ce Passé est un passé de Roche, puis de trait, trait d'ombre portée, qui sait ? qui serait trait de roche = tracé = anfractuosité d'époque passée ou sinon passé .... profonde ? On veut zn vrai aller , féire et donner, comprendre, cette porte, ce Passév de POche, ce Passé passé, ce tracé, cette sorte de donnée profonde qui (peut-être, on ne sait) reswembleraiot à s'y méprendre à une sorte de "donnée en branche" = donnée d'ambre ! chance ! chance en vrai sur branche !Le passé, des données de France = le français en tanjt que langue du Passé, des données données sur pré alloué à une sorte de Jugé, de Vérité de base, de poussée d'acné dans la Romance, de préciosiyté comme chahutée, ou alors charcutée ? sur pré des prés donnés ? On est passé en tant q'on est La Fée du pré, parlant français = chante ! va-nu-pied ! vent de face ! cheveux au nez et à laé barbe ! un e sorte d'enfilade de chevaux de base  ! bhêtes de parade ! bisons-nés ! buffles de Rage et bouques au passé comme en embuscade ! les nénés vde france ? on croit rêver ! On veut (grave ! ) comprendre ce qui est (en ces contrées) des données de base post-excentricités des envies (pressantes) de passer ou traverser ensemble (fée ailée) le muret premier, mur des données cendrées, mur ONE ! On est ailées de fait du fait qu'on est Fée, des RAges Naissantes = Fée des Fées  ! F2e du pré ! Fée des ombres allouées aux murets des Ombres ou dit tel, car, en effet, le TRait de pOrte, le dernier (on dira le dernier) est trait ditb "des fées" , du fait que les fées ... le  connaissent, le voeint sans cesse comme se tracer, voient en vrai les "nénés derrière" ou bien c  e qui eressemblerait on dirait, à des nénées derrière, à desb nénées à lait : qui sa&it ? on dirait de fait des nénés  à lait ! pis en herbe ! pis d'herbe ! pis des prés et des herbes ! pis du pré passé ! pis des herbes et autres denrées ! pis des faits et gestes sur prairie donnée ! pis doctes ! pis d'ombre ! pis de fée des prés ! pis sur pré comme à la retombée ! pis donné ! pis sur ombre portée ! pis dit ! pis ici comme dit et nommé ! nommeé de près ! nommé ou autonommé ou comment nommé ? on est la fée du p)ré qui dit "le pis" ! Le pis dit ! le vrai des vrais des pis en herbe ! pis pis ! Pis des fées sur pré charmées ! on veut come qui dirait du pis en vrai, le pré passé ! pré des fées (mort /ombre) on veut toucher ... pis ! Pis des pis des prés finis ! pis des fins de prairie ! pis derrière ! pis des fins de Charge Allouée ! On veut en vrai aller ensemble (ailes = fée) vers Pis des Pis de bonne mère et autres mères ici tracées, dessinées comme à l'arraché sur dernier muret, celyi (post-motrtem) des fins de pré et d'herbe ! On = Je = NOus = vent debout ! On v  eut nous deux (ELLES au Taquet) donner, dire et pousser, de tous nos voeux, 

le mot donné, mot des données données ! On est Fée du pré au mot donné ! On veut 

: coller = donner = dire = chercher =comprendre = cerner = toucher à ce néné de l'hydre ... mais, qui donc est l'Hydre ? qui en vrai est l'hydte (ou serait l('Hydre) du pré ou de ce pré des rives ? On ne sait ! On est Fée faite sur pré des donées mais en vrai on ne sait ce qui ici (ce pré) nous réservfe ou nous réserverait en fait d'invitée  , é-e et d'invité,  é,  ! On veut : vrai ! dire ! ppousser ! chahuter qui le verbe qui... le  verbe ! car, en vrai, seul le verbe est (serait) ici, de fait, à chahuter en vrai ! vu que le reste ... appartient au rire ! rire gris ! rire forcé ! rire des données du rire ! chant de fée sur pré des Rives et des Champs alloués à des sortes de denrées à cuire ! On est La fée du pré Forcé ! Passage d'anguille ! on est passées, on est retombées, on s'est redressées, on s'est comme accooélés dès l'entrée;, de type "frise", "fille", "fée ailé" , Fa;on desz données (biche !) et nous voilà qui voulons aller sans plus traîner vers cette rive ultime dont le nom en vrai est .... Hydre ? hydre Saluée ? Ivre Hydre aux données tracées comme gravées ? On est née  Fée sur pré des rives (r(otondité) , nous voilà promenées ou comme promenée jusqu'aux nénés des données lactées, de type .. Hydre ? mais ... Hydre, c'est un fait ? une sorte  de trait ? une donnée ? une sorte de figure en vrai ? face-lune ? face ancrée szur muret de bure ? Pioint d'alacrité ? chant des traits des données des Urnes ? On veut :

DUIRE DIRE ET DIRE

PORTER PORTER ET PORTER 

CONSOLIDER, LE DIRE DE L'HYDRE, SI JAMAIS

MAIS QUI EN VÉRITÉB EST OU SERAIT L'HYDRE ?

UN HYDRE ? UNE HYDRE ? L'HYDRE DES FÉES ? L'HYDRE IVRE ? L'HYDRE COMME REMONTÉ (E ?) DES TRACÉS SOUS EFFETS ? 

ON Veut grave toucher (en tant que fée des prés) aux seins des données, dites "de l'hydre / aux données données" ... est-ce possible ? pourra-t-on vcerner ici ou làb (en ces contrées du VErbe en Herbe) ce qui est et ce qui n'sst pas, de ladite ... "mort aux acoords" ? On veut vivre mort ! on veut (on voudrait) vivre (en vrai) mort , la mort, mortes ! on veut (on voudrait) ensemble (ailées) bvivre ... mortes ! ce que c''st ! ce qui est ! ce que la Mortb serait , qui nous verrait vivre, ici (au taquet), la Vie de l'Hydre des contrées du Rire .... alloué à un pré, à un champ de bêtes posées ! comme déposées pour de rire ! champs des Vies Allouées pour Rire ! gros Rire sur le Pré , Rires Gros des Contrées ! On veut :

DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE = FAIRE FAIRE FAIRE FAIRE FAIRE FAIRE FAIRE = DONNER DONNER DONNER DONNER DONNER DONNER DONNER = CHANTER CHANTER CHANTER CHANTER CHANTER CHANTER CHANTER

nos chants altruistes ! chants de suite ! chants des chants de Rive ! chants actés ! chants chantés sur pré par (ici) des Fées des données de rive ! Chants-poursuyites ! chants-comp)tines ! chants- dires ! chants sur pied pour ainsi dire ! bambinades cde parade et autres venaisons de grâce ! ramages ! enfilage cde bêtes de rage sur paroi de base ! On va (sur place) voir de près la Rage , fée on est ! 

fée des fées on est !

on est VF2e faite ! fée du pré ! fée cendrée post-mortem on aime , graveb cde chez grave, aller au plus près , des nénézs nés ! des nénés alloués à une Fin de pré, nénés des nénés ! On veut en vrai aller au pls lointain du pré, passer ce pré, charger, enttrer en muret, en muret des fins de pré et du coup cerner, en vrai, ce qui est de l'autre côté, qu'est-ce qui est ! qu'est-ce qui nous attend ou noues attendrait, qu'est-ce qui est dressé, redressé, donné, posé , sur pareil muret ou même après ! on voudrait = on aimerait ! tant cerner ! tant comprendre et toucher ! le néné ! le néné né ! le néné des nénés ! qui c''st ! qui ce serait ! qu'est-ce que c'est que ce néné surnuméraire des donées des termes ! qu'est-ce que c'est que ce néné des fins de pré !  néné d'herbe ? néné -herbe ? néné fait -xd'herbe ? néné né sur herbe de Verbe ? néné sur pied ? néné-Verbe au débotté ? néné-verbe sur un pied qui saurait xdanser ? un néné , des nénés ? le néné du français (la langue) en herbe ? un néné sachanjt se donher , en tant que verbe-lait ? Lait de Verbe au débotté ? verbe ... post-mortem comme qui dirait ? on cherche en vrai ! on ne veut pas lâcher l'affaire mais en vrai grandement pousser, sur pré, nos recherches ancrées, nos petites enquêtes et autres virées !  On est la Fée des données post-mortem allouées à un pré d'herbe ! On chercvhe ensemble (= deux ailes, accolées, soudées-serrées) à comptendre ici m^rme (ce pré) ce qui est "en la matière" , en cette sorte de matière dite allouée à un "pré en herbe" ! ce que c'est que l'herbe, ce que c'est que le Verbe, ce que c'est que la mort,  e que c'est que le verbe alloué à la mort par le biais de l 'herbe !  herbe verte ! trait d'herbe genré ! tréit des traits comme saturés  ! On veut toucher toucher toucher c'rst vrai mais pas que toucher aussi aimer ! On veut grave aimer aimer aimer ! On veut en vrai aimer aimer aimer toucher ! aimer toucher ici aux nénés dits "post-mortems" , est-ce queb c'est vrai ? est-ce que, en vrai, loes énées, les nénées des nénées sont ou seraient des données de type "post-morte"m" ? qui sait  ? qui en vrai sait ou saurait ici (pré = mort donnée) nous indiquer, nous informer, nous éduquer ? on veut :

dire dire dire

ok mais dire = dooner, et donner = forcer , et fgorcer = soulever, et dsoulever = charger, etb charger = porter, porter grave sur un pré, des sortes de Données rusitiqaues , excentricités rustiqaues, en langue secouée, genre français de chine ! charges divines, frais sur pré, encres vives, vins des prés nous ennivre et nous fait aller, sans rire, jusqu'aux fins de rive, traits tracés ancrés, frises ! On veut coller ! grave coller ! dire ! grave dire ! chanter ... nos chants acidulés ! rires sur pied ! chants-rires des données lucides , éclairées, cernées ! On veut 

TOUCHER DU DIRE ! DIRE ET TOUCHER ! TOUCHER-DIRE ET CERNER ! TOUCHER DE CHEZ TOUCHER LE DIRE CERNÉ ! CERNER-DIRE = TOUCHER ! POUSSER-COULER LE DIRE FRANNÇAIS , ET QUE ÇA ACTIVE, EN VRAI, DES DONJNÉES LUCIDES RUSTIQUES COMME SOULEVÉES ! QUI SAIT ?  ON VEUT AIMER = DONNER = CERNER =COMPRENDRE ! COMPERENDRE ENSEMBLE = AILÉES , CE TYPE DE DONNÉES ANCRÉES GENRE EXCENTRICITÉS DE FRISE ! NÉNÉS ! NÉNÉS ! NÉNÉS ! NÉNÉSV DE FRISE SUR PIED ! LES NÉNÉS D'ENTREPRISE ... EN CHINE ! NÉNÉS NÉS PAaR (ON DIRAIT !) SURPRISE ! NÉNÉS DES NÉNÉESS ON  VEUT TOUCXGEZR ! On est nées Fée en  vrai comme à la retombée une fois comme trépassée ! On est née Fée La mort acceptée, avérée, aquise, instruite, actée = portée ! Et une fois passée (= trépassée) on est devenue TRANs  = F2e ! Fée du pré ! Fée docte en vrai ! HYDRE ! HYDRE SUR PIED ! HYDRE DU PRÉ ! QU'ST-CE QUE C'ESRT QUE L'HYDRE ? UNE SORTE DE DONNÉE ACTIVE ? FIGURE VIVE ? CHARGE RUDE ET COMME AUTO - DONNÉE SUR UN E SORTE DE PRAIRIE "ACIDE" ? ON VEUT (ON VOUDRAIT) CONCLURE ! QIUI ON EST ? QUI ON EST PAS ? QU'EST-CE QU'ON VEUT SAVOIR EN VRAI XDE CES DONNÉES DE BOUT DE PRÉ ? QU'EST-CE QUI EST ET N'EST PAS EN CE MURET DE FIN DE PRÉ ? ON EST LE FÉE DES HERBES FOLES ! FOLLES À LIER ! On est

Fée de Roche Folle ! accolée ! poussée ! morte ! 

morte et enterrée ? Pas vrai ! On est fortes accoléesv sondées ! on fonce ! ailes ! ailes accolées on est ! on est Fée ailmées du fait qu'on est passées à travers la Roche, Roche de Grotte, néandertalienne avérée , on est passée ! on est come passée ailées ! On a traversé sans trainées la roche des prés ! face allouée ! Face nue ! cul nu sur pré herbu ! On veut grave débouler, passer, se retrouver de l'autre côté, charger grave sur pré les données de base , et y aller, foncer à grandes enjalmb ées, vers ces co ntrées de bout cde pré, rons  de bosse, muret, murailles de Porte, la Murzille des Données de CHarge : fins de pré ! fins des Fins ! contrées des Contrées ! l'enfonc"é ! l'emportée ! l'encorné ! la sorte de Passé aux Fées  ! On veut passer ! on veut regarder ! on veut toucher ! on veut toucher aux nénés ! on veut grave toucher aux nénés ! on veut grave ici même (fin de pré) toucher aux n énés = au passé = aux tracés dits "des fées et autres elfes du passé". On veut de fait alller aimlées (ainsi ailées en tant que fée) vers les données dernières ... dernières et primaires ! retyourner ! retourner, ainsi ailées, vers ... du passé de fée ? Du passé donné ? lait de F2e ? lait des prés ? lait des données données ?? Lait donné comme s'il en pleuvait ? Pluie de fée ailée ? lait donné ? lait des laits ? lait du Passé comme deéboiîté ? déhanché ? défait ? déplacév ? lait ! lait ! lait ! lait ! le lait alloué à une szorte de passé des fées ! lait des laits surdimensionné ! au taqsuet ! ch argé ! comme donné en prêt ! lait passé ! pointé ! collé ! accolé sucré ! lzit des fées au Verbe CXhargé ! Lait-VErbe ! Lait du VErbe FRançais ou ici Français du fait que l'herbe ici est comme centrée ! recentrée ! chargée des fées ! comme "collabée " sur pré des Fées dites "cochées "! On veut :

TOUCHER TOUCHER YOUCHER TOUCHER TPUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOIUCHER (§OUCHER aux nénés tracés ... pOst-Mortem et ça le ferait ! enfin on swaurait !  mais en vrai est)-ce ce qui est  qui nous attendrait, au pied levé, la mort donjnée ? On veut : 

TOUCHER ! TOUCHER AUX NÉNÉS ! AUX NÉNÉS DE ... DIEU ? GRAVE TOUCHER DE CHEZ TOUCHER ! AUX N ÉNÉS X'UNE SORTE DE DIEU DES DONNÉES ACTÉES, DÉESEE AVÉRÉE ! DIEU-DÉESSE CENDRÉE DE TYPE FÉE DE PRÉ MAIS, ICI (POUR LE COUP), POST-MORTEM ! 

On est fée des préds du fait qu'ejneffet, on est passées, on a traverséeé la Roche de grotte (néandertalienne ... ) et on s''sst rretrouvées commê toutees nues sur herbe connue ! prêtescvà nous relever et pouvoir tracer = filer = courir = charger = alller .... loin .... sur pré ..... tracer ! qui un sentier, qui un chenal, vers .... V2rité des V2rités = 

un cheval ? une chevale ailée ? Bouquetine cernée ? Buffle au vent mauvais (= pet ?) et ça irait ? On (nous = Fée) veut dire ici le trait des Vérités : voulons ! On = nous = je ! CE qui est qui serait, le muret dépassé !  qu''st-ce qui est après ! On voudrait en vrai ensrmble (ailées) comprendre les données ... d'un passé comme remonté ? le passé d'un futur alloué à une (szorte de) "donnée desb donnérsz"  qui nous devancerait ? On est La Fée vdu pré  , ici toute "remontée" (colère !) du fait que oui , en effet, les herbes .... les herbes vertes ..... sont touteszcmouillées "de verbe " ! Du français surfait ! cherche-merde, comme saturé de 

 🫅 

traits de merde genre Vanités ! Vanités des VAnités en herbe ! On veut :

DIRE DIRE DIRE DIRE CE QUI EST DE TOUTE CETTE MERDE ACCUMULÉE AU FIL DES ANNÉES EN CE VERBE ANCRÉ DES DONNÉES SURFAITES , EENLUMINÉES, CHAHUTÉES, CERNÉES, CONCENTRÉES, REBELLES ! REBELLES EN VRAI ET AU TAQUET ! REBELLES SUR PRÉ AU TAQUET ! GRAVE REBELLES, LES DONNÉES ! GVRAVES SUR PRAIRIE DES FÉES ! GRAVE REBELLES ! on veuut grave cer,ner en vrai, X données ditesx rebelles (on dirait), qui nous interpellent  ! qui nous hèlent ou nous appellent ! et nous d'essayer (de fait) dee les entendree, de l  es écoueter et de les comprendre , et de cerner ici leur dire avéré, accolé, donné, porté, déposé comme une sorte de denrrée lacté ! On veut toucher à pareilles données, comme sorties de l'herbe verte ! On v  eut  c  erner-toucher toutes ces données post-mortem (?) ou sinon post-mortem post paéroi de roche traversée ? post-roche allouée à une sorte ici de pré à traverser ailée et c'est ce qu"'on fait ! On veut aller, ensembleb (ailées) au plus loin du pré, au pls lointain, au plus profond, en ces fins de roche tracées, c  ernées,  allouées, qui sont finalités, fins de donées,n fins de pré , fins des herbes portées, fins des fins du Pré aux Données des Herbes (verbe) du Tracé Des Fées. ON Aimeb ! grave on aime ! grave on veut ! Grave de chez Grave on aime azvzller = traverser de base, les données p)rairiales, ce vert , alloué àune trace ! ce pré ! pré aux fées et aiutres "bêtes de ccharge" de type attelage ! pré ! pré ! pré ! pré de charge ! pré alloué à une sorte d'attelage de donnée de charge ! poids cendré ! poids des poids des données sardes (? ) ou sinon sardes sages ! On veut : 

coller à déité (de base) nos ailes diaphanes, toutes transparentes, nervurées, légères et nacrées  dites "de contrebande" : troquer ! mais est-ce ou serait-ce possible en vrai ? de donner , ici même (post-pré paradisiaque) nos ailes nacrées (diaphnanes) à une sorte de Déesees Sarde (?) ou sinon sarde  Sage ? Sale ? SAde ? On veut cfomprendre = aimer, et pour aimùer il faut TRACER ! courir dans un pré ! charger ! foncer tête baissée et pousser ! grave pousser ! pousser à charge ! contrer ! perdre la face ! chahueter de rage les donées en herbe du verbe alloué, à soi même alloué en première instance ! le FTzan çais tra&qué, ici le français , du fait que, de base, ici, sur pré des Fées, on est (on serait) comme en France ! France tracée ! Franc d'encre, un ancrage ! une f2e d'Ancre ... en français comme qui dirait ! On veut grave toucher = donner = dire =  cerner = pousser = pousser grave = c hercher = rec hercher = comprendre = donner ! donner ! donner ! donner ! donner ! donner ! donner ici ou là en face (face ?) les données de l'antre, ce qui est qui se ressemble = AILEs de F2e ! nom tracé ! meloton !  On veut grave coller (au muret ) notre nom ! et du coup traverser "comme à reculons" ce muret des fonds comme ... une sorte de Passé ainsi Tracé ! nénés ! nénés nés ! le njéné post-pré, post-prairie aux fées ! post nacre et drapé de pré ! post-herbes broutée par des bêtes de pré de type mmouton, moutonhe au fronton ! Au front ! Qui on est, en vrai ? eh bé ... On est la fée du Pont = sur le pont ! On va sur Roche à la recherche, 

d'une "sorte de fond" ! Fond de pré aux bhêtes ! Fond ! cfond du fond ! fond docte ! 

fonçons ! traçons ! courons ! ne nous arrêtpons plus de grâce m ais allons ! en face ! droit devant face à face ! on est Fée d'antre ! On veut comprendre = cerner, toucher et allouer à une sorte de muret un brin de Vérité ! Ce qui est en vrai, qui serait, qui nous informezrait, nous guiderait, nous donnerait de quoi ... e'spérer ? cerner ce que c'est que cette sorte de clarté des données profondes ! Une clarté de roche ? un fil de cqalarté ? jour donnéc ? ensoleille'ment acculé des données profondes ? vive clarté de roche, compme ancrée ? cklarté haute ? cla rté des clartés de roche Profonde ? La clarté des fins de rOndes ? une sorte de Clarté de Roche dite "Profondes" ? Cjlarté Haute / Haute VcKalarté de ROche ? clarté Allouée à une sorte de Mur de Rotonde Faisant Roche  ? CLarté à Travers Roche par un trait ? trait de Roche Alloué à une sorte de clarté de Poche ? fine cl arté des fins de roche ? trait tracé ! ? Tracé des Tracés ? fine clarté d'un tracé de Fée ? trait des TTrza  is Donnész, poussés, gravéss, ancrés ? On dirait un trait ! un trait de fée ! trait des traits des Fées allouées à un pré posqt-paroi des Rois et Reines de SAba ! Charge sur par'oi et ça envoie du bois ! grave ça envoie ! on est passées ! On a passé la Roche des Données Progfondes ! Groote ! Paroi ! Charge ! traits de voix ! on a passé ensemble la Paroi des Rois et Reines de Parioi ! ! On est nées Fée Sur pré à la retombée, preête à tracer, filer, courir  v ite au débotté vers cette fin de pré allouée à de l'herbe ! et, au-de"là de l'herbe, à un mur d'enceinte "troué " par .... qui sait ? le VErbe ? ... en vrai ? ... Troué par le VErbe ? la parole-née, l'herbe verte d'une sorte en fait DE VErbe de fée ? On veut cerner = toucher = dire , ici, en vrai, sur herbe, ce qui est !  à savoir ce Verbe ... ce que c'est de fait ! une sorte de perce-misère ? perce-muret  ? qu'est-ce que c'est en vrai que ce pré des herbes ? Qu'est-ce que c'est de fait que ce Verbe ancré ? qu'est-ce que c'est en vrai que ce Verbe d'herbe ? Du Laurier ? de L'herbe à cracher ? Herbe ici dotée de vertus de fée ? herbe à purger ? Herbe des données  Imberbes ? Le PAsdsé ? le Passé re-composé ? retour au passé ; ... via Le Verbe ? Verbe comme soutiré, étiré, chanté, calibré pou!r ainsi tracer, traverser, aller, passer, chercher plus loin un ancrage avéré qui puiisse allouer à une sorte de donnée ailée une sorte de solidité , de charge assurée, d'ancrage parfait ! on entre ! et c'est le mot de F2e qui entt-re, come ainsi porté ou soulevé, dans l'antre du ... trait ! très ! chargé ! entre chargé ! charge de trait ! poussée ! poussée froide ! un tracé dfe fé comme à la parade et ça pourrait aller, peser, toucher grave les ... don nées-nénées de l'antre : qui sait ? On veut comprendre = 

DONNER GRAVE

CHERCHER GRAVE 

TOUCHER GRAVE

CERNER GRAVE

CHANTER GRAVE 

ALLER GRAVE

PERCER GRAVE

SONDER GRAVE

PISSER GRAVE

ce qui est qui est en nos entrailles (ici) de fée affectée à une sorte de rechercheb"sale" de donnjées données pour en vrai toucher à une sorte pour le coup de Déité des Déoités "lactées ".

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20/11/2024

On regarde, on veut comprendre. On ne veut surtout pas passer à côtées des données premières. On veut cerner = on veut toucher. oN ne veut pas se laisser distancer mais toucher de fait aux nénés ! aux nénés à lait ! On ne veut pas passer pour des benets mais tout au contraire impacter ! impacter par notre intelligence ! et noius distinguer ! On veut coller en vrai aux données de France ! aux nénés tracés et aux données de france = la langue, le parler, la romance, une poule sur un muret, le furet, la danse  ! On veut toucher toucher aux dites "données d'importance" et ça le ferait ! on veut croire en notre chance : on est passées ! on a passé le trait de l'ambre, le tracé, la faille de Rage, l'en fractuosité de fçaçade, le creux de la base (ici, donnée) pariétale et allez ! on entre ! on vreut grave entrerr sans sourciller ! On est accolées en vrai parce qu'on s'aime grave ! on ne veut pas se lâcher mais tracer;, tracezr de rage, ne plus jamais nous arrêter jusqu'au :muret de fin de pré , dit "de la Mort en brancche " . On veut toucher ensemble = fée, aux nénés "étranges" , une vache à lait, une vache szacré ! notre chance au ttracé et on entre ! on veut toucher toucher la Vache aux nénés ! vache (sacrée) elle est née (de base) sur un pré, qui nous iimporte, nous soutient, nous accueille en son sein. On est ensemble ailé : un ensemble pour le coup ailé, et femmes ensemble des tracés des rages sur pré : on entre ! on veut coller à Déité des d2ités ! des données de base : infourtunité ! chasteté !  donnée cendrée ! chair des prés , des vives clartés ! On a passé le Rubicon de l'Anttre, le fossé, on est accoléesz = fée de Rage sur pré alloué à un passage dit "au débotté". On aime tracer, voler, filer, grimper, coller aux nénés = téter ! on veut DU LAIT ! DE GRÂCE ! que du lait déj)à ça le fait ! ça le fait grave ! ça nous plaîot ! on en redemande sans arrêt ! on ne peut plus s'en passer , qui sait ? On veut toucher de base les nénés de l'aNtre ! Aller ! pointer ! coller aux données, chercher ensemble la parade pour pouvoitr passer sans se retourner et filer ! grimper ! monter ! compter les charges ! cerner = comprendre ce qui est qui "nous regarde" ! = des nénés ! qui sait en vrai ? qui connait en vrai les différences ? qui sait ce qui est qui semble nous mater sans discontinuer ? Une äme ? un trait ? un champ de blé post-pré ? une sorte de ... clarté donnée post -tracé ? On mate ! on regardee ensemble (fée ) . On cherche à comprendre ce qui est, en ce dommaine des données post-pré, post-herbe, post-bêtes-mots et autres phonèmes "de trop" ! On est la Fée dite "des contrées post-cimetière " (post-mortem). On est Fée des Fées des prés prêtes à entrer (d'un trait)  en ce muret des fins de pré, muret post-herbe, post-données premières. On veut de fait tracer sur roche les données "accortes", filer (comme on est passée) , monter, grimper à l;a corde, voleter ! filer-voleter, chercher POrte (où elle est ?) et , une fois tyrouvée, ouvrir 

ELLE ! ELLE POST-PRÉ ! ELLE, DES DONNÉES DONNÉES RUDIMENTAIRES ! SALUÉES ! ORNÉES ! POSÉES ! COMME OFFERTES À UNE SORTE D'ENTITÉ POST-HERBE ... QU'ON (NOUS-MÊME) DEVIENDRAIT EN ELLE , PEUT-ETRE  .... On cherche à toucher aux nénés ! où sont donc les nénés  ? qui peut niyous indiquer par où passser si on veut trouver = comprendre ?  qi on est de base ? qui on deviendrait le muret passé ? Une sorte en soi de D2ité des RAges ? un furet comme plus haut nommé ? la branche ? ?le tracé des fées ? le tracé de rage ou tracé accolé à une sorte de démarche dite "de cervidé " ? On essaie grave de touchger -cerner à ce qui est qui nous fait face pariétalement, mur deds données fauves, ce carré, trou d'ombre, par peut-être où donc pouvoir passer une fois le pré dépassé, la course effectué, la montée actée ! On est F2e du pré, on regarde ! on voit loe muret ! le muret troué ! on croit comprendre ! On se dit que peut-être en effet la Chance, Les données de Rage, la volonté et l'opiniatretété auront raison de ce muret des fonds ! On est nées sur pré en tant que Fée, ailes de Fée, et, on croit en notte bonne étooile s'il en est ! On ne veut pas lâcher le tracé, loa base, la rechgerche allouée à une sorte en soi de cavalcade de paroi ! On est Bêtes de rage / Fée, qui allons grave, comme à la parade, vers la fin du pré pour tenter de comprendre eh bé ces nénés dont on parle , ce que c'eset en vrai ! est-ce en vrai des nénés ? pis de vache alloué à un muret  ? c'est drôle ! ça se pourrait mais, de fait, en nous quelque chose nous dit, que, c'est étrange ! On a du mal à y croire ! on voudrait c erner ensemble ces données mais... voilà ! On est cfomme bouche bée ! on cherche à cerner bouche bée ensembkle = fée du pré "de contrebande"  ! On essaie de pour le coup cerner -comprendre ensemble (accolées car ailesz de fée) les données données et autres vérités post-pré mais vas-y comprendre ! pas simple au toucher ! pas facile en vrai de nous y retrouver et de vcerner par chance ce qui est qui (de fait) ne cesse de nous reluquer comme si en vrai on était des elfes "de parades" et autres bêtees-chargfes allouées à une sorte d'attellage (ici) de pré tracé. On est Fée du fait que voilà, on a passé la première pa roi (dite "de la mort en acte") , puis le pré où donc volià, on est devenue Fée du fait que voilà ! on est passé ! Homme donné ! homme accordé ! homme des Monts ! Homme né, meurt sur cloison numéro 1, puis disparaiît à tout jamais pour on dirait donner naissance sur un p)réb à une F2e ailée ! On veut trouver ! ON est pasdsées de fait pour, franchemment, sans tarder , trouver , soit trouver en vrai le plus possible de do nnées de Rage et autrtes données sardes ! toucgher ! comprendre ! allouer à un tracé une sorte de donnée de base à base de rage ! et nous, du coup de filer, ensembke, sans trainer, vers cettte "D2ité aux nénés" comme qui dirait ! ventrte ! ombre ou ambre ! On enttre ! on passe sur pré vite fait direction le muret aux mille données dites "de vérité" ! On a méga-envie de comprendre, ensemble, ce muret des charges ! ce tracé "bien intentionné" on dirait, en façade, ce muret post --pré , post-romance fdes prés. On est accolées ! on est clouées ensemble commpe qui dirait ! on est enclouées ! On ne veut pas se laisser gagner par (qui sait ?) une sorte de méchanceté qyuiu nous ferait louper les vraies données données comme par contrtebande, par (ici : muret) La déité dite "des D2itées " . on ne veut surtout pazs lmouper en vrai notre chance (enfin !) de comprendre ou de pouvoir comprendre ce qui est, de se poser et de rezgarder (en face) les données tracées, cette clarté d'aisance, ce bleuté (ce pré sans pré ?), cette Parade comme Chahutée, ce sens des données placées, posées, déposées ; cette trace ! On dirait du lait ! est-ce du lait ? est-ce réellement du lait de néné ? et si oui : de quel néné pour la circonstance ? Nénés d'herbe de pré ? nénés des nénéd sur pré alloué à un troupeau de vaches ? nénés nés comme à lza parade, le dessin tracé ? Néné des prés ? nénés nés sur pré tracé, gravé ? néné nhéandertalien et ça le feerait sans tarder ? sans nous ridiculiser ? ON est née Fée car on est nées dans une sorte de prairie aux fées ! On voulait vraiment ensemble passer, entrer en roche commê en religion eh bé voilà ! on y est arrrivées ! on a passé le cap du treait direction le pré, pré d'herbes, et une fois le pré à son tour pasdsé on s'est rapprochées (ailées = fée) d'une soorte de muret, mur d'enceinte, mur celte il wsemblertait, mur donnjé comme une sorte de do nnée celelete ou sinon celte sarde , ou sinon sarde  ... eh bien .... on cherche ! on entre = on veut comprendre ! On veut toucgher à ces nénés "de contrebande " , on ne veut pas se laisser démonter ou remuer ou mamlmener mais se ranger des coups tordus, et comprendre le nu, le tracé nu, l'ombre de plage, le trait du cul, ré d'ambre, cul ddes culs comme il sembvle ! Toucgher ! Prendre ! prendre le train en marche d'une sorte, d'escapade géante ! On voudrait entendtttre = comprendre ! les données de chambre ! chyasteté et sainteté à la commqande on veut comprendre = toucher = cerner ! cerner en vrai qui c'est ! qui c'est ici en -vrai qui entre quand on entre ! On ne sait ce qui est ! On veut toucher à une sorte de donnée de base qui serait (de fait) donnée de contrezbande, chant sacré ! musqique des fées ! parole dense ! papautage d'ange ! "Pom pom pi dou" et on saute au cou ! On veut (en tant qu'on est deux !) e,

mbrasser Déité sur ses nénés et du coup pour de vrai la téter ! ne plus se gêner ! téter grave, Déioté des D2ités, sans se gêner ni discontinuer ni se cacher ! on veut grave :

téter téter téter téter téter vtéter 

les nénés de l'Ambre ! dxes données en chambre : succursalles, chambre ornée, lit de fée, dxraps donnjés sur place sans en emporter , on veut coller (de bonnhe grâce) aux dits "nénés des données sardes" ... On ne veut plus s'arrêter mais ensemble sans traîner chercher à comprendre ce qui est en ce muret des contrebandes allouées 

aux nénés de l'Ambre  ! Obn est de fait passé (homme surfait) , nous voiolà dès loçrs transformé, en Fée (Ailée) aux données de Rage, saturnales, principales, chargées-accolés à une sorte de donnée de branche, oonctuosité. On veut :

AIMER GRAVE

AIMER LES NÉNÉS

AIMER DE BASE LES NÉNÉS

AIMER ENSEMBLE = FÉE, LESDITS NÉNÉS DE ... L'ÂME ? 

ON DIRAIT ! ON CHERCHE ENSEMBLE ! ON NE SAIT PAS VRAIMENT CE QU'IL EN EST DE CES NÉNÉSX AINSI ALLOUÉES NÀ UNE SORTE DE MURET AUX VÉRITÉS ! ON EST NÉES FÉE DE BASE SUR PRÉ ET C'EST AINSI

(QU'ON SE PROMENAIT) QU'ON A FINIT

 PAR COMPRENDRE QUE 

OUI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! MORT = NÉNÉS !  qui savait ? qui disait ? qui l'aurait pensé ? qui l('eut cru au débotté du pré ? on est Fée non -couillue du fait que en vrai on est passée, on a traversé, et couilles on a tombé-perdu ! sur le cul ! nue ! fée des fées sur pré nues on est quand enfin "mourrue" ! ON voulait (on veut !) toucher , toucher, sa&nqs tarder, aux nénés ; ... on voulait en vrai ne plus s'arrêter et courir en fait sans désemparer ou discontinuer jusqu'aux dits "nénés" des données frontrales dites "terminales" . Vivement l'été, qu'on chante ! qu'on fonce en trombe en ce muret de l'ombre ! On veut grave comprendre ! grave toucher ! grave cer ner ! ne plus (du tout) lambiner ensemble (fée) mais, sans tarder, filer, jusqu'aux nénés de contrebande,cooller, toucher, comprendre, donner, pousser, chercher, eeswayer d'entter sans vraiment enttrer, c'est-à-dire ... d'un trait ? un wseul trait ? On veut vréaiment ensemblke tracer sans traîner le trait desz données (des données de base), cxharge mentale, petits ponts de cxhance ! vive le poumon ! le coeur en branle ! les rognons, le foie de l'ambre, le bout du bout du pont de l'antre ! On est née fée des Fées sur paroi tracée comme à main levée les yeux fermés ! chargeons ! filo ns ! essayons de nous (ensemble !) relever et ne regardons plus à nous ranger, mais courrons ! allons ! traçons ! de biais, droit sur pré, n'importe pourvu que voilà, direction Nénésbs ! Nénés des Données ! Chants du coq sur pré alloué à une sorte de tracé, verts Diapa son ! On veut :

toucher les nénés ! oh toucher oh toucher ! 

toucher les nénés ! les toucher les troucher ! 

toucher aux nénés sans frais ! comperendre -cerner = dessiner (de base)- sur paroi de grotte, les données de bosse, et du coup peut-être (qui sait ?) en avancer pasz mal en ces données diverses concernant la mort, ce qu'elle estb en vrai, ce qui est après le pré, la cloison du fond, la clarté allouée 

à un champ  de  blé et autres prairie aux données fleuries ! On est née Fée quand on est né sur pré ! On ne vcoulaoitb pas succomber mis juste trac cer ! Coller ! dire et toucher !  toucher de fait aux  "herbes-Verbe" d'un tracé de fée post-cimetière, et cela fait, continuer, aller au plus profond des données en herbe, coller, pousser, filer = ne plus traîner vers,  il semblerait, une (sorte de) cloison "aux nénés" qui serait là à "nous regardezr" comme si en vrai elle pouvait, comme si en vrai ou de fait elle avait deux yeux pour nous regarder ! ndeux ! pas mieux ! et nous d'y croire grave ! On est sages ! on est La Fée sage du pré, du présage ! On veut grave comprendre = aimer , ici, cette sorte on dirait de D2ité  donnée , comme présentée, offerte au passage, porte d'eentrée tu penses ! saleté ! oh on ne sait ! on ne peut se positionner ! On essaie de cerner ce vque c'est ! quoi c'estb ! quoio c'est que cette Déité aux données finales post-pré ? on est Fée, des féeds de rage ...................................................... accolées on est ................................................................ on veut toucgher de fait aux nénés .................................................../.. vérités des vérités ........... charge Kolossale ! ................. raison gardée ? ..................... potage ? ............................. gravité des gravité vs ?................................. onctuosité de face, de façade ? ................................... poussée des poussées ? ......................................... qui saurait en vrai nous expliquer sans plus attendre  ? l'emporté ? l'empôté des ^éames  ? le père Passé ? le podagre ? ...................................................................... on ne veut pas se laisser déborder ou malmener ou même bousculer ou pire vioolenter par quiconque saurait (en vrai) ce qui est ici des données finéales , genre Vérités post-pré, lutte finale, Vérité post-gambade, frai ! On veut :DIRE ET DONNER, COLLER ET FAIRE , CHERCHER ET COMPRENDRE, ALLOUER ET MISER, POINDRE ET POINTER, CERNER LA CHAMBRE, LA DONNÉE DE BASE, LITS FAITS (BIEN FAITS) , DONNÉE D'OMBRE (D'AMBRE ? ) SUR PAPIER DE PLANTE ; on veuut toucher à une déoité le pré passé , et cette déité peut-être ça xserait ... la Chance ! Déioté-Chance ! une sorte de donnée de base, genre tracé, qui nous expliqueraéit par où passer pour en vrai s'en tirer ! loa chance-déité serait , ici (mur des abris) ce qui qui sait ? en vérité pourrait peut-^tte nous donner ou octroyer une sorte de chance au passage ! grattage ! parade sarde ! point fde croix et ça y va, on passe sans embages ! On veut toucgher à ce qui est derrière la paroi ! on veut toucher sans discontinuer à ce qui est, à ce qui se présente, à ce qui naît, à ce qiui montre le bout de son nezb ! On est ....................................................................................................................... nzée fée ...... fée des prés des ombres portées ........ on aime cocher ! toucher ! coller ! percer ! Dire et monter ! On veut grave se placer du bhon côté et pezrdurer ! côté Chance ilm semblerait ! peut-on y vcroire ? peut-on raisonnablement comprendre les données (ici) du sangversé , donné, alloué à une sorte de .... féminité de base (rage) des données frontales ! ? On cherche ensemble ! on ne veut pas lâcher la bride, ici tracé, d'une sorte de .... gravité des gravités ? romances achevée ? chants sales ? propreté ? On trace ! On trace sur paroi de base les bêtes sur pattes ! On nveut en vrai traiter ! On ne veut pas se laisser débordreer ni embobiner, ni emberlificoter , par en vrai Icelle Déité des DXOnnées Finales ! On veut lutter ! Lutter de chez luter ! C'est la lutte finale ... dans les prés ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher 

toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher 

toucher et encore toucher aux nénés de l'Ambre ! Sainteté mal formée chasse la chance au passé !

Sainteté bien allouée fait la Fée des Fées tracée ! 

On entre de biais, ma&is on enttre : le passé donné, posé, alloué (contrebande) sur panier ! On est la fée aux données des prés  ! herbes au taquet ! sarabande ! julmelage d'ailes dessinées ! ailes d'herbe et autres fleurs louées, chants de ronde (de carosse) ! On veut toucher ! grave chanter ! chanter pour toucher là est l'entreée ! chant = passage = tra&cé = pointe acérée d'un verbe accolé ! On veut toucher-cerner = chanter = dire !  Allouer à un dire un tracé = un trait ! et du coup ........................................... passer ! Passer sans rire ! passer de chez passer ! passer qui le nez qui la frise ! mais passer ! sans traîner ! sans faiblir ! sans se prendre les pieds (comme qui dirait) sur pré  ! mais filer ! continuer ! aller ensemble (ailées) de l'autre côté = coté .....  pire ??oh , qui sait ? on ne sait en vrai ce qui est question pire ! on veut juste tater ce qsui est : le néné du pire ? On veut coller ! juste coller ! se coller d'emprise ! toucher = se coller = téter = cerner = dessiner cfomme à l'arraché et à main levée la bête de frise, l'antilope-née, l'ourse des prés, le bison nacré, le bâton sur pied ! champollion ! on est pas si con !on est fée des fées ! npas si connes en vrai ! on creuse profond ! on veut gravfe toucher et du coup on creuse ! on est à fond ! fée du pré à fond  ! sans avoir le mel:on mais à fond ! On touche ! o n veut ! on ne veut que , que être au mieux celles qui ont (pour elles) une sorte de "Savoir en herbe" si tant est ! Chercher = dire ! donner = faire ! prendre = coller ! perdre = pondre ! chipoter = corrompre ! caler = coincer ! pisser = vivre ! caguer = porter, ici, sur frise, le tracé des fées ! On ne veut pas se laisser surmonter ! On veut , en  vrai, s'envoler = voler ! haut les pieds ! hautes sortes ! fonds de roche ! fi des traits passés ! on monte ! gravfe o,monte ! on est la Fée du pré des roches gravées et du coup voilà on montre sans honte ! On veut : 

TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHERR TOUCHERTTR  À CE TYPE (EN VRAI) DE NÉNÉS QUI IL SEMBLERAIT SERAIT ICI (LA MORT) À NOUS ATTENDRE DE PIED FERME SI TANT EST ! QUI C'EST , QUI SOONT CES NÉNÉS OU : À QUI SONT CES NÉNÉS ? EH BÉ... ON NE SAIOT PAS ! on dit "la ùmort" mais la mùort sqqui c'est ? la mort post-pré , qui c'est ? On est nées fée au passage "tracé", (bouques et bouquetins) , à présent, à présent qu'on est mo,ntées, qu'on a gravi ici le muret, qu'on a fait le trajet, qu'on a grimpé, qu'on s'est envolée sur pré, eh bien .... on aimùerait beaucoup beuacoup connaître les données finales (terminales) telles que évoquées par chance en ce tracé post-pré de contrebandee. On est Fée faite (faite fée) , et à présent on cherche les données du Nombre ! Lequel c'st ? quel est-il en vérité ? quelle est la clé ? quelle est donc la clé des données post-rpré ? On est née Fée, on veut toucher aéux données post-pré ditesxd "surnuméraires", "allouées à de l"herbe", "surdimensionnées", "certaines ou certifiées", "souveraines / siouterraines", "cvhargées des contreées" . On est la Fée du p)ré cherchant (toute colère) ce qui est qui semble se tramer (tracer) sur pied face à elle  ! Fée calée ! Fée docte ! Fée des F2es doctes ! On,n est La fée qui sait (saurait) dire et toucher loa Chose Profonde, le pAssé passé, l'ombre sur pied, le beau de l'ombre dessikné, l'armée des ombres nsur rocher comme gravée à main levaée par toute une cohorte d'hommes et fde femmes désignées, pour faire parade ! dessiner de près ! coller de rage ! s'empiffrer de données de base et ça le fait en  vrai ! On ne vceut pasz se laisser berner ! On veut pouvoir continuer sur notre lancfée sans chyerc her à davantage se montrer (peut-^tre) mais aller, vives et enjhouées, sans faire plus que ça du char(me , vers ce trait ou trait alloué à uene sorte de tracé acté ! chance ! chance  post-pré ! chance sur pied on dirait ! on entre ? on entrerait ! on serait néesb Fée ... au passé comme qui dirait ! retrouvailles ! retrouvailles des nénés ! on voit la panse ! l'antre ! les seins poijntés ! le lait rance ! la chance des données de trait ! vache de FRance, le français,  

la classe montante, Cours Moyen charmant, le chant ! O,n veut coller à c  e qui est ici, comme déguenillé, le passé montant ! allouer au chant le passé (lacté) des tourments dits "des prés et autres cham)s" . On veut : 

TOUCHER DE PRÈS

COLLER ZAUX NÉNÉS

NE PAS SE LAISSER MONTER JAMAIS ICI SUR LES PIEDS

COLLER À DÉITÉ DES DONNÉES DE BASE

COMPRENDRE = TOUCHER ON SAIT

ROMANCE DES PRÉS FORMENT LA CHANCE "AU PASSÉ"

on entre ensemùble ! on veut toucher à ce néné de l'ambre = leNéné , des Nénés de France ! le FRançais ! Lait du lait ! petit lait des chances ! On veut colloer à ce néné nos loèvres prégnantes et sans plus tarder téter ! ne pas s'arrêter ! téter le lait des données naissa,ntes post -pré = post-mortem ! saluer ! cintrrer ! accoler ! pointer ! jouer , de l'orgue des fées, du fifrelin donné, du pipeau  d'aeau ! On veut jouer ensembkle à qui perd gagne sur paroi de rage ! tracer ! tracer = donner = voler = monter = comprendre , ce qui est ,  ce qui ici est ; ce qui se trame ici et là (là-bas) pour de vrai : les nénés de l'ambre, le Passé remonté, la CHance au passa&ge, le ppoint de trait , la (sorte de) parade ambulante

 à qui mieux mieux ! on entre ! on entre ensemble (fée !) . On nhe veut que c  ela de f ait : entrer ensembkle sans trainer = sans chercher à plus que ça comprendre ce qui est dans ce qu'on voit, mais foncer ! foncer grave ! tracer ! ne pas c  hercher à mieux c erner (de fait) les données de RAge, mais coller coller coller coller coller coller coller  ,coller à ce qui se présente en termes de "Nénés" ! qu'est-ce que c''st ? qu'est-ce que c'est que  ces nhénés ? eh bé peut-etre en vrai de fvrai nénés, qui sait ? ou alors le Passé ? le pasdsé de branche ? l'onctuosité du lait donné (aiutrefois ?) en france (le français ?) ? On est la Fé dite "du paszsé en France" , chant de fée de contrebande, on veut coller-toucher ! dire et donner, faire et allouer à un passé une bsorte de tracé post-pré qui serait de fait Une "Vérité des Vérités" s'il en est ! On est la Fée faite, Fée des Fëtes ! On est née sur pied en herbe ! vivacité ! finalité ! infirmité des fées en herbe, on dirait ... ou le contraire ? sur-douée ? accolée aux donnjées primaires ! sur-renseignée ? complètement armée ? On aime ! on veut aimer la Fée des Herbes (VErbe) sur pré ! l'aimer celte ! l'embraszer ! lui plaore ! la charmer en tant que , oui, on est (serait) en vrai ... fée nousmême ! Fée des fée pour lui p^lzire et le tour est joué ! deux ailes ! on naéît ! on meurt sur tere pour renaiotre aile = aile de fée post -cimetière , et en plus "informée" de ce qiui est qui semblerait devoir avoir à nous mater, plus loin, sur grèves, sur grève-muret, mur d'enceinte des rotondités d'un pré entouré ! On veut :

allouer ! pisser ! coincer ! charger ! posséder l'herb', le tracé nacré, l'embryo,n touché d'une sorte de poinçon né fée .. ou quoi de fait ? quoi d'auttre au pasdsé ? On cherche ! on est la fée des (diites) "recherches de tracés" sur paroi de grotte ! néandertalianité de base ! aurignaciennité de conttrbande ! un tracé de près ! bêtes de france comme possésdeées ! on entre ! on entre ensemble par la bande (d'un t§rait de lumière) en cette pierre ! on veut enttrer comme"possédées" (en vrai) et pousser ! pousser grave sur notre lancée ! aller ! filer ! nous envoler sur pré direzction la Chance ! le trait dernier ! cette muraille des données dites "des finalités", le pré (l'herbe = le  v erbe) passé maiçs est-ce  vrai ? est-ce vraimùent la vérité vraie ? p)eut -on croire en paareilles billevesées ou quoi ou qu'est-ce ? Sommpes-nous ... bébêtes ? con^-connes ? ,connes-connes ? bêtes comme ses pieds ? ,On dit qu'on veut toucher mais est-ce en vrai quelque chose de ... raisonné ? sommes-nous armées ? armées sur pré (pieds) comme l'esxst (le serait) Celle-qui-sait  ? On a honte ! on a ou on aurait honte ... ou pas ! car voilà : on a passé la porte, on a passé la roche , la paroi de roche, on a posé ses fesses sur un pré, on s'est redressées, on s'dest commê redressées en Fée;; on est devenues Fée du pré et c''st ainsi qu'on s'est comme retrouvées embringuées dans une histoiire déjantée de fée des prés cherchant Mystère à dépiauter comme une bête chasszée, tuée, aimée, à cuisiner ! Belle affaire ! On veut (on voulait) toucher à une vérité post-cimetière on dira que c'est gagné ou pas loin de l'êrtrtree  : pas vrai ? On cherche ! on cherc he à gagner le lieu des données post-pré, cet endroit des fées p)assées, des fées qui sont ou qui seraient passées derrière le muret, la murette, le mur des FInalités "pas bêtesz" ou si, au contraire, bêtes ? ON veut toucher ; -on veuyt grave toucher

On veut grave toucher

On veu!t toucxgher

On ne veut pas se laisser démonter par une Autorité post-cimetière qui nous hara,nguerait sans cesse, nous ferait baisser tête, nous imposerait nde nbous taire, ne p)lus parler, ne plus jamais la ramener, nous taire sans tarder ;... mais, comment nbous taire quand "on est" du Verbe ? car on est du verbe ! on est nées fées de VErbe commê alloué ! On voulait pisser, chier du Verbve mais en vrai on chie de l'herbe ! On veut coller à Déité des eLfes ! treacer ! tracer sur p)ré ! charger = foncer ! toucher = passetr, qui son Verbe, qui son ...  Verbe, qui son ... Verbe , qyui son ... Verbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! en effet ! seul en vrai le Verbe peut passer ? wseul en vrai le verbe passerait son nez entre les nénés , les nénés nés ? Qui sait ? qui le sait ? qui saurait nous informer ? Le verbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! le Verbe des prés ? on cherche ! on veut touchert à cette D2ité des données en herbe ! le Verbe ? le VErbe alloué 

 à une clarté 

post-mortem, pourrait de fait passer et perdurer au-delà du près sous forme de donnée genrée type Ailes = F2e, F2e des Prés passée ? on est comme sonnées ! on cherche à cerner( ! on veut en vrai grave toucher à Déité dite "des Nénés 

surnuméfraires" , 

sein donnév = lait = denrée = VErbe Nacré = ëtre ! sainteté en herbe ! pingre ? satanisé ? poussé dans l'herbe ? trébuchet ? On veut :

Dire-faire, COller-donner, craindre et ne p)as craindre, donner et ne pas donner, saouler et nhe pas saouler ! Faire ainsi que l'herbe soit du  vErbe aux qualités certaines en termes de données "superbes" , vives clartés, sainteté des saintetés, chants de la terre . On veut tracer tracer tracer sur p)ré un sentier menant peut-être à  ce trait des fées dans la roche finale donnée ! fenêtre ! feu de l'être ! LE pAssé est (re) né qui aime nous voir arriver ! On est celtes ! saintes ailes ! Fée sur pied sachant voler du fait de leurs ailes collées ! Fé des fées sur préb ... forment la jeunesse d'un dire auttrement (sans elles) mort-né ! c'est un fait dit "de prière" ! on sait ce qui est : on est AILES ! Fée sur pré ailée s savent se plaire , compisser, pisser, s'aimer de près, se lécher, se plaire genrée en tant que ELLES au débotté ! saintes fées des post-données pro-frontalité ! On veut aimer la Fée pour ce qu'elle est : deux ailes ! deux ailes allouées à un trait de VErbe , ce treacé nacré, verbe d'aile ! d'e ntrée ! de glissemênt de fait des données (à jamais !) entre ... deux briquettes ? ... qui dit mieux ? ON aoime ! on veut aimer ! on veut aimer l'herbe = le VErbe, le feu, l'ombre sur Dieu , le pieu, le pot de cendres, l'estocade terminale, l'embrassade. On veut le Feu = le Pieu ! CHarge mentale ! On veut dieu = la CHance = le tracé ! chance au pasdage ! anfractuoisté des chances ou dite telle sur  meessages ! On veut aller .................................................................................................................. coller ! ............. donnner ! ................... filer ! ......................... accueillir la F2e en ces cvontrées verbales : densité ! ......................... pré aux données données .................. le verbe en vrai est dans la balance , il est La F2e de FRance (ici de FRAnce) saturée .................................. ?une poussée hors des limites de la rage, des données maussades, du tracé sauvage : embardée .................... musicalité frappantec, passante ...................................././....... on dirait ! ....... on veut comprendre ici (de fait) le VERbe, ce qu'il est ! charge de branche , ........................ musicalité muséale , ........................ pointe acérée comme à la pa r ade ? ;;............................ portée des portées ? une sorte de passé acté qui entrerait de rage en ces contrées finales (pourrait, lui, entrer ) ? ..................... tracas d'ange , .................... points de 

poihnts dee passage ? ...................................... pilosité (de base) post-prandiale ? ................................ chereté des denrées de base ? ....................................... lait aciodulé ? chant sarde ? ....................................................................... chant des ponts ? des fronts ? casse-bonbon ? .......................... pesage ? ...................... court-bouillon ?........................................... verbe du couillon ?........................................................... couillonne au melon ? ........................... poinçon ? poinçon des poinçons ?.................................. on veut comprendre ! On cherche ensemble grave à comprendre , les données de base, le tracé, la promenade sur pré, le don de soi quyi serait§ effet (su r paroi) de bêtes poussées ! On est Fée du pré = F2e des Faits ! On aime tracer = dessiner des bêtes, qui enjouées qui lancées, qui grosses de leurs traits groossiers, qui fines bêtes ! On veut toucher à une Déoité post-pré replette, la Donné ! Donnée des DOnnées ! PAsser ! passer la tête de VErbe ! chant larvé ! alloué à une pointe sèche ! accolé ! tracer = passer = traverser = dire et toucher ! toucher aux nénés , sans rire , et filer ! aller, continuer, ne plus nous arrêter et  "survuivre pour de vrai" = perdurer, comme en fris e, sur roche insoumise ! Filer ! on veut vif toucher ! toucher Néné ! coller à ces nénés dits "du bout des ombres " ... mais, est-ce la vérité vraie ? à qui se fier ? qui dit vrai en quoi que ce soirt qui sezrait ? On ne dénombre ici personne ! On est Fé2e d'ombre ! On vole sur roche (octobre, novembre , décembre) puis la chance ? le p)azsé comme remonté ? le tracé ? le pied ????  Le dire nacré ? On veut .... :

toc-toucher = faire toc = toquer ! 

on veut ... : 

dire sans se moquer ! Pointer ! pisser-chier sur herbe du pré, vache qui pisse, bête à bouse douce ! "bouquetines à la sardine ! bouquetins au romarin !" on est comptines ! vivves et riches ! chants de rive ! piscvines !

piscines ! piscines aux eaux vives ! chants de Chine ! Embruns ! ON veut ... : 

TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCXHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER À DIVERSES DON,NÉES DE TYPE DONNÉE ALLOUÉES À UNE (SORTE DE) MAINMISE SUR UN PRÉ, DE TYPE RAPINES ! On veut grave cerner les données de Chine , Chine Cendrée, Chine des CHines, Chine des fées aux envies de Chine ! On veut toucher à une D2ité de CHine (provenant de CHine) et tracer ! passer ! passr le nez ! mains de fée  ! oeil donné ! loe passé des entrées sur piste ! On est la fée de chine ! louée ! adulée il ne faut pas exagérer, mais comme  aimée, aimée de près, touchée, cernée, dessinée commerb qui dirait ... insoumises ? on ne sait ! ON chervche à toucher ! à cerner de près les données de frise ! collaboration, sur pré, entre elles, des bêtes à foison ! Commodités ! fortes pensées ! bêtes-fronts ! p)etit p)atapôn des frises genrées sur paroi de groote masquée ! amidon ! poison ! poinçon ! piston ! sortilèges d'abandon des cxharmes , pensées sales ! dons de fronht de rage ! le poinçon ton sur ton , crève la panse et entre ! mort-don ? On veut comptrendre ! on v eut toucher ensemble le muret du fond, tracer à l'arrache le nom, qui serait Un nom , Nom 

d'un Homme des poisons, 

mort D'homme

à califourchon ... 

touché des armes ! mort ! il fond ! devient tendre : terre arrable ! corps de base des moissons ! Et nous voilà sardes ! On  veut comprendre ! on veut toucher ! on veut aller de base dans un p)ré courir de rage sans trainer, et ... gagner sans faute le muret

 "des fonds de grotte" , "muret des murets", chose docte ! le Passé ' PAssé a&ux Nénés ! L'emportée- des emportées ! Le fond des tranchées ! en amont ! Amont ! Amont ! Amont ! nAmont ! Amont ! 

On veut collert à une sorte de donnée d'amont ! Coller serrées ! se coller le fronht ! pôusser ! bélier ! bélierr du front ! bébé ! poussée sur cloison ! pont ! on veut passer ! pousser-passer ! dire-allouer ! tracer-percer ! contraéindre , une sorte de donnée genrée, à traverser le fond du fond des données d'herbes ! Le pré : le passer ! et du coup foncer , filer grave, sans nous retourner ! chercvher le chemin le plus large et foncer ! colloer ! pister ! tracer ! monter ! monter de base ! monter de rage ! traverser le pré et  de fait aller jusqau'au plus haut en vrai des données données ! coller ! coller vif ! être et pouusseer, charger ! bélier ..............................................................................................................................................................................................................................!.................................................................................... aimer ......................................... dire sans rire est difficile .............................................................................................................././....... même le décès ........................................................................ l'épopée des tracés victimes ............................................... la frise, le passé ! .............................diffiçcile de ne p)as en rire c'est un fait ........................ pi)scine ! ....................... pisse en Chine ! .../......................................./.............. on vibre ! ......... on s'échine ! ......... on va vite ! .......... on file ! .............. on est née Fées de CHine sur tracé donné ! ......................././........ alloué à une emprise (sortre d'empirise) sur paroi de Chine ........... accolées ! ................................../.........une virée ! ........................... bousquetines ! chevales poussées! bisonnes emportées ! bufflettes au taquet : la Chine ! la beaité des ires ! ..................................................././.ire à rire ! ............................ pointées ! touchées ! collées ! dites ! surprises ! comme collabées ! dires collabés trouvent§ sur pré les données de CHine ! SAINTETÉ ACTIVE ! cendres sur pré, vifs tracés, chereté des denrées ! ............................................................... on veut toucher ici ensemble vif ! )à elle, elfe ! elfe allouée à un muret ! toucher de chrz toucher et suivre le tracé tracé comme à mzain levée par une Féede piste, ce tracé des Fées ou dit "des fées" , est le tracé à suivre sans traîner ni tergiverser ou hésiter ! suivre sans chercher à plus que ça cerner  ! Aller ! pistonner ! coller ! dire etfoncer et du coup .... percer ? qui sait ? percer muret ! chanter ! chyanter sans traîner ! chants nés sur pré ! Les chants dits "du pré" , vivacités,  dénis, volontész ancrés, chine ! Chanter ! Chants des traits ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchet toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchezr toucher toucher toucher toucher toucher vtoucher toucher toucgferr   à cevtte           DéITé des D2ités dite "NÉNÉ" ! NÉNÉ DES NÉNÉS ON DIRAIT ! NÉNÉ À LAIT ! DIRES LACTÉS ? QUI SÉAIT ? QUI SAIT CE QUI EST ? QUI sa&ura révéler ! chanter ! instruire ! déplacer le vrai ? conduire ! Aider à nous porter ou transporter aéu)-delà du rire ? des gaietés du rire , dans un champ ou pré dit "des données hors rire " ? qsui ? qui peut ? qui connaît ? qui sait ce qui est (existe) au-delà du rire ? au-delà des dires du rire! qii connaît ? Qui peut nous aider , nous accomp)agner, nous donner la main comme un fait exprès (comme qui dirait) et sans (pôur le coup) la moindre hésitation ou animosité quelqconque ? ON veut :

être sur pied celle (fée) qui sait (ici et là) ce qui est en vrai , qui nous concernerait de près en ce qui est des données fluides ! chasteté acide ! sainteté liquide ! finalités des finalités on veut touchyer ! on ne veut pas passer à côté mais grave de fait toucher sans désemparer ! ne pas (plus) rire sur pré mais conduire ! conduire notre dire sans rire en ces contrées (mordorées ?) des données post-pré, post-praireie aux fées, post-dires alloués alloués au pré (au pré d'herbe et autres fleurs acidulés) ! tracer-traquer le verbe ancré ! glisser ! glisser vite ! nous placer sur pré de manière à pouvoir, de fait, transiter rapide, en ces contrées du bout dee roche, à l'arraché il se'mblerait! transiter = traverser = passer = toucher ! on ne veut plus attendre mais tracer ! couler, se donner, pisser ! toucher aux nénés ... du VErbe comme qui dirait ! tracer = donner = faire = dire = pousser = charger = comp^rendre =séparer (de force) le grain des données de l'ivraie gravée ! Pousser = pointer = coller =faire = charger = allouer au VErbeb  les données du Rire mais comme déplacées ! Pousser = pouffer ! Dire = rire ! foncer = forcer ! prendre = vendre ! compter = coopter ! pisser = vivre, sur pré, de son rire à pouffer ! On veut : 

TOUVCCXHER TOUCHER TOUCHER

DIRE DIRE DIRE

POUFFER POUFFER POUFFER

COLLER COLLER COLLER

ÉTRIENDRE ÉTREINDRE 2TREINDRE

PISTONNER PISTONNER PISTONNER

PONDRE PONDRE PONDRE

PISSERB PISSIRER PISSER

CORROMPRE CORROMPRE CORROMPRE

CALFEUTTER CALFEUTRER CALFEUTREER

CONSOMMER CONSOMMER CONSOMMER

ADOUBER ADOUBER AFDOUBER

PORTER PORTER PORTER

PORTER BÉBÉ PORTER BÉBÉ PORTER BÉBÉ

ENDEUILLERB ENDEUILLERVBENDEUILLER

 VIVOTER VIVOTER VIVOTER

SUIVRE ET COLLER, SUIVREV ET COLLER, SUIVRE ET COLLER, AU JARRET, LA BICHE-FÉE, LA BÊTE CENDRÉE , LE MOT DOCTE SUR PIEDS = BÊTESDE TRAIT ! on veut toucher à 

X bêtes des prés de type genrées, fortes données, masses folles, cohortes au pas chassé ! Coller à une sorte de troupeau de fauves ! alloué à un e roche = dessiné-gravéb par qui sait, par l'homme-femme des poussées et autres transes au pied levé ! On danse ! on est da&nszées ! on chante ! on est chantées ! on entre ! on entre da&ns l'antre des fées ! on veut toucher pitance, filer, nous envoler (monter) vers les données des fonfss des fonds de rOche DUre, et  Allouée au Passé de Bure ! Sainteté  des prés ! Charges nées sur pré aux fées ! On  veut grave toucher ! toucher aux nénés ! nénés diurne's ! mâtinales vulves ! points et treaits sur roche de fée ! On veut coller ! 

vivre et aller ! compter ! co:mpter les donnéesb! ............................................................................................................................ chercher ! .............................................. du moins -essayer .............. sans exagérer .............................................................. compter dsans traîner ...................................................DIRE  ...................................NOTRE DIRE ................................. u ne POUSSée .........../................................ poussée des poussées .................... actives ................................. frappées .................................. accolées ............................F2E /.............................; FÉE DEDX FÉES ACTIVES ACCOLÉES, POUSSÉES À , COMME QUI DIRAIT,; PASSER, PASSERR VIVES (EN VIE ) À TRAVERS ....... EH BIEN CE TRAIT DIT "D'ANFRACTOUUISTÉ" DES DONNÉES FINALES (DES FINALITÉS) ............................................ VERBE DANSANT FILANT........... Musqique des données sur frises.............................................. on veut vivre ! toucher ! percer ! comprendre ! allouer ! fermer ou au contraire ouvrir (en grand) son clapet du rire', rire endiablé ennjhoué, qui est le Rire des DOnnées de PRé , mais quelles siont-elles pour de vrai ? ..................................................................... du lait ? du petit lait ?  Pisse ? peace ? ............................................... paix ? pets ? ......................................... cul et chemise avec la mort donnée , VErbe ancré ?   MUSIQUE DES FRISES AU D2BOTTÉ ??  MUSIQUE TRACÉE , ALLOUÉE, SZOUMISES À UNE SORTE DE MAINMIÇSE SUR PAROI DONNÉE ! MORT À SATIÉTÉ ! CHEMISE ! BURE DURE ! MORT D'OMBRTE ! POINT DE FÉE ! CORNES ! CORNES DONNÉES ! COHORTE À CORNES SONHT TROUPES DE FÉESZ , DE FÉES ALLOUÉES À UNE SORTE DE DONNÉE DE ROCHE GENRE : SALUBRITÉ, SAINTETÉ, SONDE, PORTE D'ENTRÉE ! On veut coller à cette chose d'une sqorte de Passé passé , ou comme passé, à travers la roche, en  termes de données genrées : fées ! frées d'herbe ! verbe-fée et ça va le faire, qui sait, à jamais ! on  aimerait ! on voudrait grave pezrdurer ! ne p)as trépasser ! charger romance, dic-vinités, gentes dames au débotté sur pré, franches flammes ! Pisotonner ! pistonner sur pré jusqu'au néné ça serait  .. bath !  super bonne idée ! Du genre de celles qu'on voudrait endosser sans hésiter en tant que Fée des prés ! On aime toucher ; traverser, se rapprocher, aimer ! On adore en vrai se rapprocher (grave! ) des nénées ! Verbe' ! Verge au taquet ! verbe en herbe se serait bgrave faéufilé à travers les pierrres , pierres t§ailléesz du muret dees fées , les dernières ! Fins des traits ! le dernier poème ! le Passé plombé post -pré et au-delà .................. le VErbe ? Verbe en herbe  ? ................................. qui nous croirait ? ..................................................... qui osezrait ? ............ qui voudrait ?............... qui aimerait et nous soutiendrait ?....................... en dehors des fées ........................ les elfes ? .................................. les eêtres allouées à une sorte de Divinités dite' "des prés" ? .................................................................?.?.?.?.?........................................ les bêtes ????? .............................. les bêtres ? ....................................... les bnêtes bêtesz ?..........................bêtes à lait sans hésiter ? .............................. la Bête sur pied pôst -pré ...   ? .............................. à savoir le VErs ? ...... Verbe-vers ? Pieds acidulé, nacré, enjhoué, tracé, comme "musiqué" si tant est ! .............................. qui sait ? Verbe d'air ? Verbe des prés sachant pousser, plus loin, son tracé de fée ? ............. poinnte ? pointe de VErbe  ? ....................... poupée ? poupon nacré ? poupe de poupe sur paroi rouge ? .......................................................... on veut toucher à ce néné des bouts de poupe ! ?............. coller = donner = faire = comprendre = cerner = coincer, ici même, un dire sacré , ou sinon sacré alloué (accolé) à du Verbe de fée ! bVerbe d'herbe en herbe ! sainteté ! chants d'elfes ! portées ! ponts de roche-né ! ponts d'orgues et autres chants poussés par (ici même) les fées ! les données rouges ! le passé composé de gouines rouges et autres soeures en sororité ! pissadouces !  volontés ! tracés de fée ! gravures et marbrures ! pointes salées ! vouivres des prés genres bêtes rampantes et autres vouivres de contrebande !  vivacités !chants sur prés , chants fols ! cornemuses etb pipeaux des hauts ! On monte ! on veut toucher la roche, le tonneau, l'ombre, l'animal des hauts dont le nom est .... faux ! faucille et marteau ! tonneau ! poteau ! croc ! cohorte ! chameau ! porte ! porte à  numéro ! porte ! .............................................................................................. porte des doctes ...................................................................../........................................................................ un moineau .......... l'oise au ........................... ombre ..................... ombre sur peau .......................... compte .......................................................................... poil au dios ! .........................................................................................................................././....... ombre de l('ombre ./.......... un tonneau ? une sorte de tonneau, une sorte de donnée humide, vin de CHine, au tonneau : eau ? eau de CHine ? vive' ? eau vive du tonneau et ... ça re"nd futile' ? On veut grave aller en cHine, ......................../.. cerner, toucher, coller, aimer, boire au tonneau de l'eau de peaéu ! Vivre ! ..................................................................... sonder ................... pousser ....................... coller .................... cer ner ............... chercher ............................ comprendre ce qui est qui  (de fait) va et vient 

en tre ici ce pré (pos-mortem) et là-bas la b ase ! on dirait ! la paroi-parade, l('ultime muret qui en vrai serait un muret de rage' ! inter-cité ! intervalle ? on veut co:mprendre = passer ! aller de rage en ce muret ! comprendre = toucher = passer, et du coup voir ! voir de près ce qui est = vivre = poursuivre = cerner = pointer' = charger = dessiner (de chic) la bête des prés : bisontine ! bouquetine qui sait ? buffle au mot près, la CHine ! l'envoloée des rives ! Fée des prés sur pré de Chine on dirait ou il sembvlerait ! On veut cerner-pousser , dire et coller; ,, pousser-cerner = dire, dire ce qui est qui est en ces contrées post roche ornée, à dsavoir un pré, pré docte aux données données de type Betes des prés, et, au delà, au-delà de ce pré, les données "rustiques" ... frises ...... fonds de roche grise ....... la moisson ....... la pazssion ............ l'ire des données données, des fées envolées ............. l'ire-surprise ......... trait des fées sur roche ainsi posée ou déposée ........... ........................................................................... et autres anfractuopsités de mise ..................... gentrifiées ! ............. actées ! ....................................................................................... inscrites et on peut passer ! ............................. mais comment passer ? commùent dire ? comment de fait pouvoir tra&cer en cette mire son passé passé .? Qui sait ? qui    ,  comp^rend l'ensemble des données ? 

 c  e muret de fond de roche, ce pré délimité, cette rotonde aux fées et autres bêtes de tréit, ce petit lait comme espéré la roche (finale) pa&ssée, cette sorte de tracé (de va et vient) pré / muret , qui , de près , ressemblr'reait à une sorte de "tracé de fée", trait fin, trait de pet pour ainsi dire, pffffffffffffffffff sur roche ou sur rocher, un pet de nonne ? 

Un pet des pets ? chine au taquet ? on ne sait ! on veut toucher à ces nénésc du bout du monde .................  le pet passé ? On est doctes, hautes, heures hautes, traits, fée, fortes, fées fortes hautes treacées.... comme un p)et de nonhe ! pfffffff aéu taquet, comme espéré ! pfffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff de roche surdimùensionné ! mort-gavroche ! sainteté des sainteté ! insalubrité et salubritéb en pocxhe (deux données pour une roche) et ça irait ! ça le ferait ! vent§ docte ! vent frais ! chants des prés post-pré ! versifiçcation des données  allouées à une sorte de Passé de porte !

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15/11/2024 

On regarde. On veut cerner. On a grave ensemble envie de cerner. On ne veut pas se disperser mais en vrai rester bien soudées, accolées, pr$^tes à comprendre au mieux les dobnnnées de roche : qui on est, qui on est pas, ce qu'on veut toucher ou pas en cette chose d'une sorte de ... rotonde ? qui sait ? il se pourrait mais, en vérité, on ne sait pas vraiment de quoi il en retourne, en ce

  "petit monde"  d'une sorte de prairie aux fées. on est nées fée au passage du trait et nous voici comme "remontées" à toi à moi sur pré prêtes à tracer, courir, voloer, monter, cueillir qui sait, chercher à pour le coup nous transporter ou nous transbahuter ensemble jusqu'au bout du bout de cette allée des orangers ! La chose est actée ! Parole ! Parole accorte ! sentiments sacrés et autres mots de la sorte ! On a envie en vrai de nous porter ou amener ou approcher ou présenter, au plus près des ... Nénés de PArole ? Est-ce que ça se peut ? que le lait des roches soit de la parole et du coup on colle ? On est ensemble deux pour une, deux ailes tracées pour une Fée des Fées. On veut grave s'avancer et comprendre ce qui est, ce qui se voit, ce qui devant soi semble (semblerait) vouloir se tramer ! On est là pour ça ! parole ! parole parole ! Vois ça et enttre en moi (ce genre de choses) . On veut toucher ensemble "toi et moi" à cette chose des données frontales  comme offertes en v rai , toucher = dire, donner = cernber , faire = peser,  peser ce qui est ! On est nées Fée au passage du trait comme à la parade (nuptiale ? qui sait ?) , on trace ! On file ! On charge ! on s'applique eznsemble : on est accolées . O,n veut en vrzai touchger )à cette sorte de romance racontée ou sinon raco,ntée chantée, sifflotée, murmurée, données (de bonne grâce) sur place (un pré), et pour le coup on en avance dans les connaissances d'une (sorte de) para-de  des contrées , champ de mars, pré alllé, bonne graine et fleuirs dites "de carême" , on sonde ! on veut toucher toucher toucher toucher à cette sorte de donnée, ici déposée, qui serait ... eh bé oui : graine ! vive charge de pré  ! blé d'herbe ! drôle de tracé en herbe comme qui dirait ou, sinon en herbe,  en ... vrai de vrai ? hum ! On veut aller jusqu'aux nénés mais sans traîner ! On veut toucher, on veut grave toucher ! On ne  veut pas se laisserc  aller à musarder mais tout au contraire filer à perdre haleine si tant est etb ne pzas reculer, ne jamais revenir en arrière, tracer sur les allées du Verbe, compter, pisser, toucher aux nénés dudit Verbbe ça se pourrait, en tous cas on l'espère ! On a envie nous deux (ailes) grave d'y aller , comme d'une embrassade ! chahuter, toucher, titiller la roche finale = l'embrasser sur gages ! On veut : 

DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE ICI MÊME À DEUX CE QUI EST POUR NOUS QUI, À NOS YEUX, SE PRÉSENTRE, SEMBLE ÊTRE, RESSEMBLE ETC. 

On veut grave cerner, un certain nombre de données de base ! Ce qui est est ! Ce qui n'est pas n'est pas ! On voit ça ! On acte ! Onnemballe ! On veut grave comprendre (ici paroi) la chance qu'on a ! On est comme adoubées de bonne grâce sur le tas et du coup on chante = on entre en transe ! on envoie  du bois ! On vole sur "paroi dxes traces ", on est là ensemble pour comprendre les données de rage cevqu'elles sont en vrai , cev que ça représente en termes de paroles sardes (?) ou sinon sardes sales ? On cherche ! ON est nées Fée sur place au pasdsage (on le sait) mais quoi on est en vrai en tant que telle ? sommes-nous des elfes ? ne sommes- nous que, fée des prés ? sommes-nous bnêtes nacrées , Bêtes surnuméraires au vent mauvais et la chose est cfomme (dès lors) entéri née ? Sommes-nous du vVerbe d'Herbe à brouter sur pré ? On est nées Fée Au passage tracé, on voulait en avancer eh bé on peut dire que de fait c'est fait ! on est passées de l'autre côté, lesbiennbes (ça se pourrait) pour de fait connaîttre ou mieux connaîtrev les données finales, ou terminales, d'un pré, d'(un champ de luzernz tel qu'il nousv est donné le mur passé ! On est accolées car on s'aime = on sème ! On est nées fée, sur herbe, accolées ! On est Ailes de fée dès lors accolées sur herbe ! Onn est la fée, aux ailes accolées, sur herbe et on sème ! On est Fée des Fée ensemençant   le pré ? ON cherv che ! On entre ! On veut toucher = comprendre ++ ce qui est, en cette chose là-bas allouée à une sorte de muret dernier, soit de dernier muret dde cimetière, mur des murets, muraille allouée à une fin de pré ! cherchons (grave !) à comprendre = touchger ! quiest qui en ce pré ? qui regarde qui ? qui on est , qui on est pas ? on est la Fée des Prés, cherche-misère peut-êtrte pas mais fière, remontée, prête à casser  (sur pré) les données Fastes, comprendre, entrer de force en cette chose d'une sorte de danse (sur pré) folle ! casser les traits ! charger = traverser ! toucher toucher toucher toucher à cette chose, 

d'une Parole ! 

vErbe allé ! 

verbe des pré ! 

verbe-colle ! Onn  est Fée de porte ! On est entreées comme "par la parole" = trait" et, à présent, vas-y que je vole, saute, cerne, comprend, chev auche, cherche grave à pour le coup cerner un certain  nombre de vdonnées d'époque ! On veut toucher à une (sorte de) vérité-chose = actée, avérée, concrète et pôsée ! On ne veut pas lâcher le néné dit "des convenances " : on veut téter ! finaliser ! comprendre ! boire du lait de contrebande ! téter le néné = cerner = toucher à une vérité du pré , soit "paradisiaque" si tant est ! Qui sait ? on est ensemble (fée) allouées, à une sorte de .... parade Niuuptiale sur champ de blé , la danse ! Le tracé des fées sezraiot une danse ici déployée ! On est Fée des Fées du tracé nomade ! On veut toucgher toucher toucher à une D2ité des Grâces ! d'un tracé d'Eszpagbne, D'Italie, De France,-Navarres tu m'as compris : décendance ! on danse ! on est éprises ! on est comme prises ensemble sur le fait d'une sorte d'éacart de conduyite : danse ! On veut, ensembkle, dire et donner, faire et touchger, poser et cern er, pisser et cghier, se laisserr aller à faire-dire ce qui est en ces contrées de charge soumises ! Vive le tracé ! vive l'acmé des données ! vive l'alacrité et les données de bout de roche ! On veut toucher ensemble (ailes de fée) aux nénés d'espag$ne ! à la trace lacté, comme déplissée ! aux charmes des traces et autres gravures ! On enttre ! On entre ensemble = en transe ! On est comme accolées de rage ! On ne veut pls se séparer mais (de fait) rester ensembvle, comme collées à une base qui est base armée, charge docte, champ de blé, cohorte ... quoi d'autre ? On veut aller ensemble ainsi "montées" jusqu'aux nénés ! On ne veut pas se laisser démonter mais tenir bon ainsi accolées comme on est et ça le fait ou le vferait ... jusqu'aux nénés ? qui sait ? On pousse sur le champignon ! On veut tracer tracer et vite fait nous propulser comme qui dirait au plus profond, au plus lointain, au plus excentyré pour ainsi parler et on seraiyt du coup comme invitées à toucher ou comme toucher, au plus près, les Nénés de l'Ombre, du Passé des ombres, du Passé tou court quyi sait, ce tracé d'époque,, chants doctes, vies passées abandonnées sur roche mais en vrai on s'en rapproche ! on est nées Fée sur pré des données folles mais en vrai on est accolée, on tient parole, on cherche à bien cerner les données profondes, à les rassembler, à ne jamais nous disperser, à garder raison dsans l'adversité de ce cham (ou pré) post-oraison ! On veut :

toucher toucher toucgher toucxher à deux nénés de roche : ça et ça de poche ! On enttre ! Entrons ! Faisons force envolées de roche ! Creusons ! On est ailes de fée ainsi accolées, on vole ! On veut toucher = tracer = dire = faire = monter ! On a envie de fait ensembkle sans traîner de, pour le coup, ne plus nous arrêttrer mais grave continuer, à creuser, chercher, tracer,essayer de nous approcher le plus possible de la Vérité ou cd'une Vérité de Roche si tant est ! On veut toucher à cette Vérité-Déité de Roche ! aller ! pousser ! cerner ! comprendre ! saturer de verbe ici même ce pré comme qui dirait ! Chercher à pour le coup nous propulser jusqu'au bout du bout d'un cimetière de données en herbe ! On veut aller = dire ! Faire et pousser ! chercher ! comprendre ! saturer ? donner ! fondre ,! couler ! passer ! donner de notre voix de fée ! chanter la Cohorte allouée à la roche : bouquetins de poche ? cghants de type sarde ? Comptines de base ? On est Fée faite ! = tracée ! on est la fée tracée post-cimetière ! qui on est ? la Fée ! le tracé ! Beêtes-mots alloués à une sorte de sentier dont on dirait qu'il est celui-là même qui nous mène ou nous mènerait au plus près des nénés dits "post-cimetière", nénés des nénés, nénés plein de lait de type ... herbe ? Verbe ! chant sacré ? On cherche ! On est Fée faite ! on est nées ! On est ailées ! nOn est grave p assées par la bande et nous voilà toutes retournées à l'idée de devoir renoncer ou céder , mais qui parke en  vrai de céder ou de renoncer ? LE Verbe ? On le croirait ! Le verbe est le verbe des prés ! On est nées sur herbbe ou Verbe de pré ! on est pasdsées (post-cimetière) et on est entrées et on regarde à p^résent les données qui sont données en herbe (de pré) post-mortem ! on aime ! On cherche à cerner = toucher, aller sur pré à la rencontre (ici) des bêtes diverses, surnuméraires, déposées ou comme déposées par (on dirait) une sorte de Déité ou de DIvinité, qui serait ... du VErbe ? On cher c he grave à ensemble (accolées) comprendre (de fait) les données de branche ! On regarde ! on voit ça : bêtes de poids et autres bêtes cde romance ! Bisonnées de Rage ! Bisounours des cavernes sardes ! On trace ! on dessine instantané ! On chante ! On dessine sur muret la bête romanche ! On entre ! on comm-a,nde ! On veut ! on ne veuit pas laisser passer la chance de poiuvoiur cvomprendre ensemble (en cettre roche des parades) ce qui est, qui se présente à nous, de type danse, transe, chants fous, romances des trous ! sondages ! On est nées La Fée des passages doux ! On est Fée des Trous et autres cavités de rage ! on enfle ! on entre ! on devient massives et grasses de rage ! ovines ! fond de roche allusive ! On est comme passées de base ensembkle par un trou dont mle nom est "joue" ! On veut en vrai toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une déoité des déités on dirait, en tous cas voilà : on est entrées, on a "enflées", on est à présent toutess "remontées" sur pré ! on ne veut opas se laisser démonter ! on veut (grave !) tenir tête à tout casser ! on veut persisqter ! toucher au but suprême, qui est de connaîttre à jamais ou )à tout jamais le Théorème ! le TRacé des Fées , Tracé des Tracés et ça le fezrait (grave) sans peine ! On veut toucher = dire = prendre = conduire = connaîttre = cerner les données des Reines et autres célébrités ! Ce qui est qui est en selle ! Cheval sacré sait ce qui est ! chevale allouée à une Vérité sait de même ! Elles Sait ! Elles = Ailes, sait (savent) en vrai ce qui ici est qui se dessine à main levée sur roche cachée ! Femmeslles ! Femmes d'ailes ! Chants sardes ! colère et c'est un fait ! Ça pèse ! ça envoie ! On est la Féev dite "du Carême et des données données sur pré ". Chants des luzernes et aiutres herbes allouées ! On aime tracer = c erner, ici et là, en colère, à main levée, directement sur la paroi, notrte .... Haine ? NOS chants passés ? Notre Passé des peines ? Nos envies (de vie) chahutées , chargées, possédées ? On veut en vrai coller à une sorte de vision romaine des données et ça pourrait donner quelque chose de bien (comme qui dirait) en chemin . O,n est nées F2e des pré, on veut toucher à cette D2ité des Fonds de Roche ! lae Néné ? le lait ? L'onctuosité des zapproches lactées ? Le tracé en herbe et aiutres herbes à brouter  ? Chants des prés semblerait correspondre à ce qui  est, ici, tracé, en termes de pensées profondes ... On est la Fée-Cohorte ! Fée des prés ! On broute, on fonce, on porte la bonne parole ! Chants d'époque ! incrustations ! pelotes ! pâmoisons et autres tombages (ou quelque chose de cet ordre) dans les paumes ! On veut en vrai ici et sans traîner ... toucher = toucher = toucher = touchger à une sorte de pelote, sein de Roche ! le toucher la toucher ! Chercher ! cerner ! comprendre un  certain  ombrev de données rosses ! charger ! pisser à la ré ! toucher c   e qyui est qui devant soi semble vouloir de fait nous approcher, nous cherchern ,,nous faire du pied ! merde aux nénés ?  on ne sait ! On est accolées en tant que fée, on est accolées car on est Fée, on est grave collées, ailes de fée ! on est deux passées, on est passées en étant deux , car on est la Fée, aux données données de type Vérités des Vérités de pré;. ON veut : 

dire et cerner, coller et toucher, faire et comprendre, aller et jamais plus nous retourner,

pousser et pondre, donner et sonder, porter et correspondre, aller et vendre, dire les données, lire les données, donner grave ensemvble en vrai les dites données "de la foi en ce qui est". On ne veut pas "charklataniser" ces données, mais en vrai et au contraire les accentuer en termes de données crédibles, fioables, solides, potrtables, déposables sur pierre d'église. On veut : 

Donner ce qui erst des prés (herbe au débotté = verbe tracé) à cette sorte (ici) de Déioté Sacrée , chants de mise, chants gravés par une main de frise et autres mùains de Fée antique ! Qiu on est ? La Fée balistique ! Charge admise ! Poids de base sur paroi soumise à une sorte en soi de sarabande faste ! On envoie ! On veut cfomprtendre la paroi, les ombres et ramages, animaux des bois, des champs de passage, ours et ourses des Rois, Vent de face et autres souffles tenaces ! ça envioiioie ici bas car ça entre par là : trou de chat ! On passe ! On passe par chance ! Nous voilà de connivence  ! On entrte en france , dsans l'antre, la paroi des Rois et REines de là, l'au-delà de là ! On est Reines en vrai de S aba car voilà : on enttre ! On y va, on ne traîne pâs ! on en avance grave au son de la Sambab ! 

Passons ! 

Faisons connaiossance ! creusons ! allons loin en cette sorte pour le coup de pré des Chances et autres Donnnées Sardes ! creusons le son ! la musique de danse ! le don ! On veut : 

dire et coller, faire et aller, chercher et comme tyroucver, allouer à une romance une sorte de bonté tenace, sainteté ! On veut ici , qui sait ? aller jusqu'au bout du pré afin de comprtendre, cette sainteté ... cette sorte en v rai de sainteté ... ce que c'est de fait ... quoi cf'est ... quyoi en vrai ça pourrait êtree sur pré ... ce qu'il en est en vérité de  cette saionteté post-cimetière ... est-ce de la bonté ? de la bonté-même ? un tracé de fé ? ch ants celltes ? vents données au soufflet des fées ? La colère ? sainte colère ? un tracé comme gravé au vent mauvais ? une chansonnete ? un son de FÉE ? Colère de fée sur paroi allouée à une sorte de donnée animalière ? On cherche ensemble icvi et là ce que peut-être ça pourraiot être , .... ou pas ..... car on ne sxait pâs, en vérité : on ne sait pas plus que ça ! ce qui est et ce qui n'rst pas, concernant les Fées, Fées de Sa&inteté et autres SEins données comme par la bande à une D2ité dite "Surnaturelle", mais l;'est-elle ? est-elle véritazblement surnzturelle ? ou comment est-)elle ? Chantournée des prés  = naturell , comme une fée ? On cherche ! on cherche grave ce qui erst ! on veut grave cerner et pour grave cerner on a grave besoioin d'y aller = foncer = tracer = ne pas lambiner = filer fissa à tours de bras ! ne pas se retourner jamais de chrez jamais ! ................................................ jamais de chez jama&is .................................................... surtout pas ! car on ne sait jamais ! c e qui ejn vrai peut arriver ! qui peut nous faire tomber ou chutezr ou nous renverser ................. sur un pré ........ au milieu des bêtes ....... bêtes des prés = bêtes-mots de poids ......................... buffles tantriques ................. bisons vifs ..................... bouquetinnes vives ./............................. ouyrs des tracés alloués à une frise .......................... ourses des vivresc et autres denrées comme sacrées ...................................... chevaux de bois ............................ chevalines ivres sur toundra ! ça envoie ! ça ne rigole pas ! ça n'esst pas là pour faire comme si ... ou si ? c''st ? c'est un fait, que voilà, peut-etre, qui sait, ça fait ecxprès comme si en vrai la Fée existait sous forme de Bison F^té ! tracé ! fée tracé au débotté sur paroi de choix ? vivacités outrées ! transe ! trans-identités ! passages d'une vérité d'une roche à un rocher ! un rocher des prés et ça suffirait pour créer ici, une ... sorte de ... "petit paradis" dit "d'époque", genre "pré aux fées", "champ déifié", prairie donnée" , "un petit coin de paradis" ... sur paroi ornée .... on ne sa&it, on ne sait en vrai mais en vérité rien ne nous empeêche d'espérer, de tracern,, de dire à notrte gré, de conduire sur pré l'attelage sacré fait de deux ailes allouées à une sorte de donnée primaire , type "SAINTETÉ DES SAINTETÉS eEN HERBE ". On chgerche ! on, ne cesse de fait de chercher et ça lle fait car on est colère ! On veyut ............. trouver de chrez trouver ! ................... gfrave trouver de chez trouver sans discontinuer car on est fée ! frée des fées post-cimetière ! On est fée sur pré sachant chasser qui la haine qui l'a nimosité, qui la haine qui l'alacrité ! merde aux nénés ? aux nénés à lait ? qui sait ? on ne cesse de s'avancer, tracer, filer, chercher à cerner les données primzaires, le tracé alloué à une vgérité en herbe, chant sacré, chant des F2es = Colères rentrées mais bel et bien ancrées ! La Colère Entière  ! ire allouée ! charge meurtrière si l'en est mais on ne sait ! ce qui est qui est ! qu'est-ce ? On cherche de pair ! on ne  cesse de pair de chercher, en tant qu'on est ailes de fée ! ailes nombrées ! ailes comme numérisées ! On veut : 

toucher, toucher , toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, ttttoucher , toucher à une Déité post-cimetière = lointaine ? peut-êtte ! On est consacrées !!! ailes de fée consacrées ! On est comme poussées à cde fait chercher à mieux cerner les données premières (primaires) en termes de données actives, vives, genre "matrices", ce qui est qui est. On veut en vrai ne pas abandonner mais continuer, sur pré, notre sorte de randonnée ! charger ! fgoncer ! pousser les portes ! essayer d'entrer, de fracturer, casser la Roche ! traverser ! passer en force ensemble toi et moi la Roche des Ombres et aiutres Danses de Saba ! Passer ! faire passer ! traverser ! entrer ! passer tête et pieds ! t§out l'attirail de fée ainsi accolé ! On ne veut pas rester à quéai mais de fait travezrsezr la roche donnée et du coup nous retroiuver (nues) sur pré aux herbes des données en herbe ! couillues ? plus ! plus du tout en vrai ,! nues de chez nus et ttransforméess ! l'homme a chuté (l(homme genré !) pour se retrouver (du coup) mort et entérré et nous voilà en tant que fée ! Fe'mmes au débotté forment la Fée du pré, l'homme cornu ! On a passé le trait et on s'est retrouvées, sans traîner, de l'autee côté, côté pré aux données données ; on est accolées = collées = ailes de fée ! chance ! notre chance ! on est entrées en transe ! chance des données de base allouées à une transe ! On veut : 

dire et donner , faire et comprendre, cerner, éventuellement cerner ? cerner coûte que coûte ? On est nées fée en fait au passage du trait ! Verbe ancré sacré nacré calé ! On entrte pas à moitié mais ailées de fait ! Fée des herbes à brouter par telle bête des prés sacrés : b^-etes reines ! la chevale belle ! la bisonne rude ! l'antilope prude ! l'ourse aphone ! l'envolée des postes ! Le passé ? O,n est nées fée de la parole Docte ! fée des fées ! cohortes de (sortes de) réponses folles ! Chants de terre (sourdant des ténèbbres) ! On colle ! fée du fait que , en vrai, on est passées cohorte ! troupe fauve ! troupeau de peaux ! animaus-mots ! carriole ! les bêtes de mots ! Fée xdrôles ! pontes ! oeufs de trompe ! corroles ! On est la bête du troupeau, formant force ! On est belle antilope, bisonne en trombe, chevale des portes, ourses comme il faut, bouquetines des données de choeur, sondes et cohortes, On fonce ! On veut :

dire .......................................................................................................................................................................................................................................................... diire-char-ger, faire et allouer,; prendre et cvomprendre les données, ce qui est qui nous regarde ! ........ mle Passé ? Le passé  qui tremble ?  ;.............................. le Passé tracé ? qui on est de fait la mort passée ? Qui on devient en vrai ? FAME ? F2E des F2ES ? le passé nous regarde ou nous regarderait sans nous lâcher ? eh bé .... peut-^ttre ! on ne sait ! on cherche ! on espère trouver ! on ne veut pas se pertdre  sur le sentier mais bien garder le fil d'un trait (ici ) de recherche, de recherche en herbe , agraire, tracé,sillon des fées ! On est née Fée car on est passées ! mort et enterré l'homme (genré) renaît doublé en tant qu'ailes de Fée (elles = ailes) sur pré ! Il sombre pour en vrai former terrreeau comme à toiut jamais, le pôvre ! du terreau de roche ! pauvre homme (asticot) ! Il sombre ! Quand deux femmes montent ! Hautes ! charge forte ! une sorte de tonneau de peau mais comme soulevé en force par .... une Forme Docte ? chant de ROche ? Son de flutiau ? Musique de Corse ? chalumeau ? On est montées sur roche au son du pipieau ! on est haut (hautes) ! On veut aller plus haut chercher le Gros du gros en termes de Données de Roche, Données Doctes ! On veut toucgher la Roche des Données FOrtes ! Données Hautes ! Haute POrte ! toucher ........................................................................................... toucher à ce qui est qui se présente devant soi comme une sorte de Paroi FInale,,Ronde de poids ! Chance ! on y croit ! grave  on y croit ! On croit en ce chant sarde des parois, des Lois Finales (dites "de contranbande et de SA mba") . On voit ce qu'on voit ! On ne voit que ça ! la bande ! le tracé de choix ! pelade ! sabbah ! charge sarde ! catafalques et autres draps ! le Roi est là qui nous rtegarde ! Le tracé des fées est le tracé de choix : parades ! paradis "large", paroles de poids, chevales et tralalas sur façade ! REines de SAba ! reines de là ! REines en soi de l'au-delà à soi , sur pattes ! On veut comprendre la Sabbah, la Danse des RAges, Cornemuses et gamelan des astres, on entre ! on colle ! on pousse ! on est ensemble comme deux épouses sur paroi des Chances (charmes) et autres  transes ! äme de la foi en l'au-delà à soi, on enttre ! Fée des Fées de contrebande sur tracé de bande ! Chargements sur pré ! bêtesz roche ! Fée tracées à main levée par (on dirait) une sorte de force ! On veut toucher ! toucher à Déité ! à pâreille Force des prés ! bêtes de somme ? tracé de pré ? chants de cohorte ? données des données comme allouées à une sorte de Divinité accorte et ça le ferait  (de fait) pour une éternité de porte ? On est nées Fée car on est passées (de vie à trépas) direction le pré ! On a voulu eh bé voila, on est ! On est le bébé fée ! L'ombre de l'ombre ! touché coulé l'homme, une fée (bébé fée) est né ! c'est un fait avéré, dans la mort données ! On est passées et nous voilà toute transformées en Fée Forte, Fée des F2es surdimensionnée dès que consacrée, hé ! c'est ainsi que c'est ! On veut (on voulait) on a ! c'est fou ! Fée forte ! fée tracée ! chant de porte = données ! données allouées àun passage en force ? on est la fée de porte genre Cohorte ! On veut toucher à un e sorte de donnée haute ! chahutons ! pissons ! soyons folles ! folles de chez folles ! jouons ! ......................................................................................................... grave jpouons ! ne cherchons pas à nous calmer , traçons ! ..................................... filons ............... pistonnons de fait ........................................................... au taquet ça le vfait ! ................................................./.............. ne chercho,ns pas ici à tergiverser ............... on se doit d'y aller , filer, tracer, creuser, faire, dire, donnner, allouer, à une roche souterraine, une szorte de tracé de Reine : buffles et ourses cendrées sont nés et nées ! chantons haut en tant que fée leur avènement consacré ! filons ! touchons aux nénés en herbe des parois de fond ............................................................................................................ consacrions ! .............................. piousdsioons grave des sons genre  : 

SAturnales SArabandes 

Colloons ! allouons donc à une roma,nce une moisson de sons de base  : chants sardes !  chants de roche sarde ! chants doctes , chants de joie ! chants de pasdsage ! chants des bois ! sons de paroi ! On veut comprendre les données de base et les (de fait) mieux cerner de face ! Qui on est en  v"rai ? L'âme ? l'âme du pré ? le tracé des farces ? Pou-pou-pidou de passage ? On chante ! Fée des fées sur pré des CHances allouées à une sorte de Romance ici ancrée ! enterrée comme qui dirait ! ON veut tracer sur pré un sentier, un chemin de rage, vers D2ité ! Déité des D2ités ! on regarde ! on voit loin sur pré l'horizon des rages, surdimensionné, alloué à une Vérité de base, sondé ! On court on voile ensemble ! Fée /.................................................... fée des prés vole ainsi emportée ............................... p ar une sorte de romance ...................... ici comme allouée à une sorte de Parade Grasse ....................... bêtes de bon poids de charge : ....................................... buffles ! buffles en vrai, au taquet, gras et gros de rage, romance ! ........................................................... F2E gravée comme à mzain levée par une femme des parades en transe et autres hommes mal couchés ! ........................................................ femmes HAiutes ........ Envolées ........ Soulevées ......... Portées par (on dfirait) du Verbe de Porte ! .................................qu'est-ce que c'est (le verbe de porte) ? eh bé c'est ça : l'ombre ! .......................................... l'ombre de l'ombre de l'ombre une fois tracée ! fée ! fée des fées ! .................... v erbe-fée ! .............. on dirait !  ............................ on  veut toucher à une Vérité-Cohorte qui serait de fait une bête de pré ! ..........................................................................Bêtes hautes ! fortes ! accolées sur roche , attelées en vrai, comme jointes sacrées ! . ON est .. F2e de pointe ! fée des F2es sur pré donné !...................................................... on ne veut pas (plus) reculer mais en vrai tracer (sur pré), jusqu'aux nénés, les mots du Verbe ici incendié , comme allumé ou comment s'exprimer concernant ce verbe dit "endiablé" quand en vrai il n'en est rien car (on le sait) le verbe est de l'herbe !  soit de l'herbe verte ! herbe dxe pré ! herbe verte tout ce qui est ! verte de chez verte ô grand jamais et à brouter ici par x bêtes surnuméraires telles que :

- bisonnes

- bouquetinnes

- bufflettes

- vaches à lait 

- ourses téméraires

- lionnes-colère 

- cchzevales agraires

Un tracé de pré ! Chyants de belles bêtes sur paroi ornée ! on est Fée faite sur un p^ré d'herbe , d'herbe sacrée , qui sait ? On est la Bête -Fée post-mortem ! On veut coller coller coller coller

coller à une déioté des D2ités, ne plus s'arrêzter mais de fait tracer (vif) sur pré , pistonner ! courir sans traîner ! voler = voletter = s'envoler = monter = se hausser = grimper = toucher ! toucher grave ! toucher aux nénés ! Ombre portée ! Nénés nés de Rage ! Nénés des nénés  ! On veut comp)rendre ce qui est , on ne veut plsz se laiisezr embringuer par allez comprtendre qui c'est qui cherche grave à comme nous détourner à jamais du sentier sarde , qauand en v rai on est nous toutes (grave !) rtemontées pour ne jamais nous &rrêter mais tout au contraire continuer sur notre lancée, notre sorte d'embardée ou de randonnée ou de tracé sur pré menant peu-êtte à , qui sait ? une  "nouvelle romance des prés" ou quoi d'autre se pourrait ? on cherche ! on ne cesses en vrai ensemble (ailes) de chercher de base ce qsui est qui nbous regarde ou nous regarderait en face, mur du fond, cloison finale terminale, mur de fond de roche prairiaéle  . On est fée folle dit-on , parce que voilà, on fonce ! on ne regarde pas à la dépoense ! on fgonce à fond, on trace ! on ne se pose pas! on ,ne raiosonne pas plus que çàa ! on agit par la bande frontale des parois ! on tremble peu-t-être mais on ne rompt pas , du moins on essaye ! on veut ensemble toi et moi tracer de base les données de rage, données diurnes des données de base = ce qsui est en  vrai question pré, herbe, verbe, mort allouée à un pré d'herbe, et, au-delà, la voie , ce qu'elle est pour soi (Fée des prés) si tant est ! On regarde en face de près les données, et ce qu'on voit est ce qu'on en sait jusque là, soit : 

ç-àa : la Rage ! La paroi des Voix ! Chance et chants de base , toundra de passage puis la Voie dite "de la Foi en l'au-delà de là" ! Grave on trace ! Fée Folle en Corolle ! Donne de sa voix pour (en vrai) chercher à comp^rendre (ensemblev: toi et moi) la chance qu'on a d'être là ensemblev = ailées ! tout ça parce que quyoi ? parce qu'on y croit ? peut-etre ! c'est un fait qui en  v ra&i se pourrait, pourrait se dessiner, app araitte, surnager : qui sa&it ?  On veut toucher à une sorte de deonnée (type "funéraire") qui serait  " donnée des termes, des finalités actées, des fins de réserve . On est de fait La Fée post-mortem allouée à un pré lui même pré-données des Rages Lointaines .... on est Fée faéite ! Faite Fée sur pré, par (ici, on dirait) du Verbe ! Vervbe d'herbev ! Herbe à brouter ! Herbe grasse des fourrés et autres champs de base ! On veut coller grave à .... eh bé oui : ELLE ! L'HERBE ? peut-être ! l'herbe du pré qui est grave à bgrouter par en nous (qui sait ?) la bête de somme , vache à lait des ombres et autres Formes Grasses sur prairie aux fées,  ! on veut tracer = filer = ne pas traîner mais grave pisztonner sans s'arrêter, sans chercher à se poser mais voler ! voler ! voler grave ! toucher = toucher à ce qui est ici qui nous regarde ou semblerzit nous rega rder en face : les nénés ! la CHance ! Le tRacé des fées , ! la Panse ? On veut toucher ensemble (ailes de fée) aux nénés .... est-ce que ça a du sens ? est-ce que ça le fait ? est-ce que ça xse pourraiot que ça fusse en vrai une sorte de tracé-romance qui dirait des choses vraies sur ce qui est en vérité concernant ... la panse ? Ventre loué ? consacr(é ? ventre de  Fée comme loué pour une charge née ? On est la Fée des Fées comme dirigée ! On veut toucher toucher toucher toucher à "des nénés" , qui seraient "les nénés" .... de .... l"'hommee en transe" ? oh, on ne sait en  vrai , ce qui est, ce qui pourrait ou se pourrait ! on veut cvomprendre le message, 

le message cdes dpnnées, creuser la roche

 et trouver, creuser grave et trouver de fait ça le ferait ! On ne veut pas ou plus passer à côté mais coller grave à une vérité comme soupesée, soulevée, montrée, montrée haut à cette Déité dite "du muret" . ON est nées  Fées a&u passage du trait ! ............ Fée Faite ! ................................................... VFée des Fées en herbe ! .......................... satanées ! ......................Oh peut-etre , qui sait ? .............................. qui sait en vrai ce qu'on est ? Personne (tout à fait) de docte ! il selmblerait ................................................................................................................................................................................................ on colle ! .................................... on se colle l'une à l'autre .............. on veut rester collées ou accolées .............. fée /. ................. fée des prés accolées ou collées , car ailées ................................................................/...../..//../.........//..///..............//................././......./....//................//.......///.....././.........//./....../...................................././...../.......././..//.././////././....../...././.......//.....././....//......./././//.......////  drôilement ailées  .....././......////./........................./.....//...///././../././............................................................. on aime ............... grave on aime être .............. ainsi ailées de près .................. fée surnuméraire saluée .......................... fée des fées dee l'herbe verte ......... PR2É ;! ................ pré d'herbes verte s'il en est =  verbe ;................................ verbe donné, touché, prisé ......................... comme en vrai de l'hervbe à brouter on dirait par vaches à lait, vaches des prés ! on aime ! ....... on aime toucher ! on veut gagner zensemble le pont des données là-bas situé ! creuser = toucher ............ on veut tracer sur roche les données de poche, données fortes allouées à un pré de Fées ;;;; vaches et buffles au taquet sur piste des données prairiales, terminales ! On court on vole ! On est lancées et notre but est de continuer sans nous arrêtrer ! pistonner en force ! voler de chez voler ! aller ! fgoncer ! aller de rage juèsqu'à cette porte dont le nom nous échappe  sans arrêt ! Qu('est-ce que c'est ? quel est le nom ici en vrai de cette porte donc ? Pierre de Pré ? Paule Adonnée ? Pier D'Onctuosité Lactée Larvée ? Pont D'ombre Soulevé COlère ? Chant des Chants Sur Terre ? Piste Agraire ? Araire racée ? Jeanne au Bucher ? Tristana Passée ? On est la Fée des prés ainsi croisée sur herbe vertte par (peiut-êtte) Vaches à laiuit surnuméraires xsaluées, aimées, adulées, consacrées et sacrées, prises  ainsi en amitiées et autres sentimentsz de Verbe Alloué. On veut toucher à Déité en Herbe sur un pré ! On ne veut pas passer à cvôté mais grave la Toucher , le ou la Toucher, Icelui / Icelle Dieui (?) / Déesse (?) pieux /pieuse des Données de rAge ! Grave ! Grave on veut !  On ne veut pas ne pas ! On veut de base ainsi touchezr à une RAge comme Soulevée ! personnifiée de fait et du coup soulezvée ! grave ! haute sur pattes ! Fée des Fées des RAges serait Sarde ... qui sait ? On est dans un pré, on rtegarde, on est ailées, on est deux femmes formant fée du pré, on marche, on saute, on vole, on monte, on veut comprendre ici  ce pré ce que c'est en vrai . est-ce un pré "intermédiaire" entre deux  données ? est-ce un intermédiaire entre deux conntréesc ? est ce que ce pré pré-figure ou pré-figurerait quelque chose cd'autre qui viendraéit après ... genre Haute Do nnée  des DOnnées de POrte ? est-ce que ce pré est pré-quelque chose ? pré-allée de Roche  , pré-sentier de bosse ? Pré-donnée d'époque haute ? ON Cherche ensemble (fée ailée) à cerner de près le plus possible de données qui sont comme données en vcrai ici  par on ne sait qui mais (de fait) ça le fait ! On veut cerner-toucher ce pré ce que c'estb ! Un pré-reqzuis ? un pré-sage ? un pré-ambulle ? pré-cage ? pré-urne ? pré-fosse-commune ? On veut sérieux connaître les données profoncxdes, aller haut, percer, cvo n fondre, passer qui le nez quyi son ombre et de fait wsentir la chose, regarder profond si, des fois, on y sezrait pas !!!!! si par hasard la place pour nous autres serait pas là déjà ! On entre en ça : paroi, puis pré, puis à nouveau paroi ! mais qyuoi ? qu'est)-ce qu'on voit en dehors de ça ? une façade de paroi de base, genre mur de hjoie ! Face de base ! Traits tracés comme à la pa rade  : buffles en cohorte ! bisons d'ombre ! boucs et béliers sur pré dees Formes ! chevaliers  chevalières, chevaux nées sur pré et herbe, chevales  allouées  à un sentier , à un tracé, à une direction donnée à devoir suivre 

"au mot près" si tant est ! on aime ! on veut toucher à cette sorte de donnée ici donnée de type zouveraine / reine ! -Vérité ! Vérité et contrevérité forment la Fée des prés de type Reine  de Contrée !

La vérité des faits, alloué à ( de fait) la contrevérité, forme ou formezrait ce qui est qui est en matière en vrai de déité ou de divinité céleste : le Tracé ! Tracé de fait ! Tracé acté ! Trait tracé à main levé ! trait des traits sur Paroi allouée à une Vérité Sondée, gravée, chargée de mots en herbe, herbe-mots des pierres souterraines ! On aime ! on aime trop ! trop on aime ! on veut touchger à ce phonème : "trop " , on veut toucher au mot ou à ce mot de "trop" ... et, passer carrosse ! Charger ! toucher haut les données de Bosses ! crier ? ou ne pas crier mais chanter haut ? chanter haut et faux les données "de trop " ? toucher à Néné  ? toucher haut à ce Néné du Trop ? On est La Fée post-données de troop ... qui  sait ? On veut grave cerner, ensemble (§ailées) ,

les données des cendres, les toucher en vrai afin de pour le coup mieux lmes comprendre, mieux cerner, mieux aéller en  vrai ensemble = s'aimer ! grave ! grave s'aimer ! sonder ! dire et poser ! jouer ! jouer grave à des jreux de fée si tant est ! jouer aux jeux wsardes ! sales ou sages ? sardes ! fins ! doux ! fols ! enjouéess ! vifs ! ailésc ? ah peut-être aussi ! jeux de doigts cde fée sur place = possibilités 

 de pouvoir toucher (par le jeu de l'antre) les données données d'une (sorte de) Divinité de Bande ! Jeu de fée ! Jeu d'ombres portées sur paroi de rOche allouée à une V2rité de porte .... on veut toucher ! toucher de près ! ;.................. toucher de chez toucher ! ............................................ ne plus cherc her à esquiver mais tracer-filer ! fon cer ! grave foncer ! ................................................................................................................................. foncer grave ................................................................... y aller .....................................de son entrain de fée 

allouée à une romance

 ancrée en ce pré 

des données  de rage /........................................................................................ = pistonner ! ......... ou tracer = creuser = fgoncer = graver = graver grave sur paroi donnée les données de RAge de La mort à l'Oeuvre Allouée .................................................................... toucher ...... toucher ...... toucher ....... toucher ....... toucher ....... toucher ........ toucher ........ toucher ........ toucher .......... topucher ......Toucher ......... toucher .......... toucher ..../....... toucher .......... toucher ....... à ces nénés de cvontrbande (?) qui sait ? ................... et du cfoup charger , aller, donner, pousser,; faire trait , sillonner , aller jusqu'aux nénhés en herbe d'un muret de fin de pré ! Toucher ici ensemble ailées ! toucher de chez toucher ! donner-toucher ! être ! donner ! filer ! connaîotre ! soupeser ! chercher ensemble à traverser ce pré donht les données en herbe (à porésent) nbous sont (ou nous sezraient) , il semblerait, données de fait ; et du coup, nous voilà remontées, colère, soulevées, prêtes à hausser le ton de haine si ja&maiçs, et monter ! monter de chez monter ! tracer ! monter haut là-haut ! atteindre les sommets ! les cimes du pré ! toucher ! toucher Déité ! Déité des Sommets ! Déité des D2ités = des Sommets ! sortir la tête ou le mùuseau ! dépasser ! sortir de fait qui la tête qui le museau, et regarder ! voir là-haut (au plus haut)c  e qui est qui semble être (ou sembvlerait se dessiner) à nos mirettes ! chercher ! essayer de fait de cerner là-haut (la tête passée) ce qui est qui szerait, qyi nous "entourezrait" ou nous "encerclerait" ou nous "regardera&it" , ou nous "attendrait de plein pied" .... On veut passer , de fait, la tête (ou le museau ?-)) et du coup .... connaître ! mater ! voir ! cerner ! comprendre ! regarder ! chercher! espionner ! sentir ! ressentir ! humer ! toucher ! chercher ensemble (ailées) à voir ce qui est = sentir = toucher = prendre = comprendre ! Qu'est-ce qui est qui nous attendrait , qui se tient sur pied ou qui là-haut semble nous mater, regarder de haut, mater-coller .   o, n veut (nous : ailes) comprendre ensemble ! Une donnée d'Ombre ? D'homme ? une sorte de donnée de l'ombre ? une Ombre ? une denrée ? du lait ? un peu de lait acidulé sortant d'un néné (éjecté) ? Lait sucré-salé comme un bonbon acidulé ? Lait des Fées ! Du lait ? Laiçt des LAits ? lait docte ? oh ! on ne sait e,n v rai ce qui est là-haut à nous attendrte de pied ferme ! Lait de féec ? Lait des Ombres ? Ombre sur le pré ? Ombre cd'ombre ? Une fée ... acidulé&e ? Un peu de lait docte ? Qu'est-ce que c'est que le lait docte ? Une denrée ? un tracé ? un trait de fée ? trait donné par une fée de POrte ? fée des fées allouées à une sorte de Parole Docte ? Donnéedes données ? On veut toucher à une sorte de donnée de porte mais comment toucher, quand on est ... ombre ! ombre sur un pré ! comment toucher , tracer, cerner, aimer ? On est la Fée des Ombres sur Prairie post-catacombes, maéis en vrai, on est La Fée du pré vfleuri, du pré des sentiers comme  allouées ici à une direcvtion donnée, donnée vite fait  et vas-y ! cours et vole ! cherche au jugé ! fais course folle ! vas cerner ! ou vas-y cerner ! On est Fée des Prés , on cherche à soule"ver la Roche, les données de Roche, les Contrées de POche : mottes ! toucher ! à toucher ! à faire en sorte que voilà, les mots de base soient, ici et là, comme posés pour ça : comprendre,  qui de quoi , ou pour qui de quoi, en vrai, La Fée est née , pour qui de quoi la Fée, dans la mort actée, est née ! Car, en vrai, on ne sait toujours pas ce qui est ! le pourquyoi des choses sacrées, sur pré tracé. On veut ensemble cerner aéilées, ensermble ailées cerner = toucher= grimper = passer = regarder = comprendre .... les Nénés de base, les Nénées sezraient Nénés de RAge ? Vache à lait Nous attendrait ? serait présente, au plus haut dxes Hauts, à , de fait, nous attendre, nous mater , nous zyeuter sans discontinuer de son Haut de Trait ? On monte, on regarde, on aime, on est ensemble, on est sages, on est collées ensemble, l'une à l'auutre, par la base, on veut toucher en vrai à cette Vache à lAit des Temples. Toucher ...... toucher grave .............. toucher en vrai ........... toucher à ce qui est qui nous regarde et ce searait en vrai une sorte de vache, de vache à lait, buffle nacré, bufflette   ........................................... oin aéime ! .................... on veut aimer ................. on veut grave l'aimer .......................On veut en vrai grave l'aimer ................................................. on a grave envie ensemble (ailes = elles) de l'aimer en v rai = au toucher .................... au toucher des nénés ............................ pis en herbe verte ........................  verbe de pré ........................... pré-verbe des féesc............................ chants choraux surnuméraires au lamparo .......... à la samaritaine ........................ sans trop mais quand même ......................... on aime ! ................. on veut (ensemble) toucher le gros lot = gros mot = blaspphème ............................................................................................ gros du gros en lma matière = mots de trop = bufflettes, buffles Homo, Sorcières, Chants Faux ...................................................../.........................Colères ................................................./.................pots ................................pots gros ...........................chevaux comme en bandoulière et aéutres bêtes-mots de roche princièresx .............................. pots de mots .............................. pots de mopts gros (ou de gros mots !) ........................................?................... pôintesc de terre ........................................................ ponts de mots ................................ colères allègres ......................... pôintes sèches .................................... perdreaux .................................................................. on aime ! ..................................... on veut passer la tête, mle museau, l'oeil alerte, la mèche rebelle ..... et mater ici même, les données donnjées poçst-pré = post-herbe = post v-herbe, ce que c'est ou ce qu'il en est  ....... et donc ............................. trouver ......... à toucher ........... à comme qui dirait toucher .............. ou toucher des yeux ce qui ici est, en vrai, sous nos yeux de fée ...................................................................................................................................... fzée des gfées ........../......................................... merveilleux .................................................................... N acré ................ Nacre ................... Charge .................. Point de NAcre ............................................................. point de na cre ......................................... pointes de bnacre ..........................................., pointresq de nacre allouées à un sacre ...................................................., pointes ........................................................ points de nacre ........................................................ points des points sur nacre ............................................................. points sur points  ......................................................................... points de traitsq sans fin .........................................vent de face et points de rage ..............................................Vent§s et traits ...................................................................... chants ...............................lait /............................ traits de lait ................................./.......//./...........///./...//..//..//././../................ qui on est ?/ ......................././/..........................................Bébéb ?////.......................................................on est montées, on a grimpé, on est haut montées, hautes fées montées dun tréit, fée des fée tête première ! On a donc sorti la Tête, hors deu Chantier .......... nous voilà haussée ! haute fûtaie ! on mate loin ! on regtarde' ! on veut comprendre ce qyui est, au-delà de là, le chantier  dit "de cavité", qui est pré (de contrebande) ajouré .......... mater-cerner = regarder les yeux écarquillés ! et donc .... on voit des sortes de tracés ............ nénés ? .......................... points d'ombre ................. pilosité ? .............../...........piols  de fée ?........................................................ pilosité des pilosités ???? ...........................Ombres sur clarté = poiils de trait ??................................................. trait de poil tracé ?...................................................................On veut toucher ! toucher des yeux, et "en vrai" toucher , ici, ce "merveilleux" ,

des données allouées à une montée, à un envol, à une sorte d'envolée de roche : lévitation haute ! haut des hzuts pour une sorte de mission de roche, type : Fée Haussée ! Haute Fée de haute Fûtaie ! On veut (du coup) cerner , toucher, colller, comprendre les données post-cavité, post-pré, post-rotonde, post-muret, post-mur des données hautes, post ce muret des données profondes, le dépasser, tracer, chercher à passer, travesrezsr l'ultime roche et du coup cerner, les yeux écarquillés, ce squi est squi est en ces contrées du bout de pré et au-delà, la Ronde des Voix ..... l'ombre szur la voie ............. l'ombre portée type "points et traits" ........./............../.........................//...............//............./..........  c e que c'est que ça , en vrai , que ces points post-roche et aiutres traits donnés ................................LAIOT ? ................... LAIOT DES fÉES ? .................................. Laiot acidulédes fées données sur pré traversé ? ............................................................lait des laéits et autres denrées lactées ? ...................................................................................................... lE Lait ? ..............................................................LAIT .............................. LAIT ............................ LAIOT //./............................ LAIOT NACRÉ ...................................... LZAIT PARLÉ ........................................................................................ LAITRV ALLOUÉ À IUNE SORTE DE DONNÉE PROFONDE, HAUTE, CHARGÉE, CREUSÉE, VIVE CLARTÉ .......................... LE LAIT EST DANS LA POCHE À LAIT ...................... PIS .......................... SPI ? ............................................................................PIS-HOMBRE ? .............................OMBRE D'OMNBRE ?...........................ON veut toucher à ces nébés de l'ombre et du coup (ou du m^e'me coup) téter ! téter de ce l&éit, nacré / acidulé, du pis de l'ombre ! téter le néné d'une vache docte ! sacrée ! sainte et allouéeà une donnée ou sorte de donnée ici consacrée, genre "vérité" ou "vérité des vérités" , on s'y croirait ! on est nées fée du fait que voilà, on a passé la voie, le trait, le trait de l'âge, trait des traits pour un passage ancré en  cette sorte de contrée prairiale, et là : l'envolée ! l'envolée tenace ! a&iles au débotté s'ouvrent sur place et aident à tracer ! pousser ! grimper ! aller au haut des données de Rage 

 salaces, portées, comlme  soulevées, en transe  chahutées ! ça le fait (de face) grave ! Sainteté allouée à une sorte de romance, née sur pré ! France ? le français, la langue, le Passé outré d'une langue forcée ! la chance !

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11/11/2024

on cherche sur pré ensemble en tant que fée ailée , ce qui est, ce qui advient, ce qui se présente, ce qui vient à soi en tant que déité notoire, Fame du passé, Gente Dame au grand jamais si tant est ! FEMME DES PR2s  et ça pourrait de fait nous renseigner de base dans la profondeur, sur ce qui se présente en termes de Passé , Passé composé, Gens des prés allouées à une Romance, à une sorte de Romance ancrée, placée, située = ancrée de base en ce pré des ombres et autrtes hommes dits "enterrés" ! On veut toucher = on veut aller = on veut de fait cerner, les données profondes sur ici

 ce qui vient à nous peut-êtrte se donner = les nénés ? qui sait ? qui en vrai sait ce qu'il en est de cette chose endimanch"ée qui se présente en fond de roche à nos yeux de F2e ! On est Fée de l'herbe, toutebv mùouillée d'avoir "comme" brouté ! On est vache à lait post-cimetière... ou fée ... il semblerait que ce fusse ...  pareil ! Fée , ou Attelage ovin de préférence, on s'y croirait, ! On est nées ! on est passées sur roche puis dans rtoche puis en pré puis au fond du pré puis face à nouveau la Roche, la Roche embarquée , devant Elfe sur pré on dirait, genre Femme déboutonnée pour donner à téter ou quelque chose de cet ordre mais qu'est-ce que c'sst en fait ? On cherche ensembkle sur rtoche un maximum de données qui puissent nous rensenseigner nous deux (ailes de fée) en tant qu'on est ... eh bé oui accolées, la roche (la mort ?) passée ! Roche des prés est notre sorte de "rotonde". Une sorte en vrai de petite rotonde pâr où passer, pour cerner , par où peut-etre transiter, pour en vérité toucher ... aux nénés de l'Ombre ? On est née fée sur pré le mur numéro 1 (pour ainsi dire) une fois passé et nous voilà main dans la main (pour ainsi dire) = ailées, qui volons (grave) vers Déité de La Roche Finale en rotondité ! On en avance ! On est Fée des prés qui (peut-être : il semblerait) veut toucher, toucher grave, cerner, cern er vif, et du coup comprendre ce qui est en  ces contrées (rotondité) en ce qui est de cette chose ici déboutonnée qui se présenterait devant nos yeux pas mal étonnés ! Nénés ? Des nénés ? des sortes de Nénés de base ? Nénés doctes s'il en est ? On ne sait, en vérité, comment situier (cerner, ssaisir) la (ici) "Chose de Rotonde", ce treacé dit "incurvé" qui s'offre, se donne, s'est donné pour ainsi dire à nos ailes nacrées  ! On est passées, et voilà ici qu'on se retrouve ou se retyrouverait peut-ettrree touttes chose, drôles, comme toiuchées, comme en vrai touchées, séduites, embarquées, prises sur le fait d'une sorte d'"avancée comique"" ... ou sinon comique troublante ! car, oui, on dirait, il semblerait, on se dit que oui, une sorte de Dame des Prés, endimanchée, devant nos ailes déposées, semble vouloir nous aborder , nous toucher au coeur, nous aimer, nous embrasser-embarquer, bnous donner son lait ou sinon son lait qu'est-ce que ça peutb être ? Sperme ? sang de rage ? Lait de vin ? vin de lait sucré ? chants des roches allouées à une sorte de donnée mal située ou à nos yeux mal situées ? On est Fée du pré et à  e titre on se permet d'en avancer sur roche à fond  la caisse on dirait car on est svelte ! On est vives et nacrées, et aussi sveltes ! vives de chrez vives on trace pour aller en face, vif ! toucher de base, 

ce qui est ici qui se présente , 

des nénés donnés il semblerait si on regarde bioen en face ce qui est 

qui wse présente ! nus ! nénés nus de base ! dénudés ! donnés nus, comme de bien entendu ! On cherche à c  erner ! On ne veut pas lâcher le manche mais y aller , de fait, sans tergiverser, à la recherche de données de  branche, duretés endimanchées peut-etre en effet ça se pourrait mais qui le sait ? qui connait ? qui comprend les données du manche ? qui a en vrai cerné "le Passé" dit "de contrebande " ? sait-on ce qui est ? sait-on comprendre ? pouvons-nous toucher à ce qui est qui se présente, et pourrait en vrai (qui sait ?) nous donner du large  ! On est nées Fée au passage du trait , on cherche vif à mieux cerner les données de base de la mort ancrée , des vivacités, des amitiées données, des données de rage et autres faits et gestes soulevés ! On est nées Fée sur pré, on fonce caroosse vers néné sans lambiner pour mùieux nous situer pour mieux de fait cerner et du c oup toucher ! toucher à ce qui est qui nious fait face en vrai : chance ! chant ! chant des Rages ! passé ! Le passé fait Rage qui nous regarde ou nous regarderait en face ! Passé donné ! LE passé est du passé donné  ou des données de b ase comme déposées, sur branche , sur muret ! On vbeut ensemble s'en (si possible) rapprocher ... de ce passé de fait de contrebande (on dirait), passé passé qui n'st peut-être pas assez, pour, en  vrai, combler D2ité c'est un fait mais voilà ! on est passées ! on s'est envolées ! on est montées ! on a traversé la lande et nous voilà qui nous pointons menues face à cette "Déité  des Donbnées connues" ! On est la Fée post-mortem allègre ! on est  vive allouée à un pré d'herbe, vive et enjouées ! On volette à la volette ! on est belle bête si jamais ! fée clochette comme vache à lait broutant l'herbe verte pour s'alimenter et du coup fabriquer "le bon lait de la ferme" ! On nest Fée-vache sur pré tracé, cherchant bpitance , denrée, verbe au taquet, données de base pour en avancer au mieux dans les connaissances ! On est la Fée des contrées rupestresxcnéandertaliennes ou aurignaciennes ! On cvreuse , on dessine ! on entre en transe ! on est soulevées ! on danse ! on est "soupesées" au taquet sur branche , bête des prés toutes envolées on danse ! fée ! Fée des prés = vaches = attelages montés , chance ! chance des prés on est nées ! on est nées sur pré du fait que voilà ce qui est qui est : on a passé le Rubicon desc âmes données et on s'est retrouvées ensemble (accolées) à la retombée, ailes sur pied = Fée, dite "des données prairiales pré-muret de Rage Finale" ! On veut cerner ! On est passées ensemble (elles = ailes) à travers le roc ici gravé , par des mains d'hommes et de femmes ancesrtales, on veut toucher ! dire et sonder ! pisser ! chier de base sur ce pré aux données stables (verbe ancré) et, une fois fait (pipi au débotté, caca au passé), filer comme à contresens ou comment comprendrte ? qui sonder ?  à qui demander ? vers qui en vrai se retourner pour mieux toucher à cette vérité des données finales, cruciales, terminales, chargées, avouées, laissées et données, déposées de rage sur muret comme d'un message ! On est nées fée au passage et nous voilà '(ensemble) comme toutes "remontées" du fait qu'en effet on voit les nénés ! nénés du passé ! chants sardes s'il en est ! romance sucrée ! comptines des années de propagandes enfantines ! on est du passé pour ainsi dire ! on traîne à vie la vie passée et on avance ! ON est nées Fée, des données de base tracées ! dessinées sur gré ! chants sardes qui sait ? ça se pourrait ! On est ancrées dans un passé notoire, historicisé c'est un fait, et du coup on ... passe ! il sembvlerait en fait qu'on soit en vrai passées ensemblev "à toi à moi" de rage par la bande à travers ça : Roche Donnée ! Roche Allouée ! Roche des prés et du passé de base, chants des prés comme sermonnés ! ça trace ! ça charge grave ! ça le fait sur pré des Fées, sans faire plus que ça de simagrés et autres sortes de grimaces ! On est nées F2e en vrai au passage alloué à une sorte de Divinité qui nous aurait laissé passer du fait que voilà, on est Ailes des prés, Elles au débotté comme dédoublées, qui formons F2e, des Données de ROche et autres "données de poche" ! on est la Fée des Données accolées, qui (fée des prés) cherche à ... qui saiit ? brouter ? manger sans trainer ni discontionuer l'herbe grasse des prairies célestes ici rencontrées (mort-roche sur tracé de grotte ). On est allouées et on s'ailme (femmes qui s'aiment) sur rocgher de grotte ! çàa le fait en vrai et pas qu'un peu en fait ! On passe ! on trace ! on vole = on s'envoile = on =monte = on grimpe = on veut comprendre la clarté, tyout en haut des rochers la clarté, ici post-mortem telle qu'elle nbous apparait du (seul ?) fait qu'on est à présent toutes transformées, ailes au taquet peuvent monter ou remonter sans chichiter le muret ! On est nées fée de rAge en ce pré, aux herbes de VErbe  ! Vaches-fée des données rupestres néa&ndertaliennes (pariétales) des grootes cachées , comme enclavées. On est fée au passage du trait ! romance ! chant sarde ! gentes dames nous rtegardent ainsi traverser et les retrouver ! Dimanche ! Charité bien ordonnée ! romance des prés ! Femmes sacrées = sondées = comprises sur un pré aux fées (vaches à lait broutant sans traîner ce qui est qui se présente en termes de denrées !) . On veut toucher, et pour touchger on veut cerner (en soi) ce qui est qui (pour le coup) se logerait ou loverait en ce muret des 

fins de Romance : trait pour trait ! on veut grave cerner les données finales, ces données de bout de salle ! données doctes, saturlanes, fortes, comme saturées de lumière fractales, allouées à une (sorte de) parade b estiale ou sinon bestiéale ,

ou sinon bestialess, végétales ! On cherche à pour le coup comprendrte ensemble, ainsi accolées ! On est ailées ! On est deux ailes comme tracées ! On vole = on volette ! On veut grave cerner les données romaines et toucher de base ce qui est, qui, ici, ROME Millénaire, se présente à nous ... ouïe de VERbe , ou dite telle : qui comprend ce qui est des bêtes ? qui sait, qui connaît , qui connaît le Verbe des dxonnées bestiazles, des données de rage ? on est nées en vrai aéu passage de la mort sur terre, femme ! on est nées en vrai, la mort venue, passée ou dépassée, en tant que Femme (des prés il semblerait) dite "post-mortem" à jamais , et ça le fverait, de préférence ! ça le fait ! On danse ! on est nées Fée et de fait on danse ! en ce pré ! champ de ronces et de fleurs toutes acidulées on va pour tracer, chazrger, courir et voler ou nous envoler ! On est La Fée des bouts de roche , ici, comme à la traceversée,n, et on s'époumunone en  vrai ! charge nacrée ! on fonce ! on ne s'arrête plus de foncer et de forcer la porte ....aux nénés ! qui sait ? on est passées de fait ensemble accolées, l'une et l'autre en ta&nt que Fée des prés , pour en vrai cerner cette ... ROtonde, en Roptondité ! ce que c'est que cettre chose ! ce que c'est que ce treacé final, incurvé, mur en vrai de roche profonde, grotte ! grotte aux données ! grotte secopnde  on dirait ! la grotte = le muret ! ROtonde des Rotondités des grootes allouées à une mort actée ! on est passées = on est passé = on passe le gué ! charge menjtale ici sur un pré aux données bestiales (vaches à lait = fées) qui nous regardent ou nousv regarderaient sans  nous lâcher comme qui diraitr. On est Fée de base sur rtracé rocheux comme à la p ar ade dit "du mervieilleux noueux" ! On passe ! on est nées Fée ! = femme = fée-femme dans la mort actée c''st un fait vrai ! On est pzasseé = on est mort = on est re-nées en tant qu'ailes  de F2e surnuméraires ! mains placées ! roches soudaines ! charges allouées à une sorte d e romance agraire céleste ! qui le saiit de f ait ? qui sait de quoi il en retourne concernant les fées dites "post-mortem" et autres femmes-fées des données dernières ? On est pasdsées parce qu"on est transformées ! c'sst vrai , c'est un fait tout ce qu'il y a de plus vrai ! pour passer et durer il faut transiter ! -Homme mort, tombe, trait. Homme mort tombe et forme un trait. Homme se transfor(me en fée du fait que 

OUI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! IL S'EST VU COMME TRANSFORMÉ OU ÊTRTE TRANSFGORMÉ EN TANT QU'EAILES DE FÉE post -mortyeme ! tracé ! chevauchée ! acidité ! homme mort-né laisse aux dites fées le soin de durer ou de continuer de fait en ces conntrées de rage céleste ! sainteté sur pied cherche à brouter de l'bherbe vertte = Verbe, aux données genrées s'il en est il semblerait ! ça grimpe ! ça envoie ! ça y va de graâce ! c'est fada (complètement fada) de base ! on voit çàa ! On entre ! on entre dans l'antre ici de loa paroi dont le nom est Rage ! on entre ensemble ! On trace ! on commande de la voix et par des sortes de messages que nos ailes tracent ! On est comme allouées ensemble (accolées) à une sorte de Romance dite "des prés" , ou "prairiales des fées", ou encore "chargées de fleuirs données" ! On est entrées comme à la parade des données données, et du coup, voilà, on est devenues Fée, une Fée au passage, homme cendré (mort et ebnterré) est devenu femmes des prés, deux femmes sur un pré formant les ailes toutes nacrées d'une sorte de Fée ôst-mortem ! On aime ! On est nées ! On est les do nnées fauves ! On veut dire-toucher ce qui est qui devant nous s'offre : des nénéds ? des sortes de nénés-corolle ? on a grave envie en vréai de nous pôrter au p^lus profond ici de la roche-rotonde, principauté ? qui semble ou semblerait nous entourer , nous encercler ou tou comme, et du coup treacer, fon cer, courir sans traîner ni débander ni désemparer vers les fonds de pré, muret tracé, fin de roche, collier ? on est nées fée qui volons sur pré vers cette sorte de.. collier ? collet ? col de Ré . divinité ? on cherche , vif ! on ne cesse (vif !) de chercher en vrai ce qui est ! On est nées sur pré un jour de mai, on est nées sur pré un jour d'avril ou du mois de mai ou autrte, et de fait, on creuse ! creuse que tu creuseras la par(oi afin de pouir le coup, mieux cerner les données praioriales (para disiaques) des tracés de bêtes-mots de $base et autres mot-à-mot tenaces ! on est nées FGée, on veut toucxher ! c'est un fait ! ça comman,de ! Ça envoie (de base) sur toundra la charge coriace, attelage ! attelages de paroi ! bêtes de rage ! masses ! masses des Rois et REines dee là (de l'au delà!). On touche à ce qui est qui ici se montre devant soi, à savoir ... la tombe ! Trou à rat ! xchant des terres profondes montent, sortent, nous emùportent, nous confondent ! On est cvomme dès lors ensemble traversées sur roche, pré, herbe folle ! vaches à lait on est, sacrées, non-touchées, cernées, regaerde"aés comme si en vrai elles étaient (on était) des fées , fées d'époque en cohorte, champs tzacés ! On est la F2e dite "des cohortes", sorte de meute d'ombres ! On est la Fée sacrée ! allouée à une roche ornée , type muret des finalités, finalités accortes ! bisonnées = maisonnée ! bouquetinnnées = tracés ! trait pour trait on ose ! on est montées ! On voulait vraiment ensemble sans cxhichi aller , toucher à cette Déité des données Ultimes (c'est qui ?) et comme "traverser à gué" le ruisseau du pô ! Qui ? qui en vrai nous sourit ? qui nous dit de fait ce qui ici est ? qui en vrai nousz dit ici ce qui peut-êttre est, qui nbous renseig nerait (de fait et pour le coup) sur ce qui nous attend en tant qu'on est la Fée post-cimetière ... à la (seconde) retombée des terres ! ce qui de fait noius attendrait, passé ici le muret des termes, finalités, fin de prairie, fin de paradis, trouée souterraine ! On cherche ! on sourit aussi ! on veut toucher à ce tracé des sortes de finalités dxes termes ! Qui on est en vrai sinon des Fées de Rêve ? Fée d'Herbe ! TYRacé ! un tracé ! Un tracé en herbe verte ! Chants des prés , chansons frêles ! On est nées ailées sur pré des données, des données en herbe ! on, est F2e faite (faite Fée) au passage des traits  = ce muret de la mort actée, avérée ou donnée, et le muret passé nous voici volantes ! cxhargeantes ! ou chargeant , de fait, nos ailes nacrées  ! Allouées ! touchées ! sablées ! cendrées ! nacrées ! situées ! sondées ! accolées ! percées ! cherchées ou recherchées ! cvoincées comme un ver de terre et puis zou les airs ! l'envolée rupestre ! l'envolée des envolées rupestres on s'y croirait mais en vrai c'est (dans la mort avérée agraire ). Certo-certe ! On aime ! on veut :

toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touxcher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher touychetr tioiuuyoucher à cete sortrtre de néné post-cimetière et même pluqs que post-cimetière puisque dégagé ! lointain ! tracé des finalités ! fin de l'herbe verte (du verbe) s'il en est et il sembvlezrait ! Mort sur pré ok, mais l'herbe ? que devient-elle ? le verbe ! Qu'est-ce qu'il semblerait que devienhne l'herbe soit le Verbe xdes données prairiales de la mort à lm'oeuvre ? oh !!! on ne sait vraimentde fait, ce qui ici est qui semblerait vouloir se prté&senter ou proposer à nos gouvernes ! On cherche c''st vrai , et on a pas fini de chercher !!! on est passées ok, homme mort et enterré, laisse place entière à AILES, AILES de F2E post -mortem et du coup, vboilà , on cvreuse, on mùonte, on fouille ! on veut aller au plus lointain possible sur pré chercher-trouver ensemble des doonnées, dfonnées doctes "fortes", données fortes "doctes" ! trouver = toucher = allouer à une roche une (sorte de) "Paroole Profonde" .... on ne sait ! On croise nos doigtsvde Féeb ! On veut toucherr à une Déité de Fond de ROche des Finalitrés ! On veut COMPRENDRE = DIRE = FAIORE = ALLER = CERNER = CHER CHER = FOULER = BERNER = SITUER = SAISIR = MENER = TOUCHER AUX DITS NÉNÉS DES OMBRES ! QUE sont-ils en véroité ?. sont-ils de vrais nénés de femme à laiot ? sonbt)-ils de vrais nénés de Vache à lait ? sdont-ils fauves ? sont-ils déssinés comme à main levée par une femme des rotondes, Fé dec Fées sur pré de roche ? Une Fée est née qui est passée par la petite porte, pour entrer en cette sorte de prairie "profonde" , et la vooilà icio, qui cherche à aller (trotter, voletter) à la recherche d'une sorte (peut-être ?) de ( qui sait ?) denrée de type "N2éÉNÉ ;;... ? on veut t§oucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce néné ! à ce vsein de Roche ! F2e des F2es aime aller-voler vers le Néné des fins de rOche : qu'est-ce que c'sst ? un vrai néné à lait ? un vbrai néné, qui serait (du coup) post-post-mortem ?.?? Car (ici) la mort est comme , comment dire, double ! On voit de près le pré ! on passe ou on passerait , pour , ici, se reytrouver, fée, en ce pré. On voit le pré , puis plus loin le muret ! on voit en tout (donc ) deux murets ! un prtemier à notrte mort dite "naturellre", et un deuxième en ce pré a ux Fées des données profondes . S'agit-il de fait du même ? du même muret en forme de rotonde ou qui appzéartiendrait à une sorte de même rotonde, cercle précieux ? On ne sait en v  rai mais on ws'inquiète de lma chosecv à longueur cde Roche(n"éandertalienne) et autrtes rocs de groote profonde. On est la  fée qui veut connaitre un  c

ertain  nombre de données post-cimitère soit post-mortem (le pré) et au-delà , post-post-mortem =  après le pré (le p aradis des vies ailées) ! Comprendre = ici toucher ! car, en vrai, il sembvlerait, il semblerait en vrai que pour cerner (de près) les données de base (de la mort à l'oeuvre)) il faille ici toucxher la faille ! le tracé ancré, terait de rage, fissure née, treait de fée par où (qui sait ?) passer olé olé" ou pas olé olé maios nue (nue du cul) jusqu'aux ... nénés, de l'ère "profuse" ? On ne sa&it de fait mais en vrai on ne cesswe de rechercher et ce sans tra îner (la vitesse gronde) pour cerner ou mieux cerner ce que (enj vérité) la mort "secondaire" nous apporterait en termes de "donné"es salutaires" ou ditesc "salutaires". Qui on est la mort avérée .... eh bé on ne sait ! peut-être en premier (dans un pré) une Fée, ou une Fée Patibulaire, et puis le pré passé, peut-etrte ... de l'herbe ? du lait ?

? du lait en herbe ? Verbe Accolé ? Chyanjt de la terre ? chant = verbe de la terre = Herbve  ? On cherche ! on est comme une Fée Sévère ! grain de beauté ! on trace sur pré un chemin des Fées par où pâsser nous-mêmes et faire passer, derrière, tout un attroupement de bêtes-mots agrairesq genre bisonnées , bouquetinnées, cxhevalinées , bufflinnées et autres maisonnées de bêtes fortes, grosses, grasses, pesantes, poids sur roche de base naissante ! On est données ! on est tout comme un certain nombre de données données ! On pourrait dire en fait qu'on est nous-mêrmes des données ou les données des fonds de roche mais en vrai on est comme des fées de rage qui, ensemble, cherchent à travezrser (de base) l'ultime paroi aux envois, aux dires de charge, aéux quatre vérités de rage. Qui on est de base ? eh bé ;;... Fée ! F2e des ombres  ! Fée (qui sait ?) DEs Omùbres portées ou autoportées ! On veut toucher = toucher = toucher 

= dire = dire et comme se porter auprès

des nénés de l;'ombre on dirait ! 

Charges doctes on fonce ! fonçons grave ici ensemble toi et moi = ailes de paroi, parade nuptiale, tralala, chants de RAge, SAMBa, SAmba des Rois, Samba ici Des rois Et Reines de pAroio ! On danse en tra,nsez ! on est F2es des prés en transe et c'est notrte chance ! oN veuit toucher à cette Déité des Contrées Finales  ! On est nées Fée comme à  la pa rade ! on bva en vrai vers D2ité des RAges, ! saturnales ! bacchanales  ! on est aimées ! on est adulées ! collées ! accolées ! on aime le pré et l'herbe du pré ! on veut en vrai toucher de rage les néénésxs de base, ce qu'ils sont en cvrai, ce qu'ils offrrent comme denrée, ce qu'ils donnent en termes ici de vérité vraie ! tyoucher, toucher vif ! comprendre et cerner ! coller et donner ! ferrer ! ferrer le pied ! cerner ! dire et cerner de fait les données ddes prés, cequ'elles représenteraient en termes de champ alloué à une sorte de Romùance ! Co:mprtendre = toucher et toucher = comprtendre ! sainteté ailée ! sanctuarisation en vrai des données de roche et autres parois de grotte profonde. On touche aux nénés de roche ! On veut toucher ! On touche parce qu'on veut toucher pzarce qu'on veut comprendre parce qu'on veut aimer parce qu'on veut aller , voler ou voletter, à la rencontre du N2né de l'Ombre (Hommùe ?) transformée ? squi sait ? qui on est ? qui (dans la mort, enchâssées) o,n est ? Femme forte = groosse = grasse = belle = fauve = mauve ! on veut en vra$i toucher toucher toucher toucher touxher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher touchezr toucher toucher touchezr toucher tyoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tioucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher topucher toucher à ces nénés donnés des sortes de données données alloués à un muret ou sorte de muret cde bout de Roche : les Données de type Grand D  ! Chose de ROche Forte ! Roche-née pour une V2rité accorte, accordée, donnée, sans traîner , à une Déité des D2ités. On veut en vrai toucher à cette Déité-Néné de l'après-pré ! des données secondes ! rotondité ! Rotondité des données des prés ! on dirait ! on dirait en vrai ! Choses Hautes ! Choses déplacées ! Porte des prés ! une porte ici dionnant de fait sur quelque chose, de ... dessiné ? à main levée ? parole .? parole HAute ? chant des prés wseraiot comme en vrai les données du NOuveau MOnde ? Du monde de l'après le pré ? roche seconde traversée et on verrait ... de quel bois on se chauffe en vrai ou chaufferait ? Feu des turpitudes ? clash-center tracé ? tombe lacustre ? fonte des passés et des donnéess diverses du passé ? champ de glace dessiné pazr u,ne sorte de pseudo-déité larvée ? charge ? charge-né ? ponte ? ponte des oeufs accolés, formant corolle ? On veut (en vrai : grave !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!) toucvcher ! toucher = cerner ! à cette Déité des FOnds de ROche :

- tracé

- colère

- dires divers de type alacrité

- chants donnés

- termes accolés gformant pré

- dires aux accents de vérité et autres données  de type  Verbe Acidulé

On veut grave toucher pârce qu'on est ailées et que ailées on aime toucher (de nos ailes nacrées) iici Déité , ou Déité des Déités, telle que représentée sur l'herbe : VACHE À LAIT SURNUMÉRAIRE  ! VACHE À LAIT DÉCOMPLEXÉE ! VACHE À LAIT DERBNIÈRE ! VACHE À LMAIT DES VACHES À LAIOT DERNIÈRES ! VACHE À LAIT AUX ACCENTS DE VERBE ! VACHES DITES "ÀLAIT" DES DERNIÈRES (QUI SAIT ?) VOLONTÉ ET ÇA LE FERAIT ! VA CHES SUR PRÉ MÂCHENT, QUI COMPRENNENT LES DONNÉES RUPESTRES NÉANDERTALIENNES  : LES DONNÉES DONNÉES, DONNÉES DE  FÉE, DRÔLES DE DONNÉES ! oN VEUT TOUcherr à cette Déité des données dernières post-post-mortem pour ainsi dire si tant est, ou "de rotondit é" , car ce qui est ici est cette chose en vrai, comme qui dirait , que cvoilà de fait ce qui est et ce qui (sans doute) n'eest pas,n, concernant la paroi. On vole ! on colle, ok ! On volette en tant que Fée ailée post-cimetière .../ et après ?. qu'est-ce qu'il nous arrive après ? après le pré ? qu'est-ce qu'il nous arriçve ou nous arriverait après le pré ? une sorte de voyage "consacré" pôst-post-mortem, de type "mixité" ? changement de genre et autrtes trans-versification dees données (verbales) post-parade ? transition ? collage ? versification transversales ? chants à profusion ? dictée de Rage sous forme de versets sauvages ? Collation de type alimentation potache ? Fruits de la Passion ? Pain et fromage ?chant des nuits noires ? On veut en vrai passer (de fait) pour comprendre , au plus possible, ces nénéscx de base dits "frontaux". On est ailées en vrai la mort passée , et c'est ailées qu'on veut toucher à ces ... nénés d'un nouveau passage, "passage-paysage" ! tout nouveau tout beau ! on entre ! on entre ! on veut comprendre et du coup on entre ! on veut grave comprendre et du coup voilà on e ntrte , on charge , on pousse carosse , on vfait mine de tracer sur roche les données naissantes , données rossses si tanjt est, ou sinon rosses peut-êttre méchantes, méchantes ou quoi mais qui le fasseent ! qui impactent grave ! fassent de l'effet ou leur petit effet envers pareille Déité des Données Cruciales ! on est nées ! on est passées ! on traverse le pré ! On court on vole ! on est ailées ! ailes allouées à une Vérité De Verbe il semblerait et ce, pour peut-êtte mieux cerner les données prairoilaes icidonnées , on ne sait ! on veut toucher à une vérioté de base qyuu de fait serait :

vérité des vérités notoires, 

chant sur pré, 

chants de charge ! 

vérité des vé(ités on veut toucher à son tyracé de près ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher grave aux nénés ! dire et toucher = donner, aux nénés de l'après, de quoi s'alimenter" en lait à pouvoir donner, octroyer, offrir en partage ! On veut dès lors comprendre c e néné de l'Ange  ! qui c'est ? Ce dit "Néné de l'Ange" , en vrai, c'est qui , qui c''st ou qui ça serait qu'on ne connaitrait pas , qiu'on n'aurait pas croisé jamais , qu'on n'aurait en vrai jamùais rencontré ... ? On est près du muret ! On regarde ! On veut en vrai toucxher toucher tyoucher toucher toucher toucher tyoucher à cette Déité des Fins de pré lacté ! On est la Fée ailée voulant toucher au lait dit "de contrebande " ... laiot nacré, sanctifié, adulé et acidulé ! Lait des Laits sur Paroi Sarde ! grave ! grave ça le fait ou le ferait ! Grave de chez grave ! On est nées Fée en vrai au passage, et du coup on en avance dans les connaissancess ! On a tracé sur pré notrte sentier des connaisszances et aussi o n creuse ! on est fée de Rage sachant dire (aussi sec) nottre dire ! vent de face ! chine ! on vibre ! on colle ! on est bnous-mêmes de la colle ! colle de roche ! On se pose sur paroi de roche ! on est ailées pour (on dirait , qui sait ?) l'éternité , soit l'éternité de la roche ! On veut 

AIMER GRAVE, AIMER SÉVÈRE, S'AIMER GRAVE ET S'AIMER SÉVÈRE, AIMER DE CHEZ AIMER, AIMER = TOUCHER, TOUCHER = AIMER, ON VEUT GRAVE S'AIMER, SUR UNE ÉTOILE SUR UN OREILLER, NJE PAS S'ABANDONNER JAMAIS OU NOUYS ABANDIONNER JAMAIS MAIS AU CONTRAIRE ! VIVEMENT ! TENDREMENT ! SAINTEMENT! FINALEMENT! CORREZCTEMENT NOUS AIMER DE PRÈS = SE HUMER ET SE TOUCHER, SE TOUCHER ET SE HUMER, SE SENTIR DE PRÈS, SE LÉCHER, SE DONNER AUX NÉNÉS SUCCESIIVEMENT, S'ALLOUER À UNE SQORTE DE PRÉ LUI-MÊME ALLOUÉ AUX MONTÉES DIVERSES ET AUTRES FRAI ! TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER ! DIRE ET TOUCHER SONT CESZ MAMELLES DITES "DU PRÉ" DE TYPE "COLÈRE" ! On aimev ! on rêve ou on ne rêve pas mais voilà, on aime sévère la paroi ! la roche terminale, le tracé des Rages, Rotondité ! Rotonsdité ! Rotondité ! Passage des données cruciales frontales ! Charges mentales ! Frai ! Franges ! Franges et frai sur pré et comme à la parade ! Fée du Frai ! Frai comme alloué à un pré aux Fées, pour Parade Nuptiale et autres accouplements sacrés de type coït comme Cerné  ! Coït des diverses Données comme cernées, cernées-touchées dans le coït ... Touchées ! On aime Coïter de Rage sur pré, comme à la par ade = saturnales = saints de rage décoincés ! O n veut aimer = toucher = comprendre = aller = dire = foncer = conduyire = chercher = faire et porter pluis loin, toujours, ce qui est ici qui se oprésenterait comme alloué à no-s gouvernes (de fée ailée) respevctives si tant est mais ça se pourrait, car on est nés Fée au passage du muret dit "muret one", Muret dees Entrées, dees Entrées de Base de Rotondité ! farce ! parade ! charge-farce de parade ! gros gibier ! grosses caisses ! gros du gros des mots de base ! groossse charge sur paroio naissqante ! Paroiles Fastes ! gros Passage ! Le museau d e tanche ! le moineau ! la chance ! l'étourneau au bec de base ! charge ! chaérge frontale ! chahut et raffut ! on passe en force au bec de charge ! pic et pic et collégrammme ! le verbe de passe ! On en,voie grave ! Ça passe ! ç'en avance grave ! On est nues comme passées de cul = la chance  ! chance au passage ! on est venues nues ! on est cul nu venues sur pré donné ! on veut toucher= faire = dire = comptendre, ici , ce que c''st en vrai que l'herbe verte ....  verbe au débotté la mort actée ou une fois actée ? qui le sait ? qui comprtend de près les données données ? qui sait en vrai ce qu'il faut ou faudrait pouvoir cerner ensemble  ? Qui pousse ? qui croît ? quyi grimpe ? qui choisit les mots de base et les augmente ou les augmenterait au fil des années ? On estv la FRée née , cul nu, sur pré venu ! On est comme accolée ! scindée-accolée = ailéec= changée ! On aime ! on aime grave ! grave en vrai on aime êztre ailées tu penses ! parce que ça le fait ! ça grave le fait ou le ferait de base ! treait ! trait pour trait c'est notre chance en France, ou sinon en France peut-êttre en Espagne ? on en avancev ! grotte cachée nbous admettreait comme par contreb ande et nous d'y aller, de nous y enfoncer, fissa, enselmble, toi et moi congtre lke monde enteier, moi seule à tes côtées on entre, on entre dans l'antre   , car, oui, oui de chrz oui,

on veut grave toucxher aux nénés tu penses ! tu penses si on veut toucher ! on entre en  transe dans l'antre parce qu'on est ailées = elles = F2e d'une sorte de contrée genre post-cimetière et ce comme à jamais qui sait ? On est la Fée ôst-cimetière des Données Données sur prés, ! on s'aime ! on aime en vfrai s'aimer en tant qu'on est Elles, 

DEux F, 

deux Ailes,  pour 

Femme sur pré 

comme Enchantées (elles) et e,nchanté (le Pré) ! On veiut s'aimer en tant qu'on est Ailes ou Elles = Fées sur Pré et Fée des Elfes ! On aime ! on veut s'aimer = lkesbiennes, comme à jamais ! sur un pré d'herbe = de VErbe ! chants sucrés salés on dirait, ou "sacrés " ? On veut grave s'aimer en tant qu'elles = lesbiennes, dans (de fait) la mort actée dite"post)--cimetière" , mort des Faits sutr terre et nous voilà A2ilées ! Celtes ! Fée des Fées ! Ch aergées dee termes ! avérées ! vives Fée s aux donné&es sévères ! saluées et aimées, dees Fées des Prés ! On veut :

s'aimer grave

toucher grave

tomber grave

baiser grave

pisser grave 

chier grave sur un pré de Rage , et, de fait, aussi, vivre notre vie , de Fée errante, chiche, soulevée, vive de chez vive et comme cernée-entourée, encerclée ou emmurée mais pour combien d'années ? On est La Fée Passée ! On e'st en vrai passée post-muret direction le pré et le pré traversé (une fois traversé) nous voilà comme postée en tant que telle, devant ... eh bé ce muret, qui sait, ou ce "même muret" dit "des rotondités salutaires" , ou des "rotondités sur herbe" ,n ou ezncore "des rotondités formelles " Ou cvomment autrement ? car nous, de fait, on aime tracer et du coup nous porter , au plus profond des do nnées de Roche ! on est Fée de Poche mais voilà on fonce ! on fonce , on fronce ! on fronce , on fonce ! On y va ! on va là-bas chercher dans le tas leezs données de force ! qui on est sur pré sinon ça : ce petit tas de confidences sardes (sales ?) sur paroi , on ne sait pas ! On est peut -êtte ça ou peut-être pas ! On entre ! on grave ! on dessine sur paroi les bandes a nimales ! On veut toucher à ça : de rage ! à ça qyui est, de fait, une sorte de donnée de base , la Rumba ! la Danse en transe ! charge animale de bon poids pour la parade qui impacte (cherche à impacter ) . Paroi sarde ? sarde ? sarde sale ? On cherche une faille ou une sorte de passage, assez large, où en vrai, de rage, on pouurait "ensemble " (femmes) passer et traverser et nous porter de fait de l'autre côté c'est-à-dire côté pré et ça le ferait question conna&issance "sur" la mort à l'oeuvre et autres vies dans l'au-delà de là ! On e,ntre et, au passage, on croit -comprendre cette chose cfomme quoi la mort ne s'artrtête pas là, à ce terrain paradisiaque , à pareille prairie "Spéciale", mais va a u)-delà, au-delà de là, plus en profondeur vers un ailleurs de base (peut-être) à nouveau "murale" (frontale) si tant est ! Donc : la Rotondité ! ce qu'il en est en vrai ? Eh bé... on dfirait que peut-être, en effet, la Rotondté est une sorte de Notion de base (Donnée des données ?) qui nous enseignerait ou nous guyiderait vers ou nous ferait compcrtendre ce qui est, ce qui de fait se trame autour du Pré, du Pré passé./ on parle de "Rotondité" quand on passe ou dès qu'on passe le premier muret. On )arle de "rotondité" frontale" , "Rotondité ancrée", "Rotondité xes Rotondités". On essaie de cerner, ensemble (fée ailée), ce que c'esst ou ce qu'il en est ici (sur pré) de cette (donc) RToto ndité d'étage. CE que c'est que pareille Muraille! quoi c''st ! quoi en vrai c'est ou ça peut être, à nos yeux de Fée post-motrtem. On est grave sérieuses nous deuxs (Ailes de fée) à chercher ou à vouloir chercher ensemble , ce que c'est qaue cette choses i-ci tracée : muraille ! Anse ! Arc ! Cerclle des Données ! Ronds de jambe et autres disques déplo yé comme par la bande il sembleraiot mais qu'en sait-on en  vrai ? d'où, de fait, nos recherches et collezctes diverses de données divezrses sur pré ! recherche dite "de fée" puisque , en vrai, fée on est ! fée on est née à la mort actée , ou une fois pour nous la mort avérée, actée, entérinée, achevée ! Un on était (homme ou femme) , un ou une, et, mort ou morte, on se trans-forme grave en Fée  = Ailée ! Deux femmes font fée, sur pré aux Fées (qu'aux Fées ? Fées des prés ?) ! On enttre ! on est Fée s qui sommes entrées en cet antre aux données dee RAhge  qui est antre (en vrai !) des Données Allouées à une Vérité de type dé2ité ! car , 

la Mort est Déité, Divinité, Losange, Croix de Rage, Trzacé né sur pré de type Parade, Ch ant Total, Croisade, Paysage sage,, pré aux fées et autres b^petes de SAb a.  On est entrées ensembkle toi et moi cfomme à la parade (nuptaile) sur terrain de Rage ou pré aux fées, au xchoix. On est entrées = on est passées = on a sombrées mais en vrai pour mieux on dirait nous redresser en tant que fée ailée ! ça le fait ! on a cru y passer à jamais mais c'est pas vrai, on s'est redressées, on s'est envolées car on s'est retrouvées comme munies d'une sorte de charge donnée, ailes allouées, poids d'elfe ! C'est un fait ! C'(est tracé ! Ya q'à regarder ! mirer ! finter ! surprendre ! Aimer de près ! ne pas s'endormir en vraéi sur ses lauriers de roche mais au contraire tracer = filer ! vite s'envoler et vite gagner, au plus lointain possible, le muret de roche ! les donné"es profondes d'après -pré aux herbes folles ! Toucher ! toucher toucher!  toucher ! toucher ! tyoucher ! toucher grave aux données (nénés) des cav,itées dites "les plus profondes s'il en est" , de tu

ype "corolles" , f leurs de ronde ! On veut aimer = toucher . Qui on est ? peut-êtrte, en effet, après la mùort, en premier, une aile, une szorte peyut-être d'aile qui, accolée à une autte aile, ou augmentée quyi sait d'une autte aile, peut de fait former La F2e, F2e des PRés, Fée post-cimetière, et ainsi voler, gagner  au loin le dernier muret dit "de rotondit é", le muret du CERcle ou CErcle des dOnnées en herbe . Fée !

 ............................................................................ fée des Herbes ou dite telle ................................................................ VFée vdes f2es des Herbes Folles et autres hErbes de PArole (Verbe olé olé ? ) ........................................... charge de Rotonde .................................................................................................................. Fée des Données Données comme s'il en pleuvait par lma Parole (qui sait ?) ........................./.................................... pissadou de poche .................................................. drôle de corolle ! drôle de pârole ! venaison = chanson = porte ! ...................................................................................................... on ne veiut plus traîner mùais foncer, creuser danz la r(oche (de grotte) la Chanson des FOrmes, Bêtes-Monstres, Aurochs et bisons, Buffles aux tendons, BOUcs et bouques aux effets dee Rage sur Cloison de passe ! On veut :

DIRE / FAIRE et , surtout, ne plus (de fait) ralentyir le train mais foncer ! tracer = foncer ! On est la Fée Acidulée qsui (sur pré) fonce à grandes enjambbées vers ... eh bé oui  ... Corolle  ! Corolle donnée ! CVorolle fauve  ! LMa Doloonée des prés = LMa Corolle ! Fleur Donnée = Ouverture à la retombée d'une sorte de "bouche nacrée " ....trait des fées ... traits sur pré des fées acvidulées et autres f ées cfomme consacrées , ensemble, sur un pré de RAge, F2e des PRés tracées ! charge de données ! attroupement comme à l'arraché de bêtes fortes allouées à une sorte de parole dite "de la V2rité" mais est-ce vrai ? On fonce ! O,n ne  veut pas laisser passer la chance qyi nouq s eest donnée, de pouvoir co:prendre (au plus serré) ce qui est ici, en cette roche , d'une sorte de Parole DOcte faisant Corolle, Ouvertiure Folle, Chant des Rangs, Sorte de Corolle à jamais déployée pour (colme qui dirait) accueillir Paroles Doctes ou autres mots (mots-bêtes) faisant impression forte sur Divinité de POrte ! chants tracés  ! bouquetines allouées à un pré ! buffles non-moroses ! chevaux des prés, chevales cendrées, bises et bisounours des trous approchés des cavernes masquées ! charges centrées ! béliers ! poussées ! traversées-passages ! et du coup retombées (cul nu , comme de bien enctendu ! 

😉) 

sur pré herbu ! On veut Aller ! On a envie ensembkle de Toucher ! On veut en v rai grave, aklller à toucher, ensemble .... les nénés ? Lesdits 

"nénés doctes" ? On fonce .... fée des fées ./......................................................... on ne veut ple

us s'arrêter de foncer mùais au contrzaire grave tracer = dessiner , sur roche, qui l'aurochs, qui le bhison, qioi le cheval , qui le buffle des Passions de l'Âme ! Chargeons ! ...;; Pistonnons ! creusons fol ! Creusons sur pré les données à creuser, fouiller, cerner, essayer de  déterrer  ! On est la Fée Ailée de la M%ort Donnée, et c'est en tant qu'on est la Fée, qu'on veut grave traverserr le pré, tracer, et gzagner de fait le dxernier muret aux données  données de trype "finalités des Finalitéz " ! On est passé ensemble, on est ensemble (elle et moi-même) passées, on a traverseé ensemble (nous) le muret premier en rotondité e't c''st en ce pré où on est tombées qu'on veut comprendre = filer (à grandes enjambées) vers ... eh bé .... peut-êttre .... qui sait .... la Terre ? Terre glaise .? Trou forcé ? Cavité des cavités ? on est nées Belles Bêtrszs sur COntrée des F2es , on veut entter ensemble accolées-serrées en cette sorte de (dernière) anfractuosité post-post-cimetière : les allées du Verbe ? les allées cde l'herbe, de l'herbe mâchée ? une sorte de tunnel de Verbe ? Cri donné ! Chanmp des Ailes ! LE PASSÉ ? Est ce que c'est en vrai ici le Passé qui serait derrière ? EsT)-ce que en vérité" ce qui nous attendrait derrière (le second muret en rotondoté) serait ... le Passé  ? le Passé surnuméraire ? les données premières re-re-re-données à nos gouvernes ! 

Re ? 

Re, le Roi d 'Herbe verte (Verbe) ? Re le Ré ? Rey ! ROi, des ombres Supliciées ? LEs données profondes en termes de données comme 

RÉHABILITÉES ?

Qui sait ? Qui sait en vrai ce qui est qui est, passé la Rotonde des Données profondes de la m=ort à lm'oeuvre ? Qui ? qui connaît ? qui confronte ? Qui en vraéi s'y colle et pôas pour de rire en vrai, mais pour de vrai , qui ? On voudrait (nous : ailes) cerner, ttoucher vif ou à vif, les données frontales eh bé oui, de pareille Entité , de Pareille Divinité dont le nom serait (ici et là) Mort Donnée ! Mort Allouée, Mort Actée ou Mort Avérée ou Entérinée. On veut en tant qu'on est des fées ou une fée cerner, au plus près, les données les plus profondes de la mort à l'oeuvre. Ce qui est qui est. C e qui nous regarde ou nous regardrrzait de face ! On est nées Fée (de fait) au passage (MORT°) et dans le pré (la mort, ou la pré-mort, ou la première mort) on court on vole ainsi ailées, on veut se rapprocher ensemble d'une sorte (au loin) , de corolle, de porte, d'ouverture -"hole" (trou de boue) dont le nom (à tout casser)   sera&it PAROLE

PAROLE ACIDULÉE DE TYPE COROLLE

CHARGE FORTE

POINT DE ROCHE 

CONJUGAISON ? On voudrait tant cerner la choses, toucher , toucher haut, chercher, chercher haut, foncer , foncer haut, percer, percer hgaut , comprendre, comprtendre = prendre haut, ce qui est qui est, ce qui swe présente en vrai,... : des sortes de Nénés ? Nénéews à lait ? Données lactées ? Du lait comme s'il en pleuvait

pleuraipissait 

sur herbe des prés ! chahutée ! mouillée ! tout imbibée et arrosée ça le fait c'est frais (ou chaud , des fois, selon ce qui est) ! On est comme nousmêmes "baptisées" de bonne grâce, par du pipi d''Ange on dirait ! Pas vraiment salies ! douchées plus que salies ! allouées ! baptisées ! auréolées par du pipi ! de vache à lait on dirait ça le fait! pis des prés ! lait ? lait sucré nacré ? O,n  aime grave le lait ! On veut grave l'aimer = l'aduler = le bénir = le ma,nger ! vivement le trait ! On veut toucher le lait = l'avaler , le tenir , le sentir couler, le bouffer de près ! chérir ! l'aimer alloué ! Sentir le trait pisser et le téeter comme à jamais sans coup férir ! aimer ............ aimer ............... aimer ............... aimer .................. aimer téter ..................... aimer ..................... aimer grave téter ................... grave aimer téter .................... chercher le ,néné ........................ chercher grave le néné ............................................................................. toucher le néné ................... cxhercher grave à toucher le néné ............... le néné de vcache ............................... pis  .............................. pis aimé ........................... pis grave aimé ........................... pis aimé grave ............................ grave pis aimé ............................... tracezr, courir, aller, chercher, combler, chercher loin dans les entrailles le Passé ! ............. qui sait ? .............................. et si devant (après le pré) il y avait ............. le Passé passé ? LE trait des F2es , le tracé, le Passé tracé, trait de Fée de type Lacté ! ............................... Fil de Lait  ....................................................... ./Lait acidulé ......................... lmait n acré ................................. lAit des LMaits acidulés de tuype nacré / tracé / aimé .......................... On est la Fée, post-mortem, des prés tracés , on veut grave travezrser le pré et filer ! aller ! courir grave vers le TRait des Rages ............................. trait acidulé comme s'il en pleuvait

pleuraiot

pissait grave;  sur pré, sur herbe allouée. On entre ! On est cfomme accolées de bhase (ailées) et du cfoup, étant accolées, ou ainsi accolées, on peut entrer en  cette roche des données données , roche rude /dure ornementée, roche aux Données tracées de type Aventures, REvoyures, BHêtes à fière Allure ! On est F2e des PRés sur HErbe ALLouée à une Vérité de type Comprenure ! On veut toucher toucher toucher d'eaventure le tracé de Bure ............................... festivités ................................ fêtes auréoléesv ............................. cxhants des Runes ................................................................................................................................................................. portillon ............................ extrème-onction ................................... coulures et autres moùuillures ......................................................... fuite de son ........................................ conjugaison ...................................................COnjugaison maison.



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4/11/2024

On mùate ! on est matées ! on mate grave et aussi, on comprend des choses du coup , comme quoi la mort est, dans les profondeurs de la Roche, enfouie ; La mort en vrai est enfouie (on dirait) dans les profondeurs de la Roche ci-après ou ci-devant. car voilà : on est entrées ! on a passé le "Rubicon de l'âme", on trace ! On est accolées comme deux ailes "affrêtées" comme qui dirait à une sorte de bête des prés (papillon ?) qui (de fait) va et vient et ne regarde pâsz à la dépense ! On est ensemble ! on est vives ! on se ressemble forcément  : on est de base ailes des prés , chantournées, vives de cghez vives, tracées-dessionées à main levée par une sorte de divinité de genre fictive mais, en vrai, qui est, qui existe de fait , vfa et vient sur rive, monte-descent, grave et comprend (ici même en roche) les données profondes /.. On avance ensemble, en cette roche dure,on est soudées ! On colle = on se cfolle ensemble l'une à l'autree, pour en vrai cerner les choses, les données du monde, ce qui est et ce qui (peut-être, qui sait ?- n'est pas tout à faiot ! On cherche ! nous voici voilà passées comme par la bande en cette sorte de paroi, paroi de contrebande qui, on dirait, nous aéttendait impatiemment eh bien voilà ! nous sommes là ! nous sommes arrivées ensemble en elle ! On regarde ! On veut toucher = cerner = dire et ce n'est pas peu dire qu'on le veut ! on respire ce dire ! on est mortes d'envie ensemble de toucher ! de toucher-cerner les donné&es divines ! roche des prés ! bhêtes des données rupestres ! chmps et herbes au taquet ! on veut grave ensemble comprendre ce que c'est que cette chose, d'une sorte de rotonde devant soi, qui serait là comme à nous entourer de "ses nénés", qui sait ? On est nées sur hrrbe ... comme deux antennes ! On veut ou on voudrait de fait ensemble comprendre à jamais les données terrestres d'une qorte d'entité, genre "herbe des pr"és" = "herbe do nnée" par on ne sait, mais en vrai on est qu'on ne désespère pas complètement d'un jour deviner ! toucher au but ! aller vers elle (déité ou divinité) pour mieux cerner de quoi elle est faite (La Mort) en ses quar'tiers de fond de roche ornée. On veut de fait ensemble en tant que fée comprendre qui est qui , ce qui est qui est qui nous rezgarde ou b-nous regarderait (grave) de la tête aux pieds sans disqcontinuer, et nous de nous laisser ainsi mirer ou ad-mirer ou seulement ou simplement mater, ou comment ? car nouys voilà cernées ! touchées des yeux et du coup touchées comme si en vrai on était nées fée (une fée) au passage des cieux ou comment on pourrait en vrai dire cette chose (ici roche) comme quoi voilà : en passant, en traversant, en passant ERoche des Données Rupestres Néandertalienbes on est comme "tombées" de force dans un pré et du coup ... on se relève ! on est nées fée (une fée) à la relève ! on est passées à deux , nous voici transformées (dans la mort "prairizale")  en une Fée vdes Convenhances de Plaisance ! on est nées ! on est nées Fée ! DAns la Mort dite "des prés" o,n est nées (on est deux femmes) en tant que Fée (une) pour l'éternité dite "de contrebande ". On est La Fée du "Cimetière ajouré". ON EST Fée des herbes (et autres fleurs sondées) des prés de luzerne ! On veut toucxher à cette déité des données rupestres telles que représentées pzar (on dirait) homme ou /et femme des cavernes néa dertaliennes . On est passées tête la première et nous voici tommbéees opu comme tombées de l'autre côté , allouées à une sorte de pré "célestr" ou de prairie "celt" ou de chgamp fleuri aux données rupestres infinies (?) qui nous "regarde" faire comme qui dirait, soit :

toucher, toucher , toucher

dire dire , dire

cerner, cerner cerner

aller et aller

chercgher de fait à mieux cerner les données du monde d'une vie d'après-rotonde ! avez-vous cerné ?  Avez-vous compris la Chose ? Le seiuil de bonté ? La Rotonde est dans le pré l'enclave des Formes ! On veut toucher à certte vérité des données profondes aux allures de Sainteté ! On veut toucher toucher toucher à cettte sorte en soi (en vrai) de DFéité-Divinité DES Données Profondes au sein du pré ! On est FÉe ! On est la Fée post cimetière , post-rotonde qui sait ? ou sinon post paroi des ombres et autres roche gravée-dessinée des fonds de grotte (demandez l'entrée !). On est La Fée des Hommes (?) ou Ombres (?) ou HOmbres (?) ou qyoi d'autre, ayant disparu (fichu !) au passage de rOche car, on le sait à présent parfaitement, ou sinon parfaitement assez bien , on sait à présent assez bien cette chose ici comme quoi l'homme - ombre (hombre) est, au passage de roche ... à trépas, pour ainsi dire,  nu velu foutu ! Né il passe et meurt ! au passage de  Roche, à trépas, le voilà à bas ! enterré des faits ! Il ne passe pasou plutôt il passe (oui) au cordeau, mais en vrai transformé en deux (on dirait) entités de rage allouée à une sorte pour le coup de Fée Ailée ! On est né Fée au passage en pré ! Homme cerné, abattu nu, sombre dans les nues, laissant de lui "sortir " les ailes d'uune sorte de F2ée Naturelle ! On est Fée des Prés surmenée ! Onnveut toucher à ce qui est qui nous regafrde (regarderait) de près on dirait ou cherche à nous touchger comme si en vrai on était née s de base ailée alors que non ! on s'est retrouvées "transformées" en fée au passage en pré ! au passage des données rupestres ! homme est DCD quand ELLES (fEmmes au pré-) sont nées rupestres en tant qye Fée des Herbes (du VErbe) charmées ! On est accolées ! RAGE et COURage ! le vcoeur à l'ouvrage ! On est La Fée "des prés du passage" et on regarde, devant soi et sans tarder, ce qui est qui , on dirait, lui ou elle aussi nous regarde ou nous regarderait sans traîner ni nous lâcher  pour nous comprendre = nous prendre , ou mieux nous comprendre ou comment on pourrait dire ? nous TOUCHER_COLLER ? NOUS EMPORTER DE RAGE EN SES LACETS ? NOUS EMPORTER DE FACE EN CES LACS DES PRÉS ? ON cherche ensemble c'est un fait à comp^tendre les données de base ce qu'elles seraient en vrai sur place soit en ce pré aux données de rage, des fées de passage et autres créatures soulevées, lancées, hautes sur roche , traversées de choses et autres de type VErbe-né ! verbe au taquet ! cghant des prés post-cendres allouées, et autres chants aux données celestes ! On veut toucher de près à ce qui est en ce pré aux airettes ! on veut en vrai COLLER ! toucher = coller ! On veut dire et aller, chercher, se coller à une sorte de données rupestre aux allures de mur d'enceinte ! Qui on est ? Une fée ailée, on se pointe jusqu'au bout du bbout du pré alloué à une sorte de donnée rupestre ! On veut toucher = dire à cette sorte de donnée ce qu'on sait ou saurait de l'herbe (verbe) sur pré ! Onn est née Fée au passage en herbe ! on est nées Fée au paassage alloué à une mort actée ! On veut toucher aux données célestres ! On veut toucher-cerner et du coup com^prendre (ensemble = ailées) les choses de Roche : qui on est, qui on est pas, qui on veut toucher, qui on ne vceut pas toucher, qui on ne veut surtout pas toucher, qui on veut cerner en vrai , qui en vrai on ne veut surtout pas toucher-cerner de quelque manière que ce vsoit ! On eSt fée des prés passée en roche comme en contrebande sur le cul ! née nue ! née sur le cul nu ! on esst passées ! on était deux (au frais, au frais de la grotte allouée) qui voulions passer , qui voulions ensemble traverser (de chic) la roche ornée, eh bé voilà que nous nous retrouvons comme "située" en vrai en un pré aux bêtes de masse, charge grave, poids des mots sur pré de base et utres herbes de bas-âge ! On est passées ! On était Elles , et d'abord il ! il devenu Elles fdevenues Fée = UNe , de Chasteté ! salubre ! Chant des données rudes ! On a traversé ou comme traversé ensemble la contrée "méchantre" et nous voilà enfin touchée ou (disons) comme touchées par on dirait une sorte de "main des prés " , main surnatyurelle, main suvreélevée qui voulait en vrai on aurait dit nous emporter ou nous embarquer avec elle ici en son étui ;! on ne veut pas passeer pour on di!ra ce qu'en vrai on est pasv ! On veut toucher-aller, dooner-cerner = jouer ! JEU DES HERBES ! JEU DU VERBE ALLOUÉ À DE L'HERBE ! JEU DES DONNÉES CELTES = CÉLESTES = CÉLÈBRES = VIVES ET CONSACRÉES !  O on est nées FGée au passaghe en pré et nous voici ailée de fait , ailée comme "de Verbe" , = allongtée ! porolongée ! souveraine ! 

Fée des Prés cherchezrait à cerner, de près, les données rupestrszs ! 

On veut c'est vrai toucher = toquer, mais quoi ? les données en herbe ? L'herbe ? La pâroi "aux herbves" soit l'après-par(oi (après-soi ?) des dfonnées en herbe ? On cherche ! on ne s'arrête pas de chercher (ensemble) ce qui est ! On veut toucher )à une déité des reves ici allouées à une sorte il semblerait de vsommité surnuméraire : le Néné ! le Néné en herbe ! sein des prés cherche à se donner et à donner du coup son lait genre denrée ! dent de lait ! on aime ! On a grave en soi  cette envie allouée de comprtendre = toucher, ... à quoi ? à cet abri , à ce cagibi ou sorte de , à ce pré-enclavre aux bêtes de somme et autres cerfs de seconde zone ! On veut être nées Fée (une fée ailée) pour cerner (mieux cerner) les données profondes de Rotonde ! qui on est ? peut-etre dans la mort, en effet, FEmmes allouées poour former Fée, qui sait ? des données Rupestres . On veut grave toucher, cerner = dire, comprendre et aller ensemble, à la recherche de la Déité dite "des Cimetières" ! On est N2ES ! nées sur pré, au passage en rocghe, et bnous voilà fée ! Fée des prés de belle zone ! on est entréess ! on est passées ! on voulaiot toucher , szoit dire et cerner les données de Roche ! On entre ! on cherche à comprendre et du coup toucgher aux nénés de l'ombre ! On est nées Fée des Données de ROche (Rotonde) et nous voilà cernées ! entourées ! comme encerclées ! La Ronde aux données ! Pré cerné ! Champ-pré aux données allouées à l'herbe à brouter (le Verbe) comme s'il en pleuvait (des traits ! ) . On est nées Fée sur pré des Ombres ! nénés ! les nénés ! où donc on pourrait de fait trouver ensembkle (accolées formant Fée) les nénés des Ordres ? Où ? On est cfomme "parachutées" c'esst dire ! On voulait aller et donner, prendre et comprendre, et nou!s voilà comme "parachutées" de force par (ici) une sorte de Forme Oblongue ou comment, qui est-elle ou quoi , ou qu'est-ce ? que , là, ici même (pré) cette Forme aux Nénés ! on cherche ! on tend les bras (ailes) , on ne regarde pas à ce qui est de nous donné ! on veut = on va ! on est pas chiches d'y aller ! on veut 

TÉTER ! GRAVE ! GRAVE ON VEUT ! TÉTER LE NJÉNÉ ! ON VEUT OU ON VOUDRAIT! GRAVE TÉTER ! LE NÉNÉ DES PRÉS ! LE NÉNÉ DES NÉNÉES ! GRAVE EN VRAI ON VEUT ET SANS S'ARRÊTER ! SANS SE GÊNER ! on veut toucher à ce njéné de l'Ombre, de l'Ombre emboiîtée ! Ombre ancrée ! Ombre des ombres emboîtée-ancrée en certte sorte de roche des fonds, fonds de pré alloué, chant du cygne du pré, mur-cloison de Rotonde-enclave ! charge ! poids de maison ! bande et contrebande = la clioson des Monts, des do nnées prairiales en leur fond ! chyarge mentale ! on va, profond, fée, chercher ! on va, en fée, ailée, chercher ! on est la Fée dite "des Données profondes" sur pré . On est La Fée des Prés cherchant réponses et d'abord questions concernant la Chose aux données prairiales. On veut 

TTouccher ! 

Grave toucher ! Coller = dire ! Allouer à un dire l'herbe à b router pôur vache à lait ! pis des herbes folles ! pis d'hole ! pis des pis comme une sorte de donnée folle ! On est Fée des prés et o,n s'envole en vérité vers une sorte de cloison d'époque, gravée, chahutée, tracée et traquée , qui est mur d'école ! cvorps d'ombre ! vérité des vérités ! On colle ! On veut touchger = coller = cerner = épouszer la Roche, les données vfrontales de fin de parade ! On est née Fée au pâssage et nous voilà cherchyant (comme un fait exprès) à nouveau passage, cette fois en fond de pré, direzction .... eh bé qui sait le Néné ! De rage un néné ! pis dit ! le pis est dit qui dit son dire (ici) des prés = para-dit donné ! don de lait ! On veut téter la Mort allouée ! On veut (la mort allouée ou donnée) téter, qui le dit qui le pis, qui le pis-dit, qui le dit-pis, sein de contreaba nde pour  une sorte de marchande (fée des branches). On veut (grave) toucher au Néné de L'ombre sur pré, charge "forte", conditionnée, allouée à une escorte, à un train de dés , vers de rage et autres versets ! On veut coller = donner ! donner =verser ! Dire et toucher ! comprendre ! sentir = presse,ntir ! Don de soi pour une charge "drôle" ! on fonce ! On veut être la fée des ombres , l'attelage nacré ! charge-somme des données pesantes, lourdes de vérités ! On est nées Fée sur pré quand on est passées , et nous voilà comme à la retombée cherchant à mieux nous immiscer ou glisser de rage en ces données prairiales, vérités et contrevérités feraient bon ménage c'est étrangfe ! un p)aquet ! le paquet du Verbe ! chasteté en herbe ! gente d'herbe et des fleurs nacrées ! on veut aimer = cerner les données dees Frères et autres ordres dits "de Chyasteté", "de SAinteté Naisqzante", "DeS données de Branche". oN veut coller pârce qu'on est née (fée) et que (en vrai) on a bvesoin (qui sait ?) d'épouser la Roche, la Roche des Termes (finalités et Verbe ! ) c'est un fait ! On est nées "La Fée des Herbes" allouées au Pré des Données Rupestres néandertaliennes (tu le sais c'est vrai !). On est passées ! On voulait coller eh bé c'est fait ! On voulait grave aller et dire et toucher -cerner et auusi comprendre, et par ouï-dire et en vrai (sur place, en face) les données allouées à un pré dit "des Vérités Sauvages", c'est fait ! On est nées ! on est Femmes des Prés allouées, à une sorte de Romance

 aux donnéesz de base , Fée des Fées des Bases tracées ! On veut :

COLLER = DIRE = CHERCHER = CER NER = COMPRENDRE =COLLER = FAIRE = CHARGER = CONSACRER = VIVRE SUR HERBE LES DONNÉES RUPESTRES , SONDER = COLLER = TRANCHER = VIDER = ALLOUER À UNE SORTE DE DENRÉE (LE LAIT) UNE SORTE DE VÉRITÉ (ANCRÉE) DE TYPE VERBE, VERBE À VÉRITÉS = VERNBE -NÉ DES DONNÉES  RUPESTRES ! On a grave ensemvble envie cde toucher aux nénés du verbe =  pis ! pis de lait en herbe = spi ? spi = pis ? Qui sait ? On veut de fait toucher le pis dxes données vives (lactées) comme s 'il en pissait surnuméraire sans arrêt ! On cherche ! on est pas en reste de cherc her ! on veut coller-toucgher-cerner-pister ! comprtendre = faire = donbner = coller ! mais comment coller quand on est fée ? On est La Fé&e ^post-cimetière aux données rupestres ! Qui on est ? LA fée en Herbe , ici (peut-être) un brin chahutée par on dirait des bêtes de trait allouées à un pré  "post-cimetière" ! On veut toucher = sonder ! qui ? l''^$ETRE ! LE Passé ! le temps Passé qui seraiot l'ÊTRE = le VERbe ! chant sacré ! chant donné ! vérité des vérités sur pré et ça le feraiot  ! On est La Fée du pré passé, cxhant de la Terre ! Vérité et contre-vérité forment le pré aux données célestes , la Pensée du pré, l'idiome Nacré, Fleur de Lait et autres Vérités Langagières sacrées ! ça le fait en vrai ! le néné ! le néné de l'herbe ! pis aux données vertes ! C'est un fait avéré qu'on l'aime en tant que fée ! car la Fée aime l'herbe, le V Erbe, le Laiot, Le sein aux données, le Néné ! Les données données par (on dirait, ici) le Néné alloué à une Vérité post-cimetière, du genre : vérité et contre-vérités jumelées ! yin et yang au débotté sur branche aux Nénés ! on entre ! on pâsse le nez, l'oeil frère, une sorte de doigt poiinté, un pied, une mèche, une tête , qui sa&it ? On est entrée ! fée entrée ! fée des Fée entrés commpe à l'arraché en cet antre des do nnées finales de type "mur de rage" ! on regarde ! on regarde bien en face ! on veut touchger de rage ! le Néné ! Pis des Herbes tracées ! traits ! traite ! traits des traits comme s'il en pleuvait ! un trait = un trait de traite ! pis trait ! pis des traits et pis des traites sont dsonnées de base mortuaire  ! on veut grave pisser ! pisser du lait ! pis donné ! lait de charité ! chant d'espagne ! le teracé nacré sent la Rage allouée à une sorte en  vrai de V2rité SAlée, Salée de fait, comme consacrée par en v rai du se"l d'espagne ! On veut en vrai toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher ensemble (ailées) à ce sein tracé aux données lactées : pis de Verbe = Néné d'Herbes, genré, comme alloué à une sainteté post-cimetière ! on est nées ! Verbe -Femmes des Données de Rage ! passage ! tracé ! Charge ! attelage ! Onest comme en vrai un peu on dirait soulagées d'être pour le coup passées et qui plus est pâssées ensemble = attelage = ménage = conditionement de base en termes de remaniement, changement, d'il en elles, des données de base ! et ce : par; oon le sait, la Rage ! la données Suprême ! Rage de La rage ! changement  acté des données de base ! d'il en elles , ailes, Fée des prés ! on est comme tous  / toutes transformées , du singulier (masculin /féminin) au pluriel "des fées", des données rupêstres,sang de Rage coulé, on est passé en face ! tracé ! trait ! trait fait ! tracé d'ange ! trait ! fil de trrait ! charge ! on passe ! on  v eut passer ensemble nous deux accolées femmes d'ombre sur pied ! On veut traverser ! toucher à cette déité des données rupestres comme soupesée , on dirait, par le verb e = l'herbe, des données prairiales et autres données sardes (qui sait ?) . On est comme soulevéeds ! dites ! postées ! do nnées ! cghaargées ensemble (ailées) d'un dire de poiids de type bête de paroi : la Bouquetine xdes données de rage, l'Antilope de France, L4auroquinhe marocquine ! La Belle des Poids, le TRacé-Massue, l'ombre-verrue ! La charge POstale et autrzsx Mots de base animaliers de type Bisonnné, Bises des données aimées ! On chante ! on crie de Rage en face ! on veut gravir ! monter fissa ! coller de rage à loa )aroi finale sur toundra ! transe ! transe mentale ! chyanht d'Espagne sarde ! charge des rois, reines de Saba ! colle -massage ! Plantigrade ! On veut :

comprendre = dire = toucher = cerner = pousser = traquer ici les données cruciales, celles qui en vrai pèsent ou pèseraient grave dans la balance ! on est la Fée des prés de base, la Donnée dees Rages, l'Emportée des Envolées, des envols-traces ! traces des tracesv ! On est Fée des prés ...................................................................................../././.............. allouées à une trace ! .............................../ genre "satiété" ............../............ ou alors "pa ssé" .................................. ou même "sainteté des données sauvages" ........................... ou qu'est-ce que ça pourrait être d'auttre qui le ferait en vraéi  ? ..................... car en vraéi on a envie ensemble "toi et moi" = fée, de  cerner = comprtendre ce que c'sset qui nous regarde en face ! face d'éternité qui sait ? face des données frontaéles ? une sorte d'anfractuosité coupable ? qui est qui en ces contrées ? qui regarde qui ? qui mate la fée ? qui est là pour pour le coup mater ? On dirait .... D2ité ? ok ! mais qui c'est ? Vache à lait ? pis de Vache à laiot ? pis des donné"es lactées comme s'il en pleuvait et nous de nous poster tout près le bec ouvert pour boire ou manger ? On veut grave téter les données rupestrezs = nous coller .... au VErbe = à l'herbe = brouter ! manger ici = brouter , l'herbe allouée à une Vérité Surnuméraire (natuirelle) aux données ancrées de type S

ainteté sur Terre ! on veut toucher toucher toucxher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette sorte de Divinité en Herbe ! Sainteté rupestre ! chant lacté ! Verbe ! Vérité en herbe = Donnée des Données = Fée des pRés, = va-t-en guerre alloué à une recherche sévère ! On est née la nuit passée ! on est née fée la nuit pasdsée = traversée ! la nuit = le rocher ou roc aux entrées ! On est la Fée du cimetière dépassé ! ddu passé consacré, alloué, déposé ou posé sur pierre ! alloué à une sorte de donnée rupastre ! Le PAssé déposé piour faire son petit effet de "vie sur terre" njaturelle,élancée, vive et tracée, chargée d'herbe, collabée ! On est née Fée squr Herbe à la retombée la Mort passée, c''st-à-dire avérée , actée, entérinée ! On est Fée des prés la Mort passée, commùe qui dirait "libérée" ! ON est Fée du Pré aux Herbes-Verbe chahutées par des danses celtses et autres transes de Saba ! On entre ! on est entrées ! on est là ! on chante ! on veut toucher-cerner-piger-comprendre-saluer-toucher la bande (ici bas = pré) des doonées de France ! calibrées ! sondées ! tracées ! chargées ! constamment comme aménagées comme dans la souffrance d'une sorte de tracé, d'allant passé, de cxharge frontale ! On est nées Fée ! on est la Fée née sur paroi de grotte ! chahutée mais née en vrai et du coup placée ! On veut toucher à une vérité xdes Ombre's de Pzaroi de grotte ! On   veut toucher = dire = faire =cer ner = comprendre = cerner ensembkle les données rupêstres, ce tracé des bandes, vents de face = pets ! traits des fées ça charge ! ça envoie grave ! péta rades au vent mauvais tu penses , si en vrai ça le fait grave ! comme un fait exprès ! ça le fait de face ! vérité ! vérité des vérités = chants des traits de base et autres tracées faits à main lezvée par une bonne âme , par la Charité ou Sainteté d'un hommpe-femme ! une femme trempée, femme -homme cdes prés et aiutres champs de garde ! salué ! sauvé ! chahuté mais sauvé on en redemande ! on ne veut pas passer à côté ! On nest la fée des champs de garde ! contrechants des contrzbandes ! bacchanales ! cavalcade et parades sur paroi aux Charmes ! On v eut grave se donner aux données de l'ombre et toucher ! les toucher  !cerner ! Dire et pousser ! Fermer le clapet ! ne pas sombrer mais de fait regarder ensemble ce qui est qui nous rassemble en tant que fée, ailes allouées à un corps de sape, satiété, sainteté de rage, véracité, verbe ancré à même un tracé, herbe aux données sages, vents données sur champs alloués à une sorte d'enclave seconde, pré ! p^ré aux fées ! On veut toucher ! on ne veut pas ou plus (pl;us jamais! ) passrr à côté mais tout au contraire cerner, dire et faire, caler son dire en vrai sur le faire alloué à une sorte de recherche en herbe ! un tracé de fée ! sur terre agraire ! sillonnée ! broutée ! On veut plaire ! on veut en vrai aller et toucher au V erbe des données Suùprêmes ! Charger ! tracer ! coller ! foncer ! filer ! cerner ! graver et dessiner la bête aux données"superbes" = vives de chez vives ! vie d'appui ! On veut faire effet = impressionnher en vrai, par des bhêtes de poids (masse-et -rage), l'être Des données Suprêmes = Déité Sa&crée, Herbe des Prés, Déité des D2ités ou des Divinités "naturtelles" ! ça le fait ! on diraéit qu'on aime en vrai ainsi comme êttre de fait chahutées par le Verbe aux accents "cornus " ! vie vive sur paroi de roche ! mots de grotte ! animaux ! charge ! paroles doctes ! vents de rage ! face d'hommes morts sur roc , l&aissant de fait passer à travers (?) eux la Cause ! On veut le mieux ! Dose d'époque ! Chant des ROches sur p aroi sombre ! On est deux ! deux ! on est deux sur les deux à vouloir, la roche, la toucher-pénétrer-traverser -dépasser .... DEux Ailes au débotté 

Font la Fée des PRés

Allouée au x Nénés comme en vrai

Le bébé en herbe Du vErbe

SAinteté Nacrée, Chant de l'herbe 

Bête maigre , bête grasse

On les aime en vrai comme des entités ici déiféies, déifiées de base, ou  diviniszées ça le fait ! aimées ! bêtes de poids sur pré aimées ! adorées = adulées = consacxrées = cxhargées, d('une sorte de Verbe du Pré = HERBE ! l'HERBE VERTE = VERBE ! on aime ! on veut grave aller ! sonder, toucher, creuser, traverser = aller de l'autre côté sans sourciller le moins du monde, parce qy'en  vrai voilà on est la Fée, Fée des prés, post-mortem on est, qui vgoulons tracer , voulons grave en avancer de fait dans les connaissances liées au tracé des données rupestres (chants déifiés) des rOches Calcaires ! Sainteté des sa&intetées Rupestrse ! Charges-nées sur pré sont Paroles Doctesx = Véritrés Et contrevérités disposées de base en corolle ou forme de, car mises ainsi, sur place , déliées, comme à la parade ! chahutées et chapeautées elles tracent ! vont et viennent et chargent, foncent, vitupèrent, grondent, forment (oui !!! ) Corolle Sacrée (nacrée) ?) en forme de Ronde ! Ronde dessinée ! Rotonde ! la Donnée Cerclée ! ou e,nvcerclée .... Fond de pré, sur roche profonde intra-pariétale avouée ! On est fée du PRé des Forces ! collées ! on est femmes collées ! accolées ! attirées ! sonnées ! sondées ! collabées ! prises sur le fait comme quii dirait d'une sorte de' collage monstre ! vérité sucrée = llait de roche (comme qui dirait) ! On est La fée donnée ! danger ? ça force ! ça gronde ! on dirait qu'au loin au fond ça gronde ! danger ! ça force ! on dirait au loin que les données du mondfe sont tracées qui nous espionnent , nous rapellent à l'ordre ! mèfle à ces données ! merdum attitré ! on ne veut pas en tant que fé&e céder mais en vréi continuer-persévérer dans notre "ronde" nos recherches avérées assistées, allouées, tracée's ! Cherche-corolle ! cherche-entrée ! cherche-vérité ou passage de roche par où en vrai pâsser, s'immiscsr, coller pour mieux traverser et de nouveau comme nous retrouver de l'aéutre côté à présent du pré ! des données de pré ! des herbes folles ! On veut foncer = toucher = prendre (en vrai) la tangente tracée pour une sorte d'immixion de roche ! au taquet ! sans s'arrêter ! fi des traits de Verbe , saletés, tracés morts-nés on s'en fiche pas mal puisq'on est fée qui (de fait) traçons grave sur un pré le SEntier ! on veut toucher à cette Déité Surnaturelle (?) ou naturelle( ?) surnuméraire aux données données allouées à une Vérité qui est la Vérité des Vérités ! mort donnée ! mort ou la mort, en tant que Donnée Sprême ! qu'est-ce que ça pourrait être en fait ? de l'herbe ? du lait ? herbe à lait ? herbe verte pour du lait de ferme ? Femme sondée sait ce qui est car elle est née fée dans la mort affichée ! On veut toucher de près ! l'herbe du pré ...................... des do,nnées vezrtes .................. et autres données données pour unje sorte xd'immixtion "certaine" , "avérée", "allouée en vrai" à une sorte de denrée, qui szerait ............. eh bé du lait ! en vrai ! lait d'herbe si ça se pouvait ! Le lait ici (pré) provenant de l'herbe broutée sanbs disciontinuer ! tracé de vernbe sur sentier jamais quitté ! fait vrai ! données données ! charge sur sentier comme une sqorte en soi de donnée sale mais concrète et affichée comme' à la parade des bêtes de masse ! On est Fée du Pré de Base ! Trace et Donnée de charge ! vérité afficxhée sur base prairi&ale ou autres bases aux bêtes de pré ! On est La Fée du pré des Rages ! Fée données ! chants de charge ! pesage ! pesage ! pesage ! pesage ! 

......................................................................"PEssaace" je disais (enfan,t) ! .....................................................................................................;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;.................................... pesage comme qui dirait des données de base ............................ on veut toyucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher tpucher toucher topucher toucher topucher toucher toucher touycher touycher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher touycher toucher touceetr toucher toycher touycher toucher youychef toucher toycher youcher toucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher touycxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher ouycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher touchef toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher vtoucher toucher toucher toucher toucher vtoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher vtoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycxher toucher toucher toucher sans s'arrêtrer, à pareille charge des données frontales ! charger = donner = faire = distribuer à Déité le Fruit des nos recherches vives ! On veut coller à une sorte De donnée Finale, type Rotondçté des Rotondités TErminales, Mur des RAges, Fins de Trace. oN est Fée deLa Fée des Ombres ! On Veut collerv= toucher = faire = dire= comprendre ensemblme un certain nombre vde données de base genre Vérités Coriaces, CXharges de pré, Gentes Dames SAluées cfomme en vrai, Passé de Charme, Contingent de bêtes sardes, Le Passé déposé en termes de vivats cfomme s'il en pleuvait et autrtes dépots de base ! On est la Fée du pré aux données gravées , on s'avance ! On veut coller = dire = faire = comprendre ensemblke ce qui est qui tremble(ici) cfomme un n ouveau-né chercvhant à téter ! On veut toucher ici (en vrai! ) au néné et du coup boire le lait = téter = faire ainsi "pesage" ! le néné des ombres portéesz aide au pesage d'une denrée qui est le lait ! le lait de Rage ! la donnée donnée donnée de base et ça le fait ou le ferait pour une éternité qui sait ? ON veut : 

dire et faire

ce qui est qui nous entraînerait ! nous porteraiot ! nous aiderait à comme nous envoler en tant que fée ! fée des fées de Rage ! fée surnatiurelle (?) ou naturelle (?) qui sait ? du moment qu'on est ! qu'on est fée sur herbe de pré post-mortem comme qui dirait ! On vole ! on monte ! on veut toucgher topucher topucher topucxher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher roucher à cette sorte (en soi) de Déité

 des DOnnées fébriles, V2rités acides (qzui sait ?) dont on devinerait (en tant que fée) les axes avérés, tracés de dires, charges centrées cendrées, vives qualités. On veut :

dire = faire = comprendre = donner = comprendre = cerner de fait les données de charge, ce qui est ici qui plombe grave, pèse son poids de rage et autres mots de trop ! On monte ! on est grosse des mots de l'ombre ! On veut monter haut ! aller au plus haut des données de roche ! s'élever ! nous élever ! monter au plus haut des données, vers Néné ! Néné docte ! forge ! fers acier ! chants des portes ! Vérité sondée donne un accès aux données profondes type "V2rité des portes" ! On veut coller ! toucher à cette Chjpose d'une sotre de "porte d'entrée" vers .... autre chose ! mer ancrée ! vagues d'or ! lait des fées ! or ! or ancré ! or nacré ! or sacré ! or cdes ors aux données données comme s'il en pissait ! douce données ! vives et douces données des données ou d'entre lesz données ! On v eut monter et traversert-szortir la tête et coller au V ERbe ! toujours coller ! ne pas s'arrezter ! coller grave sa tête sans céder ! pas grave la saleté ! le genre ! la vie  des données ! pas grave en vrai la saleté donnée ou lles données lâchées comme des pets ! On entre= on acte ! On fait faits ! on est / on devient Fée des prés et ça le fait en vrai ! on s'aime ! on colle ! on est ailes = elles sur pré ! Elles " au débotté formant ailes de Fée sur pré, sachant voler, monter, grimper, cher c her à s'immiscer et du cvoup sortir la tête ! Qui sait ? qui connaôit le Verbe de l'ÊTRE  ? qui saura nous éduquer,nous donner le trait, les données de trait, la Vache à lait sur herbe et autres grossièretés salutaires ? On aime ! on veut ! on charge ! on est de'ux sur nos bases ! deux ..../................................................................. dfeux de rage ....................................../........................................... deux sur deux ............................................................................................... deux êytres de base sur pré des Rages ......................................................................... cdeux femmes  sur deux .............. collées, accolées, soudées, coriaces, genrées en tant qi'on devient Fée de base, trait d'éternité sur pré aux anges-vaches à lait !  .............. accolées-souydées ......./............ ailes nacrées ............................... ailes de vache sacrée .....................................................eMLLES  ! ELLES sur pré ! .................................................ELLES= AILES sur un pré d'herbe-verbe ! On veut tyoucher à ce sommet des cfontrebandes et autres vilennies suprêmes ! charger = toucher = dire = donner = comprtendre = concéder sur herbe les données frontales = vilosités , poils de barbe,peau de balle, saleté consacrées sur paroi des rages en grotte sauvage ! sainteté des saintetées comme à la par ade ! va-nu-pieds sur herbes mouillées  ! sondage ! attreappage sur paroi cendrée ! on est passées comme par contreebande le mot l^aché, on est nées sur pré Fée, une Fée, Une sorte de Fée sans barbe, donnée, vive et élancée, une Beauté on dirait ! on aime les fées ! ion est fée nous -mêmes : s'aime-t-on ? Peut -être ! On est Fée d'herbe ! on est la F2e de L'herbe moui;llée ! on veut tracer, charger, comprendre, sillonner le chzmp des données de base ! pousser ! aller ! cghercher ensemble ce qaui est qui sezra&it e"n vrai le tracé idoine (pour comprendre)-cerner) sur herbe de pré ! Qui on est ? La Fée ! on dira : la Fée ! Fée du pré cendrée ! chant de RAge sur paroi gravée ça charge ! on trace ! on veut coller à un tracé de base qui serait un tracé-sentier, sorte de promenade-allée vers une Sommité dont le nom de fait sezrait "Déité", "GEnte Dame", "v2rité en vrai" = collage ! sondage, sens des réalités sur paroi finale ! mortalité ! mort allouée à un passage ancré sur paroi du pré ! On charge -chante ! on chante-charge sans arrêt ! le tout est de tracer sur bande une sorte de treacé de bgase pouvant creuser, comme à la parade, une sorte de sentier donné, trait de cxharge, sens de marche, somme allouée à une sorte de chemin dees vaches ! commodités ! On en avance ! on est la Fée aux Vaches SAcrées ! fée des fées et ça le fait ................................. grave ! ................... grave et gravéedx ! ................... grave ça le fait de base ! ............ on veut comprendre ensrembkle ce qui est qui se cprésente à nous en tant qu'on est à présent accolées-soudées pour former (autour d'un mot de verbe) Fée de Pré surmenée ! On trace ! On en avance sur la place ! On veut toucher toucher t§ouycher touycher tyopucher toucher tyoycxhefr toucxher toucherf toucher à comme qui dirait cette sorte dee romance ancrée, ttracée, allouée de fait sur sentier de v 

ache ! vache à lait acidulé (le lait) comme surmenée ! ça trace ! C'est ancré ! ça charge ! cça donne son lait (petit) de contrebande sur le pré ! néné ! néné à lait ! le néné né des nénées nés ! On cherche ensembke (ailées) le néné à lait ! Ailées pour du lait à (de fait) teter de rage ! On aime le lait ! on veut cerner-comprendre-toucher ! aller et venir, faire-dire, sobnder, comprendre = pistonner = pister = charger = allouer à un pré une sorte de vache ou de mot-vache (vache à lait) qui saurait (grave) nous aiguiller, donner à co^mptendre, soulager, éduquer en vrai , nous donner du lait pour mieux de fait cer ner la vérité de , comme qui dirait , la donnée des données ! vérité des vérités coriavces ! M%ont donné ! mont des monts ! rotondoité ! déité rotonde ! rond des ronds ! ronds d'olmes ! On monte ! On veut ! gravfe on veut ! grave on veut toucher-comprendre les données des monts ! ronds de charme ! mo nts des monts ! grave de chez grave ! On naît ! on est naît de rage sur un mont donnjé ! don des fées ! Vie allouée à unpré aux données données ! Charge frontale sur paroi des bases ! On est entrées ! on a passé la charge, le tracé dessiné, passage des passages ancrés, nous voici F2e ! Fée des Fées de contrebande ! une Fée sur pied ! fonce et trace ! va et vient ! chante et danse ! se pavane ! lévite grave ! fée du pré , qui en vrai lévite et du coup monte , va et vient en cette sorte de rotonde ! Va vite !  file ! fonce ! chercghe ! va et vite, à la r echerche il semblerait x'un trou de roche ! Sonde ! colle ! veut colloer ! veut sonder ! veut cfomprendre ! veut donner !  eut dire ! veut aller ! veut donner de son alacrité ! veut charger le dire des données données ! pousser ! virer ! virer et sonder , toucher ! touxcher au néné ! aéu néné à lait ! On est la fée donnée, fée du pré donné on dirait au néné ! on veut aller-coller, donner-sentir, filer-allouer (à du dire) un,e qsorte de vérité scotchée ! creuser ......................................................................... creuser ..................................................................................... creuser ........................................./.............. creuser /...................................... creusrr ..................................... grave creuser ................................../..........................................  creuser grave et sonder ................................................................................ toucher  ................................................. toucher au néné dit "de la Vérité en herbge et autres denrées " ........................... "denrées-vérités"de type "herbe des prés" , lait des fé&esz, vaches ancrées sur pièces montées , vraies  données genrées et autres gentes vérifiées ! on aime ! on aime les fées ! on aime l'herbe ! le sentier aux fées et autres vaches agraires ! on est Fée des Prés données ! on aime l'herbe ! on aime le lait ! le tracé vers le cimetière nous mène ou mènerait à l'herbve, aux données lactées post-mortem et autres denrées-vérités ! Faits vrais ! chants des F2es ! chants sacrés ! On veut grave chanter ! creuser ! toucher ! a

ller et dire ce quiest ici qui nouqss attire sans céder, nous pousse à creuser, toucxgher, sonder(, dire sans arrêt, foncxer sur rive, écrire les données ,du Verbe chargé (bêtes-mots soupesées et autres mots de trop genre grossièretés ! saletés ! monsztruosqités ! vives traites de pis sondé !). On est Beêtes de tra&it ! Charges romaines ! dons de lait szur bière ! Acidité !On a grave ensemble ici, envie de creuser la Vérité des Vérirés rupestrszs. Ce qui est qui est. Ce qu'on subodorerait de base sans céder, sans prendre la tangente mais en vrai, de rage et de face, coeur vaillant, sans se voiler la face : fée des prés allant sonder de rage les données frontales d'une sorte de cloiszon finale ! On est fée tracée ! On veut cfomprendsre  = aller =dire = cerner = ^poussser ensemble le soc de la Rage, soc de t§rait ! Romance et cxharrue sur Herbe du cru ! On avance ! on cghante ensemble ! on est cul nu , velue, montée à cru ! On vole nue ! on veut touxcher la roche profonde "haute" ! On nE veut pas laisser passer la roche mais tracer ! creuser ............................................................................................. creuser comme en force ! .............................................................................................. toucher /................................................................;;;;;.................. dire et donner ....././ coller et tendre ........... pisser et chier sur l'herbe des prés .................//................. cdomprendre = donner ............................................... = cernervc, ........................ allouer à de l'herbe verte une sorte de Verbe cendré , on dirait, genre : mots des rêves ! qui sa&it ? ......................... qui en vrai sait ce qi'uil en est de tout ce cortègfe de bêtes de somme et autres bêtes de p)aroisurnuméraires ! ? qui ? on ne sait ! on cherche ! on ne cesse de chercher danjs l'herbve ! on est nées Fée post-cimetière , des données du verbe ! On veut :

toucher toucher yopucher toucher touycher toucher toucher toucher touchert à une Sommité ! Aurochs ! AUROCHQUE ! AUROQUE CENDRÉE ! AUROQUE DES PRÉS ! BUFFLE COMBLÉ  ! BUFFLE AU TAQUET ! CHYARGE DOCTE FOLLE ! TRAITS GROSSIERS ! MOTS DRÔLES ! TONNEAUX ! GROS MOTS ! CHARGES DE FORCE GENRE LE PASSÉ ! LE PASSÉ POSÉ ! LE PASSÉ DÉPOSÉ SUR ROCHE AUX NÉNÉS ! AURQOQUES DES PRÉS ! ANIMAUX DE TRAIT ! GROS ! GROS MOTS DE TROP ! GROS ET GRAS MOTS D'HOMME ! MOTS DES HOMMES -FEMMES DÉPLACÉE,ES ! HOMMES DES GROS MOTS SUR ROCHE DES MOTS! FEMMES AU LAMPARO ! homme mort laiisse sa peau d'ailes ! On veut en vraéi ensemble, toucher la Romance , La mort d'ange, La Vive Allouée Ancrée Sacrée Saluée R5omance du Trot ! Tayaut ! on monte ! on gravit ! on est ailées ! Fée ailée sur pré on monte tout en haut d'une sorte de boyau de grotte ! chenal animal ! cheminée des mots comme gravés sur roche, au couteau ! On veut aller ! dire et toucher ! sonder ! creuser = donner = faire = choisir = donner , sur pré, une sorte de donnée de Rage à la gente animale, ici débonnaire, mùortelle (?) ou sinon mortelle charnelle , et qui dit charnelle dirait , qui sait ? mortelle ? on ne sait en vrai ! on cherche-sonde ! on se pelotonne pour former Ronde ! sainteté ! Sainteté allouée à une sorte dee... "seinité" ! On ailme ! cercle de fait ! On veut toucher au Verbe SAcré ! hverbe d'herbe il sembvlerait ! On a méga-envie de creuser dans la terre et l'herbe un trou de Domaine ! creuset ! tombe du pré ! maéusolée des mausolée ! TTombe sacré ! champ alloué à une vérité  ! On est nées Fée la Mort VEnue comme un cxhant Chargé ! On veut coller = dire = faire = donner = comprendre = cer ner = doter ! On est nées Fée au passage alloué à une sorte de trépâs de fée" ! Chiche ! chichement nées ! on s'en fiche ! on est passées ! morte et enterrées on a traverseé ou comme traversé les données de l'herbe pour (mieux) nous retrouver bde l'autre côté, côté Verbe ! côté coté ! côté verbe coté ! On est la fée du cimetière passé ! On est la Fée du cimetioère en vrai p assé ou comme cdépassé , soit fée post-mortem ça le fait ! On av&it envie ensemble grave de passer comme par contrebande ce premier muret qui donc est le muret des données dessinées (bêtes de bo,n poids bon oeil gravées à main levée) et du coup, à présent, on se prend à penser qu'on est de"vebnues "autres" soit "bêtes-mots de roche" ou fée attreappée, ou fée des prés, f ée volante, on a changé ! on a grave en vrai changé au passage ! on était cet homme aux données de genre, pas vr'aiment fini, un peu beaucoup nigaud, bête comme chou, nous voilà AILÉe ! fée du pré ailée , qui volons, allons, foulons l'herbe, décoloons, montons, traçons, cxhargeons ensemble "à la une à la d eux" vers p areille sortie (diurne) de roche , genre griffure, paassage menu, éraflure de roche de rage, embrasure, passage de charge, porte d'ombre, tracé docte, vent, air, souffle à travers la roche, par un interstice de poche ! On veut t§oucher de fait à une sorte de passage vif, tréit des traits en cette sorte de cloison, des fins de pré, finalité, fond de culotte ! Qui on est ? peut-etre en effet une fée dedx Fées, fée docte qui en vrai radote mais gronde, pousse, va, creuse ................................................................................................................................. creuse que tu creuserasxs .................. = va ! file ! ourle ! ourdit ! fonce ! pisse ! trotte ! vole ! fond ! cherche ! coince ! trouble ! veut ! colle ! colle à la paroi de roche, la dernière ! rotonde ! cercle ! enclave des vdonnées prairiales on s'y croirait ! On vgeut tracer et de nouveau (cette fois-ci en tant que fée) traverser la roche, l'ultime rocher des données données, et nous retrouver (de force ou deegré) de l'autre côté, côté coté : côté ombre ? qui sait ? ou bien côté soleil, clarté, vent frais, mer des bases, vagues dorées, chants sardes, données des données, vaguelettes dorées accompagnées de Verbe, CHant Sacré (on dirait) type "Museztte" ?(?) peut-être ......../.......................................... on cherche ..................................................................... on est pas arrivées ! On veut toucher ! toucher l'herbe ! le pré ! l'herbe verte ! l'herbe verte d'un pré aux bêtes surnuméraires et autres bêtes agraires sachant brouter ! vaches et veaux à lait (veaux à l ait ?) du tonneau ! Lait d'herbe ! petits veaux des mots ! On veut creuser l a terre des données suprêrmes ! collaber le verbe et comê l"'enfiler ou l'enfourner ainsi serré dans une sorte de fourreau ou de fourreau d'herbe ! cxhalumeau ! feu des elfes ! On veut tracer le mot de l'herbe ! se pointer fuseau ! coller ! dire et prendre ! charger ! aller ensemble et faire ainsi acte de présence dans (en ) la mort dite "du tonneau ou fût des vins nouveaux ". Ivresse ! largesse ! sagesse ! On est comme cernées en tant que Fée naissante sur preé ! on se doit d'apprendre ! comprendre lesz données de base, mots de genre et autres idiomes soupesés comme par la bande des données tracées (charges frontlales, bêtes de trait, béliers). On aime la charge ! on veut toucher ! on veut aller cerner coller ! troubler le genre et donner nos cendres ! quitter l'habit (ici) de bure mausszade et rezvêtir les ailes de la Fée des Rages, F2e des fées ! On veut :

aller .......... dire ............ creuser ............... chercher içci et là (en roche) le dire de la Vé(ité vraie, s'il en est = le TRacé des Ombres (?) ? qui sait ? Qui connéaît de près la roche assez ? Qui sait ce qui est qui est qui nous regarde ou nous regarderaiot en face sans s'arrêter ? On ne sait ! on est nées ensemble au passage accolées pour fgormer ........../............ FÉE ..................... FÉE DES FÉES .......././............. UNE SORTE DE

FÉE DES FÉES ..................................... CXHARMANTE, DÉVOUÉE, COLLÉE AUX BRANCHES, SURMENÉE MAIS ÇA LE FAIT QUAND ON CHERCHE R(OMANCE ET AUTRES CHANTS ACIDULÉES LIÉS À UNE SORTE EN VRAI DE DÉITÉ SACRÉE .............   ............/././././/.................. on dirait ... LA mort ? ou sinon la mort la quoi ? vie de trépas ? chant du cygne de la voie dans ... l'au-delà ? On grave sur paroi la bête grosse, grasse, faisant foi = foie ! on acte ! on veut cfomprendre ! toucher-cerner les données de base ! On est là (là-bas) pour ça : nottre chance ! tracer ! dire et poster ! coller aux nénés pour téter ! vas-y charger ! vas donc tracer ! chanter ! danser ! entrer dans la danse en transe : une vérité ! ou même la vérité vraie ! en transe vers Néné  ! ça le ferait en vrai ! une chance = un chant = une soerte de chasse aux tourments , aux méchancetés ! On veut toucxgher à ce qi est qui se cprésente devanjt nous en termes de néné donné à téter ! on veut coller = s'y coller ! = jouer  ! donner = filer = faire =prier = comprendre = sentir et creuser le verbe ! On aime = on veut ! On est femmes par le' milieu tu penses ! on est mieux en femmes dans la mort actée qu'en homme des dieux ! la b arbe ! coupées des cendres, on trace le mieux ! on ezn avance ! on veut mieux ! coupées grave! tracer le sentier come en contreabande ainsi ailées comme par le milieu ! Chargées ! on entre ! on veut :

traverser, toucxher la bande, filer, tracer fissa sur herbe des champs vers là-bas .................. l'antre ................ l'antre des antres ....................................... la Voie des ch armes ............................ l'onctuosité charmante ........................................ les données données comme par la bande et autres sentiments de b ase genre beauté, sainteeté, salubrité, santé ! On est entrées ! on veut poursuivre sur notre lancée... courir sans traîner ...... nous envoler ...... filer à vive allure = treacer = dessiner de chic le VErbe Sondé, les traéits et autres ronds de bossee ............... nénés .......................... on dirait des nénésc ............. ronds de bossee égaleraient nénés, qui sait ? .......././................................. NÉNÉS DES NÉNÉS ET AUTRES VÉERITÉS DE ROCHE AVANT PASSAGE EN FORCE DES DONNÉES DERNIÈRES TYPE "LE DERRIÈRE" ! On guette !

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25/10/2024

on est deux et on regarde ce qui est qui nous advient. On veut cerner-toucher  cette sorte de donnée frontale : la paroi. On est deux ensemble = accouplées, serrées, tenues, soudées comme deux bras à une charge. On veut toucher à cette sorte de donnée de type "RAGE  et tralala". La chance ! la chance qu'on a ! on en avance = fonce , trace, va, file,cherche à cerner -saisir ce qui devant soi se trame ! on ! On est là pour cette chose "pariétale" : un savoir de base (RAGE) et tout un 

tralala de passage ! On envoie depûis là (la tracve) ce qu'(on porte en soi en termes de rage , dc e colère "sarde" ! ça envoie ! ça trace ! ça dépote grave ! On est (qui sait ?) ensemble ici -bas (?) pour comprendre , ce qui donc se trame en cette paroi  en termes de charge, montage, attelage et autres trains de gare ! ça en,voie c'est ça ! ça ne regartde pas à la dépense ! çafopnce en tas ! ça trace ! ça y va ensemble en troupeau de charge ! On est là comme accolées de base pour du coup chercher à  comptendre ensemble l'attelage, bêtes de poids traçant sur page une sorte de sillon de voix (voie) qui est voix d'un chhamp de râle ! on y croit ! chargeons )-gfonçons ! essayop ns ensemble de toucgher du bois et de cerner ensemble les données frontalrs, les tracer comme à bout de bras = dessiner (de chic) les bêtes coriaces et autres pics de glace ! On avance = on trace = on va = on veut toucgher à une sorte en soi de Vérité de base comme on les voit peut-être sur paroi en face on pourraiot croire . On est née fées commpe à la ramasse ça le fait ! On veut tracverser et du coup t§oucher à ici ce pré ou même (on dira) aux traits, d'une sorte de 

paroi praioriale. On avance= o,n trace = on entre ! on entre en cette sorte de donnée de face, traits des traits sur pré, charge-trame qui , en vrai, semblerait (ici) comme nous regarder  autant qu'on est (c'est )à-àdire)2, p as davantagge , nous auusi un attelage : qui dit mieux ?). ON trace = on charge sur roche de base une sorte de sillon aqueux ! chant des saturnales ! voeu pieu ! on est là ensemble accolées -serrées pour entrer de rage en un pré, pré de base, qui est pré des féers et aiutres bnêtes à ramages (on dirait). On va dans la RaGe (pour ainsi dire ici) endsembke ! on est nées fée au passage, !ça le fait ! On est nées en tant sque Fée au moment du passage (de fait) des données ! On voulait ? on l'est ! on est né"es fées autant qu'on est = deux Femmes allouées pour une Fée frontale ! On est comme soudées à une sorte de paroi de rage co:mme sacrée ouconsacrée, et du coup nous voilà qui sommes passées (ensemble) "à toi à moi" au pas de charge, en cette sorte de paroi dite "de contrebande" telle

 qu'on la voit ou peut la voir devant soi comme à la parade = tralalas frontaux des données de rage et auttres rtraéits fondamentaux de type '"sarde" = sage, un semblant d'animaux , de bêtes au trot, gentes

 dames et damoiseaux à tous les étages et autress animaux de s marges. on entre ensembvkle ! fi ! allons ! filons ! chargreons du tonneau ! coulons ! serrons ! allons  cdroit de fait sur roche à l'abordah-ge ici de l'attelage ! une parade est mise en pli ! une sorte de parade et ça le fait ici ! charade ! cri d'effroi ! on regarde ! on voit la roche de paroi sur place, le treacé des rages, un donné pour un rendu et, au loin , une vive clarté qui semblerait nous appeler, nous héler, nous donner le change et nous inviter à comme qui dirait nbouys rapprocher (pas à pas) de son être alloué à une sorte de muret étrange ("strange") de fin de pré. On regarde ! On veut toucher à cette chose étrange ("strange") . On a envie de s'avancer, de toucher à cette "cl arté", à ce murtett de fin de pré qui pour le coup serait ce mur dit "des finalités", type cercle des fées ! On s'avance à pas chassé. On entre dans la danse pour nous rapprocher de ce muret des (dites) "filnalités", soit des données données (en tra&nse) et autres données données par chance à une sorte de pré alloué à un espace de "données de rage" et autres bêtes ici tracées à mainb levée. On est passée, en tant qu'on était deux femmes chargées, données, mises sur pied , qui donc on t tracversé , et se sont comme retyrouvées cul posé sur pré de l'auttre côté, cvôté Chance, pré olé olé, champ de rage, une sorte de pré des prés qui est (serait) champ des ordres. On est accoléesz (femmes) pour former la fée (= l'atelage doré) allant-venant -volant sur place vers Muret, MUret = ce muret ! des f-ins de balade, en rotondité. Muret dit "muret des charges". On veut le toucher = l'attrapper = le baiser = l'épouser ! Epouser le muret, voilà le programme des fées ! On voudrait de badse épouser le muret ! le tenir non plus à distance ou à bonne distance mais (au contreaire) le serrer, le prte,ndre, le cerner, le toucher au plus près, l'embradsssert , le coller comme qui diraéit à nos ailes de fée = l'épouser fro ntal ! le piquer ! le prendre à jamais ! le faire se coller à nos ailes de fée et ça le fezrait ! On veut épouser, ici (muret), la Charge ! Le muret = charge d'ange ! on v  eut de fait aller et ne plus en vrai jamais nous a rreêter jnusqu'à temps qu'on soit comme accolées à une charge de muret de base ! On est nées fée dans la mort avérée, pour de fait cerner = comprendfre , iun certain nombre de do nnées de base, tracé, charge, données, passages, Dulcinée à jamais gravée sur un bout de roche sa le . On est née  Fée au passage et onj veut (on dirait) épouser la Charge ! l'arrttrribut acté des envies de pré et autres champs de betteraves ! oN est La Fée post-données tracées, qui cherche à toucher les finalités ou dites "fi nalités" placées sur mueret, allouées, données, qui nous regardent ou nous regarderaient en face, à la tr avezrsée. qui on est ? femmes, ensemble devenues ... la Fée des Passages ! On est passées et nous voilà allant, vers un muret des charges, comprendre = toucher, et du coup ... épouser ? c'est vrai ? ces ditesv "charges" allouées ici à un muret "des r ages vfrontales terminales" ? est)-ce ça qui est qui nous regarde ou sembvletrzait nous regarder autant qu'on erst (= deux) pour former le fée, Fée des Dieux = des aveux de rage  : est-ce  ? on entre ! on charge contre charge ! on veut toucher à ce muret dit "des données coriaces et autres traits de vérité". On est la Fée comme qui dirait des données mârtiales, entrée, posée, volant sa,ns frais de ses &iles nacrées vers cet enderoit ici présenté dont le nom est "MUREt" des données  de bière. On veut = on va ! on est la fée qui va comme chercher ou pour chercher et de ce fait cherche à jamais par où passer, s'immiscezr, se glissr pour passer soit traverser (encore une fois) la paroi des Rois , Reines du Ça , ça y va ! elle (le Fée) est là (dans la mort) pouyr ça : tracer, tracer, teacer encore une fois ! aller ! filer ! chercher ! coller à la paroio des voix et aiutres cris de joie ! On (LA fée) veut , de fait, toucgher ! à (donc)  cette clarté de fond cde pré, ce qu'elle est. Et qu'est-elle en vrai ? .... eh béb .... on dçrait que oui, elle serait une sorte ici (à nouveau) de cimetière mâis d'un auttre nivceau , ! Cimetière (on dira) des cimetières ! de là : de la voie ! On est née Fée sur pré , nous voilà accolée à une sorte de paroi finale , p) ar(oi des voix, des clartés frontales, tralala et chinchilla de face ! on envoie ! on veut toucgher en tant que fée la Chose des Charges, ce teacé aux traits dits "de Rage" et ça le fait ou le ferait .! mais quoi ? on serait Fée des fées tracéesz ? sur paroi finale ? scotchées ! accolées et le pasdsage est fée , oups : fait ? On ne sa it ! on essair ensemble, accolées, de cerner les données les plus affirmées ou affiliées à une sorte ici de pré de contrezbande , derrière un fourré, derrière une rocghe, derrière un rocher , une roche ou un roc dit "des fées" car il contient en vrai les fées du Royaum ! On est entrées en tant que femmes (homme mort) et une fois entrées on a formé le Fée ou Fée des prés de ce Royaume de la M%ort actée ou avéreée . On est passées dès lrs "de l'autre côté", côté pré. On a couru et bu ! vu (cul nu) et lu, sur roche, les données princières ! On veut toucher à cette bière aux données allouées à une sorte en soi de traversée, ici, de paroi, paroi sarde, finale ou sinon finale fatale , ou sinon fatale ... quoi ? Fractale ?, 

On avance ! on vole (on volette) ! on va ! On est là ensemble sur paroi qui cherchobns la faille, l'(entaille, la fissure dune sorte de roche "amable". oN veut comprendre = dire = faire= cerner = toucher à une sorte de donnée de base qui serait donnée des données frontales à tout jamais et ça le ferait. On est qui ? ehbé on est la Fée qui est passdée et qui maintenant, en ce pré aux bêtes, aux bêtes de poids (big bisous des bisons tracés) cherche à se rapprocher des données finales, fond de pré-cercle de la joi tracée, se p^lacer au pluys près des données, Frontales, finalesz. akller ! Filer ! Comprendre = toucher. Toucxher = comp^rendre. Il nous faut (comme qui dirait) toucher pour coimprendre, c'erst un faiot ! le reste est sans importance ;, mais TOUCHER, topucher ! toucher , toucher , toucher ! ne plus s'arrêter ! de toucher de rage, les données frontrales sur par(oi sa le ! On veut = on espère ! On veut toucher à cette sorte de paroi de Finisterére ... c'est ça ! finistère des Rois et Reines des Lois ! On voit ce qu'on voit, et ce qu'on voit est ce convoois des prés appelées attelage ! boeufs des voix ! betes à soi ! charge des Rois ! on veut graver-gravir, aller et venir, comprendre = a dvenir, touchger et coller, dire et donner ! On est nées fée de base al:louée à un pré des chargesz genre fatales ! et on veut (de faiot) se porter ici même (pré) jusqu'au bout du bout, à la recherche des données finales, genre "traversée des champs de raves (betterezvaves)" et ça le fait grave ou ça le ferait grave si tant est ! On est née fée au passage gravé, on a ensemble traversé le roc dit "dces prés" et on s'est retrouvée ou comme retrouvée accolée à une sorte de donné des prés (herbe au t aquet) à brouter, et là, sur pré à brouter, on a co=mpris vite fait que la vérité ou dite vérité selogeait en ce muret des contrebandes ! muret des murtets aux données de basde, là, tout p^rès, autour d'un pré, cercle-muret c''st vrai ! on voit noptre cha,nce ! on va vcers ce muret ! on avance ! on est accolées : ailes de fée = attelage cendré, cendré et doré ! On trace ! on est en vrai tout près de coller au muret, de donner de son chyarme et de ses attraits ! On veyut =

 COLLER COLLER COLLER S'ACCOLER, ETRE PROCHE D'ÉPOUSER OU MÊME ÉPOUSER LE MURET, LE MURET DES FINS DE ROCHE !`$ 

on est née "La Fée des  prés"  allouée à une contrée  "liumiotrophe" ! , limitrophe à la vie de grotte (de l'autte côté = en amont) et nous voiulà Fée ou Fée des prés, qui allons, volons, cherchons grave sans arrêtt, à pour le coup nous reaazpprocher de ce muret, aéux données (frontales) déployées qui semblent (ces données) nous appeler ou nous intermpeller ou nous héler pour que, oui, allez ! allons ! allons nous glisser donc ! allons donc pour de bon nous glisser = épiouser = prendre à bvras le corps, ledit Muret des fins de roche ou fin de pré "limitrophe". On est accolées pour mieux nous accoler ! Onn est Fé&e des prés (= femmes accolées) pour aller coller (qui sa&it ?) au bord du bord fdu pré, appelé (ce bord) Muret ! mais est-ce vrai ? est-ce "muret" le nom du bord ? est-ce ce nom alloué de "MUret" , quyi est en vrai le nom de ce  bord, bord de pré = abord = rebord = finalités comme à l'arraché, fin des fins de vie dans la mort allouéev à une prairie ou sinon à quoi d'auttre qui seraéiot en viie , ici, située placée, qui nous regarderaiot aller et voler en tant que fée ou fée de ce lmogis : quoi oou qui ? On a envie ensembvle grave de comprendre ici même (pré ou prairie) ce qui se trame en termes d'attrdibuts données à une sorte de Sa&lubrité, de Sa&inteté , de Sagesse intra-pariéto-finale ! On veut toucher, en vrai ! Toucher en vrai à cette sorte de façade ! qu'est)-^ce que c'est ? Qu'est-ce qu'o,n peut (ensemble, formant Fée) comprendre, comprendre pour de vrai , à ce muret de contrebande ou dit "de contrebande" ? On est née Fée au passage (de vie à trépas) nous voilà frontale , fée des fées sur pré, cherchant À NOUVCEAU !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! passage à travers ici ladite paroi (tour de garde, cercle a nal, chas des chances ! ) de'une sorte de Muraille ! on veut grave comprendre, ici bgas (lke pré !) la chance q<u'on a , de pouvoiur ENSEMBle (fée des Roix et REines, de Charme et d'effroi) comprendre = tracer = nous poster ou nous avancer vers ce muret dit "des finaliot"és" ou "des finalmités tracées " ou même "des finalités agraires " ! On est née La Fée post-^cimetière voulant entrer (plus avant) en cette chaumière, en cet auvent (ou sous) et comprendre = voir, voir comme par en dessous, ou à travers, l'autre côté, des données finales, du muret,,, soit : la Véroté à jamais, sur ce fait des faits, alloué à une Donnée, dont le Nom est "MORT À jjamAIS " on dirait ! Allons regarder ! volons ! chargeons ! filons ! traçons ! ne nous arrêtons plus de charger-pister, de cherchert à passerr ou comme passer le bout du nez et

regardons ce qsui en v  rai est de l'auttre côrté de la cloison  : une sorte de vraie 

une sorte de vraie chahut 

une sorte comme qui dirait de chahut ? de chahut à cru ? de chahut de fées ? On est née Fée (la mort venue) cul nu ! on cherche à pour le coup aller plus loin en ce dit "pré des fées", et à co=mprtendre les données lointaines = les finalités de l'herbe , la cloison doré, le cxhant de la roche et autres types de données sonores allouées à une sorte de cloison cernant le pré dans lequel on est . On veut de fait colkler notre nez , nos ailes, notre cvorps en entier, à cette sorte de vitre sondée ! à ce glaçon ! On veut ! On veut grave se coller et voir, voir pour en vcrai (et enfin) comprendre (grave) ce qui est, ce qui advient qauand (de fait) on va plus loin, on ressort ! on ressort du pré ! mais pêut-on et oùu va-t-on ? revie,nt-on à la case dé&part = groote-farce ? revient-on aux données (frontales) d'expérience , chants des Charges ! aurochs ! bouqiuetins centrés ! chevaux des prés , chevales et bisonnes, buffles a ccoléds et bufflettesz au tracé ! est-ce ? est-ce cette chose en vrai, qui wserait, une fois accolée (en tant que fée) à la cloison dernière  ? est-ce que en vrai une fois passée, on revient ou on reviendrait en arrioère ? est)-ce que c'est en vra&i cette chose à la fin qui seraiot qui nous attendraiot ? IOn veut toucher à une vérité en vra i ! On veut toucxgher en vrai à une vérité = la cerner = l'embrassrf ! On a méga-encvie en vrai de toucxher oà une vérité qui serait vra&ie, ou vérité des vérités ! On ne veut pas passer à côté ! on veut tracer ! filer ! cerner ! coller ! chargerr ! sentir ! prendre ! sa&isir ! se donner peut-etre ou qui saiot à une sorte de donnée (frontale) fin ale ... aux nénés ! !!!!!!!! mais qui ? qui ou quoi ou qauand ? quand est-ce-que ? quand en vrai aller ? quand et pourquoi et quoi ? quoi faire ? On erst La Fée post-cimetière, en trée dans un pré, on cherche à tracer et, du coup, nous approcher de la cloison dite "des finaliotés" . ON veut à nouveau (À NOOUVEAU !!I!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!) traverser la roche = revenir ! retour ! retour en grâce ! chargement ! treacé de rage ! re-à l'envoyeuse comme qui dirait ou quoi ou qu'est-ce ? ON veut en vrai toucher toucher la Roche et Traverser, comme à l'accoutumée (?) les données de base ici déplissées ! Et du coup treaverserr = re, = re re  = re re re = en vrai ? RE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! re re re re re re re re !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! re je veux ! re on revient en arrière on dirait ! ou commênt ? comment on fait ? on a de fait ce Sas aux fées = pré aux herbes, Bêtes de poids Agraires, Araire, Silloon, la Foi en ce vallon, ROTONDIT2É DES DOnNNÉES DE BASE DANS LA MORT FATALE, et piuis après .... après la dite "Mort Fatale", on a ou on auraiot ... eh bé on ne sait  ! ce re des chambrées ! ce Re RE RE RE RE Re RE RE RE RE RE rE RE RE , aus donn,ées de RAge ! re du meuh ! du meuh de la Vache ! On est deux (deux femmes) passées, pour comprtendre (transformées en Fée) ce quyi est qui nous regarde = nous concerne = nous cerne = nous enserre ou encercle = embrasse à qui mieux mieux le pré passé ! On veut toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher topucher à une vér'ité "du feu de Dieu", à jamais et grave ! grave on veut ! car : 

On est gvrave ! onj est Fée grave sachahnt tracer , sur pré, chemin de charge, poids donné, charge martiale, calibrée, antrale ou astrtrale, chant des F2ées des Grâces et autres Graciosités de Face ! On est née La Fé des Prés (LA MOrt) au pâssage mais voilà... le chemin de base n'est pas terminé ! on doit en,core en vrai traverserr la Face, ou Roche des Prés, Façade , LMuret ! on veu tracer ! on veut y aller ! On nje veut pas se laisser démonter par une sorte de cxdonnée, genre vent cde face, trait des Rés, Pets ! non ! mais toucher ! Toucher à D2ité des Prés,  la Finalité, de l'(autre côté, ce côté" des Fosses , des Fossées ! qui on est ? On est la Fée ici comme à la tracversée (du pré soit du Royaume de la Mort actée) et du coup ion peut tracer,, voler = voleter, aéller, chercher, courir, cerner, filer, et nous ap^procher (en vrai) de la Roche Finale, Tracé frais, Froid des Ruses ! regarder ! regarfder au p^lus près ! ce qu'on peut discerner et du coup relater ! On veut toucher des yeux la Chose (montrée ?) aux curieux / curieuses  des Feux ! On veut :

Aller ! PErcer ! Ficeler ! Gravir ! Chercvher à se tapir en cette Roche (des CFinalmitées) aux Feux Donnés ! Feux des feux ! qui on est ? F2e ! La Fée ! On est en vrai la Fée des Fées aux Données de RAge ! On veut Coller = toucher = dire = cerner = compre,ndre = chercher à pour le coup ensemble (ailes) nous ccoller (ici) "à ses genoux " ! téter ! tête folle cachée ! téter ! téter la Roche, le Trou ! téter grave les données fvrontales des Finalmités astrea&les ! on veut (grave) téter sans nous arrêter ! fée ! fée ! fée ! fée des fées ! .................................................................................................. ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ./.... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... .../.. ..... ..... on est en vréi la Fée vdes Fée la vie passée ou la paroi passée ou la roche passée, fée des prés ! on est ! et, du coup, ainsi logée , e,n ce pré chelou , on voudrait se rapprocher de fait du bord des Données Allouées à une ROche de Rotonde, Cercle aux F2es, Roche Ronde, CAvité creusée ! On a grave eznvie en tant que Fée pâssée de l'auttre co^té , soit "en cavité", de se rapprocher du coup de ce muret dit "des genoux ou

ù donc se loger pour aller ... teét§er ? On diraiot ! les nénés ? On retyrouverait ? on se retrouveraiot B2B2 ? On seraiot de fait à nouveau B2B2 ! LE B2bé des F2éES ? ON cherche à cerner-piger ce que c'est que cette chose ici tracée, qui seraéit La chose ! LE tRacé d'époque ! FiN des Fins des pauses ! Onv  eut toucxher toucher touycher toucher toucher toucher à  ette sorte de donnée des Pauses, ou dite "des Pausesw" sur pré ! On essaie de cer ner ! On est Fée des Roches = ... Roche ? On ne sait ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher à cette sorte de Né né du bout du monde ! les nénés ! le ou les néné(s) du bout du Monde ! de la ROche-RONDe ! FINAlité ! la FInalité des données d'époque ! ro n de = roche = rondeau ! On est comme allouée Fée (en tant que GFée) sur tombe ou tombeau ! On veut creuser ! rouleau ! charogne ! le voeu et la Chose ! L'envoyée en roche pour toucher ! ON est fée des PAuses ! fée et frai ! On veut coller ! toucher, dire, cerner et pisser ! oh oui pisser ! se vider-vidanger -alléger car on est .... treaversée -des-fioles ! On veut 

TOUCHER ? TOUCXHER_COLMA TER ? PISSER ? SE VIDER, ALLER, CREUSER, CHA RGER, CERNER ET TOUCHER ENCORE;;... aUx Nénés de l'Ombre ! qui c'est ? "l'plombier" (la plombière) d'époque ? on ne sait ! On cherche ! on veut toucher à ces Nénés des Données de Roche ce qu'ils sont de fait envrai pour notrte Homme (?° ! On veut :

coller et ne plus quitter

charger et ne plusq sombrer 

gravir et ne plus tomber 

 dire et ne plus soupirer 

contrer ici la Roche REzbelle ! graver-dessiner à main levée l'herbve, le pré, les bêtresz, la charge foraine, les données al:louées àune sorte de Femme-Fontaine Saluée Aimée Souterraine ! Pisssootière, des contrées Avérées et autres Endroits Sondées ! On veut (en tant que Fée, Fée post-cimetière) toucher aux NéNés de ... l'ÊTRE ? Quel ÊTRE ? Eh bé ... peut-ëtre ... l'ÊTRE  du ... "peut-être" ? du "peut-etre on sezrait", du "peut$être on aurait", du "peut-être ça le fait " ? On est née Fée La Vie passée, on se retyrouve dans un pré ailées, Fée Ailée, on cvourt on vole dans la mort à l'oeuvre, et puis voilà, on voit ! on voit ça ! la Roche ! Fion DEs tEmps allouées à une é2poque ! on touche Rocxhe des Finalmités "rosses". On veut (grave) cerner, soit regarder ! de l'autre côté , les dO nnées des Bosses ! Ce q''lles sont en vérité pour une F2e comme nous sommes ! On est ! On est Fée = Fée des Fées sur Herbe ça le fait ! on est née ! Fée sur herbe ça le fait car on est née ! Née d'Herbe , ou même (vrai ?) née //...?.. de l'her be ? Vrérité ? vérité vraie ? On serait née F2e de l"herbe (le VErbe ?) du pré et ça le fzerait, pour aller (ou pouyrsuivre) sur les sentiers menant à une sorte de  nouvelle"entrée" post-pré ! On aime ! on est ailées ! on adore aller ailée ! ainsi ailé , jusdqu'au bout duu terme ! On veut PASSER ! ON veut passerr swans trépasser c'est un faiot ! On veut trancher ! couper ! scinder ! donner en vréi le coup de jarret et traverser en vrai les données (fina;les) d'une soerte de muret des contrebandes ! et du coup comprendre, ce qui est, qui se trame, se dép^loiee, se treace de soi-même comme qui dirait de l'auttre côté ! Vent d'or ? Donnée rossee ? Cri d'effroi , de joie ? Voix des Omb res ? De l)à-bas, loin, dans des bras, bras de Roi ? bras données come autant dde Soi ? On veut en vrai ensemble (accolées ailée ) comprendre (grave) ce qui est qui va ou nous attend ou nous attendraiyit ou bnous regardera&it ou nous parleraiot pour nous dire ... quoi, en  vrai ? sinon ça : que, peut-être, on est cdeux (deux femmes) la vie pâssée (ouste l'homme tranché) pour comprtendre ! cerner ! = toucher en vreai aux Nénés de ... l'ÂAME ,,

? ou bien de .... l'arme  , l'arme à feu ? Aux feux des Rages ? On est deux (ouiiiiiiiiiii ça oui) pour (en vraii) toucher = dire = cerner un peu mieux ce qui est qui est, post -pré : les Nénés ? Les Dits Nénés, aux données de Branche ? Vie des vies (gravées sur Roche) née comme par miracle la mort travzertsée ?. On est Femmes données = femmes-données= des données de rage = données des données ! Les données de base ! data songs ! On veut comp)rendre grave ce qui est qui semblke (ou semblerait grave) nous mater (de base) come à jamùais , qui sa it ? On entre , dans l'antre, de la mort allouée, à une sorte de face ou façade des temps Passés (passés ?). On veut en vrai toucher à une sorte de Donnée de branche ! Qui on est ? On est lA Fée p âssée à travers de fait la Roche é2trange ! On nest Fée des prés, Fée passée à travers ! 

Fée pâssée ! on est la Fée des bvases et des données  ! On est entrées ! on  veut cerner-saisir de rage ce qui est ! On veut toucher à  c ette Déité Lactée (Nacrée ?) des Fins de Passé, ou dde Fin de Branche, Ou de fin de Données "Strange" ! On est Fée xdes prés pouveant en vréi (qui sait ?) aller, tracer, courir sans désemparer, filer comme à l'arraché et nous envolezr, décoller, faire ainsi chemin ailé , dire et donner, filer-coller à une sorte de

 "Roman ce Des Prés"

 ou dite "des Prés" ! aller = toucher = dire = cerner = considérer , de près, les données frontales , don,nées des données axiales, chahutées, morcelées qyui sait ou saturées ou même soulevées et szoupêsées comme des bébés ! On veut :

CERNER TOUCHER COLLER DIRE

FAIRE SENTIR ALLER COMPRENDRE 

 FILER CHOQUER TRACER PERMETTRE

COMPTER CDALIBRER AIDER SE PERMETTRE

PIOUSSER FAILLIR FAIOBLIR CHANTER

COLLLER ALLER FRÉMIR SATURER

FAIRE ET AIMER, DONNER GRAVE AUX NÉNÉS DE L'HERBE, DU FOURRAGE DU PRÉ

FAIRE ET PARLER = PERLER

PERLES DE LAIT CHANTÉES 

FAIRE, TOUCHER, COLLER, COLLER ENSEMBLE À JAMÙAIS, TRACER SUR PRÉ DES TRAITS DE RAGE

COLMATER = TOUCHER = VIBRER = DIRE !

on a grave envie de rire et de pisser mais en vrai on est éduqauées, fée des fées on se tient bien ! on veut toucxher en vrai sans pisser ou rire ou caguer ! on veut grave treaverser, retourner ou comment dire ? SORTIR  ? LE mot serait : "Sortir" ? sortir du Tonneau ? de l'eau ? du Ventre de peau ! peau d'eau ? sortir = vivre ? Viçvre hors peau pour aller comme sur rive toucher... le "Col du Cerceau" ? On est comme en vrai F2e des Fées entrées , quyi cherchons eh bé ça : une sorte de faille / entaille de par(oi ! trait ! hache ! hache de trait ! vache ! trace et vache et H , treait des traits = hache ou coup de hache vache ! et passer ! la tête et les pieds ! le vrai passé ! On v  eut toucher à une Déité de type NéNé tu le sais ! on est née Fée La nuit venue, on veut toucher le Cul !On veut toucxher le cul de l'être nu , belette des vues, bête à cru sur herbe verte = bête-mot des données fauves, rossees, raides dingue ! On aime ! on est Fée des prés la mort une fois allouée et du coup on cherche à re-te averser , chemein arriière (tout arrière) les données rupestresq (burlesques) des faiots et gestes sur prairie des bêtes  et autres fées venues de concserve. ON veut graver à volonté les données terrestres (buffles au débotté, buflettes allouées Musette). On aéime ! cha,nter !dire et pisser ! rouler ! coller !! coller grave ! coller et s'accoler à une sorte d'entaille sur rocxhe (nacrée) sorties des entra&illes (?) et comme présentées à nos ailes diaphanes (en vrai ?) de fée des Alpes ! On est née Fée au passage de l'Alpe , c'est un fait ! On vole à jamais et du coup, voilà, on touche aux Nénés ! aux Nénés de l'âme des données don,nées ! Les données sont Ailées (seraient) comme des Fées ? on entre ! On est entrées ensemble (ailes de fée / femmes) et on regh arde ! On est la Fée post-bande ! On est née Fée de Contrebande extra-fossé ! On veut comprendre = toucher = donner = sonder = dire = coontrer ! Chercher = faire acte de bonté  ! Donner = pousser ,; sur pré, le chariot des Fées ! Chariot haussé = cargaison montrée ! On est = o, n  naît = on est le nez = on, entre ! On veut gyrave cerner ( les données de branche) et nou!s avancer et de fait travezrser on dirait à la nage les prés, ou, sinon à la n age, en courant sans frein, sans dérater, sans se przndre les pieds à travers les bra,nches des buissons dorés et autres arbustes déposées, tracés, daémantibulées, chargés. On veut 

TOc-toucher = toucxher vrai !

Toquer ! toquer toquée ! toquer en étant, en vrai, toquée  = t§oc-toc, = fée des fées du toc ! Aller ! Filer ! Charger ! Do,nner ! Concerner = considérer = comprendre les données de base : 

Traits ! traits des traits ! et du coup, travezrser la lande, et de l('autre côté, chercher par (en vrai) où passer, par quelle entrée ou faille, vide astral ou cavité aux fées ou même anfractuosité tracée (en vrai) à même la face (la façade) donné"ee. On est passée ! Fée ! F2e des pr'és (Mort des Dons De bosse) et nous voolià comme remorquée prête à sortir du pré direction les Nénés, Seins de Base Ancrée, Sein d'HErbe, TRé&it-né sur pis lacté , cherché, recherché ! On veut toucher = sentir = consentir = téter 

TOUCHER = TÉTER ! TOUCHER , EN VRAUI, = TÉTER ! O,NN Veut toucher soitb en vrai on dira téter , les données de l'herbe, herbe verte sidérée, herbe des herbesc= verbe alloué à un p)ré post-morteme! On aime ! on veut aimer ce pré de près ;,, l'aimer dans l'herbe ! nez ! on veut en cvrai toucgher du nez (piquer !) l'herbe des prés , soit  ce verbe des données alertes ! charger ! foncer ! buffluettes aux ventre sondé, bisonnettes et chevales (au taque-t) cendrées, auroques des passés, du temps alloué à une sorte de passage inerte (aux données vertes) sur prairie aux fées et autres bêtes des contréesq. On aime ! On vgeut grave cerner (de colère ?) les do nnées en herbe ! cxhaleurosité et aiutres ammitiées en vrai comme soulevées ! On ndirait ... eh bé oui, du verbe, herbe, verbe en herbe, traits des fées alloouées à un pré post-morrtem aux données de frère ! On veut coller ! dire et sonder ! les n énés du verbe ! sein lacté = verbe de préb = chant larvé" = transe comme soupesée ! On veut aimer ! dioonner ! faiore ! charger ! coller à une vérité en herbe ine sorte de bonté "souterraine" souveraine desz contrées acerbes (pré) comme rencontrées, touchées, cernées, treaversées, recherchées, accolées à  une foulée ou comment s'exprimer pour dire ce qui est en cette chose d'une traversée des herbes du verbe ? On aime ! On est come soulevées-soupeseées ! On veut aller = faire = tendre = tendre vers = comprendre = plier = s'enfuir = sortir ! = sortir en vrai de ce pré des fées et autres bêtes-mots ddes lèvres ! s'enfuirv= sortir = re ! 

re ! 

re ! 

 re ! 

re ! 

 re ! 

 re ! 

 re ! 

 re ! 

 re 

! re naitre ou comùment dire , re ! re des re ! re-venir paître ? re-ttracer les traits de l'elfe ? re-nâclker ? re-lever les don,ées de l'être ? re-je veux mon neveu, toucher à l'être (envieux) d u passé de l'herbe  ? Se toucher (alerte) sur pré (aimé) comme fées celtes ? compter ? CFompter à qui mieiux mieux ce qui est qui se déverse dans la plaine et foule (charge) l'herbe sans traîner ? On veut coller à ces do nnnées données de l'herbe verte, herbe des prés, les aimer comme un frère ! Toucher ! faire ! sonder ! coller ! aller ! faire sur pré nos petites emplettes et du coup toucher  aux nénés "colère", aux traits des fées, aux vérités sur herbe et autres mots-bêtres allouées à une sorte de treacé des Fées ! Qui on est ? Herbe ! Herbe cendrée ! Verbe ! Verbve des pré ! Charge comme sidérée ! Be^tes de trait (somme sur roche) teaçant comme qui dirait , le sillon des omùbres (hommes) saturées. On veut coller = donner = dire = cernerb = comprendre = colmater = charger = faiore = toucher = dire et donner = charger, coller, coller de près, s'accoler et ne plus qyuiiter, la Chose ici Allouée à une Vérité Admise, comme quoi en vrai, la Mort est de mise, existe, se trame sous le nrz, se trame ou se vtramerait de fait sous notre nez, à notre guise ou pas mais en vrai = avérée ! On veut tyoucher de près ! à cette mort admise ! l'affronter, la toucher au collet, la toucher de près et lui dire en vrai nos quatre vérités : du dire de Fée ! chants de gouines ! percée ! traversée ! cxharge alpine, considérations atemporelles sur la Chine et les données données par son entremise ! On est comme collées à une vitrine ! On est nées gouines fines allouées (en Chine) sur Paroi de Fée ! gouines cendrées ! allusivesz ! auto-générées pour ainsi dire (l'homme est sous les pieds, terre promise). On est nées guoines da,ns la mort donnée ! fines ! chine ! tyraversée sur rive ! cajolée ! On voulait ! on voulait tracer, comprtendre, comprendre et sonder, aller et filer, tracver et n  e plus traîner et dire, fouler toucher, contrer, sentir, dire et coller à ce quii est qui serait en vrai du verbe alloué à une sorte de donnée de gouine : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii vrai !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! chiche = vrai !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! !!!!!!! !!!!!!! !!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!i! !!!!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!!! !!!!! !!!! !!!!!! !!!!!!! !!! !!!!!! !!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!! !!! !! !!! ! ! !!!! !!! !!!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!!!! !!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!!!  on est vives ! vives on erst ! On est nhées sur rive d'un p)ré alluoué à un dire dit "de vérité", vérité  allusive , ç a le fait ! on v eut en vrai de fait toucher à une sorte de donnée de rive, traits ma&rqués, chants dex ,prés comme s'il en pleuvait ! rires 

! gros riresq ! rires gros comme des veaux ! Vie du rire szur paroi des veaux ! On veut toucher à volonté les données données d'une sorte de contrée aux fées ! c erner = composer, dessiner, treacer à main levée, en transe, soulevée, le Rire Gros d es Donnéesq de Veau, vache, Boeuf de Rage. TORO ! TORO SOT ! chant xd'Espagne ! calicot ! on entre ! on est dans ! on est entré e ! dans la dent ! entrées comme accolées formant Fée ded ans ! en cette sorte de contrée-arène aux fées et Bêtes, Bêtes de poidsq ge"nre Gros mot ! mot de trop ! rire graos ! pesant ! accolé aux mots (méchants ?) d'un troupeau ! On veut (fée) être(en vrai ?) accolée à une sorte de donnée-mot qui sa&urait révéler le pot ! poteau ! pot de trop ? poteau d'angle cerné, sur champ ou pré aux données allouées à une Vérioté de Branche . Saturnales et gravité  ! Pa rades bancales .... ou pas bancales mais forcées, poussées, chargées, acculées ! sur roche des données frontalo-pariétales de fond de tonneau ! On veut toucher à  c e qui est qui se présente sous le vent larvé ! charger ! nous donner ! cerner = porter (sous peau) le Bébé de l'âme ! l'âme des années (chahutées) sur branche et auttre moineaéu dit "de contrebande dans le's boyaux ". On veut comprendre = saluer = sonder = toucher à c et oiseau (moineau) de contrebande ! Ce que c''st en termes de charme, chant docte et autres cri d'envie ! Qui ? qui crie ? qui est qui    ? on est ici la Fée dite "du tonneau" , ventre ami, cerveau. On veut être ce moineau , oisea&u de pa r adis, et faire du bruit ! piou piou des données vives, un cri ami ! chant de grive et autres volatiles de prairie ou sur praiorie. On est la fée dite "du boyau", de grotte insoumise ! On est bête de peau, gros mot , rire gros, bêtes -mots sur pré broutant gros l'herbe des moçts ! On est vives ! gouines actives vives on chante gros ! On veut toucxher la rive , le fond du tonneau ! vive l'ivre ! les données de trop ! mots des fiches sur préau, maison d'eau, ventrepeau du trot ! On veut :

dire, faire, aller , toucher, tendre, jouer, comprendre, situer, donner, coller, sonder, allouer à une rive un mot de vérité active, donner et pousser et sentir et charger et clouer sur croix l'ombre de la voix vive ! charge acquise est celle qui active les données de Roi et Reine des pas ! vive le ROi ! La reine des chats ! le combat ! la pleine de Soi ! On entre ! on veut ici :

toc-toucgher

les Nénés 

des Nénés 

de L'ombre 

et ne plus recvuler mais foncer de toutes nos forces vers ce Prieuré ou ces contrées de fond des fgonds du fond, de la Roche allouée à une VFérité Ancrée de type "ce que c'est que la mort admise " ou autres vérités des preés. On est GOUINES NÉES SUR PRé du fait que oui, mort de l'homme enterré, devenu herbe sous le piedf, quand la Fée est née de deux femmes attitrées accollées , sortant de lla mouise, du petit tas de cendres acquises, car mort-né est l'homme des faits. Son coprtps attise, active, fait ou refait la cerise , d'une sorte en soi de Fée active de genre FGouine aux dioonées du pré et autres données post-traverseée. On est la Fée des donnérsz actives sur pré alloué à une frise ou sorte de, qui serait La des Frises au Mieux, du Mieux qui se peut, la vie passée, dépassée, adfmise en tant que passé vrai. On est la Fée des données de frise : chevauchées, chyants des prés, bêtes grosses à la pararde et autres calvalcades endiablées sur roche ornée. On ,est F2E des fées surprise ! GOUINE comme qui dirait szans plus de doigté ! gouibne au pré ! chants de vives sororités acquises ça le fait en vrai et sa ns traîner ! On est nées vives sur pré allouées à une sorte de donnée de r(ive ! charge active on trait ! on tire du lait ! on veut téter ! on ne  v eut que (en vrai) boire du lait et ça fera, facile ! ça ira ! ça sera "tangible" ! On est la fée des donné&es acvides du passé tracé , on a passé le Rubicon des Oùmbres et là, du coup, on s'est posées, on s'est mises comme qui diréit sur pré , comme bêters dees prés, à téter ou brouter , machoui:ller , mâcher l'her be des do 

nbnées , boire le lait,  l'eau des riusseaux ! Allzr et rire ! donner et vivre ! coller et toucher ! cxharger et monter ou nous e,nvolezr ! tracer ! tracer haut ! monter ! gravir sur roche les traits de montée ! coller, à une sorte de donnée (de roche sur haut), front, menton, chevron, galoche, éperon et poches des monts ! On est vives (gouines) touchées , en vrai, par une sorte de bêtye vive (vouivre ? ) qui ne nous plaît guère en vérité mais voi:là, c'est fait ! on est touchées ! piquées ! transformées ! chahutées ! soumises ! sidérées ! choqueées ! contrôlées ! transformées en fée du Rire ou des larmes a llouées à une sorte de charge mentale sous front ! colle au front ! chant sarde" ! chant vif aux couleurs astrales ! ton sur ton ! on est fée frontale ! collusion ! on entre ! on colle à cette Charge des données antrales ! On est comme accolées de front , au muret des charges ! diapâson ! collusion ! le téton de l'âme est notre téton ! on entre ! On veut boire = dire ! Charger et sourire ! téter ! grave téter ! on veut (on aime) grave téter les données de l'herbe ! pis de fée et autres seins surnuméraires on le sait ! on tète ! la tétée "post-mortem" est de celles qiu'on aime " ! On EST la f2e du cvimetière comme ici allouée à ine sorte de dopnnée de l'herbve = fée faoite, trafiquée, formée, du fait de l'herbe ici broutée par une bêt 

e (bête-mot de rage") alloué à un pré de type post-morteme  on le sait. On est la fée aux données d'herbe (saturée) qui aime , en vrai, chercher à teter le néné , sein de l'être (alloué à un pré) imberbe s'il en est, petit attaché, veau d'eau, vie des vies dans un troupeau. On veut :

toucher = dire = faire = comprendre = cerner = vivre = monter = raser = louer = montrter = jouer = lire = mesurer = conduire = conduire auxc nénés le petit veau de lâme du troupeau des charges et autres poids de mots. ON est la Fée des mots-nanimaus, nourrie de lait ! On aime aller (voler et voleter) en ce pré des mots ! chnts corbeau, chants moineau, chants oiseau ! Chants des chants sur paroi de sang ! troupeau ! à vau-l'eau les mots dedans! on est le mot-tourment peut-être des donnéesz fr(ontales = fée ! ou : La Fée ! celle au troupeau de bêtes-mots au trot ! On colle aucx nénés ! ion a traversé le ruiwsseaéu, l'antre des vallées (et autres monts) aux donnéess dee roche, type : vaches et veaux, toro faux, buffles esquimaux, buflettes du cerveaéu et aéutres bouquetines lamantines ! On veut grave téter au sein du troupeaiu xde bhêtesmots la vache ! la téter gravve sous le boisseau, ou sinon le boisseau la branche, ou sinon la branche le Gros, le GRos Mot de BAse, gros du gras , gras du gros ça ira , ça le fera, ça fera ce qui devra ! Onn aime ça ! la Branche de paroi, tréit de raghe, mains de foi, foi des mains soufflées et autres mots genrés ! Foi de Roi /Reine de toundra, savannah, plaines de paroi, pré paradisiaque sous un vent de charge ! On y va ! on cherche (grave !) à comp)rendrte ensembkle, les données coriaces, charges ! pré ! s&turnales enjouées ! cris des bêtres allouées à 

une roche de façade ! chants totaux vu-ivants ! cris de FRance ! cris acquis ! vifs cris des cris d'Espagneb ! d'Italie ! Vie des vives envies de vies de charge et autres romances à moitié- prix ! charge ! chances ! vie des vies des bêtes-charges ! On veut passer commande ! saturer  ! tracer ! chyercher ! toucher les nénés ! toucher les nénés ! charger = treacer ! commencer, deébuter, convenir, aller, courir, lancer, aller ! Ne plus reculer mais en vrai pousser jusqu'à qui sait peut-êttre défaillir mais csansz vraiment jamais dee fait swuccombver mais juste ^pâlir ! défaillir mais sans vraiment sombrer ! on pâsse ! FÉE ! on est la Fée des arme's ! fée faite fée du fait de l'âme ainsi accordée  à un passage (de vie à trépas) sous voix, sous concert de voix "étranges", charge ! caramba ça y va ça tremble ! tout tremble ensemble mais ça va ! on tient bon en transe ! on combat ! on entre ! ouh on entre ensemble ! charge mentale ! mains donnéesz ! entrée de face ! on est accolées : deux femmes sur pré sondent (tentent) leur chance et elles ont bien fait parce qu'en v  rai ça passe large ! trait ! treait ! un trait ! trait des fées ! deux femmes ici comme à la retombée cforment Fée = F = EFFE = FEMME-F2e des treacées de l'herbe verte (verbe) sur p)rairie des  bêtes ! On est passées (F) à la retombvée c'est un fait, formant Fée des prés soit surnuméraire bête allouée à une V2rité "en hervbe" (chahutée ? ) qui en vrai est ... du VErbe , comme s'il en pissait, de vache laotière ! c'est ! FAit vrai ! Fait des faits = VErbe comme pissé ! on est Bête de trait  : fée en herbe = soulevée et on est Fée ! Fée surnumeéteraire" ! en une sorte de passage éclair on a comme qui diréit de fait traversé ici même (la grotte) la roche allouée à des dessins / gravures monstres. On est passées (femmes accolées) à travers la roche ! lévitant ! et nous voilà comme si 

(de fait) la mùort ici (en vrai) bnous avait transformées eh bé oui en fée, fée post-mortem on dirait, sur pré des 

Fées et autresq B-êtrsz de Trait / somme ; bât des Rois/REines cde Saba (la haine ! le tracé-né ! ça y va = ça envoie du bois) . On est née Fée et ça le fait pour bien déplaire ! qui sait ? ) à c  ette D2ité des plaines ? ou pas ou qu'est-ce ? On ne sait en v rai   ce qui pla&ît, à Déité des prés, des confinsz de l'herbe ! Onnne peut jurer ! on ne sait en vraéi ce qui est qui pourraoit la toucxher, ou la blesser, ou lui pla&ire à jaùmais, ou lui donner (à elle aussi) des ailes de fé&e ou quoi ou qu'est-ce en vrai de la Mort-Déité telle quu'avancée, dénommée, dévoilée, sur herbe de pré alloué à une Vérité des Véritésv intitulée "LA Vérité des V2rités Des p)rés de l'ère d'après " . On veut aimer , toucher, cerner, pôusser, accoler, sentir et ressentir, ravaler sa haine et tracer sur roche un sentier de poche par où pour le coup pouvior (accolées ou ainsi accolert) passer en vrai, jusqu'au plus profond des fonds du  fond de la roche rude. Tracé. Sentyerr de rue ou d'avenue. Vie de fée ! On est Fée des prés voulant téter et pas à moitié : le sein de l'acmé ? du trait alloué à une vérité aimée ? on chercvhe sur pré les données (de base) tracées , dessinées, mentionnées, afin de comprendre , qui sait ? ce qui est en vrai qui nous atte"ndraiot la paroi une fois traversée, et plus loin encore, après le pré, l"'herbe, les données à mâchher, ap^rès le muret, l'onde, la ronde, le palais ! Quoi serait, qui (^peut-êttre, on ne sa it) swezrait "à nous a ttendre, sur pied, bien c ampé,e ! " : qui sait ? On cherche ! on creuse grave ! On veut com)rtendre = sonder = soulager = dire= prendre = pondre = louer = virer = charger = tomber ou ne pas tomber mais coller, dire et souder ensemble les différents dires d  'une sorte de PAroi à Rire ! à chahuter ! à faore trembler ou tremb ler de rire ! chants donnés ! chants des données ! frises ! vivacités comme consacrées, sur piste ! On veut : 

toucher , toucher grave les nénés de l;'antre ! le cerveau lac té ! l'ambre  ! les nénéscalloués à une sorte de charade comme sacrée ! On veut en vr'ai toucher ensemble (fée ailée) les donc nénés du pré, ou du pré lacté , alloué à une BANDE ! Vie des VIes sur pré sont do nnées de CHance ! -vive ! vive Chance allouée à un pré (passé) aux données "strange" (on dirait) de fait ! charge ! charge m:entale "strange" : qui le sait ? qui sait ce qui est ? qui connaiot en  vrai les vrais données des faits étranges ? On est accolées = touchées = sondés = dûs ! du fait qu'on est passées, transformées, changées, touchées, comme soulevées et ainsi soulevées. On est Fée de contrebande ! on veut (tracées, ou ainsi treacée) passer ! dire ! charger ! collezr ! sonder ! faire et comme soulever la branche (les branches) et regarder et pas à moitié mais pour de vrai ce qui est qui se présente ou se présenterait à nos yeux de fée, de fée allouée 

à une sorte ici de pré "étrange" comme qui d irait (paradisiaque, allez! ) qui est le pré des Charmes, des Bêtes-Mts de Rage, Gros motrs de Façade, MOts grtos pesant sa cxharge de base et autre pesant de contrebande ! On est nées Fée au passage parce que ça : les mots ! hrerbe au tombeau ! tombereau de mots "étranges"  et nous voilà mise sur pré comme à l'unisson en forme de Fée ! Fée-)faon ! Fée-mot ! Enfa,nt-mot sur Rocghe du Trot. ON est la Fée des motrs de trop ! gravée = allouée ! On entre en trombe ! on fonce ! mots des mots ! On est accolées = ailes de roche ! Fée ...................................................?...............     fée des fées ? ..............L..........................................................fé&e ailée ça le faoit ......................./......post-mortem on aime ! ..../......................................................................../............... in veut grave toucher aux nénés de l'ëtre ! aux seins donnés surnuméraires alloués à une bête ! bête de trait ! vac he à lait ddu Verbe ! ici collée , touchée-cernée ! collabée ? On trace des traits ! on est , Fée traçant des traits sur roche allouée à des Bêtes de Verbe comme saturé ! On aime les bêters et les gtraits ! on est la Fée dite "post-mortemm" aux données données par des Bêtes de Verbe, Vache à lait surnaturelle , aillée, donnée, consacrée -sacrée !On veut toucher leurs ailes avec nos ailes ! gouiner ! chahuter sur herbe ! accoler ! donner de nos ailes et tracer !  ne plus nous arrêter ! tracer desz tra&itsz ! bherbe ! herbe ! trait d'herbe vcerte ! traiots de Verbe ! herbe ! traits ! traits ! traits des traits ! her b e ! herbe funéraire ! traits ! très ! très funéraire ! herbe-Verbe ! traits des traits = traits avoués = verbe = herbe xdes prés = verbe au débotté ! on est née Fée sur Herbe VCerte = Verbe des dxonnées cdonnées comme s'il en pleiuvait ////////////////////////////+////////////////////////////////// teraits des traits post-mortemm on éime /////////////////////////////////////////////////////////////// pluie de faits //////////////////////////////////////////////////////// tracé //////////////////./ Fée des fées post-cimetière on dirait et qui ça szerait ? On chezrche ! on voudrait trouver  ! on éimeraittrop ensemble (ailée) en vrai trouver les choses du pré comme elles seraient

, nous regarderaient, nous toucheraient? . Fée des prés on est qui voulons en vrai rechercher l'endroit par où ensemble on pourrait passer de fait 

sans y rester, sans y passer, mâis en restant (du coup) bien campée en tant que fée sur nos pieds et ailes ! On veut toucher aux Nénés de L'Herbe (! ) saturée ! On veiut grave en tant que fée toucher pour de vrai aux nénéds de l4herbe soit du Verbe aux données données p ar ici (le Pré) les bêtes allouées, Béêtes-:mots des Prés genre TORO, Bêtyes-mots de trop, gros Motrs et autres "Vilénies tempiorelles" ! Mots des Veaux ! On veut (en tant que fée) treacer = dessiner = desswsiner de chic et à main levée les données données , données doctes s'il en est, vraies données dites "de la Vérité" et autres paroles au cordea&u. On veut : 

toc-toucher la Chose , lme Mot et la CHose, le Tombeau ! Qui est là pour, en vrai, comme nous aider ou nous seconder ? eh bé on dira ... pas gvrand-monde mais ... ça viendra ? On ne s ait ! on trace , grave, les mots du pré ! On avance ! On veut coller ! toucher-treacer ! dire et aller, pincer, sonder, toucgher la Panse ! = 

téter = boire aux nénés le lait de la transe ! chercher ! cghercher grave ! sonder ! sonder ensemble ainsi ailéesz ! EAiles des fées de connivence ! soeurs lactées ! filles des contrées sauvées ! fi:lles s auvées et des contrées sauvées ! on charge ! On veut gr ave tracer ensemble, le dessin de l'âme  : le trait ! trait des traits ! trait des doonées graves ! le tracé ! trait alloué à une romance, comme s'il en pleuvait !Chance ///////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////// et ROmance, sur pré aux Nénés ////////////////////////////////////////////////// ça pisse du lait ////////////////////////////////////////////// = notre CHance !

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21/10/2024

On est données de rage sur paroi. On veut touchger à ce qui là, en face, va , vient, file, charge et se présente n tant que Pzarade. Obn est qui ? ELLEs ! ELLES = AILES = fée de rage, ici = comme au débotté, et ça le fait ! On est nées sur place la mort actée = accordée ! On ne veut pas se ranger des camions mauis tracer ! aller vif encore, devant, et ne plus s'arrêter on va dire jusqiu'aux nénéds ! On veut toucher = on veut (dans la motrt) toucher aux nénés ! On  nge veut pâs passer à côté mais grave cerner, dessinner, graver "iceux nénés" comme qui dirait ! On est Bêtes Fauves (rosses ?) , on va vif, on trace sur roche ! on est tout ENCLAV1ÉES !!!!!!!! on file et vibre ! on veut (on voudrait) grave traverser = aklller ensemble jusqiu'au fond du pré, de l'autee côté, fond de cercle et toucher, à cette sorte de donnée qui serait un muret , mur de cimetière si tant est, ùais est-ce ? Est-ce véritablement (ce muret) une sorte de ... fond de baptême, fond des fonds, fond de cuve alluoué à une sorte d'enclave profonde ? On avance ! On trace sur pré. Onnest (oui) enclav&éées de base, en cette sorte de jardin des Rages et autres colères allouées à un passage. On veut toucxher = on veut comprendre, ce qui est et ce qui n'est pas, en  cette paroi dite " de contreabande". On est là (ensemble) pour ça, elle et moi = AILES , pour comprezndre = avancer = marchert = voler = monter = se haussrer et se gausser, tracer et graver (sur roche) ce tracé de bosse, mots de bêtes animaux  = des mots, dits "Animaux", de bêtes de trait  au plus haut niveau ! On veut :

toucher , dire, aller, creuser, et du coup comme se téléporter en cette sorte de "muret" des murs de rage , le dernier (on diraoit) = paroi Sarde (?) il semblerait ! maiis pourquoio "Sarde" ? poirquoi pas .... "sage" ? On est nées (sur pré) Fée comme on est passées ! ou : en tant que voilà, on a réussi à passer = traverser la Mancxhe, le tracé des branches, les feuilles de base et autres fleurs acidulées. On est nées ! on est (dans la mort ) nées FGemme = Fée (en vrai) dans la tourmente ! On est coincées ! on est (oui ?) enclavées sur place ! pré ! Pré des Rages et autres ires allouées à une sorte en vrai de passage forcé ! On veut toucher = on veut cerner deprès ces fameux "nénés" dits "de contreb ande" ! ce que c'est ! On essaie de comprendre>. Qui on est, qui on serait, qui xans la mort on serait, . Qui en vrai dans la mort on serait qu'on deviendrait . On veut comprtenndre ce qui est pour nous qui semblerait nous concer ner ++ ! Qui, en vrai, on seraiot, ici = mort vive, en vrai. On entre dans un palais dont le nom est Pré, et dans ce palais (en tant qye FE4lmmme = Fée) qu('est-ce qu'on fait ? on fait ... hum .... pitié ! on fait mine de cerner, on fait ... grise mine, on fait des simagrées, on vire et vibre ... sans s'arrêter ? Non en vrai on file ! on va vite ! on fonce à toutes enjambées vers cette sorte de muret de fond de niche ! On est F1ée du Pré à la retombée, on court on vole sans traîner et jusqu'au bout du bout d'une sorte ici de contrée "ronde", cercle aux fées de Roche , on monte ! On est montées ! On est bête de somme / fée, qui voulons monter, gravir ... les néné s ! ? Ou quoi d'autre ? On est les fées des zonesz d'ombre, traversant la Roche, allant vif jusqu'à se pointer / p ôster, sur muret, de Force, tracé des contrtées profondes, fin /finalité des données des Causses ! On veut : 

Grave oui, toucher ce qui est = les nénés, les nénés de l'Aube ! 

lesz cerner = les toucher 

les toucher = les comprendre = les aimer ! On veut :

Aller , filer, ne plus nous arrêter sur roche des Prés ! On est la fée   des données abgr aires ! attelage de trait, fée hors cimetiètrree c'est un fait qu'il fau t reconnaitre et adouber ! On est la Fée aux données de rêve ou sinon de rêve de grève ou sinon de grève de trêve ou sinon de trêve de  tra&it ! car on est nées de trait (traite) pour complaire et donner ( à la mort souterraine) de quoi la satisfaire on dirait à tout jamais mais est)-ce vrai ?opn est la Fée post-cimetière comme attelée à une sorte de joug de réservfe, roue dentée ou crénezlée, on est Bêtes de trait ! hors cimetière on trace vite fait le trait de l'araire ! on veut coller à cette sorte de donée de terre ! trait tracé sur pré , araire au taquet, fée agraire et tourniquet, ça charge sévère c'est parfait ! accoutumée ! on est fée des herbes, mottes de terre, champ de trait et autres prés de serre ! on est nées ! ohou c'est un fait ! ouh ouh c'est dingue ! on est ! on est = on est nées ! ion est dans la mort née en tant que Fée avgraire, sur tracé de terre ! chamoiré ! On est la fée post -cimetière née sur terre des données de type "mort actée" et ça rendrait ! On veut toucher à mille données "naturelles" comme qui dirait. qui donc en vrai saiot ce qui est en cette sorte de "contrée-cercle" à nous offerte (dans la mort  validée, tracée, concrète) , qui ? On ne sait et c'rest pourça 

qu'on cherche ! mèfle , et comment qu'on cherche ! on n'arrête pas de chercher, de cerner, de soulever des lièvres, de tracer à main levée, de  dessiner ici et là des animaux de pré genre le cxheval bai, l'antilope allouée aux données terrestres, bisonnnées des treacés sans herbe type sentier et autres cheminées ! On veut :

toucgher à ce qui est qui vitupère, va tracer, va se terrer, va se cacher, va vivre sur pré sa vie 

de contrée sans verbe ! On veut en v rai coller à unbe sorte de donnée rupestre, type :  souterrain , 

creuset, 

fosse tra cée, trou des Fées de Rêve. On veut aller au pluslopintain possibvle sous la terre pour chercher le termed'une sorte en soi de vérité "agraire". On veut toucgher à ces "nén"és" post-cimetière en vrai = 🥲téter , TÉTER en vrai, être, cerner les nénés, les tenir ferme et donc s'alimenter ezn tant qu'on est Fée, Fée des herbes, Bêtes, Bête de trait sur herbe ça lefait ! on aime ! on veut téter , y aller, toucher à vo:lo,nté ce néné "de l"herbe" et tr acer ! filer ! charger ! aller jusqu'à se porter , téléporter soi-même, en ce fond des fonds argentés, gravé, qui semble ou semblerait nous regarder (du coup) nous pointer ou nous amener ou  nous amarrer à ... eh bé, cette sorte de murret ? de mur d'entrée ou quoi ou qu'est-ce en vrai ça pourrait être d'autre qu'un muret (de fait) de cimetière, alloué à une contrée de type (qui sait ?) surnaturelle ? On cher c he ! on veut trouver ! on veut aller et du coup ttrouver , ici même, les donné&es patentes, termes qui nbous plairaient, tracé tendrte, vie des vies amantes, Givenchy ! On aime l'ambre ! le trajet jusqu'aux données de bande, sur muret, fond des prés. On veut toucher à ce muret ! On vgeut aller (de fait) en son antre si tant est ensembvle = ailes de fée  = fée ! On est ailes = bêtes = fée = attelage nacré = trajet ! jet de bave ! On veuit touchert à ce muret des contrebandes et autres données, ici données à une sorte de malignité de type "formulée, gravée, actée, dite sur pré, dessinée à la volée". On veut touchert en cvrai , à ce ge nre de donnée de base, qui est, en vrai, donnée des données , donnée d'herbe sur pré afin de (pour le coup) pôuvoir s'alimenter wsans chômer ! on entre ! on est dans l'anrrrtree de la mort "genrée " ! ça le fait ! fée ! on est devenue fée ! on est pasdsée ("à toi à moi" le genre) et nous voilà toutes deux tra&nsgformées, transformées en "Fée de base" sur "creux des rages de Dieu" ! On est née F2e de contrebande, ici, au passage ! fée ! Ailes ancrées  nacrées = attelage d'ailes sur pré = montage ! vaches -fée des prés sur page ! On veut touchert à (pour le coup) ce genre de donnée de base ! On veut coller à une vérité qui sauraiot révéler les donnéez prégnantes ici allouées à une sorte de contrée (= cercle d'or) dont le nom gravée (sur rocxhe ca&chée)) est MORT , MORT AUX OMBRES accolées à une sorte d'entité ssacrée, type : CORPS ! CORPS DE FGÉE ! Accord ! amarcord ! On veut :

cacher le sein donné, 

donner le sein caché, 

alimenter kle bébé ! Donner ! donner son lait , son propre lait sucré salé sur terre allouée à une sorte de donnée sans verbe ... ou sans autre

ou sans auvtr es 

ou sans autres 

charges de force, charges doctes , ou sans autres charges doctes, ou 

sans autres charges (tracées-) de type docte ! On veut coller ! cer ner et toucher ! comprendre ensembgle les do nnées de l'ombre. homme mort né la mort acté, se transformerait, en cette sorte d'attelage de type Fée , AILES doublées ou débdoublée devient la fée ... aux données de cxharge ! trait ! somme de base ! attreactivité et sentiment larvé d'une sorte d'amicuicalité de façade ou qauoi pourrait se présenter d'autre, qui sait ? que cette sorte en soi de rire de la foi dans l'antre ? On y va ! on charge ! on  veut comprendre ! oin aime aller ensemble à fond de c ale ! travezrser la lande et chercher ! cxhertcher grabve les données treacées, le sentier ce que c'est, le vif des contrées ( air de rage ), les nénés ! On veut comprtendre = téter = boire = se donner = tracer = chercher ensemble les données présentes sur ce rtype de (ici) trajet de contraebvande ! on est née f-ée du fait qu'on est (dsans lea mort) née !, en France, sur terre de charge, soulevées et collées ! On veut en vrai  essayer (ensemble) de se rapprocher au plus possible d'une soettre de donnée pl acide, donnée fine , qui wserait "donnée de gr'âce" et autrtes sentiments tenaces accordés à une sortede menace ellke-même allouée ou comme attribuée  à une Fée , qui sweraiot LA fée . Fée docte ! Fée des fées ! Onveut toucxher ! En vrai ce qu'on veut , à tout jamais, c'est  ette chose : de toucher = treacer ! On veut tracer la Chose, Emp^édocle, lesdonnées de Roche, l'amballée, la CXhose profonde = la donnée du bout du monde, soiulevée, montrée,qu'on saurait cerner eznsembvle sans traîner et comme charmée ! On veut touchger à cette sorte de donnée de roche. On est née fée parce qu'ion est mortes ! on est la Fée des ombres ! ombres = hommes ! on est ! on est née Fée à la mort de l'homme c''st un fait tracé  sur roche de grotte ! bêtes m:oinstres ! bisonnes ! buffles au taquet ! chevaux / Chevales aux am azones, antilo. des prés et aiutres ourses amadouées ! On est gravées ! dites ! prononcées ! parlées,  

parlées sans honte ! On est nées fée

sur roche au t aquet dès que née de Roche ! on est pasdsées ! On voulait grave eh bé c'est fait ! on a pour le coup traversé enxemble les donnéeezs rupestres d'une sorte de cloison "de cimetière" et nous voilà "post-cimetière" dans un pré , à broueter, téter, manger de l'herbe verte, verbe des contrées , herbe aux données salutaires et autres foins de Dulcinée rupestre. On veut toucher à s atiété à volonté cette herbe à brouter sans traîner ni discontinuer ! vache à lait à traire ! bête-fée du Verbe , on est nées "fée salutaiore" ! fée des fées sur l'herbe ça le fait et c'est un fait qui nous plaéit (plaira) (grave) à j amais ! On veut : toucher = dire = cerner = comprendre = charger = allouer à une roche un e donnéevdite "profonde". On veut aller et coller ou accoler , à pareille roche, une vérité , genre : AUROCHs des chaumières, Buffle au débotté, Bisonne de Roche et autres lionnes (calfeutrées en grootte). On est nées LA F2E , Fée des Ombres portées , hommes doctes sur un pied ça va pas jouer ! ça va tomber ! chuter ! tomber par terre, s'enterrer ! pouriir = mourir , à jamais, dans un cimetière aux données du verbe , herbe, pré, pré à brouter, herbe verte = homme genré , gravé, dans l'herbve enterrée,bon à brouter, comme dans 

une sorte de "chaîne 

alimentaiore" 

à ne pas casser ! On est F2e du vERbe parce qu'en vrai on est ... (post^-cimetière) Bêtes des prés sachant brouter , l'herbe -Vernbe aux données terrestresv(alimantauires) comme s'il en pleuvait ! hervbe verte ! verbe ancré ! charge de terre ! mottet ! motte aux nez ! On veut touchert à ces mottes de terre et autrtesc blés en herbe ! s'y coller sans disparaoitrte , se donner aux prés en tant que fée agraire, genre bête-fée venue de derrière ! on est nées fée car on est passées ! on a traversées de fait "à la une à la deux" la roche aux tracés, dessins de têtes, alouettes. On est fée des prés ! On est La Fée du PRé aux données tracées ! on est F2e aux alouettes et auttes bêtes eznvolées ! On est Fée d'herbe verte = données données comme à lka volette à jamùais ! On est : 

F2E F2E Fée , aux vives données donné&es et auttes véritée a graires distinguées ! On veut toucher à une véroité qyik serait vérité hors cimetière, nous rapprocher (en vrai) de la grève (là-bas) aux données imberbes et autres voix de choix ! On veut colloer := dire = faire = aller =cerner = co=mprtendre = sonder = chervchert = faire acte en vrai de présence, en tantr que fdée postée sur une branche ! On est la fée voleiuse, l'envolée des envolées, la pie cachée, charge ancrée, vent en face on est collée à une sorte de donnée tenace (la donnée des rages). On  v eut en vrai touchger à ce qui est qui nous fait face et nous regarde ! On est fée des fées . On est la fée des Fées . On vfeut en vrai toucher à ce mureet de contrebande ici donné en tant qu'il serait une sorte de finalité . On est née fée de rage prête à nous coller à pareil muret a&ux données "strange" : a ccolées, comme notées ou même notifiées, gravées à main levée et c'sset à nous de de ce fait cerner-comprendre ce qui est, ce qui dsonc est noté, ou notifié, gravé par la bande, ce que c'erst en termes de dopnnées qui serait des données de Finalités, données-verbe à jhamùais ancrées ce que c'est ! ce que ça peut dire ou vouloitr dire qui pourrait grave nous intertessezr et nous donner (ou apporter) que"lqueqsq données de rage, données doctes, vérités de porte, charges de données hautes, vééerrités accortes et autres motsde roche-grotte "hot" ! On aime le haiut ! ce qsui va haut, s"'élève au fuseau, va vers les hauts d'une sorte de paazsage "hot". On veut aller haut en tant que fée, aux données du pré, en tant que fée des hauts ! On veut toucher leshauts de l'antre alloué à une sorte de tombeau ! On veut coller ! dire et soulever, charger et tracer, donner et comprtendre ce q<ui est qui en vrai serait là comme à nous attendrte. On est Fée des tombeaux de base, fée des  pots de bouse et autres chgarges fatales ! On veut (en vrai) coller et caler, chgharger et sonder, dire et pousser , dsans les prés, les données "adffables". On est nées fée car "on en redezmande"" da,ns le genre ! on est née LA F2E des bases romandes, travailléesz sur pré, tétée, sucée de près, mangée des yeux comme d'une denrée que tout le monde en vrai s'arracherait ou viserait ! On est la fée des prés, des bases romandes ! On veut coller à une vérité liée à la CXhance --> donnée aux Nénés tels qu'ils se présentent : vérités ! cxhants du pré ! charge-femme aux nénés lactésv   -  --->>  la ch an,ce ! les données données ! le tracé ! chant des prés ! on est nées sur pré au passage alloué à une sorte de tra cé ! on est passées ! on est ensemble toi et moi passées (sur pré) "à la romande" = sans traîner , sans chahuter, sans faire de vague, sans se présenter, sans la ramener, sans se prendre pour je ne sais quoi qui pourrait faoire croire qu'on s'en croit ! On est (ensembkle) en vrai passées ,; c'est fait ! nous voici transformées en fée  : ailes sur pré, vie des nénés ! On erst nées fée sur pré aux herbes données ! on est la fée aux données données sachant  donner son laéit ou qupooi ou qu'est-ce ? les nénés sont prêts, à être tétés ! ça le fait ! c'est un fait ici post-cimetière comme on les aime ! oin veut en vrai toucher sans traîner aux nénés dits "de l'herbe verte", chants sacrées ! On veut grave graver et gra vir ! mo nter ! charger ! posséder le Dire aux données données de type Véroté des Vérités. On est la Fille aux données données = Fée Fille, Fée d'entre les fées-filles ici accolées à une V2rité-Vrille comme s'il en pîssait sur un pré de rive ! On est :; 

NÉEs nues, cul nu, sur roche bue !

Fille aux données de type vérités du cru ! on veut se rapprocher ensembkle des données (finales) de fond de paroi. Coller ensemble à ça : la base ! mur  donné ! vent de face et autres attraits ! On est entrées ensembvle en cet antre aux vives clartés ! musiques genrées, chants de charme, douceurs d'ambre, mots des prés et autres bêtes-mots dorés. On est femmes= fée ! deux femmes font la Fée qui en vrai sait ce que la mort est . Et /... qu'est-ce qu'elle est en vré&i ? eh bé ... de l'herbe verte = du VErbe ! donnée s des prés. Mort-herbe = VErbe = VERbe doté de traits de vérités sans  trêve ! ON veut : 

toucher aux nénés, = téter , manger, boire du laiot, boire à ce lait du néné de fée ! Grave tétezr ! grave on voulait ! grave on veut téter ! on ve'iut en vrai grave téter ; le laitr du néné de la fée du pré, post-cimetioère à tout jamais, si tant est ! On veut grave téter, les né nés "en herbe" de la fée des prés,  bêtes sur pied, vache surnuméraire, buflette sur tracé, buffala de grève ! chahutée sans cesse par du vent de frai, mais bien campée ! tenant ferme ! séleva,nt ! On é&ime ! On veut AELLE ! on veut D'ELLE ! on veut d'elle ailes ! On veut comme elle ! on veut

 être elle ! fée d'entre les fées post-cimetière, et tracer = aller, en vrai, vite toucxher à cette sorte de donnée des prés, et qui est donnée docte, sagesse allouée à une sorte d'entité profonde type "bisonnée" eyt autres bêtes de somme ! On aime aller sur roche traquer, ensemble, cette sorte de donnée de type  vérité ancrée, et du coup c  erner = toiucher = toucher grave = calibrer = sonder = comprtendre = allouer à une roche une sorte de donnéev dite "du bout du monde en forme de rotondze". ON est nées fée car on est (dans la mort de roche) née en tant qu'on est (en vrai) passées, qui voulions toucher à une vérité profonde, soulever les ronces, passer, s'infiltrer, enttrer ensemble "à la une à la deux" (en transe) en  cette roche de façadde, traversée de rage, traversés (ici) comme "conjuguée" ! on est passées ! on a gagné lke pré et bnous voilà ensemble à prése n t soudées en tant que nous voilà toutectransformées en Fée des Rois et REines de SAba ! ça cxharge ! ça envoie ! ça (fgravce!) envoie du bois ! ça fout la rage ! ça fait ça ! On entre !on veutcoller à la paroi d'en fdace ! 

On veut tracer ! toucgher , coller, donner sur roche un peu de soi en termes de données lactées et aéutres substances de néné ! on est néné ! on est née néné ! on est donnée donnée sous forme de lait ! née néné on peut donner vdu lait à (qui sait ?) la mort en herbe ? aux dieux de la PLaine ? à la V2rité Humaine ? a&ux Divinités des tertres ? Aux gens et gentes des données rupestres (animaux des plaines et autres mots-bêtes donnés du tonneau). ? O,n cherche à pour le coup cerner la Bête aux contours rupestres ! On est la Fée (post-cimetière) sachant charger, xar elle est Bête aux données de trait , rupestre et agraire, bête au débotté va, sur pied, tracer sillon pour une marche alègre ! goupillon ! chignon ! condom ! savon et savonette, on erst prêtes pour les ablutions ! on veut plaire = dire = faire = charger = comprtendre = donner = allouer à une branche une sorte d'oisillon de base, chant sacré on en redeman,de, oisillon sacré des Branches de R age sur p)aroi de base. On veut : 

TOUCXher = DIRE = FAIRE ainsi, que des choses puissent en vrai être dites = soulevées ! Révélées ! on veut toucher à une sorte de donnée-denrée de type Lait  = tétér ! téter à ce lait -résine ! y aller de sa tétée de vrille ! charger ! coller ! donner ! fdaire ainsi que des choses larvées arriveznt en vrai colmme à maturité sur grille aux données montrées = révélées ! On veut : 

vivre = cerner = chanter = faire = coller = complaire = allouer à une vérité des données de rive, données fastes, vives données données de type roman,ces et autres chants des contrées aimées. On veut toucher à une vérioté sur pied ! bêtes des prés = bêtes à traire ou à teter , sqelon qui on est. On ne vcveut pas passer à côté mmmméis grave troucher aux nénéds en herbe ! on veut coller à une vérité des données de l'herbe = Verbve = Dits de plaine = LAit ! LE VErbe est du léit ! Le lait est du verbe ! ça le fait ! verbe en herbe xdes données tracées par (en vrai) l'holmme mort et enterré à la traversée , quand, ELLes, ont contuinué , sous forme d'ailes, d'ailes de F2e surdimensionnée, Féev Allègre enjouée tracée, va sur pré s'y plaire et voler (ou voleter) : on aime ! opn est folloes d'elle, de la Fée des Herbes ! Fée des f2es (sur herbe) enjouée gaie on l'aime ! on n'aime qu'elle ! On veut la toucher ou la triturer ou la frôler ou la toucher de près ou comment ? En vrai  / phuuysiquement / concrètement . Touchger à la Fée du pré et du coup  c erner, comprendre qui c'est, à qui on a ffaire en vrai . Féecv? fée des fées ? Herbe ? gentes plaines entre murets on veut cerner , de fait , ce qui est qui , sous nos yeux de bêtes, sembvle se tramer, en termes d'êttresz, de fée allouées et autres dfées post-cimetière (ce serait les mêmes). 

On a& méga envie de se poster aux av //

On a méga-envie de se poster ensemble sur tracé. On a Méga-envie ensemvble (ailes) d'y aller = cerner = touchger = comprendre = sidérer ! On veut en vrai toucher à cette sorte de Donnée de Roche déliée ! On veut :

vcoller ! grave coller ! coller grave à Déité des Déités de Base. Y almler = gravir ! = monter au plus haut possiblke sur roche massive ! ert du coup touchger à cette extrémité passive, ce tracé des rives, chants lactées si on peut dire, ce néné  ! ce lait ! Lait des laits des données ! On veut téter ! on veut / on voudraiot en vraéi (de fait) téter (sans cesse) aux ,nénés en herbe (nous alimenter de conserve, intstoinct grégaire) et macher, macghouiller de l'herbe, brouter à jamais ! téter et brouter ! brouter et téter sans plus tarder ! veau / vaches sur pré on aime l'herbe, le treacé acté sur un pré de plaine, fée on est = fée -bête ou fée-bête de trait vu qu'on est (de fait) vaches à laéit accouplées, vaches de ferme, vaches attelées pour pouvoir tracer sur terre les données du Verbe à naître ou faire naîtrtee. On veut grave y troucher de près ! grave cerner ! cerner de près kles dsonnées données telles qu'elles nous sont en vrai (dans la mort) présentées : des bêtes ! des données données sous forme de , bêtes des prés et autres fées acidulées post-cimetière ! ça le fait ! c'est un fait des plaines ! on aime ! on veut tracezr sur r('oche lres données profondes

 = ,

AUROCXHS des ROCs !

BUffles au taquet sur pré en herbe !

OUrqs / oursonnes /oursons /ourse au diapasion !

Colle cendrée sur roche trouée (percée) pour colmater = VErbve ancré !

ON AIME Coller à  ici, Ce genre de données sur HeR be (verte) , ça c'est vrai ! On VeuT toucher à une sopRtre de donnée aux fées ! on est nées fée, car , oui ? on a mouru (les hommes) sur terre battue ! Onn est : femmes fortes, grosses des vues, charges doctes, cornues, vaches bues, homme est mort sous roche, vaches est nées sur roche, on ose ! on est velues ! poilues ! non tondues ! on monte ! Vaches ailées = fée = vaches à lauit ! On mùonte ! on veut monter !aller , tracer, coller à ce muret des données profondes ditezs "terminales" (de rotonde),  et autres roche des finalités. On est la Fée des F2es cendrées ! charge forte on trace à vue de nez les données accortes et autrtes données vraies, liées aux ... nénés ? aux seins dotés de lait ? pis "spi" ça le fait qui sait ? on est néez .... FÉE 

DU FAIT QUE OUI ON ESST LA FÉE DES DONNÉES POSTÉES DE FAIT SUR UNE ROCHE, SOIT GRAVÉE, PAR UN HOMME OU UNE FEMME , FHOMME OU FHEMME AUX DONNÉES DE RAGE ET SACHANT GRAVE GRAVER EN TRANSE À MAIN LEVÉE CE QUI EST QUI EN VRAI EST (ICI MÊME : ROCHE SONDÉE) LA MORT-DEMOISELLE, MORT EN VRAI, LES DONNÉES RUPESTRES, VIES ANCRÉES SUR ROCHE DU PRÉ. 

On veuit toucher à Elle = la Fée, aéux données en herbe ! Fée des her bes et du verbe tracé sur roche touchée ! On est fée aux herbes sur un pré, de type champ des fées ! ON veut coller à une vérité acide, peut-être lactée, vive, sachant alimentezr ce qui en  vrai est ... avide de denrée ? On est la F2e post-rive ! on a traversé de fait la roche "fluide" et du coup, ainsi lancée, on sq'est , comme retyrouvées accolées ailes de fée, ailes vives, de fée vive, et on s'est envolées , envolée avide, vive sur ce pré aux données dob nnnées par (on dirait) une sorte de Fée Allouée, Sacrée, Sachant parler lescl :angues, riches, aux données ancrées pleine s de vérité ! Fée parmi les féesz ! On est née fée parmi les fées ! On est Fée de suite ! Chant de rive ! musique sacrée dans une sorte dee prairie des filtres ! On aime charger ! on veut toucxhezt à cette Déité aux données ancrées sur terre de pré post-mort allouée ou comme donnée. On est RICHe ! RICHE EN VRAI XDE VERBE DE FÉE ! 

on est la fée des prés sachant parler le  erbe lacté ! verbe vif aux données tracées comme à main levée sur roche des fées  (groote vide). On veut vivre ! charger et louer, cerner et toucher, comprendre ensemble ce qui est qui (qui saéit) pourrait en vrai nous expliquer un certain nombre de complexicités et autrtes sentiments de vie comme ancrés en noxs vies chargées (toutes) de données diverses et variées de type denrées ! vives ! dons de vcie sur pré sacré ! On veut vivre ! aller et donner ! comprendre-allouer à une fée lkes données des rives, ce qsui est qui nous fait vivre et traverser le pré, la prairie fleurie , lle champ de blé, terre aux dsonnées données et autres prés acclimatées, à nos vies (ici) de fée saluée. On est la Fée des prés cendrés ! on est fée des prés sacrés ! On veut :

TOUCHER , TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER , TOUCHER , TOUCHER , TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER, TOUCHRR en vrai à une vérité actée = physique = vraie , de type entité , roche des prés, grotte insoumise, traveréseé de rive et entrée ! On est née fée surprise ! sur paroi de rive, chjahutée en vrai mais nous voilà entrée tête la prezmière en ce pré aux herbes, vertes, grasses, à bvrouter de rage ! Vives ! fées vives ! on est comme colléesz à u,ne sorte de contré, sur pré aux données actées cendrées sacrées qui nous attirent vo:ontiers et nous font rêver ! On aime tracer (ici : roche aux bêtes des prés) des bêtes des prés ! On fveut : 

Colerr ! situer ! cerner ! centreer ! pister ! comprendre ! vivre ! tuer ! faire voeu de chasteté si tant est ! vi

der et combler ! situer la rive, l'autrte rive, le muret, les finalités (rocheuuses) de fond de pré, muret des mureets, charge profondxe, sentiments exacerbés en termes de hjoie profionde du fait qu'on est passées, qu'on est pas mortes comme est motrt l'homme, au pa ssage, affirmé, afffiché, tracé, sur roche de grotte ! mort est l'homme (et enterré : terre soumise, pré, herbe au piquet) quand (nous) on est passées ! on a (nous : femmes du pré) réussi à passer, à travers la roche, sa&ns succomber, démultipliée on dirait, ailes de fée, on est nées ! on est  gravées ! ion est tracéesz ! on est passées pour ainsi dire par la grande porte , pour tracer = sillonner la roche , bêtes de trait / de somme on est, qui cherchons : lza Chose profonde, = véroités ! vérités du bout du monde ! salub rité / insalubrité tout le pa quet ? on ne sait mais on colle , l'insalubrité à la salubrioté ! bête forte on est née ! fée ! bête de roche = fée ! fée des ombres mortes (hommes) sur pré ! morts et enterrés les hommes, sont de l'herbe  verte, traits de reste, chants fleuris et aiutres pissenlits sur terrre glaise ! hommes est mort et enterrés, sous nos pieds de fée (post-cimetière) ça lke fait ! on veut toucher à ces données rupestresc sans tarder, car on les aime, elles nouys intéressent , elles nous plaisent beaucoup , nous observcent peut-^ttre, nous interpellent (?), nous font signe sans trêve de bnous, pour le coup, porter, près d'elles, à genoux, ou zinon à genoux debout mais "rupestres" ! On les aime ! on veut gravir ! o,n veut grimper ! on veut s"'élever ! toucher lesz nénés ! toucher grave les nénés de l'être ! sang vif  va dans le vif tracer les mots ! on veut :

triturer ? les dooonéees placides ! gravir = monter = se haussr = toucher aux données qui sont données des hauts ! On voudrait ! on bveut toucher ! on voudréit en vcrai gr ave nous télécporter vers ces divinités ditrs "sacrées" qui seraient postées au pluys haut des hauts de ces données offertes (en vrai) par .... une Divinité Concrète ? iune D2iuté DEs cours d'eau ? Post-cimetière concrète ? cours d'eau des prés en nherbe et autres prairies celtes ? On chercvhe ! vgrave ! ce qui est qui va et se présente  à soi = nous = Fée ailée sur roche sacrée ! fée ! fée ........................................................................................ fée dees fées sur pré ............................................................................./............................ fée des fées sur pré en herbe ........................................//./..........//./?.?.....................................On veut touycxher à cette DÉitÉV post cimetière si tant est = si tentée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! = fée des fées  on diréit ou qauoi ou qu'est-ce ? Vérité ? vérité des Vérités ? ça se pourrait ! on aime ! on veut toucher ! on veut grave touycxgher à cette dféité-déessse des contrées genrées , fdée en herbe peut-être, déesse  à jamais touychée ? qui sait ? ailes en vraie  szur herbe et ça le fait ? on chercvhe ! on veut trouver ! on cherche alertes, on a en vrai méga-envie (ensemble) de trouver, dénicher ... le VERbe ! le VErbe szacré ! Verbe en herbe, Verbe des prés, Verbe-herbe à brouter = .... lait ? lait des Fées post-cimetière non genré, qui s&it ? On est (on veut être) F2e ! F2e des prés ! fée genrée ! fée donné ! fée sur pré alloué à une sorte en vrai de vérité sur herbe , genre   son de base alloué à une ropmance et autres musiques dotés de basses ! On est nées ! musicalité des données genrées ! on avance ! on trait = on traite ! on veut cfomme toucher à une vache à lait (traire) et l'aimer , de fait, pour ce qu'elle est : du Verbeb ! herbe tracée ! cxhant des prés ! amitiées sincères ! On éime toucher , ici mêmùe (pré) à cettye Déité-Sommité_ D2esse -Princesse des données en herbe ! pré ! pré ! pré des fées ............................................................................................ on nez veut pas se laisser faiore maéis aller, foncer, toucher à ces nénés, téter, touchger la terre, toucgher terre, être sur pied la bête téméraire sachant lutter, tenir ferme, ne pas flancher, couler peut-^tte mais sqans sombrer, homme surnuméraire sur pré aux herbesv de type Verbe, du fait quy'en effet, l'herbe est du verbe pour qui sait brouter ! Homme des prés, mort-né, devient Ailes de F2e au passage svelte ! On est mort né ombré ! On est l'homme mort-né la mort actée , quand la FEmme trace traéitsq sur traéiots, du fait qu'en effet, elle devient Fée du fait qu'"lles (deux femmes soudées, accolées) forment ou vont former les ailes d'une Fée, D4une "fée des fées" post-cimetioère ! On aime ! on est la fée des prés sur pied, on volette ! on veut voler = s'envoler ! s'aimer ! se toucher ! baiser ! coller à une Sommité de Roche ! bêtes-fées sur pré aux herbes données sachant voler ou s'envoler ! On est la fvée du pré aux herbes vertes pouvant a&limùenter qui la bête qui la fée ou même (peut-^ttre) les deux, du fait q'elles sqont (de fait) bête-fée : fée-bête sur pré aux nénés ! On les aime ! on aime coller ! .................. touycher à la bête ! nous coller à elle et y aller ! cxhaerger sur herbe direcvtion le muret, fond de roche des prés ! mur  / muret des données ultimes associées à une sorte de rive genrée, rive ultime aux données ancrées de type "véerités" à propos de la mort telle qu'envisagée". On Veut Toucher = donner = faire = craindre = allouer = feindre = conserver = graver un c ertain  nombre de données dsonnées (ici) post -cimetière, et nhe plus traîner mais tracer (en vrai) ce qui est qui est, à savoiir  ................................................. l'HERBE

L4HERBE DES PRÉS SUR TERRE ALLOUÉE À UNE VÉRITÉ CXHARGÉE ! ON VEUT TOUCHER = DIRE = FAIRE = CHANTER = COMPTER = CONDUIRE = FAIRE, CE QUI EST QUI EST qui est le  verbe des données donné"es ! On veut akler  = donner, = faiére  = dire et oublier , ou ne pas oublier,; et du coup tracer, ou bien dire-toucher, ou coller-dire ce qui est sur roche allouéeà un dire concret,  . On est fée des prés ! bêtes de rive ! on veut traverser , de féit, l'ultime muret, le dernier avéré, la frise, les données gravées, type animaux des prés, dessinés -gravées par quelques gentes néandertaliennes des temps (passés) reculés. On est née ! fé ! fée des prés ! xdans la mort actée ! avérée ! donnée par ... qui sait qui en vrai ? on est : 

la fée vive !

frée ancrée sur rive de pré ! 

fée aux données vives sachant tracer ! On veut grave tracer, toucxher, coller, donner, conduire une sorte de 'attelage vif, jusqu'aux confinds du pré alloué à une vérité dite "remontée", "active", "travaillée", chargé de données " comme autant d'offrandesb à Déité. On veut aller sur piste, gagner l'aUtre Rive, l'Ultime Muret, le toucher, voir ce qu'il en est, est-il possible de le traverser à notre guisev? piouvonsz-nous pâsser ? où donc dès lors se treouver de fa&it si ja&mais ? On veut :

PASSER, VIVRE, TRAVERSER LA RIVE, LA NUMÉRO DEUX POUR AINSI DIRE ! VOEU PIEU ? on veut coller, à cette rocxhe des données fi:nales, un sentiment dit "de façade" ! concrétions nomades ! fruiits de la raison ! bananes ? on veut ou on voudréit (selon) aller ! charger , faire excprès de nbous approchezr , en vrai, d'un treacé dit "des finitions" (des finitudes) et regarder, voir de près, chercher à cerner ce qui est là qui se tioendréit pour soi, pour e^tre comme "visionné", , touché , cerné, pris (pour le coup) en considération ! On veut toucher à c ette D2ité dite "des Contrées Sa&uvages" ! On veiut ça de rage ! Toucher, toucher, toucher, toucher, toucher = faire toc , sans cesse, sur paroi de grotte  ! creuser = graver ! dessiner (les bêtesq des prés) à main levé sans s'arrêter c'sst un fait ! fait des prés ! on vgeut en vrai toucher kla roche (aux données profondes !) sans traîner = sans lâcher !c  reuser ! creuser ! ne plus s'arrêter de creuser ! creuse que tu creuserasv  à kjamais sans t'arrêtter de préférence (ça le feraoit ! qui sait ?) et toucdhger (en vrai) à la rOmance ! aux donnéezes actives ! Romance non rance ? ou roma,nce au contraire rance ? On aime le pré, les bêtes de charge", le travail (de sa&pe) d'une Voisx, d'un coprps de femme sous paroi, femme + femme =  VOix de RAge = Fée = trace ! On est remontées ! dr(ôlement remontée ! de Rage, du fait qu'en effet, on peut dire ça, on est (da ns la mort) ,nées Fée = AMe , âme en vrai ! äme (non homme) : äme sur pré alloué, à une sorte de ... 

carrosse ? carrosse p^rincier , pour Fées et auttres Déesses des contrées de Baise (?) visitées : qui sait ? Fée .............................................................................................................................

..............................................................fée des fé&es surnumreéraires post-cimetière on dirait ..........?............................................................... on bne veut pas sopmbrer mais dmeurer, demeiurer fée post -cimetière en vrai ...?.?...................?........... et toucher du coup à cette Déité Derrière (dernière) ......./...././/...........././.................coloer , coller, collmer, coller, coller, coller, coller , coller à cette fin (finalité) de roche tracée ! chargée ! trait des traits ! ion cherche l'entrée (la sortie) de tête ! où elle est ? Qui le sait ? qui sa&it où elle est ? qui cfonnaît ? qui cfopmprend ? qui veut toucher le s a&ng de la bête allègre ? quyi veut de fait toucher le sang de cette bêye de paroi de Rage, Paroi des Parois et on voit , on entre, on est dans, on est accolé&es, sur pré, on sent bioen des choses se tramer qui nouys "intéressent" de fait, m ais .... commejnt dxonc arriver à 

traverser la Roche dernière ? l;'ultime muret ! ? qu'r'st-ce qu'il y a derrière  et comment l'atteindre ? Des données de rêve ? des deniers ? Somme de traite ? 

"somme due fait la chose connue" 

? On veut en vérité aller = toucher = dire = faire = contraindre = colmlmater ! On veut :

passer la tête

traverserr à j&m ais

essayer de regarder en vrai ce qu'il y a derrière

comp^rendre et du coup cerner et du coup relater

mettre un doigt (qui sait ?), ou deux, dans (ici) la fente 

toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher !toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! rtoucher ! toucher ! toucgher ! toucher ! toucxgher ! toucher ! toucxher ! toucher ! toucher ! toucher ! touchert ! toucher ! toucher en vréai ! en transe , les données, dees rochesq gravées, roches doctes, vérités ancrées en ronds de bosse, villosités, concrétions de poche, tracé vrai, chants Corses ! On est njée Fée du fait qu'on est ... mort ! l('homme ! l'homme (de fait) décédé , laissze a&ller Elles , de son corps terré, Vers l'air et la lumière dx'une sorte de pré alloué aux bêtes, bêtes (donc) des prés = betes de trait et ça le fait ! fée ! fée ailée = vache à lait, tracé gravé, bêtes sur rocxhe dessiné par l'etre des temps reculées, sachant graver, dessiner de tête, les données en herbe : délicateesswes, vérités nacrées, chants lestes, déploiements de liesse, traits affirmée affichés en tant qu'il s'agiraéit de dieu et de déesse soulevé,es ! ça gfait son effet ! On aime toucxher ! grave y aller pour de fait toucher à cette sarabande ici dessinée comme p ar la bande ! On veut :

TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER , TOUCHER ENSEMBLE = À DEUX (DEIUX AILES) POUR UN "MILIEU" , DE TYPE 

Mât de Verbe ! oh, 

la cxhose ! les données en herbe ! On veut ! on veut (grave) un peu de sérieux ! on veut en avancer de bnotre mieux et toucher l'herbe,, du mieux qu'on peut. On est Femme au milieu de l'herbe, fée , felmme fois deux forme  la Fée ici comme touchée , certnée, vue et connhue./ On est les femmes = xdeux moitiées, formant fée en herbe ! fée des prés squr herbe , cxhant sacré, on plaide ! on veut cerner, donner, coller, allouer à un peu d'herbe une défeznse agraire ! plaider = toucher = dire = remuer = contrer, contrer les sentiments contrzaire à une vo:;onté de plaire, complaire, toucher. toucher terre ? On aime ! on veut , ..................................................................... toucher terre ?.................................. Re ? ............................................................................................................................................... = p^laire ? ................................................................................/....?.............................................. plaire grave , complaire, toucher, comprendre , prendre, emporter ? ..................................................................................................qiiu de quyoi en vrai ?....................................... qui on est qui aloons sur herbe en termes de données données, qi'on serait , qu'on serait en vrai post-cimetière (soit une fois mort-né !) .... ,? ............................ qui on est de fait ? Des fées ? dans la mort donnée on seréit (et que ça) fée ? seules les fées a&uraient pour le coup gain de cause, à genous, au beau mil:ieu des ronces, touchées blessées mais les voilà qui osent, pousseent, franchissent, traversent les choses acides, les données rudes-dures en termes de chahut, mais bon ... elles sont rudes, dures à la menace, tracent, forvcent, passent , passe nt la roche, passent accolées la roche des Bossees, et du coup treave"rsent (elles !) les données gravées (cohorttte animaliè!re néandertyalienne) pour se retrouver (voilà) de l'autre côté, côté toundra , pour toucher à cette Déité de l'au-delà de la paroi, à savoir ... Le Trait ! Bete de Tréit ! lma Somm e ! Bête de somme ! bât martial ! bât des bâts et la voilà qui va , court et vole, fée dans l'au-delà de la Parole Docte. Toundra nous vopilà ! On vol:e ! va ! vient ! court ! ose ! charge et puiqs voilà ! On est là et bien là ma foi, ça y va ! On est

 femmes Fortes , formant fée de ROche ! Colle ! colle des nénés de l'ombre ! colle ! colle sur roche ! colle des données de lm'ombre (homme) dép^lacée ! On est femme des prés = données ... vivement données ! Données dfoctes ajourées, centrées, posées en corolle, prêtes à être traversées en vrai par (zqui sa it ? ) la ... pArole Ombre ? vie des vies chargées ? Herbe folle ? Verbe oté ? vie traversée ? On cher c he la Somme ! total drôle ! Les données ! CE qui est qui est de fait derrière la Roche , les donn"ées profondes ! charge d'ombfre on est comme concernées par ici la Chose comme qui diraiot "profonde", les données de roche , les données données d'une roche gravée aux temps reculés. On veut :

TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOPUCHER, TOUCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TYOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCXHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUCHER, TOUCXHER , TOUCHER, TPOICXHER, TOUCXHER, TOUYCXHER, TOUYCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCXHER, TOUCHER, TOUCHER , TOUYCHGER, TOUCHERR, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOYCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUYCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUYCXHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCXHER, TOUYCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOYCXHER, TOUCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUCHER , TOUCHER 

ICI  à ce qui est qui nous rzegadfrde ou nouds regardrerait sans cesse, cette Déioté dite "des pr"és", déité-Princesse aux données données  : qui est-ce ? la Donnée des r^ves ? Le sommet des prés ? L'amiooureuse asexuée ? LE doigté ? L'herbve ! L'herbe genrée ? Le pré ? le pré en herbe ? loa donnée de glaise ? F2e ? Fée aux données ancrées qui semblezrait vouloir toucher à une vérité des terres brûléesc? On cherche ! On erst accolées car on est les ailes de la Fée ici téméraire, surnumérzaiore, saluée, aimée, considérée du fait qu'elle est la Fée des F2es consacrées, adoubées, aimée et même adorée du fait qu'elle est .... "belle", "belle bête" adulée, la des = la Bête des prés, celle qu'on aime regarder brouter, VCache à lait ... "Super" !! On est accolées ! collées ! on tient par un trait ! trait de verbe entre deux ailles qui sont ailes (au débotté) d'une sorte de Fée Singulière. A12iles = Elles = Femmes = Fame censée ! On l'aime ! on aime (grave) la fée (ici) post-cimetière ! le tracé ancré ! charge primaire première printanière sur pré ! on éime creuser ! chyarger ! toucher l'herbve ! foncer de fait vers les données dernières, fond de préb = terre-verbe ! on nait ! on nait fée à la traversée (printanière ?) des données données ! AAIles = ELLes = F2e = FEmme = EFFE = F2ée des herbes vertes = données données = fAME en vrai ,; du fait que voilà, c-'est ça , on AIME grave kla paroi = on grave ! on aime la Voix ! le pasdage "strange" d'une roche de choix (sous tente) et on y va ! on ne traîne pas ! on avance ! on veut ça, la chance ! la Paroi des Rois et reines de la chance , des tracés de base et autres treaits de vérités  plaisantes. On veut toucher = dire = donner = comprendre = soulever = cerner = composer sur roche , qui un bouquet, qui une sorte de tracé des prés, qui la chose des Bosses et autres Ronds $"bien dessinés" du fait qu'on est nées, de fait, comme soulevées, sur paroi de roche, ainsi accordées ! On veut coller à une sorte de divinité des divinités ! On est femmes des prés devenues Reibnes à jamais souverainesc. Femmes-bêtesx= traits de chaîne ! chant des plaines ! on veut tracer, c'est-àdire aller (en vrai) au plus possible loin en cette rive ! traverser ! tracer = traverser ! traverser = treacer ! définir ! couler ! choquer ! permettre une sorte qui sait de traversée des monts dodus, des plaines cossues et autres bosses surdimensionnés cvomme sezraient peut-être ... dxes nénés de rêve ? nénés au vrai lacté / don alloué ? On cherche ! on veut ici toucher à oui, qui sait, dezs sortes de nénés qui (peut-être) seraéient des êtrtes, des données en vrai, dons de chaînes, vérités lactés ça le fezrait ! On veut en vrai aller toucher à pour le coup ce genre de néné ... lacté ? qui sait ? qui sait de fait en vrai si ces nénés pour le coup sont (ou ne sont pas !) lactés ? qui saurait ? qui pourrait nous indsiquer, nous aider, nous dire, nouys parler en vrai sur ce qui est qui serait de fait la Vérité des Vérités? O, n cherche "avide", bouche bée, ce qui est qui est ! du lait ? hé, ça le ferait , c'est un fait ! ça le ferait en vrai ! ça pourrait ! On a méga-$envie pour le coup de toucher à ce qui est, ici, le pis ! pis de la vacxhe en vie ! dans la mort vous m'avez comprise ! vache en vie ici, antre des données données, de la mort actée, des dessins de charité, des buffles et buflettes allouées à une roche grise et autres oursonnes aux données données dites de "vérité comme s'il en pleuvait". On est la Fée de fait insoumise ! fée des fées caliibrées,, chargées, comblées, touchées . On est Fée des données tracées, dessinées à main levée par l'être des temps reculées de type néandertalien , l'être, néandeeftlienne, l'êtresse, aux vives clartés et autres lumières offertes sur pré ! On veut toucgher la Terre Promise ! vivement l'éteé ! le soleil de mise ! la vive clarté des données acqyises ! On vgeut aller = dire = charger = combler = faire = cpoomptendre = jouer = perdre = gagner = dire = baiser = bander = toucher = vivre = allouer à une sommité une szorte de vérité qui serait de fait la vérité des véritésc admises par, on le sait, l'Ultime, Le dERnier, La dernière des Données Acquises, Fée treacée, Déesses sur pré on dirait La Vie, Vie des viescomme humanisée, Personnifiée, chargée de mots des prés = alimentées = soumises à une sorte de becquée  ! On veut toucher à volontéb l! toucher de chez toucher ! la Chose Montrée ! muret ! mur des ASsises ! Charge acquise forme les données d'une sorte (ou d'un semblant) de Vérité déposée sur rive ! Qui on est ? qui donc on est ? en vrzai on est qui ici ? ici mêmùe sur pré on est qui qui saurait de fait les chosesq ce qu'elles sont pour ceux et celles qui passent le pont ? Qui en vrai sait ce qu'il en est ? Ce qui advient, ce qui te,nd des bras ? qui connait les données finales , terminales, chants de Rage ? Qui connait en vrai par où on pourrait, ensemble (ailes) , passer sans dommages ? Le muret

Le muret sur pré

Muret des Murets 

LE trait sur muret

On dirait un trait 

On dirait que, sur le muret dit "des finalités", il y aurait un treait ! une fente ! une sorte de porte de chambre ! anfractuosité patente ! ce trait ! cettre sorte de trait de chambre ! ce passage par où peut-être ensemble paszser, afin de s'y loger inscessamment sans "y passer" de préférence. trait de charge ! tra&it de base ! treait teracé ! trait des enfances, des donné&es profondes saturées, xdes données romandes. O?N veut coller = colore r = donnner = prezndre = soutenir = tenir et toucher = faire = plaire = sonder = situer = pousser = dire ce qui est qsui on dirait chgercherait à nous pousser à terre, à nouys faire chuter autant que l'on est ! mais on tient ferme en tant que fée ! fée des herbes des prés ! on est des bêtes, bêtes-mots de poids et masse a:louée à... du Verbe de Plaine. Fée on est sur paroi, puis passé la paroi, sur pré centenaiore voire millénaiore. On veut toucher à une Déité de derrière ! De de"rriè§re l'ultime Paroi, le muret, 

des ëtres Collabés. On veut toucher = treaverser = pousser = donner = plaire = chercher = contrer = centrer = situer la Chose sur terre, les données deonnées et autres bêtes agraires surdime,nsionnées, de type : 

buflettes, oursonnes dorées, phacochères simplets, faons accolés à une roche imberbe, chevaux d'oc et juments celtes, bouquetinnes -canassonnnes, lionnes et lions de Bosse, teracés vrais genre croix de Roche, trublionnes et vives clartés allouées à un semblant de trait par où qui sait pouvoir passer la parole docte (si tant est !).

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17/10/2024

On entre ensemble = on fait corps = on est Fée ! Fée des Noms de Rage, Chapeautées on entre ! on est nées ! on est ensemble comme consacrées = collabées et on enttre dans l'anttre de la Mort en acte ! On cherche ensemble ouiiiiiiiiiiiiiiiiii , à comprendre = cerner = entourer = détourer = contenir = dessiner la bête dite "de paroi " et autres bêtes-mots de choix ! Onn est FEmmes Fortes = Hommes nés (sur Ombre) mais ... comme déboutés ! et Homme débouté perd pied; , 

meurt docte, et Deux (F) sont nées, qui vitupère,nt ! On est nées de RAge dans l'antre ! On est passées ! on a traversées à la nage comme qui dirait la ... place ? Plage ? trappe ? On est passées ! on est nées de rage sur ici le Trait d'un passage inné ! On veut cerner = toucher = dire et comme soupeser un certain nombre de données de base, données des données qui semblent ou sembleraient nous indiquer (peut-être) par où passer , car oui (en fait) : par où passer   , ezn cet antre des fées ? Qui est qui ici ? et qui nous observe ? oN cherche ensemble à mieux comprendre ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait, on cherche à pour le coup cernbner les bases d'une traversée "' à lza unre à la deux" à travers ici la Roche des Fées. On est nées sur herbe !

 on trace vif ! on veut touchert à ce qui est, peut-être, en matière de ... néné ? qui sait ? On est entrées , du coup on regarde ! et ce qu'on voit ici nous donne à penser, ou nous p^$rête à penser, ou m^reme (oui) nous prête des pensées qui sont pensées post-cimetière, penszées (fortes) d'ombre, vives pensées des traits sur roche, ombre d'ombre. On est nées Fée, parce qu'on est (dans l'antre de la mort en herbes) nées , ensemble, à la traversée, comme encerclées . On veut toucher à cette sorte de paroi des féers, "paroi folle" on dirait , du fait que oui,des bêtes de rage ici font face, nous matent, nous regardent bouger, nous insérer, e,nttrer, nous blottir l'une l'autre pour peut-^$ettre en effet former "un e fée" de type "pelote". On est nées sur roche et nous voilà comme considérée,

 par ici des bêtes de belle prestance, pesante, lourde de leur pas donné. On est comme soulevées, en transe, pour former fée ! fée des fées on en redemande ! on aime traverser la lande et nouds porter au plus lopintain 

qu'on peut regharder, ensemble , soit 

là-bas le chemin, 

la pierre de base, muret ! mur d'enceinte claire ! mur ou muret aux données dernières ! on veut passer ! on voudrait en Fée (ainsi transformées) si possible passer ! passer ce muret aux données de base ! On voudrait ensembvle (accolées en fée) passer, traverser, encore une fois traverser un muret ! traverser de raghe et co:mprendre "à la une à la deux " ce qui nous attent ou qui nous atttendrait de base après ! Ce qui est ! ce qui est apr(ès ! ce qui nous "narguerait", qui sait ! Ce quyi est, qui nous attendrait ferme (ou pas) derrière ! On cherche à nous portetr nous-même, au plus lointain qu'on puisse, accolées , tracer, marcher sur la lande vers ici ces conttrées de bout de bout qui nous "reg arderait" sur pied aller, tracer, marcher, sauter ou sautiller, voler ou voleter (on est la fée des om:bresg) et, du coup, nous rapprocher de ce fameux muret de conttrebande, mur alloué à un dernier (qui sait ?) passage sur lzande ! on veut passer ! on veut, en tant que fée, à nouvrzau passer, de grâce ! on a en vrai méga-envie sans rire de passer, à travers la lande puis le muret , de l'autre côté : qui y est ? qui habite ou habiterait de l'autre côté de pareil muret dit "de contrebande" ? qui donc nous voit de fait, entrer et courir, charger, voler ou voleter de Rage sur parooi ddes äges  ? On veut (on veut grave) tracer ! vivement aller ! Charger, tonitruer ! consacrer toute notre 

énergie (de rage) en cette chose d'une vo:lonté (ancrée) de vouloir ALLER , ALLER VIF , en cette sorte de muretdes charges, et du coup .... pointer son nez, comme qui dirait ! vif et ancré ! nez porté ! entre les nénésc? nénéd à lait ? on

 en redeamnde ! on disait ? On entre ! on est entrées ! on est entréescensemble, accolées (main dans la main) o,n disait, et nous voilà de fait qui formons Fée , Fée des données données, Fée des landes et autres prés habités par ici des bêtes sur pied ! On est nées  sur herbe ancrées ! Fée ! Fée ! Fée des fées ! On est toutes transformées en fée ! on était deux (deiux femmes ou filles : F) à la traverrsée, nous voici unifiées ou comme unifiées en cette sorte de 

"Fée des Rages sur pré" qui est "Fée de base", fée des Fées sur place (lande) . On mate ! on regarde loin les données données. On veut de fait en  vrai nous avancer vers ce muret quyi est muret dit "de contrebande" à ce qu'il parâit. On nen avance ! on avance. On veut toucher à c e muret aux données données données de base et du coup comprendre en  vr&i, p ar oùu passer "ensemblev " = asso ciées, de confiance - coonivence, a ccolées = F2E ! Fée des fées et on entre ! on veut enttrer ! on veut passer la Porte de s Données, donnéesde RAge ! On veut (grave) traverser, la Roche Finale, et du coup voir-comprendre ce qui est de l'autte côté ! Est-ce : une sorte de mer étale ? une plage aux galets ? un remou de base ? du glou

 glou comme s'il en pleuvait ? glou glou des données bruyantes ? une Chance  ? un e sorte de CHance Allouée à une Vie Passée ? charge de Fée ? Donnée tendre ? vivavacité des données vivaces ezt autres vie de rage ? vie vive, des données données finales ? Une sorte ici on dirait de vie nouvelle ? vie novellisée ? On regarde le pré, le muret au loin, autour de nous des bêtes (dites de poids) broutent, qui sont bêtes des données (brutesz) telles que rencontrées ci-devant sur pré à notre arrivée. On veut : 

TOUCHER ! TOUCHER ! TOUCHER ! TOUCHER  ! TOUCHER ! TOUCHER ! TOUCHER ET ENCORE TOUCHER LA BÊTE DES PRÉS ! ON VEUT L'AIMER ! ON VEUT GRAVE AIMER LA BÊTE DES PRÉS ! ON  VEUT GRAVE AIMER, ALLER , TENIR, CONTENIR, FILER, DONNER ICI OU LÀ DU SIEN POUR COMPRENDRE ! ALLOUER À UNE SORTE DE ROMANCE UN SAVOIR ANCIEN NÉANDERTALIOEN ! ON VEUT COMPRENDRE = TENIR = FRÉMIR ! On a méga-envie ensembvle de :

toucher grave

toucher menu

toucher vif 

toucher le cul des bêtes de rage, ici présentesv : buffalo ! bêtes-mots parmi des bêtes-mots ! on est ensemble (deux) qui voulons comprendre , ici même (pré) , pareilles bufflettes et autres bouquetines surdimensionnées ! grave ! surdimensionnées (on dirait) ça charge ! dinguer(ie de rage ! on voit ça en transe ! On est nées ! Fée ! fée  ! fée des prés on en ava,nce dans les connaissance car voilà, on est passées ! on était deux (en vraéi) à la traversée et nous voilà qui sommes passées , ensembvle, accolées, faisant corps sacré, corps des ombres portées on est nées de rage, vivantes, vives et comme soulagées de nous voir accolées au passage, nouées, soudées, faisant 

corps de rage pour être (on le sait ) à présent la fée, Fée des prés, Fée des données données et autres mots de contrbande. On est passées ! On regarde. On veut comprendre. On cherche grave à comprendre znsemble . On a super envie ensemble de comprendre  ce qui est , qui se présente devant nous comme à la parade, bêtes-poids (de base) au débotté, mots-charges à l'arraché, bisonnée des données prégnantes et autres buffleries tracées ! ON veiut toucher à ces données telles que rencontrées à notre passage, dès l'entrée (notre entrée) en ce paysage aux vives données (dites "de contrzabande") et autres données (dites "de rage") comme s'il en pissait au passage (à 

nottre passage) . On veut ensemble ici comprendre si possible ce qui est qui nous regarde ou nous regarcderaé&it sans sourciller outre mesure. On a méga-renvie ensemble de tracer qui des données, qui des mots de rage, sur paroi de face, et nous porter de fait au-devant de nous jusqu'au bout du bout du pré alloué à une vérité. On est nées fée au passzage chelou d'une sorte de paroi "des fous" . On veut ou on voudrait 

ensemble accolées et soudées comprendre ce qui est et (aussi) ce qui n'est pas, en ce pré aux fées, aux bêtes de poids et autres bêtes-mots dites "de p aro i". Qui on est ici qui cxherchons la clé, la clé allouée à une sorte (peut-être) d'entrée (de rage ?) dans un antrte dont le nom (attitré) est ... F2é ? Fée des F2ES ? ou bien autre chose ? et si autre chose : .... Qioi donc ? 

On entre ! on veut grave ensembkle et sans traîner entrer soudées, accolées , afin de ici cerner-cfomprendre les données primaires, secondaires et autres données parmi les données de fait rencontrées posst-cimetyière. On est nées de base accolées car on est passées, on a traversée la paroi première, on est dans un pré (paradis terrstre ?) et du coup on traîne ... 

ou plutrôt non, on trace, on avance , on court on vole ensembvkle, on fait corps ensembke pour, de fait, former La Fée aux données de base, celle qui connait (ou qui connaitrait) l;es mots adaptés cfoncernant la Chance ! on est nées fée ensembvle dans un pré : la Chance ! Voilà ce qui est ! On avance ! on trace ! on veut toucher à une Sommité, de  tYpe : Bufgfle à l'arrêt, Buflette des contrées de l'herbe et autres Bêtes de bon poids bon oeil sur pré de Vezrbe ! On est nées Fée du cfait que (dans la mort) on est nées ! on a traversé la Donnée Première, le Passé, et nousq voilà comme consacrée (en vrai) par( une bête , Par la Bête, ici, au cran d'arrêt ou ... comment dire ? l'allouée ! l'Allouée Première sur Paroi de ROche, LA BHête Tracée "de Belle Haine" , Chargée ! collée ou accolée ! la Bête des bêtes du pré, j('ai nommé .........../....................... Aile ! Elle ! La des bêtes-mots ! La bête ici des bêtes de  mots ! Beête-mot post -cimetière = ELLE , BËTE-POIDS (de RAge) accolée , on regarde. Qui c'est ? qui elle est ? de" qu'elle bête en vrai il s'agirait ? Eh bien .... peut-être ....d'une bête dite "de trait" : bête allouée à une charge. Bête de bât, somme, trait de Roche : on voit ! on voit ça la Horde ! On veut (grave) en avancer, ensemble, en ces connaissances de roche et du coup aller, croiser, filer ensembkle jusqu'au bout du bout de la paroi Sarde (sarde ? ) poiurquoi pasz ! on est entrées ensemble pour former La Fée aux données de base (= la ch a,nce) et du coup, on est nées fée ! on est nées en tant qu'on s'est, ensemble, transformées c'est-à-deire accolées, soudées , pour former en vrai cette Fée des passages, ou dite "des passages", fée des fé&es telles qu'il en existe "dans l'adversité" on dirait . On veut touchger de base à la roche finale, travverser le pré, aller jusqi'aucx confins des 

données prairiales allouées à ce tracé de base, à pareille marche. On veut 

toucher = tater = boire = téter. Tater = téter , et téter = tater. On est nées sur pré de base fée , du fait qu'on est nées (ici même) accolées ! soudées ! comme soupesées ! On veut de fait cer ner ce qui est qui nous regarde ou nous rtegarderait en face sans s'arrêter. QUI on est ? Des fées = femmes accolées ;! formant fée des prés( l'homme est du passé ! n'étzit pas a ssez ! est mort-né dans la mort actée ! bien fait ! ... il était rosse ! °). On est  fée de bosse  ! tracée ! chargée (ou comme chargée) de faits dibvers, appointements, massages et autres creusesements à main levée en transe sur roche gravée (ou dès lors gravée ) . On est DESSINÉES ! obn est, sur pied , dessinées ! gravées ! sur rochje amllouées ! On est tracées à main levaée ! TRANSES = trans et trans = transformées en sorte de F2ée

 de roche rude ! transe et comme transformées , en transe comme transformées ! On est passées ! On voulait en vrai traverser chelou la roche tantrique, eh bé c'est fait à ce qu'il paraît ! on a pasdsé le Temps Donné, La Rage des Contrées, le "Salon des bases". On est entrées toutes

 remuées accolées en forme de fée ! transe ! transformées ! transformées (en transe) en fée, du fait que oui en effet on est passées,; on a rugi ! on a crié "ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiuiioooiuiuiiiiiiiiiiiiiioooiiuiooiuiooiuuioiooiiiiiiiiiiiiiiiiiiiooioiuuoioiuioiuioiuiooiiiuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiooiuioiouoiioiuiouoiioiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiuooiuoouioiiiiiiiiiiiiiiuuiiooiuioouiuiuiooiuiiiiiiiiiiiiçiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooiuoiouoioiiiiiiiiiiiiiikiioooiuioiuioooiuuioooiuuioiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooiiuioiuuiooiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! oui ! oui ! oui ! comme quoi voilà, on avait encvie, en vrai, de passer, cerner;, pousser, entrer, renttrer, comprendre où on est ensemble, qui on est ! Qui on  est ? qui en vrai on est ? Est )-on (seommes-nous ) fée ? fée des fées à la t§raversée chelou ? qui on est en  vrai ? fée des fées chelous à la traversée ! Une fée = une Effe = une Femme allouée à un pré = femme-p^ré ? femme aux prés ? femme sur pied va et vole haut = monte ! haut de chez haut! vers ... sa tombe ? une tombe ? tombrerau ? Chaud devant ça monte hot ? On est comme défaits,  et, de fait, on est (ensemble) retracées (ou comme retracées) sur roche ... en tant que fée ! frée docte ! rose ! allouée à une sorte de tracé de roche : antilope ? On monte ! on monte tout en haut ! on veut haut monter hot au chaud ! monter haut ! On est la Fée des Hauts de ROche ! chalumeau ! on monte ! cerveau ! on veut coller à une roche aux données hautes, les plus hautes des données "hot" ! On veut touchert = cerner = dire = 

contrer = faire et aller, vers une sorte de tr acé dit "des finalités" mais e,n vrai on ne sait pas vraiment , où trouver icelle , pour le coup, parmi toutes celles (finalités) prioposées ou quoi ou qu'est-ce ! On est entrées accolées femmes (deux femmes) pour former la fée, la fée-néné ? on ne sait pas ! on trtrace ! on charge ! on veut tracer-charger la bande des données profondes et autres bvérités de roche. La mort qu'est)ce que c'est ? une sorte de contrée ? pré/ Prairie aux ... pissenlits et bêtes-force ? Et après ? après ?? la ruée ! l'ombre portée sur une roche nouve"llement créée pour en vrai pour nous pouvoir passer encore et du coup toucher à une sorte de donnée "de bout du monde". Ok, mais, cette donnée "du bvout du monde", qu'est-ce que c'est ? c'eswt, comme qui diraéit, ............ la Roche ... aux nénésb ! Nénés hé hé ! Les Nénés nés au frais d'un passage alloué à une traversée dernière ! anfractuosité du cimetière , une jetée, une soerte de trait de roche par où du coup  passer le nez , la tête, le cortps entier si affinité

 et on y est ! lumière ! salubrité ! chants clairs de terre ! cavité dernière ? ou bien plage dorée, mer soudaine, ressac sur bière et autres bruits venant de derrière" ? On veut (en vrai) être celle (ici) qui baigne ! qui, dans l'adevarsité des lumières braquéesz, baigne ! va ! vole ! sert ! souflle ! chante ! donne ! donne pour le coup de soi = d'elle ! on y va ! on est née fée de fait pour p

âsser et tracer et rejoindre la jetée derrière ! le tracé aux fées et autres sortilèges de s données de roche ! On veut toucher de fait à ces donées de bout de bout, vér(ités debout ! On colle ! on est de fait en vrai accolées et on veut passer " à la une -à la deux" à travezrs la roche , l'ultime (allouée) roche des prés ! Onest homme d'amont, on passe le front, on devient Ailes de Données Primaires, ELles à la retombée sur pré, Femmellesz comme qui dirait (bêtres) et du coup transformées en fée, du fait que nous voilà (ailes) accolées, soudées comme à la retombée (ici) sur herbe ! On est fée d'herbe ! de pré ! soulevée ! on s'envole allouée , on vole de fait en cette sorte de rotonde survoltée ! On est la fée post-cimetière, âme allouée on est née bêtres (bêtes de roche = bêtes-fée = bhêtes de trait) : on monte ! On est comme soulevées et du coup nous voilà hautes ! hautement sureélevées sur pré , on monte allouée ou ainsi éllouée à une sorte de passage "rose et frais". On ne xsait (encore et de fait) pas en vrai ce qu'il en est mais bon, on se laisse pour le coup aller et porter, on est motivée, on a envie d'en avancer, on veut tracer ! courir ! charger ! pisser

 ! ne pasz nous arrêtrer si tôt ou même si près , du but avoué tel que retracé sur la roche dure, par des ... "fées

 de fortune" ? qui sa&it ? on est fée diurne (matinales) qyui traçons de front un certain  ombre de données cruciales il semblerait ,  mais : est-ce vrai ? est-ce vraiment cela = Ça , qui est .?, cette sorte de ... bonté des bontés ? charges d'âme ? salubirité ! charge-née sur pré aux fées !? Qui on est ? Femmes ! femmes dotées d'une sorte de Pariole FOrte (dans la mort ici allouée) qui peut-etre donne ... donne e, nvrai ....  raioson profonde .... chaleur et bonté .... vent docte ! V2rité des Vérités ? Qui sait ce qui est ? quyi nous sommes, qui on est, qui on voudrait être ou ne pasc être et du coup aller (ou ne pazs aller) vers cette sorte de Parole Docte dessinée sur roche : vérité des prész , vérité des vérités , aurochs et mouflets ! buffles et chevauc de frai ! On est les derniersv ! on aime aller ! on aime s'enkyster sur roche ! forcer le tra&it et du coup (peut-etre) traverser et donc nous retyrouver (transformés ) de l'autre côté, côté pré = paradis, en 

femme de suie, dédoublés, doubléesw, femmes allouées à une sorte de Donnée donné = FéE ! Fée des prés ! Une (la) Fée , des données chelous comme xs'il en pissait et nous, on est dessousz , femmes au débotté = doublées ! On veut cerner, en tant que nouvellement nées , ce qui est qui est tout autour de nous : bêtes-poids de trait, somme et roma,nce, bêtes de par ade pour l'éternité ça le fait, et nous dde nous en rapprocher "à la une à la deux" e,n transe (il semblkerait) jusq'à lkes touycher en  vraéi ou du

 moins tenter, tenter de les toucher en vrai en ce pré , en cette sorte de contrée "finale" ! on essaierrrait ! On veut toucgher ! on veut toucher en transe les données données d'un pré alloué à une vérité ! On est nées Fée dans la mort actée, alléguée. On est nées Fée = transformées ! de deux, on passe à l'unité d'une fée tr acée comme un trait de Rage : est)ce ça en vrai ? Ce tracé ? On veut comprendre ! on veut toucgher ! on veut aklller ! on veut cerner ! on a envie méga de nous avbandonner à une sorte de "tracé de rage" sur un pré, et alors (ou dès lors) de ccerner ce qui est qui commande , noius indique à jamais le terrain qui est à explorer (si jamais) , nousq dit auusi par où c'est mieux, en vrai, de passer  et de s'a&venturer sans plus de craintes, et du coup tracer  son prop^re (ici) chemin de destinée chelou peut-être... ou pas chelou, qu'est))-ce qye ça peut faire ! on a ensemble envie méga de creuser loin le plus possi-ble les doonées de base , dfonnées doctes, sondées, creusées, déposées. On est femmes des prés à la tr aversée (on était un homme !) et du coup on monte ! on monte en tant qu'on est, à présent, ailées ! munies d'ailes de féedu coup,on p)eut monter, coller à une roche des données, Roche Rude / Dure aux données diurnes ! on est accolées parvce qu'on est nées ! on est n,ées accvolées en ce"tte contrée de la mort actée ! on est femmmes devenues la Féez ! Fée des Fées allouées à une "Vérité des prés", à une sorte de donnée des données allouées à un pré dit "de contrebande" et le tour est joué : on bande ! on est droites nées ! on est nées dx'un tréit, le tr&ait ,! on est le trait de contreba,nde ! on est fée-trait

 , bêytes de trait = trait = traite = donnée des données = vie tracée sur roche de grotte néandertalienne ou même plus ancienne , on ne sait ! les tempsq sont comptés ! Le trait est traitb d'herbe = verbe nacré ! Le trait est un trait de VErbe (d'herbe ?) sur pré ! On veut toucher à une vér(ité surnuméraire (on dirait) qui sezrait (de fait) la vérité des vérités sur herbe ! verbe doré ! chant lacté ! sein de fée ! nénés des nénées ! on vitupère en vrai contre un père des Prés q<ui est le Père des données Supre^mes , 

on le déteste ! On ne veut pas de sa "bonté" ! on  veut pouvoir s'en échapper et, nhe plus jamais de fait le retrouver , le voir sur pied nous mater

-tater et autres faits et gestes ! merde ! merde aub père des prés ! il nous emmùerde ! il nouys fait bisquer ! il nous faéit grave suer et même chier ! va donc passer plus loin Père ton chemin et ne vie,ns plus jamais en vrai nous enquiquiner on en a assezb ! O,n  veut toucher la main, le pied, le genou imberbe, cuisse dorée, poilds de  fée, et y aller ! aller vif ! y aller de nottre envie sur pré de nous laiisser aller à deeviner , qui de quoi ici bnous fait ce dro^le d'effet ! On aime ! On aime aller et tracer et du coup chercher les données en vrai, on dirait les plus ancrérs = prononcées sur pré, genre VERBE au données du Rêve (?) ou sinon du rêve, de la VUe, de la Vue Naturelloe sur MOnt Suspendu et autres paysages d'herbe (Verbe) dodu. 

On est Fée des prés ! on a envie ensemble de comprezndrre les données du pré ce qu'elles contiennent et ce qu'en vré&i elles pourraient donner en te"rmes de vie (vérité) salutaire si tant est ! Onn veut grave toucher = faire = dire = aller = prendre = chercher = deviner = comprendre , ici, les données donnéesz par, on dirait .... l'herbe . l'herbe des prés ? on est comme en vrai sidérées ! l'herbe ???? en vreai , il s'agirait de mots ... des herbes d'un pré ? Mots d'herbe ? mots des mots de l'herbe à mâchern,, brouter , ma,n,ger, mâchouiller ? On est la fée des données priomaires ! on est fée en herbe ! Salubrité ? on est Fée d'herbe, DFée de l'herbe = Fée-Fée aux donnéesz données sachant brouter ! Onnest la fée de l'herbe allouèée à une vérité des vérités des herbes tracées, dessinées, gravées sur paroi des fées ! On a envie ensezmble de comprendre ce qui est ici qui

 semblerait, peut-être, vouloir arriver. On est nées de  base fée , en cette sorte de contrée qui est, en vrai, la contrée du Verbe, Donné des DOnnées. On veut toucher à cette Vérité larvée, encastrée, en une soerte de poaroi de Roche aux tracés allouées par une sorte de Personnhe Docte des temps Passés. On veut tyoucher troyucher toucher toucher toucxher toucxher toucxher toucher 

tpucher topucher toucher à une sorte de donnée donnée donnée donnée donnée ,données qui serait la Donné des Données à j amais = F2ée ! fée des ombres portées ! L'homme est du passé,l'homme mort-né d ans la mort actée est tel du passé (de cimetière) alloué au pré = herbe ! homme-herbe ! femme est la bête-mot, le traéit, bête de trait et autres Bête des parois de roche ! Homme mort-njé est devenu le pré , l'herbe, l'herbe verte, petit caveau ! On cherc he ! On est  des bpêtes -mots sur herbe alouée à un pré post-cimetière aux données alléguées commùe "per derrière" (qui sait ?) . O, est le fée des plaines ! fée du pré aux herbes à brouter (homme dernier). On veut coller, en  vrai, aucx ... "nénés d'herbe" ? On veut coller à c e qui est, qui vient de deriikère, la par(oi (de roche) première et après ? qui va là ? qui saura ? qui vivra la chose et du coup saura nous en informer sans plus d'anicr(oches ? On vreut tyoucher à une déité de roche ! on a envie en vrai ensembke de toucher , à, donc, Vérité  ) ! vérité des prész ! On veut toucher = donner = dire = faire = comprendre = charger = concevoir = calfeutrer = combler = cerner = cxhanter = faire ce qui est qui nous sembkle aller = se caler, se t asser, se placer, e,n  cette roche des données données par (qui l'eut cru ?) l'herbe à broueterr ! l'herbe verte est Verbe on dirait mais est-ce vrai ? est-ce ? est-ce ce qui est ? qui sait en vrai ici et là (le pré, aux vaches sacrées) ce qui est et (a contrario) ce qui n''st pas ô grand jamais dans les boyaux ! Qui, en vrai, le sait ? On est fée cdes prés et on cherche à tracer. On veut toucher toucher toucher de fait à cette soerte de donnée de base = mot ! mot de trop ? mot-mot ? mot de Rage ? mot de base et aéutres mots de rage ? mots du culot , de la rage nue ? des doonées nues ? du cul ? Mots-mots donnés aux asticots ? On est la fée a&ux mots des prés, fée d' ^me ! feée

 des fées aen nage ! on sue ! on pue ! on pue grave ! on pue comme jamais temmlllement il fait chaud ! on cuit ! on est toutesz en sueur et larmes ! on est nées fée comê à la parade, a&u milieu des a,nimaux de charge, et on en avance = on va = on trace = on y va = on est à présent tout en haut qui cherchonsv (en face) un passage, trou de peau ou autres orifices-b,oyau ,; qui puiisse (en vér(ité) nous dooner ou prêter de qauoi nbous abvancer et tra&verser, passer ! passer voler ! traverser le dernier coteau ! la montagne ! mont des prés salués ! On veut passer ! on veut grave passer ! traversert ! aller tout en haut et du coup t§oucher à une vérité "des hauts" . On veut 

TOUCHER SERRÉ ! 

RToucher ferme et commeaccolées à une sorte de tuyau "de référence". On est le tuyau ! les ailes battantes. Le trea&cé du pré ! charge mentale et dits des fées de contrebanxde. On fveut fcoller ensembke à une sorte de doonné donnée de base aux fées traçantes comme on est  ! On est fée dees prés et en ezffet on trace, grave, sans traéîner, sans se lamenter, sans chercvher plus que ça à nous inscrire en faux concernant ... la chance ! oui ! il en faut grave ! il faut lA chance, le Tuyau, la Bête Forte aéllouée au tonneau, Gente's Da&mes et Da&moiseaux tu penses ! On est Brêtes de Peau ! On entre ! on est entre ! entre deux eaux ! On veut comp)

rendre et &llouer, charger et cerner, tire r et pîger, vivre et emballer, cfoller et surprndre, forger et sonder ici -mêmùe (à jamais ?) la ROche en HErbe . Onest nées fée sur herbe et on veut tracer. On veut comprendre les données données à quoi elles ress"'mblent(. On veut de fait (en  vrai) chercher à  cerner , ces données de base, ce que c'sst quyi nous concernerait et nous inviteraient à comme nous propulser plus loin (toujours) sur ce chemin des connaiszances, en ... Amour ? Amour doux et courtois ? Beau séjour / beaiu minois ! Atours ? On est la fée qyui tremble ... mais ne cède pas ! on en avance (discourtois ? maussades ? sale ? mal ?) mais voilà , on en avance ! on ne lambine p as ! on y c roit , ou du moins on veut y croire grave ! on ne veut que ça ! croire en soi ! aller et toucxher, faire et porter, donner et dire, centrer et conduyire, chercher fée, fée des fées sur herbe d'un pré qyui seraéit de fait le pré alloué à une fée donnée en partiuculier : Fée d'herbe, ou fée des herbesz du coup à brouter, manger, mâcher par des bêtes ! On est entières ! collées ! on pèse ! on est passées ! On voulait en vrai charger sur pré, on peut dire que c'est ok. C'est fait ! 

On voulait :

charger, conduire, saluer, donner,; poursuyivre, centrer, chiner, poser, composer de fait avec la fée telle qu'elle nous apparait en ce pré alloué à une véritécernée. On est fée, fée faite bd'un homme comme dédoublé en deux parties d'aile. On VeuT btoucher à ce qui est qui nous espionneraiot, ion dxirait (tandis qu'on monte ainsi soulevée ! ) . Obn EsT dEs HomMeS qui SomMEs cOmME transFoRméeS EN de"uX BetesV dE SomMe ApPELéEsc féE On DIRaIt PARce quE voiIlà ELleS SONT PAsSéES à TrAvERS LA RocHE COmME UNe fuSée (FiSSA ° Et DONc VoILà ! on est n  ées frées de RoChe ! nouba ! samba ! parole doctes ! on y va ! on veut ça ! on veiut aller-toucher sans faute la

 paroi du Ça tel qu'il nous apparait de forme. On est Néesz fé la bmort venue ! cul-nu ! fée cul nu ça pue .... eh bé c'est fait exprèsz ! pour repoussr ou attirer ! pour toucher ! toucher  de près ! toucgher Fée des f2Es , Fée velue ! Fée des F2e velue qui elle aussi (donc à la retombée) wserait ainsi comme puant du cul ! fée ôilue ! Fée des fées de rage venue comme pa&r la bande nous toucher de près ! On veut la toucher ! on a szuper envie dee la toucher ! fée contree fée ! feu contre feu ! fuoc contraï fuoc ! fée / fée qui le ferait de fait ! seréiot bienvenu ! nouys fezraiot bien aller et nous egayerait en vrai ! On est la fée du préb 

nommé, on v eut pouvoir aller ,, treavcer et cerner, filer en vrai sur pré le jour venu ! on veut 

PUER DU CUL ! GRAVE PUER ! ON VEUT GRAVE PUER ! PUER DU CUL ! GRAVE PUEZR DU CUL ! ON VCEUT PUER ! GRAVE PUER ! PUER GRAVE DU CUL ! DU CUL PUER ET GRAVE ! SOUS LE NEZ (ET  LA BARBE) DE L'ATROCITÉ, DU VANDALE, PÈRE LA TRIBU, LE MÉCHANT DÉDALE, DEDALUS DES TRAITS IMMONDES ET AUTRES TREAITS TRACÉS, EN FORME DE PASSÉ , TEMPS DONNÉ DEE  R(OCHE. On est née fée la paroi passée ! On EsT Née féE DE préS /lA pARoI passée ! on est née sur pré la paroi pass&ée ! on veut coller à une D2éité des D2ités et ne plys 

nous retyourner mais teacer , treacer vif, filer et comp)rendre en vrai les données de rage, le trait alloué à une marge anale et autres petits faits su r pré alloué comme à la par ade : cul nu ! on est nues nées, nues vues, nhues connues ! On veut y aller ! on veut grave tracer et gagner la bande ! se poster sur la montagne et du coup reg arder, dee rage, les données lointaiones, horizon donnéz, traits lointains alloués à un Frai ! Chants choraux ! Chants des Eaux  ! Chants sourds du Tonneau ! On vole ! on vole drôle ! on volete ! on est fée des herbes comme soupeséees ! On veut toucher à cette Déité dite du post-cimetière allouée à une destinée sur pré ! qui on est ? AILES ! A1ILES ! AILESZ ! AILES sur pré ! on est ZAilesz ! Ailes aux données centrées ou recentreées , qui voulons voler ! monter ! chargher ! cerner plus haut les données chelous ou dites"chelous" ou "chelous comme tout" ! O,n aime 

 ♥️

on veut être fée

on veut en vrai être fée

 on veut bde base en vrai être fée

 on a envie ensembke de base d'être frée

on veut grave ensembke de vfait être fée et comprendeesre ce qui est qui nous ressemble ou nous resemblerait sur pré

on veut aimer 

on veut (grave) aimer les bandes, les données de rage et autres données , données par la bande à tout jamaisb on dirait mais en  vrai qui le sait ?

on veut toucher )à une sorte de vdonnées de rage comme consacrée à une sorte en soi dx'adversité (type monacale) allouée à une Vé2r(ité dite "de contreba,nde".

On aime, tracer et pisser, charger et collzer, ma,nger et suer comê par la bande, nos mots du Passé et autres Gros mots sur bande traçante. 

on est faits = fée ! ion est pasdsé (homme), on est fait (fée) une fois passé = fée du pré (ou fée des prész de charge")

ON VEUt grave comprendre les données romandes, le Roman de Base, Chant d'oiseau et autres mots gros du tonneau. 

qUi en vrai on est, on se le demande ! On ne sait ! On ne sait p as en vrai qui on est, et qui on est pas ! On cherche à comprendre ensemble sur le tas, mais voilà, on est mal outillées des fois ! pas facile ensemble ! on est Ailes de fée sur pré, attachées, accolées, soudées, collées de rage on dirait et ça le fait ou le ferait grave il semblerait ! 

On na envie de faire que ce qui est qui nous obsède, on dirait ! Tracer = pister = donner = faire = cerner = lier = charger = prendre = donner = monter = coller = dire = suivre = forcer, forcer grave les tra&its ! venir ! allouer de base, à ce tracé, des données sa&rdes et du coup monter ! haut le plus sans plus tarder ! chanter! 

on veut toucher à ce qui est qui nous regarde ici

mort

mort = antre

antte = mort

 mort, "des don,ées de l'antte"; antre des données données, au sein de la mort 

ventre

Charge-née ! On veut toucher à une sorte de donnée du ventre, saturnale, a&llouée à une vérité, "cventrale-ventrale", qui est (pour le cfoup), V2rité des Vérités "chelou", ou pas chelou, mùais .... d'antre ! d'un antre ! vérité de l'antre = vérité ancrée ! allouée ! tracée ! chargée ! qui entre comme à l'arraché en cesz contréesz de bout de bout, sur pré aux fées. On VeUt tOUcHeR à ceS données de rage ! On VEuT GRaVE y toucher ! ToUCHreR à ces Données de base menaçantes , et entrrrfer ! filer ! coller ! donner ! cxharger ! faire ainsi ensemble (ici) qu'on puissee glisser, qui son doigt de fée, qui sa langue (qui sait ?) patoisante ! On est ailées ! on est Ailes du pré ! Ailées ,! on est la fée, ailée, des dsonnées de base (dans la mort actée, larvée, prégnante, située). On veut com)rezndre , cerner, collezr à cette déité des données centrales (ventrales / anntrales / astrales ) . on veut :

TOUcHeRv, Faire ainsi nqu'on pûyisse comprendre et cfomme mieux nous situer sur cette lande

 aux données (de b ase) saturées ! Qui on est ? sardes !

Qui on est ? sa&ges ! saége-femes ! sages -femmes des prés comme situées sur herbe de base : mots d'arme ! On a méga-envie de comprendre = TOucHER , Dire, Coller, CErner, Cerner EN vraéio ce qUI est ! dire et toucher ! on veut toucher à une vérité 

acide ! grise ! vive ! chargée ! accolée ! vive ! centrée ! colère et vie sur pré aux fées ! on a envie en vrai d'aller :

vivre sur pré notre vie d'e frée ! Et du coup tracer, chanter, pisser, allouer à une vérité (sur piste) les données données de l'hydre ! On veut =: 

toucger toucher toucher toucher toucher toucher tpucher topucxher toucher toucxher topucher toucher toucher toucher toucher toucher touchert toucher toicher toucher toucher tyoucher toucher toucghhjer à ce qui est qui vient vers nous en tant que nous on est les feées chelous du territooire "aux fées" telles que la mort en

 vrai les reconnaît ! telles que la Mort en vrai sait les repéreer, les situer, les recvonnaiître en vrai (sur pied) et pas le contraire. On est la Fée des prés sur herbe ! ON veut voler, monter(, gzagner , la Dernière des PZArois du MOnde , Rotonde, cxHarge d'ombre, 

on est 

ENCLAVéES !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on est vcomme enclavée de fait ! On est priçses en vrai ! On est tenues et contenues. On veut toucher de fait, à ces (dits) "nénés de saison" ! On est la fée du pré, du mont des Données ! On est nées velues ! fée nue ! fée sur pré cul nu le jhour venu ! ça pue ! ça pue du cul ! c'est une sorte de donnée donnée ! ça le fait à moitioé ! c'est un fait avéré ! On veut grave toucher à ici ce type de donnée genrée, allouée à un fait vrai qui est que voilà :

UNe fée en vrai (dans un pré = paradis) ça pue ! ça sent ma&uvais ! cf'est fait ecxp^rès ! chelou pas à moitié car c'est du cul qu'elle pue ! On, veut toucher ! tracer des nénés (on dirait) à main levée ! charger ! tonirtruer ! foncxer, à brides abattues comme qui dirait et ne plus lambinner, coller grave aux tra&its m arqués = suivre les traéits et ne pas nous en éloigner , aller ! charger sur pré (le jour venu) les données de rage et autres charges   ! On est = on va = on entre ! On est entrées de rage en cette lande aux langues sardes ! cru ! esszayez ! essayez de grâce, le jhour venu, de tracer cul nu ce qui vous passe par la tête un temps, se rassemble, fait boule de rage, sentiments patents ! On est venues cul nu sur pré , pour (en fait) toucher , toucher grave, grave aller, aller grave sur pré, tracer, qui un zaurochs, qui un chevau, qui un bison, qui un veau de peau, qui l'antilope du troupeau, la bête rosse, le bufflemot, la pelote groosse, la jument aphone, loe tonneau gros de sa parole docte, au chalumeuau ! On veut 

grave coller et toucher à l'Ordre vdes Données Profondes Otrthodoxes (ou pas : mais , de fait, et pour le coup, vraiment collées jusqu'aux genous ; après (après les genioux : au-dessous ?) ça vpeut aller, moins grave !). On Est nées de base fée comme à la retombée car on est née (dans la mort) femmes ! femmes fois deux , pour former fée = EFFE ! EFFE des préds ! l'EFFE frontale, saturnale, collabée, nacrée ! On esqt pasxée sur roche, a&insi a ccolées zet du coup ... c'est da&ns la poche !

 on est ,nées ! on est fée ! fé des prés sur roche allouée à un tracé de fond dee grotte ! Mendicité. Sermons. Saluts à jam&is. cul né la nuit venue, sur herbe saluée par des bêtes velues. On veut coller !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! coller nue !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! aux dopnnées dy-u cru !!!!!!!!!!!!!!!, chants des pâmoisons, chants de front, ire du Pont, on veut lécher, on vfeut embrasser ici le traéit ! charge'-née ! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée cendrée et centrée comme par la moitié (?) ici, de front !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée vive et allouée à une rive !!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!u!u! chahutée !!!!!!!!!!!!!!!!! accolée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! On veut toucher ux onnées vives d'une sorte (en vtrai) de Vé'ité des Vérités Actives (chargées = rechargées) sur pré des Fées. On est nées fées du fait qu'on est passées, qu'on a traversé (justement) la rive (la contrée des fées) et qu'on s'est retrouvé de faitt sur pré, les pieds , dans l'herbeb à brouter, par'mi les bêtes de trait et autresz bêtes groosses sur prairie de roche. On est née fée ! on aime ! on aime être fée : post-cimetière ! étrangeté dernière ! salubrité ! intégrité ! bonne chère et autresq mets à déposer sur pierre à la travezrsée, et ça le fait ! cherche ! cherche ici (sur pré) les données données de type offrandes (médficinales) à déposqezr, la mort venue ... en puant du cul (de préférence : ça le fait !) . On veut toucher ! dire et aéller ! on veut grave toucher,, et aussi : alezr, cerner, pisser, composer, allouer à une sorte de charade lezbdonnées de base te'lles qu'on les connait ... en France . Par exemple : 

- le tra&it

Par exemple :

- La Romzance

Par exemplqs :

- Les données de Rage, Vifs tracés, CHArgee frontales et autres vélléités de contrebandee ! On veut toucher aux nénés tu penses ! téter ! on a grave envie de compre"ndre et de s&luer les donjnées donnéezs comme on les connaît ! Comprendre = cxharger = soulever = soupesezr = dire = contrer = charger = cerner et du coup frémir , quii sait ? on regarde ! On est nées fée à la retombée, par chance ! on était hommùe ou femme (singulier et singulière) au te'mps passsé, nous voici fortes têtes, traits tracés, on charge, on enttre ,,et au pa ssage on perd les clés" comme qui diréit ! l'homme pe"rd pied ! la femme tranche, passe, cherche à se dédoubler, arrive ainsi tracées, deux femmes sur pied comme par chance )à l a retombée font la Fée des prés !Nous voici transformés ! Fée des fées sur pré on est acté ! On entre ainsi colléée , remontée, gravée  ! On veut toucher toucher §opucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tpoucher toucher toucher toucherr toucher toucher

 tou!cher toucher à une déité de contrzbande, saluée, centrée, posée, chargée, accolée, postée, qui nous rega rderait sans s'arrêter. Qui c''stb ? eh bé, la D2éité du cru ! l'attitrée ! Déité nacrée sacralisée ! Onn est née F2ée pour comme avoir à rencontrer la Déité des D2ités sacrée nacrée (sur roche des prés d'amazonezs). On aime toucher ! on adore ici en vrai toucher à ces données du bout du monde !). On dirait un p^ré  ! la roche ! le passé ! ça colle ! c''st genré ! ça pose des traits ! ça va vif sur herbe acculé jusqu'à la chose ainsi repérée qui nous reg arderaéit comme si en vrai on ét§ait drôle ! on est fée de Rôle ! Chant tracé ! vif tracé aux données de Roche , genre Ant§i-l-opes  ! gastropodes énergivvores ! On veut coller à une déité des données de roche, et du cou!p tracer ! filer, à grancdes enjambées, dans ce pré donné aux bêtes de roche ! on veut aimer ! tracer ! charger ! aéimer Chose (le Petit Chose ?) qui nous connaît : Déité des D2ités ! On veut toucgher, toucher, toucxher à Chose = D2ité, qui ne cesse de nous reluquer , du fait que voilà, on est fée, transformée, devenue en vréi fée à la retombée, la mort "passée", car

le moment passé de la mort actée on est, en vrai, eh bé oui, devenue fée ailée (comme toutes les fées) ... mais ... puant du cul, (exp)rès ! , pour "embauemer", pour "tracer", pour "laisser de szoi ce fumet, ce trait , trait de joie accolé à une sorte de trajet "du cul" sur paroi nue ! On aéime ainsi puer e'n tant que fée le  hjour venu ! On est fée des fées puant du cul ex^près : pour "embaumer", inonder , cxharmer  tu parles, faizre de l'effet (onn diraiot) et faire (ainsi) reculer (de fait) toiutes déités de La mort aactée

 trop entrep^renante ou excitée ! On ne  veut pas D'iUNe MORt dees prés trop EXCitée tu le sais . Calme et sérénité. On veut pouvoir se poser sans frais ! On est fée de base centrée sur base calmée ! pré ! pré sans frai ! ON commande ! on a envie (méga !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ) de nous poser UN TEMPs = LE temps, pour SOUFFLER = SUER = DIRE = FAIRE = VOLER = CHARGer =CERnerb ensemble les donées du cru  (le cul nu) . On est la fée post-cimetière voletant, chercvhant , ici, un mât de R^ve, sentiments patents, où (à quoi) pôuvoir de fait (sans sourciller) se raccrocher et du coup cerner = détourrer = dire-poser, coller-prendre, jouer-dire, etc., ensermble, lES DoNnéeesb  du Pré , vivacités ! vivacités ! vivaCItéds ! On veut coller à une vérité "acide" = Acidité / vivacité ! ON est la fée fluyide, le treacé acté, trait des fées sur roche "actiive" ou activée ! On veut en vrai bousculer les données (genrées) d'une sorte de "parentalit é massive", ce qu'elle est, ce à quoi elle sert, le pourquoi du comment elle est née, ce qu'on peut en déduire la mort allouée à une destinée. on est né fée la mort venue, puant du cul, avide de cerner de fait les doonées données à une sorte de paroi 

finale; On pue grave (en vrai) pour (du coup) repouusser les ardeurs matinales (par exemple) d'une sorte dee Donnée des RAges, Déité des Contrebandes et autres Vérités Lactées./ On ne veut pas se laiusser emmerder ! ou marcher sur les pieds ! On veut passer-toucher, filer-aller, prendre-surprendre, saturer de fait les donnéesz du branle et du menuet. saturer à jamais ! on entre ! on est entre ! on entre dans l'antre, saluées ! On a envie en vrai nde comprendre à jamais ce qui est en termes de Déité et autres Vérités R5omandes. on est nées de fait fée ! car on est passées, on a franchi le rubicub des données étanches ! On veut oui, toucgher ! graver , dire et former fée, dès qu'entrées en vrai par la bande et ça le fait ! on se cha nge ! on devient fée de territoire ! soupesée c'est vreai par en vrai la Charge, le PAssé Acté, MOrt de "l'homme

 du passé" , pauvre de lui le gnome, il est mort-né surt pré , devient herbe en vrzai à brouter, pour vaches sacrées et autrs bêtes-fées cendrées ! On est la F2e au Temps Tracé, chapeaéu-melon, fée des prés  sapée ! on est née La Fée ! On est accolées = ailées ! On est passées ;- ! on aime aller ainsi sur pré charger ! gueuler ou pas mais traverser, fissza ("à la une à la deux"), la Paroi du Roi, REine de Bonté !

ON MONTe ! ON veuT mONRTer ! On VEUt gRAVE MoNTer Sur pied ! On vEut EN Vrzai GRaVE MONTEr SUR pieD ! tracer = donezr ! ON NE VEut pas pâssrr à côté mais pour le coup en vrai monter ! gravir les monts ! se porter de fait sur les hauts du Pont ! TRACER ! COLLER ! DiRE et donner , ce qui est , eet filer ! ce qui est qui est : offrzandes (diverses) à Déité, et filer, ça le fait ! déguerpir en vrai ! aller ! rentrer ! revenir ! retourner ou s'en retourner( ! On veut grave toucher à cette D2oité, des données célestes, savoier

 vqui elle est, ce qu'elle est ezn vrai qui nous observe , et aéussi : pourquoi elle nous observe, qui elle veut toucxher en vrai, est-ce qu'on l'intéresse, qui est là pour dire pour le coup ce qui est qui est, la co,

ncernant elle . ON EsT N2ée f2ée pôst-cimeytière en vrai, et du coup on est ensmble comme soulevées e,n tant qu'on estb accolées-soudées pour formezr Fée, Fée  faite de moitiées collées (femellesz) et ça le fait, e,n tant que bête-fée de traits (on dirait des  bêtes ! des bêtes de trait ! ). ON DIrait qu'on est AILes (des Ailes) sur Roche Allouée à une V2ritév Ailée ! point sacré ! petit point de trais sus-nommées comme alloués ! On v eut toucher à ceftte déité post-cimetière = donnée = donne = femme actée fée, sur roche collée ! racée = tracée : on Fonce ! On veut toucher toucbher toucher toucher à une vérité des vérités, acter, paqsser

 roche, toucher ! toucher en vrai la Déité du Corps Loué ! charge paadssante ! Capitale des entrées de fée ! on est née fée la nuit passée ! fée des ombres et des traéits faits à main levée, en ordre, sur cloison de roche; par des hommes-femmes, femmes-hommes des tombeaux et aurttes tonneaéux ! On est la Fée du cru des ombres, chéapeautée ! on tombe en trombe ! chaud tracé" ! on forme boyau ! on entre dans l'ombre ! chalumeau ! torche fauve ! le boyau des ombres est à la groptte ce que le vaisseau (sous la peau) est à l'homme-femme,

 au cerveau rempli d'eau (sang de roche). On veut le Haut ! coller à ROche des Niveaux ! On veut toucher à une Roche comme autocalée sur le niveau de l'eau ! On veut

 AIMER ROCHE ! ROCHE AIMER DE PRÈS 

On veut grave aimer ! aimer gravfe roche, soulever = soupeser x et x vérités de poids et autrsxd bête-mots dits "de la foi" en ces boyaux (de grotte cachées enterrées). On veut AIMER ! AIMER FOL ! Follement ! Aimer en tant que fée qu'on est ! Aller ! dire ! toucher ! contrer et rire ! rire et péter (péter de rire) et puer à jamais si ta,nt est ! c''st un fait ! on est la fée des Riresz ! On veut (grave) repousser l'hydre ! le 

genré ! l'homme-moitéié  ! le Sens des Réalités Passives et auttresz volontées passées (sur pied) à même la rive ! On veut : coller = donner = dire :== chanter = cerner = comprendre = prendre = allouer = bercer = donner ce qui est qu'on porte , genre : dons de rage, mots de base, bêtes-mots (de poids) sur roche, tracés doctes, pommesb ! pommes du pré ! pommes au déjeuner ! pommes dxes prés ! pommes et pommes ! pommes et poires du verger ! pommes des oiseaux ! des bêtes de foire ! chalumùeau ! cxhalumeau notoire ! animùaux des rages et gens de peau ! colle ! colle allouée ! roche ! roche ce ndrée ! porche ! porche attribuéb ! nuit des fées sur pré tracé ! chance des donnéesz ! verbe salué ! On est entrées ! on est femmes des prés ou filles des préds ou bêtes^mots des prés ou m^$eme bêtes-filles-mots des prés gravées ! ON est n 

ées !On est nues ! On veut toucher à cette déité, vdu mont des nues, nuées du Passé , du Pré alloué à un pAssé Ancré la mort  venue ! On veut toucher de près ! toucher nue ! nous, nue ! nue velue vue ! nue du cul et des nénés connus ! Nue ! Nue d'herbe ! On veut : dire-faire, coller-aller, charger-comprendre, être-mettre,monter-entre"prendre , toucher-cerner, hausserrendre, vivre-tomber, saluer-chanter, huer-froncer, quérir-attreapper, dire et faire ce qui nous plaîot en ces contrées du Mont Velu ! cul nu si tant est ! on veut treacer = toucher ! toucher = dire ! dire = faire ! faire = charger! charger = suivre ! suivre = sonder ! sonder = pouswser ! pousser = enduire ! enduirev = oindre ! oindre = chiner ! chiner = vivre (dans un pré) sa vie de bpetes -mots de poids , et ne pas ou plus s'en faire

 plus que ça, laisser être, laisser faiore les données du monde, se soumettre aux vents des forces hautes, ici, dees roches de paroi. Etre et aller. Dire et cfoller. Se donner de bva se aux fées, des roches des voiçx ! crier (peut-être) et tracer (à main levée) les mots sur paroi (mots doctes) qui (en vrai) disent (tous) ce qui est et ce qui n'est pas, en fait, concernant la Fée, Donnée FOrte, Fée des Féesz Ailées qui est censée, en vérité, nous ouvrir les portes ! toutes les portes de la Roche dure /rude allouée à un mur  (ou muret) de fin de grotte (finalités) . On veut grave aller chercher, ensemble, la bChose, ce qui est qui va, chante, escorte. Toucher la horde ! la toucher en vrai sans honte ! traverser ! courir ! charger ! pistonner ! co:mprendre = donner, à qui de droit , les clésxs du passé et ça le fezra ! On veut grave rechercher la Roche aux données de pôidfs ! toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = troucxher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher à la paroi = direb = montrer = faire accepter = mesurer = situer le niveau (en vrai) du Rire des Fées ! Rire alloué à une Vérité Ancrée (sur pied) de type F2ée des prés ! Frée des ombres prortées ou rapportées qui , toutes, on dirait, se chevaucxhent , pour former .... Déité de ROCHE ? D2ité des D2ités accortes ? On ne sait ! on cherche encore ! on ne lâche pas (ou plusz) la roche, on fonce on vole ! on y va fissa : dans le tas ! on ne regarde pas à s'économiser ! on veut toucher à satiété la Bête-Monstre de paroi, coller ! dire et pousser, charger et donner les clés, qui sait, à celle (fée) qui sa&it (saura) danser sur pré, la danse des Chats, Chats Bottés, Rats, Rats des prés et autres chzamps aux données actives. On ne veut pasz se l:aiisser abuser ! on veut coller à une vérité alpestreb ! chat Bottté ! Chat hua&nt ! Prince des champs ! Chants des hjoies du Vent et des données soufflées, sur gherbe tracées. oN veut aimer = aimer toucher = tpucher = 

toucher de près ... les nénés lactés, les seins ambrés, vents des prés soufflant, ombre portée au firmament ! On est fée des fées ! colle allouée à une sorte de "tracé mental" tel que rencontré dans ... la mort actée ? qui sa&it ? qaui sait, en vréi, ce qui est, desz données des prés ? On est nées Fé2e la Roche pâssée, dans 

la mort actée, comme transgformées ! transe au pré  ! on chante ! on ne cesse de chanter ! on est fées chantantes, ou Les Fées Chantantes aux données (naissa&ntes) savantes ! on est fées de contrebande (ainsi tracées) qui cherchons la bande, le mottet, le chant du branle, musicalité des données romandes et autres chants des blés. On est nées, du branle et du menuet , FÉE ....................................................................................................................................des fées dansantes !

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13/10/2024

Qui onn est ? on est femmes du passé, tracée, colléev à une roche d'envergure. On veut toucher, aller, passer de front "à la une à la dezux" la Roche du Pont . On veut cfoller à cette chose d'une sorte de paroi d'époque : tralala frontal et autrees chants de contrebande. On pousse, on trace ! On veut cfoller-passer à travers loa roche et c'est ce qu'on fait ! On est accolées colmme ailes de frai ! On trace ! on entre en transe en cette sorte de "rotonde au pré" ! Qui on est ? AILES,

 AILES DE BIèRE ! charge sévère ! on a poussé et du cfoup voilà on a fini par y arriver, à  , ici, entrer de rage, en cette sorte de "garage " d'anges ? on y va ! on est deux, pour ça : la Chance = le passageen transe. On veut cvomprendre = on veut cerner = on veut toucher = on veut (on voudrait) dire et coller ensemble à cette sorte de par(oi des anges, paroi sarde, chants des pleurs et autres rancoeurs ! on est anges ! on veut toucher à cette deéité des franges d'une sorte de façade blanche. qui on est en vtrai ? des anges ? ou bien, des elfes ? oou encore, AILEs, délivrées (au passage) d'un homme alloué, charge blanche et déposée sur branche 

, et nous .... on avance-trace, on veut (de fait) comprendre  (saluer) toutes les données qui , en face, sont , comme en vrai posées, mises sur pied pour une traversée. On est comme adoubées en vrai par une sorte en soi de déité cooriace, située, porrtée, qui nous regarde ou nous regarderait sans discontinruer. On est (qui sait ?) femmes celtes, dépl&acées, pasdsées, on est entrées, on est accolées, on est 

fardées et grimées comme des elfes en vrai à jamais = tracées , sur roche, bouquetins / quetines, bisonnes et bisons de frime ! On est nées (sur roche) dans LA MOERT ou Mort d'hom^me "fait". On est nées de base (rage) à-à la mort en face ! On veut toucher , coller, dire, allouer-passer, coller à une roche vive, traverser la rive et nous retrouver (de fait) de l'autre côté comme si en vrai on renaissait, on se transformait, d' omme "fait" (surfait) on devenait ou on se transformait e,n felmmes déposées, tracées, anguilles, chalutier, vivres ou vivres comme o,n  en connait dans les tyextes bibliques ; ou alors quoi ? ailes en vrai d'ange des prés ? Fées des prés ? on cherche à trouver ! On veut coriavce (de fait) comprendre, savoir, dire et aller , chercher ensemble ce qui est qu'on voit en face, tralala de base. On y croit ! on veut y croire ! on veut en vrai coller à cette déité, des rages célestes. Qui c'est ? Eh bé ... peut-être, oui, une elfe ! ELLE ? on ne sait ! on cherche de près

 ! on est cfomme soudées "à toi à moi" par le derière ! fée allouée à une sorte de tracé (de rage) szur pré , on avzance ! on est (de fait) fée de base, on est née , on est née fée au passage, ailes des prés, elles en nage , transe, on est passées et on 

rzegarde les données données du paysage ce que c'est, ce qu'elles représentent, ce qu'elles sont pour nous  qui cherc hons passage , ici, à traverser, chemin sarde, destinée.

On veut :: TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER = §oucher = toucher à cette sorte de Passé de contrebande, ici déposé colme s'uil en pissait ! du lait ? hé !! qui sait ? on cherche ensemble (ailes) à trouver, en vrai, ce qui est, de ce passé, icfi déposé come s'il en pleuvait. On est "belles bêtes" des prés : bouquetines cendréeds, bisonnes des fées et autres buflles travaillés ! On est ! on existe en vrai ! on est dessinées ! on brille ! 

On est en vrai passée. On a traversé . On veut cerner-toucher les donnéesz actives

,, le p

ässé c'est un fait mais aussi la friche, l'herbe ici allouée, le pré aux fées, les bêtes placides et, au loin , la roche (montrée) qui s'affiche et semblerait chercher à nous .... tirer vers elle, nous faire signe . "On arrive " ! . On veut toucher à  ce qui est qui nous fait signe. On veut y aller, tracer, coller à une sorte de paroi, aux signes tra-cés,; aux lettres des fées. On est vives ! on vole, on volette ! On est bêtes des p^rés qui (de fait) se laissent guider / emporter par, ici ... le vide ? l'air des prés, vent digne, chant des cygnes ! On veut toucher à urn-e d"éité du vide, ce qu'elle est qui nous attire : satiété ! qui c'est ? On ne sa it. On veut y aller ! on a

 m^éga-envie ensemble de touchger à cette szorte de donnée (de contrebande) allouée à un pré, à un pré des chances,  dit "des chances" en vrai. On avance ! on veut coller à une rive ! tracassées ! on veut (tracassées!) coller ! on veut colloer car on est tracaszées ! On veut aller ! faire sur pré notre (petite) virée des fées et toucher au loin à ce muret qyui semblerait vouloir comme nous "incorporer" de fait. On est filles ! filles vivesz des prés = fées ! fées des fées et ça le fait en vrai ! on est des fées des prés qui (

de fait) faisons treacé = allons = marchons = gagnons, gagnons l'autre rive, celle ici allouée à une sorte de ... sortie de piste 

! champignon, oignon, tomate-cerise, piste riche ! on fonce à fond ! on veut casser la tirelire ! le petit cochon ! On veut toucher e nsemble (à toi à moi) lza frise ! le moignon ou le melon, l'ermprise sur rive, champignon du Pont ! On mise ! on veut toucher en vérité la frise et gagner (de fait) si possible la rive, l'autre côté, côté champignon, melon, oignon, jambon et autres mets de venaison. On veut : 

toucher , tpoucher grave

toucher, toucher ensemble

toucher, toucher vif

toucher , toucher à vif 

ce qui est qui est qui nous regarde et noius ressembkle : les données de près, chants des prés, cerises, vents acides, on est nées ! nues ! vives et comme cul)-nu sur herbe du cru ! On aime allersur pré chercher la mise, le traceé des fées et autres denrées comme déposées sur herbe diorée ! on entre accolées dans une forêt  , p)rêtes à danser ;, chanter, tracer des ronds sur herbe cendrée ! On est fées des fées ! on est la fée dotée, ailé, nacrée, données sur roche comme copnsacrée, finalisée en vrai en cette contrée de la ;"mort admise". On veut 

touccher = tpoucher = toucher = toucher = toucher )à cette sorte de MMAINMISE aux données acquises, à volonté ! on  veut toucher ! on veut aller ! on veut et on vouèdrait coller à une sorte de donnée de rive '(maritime ou marine) dont le bnom serait (en vrai) : Vérité ou V2rité des Vérités ! on a donné ! on est passée ! on a (ensemble) traverseé la roche grise ! la paroi des frises (bouquetines et bouquetins altruistes) et nouzs voilà dès lors sur pré, prêtes à gagnezr la Rive, c'est-à-dire l'autre Rive, le Sommet ou comment dire, l'a Paroi des Rives, l'u:ltime attablée, le dernier Rire, l'envolée active ici allouée à une sorte de paroi ultime, saluée, cernée, accolmée à un pré (paradis) de mise. Qui on est ? Fée ! fée tracée ! fée des fée ! chapitre 2 la Piste , le tracé des

 fées menant à la rive, à cette ultime Rive aux do nnées apprises, genre : mots des choeurs, chants moelleux, douces Rancoeurs et autreedxs Voeux pieux ! On colle ! on se rapproche ! on a marché tou du long ensemble, jusqu'aux finalités de chambrte. On veut toucher ensemble = "toi et moi", qui faisons en vraéi le corps de la fée ! = la vie ! vie des fées sur pré = Vie avcqauise dans la mort admises ! on est la Fée des données vives ! on est pour le coup accolées en tant qu'on est les ailes (elles) d'une sorte d'elfe ou fée des prés telle 

que consacrée par une déoité lactée ! On est proche ou toutes proches de pouvoir entrer en  cette sorte de donnée donnée qyui ressemblke de près à une sorte de muret aux données lactées (actées et lactées) comme s'il en pissait (d'uun pis alloué à une déité des prés) . On veut dès loçrs aller com^me téter à cette déité des fins de pré. On veut 

TÉTER EN VRA2I = boire le lait = aller ; faire, comprendre, saluer, armer, chasser et toucher et dire et se poser sur rive de l'aiutre côté, côté ... vide ? on ne sait ! on  veut tracer ! filer, aller, chercher, connaître et traverser ce qui est ici ce pré aux données pour le coup acquises comme denrées. On cher che à toucher. on veut coller.On ne veut pas se laisser déborder ! On aime le pré, les fleurs acidiulées, le lait des données telles que rencontrées à la traversée. On a méga-envie d'y aller, et de toucher ensembkle ce qui est qui nous attire vif, nous fait signe on dirait, nous parle en vrai comme si de fait onn pouv ait comprendre, distinguer, cerner ensemble un certain nombre de phonémes de fait co:lorés, genre langue sarde, patoisante ou pas mais ... étrange ... eh bé en vrai on comprtendrait car on wserait comme adoubée ou comment dire ce qui est en vrai, ce trajet, cette voie des anges ? on comprendrait,  car on sezrait comme (tou d'un cfoup) initiées ( à genous) par des fées, d'éautres fées que nous ! On serait comme iniçtéiés ezn vrai par des fées ou des sortes de fée plus ou moins chelou mais en vrai, on s'en fiche pas mal 

puisqu'on est (de fait) nous -meêmes chelous on le sait ! On est   la fée des prés chelou ! l'attreappée ! la courue des prés ! l'antilope nacrée ! fée des fées on est ! qui voulons : 

cerner, 

pisser, coller, charger, comprendre, saluer et sonder, faire contrebande et toucher, toucher grave à une fée des prés genre "qui aime les fées". On veut coller-tisser, allrer-donner, reprendre c'est voler ! On ne veiut plus aller vcers des données de rage mais gagner en vraéi le mur -façade, les données de base, le muret des fins de salle, ultime donnée des données coriaces. 

On veut toucher au loin la Place des données coriaces . 

On ne veut pas se laisserr faire ou monter, en vrai, sur les pieds ou se faire toucher, ou se faire moquer, ou se faire de fait tripoter par a&llez comprendre qui sait qui cherche à nous encoquiner ! on est fée des prés et en ce nom on dit merde aux quéqués !  aux hommes morts-nés ! charge docte, va donc te faire ... mousser sur oordre ! On est la fée des prés dits "de la mort donnée" ,cherchant Chose à avaler pour en vrai travezrser ici la Roche aux données soit l'Ultime contrée ! On veut toucher à s atiété = téter ! téter le lait (le verbe alloué) des nénés ! on ne veut pas s'en passer ! on veut grave téter , aller, courir, voler , nous envoler vers ces tétés de robe ! tétés frais ! on veut téter ! on veut toucher à ces tétés , à ces nénés , à ces nénées d'époque ! soulevées , posées, données, ou comme déposées  sur données de roche, ou d'une roche. On a méga -envie de se coller à ces nénées de roche tels que soulevés , attrappés ici par la Fée des Vies dites "de co ntrevie" ! On veut : 

toucher à satiété , aller et venir, chercher en vrai à le plus comp^rendre ce qui est qui wse présente, en termes cde nénés lactés (de préférence !) dit de contrebande , ou sinonquoi, si pas de contrebande ? On est allouées : ailes de la fée ! fée nous-mêmes de fait saluée, bdu fait que voilà, en fait, on est Ailes = ELLes, ailes de la fée nacrée, genrée, déposée, volant sur roche comme une sorte de donnée, tracée comme à mainlevée par dieu seul sait qui c'est qui était là pour ça, coller-tracer en joie les mots de roche(paroi) faisant foi ! On aime aller ensemble dessiner sur roche, sur paroi, la foi en l'au-delà ! le tracé fauve, la voie ! On adore ça ! on veut de fait comprendre lesz données de force, et allouer  à la paroi Le Roi , la Reine Forte, la fée des amorces, le chant des voix et autres cris de basse-fosse ! On y croit ! on veut en vrai de fait toucher à l'ultime paroi dite "des Rois et Reines de Saba ". on y croit ! on veut tracer ensemble la chanson des vooies ! On veut (grave !) aller , toucher à ça : la Voie ! toucher à cette sorte de "paroi des forces", ou "aux forces allouées à une sorte de P arole Docte" !

on est née fée la pa roi 1 passée, nous voilà (à présent) devant ce firmament, ces donné&es

  ultimes = les nénés 

cde l'Ange, Seins dotés  de lait  comme s'il en pleurait ou pissait dru, oupleuvait dru ! on veut toucher ! toucher ! toucher ! Ce qau'on veut, à nous deux (ailes = deux) , c'est toucher = téter ! On a super méga envie en vrai de (pour le coup) toucher = téter iceux (ces ) nénés de fée ! est-ce nénés de fée ? on dirait ! ils sont vieux , creux, deux ... dieu , heu .... on ne sait ! on cherche ce qui est qui sezraéit vrai et pourrait aller ! On veuit toucher à cette sorte de données des prés,;  genre "à qui mieuxmieux c'st du sérieux". On est nées fées sur paroi des voeux ! On veut en vrai cerner-toucher ce qui de fait le fait au mieux qu'on aimerait ! On veut le plus qu'on peut cerner en tant que fée (si on peut !). On veut en vrai toucher à ces nénés ... de Vieux Gât-teux

 ? qui szerait Dieu ou qauoi ou qau'est-ce pour le coup qui sezrait vrai ? Rien du tout ! nénés frais ! pas gâteux pour un sous ! nénés les plus frais du coup ! frais en vrai de chez frais, nénés mieux = vifs, genre : dons de vie, vive vie donnhée sur roche allouée à une sorte de denrée de type lactée (insoumise) . On veut :

vivement tracer, coller et ddonner, faire la surprise d'une sorte d'emprise sur néné de mise ! On veut : 

coller = donner = dire = chahuter = comprendre = saturer = foncer = forger = pouwsser = démantibuler = combler = caler = donner = ficher = mesurer = traquuer = pousser ensembkle vers ici, kles données données de co ntrebande . qui c'est ? bé ... j'ensais de fait fichtre pas grand-chose, vu que en vérité, les donnnées profiondes siont comme larvées, cachées, masquées, enfouyies de base de l'autre côté, vas-y pour comptendre et toucher ! vas de base chercher à pour le coup comptendre ce quyi est qui sembke nous toucherf m

ais en vrai que tchi ! rien du tout ! les données de base (dessous) reste"nt à leur place et en vraéi ne se laissent pas tripoter ou même juste frôler ! on essaie de f&it en tant que fée, née dans la Mort ou le Royaume de la Mort, de nous en approcher le plus pôssible pour en vrai , en effet, les toucher, cerner ce qui est qui nous regarderé&it ou nous attendrzait de l'Augtre Côté mais voilà, on ne peut pqas s'en approcher outre mesure ! on est "coincées" ; on est comme coincées de bvase sur pré , gentes dames, bisonnées, anti:lopes sucrées, escalopes, on veut en effet nous approcher le plus possible de toutes ces données acides situées, de fait, del'autre côté du pré, mais comment aller ? comment dire ? que tracer ? comment charger ? quoi pousser ? quoi avancer ou déposer ou envoyer ? On est la Fée des données admises (en vrai : de la Mort Surprise) mais arprès ? qau'est-ce qu'on peut apporter de plus ici en termes de données lactées, d'entreeprise de salubrité, de sauvetage au débotté d'une sorte de Page, Gens d'Ombre, Venaison / Cohorte, Champignon ? on est fée des herbes coupées. fée d'herbe à tout jamais mais est-ce que ça le fait en vrai pour de fait nous permettrre ici et pour le coup xd'en avancer beaéucoup (chelou ?) ? On, ne sait ! on chervche ! on cherche à genous on dira dans la prière jusqu'au cou mais çça ne suffit pas, ou ne suffirait pas du tout , chelou. On veut = on va ! 

On veut aller de base "dans le tas", chercher une (sa) place et basta, afin de comprendre, comprendre = prendre , prendre = cocxher (une croix) , soit donner ! faire offrande ! apporter sa pierre de rage ! faire ainsi quye des données de base puissent aller,coller à une sorte de Romance en vrai, charge d'ange déplacée ou même débordée qui serait charge dite "des prés" du fait que voilà, charge d'enfance comme qui dirait (dira ?). on avance ! on cherche à comprendre = toucher, mais pour comprendre -toucher la Romance, il faut y aller ! il faut (grave !) donner ! donner de soi ! se mouiller ! s'ofrrir commê en héritage ! traverser la base,les données de face, le tracé (olé olé) des données mentales et &utres vérités de contrebande saturées./ On est néee fée sur place (les données) et on avance, grave, vers Déité ou ccette Déité des Fonds de ca&le. qui on est ? on est ... sales ? ,sages ? sardes ? on est née sur place fée, du fait qu'on a passé (dépassé) la roche aux fées ! On est née fée au passage ! n"ée fée de base ici, au passage du pré, sur prairie allouée à des bêtes de pré, genre caval$cades. On veut :

toucher , toucher toucher, toucher, toucher , toucher , toucher, toucher à cette charge ici donnée des prés sa lués. On ne veut pas ne pas toucher ! on veut grave toucher ! On vgeut tracer, dire , épouser les nénés, séduire, coller, perdre, chyanter, donner, se donner comme par surprise à une sorte de Mainmise (déplacée) quyi wseraéit 

comme une Déité Surprise rencontrée. On admet ! On veut toucher pareille cdéité ! on veut cerner de près, la regarder de près sans plus tarder, chyercher à lui (comme) soutirer les véerités acquises, les données genrées, les mots de roche vrais, les données données. On veut de fait aller sur ce trajet, donner prise. On veut de fait coller à cette soerte de donnée donnée allouée à un pré tel que celui sur lequel en vrtai on est à présent déposées ou comme déposées du fait qu'on a passé l'emprise, la paroi des nues, le premier passage de rue, nous voilà acquises à une sorte de prairie des vues genre -banqyuuise, pré nu, p^rairie fine, herbue, cconnue, vue. on est filles ! filles des vues ! deux filles forment fée des nues ! Onnest filles nues formant fée des rues ! On veut toucher à une Déité postée. tracer = courir = aller = gravir = monter = toucher au loin = faire = dire = contrer = charger = do nner , donner en vrai ce qui est qui nous est comme à nous-même donnée quand on néît = la mesure , la musesure sûre ! charge actée' ! on naît ! on est née fée sur herbe

 de pré la Mort sûre. On voulait coller nous voi:là touchée. On voulait grave bnous retrouver eh bé c'est fait . On veut toucher à cetre sorte de donnée des prés, chyercher, coller, dire, faire, sédiuyre, soulager, dire et conttredire et se donner de près comme en vrai la cire ! l'écoulée ! fluide nacré ! cire desz données données sur un pré acté . On est née fée surprise, surprise ! on est née fée-surprise, surprise  ! on ne s'attendaiyt pas à pareille emprise sur rive ! on veut de fait coller à une sorte de donnée de rive, ou de rive ultime, et une fois ici ou là collée , une fois qu'on sera, toutes deux (AILES), collées, alors /... on verra ! on y verra mieux ! on s aura ! on verra de nos 4 yeux (?) ce qu'on verra ! 4 ou 2 on ne saoit pas ! mais on vezrra ! on y verra mieux ! on saura ! on saura à qui mieux-mieux à quoi s'attendre au mieux de tout ce qui va là, sur pré aux abois. On est nées fée sur pré (de pré) et on avance ainsi ainsi accolées , on trace. On est nées fée de contreb ande. On cherche à comprendre ce qyi est qui nous "regarde" on dirait ou nous regarderait en face" : qui c'est ? je ne sais ! je ne sais pas qui c'esst ! j'aimerai grave le comprendre, toucher, cerner, aller, faire et donner les fdonnées du Verbe tel que dxélivré mais comênt faire ? On ne sait s(y prendre ! on est AILEs, au débotté de l'âme, mais vas)-y comp)rendre , les donné&es, le sens de la marche, les contrées, le sentier et la parade, le treajet ! on entre et une fois entrées on cherche, on essaioe, on tente , on veut gagner ensemble (ailes) l'horizon desz herbes. On est pas arri-vées c'est vrai mais on est motivées ! on cherche de fait à nous en aépprocher, à gagner du terrainsur pré, à t§oucher à cette sorte de donnée dopnnée allouée à une Vérité dite des Vérités d'une sorte de Façade aux données Données, qui serait Roche des Don nées Finales, Saturnales, Avouées. Qui on est ? dans la mort ? des fées ! soit ailes de" fée = fée ! on est les ailes d'une fée des prés (paradiisaques) allmouée à une sorte de Vérité qui est (de fait) Vérité des prés

, Prairies sur Roche, Traverrsée dxes TRaverseées, genre Cohorte ! genre Motte ! genre MOnts de Roche = MOnceau ! On veut toucher à une sorte de donnée de roche Haute ! Haute Chose de Caveau ! On ne veut pas (ou plus jamais) passer à côté mais y aller ! tracer ! combler ! donner ! dire ! se coller à cete sorte de donnée du Rire ! on veut (de fait) toucher la Riive = la gagner ! On veut (en vrai) cerner = dire = faire = aller = complaéire = chercher = coller = faire = lever = jouer = sonder ici, ici ou là, la Roche Ultime : où pâsser ? par où onpourrait passer ? qui on est en vrai pour passezr , pouvoir passer ? On veut toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = touycher = toucher = toucher = tpucher à cette chose ici acquise en vrai, Mort des Hommes nés, mort de l'homme touché, Mort D'homme sur pied ! et du coup la Fée, Fée des ombres allouées se permet (en vrai) elle (pas lui) de ... passer = continuer , de faéit, le trajet, le chemin aux Fées, vers cettte donnée qui est donnée post-cimetière s'il en est  : dfonnée des données . On est née Fée à la mort ... de l'homme cis ! bien fait ! on est enfin passée en tant que fée aéux données premières  finalisées et du coup, voilà, nous voilà Filles (ailes) à la retombée , prêtes à coller à une sorte de donnée rupestre, né"andertalienne , sidérée ! on est ! on est nées ! on est nées une Fée ! on est dev enues frée à la retombée , prête à être celle (en vrai) qui SAIT ! ce qui est, ce qui est et  ce qui n''st pas en ce cimzetière de 

Java / Sumatra , tralala la bière ! on y va 

! on dresse la paroi ! on vitupère ! contre le père ! on y va tout droit, RIGA ! ça y va ! ça trace = ça charge ! on est là-bas pour comê qui dirait tracer (dessdiner, en vrai) LE ROI, LA REINE, LES DONN2ES PRINCières (PRImaiRES° et tout le tralala (en soi) d'estocade ferme ! On y c roit ! on veut toucxher à cette Voie, Tracé Ferme, Charge_forme, CGalipettes ! On est fée faite ! c'est la fête, la nouba ! la chansionnette est là ! on y croit ferme , ça y va ! on aime ! on aime ça , les galipettes sur toundra, les mots de l'herbe, les bêtes de poids, l'entrée raide mais voilà on est là sur l'herbe, ma foi ! et on voit, on voit qauoi on voit les bois, les cornes, les sabots dondaine, tous les animaux de la ferme et au-fdelà, les bêtes-forme, poids de choix, licornes ! licornes ! licornes ! bêtes à cornesz et à bois ma foi ça envoie ! on entre ! on est comme allouées ensemble à cette sorte d'antre "de paroi" dont on regarde au loin les formes que ça représente ! On voit ça : roche tantrique à szoi,  paroi nue de soi, chahut ! On veut le cul ! on veut de fait grave le cul ! le cul nu ! cul d'herbe sur l'herbe ! cul du cul ! on veut toucxher le cul de l'herbe , ou le cul sur herbe, ou le cul-herbe, ou le cul des culs sur herbe ou de l'herbve crue ! aller ! foncer( ! toucher ! filer  vers (là-bvas) le cul = fonds = fond s de pré dit fonds ! on dit qu'on est 

des fées (la fée) qui vouloçns (qui veut) aller vers ces contréesz dites du fond ! fond de pré aux herbes = cul des culs, des données (de base) nues. On veut : 

toucher le cul = le fond = le tracé de fond = fondement = cul en herbe des données Suprêmes ! cul des culs sur herbe ça le fait, en vrai , c'est donné ! c'est commê donné ou une donnée ! c'est , en vrai, la Donnée des Données sur pré ! va-nu-pied on est , qui voulons gagner, en vrai, la roche dernière, le treacé des herbes, l'attitré. On est née fée sur herbe à hjamais, en ces contrées. On a touché à ces données en herbe nouys voilà sauvées ... qui sait ? On est née fée la mort venue, on a du cul ! on est sauvées ou come sauvées, du fait qu'on est (

en vrai) venues, sur pré,, comme nous transfgormer, en Fée des 

prés nue, nue velue, connue vue qui va (nu-pieds) sur herbe tracer, on diréit, son chemin de bure ou sinon de bure, en  vrai, peut-etre de cure ? on ne sait ! On est nées fée lea paroi passée ! mesure ! chasteté ! chant des fées sur pré ! battons la mesure et allooins gagner , sur roche des prés, l'ultime "Muret des Murets"  s'il en est ! on est fée doctes fortes ! On veut toucher à ces contrées de force, traversée des formes, cha,nt des cohortes, troupeaux -mots en horde ! on est veaux ! veaux-mots sur ordre ! on est mots doctes sur panneau : cohorte d'aniamaux-mots qui vont (accorts) au dépo^t ou tout comme ! On est mots -veaux ! fée de mots ! mots-veaux = veaux-mots ! on est fée = femme, au ba- mot, qui chantons sa-rde .... szous le pis de "l'âme -vache" ! on est veau de rage ! troupeau-mots ! chants sardes comme il faut et ça enchante grave ! On est veau de peau, chyants basques, veaus des mots sur roche glabre, sentiments de Frange, déplacements. On est fée femme en vrai au passage tracées = déplac"é"es ! Changement de face ! veau devient mot devient rage devient femmes (deux) puyis fée de base (par chance) sur un pré aux vaches et autres bêtes-^poids de mots. on cher

 c he à comprendre grave ces mots ! mots d'onnés de fait sur roche allouée à une sorte de parade longitudinale de paroi ou dite "de paroi" . qui va là ? la fée ! Qui va là ? la fée allouée à un pré ! QUi est qui ? On ne sait ! on est née sur pré fée du fait que voilà, on a laché (en arrière) les données "tressrestres" , genre "sa letés", "vérités des pets", "merdes en bière" et autres misérables charges alloués à un verbe maussade sur pied. On est nées fée en vrai (ouf !) au passage  de la roche-plage. On voulait ! on ne voulait pas rester en râde mais de fait traverser, comprendre, sauter, aller, filer, passer commùe en offrande le tracé de base. On ne voulait pas rester à quai ! on ne voulait pas rester en vraéi à quai mais grave traverser de base les données coriaces, le dénivelé sur place, l'envolée des données de rage et autres alacrités maussades sus-nommées. On est nées fée au passage d'une "Vérité" de type Collage, Placage, Dessinage sur paroi de roche par des f'mmes -hommes des toundras et autres savanesz. On ne veut

 pass passer pour ce qu'on est pas ! on ne veut surtout pas passer pour ce (cette chose en soi ?) qu'on est pas, à savoir : sage ? sa ge-femme ? On ne veut surtout pas $en vrai passer pour cela même qu'on ne voulait pas (jamais !) être au temps passé , soit , avant d'avoir trépassée, d'être entrées en cette sorte de contrée aux féesz, paradisiaque, déployée, vivante au pré, allouée aux herbes-verbe et autres mots-bêtes ! On veut grave trac-vezrser la Chose = la Roche , la passer ! On veut / on vouydrait (en vrai ensemble) grave : treaverser ! filer ! toucher ! cerner ! comprendre ! saturer de verbe les données premières, priméires et foncer ! treacer ! filer sur pré sans plus attendre ! allouer à une donnée s arde un certain nombre de valeurs d'usage ,;, gentillessse en face, douceur grave, sentiments sondés comme par un Passé, chance. On est née fée de contrebande ! chalutier de France ! conditionnées ! on est nées fée de trype allouée à une Vérité Frappante genre Denrée ! Donnée à manger , à boire, ingurgiter de fait de type LAIT ! LAIT DE NÉNÉ , LAIT DE FÉE ! LAIT De trait (traite) franche ! on est nées fée de fait au passage (d'une roche immense, roche-aux 

fées de groptte cachée), et nous voilà qui voulonbs tracer, sur pré, vers ce Dimanche des données Romandes ! vivacités = chastetéb = sa&intetész = dimznche des fées, sucrées , ou nacrées, qui paradent sur pré comme beêtes de trait et autres antilopes de garde ! On est fée des fées, données des données, BELLADONNE DES Prés, on est ! qiui voulons toucher !toucher ! toucher ! toucher ! toucher à une sorte de .... vie de pré si tant est (sui on peut dire) qui serait ... la vie rêvée ! On serait comblées ! fées combl"é"es de mise, on aimarerait ! On veut toucher = centrer = dire = faire = mettre sur orbite les données accolées à un rire, à une sorte de rire donné, ou de rire adonné à une frise, frise aux fées, aux bêtes 

soumises à un joug de mise ! joug des jhoues éprises , ici, de bisous ! On veut RIRE ! grave ! sûr ! fermes ! on est comme des bêtes soumises , du fait que, oui, en vrai, on est là surprises, comme surprises, par cela : vie vive sur toundra ! treanse de paroi ! chance acquise ! déploiement de soi sur un tas ! Oon arrtive ! on va ! on est fée surprises qui voulons de fait charger en vrai les données de prise genre chaluteier, fée des fées qui seraéient chalutier , porta&nt données à traénsporter , 

d'une rive à une autre rive. On veut 

toucher à Déité ! On veut toucher à Déioté ! On veut grave toucher à cette

 "DEéité d'entrep^rise", à pareilles données surprises et aé&iutres vérités soumises à vérification lacteé ! On est les fées de l'entreprises ! chalutiers ! gentes-fée aux donné&es (données) d'entreprisqtse et autres charges à soulever, porter, transpiortezr , déplacer, donner, à cette déité du cul 

du monde larvé (lacté ?). On eest les fées de l'entreprise acquise ! chaluteier des prés ! maritimes ! marines !fée marine à la retombée comê qui diraiot mais est-ce vr(ai ? on atttire ! on est vives ! on est bhien mises ! on est arrangées ! on est des beaiutés ! on est beautés-nées, fées des prés on est qui cherchons l'entrée, faille ou vide, en pareille donnée , donnée grise sur donnée des prés, genre muret ; muret alloué à une sorte de finalité, de type "cul de roche" !

 ici donc le cul nu de la roche ventrue ! cul des culs ! on aime ! on aime grave le cul, car, le cul, est le cul du monde, à qui (à quoi) se frotter immonde qui sait peu importe, le cul est le cul, cul du monde venu,;, vu, touché de près, cul des ombres, finalités, fond de carosse, tréfonds ! le Tréfobnds ! le tréfonds des ombres ou le cul c'est la même chose ! cul nu = fonds

 des choses du mo nde ,; paroi rude des données acides ! chants de Chose ! troubadanses ! vents de face ! rigodons ! On en avance ! vents d'âmes ! pets nés d'une romance ! allons donc danser la (le) Branle,  et le Menuet ! charger-coller, donner-sonder, pezrmettree à une chance d'éclater-éclore sur pré (en corolle si jamais) . On est la Fée du pré passée, chantée, donnée. On est fée sur pré du fait qu'on est née la mort venue nue nous sonder ! on est née fée de b ase menue , chance à cul, vive donnée, va-nu-pied des va-nu-pieds. On est née fée sur pré, nue ! bnue du cul ! charge vue pâr qui l'eut cru, les Rois / Reines des Contrées, ici Acidulées comme du ;lait ! lait du pré ! lait donné à jamais par (qui sait ?) les nénés de l'Anttre ! de la vache Ancrée , Nacrée, Soulagée d'êtretétée en  vrai, ça commençait à lui peser ! on aime allerr téter ! on adore, mêmùe ! on aime, en vrai de vrai, grave, aller téter , téter le néné, le néné des vaches, à jamais , la chance ! notre chance de fée ! chance d'ambre ! on est fée des chances sur pré qui cxherchons E,ntrée, Entrée de ROmance en un mureet dit "des finalité de la Chance en transe". On est nées fée sur pré, pour aller tracer, vers muret, charger, cerner de fait les données romandes, les données romanches et autres données de contrebande à tout jamais . On est qui 

? on est fée ! On est lres fées de la Romance Franche ! On veut ou on voudrait en vrai nous avancer au plus qu'on peut en vréi d'une sorte de Vérité allouée à une Déité des Charmes = dxes données de base comme consacrées, sondé&"es, donnéeez au p assage d'une sorte de traversée (sur place) ! chants de roche amidonnés peut-être mais c'est fait (et plus à faire !). On est actées ! on est stipulées! On est marquées-gravées sur pierre à  jamais comme une Vérité (sorte de Vérité) surnaturelle ou qui serait comme surnaturelle qui sait ! Est-ce que c'est vrai ? sommes-nous commpe creusant la roche des prés à la recherche d'une vérité concernant le monde des données de tra&it, de plainte, de romance 

allouée à une sorte de donnée en herbe, soit le Verbe , Verbe né sur pré en herbe , du fait qu'en effet, l'herbe est  cette sorte de donnée  "de cimetière" ! Donnée verte s'il en est qui en vrai nous sied du fait qu'elle nous aide (grave !) à nous sustenter comme à la parade ! et voilà de fait ici le chalutierr ! la base ! le tracé ! les données de rage ! chants sacrées sur pied ! on est nées fée en France (transe ? ) du fait qu'en vrai les données sont franches

 ! ouvertement données (comme en contrebande) sur dossier ! tu plaisantes ? On charge en vrai ! on colle à satiété , on entre ! on est nées fées de rage treacées ! on comande ! on cfom^mande en vrai le chalutier ! le transport nacré du lait sur place ! satiété ! szatiété franche ! salubrité ! commande et vérités ! charges 

allouées à une sommité de type "bouquetine cendrée" des prés aux données. On est fines ! sucrées ! affilées ! chine ! On aime monter et voleter et nous placer de faéit ici ou là en ces contrées, de base rupestre, grotte Haute, val des voix et a&utres trous de Fr'anche Rigolade ou d'abois ! On entre ! on entre dans l'antre d'une sorte de paroi &ux cendres mais voilà, quid des cendres là ? eh bé ça : l'homme-né, genré, traqué, il sombre dans l'ombre (son ombre) pour renaître en fée ou en fée des prés à la retombée la Roche (la Mort) passée on le xsait  ! On est fée qui sommes somme de données accortes ! on est les fées du Nouveau-Monde, fées d'entre les Fées d'un monde faits de bêtes-MPonstres, Soulevées, Tracées, Tracées à main levée sur ordre d'une Voix de Roche ! tracée sur pied ! Ombres on est , qui vouloçns l'ordre ! la donnhée de Roche : sermons des fées et autres Mamelons ! qui s&aiot ? Lactée ? Fée lactée ? on ne sait ! on trace des traits ! on grave sur pieds les bhêtes mobnstresz, bêtes-de somme ! de trtrait ! sur roche aux Nénés comme qui direait ! On est nées en forme de fée dans la mort donnée !  on est fée des fées .;;;;;......././...............................................................................................................?......................................... df-ée des fées de base .............................?.??. fdé&e d'entre lzs fées de rage .................................?../................fée fée ...L...../....///............................................. fée des fées de rage, de base ..............................................tracées //................................................ allouées àune sorte de romance des données ou des temps allouées à iune soerte de donnée, de rage prégnante .................... vérité des vérités ...... charge et chance sur tracé rupestres des doonnées toutes animalières comme un fait exprès ................... ça pèse , cf'est genré, la crème des données données de type 

allouées à une sommité = somme agraire = cxharge-née, bête consacrées ............. sacrées / consacrées ................................. flèches .................. soulevées et soupesées ............... sur herbe des prés à la retombée .... oN aime, on veut toucher = sonder, et du coup trouver, ici , ici même, ce qui est, en termes de données données, données doctes, genrées en cohorte /horde , vérité des vérités des ombres . On veut toucher à cette Chjose d'une sorte de "DOnnée Allouée" allouée aux ombres, aux petits faits vrais et autres données données sur pied genre bêtes-force, bêtes -mots des prés et autres mots-veaux c-omme s'il en pleuvait à tire-larigot ! O,n aime toucxher = donner = dire = fair = charger = co=plaire = ici donner du frai, des glaires, cy(prine à jouer, colle et collagène, pipi doré et charge sup^rême comme accordée , les Nénés ! Les Nénés de fait de l'Herrvbe Attitrée, avouée, chiffrrée, coi,ncée entre deux termes ! ON est née fée de cimetière, genrée ! fée de fête et autres soirées dansées ! on aime ! les fêtes et danser ! danser sur pré de cimetière et autres scènes consacrées ! On aéime chahuter, danser des nénés, souiller, sombrer, boire et manger, coller à l'herbe = brouter, vache à lait sacrée surnume&ééraire déifieée on aiùme ! on est née fée 

pour être Ailes ! Ai:les al:louées à) une Vérité de type Tracé , un Tracé , un trait, le Trait des données, Trait des fées sur herbe = le TRAIT , la TRAite, TRait de LAIt ! TRait Ferme ! on aime le lait = le trait = la traite = le treacé sur pré des données (premières) allouées ! On aime le lait ! le lait ? on aime ! qu'aime-t-on ? le lait ! Le lait ? on l'aime de près ! on aime l'aimer ! On

 veut toucher, en vrai, aux nénés, de la vache de tra&it telle qu'on l'aime = Sacrée, COnsac rée, Déifiée, Nac rée, Ancrée, DOnnée, FOndée, CHalutier. ON est ELLES ! AILES et ELLES sur pré ! On est les deux ailes du trait, du tracé imberbe ! donée ! une donnée ! une sorte de donnée post-cimetière et comme attitrée à une sorte de ... rezngaine ? chant réiktéré ?baliverne / ritournelle /chants de pré ? On aime ! on est nées  fée du fait qu'en vrai on voulait cha rger, passer, passer de fait , traverser, 

traverser de fait, la des Roches De pré ! aller ! pousser ! cerner ! pisser ! coller à ces données de bouts de roche Nacrée et autres Fariboles aux tracés gravés ! on est fées ! on est en vrai des fées ! on est comê nées Fées, sur Roche Grosse ! on est née fée sur Roche GRosse Genrée SAluée ! fée dfocte ! tracée à main levé cdepuis le carosse ! On veut touycher à une sorte de donnée, de rond-de-bosse, surnommée Néné mais en fait il s'agit de la Roche , Roche FOrte, Grosse , aux données allouées de type Lactées comme quyi diraot , et nous de cfreuser -téter en vrai les données données par vce rond-de-bosse alloué à une Roche Calculée ! On est fée des Ombres de grotte ! chants chantés nez à nez avec... eh bé la Roche ! Grosses ! mains articulées, Verbe Hautain, Cris chargés d'effets divins, Vents de force 3 sur Roche des Voix ! On colle = on monte ! Traçons et traquons ! Bête de roche ! va-nu-pied sur roche accollées on monte ! fée ! .....................................................................fé&e des prés ./................... on est en vrai la fée du pré comme autrefois nommée ^par l'homme -femme des cavernes cachées souterraines. On v eut grave cernezr un certain nombre de données dites "de cimetière" sait-on jamais ! qui on est ? des bêtes ! des bêtes en herbe ! chants des prés et herbes vertes ! on est fée d'herbe en herbe, à brouter ! fée ! fée des fêtes consacrées sacrées ! chants sous terre ! on rêve ! on est trabnsportées e,n même temps qu'on est chalutiers, chalutières on dirait, transport d'hezrbes (vertes) comme à l'arraché ! On broute sacré ! on est bêtes (des prés) sur pied, de type bêtes à herbe, mots dee roche, mots-bêtes, bêtes-mots de Roche et Autres Gros Mots, de Langue ici

"Pas Dans LA POche" (dixit Roi/ reine de Saba ) . On est les costumières, les fées de la Chance, Rave Tantra, Charge d'antre. On veut ça : la transe , la samba ou transe de Saba, transe-Chance ! on veut ça ! comprendre, qui de 

quoi et pourquoi et quoi sur quoi ! Chance ! transe ! On entre en transe dans la paroi , une chance ! cul des Roisq / Reines de Sa ba , on danseb ! on y croit de base car on est quoi , on est la Reine ici bas = là, charge, 

paroi, trait des fées, ai:les de szoi, force majeure et chants des toundras ! on veut comprendre enxsemble la paroi , c'est la paroi de qzuoi ? des données primairzs ? du V erbe ? de la Roche dure d'une Grotte connhue ? Chant des donnéesz vives ? le teracé du vivre ?On ne sait à qui ou à quoi se fier pour (en vréi) nous y retrouver, en cette sorte de tracé chiffré ! qui on est ? fée ! qui on voit ? ça, le tracé des fées, roche-bobois , les données de rage, intériorisées, comme déployées. Qui on aime ? Le Bverbe , les données de poids, mots de somme et foi des ombres sur le tas (béliers, bisons, buffles dorés, chevales amarrées, Tisons). On est lzaa Fée vde conttebande. On est la FZ3ée naissante. Sur roche allouée au Verbe teracé, gracvé à la volée par l'homme-femme tracassée, touchée, touchée au mollet ! On trace ! on est comme teracées de mises ! O,n n est les fées toutes alouuées à une sorte de mainmise, donnée par ici le Verbe Sacré, qui est Bête Rosse, si jamais, bête des prés de somme, de trait, grosse de données accortes et autres savoirs vrais . On veut :

toucher en vrai

, toucher pour de vrai,

toucher grave pour de vrai,

grave toucher aux nénés,

grave en vrai toucher aux nhénés,

grave de chez 

grave toucher aux nénés,

grave de chez grave en vrai ne pas lzambiner, traîner, mais toucher ! vivement, vraiment, assurément, aux nénés de l'Antre , Ronde-Bosse sur Roche à graver : Nénés Doctes ! ombres ! plis larvés et autres rotondité de Charge Forte. On est nées Fée en vrai soulevée comme qui dirairt. P° arce que voil:à : on est ! on est en vrai Fée ! On est fée des fées en vrai et pas pour de faux comme qui dirait, mais en vréi actées ! dites, fortes de mots gros, chjance allouée à un jeu de mots sur place grravé, jeu de mot bgravé commê s'il en pleuvait ! On va à tire larigot ! on aime, on est fée Su^rpême, chant des Veaux (des petits  veaux) à tire larigot ! chants doctes ! on court on vole ! Fée du tonneau ! ivrres de vins bus nue ! On est vues

 ! on est courues ! on 'est nues courues mais on pue du cul ! fonds de roche meuble ! gentrification ! collation ! on est comme venues (nues) pour`cerner le fonds, fonds du cul du pré aux fées ! et autres eêtres de Raison Donnée. On aime ! le pré, la chance, les donnéesz données en outrzance, denrées déposées sur pierre aux offrandes et autres seuils dits "de sainteté". On est pour la Romance, Chants des Forces Doctes, pour le Chant atroce, cris vénal peu importe : le tourment ! l'impact ! toucher = toucher grave et de près la Divinité Toute Tracée ! l'impacter ! la toucher en vrai ! lui donner de quoi s'alimenter, en termes de  HJoie, Denrée de poids, Vie outrée, vie vive des données gravées (de type animalières) au débotté ! On aime ! on est nées sur pré e,n

 colère fée ! fée des fées 

nées d'une colère et en colère (on dirait en vrai). On est la fée du cimetière, chahutée sévère mais en vrai elle sa&it très bien parfaitement se retrourner, graver ses données, ses propres données venues de derrière comme qui dirait ! On erst nées fée en bière ! ferme ! recherchée ! on est la fée du cimetière et de la bière de fait enterrée (on sait) mais en vrai comme (à présent) soulevée ! ouverte ! remontée ! haussée ! montrée et adulée commê du Veerbe, tracé ou traqué , surnuméraire, implanté, ancré comme de l'herbe, recherché pareil et même collé   ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucbher toucher toucher toucher )à cette déité des déités surnaturelle (on dirait mais est-vce vréai ?). tOucher toucher toucher à cette Déité des D2itéds ! surnaturelle on dirait ! méis est-ce vrai , est-ce que c'est vrai ? que doit-on en penser ? qui on est ? que faisons-nous sur terre pour aimezr la Terre, les Données RAgeuses et autres Sommités Gravées sur roche type DBélier, BUffle Ancré, Antilopes et autres bisonnes ensommeillées ensoleilléesz. On aime ! charger, pisser, cool:er, dire , allouer à une Sommité de Bête des données (genrées) Suprêmes et autres Vérités en herbe ! vivacités ! vies des prés sur herbe ça le fait : on aime ! coeur donné et autres sentimentsz alouéz à une roche meuble ! on aiume aimer ! on aime grave en vraéi aimer

 : la romance, les nénés, la chance, les données en herbe, le tracé, le xsens de la marche et des données données, le travail du Verbe, l'onctuosité des données imberbes et l'onctuosité des données velues, cul nu, genrées, ampoulées qu'est-ce qu'on en a à faire, puisqu'on est nues , nues et velues, nacrées, sucrées 

et sa&lées, venues nues de fait pour trouver en vré&i les données de base, d('une sorte

 (ici) d'avancée, dans la roche allouée à une Vérité Cochée ! On entre ! On est la Fée en transe = chalutier (un chalurtier) ou chalutière si tant est ! on aime ! être fée surnuméraire, vie des prés, sainte mère des données accolées comme deux ailes autour d'un Trait, Mât de misaine, tra&it des fées, mât docte attitré à une sorte de Parade monstre ! et nous de nous y accoler, de part et d'autre, cohorte comme qui dirait, a&iles sur pré = elles-bêtes allouées à un ma^t de misaine = trait de fée (trait d'ombre) ça le fait ! on veut toucher toucher toucher ....................................................................... toucxher toucher t§oucher .../............................................. toucxher toucher toucher en vrai, lza bête de scène, le tracé, l'être dees prés en herbe, le donné des traits (traites), l'en-lacté  de près si tant est ! ......................... = l'allaité ? on dirait ! on aime ! on aime aller sur pré à la recherche du bon lait de ferme  = vache Sacrée sur Herbe-VErbe consacré ! on éime ! coeur donné ! coeur-valeur ! coeur-né !

 on veut toucher toucher toucher .......................... ne plus s'arrtêter de toucher = téter ! tête première ! primauté de la tétée sur herbe en herbe ! chahut / chalutier / chalutières ! on aime tracer, sur pré, rochenée, la bête ! groosièretés des données sa&intes salutaires ! fée des feées ! On est nées fée sur herbe ! on aime ! on est fée des prés ! cxherche-merde ? qui sait ? on aime ! quoi, la merde ? les données de l'herbe ! l'herbe données ! le Verbe ! l'épôpée cendrée dite "de cimetière" " et le tour est joué ! On veut coller son nez dans l'herbe, et b router ! vache à lait ! vache à lait ! vache sacré à lait sacré ! vfache à lait surnuméraire comme les données toutes données d'a^près cimetière sa&it-on jamais. mourir cendreéb, dxerrière, mais voil;à, on est transfor'mées ! on devient ELLEs = FÉES = VACHES à LAIT Des prés ! merde ! merdum de l'herbe et des donbnées lactées ! on aimeb l'herbe, la fumer peut-êytre (qui sa&ith ?K ) , la brouter , la 

la brouter, la ruminer 

pendant des a nnées ! On veut toucher toucher toucher topucher toucher toucher à ces données de type denrées, herbe à brouter et aéutres foins de basse-bosse, traits des fées de carosse, rondes sur pr)eé et cohortes ! On est fée des prés = bêtes accortes = 

vaches à lait sucré-salé sacrées ! rondesz ! groossesc ! pleines de lait ! fortes ! vie lactée des vies de rage machouillante ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre d ans l'antre ! on veut entrer ! entrer en ces données de type lactées ! entrer, grabve, ensemble, ailes d(une fée ! Ailes allouées à (de fait) un tra&it de Rage ! grtave ! trait ! trait des traits et autres tracés à main levée par une femme-homme des temps rezculées ! néandertalien,ne 

-né,e comme qui dirait que ça le ferait on le sait, c'est vrai ! né,e ! néandertalien,ne ,

-né,e, en vrai ! gravant roche à main levée, en transe et comme soulevée par un vent de fée, de fée docte ! trait ! trait des traits ! on est soulevée ! on est fée soulevée ! on vole ! on est fée qui de fait vole ! va nu pied puis vole ! fonce ! ose ! touche ! touche 

les nénés ! les ombres ! le treacé de force ! le Passé passé, donné, déposée ou ntout comme , don à déité, en vrai, sur roche de grotte (bêtes-monstres ! venaison

! ). On ose ! La Passion ! l'(antilope (ici) au débotté et augtres bêtes des Passions Lactées ! on ose = on pose = on donne = traits ! trait de con, de passage outré, fardé, accolé-acculé ! tracé ! con = trait ! on ose ! on veut passer par le Passé, des ombres larvées (lactées ?) d'une sorte, ici, dx'anfractuosiuté dite "de fin de vie". On a&ime p asser ! on veut toucher à cette vérité, d'une sorte de donnée, allouée à un verbe des prés ! coulée de frais ! vive santé ! chant sucré -salé ! Déité des Déités lactées ça se pourrait : qui sait ? on ne sa&it à quoi se fier ! à quoi se rattacher ! On cherche ainsi tracées ! fées des fées ça

 le fait c'est vrai, ça charge, impacte et pas à moitié, montre le bout de son nez ! de son nez de fée ! charge grosses ! velouté de ronces ! cris des fées articulées comme une sorte de parole ronde, vraie, motibvée, grammaticalement structurée qui sa&it ? ON veutb coller de près à ces ronces ! aux données grosses d'un Verbe alloué à une sorte de donnée des prés , ronces, fleurs dotées dépines tra&itres et autres odeurs chargées. On veut toucher toucher toucher ....................................................... toucher à cette Déité aux données de ronce ! .......................................................es-qualité ! on est fée ! fée des ombres portées ! chahutées ! volantes / volant, traits ! treaits dans le vent ! ......................................./........................... traits de forcevive ........................................................................................... vie ! ......?.?.......................... vie ............................ vie lactée ....................?. =  voie lactée ? ............ qui sait ce que c'est ? ;;.......................... vie = voie on diraiot ....................voie du Roi et de La reine OUtrée, cha rgée, acculée, forcée ................/......... fait chier ! .................................. ROi CON des données en herbe, il nous fait suer ! chier, suer -chier à jamùais ! ....................../................. (Roi des herbes broutées, il nous emmerde (grave) sur pré ! en vrai ! cimetière ..................................../.......................................... à chier !

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9/10/2024

On regarde et ce qu'on voit ne laisse pas de nous surprendre et de nous retenir. On est là comme deux fées de rage. on cherche à comprendre. Quoi ? la voie ! le sens de la marche. Onn est là ensemble , qui (en vrai) cherchons grave à ... eh bé oui, toucher ! touche que tu toucheras , à cette chose devant soi : la branche ? la branche ou pas mais voilà ! on trace ! on en avance = on en avance dans les connaissances ! on est comme toutes accolées de base pour comprendre ça, le tracé des rages, le tintouin des données coriaces et autres 

 chemins de contrebande. On est là (ensemble , envcore une fois !) pour ça : aller fissa, tracer sur roche, une sorte de nouba, de parade, de sotie en cavalcade. On est là ensemble "toi et moi", pour en vrai cerner sur roche ce qui est en termes de paroles (parabole) en transe ou autres faits vocaux liés à la chance. On envoie ! On voit ce qu'on voit (la transe) et on envoie ! on entre ! on entre ensemble "toi et moi'" en cette sorte de parade aux animaux "vocaux", !ça charge ! ça remue ! ça ne s'arrête plus , et du coup voilà-t-il pas qu'on nen avance sur les pas des hommes-femmes d'autrefois : aurignacie des basses -alpes, néandertalie de façade, etc. On est là en face' ! on entre ! on entre ! on entre en transe ! on entre, dans la danse de Saba ! on entre ense

mble en cette danse rare, trait des joies des contrebandes et autres vie soudée à une sorte de parade "grave" : feux de bois, liturgie, chants cosaques, train de vie sans faille, conséquences (grave) de samba. On entre ! on erst soudées ailées (pour dire ainsi)et on entre ! on entre ensemble par la faillme ... de la voie de roche astrale ! on est mues ! on est même émues d'être mues ! On est soudées de base ensembkle et c'est ainsi soudées (aimées) qu'on entre en cette sorte de contrée (possible) des données de base. On est 

comme soulevées ! on est comme soupesées et soulevées et ça le fait ! ça le vfait grave en  v     rai , 

tellement ça kle fait ! On est accolées et du coup acculées et c'est ainzi ensemble qu'on se voit (pour ainsi dire) entrer ici, en cette prairie, pré aux herbes folles, champs de flreurs et b^$etes de ronde. On est mues émues sur roche vive. On est entrées ainsi émues et mues sur pré aux vives données rudes, type buffles. oiN est nées, sur roche prairiale, ainsi mues, sur pré aux bêtes matinales. On veut toucher à cette sorte de parade de façade, pierrale, ancestrale, vive de chez vive. On est fée des pré et on veut toucher ! on voudrait de fait ensemble toucher , toucher vif , sans traîner, sans vraiment tarder = comprendre ! car toucgher = comp^rendre, que voilà, la chose en soi (le buffle là) est une sorte de donnée de foi, vraie vie des parades, vive vie des données et traces./ On envioe ! on en voit 

ghrave ! on ne voit que ça, comme quoi voilà, on est là pour ça, on entre, on regarde, on voit, on voit l'arbre, la branche de SAba, le tracé de face, l'onctuosité des bases sur paroi, le chant liturgique de la ffoi dans l'au-delà, le dada ! Oh, on le voit ! on voit le dada ! l'entrée des rages sur par(oi passe par le dada c'est comme ça ! On est

fées des prés du fait que oui, on est entrées, on a franchi le rubicon (des données rocheuses) et on a creusé , on a poussé ensemble là , jusqu'à en vrai creuser, creuser que tu creuseras, la roche rude, dure de chez dure, pour passer = arriver à passer, arriver à traverser en vrai la paroi de bure ! Voilà ! c'est fait ! on est pâssées ! on est fée des pré ! on est née à cette chose, d'une sorte d'amplitude ! d'envergure ! aile au sein des données rudes, on allume ! on est nue de base, cul nu , on avance ! On est fée cul nu sur pré tondu ! On est la fée des données vraies, échevelmées, vives de chez vives , sur pré. On entre = on est passées ! On est née fée sur pré comme "à la retombée", au sortir du roc ! On est comme née fée au sortir du roc, du roc d'entrée ! des données premières allouées à une sorte de "fenêtre", de 

faille certaine, "trait des f"éées" et auitres anfractuoisités. On est passées, de fait, par un trait, trait docte, et une fois passées on s'est retrouvées comme situées , sur pied, ailée comme une fée, à regarder passer des bêtes, bêtes-mots de poids et autres masses-verbe ! On voit ça : la roche-toundra, pré d'herbe, tralala des bêtes entre elles (bêtes de poids) et autres vent ds Rois et Reines de Saba! On est : fée cernée ! On est entrée ! on est née fée au passage du trait ! Qui on  est ? une fée (ailée) sur pré, pré aux herbes à brouter par des vaches  allouées à une sorte de ... passé ? passé né ? passé vif des contrées ? vif passé aux données données ? On cherche ! on ne sait ce qui est en vrai pour de fait et pour le coup c'est vrai qu'on cherche, qu'on ne cesse de chercher, de fureter, de tourner ici et là à la recherche d'une voie, soit d'un tracé de fée, d'un endroit par où 

passer ensemble ("toi et moi") pour comprendre les données de base;, l'envolée, l'offrande, la parade des genres et auitres petits faits de foi . On est nues velues sur pattes là (paroi) et c'est ainsi (si nues !) qu'on entre ! On veut comprendre = on veut toucher à ces données de contrebande, allouées ... aux nénés de lma base ! on voit les nénés ! on voit (dans la mort) les nénés ! arrêtez ! on dit en vrai qu'on voit des nénés ! seins des rages et autres seins de base ! On est nées (dans la mort) fée  (un homme est mort qui devient ELLES = AILES = F2é des pré). on est née fée et on voit les nénés ! Onvoit de fait dans la mort des nénés ! on est née de rage ou dx'une rage à vouloir toucher ! les nénés ! 

le lait ! téter ! téter grave le lait ... de la branche ????????? on ne sait mais le fait est que, oui, en fait, le néné est né au moment précis où en vrai on est né,é, au moment précis où pour de vrai on est passé, on a traversé (homme ?) la roche poreuse des données (frontales) pariétales, 

et une fois celle-ci passée, on s'est retrouvé transformé pour ainsi dire du tout au tout, puisqu'on s'est "révzilllé" fée, en tant que fée ailée et non plus homme cendré, on est née fée des prés dans la mort venue ! on est nue ! on est velue ! on n'est plus couillu mais velue du cul en tant que fée des pré s ! On est passé du stade homme cendré, centré, autocentré, à celui de fée allouée à une sorte de contrée aux bêtes de s prés. On est trans-formée en fée des rages ! en ces fées de rage sage ! tracé ! tracé à main levée ! trait de base ! dessinés ! on Est né sur pré fée en tant qu'on est devenu femme ! dans la mort la femme ! fame ! flamme ! On est née fée du fait que voilà, on est morte-allouée à une sorte de samba aux données de rage, tralala sur pattes, cavalcade , on en-voie ! on danse aen transe ! on y va ! on ne s'arrête pas ! on ne veiut surtout pas s'arrêter là ! on veut tracer, coller, percer, comprendre, souder, cherchert à pour le coup nous rapprocher des nénés enflés ! On veut : 

-comprendre

- souder 

- aller par desz chemins cde contrebande, à la rechercvhe de données de base pouvant, éventuellement, nous aisder à) percer un des mystères sinon tous , de la , comment on dit ici, "sainteté chérie" ? On entre à quatre pattes sur un pré, prêtescà brouter. On est née fée la mort venue nue. On est fée des bases crues. fée des fées du cul ! On aime le cul, la chance, le tracé sur roche allouée à une sorte en soi de vérité qui serait vérité d'époque, ancestralité, vieillerie-chose, conséqauences de paroles outrées et autres petits faits vrais. On est fée d'époque c'est un fait ! drôle, nue, vue, comme dépourvue de morgue ! On est passée tout prèds du buffle accort, des bêtes oursonnes. On est fée docte ! on fonce ! on veut toucher = comprendre .... qui on est. On veut toucxher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher touc cher toucher touc

 cher toucher ! on veut grave toucher ! toucher grave aux données données et autres traits de vérité genre néné ! les nénés ! on veut les toucher parce qu'on veut téter ! on veut grave téter et du coup toucher ! téter = toucher ! toucher = téter ! est -ce que c'esst vrai ? on dirait ! on est passé de l'autre côté en tan

t qu'homme auto-centré, nous voilà à présent (dans la mort) transforlmée en fée , ailes des prés (elles) = fée ! fée docte ! fée d'ombre ! on est fait ainsi fée ! fait ou faite feée. On est né fée dans la moerrt du pré ! On est alloué à une sorte de prairie aux fées du fait qu'on est né en certtte sorte de praiorie liée aux fées ! fées d'ombre et de mots chahutés, genre bisons-bisonnes, bouquetines et bouquetins sur roche, traits d'union de poche sur paroi moche ! on ose ! on trace ! on comba t ! on voit ! on ne veut pas sa langue dans la poche ! on veut comprendre la samba, le Roi, La donnée (donnée) primaire ou les données (données) primaires,

 Reine des Rois, Roi des REines, on y va ! on danse ! on est là (fée des prés) pour ça, la danse, la samba, lze cha cha cha, la parade nuptialme. On envoie ! on veut comprendre  et voilà : on enttre ! On est deux pour ça : à toi à moi la contre-danse sur toundra ! On est des fées de rage sur paroi, cxherchant grave à comprendre qui de quoio le Roi , la Reine, LA Samba des peines, le tracé primaire, l'os de seiche. On cherche ensemble sur paroi  les données données, le tracé sur pied, lma bête allouée à un chant premier, l'enveloppe classée et autres faits de vérité. On est fée des prés à la recherche d'une Sommité, d'un tracé ch argé, d'une vérité comme s'il en pleuvait, Véroyté des Vérités et ça le ferait. On est fée des prés à la recherche d'une vérité dite "de cimetière" (on dirait). On est née sur pied ailée sur pré . On est passée = pas asseez ? pas assez Reine ? On est née sur pied ailée post-cimetière, dans un pré aux bêtes tracées. On est par(mi elles ! on les regarde aller, brouter, venir tout près puis s'en aller, tracer, charger, coller de fait aux nénés de l'Etre ! On aime ! on  vezut grave en êztre, des données de baise, cul velu on aime ! on est nue idem ! On aime ! on aime le cul ! la senteur du nu, la bête charnue, bisonnée première et autres bêtes de paroi de roche crue. On aime grave la bhête dodue post-cimetière ! On l'aime ! on l'aime du cul ! charge ce"lte ! Obn est dodue nous-même, fée dodue des données premières, charge nue on fonce à l'ancienne = cul nu !  on foncxe on enfonce ! on fonce cul nu pour entrer en force ... dans le cul ? dans le cul de l'Ettre ? cul nu ? On e,ntre ou entrerait cul nu dans le cul de l'Etre velu ? On 

pousse ou pousserait de fait la chose jusqu'au cul velu ? chose rude crue , chose grossee  tendue , corde ? On est bvenue sur roche ensemble sur le cul tracer roma,nce, et nous voilà cherchant l'entrée = la sortie du pré ! un cul ? une sorte de trou du cul en guise de passage "instantané" ? On ne sa&it ! On est fée des prés , on cherche à trouver ! on regarde! On est fée des prés allouées à une vérité de type autocentrée (homme de près)  mais en vrai macache ! l'homme est né dans la mort cendres ! l'homme, dans la mort, naît cendres , meurt pour ainsi dire "pour de bon", quyi laisse sa place (le con) à deux femmes ! deux bpour Dieu, devenues dès lors Ailes de contreba,nde, par chance, fée des prés et du coup  (de base) allouée à une sorte de donnée de Rage, la PAROI EN TRANSEV! Le PASS2é frontal changé en romance, vive 

acidité des rages de b ase, tracé fait à main levée par une femme ! charité bien ordonnée commence par la danse des données données = les nénés  , ne cherchez plus ! On est née fée chelou, du fait qu'on est (dans la lmort) née, mais c'est un fait ! on ne peut y couper ! vie = vie sur pré dans la mort donnée. On aime coller, tracer, pisser, comprendre, toucher, tracer, aller, rechercher, pousser la romance et la chansonnette des prés, comprtendre qui est qui en ces contrées et aussi peut-être pourquoi les nénés et pas par ecxemple le ... pâssé ? les traces du passé en tranche ? On ne sait ! on entrte ! on pousse ! on comp)rend ! on absout ! on est fée des prés de contrebande et on absouyt, du coup, toute sorte d'intrusion notoire déplacée ou sinon quoi ? on aime ? pas vraiment ! on est fée sur pré pour ainsi aimer ? on ne sait ! pour chercvher ? on le dirait ! On est fée des prés allouées à une vérité de type "alacrité" ? on ne sait en vrai guère davantage ! On est des (fées) qsui(en vrai) faisons (sur pré) le trajet des fées , la parade, on chante ! On est fée des prés sur bande' ! on veut toucher toucher toucher toucher à une vérité dite "de

 vcontrebande pour néné" et du cfoup on danse ! on virevolte pleine de grâce, envolée on est, on plonge ! on ressort ! on est sur ressort ! on virevolte ! on ne s'en laisse pas compter tellement on est fée jusqu'au bout des ongles, ailes-chasteté, bec de roche, sainteté 

des sqaintetés et autres qualitées de roche dure (vivacité, acidité, a&lacrité, treaçabilité). On est née fée la mort venue du fait que oui, on edst velue ! On est nue venue velue à la rencontre de la vcérité  ! On est accolée sur pré et venue nue ainsi ailée ! On veut toucher à cette Vérité du cru = Déité des D2ité Ventrue. Qiiu c'est ? bé ... l'plombier des prés ? le chargé en communication nacrée ? le VRP des données allouées à une sorte de contrée prairiale post-débandade ? On ne sait en vrai ce que c'est que cette chose grosse devant seoi qui nous ouvre ses bras ! buffle des prés ça se pourrait ! AUROCHS COLLÉ  ? On veut toucgher à ce  qui est qui se présente devant soi les bras ouverts cfomme en amitié mais est-ce vrai ? On est femme docte (sur pré) parmi des bêtes 

aux colliers deRoi. On veut t§oucher = cerner = dire = fair = comprendre = saturer = charger = faire ainsi que devant soi la faille s'ouvrit  sous nos pas et nous laissât en vrai padsser comme des reines de Saba pour aller (au loin) chercher le Roi (?) des données primaires. On est là ensemble fée sioudées , qui cherchopns en vrai à nhe plus nous retourner sur quyoi que cev soit parce qu'on a donné (déjà) et qu'on veut tracer, avcancer, s'avancer, tracer = filer et a&ussi dessiner les traits d'une sorte de donnée donnée  (néné ?) de type animal des prés (buffle au débotté). On veut toucher à une D2ité post-cimetière , ça le ferait ! On est prête ! on veut coller à la paroi des termes ! chahutée c'est vrai mais qu'importe l'entrée du moment qu'en vrai on est entrée ou qu'on a pu entrer ! On veut coller souder, tracer donner, comprendre les données de cecqui est , de ce qui est qui va en vrai comme tracerr à main levée les données du terme ! Qui on est en fait sinon fée  ! On est fée des rages monstres sur paroi, des femmes-hommes de Sa&ba ! On voit ça . On erst homme et femme drôle;, chan,t total, vie des prés, nouba là, transe en croix, parade ! charge mentale animale ! bêtes des rois, reines des Tas, on veut toucher à la paroi ! traverser la voie ! comprendre ensemble le pourqyuoi d'une telle romance ! on y croit ! on veut (on va) comprtendre  un de  ce

s quatre la paroi, la roche Sarde, le Passé des Rois et REines Graves, les données fronrtales, animalités de co ntrebande et autres bêtes de poids sur paroi des voix. on entre ! On veut toucher à cette sorte de Romance dite "acidulée", drôle de Romance "des prés" telle qu'elle nous est donnée par chance (par la chance) une fois entrée (iune fois que nous sommes en,trées !). On est passée ! on a traversé, et nous voilà comme confortée dans nos croyances envers les données de type Romance au pied levé. On est née fée une fois passée, nous voici annoncée : "R5omzance ! Romance des fées !" la romance ! le tracé des fées en termes de Romance ! romance Romande ! vive sainteté des 

do nnées attribuées à une sorte de parade à main levée ! Romùance des prés est annoncée ! LA ROMANCE ! LA ROME DES ANCES ! LA ROME D'AISANCE ! le ROMAND de l'aantre ! On est nhée fée des données romandes, romandes ou romaines on ne xsait on cherche ou on chercherait ! fait vrais ? On cherche de fait à cerner ensemble ce qui esrt en ces données (de base animale), on en veut ! on veut trouver = toucher à , une vérité, la foi, un tracé, une sorte de parade aux fées et autres bêtes-mots de contrebande faisant poids sur roche ma foi. On veut de base colmater pour cmieux cerner ! colmater les trous de base, les données trouées, les manques : qui sait ? On 

est passée et nous voilà en train d'essayer de co:prendree x et x données liées a ce qui est bqui se prséente : voies , voies des Rois et REines, voies de la foi , voix desz données raides, voies des bases saintes, voix des voix. On veut ou on voudraiot si possible ensemble comprendre et du cfoup toucgher à cette sainteté post-cimetière, afin de cerner = nous conforter, dans ce qui est, cerner ce qui est et nous conforter dans le fait que ce qui est est, que cette chjose cdevant soi tangible est vraie , c'est)à dire "physique" ! On veut cerner ! On ne veut pas ou plus passer à côté mais troucher aux ,énés des données accortes telles qu'en vrai ici même (la mort, le royaume donnjé de la mort) elles nous apparaissent. On est toutes motivées en vrai pour ce faire : toucher = trouver ! On veut toucher à elle, à la Royauté des Données Premières, ROI_REINE grave centrées sur place, trônant grave devant soi au CEntre on le voit , 

on voit ça de là (de notre place, sur paroi des Chances) . On est là ! on entre ! on entre ensemble = "toi et moi" pour comprendre eh bien (eh bé) la paroi, le centre, les données prégna,ntes, le sabbah, la Chance et la Nouba, les préférencesz, le tracé nuptial, la place accordée aux bêtes de poids et autres masses graves, mots de poids sur tracé de pâtre. On veut en vrai toucher du doigt la Véroité des pastoraélités comme on en voit sur roche des fois (dans nos jeunes an

nées et même au-delà). On entre ! on veut grave toucher soit tracer soit dire soit comprendre ce qui est ici qui nous attire ! Le Passé ? le passé ici cvomme déplacé ? On veut rire ? on est née fée pour nous retrouver (ou on serait née fée) , pour nous retrouver confrontée en vrai face à c  e Passé des donnéess confites ? On seréit aéinsi confrontées ? comme soulevées pour de nouveaiu toucher à ce qui était ? à ce qui en vrai pour nous était quand on en vouléit , qua,nd on en voulaiot de la vie tracée sur terre allouée à un cimetière dfonné ? On est née fée en vrai un jour dee givre, il pleuvait, lma mort rodait, etc. Il semblerait ! Mais qui nous croit ? et pourtant c'est vrai ! née fée dans la mort acvquise on avise, face au Passé, on cher c he l'(entrée ! On cher cherait l'entreée en vrai (dans la mort admise) dans notre passé ! dans une sorte de passé , passé ou tracé qui nous retrouverait nous toucherait, auraiot la main-mise , serait Pré, Pré-texte à une sorte d'embardeée  comprise comme traversée ! On veut toucher à ce passé "des fées". Passé-prise/. On veiut grave en avancer en ces contrées de la mort admise (comprise) et du coup toucher, qui sait, au ... pAssé des données données genre sagacité, sa leté, satiété, ;... vie des tréaits sur pierre grafvvée (balises). On veut de fait toucher aux nénés ! aux nénéds dfu passé ? on ne sait mais voilà on est (en  vrai)- comme soumises à une sorte de tracé des prés déjà tracés avant notre arrivée, et qui sezrait tracé de mise, destinée, fait à suivre, charge acquise avant mise  (ici ), sur pied , de nos triques. On veut :

TOUCXHER = TOUCHER =TOUCHERR = TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER À UNE SORTE DE DIVINITÉ QUI SERAIT (EN VRAI) LA DIVINITÉ DES DIVINIRTÉS; 

Shiva là ou pas mais une sorte de Shive-a pleine de grâce, falbal as, charges, sarabandes on envoie et on en voit ! on vzeut en tant 

que fée comprendre à qui mieux mieux ce qui est qui nous faiot face en vrai, qui est là qui crée du sens, informe en conscience, charge sur un pré, pousse cohorte, veut tracer coûte que coute un certeain nombre de données de poids, sans traîner, honnête et vif, commê tout à son étude il ou elle vcherche à (pour le coup) révéler ou nous révéler un certaéin nombre devdonnées données à bien considérer si en vrai on veut toucher à une Déioté des Déités tracées. On est née Fée sur pré du fait ... des ,nénés alloués à une Vérité ? On ne sait mais ce qu'on sait ici en vrai c'e'st que (voilà !) on y va ! on trace ! on rage ! on est pas contente en vrai complètement des données données données par la bande ! car voilà : on est fée des prés sur place (mort à l'oeuvre) et après !? qu'est-vce qu'on est "après" ? qu'est)--ce qu'on est appelée à devoir être en vérioté ? quyi le sa it ? en v  rai peut-être personne ! On est née fée du fait que voilà , on cherche la Roche, lme Passé, les chances pôur mieux s'ancrer, les données profondes. On est nées fées du fait qu'en vrai on est allouées à une sorte de cohoerte (bêtes -formes) qui nous sied (nous plaît) et nous escorte , grave, jusqu'au trait, trait sur roche des données données = la Finalitéb, Fin des rocs pré-cités, fin des fins du Trône, finalité-tracée, Parole SOmbre. On s'est avancée ! 

On a tracé ! on s"''est rapp^rochée des données profonxdes, données-force, charge fgolle mais profonde on sait, on est née , on a touché, on s'est confronté, on peut coller. On est fée d'épôque : charge docte. On est allouée à une sorte d'entité de roche des finalités ou dite des finalités ! on est née sur roche fée afin de tracer jusqu'au bout du monde saon chemin xdes fées et trouver, toucher, cerner, comprendre le trait, le trait (de fin de roche) alloué à une sorte de paroi-rotonde, trait sur pierre gravée, anfractuosité à même le muret. On est au pied ! on mate ! on veut toucher la chose gravge, le tracé des fées ou dit "tyracé des fées". on veut toucher en tant que fée à ce teacé qui , de fait, nous incombe on dirait. on veut passer le nez ! cerner ! toucher ! ... entre les nénés ? on ne sait ! on cherche à cerner mais ce n''st pas gagné vcar la chose est entortillée, pas simple à dénouer, une sorte de pelote ! ni$d d'herbe ! vas-y voir à cerner de près ce que c'est, en termes de finalité du bout du monde de l;a mort à l'oeuvre en son royaume. On a grave envie d'en ava,ncer chelou, 

mais comment ? comment traverser la contrée ? quoi est derrière cettre sorttrree de sortie-entrée ? On regarde", on essaie de regarder; on cherche à passer, à âsser un oeil si ta&nt est, à cerner-toucher, faire ainsi qu'on puyiisse "visionner" les données "finales" : quoi de quoi en termes d'effroi, de parade froide, charge sarde 

(?) , trait de joie ou pas on en rede"mande ! on veut comprendre ! on est deuxd (deux ailes de poidsz) pour (en vrai) voler vers elle, la paroi Des Rois et REines SA&lutaires DErnier et dernière. Qui de quoi nous atte"nd là ? On entre d'un côté, on voudrait sortir de lm'autre. ROTONDItÉ! LA ROTONDITÉ ACCORTE ! L'ENTITÉ NACRÉ A DES SORTES D'ALCÔVES, DE NICHE ALLOUÉES POUR UN PASSAGE ACTÉ EN TERMES DE PERCÉE. On veut : 

TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER 

AUX NÉNÉS ! TU LE XSAIS ! ON EST NÉES FÉE ! ON EST NÉE FÉE, EN VRAI (DANS LA MORT), POUR TOUCHER AUX ÉNÉS ! AU NEZ ET À LA BAERBE D'UNE DÉIOTÉ "MAUSSADE" ON DIRAIT ! Toucher aux nénés = cerner ce qui est qui nous attend ou nous attendrait au fin fond d'une sorte de roche des prés (édenique il semblerait). On vfeu t toucher à cette sorte d'e,ntité placide, Vérité Alloué à une ... crique ? un passé pâssé ? plage acquise ? mer cendrée ? vive brise ? On veut toucher à une Déité aux données avérées et pouvant en vrai nous conforter dans noàtre idée que le Verbe est de mise question sainteté,. On est des fées ! On est (dans la mort-sainteté) dxes Fées altruistes ! on veut AIDER ! on ne veiut pas s'autocentrer mais en vrai aider, percer, coller, dire, faire ainsi que les données cde base (sur un pré) nous rensiegnassent et pas à moitié ! On veut coller à une sorte d'e,ntité acquise non-soumise sous le pied ! tracer = voler = s'envoler = décoller = se placver ainsi ensemble ici qu'on puissee ... eh bé oui toucher ! toucher l'artiszte ! l'envolé ! l'envolé-é ou l'envolée -é-e, pourvu qu'en vrai on est que'lqiu'n ou une à qui s'accfrocher et la ou le suivre, coller à son crochet, le ou la suivre en vrzai, dans les nuées. On a envie enxsembke de toucher à) cette sorte d'entité comme soudée à une sorte de donnée "du bout di monde". On est,  fée de rage ainsi collé (accolé) àune sorte de donnée volante ! artiste ! prise ! charge ! sein de roche (ou nhéné) d'approch

e ! volons grave ici sous pavillon ! cherchjons ! colloons de base à une sorte de "moignon" d'emphase" ... ouh .... ça arrache ! on entre dans l'antre ! vive la Passion ! cherchons à (de fait) comprendre la tâche, la mission ! Que devons-nous ensemble faire ici (la mort, en tant que fée) pour enfin comprendre = percer ? On ne sait mais on s'y colle ! On ne lâche plus le morceau. On est feé docte en vrai au bas-mot, dès lors on frotte ! On veut rester soudée , coller aux nénés ! aux nénés de l'antre ? du ventre ? des alacrités ? des tracés ? nénés fauves ? nénés nés sur roche' dfrontale ? nénés des nénés qui c'est ? qui donc est là comme attribué ? qui va là (aux njénés) pour nous accoster ? On entre on vole ! On est fée né qui cherchons néné ! qui ou qauoi est néné ? à qui sont ces nénés ici sus-nommés ? au Père des Fées ? Les nénés du Père ? A la mùère Chair ? Au vilain tracé sur roche cachée ? Au pêre putain ? au dit prieuré ? a la chaire de l'être ? au Passé ? Nénés du passé ? Ah ;, ça se pourraiot, on ne sait jamais. On est née fée du fait que, voilà ce qui est, en ces contrées, la haine ! le tracé acerbe ! guerre des tranchées ! le cimetière sans arrêt ! On veut toucher à une sorte d'entité du coup (plutôt, pour nous) post-cimetière (au lamparo ?) ! On ne veut plus du tout tracer sur roche de données acerbes,; ma&is du mou, de l'herbe = verbe mou, mou-doux, chance et traits de chance, chance d'êtrte, chances allouées à une vie sauvée (comme qui dirait) dans une sorte de contrée aux féesz. Par ade rupestre

. Cavalcade / baise. Chattière. On aime ça ! on chante ! On envoie ! on fait la java (la nouba) bien au-delà du cimetière et de ses trous à rats ! On ne veut pas du cimetière. On veut comp^tendre la samba-java-nouba de derrière, de derrière les données de traîne. On veut (grave !) toucher (en vrai) le roi et la reine, héritiers,ères des fées diverses, chargé,e,s (au débotté) de nous aider dans nos recherches agraires. On est fée des fées ! fées des frères, soeurs en charité s'il en est ! qui c'est ? bé.... l'plombier / plombière ça le fait ! On veut : 

COLLER , COLLER, COLLER , COLLER À UNE VÉRITÉ DERNIÈRE (DE DERRIÈRE = DE DERRIÈRE LES FAGOTS DONDAINE ET AUTRES ORIPEAUX CRUCIAUX). On aime aller derière , derrière les tom^beaux, les fagots, les tonneaux, les petits veaux de l'êttre, les pzrdreaux des âges nouveaux et autres perdrix / perdrières des anneaux ! On est née 

fée la mort venu, et nue. nous voici allouée à une sorte en soi de plus-value (cul nu) sur roche vue. On colle ! On fait colle ! on est colle conforme ! On veut toucher à une rochze aux données profondes. On ne veiut plus s'embarrasezr de choses folles , mais tracer en toute vérité, les données profondes, d'une sorte de Passé comme cerné, circonscrit-posé ou déposé, sur une roche ornée, roche de grotte. On veut graver la vérité du socle  ! La tracer en vrai ! à main levée ! sans traîner ! pousser ! dire et aller, charger rude ! colmater les 

brèches de bure et autres fissures ! On veut coller à une vérité-entité sacrée et aller (à vive allure) toucher , toucher serré, à Déité des Déité Nature si tant est, qui sait. On est née fée sur pré de bure ! bure allouée ! bure des prés ! sainteté ! chasuble ! robe dure (! rude ! mais c'est ! c'est ainsi qu'on est ! qu'on reluque ! qu'on s'y voit ! qu'on aime allmer , être, toucgher, comparaître, se sauver, tracer et poindre ou ici poindre (pôinter) le nez , la pique allouée à une face d'aigle, de corbeau de poids, de bête à ailes, moineau-chat, passereau des bois, chanteresse. On est née fée du fait qu'en effet, l'oiseau est là-haut qui siffle son chant. Paszsereau ! Etourneau savant. On est beau ! on est fée beau, belle fée des baeaux , des baux de l'eau ! On veut êtyre fée sachant siffler comme des oiseaux, paszsereau  / moineau,et tracer ! filer (grave) devant soi , siffler et tracer, pâsser et dronner, comprendre et soulever , gravE .......................................................................les données de poids , ................................... gtrave ................................ les do nnées de poids ................................................................................................................. les données (ghrave !) de poids et autres sommités agraires de passage , en colère ou pas, mais voilà ..................................................................là; ...................................... sur parioi aux poids ...................................................................................  aux charges ........................... , a&ux emprunts de base et autres condensés (de base) sur pré ...................... en termes de dfonnées "ronflantes" ...................... Vérités dites des Vérités, tu parlles : un camouflet ........................ la barbe !  ........... la barbe (en vrai) des camouflets ! nous, ce qsu'on veut (de fait) c'est comprendre = toucher ! pas raisonner, pas en vrai raisonner , ou pas en vrai forc"ément raisonner, méis toucher , toucher de fait, réellement instamment concrètement physiqu'lment toucher à cette déité des données "superbes" = soulevée, soupesée, montrée, montée ! On l'aime ! on aime ici pareilmle Déité post-cimetière c'(est vrai ! cxar 

on la ttrouve belle, on la trouve superbe, on la trouve magnifiquement ornée, soulevée et tracée, elle est très belle, elle est Fée des prés belle, voire très belle, c''st)à-dire ornée, arra,ngée, pomponnée des nénéset autres faits et gestes, on l'aime ! On veut grave l'aimer et en  vrai on l'aime ! On la trouve vraiment méga-belle et, superbien arra, ngée pomponnée nettoyée parfumée. On l'aime ! la Donnée des DOnnéesz ! Grave ça le fait ! la belle donnée ! belle donnée parmi mille données mais elle en particulier nous sied ! bELLA donne des données de Verbe ! On est tout accolée à son être de fée, on est solidaires ! On aime l'aimer, la coller, nous coller à elle, Verbe des prés on aime, on est ses ailes ! on est ailes de fée pour elle, Belladonne des données d'herbhe (Verbe) sur pré ! IOn cherche à cerner de près ce qui est, ce qui traîne, ce qui est sur pré qyui traîne, vaque, trace, charfge, se promène. On veut toucher à elle (bête) sur un pré. Vache à lait des dernières entrées et autres 

volontés. On veut toucher = dire = être = faire =comp^rendre = fer,mer (?) par la bande, le Tracé cdes contrebandes . O,n est des fées de rage sur pré, et on veut toucher à une sorte d'entité rageuse type "vache à lait" comme s'il ren pleuvait ! on est née fée sur pré pour aimer Elle, la chargée d'a

ffaire, fille au pair attitrée à une sorte de mission rêvée, cele d'être (de fait) charge d'ailes ( soit percée , du fait qu'on entre en elle pôur le coup froissée, pour coller à elle -, notre dulvccvinée). On l'aime ! on  l'aime de près ! on est pour elle on dira ou on dirait ses ailesz ! ailes agréées  en conformité ! on aime elle, le passé, la rage, les données de base, le papier,; la place, l'envolée, la parade. On est ailes ici pour elle, du coup Fée ! faite fée ou transfgormée, du fait que voilà en vrai c  e qui est (et qui nous obsède, en vér(ioté) : cette entrée en "lle, cette sorte d'incision de ppré, ce passage au débotté, cette sorte d'accolade tracée, dessinée, cet ancrage (c'est fait !), tu le sais ! On est accolées ! 

soudées à elle ! à la bête reine ! vache aàlait des prés, come déifiée du fait qu'on l'aime en tant que fée ! fée on est avec elle, pour elle, près d'elle ou accolées à elle (ses ailes) . femme-aile ici même (contrée des Contrée) et nous voilà comme si on était elle pour de vrai , vache des prés, vache nourricière, pis des fées et autres seins de base lactée (lactogène). On aime le lait ! l;es données lactées ! le gruyère ! les oiseaux cendrés, les conifères. 

On aime la forêt et les bois aux fgées. La Colère . Le Passé accolé sur herbe des prés (Verbe !). On est née fée sur herbe au paasdsage avéré ! On veutgtoucher à une déité de tuype vache à lait. On veut toucher en ta&nt que fée à une déité de type vache à lait. on veut en vrai en tant que fée (ailes des prés) toucher à une "déité-entité" det yype vfache à lait. On veut grave toucher à une déité de type vache à lait, vache aux attraits, vache ai

lmée, vache deéifiée du fait en vrai et pour le coup qu'elle est ailée et bel et bien ailéec sur pré (dit de "post-cimetière" si tant est). fée de V Erbe on est, qui sommes les ailes de la vache ailée (à lait). On aime ! on aime grave le Verbe lacté, le Lait et ses dérivés, Verbe-Lait de par la mère, la mère et le père, les données allouées à une vie sur terre. On est née fée comme à la retombée la mort passé (venue ou advenue) la roche connue. On est Fée parmi les fées , et voilà : on erre ! dans un pré ! à la recherche d'une entité ou sorte d'entité de fait "post-cimetière" (à jamais)/,;. On veut (grave) toucher la bête = la toucher en vrai. On veut toucher ici à cette bête "post-cimetière" , la buflette, l'antilope accaparée, la lionne au tracé sur pré, Baronne Bisonne, l'accolée sur roche. On veut toucher à une D2ité de ROche, type "animal des prés et bois de Bosse". On veut aller , coller, dire, faire mine de percer , percer, coller-vivre, se donner, allouer, permettre = autoriser = donner = faire ainsi que des Fées , en vrai, puissent aller gambader sur pré sans se blesser, s'entraver,

 perdre pied. On veut toucher à  cette déité des données premières (reines) et cvoller de fait à une sorte de donnée lactée, vache sacrée, bête de poids faisant office de ... paroi des Rois  ? On ne sait pas ! 

on voit quelquaepart la Roche comme s'entrouvrir sous cloche ! on y va ! on est comme ivres de joie (je des voix) et on entrte ! en transe ! vives ! vivement passées ! on entre en ce pré aux données rageuses , nacrées, sacrées, soudées ou comme (ilm sembleraiot) soudées, soudées à Elle-Fée, Fée d'ombre = vache nacrée = VAche aux traits  , Vache de trait . On est passées comme à l'arraché , on est monté sur pré, on monte, on ne cesse on dirait de monter. On a méga-envie de tracer, sans ceesse, des traéts (sur roche) désignant la bête , cette Bête allouée à une sorte de 

contrée, post-cimetière, genre   contrée blême, Royzaume Doré, Champ des Ombres. On vreut toucher à une sorte de donnée, de base cendrée, mais pour mieux la cerner, piger ce qu'e'lle est et en tirer profit (de fait) auta&nt que possible si tant est. On veut : et toucher et coller, et manger et chier, et paszser et travesrser la roche aux données profondes. Cerner = dire. Que cerner ? = que dire ? On est fée de pré du fait que voilà, on a touché (on touche) à la Vache Nacrée des temps déplacés. On touche quand en vrai IL NE FAUT PAS TOUCHEZR mais là comment on fait ? car pour cerner (ici, ce qiu est) on se doit de toucher à cette vache à lait sur pré ! on est accolé&es = soudées, comme ailes, sacrées, accolées à une sorte en vrai d'entité chelou, disons un pêu beaucoiup chelou du fait que oui, allez croire à la vache sacrée , et pourtant cv''sst vrai ! allez croire 

à la vache ailée ! et pourtaént ! on aime le Temps, LE temps orné, l a parade dessi n ée (à main levée) sur roche, le tracé fr(ontzal (bêtes rosses), et aussi les flammes, le foyer, le passage de feu, la charge. On en v eut ! on cherche à com^prendre". On veut t§oucher à u ne sorte de r (oma,nce comme acidulée de type LAIT, LAIT des F2EÉS ! fée des laits de contrebande acidulé, on dirait. On avance ! on cherche en vrai ensemble (autant que possible) d'en (grave !) avancer sur pré  au sein des entités sur pied , genre : vaches, veaux, buffles au cordeau, chevaux -cerceau ou bisounours des peaux et autres bêtes fortes. On aime tracer , graver sur roche = dessiner des bêtes fortes. On aime coller ! On veut s'enraciner ou disons s'ancrer, ou comment : percer ! passer ! traverser la roche ! mains frappées ! maéins collées ! mains surnuméraires ! mains allouées à un être des pré qui seréit (en vrai) bête-belle, belle-bête = Verbe = Herbe = HErbe Verte = F2ÉE!!!!!!  fée des fées comme on les connait (frêles ? fines ? édulcorées ? translucides ?) . On veut ou on voudrait ne pas xs

'emballer outre mesure mais, au contraire, se poser, essayer de se poserv afin de mieux cerner ce qui apparé&it, ce qui afflue ou pas mais semble remonter du bas (du bas ?) et vouloir comme nous charmer, nous faire de l'effet, nous monter , nous coller, nous intoxiquer peut-etre. On est née fée la mort venue cul nu, nous voilà traquée (ou comme traquée) par ... du Verbe ? verbe des prés (on dirait) qui chercheraéit à nous coller, monter, surperendre, manger ou comment dire : intoxiquer ? on ne sait  ! on veut continuer traquet -traquet notre pretit chemin de destinée agraire souterrain

e . on ne veut pas céder; on a méga-envie ensemble de tracer des tr&its (szur roche, sur paroi, sur roc des bois et autres supports de choix) Grotte !!!! grotte de Saba !!!!!!! grotte parmi les grottes !!!!!!!!! grottes de Sab a patrmi 50 grottes de Saba ! 50 ou 150 ou 350 ou 450 ou 1000 ! on envoie ! on charge ! on vzut grave envoyer d

eu bhois ! on ne veut pas rester (de fait) en careaffe m ais férer, tenir, ne plus lâcher = contenir la roche, plomber, toucher = donner, passer = vivre, dire = coller, à une bête-monstre, des données de roche (ailes translucides). On tombe ! on est folles ! on est fée follesz ! on tombe ! on tombe ! on est fée folle ! on tombe 

en tant que fée folle ! on tombe ensemble ici (la roche) en tant que fée folle ! ailes au diapason, d'une vache à lait, on veut la toucher. On ose. On veut coller à ses nénés (pis des ombres). On veut cvoller de fait à ses nénés "de roche" actés (les nénés) et creuser, pousser la chose, chercher loin à cerner ce qui est, que la langue (ici française) contiendrait si on la chahutait. on veut coller nos ailes d'elles sur Passé des pré, le Passé, le Passé alloué est une vache à lait ne vous y trompez guère, à présent on le sait. le Passé aux herbes est Passé de Bête. On veut collert à ELLE_BÊTE   des données de bière, mort cendrée, cimetière, tombe ouverte puis fermée, prière, chant agraire et le tour est joué à jamais il xsemblerait. on veut coller au VErbe, d'autres types de donnée que celles içci développées pour ce qui est du cimetière. Doonnées rudes peut-ette, que celles que (ici) on voudraoit avancer mais données tout de même ! on les aime ! on veut parler ! on veut coller , dire, serrer, allouer à une Bête-Poids les mots cde tête d'une Foi en l'au-delà. On est comê cdollées au verbe v(Fée) quyi cherchons l'ëtre On veut  : 

dire = mettre, sur paroi, les mots de la foi en cette bête (là) qui nous appelle. On veut ça : toucher la paroi. Parce que bvoilà, on veut (on cherche) à) toucher la bête , la bebête aux abois peut-etre pas mais celle qu'on aime, qi'on espère (elle) être là à pour le coup nous, 

nous demander pourquyoi, pourquoi on entrte, pourquoi on entre ensemble "à toi à moi" main dans la main .... eh bé c'est simple ! on veut cvoller (ou se coller) à elle, cettre bpete-là, dite "de bon poids bon oeil". On l'aime. On a grave envie de nous coller à elle, comme AILES, cvomme en vrai si on était (on est !!!!!!!) ses ailes. On serait ses ailes ! Mais on est , ses ail:es !!!!!!!! on est en  vraéi les ailesz de la vache à lait ! On est AILes cde par(oi de roche ! AILESC .............................................................................................................................................................................................................................................;;..........L............................................................................................................................................................................................................. Ailes = elles ;.................................................................... ailes = elles sur paroi de roche !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime êytre ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on adore grave ici et là sur roche (la parade) être elle-bête, aile-bête, Verbe d'aile, VERbe-AILe ! !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on ne veut que ça pour ainsi dire là !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! dire-faire, donnert-coller, faire-êtrte, chanter-accoler, prendre-surprndre, contacter, toucher, poser, donner par la bande des deenré&es de type données, données sveltes, charges vives allouées à du Verbe des pré. On veut comme s'u-incrustezr en vrai en ce pré "post-cimetière" afin de cerner , soit comprendre les données tellesz qu'elles nous apparaissent de fait. On aime tracer en effet les bêtes = les graver, c'est

 vrai, et c ependant on est les fées du verbe, on est là pour de fait toucher, à ce qui est ici sur herbe, à savoir des bêtes, vacghes à lait de contrebanxde, on est à côté. On estsur roche colmmmme acollées (on dirait) à des vaches à lait, pour mieux les toucher , les toucher en vrai, se donner, se coller aux nénés ou comment ou qu'est-ce ! On est née fée la mort une fois actée sur pré de roche aux données de bosse. On veut coller aux vaches à lait de typê V2rité des Véroités. Qui on est ? eh bien peut-être, en quelque sorte oui, en partie ... vache à lait (de rage) sacrée. On seréit ses ailes, donc un peu d'Elle, qui sait ! Verbe alloué 

= Verbe cElte = Verbe des pré = verbe d'zeau, de bière, d'aélcolool d'eau, de bière de rage et autres breuvages. On est née F2é, de fait, par la balnde = le tonneau de contrebande ! 

traçable ! On est comme deux peaux, peaux d'ombre soulevées venant comme s'acoqyuiner à (pour le coup) la vache fauve, au massif alpestre, bois d'ombre, souterrain ! On est, fe"ée des prés suralimentée en termes de VErbe ! on est, fée Du VErbe chargée ! pleine ! colère ! grossesse ! train arrière déposé on gerbe , ici, nptre malaise ! on est pas chiche de gerber vu que voilà, on hne peut y couper ou résisqter  ! la gerbe ! sur toundra alpestre ! le tracé des fées seraéiot de la gerbe ( = du verbe) comme s'il en pleuvait (ou pissait) sur herbe ! Pré , Pré des prés on t'aime ! on le chante ici même  ! fée ! on est fée des prés la mort actée, entérinée, affirmée, tracée, venue (nue) avec sa faux, des deonnées pl acides (acides). On est fée de peau ! fée d'aile ! ailes-elles des fées d'aise ! On aime être fée, fée des fées post-cimetière et ça le fait, o 

n l'espère ! On aime !

 On veut toucher à son derrière et de fait la coller, nous coller à elle (vache des prés) commùe qui diréit des veaux sous la mère ! ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ailes ou veaux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! aiules ou elles ;!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! comme veau sous elle !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! petits veaux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!veaus  des veaux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! veaux des veaux post)-cimetière, on en pleurerait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on les aime ferme !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! veaux des veaux post-cimetière dieu comme on les aime ! on aime les animaux, les animaux de la ferme , on aime !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on adore grave !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on les aime grave !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! grave, on lesv aime ferme : ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ailes = elles , soeurs (?) jumelles !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on colle !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! sécotines celltes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! colle au tombeau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut grave toucher au cordeau, à la hbête (svelte), aéu tonneau, aux bêtes de boyau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bêtes-mots sur herbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bêtes comme il faut, on les aime sveltse, costaudes, massives, fortes, grosses !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! comme des tonneaux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bêytes grosses comme des tonneaux, sur herbe, sur paroi de roche, verbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! o,n les aime grave ainsi faites !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des prés sur herbe on aime ! on aime être ailesz !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! pour elles !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vache-fée à lait aimé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ne plus reculer, foncer tête baissée, traverser la chaussée, le cimetière, les contrées blêmes, paszser vite (si possible vite) de l'autre côté, côté ensoleillée, et se raépprocher, comme vqui dirait, des bêtes, bêtes de trait, somme directe, vaches à lait surnuméraires et les toucher = coller, comme un fait exprès

. Coller à elle = s'attacher ! = les aimer = les toucher pôur Ëtrte ! devenir ! devenir fée ! frée d'herbev = de verbe (tu le sais ! c'st un fait vrai = Avéré ). ON aime ! on aime aller sur (vers)) elle, Bête de trait (tracée) sur Herbe VErte = PRé, pré des prés et des prairies celtes. On veut toucher toucher toucher à cette sorte de donnée en herbe, de type ... Colère ? vivacité ? chahut sur pré = vérité crachée ! On colle à Elle pour devenir fée ou fée en herbe ! tracée ! fée tracée = vache à lait (herbe) sur pré aus Fées  ! On aime ! on aime toucher = cerner = dire = comprendre = bouger = coller = se coller à elle et du coup faire d'elle la Fée, ou la Fée des F2és post-cimetière = l'Aloouée des Prés, Chance Agraiore, un tracé de fée sur herbe verte et le tour est joué ! On l'aime ! on aime Elmlle , Elle -Sur -Herbe, contrée, charge d'ailes ! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!! fée des herbes vertes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées des herbes vertes et a utres fêtes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée sur herbe comme acidulée (l'herbe ) !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée poussée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées poussées sur herbe , à jamais, à jamais poussées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée à ailes comme s'il en pleuvait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! pluie d'ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! pissaladières !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! effe  , elfe, F , fée des prés et 

autres ailes enjouées !

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6/10/2024

Qui on est ? On regarde. On cherche. On cherche à cerner. On veut grave comprendre les données :; qui on est, quyi on est pas, ce qu'on cherche à être en cette roche de paroi, etc.On est comme collées ("à la une à la deux") ensemble "toi et moi" , et de fait, on envoie ! on trace ! on envoie du bois ! on est pas avares d'envoyer du bois ensemble en paroi ! On cherche à comprendre ça veut dire quoi, ça veut dire qu'on envoie du bois ! qu'on trace ! On est deux ici de base (elle et moi) et on envoiue  = on trace sur paroi les bêtes ddee charge, les 

données de rage, tout un tralala d'estocade, de parade de façade. On est comme collées sur place " à la une à la deux" par une sorte de colère sarde  (?). Sarde ? on est deux, on colle (on se colle l'une à l'autre)) et on mate, on voit, on mate grave. Qui est qui ici (roche dure) ? Qui veut ça la place libre, ici ? On est comme associées pour une sorte d'embardée de rage, et du cfoup voilà, on trace !

 on dessoine à main levaée, la bête de poids, la bête qui charge et chargeant impacte (grave !) ; On est comme nées sur roche fées : deux FGées ? ou peut -être une ! une fée = (à nos yeux) deux ailes . Et voilà pour quoi on trace ! On est comme nées fées sur roche agraire. quand on aime il faut y aller, tracer = ne opas lambiner. On cherche grave ensembble à nous téléporter sur roche meuble, tra verser, passer de l'autre côté et nous retrouver (fissa) là-bas, sur he

rbe, dans unn pré de bpetes, parmi elles, vaches à lait et autres bisonnes cornue, velues, nues. On entre dans l'antre d'une sorte de passage sage. Paysage. On est comme accolées de base dans un pré : fée ! fée on est qui gagnons le pré, la paroi des gardes, le tracé nacré, estocade, 

estocade surdimensionnée. On cherche ensemble à   pour le coup nous approcher d'une sorte de "façade" des attraits, au fond cde la salle. Qui on est ? une fée de base, chargeant, chargeant grave, chargeant au boulet, visant de fait le tracé des rages, le tracé vnacré. On est fée armée tu le sais et du coup voilà, on en avance/.; On cherche eensemble à pour le coup nous rapprocher de la paroi des fonds de salle , anfractuosité de façade ça le fait, on gratte ! on cherche à (de nouveau ) passer. pourra-t§-on passer comme par chance ? q-sera-t-on assez remontées pour passer ? Qui le saiot ? On est comme soupesées ensemble en roche de rage, on est ensemble comme soupeséeées en cette roche d'!une rage d'être qui est rage d'une sorte d'être à jamais tracé ! On nguette ! on est fée ! on est la fée des bêtres, la des fées des bêtes (à jamais ?). On guette parce qu$e oui, on a envie de nous coller à la fenêtrte " , et de mater les bêtes tracer. On est fée des bêtes alanguies, ou sinon alanguies "de passage", ou sinon "de passage" transies, ou sinon transies déplacées comme des bêtes à pied o$u mise

 à pîed. On est fée des fées et du coup on mate (grave !) les données de b ase ! On veut toucher à cette chose d'une sorte de donnée de base ! donnée des données ! On veut se coller, se placer, se joindre à une roche rude, se positionner, à la dure, sur pa roi gravée , s'il-vous-plaît   ♥️ 

😀 😀 

On est de'ux pour une aventure de paroio diurne. On est accolées à jamais = fée. On est nées de base sur p aroi des fées comme une entité à jamais sacrée . On veuut toucher à volonté la Chose allouée à un semblant (?) de roche. On est fée des fées ! on est fée née de base tracée ! Onn est comme touchée par une Vérité qui ser ait comme personnifiée sur roche allouée à un pré de rage. On est la fée, de fait, des passdages, sur pré, allouée à une trace. On veut compter , szoit impacter ! On est née fée quand on est passée !on est passée à deux (deux bêtes des voeux) , nous voilà née fée ! fée des bêtes ! On est cfomme née fée sur roche ornée, au passage "de véritéz". On voulait coller c'est fait ! On voulait grave en avancer eh bé voilà, on y est ! on aime ! on va vite 

vers elle, cette roche née, ce tracé des fées, riage remontée et autres colères. On veut ytoucher à cette déioté dite du cimetière, et cerner les données donnéesc comme s'il en pleuvait ... derrière ! On mate, on voit. On est fée voyante ! on cherche à comprendre la paroi, le tracé de base, la rotondité des données de rage : xce qui est. On est fée ici de base pour comprendre ce qui est qui nous regarde ou semblerait nous regarder. On ne veut pas passer pour des null ardes ! on veut en imposer ! on veut compter ! on veut êtrte considérées en tant que fée des fées de base, qui savent, qui vbont, qui tracent, qui cherchent direction la base, le tracé ma gique sur paroi placide, fond de salle et musiqaue acide. On est née fée au passage dit "de vérité" (l'heure de vérité) et voilà à présent ce qui pour nous requiert de l'importance grave : on veut ... croire ! on veut / on voudrait croire en notre bonné étoile. On a grave envie de croire en notre bonne étoile ! on est nées de base fée à la retombée (la mort venue) et nous voilà sur pré (le paradis) qui cherchons de rage à comprendre ... eh bé ça ! lza base ! la paroi ! la p aroi devant soi  ! finalité ! fin de cage ! on est née fée et du coup on trace ! on essaie de comprtendre lrs données ce que cd'est , ce que cd'est qui nous regarde, nous mate grave, nous mate sévère, ne cesse de nous reluquer (à jamais ?). on est fée des bêtes sur pré, parmi elles (vaches à lait divines) et on essair ensemble de se rapprocher (de fait) de la paroi ronde, des données profondes : finalités, fin de royaum

e, bout du bout des ombres, charge folle. On est née fée la mort venue, comme de bioen entendu, et nous voilà"cohorte" , bêtes monstres, charge docte, qui pousqsons ! courons ! gravissons ! volons ! voulons cvomprendre qui de quoi et quoi de qui ici se trame sous nos yeux de rage ! on avance ! on est deux pour un voyage ! on tente le diable ! on veut comprendre ! on veut tracer-coller de base les données données comme elles se présentent et les étudier ! On estc accolées (fée) car on est comme soupesée, soulevée ensembkle ("à toi à moi") p ar ... la chamade ? la paroi des rages ? le ciel est à toi qui te regarde grave. On y va ! on charge ! on fonce fissa ! on veut tpucher -comprendre la paroi des Rois , Reines de SAba. On va loin vers là-bas la trace ! on avance ! on veut comprendre alors du cfoup on en avance ! On est née de base sur un pré, le neez devant sentant les choses d'une sorte de prairie de roses. On est fée née sur pré la mort venue cul nu ! on aime être cul nu ! on vole, on volette ! on aime aller de-ci de-là " à la volette" comme autrefois on aimait êttre (toi et moi en moi la charge). On est fée de rage née sur pré lma mort advenue. On aime aller et voleter comme autrefois on aimait ça (enfant des rages des paroisq). On trace ! on court ! on veut toucher ! on veut cerner ! on veut aller ! on veut comprendre les données données et nous téléporter direct vers ces contrées de bout de roche : angfractuosité cachées et autres traits comme 

oblitérés. On est née fée (de fait) au passage (de vie à trépas), nous voilà ensembleréunies en ça , fée des bêtes sages, fée des bpêtes dites "de paroi". On regatrde ! on veut toucher à cette roche des données primaires dernières. On veut coller à elle. on veut être comme elle , on dirait. nez collé à Déité de cimetière presque

 ! On aime ! on aime alller, voler, cerner ce qui est , coller à une chose rude comme par exemple une roche de trait. On est accol"éées et du cfoup voilà, on erst née fée ! On est passée ! on est passées (comme qui dirait) à travers la roche primaire, direction le pré aux bêtrs , et là, nous voilà, ensemble, qui voulons tracer et vite gagner la roche dernière, l'anfractuosité post-cimetière, les données données de derrière, le tracé final, chant des celtes ! On veut croire  , toucher-aller, dire et composer (déjà pour soi) une sorte de romance de paroi et on verra ! on veut comme toucher à une sorte de donnée de base contenue (il semblezrait) dans une langue, ici le français. On est cul nu sur pré , on le sait, on s'en fiche grave, on aime le nu, la rage, le poil alloué à une peau de rage, on va, on vole vif, on est nue de rage velue comme bête à cru ! ONN est fée des fêtes ! fée des fêtes vives ! On est fée des données vives ! on avance sur un pré ainsi velues comme iul semblerait qu'on fût ! fée doctes post-cimetière on est nue comme des bêtes. oN est nues velues comme bêtes à cru ! On aime ! on aime les bêtes. On veut toucher à cette chose au loin, d'une sorte de paroi de charge, paroi docte, la paroi des charges, 

soliloqaue ! On veut cfomprendre ! On veut grave ici ensemble, nous deux "toi et moi", comprendre grave les données données, données par la bande à la fée des ombres qu'on serait de fait à comme devoir (il semblerait) représenter comme à la parade ! On est née fée la mort venue ! cul nu ! chyarge mentale ! fond de cage ! On veut toucher à ces données de base ! On veut grave tracer, courir sans désemparer, se retyrouver sur roche ultime à devoir entrer, qui le nez qui la barbe, pour cerner, toucher, cerner-toucher les données finales ce que c'est . On ne sait en vrai, du coup on s'acvance. On veut entrer. On a méga-envie d'entrer en cette roche des données frontales finales, comprendre = toucher on le sait., On est née fée a&u

 passage (de vie à trépas) et là, on ch arge ! on fonce fissa comme à la parade ! on va droit devant soi, on est comme accolées pour pousser (de rage) le bélier et fracturer la place ! Qui on est ? on est fée des fées ! On pousse de rage la cvloison finale à la faire chuter, de l'autre co^té, côté mer, embruns, plage, bruits nacrés, chants de mage. On est née fée au passage pour aller de fait fracturer plus loin (rotonde-pré) la roche terminale, finale, trait des traits. On veut toucher à cette roche des données données et du cfou!p 

aller, vite, tracer, ici même au pied levé, le tracé des fées. On est femmelettes olé olé dit-on mais pas du tout ! hommelette à genoux ? pas davantage ! fée ! fée obn est, une fois passée en vrai les années, la romance gravée, le mur des amitiées actées. On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette déité des déoités, des données moroses ou sinon moroses grises ou sinon grises morbides ou sinon morbibes ... vives comme la clarté ? ah peut-être ! oh, il semblerait ! on aime ! on veut ! on entre ! on est colère ! on vveut être fée (de base) sur parioi des berges. on est nées fée lza mort allouée à une sorte de tracé donné sur paroi creusée. On veut dès lores en avancer fisqza et gra ve dans les connaissances "àtoi àmoi" telles qu'on les envisage sur paroi (paroi là des rois et rteines post-cimetière). on estc accolées pour former lz

a fée des données primaires. On veut toucher à cette déité post-cimetière. Qui ell est. A quoi elle reseemble. que dit-ele pour nous attiorer. comment doit-on l'approcher, lui parler, l a regarder. Doit-on déjoà lui parlerr, ou la regarder, ou plutôt pas ? On ne sait ! on est là (fée des fées) pour ça : toucher à cette déité des données frontrales (il semblerait) . là pour ça il sembklerait : qui sait ? On charge ! on veut coller ! on veut être fée en herbe, vite fait ! on veut coller à ces données post-cimetières sur pré. On est comme ailes accolé&es formant fée des pré soit des bêtes agraires  (maisonnée de bêtes grosses). On est nées fée la mort venue après le cimetière cul nu velue : bête des prés. On est fée née cul nu après le cimetière des données actées, et on cherche à tracer = filer vers elle, Déité des Déités qui c'est ? eh bé ELLE ! AILE d'AILE ! Aile F2ée des fées peut-être ! collègue ? on est fée des herbes comme déité ? on est La déité nous mêmes , bête ? On est bête-fée en tant que Déité donnée à une mort actée et post-cimetière ? On ne sait ! On ne sait pas en vérité ce qu'on est ! on est fée des fêtes ! fêtes faites ! On est fée des herbes sur paroi de roche "grotesqaue". On veut toucher à cette déité du bout du monde mais voilà, e,n vrai, coimment faire ? cvomment donc tracer, coller, cerner la roche ? par des traits de rage crachés ? par des mains en veux-tu en voilà pla cées ? par des cris de vérité ? On est née fée la mort advenue (ou actée, nombrée) et nous voilà cul nu qui volons vers elle à tire d'aile, D2ité des Déités tu m'as bien vu ? tu m'as assez vu ! tu n'a s qu'à te gratter (le cuul nu ?) et chercher ! car mon nom est le nom des données rupsrestres : TERRE.Je suis Fée de TErre, fête ! Je suis Fée des Fées sur roche agraire ! qui on est ? F2e ! JE = Fée, du moment qu'on aime ! qu'on traverse ! qu'on y va fissa ! On est fée post-cimetière direct la toundra, pré en herbes, tralala animalier il sembleraiot , à nous ça nous va on aime ça. On aime aller tracer sur herbe les données de base qui nous plaisent. traits de lmumière, chants des voix surnuméraires, col de cygne et chants sardes d'entreprise. On est nue velue ! cul nu sur DUUU,; la radio du cru ! On veut comprendre grave ce qui est ! on est nées de rage sur paroi des âges , nous voilà tracée (de fait) comme à la retombée, comme des images. Qui on est ? Base ! BAise ? base et baise ! 

on est sage, ou pas, mais on trace ! on va devant soi chercher la romaznce (en transe) des paroisz , le tracé des chargesz, bouqyuetines sardes ou sinon sardes sales, ou sinon sales sages , ou sinon sages drôlement savantes ! bouquetines vives savent dire à cru les données du cul ! On imagine. On est comme accolées de fait sur roche nue à une sorte de par(oi des âges ! on est née fée la nuit (la mort) venue, nous voilà cul nu qui cherchons l'entrée, la sortie du pré, l'entrée de rue ! On est née sur pré pour trouver l'entrée, la sotrtie d'ici, l'entrée des clartés ! On veut toucher à Déité ! on veut en tant que fée toucher à déité ! en tant que fée on veut toucher à Déité ! On est fée de rage, on veut toucher à cette Déité des données a stra&les figurées. On veut grave traverser la roche ronde ! on veut sortir en vrai de la Rotonde aux données données, de type bnêtes de tra&it. On veut "traverser" ! on veut "passer" ! on veut aller aéu fond du pré et du coup passer, traverser, passer de l'autre côté, chercher à passer qui le nez qui l'oeil , qui le nerf qui l'ombre ! passer = traverser de base la roche terminale , le Passé ? On ne sait !on veut passer = traverser la roche dite déifiée du fait qu'en vrai elle est la belle roche des données ancrées, vives, saucvages, dures ou pas, mais du coup mâ&tures en veux-tu en voilà 🅾️. 

On veut grave toucher à cette Déité des données finales : clarté. 

OIn a méga-envie ensemble d'y aller ! toucher, coller, dire, allouer, tracer, prononcer qui le mot de l'alpe, qui le verbe ancré, qui la romance, qui le chant des charges. On est née fée au passage et nous voilà comme "condamnée" à devoir ... toucher ! toucher à cette déioté des monts de passage ! on est née fée de base montante, nous voilà "montée". qui on est ? fée des fées , qui voulons cerner = toucher, cette D2ité des D2ités dite "des do

nnées données comme s'il en pleuvait", vache à lait ou nénés. Déités égalerait nénés ? on ne sait ! on se dit que peut-êtte, on chezrche, qui sait, qui le sait, qui sait ce qui est ? On est fée deb baise, fée des fées. On veut ensemble voir et décider ce qu'on doit tenter ou pas ensemble dans ce pré. on est prêtesq ! On doit gagner ensemble la paroi des bêters, et voir ! voir à voir ! dire ! faire ! chercher ! coller ! chercher à coller ! cfoller grave à cette Déité des données du  verbe (Celte ?) . On est née fée du fait qu'on est née (morte à jamais ?) sur pré post -cimetière ! on est née fée et on guette ! oin volette ! on y va grave devant soi fissa : RIGA ! on veut ça : tracer ensemble ici et là ce qu'on voit qui fonce cdroit ! On veut toucher à cette déité des données du verbe . Chercher = dfonner = dire = comprendre = acculer = donner = cerner grabve, ce qui est qui est qui nous regarde et ne nous lêache pas d'un centimètre ! sur paroi du Roi, REine-R5oi et ça ira ! On est née fée sur pré, la mort allouée, et nous voilà courant ici follement vers la roche xdes données finales. On veut bien sûr comprendre ensemble ce que c'est, que cette roche de basalte (base ?) qui serait en vrai sur place la roche finale, pré-marine ou comment ça ? 

commentb comprendre ? On veut de fait toucher ensemble lers données frontales, verbe Hautain de faikt mais aussi des traces, des données de base genre "serpentins", mains données aposées, carrés, rectangles, ronds de jade. On est née fée sur paroi dionnée, nous voilà qui volons de biais ! qui chargeons ! filons fissa vers ça là-bas qui bnous regarde ! semble ! et nous d'y aller cfomme à l'arraché, ensemble (ailes accolées formant fée des prés). on vole, on volette ! On veut aller sur elle, roche des données allouées à une fin de pré. Qui on est ? des fées ! qui on est en vrai (la mort advenue) une fée de rage ! On devient dès que mort et enterré fée ! dès qaue mort et e nterré (quelqueszoit son sexe / genre "donné") fée ! fée d'herbe ! fée du Verbe agglutiné comme une sorte d'e pré d'herbes ! On est fée sur herbe qui voulons toucher à cette destinée, ou Déité post-cimetière dont le nom est

TRAIT ? TRait des fonds ? Trait des traits des fonds des rages ? traits des traits des fonds données des ragesz allouées à un passage (ici), de mort, à vie de grâce (vivace ?). 

On veut croire ensemble (fée) à notre bhonne étoile, allouée à une sorte de parade ! On est née ! fée ! fée docte ! fée des fées doctes ! FÉE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Fée des prés , des données secondes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Fée allouée à une vérité de roche !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Fée des fées allouées peut-être à un passé donné, comme déposé, sur roche, "à la unev à la deux" au passage en vrai (de vieb à trépas) sur paroi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime grave ensembkle tracer, les données profondes néandertaéiliennes, eyt pour ce faire, voilà, on y va ! on ne traîne pas ! on charge ! on va drioioit devant pour comprendre et du coup toucher, toucher à cette déité des données offertes post-cimetière. On est fée des traitsvde rage et du coup "on pense " ! On pense sévère ". on cherche à "comp-rendre". On veut toucher à cette D2ité des Roches finales, tour de table. On veut§ grave toucher à cettye D2ité dernière, sous le vent, frontale, fenêtre, trou de balle , quoi ? on chercheb ! qu'est-ce qu'on voit ? on ne saiot pas mais c'sseet derrière ! on voit ça ! derioère on voit que quelque chose en vrai se trame on dirait ! derrière la paroi finale (dans l'antre). On voit quoi ? on voit ça : la roche, en termes de ronde ! ronde souterraine ? on cherche ! on est fée des fées sur herbe (pré) qui voulons coller (surnuméraoire ?) à une vérité dite "de pierre" = éternelle (?) il sembleraéit. On est née fée bsur pré la mort actée et là on s'est portée jusqu'au fond d u pré, terre glaise, mur des joies certaines; on veut passer ! comment passr ? que voir de l'autre côté ? la vie "à la volette" des do nnées priimaires ? une sorte de pré-qualité ? de pré-herbe ? de -pré-vache à lait ? pré -don d'une

 sorte de "vie comme à reculons " ? oups !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! qui sait ??????? qui le sait en vrai ?.??????? qui pour nous renseigner sans nous gruger ? On est fée sur pré , on cherche à (pour le coup) p asser la tête, à tyravers la roche des données dernières vers eh bé peut-etre oui, qui sait, la vie première ! retour de quartier ! fort de café ! on ne xsait ! on est fée des prés à la recherche d'une vérité qui seraéit "de glaise" et pas seulement sur le pâpier ! On est féev p ôst-cimetoère, on est fée des herbesz, fée sur pré a ux herbes vépaisses./ On veut de f ait ensembvle aller vers plus de vérités patentes. on est des fées sur herbe à la recherche d'une sorte de donnée comme, on dirait, accolée à une sorte deromance sucrée, sucrée v-salée comme le lait ! le lait !!!!!! le lait est le  lait des herbes = du bverbeb ! on cherche ! on veut le lait ! on veut boire du lait ! on veut du petit lait pour nous alimenter et avancer ! on aéime le lait , le lait sacré, nacré, alloué à un néné ! on aime grave le la&it allouéb (en vrai) àun njéné dit "des nénés" et ça le féait ! on erst née fée surb pré "des nénés" . On xdit ici qu'on est des fées comme cernées par une sorte de muret (muraiçlle ou mur des fées) qui nous ceint de rage, nous cerne, nous entoure grave, nous encercle (vérité) et cherche à (cfomme) nous cloturer, nous astreindre. Or, nous, ce q'on aime plus 

que trout, c'est cette chose ici d'une szorte de possiboilté accrue, de possibilté nue, de pouvoir (de base) voleter, monter, grimper, nous envoler sur roche au pied levé et du coup dessiner qui des bêtes de poids (genre : bouquetines, chevales et bisonns ou budflettes des roches) qsui des mots de tête. opr voilà  , là, ce qu'on voit de fait (en tant que fée) , c'est que la Chose ici allouée (mot ou bête de roche) est tracé de bure ! un tracé de bure ! une sorte de tracé de bure au pied levé peut-^tre mais tout de mâeme : bure allouée à un trait jeté !). On essaie du coup de cerner de base les données ensembke "en veux-tu en voilà" mais va comprendre ici la char ade ! c'est pas simple ! ça envoie peut-^tre mais quoi ? ça envoie de base mais on sait pas quoi ! Du sel ? de l'eau ? du sucre chargé de mots ? LAIt des fées tu penses si ça le fait ! grave ! grave ça le fait ! grave de chez grave ça le fait, le l ait !le lait en vrai grave ça le fait ! On chercheb le lait (ou on chercvherait) la bmort venue ? on chercherait le  lait des nues ? on cherchera&it une fois fée (actée) le lait des Déités nues ? On chercherrait en ce p^ré le lait ? on chercheraéit en vrai en ce pré le lait ? on chercherait grave en vraé

i en ce pré le lait ? on cherchezrait grave de chez grave en ce pré vle lait pas un pet chelou mais tout au contraire vrai de vrai : vrai laéit de vache et pas de contre-vache ! On regarde ! on voit ça quyi pisse du néné et vite on s'y met, on colle ! on veut coller le nez ! téter ! téter le pis alloué à un pré des rages ! pis qui pisse vite ! lait frais ! lait des laéits frais on aime téter ! on tète grave le néné (pis de bête) sur prairie des fées ! On est qui (vive) voulons téter, le lait acidulé d'une vache sondée ! On veut téter l e lait des prész ! chercher à téter et du coup absorber le liqauide nacré ! lait des laits sur prairie des filtres ! on est née fée la moert venue, afin de gagner (de fait) le pis alloué, pis de vache sacré , laiot acidulé (sucré-salé- qui (en vrai) nous sied cvomme jamais ! On adfore 

tétezr ! On aime le l ait ! on aime grave le lait ! grave on aime ça le lait, des données dernièresz, des vives clartés souterraines et autres tracées de type acidulés comme iul sembvlerait quand on regarde de plus près ! On est fée des herbes, on tète le lait, on aime, on adore téter , alors voi:là on se colle aux nénés des vaches des prés, on colle le nez ! on est accolées, sur néné, à téter de près le lait "de la mère" ! On est nez à nnez qui sa&it ? on veut toucher ! coller le nez au néné sur herbe. On aime grave téter et du coup tracer, coller sur pré notre passé et tracer ! courir sans traéîner, filer grave vers le traéit final d'une sorte de par(oi des traits, des vaches à lait ! qsui on est ? qui on est en vrai ? qui en vrzéi on est ici , qui voulons toucher à cettre déité des déités massives, genre "buffle doux", "douce buffle", "buffle roux ", '""Rousse buffle(buflette", on sait ! On sait ce qui est ! on sait de base (en szoi = fée des fées) ce qui est en vr'ai . Le lait est une sorte de ...  vERbe en herbe ! hé hé ! On court on volette ! on est fée des prés sur pierre de tréit. trait des fées ! on cherche ! on trace de fait les traits d'une bhête qu'on dirait surnuméraire tellement elle semble êttre bête-masse aux données pesantes (soit pesant dans la balance !). on est fée des données prégna,ntesq (sur paroi de rage) . Qiuand on pisse on voit ! on s'adapte ! On veut toucxher comme par la bande à une sorte de donnée tracée (des fées) qui nous incomberait "à la seconde", soit dès que née ! On est fée des ombres (hommes ?) nées fées du fait qu'on est mortes (morts : les hommes) et du cfoup transformées pour vite (en vrai) aller téter aux nénés des ombres. On est : 

fée !!!!!!!!!!!!!!!!!

fé dees fées !!!!!!!!!!!!!!!!!!! fés des fées allouées au Verbe sucré !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fées des fées allouées à une sorte de donnée donnée de type "LAIT" on dirait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on est nées sur herbe des prés la mort passée, en tant que fée surnuméraire, nouveaiuté, prise d'&ir sur pré on dirait et ça le fait en tant que telle (tel ou telle selon le tracé) !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime grave aller téter les bhête ! les teter de tête ! On zéime ! on veut téter ! Grave en vrai la mort actée on cherche à téter = traverser le pré, courir à perdre halieine, filer à l'anglaise, ne pas (surtout pas) se retourner vers le cimetière, cerner les données prochaines, se coller aux nénés "des herbes", Verbe nacré tu es le Verbe des données données (post-cimetière) . on est fée des prés prêtes à téter à même la bête le Verbe = Lait, Lzait d'Aile. On est fée des prés prête à téter le lait des herbes ou herbes données par une D2ité post-cimetière de type Vache Déifiée (vache à lait de base). On est là en tant que telle (fée) qui voulons comptendre, le rapport ce qu'il est entre d'un côté une vérité agraire de type lacté, et de l'autre une autre vér

(ioté mais ici moins drôle ! la pâtée ! la prise en entier ! colère celte ! le tracé à main levé pour nous effacer en tant que bête , est-ce vrai ? on cherche ce qui est.  On veut toucher à cette sorte de donnée post-cimetière ce qu'elle est de fait qui nous regarderait nous pavaner et tracer sur herbe une voie d'accès vers la Vérité dite "des Vérités" s'il en est. On creuse ! on cxgherche ensemble à creuser la terre à la rechercvhe d'une sorte de donnée des prés, de type sqauelette quyi sé&it ? on cherche = on y croit ! on veut creuser de fait la terre meuble, à la recherche d'une sorte d'ossement géant ! verbe d'être" ! verbe erra,nt ! os-verbe ! ossement -verbe ! os des temps donnés dans une sorte de Passé des prés. On est des bpêtrs allouées à u ne 

sorte de terre dite "de cimetière", mais en vrai on est des fées, fées des herbes et fées en herbe, la mort passée, on court on violete sur pré direction la bête à téter, vache à lait salutaire ! ça le fait ! c'est frais ! ça berce ! ça fait son "ffet ou son petit effet des prés. On couyrt on vole vers le néné dit "des prés salutaires" ! oui ! c'est un fait vrai = avéré ! çc'est un fait de fée ! fait des ombres portées sur herbe en rotonde ! cercle de sorcière sa&lué ! on est fée comme on est sorcière : nez ! nez des nez ! nez dans l'herbe ! nées dans l'herbe à jamaéis on diraéit ! fée des herbesc= fée du verbe comme déposé sur un tas d'herbe ! tralala ! colère ! bruits et voix sur terre de baise ! chargement de braises ! feu de foi ! on creuse sa voix sur paroi des temps , on y croit patent ! on veut (de fait) en tant que fée, tracer, sur roche, les données primaires 

= téter ! tétons !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ne lambinons pus ! chargeons ! essayons de fait de charger ensemble ce qui est qaui nous rassemble : trait ! bête de traéit ! somme ! bnête de somme ! joug ou je c'est la même chose (le jeu ) . On veut (grave) traverser la Roche, aller-voler)--figurer de l'autre côtéb afin de coller (si possible) aux n ,énés de l'êttre, vache surdimensionnée on dirait mais est-ce vrai ? auroque des prés ça serait ? ça serait dès lors un aurochs des prés ? auroque posée ? vache à lait = auroque sur un pré de roche ? On est comme touchée par un néné de base sanguine et, du cfoup, on tète grave ! on ne s'en prive pas. On est fée des armes qui voulons comprendre, ensemble, le pourquoi des choses sur pré la mort actée ! on est presque passée ensemble de l'autre côtéb on dirait, le Verbe aidant, mais est-ce vrai ? qui sait en vrai ce qui est concernant le Verbe alloué à une Personne (en ta,nt que telle) sur terre ? Qui sait ce qui est et ce qui n'est pas . La bête ? n'impôrte laquelle ? la paroi ? on rehgarde devant soi la roche et on voit ce qu'on voit , soit des bêtes fortes, bêtes de poids pesant leur pesant de rage de forme ! On y va ! on est là pour ça : tracer = creuser = dire = faiore = comprendre = tâcher = plai

re = spermer = cfomplaire = crier = coller à une soerte de paroi aux herbes, genre paroi post-cimetière, paroi des parois en herbe, pré des voix. On cherche cde fait à cerner les traits d'une sorte de parade, devant dsoi, mettant en branle force bêtes toutes pesantes, bêtes belles au xsens dfe "belles bêtes" = ossues-pesantes, fortes- masse, charge frontale (mentale) de paroi des temps d'avant ! romance pariétale sous le vent, du temps des hommes-femmes savants-savantes. On est née fée de rage sur paroi et nous voilà sarde (comme qui dirait) ^ppour en vraéi téter (de grâce) le lait alloué à une Vache S arde (pour le coup). Car nous, de fait, le lait, on aime grave 

! on aime grave téter ! le lait grave nous plaît , nous encjhante. On aime téter le pis de la vache, les nénées des prés, qseins de contrzbande et autres poitrine à laéit comme s'il en pleuvait ou pissait on le sait : pssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssxwsxsssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssdssdsssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss! voilà donc le laiot comme s'il en pissait en vrai des nénés ! pssssssss ! direct alloué au nez des fées ! on est née fée pour boire du lait : psssssssssssssssssssssssss! direct gosier ! on est née fée de base pour pouvoir , boire du lait des prés : psssssssssssssssssssssssssss ! et ça le fait ! on aime téter ! on veut grave téter le néné de l'antre ! mort donnée donne son lait (de rage) des prés. quand on aime tracer (bêtes cendrées sur pierre de grotte) oon est fée de roche ! On est la Fée des données accortes ! vive les fées ! vive les données cendréess ! qu'on passe ca&rosse ! cohorte ! traits de bêtes de trait ! on monte ! on monte ensemble ici (paroi) dans la lumière de roche, on voit ce qu'on voit , à savoir ... la porte ! le passage ou tra&ppe, la paroi éventrée, le tracé, le trait d'un passage donné comme par la bande aux fées de passage ! à savoir  nousz-mêmes, blêmes ! On est fée des fées qui cherchons de fait à traverser la roche, le ponton, la colle, le passé et le présent soudés, les donné&es de roche de type coulées, lave docte, sang et son. 

on est née fée du fait qi'on est mort (homme). on est née fée a&près la mort en soi de l'ombre, ou comment dire cette chose d'une sorte de /.... mensonge " inhérent aux ombres ??  on est bêtes de trait, de somme, monte-coche, on veut toucher ainsi attelées ! et nous transformer dès que née en fée soit en fée de roche (la mort actée, avérée, allouée). on est fée des données de roche comme déposéees.On veut grave toucher à cette déité vdes données lacustrezs, qyui serait du Verbe (peiut-être) comme déposé sur roche agraire. On est fée née cul nu sur roche de pré, parmi x bêtes ici au débotté chargea&nnt grave que 

tu chargeras ensemble sur paroi, et nous de chercher (fissa) à comme (peut-être) plus leur ressembler pour mieux "passer", être adoubées, reconnues en vrai en tant que fée des plages, des passages et autres passés. On est fée qui (en vérité) collons (ensemble : ailes) sur roche des prés afin de traverser la paroi des grottes et se retrouver, cul nu ou pas cul nu, peu importe, comme déplacée, transformée = formée, mise à pied pour insi dire sur un pré, à devoir brouter ! et nous de brouter comme si en vrai de rien n'était ! pas plus de changements que ça en szoi ! comme si on était ce qu'on était déjà avant le pâsdsage ("à la une à la deux") de la paroi. on gvoit ce qu'on voit. on entre ensem^ble toi et moi. on passe . Et une fois passées (deux femmes allouées au roc des données) nous cvoilà transformées comme à la parade, par magie, en fée du logis, fée clochette ou fée des bêtes, fée ! fée des prés, qui volette ! va et vient ! court presque à perdre haleine "dans la mort". la mort ici est cet espace dit "prairial" rempli de bêtes-charges, betes à bois ou pas mais grave imposantes sur par(oi (buffles, bufflons, mouflons, bisons, bison

nes et antilopes des chemins herbeux). On est commeensemble devenues la fée ! une fée des ombres sur roche (= pré) qui va pour ainsi dire son chemin de ronde ! ronde szur pré ! à la recherche d'une entrée, de type ... néné ? néné à téter ? qui sait ? on est née sur herbe fée, prête à devoir tracer à main levée les mots de sa rage ! rage d'être fée allouée à une sorte de prairie aux her b es .. vertes, vertes et hautes, hautes et drues comme qui dirait du Verbe de RUe. on aime ! on aime grave l'herbe ! on aime grave l'herbe à brouter ! le lait ! l'nherbe à léit : le Verbeb ! Grave en vrai on aime le Verbe et l'herbe des données lactées après-cimetière. On est fée des prés qsui voulons cernezr ce qui est en vrai concernant les données d'une vache à lait qaui nous atte"ndr&it passé le cimetière dans la mort à l'(oeuvre. Qui on est ? eh bien .... peut-^$rtre , en effet, AILE ! on serait une aile (ou deux ailes) sur pré ! ELLEs, la mort (une fois, ici) entérinée , on dirait. Mourrez, et nous ferons le nécessaire pour vous embaumer, adouber, préparer, accoler à une sorte de muret de cimetière. on est

 né sur herbe fée après la colère d'une sorte d'embardée sévère en cimetyière ! là, on est comme sauvées ! on a passé le cap (dudit cimetoère) pour nous retrouver comme derrière, derrière ou devant ou hors du cimetoère aux données cendrés, i-on est nées ! on est re-nées ! on a passé ensemble le cap de la mort et là on mate grave, ce qui est qui nous regarde : l'ombre portée ! la charge mentale ! le tracé des corps ! les bonbons sucrés-salés ou seulement sucrés sont de ceux qu'on aime, tout du lo ng notre passage, sur pré aux herbes. On est pas couillonnes ! on sait ce qui est bon ! le lait ! les bonbons ! le sucré ! les nénés ambrész, la toison ! On est fée docte ! on est entrées ensemble comme en pèlerinage et à présent on trace = on dessine = on va = on conçoit = on y va de son chemin xde croix en ces contrées de base prairiale, sous un vent de fou, charge mentale. on avance. On est folles fées de base qui vgoulons creuser (ensemble) un passage pour une entrée . on est motivées ! On vgeut cfomprendre ! On est deux accolées (ailes) pour former la Fée des données de base : fée des fées pour une sorte de mise en branle d'une vérité de charge . cri dans les 

cri dans les 

cris dans les marais ! on entre ! on est accolées ! on est fée de rage ! on est ailes soudées pour fgormer fée dite "de passage" ; On veut comprendre = toucher = dire = composer = comprendre. Chalutier des mers profondes ! chants de roche ! cris de joie sur pré ! cohortte non en vrai d'hommes accortes mais de bhêtes grosses, bisonnée des pré, chevalières des données portées. On veut toucher à cette déité des données prégnantes. Q ui c''st qui nous regarde ? qui c''st en vrai qui pour le cfoup regarde, nous regarde, nous mate grave ? on ne sait ! on est fée qui voulons comprendre et toucher, on essaie. On cherche de près à pour le coup toucher à ce tracé de contrebande genre acidulé comme néné, lait de néné . on entre ! On veut vite toucher à cette xéité de contreband nde toute cernée ou sinon cernée consacrée ! On aime les nénés ! on aime ghrave les nénés ! gr ave" on aime les nénés de l'antre ! on aime ensrmble (fée) les nénés grave ! nénés des nénés ça nous plé^t. On aime et toucher et tét"r les nénés de l'âéme (l'antre ?) aux données de fait comme acidulées ! sucré-salé ! on est née ! on est morte-née  ! on erst mort  homme et dans la mort comme transformé en femme des prés = fée ! fée accorte ! fée des fées aimées des cohortes ! on trace sur roche une voie d'accès vers ici des  nénés (un suffit, un néné) à pouvgoir téter. On est fée qui voulons t(éter ! le lait de la prairie ! lait des prés ! lait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! lait des laits !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! lait des laits de rage !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! laits de la prairie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! lait praiorial de base !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! du pis !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! du psi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! des données accortes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! beautés graves !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! charge ! charge mentales !!!!!!!!!!!!!!!! vie desz vies allouées à un lait de praéirie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vie des hombres portées sur roche aux prés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on cfolle ! on cherche à (de fait) toucher-coller à cette roche aux donnéezs accortes !!!!!! on est fée sur pré comme soulevées par (on dirait) l'herbbe verte donnée, l'herbe aux données données, l'herbe verte allouée donnée comme une sorte de bonté ! on aime ! on aime aimezr l'herbe oou le verbe en herbe ! vive Déité Le Verbe ! Vive Déité le Verbe ! Verbe-Déité est aimé dxes herbesv ! vive le lait, l'herbe, la paroi de roche , l'australopithèque, les données anciennes, le tracé sur pierre comme à main levée , les roches souterrainesz, les traits, les données de b  ase, le sole'il des rages, l'onctuosité des nénés ! On éime grave ici s'aventurer parmi les herb es, chercher pis que tête, le pis ! le pipi peut-etre, psi en goguette, le tracé chargé

, l'être bête, le Passé ! passé dé"posé comme une lttre. On est fée aux herbes des prés et de fait, on guette les bêtes, bêtes de trait, aller et venir sur l'herbe, se monter, brouter, s'allonger, se lécher, se frotter . On aime regardetr les bêtes sur l'herbe, les écouter, les sentir aller, peser, plomber, coller, pisser et chier. On veut cfoller à une sorte de donnée liée aux bêtes dessinées par l('homme-femme des cavernes, et pour ce faire il nous faut "parler" , dire un certain  ombre de données données (ici) sur herbe et a&utres bêtes acidulées. coller = donner (on sait !). Faire = dire. Poser = donner/ Craindre = vivre/ Charger = transporter (et se transporter) /. Douter = passer. Chanter = pisser./ Poster = présenter sur roche le fruit des nénés , lait de roche ! dès lors (en effet) lait de roche ! c'est un fait ! on a traversé, on est passé, on s'est retrouvé de l'auttre c^$oté toute transformée e,n ... fée des ombres ! rage à lait ! cri de force ! passé tracé ! ça le fait ! on ose ! on force le trait ! on veut cerner ici ce qui est en termes de cohorte allouée à un muret, à un mur de rotonde , mur des fées ! on veut tracer = toucher = faire

 = coller = comprendre = collaborer ensemble pour co:prendre ce qui est ici (ou pas ?) en termes de néné à lait ! on veut ici e,n,semble (fée) toucher à cette déité des déité dite des données données comme par la bande ! on est fée des fées ! on est entrées de rage ensemble pour fgormer la Fée alouée à une soryte de donnée de type prairiale : lait ? lait des laits ? vie des vies surnuméraires ! pis ? SPi ? psi ? pssssssssssssssssssssssssssssssssssss il semblerait ! on entend ce pssssssssssssssssssssssssssssssssssssxss qui serait ce pssssssssssssssssssssssssssssssss d'une vache à lait en train de pisser ! On regarde. On est née fée sur herbe moite (toute pissée) eh bé c'est pas grave, on s'y fait ! on entre ! on entre en ba,nde ! on est entrées ! on est fée des fées entrée de fait comme par( la bande en ce pré aux fées de la mort donnée (actée) comme pa r la bande (la bande aux nénés). on cherche grave en vrai à cfompre"ndre, ce qui est ici ou pas qui nous regarde (regarderait) en face, droit, comme campé, devant soi, pour (qui sait ?) l'éternité. Et voilà pour quoi on chante ! on est fée qui en vrai voulons grave chanter la chanson des prés ! charge docte = paroles fortes = traits de choix = vies d'ombre = vies des vies de porte = chalutiers sur 

chalutiers sur ordre ! 

on est nées ! on est nées ! on est nées ! on est nées ! on est en vrai nées ! ailes au débotté ! déployées ! le passé tracé ici se déploierait pour former la fée ! la fée des ombres ! fée d'ombres ! fée des fées sur pré ! on aime son traéit , son tracé, sa forme. on veut toucher à déité dxes déités de porte ! chalutier ! chalutier sur ombre ! on vgeut toucher au chalutier, des ombres portées et autres anfractuosités liées aux ... nénés ? qui sa&it ! on cherche à trouver-déceler ce qui est qui semblerait être (de fait) une sorte de Verbe alloué à une V2rité elle-même allouée à une sorte ici de Déité liée ... aux nénés ? aux seins de Carême ? seins donnés offrent du lait ! lait celte ! On est nées fées comme à la retombée "après" le cimeztière, et nous voici comme projetées (sévère") sur ce pré aux herbes vertesq, prêtes ou rendues pr'êtes à du coup chercher qui c''st , en vrai, qui n,ous cherche , nous observe, nous veut en entier, chezrche à nous happer ! on ne sait ! on est "bêtes" ! on eest bêtes d'ombre" ! on ne s&it pas en vrai grand-chose sur grand-chose c'rst benêt ! on voudraiyt ! on aimerait beaucfoup ! on voudrait grave ensemble comprendre les données les plus profondes, ce que c'est, ce qu'en vr'ai c'est ou pas, à quoi ça ressemble , comme forme, est)-ce une sorte de ... samba ? danse folle ? transe-nouba ? tralala-parade sur paroi ? on cherche la porte ! où donc est la porte ? qui va là ? qui colle ? qui veut ça : la rage de base ? qui est là pour ça : toucher grave la paroi desx rois-reines de Saba ? On entre à pas cfomptés ensemble sur lesv doigts de pied. On fait gaffe à où on met les pieds. On est pas tranquilles tranquilles. On se dit que désormais le Passé fait foi, qui pèse sur paroi de tout son poids (acide) de bêtes de somme et autres bêtes de paroles fortes. On est accolées en tant qu'ailes de fée, et du coup on s'envole ! on vole ! on monte ! on est bête-fée pouvant monter en force ou pas mais nous envoler et du coup tracer comme au pied levé sur paroi des traits, qui , traits, 

montrent la douceur (candeur) de ce qui nous plaéi^t en vrai. On est femme-fée, sachant tracerdes tréits sur roche : fruits des fées (des fées des féesz) des données vives acidulées, lait ! lait des léits ! laits doctesv ! lait de porte ! On essaie de pour le coup nous rapprocher de fait de cete entrée due bout du mondfe. Porte nacrée ! porte dorée on dirait ! le lait ! brille le lait ! brille brille Lait des laits ! On imagine ! on s'imagine téter ! téter dans la mort le l ait ! on s'imagine en vrai dans la mort téter ! qui on est ? on est la fée du pré, ailes dou

blées on renaît en force la paroi passée, tracversée, par le Verbe acté d'une sorte de passage outré ! On veut toucher à  ette Déité des données dernières , qui c'est ? une sorte d'elfe ? chair à pâté  ? vie ancrée ? chair des données du verbe tracé ? cri des cris sur pré aux herbes allouées  ? Vache à lait collé aux herbes ? On est nées fée sur nherbe donnée, on mate, on mate grave, on reste là grave à mater (sur pré) les sarabandes et autres cavalcades surmenées ! On danse ! on est fée des fêtes ! on danse en transe ! fée des fêtes dee paroi et &utres nouba ! on danse en transe , on aime ça : et la danse et la transe. On cherche à traverser de fait la roche aux données, données de colère et autres sentiments exarcébés. Qui on est en vré&i ? AILES ! AILES ! AILES ! AILES ! AILES ! AILES ! AILES ! AILES DE PAROI ! AILES-BÊTES DE PAZROI ! AILES-BÊTES ! BÊTES D'AILES DE PAROI DE ROI / REINE DE SABA ! on cherche ! on est accolées exprès pour de fait chercher (ensemble) que tu chercher as, la raison première à tout ce tralala, le pourquoi, les données sévères, ce qui est et ce qui n''st pas, en termes dee paroles ou verbe de paroi post-cimetière. On est là pour ça : creuser ! chercher ! oser ! faire ! dire ! pisser ! compter ! tracer ! finir son tracé ici à main levé sous un ciel de traine ! chier qui sait ? on aime ! on aime chier ! onn aime aller post-cimetière à la recherc he de données données surnuméraires acidulées comme du lait ! on aime le lait ! vive le lait !  vive ce qui est du lait post-cimetière en 

ces contrées ! pré ! pré d'herbes ! champs donnés ! on cherche de fait à cerner les données telles qu'elles se prése,ntent à notre nez ! qui on est ? eh bé oui des fées  ! fées en herbe sur herbe de pré le cimetière une fois passé, c'st-àdire la mort actée ! ou à la mort actée, à notre mort comme entérinée ! On aime ! on vfeut toucher ici le nacré-sacré salé-sucré ! l'herbe ! le lait ! les données l;actées ! le Verbe ! le verbe)-lait ! le lait- verbe ! Verbe laid des donné&es somùaires et cependant voi:à on cherche ! on ne peut nous le reprocher ! on cre"use sévère ici le verbe cde la foi dans l'ombrte, la paroi, les traits, les données (de base sucrée), la nouba et les nénés tu penses ! vive ça ! vive les vivats ! lait de rage ! lai-t de base ! laéit tendre ! charabia ou pas le lait est là qui porte sa rage ! on y  croit ! on entre grave ! on veut toucher à cette chose d'une sqorte de paroi de rage ! lait d'antre ! la&it de l'antre ! parade sa&uvage d'animaux en transe ! traits de rage sur paroi de ba se ! Vive ça : le boyau ! l

'entrée papale ? le tracé sondé ? le passage vers la place aux données données de type lacté ! On entre ! grotte fauve ! on entre à deux en cette grotte nue ! on est accolées ! on fait corps comme qui dirait ! on veut de fait rester accolées ! à la une à la deux on veut sauter, traverser la roche et passer du cdoup de l'a&utre côté afin de cerner (comprendre) les données premières de la mort à l'oeuvre : un pré, de l'herbe qui est verte et bien fournie, herbe verte bien fournie à de fait brouter sans discontinuer. on aime l

'herbe. L'herbe verte, le pré, le Passé déposé, le Verbe, Les diverses bêtes ici installées comme à l'accoutumée : betes cdes prés, des forêts, des champs alloués à un tracé. On aime aller, virevolter en tant que fée. On est fée aux herbes ! On veut coller ensemble à la paroi du temps. Toucher grave, toucher sévère. Faire ainsi ensemble corps en tant qu'ailes allouées à une sorte de parole docte, fruit de saison, corps des ombres, portion. On est papillon ! fée des ombres = cfomme un papillon ! On vole ! on monte ! on grimpe raide sur cloison ! on veut téter -gravir, toucher-lécher, faire et donner, dire et composer une sqorte de tracé à main levé sur paroi de groote : fruit de la passion, bête de roche, c abvalcade groosse, polissonne. On erst née fée sur pré du fait qu'on est passé d'un trait d'un wseul comme à l'unisson !  chose ! cause ! cloche ! coche ! lait des laits  sur roche ! on est fée ! fée des traits de roche

 à l'unisson, on porte la cloche  ou le clocheton ! on vole ! 

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4/10/2024

On regarde ce qui est qui se présente. On est deux ensemble qui voyons les choses qui, ici, se présentent, s'offrent, se donnent à voir. On est comme (de fait) soudées et on mate ! on voit ! on discerne ! on tente ensemble de comprendre ici et là ces choses qu'on voit qui sont des convois de bêtes de rage ! on regarde ! On voit ça : ces traces, la pampa , la rage des données rupestres, ce convoi de voix ! on voit ça ! on est comme adoubées (de fait ?) par la bande et du coup on trace ! on y va ! on file grave ! on enttre ! 

NOUS VOILÀ !  on est comme adoubées ensemble "à tyoi à moi" par la bande rupestre des données de base devant soi, à savoir : ça ! ce qui ici se présente en forme de paroi ! LA  chqance ! on y croit ! on voulaiot ça et voilà qu'on y a droit ! on est comme vernies ensemble à la parade ! quelle chance ! On voulait c'est vrai ensemble cerner et toucher , soit comprendre et pas à moitié ce qui est qui se présente en termes de paroi, et voilà que la chose en soi se présente, s'offre là comme une "offrrande -chance" !

on est là de rage ensemble l e coeur roi, on entre, on est e,ntrées ! on veut : 

toucher , cerner, cerner, toucher, et du coup en avancer dans les connaçssances , dans les connaissances concernant la Reine, la Reine et le Roi, le travail de soi sur la lande et autres faits de joie prairiale genre saturnales ! On veut toucher " à satiété" ! on veut grave arriver ensemble à comme si possible se (au mieux) situer en cette lande des données (rupestres) millénairzes ! on en veut ! On aime creuser ! On veut le mùieux e,n tyermes de donné"es de rage, on cherche à comprendre ce qui est qui se prése,nte (art) en termes de données rupestrss. Ce qui est et ce qui n'est pas,; et on en avance ! on veut ça : la Rage , la Par(oi, la Trace des Rois , Reines de Saba qui dansent comme à la parade ! On est là ensemble "toi et moiu" pour comprendre (de fait) ce qui est de base , 

gentes dames, fées des fées, rougeoiments iintenses surr place ! On s'avance ! On veut en vrai toucher à cette sorte de pelote , de tracé de fait rondelet, de grotte ronde, de colère monstre en forme de pelote : nerbvosités ! On aiùmerait en vrai ensemble, toucherà cette cbhose, d'une sorte de rotondité, qyui serait, 

comme il paraît, grotte , grotte allouée à  un hôte, genre Mastodonte,; mais qu'est-ce ? On ne sait ! on cherfche wsur le fait ce qui est qui est mais vas-y comprendre ! des nénés ? qui sait ? Des traits de parade et autres faits rupestres comme s'il en pleuvait ? ça se pourrait mais c''st pas dit en vrai !on cherche ! qui on est . Fées des fées peut-être = ELLLES . On est ELLES car on est AILes (dans la mort actée, délivrée). On est(comme) ailes = elles = féesc ! on volette ! on aime ! on aime sévère ! voleter-tracer. On aime grave voleter-tracer,

on aime grave voleter-tracer et voilà on trace ! on avance et on en avance ! On aime grave en avancer et en vrai on en a vance grave ! on est là ! on grave les données rupestrss "à toi à moui" sans débander en tant que fées surnuméraires deRoche Allouées (attitrée). On trace ! on y va ! on entre fissa en cette roche de paroi de grotte : waouh ! ça dépote grave ! on entre et wouah, ça le fait frontal de type paroi (ou pari"tal) , c'est ouf ! ça nous plaît des masses ! on avance : toi et moi. On  ime la Paroi, on aime ça ! On veut gravir "les échelons de l'âme " cvomme qui diréit ! On veut tpoucxher  /... Déoité des D2ités et autres divinités notoires. Qui on est ? On est des fées ! deux ailes allouées à une mort actée comme suppllantée par , qui sait , .... l'herbe ? le verbe ? l'herbe du verbe ? Le tracé prairial ? la de les ? la chance de ces prés ? On entree et du coup on trace, on avance, on court on vole, on est acculées ou comme acculéez ensemble à devoir tracer (par la bande des p^résq) les mots dits de rage et autres Verbe laid, comme une sorte de Parade, acidulée, sucrée , Romance cde Taille, on entre. On veut toucher à cette Déité des Déités Notoires : "qui c'est ? c'est L'plombier"  ? la de les ? la trace  des nénés sur place ? On ne sait ! Du lait ? qui sait ? ça se pourrait ! ça le ferait grave mais qyui le sa it en vrai ? On cherche ensemble  à contourner, cet ensemble de bhêtes nacrées   a llouéesz à un pré dit "de contrebande " ? on ne sait mais en vrai ça se pourrait parce qu'on est njées (en vrai) fées ! fées des ombres, et du coup il se pourrait que l'Homme , l'HOMME xdes tracés, soit commùe t"travaillé" en luipar un re"mords peut-être de tous les diables et auttres saints de rage ! On voit l'ombre sur le plat ! On creuse, on ponce, on cherche à toucher, on veut grave nous approcher ou nous rapprocher de la par(oi finale, la de les ! la paroi des fins de base ! On aime toucher ! On est passées ensemble comme à la parade età présent, on chervche à comprtendre ensemble ce qui est qui nous regarde et pas à moitié ! en vrai = en face ! elle nous mate ! elle ne nous lâche pas d'un pôil ! elle n ous reluque (grave) sans discontinuer cde base ! On la voit rageant, rageante ? , après nous constitutivement car elle nous voit ailées ! et ça l'emmerde forcément vu que voilà, elle nous vgoulait "vivant" et nous voilà "traçant" sur roche ... lkes nénés de l'âme ! oh ! on dirait un chant (cvhamp ?) qui serait là, comme par chance, alloué à une sorte de Romance (du Foyer) ! On est passées ! on est entrées ! on est femmes des prés (dans la Mort Notoire : Fame !) On a grave envie de dérouler 

on a grave en vcie d'en discuter ensemble, cerner, déchiffrter, comprtendre = cerner = entoiurer = embrasser = ceindre = manger ! On est ensemblke nez à nerz (?) ou sinon nez à nez nées !  on est nées de rage ensemble sur nénés ! On tète sur pré ! On aime le lait ! la rage, le sent-bon, la trace, le moelleux de l'ame, l'enviro,nnement ruprsretre de la Rage xd'être et autres rages de salon (on aime). On est deux (ailes) de pa rade sur prairie de base. On veut : 

toucher

toucxher grave 

toucher ensemble 

ensembkle toucher 

toucher de fait les nénés de l'âme (du pré ?)

On veut ou on voudrait ensemble en vrai, touchezr les nénés de la roche imberbe et autres rocs des prés alloués au Verbe ! On est qui ? quête  ? ça se pourrait ! On cherche ! on n'(arrête pas de chercher ! on cherche ici, on cherche là comme le furet car "on y va " ! on accélère ! on y va fissa ! on aime ! on est là pour ça : tracer que tu traceras des fils de soie surnuméraires et ça le fera, des fois qu'on soit comme (ma foi) des Fées , Fées des fées et ça le fait ! On est entrées en cette roche dite "des Prés" et à pré&sent on gagne la contrée finale = les confins, afin de comprendre, ce tracé, cette Chose, Enclos d'ombre, quoi c'est en vé&rité&é ? eh bien peut-être une sorte d'antichambhe à .   comme il semblerait, quelque chose d'auttre de type "non-ruperstre obligatoirement" ou quelque chose d'autre ! On est cotées en tant que fées : appréciées . On est allouées à une Roche nommée. On s'approche  des FIbnalités, mur de rochje, fin de grotte, fin des fins de l'Ombre. On veut touchger cettye sorte ici de Roche Allouyéecà une sorte de Finalirté accorte, ou sinon accorte sympathique, du fait (avéré) qu'elle nous attise ou attire,qu'elle nous cherche un peu , nous veut ! On est cfomme scotchées de près ! Ailesde fée ! sur roche mobile , on est près (tout près) de passer = d'y passer ? on est accolées ! On colle aux nénés prêtes à têter le lait ça le fait ! On veut TRACVERSER TRAVERSER 

la ROche des prés = finalités, dxes données acides (lucides, éclairées)/ On est comme alloyuées (ensemblke) à une sorte (en soi) de vérité des bvérités notoires, à savoir ça, fcomme quoi  la Roche (la p aroi = la pampa) est Roche des Rois, REines de Saba et autres Princxes / Princesses de base, qui "envoient", qui grave "envoiuent" et pas pour de fau ! La p aroi des Parois envoie et comme il faut ! Elle envoie du bois ! Elle gagne ! elle pousse le Vezrbe(ou du Verbe) haut ! elmle trace de rage ! montre quoi, montre sa rage d'être ça : l'antre , le creux de la vague, o'ouvre-boi^te ? ou pas maios voilà : on entre en cettre sorte d'antre de paroi de roche et là (le pré) on court on vole ailées , on est ailes sur pré (= ELLES) comme s'il en pleuvait (plxeurait ?) de rage ! Rage de la foi, des données maussades, des bases marquantes. On veut ou on voulait tr acer ensemble eh bé c'est fait ! on est entrées ! on est acculées = accolées,  à cette bande de opa roi de rage , et on  trace (à main levée, et aussi de rage, il semblerait) les ...  nénés de l'âme ? qu'est-cde que c'est ? cd'est comme des nénés (seiins de contrebande) mais /... armés ! oh c''szt vrai ? ouais ! oui ! oui cf'est vrai ! On voit d'ici (de base)  les nénés, se monttrerrr , et nous (ailées = fée) d'y aller, d'aller vite vers ce fait ! cette chose allouée à une sorte de ... fin de rotonde ! en creux ! seins de roche ! c''st moelleux ! onctueux ! doux-soyeux ! c'est mieux que la Roche aux données rugueuses et autres vives alacrités rocheuses ! sûr  ! On veut ! On veut :

tyoucher moelleux

téter le lait le mieux

 toucher les nénés des dsonnées acides

faire de son mieux la chose placide

comprendre = aller = dire = faire = donner = cerner ce qui est et du coup ou du même coup ce qui en faiot n'est pas du tout du tout mais semblkezrait en vrai être comme une sorte de ... coup donné ? on est nées fée de fait car on est nées la mort une fois actée (entérinée) . Nées Fée cde fait la mort allouée ! Quand on meurt cf'est pôur la vie ! Quand on ùmeurt on passe direzct cdes rages terrsztres, ici données , à une sorte de pré aux fées, pré des fées et auttres attributs de rage de type bêtes-mots de base, bisons-mots, carosses, chevaux, buffles-morses. On veut aller dans un boyau ! comp)rendre = toucher (à satiété) les nénés de l'âme . qu'est)-ce que c'est ? Eh bé, on dirait que ce sont des nénés comme donnés à qui en vrai aime ou aimezrait grave le lait et autres semences ! On est prêtes ensembke à y croire mais en vrai (en vérité) rien n'est fait concernant ici cette croyance, ce trait, cette chose allouée à un trait de rage, chose rude-dure mais du coup "tenable", "contenable". On veuit toucher à) cette Déité des contrées finales (des "rotondouités") et pour ce faire, à la une à la dfeux, on trace sur terre à qui mieux mieux, la ligne des fées ! La ligne allouyée à un tr acé de fée ! fée d'armes ! On s'arme ! on est fée armée ! une fée = Elles = Ailes = deux ailes = Dieu ? On ne sait mais on est comme ici cernées par une Paire d'yeux ! qui ne cessent pour le coup de nous mùater comme si en vrai on était en effet Fée, qui volions, voulions voler, voleter , en ce roc des roches "Cavity" ! On est tarnaises anglaises, ou on est anglaises par la fée et tar,naise par les faits, ou sinon quoi d'autre en, vrai ? Fée des Fées des b ases allouées à une sorte de Romance : on croit rêver ! on en avance ! on veut toucher ensembkle les ,énés notoires (FAME au Débotté ) et du coup tracer, cerner, dessiner

 les faits, cdessiner l'aurochs de base,; le salé et le sucré, l'ombre sur le pré, le bison futé, la salamandre, l'oiseau aux traits, mandragores au ^poil près. On est 

comme devenue Fée au pasdage de la mort actée on dirait. On est mort (homme au singulier) nous voici de fait transformé en fée, = transformée ! transformée = devenue = changée = vue ! On est Fée de base la mort advenue ou venue ! On change ! "é " devient "é /e" et c'est marre ! qui dit mieux ? on est doublée ! doublé -"é", puis comme (une fois passé) doublé - "é/e" à la retombée ! commùent "conjuguer" ? On voit que c'est pas si facile en vrai de pouvoir tracer de fait ce qui est, cette chose d'une sorte en soi de changement de roche sur paroi ! on voulait en vrai ensemble comprendrte les données de b ase, mùais quoi ? devait-on comprendre ensemble le pourquoi des artmes ? le pourquoi ou le pourquoi pa s ? On ne sait pas mais on en avance (sur paroi) bon an mal an comme à la parade ! On veut toucher grave = cerner = dessiner des bêtres , bêtes de foire, fêtes 

lambdas, lambada, danse et transe, on voit ça ! ça chante ! ça envoie ! ça entre en transe devant soi ! c'est une chjance (pour soi) d'être de la bande et de pouvoir comprendre (une fois) à toi à moi les données frontales et autres gestes de paroi de f ace ! On enttre fade, on trace, on passe, on se retrouve rehaussée en tant que Fée Ailée comme un fait excprès, ça le fait ! ça le fait grave ! ça impacte ! ça envoie du bois ! ça charge ! ça cherche Romance sur PAroi des Rois et RTEines de SAba ! ça y va ! on entre ! on est acculées -accolées ... et on est Fée ! fée des Ombres Portées ou comme reportées sur roche :"qui,nc'est ? c'est l'plombier", comme dans la Romance ! charge donnée , sur mulet, dos damné, poids des prés ! "l'plombier de la CXharge" on dirait ! On est née Fée la mort venue, nue ! fée nue on est, ailée, sur le cul ! tombée ! sur un pré ! herbe^verbe au débotté ! on est née FEmelle = Ailes = Ailées = Elles = Elle = Fée des fées agraires ! fée femme ferme ! On est couillée 

peut-être mais pasz à jamais car... une fois trépassé, homme, on devient Fée, femme , à jamais, donc "dé-couillé" ça le fait ! sombré ! on est trépassé = on a sombré = on a failli = on estmis plus bas que terre = enterré et c'est bien fait ! on re-naît ici (le pré, le p aradis) Fée, soit ailé comme une fée,; dfonc transi ! ficelé ! touché ! nu et comme soulagé d'être enfin devenue "celle qu'on était de faiten tant que telle en soi une vie

 durant sans pouvoir lr'être en vérité". On est re^-né ! hé ! vivacicté, on

 est devenu Fée à tout hjamais la mort venue ! ça pue ? ça pue du cul ? Pas sûr ! au contraire ! c''st un fait des fées, genre un délice de cl arté ! On est né Fée comme à la retombée ! ça le vfait ! c''rst un fait avéré ! On aime changer ! on aime, grave, changer de sexe ! on veut grave cha,n,ger et pour changer en vrai il faut comprendre les données de base, ce qui est en vrai à l'intérieur des êtres de la roche nue (traversée) telle qu'elle nous apparait "au cimetière" comme qui dirait. On est comme cerné de près par une sorte d'ange, MOrt-Duivinité, qui de fait nous guete grave s ans discontinuer car il nousq veut en vrai comme donné "de fond en commble", et sans sourciller, c'rst-àdire sans que nouys (nouys-mêmes) on sourcille, ou szourcill^at ! Or voil:à : nous on veut ensembkle passer ; passer d'un trait de rage la p aroi des Rois et REines de la mort en acte, et là, u ne fois qu'on est passé, que le Moi est passé ainsi dédoublé comme il sembvlerait, soit Ailé (aimé), alors ...  on est une Fée ! on s'est transformé en Fée et du coup on devient ailé, fée ailée, Homme mort (enterré) devient fée ailée ! Elle = ailes  ! 

On sait les données rupesgtres ce que c'est en vrai à présent, o,n  sent ! on sent bien les choses, les données rupestrss : le sens de la roche, la cloison, rotonde des prés, charge forte desbv troupeazux de roche ou dits de roche, on est là en,trées comme allouées à ces troupeaux de roche;, on est née ! FÉE des présw ! On veut toucher à ces nénés des rages et autres Remontées ! On veut tpucher ensemble à ces nénés, ces bases rupestrzsq, alvéolaires, commerçantes, changeantes ou pas mais proches de soi, de cette sorte en soi (en nous) d'âme de base ! fée femme force la CXhose, à ... parler ? prononcer des mots de Roche ? tracer , le Verbe des p^rés? dire haut et fort ce qui lui paraît en termes de son alloué à une clarté ? On est ense'mv

ble comme "traversées" par une sorte de p arole forte ! On vgoit ça ! la roche ! la paroi ! le Roi ! la Reine de là ! le prince mordu , la princesse large ! On est nue de base (fée) allouée à une Sommité, dite "de la base (le cul ?) et des nénés " ! on dirait ! On est nées sur le cul ! on est velues, ventrues, couillues plu, mais vraiment cornues qui sait ? On

est remontées = tloutes remontées après Déité qui nous voudrait comme "trépassée" quand nous on veut duerer jusqu'à pouvoir téter en vrai les "nénés de l'âme" ! Mais ... qu'est-ce donc que les "nénés de l'âme", ducon ? Zh bien ... On cherche ! on rezgarde p ar là si des fois ... ou alors même pa r ici , on ne sait pas  ! On cxherche ici et là dans la paroi, les données de rage . On y croit ! on se dit qu'un hjour, un jour ou  l'autre (impossible  auttement), ça le fera ! ça finira bien en vrai par rendre, rendre quelque chose, impacter, donner du blé, du f il (du fer ?) à rtetrordre ou auttre chose mais de fait ! On y cfompte ! on veut aller ! On est doctes ! on est nées doctes fortes dans la mort "de roche" , on fonce ! On veut grave toucher les choses, d'une sorte de 

Donnée comme 

😀😀

personnnifiée, transformée, allouée à une roche des confins ! qui c'rst ? c'st un fait ! iune sorte de donnée de roche transformée en Fait dit De Parole ! on est doctes ! on veut coller à cette roche des données, de Fin de Rpoche ! Qui on est  ? eh bé puebt-^tre ... ELLE ! La donnée donnée ! le fait ! la roche des faits ! roche en herbe ! On ne sait ce qu'on est en vrai, et cependant on cherche (vgrave) à (de fait) cerner (ensemble) les données rupestres, les chevzaux sur pré et autres bêtes-mots surnunméraires alloués à une roche "imberbe ". Qui on est ? DEs fées ! des fées de l'herbe ! Fée du Verbe alloué à xde l'herbe à brouter  par des V aches à lait Divinisées ! On les aime ainsi ailées comme nous mêmes ! on aime être Fée,; Fées des prés, Vaches à lait auprès. On est p^roches d'elles : on les aime ferme ! On aime aimer l:es vaches à lait nos soeurs en herbe ! vivacité sur pré des fées de Carême ! On court on volette ! On est  nées fées en tant que telles sur un pré donné (carré ? ) qui est le pré des données rupestres des âges avancés ! des données vieilles ! des données alouéesz à des temps reculés ! On aime ! On veut 

TOUCXHER

TOUCHER 

TOUCHER

 TOUCHER = cerner (dxe près) les donné&es a graires : fruits des fées données par terre, sur seuil alloué à un cimetière, ou sorte de , en soi, cimaetière des aieux aieules. On veut toucher à cdette sorte de divinité notoire ge,nre Passivité (?) , Passion aux fées (?); Passé Composé ? On cxhezrche à comprendre en vrai (en semble) les données de Charme, Données doctes, Cris de Roche, Passdages pour une ezmbardée (fumax !) au sein des données, des données des RTzages. Embardée des Embardées ! On enttre ! on est entré dxans l'antre (homme de peu de foi ?) et nous voilà "ensemble" transformé hé hé en Fée des Rois etr RTeines de Saba ! ça le fait ! c'est notre chance dit e "de paroi" . On est entré xde fa ce nu, nu comme un cu, et nous voilà "de l'autre côté" devenu ailé = ailée;, à la retombée ! on a gagné le E de l'âme ! de la meu ? de la meu de l'âme ? On a gagné un E de rage ! on est Fée ! On est en vrai devenu ailé et, de ce fait, nous voilà comme nanti d'un E de base comme consacré ici par une sorte de Divinité, Divinité des Déitésq, déité des Divinités allouées au passage "de vie à trépâs", comme !il se doit ! On aime toucher à cette sorte de p aroi, a ux données "immenses", gravess = charge, charge d'âme ! On veut ! on aime et on veut ! On é&ime toucher + ; mais aiussi tracer ! dessiner les bêtes, les bisons et les phacochères. On aime aller ailées sur pré ensembke (main dans la main) = elle ! = la fée , aux ailes a llouées à un corp^s dit sucré-salé tel qi'il en nait dans les cimetières toute la journée. On est Fée ferme ! Fée cdes Fées et autres Déités ailéesz pêut-être. On cherche ! On veut 

TOUCHER = dire = faire = aller = centrer = comprendre = cerner = charger = chanter = ici même ch anter kle dire des prés, la charge mentale (frontale) d'une masse docte, d'un poids de paroi, d'un ensermble alloué à une charge crasse ! On veut 

TOUCHER = TOUCHEZR LES NÉNÉs, les nénés de l'âme ! or, les nénés de l'âme, ces nénés susnommés, qu'est)-ce en vérité ? des traits ? dxessins et ombres sur roche gravée ? des traits allouées à des roches sardes ? on cherche ensemble ce qui est, ce qui semble être vrai ou semblezrait, on aime ! on aime chercher ! On VFoudrait ensemvvble de fait, comprtendre ce squi est, en termes de données de base relative au lait tel qu'on peut le tétter direzct sur néné ! sur néné de femme sarde ! est-ce vrai ? sarde ? sage ? sage femme ? fe:mme sage ? sarde ? sade ? sade et sage ? sade = le contraire de maussade. On est né Fée comme de contrebande la mort (une fois) donnée, nous voilà dès lors à vouloir chezrchezr (de fait) les nénés de l'âmec = le , lait ! Lait des o=mbres ? Lait d'homme ? lait des la its .? Lait du petit l ait ? Lait petit des laits de base soutiré ? On cherche à cerner (ensemble) ce qui est, en termes de "l ait tété ou soutiré " , on est allouée (ensemble : ailes) pôur du coup ou pour le coup voler sur roche, au sein de la grotte, soit nous envoler, et grimper, monter, aller haut en cette "cheminée" de grotte de fait allouée à une sorte de donnée de type Déité (Divinité) surnuméraire, genre ... Néné ! est-ce vrai ? Déité = lait ? Lait (des nénés de base) = D2ité ? on voudrait le croire ou pet êtte ensembvke, envisager pareille donnée afin de l'explorer, de la cerner, de chercher (en sembkle) ce qu'elle contiendrait en termùes de données de type vérités, concernant "l'au-delà" ou "l'au-delà à la p aroi". On cherche ensemble (fée) à du coup en avancer en ces donnézs de base concernant la mort, Déikté, Divinité des mots donnés, charge docte allouée à un front de roche dure, mûre. On est fée des fées , contenues-tenues, sur pré, par deux ailes trac&ées comme au pied levé par comme qui dirait un être des temps reculéx det ype né andertalien, néandertalienne. On cherche ! On veut toucxher = trouyver, et pour cela : gratter ! tracer de prsès au pied levé à main levé les mots de roche qui en vrai pourraient (aux "yeux" de la moprt) le faire ! impacter sérieux ! faire croire = a ccroire , et du coup ... faire

 ainsi qi'on puisse u n temps encore durer allouées , allouées à une roche de type genrée, sexuée, ce qu'on veut de fait en termes de Je, mais comme main^-tenu (en creux) en ce feu, e,n ce pré aux données bestiales. On veut (de fait) rester , "dans ce creux de la vague", c'esst l'endroit le mieux ! On a grave envie-besoin d'aller ensemblme (à qui mieux-mieux) loin, au plus loin vers ce Feu, dees âges avancés, des temps lointains dits reculés, avancés ou reculés de fait = VRAIs ? ou sinon VRAIS, AVÉRÉS ? On est comme acculées ensrmble à du coup chercher à peut-ettre .../ toucxher ? toucxher aux nénés de ... l'arbre ? l'^$ame millénaire = l'(arbre ? On veut toucxher à une sorte de donnée de base, située, en vrai, face à la plage, face à elle , la tempête sarde, les remous, l'ombre de l'arbre sur nos genous ou commênt comp)trendre ce qui est en ces contrées chelous ? On est miséreuses

 de façaade, mais voilà, on est  ...  sage ? sarde ? née fée du fait qu'on est passée = trépâssée ! On voulait aller (ense'mble !) charger ou voir à charger de base la paroi d'en face ! à la une à la deux ! foncer ! contrer ! taper ! cogner de fai t comme avec un bélier pour entrer, traverser de rage laz paroi des flammes ! aller de ce fait de l'autre côté comme à la p ar ade, et tyoucher ! tyoucher l'autree façade (pour le dire vite)- xde l'autre côté = fin de salle ! traversée étrange (en veux)-tu en voilà) et nous cvoilà, toutes, remontées allouées à une sorte de oparade sarde, fête desféesz, gentes dames, Fée des Féesq, on est acculées ! On veut aller,k toucher, cerner, contrer, dire et placer sur roche 

x mots de bhête, = données, données certaines, sensibiljtés, charges sur pré, dominicités agraires et autres vilosités non épilées pour mieux lui plaire (à cette déité des déités des plaines et autres prés d'herbe). On veut : 

toucher ! Toucher vif = à vif ! On veut : 

dire et aller, faire et cerner, comprendre et allouer, faire-dire = comprendre-cerner, de fait, les données données par UN "CIMETIère de données" . quand on naît c'est pour la vie ! on est bêtes des prés allouées à une sqorte de Passé commùe Distingué ! Qui donc voudra cerner en v  rai ce passé, ma intenant que démontré ? on ne sait !  on veut touchezr -aller, soit passer filer(, cerner = pisser, de rage, le pipi de l'^âme ! le pipi de l'âme" ? allons bon !!!!!!!!!! q'est-ce ? qu'est-ce donc que le pipi de l'âme ? une sommité ? un trait ? une sorte de dessin sur roche ? un pipi de V ache ? ah, ça se pourrait  ... mais en vrai peut-êztrte pas , pas de vache ; de paroi ? pip 

i sarde de pa roi ? de la pisse chaude sur pâroi des rois ? pipi szage ? pipi d' art ? on entre ! on entre dans l'antre ! On veut  toucher à cette sommité tracée = dessinée su-r 

roche, dont le nom de fait est V2RIOT2 des V2ERJIT2S , en vrai. On esqt nées fées comme à la r etombée une fois mla mort allouée à une vie passée. On est femmes des prés, charge d'âme olé olé on dirait mais ce n'est pas vrai ! on est pas olé olé ! on est nées femmes (femmes = fame) la mort allouée car on est nées fées, c'est un fait ! homme mort = femme née ! l'homme (et consorts) va (vont) dans le pré chercher à s'enterrer, à  jamais , et ainssi trouver où pouvoir donnezr (un endroit idoine) ce qui est en lui, ici (mort) , qui puissee "donner" , "donner de la fée" si tant est, et tant est ! car , fée = fe=mme = faille = anfractuosité "des nénés " (?) ou alors quoi d'autre qui pôurrait nous aider, à (pour le coup) aller = tracverser ? On cherche à cerner grave les données ! On veut toucher à cette déité Notoire Illustre Renommée, dont le petit nom est Vé&rité, Vérité Déité est son nom complet, et nous de cherchezr, e,n tant qye fée (homme mort-né transformé en fée) , à cezrner, toucher, toucher-cerner comme p ar lna bande du Verbe Alloué à une Romma,ce, cette sort e  de Donnée Donnée ou Donnée des Données . FAME? FAME DES PRÉS? FAME FAME = FAME SARDE ? On ne sait en vrai ce qui est, mais on est qui chervchons grave ! voulons cvomprtenxdre ! cfomprendre = toucxher mais toucher quoi sinon ... des nénés, c'est ça ? les nénéds de l'âme ? de l'arbre à vérités ? On est née fée au passage (de vie à trépas) et là, une fois née, en ce pré de l'au-delà (pour ainsi dire), on y va ! on ne traîne pas ! on ne lambine p as ! on doit, toucher ou alors : arriver à toucher , l;es nénés de l'âme ! de cetye sorte de Donnée

 de Fable , de Donnée tracée, de do n,née crasse ou de donnée donné comme par la ba,nde et ça le fait ou ça le ferait ! On est comme cernées eznwemble par , en vrai, 

une sorte de Donnée ... "Ineff able"  ? Une sorte de donnée des rg ages ? On est femmes de p aroi céleste. On veut ensemble en tant que telles, comprendre les dponnées de base, et de ce fait  nous projeter, aller, filer, nous pousser comme par la bande, à chzercher à comprendre le Passé ce que c'est en termesq d'offraznde à Déité La Mort : pis-aller ? oh, ça se pourrait ! ça wsee pourrait que le Passé donné (sur pré) soit ce pis-a&ller / trompe-cvouillon qui en vrai le fezrait (un Temps) aux yeux de la Mort, mais voilà, on ne sait pas vraimentce qu'il en est de ce p assé représenté, déposé, posé sur roche (bêtes-mots des omb res) , ce que c'est et pas, ce que c'est et ce que c'est pas. On veut toucher de fait les données rupestres, en vrai = concret !On ne veut plus transiger ! On veut tracer ! cerner ! pisser-chier de rage sur paroi des âmes ! pissouil:ler = dessiner de près on dirait ! comme en vrai ! On est Fée des fées allouées à une sorte de parade sage (sale ? sarde ? ) qui nous pla^t ! On avance ! On est fée des fées sur pré  , qui vo nt chercher pitance, mots -des -fées, charges folles, conséquences et causes comme dépliées. On veut toucher à cette Déité du bout du m=onde. On est des cfées ensemble consacrées, du fait des nén&és qu'on cherche à toucxhezr et à téter, et donc voilà, on est adoubées ! on est reconnues comme fées des fées qui chervhent à téter !  on est repérées = reconnues = 

adoubéeezx =cernées = touchées ! On veut toucher à notre tour les nénés de l'antre ! On veut loin allezr pour de fait toucher , toucher les nénés, l'herbe haute, soit ce pré aux données de ronde, ces données de fronde, cette sorte de pilosité comme allouée à une sorte de donnée ronde ! sein lacté ? sein des seins lactésv ? sein = saint ? On est née fée sur roche tracée par des holmes-femmes (femmes-hiommes) des temp)s ancfiens et n ous voilà dès lors consacréee ou comme consacrées par un Saint (des ?) qui npus regarde de la tête aux pieds et nous absoutv d'un tra&it ! on est né fée ! on est née fée ! on est nées fée ! on est nées fées ! On est commùe supllantées on dirait = transformées en entier, et du coup, d'un côté mort et enterré (l'homme tracé) et d e l'autre "envolée", fée 

des fées femme, ferme, chant de gloire, seinn donné à déité ! qui le sait ? sein donné ? sein donné à une déité ?????  on serait ... sein donné ????? on chzerche ! On a méga envie ensemble de trouver, dans ce co,nvoi de bêtes-mots , c  e qui est en vrai, qui serait "mot" de roche", mots de trop (?)", mots d"homme" ? Quand on cherche on va, on file, on y v a, on trace ! On est fée de r age ! tralala sur paroi on danse ! on impacte ! on envoie ! on est là pour ça : monter notre charge de bras, pattes, sabots doctes, sabots beaux dondaines et autres museaux ou groin de Reine, Roi, Chants de Saba ("ça ira !") . on veut toucher à cette déité des déités surnuméraiores?;;; on veut grave toucher à cette déoté dxes déités surnuméraires de fin de contrée (ou de pré) . on est femmes fées, qui voulons ensembvle cerner les données données du verbe tel qe consacré par les fées des Herbes.

 on est des fées données sur pré, on aime cerner, aller, toucher, coller, passer,; donner aux bêtes c;es denrées, fai re ses emplettes 

dans un pré donné. On v eut coller à cette sorte de paroi aux herbes = pré = par adis des fées et autres créatures allouées à un pré, fée-bêtesz, fée des fées devenues bêtrsc agraraires =  mots doctes. On veut aller (de fait) au plus progfpond, des grotte de l'ombre, chercher, fouiller, fureter, trouver, découvrir le trait de roche pouvant signaler le passage en force (de vie à trépas) sans se (nous) tromper. On y va ! On est femme de paroi = fée = ailée, car homme mort (et enterré) a donné ! a de lui donné ! a doknné de lui, et nous voilà comme znfin (?) consacré par.../ des nénés ? sein de sa&inte saleté ? sa&inte sarde salée ? sucrée ? salée et sucréez ? On aime les nénés , la roche sereine, le tracé tracé, l'ombre sur plaine, l'enveloppe humaine nous sied à moitié mais commùent faire qua,nd on nait d'un trait homme ou bêzte ? On cherche ! On a envie grave de toucher ensembvle à une s ommité qui serait (en vrai) Sommité des ommités sur herbe : le Verbe ? la paroi des r a ges ? VBerbe-Poids ? Verbe de choix ? On colle ! on vitupère ! on crache grave ! on ne cesse de cracher de rage !on veut souiller ! grave souiller ! on veut szurtout tsouiller la roche aucxx bêtes , par des chants de ferme, chants agraires, chants des prés, chants des champs donnés, chants des données comme 

allouéees à une sorte de monts de clarté ! On regarde et ce qi'on voit nous intrigue asseez" on dirait. qui on est ? ELLE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!i!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! effe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! elfe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! F !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on est fée des fées ! 🅾️ on veut toucher à Déité Nacrée Sucrée ! LAIT 8 LAIT 8 LAIT 8 LE LAIT ! LAIT = Lait des LAITS ! on veut sucer, téter, boire le lait ! adonnéesz ! adonnées au lait sucré salé des nénées tracés sur roche cendrée ! On aimerait allzer a u plus profond téter ! on voudrait grave aller au plus profond téter ! on veut toucher tracer, donner-filer, cxerner-coller, dire-manger, faire a insi ensembvle (fée ailée) qu'on ait (de fait) de quoi coimprendre ces données (lactées) dernièresz, seins de rage, seins des seins, DEUX SEINS donés forment la donnée (ici ) dses données ! on est cernées ! rond e saluée ! on est comme cernéees en tant que fée p

âr des données de type mhurets, murs / murets des prés ! On est circonscrotes ! chine ! vie vive ! on v eut toucher à cette sorte de roto,dité

 des données fginales ! fins des ombres et murs de rage comme soulevés, de face, devant soi (fée on est) qui cherchons en vrai à du coup toucher à ce muret des fin s de pré ! qui on est ? une fée ailée (passée) qui chezrche à toucher (ici : la vie ? la vie outrée ?) les nénés des ombres (hommes ?) comme soupesés ! On est néeqs (dans la mort) fée, prête à téter le néné (les nénés) de l'Ëtre alloué à une sorte de "cimetière des données en herbe" ! On est nées Fées , opn cherche à téter, à téter le lait, du Verbe, du Tracé, xdes données genrées sur roche des prés. On est nées en tant que voilà, une fée : sur toundra, sur prairie sauvage, sur pré de paroi, savane savannah, on eswt entrées ensemble "à toi à moi"  comme par la bancde, et nous voilà Roi-Reine de Sa&ba là, sur roche nue, n ue comme

 elle, fée nue du cul, cul nu, nue fée des prés cul nu prête à téter au néné de l'être ! ETRE sa&ligaud ? etre (fin) des données de rocxhe. On est ensemble comme soulagée (de fait) de pouvoir téter (enfin) au néné ! on voulait ! on le cvouléit ! on voulait grave ensemble téter eh b é on y est ! on peut téter ! on peut grave enfin téter l a roche des prés,Sein des dknnées, Sein des saints de base (saintes Vérités). On est née fée de rage enfin touchée ! touchée ... pzar une odeur de sa&inteté ? odeur ou moiteur ou peut-etrte senteur ou fumet ? On est nées fées de base prêtes à tétezr, de rage, le néné de l'âme = des données (dons des fées ? des ombresc portées ? des enfilades de mots allouées à une sorte de parade droite, animale, tracée  ou gravée par des hommes et des femùes , hommes-femmes ou femmes-hommes, dxesw temps reculész ?) . On est né enfin fée xdes fées sur place (pré = parade = paradis) prête à être celle (ici) qui trouve (grave : ouf !) à téter en vrai  le sein de l'apprêt ! de l'ambre ! du nombre alloué à une clarté ! Sein d'homme ? sein xdes seins tracés ?. Sein surnuméraire comme consacré ? sein docte ? sein acté en tant que sein dit "des do nnées", femmes doctes : = données. On est née fée des données fortes, sur roche, tracésc = trempées, et on saute ! on vole on volete ! on aime sauter = voleter sur roche ! wse montrer ainsi, légèrees fées, quand la bête rosse (sur pâroi) pèse de tout son poidfs afin xde faire accroire à la Mort que voi;là, le p assé fait foi ! le PASSÉ FAIT FOi cfomme une bêtre de paroi ! le passé f ait (ferait) foi tu p ârles, Charles ! sauf que voilà , la mort croit ! la mort gobe ça ! croit en ça, d'une sortte de passé-p arade, chant de choix ! sarabande ! Bêtes-mots en veux tu en voilà pour faire accroire à une vie pulsant, son etre de Roi , de reine mère, chant de voix 

multiples soulevé ! Mort conne ! On est nées fées et on voit la chose ! On est comme nées sur pré Fée et du coup  on sait co:mpter ! On est fée née sur pré, on sait compter les nombresv ! On 

veut être fée des fées sachant compter le nombtre allou&é à une Somme ! sommité des prés ! charge d'ombres ! On est né&es ! on est (da,ns lza mort) néesz, nées fées des fé&es, il n'empêche : on est ! on est en tant que telle (bêtes) nées fées, et du coup on sa&it pa'rler, passer; donner, pisser, cerner, co:prendre, rechercher, szituer, coller, pousser, dire et poindre ! on a&ime ! on est fée des fées sachant pisser dans l'herbe et même caguer sans dépl$aire . On aime caguer et pisser, se vider, se soulager, faire ! dire et faire = faire et dire = donner ! donner vif de soi ou de son soi agraire sur herbe (merde, pisse, sang larvé, colère d'emprise, chine). On veut toucher à cette sorte en soi de Déité des Déité d'emprise qui serait (en vrai) Déité sur piste, chant total, charge grise, pôint de sang. on veut dire etaller, charger-p ôusser, emplir et décoller la cha rge allouée à une sommité afin de la porter, de l'emporter, de la manger qui sait. on est nées fées des fées grises, vives, non-soumises, tracées  ...;.;;;............................................../...................................../.........../...........................féé des fées non-soumise ! grise ! grise et non-soumise ! grise et du cpup non -soumise ! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fées actives !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! non-soumises !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! le problèm-e c'est que dans "non-soumises" cfomme à chaque fois on entend "soumises" , ça fait suer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! à chaque fois on dirait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! à chaque fois le non (la négation) contient le oui (l'affirmation) !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça fait chier !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça fait grave suer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! car dans non-soumise on entend soumises !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! un tracé des fées ! une sorte de main-mises qui fiat grave chier et même suer ! on est née fée tu penses, pour tracer en vrai des dires de vérité concernant l'emprise de  la mort à l'oeuvre , on veut toucxher ! on a méga envie ensempble de comprendre un certtain nombre de données de rage, donées fortes, folles qui sait, en tout cas cernées ou cdomme cernées (ici) de rage par la bande, à main levée, sur roche '"tendre" s'il en est, roche de paroi de grotte, roche d'antre. On colle ! il fait szuper chaud. on est dans une grotte pour ensemble (d'un seul trait) cerner-comprendre ce qui est qui va, de fait, cfomme à se donner,"à toi à moi", pour une sorte d'embardée (de base) dans la mort, danns le royaume (dirait)-on) de (qui sait ?) la mort en roche, ou de la mort sur roche. o, n cherche znse"mble, soudées (ailes), à comprendre +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est qui se présente : zqu'est-ce que c'est ? eh bien, peut-etre, une sorte de parade, parade nuptiale si tant est, une sorte de parade sarde ou comment ? sarde ou s age  ? parade savante ? on eqst fée de base sur paroi de rage. On est née fée sur place, la mort venue. On pue du cul ! On est fée des prés et on pue du cul ! On est des fées de contrebande et on pue du cul. On est fée de rage et de contrebande et on pue du cul exprès, pour vous "emmerder" ! On a méga envie en tant que fée de vous emmerder (ennuyer) de fait ! On veut touxcher à cette Déité "du trou du cul" ! des nénésw ? des nénés lactés ? du trou du cul ??? des données allouées à une sorte de passage fin , genre "trou du cul" et on s'enfonce ! on fonce ! Trou du cxul de base comme consacré, permettant

 passage, vers Déiité, passage nacré, sacré, ancré, vezrs une Déité Chelou ou, sinon chelou ... placide ? grise ? vive ? cendré ? verte ? donnée comme une sorte de denrée

 serait donnée ? On est nées fée sur place (mort  / (oyaume de la mort) et on cherche à ciomp^rendre", les do nnées, le Temps , le Passage vers un firmament de type Grâce ! On est p)roche on dirait de comptendre ensemble (ailes) un certain nombre de données de base, genre : mots de bêtesq, prières, chants de p^ré, 

dons de soi sur base maniaque, genre "litanies"; on est vive fée de base rugueuse. On est fée des fées sur roche acide. on veut ou on voudrait toucxhezr (ici) aux nénés, aux herbes dorés, aux bêtes cendrées allouées à une sorte de vie de passé, ou vie du p âssé, remise, dfonnée, posée, sur paroi des prés; On veut toucher à cette sorte de donnée ou disons l'approcher. on est fée grise ! grise fée cdes fées !grise non-souymise m ais dans no-soumise on entend soumise et ça fait chier ! on ne veut pas ùêtre soumises ! on veut l'insoumision de l'être féerique en soi, de type charge folle (affolée

) sur roche tantrique ! le tantra ! la Chose-Colle  ! colle des prés ! mot-colle ! colle docte ! cxharge rude sur paroi aux mots (ici) des Rois  /reines  Sa&rdes ! On y va ! On charge grave ! on veut comprendre large les données de Rome, l'enfilade animalkière, la pa r ade des bisons et autres bêtes ou bêtes de fêyte. Qui est qui en termes de savcoir natif ? quoi est là devant soi, en termes dee donnée placide active. Qui veut quoi ? en termes de vie allouée à une sorte de Passé passé. ON est née vie , on mùeurt fée, on entre dans le pré, on charge, on touche aux nénés, on est re-nées fées pour téter les nhénés xd'une sorte d'entité placide , vive mais posée, nénés ! des nénés ! plein (remplis) de lait on dirait sucré ! ou sucré-salé genre ... bonbon thaï ? ou qauoi ou qu'est-ce. On aime ! on tète ! on aime téter ! on adore téter les nénés de" l'antre de la mort à l'oeuvre au coeur de la roche dernière (terminale : muret).On cherche à comprtendre ensemble ce qui est qui pourréit en vrai nous en ap^rendre 

un max concernant la mort m:ais ce n''st pzs donné d"emblé, cça tord, ça mord, ça fronce, ça corrompt, ça fait mal aux entournures, c'est frontal-fatal astral peut-^tre mais voilà, on aime ça ! aller loin en ça , cette roche dite "finale" ou "terminlale" ou même "ultime" ou même "dernière". On aime gravir la f alaise : grimper docte ! cerner ! grimper-cerner la roche. On est faits fée ! fait fée ! on est né fée dans l a mort actée ! On est homme ici (côté cimetière) , fée là-bas (après " le cimetière). changement de genre , de façade,de tourments, de paroles dites ou pas mais comme areticulées déjà en soio. On aime traverser la roche et filer, essayer de se lover en elle pour enfin s'y plaire (co:mplaire) et pouvoir comprendre (on le dirait) ce qui est en ces contrées en termes de "morbidité " (?) ou de "mortalité" (?) ou de quoi d'autre ? Qui on est ? bête-mot de poids (pèse -tête ?) ou, au cfontraire, fée légère , tracée , dépotée ? On est fée de tête ? tête bêche ? on est bête féee ? fée de bête ? fée-bête ? bête-fée ? chant des fées sur herbe et on traîne, on prend le temps du coup de s'y plaire , ou tout le contraire ? on file vif vers une destinée de rage comme ici promise pâr ... eh bien ... la Voix, la des Voix quiPArle  à qyui de droit dès que mort s'ensyuit sur pré aux parades. On entre ! on

 est ! on est nées ! fées ! on est né ! fée ! on est née ! fée des fées ! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées surnuméraires !!!!!!!!!!!!!!!! chants doctes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! cris de joie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! swentiments profonds sur roche aux voix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on colle ! on veut grave toucher à cette déité des déités telle qu'anoncée sur pré par (on dirait) les bêtes mass, bêtes-^poids de rage.O  n est nées fées du fait qu'on est néesz (dans la mort-charité). On est née fée du fait que voilà, on est (dans la mort-charité) née ! quand on mùeurt (homme ou femme) on nait

 (femme = fée) . On meurt ici (ici- b

as) homme, pour renaitre là-b as (au-delà de base) femme = fame = femme-fée. une fée contient deux ailes pour voler en charitéb ! bUne fée est fée forcément ailmée ! On aime ! On est fée des fées ! On veut toucher à cette vérité des données données par une sorte de Beauté De Baise ! Qui on est ? Bête des prés ! qui on est encore ? fée ! Qui on est pas (pas du tout) ? Cette sorte de PAssé, Passé des données ou aux données acerbesz déplacées. Quand on passe la paroi de roche, on nait à la mort sûre souveraine : pic ! tralala ! la chance = le chant ! chante ton touurment et la cxhance (du coup) te sourira (momentanément = jusqu'à la prochaine fois !). qUand on chante on trace, on avance, on file, on voit, on cerne, on visite la paeroi, on entre dans la danse, on entre en tr&nse, on est collabée (collabée pour ainsi dire), on y

 croit! on croit en l'au-delà de l'âme des pârois du Genre. Qui va là ? la Chance ! cherche pas ! on avance ! On crie notre jhoie. On est fée de contrebande, falbala, chants de grâce, vent de face, porcentage à la revente. On veut comme en soi toucher le Roi, La Reine Faste", PRINCE des Envois , Princesse diacre. On entre ! entrons dans la bande ! faisons corps de base : fée ! fée = corps centré ! On est entré en tant qu'on est (qau'on était) homme des prés (des prés antérieurs au pré des parois) , nous voilà changée en (comme qui dirait) fée Folle ! folle Fée dxes Ombres (szur pré postérieur). Qui

 l'e$ut cru de rage ? qui , en vrai, au préalable, l'eût bien cru de rage sans forcer ? bé .... pas grand-monde il semblerait ! car on est fée des fées quand la mort venue on a traversé les données chelou d'une sorte de tracé de roche. on monte. On veut grave aller-monter sur roche, grimpezr, aller haut pour regaereder ensemble ("toi et moi") les données finales, de type vérité des vérités. On est accolées ! collées cernées ! on est accolées-cernées ! collées-accolées-cernées! on est accolées-cernées-collées-soudées ! soudées-accolées-cernés - collées ! on est comme soudées méga-accolées = fée ! fée = soudées ! ou impliqe qi'on est (en vrai) soudées = collées ! collées par la moitié pour ainsi dire ! séparées-collées = deux moitiées = deux ailes à monttrer, à déployer pour pouvoir voler = s'envoler "hors cimetière". On est nées vfées la mort venue, cx'est chou ! c  'est chou-bisou d'être née fée la mort actée ! chou genou ! chou caillou ! chou de chez chou ! on aime ! grave on aéime

 quand c'est chou , quand c'est pas chelou mais chou ! grave chou ! chou du bisou ! grave cghou quand c'est pas chelou 

: on aime ! fé on aime ! on aime être fée ! fée on adore ! on adotrerez être fée ! on ailme on adore grave être fée ! fée doux douce ! fée douce des fées non-chelous ! On veut toucher doux ! on veut toucxher à Déité des Fées, méis doux ! doux de chez doux, car on est fées des données données non-chelous comme qui dirait, mais douces de près (pré ?).

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12/9/2024

On est nées de base sur paroi. On cherche à co:prendre, ce qui est et ce qui n'est pas. On envoie du bois ! On est celtes, fraîches natives, on cccherche. On est qui pour le coup cherchons, ensemble, à trouver (ici et là) de quoi comprendre. On est nées d'une sorte de rage dite "de paroi". Onn avance, on y va gaiement , on trace, on veut comptrendre. On est deux pour la parade cette fois. ON est nées deux (à deux) pour une sorte d'entrée en fanfare ! on veut y croire ! on 

veut en vrai toucher la pierre froide ! On est comme allouées ensemble  ("à toi à moi") à une sorte de "parade de paroi", genre cavalcade, ; on est deux pour ça : de rage, traverser la place, soit le pré, l'endroit des fées et autres eêtres de la rage et des données sauvages, genre : buffles déplacés, bisonnes des fées et autres bouqaietins tenaces

. On est bêtes de poids sur la place et on avance au pas. On y va ! On aime aller ! On a (grave) envie de cerner, un certain nombre de données de base , relatives ici à une sorte de ... mebnace ? On voit ! on creuse ! on essaie de pour le coup cerner ensemble les données qui sse présente

"nt. On est qui ? des bêtes de foire ? on ne sait pas. ON veut comprendre ce qu'on voit de là, de notre place, si tant est qu'on puisse ensemble se pencher et voir de près (ic-ci ou là) les données tangibles, de type "roche rude,", , "anfractuosiité des fées", "gentes dames au débotté comme soulevées",. On essaie de cerner les données données, gentes dames et fées des fées si tant est. On entre ! On veut toucher ensemble à cette sarabande ! On est accolées ! On veut de fait essayer de toucher accolées à cette sarabande de données comme télépoertées. On regarde et ce qu'on voit ne laisse pas de nous surprendre ! On voit ça : la bande, la paroi, la paroi des Rois, Reines de contrebande. On est deux pour ici en vrai tenter de comprendre un tant soit peu un certain nombre de donnéeds données ensemble par la ba,nde , c'est un fait. On cherche à deux l'entrée : où elle est ? elle est par là située , à nous de trouver. on est comme touchées (en vrai) par les fées , et du coup : o,n trace ! on y va vif ! on veut ensemble traverser la roche des données de base et autres vférités ancrées (nacrées) . Qui on est ? des enfants sages ! Filles allouées à) une sorte de parade, sur roche ornée, fille allouées à une sorte de parade, vive et enjouée, sur roche ornée. On cherche ensemble ici ou là, l'entrée, où elle est, et on espère pour de vrai, à u,n moment ou à un autre, arriver à trouver (peut-être ?) la chose et du coup passer, traverser la roche "àla une à la deudx" sans anicroches. On est deux serrées accolées.On a méga-envie de traverser ensemble sans p)einer de base. On veut toucher à cette "

déité des déités". On est blindées ! armées ! tenaces ! motivées ! on va y arriver ! On est comme accolées de base ensemble pour tracer et du coup cerner, ici,  quelques données . On est pour ainsi dire "nées de rage", on est cernées, on veut toucher à cette (sorte de) "Romance des prés" et du coup nous infiltrer, comme à la parade, toucher les nénés, coller à la bande, ne pl;us rien lâcher de préférence. On est nées pour ^etre F2es , de base ! On est n"ées de rage, ensemble, accolées, pour être (un jour : dans la mort) fée ! on le sait ! on creuse ! on veut toucher à cette sorte de 

DOnnée Allouéeé

à une sorte de ... denrée ? on dirait ! vivres de passage ? On est comme ensemble touchées par , en vrai, une bête allouée à une rage d'être (ici, sur pré) bête des fées ! Qui on est ? Sage ! le sage ! la  sage ! sage femme des denrées ! quand on veut on trace , pas vrai ? on va , on avance. On est comme soudées ensembkle. On est accolées parce qu'on est nées.

On est nées. 

On est accolées. 

On veut cerner-toucher les données de base. 

On est comme cernées-touchées de rage. 

On veut toucher ensemble, dire et aller, comprendre les données, toucher-cerner ce qui est = aller. 

On est nées sur place : pré, de rage, survoltées. 

On cherche à comprendre les données données. 

On est comme deux soeurs données, allouées cernées. 

On veut (de fait) cerner des données qui puissent grave nous inspirer et nous faire comprendre ce qui est ici qui nous regharde. On regarde ! on voit des données . Données vives allouées à une sorte de romance, romance sucrée. Qu'est-ce que c'est ? du petit lait ? Qui saiot ! on avanvce ! on est comme ensemble cernées, de base sur pré , par une sorte de paroi "de circonstance". On veut comprendre ensemble ce qu'il en est. Ce qu'il est ici, ce que c'est que cette chose, d'une sorte de "rotonde des fées". On va à sa rencontre. On court on vole (fée ) /; On est cvomme accolées pour en vrai marcher, courir

et- coller jusqu'au muret qui semble nous interpeller on dirait. On mate ! on voit ce qui est, qui est,

une sorte de paassage, trou denté, sorte de trait ou de trait de rage par où peut-etre ensemble s'immiszcer. On veut toucher à cette sorte de muret des dits pazssages alloués cernés. On veut ensemble (qui sait ?) passer , mais pour le coup, sans y laisser des plumes (à jamaios) mais comme qui diraot, "par contrebande", " à la une à la deux on passe", on veut passer sans y passer "en vrai" : JEU ! JEU des RAGES ! JEU DU FEU, DES DONNÉES DE BASE, DU SANG FIELLEUX ! On veut comprendre ensemsmble ce qui est (en ce muret) "de la chance et des données données par contrebande", et pour ça, on mate ! on va loin, en cette chose-là ! mur des voix ! On mate = on entre ! On passe un doigt, l'oeil de base, 

une langue, un bras de soi. On cherche à comme quyi dirait entrter ici comme par mégarde, mais ... sans y passer de préférence ! droit ! On est ensemble, comme "touchées par la grâce"... d'une sorte de paroi des bases ! 

On voit ce qu'on voitb : la place, pré des bases, bêtes reines et autres fées des bois. On est cfomme touchées ensemble sur paroi ! on veut toucher à une sorte ici de panse ou qau'est-ce que c'est que ça qui semble aller vers nous nous approcher de face à vcouloir nous toucher  comme on pourrait de fait peut-être le pensezr ensemble. 

On est nées fées, on regarde, on veut toucher la pabnse ? A qui elle est ? On est cernées. On voit quoi ,la base. Les données fgenrées. On est comme cernées ensemble sur pré ! on veut toucher à cette déité des déités commev représentée sur paroi aux fées . On est bêtes des prés. 

On voit ce qu'on voit. Et ce qu'on voit (là-bas) est comme dressé sur ses pattes (arrière) d'ours de paroi. On regarde large. On voit un convoi, une sorte de parade. b^retes de la foi dans l'être des Voix. on est comme touchées ensemble par ici la bête des données du Roi, de la REine -Bête, des "Vives & Genrées" de type Belettes, Furets, Betes au museau carré et autres gentes Celtes. On est nées ici sur pré la vie passée. on est nées sur un pré auxd fées, et du coup on cherche ! On veut toucher. on a super envie ensemble de toucher à cette Déité dont on n'arrête pas d'entendre parler; Qui c'est ? On ne sait ! on ne sait pas ! On cherche ici et là , on cherche accolées (soudées) ici et là mais voilà ! on est comme deux bêtes (cendrées) accolées qui, là, sur pré, voient ce qu'elles voient, essaioent de fait, de cerner de près, les données en herbe, données fines et vertes (comme du verbe) ... mais ... On est nées Betes de paroi. On veut touchetv à une Déité "des cimetière". On est qui ? des bêtes de terre, bêtenues et vertes. on est velues ! On est nues velues ! On est en colère ! On a vécu et nous voilà "venues", sur pré des fées, quasi en colère après les données ! 

On espère un jour pouvoir coller à une vérité des vérités ! 

On est comme nées sur terre accolées et alors voilà on veut toucher, coller, dire et "donner du vrai" à celles et ceux qui de fait espèrent ! On est nées en vrai sur terre pour cerner des choses ensemble sans trainer et du coup comprendre ce qui est, en matière de vérité, qui on est qui on veut être, ce que c'est que cette chose qui en vrai semble nous regarder, alors même que nous, on s'en fiche pas mal puisque, nous, ce qu'on recherche pour le coup c'est de nous promener sur la jetée et de cerner ensemble ce squi est, en cette cjhose d'une sorte de paroi auxd fées. On veut comprendre ensemble les données données, le bois les denrées la chance la paroi, le fil de l'âme, l'envie allouée à une parade, on est néees de base sur paroi des voix, on veut cerner et du cfoup toucher et aller et faire ainsi que la paroi de base soit (pour nous) une sorte de façade qui en vrai pourrraiot nous en apprendre tant et plus en face et nous donner de quoi nous retourner, mais comme sans nous retourner si tant est ! on est nées de rage fées, on voulait en avancer ensemble et filer, tracer, cerner les données telles qu'elle se présenteznt de fait et du coup poster, dire et manger, coller aux données

 , dire ce qui est qui nous regarde en vrai comme si dxe fait on étaiot des fées du fait que voil:à on vit "ensemble" commpe qui dirait, accolées, collées, soudées, montées (qui sait ?) sur base traçante, on veut ou on voulait toucher à cette déité des déité et nous voilà ensembkle qui cherchons de fait à pour le coup nous approcher le plus possible et sans traîner d'une sorte de fée , ou fée des fées, qui serait LA F2E des données de genre ! vitalité ! clatrté ! sarabande ! on est nées fées sur pré et on s'envole comme à jamaios en ces contrées, on court on vole, on veut toucher à cette sorte de clarté personnifiée, tracée et gravée, on veut en abvancer et comme qui dirait creuser ensemble une sorte de tranchée, 

à prendre, 

tranchée des prés à pouvoir prendre endsemble = emprunter de fait sans y penser ... ce searit gténial ! 

on veut coller à cette chose d'une sorte de donnée aux fées, vive clarté s'il en est et chance sur pré comme une sorte de romance donnée tracée gravée de base par des fées ou par des bêtes-fées, ou par des bêtes-fées toutes allouées à pareille envolée. On cherche à ensemble du coup cerner de près ce qui est qui nous regarde, on a méga envie de comprendre un certain  ombre de données de base, données fines ,gravées, soulevées, prises, nacrées. on veut toucher à cette déioté des déiotés des bords de vase, bords de l'aeau de l'ange. On a méga envie ensemble de toucher à cette déité "des fées", à cette déité dite "des fées", à pareille fée des données lacutstres, la toucher de rage, ensemble sans trainer, sans chercher pour autant à cerner de rage les données données, mais en faisant ainsi que des choses de près puyissent opérer et aller et vite comme s'incurver ou s'incruster de 

base sur un pré, une sorte de pré, sur paroi des fées, pré -paeroi, et ainsi aller, toucher, pouvoir penser, dire et coller. On y va ! On veut toucher à cette chose d'une sorte en soi de paroi des parois et du coup passer, traverser comme à l'arraché, cette sorte de donnée de base, qui elle est, ce que c'rst, ce qu'elle pense, quoi c'est qui nous regarde et sembleraoit voiuloir de fait nous toucher cfolmme si en vrai on était en transe et comme si en vrai on voulait ensemble aller loin en cette chose d'une sorte de parade aux fées qui pour le coup nous donnezrtait de quoi comprendre situer cerner la romance telle qu'elle se présente ou se présenterait à nos gouvernes (déplacées) sur roche. On voudraiot ensembkle aller loin en cette chose d'une voix de  base, et du cfoup cerner ce qui est en vrai, cette chose des données de 

rage. 

On veut ou on voulait comprendre ensemble les données de base et voilà qiu'à présent, on cherche (ici) : la rage et les tourmentsz, les bois de contrezbande et autres vies  de saint sur place, on est nées ! on est comme nées, ensemble, d'une sorte de face ou fa çade "aux tourments , cris de joie et romance, chance et cran" ! o,n est sagezs ! on veut toucher ! on veut alller ! on a méga envie ensemble si possible de cerner toutes les données qui se présent'nt et semblent vouloir noud parkler. On est là commpe cernées par une sorte de paroi des Rois et REines DE SAba. On a méga encvie ensemble de comprendre et de toucher à cette sorte de donnée de base, et du coup aler , filer, faire aionsi  que des données de rage puissent (en vrai) être  déroulées comme par lma bande et (de prédsférence) sans trainer. On est allouées à une sorte en szoi de rage à être des fées dites "de contrebande", ça le fait ! et du coup on en avan ce ! On file grave ! On est nées de rage fée car ... on est née ! et voilà, c'est fait ! "fait" pour "fée" c'est un fait ! car, on pourrait avancer, que , fée = fait ! un fait = une fée ! ou peut-etre des ?  faits = fées ? On regarde ! On voit des choses qui se opassent

. On voit ça, en face : la paroi des ROis , cdes données de base. On veut toucher à cette sorte de passage aux fées de contrebande, aux fées (allouées) des données (de base) déroulées. On est  ainsi faites pour cerner de près ces sortes de données aux fées. On veut toucher toucher toucher toucher à cette chose ensemble , ce tracé aux fées, 

cette sorte de parade (détailléesz) qui sembleraient comme voiuloir nous parler par la bande. Qui c'est ? o,n ne sait , mais voilà, on veut comprendre (grave) ce qui est, et du coup en avancer dans les recherches "de façade" et autres types de recherches "sardes". On est accolées parvce qu'on  veut toucher , dxe face, à une denrée, et du coup, essayer de comprendre les données de base ce qu'elles sqont en termes de passion, de religion, de crzoyance fondée ou non mùais commea,ncrées dans le langage, la langue telle q'elle se parle, les opinoions, les dictons et aiutres sermons prononcés de face. On est nées de  base fée parce que voi;à, on est nées ! Naitre = naitre fée dès lors qu'on entre ici dans l'antre de la mort à l'oeuvre ! On est accolées, on danse ! on file ! on aime ! on veut toucher à cette déité des donnéessuprêmes . On est nées des féesn , on aime être fée, charger, toucher,n coller à une vérité post-cimetière ! On est qui ? on est bête de parade verte ! bête verte dite "de parade". On veut aimer, toucher, creuser, comprendre et cerner un grand nombre de données de contrebande si jamaios. On est bêtes ici de parade parce que voilà, on est nées ! on est re-nées ! on renait de base dès que mort "à tout jamais" tu parles ! On ,ne sait quoi penser, en vrai, mais la mort est là pour (il semblerait) nous indsdiquer par où passer, pas plus sorcier que ça en vrai ! On entre ! on veut comprendre = toucgher, et pour cela, à la une à la deux, la romance  ! chant des voix de s rages ! on est cfomme accolées ense'mble à une sorte de don,néec, et nous voilàcensemble qui cherchons parade, vents des fées, commandes, vitalité et vie ancrée sur place commê centrée. on est des fées deecontrebande ! fée des fées de contrebande, ça le fait ! On veut grave aller, rentrer, coller, pisser et charger sur place (pré) comme par la ba,nde (ici cernée) des données de base (acidulées) qui nous font face. On est nées fées parce qu'on est née ! On voulait le co:prendre, on dirait que c'est fait. On, dirait que les choses peu à peu commencent à (raisonnablement ?) s'organiser, ce serait pas mal mais en vrai c'esst pas gagné on dirait, on a encvore du c hemincomme s'il s'en traçait au fur et à mesure devant nous au pied levé. On est née fée du fait qu'on est née, c'est un fait ! On voit ici de près le pré, la place, les données allouéex à un espavce situé , en vrai, entre des murailles (muret) d'enceinte allouée à une sorte ici de cimetière dit "des fées et bêtes de paroi". On aime ! on voit ça ! on comme,nce à compfendre (qui sait ?) un certain  nombre de données de choix, qui pourraient bpeut-etre nous donner

 de quoi en vrai nous situer,sur ce pré aus fées, en tant que ROI, REINE, PRINCE DES F2ES, PRINCESSE (IMBERBE) GENRées, on aime ! coeur d'acier ! on aime follement les fées, les bêtess allouées à une sorte de par(oi "de cimetière" et

 autres bêtes-mots venus de derrioère ... de derière les fagot§s ! On aime grave cerner et toucher, aller et donner, faire et tomber, creuser les mots d'une sorte de plage allouée de fait aux do nnées "étranges" s'il en est. On cherche grave ! On veut toucher à cette denrée ! donnée des prés ! On veut comme toucher en  vrai à une sorte de donnée de base, genrée si tant est mais est-ce ? est-ce en vrai ce qui est, qui ici se tresse ou semble ou semblerait vouloir peut-être se tresser , se tressezr ou se dresser de rage, comme par bravade ? On regarde ! 

On est deux pour être fée de base. on entre ! 

On veut comprendre les données de base. 

On veut grave comprendre ces données de base. 

Ce qsue c'sest en vrai, ce que c'rest que cette chance, ce tracé, cette sorte de donnée posée (déposée) sur plkace : pré ! pré aux fées, aux bêtes de masse, aux abords nacrés, aux fortifications dorés qui sembleraient vouloir comme nous éclairer pour qu'en vrai on puisse ensemble et nous repérer et en avancer, sans traîner, sans cctrop galérer jusqu'aux dits "confins" dees données Suprêmes telles que rencontrées ici même. On aime ! On a méga envie de tracer sur herbe des données , nos propres données si tant est ! On a méga envie ensemble de toucxher à une sorte de donnée dite "de cimetière" , si on pouvait ! Car on aime ! grave on aime ! on adore en vraéi c e genre de problème donné ! On aime grave aller dans un pré à) la recherche de données dorés ou disons nacrés, ou bien allouées à une sorte de clarté donnée. On 

aime cerner , regarfder, comprendre , toucher, faire et contrefaire. On a méga-envie d'aller ensembkle à la rechezrche de données de base "non contrariées" s'il en est ! On se regarde ! On veut toucher à cette déité de contrebande, la toucher en vrai pour mieux comprendre ce qu''lle est en vrai, de quoi elle est faiote et en quoi elle nous intéresse, p arce qjue c'est vrai que pour le cou!p la mort nous interesse, et même beéucoup ! elle nous interesse beaucoup parce qu'on l'aime ? parce que quoi ? parce qu'on y croit , voilà ! on croit (de base) à la mort dite "du cimetière". on croit grave en elle, alors même que voilà : la mort est telle que , ma foi, la rage est là qui se fiche d'elle (de paroi, rage de paroi). On vitupère ! on

 aboie ! on meugle ! on crie à tout va comme des bêtes, bêtes de 

poids et ça le fera, du mome,nt qu'on est bête ! On entree ! on court sur pattes. On cveut grave cerner ensemble, la paroi, le sang, la chance, les données acerbes, le vent qui devant nous semble venir excprèds vers nous, souffler sur nous à nous faire chuter  c'est fou ! qui il est ? quel est donc ce vent des contrées folles ? est)--il vent des fous ? vent docte ? vent des vives contrées aux fées ? On cherche ... à genouyx, on dirait (parce qu'on est tombées !). On prie ? on est comme touchées par une sorte ici, de 

 "donnée des données follasses" ! Vent fou, tu sais ! On est "entre" ! On est dans l'antre"entre" , c'est un fait. On est accolées et du coup ... on chante ! on ne s'arrête plus , du coup, de cha,nter, pousser la romance ! On est de s fées de La rage allouée à pareiullle romance ! On a méga-envie de comprendre ensemble, si jamùais, les données de base à quoi elles ressemblent et ce que en vrai on pôurrait ensemble en tirer comme conséquences. Qui on est ? on est ... eh bé

 Nées ! On est Nées de rage un matin de Chance. On voulait xsavooir, on est bien tombées : naéissance ! carrotage ! on a creusé avec notrenez ou comment ou qu'est-ce la Terre. On est nées de fait sur Terre CElte. On voulait, eh bé c'est fait ! fée du cimetière, voilà les données.;: On aime ! On veut grave toucher à cette sorte de donnée des données allouées à une sorte de misère elle-même allouée à une (sorte de) paroi " a ux fées et autres êttres des contrées alertes vertes". on aime aimer ! on veut toucher ! onveut grave tracer des tréits, et comprendre, charger, filer, cerner grave les denrées, offrandes, vivres divers comme déposés au pied de l'Ebre. On veut : 

TOUCHER, FAIRE, DIRE, COMPRENDRE, SALUER, ALLER, COMMA?NDER UNE LIMONADE AU CAF2 DU PRÉ, COLMATER LES FUITES DE ROCHE, CENTRER LES DONN2ES DONN2ES ET AUTRES DONN2ES GENR2ES, ALLOUER À PAREILLE ROCHE UNE SORTE DE DIRE DE F2E? QUI SERAIT DU DIRE ALLOU2 

(LUI_MËME° À UNE SORTE DE PAROLE DOCTE, GENRE : POLISSONNE ? o,nn ne sait ! on veut toucher pzarce qu'on est nées et parce qu'on est fée ! on est ailée ! elle = ailes, vie = vit; chant = champs, cri = christ, et éutres mots à l'arraché du temps (situé). On est comme nées de base Fée , parce que voilàà, on le voulait ! on voulait cerner , on voulait grave traverser la roche et passer de l'autre côté ! On voulait de rage aller  comme à la traversée d'une sorte de donnée aux fées : roche salutaire, roc cendré, rocher aux bêtres dorées, vie des vies allouées à une infinité de données en herbe . qii on est ? Des fées "de cimetière" ... pêut-êttre. On cherche. On est femmes situées sur pré en tant q<u'on est des fées de type "celte" , sitiuées, centrées, accolées, cernées ou comme cernées ici même en cette conttrée toute entourée d'une sorte de murette aux données "certaines, assurées, fixées, comme soupesées,". On est des fées celtes ! celtes fées aux données certainesz, comme affichées-avérées sur roche du pré ! On  veut toucher à  cette Sommité des Sommuité = Déité des Déités. Qui c'est ? cf'est ELLLE, l'AILE des données, des données sur pré. L'aile est la donnée suprême ! AILE = ELLE = DIRES DES ENTRÉES ; ON l'aime ! on veut grave ensemble soudées comprendre ici même les données genrées de la mort à l'oeuvre

 on dirait ! grave ! gravissime en vrai ! grave de chez grave ! on a cerné : la mort est genrée ! oh on dirait ! on dirait en vrai que la mort est genrée cfomme une romance, l'arlequinade; la parade ou cavalc ade aux bhetes de masse , genre bête de trait, poidsde danse, cris comme affolés. On est grave tracée à main levée dans une sorte de transe ou danse déployée parmi les bêtes (mots) des prés et autres champs de blé. On est nées en transe : cris de joie (de vie) à tous les étages ... de la foi dans le langage (acidulé) d'une langue parlée de type romance chantée ! une fée est née ! ONN veut toucher à cette sorte de donnée de base ! qui on est ? eh bien peut-êttre en effet une "fée de roman,ce" ! une chance ! une sorte de fée en transe ! la romance allouée à u ne chance (d'être née fée ? qui sait ?). On veut toucher à cette sorte de donnée aux fées et du coup tracer, creuser, faire ainsi le trajet d'une sorte de balade endiablée ! On entre . Qui on est ? une fée de la cxhan,ce ! qui sait ? on e'st entrées. On veut comme (ensemble) cerner-

toucher cet attirail arqué, ce corset, cette sorte d'aaprêt de type corset aux ailes soudées. On est nées fées car on est nées ! on est bêtes monstres ou bêtes-poids ou même bêtes-mots de la foi en cette chose, d'une mort genrée, mort-fée et le tour est joué, les JEux sont faits , fées des voix sucrés, allouées à (comme qui dirait) ... une roche ? un rocher tracé ? ROC et ARMÉE ? On est comme accolées (de base ) toi et moi à une (sorte  de) donnéedes bois, sous-bois, forêts d'oc/.  on aime ça, les bois aux bêtes à bois ! On veut toucher ! toucher l'ëtre aux vives clartés

 ou "des vives clartés". On est accolées et nous voilà qui, en  vrai, voulons cerner ensemble des données (de base rupestres) comme si en fait on était sur pied pour cerner, coller, coller à cette sorte (pour le coup) de bête de par(oi . On dirait : le buffle ! la jument ! le bison des bois ! l'antilope des amùants / amantes ! On voit ça : charge ! charge et foi dans l'âme. On compense par la chance. On ve'ut comprendre. On est deux qui (pour le coup et parce que voilà) voulons grave cerner cette joie, roma,nce, ce tracé, tralala, cette sorte de parade, ce trajet,  cette donnée de base, joie des fées, une sortte (en soi) de promenade sur chemin orné par des sortes de bêtes de poids comme s'il en pissait ! On est là : on voit. Qu'est-ce qu'on voit ? cette charge ! charge de 

paroi sur place ! On y va de son envie de dire ce que c'est que ça, cette charge, pour nous (fée des fois) qui voulons comprendre . On charge de base ! on charge ensemble ! On charge de base ensemble, après la charge sur paroi des Bêtes des ROix ! on en avance. On a grave envie de comprendre alors voilà, du coup, on ne lambine pas, on file on trace grave, on y va royal, royale, on veut dire et faire cette chose , d'uje sorte en soi de parade , à hue et à dia, comme dans la Romance dite "des données de vie et autre mort genrée". Qui on 

est ? des fées , ici, en vie , de contrebande si jamais. On est fée de rage , pouvant dire et faire ensemble (en même temps) 

parade notoire, cavalcade, parade de genre. On est comme cernées ensemble par en vrai une sorte de barricade ! un drôle de trait ! de muret ! une sorte d'enciente allouée à un cimetière ou au cimet§ière dit (ici) des données suprêmes. On est nées fées dès lors qu'on est nées (dans la mort sur pré, mort genrée saluée, mort des données ou aux données secondes, LA mort Vérité) . O0n ve'ut toucher -à cette chose, d'une sorte de denrée des fées. Frai ! Charge ! colle ! pamoîson ! cohorte ! vie docte ! on est nées sur pré d'une sorte de contrée dont le nom m'échappe ici mais qiui est contrée aux données doctes. On

 est nées sur pré comme à l'arraché, on est nées de fait sur pré par les pieds ou sinon par les pieds par l'épaule ou sinon comment ? tête-bélier ? au vrai  desz données ? tête allouée à uene sorte de percée en force ? la cohorte ? les données de rage et autres bêtes-mots de base, comme 

tracés ? on est nées fées : au passage (de vie allouée à une terre meuble, à trépâs lié à une sorte de pré aux herbes à brouter). On est dès loàrs devenues fée du fait q'on est passées comme à l'arraché à trvavers lpa p)aroi, entre ça (vie de base) et ça (mort genrée) . c'est un fait ! çarecommence ! on charge ! on y va ! on a besoin ensemble d'y aller sans plus traîner que ça ! on a besoin de consqacrer son temps ou un peu de son temps à cette szorte de Romance (ici) à comprendre. On est fées nées, tu penses ! On est fées sur pré qui cherchons Romance : ça le fait ! on entre ! on s'avance ! on avance un pied : chant des bois et sousz-bois comme en transe ! On est là pour ça : cerner et toucher, passer (comme par chance) à travers le muret, la paroi des Voix, mùuraille ou paroi allouée aux Voix ditesx "de la chance et du trépas". On entre . On est entre ça et ça = deux parois 

(un ventre ?). On veut grave cerner = toucher, à cette sorte de paroi de genre ! On est quoi ? panse ? Une panse en transe ? qui est quoi du coup en vrai : romance ? chant des bois ? parade nuptiale et tra&lala ? NAISSANCE ? On veut croire ensemble (toi et moi) ennotre bonne étoile de 

Java ! On est là en transe enwemble pour comprtendre des fois ce sque c'est que ça, la transe, la par ade, cavalcade gr avée comme à main levée par l'êttre des fées, homme-femme des temps reculés, qui cherchait pitance, vérité, appui, connaissance, vie dans la duré. On est entrées ensemble un peu chahutées mais on est entrées et, à présent, on cherche à comprendre, ce pré (paradis aux fées)c  e qu'il est en vrai, cette sorte de prairie "nacrée" , à qui elle est ou quoi ou qu'est-ce en vérité et qui nous 

intéersesswe . On est nées fée deès que mort et enterré. On est né fée, dès que mort et enterré. On est né (homme) fée (femme) dès que mort et enterré, car on meurt en tant qu'homme des prés, pour nâiotre femme à tout j amais la paroi passée ! on meurt homme dit du pré, mais du pré tracé, comme dessiné ou gravé à main levée par un ancêtre ou une ancêtre des cavernes. On est nées ! on est passées ! on est fées nées du fait qu'on est p)assées. On voulaiot être fée eh bé c'est fait , on est ! on naît ! on naît fée du moment qu'on naît, ici -même, dans la mort à l'oeuvre = genrée ! Car voilà, ce qui est qui est, on dirait : la mort est (qui sait ?) genrée à jamaios (après le cimetière) . On estensemble comme soudées en tant que fée parce qu'on est des ailes, ellesxc =ailes; deux ail:les soudéees, accolées,, centréezs, qui voulons (en  vrai) nbous envoler vite fait, à tire-d'aile, vers de nouvelles contrées post-cimetière on dirait et à jamais ! on est des ailes de fée rupestre. on est fée des fées rupestre ailées. On est fée ailée du fait qu'on est fée dès la mort actée ! c'est un fait ! On est dezux fés ou une fée / deuix ailes. On est deux ailes pour une fée on xdirait, post-cimetière = vie derrière, mort devant en tant que pré à visiter ou sinon comment : pré aux herbes folles à brouter sans arrêt ? On vole ! on s'est envolées sur roche ! on est hautes ! hot et hautes ! on est hautes de principe actives ! On est hautes sur roche allouée à une sorte de principe (inné) lié de fait à une sorte de désir comme ici ancré en notre volonté de fée des prés. On entre ! on veut toucher à 

cette D2ité" des contrebandes elles -mêmes allouéesz à une sorte de parade (nuptiale ?) animale de façade. cris de joie à tous les étages, ma foi, ça envoie ! ça ne traîne pas ! ça fonce ! ça y va ! c'est u ne sorte de paroi de rage, ainsi passée ! On est nées de base sur roche allouée à une sorte de passé comme déposé en tant que

 vivres (offrandes) consacré (e)s. On est ensemble "de la Romance" , du fait qu'on est entrées et qu'on regarde ensemble, ce qui est qui nous entoure , de fait, en ce pré des données actives. ON est femmes-fées à la retombée ! On veut cfoller à une déité de vie et ne pas succomber aux envies néfastes de la mort genrée comme elle se présente. On est fées pro-actives du fait que (en vrai) on est passées ! on a passé la roche initiale (par chance) et nous voilà dressée (comê dressée) sur patte, en ce pré, à vouloir comprendre (svp) les données de base ce que c'est, à quoi ça ressemble on dirait , ou disons : à quoi on peut ou on pourraiot s'attendte, en termes de ... fin ? finition ? finitude ? On cherche. On est doctes, en vrai. On n'arrêtre pas de chercher, d'eesayer ensemble de comprtendre si possible loin ce qui est qui se présente , pour nous, dans la mort, qyui est la mort-ombrte, mort aux ombres, mort -hommes, mort des hommes, mort-aulne, mort des aulnes. On est fée faite fête ! On veut toucher ensemble (à toi à 

moi) à cette sorte de Romance de Paroi : CAvalcade Rare, Rave Anale, Charge sale, conséquence d'une entrée salace, vive insalubrité de façade et autres saletés mal négociées. Ou bien ... autre chose ? une sorte de vie aux envies tracées comme par la bande d'une sorte d'enfance sucrée ? On voit les nénés ! le lait ! cette chance comme présentée, ou  représentée (de face) par une sorte de donnée donnée, vive donnée de par la bande et ça le fait en v rai. On entre ! on est FEmme-fée à la retombée, alors m-eme que jusque là on étiet un homme, nous voilà tracé , du coup tracée = dessinée , gravée, par une sorte de piolet ou de piquet qui est pic de rage à la dérobée ! On entre ! On est comme cernées eznsemble par la bande

 toute acidulée d'une szorte de contre-danse, contrze-bande ou contre-da,nse toute enjouée qui est danse sur pré, chant olé olé et pas de côté ! On veut comprendre ensemble si j,amais un grand nombre de données de base, les jauger, les soupeser, les faire nôttees si possible à jamais afin de durer ou de pouvoir durer (ensemble : ailes) dans le temps sacré d'une sorte de Passion des Fées. On est entrées et du coup nous cvoilà adoubées ! On est cfomme cernées de près par une sorte de tracé aux données  "étanches"

♥️😀

on est nées  !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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de base, comme si en vrai on était des fées au passage ! On est nées accolées ! soudées ! frontales ! vives et centrées comme par la bande dès qu'entrées en cette danse (sarabande) aux données genrées. On est fée de base rare, collées, soudées, on est entrées dè!s lors qu'on est nées (de rage) dans la mort genrée telle qu'elle se présente avec ses nénés (on dirait) ! On veut comprendre alors du coup et forcément on creuse grave (loin) au sein des connaissances (du langage dit "articulé") en espérant monts et merveilles et autres 

"données de cimetière" pouvant nous indiqauer (en termes clairs) ce qu'il en est ou pas de la "mort sur parroi

", ou "mort de paroi" , ou "mort dans l'au delà de la paroi", ou "mort de l'au delà", ou "mort /au-delà" . On est accolées et on cherche du coup à comme nous envoler en vrai e,n grotte à jaémais si jamais ! On veut VOLER, VOLER GRAVE, VOLER, VOLER TOUJOURS ET TOUJOURS GRAVE, VOLER À JAMAIS en ce pré aux anges, pré des fées et des données ensemble ou ensemble liées par des faits de type "contredanses ". On veut toucher à cette vérité des données "morda,ntes". qui on est ? on est FÉE de type Accolées. On est fée de base, comme cinturées ! On est femmes au débotté la mort allouée à une sorte de Romance Triste, CHant duu Cygne, vive saleté. On veut toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher 

toucher toucher toucher toucher toucher tyoucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucxher topyuchetv toucher toucher toucxgherty

 toutchert à cette vé&rité des vérités acides ou sinon acide acidulée, de type "néné" (on dirait). et cze "néné" est le néné de l'être alloué à la mort deonnée (genrée) située, en ce pré aux fées (on dirait) . On imagione ! On est là (on dirait) pour durer. On veut toucher à  cette vérité placide de type "durée", qui sait ? on s'active ! on y va fissa ! on est arrivée, tout là

-b as (fin du pré) , avec en nous (fée) l'idée de traverser, une nouvelle (dernière ?) fois la roche-ceinture . On voit ça . On est venues à petits pas, on voit. On est proche de la paroi , l'u;time parois, aux données dites "de base et d'effroi". On veut comprendre sarde. Comprendre le xarde. On veut grave comprendre le sarde . On vreut toiucher à l'ultime paroi aux données sardes ou dites "sardes". Que sont ces données ? que sont donc ces données "sardes" ? On regarde ensemble, à travers la roche finale, ce qui est qui semble ou sembleréit vouloir (ici) noud parler, nous faire signe, nous i,terpeler, nous dire une sorte (qui sait ?) de vérité, qui wserait une clé pour en vrai enttrer à l'intérieur de cette sorte d'enceinte vootive. On regarde. On est là (nous deux = fée) pour regarder. on voit un muret. une sorte de palissade, de muret d'enciente, forteresse. On rtegarde ce mureet. 

On cherche une e,ntrée, un passage . On est mort et enterré on le sait, et ici (en  ce pré) du coup transformé, xdans la mort transfoprmé en fée on le sait,  on naît fée ( transformé en fée) la mort actée, et là, en tant que fée (deux fe'mmes formant xde fait, les deux ailes allouées soudées) on se rapproche d'une sorte à nouvrzau de muret, qui est muret de fin de pré. on mate ! On veut cerner-toucher c'esst à dire comp^rendre (à jamais) l'antre , tel que montré (présenté) en ce pré des base, des données latentesx. On est né fée 

la mort actée, nous voici amennée (dès lors en tant que fée = femmes) vers ce trait, de fin de pré, anfractuosité de façade, traiot tracé a-à main levée pour une entrée de face, traversée de rage, immixtion au débotté sans plus tarder et pasdsage (donné ) de l'autre côté, côté néné (on dirait) . Qui sait ce qui est ? qui connait le Verbe ? qui connait les données données telles que verbalisées sur herbe ? On cherche à c erner mais ce n'est pas sisimple ! il faut grave tracer, passer, coller, dire et affronter le Verbe en ses données (de Verbe Nacré). On se doit dx'y aller comme à l'arraché sans trainer si on veiut tracer, tracer-graver ce Verbe ici comme alloué à une sorte de pré "de réserve". On est nées (de rage) Fée sur herbe (verbe) allouée à une sorte de contrée "'rêvée" , mais est-ce ? est-ce en vrai la contrée du r^ve que cette contrée ? le sait-on een vrai ? savons-nous des choses ? savons-nous de fait ce qu'il en est, de la 

parole, des données du verbe ancré, des mots de la rage à dire les faits et les 

méfaits d'une sorte de pré comme ceinturé ? On ne sait ! on ne sait ce qui est en  vrai ! On porte parole ! On porte ici une (sorte de) parole donnée à des féits ! On cfolle ! On est accolées ! on est fées accolées du fait que voilà, on est fées ailées, fées des fées ailées ! On est fées -femmes = ailées, du fait que voilà, on ose ! on ose "répondre " ! on ose grave "répondre " ! on ose (c'sst le mot) RÉPONDRE , RÉPONDRE ACIDULÉ ! RÉPÔNDRE AUXX NÉNÉS ! ON OSE RÉPONDRE = S'OPPOSER , C'EST UN FAIT AVÉRÉ ! ON OSE GRAVEV REPONDRE = S'POPPOSER AUX DIVERS NÉNÉS RENCONTRÉS : C'EST UN FAIT AVÉRÉ ! On ose s'opposer = on conttre = on dit non à jamais, à la mort qui rode (les nénés ?). On vfeut dire ici notre féit et nous opposer aux dires alloués à une mort genrée. oN s'oppose ! on veut opposer aux nénés nos propres nhénés ? on ne sait ! on veut toucgher à Déité ,, ça oui, mais pour le reste, et c e qui est d'une sorte de donnée

 genrée (dans la mort actée) on ne sait ! doit)-on de nouveau traverser ? doit-on passer à) travers ce muret dit "des nénés" comme d'un cimetière ? On ne saiot ! On voudrait en vrai pêu-^rtre en effet connaître les donnéesz ou davantage de données afin de mieux se faire une (ou peut-être son) idée concernant eh bé oui, cette sorte de donnée "de cimetière" = située, mais on ne xait en vrai à qui ou à quoi se fier. Que ou qui doit-on écouter ? le 

Verbe ? 

l'éloquence tracée ? la parade acidulée d'une sorte d'entrée fissa dans la matière (provoquée) du Verbe comme chahuté ? qui saiot dire ce qui est sans se tromper ? On veut dire et être fée , dire en tant que fée et être fée pour dire, dire ce qui est ici qui  est (de fait) la Vérité (ou seraéit) "des Vérités", est)-ce possible ? on se dit que c'est possible ! On se dit, à part nous, entre nous (ellesz = ailes = fée) que peut-être en effet, la chose est possible ! on doit pouvoir

 creuser, trouver, cerner, toucher, comprendre, connaitrte davantage, composer, faire et être fée, chercher, soupeser les données - pour 

être en vrai ... eh bé  

... ce q'on  est ! ce qu'en vrai "au fond de soi" on est ! ce qu"'en vrai peut-^tre, qui xsait ? on est, on sezrait, tout au fond desoi, en tant qu"être rebelle", opposant du pré ou l'opposant du pré, l'être en guerre contre ... les nénés ? les nénés "du cimetière ? ça m'étonnertait ! plutôt le contraire ! le gouût du sucré c'est un fait à ne pas négliger ! On voit la Terre, au loin, approcher ! on est déboussolées peut-êrtrree mais on tient (comme qui diréit) aux tracés, aéux traits dessinées ou gravées, aux bêtes montrées. On est fée -bête si tant est, ou disons comme ellesc: fée-bête "aciidulée" des parois ornées. On veut toucher à une vérité de cimetière , vivacité, chaleur et moiteur, intimioté, sexualité , vitalité. On veut toucher à une sorte de donnée donnée comme présentées  à jamais, sur de l'herbe de pré, au milieu des bêtes. On est née fée du fait qu'on est née dans la mort allouée à un pré aux herbes à (pour le coup) brouter comme des bêtres. Bêtes betes on 

est , ou pas , mais bêtes des prés, bêtes de toundra, de bois et sou-bois, beêtes-mots des rages cde paroi et autres rages déployées du fait que voilà, on est entrées, on a traversé , et ayant travezrséeé on s'est cde fait ensemble retrouvées comme du coup emportées par une sorte de "souffle vital" nous donnant

 élan, allant, vitalité, afin de pour le coup aller au plus profond (lointain) chercher comme , une sorte de trait ou de tracé pouvant laisser passer notre corps de fé né (en vrai) au passage. Fée on est qui vouloçns(re) p asser comme aux temps premiers, à travers la roche -ceinture, aux données pour le coup mâtures (cette fois) on dira ça. On veut toucher

 toucher toucher de base à ça : ce trait dit "de rage" sur paroi, passage des rois, tréit des fées pour un passage étroit peut-^tre mais bel et bien là, pour les Rois et R"ines de SAba, qu'ielles puiisent passer (de rage ou pas) à travers la roche 

ainsi proposée. On veut coller = dire = parler = montrer, et du coup (ROI et REINE de SABA) aller ! passer ! traverser une dernière (?) fois cete sorte d'enceinte de joie, mur des voix, murette agrtaire, tour de ronde comme une sorte (en soi) de rotonde qui, ici ou là, se montre comme un doigt, une 

main chaude, l'oeil de l'ogre. On est F2e des bases hautesz. On est comme accolées sur roche "à la une à la deux" on saute ! on monte ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucxher toucxher toucxher toucxher toucher toucher toucher topucher toucher toucher à  c egtte sorte de donnée de rage telle que déployée sous notre nez de fée. On est fée-bête, tracée, envolée, qui cherchons l'Entrée, ou un e entrée par où en vraéi ensemble passer le corps resserré, comme autocentrée. On veut coller (sse coller) pour passer ! coller serré afin de pour le coup enfin arriver à passer qui le cou qui la queue qui l'oeil qui la langue (blanche). Passer = trépasser mais sans vraiment (du coup ?) disparaitre. On veut être Fée pour l'éternité , est-ce ? On veut :

dire, coller, cerner, coller-cerner, faire ainsiu que des choses soient, qui restent (sur pré ) à jamais on dirait, et du coup regarder (en face) les nénés de l'Ebre ! qu'est)ce donc que

 l'Ebre ? alors ,... l'Ebre, ici (pré) est une sorte de donnée genrée comme on en connait (des tas !),  dans les cimetières ... de Java. Et du coup l'Ebre, est une sorte de donnée de type "livresque" et comme allouée (direct !) au Verbe tracé sur paroi aux fées. On colle du VErbe ! On dit ça, comme quoi le VErbe, est un tracé acté sur roche déplissé, en tant que donnée donnée par les fées et les bêtes, F2e-Bête centrée, comme (elle-même)accolé ou collé au verbe. on eszaie ensemble de s'y retyrouver mais la chose en vrai est assez comp acte, compacte et corsée, et du coup difficile à cerner. On vzeut toucher à une Déité des D2ités, et du coup on essaie (enwsemble) de (pour ainsi dire) dé

-ficeler le petit paquet dxit "de contrzaebande". On veut toucher = dire, mais piour dire il faut toucher, alors voi:à ! ça nous met en branle ! ça nous met bizarre ! ça nous renvoie à des ou à nos propres recherchhes, de type 

frontales à jamais on dirait mais en vrai on ne sait, car on est passées (ensemble)  comme un fait exprès sans vraiment comprendre ce qui est , ce qui se passait au passage, et du cvoup voilà , on est perturbées ! on ne sait p;lus trop où on est ! peu importe ! on est passées ! on cherche à  c erner ! on veut toucher à une Déité, notoire si jamais ! doit-on lui parlerr ? l'apostriopher ? lui dire quelque chose de particulier pour la charmer, afin de la charmer 

pour mieux l'aborder et du coup la faire parler ? Nous voulons nous approcher enxemble d'une vérité liée au langage, a&u parlé, aux données verbales. On peut en vrai ici comprendre nos sortes (en szoi) de volontés ancrées comme du Verbe dit "des pr"s", "des prairies savantes". On est née fée, au passage (de vie à trépas) et, à présent, on cherchje à comprendre ce qui nousq a  

ttend. Va ton toucher des dividendes (dividendes de la foi dans le langage ? )  ou pas ? on ne sait pas ! On cherche ensemble à comprendre la Foi (dans le lan gage) ce que c'est. Est)-ce une sorte de croyance inoculée dans notre ventre (

antre) de bêtye-fée devenue "croyante", au passage d'un muret ? Ou bbien , sorte de tracé comme conjurant un certaéin nombre en soi de sorts (sortilèges) alloués à des bêtres , bêtes de paroi = mots du Verbe Sondé ? On cherche grave ce qui est en cette sorte de tracé "de bout des bouts" d'une vie donnée, mais, en vrai, ça nous met, un peu, en difficulté, car ensemble, peuêtre (fée), on est un peu armée

 mais pas tant que ça 

! On doit se recentrer, se remmettre ensemble de la travezrsée  à travers la roche (initiale ) é&ux données frontales telle qu'appréhendée aux temps premiers. on est née fée au pazssage, ok, mais on doit encore chercvher à comprendre, qui on est , dans un pré, ici même, au milieu des bêtes, qui on est qu'on se doit d'êttre pour au mieux cerner les données rupestres et autres tracées qui, devant nous, sont encore (ou rewstent encore) à apparaitre, à se montrerr, à montrer de fait leur sorte de "nénés" tels que notifiées (plus haut) en ces sortes de données gravées  sur roche des fées. On veut toucher à une vérité de type "déité" sait-on jamais .... ça serait grandiose ! 

vraiment coool ! de'ainsi pour le coup arrtiver à toucher à cette Déité sucré appelée Néné, par la bande ! on adorerait ! on signerait demain, des deux mains , c'rest une certitude ! on adorerait comprendre ensemble ce qui 

est ici, qui swembleraéit vouloir (on dirait) parler, et dire ce qui est , concernant (peiut-êtte) le Verbe alloué ici aux Nénés dits "de la chance , de fait, au passage". On veut toucher à cette sorte de "néné" de base, néné né pour un passage à l'acte : chalutier ! On tremble ! on est secouées ! on est touhtes secouées ! on tremble ! chalutier ! on veut enttrer mais on est comme secouées parce qu'on a peur(grave) d'y 

passer à tout jamais ! comment co:mprendre ? comment prendre ? comment cerner ? comment s'y prendre ? comment faiore pour aller ensemble, au plus profond des données étranges, cerner-toucher, touxcher -cerner à cdes données des bouts de rage, bouts des bouts des finitudes prairiales (animales et florales) : comment  ? On charge = on cherche. Pas facile ensemble de trouver. ensembvle ou pas , pas simple ! Pas si simple ni aisé de s'y (ensemble ou pas) reytrouver ! on charge 

grave = on cherche ! on y  croit ! on veut toucher à cette croix du bout du monde dit "de la foi" , soit "de la foi dans le langage". on est blindées ! cernées ! secouées ! traquées peut-être mais en vrai : on charge ! bélier né on en avance ! vers une Déité des D2ités notoires (si jamais).

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9/9/2024

On aime ! on veut percer et qu'sst-ce qu'on fait on perce ! on vca profond dedans cgercher des choses, du tracé, des données, de la Bête des prés si tant est et on est nous -mêmes (en vrai) des bêtres, betses fauves, cris de joie, hommelette/femmelette de paroi, on est l'Ambivalence Reine, le tracé fait foi qui nous amène jusqu'au cimetière et puis au-delà sous forme princière. 

On aime ! on veut ça ! faire ainsi cortège ! tralala ! parade et passade on trace ! cavalcade ! le corso des Rois, l'Ambivalence ça nous va parce qu'on aime ça , on en redemande à chaque fois ! vive le Roi des SArabandes, le salut des Voix de Propagande ! on est Reines des joies, joies sur -terre-mère, on est comme ça = Premières, charge d'âme et Princesses, Filles de Joie et vives "écolières ! on y va ! on rage ! on ne rage pas ! on vire ! on ne vire pas ! on cherche ! on ne cherche pas ! on est cfomme allouées ensemble ("toi et moi") à une Ambiuvaleznce patente. 

On veut croire en sa bonne étoile : "toi et moi" par là, "passant "le cadvare  , c'est-àdire "le dépassant", et nous voilà FEmmes, toi et moi en FEmmes, un tracé, une sorte de sarabande, on est des fées de contrenbande, on veut y croire. On est là pour comprendre un certain nombre de données de choix, et ces données sont (comme) pour nous ( pour nous deux)faites de bois, de matière inflammabkle, on voit ça ! ça crame ! ça y va ! bois des Rois et Reines de Saba ! on trlaiîne la patte, on creuse, on creuse ensemble, on cherche à cerner-comprendre, ici même, ce tracé des rois, ce qu'il est de base pour Soi, caminade. 

On y va ! On aime ça ! On veut comprendre le tracé des reines, reines de Saba. On cherche à comprendre ce qu'on voit , cette chose devant soi (ou devant nous) qui nous regarde. On aime ça ! on regarde à notre tour la sarabande devant soi, cette chose des parois ! on  trace ! on veut comprendre ! On est là ensemble accoléezs sezrrées, pour de fait en avancer (on dirait) dans les connaissances concernant la Fée, cette trace, ce tracé des Fées, cette Chance Et Parade,sorte de tracé des Antres, cavalalcades. On est comme soudées ensemble par la bande et du coup on voit  ! cette chose des parois, qui tremble ! on voit ça ! on trace ! 

on est danss un pré . 

On est accolées dans un pré. On veut toucher à cette déité des données frontales et l'aimer . On veut coller à cette déité des données de base et l'aimer de Rage ! On veut tracer ! On s'est pour ainsi dire rapprochées ensemble des données (Ultimes) de la Face. On est quasi arrivées ensemble au point de passage. Qyui on est ? on est Fée ! fée des RAges on dirait. On est passsées de là à là , auprès des bêtes de paroi, dans une s orte de course effrénée jusqu'aux confins du pré. On est nées de La Rage d' être enfin passée, d'avoir traversée et du coup d'être tombées ou comme tombées dans un pré, champ des fées et des bêtes-Monstres,c  ris de jhoie toutes les secondes ! égrenage des données frontales , temporisation des données. On est nées ! On est passées ! On est passées de l'aiutre côté ! Qui on est ? FACE ! Pile et face on dirait ! chamade ! 

On cherche à comprendre les données données, le tri frontal, cette vie en libre accès de l'autre cfôté et ça vente ! oh, qu'est-ce que ça vente ! ça envoie ! ça crache ! ça y va , et nous (la Fée) voulons cerner de base ce qui est, concernant la Charge, le Passé, le Passé posé comme (en tant que) offrande, les données données ssont les données poséeees (ou déposées) sur roche des Prés. 

On est Fée de base, faite ensembkle d'un rapprochement-collage d'ailes entre eklles , pas plus compliqué que ça en fait ! On est ELLES = AILES des Données Données sous forme de ... Fée des F2es ! 

on croit rêver mais rien du tout ! on est fée pour de vrai ! une fée en herbe ça le fait et en plus c'est vrai ! 

On est la Fée de l'Herbe , des données ancrées, Verbe alloué à un tracé de fée, à une sorte de tracé de tfée sur herbe en herbe, fée en herbe sur herbe, fée des fées on aime ! on est fée noius-mêmes ! fée des Fêttes ! 

On aime fééet^ter l'Herbe , le champ de blé, les données primaires, le Passé posé, la belle meunière,; l'anfracrtuosité première, l'Envolée des Envolées . 

On est une fée du fait qu'on s'aime ! qu'on fait coprps ensemble dans l'adversité, qu'on ose des faits, qu'on se tripotte, baise, cherche, colle, peénètre. On est bêtes de roche découvertes. On veut s'aimer sur roche comme des bêtes. on a pas envie de traîner mais tout le contraire, filer grave à perdre haleine, s'époumoner, filer -tracer, chercher loin la roche "des confins", l'aimer, s'en rapprocher, faire son chemin. On est Fé2e des Fées sur Herbe (Verbe) des contrées ruprestres (néandertaliennes on le sait) et on va vers elle, la contrée des fins et autres confins dits "de cimetière". 

On cherche vif à tracer des traits qui indiqueraient en vrai CE QU'ON CHERCHE en termes de DONN2ES DES DONN2ES RUPESTRES, à savoir : le VERBE, VERBE en HERBE Tu lre sais, c'est gravé, çàa tresses ! ça tresse et trace en vrai ce qui est question volontées, recherches, tracés et données recherchées, solennités et éutres envies de cimetière. On veut toucher touchert toucher à cette Bête Allouée à un cimetière : laquelle c'est ? bête à cornes surnumeraires ? cheval fou ? bêtes des denrées toutes absorbées ? aNtilots des prés ? On cherche ! on est accolées comme deux frères, soeurs nacré.es ! on veut toucher toucher toucher à cette  sorte de donnée allouée à du VErbe de Fée (de cimetière) s'il en est ! On est soeurs Brontë, Colère, Charge du Passé, australopuithèque si jamais au débotté, on cherche à cerner ce qui est qui est colloé à une sorte de passé qui est passé de cimetière, charge allouée à un passé de traîne, on rêve ! on ne rêve pas ! on est là ! on est pas là ! on charge ! on ne charge pas ! on crie ! on ne crie pas ! on vire ! on ne vire pas ! on file ! on ne file pas ! 

on y  va gaiement question VGerbe sous le vent ! On est blême ! on est fouettées par du vent -colère alloué à du Verbe, vent donné ! On est face à face un vent des prés ! on s'en prend plein la figure c'est un fait mais enfin on en avance, on fait face, on trace, on grave grave szur roche des traits représentant la charge. 

On est comme nées, bêtes de charge de paroi, bois des Rois ! Mats de contrebande ! on trace ! 

On veut en avancer ensemble "à toi à moi" en cette "Romance de paroi", comme (en tant que) bêtes de charge, traits, somme etc., du moment qu'on trace ! qu'on avance ! on veut ça. 

On ne veut pas rester sur place à attendre (quoi ?) mais tracer de rage verz là)-bas la place, trait des Voicx, on entre ! on est allouées ensembke (femmes dans la mort dite "trépas")  à une sorte de paroi de CFontrebande ! ça bande ! ça envoie ! ça charge ! ça y va ! On est là pour chercher à comprendre ensemble ça ! Cette voicx des voix : qui parle en soi ? qui est là qui dit ça, ce qu'il pense ! ce qui est, ce qui se trame, ce qui se dessine, ce qui se grave. On entte ! on est vfemmes de la mort en herbe, femmes-voix. 

On est accolées de base à (depuis) notre entrée . 

On est Femmes dees prés en tant qu'on est deux pour "faire" une Fée, Fée duPaysage. On est femmes allouées à un pré en tant que Fée de Paysasage, tracées, marquée, ancrée sur son territoire aux bêtes de charge, on s'y plaît ok mais on voudrait aller (comme à l'arraché) chercher plus avant la somme, totale, du firmament, cette roche terminale "des tourments" , ce qu'elle est en termes de données frontales, permanentesz, qui elle représente, qu'est-elle est en vrai qui pour le coup nous interpelle et semblerait (on dirait) nous parler en vrai, c'est dingue ! 

On a envie grave de se rapprocher de ce muret des fins de pré, toucher la roche au plus près, toucher toucher ensemble (fée) la roche allouée à cette sorte de passage d'un pré l'autre, ou sinon d'un pré , vers une sorte de donnée marine (maritime) cernée. 

on est comme nées (ensemble) au passage (de vie à trépas) en cette chose d'une sorte (?)  de pré alloué à du Verbe de Choix : verbe acté, vertbe des contrées célestes, verbe-bête et autres données, verbe de l'herbe et des champs de blé, verbe Celte. On veut toucher à ce muret "des entrées célestes". On veut "attrapper la bête". On veut passer ici par la tête, et nai^tre; Ou comme naîtte (à la une à la cdeux) en ce rOyaume des Embruns, MEr salutaire, Chant des FIns CErtaines, corazón, jeu de la passion, cortège des Poltrons et autres Spigolon de Tête. 

On est accolées comme des bêtes et on s'aime. On veut toucher à une D2ité ! on veut cerner ! on veut grave tracer ! filer ! aller ! chercher la Reine, le Petit Colère, les données allouées à un (drôle de) cimetière aux entrées de Fée comme fêtées. 

On a grave envie ensemble de nous avancer et de cerner la base ce que c'est, en termes de rage : betes des prés ? bêtes reines des contrées sévères ? qui on est  :  Fée ? Fée du passé collé? on est la Fée donné e ? Fé des Fées telles qi'on aimerait toutes les connaître en vrai sur terre ? 

Mais ... on est sur terre ! on est sur terre au cimetière ! on est collées , ensemble (femmesc= ailes) dans un cimetière dont le nom est : Terre ! terre des données, données salutaires et autres données  de type "légendaires". On est nées sur terre Ailes pour mieux en vrai monter en tant que telles une fois la roche passée. On est nées Fée ensemble dans un ciçmetière, nous voilà comme couronnées ! On aime ! 

On est reines des prés, charges allouées à un rêve, à une envie vive de durer , en ce cimetière, en tant que fée céleste, vive et nue comme un ver de terre. 

On est nées de  base sur pré en tant que Fée de cimetière. On est nées AILES, ELLEs, FEMMES DU pré , Felmmes des PRés, femme -flamme, ailées, chargées d'aller, en vrai, 

vers la murette, le muret des fins de prés , muret/murette des données (frontales) terminales. On veut tracer de près ce qui est. Chercher àb cerner, comprendre et prendre ce qui est, en termes de Voix. 

On est nées de rage sur paroi (en transe) Femmes (deux femmes) formant Fée des Passagesz de là à) là, soit du pré à l'après. On cherche à cerner  ce qui est à travers le VErbe comme déplisséb sur de l'herbe de pré . 

On est comme des bêtes ! on broute (à tout jamais) l'herbe verte. On broute que tru brouteras (à tout jamais) L4HERBE VERTE des parois (s'il en est !!!) et ça le fait ! ça charge ! ça envoie ! ça crache ! ça ne lambine pas car ça y va genre filage, enfilage, ,  filament des voix ça trace ! 

On est là qui ensemble sommes cette "somme de voix" ou quoi, qui tremblent ou pas, chantent ou pas, parlent ou pas mais quoiqu'il en soit elles tracent ! elles filent, tout bas peut-etre leur romance, mais voilà : elles tracent grave sur paroi la Bpête (justement) des Voix , dites (les voix) " du cimetière - aux données premières". 

On est Femmes sardes : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! et aussi : sagesc, oui encore ! et tant d'autres formes ! On est FEmmes des Bois de Bas-äge. On avance ! On veut cfomprendre, en tant que Fée allouée à un passage (vie /trépas), qui en vrai on est et à quoi on ressembke. Oui en vrai au fait, à quoi on ressemble ? est-ce qu'on ressemble à une Fée Clochette genre walt disney ? à une fée des fées genre une sorcière  ? à la Fée dees prés et autres cimetières (car le pré, le paradis, est un cimetière : ça c'est dit !).   ? 

On est qui ? on ressemble à qui ? on est qui en vrai ?  doit-on pleurer la vie passéex ? sommes-nous nées ainsi accolées une fois la vie morte et enterrée ? 

On cherche à cerner les données de base, ce que c'est. On est nées d'une RAge à (ensemble) déposer sur pré un passé de poids (Temps des Actes) et tracer ! filer ! chercher ailleurs en ce pré le sentier menant (de fait) aux finalités , fins de pré, muraille. On est nées Fée de Rage sur pré (parade  = paradis) et on trace ! en tra&nse ! le tracé rêvé, l'estocade ! vivacité à tous les étages : on est des fées , et dès loçrs on en avance comme au pas de charge (si tant est) concernant une fée "pleine de grâce", allouée, cernée, vive et nacrée, fée des fées. On est F2e au p assage = fête des prés. On est des fées de fête en vrai allouée à une sorte de pré de la Rage . 

On est : Fée de fête, fée des fées tracées. 

On veut ensemble en vrai cerner un  certzin nombre de données toutestracées (sur roche) à main levée par (on dirait) une main de fée : qui sait ? néandertalienne on dirait. 

On aime ! on aoime les fées ! On a envie nous-mêmes d'être fée allouée à une co,ntrée poste-cimetière s'il esn est ! On veut tracer sur herbe un tracé de Verbe et y aller, en vrai, à fond la caisse ! comme envolées ! comme soulevées par (squi sait ?) du Verbe d'Envolée ! On est nées sur herbe comme soulevées par du Verbe SZAcré (Naccré) ! 

On aime ! on veut aimer ! On veut toucher à cette Déité des Fins de Règne : confins-nés. O,n aime être Fée de Baise, Congrtatulatiuioons sur Herbe, Pamôison et autres faits de fête, concentration. On est des fées du cimetière cherchant vif à traverser  (ensemble) le pré aux bêtes, pour nous (comme) téleéporter hors cimetière, vers d'aéutres contrées qui nous accueilleraient comme si en vrai on était (nous-mêmes) des bêtes, bêtes reines, bêtes des prés, des cimetières aux données données par (on dirait) des sortes de ... fées, fées en herbe ? 

On est bpêtes ! on est des bêtes ! On cherche ! On est accolées ensemble soudées. On veut toucher à une déité dite "du cimetière et autres contrées déplissées temporelles". qui  on est ? ELLES + AILES. On est (comme qui ndirait) des a&iles de fée. 

Un homme mort (ou trépassé) devient femmes des pré, deuix femmes allouées à une (sorte de) corps de fée en tant qu'elles (ces femmes = elle"s") forment lmes deux ailes d'une fée en herbe ! 

passé ! passé clotûré ! ça ferme ! on ferme  !on est fermé ! on ferme le Passé comme avec un couvercle dont le nom est : Fée, Fée des f2es, on ferme ! on a fermé ! on a baiissé de près ce qu'on devait baisser :  garde et  porte d'entrée ! On est fée des fées en ce cimetière des données serrées, actées, déposées, données sur rtoche à l'arraché, lmise sur piedfs dès que (pour le coup) nées sur roche et allez ! filez ! foncez ! allez-y donc fronteal sur ce pré des fées ! courez sans vous retournrez ! atteignez la Chose , là-bas, deployée, qui guette, vous regarde faire (aller et venir) et rêve (en vrai) de vous dévorer on dirait.

 On a ^méga envie ensemble de toucher le Vrai de cette (sorte de) PArade Géante.Elle est qui ou quoi en vérité, on ne la sait p as. On voudrait c'est sûr comprendre mais cxomptendre quoi ? la p arade (aux bêtes de foire ?) ? paradis des Voix ? On cherche à comprendre ce qu'on voit, à quoi ça ressemble, à quoi on pourrait ensemble ici penser de fait que ça ressemblerait en termes de paroi, de roche ornée et auttres grottes ornementées. Grotte aux Fées ? peut-être ! On ne sait pas. On est baba devant (ou cois, coites) mais pas plus que ça ! si seulement on pouvait en vrai cerner ensembke et dans le détail les données frontales ! On dirait (de concert) ce qui est. On cne dirait pas ce qui n'est pas, mais on dirait (de rage) ce qui est en vra i. On pouurrait grave dénoncer ou je ne sais qauoi les données raciales et autres vilénies de base, attribuées à une sorte en soi de primauté frontale de données données comme à la parade. On voudrait comprendre ! On voudrait c   erner ! On veut comprendre et aussi cerner  eh bien tout ce qui se passe, ici, en ce pré ! les bêtes qui broutent, le soleil alloué, les clartés ett les herbes nacrées, le tracé sur herbev = sentierr, l'herbe verte. 

On est nées dans l'herbe verte, comme en vrai allouées à une sorte de marche forcée vers des confins de fin de pré. On est nées fées pour en avancer et ne pas trai^ner. On est nées fées sur herbe en tant que telle (fés ? herbe !) et on fiile dès que nées car on est pressées (commùe présseées) par les données liées à une sorte de (il semblerait) souffle de base, vent de face, souffle vif des souffles allouées à une sorte ici d'enclave aux données doonnées comme soupesées , ou même szoulevées. 

On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher t(oucher svp, à cette D2ité des D2ités des D2ités des Déités surnuméraires afiliées ou allouées à une sorte de "crête" sur pré, sorte de monts "des Prés" comme une murette, muret, mur d'enceinte il semblerait , et nous de vouloir pour le coup aller (ensemble accolées) voir ce qu'il en est, en vrai, de près. 

est-ce la murette (des passages alloués à dxes, qui sait ? szortes de  naissances), toujours la même ? on dirait ! on dirait qu'en effet ... on retombe en enfance ! quelque chose comme ça : ça y ressemble. Car, la paroi semble similaire à celle déjà traversée à notre naissance. Car , on dirait en effet qi'il y a (ou qu'uil y aurait) en ce roc des fins, une sorte (fine) d'anfractuoisité par où en vrai (ensemble : fée ) on pourrait passer comme à la parade. Car (aussi), la vie (ici) semble se poursuivre, s'allonger, faire suite. Suite acide ! suite ancrée nacrée dans un ciel de suite  (pour le coup) nacré ! . 

On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à c ette chose ici trouvée, de type "donnée des données " = Femmes au débotté ? femmes fluides ? fines ? fermes ? doublées ou dédoublées ... hommelettes ? On chercvhe ! 

Onj a envie grave de chercher ensemble des dopnnées. On veut ensemble essayer de trouver , des données qui toutes le fassent.  si possible ensemble on veut edszayyer de trouver le plus possible de dopnnéesv concernant la mort ce qu'eelle est , ce qu'elle n'est pas tout autant et autres vérités concernant de près le firmament, l'après, les choses du temps, l'avenir des fées. 

On vzeut toucher à une déoté si tant est. On a méga envie de pour le coup nous approcher znsemble d'une vérité, d'une déité qui serait vérité , ou d'une vérité qui serait une déité. 

On est deux femmes allouées à un peu d'herbe (un pré ) et c'sset en tant que telles qu'on veut (voudrait) en avancer dans ce qsui est ici une sorte de pré aux données serrées, aux faits vrais, aux petites et grandes vérités concernant de fait la vie sur terre, et la vie hors de la terre si jamais. 

On est des fées de cfimetière et aéussi des fées d'hors cimetière, des conntrées lointainesz en dehors du cimetière dont le nom est Terre. 

On a envie e,nsemble de comprendre un certain nombre de données concer nant la Terre, et si possible ensemble (oui) et : sans lambiner, de préférence, car, en vrai, le temps presse, qui nous pousse à "dire-faire" une sorte de Parade des Dionnées Données ou aux données Données de type "offrandes à D2ité". 

On veut toucher = on vveut cerner. ON veut comprendre = on veut combler (de faits) les trous de l'âge alloué à un tracé. 

On est des féesz comme (toutes) cernées par la bande (acidulée ?) d'une sorte de Parole Sage, SAge et Sale qui plus est , mais ça marche ensemble on dirait. 

On veut toucher ensemble parce qu'on est ensemble et qu'on veut toucher ! 

On est sages, sardes, femmes sardes, dans la mort alloué"es, ou dans la mort comme allouées à ce qui (en vrai) est Sage = sale = dits des prés, dits vifs des prés aux données.

On a envie ensemble de cerner-toucher à une vérité de base, dont en vrai le nom serait celui, ici rencontré , à savoir .... Déité ! D2ité des Fées ! Charges d'âme et autres charges -pioids de base déposées comme à la parade. 

be'$êtes de la foi dans l'herbe. On aime ! 

On a envie ensembkle de toucher à cette chose d'une bête, aux herbes vertes (herbe à brouter) et du cfoup on se rapproche d'elle , à la caresser , on se rapprocheau plus près pour cette chose de la caresser ici sans tra^$iner, et c'sst ce qu'on fait, on la caresse, on aime ça la caresser, on ne s'en laisse pas conter ! on l'aime ! on a envie d'elle en tant que telle ! la manger ?

On est des fées de cimetière, et on aime l'herbe, l'herbe des prés.

On est des fées comme allouées à une sorte de cimetière, et du cfoup on veut ensemble si possible tracer, un certain  nombre de données de base , tracer-marquer, dire-marquer, un certain nombre de données de type "visibilités des visibilités" et auttres traéits ici affirmés (haut et fort) comme (en tant que) "Véritész des Corps". 

On est deux à 'arraché, on erst passées, on est néesz sur herbe : ploc ! on est tombées. 

On veut de fait ensembkle ici comprendre les données sondées, les faire nôtres à la retombée , les aimer ou tout cfomme, et, dès lors (qu'on aime ces données) , prendre ses jambes au corps et vite tracer, filer(, courir sans traîner, vers ces données auttres des fins de pré et autres "finalités des finalités gravées". 

On est d'accord : on aime aimer le Corps de la Fée ! 

On est fortes femmes lourdes à l'arraché (la retombée) , nous voici transformées en Fée, Fée d'ombre, on est néee ! on est Fée née nue sur herbe du pré sur le cul.

On a ensemble envie de tracer et d'aller (au loin) rechercher ce qui est, en termes de données "velues" ou poilue", de type animales, "animalité de façade". 

Qui on est ? on est des fe"lmes, ici, devenues Fée, Fée des ombres (hommes) cachées ! On est des Fées de base nues, qui (en vrai) chervheons (ensemble) à comprendre par le menu, ce qui est  ici (sur roche ornée) et ce qui n'est pas, ce qui en vrai n'existe pas, voire : n'a jamais existé ! 

On veut toucher à une sorte de Denrée d'offrande, qsui serait ... des vivres dits "de contrebande" = chapardés, volés, cueillies commùe à l'improviste et à l'arraché sans plus chercher. 

On veut toucher (grave) à une déioté des Déirtttés. Et pour cela : filer ! filer vif et sans chipoter ! filer grave en ces prés, vers (il semblerait) la Parade Finale ou Parade Terminale aux données actées comme de façade !

On ne rêve pas , en vrzai, on acte !

On est néesvd'une sorte de rage à vouloir ensembvke (deux femmes) s'immisver en ces contrées post-pariétale, et, une fois nées (comme à la parade = paradis = pré) on a vite couru vers là-bas cette (szorte de) muraille des fées, ou muraille aux fées , qui nous fait ou faisait face, nous attrirait, semblait comme nous appeler , nous interpeler, et nous (du coup) d'y aller sans plus traîner, àà grande enjambée, en courant-volant comme les fées qu'on est en vrai, et du cou voilà : on est arrivées ! on regarde ! on voit ça : la grève ! grave on voit ! on est femmes-fée , deux femmes pour une fée", on avance (on en a avancé !) et voilà, on mate ! on regarde au plus près ce qui est, on cherche à comprendre. qu'est-ce que c'esrt qui nous regarde ? qu'est-ce que c'sset qui nous fait face en vrai ? on est qui en vrai, qui (ensemble) cherchons à cerner un certain nombre de données de base , de données données ? On est nées sur place fée,  et à présent on cherche à cerner, face au muret, les données finales ! ce qui est ! ce qui est qui nous regarde ! 

On charge = on cherche. 

On ne veut plus traîner, on veut au contraire pistonner, trouver ensemble une manière d'y aller ensemble et cette manière, on croit l'avoir enj vrai trouvé, ici-même (cimetière), en la personne d'une fée en herbe, fée des fées, fée-manière ou fée maniérée peut- être mais on l'aime ! on aime cette fée qi'on est ! cette fée en herbe , fée des fées d'un cimetière alloué au passzé et aux chrysanthèmes ! 

On est féess de rêve, chercvhe-merde peut-être qui saiit ? on sème ! la merde ? on ne sait ! on est fée de traîne, données des données, on s'aime ! on sème ! on sème la merde ... ou pas la merde mais (qui sait ?) du Verbe doré ! chant docte ! parole enlevées ! vents de bord et autres souflles acidulées comme s'il en pleuvait ! cohorte !

On est des fées de rage sondée !

On veut se rapprocher ensemble de la vie aprtès la mort. On veut se rapprocher ensemble ici (pré) de la vie postée (?) après, soit après la mort. 

on a grave envie ensemble de toucher à cette sorte de divibnité qui nous ressemble ou nous ressemblezrait ç-à jamais qui sait, du moment qu'on sème ! 

On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une sorte de donnée de rage, qui serait en vrai donnée de base pour (enfin) comprendre ensemble (gouines-fée) ce qu'on est en termes de base, en termes de données de base, gentesdames au débotté et autres fées de contrebande (" quand ça bande on contrebande "). 

On est nées fées , on veut cerner ensemble ce qui se présente en termes de données de rage, dans la mort. 

On est (dans la mort !!) nées fée, Fée au singulier car on est nées (deux femmes) pour nous retrouver comme unifiée , réunie (de base) en ce corps (alloué) d'une "Fée des prés et autres champs dits de parade" (de parade abncrée dans un paysage). 

Qui on est en vrai ? Charme ! vie ! passé donné comme une denrée ! une sorte de Fée des Données genrées, un acte alloué à une volonté !

On est passées, ensemble, à trvaers une roche donnée, on l'a traversé, on a aimé la traverser car nous voilà (du coup) transformées en Fée , Fée au singulier, du fait que voilà, on s'est retrouvé&es (sur pré) accolées (ailes au débotté) transformées en Fée, Fée des ombres et des données données comme une sorte de cohorte d'ombres (hommes, bnêtes, poids, somme, traits droits).

On veut ensemble de grâce toucher yeah !!!!!!!

O,n veut yeah ensemble de gr^$ace toucher = cerner = dire = faire = chanter ! chanter haut , fort, à tue-t^te , les données découvertes (comme au débotté, ou à l'arraché) au passage (ici-même) de'une sorte de "rocher des rocher" de type ... "fenêtre" ? feu de l'être ? 

On veut toucher ensembleb à cette déité de cimetière. Toucher elle = son aile ?

On est nées Fée car on est (dans la mort) nées en tant que ... elles ! ailes ! Ailes allouées à un cotrps de fée de type rupestre , uune forte tête !

On est comme cernées, tracées sur roche à main levée, par, qui sait ? une bête ! une bête nous aurait en vrai ... dessiné , gravé, tracé au débotté sans sourciller à main levée, et du cfoup montré , haut, soulevées, comme êtres de paroi de rage, hommelettes de bas-étage, femmes sardes (!) accolées pour former la Reine, Reiine des prés, Fées des f2es et diu cimetière !

On aime !

On a grave envie d'aimer ! On veut azimer grave cette fée (du cimetière) comme "retrouvée" !

On est femmes des prés devenues fée par (?) un effet de manche (contrebande) à la une à la deux nous voilà transformées ça le fait ! pamoison ! cri de joie à l'unisson ! on est nées fée du fait que nous voilà ... ailées ? ailes allouées à une fée des prés ? On aime ! on est nées ailées (au cimetière) du fait que nous voilà (dans "la mort en herbe") transformées ou comme tra&nsformées en Fée Ailée du fait qu'on est ELLEs = femmes des prés à la retombée dès que "passées" = mortes en tant qu'humaines, homme mort-né sombre dans l'herbe pour former (lui) le fumierr "des prospérités". on aime !

On est felmlesb des prés allouées à un corps de fée dit "surnumeéraire" , du fait qsue voilà, il vient se rajouter à ce qu'on voit !$

On aime ! on a envie d'aimer ! on est fée des prés, gentes denrées, vives donées, offrandes et dons de soi sur roche gravé come à la parade devanr t szoi. 

On est bêtes de somme ... ailées ! vaches sacrées ... ailées ! cris de joie à l'unisson, troupe soudée, on creuse devant zoi la roche pour en vrai passer, traverser,  geagner (vite et bien) les embruns, fins de pré, murailles aux données (frontales) finales.

On est femmes allouées à une sorte de recherche (vive) à travers la plaine aux données données de type animalières; 

QUI on e'st ? on est F2e ! Fée des Fées ! gentesdames allouées à un pré (p arade) p ariétal.

Cherchons ensemble ce qui est du coup en tant que fée ! 

on veut comprendre, on veut grave comprendre, on a envie grave de comprendre, toucher et comprendrr, ces ... nénés de base, seins soudés , ce que c'est ! ce lait = tout ce lait ! une montagne ! primauté , principauté ! corsage ! 

On a envie ensemble grave de téter, téter les nénées, des femmes sardes, sages, sales.

on veut cfoller ! cfolloer vivves à ces données de base ! ce que c'r'st que ces données on se le demande ! On veut toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher touchet toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher oucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tou-cher à ces données ou sortes de données en forme de nénés à lait (on dirait) . 

On nveut de vfait ensembleb (accolées, collées) comprendre ce qsui est, c e vqui se présente, ce qui nous fait face (dans la mort) en termes de données de type nénés ! 

On a méga-envie de base de comprendree ensemble ce qui est qui se présente , se place en face, se présente de fait , face à face, né !

On est nées de base Fée , on veut cerner ensembke les nénés ! les nénés nés !

On est fée de base dans la mort,on vgeut comprendre les nénés qui (en vrai) , face à nous, se présentzent comme au débotté ! qui c'est ? qui est là qui se présente ? Eh bé voilèà en vrai ce qu'on veut comprendre ! en clair (et pour pas cher) à qui sont ces nénés en vrai. 

En clair, en vrai, à qui sont ces nénés qui sont, pour le coup, disposés devant nous pour être (on dirait!) tétés ! 

On est Fée de Rage sur pré, on veut cfomprendre les  nénés de  base, ce que c'est, en termes de Rage,, de Paroi Frontale, de donnée allouée à une vérité frpntale type "déité des Déités". Sont-ce vraiment des nénédss ? sont-ce vraiment des nénés à la&it ? est)-ce que vraiment de fait c'est (pour nous) des seins à teter come par la bande ? sommes-nous dans la mort des fées nouveaux-nés, fées nouvellement nées qui chercherions comme des affddammées à téter sans tarder ou traîner ? sommes-nous fri andes de lait ?. sommes-nouqs affammées  ? Voumlons-nous sans tarder ni traîner téter ? faire ainsi qu'on puisse §ttéter et s'alimenter du bon lait de la vache sacrée ? 

NOUS VOULONS COLLER À UNE ROCHE POUR LA TRAVERSER, EN TANT QU4ON EST UN HOMME AU SOINGULIER, ET UNE FOIS PASSÉ, SOIT MORT ET ENTERRÉ, SE RETROUVER "DE L4AUTRE CÖTÉ", COMME TRANSFORLMÉ EN F2E ! F2E AUX AILES ! FÉE AILÉES COMME SIL EN PLEUVAIT EN CE CIMETIÈRE-PRÉ DE TYPE PRÉ AUX F2ES ET AUX BËTES "SURNUM2RAIRES". ON EST DES F2ES DE RAGE SUPRË4ME ALLOUÉES À UN CIMETIÈRE AUX DONN2ES DONN2ES DU VERBE SOULEVÉ, SOUPESÉ, ENVOLÉ, POSÉ COME SUR HERBE AU PIED DUNE DIVIN9TÉ, PIS DE VACHE À TÉTER COMME HERBE À BROUTER, MËME SCÈNE ! 

on est néesc sur herbe Fée au âssage tracé d'une sortre d'embardée au sein du verbe (vie vive dépôsée) et des données de roche sacrée. 

Vache à lait c'est elle , on la reconnait, elle trône sur l'herbe, c'est la fée Laitière, vache af-gréee par une sorte de divinité allouée au dit Verbe tel que consacré, par , ici, la bête bête, l'idiotie, chants en herbe, vives coneries de tra&îne comme vilénie et autres âneries salutaires (qui sait ?).

On veut : et toucher et paîttre ! c'est un fait qu'il nous faut souligner sans plus de réserve on le sait, on est nées ! on est nées dans uncimetière ! ça le fait sévère ! c'st pas rien en vrai ! on est fée de cimetière si tant est ! c'est nous la Fée du pré, l'emportée , la rosse ou pas mais celle qui va là, comme à l'arraché, nous accompagner et sans sourciller jusqu'au fin fond du pré aux portes des données fianales et autres murs de Fond de salle communale ou quelqaue chose de ce genre, muraille, mur du son. 

on aime tracer ! On veut coller ! On veut grave coller et tracer sur roche un ensembke (pour le coup) de choses doctes, de type : fruits acidulés, vivres, dons, cornichons, poissons. 

On aime être Fée ! On veut grave tracer en tant que fée sur roche des traits, traits de coupe, tra&its des traits. On veut dessiner. On veut graver des traéits de roche, traits des traéits sur roche, données, données des données. 

on est des fées de co ntrebande, chance ! On veut (ensemble) traverser le pré, comme à la volette vite fait et, tout aussi vite fait, gagner la r(oche terminale, les embruns, sons de roche frontales, sons comme sourdant d'une roche de type "frontale", "frontale perforée", et on regarde ! perforée (la roche) et on regarde ! on voit ! on regarde et du cfoup on voit ! on voit ça : des traits , tré&its de coupe par où passr on le sait , qui un oeil qui un bras, qui la t^$ete, qui le pied ou la quiquette si ja&maisv (qauand on en est armé !). ON veut toucher toucher toucgher toucher tyoucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher à cette sorte de murette aux données toutes ancrées comme des croix de cimaetière on dirait mais est-ce ? est-ce vrai  ? est-ce en vrai ce genre de données qu'on seraéit en vrai à vouloir ensemble (main dans la main ) comprendre ? sommes-nous fée de contrebande ? sommes)-nous fée sans bande ? sommes nous fées en ba,nde ? un troupeau de fées du genre , peut-^tte, des vaches ? Sommes-nous des vaches ? vaches à lait sacrées ? qui on est ? 

On est femmes sardes ! sardes sages sales ou pas ! sommes-nous sales ? peut-être pas ! sardes ? Pas davantage ! sages ! certainement pas ! ou alors de rage ! on y croit ! on charge on fonce grave ! on est femmes des parois de l'^$ame et znsenmble on fil droit vers là-bas la place, la paroi finale, paroi des parois qui semble , on dirait , peut-être, nous apostropher, comme si on était en vraéi fée des Rages prêtes à nous donner ma&is que dalle ! on ne veut pas ensembble ou pas (d'ailleurs) nous donner en offrande ! on est pas des fées bornées ! On est fortes ! on colle au pré. VACHE À LAIT C'EST UN FAIT AVÉRÉ ! ON est des fées de type v"vaches à laéit" alors arrêttz de vous époumoner à nous apostropher pour nouqs attirer de fait en vos filets ! on ne veut en aucune façon trépasser ! jamais ! hé, pas si connes en tant que telles ! on veut durer dans la durée en tant que vaches à lait à pouvoir (par qui en vrai ?) téter ! On veut duurer ! tracer, dire, charger, comprendre, szoulever et soupezser les charges! on a envie grave ensemble dee  durer ce qu'on peut durer et même davantage si on pouviat, en tant que vache sacré pouvant allaitrer (de préférence) et, du coup .. donner ! donner du lait c'dsst donner ! donner un peu de son lait = donner ! on est vaches sacrées, vies données pour une e,nvie ici de durer , szoit de durer en vie .. dans la vie ! Dans la vie de la mort c'est dit (et inscrit) sur ce corps d'une fée allouée à un pré ! On est nées (dansz la mort) fée, c'est un fait !

On est ensemble nées, en vrai, dans la mort, en tant que fée ! fée au singulier. 

Récapiitulons : homme on meurt, on devient femmes au débotté, deiux femmes allouéess à une sorte d'entité dont le nom est "Fée". Ainsi transformé, on n'est plus cet homme du passé (l'ombre d'un ^ttre de la terre meuble) mais femmes comme dupliquée, et nous voilà qui (de fait) formons les ailes d'une sorte de divinité genre Fée, ou même fée des frées. 

On aime ! 

♥️ ! 

on est fées des coeurs ! 

♥️ !

On veut grave toucher à cette Déité des cimetières, et pou$r ça (cela) : ça , le trait, le trait tracé, gravé, dessiné à main levaéé et comme né (ici paroi) d'une sorte de transe (de da&nse) enlevée ! on y croit ! on est femmes de paroi (devenues fée) qui (de fait) gravons de rage, la vache à lait, la bête de pôids, vive et ancrée, comme à la parade, pour charger ! convaincre ezt tromper, qui sait ? cette sorte de "divinité céleste" aux données de choix, Déité rupestres et autres Di'eu dit "des parois". On veut aller de base ensemble au co'eur de la paroi  ("des confins de bout du monde"), on veut ça, et c'est à ça qu'u  'on pense (ma foi) quand on danse, qu'on entre en transe, à la foi dans l'au-delà, à la chance, au vents dits "de face".

On est femmes allouées à une danse de parade ! 

On danse ! on est femmes chantantes dansantes venant toucher , comme soulevées, une sorte de Divinité pleine de grâce, Mzarie Galante sur paroi ,forme sage.

On a ensembke en vrai envie de com^prendre, en soi (?) ce qui nous ressemble au sein de la pa&roi.

On a grave ense'mble envie de commprendre les données de base, fruits secs, fruits des bois, fruits juteux tombés de l'arbre, fruits données comme autant d'offrandes à une déité sucrée ;, déité des déités elle-même sucrée comme à) la parade ! on veut ça := co:mprendre ce qui est qui nous est donné ! du lait ? lait sucré comme s'il en pleuvait ? on en pleureurait ! on est des nouveau-njées , nouvellement néee  à loa retombéec (par la bande) sur paroi du Roi, des REines de charme et autres princes et dames des bois ! on entre dans l'antre , on voit ça : convoi ! charge mentale ! parade = paradisz ! betes de poids sur roche lambda et ça charge ! convoi ! 

On seraéit (ensemble) données pour cxharge, sommerondes, on dirait ça. 

On veut (nous deux , à toi à moi) comprendte grave, ce qui est qui nous regarde : une vache ?

On a (ensemble) on dirait (en vrai) en vie (grave) de comprendre cete vache ce qu'elle est en terme de .. lait, lait sucré de contrebande ça le fait ! c'est vrai que c'est sucré ! on aime le sucré mais en vrai pour le coup ici c''sst (juste) méga-sucré ! ça envoie ! ça calme ! c anadou de rage, tu m'as compris ! envoie ! on cale ! on est là pour ça:  dire, et donner , cela même qu'on aimerait, de fait, pour nous, êttre "gratifiées" , tu vois la para de !

On veut toucher à cette déité des charges ! on veut (grave) toucher ensemble , à cette sorte pour le coup de déoité des cxharges : qui c'sst ? c'est MARIE BLAFARDE ? l'amante vénérable ? vache tendre ? vache à lait de l'age tendre : sacrée ? sucrée ? Lait de  base comme consacré en vrai par la bande ici animalière d'unse sorte de pazsabge (de charme) àtravers les herbesz, enjambées, on passe, on est nées pour traverser le pré "paradisiaque", et aller plus loin , de l'autre côpté,, chercher le tracé, le tra&it, trait d'ombre ? traéit plutôt de clarté, de type "anfractuosité" et ça le fait !

On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une sorte de "denré"e" du bout des roches , denrées des denréesc= données = don = LAIT ! LE LAIT ! LAIT DES OMBRES ? QUI SAIT ? ON NE SAIT CAR ON EST ... DES NOUVEA21UX-NÉES DE L'OMBRE ! on veut grave s'aimer : va)--t-on y arriver ? on est nées de fait sur un pré d'ombre, d'ombre ou de clarté peu importe, car , ce qui compte, en vrai, c'est d'être nées fée, en tant que bête (bête ?) des prés. 

on est fée de cimetière, on veut en avancer et, de  fait, on trace sévère ! on file on vole ! on survole les données mais c'sst ainsi qu'on en avance sinon comùent faire ? ici le nez flanqué, dans l'herbe funaéraire ? Jamais ! survoler c'est un fzait qui (en vrai) nous intéresse, ou sinon un fait un état de fait ! On aime grave survoler sans rtrop s'arrêtrer. On pense (à part nous, en tant que fée) que, de survoler les données prairiales, est de loin préférable à une sorte d'examen de b ase, de base chelou car il freine tout, or le tréit ici à bien cerner, les donné&es de rage , à ici cfomptrendre, sont tous et toutes lié.es à cette chose déplissée ici en tant que volonté, désir ancré, de (pour le coup) tracer ! filer ! aller fissa au sein de la par(oi(pré docte) sans traîner ! fissa est la vérité si tant est ! on ne doit en aucune sorte lambiner si on veut tracer (à main levée) la bête de somme (Vérité des Vérités). On est femmes nées (d'une roche) dans la mort , transformées en frée, deux femmes pour une fée, voilà le compte .

Deux pour une et les vaches (dit-on) seront bien gardées , mèfle !$

On veut durer. 

On a méga-envie de durer, de cerner ensemble un grand nombre de données liées à la mort. On veut toucher à une déité frontale, genre pariétale : une armée de bêtes groossses, aurochs et biseonnes, buffles et juments de roche. On veut tracer = filer = dire vite fait son propre fait qui seraéit cette chose (en vrai) comme quoi voilà : on était un homme, on s'est (dans la mort) transformé en femmes, ailes dites "des données", formant fée de base', fée des fées pour une embase de type "denré"ée, offreande, don de lait". Qui on est  ? des fées ! fortes soudaines ambrées nacrées lactées ! Fée d'herbe ou alors fée en herbe ! 

On veut toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tyoucxher toucher toucher à ces nénés de cimetière ! qui on est ? des nénés ? on ne sait ! on est pas des fées nous-mêmes avant de nai^tre fée en vrai ! on a besoin de traverser la roche (surnuméraire) aurignacienne auxsvdonnées données p)ar (peut-êtte ?) des fées dites "de cfimetière" à jamais (à jamais "de cimetière" ?). 

On veut toucher (en vrai) de rage , les donné&es, données doctes, les données données , données données doctes, type "denrées = dons = LAIT ! ".

Lait des féesn ! on croit rêver ! rêve-t-on  ? pas le moins du monde ! on est né- su!r terre pour tracer jusqu'au cimetière où pouvoir trouver (en tant que fée, homme transforlmé en ailes de fée) le lait de sa Bête ! On aime ! like au jugé ! coeur d'acier ! coeur surnuméraire on aime ! on veut aimer, faire, dire et charger, cette bête des prés, lui donner de l'herbe, la soigner en herbe verte : verbe ! traits tracé à main levé comme d'une bhête desb  données rupestres (buffle d'oc).

On a ensemble envie vraiment de nous aimer-aider en tant que femmes allouéesz ensemble à une sorte de donnée, de type cha&rrue, soc d'oc ! et on trace (traits) pour la parade (paradis) au pied levé, ça le fait ! 

On veut de fait enwemble, devenir la Fée, F2e des ombres ? Fée des fées ? On colle aux ombres, aux parties molles, aux endroitsz mouillées pou r mieux traverser = passer, passer et du coup traversert pour dèsz lors enwemble, nous retyrouver, comme tombées, de l'autre côté , femmes. Tombées en tant que transformée, femmes (deux femmes) sur pré ! ça le fait ! dingue et même plus que diongue ! ... "taré " ????? on ne sait ! on cherche à connaoitte, mieux (toujours) , les données données offertes ouvertes,; si tant est ! si jamais ! 

On 'st cfomme accolées à une sorte de cimetière aux données tracées, données comme du petit lait ! lait de fée ?

On a envie ensemble grave de tracer un certtain nombre de données de base, données fortes-folles, comme (pour le coup) doublées de lait (sucré) comme acidulé, vivement sucré on dirait. 

On veut toucher à cette déité lactée ! vache des prés ! vache à lait avgec ou sans lait on en recdemande ! on est fée des fées ou vaches à lait on ne sait maids grave on veut comprtendre et vite, sans traîner, car le temps défile qui nous voit veillir et nous ratatiner ou comme nous ratatiner sans nousprootéger, ou sans plus (on dira) nous protéger ou nous soulager.

On est F2E, F2E des voix, Fée des fées des voix de l'au-delà.

ON VEUT GRAVE ENSEMBLE COMPRENDRE QUI ON EST EN FAIT DE FÉE. On est qui ? quête ? marchand d'allumetezss ! 

On est qui ? "quête ! marchand d'allumettes , si t'en as pas t'en achètes, rue de la braguette ! ". On aime ! coeur du foie ! On veut grave cerner, toucher, comprendre, dérouler, comprendre, chercher les clées, le sens de la marche . Des données. Des tas. Des tas cde DOnnées de type "véritées", ça le fezrait. On serait les reines, Reines de sab a, Roi des ROis Chargés (toutes et tous) de victuailles dorées, ça le ferait ! On veut e,nsembke grave ma,nger, boire,et auusi chier , pisser, etre Vache à Lait et se comporeter comme exactement la vache sur pré se comporte en vrai. Brouter mais chier, boire mais pisser ! ça le vfait ou ferait grave, c'st un fait ! ça parade ! ça envoie ! ça gagne ! ça charge du bois ! Qui on est de fait ? eh bé ... Fée des Fées des Bois de COntrebande : charge mentale ! Fichtre, on e,nvoie ! on voit ce qu'on voit et du coup on envoit come à la parade (sur paroi) les bêtes de charge, l'antilope ... sarde ? on ne sait pas sa provenance ! On est là pour com)rendre. On avance à pretits pas. Il faut nous comprendre. On est là pour ça, comprendre, mais à pertits pas car on peut pas, de fazit, aller , nous dirons, " plus vite en vérité que la musique" , voilà l'acmé ! le dire des faits  ! la musique oui, active à son rythme, x données dites "des vérités" , et du coup ça le fait ! la musique ici est vivacité, qui en vrai, dicte ! donne le tracé, charge la donne, pond son oeuf de Rome, ne peut autrement donner que comme elle fait ! musique du vivre (dans la mort) la (vraie) vérité des corps, âmes, tourments et supplices, chants des Reines et rOis. 

On est nées Fées de RAge en cette chose d'une sorte de parade ! effroi ! chance ! considérations de b ase ! vivisections ? On enttre ! on est deux de base à la décharge ! on veut grave devenir la Fée des rages ! On va (veut ?) être comme aidées , soulevées , soupesées et soulevées ensemble, par un vent de face" ! vrai !

On a envie méga d'aimer , e^tre soulevées par(ici) VENT ! VENT donné ! VENT DES CONTRÉES De RAGE, ou contrée de la rage, d'être (en fait) nées nues du cul de l'antre ! VIVE LE CUL ! vive l'âme mise à nu au paszsage, on entre ! 

on entree comme dans un cul ! 

on entre grave comme dans un "cul de base" ! on veut comprendre = toucxher ! on veut grave toucher = comprendre, sans traîner, ce qui est qui nous fait face . On ne veut guère lambiner mais au contré&ire, toucher et donner, donner et toucher sans attendre, filer ! grave tracer ! courir sur le pré et aller, ensemble (main dans la main) vers ce muret de contrebande tant cité, décrit, nommé, alloué ! On veut toucher à ce muret des anfractuosiçtés dites "de contrebande" car en  vrai, ce muret est muret des rages ! des rages allouées à une vérité ancrée, fistée, entrée, de type enculage de donnée donnée comme par la bande et on se tait ! le fait est tracé ! merde au données ! on est collées !

On cveut grave comprendre x données, de quoi on parle, ce qui est , qui donc est qui en cette sorte de charade allouée à un dire sacré , qui parle, qui est,, qui se pavane, qui est autocentré, qui voile, qui se taitb ou au contraire parle (vif) , et diu coup dévoile (qui sait ?) ce qu'il a en lui de plusancré qui serait caché ou sinon caché masqué  : qui ? ON cherche ! on cherche à vif ! on veut toucher, on veut croire; dire et aéller comme à la retombée sur roche d'un pré, et tracer , dessiner à maéin levée une sorte de bête allouée à une vérité dite "de cimetière et autres terres aux corps sondés". On est devenues bêztes à tout jamais, du fait que voilà, le VErbe est passé (qyi ne passe pas , en vrai) à jamais !

vie des bêtesz. Vies de betes ailées. 

Ici la vie des bêtes ailées. VFaches à lait. 

Bêtes bêtes, betes des prés . BeBelles bêtes des prés. Betes-verbe. Betes-mots des prés. Vaches des prés bêtes. Betes-Vaches des prés bêtrs. Vaches-bêtes des prés bêtrs. Vaches sur pré allouées à une terre dont le nom est cimetières , cimetière des données ou aux données de type vérités des prés. On aime ; du coup : on like, à jamais, pour la parade (= p$paradis rupestre et autres vies tracées, comme au pied levé).

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6/9/2024

On a méga envie ensemble de cerner

 au plus près les données d'une sorte de vérité déployée ou qui en vrai serait comme déoployée à nos pieds. On regarde ensemble. On est ensemble pour cerner, soit toucher à une vérité. On ab méga envie pour ainsi dire de cerner et d'en avancer , et pour cerner ensemble et en avancer, on doit pouvoir creuser, êttre en capapacité ensemble de creuser profond, d'aller loin, de s'immiscer ensembkle dans les profondeurs (ici même) de cette paroi

 ou sorte de paroi dont le nom pour le coup est "DOnnées " . Ou : "données des Données". On en avance parce que, voilà, on croit à ça, à cette chose, à (ici) ce train de vie, comme un allant , une sorte d'allant ou d'élan à même la roche. On est accoléres ... parce qu'on s'aime, ni pluds ni moins ! On est ensemblev, accolées, parce que voilà, on ss'aime énormément, c'est-à-dre qu'ensemble on fait cotrps , on est super unies, on est deux ailes pour un être ou même, pour être, ici, cette sorte de Fée du Logis, du logis de l'âme ou de je ne sais quoi qui vole et vire, va et vient en cet antre des données Suprêmes/ Donc

 voilà. On est là ensemble pourr ça : cerner que tu cerneras , etc. On en avance oparce <u'on y croit, ou  du moins parce qu'on veut essayer , d'y croire ++ , d'y aller ici de notre envie, de passer ensemble qui le nez qui la 

barbe, et du coup se retrouver ensemble de l'autre côté, côté pré. On est dans un pré. On regarde (tranquilleùment) les alentours, ce qui se trame (ou pas) près de nous,  ce qui se passe ou trame, bêtes de la joie, bête-poids. On les regarde +++. On a envie grave de les approcher et de les toucher. On a envie grave de nous appreocher de ces bêtes de poids qui sont bêtes de joie (allégraesse) qui nous matent grave, nous regarde nt en vrai comme si (qui sait ?) on était toutes des extrra-terestres ! dingue ! Sommes-nous des extra-terrestres ? peut-être. Qui en vrai sait ça et peut (pourrait) nous aider à y voir clair, ici- bas ? Bé, peut-^tte en vrai : personne !!!! personne en vrai qui sache dire , expliquer, rapprorter des choses en vrai ! On espère mais en fait jamais ça n'arrive, jamais jusqu'à au jourd'hui on peut dire que c'est arrivé , que quelqu'une ou quelqi'un se pointe ou se pointaât et vînt à nous dire ce qui est en vrai en termes de vérités avérées, de vraie vérité des vérités !! Oubliesc : jamais !et c'ssetvraiment dommage ! parce que nous, voilà, on adorerait ça, que quelqu'une ou quelqu'un, quelqu'un ou quelqu'une vînt à nous (nbous deux) nous dire ce qui est en vrai, les donné'es Suprêmes nous les exposer, nous les donner, nous donner une sorte ou un xwemblant de vérité qui eut pu nous aider à comprendre la mort ce que c'est, et tout ce qui reste à cfomprendre, toutes les données données, les petits faits, la vie en ses attraits, etc. On est super ensemble curieuses vraiment, d'un tant siiot peu s'approcher d'une sorte de "v érité scellée

" si tant est. franchement ce serait top, m^rme topissime. On est super friandes de pareilles offrandes ! on adore (nous deux) (pareil) pareilles offrrandes : dingue ! dingue comme on adore ! Ah si seulement on pouvaiot comme ça (au débotté) comprendre, accueillir, 

emmagasiner des doonnées qui soient fiabkles, concernant la mort, ce serait top ! On a envie (auprès des bêtes de paroi) de (pour le coup) cerner grave (graver ? ) ce type de données Sup^rêmes , Suprêmes des Féees. On a super envie ensemble de nous approcher d'une sorte, en soi, de (disons) Véroité des Vérités, de type Bison, Bisonnée, BUfflette et buffles cendrées, Antilopre$es au pas chassé, etc. Toutes ces bêtes de paroi sont bêtes-mots de rage, faisant (grave ! )poids dans la balance afin de faire accroire aux dieux des Envois, que voilà : on ne se moque pas cde leur figure,; on donne de quoi, on est pas là pour se moquer de leur minois et autres face de rat, on pèse ! on fait poids ! on baise, on est là pour ça : donner ! donner à cette Déité, à ces Dieux des Féeees, à ce Dieu olé-Olé, eh bé ça, ce tralala, cette ribambelle d'animaux Suprêmes, de bêtes affolées, RAge d'être. On est comme nées nous deux dans un pré au milieudxes bêtesdans la mort. On est comme nous deux nées de fait ensemble côte à côte dans la mort, au milieu des bêtes qui pèsent. On est comme nées sur pré au milieu des bêtes qui baisent, pèsent, font effet ou font de l'effet auprès des divinités. On est accolées aussi parce qu'on ne veutsurtout pas se lâcher ô grand jamais ! On veut grave ici rester soudées comme on est ! coll"ées = accolées = serrées. On est côte à côte serrées accolées comme dans

 une tombe (on dirait , estce qie c'est vrai ? on ne sait pas ! on cherche ! on va ! on avance pas à) pas au sein dxes connaissances) . On veut cerner parce qu'on est nées de fait dans une paroi, dans une sorte de paroi contenant qyuoi ? contenant un pré ,; une sorte de pré, une sorte de prairie quasi "minée" on dirait ! On est nées d'une sorte de RAge à n^aitre fée, de fait, dans un pré. On veiut toucher la bête aux fées ... pour devenir Fée ? On cherche ! On a méga envie de cerner un grand nombre de données de type "cimetière" si on pouva it. On est accolées pa rce qu'on s'aime et 

parce que voilà, on veut toucher à cette chose là, là bas, à) ce tas, à ce tas de bois, à cette chose là-bas, d'une sorte de tas de bois, ou de tas tout court on sait pas de quoi, ce genre de choses. On est néesz sur roche fa ce au tas ! On veut comprendre. On a envie ici de comprendre, de toucher du bois, de cerner, de tracer, d'aller en ce pré à vive allure (tracer) jusquà cet endroit là-bzs , qui semble nous mater ou nous regarder sans s'arrêter, qu'est-ce qu'il nous veuit en vrai ? cherche -t-il à nous déstabiliser ? à nous vfaire chuter ? à nous troubler ? à nous faire du mal ? Onn avance ensemble pas à pas, vers ce tas, tas de bois ou pas, pierre d'angle ou pas,champ des rages ou pas , on ne sait pas. On en avance ensemblke fissa à petits bras ou pas mais on avance ! on est là ! on est au rdv de l'âme ! on  veut comprendre alors f orcément on essaie d'aller profond en cette

 grotte "des tourmentrs et autres  vilénies" de l'âge (des  âges) . On dira. On est là ensemble accolées, cernées de base, et du coup on essaie peu à peu, à petits pas, petites 

enjambées sur terre allouée, d'en avancer, de marcher vers ça, là-bas, tas de sable ou tas de bois, qui sembleraiot comme nous attendre, on dirait, au pied levé. On rzegartde.. qui on est pour Ça ? ben ... on ne sait pas, vu qu'on est changées ! qu'on est deveznues femmes (FAme) à la retombée, à la retombée des âges et dans la mort. On est devenues ensembkle tout à coup, au passdage, nues, des femmes ! grave ! grave on est devenues ! Jamaios on aurait cru et pourtgant voilà, c'est un fait avéré, vrai, inscrit en  vrai dans kle registree des données de "l'âme" pour ainsi dire. au passage (de vie à trépas) on est devenues femmes autant qu'avant on pouvait être, en tant qu'homme, homme au singuleier. À présent voilà ! Femmes au débotté ! femmes ancrées dans une rochze dite "aux données", on est nées ; et on est nues. Nées et nues. Nues et nées, et nées velues ! On est nées nues et velues, sur roche, paroi molle, pierre d'achopppe ! On était ensemble avant des hommes ou même homme (ou femme = humain / 

hjumaine isolées !) , et voilà qu'au passage on s'est retrouvées comme nées Fées, enfin fées, disons Ailes = Elles. On est nées sur pierre (rocher) fées, c'est-à-dire transfor(mées en fée

 , . On est passées à travers la roche vers la mort ou dans la mort, pour (dirait-on) devenir Fée ! une fée des fées ! On veut toucher à cette chose d'une sorte de bête énorme , genre cerf géant ou même Bison Vif, et une fois la bpête touchée, tracezr ! tracer à toutes enjambées vers cette déité des bouts de roche ou rocher : finalités, cloisons ultimes et données scéllées. Vers cette Déioté des bouts de bout. Bouts aux ombres et autres clartés cachéessi on y regarde de près, si on se pencxhe un tantinet on voit la chose, la clarté ancrée, cette sorte de faible luminosité à son approche, et puis la cghose (la lumière, l'ensoleillemùent) se met comme à s'allonger ou s'étirer ou se dfila ter et là, plein feu sur le nacré (le nacre);, l'ambre alloué à cette Déité des Données Rupestres. On essaie bien sûr enxsembkle de ne pas y passer et de tenir droit, de tenir en vrai méga droit sans flancher, sans se laisser aller. On est nues parce qu'on est passées à travers la roche, on a perdu nos tenues au passage, on est devenues nues enwsemblke quand on est passées, quand on a traversé (de rage) la paroi aux bêtes (à la nage ? de rage ?). On est comme vues nus (de base) p âr ici une sorte ... d'oeil de vie ! Oeil de vie de Poids. Une sorte 

de Voix nous parle ! On essaie de comprendre. On veut colmprendre ensembkle . oN veut toucxher à une Déité de Poids (charme) "qui le f asse", qui puisse nous donner de quoi enfin comlprendre les données, ce qui est en  vrai et ce qui n'est pas, pas fiable, etc. Peut-etree qu'un jour on y arrivera, à ça, comprendre. Comprendre grave les données rupestres, dessins de paroi, chants de charge, poids des Rois, Reines et Rois de co,ntreba,nde. On a grabve eznvie de comprendre, et aussi du coup de toucher à  ette sorte de parade dessinée, à ce cghant total aux données rares ! aux données de charge. On est accolées, on marche, on avance sur un  pré, on veut se rapprocxhef ainsi accolées ou sezrrées. La cloison finale,

lA cloison finale esst située eh bé en face ! On y va tout droit ! On veut cerner ensemvlble les données de base,  ce qui est

 qui charge, passe, vient, s'ouvre, etc. pour soi au passage. On y croit ! On est ensemble là pour ça : co:mprendre et y  croire. On est nées fées sur pré parce qu'on est passées comme à la parade (ensemble) femmes (au pied levé, e,n transe) et on chante ! grave ! on y va ! on chante à tout va ! à tue-tête ensembke ! On trace ! on chante , on charge . Chanter = (on dirait) charger. Va comprendre ! Va y comprendre quelque chose, à tout ça ! On essaie ensemble (en tant que femmes nées,  et nées dans un pré, au milieu des bêtes, des bêtes de somme) mais ... comment faire , hé ! Comment faire en vraéi pour cerner -comprendre ensembvkle les données de base qui (ici, en face) sont dressées, comme pour nous (mieux !!!) embobiner , qui sait ? On est nées fées sur pré. On est des fées de base sur un pré. On avance sur un pré en tant que fée (= deux femmes). Une Féec = deux femmes (l'homme ? en c endres). On eesaie 

traquet traquet d'en avancer (si possible) dans les conn aissances concernant la mort, le langage , le langage de la foi, le ou les langage.s articulés, qui sont lang ages parlés, dits, dits sur roche dure. On avance pas à pas, on charge = on chante

😀

On veut  : 

Comprtendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est en face, ce qu'on voit, ce qu'on voit qui s'offre, qui s'avance, vient, va et vient, s'approche on dirait de ça = soi = nous autres = nous deux = MOi = cette Chose = ce (ou cette sorte de) tralala en formes de ... Bosse ? Bosse-bois ? bosse en bois ? crosse ? oh, on sait pas ! On cherche à comprendre tout ça (de la mort à l'oeuvre et autres tralala) mais, en vrai, on ne sait pas ! La crosees ? la crosse de quoi ? d'une sorte d'armada sur pattes ? l'anuimal des bois ? Cerf de (ou du ?) courage ? On voit quoi on voit la paroi ! Le vent en face est viçf et chaud, qui nbous cingle le visage. On veut nous deux  cerner , toucher du doigt les données de rage. On est nées "sur place" sur paroi, Fées des bases, des Envies de vie, Fées de Rage. obn est nées Fée ! Fée-Foi ! On a méga envie ensemble de comprendre, en quoi cette chose est ... reévolutionnaire  ! Oh peuit-^tre pas tant que ça en vrai ou quoi  ? On est nées Fée au paszsage (de vie à trépas) et c'est en tant que fée qu'on va plus loin ,, ttout au fond du pré, chercher, essayer en vrai de dénicher, creuser, essayer de 

cernezr, une sorte de vérité concernant ... ce qui est ici (Royaume du Trépas) qui nous invite à pour le coup comme nous avancer, vers un trou, trou de boue, trou de terre, trouée par terre ou comment ? fosse et mer ? On est Nées ensembkle pour aller (nous dirons) chercvher  ... pitance dans un trou ! charger = chanter. On est nées Fée sur paroi-aux-bnêtes (parmi elles) et à présent on veut continuer ou on voudrait continuer, sur notre lancée et aller plus loin dans les connaissances concernant la mort. On dira donc, que voilà : la mort (en soi) est une encklave

, un pré, de type paradis sûprême, Paradis des Paradis. La mort est donc ce pré ou paradis (pré et paraadis c'est pareil). La mort est une encklave de la vie (ou dans la vie) : bulle d'air ! vent de folie !  fée jolie, bruits de mer). On est nées Fée en Par adis (p aradise) et on avise ! On voit ! on reg arde ! on est au milmerieu (au beau milieu) des données fortes, des données de poids : on voit ça. la mort en ce cas, est une

 sorte de , Para dis des Paradis : ok. Enclave "marine" ou "maritime". pré a ux fées, aux bêtes allouées (dites "de cimetioère"). On est nées fée comme à la retombée quand on est passé, quand , en tant qu'homme au singulier , "à la une à la deux" on est passé ! on a traversé et du coup on s'est retrpuvé, en ce par adis ... eh bé tout chose ! c'esst-à-dire transformé ! transformé en femmes ! deux femmes (deux ailes) pour (en vrai) faire Fée, être Fée ou cette Fée de contrebande, des données de base liées à la rage, à la Rage grave, d'êztre, du coup, passé seul (sur patte) pour se retrouver comme ailé de base, ailes au taquet !, va et vient sur pré , charge fronrtale, vivacité, vélocité ,chance. On est devenues Fée au passage : la FéÉe-E ! La fée grave ! On est née fée sur pa-ttes dans un pré : mort des anges, mort  donnée, mort de l'homme et donc naissance de la fée des Plac -ges. On essair$e enwsembkle de nous rapprocher , de cettte sorte de muraille (terminale) = ce fronton. on essaie ensemble (ici même) et comme (pour le coup) soudées, de cerner-toucher, comprendre et graver, dire et faire cette sorte ,  

dire et faire ensemblke, cette sorte

en vrai de vérité supr^me , la sceller, l'inscrire comme à tout jamais, dans la pierre ... "aux données Suprêmes". on est nées (dans la mort) fée : voilà ce qui est. Gravons-le swur pierre ! On est nées Fée dans cette chose d'une sorte d'encklave de vie, d'enclave contenue (en 

vrai) à l'intyérieur de la vie, on dirait; Du coup, la mort est cette bulle (ou bulle de temps, ou d'espace -temps) qui est bulle insérée dans une sorte d'infini sacré (nacré) ou d'infini de vie ou de la vie. Enclave)-bulle allouée à une sorte d'immensité "lacustre ", mer des données données, océan de ruse , vents nature ! On veut toucher ! on veut se rapprocher du bout du bout. on a envie de toucher loin, à l'intérieur du pré, les donnéesz données de cette "ruse" mentio,nnée. , ici notifiée. On est Femmes nues sur roche nue. On veut toucher la mort de prés, disons : gambader, aller /venir ensemble (à grandes enjambées) dans ce pré , au milieu de toutes ces bêtes (velues) qui semblent ou sembleraio'nt nous regarder avec peut-^ttre de l'étonnement , qui sait ? est-ce que les b^êtes (ici) s'attendent ou s'aéttendaient, à nous voir arriver près d'elles ? sont-elles habituiées à croiser des Fées aux données Suprêmes?aiment-elles nou!s avoir près d'elles ? On est nées fée sur rochje à la traversée ou à la retombée et à

 présent on se promène d ans l'herbe au milieu de toutes ces bêtes représentées, dessiné&es ou gra vées par l'^tre(homme-femme) des c avernes ! On est insérézes . On est AiLes ! Ailes de Fée à jamaos ... ou disons : à jamaios ici -même sur pré (champs des do nnées données) . On esqt cernées, entourées, cloisonnées en v rai (cercle) et du coup on aimerait sortir enwemble (ailes) de ce pré, de cet ancrage. comment faire ? comment 

faire pour comprendre ? pour aller , toucher etpasser : comment s'y prendre ? faut-il aller ensemble chercher à passer (de rage)  à l'abordage ? doit-on pousser comme des malades ? comment faire ? On est nées sages, bellesfées des passages. On a super envie de comprendre par ùoù passer, commùent faire pour tracer, charger, cerner de base x et x données, qui nouds permettrraient de comprendre  ce qui est en vrai 

, ce qui se présente, ce qui est comme à nous attendre au-delà du tas, des données déposées comme par contrebande sur paroi. On Regarde . On est accolées. On veut toucher ensemble et traverser, cerner, passer, voir et ressentir les choses d'une sorte... d' "après" (de base). Un "aéprès les nénés" ? un "ap^rès" quoi ? On est accolées en tant que fée (ailes d'une fée = femmes nées ) et du coup, on vole ! on 

trace ! on avance à pas comptés. On veut comme toucher ensemble à cette déité des données sacrées, d'une sorte de paradancrée, innée, allouée à une charge (un chant) attribuée (proféré). On avance ! pas à pads ! comme par miracle ! le miracle de la foi dans le langage articulé dit "de contrebande" d'une sorte de paroi (voie) qui ... nous ressemble ou nou!s ressemblerait, au niveau de l'image, des données visibles et autres traits d'attraits. On est nées Fée comme à la retombée, et on tente ensemble une nouvelle traversée, cette fois comme à) contrevoie, à la rammasse, comment dire ? en ... chargeant la mule (la paroi) de tout ce qui'on a en soi en termes de rage ! Chargeons ! poussons grave ! gravons et gravissons ! gravissons et gravons ! allons haut de bhase sur paroi des Rois et Reines ! On veut comprendre les données s uprêmes ! toucxher, au -delà du tas, les données allouées à un "espace-temps post-cimetière

" s'il en est , soit : hors l'enclave de la mort à l'oeuvre , au delà. ET au-del:à y a quyoi ? eh bien ... on dirait que oui ...  a&près (en dehors de) l 'espace de la mor t (ou 

enclave), espace (de la mort) situé (de fait) ici même, à l'intériuer de la vie, il y cet espace eeh bien ... toujours le même : les entours ! Car la vie est colmme un océan sans fin (non terreswtre : céleste, cosmique) et la mort l'enclave insulaire, une sorte d'enceinte toute de forteresse . On est cfomme nées Fée, au passage (de vie à trépas), pour comprendre cet état de fée (d'une mort insulaire, vie à l'infini sans terme, à l'infini et dès lors sans terme). On est née Fée de Rage, Fée-Foi, Fée de la Foi et des Paysages. On vole comme des fées parce qu'on est (dans la mort) devenues fée ! On regarde ! on cherche à cerner au-delà de soi, au delà du pré et de la paroi (la paroi d'enceinte) ce qu'il y a. La vie ce que c'est pour szoi , pour soi-même en tant qu'on est devenu fée, au passage, au débotté. On essaie ensemble de comprendre les données profondes

 , contenues en roche, ce qu'elles (ces données) contiennent de plus ancrées si jamaios et cette chose, cette recherche) nous tient fort à coeur (au coeur) car voilà : on aime ! on aime chercher, dénicher, fouiller, chercher dans du Verbe une Vérité ou sorte de Vérité en Herbe ! On aime l'herbe, les fleurs de type pâqsuerettes

, fleurs des prés on aime, fleurs allouées à une sorte de pré de type champ chanté, chant des Fées, chant du Passé. On est des fées chanta,ntes ! fées qui vont et viennent sur pré (à la volette) , en chyantant pa rfoisz à tue-tête, parfois pas. On est nées sur pré en herbe , on volette , on a super envie de troucher-cerner une vérité qui sera&it de fait liée à une sorte de donnée des Herbes. On cherche ! on cueille ! On veut allouer à l'herbe les données du Verbe (si tant est) . On est nées sur pré pour être aussi Herbe ! Herbe Sacrée ! Herbe des Herbes (comme du Verbe). On est nées Fée sur Herbe pour ... qui sait ? brouter ? ma,nger manger manger sans cesse de l'herbe, bête des prés ... vache à lait ? Fée )-Vache à lait sur pré ? On est née Fée parce qu'on aime l'herbe ! On ne peut pas s'en passer. On adore l'herbe des prés, des chemins tracés, des voies allouées aux bêtes de somme et autres champs aux pâqurettes (fines pâqurerettes). On veut toucher toucher toucher ensemble et comme de concert la chose, ici, tracée = trait ! trait des 

données ! un trait = une clause. On veut toucher = aller ! Faire son chemin de ronde, inspecter les abords de la chose (cette enceinte de la mort à l'oeuvre) . CFomment cerner ? qui croire ? sommes-nous ... D ;;;; C ;;;;; D  ? autant que née fée ? Sommes-nous DCD auta,nt (ouà égalit é) que nous sommes Nées  à une vie de fée (sur roche sondée) ? Sommes -nous et mortes et en vie , e,n ce pré-paradis ? Sommes

-nous (en ce prparadiis) et mortes et en vie  : les deux choses, consacrées ? Nous nous approchons d'une sorte de paroi finale 

(pour la cent cinquante millième fois peut-^tte)  :

 on regarde. On cherche à comprendre = voir/ a comprendre les données de base d'une sorte de paroi finale, dite 

"Paroi des 😀 Parois".On est 

accolées, on est comme collées , accolées-colléezs l'une l'autre ou l'une à l'autre. On a -envie d'en avancer fissa au sein des données. 

On est nées Fée (une Fée) en ces contrées dites "de la mort à l'oeuvre", et forcément ça pousse à penser, à enviçsager du coup "la suite", ce qui pourrait nous arriver, de vif, de corsé ! en termes de données finales ou terminales si jamais ... mais on dirait e'n vrai qe (qui sait ?) les données finales , ou ces données finales ou terminales, peit-p^^tre, ne sont pas, c'est-à-dire qu'elles n'existent pas, qu'elles sont imagin aires, qu'ellesne vivent opas dans les termes ou le parlé de bhase, qau'elles n'existent nulle part sur terre, ni même dans les airs. En ezffet, il sezmblefait que des données dites "finales" ne sont pas vfinales en soi (sinon en tant que fin de tas, ou plutôt : tas de fin). Parce que voilà : à partyir de là : la paroi, la Paroi du Roi , de lA reine et des Princes des Voix, à partir de cette paroi , commence ... eh bé ça : le sommet ! la plage ! l'océen des rêves, "baise-moi le ciel t'aidera", "touche-moi la vie sera ", "aime-moi et on y verra clair (en pleine lumière)", "chante moi tout bas et on saura ", déshabille-moi et je serai à toi (en Herbe) l'Herbe"". on regharde à 

travers la paroi, le sang, les choses viçtales, le tic tac ... whaouh ! On veut toucgher à cette

 chose rude d'une sorte de paroi des finitudes (de la mort à l'oeuvre) et des commencements (des données rupestres : champs, à perte de vue, sur une étendue). On est Fées -bêtes belles, belles bêtes = grasses et groossses bêtes d'abordage. On aime êtree ELES ! AILES ! FéE des vies allouées à de l'Herbe des pré (à brouter). On est Des fées de contrezbande comme par chance, qui voulo n s toucher à cette Déité d'une sorte de Chance accordé à une Fée ici des Fins de Cercle et auttres enclaves Rupestres. sommes-nbous de taille à comp^rendre, en vrai, ce qui est après le cimetière  ? L'infinni sondé ? l'immensité bleutée ? Mer des Rives ? mer des données comme allouées à une dérive (à jamùais) sur 

"AIR CONGRÉS"

 ? ON ne désispère pas de nous y retrouver mais c'est un fait, que la chose en soi n''st pas si simple qu'elle aurait pu, ici, sembler l'êttre, ni simple ni même facile à cerner, mais tout le contraire. on  voit des chosesq, on remarque, on note (on prend des notes) mais de base on cale ! souvent ! fréquemment ! cfar voilà la chose : on est nées homme , on meurt en tantb que femmes , deux femmes (en vrai) à la retombée, dans une fosse (d'un  pré), on est enterré mais lmes ailes montent, elles,,,, 

vont et viennent (vol!ètent) à jamais hors cimetière ! Elles, elles sont nées sur herbe (pré) en tant que fée, qauand nous , l'homme au singulier, mort et enterré, est scotché de fait (à jamais) à la terre, pauvre hère, bien fait, il n'en valait pas plus la pêine ! il ne valait guère la peine d'êttre conservé ou prolongé vu le caractère. On est nées fée Suprême ! vive donnée ! ça le fait ! et sur herbe qui plus est ! On est nées sur herbe verte, chants du coq, voix du coprtps, chants celtes (sveltes) et faux accords ! On est dans un cimetière, mais la fée, elle, sait (très bien) s'envoler, s'en échapper, s'envoler de ces deux ailes, 

et du coup s'échapper de ce semblant de cimetière aux données rupestres (paroi d'or, roche des données  du corps). On s'est envolées ! on vole on court ! on est des fées de cour, cour romaine, céleste, chantée. On est des fées post-cimetière car on sait voler ! on est moins bêtes que la moyenne ! fée des fées on volette et du coup, houp, on sort du cimetière , à jamais, horrs pré, hors prairie rupestre, sorte d'encklave aux données animalièresq ... on l'a dépassé ! on est cfomme à présent allouées à des données de type céleste, champ d'azur, ailes au vent frais . On cherche à cerner un certain nombre de données célestes, de données des données mais ensemble comment faire pour s'y retrouver, quan,d on s ait pas parr où passer, où 

s'avancer, vers où aller en ce domaine  des clartés et autres champs donnés du Verbe comme alloué à une sorte dee "Lumière Sacrée" (?) , qui sait ? On est Femmes fées, Fe"mmes aux données données grâce aux fées , et au fait des fées. Qui on est ? AILES ! AILES d'herbe ! hé hé ! une aile ! une sorte d'aile allouée à une vérité céleste. On Veut cer ner encszemble si possible un grand nombre de données, et chercher du coup à passer à travers une sorte de ... passage (oui) aux donné&es donné&es, par (ici) la bande (celle du p arler, du Verbe sacré, dees mots de rage et autres termes animaliers). on est nées femmes sur pré. On est néesz Felmmes fées. On est nées Fées sur pré. On est nées Fée-femmes. On est nées Fée sur herbe par la bande et nous voilà commê a&llouées (de base) à une sorte de paroi aux données vives, chaergées, vraéies. On est entrées ! On veut toucher à cette sorte de.... vie vive , corps velu, animzl poilu,charge maître, tracé sur paroi des fées, bêtes dessinées. On est nues velues poilues non épilées = fée s ! On est des fées non épilées ça le faéit ! on plaît ! on est fée non épilées des nénés, du sexe alloué, des aisselles et de la ré, qu'est--ce qu'on en a à braire ! on est ! on est belles ! belles bêtes des prés ! vives et colère d'être nées sur herbe à jamais sans  verbe ! ou sinon  sans verbe sans ailes ? sommes nous des bhêtes nées sans ailes, genre vaches sacrées laitières (ou bisons futés) ? Sommes npous des bêtes fées , ou non : pas fées ? Sommes nous des bêtes des prés genre buffles cernés,, bisons futés et autres 

ourses des cavernes, ou non : fées ! des fées ! des fées ailées ! Sommes-nous des fées ailées ? sommes nouus des vaches ailées ? les fées ailéesz excistent-elles ? et, les vaches ailées à lait ? avons-nous des ailes ? portonsz-nous des ailes sur pré  ? sommes-nous des fées à ailes ? sommes nous des ailesz, ailes, elles, fées des prés avecv des ailes comme déployées et on volette ! on ne cesse en vrai de voleter dfepuis qu'on est nées (dans la mort à 

l'oeuvre , on dirait) ? On essaie de sz'y retyrouver mais évidemenmmrnt que la chose est loin d'être actée, complète, certaine, avérée, située, donnée, comme stipulée ; on regarde "par la fenêtre". On regarde ici ensemble si on peut "par la fenêtre"; on regarde à deux, on se rapproche, on veut voir le feu, les ondes, les données marines, 

les sortes de vagues, 

les sorrtes de vagues allouées à une sorte de marée. On mate ! On mate grave. On est posées. On regarde sans sourciller, posées, on mate depuis où on est : la Rage. On veut de préférence et si possible aentrer (en ce roc des finalités) et regarder ce qui est. Regarder sans y passer, ce qui est qui est, en termes de données données, dopnnées vives, données des données. On veut toucher à ce rocher des contrebandes et du coup traverser (fissa) sans tarder ou traîner , et surtout sans succomber ! sans y passer ! on veut passer un oeil, un memebre, le nez, l'oiel sage, le nez des nez ! comment passer un nez ? vcomment un oeil passer ? comment tu fais pour passer un nez , un oeil, des lèvres, un sexe pointé, un petit véhicule alloué à une sorte d'immixion (pénétration) de Saturne ? On est Beauité Sacré des 

"FinitUdes des Preés" , on dirait. Et du co!p on est achapeautées ou comme chaépeautées ! couvertes à fine allure, on est comme des fées Beauté, Fées des fées ! Grasses naturevives d'allure et chapeaiutées on est ! On veut tracer ! charger, toucher, collzr, essayer de s'en tirer sans se blesser, coller à une dune,; à un mont pelé, à un tas de sable centré, à une sorte de mont de Vulve. On est qui ? Quête, d'une sorte de vil ministère ! l'entubé ! le qui veut passer = pénétrer la roche , la dernièere : comment faire ? comment faire pour en vrai passer et coller aux données Suprêmes ? y aller de son chant de terre ? mais comment chanter : à tue-tête ? comme les fées quand elles s'y perden, voire perdent pied et ne savent plus où donner de la tête, te'llement elles sonht paumées et ne savent plus

 comment se repérer ? on est fées de fées ! AILES, AILES AU DÉBOTTÉ, 

AILES DES PRÉS. On est comme des ailes sur corset, avec forcebretelles on dirait, robe de fée, de f"ée szvelte et ondulée. On est cfomme fée ondulée ! On cherche à cerner ce qui est en fait d'herbe des prés et autre Verbe des COntrées Pöst-cimetière. La vie est-elle éternelle ? la vie contient-elle en elle l'encklave (l'enceinte) "MORT" ? La vie est-elle une sorte de contrée sans fin (= céleste) ? la mort est-elle "située", délimité, agraire, réservée à des bêtes "sommaires" et autres hommes ou femmes trnsformées, au passage , en fée ? doit on mourir pour renaittre ? doit-on entrerr en ce royaéume post-cimetioère, puis  le retraverser et dès lors revenir  com^ 

(un peu) e,n arrière, du fait que voilà, la vie est partout présente tout autour de nous, qui influence, résou grave les énigmes, joue de nous et en dehors de nous, chante grave ! chante sa&ns arrêt ! chyante que tru chyanter as , et nous bien szûr on aime ça , le chant, la chansonnette, la parade, la chanson des biches , des cerfs à bois, des chevreuils sonnés. On veut toucher aux bêtes des prés ! pourquoi fzaire ? pour pouvoir s'aimer pour ainsi dire : copuler ? "copuler" c'est un peu "rustique", mais oui, peut-^tre, on dfirait "copuler", c'esst pas loin en vrai de la vérité ou d'une sorte de vérité. Copuler pour copuler , pas quand même, mais pour ... tracer = fiiler = foncer = faire vite ! cettte chose en soi, ici, d'une (sqorte de) vive traversée, comme à l('improviste, des données finales et autres données deonnées par la bande (il semblerait). On est nées par la ma,nche, on est passées, on regarde, on vgoit loin les vagues, aéu loin : les vagues doréesz, et ces vagues loin, on les voit super loin parce qi'"on est nées et qaue nos yeux sont neufs , q ui se prête,nt au jeu ! On est nées fées sur roche à tout jamais : ça va le faire !!!!!!!! ça le fait déjà, du reste. On a&ime ! On veut pour de vrai toucher aux nénés de l'être alloué à une donnée, elle-même liée à la mort. Et cet être est : lA mort !Mort au carré ! On est néesz Fée pour toucher, tracer, toucher vif à ce tracé (ici, roche, un bison des prés) de la mort à l'oeuvre bonne dessinatrice à 

main levé, qui dessine vite lpes données données (mises, prises, e,nvies, mainmises, etc.) d'une sorte de Déité Vive ! Déité des D2irtés des Prés pour ainsi dire. On est vives car on est , on est nées vives du fait qu'on est, qu'oon est 

njées; on aime a&ller, touchezr ;,, conchier, chier, tracer et pisser sur herbe des prés, à l'abri des regards indiscret. on veut aller  de fait ensemble loin en la forêt et du coup compre dre à fond la Roche Allouée à cette sorte de m%ainmise d'une Déité, sur des données comme déposées à ses piefds (on dirait). On est femmes des prés et c'est vrai qu'ensembkle et de préférence on a super envie de tracer (en transe) ces bêtes des prés, telles que les antilopes, les chevaux dee c arosse, les lionnes graciles, lesbêtes à bonnet, l es ourses placidesz. on est femmes des prés "passées", c'està dire que, pas plus tard que tout de suite, on a travezrsé la roche à la une à la deux §ête première (la caboche est dure) et voilà, on est passséesz ! on est dans un pré, on mate ! on ne veut pas se faire arnaquer mais on veut pouvoir s'en tirer , sans honte, sans dégâts, sans lombre d'un doute concernant la voie , ici, choisie par nous auttres, fées de  c e logis (enclave) natif. on est nées fées sur roche ! vive les fées ! soignons notre approche ! essayons ensembkle de nous approcxher le plus possible d'une fée "des précipices" szans tomber ! allons vite pour la retrouver ! la coller ! la cerner ! la suivre ! la toucher come on toucxhezrait un êtte r^

vé ! On est bêtes de prés, fées, bêtes et fées, fée des prés, bêtes et fées des prés : sommes-nous fée ? spommes-nous bête ? pouvons-nous ^etre à) la fois bete et fée ? est-ce possible enszmble, en vrai, d'êtrte (qu'on soit) bête et fée? pouvons-nous nous rapprocher de  cette bêzte, aéux données rupestres, néandertlienne ou aur(ignacienne ? sommes-nous assez calées pour du coup comprendre enswemble (au fin fon) les choses d'une sorte de donnée sacrée, quasi genrée, vive et tracée à main levée comme par la bande ,  et qiu nous chercherait (peut-êttre) ... des noises ? On est fées

 du pré, on edssaie de se rapprocher d'une b$ete broutant, qui est-elle ? Bovidé ? On la regarde. On veut ensemble (AILES) la monter, la chevaucher qui sait ? on est des ailes, on peut monter et porter et faire s'envoler et naviguer ! on aime s'envoler ensemble da&ns les airs, aller haut le pluqs possible, essa&yer de toucher à cette sorte de vive entité dont on dirait en vrai qu'elle est ivre ! ... l'sest-elle, au juste ? difficile de se prononcer tant elle semble ... lointaine ? alors même qu'elle est près ? allez comprendre ! on est fée des bases. On a super envie  de pour le coup toucher e,nsemble à cette vie d'après la mort, à cette chose , eçszpôsée sur roche, comme agrès ! et nous d'en jhouer ! on est fées de force allouée à une roche (il semblera&it) et à ce tittre on se sent comme obligée, de se tenir vive, portée, comme dressée, droite et pomponée , frée des fées ! on vire ! on vibre ! on hurle un temps puis on se tait ! on rit ! on pisse (on fait pipi) ! 

on chie (on fait cac a) ! On est fées filles, filles fées à jamais squr une sorte de paroi votive : est-ce vrai ? sommes-nous ... l acustre ? 

Nous on aimezrait vraiment un jour comprendre les données qui en vrai président ou présideraient à cette chose, ici, qu'on voit devant soi et qui est (on vous le donne en mille) une sorte de paroi votive, oui, de mur ou de paroi sur lequel ou laquelle on peuit sans se gêzner tracer les noms (les différents noms) des convives . On est des fées parce que voilà on a passé (autrefois) la roche (à la naiss ance, disons ) et maintenant nous voilà commeengluéew (prises aux piègesz des données données) à même une roche, à même une sqorte de "cloison du fond ". On a e,nvie ensemble, c'est sûr, de comprendre, peut-^rtretre, un peu plus sérieiusement , un certain nombre de choses qui sont choses d'une soerte de passage au débotté d'une roche ornementée par des gommes ou par des femmes de lan préhistoire. on se dit que nousq auusi on appartiendrait en quelque sorte à  ette préhistoire aux données gravées , dessi nées, etc. on cherche (ensembvle) à comprendre pas mal de chowses, en cette encxlave de la mort à l'oeuvre à l'intériuerr de la vie, car à préwsent c ette chose nbous semble plus q'évidente, nous sezmble presqu'acquyise, comme qauoi la mort n''st qu"'une encklave de la vie, une sorte de prairie-filtre, pré admis mais comme 

remise, sas, sas des sas. Passage. Préambule. Nous vcoilà qui sommes presque à vouloir ensemble travezrser la roche une deuxième fois, vers quyoi ? c'r'st ça qu'on a, en vraéi, du mal (pas mal) à comprendre. Si, en vrai, on rehg rde ensemble cdans le même sens, alors on peut se rendre à l'évidence que voilà, on est deux en soi : deux ailes , une paire ! On m ate ! on mate grave ! Ailes et Yeux de rage !  on est presqau'envieuxses parce que oui, en vrai, on a pas du tout du tout envie, de subir ici une sorte de coupezret, de couperet à nénés ! On veut ensemble nous (en vrai) garder nos nénés, nos nénés à lait. on veut allaitter ! on a super envie (en vrai) d'allaiter ! on veut donner le sein (dit "des prairies") au petit malin qui, un jou!r, peut-^tre, nous ... éventr

terrera ?on esppère pas ! on veut comprendre, pas davantage. On ne veut pas servir d'appât, dee bête-appât de ch asse , d'appat de Roi ! nous onn aime grave aller fissa sur roche là-bas chercher pitance, et c'est marre ! On regarde tout ce tralala de groote, chants doctes, cris de jhoie, danses "hautescx"s" et "hot", falbalas . On aime les grottes et la toundra, transes hautes ("hot") et tralalas au son des tambourins dits "de paroi"/; On est Fées de base, Femmes ailées, douces romances, envies de lait. quand on entre en cette contrée (antre aux fées) on devient nousz-mêmes des vfées ou si non des fées , ailéesz, ailées comme des fées, montées, armées, acheminées, adulées. on aime tracer sur roche des se ntiers 

qaui pôurraient nous guider jusqu'aux confins du pré vers cette roche imberbe des données ultimes ! on aime ! on veut toucher à cette roche dees données ultimes, 

😀   

aller, chanter, cerner, comprendre, dire et pousser , ici, e,nsemble, une sorte de chanson des ombres ! saluer et passer ! On est nées fées quand on est passées ! On veut toucher à cette sorte d'entité (de bout de roche) 

allouée aux féesc. On est nées fées quand on est passées. ON veut toucher à cette sorte d'entité sacrée, dont le nom (deité) nous porte jusqu'au bout du bout des données données . On veut toucher = cerner = dire = aller = partir , = faire ce qui nous plaît en termes dallers et de venues allouées à (ici) une sorte de pré , de  prairie des filtress. On est femmes-fées données à une sorte de parler aux données enragées. Qui on est ? on est des fées, on veut tracer, on veut en avancer sur roche et du coup cerner ense"mble, un grand nomnbre de données de base. Qui on est ? bêtes et fées ,! ou sinon bêtes et fées, bêtes-fées, fées-bêtes : on ne sait pas . On cherrche vaéillamment, religieusemrent, fionement , finement ou grossièrement mais asssurément, à 

comprendre = cerner, les dfonnées qui , à nous deux, femmes des prés, se présente"nt, en termes de voeux, voeux des bois et forêts, voeux peut-être miteux mais voeux tout de même alloués à une sorte de recherche mênée (tambour 

battant) par (en nous) qui de droit, à savoir un Moi, une sorte de Moi de bas bâge, petits pas par petits pas, basse rage. On est là ensemble il semble pôur cerner et dessiner une bête des données de base. On veut ensembvle en avancer xans cette sorte de remue-ménage aux données de poids, qui (en vrai) sembleznt être, là, pour ça : nous faire espérer, nous donner de quoi croire en cette chose d'une sorte en soi de donnée, de type "foi", "foi grave", "foi des fois", de type "croyance en l'au-delà". On en avance ensemble (femmes) car on croit à ça, cette Romance de Paroi, ces  

B:êtes Gravées, ce côté champêztres, cette Herbe, ces Fées. On est allouées à une szorte de tracé de Joie , qui est tracé sur Herbe dit "paradisiaque" des données prairiales. On veut se rapprocher ensemble d'une vérité,d'une sorte de donnée de base, de type "vérité de contrebande", de type "donnée des données", et là, une fpois ancrées, touchger ensemble à cette sorte dee paroi "étrenge " ou pas mais située, quyi nous regarde ou nous regarderait en tant que fées, en tant que femmes-fées allouées à une sorte de roma

nce des données finales, actées et situées sur pré comme à la parade. On est femmes fées, charges mentales. On veut toucher à cette déité vdes prés et autres zones terminales d'une enceinte ici donnée à une (sorte de) "Vérité Pariétale". Qui on est ? bêtes de poids ici, fée des Fées là , au choix ! On aime aller, donner, guider, conduire, escortter en tant que fée motrice, on aime accompagner l'être &lloué à une sort e d'emprise qui le mène (vivement) de l'autre côté, vers les

 confins et autres vents de face des données finales. On est fées dites d'escorte ! charges doctes ! On fonce. oN peut foncer car on est aillées, et ainsi ailé&es on peut tracer, dessiner, graver et gravir, bousculer l'ensembke des données et offrir à celles qui en vrai le souhaiteraient nos propres ailes décorées, finement dessinées, translucides et fines, pour voler, les aider à s'envoler, à grimper, à monter haut vers une sorte de sortie d'attaque ! qui plus est : grande ouverte pour faciliter lre passage ici d'un corps donné en vrai. On est des fées d'aide a&u passage (en résumé). Fée des faées, fées doctes, fées sa vantes, frées aidantes. Car

 on veut grave aider sans sourciller ! Coeur des charmes ! On est gentes damesz, fées des bases, vives gentes aux envies pressantes de pouvoir de fait et sans trembler accompagner (en ce royaume de la mort actée) celles qui , e,nvrai, le voudraient. On est fées des fées de la ROmance. On veut t§oucxher à ce qui est ici de l'ordre de la transe (danse parlée) et qui de fait nous aide  ou nous aiderait, à nous porter plus loin en ces contrées dites "des connaiisa,nces des données données des te"mps reculées". On veut aller , danser, chanter, graéver sur roche les noms alloués à des entités de type "divinités" et autres "déessses des Rochers". on aime tracer, dire et donner. fées des fées on est, qui voulons de fait charger = chanter, sur roche, nos chants alloués à une V2érité . On veut toucher à cette vérité de poche. On veut toucher à cette vérité de roche ! On ne veut pas du tout lambiner, mais tracer ! cerner ! comprendre ! situer ! aller vers une destinée ! charger sur roche les données a&ilées 

et les  restituer de force comme du lait szorti d'une sorte de "sein de roche ou de rocher". On veut donner du laéit à celles qui ici chercheznht à teter : fées des fées et autres entités nhées du passage de vie à trépas s'il en est ! On est nous-mêmes cfomme livrées à une sorte  de nourrice ancienne, fée ancrée, bonne laitière, vaches des prés nourricières : on l'aime ! On veut toucher à ses nénés, pis sur herbe, entités lactées. On aéime le pré, l'herbe, le lait, les données, le tracé des traits, l'enveloppe charnelle, Bison Fûté ! On est Femmes à lait, vie actées, vie actée dans une sqorte pour le coup d'enclave souterraine de type "grotte auxb fées" ! On aime ! on dit (largement) qu'on aime ! on est pas chiches ni d'aimer ni de dire qu'on aime ! on est vive s parleuses, et vives fées des données données (dites, pôrtées, apportées, déposéeees, offertes). On veut se rapprocher 

enwsemble d'une vérité qui , de fait, pûisse nous aider à nous téleporter ensembvle le plus loin possible de cette contrée dite "de la

 mort à l'oeuvre" et du coup traverser la roche une foisq e,ncore, quiitter (ici) ce pré et trouver ailleurs de quoi se nourrir et poursuivre (enxembvle) notre sorte de promenade ou de szortie de roche, à la recherc he de données (de fait) avérées, de mots crédibles et autres vérités concernant, pour le coup, la vie venant non pas après la vie direzctement mais après la mort, du moins la mort qu'on vient (ici) de connaitre et dx'explorer en tant que fée logée e,n ce pré &ux herbes bonne nourricières. On a en vie, à présent, d'explorer le firmamantb . On veut à présent, toucher à quelque chose de nouveau, qui ne soit plus l'herbe du pré. On veut téter le lait des  nénées de maman comme autreefois on tétait . On veut en tant que fées, à présent se téleporter, ou comme se téléporter , d'un pré alloué àune enclave pariétale de type "pré ou prairie édenique d'une mort acté", à un tout autre lieu do nné, à une tout autre paroi dees fées ou tout autres  enclave située hors contrée des données prairiéles. Qui on est hors contrée ? encore des Fées ? encore des fées allouées à une contrée ? Peit^rtre

 que oui, ou peut-être que non. On voit ! on mate ! on regarde deva&nt szoi ce qui se trame ! on cherche à comprendre ensemble la paroi, les donné&es de base d'une sorte en soi xde paroi des Rois, Reines de Beauté et Roi des petits pas. On mate grave ! on veut toucher (pour de vrai) aux nénées de cette

 Déité De Rage, aux nénés de cette Déité dite de la Rage : qui c'est ? qui donc est cette Déité des wse'mblants d'espace ? Qui donc est cette Dé&ité , dite "des Déités et des dOnnnées Données de la Rage" ? Qui est-elle, sinon une Fée ? Qui donc est cegtte "Déité Des Déités des Données Dites Supr^'mes " '(s'il en est !)? ON mate ++, on regarde à travers les "persiennes" ce qui est. Et ducoup on voit en effet, les nénées de l'ange Surprême. ses nénés à lait ! charge d'ange ! faits des fées : le lai-t. Le lait directement comme provenant du néné lacté de l'ange des fées. On mate = on prend = on voit = on sent = on veut = on dit = on regarde, ici même (ppré passé) les données frontales, de type ... NÉNÉ S  = Lait ! On est nées sur pré, on a gagné en vrai la paroi finale, on regarde ce qui est (au sin

 xes vagues) on voit ... des nénés , nénés nés de la r age et des envies (ancréses) de perdurer da,n s la Romance d'une Vie allouée à une Destinée Frontale. Cris ! chants ! danses en transe ! chants des vies n acréeqs, voire acidulées! On veut toucher toucher toucxher toucher toucher ! on veut toucher toucher toucher toucher toucxher ! on veut de fait toucxher toucher toucher toucher (oucher ! on veut en vrai (ensemble 

: nez à nez ) toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher ! toucher nz à nez ! toucher à ces nénés ! grave les touchezr ! les téter ! téter aux nénés ! téter grave les nénés plein de lait ! boire le lait ! téter ! téter les nénéds sans traîner, sans tarder, sans atgtendre, sans lambiner ! téter grave lzes nénésxdits "du fir(mamant" tel qu'il se présente sur les debcvants, finn de pré, débu!t de nouvelles données de type "nénés". On chezrche à entrer ensembvle (vives et armées) en cette sorte d'entité nouvelle, clairière passée. Nous voyons ici se tracer une sorte d'anfractuoisté sur pierre par où ensemble peutêtre, en tant que fée, pouvoir s'immmiscer afin d'a&tteindre sans traéîner (parce q'on a faim de lait) les nénés de l 'ëtre ! ceux qu'on espère, ppère !  ceux là (de nénés) qu'on aime à jamaios ! On veut toucher à ces nénés de l'ëtre ! On veut grave les téter ! On veut aller vers ces nénés de l'être ! car, en vrai, on les aime plus que jamais ! on les adore même ! on les aime à jamais, post-pré, post-cimetière, post-donnéess des données, post -croyances allouées à de l'herbe, post-bêtes sur pré. On est Fées passé&es par une sorte d'anfractuosité, de type "persienne" . On voulait passer, nous voilà (en plus

) en train dxe mater , les nénées de l'êttee, de l'être &lloué à une sorte de contrée hors cimet§ière. retour à Minerve ? qui le sait ? on cherche à  c erner ou toucher-cerner ce que sont ces nénés, toucher -cerner ces sortes de nénésxp post -cimetière. On veut grave les aimer, les toucher afin de teter, en vrai, le lait qi'ils contiennent

 , et du coup s'alimenter, se remplir cfomme des nouveaux-nées, nouvelles-nées d'un père et dd'eune mère. On veut toucher à cette chose, ici, d'uneb sorte, nouvelle, nouvellement née, de train arrière, de donnée comme "entrée" par un petit côté d'un cimetièfre, NÉNÉ ! NÉNÉ DES NÉNÉS ! NÉNÉ NÉ ! NÉNÉ NÉ NÉ DES NÉNÉS ! NÉNÉS DES NÉNÉS ! NÉNÉ NÉ COMME PAR DERRIÈRE ! NÉNÉ NÉ DES NÉNÉS, COMME PAR DERRIÈRE !  une sorte de cl

arté post -cimetière allouée aux nénés de l'herbe ! de l'être aux herbes ! de l'être des données de l'erbe !

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2/9/2024

on est nues . on est comme nues parce qu'on est passées de frpont ensemble (vite fait) à travers la roche et du coup on s'est retrouvées comme dénudées au passaghe . on est venues ensemble main dans la main, on voulait vraiment comprendre les données, c'est-à-dire cet ensemble de données qui sont ici (devant nous) comme déposéees, et du coup on est accolées. On est nues, disons, et accolées, et c'est nues et accolées que du coup on en avance

 sur cette prairie, qui est cette "terre d'accueil" qui, en vrai, nous adopte (on dira) côte à côte, nous invite à faire ainsi qi'ensemble on se sente, ou sentît, comme chez soi, ici. on est deux, deux femmes, sur roche-pré. 

On aime beaucoup nous promener ensemblre et regarder un peu partout autourcde nous le paysage, en profiter, aller et venir tout en progressant tranquillement vers ces confins qui , au loin, sembleraient nous appeler ; une muraille, une sorte de paroi d''enceinte ou d'enclave tout autour de nous, comme si en vrai on était ceintes, entourées de ces murets autour de nous qui formeraient une sorte (pour nous ou à nos yeux) de forteresse, de prison insulaire ou ce genre de lieu dit "d"'isolement". on est nous deux arrivées (tranquillement) dans un pré, au milieu des bovidés, des bêtes de somme, bêtes de traits "ÉNORMES". On est deux (deux femmes) qui voulons du coup , parmi ces bêtes, comprendre l'aspect insulaire des lieux traversés. Qui on est en vrai. qu'est-ce que ça veut dire que d'être femmes (filles) en ce lieu d'enceinte. comment arriver à deux (

côte à côte) à toucher du doigt une vérité "de poids" quelle qu'elle soit. A qauoi ressemble la paroi finale ; est-elle percée pour pouvopir passer, est-elle ouverte comme si (des fois) on devait passer coûte que cou^te dès que arrivées, comme si le passage, en elle (cette paroi), était là pour ça (passer) c'est-à-fdire pour nous. nous nous approchons vivement

, à bonne allure disons, de cette roche dite "finale", nous avonds envie (énormément) de comprendre à quoi elle reseemble, ce qu'elle est en vrai, si elle est une sqorte de passage, de porte ou de pporche. On veut savoir. On a envie de savoir parce qu'on est curieuses (énormément) de nature et aussi parce que notre vie ici est en jeu on dfirait, on dirait que nortre vie ou notre à-venir ici est en jeu; se risque, ou est "à risque". on veut du coup, toutes les deux, comprendrece risque, ce qu"'il recouvre; est-ce que par hasard, si on "passe" complètelment (là-bas, au fond du pré, la paroi finale) eh bie,n, du coup, c'en sera terminé pour nous, de la vie

 vive, de la vie en tant que vie vive ? Est-ce que de passer là-bas la roche finale signera notre "décrépitude" à jamais ? On ne sait pas ! On voudrait c'estsûr savoir et du coup aviser, se positionner

 pour ainsi dire. On voudrait connaîttre ici et là (en  c e pré) les tenants et les aboutissants de toute cette aventure qui est l'aventure de deux femmes accolées nues marchant da,ns un pré, sur roche allouée à une sorte de "Vérité Lacustree". On est entourées et on mate grave les données. On est ensemble accolées pour du coup comprendre toutes ces fdonnées lacustres, ce qi'elles sqont pour nous. On est deux ensemble, on est vives, on en avance. On est ensemble pour cerner et avancer, pour en avancer de base dans les connaissances et traverser la lande vite, très vite si possible afin de nous comme "téléporter" jusqu'au bout du bout en quelques foulées. On est ensemble ici deux femmes qui voulons comprendre les données qui nous attendent tout au bout du bout

 du pré. On en avance ! On file, on trace, on fonce, on essaie d'aller le plus vite possible parce que voilà, on est là pour ça : vite foncer pour vite comprendre, c'est-àdire en vrai se rendre compte de ce vqui est, de ce qui nous attend en termes de "

destinée", de ce qui sembke être posté comme sorte de Déité, de Divinité, de Dieu des Données ou quelque chose de ce genre, disposé, posé allongé, allongé ou dressé; on a envie ensemble de s'en rapprocher, de voir de près cette Divinité comment du coup ele est disposée, dans le paysage; On est ensemble ici qui en vrai voulons nous approcher de cette D2ité

 du bout du pré, la toucher pour la cerner (etc.) et peut-^tte ... passer, à travers la p)aroi , la par'oi finale, afin de mater ce qui est, qui sembloerait nous appeler, nous inviter à traverser, à passer, à faire un bond, le saut de l'ange ou quelque chose peut-être de ce genre. On veut comprendre les données quiu se présentent, ce qu'elles sont en vrai, à quoi la mort (la mort ?) ça ressemble, de quoi elle est faite , de quoi la mort (la mort !) est faite, en quelle matière. On est accolées, on se colle ou on se serre l'une l'auttre ou l'une à lm'autre. On est nées dans ce pré AILES, on est cdeux ailes (en ce pré) qui formons réunies une sorte de Fée dite "du cimetière" ! On est ensemble nées sur pré au passage (premier) d'e cette roche ornementée qu'on

 voyait ici se dessiner avant d'entrer, au ffond de la grotte. on est passées et du cfoup  à présent on peiut dire que oui, on est dans un pré, on est Fée, on est cette personne toute fine translucide volante qyui file, virevolte, fonce, va droit ou pas mais ne s'arrête pas. Oon est devenues du coup, après être passées , Fée ! Une fée des prés. On aime beaucoup les fées ou on aimait beaéucoup les fées et maintenant c'est nous

 (hommes ou femmes) qui sommes Fée ! On adore cette chose, cet état de chose ! on est ensemble d ans l'adoration, l'amour de cette chose. On est devenues fée, on est passées et du coup nbous volià deveunes fées ! 

On est nées fée ici, pré, prairie, sorte d'enceinte cloturée, fée parmi des bêtes, fée des fées. on regarde ensemble au loin. on a méga encvie de comprendre les données, ce qui se trame , en vrai, pour nous, en tant que fée. on a super envie de cerner les données de base d'une sorte (pour nous) de destinée à travers la lande : qui on est et qui on est pas, pour nous cette chose a bre&ucoup d'importance. on a envie de s'avancer, d'en avancer, d'avancer ou donc de s'avancer dans les connaissancesz. qui on est, qui on est pas. Ce qu'être (dans ce pré) signifie, en termes de dponnées l acustres. ce que d'être en vie (dans un pré rempli de bêtes-poids et autres bêtes-masse) signifie. On file ! On est nées ensemble au passage, ici même en ce pré aux bêtes de masse ou aux bêtes-masses, on regarde deva,nt nous la chose comme se ddessiner, on essaie de cerner au mieux toutes les données qui se présentent, ce qu'elles signifient, ce qu'elles recouvrent en termes de présents donnés, déposés ou dispôsées sur une sorte de "parterre terminal". On est accolées parce qu'on est nées (de rage, on diraiot) dans un pré, sur de l'herbeb à 

brouter, nues comme des vers et quasi velues comme des bêtes, ou comme ici ces bêtes (cervidés ?) qui sont celles qui ne cessaent en vrai de nous mater ! On est toutes deux allouées, allouées à un pré, à l'herbe, aux bêtes des prés, aux fleurs parfumées. On est nées sur herbe, et une fois nées on est bien obligées de nous redresser, d'en avancer, de tracer, dev marcher ebnsemble eh bé oui, vers cette roche terminale, roche d'enceinte ou d'enclave, aller au plus vite vers e,lle essayer de la 

comprendre, de comprendre cequ'elle représente, ce qu'elle est, ce qu'elle cache, ce qu'elle recèle en fait de données suprêmes. on est deux femmes sur un pré, qui (du coup) vont et viennent, se promènent, cherchent sans cesse à se rapprocher d'une sorte de donnée finale qui est cette chose lointaine mais pas tant que ça een vrai , qui est ou qui serait cette sorte de "pa ssage aux fées", ou p"passage des fées", tout au fond du pré, à même la pierre, dans le muret , dans la pierre du muret une sorte d'anfractouosité qui serait comme une sorte de portière, de porche tracé, de porte "au fées " ou "des faits". On cherche ! IOn est pas encore arrivées ! on est loin du compte. on a envie c'est sûr d'en découdre et vite, de savoir (ensemble) vite fait, de vite fait comprendre ou

 savoir ce qui est qui , du coup, devant, semblerait vouloir nbous attezndre , semblerait presque nous guetter pour nous surprendre

 , nous crocheter, nous attrap^per. on est nées sur pré parce vqu'on est passées , on est nées de base ensembkle pour former la Fée dite "des prés". On est deux

 femmes, à la retombée, formant une Fée allouée à un pré aux bêtes de somme. On peut dire qu'on est bien ezntourées ! On voulait cerner ce qui est, ce qui est sur pré, eh bé voilà ! des bêtes de bon poids, bêtes de somme sans tralala, bêtes simples, placides, broutant l'herbe folle, cherchant à brouter sans ceese de cette herbe dxes "prés aux fées" et comme nous lorgnza,nt de biais tandiçs qu'on progreese , accolées, serrées, main dans la main, au milieu du pré, dans la luzerne. on marche traquet traquet. On est deux femmesc allouées (disons "allouées") à un pré qui est le "pré aux fées". On aime aller, marcher, s'acvancer, c'est pas un problème. On adore se promener, se balader, faire des découvertes, regarder autour de nous ce qui est, ce qui est en termes de végétation ou de faune attitrée . on aime les prés. On a envie ensemble de cerner au plus près tout ce qui est ici, 

qui nous cerne, nous contient comme accolées, serrées dans la luzerne. On aime marcher main dans la main à travers les prés, à travers les champs, dans l'herbe à brouter, dans les cimet§ières et autresc enceintes. On est des fées nous -mêmes on dirait. On est comme des fées qui cherchons ensemble traquet traquet à comprendre , incidemment, un grand nombre de données, concernant la Rage, soit la RAge de comprendre, ce qui, ici, en nous, nous anime fortement et conhjointement. on est nées fées sur pré c'est un fait, et 

en plus ça rime ! On est nées sur une roche ou dans un pré (pré de roche) et, nées nues et 

comme déjà mentionné (plus haut), on est comme allouéess à une soerte de recherche ardue, de recherche dure, de recherche à pour le coup mener de front ensemble ici, conjointement, pour la bonne cause, c'est à dire dans le but de pouvoir ensemble dénicher sans peine , une sorte de "vérité des vérités" qui serait la vérité-déité co,ncerna,nt la mort, ce que la mort est. Ce q('est en vrai cette chose en vie dont le nom (ou nom d'emprunt) est MORT, LA MORT. On regarde. on veut se rap^procher. on veut toucher mais pour toucher il faut être nées et pour être nées il faut passer et pour passer il faut traverser , traverser à deux (main dans la main) la roche "aux données primaires " (celle des aurochs et auttres bhêtes de la préhistoire de forte taille). qui on est ? peut-^tre des fées ! on ne sa it pas. on a envie ensemble de tracer sur pré une sorte de sentier pouvant nous mener 

jusqu'aux confins, de préfrérence, alors voilà ! on trace ! on fonce grave dans le tas ! on a pas envie spécialement de trainer dans la souffrance mais en vrai tout le contraire ! filezr ! grave filer ! foncer à toute blinde pour ensemble chercher à comprendre par où on pourrait passer, et du coup trouver une sorte de passage "des "" confins" , "des données finales". on est des fées

 , on avance, on fonce ! On est devenues au passage des fées, au passage de loa roche ornée on est devenues fées , nues, dans un pré, comme déposées. on est entrées ensemble et à présent (ou maintenant ) qu'est-ce qu'on fait ? on dira qu'on fait pitié ou peut$-p^trte pas mâis on est là, on cherche sans ceesse, on ne lâche pas le morceau, on en veut ! on veut t§oucher à cette sorte de donnée qui serait sorte de déité , déité des déioté, liées à la mort tracée. On regarde ensemble ce qui est tracé. est-ce une b ête-mot ? est-ce que c'est unmot , mot-bête ? On est accolées. On est nées dans un pré accolées ! On est nées dans un pré dont le nom est "la mort" accolées pour former la Fée. Deux femmes accolées forment la Fée ! Deux femmes qui, accolées (main dans la main) forment une Fée dite "des prés". on avance !nOn cherche grave ! On est ensemble pour comprendre assocxiées et du coup, on trace ! on fonce ! on va ! On ne traîne pas 

mla savate ! On a envie que les choses avancent, aillent, se forment, se trament, se goupillent ense"mbvkle , pour ça : comprendre ! comprendre ensemble, ensemble toucher à une vérité de poids, faire ainsi que les choses ici 

b as (france ?) aéillent ... ou pas ? On mate ! On est ensemble. On est nées sur place (

France"). on a supezr envie de comptendre ensemble, les données qui se prése"ntent et semblent nous parler. Comment on pourrait faire ensemble pour comprendre ces données ? comment

 en vrai ensemble on pourrait faiore pour toucxher à cetre chose d'une vérité des vérités ? On est nées dans l'herbe fraîche au milieu des bêtes. On voulait en avancer et cerner les données, treacer, dessiner à main levée ces bêtes

, mais pour dessiner il faut cerner et pour cerner il faut passer ! il faut travezrser ! donc : on traverse. Et du coup on se retrouve nues ou cfomme nues au milieu d'un pré, quasi à brouter de l'herbe ! On est nées da,ns l'herbe à  quasi brouter comme des bêtes ! c'est un truc ! ça réveille ! On est p)assées et nous voilà comme "considérées" (de fait) par un troupeau enteier de bêtes (de somme) dans un pré ! c'st ouf ! On mate ! 

à notre tour de mater. on a envie

 de nous rapprocher de toutes ces bêtes des prés pour leurr pa rler mais commenjt en vrai par(ler à des bêtes , à ces b^-eztes des prés, prairies, bhois et sous-bois ; comment ? on ne sait pas ! on nje sait pas (encore ?) pa&rler le langage des bêtes . le langage de certaines bêtes. on aimaerait beaéucou!p savoir m ais voilà, c'est pas (encore ?) le cas, hélas ! on pourrait se comprendre, se dire xdes choses à priopos du monde, des données de vie, des données concernant la vie, mais comment quand le langagfe est inexistant pour ainsi dire, quand les possibilitées langagières ou verbales d'échange, entre humains / humaines et bêtes, n'existe"ntb pas, ne sont pas : comment ? on est nées dans un pré. On  vfoulait tracer sanns trai^ner puisque, de toutes façons, c'est (précisément) ce qu'on a à faiore, ce qu'on à a faire de plus urgent on dirait, mais il y a les bêtes, ces bêtes des prés, qui nous retiennent, qui nous intriguent, nous plaisent, nous font lambiner un peu près d'elle parce qu'on les aime et aussi qi'on est super curieuses de mieux les connaîttre, de savoir en vrai comment elles sonrt de près, ce qu'elles font à notree approche, ce qui les interessent bquand on les approche, si on les effraie ou pas  : au contreaire, si on les attire, si (même) on leur fait envie. ON est comme des fées-

surprise ! on est nées dans un pré (la mort) fée ! on est nées fée dans un pré (ou sorte de) : la mort. Pré = MOrt (on dirait ou on dira) . On est nées dans la mort ... FÉE ! On est nées fée (une fée) dans un pré qui est le pré dit "de la mort" , ou même la mort. Mla mort ou le pré, c'est la m-eme chose. La mort est un pré, une enclave, 

enceinte, bois et sou-bois. Murée ! Muraille tout autour d'un pré ! On est donc nées (à nottre mort) dans un pré cloturé qui est pré ou prairie aux fées. On est  nées de fait  dans un pré qui est le pré de la mort à l'ouevre on dirait ! On est ensemble (dans ce pré- ) accolées, pour former la fée. on est , deux femmes = elles = ailes, formant fée ! On veut cerner c'est une évidence ! on a aucune envie ici (puisqu'on y est !) de passer à côté mais au contraire profiter d'être nées en ce pré pour cerner = toucher à une sorte de ... denrée ? opffrande ? un présent donné déposé ? on est ensemble pour former la fée, celle de la Romance, des Chants gaisz, des musqiques tendres, douces et sucrées. on veut ensemble en vrai nous approcher le plus possible si possible d'une vérité qui saurait nous donner en toutes lettrees une (sorte de) solution à un probmlème qui serait le problème de la Destinée, le problème des données données par (peut-^tre) une (sorte de) déité des déités ! On est colère ! on est excitées à l'idée de connaîttre,

 de nous approcher de cette vérité, de cette déité des déités, alors même qu'on a pas envie d' y passer mais plutôt de perdurer à jamais en ce pré aux fées. Ce que nous on aime c''st de durer et pas du trout d'y passer. On est ensemble accolées aussi, parce qu'on veut le plus possibloe durer, nje pas sombrer dansz l'adversité mais chercher à toujours toujours tenir tête, à se redresser, à en avancer sa&nzs traîner, à faire ainsi qu'on soit toujours sur pied, colère peut-^tre mais sur pied, dressées, fée dressée ! et pas mise à pied ou foulée aux pieds ou même décalquées ! On a envie ensemble de durer (dans ce pré)pour cdomprendre, soit nous rapprocher de cette "déité des déité" dont en vrai on dira que le nom (pour le coup) est (de fait) "la mort du bout", ou "la mort ici du bout du bout". On est touchées ! On a envie ensemble de caracoler, en tête de proue, pour ici (pré) comprendre (debout) tout un ensemble de données données comme par la bande par iune sorte d'entité de base, pleine de charmes et pleiine de grâces, dont le nom swzerait (peut-être  ? qui

 sait ?) D2ITÉ DES DÉItés.  on essaie grave de comprendre ensemble mais c'est pas gagn"é c'est sûr. Pour en avancer (dans les connaissances) le mieux c'est peut-^tre, oui, de tracer-dessiner par la bhande, sur rocher , roc ou roche des prés, les animaux de la pa rade, les b^$etes de foire, les bêtes-poids comme sus-nommées. Et foncer ! courir ! vite sauter à tr&vezrs la roche et se retrouver peut-êyre en effet sonnées mais qu'importe ! on est nées fgée aprèes"" la roche ! On est passées  et du coup on est devbenue fée ! C'est un truc ! truc de ouf ! On avaiyt cegtte chose, en nous, de (pour le coup) vouloir (grave !) travezrser la roche (à la une à la deux !) , eh bé voilà ! ça , c'est fait ! c'est acté ! On a passé le bout de son nez et zou, le coprps en entier et on est passées ! on était au singulier (un homme ou une femme) et une fois passé (passée) , c'esst-à-dire né (née) , bnous voilà plurielles

 ! c'est-dire "elles" = ailes = deux ailes pour une fée allouée à un pré ! préambule; On est nées dans un pré qui vient après la roche orné , et précède la paroi dite "des fins de pré", ou paroi "des confins" (en vrai, il s'agit de lma même paroi comme dèjà paassée tête preùmière, la paroi des rois, cloture-paroi, paroi d'enceinte). on veut toucher ! toucher la paroi ! On est là colmmme dans un cime"tière ( ON EST dans un cimetière !) et on 

a super envie ensemble d'y aller, de courir à peerrdre haleine vers (du coup) la roche ultime, der des ders, qui est roche des confins, qui est roche à (encore !) travezrser (ensemble) pour la bonne cause ! comprendre , cerner, cerner-tpoucher, comprendre-toucher, etc.On est là, deux femmes, pôur ça , et grave ! On a pas envie spécialement de perdre la face , on veut tenir xdroit, ensembvle, dans nos sandales ( même si vcoilà, de base, on est nues ! cul nu !). On veut comptrendre parce qu'on veut tracer ! = en avancer (dans les connaissa&nces ) sans traîner la patte. QUi on est ? des femmes du sable ! On est nées sur pré pour comprendre (grave) les données les plus enfouies pour ainsi dire dans la lave, dans le xable, en ces contrées (pays) sages. on est deux femmes ici comme à la retombée szur sable , mais comment cerner, toucher, aller, sinon (peut-être) en faisant ensemble, l'effort intense de nous redreseer sans traîner comme à la parade, et ;... allez ! on trace ! on ne traîne plus 

! On en avance cul nu, quelle importance ! ce qui cfompte c'est d'y aller , de marcher, de tracer sur roche, de ne plus co:mpter à la dépense mais en vrai de foncer et sans se retourner ! On est deux femmes

 nues sur roche, et ce qu'on cherche ensemble ici est une chose que peut-^tre on aimerait garder pôur soi un temps , afin de bien la mesurer, la jauger, l'explorer, avant de dicvulguer au tout-venant la chose sur pied ! On est deux femmes nées pour être fée (une fée) sur roche, et voilà la chose ! On est fortes ! on fonce ! On est nées pour foncer, tracer, filer à grandes enjambées. On est ense'mble pour percer la roche finale associéesw. on est comme assqociées (ensemble : main dans la main) pour essayer (si possible et vite fait) de toucher à cette vérité dite "des parois dites des finalités". mais que sont les finalités ? qui voi!t bien ce qui est en ces confins ? qui sait, ce qui est en ces confins ? qui comprend les choses bien ?  qui comprend par le menu, les données premières , et les données dernières ? qui ? On est des bêtes de praoerie. 

On pète. On est bêtes-mots. On est fée de base et bête-mot. On est ensemble dans un pré , on se ressemble ! On est deux fgemmes nées sur roche (pré) ensemble (accolées) prêtes à tracer (filer) vers la roche finzale. ON se regarde . On est des fées ensemble dans la lande. Fée. 

on est ensemble fé&e, formant fée, deux femmes pour une fée/ 

on a envie grave, de comprendre les données. On est nées des fées ok, mais qu'est-ce que ça veut dire ? qui peut donc nous expliquer sans nous berner ? On nous dit ici ou là qu'on est nés fée, qu'on était singulier (au szingulier) et que voilà, nous cvoilà p^lurielles = deux ! d"ux fezmmes ! deux femmes formant la Fée. En résumé on peut avancer qu'en vrai la Fée (dite "de la mort acquise") naît, à l'arrivée sur roche, de deux eailes de poids léger ! ou sinon de quoi d'autre

 en fait ? On a envie de cerner ensemble plein de choses qui pourraioent nous indiquer paroù passer ou par ouù nous immiuscer pour arriver à pour le coup cerner une sorte de vérité (en transe ?) mais comment passer ? comment on peut faire pour passer ensemùble ? On est pas nées pour nous cacher; on veut se montrer, t§oucher roche, aller profond, connaoitre la chanson 

des rocs, le chant mooncorde (qui sait ?) qui seréit celui d'une sorte de TRONC, de BUSTE-MOT, DE BUSTE_ROI, REINE DES MO0TS DES BOIS ET SOUS_BOIS ! Qui est qui ici ? va savoir , va chyercher , va ! va comprendre ! On regarde ici ensemble parce que voilà on veut essayer de passer, qui iun oeil qui le nez, à travezrs la roche (voir / humer) mais en vrai, pas s-ûr que ça suffiçse pour (pour le coup)c  erner de près (serrer) une vérité, sur ces contrées dites "dee la mort à l'oeuvre" commê sus-nomm^ée. on voudrait ensemble, c'est une évidence, tra cer, toucher etc., la roche, la paroi finale et passer et du cfou!p comprendre (découvrir) ce qu'il y a après , après le pré, soit après la mort. Parce que si la mùort est une enclave dans la vie (ilot ou ile) alors la vie apres la mort repren ses droits (quelque chose comme ses cdroits) la mort passée. Mais d'abord, peut-on parler de "mort passée " ?? doit-on parler de "mort passée "? Qcommenjt parler ? Qui sait ce qui est ? On se dit que la mort une fois passée, on retrouvera (peut-être) la vie. On se dit que , une fois la mort passée, on retrouvera (qui sait ? ) l a vie qu'on avait comme laissé de côté , m ais est-ce que c'est  vrai ? on se dit que voilà, la mort est

 là comme une sorte 

(peut-être) d'enclave (un ilot) au sein de l'océan de vie ou de la vie, de l'infini de la vie. on se dit qe la mort (pré aux fées) est un ilôt, au sein de la vie, en son sein cerné (comme dans  tout sein). Ca&r voilà, la mort (celle dont on parle e,ntre humains / humaines) est une enclave de type "ile", "ile" ou "ilôt", et du coup , est comme isolée, comme xweule ou isolée, au milieu d'une szorte de mer infinie, étendue, mer sans fin des étendues. On essaie enwemble de toucher à des données qyi en vréai ne sont pas tellement débattues tout compte fait, cela du faéit qaue la chose est ardue et pr$ete à rire , souvent. La chose souvent appelle le rire ! c'est même ce qui (en vrai) en fait une sorte de ... comment dire ? repoussoir ? 

On cherche ! on est comme (toutes deux) ibvres ! on est comme rendues ivres, de par ce savoir ou de par ces rechersches  menées de concert, nous deux ensemble, dans un pré, sur roche, jusqu'à plus soif on dirait et du coup voilà, on est ivresz, pompettes grave ! on roulerait presque sous la table tellement on est saoules (ou saoulées) ! On a envie de décuver ! on veut se poser. On est comme deux femmes allouées à une sorte de donnée de rage, mais nous on veut tracer , aller, courir vite, sortir de cette il ! On ne veut plus rester

 ici ! on veut quitter l'ile (ilot) aux corbeaux ! aux mots ! On a envfie plut^$ot (que de rester) d'aller loin nous projeter dans le futur (peut-être) comme dessiné, au loin, sur uun rochezr, par un êtte néandertalienn (un mot = une somme = une bête de somme). on a envie de base de nous échapper et d'aller, de filer, de passer de  l'autre côté et du coup de revenir (revenir ?)- à la vie antérieure, )à la vie avant la mort (si elle existe mais on dirait). On Veut aller loin &près la rive ! On est deux filles pour une fée (hformer une fée) , duu coup on peut nhaviguer, flotter, voler, flotter da&nsz les airs, ramer, aller, filer vives ! faire le chemin quy nousz plaît, et du cfoup sortir du pré. si on y arrive ! cfomment faire pour sortir du pré et filer ? On est nées filles (femmes = elles) sur une ile (il) , un pré, le pré dit "des fées". Qui est là pour nous dire ce qui est en vrai ? On est nées filles sur pré allloué à une

 vérité "divine" ! On aimeraiot passer de l'a&utre côté mais comme,nt on peut passer qua,nd on est comùe clouées  /rivées à une ile ? On a encvie ensemble de comprendre

 les données utiles. On trace e,nsemble des bêtes de roche. On veut toucher à cette chose d'une sorte de paroi finale (der des ders à la pârade") : ça le fait ! On vgoudrait comprendre et du coup toucher. a cette déité des déités ? peut-êtte ! On cherchen! on est pas encore arrivées au bout de nos recherches. on a encore fort à fair". On  veut monter, grimper, sortir la tête, comment fzaire ? on est deux fe"mmes cflouées ou comme clouées dans un cimetière auxd données cezrnées, mais nous on voudrait grave s'échapperr , ne plus rester comme fixées à une sorte de cloître coincé, mais vite fait filer, sortir la tête, chercvher l 'air "et le reste" comme qui diréit ... et, c'est quoi , "le reste", en vrai ? l'air et le reste : une sorte de donnée de

 rage, souffle saint, vent de face. Est-ce que c'est ça ? ce train de rage face à soi ? Ou alors autre chose dont on ne sait au fond pas  grand-chose? on devinera un jour ce que c'est, qui sait ? et du coup onn pouurra en parler sans g-êne, crainte ou retenue, tellement on sera sûres, sûres du fait, de ce qui est, de ce à qauoi la mort ressemble

 en vrai : chance ? charme ? chant ? quelque chose qui comme,nceréit par ce "ch" aux données vives ? On verra bien ! On a encore pas mal de chemin ensemble à faire jusqu'au bout du bout tel qu'annonczé préalabloement par les instances du langage , de la langue, d'une langue en soi, d'un langage de base, langue parlée entre soi et soi. On sa&it pertinnement que le chemin en vrai est encore long, qui ne cessaera np)eut-^zetre jamais , qaui sait ? On trace ensembvle squr roche notre avancée. On est accolées parce qu'on s'aime. on ne veut plus se lâcher parce qu'en vrai on s'aime à la folie, sans haine ! On veut toucher à une vérité dite "de cimetière" si jamais, et cela : ensemble, accolées, montées, en transe, en transe si ja&ma&is. On est deux femmes nées sur pré la mort venue à la retombée ! on en voulait ! on a reçu ! on a eu ce qu'on esprérait ! On est moitié velues (cul nu) 

ça le fait ! On a grave envie d'y aller ventrues eh bé c'est fait ! on a été ! On voulait toucher à cette sorte de muret des bouts de roche, on y est arrivées et sans traîner parce qu'on fonce , on a l'habitude de foncer , on ne fait pas dans le traquet-traquet , ou parfois, mais en vrai, le plus souvent, on fonce ! on ne lambine pas ! on envoie! On est motibvées lancées ! On est là pour tracer (sur pré) pour (en vrai) en avancer dans cette cchose d'une vérité allouée à une destinée (à une déité ?) qui seraéit"de roche", dite "de roche". On veut toucher , ou on voudrait toucher à une chose quyi serait, ici, une chose nue, complètement nue, peut-^tre velue mais pas forcément. toucher à une chose qui peut§être sera&it nue, nous intéresserait énormémeément parce qu'elle seraéit comme une sorte de choses sachanjt parler et du coup dire ce qui est question vérité, ce qu'est la mort en vrai, ce que c'est que la mort en vrai pour a&insi dire. Si on trace alors peut-^tre que (qui sait ?) des choses arriveront peu-êtrre à se révéler ou être révélées, des données, des données de base viendront comme affleurer la surface et du coup se donner à 

compre ndre. On essaie d'en avancer de base le plus possibhle ensemble pour comprendre. On avance grave ! on essaie du moins, de (grave !) tracer un chemin sur sable, sur roche des pré"s" ; on trace ! On est d'ux femmes ensemble , ama,ntes , amoureuses des données, mais surtout amoureuses "des nénés des fées " (?) qui (pezutêtre ?) commandent à "déité" (?) on ne sait ! On avance parce qu'on est ensemble , on cherche à comprtendre . Qui est qui en ces dites "contrées aux nénés" ("nénés des fées" ? ). O,n est passées ensemble parce qu'on le voulait, on voulmait passer et voi!là, on est passées, on a travezrsé la lande, on a 

traversé le pré, la praierie des changes. On est à présent au pied de la pa'(oi finale dite "de circonsrtance". On

 regarde de près les anfractuoisités qui se présentent. On essaie de paqsser (d'y passer) le bout du nez, on tente notre chance. On veut (on voudrait) voir ce qui est. A quoi ça resseemble de près au jugé : à une langue ? On regarde. on a envie de passer la langue, oui. On est arrivées enxsembvle jusque là pour peutêtte en effet )asser la langue. On est arrivées ensemble jusqiu'à ce muret, pour peut-être en effet passer la langue (lécher  ? la roche finale ? ) . Qui sait ?  On est accolées et on essaie de travezrser e"nszmbvle un vcertain nombre de données. On a grandi ensemble ? on a évolué, on a grandi et évoluédans ce pré, et nous voilà comme dépôsées au pied d'une muraille ! hé ! on ne sait pas ce qu'il en est en vrai m&is quand même ça le fait ! on dira (même) que ça le féit gra&ve ! ça le fait des masses ! On est nées ! nées de rage ! on est nées de rage sur le sable, dans un pré, sur l'herbe des prés, de rage allouées à un pré, à de l'herbe à brouter, herbe à vache. On est nées dans l'herbe des prés près des bêtes de pré. On est bhêtes nous-mêmes (à la retombée) -on dirait, et peut§-^tre qu'en vrai on le sait au fond de nous-^mêmes sans avoir

 à le rechercher ou à le chercher ou à le retrouver, car en nous, on sait, on saurait, on devinera&it, on a&ur&ait acquis, on a&uré&it des acquis à jamais ancrées mais dont on ne voit pas toujours d'emblée (une fois en vie) les données, les composantes affiliées, les tenants et les aboutissant(sz. On ne s ait pas toujours en nous vfoir ce qui est, ce qui pré-existe, ce qui est tapi, ce qui est enfoui, contenu et su (de nousz) au plus profond de nous. On ne s ait pas tout. On cherche à comprendre, cerner loin, mais c'est sûr que plein de choses en nous restent encore à comprendre, cerner et déchiffer. On est pasvencore arribvées au 

bout des connaissances. on veut en avancer c'est une évidence mais comment en avancer ense'mvvle zans tracer, sans foncxer , sans filer  ? On est ensemble sur un pré (posées) et on regarde autour de nous ce qui se présente" question bêtes des prés, et aussi paysage, et aussi 

les lointains , ce que c'est, qu'est-ce qu'il y a au loin qui nous regarde ou paraît nous regharder comme de biais. une muraille ? on dirait. enceinte globale ! une sorte de muraillle almlouée à une forteresse (un fort), cloturée. On essaie d'en avancer gtrave. qui on est ? on sait pas ! On croit savoir mais au fond de soi on ne sait pas , car on est '"en transe", on est hantées, envahies, occupées. On est comme envahies en nous par du la,ngage, par des données de rage, par mille et une données allouées  à un passé , à du passévde contrebande, et donc, ici, ensemble, on est comme confrontées à une image, à l'image d'une sorte de convoi (en szoi) qui est convoi dee base "méchante", , une sorte de convoi de rage ("méchante") qui sezrait (du coup) là, pour nous, nous aider (fissa) à comp)rendre, un certain n ombre de donnéesz de poids qui pourraient (en vrai) nous donner pour le coup à cfomprendre (sur paroi) ce qui est et ce qui n'eswt pas. jE 

Je suis là. Je cherche. Je suis arrivé. Je veux comp)rendre. Je suis né. Je suis né sur roche des données. Je regarde au loin ce qui est qui semble ou semblerait vouloir me parler , on dirait. Je suis née fée e,n tanrt que telle (avec des ailes) sur un pré ou dans un pré (cimetière) isolé. Je suis née

 fée de cimetière. Je suis une fée. JE suis la fée dite "du  cimetière" (mouche à merde ?). On est nées sur roche allouée (à une déité des vérités) et nous voilà devenues ...? fée ! UNe fée ! Fée des bases tracées ! Je regarde. Je" vois devant moi ce qui est qui me regarde, qui est là pour moi on dirait , porte p)ersonnzalisée. On regarde = on est. On a envie grave de comprendre un grand nombre de données, mùais pour comprendre on doit s'accoler, c'est à-dire se coller ensembvle, s'épouser pourvainsi dire, faire en sorte que voilà, ensemble, on fasse corps, à la une à la deux, sans plus sourciller ! On veut aller ! on veut tracer ensepmble et toucher, par la fenêtre, à une deéité postée derrière ! Je ne saios pas qui on est mais voillà, on est, puisqi'on naît ! et qu'on naît dans la d ouleur, peutêrte ! ON veut coller ensemble à une soerte de paroi "m'euble" afin de (pour le coup) arriver à passer. fEmmes on est à la retombée, deux f"mmesz, alors mêmes que judsque là (avant la traversée ) on était femme (une) ou homme (un) mais (du coup) toujoursz

 au singuliert ! c'est étra,ge ! On veut passer ensemble à travers la roche finale pour cdomprendre, cette fée, cette sorte de fée qui est donc la fée dees données tracées sur roche des prés, cette fée, comênt la cerner, qui elle est, que penser de certte fée des rages allouées à une Romance ? On acavance ensemble. On a envie de gagner grave du terrain, jyusqu'aux données finales, pariétales , ultimes, terminales. IOn a super envie de comprendre 

enszmbhle les données finales, ce qui est qui se pavane ou comme se pavane ou se pavanerait en roche finale, en cette sorte de paroi des fins et des confins. On est deux fe"mmes ! Deux femmes formant FÉE !  on est donc fée nous-mêmes. On est fée des ragesz et on trace. On est insulaires. On a envie d'aller ensemble loin en ces contrées toutes liées à des savoirs "loi ntains", c'est-à-dire enfouyies, encastrées, serrés, plo,ngés, cachés. Femmes on est , qui voulons comptendre ! On regarde les nénés à lait, à téter. Les nénés à lait = à téter. on regarde les nénés à l&it, on veut téter. On a& super envie de téter aux nénés de la vie déployée, déployée sur pré (pis des vaches pour ne pas les nommer, en vrai). On est :

femmes dees prés, formant fée

femmes des données de base

femmes déplissées,accolées, formant Fée au singulier. On est ELLES / AILES qui formons en vr'ai une fé&e aux ailes. On a envie ensemble de tracer sur roche, à la volette, des données de force. On veut toucher à une sorte de donnée rupestre, donnée des données. on reg ardee ce qui est ense"ùble sur rocher, r('oche allouée à une vérité divinatoiree (ou pouvant deviner des vérités et les évoquer). femmes des prés, fées. femmes-fée des p^ré : on est nées ! On est mortes et enterrées mais voiloà .... transfoprmées (fissa) ennfée des prés ! c'est ça ! ça envoie ! ça le fait sans se gêner. On regarde tout autour de nous le paysage. On a envie grave de comprendre ensemble ce qui est autour de nous qui semble se montrer ou vouloir se montrer comme à la parade , mais est -

ce que c'est vrai ? on est là , motivées, on regarde, on regarde l;oin les données qui sont (on dirait) tracées comme à ma&in lev&ée, en tra&nse, par (qui sait ?) des ... bêtes .? Bêtes-reines ? bêtes des prés ? On ne sait pas ce q'il en est mais bon, on cherche au plus près à comprendre et à cerner les donnéesz f(ontales (pariétales) telles qu'elles se présentent de concert , en vrai, à notre gouverne qui est , pour nous, comme un sens (inné ?) des données à déceler sur roche des prés. On cherche vaillamment et sans traî n er , à comprendre ce qui est ici (pré) en  termes de données finale. Qui on est ? eh bien, peut-^ettre, des agents du charme ? agents / agentes, c'est-à dire des agentes ! des agentesz allouées à une sorte de divinité incantatoire. On est deux femmes ensemble ici nées à "la vie dans la mort" par une sorte  de ... donnée, 

pâr une sorte de donnée, de poussée, 

dee rage, de poussée de rage ou de donnée de rage, pouvant , en vrai , exoplioquer ici, cette sorte de passage comme, on l'a vu, évoqué plus haut, en termes de "chance, chant, charme". On est entrées ensemble dans ce prépar chance, ou bien par le charme (ou du fait  du charme) d'une fée, d'un chant, d'une sorte de chant comme chanté par une fée, ou comment ? On est passées ! on a mis le nez, puis le reste, et voilà ! On a réussi à traverser ici ce rocher des données dessinées (bêtes des p^rés) p)ar des eêtres d'il y a des milliers et des milliers d'années. On s'est retrouvées de fait à la retombée, dans un pré, pré d'herbes, au milieu des herbes, des vaches et autres mammifères, on est nées ! On voulait traverser c'est fait !! et là, 

on se retrouve transformés en fée ! fée insulaire ! c'est ding!ue ! On voit les choses se tramer, et parfois on est concernées, concernées de base et comme au pre"mier chef. On est nées sur pré Fée, transformé en fée, et nous voilà qui voletons en direction, direct, des roches (finales) de l 'enclave (enceinte) où l'on est tombées, ensemble, )as plus tard que toutt à l'heure (= une vie). Unevie d ans la mort). On est deux fe"mmes ensemble accolées , à la colle, afficxhées, qui sont enswemble dans la vie "de la mort allouée à une prairie". Qui on est ? deux fe"mmes des prés. On veut ensemble aller si possible loin dans les connaissancesz à (ici) developper enxsemble concernant ce qui est sur pré et ce qii n'sst pas, et auusi ce qui est qui nous reseemble , sur rocher gravée. Traits . Mains/; FAces.Dessins. On veut ensemble aller loin, de préfére,nce. On a envie de faire enwsemble un bon bout de chemin en ces connaiçssances, ou sur ce chemein de la connaissance des données rupestres et autres destins frontaux pariétaux. Ce qui nous retient (ici) c'est (en 

dehors de l'envie de tracer) de comprendre, loin et profond, ce qui est "en face"", sur roche finale, qui nous regarde ou para&ît nous regarder. On ne veut pas tremblert, on veut tracer ! On veut aller ensemble, toucher de connive,nce, ce qui est sur roche à nous attendtre . On est nées 

pour tracer ! On est nées, dans la mort (le pré des fées) pour tracergr ave les données rupestres qui nous apparaissaeent ici en transe. Dans la transze. ON regarde et on s'aperçoit, voilà, que ça va ! que c'en avance ! qu'on peut aller de  base ensemble et main dans la main sans y perdre bêtement notre latin ! on pêut touccher de près la bande ! on peut se rapprocher, sa ns trainer, de cette roche des données finales, paroi des parois, der des ders; la toucher et la creuser afin de passer, soit  de passer le nez, la bar'be, une mèche peignée, doigt de pied, sexe dressé, sourcil allonghé. On veut passer ensemble (nous deux) nos "nénés " (qui 

sait ?) pour ici allaiter le dieu alloué à une sorte de muraille aux données ancrées. On est Femmes 

aux données lactées. On veut coller , ici, à une Déité

 des données ancrées, pour l'allaiter, pour lui donner du léit (nottre lait) sans traîçner. On regarde de base ce qui est, la fente, le passage, le hjour dessiné, le's données de rage, et du coup on ch arge ! On a mega envie ensembke de passer ! traverser ce muret "de la chance, du chant et du charme" pour ensemble nous téléporter (du coup) de l'autre co^té, côté mer des âmes, mer allouée à une vie après la mort (qui sait ?). On veut p asser, soit trépasser, mais ici : passer de la mort à la vie . Il y a ainsi pour nous une chose qui est, en vrai, à ne pas sous-estimer, et cette choswe est du coup cela, qu'il nous p^lait d'évoquer sur paroi. Cette chose , est une chose déposée : animal des prés et prairies bvoisées (ou pas) allouéeés à des bêtes de poids et autres bêtes aux données rupestres. On voit ensemble loin,le tracé frontal. on veut comprendre, on veut toucher : on va ! On veut a;ller ensemble là-bas (lointains frontaux) pour comme retrouver un air des données qui étaeint celles (avant la mort) qui nous appartenaient , ou quelque chose de cet ordre. On veut donner de soi , donner de son soi, donner grave de son propre soi, à cette sorte de face de rat ! On avance ! On trace ! On nest a&

ccolées (deux femmes pôur faire une fée) et on avance : on fonce oon file, on est vives ! on vole ! on s'enviole ! on entre en tra,nse = on s'enviole ! c'est-àdire qu'on lévite ! On est npassée ensemble, à travers la roche primaire, on passera ensemble sans forcer (on l'espère) à travers la roche secondaire. On est devenues Fée, (de base) par la bande animalière d'une roche orneme,tée : on peut le jurer (le certifier) . On est nées fée du fait qi'on est mort (du coup mortes ?) . On est mort en ta,nt qyue tel, nous voici nées (deux fe"mmes à la retombée) formant Fé"e , du fait que nous sommes, nous (devenues), des ailes (elles) en vrai. On devient Ailes ,

 la mort venue (cul nu). O,n vole, on volette ! on aime ! on file ! on trace des traits, on est nées pour être fées, fée des rêves. On veut toucher à  cette sorte en sooi de déiité des cimetières et autres champs dits "réservéés". Qui on est ? Une fée, à nâitre. On est commê une fée alloué à une sorte de contrée (un cimetière) insulaire !On veut aller loin vers lles données données des cloisons dernières. Si possible entières, sans flancher. on est femmes des prés, on veut toucher à cette déité post-cimeetière. On veut l'aimer, loa toucher, la connaître ou la reconnaîttre. Qui elle est ? à quoi ressemble-t-elle ? quels sifgnes sur elle la distingue ? qui la connaît sur terre (ou qui, sur terre, la connaît  ?). Qui sait ce qu'il en est de ce t espace post-cimetière : vie après la mort ?Car, on dirait volontiers que la mort , est une sorte de .. passage forecé, ancré, prélude à une destinée (éclairé) d'un après -cimetière. On

 comme,nce à se le demander. On se dit que peut-^tre en effet, la terre est une sorte de pré (entier) dans lesquel viendrait s'insérer une sorte d'enclave $tracé au pied levéé p)ar une sorte de divinité rupestre : qui sait ? Ou alors autre chose : un ocean ? On essaie de deviner. Qui on est. C e squ'on cherche en vréi à faire . qui on voudrait être. Ce que c'est que cette 

déité dont le nom déjà ("Déité") nous effraie. On veut ensemvlble si possible aller pour (du coup) se rapprocher d'une sorte de bête des prész dont le nom (en vrai) est (serait) "Déité des Déités", qui sait ? On regarde ! on trace ! on dessinhe des traitsq. On veut comprenfdre, cerner, prendre et aller. qui on est en vrai ? on ne sait pas mais ça n'empêche pas qu'on cherche ! on y va ! on creuse l:oin ! on veut ensemble creuser loin, dire et faire sans pleurer, aller enswemble de son pas p)rincier, chercher la bête, "le denier des bêtes". On cherche ! on a envie (méga) de trouver à cerner ce qui est sur rocher, sur roche pleine, sur paroi ornée et autres murs des cavalcades ici creusées. Femmes = données. Données = femmmes. On est comme allouées à une destinée frontale , on ma&rche ! On est passées d'une sorte de pré (her b es et fleurettes) à une sorte de rocher, de roche (terminale) au nom qui reste de fait à apprendre ou comprendre ou trouver allouée à un nouvrau passage, celui de la mort à lma vie renaoissante. Quand on meurt on dit qu'on passe, mais passer ici est un m oment donné , à dépasser. On entre en transe, on se retrouve Fée ! Fée des prés ! On aime êztre Fée ! On est devenues Fée du fait de la transe ! On est entrées (nous deux) dans la transe, et nous voilà à présent transcformée, en une sorte de fée "des données de base". 

nous voilà aimées ! nous voilà comblées ! tenues en révérence ! On voulait passer ensemble ("à la une -à la deux") la chose est faite désormais et pas qui'un peu ! on est comme adulées pour ainsi dire en tant que fée en transe , uune cha,nce ! on est aiméez , adulées quasi, adoptées ! on veut tracer, per cer  et aller de l'autre côté; côté "sarde". Le côté des côtés "'sardes". Est-ce que c'est ok ? peut-on passer sans y passezr ? ju!ste changer de côté ? permuter ? peut-on se glisser sans du coup y passer  ? on  est nées fée la mort venue, on voudrait dès lors, e,n

 ta,nt que" telle, profiter des ailes pour nous envoler et nous libérer de cette enceinte (insulaire) dont le nom esrt PRÉ, le Pré, cette chose  allouée à une vérité creusée, de type trou de cimetière. On est femmes dees prész. On aéime tracer, à main levée, tout un tas de dessins de fées, de traits hachurés, de bêtes agraires, et passer , ainsi, pzar la bande, un messsage comme déposé . On veut toucher à cette bande de type animal, tracer a&u pied levé, et puis monter, léviter, grimper, alller tout en haut de cette sorte de par'oi frontale aux données capitales. On est fée de roche. Foi et fée. On est fée allouée à une foi. On est entrées dans un e paroi, on a creusé, on a traversé, on est passées ensemble à la retombée de l'autre côté : croix de bois ! On veut comprendre, soit toucher à une sorte (ensemble ) de vérité qui soit la vérité ici d'e 

la foi en la féee donnée . On est entrées. On veut toucher. On vole. on est fée de roche, fée des prés. On s"'approche des données finales, roche des confins. On veut coller , épouser la roche des confins. Passer.Traverser. Coller pour passer 

et traverser, et nous retrouver (encore fée ? ) de l'autre côté, toute retournée , qui sait ? 

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30/8/2024

On est deux qui en vrai sommes, pour le coup , accolées pour en avancer , car pour en avancer, le mieux ici (en ce pré) c'est d'être accolées c'est-à-dire soudées, prises ensemble, collées de près ou serrées de manière à pouvoir, du coup,  mieux aborder les données qui se présentent devant nous et qui (on le voit à présent) sont celles 

relevant  d'une sorte (ici) de "déité des déités" dont le nom en vrai est La Mort il semmblzearait. On est accolées parce que voilà, on a super envie ici de gagner du terrain en ce pré qui est ... le pré sur lequel, à la retombée, la paroi franchie, on a atterrri comme qui dirait, de fait, sur le cul nu ! on est tombées toutes deux cul nu en ce pré aux vaches, aux bêtes massives, bovidés des bovidés. On voulait traverser  la roche ensemble eh bien c'est fait ! on peut direça, on a réussi ensemble, sans sourciller et finamlement sans trop peiner , à traverser la roche, à passer de l'autre côté et à cerner du coup la plupart des données, des données de base qui, ici, sont comme déposées sur place, posées ou déposées, afin que des "meufs comme nous" , au bout du compte s'en emparent et en fassent bon usage. On regarde tout autour de nous ce qyui se passe = les données brutes, soit (tout près) ces bêtes pour le coup de bellke allure, bêtes-mots qui sont  les figures des lieux, = bêtes-masses. On les rtegarde le plus attentivement possible et  on essaire ensembkle de les app^rocher pour les caresser soit (aussi) les comprendre, les toucher du doigt ((un doigt suffit) pour nous rtendre compte (nous deux) de ce que ces bpêtes (en soi) représentent, ici, en ce pré post-paroi, en ce pré aux herbes folles et autres fleurs multicolores. On est femmes ensemble, qui allons pour (du coup) essayer de comprendre, ce qu'on peut de ce qui se trame, en ces lieux aux vaches et autres herbes de saision : on fait ce qu'on peut ! on est accolées pour comprendre

 mieux, pousser en ce pré, en avancer le plus qu'on peut ensembkle, et du coup tracer le plius viote possible vers peut-être ces confins sus-mentionnées qui sont donc des "finalités de roche" dirait-on. On avance ensemble , on regarde, on est là ensemble pour comprendre ce qui est, le plus possible, et ce qui donc se trame en cesz contrées de "bout du mùonde". qui on est en vrai ? 

des filles , des femmes allouéres à une recherche menée pour ainsi dire tambour battant, filles et fées sur pré pour ainsi dire, on essaie d'en avancer ensemble dans lezs connaissances et de travcer ensembvle une (sorte de) voie d'abord, un passage, un sentier vers cette Déité des Déités qui est la déité (qui sait ?) des données dernières, données des confins, des fins de pré, des ultimes tracés qui sont ceux de base qui , devant nous, semblent ou sembleraient nous regarder en face et quasiment vouloir (peut-être) nous parler du paysage, de ce qui est qui se présente , s'offre à nous , en fait de données. On mate grave ! On est accolées pour le coup pour mater et, tant qi'à faire, mater grave, espîonner quasi, ne pas se laiiser distrteaire ni accaparer par quoi que ce soit autour de nous mais tout le contraire, garder un cap, tracer c'est garder un cap, c'est filer, c'est en avancer sans traîner mais toujours en fait dans une même direction donnée. On veut essayer ensemble de comprendre les données qui se présentent, s'offrent à nous comme par la bande et semblent ou sembleraient vouloir nous attirer dans ses filets ! On est, ensemble, accolées comme une fée, comme fée des données, et on regarde, on voit autour de nous des choses comme se disposer de part et d'autres, et ces choses en fait sont des êtres allouées à une roche, des données de roche du coup, bêtes de paroi, bêtes ou bêtes-monstres plutôt puisqu'elles sont grasses et grooses voire énorme pour en vérité en imposer le plus possible, en jezter le plus possible, faire en sorte qu'elles puissent être vues, ou perçues, co:mme des êtres vifs ++ ! êtres de vie majeure, êtres de vie maxi et non cadavériques, ou même dégradées;, rien de cela ! On est passées ensemble à travezrs une paroi, pour vpilà (c'est vrai) comprendre ce qui est (autour de soi) en ce pré aux bêtes de poids qui (on le v

oi) en jettent grave ! font fde l'effet, montrent d'elles un côté qui sans se tromper impacte grave ! impacte énormément et du coup fait ainsi que voilà, la bête -somme ou sommité, se voit prise par, ici, la Déité, pour une sorte de vie majorée, une sorte de vie +, qui serait du coup adoubée ou comment dire ? par la mort soit la mort en personne ! On s'est rapprochées ensemble côte à côte d'une sorte de paroi finale ou terminale et c'est précisément à cet endroit qii'on cherche à, pour le coup, passer à présent, à présent on veut passer une fois encore, on veut traverser, gagner sur la roche dite "des confins" tesl qu'ils se présentent en dur à nos gouvernes. On est des fées de roche , on essaie ensemble de nous avancer vers ces données de bout de bout et du coup, cerner de près les moindres aspérités de cette roche qu'on a (qu'on aurait) sous nottree nez. On est passées ensemble, dans un premier temps, à travers "la Roche des Tourments" (liée à une vie terrezstre) , on a de fait atterri dans un pré (un pré aux vaches) et nous voilà à présent, qui avons gagné le roche dite "terminale", celle des confins, cette muraille des données ultimes et là, on regarde de près, on cheche u  n passaghe, une sorte dr'anfractuoisité par laquelle pouvoir s'immiscer si tant est, et du coup passer et du coup voir ce qui, de l'autre côté, sezmblerait vouloir exister à jamaéis ! On regarde ensemble comme on peut en essayant d'ouvrir nos yeux le plus possible ! On s'est app^rochées de cette roche des confins afin de comprtendre c''sstà dire voir, les données dites "données" qui seraient co:me à nous attendre, à nous attendre 

grave car les temps sont graves diirait-on, qui sont ceux liés à une siorte en soi de déité nacrée, sacrée, dont le nom à présent on le sait est "La Mort" . La mort en ces contrées. On essaioe de regardxer soit de passer un oeil à travers la roche. on a pas fini d'espionner ou d'essayer d'espionner. On arrive (à peine !) et en vrai c'est loin encore d'être gagné ! On veut ensemble regarder, derière la roche, ou diso,ns l'ultime roche, ce qui est, ce qui semblerait êttre et exister (la différe,nce enttre être et exister ?) et pour ça on fait corps en tant que fée ailée , voilà on est fée qui faisons corps ! on est ailées ! on est des ailes rap^p^rochées qui, ici même, devant ou ci-devant cette paroi ultime ou dite telle, cherchons à creuser ou (disons) nouys infilttrer, traverser la roche, la paroi de fin, la paroi qui sans doute est la même qu'à l'entrée sauf que voilà, on l'aborderaéit ou on l'aborde par un tout autre côté que par celui abordé à notre entrée, ici, dans le pré. Pour ainsi dire , on peut avancer cette chose, comme quoi la roche est ici posée, déposée, comment dire ? en forme de rotonde : on entre d'un côté (quel qu'il soit) on court on vole à travers le pré, ici, "aux bêtes-poids" ou praiorie "aux herbes hautes" (ok), et nous voilà du coup arrivées côte à côte à la fin du pré  ou à la fin de la praierie, à nouveau devant une roche mais en vrai cette roche on la connait ! on l'a déjà rebncontré ! on l'a déjà vu à l'entrée du pré. Il s'agit de la même rocjhe ici et là, car en  vrai la paroi est paroi de rotonde : qu'on se le dise haut et fort, si possible ! que tous et toutes, toutes et tous (touxtes) on arrive à se le dire , on arrive à le comprendre à toustes, on arrive grave à comprendre cette chose comme quoi la mort est hors de l'encklave ! comme quoi la mort en vrai est en dehors de cette encklave-pré ou alors non : cette enclave-pré, en effet, est le royaume (ou serait le royaume) de la mort, pré aux vaches, soit une sorte en soi de "petit paradis", peut-^tte. Et la vie, après ce "petit paradis", reprendraéit "les rênes " , qui le sait ? qui saura nous dire et nous expliquer sans nous tromper ce qui est en vrai sur terre et au-delà ? On est des fées parce qu'on a des ailes ! On est elles (dans la mort = dans le pré) pzarce qu'on a des ailes. On est pour ainsi dire dans la mort AILES = ELLES. L'homme est mort et enterré quand la femme (elle) poursuit en vrai le chemin des êtres (ou dit tels), et arrive à durer, continuer son (petit) chemin des fées traquet traquet , et du coup arrive à se pointer au-devant des Ultimes Données qui sont les données d'après le cimetière ! On essaie de nous y retrouver mais ce n'rest pas simple en vérité car les données de base en vréi se chevauchent ou se croisent sans arrêt, et pour "garder le fil" , et ne pas en prendre ou tirer un autre involontairement c'est coton ! On eesaie sans ceesse en tant que fée, de garder le fil toujours le même, sans le lâcher, sans en prendre un aiutre qui nous fourvoierait, ou plutôt : nous fearait nous perdre ou nous égarerait , nous tromperait. On essaie nous deux en tant que Fée de base , de garder le fil , de tenir le fil, de suivre un seul fil toujours le même, pour savoir, comprendre, où ce fil pourrait nous mener, jusqu'où ce fil pourrait en vé(ité nous mener ou nous conduire. On est accolées en tant que nous sommes ELLES = des AILES, ou dit autreement : F2ée ! On est une fée parce qu'on a des ailes et pârce qu'on est elles dans la mort. On traverse (de fait) au singulier pour mieux se retrouver plurielle dans la mort. On traverse en tant qu'homme (par exempl) au singulier, et une fois passé on se retrouve transformé en ELLEs, deux ailes, ailes de fée , et du cdoup F2ée ! ... fait comme des rats ? fait et défait ? on est passé de l'auitre côté de cette roche primaire (ornementée de bêtes néandertaliennes) et à présent nous cvoici devenues Ailes, = ELLEs, Fée des F2es, qui volons de nos propres ailes jusqu'au domaine dit "de satiété". On est nées sur l'herbe ! On est nées fées sur l'herbe cdes pré d'une enckave (ou enceinte) post-cimetière. On voulairt ensemble toucher à cette roche des donées telle que présentée (postée) devant nous à nos gouvernes eh bé voilà, on dira que c'est fait ,! la chose est actée ! on a traversé ensemble ce rocher "des fées", on se retrouve comme par vla bande acculées à devoir gagner (fissa) sur la l'ande l'autre bout (pour ainsi dire) de la paroi, en face ! car, en fait de bout, la cjhose (pour ainsi dire) n'existe pas, lles bouts de roche (là) sont légions qui tous "nous regardenbt" à égale distance si par exemple onn est comme positionnées au milieu de l'enclave-rosace. 

On est devenu Fée, une fée de base. On voulaéit vraiment ensemble traverser le rocher 1, eh bien voilà c'estexactemennt ce qu'on a fait en le faisant ! on voulait tracer à travers un rocher , un rocher ornementé, eh bé oui, on a traversé, on a foncé comme des malades parce qu'on est des mal ades ! on est des coriaces ! on voulait en avancer en termes de connaissa,nce et duu coup on est passées, on a traversé la roche 1, celle de l'enfance qui sait ? on s'est retrouvé à l'intérieur d'un pré nanti d'herbes hautes et de bêtes de poids, on les a regardé, on les a maté et puis on a continué à tracer,n,à marcher, à nous tenir la mai,nn, à ne pas nous désunir, à suivre le fil ! 

pour aller au loin retrouver la roche  toujours la :même, mais cette fois en face, de l'autre côté du opré, pile poil en face on dirait, car on le sait la roche du pré" , est en forme de couronne, d'enclave ronde, de rotonde, de forteresse ronde, de'enceinte close. On arrive pas )-à pas, on a tracé, maintenant on veut se rapprocher le plius possible de la roche ultime, des données ultimes. On a vraiment ensemble envie de comprendre, au miuex, ce qui est qui semblerait en vrai vouloir nous parler ! peut-ettre qu'en effet la Chose (ce dieu de la mort, ou même la mort) veut nous parler, nous dire des choses précises, nous donner le fin mot, nous indiquer la marche à

 suivre pour durer, pour bne pas nous aarêter mais au contrezaire poursuivre sans cesse notre sorte de bonholmme de chemin de vie. On est Fée ici qui du coup cherchons à comprendre par où passer, dans cette roche d'une sorte de rotonde allouée à un pré aux herbes hautes. On est passées ensemble, on est femmes enwsemble qui avons réussi à traverser, une première fois, la roche ornée (de b^pêtes de poids) et à prése,nt on veut pouvoir nous introduyire au plus avancé et au plus profond de cette sorte de paroi "des fins de vie" ou "des fins de mort" si le pré est la mort soit la vie apreès la vie. On est femmes dans la mort parce qu'on s'est données ! on a vraiment cherc hè à passer ! à donner de soi npotre passé , à traverser la chaussée, la roche allouée, la paroi ornée. On a vraiment fait tout ce qu'on poiuvait pour passer et du coup on est pasdsées, on s'est retroubvées de l'autre côté à la retombée prêtes à comprendre ou disons cerner, essayer du moins, de comprendre ou cerner ensembkle les données offertes, offertes dans ce pré qaui sezmblerait êtrte "le pré de la mort" si tant est ! un pré ou une 

prairie alloué (e) à une sorte de clairière, aux données de poids, d'enceinte de choix. on est des femmes -fées comme allouées nouys-mêmes à cette enceinte, à cette sorte de prairie "céleste". On est deuxaccolées de base ensem ble toi et moi, en cette ... sorte d'enclave, de pré-enclave, de pré-enceinte. On est passées parce qu'on le voulait et, tellement on dirait, que du coup la chose est arrivée ! qui sait ? On voulait passer de l'autre côté (d'où la transe) eh bé voilà c'est comme qui diraiot fait ! on y est ! on est postées debout après nous être relevées, on est postées, ensemble, en ce pré dit "des convenances". On voulait figurer au même tittre en vrai, que ces bêtes de paroi ornée, que ces bêtes ici massib ves, grooses de leur poids de rage. On aime beaucoup cezs bêtes les approcher, les caresser. On se sent un peu-beaucoup bhêtes de poids et masse nous mêmes. On chyerche grave à cerner xdes bêtes ou bêtes -mots de roche ce qu'elles cachent, ce qu'elles contiennent en termes de données de base. sont§-elles données elles-mêmes ? il sembvlezrait que oui ! que les bêztes de roche (dessinées, gravées par des êtres anciens) soient bêtes -mots de poids, qui donc, pèsent leur compta,nt dans la ba lance, leur sorte de comptant fatal/ on regarde ensemble toutes ces bêtes qui, à leur tour, nous regardent, et du coup on se dit que nous aussi peut-être on est des bêztes comme elles, on contient aussi notre comptant de mots de poids, de parioles "graves", de mots qui parlent ". On se dit qaue peut-^tre nous auusi on est des femmes qui cherchons à ici comprendre un mùaximum de choses qui en vrai seraient comme (qui sait ?) contenues dans la roche . Mots de saison, gros mots, mots des passions, mots gros d'une sqorte de passion à pour le coup vouloir comprendre mordicus "ce qui se passe", , c'est-à-dire ce qui est qui, dzevant nous, seprésente, en termes de données de contrzeba,nde. On cherche ensemble à ici toucher un certain nombre de données, disons à toucxher-cerner un certain  nombre de données qui seraient les dobnées qui pourraient d'elles-mêmes nous indiquer sans nous tromper la marche à suivre et que"l chemin de préférence devoir emprunter pour aller loin le plus possible , tracer vite, courir et g-agner la rive sans trébucher. on est xes femmes fées parce que oui, c'est ça, on est ailées, ou ailes des prés", on est des ailes ou 

AILES et du coup on peut en vavancer parce qu'on peut voler, on peut survoler , gagner bneaucoup de temps de ce fait car voler active grave toute progression (sorte de progression) active dans un paysage quel qu'il soit. En volant c'est sûr qu'on en avabnce ! on en avance beaucoup plus qu'à petits pas ! On voit large, on trace, on avance grave , on survole peut-^tte mais pêu importe  qauand le but est d'arriver à un point b ! On s'en fiche un peu (pas tout à fait mais quand même) du paysage traverseé, qauand le but est d'arriver à un point b, à une destinée précise, à un point p^récis dessiné, tracé, ou même gravé sur une roche des confins ou dite "des confins". On a envie ensembl d'aller vite aussi parce qu'on est préessées (de fait) de savoir, ce qui est là-bas en toutes fins de roche . On a grave envie de savoir, là-bas, les donnéess finales à quoi elles ressemblent, ce qu'elles sqont pour nous (comme pour tout ou toute un chacun ou une chacune) on imagine ! On est des fées ici (la mort ?) parce que, la roche passée, on est devenues fées ! On était au singulier (il ou elle) on est au pluriel... mais pas ielles ! non ! elles ! car : elles = ailes = fée ! Comment il faiut 

le dire pour pouvoir enfin être entendues, perçues, vues, admises etc. ? On a beaucoup tracé, on a fait pas mal de route, on a survolé pas mal de contrées en ces présq, et mainteznant on peut dire qu'on est arrivées ou comme arrivées à destination, c'est-à-dire à ce point de rage d"'iune szorte de cloison finale. On rzeagadre (forc"ément !). On mate grave ! On cherche le pasdage ou un passage, une anfractuosité qui, pour nous, permette passage, un trou ou une trouée, une sorte de fissure pouvant faire penser s-que, derrière elle, se trouverait quelque chose comme une ouverture, une szorte d'ouverture monstre, cavité des cavités, une sorte de mer allouée à une infinité mais en vrai on ne sait quoi penser ensembke de cette chose d'une sorte d'entité lacustre telle que squspectée. On est fées de contrebande pour ainsi dire et du coup, en tant que fée, on en avance oui (on court on vole) m&is, en vrai, on devine quoi ? on comprtend quoi ? on essaie de cerner parce que voil;à on veut cerner, et c'est en tant que fée (dans la mort acquise) qi'on veut ça ! on est fées pour ça ! on est fées pour cerner des faits (des faits de roche) car pour le coup en vrai szeules les fées ont la possiobilté 

(eh bien en tant que fées) de cerner un certain nombre de données de  base. Parce q'elles volent et qu'elles survolent ? peut-^ttree ! On ne sait pas vra&iment pourquopi les fées savent des choses ou tant de choses concernant la mort ! on dirait peut-^tre à notre avis que c'est parce que oui, elles volent de leur p^ropre ailes et haut, fissa, sansembarras, sans traîner, sans lambiner. Les fées ont des ailes qui en vrai leur permettent de "tracer " (dessiner ?) comme "à main levée" sur roche des prés. On saéit ça d'elles ! On leas aime beaucoup depuis notre entrée en ce pré aux herbes parce que voilà on est comme elles, fées nous-mêmes dans le cas où on l'oublieraéit. on est, au passage de la roche dite première ou prim&aire, de venues fées nous-mêmes, une fée à 2 ailes = elles (deux). on peut dire même sans ecxagérer ni trop se tromper qu'on /

... s'aime ! on est toutes deux comme nées à ^$etre pour nous deux chacune l'être cde chacune ! fées aimées ! on est femmes-fées, on aime s'aimer et énormément. On adore cette chose ensemble de s'aimer à jamais en ce pré des bases. On est des fées parce qu'on est ailées (ni plus ni moins) . On est ailées parce qu'on est des fées ! On est entrées "par le cimetioère" , on est dans un pré, un pré rempplie d'herbe comme tous les prés, et maintenant ... nous voilà allouées ou comme allouées à u,ne roche terminale qui est roche des données finales. On est &u pied cde cette roche ! on est accolmées ou serrées au pied de cette r'oche, on est comme collées (nous deux) à elle et notre volonté, est de ne pas nous en décoller grave (de sitôt) si tant est, mais d'y rester, de rester collées ensemblve à cette sorte de cloison finale, der des 

der. On est collées à la cloison finale. On voudrait passer un oeil et regarder. juste un oeil le passer à travers la roche par un interstice ou une sorte de petiotevanfractuoisté pouvant laisser passer ... un organe, un petit rien (ou pas loin) en termes d'organe, genre un oeil afin de "cerner", ou de pouvoir "cerner", ce qui est de l'a&utre côté . Le sait-o,n n ? sAvons-nous ce qui, de l'autre côté, est ? se tra&me ou se tramerait  ? est-ce que lma mort de faéit est juste l'enclave du preé aux bêtes toutes dessinées ou gravées ou bvien est-elle en vrai située hors enclave ou enceinte aux herbes et autres bêtes (monstres ?) de roche ? On essaie de cerner ensemble nous deux (touxtrs deux) les données qui sec présentent maéis voilà, on fait ce qu'on peut , la chose est loin d'e^tre gagnée d'avance, on a beaucoup de choses en soucffrance qui nous attendent et on se doit de les "honorer", si jamais, avant de nous lancer dans un marché de contrebande tel que celui d

es données allouées est, on diraiot. on a à creuser loin et longtemps lma roche des donnéezs finales pour en vrai comprendre ce qui est inscrit en elle en termes pour le coup de vérités des vérités/. On cherche c'est d'abord parce qu'on aime chercher ! on est très férues nous deux de cette chose d'enqiuêter sans ceese, de'ess ayer de tracer , trouver, tomber sur , eh bé peut-^ttrre "des lettres " (?) ou sinon des lettres des données qui de fait auraient ou porteraient en elles un sens ancré ou avéré, affiché, donné. on est des fées "de cimetière" ! on est passées à rtravers la roche et on s'est retrouvées rtoutes transgformées en fée alors même que rien avant la mort n'aurait pu le laisser présager ! on est scotchées de cet éta de choses ! Ja&mais on aurait pu penser que la chose arriverait, qui nouss aurai vu nous transformer comme qui dirait en fée ! en fée peut-être ... chelous, mais fée tout de même c'szst à dire ailée, à la baguette ! dingue ! jamais en vrai on aurait pensé à cettye chose qu'on deviendrait, qu'on serait à présent devenues, la mort  venue ! On s'est retrouvées nues (cul nu) " de l'autre côté" commê à la retombée et à vrai dire on en est encore toutes retournées ! jamais on aurait pu penser que cettye chose un jou!r nous arriverzait, qu'on se retrouve nues (cul nu) dans un ppré, sur l'herbe verte et haute d'un pré où des bêtes de somme (de poids et bâtées) broutent sans s'arrêter. on voit ce qui est ici qui nous entoure. On aime beaucoup les bêtes de poids,  qui en imposent et font penser qu'elles sont fortes choses, fortes données, quand en vrai elles ne le sont pas ! seulement ... cdes bêtes de paroi : gravures de bois, dessins de choix. On est devenues fées parce qu'ion est comme "tombées " de l'autre côté ! chute ! on a traversé

 la roche ensembvle vite fait , et quand on est passées on a compris, qvite fait, qu'on t arderait pas à ... "se ramasser" à la retombée ! et c'est exactement ce qui esst arrrivé ! on a chuté ! on est tombées, vite fait ! on s'est retrouvées nous deux , toutes deuxd, le cul dans l'herbe fraîche, humide, à  tenter de nous redresser, et on s'est vite redressées ! on ne voulait pas rester plus llongtemps dans cette herbe humide mais nous relever et du coup, étant ailées, nous envoler (à la tire) sans traîner , et geagner "la rive", l'autre c^oté du pré. Onn est des fées qui pouvons voler (comme toutes les fées) et nous le faisons ! Nous sommes kles fées du pré . nous avo,ns ensemble à beaucoup encore cerner ce qui est sur roche, ce qui se présente en termes de savoirs ancrés ou de connaissqances profondes qui (qui sait ?) seraient de fait contenuess, et contuneues dans  une langue donnée (en particulier). On est fées pour chercher (dans la mort) pour ainsi dire "du contenu". On ne veut pas ou pas plus ou plus passer à)à côté d'un certain  n ombtre de vdonnées qui seraéient aéllouées à une sorte de roche ou de rocher qui se présenterait (pendant la vie) à notre (propre) gouverne d'êttre des parois et des cavernesc (hommes ou femmes, même combat) . On voit là qu'on a 

encore fort à faire, pas mal à creusert, beaucoup à comprendre-cerner , donc encore beauxcoup à "toucher par la bande" 

si on est (ensemble) des fées dites de paroi, de roche primitive ornée, d'espace de pré. on est ensemble cdomme si en vrai on devait ne plus jamais se quitter, et est-ce le cas ? sommes -nous vraiment amenées (par la vie des vies ) à ne jamaéis nous séparer ? On est des fées sur roche ou sur rocher et on veut toucgher, ensembke (de la main), cet a,ge du bien ! cette sorte d'ange, dont le nom (on dirait) est peut-^tre "Mort", on sinon "Mort" , "La Mort"  . On s'est rapprochées vite fait de la paeroi qu'on voit là-bas au loin comme nou!s n arguer et le fait -elle en  vrai ? on ne sa it )as mais en attendant on ne lambine pas, on y va grave ! on cherche à comprendre +++ 

ce qui est devant soi (devant nous) en termes de Romance, Récit vrai et doux, Paroles d'enfance". On est ensemble toutes  les deux dxes fées qu'on dirait (en haut lieu ?) de contreba,nde mais est-ce que c'est vrai ? rst-ce que vraiment on est toutes deux dxes fées de contrebande ? On est fées des fées, on est des fées de base allouées à un pré mais a^près ? est-ce qu'on est vraiment dava,ntage ? est-ce que vra&iment on est des fées, dites de contrezba,nde, à jamais ? c'est s^$ur que nous on voudrait compre,ndre grave et du coup tracer sans traîner sur roche des dessins d'enfance, des données rupestres, bêtes masse, mammouths et autres bovidés sacrés cfomme une vache, un bison, un buffle, un ours ou une ourse des cavernes et autres bêtes faisant impression et pouvant (hé !) convaincre, museler, éteindre toute velléité de rebellion à l'en

contre de ces "bêtes de cloison". On est arrivées ensembkle sur pattes mais on est fées (dans la mort) ailées , et du cfoup o, n en avance grave dans les connaissances ! on survole pet-^tre , c'est vrai, mais voilà, ça n'a pas que du mauvais ! on trace ! ça nous permet grave de tracer et d'ezn avancer (fissa), en termes de connaiszances de paroi ou concerna,nt la (une) paroi dite "préhistoriqaue" gravée. fée des fées. on est fée parce qu'on est devenue's (en mourant) des fées. Avant (avant la motrt) on était pas des fées. C'dst xezulement à notre mort (au singulier) qu'on est devenue fée ! fée des baises ! fée des baisers ! On est morts et on est re-nées (dans la mort) fée comme un fait exprès ! une fée = 2 ailes (ou 1 pa&ire d'ailes). On est nées fée dans la mort telle q'a&lllouée à une (sorte de) destinée singulière qui , pour chacune et chacun, est un tracé sur pré ,, de type dessin détaillé, trait effectué d'un trait, une sorte de tracé caché comme pré-existant à toutes soprtes d'exoistence humaine. On comprend de ce fait que la vie en soi est : hors enclave, hors lm'enclave de la mùort, et du coup que la mort n('est pas vraiment un après à jamais, mais une sorte de pré, d'enceinte "cloturé" à l'i,téroiuyir d'un champ plus large que serait 

la vie. en vrai, comme si la mort était une sorte d'enclos de prairie, à l'intérieur de la vie, en son sein pour ainsi dire./ Comme si en vrai la mort était ... contenue dans la vie et non en dehors ! une sorte d'îlot de vie, qui seraiot un ilôt de mort ou sorte d'ilôt de mort, qui viendrait à nous (épouser nos envies) le moment venu (celelui de notre mort) mais en vrai ne serait pas donné à jamais sans issue. on se dit que peut-être oui, en effet, la mùort sezrait ... une sorte d'enclos, à l'intérieur de la vie, une soprte d'enclave, à travezrser, à passer , et après, ap^rès ce pré, de nouveau la vie ! l'océean de la vie ! la mer agitée ! cette sorte de mer sans fin ou bien ... où, cette fin éventuelle, pourrait-elle être en vrai située en ces contrées terrestres (humaines ?) etc. ? On est accolées parce qu'on est ailées ! c'est pas compliqué ! Si on est (depuis le début) dite ou présentées en tant qu'on est ou qu'on serait accolées", ne cherche pas plus loin c'est parce que voilà, oui, on est ailées ! on est munies ou nanties d'ailes , d'ailes de survie (de survol et de survie) avec lesqauelles on peut plus facilement "tracer" c'rst à dire en avancer, voler, aller,  gagner, faire ainsi qi'on ne soit pas larguées de préférence" mais tout au contraéire , comme pointées ou à la pointe d'une szorte de recherche , pointéesz ezn tant qu'on seraéit devant ou sur un deva,nt qui nous montrezrait du coup à notre avantage, c'rest pas mal ! on veut aller , et aller c'est traverser, à la nage ou comme à la nage, la "paroi du monde". On veut ensemble aller loin  le plus possible, sur ici ce chemin d'une sorte de ballade active, "ou de "balade vive" c'est)-à-dire "en vie", , sans plus traîner, en essayant de préférence ensemble de toucher de fait aux dopnnées données comme ... déposées, sur l'autre rive, cette chose d'une sqorte de rive allouée à uene sorte de sortie ! car, une île est accostée, dans un premier temps, puis comment ? qyuittée ? à jam&is ? on voit, loin, la pierre tombale des fins ou des confins, et du coup c'est szûr que nous ensembke (deux femmes = ELLES = AILES) on veut gagner vers elle ou vite fait aller vers elle tracer, 

chercher, co:mprendre, faire ainsi que les données données de la contrebande affichée puissent nous aider à cerner de près, ... les enjeux, ce qui est en jeu qui ici (après la mort ?) se joue, de sérieud ! on est femmes fées, ok, on est deux (pour le mieux) mais aussi : on est fées allouées à une sorte de prairie, on est aidées en tant que telles par des bêtes- monstres, bêtes de paroi comme autant, ici, de   "mots de choix", ayant contenance. On est passées (ensemble) à travers la rochje, parce que oui on voulaiot comptendre, on ne voulaiot pas rester complètement ignares, on voulaiot vréiment aller et tracer, en cette lande de la mort à lm' oeuvre et ça, de préférence, sans traîner ou sans traîner plus qu'il n'en faut , car la vérité est vite oubliée, ou plutôt ratée ou manquée, etc. Ou pluto^t manquée si on n'y prend gaarde tout à fait ou pas assrz. On a vite fait de la rater , comme on raterait ... la diligence. Nous, on veut comprendre vif ! on ne veut pas passer à côté parvce que voilà on traînerait, et qu'on serait de celles qui, de fait, "comprenhentb les choses sans les toucher "! nous non ! on veut toucher ! pour comprendre ou mieux comprendre nous on dit qu'il faut impérativement toucher , et pas qu'un peu ! vraiment ! tater ! prendre la mesure des données chargées ! On se rapproche des données de roche , on regarde (devant soi) la Chose, ce'tte sorte de Paroi Finale 

qui, devant nous (soi) seraéit à nous tendrte ses bras comê qui dirait mais est-ce vrai ? on veut bien le croire ! on veut croire en cette chose de par(oi "bavarde", on ne sait pas, on est ouvertes à ça comme à mille autres choses concernant e,ncore la paroi de roche, la première ... à l'entrée, ou  l'ultime il semblera&it ... à la sortie. On veut toucher à cette chose d'une roche "de szortie" et du coup comme (ensemble) traverser (encore) cette même roche mais en vrai, et pour le coup, à un tout autre endroit qu'à l'entrée. On veut toucher à cette roche ultime dite "des secrets", et pour ça come,nt on faot eh bé peut-^tre on passe un pied, une main, un doigt, un oeil , quelque chose de menu de soi, partie congrue, afin de pouvoir (ce faisant) peut-être explorer un tant soit peu ... LA BÊTE ! quelle b^rete ? La bête-Dieu ! La des ! la des bêtes ! ou  (mieux)  : LA BË TE DES BËTES" ! On veut touchert à elle parce qu'on l'aime, et parce qau'on y croit ! parce qu'on veut aller là-bas, comprtendre ce qui est et qui (il sembleraéit) nous tend ses bras, son gousset, nous donne le la, nous entraine de sa voix vers une sorte d'au-delà de paroi qui , peut-^tre , pourraéit être ... eh bien ... une plaine ? une sorte de plaine cendrée ? une sorte de contrée dorée ? cendrée et aussi dorée ? La MER ? Peut-^trre. On cherche ensembvle et on a pas fini ! On a encore pas mal à comprendre, de chemin à faire, de mots à cerner (bêtes-mots), de mots à graver. On est des fées parce que c'est vrai que nous on est ailées et que du coup ... on avance vite, on trace, on va vite vers ... n'importe quoi qui nous attirrezraiot de base avec des mots de contrebande si jamais. c'est vgrai que d'être fée permet gra ve d'en avancer et de tra&cer à main levé&e des bêtes (de poids et de masse) zur roche, à jamais ou presqaue. on aime beaucoup nous deux être des fées et du coup tracer comme à mé&in levée (en lévitatiobn et en transe")  cela : des mots-dieux, mots doctes, des bêtes grosses, des données de roche ! on adore ! s^r que nous on a cvite fait de nous portersur n'importe quel côté ou dans ou vers n'importe quel côté du fait qu'en effet on est des fées, on est ailées, et c'est méga-aidant pour voler , nous diriger , nous rendre vers telle contreé ou telle auttre sans être g

^énées. On a&ime les grootes. onj aime entrer dans une grotte. On adore entreer dans des grottes  de roche. on a vite fait ensemble d'entrer main dans la main dans une grotte ... oarce qu'on s'aéime ! ni plus ni moins ! Si on s' aime alors oui on peut plus facilement ou carrément aiosément entrer à l'intériuer d'une sorte de oaroi de rage ou dite de rage. en s'aéimant les choses pour le coup sont grande"ment f acilitées. On se dit que, en effet, si on s'aime, alors on peut tracer des bêtes, dessiner, graver vite fait d'un seul trait, des bêtes-mots (mots-bêtes) de roche allouée à une sorte de destinée, rupestre, terrestre, a,ncrées, tracée à main levée et c'est fait. ON est des fées qui allons vite retrouver la roche au fond du pré parce que oui, on court on vole, on l'a dit. On a envie grave enwsemble (AILES) de cerner un certain  omùbre de données de base qui seréient pour nous quelque chose comme des données (données des données) qui resteré&ieznt c'est sûr encore et toujourzs à comprendre ou déchiffrer, méis au moins on les aurait par-devers nous comme en magasin, pour les étudier, ou mieuxx les étuduier, pour vraiment les comprtendre, dans chacunes de vleur compôsante, et peut-être à jzmais qui sait. On veut toucher à cette sorte de cloison finale qui donc seré&it cfomme "parlante" ! l'est-elle en vrai ? parle-t-elle vraiment quand on la croise (qu'on l'aborde") ? Que doit-on penser de cette chose ? qsue doit-on vraiment penser de cette sorte de cloison dite "des finalités  ? Eh bé on en sait rien , parce qu'on est bêtes-mots de base, nées sans être vraiment nées ! on est com

me des fées ok mais en vrai on est ... fictives ? Oh on ne sa it ! On ne sait ce qui est vra&i ! On a super envie ensemble d'aller fureter en  cette sorte de rive ultime c'est sûr mais si c'est pour le coup pour y passer , et à jam&is , et ne plus pouvgoir re'spirer, mârcher, vivre ! tu nous acs compris ! on préfère ne pas ! on préfère aller tranquille sur ce pré (comme les vaches autour de nous, les buffles, les bisonnes, les chevreuilles brunes) nous promener, muysarder voire jouer. ON aime jouer ! Le jeu est central en ce lieu de feu. On est cfomme allouées toutes deux à un pré , et dans ce pré on aime jouer, nous courir après, nous "chervcher", nous "ezmbêter", faire ainsi qu'on puisse, ensemble, se délasser ou s'oublier ! s'oubluier est capital ici, en ce pré ! on doit s'oublioer et du coup jouer (par moments) comme des enfa,nts. On joue au feu de la Zaint-Jean, au petit poucet, au ma&rchand et à lmza marchande, aux jeu de dé. C'est vrai qaue nous en tant que fée on adore jhouer et d'ailleur on joue, on hjoue sans cesse, on n'arrpête pas de jouer, d'aller et de venir sur roche nous poster, courir, crapahuter, monter et descendre sans jamais tomber de préférence, c'r'st aussi le jeu ! On aime aller, sur roche, cerner, un grand nombre de données, et essayer (au maximum) de comprendre loiin, ces choses des roches ce qu'elles sont ou szraient qu'il nous incomberait de comprendre ensemble. On veut allmer enxsembvle loin parce que nous ce qui nou s plaît le plus c'est cette chose d'une sorte de rotonde, d'enclave "fermée" (... comme toute e n clave !) qui seraéit : l'enclave allouée à une mort terrestre,  don,née pâr la bande à telle ou telle persopnnaélité, mais en fait, cette enclave est délimitée (... comme toute enclave !) et de ce fait permet en qu'lque sorte la retraversée comme à reculons de la chose, soit latraversée nouvellement effectuée de cette même roche des comme

ncementsz mais prise pour le coup ailleurs, autre endroit de roche mais (de fait) même pâroi-cloison. On est donc a&rrivées ensemble devant elle, . On se raopporoche d'elle le plus p^rès possible. Que fait-on ? on met (par exempl) un nez en elle ! juste un nez ! on hume ! que sent-on ? des odeurs pârtuicuklières, on dira "iodées" . Hé hé ! serait-ce (de l('autree côté) une mer don,ée ? ça se pourrait ! entous cas ça (cette chose) revient sans cesse ! on le voit ! on voit ça que sans cesse ça revient, que sans cesse on dirait , dans la conversation, ça revient ! ça n'arrête pas d'être là comme une sorte de Paroi de Choix ! et nous du coup d'y  c roire,; d'y souscrire, de penser à elle comme par exemple à une zorte de "paroi de contrebande" . On a ensemble envie ici, d'aller loin dans les connaissancesz, au sujet de cette donc praierie ou de ce pré aux herbes hautes, aéux massifs fleuris, aux bêtes de poids. On est associées ensemble sur une paroi et c'est ainsi, que nous, on passe, en étant scotchées, collées, ou collées-serrées l'une à l'autre comme à tout jamaisz et hop ! on passe la numéro 1  des parois de base, direction cette donc prairie comùe enchantée du fait que sur elle est tombée une zorte de lumière (des fées ?) surnaturelles ! clarté vive on le s&it! Et puis une fois la paroi passée, on se fdirige de l'autre cfôté, pile poil en face on dirait, vers cette sorte d'anfractuosité par où, on pouurait dire, "repasser" , ma&is en vrai, s'il s'agit de la même paroi (en forme d'e,n ceinte) il ne s'agit pas (forcément !) du même côté envisagé ou rencontré. On se retrouve donc nous deux de l'autre côté prêtes en vrai à (re) traverser, à (disons) re-traverser , de l'auttre côté, c'est-à-dire du côté où , en vrai, on était, avant d'arriver, avant de nous retrouver (à deux) en ce pré fleurii. De l'autre côté ce sezréit comme si ... on revenait ensembke, là où avant on était : un ventre ? On ne sait pas mais c'est vrai que en effet la question se pose, pourrait se poser et ce seraéit à nous en vrai d'y répondre mais comment  y répôndre ? Comment répondre à pareille question qui semble (presque) folle tellement c'est gros ! comment répondre, ou plu$tôt (déjà) : comment, en vrai, poser la question, en quels termes ? on se dit qaue oui peut-^t

re si on retraverse, du coup on revient ... là où onn était. retrour à la maison. retournement de zi(§iua&tion. retour (ou szorte de retour) à l'envoyeureuxse ? On Regarde ! On est qauand même ensemble méga-présentes, pour  ici essayer de dénouer  les fils le plus possible, cvomprendre pasc mal de choses "de base";,, essayer de faire en sorte de cernerv de près la plupart des éléments d'une romance (romance de vie, de vie dans la vie) qu'on pourrait facilement prendre pour (peut-être) une (la) ... "mort de tête" ? On est entrées parce qu'on le voulait ! a-à présent eh bé on veut sortir ,! on est entrées ici (encflave, enceinte, prairie céleste : la mort ou "mort de tête"), maintenant voilà, on a d'autres envies et on y tient. on veut sortir  ! on a szuper super envie, de szortir de la prairie, de gagner (vite fait) la rive  opposée à celle de l'entrée, et de passer ! de complètement passer à travers elle et voir ce qui est (de l'autre côté) qui se tra&meraéit en termes de vie, a^rès l'épisode (narré) de la mort à lm'oeuvre (sur terre). on a envie (grave) de comprendre ensemble ce qui est, le pourquoi on se retrouve pour le coup à deux (deux femmes) dans la mort et plus du tout d'homme ! On a méga envie de le com^rendre ! On est deux femmes dans la mort, comme accolées (collées) et maintenant qzu'on sait (qu'on est deux femmes) on a super envie d'aller comme  à la chasse de données de poids, soit de données qui grave pèse ou pèsera&ient dans la balance ! On voit loin là-bas les bases . On veut /

On veut coller à une sorte en soi de Vérité, Vérité qui sezraéit de fait cette

 "sorte de vVérité " qu'on croit pouvoir ensemble déceler (desceller ?) à l'intérouir d'une 

soprte, ici, de paroi de roche ou rocher. On a juste envie de cerner toutes les données lié&es à une  "szorte de vie" ... après la mort pour ainsi dire. Car, admettons que la mort , la mort terrestre (humaine mais pas que : animale, etc.) soit une île, alors lma vie est comme ... une mer ! et nous ... on le pense ! disons quon le mpense un peu nous deux. On diraéiot que nous, on pense (un peu) cette chose , comme quoi la mort (déité de poids) est une île ou comme une île , et du coup la vie (tout autour) ne s'arrête pas, est infinie, va loin à jamais dans une sorte d' infini qu'en vrai il nous est impossible ,

RAISONNABLE%MENT, de comptendre, car, comment comprendre l'infini ? Comment faore ensemble pour comprendre l'infini ? comment faire ensemble pour cfomprendreETRRAISONNABLEMENT la notion d'ibnfini ! impossoble ! l'esprit ici ne le permet pas, l'espriot hiumain. Seul peutêttre la Foi, LA foi dans le LAngage , dans la LAngue incrustée, acquise, inséerée soit inculquée. On est des femmes fées qui ici pensons que, peu

t-^tree, un jhour, on va y arriver , à le comprtendre, à comp^rendre cet état de fait comme quoi la vie ...  est infinie ! mais ne peut être envisagée réellement en tant que tel (telle ?) de notre vivant. Qui , pour de vrai, comprend vraiment ... ce que c'est qaue l'infini ? Une femme ? deux femmes ensembvke ? plus ! On est entrées ensemble, doit-on ensemble ressortir ? devonsz-nous en tant que femmeb ensemble ressortir de cette enclave dans laquelle notre envie n'est pas (n'a en vrai jamais été) de nous y engluer à jamais ? On a super e,nvie d'aller, au plus lointain possible, en cette sorte de chose acquise, genre "un parler", langue donnée, pour du coup y trouver des données, des pistes, des choses de poids qui, pour nous, puiisent fa&ire en sorte que voilà, on puiisse "mieux voir"" 

ce qui est en ces contrées (... de la mort à l'oeuvre ?) qui soit, pour le couop, dignes de FOi, mais vas)-y ! pas si facile ! La Foi est là qui est soumise à une sorte de "mainmise", de la langue sur soi. On est envahies ! On est des fées qui sommes envahies ! Une fée de fait est envahie de base ! sûr ! On regarde. C'est vréi que nous on essaie ensemble de nous approcher le plusz possible d'une vérité acquise, d'une sorte en soi de vérité qui (pour nous) puyisse nbousq aider à mettre, de fait, au jour, un certain nommbre de donnéesz portées, de données allouées ou portées, de données de base portées ou allouées en cette sorte de "contrée cloturée". On est des filles (femmmes fées) de "la rage d"être nées", c'est cfomme ça qu'on se présent e quaénd on nous demande. On est arrivées tout près, da,ns la lande, d'une sorte de passage assez étroit, mais peut-^tte que , en vrai, ça va le faire, on pourra passer. On est arrivées ensemble ici, en cette fin de roche prairiale, pour comprtendre ici ou là où pouvoir troucver par où pouvoir passer sans y rester. On veut toucher à cette Déité des D2ités ok mais pour cela d'abord il faut arriver (ensemble) à traverser la "Rive Ultime", ce passage vrai (né ?) qui serait Le Passaghe des Fées ! ce seraéit parfait ! On essaie de traverser ensemble cet te sorte d'ultime pasdage  et pour cela, eh bien : fissa ! droit devant ! ne lambinons pasb ! cherchons ensemble à s'immiscer 

(nous immiscer) le plus possible sans trezmbler une sevconde ou même défaillir, tomber dans les pommes ou seulemùent faiblir ! Si on peut passer (arriver à passer) passons ! ne recvulons p^lus ! ne lambinons plus ! allons loin en roche pour en vrai chercher des solutions à une énigme qu'on se pose ensembvle ici ou làb , inciçdemment,. 

On est des femmes (deux femmes) dans la mort : pourquoi ? poirquyoi pas des hommes (deux hommes ?) ? Parce que l'homme ... lâche prise dès que mort ! son corps reste genré (dirons-nous vite fait) mais son "hominit"éé, ou sa "virilité"  ou son statut "d'homme velu" disparait ! l'hommemasculinité, à la mort, disparaiît à jamais ! l'homme est transition (ou éléments de transition) ;. De coordination, mais ... quand il est mort il est mort ! quand l'homme est mort (à sa mort terrestre) il est mort et disparait, peu à peu, sous terre (dans la terre des aieuxw-aiueules). Seukle, la femme persisqte et de fait dure en tant que fée. Deux felmmes (ailes) pour ... une fée sur herbe ! On voit les néeénés ! les herbes et, au-dessus des herbesz (?), les nénés ! On aime ! On adore aller dans l'herbe. On a envie d'aller (enssemble) jusq' au bout du bout du pré alloué à une mort humaine ou hominienne , et en vrai c'est exactement (ensemble) ce qu'on fait en tant que tra&nsformé 

(l'homme) en fée (deux femmes allouées à , de fait,... un corps volant). On est arrivées comme serrées (l'une contre l'autre)) dans un pré et à présent on a super envie de nous en échapper, de tra&verser (re) la roche allouée (de type cloiszon) et vite fait nous rendre si possible (si possible sans trépassr) de l'autre côté, côté embruns, ressac, bruits de fond, mer de rage ou, sinon de rage, eh bien ... de quoi ? des âges ?. On eesaie enwemble, de comptrendre au mieux les mots de base, ce qui est qui est etc., ensemble "toi et moi'" ... comme par la bande, si ça se pouvait ! si seulement, ensemble, on pouvait comprendre (et toucher) le maximum de choses aidant (chacunes) à (en vrai) nous dirige

r ou à nous guider jusqu'à la Vérité des Vériotés ! on serait aux anges ! on sezraiot ravies ! on ne démanderait pas davantage ! on serait aéux anges comme ravies, et du coup souriantes , vraimeznt charmantes, avenantes, vivement présentes et ... comme aimantes ? On est des "hommes /femmes" nues, cul-nu, qui (pour le coup) vont et viennent dans une praierie, courent à perdre haleine : hjouent. car, Nous aimons beaucoupbeaucoup jouer, nous trémousser, charger, nous amuser sur un pré, essayer de nous parler, essayer de nous comprendre, essayer d'en avancer dans cette chose d'une envie (grave) de connive,nces (connexions) entre nous deux, qui szommes Ailes, Ailes de roche de fait allouée à une "sorte de Déoité". On est nées sur pré femmes (ailes) dès que trépassées ! on était un homme, on mùeurt, on devient des femmes (de"ux femmes) allouées (elle$-même) à ... un corps de fée, c'est dingue ! pourtaént, on diraiot. On dirait vréiment que cette chose (d'une zorte de "transformation 'upestre" : transe et métamophose) est réelle, est tout à fait possible (ici même) dans le concret : est-ce que c'est vrai ? On dirait vrai:ment que, en mourant, notre corps d'homme (mâle !) se transforme (mue : une mue ?) pour ne laisser sur roche , en vie, que (de fait) la femme (ou les femmes) contenue(s) en lui. femmes allouées à une vie après la vie. On essaie en vrai ensemble de co:mprendre toutes ces données, ce qu'elles recèlent en termes de "vérité à jamais", mais évidemment que, en vrai, les choses, pour le coup, ne sont pas tranchées ! ne sont pas données d'emblée ! on doit chercher logngtemps ensemble dans la durée ce qui est en vrai, ce qui existe piour de bon concezrnant la mort, le paqszage à l'acte, les transformations ou les métampprphoses ici d'un type d'être dont le nom, à chasque fois, change, peut-être, mais les conséquences (disons : charnelles) sont les mêmes à chaque mort ou disparition, ou restent les m^rmes à peu de choses près. Un homme mort est un homme-mort, et dès lors ... "devient" femmes. En vrai, l'homme ne devient" pas femmes, il libère deux fvemmes contenues en lui ... depuis sa naissance  ! Il laisse renaitre, et, lui, disparait, sans laisser d'adresse autre que celle, eh bé .... du cimetière et c'est bien assez ... pour le repérer. l'homme disparait. La femme renaît ! enfin aailes ! on aime , on adore les fées, les ailes des fées. On est nées fée de fait, une fois l'homme mort et enterrré, bien fait ! On est passées ensembvke de l'autre côté, côté pré, et à présent on charge cherche à (comme) 

revenir en arrière, disons : 

re-traverser "la roche aux fées", roche dure des données de base ... du pré. re-traverser, comme "en arrière", ce qui est .... mais non ! il ne s'agit pas d'un retour en arrière. Il s'agit d'une avancée ou sorte d'avancée 

à travers une roche d'enceinte, szorte de "sortie de cimetière". On a cru y rester, hé ... que dalle, on se libère ! on essaie ensembkle, en tant que femme rapprochées, quasi scellées ensemble, ( = lesbioennes) de se libérer, de passer, de sortir du pré , de sortir du pré et du coup aller, mais où ? personne ne sa&it ! On veut comprendre eznsembkle loin, un grand nombre de données de base et, bon, peut-être, à la fin, on saura discerner ... le faux du vrai, on pourra comptendre, c'est)-àdire toucher ... aux nénés ? au nénés lactés ... qui sait ?

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26/8/2024

On est deux pour être. On regarde ensemble les données qui en vrai sont devant nous, et du coup, on essaie de comprendre , ce qui est, ce qui advient, ce qui se présente, ce qui est pour nous devant nous. On regarde dans le même sens. on est accolées et (pour ainsi dire) jumelées. On s'avance ! On en avance dans les connaissances. on est ensemble accolées ou comme accolées qui cherchons ardemment à cerner le maximum (ici) de données 

concernant la roche, la paroi, le sens de la marche, les tenznts et les aboutissants concernant le dieu  "des Données Lacustres". On y va ! on fonce grave ! on ne s'en laisse ni conter ni surprendre en vrai ! On cherche à pour le coup entrer en roche (incidemment) vivement : d'un trait ! On veut passer , et du coup on charge ! on tra cfe ! on passe ensemble le dos rond ! on veut coller grave aux données du front et du coup passer ! On dit qu'on passe ! On dit qu'on est passé ! On dit qu'on est à présent de l'autre côté et pour le dire vite, c'est ici que ça commence pour de vrai (qui sait ?). On est entrées et on regarde (autour de nous) les données. On est pas toutes seules ! on est accompagnées ! buffles et bovidés divers ou autres bovidés divers ! onb mate ! On est accolées à une sorte de "pré des prés", pré aux herbes allouées à une Vérioté Verbale. On est entrées et on regarde. On mate ! On veut  / on voudrait, comprendre ++++++++++++++++++++++++ ce qui est ici en termes de bêtes assoupies, 

frontales, massives et broutant sans cesse l'herbe, l'herbe allouée. On est cfomme nées à une vie nouvelle (... dans la mort ?). On est nées en elle ! On est nées de fait en cette vie nouvelle ! On est cernées ! on est comme entourées de bêtes de poids , de mots-bêtes de paroi. On regarde ce qui est autour de soi et quoi on voit on voit ça : la roche aux données, rotonde, paroi moite des données de base , vives clartés, et au loin une sorte de passage par où peut-être passer on dirait. On est Femmes de Rage ! Fées ! Fées en vrai ! Fées de l'être ! fées doctes allouées (elles-mêmes) à une vérité dite  "de rotonde". On regarde ensemble et du coup on cherche , à (ici) comprendre ensemble : ce qu'on erst, qui on est, ce qu'on fait là, pourquoi on est là, qu'est-ce qui nous attend devant, de quoi l'avenir (pour nous deux) sera fait, qui erst qui en ces contrées, qui mange qui (ou quoi). On mate grave ! on veut cerner les choses de la Roche , et (de fait) aller, ensemble, au plus profopnd à l'intérieur des connaissances. On est entrées ensemble à deux (il fallait être deux, 

et, deux femmes qui plus est !) et, à présent, on cherche à comprendre = toucher , toucher à cette vérité des Roches, au Données précoces, au Données frontalrs dites "de paroi", aux données Royales, Reinales, des Roches de La Loi. On est comme nées, ensemble, dans une paroi, fond de Roche. On est entrées de base , on mate grave et ce qu'on voit ne laisse pas de nous surprendre ! On vgoit quoi ? on voit des traces (traces sur roche) de sang facial ! Ouh ouh c'est un fait ! C'est fgort ! ça cogne ! ça envoie ! On y croit fort ! On veut cerner de Rage ce qui est, en ces parois dites "de la Foi". On veut toucher ensemble la paroi dite "du bout du monde", l'ultime Allouée. L'Emportée. On veut toucgher ensemble la Rotondité des Rotonditéds ! On est nées de base en  cette roche Fées, On est nées Fées de base en cette roche. On veut comprendre les données. Cerner de près. Faire ainsi qu'on puisse aller ensemble loin, à l'intérieur des connaissances liées à un pré, à une sorte de clairière aux données rupestres, et , tout au fond, l'Anfractuoisté Salutaire, Passage en vrai au débotté, Fene^tre, clarté, bruit de Fée ou qui c''st, qui est là en vrai ? Qui parle ou chante ? qui est là derrière qui, peut-être, parle, nous sussure un certain nombre de données de base, chante a capella, fait des pas. On est nées de base sur paroi (ou dans) et nous voilà ensemble, 

et nous voilà, ensemble (main dans la main) qui allons (fissa) vers la roche dernière, la Rotondité Salutaiore, l'emportée, la donnée dernière : qui elle est ? On ne sait mais on cherche ! On cherche à cerner ce qui est, en cette sorte de clairière des données rupestres !haut les faits ! On cherche ! on ne traîne p;us ! On est "accolées par le cul" on dirait, et du cfoup, nous voilà haussées , comme haussées à notte tour, pour cerner de près (ainsi soulevées) les données Hautaines ! On cherche ! On est Femmes des prés accolées ... à une Déité de fond de Roche ! vivacité ! traits de fée ! chants doctes ! on trace à main levée ce qui est qui fi gure le vrai ! on y croit ! On force la donne ! on danse ! on est là chantantes ! On aime tracer, dessiner , graver sur roche ce qui est qui nous anime ! bêtes des prés ! données fines ! On court on vole ! On est fortes ! on colle ! On est comme accolées sur pré et on cherche cde fait un grand nombre de données donnéers, de xdonnées de force ! On est  nées sur roche allouée, à une sorte de Véroité dite des Vérités qui serait en vrai la Vérité des Fées et autres 

Vies Alternatives s(il en est. On est nées Fées sur pré ! On trace ! On avance ! On veut toucher à une Déité de bout de Roche. On est accolées. On est qui ? on est nées en vrai sur roche allouée à une Vérité des Vérités. On cherche ensemble de près à c  erner sur roche les données données et du coup à en avancer, à aller toujours plus loinsur ce chemin des données Actives, Actives Fines. On est Femmes des prés fines, on touche aux données, on trace à main levée à vol;onté, on est auusi activesz, vives, enjouées, sélectivesz, rudes d'attitude ou pas rudes mais costaudes et prêtes à (pour le coup) tenir sur pied devant l'adversité. On est Femmes des prés cernéeds, et cependant on cherche à passer, soit trouver en cetteenceinte une sorte d'entrée (qui sait ?) vers un ciel de rêve ou toute autre clarté allouée à un liointain tracé. On cherche ! On est nées sur roche ensemble comme pour chercher, en certte sorte de Rotonde , une sorte d'entrée (ou de sortie) de vie. On est comme cernées par, autour de nous, la roche  -rotonde. On rezgarde ! On cgherche à passer ! à traverser ! à, de fait, aller plus loin en ces contrées et à traverser ... la Roche Finale, la Donnée donnée des fins de roche : ce qui est qui nous fait face (adversité ?) et qui nous regarde ou paraît nous regarder il semblerait. on est là sur place allouées à une sorte de mission locale, celle de tracezr comme à main levé&ée la bête des prés de pasdsage, celle qui permet l'entrée on dirait, bête de charge et so:mité ! La tracer de mémoire et à main levée ! la graver de rage ! transe ! envolée ! grâce ! on dirait le frai ! On charge ! On est bêtes nous-mmêmes au tracé ! comme transfoprmées ! On veut comprendre = donner. Mais pour comprendre-donner il faut (il est bon de) cherchyer ensemble par où passer en cette 

sorte de Roche des Fées ! où passer ? on se le demande ! on est accolées ! On charge ! on regarde ce qui est qui est et du coup comment trouver ? comment faire pour trouver. Peut-être déjà se poser, souffler, faire un pas de côté, regarder aéttentivement ensemble, ce qui est autour de nous qui nbous ressemble ou pas mais nous semble comme parler ou nous parler , qui cherchons ensemble à tracer des traits, des dessins de bêtes sacrées et autres fêtes rupestres engjouées. On est nées fées dès la mort actée ! O,n meurt un matin et on devient fée dans la foulée (= Elles). On est fées de Rage nées ensemble dans la mort des âges ici accumulés. On entre ! on cherche de fait (grave !) à) comprendre ce qui est mais comment comprtendre, toucher, saisir et cerner ? comment faire pour aller plus loin et "passer" ou comme "passer" ? cAr, en vrai, si opn passe on meurt ! Si par mégarde, ou malheur, on passe (ne serait-ce qu'un doigt) on meurt ! On est là ensemble deux (deux femmes) pour ... eh bé oui , misère, entendre = comprendre, ce qui est ! ce qui est qui nous regarde (nous concerne) au premier chef ! LA DONNÉE des Donnée ! Celle-là de fait qui se pointe en face quand on naît ensemble sur "Roche aux Fées" (ou dite "des prés"). On est entrée ! on a cerné ! on veut toucher toucher mais pour toucher toucher (y toucher) il faut avancer, pousser plus loin sur un chemin des fées, aller de conserve et tracer,charger, faire ainsi qu'on puisee gagner, sur roche, le sentier des vérités ! On cherche à comprendre ++, on est ensemble pour comprendre en vrai ce qui est ! On ne veut pas se laiisser démonter ! On veut gagner sur roche le sentier, le tracé; la voie allouée à une Vérité donnée. Qui on est ?., On est les Fées de Bas-Étage comme qui dirait ! On est entrée en tant que bête (homme gra-vé) on swe retrouve Femmes (deux vfemmes accolées

) à la retombée ! On est des Fées de base ! On charge grave ! On veut avancer , paqsser, durer, dire, cerner les chances, conduire, fermer,; comprendre-situer et donner-permettee une avancée du coup conséquente en ces prés aux charmes. on est femmes nées, femmes nées des prés ! on est femmes nées, femmres nées sur )ré ! on chante ! on aime chanter alors on chante ! on y va grrave ! on est femmes allouées à une roma,nce, romance sur pré, alloué à une "Vérité Frappante". On cherche à coller à cette v2rité sans plus d'ambages si tant est. Qui on est ? on est des fées (de base) quyi cherchons enswemble (ailes allouées à une Vérité) l'entrée de passage, ANFRA CRTUOSITÉ de RAGE, tracé fait, trou de roche en vérité par où s'immiscer. Et pour cela .... fissa ! à l'abordage ! vélléités ! charge frontale ! bélier ! il faiut pousser ! pousser grave les entrées ! les divers pasdsages et autres portes des données "de contrebande ". On veut passer-pousser, et pour passer-pousser iol faut cerner ensemble pour le coup le b on côté (sur roche) au débotté ! On travce ! Traçons ! chargeons grave ce qui est qui est en nous bêtes des prés ! On va vers un trait ! on acte ! on veut toucher à cdette sorte de donnée de base, dont le niom sur place est "Déité gravée", "Romzance allouée à une Déité", " Chance des prés","vive Clarté au jugé", "Parade et autres Cavalcades pariétales données". On est passées sur pré, on voudrait continuerfr  ensemble ce trajet de base, ce tracé vers une sorte de Donnée... autrement "Pre,na,nte" on dirait. On est fées de base nées sur place (dans la mort) pour en  vrai comprendre : ce qui est, ce qui vient, ce vqui va, ce qui adviebtnt, ce qui se présente, ce qui file, ce qui vole, ce qui se soulève, ce qui s'envole, lévite, fonce, monte, cherche à aller haut vers une sorte de "boyau" ou "espace-boyau" qui (en vrai) nous laisserait comme pouvant aller ensemble si jalmais (par lui) de l'autre côté , qui sait ? 

🤔

On regarde ensembke ce qui est ! On est accolées-acculées ! on est nées sur place en ce rocher ... des données rustiques, rupêstres, alpestres, chargées, et on cherche à cerner ce qui est ! vivement l'acmé ! Qu'on y trouve des denrées-données, vives cklartés allouées à des sortes de données acides. On est nées fées ! on est (dans la mort avide) nées Fées à jamais et on le sait ! on est conscientes (ensemble) de cette emprise qui, sur bnous, bnous fait (fort, grave) de l'effet c'est un fait ! Onreste placides mais on est aux aguets ! On se tient un peu en retrait ! On ne veut pas tré-passer ! on veut demeurer. On est nées vives  , on veut en vrai rester aussi vives, si jamais ou si possible ! On Veut ToUchezr toucher toucher toucxher toucher toucher toucher

 toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une V2RIté des Vérités à jamais = autre emprise !  cri ! saleté des saletés, on s'enfiuit ! on ne veut opas rester bouche bée à se faire berner par cette Déité des Données Vives, mais tracer, aller, fuir , courir, à grande enjambées, vers une autre frise, autres parades sur paroi gravée, charges diverses allouées à une  vérité-surprise, vérité des vérités ghravées comme p ar surprise sur paroi lisse . On est co:mme nées de rage sur pré, fées ! on veut toucher à une Vérité de mise ! On ne veut pas sombrer ! devenir vides , mais ghravir les marches de la Vérité et de fait se remplir ensemble de denrées ou de données faisant fonction

 de prises, de prises allouées à une envie (criante) de cerner (en vrai) les données données , et ce ssans lâcher prise si tant est en fait. On est femmes des prés (à la  retombée) qui voulons avanncer ou 

en avancer (ensemble : main dans la main) sur pré et du coup comprendre les données données,  données de base, bêtes-mots de roche et de rochers, cris de joie et de colère non rentrée, chants doctes, chants d'effroi et autres chansons graves déclamées de vive voix. On croitpouvoir ensemble cerner en vrai ce qui est mais ce n''st pas gagné car pour comptrendre il faut coller,  à une "roche des prés", et pour cela ... il faut s'avancer, faire corps ensembke (deux felmmmes) , sauter et passer ! On est nées Femmes sur pré , on veut toucxher-cerner les données de Rage et cerner ensemble ce qui est qui nous regarde (on dirait) sans discontinuer. On est femmes des prés. On est n,ées sur roche à la retombée. Mortes-nées on est nées sur roche et on voit ce qui est : cohorte ! de bêtes de poids ! et autres tralalas comme gravész (à main levée) sur 

paroi (par soi ?). On veut quon voudrait comp^rendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est ici qui peut-être nous regarde. 

on se dit que oui peut-êztre en effet pour comprendre il erst bon de s'avancer d'un pas, voire  deux. De faire en sorte que, cette voie , sur place, qu'on emprunte ensemble, soit la voie des Voies ; qui sait ? On est nées fées parce qu'on est passées ! on est passées de l'autre côté et du coup voilà, on se transforme en fée ! ailes de paroi ! chanterelles ! on y va ! on aime ! on est bêtes des bois, des forêts, des champs de joie et autres prés allouées de fait aux données de poids. quand on aime il faut gagner (plus loin) 

le chemin dévolu ... aux données Velues ! Qui on est ? On est des fées ! = fées chelous des prés ! on trace (comme) à) main levée sur place, en tant qu'on est ... des fées des prés ? Qui saiot ? on essaie ensemble de comprendre et, du coup, s'avancer, ensemb le, tracer , chercher à percer, cerner, toucxher la Base ! la Donné des Données de RAge. On est accolées ! on se colle grave (ici : paroi) l'une à l'autre en vrai. On veut toucher toucher toucher toucher à cette Donnée grave des Données, et tracer ensemble (vite fait) en transe les effets, les vifs effets, les tracés, les mots allouész à une prise, Chants des fées, vives aminosités et autres rancoeurs rentrée. On est "Fées des Prés" sur pré, on est chargées, on vo:le, on est nées sur roche pour voler ! On est des Fées vives ! On est accolées à une roche de données diverses et autres faits vrais . Qui on est ? On est ... eh bé oui : des fées  ! gentes Fées de base on est passées, on est entrées (rotonde aux données) et, on cherche à , comme qui dirait, nous ... retirer ? on ne sait ! on cherche ! on  veut toucher ! toucher est la vérité ! toc et toc on est p  

âssées et on cherche ensemble,  à gagner la rive, l'autre rive (si tant est !) et pour ça on file ! on y va ! on ne lambine pas ! On veut comprendre ensemble et tracer de près, ce type de données royales ! On veut toucher ensemble les donées don,ées du bout du bout du monde alloué à une vérité massive ! on est né'es d'une rage  active ! on est  passées sur pré ! on est nées à une rive vive ! chant doté de mots de friche ! On est accolées, et on chante ! On veut cerner e,nsembvle (via le chant ? la romance ?) les données,   et , en vrai, ça se pourrait ! Il bnous suffirait de fait de ... soufflezr = respirerr ? On ne s ait mais on est (méga

) actives en vrai dans le genre on dirait, on file ! On est fées des Rives ! On veut durer ! cerner = toucher. Toucher = dire. Dire = accentuer. Accentuer = tuer.  Tuer = vivre . Vivre = comprendre lles données données par, ici, une rive a&llouée à une sqorte ... d'enceinte solaire (il semblerait). On est femmes vives dans la mort active ! on veut cerner = vivre ! saluuer laé frise , les bêtes enchantéesz, les données rupestres en forme de bêtes ! Car, on est comme elles : fées-bêtes ! On cherche (pour de vrai) à être des (ensembvke cernées) qui (de fait) voulons grave graver, (en fait) ce qui est qui est qui nous fait face et semble nous "parler" en toute confiance de connivence. Mais ... 'st-vce vrai ? sommes-nous leur chance ? avoçbs-nous pour elles de quoi satisfaire (incidemment) leurs drîoles d'ardeurs conséquentes ? On avance ! On trembke ! On cherche à pour le coup comp)rendre e,nsembke ces ardeurs, ces vivesz envies et autres vifs désirs de type sexuels ancrés, tracés, marqués -accentuées en ces bêtess massives qui (toutes) broutent que tu brouteras,  ensem ble en ces prés aux données actives comme des denrées et autres vivres déposés aux pieds de "Déité l'Acmé" ! ;On est vives fées ! chances-nées ! On court vite ! on file ! on ne lambin e pas (jamais) tant qu'on est "libres" de nos gestes alloués (ici) à une Envie de Verbe ! On est filles des prész, femmes enjouées, colère et tracé, on veut toucher à une Déité disons

 Lascive ou sinon lascive massive, ou sinon massive passive, ou sinon passive gracile, ou sqinon gracile active, ou szinon active acide , ou sqinon acide placide, ou sinon pl acide  massive ... et ça recommence ! on dans e ! on veut être des (ensemble) qui (en vrai et de fait) dansent que tu dansezras ta Romance' (ou sur ta romance) sans (ou avezc ) les bras ! danse slave ! danse de paroi ! charge de pas ! danse en traénse ! caillouttage ! On est femmes fées "des données de base". On aime aller ensemble sur paroi, à la recherche (ensemble) d'une sorte de Romance Grave, charge mentale, bleus de l'âme, une cxhatte sur un toit brûlant, chien ou chat de race sur paroi, va-et-vient vivace, tralala et a&utres falbalas sur bande; ion est accolées (de rage) pârce qu'on s'aime, ne cherche pas ! Ce qu'on est c'est ça : la bande ! bandana ! charge de France;, doigts  des Rois et reines, Reines et Rois ! on veut cfomprendre , et ces reines et ces rois de base. Qui sont-IELLES en vrai ? Fées Des V2rités ! Croyez-vous aux fées ? vous devriez ! car les faits (

de base) néissent en vérité (au nez et à la barbe d'une Déité) sur "terrain advesrse " (qui le sa it ?). Fées = fées des Fées = Fées actées en ce cimetière des données rupestres. Ëtre = faire ! On pousse (sur roche) ensemble les données qui

 toutes sont (de fait) à devoir pousser ! On veut t(oucher = dire = faire = cocher = comprendre , les deonnées du VErbe ! on naît ! On naît ! On na ît ! on ,naît ensemble par le lait, l a chance, la romance, le passé xdonné-déposé, les branches. qui on est ? On est bêtes de pa roi de Rage. Charpentées,massives et (plus ou moins) dures au toucher : non -fées ? fées ? On est passées ! on veut toucher-toucher = y toucher = cerner-comprendre = considérer et juger ce qaui est qui pourrait en  vrai (tr ès certainement) nous en apprendre à satiété ! Car, en vrai, la Mort  est ... XSATIÉTÉ ! , on le sait ! On sait très bien (à présent) que (en vrai) la mort est satiété, tourment c'est un fait mais également "satiét é" ! on veut toucxher ! On veut

 touchert-donner ! donner du blé ! oseille allouée ! bretelles ! le passé et le présent sur herbe, les tourments mais pas seulementn  : tout ce qui est qui en vérité fait ou ferait de l'effet, brillerait, en imposerait, fezrait penser que ce qui est ici donné (Vie Vive) est vrai , quand en vérité ... tu penses si c'est vrai ! Pacotilles que la vie donnée (le Passé) et rien d'autre dans un premier temps q'on voudraitb (de fait) voir durer indéfiniment. On esqt fées en herbev (des herbes) et on volette

 ! on adore voletter ;! on aime léviter ! oh, on a&dore ça , léviter, monter, se hausser, grimper, toucher à ce drôle de firmament alloué à une sorte de "donnée murale",donné des données. On veut : comprendre, dire, toucher, aller, cerner, pisser, donner, chier et pisser et aussi aller, faire, produyire, considérer, consigner, promettre, poussser, mettre, faire figurer, dessiner à main levée en transe l'animal des prés sur roche "imberbe". dessiner la bête et le pré (l'herbe) sans fraisz ! On est bêtes nous -mêmes (fée-bete) et on trace ensemble (de près) les données offertes (en vrai) par la bande (nacré / sacrée) des données actées diteexw (

pour le coup) "de contraebande " ! c'est un fait ... on bande ! on bande puis on naît ! on naît (au passage) Femmes (Fées) aux données données (de type bêtes-poids de charge : bisons, bisonnes, buffles, buflettes, chevales trac&és, "belles-bêtes", ....). On est allouées à une sorte de donné&e, tracée à main levée, pôst-cimetière ! à moins qu'il ne s'agissee d'herbes ! d'herbes des prés comme fauchés ? On est des bêtes belles on le sait (poids des Rois et Reines) mais voilà , on veut bien peser (grave) d ns la balance, figurer et faire son petit effet, il n'empeche que, voilà, on veut ensemble (pour le coup) con,&aitre pour de vrai la transe ! danser les mains levées , tourner et, sans cesse, tourner sans trezmbker ! faire-dire ce qui est en dansant sur pré x et x romances charmaéntes ! On veut comprendre = toucher et cernezr et du coup peut-êztre peser, mais commentb peser ? comment faire pour peser et en imposer , faire ainsi que l'Autre nous considérât comme ... non-ratées ? On est posées ! On est pauvres ! on est pas friquées ! on est nées pas friqées donc pauvres question money , tu sais ! On veut toucher toucher toucher toucxher toucher toucher à cette chose, d'une sorte d'envolée rapide, vive, d'un tracé sur roche (on dirait) vers déité : est-ce vrai ? on colle, ensemble, à la roche. On fait tout ensemble (on est collées). On ne l$ache pas une seconde. On est bêtes (des prés)"femmelles". FEMMES DES PR2S ON EST NéES ! FEMMES ON EST DES PRéS N2ES ! oN est des femmes des prés, fées, femmes, nées sur pré, en forme de fées . On est fées-femmes tracées gravées par (il sembleraiot) des êtres (de néandertal ?) qui auraient été (de fait) soulevész, en transe, en lévitation, par les fées de Saison, fruits de la passion, denrée zucrée comme du lait. On aime le lait ! On veut toucher à une vérité gravée et ne pas céder; On veut cerner ce qui est et du coup tracer un certain nombre de dsonnées lactées (frai, sexe et pamoison°) . On aime ! on veut grave a&imer, cerner, passer, ne pas y passer (trépasser) ma&is passer, à l'occasion, qui un doigt de pied, qui le nez, et cerner (de près) les données données de cet auttre côté d'une sorte de muret dont le nom , en fait, est : ... CORNICHON ! Nichon ? oh , qui sait ? Qui sait ce qui est ! On imagine ! on se fait le film ! On est nées vives et on se fait le film ! que penser ? comment se retournezr ? comùent dire et aller toucher ? On est femmesv szur pied (massives) qui fonçons tête baissée (bélier) vers c ette Déité Frappée qu"ion dit lascive mais en vérité c'est pas tout à fait vrai il semblerait ! On est mises et prisesc  en Fées, et du coup dqu'est-ce qu'on fait ? on vole ! grave on y va ! on veut toucher de base, et donc voler = léviter = monter en cette "cave", à parois (ornementée) des parois. qui on est ? Filles ! filles des blés ! filles nées (sur roche) àune vie comme surajoutée, surnuméraire et szoulignée par (va savoir) telle déité qui (peut-être) existerait de mise sur paroi gravée ou dessinée. On cxhezrche une entrée sur roche tracée. fond du fond on  veut toucher, entendre, comprendre, ressentir. On dirait que (qui sait ?) ce passage, juste là, devant soi, est passage d'une vie de gharde ! vraie de vraie ! On regarde . On est nées filles (dans la mort) on veut (on voudrait, qui sait ?) le rester à jamais, soit continue"r (de rage) à

 ^$etre filles ! filles allouées à une destinée de vie, à destinée (en propre) de vie vive, allouée à une roche (paroi) du monde. On voudrait (de fait) aller loin, e,n cette "Cloison des Cloisons" ! Passer ! Passer de l'autre côté ! côté "embrunsz", "plage", "bruits de fond", cri de bêtes sardes ! on est fiilles (femmes) sur le pond ! on trace ! on est faites de son on dirait : cris de la passion ! on grave ! on chante ! on crie (oui) sans cesse, sans traîner; on est nées de ba&se Femmes dans la mort et on romance ou romancerait grave ce qui est en vrai, on sait. On veut : passer, passer sans y passer ! chargeons ! filons ! allons loin ! creusons ensemble ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ la roche brunie ! On veut grave ensemble comprendre ce qui est ici qui nous regarde, et du coup cerner la Romance aux Données Données. On aime travezrser la lande : on le fait ! on trace ! On avance grave . On est nées Fées comme au passage et ça le fait en vrai ! Fées on est , qui cherchons passage (au débotté) au fond du pré(par où passer sans se démonter). Qui on 

est ? zh bien peu-être des fées, fées-femmes qui cherchons ensemble à (au mieux ou pour le mieux) figurer ensemble sur roche gravée, dessinée,au nez et à la barbe d'une (sorte de) Déité de Charme. On est fées nées au passage (tête adjacente). On aime tracer (filer) , du coup on fonce ! on y va gaiement, on montre. on aime mo,nter, se hausser ou nous hausser, grimper, se soulever ou être sqoulevéesz, charger (tout en -haut des dunes) les données allouées à une sorte de ... "passé donné" ? octroyé ? déposé comme à l'aventure et on se prend (ensemble) à rêver, que la vie pourrait du coup durer en vrai une éte"rnité ! on est fées de rage qui aimons

 danser : en transe (ce qu"on fait). On est déposées ! posées ! chargées de mots de  base animalierrs sur roche. On aime allerensemble et combiner, alterner, chercher à pour le coup se démerder ensemble ou, par'fois, séparéement, mais en vrai, jamais tout à fait : on est accolées ou cfomme accolées dans l'instant si jamais ! dans le temps accolées sinon dans le pré ! on est collées ! on aime toucher, dire, pêrcer, chercher à trouver, comprendre ou faire- dire ce qui est en vrai , et a&ussi le reste : fauusetés, vivfs mensonges sur pied, genres déposées en branle, corrosion des données de base, fausses-clés de contrebande. On est come cernées ensemble par des sortes de données de type "vies a&ctives allouées" , quand en vrai les données données (par nous déposées) ne sont pas "vraies" mais "fictives" : fruits ! on est comme allouées à une vérité des prés dont le nom est : fée ! on le sait et on y croit fissa ! On est nées au passage, au débotté de la paroi des prés (ou dite des prés) ! on voit ça, qu'on est nées de rage ensemble à toi à moi come à la parade : ça y va ! ça gagne ! c'est coriace ! ça ne lambine pas ! ça cherche sérieux à comprendre les données de base sur paroi. "qui est quoi ? qauoi est qui ? et autres romances" ! On est nées pour être (dans la mort) des fées (défaits, et du coup des fées ) et c'est ce qu'on est ! Fées d'auge ! ftées dorées ! Fées de base morte mais vas-y, regarde , cherche à comprendre ! elles sont nées ou bel et bien nées ! on adore ! on est fées des prés chassés ! on a&ime aller, tracer et cerner, pisser et caguer, cernezr et douter, prendre et a&llouer, filer à l'anglaise, ne pas nous décourager, percer les mystères de la Charité, pisser peut-^tre, et aussi chier, mais aussi s!uer, perler, mouiller, comme des bêtes ! On veut toucher à cette SATIÉTÉ de Cimetière (?) qui auréit de fait mainmise entièrement sur les dfifférentes données données par l a Terre, Terre-Mère, 

Donnés des Données. O0n est néeees de rage Verbe (herbe ?) et du coup, on devient Fée , ou peut$$êtree FEmme-Fée szur HErbe, qui voulons comprendre eznszmble ce qui est en ce's murets de rage "pariétales" et autre parois dite "de la foi". Quand on aime on dit qu'il faut tracer ! 

Quand on aime on dit qu'il est "préférabkle" de tracer ! 

On veut dès lors tracer, graver, dire, montrer, chercher à trouver (dans le dictionna&ire ? ) une définotion ancrée, certaine, avéré , au mot "cimetière" (ça nous aiderait un tantinet ... peut-être). on est comme nées fées sur herbe ! fées des fées ! ça le fait ! la peiine, la guerre, les diverseds monstruosités de l'être, les méchancetés, tout ça : du balai ! la fée desz fées sait faire ! se débarrasser de ce qui est faible e"n termes de données données de (pour le coup) vérité ! cherrchons plutôt à (ensemble : soudées) co

:mprendre ce qui est de ces contrées "hors cimetière" si tant est ! mais le "hors-cimetière" est-il (de fait) ... qui serait en vrai ? y a til des endroits sur terre (à la longue) hors cimetière ? on ne sait ! qui sait ? qui conna it ? On est : femmes-fées des prés, allouées eznsemble (accolées) à une vérité de base, genre "donnée des données". On trace ! on cherche ensemble à en vrai tracer, sur roche, un chemin de halage (des prés) si jamais. On est femmes touchées et ça fait (parfoisz) chier ! On est femmes / fées-des-prés touchées ça fait chier, quand on ne veut pas l'êttre ! sidérées ! frappées des instances ! acculées !  ça fait grave suer ! On entre ! on entre par un trait sur roche de passage ! On est néezs fées, et on trace ! On file grave ! On veut aller-donner, toucher-tracer, faé ire-donner, dire-coller, choquer ? Ancrer ? colmater  ? Consulter les fées  ? On compte les données données sur roche : on est étonnées du nombre ! On est accolées et a&cculées ! On fonce ! On veut toucher-toucher à cette déité aux données données de type Vérités de Cimetière (à jamais). On est faibles ! Fées des fées on cherche à en vrai découvrir ce qui est qui est en ce cimetière aux vraéis effets.  Qii on est  ? on est des fées dites (pour ainsi dire) "de base motrice", on court on v ole avec hélices ! on lévite ! Haut les coeurs chauds ! on lévite ! on va haut ! On monte sur un tonneau, une sorte de guimbarde. On veut voir d'en haut (de base). On est faites pour en haut y voir , et tracer a&u cordeau les données frontales, telles qu'en vraéi elles semblent ou sembleraient cvouloir (peut-être) se donner à nous, qui voulons comptrendre et tracer. On est femmes sardes ! sardes  et salées ! on est femmes salées , sardes et nacrées

 ! nacrées comme le passé (ou dit "passé de sarabande"). On aime ! on valide ! on adore aller d'une rive (ici : avant -sc!ène) à une auttre , là : après-scène. Ça y va ! ça draine ! ça cocotte ! ça fouette ! on sent la toison reine, le poisson, la mer de rêve, les melons, les champignons, le sable sur grève, les traines. On est femmes sur monts, charge d'âme, alluvions, semence, cornichon (nichons ? ) sur panse ! On compte les tétons ! on est FEmmes sardes et on comp)te ensemble les tétons ! On est sur place eznwmble pour en vrai le pluq possible chercher à comprendre et aller (fissa) au-devant de soi, pour :

- comprendre'

- toucher 

- aller 

- pisser

- chier de connivence

- comprendre oui, les do,nnnées active's (vérité) qui expliqueraient le pourqauoi du commentJE est passé, comme un tourment dans une frise. JE donné sur grille : chants -tourments, sentiments, pleurs tristes. On est prises ! Vies des vies comme prises, soumises ... et, en vrai, ça fait chier ! On tente à notre tour une sorte de prise, qui pourréit (au p azsage) nous aider à (peut-être) nous éloigner de la Mort-Déité à jamais ! On est femmes ou filles / Fées de rage. On veut toucher ensemble à (ici meme) des données de base, poids de choixs , romances cracra (peut-êttre) ou pas : ça 

se voit. La Rage est là ! qui, on dirait .... fait rage ! ça y va ! on trace grave ! On veut ensemble en tant que femmrs (fées) comprendre les b ases (ou les données de base), vérités ancrées (toutes) dans la masse ! qUi sait si en vraéi on peut y arriver, si on pourrait ? Ça le ferait ! ou : ça serait sympa , de fait, que ça le fasse un t§antinet, qui sait ? On est nées fées sur place (ici la mort) à la retombée, "retombée mausszade" ! on est nées fées sur paroi au p âssagge ça le fait ! On voulaéit comprtendre ce qui est et , au bout du compte, il semblerait qu'on puiise (en effet) comprtendre, un paquet de choses de près, en forçant la donne ! qui on est ? des féesz, c'sst un fait ! homme défait devient des fées en nombbre (= 2). On est fées nées, sur  "base mortelle". qui on est ? xdes fées ! On s'aime ! On veut s'aimer ! On ne veut pas se laisser aller ou 

nous laisser aller à rien glander en termes de recherche de données actées, mais tout au contraire ne pas s'arrêter à chercher, chercher grave, ici et là, toutes les données (possibles et imaginables) susceptibles de nous éclairer, en ce qui concerne... la lande, le pré, les fleursq alllouées, les bêtes de masse, les bêtes-mots et les mots-bêtes, le temps qu'il f

ait. On est des fées de contrebande on dirait ! tirées, poussées, bousculées ? On fait face ! On veut demeurer ! ne pas se laisser intimider , ou : ne pas nous laéisszr intimider ma-is tenir tête, le front haut, tue-tête ! faire ainsi enwsemble qi'on puiise comprendre les données rageuses, la Foi en  cette lande ... entre deux parois ! La Rotonde est là (poitrail ?) : on y va grave ! On charge ! on veut ensemble comme un fait exprès cerner-comprendre l'alloué, le composé, l'e patent idoine , le chargé et l'exposé. On ne sait qui croire ! le placier ? le père Frappé ? l'entourage du père Frappé ? l'antenne aux nénés ? Le cimetière ? On est cfomme cernées de base par des faits qui , s'accumulant, fondent un paysage de firmament, ou, sinon de fir'mamant, de base, paysqage sage, champs ! champ des tourments ou dit "des tou'rme"nts". ON veut ensemble (toi et moi) comprendre les données active's,foi, Cri, charge, religion des parois, dessins doctes, prix d'ami, délivrances. Onj veut comprendre ensemble cette délivrance. On veut ensemble aller (si possible loin) à la recherche d'une "vérité intense". qii o,n est ? des nénés ? quéqués ? ... chr(ist assoupi ? On cherche e,nsemble ! On aimerait grave comprendre ensemble, ce qui en vrai ici (paroi) se trame de concert et semble (peut-être) vouloir, comme nous attendre pour nous dépiauter, nous faire chuter, nhous surprendre et nous blesser comme à jamais. On est fe"mmes)fées des prés, on aime s'aimer sur la lande, en tant que femmes ensemble (se toucher). On aéime se ... gouiner (?) de rage ! farce ! confiance ! on s'aime ainsi ailées ! Fées de France ! On aime s'aimer, s'aiguiller, se lover, se former en roche ! être bêtes des roches soudées ! coller à cette cxhose d'une szorte de donnée, un temps, morose mais pas à jamais ! les choses szont ensembvle, qui s'affrontent, se corrompent, se fronce nt et tombent, changent de parois, de visages et de traits (de base) sur roche il semblerait. On rst là ! toustes prises, parle cul, la rage, le tracé nu, l'emphase ! mille vertus font le cul de l'âme ! de l'âne ? on entre ! on voudrait de fait ensemble se loger en cette szorte de passage à même la roche, roche ici imberbe. On aime assseez se dire que voilà, la roche, dite (donc) imberbe, est roche nacrée = sacrée ! on cherche ensembmble, sans tra&îner, ce qui se pourrait. on est femmes des prés , des cimetoères, des données sur les êtres alloués (de fait) à une Déité, celle des Prés. On veut ensemble e,n tant qaue f"mmes, toucher, prendre, sitruer, deonner, percer, passer , connaître les données données où elles sont en vrai, charger toison, pisser sur le pont, caguer sans raison ! On est fées nées sur le ponton ! pisson-chions et laissons ! On aime : et pisser et chier en rond, autant qzu'on est ! c'est couillon peut-ettre mais c'est vrai ! ORAISON ! CHAPEAU MELON ! CARGAISON DE DONN2ES ALLOU2ES À UNE PASSION ! ON adore donner, percer, comptendre, se lover et s'allouer à une sorte de raison de garde, rationalité de façade ! ça le fait "bonbon" on dirait, même si c'est pas vrai au fond ou pas tout à fai. On compte les moutons ! on s'endormirait. On est collées et accolées. ou accolées et en vrai collées. Femmes-fées on est, qui cherchons TOISON (d'or ?) des temps "percés ". On est tracées sur rocxhe, faisant fonction (pour ainsi dire) de données de rage. 

On est fées de RAge ! On est fées des prés ! On charge sur roche percée notre szorte de ramage ! bois des ors ! tra&its du sort ! On veut s'aimer sur prés, se toucher, se doigter, se caresser, se faire x et x choses ensemble sans traîner ! se bercer, pelotter, toucher de près. S'aimer fort (se lécher le corps) . s'embaumer ! se molletonner ! S'emballer comme un mort ! S'aimer fort = s'embaumer on dirait. On veut creuser ! Faire et donner ! charger, permettre, toucher et aller, dire et porter sur roche les données. On est fées dde base femmes allouées. Cris de nouveua -né ! Onntrace ! On vioudrait comprendre ensemble ce qyui est qui semble se pointer sur place, faire son effet, se montrer...  et nous d'y penser. On veut

 aller ensemble par le pré chercher Romance, Chants de Fée, Parades chantées, Cris des Prés, Sortes d'enfance. On est nés Fées en tant qu'on est; On veut ensemble ici comprendre les données, en faisant en sorte (de fait) qu'on puisse tracer (sur roche) ce qui est qyui nous app&raéit. On veut chercher (et du coup si possible trouver) ddes vérités qui puissent nous aider à (en vrai) comprendre ce qui est, ce qui se passe , ce qui est qui se passe ou se tra&me en termes de passages (dits "au débotté") de vie à trépas ou quelqaue chose de cet ordre -là. On est nées (dans la mort : au passage) fées ! soit dédoublé ! on est homme défait ! dédoublé ! fait femmes au débotté (ici) au passage = fées des fées , qui cherchons Romance à déplier, donner, lisser, comprendre, tracer, déployer, dire et poser. On est des fées de contrebande. On voudrait ensemble savoir composer les chants de "la chance", les données de g arde et autres chansonnetes haletantes. On est des Fées : "de passage" ou "au passage", féess "du passa&ge", fées ainsi formées ! On aime passer, traverser "la Roche aux Fées ", comprtendre les doné&es de base. Aurochnoïdicité de Rage ? on ne sa&it ! on trace grave ! vivacité et pugnacité font très bon ménage  en vérité. Le soleil est haut qui semble briller pour nous inonder de sa douce chaleur animale ! on aime aimer ! on aime tracer et toucher les bêtes dees prés : buflettes à jamais, buffle sablé, chevaux des prés, charge-bisonnnes et autres bovidés dits "de saison" comme les fruits de la Passion. On aime s'aimer (aussi) de saison (en vrai). On cueille les baies. On est Femmes)

-Fées sachant chasser. On se colle ensemble ici au débotté au cul en vrai l'une de l'autre, à ne pas, jamais, s'éloigner (pour le coup) l'une (la lune ) de l'autre (le soleil). On e'st des fées (faites fées) par (en fait) un coup de lune ou de Soleil il sembvlerait (ça le ferait) .On VeUT cerner ce qui est pour de vrai afin de mieux comprendre  les tracés de rage. On est fées de base, chants royaux, reines des prés, pesage et montrage. quan,d on aime il fait monter haut (sur place") par la bande ! creuser ! chercher ! prendre ! craindre ! coller ! cerner ! ALller loin en ces contrées dites "du cimetière" alors même que ce ,n'est pas vrai ! elles ne sont pas "du cimetière" mais post-cimetière on dirait. On st nées toutes post-cime'tière en ces contrées. On est accolées qui voulons cerner ce qui est, qui serait actif, vif, et saurait comme nous indiquer la voie (

le chemin) la (le ) plus propice pour nous aéider, à (peutêrtre, si jamais) cooimp rendre où tout ça (la lune, le soleil) pourrait nous mener. On est femmes de la Foi dans l'Âme ! Fées des Fées aux données de Rage ! On passe ! On veut comprendre ensemble (accolées) ce qui est, qui sembvle nous aller. on entre ! on est entrées (de base) en tant que fées (au passs ge) et on trace , on fait son effet, on court on trace ! on est comme nées a&u nez et à la Barbe d'une ... Déité attitrée à un Passage nommmé, marqué, signalé sur bande, allouée ! On éime s'aimezr . On veut tracer. On veut pousser de ra&ge les donnéesz, les avancer, les signaler, les tracer sur roche allouée, les faire monter, les hisser ! On est fées d'entre" les fées. On veut comprendre ensemble ce qui est qui pourrait nhous aider à cerner plus avant (encore) cette histoire (de fait) de romance allouée à une sorte de passage "au déb otté" (= de vie à tré&pas). qui on est ? On est des fées. On cherche à cerner ensemble les faits. On veut cfo:mprendre -toucxher = dire et faire à jamais une sorte de tracé qui szerait de fait l;e dessin en vrai des données avérées, concrètes, concernant la vie allouée à la mort, l'entubage-né, la chose sur pied, l'import. On est nées fées dans la mort (ni plus ni moins) et ça se sait. qUand on meurt onpasse (de rage) d'un port, à une sorte 

de cloison  des ors. ors des fées de Rage. Ors des morts. On porte Ramages ! Cadrat d'ior ! Ors de Rage. Ors des ors. Façade. On aime ensemble (fées) coller à ... eh bé à cette sorte de Paroi des Rages ! La Paroi de l'or sage, mage, passé . On cfompte les faits. On est passées près d'y passer à jamais ! On est fées des RAges Vives. On aime aller ensemble d'une rive l'autre, s'époumoner à force de chanter, gueuler, dire nos vérotés (nos 4 vérotés) , souscrire à une sorte de Passé tel qu'il se seraéit déroulé en vrai szur roche allouée à une Vérité Ancré de type Religiosité . On e'st nées sur pré , filles-fées de contrebande un peu chahutées, ensemble, on sait se lover ! se positionner ! comprendre ! sonder ! toucher et passer près ! se donner ! aller sur pied jusqau'au pied des Tra&its dits 

"Traits des Déités 

Allouées à un Dire

Doré comme les blés". 

on est fées accolées à une (sorte de) pré aux fruits déposées. On court on vole. On dirait en vrai qu'on vole ! et peut-être qu'en effet en vraéi on vole ! On va haut sur Roche ! Tonneau ! on est ivres mortes ! On aime le Beau ou Bel Alcool de Peau. on est filles des prés, fées nées, on est assoiffrées ! on aéime (en vrai) le Beau Vidé ! On veut trouver, cerner et toucxher, comprendre un grand nombre de données,sopnder, permettre, charger et coller, ensemble (toi et moi , à toi à moi, à la une à la deux), à la paroi finale (terminale) d'une enclave. On 

est passées de l'autre côté, nous voici dès lors, avec l'envie de travezrser en son entier cette sorte d'enclave tracée, ancrée, qui seraéit une sorte de pré dit "des prés ... et des  charges mentales". On veut cfoller ensemble (nu pieds) à la lande. On marche en sandale  ... non, sans sandales ... on marche pieds nus sans nu-pieds, on est nues ! on trace ! on est fées ! on est velues ! on veut toucher , comprendre, cerner et pister. On veut chercher ensemble les données données, te'llrs qu'elles se présentent. on est accolées de rage pour ce fait : comprendre-toucxher et du coup aller ! filezr ! foncer ! chercher ensemble si possible (en vrai) une vérité comme stipulée qui saura ou xaurait nous aider sait-on jamais ! On est fée des fées. On veut cerner-toucher ensemble les données telles q'elles sex présentent (de rage) devant nous , le temp)s venu. On est accolées, velues, nues, pieds nus, sans sandales .On  v eut 

: comprendre vif, charger fort, aller loin, porter haut, cerner de prèsz, szignaler sans traîner, coller &u plus juste, permettre un toucher, contraindre à se lover, activer en vrai, une Vérité des Vérités telle qi'on aimerait à jamais pouvoir (si possible) en hjouir de fait, en cette contrée, sous le vent buffant, ici, en ce tourment. On est Fée des Fées de La Rage nées, nées pour être, faire, dire, combler et donner ! On est fées comme nées d'une Rage d'ëtre , sous le vent, poussée à Faire-Dire ce qui est qui est, qui serait : Le Mot , La donnée Verbale, Allouée (de fait) à une Timballe, celle Des aAFFaires "sales". On colle aux données. On cherche ! On veut trouver-cerner. On cherche à cerner-comprendre : qui on est, qui on est pas, ce qu'on veut toucher, ce qu'on ne veut en aéucun cas toucher, ce qu'on est pour soi, ce qu'on est pour les autres que soi, ce qu'on regarde en face de soi, ce qu'eon voit, ce qi'on ne   voit pas. On avancev pas à pas. On trace sa voie . On est Fée de base allouées à une Voie De Rage. On est là ensemble, accolées (femmes), pour comprendre ensembvle la paroi, le Roi, La Donnée de base, la (ou les) Donnée(s) Docte(s) et autres Chants Malins ; la base, le rampant, la bande, le Prince de Séant, la Balle. On regarde . On est nées sur pré dès la mort actée (au passage du pré). On colle grave ! On est comme défait (homme défait) au passage, et du coup transformé en fait en fées de base. Qui on est ? dans la mort ? des fées ! fées aux ailes d'or ! On est passées ! on a traversé vite fait ensemble la Donnée de base et du coup nous voiçci comme ailées , soit munies d'ailes de fée comme en vrai (on croit rêver ! ) On aime les féesz ! on cherche à cerner ensemble ces fées, ce qu'elles sohnt en vérité opur notre gouverne, ou ce qu'elles seraéient. On aime les fées comme ... nousz-mêmes ? car, en vrai : s'aime-t-on ? o u s'aime-t-on autant qau'il paraitraéit ou qu'il le faudréit ?°. On est femmes accolées car, voilà, on a traversé (ensemble) le "pont", la charge , allouée à une parade. On est fe'mmes des prés et fées de base ! on est collées de r age à u n e sorte de "guimb arde" aux dopnnées "étranges" on dirait . Que sont ces données ? desbases allouées à un pré ! Gentes dames : buflettes nacrées, bisonnes charmées, chevales des fées, bouquetines 

ancrées, ourses des p)rairies et du paradis, lionnes allouées à une vérité chargée, biches accolées. On est sur pied. On veut toucher à une sorte de paroi donnée. On veut ensemble si possible aller au plus loin des données allouées à une vérité rupestre, du genre "buflette". qui on est ? on e'st de s fées de Rage touchées par (peut)être) ... une grâce, à être des bêtes ! On court on vole ! on monte ! on s'érige ! On a envie de vivre ensemble en cette sorte de prairie, notre vie ... d'infante sage ! On ne veut pas mourir ô grand jamais ! on veut vivre ... pour toujours ! ne pas trépasser ! aller ! charger ! donner ! coller ! dire ! pousser ! comprendre ensembleb les données tracées (szur roche) à ùain levée , pâr quelques êtres des temps reculés . on est nées szur roche Fées, la mort passée ! On est Fées, nées, de fait , la mort venue (passée) à jamais ! Fées d'entre les Fées nues ! On est nues de fait parmi les Fées ! On s'aime nues ! on se veut nues ! on aime être nues ! on aime toutes deux êztre nues du cul, l'une pour l'auttre, sans arrêt. On aéime toutes deux être nues (complètement) l'une pour l'auttre. On se plaît nues ! on s'aime (zinsi) nues ! On adore être nues et se balader nues et se promener en ces contrées nues, complètement nues ensemble sur un pré, au miieu des bêtes des prés, bêtes nues elles aussi quoique velues, alors que nous ... pas autant  velues, quoiqu'un peu poilues, voire (parfois) beéucoup poilues, selon les moments , en vrai, de l'année. Car, par moments, on est plus poilues du fait que voilçà, ça pouusse, très !


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23/8/2024

On regarde ensemble dans le même sens et on s'interroge. On aime comprendre et tracer. On est deux. On est deux pour être , pour ainsi dire, celles qui pourront dfe fait à lea une à la deux traverser la roche. oON se doit de traverser et du coup on trace ! on fonce ! On y va de concert car voilà, on s'aime ! On aime aller ensemblee à travers cette roche dite "des embruns". On se doit ensemble de tracer et d'y aller ! On le veut ! On veut tracer, filer, coller aux données, faire ainsi qu'on puisse coller ou traverser, passer de l'autre côté, filer grave, foncer à travers la lande, se joindre (ensemble) auux bêtes (nombreuses) des prés. On est nées pour être elles, les fées , les fées de la lande. On veut cerner et du coup voilà, on passe tête la première à travers la paroi , car on veut toucher ici et là à cette sorte dedonnée suprême dont le nom en toutes lettres est "Déité des Déités agraires". On connaît ! On est passéess de l'aiutre côté, on a traversé la roche "des prés", on est tombées comme à la renverse de l'autre côté et nous voilà alliées aux beters-mots, bouquetins et bouquetrines, buffles tracés, bufflettes olé olé,charmes et douceurs des prés, on est accolées, collées à elles, à pareilles bêtes. On aime ! On veut aller près d'elles ! on veut cerner-toucher ces bêtes, les aimrer et en vrai c'est ce qu'on fait ! on les aime de près ! on aime ces bêtes , on aime les toucher, les toucher de plus belle. On estvaccolées à pareilles bêtes , on veut les toucher, les aimer, les approcher (de fait) au plus près. On est ou on serait comme elles des bêtes. On est bêtes des prés comme elles. On veut les toucher , les aimer, les dessiner, les approcher de près. Qui on est ? On est bêtes des prés. On s'aime ! on veut tracer, aller, courir sans traaîner, faire ainsi qu'on puisse s'approcher des parois du Verbe, coller à cette Déité du cimetière dont le nom (genré) est : Tête ! Onest nées sur herbe, on trace, on va grave pour tracer sa voie ! On est comme nées du Verbe sur paroi sous fgorme animalière on le voit. On est bêtes de scène , somm, traits, fortes têtes on est , et aussi guerrières, allumées, vives

 et colère si jamais ! On est nées pour être elles : les fées ! dans la mort du cimetière être des fées, ou Les F2es, Les Fées des Herbes. On e'st nées pour être fées et du coup on trace , on avance, on file, on ne s'en laisse pas conter, on veut comptrendre +++ ce qui est et du coup voilà ce qu'on fait : on file fissa ! on y va ! on cherche à hue et à dia ce qui est, c'est-à-dire les données données, le tracé ancré, l'omoplate délivrée, la chance aux agrès, la timballe, tout ce qui est qui puisse nous aider un tant soit peu à comprendre ce qui est devant (en face) à nous attttendre fixement et patiemment. On trace ! On reg arde. on est pasdsées de l'auttre côté, côté champ ou pré, côté bêtes fortes, on est entrées et du coup on trace ! on y va gaiement ! on cherche (ensemble) à gagner la place, le  traczé sur pré attitré, la voiie de base. On veut aller ! tracer et gagner vers ce qui est en vrai cette voie tracée pôur aller fissa (jusqu'au bout du bout) en face : la Paroi ! La Chance au grattage ! on voit ! On voit au loin la Paroi ! l'amiante ou sinon quoi ? On est nées de rage (d'une rage) et on voit quoi on voit ça : ce qui est là-bas, ce tracé de base, voie des voies on y va ! on trace ! on va droit ! on est femmes des prés à la retombée, on trace, de fait, vers cette (sorte de) "D2ité des Déitéds" qui semblerait nous faire face. On est accolées (nous deux) en face à face, avec ... eh bé Elle, cette Chose imberbe ! Déité ! Chant des prés ! Romance ! On est passées à travers la roche direction le pré et (à présxent) on se rapproche à nouveau de la roche (en rotonde) afin de (une fois encore) traverser la roche, passer, voir ensemble de l'autre côté, ce qui est, ce qui en vérité est ou serait qui nous attendrait ! On veut comprendre grave ensemble les données données de la roche ultime ! Roche allouées à une Vérité Sacrée, riche en données de toutes sortes concernant la Mort, Vie et Mort accouplées, Chants du Sort, des Envies gravées, des Bêtes Montrées. on mate ! matons ! regardons les choses en face et en vrai essayons de comprtendre les données les plius ancrées ce qu'elles auraoent à nous révéler en termes de définitions ou de révélations concernant la mort. Alors .... on pourraiot dire ou avancer ceci, ici, cette chose (dite "de paroi"), comme quoi en vrai, la mort est ... Satiété ! hé hé ! On voit ça ! On est nées pour aller toucher à cette Déité dite "de paroi". On est accolées (à deux) pour eh bé voilà, tracer ! coller à la Donnée, aller graver, charger, faire ainsi que Déité soit comme rassasiée , d'ùo les nénés et le prix du Lait , c'est ! c'est ainsi que c'est !! On essaie ensemble de se rapprocher des néenés de  base (d'une roche allouée à une sorte, en soi, de mamelon) et ce faisant , qu'est-ce qu'on fait ? on trace ! On colle ! on fonce ! on veut cfomprendre ce qui est ! On veut toucher au mamelon "montón", on veut y allezr ! on veut traverser et passer, se placer, coller pour passer, coller à deux pour du coup passer, traverser la roche, la paroi du monde, le sommet, la roche allouée à cette Déité des Déités . On veut coller et 

traverser ! aller dec l'autre côté et filer ! courir à travers le pré ! aller vite au fond du pré pour cerner les do nnées ditrtes "disposées" comme à l'arraché, déposées sur pré, allouées à une soprte ici de pré aux données données de type (fortement) animalières. On connait ! on comprend des choses. On veut toucher la Roche du fond. On veut tracer sur elle les données premières, coller, s'approcher de front, comprendre et toucher. qui on est ? on est nées Fées au cimetière on dirait : AILES. On veut être AILES, AILES ALLOUÉES à une sorte de donnée de type Déité dont le nom en vrai (en toutes lettres) est FÉE ! Fée de Rage ! Fée de base ! Fée docte ! Fée des prés ! fée des données fortes , genre animalières néandertaliennes ! on est nées fées ! on est passées ! on est da,ns le pré ! on a travezrseé comme à la dérobée la roche prioiùmaire, le roc alloué à un cimetière (sorte de) et nous voilà tombées , tombées dans un pré, champ de luzerb-nz aux bêters gravées, on aime ! On marche ensemble au son des musezttes. On est allouées à ce pré en herbe. On marche au frais. On aime marcher. On va ainsi nous promener , charger, courir et se pôser, brouter, brouter 

comme elles, toutes ces bêtes  comme affiliées à une vérité "des prés". On est bêtes comme elles (fées-bêtes" , qui faisons ensemble le chemin des fées" on dirait.; On est nées fées sur herbe dans la Mort donné; on est nées (renées) en cette herbe des données rupestres. On veut cerner ! toucher ! aller ! comprendre cec qui est qui est ou qui serait pour nous la fleur (la crème) des données si tant est ! On veut tracer ! courir ! jouer ! ne p âsz vréritablement mourir soit défaillir mais tout au contrzaire se coller (l(une à l'autte) et tenir  allouées à pareilles données dites "des prés". On veut cerner les données rupestres. Aller ensembkle jusqu'au bout du bout de pareille pour le coup enclave prairiale : toucher à certe vérité donnée de type "cloison murale". On veut aller ensezmble jusqu('au bouyt du bout, pour comprendre, toucher, regarder, presque espionner ce qui est qui en vérité ici (prairie aux fées) se trame ou se tramerait. On est F2ES de rage en ces contrées et on veut de rage, du coup, comprtendre ! toucher ! aller ! ne pas sombrer ! faire fi des bases allouées à un cimetière mais coller ! coller à cette soerte de donnée finale ou terminale, coller grave ! regarder ! toucher ! se glisser autant que possible ! regarder les données possibles, le tracé nacré, l'embarrure, le passé, le dieu donné, l'embrasure, l'envoyé, le déplacé, la turne, l'emporté, le vif et la plume, le petrit oiseau de bonnhe augure, l'idiot, le conno, le p)arfait conno ou qui d'autre quyi est là qui serait comme à nous attendre comme un nigaud ? On est de base Fées des F2es, qui voulons, dans ce "pré des Fées", comprendre. On est F2es faites ! pour l'Herbe, le pré, le c hamp des fées, le tracé a:lloué à une sorte de sentier menant tout droit (hors cimetière) à ce passage étroit d'un mur de derrière, vers là-bas, la plaine, la toundra, le soleil vert, la cghaine des neiges, le donné royal, l'amulette, le prairial suprême, 

l'ontogénè-se. On vezut ou on voudrait ensemble faire (ici) cette chose à deux (on est deux) qui est, pour ainsi dire, de .... comprendre "sec" , les données du VErbe envieux ! On veut grave ensemble cerner, toucher aux données = cerner ces dopnnées, données des rêves ou sinon des rêves des pensées allouées à une sorte de Passé , dit "de cimetière", mais en vrai le cimetière est une sorte de pré alloué à du Verbe Nacré (sacré ?) de type Vérité des Vérités. On trace sur pré chemin de passage, on fonce grave, on court on vole (inclinaison, lévitation) et du coup on gagne (fissa !) la Paroi de Roche Finale, là-bas, le tracé des bases, le Fond de Barrage. On regarde ! On voit quoi ? des traces de pas ? on y croit ! On veut ensemble (main dans la main) comprendre les traces, les données de Rage dxes Paraois Finales. On rzegarde. On voit quoi ? une sorte de paroi qui , peut-être, s'ouvrirait à noptre passage,, ou pas ? Ouverte de base = échancrée ? On ne sa it pas ! On cherche grave ! On veiut passer ensembke, toucher D2ioté, Voir / comprendre les Données des Fées ou dites "des Fées", ce qui est, ce qui se passe, ce qui se trame, ce qui se rassemble, se qui se fait , ce qui est qui se fait, ce qui est qui tremble. On veut de fait ensemble si possible, au maximum, comprendre sezrré ! toucher Déité ! Toucher à cette Déité des Rages ! qui c'est ? "c'est l'plombier" ... des parrages ? On ne sait ! on veut comprendre = voir, voir de base les données actées, la fumée des paysages, les cl artés, entendre le cha nt comme alloué à une sorte d'anfractuosité permettant (grave) pour de vrai un passage, à travers la roche elle-même allouée à pareille contrée praioriale. On entre ! enfin disons on essaie d'entrer, de passer un oeil au jugé, cerner-toucher vite fait les traits, les formes oblongues,l es fumées, les clartés de près. On est nées fées  on s'ap^proche des fumées. On est , dans la mort, nées fées, transformées, transformé en fées, transformé d'homme au singulier en fées, au nombre de deux il semblerait (ça le fait !) et nous voilà sur pré à chercher (rechercher) la Chose, le TRacé tracé, l'anfractuopsité de Rotonde, le pasdsage alloué à une sorte d'entrée ... du coup dite"de fée" telle qu'il semblerait qu'il nous fût alloué ! On est fées de trait ! On trace ! on colle ! on fo,nce ! on veut toucher à ce tracé "du bout du monde". On veut toucxher toucher toucher , à ce tracé tracé tracé ! du bout du bout du bout , du monde alloué à une Vérité Acté de type Déité il xsemblerait. On esty accolées (§serrées l'une à l'autre) et on cherche à (re)traverser la roche, après l'avoir unre première fois de fait traversée, nous voici, après le pré trouvé, qui cherchons ensemble (fée = AILES) à re-^(pour le coup) traverser, la Roche-Rotonde, l'ambra sure ; l a retravezrser (en vrai)  pour ainsi dire, soit la retrouver , la voir se tramer, la toucher, la toucher dxe près, cerner-allouer, à pâreille Donnée, une sorte de "Vérité des Vérités". Comprendre. Cerner = toucher = dire. On veut dire et cerner ce qui est afin de OUI, faire ain,si que pareille donnée terminale (genre "vie après la mort-vie") soit vivace ! On entre ! on entre (si on peut) un oeil ou sinon quoi ? On entre, qui un oeil de Rage, qui un doigt. ON est au fond du pré. Rotondité des contrées, on a gagné le fond, qui est fond de  b ase pierrale, pierreuse, mur d'enceinte fait de pierres , roches, roc durs, mots des fées. On veut toucher à une Déité matûre ! et du  coup (OUI !) cerner ! , toucher = cerner = dessiner (de traits) les données, de base motrices, genre "animaux des prés", bufflettes allouées à une m atrice, bisons futés. On est comme accolées à une roche, de rtype "rotonde" des prés. On veut COMPRENDRE= COMPRENDRE LES faits. On veut ici toucgher pour (du coup) traverser, maiis cxomment traverser sans percer, et percer sans y passer ? C'est une sorte... de ,  sorte de , qui sait, casse-tête ? il sembleraiot ! On est bêtes, on chzerche, on ne xsait ce qui est ! On aimezrait grave connaittere, ensembkle, ces données de base, les jauger, les soupeser et voir ici (de près) ce qu'elles contienhent ou contiendraient en termes de vérité attitrée. On est qui en vrai ici ? des fées ? oon ne saiot ! ELLES ! peut-^tre ! Ailes ! qui sait ? on pourrait tracer, chercher, sui vre un tracé, essayer de comprendre les faits tels qu''ils nous apparaissent au débotté. On serait aéinsi éclairées ! mais comment faire ? qui on est en vrai en ce post-cimetière aux données allouées à une vérité de verbe ? On ne sait ! On chercvhe à cerner ! On est comme passées à travezrs la pierre une première fois (on dira : la mort) et nous voilà là (pré aux bêtes fortes) qui cherchons (de force) à essayer de, non pas en vrai rebrousser chemin, mais, en quelque sorte, retrouver la pierre, plus loin (la même en rotonde), afin de, pour le coup, ensemble (main dans la main) tenter cette approche d'une sorte de ... re-passage, ou colmment dire, re-passage de vie, de vie-mort à ... tré&^pas ? ou quoi ? re-la vie de l'au-delà de l'au-delà ? On cherche grave ! on est pas encore arrivées ! on a pas mal de "chemin en souffrance" qui, en vrai, peutêtre, nbous attend ou attendrait incidemment on a cru comprendre

; on veut aller profondcxhercher ensemble à pour le coup comprendre ces données dites "des fées", dites "des fées" car, elles sont comme i,ntroduites (avancées) par des sortes de fées liées à la mort ce qu'elle est (paire d'ailes ?). On est ensemble arrivées à passer de l'autre côté une première fois la roche, mùaintenant voilà : RE. Re la roche si tant est. Rotonde ! on se retrouve nez à nez comme qui dirait avec, à nouveau, la roche, la paroi frontale, les bêtes de rage, le passé, la place, l'avancée frontale pariétale, roche aux apprêts, façade, cloison murale, tracés de base, vérités. On veut passer ensembkle à toi à moi cette façade de paroi et du coup quoi ? se retrouver comme à l'ambassade  ? re-passage pour une retrouvaille ? quoi ? on ne sait pas mais voilà on trace ! on ne lambine pas ! On veut grave comprendre, comprendre la charade ! On est là pour ça : enttrer, courir, passer, comprtendre, toucher. On voit ce qu'on voit. On est nées sur pré Fées, nous voilà comme sommées de re-passer à travers la Roche, de l'autre côté... côté  vie de Base ? vie-Vie ? vive vie d'entre les vies de base ? vie des vives données de base ? On est nées fées ici (la mort) et nous voilà comme recondyuites (toi et moi pour Soi) comme à domi$cile ! On est touchées ! On cherche à cerner ! On  veut grave trouver ! trouver graveà , pour le coup, comprtendre (ensemble) ce qui est ici, qui semble aller, se tramer, se faire, se monter, se dessiner. Une sorte de ... mât de rêve ? :mât de misaine ? tri actif ? rotation ? On est deux pour en vrai être Fée des fées, on est dans un pré rempli (ici) de bêtes de pré, 

on marche têtes haute, on est accolées, on se donne la main, on est des fées nous-mêmrs, ou une Fée de cimetière, ou sinon fée de cimetière, Fées des prés, FÉEs de ce pré aux b^tes de somme ; ou sinon des fées dites "de parole", "Fées de Verbe"; on est entrées ! On vouklait (grave) essayer de toucher à cette D2ité des Déités dites "de cimetière", on y est ! On est passdées ! on a touché ! On est comme en vrai entréées ensemble tête premioère en  ce pré de Rage, la tête relevéée, on est nées ! nées de Rage ensemble ! On est néesz de base sur herbe ! On est fées faites ! On aime ! ! on s'aime ! On veut toucher, aller, cerner, comprendre, allouer, dire, pousser les données vers (peut-être) une sorte d'enclave ou non, de passage, ou comment ? on enttre ! on est entre ! enttre deux parois de base d'une même (en soi) rotondité ! On est soumises à une sqorte d'"enclavité" de référence ou quelque chose du même genre, et du coup on trace ! on court on vole ! on s'envole ! on est comme envolées, voleuses, volantes, on passe ! On s'approche ensemble ! On veut comprtendre ! on veut aller ! on cveut faire ainsi qu'on puisse ezntrter tête première e,n c ette roche des données dernières. Qui on est ? on est allouées à une roche ultime aux données données , du genre Vérités ! On veut toucher ? On voudrait grave toucher ! On voudrait grave allezr profond, en pareille donnée allouée au tréfond des roches ! de la roche rude. On veut, ensemble, aller toucher. On veut grave ensembke toc-toucher la roche allouéeé à une vérité dite "des tréfonds". qui on est ? On est (dans la mort) F&ée ! On est Fée de RAge , dans la mort. On est  commùe en vrai fée, en cette chose d'une enclavee, paradisiaque, dont le nom serait (de fait) La Mort ! La (en vrai) Mort d'Homme ou de Femme, Mort de l'Homme fait, qui, en  vrai, dans la mort, devient Elles = Ailes = Fée ! c'est un fait avéré ! post-cimetière ! les nénés ! la grève! le sommet de tête ! l'envolée des envolées ! la pierre ! le donné et le jaugé ! l'alouette ! on jette ici les données do nnées commùe en vrai elles nous viennent , on est nées de base imberbe, on est fauchées comme les blés au cimetière, on est allouées à une roche pleine, forte tête, dureté 

mùère, frai ! On edssaie en vrai de cerner les données les plus ancrées en cette terre mais voilà, la vérité est (quand même) difficile à atteindre, il faut s'y coller, il ne faut pas lambiner ! il faut chercher de près à cerner ce qui est, à comprendre , à aller (profond) en ces sortes de données frontales, qui sont (ou serzient) données axiales = vérités xde base "à tout jamais". On est icfi ensemble pour (qui sait ?) toucgher le... ventre de la Rage , Rage allouée à une Sommité de type Bisonne, Buflette touchée, Cheval-Amazone, Chavalité de zone. On est Bêtes de somme= Fées c'est vrai ! ça peut paraiotre exagéré et pourtant c'est un fait ! On est nées : bêtes de somme  / fée, en  ces contrées des bouts de mondxe d'une vie siur terre, et la roche passée, nous voici transfor(mées ! fées ! fées de Rage ! Trouée ! cri dee base ! On veut toucher toucher toucher , cerner cerner cerner, dire dire dire , en trinité les données données (donées). On ne veut pas faivblir ! on veut coller à Déité (aux données sauvages) et cerner de près et sans ambages ce qui est qui semblerait vouloir comme nous séduire. On est Femmes des prés allouées à une Sommité lascive. On aime aller sur pré saillir ! On aime baiser, toucher-toucher, se lécher , se laisser aller, se faire grimper, se faire monter, se faire foutre voire enculer = se faire traduire ! On est comme nées (sur roche) à la une à la deux, vives fées des Roches ! On est nées gouines en cette (sorte de) roche des prés dont le nom, attitreé, est : eh bé qui sait .... la mort.... en vrai ? on ignore !On ne sait ce qui est ! On subodore ! On est comme allouées (fées) à une sorte de cohorte de type "bisonne" et du coup on suit ! on colle ! on colle au troupeau! on est comme accolées à un troupeau (ou sorte de troupeau) de bmêtes de pré. Collées accolées on est. On colle ! aux bêtes fortes, aucx bêtes massives, au troupeau de peaux. On est : Fées de Vie, Chance accrue, Vives Allouéesz, Franches Venues, Mouches de Rue. OIn est nées sur pré à la retombée quand on est venues, qu'on a traversé ! On est nées à l'in stant précis où on est passées "de l'autre côté" , à la une à la deux le roc des Données. On a paqssé ensemble ... le minois, le torse nu, on est nées sur pré, ainsi tracées, on s'est regroupéses pour former ... FÉE, de base nue ! On est née F2e ! Ailes Dorées ! On est ensemble comme entrées en cette chose d'une sorte de prairie lacusttre, pré des mille donnéesz , pré animalier. On est entrées et on s'est retrouvées comme allouéee de fait à une vérité , elle-même liée à la rotondité des contrées rencontrées. qui on est ? Des fées ! dans l a mort des fées ! On est fées = ailes. On aime êztre Ailes ! On veut ! On veut (en vrai) être Elles , dans la mort . On veut dans la mùort en vrai e^tre ailes ! Elles ! elles desz données? elles-données, Données, DONNE. On veut grave en elle (la mort) Être FEMMES ! FEMMES -DONNE. On veut ! on veut on voudrait ! grave dans la mort ! être cette chose , d'une femme-donne. On veut toucxher à cette déioté du bout du monde (allouée à une roche qui serait, toute, à graver). On est femmes des prés , Joconde ! On ose ! on veuyt toucher toucher toucher à cette trinité , qui erst cette cohotrte : une bête de somme, une bête-mot, une bête de poids. On aime ça ! aller et venir en ça : la roche ! traverser ensemble, main dans main, comme accoléesz à une Vérité (Priofonde) de Roche, Paroi, Pierre d'ombre. On est paqsssées de rage à travers ça, la roche des prés, nous voilà Colère ! Fée des fées toute en colère d'avoir traversé sans céder ? ou sinon sans céder sans quoi ? On est nées ! on est enfin nées ! on est nées de RAge sans céder c'est un fait ! on est passées ! on est nées dans un pré, on se retrouve comme nées, de rage, dans un pré rempli de vaches ! c'est fait ! on est accolées ! on veut cerner-comprendre, chercher ce qui est, akller ensemble icxi sur place toucher à cette déité des déités frontal on dirait ou alors (sinon frontale) temporale ? on colle aux nénés ! on tète la bête ! on est bêtres nous-mêmes sachant téter, on aime ! on aime le lait (téter) , chercher à comprendre via du laéit, ce qui est qui estr en cette sorte de rotondité ou d'enclave à jamais, ou sinon à jamais , le temps de passer, de travezrser, d'aller vers ces contrées de charme, bout du bout des antres,, on croit comprendre. On est passées, et du coup on veut cerner les données finales. On est qui ? On est nées sur pl ace fées ! nées Fées ennoblies de base, on avance,, on trace, on file à toutes enjambées (?) vers les données finales, mur aux fées, antre terminal, cage dorée. qui on est ici (dans l'antre de la mort) ? des fées ! Fées du logis ! on est accolées ! On est nées de rage en ces contrées fées = mouches tsé-tsé ! On veut toucher à cette Déité des Roches Sacrées , Déité des D2ités. On est passées et o,n veut tracer et du coup quoi ? re-passezr ? re-voir du pays ? re-venir à la Vie en vie ? ret ourner à ses envies d'avant la roche ornementée ? chasse au dzébotté ? cueillete assoiffée , ,course à travers les prés ? ceux de l'avant-scène de la mort en herbe ? On ne xsait ! On est nées puis re-nées puis pâssées puis ... ou sinon passées  : pré-passées. Ou sinon pré-pa ssées : comm" pré-passées. On oses ! on est cfomme nées, sur herbe, à la retombée, des fées. On est comme nées fées à lma retombée ! On veut cerner ! toucher ! aller ! comprendre ! faire ! allouer à une roche u ne sorte de ... sommité de cimetière ou dite "de cimùetière". On veut dire et cerner, chercher et faire, trouver, cacher, pondre et coincer, soulager. on est nées femmelles dans la mort en herbe on dirait. O,,n veut coller à cette déité des données dernières. quand on naît on naît herbe, trait, colère, femme des prés, herbe verte, colère innée et ancrée, soulevée, fière, chargée de verbe. On veut toucher toucher toucher, à) cette Déité des données Sûpremes . On est comme néezs à une véroité soudaine enfin soulevée (da ns l'herbe) = envolée ! fée ! fée ! fée de base des données de l'herbe ! fée des fées on aime ! On veut aller, toucher et tracer, comprendre, cerner, aller grave au plus loin des données p^rairiales rechercherv le trait, le tracé, le dessin acté, l'herbe des prés en sezrait transformée ! On aime aller sur herbe chasser (comme qui dirait) une vérité 

 "poxst-cimetière". Cerner-allouer. faire et dire. Chercher les données du rire, de la joie montrée, des actions mennées à même le pré. on est femmes des prés allouéesz à une sorte (en soi) de mise à bas des données "abruptes". Qui donc pourrait ou peut nous cfomptrendre en ça ? MOI ? Ce Moi de bas-étage genre "maussade" ? On est co:mme a&ccolées, par la bande, à une donnée de type "romance", et cela nous sied on dirait. On est "douce-france-allouées", on est nées de base en france, fées ! On est accolées en forme de fée. On est femmes d'une romance et du coup on entrte, à travers la roche, vers un pré de base, pré des prés, emplis (grave) de bêtes dites "de la chance", bêtes allouéesz à une sorte de donnée  de base sale , saleté, ou peut-etre ... s age ? On est nées sur pré comme à la parade ! 

On est entrées ensemblke tête -pied, en force comme des malades, on voulaéit percer ! On est passées ! On veut coller ! On veut tracer ! On veut être nées, de  base sur pré ensemble soulevées ! comme soupesées ! envolées ! On veut voler ! tracer ! filer ! comprendre enxemble follement ce qui est qyi nous concerne ou nous concernerait de près, et qui est cette chose cfomme vqyuoi on s'aime ! follement ! en ces contrées post^cimetière il semblerait. On est femmes-fées des p^rés alloués à une sorte de contrée post-cimetière, aux données données "par derrière", "à l'arraché", comme un sort jeté ! On est passéesz à travers elle (la r(oche allouées à une vérité) et nous voilà comme tombées dans lm'herbe au milieu des b^$etes (poids des Rois et RE"ines) à chercher à (de fait) nous recdresser. On est redressées. On court on vole. On ne s'en l&isse pas conter plus 

qu'il 'en faut, on trace au cordeau, on file à l'anglaise, on s'aime follement sur herbe, on est "belles bêtes" de paroi de Roche. On aimùe aller ! s'(aoimer de près ! cerner les dobnnées, les données acxiales, la vie ce qu'elle est, les données frontales = les envies. C e qui est est, ce qui n''st pas n'est pas. Le sait-on assez ? on va droit vers ça : la porte ! On voit ça : la roche, aux données profondes. On veut passer ! aller de l'autre côté, à la recherche de données fiables oiu disons "tenables". On aime grave nous pointer deva&ntt 

 la porte des données finales. ToUcher ! faire ! graver ! dessiner ! On vezut grave dessiner des bêtesz et à main levée ! bêtes de roche = bêtes de poids. On les aime ghrave ! on aime ensemble grave les bêtes, de poids, sur paroi. On est FEmmes Sardes (?) : qui le croit ? On est des femmes sardes, on chante grave, on veut comprendre le pourquyoi dxes choses  ici -bas et ici -haut entre deux voies (deux pas ? deux tas ?). On y  c roit car on est là, qui voulons cerner la rOùmance" des parois et autres chants en transe ! Sarde tu le  crois ? Sage sarde ? On y va ! on chante en transe ! tra nse xde paroi ! on y va et on y croit ! on est en transe ! on chante ça en transe va comprendre ! On est là pour ça : la transe-danse de paroi de Soi !IoN entre ! on entre ! on entre dans l'antre ! on est comê en transe ! en nage ! on sue de rage ! On est femmes sardes ! toutes nues on sue ! on est femmes sardes sur paroi de RAge ! cris de joie ! allelluyah, charges mentales, frontales ! cri d'effroi ! On passe ! on passe ensembvle ! Ailes de paroi ! on passe on trace ! on dessine sur ^lace (paroi) lza Chose de Poids dont le nom de base  est : Charge ! poids ! rage ! dire de poids ! verbe à la noix ! potage ! charge de bois ! ramages en veux-tu en voilà ! CERf de bois et de sous-bois ! BEtes de poids = vie saubvage ! On aime ça, ensemble, tracer. On aéime ensemble ici et là (sur paroi) tracer : qui ça (le bison du Roi) , qui ça (la biosonne sarde). On y va de base sans tralala ! on est là ! on passe ! on trace ! ion va grave sur paroi tracer la charge, l'animzl "sacré" = "nacré" = "posé". On est comme nées fées dans la mort actée , c 'est grave ! disons : gravement acté, mais en vrai ... c'est que dalle, petit fait ! On est ezntrées ! On est passées ! On est dans un pré aux bêtes de charge..  on les voit brouter, qui sont allouées à une herbe rase, on les voit aller. On les aime grave ! on est aimées ! on est aimées des bêtes de base, et on aime aimer les bêtes de poids : balancier ! On aime, on est aimées ! la b alance souveraine ! souterraine ! le tracé en forme de trajet ! on aime ! On est nées imberbes, on est passées, on voulait connaéître les contrées, le paysage genré, les peuplades, les actes tracéés cfomme à la parade : on va dire que c'esty ok ! On va dans la lande. On court à volonté. On aime les branches, les données prairoa&les, fruits des fées, bouillons. On aime aller ensemble, comme à califourchon sur notre branche ! On est nées fées sur p;lace, on va vers le fond, on trace . On est nées féees de base. On est Fées nées sur place, la roche passée. On veut cerner-comprendre ! aller-toucher, faire-dire, vivre-tomber, se coucher-tracer, donner-coller, dater-saluer, vaincre les données de rage ou ... comment dire ? les toucher ? On est comme alouées ensemble à une base de données dont l e nom ebn nn vrai , est : MORT ! comme à l'araché ! On connaiot l'entrée ! on est néesz de base fées en ces contré&es la roche passée. dans la mort on sombre ! on trépasse, on tombe de haut homme, mais femme on se surpasse, on passe les rages, on renai^t grave, F2E  ! F2E des F2ES ! On re-nait en tant que FÉE ! on passe , on repasse ! on volette à la retombée ! on se redresse, quand l'homme ( lui) cède, tombe, s'aplatit, trace, se frappe, se fracasse, n'est plus, qui trépasse (le goulu) ! On nait fée-femme des présc, à la retombée : la chance ! une chance ! On est femmes née, don,ée, faite fée à la retombée la mort venue nue ! On est fe"mmes des prés, on est nées sous roche, on va loin . On vole ! on vole on volette ! on volette on vole ! On veut être, faire, dire, aller, cocher les traits. courir sans désemparer ! aller ! toucher ! faire ! cerner ! comprendre ! pisser et cghier de bonne grâce , comme des benêts ! faire sensation ! toucher les nénés ! avoir raison ! tomber puis se redresser ! souder ! pointer ! aller ! dire et sonder ! faire fi des données sans nom (allouer à Roche son Nom = se donner, gagner du galon en forme de Melon, c'sst un fait et, sur "connnes roches", cons doctes, on tombe) ! On est accolées à une roche 

 aux données données. On est nées sur Roche fées, et on s'aime à la  volée (à la volette) comme des bêtes, comme bêtes (en vrai ) de paroi vue. On s aute ! on gag,ne la rive ! on est nues du cul ! on, veut toucher à cette chose d'une sorte de paroi 

"du bout du mon,de", paroi des parois, paroi dite "secondaire" car, elle arrive (en vrai) après la paroi ditee (du coup) "primaire", après le pré (pré-ambule rupestre de type agraire, prairaial, fleuri) comme une sorte de post )-cimetière, genre mùur de fin, cloioson finale , mur du son. On est

 femmes sardes sur roche p^leine. On traverse ! on entre da,ns l'antre. On veut comptendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ les données fro ntale, ce quiu est qui nouys fait face. qui on est ? heh bé peut-être des fées , en vrai. On meurt, on meurt en tant qu'on est par exemple un homme (singulier

) et, dans la mort, on dirait qu'on est ... transformé en femmess, en femmes de pré, en femmes-fées des prés, en une fée des pré, fée aux ailes nacrées, dorées, allouées à une sorte de "mât de  misaine" , on diraiot. On essaie de s'y retrouver dans cette sorte de po!ème aux données dibverses, mais en vrai c'est pas gagné ! d'abord parce que, pas sûr en vrai que ce soit un poème (du genre lettré) mais surtout parce que la mort est une sorte d'entité genre cadenassée, cloitrée, qui nécessite beaucoup de doigté afin de l'approcher dans ce qu'elle est, qui vous (vite fait) met sur le côté question vérité ou profondeur des données. On essaie de tracer mais ce n'sst pas simple !! on, essaie bien de cerner-tracer, la bête, la belette, le cheval;, l'ourse des prés, le buffle acoutré, mais voilà, la chose n'est pas données d'emblée ! faut cravacher ! Faut y aller ! faut s'y coller en  vraéi ! faut ne pas lambiner pour de fait s'y coller et pas à moiti"é ! On est qui ? quête ! on guette ! on essaie ensemble, entant que femmes, ici accouplées, de tracer la Charte audx Données données. On est femmes des prés : on grave ! On dessine à main levée les bêtes allouées. On les aime ! opn veut grave les aimer en tant que telles. elles sont nos soeurs pour ainsi dire de boh^me (sacrée) et de contrée ! on les aime de près, de loin, de rage, sous le vent, n'importe comment . Soeurs de lait c'est un fait ! soeurettes ! on aime le lait, le nacré, la crème, le chrème, les données actées, lactées, tracées sur rochje à main levé&e comme du verbe du passé. On aime tracer ! on trace le Verbe ! bêtes-mots de poids sur roche = ÇA , La donne, les données de base, le tr acé primal = 

la chance au grattage et autres jeux (des rages) suivants. On est comme des Fées du Tourment (ou des tourments) chantantes. On aime chanter ! on cherche à cerner ! on veut comprendre, almlouer et donner, faiore un choix de Roi, de REine Touchée, de petit bébé ( des bois et sous-bois  : faon des aires). On est nées de rage à l'arraché, on fait chemin inverse ! on revient sur place : ventre des données ! on veut comprendre : qui on est. On veut ensemble grave se coller à une sorte de recherche allouéev à une contrée par delà l'ère du cimetière. Qui on est ?

Eh bé évidemment que, voilà, on ne sait pas vraiment. On aimerait beaucoup en savoir dabvantage et du coup pouvoir (pluqs facilement) cfomprendre ici ou là ce zui se tra&me, en  ette sorte de paroi d'un antre qui est un entre, l'entre-choses de paroi. On est femmes sardes, et du coup, en transe, on essaie de fait de cfomprendre ensemble, les données de base. qui on est ? peut-êtte en effet des fées, mais rien n'eswsdt moins sûr en vérité. On cherche à cerner de base les données, ce qui est qui semble se tramer, se tracer à main lezvée sur roche : bousquetins des prés ? qui sait ! on espère un jour pouvoir ici cfomprendre les données de près, celles qui en vrai sembvlent "gouverner", "gouverner de conserve", les vies a&llouées à une aire, à un pré d'herbe, à une sorte (qui sait ?) d'enclave dorée genre cimetière dezs données don,nées. On est allouées nous-mêmes à une sorte de "cl arté" , qui semble ou semblerait venir ou provenir d'une abnfractuosité, tracédans la pierre. Qui le sait ? On tremble ! On est femmes tremblantres sous un vent de face ! il faut dsire que ça "buffe" grave ! ça envoie ! ça frappe ! On voit ça ! On est des fées-femmes de paroi qui (ensemble) cherchent à comprendre et tracer sur roche les données suprêmes, rencontrées, trouvées au passage,, relevées : qui on est et qui on est pas, les herbes../ parmi les plus courantes, noms des rois et reines, tralala sur herbe, oui, ça envoie ! ce qui est qui va devant soi, nous conduire en vrai et fissa vers ce tas, là-bas. Romance, charabia, transe, envois de bois, connaiossance des connaéissance's. On y va car on aime ça ! On veut (on cherche à ) comprendre grave cet envoi cde choix ! on est là pour ça : acter la romance, chercher en transe, doubler toutes nos chances d'y voir grave clair en cette sqorte de maison des bases, trou du con, maison sage, traduction. On e,ntre ! l'oeil ! la chance ! on entre = la chance ! de pouvoir ainsi ensemble un oeil passer en transe ou comme qui dirait il sembleraiot en tra&nse ! On regarde. On est né"es de base en transe (pour le dire vite) . un accouchement, en vrai, est une transe ou comme qui dirait : Trandse des Transes. Accoucher c'st entrer en transe (de rage). Qui on est ? Transes ! charge reine, point de croix ! On est comme nées sur herbe à une fée des fées, Reines des prés. On veut comprendre e,nsermble, un certain nombre de données de base, et pour cela, le mieux, c'est de, pour le coup, cerner les données (les données de base) dans un pré : bêtes allouées, betes des prés, b êtesz-masse sur roche tracée ou ornementée. on regharde. Il faut cerner ! On se doit d'aller comme à l'abordage, d'une vérité de façade ! 

on est fées de  b base de base allouée à une sorte de denrée ! On colle au verbe ! On creuse ! On est accolées à du Verbe de Fée ! On est femmesz cdes prés allouées... à un Verbe de Fée de type Verbe Ailée ! p ôuvant naviguer (d'un endroit l'autre) à la volette, au passé, au temps donné. On aime ! on essa&ie de cerner ce qui est, en cette sorte de pré des prés. On est femmes des prés ok mais aussi ... fée ! On est fée des fées ! charge docte et tracé sur roche (une amulette ?). on est nées sur roche Fée, en tant qu'on est nées allouées à une Vérité c ertaine (charghée). On colle ! on est deux (accolées) qui sommes Ailes d'une Fée des Herbes(en herbe ?)! Qui on est ? du coup : une fée ! Fée des prés en tant que telle. On veut toucher à cette déité, des herbes semées, verbe de cimetoère , herb-verbe de cimetière peut-^tre ... qui on est ? on est .. cette herbe ? ce tracé à main levé sur roche ornementée d'une grotte cachée sous un monticule (ou sorte de) de flore diverse ? On entre ! On est coomme entrées ensemble

 ("à toi à moi") dans l'antre. On est cfomme soupeséees ! szoulevées ! montrées-montées ! mises sur pied ou quelque chose d'approchant ! On est nées de base sous le vent, comme nacrées ! soupesées nacrées on est nées fées , aaux ailes translucides dorées, vives et nues, ! on est nées fées nues ! on pue du cul ! on aime voletter e,n grâce ! on est nues superbes velues ! papillonante on pue ou on pue pas mais on envoie ! on veut tracer ! aller de rage ! graver et gravir ! toucher sans embages les données lactées (actées) du message (en ces contrées) rencontré (le messaege) colmme tracé (par qui  ? on ne sait !)) comme à main levée et d'un saeul trait sur roche préparée. On voit les nénés ! les traits marqués ! les dessins allouées ! bêtes de rage, poids et masse. On estcomme nées ensemble à la retombée. On croit comprendre les nénés, le 

lait , PIS de l'homme ou de la fzemme, a vant le passage (en l'occurence : pis de la femme ?) , et nous d'eesayer de comprtendre ce qui est en vrai, les données de base, les do nnées actées, le charme, la chance, le chant des fées, la parade ou la cavalcade, les chevaux et chevales lancées à travers la (les) lande(s). On essaie de comprendre)- cerner, les bases, ici, d'une sorte de romance (roman ?) des prés. chant de garde ! monstruosités ! méchancetés ! croyances diverses comme distinguées, on dirait. On est entrées ,

On est entrées en ces contrées 

par le biais en vrai d'une sorte de donnée larvée ! On a prié ! on a parlxé ! On s'est rapprochées ensemble de la roche lisse, on l'a caressé pour ainsi dire, et, d'un couop d'un seul, comme à l'arraché, ion a jeté nos forces (toutes) en cet élan qui bnouq a vu passer en force les tourments, la roche aéux tourments, et du coup traverser ensemble (à la une à la deuxd) le pic (ici) du mont de Rage des données rupestres et autres envois (pariétaux frontaux). On colle = on ose ! c'est un fait. À ne pas négliger. On est nées fées parce qu"'on est passées , c'est ainsi qe c'est. On est fées nées ! on voulait c'est fait ! on voulaiot grave ensemble passer eh bé c'est fait ! nous voiulà cfomme entrées en ça : la roche ! le roc du tas ! la roche profonde (toundra) ! On colle = on ose = on trace (grave) un certain nombre de données de base ! On est femmes allouées à une sorte de Passé Maussade mais voilà ! "en passant je passe" comme qui dirait ! On tracverse enszmble, on se retrouve de l'auttre côté (dans la lande), on veut continuer, aller loin (de rage) vers le pré, au delà du pré, retrouver la roche finale (cloturante) et à nouveau (qui sait ?) la traverser, ensemble, comme' à l('unisson et par la bande, à la une à la deux comprendre ! sauter-comprendre ! touxcher-comprendsre ! sonder grave les données finales, traversrer ensemble, la paroi florale des embruns, des bords de mer sage, de mer attitrée, sondée, vue et bue . on est comme des fées de contrebande la nuit venue. On veut toucher ensemble si possible la monnaéioe d'échange, les choses dites "de la rue", le tracé nu, l'épopée franc-comptoise si jamais et autres romances allouées à des territoires donnés. On est accolées de base à des données de fond de Rage, tracées, dessinées, accolées.  nousq sommes en transe ! nous sommes elles, qui voulonstracer (ensemble) en transe, les bêtesde pooids sur p aroi

de groote souterraines. on trace ! on est cfomme allouées à faire ce tr acé  ici, sur roche imberbe ! On est nées (dans la mort) fée ! car : aimées du cimetioère (des) et desdonnées prezmières genre humanisées ! On guette ! on mate sévère ! on veut toucher à cdette déité "des cimetières" si tant est, comprendre ensemble (ici) qui on est, qui on semble êttre, quyi on veut être, qui on veut toucher en fait de bêtes, qui on veut cerner = dessiner et du coup connaîttre. betes des prés = betes-formes. On est nées sur roche des prés ! On est comme allouées à une destinée de type "colère" , "rage des prés", "emportement salutaire", "remontées de bretelles". On est : des femmes en colère ! on veut gueuler ! trpoubler l'ordre ! essayer ensemble de cerner les choses qui en vrai corrompent, font du tort, faussent ! Comprendre ensemble c'est tracer ensemble, à main levée, une bête dite "de cohorte" (genre bouquetin et tine) et du coup cerner ! touchezr ! cerner et toucher à cette Déité du bout du monde. On est nées sur roche, puis sur pré, à nouveau sur roche : trinité des temps donnéess !On aime grave aller sur roche tracer, qui des bêtes-mots (de type genrés) qui des mots -bêtes (de type alloués à une plainte). On est n,ées Fées sur roche, et pré.... pour la bonne cause : le salut des âzmes, des envies prégantes , des (de fait) vies de base. On veut ou on voudrait ensembkle chercher, les dires donnés et autres dits de contrebande . on est nées ! on est enfin nées ! on est comme nés ! on est comme nés sur pré ! on s'aime sur pré ! on est fées nées sur pré au pazdsage des données genrées ! On est passées ! on est trépassées = passées = faites fées ! On veut ensemble en vréi eessayer de cerner un certéin nombre de données de  base, et du coup co:prendre ce qui est qui semblerait

 vouloir arriver, ici, de rage, devant nous, comme un fait exprès. On est Femmes de paroi "étrange", genre "la paroides rois ", romance, transe, faits actés. On fait celles ensemble qui voulons-cherchons ici à comptendre, la paroi des rois , ou dite "des rois", ce que c'est en vrai, ce que c'est que ça ! On y croit ! on entre ! on veut co:mprendre grave et, qui sait, on va peut-être un jour y arriver ! toucher les né,nées ? le L;ait ? téter ? qui sait ! on est prêtes grave ! prêtes à téter la Vérité de l'(antre ! La Donnée Lactée ! La cerner de rage ! on est nées !  on veut téter ! on veut grave téter, de base ! en rage ! enragées comme des nouveaux-nées en vrai affamées ! femmes nouvellement née's nous sommes enragées, car, affamées, nous vpulons téter ! le lait de l'infa,nte ! soulevées ! touchées ! soupesées !  come soulevées de base à l'arraché ! car on est comme soulevées = montéesz ! on monte ! on s'envole dans le vent donné ! on monte on s'envole ! on est comme "soulevées-montrées" ... au Dieu des Passions ! On entre en lévitation ! on monte grave le long de la cloison ! Antre des passions ! En lévitation , on entre ! ion est femmes entrées, en lévitation, en cestte chose d'une sorte d'enclos-antre (aux Passions) des Données de b ase, du Temps alloué (en vrai) à une sorte de Romance aux données chantantes (chantées) de contrebande. On est Fées ! Fées doctes : pleines de savoirs de roche (en veux-tu en cvoilà) !On monte ! on grimpe la Roche de la Mort à l'oeuvre ! On est nées fées sur place (MORT) et, on en avance (ENVOL) à mesure qu'on avance (,TIRE-LARIgot) sur place . On est aimées des fées. Fées nous-mêmes (qui sait ?) aéimantes. On veut

 toucher toucher toucxher toucxher toucxher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucxher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher à cette Déités dite "des embruns". on veut s'aimer ! sur une plage sur un oreiller ! On veut (grave) s'aimer de psès, se renifler, se humer, se mater;, se masser, se  toucxher en vrai et pas pour xde faux ! se renifler les coins les plus cachés ! se sentir à tous les  niveaux ! se pétrir ! se toucher en vrai et du cxoup se cerner ! On est nées pour (dans la mort) se ... toucher de près ! devenir fées  ! se sentir / wse renifler les parties "honteuses" ou dites telles, et du coup cerner ou mieux cerner qui on est, à qui on ressemble, ce qu'on est en vrai en fait xde bêtes, ici, de roche et de romance. On est  néesfées ! on est (dans la mort) nées fées ! on pôrte un nom (%Moi : SPIGOLON) puis ... on p$erd son nom ! On est (sur pré) de type  JETON ?, puis on s'approche, à pasx comptés, d'une cloisobn, d'un mur du son, on essaie de cerner la cxhose, de cerner, ensemble, la cloison, le son, la romance, le nom (nom alloué) et du coup comprendre : qui on est ,

en termes de Nom de famille donné, qui on est pas, ce qu'on veut ou pas (en fait de données allouées) e,n tant qu'on est untel ou une telle dénommées. On est des fées  sur pré, on trace, on volette, on monte !On porte le nom qaui (en vrai) nouqs a été (gentiment ou p)as) donné de fait quand on est nées. Fées de la Passion ! Chance de couillon et de couillonne si tant est. On est pasdsées ! on a passéle

 mur du son (le Rubicon ?) . On s'eest comme du coup retrouvées ensemble sur cloison ! on cherche à co:mprendre. On veut cerner de fait les données de pré, celkes des fronts, des cloisons du front, des poarois nues, des roches allouées à une groote elle-m:ême allouées à une (sorte de) donnée de base genre vérité dite "des vérités ... offertes en transe" . On veut enwsemble comprendre, cxes donnérs de bout de roche, ce qu'elles sont en termes de raison, de verbe "bon ton", de croyances "à l'unisson"n. On ose passer ! on se pose. On regarde les données posées ou déposéees sur roche. Les denrées pour nouveaux-nés

. Le LAIT ! Les traéits. Les données données. Genre potions. On veut cerner l;es traits tracées sur roche, allouées à une guérison. Guérison des guérisons. On voudrait comprtendre, toucher, cerner, chercher, pousser, poindre, allouer à une roche une vérité, de type ornée, décorée, gravée, dessinée. On est nées fées pôur comprendre la mort ce qu'elle est.Traits des traits. On cherche ensemble ce qui est qui est en termes de données lactées. Fruits des nénés ! On est nées (dans la mort "lacteée") fée ! fée des fé&es tracées . On veut toucher =  cer ner = pister = comprendre = poser = dsire = coller = faire = jouer = entrer en colère = pisser ou chier le dire larvé ! On est nées de base soulevées ! femmesaux attraits et autres charmes aux nénés lactées ? Rage ! RAge ! RAge ! RAGGE des Rages ! RAge ! RAges ! RAGes des RAges ! RAges-Nées ! RAges des r ages ! Rages née des RAges nées ! RAge ! rage ! Rage en transe ! r age en transe dews Rages nées ! RAge des rages nées ! rage des rages nées ! rage des rages et dxes rages nées ! on est entrées ! on est en transe

 entrées ! Rage aux nénés ! lactées ! rage lactée ! rage en transe actée sacrée ! rage sacrée en transe actée ! rage Aux Nénés lactée s comme en transe entrées ! on est entrées ensemble comme en transe ou dans la transe, de rage ou de rage lactée ! on est entrées ensemble (fées) en transe ! lactées ! actées ! de rage ! comme à l'iunsisson d'un son donné ! le son ... des nénés ? le son alloué à une entrée ? son des données ? on est entrées ensemble en  transe au son des données allouées au Verbe, fruits de saison, lait de bière, boisson ou potion, chant des bêtesz, poison. Bière-picon.

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20/8/2024

On veut cerner ensemble ce qui est qui est. On ne veut plus se laisser absorber mais tracer, dessiner à main levée, qui des bêtes-mots qui des mots-bêtes. Ce qui est qui vient , sous nous, se loger. On veut toucher à DFéité , toucher graveb! On voudrait aller, cerner et comprendre, les données primaires. On aime aller ! Onn avance = on en avance dans les connaissances. Qui on est ? on est ... bêtes de poids de rage ! on est bêtes-mots de poids de rage . Mots de trop ? qui sait ? On avance = on en avance ! on trace ! on y va ! on ne lambine pas plus que ça ! On cherche à comptrendre, à allrer profopndd, à (pour ainsi dire) enttrerplus en avant en cette roche aiux données fortes. On est 

accolées et (de fait) on trace pour aller profond chercher à comprendre ce qui est en cette chose d'une sorte de romance des contrées lacustres, lacustres ou prairiales, ou les deux qui sait ? On est bêtes ensemble qui marvchons, allons, passo,ns, chercghpons à graviter, à cerner, toucher-toucher, aller et venir = danser (tourbillonner) sur l'herbe. On est bêtes-poids, gentes dames de paroi, princesses sévères allouées à une vérité dite "des cimetières". On est nées pour il semblerait aller ensemble dans la mort main dans la main ... en amoureuses. On s'aime ! on aime s'aimer ! on avance grave en ces prés, on y va ! militaiores ! gens d'armes = gentes saluées, comme,ntées, aimées, portées. On aime aller ensemble à la une à la deux vers ce tracé de bout de bout, porte fionale, anfractuosité de base,scscission. On est comme nées pour être ensezmble à la une à la deux des b^-etes de charme ! on creuse et on trace ! on marche (tagada) vers la plage, le sommeil des âmes, l'intranquillité des bases : le malin ? On creuse une trace. On est fortes. On se dfonne la main. On veut ensemble satisfaire nos besoins en termes de "parade totale", de données de base , de charge frontale. On aime ! on est deux pour être. On veut cerner ensemble les données fractales. Ce qui est qui est, et qui on est ? on ne sait ! On trace ... les nénés, les données coriaces, ampoulées, aimées, touchées : terre cuite, potager, vivres posés. On aime donner ! on, est femmes des prés à la parade, ontrace ensemble allouées, on creuse lezs dobnnées, on charge le mulet, on s'aime ! On est deux ici ensemble pour comprendre ou chercher à comprendre, au plus profond, les données de base frontales : bêtes-monstres, poids du Roi, fruiots d'amour, chants de ronde-bosse, cris de joie et autres hourra à travers la lande ! On y croit fissa ! on aime aller ensemble à la une à la deux en cette paroi, comprendre = toucgher. On aime ! on s'aime grave ! on aime de fait aller par la lande en reconnaiossance si tant est. On eswt femmes comme à la parade et du coup on en avance! On est trace de vie ! on charge ! on est accolées ! On veut toucher (pouvoir toucher) les données frontales et, une fois encore, traverser ! traverser brutal ! traverser de rage ! aller sans venir ! aller de l'autre côté et non  rebvenir ? revenir ou pas mais comp^rendre, une bobnne fois, ce qui se trame ou pas, qui nous reg

arde = nous concerne et puis ... à jamais il semblerait ! On "gratte" ! on essaie de passer la patte ! comment traverser ? comment en vrai traverser la roche (la roche finale) sans (pour le coup) y passer comme à tout jamais ? c'est une question ! " the " ! pas qu'un peu ! ça charge ! c('est un fait de base ! on veut ! on voudrait ! on fait le voeu ! on voudrait comprte ndre tout un ensemble, les données frontalees finales ce qu'elles sont ou pas, la clarté fractale, les embruns, le chant sarde, la beauté des unes et des uns (en face) ce qu'elle est. Ce qu'elle revêt. On trace ! on dessine de mémoire. On y croit de base ! On veut ça, comprendre, traverser, charger, allouer à une roche un savoir Immmense ! grave !Une somme de données totales !qui on est. Où on va. Ce qui est . CE qi n'est pas. Ce qu'on envisage et tout un tas (un tralala) de choses vivantes. De choses de soi. pointes basses. Points de croixw. Pärades. Carrotage. On veut ça, toucgher grave, aller dedans, pousser, cerner grave les données de rage, creuser, faire front, aller au plus profond ,

aller auplus profopnd des données données comme en contreba,nde par la bhande. 

On est qui ? QUÊTE ! on est bête = bête-mot de fort tonnage ! on trace les faits ! sans embages, à la dérobée, fusellage. On est accolées ensemble sur un pré comme deux mémés. On veut grave  cerner les données allouées à (il semblerait) une sorte en soi de passage , à travezrs ... le Temps ? ou quoi d'autre sinhon ? le (les) sentiment(s) ? On est côte à) côte. On se serre les coudes. on est vaillantes grave et on cherche ensemble (une fois toi une fois moi) à comprendre les données de b ase, ce qui est, ce qui s'avance, x-ce qui est ici qui se présente et nous séduit ou pas mais nous interpelle. qau'est-ce qui est en vrai ? qui sait ? u ne chance = un chant. Une chance = une chansonb. Uun air de front ! une romance de cloison (de la passion). On estaccolées (l;'une l'autre) et on cherche à toucher à la rocjhe ditec "terminale" des passions, des données de fond. On est proches d'y passer (tout proches) mais non ! on tient bon ! on trace mais on tient bon ! on ne veut pas faillir à la tâche de (comme qui dirait) tenir bon "intrinséquement". On est toute RAGE ! vives de chez vives. On est allouées à une sorte en soi de Volonté, devenue (ici) Acidité. On veut toucher de près à cette chose d'un e sorte de cloison "du bout du monde", ce qu'elle est, ce qu'elle nous propose, à quoi elle ressemble, en vrai ; parl

e-t-elle ? dit -elle des choses de poids ? de quoi se moque-t-ellke ? est-elle la FOI ? est-elle Bête ? Voix ? Cratère ? On ne xsait pas ! On entre ! on entre ensemble à quatre patttes ! on essaie d'entrer ensemble à quatre pattes. On essauie de regarder parvfla fente ! on essaie cde comprendre ensemble ce qui est qui nous regarde, nous voit (nous verrait) comme par la bande (langagière articulée) il semblerait. On est nées de rage "ailes" ! on est traversées de base par les fées qui nbous gouvernent, nous aident à aller (graviter) ; à croire, à peznser et parler sur terre jusqu'au cimetière et aprèes le cimetoière elles reprenneznt leurs ailes, elles vont ! elles ne trainent pas ou plus , elles tracentà fond, fonc

ent grave sur la place, filent à la façon des âmes ! Elles sont fortes et graves, douces et nues, bêtes belles sur paroi nue. elles nous regarde,nt . elles aiment tracer. Elles vont ensemble sur un pré paradisiaque ensemble toucher à cette déité des déités telle qu'on la connait "dans le langage " = maturité ! chant docte ! vivacité ancrée devant la porte on opte ! on opte ensemble grave pour

 ... la Foi en cette chose d'une Fée des prés, vivacité ! papillonage ! sciintillements des âges les uns puis les auttres un Temps. On est cohorte ! gentes dorées, cherche-tombe, vives données devant la porte à espérer. mais qui sait ce qui est ? qui conna^$it ? qui saura nous aider à traverser , passer, regarder, sentir et toucher, ressentir, aimer les données, les données de base, lesz dfonnées données par la bande = le langage articulé sorti des nuées et comme allouéé à une sorte de romance "sarde". On ne sait ! on est bêtyes-masse, charge frontale, poids de choix, attelage. quand on y va on y va ! on ne lambine pas ! on trace paroi. On est bath ! bêtes ! blêmes ! et aussi offertes sur paroi comme des :mots de l'au-delà ou quelque chose comme ça ! On est bêtes de poids (sur paroi) à la charge ! on trace grave (fissa !) pour ensezmble (si possible) comprendre à toi à moi, les données profondes, les entrées en force, les passages ici réitérées, les envies profondes de gaieté, de hjoie, de

 solennité, de vivacité, d'estomacv. On est nées sur herbe dans la mort ! On est femmes fardées, vives alliées, vives données allouées, vives clartés surnommées, chants des fées (des prés) sur herbe volée ! On est bêtes ! bêtes-somme = bêtes (en vrai) de somme (sommeil ?) sur herbe volée (ou comme volée) dans le Ciel ! Oh ! qui sait si c'est vrai ! On cherche ! on n'est pas en pzeine cde chercher, on trace ! on dessine à main levée les bêtes rupestres := les données de poids , la plèbe, la paroi des Rois, les données accolées ou colmme accolées à un Sa voir de Roi. On est bêtes des prés Souveraines ! chouette ! on est nées ! on est passées ! on veut cerner ! on veut toucxher à cette chose d'une sorte fde donée de rêve, ce que c'est, ce que ça semblerait que c'est, ce qu'il en serait en v rai. On est nées ensemble sur herbe REines ! Reines de beauté ? Reines ! Reines des prés ! On s'aime = on sème . Concours de beauté ? On ne sait jamais ce qu'il en est, mùais on dirait plutôt qu'il s'agirait d'une sqorte de course allouée à une sorte de contrée dite "des prés". On est accolées acculées. On est bêtes acculées accolées jusqu'au cimetière ou sinon jusqu'ouù qui serait le bout ? On est comme "touchées" =traversées ! On est traversées = tyouchjées = dites = parlées = rendues (qui sait ?) à la vie. On est femmes des prés "surnuméraires". On voudrait si possible ensemble comprendre un maxiùum de données données concernant la vie, la mort, ce qui erst sur terre qui nous voit aller, tracer vif, charger, et donc aussi la mort (au débotté) ce qu'elle est. On est femmes des parois de charge. On est fortes ! On pousse ! On est grave forte quand on pousse ! On ne veut pas passer pour ce qu'on est pas, jamais ! on ne veut pas pâsser pour ...  eh bé ça, qui est là : l'homme des bois ! Le chant dit "des pârois" est chant de contrebande ! on est femmes des paroois de roche, on avance, on trace, on pousse grave. L'homme pas. Il (lui) ne pousse pas : il cache ses doigts ! il est coriace dans le genre mais pas là pour ça (pousser grave). O, n est femmes du bout du bou ! On entre dans l'antre ! on veut toucher en vrai à ceztte chose , d'une sorte (en soi) de paroi, pzaroi de roche, chant des prés, vives clartés, sons / images allouées à une vérité de roche. qui on est. Qui on semble être. Qui on regarde. qui est là qui, en vrai, se pavane, se dandine grave, fait le beau du Roi, charge dgrave la paroi de mots de poids : qui ? On est deux pour ça, le comprendre, le toucher du doigt. femmes slaves, sardes, sales, sages, esclaves des parois peut-être pas, et pas non plus sages, ou non plus sales, ou non plus sardes en vrai, alors quoi ? maussades ? pas ça ? On passe ! on cherche ! on entre ! on veut de fait toucher, et puis de bonne grâce, la Paroi du bout du monde ... de la Foi dans le langage (la langue) des envois. On est femmes de pA roi sage, sentiments dde poids, on charge ! on y va ! on pousse ! on creuse ! on veut comprendre ! on veut toucher ! on veut y aller ! on ne veut pas lambiner mais cerner-pousser, dire-connaîttre, charger-tomber, aller-toucher à cette donnéee   dite "de cimetière" qu'il nous sied de mieux connaîttre à la retombée. 

on est nées femmes (deux femmes) en  cette chose d'une sorte (en soi ?) de cimetière "cdes données". On est nées (de base) femmes dans la mort : deux ! Deux qui sont : SOMME ! sont : SOMME, et poids de CHOIX ! ROI ! ROI /REINE en tralala (romance). On pense ! on est là pour comprtendre en transe si tant est ! On trace et on charge , on pousse et on cerne, on veut aller ensemble pour le coup dans la luzerne courir grave sans traîner = y aller ! charger de base, toucher, courir, se vautrer = s'aimer sur un pré comme bêztes de poids salutaires ! on s'aime ! On court sur herbe, on va ! on veut ensemble de bonne grâce (en toute bonne foi) chercher à comptrendre ce qui va là qui nous inquiète peut-être pas ni ne nousq désès

père mais voilà : on est là ! on regarde ! on se pôse des questions de base. On se dit que la vie, sur terre, est une cxhose, et la vie au-delà de la Terre  une  autre, on ne xsait âs. On est femmes de paroi  ! Deux pour être ! pour coller" ! Pour aller ! deux ailes allouées à un "corps de rêve" si tant est ! corps doux ! corps de bois. cOrps chantant "tralala" sa rage , on voit ! On est femmes de base, nées nénés comme il se doit (seins de tresse) et on va, à la une à la deux, vers ça : la Règle ! le Roi ! la Reine ! La paroi frontale fiinale ! L'endroit de choix ! la Voie ! L'envolée des voies ? on creuse là ensemble le tas, on cherche passage, une voie d'accès si tant est, trou de base, petit passage qui serait pour nous comme un chas ! pour être Soi (nous deux) comme travrersières, passagères, volontaires, solictaires !On aime (grave) mater, tu penses ! on adore ça ! comprtendre est jeu de base, une sorte de donnée ancrée. Comprendre ou vouloir comprerendre est une sorte (on dirait) de jeu, de jeu quasi enraciné (par la bande) dans le langage dit articulé d'une langue qu'eklle qu'elle soit. Une langue pârlée contienndrait la Rage en vrai nécessaire à une sorte de vouloir-percer, de vouloir-comprtendre. On est femmes sages = savantes, 

de  ce fait : on entre ! Entrantes ! On entre ensemble (ffemes allouées) dans l'antre de la Voie de base. On est collées = accolées. Femmes accolées pour une virée à travezrs la la,nde juèsqu'au bout du bout alloué, donné, octroyé à un passage au débotté, qui serait le passage "final", le cdernier , dernier des derniers à devoir comprendre ou prendre, à emprunter, à faire ensemble à la une à la dfeux via /... la romance ? la romance vive ? Vive romance donnée par la bande (langagière animalière) du TEmps (peut-etre, qui sait ?) déroulé de rage ! On est femmes des prés = fées ! on trace = on dessine vite = à main levée, les données données de la lande. On aéime tracer = on aime aller ! Aller grave dans le pré "des fées" , c'sst aller ensemble (de conserve) comme en vrai des ail:es, deux ailes allouées à une sorte de Romance dite "de paroi" ,. On entre ! on entre ensemble. On est là qui (de fait) voulons comprendre ce qui est qui va, qui nous voit, qui regharde, nous regarde fixement ou pas mais sans trâi,ner, sanscesse, sans tarder. On est femmes des prés à la retombée 

le cimetière une fois pâssé. femmes on est la mort allouée. On est femmes des p^rés dans la mort donnée. On est (dans la mort) femmes sardes. On est comme allouées ensemble dans la mort en tant que femme dédoublée, du coup tracées ! On est des (deuxd) femmes des dieeux ! On est des (deux) femme-Dieu tu m'as saisi ! On est des comme qui , ensemble, vont grave, chercher à comprendre les données données telles qu'il nous apparrait qu'elles sembleraient se dessiner à la parade, ou comme à la p ara de . On veut : toucher, dire, sonder, poser, comprendre ce qui est, aller et encore aller sur herbe comme (comme qui dirait)- des bêtrs. Car, en vrai bêtes on est, bêtes "de cimetière" = bêtes des prés, charges-nées, poids de Roi saluutaire, vives alacrités, pince-nez, colère on le sait ! On est nées colère, du fait que voilà ... l'aventure sur terre est singulière, quand en vrai la vie (dans la mort de fait) est plurielle ! pleine ! chargée ! somme des prés ! Dans la vie sur terre on vit (toutes et tous) des vies singulières, quand en vrai avant la cvie sur terre et aussi après, la vcie était et redevient pl;urielle et allouée (en plus !) à une Déoité des Déité = vérité des Vérités = Bête des prés ! bêzte bête peut-être ou pas bête mais en vrai comme dessinée à main levaée par des "mains surnuméraires", sur paroi pleine, chant des Rois et Reines, TRALALA on aime ! on y va ! chants doctes ! on y va ! chantons ! berçons ou hurlons ! dansons ! faisons de fait honeur aux monts, aux dunes des voies, au Pilat ! À la VOie de là, menant (vite fait) vers ça qui est là-bas la (qui saitt ?) plage des Rois ? On y  croiit ! Des reines et des rois ? on voudrait y c roire , toucher, les toucher de fa ce, toucher ensemble, toucher de fait les données de base, les données frontales. On est là (deux femmes sur paroi) qui voulons comprendre, ensemble (on se tient et se soutient) ce qui est qui nous regarde (devant soi) à travers (en vrai) la roche des bois, le tracé (de rage) longitudinal. c'est quoi ? on ne sait pas ! On aimerait (c'est une évidence) avancer dans les connaissances,, essayer de comprensdre les données de base (frontales) devant soi, les rages diverses, r(omanc

es de choix et autres tralala "de convenance". On est l:à pour ça ensemble ! On colle ensemble. On se colle l'une à l'auttre : on veut ça ! On est bête de joie, cri de hjoie, chant de joie = JOIE de Roche ! On est JOIE de Base, tracé faste, cri de joie sur bande, vent de face, trait aimé,voie des données. On est nées comme à nous ^memes un jour, ensemble, par la bande (animalière) du langage ! on est nées de rage par la bande sur paroi de base : les nénés ! seins de glace ? vies des vies ! lait ! LE LAIT ! LA vie le lait ! On est nées de rage sur paroi gravée comme à l'embuscade, c'est fait ! On voulait , on y est arriovées ! On voulait passer (de rage) eh bé c'est fait ! femmes-attraits, on passe ! on passe sur pré ! on est nées pour passer la base des fées, on le fait. homme aux mots des veaux, on devient FEMMEs allouées à une Romance dite des n"énés"  = nées ! On est coriaces à jamais ! tracées de fait ! cfomme à la ramasse mais en vrai on est, cfomm

e un fait exprès, nées sauvages ! sortes de voix doctorales ! On se tient tout pprès de sombrer mais non ! on tyient ! femmes nées pour durer o,n tient, quand l'homme est lui allouée à une sorte de chemin qui se termine ou se terminerait au fond d'un fossé ! hommes faits ! refaits ! femmes nées, elle, en vrai, dans la mort, à une vie nouvelle !on l'aime ! on l'aime des dieux ! On veut ELLE ! on veut être elle ! don de dieu sur roche des voeux ! IOn aime Elle = AILE = Noeud = vie des feux ! On veut cerner ensemble ce qui est qui est, ce qui nous ressemble , ce qui va, ce qui tremble , ce qui est là pour soi nous aider à comprtendre (loin) les données de base ce que c'est et aussi en vrai ce que (peut-être) c'est pas ! on est là grave pour ça ! comprendre en soi = preendre pour soi. La Romance. Le chant des parois. Le cri de hjoie. L"épopée frontale pariétale. La Paroi en soi. La Chance ! la cxhance = la foi ! la foi = la jhoie. La Joie = la Parade (animalee ou animalière) sur pa roi. On entre en ça, la Roche Rude, par la bande (langue) une fois ! et là, on trace ! une foisz là on en avance ! on trace = on grave grave ezt puis on regarde et là on voit quoi ? la Chance ! Le tracé frontal est chance = charge de joie ! On est fe"mmes des parois du monde . On est femmes des mondes alloués. On veut ou on voudrait cerner de base parr la bande c  e qyui est qui cxharge et puis voilà, comp^rendre grave les données de rage, les données dsonnées qui sont données de front, charge mentale, cloison ou de cloison. on fonce ! Fonçons ! courons ! traçons ! pissons ! faisons co:mptendsre ensemble à cette Chose, Chose du Fond, qu'on est en bande ! qu'on fait front ensemble ! force d'union ! On veut ensemble faire (ainsi) impression ! On veut en jeter grave ... ensemble ! faire ainsi ensemb le que voilà, la mort ! la mort reculât grave ! se couchât ! se mît à part comme en vavcances de la Foi , des données de b ase ! On voit ce qu'on voit. On esqt femmes des prés. On veut toucxher ! Toucher grave à cette chose ici d'une sorte en soi de Déoté des Déités dite "de fa çade" ! croix de bois ! christ de contrebande ! charge mentale ! voix = voie de rage ! cri de joie et de poids ensemble ça y va on croit le comprendre. on entre ! vois ça ! reg adre ! vois la Roche à travezrser ! la Chose du pré ! l'herbe allouée ! le soleil nacré ! entre ! passe ! touche ! va ! traverse ! cherche à cerner = faire ! va pour être ! aide-toi le ciel t'aidera ! Coàmmence ! On est femmes des paroois aiméesz, on a traversé comme à la déerobée ensemble les données frontales, le Moi. ,A présent nous devons, ensemble , A p^résent nous devons ensemble pour le coup aller, comme énervées, vers ces données ditees "des nénés" , chercher du lait. On est nées ! on est nnées de rage ! on est néesz de base ! rage et base font bon ménage ! On est fe'mmes néées sur roche "aux nénés". On veut toucher ! toucher ! toucher les nénés ! On voudrait toucher ! On voudrait de fait toucher les n,énés ! on veut / on voudrait : toucher les nénés ! boire le lait  ! chanter ! souffler ! aller ! dire et chanter ! On est femmes nées (de rage) dans la mort "de base", celle des données données allouées , à une romance, à un chant des prés, àune danse en transe, à une sorte de clarté naissante, à une sioorte en szoi de volonté coriace (ou tenace) de vouloir aller (tantôt) par les prés à la recherche des denrées, viçvres et autres offrandes alimentaires . On est comme nées sur terre pour aller = manger, courir, faire, tracer, copmprndre, soulever, perdre, charger et cerner. On veut être des fées sur terre ! fées des fées . L'est-on ? 

sommes-nous ici des fées de rêve ? Avo-nous de quoi cerner les données dites "surnuméraires" et autres traitsz lovés ? sommes-nous Fées de Terre ? charges nées salutaires, pour aimer , de près, les êtres ? On s'aime = on se sait aimées ! par ELLES : les F2ES ! F2es des Rêves sur Terre , et F2es ... des données Célestess . On veut toucxher à cette Déité des données "Superbes" , soit "Belles", szoit "sublimes", soit "vives" ! On est nées sublimes de clarté, puis on sombre corps et âmes en vrai, pour renaitre Débottées ! sur Roche des Prés ! F2es retrouvées ! On s'aime ! on est re-nées comme à la retombée du cimetière, dans un pré, sur herbe, défait, défaites ! On s'aime ! on se veut aimées ! On veut toucher aux glaires, aux fruyits blets, aux chrèmes, aux sang séxché, aux liquides allouées à une vie p assée. On veut toucher ! on voudrait toucher ! toucher les nénés ! on voudrait toucher ! on voudrait grave toucher ! on voudrait ensemble en vrai grave toucher ! dire et aller ! cerner-pointer ! dire et coller !donner ! cerner ! faire ! composer un certain nombre de tracés sur roche allouée, de type cavalcade au débotté et autres parades armées. gentes dames sur rocher, cris des fées, voix donnés aux hommes et aux femmes cernées commê pa r la bande". hommes-troncs, femmes-passions, gens et gentes rosses ou sinon, sino n rosses, pauvres ! pauvre en paroles ! On le voit ! On voit ça ! la Chose ! La Paroi de Choix est paroi des voix comme soupesées. On veut s'avancer, on va ! on voudrait cerner de fait les données (przmières princières), les toucher (pour ainsi dire) comme des nénés, mais comment ensemble faire ? par le nez ? les toucher du nez ? les renifler ? On s'approche d'elles. On est tout près. On colle presqaue aux nénés ! on veut téter ! on voudrait de fait téter les néenés (surnuméraires) dee la Charité sur Herbe, Clarté, Découverte, Vie tracée, Lumière. On aime ainsi s'aimer face aux nénés des Bêtes! Pis d'amie , belette et autres bêtes vives des bois et forêts, campagnes cendrées , cimetyière ... tout autant. on entre par derrière ! on voudrait ! on voudrait ensemble entrer par derrière! Aller ! toucher à cette Déité des Parois desRoches! creuser ! chercher ! aller ! dire ! faiore ainsi ensemble q<ue la vie, ne s'arrêta^t pas ... à la naissance, à la pa roi, aux voies de b ase (sur façade) de paroi, aux tracés "étranges". On veut de fait ensemble aller (grave) sur roche tracer, dessiner les choses. ON est nées sur roche pour (en vrai) creuser sa tombe comme qui dirait = vie des vies. On voudrait ensemble svp tracer ! dessiner la charge, la parole docte = Auroque ! bisonne des prés, chants d'amont, vie des env

ies, cloportes et autres bêtes vives -des terres brûlées. On est comme né&es (ensemble) par des traitsq, dessinéesz, sur roche allouées, comme à la renvezrse : oups ! on aime ! On est femmes des prés ensemble cernées.. On avance pas à p as vers une sorte de clarté de l'au-delà m:ais va&s)-y comprendre ! Va cerner ! va penser à cxharge ! va donc allouer à une sorte de romance le tracé donné des données de rage et autres vilosités ! Craque ! craque ! craque ! tu serasx ... née ! Craque sur roche ! d""éplisse-toi et va ! on est là pour 

toi ! on est dans l'antre avec toi ! on est les bêtes de paroi surnuméraires ! bêtes de hjoie surnuméraires ! on est là pour toi n'aies c rainte, dès lors va ! charge ! trace ! entre ! cours ! va sur roche et cours ! soit : cours car voilà ! au pa szage, l'un devient Deux ! de'ux pourr être Ailes ! Voeux ! Feux ! Vies des pré de loge ! On est n éesz eznsemble sur paroi. On veut comprendre les données de base. on est des femmesc nues. quand on parle on trace. on est femmes velues, on est femmes velues, nues, venues, crues, simplement tracées comme à main levée. on est femmes nues et velues, cul - nu ! On veut tpoucher ensemble si jamais à cette déoité des déité du Cul ! hé, tu le sais. On est néesvelues nues, crues, vives et belles, chargées d'être. On voudrait toucher à cette Déité des Déités, dont le nom de scène, est ... Amour ! Amourette ! On l'aime ! On est aimées ! On est aimées par Elle on dirait. On voudrrait grave aller versz elle (D2ité des D2ités) mais ce n'est pas simple ! Il faut charger ! azrmer et tirer ! c''st dur ! ça demande du doigté ! de la dextérité ! l'amplitude, les données, la chance, une soerte de volonté . On regarde pa r la fente 

On regarde ensemble par la fe"nte

Enxemble ici (paroi terminale) on regarde par la fente : qu'est-ce qu'on voit ? on voit ça : du bois ! du bois de base  ! 

qu'est-ce qu'on voit ? On voit ça : du bvois ! du bois d'antre  ! de la jhoie en branche ! On regarde , et ce qu'on voit c'est ça (il semblerait) : de l'ambre ! On est comme nées (ensemble) à la retombée, on veut co:mprendre et cerner, toucher les nénés, boire le lait, aller et tracer, perforer la roche finale ! se coucxher ! On nserait allouées znsemble à une sorte de donnée de base. qi on est ? eh bé, qui sait ? des êtres ... d'une autre planète ? qui le sa&it ? soeurs de lait d'une a utre planète que la terre ! qui le sait ? On est nées sur terre au singulier (un homme ou une homme) et nous voilà, à la mort, tra&nsformées ou comme transformées de rage ! femme ! femmes ! femmes des prés qui, en vrai, ne vzulent ou ne voudraient plus se lâcgher , ni se perdre. ON est comme nées à une sorte en soi de "Vie Souveraine", Chant des Roches Lovées dans une grotte. On est nées VFORTES ! VIVES ! CHAE_RGÉeS ! Sorte de données de base, La Donnée. LA Donnée de s Données ! On charge ! On voudrait aller (gra&ve) au plus loin parmi les données ou entre les données. On est femmes des p^rés (fées) qui voulons tracer , tracer grave, les données de base , fées des prés traçantes ! On veut comprendre et aller, toucher et dire, faire et passer, comprendre et allouer, cerner et poindre, charger et peindre, toucher et pousser , faire ainsi que les fées co:mprtzennent ! E^tre = faire. On est nées fées, ailes, données des données; dans la mort Souveraiaine, surnuméraire ! On est néesFÉes en ceette sorte de rocher de groote, incurvé, tracé, comme soulevé !Fête ! fées des fêtes !  On veut aller, toucxher, dire, dire ce qui est, comprendre, soupêser, xcerner, comprendre, surprendre, pisser, donner, allouer par la bande, siffler, chanter, pieindsre et dessiner, coller et s'accoler, porter, naître, corser, narrer, feindre, soulager, crier, jouer, aller et sentir le's données données d'une rage (déplacée ?) à vouloir être, mordicus, des fées et princesses ;. qui est qui ici ? Qui veut qauoi ? qui est là ? qui veiut comp^rendsre ce qui en soi se trame ou tramerait de base ou semblerait de base se tréamer. On est là pour ça ! charmer = toucher. Dire = comprendre. donner = faire, etc. toute une sarabande, sur paroi, de verbes. Etc. On voit ce convoi ! ça charge ! ça envoie ! ça 

ne tremble pas ! ça porte la joie, le sens de la joie ! ça trace ! On voit ça ! on y croit plus ... qu'à "l'être" de l'envoi ! On aime ça. iOn est bêztes de paroi, de style buflette, et oui, on envoie ! on envoie du bois ! On est bêtes de jhoie et on envoie du bois. qauand on éime on voit ! ... ça : la Bête Sévère, dite "de paroi" ; bête bête (?) de cimetière ? cri de joie sur terre ? on aime ! on l'aime ! on aimerait (grave) la toucher en face, la comprendre c'est un fait m&is aussi la toucher , la caresser, la toucher ou la caresser ; pour ça : lui faire comprezndre, en vrai, que, ma foi, ça va, on est pas des monstres de p aroi ! on aime la HJoie ; pas des rabats-joie. On est :

 femmes nées sur roche, à la une à la deux, à la mort de l'homme (l'homme au singulier , genré).On est femmes ensemble allouées. On est entrées ensemble à la une à la de"ux sans tergiverserr ni dészmparer. On veut dire-faire(grave) x et x 

choses sur roche, à savoir : cela ! la Joie ! faire et dire, dire et faire : dans la joie pour a&insi dire ! tracer ! se lover ! chercher ici ou là à co:mprendre qui de quoi  et quoi de qui  ! car , en vrai, on ne sait toujoursz pâs "qui on est" ! on aimeraéit fort :

le savoir ensemble , le comprendre, pouvoir (en vrai) pour nous savoir, toucher du doigt, soit se reconnéître" soi dans la paroi, se comprendre soi-même, ce qu'on est en vrai ! ce qu'"on est en tant qu'on est nées (sur roche) da,ns la mort , femmes surnuméraires (... et dans tous les cas ? peut-êttree). On voit ça, comme quoi la mort est une sorte de paroi (de roche) à traverser. O,n erst femmes des prés, chargées, sommées, tenues à cerner ce qui est dans ce qui nous regarde. mais voilà, ce n'sst pas une chose facile ! il y faut du doigté ! de la dextérité ! du sang-froid et de l'opiniatreté comme jamais car cerner est dur ! pas facile ! une sorte de défi qu'on (ici) se fait comme à la retombée : à toi à moi ... les don,ées suprêmes ! "j'aiùerais comprendxre "dit-on "ce qui est qui est qui nous con-cerne !". Peut-êtte, sweul"ment voilà : on aime ! on s'aime ! ça pèse son poifds ! ça "infecte" ! ça fait ça que ça '"infecte",,, d

'une certzaine manière; la voie est la voix ! le cha,nt est la voie. Le chant est total. Il est Voie (d'a&bord) sans misère ! On aime le cha,nt ! On veut ou on voudrait ensemble (de préférence) comprendre (grave) ce qui est ici qui nous regarde. il s'agit ici, d'une sorte de ... roma,nce . romance des fées ? qui bnous regarderaéit au sens de concerner, nous concernerait dès lors de pr(ès vcar nous sommes en demande à j&mais de sortes de connaisxsa nces allouées à une romance ! On trace! on marche ! on avance à pas comp)tés, chassés. On est bêtes de poids sur roche, tr&its de joue, tra&céz doctes, cris de joie (hourra) et aéutres vies montrées. On est de"ux femmes au débotté tracées. On est femmes tracés sous forme animale ! On est f"mmes des prés allouées à une roche. On est      

femmes  "à cornes". bêtes-monstres de paroi ocre. On aime aller ! on veut grave aller sur roche, à la rencfontre d'une vérité, d'un tra&it (en v' rai) sailla&nt de vérité, tra&it nacré acté, dessiné à main levée, viçf et léger. on serait et on est ! femmes allouées à un 

"post-cimetière time" ! 

on veut toucher ! on voudrait comprtendre ! toucher grave (gravé) à Déité. On est femmes olé olé sur roche allouée , qui sait ? ou sinon olé olé, aimées ! touchées &ux n,énés  = aimées pour le lait ! on veut cerner-aller, faire éinsi ici que les choses allassent, ensemble, comme il semblerait qu'elles aient toutes  (de fait) à devoir aler. 

On est des qui, desz données, 

données qui. 

On est des femmes qui, ensemble, sont données de rage, donné&es doctes. On est femmes des p^rés , données, déposées, posées, mises sur pied et déposéees; on est femmes a llouées à un e sqorte de romance dite "du bout du monde". qui on est ? eh bé ça, peut-êtte : belle bête, bête de paroi, bête-mot de somme,  bêtesde traits, bêtes-monstres qui en imposqent, posent là leur sorte de poids . Onj regarde ! On voit le contour, les bêtes en marche, rugissantes, les massifs, les tas de bois, Verbe-pöids de Rage. On est femmes de paroi, on entre. On voudraéit com)rendre enxemble ce convoiç , de b-etes de poids, genre ... romance ? verbe haut ? transe ? une sorte d'insulte extrèmê, forte et salée. VERBE AU DÉBOTTÉ. Verbe au débotté. VERBE AUB DÉBOTTÉ DE GRÂCE , VERBE GRAVE AU DÉBOTTÉ DE GXRÂCE ! GRAVE , VERBE, TRACE, POUR LA FOI EN L'ÊTREE ICI SURNUMÉRAIRE  DE LA JOIE. ON VEUT COMPRENDRE (GRAVE) LES DONNÉES TRACÉES SUR R'OCHE (AUROCHS, AUROQUES, CHEVAUXS, CHEVALES, BISONS , BIOSONNES, BUFFLETTES ET ANTILOPES).o n est DEUX,

 pour une comprenure axiale : va-t-on ici un jour prochain (lointain ?) arriver à cerner un certain nombre de don,nées comme"de contrebande " ? eh bé qui sait ? on ne sait pas ! on est femmes sardes, sages ou pas ml:ais ce qu'on veut, en vrai on le veutb , et pas qu"'un peu ! à mort ! on veut grave à mort aller fissa, sur roche tracer ! cerner d'approche les données ! dire et jouer ! aller sur pré jouer à ça, jeu de l'oie ! On est femmes des prés, des prés donnés, qui sommes néesz femme ou homme au singulier, meure'nt femmes au p)luriel à jamais, c'sest  acté, ou tout comme. on veut être , toucher et creuser, dire, poser et aller, faire, chanter et danser, e,n transe, les traits de la roche. traits dansés sur roche à toi à moi, on dira que ça fusionne ! ça remplit de chants la grotte. on est dedans ! on est accolées. On veut cerner de près ce qui est. On essaie de cerner ce qui est ensemble en cette grotte, les don,ées donnéesz. On essaie ! Qui on est ? des données = des qui sont dsonnées , ou même (qui sait ?) ... qui se do nne,nt ? On est nées (sur roche) à la traversée (ça le fait) et voilà ce qui est , qui semble se dérouler ou comme se dérouler : une femme est née ... de deux femmes ! fée ! fée de base ! fée née aux nénés (élevée aux nénés)! On regarde ! on voit des cxdhoses,. On voit un convoi , de bêtes de poids (c'est dr'ôle , on dirait un tas). on est sous les ordres   d'une (sorte de) cohorte  ,de bêtes de poids. on est fortes, folles, rosses, drôles/ Bêtes de poids en vrai ça vous pose ! Ça promet ! ça ose ! c'st osé 

! On monte ! montons en grotte ! faisons l'ascension ensemble motibvées ! ne traéinons pas outre mesure mais creusons ! chargeons ! allons vif sur roche au diapason et chercho,ns à (nous deux) déplacer la cloison et passer ! qui un oeil qui de'ux, mais, de fait, passer un peu, un p)et§it peu, afiin de cerner (ensemble) les données qui sont ici celles d'un derrière, d'un derrière de roche gravée. voyons ! que voit-on ? on dirait ... de la 

on dirait ... de la mousse bulleuse ! du mouusseux de trait ! de la bulle mousseuse ! traitsz animaliers ! ça pisse ! c''st liquide on dirait. On fdirait que derrière en vrai il y a ... du liquide, il y a ou i;l yy aurait pas mal de liquide, genre : MER ? mer d'embriuns ? On dirait cela ! du "liquide de paroi" , si tant est que ça existe. On dirzit cette chose de poids, là, comme quoi , derrière, fin fond, il y a : 

la mer de roche, les embruns, la mousse des rois, monte-ch arge, l'au-delà de l'ambre, une sorte de voix, venant nous dire le tourment des âmes de la joie à être là, passées par derrière, sous un vent de face face au cimetière. On voit , ce convoi en face : bêtes de poids. Et derrière ...? la JHoie ! ou le Temps de la Joie allouée à une Voix de type voix grave, sourde, posée, mesurée, lourde, accolée, celte, abonnée à une sorte de "volonté" de nous voir sombrer. On ne l'écoute pas outre-mesure, on est pas gaga ! on est bêtes de poids mais pas gaga ! On ne veut pas l'êttre. Ce qu'on veut pour nous c'est ça : la chance ! un tracé de choix, une romance, un tracé chargé de mots de base, une sorte de romance à toi à moi de bonne chance, tralala de la foi et auttrezs croyances. On entre !

 qui on est ? On est des femmes dites "des prés" comme dans la reomance d'une sorte de peuplade ("acidulée"), celle des branches, des arbres fruitiers et autres plantes paradisiaques. On est femmes allouées à un pré de base; On en avance dans les conna-issance ! on ne veut pas sombrer ! on veut (de fait) perdureer à jamais = cerner les données pour mieux les comp)rendre. on veut tente"r sa chance ! notre chance !! aller, toucher, cerner, pisser et c aguer, dire ce qui est sans embâges, ne pas louvoyer, être francs et franches de collier, dire les données comme e'lmlesz npous sont dpnnées si tant est ! On est nées de base "romance". On est entrées ! on est passées ! on a creusé et voiulà, on es entrées ! on est grave enseùmble ezntrées et nous voilà tenues à tracer  les données qui nous sont données. on est velues, nues, nées nues et velues cfomme bêtes des prés allouées ... à une naissance, sur l'herbe faste, sous un ciel des rois, alarmées, scintyillantes, accolées, brillantes, soupeséeqs, invitées à cerner les données astrales pour l'éternité (ciel de base et aéutres envois dits "du bonnet et de l'âne attitré"). On aime  la chance; On est grave ensemble (nous deux) qi voulons comp^rendre :

 1, les vues de base, 2, les données royales, 3, la vie en ses plis, 4, le vent de face, 

5, la vie en ses plis ici soulevée comme un drap de bain, et dessous ... eh bé la vie, encore, comme sou-mise !, 6, les données fractales et autres éboulis de vie; 7, la Joie, 8, l'ombre sur le tas, 9, l'envie de soi, 10, on recommence ! On est bêztes de poids sur paroi -romance, cha,nt de soi = tralala sur bande (de fait) pariétale et ça se voit, ça chante grave, c'st la HJoie ! On voit ça ! On est entrées ense'mble. On est comme allouées e,nsemble à un e voie, un tracé de choix, accès fin de paroi par où, ensemble, vite passer, s'immiscer, et du coup passer , en vtai , de l'autre côté. on essaie de fait de cerner la voie, où elle est en vrai, par où ça commen,ce. on regarde ! on est des qui sommes ensemble qui (en vrai) regatrdent ! On est nées de rage ensemble, pour tracer sur roche lesz don,ées naissante's. 

Bêtes de pôids (de masse) sont ce tralala dont on parle (chants d'azur, chants doctes). et ce trralala ... indique la voie ! ça chante ! ça chante, et , du coup, ça p asse (pour le dire vite) ! d'où le fait que voilà, on est comme accolées ensemble à toi à moi, et c'est du coup ensemble qu'on ess&ie (qui sait ?) de comprendre, d'aller, de donner du ventre, des fessiers, du buste et des nénés pour comprendre, toucher, cerner, considérer tout un ensemble de données données comme p ar la ba,nde par une Entité dont le nom, pour ainsi dire, serait (peut-être) Déité (Maïté ? on ne sait !). On est accolées, ensemble (main dans la main), à une roche. On ne veut pas sombrer c'est un fait (comme les hommes hommes) mais (pour le coup) pêrdurer ! perdurer -durer à jamais si tant est ... On est nées de Rage (d(une Rage) et nous voilà comme touchées , ensemble, par la bande, sous le joug d'une loi de base = looi des voies, qui est la loi d'un paysage de passage, chant de joie et loi, certitudes et amertumes, c hance et charge = la Voix ! ça se voit ! c'est un drôle de contrat qui nous lie là ensemble ! une sorte d'embuscade, ou quoi ? tracé fou ? cueillette ? on va devoir (il semblerait) sortir les assiettes , les couverts, les verres ; l e pain et le vin ? on ne sait pas mais ça se pourrait bien ! On mate grave ! On est  , femmes a ux prés, comme  

"bulflettes--entités". On broute ! on est comme les cernées de base ensemble alentour. fruits des monts. Monts des fruits. monts des données rudes. Asphyxie ? On dure ! on trace vif ! on y croit ! on voit ! on mate ! on veut être des (ensemble) qui tracent, ne lésinent pas sur la dépense, vont droit, chargent que tu chargeras, vont jusqu'au final ensemble s'épauler (voire s'aimer) et ça le fait (le ferait) pour l'éternité qui sait ! on entre dans l'antre. une voix est u ne voie car ,

elle creuse l'espace et nous aide grave à nous orienter c'est un fait, et du coup nous voilà qui (de fait) traçons grave sur roche des prés, chemin de passage, tracé,, bêtes de csomme sous le nez, on est bêtes nousz-mêmes, colère, vivacité, charge-née ! On est accolées qui poussons jusqi'aux nénés de l'être ! LAIT ! Du lait plénipotencière ! plénipotencier ? On veut aimer le lait, s'aimer xdans le lait. le lait est nacré et sacré. On veut ensemble s'aimer grave da&ns le lait ! On est nées pour s'aimer ensemble dans du laéit, dans un bain de la&it "de l'autre côté". On est femmes des prés, on veut toucher, tracer, cerner et coller. On ne veut en aucun cas sombrerr, mais tout au contraire pezrdurer, charger, dire et aller, coller à une sorte de "mât de misaine" et tracer := naviguer sur mer souveraine. Mer des données. On est nées sur mer allouée à une sorte de donnée dite"surnuméraire" vsouveraine salutaire. On est des foemmes aux données données souterraine; qui on etst ? des fées ! on le s a it ! on est fées faites Mort ! On est Fées de la Mort. On est des Fées comme "De la mort" ! On aime être Fées allouées à la Mort, comùe qui dirait. On est nées sur roche Fées, et du coup  on est allouées à une sorte de don,ée, liée à la mort dans ce qu'elle est. On regarde dzvant soi et  c e co,nvoi de b^-etes fortes est ce convoi de bêtes rosses liées )à la mort. On mate ! on veut comprendre ça et ça. On voudrait de grâce aller ^)rofond et pour cela, il 

est mieux de tracer (à main levée) les bêtes de poids , bêtes belles = masses ! Poids de RAge! On voit ! on est là pour ça, voir ensemble, aller grave, toucher, cerner de p^rsès, aller ensemble, se "toucxher la main" et ce faisant tracer, courir,, gravir, toucher, se donner, faore fropnt, allouer à une roche u ne Passion, coller à une roche son nom, le graver de front à l'unisson, deux noms font le nom de la Chose. On est passées ensemble sous les peupliersz. On entre ! On est fe"mmes allouées ensemble (deux femmes) à un antre. On aime aller vers plus de clarté, de vives clartés souterrainezs./ On veut dire et faire, charger et aller, comprendre et soupeser, soulever et ne pas tomber. On est bêtes de somme nées d'une sqorte de parade (ici : paroi) grégaire on le voit, ça ne nous choque p)as , on aime ! on est là enseùùmble (à toi à moi) pour être et, du coup, être unebête, bête de hjoie (pâroi)bsur herbe, légère ou pas, le tout est d'être, sur roche des bois, l'êttre surnuméraire salutaire qu'il nous sied (ô cfombien !) d'êttre. car voilà : o, n est là pour cerner (ensemble) cette jHoie de l'être ... en tant que bête. On est femmes des prés, allouées à une Dewstinée, dont le nom est Pré, Herbe, Prairie ou Champ de luzerne. QZui on est ? On est des femmes souveraines, acc

olées, qui voulons perdurer, foncent, creusent "dans" la vérité le sillon de l'être-bête tel qu'il nous apparraît (on dirait) dans les rêves.On veut ensemble en  vrai toucher à cette' d"éité "des données sup^rêmes", la toucher de près, sonder son êttre, regarder ce qu'il en est (de fait) dans la clarté, peser et toucher, coller et monter, a&ller sur herbe jouer, s'amuser, comme ... des belettes. On est n,ées, sur pré, belettes en colère (?) ou, peut-être, auroques enjouées (?). Qui le sait ? l'herbe est verte !on est bêtes de jeu. On s'aime à qui mieux mieux couchées dans la luezerne nues. on se sent le cul. l'herbe est verte sous le cul; on aime ! l'herbe verte et le cul ! On s'aime ! On trace ! On regarde. ON veut cerner ensemble les données "étra,nges", les tracés patents, l'antre menaçant, la chance, les tourments, les traces frontales, les bêtes de poids sur cloison murale. On y croit ! On est là pour ça : croire ! ne pas sombrer, chercher pitance, soupeser le blé, les graiines et autres céréales. On aime aimer . On veut toucher à cette déoité des parades allouées à une sqorte de mur de piété, charge sarde,  calamités. On veut être près. Toucxher. Toucxher déité. Toucher; Toucher à cette Déité. Toucher à cette Déité des Déités. La toucher de base ! Toucher ! Toucher grave ! 

Toucher) à cette sorte pour le coup de D2oté des D2ités. On veut comptendre (à deuxd) la Chance = la VOie = Le Temps./ On est comme deux enfants qui ch assent ! On est femmes chasseresses et on en avance dans les connaissa,cesz, sur terre, sur paroi, sur ciel, au temps donné des donnés frontales, sur  charrue, hjoug et bois. On est deux femmes de paroi "étrzange" (la paroi étrange, et femmes étranges... car voilà : on s'aime là, dans la voix !!!!! étrange... n'est-ce pas ?°). On charge ! On est comme (toutes deux) cernéess ensemble à toi à moi dans une soerte de parade dont le motto (on dira) est ça : "une voix pour soi ". On colle ! montons ! traçons ! courons ! creusons ! perçons ! fraisons corps ensemble ! chervchons le plus possible à comprendre ce qu'on voit d'ici (champ des effets) qui nous "regarde " de près (ou semblerait) . On est deux femmes soulevées ! on est femmes soulevées de près ! on est femmes qui , soulevéesainsi, lévitent, vont, touchent, sortent, wsautent. on vgoit loin ensemble ma foi : loin .... derrière soi , la plage , le sommet, la crête et les embruns de bord de mùer, les plages sondées, le courant marin, le sable, 

l'alchimie des algues et autres coquillages. On veut comptendre, toucher,, cerner, aller sous l'effet desz données données ingurgitées. S'aimer tout près = se lécher. être Fées des Rêves si tant est. faire ainsi qu'on soit "solidaires" , allouées à une grêve, aux abords des prés, vagues d'herbe, cris des joies. On est accolées sur rochetracée (ornementée) comme un cimetière , comme un cimetière l'est, est ornementé, décoré, enjolivé peu-têtre. on est comme nées sur l'herbe des prés ! obn est nées d'uncimetière ! on a traversé les différentes contrées post-cimetière et à présent on sait mieux qui on est ou même ce qu'on est, notre identité de genre et nombre, les données de force, nom / prénom et qualités diverses. On est nées sur roche deux. On est nées sur Roche au nombre de deux. On est deux main dans la main sur roche, nées sur pré, chargées, accolées. On est femmes (deuxd) qui (en vrai) étaient peut-être encore homme (au singulier) "derrière". On veut cerner ! toucher ! aller ! comprendre ! soupeserr ! soulever ! charger ! pisser ! ne pas couler ! compter ! perdre ! charger les données salutaires ! pisser de près ! aller et coincer, dire et pousser le Verbe, dès lors, vers ... la rivière ? l'ondée ? la grève ? le courant altier ? les remous mousseux ? les bêtes des Dieux ? Le collé-serré surnuméraire dune sorte d'antre merveilleux ? On est cfomme des féesz de ba

s-étage, misérable miracle, on veut les cieux mais vas-y voir ensemble ! c'ewst merdeux ! ça tremble ! c'st peureux ! ça chante grave ! ça vous glace ! vous transit de base de la tête aux pieds. On veut comprendre,; alors voilà, on comp^te nos pas. On est franches . On est là pour ça, comprendre par l a ba,nde un certain  om

bre de données de base, ce que c'est, ce que c'est pas, ce qu'il advient, ce qui se trme içci bas , et aussi plus haut, là-bas, tout là-bas, vers les embruns, ce paysage sous-marin, la Chance des pages, le sommeil, la Voie de face. Une entrée  en vrai. Un drôle de "passage pour Fées", pour Fées qu'on serait. Une sorte de porte sauvag . un endroit par où ensemble aller comme à la ramasse ! On est nées sur pré. On charge ! on pousse grave ! on veut tracer = allouer à uen D2ité, toute (ici ) cette charge mentale (mots de la tribu) dont on est redevables il semblerait ... du seul fait d'être nées, qui sait ! 

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17/8/2024

On est deux pour être. On veut cerner ! On est accolées. 

On est ensemble pour cerner ce qui en vfrai semble nous "regarder", noud voir en qauelque sorte à travers la Chose ! On est deux ensemble ! on avance ! on est cernées , on est colme allouées à cette Chose , des données premières , princières ! On veut : et cerner et c omprendrte, et toucher et dire ! On veut : aller ensemble, fissa, à la une à la deux, comme à l'avenrture ! chercher quoi ? chercher ça ! cela là qui, en vérité, semble ou semblerait nous regarder en face ; et c'est quoi ? c'est ... l'plombier des charges ! l'envahi ! le guetteur ! le crac de la bande ! On regarde et forcément on voit des choses devant soi qui se pavanent ! roue dentée ! crénelée ! on comprend des choses, ou du moins, on cherche à comprendre, ensemble, un certain nombre de données de base concernzant la vie dans ce qu'elle a de plus profond, de plus ancré, de plus enraciné en vrai par la bande, dans ... preut-êtee en effet, ce seuil dit de rage, cette chose "des confins" : la mort ! oh, voilà ça , qui (qui sait ?) nous regarde comme parr en b as ! on y va ! on charge ensemble ! on essaie, du coup, de comprendre ensemble ce qui est qui vient vers Soi = Nousq de rage ! On est , eh bien, accolées de base, car surfaites = faites sur ! faites ensemble sur le tas ! de rage ! sous le Verbe à ras ! la chance ! on avance ! on entre ! on veut cerner-comprendre ensemble un certain  niomvbre de donneées de bhase, ce qui est, ce quin'est pas, ce qui va là ou nhe va pas là . On veut ou on voudrait ensezmble, cerner un certain  nombre de données acides, données de parade, données-vies, charges mentales,, supllices à vrai dire , à moins que ce ne soit la Chance en soi d'être et de paraître celui ou celle ... qu'on  est pas ! charge rude sur paroi := bufflette ! oh voilà ! on y croit ! o,n est buflle-bufflette de paroi ! homme et femme lambda ! caramba ! On avcance ! On veut ou on vouderait ensemble comprendre un certain  iombre de dionnées de rage, ce qui est qui est, ce qui semble comme aller de soi, ce qui charge ! ce qui va et ce quine va pas. On est face à face (la paroi et Moi = Nous = Vous = celles des envies (folles) de Vie !) . On aime ! on est comme Amour alloué de Caérême , chant total, pisse-vin, toucghe)-misère, octogone ! On est comme deux connes qui voulo ns aller (de rage), à la une à la deux, à la recgerherche d'une Vérité disons de bas-étage (qui sait ?) ou quoi sinon, d'autre ? Car, on sait ensembvle traverser la roche ! aller vif ! toucher le nacré et passer qui son doigt de fée, qui sa serpette, qui son sang des règles, qui son oeil de bois ! On est femmes sûres ! corps à coeur ! vives alkacrités massives genre bêtes des przairies  et autres prés acidulées. On avance ensembkle ! On veutcverner ! comprendre, allouer ! dire et toucher ! Etre près de cette b^ete de derière , chercher à cerner ce qui est ! On veut être ensemble des , qui (de fait) veulent traverser (ensemble) les données ddonnées de type roc et pré, roche allou"éée, roc des données vives, trimballum ! On est comme nées pour être ensembkle (ici) traversantes ! On avance ensemble ! On nest deux ! on collle ! on veut aller de rage ensemble au fond du fond des roches de base , trou du .. con ? on est comme nées pour être allouées, à un ..  "vcon de rage" ? qui sait ? qui le sai -t en vérité ? On veut : toucher-aller, dire-faire, comprendre et s' avancer ensemble, à toi à moi, sur la lande par la ban,de ! On est femmes des prés ensemble ! on est passées ! on est nées de cette sorte de paroi "étrange", -dureté parmi les duretés, charge totale, enfilade, coeur des joies. On est sages = sades = vagues = mer en vrai saumârttre ou sinon saumêztre ... mâttre ? Onn y croit ! Allons-y ensemble à toi à moi comme à la parade et peut-être o,n  y verra de grâce les données de poids qui (ensemble) pourront faire, ou le faire , on le voit, qui sauront nous dire, faire comprendre, etc., ce qui est qui est et du coup (aussi) ce qui est qui (peut-être) en vrzai n'rst pas, ou pas complètement ! Car, la vie ici est une sorte de paroi intime , creux des fois (ou de la foi) en l'au-delà . On est nous ^mêlmes pour nous-mêmes intimes . on essaie d'aller ensembloe au plus profond, on est sur un chemin p)rairail  et du coup on marche, traquet-traquet, mzain dans la main , à l'intériouer de cette cavité prairioale, on est accolées, on marche ainsi accolées, on est nues, femmes nues accolées qui marchent, vont ensemble droit, en avancent, vont vers , vont ensemble, vont droit ensemble vers là-bas cette chose en offrande qui est quoi, qui est la Rage, faite Vie de base ! cchant du coq ! mort et grève ! On est comme deux ensemble soudées accolées, qui marcjhont d'un pas vif (ou pas !) vers elle : la mort -grève ! On est soudées pour ça et on marche vif ! on est ensemble sur le pré aux buffles et buflettes, on est dans l'herbe, on est bêtes nous-mêmes. On veut aller profond toiucher à cetre chose d'une soerte de cloison du bout du monde ! qui saura nous dire ce que c'est que cette cxhose devfant soi, de type cloison ? qaui est là devant nous qui cxharge ? qui charge devant nous pour ça, nous "inclure" fissa part la bhande et v as-y comprendre, zzar atoustra ! On est femmes des prairies vertes, bêtes de poids, charge rebelle, on est là pour ça : aller (de plus belle) vers ça, genre "la misère", genre "le tombeau", gentrre "l'emportée", genre "le tonneau aux données acculées". On est deux pour être celles qu'ion voudrait conna&îtte (en soi) à toi à moi commùe à la parade ! Qui on est ? eh bé, peut-être, celles qui pèsent ! oh peut-être ! celles qui (ici) vont ainsi  verts elle (la cloison frontale) d'un pas lourd ! .... ou d'un pas léger ... s'i elles sont belettes ! On est fées ! faites ! dures au toucher ! chezrche-mercde ? crudités ? On est comme cernées-accolées à l'être et du cou!p on cernne ce qui est qui se présente sous nos yeux de bête ! On était bêtes avant de naître on renaît bêtes ... dans la mort. On veut (on voudrzaiot) de fait aller = cerner = dire ce qui est, et ne plus se perdre,; mais tracezr ! tracer grave ! charger ! toucher à cette chose devant soi df'une sorte ... d'"oubliette, d'oubliettes des données qui , en vrai, sauraient grave nous informer sur ce qui est et sur (aussi) ce qui n'est pas , en matière de (pour le coup) données , de type "mortuaire". On est nées pour être ensembloe, dans la mort, des fées dites "de basse-mesure", chant des dunes, foi en Soi en tant que Fée des dunes. On est comme allouéews ensemble (nacrées) à  cette chiose d'une sorte de do,nnée épique ! tarantule ! danse des turnes ! On est là pour ça : la danse (la transe) = la rumba (sur toundra) et autres danses macab res ! on y va ! on lance les bras les jambes ! on tourne sur soi ! sarabande ! cxharge-chant   ! charge et chant venu de soi ! On entre ! On est comme ensemble nues cooll"ées fissa de rage pour ça : aller-danser, courir et toucher, comprtendre et coller, traverser les prés jusqu'au bout du bout qui nous est donné à la une à la deux com^me par la bande (langagière) animalière des do nnées muralesx (frontales) de paroi ! On avance ! on est deux pour ça = comprtendre = dire = faire, et  ce faisant tracer ! aller comme à la parade ! s'incruster ! toucher la bande des données , données en face ! connaître ensemble "l'interface" aux données données, "l'interface" alloué à une charge (ici mentale) de type "donnée des données" et c'est marre à tout j amais on dirait. On est qui ? 

on est — fe'mmes doctes, genre "mortes". 

On est — douces et vives, rudes et armées, on est nées pour être (il semblerait) allouées à "une mort certaine prolongé". On est femmes cernées de base par la bande et du coup voilà on avance, on trace, on y va ! on veut comprendre lma paroi, le sens de la marche, les données de base, les procès, les envies naissantes, la donnée su pr^éme et c eklle (aussi)  au ras de la terre. on est nées ensemble à la retombée , comme soulevées, mo ntrées, chargées ! On avance ensemble des deux pieds, sur roche des prés , on est saintes âmes, charges sales, charge au nez et à la b arbe des divinités, chant des voix, peuplades de toundra, de canotage. On est apeurées ou pas , en attendant on y croit ! on va ddevant soi, on trace des traits de paroi, on creuse on dessine, on est soulevées ! montées ! redressées ! allouées à la roche en tant que fé&es sinon carabosee fées des prés ! On aime ! on chante ! on va sur herbe au milieu des vaches ! on est vfaches sardes ! on est nées sur pré pour (dans la mort) être (redevenir) vaches ! vaches à lait ! bêtyes des prés ! charges ! divinités ! âmes ! car la vache sur pré erst l'âme des données ! on est nées vaches dans la mort donnée ! on est re-nées vaches ! on veut toucher-cerner la vache = la comprendre à jamais et devenir vache nous m^rmes, si tant est et par la bande , qui saiot ? On veut vachge, être. On veut vaches, devenir ensemble. On veut grave ensemble aller et toucher à cette sorte de donnée de rage, vache à lait ! on tremble de n'y pas (ensemble !) arriver si jamais ! on veut comprtendre = être = dire = faire = aller = toucher à cette sorte en soi de sa r abande des co nntrées de base. O,n est nnéesq pour être fezmmes à tout jamais , qui sque l'on soit , qu'on le sache ! on est nées pour être (dans la mort) femmes à tout jamais , qui que l'"on soit ! on est nées sur terre, né, née,, nés, nées, pour (dans la mort soudaine) devenir (= recdevenir) femmes (au pl;uriel car : 2) à kj&mais ! On est accoilées ! on est femmes jumelées, femmes slaves, charges, corps de rage, dupliçcités faites charge, corps de joie maussade ou pas mais comme élancé, corps de type flèche , corps de rage alloué à une cxharge de paroi de  base, charge' née. On est né qui on est, ^pour mourir alloué, à une sorte de donnée de type  "femmes" . On est accolées, soudées, collées, comme allouées à u ne sorte de paroi de rage, "confinade", charge finale ! On est nées ensemble, on veut tracer ! On regarde devant soi la base des données, on est comme cernées et on avance ensemble, on y va ! On est femmes des bois, des parois, des choix du roi, des choix princiers, des reines des prés, fentes labiales ! On veut ensemble au mieux co:mprendre ce qui est da ns ce qu'on voit (verrait) devant soi comme à la parade ! qui on est ? on est Roi et Reine ! chant du cru ! IOn est bêtes sur rocher comme gravées, et on veut "tracezr" = traverser la roche, aller là (ensemble) à la chamade ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! topucher ! toucher ! touxcher ! toucxher ! toucxher ! toucher ! tpoucher ! toucher à ce qui est en vrai qui nous regadfrde, nous reluque grave, bnous m ate de près, nous mate grave, bnous veut "en entier" mais comment, de fait, se sousqtraire, à pareille volonté venu des confins , des données dernières ? cfommùent faire pour ne pas céder ? pour aller sur pré sans, pour autant, succomber à l'appel de la forêt dernière, des données dernières, des dernières volontésq, des vives clartés de derrière ? On veut (on voudrait) ensembvke chercher à comptrendre. On aimezrait beaucoup aller ensemble pour trouver , en cette chose des données ultimes, ce qui est. On rezgarde devant soi, on mate. on veut cerner ensemble les données et pour cela le mieux c'est d'y aller ensemble à toi à moi cfomme à la parade, charge frontale !charge grrave ! tr aversée ! on trace ! On passe ! on regarde , on est allouées à une sorte de prairie de base genre pâradisiaque, on y croit ! On veut aller , marcher, courir, travezrser le pré, comprendre les données, aller et regarder les bêtes qui (en vrai) br(outent que tu brouteras (comme à la parade) ensemble. on est accxulées ! on est entrées ! on est entrées car femmrss soudées, femmes doctes, collées)-accolées. On est entrées en tant que femmes aux données données. On est pasdsées de l'autree côté. On est pasdsées enj tant que femmes dédoublées ! femme dédoublée (au singulier) = femmes dédoublées (au pluriel) ! le singulier l'"emportreait ? le pluriel est né ? le singulier se verrait transforl$mé en pluriel des prés ? on est felmmes allouées à une sorte de prairie de base de type contrée comme cernée, entourée, constrite. On veut toucher à cette Déité des bouts des roches, déité des déités, qyui, en vrai, serait celle qui (de fait) nous rtegarderait ... par derrière ! de tous les côtés ! on est "faites " , fées, doucemenrt cernées ! commandées ! charbgées de tête ! comme trimballées sur herbe ! on est entourées d'une "murerttte" aéux données données par "qui on sait", mais le sait-on en vrai autant ? qu'en sait-on de ce "manant" ? qui est )-il qui sait qui on est? On est nées ensemble riches de données données concernant la mort ! On veut tpoucher ! toucher ! toucxher ! toucher ! tpucher! toucher à cegtte déité des déités graciles, fines, élancée, nacrée-sacrée, on file ! vivement qu'on sache : qui est qui comme pa r la bande ! on entre ! on est entrées ensemble. On veut toucher à cette sorte de donnée de  base ,  genre "Dulcinée". On aime les fées ! les donné&es prairiales ! les entrées de rage, le sommet, la charge mentale, l'épopée, l'onctuosité de façade, lea cloison terminale, la cxlarté donnée, les embruns sauvés, le chant de la roche et autrees sons sans anicroches ! On aime chercher ! et on se jette dans le t as ! on entre ! on est acculées ! on est deux pour être ensemble l'êztre des ,prés (buflette au dé&botté, genre bisonne des prés). On est bêts aux données données comme par la ba,nde (ici lang agière) animzalière gravée. On aime ! on aime aimer la bête dessinée ! on est bête nousz-mêmes ! on hurle ! on creuse ! on v a ! on est comme deux fées de paroi ! on est fée des prés et des parois du bout de l'âme ! on est accolées ! On se colle l'une à l'autre pour enttrer (pouvoir entrer) sans anicroche, sans se blesser, sans y passer . On est femmes données, o,n est mortes-nées = vives-allouées à une sorte de paroi "du bout du monde". On y croit ! on voit ce convoi , bêtes de roche, gravures et morsures, traits de force, mains lambdas, genttes dames sur paroi, fentes. On aime ça ! on veut touxcher à ça ! la charge mentale (ici) de façade ! le tracé des reines et des rois ! la paroi première ! l'emportée massive, le donné de choix, l'aura ! On est femmes de paroi, on est accolées, on est entrées, on est comme toucheées par (ici) la grâce d'être ça : la Rage ! l'envahidssement de soi par la bande , la colère immmense, l'ire envoutante , peut-etre (du coup ) la transe ! on voit ce qu'on voit ! on est felmmmes de paroio en transe (danse en nage) et du coup on en avance (ici) dans les données savantes. On est comme (re) nées à une vie de base 

à

àune vie 

de base mordante, 

à une sorte en soi de vie, de base "mourante", de base "montante" ;... 

à Vie -Mort de base, à Mort-en-vie...  de base montante ? à Vie = Mort en cette Roche , aux données acides voire acidulées ? On colle ! grave ! on est mortes = vives ! vives dansz la mort mais comment comprtendre ? en tant que femmes déplacées. On est nées femmesz (de fait) dans cela qui est (ici) la..  eh bien, la donnée Su^prê'me ! charge ! poids ! cri ! colèvre de prairie ! on veut toucher à cette déoité des déités transies ! "quui c'ewst ?", c'est l'plombier des prés ! l'Anarchie faite Fée , persi-obnifiée ! On aime ! on like grave et plutôt deux fois qu'une ! on aime les fées, les donnéesz données, lesc présences, le p assé des prés, le chant de la bande, l'envolée toteale ... et la chance ! On veut toucher à cette déoité des données suprêmes dont on parlait. On est qui ? "'quête" ! on est cfomme nées (de base) femmes (ensemble accol"éées) dans un cimetière. On veut toucher-cerner = passer le nez , qui un oeil qui deux ! et mater-sentire = renifler-reluquer = comprendre. Ce qui est qui est derière la paroi (cloison) termi nale. Minois ? minou  ? moi ? ma "don,née colère" ? mon ch at  ? mon (mon ?) chant , dit "chant des dunes et des monts de bosse " ? On est femmes doctes dans la mort. On est , dans la mort, femmes doctes. On veut = on voudrait : cerner gra ve, les données de base. Toi et moi. Ensemble. Associées. Femmes de roche à la retombée on se consacre à mieux cerner ce qui est qui est da&ns ce convoi du bout du monde : la paroi des roches, le dessin total, l'envolée, la montée, la parade aux bêtes sacrées (vaches à la&it, bêtes-monstres, données des données, cohorte). On aime alller (ensemble) à la retombée et toucher = dire ce qui est qui est, et aussi cezrner = dessiner , ce pré,  ce champ, ces contrées prairailes, herbes "tout venant" et autres luzernes. On  est "devant" ! on creuse à vif la roche Du Temps, c ar oui, on est comme "devant", postées à la base, posées, contenue's, accolées, montées. femmes des données données on est passées et à présent on peut (grave) chevaucxher la lande à toute enjambée et aller juèsqu'au portail dit portail des fé&es , une rooche en poste , trou du cul des roches ou des données de roche. On colle ! on ne s'arrête pas de coller ! On est comme touchées, faites, entrées, passées, on mate ! On reg rde ! On veut aller de fait comme par la bande recher c her, qui l'entrée qui la sortie, mais du coup "un passage de rage", trou de base. On est cdomme néesz ennsemble (à toi à mùoi) par la bande en  ette sorte cde champ de paroi" donjt le nom est ça : parade ! coin de rue ! charge -avenue (advenue ?) ! poids de taille ! On est FEMMES DES DONNJ2ES DE BASE, on est FEMMES DES DONN2ES DE BASE , on est FEMMESCV AUX DONN2ES DE BASE ! On est FEMMES NUES AUX DONN2ES DE BASE ! on est FEMMES DES DONN2ES NUES  ! on est FEMMES DES DONN2ES DE BASE NUES ! on est FEMMES NUES AUX DONN2ES DU TROU DU CUL ! on est FEMMES N2ES AUX DONN2ES DU TROU DU CUL ! on est feMMES N2ES E?SEM%BLE AUXD  DONN2ES GRAVE DU TROU DU CUL OU DITES " DU TROU DU CUL"  ! on est .... FEZLMES , DOCTES, SACVANTES, AUX DONN2ES STRANGE ! AUX DONNJ2ES DONN2ES DITES IL SE4MBLERAIT° "DU TROU DU CVUL" ! On est femmes par lma bande et par le menu, dudit passage (devant soi) "du trou du cul" et ça bande ! grave ! -ça remu e d ans l'antre ! c'est couillu de rage (cousu !) ! ça charge gra ve ! on est nues vues, vues nues, on est nues et vues : on entre ensembleb = main dans main ! On est passées compme par la bande à une sorte de nouvell e charge ! on est accolées ! On est nées ensemble d

ans la mort ! on est (dans la mort) comme nées (ensemble) à une sorte de nouvelle vie dont le nom ici est : vie des vies ! colère monstre ! cxhant fort ! communication de l'au-delà à travezrs en vrai la paroi de roche, ou p aroi des Rois , Reines cachées, RRois des Fées, sarabandes. ON veut (on voudrait ) collezr , ensemble ici comme aallouées, à une Roche terminale, genre "paradisiaque" si tant est. On est femmes des prés, charges frontales, fées des p^rés = chance ! on aime ! on aime grave ! on veiut grave aimer de près ! on veut de près aimer grave = toucher ! on a&ime aimezr ! on aime aller ! on aime cerner ! on aime se toucher ! on aime se branler ! on aime comùprendre ce qui est en cette chose d'une sorte de "mansarde de l'au-delà" (dans l'au-delà) de typee "par adisiaque" . on aime ça ! on entre ! on est entourées ! on est au milieu du pré, parmi x et x bêtes broutant l'herbe fgrasse. On voit autour de bnous la Chose de ba se, le bâti. On voit la Roche, la Rotonde, lemporté, le décollé. On voit de fait la Roche des Fées. La murette donnée. On voit ce qui est , on entre en vrai, on est accolées, on fait corps , on fait fée". O,

n est femmes-fées allouéesz à une sorte de "roche des prés", et là, entrées ou une fois entrées, on cherche à toucxher toucher toucher toucher à cette sorte de ... muret ? mur de roche déjà traversé ? on essaie de cerner ce qui est. On cherche ! on veut toucher c'sst un fait mais aussi "p asser" ! on voudrait ensemble, parce que nées ensemble, traverser . Passer ensemble, aller, comprendre, traverser la roche, passer cfomme en force ou sinon comment ? comment en vrai pour le coup passer ? commùent faire ensemble pour p asser la roche des données finales ? en force, vraiment ? ou sinon comment ? par la bande sonore des enttrées parlées ? par le TEmps ? au moyen du temps ? On est comme nées ensemble dans la roche, et (en vrai) à prése"nt, on aimezrait re-travezrser dans l'autre sens ! aller loin dans "les données", faire ainsi qu'on puissee aller comme en une sorte de retour, de re-quelque cxhose à rebours ! Qui on est ? on est FEMMES N2ES PAR LA BANDE ! PAR LA BANDE FORTE 

d'une sorte de do nnée vivante ! 

CHARGE DOCTE ! PAMOISON ET CJHAMPIGNON ! On ose ! on ose aller ju!sque devant la porte aux données finales rezgarfdrrer. regarder ce qui est. Ce quyi se tra&me. De quyoi donc ... la "mort" (?) est faite . Ce qui est derrière le mur en rotonde . ce qui est derrière ... ce mur alloué à une (sorte de)  charge praoriale (ventre ?). O,n est FEMMES AUX FOLLES DONN2ES , FEMMES AUX DONN2ES FOLLES ALLOU2ÉES à DU VERBE, FEMMES (DEUX FELMMES°) ALLOU2ÉE (ENSEMBLE) à)

 UNE SORTE DE "PAROI DE BOUT DE ROCHE" (MA FOI°)ENSEMBLE. ON veut grave tracer-pisser, se toucher-baiszer, a&ller et venir, se doigter du feu de dieu, comprendre les données frontales = pisser ! pisser À la ré, connaéître le pré, les bêtes, le vent, l'herbe, le champ et le chant donné. On aime s'aimer sur roche allouée. On veut êztre fées ! fées des bosses et autres dunes de paroi (ou religiosités). On aime tracer ! topucher terre ! pondre ! coller ! faire ! dire et faire ce qui est ! pousser vers déité des ciment§ières nos envies sacrées ! colmater par (comme qui dirait) du verbe ! On est nées sur terre allouées à une sorte de verbe des prés, chants des rues, vives amabilités, cortège. On est femmes dees prés, on est femmes des  données ardues. On est (dans la mort) re-nées   ! On veut cerner ! Qui on est ? nues ! on est nues (de base) velues, vives et crues. Mues. On est mues de base. Mues et nues. Bêtes des prés sur la place. charge de rue ! antre. On est cfomme znsemble toi et moi en  nous (offrande) comme szoulevées nues par la bande en ce sas des sas. On veut toucher ! on veut aller ! on veut cerner ! on veut dire et faire ! on voudrait de fait dire et faire ! on voudrait de fait ensemble dire et faire ici, en ce sas des sas, une sorte de cortège. genre sarabande. coller. On veut coller ! on veut coller ensemble . On voudraitb ensemble coller .On voudrait ensemble nous deux coller , coller grave ensemble : toucher ! toucher Déité des Déités et autres divinités de roche si tant est. coller grave à cete chose d'une sorte de donnée donnée tellle que présentée (divinement) sur pa&roi du Temps. On veut : cooler, allmer, dire, cha&rger, chanter, faire, comprendre, disposer, aller vif et comme "soulever" la roche pour passer, dire ce qui est, chercher sens, poindre, calfeutrer, comprendre les données données, filer, pousser, pisser dru, e't aussi chier = se vider ! c'est important ! On veut : faire)dire, comprtendre-allouer, comprendre-percer, percer-toucher, traverser l;e muret et aller de fait ensemble (main dansz la main) de l'autre côté ! on aime toucxher ! on aéime comptendre et dire ce qui est qui est. on ne veut pas passer à côté des choses de la Vérité, comme conduite. On veut : toucxher-passer, cfomprendre-allouer, dire-faire, communiquer, faire ainsi que pour le coup les données soient posées, et ciomme consignées sur roche . On est nées sur roche comme à la parade poour ainsi comptrendre ensemble ce qui est qui se dessine (dessinerait) vraiment (de base) pour des ans et des ans. On est femmes fortes (grosses

) des données données comme p ar la bande ! on veut toucher-comprendre cesz données (fortes ?) allouées, ce que c'est en vériité,, ce que ces données e"n vr(ai xcachent ou cacheraient en termes pour le coup de connaissances concernant la mort. On est femmes fortes, fortes = groseess = savantes = pleines = pesantes = sachant tracer, dessooiner, comprendre, traverser la roche et passer sans forcer (?) de l'autre côté il semblerait. On est nées sur place (roche') pour tracer (dessiner) et (de fait) traverser la roche, se retrouver ensemble femmes (deux) de l'autre côté (dédoublées) et du coup prêtes à creuser (en vrai) plus loin, toujpurs plus loin, vers cettte déité dees déités surnuméraire. On est prêtes ! o n creuse ! on t§race ! on va& ! on en avance grave ! On veut

 toucher-cerner de baseles données. On est FEMMES DES DONNÉES donnÉEs ! on est allouées à cette déité des rages naissantes ! on est cfomme allouées à cette  déité des données savantes ! On est nées homme ou femme sur terre au singulier, on meurt transformé.es : femmes ! femmes = de'ux femmes ! en vrai ! dans la mort ! allouée à une mort données, celle du Verbe faisant la navette (vie / mort surnuméraire). On aime toucher ! se toucxher ! béiser ! se mettre ! se doigter ! se tripotter et se lécher ! et se humer ! se renifler ! se salir de la tête aux piedsz si jamais ! femmes fées ! fermes ! douces en colère ou dures soupesées ! On se lèche ! frêles ? raides ? cools ? on entre, en cette herbe d'un pré (alloué à une entrée) par le cimetière , direction les termes. On veut : et coller et toucher, et aller et cerner, et dire et passer, et passer et toucher, et cerner et dire. On veut ensemble traverser la base (prairiaéles) aux données rupestres, chargess folles, bêtes fortesq, cornes et coups de pied, bêtes-monstres, vaches à lait, bisonnes, bises et cohortes, contre-alléeez. On eswt comme nées (ensemble) et on veut toucher ! toucxher = faire = aller = connaîtte . on veut toucher pour ainsi dire les nénés de l'être ? femmes entre elles c'est un fait ! On veut ensemble s'accoler à cette sorte de cloison dernière aux données deonnées  ! on aimerait ! On veut toucher à cette chose d'une sorte de donnée venue, comme de derrière (ici) la murette allouée à un cimetière (ou genre de)! Qui on est ? on est bêtes desz prés ! On est bêtes des prés en ce cimetière "de la mort à l'oeuvre" tel qu'il nous apparait ou nouq apparaitrait sur herbe ! On est nées de rage pour être, pour de fait être Fées  , être Fées des Herbes ! cxhants des Fées sur roche imberbe ! traverser ! nées pour traverser ! nées pour êztre des fées ou "dans la mort : des fées " ! fils de l'herbe = filles nées comme soulevées, montées-montrées, portées. Cimetière des données de l'herbe ! On est nées sur herbe à une vie nouvelle faite de données données et comme soulevéesz vers Elle, l'Herbe , l'$Herbe des prés. On a&ime aimezr l'herhe, l'herbe des préds. On veut passer (à nouveau) de l'a utre  côté = traversefr le mur, le muret, la murette "a&ux donnézss " et du coup comp)rendre (ensemble ++) ce qui est en cette chose d'un e sorte de passage nu, tracé  nu par où, de fait, s'immiscer ensemble = à toi à moi, aller vif en ça, en cette sorte de paroi trouée, crteusée ! On est nées ! on est passées une opremière fois, nous voilà donc qui sommes ensemble faites fées de fait ! On est comme entrées on dirait, par la roche, à... rebrousse-poil ? ou sinon comment ? à la pa rade ? charge des charges ? on ess&ie ensemble de touchezr à cette cxjose d'une sqorte de muretde ba se, ce qu'il est c'est quoi ? mur des Rois ? mur /muret des REines de Saba (de P aroi ?) ? liens ici entre roi e't paroi , reines et fées, genres de données , perles et paroles allouées à une sorte de roche des prés. On aime tracer = travezrser cette roche donnée , par du verbe oui, par (en l'occurence) du Verbe "de Roche"" : cris de la passion , chants doctes, voix de fée, cohorte animalière finement gravée, pâroles de r'oche tracées, voix des morts et des mortes. On est morts-nées pour ainsi dire. Finement tracées sur roche on naît (on renaît) à une vie autre, celle des confins, des fins de roche, fin des fins. IOn aime s'accoler( à une szoerte de paroi de roche) pour cerner, toucher, comprtendre, faire ainsi que (par exemple) on puisse a&u mieux toucher (cerner-comprendre) cette Déité des Déités de Roche, Dieu des Dieix  et autres Personnalité de base forte, dure comme la musique comme enracinée en cette dureté de roche gravée. On aime grave aller verscette Déité des Déités des données frontales et autres genres de données de roche telles que "visitées" ... par des fées. On voudrait ensemble traverser ici la roche des prés, retrouver l'allant = le temps. Traverser = charger ! charger tracer ! On voudrait vraiment , ici, coller , à ceette soerte de donnée dite "du bou!t du 

monde" , coller-achever ! on aimera&it ! on vouydrayt ! on croit pouvoir tracer et, de fait, cerner-comprtendre ce qui est qui est, qui se présente et sembkle ou semblerait vouloir cfomme nous parler, noàus apostropher pour nous demander qauelque chose qui wserait pe"ut)-êtte,une sorte de vérité sur terre si tant est ! qui on est en vrai ? )eut-être, voilà, des fées, qui sait ? on creuse la roche allouée ! On passe ! Fées des  herbes ! Femmes des prés alloués à une Parol:e dite "de cimetière" . Frai des fées ! On aime ! ion aime grave pouvoir frayer  ! On adore ! On aime le xsece  aux données données ! On aime grave ici (sur terre) le sece" a&lloué à une Vérité dite "INTRINSÈQUE " , c'est vrai ! on aime ensemble ! on aime aimer, comme à la parade, le frai ! l'enfilade ! on veut s'aimer ! se toucher ! se mettre femme = se mettre en tant qu'on est femmes, deux femmes à la parade, au chandelier ! on veut, ensemble, toucher (femme  / femme) les donnéesq. On veut en tant que femmes dans la moçrt toucher = se toucher, tou!cher D2ité, se doihgter (ensemble) en tant que fées (doigts de fée = doigté = doigté dit "de déité"). On entre dans l'antre ! on est comme entrées ensemble dans l'antre, et du coup, on cherche à s'aimer, à en avancer, à tracer, à courir sans désemparer. On veut : et dire et toucher, et faire et aller, et coller et passer, et co:mprendsre et s'a madouer si jamais mais le peut-on enb vrai ? qui on est ? on est Fées ! Fées des Hommes mortsz ! fées comme aya&nt pris la place (dans la mort) de l'homme hier encore en vie ! car, si un homme cdans la vie sur terre mùeurt, alors il se transforme illico -presto, en femmes des prés se tenant la m&in ! deux femmes allouées grave à une roche, ça le fait ! homme au singulier, mourant, devient femmes (deux femmes ) au pluriel c'esst un fait à présent largement avéré et comme installé )parmi les connaiissqa nces ici liées aux faits et gestes de la mort à l'oeuvre et de la vie dite "surnuméraire" . On veut toucher à cette vérité dernière : clarté ! vivacité des clartés dernières ! embruns ! sons de roche (clocheztes ?), animaux sacrés . on ne sait pas ce qui est au juste vraiment vrai mais quand même, on subodore ! on veut êtreaccolées, se toucher, faire corps de près, toucher à cette Déité "des fonds de réserve". On aime grave tracer serré ! comprendre les données rupestres : les aurochs chargés, les bêtes de foire (= de foirail), les buffles ailées et autres vaches à l, ait sacré sucré. Aime ! charge ! croit ! voit ! perce ! perle ! parle ! va ! chetrche si possible à (toujours) mieux cerner-comp)rendsre les données données comme par la bhande. vives monstruosités de façade" ? on est comme nées ensemble par la bande (le langage parlé) sur roche des prés (temps frontal) comme p ar la bhande (des idiomes articulés). "Qui est né ?" = "qui va là ?". On s'en sera&it douté ! on est femmes doctes ! soit : sachant (sachantes) mille et une choses concerna&,t le sang, le corps en son entier, loes fonctions vitales, les données des fées concernant le cr(âne et le cervelet, la pie'-mère et autres dure-mère ou corps calleux "de destiné". qui on est ? On est , femmes "folles-fortes" = tourmentées = tournées = mises en forme . comme on est on va ! on entre ! on est ensemble on dirait pour peut-^tre mieux, comprendre-cerner les données de base , charges mentales, croix de bois, p)assages, mots des reines et rois, traces. quand JE bande , JE va ! Je se passe de Moi , car sale ! sage ? sarde ? charge ? On est comme c ernées de base ensemble par la bande, on est accolées, acculées, poussées, poussées de près et on essaie de fai-t ensemble de co:mprendre les données, ce qui est qu'on est des fées et pas des êtres comme nécrosés ! On veut : toucher à cette chose d'une sorte (en szoi) de Déité de cimetière ! Charge allouée à une pierre, à une donnée, à un muret, au mur des données allouées à la pierre. Qui on est . des fées ! fées de cimetière = verbe ? On ne sait mais ça sz pourrait ! O, n est cfomme pa&ssées ensemb le (tête première) à l'entrée , et nous voilà comme alertées, situées, chargées, mises sur pied, prêtes à y aller, ensemble, vivement, vers ici déité des parois terminales ou finales des confins de l'âme. on entre à pas chassés peut-être mais en vrai ! on rst acculées ou tout comme. On entre, vives et sacrées, acculées. On veut toucher à  ce qui est de ce muret de fond de pré . Fond de pré de base. On veut toucher à ce muret, aux donné&es centrales, auxs données dpnnées. on veut touxcher ens'"mble ! vivement aller ! cerner-comprendre ! crever l'abcès mais crever l'abcès c''rst un truc de ouf en vrai, pas si simple'à faire pour de vrai ! en vrai c'est (c''st simple) pas (ou pas tout à fait) une sinécure ! On est des femmes de paroi entrées, entrées en tant que fées on dira&it. On aime tracverser. On est passées. On s'est retrouvées (de fait) de l'autre côté, et voilà, à présent, on est comme soulevées, on veut toucxher , on veut cerner les données frontales , ce qu'elles sont vues de près, à qyuoi elles ressemblent, sur quyoi elles donnent, à quoi on doit s'attendre, qu'est)ce qu'il en est en vrai, des paroles "de vérité" ou des paroles doctes. On reg arde ensemble . on se penche dngereusement; on veut com^rendre ensembvle ce qui est ici qui semblezraéit vouliior, nous donner à c erner  ensembvle les données de base, donnnées rudes. Qui , qui on est, qui en vrai on est ? On est F2ES ! FÉES aux DIONNÉES DONN2ES COMME PAR LA BANDE LANGAGI7RE DES

 ENVIES NACRÉES DE VIE ALLOUÉE À UNE SORTE EN SOI DE CIMETI97RE AUX DONN2ES DONN2ES ! on aime aller , faire et montrer, toucher et graviter (graver) autour du Verbe ... de la Foi  d&ns les Données Données sorties du cimzetière. on touxche a&ux nénés ! lait des Fées de cimetière ! Lait (en qauelque sorte) sucré ! lait dit "maternel" du fait qu'il appartient aux mères allouées à une Roche dite (elle) Primaire". (première et pri-mère, pré-mère). On est ,-néesz sur roche à la traversée c'est un fait, eet du coup (à présent) nous cvoici comme ezntrées tête prmière dans la vie, "vie vive aux données de Fée, vie des Fées des Rages et autres Fées allouées à la marge". quion est ? On est des Fées de base anale, conaissances , gentes dames, frappes (petites frappes) au firmament , druplicités. on voudrait grave ensemble en avancer de base dans les connaissances mais c'est vrai que la chose en vrai n'est pas automatique, ou plutôt , ne marche pas automatiquement de pair  (ou si ?) avec le langa ge, la langue dite " articulée". on voudrait savoir grave, ce qui est partout, ici (le cimetière) sa ns avoir à se ... prostituer ? de fait, se donne'r en écha,nge, se donner entièremebt (corops et âme, etc.) à la mort  donné, à cette Chose en vrai de la Mort Donnée, déposée ou sinon déposée tracée ! On cherche à comprendre, ici , là, ensemble, fissa, à cforps perdu, ce qui est devant, ce squi se présente en tant que Devant, Devanture, champ des duretés, champ vif. on voudrait ensemble ici et là co:prendre les don,ées actées mais c'est  vrai en fait que (pour le coup) la chose (à comprendre) est rude , et pas qu'un peu ! on se doit ensemble (pour co:prendre), à toi à moi, de cravacher, de cravacher dur ! d'y alller ! de cerner-toucxher ! de dire-allouer, de p^rendre ! faire ! aller ! cfomprendre ! composer ! allouer ! cerner ! cher cher ensemble, sur roche (pa&roi), mles mots des fées = Verbe Haut ! Colère ! Gravité ! GHravité Sacrée !

 On saitc  e qu'il en est car

 nous ^-mêmes sommes (en vr ai) Colère, mille fois colère ou un million de fois comme colère, ou ditzs "Colère", car voi;là .... on 

ne veut pas passer pour ce qu'on est pas ! on ne veut pas p asser pour je sais pas quoi qau'en vrai on est pas ! On est pas n'importe qauoi ! On est BHêtes de poids, sous joug, pour tracer-tracer , tracer grave le sillon de terre. On est fermes ! femmes fermes ! deux femmes sur terre ? dans la mort deux femmes, au sillon de l'être ? on cherc

 he ! On est femmes d'une foi dans... l'être de la foi ? du foie  ? On est  comme "surnuméraires " On veut toucher à cette" chose, là-bas, d'une sorte de paroi. On veut : toucxher, dire, chercher, cdomprendre, cerner, peser, faire, disposer, aller, cerner-dire, permuter les dires, les tempora&lités, creuser roche et trzaverser icelle ici d'un même élan, si tant est. on veut ensemble aller ... comme à reculons ! qui on est ? des millions d'$etres surnuméraires alloués à une Roche Sacrée ! Femmelettes-goutellettes ? On est femmes serrées, accolées, sacrées et sucrées, qui voulons comprendre, dire, porter, se poser, chezrcher à dire, peser et porter le Verbe au pluqs Haut des Données MOntrées . Porter ce Verbe Haut en ce cimetière. verbe Haut = Cime-tière. Chans choraux ! on entre ! entrons ! fouillons ! c reusons roche ensemble au plus profond. femmes dans la mort. femmes dans la mort. Homme moussaillon dansz la vie sur terre. femmes (deux femmes) comme szoulevées-montrées, dans la mort en vie, mort des ombres §(= contenanrt des ombres, ombrezs qui sont, elles, des hommes tapis). vives ! trappues ! collées ! femmes collées, vives et trapues ! collées ! chargées ! craintes ! corsées ! On les aime ! on aime grave les aimer (femmes = féesw) . on aime les Fées , Fées des prés, cortège de fées, fées clochettes et autrexs fées au débotté sachant se pavaner, tortilller, se montrer, cherc her à plaire, se placer, etc. la vie ici des fées (des roches des bois) , est une vie comme de parade ! chant ! choix ! vin montant vite fait à la tête et vous sa&oûlant ! On aime travcer ! chercher le firmamaent en cette chose de la mort à l'oeuvre on ne sait jamais, on ne sait jamais szi

 par h asard on ne pourrait pas le trouver, le toucher pour insi dire . On est arrivées tête la première. entrées ! on est comme arrivées tête la prezmièreensezmble ici (paroi / paradisz), à présent voilà, il faudrait pouvoir (vite) s'en échapper, szortir du pré, travezrser et du coup se retrouver ailleurs, szoit : de l'autre côté de ce dit par adis ! on veut comprendre ce qui est ici, cette chose d'u ne sorte en szoi d'enclave supra-sensor(ielle, szurn aturelle, hors temps , hors espace qui sait, on entre. quand on entre il est bon de cerner dès lors ce qui se préswente en termes de données frontales tout &utour de soi. on voit, on voit parfaitement ; ici  : bêtes dee paroi; Là : mots des roches surnaturezles (her(b ?). Qui  ou 

 quoi ? Quand on entre , on se doit de chercher à com^rendre, cerne"r ou saisir, des sortes en soi de "théorèmes" , a&ux do nnées centrales, primaéirees et princières. On est nées de rage da&ns la mort Fées. On est nées Fées de rage dans la mort. on estdans la mort nées Fées de Rag". On est nées de Rage Fées dans la mort. Dans la mort, on est nées Fées de r(age, et pas (envrai) pour rire, pour plaisanter ! pas du tout ! On est nées VFées ! on vole, on volette ! on est nées des prés ! c'est chouette, vif, vivant, plzisant ! On se plaît 

en Fées ! On se voulait fées, eh bé voilà ! on est ! on est entrées ! on est femmes des prés ! fines mouches ! trempées et mouillées ! on est Fées )Moucxhes, Fées des présn! frappées ! allumées ! vives ! chargées ! on est nées Fées sur vaches des prés = mouches ? mouches ambula,ntes  ? mouches savantes ? qyi on est ? on est des mouches  ? On se le demande ! on veut comprendree dans la mort ... ce qu'on est. Ce qu'on est (dans la mort) on ne sait pas (vraimùent) c e que c'est . des mouches des prés ? fées clochettes ? qui sait ? 

quand on chante on est là vaillantes, sur pied, prêtes à c ernezr (de près) ce qui est , comprendre, soupeser = soulever. on est entrées ensembvle et à présent on essa&ie ensemble (toujours) de comprendre, de s'avancer ou d'en avancer dans les connéiss&nces. On voudrait de fait ensemble cdomprendre (++) les données de ba se gravées, les dessqins au débotté (au pied levé) de l 'homm-femme de Néandertal, des temps reculéew, des ébuts (?) de l'humanité. on est femmes des préqs ! deux femmmes da ns un pré se baisent grave ! charges mentales ! poids total ! mesures de base ! finitudes ! frontitudes ! collures ! echancrures ! On baise ! grave on ensemble baise ou baisons, sur roche-rocher, on y va ! on ne lambine pas (pour ça) ! On veut grave s'aimer, sur rocher, roche des prés, sans désemparer ! se toucher ! se doigter ! se donner l'une à l'autrepour l'éter

 nité ! s'a&imer vive"ment en ce pré ! Herbe au cul des p assions, des envies de Vie, des données deonnées et autres nudités zn mat(ière de Vérrité. On est nées nues , puant du cul ! velues ! charnues ! crues ! On est feemmes rudesz, connues. On est e ntrées en ceztte roche des données comme à reculons on dirait ou sinon ? à califourchon comme des cons (connes) ? On cherche ! On éimerait (grave) mieux ou au mieux cerner , les données de base, les (comme quij dirait) toucher ensemble, soit "à toi à moi" comme p ar la bande. on aimerait pouvoir aller profond ensemble, se toucher ! aller ! faire ! tenir !contenir les choses, les données de base, le sang de la r age pissant, pisse-rage de la foi ... sur rocher trzmblant ! On est femmes ici des données colportées ! femmes savants-sachantes ! Fruitsq (fruits ?) desw ronces ! On est malhab!iles sur paroi parfois et parfoids pas ! On s'aime ! on s'aime d'amour ou d'un amour céleste ! célèbre  ! On aime l'herbe, la paroi, le sang, les données de base et autres b ase de donnés . On est bêtes des prés, et belles et tracées. On est bêtes des prés en herbe. champs de luzerne sous lpes pieds. On s'aime ! on aime s'aimezr ! sur l'herbe et pas à moitié ! On est" belles b^-etes" c'sst un fait. cherxheons grave ensemble à comprendre", c et ét at de fait ce qu'il est ! vive l' ar(mée tu p ârles ! vive l'e,ntrée des passantes (= vaches à lait) à traversq ;a r'oche prenante ! On est nées ensemble ! jumelées ou comme jumelées  ! en cette roche et à la travezrsée ! fente labiale ? creux des fois ? un tracé creusé ? On est femmes des prés . Nues ou à peu près. On aime être néesz &insi accolées à un e sorte de "donnée de rage", de type "paroi", "la oparoi des rois", "la parois 

dite des reines et des rois". pa&roi de choix. On est comme néesz (main dans la mùain) ense'mble d'une Sommité, qui sait ? On éime aller ! chercher ! toucher ! toucher grave à Déité ! l'aimer ! la toucher (de bonne grâce") à (peut-être) l'envelopper ! l'emporter ou comment ? tracer au débottté les traits debase l;a représentant (de face) : déité des prés = vache àlait, c'est troublant mais c'est un fait, avéré et vra&i, vrai de chez vrai! on est monté , on a voul u cr(euser et on a creusé. On est bêtes de poids dans u npré . ce pré est une e nclave, un champ cloturé. Au delà du champ c-loturé il swembllera&it qu'il y ait la Vie telle qu'on la connait à quelque chose près si tant est. on essaie de fa itde pour le coup s'imaginer au d"ébotté de quoi il en retourne, 

question vie après la vie, ou même au)^delà. On regarde loin. On voit des clartés, de la fumée(embruns ?), des données fugaces, de la brume ou quoi derrière la paroi là)-bas, en face, fond des fonds des landes. Qui on est ? on est ... eh bé dees vaches àlait ! vaches des prés ! broutant en veuxs-tu en voilà pâr la b ande l'herbe vezrte allouée à pareille enclave" ! Fil de la passion ! Charge rude des envies de Vie dite "permanente", "durant", "maintenue longtemps". On est comme nées sur une roche bi-pol;a&ires. On est nées comme bi-polaires sur une roche. On est ensemble comme nées (de rage) szous le vent ! ça buffe grave ! c'est du vent de face ! pets à tous les étages ! ça sent ! ça cocotte grave  ! vents des sables ? vents ardus ! ça pue du cul ! On dirait l'odeur du sang ! L'odeur des  prés ! la senteur acidulée (qui sa&it ?) des prés avenants. on est entrées, on a vu ce qu'iul y avait. ZSoit : bé ça ! des (ensemble accolées) bêtes des prés, hgrégarité si tant est, tout à l'avenant dans un pré acté. IOn est nées d'une mère allouée à une terre. On (dans la mort) rena&ît, car devenues terriennes on est passées, on atraversé ensemble les données données (données rudes et dures) et nous voilà comme allouées à une Déioté Matûree, mûre , grave mûre ! on saigne tout

 c e qui est ! on saigne sur paroib aux herbes, tout ce qu'on sait, ezt que sait - on ? eh bien, au fond, pas mal de choses en vrai. On sait qu'on naît (parfois) "homme" (dit-on) , et que, dans la mort  : inversiobn ! dédoublement  ! gros changement ! nous cvoici (de fait) transformé, d'un homme nous voici passées ! devenues femmesc = fame = renommée = femmes des prés ainsi renommées. On est comme nées (de base) "homme sa ns pré", nous voici mort-né devenu femmes, a

llouées à (ici) un pré de rage ! vfivement l'été !, qu'on sache ! qu'on en sache mieux en vérité de ce qui est qui nous reg arde, semble nous lorgner de la tête aux piedsz ! charge mentale la voi:là ! on est rega rdé ! on l'ét§ait , l'est)-on ? en vrai est-on encore et toujoursn regardéées ? pezut-êttre bien que oui, qui sait ! szommes-nous femmes des pr)és à la retombée devenues ? sommrsz-nous acidulées ? avons-nous de quoi nous nommer nous-mêmeq ? qui sommes-nous devenues ? qui sommes-nous ensemble (soit main dans la main soit deux mains suur qauatre) devenues ? puons-nous du cul ? sommes-nous ventripotentes ? avons-nous du cul ? des jambes ? de la viande nue  , crue ? Sommes-nous nues de la tête aéu cul ? que vou:onsz-nous comprendre ? voulonjsz-nous cerner la chance  ? la parade devant nous tracée, deessinée  ,- comme à  main lzvée ? voulonsz-nous faire et donner, tracer et coller ? pisser -chier = se vider de

 tout ce qui en nous semble (juste) transiter ? J'aime = Je suis = Nous fa&isons ! Je = Me = Ne = DIT.

 Quyi dit ? eh bé, x

dit. C'est ce x, l'inommée (?) qui dit. Et que dit-il, ou elle ? iele dit que "merde, ça suffit, des faits faits exprès !", on est colère ! on neveut pasombrer ! on veut s'aimer ! on veut aller sur trrrrrrrtre , oui ! terrrtre ! dune des monnaies ! monts de piété ! chercher non la misère mais tout le contraire, la richesse ! l'argent frais ! le solde posté ! motsq des roches animaux ! coins des hommes, femmes au tombeau ! on est ormes = ormeaux = hors mots, quand on sonde ! quand on ose ! quand on sombre en tahnt que homme du tombeau = femmes au lamparo ! chalumeau ! on est doctes (femmes doctes) dès que ... mort s ? mortes ? comment dire ce qui est qui est, quand on naît à une vie nouvelle   ... da,ns la mort ? comment stipuler ? qauand on naît on naît Fée ! fée = fée des  ormes ! On est femmes docdtes ! femmes aux mots ! cxharges mentales au lamparo, on acte : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 1(, 16, on y croit ! on 

trace ! on mesure de nos pas le champ dxe la lande, on trace grave ! on en avance ! femmes des bois ! on est toutes flammes pour ça : co:mprendre ! tracer = donner ! donner de la voix ? qui sait ! 

on ne lambine pas ! on en avance ! on ne traîne pas ! on veut grave cerner ce qui est qui nousc regarde et semble nous sommer (peut-être) de nous prononcer, de nous présenter, de nous étendre ! on dit (en vrai) "merde" aux nénés et aux quéqués ! ils nous emmerdent ! on ne veut pas (ou plus) avoir adfffaire à eux ! qu'ils disparaissent ! nous laissent ainszi sans eux , chercher en vrai la chose des cieux, le dieu agraire, le mieux des dieux des terres agraires. Qui dit mieux ?

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2/8/2024

On est comme nées pour être ensemble celles qui en vrai cherchent à cerner le bout du bout de l'antre, ce que c'est, ce qu'il recèlerait ou comprendrait en termes de données de base. On est nées pour chercher endsemble comme qui dirait. On en avance ! on court on vole ! on veut ou on voudrait cerner de rage ce qui est 

et du coup, voilà ! on est là ensemble, on se tient la main, on est accolées, on se colle l'une à l'autre comme (comme qui dirait) des méains jointes ! deux mains ! on est collées ! femmes collées on entre ! on passe ! on passe ensemble ainsi collées ou accolées comme deux mains jointes peut-être dans la prière, ou alors, peut-etre, dans une sorte d'accolade, de présence à l'autre, don de soi pour la parade (l'apparat) etc.. on est bêtes de fosse ! on colle ! on trace ! On veut cerner ensemble ici et là les données supr^mes ! celles 

qui "gouvernent", celles qui "trônenrt" devant nous, nous lorgnent ! O,

n est femmes des prés, et aussi on trace vif, on creuse, on dessine sur pâroi les bêtes des bois, des foêtrs, des champs de luzerne. On est côte à côte ! on avance = on va ! on erst côte à côte qui allons bon an mal an "àtoi à mùoi" ensemble sur un champ, marchons droit, filons vers là-bas à l'horizon la pierre , la paroi profonde, ce tracé on dirait de rotonde devant soi, ce mur des catacombes et autres données pour le coup données pour , soi, une fois, un de ces quatre, comprendre. On ebn avance grave et du coup nous voilà, ici, comme au pied du mur, qui voulons ensemble, entrer fissa, passer, regarder forcément ici ou

 là ce qui se passe, ce qui se présente, à soi = nous, ce qui est présent et présence, le présent du temps et la présence des données de base, devant soi, qui tremblent, qui semblent bouger, qui sont comme toutes "chose" de nous voir arriver on dirait. On est accolées ! on regarde ! On voit quoi ? on voit ça : embruns de bord de mùer maussade, champ de flleur, vive clarté des bouts de mùonde et autres luminosités toutes acidulées ! On voudraiot passer mais sans y passer ! On entre ! on est collées-accolées ! on est prêrtes à ... naîttre à l'autre côté ou de l'autre côté à cette sorte de donnée donnée donnée  de base, chant des ombres (hommes ?) ou comment ? on essaie du coup de fait de cerner, ce qui est dedans ! on est pas "arrivées" ! on cherche à percer , qui de la dent, qui de l'oeil énucléé, qui du doigt pointé ou de la main posée ou apposée, du pied de l'avant, du sexe dressé pour ceux ou celles que le sexe sied ! on est comme cernées

 ! on est comme ceinturées ! on est prises de fait sur le fairtt, cherchant non misère mais bonté, donnée des données d'une sorte de 

bonté donnée, offerte, déposée, posée sur roche comme à jamais ! On serait colère et on verrait des choses trembler : feux des roches ? On est passées (iun peu !) de l'aiutre côté ! on aime ! on est  bêtes des prés , charges rudes, sommités grégaires, chants de lutte, romancières. On veut cerner cer ner cerner les données (posées sur roche) à la une à la deux devant soi, nous de base vôtre. On colle ! On est posée collées ! On monte ! on traverse ainsi la roche ! montons ! on est montées ! 

On veut toucher ! On veut cerner la base des données données. On veut toucher à cette base des données données ! On veut ou on voudrait toucher ensemble ici , à (donc) cela : base ! base des données ! données données ! Chose ! choses des traits ! traits ! traits de rage ! convivivialité des êtres allouées à une roche si tant est ! On entre ! On veut cerner ensemble tout un ensemble de données qui de fait seraient à m^me de nous éclairer un tantinet sur ce que c'est que cette chose d'u ne sorte d'au-delà du monde, chose rude dont le nom en vrai serait (qui sait ?) "la mort" !On est donc passées ensemble (deuxd femmes) pour toucher à cette sorte de"donné". On est âssée ou comme passées par la bande ! on est comme "éjaculées" de rage ! On est passées et nous voilà (en vrai) siituées de l'autte côté ! on  est entrées, ou disons comme entréesz car en vérité, on a passé quoi ? le bout du nrz ? guère davantage ! vit et vie des données passées, du passé de contrebande ! chalutier ! On est comme cernées (ok par la bande ) mais va comprendre ce que c'est en vrai ! que cette chose d'une entrée ... p ar contrebande ! Vie du vit ? est-ce ici  la

 chose trempée ? le calé ? le c aché ? le passé de rage qui serait ... juste du passé ? On est accolées en tant que femmes soupesées et soulevées de base par ... eh bien, qui sait ? du vent ? en rafale ? vent d'autan ? charge 

venteuse des amants et amantes du temps ? on entre par devant, qui un nez qui sa barbe , et du coup on voit ! voyance ! à tous les étages ! un certain nombre de données de face (base) déposées (de rage?) devant nous qui (pour le coup) n'en loupons plus (pas) une s('il vous plaît ! . on regarde. On voit. On mate grave ! grave gracve ! On voit quoi on voit ../   eh bé ça ! cette chose à ras, ce tapis de base, point de charge, tableau gris, passade, gens des envies vives, vives gentes et vifs manants, vives manantes, gentes dames et vives amantes, lm'Amoiureuse toute Transi, transitoire, chargée, posée sur roche : une Fée des Fées, qui  nous regarde

 ! oghé la fée ! ohé la jolie fée ! oh la fée ohé ! on est accolées ! 

on chante ! on est posée, et du coup on se permet ensemble de chanter "à toi à moi" ce qui est,  de cette entrée ou virée de charge ! On regarde ! ohé la fée , qui tu es ? On est accolées ! on regarde ensemble les données données . On veut cerner ensemble ce qui est qui charge , 

qui est comme qui dirait donné ! vertsé, accolé, déposé , sur roche des prés comme à la ârade. On veut ou on voudrait cerner la Base des données. Ce que c'est, et du coup co:mprendre dans les faits les mots de la charge, le taureau, l'antilope grave, le bison coté, buffle au cordeau, bufflette au poteau, l'angevine, le syndrôme du couteau, la bête chevaline, l'ours des Baux du Grau, l'intrépide bise. On est montées comme sur, 

une soorte de pic;

On est comme nées sur roche des prés pour de fait cerner des données de base qui (toutes) seraient, disons, sinon animalières, animales ? on entre . On veut cerner-toucher, pousser-aller, dire, et porter le dire, enfoncer les portes d'une sorte de maison natale ! on regarde ! on cveut ciomprendre ensemble et du coup  passer. car qui dit "comprendre ensemble ("à toi à moi")" dit "p asser", dit "trépâsser" mais sans y passer ou disons sans vraiment "succomber aux chaermes", non ! tenir bon ! se dresser ! tenir de face ! ^$etre droit sur place ! chercher ! aller et venir comme à la par ade ensemble en ce passage ! On est d'ux femmes qui ensemble en vrai cherchons à comprendre un  certain nombre de données de face. On voudrait vraiment ensemble comptendre ce qui est qui se présente et ce sans succomber c'est-à-dire sans tomber ici ou là de préférence. On est grave ensemble elle et moi = nous, accolées, et c'est ainsi (accolées) qu'on regarde, qu'on s'approche de la roche terminale, roche de rotonde ou d'enclave. On voudrait vraiment ensemble comprendre c''szt-à-dire cerner, de près, ce qui est qui semblerait qyui sait ? nous regarder comme par la bande, et qui viendrait ainsi vers nous, nous mater, nous reluquer, nous lorgner comme un fou

, comme si en vrai on était, nous, bêtes de paroi de rage, de là ! on voudrait ensemble , nous, aller ! aller loin ! plus loin , soit toujours plus loin ! on voudrait vraiment ensemble comprendre loin, c'est-à-dire beaucoup ! on voudrait chercher et trouver, trouver et  cerner, cerner  et poser. On aimerait c''st un gfait (grave) comprendre, un grand nombre de données données,, mais comment comprendre ?en touchant la Roche des prés ? en se lovgeant tête la première en elle ? en faisant corps en vrai : deux femmes, comme "célibataires, ou soingulièr"'es" se serreraient pour former de fait un corps de ...

 mer ? chant ? cri ? christ ? ohé ohé on colle ! on est comme néesde la roche et voilà qu'on se met ensemble à (on dirait) coller ! coller

 grave ! On est accolées sur place (pré aux fées ) et nous voilà cdomme cherchant ensemble à (du coup) toucher à cette Vérité d'un chant donné ! Quel est-il ? qui chante en ces contrées ? de quel chant s'agit-il ? qui est derrière ? qui donc est derrièree le chant ? qui veut donc nous entourlouper par ce chant ? qui veut nous enfumer ou nous endormir ou nous blouser ou même nous faire défaillir ? qui donc est là, derrière, sous le vent, qui guette , chante, va, se promène et ne cesse de nous regarder comme à la dérobée, mais, chante ! il est vif du tertre ! il mate sévère sur son pic de gué ! il ne nous abandonne plusz ! il nous guette sévère en père sévère ! il est fils et père, charge allouée à ... eh bie,n oui, cette dune en soi, ce bloc, ou tonneuau de joie, tertre ! 

dune du pot ! On est comme mirées ! On est comme acculées ! On est prises sur lme fait ! on est guettées ! Oh oh on l'est ! On est vues depuis la dune et comment faire pour ne plusz ? On est bêtes de scènes (paroi) qui voulons ensemble (grave !) aller, au plus profond de l'antre, charger = cerner, charger = comprendre, cette chose devant soi dont le nom (de base) est gravé comme sous le vent ! données ! les données ! la Chose ! le Temps ! Temps donné sous le vent ! On est accolées et on mate ces données qui (de fait) sont données qui (qui sa&it ?) nous incombent ! on est n,ées sur base nautique, on est nées vives, vives et ailées, on est nées du pré, de l'ombre, sous le gué. On est nées vives ! vouivres ? on est nées  de rage ! On veut toucher ! On est cfomme accolées de rage à une sorte de donnée, et nous voilà nées ! On est cfomme accolées opour en vraéi eh bé être nées ! On avance ! un pied ! on trace ! On est fe'mmes des prés dits "de la romance", et c'est ainsi, en tant que femmes allouées à un pré, qu'on trace, qu'on avance un pied, qu'on va, qu'on se déplace cahin caha, sur place , o,n voit ! On voit là-bas la vive clarté allouée à la paroi dernière, cette Chose de poids, cimetière, gré et bois, charge entière, paéroi des rois et des reines

 ; la Samba ! on entend ça ! mais est-ce vraiment la Samba ? la rumba ? la salsa peut-^tre ? quoi ? une sorte de musiqzue belle semble de fait émerger d'une sorte de trou des Fées (dit "des fées") qui serait, ici même, cet endroit par lequel en vrai on voudrait passer, pour comprendre ensemble de l'aéutre côté eh bé ce qu'il y a. une sorte de cha-cha-cha des temps alloués alloués à une roche ? Une sorte  de musique folle ? entraînante et délurée, ou débridée ? On est acxcolées (FEMMES DES DONN2ES) et du coup on essaie, en vrai, d'entendre-cvomprtendre ce que c'est que cette sorte de musique des attraits, musique des Fées. Qui "chante" ? qui "joue" de la vioole ? du pipeau d'eau ? de la mandragore ? Qui joue du saxo ? Qui s'époumone ? On est comme nées fées sur roche dès que trépassées. Disons pluto^to que oui, on naît sur roche dans la mort comme doublées, colmme dédoublées, comme si, en mourant, d'1 on devient 2, pour l'éternité, l'éternité

 des tempsz, mais voilà : deyux femmes pour une Fame (renommée) déposée. On est comme néesxc,de rage, Femmes , la mort advenue, sur roche des prés, conclues/ On est femmes des prés = Fées, nées de rage par la bande (ici , du coup, animale) pour cerner ! cerner grave ! toucher ! toucher à cette déité (de fait) des parages ou de ces parages dont le nom (dans l'intimité) est... eh bien .... on dirait .... qui sait ? ;;.. on voudrait le dire ! on voudrait vraiment ici ensemblre maéin dans la main dire ... on voudrait ou 

on veut, mais ici on voit que ... que quoi ? dur à dire ! hiatus des parois ! on essaie, on franchit des fois le pas, maéis en vrai c'est dur ! comment faire ici ou là pour en vrai ensemble "à toi à moi" nommer cette sorte en soi de déité des déités ? on voudraiot ! on di ... oh on dit quyoi ? on dit ce qui est, ce qu'on voit = ce convoi ! buffles à sati"été, monstres des prés, les bisons et les bisonnes nacrées sont comme des succédanées d'une sorte de Vérité des Vérités dont le nom pour de vrai est ... et ici : un blanc ! alors même qu'on le sait ! qu'on connaît ! qu'on pourrait nommer (et d'ailleurs parfoidss on le fait) mais bon ... on est nées pour 

prononcer (qui sait ?) le VErbe (du Temps) comme à la par ade , pour comprendre = prendre , et prendre = dire , et dire

 = nommer , et nommer = nommer déité des déités... pour (comme qui dirait) paqsser ,; szoit passer le temps = les tourme,nts de l'âme ! on est nées de base accolées, on parle ! on dit ! on dit ici et là des mots allouész à une vie dite temporo-spatiale ! On colle ! on est accolées de rage à (donc) ici cette chose, d'une sorte de PAROLE DOCTe ! oh oh ! et si c'était vrai ! On regarde ! on est deux (massives, accolées) qui(en vrai) vont (fissa) à la rencontre de (peut-être) l'ultime p aroi ! paroi des parois (rotonde ?) ;: on y croit ! on fonce ! on ose ! on veut voir des choses ! paroi = parole = rotonde = mort ! voilà l'arme ! Le port des ports ! port d'arme ! on colle à une sorte de données lacustre des données de base de la Voie, telle qu'elle est là qui on dirait nous voit, ou si ne nous voit pas semble ! On est comme nées ensemble en ... semble ! en, plus loin, semble = sang bleu ? sang des Reines-Rois des Parades Martiales ! äme et arme comme à la parade ! charge ! chant ! chant des champs ! champs fleuris ici, vert pré, chose en vrai paradisiaque on dirait. On est femmes (accolées) ensemble, 

qui voulons comprtendre, ensemble ce "semble", cet ensemble, cette chose en sang, ce sang de contrebande ou de connivence, ce sang blanc et ce sang bleuu, ce sandg dit "des rages", "des 

tourments de l'âme". Qui dit mieux ? On est données = données par .... (on ne sait) , et données = les données, les bases, les outils de connaissance, le Savoir ancré ou alloué au Temps via la rampe de lancement dont le nom (en vrai) est... eh bé peut-être... buffle ? bufflette ? bique ? biquette ? une sorte de bête en forme de manège ? On est cfomme néeds sur pré , chererchant clarté ! on cherche à cerner cette donc clarté dite surnuméraire des données allouées à une roche temporo-spatiazle, de type rocher, roche, roc, roc des vies de base, roc et toc ! On est comme passées, à travers la roche, direction le pré, et une fois pasées, une fois insérées, intégrées, allouées, prises de fait, on va (fissa) jusqu'au bout du bout si tant est , soit : de l'autre co^té, vers FIBNALITÉ DES FINALITÉS = fond de pré = rotonde = ROME ! oh on ose ! On est comme nées à une szorte de données "fatale" quyi (en vérité) serait donnée (une donnée) des bases royales (reinales) à juger

 = jauger = soupedser = soulever et montrer ! on voit la donnée ! on mate ! on lévite comme à tout jamais  sur pré, et, ce faisant, nous voici comme nées à une Vérité Tantrique allouée à ... une bique ? on dirait !Allouée de fait à une soerte de donnée, de type' bique, biquet, biquette des prés, bique-nique, vive bique sur p^ré, cherchant toujours (incessamment) à s'amusezr, à jouer , à

 courir ezt danser, à sautiller et gambader. On éime  ces fées ! bique des prés allouées à Déité, va sur pré xcharger-danser, nous amadouer, nous attirer, nous faire aller, nous condyuirede fait vers cette sorte de finalité des données prairia&les : ce muret ! cette face ou façade ! fin de vie ! Et nous, du coup, en tant que femmes, nous tenant la main, on va, on vole, on lévite, on suiyt la bis-que , le biquet, bique femmelle / bique mâle, à jamais, on aime ! On s'aime ! on est colléees/ accolées pour en vrai s'aimer , au cul de la bique ! on la suit ! le biquet ! bique et biquet nous mènent pour de vrai au "cimetière" des données données. On aime ! on aéime aller , bouger, danser ! au cul de la bique et du biqauet, ou de la bique ou du biquet, on a&ime aller ! suivre ! être happées ! être prises ! êtres conduites ! ça nous plaît ! On veut aller vaéillantes ! vaillament aller ! Toucher ! toucher ROche des données ultimes . nous voilà arrivées . On est face ensemble, à ce rocher du bout (?) du pré ! bout des bouts partout ! on est arrivérs ! on est à côté ! on est au pied des fées; 

IOn est fées nous -mêmes qui sait ? 

on est arerrivées au pied des fées, on est bêtes des prés ! on est accolées-acculées et du coup on est serrées , toutes pelotonnées , pour former ce que d'aucuns et d'aucunes appaelent UNE .... FÉE des FÉES . On est femmes-bêtes, Fées des fées, on est fées des fait s sur roche des prés. On est accolées ! accolées-acculées ! cimetière des données somaires. On nait ! on renait à la guerre comme à la guerre fées . On renait en tant que fées dès que passé le cimetière ! feées des fées on est comme re-nées , de bonne guerre, en vrai, sur l'herbe, sous un vent montant de colère, on dirait du firmament, sauf qu'il semble rupestre plus que céleste, ou cfomment  ? on est nées Fées ! on entre ! on est toutes deux accoléequi voulons comptendre : 1, la Fée, 2, les Données, 3, la Paroi qui searoit "

Parole" allouée à une Roche  ou un Rocher, 4, le Bison des prés (la bidsonne), 5, l'antilope , 6, la chevale (le cheval) sur pattes dressée ! On veut (fées) comprendre (ainsi re-nées) ce qui est qui charge, va, soulève, vit, tremble, nous commande, nous conduyit, nous mène, nhous contient et nous retient. On est nées à une vie nouvemlle en tant que fées des fées surnuméraires, femmes allouées à une sorte de "rotondité rupestre", rocxhe agréée, paroi celte, roc des oies. On est cfomme cernées ! on est cfomme toucheées ! on veut aller ! dire et prendre, faire et comprendre, donner et apposer sur roche x mains comme multipliées desz chants eux-

mêmes a&llouées à une qsorte de donnée de rage dont le nom serait (dans notre langage) "Vérité" ! soit : "Vérité des Vérités". Ça le fa&it  ! ça envoie ! c''st bath ! c'est un fait avéré que c'est bath ! on aime ! on entre ! on essaie ! on est cfomme  nées de rage à une sorte de ... eh bien peuêtre... vérité des vérités, qui serait... un a,nge ? musicalement "amené " par la bande (musicale , de fait) des données données  ? O,n entre ! on est VErbe d'allant ! Un verbe est né qui se soumet (en vrai) aux allants (chantonnés) de l'ëtre. Qui on est ? on est nées de rage sous un vent de face ! souffle démultiplié comme dans la romance ! On colle ! on veut coller ! on ose aller-toucher à cette ici donnée de cimetière, comme quoi le verbe alloué à une "mort certaine" est verbe d'herbe ou verbe des prés (des prés de données) qui est Verbe de l'$etre tel q'il nous semble se montrer à la mort donnée . On est accolées, on gère ! grave ! les données ! On est nées pour ^rtre (de fait) allouées à une sorte de colère qui est chant, chant donné, chant des données. On est comme soulevées de base p ar ce chant (surnuméraire) des données données du Verbe de la mort à l'aise ! On est cfomme nées à elle, Blaise ! On veut toucher ! toucxher-cerner, faire)aller, comprendre-dire, faire et tomber dans l'herbe et de se relever et marcher et aller vers ce dit "cimetière" des donnéesz terrestres   . qui on est ? des (ici même) qui (en vie) voulons cerner (ensemble) ce qyui est (de fait) de la mort en ces contrées telles que représentées de rage sur paroi et autres pierres par des hommes et femmes des cavernes

 ! On est nées rupetrses ! on est nées bisonnes et buflettes ! on est bêtes de somme et sommité, fame au taquet ! On est célèbres (des Célébrités) !  Britney ! Chou à la crème, sensibilité ! On veut faire -dire, chercher-trouver, coller-décoller, aller et venir sans sombrer mais tout le contraire : durer dans la durée de l'être alloué à un dit "cimetière" 

aux données données. on paér(le gras ! cel te ! on est là pour ça : aller ! charger et comprendre dans le tas ! Qui on est. Qui on est pas. Ce qu'on veut. Ce qu'on veut pas. Dire et toucher = ne pas sombrer . On est FEMMES AU Débotté qui de fait voulons acter la chose ainsi nommée ("cimetière aux données") sur Herbe. On colle !

On ose ! on entre ! on pose nos mains sur les hanches ! on est des qui (en tant que telles) vont, filent, mais parfois se posent, mains posées, et souffllent un tantinet avant de re- y aller en vrai, comme à la dérobée. EMMES altruites artistes on dirait. En vrai pas tout à fait. On colle aux Vérités tracées ! On est gouines, charges, vivres, sommets / sommités, FAME ambrée , charge mentales, nénés, condomines. On veut : 

toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher tucher topucher tpoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tpucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher touchr 

à cette Déité des D2ités iici nommée (ou dénommée) N2N2 ! N2N2 des N2N2S ! nommée "Les nénés". On entre ! ventre ! corps ! on veut cerner ensemble la mort, en vrai , ce que c'est ! Des nénés ? eh bé ... qui s&ait ? on est comme passées à travers la roche à la recherche d'une vérité qui eût pu nous donner en vrai un pêu de cette chose qu'il pour nous serait bien utile ,pour le coup, d'avoir en propre. A savoir : le savoir ! la connéissance dite "grave" des données spéciales concernant la mort... en ses contrées,. OOn veut = on voudrait ! Comprendre oui. Et aussi cerner = entourer = cercler = prendre ici même en son sein le Verbe, le faire fructifier (fruit de la pâssion) et puis le mettre au monde incidemment comme qui dirait "un fait exprès"  et par la bande sur paroi des Reines et des Rois Nacrées. On est comme nées sur roche d'une sorte de Pässion Christizque allouée au VErbe de la Foi (en soi) dans (en) la mort Certaine. On colle ! on est deux qiu, ensemble, main et main (on voit) chargeons = chantons ! cfomme à la parade, la chanson, des Rois de Faça de, Reines au diapâson

, saint-ignace au violon, on ose ! On est fe'mmes des prés f= ées. Homme trépassé a donné son "âme" à la fée des prés, ailes, ailes passagères, vont et viennent, volettent vers en vréi ce trait donnné a&u x confins des herbes ! On volette avec elle ! fée ! fée des fées est nottre fée ! on l'aime ! on veut la toucher ! la toucher afin de mieux en vérité la connaitre si tant est, car est-elle en vrai ? corporelle ? on dirait ! mort donnée ! mort ! mort allouée ! mort ! mort actée ! motrt des données données ou aux donnéeds données ! on est "raccord" ! on veut aller, toucher, cerner, pister, cpmprendre, rendre, soulever, soupeser, être et avoir en 

vrai sur soi cette chose d'une aile (deux) qui nous siérait de fait, nous irait de même comme un gant, bretelle, jupe des données, verbe de terre, chapiteau, verbe comme s'il en pleuvait sur notre tête et nous ferait pousser comme (ailleurs) l'herbe à brouter. On est nées comme cernées par (autour de nous) de l'herbe (paradis) sur pré ! On est bêtes des prés aéinsi montrées ! Montrées et montées , car soulevées , car ailées ! vaches à lait = vaches ailées , pour aller (de fait), ainsi ailées, vers le cimetière des données données = le Verbe ? verbe des prés ? On croit rêver mais en vrai guère on ne rêve ! on est ! on est nées ! on est allouées à l'herbe , au pré à brouter, aux champs et prés d'une sorte d'enclave szurhumaine', surnuméraire, céleste, sainte, consacrée, chargée de Verbe comme s'il en pleuvait ... par derrière ! Car / le passé ! le pâzssé nous suit ou nous colle au dxerrière ! on est nées et voilà le Passé passé , qui (en vrai) nous suit de près, ne nous quitte plus jusqu'au cimetière ! on est ailées ! vaches et buflettes ailées, les bisonnes . On est bisonnes ailées (par le Verbe de la Foi dans l'être de la mort à l'oeuvre en ce cimetière aucx x données données) . On veut grave toucher nos ailes ! obn veut s'aimer dans l'herbe ! se gouiner tantôt ! s'allouer au cxhapêau (chapiteau) sur tête ! On est bêtes, de roche sondée, dessinée , ornementée, et on s'agrège ! entre nous on s'agrège ! On est des bêtes fortes, sommes folles, cris de vie, fortes charges, poids de masse, parades

 graves, chants lourds des bouts du bout des vies. On se masse ! on fait masse ! on veut grave peserrdans la balance ! On est bêtes des prés de charge = sommité = renommée = fame = genre "on me connaiît" , ça le fait grave !". Quii on est ? on est nées par chance par la bande (animalo)-langagière) d'(une sorte de paroi, paroi souterraine, galerie-boyau, anttre, caverne, trou des razts et autres bêtes (rampantes). On &ime ça ! la rage ! la sa&mba ! la transe ! le canal des voies vers l'au-delà ! la chance = la danse = la transe = la voie = l'animal de la foi = l'antre ! On est comme touchées à la base dès notre naissance sur paroi ! touchées quasi coulées mais voilà ! on est entrées ! on a franchi la roche ! on est passées ! on est passées avec notre passé, derrière (ici) la paroi du roc . On est passées = on a frnchi = on a traversé = on a creusé = on a conclu = on est nues ! nues de base ! nus du cul ! on aime aller (nous) nues grave ! on adore aller nues de base, cul nu, vers (on dira) l'au-

delà , l'au-delà du cul ? pourquoi p as ? après "le cul" il ya ça , l'au-delà des aâmes , armes, bras, charmes, gravats, cendres, à toi à moi la voie du passage, passage de l'antre, l'intrioduction dans une sorte de cloison qui serait comme une sorte de rotondité ou même enclave des Passions ! On est = on est nées ! voilà ce qui est ! je (on) suis (est) né (es) = je suis ... ce jambon ! cette domination ! ce trait = on ! homme des contrées "du bout du monde". Quand on naît homme dans la vie (jambon) on meurt en tant que femmes des données célestes (fées, en vrai, aux deux ailes). On nait Homme (premier temps) , on meurt Femmr

es (deuxième temps) . On renait ...  (tyroisième temps) vive clarté, chant montant, vie  des vies comme sourdant d'un puits ! vie vive = eau vive = paradis = vie des vies  = chants de vie = vie ! Vie = vive animalité sacrée ! On est comme entrées d ns une roche, tête première. On est nées sur hrerbe ok , à présent on sepromène. On veut dire et toucher, mais pour dire et toucher il faut sonder ! coller ! cerner la roche ! szi possible (préférentiellement) à deux ! 

aller

 à la rencontre du feu, de la vive clarté, des données allouées à une sorte de cloison et à son derrière, à ce qui est derrière (en vrai) cette cloison, des données rupestres dernières. qui on est en vrai ? FÉES ? qui sait ? ELLES ? hé ! peut-être en effet szommes-nous elles , elles aux attraits ! on est (homme) femmes cachées ! homme de la vie avant le pré ! femmes de la vie après le pré. Pré = pré-ambule = pré en bulle = pré comme enclavé ou comme qui diraéit muré, entouré, encerclé par un muret qui fait du pré ce pré nacré, cerné, comme touché ! On est des bêtes-FOI ! rage des parois ! foi en l'au-delà de base : la paroi = la parolr !. La parole  en soi "porte" la foi comme la foi en soi "porte " la parole : "à toi à moi" ça sonde ! ça y va va ! ça charge gravze ! grave ça y va ! on entre ! femmes entrent ! femmes des parois entrent ! femmes de la foi dans l'âme ici, de l'au-delà à la paroi ! On est des femmes szous paroi, o, est comme soudées à elle , et nous (entre nous) p areil. On est vivrres ! herbe ! mangeailles ! offrandes ! vives et vivres (ou vouivres) ! quoi ? on entre ! On entre par la bande ici animale de paroi. On entre par le ventre" ! On entre grave de face !on pousse ! va ! colle ! fonce ! foncefissa ! va ! colle ! essaie donc de comprendre ce qui est qui est là devant toi qui ose , quoi ? te donner du rose !

 du doux dit anuimalier ! chose nouvellement né et comme déposée sur rose ! On est comme nées toutes "chose" dans un pré sur une rose ! Nées sur pré ! on aime aller ! on veut toucher toucher toucher, on veut toucher toucher toucher , on voudraot toucxher toucher toucher, on voudraiot trpucher toucher toucher, on voudraéit grave ensemble toucher toucher topucher à cette déité, des données de base, charge d'âme ! viva lacrité, charge mentale, solidiarité des nénés , chyant des bas (des bas fonds-) de l'âme. On entre ! RAGE ! Excentricité ! connaéissance actée ! fatalité ! colère sur pré ! on va vers Déité pour en vrai la toucher comme dans la rommance = "la toucxher, la toucher la rtoucher ...". Qui on est ? on est (dans la mort) des fées ! fées aux ailes nacrées ! diaphanités nacrées surnumérairres (célestes) allouées à un pré d'herbe ! collées ! On colle au pré ! tête dans l'herbe ! on aime brouter ! on est bêtes belles ou belles bêtes du fait qu'on est grasse et fortes et dures et ventrues et comme charnues. Vaches d'ambre ! on entte dans l'antre "farfelu (?)" des données du cul ! IOn aime ! oh, peut-^tre ... enfin oui ... le cul , la baéise des bêtes ... on aime le cul 

et la baise nue comme des bêtes bêtes nues du cul ! On est comme Colère ! IRE à vu ! chant des grèves ! velues, ventrues, voulues ! On aime être nues dans un cimetière, merdre ! Comme nues ! = velues-poilues-cornues ! ça allège ! ça nous pénètre ! c'est couillu ! ça pue du cul ! c'rst bête et mouru ! On aime ! On est bêtes des bêtes ! on est comme nues dans un cimetière = pré aux herbes ! car la terre entière ne cherchez pas est un cimetière . La vie sur terre est un cimetière ! ici-bas est tout entier un cimetière ! la vie en soi (la réalité de la paroi ?) est un cimztière où l'omme et la femme ont 

mouru ! à toi à moi ! ça pue du cul , c'est bath ! ça charge ! ça fonce ! ça fonce dans le cul ! ça danse sévère ! c'est couillu du cul et ça persévère ! on aime ! On veut toucxher dee fait les fées sur terre maie où et comment ? où sont-elles et comment s'y prendre si ta&nt est qu'on saurait l'endroit où pouvoir les trouverv (dénicher) ensembvle ! On est nées d'une sorte de rage à la bn ase, de base de rage. cri de la passion. Mirage ? SPIGOLON ? MIRAGE SPIGOLON ? SPIGOLON %IRAGE ? on est nées (de base) simple trouffion, gns de la base, sous-menton, petit pont, coquelet desz prés, ding dang dong ! On a&ime aller enbsemble à la rencontre de données de bout de pont, c'est vrai. qauand on aime il faut y aller ! il faut cerner, toucher, s'avancer, essayer de cernerv  de près et avancer à reculons ou pas à reculons maisv avancer = en avancer ! On est un peu préssées ! on veut grave toucher, cette sorte (du coup) de déité, qui serait cette chose des données données : poison . fiction ? boisson ? poisson ? On est n"éées sur herbe d'un pré dit surnuméraire, pré-acté, pré)cité, pré)-caché, pré-armé, pré-indiqué.On veut cerner = dire, et pouvoir

 écrire (ce dire) sur roche tremblante sous le feu des lampes ! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on estnées bêtes sur paroi , charges doctes, poids de roche ,; et nous vpoilà convoi en force traversant le temps, passé-présent, vers l'ombre ! l'ombre du tourment ! On ose ! on est comme deux qui , , doctes, voulons dire-toucher, la Chose qau'on connaiot ! l'ombre ? l'orme ? l'homme ? l'ambre ? l'âtre ? l'antre ? l'être ?l'entre ? l'entre-deux-feux ? Le paratonnerrre ? Le feu ? fils de ? commissures ? fille des fissures ? Fées ? On veut aller, comprendre (et cerner) la roche, dessiner etdu doup creuserr un certain nombre

 de qauestions, ditesc"d'envergure" ett on sait pourqauoi ! ailes de papilons ! la foi ! la foi en ça : la chose du fond ! on y croit ! on ne croit qu'à ça ! on est bêtes du port, on entre, on voit, on comprend là que en vrai, on dirait, des choses se passent ou se passeraient dev anrt soi ! diantre ! fruits de la p assion ! on est comme deux êtres, dits bêtes (couillons, couillonnes) sur pré, et qu'est-ce qu'on fait ? on fait pitié ! va cerner ! ose ! compte ! foule ! vit ! chie ! colle à Roche des Malappris (les Hommes) et fous-la leur profond si tu oses , oses ! VA ! compte tes pas ! tu es né sous roche homme, te voilà née femmes en roche, deux femmes et basta pour toi ! ça le fera ! On est cxomme Betes de somme lambda mais zn vrai pas tant que ça ! Sommet des parois ! sommitées des sommoités qui le croirait ? FAME DES AR%MÉES DE L'ÄME ! on y croit ! on veut toucher paroi ! toucher l'arme ! fée des rois ! fées reines aux abois ou pas , car l'ombre est souveraine , va, se pose, là, sur un bras, charge, commande

, tue le Roi, et la Reine est enfin Première, Fée des Rois traqués la voilà Nommée Duchesse, dure-mère, collagène, veine, voix, voix de là = l'au-delà des Rois/ Ombre-homme abasourdie s'efface laisszant place à Reine Mère des Paérois des traces. On voit tout ça de face ! cxharge d'âmz ! chant total ! un parterre d'amês cforiaces : des bisons ! des buffles ! des cheveaéux de tra&it et autres vaches à léit . Vive la Na&ture des données tracées ! chants rocheux, pariétaux, muraux, sur pierre allouée à ce cimetière ! On est comme nées à la paroi d'herbe ! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime ! on en veut,  grave ! on veut, grave, aller ! on veut toucher à cette déité, des p)arois des Rages, des données F&atales, vraies, ancrées, avérées; On est femmes (des prés) dans la mort. Mort -des prés de base, mort des données nées de  la base. On est entrées . On voulait comptendre. On voulait vraéiment com^rendre ce qui est ici, mais pour comprendre ce qui est ici il faut  a  ller ensembleble, il faut tracer, cerner ensemble, tout faire ensemble, se toucher la main, monter , grimper, soit léviter ensemble, et alors peut

-^tre, en effet, on peut comprendre, on peuttoucher, on peut cerner , on peut allouer à une roche une romance, faire ainsi qu'une sorte de romance ici, soit (ou nous soit), donnée en  vrai comme une dionnée, donnée des données. Quand on aime il faut tracer c'est un fait, et c'est ce qu'on fait. On voit loin là-bas les contrées, les choses  de la foi, l'attirail, la roche dernière. Une sorte de clarté en fond de cimetière qui s&it ? on esa&ie ensemble de cerner de près toutes ces données mais en vrai la cxhoqse n''sst pas aussi simple qu'il y paraît car on doit pour le coup s'approcher au plus près et s'approcher près c'est risquer d'y passer à  jamais et à dire vrai, on ne veut pas y passer, on ne veut pas s'y risquer , on ne veut pas se pencher, passer qui le nez qui l'oeil. On veut rester = demeurer en vie, le plus possible. Rester =demeurer le plus longtemps possible en vie de ce c$oté du pré ! On veut en vrai regarder mais comme,nt regarder sans trépasser ? là est la qauestion UNE ! O n le sa&it ! le but ! la charge rude" ! on s&ait ce qui est ! on est pas des bébész ! et mê'me on sezrait des bébéd qu'on saurait ! car , meme les bébés savent cette chose, d'une "fin de pré", d'une clarté, d'une anfractuosité, d'une sorte de passage fait exprès pour aller ensemble (femmes = fame) à jamais vers ELLE, lA clarté on dirait, l'AILE ! l'amportée , l'emportée des emportées . On aime aller ! on est AILES avant de naître et nous voilà comme re-nées et du coup à nouveéu Ailes (ELLes) de Fées ! on est comme re-nées au nez et à la barbe de la Souveraine Reine des COntrées Armées , Mort au Taquet. On est nées sur terre ce qu'on est qu'on ne sait (ce que c'est) en vrai, qu'importe, on re-nait dans la mort telle qu'en vrai on était ava&nt de nâittree, ava,nt de 

nâitre sur terre, on renaît "à la une à la deux" ce qu'on était ou eut été ! on re-naît femmes des herbes, vaches sacrées, par la colère d'une entrée frontale par(iétale (à main levée) nous voici fatales ! Vaches sur pré olé olé ça gagne ! ça se dilate ! c'est fait exprès ! ça va aller jusqu'à la pa rade et après ... les nénés ? les "nénés de l(après " ? On se colle de ba se à une sorte de paroi de rage. On est cotées = aimées = reconnues en tant que telles : vaches sur pré ailées !c 'est dingue ! on aime les fées ! les ailes ! les vaches à laéit sacrées ! les données pre"mières. On aime aller tête première, toucher déité, cerner et voler de nhosz propres ailes et monter vers la lumière. Qu'est-elle ? celle d'une fée clochette ? d'une 

allumette ? fée aux allumettes ? On voit la clarté on dxirait mais est-ce ? et si c'est , qu'est-ce ? une caisse ? une sorte de pet ? fumerolle fumatière fumée ! On est bêtes des prész allouéesz à une sorte de parade gigantesque, parade sur pré gigantesque elle-même allouée à une szorte de donnée des rages aniùalières, elle-mmeême allouée à une sorte (on dirait) d'aubade ! on entre ! entrons (ensemble) ! toucheons ! touchons à cette face offerte, ce visage de la foi, nez, barbe et menton, front des bords, casque aux abords, yeux mieux  , langue lourde , poils ! ON cherche ! à qui ça pourrait ressembler (la mort). On est proche qui sait (?) de cfomptendre et de trouver, mais encore non, on est sur un chemin de vie, on profgreese de folie mais, ça file à une vitesse !!!!!!!!!! va comprendre = cerner = te poser ! c'est pas ghagné ! on est entrées en se tenant la main (deux mains) , à présent on aimerait aller plus loin , dans les connéissanxces (concer nant la mùort) mais aussi en cette roche des parois profondes, roche de rotonde ! mur d'enceinte sous le vent des ombres /

murs d'enceinte sous le vent ! On monte ! on grimpe vif ! On est accoléesz prêtes à traverser l'utlime "donnée" allouée à un muret (dit "de cimetière" ou " du cimetière qu'est la vie" ou du "cimetière de la vie" ou xd"u cimetière-vie"). On monte ! on grimpe ! on fonce car on a des ailes ! on est mort homme , on renait (dans la mort) ailée cs'est un fait ! charge d'homme ! femmes des prés 

= vaches sacrées = chants de roche = vivacités = optimum des donnéesz allouées à une Vérité gravée  ! On enttre ! on commande ! on est bêtes des prés ! On mate ! On = homme = femmes = bêtes allouées à une roche docte (ou dite "docte" car en vrai pleines de données) . On est comme nées ensemble par la bande animalière d'une sorte de parole "sale" ! va comptendre ! qui sait ? qui comprend l'ense'mble des données de fait ? des données cde rage dite "pariétale" à jamais ! qui ? "L'plombier" ? lxa bête gravée ? l'antilope zébrée ? la lionne des cavernes et des bois et forêts ? le (la) bouquetin (tine) ?La buflette rameutée ? la bisonne chargée ? la bête de somme (NOUS° sur pied ? On est ce trait de rage dessiné ! mains surnuméraires souffl"ées, bêtes raides ou nacrées, cernées ou effleurées, tracées au fusain ou gravaées de près ! lévitons ensemble ! allons ! faisons fi des contingences ! lévitons ! Soyons doctes ! savantes ! savantes fées ! braves fées des prés, dessinant à main levée la Chance ! le sommet ! la chance au sommet ! On est femmes nées d'une sorte de parade sur paroi naissante, on est allées, on a touché, on veut aller plus loin comprendre davantage, de ce qui est dans ce qui sexprése"nte. On est Fées des entrées de face ! charge frontale ! de la corne et des na&seaux on entre, fatales ! Bêtes des 

prés ! Bêtes-mots de Rage ! on passe ensemble de l'autre côté mais va comprendre ce qui est, en ces lieux dee contrebande, soit de bande et  contrebande ! on est nées homme au singulier (singularité) ion meurt fmmes (données) au plriel ( sommités des sommités = Fame agréée). On meurt homme, on re-nait femmes (en tant que femmes) dans la ùmort. fe"mmes = fame = sommes.. Amês -sommes ! Somme des sommes. NOUS ! SOmmes = NOUS ! car NOUS = sOMMES ! des sommes (bêtes de somme). On est femmes des prés  ayant traverséees comme à la parade la paroi ! parole-paroi ! choix des rois -reines, chose des données concrètes, fruits, offrandes, près du puits, choses déposées sur une branche, données dites "données". Quand on éime en vrai c''st mieux de s'en

 aller ensemble vers  Déité (fonfd

 du pré). On veut aimer ! sur une roche szur un templiezr ! sur une chose donnée des donnée, fruits de la passion, colère de front, mots des cherche-m erde ! On aime ! on aime grave ! On veut toucher la roche lointaine à jamaéis soit ne p âs trépasser; mais pour cela on doit s'aimer ! s'aimer nues par terre, se lécher le cul, les glaires, les parties charnues, les données imber bes, les joues et les orteilles. On est nues de cul ! "szous le verbe

 ", "sous l'emprise du verbe ", "sous l'emprise notoire , commune, allouée, du Verbe". Soit : fortement conditionnées c'est un  fait ! femmes comme agrégées, comme accolées. On est femmes accolées dans un pré, par terre, nues velues, on s'aime, c'est le pied ! on aime sw'aimer = se toucher = se renifler = se lécher = se mettre / On aime SEX ! Sex ancré ! sex et autres animéalités de conserve, sex acté, sexe vendémi&aire ! charge allouée à du sexe de pré ! vivacités 

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Qui on est ? on est bhêtes des prés, souveraines reines, femmes au débotté, nues et velues, voire méga-poilues même du cul, ou moins du cul mais quand même en vrai pas mal poilues, ailmleurs imberbe, bêtes vues, bêtes-mots de rage, bêtes-mots disant la rage d'être connues, vue-connues, bêtrs vues et connues de cet te sorte d'hurluberlu des données finales ou terminales . 

Qyui l'eût cr(u ! L'ombre sur la place ! Ou sinon ... le rût ? 

la charge-

dard ? Qui ici sait en vrai ce qui est ? On est montées ensemble ici le long de la paroi à la recher che d'une vérité qui fut de bon aloi, de belle densité, de bon rapport, de belle tenue si jama&is. On aimerait compre"ndre ensemble si possible un maximum de choses, de données, des données comme s'il en pleuvait on voudrait ! On est nées vel ues et poilues, pa&rce que oui ... chevalines on est ! ou bien .... bouquetines ! ou même léonines ! On est entrées en roche ense'mble à la une à la deux au pas

 de charge, et une fois entrées, on a cherché ensemble à pour le coup nous rapp^rocher d'une sorte d'anfractuoisité de la paroi finale

 dans icelle roche des données finales, mur d'enceinte tout du long où qu'on reg arde ! piston ! ça commande ! on voit très bien le rond, la rondeur de base, muraille-muret, féisant cour (courette) d'intériuer pour a&insi diire (une szorte de jardinet). On aime ! on aime grave aimer ! on aime aller à se porter, à s'allonger, à se coucher , près d'une fée on dirait (on dirait une fée ). On se couche près de la fée. On aime les fées. On est mort et dsu coup on s'est rappr(ochées d'une sorte de fée allongée. On est vaches à laéit dans la mort ! qu'on se le dise ! on est comme en vrai des vaches à lait aéilées ! on vole ! on s'élève ! on monte ! on grimpe ! on est nées actées sur herbe allouée à un pré, nous voici devenues toutes légères, celetses , celtes / célestes.En vrai célestes !

 on volette ! On est nées sur l'herbe, on se lève, on s'élève ailées (vaches-fées) , et voilà : on grimpe les diverses allées, les di vers niveaéuxs, les hauteurs nacrées, les traéits ! On est vaches reines souverazines qui aiment grimper pour aller tracer ! on aime ! on aime aller ! ion veut tracer ici ou là des bêtes des prés afin d'amadouer (on le sa&it) qui de droit qui se reconna&itra on jurerait ! On est fées et vivacités ! vivacités et fées ! fées des vivacités ! Gentes viles fades fe'mmes ? des sorcières-fées à jamais ? du balai les commentaires ! on est M ! M comme Mort ! on est fe'mmes allouées à une mort dite "de cimetière" mais en vrai c'est .................................................................................................................................................................... eh bé ...............

 faux ! fausse donnée ! contre-vérité allouée à des traits gravés ! On est fées des données sages ! on est accolées à une rage dite "des rages". Pas sale forcémént, ni maussade obligatoirement ! On est fées des prés, ailées (vaches saoules) , on monte et on descent ! on volette ! on va et on vient ! on est en haut , on est en bas !  le troupeau, l'herbe, les fleurettes, puis, plus haut , le ciel, le bleuté, les nuagess cuivrées. On est bêtes aimées, on volette. On aéime voleter. On adore l'herbe des prés, mais aussi les nuées, le ciel bleu, les rayons dorés, l'ensoleillement lunaire, les contrées célestes. On est nées sur roche a&llouée à une sorte de cimetière des données frontales (animalités) et on avance ! on en 

avance ! on creuse grave ! on veut toucher à cette déité frontale auxd données cruciales ! on est n,ées fades (homme) ion meurt moins fades (femmes) : est-ce vrai ? car, si fée = fade , alors fée = folle ? On colle ! on est collées ! collées à la roche des données données il semblezrait ! On veut toucxher = on veut aller !, faéire-dire, ne pas sombrer mais comme travezrser lultime roche dite "des données profondes". Rotonde. Rotondité. Mur d'enceinte. VIvacité. On est comme nées (appelées) à re-naître dans un pré, au-delà ma foi, cerner, toucher, passer. qu'est-ce qi'il y a de l'autre c^té ? une voie d' accès vers une déité doonné. une sorte de âssage à tout jamais vers une déité. Cette déité est nacrée et sacrée. Elle porte le nom non deson père mais de sa mère, dure mère. Elle porte le nom d'une sorte de .. dure)mère, cervelet, pie-mère et autres corps calleux dénichés ! Qui c'est ? "c'est l'plombier" ? pas en vrai ! plut^ot le passé ! Le Passé des offre allouées ! ässé docte = souveraineté des données tracées (aurochs et bisons, buffles et buflettes, chevales amaozzones, crins des crêtes, ourses et lionnes, gens des fronts, b^$etes sales). On croit mourir de front, on se retrouve charges d'âme ! On est homme à l'unisson d'un temps de façade, on meurt femmes fractales, déployées, déplissées, désarmées, calmées, sondées, dédouvblées , dépliées. On est pour ainsi dire devenues, ren mourant, femmes , ouplutôt "des femmes", soit deux femmes, à la une à la deux, qui (en vrai) se tienne,nt par la main , ou se donnent la méin, ne se lâchent plus (pas) et 

avancent ! on est femmes de parois de choix ! on est entrées ens"mble comme p ar la bande . On voulait re-naître , c'est fait ! on voulait "se retrouver" ! c'set fait ! on voul&it  revenir comme, en arrière, au temps donné d'avant (la n&issa,nce sur terre) on va dire que c'est fait. On voulait revenir een a&rrière = au temps bébé ? bé peut-êtte ! La mort serait ce temps (dès lors) du bébé retrouvé ? la mort en vrai seraéit ce temps du bébé sacré ? La mùort seraéit en vrai ce temps sacré du bébé acté ? La mort on dirait serait le temps d'avant , d'avant notre nniassance ? On est comme allouéesz à une sorte de donnée rupestre, de type : anfractuoisité par laquelle on peut passer ou on pourrait

 p asser ense'mbke, à toi  à moi, hop ! on entre ! on est entrées ! on  est da,ns  (sur) le pré ! on est au milieu des b$etes, on broute avec elles ! on veut grave en vrai leur ressembler  si 

ta,nt est. on est bêtes des prés comme elles ! on mange l'herbe = le verbe (qui sait ?) . On est bêtes des prés, cernées, cerclées, entourées, encerclées par, autour de nous, une sorte de muret ou de murette, de cimetière (rotondité = enceinte) qui nous pléaiît sévère,nous fait grave de l'effet, semble nous appeler, nous entraîne à nous en rapprochezr pour esszayer, qui sait , un de ces quatre , de le traverser (le muret) ou bien la traverser

 (la murette) à jamais (genre : j'y suis j'y vais !) et du coup : cerner = comprendre = allouer à un ciel donné une romance d'éternité,  hé hé ! on dirait !

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11/2/2022

La pierre d’offrande, devant soi, est véhicule de données diverses : on va voir lesquelles. Il s’agit en vérité d’une pierre d’apport et aussi d’une pierre de support. Nous posons (déposons) nos choses diverses (on va voir lesquelles) sur elle et, ce faisant, nous posons ou déposons un peu de nous, soit ... un peu de cela que nous sommes en  nous. nous avons pour nous , à travers elle, un lieu particulier, délimité (on va voir comment) pour du dépôt de soi, pour (soi) déposer de son être, pour dépot de soi en tant qu(‘être, nous verrons en quoi. 

Je regarde la pierre d’offrande et je sais que celle-ci , à son tours

, me regarde. Qui est elle et que veut-elle ou que nous veut-elle ? voilà aussi une chose ici (déjà) qui reste à comprendre et à explorer. La «pierre d’offrande» est devant soi cette chose comme appartenant au Temps qui se déplie au fur et à mesure de notre avancvée dans une vie de bure comme est celle -ci que nous avons à vivre ensemble au sein d’une communauté. Nous sommes ensemble, à avoir à vivre une vie dite «de bure» et cette vie estcelle ci, qu’en partie ( = le temps, le temps brûlé) nous déposons sur pareille pierre devant soi. Une pierre est une table en quelque sorte./ Elle a donc un pied comme toute table. Il s’agit de voir ici cette table comme une sorte de réceptacle et aussi comme un «véhicule de l’âme». il s’agit pour nous ici de comprendre cette chose à voir, d’une sorte de pierre (taillée) pour un transport et ce transport concerne cela-même que nous déposons au fil du temps, à savoir le temps (déjà consumé) de sa propre vie à soi, chacun et chacune la sienne. 

Et c’est ainsi que ... pareille pierre absout, prend, concède, cherche en vous, etc, à même sa matière froide ... ou chaude si à tout hasard la voilà réchauffée par nos petits soins. Car nous sommes ensemble qui brûlons sur pierre (pour ainsi dire) nos passés de Temps, de Temps impartis sur pierre d’offrande, à la une et à la deux, au fil des avancées de nottre vie. Nous avons cette chose à faire ensemble et cette chose ici est une chose rude, dure à développer, pas évidente, et cependant ... qui reste à faire (incessamment) à nos yeux. Nous devons comprendre les donnéez  les plus natives des chose du monde. Nous avons à comprendre ensemble un certain nombre de choses natives et, parmi elles, ces données concernant telle ou telle pierre d’offrande, de recueil, et de support. Nous cherchons dès lors dans un Soi, qyui est comme surdéposé sur pareille pierre, et c’eest ainsi que nous nous arrivons à faire naitre ou mettre à jour des choses diverses contenues en nous, que nous sortons de nous illico presto et déposons sur pierre du devant. cette pierre du devant est la pierre du levant. Nous la regardons devant nous régner et troner. il s’agit ici d’une pierre déposé sur sol, à même la terre battue, sur sol de terre dure, contenante. Nous avons cette chose à comprendre (ensemble) d’une sorte de soubassement à du passé mort , calciné, brûlé, passé à déposer comme s’il s’agissait en vrai de vraie vie de soi, cardiaquement, physiquement, concrètement avérée o

r bien sûr que non. Le passé n’est pas la vie vive. Le passé est de la vie morte en vérité. Nous essayons dès lors de comprendre ce passé. nous voulons essayer de comprendre ensemble ce passé ce qu’il est et, de ce passé, ce qu’il en ressort en termes d’offrande à poser (déposer) sur table ou pierre de table. Le passé que nous avons vécu (encore tout dernièrement) est du passé à présent brûlé, il a subi la chose. Le passé de temps passé, ce passé mort, cette chose appelée passé qyui est du temps mort, du temps de derrière = de derrière soi, tout ce temps est cela même (sous quelle forme ? on va le voir) que nous sommes , e,n tant que vivants, à devoir (?) déposer sur pierre. Ou à avoir à déposer sur pierre. Nous sommes des êtres vivants parlants , qui avons cette chose à faire d’un dépot de choses passées, de choses mortes, mortes mais on le voit qui ressemblent fortement à de la vie en vrai, soit sortant du coeur, ou élaborée par un coeur en vrai. Nous abvons ce passé en nous (mais où ? voilà la question !) et ce passé en nous doit être exploré d’une manière telle que nous serions ou serons en mesure de le déposer un jour comme un paquet, comme une outre, comme une bête sur une pierre. Cette chose est à hautement considérer. La pierre d’offrande reçoit, et recevant elle absout. Il peut s’agir d’un paquet de linge, d’une outre gonflée, d’une chrême ou auttre huile ou graisse, d’une bete sanguinolente. tout cela a fort à voir avec nottre passé et c’est cela que nous vou;lons comprendre ensemble, c’est une évidence. Comment ? en étant vivant, on va le voir. Nous avons à une chose ici dire à vif, cette chose est chose qui a une importance considérable au sein de notre débat et c’est la rzaison pour laquelle nous nous asseyons et nous notons toutes ce s choses, cvoncernant la vie de la vie, la vie de la mort, la mort de la mort, la mort de la vie, etc. La mort de la mort a son importance. La vie de la vie a son importance. La vie de la mort a son importance, et donc la mort de la vie aussi qui est ce quatrième (dès lors) volet abattu, abattu contre un mur ... qui est le mur d’un savoir profond,, qui est ce mur des dires profonds, des vérités hautes et autres données de base. La mort de la mort est d’une importance capitale, sur cette quyestion d’une offrande, et nous allons ici essayer d’y comprendre au mieux, de comprendre au plus juste ce qu’il en est et de quoi nous parlons, quand nous parlons d’un passé brûlé, d’une offrande de soi vif, déposée, etc. La chose ici est celle-ci : comme quoi le passé, le nôtre, est une Chose. Déjà cela. Cette Chose est une chose vive, de par son aspect (c’est une certitude) mais non pas vivante, et voilà cela qui est ou cela qui reste à explorer pour nous. Voilà pour nous cela ici qui reste à explorer et à mieux cerner ensemble. Le passé n’est pas du vivant, le passé est chose morte mais qui loge en soi comme une bête en soiqui, trépignant et renâclant,;, «demande» (via les mots, c’est à dire l’udsage des mots) à sortir. Comprenez à filer. Car la bête est morte en soi ou comment ? car cette bête qui est contenue en chacun et chacune de nous est une bête qu’il est important pour nous de considérer à sa juste mesure, car elle renâcle , elle trépigne fortemebnt, elle veuut de l’air frais, elle veut sortir de nous fissa, etc, autrement dit «elle veut voir du pays». Or, voilà la chose : la bete en nous est vie vive, vie vive du vivant, et sorti de nous (on va voir comment) elle n’est plus vie vive mais vie morte (oh encore chaude de sa vie passée , passée soul;igné) mais enfin voilà : elle ne vit plus de la même manière (manière , souligné aussi). Comprenons : la bete est morte qui sort. Comprenons bien cette chose d’une bête morte à la sortie de notre bouche à verbe. La bete se voit déposée (du Verbe) sur la pierre , elle est posée par nos propres soins d’êtres en vie, d’êtres déambulant dans une vie vive. ou déambulant avec en soi une vie encore brûlante, flamme vive, car la flamme est vive jusqu’à notre mort. nous devons comprendre, ensemble, des choses rudes. Nous devons ensemble comprendre des choses rudes. Nous devons ensemble comprendre un grand nombre de choses rudes et ces choses rudes sont à déposer sur pierre aux offrandes, et autres tables construites, élaborées à cet effet. La pierre est un devant de soi monacal ... et / ou pariétal. Il s’agit d’une zone de (franc) dépôt de soi, où aller à déposer un certaoins nombres de choses de notre vivant . C’est à dire : du temps de notre vivant, mais pas seuleme,nt.

 du temps de notre vivant, on le voit, mais aussi de notre propre vivant à nous,;, déposer de nous, depuis nous, à partir de nous, etc, ces choses qui sont contenues en nous, ou qui étaient contenues en nous. Nous devons comprendre cette chose ici, d’un dépot continu de soi sur pierre d’offrande . Nous offrons de nous un passé passé. Le passé passé est cette chose que nous sommes ensemble à devoir, si l’on peut dire, déposer sur table. La table d’offrande est un objet de confection dure, avec piétement changeant selon les lieux , les époques, les lmatériaux, les techniques etc. La table aux offrandes est une table qui contient, en même temps qu’elle soupèse c’est à dire en même 

temps qu’elle jauge et juge, qu’elle mesure et accrédite ou pas. une table ou pierre aux offrandes eswt cette table devant soi qui s’offre à nous en tant qu’ouverture-échancrure de bon aloi. nous déposons cela que nous avons à déposer, et déposant nous comprenons qu’il s’agit d’u ne chose de poids en la matière = du passé. Le passé est ce qui en nous a surnagé un temps, s’effiloche tout du long, fait mine, passe pour, fait la roue et contient la mort (un temps qui est le Temps) à bonne distance de nous. Nous devons ensemble comprendre une chose, cette chose est chose rude, il s’agit de choses liées à la mort d’une chose liée (de fait) à cette mort dont nous parlons. La mort est une chose rude, la mort est une chose brute, la mort est une chose à déplorer. Et comment agir afin de la contourner ? Comment agir afin de trouver à bien la contourner ensemble ? la question est méritoire et appelle un certains nombres sinon de réponses factuelles et crues, du moins d’éclaircissements concentrés et concertés. Notre envie ici d’éclaircir domine et doit êttre reconnue pour ce qu’elle est, à savoir une volonté grandissante au fil du temps, soit la volonté des Volontés. Nous devons co:mprendre ensemble des données (de base) importantes ici, pour une réflexion à mener de front sur ces questions de vie et de mort, et notamment de vie vive et de mort assoupie. Nous comprenons que le passé , ici déposé sur table aux offrandes, a un poids certain ... mais fait il le poids ? that is the question. Le passé fait il le poids devant la mort ? le passé passé fait il son peztit effet ? peut-êtyre que oui en vérité , peutêtre ! mais peut-être pas ! car le passé est calciné, il s’agit de bois brûlé, de bâton de bois brûlé, il s’agit de ce peu qui est brûlé qui vient de soi-même, soit des profondeurs de sa vie. Car, la profondeur est, ici, dans le passé. La profondeur n’est pas en soi comme un clignement de paupière ou l’’ouverture d’un sphincxter. La vie est cette chose ici contenant du soi dans le temps. La chose à comprendre est ici logée. le passé est cela même que nous déposons, au cours de nos vies, sur table d’offrandres, pour rester en vie bel et bien. la mort absorbe le passé. Le passé est absorbé au fur et à mesure par la mlort. Le passé de soi se l;oge direct dans la mort des temps

. le Temps est l’absorbeur des choses de soi passées, qui sont dès lors comme déposées au fur et à mesure sur telle ou telle pierre ou table aux offrandes. Car, ce que nous donnons de nous porte un  nom. Ce nom est un nom donné. Ce nom est le nom dionné par la bande temporelle, à quelque chose qui vivait en nous, avant, soit avant déposition sur table aux offrandesq. nous devons comprendre cette chose d’une sorte de donnée brutale et brute d’une foi en nouys déposée comme un présent de temps = le présent des temps. Ce présent meurt à foison ou comment exprimer cette chose d’un temps qui (ici sur table) brûle sa pépite (sa palpitation ?).? Comment donc déployer sur table cette chose d’un passé de soi ... vif , mais en vrai mort et devenu la mort pour la mort ? nous avons une chose à comprendre ici ! concentrons nos énergies. Nous devons ici comprendre et creuser. Nous devons comprendre ici et creuser, dans les profondeurs du Temps, cette chose d’un passé de soi 

déposé sur roche = sur table = à p;lat = sur p;lan dur = sur la terre dite terre-mère. nous  devons co:mprendre ici ensemble cette chose pour le coup  si grave, ou si prégnante, ou si importante, etc, d’une vol:onté, en nous (cette foi dont on parlait), qui cherche en continu à de fait alimenter la flamme devant nous d’une bête à brûler, d’un mot à vite déposer vif, d’un langage des parois (voir l’art des paroi) etc. Nous avons à comprendre ensemble cette chose d’une sorte de langage «fol» de la roche du temps. La roche du temps est ce bloc-temps qui nous constitue, en tant qu’être vivant sur terre, debout, parlant, donnant de ses mains victuailles et autress p^résents devant soi = dans le temps vécu de son monde et de sa vie d’homme ou de femmes des prés. Nous devons aller dans la profonduer peut être oui de la psyché mais en vérité bien au delà = dansd le temps de soi déployé. Cette chose est à comprendre ici comme une chose considéralble ou considérablerment importante à devoir cerner cde concertt (§l’usage du monde devenant l’usage de kla parole) et ce faisant, comprenant, nous trouvons la cklé. Nous devons comprtendre loin ces choses de choix. Nous devons ensemble loin comprendre en vrai, ces choses d’une foi en soi qui est celle là concernant le Temps, soit le Temps existant comme une sorte d'entité ou de déité centrale et permanente ; nous croyons en bveaucoup de choses permanemment et c’est ainsi que nous restons en vie et ne mourons pas : parce que nous croyons, parce que nous portons en nous des choses rudes, choses rudes et choses

 rugueuses , que nous déposons sur

 pierre, devant soi. Nous sommes des êtres «fous» ou «fols» , qui posons. Notre raison suit ici sa pente qui est pente contenue. La raison est une gouttière, et pareille gouttière nous permet de conserver pour nous (dans la vie) un xemblant de joie avérée. La peine s’uni à la vie pour nous troubler mais le passé fait feu de tous bois. Nous essayons ainsi ensemble de comprendre et de situer pareille pierre ou pareille table, devant soi, dans le temps. on dit cette chose, comme quoi kla table est mise, la table est dressée. nous voulons déposer sur elle ensemble tout notre barda comprenant des choses de poids. Cette chose ici est une chose qui porte un nom, cette chose ici est chose qui porte un nom en particulier, et ce nom est nom de base, nom donné par la bande, fort de café ou non, nom de rage ou pas, alcool ou non-alcool, etc, il s’agit tout de même d’un nom à bien considérer

comme étant celui là qui (ici ?) va l’emporter dans une sorte de combat avec le temps. La chose est à considérer longuement et à ne pas lâcher tro tot ou de sitot, question comprenance, comprenure, préhension primaire. Nous devons creuser kle temps dans kle temps d’un déroulé formel. notre devoir, vivant, ou étant vivant, est de creuser le Temps à vivre ... dans un déroulé formel, de type linéarité concentrique, tracé de vie, tracé vif d’un dire de choix (ou de pôids) etc. «Je pense donc je suis « est une gageure on le sait. le Temps est le Temps d’un déoploiement sur place. je regarde devant moi et mon regard seposesur la table, car, la table est devant soi l’espace-temps d’une vie imparti.Il s’agit ici de «piger» pareille donnée à même la pierre rude. La pierre est une encklave, un sas de vie à vivre (rudesse) et s’ouvre ... pour nous contenir. nous sommes pris et prises dans la matière toute charnelle (pierreuse tout aussi bien) du TEmps. nous sommes pris et prises ensemble (à tous et toutes et nous tenant 

la main) dsans cette matière d’un Temps 

déployé sur table. Nous sommes pris et prises soit prisonniers prisonnières de la matière. La matière est sans borne : à toi à moi, qyui nous re-garde, depuis l’intérieur d’elle-même, et nous absorbe. Je suis cette main qui pose. Je suis cette main qui absout. je regarde devant moi et que vois je, que vois je devant moi qui brame ? la bpête de joie (= la Bête) qui brame que tu brameras sur pierre d’offrande = pierr de taille = pierre aux dons divers de choses mortes ou mourantes comme le passé. Car, xde nous meurt en conti nu des choses de choix et de poids et de joie et de foi. Il s’agit ici de voir au mieux ce qui est en pareille bête ... qui swemble nous xsauver un temps d’un trépas brutal et surtout non-salutaire. nOus déposons pareille bête, nous posons pareille bête, nous posons le sang de la bête en déposant la bête, nous sommes attentifs et attentives. Nouys ne voulons pas g^cher le temps d’une vie à vivre tout du long. Notre vie à vivre tout du long est une vie vive, de rage et de tourments divers à devoir encaisser, ici ou là, et d’une manière ou d’une auttre, tous et toutes autant que nous sommes. La vie en soi ne sort pas de soi. Le passé tient au temps par la matière. Il ya ce lien entre d'un côté le temps présent des 

tourments et autres peines de toute sorte, et de l'autre cette chose en dur de la matière corporelle (charnelle) de tout du tout de terre-mère. le lien (terre-temps) est à entrevoir par le verbe, en tant qu’il serait à la base de la mort rageuse, soit de son étant de vie à vivre à nos côtés et vioolemment. La mort cherche faille en nous, ouverture au cadratin, ouverture mineure du iota, chose de la brèche, petite entrée de vie à voir venir, etc. Nous voulons aller ensemble à tous et toutes (l’humanité) dans la roche dure de la xchose, ici temporelle, sous nos yeux. nous sommes qui voulons comprendre un Tout, en ses parties fines. notre but est clair, il est stipulé, il porte un nom, il est mourant mais il tient le coup (le choc) et ne s’en laisse pas conter outre mesure. Choc des parois les unes contre les autres ou sinon de quel choc s’agit-il ? Nous devons creuser la question du temps de la roche (terre-mère) et ce faisant comprendre les données de base. le temps est attenant à la matière. Le temps est une donnée fixe quoique fluide. la mort est prise entre deux feux et se laisse envahir par les données, verbales, de base : voir ici l’aurochs (ou le bouquetin) dessiné par l’homme ou par la femme des cavernes. je suis aussi un homme des cavernes , qui, bon an mal an, y va de son petit schéma venu de derrière, de son mot de rage tout autant. je suis l’homme qui, un temps, brûle sa cha ndelle et tente une approche sensée des choses du monde. Vais-)je mieux comprendre avec des mots de bêtes , avec ces mots-bêtes de parade ? y a )-til une façon plus fine qu’une autre pour comprendre les données du monde ? vais je trouver ? vais je comprendre ? vais je pouvoir arriver à comprendre et à trouver ? vais je pouvoir associer mon nom aux noms de ceuux-là ou de celles-là qui ont eux ou elles compris des choses et sont dès lors du bon côté, ou plutôt ... aux noms de ceux-là ou de celles-là qui sont passées fissa (ou pas) de l’auttre côté, du côté de ceux et de celles qui «comprennent», car y a til une chose («en soi» ?) à comprendre ici ? nous voulons passer du co^té de la compréhension des choses, de l’intelligence de vue, de la clarté sur ombre, etc. nous voulons cerner le bien (le bien dire ici, correspondant à du dire de choix) pour nous loger (enfin) du bon côté du monde soit ici même, du côté de ceux et de celles qui comptent aux yeux de certains / certaines autres qui eux et elles savent déceler en x ou en y la flamme de la foi en l’ombre. je vois cette chose ici, je vois ce Temps pour ainsi dire «lié par la patte» à la matière ici des choses jonchant terre-mère et de terre-mère elle-même. La table aux offrandes est ce devant (permanent) dee soi dans le monde, il s’agit du pl;ancher des vaches. j’essaie de comprendre x et y données terrestres ici et pour ce faire je tente une sorte d’abordage, 1, da ns la matière des choses du monde (ce foyer de base), 2 , dans le Verbe dit «déployé» qui est le Verbe de la foi «intinsèque» (en la vie et en la mort on l’a compris). je veux cerner loin les données humaines du temps. Voilà donc (en résumé ?) ce que nous faisons «en vivant» ou «en étant vivant» sur la terre : nous so:mme, nous sommes qui déposons. Nous sommes des hommes et des femmes qui ensemble déposons des choses sur le sol de terre-mère = des cendres = du passé = des choses swemblant la vraie vie dans sa flamme vive mais rien du tout ! il s’agit de soi mort = le passé de soi, il s’agit d’un soi passé qui est ce soi , de fait, déployé dans le temps ... attaché à la matière = une sorte de boue (boue de soi) permanente : calculs, boue, matièrerupestre, onguent, chreme christique, chrème de vie, christianité. Nous devons nous rapprocher de la matière de la foi. Nous devons nous isoler en cette matière (d’une foi dans la matière) et comprendre kles données de base humaines, données douces ou dures, qui sont celles qui, en vrai, nbous représentent à tout moment et nous maintiennent, en tant qu’homme ou femme debout, dép;loyé dans le temps ... et marchant sur roche (sol) à m^$eme le temps. nous sommes devant une roche. cette roche est la matière même (en dur) du Temps. Ce temps est une filature. nous devons comprendre cette filature à la lumière de telle ou telle autre recherche à mener de concert dans kle temps : oeuvre de chair, oeuvre de Verbe, oeuvre (dure ou douce) de charité, oeuvre de parade. nous sommes à devoir comprendre ... et que faire d’auttre dès lors que cette chose ? Nous sommes ensemblke, nous cherchons les données de base, nous cherchons à comprendre des données de base royales, nous voulons cerner les données de base ensemble au mieux et voir devant nous les offrandes et autres présents dans leur finesse la plus grande, etc. nous voulons comprendre les données des 

chosesq = ces offrandes déposées qui semblen,t devoir toutes nous en apprendre, et nous donner foi en quelque chose en nous qui pour le coup ressortirait ici d’un domaine en particulier ... comme celui -là , qui régit aux lois de la foi dans le Verbe, dans les mots sortant de bouche ou mots-bêtes de la Vérité chapeautant le monde. nous voulons comprendre un ensemble de données de base. ces données concernent une table. La table est le monde tel qu’il nous apparait «de conserve» ou «de concert». 

Nous devons cerner à  vif le monde. Nous devons le monde le  cerner en ces retrancjhements langagiers de base. Voyons de quoi ici le monde langagier est il constitué ? Qui nous donne le droit ici de parler une langue ... déposée en nous comme une offrande, ou le présent du Temps global : qui est là pour cette chose ? nous devons comprendre un bon nombre de données , de base rupestre (on le voit), et poser-déposer sur roche nos bêtes de poids liées à un passé de soi qui est passé vif. le passé de soi est lié à la matière (charnelle) des choses du monde. il s’agit d’une chair de roche. La paroi du monde est le monde dans son intégralité. Le Verbe est une accoutumance de façade, un don de s rois de la bande, une sorte d’accomplissemennt du soi etc, à même la matière du temps. La beauté est une chose dure comme la pierre, car ici la pierre est logée dans le temps d’une fiction rocambolesque. Je cherche à m’immiscer dans une sorte de savoir des temps à même la matière me constituant. La matière ici est une chose rude, et dure à la fois, etc. nous donnons de nous un passé vif mais non vivant. le passé vif porte un auttre nom = :mémoire. nous sommes qui devons comprendre  ce passé de nous enfin libéré par un don de soi en nature (on verra lequel) et ce passé est passé de soi maintenu, passé maintenu d’un soi glissant dans le temps de sa dispparition (en propre) matérielle, lieu de la mémoire et des restes attribués. nous voulons comprtendre ce passé lieu de mémoire, nous voulons le déposer sur roche (= terre-mère) et du coup se sauver par la même et par la ban,de pour ainsi dire. 

Nous devons comprendre cette chose d’une sorte de dépot de choix = de roi = de foi = de poids sur pareille terre de son etre à vi

 vre ici. Nous devons comprendre ici cette chose, d’une sorte d’«être de choix», à poser sur roche (table) dans le temps.  car, le temps est d’une importance capitale sur la questionb. l’etre est né du temps tout entier déployé parla bande (langagière) des tourments à vivre = pla intes, pleurs, cris, etc. cces mots (mots de bêtes) sont ici à poser (déposer) fissa sur pareiille terre des pârois, des zones alentour, des sortes de niches (ou enclaves) de vies terrestres. notre vie à nous = une vie de rage langagière. Pourquoi ? parce que voilà : nous sommes des êztres de voix, de paroles proférées, de Verbe déposé, de cris de rage animaliers à même la terre. Qui nous croit ? nous allons ensemble à déposer sur table nos tourments divers, nos vivres et nos victuailles langagières et liées au temps par la matière, d’où le choix du roi, la belle princesse des temps impartyis, le valet cavalier, le cavalier valet de la roche, etc. je regarde devant moi la roche du temps et tente une pezrcée dans un langage déployé à même le temps. la chose ici est celle-ci qui reste à cerner, comme quoi la mort est mourante. kla mort peut mourir. la mort est chose qui peut être atteinte et touchée. comment ? par ... le verbe déployé à même le temps. Nous devons comprendre ici,

 les données rudimentaires, les données riches, les données de bnase. Nous devons cerner ensemble ici, le plus possible de données de baxse concernant la vie, ici sur roche à dépenser, à brûler, à calcciner, à ca rboniser, à  pisser de rage. nous devons comprendre ensemble des données de base rudes, rudes et rugueuses, et kles regarder comme des termes (termes de choix) pouvant ouvrir des portes ou bien les «portes de la connaissance» des choses du monde. Nous sommes postés sur un devant qui en vrai est ce devant d’un verbe alloué à une vie riche. le temps dépensé est du temps déplo yé ... comme un linge , comme un linge ou linceul sur un corps allongé et nu , à même la terre, linceul ou drap blanc -sur un corps v erbal prioritaire. je cherche devant moi où se trouve ou trouverait la clé des entrées rupestres : où est-elle ? que devient-elle ? QSu’est-elle en termes de vérité ? Je cherche ici cette chose d’une foi dans l’homme- ou femme-trépas. qu’est-il ? qsuel est son nom véridique et reconnu ? Nous avons devant nous cette chose, d’une table posée ou aménagée ici, devant soi, posée devant soi aménagée afin de pouvoir de fait recevoir des vivres = vies de pacotille, vies fausses

, faux-semblants de vie rageuse ou rien du tout rageuese, etc. Nous voulons comptrendre les données rageuses et les cerner au mieux, comprendre ce à quoi elles se rapportent, ce à quoi elles sont kliées en vrai. Une table est devant nous qui absorbe, prend pour elle, etc, les données de base langagière sortant de nous. 

Les mots sortent (de nous) par la bande. Les mots sont chance et cghute, sont onguents de type christique, déployé, placé, glissé, etc, sur outre de parade, sur paroi, sur face de peine et tourments, sur visage de saintezté. Je regarde devant moi cette plzace à être, qu’est-elle ? Les mots viennent  qui s’agglutinnent et x’amoncellent et chargent que tu chargcheras le char de ta rage à dire l’être. je veux comprendre au mieux les données royzales du temps à cerner ou à devoir cerner kles choses du monde. un mot est du Verbe et l’animal contenu en soi. L’animal contenu en soi est du mot-bete-de-rage une fois déplacé et sorti de nous (trou-bouche) par la bande. cette bete est le pzassé carbonisé, encore tout chaud de sa vive et haute combustion en nous.la bete en nous est Verbe dehors?. nous devons cerner la cghose et nous laisser porter (griser) par la bande animalière des tourments et autres mmé&faits rterrestres. je vgois la roche, je vois devant moi la roche. je suis l’homme des pârois de choix, des dures données brutes de la matière. La matière en soi est du tourment car elle est meurtrière : la matière est meurtrière, et comment ! or, la matière est liée (par la bande  langagière) au temps ... d’une vie à vivre. la vie est cette chose d’un temps imparti lié à la mort par la bande (langagière) des tourments liés à la matière. Vie et mort d’un côté, temps et matière

 de l’autre, pour une chevauchée menée de concert, sur roche, à même la bande treaçante du temps.. le temps se dépl;oie devant soi (nous) qui suis ou sommes, etres(s) qui est (ou sont) homme(s) et femme(s) de la rage. homme-femme s’entend. De la rage à être sur terre l’etre de lma voix qui parle (haut) son tourment de bure, de façade, de présence en des lieux charnels distincts. je chevauche les temps de parade. je chevauche au fil des ans les temps divers d’une vie à vivre en  matièrre. Je veux être homme de la bande à ... celui-là, ou à celle-là qui nous donne une sorte de poids à être. La déesse des embruns.  nous voulons cerner ensemble les données rudimentaires et puissantes de la foi à être. Nous devons comprendre ces données à l’aune d’une tourmente )à même la matière. Nous devons comprendre un dieu de vie et d’eau à même la matière environnante. nous avons à comprendre cette chose , cette chose d’une tourmente, à même la matière animalière en  nous. cvar, nous sommes envahi de vies (diverses) de bêtes en nous, qui renâclent et qui trépignent,  à tout va, en v eux tu en voilà, de leur rage (voilà) à être (ici-bas),. voici la bête-présent à présent déposé sur pierre : elle saigne tout du long, c’est à dire tout du long son nom (à proononcer incidemment et dans le temps). la Bête est bête-mot de rage à ^-etre soi, ici bas, comme un ou une qui se doit d’aller devant et de l’avant permannement dans le sang d’une vie à être. Les données sont simples, les données sont déployées, les données sont déplissés. il est bon de comprendre ces données à la lumière pour le coup du jour des reines et rois, dames et princes, etc, d’un royaume 

 aux données de base. je lm’avance près de la roche ou pierre aux offrandes et, les bras chargés, j’implore le Temps brûlé, de bien vouloir m’aiderr à cdéposer (en du temps ou dans du temps ou dans le temps ou dans le Temps majuscule) les données qui sont les miennes. je regarde cette chose d’une

 table recouverte de denrées soit de données soit de dons divers liés aux victuailles, aux betes de chgoix, aux fruits défendus, aux mots de la tribu. mon nom est accroché , à pareille sorte de mets mélangés pour la bonne cause, celle qui nous vcoit chercher à s’échapper ou nous échapper des griffes de la moert à l’ euvre. le temps se déploie depuis la naissance. un homme ou une femme nzait, qui va de l’avant à l’intérieur du sas. je vois cet homme ou cette femme se lover (ou loger) dans un temps pierral de table aux offrandes salutaires un temps. la roche du temps comprend la parade. les mots de bouche sont... des animaux de rage lié au passé calciné, carbonisé,, carbo. Je suis homme-carbo de base, calciné par la bande, déplacé sur roche (donc d(ici à là) et je cherche à ici comprendreces données qui sont dons de soi par la bande = mots de la tribu évoquant la biche, la biche ou le chevreuil, le cerf ou le méga-cerf, etc. je vois roche-pierre aux offrandes saintes (sanctifiées) et je  m’avance ainsi  vers pareille fête, vers pareil fracas de bruits divers, onguents sur roche meuble, huiles saintes sur paroi, graisse d’animal sur roche. Je veux être homme squi saurait des choses, et femme qui saurait des choses, et betes qui saurait des choswes, et aussi l’enfant de l’homme et de la femme et de la Bête 

qui sauraient des choses. je suis homme des vivres et vi-ctuailles toutes déposées sur tabkle d’offrande. La terre entière est table d’offrande et se plie ou plie sous les données. nous avons à comprtendre choses et autres à la lumière des données de cchoix déposées de fait sur pierre d’apparat. les données sont dons (dons de verbe) riches, pleins, assurés sur leurs trépieds ou autre piétements central

 de maintenance , de maintien de pose. nous cernons les choses dépposées comme étant de cellkes qui (donc) nous (main)tiennent à la vie et repoussent vla mort. la mort est une cghose rude en cela qu’elle frappe sans compter. elle n’a pas pour elle de voix langagière et pourtant si : à travers la bête en nous. nous sommes deux qui cherchons à découvrir des choses ici et là à même la plaine. chosesconcernant la Chose. Nous pistons les bêtes de poids à même la plaine et courrons comme des affa més sur pareille roche, roche de terre (terre aux vérités de la roche dure des appuis). Nous voulons en savoir long et cherchons (vif) les données à déceler sur roche, soit : dans un champ de rage ou sur paroi ou même dans un trou terrestre et autres anfractuosités. j’(entre dans la matière du temps = la chair , d’un Verbe souverain pissant sa verve, son verbe dru comme vache qui pisse sur pré ... et donc herbe sacrée. je veux cezrner, et roche dure et roche meuble des temps impartis. Je veux cerner kles choses du temps et ces choses les poser szur table et kles offrir à qui de droit. Le temps est cette enclave d’une vie à vivree matérielle. Les mots sont des animaux. Le temps aussi est animal et aussi cette enclave à vivre une vie matériellement klangagière,  car, les mots ne nous quittent plus, les mots chargent (aurochs, bisons) en, continu l$e temps de ta rage à être. Les mots sont des appuis (étais, pilotis) qui nous portent en vie jusque dans la mort qui n’est pas de ce monde. Car, en v»érité, la mort meurt en vie ou dans lka vie, mais au fond ne meurt pas, c’est à dire dans la mort ne meurt pas

 mais au contraire est bel et bien en vie, qui ne nous lachhe pas d’une semelle, semelle guerrière. 

la mort meurt dans la vie (la vie la nôtre) mais la mo rt ne meurt pas dans la mort. La mort est en vie dans la mort et guette. La mort est cette chose d’une sorte en soi de roche. La mort est chose de roche rude. KLa mort se voit comme touchée par la bande langagière temporelle. La mort de la mort (et non  la mort de la vie) se voit comme « touchée («la toucher la toucher») par en nous (vie) ;la langue vive d’une bande en soi de rage. La 

mort (celle de la mort) se voit par nous touchée par en nous un passage de langue vive. Par en nou!s la bête-mot de la rage à être, ici et maintenant, des êtres en vie et non en mort. nous posons des mots sur un devant de soi vivant, nous posons des mots de rage sur la pierrre, nous posons des mots sur un devant de soi vivant, pariétal, organique = matériel, et ce faisant que faisons nous ? nous touchons la mort dans sqon être ! La mort est devant bnous qyui guette notre advenue ... de déposition. elle n’e’st jamais loin qui nous espionhe presque, nous rel;uque incidemment et cherche (du regard) la chute. Car, elle voit. elle est l’oeil qui voit beaucoup et loin de nous et en bnous et cezla par la bande, par (ici) cette sorte en nous de bande de joie qui nous incite à davantage de prudence, car en  nous la voix est bestiale et hors de nous le monde est danger, est mort à venir, incluse, insérée, entrainée. je vois le monde comme monde des dangers de mort, dangers permanents , planétaires, insidieux, cachés. le monde est pierre de taille et pierre d’offrande. Vivants et vivantes (vivant) nous offrons nos temps dits «de bienvenu» en pareiille roche des temps déployés. nous voulons comprendre des données mais la fluidité des avancées, des pezrforations, des glissements langagiers nous oblige à devoir composer. Nous ne sommes pas encore tout à fait sorties d’affaire, nous devons comprtendre ensemble des données de charge lourde, qui sont : 

dons de vie, dons de soi, dons de vie brûlée en vérité, charges langagières d’apparat (de parade) afin de faire accroire au dieu de la mort, de la mort de la mort (et non au dieu ... de la mort de la vie) que notre etre est là toutentier qui brûle de hjoie, alors que non ! notre être est en nous contenu comme bete de chance à l’abri d’x tourments liés à la matière. la matière est faux derche , merde ! on sait ! on voit la matière troubler le v ivant ... de sa race grise, saleté qui nous peine, nous trompe, nous induit en erreur, nous blouse, etc. La matière (auussi bien ... le sexe ? aussi bien l’auttre en matière) etc, soit le monde des entours à soi, des cercles de vie (prés carrés divins) qui nous prennent (partout) à partie et nous entrainent vite fait bien fait dans des méandres et autres replis dangeereux ou potentiellement dangereux. Car l’Auttre (quel qu’il soi) est (potentiellement) un danger de choix. Il contient en lui ce qu’il ne connait pas qui peut être nocif ou néfaste, et «moi itou» contiens en moi ce que j’ignore et qui peut attenter (sans gêne ?) à mes «jours de vie sur terre». Cela est une certitude (ici et là), on le voit. je tombe à lma renverse incidemment et cependant je vois la chose ici, comme quoi «la matière de la vie» contient partout, en elle, le germe (les) de la mort en brancjhe, etc. La ma tière est cghose riche de mésaventures, méfaits et autres médits. je croise les doigts que pareillle cghose de la moort à l’oeuvre ne pas (de sitôt) s’en vienne que tu viendras à 

me faire chuter ici de tout mon long (long nominal) dans un temps brûlé (sorte de temps brûlé) sans perspezctive, c’est à dire sans possible ou possibilité de salut, sans possible échappatoire oou autre possibilité de typpe «salut terrestre». je vois devant moi ces choses de rage, temporelles à la diable , une chose une autre, une chose un e autre, une chose un e autre, une chose une autre, comblement, briquettes, une chose une autre et pas tout (le tout) à la fois, d’où notre misè!re, et d’où cette notion d’offrande soit de parties fines pour un tout de rage. Nous voulons ainsi cette chose ici, cette chose d’une offrande particulière ayant valeur de «tout divin» par la bande . Pourquoi  ? parce  que  le t emps est un écoulement, éboulis de roche. Le temps ne permùet pas un don global. LMe temps ne permet pas un ébou;lis total, une chute raide du tout par la bande en son foyer central mais seulement des bouts, un bout puis un bout puis un bout puis un bout etc, litanie qui ne peut en aucun cas «figurer» le Tout de la Chose. La musique implique. le temps érode. Le temps mesure les cadxences, 

cerne que tu cerneras les effets de chance. La musique est partie liée. la chance est la chute dans un temps béni qui comprend peut-être les choses du monde afin de les sauver ... à jamais. le temps est musique du temps. Je vais vers kla pierre et dépose mon Verbe (crue) des parties fines et de la rage à être de concert. Je suis  cet homme des parades (langagières) déployées, des parazdes de temps, des données de poids divers, etc, qui, ici, porte en luuiui la bhonne parole du tourment de l’^utre . je suis homme qui va dans le sas du monde, il est dans le sas, il rega rde danns le sas, il veut comprendre. je regarde dans kle sas du monde les données (rugueuses) des temps. Je regarde ici et là et comprend, ces choses du temps,

 comme ici celles-là qui restent à cerner ... par la bande langagière animalière déposée. je veux être ici celui-là et celle^-là : ce»lui là qui pénètre les données et celle là qui les reçoit de grâce. je tombe comme à la renverse dans le temps, voilà cette chose à noter et à retenir. les betes en moi me poussent à dire x et x et x et x et x choses de poids (meute, troupe, troupeau) et ces choses une fois dites vont à se loger dans ce Temps de la terre dure (matérielle = pouvant, à tout moment, provoquer le pire) et, se logeant, trouvent habitat (zone de repli) et pour le coup lieu pour une réflexcion à pouvoir mener ... dans un certain cal:me plutôt propîce aux découvertes et autres trouvailles «qui puissent le faierre» à nos yeux de betes et autres vivants et vivantes sur terre. Je suis cet hyomme-femme aux données induites (en soi = là) et qui cherchent partout l’entrée : ou se trouve t-elle ? 

Je veux être ici rage et serviteur / serviteuse. rage à vivre et serviteur / serviteuse de céans (bouquetin  ? chevreuille ?) servant la roche. je suis  cet homme-femme des parois meubles, incorporant. incorporant quoi incorporant son verbe. Son verbe «assidu» et acidulé . son verbe assidu adulé ? ou seulement acidulé ? Je tombe à la renverse dans le temps du v erbe, et ce faisant cherche à comprendre les données du monde : vie -mort de pacotille (douloureusement matérielles) quand la vie ailleurs (par le VErbe) et la mort ailleurs (par le sang) peubbvent ensemble être entraperçu par le dire fol de la rage à être, nous, vivant et vivante sur terre, ghravissant, escaladant les mots, se servant d’un pic de traverseée la roche, etc.  nous pleurons et nous nous montrons sous un jour peu ragoutant voire peu attractif voire maladroitement dépl;oyé. Nous ne savons pas parler le lan,gage déplissé à bon escient,. notre verbe fait chou blanc. Notre Verbe eswt pleutre, piètre, pisseux, paradant sans verve, etc, et ne mérite pas que nul ou nulle ne s’y atta rde ou attardât plus longtemps que ça. Les choses ici sont dites. Le malheur est induit dans la matière. La matière est intrinséquement dangereuse. Les mots paradent qsui disent en vrai du mzal du temps et da,ns le temps. Les mots sont méchants, hurlent avec les loups. Les mots sont betes et méchants qui hurlent avec les loups. Les mots hurlent avec les loups qui sont betes et méchants avec les loups tout autant. Je veux é»chapper = m’échapper = sortir = cxhanger = aller = etre. Nous disons que nous devons sortir du sas du monde tel qu’il nous apparait ou apparaitrait. Nous disons que nous devons sortir du monde rude (rugueux, nerfveux) et changer de monture, hop ailleurs ! charger mulet, innocemment, ... dans le verbe ! Il s’agit pour soi d’aller vers du Verbe cendré, prise d’un dire, etc, et de crever l’abcès monacal-pariéytal du temps passé sur terre-mère. NJOus devons charger la Chose ... à même le Temps. nous devons cerner les donnéez (rageuses) du temps afin de mieux les intégrer à notre propre entendement pour ainsi dire d’homme matériel, souffrant les dangers divcers et variés de la matière, l’autre inclus en elle, etc. Nous devons toucher la table via le temps (déroulé) d’une élocution pariétale = en transe ... ou quelque chose d’approchant. Nous devons (ensemble ici) toucher à cette table d’une roche de la CVhose. Nouys avons table ... devant soi = la matière des parois du monde, du monde adjacent, qui estce monde de la voie et de la mort cerclées. Nous avons à entrer ensemble, via la matière temporelle, dans un sas de destinée autre, sas des sas du temps de terre-mère et de ses tourments nombreux et variés. Notre but est donné de rage, car il est prégnant, il s’impose à nous comme un nom est imposé à la naissance d’un ou d'une individu/. Nous sommes tous et toutes êtres qui allons et avons à ) déposer nos mots de bêtes et autrees mots-bêtes sur table des temps alloués à une (sorte de) vie matétérielle. nos mots sont déposés à même la matière dure d’une vie des temps. Notre mMot de grâce est vif mais fuyant car «il tombe en arrière», il chute dans le temps de son élocution sommaire. Les mots (déposés) sont... onguent ? graisse de bête ? huile essentielle ? gras de porc ou de truie saignées à blanc ? Que sont les mots de la tribu champêtre ? que sont donc les mots d’une rage à ... être vivant / vivante coûte quec coûte ? que sont donc ces mots d’une rage à être nues, pris et prise dans une sorte de nasse verbale, consignées comme en résidence, dépourvue en soi, en vrai, d’attraits dignes de ce nom, charmeurs / charmeuses sans charme, plaideurs et plaideuses, calfeutrées comme en quarante : qui suis-je ? quyi je suiis qui vais vers la roche (ou pierre des embruns) pour y déposer (il semblerait) mon verbe de bure (oh si mal fagotté je le jure ! oui ! ainsi est!) et qui tremble à l’idée de se voir «touché» par dame ou sieur «de la mort des Graves», «de la Mort sur Esp;lanade» ou autre «Mort des temps» affrontée. Qui je suis que je ne suis pas. qui je suis que je ne sais pas. qui je suis que je contiens en moi. qui je suis qui contient en soi le  mal permanent, le mal «de la rage d’être» ou « ... à être ». Car, le moi (le je : l’être) est menaçant. le je (le moi : l’être) est comme contenant le mal xde rage à être le méchant ... des temps alloués. Enn soi (= matière) est le mal c’est une évidence. Nous sommes le mal (matériel) incarné de base : tous et toutes. Mal d’une rage en n ous matérielle ... pris dans la matière = pris

 dans cette sorte de matière du monde adjacent. Nous solmmes êtres qui en nous contenons le mal que nous faisons de fait (et même au mieux par devers nous si tant est)  en étant vivant et vivante sur terre-mère. Nous pissons nos larmes. Nous sommes défaits. nous faisons main basse en permanencve sur un temps (alloué divin) qu’il nous incombe de» «mener» comme une danse dans un sas de roche aurignacien. Le mal est inclus. Le mal est inclus dans la matière. la matière est la roche des temps. Le temps est le présent à déposer de soi (don surnuméraire) sur paroi ou table ou pierre d’offrande ... pour ne pas mourir de préférence. et deès lors faire accroire : que, 1, mon nom est mon nom, 2, que la vie est odfferte dans pareil paquet (paquet décoré), 3, que la vie sur terre n’est pas l’opposé dee la mort en tant que couperet, 4 , que je suis du monde des songes animaliers et autres fables des temps passés. Je veux (= je voudrais) servir (pour ainsi dire) le monde divin , en faisant offrande de mon nom donné comme par la bande. Le nom déposé est le nom d’une rage .... à advenir coûte que coûte. Nous avons pour nous de quoi pour le coup allonger nos phrases sur paroi des temps. les phrases sont phrases des temps. Nous voulons ensemble touchezr une roche dure, qui serait une roche donnant accès (privilégié) à une sorte d’entité rocheuse devant soi, accès à notre vie vive, à notre oplus de vie vive contenue en nous, pour permettre à celui-ci, à cet être des parois, de mieux nous connaitre et de ce fait de mieux pouvoir juger notre Soi en propre = notree être vrai, si tant est. Nous voulons comprendre et toucher. Nous voulons comprendre et toucher la mort. nous voulons comprendre et toucher cette Chose dite «de la mort des étants de base». Nous sommes ensemble dans un pli de roche. Nous voulons comprendre loin, profond, les données rugueuses, les dons à pourvoir, les offres diversesq, les dons du ciel, les prises, les ajouts, les colères divines, les prises = les données des temps impartis. Nous voulons co:mprendre ce qui est ici qui nous voit aller (sur roche) dans le temps. qui je suis que je ne suis pas. Qui je suis que je ne suis pas. qui je suis qui en moi contiens une cha rge . Qui suis je au fond de moi en tant que tel ? le mort à venir ? la (belle) morte aux allures divines racées ? qui je suis qui tremble ? qui ne suis je pas qui tremble tout autant ? qui suis je dans un déroulé de temps alourdi d’un verbe prégnant ? qui je suis «qui casque» ? qui e^tre ? qui voir ? qui comprendre ? qui deviner et quoi déposer ? Je pose sur table (des devants à soi) la Chose ... des roches endiablées (mesure pour mesure) et m’en retournne = reviens, vers... moi qui reste là = en vie, dans un monde ouvert et fermé : ouvert aux aguets et fermé aux apprêts. Je veux être l’être .... des temps dépl;acés depuis un intérieur(?), 

intérieur à soi comme ici déployé (p âr la bande) vers la roche meuble d’une pierre où pouvoir deposer choses et autres en guise de présents au monde. Je cherche issue sur table d’offrande, calfe»utré on le sait, caché dans ma cabane aux charges. Je veux dépôser sur table icelle temporalité qui donnerait crédit à) pareille cxharge, en moi (en soi), contenue. La charge est de celles ... que l’on voit courir dans les prés. les prés sont les prés des temps i:mpa rtis. Il s’agit dx’un pré de chargements animaliers, de courses endiablées parmis les herbes hautes autres et autres arbustes dessinés, etc. Nous voulons toucher la mort à travers la roche langagière des apprets. Que faire pour ce faire abrupt ? comment déloger la roche ? comment déplacer la Chose des temps matériels ? que dire ici pour un faire vif ? comment dire ici ce faire adjacent ? nous vouylons creuser loin en pareille entité verbale qui nous vient  nonchalamment comme une épave (?) en bvouche (ouverte ou fermée) = en nous comme condamnés, et voilà ce qui eswt : nous tombons à la re nverse dans le temps = en parlant (en disant) nous tombons à la renverse. dire = tomber. dire = tomber. dire =

 tomber dans le temps d’un tracé de rage. Dire = toucher. dire = toucher

. Dire = toucher à la roche dure des temps alloués à une vie humaine. dire = donner sur pierre : offrandes diverzwes, vivres déployés commme un dire long. Je vais voir ce qui est . Je dis que je me vauttre. jE regarde les données brusques. Je veux être l’ombre des données de base, et de rage ; la douceur incarnée dans le sang donné du verbe dépoosé sur pierre d’offrande. je szuis je l’homme-femme enfant animal d’une rage à être envahi par la bande (langagière) d’une vraie vérité native. Je compose avec l'ensemble des données natives-hâtives naïves. Je veux (en vrai) déplacer les donné»ées rudes, vers du  doux peut-être bancal mais soyeux et comme énoncé pour du dire ou un dire vif amoureux. Je veux toucher la mort de près = la comprendre sans l’éprouver, mais comment cela ? comment puis-je faire de la sorte : et toucher et ne pas y toucher ? il s’agit d’une gageure (on l’a vu plus haut) et cette gageure nécessite un exeamen approfondi de ses parties, afin de bien la comprendre et en cerner précisément les tenants et autres 

aboutissants <wqui font d’elle une donnée  de base,  donnée avérée,  donnée sur laquelle pouvoir s’appuyer pour mieux l’aappréhender . Il s’agit pour nous d’avoir à toucher icelle gageure dans un sens particulier qui fera d’elle, à nos yeux, une sorte de donnée de base pour  l’éternité 

des temps i

:mpartis à des vies d’hommes et de femmes et de betes particuliers et particulieres. JNotre but est de trouver ici à co:mprendre loin pareille gageure : comment faire pour toucher et ne pas 

toucher?. Comment s’y prendre pour toucher la mort de face et ne pas toucher la mort de face. QZuestion épineuse s’il en est, et qui nous occupe +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++/+/++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ depuis lo ngtmps. Et la réponse est : en dichotomisant, e,nn séparant, en coupant, en sectionnant icelle mort en deux : un jeu d’enfant ?

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4/2/2022

Le vrai nom de la mort . le vrainom de la mort. 

quel est le «vrai» nom de la mort. Quel est-il ? De quoi s’agit-il ? de quoi il s’agit ? Il semblerait que le «vrai» nom d’icelle soit un nom «connu» = répertorié. il semblerait que le «vrai « nom d’icelle soit le nom répertorié dans des annales spécifiquement créées à cet effet. Il semblerait en effet que le nom «propre» de la mort soit un nom connu, affiché parfois, reconnu, nommé dans des instances appropriées qui sont instances de conservation. LE «vrai» nom de la mort est un nom qui existe ici et là en tant que nom gravé, gravé à même la pierre : aurochs ? Aurochs de céans ? Bleu de Prusse ? aménite ? nous ne sommes pâs seuls et seules à chercher icelui ici et là . nous sommes nombreux et nombreuses , et notre recherche de noms ou du nom est recherche tenue dans les temps, est recherche largement développée, menée aussi bien tambour battant une vie durant = la vie. Car (on le voit, on le sait) la vie = recherche du nom. Ou plutot : la vie dans le temps est recherche du Nom. Nous diso,ns la Vie car la vie est une gageure, est ce développpement pariétal de l’homme et de la femme des cavernes : Aurochs ? peu^etre bien que oui. Il se pourrait bien que ce fût ainsi que cela est : rien n’est sîur mais enfin la chose est possibl, ç a se peut ou se pourrait. nous cherchons à plusieurs (quelques uns et quelques unes = peutêtre quelques millions) des choses ici ou là eb-n rapport avec un nom propre à trouver. Ce nom est porté de l’i,nntérieur par soi, comme une bete-mot qui en impose «grave» de par soi. JE vois la chose qui se dessine sur la paroi et je comprends les ramifications internes liant la chose à l’être, ici l’Aurochs, à cette vie de soi qui va battante et frappe que tu frapperas au son des pipeaux. je crois comprendre, du moins je suis (je vais) sur cette pente. Qui est qui en cette zone des abris ? qui me parle ? un animal de race/rage, qui veut savoir «pour moi» ? qui cgherche à sortir sa tête de moi, qui cherche à dire qui il est en fait de bête, quel est le nom qu’il porte, etc. Il est animzl de rage et il est animal de race, et à ce titre , à ce double titre, il mérite tout le respect dû à pareilles créatures saturnales. Je vois que des choses doucement (oh doucement !) se mettent en place incidemment et c’est parfait, c’est une bonne chose. Nous devons panser les plaies et aussi nous devons penser à notre bonne étoile qui veille sur nous, qui nous accompagne, y penser comme à une amie très chère, à l’amie qu’il nous fallait pour vivre en confiance, à cette amie qui nous insuffle le souffle divin, cette voix d’or, ce chant d’azur, et aussi en nous un peu de cette chose d’une rebéllion, d’une insurrection, d’un refus d’en découdre incidemment au premier tournant. Nous sommes êtres qui pleurons de compassion. Nous sommes êtres qui chantons et ^pleurons de compassion de temps à autres et sommes ainsi touchés par en soi (en nous) une flèche qui nous transperce et nous met à mal et cela est. Nous sommes êtres qui sommes par moments (toujours ?) touchés patr une flèche. NOus sommes tous et toutes touchées par une  flèche, nous sommes tous et toutes tout le temps touchés par une flèche

. Nous sommes en continu (vivant) touché par une flèche, nous sommes touchés. Npous sommes meurtris, nous sommes touchées. Notre coeur est touché et transpercé par une flèche et cette flèche est flèche ... d’un dieu de la rage et de la race des (qui savent) qui touchent. JE vois la flèche, je vois cette flèche transperçant mon  coeur, je vois cette flèche me faisant saigner. Je suis un homme qui est touché par une flèche qui le fait saigner. Je suis cet homme touché par devers lui pzar une flèche (incidemment) qui le fait saigner «grave» c’est un fait. Et d’^où vient cette flèche ? qui pour l’avoir tirée ? qui est à l’origine ? quelle est l’origine ? est-elle animalière ? est-elle animale ? d’où vient-elle ? d’où vient cette flèche de vie en nous, de type ... cardiaque ! c’est dit ; d’où ?EH bien on dira... de par là-bas, plus loin, bout de phrase (vérité) et ce là-bas, en question (ce bout de phrase) , est une somme. NOus pensons ensemble. Nous sommes toute une tribu. Nous avons une pensée commune, nous sommes clanés. Nous avons pour nous (notre vision des chgoses) une pensée commune, qui est que le mort, ici bas, n’est pas la mort, là bas. Nous pensons que cette mort dont on pzarle (nom commun) n’est pas cette mort qui semble (semblerait) devoir nous attendre sur le pied de guerre. La mort porte le nom que la vie (pour nouds) génère, c’est dit. La mort n’est pas n’importe quoi qui serait commun. LLa mort est une chose en relation avec la vie que nous avobs (dans le temps de son inscription murale) d»éveloppée tout du long, déroulé et mis à plat ou tout comme. Lza mort est chose précieuse en cela qu’elle est (ici) individualisée et à chaque fois différente dès lors. NOus voulons comprendre bien des choses , et ces choses nous regardent dans le blanc des yeux. Nous avons en nous cette chose d’un vouloir qui est (il semblerait) vouloir avéré, vouloir ancré comme il se doit, vouloir qui cherche à se montrer , à jou-er des coudes, à faire du gringue, etc. Là, 

nous savons. Nous avons compris. La mort est individuelle mais aussi individualisée en cela qu’elle a à voir avec un déroulé de vie. La mort est une chose .... qui est de celles-là que nous devons comprendre de visu, mais comment ? vas-y comprendre ou y comprendre quelque chodse de profond ! où est d’abord la profondeur en cette chose, et en toutes choses déjà ? qui a dit que ... la profondeur n’existe pas  ? qui a dit cela ? un sqcientifique ? peuchère non pas ! Un savant fou ? il se pourrait ! une sommité ? à tous les coups ! un chanteur de charme ! allez ! qui d’autrte alors ? nous cherchons l’auteur ou l'autrice de la parabole ! nous ne sommes pas arrivées à nos fins car l’auteur ou l'autrice est cachéee et bien caché sous un amoncellement de tirades et autres «paroles d’évangile», c’est sûr. Alors qui ? je vous le donne en mille : l’Autre, l’Enfant, cette personne brute, douce et compréhensive. Je me demande qui ça peut être. Qui est-ce ? il s’agit d’unêtre fin, plutot ra cé, qui a du chien, qui croit en des choses comlme tout le monde mais en plus d’y croire , lui ou elle, colmme d’autres d’ailleurs, les couche noir sur blanc et les propose (de fait) à la vindicte populaire. quel courage ! pas tant que ça car, en vérité, il balance : il jette son nom sur la paille, il est de ce genre, qui, une fois inscrits, ou inscrites, jeyttent ... mots cul par dessus tête ! il est de ce genre de personnes-là qui, ayant notifié et dit (évangile) jette tout ... cvul par desssus tête, et s’en fiche comme d’une guigne. Voyez le style ! Alors que faire? croire. OUi on peut croire, on peut se soulager ainsi. on peut essayer du moins et tenter de s’y tenir. ON peut essayer de croire ici et là, en sa bonne étoile incidemment ou bien au paradis, ou bien à une sorte d'entité porteuse, etc, mais commùent y croire ? en marchant ? en portant un nom ? en pleurant ? en vivant ? c’est à dire quoio , en vivant entièrement ? en étant vivant ? car, la  croyance en quelque chose de fatal est la croyance en quelque chose ... d’écrit , est la croyance en quelque chose de ditt, est cette ctroyance en quleque choses d’important dans le fait de ou du dire. c’est-à-dire de sérieux, de fort, d’important , dans le sens centtral du terme. noussommes en vie, et de ce fait nous «parlons» «pa riole d’évangile». et cette parole, portée par nos vies numaines, vient contrecarrer l’accès vers nous à cette mort cvommune qui (pour le coup) cherche en continu à porter notre nom, ce nom dit «de famille». La famille a un sens précis. La famille est cette chose ouverte, et vfermée à la fois (replioement sur soi ?) ? qui aide à la constitution du Verbe. Le Verbe est chose rude et chose rugueuse (à incorporer) qui est cette sorte de chose posée, ou déposée,, sous une forme ou sous une autre (ce peut être un bouclier) qui nous regarde, qui est là qui nous regarde avec ses yeux perçants, avec ses yeux insquyisiteurs? Nous voulons comprendre ce squi se passe en ces lieux de vie, et pour ce faire nous devons parler = dire la vérité =chanter = vivre une vie d’allant qyui colle au vErbe, voilà la gageure sus dite. Ouu susmentionnée dans du dire. car ici la mort est une chose et la vie une auttre, et les deux (bizarrement) s’entrelace dans du Verbe. On voit que les choses sont étranges ,; et ne se laissent pas appréhender aussi facilement en fait qu’on s’y attendrait. La mort est liée à la vie dans une tresse. ou plutôt, la mort est liée à la vie et la vie à la mort comme dans une tresse qui serait formée par deux gfibres ou fils qui s’entremêlent ou s'entremêleraient pour former quoio, pour former «parole d’évangile» on, l’a compris. Les mots de la tribu sonjt les mots d’une tribu pe nchée sur une idole qui a un nom. Nouds ne pouvons pas l’ignorer. Nous ne pouvons pas faire fi de 

cette chose. Les mots de la rage ont à voir depuis longtemps avec les mots de la tribu. JHe veux penser cela comme à une sorte de chance octroyé qui nous tombe ou tomberait dessus cfomme la misère (peut-etre) en d’autres contrées ou d’autres endroit dits «de proximité» ou pas, etc. Nous sommes des qui allons, ainsi, à la rechgerche d’une Véroité, Vérité de base, de type évangélique. On voit que les choses petit à petit se recentrent, qui nous donnent un la musical de bon (de très bon ) augure. On va y voir clair dans pas longtemps. On est là pour ça. On ne demande que ça , d’y voir (si possible) le plus cklair possible. On veut cette chose, on veut cela, on veut comprendre, on veut prendre, on veut savoir. Il y a de ça. Or comment faire pour savoir ? comment faire pour comprendre ? comment faire pour percer le voile masquant kles choses les plus importantes de la vie et de la mort ? nous devons essayer ensemble de comprendre ce qui est mais pour cela comment s’y prendre ? comment réagir surtout , à pareille entité devant soi qui cherche à nous truquer etc, comment ? nous avons peut-être ici une réponse . Nous avons peut-être ici matière à nous tirer d’affaire . Voilà comment : en parlant . c’’est-à-dire : en ne s’arrêtant pas de parler . C’est-à-dire en parlant continuellement. il y a toujours ... quelque chose à dire, oui, car le dire est là (de fait dans la vie) qui nous accompag,ne tout du long. Le dire est du sang. Le dire est un sang e,n nous qui ne cesse et fonce et va et file et fiche et court et meuble et colporte et sonne et cache et doute et rit et va loin et porte et sombre. il est celui-là que nous portons en  ous comme le nom de l’animal en nous qui est le nom en nous de cette bête de type «évangile de saint-machin». On voit la chose. IL s’agiyt ici de comprendre un fait et de s’y tenir au mieux et le plus possible dzns la durée. Nous avons Chose en  nous (un nom à trouver) qui parle en nous (le sang) sa parole dite «d’évangile selon Saint_-Machin» ou «dsaint-Chose», etc. cette paro:le en   ous est donc portée par une bete (effigie pariéto-frontale) et cette bête est en bnous comme un mot est dans la bouche du parleur de rue . nous sommes deux (bete en moi et moi) à comprendre cette chose. Nous sommes ici deux (en nous) à comprendre cette chose ici, et ce n’est pas rien. Nous sommes deux en soi à tenter une approche ici et ce n’est pas rie,n. Nous sommes deux qui ensemble essayons de comprendre au plus possible ce qui est en  ette chose d’une bete en soi animalière -donc et sauteuse : hop, de là à là, elle a sauté, elle est bete des sauts, va loin dans son élan, cherche que tu chercheras, etc. Une bête animalière est une bête qui «défend» son dire. au contraire d’une bête non animalière, qui elle se tient (le plus fréquemment) en-dessous de son dire , comme éteinte, on y reviendra. La bete est la bete rude en soi qyui cherche à trouer la Chose = ici la bouche , et sortir. il y a chose et chose. ou plutot  : il y a Chose et chose, etc. nous nous retrouvons pour mùieux comprendre les données du monde, ce qui est au monde qui exisqte et qui semble nous parler. nous voulons comprendre ensembke des choses et ces choses les reporter, sur paroi, cvomme un homme ou une femme du temps des cavernes, et dès lors tracer nos noms indélébilement si l’on peut dire. HJe suis un parmi x squi cherche. Je cherche à comprendre ce squi est. Je cherche à savoir ce squi en moi reflue, ce qui est en moi quyi surnage, etc? La profondeur des choses décentes ? peut-^être ! mais en vérité mon souci premier est de me plonger dans un dire fol qui puissee dire et former des dires 

d’importance. Il s’agit pour moi de cracher des dires cvomme d’autres crachent du venin ou bien, leur gourme ou encore la haine. Je suis un homme sain (je crois) qui cherche ... à toucher de ses doigts (peut-être) la bête en moi, etc (c’’st à dire les bêtes, car elles sont plusieurs : ça change, ou même elles sont plusieurs «en même temps», etc) . je vais loin dans la démesure rupestre tribale et pour cela je suis accompâgnzé, on le voit : un animal me seconde. Il s’agit en moi d’une bête qui est, en vrai, bête de charge. Il s’agit de ce genre de bêtes qui toutes chargent dur et portent costaud. ces bêtes sont toutes massives. On les appelle »les bêtes de poids» car elles pèsent lourd vraiment dans la balance (poids public) et ne s’en laissent pas conter (du tout) sur cette question. Notre ambition est de les nommer. Nous devons nommer ces bêtes = les dessiner = les faire et les montrer au mieux ressemblantes, car il en va de notre sainteté. Nous sommes des enfants qui tentons de creuser ensemble la terre et y loger des choses qui toutes nous concernent au premier chef : dires de peu mzais pas seulement, effets divers de type votif, etc. des choses de pacotille, des choses qui brillent, de l’»or en barre, des pierres précieuses, du chiendent, des herbes diverses, des choses de prix comme tissus, vetements, et zautres tentures. nous nous prosternons comme de coutume et nous pleurons.Les larmes ont à voir grandement avec le présent posé en offrande et avec (aussi) le présent (ici) des temps impartis. nous sommes à la recherche d’une dent en or, d’un dire de grâce, d’un cercle de pierre précieuses, de mots divins, de parole d’évangile. Nous voulons comprendre et donner. nous voulons comprendre et doser noss dires.Car, nos dires pèsent (trop ?) dans la balance. Nos dires dsont dires de joie et de poids. Ils sont dires de peu et de joie mêlés. ils en imposent parfoios mais de temps à autre et encore. Ils ne sont pas tout à fait à même de nous aider lorqsu’ils ne disent rien de plus que la faconde, mais enfin nous

 les aimons, nous les regardons avec bienveillance, nous  croyons en eux, nous voulons les voir se loger de préférence en des loges idoines de type temps d’acceuil. notre but est ainsi ici de faire en sorte que la vie s’écoule le pluys simplement du monde et dise son dire ici de vie de base, son dire découlant de soi ... comme un corps saigne (menstrues ?) ou comme un corps peut-être évacue le trop-plein d’énergie vitale (selles ?).nous voulons savoir dans la p^rofondeur ce qui se trame autour de nous. Nous voulons co:mprendre les choses au son du pipeau. Le son du pipeau est le son qui nous interpelle le plus (le plus souvent) à bon escient car il «dit» des choses qui sont capitales en de nombreux domaines. Il s’agit pour nous d’écouter ce son (qui est du dire) et, dès lors, de retranscrire, tout simplement, tout bonnement, ce dire natif. les choses sont dites carré, sdont dites clairement, sont carrées, etc. C’est-à-dire que les choses du monde fractal (du monde de derrière soi ou de derrière les fagots) sont ainsi qu’elles se montrent sous des jours divers (par exemple : aurochs) mais, toujours accompagnées par un son de base (le son d’un pipêau) qui font d’elles des êtres lunaires, échevelées, vibrants, etc. Nous avons à comprendre encore des choses mais enfin, nous avançons (pas à pas) sur un chemin de connaissance ou de ces connaisqances dites «de la bande» c’est-à-dire de la bande langagière d’accompagnement (pipeau). Les mots pour nous ont une raison d’être c’est sûr, et pas xseulement «tétière» on le voit. Les mots disent par devers eux, voilà les données. Les mots ont des choses à dire concernant la voie mais aussi concernant la mort, et pas seulemen,t «la mort pendant la vie» mais aussi »la mort pendant la mort» ou alors ... à quoi servent-ils ? les mots sont à nous qui avons à dire des chosesq. Les mots nous appartiennent en tant qu’ils sont pour nous des données toutes de base cruciales, ou comment exprimer cette chose d’une profondeur des profondeurs dans l’adversité ? Car,

 vooici que les mots bataillent, entrent en guerre, combatttent l’ennemi inscrit en eux-mêmes. Que sont les mots sinon des bêtes de combat ! que sont d’autre les mots que betes cde combat : d’azur et d’ancrage, quoi d’autre ? nous avvons à nous poser ainsi (par devers nous) ici ou là, et dire ce qui est. Les mots nous regardent. Les mots nous portent. Les mots nous disent des choses. Les mots nous aident. les mots nous accompagnzn,t une 

vie durant ... dans le sang , comme des betes de labours qui tracent ou traceraient sillon sur terre meuble. notre sang ne fait qu’un tour : de la vie à la mort. c’est à dire : de la naissance à la la mort. C’est à dire : de la naissance effective (la venue au monde réel) au jour de la mort soit de l’xtinction. La naissance est la sortie d’un ventre, et elle arrive après un temps de conception.La mort de la même façon est la sortie d’un anttre (ventre-dieu

 ? ventre d’un dieu ?) et se poursuit pour ainsi dire par «un temps de déception» etc. nous pensons que les cghoses (cvomme toutes choses visibles (ou la plupart) sont de type syméétriques ! nous disons que la mort contient un temps qui correspônd au temps «ventral» en quelque sorte de la conception. la mort est une enclave de type utérin , qui est cette outre, pour le coup, de bonne foi et de bonne maison et des  certitudes. La Chose est svelte comme la parole. Un coeur assidu s’y révèle. Nous en tentons l’approche ensemble ici :même. NOus essayons ensemble cde comptrendre des données (de bazse certaines) sur lesquelles s’appuyer . notre dire est vif. Notre dire est un dire vif. Notre dire 

est ce dire vif qui est du dire fol qui est du dire échevélé on le sait?. Quand nous parlons, les mots butent contre la misère d’un regard obtus, creux par endroits, etc, et c’est ainsi que nous nous retrouveons (ensemble) à verser des larmes : commisérationb. dévception on le sait. on connait la chose. o,n vezut

 croire en sa bonne étoile mais la chose est rude et demande à êtrez vue, et explorée. notre but est logé à pareille enseigne . notre but est ckair, va dans un sens qui en fait le charme, ne se  cache pas ou n’est pas caché, se montre sous un jhour dit «de clarté complète», ne va pas se planquer ou masquer son dire quelque part. Notre but est là : ici = dire. Je veux que le dire dise ! je veux que le dire en dise long de grâce ! je veux que le dire dise et redise ce qui est et vous l’enfonce (me l’enfonce) à jamais soit pour l’éternité. Les mots ont ils quelque chose à dire ? les mots ont ils quelque chose à dire ? les mots ontils qielque chose à dire ? les mots ontils quelque chose à dire ? les lmots ont ils quelque cjose -à dire ? les mots ont ils quelque chose à dire ? les mots ont ils quelqzue chose à dire ? nous le peznsons . Nous espérons que oui. Nous pensons que oui. Nous le subodorons. nous aimerions que oui. nous aimerions beaicoup que oui mais rien n’est moins sûr. Nouys voulons savoir, comprendre, aller loin dans la mesure d’une démesure, ou mieux : aller en mesure dans la démesure mais la démesures ... quelle est-elle ? où est-elle ? que peut-elle nous apprendre si tant est que nous l’attei gnissions ? Je cherche. Je  veux penser. Mon souci est la pensée, la p ênsé»e à travers le verbe, le Verbe en musique = dans le temps (pour ainsi dire) de son déroulé, etc. la pensé&e magique est la pensée de bout de phrase = la vérité. la dite «vérité» sur les choses du monde = pzensée magique, en cela qu’elle se loge (icelle vérité) au bout du bout de la phrase construite c’està dire temporellement située. 

car, pour dire, il faut du temps = le temps du dire. et le temps du dire implique la recherche d’un dire cde poids, qui pèse, qui a de l’impact commpe une bête. Nous avons à cerner choses et autres au mieux , et pour ce faire nous collectionnons les dires, nous accumulons les dires, nous mettons nos volontés à plat et pouss-ons dans un sens précis qui est celui d’un vouloir)-dire ici brusqué sinon brutal , qui cherche à cerner = coincer la bête d’un dire dit «vrai». notree but est affiché. nous espérons pouvoir trouver des chose, des choses diverses, des dires de pôids, du vrai qsui en jette (quioi ? des rayons de lune ?). notre envie est une envie complète, en ce senns qu’il s’agit d’un corps (corpus) en entier. le corps du dire ici est plein de lui, d’un magma de  base (de ba ve ?) qui est lourd de conséquence rupestre on kl’a vu. Le magma de base (langagier animalier) cherche à faire apparaittre une dite «vérité de bon aloi» qui est Vérité des Vérités. La chose a ici une importance première, capitale, importante en  cela que ;:a chose est lourde, pesante, elle pèse son poids et ne s’en laisse pqas conter facielement. Car elle en veut ! elle cfonce (elle eswt fonceuse) , elle ne s’arrête pas en chemin. elle vibre de troute sa gourme animalière à même le temps d’un phr&asé colporté ici ou là sur une grève. je salue la grève ! il s’agit de voir en elle (la Chose de soi: l’âme des défuunts ?) une chose de poids comme une bete de paroi : le bison ? l’ours des cvavernes ? le mensonge et la vérité nee s’opposent plus, quand tout est langage. Il s’agit de cette chose là d’un dire déployé comme dans une phrase une vérité. Nous sommes deux ensemble qui cherchons à dire des choses rudes. notre volonté s’exprime par la bande et ne souffre plus. La peine est allégée de fait, elle n’est plus que l’ombtre d’elle même. nous ne voulons pas peiner quiconque et blesser outre mesure, nous savons à quyoi nous en tenir. Nous voulons trouver des mots de rage dans la lande, en nous promenant ou en chassant ou en courant après des chodses peu reocommandables ou autres. notre envie de bvivre est i ntacte puisque le coeur bat qui dit sa Chose animalière de concert et de base de vie. Nous nous saluons : à toi à moi. Nous sommes deux pour un e Entente, l’Amicale des amis du sang. nous voulons en savoir lourd et, du coup, que faisons-nous ? nous nous abvançons de concert à même la roche (ou roc des dieux) et pleurons (toutee) notre peine déplacée ! nous pleurons ensemmble = main dans la main : la bêtye et moi. Nous ne voul:ons pas perdre le nord ni même l’habitude de nous retrouver ensemble à une même table. Noius voulons aller sur un chemin qui nbous conduise vers la vérité des véerité = celle-là qui nous regarde dans le blanc des yeux et nous donne le la à suivre dans notre périple. Qui est cette chose, ou : que est cette chose, ou : quoi est cette chose, ou : qu’est cette chose ? Nous ne savons pas mais nous chertcbhons ! nous cherchons dans la profondeur d’une voix énoncée. nous cherchgons dans la profondeur d’un tracé de base. nous cherchons dans la foulée xd’un traçage frais, vite mené et (en vrai) consacré par l’usage, etc./ Nous sommes tous deux de la paretie fine qui nous voit nous remuer et chercher peut-être à enfanter du dire vif, cklair, outtré mais le bienvenu concernant le dire dit «de vérité « ou «de la vérité». nous ne sommes pas trop de deux pour ce faire. nous voulons «coiincider» et nous «coincidons», car , noius sommes vifs, douybles, prêts à nous adjoindre, à nous emmelezr, à nous mêler comme de coutume, à nous inserrer l’un ;l’autre lm’un dans lk’autre. Le but est cklair. il est affiché aux portes du palais et chacun, chacune, peut en prendre connaissance. Il s’agit d’un dire de foi qui en dit l:ong. il s’agit 

d’un dire doux, qui parle de sa voix sucrée, etc , pour dire une chose de grande importance, comme quyoi la mort est une chose

 du temps de son vivant, mais tout autrte chose 

du temps de la mort ou de sa propre mort, ou du temps qui nous voit mort. la mort a  deux visages : l’un est cvelui-ci (nacré) que nous lui connaissons, l’autre ewst celuyi-là (lequel ?) dont nous ignorons tout sinon cette chose commùe quoi il est un temps après la mort qui correspond EXACTEMENT à celui précédant notre arrivée de fait dsur terre le jour précisément de l’accouchement de Mère. Nous savons à peine, nous subodorons, nous pensons, voilà ce qui est. la pensée en soi est la pensée qui mène au bout, est la pensée dite «de bout de phrase», ou «du bout de la phrase» ou « des bouts», etc. penser = comprtendre, ici (du vivant) , le fait que la mort eswt une sorte de prolongement en tous points symétriques au temps de conception. il s’agit de cerner ici une chose comme quoi kla mort est égale à un temps (neuf mois ?) de déception. Et de quoi s’agit il ? du temps nécessaire à une sorte (sous terre ?) de décrépitude ! combien de temps un corps met-il à ... disparaitre en poussière ? il s’agit de cette chose ici d’un temps de déception qui est ce temps dee la vermine et de la putrification des parties charnelles . Notre but est adffiché : colère ! colère sur toute la ligne ! colère devant soi ! colère de base ! colère menaçante ! colère vive et, basta : que les choses soient ! nous ne pouvons pas supporter l’idée, comme quoi nottre ^$etre sera dévoré (un jour) par le feu de l’enfer ou la vermine ou le chacal. Nous voulons comprendre cela. Nous avons à penser rude et nous pensons rude. Le temps est animal = dépot, et le Verbe est vif quii se déploie (incidemment) tout le long d’une vie allouée à une gouverne en partie tétière. la peine s’allège au fur et à mesure où nous sommes ensemble à entrer en âge de la destinée. c’est à dire ici cette chose, cet aval. Nous minimisons. Nous sommes qui peu à peu nous liquidifions. Nous sommes qui peu à) peu nous réduisons nous mêmes

, etc. la peine est donc à cerner ainsi, comme d’une sorte d’étant qui, ici, se désagrège au fil du temps. La peine = le tourment. Le tourment = le ciel d’azur. Le ciel = cette chose donnée en dépôt comme une bête encore chaude de son temps de vie. nous nous abritons, nous nous plaçons de telle sorte que la vie pour soi devienhe auttre, une autre vertu, une tout autre mise, autre valeur, auttre présen 

c e, etc. nous essayons de nous poster ensemble au devant cde nous pour comprendre, là, ici, à cet endroit tout près de soi qui est cet espace de mise directe, d’emplacement pour des présents à cdéposer conjointement en type d’offrandee. nous voulons comprendre ensemble ce dépot à faire, en vrai, fisza, c’st à dire sans tarder, car la mort rôde qui, pour le coup, nous surveille d’un oeil et en permanence et ne nous lache pâs d’une semelle. La mort est lza présenc e en continue de l’histoire, c’est sîiur. La mort guette de son piédestal (sa hutte) et ne bnous lache pas de vue. nous voulons comprtendre, nous voulons cerner la mort ce qu’elle est et ce qu’elle n’est pas. nous voulons comprendre entre nous la mort, ce qu’elle représente et ce qu’elle induit, en termes de fi nalité langagière. nous voulons ensemble ici comprendre ce qui est, ce qui advient, ce qui arrive vif, ce qui se trame, ce qui se loge en cet espace devant soi qui est espace de proximité?; «Je pense donc je suis» est une chose rude à prononcer pour nous qui pensons-vivons de conserve. Nous nous diso,ns que nous sommes ensemble à devoir chercher ici et là des solutions qui sont solutions, 1, de repli et, 2, de réserve. le mmot prononcé

 est le mot donné, il est ainsi. Le mot prononcé à haute ou basse voix est le mot donné par «la bande animalière» à une sorte d'entité de rage (la mort =déité) qui nous interpellke continument à traversz le mouvement pendulaire de kla vie et de la mort en nous (fibre de vie chargée, rageuse, colère, vive, allumée, etc) . nous ne voulons pas mourir c’est un fait, et ce fait a à voir avec la mort à l’oeuvtre en  nous, qui dicte sa loi menaçante, squi dicte ses lois, qui nous cherche noise (la maladie et ses petits). alors comment faire pour trouver des choses qui nous en apprennent ? hummmm, difficile , dur dur. Avec des mots c’e’st dur. Avec ......

 le Verbe peut-être ? oui. lke Verbe est aidant car le Verbe contient sa propre misè§re et en fait cas. le Verbe est Verbe d’un dieu de réserve (pacotille ?) qui dit loin et fort son envie de vivre une vie «entière» = vie-mort tout entrelacées. Voilà ce qu’il en est de cette chose ici appelée Verbe, ici VErbe, ailleurs autrement (Vivre, Vouivre, Vipère, etc .). Je et nous cherchons, je cherche ensembvle, nous cherchons seul, dans cettte sorte d’entrelacement des dires singulier-pluriel. Nous ne sommes pas sortis de l’auberge ! Nous avons fort à faire (foultitude d’actions à mener et à mener de front). Je suis l’homme au chandail gris qui marche dans la plaine. Il se promène nonchalamment. Il promène sa misère. il est tout ouïe et qu’entend -t-il au juste ici, en ce lieu des outrages et autres parades guerrières, qu’entend-il à par t lui ? il ente nd du bruit. Il entend le bruyit cde l’eau. Il entend cette chose d’un bruit qui semble lui donner des ailes. Je vais dans les airs m’envolant comme  l’oiseau du chant des rêves. je suis oiseau plein de grâce et changeant sous la lumière. Je veux comprendre, je veux aller loin, je veux dire, je veux ^pousser plus loin les recherches, je veux cerner serré, je veux comblker, je veux être un homme comblé soit rempli. Le souci ici est de dire ensemble. Il s’agit d’un dire de feu. Le feu est cette chose contenue en soi (inflamation de la chair vive) et qui va de son allant ici de vie animale (ou animalière) jusqu’au bout dxu bout d’une cvie à vivre. Le feu est inflammation terrestree charnelle : sulpicienne. Je croise les doigts, en espérant que les choses ici iront de soi et ne buteront pas méchamment contre la misére des temps de céans. je croiose les doigts et espère fort?. jhe prie que les choses viennent comme elles se doivent de le faire . je suis cet homme qui pousse loin et fort son envie et poursuit fissa à travers les landes son chemin des découvertes. Je veux savoir ce qui est qui parle à travers moi. je veux dire ici ce qui est pour moi et répond de moi?. je suis homme des battues. Je suis cet homme des recherches en vrai avérées. Je suis cet homme des recherches menées pour une juste cause. Je cherche en moi des raisons de croire en une étoile (cette étoile) qui saura me diire ce qui est et  ce qui n’est pas. cette étoile ai-je dit = l’2toile, celle-ci qui nous accompagne : suivez mon regard. Je suis homme qui chante-cherche son allant de vie ici (dans lke sang) et qui va loin, dans des directions de vie votive, allons-y! Nous parlons pour ne rien dire dit-on mais cela est faux sur toutes la ligne , oui ! pourquoiu ? parce que kle dire vain ou dit «vain» est du dire Verbe, soit du dire plein de son dire, du dire rempli de dires, et ce dire rempli de dires, plein à ras bord, est ce dire de la joie à être (ni plus ni moins) et par conséquent exige le respecrt (de grâce ! ) car il en impose ... de par son allant, sa vitessee, son rendeme nt, l’accumulation, le recueil. je tombe ici car je suis frragile, je suis sous empridse. Je tombe ici car mobn corps chancelle vite. Il est corps émis./ IL est ce corps de la foi en l’être du dire de joie contenu en soi comme une bête?; J’avance donc je suis. J’avance dans le dire donc je suis, je suis celui-là qui vais là-bas loin en bout de phrase = tout au bout cdes choses à comprendre, incessameent. jhe ne suis pas chiche de quoi que ce soit. Je suis enclin à me placer ici pour comprtendre = en ce lieu monacal, prêtral  pour ainsi dire, ou prairial ? pour le dire autrement ! JE pense donc je syuis cet homme ici qui tire le rideau. je suis homme des bois et des landesz, chevreuil de ma rage, animal monté à l’occasion, bison des prés à houpelande ou comment ou squoi d’autre ? une biche venue tout

 exprès des bouts du mondee pour nous parler ? un chien eznragé ? une douceur de biche racée qsui s’en vient vers nous nous parler en son langage de fée ? qui est-elle qui nous regarde ? je veux (voudrais) le savoir, nom d’une pipe ! je ne partirai pas d’ici (logis) sans le savoir ! car, il en va de mon salut, de la reconnaissance à moi offerte, ou de reconnaissance. il en va d-’une possible reconnaisszance à mon endroit, voilà. il en va pour moi d’une sorte de reconnaissance. il est pour moi ici chose d’un dire vif, qui est ce dire commpe quoi le nom de la biche importe beaucoup et pèse dans l’esvcarcelle. comment s’appelle-t)-elle ? quel est le petit nom de cette bête ? comme,nt se nomme-t-elle dans sa vie ? je suis cet homme re-ncontrant biche et cgherchant à connazittre son nom de pasdsahge. je veux comprendre la raison qui préside à pareille venue jusqu’à moi et ne partirai pas tant que la chose ne soit pas réellement poszée,; c’est à dire à plat. je veux que les choses soient dites et bien dites soit en toutes lettres. je veuxc cette chose d’un dsépot de soi dans le sang; qui sezrait dz»pôt de soi à même le temps du dépôt. Je creuse la terre. fautil creuser loin ? qui est icvi l’êztre du chant choral ? suis je cet être ? comment faire pour savoir ? qui a parlé de misère ? qui va me répondre ? puis-je entendre cette personne cde mon vivant ? que vais je devenir ? que suis je en vérité qui vais dans la roche m’immiscer ? que serais-je après ma mort ? qsue sezrais je apreès moi»»»» ? que vais-je ^etre «après moi» ? suis je sensible ? la mort m’intéresse t-elle tan,t que ça ? la mort en soi a t elle un intéret de roi ? squi est qui dans pareille demeure de choix ? je sais plein et c ependant quoi ? Je cherche à comprenxdre ce qui est danns ce qui se voit, mais ce qui se voit intéresse peu qui dit peu et dit fou. je ne suis pas à la recherche d’un dit fou pour un dit fou. Je suis à la recherche c’un dit fol ce qui n’’st pas la même chose on en conviendrea.  Le dit fol, face au dit fou, a cela de particulier qu’il n’est pas de rage, qu’il n’est pas ce dit fou «de rage». Le dit fol n’a pas la ra ge, il a la hargne mais pas la rage. Il porte en lui hargne et volonté, hargne et vivacité, hargne et ténacité, mais pas obligatoireme,nt la raghe . Ou SI ? Aussi ? ah oui ? Peut-être. Les mots sont coquins. les mots ont vite fait d’induire en erreur. Les mots parlent à tracvers nous et disent bien xdes choses qui ne manquent pas de nous tropmper et de nous échapper. Les mots font fureur. Les mots ensemble font fureur et chassent les betes, celles de rage dure ... ou les autrezs bpêtes, de rage moins dure; 

tout mot qui se respecte cherche une voie. tout mot cherche voie de base où se déposer pour une offrande. un mot est un dire qui file, vitesse maximale, et cherche à comptendre le dû, ce qu’il est pour soi, ce qu’il signifie, et la hauteur pour ainsi dire de son être en tant que tel, soit le montant de cette chose à être. Je chante. Il se peut  que ce chant soit ici ce dû dont il est question. Il se peut à) présent squ’icelui ait quelque chose à voir avec ce dire d’un dû dépôsé, déposé sur roche comme l’a nimal . l’animal enragé ou pas mais dessiné par x  homme des cavernes ou femme des cavernes, c’est compris. je pè!se les termesq. je cherche une sorte en moi de «gouvernance parallèle». je suis en moi (ici bas) à la recherche d’une «gouvernance pa rallèle», à la recherche d’une sorte en soi de gouverne auttre que celle-là qui est , pour moi(tétière) celle qui me voit me vautrer souvent, sur roche et aillleurs, comme un chenapan trébuchant, or non ! Je ne suis pas  ce chenapan. je suis en tout bien tout honneur un êttre respectable, au pire, et ... vivant le pl;us, au mieux.mon coeur bat,; misère ! entendez-le qui dit sa cxhose coutumière d’un éla,n vital dans le sein des seins monacal. Suis je en vérité ? un être des temps déployé . incinéré ? pas encore, mais en moi au juste il y a ce feu diurne, cette inflammation brute et brutale, qui fait ou qui font cde moi  c et être de joie (joie brusquée) qui fonce fissa dans la masse . vivement que la cghose soit  et qu’on comprtenne ! vivement que soit icelle et qu’enfin on sache ! vivement que la chose ici advienne et qu’on puisse aller vers icelle, sans dommages de quelque sorte qUE ce soit, car, nous voulons vivre vif = 

vivant tout du long et même après le mort s’entzaend. pour nous qui sommes vivants, en vrai la mort «en soi» n’a pas de sens, car, la mort est un lieu-dit ou tout comme, et de ce fait (tombeau des peaux) est à pensezrccomme  une chose qui est volatile comme un oiseau. je veux cerner l’oiseau mais va cerner l’oiseau. Je  veux cerner le chant, mais va cerner le cxghant, je veux cezrner le  coeur mais va cezrner le coeur. Je veux cerner la trinité mais va donc la cerner, ou va à (soulign»é) la  cerner ! . Car, la trinité est une chose difficile à concevoir et donc àà cerner. car, la trinité est  cette chose d’un devant de soi (devant d’apparat) et n»écessite une étude profonde (approfondie) et un szouci majeur, une sorte de souci majheur à bien comprendre ce que c’est qu’une cghose «tri». Je veux comprtendre x chosesz, mais la tribnité... je veux bien (de fait) comprendre x choses, mais la trinité... ce n’est pas donné. Je suis homme quyi veux aller loin, et  cerner loin et m’investir à fond dans des recherches «qui le font» (c’est dit) mais en cvérité, la mort, en soi, n’est pas la queswtion. car la mort est du dit vain, est du dit qui la ramène mais cache son dû. Je suis celui-là qui cgherche loin des données profondes et s’en vante fort ou à tout va on le voit, et cependant voilà autre chgose, cette chose comme quyoi mon coeur b at «sans moi» pour ainsi dire, et de  ce fait  ce «moi» tant déposé, tant dit, tant prononcé, est une cxhose comme secondaire à un  état de fait ou de siège

. le est le comme la est la, et le moi tout con, au bout du co:mpte, qui compte peu dans une allure ou un train générale (ou général). Je syuis homme qui, en lui lmême, contkient très certainement des données de base à mettre en lumière, ou sinon quyoi ? le Verbe divinn est ce Verbe en soi ... qui cherche à aller loin .... dans la connaissance du dicvin ... qui est ce divin de la mort à l’oeuvre; car ici ce qui est qui compte est cette  chose, comme qyuoi ... le dire divin et le dire de la mort sont (en quelque sorte) unis (comme main dans la main) en cette cxhose d’une sorte de «fibre de foi». nous avons à penser c-ela. KLa foi = la peine, ramenée à une sorte de fibre souterraine en soi. La foi est cette chose d’un ancrabge quasi magique. La foi est inhérente à la nature humaine et, aussi, ne se discute pas, car, 

elle est la discussion pour ainsi dire à son sujet, elle eswt ... toout le dire en entier ! elle est cette complexité du dire ... en entier = vie et mort mélées dans un dire fol (fou ?) qui dit (dirait) sa Chose crûment comme dans la nuit des mots contrechastes. je pose mes conditions, je dépose un dire appuyé, je valide, c’est fait. je connais toute l’astuce car je suis pas né dhier et je vois de près (depuis un long moment à présent) ce qui se trame. je suis homme au cerceau, et au flutiau. je jhoue de la musique. Je jhoue de la musique des attraitsq. je file fissa vers un endroit où pouvoir jhouer la musique des attraits. je cherche pareil endroit par exemple dans les prés. Je cherche endroit où me poser et jouer de mon instrument de colère. qui m’écoute ou m’écoutera comprendra. Je m’avance à pas co:mptés, je chemine, je vais de l’avant, je suis celui-ci qui charge son devant de soi animalier comme une musette et v

 as-y qu’il chante ou chantera sa romance doucereuse, cha rmeuse, d’homme qui induit des dires, colporte et cherche à (de fait) entrainer après lui. mon corps est ce corps de base racé. je colporte des dires soit ici sur roche soit là bas dans la mort dite «du verbe ancré». je ne suis pas en reste de colportezr que tu colporteras des dires de joie et c’est exactement  ce que je fais depuis le dé but : je colporte, j’entérine, j’avalises, j’adoube, je prends dans ma gourde, je pose la chose à sa place de choix qui est place xd’un devant de soi dit «pariétal» (homme je suis qui dessine l’aurochs et le bison des plaines).HJe  cherche au loin les données de base ici censées pouvoir toutes guider ma gouverne. Ces données ont à voir zavec une fibre, une des fibres qui sort de ma bouche, de mon «trou percé» ou commênt le nomme-t-on ? Je vais et je viens à même la lande et voit ce qu’y s’y trame incidemme,nt. Le coeur de la bete en moi fait rage (tic-tac) à même le xsang déposé. Je fonce corps et âme. Le corps (comme le temps) au singulier comporte un s qui en fait l(attrait ou comment dire, cette chose d’un plus, de signification commune, affiché. je tombe sur un os. je suis tombé. je vais dans la roche et ml’y loge un temps donné, le temps donné est don de soi mort. Je suis homme des parades, des cavalcades, des sorties diurnes. Je file vif vers une chose qui, chose, me regarde $longuement, posément, pertinemment, nonchalmamment de ses yeux clairs, de ses yeux profo nds. Je voiis cettye bvete , cettye bete qui me regfa

rde, je vois cette bête. Elle me regarde longuement. Elle me connait? elle connait mon nom. Elle sait qui je suisq, elle sait parfaitement bien qui je suis et comment je m’appelle. Elle sait quelle personne je suis, ce qu’est mon être. elle sait ce que je suis. Elle sait ce que je suis en vérrité. la bete   me connait de fond en comble. La bête me connzait parfaitement = de fond en comble. la bête en moi xsait pertinement que je porte un nom et que ce nom est d’une importance capitale dans l’affaire (de la vie et de la mort) qui nous occupe présentzement. la vie est une chose, la mort une autre, le nom porté encore une autre qui semble chapeauter le tout. Je regarde au loin les données de rage. je suis homme qui, au loin, regarde les données de rage et se dépose , ici, sur pierre tombale, lui même, comme un être assoupi (tombant de fatigue) trouve sa litière ou sa coucxhe où il se trouve (trou de base). Je collecte. La main qui me pousse a des ramifications (nerveuses ?) dans kle sas des sas du monde adjacent et cela est à considérer cde cprès. La main des origines est btrès-liée (pour l’écrire ainsi) à la vie de base rugueuse du monde vécu. il faut voir cette cxhose ici comme quoi, la Chose du temps est an,crée. La Chose du Temps a des ancrages dans le sas des sas de la réalité du monde vivant. Le =monde vivant est le monde des tourments et des peines de tout ordre  , et la vie cd’(avant comme la vie cd’après est ancrée, les deux sont ancrées. La viee d’avant dans le BVerbe des présents, la vie d’apres dans le verbe des avenants. Nous trouvons en passant des choses à noter et  ce sont choses de la ra     ge indyuite en son sein en propre. ces choses

 ont à voir avec la vie vécue. la vie vécue est une chose rosse on sait cela, à vivre de conserve, à ne pas méconnaittre, etc. une chose ici est de penswezr, une auttre chose est de passer du gtemps. Les deeux choses s’entremêlent bpour former ficelle, jeu d’enfant, caricature cde  cie vive tourmentée, colère intrinsèque. je suis l’homme fonceur donneur de  leçons, ou bien quel homme cherchant sa chaise . son lit ? son habit ? son toit ? qsui irait au loin trouver pitance, chargement et nom de base. je v eux être l’homme des paroles glissées en lui comme pâr la bande, et qui se borne à relever les dires (les uns après les autrrees) comme ils vienneznt. Je suis homme et femme tourmentée dans une sorte d’enclave à être. Mon nom est Personne . Mon n,om est-il Personne ? je suis cet homme des passagves renouvelées comme fait la vague. Qui a cru que je m’arrrêterai en si bon (long) chemin ? qui croit en ma bonne étoi;e (sur moi, comme une lampe d’appoint) : qui est celui-ci ? Je vais devant moi et regarde de plus près les données de base (déposées par qui de droit = le cheval ? l’aurocxhs ?) , et je me rapproche délicatementb, pour humer. Le cxheval sent le cheval. L’aurochs sent l’aurochs. lkes deux sentent fort leur animalité en propre et les deux me parlent concomittatament. les deux me   disent de voir à penser la chose du temps comme à quelque chose de tourmenté et c’e’st ce que je fais depuis le début donc acte (on dira cela) . on dira cela (acte) comme quoi je suis et je ne syuis pazs. je suis l’animal en moi et ne suis pas moi en tant que tel. et aussi : je suis moi en tant que tel, Et ne suis pas cet animal en moi. Je suis, et je ne suis pas. Jke suis cet homme de la foi , et ne suis pas la b^ete de rage en moi. ou bien je suis pareille bete, en moi, de la rage à être, et bne suis pas ce moi de pacotille («bling bling» et racoleur ?) que j’ai cru (un temps ?) être... ou pas ? car, l’etre en moi va fissa et ne s’embarassee pas cde choses de trop , comme : museau, cornes, sabots, etc. JE cherche à être au plus près l’être. je regarde les devants et ne vais plus trop en arrière car j’ai à faire. Les données du mo nde m’incombent. ou disons que lkes données du monde sont à explorer par en moi cette bête cachée qui renâcle tant et plus, que j’ouvre la bouche en grand et la voilà qui sort de moi et va fissa donner son dû et dire ce qu’elle a à dire  crûment = vif = sec = rapide = à volonté. Je suis sur un monticule, je suis monté, je suis assis ou debout mais fier. je regarde au loin le paysage offert 

 par les alentours : landes à perte de cvue. Je vois 

dans kles prés aller et venirv grand nombre de :mes congénères. je suis dans la vallée l’être en surplomb (pas peu fier le monstre !) squi mate que tu materas partou (droite et gauche) et vois ce qui advient de pareiile contrée habitée par des bêtes. Je surplombve et décline mon identité. Je suiis ... M le Monstre, chenapan de ma colère dite, chenapan ou garnement de ma colère dite = prononcée à haute et ddistinguable voix. je m’appelle ... de ce nom de rage frappé = Aurochs «de la roche du coeur». Mon nom s’écrit de la sorte : Au Roc, ou bien Aurochs, selon votre propre degré d’excellence ou de compétence en matière d’otrthographe (les deux sont possibles) . je mate au loin, je renifle, je sens ce wqui est à mes na rines. Je suis cet homme au nez  fin. je veux être un homme qui comprends les choses dfans la profondeur des tracés. Je regarde les pârois du monde et tente incidemment de cdéchiffeerr ce qui est inscrit, et semble avoir à nbous dire des choses sur ... la vérité des temps, des êtres du temps, de la vie et de la mort des temps,  de ces temps qui sont temps reculés. Je suis en quyête d’une vérité ... de poids et de charge. Je ne veux en aucun cas tomber à la renverse or, :me voilà qui à nouveau tombe à la renverse, que faire ? je suis l’homme des désirs (peut-être ?) rezfoulés et qui cherche et chercbhe encore à les amener sur un devant de soi (... monacalk ?) qui , pour ainsi dire, les prenne en main et les prennent bien et les chouchouttent et les ... quoi de plus ? je regarde ce qui est de ce refoulé (ou sorte de refoulé) posé / déposé devant soi comme prsésent offert par la bande, et ce refoulé (anc-ien refoulé dès lors) , est comme pris en charge diligemment par devant soi l’être de garde qui conçoit la chose comme ici à devoir être prise en compte = oui, chouchouttée un tant soit peu, c’est à dire (ausssi) un tant soit peu considérée. Car, le refoulé de branche est un refoulé qui a à être cajolé un temps, avant d’être (pour le coup) replacé dans son propre environnement.. Nous devons veiller à comprendre ce qui est ici d’un refoulé, ou sorte de refoulé, qui serait déposé vdevant soi comme une charge. Il faut 

y veiller. Il est nécessaire de veiller sur lui et de ne pas le bousculer de trop, de veiller à lui, à ne pas le déplacer ou le bouger de trop. Il est bon de veiller à le poser docilement, doucement, et gentiement. nous devons veiller à déposer ici pareil refoulé avec les précauytions dx’usage nécessaire à un vrai développement d’icelui sur roche (aurochs = au roc) en bonne et due forme car le refoul:é est un animal, il peut mordre, -il peut tenter decv s’échapper, il peut faire du mal, ilm peut ne pas voulopir jouer le jeu du je en l’occurrence et filer dru sa haine contre soi, contre celui-là que nous sommes en vrai en nousd-mêmes. nous posons le refoulé, lm’écarté à même la roche du temps. Le refoulé en tant que tel est tel l’écarté : une chose de peu, plutot fragile, limite débile au sens médical du terme. v eillons ensemble à ne pas l’effrayer et veillons sur sa gouverne animalière. Il s’agit ici de comprendre cette chose, comme quoi 

 le refoulé ou l»’’écarté de soi, est aniumalier, est une voix, est une voix animale, une voix déposée, est une voix qui (de fait) est déposée... comme un animal est cdeposé ! c’est une voix, c’est la voix de l’animal en soi, c’est cette voix en soi d’une bête de poids. Le refoulé ou l’écarté de soi un temps, revient sous une forme qui est animalkle. verbe haut de l’animal de choix. le Verbe est haut qui singe l’animal de choix. le verbe en soi de l’animal de choix est là devant soi comme le dû qui est ou serait celui-là que nous avions ensemble à devoir (depuis longtemps) transmettre de visu. je suis l’homme qui transmet un dû qui est le dû de la rage à être. je suis redevenu. Je suis revenu transmettre. Je suis revenu <—> redevenu transmettre. je suis revenu tantot pour transmettree icelui (dû dû) et déposer pareille charge ... sur une plaque, table, devanture, où meettre son nom adjacent , où donc mettre avec (le dû de la charge) le nom adjacent à une vie, à une vie sur terre, en tant que ... vivant la chose réelle. Je suis homme des bois, chevreuil, bison,; bete sur terre, quatre pattes pour un fond de course, une bete des avants et des arrières,; qui va et qui vient ramener son groin, ses cornes princières, son sabot de traine, sa crinière ou sees ergots, bete des rêves ... ancrées dans la chair de la chair fraiche ! bete outragée, bête des bois jolis pour de douces promenades et des parcours-santé «de premièere». La bete est en moi comme bete des bois de la rage à)à être. Je suis je le fils des rois. Je commande à pareille fête, je suis roi moi même dans un cercle. je tombe à la renverse.

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3/2/2022

Je suis homme des bois qui va cherchant au coeur de la forêt la vérité des vérités. je suis cerné, des bêtes me matent. je suis un homme maté. Je suis cet homme des bois maté qui cherche que tu chercheras un semblant de vérité. je m’avance nonchalamment. Je vais loin en pareille contrée. je suis homme-cerf , homme-bête aux allures fières, homme de la lande et des forêts. je vais et je viens en pareille contrée à la recherche de la vérité sur les choses du monde. Je suis parmi les miens. je suis homme au milieu des miens et je cararacole, je file fissa parmi toutes ces bêtes (bêtes de bon poids) qui sont mes soeurs de sang et qui me regardent. Je suishomme-bete qui s’avance et meugle et beugle parmi x bêtes autour dee moi, qui sont soeurs de colère et aussi d’effrooi. je suis cet homme au sang chaud, qui file fissa au milieu du troupeau et caracole et fonce et tourneboule et y va de son allant rustre, meuglant et beuglant d’aventure. Je regarde autour de moi et que vois-je ? des betes rustres et rosses, soeur de paroi, des amies fidèles

, des betes de dieu, des amis de tous les jours, des betes qui foncent fissa à même la pierre . qui je suis pour être parmi ellles sinon comme elles ! je suis cet homme aux allures fières = fières comme tout = (une sorte de) malotru de lza bande, chenapan, sacripant, un coquin de sort sur ma propre figure d’homme-bête de céans. Je veux comprendre dans les profondeurs et pour cela je me dois de fouiller fissa la langue (ce patois de base ?) qui me constitue de grâce. je suis à fouiller ainsi une langue, langue d’aboiement, de japissement, de glougloutement et autres cris de bêtes. Je suis homme-bête du sérail et vais sur roche ainsi, comme une effigie : je regarde, j’observe, j’ai les yeux tout écarquillés, je n’en loupe pas une, je suis ce dit «voyant docile», cet entre deux, cet homme entre deux feux , entree deux betes de poids, entre deux parois, entre deux volontés de choix à faire,, etc. Je suis cet homme entre deux volontés et je vois devant moi

la chose des bois, qui semble vouloir me parler, elle me regarde, elle est dressées, elle est devant moi comme aux aguets et cherche à me parler . Il s’agit d’une «belle bête» comme il est dit. Je suis son valet de roche, elle est là pour me parler, elle cherche l’instant, elle me regarde. il s’agit d’une bête de poids, d’une bête lourde, d’une bête comme il en existe sur les parois, il s’agit semble-t-il d’un cerf de  céa,ns, hautain, royal ou princier, au port altier, au port digne, au port majestueux. Il s’agit d’une «belle bête» du sérail, cerf de la plaine et des sou-bois. -IL s’agit d’un cerf de prestige, et je vais pour ainsi dire à ses devants pour toucher sa pelisse . Qui est-il pour moi ? un père digne ? colère ? homme des parois du monde ? qui est il devant moi pour me regarder comme il le fait incide mment.. Estil dans une colère sombre ? est il heureux du sort jeté à sa race brune ? estil de ceux qui rêvent à jamais d’un meilleur sort pour une vie sur terre ? qui est il qui me mate de près et semble vouloir me parler par la bande . Il est grand voire géant et en impose grandement (méchamment ?). Je regarde ses bois, son port, son allure. Il est pour moi ce cerf de la base et du sommet des choses de la vie. Il en impose cvomme jamais. Son allure est magique ou tout comme. Il est vif et droit dans ses sabots, ou sur ses sabots qui tintent sur la pierre dure des rochers. Il est le cerf-homme des attraits. Il est comme un seigneur de race. Ou de rage aussi bien : seigneur de sa rage folle, aux aguets, me matant comme jamais et cherchant en moi l’interlocuteur de choix (qui sait ?). Je m’approche d’icelui quyi ne recule pas . Qui est il au juste ? réincarnation

 de qUel être antérieur à lui ? peut-être est il homme des bois comme moi et cherche t il ma compagnie pour cela, comme un qui trouverait enn quelqu’un d’autre un frère de sang, un frère des temps passés, un qui fut pour lui à son image ou bien lui, était à mon image un temps passé, qui sait ! car je suis pour lui l’eêtre du sang  abordé, qui va vers lui vitesse grand v à la revoyure ou quelque chose d’approchant. Je veux comprendre chez lui ce qui est qui bout. De quel sang se chaudffe t il ? de quel bois va til fissa ? de quels muscles est il constitué au deumeurant ? Je cherche à savoir. Je tant voudrais ici savoir sur pareille bete des bois et des forêts . Qui saura me dire toute la vérité rien que la vérité ? qui pourrame donner les choses à savoir ? qui est pour moi la bienveillance même ? qui est là pour moi ? et qui n’est pas là pour moi ? Qui est là pour moi, qui cherche à me dire des choses, à me parler à voix posée, à s’approcher de moi par la bande, à me comprendre et à m’écouter volontairement : qui ? ici je ne sais. Je cherche assidument et assurément. Je veux ou je voudrais comprendre et savoir. Je suis parmi ceux et celles qui cherchent un savoir, un savoir profond. Je suis parmi ceux et celles qui ensemble (de concert) cherchent à comprendre ici bas les tenants et les aboutissants des choses du monde. Quoi est il ? que est le monde en vérité ? est)il lisible « = compréhensible = dicible ou rien du tout  ? la science est là pour dire sa chose et faire entendre le son de sa cloche. ici je suis parmi mes congénères (aurochsrassemblés) et je vois la chose d’un certain eeil qui veut ou voudrait y voir de visu dans la profondeur, c’est un fait. Je 

veux = je voudrais : comprendre, c’est à dire prendre à pleines mains et m’en pourlécher les babines à satiété et de contentemen,t . je suis homme des bois à la recherche d’iune vérité «profonde», et voilà dès lors la chose que je veux compre ndre, qui à moi est à comprendre ou comment dire : qui se doit pour moi d’être comprise . nous tournons autour (musicalement parlant) de la vérité des choses, car nous sommes musicaux / musicales de base. En nous gravite le chant des oiseaux, des biches, des serpents, des betes diverses. Nous disons chantons permanemment = nous tournons la terre glaise, nous tournons comme des affamés de première, nouschantons-tournons comme affamés du bois joli, qui cherchent incidemment, continuellement, en virevoltant, à comprendre et attrapper , qui une sentence, qui un phrasé de vérité.Je suiiis homme des prés à la recherche de la vérité des choses adjacentes à un corps de chair et de sang (le mien en l’occurrence) et je vais et je viens (je virevolte) comme un animal des roches, ici et là au même instant (quasiment) tant mon allure est vive, ma parole dru, mon port princier, la vitesse acquise avec la marche, droite et debout, comme un ours en furie, comme un yéti, comme un singe du paradis etc. Je suis cet homme-là qui ici caracole de fait car en lui le feu règne qui le pousse à dire, virevolt de première = temporel = fatal = fatalement temporel = vif comme l’éclair. je veux dès lors (tournant que tu tourneras) toucher à cette chose de la vérité fuyante dans les entrechats et les entrelacs, essayer d’y voir un petit quelque chose de vital, de sûr de chez sûr mais rien n’est moins sqûr ! Car quoi ? car, je suis celui qui dans le temps développe pour le coup son phrasé de base sanguine, il est là pour ça. Je suis l’homme-chien, ou bien l’homme-cheval, ou bien l’homme- buffle, ou bien l’homme-bison, ou bien l’homme-aureochs des bois et des plaines. Je cherche à qui mieuxmieux à me rea pprocher d’une base fiable, pleine, compacte, certaine, assurée, dure de chez dure, dans la langue que je porte en moi indécrottable et qui constitue le fond de mes pensées. Je veux savoir vite et bien ce qui est ici, en cette zone aux bêtes de poids, qui y a til à voir de si important ? je veux comprendre dur et pouvoir retranscrire fissa toutes les donnhées, données récoltées par la bande par moi. Je suis homme des recherches pleines, des recherches menées à vif tambour battant. je suis hommes des recherches menées à l’emporte-pièce

 ou autrement mais toujours dans la joie de me pencher fissa sur pareil sujet de contrebande. Je colle à la chose. j’essaie bon 

an mal an de comprendre. hj’essaie de me rapprocher d’une ou d’une autre de ces vérités qui comptent, ce qu’elles sont pour moi, ce qu’elles sont pour moi m’intéresse, ce qu’elles recèlent est du pain béni. je veux creuser dans la roche du temps = dans les profondeurs des choses de la vie et toucher (à ma façon) la chose vraie qui semble ou semblerait être une chose rude mais avérée. Je ne veucx pas laisser tomber de sitôt , car mon but est toujours (ou encore et toujours) de toucher (soit de toucher à vif) le coeur d’icelle «vérité musicale». Ou sino n musicale quoi ? car, il se peut ici que la chose à dfevoir comprendre (via le temps et donc la musique) soit chose «sans musique» justementt ! soit bloquée ! ou comment ? bloc de vérité sans temporalité ! autre mesure ! et nous de tournebouler que tu tournebouleras comme un musicien de campagne , au flutiau du bois joli, chantant par moments sa romance, oh le gueux ! Je tourne autour ici d’une chose rude = compacte : de l’autre côté»»», qui me regarde ou me regarderait comme le fait l’animal meuglant, mâchant son herbe, ou tapant du pied. Je suis cet homme tournant autour, comme un forcené de sa race belle, il cherche à comprendre au mieux les données du temps, il cherche vif à mieucx cerner les tenants et les aboutissants des choses du monde. QSui estil pour essayer pareille chose ? SQue veut-il nous dire ? que veut l’homme des bois ? qui suis-je que je ne suis pas ? qui et quoi suis je en vérité ? le temps est un déroulé pariétal (et paroissial) qui en impose musicalement et dit sa cghose rude , qui est : cette chose ici, comme quyoi la vie = un déroulé, mais la vérité est une et hors du temps ! je tente l’approche : un aurochs ! oui pourquoi pas ou alors quoi d’autre ? je chezrche continuement à comprendre lkes données de base et cela qui serait pour nous comme de l’ordre de lka vérité des choses du monde = hors la musique des profondeurs ? hors ou en dehors d’un temps déroulé comme une fibre ? hors d’un éventuel déroulé fibreux pariétal ? hors la paroi et ses émoluments ? que sais -je ? je cherche à comprendre à ma façon peutêtre malvenue, voire mal menée et cependant je cherche, je ne cesse de chercher à même le temps, à percer la roche = traverser , et mieux y voir de près , ou à mieux cvomptrendre de près ce qsui est et ce qui semble ne pas être. Je suis cet homme homme-animal chargeant la roche. je suis cet hommefou ou fol, qui fonce fissa tout devant pour une approche des choses du monde dans la vérité de leurs évolutions et autres circonvolutions. qui pourra m’aider à comprendre ? qsui pourra me dire ce qui est en vérité ? la mort est elle au bout du bout du monde ou seulement «à moiti-é» ou comment ? La 

mort est elle une entité personnifiée ou rien du tout ? quoi nous attend de plus ? les mots ont ils raison d’être ? très certainement ! Les mots ontils raison d’être pour nous, hommes des contrées humides, vivables, etc? très certainement ! Les mots ont ils raison d’être, pour les hommes des parois et autres roches et rochers rupestres ? assurément ! car le mot est là qui bloque écoutilles ! il est là pour ça ! il ne s’en laisse pas conter(à savoir : par la mort à l ‘euvre) c’est un fait ! Les mots sont cette cghose en contre-bloc, qui sert à ça, à contrecarrer l’adversaire, cette chose rude des devannts à soi, ce monument de lka mer morte, cette charge contree soi qui plombe etc. je veux dire ce qui est. Je tourne autour, dans ma farandol;e. que faire d’autre en vérité quyi puisse nous aller ? nous sommes ainsi motivés, nous nous motivons de même, nous nous motivons par là même ou nous nous motivons de biais ensembkle ou comment nous motivons -nous ?Nous sommes tous et toutes, toutes et tous, de la partie fine. Nous sommes toutes et tous, tous et toutes , de la partie fine. Nous sommes ensemble pour une partie. nous sommes aimant, nous sommes qui aimons aimer. Nous voulons nous rapprocher d’une vérité de base, vérité des vérités de base. Nous zavons pour nbous cette chose en nous d’un vouloir qui est vouloir d’approche, d’approche de la v érité des choses du monde ! NoUs voulons savoir ce qui se trame au sein du monde et pour ce faire rien de mieux en vérité qyue de crever l’abcès, et musicalement de préférence, munis de sa clé, etc. Nous savons, nous comprtenons, nous savons que la chose est rude. Nous savons que telle ou telle chose est rude et dure à cerner ou piger à la dérobée. comment s’y prendre pour bien aller, ce n’est pas facile de trouver !dès lors que faire ? où aller ? en quel lieu nporter ses guetres , ses mitaines ? Nous cherchons assidument et à plusieurs, c’est à dire à tous et toutes et à toutes et tous autant que nous sommes. Nous voulons comprendre loin, et aller loin dans les profondeurs des données existentielkles. Qui va pouvoir dire à nous la vérité vraie des choses du monde = ce que c’est que la mort en vrai etc. Je suis l’homme cherchant pitance. je veux savoir. Je veux qu’on me dise. Je veux apprendre 

des chose, je veux en apprendre, je veux aussi en avancer. Je suis homme ici

 qui cherche à comprendre et à savoir les choses du monde : ce qu’elles sont pour moi, pour tout un chacun quui va dans la vie à la recherche de données fiables et sur quoi pouvoir compter sans plus de trouble. je regarde près de moi. Je suis là près de la bete à presque latoucher. Je suis à ses côtés, elle est vive = vivante. Je suis près d’elle comme jamais je n’ai été : qui est-elle pour moi ? que dit-elle ? que dit la bête pour un être comme moi parmi d’autres bêtes de poids ? qsue veut-elle dire en vrai ? sait)-elle parler ? squi est lza bêtye pour moi ? qui est cetyte bpête en particulier ? qui est cette bête pour moi en particulier ? qui pour moi est cette bête en particulier ? qui est en particulier cette bete des bois pour moi qui suis à ses côtés ? qui est pareille bête debout devant moi à me regarder ? qui est pareille bête devant moi qui chercjhe ou chercherait àà me parler ? sui-je un homme pour elle ? suis-je l’enfant ? suis je dieu vivant comme une gageure ? un monstre de céans, roi -reine ? 

qui je suis ici pour pareille bête des temps refoulés ? Je veux comprendre le refoulement ce qsu’il est pour moi, et aussi ce qu’il,  représente en termes de données de base lié à une véerité ancré&e. Qui je suis que je ne suis pas en définitive. Car, qui dit «je» dit «me» dit «meuh» dit la vache et consoeurs, c’est sûr ! et pour quoi cela ? Parce que je suis vache et veau (taureau ? boeuf charolais ?) : quoi suis je au fond de mes entrailles (ventredieu) ? suis-je un être des przairies de la prairie ? suis je hommechenapan chargeant sur paroi à la recherche d’une effigie, effigie de contre-abord ? qui je veux être aussi ? qui je suis que je veux être ? qui ici je suis que je veux être ? qui ici suis je que je voudrais être au juste et longtemps, c’est à dire jusdqu’à temps que c’en soit fini (de comprendre et de savoir) : qui ? JKe suis homme de la foi en cette chose appelée du doux nom de «mort en branche», etc. Mon coeur est coeur de jar. Il s’agit d’un coeur animal. Mon coeur est coeur de porc, il s’agit d’un coeur animal. Mon coeur est coeur de mulet, de porcin, de verrat, de bête à groin , il s’en faut de peu. Je cherche une parmi d’autres 

vérités de poids, qui puisse en démontrer, en dire long, se positionner, montrer sa chose pconvenablement. Je suis homme au groin, bete-bisque, chargeant sa mule princière à tout va. qui suis je ? l’être fol ! qui je suis ? je suis lk’homme au corps dép^loyé dans un temps donné par qui on ne sait . Je veux aller loin en pareille roche du temps et toucher la v»érité comme d'un corps plaisant devant soi tout à caresser et à aimer pour ce qu’il est. je cherche une donnée franche. Je suis qui va de l’avant, cherchant tout azimuth les choses avérées sur lesquelles pouvoir s’appuyer. je suis homme au sang bouillant, qui fonce, va vif, touche, creuse, commence ici et continue là, va droit devant et comprends les choses crûment lorsqu’elles se manifestent lentement. je suis cet homme aux recherches assidues, cherchant ici et là où poser ses guetres et autres attributs de roche. Qui 

sera pour moi la personne idoine ? que vais-je comprendre à tout ce tralala(à tout ce charabia ?) des choses du monde ? qui me nargue ? où sont mes bottes ? qui a rangé mes culottes ? etc ! je suis là qui cherche ! et ce que je cherche  ou recherche a une importyance à mes yeux considérable il s»en va de peu ! je suis homme des apprets et des décharges, qui (dans le sang) comprend (hum, comprendrait) des choses. A savoir : comme quoi

 la mort est au rendez-vous bien e,n place pour nous. La mort est au rendez-vous fixé et nous attend, de fait, de pied ferme et la bouche poouverte. La mort est là qui nous attend pour ainsi dire de pied ferme, la bouche oueverte, au rendez-vous fixé (préalablemùent fixé) par qui de quoi que sais-je ! Il est ainsi que oui la mort est là au rendez-vous fixé par quyi de quoi que sais-je et elle nous y atte nd de pied ferme et bien attablée. Je suis homme qui(d’un bond d’un seul, voire de deux) va au rendez-vous fixé par la mort. la mort fixe un rendez-vous et nous regarde ici ou là, chargeant, donnant pitance, relevant sa bure grège, montrant ses attraits. Je ne suis pas cet homme-bête là qui cherche à toucher à) tout va ! je file (phil) comme celui-là qui craint l’eau froide des rus de campagne. qui me verra ? qui saura me voir ? qui va en vrai savoir dire à moi la vérité toute nonchalante 

? Je voudrais en avancer le plus ppossible et crever l’abcès. Je voudrais percer et fortune et la chance, et le mal , et la cloque des parois dures, et passer. Qui peut m’aider ? qsui est là ? qyi parle ? qui parle avec mpoi ? Car je sais qu’avec moi quelqu’un parle pour moi ! qui parle pour mpoi et me dit des choses de poids ? qui parle pour moi quand je parle ? le phrasé ? la langue ? le patois ? la phrase elle-même ? le temps ? le temps musical ? la musique princièere ? une chevauchée ? une dulcinée ? une promise ? une promesse ? un chant de la plus haute branche ? une brancjhe ? un écureuil ? un chien ? une betye rosse ? un  cerceuil ? un tiens vaut mieux que deux tu l'auras ? etc! car ici la chose est certaine comme quoi en moi (me) parle x, ou y, peut-être, et pas qu’un peu ! Qui dit quoi en moi ? qui me voit et prend parole ? quyi de moi est la chose assise, ou comment ? en moi ou sur moi, assise ou pas, qui est là ? je cherche une raison parmi toutes celles qui (dès lors) me sont comme propposées par la bande allègre du temps. Je ne suis pas au bout de mes peines. Je sais pertinnement qsue la 

chose est rude , que lke mal est profond, que la vérité est incertaine, les blés sont coupés. Je sais ce qui est de front. Je sais que  ce qui est est de front obligatoirement. Je sais pertinement que ce qui est est véritablement positionné comme chose de fond à devoir creuser, explorer par la bande, si possible par la bande. cette chose est sue de moi qui chercxhe vaillamment et ne s’enn laissees pas (jhamais) conter en vrai plus que ça. Je touche au but , je ne suis pas loin de l’arrivée. je me rapproche posément. Je suis à deux pas cxd’y arriver. Je ne suis pas loin d’arriver à bon port et cela parce que je suis là qui creuse tout du lmong comme mon  nom l(‘indique et aussi comme il se doit en pareil  c as. je suis home qui cherche fissa à tracverszla lande une chose de poids qui puiissee en imposer et pas qu’un peu devant l’auditoire, à savoir devant icelle mort de bonne compagnie dit-on. ou pas de bonne compagnie, c’e’st idem. C’est chose pzareille. Il s’agit de soi. Il s’agit ici de voir à comprendre pourquoi ici la mort, etc. La mort ici est chose pareille = idem = la même = la chgose en tous points ressemblante à une «bonne compagnie» pour soi, en soi ou avec soi. Je cherche et tourne que tu tournezras, on le voit. Je suis pour ainsi dire celui-là qui cherche ici à comprendre, une chose et l(auttre concomitament, et pour cela : une écriture-manifeste, dure d’oreille, colère, fissa-vite vite déroulée comme une temporalité princière, tapis sur lke quai, etc. Je tate des chosescrument et cherche à déployer toute ma mis!ère. je suis homme des temps reculés. JHe fonce à la dératé comme un qui serait lancé par une main assermentée et assurée et sûure d’elle, de son trait, de son élan, de sa justesse, de son savoir, de ses compétences, de son bon vouloir, etc. La main qui m’a ou m'aura lancé en premier est ceklle-ci : main de base. La première main est la main d’un temps révolu. La main première (primaire) est la main du sang (aussi étrange que ça puisse paraitre

 il se fait). Je comprends les choses depuis là = cet endroit de ma misè§re déployée. Jez suis là à comprendre cette

 chose cd’une main

 portant l’êttre, l’être de départ, comme étant celui qui est (serait) né d’une 

volonté. La main prime. Au début il y a la main. la première cghose = la main ; Mais qu’en est-il en véritéé de cette main ? que dit la main ou quoi est-elle dès les origines ? que est la main dont nous parlons comme chose des origines = point de base et des départs multiples, et concomitants: qu’est-elle au juste dans la vérité ? eh bien, la main, vcette main dont nous parlons, cettemain dont hje parle ici, cette main des origines, cette main originelle, cette main première et primaire, etc, cette main n’était pas une main à proprement parler, ni même un bras, ni m^me deux bras, ni même un membre,;, ni même deux membres, ni même de la chair humaine, ni même de la corne ou de la peau ou de la défense, ou de la crinière, etc, cette main était Volonté Divine , Volonté de Rage, Volonté Naerquoise, Volonté Affichée, était Volonté d’un être de Rage, Volonté d’un eêtre de parole crue, de parole drue, de parole forte comme alccol de même ordre, etc. La main dont nous parlons est la main qui préside, est la volonté première, ce «je veux» tant énoncé, ce vouloir de bonne parole et «d’a gréable compagnie» si tant est. la main ici est chose de base, dure et rude, peut-etre rugueuse. Elle pousse à être un temps. Elle débloque les compteurs du temps. Elle lance le mouvement?. car il va de soi qu’un mouvement a autrefois été lancé par on ne sait qui ou quoi en vérité mais c’est un fait. et il est évident que ce fait est capital. Ce fait est très important pour le genre humain. Les choses sont dites ici en toutes lettres. Il n’y a pas à tergiverser ou à faire la moue ou la tête ou à se montrer commme dubitatif outre mesure car lka chose est vraie, la chose est certaine : les mots le disent ! Les mots disent cette chose de «la mort à l’oeuvre», de la mort commandant le petit peuple des hommes et des femmes des Temps. Je cherche que tru chercheras, je cherche assidument;, je cherche à comprendre. il se fait ici que c’est (en vrai) un fait avéré, cvomme quyoi la mort est 

cette chose qui de fait cfommande de base, trie, commence, débloque les compteurs du temps et tout de suite (dans la foulée) s’en repend et nous le fait payer monnaie trébuchante et clinquante. La mort brille de tous ses feux. elle n’est pas de la gnognotte : elle est vive et brûlante-brillante. Il faut dire ici cette chose concernant la mort. Il fauut dire ici cette chose comme quoi la mort est la motrt de dieu, la mort ici décrite est celle concernant un dieu, un dieu vivant, une déité contenue dans les faits, une sorte de déité que les faits en soi contiendraient et conserveraient pour eux et en eux jalousement et bien contre eux comme enfants de rage. je sais cette chose comme quoi la mort est morte à la base. Elle s’en veut d’avoir perdue (via nous) beaucoup. elle est morte 

pour la mort, mais pas morte pour la vie, voilà ce qui est au juste. La mort a changé de camp. la mort à la naissance (à nottre naissance) a changé de camp. La mort est une chose qui à la naissance nôttre, etc, etc. ... et pourquoi cela ? Parce que voilà : la mort est double ! La mort nous mate doublement. La mort ... accouche  dee nous, et, dans un :même temps, nous cherche des noises c’est étrange ! Il se fait ici que pour nous, qui sommes cdeux, nous devons comprendre (l’animal et moi) le pourquoi du comment la mort en est arrivéev là à nous adreesser la parole, une parole de dieu, ou du feu de dieu. Car,  c’est ainqsi que sont les choses. Les mots en bouche appa retiennent à une déité-divinité pascale, il s’agit de le comprendre. Les mots de ma bouche perlent. Ils sont mots de rage tenue = contenue = maitrisée comme la bête conduite à la mort. Je cherche une parade langagière et vais-je la trouver, et si oui ou ça ? je cgherche à comprendre les données de base ici présentes, ce présent déposé à même la table d’offrande d’une vie entière à éprouver. qui me dira  ce qu’il en est en vérité de pareille gageure ? QSui sait ce qui est ? qui comprend les choses dans la profondeur ? je cherche à percer le mystère de la profondeur mais où est elle ? il y a le déployé du temps comme tapis de charretier, il y a ce temps des choses déroulées, mais la profondeur ? ce qui n’’st pas vu va l’être, de fait ! puisque la vie de base eswt déroulé de bawse ! alors la profondeur ? ou donc est la profondeur ? qui connait l’endroit des profondeurs ? non point des profondeurs «de la rage et du temps» mais celles des choses cruciales , qui ? je suis à la recherche d’une vérité ancrée. Je suis à la recherche d(une vérité des 

profondeurs mais en vérité je n’y croois guère, ou disons que je me dis que de la profondeur en vérité je n’en verrais pas la couleur, ou plutot que de la vérité de mon vivant je n’en verrai pas la couleur, parce que la vérité n’est pas de ce monde c’est un fait avéré. La vérité n’est pas de cemonde, ou disons la verité dews»petits faits» oui, qui peuvent s’explkiquer, a + b, mais la vérité concernant la mort (par exemple la mort) soit «les grands faits» de société, eh bien vas-y à comprendre et savoir! va donc hé du petit malin ! va à comprendre long, va à savoir large, c’est dur et malcommode, c’est pas dit et pas facile, c’est un truc et l’autre, etc.! je sais (pertinement) pareille chose et en parle là ! jesais bien que les choses de la vie et xe la mort ne sont pas simples à aborder avec les mopts de la tribu c’est-à-dire en vrai avec les mots de la rage, je le sais ! Je sais parfaitement que ces choses-là sont coton à appréhender avec justesse et avec toute la justice requise. Je comprends très bien cette chose commpe quoi les mots glissent sur les choses comme des canetons sur un lac de base?. je comprtends. Je ne suis pas fou. Je ne manque pas d’air. je suis lm’homme non assoupi. Je cherche avec des mots comme les copains / coppines. je ne suis pas vraiment à part. j’appartiens à une clique. mon nom est nom de peu. à lm’envers il se lit Loopings. on peut croire en moi on peut ne pas y crooire./ On dit bien des choses en moi, on dit des chosesc à part moi, ondira des choses, il s’en dira ou ne s’en dira pas

. Moi = dires. Je conçois. il va sans dire que je le conçois. une bête en moi est une bête en moi qui dit ce qu’elle  à dire, et ce qu’elle a à dire est cela : je suis en toi l’etre de feu qui croit en toi et actionne le foyer de ta rage à être . je suis toi tout autant que toi tu es toi car je suis en toi. Je suis cet être ezn toi quyi te chevauche, obtempère, te guide, va vif et vite, fouille en toi dans la profondeur d’une mémoire ... peu véloce au demeurant , du moins on pourrait le croire. je suis, en toi, cette bpête dees apprets, des attraits, qui cherche à sortyir de toi (fissa, fils, fille)) et meubler le temps de la paroi? Je = me = noeud = cri = christ = char = va nu pied et de la tete au pied= va nu pied = nu de la tête aux pieds = vif l’éclair = le cxharmant des temps des 

reines et des chateaux= l’ami sensible = le tombeur = la vie en ses retranchements. Je cherche une solution fiable, digne, responqsable, avérée, qui puisse de fait déccliner son identité ou du moins nous dire qui elle est en fait de vérité, etc./ Je suis à lka rechercxhe (coutumière) d’une vérité de bon aloi concernant des Faits de Gra nde Vie Allouée= FGVA et c’’st ainsi que je dis cela comme quoi les FGVA sont là qui demandent à être explorés fissa, et voilà pourquoi je m’y emploie. Je cherche  à trouver ici passage, ici = dans le Verbe de l’Au-Delà à soi. Je cherche à comprendre le plus loin possible et le plus possible ce qui est , c’rest à dire  ce qui ici même se construit à même le temps. Et ici cette chgose (construite, élaborée) est du temps de RAge comme il en exisqte en vrai ailleurs. temps rageur (enragé) de ma rage à êtrte ici bas celui et celle -là (les deux je veux) qui savent (sauront) à qsuoi s’en tenir : coque humide. Je suis être au chant choral ici déoployée (le revenant) qui dit ce qui est et qui s’impose de la sorte au sein d’une meute . Je veux être vif. C’est dit. Je veux être coriace, voilà qui est dit. Je veux être ici celui -là qui charge à tout  va et cherche sa voie dans cette rage à être présent, soit le présent, le temps présent, et le présent soit l’offrande déposée au pied de la roche. Je suis l’être mouvant = meuble . A toi à moi ! voilà de quoio dire ! et moi itou y vais chargeant la mule ou le mulet pour une aventure «de poids» soit icelle aventure à même la pa roi des morts, des morts-nés, des morts-vivants, des morts de ta rage à être le malodorant, malmis, malfichu, malconnu, malembouti, malêtre. Je commande : kje commence. Ici nous sommes deux, c’est à dire qu’icvi il y a moi qui suis cet homme des parois toutes menaçantes, et ensuite lui (ou elle) qui est pour le coup cet être de foi (en la mort pour soi) qui est cet animal de bonne compagnie (ou pas : selon) qui obtempère en moi, dit sa cghose via la chose d’un tic tac de base et s’en excusepresque. qui connait tout ça ? qui sait ce qui est ? qui connait les choses du mal ? qui peut m’aider à m’y retrouver sans trop de soucis et sans trop de peurs ou d’effroi ? qui est qui pour moi ? Je cherche à dire des choses de poids mais ces choses ne s’imposent pas qui glissent sur :la base meuble des dires divers. Je comprends mille chose. Je suis à m^$eme de co:mprendre mille et une cghoses c’est un fait mais bon, pourquoi se passer ... d’une petite sieste, et relacher tout?  ou plutot : pourquoi ne pas relaxcher un tout dsans une sorte de ... sieste de base, ici et là, yeux fermés pour la gouvernance, et on laisse à soi venir les paroles de poids si tant est. HJe croiqse les doigts pour cela, car j’aimerais. Je serais fou de joie de pouvoir tracer que tu traceras sans trop être là en tant que moi qui plombe, écrase, obstrue le passage . Fi de moi et gaiement filons à même la la,nde ! une bonne sieste au pied des tourments, nacrés, étoilés, etc. je veux être l’être hors de moi, et cet être (l’animal) lui «tendre la perche» et lui donner voix au chapitre et que l’être parle ou parlât à ma place , ouiiiiiiii ! oh oui je veux ça ! que ça ou cela que ! en vérité ! car oui, jhe suis celui-là qui cherche, qui tourne que rtu tourneras, qui fouille, qui comprends, qui veut, qui va, qui tourneboule dans son pré carré et de prédilection. Qui est avec moi pour l’occasion  ? qui me suit qui m’aime ? hum, peu = pas grand-monde, on voit ça.Et pourquoi cela ? car, mon parler déraille grave, ou : poarce que mon phrasé , musicalement, incidemment, n’a pas de charme et tombe à plkat à tout va ? parce que je suis je ? parce que que ma voix est celle d’uyn rat ? d’un mulet ? qsui veut de moi à la vbonne heure ? on voit que ;les choses sont là que donc cette xchose , comme quoi personne etc ne veut de moi quelle tristesse (pour moi : rien que pour moi, dès lors....). Car, qui dit «soi» dit «roi» de même. Il s’agit xd’une sortye d’échancrure à même la paroi du temps. reprenons nos esprits, essayons d’éclaircir les données sommaires, soyons concentrés. nous voyons ici que des choses sont qui nous rezgardent. Nous voyons icvi que des choses de poids (ici et là) sont qui nous regardent. Nous pensons à une chose et une autre advient dans un déroulé temporel qui conditionne et à chaque fois éloigne. Les propos sont caracolants comme des roues toutes motrices, c’ewst ainsi et cela nous sied qui nous en accommodons par la ban,de. Nous sommes nantis d’une langue svelte. Notre ombre nous suit, et  c ette ombre est la parole de guingois dans notre bouche (une saleté d’étoupe à moudre) .Je sais comme quoi les chosex (de la vie et de la mort) vont bon train. Je comprends cette chose d’un parler urbain, posément gagné, dépourvu de vérités ancrées mais cependant la ramenant, la ramenant à tout va et à tout bout de champ comme des muletiers.. hje sais cette xchose d’un dire de tête,  fort, fort en thème excessivement et volontiers, etcx. Ces dires sont ceux qui se passent (on dirait) de rage, à première vue et sans creuser? or non ! tout dire est nanti (à la base) de rage !tout est dire de sa rage vive, ou plutot : tout dire est dire de sa rage drue et dure et vive colmmme la couleur. je tombe sur des mots de moi rapidesq. je comprends ce qui se trame vite fait. je déboîte au débotté et concède les données qui sont les miennes. je suis un homme des parois dures. Une femme douce à toucher. Un homme rude à co:mprendre de fait. une femme rugueuse

, une arme, une drôle de paroisienne, chevaline, un cheval, une ombre. Je suis ombre-homme et femme juste. Je caresse des espoirs ou comment autrement ? je dis que je suis ceci, je dis icvi que je suis celui-là qui cherche.

 Je tombe à la renverse, en arrrière =. Je dis que je tombe ici :même co=mme à la renverse = comme en arrière et vois défiler le Verbe. Le Verbe est donnée de rage, est donnée de base, est cette donnée en soi (don par la bande) d’un quelqconque ou d’un quelqu’un en soi ou de qui en soi ou quoi en soi-meme qui sait et que sait-il ? dieu de face. que sait il ? qui est il qui sait ? je ne sais qui est qui ici en c ette chose d’une sorte d’abri. Je cherche à comprendre depuis le début mais quel est-il ? où est cette chose d’un début de quelque chose en soi ? qsui pour dire cette cjhose ici ? qui va dire ici cette chgose d’(un début pour des données franches ? squi pour dire cette chose ici d’une sorte de commùencements (lesquels ?) qui seraient du Verbe, qui seraient Verbe, qui d’icci ? je vois près de moi une chose ramenée. Il s’agit d’une chose perklière. Je vois ici la chose déposée. déposée par la ma rée. je vois ici pareille chose ramenée par une vague oblongue. il s’agit d’une coque perlière. Je syuis homme des parois du monde passagher. Mon corps va p âsser. le corps passe. tout passe et trépasse. Tout va qui passe et trépasse. qui de quoi dit la chose en vrac ? je suis cette personne à mon tour oblongue. Je tombe des nues à la renverse;, poussé pzar la mort e,n personne. Je veux savoir quoi , quoi est qui m’atteznd?. JHe suis homme des parois rudes, dures de la chose en soi, parois du dur de la chose rude, qui est chose 

des tourments qui sont choses des dires du monde. Je veux déposer à mon tour : ici paroi, comme une sorte de pierre d’offrande à , de fait, formaliser. Je vois loin les choses du monde. Ici sont lointaines, les choses du monde. ici lointzaines sont les choses. Ici bas sont lointaines les  chosesq. Ici sont b asses et bas les chopses du monde. les choses du monde ici sont bien basses qui se laissent «penser», hourra ! Ici basses sont qsui se laissent

 «penser» les  choses euréka ? jhe suis ombre-homme devenu cheval. Mon cri est l’ébrouement et ... le cri dit «de hjoie». le cheval hennit, la pôule caquète, l’homme pense tout haut et volète. je suis l’ombre de mpoi même, je trafique dans la matière. je veux être menaçant, colère entière, un qui vaut deux dans le genre (c’est dit). Je veux être ici l’homme)-chercheur de base, celui-là qui depuis lui (son coeur-antre) cherche phrasé à la hauteur cdes vérités ancrées mais ce n’erst pas simmple, et le dire ment continuelklement qui est temporel et se doit de fait de pour le coup se dépl:oyer cvomme u,ne  vérité étirée qui dirait son être comme à la cxdérobée mais vas-y. La vérité dite «étirée» n’est pas la vérité mais «l’étirée» de rage, rien de plus. La penséedéployée fait rire au)-delà de là. la pensée (aussi bien le dire) fait bien rire au-delà de l’au delà, c’est dire ! à gorge déployée fait rire  c’est dire ! une belle  tranche de rire ! une de ces tranches que je te dis pas ! etc, c’est dire ! une belle tranche comme quoi...  etc ! c’est dire ! je ris ! je ris de plus belkle ! m’esclaffe tardi c’est un fait ! La pensée déployée c’’st du rire en soi ! c’ewst dire la cxgose ! Penser -= s’étaler de tout son long sur terre-mère ! Penser ou dire (dans le temps dès lors) = s’étaler comme  une sombre merde sur le sol d’une sorte de parade à être vivant. je vois la chose ainsi qui s’étale (de tout son long) sur un sol de grève, c’est un fait indubitablement avéré. Je pose sur moi la

 parade. je pose sur moi (mental case) la parade = en moi, en mon sein. je cherche. je m’esclaffe idéalement de même. Je veux m’assoupir et laisser venir diablotin. cfomment faire ici pour aller plus loin et essayer d’y comprendre plus et plus encore dans ce sas de la rage à êttre ou de la rage d’être  cet hommme de feu, de peu, de meu, etc. cela est qui me concerne : mon ton son nos voleurs. je sui s cet homme là qui cherche une voie par le langage ou plutôt dans le langage = un accès vers un, semblant de dire non hautaibn. Je voudrtais co:mptendre àfond les choses de cela ici qui coince ou coinceraitUne voie dans le langage, non pas ma voix mais une voie d’abord = un abord veineux. perfusion. prise de sang. je veux cette chose (dabord) d’une sorte d’accès de type abord veineux pour une perfusion (ou prise de xsang ?°. Je suis l’infirmier de céans qui chercjhe, et squi cherche assidument ... dans le xsang, le xang des autres incidemment. A prése,nt dans son propre sang. Je chgerche vdans mon propre sang une chose. Je cherche une chose à présent dans mon propre sang. à présent je suis l:’homlme)-bête de joie qui (je) cxherche ici présentement (suite logique) une chose de rage sanglklante (l(infirmier) à même sa rage./ je chercheche le présent (l’offrande) de ma propre rage présente dans un sang bestial. je suis  c et infirmier qui prélève sang de rage et sang de bete en soi, comme l’écume, l’onguent, la graisse, le vil écoulement ou non-vil écoulement de soi à typpe de quoi , de selle ? de’urine vive ? je t âche de co:mpfrendre au mieux. j’ai été cet infirmier qui préle vait le sang ...  à 

l’hôpital, et même au domicile (un temps ) des patients / patientes, petits / petites ou grands / grandes. Le sang est cvette  chose qui contient le Verbe vivant, le VErbe des bêtes de rage contenues en nous qui sommes v ivant et aussi des vivants ou vivantes sur terre. Je sais que la bete pour le coup m’habite dans le sang qui, en moi, vit sa vit de vERbe. je veux dès lors ici dire ceci : comme quoi le xang = la bête des prés qui  me suit paretout puisqu’elle cvit en moi qui suis le réceptacle de sa vie vive. Je suis co;:lère à partir d’elle. Mon cri est son cri. Je suis pour elle contenant. je veux la co:mprendre c’est à dire que je veux coûte que coûte comprendre la b ête en cela qu’elle est ou szrait pour moi une voie d’abord. un accès possible pour une aprrochje possibv;e. je cgherche à comprendre en moi ce que cette bête est. Je cveux au mieux , au plus, au plus vite, comprendre, savoir, etre, dire ici ce qui est de  cette bêzte rosse ou pas , en moi, qui sent sa p^résencxe. cette bpête en moi esrt bete de jhoie dure, rude etv rugueuse, qui en moi toujoures sr’époumone, est colère, ire de joie, ire vive, ire prononcée, ire velue, ire commandant, ire disant la bonne aventure d’une vie-mort à dépl;oyer, incidemment, dans le temps. Le temps est hors. le temps (vraiment) est hors? il est or, et hors. le temps est hors, et nous de dépl;oyer nos choses du ,monde, cdans un déroulé qui mime le temps de par sa cxhose douceureuse ou pas, de par ses attributs de rage à dire, de par son velouté de base animal, de par sa faconde coutumière. ici bassse, ici bas. La roue tourne. Le soleil se lève à l’est. on voit la parole lointaine qui menace. On voit la rage monter. les mots caracolent de première. on sent venir le mal de la douleur à naitre. Il est  cette cghose ici à comprendre fissa par la bande, et cette chose est rude comme la justrice, fine

 fleur de la manche, des branches votives, etc. IL s’agit toujours de la parole meuble, toujours essentiellement déplacée, toujours essentieelement reportée, prolongée, étirée

, dépl;issée comme une fibre. je cherche en mpi-même à bien  cernezr  ce qui est qui se présente sous mes yzeux mùais ce n’est pas simple, cela n’est pas simple du tout ccar je suis mourant et dès lors je risque gros qui peux défaillir d’un moment à l’autre. Je sais cettye chose pertinemment. je sais que mon compte est bon et bien rempli sur cette question d’un dire hautain de naissance, dire de langue autoritairement présxente dans le sas (sas des sas), et voilà pourquoi je  tends toujours à vouloir m’excuser de dire, de parler, d’ouvrir la boite aux dires divers. jE suis autre que je bbveux être hélas. je voudrais tant être différent et parler malin = parler bien = parler reconnu = parler adoubé par la bande paysagère (les malins de rage : ceux / celles qui savent percevoir idoine). je sens cette chose approcher mais pas encore là pour moi, hélas, car mon mérite est grand qui se vautre. Je voudrais co=mprendre ce qui est ici, dee grâce, et comment cela sinon en parlant (ici) à mon tour, des choses qui comptent. D’où .... mon envie de tzenir continument le jhournal de ma féerie, journal

 (journaaux) de type un tantinet (oui-da ?) ésotérico-placide, qui puisse (et puissent) me donbner du grain à moudtre. je cherche un temps de bataille. mon souci prégnant est de chercher ici (le temps) l’enxdroit pour déployer (et où d»ééployer) toute cette chose amoncelée en termes de betes à rega rder, à toucher dyuu regard, etc. La bete a en mpoi sa place à présent consacxrée mais qui reste à situer. je cherchje en mpoi (de moi) où donc la bùete est logée et cezla (cette recherche) est à mener avec sériuex et tact. je ne veux pas déranger la bête. Je veux lui parler calmement et sans l’effrayer. je veux qu’elle sache de mpoi toute la bvienveillance qui est en mpoi à son égard, qui m’habite comme elle (la bête) m’habite. Je regarde deva<nt moi, et je vois la chose se présenter, soit la Chose qui, vue de près, c’est sûr, en impose, c’est frappant. Je sais que cette Chose sort de moi qui la contenait malgré moi. La Chose porte un nom qui reste à décghiffrer , d’où mes écritures. ça viendra. La Chose est vive, elle vit, on sait cela comme quoi la Chose est vibvante, n’est pas morte malghré les apparences. C’est-à-dire que la Chose (la :mort en vérité) n’est pas (elle, pour le coup) morte comme on pourrait (parfois) le penser ou  s’y attendre. La mort porte un nom en p^lus de «la mort» on l’a compris. donc , on peut dire ici que la mort a (ou porte) deux noms en quelque sorte. La mort a pour nom : la mort. mais la mort porte un autre nom. la mort porte ce nom commun dit «la mort» ou «de la mort», mais la mort porte un autrte nom. ce nom eswt à venir. c’est à dire que le nom de la mort , ou l’autre nom de la mort, n’est pas encore là, il est à venir, il est là-bas pour ainsi dire, au bout de la phrase. le nom de la mort est logé à la fin de la phrase, vient en bout de phrase. L’auttre nom que porte la mort, en plus de ce nom (commun) qui la’identifie, est ce nom de bout de phrase, de bout du bout de la parole dite. La mort porte un nom commun (la mort) et un nom propre, qui est celui -là précisement qui se love en bout de phrase comme le point qui ferme ou fermera un dire sur une page. mais pour le coup ici le point serait (sera) définiitif. Le point ici serait l’image de la mort . un point égalerait la mort, et dirait son autre patronyme ou son vrai patronyme, ou son vrai nom, ou le nom vrai qui est le sien, et pas seulement ces mots communs qui disent «la mort» à la place. Je comprends des choses en disant mais eznfin pas tant. car l’essentiel se lloge en bout . L’essentiel des dires d’intéret commmun et crucial, est logé en bout de phrase. On voit ça. Disons qu’on voit ça de loin. les choses justes et vraies à propos de la vie et de la mort ne se laissent pas, de fait, cdéployer si vite, elles  nécessitent bien le dép;loiement c’est un fait, mais elles cherchent toujours à se p^lacer en bout de course, elles vont toujours à trouver place au fin fond des fins fonds du fin fond des fins fonds du fin fond des fins fonds du fin fond des fin fond du fin fond des fins fonds des choses, c’’rst à dire 

des pensées parlées. La chose est à comprtendre ainsi. La mort porte un  nom commmun (celui là notifié dan s le dictionnaire, au coeur de la langue = la langue) et un nom qui n’est pas commun, qui est propre (en propre) et ce nom propre ... n’’st pas dans le dictionnaire. Ce nom, qui n’est pas dans le dictioonnaire, se place toujours, iincidemment, en, bout de course. il n’apparait pas tout à trac. Il est fuyant, il file à l’anglaise ou sinon quoi ? il va au plus lointain des lointains des bouts de pbhrase. On peut ainsi dire ou affirmer  cette cghose, comme quoi la vérité sans temps pour la formukler n’esxiste pas (1) et (2) que la vérité arrive toujours «au bout de la phrase» soit en fin de course. or l;a phrase n’est jamais finie qui se perpétue continuellement et ne cxède pas. la pbhrase est infinie. aiinsi, on peut agffirmer, aussi, cette chose, cvomme quoi le (vrai .?) nom donnée à la mort (par qui ?????????????) n’est pas pour demain. à savoir. n’est pas pour nous pour demain à savoir. le vrai nom de la mort : c’est pas pour demain qu’on saura. c’est pas demain la veille qu’on saura ce que c’est que le dit «vrai nom» donné, on sait pas par qui, de la mort. C’est pas encore pour demain qu’on va savoir en vrai ce qu’est le vrai nom de la mort en plus de son nom commun. on aimerait savoir ce que c’est en vérité que le (vrai?) nom donné (par qui ?) de la mort : quel est-il ? eswt)-il (déjà ) connu de nous ? saurions-nous le prononcer (de quelle langue vient-il ou provient-il ?) etc: alors ? Nous pensons que la chose eswt d’importance, oui. Nous pensons en effet que la queswtion est une question d’importance, c’est indubitable. Nous sommes plusieurs à penser que en effet la chose est de poidfs . Le vrai (?) nom donné à la mort. parce que l:a mort aurait son petit nom. le nom de famille en vérité. un nom de famille, quoi. ou commùent ? il s’agirait de trouver un nom qui lui serait donné ou lui aurait été donné en propre, comme un nom (ailleurs) de famille. Oui. Il se  pourraiot que ça soit ça. oui en vérité, fort à parier. On pourrait en effet penser cette chose. il se pourrait en effet que ce soit ça en vérité que nous devons penser. il se 

peut grandement qu’en effet, la chose à penser, indubitablement, soit cette chose-lkà, comme quoi la mort est appelée commmunément la mort, mais qu’elle porte (en fait : 

portera) un autre nom à un moment donné, et ce nom sera celui porté par qui, par qui ici, par qui vous savez . par qui la mort, par qui ici ? qui porte ici le nom que portera la mort un jour ? qui ici porte nom, que demain portera la mort ? qsui ici porte nom que demain portera ? qui porte ici que portera demain ? qui porte que portera ? porte que portera : porte que portera : on se le demande. on est nomb reux / nombreuses à se le de=mander. on est loin d’être seul et seule à se le deamander. nous sommes une tripottée, toute une chiée, à nous le cdemander. Nous sommes une chiée à nous le demander ici et là.

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2/2/2022 

Je suis celui-là qui voit, au loin, une ombre sur une paroi . Je suis celui-là qui voit au loin. Qui regarde ce qui est qui se présente. Je suis l’homme-bête de céans. Je vais et je viens nonchalamment et regarde au loin ce qui s’y trame de notoire et que vois-je ? une chose perlé ? une sorte de bonnet de dame ? catafalque ? une donnée de base et si oui lzaquelle ? je suis homme-animal de rage et en avance ainsi de mon pas lourd sur terre meuble. De quoi s’agit-il ? d’une sorte de donnée qui serait déposée à même mlza pierre tombale ou pierre d’offrande. On sait les choses qui se substituent et cependant que sait-on au juste ? Nous parlons d’une pierre d’offrande, nous disons la bonne aventure, nous fouilllons dans les profondeurs de la mémoire, nous voulons gravir des échelons comme dans la transe. Ce que je vois est ce que je crois. Ce que je crois est ce que je vois. Je suis l’animal de ce ces lieux, je vais et je viens comme transi de froid. Je suis la bete en moi contenue et je vais ainsi, bon an mal an  à travers la lande (il s’agit d’une vie) à kla recherche d’une cl. Cette clé est celle qui ouvre les portes d’un domaine oparticulier. Je vois devant moi des ombres danser et ces ombres ont des noms, des noms déposés. JKe suis l’homme des parois de roche (de néanderthal»?) mais pas seulement , je suis celui-ci qui de fait comprend et de ce fait prend, à lui, ou avec lui, ou en lui, ou contre lui, ou par lui, etc, des choses de lza roche dure (ce temps imparti) qui sont choses d’un monde ici adjacent au notre. je regarde dans les lointains . je suis l’homme au regard appuyé qui fonce et va au loin cerner ou pour cerner des choses de base et autres données premières, c’est-à-dire de la vie et de la mort . Je suis l’hommbête (bi) chargeant de toute sa faconde un chenal, un sentier, un passage, chargeant passage, chargeant vivement ce passage effilé pour une entrée dans la matière vive de ce Verbe pourchassé. Je file à l’anglaise(comme toujours). Je vais vif sur roche à la recherche d’une clé qui ouvrira «la porte du Verbe». Je vois devant moi des «effluves» ou qu’est-ce ? Je sais ce qui est, il s’agit de choses brumeuses, de choses un tout petit peu floues et cependant réelles comme (on dirait) la nuit, le jour ou autres méfaits. Je suis homme tombé. Je suis cet homme-bête cherchant clé dans l’herbe (cheval) ou bien ... dans les branches de l’arbre, ou de l’arbuste (antilope?), et me voilà qui fonce droit devant (effilé) vers un azur, une roche, un trait, un passage, un mot de ta rage, une vibration, un cri, un christ (?) etc, qui seront pour moi matière à penser, à penser mes plaies, ou bien matière à) comprendre le pourquoi du comment j’ai pu, un jour, tomber si bas et y rester en vrai un temps long tout compte fait. Je cherche dans ma mémoire. Je suis celui qui cherche dans sa mémoire des données de base, données rudes, données dures, données rugueuses et rageuses (?) on dirait. Je cherche au plus profond de moi même», cette choseici d’une sorte de donnée vive, qui est donnée de base de la vie sur terre. Une clé ? oui ! musicale ? peut-être bien en vérité. Dès lors on voit ici que la recherche est loin (bien loin) d’être vaine. Il s’agit d’une recherche de tous les instants (bloc de rage) qui se pose là comme une offrande ou sorte d'offrande au dieu (oui ?) de la mort ... à l’oeuvre en ces bases. Je pense = je suis = je vais = je vois = je sens = je pue = je meurs = je tombe = j’entre = je monte = je suis. Mon coeur est le coeur d’une ombre portée, une ombre soulevée. j’avance ainsi comme soupesé et quoi je vaux de plus ? je suis l’ombre d’un devant de soi qui demande à être jaugé (jugé) par la bande ici langagière d’une confrérie experte. De quoi je me mê$

le ? là est la question ! De quoi mon nom est-il l’attribut ? là est l’autre question ici salutaire . Je veux comprendre ce qui est et pour ce faire je m’avance à cru, vif comme un éclair, doux comme une bête à laine, chargé comme un mulet des basses oeuvres, donneur de choses et autres comme à la dérobée, etc. Je tombe nez à nez avec icelle clé qui m’attendait . De quoi s’agit-il ? Il s’agit d’une sorte de donnée de base, une sorte de donnée 

de base rude, une sorte de donnée de base changeante, peut-être (=fluide ?), qyui se donne ainsi à mon regard. Je vois le clé dans sa brillance illuminatrice. Il s’agit d’une clé des champs, d’une clé de basse maneuvre, d’une clé acidulée dans ses couleurs, etc. Je veux savoir : qui parle en mon nom , et de quoi la clé est-elle le fait ? Je veux comprendre ici plus plus qu’aillezurs car l’endroit s’y prête. Je suis homme qui va direct vers un verbe de voix, de voix dure, je vois ce qui est devant moi, il s’agit d’une ommbre portée sur un devant de soi en forme de clé. Je veux ! je ne suis pas en reste de vouloir ! je veux de cette clé de base. Je veux toucher ! Je veux croire en elle. Je veux que cette clé m’ouvrât des portes de base, m’ouvrât grand les portes d’une entrée vers l’au-delà de la base rude, je veux de cette ouverture . Il s’agit pour moi d’une entrée dans la matière de la vie venue pour me consolider pour ainsi dire dans le Verbe. Je tombe sur elle (clé) à la renverse et je vois en elle les pouvoirs (nombreux) octroyés par (de fait) la bande langagière. Je vois ces pouvoirs de près, je suis à côté, je me loge tout p^rès d’elle, je suis l’ombre d’elle ou comment ? un double dessiné par ... un homme ou une femme des cavernes ? clé de rage comme de coutume ? cheval valant val ? qui suis-je ? un cheval valant pour deux ? une cantinière ? je file à tout va vers ma destinée, destinée de rage (rage de ma ragee) et ainsi faisant je cours à ma ruine, ou alors : je cours à mon succès de base ? Je cours vers une destinée qui est celle de la base, ou alors : je cours fissa vers une clé d’ouverture prompte, ou sinon commment ? Je cherchje à comprendre ici et là au plus juste ce qui est qui se «développe» à façon devant moi et se montrte ainsi (sculpture ?) comme une effigie grandeur nature . Clé de base = clé de sol = clé musicale = cxlé d’ouverture prompte = clé d’ouverture facile = clé d’ouverture vive et facilitée. je veux savoir le plus d’une chose que je vois, je veux savoir le plus-plus de cette chose, devant moi, que je vois, et ce que je vois, c’est cela : une clé d’ouverture vive (vivante) = une oeuvre de chair : cheval ? cheval valant pour val ? paysage des confréries ? saturnales ? Je cherchje à comprendre au mieux ce qui qui devant moi parade de guingois mais cependant se prête il semblerait à une étude (une étude sérieuse) de  cas. Je veux comprendre les données de base, les données franches = la Vérité sous toutes ses formes, de la plus informe à la plus structurée peu importe, toute la vérité. jesuis l’homme-bete des Temps reculés, cet aurignacien qui monte, ce magdalénien de force, ce solutréen de bas-âge, etc. LMon corps est donné devant, est la donnée, la donne et le don. Mon corps se donne devant. Mon corps sort de soi et se donne devant comme la donne de bas-âge. MOn corps est cette donne d’un devant de soi en âges divers. Mon corps à tout âge se donne devant comme une offrande ici vouée à êttre acceptée. Mon corps est le corps donné devant soi à une rage bue. Mon corps est une offrande déposée à même la pierre tombale marquée. Mon corps est ce corps en vrai donné de base à une sorte d'entité dénommée x ou dénommée f ou dénommée y. jE cherche à comprendre ce qui est de ce corps de rage (et de base) déposé )à même la pierre d’eoffrande : qui est-il ? Je veux savoir et que l’on me dise, que les choses soient connues, que la Chose en elle-même soit connue de moi, que la Chose en elle-même soit connue au plus de ce que ça puisse être pour la compagnie (la nottre , l’évangélisée). JE cherche ! Je veux ça ! Je veux savoir ! Je veux savoir vif ! je ne veux pas être en reste de savoirr ! Je veux comprendre au plus juste ce qui est qui est, et aussi ce qui n’est pas qui n’’st pas ou qui n’est jamais, car je suis ce chercheur cheval de ma rage aboutie, de pareille rage corporéifiée de base à la naissance. mon coeur est mis à nu par mon corps tombé. ma voix est celle d’une sorte de donnée de base. il s’agit de savoir et de comprendre : qui est là (devant soi) qui nous «tend des bras» , qui ? le savons-nous ? le saurons-nous ? saurons-nous qui ? qsui est là qui nous regarde et file fissa, dans un sas de contrbande ... ou de quoi ? je cherche assidument, muni d’un verbe de rage, celui-là qu’il m’a été donné à la naissance, verbe des prairies, des prés d»herbe, des champs récoltés, des natures vertes, tendres, jeunes, afiliées à une confrérie bienveillante, etc. Je veux comprendre ce qui est au mieux . De quoi est-il question en cette lande ? Qui saura me donner des choses de poids à mâcher ? qui saura m’indiquer la voie à suivre sans se tromper ? je veux savoir ce qui est ! je veux savoir ce qui est ! je veux savoir au plus de ce qui est ce qui est ! je veux en savoir long et large et ne pas succomber ! je v eux comprtendre long et large et toucher à la vérité ... des choses du mùonde ! qui suisje en ce b as monde sinon ceelui làqui, s’ébrouant (chevalin ?) dit la vérité de sa rage-race! Je regarde près de moi et je vois se profiler des ombres qui toutes dessinent sur les pareois du monde des choses à comprendre pour le coup fissa. Je vois sur  ces parois x choses qui sembleznt quoi , des rois et des reines ? Je vois des chose dessinées qui semblent des reines, des rois, vazlets de coeur, charge animalière, verbe hautain. Je tombve. Je suis tombé. Je vois x et x choses dessinées sur roche devant moi et je comprends (vite fait) qu’il s’agit d’ombres portées, de traces votives, cris d’incantation primaire, de chaleur de rut, de montée en flèche dans les cheminées, etc. Je vois devant moi l’ouverture tant recherchée. Je sais que la clé est clé d’ouverture prompte, c’est déjà ça ! je sais que cette clé est la clé des ombres, des cavalcades et autres fêtes de joie. Je veux aller loin dans la parade, je veux loin aller dans la parade, je veux dans la parade aller loin. Qui pourra me donner sa main et m’aider à traverser la roche du temps ? qui voudra me donner sa mzain et m’aider à traverser la roche des temps ? qui saura me donner sa main et m’aider tantôt à traverser la roche des temps ? qui m’aidera tantôt à traverser la roche du TEmps ? qui saura me donner sa main et m’aider à traverser la roche des temps alloués à une sorte de gouverne comme la mienne ? Qui voudra bien m’aider à toucher lka roche des temps ? qui voudrza-pourra bien me donner 

à pouvoir toucher, à) pouvoir toucher la roche du temps ? QUi ? je cherchje désespéremment et qui vient ? nul au loin ne montre de visage bienveillant, pourqyuoi? La chose est rude, la chose est cvomme un coup du sort. Je veux comprendre et toucher à la chose crûment , le plus possible si tant est, et ce faisant courir au loin dans les allées du temps,  soit du temps imparti à une vie comme est la mienne (comme toute vie). Je vois une chose se profiler : il s’agit d’un homme . Il est plutot grand, fin (effilé) comme un passdage ou comme une entrée (étroite) dans une demeure de grâce. Je vois cet homme devant moi se profiler. Je vois devant moi un homme aller, se pointer, montrer le bout de son nez, dire et montrer, dire et pointer du doigt, dire avec sa voix de rage ce qsui est et  ce qui n’est pas (de la vie et de la mort de base = ici-bas) . Cet homme porte un  nom de rage,, nom donné pa r la bande ... d’une confrérie animzalière. Il s’agit d’un nom de tribu. Il s’agit d’un nom rare. Il s’agit d’un nom acté comme une barre. Il s’agit d’un nom de paroi. Il s’agit d’un nom octroyé par la bande-barre animale d’un passage en biais dans (à l’intérieur de) la lande. QUi donc est cet homme des bois . qui est donc cet homme des effluves ? qui donc est cet homme des voix toutes perçues à la gzaillarde ? qui chante en lui le «chant musical des sphères» ? squi chante en lui la bête primaire ? quelle bête en lui en fait le siège ? qui est cet homme animalier ? ce cheval, ce cheval de soi ? ce cheval, ce chevazl d’un passage étroit ? ce chien ? ce chien des tribus lointaines (da,ns le temps et dans l’espace) ? qsui est-il ? je cherche son  nom à même la paroi du temps, car son nom est incrusté en elle commùe dessin d’aurochs ou de bison sur la paroi cachée d’une grotte des temps derniers. Nous devons comprendre, nous devons comprendre au plus loin des tempsq. Notre but est de cerner au mieux les différentes parades. QSue sont-elles pour soi et pour un ensemble de personnes regroupées dans une sorte de tribu de charge ? Que sont elles ? Nous cherchons au débotté. Nous cherchons attablés, nous cherchons à table, nous cherchons des noms. Le saint suaire est peutêtre ... l’un des leurs. La peine est bue tout entière à même la coupe et ne se laisse en rien distraire . JE 

veux savoir vif car je suuis vif ! Je veux savoir loin car je suis lointain ou comùment ? Mon corps se prête à des commentaires ou à subir des commentaires injurieux, peut-être. Qui va là, dans le sens des voix salutaires ? qui veut ma mort ? qui donc veut ma mort ? qui veut ma mort ? qui donc veut ma mort ? qui veut ma mort en ce chemin de joie ?. Qui donc veut ma mort en  c e chemin de joie, de joie monacale ? Je l’ignore ! mon coeur suit

 sqa chamade irisée c’est un fait, mais le coeur seul ne suffit pas à combler de joie ma gouverne, il y faut du temps, de l’allure vive dans le temps ici d’un débotté ou d’un débraillé de première. Je suis homme vif cherchant sa peine intègre sur piste temporelle, son nom (mon nom) est celui-là même que vous ignorez. Je veux comprendre au loin les données sommaires, les données encagées, les données qui sont liées à des noms donnés. QSue sont ces données et que sont ces noms ? nous devons comprendre dans la profondeur ce qui est qui nous observe. Nous devons dans la profondeur comprendre au mieux ce qui est qui nous observe, et ce qui est qui nous observe porte un nom, ce nom est le nom que nous donnons, aux choses du monde, pazr la bande , à savoir : a, b, c, d, e, f ... choses d’un monde à percer en son mystère. Je vois loin car mes yeux (de voeu) portent loin. Je vois loin car mes yeux sont ceux qui portent loin en la matière : voeu pieu. Je suis homme d’un courage extrème quoiqu’insuffisant! cazr quoi ? car je suis meurtri (par la bande) en ma chair d’homme bi : mi-cheval de course (ou canasson planplan) mi homme en herbe (ou monsieur de rage) : qui ? je sais ce qui est en cette chose ici d’une donn»ée de rage, et cependant ... que dire d’autre que le nom donnée à pareille entité, de ma rage douce), et quel ? qui est qui ? qui sait ? qui veut dire ce qu’il sait ? je cherche l’endroit où pouvoir me poser un temps et souffler. Je respire profondéme,nt, je suis l’homme des respirations profondes. Je suis l’homme des données rageuses, quyi file fissadans la lande comme cheval lancé à bride abbaatue. Je veux comprtendre les données présidant l’épopeé d’une course dans les prés. Je suis un homme en herbe : luzerne ? peut-être. Sinon comment ? corps , corps de dieu, corps, corps déposé, corps, corps mort, corps mort déposé. Je suis l’ombre de moi-même, un cheval lancé comme à bride abattue à travers la lande et qui dfile vitesse grand v comme un dé raté de ta race princière. Cher Tout, qui est tu ? qsui es tu pour moi cher Tout ? peux tu me dire qui tu es ? peux tu révéler cela ? peux tu être pour moi un être de ... révélation directe ? comment t’appelles-tu ? quel est toon nom misère ? quelle est cette chose ? qui sait ? comment te nommes-tu petit sacripan ? comment es-tu venu jusqu’à nbous, c’est-à-dire par (ou à travers) quel passage dans la 

roche du devant de soi (temps intégral) ? commùênt as-tu fait pour traverser le temps et arriver de fait jusqu’à notre demeure des joies et peines ? qui es-tu anilmal ? qui estu chacal ou cheval ou comment ? qui es-tu pour nous qui t’attendions de pied ferme ? Notre volonté ici est de comprendre ce qui est de cette chose d’une entrée dans la matière. NOus voulons comprendre ensemble (= toi et moi) ce qui est ici en cette chgose d’une entrée dans la matière ... du Verbe fol, de ce verbe octroyé (fissa) par la bande et s’écoulant comme de juste, en ce réduit , en ce récipient, en ce conduit, en cette buse, en ce puits déployé, en ce trou de base terrestre. Nous pensons qsue Dieu est ZAmour de base rustre, malcommode et incommo

dé car gêné. qui est ce dieu de la rage meuble ? qui estil ? Nous avons à nous (avec nous) l’aide d’une mère, d’un père, d’une soeur, d’un frère, et le tout forme tribu (tribunal ?) qui est celle qui est , à nos yeux, celle qui plombe et pèse, porte et soupèse, conduit ett s’encolère après nos dires ou faits divers. je cherche une voie parmi celles qui s’offrent à moi. Je veux savoir loin car mon nom prête à savoir loin. Je veux comprendre à vif, comprendre vidf, cvomprtendre le plus qu’il m’est possible de comprendre en  ce chemin de terre qui, chemin de vie, porte et contient. Je suishomme-animal de base. JE vais et je viens sur un chemin pentu qui est ce chemin vif des choses rudes à devoir déposer. Je ne cherche pas à me défiler, je chgerche à me présenter commùe il se doit. CVomme il est de coutume et cvomme je me dois. Non que je ne puisse pas car il est tentant de s’extraire, mais non ! restons accroché ! collons au palier, collons sur terre ! soyons scotchés ! je suis homme de la terree et des prés. Je suis homme chien oou chienne, cheval ou jument, homme-bête des temps reculés ... d’où je viens. Je ne veux plus connaittre kles anciennes choses des temps menaçants mais seulement les toutes nouvelles et plutot seyantes, les qui m’iront bien pour ainsi dire, etc. Mon corps est ici déposé comme un canasson tombé à la guerre. Je tombe à mon tour, où ça ? dans le verbe, et, comment s’en relever ? par la grâce du temps imparti, celui-là mêlme qui dit ce qui est, sans faux-sembvlant (ou du moins si oui , ici minimisés par la bande du dire) . je ne pe,nse pas de fait à la mort comme à une ouverture langagière mais je pense à la mort comme à une fermeture (fermeture à l’iris) du parcours de rage verbal, etc. Les mots sont en force là qsui font barrage à quoi, )à la mort de ta race brute, à pareille entité sacrée. Les mots chargent qui repoussent l’assaillant . Les mots sont en masse qui poussent = repoussent l’être malfaisant dont le nom est Mort ... comme un mort. Je veux repousser les assauts par du verbe ! Je veux repousser des assauts ! kles assauts ! par du verbe fol, comme enguirlandé, vif l’éclair, cheval dessiné, aurochs aussi, toute une confrèrie de bêtes rameutés comme à foison par l’homme (que je suis ou serais) des temps reculés. Mon  nom se prête à mille interprétations, ici même ou bien plus loin, sur la lande. Je suis homme des plis, hommes des abris, homme-chien ou cheval de kla magie, etc. Qui suiis je que je ne sais pas ? qui me dira le pôt aux roses ? qui saura m’indiquer la voie du passage béat ? Je trembkle ! je veux savoir ! Jze veux comprendre ! je veux toucher ! je veux toucher et comprendre le ciel et ses diverses entités divines ! qui est qui dans un ciel de guerre ? qui parle pour qui ? qui dit le nom et se fait connaittre ? déclinez vos identités ! dites-nous tout ! dites -nous ce qui est ! dites-nous ce qui est ici qui nous regarde et qui se place de la sorte (face à nous) à bien pour le coup nous mater sous toutes nos coutures lâches , qui ? Je cherche à comprendre vif des données rugueuses. Hje sais cette cghose. Je sais pertinnement cettye chose ici, comme quoio la vie est misère d’un bout à l’autrte (oui) et va vers du pire nacré, et ensyuite ? ensyuite rien, le vide parfait, calmme pklat, calme et vérité. Je tombe, je suis tombé : voilà la vérité, ou sinon quoi ? Je vais et viens brutal dans la lande comme un cheval, je m’ébroue. Je cxherche à comprendre pareil ébrouement, qu’est-ce ? QSui me dira le fin mot de ma rage, de mes tourments ? qsui saura me dire ce qui est ici qui pèse sur moi et me regarde ? qui saura m’indiquer un chemin monacal de réserve où pouvoir aller ? qui pourra me donner du lest et faire en sorte que mon corpps sinon s’envole vif (oiseau des ciels) du moins s’élève comme une effigie, qui ? qui est qui pour dire «je» ? qui saura me dire ce qui est en moi qui surnage lorsque l’on me voit de pied en cap ? car, je ne suis pas moi (pas moimême c’est un fait, maisdavantage : pas moi tout court) . Je ne suis pas moi en cette lande. Je suis l’autre du chenal . je suis l’autre qui va et qui vient en pareille contrée. Je suis cet autre ici vivant sa bonne (belle) aventure vivace et comment sinon, piuuisque «je suis là». Puisque ma vie se déploie à même la lande des parois du termps, comment être autrement ? Je file à vitesse vive pour un dire monacal à déposer au pied de qyui de droit m’y encourage par la bande (un verbe de soi). Je ne pense plus à perdre le temps. Le ciel est sous mon ombre, sous moi comme une coupole, un trait de marque céleste couché. je veux savoir vif kles données premières, ce qu’elles sont pour moi qui file vif aussi, qui file à vif aussi et va loin en moi. Du moins espère. Je veux co:mprendre les données primaires et fouiller profond ma misère ... de paroi dure (celle du temps imparti à une vie comme est la mienne : n’importe laquelle). Je suis homme-bête de céans, je vais et je viens à travers la lande. Je m’appelle «sentiment» ou «tourment» ou «méchanceté de base» ou comment ? quel est le nom donné à la parole en herbe ? qui le sait ? je veux savoir ce qui est, je veux savoir ce qui se trame en pareille lande et en pareils prés à brouter par la bande. QSui suiis je que je ne sais ? qui je suis en dehors d’un nom donné , d’un minois de gouverne, d’une sorte de misère d’incantation quotidienne réelle», etc, qui ? l’ombre de moi-même ? le cheval d’arçon ? le piéton ? la poutre ? la corde à noeud  ? la balustre ? le tablier ? le cri de joie de la bête en moi ? une sorte d’épopée votive incantatoire ? qui suis-je que jke ne sais pas au fond de moi ? que je ne sais pas au fond de moi, et qui je suis au fond de mloi : les deux ! car, la vie va vite, va fissa -de son train arrière qui, bon vent, va loin et pousse que tu poussezras le mobile, pousse au cul fissa et vous envoie comme valdinguer de grâce, vif et vive ! vous envoie vif et vive en votre destinée, vos pas d’allant sur lande, cheval lancé, course à traverts kles prés

, rondes emberlificotés ou tout comme ! je suis homme des parois de rage, qui file fisza à traversz la lande comme un animal en cage c’est un fait. Mon coeur est encagé tout pareillement, le corps en son monde de peu et mon coeur en sa cage corporéifiée par la bande. Je suis homme vif des attraits, au coeur encagé on le sait, toutes voiles ouvertes et prenant le vent. mon coeur est pris d’assaut par un verbe animalier : trace dure d’une frange de bêtes assoiffées. Qui sont ces betes ? des betes qui ont soif de verbe ! Je tombe de moi-même , ou = je tombe de là = de moi-même ! vif ! pif ! comme une andouillette ! comme X, dit «l’andouille de ces lieux discrets» . je veux aller loin et combattre : repousser le

 chenapan de la mort à l’oeuvcre, car il est là (toujours) qui nous surveille ! qui est il ? il est celui-ci qui cherche à nous faire chuter, à nous faire taire, à n ous frapper, à nous placer lke nez à terre, à nous faire tomber par terre, à nous mettre à sac ou à mal, à nous écraser de sa patte folle, à nous coucher comme une merdxe, à nous ficeler vite bien fait et , zou, ouste, à la mer d’écumes ni une ni deux ! comme un fait exprès ! je suis l’andouikllette, misère ! voyez comme je porte mal ! je ne vaux que dalle ! une merde à braire, rien de bien pharamineux pour vous plaire ! laissez-moi poursyui vre ma misère hautaine, mon verbe de gueux, mes paroles saintes, mon voeu de chasteté troubklée, ma victoire sur herbe, mon temps de passage, ma vitesse de grâce, mes émoluments pariétaux (aurochs et chevaux) : de grâce ! ne me tuez pas comme une merde molle ! je suis mal : mal dit, mal dégrossi, mal venu, mal charpenté, mal dégauchi, mal ficelé, mal poncé, mal bâti, mal monté, mal verni, mal débité, mal serré, mal conduit, mal montré, mal désigné, etc ! jee ne suis pas celui que vous croyez , voyez ! Dès lors que dire ? il s’a git ici de comprendre un fait, ce qui est est . Ce qui n’est pas n’est pas (combien de fois ?) et pourtant : la chose est à comprendre «au fil dfu temps» et nulle part ailleurs . Nous devons comprendre au fil dfu temps et nulle part ailleurs . Nous devons cerner au fil du temps les données de base, les données qui s’offrent à nous au fur et à mesure que nous avan,çons sur pareille voie de halage. Qui pourra nous donner le change ? qui connazit la cklé desz entrées romanes ? qui sait ce qui est en ce dit lieu de perdxition ? ouvrons et regardons et que voit-on ? Nous voyons cette chjose ici d’une sorte de ... paradis ? ou comment, herbe folle ici qui pousse à foison. Nous sommes entrés et que voyons-nous ? le paradis des prés de’une lande herbacée de fait.Nous disons que bnous sommes entrés, entrés en ce «paradis» qui est champs d’herbes hautes à tout va. je vois ici l’herbe des prés. Je vois ici l’herbe des prés pousser. je suis homme-cheval de gré, 

allant sur roche à la recherchje d’une clé d’entrée, pour un passage à l’intérieur d’une rocxhe percée. je vais en elle et pousse ce qui est en moi d’une sqorte d’animalité narquoise. JHe veuc comprtendre les données du monde facial pariétal. Je veux comprendrre ici ce qui est au loin qui pousse et tend à me donner un change de destinée. Qui me dira la conduite à tenir ? qui saura m’in-diquer le chemin de grève ? qui est la personne attitrée à pareilles données langagières, à pareilles données de base langagière , qui ? qui va loin ici ? le temps est le temps donné rageur, le temps est temps donné rageur comme une vol:onté venant d’en haut quisaurait nous parler «

comme il faut» sans nous troubler. Je veux savoir ces mots ce qu’ils contiennent. Que contient lke mot «misère» ? que contient le mot «if» ? que contient kle mot «trait» ? que contiennnent les mots «traits de joie» .? que contienent lesq mots «va de branle « ? que contiennent les =mots «chargements directsq « ? que contiennent les mots «m’as-tu vu l’ami fidèle ?» ? etc ., car, je veux y trouver mon miel de connaissances, y trouver matière à penser kla terre, le ciel et autres tourments paysagers, je veux toucher la mise et m’en aller. Je veux me sauver. Je veux filer loin dans les remblais et comprendre ce quyi est en cette chose d’une vie (allouée) sur terre et dans le ciel. je suis dans une sorte de demeure entouré de bêtes. je suis comme veillé. Je veux aller debout marcher et rencontrer des âmes bien nées. Je ne veux pas tomber de cul sur les passdages des données votives ou autres mais charger bon pied bon oeil mes données xde rage à même le VErbe de céans. Je suis l’homme

 qui va, qui foule, qui comprend, qui pousse, qui contient. Je veuxx contenir le plus possible, comme une outtre . Je veuxx être  cet homme de la foi dans ce tourment (de soi) dépl

acé. je suis homme qui veut aller et comprtendre dans la profondeur d’une voix , voix placée sur roche comme une donnée de grande importyance en vue de se sauver. je vais et je viens et vois ce qui est autour de moi en termes de bêtyes de poids. JE suis homme de la base, rustiquement mal déployé. Je vais et je viens dans les champs d’herbe hautes fouurragères. Je veux toucher la timbale , l’atteindre fisqsa de mes bras, comme un hochet. Je suis  rustre, ambivalent, calfeutré chez lui un temps, obnu-bilé par un savoir de ra ge en lui, qui le pousse à) tracer fissa les mots de la lande sur roche des Temps. Il soupèse (pèse) et cherche à comprendre, et cerner le poids des choses, ce qu’elles sont ou réprésentent, ce que pareil poids masque, recèle, contient, désigne, donne en fait de vrais savoirs à déployer etc. Je suis l’homme soupesant sa peine (légère) d’être (vivant) dans les confins. Qui me dira le mot de la fin ? qui saura m’indiquer le chemin de la voie du sentier des grâces ici bas ? qui est kl’Empereur ? qui est le charmeur docile : moi ? Qui pleure à tout crin son émoi de base motrice ? Je veux savoir ici ce qui se trame en termes de données de base rageuse (ici rageuse, ailleurs rugueuse comme un pied de nez). mon corps n’est plus mon corps mais le corps d’un autre. Mon corps m’échappe incidemment et se montre coriace pour x raisons qui lui incombent ou sinon comment, et coriace pour qui ? pour la personne ici qui tremble, qui mate en tremblant. Je veux pousser loin les recherchhes  lancées, les recherches de fond qui sont recherches de données fiables. je suis homme des tribus sacrées, cherchant cheval à ma portée et voulant courir, sur la plaine, à grande enjambées. mon cheval a le nom qu’il porte continuement : Cheval de Joie de sa RAce Dure. je suis homme-cheval des dires déposés. Je vais en cette roche dure déceler (ou dénicher). Je veux comptrenbdre au mieux ce qui est qui tente ma gouverne et attire l’oeil (l’oeil du dire) de ma foi en l’au-delà. Je vais vif sur roche? Je veux savoir. je veux comprendre. Je cherche un trait de rage à lmême le temps. ICi est la chaine ou le chainon manquant. la terre est justicière. le sommeil du juste est mien ou est le mien dès lors que je comprends. Je tombe nez à nez sur terre ferme, le nez dans l’herbe. Qui mesurera ma parole échancrée ? quyi jugera icelle de près ? qui lira mes paroles sacrées ? qui saura ce qui est dit à travers une misère de paroles échangées comme une monnaie ? car, la vérité se loge là, dans la monnaie, plus la peine cde cxhercher. QSui saura dire ce qui est de ce qui n’est pas et inversement sans s’emberlificoter et y perdre le nord plus qu’il n’en faudrait en vérité, qui ?Je me

 loge ici même (verbal case) pour une recherche de tous les moments de grâce. Je me pose

 enjoué, je vais vivant à l’intérieur, car le but affiché se situe là, dans c ette volonté d’y» entrer vif = vivant comme un «échancré de ta race dite», pareil ou pas si loin au juste, et pourquoi cela ? Parce que je suis là homme des bois = homme aux bois = chevereuil ou cerf de céans, bete de ta 

rage au ventre, colère des fées, sentiment exacerbé de misère interne, double voix qui parle en ses noms dupliqués, échos de voix de bure, chantournements à la dérobée, courbettes, façons, loopings dans les prés à la manière de l’aviateur renommé. Je  suis l’homme au bras d’or. Amphibie. colère personnifié comme jamais. KLa colère en moi ne faiblit pas, qui gouverne ma gouverne. La colère est en moi qui jamais ne cède et qui toujours pointe, cxherche à percer le mystère, le voile des réalités, le tyissu tissé de mots du Verbe Nacré. je vois lka chose depuis moi, qui m’incombe ou qu’il m’incombe de mener à bien , à savoir : l’écriture du passage, le tracé nboir sur blanc d’une phrase, le trait courbe, les traits d’incise, les riches heures d’incise verbales, etc. Je veux dépoter. Je veux que kle sang gicle en ces contrées et tâche (souille) la lande comme un sang versé d’une bete rosse. Je cherche ce sang en ma voix, en c ette voix de freluquet cherchant pitance ici et là comme le mendiant de la fable : à l’arnaque, au débotté, faux -fuyant, mal encouragé depuis l’intérieur, etc. je suis homme au sang chaud de son antre. Il se peut que mon sort soit déjà tracé. Il se peut que ma voix soit morte cde fait et ne puisse jamaisq exp^rimer son dire en entier. Il se peut que mon corps lâche et tombe, lâchat et tombât le nez à terre et mourut. QZui pourra le dire ici .? LKA voix ne dit rien de plus que son timbre alloué, et lmes mots de parole sainte sont vifs peutêtyre mais creux d’aspect rupestre. Les mots de ma voix sont titres , sont paroles perdues quoique déposées. Il n’y a rien qui puisse être plus à même d’être ce cxhemin, cette voie d’accès. Rien de tangible ici qui puiiissee être chemin d’accès pour une entrée (princière) dans le sas des sas de la destinée. Le monde est clos comme une outre vide (à vide) . Il s’agit de le comp^rendre et de l’intégrer à sa propre gouverne ddde dde /

à sa propre gouverne interne. JeE suis un homme, qui va sur herbe, fonce, va loin, fouille, cxherche ici et là. Où est logée la vérité ? qu’est-elle au juste ? quoi est ce sentiment que nous avons de pouvoir en découdre sa ns frais ? comment pouvons nous comprendre cette chose ? qui saura placer le mot qui convient 

dans sa case ? qui va savoir parler au tout-venant sans embarras ? qui est la personne idoine, responsable, motivé, qui saura parler d’un ton approprié ? Je ne suis pas vcette personne hélas. Mon verbe est court, maparole rustre (et rude), mon corps frêle qui faiblit. M%a voix est celle du freluquet, du gamin de base, l’aspirant, kl’homme en herbe. Je veux pisser dru mais que tchi de premièere, ça veut pas. Les mots qui sortent de ma bouche sortent à la queue leu leu comme tresse de hjoie. Je voudrais que les choses perçassent d’elles-mêmes la paroi du temps et me permissent de me  dép^loyer de tout mon long de base nominal. Moi suis moi, pour ainsi dire ! Mais... non ! pas tout à fait ! ca r, mon nom fait les frais de cette opération de désenvoutement. ou comment sinon . je voudraois comprendre les données ;les plus ancrées et m’offrir ainsi comme en partage de données mooi-même?.Je suis celui qui cherche à comp^tendre loin ce qui se trame en lui en fait de destinée. Qui je suis dont j’ignore le nom. Qui je suis dont j’ignore tout. Qui hje suis dont le nom m’échappe. Qui je suis, qui pleure son nom de rage et le pousse fort au-devant comme l’inscription-incursion, ou comment ? d’effigie votive . Je vais vif en roche inscrire mon nom, incision-inscription pour une obstruction. je suis celui-là qui comprend (au loin) les données natives, les dfonnées frêles, ou du moins qui pense les, sinon comprtendre de fait, mais les toucher du doigt. Le doigt ici est ma ... gouverne de tete. Ou sinon de tete : de joie (joie ici signifie je). Quand je chante je sais. celuyi qui cxhante sait. quand hje chante je vois . quand je chante je conçois un échaffaudage, une structure, des données de base architecturale, toute une construction-inscription qui fait office d’obstruction , d’empêcheme,nt de pôids à un passage délivré. Je sais cette chose xde l’empêchement de nature verbale déplacée, et je vois ce qui est qui vca loin en cette xchose d’un savoir dit «de mémoire» , soit basé sur des reliques déposées au fur et à mesure des avancées . reliques folles,; on sait la chose. complètes, pleines, creuses, pleines et creuses, objets. je subodore les données ancrées à même

 lka roche comme étant de celles qui contiennennent (en leur sein) moults trésors de provzenance diverses , qui sont de ceux qui peuvent nous aider à nous y retrouver incxessamment ici ou là ensemble pour des découvertes à mener de front en bonne intelligence. ici la tête. et pourquoi pas? nous sommes nanties, nous 

avons de quoi. Nous so:mmes «de la misère en toutes choses « comme les descendants et descendantes, et cependant , nous pensons pouvoir trouver ici ou là clé à notre mesure. La mesure ici fait foi. La chance est (sera ?) au rendez-vous . La peine tout comme (tout contre). et aussi les sentiments concomittants, ceux des régions centrales à nos tourments d’homme et de femme vivant dans la lande. Je crois en dieu manifeste, tombé sur terre, déployé et comme relancé par du Verbe des prés. Car l’herbe est de celle que bnous aimons (nous autres, phacochères ? antilopes ? mammouths ? brouter. nous aimons manger de l’herbe, bnous aimons manger l’herbe verte des prés de destinée, nbous mangeons continument l’herbe verte de sous nous (nos pas) qui allons fissqa dans la lande à la recherche de la vérité, soit (on le voit) de l’herbe de la v érité. SQui l’eût cru ? qui pensaiyt pouvoir ? qui savait cela ? qui pensait pouvoir ? qui eut pensqé cette cxhose ? qui croyait en cette cghose ? quyi avait des vues sur cette chose ? sinon qui d’autre que ce dieu de ta ra ge rude, celui-ci : l’aurochs ! peine perdue ! le mot est dans la case ! la chaleur du sein maternel est une cxhose bonne ... pour qui veut ou voudra aller, szoit filer, à même la lande, à larecherche de la vérité. Car la vérité est une chose rare, ou peut êtyre (sinon rare) à dénicher «comme une chose rare». Le nid de laportée, etc. Mon coeur est coeur qui veut chanter la gloire céleste, je le sens. Il ya à chanter (en soi) des cghoses c’est une évidence. NOus sommes 

contenant le chant, du chant, un chant permanent, acté, vrai, ficelé en soi comme une liane. en nous il y a du chant. il y a du chant en  nous. ficelé comme une liane c’est une évidence ! nous savons cela , depuyis touy,ours. Nous sommes avertis et aguerris et savons cette chose ici depuis longtemps, depuis des milliers d’années en arrière, nous savons cette chose du chant intrégré (fissa) à nottre gouverne et  ce depuis la nuit des temps ou dit autrement : depuyis kla naissance et plusq avant, etc. Je suis homme qui sait en lui lke chant animal des prés; lk’aspirant écrivaillzeur dxe rage 

embringué» et mis à mal dans une sorte de tourmente animalière langagière de première. Je suis cet animal des prés de ta race, ami ! Je suis celui-ci et ne m’en vante pas  car je suis meurtri. Je suis homme qui va dans la lande à la recherche (en quelque sorte)  de lka vérité des temps et il me semble que je m’en rapprocjhe, assurément, cvontinuement, fractalement, fatalement, incidemment, vo:lontairezment, gentiment un peu plus tous lkes jours, en matinée. Car je suis lancé comme un,animal sur pattes. Je suis homme de la lande aux pôuvoirs divers et variés, sacxhant chasser et davantage, pouvant déceler ici ou là une vérité nichée, ou même sachant parler à haute voix les mots d’une rage intégrée et digérée comme une denrée. le fruit de mes paroles incantatoires est à lire pa ge  24, il se fait. je sais comment : à tue t^tete en «rentrant dedans», et c’est fait. je veux dire ici cette cghose du tourment (de base) menant , de fait, le monde comme il va. ce tourment (sacré) est intégré à la gouverne (tétière) humaine (cervelet ?) et panse les plaies (intériorisées) d’une volonté en nous ma rquée de «ne pas y aller». Nous avons (portons) en nbous misère = cette volonté de «ne pas y aller» et dès lors (disant la chose) de faire, ainsi ... la chose = ne pas y aller ! je pense donc je suis ... celui qui reste, qui est car il reste. je pense (ou parle, mets des mots) et donc je reste = comme une donnée. Je pense donc je reste= j’y suis j’y reste et c’e’st ainsi que personnellement je fais, 1, pour ma gouverne (tétière), 2, pour mon salut de contre-bande (etc) ... à chevakl. mon envie d’en découdre ainsi s’inscrit ici ! Je suis homme-ombre-hombre etc qui file à toute enjambée sur la lande et ne s’en laisse pas conter plus qu’il n’en faut pour sa gouverne ! je suis hjomme vif des paroles vives. Je suis ce

»lui-là qui pôusse à cran les données rageuses et cherche dans le vent, dans l’air, dans lkes embruns, dans la brume ce qui est qui puisse l’aider à  pour le coup cerner une vérité (tangible) de près. me voici cheval = transformé ! je suis celui qui est = je suis 

celui-là qui reste à quai et ne meurs pas : je pense donc je ne meurs pas ! tant que je pense je ne meurs pas. Penser = conserver son «étant» en vie, etc, et voilà pourquoi la chose s’incruste et jamais n’en vient à s’en déloger. Nous nous voyons ainsi nanti d’un appareil de dires  c élestes, dires fols qui tendent à monter, à grimper comme la p^lante non r»écoltée qui va monter en graines, etc. Le dire devient vite fol qui monte en graine religieusement et atteint, pour ainsi dire, des sommeets de rage. je suis ombre de moi-même en cet étau de vie. mon

 êytre est aillleurs (animal xdes prés) qui court (à bride abattue ?) sur la lande. Mon corps sera mort et sezra jeté. Il se peut que cela soit un jhour. il se peut que la chose un jour soit. il se peut que cette cxhose un jour advint et que mon corps fût jeté vif en un trou de passe. Qui dira laz chjose ? il se peut que (un jour) une personne vint à moi (vers moi) pour me pousser et me fzaire chuter et me tuer et me cacher. je suis cet homme dit «de la mort par poussée» , par peutêtte poussée interne : chacal de soi qui pousse à faiblir et faillir. on ne sait. Les choses sont peut-être écrites, à part soi, et nous en recueillons bon an mal an les dividendes ....  pour soi ! nous avons pour nous ce Verbe de la foi en c ette chose de la mort, comme de quelque cxhose qui en vrai est et n’existe que pour soi. Je pense donc jh’y suis hj’y reste ? Je vois devant moi une chose belle» = certaine = sûre = avérée = tenue = physique = charnelle = vraie comme une déité de dires dits «de la réaklité».Mon corps en subit les effets. Je suis homme-hombre à la gaillarde du train d’avant. vivement dimanche (le jour du seigneur) ! je branle oh misère : de tout mon poids ! je suis homme des parfums ancréqs et des couturières ! vive la vie

 qui va vive ! chaleurs ! obligations ! mes obligations cxharnelles : envies de vie dure, envie de vit dur, etc ? Je tente l’approche, me rapproche d’elle et lui dit le mot du passage. qui est l:à pôur moi ? je vais en roche dure dur. Je suis cvelui qui va en roche dur. Je cvommunique avec l’au-delà. Je veux commmuniquer avec l’au delà = commu(niquer ou comment ? je syuis ombre d’homme sur page des temps, sur paroi mobile : Verbe haut capitaux. Je veux comprtendre ce qui est en  cette chose d’un dire haut (haut venu) qui serait, dès lors, la monnaie d’échange. Je cherche à comprendre ici ce qui est qui, de fait, file à vive allure dans le sens d’une pesée liée à des questions (toutes) de capital. je tombe à la renverse. Ici je suis qui cherche à bien comprendre cette chose (bien venue) d’un dire alloué, à du capital, à de la monnaie, à pareille donnée de base à échanger = le prix ... de la peine à être ! nous allons ensemble (la bête et moi) à larecherche d’une vérité dite «d’emprunt» (on voit laquelle). BNous allons ensemble, soit la bête en moi et moi, à la recherche d’une «vérité d’emprunt» = empruntée) avec intérets

 à la clé ! et voilà la clké laquelle ! Nous essayons ensemble de percer grand nombre de mystères z_enchâssés, et pour ce faire nous devons creuser le verbe (animalier) à même la venue princière, venue ou survenue princière. Nous devons comptrendre ensembvkle ceszcdonnées et, les ayant comprises, voir ensemble toujours, à bien les déposer cde rage sur paroi (pour l’homme ou pour la femme d’autrefois) ou ailleurs (au demeurant) pour soi ... ou pour nous qui frayons (ici et là) avec le présent «du =monde adjacent». Nous devons comprendre. BNous devons aller ensemble. Nous devons filer doux ensemble et comptrendre ainsi, ainsi accol;ées. Nouds devons rester soudés et accolés comme deux moitiés d’un même fruit, ou comme deux moitiés d’un même êztre à deux côtés qui se ressemblent, comme pour nous. Nous devons coller à cette chose d’une vérité ici inscrite dans le temps, vérité-monnaie qui dira la CXhose crûment et nous donnera des ai:les (innocemment ?) . nous devons poursuivre sur notre lancée et  ne surtout pas abandonner trop vite ! nous devons poursyuivre (fissa) sur notre lancée toute animalière et y aller (de la sorte) à crann, à cru, ou cul nu ou comment à même terre-mère des tourments. Je suis homme d’épopée salutaire. Je pense donc je ris. la parole est misère qui ne perce pas (ou ne cherchera à ). mon ambition. mon souci. Ma chance ? ici est la chance ?

 ma cxhance ou pas s’inscrit ... de visu in situ. je tombe à la renverse, encore une fois, pour mieux me relever de pareille misère ... allouée à une vie de règne, de règne ducal, ici même, en ce lieu des paroles (drues) débordées. je veux coomprendre les données les plus secrètes de la vie et de la mort. Je veux comprendre ce qui est (de la vie et de la mort) au plus juste des tracés de roche, et pour ce faire : j’y vais, je ne lésine pas, je file fissa, je m’engage dans la voie d’une parole toute assumée, je craque les coutures d’un corset (ou sorte de corset)  langagier trop ressérré, je vais en pareille lande oou pareil

 pré à bride abattue comme un forcené, je file fou mon allure étrange, cavalcade, vive embardée, je fonce en v eux-tu en voilà à même les herbes des prés. HJe suis parti. je ne suis déjà pluds là. Je suis passé. Je ne suis plus de cemonde calfeutré. je tombe sur les fesses à vif. Je suis tombé et retombé et pourtant, me voilà vibrant comme jamais, renouvelé comme une sorte d'entité de roche, remis en selllle par en moi une gouverne animalière perpétuelle, etc, le coeur parle pour moi son lan,gage animalo-sanglant, ou comment dire cette chose d’une sorte de soutien de vie de type animalier comme il se doit pour coeur transi. Je tombe des nues à perpetuité

, voilà ce qui est ! la chose ici est celle-ci. je tombe à perpétuité des nues. Je tombe des nues à perpétuité . Je suis tombvé et je tomberai à perpétuité des nues ... de l’enfance de la joie d’être. je comble. je trace. Je traque la vérité sous tous ses aspects par la bande et pour cela, j’ouvre grand mon antre-coeur de passage, et incorpore tant et tant xde ce Verbe fol (animalier en diable) faisant obstruction à la mort (du temps) à son heure, ... ou comment ? à qyui d’autre ? Car, la mort est entrée dans la demeure, la faute à qui la faute au petit animal des prés ou alors au petit ver dans une pomme ou sinon qui ? Je cxherche ce qui est qui est. La voix qui parle est une sorte de donnée de rage motrice. Quand je parle je ne suids pas là. Je veux comprendre les données de base dans leur profondeur de parole drues, échangées, instruites, dirigées. QSuand je chante je ne suis pas là. Quand  je pense je ne suis pas là. je suyis l’être aux doux pouvoirs de bure, enchassé dans l’herbe comme un animal, je broute ma vive denrée, je cxhevauche des données, j’avance à pas cadencés. Je suis bete de rage au front haut boisé. Chevreuil de destinée ? caroubier ? quelle est en moi la bete ou l’arbre de tête ? je suis homme des temps reculés qui cherche à comprendre les données du monde ce qu’elles sont pour moi qui cherche à comprendre. Je veux soigner tel ou tel dire en particulier pour le présenter devant moi en tant que tel : pierre tombale. je suis homme des temps reculés, à barbe ou sans, charmeur ou non, nu de sa race intègre : peuplier ? je cherche ! je ne suis pas ça . Je ne suyis pas ça. Je ne suyis pas ça non plus. je suis ça ou ça. Je suis homme ombre hombre étoilé par en moi la voix des prés et des champs de blé. je suis étoilé par en moi la voix qui chante que tu chanteras de ta race boisée. Je veux être. Ne suis quoi d’autre que ? que quoi suis-je d'autre ? suis je autre que queue ? qsui a dit que oui ? je cherche à me rapprocher de telle ou telle vérité de base, qui pour moi sera ... vérité d’appui, 

car, je me fais vieux au fur et à mesure de mes avancées et je me dois pour ainsi dire d’en découdre (de la vérité) avant de trépasser. vais-je pouvoir? vais-je pouvoir acquérir vraiment des savoirs de branche ? qui a pôur moi une réponse qui fasse le poids ? je suis homme des prés (oui) et cependant, aussi, la bête en soi , qui, renaclant, trépigne d’en savoir aussi, un bout ou un autre, comme nous. NOus disons que nous sommes xdeux à vouloir, nous disons dès lors que nous sommes deux à vouloir dès lorsq. Nous disons dès lors que nous sommesdeux à vouloir savoir = de concert. Savoir de quoi il en retourne dans les champs de blé concomittant. Savoir ce qui est pour nous qui bnous attend et tend à parler

, à dire (=signifier) ce qui est en cette chose d’une vérité des limbes cachée. Je cherche = nous cherchons. Car nous sommes deux (en moi-

même) à cxhercher que tu cghercheras. Nous cherchons à deux = à toi à moi, bras dessus bras dessous ou sinon ... un pied l’autre, etc.  Démarche pour une foi en la mort pour soi. 

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1/2/2022

jre cherche aub mieux les raisons en moi qui me font espérer en une découverte majeure, s»rieuse, déposée, mise en place sur pareil (ici) devant d’éternité. Je veuc x (de fait) comprendre au mieux, les ressorts qui sont, afin d’aller profond et de trouver en moi «l’animal de base», quel il est ou quel est-il ? car, est il celui ci qui charge de toute sa force son allant en moi, ou bien celui là qui regarde en moi et cherche à en trouver l’issue ? je veux comprendre au plus juste et au plus près les choses de ce monde partagé, ici la bête qui renacle en moi, là mon etre déplacé, mon corps de bure déposé sur ce devant hospitalier. Je suis l’homme bi des certitudes = cette chose doublée, cette chose double, etc., mi homme des attraits mi-cheval des commùunes . j’aspire

 à trouver ici et là un grand nombre

 de données qui feront de moi cette bete, mi-rosse mi-douce, des abris. je vais sur ce terrain-là enfourché, je cherche issue et demande à droite et à gauche qui pourrait m’aider et me glisser le mot qui convient ou convienfrait à pareille recherche vive, à l’oreille, pour me guider. Je vais en cette chose d’un devant de soi, je suis ce cheval des bois, je trépigne de joie, je suis je l’animal à la belle robe. Mon cvorps est musclé, lissé, je brille . jre suis cheval des prés qui va sur ce dfevant d’un soi de parade (cavalcade) et s’ébroue. mon cvoeur est coeur de joie . Je veux comprendre au mieux les données du monde : qui suis-je que je ne suis pas ? qui ne suis-je pas que je suis ? est-ce possible ? je vais et je viens en cette zone neuve des abris de toutes sortes, je m’avance nonchalamment, je veux trouver , dès lors je cherche. Je suis cet homme qui, assidu, motivé, pris par en lui la voix de la Chose, cherche vivement à comprendre au mieux les données prése,ntes d’un monde d’alentour à soi, celui-ci, qui est cet espace-temps pariétal. Je suis cette personne aux abois. Je veux savoir + car je suis mi bete mi-homme et en tant que tel j’aspire = je suis aspirant. Je guette autour de moi les diverses données qui viennent toutes (les unes après les autres) à se présenter et me concerrnent = me mirent. Je vois ces choses devant moi et comprend que celles ci comptent plus qu’il n’en parait : ce qui est et qui se montre = une et autres choses dures, des tourments c’est une évidence : malmadies diverses, souffrances diverses, douleur incommensurables, pas qu’un peu. je veux savoir. Ce qui est ici est cette chose d’une sorte de massif de joie mais déplacé. Le massif de joie est cette montagne sacrée déplacée = devant soi et non plus accolé, car fut un temps où ce massif était en effet accolé à soi et n’était pas cet espace-temps de rosse donnée, comme à ce jour . Le massif de la joie ou massif de joie avait pour lui d’être accolé et pouvait dès lors nous permettre de nous protéger. je vois les choses comme elles sont, je suis celui-là qui veut et cherche à voir, qui veut voir et cherche à voir les données les plus naïves-natives premières-primaires car, me voilà qui vient vers vous, quyi approche de la «vérité en toutezs choses» à grandes enjambées mi-humaines mi-chevaline.  Je suis le cheval des landes, je vais et je viens comme à la carmagnole, je veux comprendre au mieux toutes ces données concernant un monde qui serait ce monde des «vivant la mort de près», qui sont ils ? Mon coeur demande à savoir métronomiquement. Mon coeur cherche à comprendre chevalinement, car en moi résude (résidu) le cheval de la rage ... à dire sa voix, sa voix de coche. Je veux savoir au plus ce qui arrive, ici, dsans le sas = espace temps des courtes vues, etc. Qui va là sans lumière ? qui est qui ? qui est qui devant soi ? qui est cette personne devant moi qui me reluque de la tête aux pieds (de pied en cap) et ne cesse de m’aguicher : la mort ? oh certainement, on la connait, on sait pertinneme nt de quoio elle est capable obstinément. je sais cette chose ici d’une mort qui mate. Cela est connu de tous et toutes, cela est une certitude. Cela est même la 

plus grande des certitudes : la mort mate, oublie. Elle n’est pas là pour du semblant de joie et ne s’en lzaisse nullement conter par qui que ce soit, elle est fière, dure, rude, brute et charge en veux-tu en voilà sans regarder qui de quoi ni à la dépense ! Elle est moche ! elle ne ressemble à rien ! elle n’a pas de la beauté du monde adjacent et ses formes peuvent revêtir des alluures étrandgement fades ou mêmes maussades. je comprends ce qui est (du monde adjacent) à la mesure de la Chose ici qui mate. qui est elle ? qui est cette Chose ? eh bien voilà : nous avons affaire à une sorte de petite (?) bete des prés, une biche ou un chevreuil, une petite biche, ou bien une chèvre, ou bien la brebis galeuse, ou bien la brebis tout court. cette bête est une bete de la joie du monde et, aussi, la bete des attraits. nous cherchons dès lors pareille bête autour de nous, nous espionnons ou plutôt inspectons tout autour de nous et que voyons-nous ? cette petite (?) bête des attraits, nous la regardons dans le blanc des yeux, nous comprenons que cette bête est là (et bien là) pour nous, pour nous parler, pour nous dire des choses, pour nous guider, pour nous donner le change, pour nous indiquer le chemin de base, pour nbous indiquer la voie la plus courte, vers cet au delà de soi, cet espace de la joie votive, ce coin des durées, ce ventre mou. Je regarde icelle bête devant moi, elle est celle-là qui connait un grand nombre de données de base 

concernant pareille entité votive. Qu’a t elle àà nous dire ? elle a à nous dire ceci : comme quoi, la vie est cettye chose des attraits, des beautés nacrées, des couleurs vives, des douceurs mais aussi cette échancrure dans la toile, dans le lin de la roche des temps déplacés à notre gra,ndétonnement ou comment ? Je vais vers la bête, je m’approche d’elle. La bete connait bien mes volontés car elle lit dans ma pensée. La bete est autre, c’est à dire l’Autre. Cette bête est pour moi celke-là qui sait pourquoi en vrai je m’apprioche d’elle et quelleq sont les intentions qui m’habitent car elle voit loin et longtemps, elle fouille les êtres, elle 

comprend à demi-mot ou sans mot en vérité, elle a vite fait de vous cerner. La bête est cette Chose devant soi en interposition d’avec la mort. Elle obstue le paysage (la beauté) et ce faisant sert de bouclier. il y a la bête-mot (ou bete tout court) d’un en-soi de vie pariétale, et la mort «de l’autre côté» de la bête-mot. on voit cela tresq bien, on comprend les données ici, on s’en approche du moins . je vois la Chose ici en tant qu’elle est : celle-ci qui me regarde, me concerne, m’épie, me soupèse du regard en se disant  «mais qui est donc icelui qui va ainsi devant à mon approche ?», et moi de rétorquer : « je suis celui- là qui vient à ton encontre ou à ta rencontre dans le but avoué (affiché) d’en connaittree fort, d’en connaittre le plus, d’en savoir un max, etc, sur les choses du monde : peux tu m’aider ?», et la bête de répondre : « oui je peux car je sais des chgoses, je suis fine et gracile, fringante, je cours vite, je suis lancée et charmaeuse et charmante, etc, je peux te donner le change, je peux t’offrir le change, je peux être de bon conseil pour toi et pour ta gouverne, jhe peux t’aider sans 

arrière-pensées, je suis biche et brebis, mi biche mi-mot, mi brebis mi antre, etc, je suis hybride, je suis la bete qu’il te faut«», et moi de me dire comme quoi j’ai bien fait, cette chose d’aller, de gravir la pente, de monter tout haut, transe, transe, et toucher, la toucher la toucher, transe, montée ardue, monte que tu monteras, me voilà en haut . je suis tout en haut c’’st à dire en lévitation. je suis à présent cet être de peu en lévitation. je suis monté. Je suis monté sur pareil monticule de base. je suis tout à moi sur pareil monticule de base, je suis arrivé à bon port: de quoi s’agit-il ? il s’agit de cet endroit de la joie d’être, cet espace quasi mental, ce trou de fosse, cettte sorte d’excavation qui serait celle d’une sorte d’appétance pour la joie de figurer ici en tant que quoi, en tant qu’homme-biche, ou homme-cheveruil, cheval ? en tant qu’homme-cheval, brebis ? ou homme-brebis ! je vais en ce mont et mate. Je suis monté, je vois loin, il y a loin à voir, l’horizon de nacre, les fumées, la veine bleutée etc. Je comprends que l’enderoit est propice (plutôt) à rêveries, il y a cette chgose

 pour moi à comprendre, cette chose d’une «rêverie de base», une sorte de romancero intérieur, une sorte de danse macabre (?) ou commùent ? sarde ? je vais et je viens tourneboulant, je fais des tours et des retours, je tourne que tu tourneras, je suis le danseur des bois, je suis dans la transe sarde, je comprends . je suis monté ! je suis tout en haut du monticule et de là je vois loin ce qui est qui me regarde et m’appelle de son chant d’azur, etc. je suis homme-biche nacrée, je suis homme-cheval bleuté, je vais de monticule en monticule, je vois alentour, je suis hy = hybride, je suis bi = bi-être, je suis mi = chanteur ! je vais loin car je connais les lieux et je me laisse ainsi guider par kles effluves, je suis l’être du mont de ... la joie d’en être ! Mon corps entier est passé ! hourra et gloire à toi, le cheval ! gloire au cheval ! gloire à toi le canasson ! gloire au cvanasson ! gloire à toi l’animal ! gloire à toi animal des prés ! car je suis en toi et tu es en moi, et à nous deux nous faisons la paire et aussi la Chose (comme quoi !) qui pourrait nous en dire long, si seulement la Chose voulait bien (via nous) et pouvait se poser (quelques secondes) pour nous évoquer toutes ces choses qui sont choses de première main, choses rudes mais premièeres, choses des temps naissants . nous espérons beauycoiup qu’un jour, un jour prochain, la Chose, la Chose voudra, etc. Voudra-t-elle ? rien ne le garantit ! Elle vit sa vie de Chose hybride, détachée de nous, lointaine si elle le désire, etc. mon souci premier en toputes choses est de comprendre ce qui est, ce qui se trame aux alentours de nous = dans le sas des sas, dans ce sas (ici) des atours, des entours, etc, c’est à dire tout autour de nous. J’aspire fort à en savoir long soit le plus possible . je veux espérer = j’ose espérer. je dios cette chose comme quoi la vie des entours est celle-ci que nous qua;lifionds (en petit comité) dee borgne, quelquepart, et pourquoi borgne ? comme d’une porte, ou d’un mur plutot ! voilà les don,nées, nous disons les choses telles qu’elles nouis adviennent, c’’st à dire telles qu’elles arrivent (ensemble) à nottre intellect. Je charge = j’avance. Je suis mi- mi-, et cela étant jre grimpe 

comme l’animal (en lévitation) de la fable (l’âne d’or ?). je veux comprendre plus plus plus de ce que je sais de ce qui est, et que sais-je ? Je sais par exemple une cghose, cette chose d’un savoir ... ancestral et premier , même premier, etc. cette chose est celle-ci : comme quoi la vie des atours (entours, alentours) à soi = une (sorte de) zone franche, mortifère comme pas deux, ultra-dangereuse de base et casse-pipe de première. cela est une chose des plus sûres . Et donc c’est déjà pas mal . Il y a bien sûr mille et une chose de plus à comprendre icicbas incessamment, on est d’accord, or il est bon de rappeler la Chose commùe quoi, la vie est souffrance (depuis la naiossance) et n’est pas une partie de jambe en l’air ou commùent dire , ou seulement partie de jambes en l’air, ou comment dire, ou, seulement, des choses de joie, mi chair mi poisson, etc. Je veux comprendre . La vie est parties de jambes en l’air mais pas seulement. La vioe est joie d’être mais pas seulement . La vie finit mal mais pas seulement . je suis l’animal choyé par la lande, je m’ébroue comme jamais , j’avance sur les platesbandes, je veux du savoir, des connaissances, des compréhensions, je veux des donn,ées concernant mla mort, je veux creuser à même le Vzerbe dit «de destinée» les choses essentielles à ma démarche, etc . et pour cela que fais -je ? je creuse ! J’y vais franco de port, j’y vais gaiement, sans regarcder à la dépense plus qu’il n’en faut : rotation, derviche, je file, looopings dit «de ma race» j’obtempère ! je suis l’homme des attraits, comme il y a la biche des attraits, tout sensiblement pareil . je monte ! je suis monté ! je regartde et que vois-je ? je vois loin les données de base : le Verbe est un bouclier, il laramène comme jamais mais il a fort à faire, et les choses sont qu’il ne peut faillir sans qsombrer, d’où telle attitude de ramenage, etcc . LE verbe est là (à sa manière printanière, usurpée, racoleuse, etc) pour comblker et faire barrage à la mort de ta rage concrète . La mort voudrait passer par tel chas d’aiguille rupestre mais tintin car les mots sont là qui (de bouche) obstruent le passage (à la bonne heure des sentiments !) et voilà pourquoi la mort est cet oeil de razge, cette sorte de tourment qui mate, cet olibrius de premièrere à nous chercher des noises, etc  . Je vois bien que les choses se présentent de la sorte et se placent de part et d’autre du cheval . Je comprends )à présent  l’importance de la musique, du fluide, de l’eau, des choses advenant selon leur propre rythme d’appel, selon le rythme d’emplacement qui sied à Nature rustique, à pareille musique de déroulé . Les mots viennent musicalement prendre place dans un déroulé pensif déterminé par des canons de rage placés. je comprends ces attraits sus-mentionnés comme étant ces cases dans les quelles musicalement la pensée de bure vient à se loger incidemment à son ryhtme

 de partage . Je comprends la cghose d’une sortye de mélopée qui laisse passer = filtre au fur et à mesure des choses d’advenance vive = de la vie . Je voios que tout setrame en soi selon le schéma que ce tout adopte et non point selon ma volonté d’aller . je ne pense pas donc je suis . jer crois que la chose est rude qui veut que nous fussions mortels ! Je ne veux pas de la mort de base, qui veut ? nous pleurons ensemble sur un parapet, nous sommes assis et assises ou pour certains et certaines agenouillées et nous prions : de quoi s’agit il ? nous parlons dans un vide  (ou creux) de la rage d’être, nbous nous emberlificortons les pinceaux , nous nous mélangeons nos données, mi-homme ou mi-femme / mi bête, nopus sommes parés : fibrilles ! tresse de la joie d’etre, ici, cette chose hybride = hy, ou bi, ou mi, comme de coutume . Nous voulons creuser le plus loin possible la donne, nous sommes deux qui voulons creuser au plus loin possible la donne telle que nous (ensemble) nous l’évoquons et telle que nous (ensemble) la subodorons, car la donne = la chose des temps= cette chose d’une sorte d’appendice (?) à la mort de base . Oui ainsi. car la mort a son appendice caudal, et la vie a son appendice caudal, et les deux savzent mélanger, de base (de rage)  pareil, ici, leurs appen,dices, ils ou plutôt elles, savent, les deux savent mélanger leurs (le leur) appendices (chacune) c’est une certitude . cela est . Nous savons . La mort et la vie = main dans la main ! nous cherchons à comprendre loin ces choses des données de base, nous ne voulons pas ne pas nous approcher. Nous voulons co:mprendre ce qui est (de la vie et de ma moprt) et pour cela, nous nous unissons dans la joie et dans la bonne humeur et nous accolons nos pensqées natives,   . nous voulons comprendre loin = creuser, dans la profondeur des données qui nous sont offertes (de fait) par la bande . La bande est nacrée (on sait) et se prête volontiers à être exploré part telle goyuverrne mienne ou tellle autre gouverne nôtre . nous avons envie ensemble de mêler nos dires pour un «creusement temporel» ou «temporo-spatiazl», ou «spatio-temporel» etc, ici même, au sein de la  (cette) vie de base qui est vgie de rage pour tous et  toutes, et, qui plus est, à mesure de nos prpopres avancées en âge. Nous devons comprendre cettye chose d’une sorte de donnée comme quoi, la mort et la vie sont ... en ménage, etc. ! fibres de vie-mort emberlificotée comme jamais, tourbillon nacré, chaleurs du rut ensablée ! nous sommes deux (homme/femme et bete conjointe) à le subodorer, mais est-ce vrai, et si cela est vrai est-ce dicible (avéré et dit ?) ? Nous pensons des choses, nous pensons que nous devopns co:mprendre des choses, nous pensons que nous devons nous associer pour comprendsre des choses . Nous voulons comprendre des choses. Nous sommes ensemble (mi-homme / mi-femme, mi-bête) pour comprendre la chose, ici, comme quoi la vie a partie pleine, ou partie prenante, a vec la mort . -La mort est liée à la vie, dans cette sorte de déroulé  temporel, qui fait qu’elle est comme prise

 dans un piège à son tour mortel . La mort est une sorte de fibre à vif (un nerf) pris dans les rets d’une vie tout aussi vive et nervurée . Je cherche à comprendre ce qui est, je ne suis pas chiche en la matière. Mon corps partira mais ma voix reste qui sonne mâtines et crie sa gouaille animalière ! JE vais sur le parvis . je regarde les alentours, je croise des reagardsq de bêtes ici et là (betes des bois ?), je 

cherche à cerner les données tenaces de la vérité, je ne lâche pas la grappe. Qui est là decvant moi ? qui se pointe en face)àface ? qui me cherche des noises ? qsui est là qui me regarde ? qui me regarde ? qui est là qui me regarde ? qui me regarde insidieusement ? Qui veut me voir sous toutes mes coutures sinon Dieu on l’a compris ! mais qui est Dieu  ? dieu est l’ami simple, l’ami fidèle, l’oiseau de bonne compagnie, l’etre de la chance d’être, la joie au monde, le bel innocent de la fable ancienne, l’ombre sans ombre, la belle meunière des abruzzes, etc . Nous cgherchons à cerner au mieux les différentes données apportées (de grâce- par la bande . nousv  ne lambinons pas, nous sommes tout à notre tâche . nous checherchons avec sérieux,, nous sommes /

nous sommes assidus. Nous ne voulons pas lacher la bride. Nous voulons comprendre le plus de toutes ces données de base déposées ici à nos pieds, déposées tout près pour reconnaissance et étiquetage .  notre but est de cerner (bien cerner) les données du monde ... au plus juste du plus juste des chgoses pour le coup vraies, nous pouvons comprendre ce qui est ici en tant que ce qui est est cette chose d’un monde fermé, obturé, pris au piège de la réalité en vrai des tracas et autres tourments dits «de destinée» . nous savons que les choses sont telles car la vie est torsadée. Nous voulons comprendre ce qui est au mieux et pour ce faire nous devons chanter à notrte tour ce qui est de ce qui advient, etc, et ne pas lâcher la bride jamais mais bien la maintenir contre l’en-soi qui est le nôttre un temps, soit celui de nottre temps à vivre une vie avérée sur terre. Nous devons ainsi nous faiore à cette idée, comme quoi kla vie est rage, et la mort aussi , cette chose liée, comme embrouillée, comme prise dans les rets de pareille rage, etc . je vois depuis les monts cette chose làbas d’une sorte d’horizon de nacre. je vois au loin cette chose d’une sorte d’horizon qui nous regarde, il nous fait face = il fzait que nous avons (ainsi) face à arborer ; laquelle ? celle ci : vie-mort emberlificotée comme qui dirait de la tresse ou natte d’un être de rage ! Je comprends les choses ici à) la lumière de la rage à être, et c’est ainsi. il se peut que la compréhension ailleurs aille ailleurs et se posât sur d’autres territoires de pensée. Nous nous disons des choses mais la vérité excède (de loin !) les dires humains, voire les dires matinés (homme ou felmme / bête) on le sait et ... on le souligne ici. nous voulons toucher les cghoses du monde et (pour cela) nous devons creuser ... dans la profondeur des données (de base) déposée . Nous avons à toucher la Chose en vrai = en dur. Est elle de la partyie(vie-mort accouplés) ?Est elle cette chose qui cherche passage à tyravers nous (bouche ouverte) et cela pour la bonne cause (causerie) ? nous pen,chons pour le oui . nous avons à nous positionner et  c’est exactezment ce que nous faisons ... en priant , agenouillé, espérant en la venue un jour d’un être de salut . nous voulons combler le trou de notre bouche par des mots d’attraits (garnements) qui seront étoupe faisant barrrage. Notre but est affiché. Nous voulobns combler d’étoupe le trou de la bouche et faire barrage à lea 

mort de rage . nOus nbe voulobns pas mourir . Nous ne voulons pas de la mort . nous voulons conserver par devers nous les données vives de la joie à être et à vivre une vie d’emprunt. notre vie est ainsi délimitée, cernée, dessinée. je regarde lers données du monde et je vois que ce qui est est une xhose rude de chez rude pour tous et toutes (pour beaucoup sinon pour tousq et toutes). nous voulons être etres de rage comme est la mort, et rétorquer du tac au tac ... et pourquoi pas ?  Car, nous sqommes remontés, nous sommes à bloc, nous sommes deux qui sommes remontés et forts de notre envie de bousculer la donne. NOu somm es deux qui voyons les choses (du monde alentour) nous coincer pour ainsi dire . notrte but est de voir ce qui est , au delà des alentours les plus sommma ires. nous ne voulons pas de la moprt de base, celle -là à laquelle noius sommes promis et promises, nbous n’en voulons pas, nous ne voulons pas de cette chose rude. notre but est de chercher ailleurs et de trouver, à même la vie, de quoi sortir latête (d’éternité ? nous y reviendrons) et, si possible, prendre un peu d’air, respirer, souffler, vivre dans la joie de vivre, vivre en joie, êztre joie, etre, etc. notre désir est ainsi signifié en toutes lettrtes . comment s’éloigner de la nasse mort-vie de base attitrée ? que faire pour s’en protéger ? où aller ? cvomment s’y prendre ? nous ne vcoulons pas mourir en c ette cghose d’une vie comme sous emprise ici bas, et pour celac : le Verbe en bouclier !nous comprenons pas mal, nous comprenons que nous comprenons ! nous comprenons que nous comprenons des cghoses de base, nous ne sommùes pas si betes que ça, nous ne voulons pas passerc à côté de tout. notre ambition est ainsi ici, qui nous dicte la marche à suivre. Notre but est celui-ci. nous ne vcoulons pas trépasser, nbous ne voulons pas succomber et de ce fait njous cherchons ensemble (main dans la main) à comprendre le plus, le plus loin possible, à cerner le plus, le plus profondément possible, les données les plus profondes, les dires de base, les mots de la joie de l’être des ou du temps, nous voulons comprendre dur. Ce qui est au monde est au monde nu. ce qui n’est pas au monde est au monde habillé. Les choses sont ainsi qu’elles se trament dans (ou par) des apparats. nous voulons cerner rude, comprendre dur, ttrouver la voie, aller dans les limbes et les catacombes, percer. Mais comment percer ? un pic est nécessaire ! Comment donc percer la Chhose du temps ? eh bien, armé ! oui et de quoio ? de ton pic verbal de rage. il s’agit de ce pic mal ou bien  embouché ! Eh donc ? eh bvien ainsi armé tu peux lutter ! tu peux aller loin dans la profondeur des langages endiablés, tu peux danser la carmagnole, le cha cha cha, etc, facile ! tu deviens dès lors l’etre aux doux atours, tu vogues, tu volette à la volette, tu montes d’un cran et cxharme l’auditoire à la bonne franquette du pot ! rien de moins ! cest ainsi que pour ma gouverne j’ose faire, voici ! je file ma rage ! je v ais loin dans la conna issance des données de terre-mère, je fonce = j’y vais = j’obtempère = je me lie aux temps, des passages frères, etc Je cherche à comprendre au pklus du plus et pour ce faire je vais vivante dans la nasse et me délecte des données brutes : mots de peu, voilages, doux désirs, mots de

 rage a minima, colères doucement frappée, carambolages de façade, etc Je suis l’homme qui vibre, armé de sa batte animale, il ne s’en laisse pas conter cxar il y va fissa tête première dans la mêlée. Il est l’homme des places vides, à combler de jhoie urbaine . l’homme du sérail cxhangé en jungle. L’homme doux privé des abris. le tentaculaire, etc. sa voix portera, mais ne porte pas car elle est légère, fluette, et nbe va pas là où bon lui semblerait de devoir allzer . chacun sa peine. nous voulons comprendre   e qui est de toute l’affaire et ainsi aviser ensembler à comment pouvoir aller se dépa touiller d’une telle engeance en la personne de la mort ici présente dans le sas des sas . mais de quoi est donc fait ce sas des sas ? de quoi en retourne t il ? nous pensons que cette chose (sas des sas) est chose commùune, disons : place commune, ou disons : liueu d’accueil. Nous voulons cerner la chose ensemble soit au plus juste d’une sorte de justice sans faux)-semblant mais ce ,n’est pas gagné . nous pensons que nous devons comprendre (au mieux) les données r&acées, soit : ceklles qui ont du chien, qui en jettent, qui en fichent plein la vue, etc, les cerner au mieux et faire avec. la chose ici concerne une vie d’ezmprunt on l’a dit et ne doit pas être p rise au pied de la lettre. à savoir : non ! la chose n’est pas une chose au rabais ! Nous voulons ensemble essayer de comprendre (au mieux) ce qu’il en est, de cette vie de base rustique, princière, de rage, etc qui est la nottre en cxe bas-monde sidéral (et monacal) et pour cela, nous devons veiller à nhe pas nous arrêter à ce que dit la lettre en son être, nous devons comprendre au delà des mots, passer cap pour ainsi dire et déplacer de fait notre chazmp de vision. La terre entière est sous l’étau d’une chape de mots de type ambivalents ! sus aux mots de toute sorte ! sortons-en ! allons voir ailleurs si nbous y sommes, etc. Car, la terre est aussi ce lieu de souci simples, d’études, de recherches menées tambour battant à même le Verbe plein, etc, et pas seulement cet endroit de plantation, ces herbages de perte, ces fouillis matinaux, etc

. la vie a des bons côtés. LKa vie se prête à des études langagières de haute tenue dans un cadre (calé) déplacé. nous avons à comprendre beaucoup en disant la chgose crument. nous nous devons ensemble de chgercher la faille dans le temps, pousser au plus que nous pouvons les données de base telles que celles-ci se présentent à nous, faire ainsi que les choses soient et ... ne plus lâcher la bride . notre but est de teznir bon dans les charges, dans pareilles charges allègres, dans ces embardées vocales, dans les recherches menées de conserve, etc . Il y a à comprendre et cer ner, il y a aussi à creuser de notre pic de bouche appointé ! qui l’eut cru ? nous sol:mes deux pour un,e sorte de recherche a ctive à mener ensemble au sein du verbe !  qui et qui ? eh bien, peut-être l’animal ... et moi, la chose, cette Chose dite qui serait ou répondrait de l’ordre des mots bêtes, betes et betes, betes animal, et bete pas bien futé, etc, car la bete-animal n’’est pas bete, et la betise en soi n’a rien d’animal . Nous nous appuyons sur le Verbe et cxhercghons ainsi (par ce biais) la Chose à comprten dre . nous fouillons de rage et creusons de concert. La mort est cette cghose en contrefort, qui sembvle avoir à (pour elle) nous atteindre, nous attirer à elle, nous pousser à la faute. il semblerait que cette Chose de la mort à l’oeuvre est un véhicule primaire amené à nous adjoindre oà un lieu de perte. notre envie, est d’éviter pareillle embardé, ou pareille volonté. nous n’avons pas signé pour être capturé de fait de la sorte et selon son bon-vouloir. nous n’avons en rien voulu cette cghose ! nous n’avons jamais signé pour ainsi nous laisser emporter de force par la mort à l’oeuvre, la gaillarde : que dalle ! non ! non ! non jamais ! nous ne voulonbs pas ! nous ne voulons pas être pris de la sorte, surpris, prisonnier, fait comme des rats, belettes, rats des chzamps et rats d’egouts, belettes et autres betes voreaces. la tete est nôtre, qyui cherchons à la sauver. notre ainsi tete de roi. nous voulons combattre, car, nous savons  cette chose, comme quoi lea mort est une chose mûre, dépourvue de sentiments de quelque sorte que  ce soit, pour ainsi dire dégaagée et prête à tout, qui n’est pas peu fière cx’elle-même et ne manquera pas de nous (en quelque sorte) capturer si nécessairte et si, de notre côté, nous n’y prenons gare$. Car quoi 

malheur ! la mort est entière ! elle ne renâcle devant rien et impose sa loi, sa loi divibne, à la une à la deux sans tergiverser . nOus voulons aller au loin dans la connaissa nce. Nous voulons aller dans la profondeur de  ce qui est et qui est approchable par le Verbe;. oui nous voulons ! ou plutot : ouyi nous voulons buter mais ... pour mieux percevoir le plan d’ensemble, sinon quoi d’autre ? c’est à dire (en gros) quoi faire d’aurtrre que cette chose ? Nous sommes deux qui voulons trouver (ensemble) la clé . quelle est elle ? nous voulons trouver la clé, où est la clé ? c’est quoi une clé, en  cette matière ? qui répondra? Nous cherchons une clé pour une porte. nous voulonbs traverser le sas. Nous ne voulons pas rester à quai (en carafe) à attendre gentiement que les données du monde nous tombent dessus pour ingformation, mais aller de l’avant, passer outtre, pâsser le cap, frapper à la porte si tant est, ou bien (et donc) actionner la c lé (musicale ?) des temps. notre envie cde clé est envie de joie, ni plus nbi moins. nous sommes dans l’atteznte d’une joie à être vif et vive à jamais, musicalement très certainement, cvorporellement peut-etre, amiicalement il se peut, concrètement n’en doutons pas. je cherche voix d’attrait, et voie de passage dans un antre qui serait ici celui de la vie éternellement embellie, et dfu coup : la clé ! cette clé est clé ... de ta rage folle (folie ?) mais pas seulement. Cette clé est clé de base. clé pour le trou à percer (pique ?). Il s’agit d’une clé de base pour un verrou, à faire sauter vite fait. ne trainons pas dans l’embuscade ! filons doux nottre pâreille ! chargeons à dos de mulet les parades ! concentrons nous sur le pas de charge ! comblons nos lacunes immenses ! passons outre à volonté (celle de la Chose) de nbous voir dépassée et mis et mise à bas ! prisons ! prions ! allons voir ailleurs si nous y sommes ensemble , etc , et voilà pourquoi (ce tout) est pour nous une voie d’abord possible, une entrée possible en cette matière, d’une sorte de donnée rupestre (à la dure) qui bnous tens les bras ou nbous tendrait les bras à qui mieux mieux afin de nous aider à (pour ainsi dire) passer un c ap, celui de la mort (dite) promise, de la mort affichée, annoncée partout et qui n’est pas (du tout) pour nous plaire outre mesure loin de là ! nous voulons trouver lma cklé, quelle est-elle ? nbous chezrchons ! Nous voulons trouver à même le VErbe d’état, cette cxlé de rage si prisée, et pour ce faire un peu de musique car, on le sait, toute recherchge digne cde  ce nom s’accompagne toujours de musique, qu’elle soit interne (musique interne) ou externe (musique des contrées) peu importe, la musique estla part du diable, elle a mesure à joindre à nous, elle se doit d’êtrte clé de la base et clé du sommet des données natives, des données terminales ou finales, des données de base rageuse comme 

on le voit icvi et là, nous devons comprendre ensembvle cette clé, d’où et comment l’envisager ou la cerner ? notre envie est envie de nous pla cer de telle sorte que pareille recherche de clé devint possible. nbous nous installonsface à face et par(lons. Nous devons nbouys placer face à face et parler ensemble, et trouver les mots de parade . passons la cxhose en revue. La cklé est d’abord musicale, on le voit, ça s’entend. la clé est chosemusicale en cela que le temps est de la partie. le temps est l’espace de vie cx’une sorte d’envie allouée à une destinée mortelle. nous ne voulons pas cdéfaillir mais nous n’ensommes pas (encore ?) à l’abri et cela car nous sommes encore «jeunes d’esprit» il se peut, ou bvien parce que les mots dans notre bouche ne s’imposent pas, du tout, comme on le voudrait. nous avons des choses à cerner, à comprendre, à dire, à percer de notre piolet vif de rage, et bien d’autres cghoses

 encore à faire, mais d’abord : la clé ! quelle est-elle ? où est-elle ? qui la connait ? qui sait où elleest, où elle se trouve ? qsui la connait ? qui sait où elle crèche ? qui connait la cklé de mémoire ? qui sait ce que c’est qu’une cklé de rage ? qui connait le sort réservé aux clés ? qui voudra comprendre notre but et cette chose, de vouloir mordicus comprendre, de la cké, les aboutiisants ? qui voudra nous aider dans notre recherche de clé ? Nous sommes deux (ensemble) qui cherchons la clé = la musique = le temps = les tourments = les sorties rugeuses dans le sas des sas dx’une vie de base, etcQui a compris le sebns desq mots ? qui cherche avec nbous à dépasser le sens (pur et dur) des mots ... de la rage à être vivant ?  car, les mots sont tous ... enfants de la rage, de la rage à être ... vivant /vivante «de ta race» ! oui ! cela se voit partout, sous toutescles latitudes ! les mots nous protrè§gent (un temp^s = le Temps) de la mort à l ‘oeuvre c’e’st ainsi, car ils font écran, ils comblent le Temps, ilsq obstruent trou de bouche ouverte, ils font tous barrage .. d’où leurs noms de» mots de barrage» on l’a compris ! ils barrent dans la rage, etc! nous devons comprendre les donnéesz ici, qui toutes semblent s’agglutiner à la lumière d’une  vérité (sorte de vérité) de passage, nous sommes entiers / entières, et nous cherchons ensemble cette vérité. nous devons comprendre au mieux cette notion ici abordée, d’une sorte de barre-barrage à Chose de la mort à l’oeuvre, cette cxhose d’une obstruction. nbous nous devons de compre ndre ensemble pareille donn,ée frontale et d'en mesurer les effgets à lo ngue écxhéeance. Je vois le mot «mot» faisant écran, je songe au mot «bete» et comprend davantage . L’animal est le mot de la fable, mot de rage dure et d’obstruction 

à captation. le Temps est un abri de type rupestre (une grotte décorée) et de type musical( le chant des atours). nouys voilà qui cherchons à nous désembringuer de la chose en soi qui parade devant nous comme une mal élevée comme tout. que donc dire à la mort pour la chasser ? du dire de rage = du dire = des mots-animaux = des betes de charge = du venin ou du poison en tant que donn,ée folles, ou en tant que données sombres. Je regarde autour de moi, je vois de beaux pâysages . les beautés des lieux d’atours, cela est ainsi que nous voyons eznsemble. je m’imagine une vallée, un sillon, un chemin dans lkes collines avoisinantres . pa ysage ami qui nbous regarde et semble nbous apprécier, bnous reconnaitre en tant que tel et telle et nousq adopter. or voici que la mort parade ! Elle n’a jamais peur, elle n’est jamais rassasiée, elle cherche rtoujours à nous blouser ou ruser. nous ne voulons pas de la mort car nous sommes eznsemble, qui cherchons à commùent agir et à comment nous y 

prendre , et, ce faisant, nous disons ensemble ce refus, de nous voir piéger. la mort n’est donc pas cette chose rosse que l’on croirait, ou ne serait pas ? nous n’en savons rien ! Nous sommùes à la recherche d’une vérité des vérités, nous sommes à la recherche d’une vérité des vérités, comment l’aborder ? qu’y a-t-)il «après « la mort que nous ne sacxhions ? si je meurs mon corps tombe et s’éteint. je crois en une étoile de destinée vive, qui saurait nous seconder en ces pires momeznts de rage. je cxrois que mon corps est voué à disparaitre mais pas mon âme. mùon âme est cettte chose d’une sorte de ( comment dire ?) volonté. je crois que mon êame est une chose dite «coriace» mais qui l’est en vérité . l’ame est pour le corps l’équivalent pour ainsi dire langagier de ce qu’est, à la mort, le langage. ou non : l’ame est pour le coprps ce que les mots (les mots-betes ou mots-animaux) sont pour la mort. Nous devons obtempérer. l’ame est au corps ce que le mot est à la mort : fissa pareil. nous disons (fissa) que les choses sont équivalentes, ou (disons) se font comme é»cho par la bande. nous cherchons desq vérités de poropagande pour ainsi dire ! les mots disent la chjose nue mais jamais ne la montre ! ou bien : les mots disent à nu les choses de la mort à l’oeuvre, à l'oeuvre ici bas (sas des sas) . Nous pensons que la mort est en soi gageure, forte tête, misère, pitrerie, rature, colère, peine et prise, et voilà pourquoi nbous n’en voulobns pas. l’âme a à être. le corps finira sa course (étoile des mers) . nous ne voulons pâs de la mort dure, ni de la mort -outrage,, ni même de la mort-romance. le but ici est de trouver (ensemble) à nous en dé&faire (de pareille prise) et pour ce faire ... un peu de musique temporo-spa tiale fera bien l’affaire en ce lieu de rage qui est lieu ... où bnous avons à faire ainsi, qUue les choses (à nos yeux) «soient» et non le contraire. vive le temps musical de base ! chgantons haut sa louange ! vive le temps ! vive le temps ! dsoyons nous memes temps d’azur, accolés à des sentiments ! filons en vitesse en sens contraire et nbe prêtons pas (ou ne courbons pas) l’échine  ,

au couperet fatal de pareille Chose du vent, des brisesq, de l’air ambiant. Comptons sur notre bonne étoile de berger = celle-ci, qui nous accompagne depuis longtemps, c’est à dire depuis toujours (les débuts de l’humanité) . Nous avons à dire des choses en vrai, nous devons dire des choses pesantes, et tant pis ... si la somme est lourde et surtout lourde à digérer ! Le but affiché doit être visé continument et coute que coute . nous de

vons aller ensemble loin et chercher ensemble profond des données de base . nous ne voulons pas pâsser continueelement à côté sans en rien retirer on kle comprendra, et pour ce faire : fissa dans la masse ! verbe à cran ! capitale des rechercbhes menées la fleur à la bouche ! capitale des séries des  recherches vives ! la capitale annoncée ! Nous sommes ensemble deux qui cherchons volontiers à cvomprendre de fait l;es données (toutes) ré&gulant le monde, et aussi la destinée du monde. je regarde loin et vois que la terre est ronde mais est elle à nous ? à qui appartient la terre ? est elle terre d’emprunt passager ? qui est l’homme des abris ? suis je homme-cheval caressant l’envie de trouver pitance en pareille zone fleurie ? suis je homme de peu d’envergure ? le mal dégrossi ? mal futé ? mal mis ? mal embouché ? mal conduit ? mal guidé ? mal dit , etc ? Jignore le tout. La cxhance que j’ai est que je suis ici pour ça ,

: faire, filer, tracer, courir sur la pl;aine, et aussi toucher la fibbre, la vrille, cette coulée douce, ou colmment appeler ... pareillle sorte (tresssée) de coulée de rage, de rage buccale ? Je vois devant moi des choses rugueuses mùais que vois je d’autre ? je vois des prairies, je vois des prés, je vois millme cghoses rudes, je vois des traits hachurant le ciel comme une peau de bete, je vois des êtres de données diverses se moquant de moi, qui sont ils ? Je vois 

des betres cxhevauchant la plaine et allant vif de cabrioles en xcabrioles. Je suis hommme dit, quii regarde en lui mais devant. je veux combvattre les données verbales par le v erbe à cru, ficelé comme une antenne . rien ne pourra se mettre 

en travers de moi, sinon quoi ? un mal perforant plantaire ? une rage dentaire ? deux brasz coupés à la guerre ? un couperet sur une nuque frêle ? je sens venir le vent qui va, à travers la plaine, jusqu’à moi et me dit xde nbe pas m’en faire, car : nous sommes deux qui sommes chercheurs / chercheuses , de choses cachées, enfouies de base, qui bnous regardent, qui ne cessent de nous espionner, de 

nouds reluquer comme êttres à surveilller pour ainsi dire par la bande . qsui viendra me voir ? qui viendra me toucher ?. qyui viendra me parler ? qui viendra me montrezr du doigt ? qui viendra pour le coup me montrer du doigt et jeter l’opprobe sur moi : qui ? je cherche le nom de la bêtye ! quelle est -elle ? Qui le sait ? nous nous approchons d’une vérité (qui est vérité de bon aloi) pa r la bande : une ici de celles ... qui nous charment longuement. nous avons pour nous une voix qui est voix de passage et de traversqée de zones senqsibles. notre voix meugle ou beugle quand elle charge. Animal xde compagnbie je suis. je cherche pita,nce dans les zones les plus reculéesq de «la lande de la vérité», et c’’st ainsi que je trouve où aller pour trouver «des choses», soit des instrumentr = des outils de traversée, etc . car ce qUI est est cette cxhose comme quoi jhe suis chargeant, de roche dure = une bete à cornes. je m’impose en tant que bête à cornes fouillant dans la masse des donn,ées offertes toutes par la ba nde d’une vie a llouée à la mort. je ne cxherche pas

 autre chose. Je cherche vie ainsi et tente de comprendre, ici, la cxhose ainsi tressée, ainsi tissée, ainsi mélangée.La mort est une sorte ... d’enclave à baisers. sorte d’encl;ave à colli-collage ou comment dire ? ici est cette chose d’une enclave où kles rapprochements de type collage sont à observer. je vais dans une direction qui est direction ascentionnelle et cela du fait que la mort aspire d’en haut les qui viennent (comme itou) d’en bas. La mort aspire et ce faisant attire. il s’agit dès lors de cette bouche d’aspiration douce (ou pas en l’occurrence) qui est devant nous, sous forme de... eh bien, voilà qui est à definir ! sous forme de ... Chose, on le sait : paradis perdu ? bnous ne voul:ons pas abandonner en si bon chemin la lutte mais encore et toujours progressser car après tout peiiut-être sommes nous sur le bon chemin ? Nous dison,s que ce que nous cherchons se trouve devant et non derrière. ainsi n otre a mbition est située. nous ne cherchons pas à «bien fdaire» mais à creuser que tu creuseras les dires d’un Verbe de joie adjacent à cette vie de rage (et de colère) en   ous . car de base l’hgomme / femme est en colèree. il n’est pas homme / femme dégagée», il est homme / femme engagée dans un souci massif (conduit, tubage) de colère . Vivre = de colère, et aussi de rage. nous voulons dèsq lors dire cette chose comme qUOI ce que nous recherchons n’est pas à peaufiner derrière mais bien au contraire à creuser devant. qui creuse devant trouvera le trou où se mettre . chacun son trou, chacune son trou. nous devons creuser ce verbe déposé qui est pour ainsi dire ce présent de roche (terre-mère) à même ce Temps qui ici nous apparait dans toute sa composante rupestre. depot de joie, depot de soi dans la joie. sachons nous contenter de ce maigre dépot de paresse, ou de candeur, ou comment autrement ? Je suis homme-cheval dans la tourmente d’une vie à vivre radicale, je fonce. Et aussi je monte, soit je m’élèvze : cheval ailé qui surplombe les contrées. je

 vole. mon nom est   elui qui s’affiche (de visu) sur ma tombe (forcé). ici est la  vérité ! ici est la chose de vérité , ici est cette chose de la vérité , ici eswt la  vérité. Je ne nargue personne. je veux cerner cette dite vérité du monde et de la mort à l’oeuvre dans le sas des sas (sas des sas pariétal) qui est le monde (dur) qu’(il bnous incombe de cxonnaitre, et connaître au pklus près, de visu et ... la crinière dans le veznt , pour ainsi 

dire : vive le vent ! Nous ne sommes à l’abri de rien. Nous voulons cerner les choses au plus près des ressemblan,ces. Notre envie est de cerner fissa au pklus juste possible ce qui est d’une vie à vivre et ce qui ws’ensuit à pareille vie. notre b ut est ainsi de dire et disant de faire, quoi ? allégeance on l’a compris . Misère de soi dans un sens fatal.misère de soi dans le sens fatal des cghoses mouranteqs! nous dsommes finis ! la vie est de celles qui meurent à trépas. Je veux mieux comprendre : qyui parle en moi ? qui dit les chgoses pour moi  ? qui me pousse à des retranchements de plus ou moins bon aloi ? qui est qui dans le sas des sas ? qui parle pour moi et, aussi, me mouille de la sorte = me pousse à la faute bien malgré moi(?) ? Qui va là pour moi ? kje cherche la pêtite voix en moi parlant pour moi et disant ce qui est (ici) qu’il m’incombe de co:mprendre au mieux et sa ns p;us tarder car le temps presse . jhe  v eux cerner la voix = l’entourer d’un trait de rage, et la capturer comme la bete à prendre. je cherche vif en moi des raisons de croire en la Voix en moi parfois menaçante. qui est nom de dieu, ou : qui est qui, nom d’une pipe ! Qui parle là pour dire quoi ? je chezrche à l’envi des choses de poids qui puiissent plaire (et instruire) à, et ma gouverne si tant est, car rien n’est fait ! Je cherche à tout va des raisons de base, de quoi là nbourrir ma mémoire interne et la charger en   diverses croyances, étoffées, affermies, sereines, dignes. Je cherche voix en moi qui put dire sa croyance dans un au-delà non pas de soi maisq de sa voix. je ne cherche rien xd’autre que ça. 

Ma voix est de celles que l’on peut toucher comme un bébé naissant, trouvezr en elle une douceur (de belle facture) et s’en conforter, ou réconforter , dans un sens qui dirait que ce qUI est est cette choseà ici caresser vivant dans la joie. lje veux savoir  cela (ce qui est) en passant la paroi du tempsq. Mon nom s’affiche de concert. il est icelui natif. il est le nom  qui dit la chjose du temps traversé. Il est icelui petit nom disant à bas bruit cette cxhose d’une tra versée du temps dans le sang. Je comprends les choses ainsi. j’eswsaie du moins de les comprendre ainsi et de ne pas :m’en retourner si vite mais, tout au contraire, de c reuser, de creuser plus avant, fissza, et toujours dans le sein , sein des seins pariétal d’une vie sur terre. Je suis ... homme-bête à cran. je suis en colère = en hjoie. je  b ande dur de la force rageuse d’une en soi époopée de rage, ou comment ? je suis l’homme-cheval (chevalin) croisant les fers,; luttant de pleine grace, perçant et foulant, cognant et raturant la dxite «mort à l’oeuvre»» de céans. pissant culotte, fouaillant dans la cxhair blême, trouant ciel de mon cri de bezte à crinière, sabots blancs, cornes à vif. JE suis Autre. Calqué. Je m»’épuise à dire ... le mal co ntenu dans la rage, cette cbhose d’un en-soi de ma sse à bruler, à poser sur pierre d’ioffrande, tout ce temps de soi passé à déposer, fissa, par la bande et en priant que la chose fut telle qu’elle put êttre, pour la mort, suffisante, soit touchante. je chezrche à percer mystères, à trouver lesq mots de base à dire, à caler mon dire à ma rage d’être. qui parle en mon nom ? qsui parle en mon nom ? quyi parle en mon nom ? qui porte mon nom ? qsui porte mon nom ? qui porte le nom de la bête ? qui porte le nom d’une bête ? qzui a pour nom le nom cx’une bête ? qui a comme nom le nom d’u ne bête ? qui a comme nom  elui d’une bêzte des bois ? qui a comme nom le nom d’une bêtye à bois ? qui tremble devant la  bete  ? qui est comme tremblant devant une bêtye ? qui sépoumone à prononcer tel ou tel nom de bête ? qui a pour lui en lui un nom de bête ? qu est pour lui , à ses propres yeux, une bêzte ? qui est bête à ses yeux ? qui poerte en lui une sorte de bete qui est un mot bete de rage ? qui dira la vérité de la betye en soi, de cette bete en soi que nous «portons», que nous contenons (où ?), que nous embrassons ? qui saura dire cette vérité ? qui saura dire cette v érité d»’une bête contebnue en nous)-mêmes mais où ? qsui a compris cette vérité d’une bête en nous contebnue ? qui entre nous a compris ? qui a compris entre nous cette cxhose ? qui a vu la bete en lui même ? qui en lui même ou en elle même aura vu la bete et entendu meugler ? qui meugle en moi ? qui sinon la chair ? qui meugle en moi sinon la chair , cette chair de rage aniumale ! qui parle : le corps parle ! qui est le corps ? le corps est la bêtye ! qui est la bête ? la bete est le sang on le sait ! la bete est le sang qui coule dans nos veines bleues, la bete est ce sang des veines bleutées. Nouscherchons

 les données de b ase, les lignées sanguines, les noms de traverse, les pouvoirs occultes. nous cherchons des savoirs venus d’outre-tombe, d’au-delà des monts de parages, d’outre-barra ge tout autant . ici le mot bnous met ... à l’abri un temps, car le parler fait la différence. qui parle sinon le Père. Qui chante sinon la Mère. qui pl;eure sinon le Frère. qui meugle sinon (en moi : ancrée) la bête des temps dep^l

ac»és, car les temps (et de fait les betes) le sont, qui voient depuis ailleurs les choses du monde  . ici nous sommes et ici allons, mais dans un sens qui fait que nous sommes trouchés = meurtris, et aussi que bnous chercghons (dès lors) à dépasser le stade de la mort inscrite, ici, en nos vies, pour aller plus loin deéposezr nos vivres à même la pierre . lza bete en bnous porte le nom que nous lui donnons. la bête en bnous est porteuse d’un nom de bete, et ce nom est donné par bnous qui savons y faire = nommer vivement (sur roche) l’animal de poids qui en impose et manifeste (dans la ressemblance) ses émois.  Nous sommes qui devons co:prendre cette chose . une clé est musicale de parade, elle est clé d’azur. La cklé ouvre la porte aux passages vifs, courabgeux, volontairesq, élancés et motivés par un allant de belle remontée. la clé est celle ici qui est pour nous une ouverture à des sortes de données franchhes. une clé pour un royaume et la chose est entérinée. nous cherchons la clé pour entrer en ce monde effilé. Nous voulons comprendre le ++++++++ de la

 roche rude. nous voulons cerner (de fait) le plus, concernant ici icelle roche ... aux tourments de base. notre but est de co:mprendre vif et de toucher à vif la chose . une bete en bnous parle pour nous . il s’agit d’une bpête de poids. elle porte le nom que nous lui donnons . elle nous seconde partout où nousallons. dès lors nbous pouvons dire qu’elle nous appartient (elle est à nous car eklle est en   ous) et que nous mêmes, aussi, lui appartenons car elle se loge en bnous, comme à l’intériuer d’une demeure, d’une hutte dont en vrai elle sezrait propriétaire. la bete est en bnous comme dans une case. nous parlons pour elle, elle nous souffle 

quoi dire à son tour 

et nous d’enchainer pa r là même, a insi de suite. nous sommes à sa merci et elle à la nôtre, et chemin faisant, bon an mal an, cahin caha, nous allons de conserve v ers une sorte de finalité, bleutée, ambrée, ou bien nacrée, de bout de monde,  . njous sommesq remontées, nous sommes vifs et vives. nos percées sont vives. notre joie plaide. nous passons le  cap et traversons ensemble lka fine fibre des données de  base. nous sommes de l’autre côté.

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31/1/2022

Je vois devant moi une chose, cette chose est une vérité, cette vérité a à voir fortement avec notre (sorte de) raison de base, avec la raison telle qu’elle est logée en notre intérieur dit intelligent ou, si,non intelligent, een notre intérieur dit voyant = qui absorbe et mouline . Nous regardons les choses crument, et ce que nous voyons est de la "vérité vraie" soit cette chose devant soi qui semble signifier un certain nombre de faits justes, ou bien ,

 d’évènzements tracés, de choses et autres, etc, qui, pour nous, sont comme des éléments (directement) de "pleine compréhension". je suis assis à mon bureau, mon souci est de creuser au plus profond dans ce devant (devant moi) des vérités 

qui   sont à cerner . Je comprend ou plutôt prends, les choses au plus juste, disons que jeme place en position en vrai pour ce faire c’est à dire pour cerner au mieux. cC’est à dire que je prends, je cerne = je prends, ce qui donc

arrive, de cette mùanière que j’ai ici, de me placer pour ainsi dire de telle façon que les choses dites «de la vérité du monde» viennent comme d’elles mêmes (enchantement) à se déposer dans l’e’scarcelle d’un devant de soi ici pariétal ou de ce type . mon souci est continu, il s’agit pour moi de cerner (sans cesse) les choses .. d’un devant de soi radicalement cerné . Je cherche des dires et ces dires ont à voir (fatalement ?) avec la vérité vraie des devants . Que sont les devants ? les devants sont des signaux, des signes majeurs . Je regarde les signes majeurs . je ne suis pas (jamais ici) en reste de, en vrai, regarder les signes (les signaux) majeurs . il y a là ce souci qui est perpétuel, de toujours voir à regarder attentivement les signaux majeurs . je cherche en continu à regarder dans une direction que je veux neuve, fraiche, mon souci est tel . Je ne veux d’aucune manière voir ce qui advient avec des yeux qui seraient embrouillés car, mon souci est de comprendre «des vérités», des choses vraies, du vrai, les choses dites «de la vérité», etc . Je suis à mon bureau (claquemuuré) et je cherche avec assiduité à me positionner (la cghose est là) de telle manière, que la vérité des choses du monde, advienne au plus juste et au plus près de ma gouverne . Nous cherchons à nous positionner (dans la vie ?) de telle manière (il s’agit d’une manière) que les choses de la vie (soit la vérité) se montrassent, ou se montrât pour la vérité, se monstrassent pour les choses de la vie , ici, devant soi, devant notre (dite) «raison de gouverne». Car voilà de quoi il s’agit : il s’agit d’une gouverne temporelle . La gouverne temporelle est celle-ci qui ici nous guide (en continu) dans nos cheminements de pensée . La gouverne ici temporelle, est une gouverne qui, obstinément, nous guide, nous pousse à , nous abjure, nous donne à faire etc dans le swens d’u ne recherc he en continu (on l’a dit) de la vérité. La raison , pour nous, est comme assise , et la gouverne actionne et lève la raison . nous voyons devant nous les «choses de la v érité», et ces choses sont toutes empreintes d’une sorte d’aura qui fait d’elles des sommets, des choses à gravir pour notre gouverne, soit pour moi aussi qui suis face à elles comme un aspirant qui cherche délicatement à ne rien froisser mais tout au contrzaire à déplier les différentes facettes (tissées etc) des choses du monde, qui (ici) s’offre à un devant ... aux yeux ouverts (fermés ?) . Je vois devant moi les cghoses qui arrivent, les unes et les autres, ces chosesd d’un devant comme attribué à tout un chacun ou chacune . Ces choses sont telles que je suis celui- ci = cette personne, quyi (à mon tour, ou à son tour) les absorbe . je vois ces choses comme des présents . ce sont des présents . Ces choses sont, face à moi qui les regarde, des présents au monde, présents de dépot ou de déposition, présents-offrandes comme il en existe à peu près partout (visiblement) et ces présents ont des formes diverses, quelquefois surprenantes, quelquefois banales ou passant inaperçues . Ces choses, ces présents, sont ceux  dits «de la vérité des choses déposées». de quoi s’agit -il ? il s’agit de choses autour de soi, toutes réelles au sens physique ou concret du terme, ces choses déposées sont des choses à cerner, à cvomprendre, à prendre, à mesurer comme on le ferait d’une surface cadastrale . Ces choses choses sont toutes des choses concrètes, mais, car il y a un mais, elles recèlent en elles une puissance de vérité qui dépasse de loin leur forme visuelle ou sensible . nous avons à comprendre ensemble (il s’agit d’un travail de groupe) cette chose d’une vérité des données (sensibles) à dépasser. Notre ambition en ces ... cahiers ? est de comprendre cette chose ici, d’une sorte de définition des choses déposées en tant que vérités des choses du monde : une chose et une autre devant soi et s’offrant «à la vue» d’un entendement particulier . je cherche en cette chose, en cette façon, de cette manière, ici même, l’endroit par lequel pouvoir de fait me faufiler dans ce but avoué de me placer de telle soerte que la "vérité du monde" advint à mon entendement dit "de gouverne" . La gouverne est le gouvernail, la mêmechose . Il y a le mot gouverne (une sorte de permission) et le mot gouvernail qui situe concrètement la notion de gouverne, ou disons plus concrètement . je vois devant moi la chose posée. Il s’agit d’un présent de base . la base du présent de base est celle là qui est (reste) à déchiffrer . je suis assis dans ce but . Je veux dès lors comprtendre au mieux les données qui président à un devant de soi ici déployé comme une sorte de tissage de données diverses, tissu «fou», données partiellement visualisées par nous dont la gouverne (ou le gouvernail, donc) est comme limitée dans son approche . alors, voici kle secret , le secret de notre façon : nous nous installons ensemble !nous sommes deux ! nous ne sommes pas seuls ! nous sommes deux ! nous ne sommes jamais seuls dans nos recherches ! noussommes deux ! etc . Le secret ici est lié à une sorte

 de jointure ou d’accolement, à une sorte de mesure redoublée, à une sorte de recherche, de recherche en commmun (commune) à développer de par soi-même de sa place dans le monde ou de sa prporpre place dans le monde . Le souci qui préside à notre volonté est tel que nous voyons les choses ainsi . nous disons que «je» est doubkle, est comme doublé par en soi un autre je qui détermine les avancées . Je vois devant moi dees choses «réezlles», ces choses sont délimitées concrètement et sensiblement, elles se livrent telles quelles de telle sorte que nous sommes à comme devoir les mesurer , d’une manière ou d’une autre (en comprendre le ou les dangers potentiellement contenus en elles ) . Nous voulons cern,er ces choses au plus juste, les comprendre pour les mesurer et voir ce qui en elles peut ou pourrait nous aider, à franchir des «paliers de gouverne» . les choses sont cvoncrètement et physiquement délimitées devant soi, ce devant de soi est matière ferme . Nous avons à mieux nous approcher (ensemble») de cette matière qui est : «la matière de la foi», qui est la matière de notre croyance en des choses ici déposées . je vois devant moi le produit concret de ma foi en ce monde mesurable soit «scientifiquement» mesurable, je devine . mon premier souci est de m’approcher des choses pour ainsi dire par la gouverne, mon premier souci ou mon premier réflexxe (quasi enfantin) est de m’approcher au plus près des choses du monde autour de moi pour mieux lles comprendre soit les cerner dans leur possible dangerosité . Je m’approche. Que fais-je d’autre par ma gouverne ? je pm’approche des choses du monde, mon souci est ainsi ancré dans une approche de mesure,  de mesure des choses, je vgeux comprendre depuis «moi» ce qui est en ce dezvant développé comme un tissage (tenture) de données diverses concrètes. Voilà ce qui est qu’il m’échoit de cerner au mieux . mon souci est réflexe, voilà . Ma voie est de me faufiler à l’intérieur de ces données diverses, et d’y trouver matière = 

matière à comprendre . Comment cfaire pour se faufiler ? eh bien pour cela il est nécessaire d’entrer( fisqza ?) en cette matière du Verbe, il s’agit de cela . Il s’agit de fait de bien se placer en cette chose d’un devant de soi verbal continument mené ou déroulé, afin de tracer une sorte d’entité-piège, de filet de raison ou de filet-ratiocinateur qui puissent et l’un et l’autre, les uns et les autres, filets divers, pièges de mille sortes, etc, vous aider à cerner la Bête . La Bête est la Chose . La Chose est devant soi une "donnée intrinsèque" . je me place ainsi (à mon bureau) 

à comprendre la Chose ici déployée comme une sorte de présent de soi (à toi à moi) qui vient trouver à se loger dans  cet espace , l’espace imparti qui est celui du temps, soit du temps déployé . Je m’explique : il y a devant moi, un e sorte de tissage, de parvis, de seuil, de tapis, etc, qui est ou qui sont (les uns et les autres) comme des sortes de suppôts . Je vois en  ces choses (ces «dépots de vrai») des données directes, des données sensibkles à embrasser par ma gouverne (moulinette) a fin de comme les dépasser toutes en mesure . les choses du monde se présentent comme des données diverses qui sont toutes à sqcientifiquement contrôler afin d’en mesurer la dangerosité et ainsi fait, les dépassezr par un entendement verbal «de première» . Je suis ainsi ici aussi pour ce faire : cet entendement à déployer, à démontrer etc, est ma chose, mon souci autant que mon ... salut ? Je dis le mot comme à regret car ici le salut n’e’st pas la chose à dire en premier chef, mais plutôt la chose à pour le coup considérer comme étant secondaire, car la primauté va (toujours !) aux savoirs ! les choses devant soi (= des choses rustiques, claires dans leur visibilité le jhour) sont choses à mesurer par sa propre gouverne (exploration) et ainsi fait elles deviennent (ou pas ) nos aliées et se prêtent à mille et mille «jeux de reconnaissance» . Les choses d’un devant de soi sont des choses ... rudes à cerner, p)arfois (il y a là le mal sous toutes ses formes) mais enfin, elles se prêtent à une mesure à chaque fois et, pour chacun et chacune de nous, personnelle . La mesure est la clé de voûte de l’édifice (Vie). car la mesure est liée à la chance, et la chance est partie prenante dans cette affaire . nous mesurons à lmesure que nous vivons . je m’avance dans la vie comme un gouvernail qui cherche à se frayer, ou tout comme, son cheminement salutaire, je cherche à me frayer chemin de Vie en cette Terre des donnéesx rupestres, etc . mon coeur suit . 

Je vois devant moi des choses qui sont choses rudes souvent car le sensible l’est souvent, ces choses qui sont déposées sont celles qui sont  comme à se présenter à nous sous des formes dures ou rudes et autres, choses à prendre avec des pincettes parfois, et donc, elles se posent devant nous, elles sont qui vont à aller se poser devant soi, devant un soi qui est celui de nottre gouvernail soit de notre 

gouverne sensible, raisonnablemenbt sensible : il s’agit ici pour ainsi dire de neurologie ou d’approche médicalement sensible . Je vois la Chose, je l’approche : elle se place devant mes yeux,  de telle manière que je suis ou deviens celui qui se doit de l’absorber . jhe me loge en elle , : comment ? par la bande ! je me loge en cette chose présentée, en me faufilant (verbalement) par la bande . je fonce en cette Chose crue , comme dans une sorte de brouet, de sauce, de matière molle, de suie etcx . mon souci majeur est une envie majeure est un désir majeur et une approche délicatement insérée en moi comme une sorte de volonté intériorisée, ou bien intégrée par la bande , en moi qui devient cet autre cherchant une issue, qui devient l’Auttre de la fable, celui -là qui veut de fait dépassezr le monde, les vélléités physiquo-pratiquess d’un devant de soi s’offrant en soi à une gouverne (en l’occurence la mienne, ici) et aller à filer doux de son avancée en propre dans la matière . Je deviens cet Autre filant . Je comprends une chose puis une auttre et ce faisant je m’avancve à petits pas vers la Chose rude des données (frontales) du monde . Mon coeur est le foyer central, le secrtet interne ancré, etc. mon envie = mon désir, mon désir d’en découdre d’une vérité tissée.HJe vfeux co:mprtendre loin car les données de base me poussent à ce faire, diligemment . Je ne veux en aucune manière lâcher du lest en termes de connaissances oblitérées, je veux tout au contreaire délivrer la Chose rugueuse de son emplâtrement, de son stuc, de son  crépi (?) de devanture, etc ! Ma volonté est telle en cette cbgose que voilà pourquoi et comment je cherche . Je cherche pour tracer une sorte d’entaille à même la Chose (roche) du temps, et comment ? par mon pic de verbe, on l’a vu en d’autres temps . Je suis ici pour  cette chose (ici sur terre !! ) ?? de trcacer entaille = de percer = de piger = de piger la Chose rude-dure ou rugueuse . Je veuc aller le plus possible au plus profond des savcoirs du monde et pour aél;lezr au plus profond des savoirs du monde je dois en ba ver = un aspect rugueux des choses est offert et 

nous en subissons les foudres . je vois en vrai très bien cette chose comme quoi lkes foudres ici nous tombent fissa (en effet) sur le râble et ne manquent pas de nous débvoussoler un tant soit peu, la cxhose est sûre . Et cependant, me voici qui ver balise les approches, car mon but est là . Je cherche à poser les mots qui s’imposent . mon souci majeur est contenu en ces quelques lettrees de rage . il n’y a pas à chipoter, mon souci est dans l’appreoche, soit : un souci de me positionner . je veux cette chose . Mon vouloir ici fonctionne à plein . je veuyx aller à l’intérieur des données du monde et pour aller à l’intérieur des données du monde je dois m’immiscer en celui ci, par la bande de préférencxe, soit ainsi que lje m’y emploie . je = moi = nous = vous = eux = elles = les données coriaces internes = la raison des membres d’une confréreie planétaire . Je suis 1 parmi 10. Mon envie est donc intégrée à une vol:onté d’alluyre générakle planétaire . Monb souci est là mis en perspective comme étant celui qui est d’une sorte d’appproche communautaire et comme relevant de données intégrées à une gouverne (l’apprentisqsage au cours du temps d’une langue dite «de tissage») . Je vais en cette place (devant soi) par la bancde = par le biais d’une «langue de tissage» (ou «langue de maillage») .Je ne veux aucunement me défiler quant à cette chose d’une vo:lonté, humainement ancrée, de comprendre . je ne veux pas me placer de biais et faire comme si, pour me loger ailleurs et fermer les yeux . mon envie est de les ouvrir . Je veux ouvrir les yeux le plus possible si tant est (mais la chose on le sait a ses limites) et les yeux ouverts voir ce qui est en vérité = En Vérité . Car ici kle vouloir se double pour le coup d’un ancrage verbal de survenue (on dira) pariéto-temporelle : la chose (on le sait) est disposée, elle se présente, elle est vivace, elle s’ébroue devant soi, et cette chose (à mesurer peut-être mais pas seulement) est une ouverture vers, ici, une sorte de conduit menant à x ou y vérités de base (de la mort des choses et des êtres) . je vois tout cela comme une sorte d' entreprise de salut interne (organique ?) . je pose des conditions sur latable et ensemble 

nous av

isons : doit-on mesurer ensemble (tous et toutes autant que nous sommes ?) ou bien isolément doit on percer chacun son pic,,  ou de son chic chacun pour soi ? Mon pic a des allures de creuse- mystère (ah!) et se pose à même la CVhose, par des travers . mon pic est sensible : il vibre en perçant, il «s’incorpore» et fonce (fronce ?) et ce faisant cherche à toucher («toucher») la vérité v raie des données présentes ou représentées (re-présentées) . je vois devant moi une sorte de coulée suintante comme o,nnguent christique, je vois devant moi une sorte de coulée vive, de couleur acidulée, couleur chair ou couleur soleil, ou couleur vive, etc. Mon approche est telle que moi-même je me loge en  c ette coulée comme un animal blessé par les rudoiemnents de la vie concrète, par les brutalités du monde du présent sur terre, etc .Je vois devcant moi cette chose d’une sorte de coulée suave, douceureuse, fragile(?) qui se glisse jusqu’à me toucher les doigts de pied . qu’est-elle ? je l’ignore ! Je suis celui-là qui cherche en soi une donnée » de vérité», je veux aller en cette sorte de coulée vers la Vérité vraie des onguents divers, c’est à dire vers, ici, la Chose reconnue comme relevant d’une absolution finale, terminale = dernière . Je tremble à ma façon mais ne cède pas . mon approche est telle 

que je ne lâche en rien  cette recherche en 

 pareille coulée vive d’une sorte de donnée primaire (acidulée ? acidulée ??) : je guette lafaille, soit ce passage en pareille Chose dép:loyée. Je guette ce «passage d’ouverture» (échancrure) dans pareil «maillage cde front» et ce faisant je suis tout aguet, tout ouverture des mirettes, etc, je garde ma raison comme sorte d'étai, je ne veux en rien sombrer ou sombrer dans une folie douce (ou autre ) qui, de fait, me pousserait vers d’autres localisations premières (dernières) incommodes et au final peu instructives. mon souci est de toujours garder le cap, de ne pas ployer sous le poids d’une approche trop sensible, ou trop 

ou trop sensiblement

ou trop différente de ceklles là que tout un chacun coordonne en soi et déploie sur terre en termes de cdémarche et d’avancée à même le temps, l’espace, la vie à vivre de concert, etc. je ne veux pas sombrer dans la folie, c’est dit ! Je ne veux en aucun cas sombrer dans la folie ! je veux savoir ce que, de fait, les données du monde recèlent en termes de vérités frontales et pour cela je guette continuement et sans cesse (sans trêve) les données du monde telles qu’elles se déploient sur ou dans un devant de soi verbalisé, car il est ainsi que cette xchose ici se présente : déploiemznt en sa s, dépl;oiement d’un soi (de base = commun = « nous) verbal . Je vais dans une direction et, ce faisant, je grapille ! Je cherche les mots de la foi car la foi est la chose à cerner devant soi , c’est à dire à toucher comme (par exemple) la poutre d’une demeure, la sol;ive, le bois de la cxharpente, le mur porteur . je suis sur terre aimant, cet amour a des prolongements sensibvles dans le temps et dans l’espace d’une survenue «naturelle», cette cxhose est enteérinée comme relevant des données verbales (verbeuses ?) et cela étant nous pouvons dès lors comptendre lke pourquoi des choses (du monde) déposées, le pourquoi les choses (du monde) se présentent ainsi : déposées, nous voulons et pouvons comprtendre, nous voulons co:mprendre et dès lors pouvons ; Pourquoi ? Parce que nouqs sommes deux ! Nous sommes double ! nous sommes deux à chercher en soi des données rudes, qui fassent effet, qui portent, qui durent, qui soienbt des supports et autres étais consolidateurs ! Ma chance est d’être né sur terre par la bande et d’avoir toujours conservé en moi cet aiguillon de pique-mystère ou de pique-données célestes, ou de pic de roche à cru . ma chance = mon salut car fatalement l’un ne va pas sans l’autre ! Je me pose ainsi (assis) qui regarde devant lui kles donnéesz diverses et tente de comme percer une sorte de tissage ou tissu ou voilage ou maillage etc qui seprésente et obstrue le paysage des données profonsdes ; ce maillage étant tissage de vie, Tissage de Vie brusque, un appel à candidature . Je veux savoir, et ce que je veux savoir concerne une candidature ! Ce que personnellement je cherche à savoir concerne essentiellement une candidature et celle ci s’inscrit dans un schéma global, qui englobe la cxhose sur terre d’un e  vérité native et d’une vérité dernière (etc) . mon eêtre est comme né à la vie pa r la bande langagière de données rupestres . Il va de soi que la Chose est sue . Je regarde pâr la fenpêtre, que vois-je ? l’oiseau qui picore ? le ciel délavé ? une brume ? un voilage de réalité ? une couverture sur des données, posées à même les données les plus rudimentaires ? un visavge ? lequel ? celui de ma mère ? le visage de la cxhrétienté ? quel est donc ce visage qui cherche en continu à m’apparaitre ? où est il ? quekl est-il ? que dois je comprendre en pareil cas ? Les données du monde sont elles à mlêmes de nous renseigner sur la profondeur du dit «mystère» de la chrétienté ? que dois je comprendre à part moi ? je veux savoir ! je veux déployer ! mon envie bvrusque (vive = de la vie ou resssortant de la vie ou des cghoses de la vie) est de déployer

 du verbe dru (= dur) comme «pine de baise» etc . Car quoi ? je vais en ce chezmin des données de base présentes sur terre, comme le cheval, commme l’animal qui, s’ébrouant, dit sa faconde . mon envie = mon désir = ma vitezssse . rien ne peut combler une envie de baise dit-on ou comment ? je veux ici poser les mots qui sont ou vont à la recherche d’une vérité centrale deplissée . Les mots du Verbe cru déclinent leur identité monacale . je ne cherche pas la vérité pour la  vérité ou pour en tiirer  des effets ou pervers ou néfastes à l’humanité, jhe chezrche dans le but (précis) de me positionner, voilà la cxhose ! Ce que (ici) je (= nous) cherche ou cherchons (je-nous) est une chose déployée. Je veux ici percer lke mystère de la vie sur terre déplissé, c’est à dire ce mystère déplissé de la vie sur terre ! Je suis un homme-cheval, mi homme mi bete dès lors, qui cherche à comptrendre loin les données primaires-dernières (coque) d’un étant donné carcéral, car la vie l;’est (carcérale)  : la vie est demeure, la vie est grillagée, bnous le savons . Il y a des clos de part et d’autre. La demeure d’une vie est cloturée comme un cxhamp de belle ordination . Il s’agit de toucher à ces choses «vraies» ici rudes = physiques (concrètes et sensibles) et nous verrons dès lors, au-delà, le passage par lequel l’étant peut tout bonnement (simplement = sans pli) s’immiscer de copncert (c’e’st dire à deux !). Car qui dit passage dit vélléité de traversée, de traversée vive ! Je file à tout va , intégré, je suis da,ns le sas ! La donnée première est ceklle ci : une aide au passage . le puits de la vie est le puits «des données de base» . je veux entériner les données verbales dans une sorte de chapitre dit «des

vérités  incommensurables !» et pour ce faire y aller (fissa) de conserve = « à toi à moi» dans le sens des choses qui adviennent, soit : dans le fil (droit ? courbe ?) des données telles qu’elles se présentent devant moi et viennent à se loger . Le pourtour du monde est celui-là même que le cxhant décrit (le chant de la bête e,n soi ?) par des sortes de prises de bec, ou bien, par des sortes de criaillements divers qui font résonner les données du monde dans le sas . Je crie = je chapeaute = je titre = jh’entérine = je cghoisi et me positionne . 

Le chant de rage (animazl en soi ?) est la donnée de réception . Il faut penser vrai la chose cru. le tout est brutal, le Tout est cette chose dépourvue (en fait) de contrefort . mon envie découle d’une rage interne animale, celle-là que je cdéploie à qui mieux mieux au fil des pages c’est à dire au fil du temps ici imparti . Car le temps est donnée fixe pour ainsi dire : une vibration contenue délitée ou comment dire, déroulée, déployée, filée, etc devant soi comme une relique de saint sacrement, comme chose à conserver religieusement, etc. je tombe sur le cul, me voici en transe ! je ne veux pas perdre le fil mais je veux le conserver à portée ! je suis l’homme au chant animal de base, rageant et rageur, qui cherche à comptrendre ce qui est ou ce qu’il en est d’un monde dit (prétendument) «de clarté» . Je veux toucher la vérité (musicale) des sphères ... d’une destinée ! souci premier et de base rageuse, comme icelui des temps anciens, antériuers, d’hommes divers et de femmes diverses à travers le monde et kles époques dites «de survenue». ma cxhance ici est de pouvoir me dé^ployer de fait par la bande comme une sorte de donnée raidi pleine de grâce : cettye cxhevauchée acoustique, verbale, considérable dans le sens où cette approche est à considérer (à commencer par moi) commùe celle)-là qui cherche à longer au plus près la paroi du monde des données primaires . «je pense donc je suis» est une sortye d’entrée en matière : à dire et à penser , peutêtre, or : «je pense donc je suis « est chose rustique, appartenant à la tezrre et à ses agents (pourriture noble) mais insuffisamment déployé, ou comment dire ? chose insuffisante ! chose d’un trop peu de raison dite , ou comment ? Le premier pas est le pas dfe base . Le premier pas est ce pas qui erst pas cde base . Le pas qui lk’emporte est lme premier pas et ce pas est un pas de b ase . Le pas premier est pas qui l’emporte . le pas en premier, le pas posé, le pas d’un

 premier déploiement, le pas qui vcient en premier, est le pas qui dicte la pe nsée . Donc : je pense donc je suis = je pose donc je suis . Je pose un premier tiret, je pose le présent de soi, je pose multitudes de données brutes, je pose un avant et un après, je pose voix de chant;, je pose l’animal en moi contenu depuis la nuit des temps, je suis l’animal, je suis cet animal en soi ou en moi qui dicte sa loi et dit son dire de joie . je ne suis pas une forte tête mais celui là qui cherche à percer la vie des vérités natives dépl:oyées . QZui sommes nous qui chantons et crions de nos voix de fausset

 ? que disons nous d’autre que des choses dites malen,contreuses ? Je plie mùais ne rompt pas. Ma voix s’allège à mesure de mes avancées . je crois en ma bonne étoile : l’avenir dira le cxhemin , de la destinée pariétale ... ou quoi d’autre .? mon tout est mon sa s . je plonge dans la  verité des données présentes (de ^parade) et ce faisant, jh’envisage le présent sous telle ou telle forme de déplissement ou de défroissage ou de dépliement ou de déploiement cfrontal . ma vie vaut la peine d’être vécue si tant est que pareil déploiement vient à se loger, par la bande, en cette sorte de dezmeure temporo-spatiale échancrée : l’échancrure est là commer un tilt de coursage, comme ce tilt qui est cette chose, à devoir toucher, à kla savoyarde, à la catalane, à la bretonne, à la régionale pour le xdire ainsi ; chacun xde son côté et la chose sera avérée. je vais sur pareille paroi cherchant pitance : savoyarde, occitane, régionale ainsi, à la recherche des données de b ase les plus estimables. Je veux entrer . je ne veux pas rester à quai, je veux traverser les données verbales et pousser (loin) tout cela qui cherche à advenir sous moi qui suis celui-là qui se prête au jeu des dires brusqués. je vais dans un sens qui est sens de fuite. je tombe à même des données de roche. je vais en cette roche ou roche du dur à la recherche d’un sxavoir ancré, ancré par la ban,de et que je serais, dès lors, à même de co:mprendre c’est-à-dire d’incorporer, d’incorporer à ma gouverne, ou à cette gouverne (princière ?) qui me constitue de pied en cap . car en soi le corps entier est de la partie . rien ne manque à ;’appel de la mort à l’oeuvre : tout est bon dans le cochgon pour ainsi dire , ou pas? comment co:mptendre kles données les plus ici ancrées dans un sas de contre-mystère ? qui bnous dira la vérité des choses «adjacentes» ? qui connait la v érité vraie» de ce tout-Mystère de base ? y a til myqstère ?. est il présence, est il absence ? le coeur a t il son mot à dire, ici, dans la continuité ? qui est le premier à s’implantern, de la bete en soi, ou de soi en tant que «etre humain de référence» ? que dire dans la foulée ? qui a dit que laraison l’emportait ? qui a dit que la raison eétait cheminement et  traversée (tourmentée) d’une contrée ? je ne veuxc pas passer inaperçu comme de coutume mais me montrer voyant comme une sorte de ... paon ? .... des contrées lointaines, des zones de région terrestres, des champs ou champs d’azur des peuplades oubliés, etc . Mon corps vibre l’ai-je dit ? mon corps n’a pas de paire d’yeux pour de fait contrer ! je veux charger et percer kla fibre ! Vivement les temps offerts par une déité qui saura nous placer (dès lors) au bon endroit et à bon escient car je veux vivre ce moment, ne pas le gâcher bêtement, cerner les données vives de la mort à l’oeuvre le moment venu, et contrer ! contre que tu contre eras ! vif ! cher ! collé ! clair! perclus de vilainetés peutêtrte mais tout à son souci d’ouvrir et d’écarter ces dites «mirettes» d’homme déployé ! je cherche un semblant de vérité à :même kles données offertes pâr le temps, cdes données sont celles liées au tourment 

dx’être né on le sait, et cependant elles sont à travezrser comme une forêt , en quête de données autres à déceler ou à discerner ou à prélever ou à toucher ou à tirer , pour soi, vers soi, par la bande, et pour un temps long qui sera celui d’une cvie ici  pleine et complète . mon envie de vie est tel que la mort m’effraie, qui me fait de l’oeil on dierait . Je suis un homme mi : mi-homme (humain) mi chèvre(caprin) . la volonté qui préside à toute destinée est celle-là, qui est bvérité d’un combat à mener (de front) par la bande verbale d’une destinée toute déployée à même la terre (terre glaise), = le saut du cheval, la rusticité localiszée, les fougères, les abords forestiers, les replis arb orés etc. Les lieux de cghute sont tant que peu importe en vérité klesquekls, puisque l’emporrte ici la chose comme quoi nous nous devons d’ancrer nos dires dans le xsable, les cendres, kles débris de vie, la poussière des abords de base, rudes, rugueux et porteurs. je chante à :même la roche divine pour ainsi dire ! Mon coeur bat à l’unisson du chant choral ! la bete en mpoi est cette bete des forets  de brocéliande ou dx’a illeurs : divinités saturées ! je cherche une vie meilleure dans le sas des sas des vérités offertes par la bande déplissée d’un verbe de joie nouvelle . Mon corps = une tombe.. Mon être = un saut /. Mon envie = une vie de rage . Mon amour des cxhoses présentes = une donnée ancrée comme un organe . je vgeux savoir loin car je 

veux comprendre le pourquoi des choses qui se lo gent en soi permannement, et n’en démordent pas jusqu’à temps . Jusqu’à temps que le mort l’emporte, or quoi ? Que dire qui se puisse entendre de soi et par soi ? qui suis je ici qui parle ... e,n mon nom ? suis je l’animal intègre ? suis je un ami des limbes ? suis je une hommefemme déniaisée, une femme allègre, une femme forte ? que suis je en ce sas fou des temps impartis  ? suis je une envie première encore en usage et pointée du doigt par la bande ? suis je puceau de materre ? le pôu de la rage vive ? un carnet xd’adresse ? un mot de trop ? le nom quipointe son museau et se loge sur la  roche des données de base ? suis je fol ? corps et âme déployé dans un verbe de données rudes ? dsuis je corps ezt âme ? suis corps et aussi âme ou seulament l’un et si l’un lequel ? je tombe des nues sur le cul et gratte la terre : en effet, elle est bel et bien réelle, j’en conviens, je vois cela de mes propres yeux, je ne suis pas en reste de m’en rendre compte, j’obtempère, je conçcois, je dis oui, je ne dis pas non, je dis que la chose est vraie c’est à dire réellement placée, je ne dis pas le contraire . J e suis homme qui dit, et disant j’affirme, affirmant je clos, cloturant je vferme écoutilles et bloque l’accès à toutes vérités meneuses

 et dures ?$.Ce faisant que fais-)je d’autre ? eh bien je ferme les vannes, cela est ainsi . La vérité a pour elle besoin d’écoutilles et cela toujours, et depuis toujours . pour se déployer incidemment , il semble que la vérité a de tout temps eu besoin d’écoutilles avérées, profuses, offertes diligemment, etc, un ancrage potentiel et performatif, un ancrage à même la cxhair du verbe natif, etc, la vérité n’est rien sans pareil ancrage . Nous avons ensemble à copmprendre à comment nous y prendre pour ainsi déployer ce verbe d’ancrage natif, par où commencer, comment nous y prtendre c’est à dire comment en soi permettre une sorte d'entrée pour des dires vifs de v érité vraie, etc . nous devons aller ensemble à rechgerche, à la recherche, nous mettre ainsi en pareille position, aller à recherche = aller ensemble à chercher icelle (vérité  dure) sur roche des temps . Notrte but , à nous qui cherchons, est de pour le coup déplisser kles volets dfivers du monde sensible et de mettre en lumière (au jour naissant) les données rudes, brutes, naisqsantes , natives, des savoirs de base , soit ceux là qui sont , pour tout un chacun et chacune, les savoirs porteurs . Je suis celui-là qui est l’en gouement. Je suis cet autre qui est le plaisir, etc. rien n’affecte la joie tant que celle ci s’incorpore à une donnée franche, donnée de savoir déplissszé et déposé sur un devant de soi temporel . si la vérité est nu, le savoir est su . Je vais vers un semblant qui est le swembvlant des données frontales, physiques et concrètes en diable c’est un fait, et cependant, «allant», je m’infiltre . Où ça ? eh bien : dans le sas des sas de la 

bande ! Je peux en parlerr : je suis inclus car je suis invité ou tout comme à me déplloyer dans le temps d’une survenue pariéto-verbale. Invité par qui ? par  celui ci qui me voit incidemment comme étant celuyi qyui cherche avec acharnement à comprendre . Qui est il ? il est l:’être des donbnées de base, le Summun ou disons : le Suprême . C’est-à-dire ? c’est-à-dire que cet être ici a de quoi porter et soulever . C’est-à-dire ? c’est-à-dire que je suis portyé et soulevé par le  v erbe c’est une évidence . Ah bon ! Oui , car mon coeur bat à l’unisson, car mon bras est actionné par laraison instrumentale, car les yeux s’ouvrent sur un devant éclairé, car les mots caraacolent de conserve dans le but dx’une chevauchée, d’un défroissement intégral (éloge éligible) d’un soi de paroi contenue. je porte , je me meus, j’avance, je file fissa versq là-bas= cet endroit de repli majeur . Je suis homme des Calabres, des régions suaves, de Ligornie, d’Ambroisie, des épopées sardes, du creux de l’enfer ou de la vague, des zones de frontières etdes appuis, etc. je veux aller en Lombardie Lomagne, au Pérou, au loin , ailleurs, vers des lendemains qui direont ce qui se trame en des épopées de première ampleur, je veux voyager ! Mon coeur est ce voyageur de l’au-delà à des contrées vives, etc. Il me suffit de poser l e pied, et l’ai-je fait ? je Crois ! je suis cet homme au savoir déployé sur bande = une mesure pour toute mesure . Quand la vie vibre alors le cviel s’assombrit et l’orage gronde, et le ciel est ou devient antre, il enferme en lui des données de base qui sont celles que nous recherchons ici de concertt . Où aller sans ombre ? que donner de soi par la bande verbale ? qui puise ? que donner de soi en termes de destinée ? J  sais ce qui tombe ici = une vibration soudaine, souterraine, suppliciée. je n’entérine rien qui ne me fasse mal ou du mal

 ?. Je cherche non pas l’hécatoùmbe (la tombe) mais l’entrée de cette tombe ou hécatombe, soit ici ce passage (vibrant) d’un au-delà de toute envergure ou de grande enver-gure : un animal . Je suis moi-même animal de rage en moi, je porte en moi cet animal de rage, il y a en nous (en chacun et chacune de nous ) un animal . comprenez cela: en cxhacun de soi il y a un animal . Il y a e,n chacun et chacune de nous un animal . Il y a en   ous tous et toutes une pensée, une vibration, un corps, un corpuscule, un étai, un brin, une fibbre, un mot, un cri ou du verbe animal . Nous avons qui est logé en nous l’animal . Lequel ? chacun le sien ! qui est il ? il est l’animal vibrant, coeur de terre, ombre et portée planétaire, charge, char, chute. Je veuc comprendre le plus que je peux ! je veux comprendre le plus possibvle que je peux de cette cghose qyui serait un dire qui serait le dire animalier par excellence ou sinon quoi d’autre ? car le dire dit «animalier» l’emporte haut la :main sur toute parade mortifère venant d’un en-soi raisonneur, mentalement étriqué, conservateur, scientifiquement cloisonné etc . Le dire de la bête est mot de rage déployé dans un temps donné fra ppé . Je ne cesse de l’affirmer. Or wqui m‘entend ? qui m’écoute ? qui a une oreille pour moiu ? pour ma misérable bete chercheuse ? qui ? je n’en vois pas ! Je veux croire en un auditoirec majeur, sensible, à l’écoute, permis, etc, or que tchi dit-on, qui est là pour pareille salade ? qui chante avec moi ? le preneur d’otage ? je veux chercher dans la profondeur du dire animal en moi, laraison qui pousse et a des vues sur l’audelà d’un soi étriquéeé. Mon corps est entier conservé et à déposer, on sait . Je vais sur des chemins pentus, ardus. rien ne m’effraie ? il semblerait en effet cvette chose comme quoio cela ici est . Nous devons pousser au plus que nous pouvons , pour nous déposer nous mêmes . Nous avons à vcomprendre beaucoup de données diverses et ces données nous devons les déployer sur pareille roche (dure) du temps, et ainsi faisanbt les présenter à qui de droit qui nous surveille, qui jette sur nous son oeil malicieux, celui là qu’il a pour lui incessamment et ne cesse d’ouvrir au hjour de la roche . je suis l’homme au temps brûlé d»éposé o,n le sait. Je m’avance en pays conquis ? oui et non ! Je m’avance dans la durée et cherche à comprendre vif, c’est un fait, et ce pendant ce que je sais est mùaigre, ne se laisse pas aborder si facilement par ma gouverne et a tendaznce à aller se loger dans des replis qui ne sobnt pas salutaires . Ce que je  veucx est si:mple à décrire : une vie de rage déplisszée ! Ce que je veux est une parole xde vérité qui dise son aval ! Je

 veux aller en roche dure, je veux  creuser vif, je veux cerner-entourer, je veux vibrer avcec la vibration en moi animùale . Qui a compris ? que celui qui sait se prése,nte ! Je veux déplissqer la cxharge frontale, déplisser

 le verbe emberlificoté en lui-même, et sonner parade ! rien de plus ! je suis homme des vives embrassades, des embrassa des vives verbeuses ou verbales ! coltinons-nous l’épopée ! prenons en de la graine ! Filons à confesse fissqa ! ne trainons pas ! Ne lambbinons pas en chemin, allons sur la place et décryptons tourtes lkes données offertes devant nbous . Je vois devant moi des chgoses qui sembvlent être des choses rudes des temps mais pas seulement : quelles sonbt-elles ? il semblerait cette chose ici , comme quoi ce qui est qui seprésente face à nous, soit la réalité des choses du monde, soit  cela qui nous regarde à son tour et voit en nous quoi donc sinon cet animal en nous qui sommes bi . Je tombe ! Je sais cela ! La chgose devant soi du monde sait cela : voit en moi la bete de rage, qui est paretie prenante, qui est assortiment de mots divers agglutinés en une sorte de piolet prêt à décghirer tel voile de la mariée ou tel maillage déployé comme un étendard . je pe,nse ombre et je devine l’ombre . Je suis homme des contrées de base royale ezt à ce titre je chezrche violemment (vivement disons)

 à m(‘introduyire, en pareille roche des temps déplisszés, en cette zone d’azur, en ce ciel des vérités ancrées, etc . je veux comprezndre toutes les données . J suis celui qui veut comprendre toutes les données . Je suis cet homme ou animal,, mi-homme mi-animal, qui s’avance dans le temps d’un présent déployé sur paroi, et va à combler ainsi l’anfractuosité, qui secprésente vive sous nos yeux et prête ou prêterait «sa voix» comme un animal xde réserve, un collègue charmant, un ami de longue date bienvaeillant et aidant . Je veux creuser cette cxgose devabnt moi et pour cela je dois trouver le biais qui me permette d’agir sans contrzainte . Qui peut m’aider ? je pense à aller ainsi creuser la cxhose des temps par la bande mais est ce fin ? est ce =malin ? dois je me montrer malin ? la victoire ici est elle ou va t elle au malin ou au plus malin ? le plus malin gagne ? qui est le malin ? qui est le plus malin ? qui est ce malin ? qui est icelui m:a lin ? comment semontrer malin ? commùent faire pour êtremalin ? commment faire pour toucher en termes de malin ? suis je moi-même malin, un malin qui trouve le biais et hop, sauvé ? qui suis je ? comment faire pour sauver la mise, c’est à dire une pa rt de soi (mi bête, mi homme) qui serait à mettrec à l’abri et si possible pour l’éternité = la vie maintenue pour les autres = pour ceux et celles qui restent en vie ici et là ! Je hne veux certes pas porter poissee à qui que ce soit, mais eznfin il y a des choses ici (devant soi) qui embarrasse et gêne le paqssage, d’où le Verbe en soi, dép^loyé dans le temps, pour une entrée vive dans le sas des sas intégral, sas des sas qui se veut royal, premier, princier, pariétal, animalier. Je vois devant moi une chose, cette cxhose a des ramifications diverses ici et là et va loin porter. Or quoi ? qui suis je pour tenter pareille approche «dangereuse» ? suis je l’animal contenu ? sduis je un paradigme ? suis je le plaisir ? suis je une envie pressante ? suis je vivant ? suis je à quelqu’un zet si oui à qui ? suis je un vrai animùal des prés en moi ? quelle la ngue est elle «pour moi» ? qui veut m’aider

 ? l’avenir est il plein de soi ou vide ? Je suis l’ombre et la proie, je suis la chair et l’âme, le vert et le gris, l’ombre et la lumière, le cheval . Je suis un cheval, hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Je suis animal = ombre . je suis la bete rosse = ombre . Quand irai-je trouver à ... comprtendre la plaie buccale ? ce verbe est il à placer sur place , en termes de petit soin à dire et à poser ? qui a cru que je m’en sortirai inde;mne ? Je vois devant moi un gra nd nombre de données diverses déposées, il s’agit d’un réel de pacotille en cela que ce réel tourne ezn rond, ne sort pas du sas, reste à demeure concerné, se mord la queue, vibre dans son coin, commme un serpent à sonnettte, etc. Rien de fractal . or comment faire , car nous devons faire ? pisser son dire induement tracé ? trouer la fibre ? comment s’y prendre ? commùent faire pour s’y prendre ? Je devine à part moi des choses, comme quoi oui nous devons aller (ensemvble : l’animal et moi) loin le plus pour toucher cette vérité des temps impartis soit à une vie ou soit (ici) à un programme matinal de recherche verbale ou sinon verbale verbeuse . Un petit mazlin s’approche, saura-t-il me convertir ? saura-t-il toucher du doigt ma  gouverne ? saura-t-il me dire ce qui est en des termes qui seront (espérons) compréhensibles ? que dois-je comprendre de la vie et da lma mort ? Je deviens le mort de lka fable, je suis comme celui qui, dans la vie, rencontre la mort et s’en offusque , alors même qu’il savait déjà que la mort est là alentour qui espionne, trrépigne, cherche à se placer comme une malottrue et malélevée de première . Notre but est de toujours à deux toucher la Chose : la toucher, la toucher. notre but n’est pas de nous cacher et de nous tenir loin des données, de base rustique 

ou autre, non ! Restons groupé en campagne ! Chargeons fissa sur cet eznnemi de base, a ppelé de ce nom baerbare de «Vélléité «, car la mort a des noms barbares. Elle sait s’y pre ndre. Elle sait y faire . Elle sait se placer . elle comprend loin en nbous et sait toucher en bnous la fibre animalo-humano-sensible c’est un fait. Dès lors comment faire pour s’en prémunir et se sauver (si tant est ) d’affaire ? Nous pensons que le mieux est encore de dépôser les présents sur place, soit devant soi. Nous pensons que le mieux est ainsi : de voir à déposer ensemble les données sensibles, les vivres etc, ces offrandes de bon aloi . Nous devoons a ller en roche ainsi, bnous devons faire ainsi que les choses soient, nbous ne devons pas nous mettre de côté et louper l’affaire, non . nous devons déposer ce que nbous avons en nous qui mérite de l’êttre ou se doit de l’être = de l’Être. Car voi;là ce que nous sommes : nous sommes des êtres de peu, nous sommes des êttres qui (de fait) devons voir à déposer les choses , les choses du temps (calcxiné pardevers nous) , sur pareille place devant soi, qui est place des présents et des offrandes . notre but est affiché . Nous sommes deux (en nous ) qui nous devons ou qui devons ainsi déposer les choses du temps car nous le devons incessamment ! nous devons inceessamment et urgemment déposer au fil du temps cet ensemble en  nous de choses acquises : le verbe sidéral, eh oui ! Ce verbe est en nousq l’ancre de miséricorde ! Il influe sur nos gestes de parade, il est porteur comme une âme, il vibre animalement son étant de rage ! Il n’est 

pas sans ramifications diverses (on verra plus loin lesqauelles) ?. On sait faire fa ce et creuser devant soi dans l;a roche (perlière ?) des données dites «de destinée», et voilà pourquoi on tient bon, on s’accroche, oin ne débande pas, on poursuit vaille que vaille ce tracé de bure, ces vives entrées en cxhemin, ces volontés de se voir adoubés, etc. Notre avancée est cellle d’hommes-bêtes de céans , et à ce titre mérite le respect, ou peut-être davantage . Nous avons ensemble à tenir bon coute que coute . Nous devons ensemblke tenir bon coute que coute . BNous devons ensemble nous serrer les coudes : l’animal

 en moi et moi . quel est cet animal en moi qui, en vrai, renacle ? Que sais je de lui ? comment puyis je faire pour le recvonnaitte, le toucher, l’approcher, le reconnaitre oui et savoir commment lui parler ? que vais je lui dire , et lui qu’a t il à me dire ? est il un animal des prés comme (par exemple) un cheval . est ce que je suis pour lui un animal ? est il pour moi un animal ? est il humainb ? est il fait de verbe ? est il un cvopain de ra ge ? est il pour moi mon alter ego ? alterEgo le Sage ? QUi est il pour moi qui chezrche à (le) comprtendre et àsavoir plus loin toujours ? Disons qu’il est celyui là qui co:mprend en moi ma recherche de données de base, cet allant de vie en moi qui me pousse à toujhours toujourscreuser plus loin , à toujours creuser au plus possible dans la profondeur . Je cherche une voie, je cherche à toucher la Chose d’une rage noble, donnée de base sur un devant, doublure d’un quelquechose qui serait cela même que je chgercherai . Je vois devant moi, il y a cette cxhose du temps octroyé, cette ouverture, ce temps déposé  pour ,  ce temps déposé pour   , ce temps d»éposé . Je vais dezvant moi et me pose à mon tour comme du^pliqué . qui en moi est cet animal de réserve ? que fait-il en moi ? que dit -il ? Que veut il me dire ? que chercbhe t il à me dire ? que cherche t il à dire d’emblée et  / ou pa r la bande ? est il en moi l’animal malin qui sait y faire en toutes cghoses ? est il en moi un animal vivant ? est il en moi un animal mort ? est il en moi un animal-temps imparti , est il de l:a bande ou du rocher ? appartient il à la confrérie des betess passées, des betes mortes, des betes données en offrande ? qui est il pour ma gouverne : pour ma raison ? dois je tenir co:mpte de sa voix en moi ? parle-t-il à travezrs moi ? qui est-il en termes d’espèce, de classe, etc ? ai je en moi une vipère ? un alligator ? une vivre ? un chien, ou même plusieurs chiens ? que dois je dire et que dois je penser ? la pensée en moi (le verbe ici) prend ses aises et déploie son allant comme l’animal du pré sur son herbe: je suis ... la bete mouvante, je parle pour dire la cxghose d’une sorte en moi de 

rugosité toute a nimalière de base . En soi, il y a cette cxhose d’une bete meuglante, sidérante, et cette bête en soi est celle contenue pour ainsi dire dsans le coeur du Verbe tracé par la bande, le Verbe est vif comme bete vive, il cingle, il ceinture, il vibre, il obstrue, il fzait la roue devant la mort à l’oeuvre, il n’est pas peu fier. Le Verbe est fier comme une enclume, etc. il est fier comme artaban et ne s’en laisse pas démordre si facilement. -Le verbe parade, fait son fin, et de sa finesse tente de tirer parti . Il 

n’est pas dit qu’il ne soit pas fier . il  n’est ^pas dit qu’il ne soit pas vif . Il avance à reculons mais cherche sciemment la  v érité des cghoses du monde, on le voit . son allure est celle d’une bete fzauve, ou d’un paon des régions rustiques, ou de tout autre betes d’effigie . Je suis la bete auxc aguets, je suisq cette bete des prés, je suis une bvete charnue, je parle à tout cva et à tout crin. ma crinière au vent, le sang chaug, l’allure vive, je vais, je caracole, je trace, je suis sur la voie d’un tracé rageur, je fonce à tout va dans la démesure, je trace des traits de réserve, je tombe vif et colporte des données. Mon nom est Saint- Léger-des-Cendres-d’étrennes. je suis là pour un dire fol, commme cavalcade.

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4/9/2021

je suis l'homme au ventre vide, 

je suis homme des embruns, 

je suis homme des embruns, 

je suis l'homme au ventre vide, 

je vais et je viens en roche, je vais en roche et je viens (reviens) au milieu des bêtes, je suis homme au ventre vide au milieu des betes, je chasse les betes alentour, je suis cet homme au ventre vide, sachant chasser alentour les bêtes de rage, jentre en religion, je suis soumis à des effets de rage animalier, je suis porteur d’effets de rage, je suis pris en otage, je suis pris, je suis soumis à des effets de rage, je suis pris, je suis homme des cavernes, je suis cet homme des cavernes au ventre vide et soumis à des effets de rage animaliers, je vais et je viens en roche comme neen religion, j’entre en roche indépendant, j’entre dans oa roche dure seul ou accompagné, je suis cet homme au ventre vide entrant en roche dure et qui va et vient en icelle à la recherche d(‘une vérité de bon aloi, je suis l’homme dans le creux du temps à la recherche d(‘une vérité ou vérité des vérités, je cherche à comprendre, je me meus à l’intérieur de la paroi, je cherche des raisons d’y croire, je me meus à l’intérieur d’icelle paroi et essaie de comprendre ce qui est qui me regarde : des biches ? des biches fines ? des fauves  ? des fauves félins ? des aurochs ? des aurochs de compagnie ? des buffles ? des buffles naturels ? des antilopes ? des antilopes rudes ? des ours ? des ours des campagnes ? je cherche à savoir ! je ne suis pas fini ainsi de le comprendre, je rehgarde de mes yeux d’homme non fini qui chgerche à comprendre, et que vois je ? je cherche à comprendre ce qui est et ce qui est est devant moi comme une sorte de présent, déposé à bon droit et qui m’attend = qui me tend les bras ! je cherche à comprendre ce qui est ici en cette roche 

des donn»ées de base rupeestre : ce qui est qui me tend les bras , quoio est ce ? est ce de la vie ? est ce de la mort ? quoi est ce ici ? qui peut le savoir ? qyui sait ce qui est en vérité de cette roche des embruns ? qui nous dira la vérité ? je cherche une voie d’accès à même cette roche 

des embruns de bord de mer, je cherche à comprendre ce qui est ici, ce qui se trame, ce qui m’attend, je regarde autour de moi les betes de rage massives, costaudes, fières ou pas mais pesant lourd de tout leur poids pariétal, je regarde près de moi ces betes quyi paisssent et gambadent, se couchent et filent, je suis parmi elles un homme des cavernes, l’in-fini de la roche des temps, cet homme au ventre hurlant , je vais dans la roche duure du temps à la recherche de’une vérité de poids qui puisseassouvir mes attentes et me donner le la (musical du diable) des airs de de la roche, son image, sa texture, son élan, etc, je suis homme au sang chaud, je vais en roche dands le vent, je suis cet homme doux des roches dures, je suis cet homme doux qui va son chemin (de roche des temps) à la recherche de la vérité, ambrée, douceureuse, mangeable pour le dire ainsi, qui se poste près, qui tend ses bras sous le soleil à l’ombre des parois, etc, je suis homme des carosses, je cherche à comprendre les données de base déployées, je suis celui là qui va dans le vent à la recherche de la vérité des temps allongés, je me couche en roche, je suis nu, je suis cet homme des embruns qui, en roche, cherche à comprendre kles données kles plus lointzaines, les effets de terre, les données vives, les trous de la roche, les envies en soi de mangeaille, etc, car mon corps a faim de viande, de choses plus que nourrissantes, etc, je suis homme au corps masqué par une peau de bête et j(‘entre en roche comme en religion : muni de mon passé d’homme de la roche rude, muni de  cette envie en moi de comprendre et de cerner au mieux les enjeux de tzaille : le buffle, le cheval, la bete de poids qui charge , le tuer d’une flèche ou au coutelas etc car la faim me tenaille, je n’en démords pas, je suis enseveli sous des envies accumulées qui me tenaillent et me pousse,nt à tuer l’animal de tzaille à manger ! je suis homme rosse tueur ! je suis cet homme des tueries de b etes ! ah oui ! je suis celui-ci ! je ne suis pas cet homme non tueur des temps étirés par la bande mais tout le contraire, un homme des bases donnnées, des effets de terre, des effetds vifs de terre vive, etc, je regarde autour de moi ces betes aller et venir, je suis l’homme des attentes pariétales , qui, seul ou accompagné, va son chemin de ronde rupestre, va dedans, entre en religion, cherche la fortune, cherche à manger, part à la rencontre de la bête fière, dure de chez dure, donnée, vive, qui se fache ou pas, qui gambade, qui cherche à son tour pitance etc, je suis homme des prairies et des sous bois, homme-femme rude aux envies vives (à vif) de manger du corps de la bete, je suis cet homme aux envies acérées, je cherche à comprendre ce qui est des vérités de base neutre et pourquoi cela ? pourquoi cette chose , ce sang coulé ? qui fait cela ? qui dépose ? qui place sur table ? qui va saignant la bête rosse ? qui le neutralise et la pose sur pierre des temps ? qui cherche à donner ? qui donne et file ? qui se meut en cette roche des apprêts des bords de mer de roche , je cherche à xsavoir ce qui est de cette roche dure des apprets, je suis là sur elle ! je me pose en elle ! je suis en cette roche des embruns l’homme des parois naissantes, celui-là qui sort satête et qui comprend ce qui setrame ici en termes de parade et de cavalcade, je me meus en cette roche du temps déployé, je suids homme frais,, chargeant, tuant, ramenant la viande à soi, mangeant cette image, nourrrissant son appétit d’homme des cavernes in-fini, etc, car, la viandfe participe de la finitude, etc, je suis l’homme doux des temps déposés par la bande sur pierre tombale etc, je sais cette chose, je m’avance à pas comptés, je m’avance vif et je regarde (près de moi) les choses du temps se déployer fissa comme un étendard de fortune car, mon nom est noté sur roche à l’encre dure, mon nom est le nom de ta race des prés alloués et voilà ce qui me tend les bras : la mort en face, ce chenal, cette voie d’accès, cette chose rude des prés et desbois, cette vive clarté de face, ce temps dép:;oyé comme une bande , je file à jamais en cette roche des pazssages et autresx embardées natives, je suis né pour manger et de ce fait tuer, et que fzais je ? je m’en vais en roche comme en religion à la recherche de la bete grosse à devoir tuer pour manger et dès lors me sustenter, je suis l’homme des apprets de bord de mer, je vais en roche dure à la recherche des temps rudes, des temps communs, je m’allonge, je suis homme-femme rude et je pose nu sur roche mes attraits de bure , et file fissa tout au fond à la recherche de la vérité concernant la mort : ce qu’elle est, ce qu’elle nous offre en matière de vérité etc, je suis cet homme aux failles ouvertes en grand, laissant passer cohorte en soi de bêtes de rage allant piquer dame la roche de son pic d’allant coriace, chasse et tuerie pour un passage , enn lévitation, sous l’influence con juguée des larmes et des cris poussés, cherchant vérités de carosse, etc, je cherche ! je suis homme à la recherche de la vérité ! je suis cet homme des embruns à la recherche de la vérité ! je suis cet homme des embruns à la recherche de la vérité ! la connaitrais-je ? je cherche finement, tendrement, coriacement, continuelement, avec ardeur, avec joie, je cherche continuement, je cherche à savoir, avec en moi une faim de loup, je cherche vivement, je cherche l’endroit où aller en roche afin de piger au mieux les enjeux qyui (ici ou là) me tendent des bras ou comment ? pas cela ? je cherche avec l’envie d’en découdre le plus que je peux ! je ne suis pas l’homme des marées ! je suis l’homme des enjeux de vie ! mon  nom est un nom à coucher sur roche fissa , il s’agit d’un nom de paroi, nom d’emprunt à poser sur roche gravé, dessiné, exploré ainsi, nom de caverne et de prairie, etc ! je me meus en roche, je suis l’homme entré par lma bande en cette sorte de carosse d’or = l’antre, le sas, cetyte outre, cette voie de rage etc, je suis en  cette zone des parois l’homme ou la femme des temps assoupis, je me meus en cette roche comme homme de peu qui trace sa voie (nonchalamment) à même la roche des prés ! je suis vif de rage couplé ! mon nom est le nom de ma rage éperdue ! suis je né à pareille envie de viande saignante ? il s’agit de savoir ce qui, en roche, me regarde et me tend les bras ! mais de qulels bras dès lors s’agit-l en vérité ? qui dit ce qui est ? qyui me donne de la voix

 ? qui parle pour moi ? qui est qui en cette chose ici d’une sorte de paroi du monde ? je cherche avec assiduyité , je cherche vivement ce qui est qui me regarde et me tend des bras de rage, qui ? ou quoi ? je cherche fort ! je cherche vif ! je cherche accouplé ! je cherche au plus loin des roches des temps, là bas est cet endroit de convenance et c’est là bas que je vois à toucher cette chose rude des apprets de fin de roche, je m’en vais vers elle, je syuis cette chose qui, vive, va ! je tombe ! je suis tomb»é ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tomùbé ! je tombe ! je suis tomùbé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tomùbe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tomùbe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tomùbé ! je tombe ! je suis tombvé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! jhe tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je syis tombé à la renverse devant moi ! devant moi à la renverse suis tombé ? 

suis tombé à la renverse devant moi ?

devant moi à la renverse suis tombé ? 

je ne peux le croire ! je suis homme chu mais comment et où ? je suis chu ! je suis cet homme chu de rage vive, je me meus en cage pour le dire ainsi ! je suis l’homme de la b ête des données rupestres, je suis cet homme des données de rage vive , qui suis je ? homme ou bête ? bete ou vivre ? je regarde ! je me meus , je suis homme des paroles déployées en cette roche des temps consacrés et c’est ainsi que je comprends le monde des attraits de bord de parois, je vais dans la roche rude des apports de rage et je regvarde autour de moi kes choses du monde, ce qui est qui se dessine abvec pertinence etc, cela est cette chose vive d’une vie de base allouée à mon intention, je vois la bête de joie ! je voie la chose crue ! je sais ce qui est ici en cette roche dure du temps menacé et étendu, car mon nom eswt une figure de la xainteté, je comprends les choses déployés, je suis fier comme une buse et m’envole fissa dans le vent (le sang ?) qui est celui-là des roches pentues, je me meus à même la paroidu monde, aurignavcien ou magdalénien, je suis homme aux parois gravées, homme des cavernes au nom gravé gravé sur la roche : aurochs d’éternité, buffkle des temps déroulés, bisons des catacombes, antilope vive, chien de garde etc, ma vie se déplie comme une carte et pas facile à replier ! jhe vais en cette roche des temps fous à la recherche d’une somme, à allouer, à cet individu des roches tremblantes, à ce quidam de société, filant dfoux à travers la lande :; : une biche dorée ? un chevreuil de qualité ? une bete forte , fauve, folle ? je veux comprendre ! je sais que le chemin est long pour comprendre, toute une voie tracée, un chemin de campement, une voie meuble,  trou de vie dans roche dure ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! cela est ainsi ! cela est ! ça est ! c’est ! c’est ainsi que cela est ! cela est ainsi que cela se trame dans le vif de la roche des temps : je suis entreé en transe, c’est-à-dire que mon corps en entier est entré dans le wein des seins pariétal, j’ai vu la bete près de moi, j’ai pu la toucher, je l’ai prise en moi (mangé crue ) et là, je me suis couché sur roche afin de digérer, digérer mon méfait et me disculper de la chose, à force de cris, cris de joie proférés etc, comme s’il en était dès lors, en moi, de cris de betes ou autres gloussements ou meuglements de betes rosses, en mon sein des seins personnels : à toi à moi ! et voilà ce qui dès lors se joue par la bande, en cette roche des enduits de base : onguents et autres chrêmes de vie allongée ! je marche à travers la lande, je marche dans le vent, je suis dans une sorte de paroi du monde, allouée à vie d’homme étonné comme un  ouveau-né ! je veux comprendre les donbnées du monde : quoi est-ce à comprendre fissa ? qyui peut cvomprendre vif ce qui est ici qui se trame ? qui va là ? qui cherche ? car, la vie de roche est vie vive des parois du temps ici déployé à même la paroi des mondes menacés , or : voilà ce qyui est : le temps est donnée de rage, il s’agit de le comprendre ! le temps est une sommité des parois du monde, ouvert comme des mains ! je vois cette chose des lointains qui a nom d’emprunt et cette chose est une sorte d’échancrure dans le temps, ou dan s le sas du temps, ou comment ? cherchgons en vitesse ! allons de ce pas vif à la recherche de la vérité (cachée) des attreaits ... de rage pariétazux ! car, l;a vie va vite qui ensevelit fissa les etres de joie comme moi , ou tout autre betes des embruns de base, je suis homme de la rcoche dure, allant de son pas chassé, chasseur ?)))))à même la roche , je m’avance ! je suis en avance ! je frappe à la porte de la mort de dieuu ! je cvomprends les données déposées sur roche du temps commun, et c’est ainsi 

que (pour le coup) je fuis (fissa) à travers la lande et les prés des parois du monde couché, je comp^rends les enjeux ce qu’ils sont pour nous, je me pôse en roche du temps allongé et vois passer les bêtes dessin,és pâr l’homme des cavernes, je suis comme déboussolé ! je cherche à vif ! je suis troubklé ! je cherche vif ! je cherche à comprendre les données de base, ce que sont ces données de rage ici bas = dans le sas de la paroi, en elle comme des lumières, etc, je cherche avidement, je cherche à savoir ce qui se trame , je veux comprendre toujours davantage ce qui est en  roche des temps fous , ce qui en roche nous attend à toutes et tous, autant que nous so:mmes ! je vais dedans ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! jhe suis entré ! j’entre ! je suiis entré ! j’entre ! je syuis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suius entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entreév ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! jhe suis entré ! j’entre ! je syis entré dans la paroi du temps ! j’entre ! je suis donc entré dans kla paroi du temps ! j’entre ! je suis donc entré dans la paroi du temps de la roche vive, je regarde au loin les données rupestres, je suis vif comme l’éclair, je me vois aller et venir ! je me vois entrer ! je me vois aller et venir dans le sas des sas ! je me v ois aller et venir en cette rocghe des temps alloués et je me pose en elle un temps qui est temps de vie, jhe vois et me vois aller , je vzois aller pour ainsi dire ce travail (de soi) en roche et m:e vois tomber sur la roche dure du temps imparti à un e vie ! hje suis l’homme des données de rage vive, je regarde au loin les embruns, j’essaie de trier les données et de com^rendre les enjeux qui sont ou szeraient ceux des parois de roche et autres murs de joie votive ! qui l’eut cru ? qui co=mprend ? qui sait ? qui connait les mots adéqua ts ? qui parle en son  nom ? qyui réellement parle ou parlerait en son nom ? qui parle ou parlerait en son nom de roche ? le tribun ? l’homme politique ? le poète des damnés ? la chanteuse des prés des  roches ? le quoi ? le défunt ? je cherche à vivre vif la donnée brutale des parois, et à la com^rendre fissa fissa comme sorte de charade à dé   à déployer, à découvrir, à dépoussiérer ? eà quoi ? car le ventre crie famine incidemment ! il s’agit d’une charade des temps durs, des temps vifs des parois du monde ! nous disons vifs car ces temps sont ardus ! il s’agit ici de comp^rendre en soi ce qui est qui file fissa à travers la lande, homme aux aguetzs, chzair de joie des temps corrompus, ou sinon  quoi ? je cher che ! je cherche à) savoir ! le temps est un allié de première main, il s’agit de le comp^rendre ! je suis homme des cavernes au sang vif en mes veines de jhoie, je vais en roche à la recherche des c

hoses du monde animal telles qu’elles se présenteznt au fur et à mesure de mes avancées, je vezux savoir la vérité du monde ! je ne veux plus passer à côté ! je cherche à savoir la vérité du monde ou sur le monde et ne veut en aucune manière passer à côté et ne rien en,te,dre, je cherche le la musical , où ça ? eh bien là, comme il se doit, soit ainsi fait sur roche, dessiné /gravé par la bande, sous emprise, ou sous hypnose, ou sous l’influen ce d’une bête rosse en soi même, je veux croire en elle = c ette bête en soi qui renacle (trépigne) et cherche de soi à sortir sa tete et dxavantage, et, fissa, piquer une tete dans l’eau de la roche dure ou comment ? travaillant la roche au pic ... de sa joie verbale, etc : pic de fièvre, pic de joie rudement colorée, etc, je cherche une sortie de route afin de comprendre, enfin (en se posant), les enjeux de la roche du temps alloué de fait à une vie dite mortelle (on le sait

 : on sait cela) et comment ? comment trancher ? comment couper? comment s’arreter sans pour autant sombrer ? nous ne savons pas , nous subodorons, nbous cgherchons le fin du fin, nous voulons comprendre, nous voulons savoir, bnous voulons comprendre etv savoir les choses du monde ce qu’eslles sont pour soi et ce qu’elles contiennent en termes de connaissance rupestres, etc, je rega rde les chevaux qui caracolent, je regarde les bisons des prés, je regarde les hommes aller, je me vois chuter ! je me vois chuter dans le vent ! je me vois chuter ! je me vois chuter dans le vent ! je me vois aller et sombrer et donner du la musical au diable ! 

ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! cela est ainsi  ! oui de chez oui ! cela est ainsi que cela se trame : je suis l’homme des cavernes aux parois ornées, je regarde le tracé des betes sur la roche dure, je vois mon image au débotté, je me vois cerné de toutes parts par des b etes de joie surnuméraires, je suis traversé par des envies de rage, je me meus à leur côté, je suis emporté par la vague (cela est) et emporté je me vois 

entrer dans la nasse, passage doré, «éch-ancrure sur le côté, tentation avortée ? ou sinon comment ou qyoi ? je cherchje la réponse à la question des temps ... déployés sur la lande, vie de chance, joie d’être, courage & passion, la colère telle que voilà, je suis emporté à mon tour par la vague des betes poussant fort ensembke vers la chute finale ou prétendue finale ! me voilà contraint d’y a ller à mon tour ! on voit cela ! je charge au milieu des betes ! voilà ce qui est ! je suis pris dans la meute ! dans la troupe, au milieu! dans troupe de roche en son milieu ! au beau milieu d’u,n troupeau d’aurochs ou autres bovidés ou de cervidés ou autre betes (à sang chaud) ventripotentes ! je suis emporté par la vague ! je suis emporté par la vague ! cela est ! je suis comme emporté par la vague ! je suis emporté ! je suis comme emporté par la vague des betes entre ellles et me voilà contraint «d’obtempérer» de conserve ou cvommùent dire ? un laisser aller, un laisser filer, un laiisser croire, un laisser faire en soi ou pour soi, une chose pl;us une chose plus une chose plus une chose plus une chose et toutes cumulées m’emportant dès lors avec elles vers ce lieu de destinée finale (fatale) qui commaznde ! oups ! le trou ! le trou du cul d’une vie du monde ! jhe vois le travail ! je connais l’astuce : emporté parmi , déporté ! je suis ! oh comme nous sommes ! nous sommes ! oh comme je suis ! cela est ainsi que la chose wsembke se ttramer ou s’être tramé par la bande ! on voit ce qui est à l’aune de la parodie (de toute manière) et me voici qui tombe à la renverse parmi toutes ces betes de choix, belles bêtes s’il en est, troupeau de betes fauves rosses rudes, etc, chazleur des betes entre elles, me voici porté ! je suis emporté porté, je suis a;longé sur le dos d’icelles au complet, qui me font bouger = me mouvoir sur elles à l’emporte-pièce pour le dire ainsi et vite ! car, ça file ! les betes m’emporte et me font passer de gré ou de force le passdage du temps comme poussé, du temps comme accoutré ou comment ? chaleur des bêtes en tre elles, accoutrement ! je file ! jhe suis pris ainsi part la bande traçante des bêtes entre elles , elles me font passer le sas d’entrée et me propulse dans le sein des seins pariétal de la mort à l’oeuvre ici bas (là-bas) à même laroche gravée , je suis pris d’assaut ! les betes me prenneznt qui me poussent (à toutes) dans le sein des seins de la mort à l’oeuvre ... il va de soi ! je vois ! je suis voyant ! je suis un voyant ! voyance !  etc, car, le temps aidant, je m’approche de la bete fauve et lui parle à 

demi voix ou comment : mezza voce, etc, 

lui demander ce que je dois penser de cette sorte d’ embardée prenante , et que me répond-elle ? elle me répond que je suis «fait» et file aux quatre vent de son échappée verte ! je m’accroche ! je suis l’homme du temps qui cherche une accroche ! je suis cet homme des tourments des roches, cherchant le Temps à même la paroi du monde (une gageure ? une folie  ? ) et ce faisant que pense-t-il ? il (je) pense que (ouiiiiiiiiiiii!) lza vie va fisza à même la roche comme ... une donnée graphique de prezmière ! exactement ! je vois kle tralala se dessiner sous moi : aurochs du passé, aurochs du passé, aurochs du opassé, aurochs du présent donné par la bande, mort à l’oeuvre, sentiments désordonnés mais rassemblés sur roche pour la bonne cause, sentiments généralement désordobnnés mais ivci rassemblés sur roche pour la bonne cause : et pariétalo-frontale et animalière ! je sais ce qui est , je travaille pour la vérité du monde des embruns, je suis homme des charges votives, trainant sa belle (ou pas ) carcasse d’homme frontalier, passant de ta race, chargement de denrées, donnée rustique, pesage ambigu ou  sinon comment ? car un jour je file devant et le lendemain je recule à toute blinde comme un qui s’effraie devant le spectacle déployé de la misère, alors quoi ? veux-je ou ne veux-je pas ? sais-je ce que je voudraois au vrai ? le sais je véritablement et en toutes lettres ? que sqais-je ? je sais  ce qui est de la roche des temps alloués : une sorte de tribune ! or, me voilà porté bien malgré moi par un troupeau de bovidés traçant sur roche, dans la direction de la porte rosse, alors comment faire ? mon nom est gravé au dos du mulet, de la bete rosse, du veau de carosse , etc, que faire ? je chjerche à comprendre les données de base des vies allouées à roche des temps, et pour cela le mieux est de tomber sur roche, fissa, et de ne pas se relever, feindre la foulure du poignet ou de la guibole, etc, il est cette chose comme quoi je suis comme porté par des betes de somme (une so:mme) jusqu’au point d’azur où donc une main, une autre, me capte et me tirentt à elles, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiikiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! cela est ainsi ! il s’agit de deux mainsq, voyez-vous les mains ? il s’agit des mains ... de dieu ? des mains d’un dieu, des mains de quelqqu’un, des mains d’une personne de type humain caucasien, il s’agit de mains ouvertes, bras oouverts, enveloppement de type chaleureux, etc, je me vois pris par des mains sortant de la brume ! je me vois ainsi ! je me vois ainsi soumis ! je me vois ainsi comme soumis à des sortes d’emprises de b ase raciale ou comment ? pris en étau ? p^ris de force et soumis aux effests de betes rassemblées entre elles et me pousqsa nt au plus lointain possible, vers la roche des fonds baptisma ux d’un antre de roche c oriace : mort dans l’oeuf = cette mort, qui est là à nous attendre, se loge dans l’oeuf ou comment ou où sinon ? la mort est une ambivalence : ouverte et vfermée, selon lkes moments de la journée ! je cherche à comp^rendre  , je suis l’homme au pas rapide cherchgant à compfrendre (dans le vif du sujet) ce qui se trame et ce quy’il advient d’une embardée vive dans les prés, je cherche en moi ce qui est, je cherchje en moi l’être des parois rudes, qyui suis je ? le troupeau file à grandes enjambéesq

, jhe suis pris à la renverse, je tombe sur des betes rosses qui m’emporten,t dans l’élan de leur foulée (lourde) à travers les prés, je suis soulevé, emporté, je lévite ! voi;là ce qui est ! je suis porté par des betes de cgharge, une cavalcade, et ainsi passe lkes années, les temps déroulés par la bande (la troupe des passants de rage) etc, cekla est ainsi  c ette chose crue, chose rude et crue qui me pousse à me laisser aller , on sait cela ! je charge avec elles ! je suis l’homme des apprêts, l’homme au v erbe haut (trop) qui pique la roche et traverse ainsi kla (belle) paroi des hjommes et fvemmes des cavernes, hommes et femmes des cavernes dont je fais pa rtie depuis ma naissance poour le dire ainsi, je suis un homme pris en tant que je serais ivci, pour des betes, une raison (de plus) «d’y a;ler», etc, les betes me poussent à aller, par elles, à me laisser faire sur elles, porté soupesé, choyé soulevé, etc, et me voilà qsui trace le chemin (mien) de randonnée ou d’embardée vive à travers ici un paysage pariétal de vie terresstre, je rz$egarde au loin et je comprtends ce qui m’attend : des mains ! des mains tendues ! mille et une mains tendues , ouvertes, qui m’attendent on l’a dit, on le voit, elles sont grande ouvertes, eklles sont des mains de roche, mains sortant de quoiuui nous l’ignorons mais mains, pour le coup, en v rai, pour ainsi dire ! je passe sur l:e choix des betes (elles sont nombreuses et diffèrent  fortement enttre ellersx: bisons mais buffkes, chevaux mais antilopes, ours mais lions;, etc) et tout de suite, me voilà allant fissa vers l’échancrure ! ou la la ! ouh me voilà devant la porte ««««« de la mort à l’oeuvre ! que voiis je ? voyons : des mains de passdage, oui, de la brume nimbant les mains ? oui ! quoi d’autre ? des mai,ns -manucure ? hum, peut-être ! rezgardons ces mains, comme,nt sont elles ? humaines ? oui ! vioolettes ? non ! roses fuschia ? non ! rose bonbon ?. non ! rose clair de type incarnat ? très certainement ! les ongles bien mis ? très sûrement ! c’est à dire non rongés ? ouiiii ! quoi x’autre ? à toi de deviner ! je ne vois plus rien et ne co:mprend plus rien ! jke suis aveuglé par (en elle , en cette échancrure) une lumière des apprets de roche ! lumière solaire on l’a vu ! et moi de pleurer et doucement gémir comme un nouveau-né infecté ! je suis homme des roches rudes ! je sauve le nom de la misère ! qui peut m:’aider ? je voudrtais toucher la timbale du temps et comprendre loin et profond les données de base rupestre, je voudrais comprendre  ce qui est qui me fait de l’effet au point de me faire ici aller (sur le dos des betes) vers un trou de basse-fossse on dirzait, ou pas ? trou borgne des parois du monde ? trou, plein de son vide matériel ! je cherche à comprendre le ++++++++++++ du monde pariétal = ce qu’il donne ezn plus à l’homme des cavernes, ce qu’il donne en plus à l’homme des cavernes est : viscéral, troublant,, coriace, vertueux ou vicieux mais fortement vmarqué dans un sens ou dans un autrte, je cherche à savoir ! je veux savoir ! je veux pouvoir ! je voudrais pouvoir savoir ! je cgherche à vouloir savoir ce qui est ici d’un troupeau de bêtes sorti des entrailles de la terree ou d’où ? m’emportant fissa à travers les champs vers des bandes de.... vers (peut-etre) bandage de .... vers une sorte de .... 

qui le sait ? nous cgherchgons de toutes nos forces à savoir la chose (la Chose = la Moort) ce qu’elle est : qsu’est-elkle ? quoi elle est la mort ? la :mort elle est quoi au juste ? que ou quoi la mort elle serait là ? là la mort quoi elle serait ? qui sait quoi ? je cherche et pousse vif le  Verbe pour lui faire xdire ce qu’il (???????????????????????????????????????????????????????? ????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????)a à dire, ici ! je veux comprendre les données de base rupestre, cet aurochs qu’est-il ? est il le nom de la chgose , de la Chose Majuscule ? est il  n om déposé sur rochge des temps passés ? que vois-je au déb otté de telles paroles ? je suis sur roche à tenter des approches de chgoix à même la pierre, gravant en  veux tu en voilà des betes de joie de première chance ! qui suis je ? je suis homme doux dépoitrenaillé ! ok, qui suis je ? je suis chevreuiuil de roche maeuble ! ok, qui suis je ? je suis pomme d’api et ver dans la pomme accouplé , ah ok, qui suisq jke ? je ne sais pas, mais je vois que je souffre (parfois) lorqu’on me déforme (la déformation minérale) etc, je vois cela ! je sais cela ! je me vois touchant la bete d’un xdoigt et celle ci de me 

pousser à terre, me poussant d$dans le fossé et cherc hant à :me pîétiner (dans un rêve ?) etc, je suis une bête de poids moi-même, je suis homme des parois soudaines, homme du temps doucement déployé sur roche rude aux abords mauvais (escarpées) et, je me vois de ce fait mp’éloigner des abords pentus dangereux et me tenir loin des risques de chute, si possible, en tous les cas me voilà tombant dans la roche rude, à même la pierree si froide, y allant de mon pleur d’enfant et couinant en  veux tu en voilà sur la lande , pleurant cette chose comme quoi : «je veux pas mourir ! non non non ! je veux pascmourir  je ne veux pas !» et moi d’écouter ce chant sorti de moi ! oulala ! je chante par devers moi ! je chante ainsi cvomme si , comme si j’étais, moi même, ... le c hant des sqphè§res ou à peu près ! or «que non !», on le sait, le chant des sphères ou chant céleste sort d’un trou de terre mzuble (pour le coup) et non point t trop dure, il s’agit d’une sorte de chant guttural ! je suis homme de roche pentue mais se tenant coi et cherchant pita,nce à l’intérieur de la paroi ! je cherche une voie pour mieux m’enfoncer dans ce trou de roche «parlée», voie d’a ccèes monacale ou pas mais permettant une embardée sur beêtes de premièeere ! je suis l’homme des cavernes, je suis l’homme desz cavernes emporté, je suis l’homme emporté emporté des cavernes, oui :: doublement emporté, emporté par des bêtes (sur le cdos d’icelles regroupées) et emporté, du gen,re «en colère», etc, vif l’éclair, chercheur de vérités, etc, à même la pierre tombale ! le nom que je porte est nom de piètre renommée en  cela que  «rien ne l»arrete» pour ainsi dire (genre : éceuils sur un fleuve temporo-spatial, de type branche coincée, caillassse mal placée, etc) , je suis l’homme cherchant (rude) une voie de passage à travers le temps, mais comment  ? nous cherchons ensemble ce qui est, nous = tous ceux et toutes c elles qui sont associées en tant q’usagers et usagères d’une langue précise (en particulier), je vois sur roche aller et venir des betes de poids, je sais qu’il s’a git de bete massives agencées, regroupées pour une traversée, celle-là qui saura de fait me faire passer (de guingois ou pas) pas ce passage découvert ou creusé par, ici,  icelles bêtes des attra&its, des apprets, des appeaux, des turpitudes ou autres joies de l’existen ce si tant est ! je cherche ) à comprendre les données de base, ce qu’elles sqont pour ma gouverne ! je veux savoir , je cherc je à savoir ! , je voudrais savoir ! je cherche ++++++++ à savoir ! je voudrais savoir +++++++++++++ et pour cela jje vais en roche dure devançant la mort ! n on, pas d’elle, de grace SVP ! car je suis un homme doublé d’une bête alors fissa filez, etc, me voilà nommé , je suis affublé désormais d’un nom de ta race qui me donne vif de quoi me soulever et ne plus tomber, sur ;la tete ou sur les pieds peu impôrte, cce quicompte ici est de ne plus tomber, sur le bout cdu  n ez ou le cul importe peu mais acte ! car, on voit ! on voit cela ! je suis l’homme des cavernes ... au vin  ou au vent mauvais ou non ? qui ? je file ! je suis filé ? je suis l’homme des temps alloués, je file sur roche à vitesse grand V  car mon nom est nom de roche déployée comme une donnée 

de vie dépl;oyé dans un temps donné,, donné par la bande on l’a compris ! je traverse la roche de part en pârt et sort de kl’a utre côté avec, au passage, avancée massive des bêtes de choix (de l’homme des cavernes), donc, ok pour cette traversée de part en part, mais ... qu’y a til de «l’autre côté « ?la même chose qu’ici même, car la roche est :

 boule de feu pariétal, 

et deriière laboule il y a partout la même chose, poupées russes au débotté sanglant,; douleurs terrestres xde type tourments et encore derrière : l’e nvol d’un air radian,t, du vide de joie, espace temps globbal, chant des sphères azuréees, je vois la roche s’ouivrir devant moi ! je vois la roche s’ouvrir devant moi ! je vois devant moi la roche s’ouvrir ! je vois devant moi la roche s’ouvrir ! je vois la roche devant moi s’ouvrir ! je vois la roche devant moi s’ouvrir ! je vois devant moi la roche s’ouvr(ir ! je vois devant moi la roche s’ouvrir ! je vois la roche devan,t moi s’ouvrir ! je vois la roche devant moi qui s’ouvre au débotté de la paroi ornementée ! je sais cette chose ici cd’une roche des temp^s alloués et je m’en félicite ! je regarde oppportu-nément les voies qui sont ceklles d’unaccès possible vers des destin éesq lointaines et vives, je regharde devant moi  ce qyui est qui me semble ok e,n matière de destinée, etc, je suis homme des cavernes recouvert de peaux de betes, de betes tuées, je suis le chasseur de la lande,; je porte en moi la ou les betes chassées par moi voire 

mangées pâr moi et me voilà qzui tombe à la renverse, chandail déplacé, je tombe ! je me couche... sur les betes mouvantes ! je suis homme rude ! je cherche issue par tous les moyens car, mes conna issa,nces étant sommaireezs, je me dois d’explorer finement les temps impartis à la recherche d’une denrée ou sorte de denrée quuii ferait mon afffaire, je veux ou voudrais 

aller loin et profond en cette rocghe des temps alloués, alloués à une ca use, cette cause est celle qui me voit cvhercher fissa fissa à treavers la lande de quoi me nourrir un temps qui sera  le temps 

 de la Chose rude ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii je suis cet homme ... de la gorge et des poumons ! je suis homme des attreaits velus,; ou comment ? pas xtant que ça ? je veux savoir ! je veux savoir ! je veux savoir ! jhe veuxw x dsavoir ! je le veux savoir fisza de grâ ce ! pas à pas mais vite on le voit ! dites moi ce qui est qui turlupine et empêche ou empêcherait l’avancée frontale ou faciale ! c(est facile : le sang coule de la plaie et gêne aux entournures, ce sa ng chaud humain coulant d’un e bouche de tra it ! je suis l’homme «des parois meubles», d’autres le sont «des parois dures», je suis homme des cavernes «des parois non dures», je traverse à lo’échaudé, à l’écha uffé, au cordeau, comment dit on ? je traverse’ ! et, passé (une fois passé) de l’autre côté, je m’étire, j’ouvre mes mirettes (grand) et là atteznds et que voiwje ? une puis une autre puis en,core une autre et encore, bete de poids ! des massifs, des il:ots de viande fauves ouhlala ! je vois cela ! je ne suis pas n,é de la dernière pluie ! je ne suis pas néé du cdernier convoi ou du dernier envoi ! je pleure sur roche , je suis né ! me voici au monde ! je suis né ! je suis enfant né ! je suiis né comme il se doit ! je suis enfin né ! je suisq passé ! je suis né ! je suisq eznfin passé ! je suis né ! je suis een fin  né à la vie de roche ! je suis né à cvette vie de roche dure, e,nfin né je suiis, à pareikll:e rochge des données, je suis homme vif, chant d’azur, hommê et femme de le et la   caverne pour le dire ainsi, fou des temps, chaleur viscérale, onguent, christ devant ! oula ! le christ est devant ! qui est devant ? le christe est devant ! qsui çàa ? le christ ! je ne comprends pas car kje n’entends pâs ! le CHRIST !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! qui ça ? aiïe ! j’ai dit : LE CHGRIST !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! as tu entendu à présent ? je cherche à savoir les données (avoir) et ces données les employer à bon escient de préféren,ce, je suis l’homme des données frontales, je cherche à me glisser comme par la fente d’un temps décontenancé, déboussolé, dépoitrenaillé etc, mon nom est le nom que m’ont donné anciens et anciennes etc, je ne suis pas plus que ça carnivore mais eznfin ... oui, je le suis ! je mange de la viande... de betes de belle prestance, de préférence ! je suis enfin né !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et cela ewt un fait vrai (oui ou non ?) : 

je suis né à la vie des roches, je me pose en elles, je suis infiltré ou l’infiltré de la roche des temps, je vois e,n roche les données kes plus basiques (peut-etre) du monde , je vois cette chose d’une roche des apprets , d’une roche dure des voies célestes, j’entzn,ds le coucou de la plèbe , qyi monte, quyi vrombit, qui semble vouloir acceuillir (dès lors musicalement) mon entrée dans lka vie ... des roches des temps d’un devant de soi ! la mort est la vie,, la vie est la mort, la mort est peut-être :a vie et la vie est peut-être la mort, sont ou seraient interchangealbles, ou non ? ou comment vous dire cette chose ici, entre deux parois lisses d’une destinée ? je cherche à comprendre ! je cherche vif ! je chercbhe à plusieurs à comprendre à vif ! je suis l’homme des embruns massifs et ondoyants, qui cherche à compren dre à vif, les données les plus lointaines qyui seraient logées ... à même la pierre du temps, dsans le sas des sas temporo-facio-pariétal, on sait cela ! je file à l’a nglaise, car, mon nom est phil et mon nom de famille «ambidextre «, ou comment ? je cherche à savoir ! quel est mon nom ? mon nom est le nom d’une bete connue de par un grand 

nombre de personnes ! mon nom est un nom connu ! hje suis homme de la joie d’etre enfin au monde né ! je suis cet homme né d’une joie partagée ! je + je fait ce je né de roche ten,dre ! je et je font je par la bandxe ! hje suis l’homme cde la femme née, et la femme est la femme de l’homme né, ou comment xsinon ? mon cvorps est donné sur roche à tout ja=ais comme une impression 3D de première loge, il sw’agit de le comprendre vite (v ite fait) et de le dire quelque part qui se puisse être pzerçu au mieux : entendu au mieux et compris de part en part ! j’aime, j’aime de folie  cette chose de me voir en vie c’’st à dire enfin né au monde ! j’aime la vie ! oh j-’aime cette vie de roche grave ! je suis homme des embruns des roches du temps, je me meus dans le sas des sas, je suis l’homme de la vie de roche , je suis cet homme au ventre vide, je cherche pitance à vide ainsi à travers les l:andes ! je veux donc aller tuer, chgercher ce qui compte, man ger, je v eux remplir (de fait) mon estomac d’hommme des cavernes, manger et chier, manger et chier, etc, boire et pisser, boire +++ (= m’abreuver à la source du temps) et pisser ! je suis homme vide , homme avide, trou de bouche à devoir n ourrir ! je veux manger ! je veux ma,n ger ! je  veux mùanger ! hje veux déposer, ces victuailles, ce manger de roche, ces bêtes mortes, tout ce sang royal, sur la roche du temps = nourrir le temps, le gonfler de mille

 choses nourrisdsa ntes = nourrir la mort des pa roles des temps, etc, je veux la toucher ! = l’émouvoir ? ou comment toucher ou dire, ou comment ? je suis homme des temps cde cxarême, qui, soulagé d’être enfin né, voit sa vie défil:ezr vitesse grand v sur la terre, or le voilà qui cherche à s’en ecxtraire ! il va traverser  les barrages septentrionaux de la roche rude et voir (enfin) de l’(autre côté et que voit-il ? il voit la prairie, lesw prés oùu paiossent les bêtes, il voit la prairie calcinée ? il voit la prairie en feu ? il voit la prairie aux bêtes fines, élancées et racées, comme biches des parois solides ou cerfs de ta race belle, etc, je suis l’homme qui va sur la roche et quyi cherche que tu chercheras une ombre (un nom) où se mettre à l’abri des piétinements ! je suishomme du temps qui passe nonchalamme,nt, je suis un homme des  cavernes, je suis l’homme des cavernes au ventre vide, je suis une femme des cavernes, je suis un nous des cav ernes, nous-je sommes deux des cavernes à pousser la chansonnette gutturale des parois du monde, bnous voulons comprendre +++++++ ce qui est en roche pour nous , nbous voulons ensembke comprtendre ce qui est pour nouys depuis nous en nous, et ce qui est est, ainsi de suite ! nous cherchons la Chose rude ! nous voulons comprendre le TEmps ! nous sommes morts à une vie vide ! nous allons loin en cette roche des tourments nacrés ! nous sommes deux pour une causqe enfin dép^lacée ! les mots nous incombent et nous savons lkes déposer à même laroche pour le coup ornementée, nous sommes entrés dans la grotte , main dans la main, deux enfants en bord de :mer, nous nous étions baignés et à présent, nous explorons lx’antre nu, l’intérieur sombre, la voie de passage, les boyaux, les places, les parois, les endroits humides du temps imparti, les trouées de bout, etc, nous sommes des êtres de feu enrichi  par la bande et nous n ous faufilons (sous le regard divin ?) à travers la roche rude ! nous tombons des nues pour ce faire ! pamoison ! nous tombons en pamoison ! nous sommes etres qui tombons en p^$amoison ! nous sommes êtres qui tombons v ite fait bien fait en pamoison ! nous sommes nus comme des petits vers de terre perdus ! nous voulons comprendre ce qui est et qui se trame sous nos yeux d’enfants ! nous sommes cdeux qui entrons de concert dsans la pierre, nous nous sommees serrrés, pour ce faire, l(‘un l’autre = lm’un contre l’autre, et nous voilà , à présent, qiui nous approchons de cette biche de paroi ornée, et allons la toucgher délicatement afin de ne pas l’effrayer, nous voulons creuser profond au wsein des connaissances, nous voulons creuser p^rofondément et sérieusement, consciencieusement et fin ement, volontairement et concrètement les connaiossances des parois du monde ou contenues dans les parois duu monde et pour cela, une seule chose à faire : tourniquet ! eh oui ! ainsi fait ! comme un fait exprès ou comment dire ? car le temps est pour nous une chose de poids ! nous savons cela, comme quoi le temps pèse lourd da ns la bala nce d’une vie sur terre, nous devons nous avancer fissa, nous nous avançons fissa, bnous devons fissa nous avanc er, nous 

devons nous avancer fissa, nouqs devons nous avancer fissa, nbous dezvons nous avancer plus que fissa : vitesse grand (méga-grand) V de préférence car, le temps pressse pour la  vérité ! nous parlons par devers nous et pensonbs de même ! méfiance ! nous disons dees choses de rage et cependant méfiance envers tout = aussi envers nous, premier de cordée ! nous devons nous méfier de nous ! tel est la donnée de base radicale ! ouiiiiiiiii ! méfies toi de toi wap dou wap, car c’et cela que nous sqommes à même de voir de près ! nous devons tous et toutes (e,nn roche) nous attendre à tout de la part de nous (de nous m^$emes) ,, cela est assuré ! nous devo,ns nous attendre à bien des trourments ! nous cdevons comp^rendre les donnéezbasiques de la rage du temps déployé , je suis homme premier de cordée ... de moi même;,, nanti  de pouvoirs dont je préfèrerai me méfier : je suis l’homme a u parler «sincère» = «vrai» = «d»pl;oyé comme une tenture sur un mur acciçdenté, je veux croire en moi mais ... «c’est compliqué» car, le moi est envahi d’un brouhaha pariéto-cordial de première, censé améliorer les relations (pour ainsi dire) du tout sur le tout mais en vérité pl;uytôt le contraire : méfies toi de toi wap dou wap, car, je pense que c’est préférable ! 

je cherche à comp^rendre le plus de cette roche des embruns, je cherche à toucher le fond ce qu’il est ! je cherche à toucher le fond des problèmes, à toucherr le fond tout court, à touchezr le fond donné d’un e langue comme «déplacée», ici, par la ba nde, jhe suis homme des attraits de fond de roche, je vais loin le plus, je cherche le plus (là) en cette roche des lointains, les mots caracolent, ils nbous wsont donnés et impossible de cs’(en séparer, ils’agit dès lors d’une sorte en soi, de ...  cadeau (de roi ?) empoisonné (le cadeau et peutêtre le roi p)ar la :même) : je cherche à comprendre le plus, d’une sorte d’embardée de force,et   pour cela, je me vois dans l’obligation de toucher le fond, car toucher le fond = tenter de troucher le fond,car le fond n’est pas neutre ou n’existe pàas neutre (au contraire) : il s’agit de savoir ça ! je cherche pitance dans le sang, je suis l’homme plein xde cette joie de rage et (aussi) de cette foi en soi en tannt qu’etre de rage, jhe veux une sortie de route ! je veux aller loin ! je veux comp^ren dre loin les choses du temps ,  je veux chercher loin les choses rudes, je veux rudement savoir ce qui est, je veux savoir rudement ce qui est sur roche qui me tend les bras ! je suis n»é (enfin) à la vie ! je suis né d’un homme et d’une femme ! je suis né d’une vfemme meuble ! je suis né de par la fente d’une femme meuble, je touche le fond, je  voudrais toucher le fond, est ce qUE je touche le fond ? hélas non ! jamais ! jamais de la vie ! je suis comme soulevé par des  betes de poids qui me portent ainsi, ainsi regroupées, qui me soulèvent permanemment et m’empêchent de wsombrer ou de chuter dans le degré zéro de l’inanité vitale, je sais cette chose : sous moi il y a des bêtes, elles me portent comme une soupière, ou comment me portent-elles ? elles me portent ainsi faisant : regroupées, un troupeau sous moi me porte vif ! elles sont fortes, elles sont racées, elles sopnt vives ! elles sont masssives ! elles me portent vives ! elles sont vives qui me portent , etc ! je suis porté et sous moi il y a des bêtes ! nje suisq homme des parois du monde, porté soulevé par des bêtes de masse sous moi, j’essaie de compren dre ce qui est et qui me regarde et qu’est-ce ? s’agit-il de vies de ra ge ? non ! une vie de rage sous moi ? non ! quoio alors ? que saisq -je ! et me voilà comme contrefait par la bande , je cherche à comprendre, j’essaie de savoir, je veux pouvoir compter sur moi, j’avance soulevé, je suis emporté par des mots de roche dure, sous moi, caca, et me voilà rude , rudement bouleverswé ! que dire ? mon nom est un nom de roche, il préside à mon aventure ... sur roche rude, mon nom est le noom de rocghe (attitré) qui m’a été donné à la naissa nce et s’épèle ainsi : s virgule p virgule i virgule, etc, je ne sache pas que ce nom soit riche, l’est il ? je cherche à compfrendre ce qui est en roche, pour moi, ce qui est en bout de course, qui m’attend impatiemment : qu’est-ce ? alors voilà : la mort est l’instru:ment de dieu, la mort esdt une gageure, la mort est une plaie ouverte, la mort est tendue comme un arc, la mort est une échancrure dans ... l’etoffe de la vie, la mort est un calfgeutrage oppôrtun (?), la mort est une denrée etc, je suis l’homme au temps déployé (devant lui) comme un tapis de dates, il s’agit pour soi dde comp^rendre cela comme quoi la vie est une (sorte de) gageure infinie, je pense donc je rougis oui, et pourquoi suiis je ici dès lors ? pour quoi faire en vérité ? pour piger et cerner au plus près les données fron 

tales de la vie et de la mort au débotté sur terre  ! je rega rde au loin les lointzains rocheux et nua geux ! la mort fume ! je reg arde au loin ce qui mù’attend et me regarde de son oeil de vitre fol ! je suis homme des enduits de peau ! christ des marivaudages , je pleure ! je pleure sévère ! je pleure de toutes mes la rmes ! je pleure de toutes mes larmes du ciel ! je pleure encore et encore ! mon oeil ne cesse de pleurer toutes les larmes de laterre et toutes les larmes du ciel ! toutes les larmes de laterre et toutes les larmes du ciel !

 toutes les larmes delaterre et toutees les larmes du ciel , 

toutes les kla rmes de laterre ezt rtoutes les larmes du ciel ! mon oeil pleure ainsi (ici) toutes les larmes de laterre et toutes l;es larmes du ciel , mon oeil pleure (un saule pleureur ou même : Le Sauule Pl:eureur) : toutes les larmes dee laterree et toutes les larmes du ciel ! je suis celui qui pleure ici (roche) toutes les larmes de la terre et toutes les larmes du ciel ... car je suis puni ! hje pleure vif : toutes les larmes de laterre et toutes les larmes du ciel 

car je suis puni car j(ai mal agi : j’ai pêché ? et du coup je pleure ! je pleure ++, je pleure ici (paroi) ++, je pleure ici -m^eme (paroi de la vie) +++ , je suiis celui qui pleure ++++++++++++++ ici même, en cette roche des abois, car je suis puni, je suis l’enfqant de la roche puni, ou l’enfant ici puni de la roche du temps, l’enfant xde roche qui se voit puni, je me vois puni, je suis l’etre de roche puni, mot beau de ta race mère : puni ! je suis homme-enfant de rage rebelle ! je me vois puni par ma mère, je suis l’homme des données rapides, vite délivrées, je suis l’homme dur des données rapides, et je suis celui , par la même, qui tombe des nues ... sur du sable, je vais et je viens en roche des temps : incxantations, délivrance , incantations et déklivrance, jhe tombe des nues et pl;eure ma jhoie , je tombe des nues et pleure que tu pleureras, je suis l’homme des cavernes ... quyi pleure

 sa joie d’etre au monde, tombé des n ues, né à échéance, choyé par la bande animalière langagière,; mon nom est donné d’emblée, mon nom est 

looopings

 des grâces, versus chenapan des prés, je veux croire en ma bonne étoile, je suis homme dépourvu de rage, chanteur de ces dames, enfannts des salons des fées, je vzais en roche à la recherche de la vérité ainsi né ! je surfe, je surfe (de fait) sur la vague des mots (pariétaux) de fortune : animaux-mots de rage belle, tendresses au débotté, mots d’usure, je trempe mes doigts de pied dans l’eau froide d’une mer de rage, jhe suis homme troublé, dépensier : je mets les mots de force en cette sorte de ravine et je pleure ainsi les larmes accvumulées par tant et tant et tant et tant de passages obligés par un silence ancré dans un sang défait, je cherche une vérité de passdage, mon n om est le nom de ma rage, je cherche à savoir ce qui est dans ce qui est, je suis homme des contrées de base intrapariétales, aurochs des fourrés, bisons des entrées, chevaux menacés, confréries diverses,et j’avance ainsi, bon an mal an, qsous une pluie de mots acidulés

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3/9/2021

je cherche : je suis le chercheur de la roche, je tombe : je suis le tombeur de la roche, je grave : je suis le graveur de la roche, j’essuie la roche d’un revers de main, je place mes doigts à dessein à même la paroi meuble et laisse l’empreinte d’iceux, je suis cet homme des trempages et autres alunissage, je vais vif en cette sorte de paroi lunaire, je suis ombre portée sur la face cachée d’une roche tentaculaire, je suis homme au sang qui bout dans les veines, je m’approche de la bête, je suis moii-même cette bête aux accents vifs, je suis cette bete causeuse, ttrempânt son aile dans l’eau de la roche, je vais sur roche à la recherche d’une donnée vive de première bourre si tant est, je suis homme au sang chaud, je suis cet homme chaud de rage à vivre la roche, je suis cet homme-femme au sang bouillant en cette roche des embruns de fond de mer, sous terre est le chemin, je m’insinue, j’entre en cette roche comme une ombre, je suis l’homme entrea nt en roche comme une ombre  sur la roche dure des temps soumis , me voilà qui me pose sur paroi comme dessin de buffle, de renne fuyard, etc, je suis le cheval et l’ours des ca ernes, je suis cet homme au sein de la roche d'une grotte ici cachée sous un monticule de betes, de pierres, de végétations diverses, etc, mon nom se trace ainsi à la sauvette comme une sorte d’effigie de bete de grotte, je regarde près de moi le sein rocheux, l’antre monacal rupestre, cette roche aux attraits certains, aux fines lames pierreuses, je suis fin de rage folle, je tombe comme à la renverse en roche dure et de ce fait me voici passé, je suis l’homme dur du temps révolu, je me meus en cette sorte de paroi comme se meut l’homme caverneux pierreux ... deven u chaman ... ou ogre ..., je suis ombre sur roche (roche déployée) par ici une sorte d’entrain à entrer en cette pierre dure de la vie à -vivre ainsi, sous un vent de buve vif, comme une sorte d’apprenti des roches et rochers, amateur éclairé, etc, homme au sang chaud qui va sur la roche et entre à l’unisson d’un cri, cri dur , vocalises diverses = époumonnements dans le sas, je me place e,n roche comme en une sorte d’antre où pouvoir mourir de sa belle vie souterraine, je regarde près de moi les betes mugir , rugir, beugler, meugler, etc, et me voici bête comme elles, bête à mon tour en cette roche ornementée, gravée par la bande ! cette roche est mienne roche, et donc, me voici entré en elle comme en religion (pour le dire vite) : comme une sorte d’oisillon tombé du nid qui se voit abimé sur la dalle de la terre dure d’un sol pierreux, je suis cet oisillon, je suis homme des atours de roche souterraine et me voici en cette rochge comme l’oisillon tombé du nid et qui, de ce fait, se voit contraint d’aller ... sa vie de bete à ailes, bete vive et gracile, etc, bete de rage en soi (le sang) comme une sorte de moteur de vie (de soi) en son sein, ou comment ? je file vif, je suis oisillon, je squis oiseau, je suis l’oiseau du terrain,  je suis cet oiseau de la roche des prés et je vais et viens en elle, nmon nom est gravé sur roche comme une effigie, je suis homme des temps de parade à même les embruns des roches, des roches des temps, je veuc comprendre ce qyi est ici, me donner vif à pareille roche aux vives clartés lointaines, je suis l’homme des parolesc  vaines, homme des pièces rajoutées : buffles à volonté, bisons laqués, rennes au chapeau, cornemuses, pipeaux, sonorités des profgondeurs, sourdes, vives, colorées, je suis entré en  cette roche «des peines sûres», «de la mort des  vents», etc, je tombe, je suis né à la roche du temps pour y laisser pour ainsi dire des plumes au passage : entrée par le sas puis continuatioon par la bande vers des fonds marins de rage, d’attrait certain, de vacance de limonade, jhe tombe ! vif! je suis vif tombé ! je vais vif sur roche dure ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombre ! je tombe ! je tombre ! je tombe ! je tombe! je tombe! je tombe comme à la renverse , dans le sein des seins pariétal, je suis entré -tombé dans ce sein de roche dure = la vie , et me meut de la sorte (vif) au milieu (ici) des betes de poids qui een imposent, qui sont belles rages, qui broutent, qui ont desz yeux pour voir et ne manquyent pas de me lorgner (placidement) d’un air de deux airs ou du coin de l’oeil comme il se pourrait, oon les voit, on voit cette chose rude, on sait cela, on voit cela, on sait cette chose et que voit-on 

? cela ! cette chose des attraits de roche ! cette volonté d’en découdre pariétalement cvomme en u,ne sorte d’entré»e fautive, d'entrée à rebours : buffles au quintuple et bisons velus, etc, je veuc croire en moi ! je veux savoir quoi et qui en moi me soulève et me pousse dans le sas de la roche tremblante ! qui ? je le veux tantôt savoir vif ! car : je suis homme des cavernes au tracé de bois, mon nom est ins crit sur la pierre tombale et me voilà qui tommbe , tombe, ttombe dans le sas , en cette roche rude d’une vie toute allouée à un homme-femme commùe moi qui vais dans la roche à la recherche de la vérité à creuser fissa par lma bande si possibkle, je veux croire en cette sorte de roche des temps alloués à vie d’homme ! je suis homme des prés charmés par des betes de bois et sous bois, bambinette et auttres bambinnous charmeurs comme il se doit ! les voilkà qui viennent près de moi et me pourlèche doucement les doigts de pieds, je vois la roche se lever, s’ouvrir, m’emporter, me prendre entre ses bras, ses bras déployés, etc, et moi d’enttrer en elle (merci qui ? mercib bambi, on dirait) et en elle me loger en son sein royal comme un cerf de race-rage, fou de rage, éperdu de grâce, vif de sa race dure, tendre et calin, misérabkle bete (à mon tour) parmi les betes, je vais en ce sein rocheux qui s’ouvre à vif comme une plaie de joue (la bouche) en soi, qui vient à s’ouvrir et me prend (en son sein) dfe rage, je suis une ombre déployée sur roche, ma vie est cette voix, ce son des entrailles souterraines, je viens d’ici pour a ller là-bas au passage, mon coeur est corps d’azur, corbeau, bete rude, chandail, allure-vêture, chapeau, etc, je suis cet homme au chant poussé comme effluves des prés soulevés, j’entre en roche, je me vois enttrer en roche, je me vois soudain entrer en roche, je me vois soudainement entrer dans la roche , me voilà là pour deux (pour le dire vite) et soulagé, pris en main, pris entree les mains d’une sorte en soi de déité dépourvu d’attrait ou comment ? par qui et par quoi ? je cherche lentement autour de moi, je cherche à vif, je cherche sorte de donnée centrale expliquant le tout de la roche rude devant soi : le présent du monde, cette chose des apports vifs, des prises de bec, des engueulades votives natives, etc, qui dit quoi dans le sein des sweins ? la mort est la donnée de base rupestre, on voit sur cettye roche un tracé fin, qui rappelle un tracé lointain en cette même roche : les embruns, les traits appuyés signifiant l’appret sur un corps de roche, je suis homme dépourvu, homme nu dépourvu de verbe, l’homme nu qui est l’homme comme dépourvu d’un attirail (mécanique) de verbe ou de mots de rage, je suis le = suis l’homme , lequel ? celui -là qui va en roche à la recherche de sa voix pierreuse ou comment dire ? il prie de toute son âme ou comment? car, sa voix se mue à l’entrée de laroche et devient pariéto-animale, voix d’ours des cavernes, voix de lion, voix de renne, voix de renne des prés, voix douce de l’oiseau monté sur roche à tire d’ailes, etc, me voilà grimpant de la sorte, je mon,te à vif car je suis l’homme vif des aires anciennes, je me veux dedans, je suis en la roche dép;loyé comme l’homme aux apprets rudes, dur de chez dur comme un qui ici se donnearit direct à dame rocghe, à sieur pierrreux de la côte rude ! mercveille des temps ! chant d’oiseau ! fifrelins ! pipeaux des années de rage ! il se peut que cela soit pour moi cette chose, d’une sorte de paroi dite «des mesures», homme rude, à l’entrée des sas de la roche, me voici regardant à travers et volant, dedans l’air doux d’un intérieur, jhe suis l’homme des cavernes au sang chaud, il est pour moi cette chose sûre comme quoi nous avons cette voix (en nous) qui dit cette cghose, d’une sorte d’entrée à même la matière = la terre , pour y retrouver une mère, un chant de principe, un belle chance, un tombeau, etc, je cherche à trouver ! je vois la chose aller sur roche sous mes yeux ! je dsuis homme aurignacien : je grave, je dessine à vif la plaie de ma race = mon nom, chapêautée par une sorte d’entité de droit, vive allure sous les vents, qui ressembkle à quoi à une bete rude, massive attaque, charge lourde, etc, je vois la scène en son entier comme un film déroulé, je cherche cette vérité des roches de poids = des chevreuils massifs s’il en est, des betes solides, bien campées sur leurs assises, etc, afin de faire accroire encore une fois ! car, il est cette chose ici d’une vérité à débusquer , d’une sorte de vérité vraie à chercher ici ou là au sein de la paroi, et, une fois trouvée, vite aller la rapporter et la montrer à qui de droit qui saura en faire le meilleur usage qui soit, à savoir : la mort ! car la mort absorbe et nous absorbons la mort, la mort nous absorbe et nous mêmes absorbons la mort, si la mort est le présent donné, ce don devant soi à absorber, alors ... c’est la mort en ses attraits et atours que nous absorbons ! nous sommes deux en soi, en nous-mêmes, comment dire ? je suis deux en roche (voilà !) quand je suis seul ailleurs ! en rocghe je suis deux ! je suis deux en roche à la traversée ! je suis deux une fois passé& , est-ce cela ? je ssuis ou sezrais deux en cette roche dure aux temps impartis, je suis cet homme des temps impartis à roche rude ! je vais et je viens ! je suis l’homme au taquet ! je vais vite ! j’entre vite ! je file ! hje soulève le voile ici de cette roche aux attraits certains ! je vois ce qui est qui me tend les bras ! je suis homme aux tentacules , homme aux tentacules ? je suis homme au dur de la roche rude et je m’enfonce en elle comme en religion, je cherche, la musique des mots porte et empêche, filtre et détourne, fait glisser, fait glisser sur l’aire de kla vérité, chante que tu chanteras oisillon, qui vibre et glisse comme une sorte d'aéro-glisseur des roches, etc, je suis entré en roche des parois du monde, je v eux être rude ! je veux être l’homme des temps fous ! je suis fou des roches des temps! je suis cet homme de la rocxhe au temps, au temps déplacé, qui cherche pitance et finit ou finira par la trouver ici ou là, planquée, posée, déposée, riche, où ça ? je cherche et vois pour ainsi dire cette chose d’une vérité des roches au détour des bois , quoi est elle ? qsui de quoi est elkle ? où la voir ? où la dénicher ? où donc dénicher la Vérité des Vérités ? je suis homme du temps octroyé , je veux croire en cette roche des embruns et des désirs placés ou situés dans la rocghe, le trou devant soi est trou des temps déployés, il s’agit de cela qui nou!s tend les bras, cette cghose rude et belle comme fleur des prés, je vais en cette roche aux dures ouvertures pariétales et cherche à me loger en elle, icvi ou là, en ce sas de belle montrance, calfeutré, logé lové, mis à l’abfri des ruades, etc, mon nom est donné par la ban,de , mon nom est ce nom donné par la bande ! je suis homme au sang qui chauffe en moi ! je suis cet homme au sang qui chauffe, comme sang de Rome, ou comment ? je suis homme des parties rudes, des morceaux de choix comme déposés sur table d’offrande ! je veux ! je veux ! je veux l’ etre ! je veux ! je v eux ! je veux être cette chose vive déposée sur roche et, à jamais, consezrver la vie ! je veux ! je suis cet homme desz attraits ! je veux ! je veux garder roche, garder roche à :moi ! je ne veux pas sombrer corps et âme, je ne veux pour rien au monde sombrer corps et âme ! pour rien au monde je ne veux ! je suis l’homme aux traits fins, doux de rage, perdu éperdu en ce sas de roche tendre ici, ou dure plus bas, mon corps volette, mon image s’implante en ce sein nacré royal de roche des prés, mon nom est le nom de la roche, il suffit de lire et le tour est joué ! savez-vous lire les noms gravés ? connaisdsez vous le verbe des tombes ? je  vois, en la roche, le sein = l’antre = le sa s = le sein de la roche des temps = le temps = la vie en son déroulé pariétal de fortune = une chance = une cghute (ici : de la proximité des mots «chance» et «chute»), etc, me voilà qyi va loin en elle (roche) pour la bonne cause solidaire, je cherche (= je-nous) à comptrendre (ici) les raisons qui font de «moi» ce «nous» de ravinage, d’estroiemen,t, etc, je veux aller loin ! je veux troubver ce qui est dans ce qui se dit ! que voir ? qsue dire ? que toucher ? quoi toucher à) vif ? une plaie huzmaine ? une humiidité native ? un semblant de peau rude ? quoi faire en ce sein xdéposé ? je suis l’homme aux multiples chants de la roche, je  cherche à com^prendre ce qui est en elle pour soi et pour notte gouverne pariéto-frontale de fortune ! voilà kles données ! elles sont à portée de main, elles ne sont pas loin,; kle temps est une gageure, la mort eswt donnée , est don, la mort est le présent posé en offrande par dieu sait qui que nous ne voyons pas pour ainsi dire de nos yeux vitreux ... comme  ceux d’une carpe ! hje suis homme femme des apprêts ! l’art ici est une chance = chute ! on sait bien ce qui est dans le swein car ... on en vient ! mais que sait-on ? 

je suis ouvert , je suis fin, je suis posé, jhe suis vide ou vidé ! mon nom s’écrit à l’encre sympathique ! me voici ouvert à même une rocghe de grotte de Fra,nce ! la chance ! la voilà pour moi qui me fait rêver ! je suis homme-ombre donneur de mots sur roche tendre ici, et plus ou moins dure aillezurs, selon les endroits ! l’art d’un cfaire est un art divin, , quand l’art du dire est un pis-aller de la roche accolée à une vie du vide ! me voici changeant comme le temps ! lje suis homme renaclant ! 

chargeons vite notre monture 

et filons avant la pluie ! 

je suis l’homme aux allures de

 bete à coucher sur lapaillle ! mon nom s’écrit certainemeznt (pourqoiu pas ?) à l’encre sympathique , me voil:à ! je regarde autour de moi les bêtes placides, je vois les betes au débotté, qui se montent, se pénétrentc=copule,nt sous mes yeux de roche rude ! jhe suis homme des parois gravées, au burin, )à la pointe sèche, ou dessinée par des chgemins de charme, par des mains comme multipliées ! je suis cet homme aux accents graves des parois du monde menacé ! l’art est l’engeance ! kl’art d’un dire fol  est placé sur roche et to nitrue ! l’art est une faille ! je sens la chosese placer de biais ou de guingois dans le sang des betes touchées comme par un pic de verbe, me voilà chargeant ! je tombe à la renverse ! je suis homme qui, dans le sang des betes, voit sa mère, la chaude parole,; le parler rural, l’antienne tentaculaire, le pot aux roses, la chance d’une vie, le ventail, l’époumonnement salutaire, le vent dans les voiles, le sang vif qui bout fissa en son sein des seins pariétal, etc, je suis cet homme-là des parois ! je suis cet homme femme rude au swang chaud ! aloons y à deux ! tôt le plus possible ! je vois ce qui est sous mes yeux et je comprends la chose des roches ployée, soit la cghose ployée des roches : le sa,ng està moi ! ce sang de bete déposé sur roche, est mien, car, la bete et :moi sommes soudés de toute éternité , ainsi soit il ! et moi de le chanter ici et là à tout bout dxe champ , car je suis ce bnous de ta 

rage )-race on le sait ! je suis ce nous de ou du passage ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! oui lui ! je suis ce oui du passage au temps ! je suis ce nous oui ! je suis oui ce nous d’un passage au temps, etc, mon corps est doublé d’un corps de rage (dépourvu de failles) , je vais en la roche ainsi accoutré ! je veux penser la chose à vif ! je suis homme femme des passdages (rudes) de paroi ! noyus nous retrouverons ! nous serons amenés à aller sur roche dans le sang ! la bete en moi est l’animal qui me seconde et me donne le la (musical) de la rocxhe ! musique ! je tombe ! musique ! la roche est ma défaillance on dirait ! je suis tombé de haut, mon corps a chuté, je suis devenu maussade, je tombe haut de haut à même la roche des temps impartis, je cherche à pousser loin , le domaine des connaissanxces , et pour ce faire que faire sinon cette chose, qui serait d’aller chercbher ici ou là la vérité du sang dans la rage d’un aller en roche , ou comment sinon ? je vois en  ette bête des parois (le buffke ou l’antilope, le bison ou l’ours des cavernes) mon allié centra l, mon seconsd à la barre, mon ami certain et dévolu, mon cher compatripote, etc, il me suit à la trace, au cxharbon, en lévitation, il est la bete ezn moi me chevauchant et m’entraînant ! je cherche à vif -aller ainsi en roche dure ! et pour ce faire y aller à cdeux c’est bien mieux on sait cetgte chbose ! on peut aller loin en, besogne (à deux) et filer fissa son train de paroi à la une à la cdeux à même les temps octroyés par une sorte en soi de déité, des roches des p^rés, fleur de couronne, tendres données, poséidon ! nous voici munis ! je veux parler en ce nom de la roche donnée ,; pour la confrérie , et dire à celle ci, eh bien... ce qui bnous attend au tournant, ce qui à tous et toutes nous attend sur roche au sortir du temps, à sa voir la mort, car, lma mort est prise à partie, elle est soulevée par des fluides, elle vit sa vie vive de morte saison )à même la roxche c’est un fait, il suffgit de le savoir et la chose est classée pour soi (en soi) comme une sorte d’organe rentré, ou enkysté, qui existe mais, en vrai, ne répond plus de rien en termes de machinerie ou d’efficacité notable quant au fait de vivre, 

nous pensons que nous devons aller en cettye roche des temps fous, à larencontre d’une déité pariéto-vcoriace ou comment dire ? dieu des faits de roche, dieu fin des rocghes gravées ! nous solmmes «montés» commùe des chevaux de parade ezt nous allons vite en besogne la paroi aidant qui se prête au jeu , au nôtre, etc, car, l‘homme est hjoueur de nature et file que tu fil:eras sa bobine vive, en cette rochge rude, au sein de la roche tendue, au fin fonds des ouvertures, etc, l’homme est une bete de parade, l’art est un pis-aller de prezmière, la mort est une vie rentrée, le sang est un moyen de vive connaisszance, l’oiseau est une bete humaine, on cherche ainsi troutes les vérités du monde vif et, de fait, on les aligne sur le  sa s, ou sur table aux offran,des, etc, je veux croire en ma bonne étoile! mon sang est un sang de tours, je suis homme des ezmbruns de pacotille ! je regarde autour de moi les bêtes fi:ler et je file après elles à mon tour ! je vois cette chose rude, ce swemblant tourmen,té, ce vil aentourage tombé sur la roche et p^l;eura nt la chgose : betes  pauvres ! je compatie ! je suis l’homme des voies d’abord à mêmùe la paroi du monde, par où donc passer pour comprendre ? où aller en roche ? quoi penser de cet ordre fin ? qui est l’ordre en soi ? qui vceut penser doux ? commênt dire et faire à la fois ? dire est vfaire dans le temps rocheux d’une vie passée à comp^rendre, à chercher, à tirer des plans sur la comète ! je chezche voie d’abord en cette rocghe des atours et des attraits et des apprêts et des joies déposées sur table d’offrande , je cherche volontairzment , sciemment, avidemùent, complètelmment, à comprenbdre les choses xdes roches ! je veux savoir ! je veux vite savoir ! ce que je  veux est dit ici : vite savoir ! je suis kl’homme-femme , rudement soudéec par la bande , je suis homme-femme au sang chaud bouillant dans les vaisseaux, et me voici qui m’avance sur roche des prés: je suis entré en c ette roche, j’e,ntre en elle, je suis entré en elle et je regarde aux alentours ces b etes des prés, ces chevreuil;s, ces biches, ces buffkes, ces auroichs, etc, je vois ces betes fauves, ces betes rudes, ces betes racées , nacrées, ces betes accolées, etc, je suis une bete moi même, déployée, ouverte, échancrée, etc, je suis la bête des embruns, je suis bete aux dires morts-nés qui s’avance en roche et s’en vient toucher la timbale ! vive le temps deezx parois de roche ! vive cela en ce sein royal ! je suis homme rude, homme rugueux, homme des vies tenta culaires, homme vif comme oisillon, homme charmeur de serpents de roche, je suis l’homme au papillon, l’homme au caillou posé sur un caillou, homme du temps, homme des temps déroulés ... en ce sein des seins pariétal, betes dessinées par (ici) une main seco ndé, etc, mon nom est écrit en lettres ca pitales, je suis le nom que je porte cfomme par inadvertance, mon nom est nom déposé par la bande, je suyis ce nom porté par une sorte d’aide m:enaçzante animalière, je cherche à comprendre ! hje cherche le mot de la fin, (toujours) «§t plus que jamais je cherche , car la vie de ro

-che est vie de dureté, de rudesse, de vive clartés par endroits mais aussi cde coups du sort, etc, je cherche à comp^rendre les données les plus ancrées en roche des temps, quye sonjt-elles etqu’ont-eles à nous apprendre en véerité ? je tombe sur roche du temps tete la première , je suis né aux tourments torrentiels du monde, je suis l’homme vif de ma peine rageuse déployée sur roche, mon  om est une entité à part entière et vole bas (ou hzut) selon les données ici enregistrées ce qu’elle apooortent ou pas en termes dfe rareté, d’exclusivité, de don alloué, etc, je suis un homme des parois du monde = néandertalien (par la bnande) ou aurignacien tout aussi bienn, je cherche une voie sécure ici ou là en roche du monde, , cette cvoie est la voie du sang, je cherche à comprendre kles données les plus ancrées, dans le san g de l;a roche offerte, mon nom s’écrit de la sorte : MON NOM, comme gravé sur piezrre tomb a le ou sur le marbre d’une sorte d’entrée de passage, passdage-entrée pour une gouverne certaine, droit d’entrée en terre dure ou meuble avec acquisition d’un espavce de sustentation, je cherche à comprendre kle sang , le sang royal comme la gelée, cette chose au fin fond de la roche, déposée, cet onguent tout autant, cette (ce ?) chrême acidulée, christ de générosité, etc, je veux savoir ce qui en roche nous atteznd et nous fait rêver, cela serait quoi ? ce serait la chose à comprendre ! et moi d’y aller de mon propre cxhapelet de notes en bas de page : 

auirochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aureoxhs ! aurocxhes ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! ayurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurodchs ! aurochs ! aurochs ! auroxchs ! aurochs ! aurtochs ! aurochs ! aurochs ! a&urochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurocxhs ! aurochs ! aurodchs ! aurochs ! aurochs ! aurtochs ! aurochs ! auriochs ! ayrochs ! aurochs ! aurochs ! auriochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! ainsi de suite ! une so:mme ! u ne sorte d’entité à part entière : somme d’aurochs accvumulés pour une approche

 déployée et tentaculaire = entité rochgeuse consacrée ! je vais en cette roche des temps assurés,, je cgherche à comp^rendre les données vives, je suis homme au sang de ma race donnée et soulevée , hje veux tout comprendre sans rien payer et me déposer sur roche (fleur) comme en une sorte de paroi-antre, cachette aux cinq sacrezments, qui me verrait me mettre en quatre et creuser icelle jusqu’au bout du bout mona cal à la recherche (expresse) de la Vérité acvec un grand V, car je veux savoir ! je veux comprendre ! je veux connaitre ! je veux trouer ! je veux passer ! je veux passer la tete et le reste mais passer ! je veux déposer mes mains salies sur la paroi nue et appreteée ! je pose mes mains tachées ! j’appose, comme sur le corps d’une misérabkle ou d’un miséra ble ! hje fouille oà même l’anfractruoisté et me comporte ainsi que dieu le fît ou comment ? actualisation coutumière des données de base par la bande ! défenestration coupable ? hje chante ! je chante le chant de kla roche du temps ! je chante à gorge déployée, à tue tete, les choses du monde, les choses rudement tracées sur roche par cet homme de néandertal que je sezra is parfois au décours du temps, je sezrais cet homme des caverners, , j’irais loin au fond des parties, je m’enfoncerais dans la roche et toucherai le fond des parties, hje file et filerai, jhe «ferai» le temps, le soulèverai comme une bete morte montrée, adulée, soulevée comme l’offrande déposée, vcommê offreande à dépôser sur table aux présents de la roche du temps ! je suis homme -temps, caresse buccale, baiser à vif sur une plaie ouverte (bouche percé) qui serait cette zone (administrée) du passage v ers un audelà de la paroi du monde (à côté ?) qui saurait nous receuillir et nous bercer, nous bercer pour l’éternité (espérances) et pour cela , une chose rude : le baiser sur cette plaie encore chaude et toute sanguinolente, purulente etc = le temps partagés des effluves maritimo-terrestres, etc, le coeur est en moi le serment, l’art est une sorte d’entrée en matière = dans la matière, l’art a des antennes 

dans le sein des seins parioétal, l’art est effigie rupestrze, va avcec le vent, est art de figurer le temps de la roche, est dfon de soi pour une échancrure coupable (ou pas ?) à même la roche, la mort eswt comme une entité deéifié&e défibnitive,  ‘art a à voir avec, de soi (ici), le sang à l’épreuve du temps, l’ame est morte depuis longtemps, reste l’effigie (en soi) animalière :  cette voix en soi tonitruante bousculant les codes et gravant d’elle même qui des aurochs, qui des sangliers, qui des marcassins, qui des quartaniers, qyui des  betes à cornes diverses et variées, etc, je suis bete de joie profonde et vais sur la roche du temps ca lfeutré dans un sas pierreux de fortune = mon image , mon nom rajouté, la chose accolée de base := la donnée du temps par la bande ! je suis chercheur de choses rudes, j’affronte le temps !  je foule à même la dalle, je corrige peu, je corrige à l’allure des temps, je tombe ! je suis homme des années de roche allouée, je commande aux turpitudes ! je veux combattre ! trouer la paroi ! percer vif ! percer rude ! pezrcer coriacve ! percer fol ! percer (à même la roche) au pic verbal  sorti de ma bouchhe, blessée de l’intérieuer par pique-ma-pique des prés, tournicotas de betes enlacées , tournebroche ou brocheztte de betes de poids (toutes) pour la bonne cause = l’entrée da ns la matière (inconfortable a priori) de la roche des temps impartis, je creuse ma tombe ! je creuse la tombe «artistiquemen,» = don de soi à dieu viva,n,t (la mort) afin de faire «durer le p;laisir» d’une vie de roche tourme,ntée ou fatalemenrt tourmentée ! je syuis homme felmmle des cavernes, je suis à la recherche d’un e voie d’accvès ... à dénichger, je ne désespère pas de latrouver, je  suis à même de panser la plaie du temps à force d’animaux  représe,ntés, du moins je l’espère, jhe me place ainsi en roche de telle ou telle façon q<ue rien ne puyisse me contrariezr dans mon approche et dans  ma décision d’en découdre (une fois pour toutees) avcec la tribu, cette meute de betes enragées, ce troupeau mauvais (dans la turpitude, etc), je suis hoomme des parol:es vaines ... déposées, je cherche vérité aux accents de la bete de roche, je la cherche vigoureusement, à la force du jarret etc, ou du poignet, et cela en fanfare, comme il se doit ! je veux être l’homme des paroles vaines ... déposées sur roche pour la bande, compter sur des données de belle contenance ! je voudrais ! je suis homme au sang, qui bout dans les veines, animal à sang chaud, homme-bete-mot coriace et vif, je suis k’homme des défis de roche, pariétaux, qui file vif , vite, dans le se ns donn,é par la bête des prés (la biche ? le chevreuil ?) vers la pôrte ouverte aux insanités, aux turpittudes violontiersq, aux écarts dorés etc, je me vois tomber bien bas ! je me vois sombrer corps et âme, je me vois mourir ici bas ! je me vcois aller sur rochge et creuser ma voie = tombe de parade ! je suis un homme des temps passés, je veux savoir la vérité à propôs du monde et des choses peuplant ce monde, hje chezrche à vif ce qui est ici (ronde ) qyui serait fiable à cent pour cent en termes de données deb ase pour l’éternité , je suis homme au cxhandail, homme atiffé, homme colporteur, hommùe soumis , homme ici des paroles b risées comme verre de paroi rocheuse, homme des tombeaux ... 

ouverts au public, chaleur 

en son sein brûlzaant, je veux connaitre le tourment de b ase et de le déposer sur la pierre aux dons, je veux sa voir , comprendre loin ce que c’est ici qyue de vivre ensermbkle accolé dans un «sein des seins» pâriétaux, et pour cela : aller en roche tendre, coller à laroche des temps alloués et ne plus s’en aller ! roche des rochers des roches , aller en elle tendrement et y demeurer le temps nécessaire, peut-etre, à une approche sensée ! je suis homme rude , homme rude de cherz rude, je suis homme fou, homme fou de chjez fou, je suis l’homme aux douces approches sensibles de roche, je me vois comme aller et venir et pronon cer à même laroche se ntence à mon égard  : meurs sur place ! tombe ! tombe là ! tombe vif ! ici même tombe ! ici le trou ! ici même le trou ! là le trou !  là le trou pour un enterremeznt, là même le trou pour ensevelissement ! le trou est ici où je tombe, mourir = tomber et tomber implique latombe à l’endroit même où je serais tombé ou bien (a illeurs) serais déposé ... par qui saura offrir son aide à ce faire ! car, on meurt seul ou pas, mais d’autres que soi prendront soin de moi, de ce corps de rage vive, corps et âme au cdébotté d’une roche dure, caillasse, dureté des duretés, douleurs incommensura bles, partout, tete à pieds, etc, je veux aller de fait en roche du temps et tomber sur la place des données vivantes et du coup sauver (qui sait ?) ma mise à tout jamais ce sezrzait parfait ! je suis homme des cavernes aux allures vives, jhe feinte la mise et espère ainsi m’en sortir à bon co:mpte = gagnant !  et pourc cela , une seule parade : l’envie ! le désir ! l’atrait partagé ! le toucher buccal et autres turpitudes installées, etc, je veux etre l;’homme des parois rosses comme  déployé (pour ainsi dire) en un sein de beautés furieuses, je le veux patiemment ou impatiemment peu impôrte : je veux xcette chose, je suis homme des cavernes ... au sang dxépôsé, je syuis l’homme des cavernes ... au sa,ng frais déposé, je suis l’homme des c a vezrnes ... au vrai sang déposé sur roche, je suis et serais cet homme des cavernes ... au sang frais dépôswé sur une roche rude de parois de monde (etc) à même la froideur 

d’une pierre meuble (ou pas) qui «tombe» là ! 

je suis homme à toucgher par la bande , vivement ! je serais cet homme de la roche aux tourments divers, je sezrais cet homme des tourments divers ici déployés à même une sorte de roche des temps, roche des temps donnész pazr une sorte en soi de déité corporéifée ou comment ? rendue visible, sensible ? ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, exactement ! et qu’est ce alors que cette déité rendue sensible = tangible ? c’est facile, il s’agit xd’une sorte de bete de chasse ! d’une bete de forêt ! d’une bete tout court (visible à l’oeil nu) ! voil;à ce qui est et ce que, donc, la vie de la roche propose en fin de co:mpte ! nous savons cela , nous ne voulonbs pas passer à côté , nous voulons comprendre cette cghose là et aller plus loin, toujours plus loin, en roche des temps alloués, car bnous sommes a vides de xsavoirs, avons fzaim de loup pour ce qui est des connaisqsances à acquérir fissa, )ar la bande de paroi, nous cvoulons aller loin dans pareilles connaissances, nbouys glisserprofond en elles, cherc her loin ce que cette xhose d’une biche des prés, pêrdue»»»»» dans le temps, représente, est-elle perdue ou si perdue que ça, en vrai ? nous ne savons pas ! nous cherchons à savoiircezla ! nous cherchons à comprendre toutesles données du monde et à trouer la roche pour entrer , pour nous immiscer frontal en elle et crever la toile nous masquant (à perpétuité) les choses du sang , ce qui est bien dommage en soi... on le voit, car qui croire dès lorsq ? à quoi se raccrocher ? qui louer ? qui ou quoi suivre en termes de pensée ?

 je veux comprendre ce qui est de la vie et de la =moprt mais pour cela sans (de grâce) devoir mourir ! je suis  celui là qui voudrait mourir coute que  coute ou pas ? je suis l’homme de la mort certaine ? suis je l’homme de la mort certaine ? qui suis je en termes d’identité et d’aspect personnifié ? suis je l’homme des embruns ? suis je l’homme des parois humides? sduis je l’homme aux destinées contrariées ? suis je la  voix de la Voix ? suiws je mùort ou bien bien vivant ? suis je le mort xde la place ? suis je un mort ? lmort vivant sur roche ? suis je un mort de belle extraction ? suis je vif et brûklant ? qui suis je que je ne sais pas vu de l’intériuerr ? suis je un vouloir ? une assise ? un tronc ? une voilonté fortyite ? un homme ? un hummo-femme ? une femme-mec ? un crabe ? tentacule ? un chevreuil ? un poinçon ? une brise ? un bonnet d’âne ? un bel hommage ? un point de côté ? une rougeur ? un bubon ? une maladxie expônentielle ,? un coup sur le cailllou ? une oreille cassée ? un chien de  baskerville ? u ne maison de poupée ? un gilet rouge ? un point de beauté ou un grain de beauté ? point de croix ? une croix ? la croix ? le vent dans les voiles ? petit chanteur à la croix potencée ? etc, je ne sais pas ce que je suis mais je souffre quand on me déforme, je ne sais pas ce que je suis mais je souffre quand on me déforme , je ne sais pas ce que je suis mais je souffre qUA Nd on me déforme, je ne sais pas ce que je suis mais je souffre quand on me déforme», etc, 

je ne sais pas ce quye je syuis (x ou y) mais je souufrree quand on me déforme, je ne sa is pas qui est qui, je ne sais pads quoi ou qui 

est qui ou quoi (entrelacs) mais je souufre le mal de ma race, quand on (qui ? qui de droit ? ) me déforme = me tourmente, me tord, me couche, me cingle, me taraude, vitupère après moi, etc, je veux savoir ! je suis l’homme au sang chaud qui, en lévitation, arrive à tracer des bêtes de poids sur une paroi, 

qui des aurochs, quyi des aurochs, qui des aurochs, bêtes rudes, vives, qui imposent leur superb e à tout l'auditoire, etc, qui des buffl;es, qui des bvuffles, qui des bvuffles, etc, betes ra vageuses , qui des bisons, qui des bisons, etc, je suis entré dans une roche «par la grande porte» pour ainsi dire = tout devabnt = chaud devant = on file en vitesse et on s’introduit, conjhointement, pour une entrée complète ! il s’a git pour moi de comprtendre juste et de toucher fort, car kla roche est dure, et dure à percer et dure à piger ! je sais tout cela ! je sais ce qui est en cette roche des données fiables, je le sais , je sais cette cghose, jhe vois cette cxhose en soi, cette rudesssee, ce travail de sape à :ême la paroi, par des hommes et par des fezmmes des caver nes, car moi-même je suiqs homme et femme des  cavernes, je suisq femme et homme des cavernes, homme-femme accolés , collés pour une bonne cause commune : la recherche de la v érité concernant la vie  et la mmort, la recherche vive (assidue) de la Vérité grave, du seuil fatal en termes de connaissance, des outils lles plus aboutis de contre-propagande ! mourir existe t il ? savons nous si mla mort existe ? le mot «mort» a t il du sens ? le mot «sens « a til du chien ? la mort a telle en elle xdu pouvoir ? qui est elle en termes de domaine ? je sais ce qui est, je sais que la mort est pleine, co:mplè§te, non point vide ou vidée ma is au taquet de ce qu’elle peut donner ! je xchezrche à comprendre ce qui est, et c e qui est est emporté au fur et à mesure par un flux de  verbe qui va ,, cxaracolant, à même la roche ! nous voulons savoir ce qui eswt en cette roche des apports de bzase, concernant kla cvie de la vie et aussi concernant la vie de lla mort ! nouys voulonqs aller en, roche rude , charger nos effluves, comment dire ? emmagasiner du concentré de roche , de roche aux pouvoirs ! et pour ce faire nous devonsq entrer, fissa, dans une roche ...  de paroi de grotte, tete fcrontale, deda ns la pareille, au fond du  bistrot, salle comble, carnagge, etc, ou où ? car nous nne savons pas tout ! nbous ne con,n,aissons pas tous les itinéraires, où pouvons nousaller ensemble sans dommages et sans contrariétés sur le passda ge ? qui le sa&it ? qui sait ce qui est en vérité ou en termes de vérité ? qui pourrait nous renseigner sérieusement et compl ètemen,t ? je veux aller en roche des temps vifs ! je ne veux pluys lzambiner maé&is vite m’enfoncer ... dans la plaie du temps saignant ! je veux aller loin et profond en cette plaie, car j’ai beaucoup ici à trouver , cher cher et trouver, car je suisq follmement intéressé par lkes données pour ainsi dire les plus fines et basiques du monde des parois du monde, je m’appelle ... hum, nologips, je vis à l’envezrs du temps, je ren,tre en roche et je m’y love vite et bien, je tomb e ! je tombe fissqa par la bande, je tombe à la renverse des données de base, je suis fou-lié ou comment ? perdu ? plein ? plein de soi ? fou ? cher ? cvolérique ? ex-communié ? tenté ? pauvre ? je suis pauvre en cela qUE je suis fauché ? je me pose aux prezmières loges, je m’impose tete avant, à tout va de l’allure ! je perce et me voilà qui rentre , qui xse pklace peu à peu, qsui entre en  cette rocxhe du mon de, je rentre tete la première puis de tout mon corps en suivant, et derrière moi la plaie (plaioe ?) se referme illico presto , je suis passé par cette biche ouverte qui est une plaie ouverte, par conséquent qui saigne et tache, et donc me voilà taché à jamais (au passage) d’où cette cghose, d’une sorte de tachage au passage etc, je suis un homme d’entrées vives en la matière, du fzait que j’ai (en moi) ce pouvoir (incantatoire) de pouvoir entrer dsa ns unee roche dure, rochge des prés ou des blés, etc, je suis homme du pouvoir des rocghes, je vais en roche ilki!co presto à ma guise ou presque, car je wsuis en vérité muni d’une (sorte de) «torche-pique» d’entrée en matière = le vzerbe ! le verbe est ma «torche-pique» d’entrée en matière , je sqais m’en wservir, je ne peux m’en séparer sans devoir mourir (on le sait) et dès lors, je fais cette cxhose (là) d’une sorte de voeu comme quoi un jour (une fois) je pourrais non pas mourir pour ne plus revenir mais tout le contraire : mourir pour revenir, mourir «et» revenir, c’est à dire en vérité mourir oui mais sans mourir ! mais peut-on mourir sans mourir ? ou plutot mourir sur terre ma is pas ai;leurs (où ailleurs ?) , peut-on mourir ici, sur la terre ferme, mais en revenir ? nous ne savons pas au juste, nous ne sav ons pas ce qu’il en retourne, noys sommes éduqués partiellement, nos savoirs sont ridicules, nos savoirs sont pauvres, sont petits, sont comme des b ébés-savoirs et cela ne manq<ue pa s de nous fragiliser bien évidemment car bnous (en  vérité) ne sommes pas dupestout à fait de cette chose, de cela qui donc nous voit comme infériorisés, intimidés, etc, je sais ce quii est en vérité et ce qui est ne manque pas jamais de me chagriner vous le comprendrez ! je suis un homme des cavernes en moi, je porte en moi l’homme des cavezrbes qui lui m^me porte en lui un hom:me des  cavernes qui lui :=ême pôrte en lui un homme des cavernes qui lui même pôrte en lui un homme des cavernes qui lui m^me porte en lui un homme des cav ernes qui lui-même porte en, lui un homme des cavernes qui :lui 

même porte en lui un animal qui lui même portye en luiun anima l qui lui même porte en lui un animal, qui lui même poeerrte en lui un an imal qui lui même porte en lui un animal de roche dure = aurochs, ou bisons, ou renne, ou cheval , etc, je suis le cheval de la fable, je tombe nez à nrz avec une sorte de pa roi de roche, qu’en bien (même) je la perce et latraverse ... et me voici dès lors passéc fissa de l’autre côté ! je szuis l’homme des parois de roche en grotte, et à ce titre je me pl;ace sur (ici) une sorte de crête, interne à la roche, une sorte de butte haute, et de là je vois le straatagème, ou disons les parties d’un tout p)ariétal, d’un tout rupestre : les tenants et les abvoutissantsq, les betes en parade et autres cavalcades vives et brûlantes , l’homme des cavernes figurant la vie ... à la Mort et tirant a insi les piques du feu ! marronier ! il est fin joueur ! pas folle, la guêpe au sarment ! il se débrouille, il vit sa vie de roche aux quatre vents, et cela, continunament éploré ou comment ? larmes de la joie du monde + larmes de ... l’antijoie du monde ? il faut savoir ! je cherche ! j’essaie de tant et plus me rapprocher de cette verité qui est ce devant = ce devant mortel tendant ses deux bnras , car la mort (on le sait maintenant)  a deux bras ! la mort a deux bras devant soi, et à vous du coup de savoir feinter si envie ou besoin la chose ! deux bras pour mieux vous encercler et vous emprisonner ! or, cela n’est pas à faire tantot illico et sans reflexion ! non !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!u!u!u!!uu!uuuu!!u!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! sûr que non ! vous pouvez encore ruser ! vous devez ruser et meubler ! MEUBLER KLE TEMPS DE LMA ROCHE ! MEUBLER LE SAS ! MEUBLER FISSA LE TEMPS ! eh oui ! voi:là le fin mot à comprezndre ici ! il est bon dx’urgemment

 comp^rendre cette chose et de n’en plus démordre et de pousser à fond le «la,ngage de vie» en ses retran,chements monacaux salutazires ! et pour cela : in !  dans ! en ! deda,ns ! pas d’autre solution que ça ! vous devez agir de cette sorte et ne pas ou plus reculer (jamais) ! forcément ! vous êtes né à une vie d’homme ou de fezmme, et un jour vous vous retrouverezz à toucher la paroi des mondes des grottes, il sera alors temps pour vous de comprendre les eznjeux de base, les enjeux divers et variés, ceux qui président couramment la chose du temps, ce noeud, ce coeur, ce plexus etcx, il s’agit de voir ce qui est dans ce qui va ! il s’agit toujours de cette chose en définitive, c’est à dire de comprtendre, pour soi, ce qui eswt sur roche (la vie ?) dans ce qui va (le temps ?) , etc, et pour cela : une armature, une structure, un échaffaudage, une architecture,  des étais, des pieds droits,,  des pontons de stab ilité, des échasses, des pieds de table etc, ou des jambes, on sait tout cela ! nous marchons sur la roche du temps et bnous devons parler en notre nom pour exister (= continuer à vivre) et du coup, nous disons ces choses (au charbon de bois, au manganèse) : aurochs des prés , aurochs des prairies, bambinous nacrés, chevaux de bois, renne précaires, mammouth de ta force, bouquetins fins, ah les bouquetins, chevreaux, chevreuilx

s, chèvre de monsieur seguuin, bichedécorée, biche -attrait , biche-apprêt, biche-biche, ornementation de biche, etc, nous pensons que nbous devons fouiller ensemble (nous sommes deux) dans la profondeur ... des pierrres solides ! nous devons ensemble nous coucher sur roche (pierre de taille tombale) et voir venir à nous les betes de poids, qui font leur effet certain sur leur auditoire, à savoir : la mort ! la mort est l’auditoire de la vie feinte ! je connais cela ! je chevauchge ! je suisq homme fin des parois de roche, je cherche pitance à même la roche et je trouve quoi je trouve des  betes ! pourquoi ? pârce que la bpête en soi est contenue dans moi , elle y prospère avant d’en sortir, de s’en échapper par la ban,de = par la fourche = lala,ngue = kla queue dite «du verbe» sortant de ma bvouche comme un entrelac (une tressse) fait (faite) avec soin ou métier, une sorte de pique tressée qui perce la roche comme d’un,e plaie qui saigne, et nous voilà «incorporés» à pareill:le pierre, à pareils rochers, cailllasses, antre et gosier, je suis ho:mme des cavernes au vent de buffe, ici mêm, je suis dans le sas, je suis pris entre deux feux, je chevauche il semblerait les données animales du temp^s et me tient pantois, devant (en vrai) pareilles betes alléchantes (on en mangzerait) et vives comme des éclairs, je cgherche à entrer en roche vite, si possible, même très vite, jhe suis homme vif qui entre à vif dsans la roche du temps , je m’immisce, je zuis dedans, je suis dans le temps rochgeux d’une sorte d’incorporation par la bande d’un verbe nerv eux fait de betes nouées entre elles, et vive le pic ! vive et vivement ! car, le pic se fait attendre, ça glisse vivement plutôt ! mon pic est il ... contondant ? le pic xdu verbe (le langa ge articulé ) est il réellement ... contondant ? peut il dire ce qui derrière se trame ou se treamerait ? que voit il ? etc, je pense que cette chose, je pense que cette

 cxtte chose de paroi, nous concerne tous à plus d’un chef, etc, je suis homme des cavernes à soubassement cellulaire, mon nom est comme introduit dans la roche m^$eme par contiguité, ou peut-être capillarité, je chgerche à co:mprendre  ce qui est, ce qui se hjoue en termes de données brutes puis moins  brutes soit déjà un p )eu «travaillées «, etc, je suis l’homme -fgemme)-animal desz cvavernes, mon nom est un nom d’emprunt, mon nom s’écrit en toutesxclettrres, il s’agit du nom que mon père avait , a toujours, il s’agit du nom que je porte en moi comme une sorte d’organe de vie, nouys poussons loin les dires mauvais de nos races rudes et les incorporons à la pierre dure, puis nous nous allongeons sur terre, sur terre friable (ou pas) et regardons passer les betes-mots ainsi (par nous) générés, nous sommes prêts et prêtes pour (il semblerait) la  compréhension native (ici) des phénomènes,  nous devons interaagir (betes et hommpmes et femmes) et nous entraider au niveau de la compréhension native (ici) des phénomènes ... de vie et de mort, je suis bete-roche, bete- mot, bete-effluves etc, je charge la parooi de tout mon sang ! je charge ! je charge vital! je  chatrge avec vigueur ! je suis vif ! je vais et je viens en cette roche des attraits de type bambinesque etc car je suisq chevreuil et en tant que tel je me vois sen sible pour ainsi dire permanemment à la gente dite bambinesque ou bambesque, j’aimme les bambis de roche, je me reconnais en elles, je suisq attiré par elle (efflucves) considérablement voire éperduement voire sans le rechercher sciemment voire contre mon gré ? je cherche les données fiables, les données reproductibles à co:lporter, à montrrer à qui de droit, le temps est la raison du monde, l’art son corollaire floral, je pense donc je rougis, je suis l’enfant de la roche dure, je me poste aux p^remièresx loges et regarde aller ... les betes massives, leur manège, leurs écarts, je me faufile, je suis l’homme au ventre vide, j’ai ... fzaim de vie ! je cherche pitance, je me couche sur le tertre ou terre plain et reste à l’affut, armé de mon arc de chasse, de ma corne et de mes chiens, je suis raide.

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2/9/2021

je suis l’homme-femme des cavernes, je suis homme des temps passés, mon nom est le nom gravé à même la pierre : aurochs et autres noms de bêtes fortes, renne, bison, buffle, cheval, ours, mammouth, chevreuil ou biche, etc, je suids homme des temps passés qui va et qui vient à même la roche (dure) des temps impartis à une vie terrestre, je regarde autour de moi, je vois des bêtes de joie qui sont quiètes et paissent : il s’agit de betes fortes, massives, tenant sur pattes sur herbe fraiche des parois de grotte (en) et moi, de les approcher et d’aller toucher leur pelisse : elles sont en  vrai, elles vivzent au sein de la grotte, elles ne sont pas que des sortes d’images fautives, etc, elles existent, elles broutent, elles se montent, elles chevauchent la prairie, elles vont et viennent, elles existent pour de vrai en cette roche dure des parois de grotte, elles sont mes amies de rage, elles me montrent ««««« le cghemin à suivre, elles ne sont pas en reste de me dire et de me montrer, elles me montrent et me désignent le chemin à suivre, ce chemin tracé à mêmùe la roche : ce qu’il est pour moi, à quoi il ressemble, à quoi il mène ou cette chose et moi de suivre cette chose sur roche dure, je m’avance, je suis en, je suis pris à l’intérieur, je suis en  c ette roche celui-là qui va vers loin, horizon nacré, trou de balle, ou comment ? je suis homme de la voie tracée menant à trou, je suis cet homme des tracés de roche : où vais je ? qui suis je ? que vois je ? où sont ils ? qui ça ? les betes de rage aux embruns ! les bestiaux, les betes fauves , ou sont elles ? qui va là vers une sorte de paroi percée ? je suis homme des temps reculés, mon nom est aurignacien, je suis entré dans une roche dure par la force des incantations, mon corps en entier est passé sous l’égide en moi (en soi ?) d’un animal de rage, aurochs ou lion des cavernes, bison de la rage ou antilope au pas vif et élancé, je suis entré muni, je monte, je vais sur roche vers l’entrée prochaine (le cer ceuil ?)  : je suis fol vibrant qui file vers un trou de bure, ceztte chose des lointains au son sourd, je vais accompagné, je suis ombre portée sur roche (dure) du temps imparti à vie d’homme (ni plus ni moins) et je m’approche de la porte, de l’entrée, ouverture à l’iris, chaloupe ! je veux ! je voudrais ! je vois cette Chose rude, ce travail au corps, ce passage sous mes yeux, cette ouverture-échancrure, ce tracé de foi en cette roche «des embruns de bord de mer», je vais loin dans la paroi, je suis homme vif de ma race allant sur roche puis dans,; creusant l’effigie animale sous hypnose, ainsi fait beuglant et pleurant, etc, lmon nom est le nom d’emprunt à déposer tel quel sur pierre de taille (tombale) etc, et, cela fait, nous pazssons, trouons, découvrons le pot aux roses : je suis homme des cavernes, je suis cet homme, cette femme des cavernes, je suis animal des cavernes, je suis bete-moot des cavernes enfouies dans kla terre, je suis un homme des cavernes, je suis l’homme des cavernes, je suis homme et l’homme des cavernes, je vais et je viens en ces contrées de type pariétales, du genre rupestre, genre en soi pour un homme-femme tout-toute commùe moi, qui va se poser sur la roche, nom d’emprunt sur stèle mortuaire, don du ciel, ouvrage ciselé au burin de pierre, je suis homme au tracé votif, vive soi pour une éternité de roche ! allons sur la pierre ! jetons nous ! couchons nous sur elle ! je cherche une voie à même la roche du temps, je cherche une voie profonde, un trou vif, une armature, un chenal, une ouverture belle, je vais et je viens en roche rude, je suis homme du temps qui file fisza sur roche des temps alloués, je suis cet homme au sang chaud, vif l’éclair, homme femme détaché, qui va sur roche chercher sa pitance, vive la roche pour cette cause ! et ainsi faisant (entrant) je m’insinue, je m(‘infiltre, je m’enchaîne au pas des aurochs, je vzais mon chemin de bure, je cjherche à passer, je traverse, je suis dans le temps de la roche pleine, je vais mon chemin d’accès vers une sorte d’échancrure à même la paroi, fssure, trou comme on voudrait etc, je suis n u, homme betes qui, en lévitation, entrte et traverse, je suis cezt homme-bête de la roche dure, j’entre en roche comme en religion, les mots ont sur moi l’attrait de la rage et c’est ainsi que je me vois entrer fissa en cette roche dure d’une voie d’homme, je suis homme au pas mesuré, j’entre en roche vivant, mon sang est l’ombre portée sur la roche des temps alloués, je suyis cet homme doux au chant nuptial en,trant en religion aurignacienne : aurochs, et ce faisant (entrant) je m’allonge et vois autour de moi (qui me frolent) betes de joie, massives, tonitruantes, impactant la dalle, etc, je suis cet homme au chant de la terre , qui va son chemin brutal, cherche l’aumone, trouve une voie, se meut en bete de joie ou de rage, va fissa vers ses lendemains, nourrit sa voix d’un chant lointain sortant de lui comme une queue de rat, je cherche une voix qui porte et troue la paroi, je suis homme des temps révolus ou dépourvus de cette mesure qui nous pèse et nous retient à roche dure , je veux tracer ! je suis cet homme au chant de la terre, découvert, qui file vif sur roche des p^rés, vois la bete brouter de contiguuité qui va, qui vous regarde d’un air de deux airs, je suis cet homme au chant pour ainsi dire ddépposé sur roche, comme un don de soi à dame ou sieur «de la Mort en Branche» (etc) et me voilà qui feint d’etre bete, qui me montre couard, qui fait l’idiot, qui pue, etc, mon corps est azinsi offert par la bande passante, à telle paroi de grotte de france, etc, et ce  faisant (ou cela fait) je vois sur roche aller ces betes fortes 

près de moi, qui me voient toucher la timbale et chyanter en veux tu en voilà (là) des chants d’azur, je syuis homme fol de ma race rosse, je veux croire en moi, jhe veux toucher kle fonds, je veux faire en vrai comme une sorte d’allégeance à la paroi noble des temps alloués à ma vie d’homme-femme de roche dure, je suis cet homme rude au tracé vocal , je vais et je viens à même la roche des temps, je veux passer comme à travers une «chance de rage» et tomber sur pierree , et tomber sur pierre tomba le, etc, je suis un homme des abris, des parois du monde : deda ns, à l’écart, dsans la roche dure, au fin fond d’une sorte d’abri anti atomique, etc : grotte ! va loin voir où donc je me loge ! viens voir kle caillou ! cherche-moi dsans la paroi ! vois la bete-moi qui broute : animal ! je suis (devenu) bete de rage dodue qui broute en veux-tu en voilà à qui mieux mieux la plaine herbeuse des parois de roche, je vais en cette roche sous le vent vers des embruns lointains, trou d’ombre, ouverture au carré, chant sortant de laterre meuble, caillasse, trou de balle d’une sorte d’ouverture-fermeture, je suis cet homme au trou devant lui, qui le suit, don d’un homme des praiories, don d’un homme fol, va nu pied, qui vous aide à trouver lma voie menant à cette chose ouverte lumineuse qui vous tend les bras : la mort est voie d’accvès, de fait, à une parade,; je vois cette chose devant moi, je suis cet homme au cou allongé qui cherche vif et coute que coûte à voir le plus et à comprendre au maximum ce qui donc se trame en cette rochge rude et dure d’un cheval de troie du coup pariétal pour le dire ainsi, je suis armé d’un courage d’acier ! je chezrche à comp^rendre ! quoi donc est la mort ? que est donc la mort en ces parages ? qui peut dire à me ? qui saura dire à me ce qui est ? qui sait dire à me ce qyui est de la mort en branche ? je veux comprendre et découvrir ! je veux découvrir et comprendre ! je veux comprendre et découvrir ! je veux découvrir et comprendre ! je veux comprendre et découvrir ! je veus découvrir et comprendre le plus et le moins de la roche dure ! je suis homme-dur de la roche vive ! va nu pied sur champ et pré de la paroi riche, richement ornée par x ou y,  hommes des cavernes, femmes des cavernes, et autres etres des cavernes, je m’enfonce en roche (la tete la p^remière comme un  nouveau né) : je suis homme né à pareille fete praioriale ... en intrapariétal ! je suis cet homme au sang de veau, qui fonce en roche à la recherche de la Vérité donnée des joies rupestres, fgonce que tu fonceras à) la recherche de la vérité ! je veux comprendre ce qui est , je veux le comprendre, je veux savoir ! je veux qu’on me dise, je vois voir, je veux savoir où aller , je veux comprendre ce qui est, je veux voir les choses de visu, je veux savoir ce que la mort est et recèle en termes de données terrestres de base, qui est qui en l’occurence, etc, je veux comprendre le pourquoi des choses, les choses de rage, le commun, la voix de l’homme ensablé, les paroles crues par la bande, les paroles crues de l’invective, de l’insulte à son supérieur (!), etc, ma chance : la trouver ou bien ... la trouer ? qui troue quoi en définitive ? qui troue ? qui trouve ? squi cherc he ? squi cherche en cette roche du temps le passage savant ? je veux savoir (une fois n’est pas coutume) ce qui est de pareille roche des temps: dedans ! je suis passé en quelque sorte sous hypnose (pour le dire vite) et vois là-bas (roche) 

les embruns de bord de mer, 

où vais je si vite ? où je vais qui me tend les bras ? qui me tend les bras ? que sont ces bras ? bras de mer ? bras de quoi ? bra des chants des roches dures ? hum ! ou bien quoi ? car qui ? qui sait quoi ? je cherche à comprendre le pot aux roses, le comprendre vif ou bien lke soulever et, du coup, comme le découvrir ou bien comment car lke pot est en vrai cet objet de la roche aux attraits, il semblerait qu’un pot pareil ait (ait en lui) mille attraoits à faire valoir par la bande : oui ! or , vboici par ailleurs ce qui est : je vais sur roche dans le sang

, je suis moi m^eme découvert, je suis hooome des temps découvert en roche : sang filant comme fleuve d’eau vive, je cherche courant, je cherche le savoir vital, je veux entrer dans la roche du temps (déployé) pour l’éternité et ne plus sombrer ou capituler ! nommons la chose rude 

de son n om de bure = mon nom ! car, le nom est percé comme un panier, il s’agit d’une sorte de chance à trouver-trouer par la bande pour soi et pourr en soi la bete montante, je veux croire en ma bonne étoile, je suis cet homme au chant menaçant, qui cher che une issue dans cette rochge ...

aux attraits de robe, au fins sacrements, aux

 entrés multiples et variées, au chant des prairies et des prés dormants, car, je suis l’homme des pârois de grotte, je traverse la paroi du monde, je m’immisqce nonchalamment à travers elle par mon nom, mon nom est cette chose de la roche dure à devoir comprendre en tant que dire pour une immixtion : écarteur de rage, etc, je ne veux et ne sais vouloir, je veux et ne sais de quoio, je le veux de quoi ne le sais vraiment en  cette paroi = je suyis ! or voilà ce qui est : je suis ombre-homme de la roche des tourments du monde (il y en a) et cela est ainsi nque je vis sur roche mes affaires d’homme... tourmenté et fatigué, las des choses rosses, etc, la vie est une gageure ou sorte de gageure tourmentante on le sait : une plaie ! la vie = plaie ! la vie est rosse pour quiconque on sait cela ! je suis homme au chant sortant de moi comme une bête en rut , et cela est ainsi sur roche, cxe chant plein comme une en,vie pressante ! je ne veux ne suis ne vais ne va ne chante ici pour qsui pour rien ! car : MON NOM est gravé ainsi, avec en son milieu la fente, la fissure, cet écartement dentaire, ce choix de rude monture etc, je vais et je viens dans la roche du temps à la recherche d’une voie d’accèes pour un passage «fol» de riches aventures ... ou comment sinon ? car me voici là qui cherche ouverture ! je la cherche ! je veux passszr ! je veux pouvoir passer ! je veux trépasser ou sinon passer ! je veux faire cette chose, d’une sorte de passage-traversée à travers la bande pariéto-frontale, comme un nouveau n é que je serais ! je veux traverser cette chose et passer le fil ! je (moi) suis là, ce mùonsioeur de robe, ah la voilà, qui passe la tete première entre deux piliers et cherche l’air de toutes ses forces ! vif ! car, me voicii là comme au premier jour , qui passe tete et corps par une faille membraneuse, me voici donc lové dans la roche (enfin vif) qui me donne à voir tant cxde betes alentour qui paissent placidement et me lorgnent de leur oeil vitrreux et intrigué, car, mon nom gravé dit sa chose sur rocghe du monde, il s’agit d’une (sorte de) effigie-vérité , vérité des vérités, gravée sur paroi par homme (femme) des cavernes (on sait tout 

cela) : l’art d’^tre son propre père puis grand père etc! je suis homme des prés qui chante à tue tete (ici même) son chant cghoral, frontal, 

qui va sur roche le chantezr sous des vivats fortuits, 

je suis homme de la roche rude du temps dépensé, mon  nom est le nom que mes parents (ensemble ?) m’ont donné comme un don de roche, il s’agit de comp^rendre la vie à l’aune de ce nom donné comme pour l’éternité, il s’agit d’un  om de roche : vive la vie et ses tourments tracés à même la paroi du mobnde , car , le monde est rond (tout rond) de son infortune, il s’agit d’une boule de feu, ça gratte aux entournures, cela est vivant comme une plaie ouverte grouillant, etc, je suis sur la terre mon nom dép^lacé l’homme de la roche rude, je veux ... toucgher le sang ! car : je (= me) suis cet homme (le) qui va sur la roche (lent) son pas chaloupé (ici même) vers des directions qui demandent encore à être précisées , etc, car, mon nom gravé sur rocxhe est un nom donné comme par la bande (de chaque côté) et n’explique rien ou bien peu de ce qui se trame en cette roche des attraits de bure ! il s’agit de sexe ? d’accouplzament monacal ? de quoi ? nous cherchons ensemble une vérité, nous voulons savoir ce qui est en cette zone rude des attreaits de roche corporelle , ce qui est = ce qui se voit mais pas que ! je veux toucher le corps en dur de la parole douce ! je veux toucher ombre ici d’une femme de vie c,ourageuse, vive et simple! je veux chercher cette parole dans le sang ! je suis cet homme aux plaisirs marqués ! je  v eux toucher la roche du temps et percer ou comme percer l’hymen d’icelui en guise d’entrée en matière ! je suis homme des temps couverts ! je suis cet homme en transe ouvrant en quelque sorte la paroi, et entrant ! je syuis en  cette roche dans le sang ... d’une rage de vie-courage, mon corps est coeur de rage et file à tout va en cette roche toute animale ! je cherche une vie à louer et à monter ! je regarde ce qui eswt en cette roche des temps dépensés et que vois je ? l’ombre d’une fe:mme, l’ombre d’un homme, une sorte (cannibale) de paroi géante quyi me mord ou cherche à cela faire , à faire cette chose d’une sorte à mon encontre de morsure dsans le vif de ma chair tendre ! je suis l’homme et la femme des prés, je veux pas sombrer ! ne veux pâs somb rer ! ne le veux jamais ! ne veux pas sombrer dans paroi des prés ! je ne le ! car, mon nom est à présent gravé dans la roche, je sais cette chose, cette cxhose est avérée, existe bel et bien et me voilà ainsi qui voit la chose dans le temps soit dans le temps qui m’est donné, en vrai, pour entrer , pour traverser et toucher les choses, rudes (dures), des temps tourmentés en icelle, je veux toucher en elle (paroi) le sang de laplaie, de la plaie des choses ! joue percée vois tu ! car il s’agit (toujours et encore) xde cette même chose, d’une sorte de «queue d’homme» sortant de la bouche et per çant la roche en veux tu en voilà comme une feuille de papier ! je suis l’homme des temps passés, je serais cet homme : l’aurignacien, qui, en lévitation, sur roche, tracerait son nom à) m^$eme la paroi, tracerait que tu traceras icelle roche dure, au cgharbon de bois ou autrement mais véritablement et non point dans son rêve ou dans des songes menaçants, etc, je serais cet homme traçant nom (bete) sur la roche, mots de roche au carré, multipliant les formes vives pouvant faire accroire à de la  vraie vie de fortune ! je (moi) suis (homme) le (chant) chant de vie dans ! ou pas ? je serais ? car me voixci mort ? je cherche ! je cherche à savoir qui suis je  : le cheval ? le bison ? le chameau ? la chamelle ? la bisonne ? la chevale ? l’antilope ? l’antilop ? le comment  le mùammouth ? le quoi d’autre en la matière ? car, je suis surr terre qui trace le nom de la bete vive, pis aller au champ de blé, etc, je cherche vers elle (paroi) et trouve l’entrée où passer (par latranse) et une fois entré en elle je compreznds les choses, crument, véritablement, ces choses comme quoi la vie sur terre est cette sorte d'épopée de rage à supporter, nous voulons comprendre les sens et aller plus loin dans les connaissqances de base, nbous ne sommes pas seuls ni seules à vouloir savoir, nous essayons de  savoir, bnousessayons ensemble de co=mprendre les données du monde ce qu’elles sont pour nous et ce qu’elles recèlent en termes de vérités à signaler et à donner à qyui de droit ici parl a bande ou pas mais géné reusement et volontairement, afin de plkaire ! car le mal est fait (la douleur de latra nchée) et c’est ainsi que nous devons comprtendre à présent ce qui est en cette roche (la roche des temps) qui nous regarde, quyi nous montre la voie à swyuivre par où passer, je comprends les choses du monde, je suis l’homme des attraits de bure et file fissa à travers la lande en tant que chevreuil («bambi») qui va là à la recherche de son âme-soeur, je suis hombre-ombre, homme des pareois gravées (art) pour la bonne cause (je) en tant que telle : ce moi-je de rage rude (à comprendre ... au son du pipeau de la roche) !je veux toucher ici la roche dure , je la veux pour moi et seulement, ou comment sinon ? dans le paertage ? certainement ! je suis celui là qui va, en roche, tracer son tourment de bure animalière = cette cghose sur soi xdéposée comme une peau de bete, je découvre avec vous le pot aux roses, je ne suis pas là , je suis là et pas là, je ne suis pas là, je suis ombre portée pâr la ba,nde (pariétale) à toi à moi, et dans cet entre-xdeux je vais, m’immisçant à la va vite, trouvant (en chemin) de quoi me sustenter, et  ce faisant gagnant du terrain , je suis aurignacien de race-rage, néandertalien de souche, vivant à même la tezrre meuble, sous le wsoleil exactement, chassant le buffle, l’aurochs, l’ours, le tigre et lma panthère, le lapin de gharenne, je m’ap^pelle de mon n om d’emprunt ... comme une betee ! je suis homme dur de la roche dure des temps durs d’une vie du dur ... au passage, des dures contraintes ! je ne suis que ça ! nhe suis pas autre chose que ça ! je veux aller ainsi en cette roche rude découvrir (de fait) les membnranes des passabges à vif, et pour cela ... je m’offrre tel quel, nu comme un ver, assoupi pour ainsi dire (en vérité : sous emprise)) et me voilà qui apparait dès lors comme dans la manche ! je me vois toucher le sol et décoller ! je me vois décoller du sol ! je me vois toucher la timbale des parois de roche ! je me vois traverser la roche ! je me vois traverser la paroi la tête la preremière ! je me vois traverser vivement la roche des embruns de nacre ! ces contrées fugaces etc! je suis l’homme traversant la roche rude ! je suis cet homme aux envies de rage rude ! je suiis cet hommme, ce (hommùe) qui, etc, je suis lui  le , je suis celui -là qui va, dans la roche, à la recherche d’une voix, d’un chant de bure, etc, je vais ainsi (en roche des temps) à la recherche d’un chant ... sourdant de telle ou telle entrée dans la matière, je veuc comprendre le pourquoi des choses rosses de la terre dure ! qui saura  ? qui dira le fin mot de ta rage ? qui pourra me renseigner cvonvenablement et corrrrectement et vivement et avec les mots qui s’imposebnt (fissa) par la bande , qui ? je cherche assidument cette personne, et ce chant des ombres ! car ici la voie (pariétale en diable) est mienne par le sang qui va en mes veinews (de rage !) de passage, etc, et je suis ainsi, à vouloir savoir de quoi ce sang est-il l’objjet, que doit on penser de ce san,g coulé, de cette offrra,nde sur les prés d’une paroi dure temporelle , que ? quoi ? ou comment ? ou qui ? qui dit quoi en cette voix ? dans ?

 je cherche ! 

je cherche les mots de la joie d’être  qui pussent me donner de quoi nourrir mza gouverne à bon escient et à bon droit , car je suis cvet homme aux tracés pariétaux (animaliers) cherchant à traverser la roche , à se mettre à l’abri du temps, etc, je suis cet homme des embruns  cherchant pitance dans la roche dé»couverte, je veux croire en ma bonne étoile dans le firmament et touchger latimbale ! je suis hom mme au  coeur d’azur (!) dépourvu de rage ... un temps, mais pas longtemps (systole/ diastole) , et voilà le pot aux roses : je vais et je viens ... dans ce tourment d’une voix double, etc, je suis cettte b ete de rage dépourvue de sang (parfois) et d’autres fois cet homme déposant la bete saigna nte sur la table des données de base, je suis  homme-bête de la foi dans l’ombre, je cherche à me passezr pour ainsi dire de la cxhose rude, commùebnt faire ? je suis celui là qui veut, ou qui voudrait savoir, qui de quoi en luyi se trame en tant que tel, ou comment, ou quoi de quyi, car je suis l’homme ici de la rochge perdue au fin fond d’une grotte perdue au fin fond d’un pa ys perdu, etc, je cherche vérité traçante naissante, je veux comprtendre les données qui sezraient ceklles ô combien qui expliqueraient pourquyoi je est précisément cette personne donnant le la ou ce la musical à une sphère ! je cherche à comprtendre le pourquoi des choses musicales, je voudrais  comprendre et toucher, et du même coup savoir, et sachant aller, et allant filer, et filant brûul:er, et brûlant coucher, sur lma roche, le nom véritable de ma destinéec, destinée par(iétale, et non point dès lors ce nom d’emprunt dont je suis ou serais accoutré depuis ma naisqance (bure de pa roi) pour ma misère ou comment sinon: pour la joie de me savoir viva nt ? ou comment ? pour mon malhezur ? je cherche ! je suisq ici cet ho:mme des prés qui , avec ardeur et une volonté quyi est là affichée,, va, chaerchant sur roche le tracé,

 le tracé adéquat, la bonne chose, 

le vif du sujet, etc, je dessine la bete ainsi soit à main levée (hypnose) et cette chose dessinée est le n,om que l’on m’a, en vrai, donné d’emblée (à ma naissance) par la b ande, ce nom «de la bnande» à dire vrai, ce raccroc, non : ce raccrochement à la bande, ou commezn,t ? attacghement ? fortitude ? je cherchje devant, je vois devant moi le présent donné, je le prends au fur et à mesure de mon avancée sur roche dans le temps (une nourriture : donnée-denrée) et prenant la chose (engloutissemeng) je me loge ainsi dans une marche vive dép^loyée, je file, j’(avance, je prends au fur et à mesure les données données, je me noiurris d’elles et trace, sur paroi, le dessin de cette ava,ncée animale : aurochs busqués ! sorte de cheval sur pied de cavalcade, etc, je suis celui là quyi (a rtistiquemùen,t = volontairement = fidèlement) dit le nom des choses à même la roche : le cheval, le renne, le bison, le buffle, etc, et cela à foison, moultes et moultes fois, pour la bonne  cause (la survie du genre) etc, je vais sur roche à la recherche de la vérité, je veux comprenxdre ce qui est qui ici se tramerait sous mes yeux hagards, qui dit quoi dans cette  habit de bure ? je vois la

 chose ici se dessiner sous mes yeux hagardsz,  je la vois qui se dessine seule pour ain si dire, je vois cette chose se dessiner seule sous mes yeux, à travers mon corps, moi, ma main, mes mains, etc, à travers mpoi se dessine le corps de la bête rosse, ce cheval de cava lcade (par exemple) ou cettt oiseau de pied, ce petit volatile agile, etc, je suis l’homme aux traits de roche, qui chante à tout va, qui pelote la roche vif, cherche faille etc, et donne son  om par la bande pour (vraiment ?) l’eternité, soit l’éternité pariétale des roches ou sinon pour un temps = un temps particulier qui est lme temps de la survie des roches (etc) : cela est ainsi , et c’est ainsi que nous (nous deux : toi et moi, elle et moi) nous l’envisageons, elle et moi = elle, la belle, et moi, le sang, kle san,g sur la table, le sang sanguinolant dégoulinant etc sur tyable, cette chose rouge -rosse, qui est cette cxghose en soi qui te,nd à vouloir être en vrai, sur paroi, comme une vérité ta ngible et fiable,; je veux croire en cette chose d’une sorte de paroi de roche rude, qui serait, pour ainsi dire, celle... des zmbruns de bord de mer ... mais pas que, qyui seraitt aussi une sorte de paroi mobile, qu’on peut déplacer, qyui est la paroi de la chose rude, qui est pzaroi du monde, l’effigie du moins, la

 pari-ole déposée à meme le monde, cette v érité»»»»» de la réalité des choses, je voois cette chose devant moi, j’absorbe, je prends, je prends continuement

, j’absorbe au fur et à mesure = je gobe, j’absorbe et gobe en continue = je traverse, j’entre dans le vif du vmonde adjacent, je suis «bouche» ouverte grand , je suis la vbouche qui absorbe en grand le monde devant soi qui s’offre  comme un présent, je suis le preneur des choses pour mon sang de rochje, je suis celui qui prend continuellement l’air et les choses du temps présent, de ce présent déposé à mes pieds, etcx, je veux comp^rendre cette xchose d’une sorte d’absorption du monde continuement, cette chose ici d’une sorte d’ezngloutissement (ourp) du monde présent, du don (à soi) fait par déité de rocghe xdure menaçante (ou pas) mais bien présente «devant» soi qui va , qui allons, sur roche son ou nos chemins de ronde terrestre, il est ainsi que nous le savons ! nous savons cette chose ici d’une sorte d’embardée vive, pleine, trempée, qui fouille dans la roche un wsemblant de vérité votive, si possible, et tente d’en extraire une sorte de «quintesse,nce nativ e», voilà le hic ! et voilà pourquoi je m’»incline deva nt la roche ! 

je suis homme des embruns, homme du peu de foi dans la roche ou com:ment , suiis-je croyant en  cette roche ... des abois sourd ? non ! ou oui ? non ! ... ou si ? ou peut-être oui à l’occasion ! car quoi, je suis un homme «dépensé «, je suis l’homme traversé dépensé ! je suis traversé ! nous sommes traversé ! je suis travezrsé ! tu es traversé ! nous sommes traversés ! par des milliers  et des milliers de choses en suspension dsans l’air, l'air de la grootte, auusi des choses de type virus etc, mais de tant d’autres, mots de rage au débotté, colères sourdes, vzent astral, colères des intimidés, chants des plaines, soupirs, vivacités sexuellkes tangibles dépourvues de genrre, etc, nbouys voulopns comprendre ces passages-là à travers la lande et aussi ces passages à travers notre corps, corps de base, bnous voulons comprenxdre ce qui est ici ainsi qui va en quelque sorte setramant dxans la roche  toute ornementée, nous vcoulons toucher la chose pour soi,; pour sqon effiçgie et sa gouverne, car je suis (ici) cet homme , aux printemps donnés par une bande rouge, je veux croire en ma bonne é&toile, en moi la foi est incxluse comme il se doit cvar je dis des choses «motivées» et comme de plain pied, et voilà de quoi il en retourne, nous sommes soumis à des envies de rage pressantes, nous voulons comp^rendre les données qui vont comme à creuser la roche , qui sont en roche comme logées ou comment ? je veux pousser loin le ... ou plutôt la, recgherche, ou même les recherches, car , je suis friand ! je suis lo’hommùe -femme des parois, qui cherche le et la, c’est-à-dire : le pot aux roses et la vérité, c’est ébgal, et cependant c’est différent, car si le est le, la est la, or voilà : le = la en certaines occases on le voit ! on sait cela ! on le voit ! on veut toucher en vérité ! on veut se toucher ! on veut toucher la plaie de la roche en sang (tourmenbts) à même la roche frooiide , nouys sommes deux pour faire ainsi que ce passage en soi soit effectif et puiisse nous tenir en vie, nous absorbons des choses de poids, nous sommes qui absorbons mille et une choses de poids moléculairews bas, de poids bas de molécules, de bas poids moléculaire etc, nous preznons ! le sang se nourrit en  ous de mille effluves , diversement réparties à m^$eme laterre, etc, que veut-on absorber où nous ayons la main ? nous prenons les cghoses à la va vite tout le temps, nous prenons de force (c’est la vie) tant et tant de choses à la va vite c’est ainsi! engloutissement et poursuite sur paroi du temps (pariétal forcément !) ainsi de suite ! jhe-nous cherchons ensembvle le, or pas facile ! pot aux roses des vérités, il va de soi que cela est tout sauf facile ! je chgercbhe assidument l’entrée dans la matière,je n’arrive pas à me détacher, je voudraios tant pouvoir me détacher, comment pourrais je enfin me détacher de ce pouvoir de rage en soi parolier ou langagier ? en créeant la mesure agraire des données du monde ?  en comptant les denrées déposées pour soi dans  une sorte de paroi des temps envahis ? en faisant quoi ? je vceux penser la chose à l’aune des tourments de bure existentiels, mais comment ? nous cxherchons 

enwemble dans le temps, temps de la roche ici ornementée pour l’occasion, et faisant cela nbous gravitons, bnous bnous approcghons du «mot de la fin» qyi serait le fin mot qui dirait ce vcqui est, ce qui est vraiment, en des tezrmes autres 

que ceux que bnous avonjs pour nous pour ainsi dire en magasin (mémoire d’un apprentissage), etc, mais comment savoir ou connaitte (apprendxre) ces mots (neufs) qui nous diraient finalement ce qui, en vérité vraie, se trame «depuis le début» ? notre envie  est pleine, forte, envahissante ! je-nous voulons, merdum ! pas qu’un peu ! je-nous voulons à mort ! c’est à dire à la vie à la mort = dans un mouvement pendulaire, je veux ! et, voilà pourquoi nous sommes ensemvbkle sur ce chemin là de la roche (dure) des temps, nous gravons des betes de poids (qui pèsent, qyui en imposent, qui font office) et voilà pourquyoi nous cherchons ensembvle à savoir ce qui, en cette occasion d’une sorte d'entrée dans la matière sourdxe, swe trame ou se tramerait en termes d’oraison funèbre, de recueil de donnéesq, de tourments dénoncés, d’avalisation temporelle etc, nous vou:lons comprendre ensemble ce qui est et ce qui n’est pas, bnous voulons aller dans le wsa ng (le nôtre) à la rechgerche du tourment (pour le coup) de ba se, quel est il au juste , et cela bien sûr (encore une fois) ensemnbble , main xans la main, enlacés comme jamais,  pris dans latourmente d’un accouplzement furieux, etc, je cherche le je ... de la chose rude ! quoi est-il ? je est le chantre , ok, mais quoi d’autre ? en soi : je est chantre on le voit, il pérore de toute son autorité langagière (intrinséquement déposée) et voilà pôurquoi je est l’ombre d’une chance aévalée, avalée = mangée, je le sais, je sais cette cghose, nous savons cettye cxhose comme quoi le je de’ l’homme (pérorant) est sous l’influence majeure d’une langue intrinséquement autoritaire et mal goupillée, on sait cela, bnous voyons cela, nous voyons cette chose comme quyoi le monde est la paroi, et comme quoi la paroi est le tempsq, et le temps est kle tourment qyui sera déroulé ou déployé comme présent donné par la bande, et à (coute que coute et par dxevers soi) absorber ou emmagasinner, continuement, tout le temps !je suis homme de bure, je cgherche la fortune dans le sang, je m’accroche au temps de laroche, 

hje suis fourbu, je souffre les pierres un temps, je suis homme des tourmùents rageurs, des betes en soi (en, moi) qui gravitent, qui sont betes de roche des prés, caillassant mon anttre de leurs pics acéréeé s et cgherchant issue par la bannde, etc, que suis je ? où vais je ? en quelle contrée dois je figurer et la ramener ? car, je la ramène par devers moi, je suis ... qui parle d’autorité l;e langa ge, narquois, de laroche des temps déroulés comme une nappe ou un tapis volant, un chemin tracé, une vcoie lactée etxc, je suis cet homme à larechezrche de la  vérité, sur paroi de rocghe dure, traçant au burin les données de base x’une vie terrestre, je veux comprendre la chose nue, je n e veux pazs d’une chose affublée par quoi que ce soit ! mon nom ! ah le nom ! je suis dépléacé ! je vois ...  les mots-betes ga mbader sur la roche des prés d’une grotte de france alllouée à une vie d’ho:mme  ou de fzemme , je m’incline deva nt loa paroi, je sais que je triche ! je ne donne pas cde moi  ce que Mort (la ...) ... attenxdrait xde moi .... comme de qui que ce soit ! nous savons cela (peut-être) : l’art de la fugue ! l’art de la fuyite ... sans fuir ! de la fugue ... san s réellement fuguer ! etc , ou comment le dire ? nous devons traverser les temps donnés donnés par une bande, et, ces tempstravezrsés, aller de consqerve vers cet avenir de bras donnés et tendus, tendus fdonnés, etc, qui sont ou seraieznt c eux là que nous esp^érions au sein d’une langue, nous pensons que nous devons co:=p^rendre les données de base avec ce langage vo cal, oral, ces mots et cette grammaire etc, alors m^$eme que lesmots nousd trompênt, dès lors : comment faire ? jouer le jeu du mot, qui advient de force, et à treavers lui toucxher à vif la roche du temps, et là esdsayer de comp^rtendre, tirer soon épingle du jeu etc ? chercher à travers son prop^re lzangage une voie d’accès souterraine (entrée de grotte) qyi sezrait comme de juste une sorte d’in-quelque chose, excavation , trou  de roche temporelle, etc ? trouver dans le verbe non pas sa 

pênsée en propre (bah !) mais plutot cette sorte de pen sée «de roche», dite «de roche», quyi serait la voix d’un au-delà ou d’un en-deça de la roche rude, voix ou voie on l’a comp^ris , voix-voie qui dirait le pourquoi du comment ce cheminement ! or commen,t s’y prendre ? comment faire pour trouver la voix (la sienne ?) et la voie ( la sienne de même ) ? commùent ?. en touchant la plaie on le sait ! en touchant vite fait la plaie dans le temp)s , ou laplaie du temps, lke temps de la plaie, etc, la plaie du temps est plaie des tourments ... sur roche dure, bnous vcoulons comprendre ensemble les données rageuses des temps déroulés, des temps possédés, nous voulopns comp^rendre ensemble les données de base, les choses rudes, les vives couleurs des envois de base ... pariétaux , soit les b etes pour ainsib dire, betes de poids soupesant kla vie ou comment ? betesq de poids ... sur base de vie pleine, betes rosses sous la chose ? je cherche ! je veux dire ce qui est mais ce n’est pas vfacile ! ca r, les mots ont leur propres chemins qui m»’emportent dans un sac de jute vide ! que dire , ? la vie de la roche est la vie rude des emprunts , la vie est cette (rude) paroi devant soi qui semble nous tendre les bras voire nous appeler (de notre nom ?) et nous interpeller, nous interpeller vivement, mais pourqyuoi ? les bras dev nt soi sont là, ils sont ouverts, nous a bsorbons ce que la vie en continu bnous donne en fait de denrées à prendre (fissa) par la bande (de gré ou de fgorce, pour le coup) à même la paroi du temps (aurignacienne, magdalénienne, erythréenne, etc) , nous voulonsq sqavoir kle fin mot d’une aventure mais comment savoir ? nous vpulons toucher les choses du mùonde en vrai (paroi  céleste) et pour cela tenter le diable en osant le V erbe (troublé) dans nos b ouches enfin ouvertes sur kl’adversité ! les mots sont des ép^ées et des étais : xdes choses d'un pic dans une rochge rude ! nous voyons sous nos yeux s’ouvrir une roche (pic du verbe alacre) et nous nous infiltrons en cette alacrité dite pariéto-frontale ! pleurons ! à présenbt pleurons , ou crions ! le temps nous sourit ! il erst temps pour nous de toucher la cghose, et de traverser x et x de ces données vives déposées sur pied au dxevant de  nous, de notre gouverne ! nous voulons qzavoir ! nous voulons comprendre ! nous vouylons aller loin sur roche ! nous ne voulons pas etre dépossédé d’un savoir de base profond et tendu comme un arc, qui serait encore (et toujours) tendu comme l’arc de la vie, de la vie sur terre (donnée brute et vive à la racine dela vie terrestre): nous voulons ensembvle conserver la vie (vive) des temps alloués, rester soudés dans une sorte de chose rude, de donnée rapide mais précise, -un conglomérat ? une antienne ? un choeur ? une réunificatio copulaire ? nous voulons chercher ensemble, nous ne voulons pas nous désunir ! nous voulons ensemble cher cher les données qui seraient premières et nous octrooieraient le pouvoir partagé de pouvoir alller pour ainsi dire dans les p^rofo,ndeurs de terre-mère sans flancher ni succomber ! nous voulons aller en  cette roche des prés à la recherche d’une vérité qui put nous donner la hjoie attendue par en bnous la bete vive (une armée de betes en vérité) et voilà ce qui est sur roche et en , voilà donc ce qui est en roche, et sur , c’est àdire cette cxjose d’une sortye de retombée sur le carreau d’une paroi du monde ensevelie, cachée sous des monceazux de débris de toutes sortes, de cailloux dépôsés par tels p;lissements géollogiques des temps ou comment, car voilà : nous sommes hommes, noyus sommes femmes, nousq avons pour nous le pouvoir d’entrer ensemble (seulement ensembvle) dedans la matière du temps, et là : naviguer, naviguer à volonté, «e la nave va», comme deux qui seraient chahutés par la vague mais ne cèderaient en rien sur ce qu’ils / elles auraient en elles / eux comme volontés pures, désirs ancrés, etc, nous vcoulons toucher au sang de la plaie du monde, toucher le vif du sujet, toucher le vif, toucher au pklus vif, nous voulons toucher le vif du sujet, toucher au plus du vif du sujet vif, nous bvoulons toucher le vif de la cxhose rude, nous vopulons toucher et nous infiltrer mais toucher vle vif de la chose rude ou dure,  nous voulons toucher au plus vif de la chose rude des temps déroulés, nous avons le temps devant soi comme le déroulé à absorber fissza, et xsans avoir le cghoix, d’une vie de base etc, et là, à travers cela, toucxger ! toucxher le vif ! toucher le vif du sujet , etc! nous vou;lons comptendre c ette cxhjose en soi 

d’une roche de paroi ouverte comme une sorte de, peut-etre, bouche-plaie,; de bouche de rage, etc, nous nous infiltrons dans  lafaille ! nous voulons nous infiltrer dans cette faille rude (dure) dxes temp)s alloués et toucgher cette humidité, cette eau de buve, ce coin donné par la b an,de : ouverture centralisée, caroosse d’ore, nous perlons ! nous pleurons ! bnous pissons de toutes parts nos eaux de chance, nous ne voulons pas céder à la mort étendue sur roche ! nous voulons tenir à la faille , nous acoquyiner à icelle  et doubler nos voix de  c elles qui sur roche poussent leurs accords de paroles  vives, de chants nuptiaux, de pépiements divezrs et auttrescxgrognements de moments de ruts, nous voulons toucher au fond de la roche l’ouverture humide (bord de mer) d’un e sorte d’entrée en matière (poreuse)ou d’entrée dans la matière ! car, nous sqommes deux, nous sommes à deux pour 

ce faire, nbous sommes deux qui voulons , nous sommes deux qui chercho,ns ensembvle à toucher du doigt les donn,ées les plus radicales, ou les plus primùaires, ou les plus anciennes, les données natives sur roche, beautés lunaires, ombres portées sur roche rude, ombres dépôsées, etc, nous sommes eznsemble en c ette roche rude deux oiseaux (oiseaux de fortune) qui pépientb leurs tourments  «nidico:les», qui vont (de fait) sur roche nicher et se nicher, qui sont ombres sur la roche rude, 

des temps dépl;oyés par la bande, n

 ous voulons aller dans la roche rude, nous ne voulons pazs nous défiler, bnous avons à tracer des noms à main levée à même la roche, nous sommesz deux quyi devons aller, en  ette roche des apprêts, tracer des noms de betes de poids , de betes massives et lourdes «qui pûissent le faire» fortement, granxdement , sur la place pour a insi dire soit aux yeux de qui xde droit , nous voul;ons i:mposer bnotre présence vive sur la place, la donner en guise d’écha nge (xde libre échange) envers cette chose déposée wsur ce cdevant de soi, donner de sa voix ! je veux dire ce qui est ! je veux dire haut ce qui est ici ! je veux pouvoir donner, ici, de ma voix ! je veux pouvoir de ma ma voix, ici, donner ! de la voix donner, en termes d’échange et de tributs ! je suis homme de lafaille (

pariégtale), femme ouv ezrte aux sang de la roche, je m’applique ! je crie  ette chance x’etre ! je crie la chance ds’etre en roche dure l’enfant xde la voix qui sourd d’on ne sait où aller ! je  crache rude ! je tombe fleur ! j’essuie mes larmes ! je suisz dans la transe du temps pariétal ! ombre portée ou jetée ! fleur du pavé ! je lm’infiltre, je m’immisce, je  v ais dans la roche ! je  vais en cette roche des temps alloués et hje rega rde près de moi ce qui est qui va et vient nonchalamùeznt : sont-ce des betes rosses de bon poids bon oeil ? que vois je aller et venir près de moi ? que sont ces betes dessinées ? que sont donc ces betes gravées ? ou suis je ? la grotte est elle pour moi l’antre de la foi dans l’autre langagierrr ? les motsq  caracolent et vont se loger sur la rocghe des temps a;lloués ! jke sais voir deva nt ! je vois depuis moi le sang de la plaie, sur roche, qui coule fissza et tache ! je suisq cet homme des parois du monde, paroios saignantes, tourmùentéewq, blessées, troués par le pic de la bande ici an imalière le cas échéant !  je chezrtche à comprendre les données de base qui sont ceklles de la roche meuble, humide, ouverte, quasi gluante, etc, je cherche en cela cette chose de pois, qui saurait me donner des ailes et me porter , car je veuxw voler , je le souhaite, je voudrais, je cherche et j’aspire, je suis l’homme au désir doublé cde volontés vives de vouloir voler, outrer le trait etc, je veux comprendre loin dans la roche, je veuxx tra vezrser la roche, jhe veux entrer da&ns la roche, je veux percer laroche , je veux m(‘immiscer en elle et passser de l’autre côté, je  eux aller de l’autre côté, je v eux traverser le dur de la rocghe et ce nb’est pasc simple, mon envie

 la plus a ncrée en moi- même est xde travezrser le rocxhge de bout en bout, la matière, le pavé etc, il s’agit pour moi d’une volonté primaire, fortement ancrée ezn moi et c e depuis toujours, je suis l’homme de la roche rude des temps déployés, qui surfe ou comment sur la roche des temps alloués et chezrche à passer à traversq le temps de ce dit déploiement p)ar la bande mais comment cela ? eh bhien a insi : en fichant son pic de verbe saturé à lmême la roche et forçant le trait = poussant ! pousse que je vais pmoussser, a insi fait! nous pousssons la roche au pic frontalier ! nous nous infiltrons dans la durée ! bnous épousons le temps au dit «pic de verbe» accoutumé à pareille roche, traçant sa gageure, etc, nous voul:ons comprendre au plus possible les données de laparoi du tezmps, ces données -racines des temps alloués allouées au tout départ, nbous sommes nbeaucoup, nous sommes nombreux, je ne suis pas seuls, nouys sommes des millions, je me fais petit, nous sommes des millionset des millions qui poussons nos pics de parole rude, acéré, pouvant percer la roche du temps et creuser la tombe des temps impartis à une vie de femme et xd’holmme (sur le tas) : nous cherchons, ensqemble (à touus et toutes), ce qui est,  ce qu’il en est, ce qui est sur roche trezmblante, et au delà, au fin fond de la paroi  : l’échancrure, car nous sommes tous (des millions) à vouloir déposer nos  oeufs, 

à même la roche du temps, oiseaux de passage, nous avons pour nous en  nous cette cxhance d’eztre des etres en vrai de rage vive, vifs  passagers de  ce temps ... de roche mobile (elle nous suyit) et voil;à les choses du temps, qui (pour nous) offre sa mainmise sur la roche dure, etc, nousq so:mmes deux (a u moins deux ?) qui fouillons ! nous fouillons laroche des prés à la recherche de la v érité (sur tout et rien) de par le mon de , nous cherchons à comprendre les données les plus lointaibnes, ou profondément cachées, nous cherchons à co:mp^rendre les données les plus profondément cachées, les plus vivement cachées à même la paroi des rocxhes, nous voulons traverser le sas, aller loin en cette roche du monde donné,,, aller loin vers ces b ra s du mon de ouverts à la postérité, etc, nous chercghons à nous ancrer dans la roche, nousq cherchons à épouser le temps naissant de laroche rude, nous ne voulons pas trépassser ! bnous ne voulons pas trépassser ! nbous ne voulons certes pas treépâssser ! nous ne voulons pas treépâssser ! nous ne vou:opns pas trépasser du tout ! nous ne sommes pas à vouloir passer ou trépa sser ! bous voulons vivre la vie des choses rupesqtres à jamais ! oeufs de soi dans le sas de lma roche des temps ! oeufs de son soi n aissant à la roche rude ! notre b ut est ainsi formé qu’il s’affiche et qu’il affiche ses dfonnéesw à même la pa roi du monde souterrain ! je suis l’homme cdes  avernes au sang versé, je donne mon nom et ma voix à la bete en moi sura hjouté ! je contiens des chosex et j’en absorbe d’a utres : je suis tuyau ou boyau de travezrsée rude , je suis à treaverser de part en part, je veux de cette traversée de part en part, je veux être tracversé de part en part, je veux être travezrsé dep art en part cvomme un instrument de musiqhe, je vezux deveznir cet instrument, je v eux être tra versé de part en part comme un instrument cde musiquie vocale, je suis cet homme aurignaciezn qui tyraverse la paroi du monde et trace sa voie (sa voix) dans le sas pariétal de la roche des temps, temps offertts (les bras ouverttsq) par la mort (la grande) déployée de tout son long à) même la roche, rude (très) et dure (trop), je vais ainsi en elle (roche ou paroi) à la recherche d’une vérité pour le coup pfrofonde (si tant est) qui (hors les mots) donnerait à mon élan de vie les ailes de ... l’oiseau du paradis, ou celles 

d’un cxhardonneret

, ou d’une mésange ou cekles xd’un piivert ou d(une colombe ou bien celle d’un rapacve, d’une buse ou d’un a igle royal, etc, je  eux etre l’ombvre sur lma roche dure, ce tracé de bete v ive, ce tracé faisant a ccroire, je  v eux cette chose et c eette cxhose je la veux vivace, je veux etre cettte bete-mot sur rocghe du temp^s et ... «pas mourir «,, « veux pas mourir», «v eux pas de lma mort», «je veux pas de la mort pour moi», «je veux pas pour moi de la :mort, je le chante à travers la roche», « 1: je chante mais pas seulement»,

 «1 : je chante mais , »

« 2, je repousse en trompant le monde !», je suis l’homme repoussant la :mort ! comment ? pâr l’empreinte ! je pousse la mort au p;lus 

lointain possivble de la roche, je la pousse vif afin de l’étourdir : étourdissement facial ! je cherche profond à faire cette chose d’une sorte de repoussement ou comment dire ? je vais en roccche dans le tempsq et pousse que tu pousseras la chose ! je veux faire ainsi que la chose soit ! je veux que la roche saxche ce que la mort eswt ! car la mort eswt l:a parole dite de la mort ! je pousse à qui mieux mieux les choses du temps ! jue poussse vivezment la roche des temps da ns ses reztranchements et chercbhe par la m^$eme  à comp^rendre  ce qsui est xde tous ces tourments de roche dure, nous voulons savoir ce qui est, ce qui setra me au fin fond de la roche xdu temp)s, nous voul:ons savoir ce qui en vérité xse tra me au plus profond de la roche des temps allouéesq, et pour cela bnous chantons le v ezrbe nacré,, dépôsé sur rocxhe = nous pleurons ! nouqs cvoulonbs co:mprendre le monde, le pourquyoi du monde ! nous voulons cxo=mprtendre ce que c’eswt que la :mort en roche qUI nous tends les bras : que sont-ils ? que sont ces bras en vvérité ? que sont-ils ? que sont ces bras, ces mains ouvertes ?. que sont donc cesq mains ouvezrtes, ces deux mains tendues et offertes ? que sont donc ces deux mains offertes ? que sont ces d’»ux mains ouvertes ? sont-ce des =mainsq ? que sont-elles en termes de vérité vraie ? que sont donc ces deux mains ouvertes : un passage vers un au delà ? un,e sorte de pesage ? une sorte de portage :des mains porteuses ? que sont ces dxeux mains offertes ? que sont elles a u juste ? que sont ces mains données à soi par devers soi ou dezvant soi ou devant soi même ? qui est derrière ? qui y a til derrière ces deux mains ouvertes de va nt soi ? qui se cache derrière ces deux mains ouvezrtes ? qui est derrière ces mains ? à qui ces deux mains offertes (ouvbertes) sont elles ? qui est caché (,?) derrière ces deux mains offertes ? qui se caxche derrière  cesz deux mains offertes ? qui xherhe ainsi à se faufiler ? qui se  cache en vérité derrière ces deux mains deeva nt soi ouvertes et ofeertes et qui sont celles du présent soit du temps présent ? 

et si le temps présent (le temps) étaeit ainsi offezrt ... par des mains d’on ne sait qui, mais qui existezrait bel et bien au sein du monde (il serayt le monde !) ! 

et si le temps était deux mains offertesq ... par la bande «au-devant» de soi ! et si le temps était deux mains ! et si ces deux mains du présent ... portait le présent du temps !  et si le présent était porté ou comme porté par deux mains ! et si le temps présent était porté ou comme porté par demain ? et si le temp)s du présent au monde était comme porté par ces deux mains du temp)s à venir ? je cherche dans la roche dure, nous cxherchons à deux dans la roche dure , nous sommes à cghercher vaillamment (à deux) dsans la roche dure du temps ! nous sommes deux qui (ensemble) recgherchons des  vérités de b ase, des onglets, des vivres, de la nourriture à penser ou macher, etc et cela continuyement , soit au fur et à mesure que nous avançons ensemble dans le temps de nos vies couplées, bnous voulons comprendre ce qui est, ce qui se trame en cette roche des embruns, des paroles votives, des betes tracées, nbous sommes 

homme-femmme des cavernes, bnous montons , nous sommes montés, nous montons, nous nous hissons, nous sqommes tout en haut de la grotte enfouie souterraine, bnous sommes en haut à l’intérieur ! nous sommes en lévitation ! nos corps sont hissés en hgabits de betes ! nous sommes comme sous le charme d’une bete de poids en nous qui nous chevauche ou bien qui nous pousse à faire ou bien qui nous venge ! je  cherche la voix commode ! je regarde les alentours et que vois-je ? des données de base, rudiments, je touche latimbale, mon corps est nommé, enfin nommé, je suis devenu le dernier, je deviens la roche, je sombre, mon nom eswt mon nom, mon nom eswt mon nom, mon nom est mon nom, mon nom est mùo,n nom, mon nom est enfin mon nom : loopings de roche farfelus, choses de peu en un sein pierreux, choses rudes xde par la texture, déboulonnem,nts ! changements ! montures ! je me hisse haut en lévitation et me voilà qui entre en roche comme en religion : fissure, excavation, pénétration, et au loin les lumières vives des fond de parois

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1/9/2021

nous filons ! nous sommes deux (main dans la main) qui filons fissa (dru) vers cette Chose ici (les lointains) qui nous regarde et semble nous interpeller, quoi est-ce ? qu’est-ce ? de quoi s’agit-il ? qui est là derrière qui nous interpezlle ( nous épie ?) ? nous l’ignorons ! nous ne savons pas qui de quoi est là qui semblerait nous «mater» de folie alors même que nous sommes ceux et celles qui vont (tranquillement) leur chemin, sans rien demander sinon cette (donc) tranquillité de base nécessaire à notre bien-être ! alors que dire et que penser ? nous sommes sur lma lande, nous marchons sezrré l’un l’autrte, nous ne nous lâchons pas d’un iota, nous ne voulons pas nous perdre l’un l’autre, nous voulons aller loin en cette lande aux vérités nacrées ou comment ? car, nous sommes deux qui ici nous avançons dans le but (avoué) de nous informer (complètement) sur ce que c’est que cette chose (Chose) des embruns de bord de mer ! nous voulons savoir ! nous voulons mordicus savoir le pot aux roses, ce que c’est que cette affaire d’horizon  nacré (perlé ?) qui semble nous «tendre des bras», ou «ses bras» comme de juste : de quoi s’agit-il ? qui est derrière ? qui parle et nous fait paerler ? qui parle ici qui ne cesse d’aller et venir dans la lande en nous ou comment ? on voit bien qu’une chose pense, voire raisonne, parle haut, dit mille et unes choses les unes après les autres, va à se déposer sur table aux dons, etcx, on voit cezla, et pour autant on ne peut se soustraire des apparences, des choses données comme par devers elles, etc, nous sommes pris et prises comme dans une tourmente qyui pousse chacun et chacune à parler (selon son point de vue) à tout un chacun ou chacune de la lande : aurochs prioritairement, avec bisons, rennes, chevaux, ours, etc, nous disons que nous parlons comme une langue de survol, cette langue sortie de nos ventres par le trou de notre bouche (ou jhoue trouée) et voilà ce que cela est à nos yeux : un flux de gare, une touche pique, un fil à la patte, une sorte d’emprise etc, nous voulons comprendre très loin, le plus possible, les données qui sont ou seraient celles qui président ou présideraient à la Chose, cette Chose lointaine (là) qui est cet «espace de logement» pour deux corps enlacés mouvants, je suis l’homme au  coeur offrert sur table, comme bete de pasdage, comme celui -là qui cherche à comprendre , à travers le don, je suis cet homme doux des temps avoués, je cherche Vérité de bonne chère ou comment ? victuailles à déposer sur table ? charité ? je suis homme des embruns, homme des passages dans la roche dure, je cherche à comprendre ce qui est en cette roche des temps déployés, je cherche fissa à me colleter à cette vérité native (votive) sous le bras etc, je suis l’homme des cavernes des sous bois, je suis homme-femme des cavernes cachées (enfouies) au sein des sous bois, je suis cet homm-femme au sein des parois, je file à vitesse grand v, je marche auprès des betes rassemblées qui broutent, g ambadent et nous regardent, nbous allons fissa àtravers la lande , dans la direction des lumières embrumées des fonds de roche, nous voulons comprendre cette vérité des choses lointaines : la mort !!!!!!!!!!!! quoi est-ce ? nous ne savons pas ! nous voulons savoir ! nous cherchons fissa des réponses ! nous voulons comprendre loin ce qui est de cette chose qui nous tend les bras ! nous voulons comprendre ce que

 c’est ! quoi estce ? quoi la mort est ? nous voulons comprendre, et toucher du doigt la vérité des vérités concernant la mort ce qu’elle eswt ! quoi est elle ? qu’est-elle au juste ? deux bras qui se tendent ? deux bras ouverts ? deux bras offerts ? nous cherchons ensemble (à deux) à comprendre ce que cela (ici : roche) pourrait être au juste en la matière , nous ne savons pas ! nous voulons savoir ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ car nous sommes en vie, nous sommes deux vies qui 

chevauchent les plaines rocheuses, qui (ensemble) chevauchons les plaines (ici) de la roche (en intra !) et qui allons ainsi, bon an mal an, à la recherche (sidérale) d’une vérité, vérité de poids à) pouvoir déposer (à plat) dans lma bnalance des choses données-déposées, nous voulons savoir le «fin mot» = le mot de la fin, de la fin des temps, ou sinon ? car quoi ? nous sommes deux ! mille vies en deux ou comment ? nous avons (portons) en nous cette vie «de roche dure», cette vie d’homme des cavernes,; cette vie de rage pariétale , etc, nous cherchons ensemble une compréhension finale = le mot de la fin = la vérité en toutes choses = le pot aux roses = ce qui se doit d’etre dit enfin ! car la vie file sa course, course pa riétale, à travezrs le temps et nous sommes deux qui voulons fissa comprendre +++++++ les raisons qui incombent à, ou comment

 ? qui sont celles qui président à , ou comment sinon ? nous vou:lons aller loin en cette roche des parois de grotte car, ici «git» la vérité des vérités, nous le subodorons, nous voul;ons comp^rendre +++++++ les données qui seraient premières = primaires = natives = vraies, si tant est ! car, qui sait ? nous ne sommes pas ensemble pour rien, n ous sommes ensemble pour tout ! nous sommes cet ensemble de vie s enlacées qui se permet ainsi en roche une perforation spiralée qui permet l’entrée dans la matière fine des parois de roche embrumée ! nous voulons ! et ce que nous voul;ons est devant nous = ce devant de rage folle = cette insulte déployée comme (sur) une banderole : pissez donc vottre vérité, monsieur du Tonneau pour ainsi dire ! dites-nous ce qu’il en est de la chose dite «Mort», car qui sait quoi de cette chose ? nous sommes qui disons et ce faisant ... nous éloign on,s la mort à bon escient ? nous parlons pour conjurer le sort ? nous parlons par devers nous (=foi) et ce faisant nous a ffrontons la mort à bonne distan,ce ? nous parlons pour combler le trou qui est ce trou de roche dure de la mort à l ‘oeuvre ? qui sait ce qu’il en est ? les mots ont pour finalité de tenir la mort à bonne distance un tempsq ? non ? ou peut-être oui ? ou comment ? les mots ont une fonction par rapport à la mort ? pas sûr de ça à 100 pour 100, mais cherchons ! njous sommes ainsi nous deux à l’intérieur de cette roche, à la recherche d’une vérité, vérité de poids, qui put nous donner de quoi nous retourn er sur notre chgemin et rester en vie mais oublie ! vas-y ! cherche ! essaie donc de compren,dre un chouia de tout ça ! c’r’st balèze ! c’est comme on veut pas ! c’est dingho pour le dire ainsi ! c’est coton cardé ! vas-y ! cça craint du boudin , etc, et voilà pourquoi nous sommes ici sur cette piste (nous deux) qui chertchons à comprendre ensemble le fin mot (le mot fin et le mot de la fin) de cette affaire de mots inculqués, et parmi ces mots celui de «mort» qui semble correspondre à un quelque chose de réel, passage obligé etc, et cependant nous sommes tous deux, toutes deux, comme dubitatifs dubitatives un tant soit peu car cette chose dite est une chose de la roche 

dure, de l’homme ou de la femme néanderthalie,n néandertalienne ou aurignacien aurignacienne ou p;us proche de nous et jusqu’à nous, et de ce faiyt nous laisse (cette chose) quelque peu pantois pantoise devant elle ! car enfin, si la mort existe, si elle est, si lmza mort (contenue dans le langage articulé) est une vérité de type entité à part entière a lors pour quoi s’inqyuiéter ? car, nous sommes deux (ici : roche) pour l’affronter ! nous nous teno,ns par la main , nous sommes serrés l’un ou l'une dans l’autre, nous sommes liés par ce lien d’une sorte de pénétration l’un ou l'une l’autre de nos moi secrets ou comment sinon ? nous sommes e,nlacés à bon escient, nbous nous collons serré comme des limaces, nous sommes soudés comme deux «collés de la roche» ! nous voulons comprendre loin =beaucoup = plzein = tout , et pour cela nous nous colloons l’un ou l'une l’autre afin de former cette pique-perce de première, enfin capable de trouer les choses frontales, de la vérité et de la Chose comme quoi nous serions mortels et mrtelles, ou comment dire ici cette chose d’une volonté tenace de perça ge des embruns ? nous vopulons comprendre au plus profond ce qui se trame ! nous voulons au plus profond comprendre ici les choses qui sont et qui nous regardent , nous voulons ensemble (deux !!!!!!!!!!!) comprendre , mille dieux dit-on ! car, nous sommes deux ! car, nous sommes deux ! car, nous sommes deux ! l’aton bien compris ? car, nous sommes deux et dès lors (à deux) nous pouvons cerner un tant soit peu les enjeux qui sont ceux d’une roche dure ouverte sur quoi en définitive sinon sur ce qui est qui nous regarde là, au plus lointain de pareille roche de paroi du monde : aurochs ? ou quel autre bete des apprêts ? nous cherc hons ensemble )à comprendre les données xdu monde à la lumière dela roche transversale, nous voulons comprendre les données du monde du devant : ces mots, qui sont ceux d’une sortie de bouche pâr la bande, sont aussi devant, qui filent ! nous disons = assénons, des faussetés accumulées, strates de paroles vaines ? nous disons et ce faisant nous éloignons la vérité ou (disons) la tenons lointaine, car les mots comblent

  Trou de bouche, mzais quoi d’autre à part ? nous voulons savoir ce quyi est, nous voulons comprendre ce qui est, nous voulons cerner ce qui nous attend, nous voulons cerner et piger profond ce qui nous attend, nous voulons comprendre +++++++ ce qui est de ce qui nous attend qui nous tend les bras ! car quelque chose en paroi (aurignacien !) nous tend des bras, qu’on swe le dise ici bas, ou pas ? car, quelque chose icvi bas semble nous tendre deux bras ! semblkerait nous tendre deux bras ! semblerait nous offrir ses bras ou ouvrir ! et quoi ? la mort a des bras ? deux ? la mort a deux bras ? la mort aurait deux bra s qu’elle ouvre devant soi permanemment ? la mort ouvre ses bras devant moi ? lza mort a deux bras ouverts devant moi, ou devant soi, ou a u devant de soi, ou au devant de nous, ou devant nous , est ce cela qui est ou serait ? la mort = cette chose rude des lointains, cette lumière acidulée, ce cri de la roche (guttural et minéeral), ce cri sort  des tréfonds de la roche ornementée, la moprt sort (sourd) de roche, elle est contenue da ns la roche des temps déployés (magdaléniens, aurignaciens, etc) et c’est ainsi que nous nous co:mprenons dès lorsq ce que c’est que cette cgose, cette Chose rude des percées de roche rude, etc, nous voulons comprendre  les données de base présidant les choses du monde : la mort est une porte, la mort est une vérité, la mort est une ouverture, la mort est une échancrure dans un vêtement de fortune, la mort est embruns (embrumée ?), la mort est une paire de bras ouvertsq , la mort a deux bras ouverts, la mort a des 

bras,une bouche, un habit de bure ! la mort est un nom (=un mot);, la mort porte majuscule = la Mort, la mort a sa majuscule qui la suit partout, la mort est là bas, loa mort est là, et pas là , c’est à dire que la mort est là (bas) et pas là (haut ) etc, je cherche = nous chercghons ! je suis nous qui est jhe qui est nous qui est je qui est nous qui est je , etc ! homme femme acharnées dans leurs recherc hes actives, à travvers l’immixtion de roche et l’inscription dans la paroi de leur mobiles (accvouplés) respectifs : corps nus dépployés, dans le temps de la roche dure, nous voul:ons comprendre le plus que nous pouvons et pour ce faire nous gardons la tete froide, nous ne voulons pas nous emballer, nous voulons comp^rtendre ensembvle ce plus de la roche rude, nous nre voulons pas nous défiler mais bien au contrzaire nous colleter aux effluves et autrtes attraits de la vérité vraie = cette chose en soi déposée au xdevant de nous, = cette chose rude comme la mort et qui est la mort ! cette chose dite ! car, la mort est dite avant toute chose , ou pas ? la mort erst cette chose déposée sur roche, voil;à ce que c’est ! un dépôôt sur paroi qyui confine à quoi on ne sait pas ! on cherche ! on veut savoir ! on cherche à comprendre ! la mort est une chose déposée sur roche (hé, plan cadastral ?) et voilà pour quoi nhous entrons en roche (à deux) comme des morts de faim ! car nous sommes curieux de savoir +++, nous n,e voulons pas passer à côté de la vérité ! nous voulons comp^rtendre au plus lointain des profondeurs les données les plus primaires de la vie et de la mort, nous disons des mots mais ces mots nous troublent grandement, nous n’avons pas une confiance absolue dans le sens des mots, nbous ne pensons pas que les mots soient fiables à cent pour cent, nous pensons tout au contraire que les mots ne sont pas fiables à cent pour cent, nous pensons que les mots de rage d’une langue bne sont pas fiables à cent pour cent, et kles autres mots de cette même langue guère davantage ! nous pensons que cette cxhose ici est une chose, ou cette chose, à comprtendre permanemment, comme qyuoi nous disons (avec convictiobn) notrte profonde interrogation quant aux convictions qui seraient ceklles contenues au sein d’une langue de paroi du monde, etc, nous ne voul:ons pas penser autrement ! nous voulons camper sur nos positions ! nous disons avec conviction (!!!!!) notre manque de convictiopn !!!!!! or cela se peut il en vérité ? les mots employés sont des mots ina ttaquables ! car, les mots caracolent de conserve en nbous qui les accueillons commùe des bienfaits lunaires or quoi  penser au juste concezrnant l’efficacité du langage ou d’une langue articulé dans l’»édification (ou non) d’une construction sensée et sur laquelle pouvoir tabler ad vitam aeternam! nous pensons que les mots ne sont pas fiables et disant ce

la nous nous contredisons, or la contradiction a nnule le raisonnement, donc : ou raisonnement ou pas raisonnement , et si raisonnement alors ... du balai les contradictions .... dans l’oeuf ! car, nous savons que cela est ainsi que nous avons pour nous en nous une foi ancrée qu’on le veuyille ou non , et cela tant qu’en nous les mots caracolent au sein de phrases échafaudées par notre gouverne ! nous savons cela comme quoi les mots ... caracolent de conserve en nous, qui kles faisons sourdre fissa par cette bouche ou trou en nous qui nous permet de sortir pique et de percer paroi, à la manière magdalienne ou aurignacienne ou toute magdalénienne ou toute aurignacienne qui est ou était celle de cet homme ou de cette femme des cavernes contenu en nous, car nous szommes encore et toujours des hommes et femmes des ca vernes ! en moi j’ai! j’ai en moi cet homme / femme des cav ernes intégré ou inséré comme branche d’un moi à moi profond, ou comme branche xd’une sorte de lignée sanguine etc ! je suis homme (l’homme) des ca vernes en moi ! je suis un homme des cavernes, je suis cet homme des cavernes qui dessine à main levée et sous incatation , lévitation, emprise, etc, des betes royales, je suis homme des cavernes ! je suis un homme des cavernes ! je suis l’homme des caver nes ! je suis l’homme-femme des cavernes, je suis femme des ca vernezs, je suis la femme des cavernes, je suiis femme des cavernes, je suis une femme des cavernes, je suis femme (la femme) des  cavernes homme, je suis femme homme des cavernes, je suis hommùe femme des  cavernes, je suis femme hommùe des cavernes du sud de la fra,nce, je suis hommùe femme femme hommùe des cavernes (profondes) du sud de la france ou d’ailleurs dans un autrte monde , je suis hommùe et femme des cavernes, je suis en moi qui porte : l’hommùe et la femmùe, je suis (une langue) porteuse d’un homme et d’une femme, de fait, accouplées, je suis langue porteuse de cet homme dit «aurignacien» et de cette femme dite «aurignacienne», je suis une la,

ngue à travers la roche, la roche est le temps de ce dit «déploiement séculaire» (aurignacvien, maghdalénien, etc) de l’homme et de la femme accouplés ensemble, cet ensembkle (conjonctif) de roche et de base, je sui hi, qui dit ha! je cherche 

je en soi, comme la v érité en roche des temps : je cherche ! je suis hi, l’homme ho, qui dit ha à qui veut l’entendre ! je cherche en moi la vérité des choses des parois : l’aurochs est il l’animal des rois ? la belette et le chacal, l’a louette et le bélier sont ils ou elles betes de chgoix ? je veux comprendre les données de base liées à ce langage pariétal de rocghe des temps : qui est qui et qui fait quoi en définitive ? peut on pazrler à toute enjambée ? qui cherche avec moi ? les mots sont sensés pouvoir dire le xwsavoir ! etc ! je cherche à comp^rendre  ce qui est dans ce que je vois, je vois l’animal gravé et je com^prends que celui ci (ce dernier) est l’effigie votive d’une entité diuyrne, je vois le cheval et e,n ce cheval je vois des données de base radicales, je vois cet ours des cavernes et en cet ours je vois l’allure générale de la vérité , je suis l’homme doux des temps (rocheux) impartis, je cherche à comprendre ce qui est dans ce que je vois, je cherche à savoir le plus, et pour cela je regarde dsroit devant, je vois les choses rudes des parois du temps, je cxomprends ce domaine de cette parole d»éposée sur roche, je comprends la chose crument en tant que telle, je suis hommùe des tributs, des dettes, des amendes, des paroles lachées à l’ermporte-pièce ! je suis hommùe femme de la base ou branche radicale des gens tourmentées par la chose rude des temps, bnous allons ensemble dans le sens du vent et crions ensemble nos tourments de bure rase ! je = nous = je = nous xà l’intérieur du mlan,gage, cxar, qui dit je dit nous, dit le je de l’autre et de l’autre et de l’autre etc qui ensemble formen,t ou formeront (d§ès lors) ce nous basique et premier (princier) de la la ngue royale ou dite royale ! je dis nous pour dire bnous (en majesté) etc, et cela est, cela est ainsi a u coeur de la langue genrée pour la cause commune et le bien (?) commun il semblerait, ou du moins voilà ce qui, à nos yeux, nous parait etre ou exisqter en roche, sur la roche des parois du monde, nous pensons cela ainsi, comme quoi kles mots sont contenus dans une roche rude, roche des tourments d’une vie humaine terrestre, tous les mopts de toutes les langues sont égaux en cette chose d’une sorte de rassemblement sidéral minéral à même la paroi du monde ornementée, en tant qu’ils sont ou sezraient (ces mots) des outils de transition, des modèles du genre, des outils de rage déposé par soi sur la lande = la pierre tombale = la pierre aux offran des, chaque mot contenu dans une langue renvoie à ce don de soi intran,sigeant, il s’agit de comprendre cette chose comme quoi le mot, déposé sur roche = la vie conservée, il s’agit de comprendre ici cette chose comme quoi tel mot d’un langage précis (en particulier) = celui qui permet une approche distancée (temporelle) de la mort en elle même (= en son sein), nous devons compren dre cette chose ici comme quoi le mot dit = le mal xdit = 

la mort dite = la vie conswervée un temps qui est celui de la diction, nous disons que nou!s savons, nbous ne disons que ça , nous diso,ns permanemment que nous savons, bnous sommes bien incapables de dire que nous ne savons pas, nbous disons en, permanence que nous savons = nous assénons en permanence des xdires divers qui disent le pouvoir du dire sur autrui, sa raison qui a raison, etc, nous tous et toutes nous disons que nous savons, bnous disons que nous savons ce que nou!s disons et ce permanemment comme s’il en était, de ça, une condition qui soit telle que nous le devons dire de la sorte à l’autree et asséner ! nous disons et disant nous assénons permanemmeznt nos dires de raison , et cela nous ezncombre «follement» = fortement car, nous savons que  ce que nous disons est une sorte ... d’appui sur autrui, qui nous semble mal venu de base ! nous ne voulons pas assénezr quoi que ce soit or nous assénons dès que bouche ouverte pour parler, c’est ainsi ! nous disons nos raison,s qui ont raison <quoi qu’il en soit ici à nos yeux et à notre mcompéhensio nature»lle ! mer... credi ! que nous sommes ! car, nous sommes mercredi ! nous sommes soumis ! nbous sommes pris en étau en cette nasse pâriétale des parois de rocxhe ! nous sommes pris ! nous ne pouvons pas nous défaire de cette chose d’un parler de poids qui impose son entendement raisonné et raisonnable ! il y a quelque cbhose qui nbe convient pas à notre entendement ! bnous ne voulons pas mourir, voilà kle dire ! n,otree but ici (raisonnant comme nous le faisons) est avant tout de conserver la vie sur terre et audelà : permanemmùent, or comment ?. nous voul;onbs conserver kla vie sur terre , nous n,e voulons pas mourir c’est entendu ! notre but ultime est de nbe pas mourir, de repousser lkes éché&ances dirait-on, mais comment cezla ? en gravant sur roche nos noms d’emprunt ? en gravant sur roche des noms adoptés ? en gravant sur roche ces noms qui (en vérité) ne riment à rien ? en grava nt (aurochs, bisons) nos propres patronymes qui en vérrité sont des étiquettes au même titre que tant d’auttes étisquettes, fil à la patte, noms surnumérairews, rajouts de parade, raillerie ! quoi d’autre ? nouys pissons de rire ! nouys n,e vou:lons pas passer pour ceux et celles qui en savent ;long or nous parlons (à notre façon mais tout de même) et ce faisant nous imposons nos dires (de rage ou autre, peu importe) à autrui qui n’en perd pas une et colporte, ainsi de suite ! nous sommes dès lors plusieurs en nbous qui pissons de rire , ouh la , et comment ! car les mots en nous caracolent (chevaux sur paroi) qui disenbt leurs raisons de base raisonneuses et s’imposent ainsi comme autant de dires-dictatures, ou comment ? car, qui dicte dxit son dire-diktat, ou comment ? bnous disons (nous sommes contraints et contraintes) nos dires-diktrats, comment autrement ? et dès lors, nous sommes à l’étroit à l’intérieur de ce champ des dires donnés, bnous sommes deux qui disons en bnous la bonne parole de l’évangile selon saint machin ou saint truc de la roche des temps de l’nhomme des cavernes, je suis cet homme ici qui dit sa chose rude sur roche, et ce faisant assène ! crie ! chante! crie (fortement) ! découvre ! supplie ! prie ! plie ! etc, nous savons cela, nous ne sommes pass si niais niaises, nous voulons savoir ce qui est mais nantis de nos savoirs co:mplets de type langagiers et dès lors que faire ? notre but §(affiché, avoué) est de percer ... kle mystère de la pyramide ! notre but 

ultime (avoué et affiché) est de percer fissa le mur du son ! notre but ultime et final ou comment, est de percer-trouer la roche du temps par la bande, et de nous infiltrer comme des taupes espionnant la roche , nous voulons ! nous ne voulons pas (en revanche) mourir ! non non non ! nous voulons cvomme espionner la roche des prés, ce que pareille roche des anciens anciennes contient en elle en termes de vérités vraies, cela n ous kle voulons mais en reva nche , de mourir, nous n’y tebnons pas, mourir n’est pas notre objectif prioritaire (de vie) et cependant, la mort un hjour, etc, sera a u rendez vous dominical (?) de nos vies rewspectives, il est ainsi que les choses sont et seront, nouys savons cela : kla mort est une porte ouverte sur demain = sur deux mains ! nous swavons  cela follement ! la fo:lie nous gagne fortement, et nous savons cela ! nous voulons comprendsre  ce que c’est que cette mort de rage dure , ce que c’est que cette mort de rage, cette mort en soi de rage mobile, ce que c’est : c’est quoi ? nous ne  savons pas ! nous cherchons à comprendre kes données , données présidant la question (centrale) de la mort de soi dans la roche (le rocher) du temps, nous voulons comprendre ++ les donn,ées ditezs radicales, princières, primaires, royakles, naissantes, princesses ou comment ? 

car la vie en nbous est comme accompagnée par un vezrbe dru qyui pisse wson élan de vie sanguine effectivement mais pas seulement : la vie est pour ainsi dire prise en étau entre deux parois de roche (murs d’enceinte) et vas-y t’en sortir tout xseul ! vas ! la vie est «gageure articulée», comme une langue inculquée etc, nbous voulobns cerner au plus prêt ce qui est ici (roche) en termes de «vérités acquises», bnotre parole, nhos mots, sont pris et prise en étau,

 notre parole (de bouche ouverte, per cée) est prise en,tre deux fers, entre deuxx parois qui l’étouffent, la paroi du sens et la paroi du son, ni pl;us ni :moins : la betise grande d’un côté (incommensura bment humaine et incontournable) et de l’autre côté kles tourments du son des voix de faussets ou autres voix 

gzamines mal léchées ou mal placées, ou mal abouties ou mal posées, ou mal déposées, ou pas encore ici suffisammen,t déposée à bon escient, ou à) bon ordre ou comment ? sens bafoué et voix bafouée ! aïe ! car, ça, ça pèse fort! ça compte pour b eaucoup, ça compte pour beaucoup dans la balance ... desq :mots déposés sur la roche , nbous savons (assénons) cela : nos mots sont mots massue (tous) et dès lors nous sommes tenus, contenus, nous gravitons ! les mots sont tous des mots massue , tous !  nous disons pour nous que les mots (tous) sont des qui sont massue, ou comment le dire avec des mots justes ? mot = massue de l’homme ou de la femme des cavernes = piquet = bout de bois ! c’(est une cbhose qui semble a vérée , nous y croyons fort, nous savon,s cela , comme quyoi le mot = la mort, d’une chose dite, nbous disons que les mots sont massues déposées sur table et offertes au dieu de  roche dure = à la mort, ni plus ni moinsq, c’est ainsi que la chose swe trame : un :mot (massue) déposé sur table et donc, vu pa r qui de droit qui en pren,d note et le tient pour co:mpte, nous disons que nous co:mprenons cette chose, ici, comme quoi le mot, le mot déposé (quel qu’il soit) = un mot massue , qui en impose grave et pèse son bon poids dans la balance, nous dxisons ... que nous co:mprenons cette chose, nous disons ... que nous sommes toute compréhension pour cette cghose, cela est  certain, nous disons ... que nous comprenons cette cbgose là comme quoi le mot assène, impacte mais assène,,, se pose en mot de roche dur ... qui sait, le mot déposé est mot de savoir = qui impose son imposition, etc, son sens assuré , etc, nous voulons comprendre pourqyoi ! nous voulons comprendre pourquoi ! nous voulons comprendre  c e quil en est au juste ! nous voulons comprendre au juste ce que c’est que cette chose d’un savoir de base inclus au sein d’un langage quel qu’il soit mais articulé, etc, nous voulons comp^rendre les données de base radicakles, les étais, les soubassements à cette raison que les mots contienneznt,car , les mots contiennent des raisons et la raison qui a raiswon, etc, et  cela passablement nous gene ++ aux entournures pour le dire ainsi, nbous ne voulons pas asséner quoique ce soit, notre but ici est de graver la bete rocheuse, point finhal, pour faire accroire très certainement mais pas seuleme,nt, nottre but est de faire accroire à un dépot de vie dans les règles mais pas seuylement : notre but est de graver «le nom de ta race» blanc bec ! voilà ce qui est ! nous voulons graver nos noms sur paroi du monde temporel ! nous voulonbs graver

 nos noms sur la pierre tombale du temps affiché, ni plus ni =moins, dire cette chose, nommer cet endroit (lieu dit, pour le coup) où nous sommes placés dans le monde (entérrés un tempsq, etc) , nous vou:lons nommer ce lieu de laroche comme étant le lieu de notre corps mort, ou comment ? nous voul:ons savoir ce qui est de cette chose appezlée la mort, et voilà ce qui est en définitive : nous traçons nos noms sur la pierre du temps dép^loyé , ... en éventail, nos noms sont notés et datés, etc, je veux croire en cette chose d’une mort acqUIse et sûre ! je le veux pour moi ! je veux croire en cette chose d’une mort de rage ... en paroi (mùeuble) du temps des c a vernes ! les mots caracolent

 sur paroi, comme xdes chevaux de type caucasiens magdaléniens, je cherche la voie du sang ... dans la roche dure, je cherche le sang dans la voix, je cherche à comp)rendre les données, recvulées, des mondes pâriétaux de la roche du temps, je veux comprtendre «lourd» la pêine, les tourments renouvelés, la souffrance primaires, les douleurs écheloné&esq, le mal princier ! voilà la tache qui m’incombe ou qu’il m’incombe de mener à bien ! je suis et nous sommes hommùes et femmes des  cavernes débridés, nouys chezrtrchons à signifier la vérité des vérités à même la roche des temps, nous voulons savoir ce qui est en  cette sorte de parole écervelée de la roche dure des temps : son élan, son pouvoir, sa structure première, son vouloir, son sang , car, la chose est telle que la roche dit  c e que son etre,  de sa ng royazl, contient , en tant que vocables  gravés, n ous savons cela comme quoi le prince, le prince des temps, est entier contenu en elle, dans la roche dure des parois de grotte ou des grottes du monde, nous voul:ons savoir les choses  ce qu’elles sont du monde, nous voulons comprendre dans la profondeur de la langue, pariétale (rocheuse), ce qui est au juste contenu, en termes de «mal», de mal donne, de douleur, d’échancrure, d’ouverture sur le blanc du mo nde passé, etc, nous sommes deux qui cherchons ensemble à comp^rendre qui de quoi et pourquoi ce monde aux paroles assénées ! qui assène ? qui assène ? qui assène ? qui assène ? qui assène ? qui assène ? qui assène tant et tant de vérités écervelés échelonnées etc, qui ? nous sommes deux (= nous) qui voulons comprendre les données de base radicales ce qu’elles sont, contiennent, réservent, et offrent comme perspectives ! nous sommes deux qui voulons comprendre  cette chose cd’un e sorte de donnée cde base au sein du langage (articulé) qui est(donnée) cette chose d’une sorte de pouvoir du verbe à assé ner son dire piquant, perçant,, etc, nous nous disons à nous cette chose comme quoi notre sentiment est le suivant : comme quoi ... il nouys semble à nous, que le langage articvulé (celui d’une langue bâtie) est un instrument

 xde pouvoir, ou du pouvoir , car : 

car voil:à ce qui est : ce qui est est cette chose, comme quoi, comme quoi la mort ! ah la mort ! comme quoi la mort est l’instrument caché au sein du langage-pouvoir ! je m’esxplique : les motsq assènent volontaikrement ««« leur pouvoir élocutif, et ce pouvoir contient la mort (tenue dès lors à bonne distance), ou en x’autres termes (dit autrement) la mort est, dans le langage, l’élément-clé xde laraison, les mots glissennt xsur la vérité (jamais réellement ne l’atteignent) et pour cause : ils contiennent en leur sein la =mort, la mort de l’etre pour ainsi dire, qu’ils tiennent piégée ! les motsq sojnt un piège où la mort vient s’attrapper comme dans un filet une ablette ! les mots sont les filets de piègement ! la mort les mots : la mort le mot, le mot la mort : la mot le mort, etc, il y a au sein d’une lan gue parlée, une sorte de contenant (un fil:et de p^êche) où la mort vient se déposer, malencontreusemeznt pour ainszi dire : le mot est ... le piège de la mort , voilà ! le mot est ce piège où la mort vient à se loger ! le mot est un piège pour la mort! la mort est piégée car elle est saisie dans un sens outran,cier <qui la fige pour l’éternité comme une effigie de bête sur roche : cheval, renhe, bison, etc, les mots sont des instyantanés, qui figent la mort dans ses fil:ets, nous dès lors essayons de comprendre ce tout d’une langue vive (virevoltante) contenant en son sein la mort en tant que donnée de vie radicale (finale, terminale, cloturante, etc) , nous ne voulons pâs mourir et c’erst ainsi toute la langue en nous (compacte) qui dit cette chose lorsque nous parlons : si je parle alors ma parole dit la foi en la pârol:e qui dit son désir de rester en vie et de ne pas mourir, voilà le fait tel

 quil nous apparait à n ous (yeuxc) à l’intérieur de la roche,  nous voulons comprendre gra ndement les données de base, nous voulons grandement comprendre les données de base rupestres, nous sommes deux qui voulonbs volontairement granxdement comprendxre les données de base rupêstres : ce qu»’elles sont au juste, ce qu’elles peuvent nouys offrir en termes de réponses à des questions ou interrogations que nous nous posons, nous voulons savoir ce qui est du :monde, ce que la vie est, et la mort par consé&quent, etc, notre but est de creuser l:a roche du temps, les yeux ouvertts, passer à travers la rocghe, passer de l’autre côté à travers la roche du monde pariétal, ce monde de la roche dure des te:mps alloués, noys pouvons passer car nous sommes munies ( armés) d’un pic de destinée qui nous aurorise ou permet ce passage radial à travezrsq la roche, pic de verbe fou, dfonnée radicale, époumonnement, tendre traversée, évitement et lévitation, etc, la tra,nse aidant (incantations votives) permettant le paqssage en toute dou ceur de la rocghe du temps animal, je suis cette bezte des parois de roche, jhe vais en roche en cette bete des mondes cachés etc, je traverse habillé en bêtye, etc, est ce cela ?je suis l’homme à l’habit de bure, homme des données dures, radicales, fermes, soudaines, brutes, fermées, jhe deviens cette bête 

«des parois des grottes du mùonde», 

je passe, je suis pâssé, nous passons, nous sommes passé, nbous voulons traverser longtemps cette roche meuble et aller au loin à la recher che des données  les plus reculées, nous devons comp rtendrdre à travers la rochje ce qyui est et qui relève de la venaison (ou pas) et ce qui est et qui relève de la frondaison (ou pas), et pour cela : un mot : fissa ! ca r ici, l’allure (le train) prime ! la vitesse pour ainsi dire a son mot à dire ! la vitesse conditionne grandement, considéravblement l’é»locution et les données , la vitesse est vcomme point dx’achoppemeznt  central à la base des données de roche, des dons saturés etc, nous disons que nous devons aller et cet allant se doit d’ettre en tous points (moments) soutenus p)ar la bande traçante , etc, nous penso,ns que nous devons donner à notre élan de vie (= allant) le train que la vie impose à la vie (ou à la mort ?) et qui va bon train pour ainsi dire, et ce faisa nt recueillir les «perles de p;luie» qui s’en viennent à s’échouer dans l’escarcelle , ou commeznt dire ? ce quyi est est, ce qui n’est pas n’est pas, je conditionne, le temps pousse à la faute, conditionne, etc, les buts (nôtresw) sont ainsi que nous voulons et rezcherc hons à (toujours plus) faire en sorte (via le train adopté dans nos déplacements) que donc, adviennent sur roche des données de base, bousculées, forcées, etc, des donnéesq foulées, des données ragheusement forcées à montreer le bout de leur nez or pâs sûr que la chose soit de la sorte en vérité : peut-on secouer le cocotier en vérité ? peut on presser le train de l’allure vitale et creuser le verbe : le faire saillir ? peut on pressurer le tout verbal et lui faire sinon rendre gr^

$ace du moins faire éclore des perles ou quoi d’autre qui pussent nous donner de quoi ra sssasier notre soif ou nottre faim de savoirs de base (vérités des verités) ? bnous voulonbs comprendre un tout à la lumière de la mort, donnée comme étant, nous voul:ons comprendre un tout votif à l’aune (drue) d’une lumière permanente des lointains, etc, cela est ainsdi, nous ne voulons pas (jamais !!!!!!!!!!!!!!ç!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!) faiblir, nous persistons pezrpétuellement dans nos démarches, nous devons pezrpétuellement persisqter dans nos démarches,, nous vouy;lons perpétuellemùent persister dans nos dém rches, nous voulons persister de but en blanc, et graver sur roche auroichs et rennes des prés pour la bonne cause liée à kla mort , mort à refoul:er, etc, la mort est (très) liée au verbe (on le sait ?) et dès lors quye faire ? que rewste til à faire dès lors, sinon cette chose ... d’un trait sur roche : chevakl ! njous voulons comprendre les lointains rageurs, nous sommes à l’intérieur d’un monde de rocghe brutal, lke monde est dur, le monde est pierreux, le monde est la dureté rocheuse même, nous gravitons (bon an mal an) au sein d’un monde dur comme pierre dure, nous voulons comprendxre les données de base, la roche devant soi est dure à percer, le temps est le temps donné par la b ande rocheuse des abris ; pour soi; pour autrui ; au sein de la roche; nbous cherchons à com^prendre (déplacer ?) les données du monde terrestre (la réalité des apprets) et pour cela nous nous immisçons tête première au sein de la roche à deux, à la une à la deux, etc, nous nous immisçons en  c ette rocghe des temps donnéés, donnés pâr la ba,nde et v oil;:à  ce qui est ici, en  cette sorte de paroi aux betes gravées, ici sont ... ces betes-mots de rage rude ! ici sont ... des mots de betes rudes qui sont des mots-betes, ou mots-bêtes de rage et de colère à l’(égartd de la mort (en lutte) dans la vie ! nous ne vouylons pas d’(elle ! nous ne vpoulons pas mourir ! sus àla mort ! «fous le camp la mort ! fiche-moi kle camp, de grâce ! ne reswte pas là au sein de la roche, sois ailleurs, va loin, fiche moi le  camp fissa », etc, nous ne voulons pas d’elle, bnous la voulons qui fiche le camp, les mots sont un piège, où la mort vient se perdxre un temps ! les mmots sont ce filet de pêche piégeant la mort dans ce qu’(elle a peut-etre de plus accessible à notre entendement , etc ! nous cherchons à comprendre les données de base du monde vivant : pourquoi nous 

parlons en assé&nant obligatoirezme nt ce que nous disons a ux oreilles de notre auditoire etc, pourquoi nous disons des choses rudes et toutes déposées ainsi rude»ment ? nous ne voulons pas asséner et voil;à que nous assénons ! nous disons des choses qui sont comme paternelles, qyi sont comme paternalistes, ou patriarcales, = de l’autorité, l’autorité branchiale etc, nous savons cela ! dire = faire autorité mais d’où cezla ? parler =

 faire son autoritaire ! parler = se donner de l’importance et faire son autoritaire et c ela est ainsi que cela est ! parler = infa ntiliser l’auditoire ! parler = se montrer et faire son intéressant patriarcalement ou commùent ? parler = autorité comme il wse doit ! je =  cette chose d’une sorte de : autorrité mal p;lacée : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! oui car cela (cette chose rude) est incluse da&ns le contrat ! cela nous semble une évidence ! nouys pârlons et parlant nous assénons des  choses qyui ressortent d’une autorité de base néfaste ! notree but est de chasser la cxhose contenue en nbous hélas ! notre but est de nous secouer nous mêmes et de creuser à lo’intérieur de nous cela quyi en vrai nhous semvble devoir l’etre enn roche, et pour ce faire : le pic ! pic des pics de pert!çage fou ! car, le pic en nous a de beaux hjours en perspective , nous devons piquer, creuserr, piquer roche xu temp)s, piquer roche vive nous devons ! nous le devons, nous le cdevons car nous devons ... travezrswer la roche (buffles, chevaux) et passer du côté des ombres, des lumières douces, feutrées, des embruns, etc, nous nous tenons par la main,nous sommes accouplés, nous sommes comme sertis, bnous sommes un e,nsemble sezrti, nbous sommes deux qui bnous tenons devout en rocxhe prêts prêtes à bondir ! biches des prés éblouis ! nous sommes biche

-chevreuil doux des roches dures ! si la ro che est dure la biche et le chevreuils sont doux et douce ! nouys sommes betes de paroiç du monde, notre  but est de co:mprendre ensemble l’animal représenté  de fait sur roche du tempsq, bnous pênsons animalier, bnous parlons un langahge de b êtes, bnous nous infiltrons dans ;a roche (loin), nous cherchons, nous recher chons, nous chercghons une ouverture à même la roche, nous cherchons le trou, un trou, un pâssage vers un au-delàç radical qui nous laissât (de préfére nce ) aussi inta ct intacte que possible, nous cxherchons passage de roche, traversée des apparre,nces pariétyales, bond danss l’au-delà ! nous voulons aller comme biche des prés par delà la butte àç la rencontre d’une dame ou d’un monsieur qui saurait nous dire ce que la mort est au juste, nous voulons savoir beaucoup longtemp)s, loin à fond etc, ce que est la mort, ce que mort est, ce que la mort elle est, ce que est en vrai la mort, ce que Mort est pour soi, etc, nous voulons savoir ce que la mort elle est au juste, cxe qu’elle est en définitive, quoi en elle ? incubateur ? bnous voulons comprezndre kle plus et entrer dans la roche ainsi attifé (ainsi outillé») et creuser ! creuser ! creuser ! creuser ! creuserr la terre ! creuser la question ! creuser la terre ! creuser, creuser la terre et la ou les questions ! je creuse que tu creusezra s ! creusons le trou de notre tombe ! creusons tombereau,; tombe, tombage, tombée et retombée, etc ! nous voulons entrezr dans la matière dure des temps éblouis, bnous voulons entrer dans le dur de la matière dure, en lévitation : incantations ! betes de rage ! beauté anim& les etc ! l’art

 de se faire petit et d’entrer ainsi rabougri (rapetissement) dans la roche ! faisons nous peti petite = art ! l’art ainsi est cette a pproche de la roche, visant à faire en sorte que : nous ne la ramenions pas plus que ça ! cela est cette chose, d’une sortye d’art (l’art) qui consiste, dès lors que nous sommes entrés dans kla roche, à se faire petit petite le plus possible r(ramener sa fraise le moins possible) afin de passer «««, de préswenter bien, de se faire adoubezr, etc, car la vraie vérité est d’ordre pariétale, oui !!!!!!!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!u!uuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!!!!!!!!!!!!!!!u!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! faisons nous petits et petites : art, l’art ! l’art dès lors est la chose ici qui permet cette chose !oui !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! l’art ou l’art de se faire petit et petite et d’entrer plus volontiers dans la .....

matière de la roche dure ? matière des mots déployés ? matière du temps alloué à une vie d’homme ou de femme ? etc ! nous tenons le fil, nous sommes sûrs et sûres de nous, les mots imposent leur certitudes ! nous cherchons à nous infiltrer dans cette rocxhe ou roche des prés, nous nous infiltrons en cettte roche des prés jolis aux milles betes toutes aux aguets, aux biches élancées, aux cerfs géa ntissimes, aux bisons racés, aux buffkles vigoureux, aux troupeaux de vaches ou de chevaux , nous marchons  m âin dans la ma in, nous voulons saisir ce qyi est et aussi c e qui est au xwein du langage, ce qui est dans cette roche ici habitée, et ce qui se trame au sein du langage , nous voulons comprendre ensembvle (le coït) ce qui est en roche 

en termes de finitude, nous avons bon espoir d’un hjour pouvoir comprendre kles données finales, le plus du moins, et dès lors d’en avavncer dans nos connzaissances, bnous sommes mus pour cette cause (en nous) par un troupeau de bêtes fortes, massives, pretes à chevaucher la lande et nous guider vers cet audelà printanier, agraire, prairial, ensoleiullé, qui est celui de la roche du temps imparti à une vie terrexstre, d’homme ou de femme mues, etc, nous cherchons ainsi à aller le plus possible loin en besogne, nous voulons aller loin au sein de la roche, de la roche dure (printanière) , et creuser le sillon pour ainsi dire de nos destinées reswpectives vers cet au delà, au delà monacal (dominical) contenu en roche (seulement ?) et dont le nom (le petit nom ?) est : Mort Grande la Bête du temp)s ... ou autrement ? 

nous cherchons à nous approcher le plus possible de la vérité, nbous sommes deux qui ici cherchons

 à  nbous approcher lke plus possible de la vérité, bnous sommes deux qui cherchons ensembkle, à nous rapprocher le plus pôssible de la vérité ... des faits pa riétaux, nous sommes homme-femme des cavernes , nbou traçons sur roche des traits , caricaturaux , de betesq , de betes de poids, etc, plus ou moins caricaturaux, etc, ce sont les noms que nous portons en tant que tels, je suisq aurochs le chevelu, etc, et mon mon (MON NOM) s’inscrit de la sorte sur roche , par ou via des traits à main levée, tracés comme en état de ... renoncement ? ou comment dire ? dans un état (peut-etre) d’emprise etc, ou sous emprise etc, renonçant à (en moi) écouter la voix pour(en moi) écouter la voix (bestiale) de mon guide en traversée, etc, je suis homme-bete de rage agraire, je veux rentrer dans la roche, je suis à même de pouvoir le faire, je suis homme bete, hommùe qui pousse dans la roche et finit par s’y loger comme ... da ns un nid douillet, enfin protégé,,

 hje parle ici au nom de la bete et son nom est dès lors celui qui me revient et que je trace, sur pa roi, au charbon de bois, je m’appelle ... nologips (par exemple) ... ou autrement, MON NOM s’inscrit par la bande par devers moi, jhe n’y suis pour rien,; je suis hjomme des parois de roche dure, je suis dans le temps comme (plus ou moins !) dans un nid, nid d’oiseau nidicole, pour sûr ! je vais da ns la roche du temps, je cherche une issue langagière à xdes questionnements d’orxdre  sanitaires , ou comment, sinon ? je cherche une vue d’ensemble, des réponses banales, un viçsage, une silhouette , un animal, voil:à je cherche un animal, une bete des prés, un animal savant, une bete ici de rage folle qui saura me dire sans contrfaaçons ce qu’elle est au juste et son rôl:e précis dans toute cette a ffaire de vie et de mort de type pa riéto-temporo-facial, ce q’uil en est et ce qu’il en découle , je suis homme des embruns cherchant bete fa uve pour échange de bons procédés et de connaissances primaires, car la b ete sait peut-être ce que la mort est, très certainement, la bête côtoie quyotidiennezment, régulièrezment la mort, en chair et en os pour ainsi dire, et par conséqueznt est très à même de pouvoir nous renseigner et nous guider sur ces queswtions existentielles qui sont de celles qui , souvent, nous taraudent, nous pèsent, viennent à se loger en nous et en notre gouverne :

nous voulons lever le voil:e sur la vérité ! nous voulons comprendre les données de base ! nous voulons savoir ce qui eswt ! nous voulons a ller loin dansq les connaissanxces ! nous voulobns trouver notre miel ! nous voulons savoir profond ! nous voulons nous grimer en bête de somme !nous voulons nous la isser envahir par en nous la bete de roche ! nous voulons tracer sur roche un (trait de) chemin de ronde, et le parcourir jusqu'à destination ! nous sommes deux qui a;llons profond en cette roche des embruns et qui donc essa yons de comprendre sur roche les données princières, nous vouylons comp^rendre les donnéesq du monde = cxe qui est donné, ce qui se présente = le don, le présent, les brassées etc,  et ne pas mourir de sitôt ! ca r le mon de est don et aussi présences, bnous cherchons à creuser la tombe des noms en présence, en présence en nous : mais ... lesquezls ? nous sommes hommes et femmes à destinée de roche, nous sommes et des hommes et des femmes dont les destinées sont de type : ou rocheuses, ou infrarocheuses, et voilà pourquoi nous sommes qui nous immisçonbs (de préférence à deux) au sein de la roche (dure) des parois de grotte, magdaléniennnes , aurignacieennes, néa ndertaléiennes, etc, nous creusons, et ce faisant nous nous immergeons ou immisçons au sein d’un langage perlé, de roche et de pré, qui contient lkes données princières de la mort à l’oeuvre ... sur roche, sur paroi, sur pierre, etc, une mort gravée par la bande du temps  sur pierre tombale (granite), sur pierre nue, sur paroi de grotte, etc, je suis l’homme au port de tete déployé, mon cou s’allonge, mes bras s’ouvrent, je nais ! je suis l(homme naissant à une vie ... d’hommùe terrestre, je nais dans le san,g et les glaires : me voici imberbe, nus comme un ver, souriant de toute son âme quooique révolté et foulé aux pieds, je vais sur roche graver mon nom, mon nom est le nom de la bete qui, en moi, me co:mplète et me donhe le la (musical) des sphères ... pour ma gouverne, etc, mon nom est chié! je suis rouge ! mon coeur bat ! kle mal est fait ! la chance me sourit ! je suis né à la vie tezrrezstyre ! je vois dieu dans l’ombre de la mort ! dieu est cette chose langagière tapie dans la mort ! je foule ! je vais fissa par les grands chemins pariétaux,; hj’essaie de co:mprendre cela même qui m’arrive en cette roche ornemezntée par l’homme des cavernes, par la femme des  cavernes, je sors de la femme des cavernes, j’entre en cette roche dure par telle fissure (fine) due à l’entremise, pour le coup, d’un pic «de percée» rural, jhe vais dans la roche tete prezmière comme un nouveau né, ou comme le bé bé (le nouveau né) que je suis sur roche, je vais en roche comme un nouveau né qui pointe ou pointerait son crane sailla nt, je suis comme le nouveau né de la roche dure, je passe entre les faisceaux, j’entre, je passe, je foule, je fais la traversée humide, hje suis iinséré, je suis mis en orbite, je suis entré, mon nom est MON NOM gravé sur roche ou pîerre tombale, me voilà né à une vie de roche dure, je suis mis sur terre aux qUatre vents d’une rochje meuble, nous sommes entrés dans la roche, nous sommes entrés dans la roche dure, «MON NOM» sont les mots gravés ... par la bande (pariétale) des embruns, je suis né à la vie terrestre», MON NOM est ce nom que je vois sourdre à mes côtés et qu’il m’incombe d’adopter fissa , me voilà nommé ! je suis l’etre au nom déposé sur la bande, je suis homme au nom déposé, treaçant l’ombre 

de sa visibilité

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31/8/2021

nous sommes passés de l’autre côté, nous avons franchi le rubicon, nous sommes passés, nous sommes entrés ensemble dans la roche, nous avons franchgi le pas de la roche, nous voulons passer des caps de roche dure, nous sommes ensemble, ici même (roche), à vouloir passer des caps ... de roche de temps : nous nous infiltrons par des failles temporelles et nous nous glissons en ces roches rudes, dures, de temps alloués, qui sont roches des temps impartis à une vie d’homme, d'homme ou de femme, nous sommes deux qui cherchons fortune, en pareille roche des temps, npus nous ofrrons ainsi de la sorte (l’un ou l'une à l’autre) en cette roche des embruns, à la rechercheb d’une bete rosse, d’une bete des prés, d’un animal de compagnie rocheuse, etc,nous sommes deux et à deux nous cherchons la voie qui mène à la bête, nous voulons trouver en cette roche du temps alloué la bête qui se meut en elle, cette biche des embruns, ce cerf écervelé, cette roche animale ou animalière, ce cerf volant, cette bhrebis des champs etc, notre but est clair, nous sommes deux pour une bonne cause et nous entrons ainsi en roche pour ce faire , pour (de fait) une recherche vive, pour trouver la voie menant incidemment à pareille bête des embruns, nous ne voulons pas céder, nous voulons poursuivre sur notre lancée nos recherches,n, nous sommes dans une recherche vive de roche, nous nre voulons pas céder et c’est ainsi que nous cherchgons encore, encore et toujours, nous voulons trouver ensemble dans la roche dure des betes de voix, des cris gutturaux,,, des meuglements, des sonorités calcaires, des bruyits de toujours insérés, des beuglements de charge, etc, notre but est ainsi gravé que nous nous afficghons, en tant que chercheur et chercheuse de rage, en cette roche du temps alloué à une vie de roche, nous cherchons en elle des betes de choix, des betes graves, dures, fortes, lucides, qui puissent nous donner le la, le la musical, d’une bande en vrai à dérouler (temps alloué) à ou pour une vie d'homme ou de femme, etc, notre but ici est comme gravé sur roche du temps, nous voulons cela, nous voulons graver cette roche des temps impartis à même la pierre ou cette pierre froide, nouys ne sommes pas dépourvus de tout, nous sommes munis d’une envie et cette envie est celle de graver (ici) la roche dure, le temps menaçant-menacé, la pierre de roche calcaire, le sommet, la butte, cette cghose devant nous qui s’offre à une sorte d’immixcion totale de nos corps soudés, alanguis, vifs, traçant sur roche le trait d’une entrée en matière, nous aimons entrer dans la roche (dure) des temps et nous entrons ainsi (deux par deux ?) en elle, nous sommes deux qui entrons ainsi, nous sommes deux qui, en vrai, nous immiscons èen cette roche des attraits, des betes dessinés ... parx des hommes et par des femmes descav ernes, nous entrons ainsi ensemble en roche des temps durs , et nous nous blottissons l’un ou l'une l’autre l’un ou l'une dans l’autre l’un ou l'une pour l’autre en icelle, fous de rage rosse, amoureux amoureuse des roches, amoureux amoureuse transis, cherchant pitance dans la rochge (dure) dessinée, grav»ée, etc, par un homme ou une femme cdes cavernes nue, homme ou femme des bois et des cavernes antédiluviennes, homme-femme des embruns, hommùe-femme des temps rudes, des temps alloués à Vie d’homme-femme, etc, nous sommes de la partie, nous cherchons ensemble une voie d’abord, une voie de race rude, un attrait, une entrée vers la roche rude ou vers Roche Rude, Bete rosse ou vers la bete rosse du temps gravé, etc,notre but est de trouver ensemble (main dans la main et pour la vie) une voie d’accès à une bete pour le coup de roche dure , à cette bete du temps dur, à pareille baete des temps rudes, à vbete du temps de paroi, à bete de grotte, à betye debout, rude et dure, bete immonde ou point mais chargeant de toute sa force, son allant bestial intemporel, nous nous asseyons un temps en ceztte roche (gravée) des temps alloués, nous regardons passer les betes de pâroi, nous les aimons fortement, notre amour est affiché sur roche commùe une ezffigie trzemblante, comme trait de vie vive disant son allant, ses tatraits, ses goûts , ses désirs de rudesse et de beauté rocheuse pariétale, nous regardons, nous vou;lons connaitre les enhjeux de  cdette roche (rude) du temps offert (un don) à l’emporte-vie, nous nous asseyons ainsi face à cela qui nous tend des bras = la mort, la mort est notre alibi, nous nous donnons ainsi (corps et âmes) à pareille entité «de roche rude», le temps est notre alibi, la mort est notre alibi, nous gravons des betes de beau poids sur roche rude, et nous disons, ici, cette chose ensemble, comme quoi ... nous aimons la roche plus que tout ! le temps bestial de pareille roche, nouds l’aimons d’un amour fou ! nous nous donnons ainsi en cette rocghe, à même le trait, la gravure, le dessin des betes rudes qui menacent et tapênt du sabot, etc, nous sommes gens de rage forte, cherchant fortune en roche vers la mort ou en la direction d’une mort (une mort gravée) à ne pas charger, à ne pas «ennuyer» par des mouvements déplacés etc, nottre envie est celle de voul:oir comprtendre ce que la mort est, ce que Mort de rage est au juste en pareille roche aux bêtes gravées,; qui nbous sommes (nous deux) qui cherchons vérité dans la roche du temps, dans lka roche des p)arois du temps, etc, qui on est au juste, face à elle (paroi) qui nous tend ses bras (la moprt) comme dans un sas (musical) de belle advenue, de belle descendan,ce, etc, notre envie est de comp^rendre ce qui est en roche qui se trame et nous donhe ce pourquoi nous sommes là à essayer, bon an mal an, de comprendre les enjeux de roche pariétaux, ce qui se trame en  ette roche rude de la vie ... offerte par la ban,de, et pour cela par un accouplement, vif et pénétrant, de nos deux mobiles, nous nous so:=mes introduits / introduites ainsi accouplées en  cette roche des temps donnés, donnés par une déité «de roche dure», par (de fait) la Mort aboutie, par cette sorte d'entité dite «de la Mort à l’oeuvreen pareille roche de grotte» ! nous sommes sur la place rosse, nous voulons comprendre les enjeux ! nous voulons comprendre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! les enjeux qui ici président à cette entrée dans la matière de la foi dans l’ombre de la roche !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! nous ne voulmons pâs pâsser à côté et lâcher prise, nous voulons co=p^rendre cette joie de rage allouée, cette tentation, ce sermon, cette voie d’abord sur roche, ces gravures à lm’emporte-vie, ces betes de somme, ces chevreuils , essentielleme,nt ces chevreuils,; ces vies vives aux attraits sourds, aux élans rageurs, etc, nous les voulons vivre, nbous vou;lons les vivre, nous les voulons vivre pour nous, ces élans rageurs de roche, ces moments nacrés tracés à même la paroi d’une grotte cachée de fait dans les vallées, etc, notre envie est celle-là qui nous voit nous donner ainsi sur roche (par la bande) à même la paroi, à graver-dessiner vif ! nous nous donnons ! nous sommes deux (elle et moi) qui nous donnons ! nous donnons de nous, à m^$eme la roche des temps ! nous ne voulons pas aller à l’encontre d’une vie de rage, nous voulons comprendre les données (rupestres) de base et pour ce faire nous donnons de nous corps et âmes à pareille paroi de rochge dure (grotte) des fins fonds de terre -mère, etc, cela est ! cela est un,e vérité de bon aloi et de bon ressenti ! cela est une chose avérée, cela est une chose vraie , indubitablemen,t marquée à même la paroi du monde, et nous voyons cela en,semble = main dans la main, nous ne sommes pas nés de la dernière pluyie, nous sommes affutées, aiguisés, vifs et vives comme des éclairs dans un ciel menaçant de toute sa gourme, nous sommes viçfs et vives et lucides, genrés (?), raisonneurs/raisonneuses, donneurs /donneuses de leçons permanemmùe,nt inopportunes, etc, nbous avons des yeux pour voir, des oreilles pour entendre,; etc, et cela nous pousse à décreter, à tout bout de champs et à l’emporte-pièce, des dires qui sont dires de, pour le coup, peu de poids voire sans poids du tout (en leurs charges), nous nous enfermons en cette sorte de roche du mùonde maios cela pour mieux «passer à travers» et comme en ressoprtir «de l’autre côté» ou quelque chose de cet ordre : nous sommes motivés !!!!!ç!!!!!ç!!!!!!!! = munis d’une sorte en nous d’élan moteur ou quelque chose d’approchant, etc, npotre but est tel que nous nous affichons ! nous disons ce qui nous pèse sur le coeur, nous voulons savoir ce qui nous attend, nous cherchons à co:p^rendre  ce qui est réellement en cette roche dure des embrunbs qui nous tend ou tendrzait les bras et pour cela nous nous asseyons un temps (Vie) sur roche du Temps et contemplons le paysage menaçant, les emberuns de bord de mer, lers ravines, les parois rudes, les piques, les piquants, les endroits de charge, kles possibilités de charge, etc, nous ne sommes pas des êtres fous de rage, npous sommes la rage incarnée dans une roche rude (gravée) qui est roche du temps des cavernes, un e sorte d’entité rocheuse à même la Chose ou comment dire ? notre but a une visée, notre but est de charger la roche du temps de betes de poids et d’entrer ainsi dans 

cette dimen,sion pariéto-menaçante cde la vie de roche à donner (fissa) en offrande à un dieu de la paroi meuble, notre but est celui ci ! nous voulons savoir ce squi nbous attend dans le temps de la roche enfouie sous terre, notre ambition se loge ici, en cette excavation, en,  ce creux de temps rocheux, dans la roche du temps déployé le temps d’une vie d’homme ou d'une vie de femme, nous voulons comprendre ensemble (accoulpement = coït

) les raisons qui poussent à fzaire ainsi allégeance sur roche, 

à un dxieu de roche dure, au dieu des rochess de peine, etc,cela pour nous est une sorte de fanal qui, devant nous, guide notre voie, nos pas, etc, nous cherchons, et chertchant nous trouvons des bornes-balises qui sont bornes-balises de temps impartis, bornes de joie aussi car la chose ici découle d’une sorte d’élan de vie vive qui est une joie de vivre» vive, etc, nous voul:ons comprendre les données les plus reculées dans l’ordre des savoirs de base et pour  c e faire nous sommes dezux (cote à cote) qui cherchons à bousculer les hié»rarchies, à tomber les masques pariétaux les un$s après lkes autres etc, bnotre envie de roche rude est vive (intacte) et nous pousse à cher cher, ensemble, les données de b asxe;, nousne voulons pas céder, nousq vou:ons pousser loin (le plus loin possible) nos rechertches vives, nos envies de connaissan ce etc, nous ssommes deux qui cherchons de concezrt à même la paroi du tezmps, nous sommes deux main dans la main, qui cherchons de concert «des choses», soit des choses rudes, des poids, des poids de charge, nous cherchons charges sur paroi, des charges de bon poids moléculaires, des sommes, des sommes de rage = un,e belle v érité de joie, une belle de ces «vérités enjouées» qui donnent le la musical par la bande à une vie d’homme ou de femme déployée incidemment ! incidemment car les temps sont longs ! car les vivres sont sur place déployés, ou déposés ! nous voulons comprendre ce qui est de ceztte roche des temps donnés, nous voulonbs co:=mprendre ensemble kles données brutes, kes savoirs de base, les vivacités, les

 choses du nacre, les p

;longées, les meznus désirs, les poids déposés sur table d’offrandes, le sang en toutes ses composantes, etc, notre en,vie pour nous est infinie, nous aimons les cvonnaissances a n cestrales, nous voulons savoir ce qui préside ! nous cherchons à vif ! nous creusons la roche du temps pariétal comme des hommes-femmes des cavernes : je suis un hommev des cavernes ! je suis une homme-femme des cavernes de la roche dure, nous et je sommes suis femme homme de (des cavernes et caverne ) car cela est ! car cette chose ici est ! car je = nous qui = vif ! et cela ainsi est, que nous sommes deux (par deux ?) qui chezrchgons ensemble (cet ensemble) les données les plus avancées , reculées, ou comment dire ? qui président ! nous = je = vif ! et : feemme de paroi = homme du monde = vif éclair de rage = accouplement rocheux = transe ! car la chose ici est radicalement meurtrie ! nous sommes touchés par une grâce des embruns = meurtris par la bande = terreswtres = soumis ou soumise à des attaques vives de choses des temps, etc, nous sommes chairs qui nous soumettobns ! notre roi et notre reine ici sont de ceux celles qui sont roches de parois mobiles ! sus à la rocghe rude ! déployons nos vies sauvages ! sachons graver la pierre à) la manière de, de ces hommes et de ces femmesz des cavernes, et trouons le temps comme une toile, une toile de jute, toile-é»cran, vive chaloupe ! nous voulons comprendre les données les plus reculées = nartives, à même la roche du temps déployé, et pour cela nous devons nous rapprocher, nous réunir, nous accouyp^ler, nous pénétrer, nous szerrer l’un l’autre : corps à cortps = éléctricité , et ce faisant nous traversons la roche rude, rude à creuser, nous sommes deux betes de rage, notre souhait ainsi formulé comprend lesq données recherchées : qu’on se le dise ! le secret est dès lors contenus dans le pot de base, il s’agit de se pencher sur roche de paroi et de regarder, bien attentivement, et vous trouverez la ou les réponses à vos interrogations primaires (enfantines) telles que vous les comme trimbalez depuis longtemps, depuis quelques milliers d’années, cherchez bien et vous allez trouver : le pot aux roses ! le secret des données de roche, les données les plus reculées, le vif, le natif, etc, nous voulons savoir, nous avons cette vol:onté ancrée de vcouloir savoir ce qui est = la vérité ! et pour cvela ... nous entrons en roche comme en religion : munis en nous d’une «pique cde joie « (je) quyi nous guide dans nos déambulations pariéto-terrestres de mortel ou mortelle de base, nous voul:ons comprendre et pour ce faire nous nous entichons l’un l(autre ou l’un de l’auttre sur paroi, nous nous accol:ons, nous nous coloons les uns les unes les autresq, nous touchons ce qui nbous approche : nous sommes collés = dans la glu des temps alloués, comme betes dans roche des prés, aurochs de prairies, mammouths sidérés, antilopes en folie, jun gle ! toute la jungle ! la jungle en entier ! lka jungle affiichée etc ! notre (le notre !) but sur roche, est de nous enticher les uns et les unes les autres «pour comprendre « , c’est à dire pour savoir c e qui dan,s la roche (rude) du temps vient à se tramer comme soubassements , et pour cela nous nous accolons à roche de la roche dure, nous entrons en elle en lévitation, nous sommes etres ^pris à partie, nous sommes accolés et pris à partie et voilà ce qui est sur roche ici qui nous dit « à sa manière» ses dires de joie (je) dsans le sang : nous sommes rudes comme la paroi ! nous sommes de rudes hommes-femmes de parois de grotte ancestrales ! vive la vie ! la joie de roche est prise dans le sas pour ainsi dire du temps pariétal ! notre joie (ce je du jeu) est celle d’une sorte x’embardée native (votive ?) qui est celle d’un élan de vie alloué , nous ne voulons âs mourir ! bnous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir ! nous et je ne voulons pas mourir! nous = je, ne veut pas mourir ! je = cette chose de roche du temps, ne veux (je) pâs (du tout) aller là bas loin da,ns les bartasss ! nonnnnnnnnnnnnnnnnnn n  n nn nnnnnnnnnnnnnnnnnnnn, non de non ! ou comment ? car : de deux choses l’un e, ou je meurs ou je ne meurs pas ! point final ! l:a chose semble claire ! ou bien ou bien ! et cela est ainsi, depuis «la nuit des temps», cette chose de roche (rude) ancrée ! car vivre = savoir = dire = faire = aller = mourir ! le vivre contient le mourir quand le contraire n’(est 

pas vrai, pas vrai ? et pour comprendre cette cghose il est bon de se poser un tant soit peu en roche, et de regarder les betes (dessinées ou gravées par des hommes et des fe:=mes des cavernes) alentour, ces quooi ces aurochs ? ces betes «fortes fauves» ? ces quoi en tant que bêtes ? ces chevreuils ? ces biches desz prés ? ces cerfs de contrebande ? contrepoids ? nous pen,sons (nous !) que la vie est une chose rude à traversezr comme la roche (dure) d’une sorte de paroi de grotte enfouie, bnous pensons que nous devon,s comprtendre loin loin loin loin loin lion loin lion loin, tres loin dans la rocxhe, les données brutes, ce qu’elles sont pour nous et ce qu’elles seraient à même de nous amener en termes de données de base rupestres, nous voulons comprendre vif car nous sommes vifs (vivants) sur roche ! ne pas lambiner , forcer les traits, graver en transe = en lévitation ! creuser (dans la roche) des mains de charge ! poudrer ! faire ces chgoses au son des pipeaiux, creuser ;la paroi pour des sommes ici à déposer, de victuaille et autrtes betes mortes encore toutessanguinolentes ! bnous voulons comp^rezndre vif et le plus profond possible, les données qui sont  les données qui président aux destinées des uns et des unes et des auttres ! notrte chance ! la voi;là quyi sort des bois, elle porte un nom et ce nom est «Bambi» la douce créature des sous bois , nous voulons comprezndre loin +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ca r nous en ressentons le besoin, nous nous tenons par la main, nous sommes deux, nous sommes à deux, nous sommes une somme de deux, nous voulons comprendre à deux les lointains attraits de roche rude, ces pourquoi, ces choses déployées sur table ou mur aux offrandes : main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, etc, nous vcoulons comprendre les eznjeux, les données brutes, les racines prises

 dans la roche où vont-elles , jusqu’où vont cexs choses , etc ! car cela est cette cxhose, devant soi, qui nous tend les bras ! les mots pêuvent ils ? ou... les cris gutturaux de la b ete ? qui en nous p^réside pour nous ? qyui parle en mon nom ? suis je cette betise, incommensurable et mal embouchée ? syuis je trompette , suis je cette voix , suis je cette corne de brume , ce piston ? ce cornet d’enflure ? suis je  cette vcoix de mauvaise joie , suis je ce trompé de la manche , qui suis je pour parler ainsi par la bande >, suis je une envie , une sorte d’en-vivre de la joie dite «des temps alloués» ? qsui je suis qui va sur roche à la recherche des données brutes ? je suis homme-femme-embruns des venaisons ! mon corps est une entité votive ! je porte le nom de ma rage de vivre ! ma casaque est ainsi déployée qu’elle me recouvre de pied en cap comme une peau de bete ! malheur à celle-celui , celui-cellle, quyi viendra ainsi me toucher ! ainsi = avec ses pattes de devant, ces patttes de bete debout ! bete de ta roche , de ta roche de meu qui me parle bas et dit son nom à qui ve’ut l’entendre = la mort ! la mort ... dit son nom, dans et à travers le langage, le langa ge articulé sinon comment , le langage articulé est une entité rude qui parle en notre nom et dit «la mort» en tant que telle = cette roche, creusée, par, de fait, lma bnande musicale d’un temps déployé , nous voulons comprezndre  c e qyui est et pour cela nous nous affichons de concert sur roche, e,n transe, main dsans la main, la menotte d’un ou d'une dans celle  de l’a utre etc, cela est une  vérité à prendre en compte 

, nous solmmes ensemble soudés c’est à dire un ensemble soudé, nous sommes deux accolés, nous sommes soudés par la bbande musicale des embruns du temps, nb ous somlmes deux êtres qui sommes soudés accolés par ce fait cde roche, d’une sortye d’embardée votive à même la pierre = à travers elle ! notre nom = celui là, qui nous «tend les bras» au devant se soi (de nous deux) comme une sorte d’entité rocheuse déifiée ! nous voulons ensemble dans l’accouplement comprendre ! le coït aidant ! car la vie (temporo-pa riétale) est une roche rude , et kl’accouplement est cette incursion (immixtion) votive qui sonde la roche et la perce de son pic de verbe acéré ! vive la vie ! nous cherchons à comprendre vif ce qui nbous azttend (attendrait) par la bande, et pour cela nous sommes deux (deux accolés) qyui gravons grave la paroi du temps , eureka ! cette sorte de paroi du monde, cette vive chose rude pierreuse ! nous voulons

 savoir et comprendre et faire cette chose ensemvble icimême sur roche = crevaison ? immixtion-crevaison ? passage à deux dans la sphère meuble ? quoi dire sur  ce ? nous posons nos victuailles (noms, prénoms, âges et qualités) à même la roche du temps et croisons les doigts ! nous sommes deux qui voulons comprendre ce qui est dans ce qu’»on voit , et pour cela : la transe gutturale ! le mot rude grav»éé sur la roche , comme aurochs de co:=pagnie ! nous sommes nous deux qui cherchons à comprtendre les données les plus frontales (effigies) afin dec comprendre les données les plus natives, radicales, enracinées, etc de la roche des temps, nous voulonsaller dedans ! loin ! passer muscade ! poiindre ! saillir! creusqer ... madame la roche et monsieur du rocher ! le toucher comme on toucherait la banquise ! filons doux ! per!çons la roche à la manière des aurignaciens/ aurignaciennes ! nous sommes deux qui sommes ceux qui veuleznt sa voir ! qui et quoi nous atteznd devant ? quelle est donc cette musique ditec «des embruns» ? je veux savoir ! je le veux savoir, ou la ! je ne suis pas né de la dernière pluie ! je suis un homme aurignacien en transe et qui lévite,  face à la pâroi du monde ! je suis un homme et une femme, un tourment et son contraire édulcoré, je suis femme de roche, homme des ezmbruns, homme-femme des temps incertains, je suis : la femme graveuse ! l’homme riche de sseees cris ... d’homme touché par la bande ! femme au racloir, au pic de grave, au sarment, à la belle arracheuse, etc ! mon nom (mon ?) est égal à la somme des parties présentes ! = troupe ma troupe ! je suis l’homme des parties soudées ,mon nom est MON NOM, et cela : pour une éternité, ou pas loin de cela qui est cela (en vrai) de roche allouée ! je cherche avec elle , je cherche avec «elle-femme» en moi-même, la vérité, la vérité sur les prés , quelle est elle ? je suis homme de laprairie des roches, je vais et je viens en elle, MON NOM s’écrit en lettres majuscules, je suis ombre, hombre, homme, home, heaume, l’homme-femme aux accents de rage brute, cette somme des envies rocheuses pariétales cdéployées à même latable aux offrandes : vive moi nacré, cette somme de données rageuses, e,nveloppement et déploiement de cxhoses et autres (bric à brac) à dééposer incidemment (négligemment ?) sur la pierre de taille des offrandes (à faire) à déité ! je = nous = vous = moi = toi = quand je cherche = quand je suis = nous sommes, nous sommes cela que nous déposons sur roche des temps : pis aller par une bande et pour une ba nde langagière ! le temps = cette sorte «en soi» de déploiement-déroulement pariéto-temporel, ce la de contrebande, cet élan vif (tic et ta c) qui sonne la charge sur roche : aurochs ! encore aurochs ! toujours ! cette brebis, ou autres betes de prairiesq : nos freres et nos soeurss d’infortune pariéto-frontales, nous voulons comprendre dans les profondeurs, nbous voulons sonner le tocsin, la cxgharge, ébouillanter ! brulons nos cartouches ! sachons ! sauvons la mise : vivons tardi ! kla vie ici est pariéto-animalo-frontalo-pariétalo-rustique , on le sait ! nous voulons savcoir ce qui est, ce qu’est la mort, ce qui nous attend devant, devant ou derrière, ce (cette sorte de) déroulé musical des sphères, où va t il ? qui est il ? qui nous voit ? sommes nousq vus ? voilà : sommes nous vus ? qui nous voit ? qui nbous voit si nous sommes vus ? qui pour nous voir si nous sommes vus ? qui peut ou pourrait ? qui a des yeux pour voir ? qui nbous voit avec ses yeux ? qui sans roche nous visionne ? où ? nous visionne nous approche nous condamne ? nous quoi ? nous voulons savoir ce qui est en roche des temps alloués à vie d’homme ? je suis homme de rage, je suis homme et femme de rage frontale et c’est ainsi que, en, lévitation, sous influence, je trace les traits (vifs) de la bete à

 cornes (pâr exemple) sur la roche car je suis un homme-femme des cavernes, je suis cette homme-feemme des roches (alloués) de grotte et je vais et viens ezn  cette roche des embruns à la recherche de la v érité, ce qu’elle est pour «moi» (= nous) qui sommes (qui est) somme de choses rudes, à devoir endurer une vie durant ! je = nous = vous = me = noir, ce noir de la roche profonde, etc , cela est ainsi et cela nous parle, je = cette chose dans un noir de jais de grotte (de fait) antédiluvienne, homme des cavernes je traverse ainsi les donnéeszc rupestres et me retrouve «de kl’auttre côté», côté «chandail» à chercher pitance musicalement, ainsi est, car la vie tempiorelle est (en vrai) musicale comme un dxéroulé de sonorités fluctuantes, un fleuve de mots, une cha rge vive dépl;oyée comme un tapis de bzain

 au sortir de la toilette , nous maerrchons vers des biches des prés, nous solmmes soumis, nous nous entichons l’un ou l'une à l’a uttre, nous creusons la roche, nous voulons akller loin en cettye roche dure des attraits et des apprets, nous creusons à deux la roche rude, dure-rude, rude-dure, «rudure» etc, car la roche est telle qu’elle se voit pour bnous comme creusée de l’intérieur (ici) par la bande : une sorte d'érosion temporo-massive, etc: charge animalière, sortie  brève mais vorace, puissante, complète, tonituante, etc, nous voulons toucher latimba le ... du temps musical ! et comp^rendre les données de base et pour cela nous y allons, de notre immixtion brutale : à la une, à la dfeux ! et c’’rst ainsi que nous nous affichons ensemble en roche , nus comme des vers des prés, prêts à nous laisser guider comme par lma ban,de muusicale animalière des betes de roche (aurochs, bisons, chevreuils, rennes ou ours des cavernes) et ainsi touchés, nous nous laissons guider sur roche vers des sortes de finalités brumeuses de type anfractousités fumeuses, trous de boue, trous de terre ouverte, etc, volcanités ? volcanités ou autres embouchures ! car, la vie va (musicale) qyi nous emporte en sqa paroi cde roche ! nous sommes deux pour un faire vif, nous traçons des b etes sur roche, nous dessinons à deux (deux en nous mêmes) ces betes, betes de roche dure, betes de poids présentiel, creusan,t la roche de nos pics de verbe, de ce pic de verbe en nous intégré comme par la bande, pic de rochhe rude, pic des pics, sortant des bouches nôtres comme sortes d’invectives : nous hurlons ensemble notrte vol:onté vivace de rester en vie sur roche meuble ! nous crions à l’emporteée ! nous ne voulons pas DCD ! voilà le pot aux roses déployé ou déposé ! car ... car la vie en nous est telle (animalière) qu’elle s’ébroue à part nous sur roche du temps = dép;:

oiement rocheux de première ! les mots sont du xsang ! le sang est l’instrument de mainte»nance et de ma intien ! la vie est rude comme une galette ! je cherche avec elle, Elle, et elle même égaleme,nt cherche que tu chercheras des vérités certaines, avec moi qui suis la bete, ici, de rochge ancrée = gravée ! et ce, sur le champ des batailles (rixes) de prairies, de prés allouées, etc, nous sommes des donneurs / donneuses de victuailles, nous donnons le sang de nos propres ambardées rocheuses, nous voulons VIVRE ! vif la vie vive le ou la ! nous cherchons à creuser le temps ensemble dans ce sang de roche du temps ! vive la qui est le ! vive le qui est la ! nous ne voulons pas mourir ! nous-je ne voulons p)as mourir ! je-nous ne voulons pas mourir ! je-nous ne le voulons pas ! je suis nous qui est ce je qui ne veut pas passer .... l’arme à gauche du tout ! je suis homme rude (dur) qui pose sa main (main, main, main,; mzain, main , main, main, main, main, main, main, main, main, main) sur la roche et cela vivement (comme il se doit) pour scander une (sorte de) immixtion soudaine et la graver ! je suis celui ou celle là qui grave sur roche une sorte de portrait de cghoses,  sorte de portraitdes choses du temps, je cherche à comprendre les données de base, naissqantes, à m^$eme la roche, native, du temps : où sont donc les brebis gâleuses ? qui porte un noim ? combien portons nous en  nous de betes de 

roche ? qui en moi s’ébroue de la sorte (criant ou vociférant) ? que dois je dire à l’emporte-pièce ? qui va là en moi ? qui est lk’homme des embruns ? suis je l’homme des cavernes sus mentionné ? que vois je ? qu’entends je ? suis je l’homme rude rudoyant ? je chercxhe un savoir animalier qYUIi expliquearit le pourquoi du comment nous nous sommes retrouvés comme intégrés à la roche (dure) du temp^s imparti ! qsui ? qsuand ? qsuoi ? où ? pourqyuoi ? à partir de quand ? jusqu’où ? qui de quoi ? quoi de quand ? pourquoi et comment kl’homme des cavernes en moi qsurnage-t-il dans le temps présent ? je suis homme de rage pariéto-calcaire, fait (de fait) de la roche du temps = kles mots «de  ta race pute» ! ou comment ? «de ta race pute», vraiment ??? ou comment ? invectives avons-nous dit ! je suis moi-je une invective an,crée de verbes acérés ? est-ce ? je suis «hombre-acéré-invectives» ! ou quoi d’autre ? je suis l’homme-hombre-ombre- heaume-home-femme-fame de la paroi dure du temps menaçant ! mon nom (MON NOM) est personne, je vais et je viens en roche rude comme enfant sur terrain de hjoie (jeu) ! je (joie) suis l’homme de roche, la femme des roches sanglantes, l’enfant fol des temps de jeux récréatrifs, la monnaie du pâpe ! je regarde au loin la bete des bois et des sous bois, la biche gracile et le cerf géant qui file à toute vitesse , je suis homme-biche du TEMps fol, ou fou, je (joie) cherche (cerceuil) la vraie vérité des temps alloués, cette charade !  suisq-je daltonien ! je mire ! j’ouvre les mirettes en grand pour y voir du mieux possible ! de mes yeux je suiis ! je veux de mes yeux faire ainsi : la chose : 

la voir (de visu) comme une e,ntitév (sorte d'entité) matérielle, etc , je cherche à co:mprtendre où donc «la vie pariétale» me mène ici bas, qyui me pousse à tenter des appreoches (sauvageonnes) à même la roche, du genre : l’aurochs répétées, renouvelszeé, ou bien du genre : le cheval e,n bande, etc : des sortes cde frises ! et cela pourquoi pour la bonne cause ! je suis l’homme desx temps alloués

 à roche rude ! je suis homme des temps alloués

 à vie de temps perdus, ou comment ? le temps est lm’écoulement (musical) des pareties dures d’une roche de paroi rupestre ou comment ? je (joie) suis (son) celui ou celle (les) qui fais ou faisons allégeance à toutes les pareties, et crions (lévitation) nos hzaines p^remièresq (§rancoeurs initiales) sur la roche dure , 

nous pleurons ... nos larmmes de jute ! vive le roi de roche rude : le chevreuil , la biche, le  cerf, le cheval, le bison, le renne, l’ours, le mammouth, le singe, le lion, l’antilope, etc, je regarde autour de moi et qsue vois -je sinon quoi ? des betes de poids qui en imposent (de) par leur présence, pesent lourd sur roche des temps et font forte impression ! et cela : à visée de sauvetage ! bnous savons cela ! nous le savons depuis le premier hjour, depuis le jour de l’immixtion, de notre immixwtion ! depuis lors ! je sui homme-enfant-femme de paroi, MON NOM s’écrit (ainsi fait) en majuscuyles , je cherche à comprendtre ce qui (dans les mots de ce langage articulé qyui en fait nous colle au corps) nous doonne ou donnerait de ces indications nous permettant de «fracturer» (ensemble) la roche du temps, et (dès lors) de perdurer, par le sang en nbous contenu, etc, je cherchje dans la profondeur des parois musicales, cette hjoi!e du  hje asssoupi, de ce je qui (assoupi) laisse aller de lui kles données ( physiques) de base, nécessaires à la pour ainsi dire boonne adaptation de son être fou (= noommé ) à une sorte d’au-delà de soi pariétal,; au delà pariétal de soi, comme une sorte de verrue, d’excroissance, de surplus, de main ou de doigt (qui sait ?)  surnuméraire : qui je suis en vérité ? une somme de cxghoses en surpl;us , bete de rage ? collage ? transistor ? je veux co:mprtendre puisamment ce qsui est en moi qui dit ... ce qui est en moi ! et pour cela, je dois m’immis cer 

en cette sorte de paroi d’une grotte perdue dans une sorte de vallée de roche, je veux = je suisq = je vais = je sais ! je suis je vais ainsi en roche dessiner l’aurochsq, le renne, le renne, le cheval, l’auroch, le renne, le renne, le cheval, l’ours etc, je suis soumis, malléable, meuble,, mou de chgez le mou des temps, homme des cavernes traversé ou comme traversé de pied en cap par la ... 

déité du lzangage vif (musical) des sp^hères divinesz, des sphères de roche, etc ! 

je suis homme des embruns et  des roches perlées, MON NOM (majuscule) est celyui ici de l’homme du temps , à savoir : SPIG le pig, ou bien ... NOlogips ? ou e,ncore : le SPIG, ou SPIGOU, ou même : SPI, etc, à toute vitesse ! je ne cherche p)as je trouve ? hum, je suis cet homme de roche coriace (TEMPS impartis) qui cherche ou chercherait une sorte de vérité-déité dans un lan,gage de destibnée, ou à destinée, essentiellemen,t votive ! je vais de mon mieux sur rocghe vive des attraits , je regarde paitre une bête, je veux la cerner cd’un trait vif, au cxharbon de bois, à l’arbalette ! je me meurs ainsi désignant , et ce»la est une somme de tourments surnuméraires, ou pas ? je suis homme des temps déposés, cet homme aux dons divers, cet homme du temps fol alloué à une roche rude et dure, faite des ami.es du temps ... sous formes de betes de poids et de charge, je suis l’homme dit «de la roche endurée», je suis l’homme et la femme jhoints, je suis homme joint à femme jointe, je suis l’accolé accolée, je suis l’accolée accolé, je cherche en elle (roche) une fortune qui fut pour ainsi dire celle là qui me maintînt en vie pour une éternité «pariéto-pariétale», je vais danc cette roche du temps donné avec en moi une sorte de chose de poids (parioles drues) qui put « faire la différence» et s’imposer ezn tant que pis-aller, ici, de fortune (donnant-donnant : je donne la vie, je conserve la vie

 = je donne une vie à la mort = je donne à la mort une vie «morte» et ce faisant je conserve à part moi la vie) , je suisz homme du trouble (^pariétal ) des genres déssinés à même la roche des tempsq et, dessinant, je v ais sur roche détail;ler les mots du nom, du nom qui m’incombe, je suis homme de paroi, je vais loin en elle, je cherche vérité de bon aloi, je suis une bête moi-même et en tant que bête je vais droit, je file vrai, je charge follement et :mon nom est  celui là que mon corps trace de toute sa charge sur la pierre des embruns «matutinaux» , cette sorte de donnée (rupestre) primaire, ce cri de base inaugural et ce dessin vif d’une sorte de bete ... revancharde, je mesure ce qui est (de la vie et de la mort) à l’aune de la v érité gravée par ici un homme et /ou une femme des cavernes et ce faisa nt je deviens moi même et bete de charge et homme ou femme des cvavernes ! je veux ettre l’homme naissant ... à une mort douce, feutrée, te,ndrte, assoupie, etc ! car MON NOM est ce tracé de roche, cette voie 

d’accvès, cette félure entre quelques traits qui , peut-être, se ressemblen,t, etc, je veux comprendre (loin) les donhnées du temps, du temps alloongé, quelles sont elles et pour’qyuoi douter des choses rudes ? je =

 je = je = je = je = je = je = je = je = je = je = je = je = je v= jev = je = je = je = je = jeu =jeu = jeu= jeu= jeu = jeu = jeu = jeu =

joue = joue = joue = joue = joue = joue percée par en soi une

 pique animazlière faite de verbes crus, de vivacités verbales, de.... de ces mots de roche drus (les mots) comme piolets de cre v aison vive, etyc,; les mots en moi sourdent comme un horizon ! je suis l’homme percé, troué de lm’intérieur par une sorte de cohorte (vive) de betes à cornes (pour la plupaert) et c’eestbainsi que je me vois tracé sur roche, par un homme des cvavernes ou même par un homme «fou» des cavernes ( ?) ou bien pâr un hommùe transi (?) des cavernes ou même par un homme sous emprise ! sous l’emprise en lui x’une bete de roche, bete forte-fauve sortant de sa bouche (trou de joue percée) et allant pour se loger fisqsa dans la roche du temps ! je regarde loin les embruns 

: où sont kles vérités de base ? qui peut dire où sont les vérités drues ? qyi croire ? je cherche une somme de choses tracées, de type vérités de bon aloi ! je vais de chose de traits à chose de traits ! je veucx comprendre les données (toutes) du verbe natif, ce que, de fait, le verbe sur roche charrie et peut nous appren,dre, en termes ici de vérité de bon (de bon

 ?) aloi  , et, pour cela : 

piqueton ! pique roche de première ! la roche est piquée ! Roche-Piquay la belle des belles ? qui suis je pour ainsi ... «tenter le diable « ? qui je suis pour aller pareillmezment fort dans ? qui ? qui pour vrombir en ici cognant pour une traversée à la rude rude ? je cherche une donnée qui fut donnée de base, forte, rude, traçante, on l’a vu , et pour cela, je me jette tête première dans la roche meubkle et m’immisce au vif ou tente cette cghose, cette vive incursion ici d’un soi animùalier dans une sorte de poche de vie secondée (il semblerait) par une emprise, etc, je file droit fissa dans la roche des données rupestres (sur le temps) et pour cela, je me sers de c ette chose en moi, dont le nom est ... «piqueton» ? sorte en moi d’organe de vie», de penne sur roche, double donnée, denrée ? donnée cde vie vive : vit ? chargeur ? coupeur ? pic de rochge ? je suisq l’homme des embruns votifs, mon om est le nom qui dit sa cghose (pariéto frontale) de première = native , et pour cella il doit passer par une sorte d’immixwion (souterraine) d’incantation, ou commeznt dire , d’incandescente incantation, etc, je suis l’homme qui revient de fait vers le temps déposé, déposé sur roche par ... cette sorte de ... bete (de poids) déifieé ? et approchant la bete je m’incline debvant elle et lui donne  c e que j’ai, en termes

 de vocables ou auttres savcoirs gutturaux, etc, je donne (sors) de moi les mots de ma race-rage, etc, je suisq un animal ! j’acte ! j’agis ! je suisq lm’animal de la prairie ! je suis cet animal de joie, de joie pure ou dite pure pâr la bande et par la joie, je cherche une voie la plus directe qui soit pour allezr fissa vers ces lieux de vérités de base (naissantes) qui pussent me donner de quyoi comp^rendre loin, et profond, «ce qui est», je suis un homme-femme rongé, je suis l’homme (la femme) rongé

 (rongée) qiu vibre de tout son élan sur la roche, et trace desq betes comme à main levée : main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, mùain, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main , main, maion, main ma in mains et pieds liés pour ainsi dire, je suis animal, je suis un animal, je suisq cet animal que je dessine, jhe suis l’animal que je dessine, jhe suis cet animal que je dessine, je suis un animal, je suis une animal,  je suis animale, je suis l’animale, je suis cet an imale qui trace sur roche desbetes de poids et de forte présence votive, je suis Aniumal le charmant, je suis Animal le Fol, Animal des Rois de Perce,; je perce la roche ru$de armé de mon pic de perceé votive, je suis Animal le Geznré perlé, je vibre à même la roche gr aniteuse, je trace les données de base = les véritész, ce troupêau de betes fortes;,, pesantes, lourdes, vives de chez vives, etc, je ne suis pas la belle meunière mais je suis le traceur de ces roches de rage, je veux ! je v eux comprezndre ce qui est ! jhe suis ! je suis celui qui veut ici cette cghose , je  vais ! je vais dans le sas de la roche du temps ! je crainbs, je crains les effetss délètéres d’un apprentissage bloqué et bloquant , je file dru vers des horizonsq de parade agraires, etc, je file rondement, je suis l’homme aux quatre ven,ts des roches du temps , je vbeux pour ainsi dire, aller dans le san g, dans le ventre du temps royal, l’habiter fissa, m’y loger vivant et y demeujrer, je veux comprtendre l;ongtemps et loin et souvent, je veux pôuvoir savoir et compter les donn,ées (les données de base) en termes de den rées à déposer (de fait) sur table d’offrandes : et, si les mots ... étaient des offrandes ? je veux essayer ou tenter des approches, qui fussent celles qui pussent ici m’(offrir des sortes (en elles m^$emes) de vérités vraies, ou comment sinon ? et si le verbe acéré (l(insuylte, l’invective, la méchanceté, l’ordure prononcée, etc) étaient cette chose, ou représentait, d’une sorte de 

«Vérité grand V», qui fut 

«Vérité des Vérités» ; 

si ... ? car quoi ? nous ne sommes pas sezuls dans la meute ! les mots sont ils nigauds ? doit on chanter la pa rade nuptiale ? le cordial ? le coeur à l’unisson ? je suyis l’homme ici «de lka caverne cachée dans lles prés», jev suis l’homme aux pouvoirs fous qui tombe, qui va, qui entre, quyi bouge, qui s’étire, qui marche, qui boit, qui mange, qui chie, qui pisse, qui hurle, qui brandit son baton de p;uie, son a rbalète, son pic de percvée, son museau dde tanche, son élan ! le voilà) qui brandit sa bête de ra ge en son sein, dson coeur de vie vive ! érection ! le voilà qui souille ! il entre en floraison à même la roche, oup la houp le voici ... entré commùe une fleur ! je veux comprendre s'il vous plaît les données les plus fines et vraies, d’une sorte de monde (pariétal) de roche, ce que  celuyi ci contient en lui en termes de données vives, riches, vibrantes, qui eussent pu nous donner «du mou» dans cette charge de vie à vivre et à vivre fissa , nous sommes deux (elle et moi) qui cxhargeons sur roche, artistiquement, nottre «mal de vivre» ou comment ? cette doulopureuse frondaison ? cette doulopureuse immixtion dans la roche ? cette entrée furieuseet furieusement douloureuse dans la pierre des temps alloués ? je cherche à savoir : qui et pourquoi ! qui préside et pourquoio cettevallée de larmes ! ces données ! ces dons ‘ ces vibrations ! cette chose à bnous déployée devant nous comme une sorte de découverture ! je suis ou serais l’homme des cavernes, je serais perdu dans la roche du temp)s, je dessinerais des betes de masse sur roche, et cela comme sousz ezmprise ou sous l’emprise de tellle ou telle bête de pa rois, de type aurochs, ou ours des cavernes, etc, je dessinerai à m âi n levée des betes de hjoie rude, des mots de parois, le mal intrinsèque, l’insuylte vive, etc, je sezrais cet homme des temps reculés, 

armé de son ba ton de joie, pic à) tracer, qui dessine ou dessinerai kles mots de sa rage = de sa race = de son mal de ragge = de sa vie vive dép:loyée, je  vais sur paroi ainsi armé et grave à l’e’nvi les données primaires , à savoir : ces mots, qui sont mots de rage, mots de rage vive, déployée sur roche dure des temps impartis, je ne souhqaite pas tant que cela passer l’arme à gauche   dis-je, «je ne veux pas passer l’arme à gauche», je ne veux certes pas», «je ne souhaite certes pas», «je ne suis pas de ceux ni de cellmes qui souhaitent là, présentement, incidemment, b rusquement ou autrement passer l’arme à gauchjze, ’» je ne suis pas de ceux et de celles qui incidemment brusqUement souhaitentt passerl’a rme à gauche», «je ne suis pas de vceux qUI souhaiotenyt vivement pàassefr l’arme à gauche», « je = nous ne voulons pas (passer

 l’arme à gauche)»’, «je pas vouloir passser arme à gauche» = «je ne pas vouloir mourir», «je moi jamaéis vouloir mourir» = «moi je jamùais vouloir mourir» = je (moi) pas vouloirv mourirsur roche», etc, l’(homme est à la bête, ce que, en vrai, la peau est au chandail, l’homme est cette sorte d’entité de roche temporelle, qui fonce fissa tête première dans le tas = la roche (en grotte) commev un forcené ! son en,vie est folle ! son désir est fol ! sa voix est folle ! son engouement est fol ! son envie de vie est folle ! sa perc ée est folle ! sa hjoie est folle ! sa vaillance est folle ! son trait est vfol !sa p)ariole est folle ! son cri d’élan, est fol ! son ordonneme,nt est fol ! son chandail est fol ! sa viçtesse est folle ! son aisance est fol ! son cri guttural est fol ! sa peine à tracer, est folle ! 

il avance dans la roche comme l’animal, de race et de rage vibrant, comme animaél vibrant de race et de rage, fou de roche immiszxcé, intégré comme une donnée, il cherche en elle la beauté racée des vérités vraies « (?) ou bien la chose quyi dure .... il est vif comme l’éclair, il est l’homme des cavernes au pouvoir donné de pôuvoir aller 

dsans kles profondeurs nacrées de la roche du temp^s imparti à une vie d’hommme, je suis l’homme des cav ernes a ux pouvoirs entiers: de pouvoir entrer dans la roche armé 

d’un baton ou d’une sorte de baton de jhoie : hourra ! vive les fiançailles ! chercghons dee quoi trouver la vérité vraie ! allons de ce p)as à la recherche de la vbérité (vraie) des vérités vraies ! où sont elles l;ogées ? qui les connait ? qui peut parler sans gêne, sans honte, sans honte bue ? qui est l’homme-femme des situatuionhs (fortes) àç développer ? qui comp^rend la vérité des vérités ? qui est homme entier ou femme entière vive ou vif qui peut savoir tout, tout de tout, à la manière des sc iezntifiques ? qui ? quel homme sait manier l’»épée, l'épée de percée du langage acquuis ? qui comprend les mots comme personne ? qui pêut comprendre commùe

 pezrsonne kles mots de roche et ceux qui gravitent autour de la roche, par exemple : qui, pour comp^rendre les mots de l’insulte à p)aroi ? ou bien : qui, p ôur comprtendre les mots de la hjoie raide ? je nous suuis ici pour le comprendre ensembvkle, nous no!s immisçons ensezmble pour je le le comprendre, nous, et en faire jhoie, je nous voulons ensembvle comprendsre les choses (pa riétales de fin droit) pour savoir ce qui de quoi nous interpeelle fissqa longuement au bout du bout d’une voie octroyée, etc, je suis vcet homme qui parle à la mort ! je suis de ces hommes de foi qui parlent à la mort ! je suis un hommme femme enfant et bete de rage , qui pârle (en MON NOM) à kla mort, et ce comment eh bé ainsi : par cette sorte d'échancrure dsans le temps, en passant la tête, pas szeulement la tête mais aussi le sexe, et plus encore : le corps en entier, fissa ! hourrah! vive le roi de la roche dure, l’enfant courronné, le manant des temps bénis par l’animal de roche (aurochs ?) qui no!us regarde de son air de rien tout en broutant kl’herbe du pré vert, je suisz cet homme aux pouvoirs divers, en transe ou pas loin, qui trace des betes de rage sur paroi de grotte , le voil:à qui se porte là sur l;a belle murette de roche, et trace! grave ! grave grave à l’envi ! ne s’en laisse pâsx compter, nb’oublie pas de dessiner des «betes de vie» qui font croire à de la vraie vie, dieu est un ensembvle de donbhé&es de base qui com^preznd des vérité»s sensibles mais aussi lesz mots de la tribu, et de ce fait : nous nous «comprenons», == nous nous colloons les uns / les unes contre les autresz, nous sommùes collées ! nous sommes sous le joug d’une 

volonté divine d’encollage minéral (et sidéral) de première, incommensurable et indécrottable, nous = je, l’homme décollé ou tenta nt de l’être ou comment ? je suis, sur roche du temp)s, à la recherche d’une vérité (sorte de vérité) de bhon aloi, je veux savoir ce qui esdt, je veux comprendre les données les plus anciennes, je veuc comp^rendfre les données du monde les plus ancie,nn,nes et les plus ancrées dans ceztte roche des temps vifs, des temp)s des hommes, vifs, des cvavernes, ett des temps des femmes, vives, des cavernes, des hommes et des femmes et des betes vives, etc, vivantes sur roche, en lévitation (ce petit monde) et sous l’emprise, en eux et en elles, d’une force tellurique incantatoire de première main, je gratte la roche, je suis cet homme outillé, je pénètre en elle, je suis l’homme au membre

 sailla nt poussant sa misère, dans la roche du temp^s déroulé, je m’immisce : nous nous immisçons,;  nous solmmes deux à nous immiscer ! nous nous immisçons, nous nous immisçons, nous sommes deux qui  nous immisçons, nous entrons dans cette roche de paroi, nous sommes entrés dans cette roche de parois meuble, nous soommes à présent immiscés , nou!s sommes tous deux / toutes deux à présent int&égr&ées à la roche dure de la roche meuble de la roche rude des temps ou commênt ? nous sommes deux :

 nous sommes deux qui allons dedans : 

nous sommes deux qui ensemble = main dans la main, allons à l’intérieur de  cette rochge aux embruns dits «matutinaux» et ce faisant, nous nous logeons pàa rmi les betes de prairie, biches des sous bois, cerfs géants de Roche des Prés, ours, ourses, chevaux des effluves, re nnes cxhargeant, ours des cavernes, des lions, des  brezbis, des betes tout azimuth, betes de pârois des hommes = effigies et trompê-couillons, trompe la mort de prezmière, art en tant que telk, etc, nous cherchons ensembvle à comprendre le fin mot de  cette chose desq parois du monde contenant les « betes... de la vérité du monde», et pour cela nbous nous conditionnons, nous parlons à haute voix, nous hurlons lma douleur ici d’une déchirrure-échancrure de bouche-roche par où passeront des mots, vocables quyi piquent -percent et poussent à une traversée dees a&pparences rupestresx, inchallah ! nous aimons traverser la roche, le temps est l’enfant du mal (mal-douleur et mal-mal!) et c’e’st ainsi que cette chose advient : la vie terrestre, à travers, de fait,  l’événement d’une bouche percée (pas moins !), et voilà  dès lors c e qu’il en resssort en termes de vives données : je suis homme des  cavernes, au titre de... femme des cavernes, au titre de .... homme des cavernes, ainsi de suyite, je suis lk’être du bois joli(biche ou cerf) qui gambade à même la paroi du temp)s, mMON nOM est inscrit sur la roche , il signifie l’amant, l’amoureux du temps, l’amant ou l’amoureux du temps ici imparti à une vie d’homme ou de femme enlacée, nous allons sur roche à lma recherche d’une vérité qui fît poids dans la balance = 

nous allons ensemble (enlacées) à la recherche d’une vérité, vérité de taille, vérité des Vérités de poids et de taille qui pût faire effet et pesezr

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16/7/2021

je cherche (vivement !) un sembkant de vérité, je cherche à vif et vif , je cherche vif cette chose d’un semblant, et qui pour m’aider ? qui saura me guider ? me prendre par la main qui ? qui va savoir ? qui est là en roche pour ce faire et dès lors m’aider à mieux m’introduire, à entrer profond en cette roche des tourments, qui va savoir ? qui est là pour m’aider gentiment , pour me seconder et me guider vers les embruns ? qui sait cette vérité des embruns ? qui connait les lois ? qui connaôit les charges pariétales ? qui sait distinguer le bon grain de l’ivraie rupestre ? qui charge et fonce et connait les temps ? qui est le grand ceci de la manche ? je cherche à qui mieux mieux comme homme de la préhistoire, je suis homme ancien au bagou guttural, au verbe acéré comme une lzame, je pique rude, j’entre par la bande, je me glisse par le  verbe dur, je cherche fortune en cette roche «des vraies bvérités», je charge : fissa ! j’entre ainsi en pareille rocghe, roche dure, des embruns de bord de mer et je me glisse ainsi pour ainsi dire dans les profondeurs, ainsi comme attifé de mon habit de bure monacal, je suis homme à vif de la roche rude, homme des temps gris, maussade et pluvieux, charmeutr de serpents ou dompteurs de félins, homme de la manche et des tourments, je fais l’aumone , je suis ... nhomme rare ? cheargeur grisou ? dompteur à la manque ? prince déchu ? coureur de jupons ? chercheur d’or ? NON ! qui suis je ? je vais en cette roche chercher des serments, serments adoptés / phrases acquises, je vais en roche des temps brefs comme à la revoyure, je cherche les mots de la phrase donnée, le ou les sentiments avérés, paroles d-’évangile, aussi la courtoiseii, je suis homme de la roche dure des temps impartis à cette vie de rage, je suis cet homme-femme des temps alloués à telle vie de ragee rupestre, je m’amuse ainsi de cette rage, je mords dans la roche du temps, je suis homme-hombre des temps fous et découverts à vif comme une plaie, ouverture dans kla chair blessée, joue percée pour une sorte d'échappée de bêtes de rage, je suis homme ouvert comme une plaie de bouche , laissant dès lors (de lui) passer (incidemment) ces bêtes de poids, ces bêtes de grosse présence, les laisser filer par ce trou de soi et aller ainsi, bon an mal an, se ficher direct, sur paroi de la roche des temps, s’incruster (gravures) et se loger ainsi se chevauchant à même la roche, 

je regarde le spectackle des embruns, je suis bouche bée, je vois la bête (sur roche) aller pour ainsi dire de son pas princier, je suis homme des embruns de roche, je suis cet homme  aux allures de peu, habillé-ar-ttifé à la six quzatre deux, je suis entré comme secondé par, en moi, la bête des rois de la roche, je suis soupesé, soulevé, mû, je suis entraîné par une force en moi animalière, ilm s’agit d’un appui forcé, une main de rage, un souffle épique divin, une accolade etc, qui me prend la main ou quoi d’autre de moi, qui file, qui fonce, qui de rage fonce ainsi secondé, je fonce à même la roche du temps et je me glisse au beau milieu des betes de rage, je suis homme des parois, je vois ce qui est de la roche des temps, je m’en approche, je file doux, je suis gris, vert, bkleu, homme de peu , charmeur de serpênts, homme des sables, des tourments ici de ta race mère, donneur d’envie de rage ou soulageant la bete en moi de son envie de rage, je tombe ainsi, je suis en une sorte de lévitaztion porteuse, ou comment dire cette retombée, cette chute, en elle (paroi) Donnatelle, ou comment ? je tombe ! je tombe vif ! je tombe de tout mon poids dans la roche ! je tombe vif de tout mon poids dabs la roche ! je suis cet homme qui (de tout son poids de bete massive) tombe dans kla roche ... du temps alloué à Vie de base ! je vais en roche ainsi projeté par en moi la bete des temps, bete rosse et comme tourmentée par son envie d’en (de moi) découdre fissa , plus vite que ça ! je vais ainsi $sur roche à la recherche de la vériité sur les choses du monde , je suis permanemment à la recherche de la vérité, à proppos des choses (ici) du monde pariétal, des betes de voix, betes rosses et trappues, bouquetins ! je vais syur roche et trouve (pour le coup) ... LE ... 

bouquetrin de la roche : homme-bete des p^remières loges, il se plaoit à gambader, sautiller, grimper, paitre ou manger des baiees, je suis (ici) l’homme-bouquetin = son frère, amitiés précidpitées, je vais (de ce pas) en son fief = roche, à la recherche de la vérité ici logée, je suis homme des embruns diurnes, des mauvaises passes, des troubles dans le genre, des leçons de flottaison, des cris de rage, je suis homme du temps «des embruns nacrés» et je m’approche de lazbete, la bête des prés et des bois, je suis près d’elle swon dompteur, son ami de roche, son étai-charmeur, son correspondant, sa douce amicale attentive soeur ... ou cvoimment ? car sa voix est gutturale et retentit fort dans les champs ,

 il s’agit d’une bete de roche rude, 

homme-bete de paroi des temps, des temps dxonnés, je vais sur elle pour la chevaucher, et filer ! je file ! je file à l’anglaidse, ici, parmi les autre s bêtes de la roche rude ! je suis cet homme des cavernes au baton brûlé, dessinant ces traits, ces cornes, ces points, ces yeux, ces silhouettes, ces mains, ces combats, ces cornes, ces bois, ces vbulves et aiutres efgfigies de roche, hjje dessine à l’envi des portaiits du monde pariétall, je suis fin guerrier sur la roche rude, je grave kles traits qui s’imposent, je suis pris au collier, soulevé comme une jupe ), détroussé (comme un riche rentier) par la bande , je suis homme et troussé et détroussé, pillé de l’intérieur par une force-rage en moi qui vous lamine vite fait, qui vous prend d’assaut, qui vous fiche à plat sur la lande, nez dans les fougères, je suis pris pzar en moi une bete des rois, bete fauve de paroi du monde, une betye en moi me soulève,;, charge son baudet, me couche littéralement sur roche à graver et me pousse, me condamne etc, je suis homme pris comme un sang pris qui serait à percer , à tailler pour une vidange, etc, 

je suis cet homme des embruns montant sur roche, 

je vais et je viens sur roche dure, je suis soulevé par une bete en moi (de rage folle) qui va sur la roche et me poussee à : me caler à elle, à roche belle, me caler sur elle fissa et graver, qui l’aurochs, qui le bouquetin, qui le renne, qui le bison, qui le cheval, etc, l’ours des cavernes menaçan,t, le lion rugissant, le rhimnoczéeros, ke buffle et le sanglier, l’antilope de prés, Bambi, je suyis homme ... de la roche des bambis ! des chevreuils comme Bambi, des biches douces, je suis homme dur de la roche douce, homme du Temps, charmeur de serpents , enfant de la balle, donneur de leçons rupestres etc, je lm’infiltre comme (en tant que ?) bete de charge, 

en  cette roche des embruns de bord cde mer, j’entre par la bande, je suis fier, donné, colère, homme des prés, chasseur estivalier, etc, je charge squr roche de toute ma superbe boisé, chevreuil ou faon de terre-mère je m’infiltre et montre mes bois, je suis fier comme un seigneur des prés, je vais sur roche à la recherche de la vérité, des temps incertains, des parois du monde = 

cet espace -temps des embruns, des effluves, des virées de rage, des nuages et des traits de rage sur la roche : points surnuméraires, tracés au bâtonb, cercles de l’enfer, mains à la toque, nous sommes deux qui ici gravons (en moi) = elle et moi, c’est à dire ... Donnatelle et moi, je charge ! 

je suis cet homme soulevé ,par une force incandescente en moi , qui a un nom, ce nom est un nom de rocghe, un nom de belle prestance (romance) et ce nom est vif, vif de rage, nom de base pour paroi de rochge, nom de nom qui va son chemin, nom des noms de la bande etc, jean de  branche dure etc, je file ! je suis Hombre des chevaux, des bisons des toits, je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe sur lke champ, je suis homme tombant sur un champ de roche, je suis l’homme des tombées et des retombées sur roche des temps, je suis homme-aznimal des oparois du monde, je cherche à savoir ce qsyui est ici, de cette rocbhe des embruns, de pareille paroi de roche du temps, ce que signifie ... cette chose forte, cette force de paroi, des temps durs, des temps endurcis, nommés, caillassés, etc, nous sommes deux pour faire ainsi quye le nom perdure ! je cvherche à comprendre ! je suis fier comme un serpent ! redresse mon cadavre ! retour des enfers ? perduraison, perduration , perdurement, perdurance ?? je veux etre et comp^rendre l’etre , savoir long pour aller loin ... en pareille roche ! je suis homme des prairies et des bois et sous-bois d’alcove! je chercjhe ! je suis en cette rocghe des apprêts du monde, ... dieu (pariétal) de la force rude ! dieu du sang envahi ! dieu rivé à une chose déployée sur roche ! dieu meurtri comme par la bande ! ceet etre, de la rochge rzaide, tombé à ka rebnverse, dépoitrenaillé, qui se laisse approcher, qui parle en mon nom et dit ses tourments (tous emmagasinés), il dit : «je suis le dieu (vivant) de la roche, je parle une langue fauve, mon nom est un nom d’smprunt, je cherche pitance , je suis le moins-que-rien de cette roche des apprêts, je m’en veux d’etrte, je ne suis rien qui vaille, laissez moi pleurer toute ma misère de taille «, etc, je suis hommùe du temps des batailles sur paroi du temps, je cherche à comprendre qui est qui  : qui est moi , qui est toi, qui est lui, qui est elle, qui est nous , qui est vous, qui est ils, qui sont ils, qui sont  elles, qui sont elles, qui sont ils, qui dsont eux, qui sont donc les dieux des rochers posés sur la lande, qui sont -ils ? qui sont les dieux et les déesses des parois, qui sont les choses rudes, les tourments? qui sont les tourments ? quyi sont les choses rudes ? qui pleure sur roche ? qui est qui ? la mort est elle au rendez-vous ? a-t-elle du chien ? doit-elle nous voir, nous voir etre ? est-elle une chose vide ? un  caillou ? nous pleurons à notre tour, nous sommes deux sur roche à chercher de quoio en vrai nous sustenter cvonvenacblement (= à notre faim) et pour ce faire , nous grimpons sur les hauteurs à la recherche d’une vérité, vérité de poids, vérité de rage dure, vérité des vérités, nous cherchons cette chose ensemble (= de concert) dans la lande, une denrée qui puisse pour le coup nous contenter un tant soit peu et nous nourrir un peu, nous sommes deux pour faire cette chose, chercher et trouver la chose de poids qui puisse faire ainsi que nous soyons (nous deux) sinon rassasiés du moins contenté un tant soit peu, nous voulons comprendre les données de base, les tourments du firmament, lkes parois ornés, les mots de ta rage (folle) de paroi, homme des cavernes  : qui es tu pour nous qui sommes tes frères ? est tu l’homme des bois de la roche rude ? vas -tu chasser la bete au piquet ? es tu l’homme des chasses vaines ? chantes tu kle chant de la guerree ? as tu du chien en ton ^me et conscience ? es tu fier ? as tu raison ? es tu de la partie des chances ? es tu vif comme un damné ? es tu charmeur de betes rac»ées ? vas tu loin dans la foret ? es tu une entité pleine d’elle même ? je suis l’homme des cavernes soulevé en moi par une force surhuma ine (surnuméraire ? ) «qui me pousse au cul» et me force à (fissa) entrer dans la parooi, dessiner des betes ! je dessine des aurochs ! des betes de poids conséquent, je suis homm des tourments de roche rude, jke suis homme des tourments de la roche du temps, je suis homme du (des) tourment(s) menaçant(s), je suis l’homme des embruns, des vérités nacrées, des dangers de roche, des trouées et des percées de bouche, des cohortes animalières sortant de ma bouche, de ma bouche ouverte, trou de bouche hurlant sa peine à l’occasion ou pour l’occasion : je suis traversé, je suis piétiné comme quyi dirait, je suis pris d’assaut au taquet par des betes de charge sauvages, rudes, grasses, qui me chevauchgent, qui me prennent, qui me hantent, qui me soulèvent, qui me font cghuter de toute ma hauteur en roche, déclinaison vive ! je suis à la renverse en roche des prés, je chute de tout mon soûl, je suis ivre de la chute rosse, je suis cet homme de la chute rosse, je tombe sque tu ttomberas fissa, je suis l’homme des embruns des roches meubles , des parois de vérité, des tempsalloués à des vérités de roche dure, je tombe ! je suis là sur roche qui tombe et se lazisse emporter oar une fgorce en moi (considérable) forte comme tout , qui m’emporte vif, qui :me fout à plat, qui m’exaspère, ,me met plus nbas que terre , etc! je suis homme qui (considérablement) va sur terre à la ramasse, va, va sur terre à la ramasse, va, va cvomme sur terre à la ramasse, soulevé et projeté par cette force en xsoi «qui pousse au cul» et vous fiche à terre plus vite que ça ! une sorte de bete en soi ! une ou des betes, betes rudes s’il en est ! des betes en moi me chargent, me mettent à plat, me mettent à mal, me font du tort, me font mal, me blessent, me trouent;, trouent ma joue, trou ma figure et forment de ce fait ma bouche ... d’homme qui rit ! je suis cet homme des beautés , de rage rupestre, je syuis le Grand Dessinateur de roche de paroi, je m’appelle en  capitale, 

je suis Cerf de Roche des TEmps du Passage, 

Passage aux Tourments de la Roche Dure des présents Donnés par la Bande Nacrée d’une Joie de Roche / joie profonde, je suis dépourvu de données de base, mon nom est l’antépénultième ! je ne suis rien ! je suyis que dalle : poinçon ! je ne suis rien de plus que le poinçon de charge humaine ! je pleure misère,  ma joie de vivre en roche les temps octroyés, et rien de plus que cette chose, donnée par (en moi) une bete ditec «de paroi», je suis aurochs le sage des prés, Antilope la belle gourmande, sommité des prés de la lande, un homme-somme, troupeau figuré, une somme de données maussades, etc, mon coeur est coeur des temps octroyés, je cherche vérité par la bande traçante sur paroi des betes de la roche rude, je m’appelle ... Poinçon le cerf ! ... ou cvomment ? charmeur ? charme ? arme ? ame ? art ? je tombe ! oh me voilà qui vais droit fissqa sous mmoi ! sous mon être mien qsui se tient dans les airs de la roche rude ! je tombe à la renverse, je suis pris de force et tombe

 vif ! je suis homme de la roche rude et belle, bellement ornée poar un homme ou une femme des cvavernes, mon sang bout en mes veines et artères, des vaisseaux de nuit, je suis celui qui tombe bvif, à même la roche et de tout son poids sur pareille paroi bellement ornée ! je tombe comme ... disons ... une meu, comme une sorte de... je tombe sur le bec ! je tombe ! je suis l’etre fou de laroche des temps alloués, qyui va de son élan , ou qui y va de son élan, brusque ou brusqué, à même le rocher des prés, 

se loger ainsi attifé : robe ce bure ! chandail tricoté main ! sandales de pénitent, de chanteur à la croix potencée, ceinture de chasteté ! je suis l’homme des attrreaits de rage, sombrant sur la plage (?) du termps donné, homme découragé, miserable, tombeau de son allant de roche, tombeau de la roche naissan,te, ce tombeau fait homme, etc, je deviens dès lors le chantre maussade d’une destinée (de rage) allouée, je cherche pitance ! donnez moi de quoi me reswtaurer de graâce ! je suis affamé ! mon corps réclame ! j’ai la dfalle ! merdxum de  chez merde en branche ! de quoi me restaurer = baffrer, de grâce ! jai la dalle grave !une faim de loup pour ma place ! je suis homme ... aux fringales vives, aux espoirs récompensés parfois, aus ambitions cdémzesurées, au chant d’azur, aux sauts de carpe pariétaux, au souterrai,ns et autres ravins, aux effluves etc, je vais et je viens en roche à la recherche (vive) de la Vérité (Vraie) des données du monde, cette vérité du bout du boud du bout du bouts du bout du biout du monde, là, à cette place

 des doonnées de rage, en ce lieu des présents déposés (offrandes) pour complaire à qui on sait, on regarde : il y a de la meu, ça cocotte ! la mort n’est pas loin il faut croire et nous le croyobns ! croire ici est synonime de parler ! je parle = je crois ! je suis homme  du sang dans les veines allant vaillamment son chemin de rage ! je regarde (par dessus) la Chose devant moi (embruns) et que vois je ? une déité de façade ! un chenapant ? une déité troublée par la bande du temps, cette bande rosse, les tourments, les effractyions, griffures et autres pendaisons etc, la mort en a marre ! elle  v eut du sang frais, non des victuailles au rabais ! ce qu’elle veut ce n’est pas MON NOM ! ce que la mort veut est autre chose que MON NNOM ! elle veut.... elle veut .... erlle veut .... elle  veut de mon moi vivant tout cru ! elle veut «attenter» à ma vie, elle veut de mon ryhtme cvardiaque des profondds, de  cette en moi profondeur de champ, etc !  elle me veut vivant et pas mort = des p^zarties ! elle me veut en tant que tout , elle ne vzeut pas de mes parties de rage : temps passé brûlé, nom d’emprunt, aéchandges, dépositions de race petiote, dépots maigres, faux filets, entrecote, rapines à la dérobbée, doucveurs (fines) des retombées sommaires, la mort veut la vie ! point barre ! une sorte d’envie follement ancrée en elle : incrussté comme la perle sur sa châsse ! je suis homme au sang chaud , je cherche à comprendre bien ce qui est qui est, et voilà ce qui est : la mort veut la v ie pour elle ! la mort veut la vie pour elle ! la mort veut pour elle kla vie ! la mort pour elle veut la vie ! la mort veut la vie pour elle ! la lmort pour elle veut la vie ! la mort veut la vie poour elle ! la mort veut pour elle seule cette vie de moi surnuméraire : ce chemin de plage, cette voie d’accès vers la mer ! elle veut ça ! la mort veut de ça de rage dure, , la colère en moi, les mots les plus crus, la vive charge des embruns des temps brûlés, toute l»’énergie en moi rugissante, etc, sous sa forme la plus directe , native, juste, pleinement naturelle (pour le dire ainsi ) = la vie ! la mort veut la vie ! la mort veut elle la vie morte ? non !!!!!!!!! la mort veut la vie vive ! mais dès lors comment ? that is the question ? comment être ou ne pas ^tre en vie ? je cherche à savoir ici la chose d’une vie offerte ... en vie : colmment faire ? si la vie meurt, la vie n’est plus la vie mais la mort, et si la mort attend de nous un don de vie vive, comment faire alors ? je cherche rude ! je cherche raide ! je cherche dur ! je cherche de bois et de ramure ! debout et direct ! hombre de la nación ! je  veux croire en toi la mort cvomme en quelque chose de surnaturel, c’est à dire comme en quelque chose qui serait en plus, de ce qui est et qui gravite ! or quoi ? la mort est entité réelle (on voit mourir autour de nous des êtres) mais voilà le hic : la mort n’est pas entrée de roche ! elle n’est pas ouverte comme une porte ! elle se tient close, bouche bée, porte close bouche bée ? ou comment ? porte close ou bouche bée ? je cherche ! je tombe ! je tombe de tout mon poidfs pariétal ! je suis dans les tourments ! je tombe vif à même 

la roche des temps 

des vies de rage ! 

je suis dépassé par en moi la rage des b etes ancrées , je suis pris par en moi des betes de rage rude : elles hurlent de faim ! elles sont affamés comme des bébés ! donnez leur à manger ! mais qyuoi ? de la rocxhe de temps ? des tourments ? du charbon de bois ? de la pierre meuble ? des baies ? des embruns de mer ? de la clarté ? du noir de jais  ? qsue donner à des betes en soi qui toutes trépignent d’impatience de sortir de moi, et quyi meurent de faim et le font savoir en hurlmant sur roche leur misère de betes en demande ! nous sommes ensembvkle (main dan,s ma main) des etres à la 

faoiim prégnante , nous cherchons pitance sur les chemins, nous voulons comprendre le cmon,de et ses tenants de base et zautres aboutissants de rage, notre but est affiché sur les chemins, ici ou là, en lettres capitales : MANGER, car le manger est la chose de base avec COURIR, avec DONNER et avec PLAIRE, voilà le carré secret, les choses cruciales, les données (de rage) perso, le temps déployé, voilà ce qui est en roche qui compte, ces données de rage rude sous le vent et dans le sang, il ne fzaut pas confondre les données mùais les apprivoiser (se les apprivoiser) pour bien les cerner et les comprendre à leur h-juste prix, nous donnond nos noms sur la bande, nous donnons des noms, nous donnons des mots de rage bestiale, animaux-mots de compagniev ici pariétale, ces mots sont des betes fortes on le sait et ne comblent en rien le dieu de la roche des temps mais voilà , nouys n’avons pas tout à faitvle choix, nous sommes mus ! nous sommes entraînées à de nous donner comme des pis-aller qui puisse le faire un moment donné, et «à voir» pour la suite des choses, nous verrons, nous devons aller en roche et comprendre les choses du monde, nous ne devons pas défaillir mzais tenir, tenir bien droit et debout autant que possible,  ous devons nous montrer vifs et vives, nous devons peser sur le chemin, de tout notre pas, nous devons poser le pas de roche sur le val de la paroi rude, nous marchons, nouys sommes hommes et femmes des marches forcées, desz poussées rudes, des appuis outrés, des outrages vifs, des volontés à satisfaire par le sang, notre nom à tous et toutes est an,imalier, je

 me prénomme Bouquetin le grand, (ou le mince ?) et vais de mon pas de géant à travers vals et plateaux du coin, je m’appelle Bison le géant (le minuscule ?) et je vais de  mon pas lent à travers les prés et les champs, je m’appelle Aurochs l’imposant (ou le récalcitrant ? ) et je vais à déposer mon pas sur ladite paroi cvomme d’une gerbe sur une pierre, je m’appelle Antilope grande gigue (petite voix) et je cours (fissa) vers la roche et ses embruns de joie, je suis homme de laroche vive, des sortes d'ornementations dépourvues de joie, des peines de coeur, des ressentiments, des tristesses, des pleurs, etc, je veux changer le temps des paroles rudes et parler la voix de la joie, dees roches du sang, des roches rudes et vives du sang, etc, mon nom est le nnom donné par la ba,nde en soi, qui est bande (rude) des tourments de charge passée, je veux pour ainsi dire dépâsser ces charges et tomber sur roche comme un nouveau né ... pour une relevaille de roche ancrée, je veux d’une re(con) naissance imagée : roche rude, vive toi !  vivement la loi nouvelle ! la pleine mesure ici pariétale, le plein de la joie rurale ou comment ? je dis la joie en ce jeu de (grave) allongement des temps, je veux dire cette joie du sang, ce roule-barricot de l’âme sur  roche, cette cxhevauchée de betes au couteau, au baton de bois brulé , je suis l’homme des cavernes enfant, je joue la mise, je joue au marchand de perles, je joue au caillasseur, je joue au merdeux, je joue à la princesse, au chercheur de poux, je joue au valet de ferme, à l’écrivain, au dingue de la partie, au dingo du teonneau, je joue à cache-sexe, aux remparts, au dieu du sang (ici) de la bande, à l’inclusion, je joue au pendu, à la roulette russe, aumorveux, au kilo de merde, au chien errant, je joue au facteur et à l’usager, au chanteur de charme, à car$eme, au dieu de la roche, à l’homme

 des cavernes, je joue (mal) au petit soldat, à pisse menu, à la belle  terre, au ventree mou, au trou de balle, au chant doux, à la carmagnole, je suis un homme des embruns natifs, je veux vivre vie de roche rude au milieu des bêtes, je bveux cette chose pour moi et les miens, mes congénères, gens proches de roche, ma propre tribu, concert, cercle, musique des parois du monde et feu de joie, nouys faisons sur roche ce que nous faison,s : dessins de bisons comme à l’arraché, de bouquetins vifs, de rennes des prés, etc, et cela , d’un seul élan, qui est celui, incidemment, de l’ombre portée dans le sang : nous sommes envahies, remplis, nous sommes prises, tenu, nous sommes soulevées, soupesés, nous sommes bousculés, pôussée, nous sommes meurtris, blessé, nouys sommes vues, mirés, nbous sommes secondé, doublées, nous sommes mus, actionnés, nous sommes revetus, attifés, nous sommes dénudée, changés, etc, nbous voulons entrer dans la roche des temps et voir de fgace  ce quik nous atten,d, à quoi çaressembke, ce que c’est, ce qui est qui nous attend, ce que c’est qui nous attend devant et ne nous fera pas la grâce de nous «oublier», hélas ! car nous szommes vifs et vives de rage et nous sommes ensembkle (pris ensemble) comme deucx qyui (de tout temps, en eux) ne veulent pas mourir, céder et tomber, nous voulons aller d&ns la danse du tempsqn, entrer en elle fissa par la bande et n’en plus sortir à jamais ! responsabilité ! choix de vie ! prise de consciebnce ! décision mesurée, pensée, pesée, affirmée et affichée,; notre but est clair et net, et tient en quelques mots d’usage, en quelques phrases : je suis je l’homme des cavernes (à jamais), les mots sur moi m’attifent comme je ne sais quoi qui , chaque jour, rajoute comme du ridicule de façade, je suis homme des parois du monde, je suis enveloppé d’une sorte de textile rêche qui me gene aux entournures, je suis je l’hommev «des embruns nbacrées», je cherche une voie d’acvès à même la roche : cupule ?  je ne trouve pas, je cherche ! je suis l’homme des doutes avérées, des sentiments passagers, des dessi,ns de roche, des paroles exemplaiores, des beautés de rage, des temp

^s alloués, des pistes de chants, des voix d’outre tombe, des passages de charge, des betes-mots de belle tenue, des amitiée animales, des nudités, jke suis homme des passages (rudes) à travers la roche naissante, comment faire pour s’y retrouver et comprendre ce qui est en  cette rocghe dure de la  vie humùaine élaborée ? je cherche ! nou!s cherchon,s ensemble ! je suis homme des parois rudes ! je ne trouve pas  je cherche ! je suis «fin d’azur», «fin des données vives» ! je m’affine en progressant, j’e,ntre en lévitation, je tombe des nues, je m’interpose ici, sous l’oeil de cette Chose rude des devants, à même la paroi touchée, et me glisse entier (en entier) dans la roche locative , je suis l’homme femme des tours et des tours de rage, je cherc he issue en pareille  pa roi, je tombe sur la roche dure, je suis l’homme d’une chgute raide en pareille roche, ... ça me va ! je tombe ! je suis tombe ,  je suis une trombe, je tombe ! 

je vais sur roche, je suis l’homme qui va  squr roche, je suis l’homme (ici) de la roche allouée et je vais, en elle, fissa ! je cherche une voie de passage comme en contrebande , je cherche voie d’accèes pour la contrbande ou par la contrebande et cela pour me lmoger (fissa) vcomme le roitelet, dans le trou d’une roche  dure, son nid ultra-douillet faisant, etc, moi itou : nid d’emprunt, pour une installation de fortune, ma fortune, cette chose rude /dure de la roche à explorer, un nid pour sa peine, etc, je veux ! je dis que je veux ! je veux quoi , je veux vivre vif et faire accroire ! aller loin en soi ! chercher la rage en soi, chercher à comprendre en soi la rage qui bout et fait son chemin de paroi ! je cherche ! je cherche raide ! nous chercvhbons !bnous cherchons raide ! nous vouylons comprendre loin ce qui est en vrai en roche des temps : la mort notamment, l’ouverture des sentimùeznts soit des sentiments menaçants, etc, la mort est une entité, une entité à part entière, elle se loge près de soi comme une tombe de son moi de rage, il s’agit de cetteb chosec commùe quoi eh bien je suis fait de telle sorte, que je vais (un beau matin) passer l’arme à gauche, et moi de m’offusquer (rage) de toute mon âme, car je ne veux pas ! je ne veux pas cde cette cxhose ! je dis non ! je dis et redis non ! je dis : merde ! je dis merdum, je dis mille fois merdum, je dis mille et une fois lmerdum , merfde !car, je suis un homme des cavernes et mon coeur bat fort, sur ce tas de roches dures, petit tas terrestre dx’une sorte de lieu précis ou d’une cavité précise, je cherche à comprendre lesz données les plus subtilesz, les ressorts des ^profondeurs, les arcanes majeurs, les raisons et les motifs ! je suis un homme dit «des cavernes», je cherchev à com^prtendre les données données, de ce monde des parois, ce quye pour le coup pareilkles parois peuvent bien receler en leurs seins, ce que pareilles parois comportent en termes de données, vives et riches données «de vérité», je syuis cettte personne de la roche , qyuin (de fait) veut com^rendre, chgerche en profiondeur à pour le coup trouver des pistes de compréhension subtile, je suis en qu ête d’une chose vraie, d’une cghose de poids dans le domaine de la vérité ... la plusq ancrée, je grave des betes soit betesmots sur roche, m’immisce ainsibpour ce faire, je suis une personne, de la roche des temps  , qyui pousse le bouchon plus loin un peu plus chaque jour, pour comprendre , ou sinon le  bouchon la Chose, ou comment ?, je chezrche (vif !) à comp^rendre le pourquoi des choses, le pourquoi des choses ainsi, le vpourquoi les choses se passent-elles ainsi, ici, sous nos yeux ! qui est derrière qui, ou quoi est derreière qui ?. qui comma,nde ? qui commande le chantier ? quyi dirige ? qui est à la barre de soi ? qui parle en moi ? quii marche ? quyi veut en moi ? qui s’énerve en moi ? qui s’emporte en moi ? qui pleure en moi ? qui pleure en telle ou tele personne ? qui vibre en moi ? qui sepose un peu là en moi en tant que chercheur ou chercheuse à la ramasse ou comment ? apprenti , apprenti)chercheur et apprentie-chercheuse? je veux savoir la chose ce qu’elle est ou serait au juste pour moi quyi me tiens ici sur la roche, qui fonce, qyui est l’homme de la roche dure à cdevoir graver le plus vite possible, la vie (la mort ? ) n’attend pas ! je me glisse en  cette rochge de la groptte, je suis entré en elle, je suis bien  calé en elle, je veux toucher kl’extrémité du monde  mais cela sans devoir succombezr aux charmes d’une déité quelle qu’elle soit ! je veux traverwser la rocghe sous le vent, l’oeil vif, alerte, les  cheveux au vent, l’esprit libre de ses mouvemenrts, etc, je veux trouver le pot aux roses d’une affaire de parois et de tourments dits meurtriers mais co;mment faire ? je cherche subséquelment, confraternellemùent, innocemment, subséquemment, principalement, idiotement, 

volontairezment,  nuitamment, diurnement, quotidieenement, crucialement, à comprendre ces données données du mùonde pariétal, ces betes qui ornent lza roche, significations, conception, etc, ce que c’est qye ça ! qu’est-ce ? de quoi s’agit-il ? squi est derrière ? qui donc est derrière ce dessin d’aurochs ? qui donc est derrière l’homme ou la femme des cavernes ? qsui donc est deriikèrev la bete ? qui donc est derroière unev pôssible déité surnumérairev(de rajout, raccroc et au rabais ) : qui ? la femme de l’homme ? l’homme de la femme ?, qui ? jre suis incapable de le dire ! j’ignore ! je ne sais pas ! je ne sais rien xdetout cezla ! je cherche à comprendre de puis tant et tant de temps eh bien malgré tout jhe n’en avance pas des masssees, je suis souvent sur le carreeau à chercher pitance, ici, en cette matière, je suis un homme frais (fou) qui chante à tue tete (sur roche) sa compla inte animalière, sa peur d’avoir à) en découdre pour le coup fissa , je  cherche une chose rude, je cher che en moi (sang) ce qYUI est qui me gouverne volontairtement incifdemment, et  ce vqui me gouverne le pourquyoi il me gouverne etc, l’homme est l’animal cde la fable, la fable est la voie de rage, La Fontaine aufirmament, son image planetaire comme La (la chose) qui parle  plus, ou plus plus, du fait de son rapport aux betes de paroi ! je vais et je viens en elle doucement, sur un pied puid l’autre, je cherche à me ménager car je veux durer, je ne veux pas mourir trépané ou va savoir , pris à partie : assassiné ? ou sous le coup d’une rafale de mortier, ou comment ? je suis homme-en,fant de rage folle , je colle à la roche du temps , je colle à la roche dure, je colle au temps de la roche des temps, je colle ma face aux parois froides, , à même la paroi glaçante etc, je suis le nouveau né pour ainsi dire «de ces dames et de  ces messieurs», je suis un drôle d’être menaçant la paix de roche rude, du fait de sa venue brusque, un temps, un temps menaçant, menaçant et troublant la paix, la paix de la place, car bientot je ne sezrai plus là, je serai parti,je serai ailleurs en d’autres lieux de rage, autrtes zones sde déteznte, autres parois à orner  fissza, etc, je suis hommùe des cavernes, je porte une robe, mon coeur bat de sa vie claudicante, je m’apprete à graver sur roche l’aurochs dela fable, je syuis le graveur émérite, je suis l’homme dur des parois mobiles des temps a lloués, et je vais et viens fissa sur roche comme un nouveau né de sa mère, de son père, de ses frères et soeurs, de sa confrérie tribale, je veux !  je veux croire en ma bonne étoile ! je veux passer le cap de la rochge ! je veux vivre vif ce cap ! je  veux plonger (fissa) en rocghe du temps et ne pas succomber aux cvharmes déca pants de la roche dicvine, soit de cette chose rude des devants : dieu du ciel vibrant dee sa belle musique, je ne veux ! ce que je veux c’est ça (vivre) et ce que je veux pas c’est ça (mourir) car la mort en moi n’est pas une amie, la mort en mpi eswt mon ennemi, la mort en moi est e lle une amie ? la mort en moi est elle une ennemie ? lma mort est elle notre alliée-amie ou quoi d’autre ? je veux vivre pleinement ma vie de roche : aurignacienne,, magdalénienne, etc, mon nom est : spigolon

, je porte ce nom de la bande : spigolon, il s’agit d’un nom d’un emprunt pazssager, je ne suis ni ne veux etre spigolon le sage, ni mêmev «au rab ais, « ni mêzme «l;’enraghé», je suis ... spigolon, lm’enfan,t de sa rage;, seuleme,nt l’enfant : l’aventurier du bois joli, le faon des terres meubles, l-’enfant- faon de ses dames et de ses messieurs , furet, carmagnole, le pont d’Avignon à qui mieux mieux passez muscade ! je suis de laroche du temps ! je suis homme dingue des tourmentds

 du bout (du bout ?) du monde pa riétal, je cherchje une issue , je chgerche avidement !  mon corps est pris dans lkes filets d’une paroi du monde, car, mon cvorps est entré par la bande, de biais, sur le pouce, comme une limande, pris )-à part, comme soupesé puis déposé comme un nouveau né, écrin de sa mère, chaleur et moiteur, :le sein à portée etc, mon coeur est ouvragé comme une déité de roche, comme un objet de vente, comme une sorte de beauté» du genre, etc, mon nom est MON NOM ! il s’agit d’une donnée de poids, cette symétrie d’approche des parties, cette faille en leur milieu$, ce miroir, ces trois élaborations de part et d’autre d’une faille-couloir de principe , etc,; je cxhertche vailla mmeznt ce qui est sur roche, ce qui s’y élaborefissa  par la bande : qui est qui = qui est derrière qui ?ou : qyui est derrière x ou qui est derrière y ? car nouys ne savons pas ! qui est derrière moi ? qui est derrière machin ? qui est derrière le vilain ?. qui estv derrière le sempiternel sentimental ? qui est derrière cette voix de charghe ? qui estv derrière le cheval, l’alouette, le chacal, la beleztte, le chandail et l’amulette ? qui ? nous ne savons pas mais nous savons que cette chose existe, ... la question du «qui derrière ?» ! forcément ! nous  ne sommesc pas seules ! nous ne sommes pas seuls en nous, nous sommes plusieuirs, nous sommes plein, nous so:mmes un nombre conséquent de betes de foi en nous, bnous sommesen nous toute un,e syuite, une cghiée, une c onfrérie, une tripottée, une quantité non négligeable de pêrsonnes ou de betes ou de voix ou d’etres ou de dieux ou de quoi e,n nous, cela est indéniable et nous le savons ou le suubodorons, nous sommes plusieurs en  nous, nouys sommes plus qu’un , c’est à dire plus que moi tout seul ! je suisq l’homme-bete des attraitqs, je me documente fissa par la bande, j’essaie de comp^rendre,

 pourquoi mon nom, celui que je porte et pourquoi pas un autre, un nom neuf, nouveau , le nom de quelqu’»un d’autre, etc, je suis un hommecdes cavernes, je dessineà main levée des betes de poids sur une roche affectée à cela par moi, je suis outillé, j’ai de quoi tracer ou graver des bvouts de choses adaptées )àà faire dezs choses sur roche, mon nom n’exisqte plus, il a disparu du champ lexical de la terre, mon nom s’est perdu en chemin et ce qui reste , n’est rien d(autre que cela,  ces dessins de rocghe(et autres gravures : au même titre) et aussi kle reste, objetscdu quotidien peut -êttee, quelques peccaddilles, etc,

 je suis un homme cdes temps reculés, mon nom est perdu à tout jamais, je ne suis plus rien d'autre que mes dessins, mes deesins sur roche son t des mots de roche, la rocxhe parle et dit son mot de rage dure, comme un dieu xdes temps impartis parlerait pour cdire sess tourments, les afficher, dire ses complexes, anncrés en son sein etc, jeb  vezux croire en ma bonne étoile ! je suis u,n homme des cr

oyances, je suiis un homme aux croyances affirmées: les mots (chcun) signent une croyance (= la foi) alors même que l’idée d’un dieu, supranaturel et logé dsans le ciel, m’incommode, or voilà la chose , ici : dieu peut-etre pas, mais les mots en bouche ?  car, je vois df’ici (roche

) ce qui est (vals et plateaux) qui tend ou tendrait à dire, que oui, la vérité est de ce mon de, les mots suffisentv à notre bonheur (à notre destiné) et pourquoi alors les remmettre en jeu et en qauestion ? le mot-bete est sur roche comme cavalant icelle c’est un fait, un mopt est une bête, une  bête est un mot, je cherche issue dans une roche afin de m’immisqcer fisza et d’aller de ce fait à larechezrche de la  vérité qui est « de paroi», c’est unevéviçdence , je suis comme un chercheur de vérités de poids, de celle dont on peut peut-être se  nourrir à bon escient, de celles qui nouys plaisent fortement et dont nous voulons ou voudrions  afficher les tenants et less aboutyissants sur rocghe :  qui est qui deerrière ? qui présidze ? qui y a t il derrière l’hommùe ou la femme des cva ve»rnes ? qui y a t il derrière x ou y ? je  chezrhe à copmp)rendre lesq enjeux (vitaux) de la bande, qu’eswt ce que c’est que  cette bande de la paroi noble ?  nous voulons comp^rendree vif, nous voulons co:mprendre vif vif le plus, car bnous sommes des enfantsz, et en tant que tels nous voulo,ns ou nous voudrions découvrir les se crets les plus cachés de ctte aventure, nous ne voulons pas mourir ! notre but est de comp^rezndre ce qui est en roche qui plombe ... ou tombe : moi ? soit en moi ce moi de roche des betes ? qu’ai-je en moi en fait de bêtye ? laquelle ? loutre ? non ! chien ? non !  chat ? non ! vache ? peutêtre ! le cheval ? peut êtyre aussi ? un chevereuil ? hé ! Bambi ? je me le demande ! j’ignore, mais je sais qU»’en moi existe, une bete de roche dure, elle est en moi comme le nez  a u milieu de la figure, ou comme des entrailles en moi, etc, je veux savoir ce qui est en roche qui m’attend, je  veux dsacoir ce qui est en rocvhe qui m’attend le plus, je vzuwx swa voir  ce qui est ezn roche qui le pluqs m’atteznd, ;je veux savoir ce qui m’atteznd le plus enn  cette roche des tourrments  et des se ntiments, qu’ewt-ce ? je ne szais à ce hjour qui pourra me répondre et comme entrer sa voix (son  nom) dans le chapitre : est  ce possible ? je suis homme du temps, mon corpsd est corpsd du temps mais pas seulement on le voit : je déambule, je fi:le,; je cours, je me jette tête la première, etc, mon nom est comme un c orpds qui serait séparé de la roche, je tremble sous lui, jke suis l’homme dur de roche meu ble, mon cprps est le nom de la roche aux passdages donnés, je suis cet hommev de la rocxhe  dure ! je suis homme dur de rochge ! roche rude où es-tu ? où vas- tu la roche ? je suis homme du temps de la roche, je suus un homme du tem^s de la roche, je suis homme des temps de la roche, je suis un homme du temps de la ro che, hje suis homme du temps natif, des premiers instants, du trouble, des données  faciales, des colères rentrées et absorbéeqs, des paroless viles, des parois meubkles, du printemps et de l’été, fdes champs lexicaux menacés, des virées et autres embardéees en roche des temps, je suis l’homme cde la roche desz ^parois du monde : ouvriers ouvrières de passage venez m’aider ! cha,nteurs chanteueses à kla croix poten cée venez ! chanteurs aux vêtures de bure (pasteurs , pâroiisiens, imposteurs ? ) venez ! venez voir comme qui dirait mes «chances de rage» à :même laterre ! je suis hommes des raves de rage, plantées, replantées, jardinées etc !  ma voix est  voisx de peu de voix ! mon nom est rupestre ! imagerie : MON NOM ! effet miroir ! cailloux choux genousx , etc ! je suis homme-emprun,t du fonds monétaire, je cgherche une voie d’accès comme par la bande, je suis un homme ici dezs possib ilités parieto-frontales, je regarde autour de moi et vois ce que je vois, je vois ... la roche qui treezmble, les parties de cav a lcade, les essais avortés, les tracés monumezntaux : qui est quoi en cette sarabande, ou quoi est quoi , ou qui est qui , nous chertchons , nous ne sommes pas en, reste de toujours cher cher que tu cher hzeras ce qui est , ce qui est la trame, le substrat, le miel, etc, toute une gamme de données de base , je suis un homme des embruns, je suis à la recherche d’une  vérité dite «de roche rude», mon nom est écrit sur un bout de papier et c’est marre (littérature ... de gare ! ) et voilà pourquoi je lm’enfonce fissqa et plus que ça : volete ! fiche mon aile , va ou vais devant à la volettte, etc ! carmagnole ! je file mon coton de carde ! je suis doux comme un duvet de charme ! douce voix de passage, chant d’azur au cordeau, pâssade, pont de charme au dessus des eaux, je suis un homme doux, pont dee charme de rocghe pezrlée, ma voix se pose sur la roche dure et grave son chjant mélodieux, la mort eswt mon ... ennemie radicale (dit-on) mais est ce si sûr  ? qui le sait ? je cherche à savoir ! mon  nom pourrait m’aider mais il ne m’aide pas ! MON NOM est à l;’a ffiche, ... au taquet ! et pourqoi cela ? car, je suuis homme de larage au  coeur, infil;trée, mon nom est la rage même, tracée, au couteau des benets, hé, je veux ! cherche donc l’image tienne ! où se loge t elle en vrai ?. xsoit  l’image véritable  : où ? où se loge te lle  ? qui ou quoi est-elle ? cherchons donc dfa,ns les fourrés, au creux des anfractuosités de roche, dans les trous de laparole, cdans les fosses co:mmunes de rage, dan,s le sang !  jze cherche le tourment du sang, le tourment dans le sang, le tourment grand du sang ! je wsuis l’homme dit «radical» de lma chance rupestre, mon nom craint dans les donnéesw, il force la chose, il dévie ou dévoie ou dit ce que la roche a ou aurait à dire : que dit elle ? elle dit sa rancoeur ? dit elle sa rancoeur ? que dit elle ? que veut elle dire ? où est elle ? qsue cherche telle à dire ici pour nous autres ses betes de somme ? que bnous dit elle de si rageur ? nous ne savons pas ! nous sommes benêts ! bnous avons au total peu de profondeur en nous mêmec!  noçtre fo,nd de roche est fin et ne va pas loin ! njous dsommes «sezrrés», nous sommes des benets xde ta rage grave, et de c e fait nous pensons «court», oh court nous pensons hélas !  nos savoirs s’(arretent tout près, ne vont pas bien loin et se perdent vite dans le pré 

de la roche des tem^ps alloués, nos savoirs sont menu fretin, sont petite don,née de la roche rude, instants de vie de voie, de vie douce de voie douce, etc, mon coeur bat en roche son trépignement frontal : croix de bois, croix de roche, mon coeur est à l’unisson d’un e sorte d’emportyement quasi claudiquant, je vais illico sur la roche dure et cherche à comptrendre les dommées fron,trales,; mùais vas y les comprtendre bien ! ce n’e’st  pasfacile ! c’est coton ! c’est dur ! cv’ewst méga-dur ! ça va chezrcher loin , niveau niveau ! ça cher che à haut niveau ! ça cxherche loin qsuestion niveau ! surtout pour moi qui ne vais pâs bien loin queswtion niveau ! qui ne sais aller loin quewtion niveau de base, et question échapppées pariétales, etc, je suis (pour ainsi dire) limité comme un jouvenceau, je m’avance à pas de rage doucement, doucettement, MON nom est (voilà) à l’affgiche du Temps, je cherche à  ... creuser la plage, mais vas-y ! vas  creuserr la plage, ou la page pare’il, ça suit son chjemin, son chemin de buffe (buffle)^sagement mais  ce n’est pas xdonné x’emblée et ça pèse lourd ! c’est ... u,ne chose ! c’est fol ! c ‘ewst pre»nant ! ça passe miseère ! çarend son allant ... de cxharme au taquet, ou pas ! c’est perce-oreille tenxdrement, ou pas ! ça pousse sa co;lère ou pas : vassavoir !  le temps est une amulette, la mort est un chant xde jhoie, la roche est une fredaine, la bete eswt un mot de peine rageur, la mort est une voie d’accèes vers des lendemains de fortune, la pêine est ancrée, le ciel est un pis aller, la chance est prin cière, la voix du cviel est  la même «ezntrée en matière» que la  v oix du temps,; le roman des temps est le  vent fou, la  haine eswt la cxhaine desq temps, la cxhaine des vents est la chaine des temps, je vois sur la terre les vents comme se jeter (on dirait) kles uns sur les autres, je suis un hommùe asttral muni d’un baton, homme aurignacien de la balle ...  et de la ba nde, je v ais et je viens a rmé de mon baton de bois, je deswsine en veux-tu en voilà des figures de ra ge animalière,,; onguent, je trembkle, je cdessine sous le joug, je suis =monté comme un animal de trait, je suis l’homme des parois gravées, ornementées comme par la  bande, MON NOM est de type rupestre : voyez le sur roche figurer ! ma voix est rageuse,, et hurle sa facconde de misère, je vais sur roche au déboté, à la vive escouade, charmeur-chargeur, ou chargeant ma pleine mesure, je suis emberlificotée dans les rets de rochge dure, je dessine aurochs des roches de tempsq,  bouquetins, bisons de la foi dans les mots ... des parois dures, je vais au sein des seins, je me glisse ici vite fait, je suis a insi comme déposé comme le présent de la fab le, ce temps donné (pour ainsi dire) par la bande vive, vite fait bien fait, mon coeur chevauche ici les traits cde la roche, vivats au pl;us haut des cieux ! les beters xse cxhevaucgent entre elles, s’époumounent, et moi de pour le coup crier de tout mon soûl ma haine de misère, mon coeur comme adoubé par un ciel de rage, ma peine est celle qui se voit gravée : bison,s de ta peur, renne de ta haine, bouquetin de ttes tourments, buffle de ta misère, a ntilopes racées de tes douleurs cdiverses : poinçons ! poinçlons du cru ! poinçons ! piquetages ! pique , pique-rage , etc! points d’acupuncture sur la peau blessée d’une bete-mot de ta race ! je suis charmé ! je chante à l’unisson des piquetages ! je m’envole dans les prés, sur roche, au fon des for^ets, je suis emporté par un vent fou de rage forte, par le vent des fous, par une rage en moi qui me pousse ici à dire ma chaleur, mon rire, mùa joie de date à date, mes rancoeurs, mes élans de bete-mots, mon aerdeur à la charge, mon sang, je suis l’homme de la pré)-histoire, chargeant de sa ng la roche mùeuble, je suiuis Jean de Bure le sauveur du temps, je parle... en son nom de jade, iil parle en mon nom de pluie, de court circuit, en mon nom de pluie de rage, de larmes chues, de court circuyitage à) la vue des betes de rage, etc, je suiis l’hgomme des parois couvertes, des pasdsages an imaliers, des présentations finales, lma mort n’est pas mon méttier, mon coeur ruisselle, mon corps est mouillés desx embruns de roche, je suiis mort de ragge dure ... ou comment ? mi-^mort ? à la vie à la mort ? mort dur de rage dite ? qui dit quoi ? qui est qui ? qui veut quoi ? je vbeux ! je veux ! je veucx ! je veux ! je  veux ! je veux ! je veiux ! je veuix ! je veuix ! je veux ! je

 le veucx ! je veux cela ! je  v eux dire ! je veucx dire cela ! je veux dire cela ! je veux dire cela ! je veux dire cela  comme quoi ! je veuxdire cela comme quoi ! je veux dire cela comme quoi ... je suis ! je veux xdire cela comme quoi je suis ! je vbejux xdikre  cela commùe quoi je sius !ç je  veux dire cela comme quoi je siuis ç! je veux dire cezl;a comme quku je suis ... qui ? je veusx diore cela comme quoi je suis qui ... e,n vérité ? je veux dire cela comme quoi je suis celui qui est cvelui qui dit  cela = cette vérité de la roche des te:mp^s, soit des temps i:mpartis, je suis cvelui qui dit la  érité a nimale du temps ! suis je celui là ? suis je cvelui qyui dit cvela, la v érité des temps de roche dure, suis je celui là ? suis je homme du te=mps menacé ? suis je un homme des ca vernes ? suis je l’homme des caver nes mena ceé ? suis je l’homme menacé ? suis je l’homme des cavernes vigoureux, charmeur, rusé, trompeur ? suis je un homme des  cavernes volontaire, raccoleur, dessinateur, graveur par la bande ? ai je en moi deq quoi dire le mot (de la fin) rageur ? ai je en moi de quoi poser sur roche le présent donné ? je file ! mon coeur bat avec la roche , je cherchje une voie dx’abord dans la roche, je v eux m’immiscer , je voudrais, je veux et voudrais m(‘immis cer ! je suis l’homme des cavernes , au pouvoir vital, chertchant immixtion vitale, parole vitale, chjant vital,; feu vital, aide vitale, secousse vitale, une entrée vitale dans le sein dxes sein s pariétal, une entrée vitale dans le sas, cdans le sanctuaire, je suis homme xdes vcavernes , au sang  chaud, mon nom est affiché sur roche comme suit, effet garanti : 

MOn NOM, 

de bure affilié, nom de roche au taquet, chant de bete de roche dure, berceuse

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15/7/2021 

je ne suis pas l’être de la mort, je ne suis pas un cheval blessé, je ne suis pas une grue, je ne suis pas une amande, je ne suyis pas un renard, je suis l’homme des cavernes au sang chaud-bouillant qui fonce dans la roche vif et n’en démord pas, son souci est toujours le même , je (il) cherche une vérité de fortrtune et de bon aloi et de de bonne fame, et qui le fasse face à quoi face à elle, cette Chose de roche dure, La Mort en personne, dieu du ciel et de lma terre, chamanisme, outrage, colère, vivacité, tendresse dans le sang, rancoeur, etc, je suis Homme Vif , qui cherche à comprendre La Mort, La Mort est une personne, La Mort serait une personne, elle me regarderait fixement depuis la roche des tourments de vie, elle serait ici cette Chose vive (peersonnifiée) qui me regarderaiyt pour ainsi dire de ses 1000 yeux tournés vers ma figure, je suis un homme qui va (ou irait) enn roche pour me promener, et sur quoi je tombe eh bé sur La Mort, la belle de Roche, cette Chose des embruns, cette ouverture dans la pierre dure, ce sabot de temps, et moi de vcomprendre une chose = cette chose, comme squoi je dois aller ... dans la profondeur de la paroi dure, je me dois d’aller dans lza profondeur de ka paroi dure et là, je dois regarder précisément et sérieusement ce qui s’élabore en fait de vérité, je me dois de regarder précisément ce qui est ici, 

de moi, ou de la roche = ce qui est de moi ou de la roche = faire un tri ? faire un pas ? comprendre avec soi ? charger la bete ? comment savoir ? je vais ou irais ici et regarderai (je regharde) une roche dure comme les temps, comme les temps impartis -alloués à une vie rude, je suis l’homme de la roche dure ! je suis homme vif de roche dure ! je suis homme du vif de roche vive ! je suis et serais cet hommùe qui vient et va en roche dans le sang ou comment ? je m’immisce ! me voilà qui rentre en roche et comprends les choses des tourments d’une vie d’homme : rancoeurs, blessures diverses, saignements, humeurs et colères diverses, je suis dans le sas déplacé et cherche vérité : qui suis je ? où vais je ? quel est mon nom ? est il le nom de la roche dure, le nom icvi gravé par un homme ancien (des cavernes) et qui me fixe ? ou bien suis je celui là squi n’a pas de nom ? je regarde les embruns, la faille dans ce fond de roche, cette cavité centrale, ce bloc, de roche aux apprets, cvette vive anfractuosité monacale, qui suis je ? c’est à dire : qui je suis qui porte un nom , je l’ignore ! je ne suis plus celui là que je fus enfant, ou même avant, dans le ventre de ma maman, etc, je vois la roche des embruns et me pose 1000 questions relatives au temps, je suis un homme des temps reculés, je porte en moi la roche des temps, je suis bete rosse, bete-rage, betee vive, bete endiablée, bete remontée, bete coriavce, bete lméchante, mordante, etc, et mon nom est celui de cette bete que je suis !!!!!!! car voilà la chose : je vais et je viens, en roche des Temps, comme la bete en cavalcade sur paroi de grotte, je suis cette bete de roche gravée, je vais en roche dure et me glisse ici, dans un interstice de paroi, et me loge ainsi, dans l’attente d’une vérité,

 je suis homme des embruns de roche, mon nom est le nom donné à la paroi du monde, mon coeur bat à l’unisson de pareille anfractuosité rupestre, mon nom est un nom de rage et de charge : bete rossee, coriace et vive, qui charge que tu chargeras de toute sa force sur paroi du temps, je serais l’homme des parois meubles , prêtes à se voir gravées, au stylet, à la plume, au silex, au pic de verbe acéré et affuté, je serais cet homme des embruns, ce chenapan,

 courant à travers lalande, je suis homme de peu, chargeant comme une bete de roche en paroi du temps, je vais sur la roche 

et vois cette chose , d’une sorte de paroi meuble, presque molle = de la gomme,, une sorte de paroi de gomme

à graver l’effigie directe, une sorte de «gomme de roche» ou quoi d’autre ? prête pour être, pour le coup, gravée, à l’envi, par qui de quoi en v érité sinon par elle, cette Chose «des embruns de roche dure», La (dite) Mort (sûre) de roche des temps, cette Mort de base, sure d’elle, pleine d’elle, une sorte de belle donnée, un oeuf ? je regarde ce quyi est et ce que je vois est cette chose devant mmoi qui porte le nom de sa roche porteuse, je suis Homme des embruns de roche, je veux savoir ! tout mon être veut savoir ! je ne veux pas rester sur le tas à chercher pitance ! ce que je veux ici c’est cette chose d’un savoir profond, dur, plein, rigide, conséquent, pariétal, de belle tenue voire éternel, «qui le fasse grave «, qui soit le Savoir majuscule, un savoir de tous les savoirs, et pour cela je vais et je viens en roche, je m’immisce, je m’i,nfiltre, je me glisse, je me loge, j’entre fissa, je m’introduis, je me mets en telle roche des passages du temps imparti, jke suis cet homme quuii va et rentre et rentré regarde et que voit il ? la bete de roche, près de lui : biche des temps de rage, ours des a$mitiés de roche, cerf au débotté, peuplades a,nimales diverses, chants des pzarois , or voilà ce que je suis : cette même bete de la roche temporelle que je vois = une biche- cerf, un cerf-biche de rage, cervidé à charge, point de roche surligné par des mains au soufflet, pointds , points, points, poibnts, etc, une sorte de cohorte punctiforme animalière, cettye charge dure de l’incantation, ces réitération vivantes, ces appuis de roche, ces mains de passage,, cet auvent, ce chenal, cette voie, ce toit, etc, je suis l’homme des caverness au sang bouillant car je porte en moi la bete du rut, le chant millénaire de la roche dure, la voie lactée, la princesse des 1000 entrées, kle chant de ma miosère crasse aux deuils de rage, mon coeur est sur roche déposé comme une offra,nde en priorité, ma chaleur ou mes chaleurs, mon sang bouillant, lmes envies de vie, mon tout, ma rage première, etc, je dépose sur paroi (art) la chose d’une sorte de tourment votif, je suis homme des dépots sur roche, je vais en roche ainsi remonté pour cette chose à fzaire à vif , et, de fait, qui est de déposer pour ainsi dire de quoi satisfaire une sorte de "déité pariétale temporelle" , qui est elle ? Mort de rage folle de me voir ainsi (vivant) déposan,t ! elle ne comprend pas ! elle cherche à comprendre ! elle ne comprend pas ! elle cherche à comprendre ! elle ne comprend pas la chose ! elle cherche à comprendfre la chose ! elle ne me comprend pas, elle m’observe, elle ne 

me lache pas du regard, elle ne mze lâche pas d’une xsemelle, elle ne me qsuitte pas, elle me suit partout, elle cherche à me capter ou capturer, elle est celle qui me cherche continument et jamais ne me lache vraiment car elle veut de moi car elle m’aime fort, car elle m’adore , elle aime ma personne, elle me veut mort comme ellle ou comment dire ? comme elle devenu La Mort, ou comment dire ? confondu ? gfondu ? pris ? capté ? capturé ? absorbé ? avalé ? ingurgité comme un met déposé sur roche ou sur une table ? je ne saurais préciser la chose à ce jour car je suis le pauvre des esprits du monde, fine fleur de la roche bete, bete comme chou d’une roche dure, pauvre en tout  y compris en esprit malin, fin de peu de rien en somme, une larve d’intelleigence en bagage, rien ou pas loin à montrer, en termes de perspicacité, etc, je suis pauvre d’esprit, chant de peu, court-circuit, etc, car kje suis court, je ne vais pas loin ou pas bien loin, je ne vais pas loin en image, en rien, je suis pauvre en termes d’esprit des choses à comprendre, je ne suis pas fort ! je ne suis pas bien futé ! je ne suis pas bien malin ! je ne suis pas bien doué ! je ne suis pas bien doté ! je ne suis pas bien muni ! je ne suis rien qui puisse vous emballer en termes d’intelligence profonde, large, envahissante, globallisatrice, etc, je suis un petit etre de roche dure (bouquetin) qui file sur roche son temps de passage et regarde à brouter son herbe, essentiellement, au passage, je suis homme de peu de foi en quyoi , en son etre de vie vive ? en quoi d’autre ? mon nom est bouquetin l’Ancien, je suis chantre, je vais et je viens en roche comme une bete rosse de paroi, mon nom est Bouquetin le Chantre de ces lieux de roche, je suis homme bete de céans le bouquetin mâle, et aussi femme-enfant d’une roche des prés, bete femme, bete homme, bete enfant des rochersss, bete des rocghers de rage , femme des prés, homm des sous bois, enfantillage, homme-enfant de rage folle, 

hurlant la mainmise sur lui et pleurant sa rage première : ne me touchez pas sacripan ç! ne venez pas troubler mon pas ! je suis et veux rester en vie car je suis vivant et compte le rester longtemps ! la mort gare-toi et gare à toi ! va ton chemin, Mort «de mes deux «, merde ! merde ! merde ! merde! merde ! merde ! merde ! merde ! merde à cette... qui me  casse le... et me fait grave chi ... etc ! car «merde à la mort « est le minimum, en vrai, que je puisse dire = le dire ! le dire ici est du «merdum», adressé à quui de droit = devant soi, ce qui est à dire ici est cette chjose de paroi, comme quoi le langage, le langage articulé de l’homme-femme des cavernes (le sempiternel), est tout entier inhjures à déité de roche ! en intégralitécou dans son intégralité ! kla rocghe est belle dame ou bel homme d’aspect et la mort est le ver dans la pomme (misérabkle) d’une roche antédiluvienne ! je suis homme des cavernes menacé par la bande langagière de céans , je ne suyis pas l’etre qui file sous roche et se tait mais tout au contraire la voix tonitruante d’une adversité à la mort de roche ! je cherche à comprendre le sang ! je suis homme

 de ce peu de foi en son wein, car il ne comprend pas la mesure vitale des apprêts de roche, que suis je en vérité sinon l’adversité ? je tremble devant la roche mzais je n,e romlpts pas ! je suis ombre-homme, homme-ombre ! je suis rage des pouvoirs célestes ! rage au coeur d’une faille antrapariétale, antédiluvienhne et intrapariétale, je file doux mais ne rompts pas avec la paroi : je dessine des aurochs, des mammouths, des chevaux, des ours, des rennes, des bisons, des bouquetrins à couille etc, je ne lache pas le morceau, je suis homme-hombre des cavernes du sud de la france et du nord de l’espagne et mon coeur bat à l’unisson de laz paroi ! homme vif , chaleureux, vivant, aimant, vibrant, amourzux, le sang en lui est une rivière etc ! mon coeur est à l’unisson du chant de laroche ! je veux tout savoir de la roche du temps ! tout pour me plaire en elle ! vivats ! viva la vida , 

etc ! mon coeur est vif argent, va dedans, rentre, s’immisce fissa et charge et cherche à comprendre le pourquoi de cette chose temporelle d’un déroulmement langagier de soi dans le temps d’une roche dure aux tourments divers, pourquoi ? 

nous voulons comprendre kle sang , et le sens , et pour cela : fissa dans laroche ! trouble dans le vent ! je file ! je suis homme des défauts de roche et autres fissures d’arret, je veux l’ombre et la Chose, l’homme et cette chose en soi qui me regarde dangeureusemùent;, La mort est rageuse et m’en veut grave ! ! merdum ! je suis un homme qui irait

 à graver des betes sur une roche, je szerais cet homme-là, qui graverait des betes de bon poids,

 sur une roche, dans une grotte, je veux être cet homme là, qsui dessine et grave des betes toutes de bon poids, sur la rocghe du temps langagier = musical = déplissé = déployé = dével;oppé = déplié = déroulé colmme tapis de sol, ou bien ruban de mercerie, je suis cet holmme des temps reculés (aurignaciens ?) qsui va en roche à la recherche d’une vérité, je syuis armé de mon baton brulé, et, que fais je ? je dessine des betes de roche, pretes à en imposer et à influer et à convaincre (vaincre) en vrai kla dite déité des dires de roche (rocche vive) : je veux troubler ! je veux faire accroire ! mon coeur est l’organe de ma foi dans le langage appris, je ne suis pas etre de rien mais je suis etre de ce tout verbal inculqué acquis, qui erst verbe de rage de ka vie sur terre, enveloppement viscéral de base, la colère ici incarné, ou bien les chatiments à donc déplier ou déplisser sur la rocghe dure du temp^s alloué à une vie (terrestre) par qui on ne sait mais par x ou y de roche dure, je suis homme de ce x ou de cet y, qui file fissa sa pelote (fil de soi) sur roche = dans le temps, soit le temps imparti ici à sa vie rude, je veux et trouve ! je veux savoir et trouve des savoirs ... à même la roche ! je suis ombre et homme dévolu! je file fissa, dans la rocxhe des temps adoubés et, de ce fazit, comprends la chose en train de se dessiner ici sous mes doigts : cet aurochs des déités de rocghe, ce dit «bouquetrin viscéral», ce renne des données de rage, ce bison de pleine mesure, cet ours au taquet, ce lion à emporter etc, je regarde sous mres doigts se dessiner ... la rocghe du temps, les tourments, les saillies, les chants rudes, les efforts de rage, etc, je devine ! je devine le

 pot aux roses : la mort est une entité de passage, elle nouis regarde car elle a des yeux, elle voit tout comme un dieu vivant, elle ne lache rien tant qu’à faire et nouscespionne jour et nuit de pied en  cap, la mort est une bete de paroi, elle mesure un bonn m!ètre de vie vive , ou même davantage

 = elle en jette grave, cvomme une sorte de bete géante, animal de poids comme une sorte de massif de rage rude, je vois en elle une sortye de vive incartade, ou bien de vivat, une sorte de chose dure, qui vibre, qui nous chzante ou chanterait sa mélopeé de bure, applaudissements carcéral, mural ou paréiétal etc, la mort esrt cette chose rossse de paroi : aurochs ? ou quoi d’autre ? je suis homme des sentiers battus et je vais, à l’intérieur de cette roche de paroi, poour dessiner des betes de fort poids qui sont des betes-mots, betes-mots de fortune, insultes, gens de rue, crachats, va nu pieds comme mendiants, rien de race, perduraison d’un rien qui se plie mais qui ne rompt pas et c’est la chose à retenir : vive la vie vive et ne cédons ps aux appels de pied de  cette bouche des apprêts de roche, bouche -trou de roche, bouche-baise, saligaude, cette Chose en soi de roche dure, ouverture à l’iris, conséquence, tentative, appel, survivance etc, je ne suis pas l(homme des appr^ets, je ne suis pas ton homme de la mort ! je suis l’homme cde la vie de roche vive ! je tiens bon la barre de l’embarcation ici rupestre et ne m’en lmaisse pas conter (non de non ! ) car je veux vivre = je suis l’homme qui veut vgivre ! je suis l’homme qui cherche à tout prix (incantations) à tenir bon face à l’adversité d’un appel de pied, merdum» dis je , et je réitère ! je dis mille fois «merdum», mille et une fois merdum « , les voilà : merdum , merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum;

, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum merdum, merdum, merdum, merdum, etc (1000 fois) à la mort en roche, à Mort de la Rocghe des Prés, à Dame MOrt des roches Dures, à Mort de roche la dure (monsieur ?), à qui de droit, la mort, Insulte ... ou comment ? je dis La mort , pensant LA vie ? je dis La 

quand je dis Le, et je dis Le quand je dis LA ? que dis je ? cazr quoi ? la mort est une entité à part entière, la mort est une chose ruge et rugueuse, la 

mort est un appel du pied, la mort est une échancrure, la mort est 1000 yeux de sa race, la mort est une forme cdrôle dans la roche : trou borgne ? fistule ? claudication ? cambrure ? catafalque ? cache-misère ? je cherche en quelque sorte abvec cette chose, d’un la,ngage animalier , je cherche vif à partir de moi et jusqu’à la roche, ce que donc icelle (la mort) pourrait bien être pour moi (nouys) qsui syuis (sommes) cet etre (ces) démuni (s), en termes de .... profondeurs de l’etre, en termes de .... choses d’une intelligence (allouée) humaine : grave ! grave démuni(s) ! l’ai-je dit  ? ou l’ai-je assez dit ? je veux comprendre, et dès lors, je cherche à tout va, et conséquuemment, la chose ! je veux comprendre et par conséquent me voilà, qyui cherche vif le sens de la chose ici en roche, car, 

la mort est une déité, cela oui (tablons !) et aussi : des yeux, on le voit, et aussi un trou : lequel encore on ne sait pas, on cgherche vaillamment, on ne lâche pas le morceau, on dit : le morceau et du coup on pense à une mort qyui en vrai serait matière, étoffe qui sait, tissu d’insanités vivement proféreées à son encontre, ramassis de mots («merde !») jetées sur elle par des hommes et par des femmes des cavernes et bien au xdelà, on dirait cela, comme quoi

 la mort est souillée ou souillure, dxu fait qu’elle s’en ramasse (à longueur de temps) plein la gueule, d’insultes, d’invectives et autres saletés verbales ou même insanités de toutes sortes et de toutes origines ou acabit, nous pensons dès lors que la mort «ramasse» grave, s’en entend des verrtes et des pas mûres, de tout, qui fait d’elle une souillarde, souillarde ambulante ; ambulante, car, elle nous suit ou suivrait à la trace (de nos injures proférées ? de nos saletés projetées , dé^poseées, en guise d’offrandes ?) et voilà ce qui en est ici, qui s’ensuit, à savoir cette chose, comme quoi la mort est sale ! sale de chez sale ! elle pue le fenec, sans rire ! elle coccotte dur ! elle pue lma merdxe ! elle empeste , et pourquoi cela? car, elle subit les assauts multirépétés de tout un chacun chacune qui l’invective et l’injurieb à longueur de temps = la longueur du temps ! voilà ce qui est : le Temps dé»roulé de la vie terresrttre= l’invective, l’injure, la chose, dite crue = le «gros mot» de l’enfance interdite ! ce «merdum mille fois « en d’autres termes, ce «mille fois merdxum», cette chose  , je vois cela, je comprends, c’estc à dire que je commence (enfin) à comprendre les données ou disopns à m’apprrocher d’une sorte de vérité quyi sezrait attenante à une sorte de paroi de roche, à l’intérieur d’une grotte, 

le Temps déroulé (pléonasme ?) est insulte déposée comme une sorte de ... don (de vie) royal, commùe sorte d’offrande ici à déité, etc, mais de quoi s’agit il ? d’une saleté vive ! d’une turpitude ! d’un trop-plein de vie toute débordante etc, ce «trop « qui est le «trop» qui est à déposer fissa, afin de complaire, et le tour (de passe-passe) est joué sous les yeux hagards d’une Chose, postée devant soi, $qui serait la Chose ! et voilà ce qui est ici en vérité ou en matière de vérités , nous avons compris (enfin) le lien qui unit ici ce depot sur roche (on dira ... l’art) au temps déroulé qui est ... une insulte à agent ! c’swt à dire une sorte d’invective proférée brutalement et vilainement envers la mort ici présente en tant que réceptacle des dires intégraux d’un homme ou dune femme (remonté) des cavernes, «je» est «je», comme «je» est «je suis» ;

 «je» est ce «je» du «je suis», mais aussi «je» tout court = ccette chose rude d’une vie à vivre pariétalement, «nous» = «nous sommes», «je» = «je suis», mais «nous» = «nous» avant tout et «je» = «je» avant toutes choses ! je suis «je» l’homme de la roche, je suis «nous» l’homme double ou doublé de roche dure, mon coeur est double comme une méprise, je trembkle en vérité de tout mon corps devant la mort une vie durant mais je ne cède pas de sitot , je résiste grave ! je suis sur roche des embruns (de bord de mer) , je me loge, me love, je suis Amour fou, rage bete, caresse mais rude ! je ne veux pas de la mort en moi ! je en moi nhe veux pas de mort de rochje ! je en moi de mort de roche ne veux pas ! je ne pas veux mort en moi roche de ! merdum de chez merdum à Mort de laroche du gtemps ! je dis (je redis ) «merdum», car ce «merxdum» est ici la vérité (pour ainsi dire) de la langue (une) déposée sur roche (table d’offrande) par un homme ou une femme des cavernes : soit «m:erdum» en guise d’offrande, on l’a compris = le langage (de a à z) rien de plus ! et ce qui est ici est dit, ce qyui est de ce «merdum» de rage est dit à même la paroi sous une forme animakllière : aurochs , renne, bison, antilope, mouton, ours, brebis, chien,, chat, etc, nous cherchons ensemble (tous et toutes) u,ne vérité de joie, qui puisse nous donner du coeur à l’ouvrage ou nous redonner du coeur à l’ouvrage ou nous redonner de quoi y aller fissa à même la roche indéfiniment , sempiterneellement, le temps d’une vie à maiontenir vive pour soi, noys vivons et ce faisant cherchons dans la roche le depot de soi a minima, etc, à faire, et ce que nous disons là vaut pour nous c-omme pour la bete en   nous, qui desespère presque de pouvoir sortir ou (plutôt) de ne pas pouvoir , de nous, qui sommes des hommes ou des femmes de foi, sortir fissa ! car nous sommes des hommes et femmes à la foi intègre ! nous cherchons en  ous les mots  «de ta rage vive» = la vie profonde, l’influx moteur = le cardial, ou le cordial ; le mot du coeur à vif, ce tic ici et ce tac (de rage) sur roche, 

cette chose intrinséque est le mot de l’inhjure vive , adresseé vilainement, jetée à la face, etc, d’une sorte de... déité de roche ? déité de la roche ? déité de laroche dxu temps ? déité de la roche des temps ? déité de la parole comme avalée ? bouche d’avalabge de couleuvres ? bouche d’avalaghe cde mots de merde ? bouche d’avalages de couleuvres et autres insanités à son encontre ? la moprt avale grave l’insulte et l’invective, et du coup, depuis ttoujours, la mort est une bouche à merde , etc, nous savons cezla, nous le comprenons, nbous comprenons cela de toute nottre comprenure vive de vivants/vivantes vivant vie sur terre et dans la roche dure (même chose en vérité) et voi;là ce que dès lors nous disons de toute l’affaire, nous disons qye nous sommes deux qui cherchons à panser la plaie de notre bouche toute brûlée par la fine lame d’une sorte de percée à même la chair tendre , nous sommes deux (en nous ?) qui voulons pa,nser la plaie de notre bouche, comme saignée à blanc, à vif, par en bnous une sorte d’épée ou delame fine faite de betes-rages vives cherchant sortie à tout prix, et voilà ces betes (en  nous) qui nouys perc ent de l’intérieur, squi nous transpercent et nous font mal (et du mal)

 et nous font hurler (gueuler) et maudire et injurier et parler mal = parler gras, grossierr, plus quecgrossier ! voilà la chose ! et du coup nous hurlons toute notre misère d’homme ou femme à vif, traçant sur roche des betes de poids,  surnuméraires, betes ++++ , qui sont betes de forte cxhevauchée ou vive chevauchée, elles sont fortes, elles vibrent comme des messages, elles se cambrent vite fait à la moindre remontrance à leur égard, elles ne s’en klaissent pas conter, elles sont betes de rage et de bisque, et de bisqUE-rage des apprets de roche, elles fusent à même laparoi, elles foncent sur leur proie, elles sont costaudes et forcent la note et se présentent temporelleme,nt comme des invectives de opremièresn adressées de fait à une déité qui est celle delaroche mère, à savoir : la mort !  car la mort est une déité, la mort est un dieu de roche, la mort est une drole de chose rude, la mort est la parole rude, laz mort est caméléon, la mort absorbe et prend allure, vite fait bien fait, de k’invective ou de l’injure à elle adressée, je suis je l’homme de la pampa ! je suis je = je suis vif, je suis je = je suis homme des temps vifs , je suis je  = je suis cet hommme-hombre des temps reculés = la pampa 

! je veux vivre pour le coup ma vie de rocghe des tourments sanglants, je veux et jke vais, je viens et je vais, je serais cet homme rude aux allures de «chantre» (de chaman ?) et je m(immisce en roche sur le pouce, 

direct, chargeant de tout mon poids et de tout mon être la roche des temps ! je (je) suis (syi) cette (cette) chose (chose) quer (que) je (je ) veux (veux) etre (etre) pour (pour) belle (bbele) la (la) déesse (déessse) de (de) la (la ) mort(mort) des (des ) embruns (embruns) , ainsi de suite : doublage ou doublement des choses dites (nous) comme une sorte de redite liée à une vision liée à une vibration liée à un sentiment lié à des effluves liées à des mots ... de roche des temps= un déroulé pour une insulte et une insulte pour un déroulèé , tapis ! et voilà ce qui est ici, cette chose en soi (en moi) qui dit ce qui est qui s’impose à soi (doublure !) tout comme kles tourments ici qui viennent se placer pour soi sur roche, et vous faire trembler et trembler, je vois roche sous kle sang, je vois lza roche et le scxang, trembler et trembler, je vois trembler la roche sous le sang qui bout, je vois trembler la roche sous le sang (jeté) quyi bout, je vois, qui tremble, cette roche des parois, sous l’effet de la chaleur du sang bouillant, je vois tout ce sang, ces effluves, cette chaleur montante, ce sang de la roche, sur roche, ce depot de sang sur roche, je suis vbif comme une peau d’homme ou de bete, je suis (disons) vif comme une vie de bete ou cd’homme vivan,ts, je regarde la paroi, je suis homùe vif, je rehgarde dfevant moi cette paroi du monde, et, j’essaie de comprendre les enjeux gs’y attelant, ou attenant, que sont ils ? je suis homme de la roche dure, je suis homme des embruns de bord de mer, je suis homme des embruns de roche, je suis vif l’éclair aux 1000 tourments, je suis un homme des cavernes, je suis cet homme des cvavernes ici tenu, je suis homme de roche dure, je suis cet homme des rocghes dures, je suis hombre de la roche dure, je suis homme des tourments,; je suis ombre et hombre et homme et femme des tourments, et aussi bete, bete de rage des tourments, je suis homme vif de roche dure et bete de rage des temps impâretis (à une vie ou deux) terrestres en diable, mon coeur frappe et bat et tape  car il est vivant et ne s’en laisse pas conter, de fait, par la bande, à la une à la deux, le voilà qui frappe ! cogne la paroi du monde, et grave à l’en-vie des betes de choix, qui en imposent et se posent là, il s’agi-t pour le coup de betes de charge (captures), il s’agit de grooses betes de charge lourde, des aurochs pour ainsi dire, ou des buffkles de donnée rapide, je file ainsi sur roche mon (propre) fil de vie, je dessine l’insulte grosse et grasse en termes d’offrande, je suis l’homme au baton de bois, au charbon, qui trace un visage de bete rude

 et insulte la mort au passage, et ce trait est du temp^s de vie en barre, rien d’autre que ce temps vif, de vie vive de baton br ûlé d’une vie de rage, car vivre = souffrir et parfois non, ou moins, la vie = le passage, sur soi, d’une bete d’invective à l’egard de «mort la belle b ete», nous disons que nous devons mourir, nous disons que nouis devons mourir, nouys disons que nous alloons mourir, nous diso,ns que nous allons un jou mourir, nous diso,s que nous sommes tous et toutes

 qui allons mourir, n ous disonsque rtous et toutes nous sommes qui un jour serons morts et mortes, nous disons que nous sommes deux (ou plus) qsui alloobns mourir ! nous allons mourir ! nous allons mourir !nnous disons que nous allon s mourir un jour ! le jour viendra ou nousseron,s morty ! ce jour est le jour J de la paroi ! je suis homme des ezmbruns (de roche) et je vais mourir ! je dis que je vais mourir ! je suis ou serais celui là ou celle là qui va mourir ! je suis celui ou celle qui va mourir ! 

le langage est le parler du jeu, et non point de la

 «vérité des rochges du temps», 

le langage du jeu est le langage vrai, le jeu impulse et gagne la mise, le parler dit «articulé» est le jeu en soi, le verbe est le parler dfu jeu et non des savoirs tranchés, le parler est jeu, est le je d’un soi dédoublé, je suis cvelui là qui joue

 sa joue (trouée) sur roche (saignzante ) du temps, je ne tremble pas ou pas plus que  ça, je suis homme de la roche dure, le parler est le $parler du hjeu de roche dure, et non point d’un savoir tranché (découpé) à l’emporte-pièce sectaire, je dis (je) que le jeu est dit, je dis = jeu dit, =jeudi, car la vie ici ( 15 juiillet 2021) est chose de rage et aussi de race et aussi chose de beauté ancrée pour ainsi dire dans la nasse x’un temps pariétal, je dis ce que je dis qui est du jeu dit de rage vive comme le temps, le sang, les tourments, le vent dans les branches, etc, 

je suis homme d’un temps découvert (ici) sur roche, il s’agit de betes vives (racées) qui vbont à kla roche se désaltérer et poursuivre de leurs avancées de parioi dure, nouys devons comprendre ce qui est ici en roche pour nous, en tant   que : données de base, rudiments, ancrage, saignements, etc pour une sorte de compréhension «de rage», etc, noudevons comprendxre ensemble ce qui est, qui nous tend les bras , nous devons ensemble comprendre les donnbées de base intra-pariétales, et les soupeser  par la bande, et n,ous figurer (dès lors) leur teneur, en termes de   vérités liées (toutes) à une paroi ou sorte de paroi de grotte ou roche souterraine, etc, nous savons cette chose colmme quoi nous avons à comprendre les données du monde, nous savons cette chose ici comme quoi nous devons creuser (profond) laterree du monde, les choses rudes, le vif du dur etc, car la vie est rude volée, chose crue, rageurs, turpitudes à devoir déposer sur une butte,,  ou table , ou roche, cvomme autant de betes de poids allouées à une paroi 

d’ornementation rupestre, 

nous passons sur la paroi, notre charme sous influence, volée ou volette, nous poussons à travers, passons et poussons à travers = gravons (ou dessinons) des betes de rage, ce sont betes de poids lourds, ou comment dire ? choses crues ? rudesses ? nouys disons les mots de latribu et ce faisant nous rudoyons (fort) la mort, mort de la roche ! nous l’invectivons ! nous n’y allons pas avec le dos de la cuillère ! nous voulonbs savoir ce qui est et qui nous gouverne (pariétal), et ce qui est (pariétal) qui nous gouverne est cette chose comme quoi la vie en  ous est une donnée brute, rude, qui file sa misère brute sur roche du temps, et de fait, les mots-betes (§art ?) sont, pour ainsi dire, ce langage ou alors kle représentent en tant qu’il serait dekl’invective pure, adressée, à visée précise, etc, comme une flèche (une flèche cde temps) jetée (filante) vers une sorte de "cible-déité" ancrée da,$

ns la roche , ce que nbous nous disons ici, est cette chose (donc) cvomme quoi le mot, est jeu de roche dure, ne sort pas du jeu de roche dure, il s’agit d’une sorte de jeu enfantin des roches du temps, un jeu pour un autre, une sorte de succédané de parole vive, un langage perlé, princier, rupestre, modeste, louvoyeant, etc, qui mène sa barque fissa à m:ême une roche (ornée dès lors) du temps et c’est ainsi que l’homme -femme des cavernes (que je suis , que nous sommes ) s-’y retrouve, faisant absratction de sa gouverne pour toper en lui la bete et, dès lors, la présenter sur son devant de vie qui est sa vie (de rage) alentour, espace temps circulaire, rond de gite, carême, chou à la crème, etc

, nous disons : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiikikikiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii à lka vie en   nous ! nous voulons dire, ce oui ensemble = main + main, car nous sommes deux en noys-mêmes ! qui + qui ? nous cherchons ! nous voulons comprendre les données de base quyi présideraient à une vie humaine, à vie d’homme _femm des cavernes, à vie d’homme-femme de céans, nous vopulons comprendre ensemble cette chose, et pour cela nous nous glissons en cette roche des tourments, nous disons cela ensemble, comme qyoi nous sommes tourments nous -mêmes, nouys voulons comprendre, bnous cherchons  !  nous sommes de la partie fine, nbous nous exécutons sur roche et traçons la bete à main libre (libre ?) comme des enfants, 

notre coeur est le coeur de ce tourment de roche, je vais sur roche commùe l’enfant ici en bvord de mer va à la mer, je suis homme des roches ornées, de la roche du temps ornementée, je cherche pitance dans kes trait sd’une roche rude, mon nom s’inscrit à l’emportée, il s’agit d’une effigie de rage, tracé monstrueux, caillasse, rage-bisque de ta race et autres mots d»’’emprunt, je suis homme des temps furibonds , je suis homme vif de rage vive, la vie en moi est ce parler (total) de l’invictive ornementale ou d’ornementation : je crie , ma haine primaire = ma douleur, en termes gras qui sont  ceux de l’injure grossière, de la pleine mesure injurieuse, du trop plein et ce trop plein est injurieux, est inhgjure, est grossièreté de type aurochs de roche, ou buffle-sanglier de terre-mère, il s’agit s’une  bete de poids, pesante forcémen,t dans la bnalance, chaude bete rude rugissante, elle pue, elle force la mise, elle est enragée, elle hurle à la vie à la mort et son parler est d’i nvective car elle souffree sa mort en mil;le, et ne veut cela ! elle ne veut pas cela bougre de non, elle ne le veut pas ! elle veut vivre ! elle dit dès lors cela = ce trop plein lié à la douleur du vivre terrestre, elle crie sa douleur de r age, elle hurle à tout va sa vive douleur du vivre terrestre, elle crie-hurle son lmalmheur de bete en misère, elle cherche issue et voilà l’ornementation salutaire, dépot sur roche de cette invective de paroi, dure mère, caillassse, caillassage de roche xdure, ce depot de betes, cette voix, cette voix qui vocifère et dit sa haine comme  ça : 

« purée !!!! pure purée de meu !!!!», etc, 

elle dit peu mais vif ! elle en dit long sans dire plus ! elle chie sa gourme, et sa haine et sa vive beauté par la même ! elle pue ++ son ressentiment en roche, le pue, le dit puant, ou comment ? elle est :

cette bete rugissangte qui hurle sa peine mortelle, et vce trop ploein est «vie» donnée sur une roche (à la mport en attente) et se veut vie tout court, or vie-verbe n’est pas vie tout court, le mot ici ( de «vie») n’estc pas la chose , hé! et, c’est ainsi que la mort encaisse ! écoonomie ! salut ! échange et partage ! don de soi pour une rentrée ! «je taime» et autres tourments forestiers de cervidés ! je chante à tue tete et je crie ma haine ! mon parler est ainsi celui du charretier, de la charretière, mon parler vrai, le seul qui se tienne, etc, je ne crois pas aux mots de tete à froid, je suis homme /femme de la ragee ou rage des temps car le temps qui passe est fait dxe sa rage, des tourments tous accumulés comme en une nasse, etvc, je cherche une voix qui porte ou porterait , je regarde azutour de moi, je veux statuer ! je suis ombre !  je veux croire ! je dis que le mot et la chose ne s’égale pas sur la roche, et que la mort a qu’à ! a qu’-à se tenir ou se bien tenir ou bien se tenir et ne pas chercher à bnous enfumer ou nous anéantir ou bnous saloper ou nous enchâsser ou bnous ensevelir ou nous encadrer ou nous saborder ou nous prendre par la peau du cul etc, nbous ne voulons pas mourir !  nous ne voulons pas céder du terrain sur la vie qui est la nôtre ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pzas lâcher prise ! nous ne voulons pas laisser le temps ainsi sans soin, nous voulons donner de nous du temps soigné ! et non point notre feu central, la roche brûlante, ou commùent , 

je suis l’homme dxe la roche dure, je suis homme des embruns de bord de mer, je suis homme des rochers tremblants mais qui ne cèdent pas, je suis homme vif, je suis chien, je suis animal de race, je suis nommé, je suis frappé, je suis couché sur la paroi des temps alloués, je m’appelee jean, je suis rageur, je suis ombre sur paroi des tempsc anvciens, je suis chaleur en jet, je me pose sur roche du temps aux tourments, je pleure mes larmes de sang,, je suis homme des cxavernes aux sentiments exacerbés du fait qu’ils sont vivants, je dis ce qui est d’une sorte de déité, déité majeure, celle là qui est postée là sur roche près de soi eyt vous regarde fixement sans ne jamais baissser la garde (étrangement ? ) , 

son regard est fixe-vif, ne trembkle pas, cherche complaisa nce, vous recouvre, il s’agit d’un regard de rage, uune mort de bete sur paroi, une remontrance mais ne cédons pas à son appel, soyons sur nos gardes à nous, ne nous donnons pas trop vite ! je  cherche une voix et une voie (en roche) pour moi, ma gouverne, mon allant direct,, ma chance etc, je suis un homme des temps reculés par apport aux miens ou comment dire ? lointains ? je cherche la vérité , la vérité n’est pas de  ce monde ! je cherche la vérité et me dis qye la vérité n’est pas de ce monde ;,, autrement dit: la vérité n’est pas dans les mots qui sont les nôtres, ou dit autrement (en vérité) : les mots ne peuvent circonscrire (de fait) une vérité qu’elle qu’eelle soit, or, ce dire (précisément) s’annonce ou se présente ... en tant que vérité !!!!!!!!!!! d’où la misère  !!!!!!!!!!!! et la tres tres grande contradiction inséré à même le langage, le langage est jeu et en tant que tel contient sa propre contradiction, et de ce fait, et pour ainsi dire, la vérité du langage est la vérité du lan gage, la vérité du :monde est cette vérité, comme quoi ... il n’y a pas de vérité qui soit (= possible) via un emploi quel qu’il soit du verbe, or ce dire ... s’affiche comme une vérité, alors voilà ! la contradiction primùaire, le feu sou$s roche, la chose en recel, le jeu, le je , le je du jeu, le «je dis cette chose », ce « je dis » de la chose, et ce jeudi= ce temps monnayé, etc, 

je suis sur terre en tant que je qui dis une chose, c’est à)àà dire une affirmation positive, mzais celle ci est comme négativée d’elle même intribnséquement, et le tout constitue dès lors la contradiction primaire, priincière, royazle, conséquente, dure comme la roche, le noyau putain ! ce noyau de meu qwui nbous encombre et que nous dépôsons comme une bete morte sur table d’(offrande : cette exclazmation inhjurieuse , ce mot grossier , ce «putain de meu» jeté balanczé et démerde t en ! et voilà ! car, la mort est là, devant nousw, qsui s’interpose, comme une sorte de réceptacle (bouche) dx’avalage ! on voit cela ! on sait cela ! on comprend cela ! on le subodore ! on est deux pour ça en soi : yin / yang de basx étage ? comme quoi ? 

nous cherchons, nous cherchons cette chose de ce dire  double, ou comment ?  nous chercxhons cettye chose d’(une sorte de dire en soi, qui est double, qui est particulier, qui tire à hue et à dia, qui va ici et qui va là ! je cherche ! je cherche de rage ! je cherche une voie de rage et de paix associées  : qui suis je ici (je) qui contient ou contiendrait en moi la «contradiction « du langage parlé ? qui je suis, en moi même, qui comprtend( = contien) la contradiction inhérente à tout idiome articulé par une bouche d’homme / femme ? qui je suis qui contient en lui /elle, cette contradiction inhérente à sa langue, quelle que soit la langue, touteszx , sur ce point, sont égales : qui ? je chertche ! je suis 

je, l’homme de la manche , ou du machin qui serait glissé dans la manche ? un double terrestre (terrien ? ) ? je cherche : je suis homme , au langage parlé de la roche, mots = injures, = dépots sur parois = vivacités = chants dazur, = chants  de betes de poids rageuses, je veux comprendre les données du monde et ce qui est ici en termes de choix, de choix à faire entre deux assertions qui en vrai se contredisen t, etc, je dis que la vie est riche  de vies (diverses) en elle même  (animalières) et voilà pourquoi ... cette e=mpreinte de soi sur roche : mazin, mùain , main, main,; main, main, main, amain, main, main, main, mzain, main, mzain, main, main, main, main, mazin, mazin, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, mazin, main, mzain, main, main, main, main main, etc, mains ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ 

sur roche du temps , mains en plus, plus plus de mains sur roche, etc, nous sommes homme / femme sur parois, qui vont /viennent dessinant, nous traçons x figures de betes, traits sur rochz au bois brûlé, nous parlons le langage (inné ?) de la roche dure : cris primùal ? chant de couvée ? chant d’azur ? cris de guerre ? mots-betes de rage ? cris de douleur au pazssage ? rugissements incantatoires ? que suiis je sur roche que je ne sais pas ? que sais je de moi ? suis je blanc comme neige ? suis je noir comme tout ? dois je rire de moi ? suis je bete-mot de ta rage folle, débridée ? dois je p;leurer sur moi de moi ? suius je indemne de reporoche ou pas ? suis je l’animal blessé, criant sa douleur maussade ? dois je crier avec la bete en moi qui semble trépigner ? suis je un animal ? phoque ? otarie ? je cherche ! je suis moi-je la bete de la roche rude, je crie mon tourment à même mon sang ! je cherche la Chose de pôids , je regarde (autour de moi) ce qui pèse ou pèserait et que vois je ? le bison racé, le buffle fort, le bouquetin trapu, le mammùouth géant, le chevreuil aux bois haut, la biche gracile, l’ours debout, le lion couché, l’antilope, je veuxw etre bete moi-même (très) pour la saillie, je veux corresponxdre, que mon mùoi aille à plein avec la bete et qu’ensemble nous ne fassions qu’un ! je suis homme des roches et rocherrrs, je mange la chair de la bete, je suis ambré, je suis homme de la terre meuble, je veux filer droit en icelle et comp^rendre les données les plus subtiles qui soient en la matière, ou en  cette matière d’un dedans de soi animalier qui serait la bvérité vraie de roche dure, je chercbhe une sorte de clé permettant l’accèsd à une  vérité de poids, je cherchev volontairement, sciemmen,t, vivement, les yeux ouverts, je cherche vivement la chose, je veux savoir , je veux comprendre, je fouille, je veux aller loin en roche, je veux creuser loin en roche, je veux creuser dans les profondeurs de la roche, je veux creuser profond en cette roche des embruns, je veux creuser profond la roche du temps, je veux creuser profond la roche dure des temps alloués à une vie terrestreanimalière et humaine ou humaine et animalière , je veux comprendre le tourment lié à une vie de roche dure, kje suis hommùe vif du tourment racial, je creuse : je suis une bete, c’est à dire une sorte de bete, c’est à dire , une sorte de mot-bête de roche allouée pour un dire fou, à dires fols, ou alors comment ? je suis homme des embruns des rocs et des rochers de bord de mer, je cherche une voix / voie de halage ou de passage, je suis homme sur la grève, je marche vers les embruns, je chercbhe  vérité de poids «qui puisse le faire, le faire grave» et comme me sweconder dans ma tâche qui est celle de troujours en avancer (fissa) sur la voie ici d’une sorte de recherche double : 

vers la vérité des choses du monde, 

vers la vérité des choses du monde ... de la mort,

double = vers les choses du monde alentour, et, aussi, vers, ici ... la vérité des choses cde la mort, 

je vois ce qui est et je comprends la chose dédoublée, je vois la vie qui est déposée et je comprends cela qui est pour nous cette chosecomme quoi nous sommes «appelées» à mourir un jhour ! mille misères ! je vois cette dualité , avec d’un côté la vie (alentour) vive et de l’autre l’appel sur soi, la chose dressées, ce chapeau cde paillle xd’italie, ce quoi ? cette débandade ? ce relent ? cette musaraigne de parade ? la mort a des aspects divers, elle charge de partout sa peine, elle ne lâche rien, elle est souterraine, surterraine, de plain pied, elle s’(accroche et mange à tous lkes rateliers : musaraigne de première ! elle charge ! la mort est égale, ne sombre pas, rameute, chie sa gaine etc, je cherche ! je suis homme des cavernes armé de mon bâton de bois, je vais de mon pas assuré dans la lande, je suis homme chassseur de contrebande, je dis le mot de la bete rossse sur roche, le grave, je dis le mot de la bete vive sur roche , et le grave aussi (ainsi de suite) en lévitation (transe) en une sorte de pazrade spectacu:lzaire qui en jette (je, je , je , plein) afin de convaincre , capter une attention et laz tenir serrée, celle de la mort, la bloquer, la tenir au bout du baton, lui faire garder  ses distances, je suis homme de roche des temps, je suis l’hommùe en roche duu temps inséré et  cherche à comprendre (dans le vezrbe de la roche dure) le tourmen,t ins»éré, le mal de base, le mot grav»éé, la parole fine des tempsq ancrés etc, je suis hommùe des parois du monde et je vais /viens à même la roche : incantations massives, solidarité pariétale, jeux de dupes, chants choral, double détente, jeux d’enfa,nce, colère, transe parodique, tombola ! je suis un homme fou (de roche dure) inséré ! je suis homme des cavernes au sang vif , qui donnhe de lui une chose, une chose seule, et non pas le tout de son etre, et cette chose ici donnée (en roche) est gouverne animalière, temps passé lourd de son poids surnuméraire déployé, je suis homme de rang, je m’avance, je parle à tout va à pareille entité pariétale, l’invective fissa (paroles de poissonier ou de charretier) et ainsi fait, je me sens tout léger ... un temps, comme peut-etre soulaghé par en moi ou de moi la chute brutale d’une bete dure, rude, forte, massive, sortie enfin de mon antrte, et qui sur roche va ainsi, gambadant à qui mieux mieux, soulager (elle) sa gouverne,

 et voilà ce qui se trame dè!s lors, sous mes yeux d’enfant échaudé, ce qui se trame est cette chose rude,; ce tombé-jeté de betes-mots sur la roche du temps, ces sezrments, ces cavalcades ensdiablées on le sait, tout ce tralala de première, cette musique primùaire, ce chjant d’azur, nous voulons aller vers la bete reine, sortie (il y a peu) de nous, nouys voulons cher cher les betes- mots de roche dure sur le tas, nous sommes vifs et vives = vivants / vivantes et non morts et mortes comme la roche rude, nous voulons connaitre les enjeux primaires, les données justes, les parties complètes (toutes) , et autres articulzations p^remièresq entre elles (entre les parties ) , nous sommes vifs et vives et tombons des betes, de nous (bouche), sur paroi du monde à graver, l’homme / femme des  cavernes est la bete-mot de la roche, son  nom est ghravé au stylet, à la pierre aiguisé, il/elle parle langhage rustique (rupestre) de charretier, tous ses mots vont direct à l’invective salutzaire , vivre = conspuuer ! vivre = touyjours et encore et en tous lieux et en toutes occasions et quelle que soit l’époque : conspuer la mort = conspuer , vivre ou conspuerr c’est la même chose , le coeur bat = conspuer ! nous disons = conspuons, nous vivon,s , nous sommes en vie = nous sommes une iunjure à la mort, etc ! cela est, de source sûre ! cela est, la vérité vraie ! 

la vérité vra ie est logée en  ce fait que la vie en wsoi (en bnous) est une injure (incantation) envers dame ou sieur de la mort en branche (oiseau ?) qui nbous «regarde» sans faioblir et jamais ne nous lache la grappe ! car la mort est là (toujours) qyui surveille et cherche à nous adjoindre à elle, forcémeznt ! elle nous veut car elle nous aime ! elle veut /aime nous ! elle est  cette Chose de rage affolée, qui semble la passion ! nous ne voulons pastomberdans ses filets ! nous voulons (mordicus)  croire en nottre étoile de salut rupestre, tracer la bete-mot de roche hospîtalière, l’aurochs des tribus, nous voulons comprendre loin, comp^rendre longtemps, vif, vif nous voulons ! nous voulons comprendre loin et longtempsq les données du monde (royal) de la vie et de la mort, ce que l’homme/femme est ... , 

avec des mots de rage c’est coton, mùais essayons ! nous disons que c’eswt coton car nous sommes sûrs et sûres que cela est , car nous avons des convictions (foi) ancrées, car en nous les mots , le verbe, des locutions, sont ancrées qui nous portent vcomme  bleszés sur leurs civières, etc, les mots nous portent comme portent des civières, eureka ! et nous de nous laisser pôrterr(une chance ?) par la bande ! car nous sommes deux, qui sommes, n ous memes, ce je «de roche des temps», je = nous, en termes de tourments rocheux et de mains surnuméraires ! je suis je l’homme du nous grégaire, etc, MON NOM est affiché comme à la porte du salon, je chante  mélopée acide, je rugis comme un animal, je crie guttural à toute blinde, je chevauche les données, je cherchje issue , je suis homme «de la roche des embru,ns», je suis homme au verbe imagé, violent, cabossé,, qui veut comprtendre les soubassements

 du monde de la roche dure 

des temps impartis : qui je suis en termes de vie, qui je suis en termes de tourments ? suis je un animùal ? une chose borgne ? un trou ? une perle ? une pouussière, poussière d’étoile ? un hommùe ? un homme-enfant- femme ? une parole d’évangile ? un serment ? un salut ? un jeu ? le jeu ? le jeu de base ? le jeu ancré dans la roche, le jeu = le vide entre les éléments ? y a t il du vide entre les éléments ? 

je suis homme des roches et des rochers d’une terre-mère .. allouée à une vie terrestre, je regarde autour de moi les betes paitre, je suis homme du jeu (enfantin) de la parole écartelée,; je suiis homme d'un jeu, dxe rage folle, détendue, offert, qui voit pour ainsi dire dans la roche l’image d’une déité, déité à tenir,  bon pied bon oeil, à bonne distance, cxar, la mort grignote et cherche à vous happer à la une à la deux comme qui rigole !

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14/7/2021

nous aimons la bête, nous l’aimons passionnément, nous voyons la bete aller et venir en cette roche des embrunds et nous l’aimons passionément, nous aimons la bête plus que tout, cette bete en nous, belle bete au bois dormant, elle nous intrigue et nous séduit, nous en sommes baba, nous lm’aimons plus qu’il n’en faut ou comment dire : plus que de coutume ? nous l’aimons tant et plus et plus encore, nous aimons sa grâce, son allantr et ses chevauchées dans la lande, nous aimons la bête rosse,, la bete des embruns de rage, nous nous infiltrons près d’elle, elle est cambrée, elle nous suit des yeux, ses bois vont haut, nous l’aimons pour sa majesté, son allure fine et musclé, son aura et sa superbe, nous en sommes fous, nous sommes fous d’elle, nous aimonds cette bête de paroi de roche : vive elle ! vive la bête ! vive bête la ! que le seigneur soit avec elle ! vive bête-la ! nous aimons celle ci en son champ d’azur, au milieu de ses congénères, qui va et qui vient, qui broute, qui chevauche la prairie, qui monte et escalade et file et revient et nous regarde, nous aimons ce cerf, ce chevreuil aux bois de race, cette belle biche des parois, ce sanglier aussi, et le bison des prés et l’autre, le bison des bois, et ce chevreuil en majesté géant, cerf de la reine, nous voulons comprendre de ces animaux leur présence soit le pourquoi, nous ne voulons pas rester en rade de savoirs, nous voulons aller très loin dans les connaissances et pour ce faire cheveaucher la roche avec cet animal = le monter comme monture oou comment ? grimper ? sauter sur lma bete et l’enfoucrcher comme une mobylette ? nous sommes baba, nous sommes fous de pareille bete des embruns, nous sommes sonnés devant tant de beauté de rage, nous voulons comprendre ce qui est en elles, le pouvoir induit, ce pouvoir des betes contenu en elles, cette chose en elle vibbrante, ce que c’est, ce qu’est cette chose contenue en elles, = ce pouvoir de la bete de rage, ce pouvoir contenus (en elles) qui est : le pouvoir de la rage, etc, nous voulons comprendre et prendre = absorber, comprendre = absorber, nous voulons comprendre /absorber le pouvoir animal et nous en faire un quelque chose de vital, pour notre gouverne, pour nous qui allons en roche, faire ainsi que ce pouvoir de l’animal en nous fasse son chemin et nous entraine loin, et nous donne des ailes et de quoi comprendre les effets de Mort la Bouche sur nous autres humains, qui ne sommes pas des betes, etc, nous essayons de comprendre ensemble les données de base animales ou animalières, quielles sont elles ? qui connait ces données de base ? qui sait de quoi il s’agit ? qui sait ce qu’il en est de ces donneées de bas e animalières ou animales ? nous voulons comprendre entre nous (petit comité), ces données de base, les ingurgiter, les digérer, etc, afin de mieux appréhender le jour, le jour de la mort, xcar le jour (la clarté) de lka mort est animalière, nous le comprenons, nous comprenons cette cghose, nous voyons pour nous que cette chgose de la mort-(lumière est une chose qui nous pend au nez, qui nous attend comme de pied ferme = animzalier ! c’est -à dire : cette chose est comme l’animal, ou : cette chose ici est cvomme l’animal, ou : cette chose, on voit ici que cette chose, etc, = un animal , ou cvomment dire juste et vrai la chose ? la chose du divin ? la chose douce d’une mort de bete ? nous pensons que nous devons aller en roche ensembkle, et trouver, du coup, la bete pour la déloger et prendre sa place, tel est le chemin que l’on s»’est tracé, à tous les deux : nous allons en roche déloger la b ete , nous cherchons ensemble cette chose, nous voulons comp^rendre endsemble les données de base, les données vives animales, les données de la bete de rage, etc, nous ne voulons pas rester en carafe de savoirs, nous voulons acquérir les savoirs de la bête, acquérir ensemble une foultitude de savoirs de base, savoirs fous et vrzais, ceux là qui nous incombent, ou nous regardent ou comment ? nous ,ne vvoulons pas perdre 

 la mesure du temps, nbous voulons ensemble raviver la flammze , des savoirs (animaux) en nous = déloger la bete de paroi, en nous ou hors de nous que sais-je mais la déloger et prendre sa place, épouser son ombre comme qui dirait ou commùent s’exprimer sur cette cghose d’une bete rosse à déplacer, de toute sa masse, ou comment dire ? car nous sommes deux, nous sommes deux à vouloir ! nous sommes deux qui voulons déloger cette bete en soi ou où ? qui est là dans toute sa splendeur de bete à cornes ou à ramure, nous voulobs ensemble déloger la bete, la déplacer, la bousculer un tant soit peu pour prendre sa place, la bouger, la pousser, icelle pèse ! elle vaut son pesant ! elle en impose ! elle est vive et racée ! elle est belle et fine et élancée et gracieuse et remontée comme une pendule ou pas remontée mais elle nous plait énormément ! elmlle a du sex appeal ! elle est devant nous qui plombe, qui pèse, qui est une masse, qui est un «morceau», qui en impose grave , et nous d’aller vers elle et de lui demander de bien vouloir se déplacer un peu , et si possible aussi ou par la même, de bien vouloir nous donner (laisser) sa place en rocje (etc) car nous voulons, ici même (à la place de la bete) nous «caser», notre but ici (ultime) est en vrai de nous «caser» à la place exacte où était telle ou telle bête dite «des apprêts» devant soi, nous ne voulons pazs y couper , nous voulons coute que coute déloger, nous ,ne vou:ons pas abandonner la chose, bnous vopulons (mordicus) de la place de la bête rosse, nouds voulons prendre sa place ... dans le firmament, et c’est marre, ou comment dire ? car nous sommes deux ! car nous sommes deux ! car nous sommes deux

 ! car nous sommes

 deux ! car nous sommes deux ! nous sommes deux à vouloir cette chose pour nous, cette chose des embruns, des bords maritimes, des vagues dressées, des parois mobiles, des dessins de roche, des dessins eyt autres gravures d’hommes et de femmes  préhistoriques, nouds volulons ensemble (à deux !!!!!!!!!) déloger la BETE ! voilà ! voilà l’histoire ! nous sommes 2 pour déloger la bete ! nous nous mettons à 2 pour déloger la bete devant soi, et quelle est cette bete ? nous nous mettons à deux et ce n’est pas de trop, pour déloger icelle bête des embruns, cette masse de poids lourd, cette masse rude devant soi, ce donb, ce prédsent ou cette offrande du présent de temps, nous nous amenons, nous nous approchons, nous nous fgaufilons près d’elle, nous sommes deux pour ce faire, déloger la bete et prendrecle pouvoir, déloger la bete-présent du devant, ce temps pesant odffert en offrande (temps passé par la bnande : cette bete) et prendre, dès lors, le pouvoir de la bete ici déplacée = ce pouvoir d’elle laissé ou comment dire ? le pouvoir de la bete fauve l(‘attraper ou comment ? nous voulons comprendrec ensemble cette chose, d’une bete de paroi, ce qu’elle est pour nous en termes de pouvoir (efflucves ?) et pour ce faire noius avons à nous approcher d’elle, puis : la déplacer à cdeux = la bouger de là, de ce daevant de soi temporo-spatiazl (lieu de l’offrande à déité -) et cekla fait : prendre le pouvoir ,  c’est à dire aller, vibrer, checvaucher la plain,e etc à la manière dela bête ici delogée ! ou comment sinon ? nous voulons comprendre et savoir, bnous avons une ambition démesurée, nous sommes deux qui cherchons ici la bete à d»éloger agfin de prendre d’elle toute cette chose d’une sorte de pouvoir en elle (intrinsèque) allant vers des fins ou comment ? nous voulons comprendre de la bete ce qu’elle est et cvontient ! nous voulons comprendre cette chose ensemble ! nous voulons savoir de la bete ce qu’elle est au juste : quyi est elle ? comment cfaire pour la délogerr ? comment faire en nous ou de nous ou comment pour cette bete arriver à fissa la déloger sans trop fatiguer , etc, car cela a pour nous une importance considérable, cette chose, cette chose à faire à cdeux, cette chose à faire à qui mieux mieux ensemble ! nous avons à faire cela et faire cela est notre affaire de toujours ! nous devons déloger la bete ! nous avons à délo ger la bete en  ous ! nous devons déloger la bete en n ous ! nous avons à déloger la bete de poids en nous ! nouys devons ensemble (à deux !!!!!!!!!) dé»loger la b ête en nous ! nous devons à deux déloger de nous ou en nous ou comment cette bête grosse et forte, ce poids lourd, ces mots betes de p^remière, etc, ces mots !!!!!!!!!!!!! ces lmots -bêtes déloger !!!!!!!!!!! car ces mpts sont lourds de leur paresse , de leur présence temporo-spatizale, de leur masse et puissance, etc, et à nous de faire en sorte que cela soit comme déplacé de nous afin de pouvoir enfin nous sentir libéré de cette chose en soi d’une sorte de poids qui serait de trop ! nous voulons nous libérer de lma bete en  ous pesante ! nous voulons nous libérer de cette bete de paroi de roche, bete gravée par l’homme ou gfemme des cavernes, enfin la laisser de côté et aller fissa à même la roche gambader l’esprit léger comme une biche des apprêts, mais pour ce fgaire comment cfaire ? poussser ? pouysser ? pousser ? pousser ? pousser la bete ? à deux ? à combienn ? nous cxherchons à pousser la bete, à la déloger, à la déplacer et à prendre sa place sur la place : le pouvoir ! le pouvoir est cette chose ici de l’animal de rage, le pouvoir est cette chose d’un dit animal de rage, il s’agit xd’une sorte de saveur ou cvomment dire, un gout, une inclinaison, ou une pente, etc, nous voulons enesemble, comprendre les questions, les voir devant nous et les intégrer à notre conversation ou comment dire ? les questions s’imposent à notre vision, elles sont devant nous comme des bêtes, nous vboulons comprendre les données natives = les questions de base = les betes de roche = les betes meubles = les beautés nacrées de la lande = les douces vérités des zonez de la vie mortelle, etc, nous ne sommes pas en reste de vouloir cvomprendre les données, ce qu’elles sont pour nous, à quoi elles ressemblent, leurs traits de base, leurs tracés etc, ou les tracés etc de ce qu’elles sont, ou comment ? car nous sommes deux ! car nous sommes deux ! et à deux c’est mieux : pour enfin déloger la bete ! nous voulons savoir ce qui est, de toutes ces betes de poidfs devant soi : qui sontr elles ? nous ne savons pas le quart du tiers de la moitié du centième de la véerité les concernant , nous voulons savoir beaucoup, nous voulons comp^rendrec loin,  nous voulons trouver des choses sur notre chemin de halage, nous ne voul:ons pas rentrer bredouille de notre promenade, nous voulons comprendre les données de base concernant kla mort (notammeznt) et son corollaire : la bete de sang devant soi ! nous ne voul:ons pas (d’aucune manière) 

transiger, mais tout au contraire tenir bon sur nos positions , tenir ferme et ne pas marchander ou se laisser aller ou mener par le bout du nez, eztc,; point de marchandage sur la question etc, nous voulons comprendrecloin et faire une chose ici qui est de déplacer la betye du temps, cette grosse et vilaine (?) bete la bouger de grace  ! la bouger ! car zut et mèfle ! nous devons ! nous devons faire à deux cette chose devant soi ! c’est une certitude ! nous devons bouger la bête ! la bête du temps devant soi (cette masse) la bouger = la déplacer = la bouger devant = la faire circuler , etc ! cet etc signe le déplacement de ce temps bestial du devant : etc ! voilà ce qui est ici ! voilà donc ce que nous devons, ensemble, découvrir : un déplacement des données terrestres, des données de vbase ! notre but ici ensemble est d’agir dans l’idée de dép^lacer subséquemment le poids du temps du devant = ce temps à venir, ce temps deevant soi = la masse, ce temps à venir en déplacer la masse etc, nous devons comprendre ensemblke cette chose ici d’une sorte de déplacement des parties de vie, de vie à venir, nous voulons co:mprendre ensemble ici cette chose , qui est celle ci :comme qioio le temps à venir = la bete en soi, ou disons les mots-betes en soi, cette sorte d'appareil de charge, cette drole de chose lourde, appareil menaçant, cet impactomètre, ce chant de la roche, nous devons aller en rochje à la recherche de lma bete-mot qui est ce temps massif de la rose des vents, ou des temps, etc, nous nous devons de le comprendre, nous devons comprendre cette chose ici , d’une sorte de massif spatio-temporel qui (devant nous) nous oblige oà voir de nos 

quqtre yeux cette chose déplacée,, devant nous, qui est cette bete de poids surnuméraire, nous devons comprendre ensemble ces données, de base naissantes, liées à la bete des temps, bnous nous devons ensemble de comprendre ! quoi est ? qui va ? quand dans ? etc, car la bete devant soi ou devant nous est une bete de belle racée, de belle couvée, de belle nichée, etc, nous ne voulons pas le méconnaitre ou l’ignorer, 

nous vopulons compere,ndre les données complètes, les données de base complètes, nous voulons savoir ce qui est en cette roche vxd’un devant de soi animalioer ! car voi;là la chose : le devant de soi est animalier ! enfin comprise ! la chjose est enfin comprise ! la chose icvi est presque enfin comprise ! la chose ici est quasi comprise ! on comprend quasi enfin cette chgose d’un devant de soi animùalier ! ah la la ! enfin on comprendf ) on comprend enfin cette chose ! ah la la ! car enfin on voit (4 yeux pour ça! ) ce qu’on voit ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! on voit ce qu’on voit = on voit ce convoi, on l’a compris ! on a dit la chose ! on voit ce convoi ! on voit devant soi ce convoi (de temps) animal, et  ce convoi (de temps) animal est un espace temps alloué à une vie humaine , terrestre, qui nous «tend les bras « ou commùent ? l’animal est devant soi la bete de temps monstrueux, temps de roche dure monstrueux ou non ? ou comment ? nous avons devant nous le temps cdéplo yé comme le présent de l’épopée animmalière, nbous voulons savoir de ce temps quoi en tirer en termes de donn,ées de base, et pour ce fzire nous ouvrons nos yeux en grand ! nos mirettes ! nous bvoulons enfin savoir le fin mot = le mùot dela fin ! nous ne voulons pas rester en rade sur le quai m$ais prendre le train lancé des données de base vivantes, nous voulons acquérir, nous -ne voul;ons pas rester betes, nous voulons nous enrichir d’x  ou x données de poids, nouys voulons pousser la bete du devant de soi et comprendre le plus plus que nous pouvons comprendre et cekla ensemble c’est-à-dire main dans la main : une main dans une main ! et pour ce faire : fissa à la banque ! à la banque des données ! une économie de denrées ! vivement ! allons-y gaiement à <quatre yeux ! ne fazisqons pas wsemblant d’y toucher mais au contraire touchons au vif ! alons y touchons ! touchons de la bete poil;ue ! touchons à) pareille bete temporelle ! le temps à venir (devantt soi ?) 

est une bete de poids, elle porte un nom (le nôtre ?) et va fissa filant doux de sa meute, elle est cette bete de poids attitrée à une roche de lza préhistoire, nous voyons 

 la bete devant = sous nos yeux d’enfants ébaubis - baba, nbous ne sommes pas en reste de comprendre ce qui est, ce qui est ici sur roche, tout ce savoir de base velu, de base poilu, etc, ce plumazge ou quoi ? nous ne voulons pas «passer à côté « ! nous voulons comprendre les données cde la base dure, la roche est une donnée brute à bien considérer et nous, nous agissons de concert pour le comprendre ensemble, au plus loin que nous pouvons c’est à dire au plus profond des profondeurs, nous ne voulons pas passer à côté, bnous voulons savoir pour

 nous et pour la bande etc, nous ne voulons pas ig norer, nous voulons faire partie de ceux et celles qui en savent lourd, nous voul:ons nous associer à  ceux et celles qui en savent et lourd et long, nbous voulons comprendxre au plus des vérités, nous ne voulons pas rester en amont, de ces vérités de base mais bien au contraire chevzaucher la rocjjhe et apprendre plus, apprendre plus plus plus de toutes ces affaires de parois aux betes et autres embruns subliminaux, bnous ne sommes pas des bétassous, nous avons comprenure humaine, une langue -^patois de belle acqyuisition, une intelligen,ce correcte, des mlots en bagage, des mots/betes de rzage en soute, etc, nous

 ne voulons pas défaillir maios tout au contraire gravir dans l’échelle de la connaissance des données rupestres : kl’art de la ban,de, l’art des dieux de laroche (dure) des temps, l’art des aumônes, l’art de la roche, l’art du temps, l’art = l’art du temps, l’(art = l’art du temps fleuri, l’art = l’art des temps fleuris de la roche des temps, nous voulons comprendre vif et long, long et vif de ce qui se trame en cette matière d’une sorte cde donnée de base rupestre  liée à un envo;l sur roche de betes ailées, nous ne voulons pas passer à côté ,;, nbous voulonsw les voir décoller et s’en aller de toutes leurs plumes élancées, etc, et nous dès lors de prezndre leur place en paroi ? ou cvomment ? le temps est une donné brute, il s’agit de fait d’une bete du devant, nous voyonsd la bete wsous nos yeux, nous sommes quatre yeux pour ce faire, ce que nous voyons de la vie est la bete, lma bete de mots, nous voyons de la vie la bete en ellme contenue et ce avec nos quatre yeux de rage (race) ou quoi ? nous disons que oui nous voyons ! nous disons que nos

 (4) yeux voient parfaitement devant soi les betes dressées, chargeant, fortes, la puissance, etc, et cela pour nous a une im:portance con,sidéralble,  ancrée et cvomment, fine ? nous dison,s que nous voulons savoir, savoir les savoioirs : nous ne voulons pas ne pas savoir mais le contraire : savoir ! car nous sommes deux ! car nous sommes main dans la main ! car nous sommes assoc iés sur  ce chjemin des connaissances ou des connaissances de baswe à devoir acquérir fissa pa r la bnande, nous déployons, quoi donc ? le temps de la rage, de la rage-race, de ta race -rage etc, nous sommes motivés = mus, carnous sommes touchée ! nous avons un coeur à montrrer ! nous ne voulons pas rester comme bouche bée à ne rien savoir de ce quyi est mais au contraire rassembler un maximum de données, de donnnées de roche (aurochs, bouq uetins, rennes, bisons, chevaux de parade etc) et ces données de roche bien les regarder ensembvle, posément, à part de la foule ou de la cohue du monde, et apprendre à déchiffrer, 

nous avons ce travail ensemble à mener, ce travazil de sape à développer ou commùent à d»ployer ? ce travail de sape est notre labeur , il s’agit d’une chjose à faire ensemble , à mener ensemble main dans la main n, nous devons aller loin dans cette chose dev ant soi pariétale, entrer en elle (c’est vu et acquis) et en elle déloger la bete soit prendre la place , ou sinon la pkace le pouvoir  , ou comment sinon ? nous ne savons pas tout , nous cherchons, nbous sommes sur une piste, nous sommes ensembkle sur une sorte cde piste folle , piste des pistes, qui nous voit aller et  venir à la recherche d’une denrée, d'une denrée rare ou donnée rare ou donnée de base, fine, première ou primaire, le mot de la fin qui serait le mot du déb ut etc, le mopt mpour nous d’une sortye de fin (de vie terrezstre) qui serait en vérité le premier mot des choses de la création, ou alors commùent ? car la vie devant a du poids on le voit, la vie devant dsoi est un bouquetin (tout le monde voit ça !) et nous ensemble de vouloir creuser plus avant la roche, et graver la bete de poids, la bete qui en impoose, la bete au pouvoir de roche, l’altière ? l’altesse ? qsui en elle ? nous voulons découvrir le plus possiblre de choses à ce jour encore cachées, nous voulons découvrir ensemble des choses qui nous sont en,core à  ce jour cachées, nous 

voulons découvrir des choses (§^plein si possible) qui (choses de poids) nous sont plus ou moins encore à ce jour cachées et non évidentes, nous sommes ici sur une piste liée à des savoirs cachés, pistes aux :mots-betes de paroiis, aux animaux-mots de première instance, etc, notre volonté sur tertre est de voir ce qui est et vibre dezvant nous, la betye cde roche = le temps imparti donné, etc = le temps (celui-là) qu’il nous reste à vivre ! nous savons cela ! nous voulonsq comprendre beaucoup encore ! nous avons cette ambition en nouys de vouloir comprendre encore beaucoup, encore pl;ein de choses 

concernaznt la mort, nbous voulons comprendre les données en vrai les plus souterraines, ce qu’elles sont pour nous, ce  en quoi elles se .. commênt dire ? ce en quoi nous pouvons, d’elles... etc, nous vouylons comprendre ! nous voulons savoir ce que ces donhnées(, voilà !!)recelent en elles en termes de savoirs anciens, des profondeurs, plus qu’ancviens, etc, nous vopulons comprendre loin et plus loin que loin ces données : creuser creuser creuser ! car nous sommes friands et friandes de don,nées, qu’ont-elles en elles de si secret ? nous voulons aller très loin en ces données cde rochev dure, les fouiller de fond en comble et comprendre plus plus un ensemble de choses de poids, des betes pszut-être, ou sinon des betes des mots ? ou sinon des mots ou des betes, des mots-betes ? mots de roche dure, gravures sur paroi de roche ? nous cherchons ensemble à comprendre ce qui est sur roche devant soi = ce temps dévolu à une vie humaine toute déployée comme un ruban de soie qui irait dans le vent de la roche du temps, nous ne voulobns pas rester en carafe mzais trouver la clé des chants, etc, nous voulons comprendre plus plus plus = ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++  ce qui ewst devant qui nous attend, qui nous regfarde, qui nous voit venir ensemble (main + main) dans son champ de vision, nous parlons à l’emporte pièce à son endroit, avons presque envie de l’insultyer, nous voulons nous poster en roche ;:a tete redressée, le front haut et comme fier, nous ne voulons pas nous montrer blessé ou meurtris, doux de trop , ou trop gentil mignon, ou gentille mignonne, non ! nous voulons en jeter grave ... dans l’ignominie verbale ? nous ne voulons pas passer pour des benets de roche tendrte , nous voulons en imposer fissa et grave, envers qui envers la mort ! voilà la chose ! car la mort nous attend au tournant, et nous de l’éviter le plus longtemps possible ou d’éviter de la croiser kle plus possible etc, nous voulons savoir les choses du monde, ce qu’elles son,t pour nous qui avons pour nous petite comprenure, etc, nous ne vopulons pas sombrer vaillament mais vaillmament relever la tete, noys voulobns aller en roche comme en religion à la recherche de données 

rupestres foncières ou comment ? les fondamentaux ? nous sommes unis, nouys sommes deux, nous sommes unis par la vie, nous sommes deux, noius voulons com^prendre les données de bnase, nous sommes deix, ous sommes un 

couple de gens en nous mêmes,; bnous sommes unis, nous sommes deux, nous sommes ce couple de gens so;:idaires, soudés c’est à dire cvollmés, collés entre eux, un côté droit et un côté gauche, nous sommes binaire, nous sommes double = doublé = à doublure  d'un habit de bure pour l’éternité (d’une vie de roche), nous nous asseyons dans la grotte, nous sopmmes assis dans la grotte, nous voulons comprendrec les données de base de la vie dev roche et pour ce faire, aller loin le plus possible, à l’intérieur de pareiklle roche , creuser creuser creuserr la pierre, entrer en  cette maztière, s’y nicher un temps et regarder, les yeux bien ouverts, ce squi ici setrame de folie,  c ette conversion à vif, ce spectacle de la prairie, ces feux de roche fuulmina,nte, cette cavalcade animalière, ces incantations grossières, mots-betes enchantés, ces ignominies proférées, ces chants d’outre mesure, ces parioles fautives natives, ces bryuits, ces xsecousses, ces écarts, ces choses de peu déployées sur table, et tout ce sang ! nous ne voulons pas passer à c^$oté ! nous vopulons comprendre les données de base, les soupeser ou les soulever et les montrer en les portant haut au-dessus de nos têtes ! nous imploronsle  dieu de la fête ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pazs mourir ! nous ,ne voulons pas mourir ! merdum de merdum ! car nous sommes deux (en nous) qui voyons les choses autour de nous, et deux est le bon chiffre pour ne pas mourir ! hé nous sommes deux, la mort ! le vois tu ? vois tu que «je» est deux, ou «suis» deux, le vois tru ? et dès lors tu n’as pas le vdroit de m’écrabouiller ! je suis deux, le chiffree deux, je suis deux de rage, bisque rage au firmament alors voilà : tu ne dois pas attenter à mes jours, tu dois me laisser en vie , tu ne dois pas me toucher à vif,;, tu dois me laisser i,ntact et sur la roche des embruns, etc, MON NOM est à l’affiche, oup la ! me voilà célèbre = reconnu par la bande ! je suis l’homme des aveux de bure, homme-chevazl, canasson des bois, tranquille, cxhevauchant laz plaine à l’envi, et me faufilant parmi les betes de ma confrérie animalière, ce troupeau de betes de roche bien ou mal dessinées peu importe, cette meute (?) ou cvomment en cavalcade,; vive le cheval du roi ! du roi de la meute ! ou sinon la meute la quoi ? car la meute ici m’appartient, elle fait partie de mon imaginaire pariétal , car, je suis l’homme des cavernes au doux chant de la roche, au chant doux de roche dure, jke suis homme et femme des cavernes, une meute cavalière sous mes yeux haghatrds, je vais et je viens sur roche, mon nom est le nom de la mùeute etc, je cherche la chose sur roche, il s’agit d’une sorte de beauté plastique primaire = des contours, des formes, des tracés à l»’emporte pièrce, pour donner de quoi à la roche (

la nourrir) et la contenter, nouys didsons que nous voulons comprendre les temps, ici, du devant de soi, ce quils sont pour nous : présents = offrandes ? animaux -mots de rage ? tombola ? nous ne xsavons pas ! nous voulons comprendre ensemble ces données de base déployées sur roche par des hommes et femmes anciennes des  cavernes, ces données les soupeser et dès lors les soulever et les affgicher de conserve («à toi à moi») de manière à être bien entendu et revconn,u des hommes et femmes, nous ne vcoulons pazs passer pour des nigauds / nigaudes qui, pour le coup, ne comprennjent rien  à rien, nous avbons chacun / chacune notre gouverne existenciellme, nous sommes munis chacun et chacune d’une sorte d’appareilk;de jhoie sommaire mais charmeur, appareil de roche dure, qui (de fait) sert à graver-dire 

nos tourments de  vie sur la roche, nous voulons graver le plus que nous pouvons, nous avons cette envie très ancrée et forte en  nous de vouloir cela, graver cette roche des p^rés à la manière ancienne (ancestrale) de nos précepteurs et préceptrices aurignaciens aurignaciennes ou magdaléniens magdaléniennes, nous voulons graver (vite) les données du monde à vbenir , ces betres-mots sont à déloger  «comme il faut» ! à savoir à  la souflette, au souffle divin, au souffle des temps reculés, en-bouche doré, en-bouche doré de la roche, etc,; nous ne voulons pas perdxre le wsens des choses, nous avons pour ambition d’aller tres loin en cette roche

 des données du monde, nous vopulons comprten,dre  ce qui est, ce qui setrame devant nous, ces allers-retours (de conserve) en roche : qui va là ducon ? qsui est là quyi parle ? qui s’adresse à nous dans le noir ? qui nou!s parle dans le noir ? qsui est devant nous que nous ne savons voir ? car quyi voir ? et qui voit ? nous n,e savons pas comment dire ! nous sommes deux etres de peu qui cherchons la chose à ici comprendre dans le noir ! nous savons cela : que ... «nous ne savons pas» ! or, ce savoir eswt un savoir comme un auttre savoir ! or : ce savoir là, ce savoir du non-savoir , est aussi savoir ! et dès lors nous nous trompons ! nous savons ! et que savons-nous ? que nous ne savons pas ? oh misère ! que savoir ? que donc savoir nous deux dans le noir ? noussommes dans le noir de la roche brute et cherchons à nous y retrouver, qu’y a t il dans le noir de la roche brute ? il y a des animaux de taille ! il y a des mots-betes de rage (de race et de rage) et ces motrs sont là pour nous aider à nous y retrouver , nous voyons les chgoses du devant de soi, les betes-mots qui nous gouvernent, qui sont «nous» ou alors ce «nous» de la procuration, nous sommes deux pour cela le xdire, cette chose comme quoi nous sommes deux (en roche) à recherchjer des données de poidfs qui puissent faire de la sorte qu’enfin, nous puissions nous sentir aimé et reconnu pour cela que nouys sommes ensemble, un couple de gens de fortune, peut etre mal dégauchi mais bien présents cvolmme dons de soi à la bnande, par la bande ou à la bnande, à la bande nous pensons, nous pensons cela comme quoi nous so:mmes comme des présents, déposés (de soi) à la bande, ou sur la bande, ou dans la bande = présents,  de rage et de sang, présents-dons qui sont autant pour ainsi dire de données de base déposéesq sur roche : aurochs de laz prairie et bouquetins des monts de la roche, nbous so:mmes deux ainsi à chercher (ensemble) ce qui est, nous sommes deux qui ensembvle chertchgons ce qui est et qsui nous regharde de pied, nous voulons savoir ce qui est, nous voulons savoir ce qui est qui est devant nous et nous regarde, et pour cela nous devons l’approcher, voire le toucher, le sentir, le regarder, etc, lui parler peut être, devant soi il y a la mort = le temps devant dsoi, il y a la mort qui est du temps, qui en vrai eswt ce temps d’un devqant de soi pariétazl animalier, nous savons cela comùe quoi le cdevant d’un soi est anuimalier en termes de constitution premioère, nous voyonds la bêtye caracoler sous nos yeux, nous la savons plzeine d’elle-m-ême et dure à déloger fisqa, et voil;à pourquoi nous solmmes deux à être, car à deux c’estv mieux, à deux on y arrivev mieux,à deux on a plus de chance, à deux on doit pouvoir arriver à nos fins plus facilement, à nos fins qui sont celkles ci : de pouvoir déloger la bete-mots , de sa loge pariéto-frontale, nous voulons déplacer la bete (= le temps) de sa loge temporo frontale ou pariéto frontrale ou temporo pariétale etc, et cela fait, prendre sa place = son pouvoir de chance, son allant de rage, son élan de peu, sa mzainmise sur les prés, etc,; , nous voulons cela, nouys voulons aller au plus profond des données du monde, nous ne voulons pas rester en deça, notrte but ultime est d’aller tres loin dans la roche à la recher che d’une vérité costaude, nous ne voulons pas mourir ! nous ne vcoulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir !nous ne vou:lons pas passerr l’arme à gauche ! nous ne voulons pas p^mourir ! nous ne voulons pas décéder ! nous ne voul;ons pas déceder ! nous ne voul:ons pas trépassser ! nouys ne voulons pas dispatraitre ! c’est à d xire qu’en nous exciste cette chose dcx’une gouverne, qui dit qu’elle renackle à devoir succomber sous les coups du sort d’une sorte... d’entité de roche prête à nous tuer , nous disons cela, comme quoi la roche, ici bas ,; est le pré qui nous voit rena kler, regimber, nous cabrer, refuser la mort, nous sommes deux en nous à refuser (refuser ? comment ? ) la mport à l’euvre (de la recevoir) et voilà pourquoi nous sommes reconnu de tout un chacun ! nous sommes reconnu car nous saignons ! nous pissons le sang de ta mère ! nous sommres tout pissant cde san,g ! nous pissons un sang cde roche dure, nous pissons le sang de la vie à l;’ oeuvre, car en bnous pisse que tu pîsseras le sang de la vie vive, fine, secondée, doubl»ée par la bande , etc ! nous pissons le sa,ng par la bnande et ce faisant  nous recvulons les éc héances et nous nous sauvons, nous ne devons pâs mourir ! non non non ! nbous tenons  à rester en vie, à pisser le sang de laroche, à tenir ! nous sommes deux enfants, nous nous promenons dans laroche, nous sommes deux enfants du temps, nous sommes en,fants des temps de la roche des temps, nous nous promenon,s dans la roche, nous sommes deux enfants de roche, nous 

sommes des et deux (enfants de roche) qyui allon s en roche fissa, à la recherche de la vérité a ncrée, et pour ce faire : l’animal ! car l’animal-mot sait les choses, il en conna it un rayon, il sait le tout dans sa gouverne temporelle, il n’est pas en manqque de saavoir, il connait le monde, il sait ce qsui est qui nous attend,; il sait plein de cghoses et à  nous d’axcquérir à présent ce m^$eme savoir, qu’est-il ? que sait l’animal du temps de la vie que nous ignorons ? nous nous immisçons à ses côtés, il est beau nacrée de ba se,; l’animal est beau, est charme, est cette forme d’un devant de soi soigné, il est «formé», il est bel et bien formé par la bande («en formes») etc, il est l’animal formé par excvellence (toutes les parties présentes) etc, et nous, de le reconnaitre en tant que tel, et nous, de le (presque) jalouseer pour ses formes, etc, nous voulons comptrendre les données de base les plus fines, nbous voul:ons savoir et comprendre au mieux ce qui est, vce qui se trame devant soi en maztière de deonnée du monde ici adjacent, quioi est là pour qui ? sommes-nous attendu ? sommes nous reconnus pour ce que («réellement») nous sommes au plus p^rofonsdd de nous ? sommes nous recvonhu pour cela que nous serions «vraimùent» ? qui nous voit en toutes nos partie («à plein») ? qui sait de bnous tout ? qui sait tout de nous ? qui de nous sqait tout ? qyi pour nous juger en toute honn^$zeteté ? qui nous voit en intégralité , 

c’est à dire : 1, de pied en cap et de partou, et 2 : dans le temps déployé complet, le temps qui court, soit du mommernt p^récis qui bnous a vu sortir d’un ventree, à ce moment précis qui nous verra passer pour ainsi dire l’arme à gauche, etc, nous voulons être vu et revconnu et validé (ou pas) pour ce que nous sommes ou en regard de ce que nous sommes «vraiment», or que sommes nous «vraimennt» ? le savons nous ? savons nous ce que nous sommes ? dsavons  nous ce que n ous serons ? savons nous ce que demain apres demain nous allons devenir ? et ce que demain ou apres demain nous serons, est «nous», tout autant que ce que hier ou aujourdhui nous sommes ou avons été, nous ne savons pas qui nous sommes, et cependant n ous voulons etre recvonnu pour ce que nous sommes au juste, nous voulons être reconnus pour ce que nous sommes et pas pour auttre chose, or que sommes nous ? ou qui sommes nous ? nous l’ignorons ! nous ne savons pas <qui nous sommes, nouys ne savons pas qui nous sommes au juste ! il s’agit ici 

d’une qustion précise de justivcve et d’honn^êteté , nous vopulons savoir, saurons nous un jour ? qui saura nous dire qui nous sommes ? qui saura nous dire quoi ? quoi en soi est ? qui en nnous eciste ? qui existe en  ous, etc, nous ne savons pas,, nous sommes ensemble en roche pour ce faire ;: cette tentative d’en  savoir long, ou pl;us long, mais comênt ? en creusant la roche ? en creusant ou traçant sur roche des betyes de roche, dits mots-betes de premièeze», nous voulons comprendre ce qui est qui nous atten,d : qui je suis sur roche  que j’ignore , ce qui est est peutetre, très certaineme,nt mais qui voit au plus juste ce qui est ? qui sait voir vraiment les quatre vérités , qui sait recvonnaitre (trier) le bon hgrain de l’ivraie ? qui sait s’y retrouver en toute honneteté ? qui sait voir au plus prrès et au plus juste kles choses du monde ? y a t il des sa ges ? y a t il sur terre des sages, des savants de ta race, des forts en thème sur pareille roche des connaissances, etc . qui le sait ? nous vcoulons tomber sur le juge suprême, calé, 

cvonnaisseur émérite, la tête ! or où est elle

 ? qui en sait plus lourd que la moyenne ? parmi nous qsui pour n ous jugezr «hintelligemment» ? personne ? qui aura l’intellige,nce 

asseez dévelop^pée pour nous juger à bon escient et «parfaitement» ? personnne sur terre, impossible, trop limité tout le monde ? tous et toutes ? alors comment ? par lma bande ? un espoir ? pas d’espoir ? point d’espoir ? nul de chez nul espoir d’être reconnu ou possiblement reconnu en entier , pour ce que en entier nous sqommes et ne sommes pas , calcul complmet, le bon chiffre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et pas le mùauvais on le voit ! nous vopulons comprendre ce qsui est pour soi qui nous attend, et pour se fzairee : la bete ! devant soi sur roche ! tracée à main levée par l’homme des cavernes ou par la femme des cavernes, ce voyant / cette voyante aux yeux fermés ! etc, nous savons celac , nouys chertchgons dans le sang de la rage une réponse à nos questions posté»es, et comment savoir ici, entre nous, cette chose ? comment faire pour savoior, ce qui dan,s le dsang bouilloonne , comment faire pour comprendxre, pour trouver-dénicher la Chose , comment ? nous avons devant nous lke temps quil nous reste à vivre, ce temps est pariétzal , ààà sa voir que ce 

temps est comme déployé sur une face, une roche = la paroi terrestre, nousq voyo,ns devant nous ces betes xde roche dessinées ou gravées et ces betes sont des :mots, sont du  verbe travcé comme à) main levée,; nouys disons que ces mots sont ce temps décrit, celuyi qui nous reste à devoir traverser, ces mots de la roche (dure) sont les mots-bêtes du monde terrestre, les raisons de cap, les gouvernes, etc, nous ne voul:ons pas mourir, nous ne voulons pas trépasser ! nous voulons conserver notre  quant-à- soi et tenir les yeux ouverts face à l’adversité pariétale ou pas mzais les hyeux ouverts comme un nouveau né (tout juste naissanrt) etc, le nouveazu né nait au monde (si tout va bien-) les yeux grands ouverts puis il les referme un temps (quelques heures) pour les reposer peut etre avant de kles rouvrir à J 2 ou J3 pour voir le monde menaçant et attendre le lait de sa faim naisssante etc, nouys voyons kles choses du monde, nousv avon,s les yeux ouvertezs sur le mo nde, nous voul:ons comprendre le monde et le voir tel qu’il est pour nous,; cette cbhose ouverte sjur le temps ou commùent ? nous sommes nous deux à la recherche cd’une  vérité ou sorte de vérité de masse ! nouys voulons comp^rendre les don,,nées du monde ! n ous ne vou:lons pas mourir ! nous ne voul:ons pas trépasser tantot ! notre but eswt de reswter en, vie ! nouys voulons déloger la bete en  nous ezt la faire dè!s lors figurer swur roche ! en nous il y a une bête et cette bete elle  nous gène fort aux entournures ! nous ne voulons pas défaillir avant cx’(avoir vraiment réellement dé;logé la betye rosse de sa loge pariéto-temporelle frontale, nous voulons cela ! nous sommes acharnés ! nous voulons creuser la roche au pic de verbe et traverser la roche comme à dos de xheval et aller, au fin

 fond d’icelle, découvrir ;kes données finales, etc, nous voulons compfrendre ce qui est en roche qui serait cela que nous devons avoir un jour à affronter pour ainsi dire par la bande, qui est qui en rocxhe ? la bete est elle la bete (ou la belle ?) ? la bete est elle la bete ? le ciel est il le ciel ? je est il je ? nous est il nous ? que est il que ? chant est il chant ? fleur est il fleur ? je est il je suis ?. je suiis est il je ? nous sommes est il nous ? nous est il nous sommes ? le vrai est il le vrai ? le beau nacré eswt il le beau nacré ? je suis est il je suis ? la vie est il la vie ? le sang est il le sang ? le vent est il le veznt ? le roi est il le roi ? la biche est il la biche ? le cerf eswt il le cerf ? ou : la  biche est elle la biche ? le cerf est elle le  c erf ? l’(animal est elle l’animal ? l’animal est il vrai ou un pis-aller de première ? faisons ac croire ! faisons croire au dieu de la roche des temp^s , 

que notre heure n’estpas venue, que la bete sur rocxhe est ... nous ! de 

fond en comble , etc ,faisons croire à dieu que nous sommes morts !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! faisqons croire que nous sommes morts ! faisons croire (à deux) que nous

 so:mes morts : sur la l:ande , sur roche du temps, dans le sas, dans la pierre, à dos de chevqal, près des embruns, entre deux mùers de roche;, sous le vent, dans le sxang, etcv, faisons croire comme cdes enfants, que nous sommes morts = jouons !!!!!!!!!!!!!!! jouons à faire les morts, à fzire le mort, à faire la mort, à faire le mort, à faire le mort de la mort, etc, nous devons jouer ainsi, en roche (bisons), à fazire (simul;er) le mort ou la mort, nous devons com^prtendre ensemb;le les données qui ici préside nt au jeu  de la mortn ,, ous sommes en roche afin de simuler, et de simuler pour nous sauver ! nous avons à co:mprendre cette  chose d’un salut, nous avons à ensemble comprendre ici  cette cgose dx’un salut à opérer comme par lma bnande de paroi, pour nous et nottre gouverne etc, nous devons aller profond, nouds avons à simuler , à 

faire le mort (c’eswt cela) et  cela pour nous sauver (un temps) et nous permettre de rester encore un temps parmi les b etes de przairies , à paitre et nous monter, à courir et  boire l’eau de la rivière, à brouter -qyue tu brouteras etc, nous sommes les  betes de la roche dure, nous sommes les betes du rocher, nous sommes betes du rocher, bnous sommes betyes de rochge djure, betes rosses et fauves, nous avon,s acquis nos lettres de noblesse en roche, nous faisons partie du gratin, nous so:mmes betesq belles, belles betes xs’il en est sur roche, bouquetins des prés tracés, rennes d’envergure, chebvaux du roi, biso,ns de corinthe, amabalités pariétales, soup^lesse des données, tranquilités domainiales, tendres boutons, colères innées, chjaleurs du rut, comédies agraeires, touchettes, perles de pluie, caillebottis, chazmpifgnons de sous bois, beautés rocheuses de parois du =monde, nous voul:ons cxomp^rendre un ensemble en ses parties,  ce monde de paroi de roche ornementée, par des ho:mmes ou par des femmes des caver nes, il y a un bail, et nous de nous coller à pareille roche    desqmilliers d’années après, nous  voulons comprendre ensemble les données de bazse, savoir lire (sur roche) les mots de la bete c’est à dire les mots-bêtes d’envergure pariétales,; sont ce des mots d’intelligence ? nous voulopns savoir , nous voulons comprendrte au p^lus juste ce qui est et  ce qui n’est pas,; pour notre gouverne, et pour pourvoir nous situer sur l’échiquyier du monde , du monde adjacent : qui nous sommes et qui nous ne sommes , qui je suis et qui je ne suis pas, qui nous sommes et qsui je ne suis, qui je suis et qyui nous ne sommes

 ! qui je suis et qui en vérité je ne suis pas, qui saurait ou saura me le xdire de mon vivant ? personne je le crains ! car qui wsait au juste ? qui est juste ? qui est le juste ? qui est ce juste attendu ? qui est cette perdsonhe agttendue, dite «de la justesse du poiint de vue « ? qui est elle au juste ? que est elle au juste ? comment la trouver si tant est ? je veux me trouver prè!s d’ezlle, je veux et je vcoudrais la conn,aitte de près , je suis homme-femme de la roche des attreaits, je  cher che à trouver la  vérité de roche-dure, ce qu’elle est et ce qu’elle n’est pas, je cherche vaillamment de force, je m’échine, m’escrime, me plie en deux puis en quatre : qui est elle ? où est elle ? ou quoi es telle ? je veux savoir ! je ne vbeux pas passer à côté ! je cherche à compren dre le + ! je ne suis pas là pour me marrer mais pour comprendre les données de base, les comprendre pour les soupêser et les juger, lmes juger pour ;:es comprenxdre au mieujx : soupeser et élever au plus haut des  cieux , je suis homme des ezmbruns de la roche rude et à ce tittre je me permets de dire  ce qui est sur rocxhe en termes de billevesées, de fauuseté surtout etc, l’(animal montré n’est pâs ce moi de base trimballé par moi dans les prés et cependant ... l’a nimal montré (ce bouquetin, ce renne, ce bison, ce buffle) est un pêu moi en cela qu’il est le mot de l’homme que je suiis sur rocxhe, mot-bete de roche (dure) mienne (mon cervelet ?) et le mot-bete ici présenté (dlonné en offrande ou guise de ) est le mot de roche «parfait» , c’est à dire «plein», c’est à dire «complet», etc, nous cherchons oà nous y retrouver dans la roche = qui est qui , et pour cela nous devons nous projeter fissa et tête la première sans tergiverser, nous devons pl;onger fissa et vailmlament, nouys ne devons pâs lambiner et hésiter, nouys devons aller v ite  en besogne, nous devons courir sur la lan,de, nouys devons aller vite le plus , nous devons vite aller le plus et tracer, tracer betes à main levée ! lévitation ! tra,nses dansez ! charmes dansez ! nous devons vite fqait bien fait tracer ! nbous

 devons traczrcer vite fait les betes mopts de la roche dure , merde à la mort ! disons cette cghose vive ! nouys disons entre nous sur roche cette cghose vive s’il en est : merdum de  chez merdum à la morgt de roche, à mort la roche dure,, à Mort Roche de la dure mère ! nous ne voulons pas succomber deux fois (ni trois ni quatre!), nous voulons trouver la parade nuptiale et tenir bon coute que coute au mùilieu des beters ici rep^rése ntées, qui 

le sait ? nous voulons tenir bon, fissa , tete devant, forceant le passage, allonsq y gaiemen,t, et tenir, tenir bon la Chose, ne pas lâcher prise, aller de l’avant encore et troujours,; car la  vérité est toujours devant, la vérité est cette cgose brandie cdevant soi pour un (pour ainsi dire) dépl;oiement (de type temporel) intrinsèque (hélas ?) et voilà pôurquoi dès lors, les mots de la raison (intrinsèque) en nous, car nous so:mmùes (nous) des etres de rage au fin fond, mais en surface ? etres de ;a pleine mesure pariétale étirée,; qui allons nous promener gentiement sur roche à la recherche (soi disant) de la  vérité de façade, nous ne voulons pas d’une vérité de façade (quoique) mais d’une vérité de fond de cale (en,core que) ,  voilà  ce que nbous disons et dessinons, bnous voulons savoir ce qui est de rage et non de race, ou sinon cde rage de col;ère ou sinon de colère de passion ? que ! que quoi ? que de rage  ou que de passion ou que de co:;ère ou quoi ? nous vcoulons savoir en  nous ce qui est qui vibre de sa vie de base , ce qui vit le pli de ta rage, nous voulons comp^renxdre, nous chercho,ns à qui mieux mieux, nbous sommes attendus au tournant,, nous sommes suivis par la bande dan,s nos tourtmentqs, souffran ces, atermoiements, chevauchements, bouscula desq, turpitudes ezt autres envahissements du moi par la ha rde, nous voulons savoir ce qui eswt en termes de vilenies de façade, entermes de sa:eté des saletés, etc, la mort est cette chose coriace, l:’apres mort est une misère, le sang est chant, la mort est le chant de la rage terrestre, lma mort est incluse e,n soi (sang) comme une sorte de donnée réelle (de base) pour une éternité de parade, nous voulons en nous la mort de rage ou de la mort de rage, qu’elle soit celle en nous à laquelle nous voulons un temp^s aspirer ou commùent dire en  nous cet engouement lié  à la grâce ? bnous alloons en roche enwembkle, bnous cherchgons UNE V2RITY, nous  cherchons une vérité, nbous cherchons une ou une autre vérité, nous voul:onsq conn

itre la v érité sur les choses du mon de mais en vérité nous voulons sauver de nous ce qui peut l’être, voilà la vérité (ou pas ?) que nous adorons, nous ne voulons pas trépasser, nouys ne voulons pâs mourir , nous ne voulons pas défaillir, nous voulons durer dans le dur ou le moins dur mais durer, notre but est plein de l:ui qui s’affffiche sur roche du temps, la bete en nous est le mot de la fin, la bete de roche est ce mot de la fin et de lafaim, car nous sommes ainqsi des etres de ventre ,; à  

nourrir, à remplir, etc, et l:a b ete comme nous a des bhesoins, etc, nous ne voulons pas mourir trop vite, notrte but est dxe cdurer longtemps et de ne pas flancher, bnous ne voul:ons pas partir  car nous craig nons les choses du levant, or pas toujours , nous ne craignons pas toujours les c hoses du levant mais là oui, nous craignons là ces choses rudes, pourquoi ? nous sommes comme des enfants qui jouons à simuler la mort à l’oeuvre, cette mort de  roche xdure, nous sommes enfqants de la roche dure et  nous jouons à faire le mort,

 au mort dee la roche, à pisse-canette, au turlurin, à la morte-belle, au galopin, au chihuahua, au prince des ténèbres, à la bouclette, au pincengrin, à mistigri, au parap;luie, à la bouillabaisse, au charmeur et à la c haremeuse, au sang dans les veines, au vent dans les voiles, au sécateur, au docteur et à l’infirmière, au docteur et à la princesse, au dieu des roches allouées, au ventre à terre, au beau du bel élan, à la riche héritière, au genda rme et au voleur, à la fguerre comme à la guerre, au principal, au sang  noir, au sang blanc, à michette, aux gtrois cailloux, à labelette, au marcassin, au livre ouvert, à miche mange, aux douillets, au lit d’accveuil, au résistant, à la belle chausse, au tiens,prends-le-dans-le-sas, à caille belle, à ravinette, au chalumeau, au tombeau des dettes, etc, 

nbous sommes les enfants des bois, nous allons gaiement dans la lande, nous nous amuson,s hgentiment, nbous voulons savoir c$e qui est en roche qui nous attend, bnous nous asseyons sur roche un court instant et reghardons autour de nous ce qui est qui sembkle swe tramer pour nous, ce qui nous attend par la  bande, qui serons-nous, c’est à dire qui demain apres demain, serons nous et pour nous dèjà, soit à nos yeux, qui allons nous devenir sur roche : betes-mots de roche ? mots betes des )arois du monde ? squelettes ? qyui sommes nous ? dieux vivqants en  charge dx’une dette ? que xdire à la volée sur roche à main levée : des mots de  raison pure ? des serments ? saints sxacrements ? envol:ées lyriques ? dépl;oiements fa cial ? turpitudes ? notre but est de nous afficher sur roche «tel s que nous sommes» et pas autrement, or que sommes n ous ? qui sommes nous ? devons nous mourir ? la mort est e:lle ... une jhoie ? pôurquoi ne mourons-nous pas vite fait bien fqait dans la roche ? qui , du cerf ou du bison, de l’antilope,$

 ou du cheval, est notre bel.le ami.e inclusif.ive ? nous ne sommes pas perdus, nouys sommes dans le sas, nous sommes pris insérés da,ns la roche, nous sommes beaux des belles données, bnous sommes en roche 

des sous bois inclus et i,$$ncluses, nous voulo,ns comprendre le + de ce + de la roche rude, quoi est-ce ? nous voulons connaigtfre ++, la  vérité des choses du =monde, ce qu’elles sont, ce qui  nous attend, ce qui est,, ce que nous avons à comprendre e,nsemble, nous  voulons savoir ce qui est en roche pour nous qui semble ou semblerait devoir nous attendre : je suis homme des cavernes au sang chaud bouillant, dressé, en joie, minéral, je veux la vérité sur ce qui est, en roche, adoubé, je ne veux pas mourir séance tenante, mon ciel est le chant dxe laroche meuble, mes tourments sont ceux des szerments de poids, ma vie eswt pleine de vie, jke ,ne veux pas de la mort en moi, mon coeur bat sa choswe rude, le temps est l’animal de la paroi, 

le temps quil nous reste à vivre est un animal de grosse taille et de b elle prestance pariétale, 

je suis un homme des cavernes rugissa,nt, en vgrotte, sous l’effet vivant d’une bete de roche en mon sa ng, je vais et je viens sur roche 

comme l’(animal dans sa cage, ou comme

 la bete des prés jol:is 

sautillant à qui mieux mieux de roche en rochje, mon sang est ma gouverne, le dessin la voie lactée vers le =ystère de la déité,, je cherche col:ère, mon sang rugit sa haine princière : sus à cette «mort de mùerdxe», sus à cette chose à insulter fissa, les genoux en croix, sur roche , sur paroi du mon de, «:merdum des :merdums» à son encontre car en moi (homme-femme du temp)s ) la vie  va qui chante sa colère vive, je chante et entre en roche fissa, mon chant est mon pic de roche, je suis la b ete fauve cl:audiquante entrant dans la roche, bnous sommes betes de joie vive, notre coeur est fou de roche dure , de roches rudes, de roches rugueuses, nous vivons, nous sommes en vie, nous en   trons fissa tete première dans la roche des ezmbruns et  nous parlons à haute voicxx, nous disons toutevnotre colère, nous hurlons en roche et insultons la mort qui nous hele, nous ne voulons opas mourir ! nous ne voul:ons pas mourir ! nous ne sommes pâs prêts de vouloir mourir,  nous ne sommes pas près de vouloir défaillir et sombrer, bnotre vie nous garde, nbousq vcontient, nous épaule, nbous donne du large, bnous ne vopulons pas passer l’arme à gauche, n ous sommes enfqants de roche dure et jhouons à dire des choses de la  vie rude, dure, pleine de tourments, nous jouons au papa et à la maman, à la belle hélène, au gracié, à la mort écartée, aux soubassements premiers, à la préhistoire, au miel, aux chaises évenntrées, à la courte paille, aux wserments xsanctifiés, aux pl:eureurs, au chant des terres meubles, à mil;le princesses, au gaerdien du phare, à l’(attrappé, au chenil, au peetit prince, à la marelle, au  bénitier , au vent dans les paraghes, au charcutier, à la sauterelle,; au vbentretere vide et à cache poil

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13/7/2021

nous disons que nous avons à faire ensemble (deux) ce chemin de voie directe : fissa dans la roche, oup la oup on y va, on saute, on franchit, on passe, on enttre, on s’introduit, on s’immerge, on plonge, on perfore, on trouble,; on troue, on rentre dans icelle roche orneme,ntée de betes de roche, animaux-mots antédiluviens, ces chevaux qui sont à la parade, ces bisons de grotte et autres ours des cavernes, ces félins, ces animaux de belle prestance et de bon poids, nous sommes deux : deux ! deux nous sommes ! nous sommes deux ! deux ! deux nous sommes,  et main dans la main, pour la bonne cause ! nous y sommes, en vrai, dans la roche, et nous nous avbançons de ces fonds pariétaux de cette roche ici aux embruns ambrés, nous nous tenons par lma main , nos mains sont ainsi collées entrte elles, nous ne nous lâchons pzas d’une semelle car nous nous aimons et donc, nous nous tenons proche (très) et avançons clopin clopan ainsi sur cette roche des embruns de rage, proche de la fin, proche du fond, proche des visions lointaines, ainsi nous allons, proches ici de cette chose, en fin fond, qui semble nous ouvrir son anttre, sa bouche, ses bras, une ouverture dans la paroi = une faille = un défect qui nous trouble à peine ... ou oui ? car, qui sommes nous ? que devons nous penser ? que devons nous dire dev ant cette ouveture béante ? co=mment se comporter ? que dire à cette ouverture ? comment parler (à deux !)  à une ouverture de roche , que dire à une ouverture de roche dure ? que penser devant cette ouverture de roche ? que se dire à soi devant pareille ouverture de roche ? que se dire en soi devant (face) à cette ouverture, devant pareille ouverture et face ou face à pareille ouverture, etc ? nous ne savons pas cvar nous sommes jeunes ou mal éclairés ou mal voyants, ou mal tout court  ! car nous sommes mal ! nous ne voyons pas et nous ne savons pas à quoi nous en tenir car nous sommes mal, nous sommes souffrants, nous sommes de chair, et ,de ce fait, amenés à souffrir la pierre si tant est, etc, du fait de notre vulnérabilité constitutionnelle, etc, et que dire dès lors devant, face, devant soi, face, cette chose, devant une ouverture, cette chose, ce trou de face, en face, que dire avec en face de soi cette chose d’une sorte d’ouverture de roche, roche de paroi ? que dire ? que dire à un trou ? que dire à un défaut de paroi dure ? à cz ette sorte d'échancrure, que dire qui le soit ou le fasse ? qui soit fiable , non friable, qui tienne, qui se tienne, qui tienne droit, qui en impose par satenue, qui le fasse grave, qui puisse le faire grave, qui puisse aller grave et le faire grave idem etc , quoi ? que ? quoi ou que dire avec devant soi une échancrure de paroi, un trou ! que dire ? nous disons à deux uniformément,, unilaatéralement, que nous sommes deux pour entrer en roche et poursuyivre l’aventure ou cette aventure (intra-paréietale) de fortune, nous disons que nous sommus deux (en nous ?) dans cette sorte d'embardée rocheuse, etc, nous sommes deux = deux nous sommes, nous sommes à deux = à deux nous sommes, nbous disons à deux, à deux nous disons, nous chargeons à cdeux, à deux nous chargeons, nous entrons dans la rochje meuble, dans la roche meuble nous entrons, nous sommes deux pour ce faire, pour ce faire nous sommes deux, nous nous aimons comme des frères, comme soeurs de rage, comme soeurs de rage ou comme des frères , nous nous aimons, nous sommes deux ! nous deux ensemble, ensemble nous deux , et ainsi faisant (pied droit, pied ghauche) nous progressons, nous entrons en roche, nbous nous faufilons, nous voulons savoir et comprendre ensemble la Vérité ! nous la voulons connaîttre de près ! nous vopulons comprendre ce qui est qui nous regarde, ou qu’il nous incombe de connaittre , en tant que nous sommes munis (alloués), d’une comprenure de base magique, de pareille comprenure assise, de pareille machine à co:mprendre, en soi (trou), qui puisse nous donner de quoi ensemble nous y retrouver en cette roche de roche des temps etc,  nous sommes deux ! nous nous donnons la main !  nous sommes armés d’une comprenure ! nous avons en nous un appareil de détection magique, ancré, installé dans nos méninges, et il s’agit d’une sorte (en soi) d’intellige,nce native, directe, diurne, etc, qui nous permet peut-etre de comprendre (un peu) ce qui njous entoure et du coup de pouvoir (un tant soit peu) nous faufiler ici ou là sur le sol de terre-mère (l’attraction terrestre) à deux et main dans la main , nous sommesx enszemble sur un chemin, nous marchons côte à côte, nous sommes dans une roche de grotte, nous sommes entrés ensemble main dans la main, nous sommes deux pour la bonne cause pariétale, au lmilieu des betes qui paissent ou broutent tranquillement, nous nous tenons par une main, notre mùain xdroite dans une main gauche ou bien la gauche dans la droite, etc, nous nous tenons par la main, nous sommes deux qui nous tenons par la main, nous sommes d’un temps alllouéé à une vie sur terre (= pariétale ?) , nous cherchons ! nous voulons comprendre les données de base les plus fiables, nbous ne voulons pas passer à côté des données les plus marquantes, et dès lors, nous vou;lons comprendre au plus juste ce qui est qui semble s’avérer fiable de visu mais pas seulement : de visu et tactilement, incidemment ! et voilà pourquoi nous entrons de face, ensemble, concomittament, fissa, d’un saut d’un seul , car la vie terrezstre est vie d’emprunt pour ainsi dire pariétal , elle se loge là (à cdet endroit précisément de laroche dure) et vise à s’extraire de là, incidemmùent, maids comment ? en se mettant au (comme) garde-à-vous devant l’échancrure finale ? ou comment ? nouds pensons que nous avons peut -etre à comprendre une chose de poids en cette roche de la roche dure, et, cette chose de poids, est aurochs ! ou bison ! ou buffle ! cette chose de poids est lourde de soi ! nous sommes ensemble ici à chercher que tu chercheras les raisons qui poussent hommes et femmes de la roche à trouver ensemble l’issue fatale ou finale ou terminale etc, qui pôurra ou pourrait nous éclairer sur ce que c’est que cette chose (aventure) d’une vie dsur terre (vie endiablée) : nous cherchons la chose = vérité (en quelque sorte) de bon acabit, nous cherchons cette chose (rude) ici (paroi dure) d’une Vérité de poids (buffle) qui «puisse le faire vif», qui «puisse le faire grave « = gravure ? dessin sur roche ? ornementation pariétale ? bison de grâce ? forfaitures dessinées de main de maitre ? chzaleurs du rut ? incantations votives ? trouble dans la masse ? besoins d’azur ? ... trouble dans le genre ?? etc, car nous voilà là, enfin, ensemble et main dans la main unis, pour pareille  cause que tu causeras, etc, nous sommes UNIS ! nous sommes SOUD2éS ! nous sommes ensemble réunis pour une traversée des choses des temps, en comprendre le mouvement général (déjà) et, en particulier, le sens de la marche vers une échancrure ! nous disons ainsi que nous devons toucher ensemble cette timbale (à deux) du ytyemps alloué à une vie d’homme, nous devons ensemble (homme et femme) toucher ! toucher quoi ? ytoucher la timbale ! la timbale de quoi ? la timbale du temps alloué à cette vie de charge pariétale, qui nous voit aller et venir en roche , ou sur roche, pzarmi tant et tant de betes tout autour de nous, et nous glisser fissa incidemment à même la roche du temps : mains surnuméraires ! = main + main + main + main + main + main + main +mùain, etc, ... ce nombre ! nous entrons en cette roche des tourments, nbous sommes zunis pour la vie terrestre (accolés) , nous nous immisqçons gentiment parmi un nombre conséquent de betes de taille (aurochs et autrees bisons) et nous recherchons où bien la vérité (la vérité) pourrait etrte située, où est elle ? où la Vérité pourrait elle bien etre située ? où la Vérité pourrait bien avoir trouvé à se loger en cette roche des embruns de bord de mer , etc: où ? car la vie treeerestre ne nouys le dit pas, qui se maintient entre ses 4 murs et n’en sort pas (on ne sort pas !) et voilà pourquoi je m’avance, à deux, en roche, dans le vent, etc, voilà ce qui est : je m’avance à deux, je nous nous, nous nous avançons, je nous avance, ou comment ? je nous place ainsi qui nous mettons de face ! droit ! i ! comme de juste ! comme deux justes ! face à elle (ou il ?) : la mort (le ?) et là, face à face, nous disons ce sque nous savons , des mots-betes de fortune, des bisons rageurs ou paisibles, des buffles au souffle profonsd, des bouquetins qui vont fissa à se loger sur rochecap, nous nous épaulons, nous sommes deux ! nous sommes ce deux de la rage du temps impartyi ! nous voulons comprendre (à deux) les données primaires , les fortes rives, les embruns dotés, les trous de roche, les feux alloués, etc, nous voulons trouver en roche les dites «vérités de bel aspect et de bon aloi», nous cherchons, et ce faisant nous poursuivons ensemble ce chemin de roche temporo-spatiale, nous n’en démordons pas, nous y restons accolés, nbous poursuivons sur notre lancée et allons ensemvbvle, nbous trouvons de petites choses (de ci de là) qui nous paraissent etre ici dignes, d’un interêt du coup conséquent (pour notre gouverne) en ce qui est ou concerne cette (donc) vérité de ces choses du temps à rechercher conséquemment, ces petites choses de ci de là sont pécadilles certainement (au regard du tout) et cependant en disent un peu, peut-etre, sur ce tout majeur d’une vie terrestre, ou alors que penser ? les mots peuvent-ils dire la Vérité ? les mots ont ils le pouvoir ou pouvoir de dire icelle ? les mots humains ont ils la capacité intégrée, allouée (par qui ? ), de dire la Vérité, ce qui est vraiment de cette vie ici aux tourments ? les motsque j’emploie à dessein ont ils capavité de toucher la timbale du temps ? ou que dalle ? pis-aller, chose par défaut,; prise de b ecs unilatérale, besoin de ... cabinet ? etc, est-ce cela ? je vais en roche buter la paroi et coller au verbe : le voyez vous ? mon  nom est nom de rien, s’a:menuise en se disant pour finir juste par disparaitre, j’épuise, j’épuise mon nom pour le rendre liquide arroser laterre, ou comment ? pour que ainsi liquidifié il se laisse aller, à tomber et à entrer en cextte terre ... des embruns de bord de mer : sable ! sable mouvant ! chants de la terre meuble ! oup la oup ! une prise rapide, une envolée ou un envol rapide, deux battements d’aile, je ne suis plus là ! je file à toute vitesse, je vais en roche pour savoir quelque cghose d’une chjose dite «de vérité» ou cvoncernant la vérité des choses du monde , je suis appareillé , je suis muni, je suis équipé d’un corps de rage (la souffrance) qui, lui seul (ou elle seule : la souffrançe), peut me donner en vrai le peps d’y aller , c’est à dire de sauter, de passer, de franchir, de passer «de l’autre côté» du fleuve, l’autre rive etc, nous voulons aller ainsi au loin de la roche des temps, nous voulons aller profond = loin, loin = profond, profond = à deux, à deux = loin etc, nbous sommes pa rés ! munis ! pris dans le sens de la marche vive (= en vie) qui nous pousse à dire et redire en continu cette chose d’un trac»éé de buffe (= de souffle) dans le sang , ou sinon comment ? le sang en nous est le vecteur ! noyus cherchons ensemble dans la roche,  ce qui pourrait bien peut-etre nous donner de quoi comprendre ce qui est,  de’une temporalité allouée à des hommes et femmes de la roche dure, aurignaciens, aurignaciennes, magdaléniens et magdaléniennes, nous nous affichons de concert main dans la main : car, c’est nous qui venons vers vous, La Mort ! La Mort, nous voyez-vous ? nous venons à vos devants, nous venosns devant vous , nous venons face à vous, nous nous plaçons devant vous ou en face de vous, nous sommes venus tous deux jusqu’à vous , nous sommes ensemble devant vous ou face à vous! nous nous tenons par la main, nous nous tenons par lamain la mort !, la mort, nous nous tenons par la main ! La Mort, ... nbous nous tenons par la main ! nous nous tenons La Mort, par la mùain ! nous nous tenons par la main, La Mort ! nous  voyez vous ? pouvrz-vous le comprendre ? La Mort, peux tu le comprendre ? 

La mort, comprends tu ? cvomprends tu quelque chose, ou rien ? que comprends tu de bnous, La Mort ? est ce que tu comprends, La Mort, que nous sommes deux quand j’arrive seul ? vois-tu mon double jovial ? mon alter ego pariétal ? ce buffle de foi ? ce bison de rage ? ce dit bouquetin des temps reculés ? cette antilope ambrée, ou cambrée ? ce bison des roches dures, cet ours de la vallée, cette antilopê antédiluvienne, ce cheval ? vois tu les raisons (les causes) qui président ? qui sont les bases de nos tourments : les vois tu ? es tu de la partie fine ou juste le regardant ? la , laregardante , ou comment ? es tu (La Mort) la vilaine, l’exécrable, saleté des saletés, la 

cochonne, la rageuse-

chieuse (oups) couille ... ou pas ? 

autre ? qui estu ? qsui pour nous es tu ? une biche ? une bambinou ? qui donc es tu pour nous devant nous ? échancrure de paroi, bisque-rage «de ta mère  pute» ! ou pas ? quoi ? qui es tu lza mort ? que puis je dire sur toi «qui le soit» ? je ne connais pas ton petit nom, ni rien ! tu n’es pas pour moi une fame ! tu n’es pas pour moi une dame , ni même un homme ou quoi ? tu es qui pour moi ? qui tu es pour moi ? qui es tu pour moi ? pour moi qui es tu ? pour moi qui tu es ? pour moi qui tu es et n’es pas ? qui pour moi tu es et n’es pas ? qui tu es pour moi et n’es pas ? qui tu es pour moi et qsui tu n’es opas ? qui tu n’es pas pour moi et qui pour moi tu es ? qui pour moi ou contre moi es tu ? qui n’es tu pas pour moi ou vcontre moi ? qui contre moi pour moi tu es ? qui pour moi ou contre moi («et » contree moi ?) tu es ou tu n’es pas  ? qui La Mort tu es pour moi ? qui es tu La mort pour moi ? qui La Mort pour moi es tu et n’es tu pas ? qui La MOrt n’esw tu pas pour moi ? etc, La Mort me regharde de ses yeux de feu, elle cherche à brûler mes ailes, je suis l’animal peureux de base, je suis sur une branche, je vais et je viens de branche en bran,che, Ka Mort est ce regard de feu, le dieu de la roche, La /Mort ou Dieu , c’est la même chose ! on le sait ! on wsait cela depuis la nuit des temps ! on sait cela tresbien  depiuis longtemps ! on connait toute l’histoire, et si dieu est mort au 19e siècle, pas La Mort ! pourquoi ? car ... nous sommes deux ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! car, nous sommes deux embarqués ! car, en moi le 2 domine, qui me voit danser sur la roche, aller d’une branche à l’autre, d’un endroit cde roche l’autre : le soleil ! lka plaine ! le vent ! les arbres ! les ruisseaux! l’herbe ! les fleurs ! et nos amis chevreuils, de belle tenue, droiit, riches, raides et musclées, boisés, mis sur roche cvomme des seigneurs de belle race, etc, nous voulons copmp^rendre les choses du monde du temps, ces données racées, ces betesq de poids, ces cervidés, ces betes des bois et sous bois , des plaines herbeuses, des borsds maritimes, etc, nbous cherchons des données de poids, de belles et ro-ndes vérités de roche, pleines d’elles mêmes, pleines à ras etc, nous chertchons des choses dures = qyi tienneznt ! nous ne vou;:ons pas «rentrer» bredouille de notre périple in,tra- pariétal, nous voulons «rentrer» pour ainsi dire pleins aux as ou comment dire ? en cette matière, de la ou des , vérité des vérités etc, nous voulons comprendre ensemble : deux !!!!!!!!!!! cette chose ici, d’une vérité de poids de type aurochs et autres bovidés ma jeurs, nous voulons (nous sommes deux) savoir , et savoir = comprendre , et comp^rendre = 

prendre avec soi = emporter = porter = porter en soi = tenir = prendre = avoir = etre = vivre = mourir = aller , où ? eh bien là ! où ça ? là ici bas ! à demeure ! où ça ? eh bien ici, en ce lieu de rage, sorte de trou barre, ce trait ! ah ! quel trait, quelle barre ? ne la vois tu pazs ? ne le vois tu pas  ?. non ! alors ouvre lkes yeux et rzegharde bien : il s’agit   xd’un ... trait de joie, sur roche, tracé comme à la dérobée, par x ou y (homme ou femme des c avernes) sur paroi du monde ! tu le vois ? je ne vois que dalle, je suis miraud , je suis comme miraud , ou alors quoi ? je vais sur roche découvrir des choses , il s’agit de traits de roche, de hachures, de tracés quasi (?) infinis, de troubles, je vois ce qui est en roche qui «me parle» , et ce qui «me parle» parle en moi à cette bete ro

sse qui trépigne, qui renacle ou comment ? elle est en moi la bete de charge ! elle charge en moi et me trouble grave ! elle est bete en moi racée rageuse ! elle est furie ! elle est rage ! elle est entrain ! elle est vie ! elle est vire ! elle est cette chose, en moi, qui vibre fissa et laramène grave sur la roche et, dès lors, trace, comme à l’envi, des betes de poids sur la roche oui ! et ce faisant dit son envie de (pour le coup) rester en vie ... à La mort qui gravite et n’en perd pas une ! elle est là ! elle  ne nous quitte pas d’une semelle ou d’un oeil , elle est toujours là qyi nous inspecte et nbous cherche noise ! la vilaine ! la garce ! la vilaine bgarce ! ou le vilain ! le saligaud, l’enflure, le mécghant, l’indécrottable tourment, etc, nous cherchons des vérités de poids l:ivresque, et ce n(‘est pas simple, nous voulons essayer de c omp^frendre les choses du monde à la lumière de ce qui est, et pour ce faire, nous nous promenons sur les b erges et regardons autour de nous ce qui se trame, soit les betes-poids qui sont là ou pas en vadrouille, et nous cherc hon,s  

à comprendre ensemble ce qui donc se passe autour de nous, ce qui est et ce qui n’est pas, et pour cela : des mots de farce, des morts-farce à offrir sur roxche : bouquetins ! nous l’avons cvomp^ris ! qu’avons nous comp

^ris ? qui sommes nous pour comprtendre ici les raisons du monde ? des savants / savantes de la roche dure ? amateurs / amatrices de sensations fortes ? chercheurs / chercheuses de buffe ? qui sommes nous ? cherchons nous un souffle, le souffle, souffle ? que cherchons nous ou que recherchons nous ? nous cherchons des choses, ces choses ont un nom, ce nom nous incombe, à nous de le donner ou de le déposer sur roche (offrande et don de grâce) : à nous de poser la chose (le Nom) sur pareillle roche à orner, etc, c’est à dire qu’il est pour nous ici  cette chose à faire, fissa , de poser ! de poser le Nom, le Nom précis (juste) sur la chose, et  ce n’est pas si:mple ! origine du nom sur la chose ? le cri est-il à l’origi,ne ? le quoi ? quoi a présidé ? l’origine du nom , quelle est ellle ? ou bien : où la trouver ? quoi a présidé à quoi que ce soit comme nom ? nous cherchgons des origines a-vec des mots non originels, il y a maldonne ou presque ou squoi ? nous voulons comprendre les données de base, soit le cri primal, l’alouette des temps anciezns, qUI chantait le chant des sphères := o=ù est elle ? ou est elle allée ? nous abvon,s à percer la roche première, tete en avant (nôtre) et traverser = passer , et passer = se reytrouver de l’autre côté, dans ce vide (autre) de derrière , cette zone aux cervidés et autre s bovidés etc, nous y sommes = nous sommes passés = nous sommes unis en cette (autre) rochge des embruns où débnicher le nid des vérités ouvertes, fines, dures ou douces mzais réelles, pleines d’elles -mêmes, etc, nous nous asseyeons sur pareille roche et rrregardons les betes alentour, nous sommes dezux , nous sommes à cdeux, nous sommes deux , deux nous sommes, nous sommes dezux !!!!!!!!!!!!! nous sommes deux qui nous épaulmons : oh, le maitre mot !!!!!!!!!!!!!!! nous sommes deux ici (roche, paroi) qui nous épaulons pour trouver, pour dénicher, pour creuser une vooie, pour soulever kles pierres à la recherche d»’une sorte d’échancrure de paroi ! le monde est plein comme un,e courge, une citrouille, une pastèque ! butternut ! il s’agit de voir (pour nous ( ce qui est , et ce qui est est cette cghose ici d(‘un monde plein = sans faille ! car où est-elle swi tant est ? où se loge t elle (cette fzaille = ce trou) eh bien ici ! c’est à dire l:à ! c’est à dire à l’(endroit précis (sur terre) qyui saura me voir ... passer l’arme à gauche ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, exactement , c’(est à dire au millimètre : là parfaitement lafaille, trou de basse fosse pour le coup nominatif, et voilà la chose ! voilà où donc la faille du monde saura se montrer que nous ne verrons pas car bnous serons mort : est ce ça ? est

 ce xela ? quii le sait ? qui va dire ? moi ? moi je peuxw ? vraiment je pêux ? puis je ? et si oui comment ? ai je assez de quoi pour dire (vraiment  ) ? ai je assez de quoi (moi !) pour dire vraimùen,t ? et cela pour tout : ai je assez de quoi en moi (!) pour dire le vrai en quoi que ce soit ou  ... « pas res » ? a i je assez de quoi en moi pour dire vraiment une chose ce qu’elle est ou PAS, ou RIEN ? etc !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!car, qui suis je ? homme-femme-enfant-bete des cavernes, qui va et qui vient en roche des temps alloués (alouett ? ) ? je ne sais pas ! je suis l’homme de ma race folle, homme aux mots «des vraies vérités», ou comment ? je cherche ! je ne suis pas fou moi même ou si oui par où ? par quell c^$oté de moi le suis je ? suis je fou intégralement ou seule une partie de moi ? peut on ? je cherche en roche une (ou sorte de) vérité de base rayonnantee, pâs simple ! je suis sur cette roche des embruns et je cherc he   une (pour ainsi dire) vérité de poidfs , qyui « puisse le faire» intégral ! mais ce n’est pas simple, pas simple du tout, c’est complexe, c’est un processus complexe, un drôle de travail à ensemble devoir mener, à pousser loin, etc, car notre volonté est forte (intacte, à ce jour) de vouloir savoir, savoir quoi eh bien tout ! forcément ! puisque le langage est ce tout , est plein à ras bord de lui même, ne contient nul manque, est à l’image dela stratosphère à nos yueux : monde plein pareil ! monde plein de lui (sans faille, sans trou autres que borgnes) et le langage articulé (une langue prise au nhasard) est pareillement un monde clos, un monde fermé sur lui même,; contenant le tout de son etre-langage, etc, nous savons que cela est cette chose et que les mots sont ce qu’ils sont, à savoir ce pis-aller à déposer sur roche coute que coute et par devers soi pour ainsi dire, ou bon gré mal gré, puisque nous sommes pris (=piégés) par icelui (la ngue) ou icvelle (ce langage) ou in verwsement ! enfin voilà la chose rosse, ce besoin d’orage , voilà ce souffle ! cette bouffée d’air, cette trouée (sorte de trouée) dans la roche, ce chant dxes attraits, ici gravés ! ces bouquetins !

 nous tombons des nues ou pas loin, car ce qui est ici (temps nbr ûlé) déposé, est cette chose comme doublée par un ensemble langagierr frontal, dur delafeuille pour azinsi dire  car, replié sur lui même, en portefeuille, ou comment ? homme m’entends tu ?  car, je suiis ici pour comprendere ce doublement ou peut-etre doublage de paroi, je suis ici même à larecherche d’un,e solutuion à un problème de cop:mpréhension : qui suis je et dans quel état j’erre pour ain,si dire ! qui je suis que je ne saurai voir ? qui je suis en roche ? le temps brûlé est il du verbe et si oui lequel ? je cherche à savoir, je ne la^che pas la rercherche, je ne lzache pas la main, je ne lâche rien, je cherche «follement» dans la méprise le summun ! c’est à dire la lumière, le feu central = le jour = la fzaille = l’éclaircie =mais vas y !  ce n’est pas facile , ce n’est pas simple du tout, on doit fortement s’armer de courage, on se doit de chercher vif, vigoureux, on se doit de chercher, dans les profondeurs de la roche, parmi toutes ces betes, laquelle est pour soi : transe ! trans-humanité du genre ! etc, et voilà ce qui est, ce qui nous regarde, ce qui vient vers nous par la bande, cxette humanité trans-genre de l’aprrè!s- passage de roche : homme-femme des attraits de roche = de la roche ornementée : bouquetin, chevreuil, ours, cheval ou buffle, etc, nous chrercghons une raison (musivcvale en diable) d’y croire, c ‘‘est à dire de croire au lan,gage, c’est à dire de croire à sa langue propre, etc, nous voulons essayer d’y croire fort, nous voulons ensemble essayer dxe pe nser lza :mort comme une entiteé cde passdage, or que dalle ? ou quoi d’auttre ? une venaison ? pendaison ,; prise d

‘otaghe ? suspension temporo-spatiale ? fin des temps pour tout le monde ? intemporalité n ative retrouvée ? temps de roche dure, reprisé comme une chaussetre ou commùent ? trou ? trou du cul de la roche meuble ? trou de quoi qui nous voit plonger ? je cherche avec assidiuté, je ne lâche rien au pasdsage, mon élan est tel qyue rien ne m’arrete (à ce jour) et me voil;à nqui fouille les données du monde lan gagier de base, à la va comme je te pousse mais justement, tel est le deal ici qui me voit naissant perpétuellement ou du moins voulant cela, de cette renaissance au monde brutal de la roche, à perpétuité, commùe un condamné de basse roche, ou commùent dénommer icelui qui ira fiszaa (tete plongente) en  cette sorte de roche des temps offerts par la bande (= la paroi) au fil du temps, qui saura nous dire le pourquoio de cette chose ? nous sommes dfeux qui alloobns en roche chercher que tu  chercheras une vérité de poids de type buffle = buffe = souffle = soufflrerie = soufflerie d’un dieu sur une cote, etc ! et cela nous incombe , c’est à dire qUE cela (cette recherche) nous rehgarde, il s’agit d’une recherche pour le coup de bon aloi, d’un présent de base à déposer ici devant soi (l’endroit du trou) etc, et ce présent temporo-spatyal est ce don de soi alloué à une roche meuble,; et donnépa r la bande aux dieux de la paroi de l’homme ou de la femme des cavernes et autres avens, nous voulons compfrendre cette cxhose en soi = ce présent de vie brûlée et déposée à l’endroit précis , ici, du trou (chacun le sien) de la fin, nous voulons comprendre ensemble les données frontales/ pariétales ce qu’elles sont, et ce qu’elles sont nous regarde fort, en cela que nous sommes deux à vouloir de fait kles approcher au plus près et concomittament de préférence, elle et moi, moi et elle , etc, car je suis l’elle ... de la joie du monde tracé, et elle est l’il ... de la roche dure des temps, et ensemble nous allons, de branche en branche, et touchons (ou visons à toucher) la timbale du temps imparti, de ce temps dit «humain» de la roche : naissance et départ de rage, etc, nous voulons comprendre (menu) ce qui est, et cette chose (cette Vérrité) la graver sur roche ou alors la dessiner (art) cde telle manière qu’elle puisse r(cette cghose) en imposer grave et frapper les imagi,nations ! celle de la mort à l’ oeuvtre notamment, car la mort nbous guette, nous swuit depuis toujkours du coin de l’oeil, tous et toutes, nous tous et toutes, nous so:mmes toutes et tous ainsi suivies par ... un oeil de roche ! et  cet eil de roche est oeil d’un dieu des roches, et  ce dieu des roches est ce dieu touché (bzambi ?) par la grace , ou sinon qui ? nous voulons toucher à ce dieu de la grace meuble ensemble, et nous avancer ainsi sur  ce chemin de roche dure, vers ce trou de roche qui saura  nous contenir, zau mieux, le moment venu, nous voulons comprtendre les données de base les plus  fines , les plus justes, et aller ensemble dans la profondeur ders choses, cde la Vérité ancrée, celle là wque nous voulons compfrendre, etc, nous sommes deux qui recherchons 

LE POT AUX ROSES, 

cette chose, et ce 

POT AUX ROSES 

nous regarde , en cela que nous nous sentons «concerbnés « par lui, par son effigie pa riétalzae, nous sommes de la bande, nous voulons toucher la plaie de roche dure, l’entaille disons entre deux mains soufflées sur roche, deux pochoirs antédiluviens, etc, nbous sommes de la roche dure les enfants ou quelqjue cxhose d’approchant ! nous sommes enfants de roche dure, nous cherchons la cause première, le summum du monde, le genre des temps, la parole de poids, la pleine mesure des temps, le vent dsans les feuilles, les tourments des mots de grâce, les bouquetins et les bouquetines, les enduyits (onguents et autres chrémes religiuesement déposées), nous voulons aller loin , en la demeure pariétale des serments, bnous  ne voulons pas rester en carafe et choir : oh que non ! mais poursyuivre sur notre lancée la recherche active,la recherche active des vérités, nous sommes deux pour agir ainsi, pour toucher ainsi à une vérité de roche : bouquetin et bouquetine ? nous voulons co:mprendre ensemble (mot à mot) les données frontales du mon,de (en somme) du trop p;lein, ou du trop-plein dxe soi (ras bord) etc, car le monde est plein de partout, se contient lui même sans faille (archivage) et dès lors ... cvomment bifurquer ? où trouver sa voie (et son chant ) ? car ici la roche est l’endroit des fuites peut être mais comment ? homme aurignacien ou magdfalénien ou même néa ndertalien , sauraais tu nous renseigner ? comment tu asfait ? lévitation ? transe ? transe-lévitation ? drogues ? cvomment ? la «religion» des roches des temps ? l’in cubation ? la parole manquante ou comment ? les mots faussent-ils la donne  des temps ? qUuoi faussze la donne ? nous cherchons la vérité sur roche (aurochs gravés ou dessinés) comme des morts cde faim pariétaux, ou comme mort de faim de vie en la roche, ou comment ? nous voulons aller en c ette belle roche ici dxes temps donnés nous «congratuler» = nous donner dxu (hum) «je t’aime, je te veux» à même la roche, et cela, pour passer ou dépenser le temps,

 à la charge, au poids de la roche, sur le poids donnéé, ou comment dire ? à charge ? à volonté ? commùent ? nous disons les mots de telle ou telle roche : ces «je t’aime», «te quiero», etc, sont mots de roche allouée, ces mots nous viennent en bouche par la ban,de et vonjt xsur roche se graver (pour ainsi dire) comme à la volette par des hommes ou femmes des cavernes, ou via des hommes ou femmes des cavernes, nous voulons graver nos noms qwui sont ici comme des amen et des j»e t’aime» de haute volée, nous disons la roche, nbous diso,ns la paroi, nous avons dezws mots pour dire, et ces mots sont  ce qui ici se pose ou poserait par nous en depot de soi sur la roche : nous faiso,ns = nous vivons-faison,s = déposons le temps en offran,de : «te quiero mùucho mi ammor la mùort «, etc, ce que nous disons, ce que nous disons est ce temps de roche attitré, ce temps attitré à roche attitrée ou sur roche attitrée à cet effet , mots surnuméraires comme des mains (ou doigts) qui vont comme à se graver illico presto à mla une à lma deux, via l’entremise (en treanse) d’un homme ou d'une femme (des cavernes) remonté comme une pendule , un sorcier ! une sorcière ! et moi de parler une langue comme ce sorcier ou cette sorcière (la même ?) pour la bande !  je cherche en amont et en avakl, devant et derrière, mais en vérité il n’ya pas de derrière qui soit mais que du devant , ou même : s’il n’y a pâs de derrière qui soit, il n’ya pas nonn ^plus de devant, mais un pourtour temporo spatial cde première, une «zone de rage» donnée, un temps de roche dure , une zone franche, canal, chenal, passage des oies, tombeau pour des enfants rois, passage à niveaux, nous cheminons, nous voulons voir, nous voulons savoir et voir, voir et savoir, tanguer, aller dans cette roche temporelle ... d’un monde clos sur lui même = sa n s la mort vécue ou comment ? nous sommes ...  dans le ventre mou de la roche ! nous sommes comme insérés dans un ventre mou dx’une (sorte de) ... Charité, nous sommes pris ou comme pris dans une nasse de la charité et des bienséances (au mieux) et nous avançons de concert .... vers la mort ? celle là qui ici njous tend (vraimenbt ?) les bras ? qui suis je pour dire cela ? les mots quye j’emploie d(‘où sortent ils ? qui donc m’a inculqué ce langage des grossièretés  et des insultes de saillie ? qui je suis pour parler tout court ? qui donc je suis pour ... l’louvrir ? qui etes vous x ou y pour vous zautoriser l’ouverture, en grand, de votre gueule , et du coup parler , et dire, asséner, tro:mper, réduire, cramer (pour ainsi dire) le temps d’une offrande à venir, etc ? je suis roche moi même un temps, qui est celui d(‘une déposition (art ?) de temps brûlé sur table df(‘offrande, et je vais et viens , je vais et je viens en roche, à la recherche de la vérité liée ici aux données dde ba se, roc et gravillons, roche dures, parois naissantes, etc, gravons nos noms ! faisons de la sorte que nos noms, ainsi, fussent gravés ou dessinés par une main xd’homme ou de femme , nbous voulons savoir ce quyi est, en cette roche des 

v érités des temps,  bnous pensons que nous pouvons trouver-dénicher mais rien n’est moins sûr ! car la roche est pleine à ras bord de sa rochéité pour ainsi dire, elle n’a pazs de trou à proprtement parler, ou si oui, anfractuositész, il s’agit de trous qui m;ènent à des non -trous = des butées, or, voilà ce qui nous intrigue, nous retient, à savoir cette  chose en butée, ce non trou au fond du trou, ce fond plein de l:ui (fonds) en vérité : qui l’eut cru ? le monde (le langage idem) est plein de lui, à ras bord pour ainsi dire, et n ‘offre pas en quelque sorte de «sortie» possible, et nous de naviguer en lui à la recherche (motivée, on l’a vu !) d’une sorte de vérité (vérité de poids) « qui le fasse» et il y arrive ! l’homme y arrive, oui ! l’homme (l'humain) arrive à ses fins, qui sont (ici) d’asséner des charges pariétales , oups ! voilà qui est dit ! l’homme a le chic pour assén er que tu assèneras des charges de pôids sur paroi du temps, «et que ça le fasse , moussaillon !», hum ... ce ge nre de phrases, etc, l’homme est parti prenante, il parle à tout va, dit sa recherche inébralnkablz$e inénarable, etc, il dit ce qui est (pour lui) «verité» de roche et ne s’en laisse pas conter, il est fin rageur, tombe sa veste et crache le morceau, conwxéquemment, il est vaillant, il pzarle-assène et charge-pl;ombe etc, il n’est pas en retrait pour ce faire, il est vif comme l’éclair dans son  verbe de foi, il file à tout va sa pelote vive, il est vif (fou ?) qsui charge, la mule du temps imparti, de sqon verbe «cuit», etc, nous voulons comprendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ et 

même davan tage, notre ambition est facile à cerner pour qui que ce soit, nbous sommes (disons) comme les auttres, bnous sommes pareils , nbous ne sommes pas différents, nous cherchons toutes et tous la vérité au quotidien, sur quoi s’appuyer en vrai, comprtendre les données de base voire plus si affinités avec les savoirs, etc, et voilà pourquoi nous sommes en quête (nous memes, à notre façon rupeswtre) de vérités vraies, de celles que l’on peut graver sur une roche, au galet, etc, ou dessiner au bout de bois brûlé, c’est exprès, et nous nous savons graver et dessiner, on sait, car, un temps, on nous a appris par l’exemple etc, nous voul:ons comprendre ce qui est pour nous, nous voulons comprendre  ce qui est pour nous = pour notre gouverne, nous sommes deuxxxxxxxxxxxxxxxxx, ou bien deuuuuuuuuuuuuuuuuuuux, ou encore  deeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeedeeux, ou comment étiré ? encore + ? et quand ? car , nous voulons , c’est un fait ! que voulon nous ? eh bien : étirer le deux, ce deux de cette roche des embrun,s, ce cdeux surnuméraire, ou comment ? nous voulons en quelque sorte étirer ce deux de charge, et en faire un deux  monacal, pariétal, de roche raide, etc, nous voul;ons cela, nous  cherrchons cette chose pour nous, cette chose d’un étirement du tout dans sa ligne, etc, et cela peut très bien être rendu possivble ici si une volonté de vérité, ou de recherche de la vérité, préside du coup à ce mouvement, il suffit ou suffirait (peut-etre) de vouloir pour faire, de vouloir savoir le mot de la fin,  ce qu’il est et dès lors : faire cette chose, cet étirement par la roche de ce mot  de «deux», petit mot de rage, «deux « ou «de» (a minima) ou même «2», écrit comme ça, tout marche, etc, nous sommes convaincus, nous sommes homme-femme ici  de larage verbale des temps, nous sommes à cdeux l’homme et la fgemmùe xtourmentés des sables, des apprets sur roche, des gra-vures au vin mauvais, des troubles sur roche tracés, etc, troublkes tracés sur roche du temps mezn,açant, nous fouillons ensemble dansles profobncdeurs, que voir en icelles ? nous fouillons grave dans les profo,deurs et nous nous demandons, quoi donc pouvoir voir (de fait) en icelles , quand (comme nous) nous sommes ou vous êtes comme appareillés par une co:mprenure ou d’une comprenure en bon n eet due forme, que comp^rendre, à cette affaire de roche à graver «par la  ban,de « ? de quelle bande s’agit il ? bande» de b andaison ? bande de bandage ? une bande comme une langue ? bande de terre,, bande de paroi ? peut-être ! nous tombons sur roche simultanément, à la une à la deux, conjointds, soudés co:mme les dix doigts de la=main : l’amour au centre de la roche = l’immixtion frontale (parioétale) cd’un couple de betes de choix et de poids, ovins ? bovins ? ... vins ? nous ne savoons pas ! notre but ici est de chercher cdes vérités de poids qui toutes sauraient nous donner de quoi nous retourner c’est à dire survivre c’est à dire poursuivre, ce chemin de vie attitré ou alloué à notre gouverne (ou pour),  car, nous voulons poursuivre ce chezmin de vie , ne pas trépasser (certes pas), etc;,  nouys voulons continuer à vivre,; nous ne voulons pas «passer» = mourir, nous voulons «‘à tout prix» (au prix de la douleur ou de la souffrance) continuer notre chemin de vie ou de la vie, nous voulons continuer ! nous voulons conti nuer ! nous voulons poursuivre ! nous voulons aller ! nous voulons vivre ! nous ne voulons pas mourir ! nous voulons poursuivre sur notre lancée et ne pas succomber ou sombrer, nous sommes ensemble unis sur une même voie de rage, qsui est celle cde la voix comme posée sur roche (engouements a nimaliers) et notre but est de, toujours plus, annoter la rocghe = graver, dessiner, afin de faire ainsi accroire à quyi de droit (ou quoi ?) que la chose est vraie, que l’animal représen té est un vrai animal et non faux animal ou représen tation fautive, etc, notre but est clair comme de l’eau de source, il s’agit  d’une tro:mpêrie, d’un tour de passa-passe, betise, etc, nous voulons comprendre ensqemble ce qui est ici (sur roche) représenté, cet art de la ruse, de la ruse traitre etc, qui est qui ou quoi ? que quoi est ici ? qui quoi est que ? qui que quoi est qui ou quoi ou qu’est ce ? nous avons une am bition (démesurée) qui est celle ci : de trouver le quoi du qui , ou le qui du quoi ? l’animal, représenté avec (le plus possible) art de la ressemblance, avec cet art pour ainsi dire de la reessemblance ici recherchée, poussé (l’art) à son paroxysme, cet art est il tro:mperie ? est il fzaux xsemblant ? pour faire accroire qsue ? eest il art d’une ruse de joie ? pour rester soi en vie tout plein ? est ce cvela ? est ce cette cghose ? qui sait répondre à pareille interrogation fortement existentielle ? je voudrais savoir la  vérité et comprendre les données qui sont ou wseront cellles (j’imagine) qui devront m’attendrte le jour J où ma vie sera à l’arrêt : quyi pourrait me rensezig ner ? les mots de la roche sont des pis-aller qui servent à tenir à distance (via l:’emploi du temps) la mort (xde roche) à l’oeuvre, car, les mots sont de fait un organe de satiété, les mots sont organiques, sont en place en nous autrtes comme en nouys un os, un estomac, une nervure, un poil, un foie, nbous savons et comprenons cela ! les mots ne bougent pas, et comnblent , quoi ? eh bien voilà ce quil  ous reste à définir ensemble , ce que lesw mots comblen,t , ce que les mots en nous font, en termes de fonction, ce n’est pas tant ce qu’ils disent en soi (vérités toujours les mêmes et assénées malgré leur fausseté consttitutionnelles) mais  ce quuils sont en termes de fonction à etre, de fonction d’etre etc,  ce que les mots pour nbous représentent, à quoi ils servent au juste dans la bande, ou dans la paroi ... ce quyi revient au même, etc, les mots viennent à xse loger sur roche, et cette action des mots en dit ici long sur leur fonction toute pariétale , nous voulons dès lors comprtendre cette opération dite «xd’immixtion», ces «je taime» et autres mots doux, insérés par la bande et le passage en soi des temps sur un organisme parlant, nbous voulons compfrendre les donnéesx, brutes (b rutales ?) du temps, ce que le temps en vrai est en roche, ce qUe lke te:mp^s permet à l’homme-femme d’être, etc, nous sommes ici nous deux qui pour le coup voulons comprendxre, nbous sommes deux qyui ici voulons comp^frendre, nous nbous joignons ici pour une cause qui, de fait, esqt commune , (

Cause Commune) et qui est celle de voul;oir comp rendre, ENSEMBLE, cette chose d’une sorte «en soi» de ... V2rité Majuscule, V2rité des vérités, chose rage , rage du temps, rage folle, folle rage du temps, ravins ! nous voulons comp^frenxdre coute que coute, ces ravins ! ravines ? nous voulons comprendre au plus profond (de l’age des temps, parois folles, etc) nos espoirs dans ce domaine, bnous voulons comprendre main dansq la main, soudés comme des amants / amantes pris / prises en otage,etc,  nous voulons savoir loin ce qui est qui n ous attend (demain ?) dans le sang , au plus lointain  pour ainsi dire de pareille roche (dure) aux tourments donnés, offerts, ou chus, etc, nous ne voulons pas DCD !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! , nous ne voul:o,s pas DCD !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!, nous ne voulons pas DCD ! 

nous ne voulons pas DCD !

nous ne voulons pas DCD, ou comment dire ? car qui suis-je pour dire cela et, comment dire cela, et de quel droit, et par quel biais, et de quoio dire cela ou comment de quoi , etc ! nous avons pour nous en nous des mots de rage, ces mots sont des mots-animaux (tous) de provenance, et dès lors, nous pouvons nous en wservir à l’occasion, nouys devons agir, nous dezvons agir de concertt car nous sommes deux et à deux nous en avançons, nous avons en  n ous tout un langage acquis qui est, en vrai, voix d’autorité massive, ou bien aurochs pour le dire vite, notre voix porte un temps, va, tra ine sa galère toute  de ciconstance, se pose là, va droit à dire ett porte mal (essentiellemen t imma,quablement) mais pour autant ne peut en dévcoudre, le fil est cousu à notre b ouche, il s’agit d’un quant à soi monumental parioétal incontournavblement cousu à    notre propre gouverne d’enfant ici perdu comme faon de roche dans la lande, loin de sa tribu ou meute (harde ?), 

et voilà pourquoi les mots en notre bouche ont ce mal xde chien à s’extraire vraiment, à aller fissa sur roche se loger et du coup rezprésenter ce qui dev rait, ou ce pourquoi ces mots seraient à devoir etre (peut-etre) d’eux mêmes, nous dison,s ce que bouche veut à travers des canaux rocheux, notre but ws’ins crit de la sorte (sur roche) avec des mots creux, creux comme des gourdes ! nous poussons le tout sur roche , à son paroxysme pariétal, betes-mots de fort impact, mais ces mopts de roche sont sans consistance autre, q<u»’en ttermes de données de roche représen tatives, nous voulons aller dans la roche du temps : nous deux ! nous deux nous disons cvela, comme qyuoi , nous voul;ons aller dans la roche du temps, nous voulons crezver l’abcès decette roche = la percer ! nous voulons percer la roche ! nous voulons pêrcer le rocher ! nous voulons perc er le roc ! bnous voulons per cer les termes, le sa ng pariétal, le sang-pris pariétal, percer l’abcès = merdum ! merdum à l’abcès ! nous sommesq ici les infirmiers et les infirmières, de cette sorte de roche du temps, infirmiers et infirmières qui venons ici, percer cette roche du temps ... pour la bande ou pour co:mment dire ici ? nous sommes les soignqants / soignantes ou l’infirmier qui vient paercer, je suiis cet infirmier qui viens perc er l’abcès et perce que tu per ceras, infirmier, cet abcès ! v as y , infirmier, ne traine pas ! et n’hésite pasx ! perces ! perce que tu perc eras l’abcès de la roche ! pâs d’embrouille ! pas d’hesitation ! perce fort ! traverse ! vide l’abces ! ce sang coagulé, ce sang noir, ce sang-pris par lm’infection localisée, sur roche du temps, sur paroi dure des tourmentsq, dans le temps imparti à une vie de roche = terreswtre, vidons donc l’abcès de son sang noir, prenons donc cette xcghosex pour soi , de voir à ici vider , etc, nous devons de fait vider les abcès, nous devons soigner l:a chose ronde, la crever fissa comme pâr lma bande et soigner / purifier / arran,ger la chose (roche) de ce temps ici offert comme sur un plateau , nous devons jouer (de concert) à vider tout le sang de la roche, nous ensemble (= deux) avons à,

et voil:à cela, ce que nous faiso,ns, nous vidons car nous sommes cdeux, deux qui avons à, 

et nous faiso,ns cela sur roche (en roche) ensemble, à toi à :moi, toi et moi, bnous faisons la chose, nous faisons cela, nous donnons cde nous pour ce faire, pour vider l’abcès de la roche dutemps, le sangh pris est du sang noir = vieux, coagulé, mort pour ainsi dire, car, le sang sde couleur noire est du sang mort, quand le sang vivant (vif) est rouge incarnat, vive vie de la roche dure, entrain, vif train de vie vive allant de son élan rocheux à :m^$eme le temps attitré, je suis homme de  la roche rude, je veux aller loin, je veux aller au plus loin des connaissances  verbales ou octroyées par l’emploi assidu et concerné-concentré du verbe pariétal, du vocabulaire pariétal , fait de betes de rage et autres animaux-mots de belle prestance, je veux swa voir, je veux compfrendre les données, poussser (dans le temps) la force d’un élan ou de la force d’un élan, d’un renne, comment dire ? mon coeur bat à l’unisson de ma voix , de ma voix comme déposée,  sur la table aux offra ndes vives, je touche du bois, je veucx vivre longtemps ... mon temps de vie vive, et dès lors, offre, sur roche, ce (cette espèce de) pis-aller animalier, mots de rocghe dure, pis-aller de roche dure, sang versé coagulé, percée, etc, et, ce faisant, parviens à me sauver un temps qui pour le coup n’est pas le temps donné maids le Tezmps vécu, maintenu vcomme le sang de vie (rouge vif) d’une sorte de parole du coup «engen,drée», nous poussons la chgose ensemble dans ses lointains et ce faisant restons en vie sur roche, nous restons en vie et non pas mort, nous ne restons pas mort, comment diire ? nouys  voulons rester en vie ! nous ne voulons pas défai;llir ! notre but est de crever l:’abcès sur roche (le dessin comme à la volée) et de nous en tirer, du coup, de la sorte ! 

soins ! soins sur toute la ligne ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ju’ai trouvé ! le soin princier, le soin primordial, le soin offert, le soin de base, la ^percée , ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! cezla est ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! évidence !car, le sang-pris de roche se devait en vrai d’etre ;:libéré   , oh que oui !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! il devait l’être, il se devait de l’être ! le san,g noir est du sang pris, dessins sur la roche, et nous, nous so:mmes les soignants, nous venons en nomùbre (à deux ?), nous devons co:mpfrendre ensemble les données du monde , et aller en roche ainsiéquipés de nos pics «de percée de roche», droit sur l’abcès ! voici la faille dans le roc ! oh on a trouvé ! je j’ai je ! oh ! voici je j’ai ! ohhhhhh ! je j’ai je ai ! ohhhhhhhh! je suis je , jhe j’ai trouvé, je !!!!!!!!!! je suiis je j’ai, ohhhhhhhh j’ai ! je suis ici celui celle, qui est cet homme femme, ce enfant -faon, il-elle a trouvé la faille = la pl:aie = le sang pris = l-’abcès ? = quoi ? cette chose ici d’une sorte de sang enfermé dans la roche, et le «pic de verbe» est là (du coup) pour cvrever, pour crever ce sang-pris d’une bulle d’abcès pariétal, et voilà (dès lors) la roche (enfin) ornementée, à la mode soin, soignemùen,t;,, etc, nous voulons comprendre ce qui est en roche et qui répond à l’odrdre des tourments, nous pensons le Temps, nous pensons a u temps comme à quelque chose de sanglant, et peut être, en vérité, quyi sait ? le sang versé, ... est le sang de la roche des temps, le sang versé ...  est ce sang de rocghe dure, c’est ! or : nous ne so:mmes sûrs de rien en  vérité ! notre gouverne pour le coup nous porte (ici ou là) sur  roche, nous treaçons des  betes à la vo:lée , nous sommes montés haut sur pareille roche, en lévitzation on le sait, etc, et, ici, nous dessinonsq des betes, betes de poids qui sont betes de charge qui sont betes d’impact, car notre but ici est xd’impa cter la mort au maximum et de lui en mettre en vrai plein les mirettes pour ainsi dire, bnotre but est de la surpendre et, dès lors, de l’écarter un tant soit peu, car, nous ne sommes pas près de vouloir décéder, nous ,ne vpoulons pas décéder, nous voulonstenir en vie encore un tem^ps que nbous n,e voulons pas écourter etc, voilà le credo nôtre, ce que nous «penson s» dans le xsang, etc,; notre  vie l’emporte et emporte avec elle les mots de ta rage, etc, nous voulons tenir et toucher la timbale du temps, nous voulons survivre aux coups fourrés (comme qui dirait) de la =mort à l’ oeuvre, nous sommes deux ici pour ce faire et à deux c’est ainsi, à deux nous poussons, nous poussons la chose, nous poussons la chose rude, lourde, pesante, la pouusons loin ou la repoussons, nouys poussons cette chose (à deux) d’une bete de poids, âne bâté, chevfreuil centripète, biche aux abois, bison des grisons, ours en peluche, dindon de la farrce, nous poussons sur roche l’animal ... de la gra ce des temps, grassouiillet comme il se doit, à deux nous sommes qui pousdsons cet animal de choix à même la lande, le faisons se mouvoir de toute sa charge, bouge toi de là bete rosse, nous sommes ensemble pour te déloger, nous voulons ta place, nous voulons de ta place, nous voulons nous deux prendre ta pl;ace, notre but ultime est de prendre la place de pareille bete,  bete de poids (un massif) ornant telle roche ou paroi de grotte, 

nous sommes unis et so;:idaires pour ce faire et donc pousser ou repousser la bete (à deux c’est mieux)

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12/7/2021

main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main main, main,  main, main, main, main, nous traçons des mains à même la roche du temps, nouss traçons des mains à même la roche des temps impartis, nous sommes deux de la bande, nous traçons des mains en veux-tu en voilà car nous sommres de la bande et nous avançons en icelle, deux par deux, comme  enfants entrant en classe, nous sommes des betes de rage et nous entronss en icelle paroi 

xcomme dans une nasse, nous entrons en paroi ensemble, le front hzaut, la tete fière, nous sommes unis dans une rage (folle) de paroi, nous allons gaiement en icelle et nous nous aimons en icelle, nous nous lovons, nous sommes deux de la partie, deux pârr deux, nous tombons des nues en icelle paroi et nous nous immisçons en elle, subséquemment, nous sommes en elle comme  chenapans de ta race mère, nous longeons la rive, nous sommes en roche comme deux amants qui se congratuleent et s’autoravinent et s’autoravinent, nous sommes deux qui allons en roche ainsi accoutrés : pieds de poule, chapeau, ambrassades, nous aimons la roche, nous aimons la roche dure, nous nous allongeons en icelle et nous regardons passer les betes près de nous, nous sommes deux qui allons en elle, gaiement, et qui s’autocongratulent ou se congratulent de conserve, nous aimons la roche bpour nous, pour ce qu’elle nous reçoit ici en son sein temporo-spatial et nous donne le la de la roche dure, son allant dicté, sa muse première, son chant d’azur, nous aimons cette roche dure des embruns, nous noius asseyons, nous voyons devant nous rugir les lions, les lions et les pumas, les tigres et les panthères, nous voulons comprendre le la de cette roche des temps musicale, qui elle est, quoi elle est pour nous qui nous avançons en icelle commùe deux amants de réserve, chantournés, pris à partie, prise dans le sac (la main), munis pour ainsi dire de nos becs «de percée première»,, pris dans la nasse, chochotés, etc, nous sommes deux qui ensemble nous infiltrons, nous noius immisçons conséquemment en cette roche  des tourments

 de rage temporaux, (temporels ?) et nous nous avançons ainsi, bruyamment, en pareille paroi rocheuse, main dansla main comme de coutume, nous sommes unis pour la vie, nous aimons cette roche meuble à graver fissa par la bande, à toi à moi, au bec, au piquet, à la serpette, au tracé vif, etc, nous dessinons des bêtes-mots de rage ensemble, bnous aimons ces betes mots pour ainsi dire «de première instance»,, cette charge (animalière) sur paroi du temps, cette frise, ce rajout, ce sempiternel salut de rage en boite, cette venaison etc, nous aimons ces betes de paroi de grotte hospitalière, nous cherchons à comprendre, ensemble, ici, ce qui se trame et nous tend les bras : la mort, qui es tu , qui es-tu que nous ne savons pas ? car les mots ne disent pas tout , les mots ne disent opas tout, les mots haélas ne disent pas tout, pourquoi (c’est une question) les mots (les mots !) ne disent pas tout ? pourquoi donc , pourquoi donc les mots, nos mots, les motd «de ta race princière de meu» ne disent pas tout , pourquoi ? pourqyoi les mots de rage ne disen,t pas tout ? faut il (dans les mots, au milieu des mots , ou avec les mots) chercher à tout dire , quand les mots ne disent pas tout , ou comment ? nous cherchons issue de secours, plaie à vif par où pa sser, ou bien une faille  cde roche, ou bien une échancrure dans l’encolure, ou bien un V de ta rage vive (ViVe) qui eut pu nous satisfaire, ou quoi d’autre ? nous cherchgons ,   des solutions de première, des vérités natives, des espoirs et autres déveleopppements de rage, en icelle rocghe des temps alloués, nous chercgons à nous introduire ensemblke (2) vers là-bas ! cette zone auxcx clartés ! cette zone franche de fin fond des temps, cette douce ouverture vocale , bruyante (?), qui nous interpelle , que dit -elle hormis le sempiternel essai de captation , que nous raconte-t-elle que nnbous entendons ? elle (la mort indicible) nous dit : va

 venir ! va à moi venir , toi ! va toi à venir moi ! dans une sorte là de charabia venu de la rooche, nous sommes qui l’entendons, nous entendons ici cette roche dure, ce sens de la marche en elle, cette voix de rude rochge des temps alloués, ce sens précis d’une voix disant, cette invitation nominale, cette chose en roche vocale, roche et choses vgocales, etc, nous écoutons, nous sommes tout ouïe, nous aimons cette zone franche des embruns, nous so:mmes au fin fond du fond du fond du fond du fond du fond du fond du fond du fond du fond du fond de la roche du temps, en cette zone franche de lza voix céleste d’outre-roche, cette zone aux paroles sensées, nominalement adressées, qui va et qui vient en cette roche des embruns, cette chose rude, ce tra vail de voix de roche, etc, nous sommes en  cette roche rude comme en une nasse de toute première extraction, pareille paroi a pour nous ce sens, ce sens inné : il est pour nous cette chgose ici d’une sorte de paroi de roche rude (dure) qui nous «tend les bras» comme de juste, sage-femme à la naissance ? rudoiement mortel ? colère ? corsage ? nous ne xsavons pas ! nous cherchgons issue de concert, à même cette rocghe ici de paroi, à m^$eme les betes de rage gravées par x ou y, homme des cavernes, chenapan-chasseur, homme de lma roche dure première, homme du temps calciné, baton de bois, nous cherchgons ensembkle des issues à même la roche, nous voulons comp^rendre enwsembkle les données du temps, les soubresauts, les époques  temporelles, les circuyits, les vents de face et autres intemppéries etcx, nous sommes deux qui chercgons à comprendre, en profondeur, les données cde base qui ici président à cette sorte d'envolée de roche dure, aux betes de voix, aux betes-force de paroi, ces betes de rage xdure, ce serment, nous disons que nous aimons la roche dure, nous aimons la roche dure, bnous disons que nous aimons la roche dure, nous aimopns la belle roche dure, rude, rugueuse, nous aimo,ns en cette roche la bete gravée, l’ornement fatal, le mot de lma fin (eyt de la faim ?), cette en,geance frontale, déploiement du bout des temps, enfermement intrarocheux, déplissement, ornement, danger, prise de parole ingrate, etc, nouys disons que nous voulons savoir la chose, ce qu’elle est pour nous, ce ravin, cette chose ouvertte, ce pâssage, ce torreznt, cet enclavement, cette oraison de roche rude, ce passdé, ceyte voix de la chose, ce passé révolu en soi etc, ce qui est en  nous qui perdure est comme déposé sur rochge du temps en, guise de présent, présent alloué à pareille roche, qui (du coup) est ce présent dit « de la roche du temps», etc, nous nous tenons prêtes, nous sommes deux,nous nous tenons par lma main, nous nous enlaçon,s, nouis copulons, nbous faisons des choses, nous sommes unis en    ette rocghe des embruns votifs, nous aimons la roche dure, son allant de roche rude, etc, nous sommes deux qui nbous aimons en  cette roche des embruns natifs, nous aimons cette drôle de roche dure, nous l’aimons comme une sorte de soeur d’infortune etc, nous sommes en elle comme deux amants 

de roche aux tourments, nous nous introduidsons de conserve etfilons en elle fissa , au fin fond du sein des seins de la roche meuble (à graver) des temps impartis : hommes des cavernes (nous sommes) qui vont et qui viennent en cette rochge meuble, prêtes à bo,ndir, ou saillir, etc, nous cherchons une chose, nous cherchgons la chose, la Chose rude, nous cherchons la Chose des choses (rude et dure), etc, nous sommes deux : 2 ! à chercher la chose : deux !

 deux ! deux ! deux ! 

deux + deux = quatre, à chercher ou qui cherchons ! oup nous voilà ! nous cherchons de cvoncert = musicalement, cette chose rude que v oilà devant = ce présent de la roche meuble (ici) pour une sorte de gravure à l’emporte-pièce ! stylet ! nous gravons des betes-mots qyui sont betes de rage -mot ou comment dire ? nous gravons à l’envi des betes de rage qui sont des betes mots (de rage) au complet : zaurochs de paroi, mammouths surnuméraires, ours des cavernes, bouquetins, nouys traçons ces betes de voix de roche, ces paroles d’outre roche de pârois, etc, à main levée, à la rapide, sur place ferme, etc, nous cherchons, nous sommes deux qui cherchons la Chose, nous subissons les embruns mais la chose est là, qu'ensemble noius recherchons ou comment dire ? nous cherchons la voie pour une entrée xde face, vive et primaire, dans le sein des sezins, fissa oup là, etc, nous voulons franchir le rubicon , le saillir ou comment dire ? nous devons comprendre ! nous sommes là qui cherchons à comprendre ce qui est de cette affaire de paroi du monde primal etc, quoi est ce ? nous cherchons la voie d’entrée, d'entrée en matière, la voie d’une entrée à cdeux en matière ! nous voulons comprendre ce qui est en roche, cette face, ce visage pour ainsui dire, cette face à voix de roche, cet appel buccal (lèvres) et pour ce faire noius nous uimmisçons en cette reoche dure comme deux enfants ou deux amants ou deux brigands ou deux chenapans ou deux faons ou deux lascars de roche primaire : dedans ! hop là ! pour la chose d’une sorte de mainmise toute compréhensive ou comment dire ici cvettye chose d’un savoir à acquérir enfant, ou sinon engfant adolezescent ou sinon adolescent adultre ou sinon adulte vieilla rd impotent ou sinon vieilard impotent vieillard mourant voire mort ! nous sommes deux à faire le chemin de roche ensemble, main unies, main en main, main + main sur roche du temps = mains surnuméraires de première, nbous entrons en roche comme en religion, munis, attifés, pris à paertie, chipés ou comment ? car la roche nous encercle et nbous tient prisonniers d’icelle la chienne ! nous ne voulons pas rester prisonnier saleté ! nous parlons comme des charretiers à son adresse ! nous utilisons des mots gras cde première car nous sommes munis d’un langage ggras de première, ni plus ni moins, et ainsi nbous allons en roche vociférant, ou bien nous entrons en roche hurlant, ou criant l’infamie ! nous ne voul;ons pas de cette roche des apprets de roche ! nous cherchons une embardée votive, embardée native votive de première voix, ou comment ? nouxw hurlons n otre misère ! nous ne voulons pas mourir ni passer des caps douloureux de morts successives ! nous sommes ensemble en roche pour ce faire, qui est (de fait) de rester vivant, on l’a dit, nouys ne voulons pas mourir ! nous voulons rester en vie ! nous voulons rester en roche ceux et celles qui comptent (égrenent ?) les betes gravées ! nous ne voulonbs pas lâcher le déco:mpte (le perdre) mais tebnir la cghose crument (véritablement) à m^eme la roche, nous avons à compter (décompter) le (les) temps de paroi de roche dure, on le sait, le temps est un décompte nominal musical, basé sur larépétition (maintenue) des vocables, chatoiement de beauutés racées nominales égrénées sur roche comme des attraits et autres appezaux et autres apprêts figuratifs, nbous zommes en roche pris ainsi comme par la bande, nous sommes insérés ensemble en cette rocghe des attraits de roche, animaux-mots de parois des temps, attrappe-nigauds etc, nous sommùes pris ainsi dans la roche, pris-admis en cette sorte de pâroi du temps qui passe, nous égrenons le chapelet de la roche rude du temps donné (brûlé pour partie) qui est celui de la rocghe du temps (ou des temps) qyui nous sont donnés ou qui nous est donné(le temps) comme une faveur ... des prés parioétaux ? ou comment sinon ? nous avons à dire les choses crument, maids comment ? car les mots nre disent pas tout, nous voulons agir ainsi comme si les mots pouvaient tout dire etc, mais non ... ou oui ? ou quoi ? car nous «voyons» vla roche dezvant nous, embarcation de roche dure, cette emba rcation, cette barque aux amants natifs et autres faons de la première heure, nous voyons cette rocge du temps et nous comprenons la méprise : oui nous donnons à Mort de rage folle ... en elle (paroi), et non nous ne donnons pas , et cela en un même mouvement vital ! nous donnons de nous ce qui meurt ezn vie (en temps de vie) et nous ne donnons pas cde nous ce qui vit encore en ce meme temps (alloué à une vie terrestre) , nous donnons une partie de nous et ce don est le fait pour ainsi dire dxe la vie terrstre allouée par qui on ne sait mais voilà ce qui est ici qui nous est imparti ou quil nous incombe ou nous incomberait de vivre ! nous so:mmes deezux qui cherchons à cvomprendre la Chose, ce travail de roche, cette embardée, cette envolée lyrique (oui ?) qui est roche gravée etc ! nous c herc hons cette chose en rut, ce cri primal, cette secousse, cettte vive envolée de rage pariétale, cette frise, ces betes de voix, ces betes-mots «de ta race de meu» qui nous «tend ses bras» ou tout comme ou quoi d’autre ou comment ? qsui donc nous tend ou tendrait les bras ? qyui pour nous dire ce qui est devant qui nous attend ? qui sait réelmlement cce qui nous attend ? qui sait cetrte chose qui (devant nous) serait postée comme animal volant sur sa branche de buis, etc, nouys ne sa vons pas ! nous voulons savoir la mort ce qu’elle est pour nous , envolée lyrique ? hum ! peut-être pas ! ou si oui qui ou comment ? c’est à dire : si oui , qui est elle ? = qui est elle pour nous : lien de pare,nté , quyi  ? nous l’ignorons ! nous ne savons pas quekl est le lien de parenté qui unit la mort (le devant) à cet être de rage en  n ous qui renacle et piétine en nbous , etc, cette bete de choix principal, cette bete principale en soi de choix de rage, ou comment dénommer icelle ? la principale ? la chieuse ? la belle romaine ? chandail ? heaume ? grive faute de ? etc, nous ignorons le nom (vrai) de la bete en nous unie à la mort ... mais par quekl lien de parenté unie ? bnous ne savons pas ! nous cherchons

 ! nous ne lâchons pas le morceau, nous voulons essayer de comprendre, au p^lus ^récis et au plus juste et profond la chose mais ce -,n’est pas simple du tout , c’est même coton à piger ! une dro^le de sinécure que cette sorte d'envolée en ce sein des seins dit «royal» (= pariétal) de roche primùaire (grotte) , nous voulons dès lors comprendre loin en elle, bnous vouylons aller loin en, cette roche des attraits de rochge, oui !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et ne pas lâcher le morceau ! nous vopulons comprendre les mots entre eux, les raisons, les motifs de roche, les moteurs, les volontés naztives, les vouloirs, les prises de rage parolières (de parole) etc, nous cherchons ensemble ( deux !) à creuser profond les savoirs ! ce que le mot peut ! ce que le mot de roche peut nous révéler si tant est ! mais peut il ? car le mot de roche est un pis-aller (ornemental langagier) qui est ce machin-chgose, d’une roche des parois, qui est ce présent offert ici à la volette ou comment ? oiseau ? priison doré ? pigeon vole ? découverte de première? circuit fermé ? nbous voulons comprendre en ce circuit ce qui est compréhensible, mùais pour ce faire comment faire autrement qu’avec loes mots de ta race mère, mots de rage oprimaire (la rage

) qui vont sur paroi noter leur misère ou quyoi ? nous cherchons à comprendreles don,nées de base de ra ge ou de la rage : qu’est ce que la rage ?  qu’est ce que ça que cette rage de paroi ? qui est derrière elle en nous ? la bete ? cette bete en particulier en nous ? et qui donc est la bete «de ta ... rage-mère de meu» ? ou quoi d’autrte ? nous cherchons ici (solenn,ellement) le lien de pare,nté qyui ici unit, en nous, la bete, en  nous contenue, à la mort des devants (présents déposés par la bande) de roche du temps , quel est ce lien ? nous chezrchons )àà comprtendre, ou ... faire le liezn alors ? ou comment ? comprendre cette chose, comprendre, ensemble, ce lien (le faire ?)- qui unit la bete en soi (rage-bisque) à la mort des attraits de roche, c’est à dire à la mort aux attraits (de roche dure) c’est à dire à la mort gouleyeuse, rude, qui rudoit, qui ne s’en laisse pas conter outre mesure et cherche en vrai comme à vous extirper coute que coute de pareille vie aux embruns, aéux vagues, aux effluves etc (poltergeist !) car nous sommes deux à penser en nous, à la possibilité ancrée (en nbous mêmes) d’une volonté tenace divine,  dee vouloir ++ faire en sorte qu’un lien, pour le coup, puisse etre, qui lie ou lierait l’animùal en nous (celui de la roche : gravé ou dessiné) à elle (icelle beauté comme rudimentaire, de la roche finale : excavation, troud  e roche rude) , noys voulons cela comprendre ensemble ici, en roche des temps, nbous le voulons ensemble cxo:mprendre vite fait , c’est à dire à bride abattue et à main levée, comme il se doit en poareille contrée habitée par des cerfsq, chev reuils, etc, cezrvidés des bois et autres sous bois, etc, nous cherchons à nous y retrouver ensemble en roche, parmi tout cet ensemble,  de betes rosses (ou pas) qui paissent et ga mbadent paisiblement (ou pas) etc, bnous sommes dee’ux (en nous ?) qyui ardemment cherchons les occurences (les comprendre) et aller en roche ou à aller en roche ainsi attifés (chandails de bure) pour une chasse (intense) aux vérités natives (aux données primaires), aux raisons premières et auttres causes de première instance ! qui fait quoi à l’origine ? qui le sait ? les mots peuvgent 

ils nous dire (a pprendre) qyuelque chose qui szerait le 

Primordial ? nous voulons co:mprendre loin de ce qui nous anim$e en nous mêmes en tant que tell = le cordial, c’est à dire le cardial (le coeur et son ou ses battements) etc , qui suiis je ? qui je suis ? ou plutot qui on est ? ou qui solmmes nous ? nous ne sqavons pas qui nous sommes ! nbous sommes deux pour une causerie ! nous sommùes deux pour une sorte de parole de roche endiablée (endiableé la roche ou bien la parole , endiablée ? ) , nous voulons comprendre ! endiablée mla roche ? endiablée la parole ? paroi-pariole ? parole-paroi ? qui l’eut cru ? qui dira ? la parole est elle la paroi ? la paroi est elle la parole ? qui parle en paroi ?  ? qui est qui ? qui fait quoi en elle (paroi du temps) ? nou vopulopns comprendre ce qyui ici en roche du temps swe trame sous nos yeux, nous ne sommes pas nés de la dezrnière pluie et nous considérons,

à part nous et pour nous , que nous avons le droit d’avoir voix au chapître en tant que tel, nous voulons bnous inscrire dans le temps, et en lui aller loin parmi l'ensemble des betes de somme ou autres betes représentées à même la roche, creuser loin dans le domaine du savoir, des connaissances de vie rupestres, c’est à dire des savoirs premiezrs (ce qui compte»), etc), et pour cela nous nous afficjhons dee concert, main dans la main, sûrs (ou pas ) de nous peu importe car,  ce qui comp^te est cette franchise de vcoix c’est à dire plutot cette volonté (native ?) de franchise «à tout crin», cette volonté-engouement de se  montreer sous ce jour vif et éclairant etc, comlme quoi nous recherchons coute que coute et pas à pas la Vérité de paroi du temps, cette Vérité grand V, cette enVergure, enVolé, Voilure, Vitesse, cette Vitesse des données naissantes, houp la oup et nous voici sur le carreau, la plaine, terre-mère des embruns, rives de la cxhance (ou pas) d’être secouru à la volette à la naissance dans les bras («de rage») d’icelle sage-femme des parois ! nous cherchons des solutions à même la roche : qui est qui ? qui est uni à qui ? lma bete en soi (en nbous) est elle unie (lié et si oui comment ? ) à ce dieu de la roche rude = la Mort belle (trace) des parois , est ce ain si ?  nous cherchons dans tous les sens, nous avons pour nous l’emploi d’une langue allouée qui est l’instrument par lequel bnous tentons l’app^roche, cette chose rude d’une approche ici piquante, pic de roche aux ealentours, etc, 

nous vpoulons savoir cette cxhose qui sezrait un lien,; qui serait cette chose-lien, unissant la roche et les mots-bêtes, à ccette Mort de rage sus -nommée, cette Rage grave, cette Rage des attreaits, des traits sur roche meuble (ornementartion) qui est cette Chose rugueuse, ridée, cette chgose rude, etc quyi se pointe là, devant soi, comme un cheval fou 

destiné à peut-etre nous emporter au delà de l’audela ou va t en swavoir ! nous voulons essayer de comprendre les données du monde : ce qu’»il est et ce qu’il n’est pas ! nous sommes deux, noys sommes en rage ou cpomment dire ensemble ce que nous serions, ce qu’ensemble nous cserions : une entité ici éduquée ? une sorte d’entité votive de belle tenue toute droite ? chapiteaux ? nous essayons de comprendre , nous ne savons pas ce que nous sommùes, nous voulons compren,dre ce que nous sommes, nous voulons savoir qui est je et qui est nousq ! nous voulons savoir enswemble ezn roche ce qui est, de ce je ici de base rocheuse et (incidemment) de ce nbous, mles tenants et les aboutissants d’iceux  , etc, nous voulons comprendre loin car nous avonbs ensemble à comprendre loin car nous sommes de fait ensemble sur une lancée car les mots enn  nous (malgré nous pour ainsi dire ) caracolent comme à l’emporté, etc, 

nous sommes comme emportyés nous mêmes par le flux 

d’une vie cordiale en nous, flux de rage moteur, ou de rage motrice etc, nous sommes «sur des rails» qui ici nous voient aller sur rochge dure, graver des betes-mots unis à la mort (à la vie ? ) , c’est à dire «adressés», c’est à dire «versé»s, ou «tournés» vers  la mort, icelle «mùort de meu» etc, car la mort est à insulter on l’a vu ! la mort est oà couvrir d’injures et autres vilenies (autres grossièretés) langagières ! vive la v ie disons nous eh bien disant cela nous

 ... «touchons» la mort , hé ! car la mort entend très bien la rage vitale et vibrantec en  ous qui a llons sur roche (fissa) graver nos mots , et ces motrs disent notte engeance ! notre volon,té de ne pas en découdre et notrte a ttachement à la vie de rage (animalière) en soi , nous ne voulons pas mourir = 

«en d’autres termes, nous ne voulons pas mourir «,

 etc, car nous ne voulons pas mourir ! nous sommes attachés (pieux, piquets) à la  vie ici terresteezre (l’attraction pour le coup nous cloue au piloris) etc, nous ne voulons pas mourir car nous sqommes (ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii) atta chés ( et comment !) à la vie d’attraction terrestre (kles pieds) et voil;à ce qui est, cette chose, d’une sorte... d’«enclouage sur roche», sur piquet, sur paroi, dx’un homme de peu ... de ra ge folle, ou comment ? de peu et de rage ? nous chertchgons ! nous voulons compre,ndre mles données les plus anciennes, les plus élémentaires, les plus natives, etc, nous voulons comprendre kes données de base, ce qui est sur roche qui préside à un ensemble langagier de roche, etc, notre but ultime est de comprendre ici ce lien qui unit cette bete de mots, en soi, oà cette chose hors de soi, présents de ta race primaire, dodécaphonique, qui préside aux destinées du temps, ou présiderait , qsuel est il ? nous cxhgerchon,s des choses de poids = qui pèsent ++ dans la bnalance xdes coinnaissances, les mots peuvent ils nous etres secourables ? ont ils en eux le opouvoir de «dire», ou sinon ... quel pouvoir ? car n ous sommes avidesq de savoirs ! nous voulons savoir ce qUI i est, devant, qui nous attend,  ce que cela pourrait bien etre : une chose ? un mot ? une rage ? un cri ? une plainte ? un rut ? c’est à dire cri de rut? une sorte d’embardée vocale princière ? = royauté, qui s’afficherait dans le sang ? comment savoir ? qui est qyui en  c ette roche des saavoirs de roche ? nous voulons creuser icelle roche en ses profondeurs ici les plus premières ou sinon où ? nous avons à comprendre ensemvcble un grand nombre de cxghoses rudes concernant la vie, la mort et (pour ainsi dire) ses confluents : où donc pouvoir aller ensemble nous donner la main et comp^rtendre ? quoi faire denos temps de vie alloués ? que dire sur roche «qui le fasse» a ux yeux de cette déité nacrée des embruns ? où aller pour comprendre-pfrendre et emporter-porter la vie en szoi, cette vie de roche temporellme,; ? etc, 

nouys voulons essayer de toucher, la Chose du sang dans le ventre, nous voulons essayer en soi de toucher, la chgose d’une sorte de »paroi du monde»   ... ventrale ? ou comment ? nous sommes femmes de roche rude, nous portons la mort anoblie, notre but est de toucher le san,g de cettye rocghe des embruns, ces mots de rage nous attirent fort, et nbous font passer, nous  font nous placer, etc, nbous sommes femmes-hommes des parois (du monde temporel), nous voulons aller ezn roche rude ainsi outillé de tout cet a rtsenal de mots de ta rage, nbous  voulons entrer en roche ensemble : hommùe et femme eznsembnble, en nbous mêmes, un corps premier, une sorte d’entité (bicéphale?) d’entrée en matière, etc, on dira cela ! ou alors on dira  ette chose que ou comme quoi nous sommes deux qui ensemble p^

rêchons (sur roche) la parole des tourments, des volontés terrestres ancrées etc, des avancées dans lke domaine des savoirs liés à des données terrestres, etc, nous voulons savoir = nous cherchons = nous creusons = nous prions = nbous parlons sur roche = nous hurlons comme des bêtes de paroi en rut, brame que tu brameras, etc, nous vooulons comp^rendre ensemble les données de base unissant la bete, en soi, à cettre déité, hors de soi (?) , qui serait elle même liée au présent donné sur roche , c’est à dire aucx betes telles que représentés par un ensembvle d’hommes ou femmes ou enfants des cavernes, nous voulons comprendre ces données à l’aune d’une sorte d’ezntité de roche, entité nacrée, qui sezrait de fait cette chose rude d’une sorte de donnée de bnase, grise, forte, chzaleureuse, brusque mais dure, ou comment ? qyui nousq attendrait de pied ferme au devant de nous ! qui est elle ? qui est donc pour nous cette chose ? quoi donc est la mort (en d’autres termes) ? egh bien... la mort est ... la mort est cette chose que .... la mort est une entité : une entité, qui (entité) va sur roche nous trouver : terrain xde rencontrte ! est -ce cela ? hum ! on dira que oui ! on dira que la mort , est une entité native, une sorte de je-hjoie direct, un je direct de hjoie de roche, une sorte de je crois (amen) sur roche du temps = mot-bete de roche première

, on dira ainsi que la mort , est un «je crois» de roche rude (la Vie terrestre») qui njous regarde ou comment ? qui nous interpelle ? on dira cette chose, on xdira que kla mort est voix (Voix lmajuscule) qui hurle son envie de vies, etc, et ce : sur cette roche poréhistoruique d’une sorte d’avant-scène primordiale, on dira que la mort est cet avant sqcène , ou bien cette chose devant soi qyui hurle sa vive colère d’en vouloir à notre vie, ou d’en vouloir attenter , ou comment ? mort de rage, bisque rude, chalezurs !!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et pourquoi , pârce que ! car nous sommes neufs ! nous venons de naitre ! un + un + un + un + un + un etc, nous sqommes nombreux, nous ne sqommes pas (rien du tout !) seuls au monde eh non ! nous sommes nombreux, nous devons aller en roche de la sorte : outrant la

 mesure ! nous devons forcer barrage, crever les abcès parioétaux d’une sorte de roche den taire, buccale, etc, comment nous exprimer ? car nous souffrons les pierres de la vie terrestre,  nous souffrons à qui mieux mieux les douleurs du monde ( «mon dieu !»), et ainsi souffrant nous nous poso,ns en tant qu’abjurateurs et abjuratrices ou purificateurs purificatrices de nous mêmes (dès lors) ou pas cela ? comment alors ? nous s ouffrons les pierrezs de la roche terrestre des temps br^lés, bnous avons à subir ces effets, ses dires, nouys devons ramasser ««««, nous nous devons de «ramasser» ce qui est sur terre en tant que 

 «désagréments» éventuels etc, cela est , cela ne fait pas de doute; , cela est une vérité de roche tendre et une vérité de roche dure ou brusque ou brutale (à d’autres moments) vcar l a vie terrestre est une sinécure, ou pas (on dit comment ?), qsu’il nous incombe de de voir «passer» c’est un fait, etc, nous sommes deux quiu pour le coup cherchons à nous poser sur roche un temps et là, ensemblke, trouver ou découvrir des vérités de poids qui eussent pu fzaire leur petit effet sur pareille paroi «aux ornements animaliers», nous voulons  aller 

(en  ette roche des temps) au plus loin possible et essayer ensemble de crever l’abcès ou toucher latimbale ou toucher au sang de ta rage, ou toucher la mort de près , etc ! car la vie terrestre est une chose (les embruns) et la vie apres la vie en est une a utre : éclaircie ? donnée vive ? lumières ? éclaircissemùents ? données de base ? persoinnifications ? etc, nous voulons savoir 1 de la mort du temps et 2 de la mort tout court, bnous voulons savoir de la mort, nous en voulons savoir  ...

 long ! 

nous voulons savoir long à propos de la mort et ce swavoir ici passe par une sorte d'ornementation lan gagière animalière d’homme ou femme ders cavernes, nous voulons comprendre  ce que c’est que cet art de roche , ce qu’il est qu’il représente, ce q’uil dit en termes de don,nées de bnase, etc: la mort est elle une entité ? la mort parle t elle ? la mort parle t elle à travers nous ? la mort nous manbge t elle cde l(‘«’int»ériuer ? la mort a t elle faim ? la mort est elle liée (très liée) à la faim ? loa mort est elle a vide ? la :mo rt est elle un ventre à nourrir ? un ventre ? la mort est elle une pân,se d’animal des prés ? la mort est ellme un antre ? une roche incurvée ? la mort est elle une outre ? la mort est elle une grotte-ventre avide affamée voire assoiffée ? la moprt a t elle faim ? souvent ,? toujours ? jamais ? quand ? lma moprt est ellme affamée de naissa nce ? qui a faim en  ous : la mort ? quyi va là ? qui va là surveille sa monture ou pas ? ou comment ? nous voulons comp^rendre loin et beaucoup : la mort est une chose, ou serait, ou comment ? nous voulons comprendre loin et beaucoup à propos de cette mort de roche rude, nous voulons comprendre ensemvble, un grand nombre de données de base concernant la mort, ce qu’elle est, son souhait, ses richesses de paroi,; etc, ce que c’est que ceztte mort dont «on « (qui ?) nous parle incessammment (le tic et le tac de nos coeurs de roche) etc, quoi est qui ou qui est quoi ! car voilà ce qui est ici en roche, ces tracés de betes de poids sont des mots (adressés à des sortes de dieux) incantatoires ou encha,ntés ou enchanteurs ou chanteurs ou à chanter, etc, la chose à ce jour n’eest pas claire à 100 pour cent pour nouqs, nous voulo ns comprndre ensemble ces donné»es de roche animal:ières, ce qu’elle sont tres exactement à  c ent pour cent, pour nous, en cette roche dure d’une vie terrestre, etc, nbous voulons creusezr dans le ventre mou, ou coment ? nous avons pour nous cette chzance de pouvoir aller, en roche, incidemment, à deux (main danslma main) et cela aide beaucoup, et l’insertion et l’acclimatation et l’immixtiuon et les effets de roche , etc, nous devons comprendre ici que nous avons à pour le coup nous insérer pour recevoir x (ou y) données vives, nous devons enttrer en roche, ouvrir les yeux en grand, percevoir = écouter finement par l’ensemble de nos attributs, etc, et de cette chose faire une sorte de «condensé langagier», et dessiner dès lors le bouquetin, le bison de lafable, ou bien l’aurochs, l’ours des cavernes, la jumaent, le puma ou la belette, etc, nous voulons co:mprendre ensemble, dans la profo,ndeur de la roche, ce qu’elle est pour  nous (à nos yeux et au delà) et pour ce faire il est immportant de nous pzarfaitement positionner en elle (vie de roche), tout bien (au niveau de nos fonctionnements divers corporels) et chercher, chercher à comp^rendre, nous positionner au mieux en santé et cghercher en santé lkes données de roche, celles là qui nous concernent au premier chef, données de roche liées à lma mort, à la mort sur roche, etc, nous cherchons des donn,ées brutes (rudes ?) qui puisse,nt nous mezner au plus lointain possible dans les connaissances, nous fouil:lons tant et plus et ne voulons, en aucune manière, l^$acher prise dansq nos recherches, car nous sa vons (!) quune sorte de semblant de vérité vraie pourraiot nousattendre, ce sezrait parfait ! nous subodorons la c hose ! ou disons que nous espérons , ou comment dire : ... 

le langage i,nculqué (en son entier), ten,d à dire («dire» ) la vérité vraie des choses du monde car telle est sa pente, et pourqyoi cela ? pourquyoi donc lme langage humain articulé tend-il à dire (faire ? montrer ? déceler ? détailler ?) la vérité du mon,de : ce quyi est et ce qui n’est pas, etc ... or pas sûr que cette vérité-là (de roche dure) fusse la, c’est à dire la vraie, qu’en xsavons nous ? qui parle en nous ? qui dit quoi en nous qui eut pu nous donner de quoi nous contenter en matière de vérité , qui va pour nous dire ceztte chose ici, roche des attraits, roche musicale, temps adoucis, temps de vie de roche, gravures, nervures, chants et chansons, gravures de betes à l’unisson, nous voulons compre,ndre les données de b ase, cette chose en  nous qui ressort, peut etre, de l’apprentissaghe d’june langue (cvhacun la siennn,e sezlon les tribus , leur différe,nce), nous p)enso,ns que ccete cgose de la mort en roche est une sorte d’entité «sacrée» ,

 qui résiste, qui tient tous les chocs et ne s’en laisse pas conter au fond si facilement, ou ne se laisse pas intimider par n’importe qui ou quoi , nous pensons cette chose comme quoi «la mort nous regarde» (d’yeux !) et nous reluquent même ! soit de pied en cap = de la tete aux pieds ! nous pensons que d’’yeux = dieu, ou l’inverse : dieu = «d»yeux», car, nous savons cvette cghose en nous, ou sur nous, d’un regard intègre, intègre et total (qui voit tout objectivement), qui serait  celui ... de la roche du temps, qyui serait cel:ui ... d’une sortye de roche des temps alloués, nouys voulons com^rendre ensemvlble le plus de données possible et aller en roche (fissa) xdan,s le sang (sas ?) dit ici «de la Rochedes Temps», nous fouillons (ensemble) dans les profondeurs de la roche, nous avons en n ous ce désir et cette volonté, de tomber sur une chose noble,; racée, intègre , vive, complète, qui serait la  vérité vraie telle que nous nous en rêvons depuis toujours (les apprentisssages !) etc, noys espérons de mpouvoir un hjour ,  trouver ce qui est, en termesz de vérités de type la,ngagières animalières, et pour ce faire nous gravons à qui mieux mùieux ces betes de roche, ces betes-mots des roches dews  temps, ces betes de paroi ornées, etc, nous pensons qUe les mots sont des instruments de connaissances primùaires, à savoir que’ils sont à mêmes de creuser la roche et de dessiner l’aurochs ou lze cxheval, le bison ou l’ours des cavernes mais qUOI d’autre ? peuvent ils dire ce qui est ? peuvent ils dire et nommer (la mort ?) ? peuvent ils nous informer sur roche ? ils caracolent (depûis toujours) dans le sens de la (pour ainsi dire) «vérité des chgoses», qu’elles que soient ces cdernières, etc, les mots =voie d’abord de la mort, on l’a compriws ! les mots sont vecteurs, les mots s’inter posent et montreent leur savoir rocheux, nous voulons comprendre, les choses du monde, ce qU’elles sont en vérité (§=en majesté») mais non point (de fait) comme des entités de roche, mais comme desq mots qui szeraient sen sés et diraie,nt sa chose crument ! comment faire ? 

les mots-betes ont le pouvoir, d»’’endiguer la vague perlière princière, c’est un fait ! 

les mots de ta rage fde vivre, sont mots sensésc,  mis en branle et qui caracol:ent sur reoche à la manière des petits chevaux de la plaine, des ezmbruns, des coteaux et des avancée de terre, nouys pouyvons a ller en roche loin en ménagheant un tant soit peu nos accabits livresques, nos savoirs de déposition, ou même nos savoirs induits comme par mla bande ici pariétale aux betyes de taille, ,nous voulons creuse r la roche dans kla profondeur et percer , un v$certain nombre de mystères , de secrets, etc, nous voulons comprendre ensemble, nous voulons creuser ensezmble les wse crets, nous voulons ensemble (qui ensembvle ?) creuser, qui ensemblke sommes nous ? qui est en nous ? qui parle au nom de nousq ? qui est nousq ? qui sommes nous ou qui est nous ? qui suis je dansq la vallée, ici, aux betes des prés ? qui va là sur rochge et grave grave ? qui pour nousexpliquer, nous comprendre, chapeauter et donner l’élan, , car nous sommes lancés commme des fusées ! nous sommes dans la vie comme lancés, et comment compfrendre en cours de routee les donn,ées de base (lancement) ou données de sourc e ? comment faire pour comp^rendre icelles ?avec desx mots-betes ? mots de roche rude ? mots de base natifs comme de juste : cri primal ? squi suis je ici qui pousse une plainte : un e bete ? je suis une bete ! je suis aurochs ! je suis cet aurochs ! je suis ho:mme-aurochs ! je suis homme)-femme de la roche, je porte et me déporte ! je suis hommùe des embruns de roche et je vais en roche à la recghezrche d’une  vérioté qui eut pu comme plomber sur roche (balance) et nous placer en bonne position d’une sorte d’acquisition ou pour une sorte d’acquisition-mainmise (etc) de sacvoirs, ou xsur des sa voirs ! je suis un animal de roche , mon nom est antédiluvien,, je parle une langue animalière (je dessine et crie guttural), je suis homme de la hjoie du je de rochge rude et du nous animalier, nous = je + je , qui forment ezntité animaloière prénommée, bnous voul:ons comp^rendre en,semble les données du monde , nous voul:ons ensemble creuser dansla roche et dessi ner la b ete forte (fauve) qui impacte ou puisse impâcter grave la mort, etc,; nous ne faisons pas dans la cdentelle,; nous disons haut et fort nos choses,; nous parlons à tue tete, ou bien nous parlons haut (très) nos dires de roche = inca ntations à la mode aurignacienne, etc, cris de betes au fonds des bois, charges votives, tralala de roche musicale, temps offerts sur roche par la bande ! je = nous , nous = je, je = ce nous de contrechannce, ou de contrechien, ou de contrechant ? nous disons nous «musicalzment», heu, le comprenez vous ? une question de tempsq ! de temp)s imparti et de temps brûlé comme des calories;, etc ! nous voulons comprtendre ensemble les données de base, concernant 

la vie en nous (les betes) 

et 

la mort devant soi 

(prése,nnts déposés pour cela = comprendre) 

qui est cette chose de roche du temps, chose rude et dure, qu’il nous est donnée d’avoir à tracer  ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochjs ! aurochjs ! aurochs ! aurocxhjs ! aurochjs ! aurocxhs ! aurochjs ! aurochs ! aurochs ! nous traçons des betes de roche, je-nous sommes deshommes et femmes preéhistoriques , je nous allons en cette profondeur de la roche dure, nous devons comprrendre cela ainsi que nous le faisons = à la lumière d’un soleil cde plomb qui chapeaute les rives du tempsq, etc, nous tentons diverses approches, que est donc la mort en roche ? ou comment dire : «mort de rage» ? «mort dure», qui sait ?. comment est «habillée « la mort ? comment se tient elle en société ? qui est-elle en vérité ? la vérité est cela que le langage articulé trimballe à part lui pour des découvertes à faire, levées dxe lièvres, chants de roche avccompâgnateurs de pareille recgezrches, etc, les hommes et femmes des cavernes «savent» : ils et elles «savent» ce qu’est en vrai la mort en roche, c’est à dire qu’ils et elles ont cet accès direct (ou pas loin) à pareille entité sa creée , nous xcherchons pareille entité da,ns le langa ge articulé, nousq savo,ns cette chose comme quoi le langa ge xde l’homme et de la femme (la langue articulée) est le vecteur de passe, le train etc, nous disons que la ngahge = train  de vie wsensée, etc, nous vou:lons essa yer de comp^rendre ce que c’est quye cette c hosqe d’une «langue de roche» (pa rlée ?) qui eut pu nous donnerr des nouvslles de poids, concernant ladite vérité de roche, nous creusons kla roche  a u pic de verbe (buccal) ench assé ezn nous comme u,ne épine (sortant de trou-bouche de rage) et pour ce faire , nous donnons le nomm, ce nom de roche, c’est à dfire ... le mien ! car mon nom est un nom d’emprunt, fausseté allouée pour faire accroire, mot vif de roche = vivant,

 vivats au nom ! ou pour le nom ! 

nous voulons comprendre les choses du monde ! 

nous voulons aller loin xdans le domaine des compréyhhensions, des comprehensions souterraines, ce qu’elles sqont au juste et que xdisent-elles du monde tel qu il nous apparait et tel qu’il s’offre à notre gouverne , nous ne savons pas, nous avons espoir en nous d’un jour pouvoir savoir, etc, nous sommes deux en nous , nous sommes cdeux en n otre entité c a valière, nous  voulons creuser lma roche et figurer la bete en nous, cettye bete ici unie aux dires (mùonstrueux) de la mort à l ‘oeuvre, qui donc eswt la mort  ? la mort = entité = monstruosité = monstre = richessse de roche = dessins = gravvures de betes de poids ou de masse, rhinocéros ; mammouths , et autres bovidés à la pâtte l;ourde ! nous sommes deux , nous snous avançons de concert, nous sommes deux qui cherchon s en roche, je ne suis pas seul , je ne suis pas seul en moi, je est un autre je, je est doub lé, je subiss des choses de rochge, des en,vois, des cris, des donnéews, je ne suis pas wseul en moi même ! jhe subis les affres d’un e bezte en moi, qui rugit, qui est rageuse, qui hurle ezt pousse son  cri de douleur, je suis je + je ca r je suis doublmé pa r un autre je que le mien, et ce je apparetienjt à une sortye d’animal surnuméraire en moi, bete des cieux comme a:loués, des chants de roche rudes, betes en moi des parois ici préhistoriques, nous entrons en roche comme en religion, nous voulons comprtendre les données du monde terrestre , les données qui président à une embardée à la une à la cdeux en cette roche rude des gropttes des tempsq, animùaux de gravures et de dessins faits à mqain lev&ée, nbous aimons la roche du temps, la mort est une entité, l’animal sur rocbhe est un mot sensé, nous voulons cxo nserv er la vie,, la v ie nous est chère, nous ne voulons pas perdre la vie, n ous voulons con,server lavie et ne pâs sombrer, nous voulons rester dans le sa s, njous ne voulons pas sortyir du sas, nous voulons parler à lma mort et lui dire (montrer) notre col;ère et notre dégout et aussi notre peur et aussi en nous cette joie d’un xdire alloué à cette vie de bouche langagière, bouche aux betes de joie, bouyche dont des b etes sortent ou d’où sorteznt  x betes de parois ,; qui (dès lors qu’elles «naissent») vont à se ficher illico presto sur cette rocghe des tourmentsq, des présents déposés, des offran des a llouées, des prix de beauté , etc, nousq voulons comprendxre ensemble ce qujk est en roche destemps pour notre gouverne = ce <qui nous attend de pied ferme et à bras ouvertqs (?) qui serait La Mort = cette Chose rude (rugeuse, rude) d’un endroit de roche alloué à une vie n ommée = désignée, nous creusons à même la roche une bete, cvette bete est un mot, ce mot est un mot de trop = chose par défaut, chose incontournab le, chose du devant (de soi ) rugueux, pa roi des mots de roche, tete dure, etc, nbous pa rlons cette langue de parois du mo nde et cettye langue = un patois local, localisé , etc, facile à compren,dre entre soi mais difficile pour des étrangersq, nous sqommes ,nés du feu de la roche, accoudés tous, et tous apprenant de nos parents de roche, lalangue co:mmune , en petit co=mité dèsq lors (tous et toutes) : 

patois buccal guttural, 

homme-femme  des  c avern es d’un apprentissage et dans appp^re,ntissage il y a tissage, enveloppemnent pariétal, couvade, couverture-enfilade, etc : fil ! le fil de la roche ! le fil du temps ! le fil du bois ! le fil de la roche filante ! etc ! nbous cgherchons ensemble (nous) à comprendre (vif) c e qui est en roche (dure) qui setrame (fort) pour une sorte de peuplade nôtre (gens) qui serait la peeuplade des parois du monde, nous tapons la tete contre la parloi ! nous voulons travezrsezr icelle (mots) dxe notre pic de rocxhe attitré, et c’est ainsi que nous piquons cettye roche des temps à l’aide d’un pic ... de vezrbe attitré ! mots de roche rude, engouement verbal, titre ! titrages ! nous perçon,s ! nous so:mmes  passés de l’autre côté , nous avons franchi le cap du cap, bnous voulons travezrswer la roche vivement et nous retrouver sur paroi du monde, co:mme le nouveau-né de la crèche : qui es tu homme des bois ? jhe suis un chevreuil ! où vas tu homme des bois ? je vais à confesse me ressourcer ! qui as tu comme cxonfident ? jai l’homme en tant que confident ! homme des cav ernes connais tu les vents ? je conn,ais les vents ! es tu un homme ou u,e femme homme des cavern es ?. je suis un e faon,; je cherche à parler la langue des prés, je sautille sur mes pattes, dans le  champ fleuri de la roche, je suiis une bete fauve, mot de tete,, trala la sur une roche, faite dx’harmonies, de séquences, de pa rades, de développêmentsq musicaux anc estraux, car ici (en roche) la musique est belle, est beauté animalière, est tracés de betes -cavalcades, est cet attirail de roche guerrier, attirail guerrier de roche dure (rude) pour la vie, nous sommes des ho:mmes et femmes des cavernes, je suis hommùe-)femmùe alloué à une roche, je suis l’hommùe de  cette caverne et aussi la femme de  cette même caverne aux chants patiétaux, je suis ho=mme vif, homme du temps déposé, je suis femme au sang versé, je pleure le sang, je suis homme des temps br^lés, je suis fgemme des tourments de ra ge, je suis ho=mme des mots de ra ge, je suis femme du versant nnacré de la roche := firmaments, je suis homme du pasdage et du repassage (point de plis wsur mon devbant de bure !), je suis femme chine, femme entropie, femme-femmelle;$, femme rudoiemen,t et même rudoiment de type cavalier (envers la mort à l’oeuvre et auutres tourments), je suis hjomme  depeu de foi, je suiis femme des tributs, je suis homme du cheval de roche (c’est moi !), je suis lafemme aux septs couteaux, je sui s l’homme du chandail, je suis vfemme a ux belles envolées de roche : lévitation !!!!!!!!!!!!!!!!ç!ç!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!è!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et me voilà haut qui surplombe ! je suisq femme)-homme du surpl;omb, haut-haute qui parle ou crie ! haute femmùe dans le ciel de pareille grotte, haut homme pour une immixtion conjuguée ! qui est l’homme en l’homme ? qui est l’homme en elle -femme de paroi ? qui va là en roche en lui ? qui est qui ? je suiis bete de paroi, homme bete de rage dure,,;, femme betye en moi même, rudesse, trouble dans le genre ou califourchon ! je vais et ,je viens ezn  cette roche des embruns nacrés (bleutés) qui va et vire ! je ne veux certes pas mourir ducon ! l’entends tu La Mort ! entends tu mon chaghrin scénique ? es tu au parfum ? je ne veux pas ! JE / NE / VEUX / PAD ! pas plus «con» que cça à dire vrai ! je suis l’homme de la femme = l’heaume! et la femme de l’homme = la fame ! pas mplus «con « que cça et le tour est joué , je suis homme-femme des embruns de roche , au p;lus profond d’icelle, et je pl;onge, tete première, dans le veznt !  je suis un homme de la préhistoire, mon nom ne vous dira rien qui d’ailleurs se perd (est perdxu) dans les limbes du temps pariétal, je vais et je viens sur roche (ou en roche) en lévitation et ce, afin des tracer des betyes-mots qui chacun (chacune) représentent tellle ou telle bete-effigie de base en particulier, pour moi = le cheval, ou bien le bovin, etc, je suis u,n homme feu, qui brû:le sarage mobile au fur et à :=mesure de son avancée en pareille roche du temps, il s’agit de choses fuga ces, non essentielles, non vitales pour ainsi dire, car le temps pazssé (brûlé comme des  calories) n’eswt pas la chose vitale (en soi) c’rst à xdire l’influx direct, à la source, cardial, etc, non ! et voil:à pourquoi la mort «nous en veut « = veut contre nous, «njous en veut» = nous regarde cd’un,sale  oeil , etc ! la mort = entité (buc cale) d’accès, qyui est devant soi comme une ouverture (borgne ?) de première : fissa, la donzelle ou le donzeau, vas-y voir à la comp^frendre sans mourir de base , impoosible ! nous c

herchons issue de secours, bnous cherchon,s issue rageuse, nous voulons comprtendre les données les plus subtiles co,nc ernant les  choses du monde, et  ici créer cette base de données à) pouvoir consulter incidemment les uns et les autres à notre guyise, bnous nous immisçons profonsd, nous cherchons profond, nous fouillons profonsd, nous v oulons profons aller loin, en cvette rocghe dezsq donné&ezsw du monde (rrepréswentations animalières pour la bonne cause ) : nous fouillons la roche menu ! nous voulons savoir les raisons, qui font que nous parlons (en chemin) un langage dit de vérité «, ou « V», qui est un la,nga ge perpétuellmement à la recgherche dela vérité, incluse, masquée ou cachée, qui reste (perpétuellement , à découvrir, à dénicher, etc : nous cherchons en permanence (‘?) à dénicher, ce qui fait que leverbe  buccal est verbe dit «de vérité « c’est à dire dont la  vérité est le souci majeur (non tout à fait entier mais majeur),etc, bnous voulons co:mprendre une chose, cette cxhose comme quoi, le langage articulé est betes-mots ou fait de betes mots qui tous (au nom de tous) sont recherc hes de vérités bvraiEs, etc, les motsq-betes sont des ezffigies-vérités, nbous voulons savoir le vrai du faux et ce vou;loir-savoir est cet usage pour le coup des :mots tel que l’avons, à notre naissance, intégré, et qu’il nous wserait à présent impossible de désapre,ndxre  en nous, si tant est que nous eussions voulu nous en débarrasser de fond en co=mble, les mots sont perpétuellement sur  ce penchant (infini) d’une recherche (in hérente) dxe la  vérité des choses, avec à-côtés mensongersq qui eux sont le penda nt vital, et neséxssaire, ou nécessaire, de la vérité, car la  vérité, pour bien s’affichzer véritzé, a besoin de l’à-peu-près lan gagier à ses côtés, 

la bête-mot est une donnée de base, 

la bête-mot est donnée  de base, rudiment, les mots sont des animaux qui cherchent à p

ercer 1 la bouche (la joue nôtre) , puis , 2, la roche et ses sources de vies pariétal:es, sesq betes des champs, ses chants mélodieux (incantations rupestres facétieuswe ? ) , nous voulons comprendre, nbous voulons (ensemble) nous y retrouver en termes de vocables dits « de vérité»,; bnous cxherchons, honn^tement, sérieusement, fortement les mots qui seraient  ceux-là qui sauraient nous dire la  vraie vérité concernant de fait la Chose du temps, nous nous appliquons à comprfendre, nous voulons compre dre, nous voulons comprendre la Chose, nous voulons savoir et co:mprendre les données du monde : qui est qui en cvette roche ! qui suis je (moi-même) en  cette rocxhe ? qui je suis en  cette roche : bete ? qui suis je en pareille roche «aux embru,ns» : bete ? qui est qui en cette r(ocxhe pariétale : un amant ? suis je ... le vent dans les branches ? suis je un je du nous commun de latribu des hommes femmes dupliqués ? suis je un homme des cavernes caverneuses ? nous disons je et nous à l’emporte pièce de roche = gravures sur le tas meuble ! nous disons que nous voulons savoir et comprendre et toucher et trouver et percer des mondes : qui est qui sur roche , suis je l’animal dressé ?  suis je une entité monacale ? suis je un je de roche allouée ? suis je l’oiseau qui va 

 wse nicher dans la roche (nidation-i

mixtion de roche) ? suiis je une bete de paroi ? cet aurochs gravé ? ou bien l’homme des cavernes surdimensionné , cet homme oiseau , homme oiseau d'envergure, se levant et s’envolant et entrant, la tete la première, dans la roche (dure) dxes temps impartis à une vie terrestre ? je regarde devant, la paroi est meuble, dès lors je m’immisce, je suis immiscé, je suis da ns la roche comme un coq en pate, a:loué à ceztte rocxhe des présents soit des offrandes, des dons offertts à des divinités  frontales, bouches ouvertes, becs, becs de vie, becs, becs de rage surnuméraires, becs d’envie de vies, becs de belle raghe , chants d’oiseaux menus, fins, vifs, drôles, vigoureux, becs

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2/7/2021

nous sommes touchés, nous sommes vuuss, nous nree sommes pas dupes de cette chose, nouys voyons loin au fin fond de la roche du temps : les embruns, les tourments, la peine, la mort qui nous attend pour ainsi dire de pied ferme la coquine, nous savons cela, nous ne l’oublions pas, nous savons cette chose dure au fin fond de la roche, nous la connaissons, son nom est un nom de roche dure, son nom est nom de roche allouée à une mesure ici de circonstance, celle de nouys voir meurtris, touchés, bientôt anéantis comme par la bande, alors que faire qui pour nous soit salutaire et puisse nous offrir de quoi nous en remmetre, et, du coup, nous échapper d’icelle, icelle «à nos basques», ou comment dire ? que donc dire ici «qui puisse le faire « ? car la vie est là, sur la lande (aurochs, bisons, chevauc$x, chevreuils) , nous le voyons, nous disons «la vie» pour le dire vite et c’est zainsi que nous devons nous excuser ensemble (soudés, main dans la main) afin de monttrer patte blanche, et nous tirer d’affaire au mieux, si tant est que ce fut possible, une fois (de plus) n’est pas coutume ou oui ? nous disons que nous devons bnous échapper (ensemble) de la roche au plus vite et aussi, sauver de nous ce quyi peut l’etre, quoi ? l’animal en nous endormi (endormi ?), cette bête de choix enfouie , cette bête rosse, grave, soudaine, forte, folle car affolée par la bande (pariétale) des temps remués, etc, nous portons en nous cette bete de circonstance, elle ne demande qu’ à sortir de nous, elle en impose fiichtrement à la parade et se montre dûment dessinée ;ou gravée sur roche comme à demeure, elle est «belle bête» de parade, oui , «belle bête» de cavalcade, aussi, elle meuble ! elle est belle ezt dure à l’effort, elle vibre, elle semble être en vie, c’est rare ! c’est notoire ! nous disons la vie pour dire ce semblant de vie et nous crions gare ! que dire ? nous disons «la vie» quaznd la vie en vrai est absente, oh la belle farce nous dirons ! que dire ? nous passons en roche le temps de ce dire, de ce dire fou, grave et tracé, nous disons que nous sommes ainsi, fous et folles comme à notre tour d’agir de la sorte, soit de nous prononcer de la sorte sur roche car la vie demandée, est tout autre en vérité, il s’agit de notree vie de coeur, celle là qui frappe la chamade en nous et ne s’en laisse pas conter = ce tic tac (de roche) appuyé, cette bizarreté corporéifiée, ou comlment signifier pareille allégrresses ? nous disons que nous sommes deux, à chercher la voie pour une entrée dans la matière des embruns célestes, où sont ils ? que veulent ils nous dire ? où sont les embruns ? nous cherchgons ensemble (à deux) de tous les côtés, ici et là en roche, aux quatre coins, sous le sable, près des côtes, en bord de mer, dans les coquilleages etc, et rien qui fasse l’affaire à nos yeux , nous voulons comprendre et découvrir le pot aux roses de la vie faussée, fausse vie plutot pour une offrande à déposer tantot, au pied de la roche = dans le temps, bnotre langage de charretier, les betes massives, les ++++ de roche dure, etc, nbous savons à présent nous y prendre, nous sommes rodés à pareille enge gence (enfance ?) , nous disons que nouis sommes rodés à pareille engeance ! nous disons que nous devinons, nous disons aussi que nous savons certaines choses de la vie et de la mort, le temps est là pour nous permettree une déposition en bonne et due forme, cette forme des embruns de bord de mer, cette chose rosse, ces aurochs de plage, ces mots tous attribués sur paroi dure, ces phrase prononcées comme à la cantonade, en lévitation, doucereuse, belle et donnée comme des sortes de bons points à frapper en rythme, ou au ryhtrme des incantations hurlées, etc, nouys offrons du plus de roche, ce plus de vie brute, augmentée, calcinée, en,core brûklante, nous voulons ensemble offrir une vie ... qui le fasse ... à Mort- de-Roche-la, etc... qui nous regharde, qui ne cesse de nous regarder , comprend elle le subterfuge ? voit elle vraiment les tenants et les aboutissants de la ma scarade ? voit elle ce qu il en retourne ? a t elle les yeux en face des trous ? les yeux bien en face, la mort ? car squoi ? eklle est où ? elle voit quoi ? quoi elle voit ? la mort elle voit quoi ? a t elle déjà assez d’yeux pour voir ? de quoi est-elle munie en la matière ? je ne sais pas , je ne wsais pas de quoi la mort est ou serait munie, j’ignore la chose, mon nom est caché sous la roche, je ne vois que dalle, je ne sais que dire, mon nom est un nom d’emprunt donné par la bande, quioi voit elle je l’ignore, de quoi est elle munie en matière d’yeux je l’ignore aussi, je ne sais que dire sur la chose et m’en repend ! mille fois pardons ! mille mesures de pardon toutes de mon côté ! car la vie donnée sur roche est une mise en scène de première ! je le sais ! je sais que la chose est, je sais pertinnement que cette chose de la mascarade aura un temps (le Temps) qyui ne fera (certes pas) l’affaire longtemps, je sais cette chose, je sais pertinnement que ce succédané de roche (dépôséeé) aura son temps, un temps donné, étroit 

ou allongé mais non infini, et ce temps déposé ou comment, sera ce temps qui est le temps de roche dure pour la vie vécue, mais ici non point la vie dans ce qu’ellez a de plus intime en elle en matière (mécanique) de fonctionnement (on l’a vu) alors comment faire ? faire comme si nous ne savions pas ? faire comme si nous étions naïfs et naïves et ne savions pas ke fin mot de toute cette affaire ? faire comme si nous étions idiots et idoiotes (le sommes-nous ?) ? ou quoi d’autre en définitive ? 

nous devons graver des bêtes, sur roche, à l’envi (en hurlant notre misère cvonstitutionnelle) et, ainsi fait, nous devons parler , le lmangage des pierres, des czilloux des plaines, des roches endurcies etc, nous devons »entrer dans la matière» de la roche rude, du dur de la roche de grotte, du plus en plus dur de la roche rude des temps alloués, car la vie est «brève», ne s’en laisse pas rzaconter des sornettes, aura son temps qui finira, sombrera dans les bartas, ne remontera pas la pente, nous souillera, nous enfoncera dans la nasse (les sables mouvants) de laquelle nous ne sortirons pas, car, nous sezrons piégés, pris d’assaut, emberlificotés comme des benêtzs, etc, nous savons que cette chose est (sera) qui nous attend (ici) de pied ferme on l’a dit, et comment donc dès lors se tirer d’affaire ? oublie ! pas possible ! ou comment ? en postant son nom sur roche du temps ? pis-aller de première on le sait ! en donnant du «gnou» par la bande , gnou ou autres bêtes rosse et forte ? que dire ? nous cherchons avidement, assurémment, sérieusement, confraterlellement, carrtément, soudainement, fraternellement, vivement à deux cette chose, eyt comment s’y prendre pour sauver les meuvbles, d’une vie de roche dure (et ce depuis le premier jhour ) ? nous avons nbotre petite idée mais il n’est pas sûr qu’elle soit opérante à cent pour cent, et cette idée (notre) est celle ci : comme quoi, nous pouvosns peut être nous tirer d’affaire ... en priant, ouh la oui, ou non, ou peutêtre, on voit cette chose sur roche qui se note ainsi en forme cde betes, betes à cornes, à bois, betes grosses etc, nous disons «peutetre la prière», nbous disons «peut être certains mots de roche «, etc, l’aurochs essentiellement ? nous dessinons des mots de betes sur paroi comme des hommes et femmes des cavernes, 

ces mots ... nous regardent d’un air de deux airs ! ils sont mobiles, ils chargent leur pesant de vie ... de vie à la manque ! nous chargeaons ainsi (de misère ?) notre poids de rage et espérons pouvoir ainsi nous en tirer à moindre frais, nous verrons bien, nous nous agitons dans la roche, nous pleurons, nous implorons disons, nbous ne voulons pas passer l’arme à gauche, nous sommes touchgés par la bande, bnouds nous enfermons dans cette roche des tourments et comment faire pour nous en sortir, nous en délivrer ? nous disons que nous devons nous en sortir, nous disons que nous devons nous en délibvrer , nous disons que nous devons chasssercles mauvais esprits de la roche du temps, mais comment chasser ? chassons les esprits néfastes, chassons-les d’un revers de mùanche , chassons la mauvaisetyé pariétale , oublions ces données de race mortelle, ces rapines, ces regards de coin, ces ombres portées, ces mots de rage à notre encontre ! portons nousailleurs en cette lande co-existentieklle ! allons loin aillleurs nous porter fissqa et ne donnons pâs de notre vie vraie, gardons laz pour nous, essayons de résisqter aux appels du pied de Dame-la-Mort-la, etc... qui nousregartde ! ou sieur dit «de la Mort en Branche, etc. «, qui nous regarde tout autzant ! elle ou lui , ou bien : 

elle ET lui ? 

ah peut-être ! deux pour une entrée en roche de première ? la mort serait double ou comment ? nous disons la mort, nous disons LA, soit ce la musical d’une roche dure, bnous disons ce la en langue de papa, nous disons ce la de roche ancrée, nous disons un la pour lma mort de face et pourquoi ce la ? pour quelles raisons ? pour quoi la et pas le ? conventions ? que dire, de ce la qui tremble ? que penser, de ce la qui treemble devant soi et nous interpelle ? oh, mais pourquoi «la» et pas «le» , quand même ? nbous disons que nous devons comprendre ensembkle des données de roche dure, nous devons ensembkle comme, pour ainsi dire, aller à confesse, en roche des temps impartis , troubler les embruns et nous donner (corps entier ?) sur roche comme des benets de la lande aeréée ? comment donc faire ainsi que nbous puissions comprtendre les données ? la (le) mort de nous a en nous les clés pour un dire de moitié ! ce dire est dire mi ! ce dire mi est un dire ... mi cheval, mi âme ! nous voulons comprendrec (cette chose) et comment nous y prendre eh bien, on va dire que c’est enfantin = un jeu d’enfant : une sorte de don = don de soi, qui n’en est pas tout à fait un en vérité, d’où la confession (postérieure) à jamais (du temps où nous sommes en vie) et l’effeervescence associée (chants paiens de la roche rude) etc, nous essayons de clarifier ensemble les données de roche et de nous y retrouver si possible en entier, etc, 

nbous diso,ns que nous sommes deux ici pour une gouverne (instrumentalisée) par la bande des temps alloués, nous ne so:mmes certes pas xseuls et seules au monde, nous prenons pour ainsi dire les à -coups comme les autres en pleine bouille la plupart du temps, de ce temps des choses du Temps, etc, et cela, pour nous, est une sinécure de première, charge pariétale (onguent christique ? ) nous le déplorons, nbous sommes 2, 2 pour la pârade ! ce 2, est le chiffre pair «de ma race» comme on dit « de ta race», etc, nous voulons savoir ! nous sommes pour le coup sur une sorte de qui -vive pariétal de roche dure, et ainsi, nous reghardons passer les betes, ou (ici) ce train de bêtes rosses (qui nous mate du coin de l’oeil), nous voulons comp^rendre les données de la roche du tempsallouée à notre vie de base non durable etc, comment comprendre , où se loger , où seposer, où seplacver, où se mettre ? où donc trouver à se loger en roche pour comprendre les données de base ? confession ! confessuion en catimini ! nous cherchons des solutuionsdans lma parole ici, ce flux sanguin de roche annoblie, cette épée dans la roche rude, ce tremblé perclus etc, nous cherchons des mots-betes sur paroi des temps et ces mots sont des animaux autant que des tourments ou commùent ? nous devons comprendre les données franches , creuser (de son nom) la roche (une peccadille !) et forcer le ton, force que tu forceras le ton d’un ensemble votif ! cherche à cran ! cherche fort ! crie ! catapulte tes données de bbase ! vas y mon petit , etc! nous savons ce qui est, nous savons ce que la vie est, en ous (cette chose batttante) et aussi, nous savons ce que nous offrons (ce que c’est) , nous savons des chgoses, nous ne savons pas rien, nous disons des choses , nous ne disons pas rien, nous ne savons pas nous taire , là où le bât blesse ! nous ne savons pas nous taire et c’est là très eactement où le b 

ât blessse, nous ne savons pas (hélas) nous taire ensembvke , et c’est (pour ainsi dire) un problème de choix, ou comment ? car la vie nous pousse à devoir nous sauver de la mort cvontinuellement et pour ce faire nous pleurons nos larmes

 d’enfance meurtrie par la bande, 

nous disons cette chose ici , comme quoi nous pleurons, de concertt (tous et toutes les hiommes et les femmes du monde), nos larmes d’enfance, d'enfance touchée , touchée par la bande du temps pariétal, roche dure des tourments de base, pleur et rires dès lors associés pour une sorte de misère, nous pleurons-rions notre peine de coeur maussade, nbous devons prier pour noues reprendre, nous disons les mots de larage des mots, soitt : les mots du libertinage,, de la messe folle, des animaux-mots, d e la grande et belle parade nuptiale des embruns etc, nous disons les mots «de ta race dure» qui durent (le Temps) et ne s’en laissent pas compter outre mesure, et voilà ce qui est ici à signaler, comme quoi nous sommes deux, sur roche, à crever l’abcès d’une donnée rude, aboutie, finale, terminale, saleté des xsaletés de ta race rude, cette mort acquyise, cette méchanceté postée, ce rapace etc (rapines ?) qui nous voit aller et qui s’en réhjouit d’avan,ce ! oh la vile ! nous le savons : nous ne sommes pazs aussi naïfs - naïves, nous savons cette chose d’une mort de rochge qui nous interpelle, qui nous mate, qui nous pazrle, qui nous chasse, qui nous pourchasse veux-je dire et c’esst ainsi que nous voilà touchées comme par la bande du temps menaçant ! nous ne sommes pas indemnes dde toutes sortes de touchées ! nous sommes touchés ou comme touchées par la bande , nous sommes pris comme à rebrousse poil pour ainsi dire par la bande, et cela n’estpas juste au reghatrrd de ce que nous montrons (ici même) de nous mêmes, soit, de fait : 

ces envolées de rage, ces incantations pariétales, ces colères monstres, ces ébats de jouissance rude, ces carambolages de penséesq, ces langues amassées, ces rudiments de pensées disons natives superposés, ces envolés de base percluses de choses acérées, etc, 

ce tas de misère fait ici le tas de cette offrande par nousq déposée (l’art) comme une sorte de denrée à ingurgiter : mange ! vas-y mange-moi, saleyté des saletés ! mange ces tourments de base, mange de moi ce temps que je t’offree fissa, continuellement ! le vois-tu ? entend tu ce que je donne ici en termes musical ! cette litanie de parole perlées, cet echafaudage ! vois tu, saleté... ce que là je dépose , le vois tu, saleté ? saleté des saletés ! Saletés des Saletés ! saleté de Mort de rage ! vois tu c e qui est déposé, cet art de la jouissance , cet art de la partie noble, cet onguent princier, christ édulcoré, le vois tu ? vois tu l’art à la rue ? vois tu ce qui est qui tombe sur roche pour ta satiété ? 

qui est là devant moi qui trembkle, est ce toi ? es tu la Mort majuscule (celle qu’on enc...) ? es tu celle là ? es tu pour ainsi dire cette mort de rage qui me prend le temps ? es tu rageuse de mémoire ? où veux tu ezn venir ? es tu la mort bete, celle qui croit comme avéré tout ce qu’on lui dit sans demi mesure ? es tu couille à ce point ? oups : connasse ? es tu de celkles quuii nous matenttnt et nous atte,ndent comme pis-aller ou comment ? qsui es tu ? qui veux tu prendre dans tes tentacules ? qui es tu qui nous regzarde méchamment ? es tu la misère de base, tombeau pour un cxheval de rage, tombeau peut-être pour des enfants nés ? qui veux tu pour commen,cer ? veux tu de ma vie en premier ou bien de ce temps déposé par la bande ? pour qui me prends tu , la Mort , qui crois tu rencontrer avec moi comme allié ? qsui crois tu rencontrer avec moi tout court ? une ... «merde ambulante» : chameau ? chevreuil ? bousquetin ? cri de guerreere incantatoire ? mains sur main ? chinoiseries pariétales ? onguent ? douceurs de parade ? vulve au kilomètre ? qui es tu la moprt pour espérer de moi un don de roche qui serait lmassif ? qui veux tu absorber entre tes dents pointues, sur ta langue, dans ta gorge, au fond du ventre, dans les entraillkes, sous le vent ? es tu de celles qui pètent à tout va sans s’en excuser ? as tu de la classe ? es tu de la rage ? es tu du tombeau ? es tu de la misère ? es tu des animaux ? es tu ce qui va vers nous et nous attrape et nous étire, nouys tire fort, encore et encore afin de, toujours plus nous ficher dans la nasse d’où ne plus pouvoir trouver à s’echapper (on sait cela) : est ce cela ? veux tu bien me crever comme une merde ? veucx tu me calciner ? ou bien m’au- réoler ? ou bien me sacrer ? ou bien m’emboutir ? ou bien, me meurtrir ? ou bien me chaudffer ? ou bien me tuyauter sur les bonnes mesures à adopter pour sauvber sa mise ? veux tu m’aider à m’en tirer ? veux tu me dire ce que je dois faire pour ne pas mourir ? veux tu m’expliquer par a + b ce que je dois faire et ne pasd faire ? es tu pour moi ou contre moi ? veux tu ma misère ou ma contre-misère ? veux tu me sauver à ton tour ou au cvontraire m’enfoncer comme une merde dans le caniveau soit dans son trou de chasse ? es tu mon amie ? ohé du conno, es tu mon ami ? ohé la fleur de rage, es tu mon amie ? veux tu attenter à ma vie ou bien non, me sauver des griffes de l’envie princière en toi m^eme ? squi estu la mort pour me dire ce que je dois faire ? qui es tu la mort pour me donner des ordres ? qui estu la mort pour comme me fracasser ? qui es tu la mort poour me faire la misère ? quy es tu la mort pour me foutre mal ? qui es tu la mort pour me ficher en l’air illico presto ? qui donc es tu la mort pour donc me pourchasser comme un voleur de grzand chemin ? qui es tu la mort pour voir en moi cette chose de peu des tourments ? qui veux tu en moi, quoi de moi vezux tu ? ma vie ? laquelle ? et voilà ou le bât blesse ! car la vie, c’est surtout celle du coeur quand il bat (l’eessence vitale humaine pour soi) mais aussi, ce monde que l’on traverse, ce passage de soi dand le temps, ou dans l’espace-temps de ce monde de soi, alors voilà ! nous disons la vie pour dire le temps, et nouys donnons le temps pour dire la vie ! ouille la méprise ! ouille la chose ! ouillue re-ouille ça va pas le faire ! ou si ? la mort est (serait) à c e point bête qui ne le voit pas ? qui ne comprend pas ou ne saisqit pas la méprise ? oh la bete en elle , oh comment ? car, qui ici dit la chose comme quyoi il sait ? qui sait ou saura dire (à nous) la chose vraie sur la question de ce mépris de base, ou méprise de roche, etc , qui ? nous voulons savoir ! nous ne voulons pas ne pâs xsavoir ! nous voulons connaitreles données (rugueuses) de bbase, et du coup savoir à quoi nous en tenir ! nous voulobns comprendre loin les choses du temp^s impartis à cette vie humaine offerte par la nbande ! nous sommes des merdeux, des petits humains de rage tristes, nous sommes tout aboutiffés ou commeznt dire : malotrus, ou comment ? des enfants (sauvafges) de la bnande , des petits morveux de passage vif ! nouds pleurons notre misère : voyez ! nous pleurons de loin et encore là, jusqu’au sommet ! nous ne sommes pas sortis de l’auberge ! nous voulons convaincre mais vbas-y ! vas donc eh du con ! vas comprendre les donnhées natives ! vas dsavoir ce qui setrame, en pareille roche des temps doublés , vas donc y piger quelque chose et tu reviendras m’en (ou nous en)  donner des nouvelles : j’y tiens ! je veux ça (au moins) , et cette chose (ici) d’une sorte «d’attreappe nigaud» est donc déposée dans le temps d’une vie impartie, à même la roche, à même ce rocherrrr de base rugueux, nous disons le mot, le mot suivant, de «art», et ce mot de «art» est là pour résumer l’ensemble dééposseé (de nos tourmeznrts) sur la roche du temps : livraison en bonne et due forme de ce pis-aller dfe première censé en jeter ou cracher des litres, alors même qu’il s’agit de fausseté, fausses larmes, fausse joie, faux serments, fausse discrétion, faux rapports, fausse jonction, faux dires, fausse caerresses, faux jeus, fau$x jetons etc, nous ne disons pas tout d’un seul coup mais ce que nous donnnons-disons est cette chose d’une sorte de dépot de soi dans le temps imparti, en espérant que « ça le fasse grave pour longtemp^s» et voilà l’idée qui réguule et se place icii, idée-fixe de paroi de roche, fixation pour ainsi dire = emprise, prise, collage, prise de donnée collée etc, nous voulons comp^rendre ce qui vient et va, ce qui se balade, ainsi, dans ce sas de la roche du temps, les données mobiles etc, nous cherchons, que voyons nous ? 

nous voyons la roche du temps calciné (le temps) près de nous, ce dépot d’argent (ou d’or) qui est celui que nous donnons de nous comme par la bnande à la mort cdevant , nbous offrons le temps d’une vie rosse, bnous donnons ce temp^s de «vie la nôtre» la béjaune ! que vouloir quand on est la mort ? la vie des autres ? que donc elle veut cette mort de meu ? la vie offerte ad vitam aeternam entière ! c’est à dire corps et âmes temps inclus ! la garde ! tout, quoi, de nous, on le voit ! elle ne manque poasd’air ! elle ne manque pas de toupet ! elle ne manque de rien ! elle veut tout, la p... , la ch....., la s...., la saleté ! elle ne manque pas d’air ! elle est coquine, elle rapine ou comment on dit grapille ou comment ? ekle veut de nous c’est facvile tout ! la ch..., la ...., la saleté des saletés, elle ne s’en laisse pas conter ou si ? couille à ce point , qui prend des vessiesv(le temps donné) pour des lanternes (le tic tac vital) ? elle n’est pas maline ! est elle maline ? est elle futé e ? est elle dégourdie ? est ellme folle ? est elle mentalement déra ngée ? est elle bete ? est elle belle ? est elle sensible ? est elle intelligente ? est elle bien mise ? estelle intéressante ? est elle plaiseante ? est elle sensuelle ? est elle attirante ? est elle .... ou non ? est elle une femme ? est elle un homme ? est el