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17/4/2025

On avance on veut comprendre ensemble et pour le coup cerner en vrai le plus possible de donnnées frontales ce qui est ici qui on dirait est comme à nous mater alors même que nous on est qui on est fée on est ailes de fée on monte on s'est avancée on s'est pour ainsi dire présentée on voulait comprendre en vrai on voulzait grave comprendre on voulait touchger à ce néné qu'on dit ici et là de contrebvande va savoir pourquoi nous on regarde à bien cvomprendre les données frontales ou disons pariétales à toucher ou disons cocher ou disons trancher ou comment dire distiinguer ensemble un certain nombre de données de base du genre par exemple de celles qui ici ou là nous matent njous reluquent de la t^pete aux pieds n'arrêtent pas de nous reluquer de grave nous mater comme sib en vrai on était quoi on était des anges eh bé peut-être mais pas tout à fait on est pas vraiment des anges on serait plutôt des fées du style de celles que on verrait peut-êttre traverser un pré une sorte de prairie aux fées et autres bêtes-parades bêtes-mots qui pasqsnt qui sont là qui nous regardent et qui se demandent qui on est on est desêtres depassage êtres fluets qui se sont envolées qui montent et vgont direction le muret qui est ce dit muret qui est au bout du pré qui est ce dit dernier muret de bout de pré pré ou prairie prairie aux pisse,nblits on se rapproche dudit mur du fond on monte on s'accroche on est accolées p arce que voil:à on est ailes de fée on est comme si de fait on était ailes ou seulement des ailes on se rappreocghe de ce dit muret des fins de pré des finalités d'un pré post paroi post-paroi de groote et là on se dit que voilà on se doit ensemble de si possible tracer dessiner sur place un trait ou sorte de trait qui soit le traitexprès pour un passage à toi à moi comme à la force du jarret ou disons commeà l'arraché passer ainsi de front ensemble en tant qu'on erst nous-mêmes un ensemble qu'on est nous-mùêmes cet ensemble de deux choses qui sont comme collées en vrai entre elles en tant qu'ailes et du coup traverser traverser ce dernier muret foncer tracer aller le plus vite possible si tant est ensemble toucher eessayer env  rai de dépasser ainsi cette sorte de mur du son ou de mur du fond et du coup passer passer t-ete et front et hop on sera ou on sezraitde fait comme adoubée on serait adoptée ou adoubée de l'autre côté par on ne sait encore tout à fait mais on se rapproche on avance o,n ose alors voilà du coup on se rapproche ensemble ici d'une peut-être sorte de données dite de bout du monde données docte on aimerait on voudrait on voudrait grave trouver et du coup cerner et comprendre ensemble en tant qu'on est fée ou une fée ensemble ces données dxe roche données hautes ce tracé qui est ici ce trait d'une sorte d'anfractuosité par où peut-etre en vrai on peut ou on pourrait passser sans trop se casserr eh bé le cornichon et hop aller de l'autre côpté traverser ledfit dernier muret de cette soprte de rotonde ou d'enclave haute enceinte ronde hop on monte on essaie ensemble de creuser des choses pour comprendre et cerner de nbase les données profondes d'une sorte d'aprsès d'après -mort ou d'après la mort comprendre c''sst toucher on sait on commence à cerner de rage ensemble pas mal de données données hautes profondes comme allouées à une szorte de passé de roche et nous de nous y enfoncer sans jamais vraiment traîner tellement on a envie en  vfrai de creuser le plus possible en ce quartier des données ultimes eh bé la vérité ou vérité des vérités on a envie en vrai de tracer de chez tracer sans nous réfréner ou freiner ou nous embêter dans cette sorte de passé des choses remontées qui choses hjautes sont comme des faits faits de porte faits de porte haute qui remontent qui vont ainsi comme à la rencontre de notre comment dire envie peut-êttre envie vive d'en découdre pour la vie sur ces questions de :mort ptrofonde de mort haute etcetera de mort qui serait en  vréi une sorte d'entre-paroi ou d'entre-voie ou d'entre-côte ou comment on pourrait dire quand on sait que ça là -bas est une sorte de nouvelle donhe qui serait comme peut-êttre une sorte de parole ou sorte de quoi de verbe en tas ou comment petit pas petits pas de rage on en avance on voit ça on comprend ensemble que oui on se doit de pour le coup^tracer de base u,n  cdertain nombre de traits sur joue traits de rage sur joue pour nous faire comprendre de eh bé on ne sait de qui on trace = on avance mais voilà on est feée francheb fée de france ou née en france et parlant la langue fra,nche franche ou pas mais la lan gue qu'on a en soi ou que l'on parle incidemment est de fait une langue de base soit de rage et sert ainsi à se frayer ici ou là de vie à trépazs une sorte de passage dans la soufrrrance ou pas dans la souffrance ça dépend des fois mais voilà en  vrai on essaie ensemble c'est à dire seule toute seule mais ailée soit comme dédoublée de tracer de rage une sorte de treait dit de passage et dès lors de passer ensemble ailes de fée direction l'après c'est-à-dire ce peut-être sein ou sinon sein antre ou sinon antre corset ou comment qui en face nous rega rde en qauelque sorte ou nous attend ingénument nous mate dans nos tracés circvonvolutions de fée ne nous lâcghe pas une seconde nouys regarde de la tête aux pieds et aime ça on dirait nous mater nous rezgarder 

ne psa ds'arrêtrerfr de grave mater notree fa çon de voler ou voleter direction le néné c'est-à-àdire ici ce rond de lait cette sqorte de rondeur à lait sein de mère à lait qui est devant la mort ainsi parachevée derrioère à nous attendre sein à l'air le corset ouvert prête à nous donner en vrai son lait de mère altière lait pour féee-bébé pour fée de roche qui du coup ont passé la porte et kles voilà qui osent qui n'ont peur en fait de pas grand-chose sinon quoi la mort axiale peut-être même pas on monte on regarde iici et là on mate grave on veut comptendre ensemble la paroi l'ultime paroi  sage ou savante le trait de passage on envoie on essa&ie de rage de passer ensemble à treavers la base et hop tracer passer-tracer et nous retrouver del'autree côpté à pouvoir ou peut-être devoir téter le lait qui est ce lait dit du passé d'un passé tracé passé haut haut passé des treaits et autres tracés desz données de roche on est hautes parce que voilà on monte on ne cesse ici et là de greave nous hissser au plus haut possible sur pareil muret a fin de trouver exactemeznt l'endroit par où en tant que fée des bois ou fée du pré on peut trouver incidemment ou invariablement à passer notre corps lové et hop traverser filer passer donc de l'autre côté côté sein donné côté lait de trait ou même on dira côté passé soit côté passé vrai traverser filer et nous coller à ce néné de roche haute ou dit de roche haute filer c'est forcément tracer et nous coller à une sorte de dessin de porte qui est une sorte de tracé fait à main levée sur roche genre aiurochs eyt nous de nous loger voire lover en cette sorte de tracé de porte anfractuoisté pour une entrée -fanfare en cette sorte de rotonde ou d'enceinte prairiale aux bêtes -masse on entre on regarde on entre ensembvkle on mate grave les  betes de salle ces aurochs et autres buflles amadouées bouquretins des prés anti:lopes au taquet c'est sûr que nous on aime mater ce genre d'animaux de pré qui sont bêtes  tracées bêtes sur pieds groooses bêtes au frais on aime on mate on ne cesse de regarder et de se dire que peuut-êttr oui ces bnêstes ainsi treacées sur paroi ornée sont bêtes de trait sqoit bêtes par où peiut-êttre on peut espérer pouvoir il xwembleraoit passer passer à travvers traverser b^etes à traverser il sembvloerait on ne sait pas mais peut-être qu'en effet voilà ces bêtes de poaroi servent à ça à traverser la rochevoie et hop njous placer ou situer ensembkle en tant que fée c'està dire deux ailes et un corps maigre fait de verbe ou ccomment on pourrait s'exprimer car on est dans la mort fée on est des fées une fois la mort a chevée ou parachevée c'sst-à-dire octroyée ou offerte ou donnée on se retrouve transqformée ezn fée ou fée de cimetière on est toute changée qu'on soit au tout départ un homme de fait ou femme allouée ou autre chose mille choses peu importe auu départ ce qu'on est en v  rai parce que voilà une fois qu'on se retyrouve eh bé décédé on est fatalement remodelée reformée renouvelée sous fotrme de fée dit des prés ou dite des prés car voilà on se retrouve dans un pré de base pré de rage pré aux bpêtes sages sqoit savantes elles savent elles en xsavent lourd et large elles nous matent on est entrées on a passé la roche initiale roche de grotte roche profonde et dsu coup on monte on est en vrai  comme soulevé a ttirée tractée par une espèce de force drôle drôle de force qui nous époumone nous pousse fort nous tracte sans cessser nouys pousse et nous pôusse encore à monter de chez monter en cette sorte d'enceinte haute rotonde des rortondes on est aspirées ou commpe aspirée et du cfoup oui en v  rai e,n ezffet on peiut dire qiu'on est comme remontée et qu'on se porte haute au plus p^rès de l'ultime muret qui nous est présenté en cettre sorte de r(otonde aux donnhées bestiales floriales praioriales on monte en haut ou tout en haut on monte les niveaux les différents niveaux de roche on creuse sur peau peau de roche on veut tracer de chez treacer on ne veut plus s'arrêter on veut poursuivre sur notre lkancée et essayer au plus possble d'y aller de creuser la roche haute le muret des fonds de poche et hop piquer piquer du nez traverser la poche hop passer soit passerr rensemble c''sst à dire ailée ce dernier muret direction cette sorte en soi de sein de roche ou sinon de roche peut-être de poche ou comment car voilà on ne sait pas on veut comprendre comp^rtendre et toucher tracer et aller en ce dernbier tronçon de roche direzction ce tra&it trait de poche verbe haiutain verbe des fins verbe alloué à une sorte de passé bon train qui vient vers nous il sembleraiot comme nous rtetrouver ou disons retrouver comme si de fait il nous cvonnaissait ou nous a vait déjà connu  à l'occasion dans un passé ancré lointain un peu reculé et pourta,nt c'esst en vrai on dirait demain demain matin un passé programmé qui est donné et a ussi une donnée qui est pour ainsi dire allouée à une sorte de tracé marqué incrusté comme gravé à même cette roche aux nénés szoit ce sein des sein frontal des bouts de rocher et autres fins de pré matutinal on mùonte on creuse on saute on a envie en v rai ensembvke de creuser de chyez creuser le sable des données hautes et du coup de passer ensembgle bras cou genou pieds et panse en cette sqorte de passage dense et hop aller ou comme aller pour de fait toucher à ce nhéné plein de lait qu'il nous reste à attrapper et à téter sans plus lambiner on se doit de grave attrapper ce dit néné des fins de pré ou de l'après de l'après-prairie bêtes au taquet herbes  données et du coup téter à c  e bon lait ici de mère assoupie de mèree endormie ou à moitié endormie et s'en gargarisezr pour ainsi dire avaler sans discontinuer de ce lait acide ou pas acide ou sucré ou plus ou moins sucré de mère fluyide mer de lait haute contrée on aime le lait c'est vrai que nous en v  rai on aime beaucoup le lait on mpourrait facilement en boire toute la journée vsans nous arrêtrr on adore le lait la mer de lait le lait de mère et autresxd laits de verbe c'sst un fait avéré et avoué comme quoi de fait le lait c'est di nfgue comme on l'aime on pourrait sans se forcer en boire des tonnes des ;litres entiers sans nous arrêter boire de chez boire plein de lait  et s'en gargariser s'en faire des gorges profondes en roter $sans gêne comme des bébés eh bé qu'en vrai à présent on est on est redevenue bébé la mort l'enclave de la mort passée ou dépâssée on était la fée des roches et puis hop on a sauté le rubicon de l'ultime porte et on est là de base qui tétons à ce téton de base sein donné lait nacré saléb -sucré on se régale on tète bde chez téter ce néné donné d'une sorte de mère allouée à quoi à un derrière à un passé derrière à du passé de  ferme à une sorte de passé hors cimeztière on cherche c'est-àd-re qu'en vrai on a pas fini de chercher on est lancée on v  eut toucher et aussi  cerner mais squrtout téter mais quoi on dit que téter et toucher-cerner ou cerner-comptrendre c'sdst pourainsi dire du pareil au :même est-ce que c'est vrai est-ce que vraiment on peut tabler sur un dire tel sur pareille donnée affichée sur pareille sorte de donnée de roche on ne sait onj creuse en vrai on creuse la roche on ne cesse de creuser la roche on a envie ensembkle de tracer et de compre,ndre ce qui est de la mort donnée de ce qui nous atte,nd après le pré c'esst)àdire dans l;ongtemps car la mort en vrzi est un temps donné ramassé comme circonscrit en termes de paradisou dr'éclaircie au sens cde claireière mais en vrai après après la mort c'est-à-dire derrière il y a autre choswe il y a une sqorte de mer de roche mer haute c''st-à-dire ancienne encore plus ancienne qu'ancienne on pourrait dire et cette mer cette sorte de mer des données hautes et profondes est une mer de lait mer haute emplie de lait de loait de roche nacré lait de trait qui est du lait non écrémé non pasteurisé car directement sortyi duu néné de bête altière ou de mère s'il s'agit de fait pour l'occasion de lait de mère et non de vache de tra&ite vache sacrée s'il en est mais on dit parfois que la vache sacrée et mère de trait sont une seule et même sorte de personne à lait ou disons aux pouvoirs de lait ou aux pouvoiurs lactés vache de trea&it et mère naturelle ou non naturemmlle mais de fait nourricière vache-mère le lait on aime on aime téter soit du lait de mère soiut du lait de bête brebis anesse lait de vache de trait ou de vache d'ambre on aime tétyer c'est vrai que nous sans rire on adore téter on pourrait téter à longueur devcsemaine sans nous arrêter une seule minute sinon en  vrzi pour roter de temps à autre et nous soulager de la sorte nous requinquer nous remettre et hop re-tétée on ose on ne cesse de téter le klait on aime grave téter du lait on adore ça on aime à la fois le lait et auussi téter on pôurrait sans se démonter téter de chez téter à :lo ngiueur d'année sans pour auta&,nt en péter on pourrait facile téter des m=ois durant avaler le lait des tourments du passé des tourments du passé du passé donné octroyé en passant c'est-àdire pendant que voilà on erst là le nez sur le passé à téter du lait et hop on ingurgite on s'en gargarise on avale grave on se dit que oui le lait nourrit qui nous remet ezn quelque sorte hors parade dans un sac de roche ou poche hauute prête à quoi prête à se revoir peut-être là sur terre sarde à cerner de base un paysage sage paysage de voix ou comment on pourrait signifier pareille contrée qui nous regarde ou semblerait nous regharder dès notre néaçsszance cercle alloué nà une sorte de passé comme remonté sou forme a nimale d'un bébé de france ou disons en  ce qui nous concerne ici de france chacun son paysage sarde pour nous il est de france parce que oui ici albi la france une sorte de pays des transes et hop nous voici nourrie on tète une mère assoupie en colère  du verbe on tète du verbe on trace on est sales on est donnée et une donnée on est ce bébé des do nnées de base qui pour le coup et en vrai cherche vif àattrapper le bout dsu sein p ôinté nprêt à être secoué ou disons absorbé ou disons entouré de lèvres à coussinet et hop on tète on aime on aime bveaucoup le lait on vouléait téter eh bé oui voilà on tète on ne s'arrête plus on aime téter le néné v elu le néné donné avec ses petits poils tout enroulées emberlifcficotés nous on adore on aime ce lait dit de roche on monte on se retrouve ainsi à nouveau rtransformée non p;us cette fois-ci en une sorte de fée des prés mais voilà en une sorte de bébé des voicx bébé docte bébé de porte qui comptend des choses ou pas mal de choses au son des voix qui font que voilà il monte il cerne il devient elfe il devient le moi roche haute des parois le voilà qui ose en  vrai creuser sur pied une sorte de destinée de la vcoix montée ou sinon montée redressée et hop on monte on va on envoie on essaie de base de comptendre ensemble ma foi ce qui va et ce qui ne va pas et là on se dit que peut-^tre oui on va pouvoir un de ces quatre mieux comp^tendre et toucher à cette chose d'une sorte de paroi finale ou terminale mais qui en vr(ai est une sorte de passage vers un enè-ième convoi de choix de bêtes de salle aurochs ou pas on ne sait pas o,n raegarde on wse dit que voil:à on a pas lmal encore de temps devant soi pour arriver  à un jour comp^tendre cerner enfin toucher à une sorte pour le coup de vérité tracée de vraéi tra cé de vérité ancrée nacrée ou comment elle est ou sezrait ou sezra on ne le sait pas on est là poiur le comprendre ensemble et tracer de fait sur paroi le bout de gra s tracer ample chargfer de bêtes de parade et hop on colle on sonde on veut toucher ensembvle cette chose qui ici semble vouloir à nous nous faire signe nous donner du mou nous dire des choses nous vouloir pour elle dans la poche ou comment en vrai car on ne sait on ne sait ni qui c'esst ni ce qu'elle manigance ou disons envisage envisage avec nous qui est-elle et que nous veut-ellle qu'est-ce qu'elle veut ou qu'est-vce qu'elle vcoudrait ici nouys dire en ce passé des dires tracés ou sinon tracész simulés que veut-elle stipuler qu'est-ce qu'elle est qui nous serait utile ou comment dire on vibre on va on est là pour comptendre ensemble une pâroi un antre un p)ré de france c'esst)àdire de la,ngue avec bêtes-mots de façade-parade et mur haut qui est ce mur du fond dit mur du son qu'il nous importe en tant que fée ailée de traverser sans trop tarder et du cfoup de cerner de chez cern er et de voir à comprendre de fait ce qui ici derrière sezrait à vouloir se tramer en termes de peut-être lait des l :aits lait de mère ou mer de lait peut-être d'auiilleurs plutôt de mer de lait une mer de lait la mort passée c'est-à-dire dépassée une sorte de mer de lait ent§iezr de mer de lait non trafiqué soit naturel de chez naturel mezr haute mer post-pré post-roche post-tracé d'herbes ou post même cimetière car oui le cimetière est un temps donné mais la mer lactée est plus loinrtaine qui est prête on commùence à nous y retrouver à comme nous embarquer et hop lait de mère intègre non érsdulocoré non trafiqué naturel de cghez naturel une bonne tétee direct au néné au néné de mère pour une ghorgée et plus qu'eune gorgée ou plus qu'une lampée de ce lait naturel afin de oui voilà en avancer en ce tr acé des post-parois des termes termes tracés teerrmes des termes soit des finalités de terre on aime et téter et taire ce qui en  vrai ne peut êztre pour le coup for(mulé on dira citera wittgenstein on ne traîne pas on trace on avance on veut grave ensemble toi et moi et main dans la main comp^tendre ce qui va plutôt et ce qui ma foi peut-êttre ne va pas vréiment oupas commùe  peut-êttre on le souhaoiterait concernant ce tracé post-pré cette voie d'accès au-delà de l'ultime muret et cette sorte de néné naisssant ou renaissant qui viendrait à nos côtés se donner à téter sans se tourmùenter sans faire plus que oça de simagrés de manières génées ou autres gênes tentaculaires on aime le lait on veut en teter parce que oui on aime on en redemùande on est comme une sorte de petite bande aficionante ou comment on pourrait dire pour ici se faire comp^rtendre on adore l'ambre lait de chambre on adore téter on adore boire et avaler du lait une mer de lait est-ce raisonnable qui croira ce fait qui voudra obtempérer et do nner en vfrzi de son acquiècement à pareille salade sauvage envoutante peut-êtrte mùais hum complètement tarée ou sinon tarée complètement à la ramasse d'une sorte de pensée sous chanvre ou va comptrendre or en  vrai on voit on sent et on entend dees choses qui peut-être ont l'air folles à première vue mais voilà on dit ça ou ça on trace on avance on dessine des surfaces on dessine aussi des formes peut-être risiblkes fortement risibles c'est possible mais en  v rai ce risible ici est une forme comme  qui sait assoupie d'une sqorte de parole docte autre ouccomment dire car oui ce qui ici nous semble ou nous parâit risible ou hautement risible est du dire masqué dire de trait de haut trait ou de trait haut qui ne peut de base swe montrer de face mais en vrai est est le passé est passé de haute volée est du vrai de vrai passé de haute ou très haute volée ou nichée qui contient ou contiendrait nombre de véerités des vérités comme on ne saurait les imaginer en tant qu''humain / humaine des contrées terrestres et autres bêtes surnuméraires le passé renaît qui se voit alloué à une sorte de post-pré soit de vie a&près la mort comme qaui dirait méis qui le sait qui ose qui prononce en vrai les donnéesz profondes dires-faits qui connaît la roche comme sa poche qui comprend le rire haut des sorties de rotonde et autres enceintes-préau qui sinon soi c'est-à-dire la voix voix de haute-contre qui envoie du bois grave la roche trace ses paroles à même la paroi des gtrpottes en v  e"ux -tu e,n vfoilà et nous voilà hautes hautes voix des voix de roche on monte on envoie on voiut on creuse on veut cerner ensembkle les dsonnées de base et du coup comprtendre da&ns la profondeur ce qui ici ou là se passe sur paroi de charge et aussi nous regarde nous mate nous regarde tracxer comme à main levée et de rage un grand nombre vde données qu'on ditb animales et c'est vrai elles qont anuiùmames p ariétalement animales mùais pas que parce que la bête ici des cieux est bête à bon dieu bête -être bête-mots de roche haute traéit des traéits passage docte on peut creuser on mùonte on passe on veut toucher en wsemble le passé de france ou plutôpt szon passé à soi de france et navarrres p)assé-danse trait pour trait tracer de chez tracer comprtendre = donner donner du frais du passé frais à cette sorte de romance des données du frai et hop en avancer grave de chez grave en ce dit passé aux nénés et donc au lait au lait tiré trait et de fait donné à ce bébé re-né qui vient de france soit du franjçais de la langue franche renaître de ses cendres comme qui dirait eznfin il nouys srmbkle et nous de nous laisser charmer peut-être à genou par tel néné de gnou néné né le mur travezrsé soit après la mort donnée mort avérée on voit la chose chose ronde néné né le mur passé qui est néné de tous lesz nénés une sqorte de don lacté ainsi octroyé à une sorte de bébé rené ou qui swera&it rené du fait que cvoilà on est morte et enterrée ou plut^$ot on est mort ou morte et entérée  / enterré et là on monte en tant qu'on est ou qu'on a éteé transformée en fée en fée de roche ezt de pré on monte on pousse la porte dite porte aux fées et on se retrouve tout guilleret rechangé remodelé en forme de bébé post-porte comme qui diraiot soit de bébé de lm'après-roche du dernier muret des finazlités finalités ancrées et autres termes de contrée p)rairiale de type pré pré des prés pré fleuri au taquet et autres champs de blé dit p ara dis on trace et hop on se retrouve sur plzplace prêt et prête les deux ensemble à de fait téter en wsurface puis en profondeur le laiçt en souffrance lait de france = klait donhé d'une lan gue en particulier ici la langue fra,nche et le tour est joué on se vfoit téter o nn est entrée on est passée et nous voilà le nez collé à ce néné de bout de rocxhe dont le nom donné est poche poche à lait poche de lait quand bien même en vérité le sein n'esst pas vraiment une poche ni un réser voir mais une sorte de vsource primaire sqource vive aux données vives dont ici le fvruit erst une soprte de parler de vie parler vif ou p arler en vie ainsi délibvré d'un passé meurtri ou comênt stiupuler les données  du bruit des anciennetés du passé tracé des données cuites et auvtres mets moins rafffinés on ne sa&it on trace on cherche ensemble à nous y retrouver en  cete sqorte de post-sarabande des données qui toutesz de fait ressemblent à s'y méprezndre à un passé déjà traversé il y a des années en france il sembvlezrait ou sin on e,n france en espagne ou sinon en espagne en pays sarde maiçs qu'esst-cfe qu'on e,n  sait que sait§-on des traces du passé maussade du parler ancré des données de trait et autres traites de l ait ancestrales on cherche à comp^tendre on essaioe de comprendre  enwsemble un certain  nombre de données données qui toutes réunies ensemble et accolées pourraient en vréai nous en app^rendre grave et nous donner de quoi ruminer de chez ruminer quelques années sans jamais qui sait fatiguer du fait que oui le passé est dense large encore largement à devoir explorer en toutes ses contrées on ne demande qu') à téter et du coup explorer ledit passé des données hautes et autres tra its de roche ancestralesz téter téter à ce néné des entrées post-roche un néné de poche mer lactée qui sait on pourraitv en douter mais nous on a plutôt envie d'y cr(oire d'aimer  de toucxherr à cette choseciici formulée comme quoi la roche passée on se retrouve tout ou toute retournée à devoir en vrai et de fait téter du bon lait de mer ou d'une mer de lait telle qbue l(aprreès l!'après mûret nous la réserve ou réserverait qui sait on pourrait le penser se dire que oui en effet la mort passé le passé lacté revient ou reviendrait à grandes ebnjambées reformulation reconsidération révolution reactivation ré vision de données hautes hors rotondee on le croirait et peut-êtrte qu"'en effet c'est vrai c'est pas pipeau ça sezréit ça serait en vrai que oui le lait ou du lait post-pré nous attezndra&it s-ous forme infinie de mer agrandie ou comment on pourrait décrire dire expliquer cette zorte ici de mer egée de mer rouge aux traits de mer des accès des données naturelles on cherche c'est vrai qu'on est pas arrivée qu'on a pas fini de chercher que les données en  v rai question mer de lait ne sont pas données et dema,ndent ou demanderaient beaucoup de travail de travail de recherche d'exploàration en leurs moindresb recoins et autres coins de haute porte on mùonte on ne cesse en szoi de monter sur roche mais voilà la porte est encore haute de chyez haute le chemin est nlong qui nous voit aller aller de chez aller un peu poussivement parfois voire carrément lentement à la conquête ou comment dire d'une sorte de qui sait paradigme non édulcoré mais bon on ne traîne pas mais le chemin monte drôle de roche ça monte on vole maios voilà loa porte est haute on la voit de là de là on se pose mais elle est encore drôlement haute encore très haute pour nos bras nos ailes et bras ça monte on y va on envoie t§out ce qui en  vrai pour nous nous est possible d'envoyer en soi mais vads-y de rage c'est pas si facile c'est coriace on a le vent en face on se fait en vrai souffler de base sur nos visages on est freinée de base par du vent de face on trace ma&is le vent de face nous fr$eine ralentit un peu et nous empêche de tracer mieux d'aller plus  vite et mieux vers une sorte de mer des feux des feux-miroitements acqueux au lait de traits continuellement renouvelés comme peut-être autant de vagues on veut comprendre on en a pas fini e,n vrai de comprendre-cerner toute cette sorte de payasge de données marines et autres dobnée dites du vent donné on monte on creuse on veut toucher à ce néné des données les plus hautes qu'on pourrait en  vrai ensembkle rencontrer en ces contrées du bout du mùonde on est quii on est des bébés qui avons tracé pendant un lo,ng momejnt sur pré en tant que fée et à présent on est comme à se laissser porter ou guider par une sorte de mer a&paisée mer de lait qui nous emporte nous porte et nous apporte grave jusqu'au port qui est ce port de base ou port-base où pouvoir de fait enfin se poser soit se reposer de tous ces tourments soit de nos tourments passés traversés vécus de près et dsu coup soufflezr de chez souffler et essayer dès lors de nous retrouver et de nous requi nquer sans plus tarder essayer de nous y retrouver en toutes ou sur toutes ces questions de néné donné de mer de lait de vagues renouvelées de vent mauvqais qui sait et aiutres faits de flottaison on est le bébé du pont on veut surtout téter le léit donné d'une mer non agité et s'en gargariser à volonté si tant est avaler le lait être tout à l'unisson d'u ne succion comme accouplé à une giclée-don de ce lait trait et hop on tète on ne s'arrête plus on aime grave téter le lait soit le lait donné des dxonées de bosse = sein donné comme à la tirée ou même sein donné du fait que oui on est montée on a traversé le der(nier muret et là on a croiçsé eh bé ledit néné qui nous attendait qui nous voulait pour être soulaghé soit dégorgé et comme vidé de son lait de poche ou de roche -poche et hop téter téter du frais du non frelâté du lait enfin donné vcomme une sorte de denrée haute ou la plus haute des denrées qui se puissent excister et être ainsi donnée hop du lait on monte on tète on se dit que oui il y a ici après la mort après le pré qui est un paradis une sorte de contrée de vie quyi est qui sait contrée du passé le passé remis ou replacé au gouût lacté du jour redonné on regarde on trace on a envie de voir du pays de comprendre nos envies ce qui nous anime da ns la vie ce qu'il ya là qui serait comme en souffrance en soi en tant qye voix paroles de soi mots tracés ou pas m ais au moins prononcés du coup à haute voiux et ces mots de base ou mots de rage sqont foi foio de roche et bois foi animale foi des rois et reines sardes foi en cette sqorte de paroi des rois et rei,nes des voix on passe on regarde on veut cfomprendre et du cfoup cerner à ce néné des données finales ou terminales et hop c 

reuser charger allouer à du passé les mots d'un antre qui est antre aux données de rage données sages vraies donnhées du ventre une sorte de parade immense et nous voilà comme autrefois à chercher à comprendre ensemble le pourquoi des choses ici -bas choses d'une transe ou d'une danse de sabbah et pourquoi la raghe la paroi les dessins-traces bêtes de poids qui nous font face en veux-tu en voilà pendant qu'on trace qu'on en avance qu'on envoie qu'on cherche à comprendre une sorte d'envoi de mots dans l'au-delà de la mort franche on e nvoie mais pas que ça on trace et on envoie mais en vrai pas que ça on file grave dans une tourmente ma foi mais on s'en bra,nle on veut comptendre comprendre et toucher ou comprendre-toucher à ce néné ou ce néné rempli de lait et en vrai on espère que peut-^tre" qui sait on finira par y arriver et du coup de s'expliquer ce qui ici est qui est du lait on dirait une mer de lait une vraie de vrai mer de lait apaisée mer apaisée et lait aussi qui sait apâisé et hop à devoir vite fait téter de chez téter sans traîner car la faim nous presses qui ici post-pré nous tenaille nous pousse grave à attrapper l e bout du sein le teton mordoré et à le pincer pour en faire sortir viteuf du bon lait de roche et hop envoyé c''st pesé ou pesé envoyé on ne sait on mùonte = on tète la bête = vache  à lait de base on veut tirer = téter le dit lait de vache qui nous plait qui est pour nous donnée des données et nouys voilà qui sommmes ainsi en tant que bébé mis au pli du lait tout alloué tout donné tout apporté et hop on tète sévèrrre on est qui on est comme peut-etre des petits de fée on est comme nés d'une fée né de fée qui s&it ou alors on est la fée qui s'est transformée en bébé une fois la mort passée soit le cimetière la terre la tombe attitrée hop un bébé naît qui lui veut téter à la mer de lait qu'il voit en sa jetée en ses ondées vagues de lait sur vagues de lait il tète = on tète on ne cesse de téterr du lait car le ;ait c'est vrai qu'on l'aime on ne pourrait plus s'en passer on nje veut plus que ça la mort donnée téter téter en vrai téter de chez téter et ne plus nous arrêtrer jusqu'à sa&tiété jusqu'à êztre repu complètemeznt rassasié qu'on en puissee plus et là alors on pourra se poser et se reposer dormir sur so,n passé et rêver à des données de roche à des choses enlevées à des histoiresq drôles ou sinon drôles hautes de foi en soi en la p arole en tant qié'élément de la roche faisant foi faisant ainsi qu'une sorte  dee passage docte etst ou puiise être de fait là pour soi de mort à trépas parole haute docte de moi à toi ou comment dire d'un endroit de soi à eh bé qui sait un a utre endroit de zoi ,on monte on essa&ie ensembloe de toucher à cette porte d'un dev&njt de soi qu'on n'espérait plusz auquel on ne pensait plus ou plus vraiment alors que oui ce tracé qui est du passé existe est toujopurs d'actualité ne cesse de lorgner sur nous de nous mater de la tête aux pieds genoux poignets épaules rentrées qui sait et qui ça pourrait on ne le sait on cherche grave à pouvoir cerner cerner de base ledit tracé ce qu'il représente ou représentzrait de face et aussi de profli qui sa&it on veut connaiottre ou on voudrait connaître tous les paramètres toutes sortes de données qwui seraient  de fait activées à jamais c'est-à-dire actives de chrz actives les cerner arriver à s'en faire une idée  précise toucher szerait cerner soit comprendre pour de vrai les assises les données concises les portes d'entrées les portées et tracer dire et tracer ce qui nous attire ou nous retiendrait de toutes ces données exquises de pareilles frises aux bêtes cendrées massives qu'est-ce que c'est c'est des titres dires alloués à des données vivess une qsorte de parade grise un  vrai trait de prise on ne sait on veut toucher on veut en avancer on veut aller ensembkle le plus loin possible ezn bbande creusqer passage trafiquer e,nsemble et a(rriver enwsemble à traverser eh bé sinon la banquiçse le muret aux frises et autres tracés représentant ici en superposzitions les bêtes du pont et hop on passe la tête en arrière vers le mamelon sein donné de front et hop on tète on avale lait de rage ça le fait grave on adore téter on vfoudrait tout le temps téter jamais ne nous arrêterr dire$-téter du dire-lait comme s'il en pissait ou comme si on en pleurait sans pouvoir s'arrêterrr si vous voyez ce que je ve ux dire téter vif le lait de mer = mer morte ou mer égée ou mer :éditerranéee lait donné est lait de porte ou comme dit de porte et nous d'en avaler sans honte le lait est du lzait sa,ns qu'on ait pour le coup besoin d'e,n avoir honte ou comment honte haute comment voir comment cerner car le lmait est lait d'une sorte de teracé nacré vagues de données lactées comme il nous sembvlezr ait on monte on tète on lève la tête et là que voit-on une sorte de lumière frêle m ais vive quand m)ezme qui nous éclaire venant de derrière donc peut-^tre d'un passé de roche passé haut sous le niveau des eaux ou sinon haut peut-tre passé bas du p^lus bas de soi ou sinon quoi on passe on entre on regaérde on veut comprendre parce qu'on veut entendre comprendre = entendre entrendre pour soi une sorte de voix venant de l'au-delà de soi et c  ette voix serait ou sezra la voix de l'a,ntre des données de l'antre d'un tracé entre d'une sorte de passé aux anges et ce passé sezrait comme à vouloir là en vrai nous mater de chez mater comme si en vrai on devait ne pas passer jamais ou plt$-utôt âsser de mur en muret mais szans y passer vraiment jamais juste sauter de'un endroit l'autre et hop rester de chez rester en vie même dans la mort et même après la mort dans  cet espace de re-vie de renouvellmement de vie soit de vie vive ujn passé de rive qui en vrai nous verrait revoir ou voir à reconsidérer kles données actives d'une vie de rive post-pré post-muret posqt-alacrité et post -acidité en termes de néné qui est pour le coup à ne pas ou plusb lâcher jamais du moment q'on est à l'avoir attrappée à l'avoir cerné ou pincé pour téter sans plus tezrgioversqer hop du lait lait de porte roche haute o,n veut téter on nje ve"ut pas s'a rrêtter on ne veut que téter téter = boire = avaler = entériner ou emmagasiner du savoir lettré ou comme nt dire éduqué ou sorte de savoir des bases mots donnés mots des mots vdonnées car en  vfrai les dits mots de roche  soit les animùaux sont des mots qui tous nous sont données ici de proche en p^roche sous le sein donné ou comment dire avec du lait ou en même temps que le lait ou alors disons que e n effet le dire vrai est du lait frais lait de trait qu'on se plaît grave à avaler en veux-tu en voilà parce que voilà on renaît on est re-là on ne cesses pas de re-être à toi à mùoi en cette sprte d'après-paroi qui ressemble à ma foi une sorte de mont de roche a ux voix de haute-contre ou au contraire sisiurrrée ou qauoi d'autre car on monte et en montant on voit et ce qu'on voit ne laissse pas de nous squrprendre on voit eh bé en 1 la mer étale une sorte de mer de vagues  vagues bkla,nches très blanch une sorte on dir&it ici de mer de l&it et 2 le ciel de traîne à peine nuageux et sesc rayons de feu venant de dezrrière bref une sorte de pâys de feu et autres eaux de feu surnuméraires qu'est-ce qye ça pezut être on cherche peut-)être qu'un de ces jours prochains ense^mble quiç xait on trouvera on arrivera àco:mprendre on en saura davantage on y verra plus clair en toutezs ces choses d'une sorte de p arade nuptiale sur paroi dite de la foi en cette chose d'un langage ou xd'une langue faiszant passage-traçage à toi à moi de vie à trépas des al:lers de choix pour desx retours de voix à toi à moi la langue sarde un e sorte de paroi des rois et reines sardes un envoi la langue sage va et vient et se bala de et passe d'une t ête à voix à une tête à voix balade promenade ca&valcade corso roi et autress parades amicales on voit ce qu'on voit on veut co:mprendre gra ve la paroi et aussi ses jhoies ses dessins de choix ses bêtes immenses ses traits de commande on trace on veut toucher e,nsemble à ce convoi de promenade et du coup il semblezrait tracer soit toucher soit traverser de r age une szorte de tracé ancré et hop on est d ans un pré toute femme femme dans tous les cas car fée ou transformée en fée et là on s' avance au plusz près de ce dit muret des finalités et on cherche à co:mprendre p ar où en vrai on pourra&it passser sans swe fvaire mal sans s'amocher sans y laissser xdes plumes ou la sa&nté mais fissa et comme fleur de pré tralala passser filer aller nous retrouver de l'autre côté à essayer de pouvoir cerner en vrai ce qui est en termes de mer de lait une vraie mer ou alorsq une mer fausse vra&ie ou fausse ça sezra&it malin de poucvoir deviner cerner dire et comprendre et peut-êttre à j amais pareille tourmente post-parade post-muret comprendre pas mal de ces données fvci nales ou dites finales de quioi il s'agirait de quoi il en reyournera&it qu'est-ce qye ça se pourrait que cela soit en vérité en termes de donnée qu'on dit lacté ou qu'on dirait lactéb chercher de chez chercher ensemble à cerner ici les données qu'on dit ou dirait l ctées du moment qau'il ya ujn néné qu'un sein est montré ou comme déplissé ou comùênt dire du néné montré qui nous serait donnéé sans plus de chichi comme à la retombée d'e pareil muret aux fins fonds des prés on chercherait on cherche on essa&ie on creuse on essaie ensemble de cerner de rage ce muret à quoi il ressemble et par quel trait en lui on pourra&it peut-être se faufiler pour pa sser côté mer salée ou mer sucrée s'il s'agit pour le cdoup xde lait de mer de lai s'il en est et qui sait peut-^tre peut-êztre post-mort au-delà de la mort du port de la mort post-pré donné et traversé il y aurait une sorte d'immensité de type lacté qui wsezrait une sorte de mer au lait ou de mer de lait à pouvoir téter sans plus se gêner ou hésiter etceteraa ça pourra ça nous dira ce que ça pourrait en vrai être pour soi une fois là-b as on eqst des voix on entrte en tra,nse par la voix on se promène de ci de là sur paroi soit sur pré-paroi ou prairie-paroi et une fois qu'on s'est pour ainsi dire assrz promenée qu'on a assez sauté et sautillé exploré dansé aiméetcetera on voit là-bas la roche  du fond fond docte fond des fonds à peut-êttre devoir comprendre soit certner sur pied et du coup qui saé&it traverser si on y arrive et on devrait on dfevrait pouvoir ensemble traverser passser chezr cher issue de pré et entrée en cet après-pré qui est  sorte de mer allouée à u n e sorte d'imme,nsité de type Verbe Verbe alloué à une sorte d'imme,nsité de type Mer ou alors mère ou mer de lait ou lait de mère ou comment expliquer les donéesvdernières d'un passé ici qui renaiotrzait sur terre il sembler&it en tous les cas on pourrait le penser se dire que peut-ettre en ezffet le trait dit de lumière ainsi repéreé en ce dernier muret sembvle ou swemblerait être un trait par où qui sait pouvoir ensemble à toi à moi traverser de chez traverser vers ledit néné néné des nénées de l'après-mort ainsi dépassée on se dit que c'eswt un fait que cette sorte d'anfractuosité e,n ce muret est une cjhose vraie qu'il nous suffit de savoir répérer et grave le tour est jhou!é on doit pouvoir facilement se faufiler et filer vers ce passé ou ledit passéc a ux données lactées mer de chine vie vive retravaillée mer active mer de lait comme il en existe qui sait ailleurs mais est-ce hé peut-être la même chose une voie lactée dans un ciel de traits on est passée on voit ce lait comme  larvé mer étale lactée livrée déplissée comme donnée en ce qu artier d'une post-paroi enclavée on mate c'est vrai que nous de fait on aimera&it comp)rendre et du coup apprendre ce qui ici de cette mort dont on nous parle on doit pouvoir de fait comptrendre en termes peut-être de voie lactée de voie ou de mer lactée voie de mer qui s&it ou alors autre chose voix de mère et dsu coup on aime ou comment follement du fait que e"n effet le passé remonte un passé de trait en effet swzer&ait là sans ou a&vec voix à vouloir remonter vers soi c'est-àdire vers moi ou versq un soi qui est ou serait soi de roi ou reine des voix on monte et on voit quoi on voit une szorte de voix ou comment ça car une voix ne se voit pas eh bé je ne s ais pas pourtanjt voilà on voit ça une voix une sorte de voix qui serait là cxomme une sqorte d'épaisseur de voix voix en soi voix haute et commedépliçssé sur mer de roche ou mer de la&it et hop on monte on creuse on cxhezrcxhe on aime sûr que nous on adore ça cette voie aux ombres ce tracé post-porte qu'est-ce que c'est c'est peut-etre de la roche encore ou sinon de la roche quoi du vide des voix du passé-rotonde ezncore une foisz le cercle des voix ou quoi d'autre qui ici à partir de szoi viendra&it à nous inclure en une sorte de passé de vie ou de passé-vie ainsi défini on veut toucher on voudrait toucher on est qu'on voudrait toucher à ce néné des dsonnées vives qui on est hors frise peut-etre re-^né en tant que néné des données vives on arrive on essaie de base de comptrendre ensemble cette mer étale qu'est-ce que c'est que cette mer étale ce qu'il en est de quoi il est question qu'esst-ce qaue c'est que cette chose d'un tracé post -pré qu'est-ce que c'est que cette chose la mort passée ou dé passée d'une sorte de donnée lactée de type mer méditerranée venant se jeter squr nos petits pieds à nouveau lancésq on ne sait on v  eut comprendre c'est-à-dire voir soit tracer ou dessiner à m&in levée un certain nomnbre de don,ées  de base genre le passé ce vque cc'est la base des deonnées en tant que verbe alloué en son intégralité ou en son entierreté à une sorte de ici marée éternelle vab-et-vient nacré de vagues de verbe et autres traits d e verbe sacré ainsi rejoués on monte on ose on veut coller à ce passé du verbe ainsi tracé et nous montrer dee fait de la sorte à cette déité du nouveau monde ou du monde nouveau de la mort passée dépassée laissée en arrière ou comme laissée pour trépassée morte à jamais laissée pour compte et nous de traverser la rocxhe à la une à la dxzeux sans anicroche colmme fleurs de roche hop on monte on mate on voit bien ici et là que des choses se passaent vont et vienheznt se tra cent se gr avent sont là qui sont tr ace's d'actes dee paroles avec ou sans voix on y croit on voit que ç'en avance grave xdans le sens où en vrai on voit que oui le pli ici est pris quyi nous envoie pour mieux comptendre sans manières les données de base ou sinon sansb manière d'une façon toute personnelle ma i s comment dire communautaire  les données données par une sorte d'entité p articulière de type néné ou néné-mer ou néné qui ser&it la mer ou bien néné né de mère donnée et hop on tète on téète en vrai on a ime téter on cxherche grave à bien téter de chez téter pareil néné de m^ère méditerranéenn,ne on le sait et hop au néné à boire-téter sa&ns se faire prier on aime on veut grave téter on veut téter de ce néné de bpnne mère dxont le nom serait méditerrranée ça pourré&it le faire qui sa&it une mer de lait nousqcsezrait octreoyée la moprt entértérinée à jamais ou à tout jnamais d'une certaine manière puisqu'à chaque fois on renaît de soi on renaît autre autre que soi donc voilà la mer est be"lle qui est toute dorée de wses reflets de mer lactée on aime cette mer de lait on veut la téter en boire quèelmques goulées et hop s'en vgargariser aglou aglou car on sait on sait téter on s ait roter on sait av a ler et aussqi se gaergaroser de ce lait de gnou ou sinon de gnou de bête dees prés ou szinon de bête de néné néné des nénésq d'une mer cendrée on ne s&it on cherche on trace on cherche à tout va ici et là on chercxhe = on essaie   = on s'essaie à dire du coup un certain nombre de diresb de tr&it des foisz que en effet un dire ferait mouche qui dira&it du laéit ce qu'il en est en vrai est-ce vraiment de lait dont il est question peut-on réellement parler de lait qua,nd on évoque la questioobn des dites fins de pré ou des ditesx finalités ouvr ant sur une soerte d'après soit d'après-vie ou de vie qui serait située après le moment de la mort ou de cettte mort qui fait ici question peut-on parler de lait post-mort ou post-mortem peut-on envisager une sqorte de contrée contrée de la mort mais qui ser&it de fait sorte d'antichambre à une vie reznouvelée à partir de lait et si oui ce lait de quoi est-il le fait ou bien l'image car en vrai le lait ici pourrait parfaietement n'être qi'une image image connotée on le saoit mais qua,nd même on voiçt du lait on a sur nous l'odeur du lait on a en nous sur le palais le goût du lait on vit le lait intensément la mort passée ou traversée on se dit wque qui sait mouyrir c'est retrouver à volontéb le  lait de vie du bon lait du pis lait tiré pour ainsi dire à volonté pour nous en rassasier nous en donner donner jusqi'à sati§été afin de nous alimenter commme il le faudr ait ou comme il le faudra ou comme on se doit ou comme il se doit car voilà téter est un acte de trait de trait tracé de fil doré de filet ou de fil de lait ou perle de léit venant trouver notre gosierr comme évéilllé ou cxomment dire notre a lacrité notre volonté aiguisée notre envie vive d'y toucher ou d'y goûter sans plus tardxer une dfois soi-même comme enterré ou entériné en tant que on sezrait un être décédé pour la cxommunauté mais en vrai tout remonté sous forme de fée fée des fées fées d es ombres et nous voilà t§oute envolé qui allons volons traçons à la recherche de la vérité  à propos de ce passé qu'on retrouverait comme à reculons en quezlque qsorte si jamais et hop on poussse la porte on est prête à traverser on subodore la chosexle passé n acré après la porte retour au furtur sur un passé de bure et autres petits faits comme déplissés on est fée puis bébé qui xherchonsz à téter et on trouve de quoi vite fait car le lait est là au bou!t de zoi ou au bout des doigts ou au bvout de la voix voix docte haute d'haute-contre ou pas mais une voix voix de r'oi voix haute de roiou de reine sarde voix sarde de soi hautement placée sur portée de rage on envoie on veut comprendre on veut grave co:mprendre on veut tracer on v  eut cerner on a envie e nsembvle en tant que fée de comprendre ce qui est qui sqe trame ou passe au momenrt du passage de vi e ici mêzme en ce pré à trépas là-bas mais s'agit-il de ça le muret passé va t on droit au piquet va t on droit vers une destinée maussade ou pas de ça mais que du lait lait de base lait de voix voix de lait de rage une sorte de voix de bas-âge voix de soi ou quoi ou autre voix qui serait là à nous parler de voix de voix et de  voie en ce paysage de la post-paroi post-paroi des rois reines des lois posqt-pré aux bêtes de poids on envoie on essaie ensemble dee passer ensemble l'ultime paroi paroi aux armes  aux trais de charme on veut comprendrte on v  eut vra&iment comprtendre on essaie enwsembvle de vraiùent vraiment comptendre ce convoi puis ce qu'on voit au-delà du convoi et de la sarabandee peut être ça une sorte de voie soit de voie dans l'au-delà en la paroi aux ttreaits derage voie haute de cxhoix une sorte de voie menant droit à cette voix dite des voix voix haute ou basse voix de reine et roi ensemble voix de l'antre d'un tracé de base comme une sorte de trainée laissée genre voie lactée  voie donnée lactée lait de contiguité et de continyuité dans un passé réactivée à la force en quelque sorte d'une sorte de dicxtée dictée des dictée comme szusurrée sans s'arrêter est-ce que c'est vrai est ce que c'rest de ça qu'il serait quesqtion qaiuand o n parle de mont de mont doré de mer plane de paysage rond et de moisson de banc de poisson de mots sardes de paroles de mer et autres vents de face est-ce ?

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14/4/2025

On veut toucher à ce qui est qui se présente devant soi = la paroi ! chant de traces ! pets de rage ! on se rassemble = on fait de soi un corps de cendre  : tralala ! foi de roi ! on entre . qui on est ? eh bé ;;;;; on ne sait pas , on va , on avance = on trace = on creuse = on va dedans la roche se lover-cocher, cghercher Mort et ses valets ! onest des fées de Carabosse. Traits ourlés. 

Porte haute on pass 

Porte Haute on veut âsser et nous retrouver comme "dévoilée" ou quelque chose de cet ordre =  déliée ;...... comme déluréee ..../..... complètement désinhibéee ........... olé olé on dirait mais en vrai ce qu'on sait c'est que voilà, on est entrée en la paroi, on a traversé de la Voix et à présent qu'on est re-né en ce champ de traits (herbes sacréess) on veut gagner ledit muret des finalités  fin de pré ! olé olé on ne sait mais dévoilèe de chgez dévoilée = sonnée  ! comme remuée p ardes données de pré qui sont bêtes d'attreaits = de trait , en cette sorte de "rotonde des entrées". On veut gagner la roche ... au fin fond du pré ..... et passer = sauter , traverser encore ... unn autre muret ...... pour se ou nous retrouver ... de fait non plus fée mais cette fois .../ Bébé ! bébé sauvé !

 a traversé muret ! a gagné un autre côté aux valeurs tracées : gris des traits et autres couleurs mordorées ! on veut entrer ..... passer ..... pou ssser en ce côté jusqu'aux finalités des finalités . On est des bébés... on est en vrai comme des bébés la mort achevée. On est cfomme toute retournée d'avoir réussibv à passer (d'un coup d'aile) le .... passé donsdaine ! vérité des vérités ! on cherchait, on n'arrêtait pas de chercher , on voulait trouver de chez trouverv ! on n'avait qu'une envie quiétait de trouver, ici et là = post-paroi, une sorte de sentier menant à où (à présent) on sait , à pareil tracé, côté Elfe, côté Lait, côté npn plus cendré mais comme dégagé de chez dégagé afin de bien poiuvoir téter pour ainsi dire le bon laéit de mère, lait-traits, lait post -pré , lait de mère allouée à une sorte de Divinité dont le nom gravé "" (qui sait ?) est ....... Terre ? Trait d'herbe ? terre de Serre ! Père est fait, Mère est faite. On erre . On est accolée en tant que "Ailes Autoportées" ...... pa r du Verbe de trait , bêtes genrées, bêtes de Verbe sondé. On veut : 

coller de chgez coller, donner de chesz donner, aller de chez aller et toucher toucher toucher à ce quyi est ici qui semblezrait vouloir en vréi nous faire aller jusqu(au tracé des finalités allouées au Verbe, VErbe ëtre , Verbe des données sondées dont le nom en vrai est ..../ Herbe , HEZrbe des prés ! prés d'herbe ajouté e ! on éime. On veut coller, donner, toucher, aller de pré en pré (pour ainsi dire) direction Nénév . On veut grave changer, opérer notre, en quelque sorte , identification à ... l'au-delà de soi .... bébé - montón .......... voix de Soi venant cfomme ici traverser P°aroi, et là, montons ! coloons et montons ! allons tracer sur pied, une sorte de sentier du front, menant à cette sorte de "Mont des Monts" qui donne ! donhe ou donnera ! donnera  / donnerait, enfin .... lait ! lait tiré d'un néné sur pied ! On veut téter. On est re-née à u ne sorte de Néné qui pour le coup nous donnerait (sans lésiner) de son .. "lait de roche " , lait de Porte Haute , lait sucré qui nous apporte les debnrées dont notre cforps  bébéavait pour ainsi dire grand besoin,  et auxquelles,  de fait, il aspirait depuis .... loin ? On monte. On veut toiucher de chez toucher à ce néné ici qui sembleraéit vouiloir comme qui dirait nousz matzer ou reluquer de la tête aux pieds comme si en vrzai on était des (encore) fées des prés alors que non, on a traverséé , on est passées , on est à présent postées de chez postées de l'autre côté co^té Mere , côté Lait, côté VErbe-lait de type vérité lactée. On veut coller à cette sorte de tracé des dites "données lactées" et du coup nous alimenter à même le trait. téter = ptrendre = comprendre = allouer à sa prop^re   panse une sorte de donnjée de base, donné-lait ancrée qui, pour le coup, saurait granndement faire de nous , des qui sont (qui sait ?) des ......... bébés-gnous ! on entre ! on veut comprendre. On veut toucher de chgez toucher à cette sorte de péaroi de Ventre. Monter . Creuser. Toucher . faire un pascde côté et téter de chez tétezr le Néné des Panses  . On est la fée des (dites) "données", "données de Rage", ayant traversé la Paroi des TRanses et du coup touché ............. touché de chez touché .............. au Néné  en  Vra&i ....... en tant cette fois que Bébé , Bébé docte = portant Parole. On est né puis re-né puis rere-née à une sorte de Par(oi Haute .... swein touché ? sein au lait .... lait de trait ........ Le passé . Passé en motte. Une sorte de

 Passé de'Époque Haute. genre : anté- 

de chez anté-pré. On veut :

coller de chez coller à une sorte de néné-passé dont le nom en vrai serait : Porte ! porte des portes du Passé de Roche hors Ombre. Clarté ! juste clarté. On monte. On est née bvébé la roche traversée pour nous retrouver eh bé, comme au temps tracé,  Bébé ! bébé doc

te sacghant téter ! c'est un fait avéré ! on est monté. On a trouvé ce qui en vrai était pour nous, une sorte de ..... lieu de rendez-vous ....... avec ..... e-h bé ..... GNou ! Gnou doré des Hautes Contrées . Bêtes sacrée. Une sorte de Passé --Gnou tel que nous, on avait envie depuis longtemps de renconttrer qui sait en passant, en traversant, en se jetant comme on a fait en tant que "fée des prés" en ce Tour(ment donné en tant que Muret, Muret des murets, veznant clotureer ou comme ceinturer ce dit pré des bêtes de trait. On est passée ! nous voici re-née ! en bébé ! bébénou des données hautes ! gnou ! gnou ! gnou ! gnou ! nous sommes ici des bébés-gnous qui alloons post-roche téter l'ombre, sein des ombres, sein du lait des ombres hautes. On veut :

faire ainsi que nous on sache

dire enselmble ... en quoi la parade est sarde

chercher- dire ce qui est qui trace

allouer à une sorte de contrée"étanche" un e sorte de "penseé de rage"

cerner = cerner viif, vif etdru, les données de base telles que nous, bgébés, on imagine 

comme deessinnées à mâeme le ....... Passé Ancré, VErbe doté de traits  

verbe doté de traits de hautes donnéesz. On veut toucher toucher toucher topucher toucher topucher toucher à une sorte de Passé Ancré qui , en tant que Passé, saurait nous indiquer la Voie à emprunter pour mieux gagner ensemble la Contrée Des Traits, Traits de Base. On veut cfoller, sonder, toucgher, dire et donner, faire ainsi qu'on puisse ensemble en vrai tracer de chez tracer cette sorte de donnée donnée ... des données de rage et autrees envies sages. On est née fée le muret traversé et notrevenvie ici est de continuer sur notre lancée cette exploration dudit paysage post-pré, post )-fi,nalités. On est comme qui dirait ....... le Bé&bé donnéb à une sqorte de Mère - Collée. On est : ................................... bébé des bébés ........... le bébé sacré, saint-bébé des bêtes de trait ainszi treacé sur une sorte de ..... Passé Ourlé ! passé-né ! on est collée ! on colle au néné ! néné haut des mots ... des données de roche ! on monte. On veut toucher à ce qui est, qui, en vrai, ici, se présente, en tant que "memmbre " d'une sorte de "Sarabande des Offrandes". On veut coller à ce Tracé des données franchess, et du coup cerner, poussser, dire et aller, charger de fait ce qui ici de fait pourrait pour nous nous indiqauer, en vrai, ce qui est, le muret passé , nous dire xen vrai, nous expliquuer, donner à ce P assé des sortes de Données qui, toutes, pourraient, szans hnous tromper, nous ins-diquer la Voie la plus Commode , voie haute, pour rejoindre ... Cohorte , le Passé d'Époque , Bêtes fortes, Traits Altiers, Auroques, auroqzues, auroques ... and Roll .; On veut .... coller de chez coller , à (pârdi) ici ........ l'ombre haute, d'une sorte de Cohorte ... de bhêtes de Roche ......... haute R5oche des tracés ornés ! j'ai nommé : la Porte ! haute porte ainsi dessinée ey nous voil:à pâssée ... hop ! on a sauté ! on a travezrsé le muret, le muret de Porte ! on est entrée ! On peut  Téter ! grave , le lait , lait acté , des données profondes et autres vérités de roche traversée. On sait ! on sait ce qui est ! on sait, en tant que ... bébé re-né, ce vqui est qui nous rassemble, nous donne à penser, nous fait aimer , donne du sens. On est passée en tant que "fée du pré"" et à présent on tète le lait ... en tant que bébé des données de force, haute force des Tracés gravés ..... on est monté ! on vfoulait (en vrai) co:mprendre, ensemble, lesz donnhées de france = du français ... en tant que langfue ... donnée à la naissance , et pour comprendre ici il nous falla it ...... passer pré, passer le pré, devenir fée la mort donnée , mais  après la fée le bébé, après après avoir été fait fée, devenir bébé ! bébé néacré des bébés n acrés ;.... qui grave sait téter dès que voilà, le néné est là, apparait, pointe son nez (bout de néné) et pisse dru son lait des laits ! on veut coller, dire et sonder, creuserr, faire et toucxher, creuser, aller au plus lointain des roches de tra&it et cerner, chercher, toucher-creuser ................ traverser de vchez traverser ledit dernier (ultime) 

muret du pré .... direction le néné, mère portée, mère-terre, mère des données du Verbe cendré, on veut téter ! on ne veut que téter ! notree unique volonté la mort une fois donné"ée est de téter de chez téter le néné du Verbe , soit ....... brouter l'herbe ! car, voilà ,  Verbve = Herbe ! verbve-voix ! = Herbe (verte) des parois  ! On voit , on e,ntre, on veut comprendre. On veut toucher de chez toucher )à cette sorte en soi d'offrandev de paroi, offrandev du Roi, Reine des Voix, Charge Haute des Données de rOche. On regarde, on s'avance, on voit dezvant soi, on entre , on creuse, on veut comprtendre, on est "entre", entre ça et ça = 

entre deux bandes de paroi, qui cherchons l'antre, antre "entre" ..... don des rOis de CHarge et Reines des Offrrandes SArdes. on est com^me ensezmble Allouées , à une sorte de ..... Divinité ... d'un passé vfr ançais , qui serait : La Bande ! un prêt , une sorte de Verbe Donné ou sinon donné alloué (un tempsq) à un passé dit "des données" et autres "denréées"  à nous données. On veut :

coller de chyez collrer, dire de chez diore, tyracer de chez tra cer, faire de chez faire, allouer de chez allouyer à une sorte de Passé les données du vErbe, et ce serait : Le Verbe Vrai ! Déité sucrée ! Lait des Fées ou siinon des fées ...... des Envies de TRaitsz ! des portées ! vrais do nnées de porte ..... haute ! On monte ! on vfeut toucher toucher toucher touycher touycher, touycher à ce qui, ici, semble aller vers nous, pour , en vrai, nous poussser à (ensemble) traverser de chyez treaverser l('ultime muret ! On veut creuser. 

on vouydrait, en vréi, creuser de chyez creuser ledit dernier muret aux données ancrées et  nous retrouver .... eh bien .......... ainsi lo vées .................. en ce dit Passé a&ux données l actées . Qu'est-ce que c'est que ce passé ? de quoi s'agit-il en  v rai ? qui sait de fait de qauoi ce passé est le fait ? qui pour en vra&i nous expliquer de chez expliquer ? qui connaîot les traits (teraits de force) d'un passév d'époque ? on veut entrer = on veut cerner. On veut toucxher à ce Néné des données hautes de type "lait d'époquee" et là, une fois là, une fois ainsi tout allouée à ledit passé, téter ! grave téter ! téter de chez téter le sein nacré des données de Porte ! =  boire vif ! avcaler ! boire le lait ainsi donné , d'une sorte on dirait de Divinité dont le nom sezrait, .... serait de fa it ....... en vrai .......................... ROCHE  ? ROche aux F2ES ?  Roche des Roches aux Fées ? On ne sait ! on veut trouver ! On a pour ambition en  vrai de ..........., ezh bé oui ..... trouver de chez trouver le Nom Donné ! ce que c'est ! qauoi c'est ! quel est donc ce nom donné à une sorte de Divinité Lactée ! ? On cherche de chez chercher sans se lassser , sans désemparer, szans traîner mais le chemin est escarpé et ne nous permezt pas en vrai de "tracer" comme on le voudrait .... hélas ! On entre à) pas comp)tés, mesurés, posés. On fait gaffe . On est de base Fée Gravée devenue Bébé (au passage nacré) mais voilà ............... la pente .......... : ................ roche aucx voix ...................................... on est sur une szort e de paroi des voiux , ..................ç a tremble ! ........ on ne peut pas ........ aller de fait plius vite que ça ! ça envoiue ce que ça envoiue ! on est làb mais voilà ! ça trembkle !   On entre ...................................... on est entre .................................. on fait gaffe ............................ on ne veut pas pâsser à la trappe ! ...................................................... on v eut (grave de chez grave) ainsi poursuivre , tracer sur pied, aller, fureter, co:mprendre-cerner, voir venir à soi THE  Néné post-pré = Sein Donné par ....... quelque mère allouée = Divine 

Clarté Laiteuse, Ainsi Offerte à nos lèvres Heureuses , yeah !!!!!!!!!! On veut téter !!!!!!!!!!!!!!!! on veut de chez on veut (grave)

 t"éter de chgez tétezr ........ le bon lait de Trame ! On est bébé -boeuf ! AGneau de lait ? bête à bon Dieu ? don du frai ? colle donnée ? corps entier ? charge-née d'une sorte (en soi) d'entité dont le nom seraéit, ici, le mur passé, ............................... "Sainteté La ctée" ?   ................... "SAint des Sainrts Lactés" ?  "S&aint Lacté des Données de Roche" ? "Trais des Seaints de POche" ? "Poche-Haute" ? on veut (ici) aller (ensemble) sonder (de base) le français en tant que '""lkangue du passé" et le tour est (serait ?) joué à jamais mais ....... en  vrai, la chose 'est pas si aisée loin de là ! on se doit de bzse de ................... creuser de chez creuserr la base = le passé ancré ........... charge des charges, une sorte de Motte Dorée ( ou MOnt des F2es ? ) qui nous " attirerait" et peut-être nous poussserrait à eh bé nous approcher pour mieux t§oucher à son .... néné-montón ! motte haute ! mont ! mont des monts sur motte haute ! une passion ! moisson ! tétons ! buvons (docte) Lait cde Roche et a&utres boissons de haute Éopooque telle que celle, qui, ici et là, nous ..... tendrait ses bras ??? est-ce ça qui est là ? On e,ntre en bande ! on veut comprendre , dire et voir ce qui donc est là qui nous regarde ou nous regarderait dxe rage en face, droit devant ! un antre ? parade  ? voix de Roi et REine des Bois ? on veut toucher touycher toucher toucher toucxher touycher toucher toucher à ce qui est ici qui saurait de fait ......... nous guyider grave ......... vers la base ...... un pAssé de france et autrtes traits de luminosité intense (tu parles !) et c'est acté ! noté ! tracé ! ainsi accolé ! on est passdée ! on est passée en t ant que fée et nous voici devenu bébé, bébé de tous les bébés, qui sait téter car (en lyui) c'est (on dirait) comme ancré , inné, gravé, et de fait entériné . bébé sa&it. bébé sait téter sans sourciller . Il sait ce que c'est . Un bébésait téter, sait téter le la&it , le lait de sa mère .............. ou sinon de sa mère de Mère Dotée ! Il sait ! il tète ! la plupârt du temps disons il sait ........ quel bébé ne sait ? Il tète de chez ... tête ! lait de traéit, lait d'herbe = 

VErbe ainsi ancré ... en sa petite tête de bébé du Verbe . On veut cerner = donner = toucher = comprendre = prendre = dire = faire = allouer à du Verbe, une sorte de Passé en Herbve = Le Passdé des TRaits, TRaits d'Herbe sur pré ... ainsi "rezmontés" en tant que ........... verbe ? vferbe-traits d'herbe ??? hé ! on se demandait ! on se demandait de base ! on se disait que , en ezffet, peut-être, l'herbe, le Verbe, 

le VErbe , l'Herbe ..... traits des traits de l'herbe

 = ou égalerait (qui sait ?) le Verbe 

ainszi deployé ......./ et du coup ............. ce swezraiot ......... du Lait ? verbe-lait des données "derrière" ? On aime ! on chzerche ! on creuse ! on entre ! on trace ! on cherche grave à (ensemble) comprendre de cvhez co:mprendre, les données intenses, foi de bois, charge antrale, paroi des parois, feu de base. On est comme là pour ça : comprendre "ensemble" ce qu'on voit, ici et là : la Base, la Trace, la Charge sur paroi de rage, une sorte de ......... voie centrale, passage "entre", anfractuosité axiale ............................... c'est quoi ?        ........................... trait de choix ! une panse ? une sorte d'ouverture dense ? envoi ? mot de szoi ? On veut toucher à ce néné , en face,  des données données, boire le lait , cerner de chez cerner , tracer de chez tracer sans jhamais pls nous retourner car, en vréai, on est re-née ici (ici = le passé) en tant que New BAby "des données de Roche" ! o,n monte ! on veut toucher toucxher touchezr toucxher toucher toucher à ces données de Bosse et du coup téter à la Fée Carabosse ou  autre Fée des Données Hautes : Mère Forte ? mère des Fées ? mère-d'ombre ? ombre allouée à une sorte de .... Passé Immonde ? On monte ! on cherche en haut la Soerte de .... niveau des Niveaux ... de penseée Haute, Haute CHose, Haut des Hauts des Données de Porte telles que celles qui ici nous voient tracer de chez tracer le Nom donné, qui est ......... Nom Drôle ! Nom de dscdonhnées hautes , ok, mais en vrai ............. comme tracé à main levé par ... on ne sait qui en vrai ! car on était ........ en train de téter sans plus regarder ... à nos côtés ... ce qui se passsait en fait ! on a raté un épisode ! l'exode ? le passé de Porte ? une sqorte de Pasdsé de Roche ... ainsi Ornée ? on tétait ! on n'arrêtait pas de téter ! on ne voulait pas s'arrêter , de fait, de téter ...... on ava&it envie grave de touhjours téter sans plus nbous arrêter ou s'écarter dudit Néné des Vérités lacté&es autoocentrées. On voulait ! on &éime ! on aime le l aiot et du coup, quand on tète, on ne voit qu'elle ;......................................................................... la perle ! /..................................................... elle-mère ............................................................. le passé ainsi ancré en une zorte de Donnée des Traits . on aime le lait. On aime grave téter . grave on aime téter . On aime grave téter ... le l&it de mère ... au§(tocentrée , autopproclamée, auto tracée. 

on aime aller de chez allersur ce sent§ier 

des données de l'herbe, herbe v erte 

aux vertues certaines , laitues. on aime ! on veut creuser ! charger et

 donner-doter ! creuserr et p asser , dire et fouiller, charger)-dire, vivre ! sonder ! pisser-chier sans se retrourner et tracer et creuserr -filer ............ foncer de chez foncer .................... aller de chez a&ller et du coup essa&yer de (ensemble = ailéee) passer de chez passsr , comme en contrebande, le Fo

ssé des Bases Franches = le Fossé de Francxe = La la&ngue  = la langue des langues données donnée à la Naissa nce, parrr .......... quii le sait ? ......;............ une sorte de .... Petit Poucet  (?) des doonnées Rances  ? On ne sait ! on veut toucher de cherz touchze r )à une sorte de passé ainsi dessiné : galbé,moiré, chargé de lait, tout nacré ! doux au toucher  et pissant du lait sans s'arrêter ! on veut téter téter téter à ce bon lait de l'Antre ! téter vrai ! avaler ! s'en gargarisezr et s'en remplir la pabnse pas à moitié ! intense ! intensité de la téteé franche ! une corvée ? non pas ! la Transe ! transe au lait et ledit est acté, treacé, dessiné-gravé comme à main levé&e sur Paroi de GRotte

Haute, Haute Transe des Données 

Franchesc : mot à mot. On  veut cdomprendre, comp^rtendre ensembvle = donner ! Vivre le Passé des Choses A vouées et tracer, tracer grave, en direction dudit Néné aux Données Portées, Sondées, touchées de chez touchées le mur du fond (du fond du pré) passé ! creuser creuser creuser ledit néné comme qui dirait = téter ! grave téter, lait d'ambre, lait des fées qui sait ? et du Passé larvé ! on passe le trait, on mate, on rehgarde, on veut en vfrzi rtoucher de chez toucxhzr à ce qui est ici qui semble ouy sembklerait voulpoir en quelque sorte nous parler en face de Divinités et autres D2ités Intenses, genre ..................................... "de FRance"  , le fra nççais ? langue-divinité pârmi les langues (toutes !) - divinités ? on ne sait ! on veut t§oucher = dire = faire = comprendre = aller = cerner =poussszr ! pousssr (grave) la Chansonnette ainszi rapportée et comme deépliée ou déplissée sur un parterre de données en herbe""" ! on aime ! car, on aime l'herbe ! grave on aime ! on aime grave les données en herbe .... et l'herbe , soit : Le VErbe ! vcerbe ainsi tracé à grands coups de Traits les unsz à côté xdes autres sur preé ! tra&aits du VErbe Forment un pré de type .....................EDEN ..................... alloué à une Mort donhé = temps des fées ........... qui ne dsure qu'un Tempsq ................... le tempsq tracé , charge avouée, trait donné ............. pûis le passé reprend  de l''air et hop , monte, porte ! va et trace .... sur paroi, le Lait de L'antre  entre soi. On Monte Haute ! on est la Femme des contrées Hautes ! voix de choix ! voix,, voix, vgoix des Couches Hautes Des données de Roche ................ voix -ombres ? ..................... on monte !!! on voit ! on veut en vraéi savoir ici et là ce qui nousvoit ! nous regarde, mate, voit en nous la Voie ou quoi que ce soit qui lui "ressemble" "  ... ou pas , mais se présente en tant que ...... voix des r'ois / reines des Voix ! et donc ................ tremble ! Peut s'entendre ! peut en vrai (pour la DIvinité) grave se co:mprendre en tant que VOiux de Fée ..... devenue Voiux Bébé ........ tétant le léit   ..... des do nnées de frnce (le français, la ngue de naissa nce, celle-ci de fait ou tout autre l angue a insi allouée) . On entre en transe, yeah !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! haute ch arge ici des données bl a,nches ! lait ! lait ! la&ait ! lait ! lait ! lait ! lé&it ! laiot ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! des données intenses , charges dotées, "vin lacté" comme il sembleraiot ! ivresse blanche ! lait nacré comme alcoolisé ! on tremble ! on est toute remuée ! on est féminisée toute remuée = transformée ainsi tr acée, ça le fait ! on veut tracer de chez tracer à notree tour ............ le treait des données ... ainsi touchées ! porter ! donner ! rapporter ! offrrir à ceiux et celles qui , en vrai, bnous regarda&ient aller, cerner, tracer szur pied, nbos petitesss tresses, Les Données du Verbe éinsi "récoltées". Donner de chez donner ces dites "données vertes" ............. HERBVE DU PASSÉ ......... HERBE EN HERBE ....... VÉRITÉ DES VÉRITÉS ....... CXHARGES D'HERBE EN HERBE ....... SAINTETÉ DE L'HERBE ALLOUÉE À UNE SORTE DE PASSÉ DES ^PASSÉS NACRÉES ....... SALUBRITÉ DES VERTES DONNÉES ...... PORTE A&UX FÉES DONNE SUR LE PASSÉ ON LE SA IT ..........  ON VEUT PASSER EN CE DIT PASSÉ DES TR ACÉS L ACTÉS ET AUTRES PRODUITS LAITIERS ....... ON AIME ! ON AIME ! ON AIME LE LAIT ET SES DÉRIVÉS ! DÉRIVÉS DES PRÉS , DE L'HERBE, DES DONNÉES GENRÉES TOUCTES "REMONTÉES" ET NOUS VOICI DEVENUE BGÉBÉ , BÉBÉ NU, BGÉBÉ VELU ..... CUL NU ......... VU / P)AS VU ON VEUT TÉTER DE CHEZ TÉTER LE BON LAIT DU TRAIT ..... PAS PLUS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! nu de chez nue ! aller foncer, boire cerner, dire allouer, creuser de chez creuser et du coup ...... combler ? toucxher ? donner ? aller vers une sorte d'entité velue (?) téter son néné ! boire de son lait ! tirer ! tirer grave un peu du lait dont elle est dotée à jamais on dirait ! vache de pré ? vache de trait ? vache à lait des la&its ? vgache sacrée ? on veut ............ teter de chez téter à ce bon lait de treille ou comment on pourréit ici désigner pareille coulée d'herbe ? on aime ! on veut creuser . On a envie (grave) de pouvoir toucher toucxher toucxher à ce sein donné par quelque déité la mort trac$versée, enfin dépâssée. Car, la Mort , La mort"haute" , celle après la Porte du Pré Haut, est Mort De bhossee ! mort De Bosse xdes Hauts ou Très-hauts Niveaux de Roche  = le Passé des peaux ! peaux hautes ! hautes peaux de haut niveau de Roche-à-mots ! on mo nte ! on ne cesse en vrai e,nsempble de tracer sur Ambre ! on veut :

dire de chyez dire

creusqer de chez creuser

aller de chez aller

foncer de chez foncer 

percer de chez percer 

 porter de chez piorter

$almler aller a&ller de chez aller aller aller .......... et nous positionner en tant que "Déioité des Déités du Pré" (qui sait ?) qui serait passée, aurait percé, se wsezré&it retrouyvée de l'autree côté de la Côte Pavée à chercher ou rechercher bien entendu Ledit Passé des Données  Nues ! passé de rue ! chants de porches et sons de Roche ! Cloches hautes ! ding et dong aux portesz desq Ombres et autres carillonsz ! On monte haute ! on est fée haute des monts de Roche ! on veut ...... féminiser la Roche, immanquablement intégralement inconsidérement : bain complet ! bain donné d'une sorte de volonté ! on veut en entier tracer sur Néné, sur Néné post-fée, des traits allouées à une sorte de "DIvinité l actée" , complètement elle-même Allouée à du Verbe de tra&it ! chant celte ! porte verte ! On v eut féminuiser le Verbe en toutes ses contrées , completement armé, aéinsi, le verbe, de données d'Elles, de tracés de bêtes-d'herbe, traite$s ici des traits sondés , chants lactés, pportes pousséees, doigts de fée, colle ! colle de peau ! colle haute de peau morte ............. sur paroi de ROche et hop, on monte ! haut des hauts sur Passé Haut ! on est l'Homme ........................... mot de trop ! devenu (nu) FEmme au mot, mot de POrte, mot des hauts des Hauts Niveaucxx = Femme Docte et hop, on  monte ! on ne veut pls être l'homme dit "'du caniveau"n, des moçts de trop et autres tra&its de bas niveau, mais Haute ! haute trotte ! Haute fée Nacrée des Données de Roche, hop ! monter ! creuserr ! creusrr d'un trait le muret de la Roche "des Données du Pré" et du coup travcerser ..... pâsser ..... passrr viçf (vive) en ce P assé des (dites) "Données Dernières" (derrière) = le Passé des Traits, féminiçsés ô grand jamais .......... pour perdurer ........................... aller de chez a ller en ces contrées dees bouts de roche et autres contrées hautes ainsi situées. on monte e,n trombe ! femme ailée ! deux femmes = deux ailes = une fée ezn herbe ! on aime ! on veut ! on colle ! on re-veut ! on re-colle ! on re-aime àdeux ainszi aller tracer de chez tracer le trait alloué à Pareille (ici) Divibnité des DIvinités dont le nom grac-vé est ....... lait ! lait docte ! lait donné ! laéit de fée ou sinon de fée, du pré , car le pré est aux fées et la fée est du pré ! on monte ! on va ! on colle ! on envoi!e ! on charge ! on veut grave sonder ensembvke ici et là ladite paroi des données de france, franche langue ... aux sons  fats ! on entree ! on va ! on cherche ! on veut toucher ensembkle et ainsi remontées les donées du Tremble = du tremblé = du Passé tremblé ou comme "remueé" en tant qu'iul seraitb à devoiur remuer ....... de temps en temps ..... à coups  de nez piqué ! sentiments ! cxhants ! chants donnés ! chants des chant§s donnés en  vréi et autres airs de V2érité . On veut creusere nvra&i lesRochers du pré ........................ et ducoup treaverserr ............. passser de chez passrr ainszi le pré pour mieux se retrouver 

accolée 

aux nénés donnés, donnés à téter ....................... sans traîner ! .on cherche ! on creuse, on veut :

toucher toucher toucxher

dire dire dire

sonder sonder sonder le dire ici nbacré des données dernières, lait de trait, laiit frai

s, lait de traite de bête, lait ancré en terre d'herbe, chant lacté des données "derrière" et autres chants "cachés" (.... susurrés ?) derrière .... le Passé masqué ? on ne sait ! on cherche-creuse à tout jamais le VErbe (l'herbe) Suprême = le Passé en herbe des Données derrière = Passé Du Passé, = points et traits sur Pierre de Terre, Chants Sacrés et autres Musqiques de fée du PAssé de France comme qui dirait, FRance ou autres contrées ... cxhacun   /  chacune la sienne (dotée) qui fait Tracxé ! charge , sein de fée, sein ancré en UN passé Chargé, Sein doté de traits en veuxtu en voilà  à satiété il semblerait et ça le ffeerait , ça ser ait, ça aiderait, ça pousssera&it à donc aller se situer en des contréesz de bouts de roche, Haute POrte et a&utres Entrées Cochères .... Ancrées. ancrées nacrées et voilà le trait : le Passé tracé ! vcerbe ! verbe en herbe ou sorte de verBe en herbe... autoproclamé, qui pour le coup se déploierait sur pied, ainsqi tracé dsans un muret ! On veut :

toucher toucher toucher toucher topucher toucxher toucher topucher toucher toucher touycher touycher toucher toucher toucher toucher au dit Néné ... des Contrées en Herbeb ! le Passé sucré .... est ...................................... lait ! on a de"viné ! lait de trait (traite) effectuée ................ d ans le passé ! tout un poème ! passé vrai ! vrai passé, des données anciennes on a cru rêver mais, en vrai, ....... niet ! on est vraimùent passée de chez passée (la mort donnée) de l'autre côté, soit, après le pré, pré en herbe et bêztes de pré ainsi gravées sur roche altière, après l'herbve .... le passé en herbe ! vieux tracé des données du Verbe ainsi "remonté" en termes de données de Traite = Lait ! Lait Porté ! lait assuré ! Lait des laits des Pis des pis ! laits chargés de sons données ... comme à la volée (à la volette! ) . On vgeut :

dire et donner

porter et donner

coller et donner

sonder et donner 

permettre et donner 

charger et donner

allouer au VErbe les DOnnées de l'herbe 

ainsqi (entre nous : bêtes de trait) broutée de chez broutée sur la terre entière = le Passé en herbe

 ainsi sondé = Vérités = Vérités Ancrées = Vérités des TRaits du Verbe = herbesv ............ multipliées ................. comme données renouvelées .............. réactualisées à jamais .............. en ce cimetière de la Mort actée (pré-éden des trais) à devoir dépasser = passer = traverser ! nous voici  .... NOUS ! NOus = ELLE ! deux ailes = nous , formant fée de Rage = Elle , au passage fou ! on ....................moooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooonte haute !  on vole ! hoooooop ! on monte haute sur paroi des Monts et hop, alluvions ! srtratifications ! roches hautes des passions ! traversons ! creusons ! passons ! alloons ! fonçons ! on esgt Haute Fée du pré, chezrchant Passé à toutes enjambées ! on ne fait pas que passr ! on entre ! on va entre  ! on veut comprtendre = entrer , en ce dit passé des Données Lactées qu'est-ce que c'est . Un néné, rien que ? une sorte de Néné de trait , et rien à côté ? ou alors .................... le néné comme finalité , bout des bouts d'un rocher masqué , genre .......... m arabou ? ..................... ou disons : bout doux  ? o,n monte haute , on veut creuser la roche, travezrser, poussser , aller le plus possible vers du loin teracé, chercher de chez chercdher le terme vrai pouvgant décrire SVP les données vives d'un passé du Vivre ! que dire ? on vibre ! tremblements du vgivre ! on trace grave ensemble sur paroi de base : qui des antilopes qui des antilo ! porte de grotte ! des auroques au trot ! bisons de peaux ! bêtes de roche et autres grosse choses  hautes  / mots. on monte, sur les Hauts des Mots et a&utres hauts de Grotte, .................................................................................... on fonce . On veut toucher toucher toucherle dit Passé des traits et autres Données ain,si Allouées à u ne sorte de Tracé sur pied. qui on est ? 

Des Bébés ! 

 des bébés de trait ? 

 de droôles de bébé sur pied ? On ne sait ! on voudr(&it comprendre-entrendre, aller cerner, voir

r de près, chercher ou rechercher la clé ...... clé haute ........... haut perchée ! va donc à l'arttrapper ! ça monte ! on colle ! on veut grave en v  rai toucher à cedit Néné des 

Contrées Hautes (les plus hautes il paraitrait) mais comment s'y prendre quand on est ... "manches " ? comment tracer ? comment cerner)-tracer ici ou là la Chose à noter .......... pour ne pas l'oublier , pouvoir y retourner,  cerner-chezrcher, dire-pousser, coller-porter, charger de chez charger (dans la sqouffrance ??? ) le Passé en france (le passé d'enfance ?) et autres passés auxw données intenses ................ ? on ne sait ! .............. on veut comprendre mais voilà ............ on est "manche" .................... complètement intégralemùent et continuement ! à en pleuirer ! mal outillée , ma&l fagottée, mal barré, mal situé , mal armé ! ça fait suer ! vivement dimanche qu'on puissee cxhanter ! aller (de base) retrouver l'Antre, le Pässé Ancré, l'Antre des Antres et autres lieu doté de bonne Ambiance Survoltée ou disons Vivante , Ch armante et Ch armée . On veut :

toucher toucher le dit Tracé ... des Données Acxiales = le Passé ! droit devant ! Ancre des données ! ancre ainsi accrochée à u e sorte de .... piquet ? p âté ? point de trait ? ancre ainszi accolée à une sqorte de .... tracé hors pré, hors pavé nacré, hors enceinte ............... verte, . Passé tracé donnzé comme du lait . Passé clair. On veut toucher-téter au dit Passé des Données Lactées ........ téter téterctéter tétyer téter téter téyezr téter téter téter téter téter téter téter téyer tétezr téter téyter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter tyéter téer téter téter téter téter téter téter téter yéter téter téter téter téter yéter téter téter téter téter téterc téter téter téter téter ctéter téter téter téter vtéter tréter téter téter téter téter téter téter téter téter tétezr téter téter téter téter, tétérer = toucher et toucher = téter, téter de chez téter le laitt du Verbe être ; .......... ou de quel autre Verbve il s'agirait ? on aime ! on aime le lait -Verbe et autres tra&its lactés de type fromager , en tant que  ...........................amateurices avides ! vives ! charmées ! aimant Lait de FErme, lait ici Alloué à une Bête d'herbe, Lait Porté ! lait à traire au jugé , à la mamelle, au son du Passé, à l'herbe verte, au pied du tra it , à la volette et au toucher ! verbe ! verbe en herbe des données laitières (lactées ?) du tracé orné par quelqueqsq DS2ités (divinités) situéesc...... derière ? derrière le Trait ? = l'herbe ? trait d'herbe ? On cherche ! on veut toucher de chez toucher à cette sorte de Tracé dit "du Passé" tel qu'on aimerait (de fait) le (re)connaître en ses différents traiots de lumière : herbe ? trait d'herbe ! trait des triats des herbes du pré ... du cimetière récemment quitté ? herbe dessinée commeà main levée ? herbe)-trait ?  ... verge ? verge -trait des données en herbe ? pretite verge = virgulette ? tréit marqué en sainteté ? traiot des tréaits des données premières  ? on veut :

dire et faire, faire et dire

sonder = creiuser, chercher  = fonder , donner = forger ..... dans une sqorte de Passé, les dires du Verbe ! on veut tracer ! on veut cre"user ! on ne veut pas en  v rai lambiner mais grave troucher à (ici) tel ou tel néné des données primùaires = le Passé ancré ............................ enraciné ....................... grave enraciné ............ au plus haut niveau .................  de roche hautte, roche de grotte ........... haute grotte d'époque haute (la plus haute) ....................... ju!squ'au mot des données "force"  = le Pot ! pot des pots ! pot docte de haut niveau ! pot des mots ! pots des ombres et autres traits sur roche !  on monte ! on veut (grave !) ensem$ble cerner (comme à jamais) les données profondes d'une (qui sait ?) entité de Haute Volée qui serait pour nous l'Entité Nacrée, Sacrée, des données de Roche, dons de Porte, Hauts dons des dits "fonds" ou dits "des fonds" ou "des fonds de Carosse" . On   est ensemble une sorte d'ensemble (ici ailé) pouvant tracxer-cerner de'un trait .......... les données de porte .......... et creusqer = dire = poussser = ccharger (de traits) le Dire ainsi Trouvé come à l'arracxhé ........................... et ce dire, le lover ! grave le lover .......... entre deux nénés ............... comme un nez ! .................. et ........ eh bé .................... téter de chyez tétzr  ............... téter grave (concentrée) le néné ! nzéné des nénés ! sans traîner ni désemparer mais y aller , de toute sa volonté, à (pour le coup) téter le lait des laits ainsi donné ! téter = prendre = cfomprendre = parler vrai les données du Ventre ! ventre-antre ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher touycher touycher toucher toucxhezr royucher toycher toucher touycher toucher touchezr roucher toycher au dit néné des données trouvées = téter de chyez téter = dire-poussser, creuser-forger, porter-sonder et du coup ................ aimer ! chelou ! les données du trou ..... oh tout petit trou, par où de fait le lait trouve à passsrr , direction  le menton,  bouche ouverte , lèvres teintes, trou des trous ! on aime ! on veut ! on colle ! on fait des envieux / envieiuses de Roche ! on monte ! on v'"ut ..........................................................................( grave !) en avancer , coller, toucxher, percer, dire ce qui est en ces contrées du bhout du monde = le Passé ! car, le Passé est situé ................ dezvant la Porte ! tracé, ancré, dessiné, Aurocnoïdolïsé de telle soerte que voilà, on se doit ici et là de ......... comment dire ? ................... cxharger le mulet ? charger dee traits ledit mulet des données hautes ? = percer ? prendre ? toucxher -cerner-comprendre - pre ndre = sonder ? on vgeut (en vrai)- aimer de chez aimer ............... comprendre à jamais .......... eh bé, ce ... Passé du Ventre ! l'antre ! l'antre enttre ! l(ombre des ombres denses = un tracé = trait de Ventre = ............................... vérité Ancrée ainsi accolée à une sqorte de ............ Divinité Axiale ? on ne sait ! on croit comprendre-deviner mais que comprendre-deviner en vrai szinon ................ la transe ? un passé ? une sorte de tracé-souffrance ou tracé en szouffrance à j amais "reporté" ? on entre = on passe = o -n creuse = on trace ! on veut toucher ou on voudrait toucher ensmble les né&nés de l'aAntre du .............. passé de fra,nce ? ou disons : du français, français sarde du Passé tracé ainsi remonté ? On est née fée ...... fée du feu de l'ambre des données de france ..................................... fée femme ................... fvemme d'ambre / fée ;  féminisée ? féeminisée ? re-féeminisée ? re-fée - minisée de traits ? herborisée  ? verbalisée ? on veut :

téter = téter = téter = téter = donner = donner = donner = dire = dire = dire = dire = téter = do,nnner = dire = dire = dire = donner = dire = téter = f aire = faire = faire = dire = faire = faire = dire = donner = toucher = faire = toucher = donner = donner = dire = faire = donner = dire = faire = toucher := téter = parler = coller = comprtendre = ... comprte ndre ensemblevb = comprendre (ensemble) les donnéesq = dire ce qui est = cerner , de près, les vrais données données ... de l'herbe , du pré , du tracé des herbes  ainsi rencontrées en ce pré sacré de type :

pré / parade 

parade axiale 

trait des traitsq sur pré =

parade , pointe sarde ! on entre ! on veut cdomprendre ensembvle les donées de l'Arbre, Friuits dotés (de fait) de sucre ajouté ! sqang d'encre ! pa rades franches ! on veut creuser = donner = dire =c  erner = construire = poussser = chyarger = centrer ... le dire sur un trait du vivre = le Pass-é ! hé ! en rire ? on ne sait ! on veut en vcrai aller de chez aller construire -situer lesdites données ici lactées d'un Rire Vrai ! rire de chez Rire, et du coup ... tracer de chez Tracer sans plusq lambvibner ............ vers le Passé La rvé ? l'ombre des traits ? Passé-Traits des traits ? on ne sait ce qui est , on cherche à dénicher les données i ntenses et &utres Transes ainsi déployéeqs ....... au passage cendré ! car, voilà là la chose à bas : le pâtre, le berger, homme traqué, mort ! mort posé ... sur le trait tracé ds'une sqorte de donhée creusée ! et nous ........( fée )............ de monter haut au plus haut niveaéu des portées sacrées ............ lignes des fées ....../././......................................dites "aviaires" ! verbe ! traits (hauts montés) des données dsu  Verbe dit "aviaire" = le Passé ? qyui sait ? on cherche, hors bière, les traits = le Passé Sacré d'une sorte de Contrée du Verbe dont le mot de roche serait ..... pour le coup ................. lA mort ........... mais "remodelée " ou comme "remodelée" en forme de ........ corps ? corps donnéb à un nouveau-né tout emprunté, tout tracé, tout dessiné colmme à main levé sur paroi de roche ..........  un bébé de roche ? sorte de "bébé d'ombvre" ? des donées de l'ombre ? ....... bébé né au tr&cé = à la volée , au pa ssage hors pré .................................................... verts le Passé Lacté du VErbe Cendré ! un passé ! un des nombreux passées des données lactées et &utres données vraies , de type : 

- treaits 

- traits actés 

- traits des traits 

- tra&aits sa-turés de verbe alloué

- trra&its des traits hors pré, hors parade et &utrescparadis des fées 

-traits de charme / tremble / ar$bre de vie

-traits assumés et autres tra&its sur-investis (comme jamais !)

- traits des données 

- trais sur-saturész de donéess ancrées de type "mesures" ... et aussi "démesures". On colle ! o n monte ! on veut grave ensemble essayer de comprtendre tout un ensemble qui pour nous sezrait une szorte de catalogage des donnjées intenses;. On essaie du coup de comprenrev et de comprendre enxemble ;les données du  Ventre, soit de l'Antre (A,ntre Fou) des Données Intenses et autres genres de données "trans-genres". On veut comprendre soit porter de base les données ou pareilles données dites "de france" car voilà, on vient de fr ance et notree proprec langue (en nous inculquée) vient de france , est ainsi ancrée en une sorte de "coin -souffrance" en nous située .... mais ou % ? on ne sait ! on cherche à cerner-touchezr, à toucher-cerner comme qaui dirait, en nous, l'enderoit du prêt ......... m ais ,............... oon cherche ............. on n'est pas arrivée ................. on furette ! .................................. on voudrait toucher ......... atteindre ..../.. trouver ... ledit coin donné, ledit coin aux données ............. mais voilà ............... on ne le voit pas ! pas ça ! on voit pas ! on cv$creuse de la Voix , on porte Voix sur une sorte de Paroi ...................... aux bêtes -tas ! mais voilà .................................................. on ne sait pas ............................................................ cette p aroi : de quoi est-elle l'(antre ? de quoi est-elle en vréai l'e refuge-antre, cavité, passage, anfractuosité pour une sorte d'immixtion ancrée  ........................................................disons = (qui sait ?) oscillons ! allons / revenons ! cherchons ! tatons ! creusons ! essayons (donc) de.................... creuser de chez creuser vers pareil néné des nénés de Roche ! a:llons ! poussons ! traçons ! paqssons pré / bêtes : traéits = herbe ................  vers ......../././.. vezrs en vrai ............................................... du Pässé ............. = le lait , hé hé ! bon lait de trait / traite dorée ! ........................... verbe verbe verbe d'herbe en herbe = immaturité des données allouées, ici, à des traits / tra&ites, ainszi déplisszées / plissées ........../........................ comme autant de traéits sur roche calcaires ! .......................... le passé renaît qui se voit "outré" ! ................................... hors pré, hors enceinte, hors cimetière, hors éden de fée, hors rotondité des données rupestres "à l'ancienne". On v  eut creusrr = dire = sonder = xcha rger = comprendre = pousser = entendre = parler = cha rger = allouer, au vezntre dee l'antre, les données intenses d'une sorte de dennrée de type "lait" = lait-trait ou trait de l&it ...... de pis en gosier (il swezmblaezrait) : voyez ! voyez le trait ! voyez donc le trait de l'antre ainsi pissé ! on dirait du lait ..... mais c'en est , diantre ! c'sst du lait de l'antre , vfentre, ventre-panse, ventredieu ça perle dense et t(ombe à qui mieux-mieux en cette bouche (ouverte en grand) du Bébé de france = bébé, né en france, Albi Ville , des donées blanc$hes . On veut :

comprendre = prendre

dire = vivre 

cxharger = cxhercher 

perdre = donner 

souder = coller 

coller = sonder 

sonder = souder, en vrai, les parois ensemble on dirait .....m : ais comment s'y prendre ? a&u pâ&ssé  ! à l' rracxhe ! au passage ! on entre ! on passe un trait, le pré, par chanxce", on en avancxe ! on creuse le vrai .... comme à la pa rade (nuptiale) des données a llouées à une sorte de prairie ... amie ! on est bêtes de salle, bêtes ensemble, jumelée -accolée, on tire trait ! on ^passe ! on creuse de rage ! bêtesq sages ,b hêtes de roche haute sage s ! on veut :

oui : toucher = toucher-vivre 

oui : aller = al;ler-dire

ce qui est qui est = le dire ..... des données du vivre = passsrr = charger = cxonsacrer au Rire les Donées du Dire = parler ! entrer = vivre le Passé ... comme s'il revenait ............ en tant que Dire ainsi creusésans rire ! ................................... sans rire = sans déconner ! et sans déconner = en  vrai ! sans mentir-vrai ! on vibre ! on active (pour le coup) les données vives, le p ässé nacré, le tr acé du Vivre, les données vives ou dites vives d'un Passé tout alloué auxw dits Nénés emplis de lait : est-ce vrai ? est-ce la Vérité vraie telle qu'imùaginée en d'autres passés ? On veut :

toucher toucher touchezr toucher touchezr touychjezr touycher touycher rtoucher toucher touycher toucher toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher rouycher toycher toucher toucher toucher rtoucxher rtopucher toyucher touycxher toucher toucher = 

téter téter téter téter téter tyéter t&étertéter yétyer téter téter tétyer 

à ce néné des dites contrées aux salubrités / saintetés / cdélébrités Vives ! une de'nrée ! à savoir : le lait ! 

ah le lait

oh le lait

hé le lait 

mi am ! lait des laits dees données acideqs ... ou sucrées-salées ..................... on veut téter . on veut creusrr . on veut grave creusrr. Donner, dire, sondser, charger, passer ainsi d'un pré(muret) à une rive (haute volée) du Rire porté ! et téter, téter lait de rive / tire / rire ! s'e,n (comme) pourlécher les babines ........././......... du bébé avide ................. affamé ............................................................... emporté ............................................... envahi en entier .............. par son envie de lait szucré ................./............................................................. cri des cris armés .......................................................... come devenu cri : tout entier et tout à trac ......................... une envie-cri ........./././/.//././/............................ cri des cris ................................ = le Cr(i ...................................................................................... réclamant du lait ........... lait ! .......... lait !........... lait ! .............. lait ! ............ lait entier ....................... lairt de mère entier ............................. lait de mère allouée ....../...././/...... l&it ! ............. laéit ! ........//./........................... laiot des laits ......................... laaaaaaaaaits des laits de trait .............. tréit de lait hors pré .................................. une somme  ..../................................................. avaler avaler avaler avaler avalerf avaler avalmer avaler avaler avaler avaler avaler avaler avalezr avaler avaler avaler avalezr avaler avaler avaler avaler avaler avalaer la somme , somme de lait, vezrbe nacré, l ait de verbe ainsi avalisé, ancré, inculqué, n acré, cendré, autocentré, autoporté en son néné donné ..................... lait docte dit "de porte haute" ......................... lait chargé de ....... honte ??? honte ..... d'être ...................................................................................................................................................... ?

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5/4/2025

On regarde. On refgarde. On trace. On en avance. On veut grave ensemble comprendre les donnees de base ce qu' elles sont et pour cela on se projette ensemble a la une a la deux en cette sorte ici de continent qui est en vrai cette chose ci-devant soit en face = le passé de l'antre, les données les plus importantes etcetera. On mate parce que voila, ensemble on est là pour ça : comprendre et tooucher , creuser la verité en ses ... profondeurs les plus achevées ! On est deux ailes , on est pavssées, on mate grave, on charge, on veut grave ensemble  comprendre ce qui est ici qui il semble nous fait face : le passé est ...  une sorte de rage ou alors, peut etre, des dobnnnéees dites intenses. On creuse ensemble. On veut toucher ensemble. On est ensemble qui voulons (de base) en avancer et donc  essayer de "trouver- toucher" à ce qui se presente ici, à ce qui est ici qui s e presebnte en tant que tracé qui serait du coup sorte de donneée dite "du bout du monde". On a envie ensemble de tooucher ...  à ce  dit tracé, et du coup d'en avancer en direction ici et là d.une possible verité (dite "vive") concernant la vie / la mort  intenses , les choses d'une la ngue franche et autres donneees de moindre importance . On veut toucher. On veut tracer parce qu.on est aileees et que voila, pour nous, les donneees sont telles que nous, on a envie au mieux , de cerner de fait ce qui apparait et qui semble ou semblerait nous parler mais en vrai ... est - ce que c'est le cas ,, est- ce qu'en vrai ce qu'on voit (devant nos yeux) est une chose qui serait, ici, comme "situeée" et du coup ... qu'on pourrait en vrai toucher de chez toucher ? A dire vrai on ne sait car on est ....... nues ! Nues de çhez nues ! On mate, ok, mais ce qu'on voit est une sorte de nuage dense, parade nuptia , traits de voie, un passage c'rst bien possible mais vers quoi et dans quel but ? On cherche à comprendre ensemble. Notre envie ici est de comprendr ensemble et du coup de toucxher, de toucher a cette qsorte de parade ci-devant qui semblerait nous regarder attentivement et faire ainsi qu.on se (en quelque sorte) presentat ensemble a toi a moi, en cette sorte de xventre ou d'antre ( entre deux parois) pour 

 comme se rapprocher et du coup mieux cerner les parties en presence en cette sorte de combat de charges. On envoiie ! On creuse. On tente le diable. On est alloueees a une sorte dantre ici et la qui nous renvoie ça comme quoi voila on est Ailes de fées . Ôn est deux ailes = ailes , et du coup on peut s'envoler et tracer tracer tracer sans cesser vers eh bé cette sorte de .... qui sait , passé , qui est le passé dit "du bhout du monde" , ce tracé des catacombes  on dirait . On cherche ensemble a peut -être cerner des choses qui en vrai et devant nous ( =  &devant soi;) se presenteraient a toi a moi comme une sorte de .... passé de formes, formes longues , oblongues qui sait, formes d'ove, traits des traits. On cherche à ici 

cerner de chez cerner et à trouver ensemble un certain nombre de données dites de france, car en vrai elles dependent fort de la lanngue ici employeee qui on le sait est le francais de Rom, ce francais de roche : langue morte ,? Langue des données hautes ? On cmonte ! On cherche ensemble a si possible nous porter au plus  haut niveaiu de rocxhe des donneees, des données hautes et là, ens emnble, essayer grave de toucher à ça, cet envoi, ce tracé de soi, cette sorte dEchancrure dans un ... tas de bois, ou quoi ? Une masure ? On entre ', vite fait. On creuse a plaines m Ains la roche tendre car voila on veut ça comprendre, aller, toucher le sein donné , faire ainsi fiesta de ça, le lait, lait sucré bien tempéré. On aime le lait. On est folle du lait . On  adore , on voudrait grave en teter a jamais sans jamais cesser et sen barbouiller (grave !) les pommlettes, les levres, le bout du nez. On aime le lait comme jamais et du coup notre reve a nous est de toujours toujours toujours en vérité tetetrr de chez teter ce lait de mere celte . Tracer = teter. Toucher = dire = donner = vivre. On veut creuser ensemble sans nous arreter en direction de ce néné quiest Néné ... du Dire Frappée ou sinon frappé martelé. On veut toucher = on veut (grave) essayer de tracer, ensemble, ici et la, sur paroi, un  ertain nombre de " ressemblances " avec (il semblerait) des betes de poids = du Passé ou quelque chose qui, en vrai, y ressemblerait, du genre ... tourments ? On cherche. On creuse. On veut cerner de près les données  en v  rai les plus fructueueses si tant est et du coup approcher ensemble ce passé dit de connivence. Tracer = dire les donnéees ... qui pour nous semblent chelous mais en vraion ne sait car on est pas forcément placeees ou situées du bon coté pour fde fait comprendre çe qui est qui semblerait (peut -être) devant nous, vouloir nous attendre , nous capter ou capturer, nous prendre entre ses nénés, qui sait. On cherche à se rapprocher ensemble de ici cette sorte de .... table aux amies .... tables vives ou comment on peut dir, car, on voit', on comprend ici que cette table ...  " eenvoie" grave, en termes d'offrandes vivantes , sanguinolentes. On mate grave et çe quq.on voit (on dirait) est cette chose d'une sorte de ... paroi des Rois et Reines, falbalas de traines diverses, ornementations princieres et autres costumes de choix. On mate tout ca , on regarde cette chos e en soi, rage des rages. On veut comprendre ensemble et toucher ensemble = prendre = cerner- prendre ce qui est qui, devant soi, se presente en termes de parade faste . Betes a voix, corps d'atheletes et autres betes de paroi imberbes, char ges  parfois crades ou sinon crades exuberantes. On entre en cet antre. On est allouéees. On cherche ....... eh bé qui sait ce dit Passé de france dont le nom ou petiyt nom ici est "Le français" en tant qil sagit dune langue traceee , donnée, inculqueee en vrai en ses prpres profon deurs larvéees et aiutres gosiers. On est deux féees toutes redresseeees et on regarde en ce quartier les données qui ici pour nous semblent vouloicr se presenter comme données de bout de roche = du monde, est _ ce que c'est vrai ? Est  ce quen vrai ces donc donnees de roche sont donnee de bout du monde = de la mort sonneéee , ,,? on cherche . On na pas encore en fait trouvee, ici, ce qui est, dune sorte de Passé de roche  hore roche, hors rotonde, hors enclave - cavité de poche ou antre de rage. On cherche ensemble à si possivble comprendre ici (antre) ce qui est la- bas : ventre ? On ne sait pas. On avance ensemble pas a pas et on cherche a comprendre a toi  a moi les données de force,  traits arqués, charges hautes',  tout une sorte de tracé dsur roche ce que c'est, traits des traits pour en vrai traverser et se retrouver qui sait de l'autre coté a grave regarder ce qui se montre = peutettre ....... un etre de traits ....... une sorte de ...... lettre ? Missive doree, lettre amère, lettre de fée ou sinon de fée d'elfe cendreeée. On veut cerner signifie que oui on est là comme accoleee à une sorte de muret des donneees profondes et cest ainsi tout accolees quon monte, quon ose ensembke en vrai monter de chez monter au plus haut niveau des donnees profondes, on est pas gênéees , on ose sans trainer et sans hesiter, on est allouées  a une sorte de tracée de roche dont le nom est Traversée dépoque , on dirait. On monrte = on gravit = on cerne au plus près les choses nacrréees, tout un tas  de tracéees qui sont tracés de fond de grotte. On rst femmes hautes. On monte car on veut cela et pas autre chose . On est deux. On creuse la roche. On veut tracer de chez tracer une chose, et cette chose ici est une sorte de donn éees oblongue genre quoi genre Ove, ove d'or' , ove des rOis et Reines de Saba ou quoi ? Car en vrai, nous voila qui sommes là bel et bien passeéee comme a larraché en ce dit "passé du passé" qui est ce sein donné  sans plus trainer. On veut teter sans nous arreter , boire le lait donné, sq'alimenter de lait sans discontinueret du coup se rassasier = calmer son fait. On aime le lait. Cest vrai que nous, grave on aime lelait et ce depuis une eternité. On a toujours aiméee le lait et aujourd' hui plus que jamais on adore on s'en mettrait en vrai grave jusque là si on pouvait, de ce lait dit " des feees" qui est un lait nacreeé,  salé- sucré, offert frais par, qui sait, une sorte de ... MondeD'Homme De rome ,,,, on ne sait  en v  rai dou ce lait est ! On cherche. On monte. lLait dHomme ? Ça m'etionnerait ! Je vois mal cette chose. On tete du lait qui est du lait de roche et la roche nest pas l'homme, n est pas sucrée, ne pleure pas du lait  ! Le lait nest pas tracé mais est ancré ! Le lait sourd d'une sorte de donnée oblongue et cette sorte de do nnée oblongue (tracée) est une sorte de ..... cavité ........ autre . Antreroyal. Trait des traits. On veut ou on voudrait toucher a cette sorte en soi de cavité royale terminale axiale et pour ce faire tracverser a grandes enjambees a fond la caissse ubn pré, puis le pré passé, une sorte de murette autoportée qui est la murette dernière  dun tracé d e fée. Murettte dite de cimetiere . Passee la murette creuser , en direction d'elle : la bete , sein donné, lait des laits. On aime le lait dernier ...... qui est ....... le lait premier ....... car voila, les donneees profondes sont, à s'y tromper ....... donneees hautesc= anciennes ! Le passé de terre. Une sorte de passé tout embroussaillé peut-etre on dirait, et emberlificoté en ses termes, mais quand mêmeon cerne, on voit d'ici des choses se tramer ou se dessiner et on se dit que oui en vrai les données hautes = donnees force = données treaceées soit deja tracées en dq'autres epoques plus hautes ( on dirait). On 

mOnte ainsi de poche en poche. On veut tracer ensemble une sorte de .... plan des plans .... plan de roche haute. On veut toucher a çe qui est ici qui nous regarde au plus profond des yeux, il semble. Quest  e que çapeut ettree , qui ici en vrai nous regarde ou nous regarderait ? On est allouées  a une sorte de Passeé immense, genre ..... deeeemençe ? Ou sinon démence transe ? On entre ensemble = en transe ? On cherche ensemble a naviguer en cette sorte de passéee immense aux donnéestoutes chargéees, toutes saturéees dune sorte de ..................... romance ?  Romance de faits ? On entre. On essaie ensemble de tracer a main leveee ou comme a main levee un certain nombre de données de base qui seraient pour ainsi dire des données de france = du francais de charge,  passé né sur passé de rage et le tour serait qui sait joué , on passerait. On pourrait ensemble tracer sans trainer ou sourciller les donnéees les plus importantes concernant la charg, ce tracé ancréen cette sorte de passage entre,, entre dun coté le pré = le sentier des donnnées (des donnéees de l'ambre ) et de lAutre, une sorte de Passé- Parade, trait pour trait. On regarde. On cherche, ensemble, à toucher la branche , branche comme dessinée sur Antre alloué a ce dit "Passé des Remontrances" ..... (ou : "des Remontéeees" ?) qui est le Passé Intense, Passé-Frai, Charge Haute et Haute Charge saturéee de termes donnbés. on est née fée en un pré et nous voilà comme toute transforméee en ........... eh bé autre chose = un bébé de porte ! Donneeeée docte. On monte. On veut toucher de chez toucher à cette sorte de donnéee oblongue et pour toucher à cette sorte de donnée oblongue on se dit que, le plus simple est encore de ... passer en force ? ou comment dire, à toi à moi on se serre les coudes, on y va, on envoie du bois, on ne fait pas sa chochote, on monte , on creuse la roche, on trace on file on veut comprendre = tracer = dire et sonder ... ledit néné tout rempli de lait ! On a envie de creuser de chez creuser ledit néné aux données lactéees et pour cela  : fissa , tête premiere en ce tas de bois , charger folle, foncer, donner des cornes , du sabot de roche, tracer de chez tracer en ce Passé des Formes ici allouées à une sorte de ...... donnéee profonde ..... qui est ...... tagadagada .................'.... qui sait ? Sdu lait ? Lait docte ? Lait d'homme ? Lait de femme tracéee ? Lait d'ambre ? Lait des laits de france? Lait-langue ? On veut toucher à cette sorte de Passé Intense dont en vrai le nom on dirait est : franche camarade , néné. néné  - trait. Le néné de tous les nénés. On veut toucher = on veut cerner et pour cela le mieux ici est de se prsenter ailée et ceest ce qu'on fait et sans sourciller' l'air dégagé car voilà, on est la fee des données tracéees , et a ce titre on se dit que oui on peut sans trainer avancer de chez avancer exn ces contreees des donnescdernieres' , hautes donnée des termes. On cherche atracer et pour cela on se serre les coudes = les ailes ........ vers Néné  ! On cherche le Verbe. On veut creuser. On est nées un temps ..... fée, fée ferme, à presennt nous voila comme redevenue d'elle = re - pondu  ! Re- nue ! Un enfant. Un/ une , en  cette sorte de .................................. on dirait ...................... fente allouée à une Sommité Velu e ................................. qui ça pourrait être ? Du ........ Verbe ? Verve velu ? On cherche ! On veut toucher a ce qui est qui se presenterait a nos levres ouvertes , genre .... lait ? Lait d'elfe ? Lait d'herbe ,? on est passeéee et du coup on veut toucher sans lambiner a ce qui est ici de l'autre côté a comme nous regarder de chez regarder comme si en vrai on éteait à terme des sortes de petites betes imberbes, néees laquéees, nées comme satinées sur  herbe ! Traits ! On est néees de fait le mur passé en tant qu'on serait (ici)   Devenue (grave) un bébé chelou ! Tendre ! En ce ventre des envies d'antre ! On est ensemble = colléees . on va ensembkle ainsi collléees . On veut cerner de chez cerner ce ventre des données de france soit du francais. On veut toucher ensemble a cette sorte de donnneee immmense dont le nom en vrai est Intimité et nous de nous avancer', de nous approcher, de chercher à toucher , a l'intérieur (ici) de ce ventre, à une sorte de "denréee des preferences", lait donné' , lait - acidité ou acidifié, lait des rages portées. On est comme consacréees en vrai par une sorte de donnée lactée,, et cette sortede donneee lacteee , donnée en souffrance, est du lait de france = du francais' , langue tendre ..... ou pas tendre mais ainsi ancréee en notre sorte de gouverne antrale , i ntrinsequement lové et du coup accrochée , enracinée ... et va comprendre à  s'en détacher ou à comment s'en detacher ensemble ! On est acculéees . On est comme cernéees et meme traquéees et meme comment dire singéees ? On veut toucher a ce néné du rire ou dit du rire , et pour cela , une seule voie : la chance ! Chance d'ambre ! Le passé est donné à qui veut toucher et croire en sa chance ! On est nnée feee de connivence, nous voici comme renée mais en vrai (cette fois) autrement montéee, car : bébé des bébés on est , qui cherchons du lait . On veut tracer ensemble et aller de chez aller jusqu'a çe néné qui de fait serait comme rempli dun ... lait de france du passé intense = acidulé. Lait / rage. Lait dense. Lait frais. Lait comme tiré dune sorte de ..... panse ( %pensée ? ) offerte en instance ! Trait tiré. On veut comprendre ensemb:le = donner, toucher, creuser, cerner, pousser sans discontinuer les recherxches sur trait de donnée de base ..... genre : vérités ancréees et autres traits passés. On veut (grave) remonter la trace et creuser, creuser de rage, remonter ensemble, creuser creuser de rage ce tracé , et du coup remonter de chez remonter jusquq'au dit "passé du lait" . Quest ce que ca serait , quest ce que ca serait en vrai que ce dit passé ... des traits intenses ou intensifiés à notre arriveee en tant quebébé ? On veut comprendre ensembkle = on veut toucher à ce néné ... des donnéeslacttéees , et du coup téter onsait, on commence à cerner ou sinon cerner deviner ! On est nées bébé le mur passé . On

Cherche ensemble à (essayer de) nous rapprocher dune, peut-être, sorte de passé, qui en soi serait, npour nous, une voie nouvellle, genre voie de roche mais ici  e n dehors de cette sorte de rotonde de la mort donnéee. On veutt toucher a cenéné de poche , teter de chez teter et du coup tracer, ou comme tracer, un trait de clarté. Voie docte = donnee haute. Trait tiré = lait . On connait. On veut toucher du coup à ce néné tout rempli de lait, et s'en barbouiller chelou de lait ou de ce lait dit acidulé. On aime le lait et les produits laitiers, on ne se nourrirait que de lait. On veiut teter car on aime le lait , les données lactéees et autres fromages frais. On est super interessséees par cette chose, de lait donné, de lait tiré ou trait, de donneees lacteees comme s'il en pissait. On adore téter à meme le pis ! On adore téter (grave) le néné du lait la mort archivéee. Car, on se dit ici, que, voila, la mort' ou une fois la mort, une fois la mort comme archivée = donnéee, nous voila là qui , trallala, montons !! Allons !!! Filons ............. pour comme trouver l'ombre dans laquelle on espère ensemble pour le coup pouvoir sans faute téter de chez téter tkout notre saoul et s'en pourlécher (sans gêne) nos levres toutes retrousséees de bébé de ferme. Ou de bébé de terme. on aime le lait = on aime le Verbe. On veut creuser , et pour creuser on veut ensemble traverser la roche, roxche aux féees, finale. Et passer. Passr ensemble accolées, de l'autre coté de l'ambre. Tracer = filer = dire ce qui est en ce dit passé des entrées. Qui on est en vérité ? On ne le sait pas, mais ... on envoie ! On envoiev du bois et au - dela du bois on envoie de ça ........ qui est chose docte = de la voix ! Voix haute d'haute-contre ! On va ! On creuse en soMe. On veut toucher a la paroi des hautes contres. on voit , on creuse. On est là comme e n semble colleees pour  ça, à savoir : tracer, creuser,  dire ce qui est en ces contréees du bout des roches soit du bout des mondes. Autre voie pour un voyage ensemble en ces nuées de l'au-delà comme qui dirait . On est des bébés ! On veut creuser le rocher pour passser. On veut toucher à ce qui est ici qui semble comme nous narguer mais en vrai est-ce que cest vxrai ou bien ... est ce que cest pipeau ?est ce que en vrai les mots, dits "du passé nacré", sont des mots frelatés ou alors non, frais de chez frais ? On est allouuuuuéees ensemble a une sortede recherche intense qui nous voit sans cedse chercher de chez chzr her en mille contréeees ou sinon mille en de ... nombreuses contrées et nombreux coins, un grand nombre de données de roche mais (comme qui dirait) hors roche c'est a dire  hors rotonde cest a dire hors enceinte prairiale .  On veut comprendre les donneees finales, celles la qui de fait serraient comme à nous attendre en dehors des roches, hors paroi de grotte .......... dans lka Voix ? Va comprendreou va à comprendre ! On est hautes, on est hau tes de chez hautes , on ne cedse de monter hautes. On veut  toucher à une sorte de donneee hhaute ...... mais comment toucher quand en vrai on est comme dessinneees et pas vraie  , ... ou alors tout le contraire : on est vraies et pas dessineees ? On veut toucher à ce néné des données hors herbe ......................... qui serait du verbe ! Verbe ce n dré ? On veut creuser, on veut cerner ,on veut en avancer en vrai en cette sorte de Passé des donneees hors herbe , passé qui serait du coup "le Passé aux traits" soit aux traits tiré s = traits des traits et autres traits , des donneeees entieres , intègres, saturéess de Verbe . Lait sucré sans appret. Verbe d'herbe. Verite des verites sur terre ! Si ça se pouvait ........ ça serait ......... l'enfer ? LeNfer né ! Drole de contréee que ça serait en cvrai, si  jama is de fait la vérité pouvait etre ... révélée ! traceee ou graveee sur pré, pierre, mur denceinte !!!! On veut toucher et pour toucher il nous faut en vrai (essayer de) nous approcher de chez approcher dudit néné des aamities ...... des amabilités ......... des données de roche ainsi libelleees. On aime le lait car voila .... on est deux , deux ma foi en soi, qui voulons de chez vouloir , passer entre (trait final;) jusqu'au centre ..... paroissial .......... des données hautes  : hautte porte, haut tracé de grotte, vers le Lait Royal de Reine Sarde . Sarde  sage = savante. WOn entre. On cherche ensemble à toucher la base et a co.prendre les donneees traceeés, ce qui est qui est et qui nous regarde ou nous  regarderait sans plus trainer et parçe qu.on lui plait ou lui plairait. On veut tracer des traits et du coup wRévéler qui sait les donnéesxancreees toutes enracinées en cette contreée des envies de lait. On est des bébés ! On veut creuser  vers en vrai du lait donné de bête de trait ou de ........... mère allouéee ........' à une sorte de Passé des Termes . Verbe ancré, inculqué , rentré, enfoncé en notre petite tête de bébé cendré. Bebe post- mortem. On est le bébé des données toutes acidulées ainsi rencontrees la mort passeeee et depasssée. On aime le lait et on veut teter sans plus trainer sans se gener et sans sourciller ni faire de simagreees. Qui on est ? On est des bebes aimant teter le bon lait de mère et surtaout .........................(sans se démonter) teter de chez teter le .............. Verbe Intègre = mots post-pré, post- cimetière, donnnée d'elfe, de feeee alloueee a une sorte de Passéde Terre. On veut creuser. On veut toucher à çe qui est qui nous regarde ou nous regarderait sans plus de maniere alors meme que nous on aime (en vrai) teter , on ne dit pas "qu.on aime" forcément mais en vrai on aime, on adore le lait  , on adore teter, on voudrait sans cesse teter de chez teter le  lait donné , trait, tiré tout frais du pis de la bête. On aime le pis, la bêt , le trait ( trait de lait), le lait, les données du "Verbe- Lait" et autres donnnnées tirees. On aime teter et se rassasier du bon lait de l'herbe tracéee. Quest ce quon aime ? Le lait ! On aime teter, toucher le néné pour bien l'atttrapper et teter de chez teter sans se genner. On veut creuser et prendrd et comprendre, touxher à ce dit "néné du tendre" et prendre = teter , le lait donné. On veut creuser ensemble et du coup comprendre et porter et chercher- charger et eessayer ensemvvble de tracer de chez tracer les donnees d'enfance = ce passé de france, traits tirés, fentes labiales, un creuset où pouvoir se loger et du coup cerner 

un plus grand nombre de do nnées dites "de la transe et des voyages intenses". On est nnées fée la mort acheveee ou parachevée . On est re - née à une enfance desclartés, des dons de lait, du blanc sucré - salé et autres blancheur lactée. On tète intense en transe le lait frais. Transe et contre- transe ainsi remonteee des contreees intenses. On veut teter de chez teter ..................... le néné des transes et autes nénés ainsi deployés la mort comme archivveee, parachevee, acculée. On est le bébé- transe ! Cacheté ! Lettre adressée. On entre ................................................. encette danse .................. menuet .................. parade animale ............. frai ....................... charge olé olé  des données royales ........... et autres traits ainsi assumées de par les donneees ainsi alloueees a une sortede tracé ainsi tracé ,............................................................................................................................................qui sait ce qui est ? Qui saurait nous donner des "mots de verité" et nous guider sans nous tromper vers une Verite pour le coup lactée de type révéléee ? On est née bébé la mort parachevéee. On veut tracer et en a va n cer sans autre souffrance que celle de tracer sur branche les données intenses dune ... sonorité dite " de france" = un passsé i n tense, voix et traces, vents deface, PETS !!!! Charades ......... on passe. On avance. On cherche ensemble à comme se situer en ce dommaine des donnees premieres et pour cela, de preferenc e, le passé tracée, la charge du passé intense ainsi retrouvé qui nous regarderait de base en tant quenous serions il semble comme retournée a une sorte de mission (ou de fonction) dont le nom de fait serait lié à une sorte de recherche folle elle même lieee a une sorte de Parole, Parole Centreee . Nom de roche . Aurochnodoïté d'époque haute .Mamelon ? On ose . On creuse. On porte. On recherche ardemment à ensemble s'y reconnaittre en cette loge haute des donneesx premieres, données hautes du tracé de Porte, haute porte , haut tracé, vers du ..... lait de roche. On monte (ensemble) les monts de piété, vers Du tracé de Roche à haut degré de Vérité. On veut creuser ledit passé et comme nous y retrouver commme tout tracé et du coup re- née sur ce sentier des donnnées données. On est ..... homme ? Homme haute ? Homme intimideee ? Homme depoque haute ainsi traceee en termes de roche , hautes formes ? On est neees feees hommes, hommes feees, feees hautes = hommes-feees puis hors du pré re le bébé des données accortes. On cherche à toucher à ce niveau de roche haut, soit le plus haut niveau, et là , creuser un caniveau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Pour l'eau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Evacuation des eaux de trop !!!!!!!!!!!!!!)!!!!! = Des eaux mortes !!!!!!!!!!!!!!!!!!! Eaux de roche mortes  !!!!!!!!!!!!!!!!!!! Les ..................................... eaux de porte ? On monte ! On veut en vrai aller de chez aller en cette sorte de contreee profonde ... des donneeees hautes, tres hautes, du Passeé de trait = le lait ......... lait d'époque haute et autres laits de roche cendrée ............................. grave on veut trouver .................................on ne veiut plus lâ cher le neéené mais teter sans cesser .................................. de ce lait du verbe ............. un trait ....... deux traits ..........trois traits ................. quatre traits et le tour est joué on est née bébé hors enceinte !!!!!!!!!!!!!!!!!! Hors pré !!!!!!!!!!!!!!!!!! Loin de l'herbe verte mais proche des termes ainsi alloués à une sorte de Passé  des traines , train tracté, train du Verbe sonné, son de cloche dorée ! On monte. on est comme deux feees des données hautes ainsi promulguées a lApprche des donnees hautes d'une Déité (sorte de Déité) de roche . Qui cest ? On ne sait . On est a lApproche mais, en vrai, on ne sait pas qui c'est, on se demande, on veut comprendre. On voudrait comprendre. On voudrait grave, comprendre de chez comprendre, et creuser de chez creuser, toucher le néné, boire le lait,  s'en gargariser sans plus se soucier de ce qui est ici qui nous regarderait comme de biais parc e que voilaa on serait tout abandonnéeee à la tétée , on ne regarderait en vrai plus qu'a teter de chez teter sans s'inquieter de quoi que ce soit d'autre : que teter ! que cette chose haute !  Que le lait' . Et du coup ........ autocentreeeéee ...............................hibou caillou genou pou ...................... sur unpassé nacré..................................... de type francais ça le fait ...................... langue inculquée ......................................enfonceee ..........engoncee ................................ et nous voila paréee comme pour leternité .....................dune langue sacrreee ou sinon sacree consacrre a une sorte de passage haut , de haut niveau de roche, vers la Chose Haute ....... trame des feees ............ porte  haute ..............................................vie traceee de haute epoque ......un passé de Poche = une virée et nous voila cerneees, cômm e re-donnéees à une sorte de bete de trait .......... vache ( sacreee ?) à lait de roche ? On cveut ..................

,

......................" toucher de chez toucher ... à cedit passé des donneees profondes = hhautes, j'ai nommé ............................................. la Chose, ..................................... Passé - Chose ......................  dun tracé ambré ................................................................................................................On veut grave toucher à ce dit passé des donneees tracees en forme de néné, néné empli de lait , lait sucré - salé de type lait de trait .........................on adore ! On adore le lait. Grave on ne voudrait

 dans la vie que téter, que boire du lait' ,  tellement le lait, pour nous, est ......LA .... Denreee Absolue à devoir siffler,  à jamais ou à tout jamais. Verbe d'herbe et autres  qverbe des donneees de l'herbe .verbe vert . Vertes herbes aux couleurs du Verbe .... ou l'inverse. On aime l'herbe. On aime brouter l'herbe, l'herbe verte d'un pré vert de type ..... éden ....................... port de roche verte, pré des fées et autres contrées aux données vertes et assimilées. On veut toucher à ce dit néné des donneess dernières = derrière . On dirait. Il semblerait. Onaimerait en etre certaines. On aimerait que çe soit le vrai et, du coup, pouvoir tabler sur une vie post -cimetiere, post- pré, qui serait, pour nous,  une aubaine  ,, un havre de paix, une sorte de maison secrète où pouvoir en vrai nous reposer ou nous poser sans se mettre martel en têt, dégageee ou meme completement degagée ,  enfin Elle, traceee sur pieds et nous voila aileee comme à l'arracheee, traceee sur pieds ailee et  nous voila comme .....................envolée .............. à tire d'ailes ........... hors sentier .......... vers les hauts traits des monts de Bosse, une somme . On monte, on veut toucher la roche Haute des monts de Porte et autres porte haute des passages Monstres. Creuser = dire ce qui est. Et nous voi,laaa comme alloueee a une sorte de Paroi des rois / reines lam bdas ou quelque  chose comme ça. On voit et on envoie,. On cherche à comprendre. On est là pour ça. On est ensemble en transe . Ensembkle = deployée, = déplisssee ... en tantque féee des prés ainsi ailée qui saurait du coup traverser (d'un coup d'aile) le muret dit "des fins de pré", et se retrouver toute chambouléee car transformée en veritéen une sorte de ........ bébé chafouin ..............tout chose ...........un peu sonné ............ tout brinquebalé ......... chahuté au passage de porte ...................................Etonné ou né étonné (comme on disait) ................................... tout marbré comme une roche ............ lèvres bleutées ..................... doigts nacrées ...............................bébé docte ...........il sait ................................ il sait des choses  hautes ..................................................mais ne peut en parler et ça fait chier car il saurait (en vrai) nhous en apprendre long , hauttracé sur pieds , des donneees  profondes   hautes ........ ancestralités  de roche haute ............... ça fait suer ................. car .... comme on serait heureuses d'enfin pouvoir de fait cerner de chez cerner toutes ces données qu'un bébé connait .......... jsauqau bout des ongles ! Sureté ................................ il sait ................ bébé sait de fait ce qui est ......................... de la dite mort alloueee à une sorte de '.......... passé montré .......................... hors roche .......... hors rocher .................... hors enceinte donnée et autres panses satureees de verbe-eau des données de force ................................. eaux de roche et rochers d'eau à tous les niveaux ........... On monte hautes. On est haut sur haut niveau de roche haute. On veut toucher àce néné d'époquedont le nom pour nous évoque une sorte de ..... passé tracé aux vies remonteees ou comme remonteéss. On veut toucher de chez toucher à une sorte de ........... montée aux feees ................... un sentier tracé, sur........ du passé comme re-activé le mur du son passé ......... quelle activité ! On en tomberait d'inanité sonore ! Haute portée ! Qui c'est ? Eh bé.................. on ne sait ! On se montre bébé mais on ne sait a quelsaint se fier ................................... en ce sein alloué a une sorte de passage docte , genre ........... traverseee desroches et autres rocs des catacombes. On est née  !!!! On est re - néee !!!!!!!!!! On revient à une sorte de ....... passé de porte post-roche .......... hors de  pré de roche ......... passé comme enfin retrouvé, le pré (de la mort) ainsi dépassé ça le fait ........on le voulait ......... on ne voulaitpas 

rester en ce pré mais tracer et traverser la roche et nous retrouver en quelque sorte ainsi déplaceee pour une sorte de virée seconde de type tétéee , tétée haute, sur tracé et autres traits donnés de type lacté. Qui on est ? Le bébé re-né ............... à une autre époque ainsi dessineeesur paroi de trait. Sarabandes et  bandes , traits nacrés - sacrés, charges mentales du passé en france un temps alloué a u x dites romances et autres petits faits comme retrtacés . On veut creuser, donner, filer, chercher, se déplacer en nombre, et chercher de fait à se replacer en cette sorte de domaine ... des formes ou des formes hautes de type cohorte ............................ ou autres. On monte ................................................. on veut creuser de chez creuser une sorte de porte par où ensemble pouvoir passsr sans ettre en vrai rtrop secouéeesni même blessséess, et du coup traverser de chez traverserr la roche haute, et filer de chez filer  vers une sorte de néné qui est poche de lait ou quelqque chose de cet ordre  : lre Passé lacté enfin retrouvé = Verité allouée à un " produit laitier" de type : Lait non- ecremé, lait entier, lait adulé, lait adoré des bébés  ("qui sait? ) " normalement constitués" ou alors quoi ? Car, nous voilà là qui voulons nous autres, grave de chez grave, téter, teter sans cesser, du bon lait de mere, mere vraie, mere des termes, des données primaires , premieres, pré- mères on ne sait, hors enceinte aux feeees ......... on cherche. On veut trouver alors voila on ne cesse plus de ... grave aller de chez aller ici et là à la recherche de la vérité sur les données de l.au - dela et autres quartiers habités par , peut etre, des etres tout ebouriffés de nous savoir passées ou davoir su pouvoir passer  , d'etre passseees, dAvoir en vrai reussi à passer et à pouvoir teter , téter sans nous arrêter,  le lait de mère. Mère autocentrée sur son drôle de passé de ferme. Merde à mère. On veut .............  creuser ledit passé sans se bleesser ou etre blessée mais tout le contraire . Aller, fair, dire, cerner, pousssrr, connaitre, retracer de tete les donnes i n ternes a une sorte de passé ancré de type ................. lait ! On ne sait jamais ! On croit pouvoir trouver et toucher à une vérité des termes, mais en vrai ........ ce n'est pas vrai ! On se fait blouser ! On est vite faites soit baiséees de près ça fait suer , meme chier. Ça fout la merde. Ça nous emmerde. Ça nous fait bisquer et meme bisquer de chez bisquer quaNd on voudrait juste tracer vers une vérité tracée qui soit pour nous comme assurréee et dignes detre de fait adopteee ou alloueee ou meme adoubee et ducoup aimee ou comme aimmé. On veut toucher a ce dit néné des finalités hors cimetière : quest ce que c.est ? A qui appartient'il ? Qui sait à qui se sein donné est ? Que penser du lait ? Que penser en vrai de l'herbe et du pré des données de roche ,, genre .......... traits de poche ........... pré docte ...................................................... ? On est née bébé , la mort dépassée. Bébé = re- né ......... hors du pré .......................... sur néné des termes . On veut toucher de c hez toucher à une sorte de donnée des données de l'herbe et du coup tracer = faire= dire en vrai ce qui nous embête  ou nous embettereait hors ou en dehors du cimetière tel que presénté a nos obseques. On cherche ............................................................. on ne veut pas passer a côté des verités dites intrinsèques mais au contraire cerner , cerner grave çe qui est en ce territojire des données genrées de type post- *morteme et autres post- tracé aux feees. Qui on est ? .....elles ! Dans la mort , fille ou garcon, on devient ...... elles , elles- montón, elles d'ailes, ailes / elles, on vogue. On va la bas. On entre. On creuse. On veut voir du paysage, on se balade,, on croit en soi, en sa bonne étoile sage. On est en soi une sorte d'étoile ou sinon d'étoile de lueur intense (notoire). On entre. On cherche acomprendre ensemble les données profondes. Creuser = dire ce qui est. On veut toucher à une sorte de contrée des finalités dont le nom est ou serait ... le nom des traits, ailes de papillons, ailes de feee, chapeau- melon petit patapon ..................,... dont le nom, pour le coup , serait : Ducon ? Dupont ? ... Cendrillon ? Spigolon ? On cherche sans cesse ! On a envie ensemble de trouver-toucher de rage les données de base et du coup   ( en vrai) de ............................ des c endre en cendres ..........  vers le pied  de l'antre ............................. ou autre cavité ........................ on ne sait .............................................................. on veut ou on voudrait toucher à ce néné de contrebande ainsi dessiné la mort une fois passée. Quest ce que cest que ce néné ? Eh bé .... un néné dit ......... du passé  il semblerait. Néné né la mort passée. On veut le téter . Téter = être. Téter = dire. Téter = faire. Téter  = charger et du coup aimer, sonner, sonder, creuser de chez creuser le Verbe saturé de germes et autres grai n es de données de roche ...... post-roche. Un aller simple et nous voila armée ! On peut pistonner. On peut aller vers icelui néné des données de ferme, ferme sanctifiée, ferme à lait  de ferme ainsi édifiée ( la ferme) pour l'eternité. On est ...................... colere ! Toute remonteee ! On veut :

Teter teter teter teter et ne plus nous arreter en fait de teter de ce lait de terre, lait de trait, lait de ter-.... de tré- ........ de tré- né .......... de terre ferme, lait -trait, laitdes traits des données dingues. Chargé . Chargé de Verbe comme autoporté en ses données vertes . On veut toucher à ce néné du verbe salué, et comme saturé de lait à tout jamais il semblerait. On aime. Grave on aime. Grave de chez cggrave on aime le lait , on en redemande : donnez- nous du lait de france , pitié ! Donneez, dooonneez nous en vrai ! On veut téter de ce francais de contrebande et nous en rassasier ... sans plus de manière .................... car on aime ! On veut teter teter teter sans trainer le lait', lait de mere naturelle ..... ou pas, que nourriciere on s'en fiche en vrai puisque nous ce quon veut par dessus tout cest de ce lait du bout ! Bout doux ! Bout des bouts du trou ! Lait des ombres ainsi donné en bout de porte ! On monte = on ose . On est hautes et doctes. On veuttouxher toucher toucher à cette chose des trancheées de roche et du coup tracer , filer grave sans reculer v  ers ce "néné de france" .................................................... frai ...... frai de rage ......................... frai nacré de france ................un passé comme remonté dans la "souffreance" d'une sorte de dicteee intense .......................... psychanlayse des trembles ,,,,............................des 4 memnbres .......................... à satieté ............................ = le passé des membress et autres traits des traits sur roche d'ambre ....................... clarté ............................... une clarté intense ................... qui serait comme remontée pour ainsi dire dans la souffrance ou l'endurance d'une vérité ainsi tracé sur paroi de base ............ grottifiée ................. et nous voilà colmme remonteee ou toute remonteee de cette sorte de souffrance intense de type diarrhee, logorhhé, verbe alloué a une sorte de parade d es donnees ancreees dans une sorte de passé de france ou du francais ..... francais langue sale ........ langue heureusement sale  salopée on voulait on entre .......... on voulait comprendre on voulait cerner on avait en vrai  méga envie de (pour le coup) vcerner - toucher à une verité des données intenses telles que developpéesx en ces contrées de bout de roche ici gravée , et nous de nous

 emberlificoeter en ces dites "données derage" , et desssayer ainsi (emberlificottéees) de comprendr dans le detail (des données de près) les raisons desperer , d'espérer pouvoir, un de ces quatres toucher du doigt les raisons de base, lrs  tracés ici ainsi desssinées ou decoupés sur fond de roche ainsi enterréee. On veut cerner ces dites

 "contrées post-mortem": que sont- elles ? Qui le sait ? Qui connait sur le sujet la verité à quoi se fier ,? Qui pour nous aider ? On cherche ! On a pas encore trouvé et cependant on ne renonce pas , on pousse encore sur paroi de roche la Parole Docte, le tracé nacré, en cohorte, bêtes sur pieds, bisonnées des feees et autres betes " accortes" . On cherche un trait (deux ?) pour unesorte dimmixtion en roche ........... une infiltration en quelque sorte ........................................................................ incrustation .................... passage de porte on monte on creuse on file on ne veut pas lacher le lest mais ghrave filer se faufiler tracer entrer creuser se donner et poussser de chez poussser vers une sorte de ........ néné empli de lait sucré on en rêvait ! On rêvait de lait ! Eh bé voila, cest fait, on est allaitté .....falait juste y passse ´r, passer et trépasser et du coup tracer . Tracer vers ce néné des données dernières post muret = post- cimetière on y est, on monte. Montons. On ose . Osons. Creusons ensemble à fond jusqu'au dit Mamelon d'epoque Haute , sein collé à une sorte de donnée profond  

E de type .......... onde ? Monde ? Monde qui gronde ,,,,,,,,,?,,,, on monte = on cherche = on dit, et ce qu'on dit est en vrai (serait ? ) d'une importance folle, car ............ le passé (la mort passsée) gronde, renacle grave, il trepigne de rage ! Montons  ! Montons haute et allons creusons filons cernons cherchons à , ensemble, comprendre, un certain nom b re de raisons intenses, les données de base,  c e qui est en ces contreees des rages et autres ires du passé. Qui on etsv ? L.arbre ?un tracé ? Une charge des feees ? L'ombre sur le pont ? Une merde sans nom ? Ah peut -etre ..........peut- etre une merde ! Va comptendre ! Va chercher ici a comprendre. On veutnous toucherde près, toucher en vrai, et du coup  c erner, mais .......................... car ily a un mais. On entre = on passe = on cherche = on dit, et ce qu'on dit est (en derniere instance) du dit vrai du fait que voila , l'arme de latranse est arme de base, trace des traces. on entre, on passe, on envoie, on cherche un trait ici et là sur quoi pouvoir sans hésiter tabler et du coup s'appuyer. Trait de rage intense = cri ? Christ étonné ? Dé-genré oh ça se pourrait ! Car, la vérité du pré, nest pas la vérité post- pré ..... loin s'en faut. Un homme est un homme au tro t ; au galop le voilà fait ombre et ........ bientot tombe ! On monte . On creuse, on charge. On pousse. On veut grave comprendre, aller, charger, cerner, dire et toucher à ce néné dit "des données intenses" de type " souffrance en france"................. et autres joyeusetés , on sait. On est pas neees de la derniere transe , on connait lafrance , disons : le francais, langue des traits , des données romanes et autres données greco-cendréees. On veut toucher toucher à ce quii est ici ( le temple) qui nous regarderait ou chercherait à (qui sait ?) peut-ettre en fait comme nous mater et de la tete aux pieds qui plus est ......... quand on est juste.ment méga- mal atifée ou sappée ça fait caguer ! Justement là ! ........, comme un fait exprès ,..... pas de chance .......... on est' envoutée .......... on est piegéee ? On veut en vrai cerner de chez cerner ce mal des prés et le pourquoi de fait on entre ainsi en ce passé ... des donnnés intenses comme ressassées . On veut toucher à ce néné des trembl es ! A qui il est ? A qui donc est ce néné des trembles ? Qui le sait , qui comprend les identités ? Les permanences ? Les clartés ? La vérité des vérités?on entre ....... on est la fée des données de france ,........ = du francais de branche =  remontées (de clarté en souffrance) ................ jusqu'aux dits nénés ainsi alloués à une sorte de tétée donnée ............................ par amabilité . On entre , on creuse, on passe, on cherche à comprendrcensemble les donneees de s trembles, ce qu.il en est de fait de ces donneees toutes plus denses (intenses) les unes que les autres, il semblzerait. On aime tracer, on veut creuser. On cherche à toucher à ce dit "Nene des Trembles"  ............. questce que cest que ce néné des trembles ? De quoi il s'agit ou s'agirait en vrai ? Charge - née ? Croisade ? Trait des traits ? Fentes allouees a un corps de rage ? Le passé dit remonté est il passé sale ? On voudrait cerner ! Grave cerner-toucher à ce dit néné "aux données intenses" dites " du passseé sale" maois est-ce que cest vrai ? Le passé estil sale ...... ou bien plutot ... sage ?  Ou même ..................... sarde ? Passé sarde et nous voila armée informée formée à une sorte de .............................. parade, tracé, cavalcade ancré, contrebande des données pesantes et autres charges ccertifiées antrales. On veut toucher de chez toucher le ventre des données de base......et filer de chez filer sans plus de formes autres que celles ici ainsi deployyées ou montreeées en termes de :

- amabiliteé

- cordialité 

Et autres formes civilisées de sociabilités. On veut creuser creuser creuser et du coup trouver trouver trouver. Et du coup poasser ! Traverser lesd ites données et cerner de plus près, de l'autre coté, les choses du front ! Ce qui est ! De quoi en vrai il en retourne ou retournerait le mur du son ( muret dit "des finaliteés") passé soit dépassé , car , on le voit, le passé tel que mentio nnné est peut -etre plus que du passé ou plus que du passé-montòn...... peut etre, aussi ....... sorte de ...... m.amelon .......... mamelon des monts ou dit "des monts", dont en vrai .... on ne saurait rien ! ou rien de plus que ce que pour le coup on pourrait en savoir soit en voir ................... = ..................................................................................................................................................... quelques traits ....................................................... un tracé ...................................................................... une (sorte de) tracé à main leveee .........................rondeurs des traits et autres galbes de fait ............................... sein donné acoeurouvert ......................................... saintetÉ  .................... des traits saturées .... et autres traits de  sainteté .... comme à découvert ............. traits de lait = flèches .............................. le passé en flèche ou en "flèche de lait" ......................................... un  drole de passé de roche ...................'........... post roche .......................... passé - ombre ............ lait perlé ............. lait donné ........ lait de trait ............ lait tiré ..................  lait donné à la volée ou comme tel et nous voilà ainsi nourrie de sortes de paroles doctes, voix d'en bas, chants des roches, tralala des données hautes et autres traits d'époque : poids.

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31/3/2025

on a envie en vrai ensemble de méga méga comprendre ce qui donc ici se passe devant soi = la base = les données = ce qui est qui en vrai est là qui peut-être on pourrait le croire nous regarde grave nous mate de rage ne nous lâche pas et nous (du coup) on voit on voit ça les choses en face la paroi les drôles de bêtes-voix et autres romances en veux-tu en voilà on est là on est comme deux ailes en soi qui (on dirait) veulent s'envoler et hop monter de chgez monter on veut comprendre et on veut tracer gravir la "roche des fées" et du coup monter de chez monter au plus haut des monts et regarder voir ce qui est comprendre un tant soit peu les données données cerner = toucher et toucher = cerner aller en ce quartier des "données profondes" hors rotonde soit  au-delà de là de la paroi-monstre  voir là-bas "les choses du monde" qu'est-ce que ça serait ... peut-être du ... lait ? d u ... lait de rOche ? on ne sait ce qui est on veut toucher on veut passer un pied ou même les deux pieds ou même la têtr et mater de chez mater eh bé peut-êttre ... lezs nénés ? qui se présenteraient "à la fenêtre" qui sait ? qui sait ce qui est qui connaît les traits les bases le passé la chance les tourments de rage et autres inconcvénients notoires on ne sait on trace on en avance on veut grave comprendre et pour grave comprendre le mieux on le sait c'est encore de fait de passer en ce dit passé des "données profondes " = le trait 

trait du fond fond de roche roche aux mots de poche et autres chansons on monte hou la 

on monte haut haut de chez haut on gravit les échelons on veut toucher le haut du haut tracer de chez tracer en avancer en ce quartier des (donc) données profondes telles que en vrai on voudrait mieux les approcher ou mieux les aborder les approcher de près afin de les cernerdans ce qu'elles ontr pour ainsi dire de plus vrai qui pour le coup les soutiendrait qui les constituraient 

que sont ces données ? que sont ces mots de traits ? que sont donc ces nénés au Lait sinon quoi une source chaude ! un envoi de bosse ! chants lactés à travers les ronces ! une pa!se ! une pause ! traiyts d'union entre la roche ici (feu de la passion) et là-bas les Choses du FRont ! ronds de bosse et autres alluvions de type Chansons ! on monte ! on veut de chez vouloir toucher à ce qui est qui ici apparaît alors même qu'en vrai on voit ça

 quye la Voie est là

 devant soi 

qui sembleréit vouloir que nous fassions le pas et traversions à la une à la deux encore une fois (?) la paroi des Rois Reines des Bois on dira Le Trait  La Rage-née La voie est tracée qui de fait nous admet ! passons fonçons creusons allons

 faisons donc le saut de l'oie 

et voyons-y voir au plus bas la trace des pas de Celle qui envoie ! de Celui ou  Celle qui ici devant soi semble vouloir nous voir et nous admettre à s es côtés en tant que .... bébé ! bébé des traits ! bébé né la paroi traversée soit l'ultime pa(oi des données de base on dira la Base lA paroi des Voix et autres chants "sardes " (?) on y va on fonce on court on s'envole on va on ne veut pas cesszer d'aller mais tout le contr&ire traverser de chez traverser filer à l'anglaise gratter le muret et à travers le trait passer ! passer têgte ! tête indemne ! filer d'un  coup d'aile et hop on est comme qui dirait "de l'autre côté" c'est-)-dire que à tire d'aile on est pour ainsi dire en vrai passé de chez passées ensemble côté Belle = Le passé ! la Haine ? on ne sait ! la Chaîne ? on veuttoucher toucher toucher à ce qui est ici situé aux antipôdes d'une /

Aux zantipodes d'un teracé quui serait de traîne mais tout le contraire : le Passé hors pré ! le passé de verrbe ! une denrée' = le Passé acté comme une sorte de denrée à ingurgiter et on serait pour ainsi dire un tant soit peu comblée un temps donné on veut toucher et .... une fois ce passé (le néné) touché soit tété alors on peut se reposer ... "à la droite du père" ? à la tienne Étienne ! on cherche ! on creuse on va on veut aller on veut cerner on a envie deça : aller cerner et du coup trouver en ce quartier hors pré les données réelles une sorte de tracé du Verbe un chant celte ? ou sinon celte s arde ? ou szinon s arde .....franc ? de la france de branche ? on trace ! on veut comprendre et pour comprtendre il est nécéessaire il semblerait de bien trouver à se positionner en cette chose ici du Verbe non-alambiqué et une fois placée tracer cxh arger creuser graver dessiner le BVErbe des Nénés à lait = donner en ce passé kles accents de l'herbe Une chose verte Un drôle de tracé en herbe = un Néné ! néné d'Elfe on peut rêver ! on trace des traits on tète on veut du lait on veut grave téter de cghez téter le bon lait de l'êttre de l'ÊTRE ou de l'Elfe ou de l'Ëtre-elfe squi en vrai se prése,nterait dès que le mur du son (?) serait passé ou bel et bien passé une fois le pré (la prairie) traversée on serait armée on serait passée et on regarderait à bien atreapper le néné de l'elfe afin de téter sans discontinuer le bon l ait du Verbe et autres produits laitiers comme s'il en pleuvait et ça serait du Verbe ! verbe d'herbe verte !chants coton ! chants de Terre et autres "chansons du front" ! on veut coller à ce néné "du verbe" ou dit "du verbe" et en vréi téter téter téter sans jamais lâcher sans s'arrêtter le nez au balcon ! on veut creuser de chez creuser "à l'unisson" puisque voilà on est les ailes du papillon ailes belles ailes de rêve ! on veut coller = téter =boire du lait sans jamais cesseer et s'en pourlécgher de rage nos babines de fée qui serait la fée du Passé "montón" ... olé ! on est ..................................... passée ! on a traversé le Riubicon on veut coller collercoller à ce néné des monts et jam&is plus nous arrêter d'aller en ce tracé des monts de Roche 

Haut les pieds ! haut le menton ! haut la Roche et ses mamelosns ! on aime le front ! on est Love ! Love à fond ! Amour de Bosse ! rons des ronds petit patapon ! on monte ! on veut grave de chez grave aller et du coup cerner = entourer .... le néné de lm'ombre ! On veut : 

creuser de chez creuser

dire de chez dire

aller de cghez aller

construiore une sorte de case à ensemble habiter en ce quartier des données tracées j'ai nommé le Pont ! haute Roche des données "commodes" on veut être et avoir été ou pliutôt : avoir été (peut-être) et à nouveau être ou disons ecxister en tant qu'on serait en vrai ..... des elfes ou disons des fées fées d'herbe ou fée en herbe post-tracé post)-dessins au trait bêtes d'herbe ? hop au panier et on serait sans elle passée 

de l'autre côté côté Lait et autres Vrais DEnrées aux vertus Profondes et avérées Lait des Laits post-cimetière on a envie (grave !) d'en téter sans se lamenter téter de chez téter et s'en gargariser sans faire de manières ! on aime ! on est LOVE TERRE ENTOÈRE chant de la terre chants du front on aime on est Amour de Rêve On tète la Mère et ses seins de  bosse ! haute roche ! montds des fonds ! creusons ! allon ds filons sachons en, vrai nous approcxher sans faire de simagrées de ce néné au bon laiot de roche et autres laits des laits donnés on veut téter tétyer téter de ce bon laiot de Roche et autres Laits des Laiots du Pont ! on monte ! hop ! on ose ! on est née Fée sur preé et nous voici toute transformée en ce bébé dit "des nénés" car il tète son lait ! lait d'octe lait tracé lait tiré lait des traiots du monde alloué à une sorte de Passé Montón qu'est-ce que ça swerait ? on cherche ! on veut cerner sans s' arrêtrer les données du Verbe VErbve-treait = Naccré = donné le muret e,nfin passé ou une fois passé et làsoit en ce tas ou en cette voie aller toucher dire porter cerner les données "prégna,ntes" : ce qui est qui est

ce qui nous regarde

ce qui sembke ou wsemblerait de fait vouloir nous mater sans discontyinuer de la tête aux pieds j'ai nommé le .................................................................................................................................... tempsq ? ou sinon le TEmps le VEnt ? ou sinon le VEnt le Taon ? ................ ou sinon le TAon le  Pet§it Connu ... qui pue du Cul ? OU sinon qui qui nous regarderait et chezrcherait sans faute à nous ..... eh bé grave reluquer pour nous intimider et nous faéire trébucher ou bafouiller ou nouys sentir gênée ou nous faire faire des pas manqués ! On cherche ! on veut toucher de chez toucxher à ici ce dit "verbe aux données données" qsuii serait (en vrai) ... verbe de fée ? qui sait ! on est passée on mate grave on veut comprendre on  ne veut plyuds s'arrêtrer de comprendree ou cher cher à comprendre mais tracer tracer de chez teacer et essayer "ensembkle" (on est les ailes ouvertes) de tracer de chez tracer kles tréits de base d'une ... vérité (ou sorte de) de sorte que voilà , on seréit là de rage à tenter le diable à chercher grave à toucher le Néné et à boire à 

boire boire boire 

Lait Lait Laoit 

des Données de base à savoir / un Passé  -tracé ! la Rage au P assé ! une trace ici mentionnée et le tour serait sinon joué déjà bien avancé comme qui dirait et nous serionsq dès lors enfin considérées comme faisant partie des ëztres ...  d'Excetpion tu parles ! zéro mention ! on est de la base : simple troufions troufionnes de la classe basse des morpions bêtes de salle alluvions maussades chancres sales on rampe on avance de rage le nez dans le guidon on ne fait pas partie des Hautes Stratesz on est des pions pions du front on trace oui mais seulement des ronds ! on est "sages" on  estFée de base sur pré du pont et nbous voilà qui nous présentons ou présenterions au Passé sdes Traces ! ding dong ! on est ... L'aile du Mouron ! on veut passer à tire d'a&ile ! on veut tracer  vers l'Elfe (le néné) pour juste lo'attrapper et grave le téter comme qui dirait on veut du lait de bonne composition soit de bonne résolution soit lait -mention et du coup une fois passée une fois qu'on swerait enfin passée "ensemble" de l'autre côté et qu'on aurait asseez t(éteé alors quoi ? on se reposerait ! on s'assoupirait quelques instants on fezrait un petit somme on essaierait subséquemment de se reytrouver ou de se recentrer ou de se recr(oqueviller pour enfin trouver en soi même (fée) de quoi satisfaire son besoin ancré de ................................. cl arté ? on ne sqait on cherche on trace on va on creuse on essaie des choses ici et là on s'abvance on  veut toucher à cette sorte de Passé de Copntrebande : un Néné ? une sorte de Néné rempli de lait qui serait de fait le Néné de l'Antre Antre post-muret post-fi,nalités post fin de pré post -paradis vrai ! on creuse = on donne = on veut = on cause = on avance à qui mieux-mieux en dehors des /

en dehors des traces Herbe à voeux Herbe Verte dites "des Envieux Envieuses de peu" ! on veut ! on veut mon neveu ! grave on veut ! on veut : toucher de chez toucher à ce n2né post-cimetière et retrouver du coup ..... eh bé oui ........ le Verbe ! VErbe "vieux" aux données de roche Vieux tracé de Cloche ! haute porte et aiutres accès tous illimités qui nous szerraient de fait accordés du fait que voilà on monte on ose o,n vole on s'envole on est l'elfe de porte Fée de ROche haute on =monte on creuse on traverse et ....... on se transfor(me  Hulahup Barbatruc ... en sorte de .... bébé De poche ! bébé né pour en vrai téter à c  e néné ainsi dessiné la mort dépassée ! téter = dfonner = faire = comprendre =cxhercher = dire et allouer au verbe une sqorte de denrée de type "herbe" "herbe cdes prés" Le passé est le passé ; la châine du verbe est-elle la Haine ? on voudrait cerner on voudrait grabve enfin comprendre les dsonnées de base ce que c'est ce que ça pourrait bien être en ces contrées de bout de Terre qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est que ces nénés dont on nous "rebat lesb oreilles" ? on chercheb! on est pas aarrivées ! on a encore pas mal de xhemin à faire jusqu'au ... passé on le sait on veut toucxher on veut en avancer on ne veut pas rester à quaiui la bouche ouverte à bayer aux corneilles on veut grave tracer creuser et cerner "ensemble" les donnhées du Verbe = le Néné = Le lait ! lait cde mère ! mère imberbe ! cherche donc la tienne ! va tracer ! creuse de c hez creuse à mêùme la pierre une sorte de "tracé de bière" un Pässé qui de fait serait Passé des Terres allouées à une sorte de Tracdé du Verbe ! une montée ! mont de Piété ! on cherche à connaîtte toucher de chez toucher cerner de près être faire dire rire creuser porter aller cerner de chez cerner une sorte de Passé qui serait "de Verbe" (on dirait) , soit : 

de la Terre Entière

Cha,nt des Fonds

Ponts et patapons !

une somme de VErbe CElte ! celte ? celte ou Céleste ! on cherche ! on veut toucher touycher topucxher à ce dit "Néné" 

des tracés de roche hors Pré (hors ponton) et du coup ....... mater de près = de très près 

les Données du Verbe 

du Verbe en Herbe = le Passé de trait = LAIT L AIT LAIT LAIT LAIT L AIT LAIT LAIT À FOISON

À TIRE -L ARIGTOT HOP ON ABSORBE ON TÈTE GRAVE ON S'EN FOUT PLEIN LA  PANSE ON "MANGE" O N BOIT ON VEUT ÇA 

on est là pour ça ! on trace on tète on veut toucgher dee chez toucher ... le Verbe il xemblerait ! à savoir : la bête ! le treacé tracé Bête de Tête et autress Bétes des prés j'ai nommé l'a Bête dees Données Célestesc : Sommité

 Somme et Sommité une sqorte de Grossièreté ici décochée qui ferait trembler eh bé la Terre Entière te"llement c'est .... laid ? lait ? bête ? bête et laid comme une sorte de Bête à Passé ? ou comment ou qu'est-ce ? On veut toucher ! on ne veut pas s'arr^$eter on veut tracer on veut continuer on ne veut pas jamais s'arrêtter ma&is en  vrai on veut gr ave toujouours toujours continuer cde chez contuinuer ceytte sorte cd'avancée en ces quartiers de fond de VErbe = le Passé de Traiîne chants gravés Bêtes Célestes vSommité des Sommités rupestres on aime on veut toucher on veut caressszer caresser la bête la bête cendrée et lui dire "je t'aime" "bête cendrée :  jtm ! " je te veux ambrée je veux (je voudrais) te toucher en vréi j'aimerrais  être grave

 l'être qui pour toi serait peut-êtrte une sqorte de voix ! j'avance ! je en  vrai avance ici squr paroi dans le sens des Voix telles qu'ezlles se présentent = j'envoie ! j'envoie du bois ! je veux comprendre = je regarde = je dis = je cherche = j('essaie grave de c  erner les bases d'une sorte en soi de véerité "sage" et pour cela : la Chaine ! chaine verte ! chaîhe du VErbe ! on envoie ! on trace on veut comprezndre on v'ut touvccxher dire et c erner colloer coller coller au néné et du coup téter téter de chez téter le bon lait de l'elfe ... à jamais : p)assé re-né se voit dès lors commev "consacré" par ... du Verbe ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher à cette sorte de donnée en herbe dont le nom est Verbe mais en  vrai .............. c'est Lait ! l'ait de Trait ! Nom de Roche osée ! on veut toucgher = téter et piour téter on a grave bvesoin de passer ... à traversz la Roche des Données de Bossee ! hors quartier du pré ! hors le Rond" (la rotonde) hors enceinte des fées ! le pré passé on veut creuser = toucher à ce qui est (au-delà de là) hors paroi = hors du ..... moi ? on entre ! entrons entre ! chezrchons ! creusons de base les données "immernses" celles qu'on voit qiu'on devione là qi seraienjt comme à "ensemblme" nous attendre : tas ! tas de bois ? on entre on cherche à comprendre on veut ça de chez ça

et du coup

on veut toucgher à c  e néné qui ici se présente à nous et le téter en vrai sans plus traîner l'attrap^per le pincer et tirer le lait parce que voilà : on est des bébés on est bébés nés la mort pasdsée on voulait durer en dehors du p)ré on dira que c'est ok que en vrai on est toujours touyjours comme alloué à une sorte de vitalité (en soi) continue = vie rêvée ? vie hors pré = vie passée = vie présente ou p)résentifiée du fait qu'on sans cesse (?) renâiot de l'herbe = du Verbe ou du Verbe ezn herbe on ne seesse de reznaître eh bé le Mur Passé Mur des Fonds de Roche = Hors Prison ! on mùonte on coche on veut de chyez vouloir aller au plus du plus profons qu'on de fait pourrait cerner et toucxher toucher troucher toucher à ce qui est qui ici nous admet ou admetrrait en t ant que "bébé sacghant téter le lait" lait dee l'elfe nacrée de mère autoportée mère hors pré = mère hors des tracés sur herbe couchée par le vent des fées ! on aime on aime le lait on aiùme téter téter de chez téter le ..... verbe"-lait de mère allouée à une sorte de donnée primùéire = Trait ! trait tracéb à même la Pierre Une sorte de ... Dessin Animé (on dirait) ou disons de ..... Bête Agitée ! bête des prés ? on cherche en tant qu'ailée (qu'on est ailée) ce qui est en ce qu artier des données dernières .... dernières et aussi premières puyisque voilà la chose est là qui semblezrait cde fait revenir à soi c'ezsst-àdire renaître reveniçr en vrai revenir sur terre comme Sommité ou sinon Sommité ............ colère ? groosse Colère ? on ne sait ce squi,est de fait et du coup on se met à grave chezrcher ce qui pourrait être qui wserait à nous m ater il wemblerait tandis q!'on serait à ./.... gratter la terre ? essayer de traverserr le Tertre Le Passé hor pré ? la terre Primaiore ? un passé de bière ? cimetière ? on cherche o,n veut trouver on veut cerner on a envie enwsembe de cerner = toucher = comptrendre = dire = saturer de dires les données du ventre = coller charger toucher toucher toucxher à ce qui est qui en vrai wsezrait "de la bande et du jarret" ! ventre -en  cendre ? on entre ! on veut comprendre = on veuut cerner = on veut toucher de chrez toucher au nventre alloué à une sorte dee naissance de tracés ! on est née sur pied en ce pré aux fées la mort donnée mais voilà

au delà

il y a ça : la Rage Le passé des TRaits Lait hors gages ! hors rangs de base ! on entre ! on entre en cet antre des dons de lait et nous voilà armée pour bien attrampper le Néné bdonné (pointé) qui est plein de loait Lait d'ambre Lait tracxé L ait de face Lait des Laiots pour bien s'alimnenter afin de durer à jamais soit dans la durée De la TErre au Ciel sur Passé porté ! port des traits ! un creuset ! sommité allouée au Passé tel que nous on en, vcoulait en vrai au plus profond  ! On est née ! née bébé au pluqs profond ! on est passeée on veut creuser on est le Bébé né qui cherche à attreapper le bout pointu du mamelon ddodu ! hop ! on tète ! on tète le verbe ! lait de tra it = Verbe donné ! on veut pas on ne veut pas on veuut pas traîner on ne veut pas en aucune façon s'arrêteerr on veut téter le mamelon le sein rond le Passé du Front on est szur le pont ! on  veut téter gtéter gtéter téter(  téter téter téter de ce lait de tr ait et s'en gargariser à profusion car voilà on est celle du front qui aime qui grave aime ici téter le sein donné en ce post -pré qui est l'endroit rêvé pour en vrai téter sans s'arrêter ni sourciller ni se gêner ni craindre quoi que ça puisse être qui swerait à nous contrza arier ou à grave nous enquiquiner pendant que nous on est à notre affaire une aff aire de lait lait d'elfe à bien avaler hop dans le gosier Lait des Laits on aime on dit qu'on aime et en plus c'est vrai ça pourrait ne pas l'êttre eh bé non ! c''st ! on aime le lait ce bon lait de mère lait de trait-verbe verbe de lait ou laiot de v erbe on aime ! on aime téter et s'en gargariser sans s'embêter car on est celle (aile) qui en v  rai sait (elle) ce qui est en vrai la mort passée à savoir ............. du lait !!!!!!!!!!!!!!!!!!! lait de verbe !!!!!!i!i!!!!!!!!!!!!!!  verbe-trait !!!!!!!!!!!!u!u!!!!!! trait des traits dont le nom en vrai est : 

HERBE ? HERBE CVERTE ? HERVBE -VERBE ? ON CHERCHEB ! on veut toucher-creuser dire et donner cerner le néné afin de pouvoiren vrai s'en emparer sans merdouiller car on veut téter en vrai de chez téter sans se louper sans traîner sans se faire engueuler ou je ne sais ce qui pourra&it êttre qui de fait ici nous arriverait mais voilà on est prête on est toute bien installée en dehors du pré pour bien attr apper ledit bout "de lait" ou "bout dee trait " ou "bout de néné" à devoir téter puisque c''st ici le je u à jouer ou jeu à devoir relever ou comment dire ce que c'est qui nous pendrait au nez ! néné ? on veut ! on vcreuse on creuse en creux ! on veut de chez vouloir aklller ... au plus creux des creux ! on veut tracer toucher aller &ller du feu de dieu jusqu'au néné ainszi alloué à une tracversqée des données dernières = le Passé en herbe Le passé de trait qui est ou szrait de fait ce passé sur terre déjà calcuklé ! on aime on aime le l ait la Bête le vPasdsé est ici donné (redonné) comme une sorte de denrée à devoir avaler pour de fait renâitree à une sorte de "vie rêvée" qui serait(sur terre) vie Donnée des Données données = Verbe Verbe Verbe tracé Consacré alloué à u,ne sorte de vDenrée"superbe" j'ai nommé : le Lait ! laiot de mèère olé ! le passé de mère est du paxssé de lait tel que tiré de près la mort dépassée  on vfeut toucher dire et donner 

et commê saturer de mots le champ des oisea&ux préau creux des peaux charges au trot pont de caniveau on saute on abborde on veut creuser de front le trou de l'ombre et (ensemble allouée ou collée) comprendre = cerner = entourer = dessiner = graver la Sorte de Romance des Données Immenses Sommité de france (?) ou d' autres contrées on s'en bal ance l'important (e,n v  rai) c'est d'aimer aimer tracer cerner entourer ce sein de léit de toutes notre confiance ou disons d'e ndurance ou comment ? dxe dires "intenses" et autres transes et tour'ments ! danse ! chants ... de franche embrassades ! symposium au passage ! on entre ! on veut comp)rendre = toucher = dire = cerner =allouer à un Rire les données du Ventre ! sentiments tout exacerbés de souffrance-franche ! sainteté ! trait des traits et autres "enculades" au passé ! ça fait chier ! tracer = dire = faiore :=cchezrcher = szoumettre = traverser de près lrzes données du Verbe si ça se pourrait m&is il wemblerait en vrai que oui ça puisse ! ça puisse passer et se retrouver en vr&i de l'autre côté côté "franche p arade" Vérité des Vérités Lait marbré Traits tracés à main levée p ar une femme un homme des fées femme Donnée Homme Collé Homme donné Fe"mme Collée on dirait des fées Fées de L"herbe Allouée à une sqorte ezn vrai xde Sommité des Sommités dont le Nom sezrait ............................... Vezrbe ............... ...............  verbe e"n herb e ............  V er b e d'herbe ................. verbe et herbe au taquet ! sang jeté ! colère ! ire des fées ! fées des terres é&insi sacrées par (qui s ait ?) un être qui serait ....../. eh bé oui de VErbe ! genre : TRAIT ! trait des traits hors cimetière hors pré hors éde,n tracé hors enceinte aux données données de ttype  Herbe Fleurs Coupées Bêtes des prés On v  eut creuser = toucher = dire = comprendre = c  erner = cxhercher = allouer à une sorte de denrée les vertus de l'hydre ! vfa chercher ! cherche à c  erner ! cerne les do nnées si tant est et va pour toucher toucher de chez toucher à ce néné de l'hydre = vie ! vie tentée ! on cerne on veut coller on est née sur pré fée puis on se voit toute transformée ou come toute transformée (chrhysalide et papillon) en une sorte de .... bébé ... au mamelon montón ! le nez collé ! le menton les lèvres retroussés ! coussinet de téteé ! on veiut avaler avaler sans discontinuer le bon lait du front = lait de trait = trait de lait = trait tracé = lait tiré au jugé = vrai de vrai lait des laits comme s'il en pissait et en vrai c''sst ! il nous pisse (ou pissserra&it) du lait giclé ! lait tracé  ! lait porté ! lait alloué à u,ne sorte de néné des données profondes hors jardinnetnhors pré des prés ... lait des ombres .... ou des clartés hautes ! on monte' ! on veurt en vrai toucher de chez toucher à ces données profondes un tantinet et jamaéis de chez jamais ne plus cesser dee donc attrapper ledit néné rempli de lait comme denrée des fées ou sinon d"des fées" dee l"hydre accolée à une sorte dedonnée dite "du rire" "rire des tranchées" "des e,nvies de trait" ! on rit nous mêmes à gorge déployée ! on est 

fée de pré puis bébé-né le mur passé ! on veut toucher toucher t(opucher toucher toucher toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher à ce néné du Dire alloué qui sezrait ... des vVivres ! ou comment dire ? De"nrées ? denrées vives ? vraies denrées du Dire ? on vibre on vit on va on charge on avance grave en cette sorte de  pampa d"un dire "étrange" ça envoie ça engrange ça dit ça : la transe transe de paroi  ça balance grave en françois de taille et autres langues de paroi On charge en branches Sarments de bois Pots de cxhasse ! traces ! voix ! traces de vvoix ! On passe on veut comp)rendre = dire= fairev= charger = consacrer = pousser = aller = porter = convaindxcre = allouer à une sorte de denrée du genre lait une sqorte de donnée intense genre ... cendre ? cendreb accolée à une sorte de souffrance ici cernée ? On entre ! on cherche ensemble ! ailes de fée on veut creuser toucher cerner percer entrer  consacrer porter  faire ainsi que nous voilà 

qui pourrions donner à une sqoprte de denrée (du genre le lait) mots du passé ! creuser ......................................................?.?.?.?...????????????................?.?.?.????.???????.............................................................................................................................. creuser de chez creuser ledit passé de france comme qui dirait ........................... un passé français = du français ....................................... français en balance = saturé = donné = creusé = dit = sommé = p^porté = chargé = dit ! dit et monté sur une sqorte de tracé "des entrées franches" = un Passé Tr acé ! don de lait ! amabilité de surface ! fausseté ! don doné comme à main levé et ça le fera&it pour imprseeinioner un tant qsoit peu tout un auditoire un peu influençable ! ........................... comme qui dirait ! ............................................................................................................... on donne le change ! ........................... on fait de notree mieux question parade catafalque cavalcade et autres traces franches sur paroi de ronde haute ! on enttre on creuse on voiçt on charge on dessine grave des bêtes de charge genre ... Bises ! bises et rires ! charges basses ! on entre on veut comprendre toucher passer tracer cerner aller porter et ne plus jamais de chez jamais nous retourner sur ce qui est ici qui se'mblzrait vouloir nous retenir en tant que fée du pré quand on cvoudraiit (nousz) toucxher de chez toucher = téter le néné le néné du Vivre pour ainsi dire = Néné né le mur passé : le mur du fond ! téter xd'un trait ! téter sans traîner ni s'a&rrêter le lait non -écrémé d'une sqorte de Néné Sacré Néné né la mort passée néné né la mort dépassée passée

 assez tracée ! on veut :

dire de chez dire

creusqer de chez creusqer 

porter de chez porter 

poussser de chez pousser

aller de chez aller 

percer de chez percer

cerner de chez cerner

 allouer de chez allouer à un  dire une sorte de "densité" qui fassee de lui une sorte de Donnée Ancrée à tout j,amais dans un Tréacé dont le nom pour de vrai sezr(ait .................... hydre ? ....../............ Hydre ou bien ... Ivre ? Ivre  vivre ou Vivre Ivre  ??? ................ ou bien Vivres ? On envoie ! on voit on creuse on cherche on trace on veut comprendre on veut en vrai s avoir 

on veut en vrai sabvoir on ve"ut comp)rendre on veut

 grave aller loin en cettte chose d'un savoir profond qui pour nous de fait pourrait nous aider à nous y retrouver ivci ou là en ces dits "quartierzs de l'au-delà" szoit : des dernières coudées 

car on veut toucher on veut creuser on veut toucher à ce néné du lait donné et a ller pour en vrai téter de chez téter sans jamais cesser = s'empiffrer ou comment diire ? s'en remplir la panse ! s'en remplir de rage (base) la panse ! téter très ! téter de chez téter le Lait de france = le françaiis ? verbe acidulé ? verbe donné = inculqueé en sa jeune enfance ? on veut toucher ensemble à ce dit néné des données de france = du français et du coup vcerner en ce  français de france les données de transe données données pour une sorte de re c hezrche intense à devoir retracer creuser porter charger et retranscrire en termes de ... rires et autres joyeusetés téleéportées sur écran de traits parois ampples murets et autres murs des fées ainsi consacrées on veut creuser= on veut tracer = on veut aimer = on a envie de nous porter nous-mêmes jusqu'au plus lointain des contrées loi ntaines poszt-mortenm ......... et toucher toucher toycher toycher toucher toucher toyucher vtoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchervtoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher touchrer roucher toucher toucher toucher goucherr toucher toucher roucher toucher toycher toucher toucher toucher toucher toucherc ytoucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toycher toucher toucyer toucher vtoucher toycher toucher touycher toucher toucher toucxher toucher touycher toucher toucher toucher toycher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toycher toycher touycher toucher toucher touycher toycher toycher toucher toucherb toucher toucher toucxher rouycher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher touycxher touycxher toycxher toucher toucher touycher toyucher touycher touycher toucher toucher touycher touycxher vtoycher yoycher toycher topucher tpycher touycher toycher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher tpucher toucher toycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tocxher toucxher toucher toucher toucher toucher toycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher vtoucxher toucherv toucher toucherv toucher toycher toucher toucher toycher toucher toycher toucher toycxher toucher toucher toycher toutcher toucher touycher toycxherv topyucher toycher toucher touycher toucher toycher touycher toycher touycher toucher toycher toucher toucherv topycher toycxner toucher touycher toycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toycher toucher toycher toucxher toycher touycher toycher toucher topuycher toycher toycherc toucher tpuycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toycher toycher toycher toucher toucher toucher toucher toucher touyche tpucher à ce dit néné des platesbandes et autres traits tracés à main levée hors pré hors franches promenades hors fourrés et autres prairies allouées à une sorte de "parade animales ancestrale" on veut creuser on cveut chercher ensemble un n certain nombre deb donnéescde base et ces données toutescles rassembler pour essayer de mieux ensemble nous y retrouver en termes de données à devoir szoupeser etb du coup essayer de cerner dans ce qu'elles ont en elles de plus affirmé en termes de vérités vérités ancrées et autres solidités en termes de termes on v eut toucxher = on veut cerner de près ce qu'il, en est de ces "nénés post-cimetière" : est-ce que la chose est vr(aie ? est-ce que la chosev est avérée ? soit )eut ^être de fait à pouvoir ensemble ici adouber ? est-ce mots fiables auxquels pouvoir ici ensemble s'accrocher ? peut-on les ente,ndre sans sourciller ? le néné post)-pré est-il vrai ? est-il avéré et consacré ? ^)eut-on croire en un néné rempli de lait qui searaitb en  vrai à nousq attendre (pour ainsi dire) après la mort ou (disons) : ap&^rès après la mort ..............car voilà, a&près la mort il y a le pré et après lze pré alors il y aurait ce fameux N2né "des Données Franches et autres Vérités en Souffrance" Mais en  vrai est-ce que c'est ainsi que c'rst dans "la vie la vraie" telle que dessinée ou gravée sur rOche ? on ne sait pas on cherche ici et là on essa&ie ensemble de poussser loa chose en ses profonduerrs les plus hautes c''st-à-dire les plus basses onn regarde on m ate on regarde un p)eu partout aut§our de soi on essaie de bien comprendre les données frontales des parois soit les bêtes de poids et autres forces "bestiales " ou "animales" qui sont là comme en contrebande ou par contrebandee sur paroi des voix " à comme nous "a&ttendre" etcetera et nous d'y croire ou dsdisons de penser à ça comme quoi la Chose (la voie ) est immlense et peut en vrai ensemble nous happer nous avaler nous coopter sans peine et nous "jeter" sans vrai ou réel p^roblème en ici ce pré qui est le pré qu'ellee serait à même de nous présenter ! et nous le pré on aime car voilà on aime sauter gambader courir à perdre haleine chahuter etcetera sans gêne et du coup aller de fait en tant que "fée nouvelle" jusqu'au fond du pré côté muret côté fin (dxernière) des herbes et là creuser ou disons essayer de creuser un tantinet la pierre afin de traverser ou pouvoir tr averser ledit muret du cimetière afin de tracer = passer = traverser et nous retrouver dee l'Autre côté coté mère côté lait côté lait cde mère et donc néné néné né le muret traversé (une fois traversé) grave ça le ferait et nous d'en r^ver ! mais en  vrai peut-être ! qui sait ? qui sait ce qui est le pré une fois traversé les bêtes quittées l'herbe laissée derrière ? on cherche on veut trouver on a envie en vrai ensemble de trouver le plus possible de dopnnées qui pourraienht en vrai nous être grandement utiles pour ensemble (fées des fées ?) nous y retrpouver et dsu coup;comptendre ce qui est en cette langue (le français) comme soub assements intégréexs qui pourraient vraiment nous aider à cerner le pouerquoi du comment la mort est ancrée est comme portée ou autoportée par un idiome donné qui du coup sert ou servirait ... dx'agent de ch antier ! d'estafette allouée etc,à une sorte de ?./..... voix ???? voix haute ? haute ou basse on ne sait mais .... voix de l'au-delà qui serait celle d'une qsorte de ....... trait ... tr acé à main levée ? voix de trait ??? ou alors : voix de ... Roi /Reine accolées  Reine-Roi ... du qu artier des Voix ? on cherche grave ensembvle les données de base ! on ne lâche pas la grappe ! on e",nvoie du bois en toute connaisqsance ou pleine connaissance ici de ça : roche et voix voix de rocxhe haute

 voix haute de roche de là roche-voix de paroi hautec etcetera etcetr ara etcetera on est là pour ça la Cause lA Paroi des Voix est Paroi des Reines et Rois de l'au-delà à savoir ... des Charmes (armes de base) et autres engvvois dits "de rage-base" sur champ de gloire ! on veut ça : entrer haut en ce Passé des mots et là comprtendre ensemble toi et moi le sens de la ma rche où on va qui on voit où on trac"e  ! on veutr comprendre ensemble ici et là à toi à moi de cfonnivence les données de rage = celles-là qui en  vrai nousq tanent sur paroi depuis ... belle lurette et même au-delà ! charges 

 charges mentales traits trait de lait porte porte haute sang sang donné nom nom porté cri cri poussé on en redemande on ne veut pas (cezrtes pas) lâcher le trait mais tout le contraire persisqter tracer &u plus près les données du VErbe soit du Verbe "aimer" comme qui dir&éit en tant qu'il,s'agirait du terme consacré bpour signifier le travaiul du Verbbe , des données genrées et autrsdx données vertes du Passé

 On veut creuser = on veut aller toucher cerner passerr comprendre ensemble toutes ensembvle = NOUS ce que est ce Nous et aussi la Roche Le Passé de POcxhe

 Hau!te époque Panse en transe on danse on moçnte on creuse on charge on veut toucher de chez t(oucher le centre en transe d'une sqorte de ..... eh bé ...... quelque chose en souffrance ............... une szorte de Perte immense ? on entre ! on cherche ensemb le les motsz de la bande le tracé tracé la bête de salle bouquetine et bouqietin cendrées saluées aimées chyargées dssinées on trace on veut toucher de chez toucher à une qsorte de don,ée de panse qui serait : bb ! bb docte ! the bb des donhées hautes un bébé de trait ! chants de porte ! on ose : aller pleurer toucher 

aimer ledit tracé 

des données de porte on est nées bébé sur paroi de roche Forme Haute = bisonne ? qui s&it ? on veut creusqer sans reculer ce qui dès lors ... sze monttre ou montrrzrait  ....... en termes de roche gravée ! On veut toucxher troucher toucxher toucher à ce di néné d'époque haute = le Passé Le p assé des nénés des nénés au lait : une enfance insérée traits des traots chereté des données des données acquises : un trait est un trait qui nous rend conquise ou (comment dire ?) vives ? on veut en vrai allerr de chez aller comme à la retombéeà la rencontre de la b^)ete ailée = l'Être des contrées en herbe : Bisonnourse douce ici postée ? on aime les traits de pa&reille bête elle nous plaît on veut la connaître est-elle être  vrai ou simple tracé ? On chercghe à mieux cerner les faits soit c  e qui est ce qui se pointe les données rupestres les gravures consacrées et autres nomenclatures dessinées On veut grave aimezr coller cxhercher allouer à un passé l'herbe du pré en tant que Verbe nouvellement né ...  ou alors tracer ? dire et tracer ce qui sezrait en vrai la mort une fois dépassée ? on veut cerner la mort ce qu'elle est en vrai ! qui sait la mort en vrai ce qu'elle est ? qui connaît son ....... être ? verbe ? qui connéaît son ......./v  erbe ? être ? on veut toucher à ce néné post-herbe mais voilà pour cela ma foi le mieux 

c'est de ...................... swe transformer à qui mieux mieux en sqorte de Bébé Affreux ? on ne sait ! on guette ! on cherche à être celle qui en vrai comp)rendrait de fait les données (rupestres) et saurait cxoment faire pour sans se démonter ni se cassr le bout du nez passer = passer (à lea une à la cdeux) ensemble(mi-deux) du côté face ! côté creux de rage ! façade ! boite à oeuf ! on entre ! on veut comprendre = dire =c  erner = chercher ce qui peut-être serait quyiiswemblerait vfouloir en vrai qyui sait nous attendre les bras  croisés ! on cxharge = on chante = on vfa , on est deux pour ça on nhe veut pas lâcher la branche mais poursuivre instamment szans faute notrec "promenade du dimanche" et du coup pousser pousserr dee base (rage) ensemble (en ces contrées de bout de roche) au plus loin possible afin de oui 

mirer 

mirer de chez mirer ! mira ! mira esta ! aller de chez aller creuser ensembkle 

les données franches donéess sages (savantes) dx'un tracé de france = en français langue sarde (?) et du coup poussszr pousssr grave vers ce dit "néné des bases" pour allezr téterou chercher le lait lait de rage lait donné contre un attelage .... on dirait mais en vrai qui sait ? qui comprend les charges le tracé nacré x ou x parade et autrsenvolées notoires ? on est née fée en pré et le mur traversé on se retrouve ...... bébé ! prête à téter du lait lait-verbe de rage cri outré trait des traits ainsi relevés on en avance on veut co:mprendre les don,ées de france = du français ce que donc la langue (ici le français) colpoerte en termes de données de rage traits actés vérités

 des vérités d'antre chants traqués et autresq chansonettrzsx étranges : qui on est qu'est-ce qu'on fait qui on veut toucxher qu'ewst-ce que c'esrt que cette sorte de "parade animale" sur p aroi de base et autres interropgations de surface on cherche à cerner(consacrer de base) les dsonnées de france = d'une langue 

en particulier mais le p artuiculier ici est (quasi ?) sa ans importance ce qui compte c'r'st l;'allié l'allié à la langue = la souffrance = le passé tracé la charge mentale endurée l'inculquement (inculquation ?) des données de r ge en son propre corps de passage ! on entre ezn transe ici d ans la langue ... non édulcorée (?) et du coup ............................ on trace ! on dessine l'ange ! on veut percer per er pêr er per cer la base (de rage) des donés debase ! tracer = dire = faire = porter = chercher =comprendre "les données intenses" = le frai la Chose la balance des faits le passé haut l'entrée sur pied on fonce on veut :

dire et donner

perdre et soulever

chercher de chez chercgher le fait vrai

creuser de chyez creuser les données "hideuses" ou cfomme "hisdeuses" si tant est

tracer = cxonsacrer à une fée (fée de pré) une sqorte d'attention profonde

on veut aller = dire = faire = cxhercher = consacrer = sacrer = caguer = posster = marier le Verbe a ux don nées en herbe d'une sqorte de contrée dont le nom serait :

EDEN

hé hé on peut rêver on peut se pencher et toucher un tantinet la bête aux nénés vache laitière on aime car la bête est belle belle bête aux nénés au lait soit remplis de bon lait d'herbe ou disons enrichis ! et bnous : on aime ! l'herbe)-verbe le tracé nacré l ait des léits de ferme et a utres fromages de tête on veut creuser creuser creuser de près le muret des termes et .............?.?............. passer .... vite passer (ensemble = ailes) côté post-pré = le néné ! le néné atitré à une qsorte dee contrée hors cimetière qu'est- ce que ça peut être ? une szorte de maisonnée ? le passé en tant que "maisonnée des termes" ? thermes ???????.?.  therr(mes post -pré quyi nous accueillerait en tant que telles = fées de fait transformées à tire d'ailes en sorte de Bébé de plaine ? bébé né la mort passée ? re- le bébé des traits = une drôle de ...... semaille ? charge calme ? pont des ronds ? colle haute et hop ! on monte on est née on est née bébé sachant de façon innée téter le lait le lait de sa mère du coup nourricière on aime ontète l'elfe on veut coller = tracer et du coup chercher de chez chercher le bout du bout du sein donné comme à l'arraché on aime on ne traîne pas on trace là la voie romaine des paroix aux Voix et autres bêtes surnuméraires : on envoie on y va on veut ça on v  eut comprendre = saturer de base = charger = poussser = dire sa pe,nsée et se positionner ainsi en ce dire post-pré qui est le dire .... du bébé nacré ! petits pieds ! vent fraixs ! on veut creuser creuser creuser à toutes enja$mbées les données ancrées et duccoup remonter (il se pourrait) un certain nioombre de vérités qui seraient vcérités du bout du monde des données proffondes inespérées

 à jamais espérées ! on veut creuser creuser creuser hors rotonde les données lactées : ce laiit mais ce lait qu'est)ce que c'est  qu'est-ce que c'eset que ce l it que ce lait de trait  qu'est-ce que c'est en vrai que ce doux lait de trait en termes de donnée de roche ? qu'en pensqer ? que penser du lzait poszt-pré tel que trouvé en vrai en tant que fée devenue bébé le jhour venu ? On monte on monte haute on creuse on creuse haute et haut les mots du trot on veut coller à c  e qui est ou qui serait là à se présenter en termes de r4oi-Reine de p a roi : force ! force de roche ! on veut coller = dire = toucxher = cerner = prendreprendre ce qui est et s'en contenter en termes de vér(ités actives natives engendrées on veut creuser la rive et toucher dès lors à une vérité qyi serait vérité des tréacéés vifs et autres traits en luminosité qui sait qui connaît qui conn&ît (dans le détail) les traits du Vivre ? qaui connaît le Vivre et les vivres apposés ? qui connaît la Rive le SEntier = Voie d'Accès hors Pré vers un Passé "autoporté" par on dirait une sorte de denrée dont le nom de fait est LAIT LAIT DOCTE LAIT DE ROCHE PETIT LAIT DE "ROCHE AUX FÉES" on veut toucher = comprendre x et x "véérités en chambre" genre : le passé remonté est du passé de branle et autres danses sur palier ! on ejntre on trace on creuse on va on file on cherche on commande on chercheb à comptrendre ensemble le passé des antres et autres ventres sous-loués qui on est à qui on ressemble quels sont nos traits de connivence qui nous connaît ou reconnaitrait qui nous verrait de face et saurait nous repérer disqtinguer étiquetter comme peut-être la marchyande / le m archand des traits et autres signes de reconnaissance on entre ensemble = tracées par une sorte de pic de percée dont le nom serait : transe ! transe de fée ... sur muret de rage ! et nous voilà comme toute requinqué et ravigotée du fait que oui le Verbe est rené qui jamais ne cesse ou comment dire ? continuité ... xd'un verbe ce"ndré ? poursuite active d'un tracé rupestre de type Verbatim ... amarré ? on veut :

dire-sonder creuqser-filer charger-porter donner-centrer pousssr-allouer à un dire une sorte de donnée du Rire ou de donné-Rire Rire Vrai comme  szoulevé-décoché ....... du Passé ? On veut en vrai creusrr toucxher passrr aller porter pousser co:mprendre consacrer entendre soulever sanctifier et se loger en cette sorte de contrée "finale" : un corset ! sein de femme ? on veut coller-téter téter-coller boire du lait s'en mettre une bonne lampée ou jeter (s'en jeter) ! et du coup ........................... raviver .......................... nos traits ..................................... de roche gravée ! traits traits traits teaits traits de roche rude ! on vfeut :

dire et creuser son  fait

chanter et monter sur pieds

coller sans alacrité`

porter dee chez porter le Verbe sacré sur Passé de Bure et ... y aller ! foncer tr acer ne pluqs s'arrêter filer à toute alure en ces régions vues comme contrées nues ou szinon nues ...................... crues ? .......................................................................................................... toucher touycxher touycher toucher à) ce nébné de rue ! et du coup sans faute téter Lait ! lait des laits des dsonnées dernières ! le passépremière ! le passé armé ! le passé d'elfe ! une denrée serait allouée à une sorte de Passé Dezrrière = lait ! le lait (ou bon lait) des terres dernières ! on veut l'aimer eh bé on l'aime pas de problè m es ! on est le bébé de l'herbe ! on aime téter on adore le lait on veut que téter et roupiller si jamais et pour nous pour ainqsi dire c'est ok : est-ce que c'est ça qui est ? est-ce qu'en vrai on peut de fait 

dire ça que la vie serait après le pré ? est--vce que en vrai on peut dire que voilà : la rive = la voie = le chemin du trait = trait au lait donné ? on veut ..................................................................................... mùieux ............................................/ le mieux ............?.?.??..?.?............................................................ = 

............................................................................................................................................ un p)eu beaucoup de ce lait ouf ! ...........................................ouf de chez ouf ............................................................................ en téter de chez téter sans frein ......................................./ un brin ! ............................................................................................................. teter téter de chez téter ....... le lait frais .................... du néné en herbe ainsi présenté la mort dépassé e .../.....................?.??.?.????????????????....................... on aime on aime le lait on aime grave on aime grave le lait   on l'adore on veut téter sans cesse on ne veut que téter sans cesse le bon lait d'herbe = verbe ! verbe attitré à une sorte de  denrée lactée comme ... du lait et en vrai c'est ! c'est en vrai du lait lait de "mère ancienne" = néandertalienne des do,nnées premières on a&ime on veut que ! on ne veut que ! que téter de fait le bon lait de l'être des contrées premières néandertaliennes ! lait le mieux ! on aime on veut (grave) ensemble :

aller et toucher

dire et sonner

coller et vivre

charger et poussser

comprendre de prsès les dsonnées activesz (toujours actives) ce qu'elles véhiculent en termes de données ancrées = inculquées = insérées = enfobnncées et aussi : comment faire en v  rai pour cerner le Verbe ce qu'il est de fait en termes de données  liées à une (sorte de) ........ Déité VRaie dont le nom serait : "l'Herbe" ou "L'Herbe Verte" ................. on cherche on n('a pas trouvé on est envcore 

sans doute loin de pouvoir le faire on est pas arrivées on a p as mal de chemin à faire on avance à notre pas on est toujpours là on ose on pousse on regarde on voit on charge on veut cerner la vo!ie la voie de passage ou du passage de convfoi on veut comp)rendre ... et tendre versq ça ........Llà-bas ............ cxharge d'ange ? une parade ? re ? re -p arade auxw feux ? On veut :

toucher touycher toucher

dire dire dire

creuser creuser creuser

porter porter porter 

parler parler p arler et du coup dire ce qui est ou ce qu'il en est de ces famaeux nénés qaui seraient (qui wsait ?),à nous attendtre (!) la mort donnée c'est-à-dire une fois la mort allouée ou dépassée on ne sait ! et donc voilà on voit on trace on charge on regarde là et là les monts de charge voies lactées traits de face seins dsonnées et nous du coup de les appréhender et de chercher à bien les attrappper du bout afin de bien téter le lait donné et de ne rien lâcher creuser porter charger coller cerner dire et aller vers une vfér'ité ... des données dernières qui sezrait (de fait) ce lait dit "de derrière" ou "de l'arrière" ou "des arrioèeres" ou des données anciennes néandertaliennes ou même plus anciennes ,on veut :

dire de cxhez dire aller de chez ller 

creuser de chez creuser

porter de chez porter 

faire de chgez fzaire

sonder de chez sonder

poursser de chez poussrrt

coller de chez coller on le sait les moçts (le Verbe) au Lait donné en termes de ...................................................... termes = finalités ? on cherche ! on trace ! on avance ! on veut co:prendre = cerner les données

 du "VErbe -L ait" ici consacré en tant que  "denrée première" ...................... dernière ? 

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27/3/2025

on file = on entre = on veut comprte ndre = on veut aller au plus serrées de près toucher le ("The") Néné né d'aventure le muret (le mur du fond) passé ! et allez ! on entre on veut comprendre comprendre comprendre les données du monde et autres  choses ce qu'elles sont szoit ce qu'elles sont pour nous qui sommes ensemble nées fées au passage "cendré"

on trace = on veut = on cherche = on ne veut pas lâcher les termes mais creuser de chez creuser sans plus regarder sans se souccier de qui ou quoi serait qyui nous m&terait de la tête aux pieds et nous intilmmiderait grave on dirait ou disons on se demanderait on chercherait car on serait ensemble deux qui cxhercheraient ou chgercgerions à mieux cerner  en vrai les données crucieles ici expiosées = les nénés du trait les données "femmes" les passés de fait les chances avérées les vues de près et autres intimités "sales" les envies de vrai de pareades animales et autres cavalcades surexdcitées ou même sur-élaborées on est fées ! on est lres fées du tertre ! le passé est le passé qui vitupère et ne nous laiosse pas ou plus aller en vrai aussi vite qu'un trait (un trait de lumière) oh on aimerait mais voilà on cherche on, trace on creuse on veut cerner de rage les données fvrontales une sorte de donnée "sarde" qui sait ? on veut comprendre = on veut toucher = on veut aller = on veut aller-cerner et toucher-coller à cette sorte de "mansarde" aux données de dames ou autres sortes de "passé " qui serait comme né ànouveau (?) au passage alloué à une destinée prairiale on entre on vcreuse on file on veut toucher de chgez toucher la base et ne pas ou plyus reculer car on est fée ! on vole on monte on veut creuser "ensemble" les données de base = le passé = le néné = le lait = les données frontzales post-muret post -pré qyui nous "regardent " ou nous "regarderaient" tandis qu'on trace qu'on avance ... vezrs ... l'oubli ? on ne sait ! on est née fée car ailée la mort allouée et nous voilà "montante"allant (grave) vers ici le trait des données finales : un passé est né (re-né) qui nous "rezgarde" ou nous "regarderairt" tandis que nous on tracfe compme à main levé les mots de la bande = armes = traits = charges = en vrai pas assez ok mais on charge gravr on envoie on veut ça aller de chrz aller ve"rs ce convoi pour ainsi dire de données bestiales et autrss mots de rage ça envoie ça y va ç a va là-bas et ça regarde grave ce qui est qui nouis attend de base ou peut-etre nous mpate nous reluque de base de la tête aux pieds telles qu'onj est : deux fées ? ou sinon deux fées deux ailes de fée ?on ne sa it ! on ccherche de chez chgercher on ne veut plus du cimetière mais voler aller creuser foncer filer en vitesse vers pareilm néné (du passé) remmpli de lait = lait de mèrere ! lait donné de mère céleste ! laéit des laits tracés donnésq-adoubé mis sur pied ou quelqueq cxhose qui (de fait) serait cmme porté par une sorte de bête-mère du genre ... attelle ! on creuse on voit on mate on envoie on veut ça on veut comprendre et du coup cghargher aller saturer de rage les données trouvées qui so nt donjnées du "tremble" ici des nénés des voix d'accès et autres voix comme szusurées qui sait ? au vent mauvais du pet fronteal ! charge sale ! pontification notoire ! ventrification d'allure sage mais en vrai pas dsage ! on voit ! on mange ! on veut ça toucher à la trace au passé des chyarges lait acté mots des fées

 gentilles saintetées et autres vies au passé qui seraient vies de saintes salées zet autres vives filles aux donhées ancrées en  cette sorte de  remise ! on veut creuser = on veut dire = on veut aller = on veut toucher à ce qui vibre ou vibrerait au vent des "dires" et autres termes avanxcés ! on veut : aller (de rage) toucher trace et nous lover en embvuscade si tant est car voilà ce qui est on est née fille la mort donnée = ailée de chez ailée on vibrte on file on creuse on veut de chhez vouloir pour nous le mot "heureuse" et nous lover en ce passé ... des données "lactéesw" comme qui dirait : voix lactée ? qui sait ! on creuse = on cherche = on va =on envoie = on veut toucher de près aux nénés des tertres et autres nénés dits "des termes" on ne veut paslaisszer passer ce qui pourrait de mieuxw nous arriver en termes de données lactées com^e "postées" on veut allker = do nner = dire = fairve = comprendre = allouer à une sorte de denrée les vertus cde l'herbe = du Verbe dit "au veznt mauvais" du genre "pet" et ça le ferait on veut toucher toucher troucxgher à ce néné "du passé de l'herbe" etautres verbes sorti du pré ! tracer = dire = faire =comprendre =saler = sentir = charger = fondre = creuser de chez creuser sa tombe ou sinon sa tombe ... le passé ancré ou bien ancré en cette chose d'une sorte de post-pré aux données lactées j'ai nommé .................. sainte cl arté ! l"'époque est sombre ok m âis les hnénés ! les nénés du monde ! haute époque qui nous attendrait co:mme un retour tout naturel aux choses a&ux causes de roche et aiutres par(ois héautes le Passé est TRait Trait de Bosse on sait etcepzendant on m ate encore à la recherche de la Chose qui fondame talement sauréit nous dire ou nous donner en quelque sorte les données de roche leurs 4 (4 ?) vérités ancrées et autres mots vrais ! on cherche à cerner-creuserr ou même toucher-aller et fuir et courir et tracer et filer et ne plus se retourner vezrs le pré mais creuser de rage en t ant que fée notoire le ... passé des charmesc= lacté ! qui nous regarfdee ou nbous regardereaiot cfomme si en  fait on n'était pas (plusq ?) des fées mais devenues pour ainsi dire des bébés des bébés nus ! bébés des bébés aux tracdés donnés qui monteraoient et viendraient se collezr au néné donhé par qui sait quelque divinité auto-portée ou auto-postée qaui saurait ou qui (elle) sa&urait à quel saint (sein ?) se fier pour de préférence pêrdurer en cette zone franche des données finales terminales c rucuiales frontales de base ! à savcoir : TRAIT ! TRAIT AUX DONNÉES ! et nbous vopilà qui (ensembkle) cherchons grave à mieux comprtendre la p aroi le sang la rage lrs données hautes et autres données fortes on mùonte on creuse on envoie on trace on file on cherche on est deux de l'herbve qui en  vra&i montons fde rage vers ici loa base = le néné de l'âme et autress sein donné de branche ou disons du passé com^me il xsemblerait ou comê il adviendrait ou com

e )eut-^tre il serait de fait : nhéné d'âme ? on ne sait on entre on file on creuse on est de la bande morveuse o,n veut toucgher "ensembkle" à ce convoi /

à ce convfoi de bêtes "heureuses" et autres convois de type "remonté" qui sont convois de sainteté salubrirtés épanchements nacrés charges-nées on entre on  creuse on file on monte on ne veut pas sombrer de chez sombrer mais gravfe tracver filer cerner de chez cerner les donjées lactées (célestes) d'un post-pré en herbe = swainteté des saintetées des termes alloués à une sorte d'"Étezrnité Sommaire" ! le Passé ! la r age les nénés = les données cde base sont (seroont) lactées qui (de fait) nous attendront le jour donné ! et nous ferojht grave cerner toucher poçster travcer comprendsre ce qui est en termes de "melons" fruiots de la passion jus d'ombre ou des ombres voies hautes voies des voies et nous vopilà quyi pour le coup montons .... ici à genoushibou caillou pou vers pareille Déité aux trous : Déité des Trous

 donnée des données 

mots des prés poszt-pré come qui dirait 

on trace on veut comprendre = on veut cerner = on veut toucxher = on veut coller à ce dit "néné des finalités" qui sqont finalités des données frioontales terminale's ok mais pas que ! parce que nbous on veut ! on veut mieux ! on veut cerner-toucher ensemble par la bande ou come par la ba,nde à ce tracé sous-évalué qui est tracdé des charmes et§ aiutres dons de fée ici cons acrée ! on veut creuser ensemvkle les donhées vfrontrales et du coup en vrai comprendre comprendre ensemble ce qui est qui nous regarde = l'oeil alloué le Pasxsé des Trembles les donnhées de Trente le Passé collé à u ne sorte de "donnée-offrande" de type denrée = le lait ! le passé du lait ... la Chance ! on entre on est entrées on voulait grave aller comprendre (ensembvkle) ce passé qui serait "devant" comme p ar la bande à  devoir ou vouloir attendre sans siourciller que voilà on passe on puissee (ainsiu ailée) passer = entrer =nous loger en ce dit "néné" ou ces dits "nénés" des do nnhées cruciales fondamentales on veut toucher = on veut creuser = on veut tracer = on veut dire et comme "finaliserr" pour le coup le dire sqoit cerner à jamais les "do nnéesv du Rire" car en  vrai le Rire est la Donnée Ultime on a cru cerner ! on veut toucher de chrez toucher à ce néné du lait ... mais aussi du Rire, Rire alloué à une FRise àun tracé de Mise ou tracé de Prise qui en v rai est ... passé de Fille = THE PASSÉ tel qu'il apparaitrait ou nous apparaitr ait ici ou là le pré passé soit dépassé = sauté = traversé ! on est nous mêmes fille en ce pré donné des données furtives et c'(est en tant que fille (fée ailée) qu'on .............................................. touche la Cerise le Creuset la Frise le Genre Donné les Donnéestracées bêtes de treait bises et bisonnées BGisounourses gravées come à main lezvée swur paroi de fée ! on est née ! née fille dans lma mort actée ! ça le fait et même on dira que en v réai (tellezment ça le fait) que oui : on est née fille-vite ! le passé aux traiots eswt ce devajnt (ici) de mise ! frise ! piste ! on veut toucher on veut toucher de chez topucher ou m-ême grave on veut toucgher de chez toucgherv à ce néné dit des données acquises et autres dons de lait tracé genre voie lactée aux tre&its ! fonds de cklarté "artist e s" et autres traéiots comme dessinées squr du Passé de tire ! on veut :

dire xde chez dire et allerv  de chez aller etcreuser et toucxher à ce qui eswt qui ici nous mate ou materait sans discontinuer tandis que nous on veut c reuser ou cherchons à grave creuser soit creuser de chez creuser à ces données d'un dire de fait accolé à une sorte de tracé comme "décomposé" ezn en vrai autant de "diress" lactés " du genre ................................ traits de fée ? ;;............................ denrée ! lait ! vfoie lactée = le Passé donné des Do nnées acqyuises = VERBATIM ! chzarge à vide ....... pontification native et autres véruiifications genrée aux termes alloués ! on cherche à ensemble cerner dire coller sondser pezrmettree à la Fée dite "des Termes" de toucher à ce nhéné del'hydre de l'hydre aux deux têtes ici de bpêtes à tire = tr ait ! charge sondée traits allouéesw tracés nacrés = pêrttes sèches ..... ou humides qu'est-ce que ça peut faire on aime ! on aime l'herbe on aéime le Passé en herbve le Tracé donné la Colère des Dopnnées donnhéesds les Termes Ancrées ou inculqués et voilà le P assé Sommaire ainsi ancré comme de pied vferme en ce Tracé des donnéexs Fermes ! on veut creuser et donc toucxher à ce qui est "derrière" = le Passé Lacté

 la Recherche Une sqorte de dooopnée d"'époque soit d'époque hautequi en v rai pourrait grave nous dsonnezr ainsi de quoi coimprendre ensembloe  ce qui est qui bnous rassembloe ou nous rassemblerait en termres de Roc he de Rocher et autres monts de Bosse = Le passé donné le trait la Chose (Chose haute) d'un tracé lacté = le Lait on monte on saute on creuse on charge on veut comp)rendre co:mprendre comprendre comprendre ensemble x et x données "tendres" le Passé des Trembles bébéifié qui serait de fait le Passé de l'äme ou même cdes données de  l'âme ou même quoi ? ;le membre ? le ... membre à Soi ? membre des membres ? un membre en vueux-tu en voilà quii de fait seraiot le mùembre donné et comme attitré ? à une sortede .........................du coup ...................... "passé membré" ? on veutr comprtendre on veut creusqer on veut toucxher on veut dire et aller et sonder le dire et poussser de chez pousser en direction  de p areil néné dit "à la tire" = à tire-lait = tire-larigot

 du lait de trait et autres laits donnés au petit veau (à la petite velle) qu'on serait ici en ce post-muret alloué qyui nous accueillmerait commùe des animaux de trot de tropt et de trop qui szait ? on est née bébé le mur du fond passé comme traversé "à la force du passé" on dirait et ça le vferaiot ça impacterait ça influencerait ça en jettertait ça fezrait le boul;ot et nous permetrrait ta&ntôt de cfreuser du museau au plus haut possible vers eh bvé le Dire le Dire Hzaut ou même Très-Haut d'un dire .... de trop ! de trop ou de trot telle est la question la question "de roche" qu'e,nsembke (ailes-) on se pose qauand voiulà on monte quand on creuse hzaut la question des mots de l'origine haute des mots de roche et autres mots post-tréteaux ! on coche on trzeace on monte on vcibre on envoie on envoie grave on est fluyide on est liquide on est la fée -fille ici liquyuide de cherz liquide qui du coup s'infiltre va traverse creuse wsonde vit vie d'un vit de terre ... terre ou termes = verbe .... verbe acquis verbe-mère Verbe du vit = glaires = traits de merde merde ou mère on entre on creuse on cherche on est deux de rocxhe pour en vrai une sorte de montée "d'époque" " haut les traits ! on monte = on va = on envoie = on est là pour ça 

allouées ensemble à une sorte de passage "ancré" qui nous permet ou permezttrrait de pouvoir de fait comprendre les données "immenses" d'un tracé "de france" = en français = traits tracés commpe à main lezvée sur paroi de base = charité = sainteté des données frontzales toutes pariétales et olé olé comme qui dirait du fait que oui on entre on est entrées ensemble en cette sorte dee pAssé de france = le passé nacré ou ancré ds'une langue insérée incumlquée ancrée en une sorte de P assage DEnse = le Passé aux traits 

Vie des Fées 

Charges (charhges !) mentales des doobnnées allouées à uyne sorte de parade aux bêtes de Traits Masse Donnée Vérités des Vérités = Déités incarcérée ou commpe incarcérées dans ....... la langue octroyée comme "à la volette" on en mangerait on en voudrait on s'en délecterait on s'en pouyrlècherait de rage les babinnes xsans traîner sans se lamenter sans se monter la tête aux dites données données d'herbe ou données Du Verbe Verbe en herbe on est (pour de vrai) née fée au passage vie-mport on devient ou redevient (?) bgébé au passage mort-vie ou mort -revie, car en vrai on revienht à la vie une fois de fait loa mùort traversée loa mort dite (ici) "des terres" ou "du pré " une fois trave"rsée on revient à auelque chose qu'on connaît ou qu'on connaissaiot sans vraiment cxonnaîtrec= le Passé des TRaiots = la Volette = le Passé en herbe et hop 

on sa&ute on p asse on trace on envoie on charge on veut ça on veut comp^rendre comprendre comprendre ce qui est et n'est pas ici-bas qui saurait nous en apprendre nous dsonner le la qui sait "au pas de charge" voilà on veut ça on veut comprendre comprendre comprendre comprtendre comprendre ensembkle les données cruciales falbala "au pas cde chyarge" ça envoie mais pas que ça ça tracfe ça dessine 

ça active ça fait trace ça commente etcetera le Passzé des Rages et autreess Passé-Traces qui en  vrai serait /.........................../.............. la voie ! voie de l'au-delà à une sqorte dee 

Passé déjà-là on entre on va on creuse on envoie on  veut toucher par ce biais-là du dire "narquois" à ce qui se présente en face en face de soi = la b ande L'ombre de soi le Passé (ainsi) de roche commê une ombre qui du coup serait L'Ombre L'OMbre d'un PAssé de rOche o n ne swait on creuse on plongfe on fonce on veut touycher toucxher troucgher toucxher toucher touycher touycher toucxher touycher rtoucher toucxher à cette chose d'une sqorte de dsonnée de Roche ainsi "rezmont"ée" 

de haute époque = le Passé Ancré Passé Haut ici des Hauts Niveaux et autres Passé ultra-ancré en, cette xhose dune époque Haute la plus Haute njamais consacr(ée soit : Époque des traits ! traits doctes ! traits des traiots des tracés de roche = mottes ! meutes ! mottets ! mots de roche au lamparo ! haute roche aux mots de trot ! bêtes de trot sur porte haute ainsqi denombrée ou visualisée ou mêmùe touchyée ccar .............................. on y était ! on voyait ! on voulait ! on était "de roche" comme 'homme" , ombre-homme ombre d'un homme devenue de fait (le temps passé ou le temps passant) fée = forme = ailes = elles = femmes tracées = herbe = Verbe des Fées ainsi allouée à un pré pré aux traits ainsi dessinées et le tour est hjoué on veut toucxher toucxher toucxher toucher à ce qui est qui nous regarderait aller de chez aller au vent do nnév dxes données de roche : corolles ,  haiute poche, ombre de l'homme, homme' = m asculinité tracée change de traits et devient "au passé" le BGébé larvé la Roche Haute l'ombre 

ombre de l'homme = B2bé-fée aux dsonnéeshautes et nous voilà " aimée" en tanht que fille-fée devenue (ailée) bébé des bébés au tracé de pocxhe poche à lait poche haute aux petitsq  faits vrais et auttres forlmes hautes ainsqi insérées ! on veut toucher touxcgher toucher toucxher toucher toucher toucxher troucher touycher toucher toucxher toucher toucher toucher à ce néné de haute époque ainsialloué à une qsorte de passé post-roche posqt-pré post-fée en quelque sorete car en v  rai la chose est ainsi libellée qu'elle sex présente en  vrai ciomme une qorte de transformation "vive et agitée" d'un fa it de fée en un e sorte d'acte de ... pause ! haute pzause ! pause haute qui en vréai sezra ou wserait la Chose = The Chose = la des !

 la Cjose que voilà

qui est sur le tas

le passé des Voix tr alala ! on y croit on veut ça on veut comprendsre ensembvlke et charger ensemble et pister les choses de paroi ensemble tracer creusqer pousssr charger Rocxhe et pousssr de chez pousssrf la Chose des Passés de Poche ou du Passé de tra&it de type ................. Paerole ? on monte on creuse on voit on va on envoie on v  eut comprendre enxwembvle le Passé NHotoire = la VOie = le Passé "entre" car voilà le passé est dit "entre " qui de fait s'interpose ou poserait (voir l'origine des données ou données hautesc de type "pause") entre une sqorte de dsonnée des fées / temps de roche et de l'autree côté eh bé ..... on ne sait .............. on vzeut toucher-dire et allouer à une roche une sqorte de Paroile Haute (= originelle ?) des données de Pause ou Autres Choses Ha&utes ainsi libellées 

on monte on  veut toucher toucher toucher toucxher toucher à cette Chiose d'un pâssé de rocxhe ainsi creuseée dessinée gravée comme à main lzvée par quelque néandertaliennes ou néandertaliens de Haute Époque qui en  vzzrai a&uraient enwqzmble su toucher la Bête "Immense" = Aurochns des prés Aurocnoïdités de Roche et autrezxs Bêtes -traits aux données "Profondes" on ose on mùonte on touche on veut grave pour le coup tracer tracer de chez tracer les dsonnéesq sacxrées et autres sortes de données nacréesq aux traits dorés ! filer = donner = faire =charger = contrefaire = pistonner = cnhanger les termes et s'y retrouver en termes de données salées de verbes -termes traits des traits misère chasteté sainte-colère des dsonnées passées vie des fées et autres vies ailées sur pré tracé on veut  creuser de chez creuser dire de chyez dire fdiler de cxhez filer aller de chez aller et aussi cerner ici-même x et x dires ainsi tracés qui sont ou sweraient dires des Dires ou Véritqs des Vérités rttoutes é"remontées" comme comme qui dirait un Rire décoché ! rire des rires rires des fées rires alloué à une Fée Fille des dsonnées  vives on veut cerner = dire = toucher = prtendre = comprendre ici ou là le dire "tendre" la paroi de france ou (comment ?) la (de fait ?) Voie desq Rois Reines des Voix on entre on creuse on vcoit on cxharge on veut ça et pas ça on veut toucher à une sorte de convoi de Voix de type Bêtes-en tas Meute des Voix ou quoi sinon qui (en vrai) wsezrait ici bas la des do nnées Hautes ? on monte on va on v  eut toucxher à ce dit convoi "des Acidirtés" ou des "alacrités" ou même il semblerait "des remontées de vieux dossiers" à jamùais ! passé des pâssés et nous voilà toute "réformées" = re-foormées en tant que nous szerions ensemble devenues (à présent) des .........  b ébés "du TEmps" ! chan ge assuré ! traits des traits nous voilà consacrés voire adoubés voire reconnues en tant que bnous serions ici dfevenues des sortes de "bébés nus" (le cul nu) sur Rocxhe posqt-pré = le Passé d'épôque ! ou d'époque haute on monte on va on monte sur tas, on cherche  la voie le passage docte toundra pré des voix on creuse on va on cxh arge on envoie on veut comoptrendre  dire cerner poussszr charger finaliser ici un dire "remonté" = colérique ou comment dire le passé de frise l'envolée lyrique tu le sais on veut cxharger toucher creusqer filer cerner donner à un dire les couleurs du rire et du coup enfoncer enfoncer de chez enfoncer les portes sacrées les passages dorés portes consacrées et passages "aux fées" d'une sorte de contrée "des acidités" ou "des alacrités" ou sdes données vives d'un Rire CXhargé soit chargé de vie vie vive = vie donnée = vitalité de type ivresse des finalités tendre passé porte immense passage dorée on passe "ensembkle" comme qui ndirait car ................. on est ailée ailes données ailes de fée ailes en herbe = Verbe  VErbe -né = VERbe des CVErbes-nés = Verbe d'herbe = Verbe en herbe = vie des vies naissantes sarabandes traéits des tra&its  on entre on est ainsi ailée qui voulons tracer et du coup comprendree les do nnées ancérées qui de fait sezraient les données .............................. chelous  ....................... ou pas che;lous qu'est-ce que ça peut faire on veut toucher on veut grave toucxher toucher de près à ces dites "données des nénéds" et boire le lait lait chelou ou pas chelou nous onj cveut téter ce qu'on veut (de notre côté) c''st ça en vrai = la tétée d'un trait

 trait des fées tréits compme allouées à une destinées ainsi dessinée qui nous verrait nous comme téléporter jusqu'au plus lointain des lointains post-roche : voie lactée poche à lait roche-traéit 

haute époque des dsonnjées lactées 

de type ROCHE des Roches ou Rochers des Rocxhers ou Roc des Rocs ainsqi consacrés à une sqorte de "Passé "surnuméraire" = le Passé Nacré = l'Herbe aux Fées = le Verbe : Verbe des donnés xde l'Herbe Verbe ainsi tracé tracé ou t(traqué ici en feançais du fait que voilà telle est ma (notre) langue maternelle le Passé en herbe  l'emportée des termes l'envolée (une envolée) on ose ! on vfeut creuser creusqer creuser creuser les dsonnées de Roche et traverser vers ........... eh bé ....................... le Passé .... le Passé en herbe = un tracé de Termes terminologie agraire = tra écs -nés sur terre glaise ! on v eut creuser creuservcreuser creusqer creuser creusqer sans plus traîner la Terre aux Do nnées Agraoires ainsi sillonjée = traéit des trraits = voies lactées = phrases tendres = cxharges mentales = bhêtes de trot = fames  fames de bhase = fames-traces sur Passé Doré de type Romance et  allez on trace on avance on charge on file on veut comprendre séduire pousser charger cerner centrer porter et dire ici et là ce qui est qui cvibre et vire va là-bas puis see reccentre et trace trace de chez trace les donées du Rire on avance on va et on vient ensemble on est accolées on etst en vrai les Ailes du pré " on est Ailes de fée et du cxoup 

 on bât grave les dsonnées pr airiales ou deisons que voilà on vole bas on vole haut on va devant soi vers kles Hauts des Hauts d'une sorte de Paroi de Roche dite "du passé" soit de Haute Époque cxomme consacrée à une pour le coup V2rité des "Vérités de Roche" on sa urait on saurait et on serait : 

fée de Roche

Ailes = Elles De

Fée des Fées en herbe un tr acé sur herbe 

 sur pré donjné Tracé des tracés et le /...........V erbe est  né qui voulait naître voilà c'est fait le Verbe naît de fait dans l'herbe

 ainsi rencontrée la mort a&llouée le Verbe naôit (re-naît) une fois la vie (qui sait ?) démamntelée ou come démanteléec et l:a mort acdoubée ou acquyise Verbe-treait = Vie des Fées = Vies vives on cherche la  frise un dessin des Treaits ou de bêtes de tr&it 

Roche aux fées Chyanjts doctes Tracés des tracés

 néandertaliens ou même plus anciens on ne sait on creuse des faits 

vrais et avérés ou vrais ou avérés ou disons "re-^pérés" ddans une sorte de passé comme démantibulé par autant de "divinités" auto-proclmamées il selmblezrait mais est-ce vrai szait-on en v rai ce qu'il en est à qui se fier ou pouvoir se fier qu'est-ce qui est de ces tracés de fée de pareilles envolées sur pré pré paradisiaque la prairie aux anges herbes tendres vies données à des envies de vies 

tracées dezzssinées 

gravées de chez gravées sur roche allouée ou rochers des prés" ou veut ccreuser = comp)rendre = faire = dire = charger = cerner = vivement toucher à ce néné de lo'hydre ainsi "soulevé" "soulevé" comme Rire Rire-Prise Rire aux trait§s tout acidulés Rire des Rires on veut toucgher = aller = c erner = produire = sentir = soulever le Vivre ou (commehnt dire) une Sommité ? dont le corps serait "larvé" "larvé" ou "enterré" ou sinon enterré encapsulé dans une sqorte de ......... eh bé oui : traéit de Rire ! rire acide -! rire des rires on v eut creuser = toucher = faire = sonder = porter haut la Parole "induite" d'un Riçre des Rires ainsi adoubé ainsi né (sur pré) et nous voilà re-née ou (comment dire ?) re

mon neveu !

re-née sur tracé aux données du Vivre Vivre Vif et bnous de pour le coup conjecturer nbous recentrer essayer de nous y retrouver et sans plus trembler en ce dire "acide " dire aux données vivesdires cernés on veut creuser toucxher aller porter sentir soulever chercher ici et là en ce pré des prés les données sacrées et autres mots ainsi consacrés par quemlqaue déités dees données vives ! saintetés nacrées charges acquises sommités des sommités vives clartés poszt-pré on sait l'emprise le vouloir-tenir ici la cxharge ou les

 les charges 

ici comp)rises vies vives = traits on connaît on est actives on vibre on monte-vole on veut coller de base à ce néné "du large" et n'en plus décoller ou coment dire s'y accrocher s'y placer ainsi de telle sorte que en  vrai plus jamais on ne pourra à l'avenir lâcher tomber fuir se déliter et se voir enterrée on veut creusr mais creuser ici = sonder =  cerner = comprendre ou tenter ailées ou toutes ailées qu'on est de comprendre "ensemble" les données du Rire ainsi dévelioppé sur une sorte de SEntier donnant de fait sur une sqorte de Pasdsé des Traits Vives Clartés Salubrités Vents des Traits-Tracés Charges Hautes sur Treaits de fée on veut creuserv creuserr crfeuser creuser creusqer creusqer sans jamais sourciller ni se lamenter la Roche Roche aucx fées des données Yautes (immondes ?) On ne sait on trace on veut comprendre = do nnner = faire = dire = cxharger = pousssrr = composer = passer = teaverser traverser de rage ledit mur du fond et hop .../.. à la page ! on entre on va on creuse sa voie soit sa propre voie de passage ou dancrage dans voilà cet au-delà ou au-delà à soi ou disons au-delà des voiçx des voix basses (ou pas) des voix de là szoit "de la rage dense" trait s de voix = vies de rage = voies d'ancrage = tralalalalalala lalalala lalalalala des données " de france" de france ou d'espagne ou au-delà 

au-delà de l'espagne car voilà on est "entre" = entre ça et ça la france et l'espagnz = des montagnes monts des voix et autres charhges Hautes des Données de ROcghe voies voies des Rois et Reines de là Antre antre des antres ... Andes ? on envoie ! on veut comprendre ensemble ici et là (de chez comptendre ensembkle) les données "immeznses" traits des voix = traits ancrés dans une sqorte d'au-delà à soi à s-on "image" à son corps -charge etcetera la b ase le convoi bêtes de rage = voix dees voix on entre ensembvle on veu t savooir = dire = porter = rire ou porter le rire = tracer = cerner cerner vif et sans lambiner les données actives le passé des frises Sainteté larvée Charge de Nez Frise Prise Frise de bêtes actives Grossiéretésx des Grossiéretés et autres mots groosiers  

= mots de trop 

= trop de mots 

et le tour est joué qui nous vcoit "sonner" ici à une Porte auto-générée de type Porte Haute Ciel Étoilé Voie lactée Voix d'es ombres hautes Re-nommée des re-nommée Fame Outrée Porte Haute on monte on veut toucxher on ose on veut creuser on voudrait ou on veut (grave !) traverser eznsemble les "donnéesb  du  membre" qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est ou qu'est-ce qu'il en est de ces dites "dfonnées du membre" qu'est-ce que ça  veut dire wqu'est-ce que c'est que cette chose ici d'une sorte de .............. dire vite / rire ainsi activé du fait que oui on tire on creuse on vole on trace on charge on enttre on entre ainsi ailée comme à la p arade toute remontée et prête à comprendre il semblezrait les "Données Immenses" du quaertier des fées : Pré 

Pré ou prairie aéinsi Adoubéee par qui sait une Sommité Sorte de 

"Sommité des Sommités" qui viendra&it tout près pour nous susurrer nos 4 Vérités concxernant ........ le Rire : Rire Acide (?) aux Verrt§us magiques Rires des Rires on veut toucher toucher toucxher toucher toucher toucxher toucher toucxher toucher toucher toucher au!x données actives aux 4 vérités du Rire et autres vérités de frise ainsi rencontrées la mort dite "du pré" pour le coup passée on veut toucher dire et sonder tracer et nous relever et filer voler construire chzrcher filer nous émanciper d'un dire de rive creuser creusqer creuqser vsans faiblir la Roche Ivre ou commùent xdiree Ivre de Sainteté des Saint§ et Saintes allouées à une sqorte de .... Passé dsu Rire ou cxompenht dire ? Passé Ivre ! passé des passés des données vives telles que rencontrées ou déjà rencontrés il y a (ou il y aurait) des lustres (qui sait ?) en un "drôile de passé" ... miteux ? ou sinon miteux ... vieillot ? ou commênt ? mots de trop ! charges hautes ! mots de roche = vie des vies = seiin xdes seins ici consacrés à une sorte de (peut-être) Sommité du Rire = le Passé

 Le Passé re-né est le Passé du Rire Ivre Vie des vies auto-genrée vie haute des contrées de Bosse on veut toucxher ou on voudrait toucxher toucher toucher touchert à une sqorte de donnée dxe Roche = le Passé ainsi tracé qu'iul nous incomberait de faire se relever ou de le poussszr à ici renaittre (en vrai) la mort (le cimetière) passée pour nous revoir aller re-téter les termes = mots de lait lait de trait lait d'herbe = Vezrbe ainsi aimé ou même adulé Lait de traite Du passé Nacré Ancré Inculqué en tête : on trait = on traite = on trace = on tra que ici et là le Passé re-né Passé-trait ou Passé-mots d'un drôle de ..................................................................................... boyau ...........?..  ?.................................................................................... m

enant à cette Roche ...... "roche aux mots de trop " et autres mots de pôche ! le boyau La Roche Les mots La poche on veut comprendre chaque mots et gracve aller vfers une sqorte en soi de ......................./ Vérité des voix VOix de l'au-delà Voixhautes soit de haute époque la Paroi est là qyui nous importe et nous emporte alléluyah on voit on monte on ose on voit ce qu'on vcoit et ce qu'on voit est un convoi de voix de roche Aniamusx-mots de RocheHaute un Passé de Roche = Troupeau Troupaeau docte = Animaux-mots ou Bêtes -mots-de-trop = Meute-motte on monte on vole on est ailée = elles de fée = ellzes en herbe sur  un pré menant (au loin) à cette sorte de co ntrée au Lait dont le nom de fait est 

ROC des Rocs post-pré auto-tracé par un passé ancré de type Verbe

 Mots des Ombres Passé-Rocche aux mots doctes On monte on veut on creuse on envoie on ne veut qaue ça aller et tracer dire et donner pousssrr et rire rireb de chez rire sansz se gêner dire et donner porter calculer entrer ... nhe pas ou plus reculer mais foncer et sans plus de retard vers pareil néné nibard sein donné ainsi déployé à téter Lait des laits des Termes Envolés on veut creuser soit touxgcher soit porter soit donner soit se laisser aller à biezn cerner -comprendre les données enswemble  ce qu'eslles xeraieht qyi nous apportereai" nt dee qauoi pour le coup e"t de fait pouvoir nous situer ... sur la branche où on est où on szrait qui on est qui en  vrai on est ou sera&it qui pouurrait peut-^ttre ainsi "remont"ée" toucher de chez toucher à une VFérité des Termes soit Des mots Portés du Verbe de l'être ! on est qui on est fée ailée car ........................................................................................................................................................... on mùonte ........................ on monte haute ....................../...................... on veut ensemble monter haut au plus haut possible sur Paroi du Rire et une fois là une fois ainsi postée creusercoller porter chargher cerner pousszr essa&yer ensembvle de toucher à ce qui est ici qui serait une sorte de "dire porté" de "dire des dires" dont la vférité swzrait qu'il szera&it (ce dire) du ....... dire-rire ........... ou rire-dire auto-proclamé ou auto-engendré car .......... décoché ! tir d'ire ! vive trajectoire ! corpsz de base ainsi d"ép^lisszé on veut toucgher tracer creuser comprendrebencemble les données, d'une sorte en vrai de rire "dicible" si on pouvait on voudrait on chercxhe on chercherczrait on voudrait trouver on cherche à qui mieux-mieux les données vives (ici) d'un (d'une sqorte de) rire "ivre" qui dit miaeux ? qui connaît le Rire mieux ? qyui saéiten vrai ce qu'il en est dx'un rire"vieuxv" ou comment dire .................................... antédiluvien ou même plus lointain : qui ? On cherche grave on charge on tyrace opn veut comp)rendre on veut sonder ensemble le Néné de l' antre qui il est qauoi on poureait en vrai trouver en ce sein au lait ............ que du lait ? lait de Verbe ? verbe d'Aile ? corps nacré ? charge Assumée ? on veut toucher de vhez toucher à ce néné des herbes et cdu coup tracer ou :

tracer de chez tracer

dire de chez dire 

porter de chez porter 

cerner de chez  erner

pousssr ensemble vif et vives les données du Dire-Rire car

en vrailes données Données Vives d'un Rire dit "du dire" ou d'un Dire dit "du Rire" sont "données Avctives" et du coup pouvant grave nouqs en dire large en ce qui de fait ici nous semble ëtre vrai ou vrai de chez vrai concernant la Bande ou Bande aux tracdés de ... Bêtes à memb rze ..... bêtes-membres ? on ne sait ! on cherche ! o,n creuse loin et auusssqi profond ou le plus possible profond ou loin qu'euon peut (= loin devant) pour mieux en  vrai cerner de chez cernzr les 4 vérités du ... passé re-né car en vrai le Passé on dit re-naît à jamais la mort pzssée, le Passé ren aît à la vie une dfois qu'on a en vrai passé le moment porté de la mort Allouée allouée à un pré pré aux fées mais voilà ce momenrt est déjà là comme archivé derrière soi du moment que oui on trace on traverse obn passe à treavers ensemble la Roche finale et on ..... monte on monte haute on va haute on veut aller haute on veut grave aller haute ainsi ailée (comme en  v rai on est) on ne veut pas rester à quai au pré mais plutôt monter de chez monter en cette sorte de .... rotondee-grotte cercle aux fées cercle d'herbe tracé monter monter hautes aller creuser porter charger essayer de dépasssrr pare'ille rotonde cercle attitré et passer ainzi d'un cfoup d'un xszeul de l'autre côté pour ainsi dire "du linceul" tenter pousssr traverser soertir du trac-é (ainsi dessijné) vd'un champ de blé ou d'orge données et se retrouver du coup aéinsi postée sur Néné Né comme à la retombée à devoir téter = téter vif pour mieux de fait durer de chez duurer au-delà du pré = de la mort actée tracer creuser filer  foncer courir vite et chercher à téter de suite sans plus traîner le Lait Altruiste Lait de TR&it Lait de Fée p ôst-pré Mère Salée Mère Sa &turnienne On aime on veut toucher toucher toucher toucher toucher touycher touycher toucher toucher toucher à ce dit "Léit de Mère" ainsi octroyé la mort passée : renâoitre = retomber = remâcher = repasser = relever les termes et les noter de fzait sur "un carnet de Verbe"  = langue allée ! langue donnée = la,ngue de trait on entre on creuse loin on vole on porte on va ensemble en cette sorte de post-rotonde aux accents vde Rage de type "Rzemontée de remont reances intznses " colère / post-colère et offrandes on entre (on entre dans l'antre) "ensemnble" = ailée Elles Tendres On est entre entre deux parois ou comment ça ? ça recommence ? on est entre et ..........??.??.?.....................................?.on cherche à ici co:mptendre ........................?.?..??........................ vivement dimanche ! ........................................................................ on ne veut pas ou plus céder on veut toucher )-à ce néné des fé&es ou dit "des faits" on veut cerner pouysssrr aller chercher creuqser saturer de VErbe les Données en herbe Sein donné = sein porté on aime on veut toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher

à ce dit "néné en herbe" d'une sqorte de "contrée des contrées" comme "on " les aime c'est-à-dire "entières" contrée entière entière contrée dite "des données lactées" telles que oui on les vénère on aime on aime grave en v  rai téter soit téter en  vrai les données lactées d'un p âssé du Verbe Ver be-Lait et nous voilà complet ou plutôt complète = formée ! ojn est née ! née post -pré à urne vie humaine = vie tracée comme à main levée pa&r ... Compère Vérité = Vivacité = Volionté = Trait : 

on aime on est entré&e on est donnée oon veut touchezr à ce néné post -pré d'une sorte de vie (en soi) ici rebnouvelée et hop on est passée on est comme remontée on monte haute on ose on veut coller à ce passé "surnuméraire" passé-né ainsi retracé re-dessiné sur paroi donnée on veut coller de chez coller et hop aller foncer t(oucxher toucher toucher toucher toucber touxcher toucher toucher rtoucher tpoucher topucher toucher à ce néné du temps recollé et comprendee de fait l'effet du Verbe et de lA chance (des données de  rage) sur la langue la Parole DEnse DEnse et danse chezrcher = donner = dire = porter = poster = pousssrt = engendrer = conduire = postuler ou comment dire ici le dire dxes données du Rire on monte on ose on creuse on porte on veut toucher de chez toucxher à ces données vives d'une sqorte pour ainsi dire de Dire-Rire auto porté autoconsacré qui sezrait et du dire vif et du rire gros ou de gros (haut ?) niveau = Rire -Caniveau Dire de trop = mots de l'ombre et autres mots de Honte ou de la Honte Grosse On monte on cherche on creuseon veut grave savoir et dire 

ce savoir dxes Roches et autres Rocs des Hauts 

des Hauts Monts du Front on colle on est Hautes  On porte on colporte on monte sur Rocxhe direction la Porte ou Porte de  Roche on veut :

toucher tpucxher toucxher toucxher toucxher toucher toucher touyxcher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher t§oucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher foucher toucher touycher touxcher toucher toucher toucher toucxher roucher toucxhger toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher ttoucher toucher toucher à ce nhéné de haute époque = le Passé Le Passé post pré est le passé pré-pré du fait qu"il est intercalé ou comment cerner dire centrer do ner essayer de piger ou de dire ensemble les données xdu Rire et du Dire ensemble : Commnt ? cfomment pouvoir de fait cerner de chz cerner les données actives traitqs nacrés Vives CFlartés des données du Rire insi inséré dsans un dire tracé de tohute éternité ? on veut colleret vivre au-delà du pré charger cerner porter centrer = centrerr vif les données frontales les placer comme (en tant que) offrandxes

 sur muret xdes RAges 

et porter crteuser tracer sur pklace pareilles denrées comme en contrebande à tr a vers on dirzait la bande le tracé de base trait des traits et bnous voilà comme adoubée ainsi reluquée on veut tpucherr toucher toucher toucher touycher à ce néné "des donnéesw intenses" = la it lait de trait = lait docte = v érités ancrées = vérités des vérités on monte on porte on chercghe on sonde on ne veut pas ou plus nous arrêtercar on est labncée et m-^"me méga-lzancée dans le

V erbe alloué &ux termes 

aux fins de tracés 

on aime on charge on voit on porte on ne voit que ça la Porte la Voie le WSEntier vers ujn au-delà de typec......... ................./........................ cohorte horde meute ronde poids poids de voix ! choses grooosses sur paroi de roche on monte on envoie on voudrait de f aiçt grave cerner ... les données (ici) les plusz  hautesc = profondes et tout de suite ap)rès comme les "restiutuer" en quelque sqoerte sous forme ailée ou comme nt dire allouée à une sqorte de Parole Haute hautement tracée comme sorte de Parabole ou P arole "à jamais" on monte on y va on envoie ça on voit on porte on cxhyerche M%ort d'homme Voix Voie vezrs l'au-fdelà on veut comprendre ensemble tout un tas de choses de choses en souffrance on vgoudrait s'y entendre (grave !) en tout ça 

qui concerne on le vo!t la mort haute  c elle qu'on ne voit pas ni ne soupçonne car voilà elle se c  ache là 

  loin de la paroi la p aroi des ombres au-dxelà de ça : l a Roche = loin de là on monte on va on toucxhe on creuse on envoie du bois on cxherche pitance on trace on cdourt on court vite on s'envole on monte on moçnte hautes

 hautes et haut on monte 

on vgeut .....................................................????????????.......................... toucxher touchertoucher toucher toucher toucher topucxher toucher toucher toucher à ce néné empli de lait sucré et du coup téter téter grave pareil néné szans discontinuer téter de chez téter le  Néné du Lait et s' alimenter téter le dit L ait des données de base "Sarabande" on entre entre on court on danse et piuis on sort de l'antrze vers ............................................... néné-l&it du Verbe-Dense..................... le Passé est le passé qui touhjoursq ... inlass ablement ... inconditionnellement ... ren^ait (ainsi ) de ses cendres ......................... passé dit "des passés des cendres" ...././.......................... on vgeut toucher-cre!user dire-portera&ller-dooonnner sentir -saluer chercher-coopter conduire-vivre sonder-produyire filer-charger coller-pousssr et dire-rire les données lactées te'lles que rencontrées le lmuret passé ou mur-roche aux fées des données frontales ainsi traversées on veut toucxher toucher-dire et porter : porrter sur le Passé le regard de l'hydre ou (comment dire ?) saluer ? on monte on monte la roche on creuse on vfeut toucxher de chez toucxher l'herbe du pré = brouter puis ain szi fait aller de chez aller vers le dxernier m uret dit "des finaliités" mur ou muret "d es fonds de pré" le traverser et du coup p assse r passser en  vraéi = treaverser et nous (se) retrouver ainsi "remodelée" de fée en bébé on était la fée on devient le bhéhé et du coup

 prête ou prêt à vite téter de chz téter le bon lait de ..... l'hydre ? l'hydre active ? = le Passé Coprporéifié ? passé népost muret au-delà du pré nous voilà nourrie de bon lait de vie on aime ! on aimme vif et vive ce Lait de tire et autres laits de Vie telle que retrouvée la mort passée Vie-Mort autoengendréesd se nourrissent de lait ou s'auto-nourrissent ou com'hent xdire à volonté dans le VIvre donné à une D2ité dont le nom est HYDRE HyDRE en sainteté Hydre du RIre ou cfomment dire Rire-Hydre des données portées on veut touxcher toucher = dire

 et dire = toucher 

on veut creusqer-dire et do nner-porter sentir-chercher on veut tracer on v'eut ou on voudrait gra&ve tracer tracer sqans traîner les mot(s dits "de l'hydre" = LAIT LAIT LAIT LAIT DONNÉ LAIT DE FÉE OU SINON DE FÉE LAIT DU PRÉ LAIT ACTÉ LAIT PORTÉ LAIT CHARGÉ DE CVIE CVIVE ET AUTRES QuaLITÉS On veut creusqer la rive des données actives d'un verbe du rire ! cxhants lactés comme autoportés mais en vrai oàn ne sait on croit deviner ou pouvoir d eviner mé&is qu'est-ce qu'on en sait ? onn est vive on vole vif on monte haute on creuse parole on veut coller à une sorte ici de "vérité de porte" on monte on colle on colle à la roche et hop ................................................................................... on mùonte ../................................................... grave on a envie peut-être de comprtendre ce qui est ici qui njous rezgarde ou semble pouyr le coup nhe pas cessser de nous mater pour ainsi dire dee la t(ête aux pieds on regarde on est entre = entre deux par(ois e,n une sorte d'antre dit "des voix" ... de la rage et de l a transe, on envoie du bois on veut comptendre on veut cerner on a envie (grave !) de toucher à (plus loin) ce néné (post-pré) au bon lait de l'êztre de l'être donné qui sqerait en v  rai une qsorte de bête bête à deux têtes : est)-ce que ça se pourrait ? erst-ce que réellement on pouurrait penser que la mort passée traversée et dépasseée on pourrait trouver qui sait une qsorte de  bête de bête à deux têtes ? on cherche on veut toucxher on veut collerr à ce Néné du Verbe ou dit "du Verbe" = Lai-Verbe aux données ancrées cdomme  une sqorte de ........ tracé ici inculqué = VERbe En Herbe qui (de fait) est ce Tra&it  de l'herbe ! on veut toucxher en vrai on veut grave toucher on veut on voudrait en vrai grave toucher à ce passé 

"passé du VErbe" =   Inflation Infrlation du VVerbe Inflation du Verbe en herbe 

charger toucher creuser porter donner pousssrr creuser essayer de nous y retrouver en ces données de l'herbe ainsi allouée on veut creuser toucher NHéné poussser poussser de chyez poussser sza,ns jamais plus nous arrêter car en vrai on aime on veut cerner on veutb creuser on veut toucher et dire)-rire et aller de fait au-delà du muret à la r(ecxherche de la Vérité des Contrées Célestes ! on est tracée ! on est remontée ! on veut coller coller coller coller coller coller coller coller colmer collef coller colmer coller cxolller coller coller coller à ce qui est qaui sera&it de base ............ le Néné de L'antre ! néné né comme à la parade un jo!ur donné on essaie de cxomprendsre toucher cerner sonder ... les donnézs "de france" = le français en tant que langue "intebnse" = portée = inculquée = enfoncée = engoncée = ancrée de chez ancrée aet vas-y pour la désa&pprendre "le pli est pris" on en redxe"mande !!!!! on v  eut comptendre = forcer =xharger = tracer à travers un muret afin dee passrr pour ainsi dire "de l'autree côté ... du rire" et du coup ........../ téter de chez tétzer le bon lait de l'hydre bête à quai vérité des vérités on veut laimer = sentir = cxharger = porter = comprendre =situer = poussser et essayer "ennsezmbke" dee;..........??????????...................?...............?.?????????????????????????? teter de chez téter le lait dit "des vérités"

 ...........?.?.????????????? d'une langue donnée, portéecollée allouée à une sorte dee Passé tracé qui en  vré&i est tracé des termes ainsi inculqués vie -satiété colère genrée cxharge émotionnelle on est qui on est Verbe -Trait on monte szur pied on colle on veut toucher de cxhez toucher le VErbe = les données de Terre = Données Vives auto-cernées POntes de données portées Oeufs AutoriqsésOn colle on veut cerner on veut coller-cernezr aux données du "dire)-rire" on ne veut pas laisssr tomber on veut :

absorber consacrer percer charger produire vivreallouer à une pensée une sorte de "destinée votive" = un Passé du Rire

 Passé né la mort passée On veut toucher toucher rtoucher troucher toucxher rtoucher toucxher toucher à du gros rire personnifiée corporéifiée ou concrétisé et n e pas sombrer jamais mais tout au contrairee continuer de chrzrrez continuer à dire -rire les données du vivre telle que déployèées en ce pré aux vivres puyis ................au-delà du pré ! sur Néné ! néné-d'hydre" ! le passé est le passé qui prête à rire ! on veut coller-toucher dire)-cerner porter-charger sonsder-poussserr aller jusqu'au néné téter le dire frais de l'hydre postée et du coup se raviçgoter refaire l a cerise ou se requinquer aimer de chez aimer contuinuer le cxhemin tracé aller toucher cerner dire et foncxer vers ............ du gros rire d'hydre LAIT de F2E  lait donné lait des laits on  v eut coller coller coller coller coller coller coller colmer coller coller cxoller cxolmer colller coller coller coller coller coller cxolller coller on veut ou on voudrait coller collercoller coller colller coller collmerà une vérité de Rive : le Paqssé ! car

le passé renaît inconditionnelleùent immanqu&blement in tentionnemllement dee ses cendrzs une dfois les cendsres toutes dépassées soit la mort allouée et du coup on renaît ... à base de Lait Lait sucré conditoionné ou reconditionnée et nous voilà à nouyveau parée pour ainsi de fait nous replacer en cettte qsorte de vfoie docte voie de roche aux bêtes de porte on m=onte on revient on pôrte parole on creuse haute mottes meutes voix de pause chants totaux les fondamentaux : chants de porte chants royaux chants des boyaux hauts mots dits "des caniveaux ou du niveau des caniveaux" on veut coller haut les "mots de trop" et chercher de fait les 4 Vérités en ces dites "contrées" on veut toucher on veut ou on fvoudrait toucher toucxher toucher toucxher troucher toucxher toucher toucher à ce néné de l'hydre alloué à un dire-rire post-éternité ou commeht dire ? l'hydre du rire est un dire-lait ou lait-dire de belle couvée on vfeut vivre on veut = on voudrait :

dire de chez dire 

porter de chez porter

comprendre de chez comprendre

sonder de chez sonder

poussser de chez poussser

creusqer de chez creuser

allouer de cxhez a llouer à un e Vérité le poids (majestueux) du Rire Nerveux et creusercreuser de chez creuserfoncxer sans plus s'arrêtrer

 chercher vi f la VFérité Lacté dees données célesteszcx : voie lactée comme s'il en pl'euvait Rire auto-généré à partir du Rire Retrouvé On veut coller = dire = donner = saisir = pousssrr = chercher = donner = porter = sentir = dire = naître = p araître = sonder = cons acrer = prier = sz'agenouillerr = do nner = cerner = cerner vif et longuement ou durable'ment les données actuives d'un rire "de rive"

 à savcoir 

de ce rire octroyé ici à uhn Passé 

comme retrouvé 

Passé-Dire / Passé acté quien vrai 

est ...../..........................................................................................................................?................................................................................................................................................................................................................................................ le passé de l'hydre ! 

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13/3/2025

On trace ! On cherche à ensemble ("toi et moi")  comprendre ici et là, tout un tas de choses en ballance : les tracas de soi, les parades, une sorte de paroi devant soi qui en vrai  est (serait ?) notre chance ! On est les fée (ici)  de la transe en ce parvis ! On veut comprendre = on veut tracer,toucher, creuser et nous lover en ce dit "pays sage" des tracés. On est femmes (sardes ,) collabées, accolées, de telle sorte que voilà en vrai on est là  tracées comme peut-être deux ailes de fée qui se seraiot ensemble faufilé jusqu'aux nénés post-p^ré, au plud lointain envisagé. On cherche ensemble en vrai, ça signifie qu'uon cherche à faire auinsi que cette vie ici (vie entre deux parois)  soit une vie de type "prairiale" , . On va, on trace, on creuse, on dit que ça (la voix) est une sorte de "cri de rage" en veux tu en voilà, qui nous donnne de quoi passer (de face) en ce paysage de la paroi. On entre ! on veut croire en ce qu'on voit d'unebsorte de ... croix, qui, de fait , serait pour nous .... eh bé Tout ! et pas : rien du Tout ! On est la Fée des formes, on entre en force, on charge aux épaules ! ailes et torse ! on est fée-forme entrant de face en ce paysage d'une sorte de façade intense, façade de traces, traits marqués, on charge = on entre = on passe = on traverse = on se retrouve cul oar-dessus tête comme à la ramasse le nez dans l'herbe au milieu des bêtes, bêtes de poids, broutant herbe sans gêne. On est les fée s du Verbe-Herbe, ou bien de l'herbe-verbe, herbe verte -verbe ..... dans un "sas de Rêve " ou semblant de sas, car, voilà, on est là, comme deux en soi, deuxc pour un Soi dit "de parade" au milieu des traces . On voit .......... la voie ! = le tracé ancré, sentier, menuet. On danse ! On est passée s ! On voulait eh bé c'est fait. A présent on se doit de bien considérer les choses avenantes en tant que données qui, toutes, peuvent ou pourréient nous renseigner sur ce qui est en cette sorte de prairie "filtrée" des bêtes "remontées", rosses, groosssses, broutanjt herbe du pré sans s'arrêter . On est la Fée du pré, on aime aller = danser = se donner : on monte ! On remonte ! on veut toucher toucher toucher à cette chose d'une "Porte Docte" = le Passé ! la trace innée ! une chose du passé est portée (ou reportée) sur Ombre et nous ,

et nous de l'approcher si possible au plus près ! On veut toucher toucher toucher toucher à cette chose , d'une sorte de dopnnée haute, à devoir toucxher ! Et nous 

d'y aller , de gagner sur la chose sans jamais traîner car voilà, on veut et voit ça, parade nuptiale, traits de soi, porte et mansarde, on vfeut comprendre et toucher ensemble cette sorte de ................. Roi ? REine d'Ambre ? une Voie est là pour soi, à prendre et .... hop, nous voilà là, prête à comprendre u n post-paroi, paysage des voies, ..... croix de bois ? On va ! on monte ! on cherche Trône ..... ou sinon Trône Porte, Porte aux voies à dfevoir voir ensembkle une fois là ! car voilà : on est passée ensemble. grave on voulait. On voulait grave ça, passer ensemble. On voulait grave travezrsrrer pareil muret des fobnds de pré et du cfoup poussser, pousssr loin en ce tracé, et gagner de chez gagner l'après-pré dit "Mer ÉGée" ou sinon  "Égeé" "mer desv Fées" ou sinon "mer des Fées" "mer des traitsz" ou "mer-néné" ! car il s'agirait ....... d'une mer de Lait ! hé ! qui sait ? qui sait en vrai ce que ça serait qyue cette sorte de marée de Roche ? une sorte de ........... mer morte ? On ne sait de fait ce que c'est en vrai ! onn cherche un Nom caché ! On aimerait (grabve) soulever le lièvre, et tracer, tracer sans s'arrêtrer , le plus grand nombre de Vérités qui (de fait) seraient pour le coup, les Vérités dites "intrinsèques" à une sorte d'après-pré céleste ! on cherche ! On veut grave grave trouver et pas à moitié ! chercher paertout, en ces quartiers de l'après-pré céleste, un coin dit "donné" aux vérités ancrées, genre "saturées"  = complètement vraies ! On a encvcie grave, de tracer de chez tracer sans jamais traîner, mais fissa aller et gagnezr gagner gagner sur ça, cette après-paroi , après-pré et re-après (en quelque sorte) paroi, qui nous voit tracer = filer = foncer , vers .......... Néné né dans une sorte de .... fossé ? creux des voix ? chose haute mais quoi ? après-porte ok on voit ça, mais en vrai quoi après la porte ? une sorte de Voie mais qui serait quoi  :  on mo nte sur quoi (en nqiuelque sorte) ? Voie de s Rois / reines des Tas ? tas de quoi ? on monte ! on cherche en soi de quoi cernert-piger de fait, un certain  ombre de vdo nnées ancrées , ancrées de chez ancrées, en cette sorte de Mer Donnéb e, Mer des fées ou dite "des Fées" ok, mais où elle est en ce post-muret ? et que fait-elle d'elle en vrai ? des vaguelettes ? vagues vertes ? On cherche ! grave on recherche ! on ne s'arrête pas de , pour le coup, tracer - gagner et filer-creuser afin de trouver qui de vquoi est là qui nous regarderait de biais peut-être pas, qui noius regarderait de biaiçs ou peut-être pas mais qui serait là à grave nous mater pour nous attirer, nous faire aller jusqu'à nous présen(ter, à ses ...  nénés nés ? sein de trait ? vache à lait ? on ne sait pas ! On voit que qiuelque chose ici se ttrame en vrai mais quoi ? ou se tramerait, genre .... lait tiré ! lait treait ! et trait de lait à siphoner (avidement) si tant est (ou si jamais) ! On est tr&acée, on est pour ainsi dire toute dessinée prête à traverser l'ultime muret en rotondité et nous reytrouver ... à vouloir ou devoir ( ... vouloir !) téter de l'autre côpté, le bon lait tiré, lait entier, d-'une FVache sacréee , qui sa it ? On trace ! on en avance. On veut comprendre ce qui est, de cette voie-là, qui nous "tend les bras" .... et nous de voir ces bras comme deux bras de ................................... mer

 des Rois/ Reines 

reines des Lois ? on voit là-bas les vagues post-paroi, Chance des Treanses ! on voit les Roi / Reine des Transes, Treanses et danses et falbvalas ! On bveut ou on voudrait toucher à ce qu'on voit là, qui , on dirait, se pavane ..................... c'est quoi ? .................................................................. on cherche ! on ne sait pas ! mirage de la foi ? une croix ?  croix céleste , ça peut ou pourrait être ! On cherche une Croix quand, peut)-être (qui sait ? ), il n'y en a pas ! On mate sévère ! On essaie de faire ................................... ça : Corps de Selle ! tresse ! une sorte de tresse !  iun e sorte de tracé de tresse, vers ELLE ............... vache à la&it ??? on ne sait . Et du coup on cherche , on recherchge un accès. On est passée en tant que fée "derrière", et , à présent, on se ditb que, peut-être, ce qui serait bien ce serait , d'y aller ensembleb à fond la caisse sans tarder , et du coup nous téléporter ou comme nous téléporter ... jusqau'aux dits "nénés de l'ombre", ", ombre haute = ombre portée, qui serait ... ombre donnée par ... eh bien on ne sait ! on cherche encore ! on n'a pas fini de chercher mais pasb grave en vérité car, on y croit, on est plus que motivcées, on croit grave au ..... passé né ou re-né après le pré, l'herbe folle et autres herbes haéutes. On croit grave à une sorte de Passé quyi reviendr&it comme nous titiller et nous m=ontrer des choses , choses drôles, comme  : une sorte de Corolle ! Fleur -hole ! fleutr des fgleurs à corolle-hole ! porte des données données ! amabilité ! retour aux nénés comme qui dirait et la chose sezrait toute entérinée , achevée, adotptée, mise surt pieds et lancée de chez lancé à jamais vers une Vie nouvellement teracée de trype "Destihnée Sacrée". On est Fée un temps paradisiaque (prairal ou pré-al) et puis voilà, on sort de là (enceinte / voie) et on voit quoi , on voit ça : La chose Haute = Trône ! Trône de bois ! Sein de cCrosse ! Lait -Voix ! à boire, pour, soi , changer de croix ? On antre ! on entre entre ! entre deux voies : une sorte de ..................................................... sente (csentier d'ambre) à prendre . On va là ensemble, on "marche", on en avance, on va en cette voie "de chambre" chercher "sente" = sentier d'ambre à soi. On ne veut pas s'arrêter là ! on veut grave comprendre, la Foi, en soi, à quoi elle se rapporte et qu('est-ce qui pourré&it, nous dire des choses , révéler, donner à nos gouyvernes de quoi tracer , cerner et allervers plus de V2rités sur .... ces Nénés , de l'outre-monde ! On veut creuser pour ainsi dire "dans"" la V2rité , et puis comment on veut !! On ne veiut pas "passer à côté" sans avoir un minimum creusé de chez creusé en cette sorte de ......................... mont aux Nénés ? Monts)-Traitsb ? mont des TRaits ? Monts-Néné ? Mo ntée ? On est née de fait ..... à ce Passé post-pré qui (en vrai) nous intéresse grave, car, on veut ........................................................... 

(roulements de tambour) .............................................

RESSUCSCITER EN CES CONTRÉES DITES "DU PASSÉ" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et en plus c'est vrai ! on ne veiut pasc"rester à) quai" jamais mais (vrai !) ressusciter de chez ressusciter le muret (mur du son- ) une fois passé , se retrouver comme (quiu sait) ?) peut-p^être "dépossésdeée " en qielque sorte d'une sorte de Personne Nôttre,; mais peu importe ! on monte ! on ose ! on monte haute ! mort d'homme, donne : Haute Forme d'Hole , genre Famme Accorte,,Traits de Forme Haute, Fée-Bébé de Roche, fabulosité grosse , Ombre-hombre-Nombre sur Passé vde Porte ! On mùonte ! on est haute ! on est grave haute ! on est femme d'hole, ombrte nôttre passé la porte. On veut de fait toucher toucher troucher toucher à cegtte chose d'une bsorte (il semblerait) de "Néné du Passé" , passé de rocxhe (?) , et aller ..... tracer = téter ! car, téter est de fait la chose 

 à  ne pas snober ! On se doit gravfe cde téter le lait (post-porte) et de s'en pourléchezr nos  babines mouillées ! téter = manger = prendre = comprtendre les données du laitb , en tant que membres situés d'une sorte de "langue-force " ! mots de porte = mots d'ombre = mets = lait !du bon lait des ombres,  ombres mortes (mortes ?) et autres zones a ncrées, où on ne sait en vrai car, on ne voit pas loin ... au-delà des ombres ! On voudrait ! on voudrait bien ! On grave aimeréit ou voudrait bien en vrai , voir loin loin loin, aiu plus lointain des zones p^rofondes, loin dans l'ombre , l"'éclairer, éclairer la zone, les confins, fins de roche (?)  des données Hautes, fin des fins de Trône ou Commenjt ? Haute Époque au firmament ? haute Roche d'Ombre ? Zonee Ronde ?   Forme de ............................... croptte ? ......................./..... corps ? ............................... cône , ....................................... cône-zone ? ...................... con d'hole ? ............................................... dôme , ............................................................................................... comme une ombre qui (ici : post-prairie) montrezait la Choseb à devoir  approcher en tant que ............... Baby-doll ? ou seulement de .... Bébé-né , la mort passée ? On veut toucher à ce Néné des Données Hautes, à cette sorte de Passé des "promenades endiablées" du genre ... tarentelle ? et auteed deanses surexcités ! ON ne veut pas aller pour aller mais grave aller de fait pour en vrai cfomprendre de chez comp^rtendre de quoi ifci il en retourne ou en retournerait de cette chose ou sorte de chose intense , dont le nom en france est : LE PASSÉ-DANSE ! sorte de danse dense ! danse ensemble ! sarabande en bande ! on avance ! on tourne -vire du ventre ! ça incise ! ça rentre ! ça envoie et charme ! on danse en transe et du coup .... on passe, grave, à travers la Paroi, la Paroi du Roi , des "REibnes FRanches" et autres "REines des Voix" . On est la fée dite "surnuméraire" aux dixd doigts et autrees ailes "de paroi" ! ça enfle ! ça envoiue du bois quand on passe .... car on passe là (passage de france ?) jusque là : sein des traces, lait amer, trait des traits sacrées, paire de nénés traits. On ne veut pas ou plus, en  vrai, passer à côté, d'un tel massif de traéits, mais tout au contrzaire, en profiter sans se monter le bourrichon ou se poser triop de vquestions, de celles qui, de fait, désespèreznt et vous fichent le bourdon pour la semaine ! non ! On veut aller fissa (hors cimetière) toucher le pompom ! on aime ! téter de chez téter, un peu de ce lait desvFonds . creuser = dire ce qui est en ce tréfond hors cimetière et dont le nom est ......... Terre-Mère ? re ? re-terre-mère mes aïeuxd / aïeules ? en mieux ? On cherche ! On veut (on voudrait) cerner au plus pr§ès, une sorte de "vérité des vérité" qui , de fait, pourrait rapidement à nous se révéler en ses quartiers et nous dire ce qui est d'une sorte "d'après" . "daprès cimetière", "d'après quartier d'herbes" ........  et nous enseigner "ce qu'il  faut faire" pour en vrai durer de chez durer en cette sorte de contrée posqt-herbe ............ comment Faire .............. comment tracer ............. comment dire les données qui nous seréient données et de pied ferme ou à main mlevée ou peu importe la manière, le tout ici est de pouvoir compter sur un tracé : ferme, ancré, comme enraciné ....... dans le Verbe ? Hé ! voilà qui , en vrai, grandement nous intéresesse ! qu'est-ce que c'est que ce dit "enracinement"des vies ou de la vie dans une sorte de "paradis" que serait ..... le VErbe ! on l'a dit ! on a diçt "le Verbe" ! est)$-ce qyue ça sufiit ? est-ce que dire ça suffit pour être ? on a dit "le VErbe" en ce dit "Paradis interne" à une sorte de prairie, prairie post-mortem ou disons d'après la vie ! vie de terre ! paradis des VIes interneszc à ici une sorte de vie comme inscrite entière en ce dit pays "des do nnées de Roche Haute". On monte ! On dit ici que de fait la vie, post-mortem, est Vie de traîne , traîne d'herbe, puis, au plus loin des lointains mordorés, à la fin du pré, une sorte de "contréeb du Verbe " ou comment oub qu'est^-ce ? On veut trouver ! trouver ou se retyrouver ! on ne veut rien lâcher. On veut trouver ensembkle les données de base qui, ici, nous dirait en vrai ce qu'il en est de nos "souffrances passées" et aussi de la France Narrée, france du français en tant que langue saturée, pratiquée, inculquée-gravée, enracinée en nos antres de fée tracée à mainn levée sur "paroi franche". On cherche ensemble ici et là une sorte dee ....... tas ? tas de vfeuilles ensemble ? tas de Voix ? voix de l'au-delà .... aux antresz ? ?On veut ça : le Ça ! la Charge ! une charge en soi afin de mieux comprendre = poussser, pousssr droit dans ça, l'ambre ! ombre des Rois / Reines des Voix ? On veut : 

comprendre ensemblke pas mal de choses

cerner ensembvle le polus possible 

toucgher ensembkle à une (sorte de) bête de CFRance (farce) ma foi

tracer eznsemble ici ou là ... eh bé ce qu'on pense qui serait en vréi et pourrait nous aider à nous y retrouver en cette marmelade de données données.

Chercher = dire ce qui est, de ce dit muret "des finalités", et toucxher = aller = fonder = crueser = sonder ledit Passé des Données Ancrées, de type .... le français (langue .... sarde ? sale ? sade ou maiussade ? ) et allez ! on chasse les noires (mauvaises ) pensées et de tracer ensemble le Tracé aux fées "paradisaiqque" (le tracé) jusqu"'aux dits "Nénés Intenses" = plein de lait frais à devoir téter ... dx'urgence ! On voudrait ! On ne veut pas (on l'a dit x et x fois) passer à côté, d'un lait aussi sucré-salé voire acidulé tel que rencontré .... APRÈS ........... APRÈS LA MORT DU PRÉ .......... APRÈS LE PRÉ QUI EST LE TERRITOIRE "ANCRÉ" DE LA MORT DONNÉE .......... APRÈS ICI CE PRÉ QUI EST L'APRÈS D'UNE SORTE DE VIE DONNÉE  , COMME SOULEVÉE , ET PUIS VIENT L'APRÈS , SOIT L'APRÈS -PRÉ QUI EST DE FAIT CE DIT "SEIN DONNÉ" D'UNE SORTE DE MÈ!RE ALLOUÉE À UNE SORTE DE ..... PASSÉ NÉ OU MÊME RE-NÉ À LA VIE ... TRACÉE EN SAINTETÉ OU DITS DE SAINTETÉ ! on est  ici ................. en vie ............................... vie vraie ............................................................. sur un  néné à lait à pouvoir téter et c'sst exactement (de fait) ce qu'on fait en tant qu'on renaît, qu'on redevient Bébé sachant téter de vchez téter le lait (Verbe français AQUI) du Néné Trouvé ! On re-vit ! On re-devient Vif / vive des traits , on revit comme qui dirait et c'est un fait qu'on doit ou qu'on se doit de bien considérer si on veut "tracer" = "cerner" . Car, tracer = cerner ! courir = comprendre et comme relever (des entrailles) les données franches ! On ne doit pas (du tout) lésiner sur ces données mais les toutes bien considérer dans ce qu'elles montrent (montrre raiaent) et présentent  de la Vérité . Sachez  toucher ! sachez vous approcher et aussi toucher de chrz toucher à ce Néné-né né post-pré et rempli de lait qui est du ........  erbe-Lait ! VErbe-Herbe-Lzit ! toute une chaîne de  données tracées faisantr la navettre, enttre d'un côré la bête, la bête du pré, broutant l'herbe, et de l'autree le néné , le Pis tracé ou dessiné, empli de bon laiot ferme (ou lait de ferme) à bien déguster ou même profiter. Il faut toucher , toucher de près, afin de téter, et téter c'est aimer ! On veut de fait aimer (= téter) ce lait de traite , et être comme toute re-née , revenue nue à une vie relue, re-tracée, re-compiosée et re-trouvée au -delà du pré  , du pré donné (Mort-mort au taquet) sur Néné  Rompu aux finéalités toutes lactées , genre Voie Du Cru, Vloie Lactée Vue , ÉToile et trait. On est re-née sur un Passé connu mais oublié ou sinon oublié effacé ....... ou sinon efgfacé aloué à une sorte de ............................. petite mort ............... = ombre ? On monte !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! hautesc = 

le plus haut qu'on puissse !.............?.?.???????????????????????????????????/........................ ivres ? ......................On ne veut pas passer pour ce qu'on est pas, on veut en av ancer ensemble en cette toundra qui nous "tend ses bras" et nous (il semblerait) rassemble ensemble afin de voilà, faire de nous, sorte de COnvoi de .............. gnous ???? gnous de l'au-delà ? tu vois ça ! ça enttre par là ! ça n'arrête pas ! convoi dit "de sages " et autres s""savantes d'antre" ! On est  entre ! on s'interdessine ! on ne veut pas manqauer la prise ! On veut "FIGURER" sur l'affiche et du coup COMPTER DE CHEZ COMPTER en tant que fée aimée , fée adoptée, puis ........ bébé ............ au-delà du muret soit du cimetière ... "aux fées et aux herbes" . Tracer = aimer. Dire = toucher . Conduire = poussser ; Charger = donner. Porter = consacrer , à une sorte de donnée, un Rire en vrai, charges comprirses = le Passéb ! car, le Passé est ....... Rire Frais , Rire Entier ... comme du lait non-écrémé ! ça le fait en v  rai ! ça enfle ! l'Antre, l'Antre aux données, se voit (comme qui dirait) visiter par (ici même : pré-) une "fée de france" = fran che camarade en transe ! fée de france = parlant force mots de frannce en transe , ou , sinon en transe : de base ! mais la base est transe (en vrai) ou sinon transe : danse ! danse-transe au taquet et le tour est hjoué, on entrte ! on entre en cet antre aux donnée"s larvées, pré, pré des prés, paradis sondé, paradis du dit, par adis -centtre et nous voilà en tant que fée ailée (= transformée en fée) qui marchons ensemble et de connivence (aile et aile) vers ....... sorte de Passé de Rage  ..... Passé -trait , ou même : trait du Passé, trait des traits d'un passé en ffrance (en langue de france plus qu'en france)! . uN passé est né (re-né) qui était "en souffrance" en ce Néné ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait dense ! lait rance ? lait des laits de france franche , sioit : du français lacté ou quelque chose de cet ordre (aux laits) . On est lA fée en somme des dOnnées Intenses, du Passé caché,, des souffrances larvées et autresc maux de trait à jamais enkystés ! qui on est ? trait ? treait de fée ou trace ? charge ? charge-trait qui serait trace, trace de fée ? rtrait sur pieds et on dirait que ça serait ........ intense, comme donnée ! On ne sait ! on creuse ! on n'en a pas fini de creuser ! On n'arrête pas de cfreuser, creuse que tu creuseras, on envoie ! on envoie de ça : la transe = la danse = parade = paradis du dit ! charge mentale ! mise en plis et autres parades, aux bêtes )-foirail (ou plutôt "de foirail") . On est comme nue venue la mort mordue. On est  vue nue dans la mort crue ! on monte ! hop ! on ne cesse ensrmble (ailes , ailes, ailes, ailes) de monter-comprendre = grimper, fgrimper de chez grimper pareille montée aux divinités . Qui on est ? fée, puids Bébé, puis ........................................................ qui sait ?????? ;......................... qui sait dire en vrai les différentes directions données à une vie ressuscitée ou come ressuscité par l'effet du ......... rire alloué ? à une sorte de ...... néné post-pré ? On veut de fait ensemble "toi et moi" creuser et du coup toucher ......... à du dire de fée , à des dires ici de fée Nacrée, à des dires enthousiasmés de fée ancrée à une sorte de TRacé de Pré, sentier, voie menant direct aux données lactées, célestes , vraies, d'une sorte (pour nous) de Vie REjouée ! 

On touche le néné= on boit du lait ! ça le fait de fait ! ça envoie du bois : vois ! bois ! ne t'arrête pas ! bois de ça qui est du lait dit "des voix de l'au-delà ddes voixb " ......................................... Qui on est ? on veut en  vrai essayer ensemble de le deviner ici ou là en ces "contrées sages". On est toutes en vrai comme "remont"ées" , du fait que voilà, on s'est sentie un peu "ignorée" en tant que fée, mais c'st parce que en vrai quand on est passée ....... on n'était déjçà plus ... Fée, méais redevenue (pour ainsi dire) un Bébé nu ! bvébé tout nu renaissant à cru , Du Passé Connu (§reconnu ?). On est Fée un temps patent, mais passé ce temps, on devient "Bébé des Champs" = des données profondes hautes (hautes = profondes). On devioent ... Autree. Bébé d'Ombre (des ombres) renaissant ! On est l('ombre de l'ombre d'une sorte de ...................... porte aux ... Mortes ?? Ombre des ombres hautes ? Ombres Hautes des Données profondes : bébé -né de poche  haute ................... en son ombre ? On monte ! On veut c'est vrai aller ensembkle à la recherche d'une sorte de ............... co:pte ..................... compte docte ...................................................................... ................. et auttres comptes courants ............../../..//////./.................................../................................... afin de pour le coup cerner-toucher à ces bijous données , données données, du dire caché ! chou caillou hiboux : on dirait du lzait ! en est-ce de fait ? on chercghe ! on ne cesse de chercher en vrai , ce qui ici est qui pourrait sans exagérer nous aider à situer de près, ce qui est qui nous rassemble et nouscresseemblke : traits ! traits des traits ! génétiquement anccré il semblerait mais est-ce vrai ? ou : est-ce en vrai ce qui est qui compterait, au t aquet  le plus, sans rigoler ? On ne sait car,

 on est pas non plus toujopurs topujours armées pour comprendre ou cerner un Tout qui seréit le TRout des "Données-Force", car , voilà la chose : on ...... tète l'ombre ! on ne cesse ça : de (vaile que vaille) téter là, le lait -voix , la voie -là des données de RAge, TRanse ! transe rance ? non pas ! on entre ! on entre en transe ça se voit : on bande ? on bande sa voix ! on parade ! on cracche ! pisse-roide ! on ttrace ! On fait caca , va ! on envoie ! on est pas là pour faire sa méchante hautaine et fière soeur de Rage, mais quoi ? dire de soi, les sentiments sages, les données de base qui, pour le coup, seraient "du doux" ............ aller de chez aller comme un bébé téter , car, en vrai : ON EST

 CE BÉBÉ DU TRAIT ! ON EST 

devenue (de fait) un bébé, quand la mort est tombée, quand, là-bas, derrière nous, la mort a chu ! a sombré en ses quartiers au pré ! on est en vraie (fée) devenue bébé (vrai) nu ! ce bébé non-genré aux données lactées . On est née au néné , né/née aux nénés du cru .................. à donc pôuvoir de fait téter de chez téter le lait (le bon lait) de la bête-trait ou bête de trait , vache à lait sacré, nacrée, ancrée en ce passé des données celestes  (celtes ?) . On cherche en vrai à comme qui dirait ne pas oublier ce qui est mais comment faire quand de fée on se voit transformée (de force ou de gré) en cette sorte de bébé de trait, bébé -herbe, bébé né le mur du son passé , à une vie nouvelle , xde trype ........ Verbe ! verbe tracé ! verbe relevé, retracé, remmonté, recomposé en une sorte de Chair Ancrée ... en un Passé de Vie Entière entièrement renouvelée ...... qui sait ? on est née bébé aux traitsq, qui sont traits de ressemblance avec (ici) une sorte de ............................... transe ? danse en transe ? chance ? On entre ! On veut passer passrr passr ensemble (contredanse) le muret , et tracer tracer tracer, sans se retourner jamais, vers ici un N2né qui seraéit le n2né ... des "Données Intenses" du PAssé reformé ou sinon reformé re-assemblé ou sinon re-assemblé re-porté comme à ébullitio,n ou non, à ............................................................................................................. point nommé  = Trait des TRaiots ? ................................................/............. On veut = on voudrait .................../........................................................... toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher au plus près du plus près les nénés donnés à devoir (pouvoir) téter sans traéîner : hop ! on s'y met et pas plius tard que tout de suite en vrai une fois née (re-née) et le tour est joué ! on ne veut p)as passer , à côté du lait , et s'en priver ! nâ ! on veut quoi ? on veut :

sonder là la voie,

dire ce qu'on vcoit de pareil convoi de bêtes de poids,

chercher là, et là-bas de fait, .......... un tracé tracé menant ainsi au chant ............ et, pas qu'au chant, aussi aux ... champs, champs de blé et autres céréales ancestrales (données données) .ON veut toucher parce qu'on veut creusqer, creussezr = toucher, toucher = creuser, et bnous, du coup, on ne veut plus du tout s'arrêter de creuser ,  en ce terreier dit "des données héautainesz" et autres donnhées post-mortalité. On veut :

creuser dur

charger de chez charger

compioser en quelque sorte avec le passé

dire les données, donner les dires

porter = soulever = rassembler, ici et là, devajnt soi, les données de roche , porte à porte. On est née Bébé la mort dépassée, on devient Forte, Forte Morte ? On devient .........../..............eh bé, ledit  bvébé de la Roche Passée ! re-né ! on renaît

 au temp)s Passé, ou comment ? car, voilà la voie (voie lactée tracée) qiu'on voit : Parabole ! Hole ! trou de voix ! la voix szerait la voie serait la chyose qui (ma foi ?) nous ferait ..............d xrôle, en tant que vcoilà, nous serions Chose = toute chose, de nousc sentir là, comme revenue nue à du convenu, ou du déjà vu , ou comment SVP on pourrait cernerrt , cerner-distinguer, trzacer, noter en vrai, cette chose comme retrouvée ou sinon retrouvée reformée ? On est re-née de fait après ..................... après ce trait dit "trait de fée" ? On veut toucher toucher touycher à une v2rité qui pour le coup serait physiqauement concrètement rejouée ou reformulée à un temps du passé mais qui serait ........ devant, avalisé, colmme une sorte de donnée "venante" ! re-naissante ! On est Née  ! yeeeeeeeeeeeeehhh ! re-la vie des formes et autres traéiots tracés "devant la porte" ! hautes forces ! corps et ports ! sons de cloche au plus haiut degré ! On veut en vrai essayer (nous-mêmes par nous-mêmes) d'y aller (pas à moitièé) vers ledit "théoprème" des données tracées comme à main levéevp)ar une femme (on le dirait) néanbdxertalienne ou disons ancienne, anciennement ancréeb en cette sorte de

 "Poème aux Avancées" . On est Fée des F2es, puis Bébé né, puis ....................... re-le trait .................. très accfentué ................................. sur pierre ! hé ! trait = traite = filet = lait ! le trét est du lait .......... qu'on aime téter = boire à la coulée, au donné tracé et autre type de giclée en herbe ! lait de traite = verbe ! verbe ancré = inculqué = enraciné = donné de chez donné comme de l'herbe du sentier ! On veut touycher toycher touycher toucher toucher toucher toucher troucher à cesc données en herbe verte sur-représentées mais c'est (de fait) ce qu'il nous fallait pour durer, aller de chez aller au plus lointin piossible des données tracées, célébrités, célébrités, célebrités, célé-brités, célébrités, de bonne renommée, dic-vinités, célébgriotés de bonne renommée = remises ! sur pieds portées ! re-composées ! hautement remontée en termes d'ire et autrszccolères divines mais mèfle ! on le voulait : on voulait durer ! on voulait téter et du coup durer, endurer ok méis durer ! Car , vie entière = vie chargée de Verbe ... a(alambiqué ? qu'est-ce que ça peut faire ! ce qui compte ici c'est de durer le plus possible, et du coup ... de teter la frise ! cerise ! traits avcidulés ! lait de frise en friche et autres laits pour ainsi dire saturés de données la ctées , de type ............................................................../................................................ amabilités ? ../................................./ vivacités ? ........................................... saintetés ? ................/...................... visiblités ? ................../............. ou, au contraire , invisibilités ? ..........................On cherche ! on n'arrête pas dfe chercher dans l'herbe  , dans le pré, partout où on est, les données premières, ce qui a ou aura ou aurait de fait "cvonditionné" le Théorème; On cherche en vrai : on tète ! On ne cesse de boire de ce lait de traite , lait acidulé d'un corps donné qui se serait ainszi offert à notre volonté dee pouvoir durer de chez durer sur terre, en tant qu'être alloué à une sorte de "divinité" dont le nom est ..... VERBE ! VERBE DE TRAIT (DE TRAITE) ET LE TOUR EST JOUÉ SANS TRAÎNER ! ONn veut toucher =  cerner = dire = conduire, ici ou là, le  verbe ..... e,n ce sas des Voix ! voix de l'au-delà à soi .... outre-mère ! port aux Princes et Princesses-Hourra ! On voit ça : -phrases denses, danse en transe, parades de rage et autres rage-sparadrap ....... DAnse de Voix ! charges mentales , ça envoie sale .... ou pas mais qu'est-ce que ça envoie ! On passe ! on trace ! on veut comprendre (dans la foi) le fait que voilà : la mort (verbale) est incommensurable ! ne se peut pas, est inenvisageable : pas la place, car , voilà , la Mort est ........... phrase, que ça ! une phrase de passe, de passage, trace -tré&its de fée de rage ! une sorte de Passé qui , de fait, régulièrement, refait surface et vient combler ...... l'espace ! l'espace dense des données phrasées (verbales) allouées ainsi à ........... eh bien .....  la CXhance = Danse (Endiablée) des donnéesd franches. On est la fée devenue un bébé la mort enterrée. car, oui , la mort, lma mort n'est pas donnée pour vraéiment (vraiment) longtemps durer , elle a son temps comme accordé , etnous, dès lors, de nous "re-dresszr" en tant que re-nouveéau-né re-né à une vie tracée, de toute éternité, da,ns le VErbe donnéinculqué jamais oublié : une manne de base, sein porté, chance (voilà la chance) du néné ! lait ! lait des laits traqués ou tracés ou donné ici de préférence à tel bébé alloué à une sorte de ....... Passé ........ en particulier. On veut :

dire et donner, pousssrr le trait, coller au ventre, portezr des données qui bnous sezraient données (au passage) de face, par .............. hé, une Divinité ! de type .......................................................................................... lait ! Le lait, du coup, serait une Divinité ..................... divinité lacté intense ........................ quelle chance ! on croit rêver ! on est , paspossible, charm"ée ! ou comment dire ! aimée ! aimée des fées ? ...............................././..... quelle chance en vrai ! on est soulevée ! on est soutenue nue comme à la criée et même cornue ou sinon cornue, boisée ???? on ne sait ! bête  velue ? bête à cru ? On est bête de trait (de fait ?) pour être ainsi aussi aidée, voire soutenue, par (qzui sait ?) une Divinité  du cru ? genre : Renommée Tracée ? Énormité, d'une sorte dee Renommée, qui, en vrai, nous collerait , alors même que nous, on se voulait ... quoi ? plutôt cachée, calfeutrée ............. ancrée en nos qu artiers et pas fgorcément aussi  montrée ou présentée  ! On veut toucher ok mais .......................................... à moitié cachée ..................................... immiscée ................................................... collée au néné ............................................ nez sur néné .............. à téter sezrrée ! ............................. sans jamais lâcher ! jamais ! non vu de près en fait ! car : nez à nez avec le néné-né la mort passée ! On est Bébé né, pouvant de fait téter vrai le lait ancré ! trait de fée sur Le passé re-né ! on est ! on est ! on renaît = on est ! on est née Bébé au Passé comme qui diraéit ! On nhe veut pas lâcher  le trait doré ! mais, creuser sanqs jamais ws'arrêyer  le tra&it dfes traits : une virée , une sorte de tracé donné, de type ........................................ sillon, , ................. tout au fond ! ;;............ trait d'union ! ..................................................................... on fonce ............................ on mùonte ....................../............. on veut = on voudrait //..................... aller de chez aller ensemble (fée) vers un e sorte de "dimanche enluminé" .............; flamme dorée .............. feu des treacés dorés .................. or des fées lactées .................../... bonté ! BOontées données et &utres amabilités, toutes deéployées ............................................................................ ceuser creuser creuser creuserv creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser s-creuser creuser cfreuser en ce Passé des données "de porte" ... hautes, hautes données et haute porte ! le Passé est né qui nous importe ! Haute Porte dite "du Passé de Roche". On monte = on ose = on dit := on charge = on est meurtrie ou pas , l'important c'est d'y croire et de toujours toujours touhjours aklller , de préférence, en ce quartier des fées, à la recherche d'une Entrée, Entrée de base pouvant mener, de fait , à ce Passé ... dit "de france", car, en ce qui nous concerne, on est née s (de rage) en france = en ce passé de langue sarde, langue de fée comme allouée à une sorte de passé de france, langue collée, soudée, accrochée à une sorte de ................... portée, portée des portées ................................. endiavbvlée ................. qui ressemùble, à s'y tromper, à une sorte de ............./...... parade,  parade animale ! a nimalité ... des données de Rage ....... mots tracés = bêtes de trait ................................. devenues franches = langagières = fraisches ............................ et ancrées de faéit en cette langue du français .......... dxes dernières flèches. On est née sur pied ............. dans la langue-flèche, ainsi tracée. On  est re-née sans cesse ! un tracé de terre ! une (sorte de) traversée des espaces vrais = termes ! une virée céleste ! THE virée terrezstre ........ et céleste si tant est ! On aime ! On veut durer de chrz durer et aller de chez aller, aéprès le cimetière, en ces contrées du Verbe faisant navette ou la navette, entre la mort dite "du cimetière" (paradis "céleste" agraire) et ce Passé aux Données Allouées à une Re-naiisance Fière ! le  Passé reciomposé ! alouette alouette ! un passé de traite (lait) sur-représenté ! car : posé ! déposé ! reposé ! re-reposé ! on est re-né  et re-née ! sur Passé de T^ete , genre "remontée" = "colère" ! grave énervée et nous voilà qui revenons (mamá montón !) en ces données do nnées d'une terre allouée à une vie entière surdimensionnée , hé ! parce qu'en vrai, voilà, on va ! on trace ! on avance ! on ne reste pas en place ! on est fille-fée aux traits marqués, on ressembkle à sa moitié ! aile de fée ............. cherchant aile de fée .............. désesopéreémznt .........../.................... sur le chantier. On veut creuser (jusqu'au firmament) un sentier à pouvoir emprunter, et (du coup)  charger , de données données par une Sommité dont le Nom de fait , est :

TRAIT 

TRAIT

TRAIT DES TRAITS 

UNE SORTE DE TRAIT 

TRAIT NÉ SUR PRÉ UNE FOIS PASSÉE 

UNE FOIS QUE SOI ON SERA PASSÉE OU SERAIT PASSÉE, 

PASSÉ OU PASSÉE CAR , EN VRAI (AU PASSAGE) CHANGÉE

HOMME DEVIENT FEMMES

FEMMES : FÉE 

FEMMES -FÉE DES DONNÉES DE BASE ............................ON AVANCE ! On trace, creuse, vire, vole, on monte ! On veut en vrai voler de chez voler jusqau'au ditb "néné des données de Rovche" ........... Rocxhe Haiute ............ poertte ................. porte d'entrée d'époque ou d'une époque haute ............. TOUCHER = TOUCHER, 

creuser / creiuser, 

dire/ dire, et du coup : aller = aller ............ vers pareille contréecvdite "du passé"

;;;;;; Audelà du pré, au-delà du saint-pré tel que parcouru e,n tant que ... fée ailée nue ............... jusqu'au dernier muret ici rencontré ! On est née ! née bébé sur pied ......... la mort archivée ! On renaît ! nu e ! nue des nues ! on renaît (post-pré) aux nues allouées à une vie revue et comme corrigée : le passé ! hé ! nue de chez nue et vue ! On est :

le bébé .................................................................... des données revuesxc .................................................../....................................................................................

On essaie ensemble de nous y retrouver ici en ce chanteier mais c'est vrai que cette chose n'st pas aisée, demande beaucoup , beaucoup

de concentration, de sérieux, de /

de concentration, d'investidssements, d'investissements partagés, de /

demande beaucoup 

beaucoup d'engagements 

Dzemande de, pour le coup, nous donner ensemble (toi et moi) à deux cent pour cent, . On veut, ensembkle, aller loin, en ces dites "contrées révéleées" et aussi toucher à une sorte si possible de vérité vraeie qui pourrait nous aider à nous y rterouver sur cescquestions dites "de mort"talité" , de "mortancréée" , de "mort allouée" à un Passé représenté, cf'est)-à-dire rejoué . On veut toucher à quelque chose, qui sezrait vrai, qui ne seréit pas du chiqué mais au contraire , à une vérioté tout ce qu'il y a ou qu'il y aurait de plus avérée, de pluqs fiable, de plus envisageable en tant que vérité des vérités pouvant donner (offrir) de quoi comprendre, cerner, mieux cerner ce qu'il en est, pour ainsi dire, de la vie -souffreance, vie tracée, vie à devoir subir (de gré ou de for ce) en son propre sabir. ON est née fée on dira "de tré&it" , car voilà : le temps passe, qui bnous voit tracer de chez tracer (en surface) une sorte de trait de type "pariétal -frontal" sur paroi franche . On veut :

toucher toucxhret toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher touxccher toucher toucher toucher toucher toucher troucher touchrt toucher toucher ctoucher toucher toucher toucher toucher touchef toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui, en vrai, nous ressemble ou nous reseemblzerait bquestion traits, trais ancrés, de la face et des doigts de pied , teréits falmiliers, ressemblances ancrées, connivences, familaerités de france et autrs ancrages sur-saturés ou sur-représentés du fait que voilà, on se ressemble, on a des traits communs de type ... ressemblances, marquées, incarnés, on se ressemble en vrai : on est "semblables" = moitiées de moitiées de moitiées de moitiés de x et x moitiées ici ou là nées (rencontrées) qyui nous "font face" ! On est fée franche, fée ornée, fée de rage, fée sainte-face des donnéestracées, puis .......;;;.......................................... hors du pré paradisiaque ............./............................. hors du puits ..................................................................................................... (dans "l'oubli " d'une nouvelle vie comme renaissante) ....................................................... B ............. B ........................................................................BB ........................................................ BB DE RAGE /...................................................... tétant ................................................; le sein don,é par le Passé-souffrance, 

incarné, fait, alloué, à une sorte de ........../............................... langue ................. langue intense = incorporée ................................... comme par la ba,nde . On veut toucher = porter = dire = sonder = conduire = pousssrrt = aller = faire = passer = chercher = rechercher = centrer , ici et là, le VErbe .................. sur Paroi-Toundra ! voilà ! on trace ! on avance ! on veut ça : la transe-parade, la voix, la Roche Intense, Voix des Voix et nous voilà, quyi traçons sur place, de connivence, une voie, voie des Voies sur Tremble ! car, on trace-touche, touche-trace, à pareille Paroi des Données Franchesc: Bêtes-Rois .......... bêtes-Reines ........ de pAroi -Foie ! traces de france = franches = de langue franche = danse ! On veut : 

tracer de chez tracer

dire vde chez dire 

aller de chez alller

poussser de chrz pousssr

se donner de chezv se donner

comprendre de chez comp)rendre les données intenses d'une sorte de passé de france = le passé moiré, comme dessiné, à la volée, par ... eh bien ,; qui sait ? une sorte vde ...... fée franche, de type F2e des Prés toute Acidulée , qui se seréit comme proposée, pour,, de fait, nous aider à nous y retrouver en ces dites contrées aux bêtes de trait. On veut :

toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher ... mes aïeux , mes aïeules en vrai, à ce qui est qui nous resse'mble ou njous reseemblerait comme deux gouttes d'eau : 

TRAITS , TEAIOTS DES TRAITS, TREAITS MARQUÉS, TRÉITS FAMILIERS , TEA&ITS COMME ANCRÉES OU GÉNÉTIQUEMENT ANCRÉS EN TANT QUE DONNÉES DONNÉES PAR UNE SOMMITÉ DES DONNÉES ANCRÉES . On veut toucher à ce néné au lait et deès lors téter sans discontinuer , sans s'en lassser, ou sinon peut-être (oui) une fois rassasiée, car ........ le lait, dieu que c'est .............. bon de chez bon ! une tuerie on dit ! on adoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooopooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooollooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooloooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooopooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooopppooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooopooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooore le lait ! on adoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooofre le lait ! on  adooore ! on aime trop ! on aime vachement le lait de trait ! on pourerait en téter szans s'arrêter pendanrt des années comme qui dirait ! On aime grandement = vacheme t = énormément, le lait de trait, lait frais, lait tout chaudsorti illico du néné en vrai ! On aime téter, on pourraitb téter sans vraiment s'arrêter pendant des années. On aiùme en vrai le lait donné, le lait qui suinte ou suinterait, le l ait giclé, une giclée de lait dans le gosier, téter téter téter, on adoore téter. On aime grandement = vachement téter , sans traîner, sans se faitiguer, téter de chez téter loe bon lait de mère, mère nourricière, vache sacrée, vfacche allouée à un post-cimetière d-ont, en vrai, le nom serait : le Passé , le PAssé de mère ? passé frais ? passé du passé ? ou "au passé" ? passé de trait ? passé-trait des données de ferme ? une fer(me (qui sait ?) "du passé" dont serait issue  la vache ...... sacrée (?) ... qu'on aurait bue ? dont on aurait peut-être bu le la&it , lait né ? On chercghe .......... ensemble ....................................... accolée en tant qu'ailes accolées , soudées, à une sorte de ...... oui, peut-êttre, trait ! tra&i des traits , qui nous tiendrait "ferme", nous rattacherait ou lierait l'une l'a&utre (à tout jamais) en tant que fée ............... On aime le lait . On aime grave les choses lactées, comme le fromage, petit lait, crème et fleur de lait, beurre salé, crème écrémèée et autrss léits frais ainsi tétés. On aime le lait, les choses lactées , comme  ........... la voie, dite lactée, les étoiles de lait et autres traits étoilés lactées ainsi avisés ou visualisés . On est :

tête , trait , tête 

allouée à des traits.

On veut toucher de chez t §(oucher à une sorte de donnée dont le nom est "TRAITS", car, en vrai, on veut ............................................ on voudrait ........................ peut -être ........................... rtessembler un peu .......................... à) l'être de feu ....................... feu l'être amoureux ; ................................................... naître /paraître ................................ à quelque chose près .................   à quelque chose commre ... une herbe ................................................................................................................................... deux herbes ................................ deux brins d'herbe ........................................................................................ à peu de choses près les mêmes ! .................................................................................. naître même ................................................................. toucher toucher topuycher topuycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher rtoucher à ce qui est qui , de fait, 

nous intéresse, nous captive, nous fait r,êver et halluciner, en tant que ............ fée du pré , Fée des termes , fée des der nières volontés sur pré et autres prairies vertes, fée ancrée en un jardin d'éden et autres potagers ................................. on veut creuser, creuser, creuser le Verbe comme qui diraiot (= l'herbe ?) un tracé ? une sorte de "sentier de VErbe" pouvant traverser sans traîner les allées (ou : difrérentes allées) des Termes, sqoit des données données d'une sorte d'éden consacré. On voudraoit = on veut :

toucher à c e qui est qui reprsénterait le VErbe = des traits ! traits acidulés ! bêtesde trait comme s'il en pleuvait sur paroi sacrée ! paroi roide ! rude paroi dure ! On est née Fée de bure, on pousse l'aventure, on trace et retrace, on va loin de base, ensemble ailé, jusqu'aux extrémités des extrémités ainsi touchées (trouvées) aux confins du pré. On veut passer vers .............. du Passé de Rage ................ téter rageusement le lait d'en face ! trouver = prendre = téter ! trouver le néné = (si on le fait bien) téter ! Car, téter est tout un  truc ! On se doit de bien apposer ..... sa bouche turquoise ! et oup, gloup, avaler, le bon lait de l'ambre (ombre ? ) versée ! trait = d'un tra&it ! bon lait = bon trait ! On veut s'alimenter du bon lait de Roche , bonne sorte. On veut :

toucher toucher toucher = téter téter téter ; toucher = téter ; téter = touchezr . On a envie en vréi de bien téter le bon lait de l'hydre , ici l'hydre, l'hydre sacrée = l'hydre ivre ! une hydre = un trait comme dup^liqué ! ivre ! hydre ivre ! On veut (de fait) téter l'hydre, sans trembler, sans jamais s'arrêter, en faisant ainsi qu'on fût rassasiée de chez rassasiée le mome,nt venu = en matinée, nue, accolées (ailes collées) pour former de fait ...........; cette fée de trait ............... changée en bébé .......... bébé nue ............. connue = nommée ............................... à jamais ....................... comme étant le bébé des dsonnées données en termes de .............. ^passé ! le passé ! passé né sur traits des traiots , genre tra&it de lait .............. une pissée ou sorte de pissée .................... allouée au néné tout empli de lait à  , oup,

avaler si tant est ..................... Le passé est né , qui nous "reconnaît" en tant que .... Bébé ! Et donc ................. nous voici (dès lors) comme adoubée, revue et corrigée. ON veut (on voudrait) toucher toucher toucher toucher toucher touctoucxher toucher toucher touycher toucxher toucher toucher rtoucher toycher trouycher toucher toucher toucher toucher touycher touycher à ce dit Néné-né le Passé re- donné ou re-alloué ou re-convqoqué ou re-tracé le pré quiité (paradis aux fées ) . On renaît, et ce faisant : on est ............ des rev-enantes d'antre. Portées cernées, allouées postées, chargées secondées, ceinturées aimées ou comme aimées des fées il semblerait  : vrai.


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11/3/2025

On veut ensemble aller au plus lointain possible à la recherche de données qui, toutes, pourraient, en vrai, nous donner de fait de quoi comprendre un certin nombre de Choses de base. Traits et retraits. On cherche à s'immiscer, et poutr s'immiscer il est pour ainsi dire nécessaire de tracer des traits (sur place) à main levée. Creuser = dooner = dire = sentir, ici même, ce qui est qui se présenrte. On est née fée, passée la rambarde, et nous voilà toutes acidulées qui cgherchons place, ici ou là, le mur du son passé il semblerait, à la recherche d'un Tracé, qui serait ... THE tr&-ACÉ SVP; O n veut toucher toucher toucher à une xorte de Néné de Roche = le Passé, et, pourça, en avancer ensemble, creuser par pelletée, chercher de chez chercher : 

une base, un tracé "serré", une sorte de "mansarde" où de fait pouvoir se réfugier et y rester afin de pour le coup comprendre (à genoux ?-) les données cruciales. Ce qui est qui est et qui (peut-être) nous regaddrerderait , nous epierait, nous materait grave = de la tête aux pieds, ... y compris les ailes, bec de trait et autres attelles. On veut toucher à ce Néné post-cimetière et cerner au plus près : 

la Tête, Le Tracé, les fines lignes et autres signes d'un Néné de  Vigne, Vigne à Lait ! On est la fée rasante , traçante, allouée à une demande. On est née sur Roche accolée, et on monte (on est montée) de roche en roche par paliers jusqu'au "bout du monde" : Néné ! ah, ça le fait (de base) c'est un fait ! dingue de chez dingue, vitesse grand V ! ouh, on est montées de chez montées et nous voilà comme toute reconstituée .....  Bébé ! un bébé saleé -sucré qui du coup aime grave le lait à s'en barbouiller la figure, d'aventure. On aime le lait (grave) on est nées bébé , le "mur du son" passé, mort dure au taquet laissée de côté.... on trace vers Néné ; on veut grave téter et ne ljamais, en vérité,

 jamais plus regarder ..... côté pré, côté herbe des traits, pré des données de l'herbe et autres flore détaillée. On est née Fée sur pré ok mais à présent on n'est plus des fées, on est le Bébé dit Alloué à une sorte de ... mansuétude, drôle d'aventure. Bébétrait. Sorte de Bébé devenu vrai qui veut téter du lait. On est ... Fée de Bure, puis Bébé -trait. On est passée ! ................................... on a trzaversé le muret (mur du son) sans traîner. On voulait de faiot gravement cerner les données données du Monbde TRacé, eh bé voilà, on dira qu'on a, comme en vrai commencé 

à ici clarifier un certain nombre de données de base . Ce que c'est que cette plage, les nénés du pont, traits d'emphase et autres mamelons "montón". On est passées sages = savantes ! ohé du bonnet, on entre ! On sait ! on a cerné le Tremble et à présent on veut toucher de chez toucher à ce qui se présente en fait de Néné-Trait ou Néné à Lait, Néné né squr pied comme il sembvlerait ..... À nous de piger et toucher, dire et aller et, du coup, en avancer grave, filer de chez filer vers pareille mansarde aux dobnnées ancrées, de type "Rage", "Rage de Fée" et autres "Rages sentimentales" . On veut creuser ensemble ce qui est qui se présente à notre juger .... car, voilà, on est née Fée à la traversée mla mort donnée, on veut Cerner = dire = faire = toucher = être sur pied cette sorte de .... bébé né , la mort éloignée, vers un Néné de TRait à pouvoir téter sans se gêner , s'en mettree sans compter jusqu'au trait des traits, qui serait ... Bec ! bec des Ombres ! une sorte ! Bec des becs sur ciel de Trait ! On est Bébé à bec !bébé-bec aux données traquées ! cher bébé. On veut toucher à ce qui est que nous voyons aller : Néné , et téter ! le bon lait de Roche, bonne pioche. 

On veut dire ici le dire, aux données vi ves, traits-surprise. Qui est qui . Que penser. quoi chercher ou rechercher en cette frise "olé olé" (qui sait ?) qui nous "regaddrderait et nous (comme) dévisagerait parce que voilà, on est passée et, à présent, on ressemble ou ressembklerait volontiers, à une sorte de.....bébé à bec ! diongue ! dingue et sacré ou sacrément dingo , au poteau ! On veut :

dire de c hez dire

cerner de chez cerner

coller de chez coller

infduire de chez induire

situer de chez situer

aller de chez aller 

toucher à ce qui est qui se présenterait le mur du son passé à nos propres données en fait de traits. Car oui, nous sommes qui avons-voulons, cherchons-recherchons, traçons-montons, cueillons-creusons ......... des choses doctes ........ hautes ...... genre : Raisons. Et du coup ........ eh bé oui, on est comme folles ou fous, selon. Bec et trou. on veut toucher à ce dit "mamelon" des Roues ............................................................................................................ lements  du Temps ! et tracer lentement puis moins lkentement, le trait du firmament ! haiute époque ! temps devant ! chants et champs ! Une sorte de "Parole d'Avant" qui serait dès lors Haute   = devant, la Parole du TEmps, Temps des Chants , Temps tant ! car, oh, peut-être, en effet, le TEmps, le temps traqué, est Temps des Cghants ... de Haute Futaîe ... qui saiot ? Branche haute , bec de trait, parole docte, trait des traits qui sait si en vrai la Parole Haute ne sezrait en vérité pas ce ..... tracé, de fée passée, de fée née, de fée Ronde, passée la porte ? on veut :

dire et sonder,, tpucher et creuser, filer et pousssr, charger et situer (de roche en roche) les données de roche . eT alller, continuer sans désemparer ni trainailler notre chemin de Ronde. Un passé est re-né qui nous attirait ou attendait. Ce passé est un passé post-roche, post-pré , qui nous "reconnaît" en tant que noius sommes "des fées" toutes transformées de la tête aux pieds, en ... bébé docte ! une sorte de bébé post-roche, bébé-fée (on dirait) ou sinon fée, a&ilé ? bébé-ailé ? on ne sait ! ange à moitié ? on cherche ! on s'en enquiert ! on veut tracer du vrai. Creuser = dire = cghanter = finir ! Qui on est sinon Bébé ..... ?. un trait ? trait vif comme tracé (ici ou là) à ma&in levé, par une sorte d'animal traqué ? on veut : dire et dire, sans cesssr, notree dire bébé ! bébé né (à tire d'aile) sur ciel de traîne .... étoilé. On veut creuser = centrer, un dire de trait = une vie  ! la mort dépassée. Creuser Vie sur Passé de trait. Cgharges comprises. On a envie (ensemble) de toucher, la base des données acides , et du coup aussi d'en avancer comme acccolées, vers une frise qui serait la frise aux données actives. on est née fée de base sur pré, puis, le mur du son (muret) passé, on a éteé (comme) troute transformée en béb"éé -Frise, bébé-trait, bébé -friche, bébé triat des traits, qui cherche que tu cghezrcheras (de rage ?) à grave téter, boire son lait = manger (comme qui dirait) sans trainer, sans plus lambiner. Téter. Dire. Pousser. Creuser. chercher Néné du dire en Ciel de Trait. Chercher ............... dires comme tous alloués à une sorte de ....... passé, de Terre promise, surprise ! Qui est qui, en ces données vives ? que penser du Rire ? que Chercher ou recherc her ? que dire des doonées du dire ? on veut ..................................................................... touchef toucher toucher à une sorte de "passé vif", qui serait le pa ssé ... du dire  tracé, et autres passés -frise aux données actives (vies des vies, sang du sang, sentiments du temps, colères vives). On est née Bébé le muret traversé, mort distancée, et on file (vite !) vers Néné né = ce néné  du lait aux données vives et autres données des données. On a grave ensemble envie pour ainsi dire de tracer , vers un Néné, "le Chemin du vide" tel qu'il semblerait qu'il faille (qui sait ?) le tracer vif, une fois passée. ou : une fois le muret ou mur diu son passé. tracer de chez tracer ce dit "chemin actif", du vide"sacré", vers ce Néné acidulé aux données vives, genre ......... Vie, VIe réactivée, VIe des VIes à j amais ttteracée, sur Terre Promise toute retrouvée. On a envie en vrai de l'embrasser , d'embrasserr Néné = téter , téter Lait de tire, laitentier, lait de mère-sourire, rire, vie vive, sainteté de Rive ! On veut : 

coller et tracer, charger et donner, poussser et confondre, soulever et fondre, toucher toucher toucher toucher et se poster aux avant-postes sur une montée pour regarder -mirer, n'en rien louper, du spectacle sonore d'une "trajectoire haute" .....sonde ;;; .......................sonde sonore ............................ haute sonde sonore ................................................. On monte. On veut aller 

Hautes ! Hautes de cherz hautes, et .............. creuser de chez creuser les traits, d'une sorte d'époque "enlevée", qui serait haute = avancée = postée haut = tout en haut des Mots, mots-bêtes de trot, trot-galop des mots (mots-animaux) tracés au lmamparo, à la lumière-chalumeau d'une (sorte de) Secte Néandertalienne ................... ou plus ancienne même ............................................. femme / homme saintes .................................... un Carré ....................... Secte des sectes au carré ! tracé ! Fée d'herbe devenant Bébé se verrait allouer (à son E^tre) du VErbe ! verbe comme né au passage des Traits .............. une sorte de DOnnée de traits qui nous verrait (de fait) en tant que néandertaliennes / néandertaliens , comme consacrées ... Fées DEs terres, F2es ici allouées à un cimetière ...... avant (devant) l('envolée Certaine, ce trait dsans la lumière ................... traits des traits d'une fée i=mberbe toute ici tracée ...... montant déployée, déployée montant, volant, allant, vers ...... ezlle : la (cette) drôle de Mer D'Elfe ! sorte de Mer de Quarantaine ............................................................. = mer -née, la mort passée .............................. ; la mer-néné ? oN ne sait ! on a envie ensembke de cerner la chose mais ........................ ce n''st pas donné ! ça demande de s'y en vrai coller de chez coller sans jamais flaner ..................... on se doit de bien considérer un Touut Cendré , regarder par en dessoius, dessus et par côté, ce qui est qui est ...................... afibn de bioen c  ernertout un ensemble de données de Verbe, données celtes peut-êtte, ou mésopotamiennes ou (autres) mêmes données vieilles. On est née Bébé = le bébé , la mort passée , et nous voilà qui sommes collée à une sorte de  .......................... trait ? ........................ trait aimé ? ..................... trait "super" ................ "super aimé" ............................... on veut toucher de chez toucher et ...., de fait, tracer tracer tracer = filer filer filer = traquer traquer traquer = chasssr chassser chassserr, la Bête Vive, COrps entier, Néné ? On est né au Néné (re-né) prête à téter sans discontinuer le bon lait de l'hydre ! filer = tirer = donner = chercher = sonder = pouyssser = creuser , sur terre allouée, une sqorte de (en vrai) ........ trou d'ombre ? t§ombe ? où donc se placer ou pouvoir se placer allongée ........ à jamais ................................ coomme enterrée ......................................................... mais ............/........................................................................ mais ................ sans déconner .............../................................................................................. on renaît ! ............................... vive ........................................................ vive de chez vive ............................ post-pré teracé ..................................................coleée au dit néné de .... l'Hydre ? vrai ? Hydre au débotté qui serait comme à se donner , à se preésenter, à donner son lait, à nous faire téter .... pour le coup à jamais ? On veut : dire de chez dire, aller de chez aller, cerner de chez cerner, une sorte de tracer "ivre" , ivre tracé........ sur pieds ? On veut coller, dire et sonder, pouyssser et vivre, consacrer un dire à une sorte de denrée"acide" qui serait de mise en cette sorte de "remise" aux données lactées, genre Lait des Laits. ON veut creuser = porter =cgharger = comprendre = entendre = sonder = souder = se donner à une sorte de BNéné-Surprise, néné vif au lait actif ! Qui on est ? tra&it ! trait des traits ! Qui on cherche à être ? une sorte de .......... tête ?.........................tête-noeud ? ............................ tête de noeud  ? .................................... t^te-voeu ? ............................................... tête à bec ? ..................... à bec ou nez creux ? ./....?..??.?.??............................. bec de Feu ? .................................................................................................................................................. on veut : 

dire et donner, coller et faire, chercher et consacrer, poussser et a ller, charger et poster, sonder la colère, poussser de chez poussser , dire de chez dire, consacrer sa vie à cghercher le dire , dire cerné, pouvant sans surpruise octroyer , ooffrir, déposerr, Vérité des Vérités, qui sait ? On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toucher toucher toycher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toycher toucher rtoucher toucher touycher à ce qui est qui nous rezgadre ou nous regarderait de biais le "mur du son" passé, à savcoir : la mort ... dépassée ! comme "archivée" . On est née  Bébé prête à téter le bon lait de Mère, aux données de Terre. On veut :  creuser = donner, dire = sonder; c harger = soupeser , coller = souder , prendre = comprendre, sentir = ressentir, poster = centrer, porter = déposer , sur muret, un certain nombre de données rupestres, de type "Bêtes" , "Bêtres de trait" et é&utres "Bêtes autoportées" , genre / 

RTresses ........ tresses d'herbes ............. tressees toutes allouées à un pré tracé ......  tresseees de données en herbe .......... traiots des tra&its h achurés sur pré celeste" ................... un tracé est un tracé.  On est Fée des Fées sur pré alloué à un Passage Éclair à travers la Terre. Vie vive donnée le Mur passé , en tant que fée des fées ainszi "dessinée" à grands traits : bêtes aux herbes ! et de là, de ce pré des prés, treacer de chez tracer vers ce dernier muret aux données du VErbe, creuser de chez creuser , essayer (de fait) de passer du bec = pousssrer, piquer, poussser de chez poussserr et du coup percer et ayant percé , se retrouver de kl'autre côtré, côté ... verbe ? néné-verbe ? à tzéter le verbe = Lait, d'un  Néné de Bière. Lait de trait le muret pasdsé ! mer ! mer ! mer cendrée ! mer auréolée ! mer d'époque ancienne .... re-la mer donnée dotée de lumières, clartés, scintillements dorés et autres reflets surnuméraires ! Mer des traits, vagulelettes , vagues portées, chants marins montés, chaudes aiguesz ! On veut toucher = dire = donner = comprendre = sonder = prendre = charger = soulever en transe les données d'offrande = vivres à satiété, chairetés, dons de lait, commandes et autres montagnes de mets. On a envie en vrai de cerner-toucher ce Néné de trait et téter. On veut creuser (ensemble) un tracé, qui serait tracé-treait sd'une sorte de Dessin de Rage ainsi évoqué. On veut toucher à une sorte de ...................... ventre ? ............... an,tre ? ............................................................... ventre-anttre ? .................................................................. néné né le muret passé , comme une (sorte de) ........... entraille-noeud ? ............................................................... feu ? ............................................................................................... on est ... deux ! deux de dieu qui vont par deux au feu téter mieux ! ........................................... téter de chgez téter ce feu des feux de dieu , Lait Des tra&its ! lait des laits d'un Dieu comme donné squr pieds, le Mur (la mort) passé ! olé ! On veut cerner ! creuser creusezrf creuser creuser sans discontinuer tel ou tel "fossé" aux données données e't autres traits de sainteté. toucher = dire = vivre ! Foncer = virer = courir = pistonner en vrai ! Toucher = vivre ( vivoter) c e Vivre ici Accolé à un grand nombre de DOnnées Acides . On veut :

fonder = donner = poussser = cerner = tracer = cxhercher ou rechercher le dire en vrai consacré, à une sorte de "Passé des Passés" tel qu'engendré la mort archivée (mur des Hauts Niveaux). et du coup : creuser creuser creuserf creuser creuser creuser creuser, dire dire dire dire, poussser en vrai un dire Nacré tel que représenté ... en ce mur des fées passé. On estnée Bébé ...... Bébé -Dires........... Bébé né pour dire .......... eh bé ........... le Lait de l'Hydre ! bête à vivres ! Téter = brouter ! ch aerger = porter ! voler = donner ! coller = sonder ! perdre = oublier, de fait, un c  ertain nombre vde "données vives" genre vivres , dons des fées, présence lactée, vente à la criée. On voulait de fait, en vrai cerner, un certain nombre de données actives, les comme soupeszer , les tester, les enregistrer = les noter , les porter à vivre, leur doooner de quoi pouvoir (de fait) être relevées ou sinon relevées sondées ! tracer ! filer ! charger ! poiussser ! creuser ! dire et donner le tzracé du dire tel qu'évoqué en pré -néné ......................... On veut grave cerner un grand nombre de données de frise. Qui connaît le Dire ? qui sait ce que Dire est ? qui , en vrai, du Dire, connaît les clartés ? qui Chante Vrai ? qui peut toucher de chez toucher le Dire Sacré .............................. sorte de Donnée Ici Allouée à un Chant de Fée ................................. chant des Fé"es Acides ................................................. qui connaît ces vivres et autres dopnnées auix donnéesz vives ? ....................................... on avance . On en avance. on est ensemble ici postée à essayer de rechercher (de fait) des do nnées pâtentes sur laquelles en vrai pouvoir s'appuyer pour enfin comprendre ce qui est qui, sous nos yeux de "fée-bébé", fée transformée en bébé, semblerait vouloir" peut-être se monttrer , se laissser déchiffrter. On est deux (ailes de feu) qui , en vrai, cherchons haut Le Dire de Trop. car, Dire = Vivre =être Bête , 

Bête-mot. On est sur pied prête, à, là, postparoi des paroios, voir = boire ........... Lait = Vrai ! Et comprendre de fait un  ertain nombre de données données, monacales, autocentrées, autocontrôlées, autoaccolées ensemble , une sorte de .... trace-tache, trait des traits , sorte de "passage genrée" (?) on ne sait, qui serait en vrai ............. un passage-gonades ......................... situé ...................... trait des traits à comme relever (de fait) au dit "passage ensemble" tout accolées, comme soudées à une sorte de motif central : bâtonnet ! On veut toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toycher toucher toucher touycher touycher toucher toycher toycher touchefr topucher toucher toucher toycher toycher toucher trouycher toucher touycher toycher tocher touycher toucher à ce qui est qui seprésenretrait ... sous nos yeux touchés ! on veut creuserr = dsonner = centrer et de fait cerner  les données de ftranse (transe de fée) sur Passé de France ... comme qui dirait. 

On veut aller ensemble à la recherche de données qui, toutes ensembkle rassemblées, pourraient grave nous guider (sérieuseme,nt) vers une destinée , un chemin tracé, qaui serait pour le coup "aidant". Car nous, on est nées en vrai poiur rechercher post-pré tout un tas de choses à creuser, à essayer de déchiffrer sans se casssr le nez ... mais tout de même ! On veut toucher à une "forme de vérité" du Verbe en herbe, trouver c'est creuser, et creuser c'est cerner ! on cherche un trait par où ensembvle nous (de préférence) immiscer, et du cfoup traverser, passsr, se faufiler afin de (pour le  coup) pouvoir "ensemble" nous trouver comme située de l'Autre Côté des données murales pariétales, à savoir ...... là-bas : le NOuveau Sabbah ! re-nouveau des tas ! On entre. On entrte en transe ensemble , on y va ! On se rassemble = on fait corps. On est ensemble un corps ! corps d'or ! On veut ensemble recevoir ... la nourriture franche = trait de lait, lait acidulé, lait de trait , et du coup téter. On est Fée -Bébé, ou disons : fée au passage devenue bébé, re-bvébé d'or, tétant fort. On est la Fée raccord. Charge haute sur Montagne Haute. Montagne du Port. On veut :

dire de chez dire un dire

faire de chez faire un faire

creuser ivre les données du dire , et y aller = foncer ! charger ! tracer ! porter ! coller ! cerner ! centrer ! centrer grave les dooonées et essayer ensemble de toucher à ce qui seprésente en termes de néné ici alloué à une Vérité C-entrée, de type .... entrailles ? viscosités des viscosités .... d'entrailles de Bête traquée ? On ne sait ce qui est ! on cherche en vrai assidument, sans ceese, les données du Verbe, ce qui est en vréi qui (de fait) nous intéresse ou grave pourrait, comme un fait exprès, nous intéresssrr sans nous importuner loe moins du monde une seconde . Toucher ! dire et aller ! creuserà la ronde ! porter de chez porter la Parole Haute comme auto-centrée vers une sorte de ................. "muretrtrte sonore" , "murette sonore haute" , "murette des données sonores hautes" . Un trait = une porte. On monte ! On veut de fait aller ensemble ainsi accolées (ailes / trait) vers une sorte de tracé, "tracé du dimancghe", un tracé dxe FRance, Trait des tRais ... de Rage Allouée ... à une langue ! france = Langfue = Trait = Centre = Ventrte ! traits noués ! ventre nooué du fait qu'en vrai ...... le centre est comme sondé ...... ventre-centre du français "parlé" ..... antrte donné ................. traits des trais centrés en ce terrier ........... d'un ventre sondé ! antre au pied levé se voit sondsé par une sqorte de Traqueuse-née, Fée des Fées donnée, cherchant Vérité = Déité = Donnée = Divinioté des DIvinités ... "antrales" (ventreales ?)! On veut :

dire, donner, souder, creuser, charger, forcer, tracer; poussser, allouer à , porter, consacrer à Soi un passé de traits (traites sages = lait de fée-vache) et coller, coller de près, à une qsorte de .................. mansarde ......... habitacle .............. où pouvoir séjourner afin d'étudier (de base) les données du tréit tel qu'il nous p apparaîot ou nous apparaiotrait le mur du son passé, soiot "après" ........ après le pré paradisiaque, après l'herbe sacrée = Verbe, vers ........ Néné ? il semblerait ! un néné de lait .................. laéit-verbe alloué .......... verbe-navette ! on veut toucher toucher toucher touycher toucher toucher topucher toucher toucher toucher à ce verbe -navette icfi évoqué et qui wserait le Verbe des Données en Herbe, herbe de pré, faisant comme (en quelque sorte) jonction nette, entre d'un côté le Passé, le Passé des traits , et de l'autre .... eh bien, le Passé, le Passé re-né, re-tracé, re-montré, re-venu des trous, des trous rouges ! passé-trait des creux traqués ! On est la fée-bébé , charge -née sur une sorte de "tracé ancré" post-cimetièfre, au-delà du pré. Au-delà du pré , il y &urait ............./............................ eh bé, en vrai ................................ du Verbe , mais ........ genre Verbe de TRa&it ................. Verbe Altier ................. verbe de trait donnant de fait son ëtre de traîne .............................. = une coulé ................................ coulure aimée ............................ mouillure ........................ lait né des laits, des laits de terre ........................... l&it de mère ! ................... on aime ! On est charmée ! ............................... on voulait grave téter eh bé vpoilà que, ça y est, on peut de fait faire ce qu'on éime, s'en donner, boire du laéit = sonder, en vraéi, le corps de mère, son passé nacré, le Verbe porté, les données du VErbe ici consacré et comme adoubé par une mère du coup nourricière , mamelles , seins de fée, chaudes aigues, lait de trait, lait -né dès que tiré ! on aime ! on aime le lait, la bière, les données tracées, le post-cimetière et ce qui est de fait qui nous semble ici nous rezluquer comme "à jamais" on dirait. On aime aller tout près téter . téter d'un tréit ! gloup, la bière ! on v  eut : creuser de chez creuser, aaller de chez aller vers ici ce néné, ou néné des termes , ter:mes alloués à une sorte de Donnée dont le nom (de fait) est Verbe , VErbe des Divinités / Déessses, Verbe de trait = Lait  = Lait céleste = Déité lactée et autres D2ités aux dsonhées célestes (célébrités) : on aime ! On veut creuser de chez creuser les données célestes, le tracé tracé, l-a Scène, un Piquet de Grève, le Passé chargé, les données Ancienbes mésopotamienhes et même plus lointaines : traits, traits, traits, teaits , teaits , traits , teaits , tréirts des tr&its de bonne couvée et autres tré&its de REIne, car la Mort est REine , mort Haute aux tra&its de Fée , qui sait ? on est née Fée puis devenue Bébé on ne s'arrête plus (plus jamais) de Téter, de Téter Déesse, Mort-Mort des Coulées de Tresse , Tresse de Lait ! traitsb! traiots de lait sortant d'un corps dit "de Haute Mort". mort-Hole, MOrt-Manne, mort Haute- Manne aux Traits donnés. Chose. Porte. Hauite POrte. Porte Haute par où passerr si on veut

 "durer de chez durer" en tant que Bébé sachant téter le bon lait de Mère, Mort-mère traquée ? mort-mère allouée à une sorte de Contrée post-herbe = post-pré = post-cimetière. Au-delà des herbesz, herbes vertes, au-delà des tréits d'herbe et autres tréits en herbe de paroi . On a la Foi . On est Bébé -Roi (?) ou pas, mais là ! prête à ça = boire ! boire La Voix ......L...................................................................................... elle .................................... a-ile ? ............................................................................................ on aime ! On s'ewst rapprochée d'un muret à la recherche d'u ne entrée patr où pouvoir paqssszr. C'sest v  rai que nous on voulait s ans cesse trouver en vrai une sorte de passage)-né par où "ensemble" (ailes de fée) on aurait pu passer sans se blessser, sans peiner. On cherchéit sur roche ici ou là ledit tracé ou voie d'abord par où, d'un commun accord, on aurait pu en  vrai teraverser la roche, d'une sorte de bond raccord, de bond ou  saut raccford, et hop ! on ose ! on monte ! on trace ! on cherche , on veut savoir. On est haute, Sorte de ..................................................... Chose : ..................................................................................... corps de mort ? ............. morte ? ................................................... ou &lors :sorte (en soi) de  ................... "renouveau" ..................................... dans le sens ici de "mot nouveau" sur Passé de porte. On monte. On ose ! On creuse ! on veut (en vrai) tenter , et du coup s'av ancer, eau plus haut possible, vers Néné qui est (en vrai) ce Néné de piste, Néné-trait de Rive, à pouvoir-devoir (ici) téter, sans ... ne plus s'en soucier en vrai, une fois placée ! On aime téter ! on veut de chez veut, ensembkle, téter ! toucher touycher toucher toycher toucher toucher toycher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toycher toucher toucher à ce néné desw "dsonnées divines" = du lait ! lait nacré de première coulée ! lait né ainsi nacré / cendré , pour être av alé ! Lait de Trait-né, charge de féu, son de clocxhe au mieux, Ombre Haute. On veut toucxher à c e qui est ici qui, en vérité, sembleraiot vou:loiur grave nous parler,s' aderessser à nous qui voulons tout, à savoir .... du lait ! car, le lait)-né ainsi tiré ou trait, est un Tout ... doux, Tout (de trait) qui peut sans faute alimenter 

Bébé en entier lza plupart du temps. On est né Bébé la mort traversée et laissée de côté, c'est-àdire qu'on renaît, on revient à une sorte de Parole-Forme, Forme-Trait, trait-Forme ou Parole Haute en forme de TRait, Trait tracé acté sur ROcher. On revient = on remonte, on rededevient, on raccrtoche ou non ....... on se raccroche .......... on reprend "du galonn" ..... hop ! haute porte des noms, on monte, spigolon de pôrte, vers, ici, ............... le Son, ................... Son de cloche ou ..... "même son de clochev"........... ton sur ton ..................... "parole parole" ................... Chanson Haute ..........................mont de Bosse et hop, la Chanson , l'air du fond, fond de l'air donné une fois passé, vers ............... le Passé tracé ............................ comme "apporté" via le lait donné ! ça le fait ou le ferait, qui sait ? Qui en vrai sa&it ce qui est ici qui nous apparaitrait une fois "clampsée" ? qyui coonnait la Roche .... de fond en comble ? qui sait naviguer ( en vrai) en cette sorte de ...... Passé de ROche -Porte, porte passée. Qui co nnaît kles rudiments de l'Ombre ? le Passé outré ? la Roche montrée ? le corps assommé ? l'orme ? Qui sait (sur traits) ce qui est qui (de fait) poussseraiot , s'élèverait, germerait , et saurait à nouveau comme nous ...... enfanter ? On chercghe la Fée ! On ne veut pas du tout sombrer, on veut pouvoir durer, tracer en  vrai,poussser jusqu'aux nénés au lait, pour (du coup) aller ainsi vers ledit Laiot d'e,nvie ! et du coup avaler ! boire le lait = se donner à , il semblerait, une sqorte de Néné né la mort passée ! Néné né kla mort actée, comme archivée, entérinée, passdée, dépassée. On veut de fait ........ creuser creuser creusqer creuser à  cette sorte de Donnée de Rocxhe ! = Passé-Porte ! porte haute d'un pAssévde Roche .......................... on monte ! ...............................................................................................................................................On est passée de fait de l'Autre Côté à la recherche du Passé, on l'a peut-être, au bout du compte, trouvé, il s'appellezrait : Lait, lait de ROche. on a peut-^$etre "compris" des choses, concernant la mort. Qi-u'est-ce qu'on a compris ? une chose haute, porte haute, trou de Roue, base haute d'une sorte en soi de "trou -roue" par où (de fait) passer ............. bout de son nez né (ou re-né) ! il semblerait. On est née Chelou la Mort Actée, c'est vrai ! On veut : 

toucher de chez toucher

poussser de chez pousssrr

creuser de chez creuser

essayer de cerner les données prégnantes et &ller "en bande" à la recherche de Passés de base, Passés denses, Passés de france du  fait que voilà, notre langue est de là, et, par conséqueznt, semble ici être à ....... nouys attendre ? ou, sinon attendrte , .........................approcher ? On est Bébé (devenue bébé) une fois mort(e) et enterré(e) on dirait. On se dirait qu'en vrai, une fois l'homme mort et enterré, la Fée des Fées r"remonte" haute ! sort du "trait" et, chose, comment, monte, monte haute, laissant derrière elle "les tourments", toutes ces choses des tourments, elle ose-monte ! Elle sort de l'Ombre ! hop ! homme -corps est mort et pourrit dans l'ombre. fée des traits monte et sort et creuse et file et va et cxharge samba ! tralala! danse-transe ! face ! fonce ! trace danse ! transe des voix ! ça balance ! ça balance grave ! voie des voix de l'au-delà ! On est la Fée né ... sur pré la mort passée, on traverse le pré, le pré aux herbes, et , le pré traversé  , ainsi "tracé", on vient "buter", "buter contre" .........../........ le néné ! sein lacté ! chose chaude ! du lait ! comme ws'il en pissait ! jet ! jet dru du lait cru ! ça le fait ! c'est pour nous aider ! On veut grave avaler , téter, aspirer, boire le lait on dira le plus frais du néné donné. vue sur le passé . c''st un fait à présent (maintenant) avéré ....... ce dit "trait de lait" ainsi siphonné ! On veut toucher rtoucher touycher toucher toucher toucher toucher, à ce dit néné des données données ! traits très ma rqués , ancfiennetés, ancestralités des données tracées sur piquet de trait ! on veut monter. On veut creuserr. On veut aller hautes, vers ...... la porte , ce tracé de porte ou d'une porte-née tout en haut des hauts. On veut toucher de chez toucher la roche-Chose, Passé-né, POrte Haute, POst-pré de roche, une sorte de donnée de Roche a&insi Sondée via ............... ce tr acé donné, genre Lait de Tréit. On voit tout ça, on monte, on veut savoir les choses d'une sorte de ................................................... voie d'abord  haute, ............................................................ porte des portes , ............................................................................................ haute porte des deonnées de roche .......... de Mort-Haute ............................. mort ultime, mort  des fins de friche, Mort Maritime .................................................... don .................................... don du front ....................................................................................... un don ................................... don des dons dondaines .................... chanson .................. haute chanson , dondaine du front .......................................................................... pompom .................................................................................................... attrapper pompom ........................... hop .................................................................... don des dons-pompoms de la plus haute époque, genre : le fond ! ............................................................................. on monte ton sur tobn ..................................................alluvions ...................................moisson ............................................................................................................................................... toucher topucher touycher topuycxher toycher toycher toycher topyucher toycher touycher topycher touycher touycher toycher trouycher touycher toucher toycher toycher touycher touycher touycher toucher toucher toycher tyoycher toycher à ce qui donc ici en vrai nous appararît comme pouvant nous informer sur ce qui est la mort passée, à savoirt : le fond ! fond des fonds du Pont !chose haute des données profondes . on est :

fée puis bébé sachant téter le lé&it des Hautes Portes. On veut toucher à  e qui est qui, en vrai, nhous mate grave, ne cesse de nous mirer, nous regarde de face et de côté, de tous les côptés sans cessser, sans jamais nous lâcher la moindre seconde ! on se sent épiée ! on se sent surveillée grave ! on a envie de l'envoyer bouler ,  = de le rejeter, de le laissser tomber ou de le faire taire ! on veut tracer sans se gêner ni être gênée ! on ne veut pas d'un Magister nous guettant sans fin , ni d'un Ministère des Vues-de-près, mais se wsentir ou nhous sentir comme qui dirait "ailée" , sansêtre plus que ça importunée (de préférence). On veut en avancer ""ensemble" ... "dans le français ", en cette langue ici donnée à notre naiosszance, langue de trait qui est donc kle françaéis, et nous dès lors, dès lors que ... cvoilà, on est née fée comme à la retombée sur paroi de roche, on cherche à cerner (sans traîner) ce que pareille "langue de poche" contiendrait en termes de "données profondes" ou de "donné"es donées profondes" ainsi explorées en cette roche attribuée. On veut toucgher à une Vérité de Roche.. ON est d'uxx ! On est deux en Roche en creux. On est les deux qui , en roche, en creux ou comme en creux, veulent sérieusement et vaillamment, toucher de chez toucher à ce dit "secret" qui serait lové ou comme lové en (ici) ce creux, dx'une donnée de porte, donnée forte et haute, traits animaliers = mots de roche centrés , ou mots centréewss de roche, mots -ombre. On est 

Fée, qui cgherche Sorte de ................................. traits alloués à un mot en entier , et ce mot est ............................................ ART ? .................... de part en part ? ..................................................... art-mort ? ..................... .............................................................................................................. on ne sait ! ......................................../.... on monte hautes vers, en vrai, ce néné des ombres , afin de oui, aller grave chercher à (de fait) téter de chez téterr ce ...... corps de lait .......... corps d'or ! lait de mort ? ............................................ on veut toucher toucher toucher à c e dit "corps de lait" qui serait .............. le corps de la mort ? de la mort passée ? du passé mort ? du passé mort qui seréiot comme réactivé du fait de la tétee? car, le bébé tétant, le lmait de fait se met à gicler ! c'est , en vrai, pour ainsi dire, le bébé .... quyi fait que la téteée est ! car, si bébé ne peut pas téter, le laéit n''st pas produit en vrai ! il reste à quai ! et du coup  ...................................................... la vie .................. ne peut pas re _ venir ici, se re-donner de fait, re-dire son fait, redire les traiots, re-verbaliser .... le Rire , etc. On veut toucher = on veut tracer = on veut creuser = on veut dire ! Dire et rire, les données du ....... vide ? vide parfait ?OOn est ............................ ivres ! Ivres de Rires ! On est les fées ivres, d(un Rire des Rires ! On veut creuser ............................................... ccreuser = jongler = jouer = pousser = aller = centrer = fermer = allouer à une Sommité (l'Hydre) les Données du Rire (du vide parfait ?) il semblerait. On veut toucher à ce qui est qui ici serait ....... du Vide -Rire parfait = le Néné du lait ! trait des traits acidulés ! on veut téter gtéter téter téter téter téter téter téter té&ter gétyezr téter téter téter téter téter à ce néné-né des données du Vide, Vide à lait ! et creuser creuser creuser creuser "sans rire" so n propre tracé, de vie ici post-pré, à la recherche de la vérité , soit de la vérité lactée ! néné né en vie la mort archivée, comme entérinée. Vie nouvelle autoproclamée comme qui dirait, dsu fait que ....... voilà, on est là ! on entre ! on passe un membre, l'autre, tête et corps entier, on monte ! on est née ! née divinisée comme qui dirait = bébé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bébé post-pré !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bébé des bébés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut toucher de chez toucher néné !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! téter de chez téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! cerner de chez cerner !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! évoquer ... ce néné du lait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! traits, traits, traits, traits !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut creuser de chez creuser ce qui ici est qui se montreraiot sans traîner = ce néné post-pré = ............... mort allouée ! mort tracée ? mort donnée ainsi transformée en une sorte de ... Don de Vie VRaie, rejouée ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toycher toucher rtoycxher rtoucher toucher, à ce dit "néné post-pré" relevant de la vie "rejouée" par la mort meurtrie ! mort de la moprt ! 

mort en vrai de la mort des prés !

mort de fait de la mort "cendrée"

mort en vréi de Mort-Mort accolée à une sorte de denrée = le lait , lait à profusion pouvant en vrai nous apporter ............. le son ! la clarté d'un son ! musicalité et tracé de fée .................... chanson .............. chansonnette de rondes et autres sons de cloches ! traits tirés ! salubrités ! chants de porte ! sons de roche et autres musiqaues d'approche, d'approche hauvte. oN veut creuser (ensemble) la chose et du coup cerner (au plus près) les données qui ici s'oofrriraient à une sorte de compréhension ... sonore, genre : "rondes", "rondes enfantines et autres comp)tines". On cvompte ! hop, on saute ! le tour est joué ! on veut pouvoir sauter, de roche en roche, sans se blessser, sans y rester, sans faire (aussi ... non plus ?) de simagrées ! On est /................................

re-née ! ............................................................. re-née de fait ........................ comptons ! chantons ! jouons ! allons ! ..................... pistonnons sur roche à la recherche d'une sorte, ici,   ............................. de son ! son de roche ! musique de porte ! le tracé sacré est sorte de "tracé sonore" on dirait : muysiqaue des fées ? musique haute ? musique au taquet des données profondes ? on veut trouver ensemble les données, données hautes en musivcalité profonde ! est-ce qu'on pourrait (en vrai) ensemble s'asocier afin de dénicher .......... le trait sonore ! la corde ! trait de corde trezssée ! sonorités raccord, et accvordées, ou comme accordées-raccordées, à une sorte de tracé de porte = p)assage de fée, vers ................. bébé, sachant crier sa faim tenace , son envie de lait ! famine - fermeté ! On veut toucher toucxher toucher tpoucher toucher touycher toycher rtouycher toucher touycher toucher toycher touycher toucher toucxher rtoucher touycher toycher toucher touycher toucher trouycher toucher à ce néné des données profondes post- ombre. On veut en vrai toucher rtoucher touycher toucher touycher toycher touycher toycher toycher toycher rtoucher toycher toucher à ce qui est qui, pour le coup, se montrearait ainsi comme une sorte de "denr"ée haute"............ lait de porte ! lait haut des hauts niveaux ! laitde roche Haute, trait de lait sucré sur POrte Sauvée ! corde ! corde -roche ! cvorde sur ciel-de-roche ! Haute époque , on monte ! on ose ! on creuse ! on est 

Sorte de Tracé de Roche sur Passé de trait ...................................................................................... on reg arde ici ce qui est qui, en vréi, semble vouloir (sans traîner) se présenter, décliner son identité et nous parler (de fait) du pays des TRaits et autres Tracés Accentués  = Sonorités des Données Vraieszc = chants des Traits ....... ou chants de trait et autres Chants de Bêtes Alloués ... à une sorte de Passé (comme "sillonné"). On regharde, on mate, on se place (ainsi) ici , de telle sorte que, pour insi dire, on veut ça : vivre = revivre ! vivre la Voix ! vivre ensemble ! sourire ! On a envie de pour le coup se retrouver non pas ou plus sur les genoux mais comme "toutes remontées", reboostées , redéployéez, du fait ..... eh bé oui, de ce lait donné, une fois mort et enterré, une fois (en soi) l'homme mort-enterré archivé, place à la fée, fée ailée, sachant voler jusqu'aà ce néné dit "des traits tirés" ..... plein de lait dit "ravigorant" ! etnous voilà dès lors re-née  = bébé ou re-bébé ! re-le bébé né ! re-né des tracés sur pieds ! on aime le lait ! onre-naît  vrai (en vrai) celle qu'on était avant d'avoir, pour le coup, succombée au présent : cou / caillou / genou / hibou, dans le temps. On revient (ou redevient) Verte ! vert pré ! pré acidulé ! genre : teracé à main levée sur rocxhe cachée ...... fonds des oùmbres, Hautes Ombres des Parois Ornées ............... piorte haute ) d'entrée , vers ce ...................................... néné-né ////////.............. lait de roche ou des rochers ................ lait acidulé des roches gravées ........................ traots de fée .......................................... traits de bêtes de trait .................................................... big bisons ............................... un bison est né, son nom est marqué sur roche des Fées : spigolon, petit patapôn, ombre, sorte d'ombre, ombre des données de roche. Nom tracé = traiots de fée. On monte. M%ontons ! Allons ! touchons à X données "rondes" , de type ........................ néné-né la mort passée ................. lait des laits ................... on ne peut plus s'en passr, on veut grave toucher, toucher de chez toucher, à ce " néné du bout de Roche" .................. anfractuosité profonde. on est la Fée des Roches devenue Bénbé, la POrte (haute) enfin passée ................................... on mùonte haute sur Haut Rocher des Données de Porte ........................ en cohorte !!!!! Haute Époque aux bêtes de roche : bouquetins saints et &autres bouquetines fluides ! le passé ! passé de trait ! on veut compter avant de jouer ! et du cdoup .............. filer filer filer vers ce dit "néné" de la haute époque des temps reculés (très! ) . On ose aller. On ose grave rechercher, ici ou là, les sorte decv"messages-traces" qui, pour ainsi dire, seraient comme posés, à la une à la deux, sur des rochers et augtres sortes de parois "du feu de dieu" à notre (il wsemblerait) adresse ou attention, du fait qu'en effet, les tréitst tracés (bêtes à bon dieu) nous plaisent / intéressent / captivent sans cesse : on aime ! On aime grave les données fermes, données hautes et profondesq. On cherche enwsembkle depuis des années à y comprendre un   tantinet en ces choses de roche et autres types de rochers orns$és , soit : qui on est ? à qui on ressemblerait, qau'est-ce que c'est que cette Rocghe Haute ? qui on est en ces quaertiers de Roche Ornée ? est-ce qu'on est "de porte" ? sommes-bnous "bêtes de Somme" ? somme comme ........ une somme ? un SOmme ? somme-sommeil des données ancrées ainsi engoncées ? On veut tracer = on veut creuser. Ce vqu'on est = une donnée ! Ce qu"'on veiut ou voudrait relever (et  cerner) = un tracé de traits genre Vérité, sur ................. MORT_OMBRE, MORT-DE -PORTE, MORT-HAUTE et autres ROCHES -NÉES sur terre allouée à pareille advenue gravée, traéits des traits. On est née ......... au Passé dit "de roche ornée". On est comme née ........ sans arrêts ! = re-née à perpétuité : nue / connue ! Nue / vue ! nue  / bue ! On odse !  on est haute ! On est de La plus Haute Branche Accorte ! genre : 

Malebranche ? branche dx'Ambre ? Ambre d'arbre ? Mâche ? mâche )-d'herbe en branche ? On est le

a Fée des données de base ainsi transvasées ;;;; ............................ en ces qu artiers ! quartiers "denses" aux données intenses. On veut toucher de chez toucher, cerner de chez cerner, aller de chez aller, creuser de chez creuser, pousser de chez pousser, centrer ainsi le Féait Vrai en cette sqorte de Paroi de base, Paroi Roide, à devoir passserr = traverser "ensemble" = ailée ! de préférence ailée, car .............. le Passé en souffrance a (aurait) droit de cité, devrait êttre noté, diffusé, tracé, qui nous (en nous) remonterait de base ......................... et nous requinquerait ............. et (aussi) nous aiderait à ainsi aller ,sans trop tituber ou même merdouiller ................... et du coup tracer ! vers ............. hé hé ................ le Passé "français" ! une la ngue "donnée" = "inculquée", jusqu'aux nénés de lait (emplidelait sucré ! ) . trait ;

TRAIT DES TRAÉITS ! TRAITS ACIDULÉS ! TRAITS DE SAINTETÉ ! CHARGE ALLOUÉE À UNE SORTE DE NÉNÉ COMME UN FAIT EXPRÈS  = LAIT , DU LAIT, UN BON PEU DE LAIT, LAIT DE TRAIT POST -PRÉ , A FOISON, BONNE DIFFUSION, MAMÀ MONTÒN ! MONTAGNE DE TRAITS = PLUIE DE LAIT ! S ACHONS TÉTER LE LAIT DE TRAIT ! OSONS ! TÉTONS TÉTON ! SOYOPNS ............. CE DIT "BÉBÉ DE TRAIT" , BÉBÉ-SOMME OU DE SOMME ! ENVOLÉ ! HAU T VOL SUR UN PASSÉ ... DE ROCHE ORNÉE ! CREUSONS ....................................................................... la nécropole des passions (du passé rond) ...................................................................... osons de chez osons tracer ............... pareilles maisons ......................... nécropolisons, le passé re-né ! ...................... en maisons de traéits : maison une, le Pasdsé. Maison deux : les traits. Maison trois : le bébé . Maison quatre : le lait ! M aison cinq : la vie rêvée. Maison six : une sorte de maisonnée pour les jours passés tout enchevêtrés , genre  

.......... tente ? Maison sept : ombres portées. Maison huit : ........................................................................................................................................................................ vitalités et autres vituperations aux actions hautes et autres liveraisons de roche ! maison neuf et dernière : le Nom ! nom de scène en herbe, nom des Noms de Roche et autreez noms de bêtes zaltières ! traits de fée sur paroi-colère . On aime ! On veut aller, dire, creuser, chercher, conduire (ici ou là) le dire en ses quartierts et aussi sec les afficher afin que oui, un jour ou l'autre, on puyiisse re-lire ce qui (en vérité) était,, en termes de ouï-dires et autres paroles

 lâchées sur pré, prairie fine, champs de blé. On compte, comptines ! on est filles, vrilles, fée des prés ! danses allouées à une sorte de famille ! sainte famille ! traits des traits sur ................. le Passé Nacré ! ancré ? vif ! On veut cerner, ledit vif passé aux allures de Frai ! chair vive ! unee frise ................................. bêtes vives ......................... (en crise) .................. pissent ! pissent que tu pissseras , et puis s'en va ! là ! toucher rtoucher toucher , herbe sacrée = brouter ! dire ^-brouter, aller-monter, faire-caguer, donner-allouer, cerner-saisir, finir et passer = passerr et finir, et du coup ............................. traverserr ........................................... vers ledit pass é ... aux cerises ! Frise ! bhêtes ivres ! bêtes de trait ivres sur muret du pré ! On est née fée en ce champ de blé ! on veut aller (ou on voudrait aller) de l'autre côté, subjuguée ! saoulée ! ivre de traits ! afin cde (pour le coup) trouver à enfin téter, d'un tréit, le lait chelou ! chelou ? 

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7/3/2024

Onn est ensemble . On veut ensemble essayer de comprendre les données de base. ce qui est et ce qui va. Ce qui se trame etce qui là-bas nous regarde "à toi à moi" sans faire de vagues. On est là ! Là de base pour ça : entrer , toucher, cerner, s'accoler (de rage !) sur piquet, faire ainsi que ce qui nous regarde soit comme "saisi" par notre sorte de Tracé Fini ! charge ! passe d'arme ! On veut grave tracer de chez tracer nos larmes ou ... comment

 on pourraiit dire, ici, qui le fasse ? "larmes de Vie" ? On est bénies ! On veut :

dire ce qui est

charger le mulet

tracer de chez tracer

comprendre ensemble les données ... d'une Parade, Parade de Charme, Croisade ! portée large ! des bêtes cendérées sont tra cées comme à main levée tandis q'on passe ..... sur paroi des rages ...... nos ailes courbées comme qui dirait. On est là Face à face face à Dame-Roi / Reine-Sir de s envies tracées. On veut : 

dire de chez dire

pousser de chez pousser

passer (ensemble) muscade et hop, le Passév "est né" il semblerait, qui nous donne ses nénés tout ^lein de lait ! on peut rêver ! On est nées fées sur pré nous voilà bgébév ! bgébé ! bébé ! et , de fait, en tant que bébé nouvellement constitué , on s'approche traquet -traquet dudit néné répertorié et qu'est-ce qu'on fait ? on tète tête eznfoncée ! On ne s'arrête plus de téter ! on aime ! ah ce qu'on aime en vrai le lait de mère ! ça le fait ! c'est frais ! acidulé ! on dirait ... de l'herbe ! herbe post-pré, qyui serait du coup (pour nous) une sorte d'atout de première : cou caillou genou et c'rst le terme tel que oui, on voit, on cerne dde fait, terme-né après le pré = bébé ! un bébé est né qui nvitupère ! Il crie sans cesse ! il feut téter ! il ne peut plus patienter  ! il veut :

toucher toucher toucher à ce néné post-cimetière : les donnéesv  ! les donnnées ! les données ! les données de lait .... et tout ce qui y est accolé , comme :

le Passé, Les Traits des Traits, les Choses Soulefgvées, Le Passé Tracé, les attentes de Tracés tracés. On veut coller, dire et donner, poussserr, charger, se donner et aussi perler ! creuser de chez creuser en termes de données toutesallouées  à un passé ici consacré : squi on est = qui on était ! et le tour est joué . On n veut dire dire dire, ce qyi ici se dessine ou se dessinerait de fait = l'hydre. tete avide. qui est qui ? qui chante ? qui rentre en transe et danse et gigote et va ? qui de là ? on entre = on passe = on trace ! on ne lambibne pas, Sacha ! On est donc parties pour ....... descendre ensemble, le Pavé des Lois , la Rue Tremble, PLace Centrale et, là-bas ......... l'Antre Roi, Porte Haute des Voix, une sorte de cohorte et nous voilà toutes accortes , prêtes à ça : entrer là, ailes à soi , sur roche ! On veut :

direc et donner, porter néné à son point d'acmé et téter , téter sans discontinuer : boire du lait de Fée ? qui sait ? on est nous-mêmes fées alors dès lors, que pensezr ? que voir  ? que dire qui en vrai dise la vérité dite "des vérités" ? On ne sait de fait. on est née Bébé le muret enfin traversé, le dernier,. On veut toucher à ce Néné du bout du monde, et du coup "centrer"  la Chose qui (ici) nous importe :pioint d'entrée = porte = porte haute =  haute porte des données "fortes". On est née Bébé ! babyphone ! On veut gueuler de chez gueuler notre envie de lait à tout cassrr ! On ne veut pas passer à côté ! On veut téter le bon lait de l'hydre, de l'hydre Allouée à une ... sorte d'Usine ?? d'usine grise ? usine à sortes de (qui sait ?) produits laitiers ? ou quoi ou qu'est-ce ? IUne sorte de maison vide ? On est entrée ! on a voulu toucher Néné et on y est arrivé on dirait ! On veut coller coller coller collerf et du coup tracer de chez tracer le trait , qui est THE Trait, trait de Fée ! On veut coller à ce Néné d'usine : le téter ! téter l'hydre ! Lait de trait ! miam avaler , et du cfoup .... on serait commev re-née de fait, à une vie nouvellement tracée ......................... dans le passé ? on voudrait grave en avancer et en  vrai comprendre, une fois pour toutes (comme qui dirait) les données d'un Tout qui nous attendrait dans la nuit aux Traits ! traits d'ombres ! On monte ! On est nées fée sur pré et nous voilà re-née, post-pré , dans la nuit profonde d'une .... tombe ? tombe à Gnou ? tombe haute ? à genoux les gnous ? On monte ! On veut ....... eh bé oui, creuser de chez creuser (post-rotonde) le Passé , Passé né post-pré, la mort passée. Car, la mort fait long feu qui naît puis cède, et léisse de fait, devant nos yeux, le Passé renaître ! tracé ! être alloué à une siorte de .... bête Vraieb....... genre .......... buflette ? ;;;;;;;;;;...... On cherche ! on ne sait en vrai la bête que c'est, mais voilà, il s'agit d'une bête, à présent on le sait. On est bête (ou bvien bpête) mais quanfd même, on sait, eh bé ... un certain nombre de choses allouées ... à une sorte de fenêtrte .... donnant (de fait) sur ......... Le passé de l'ÊTRE , Passé des Passés. On veut connaître ce Passé de près, ce qu'il tra^ine, ce qu'il porte à son faîte, ce qu'il est, cequ'il charrie (en vrai) en lui. On veut :

dire et prendre, porter à incandescence, allouer à une gente les données tracées, gente animale dite "pariétale". On ne veut plus s'en laisssr conter mais prendre à bras le corps comme qui dirait ..... ce Passé des TRaits ! Lait ! lait ... animalierrr ? ça se pourrait ! lait de vache des prés ? qui sait ? ou alors .... lait entier de Mère amère ? On cherche ! on veut : creuser de chrez creuser les différents termes d'une contrée de type post-muret , post-cimetière, post traîinées sur herbe et autres virevoltes aiutocentrées de fée accorte . Toucher = faire = dire = cgharger, et à présent  .... comment ?  aller de chez aller (post-cimetière) en direction de ces données de Tertre ! Les Données ! la perle ! le Passé est né qui nous observe ou nous observerait sans traîner ! il nous "aime " ou nous "aimezraoit" , qui sait  ? On veut creuser" les termesz, on voudrait (de fait) les creuser ......... sous terre ?? on veut : 

dire de chez dire

toucher de chez toucher

creuser le dire alloué à une Sorte de Passé "Splendide", de type "Donnée Acide" = le Passé ! passé ... vide ? une ... usine ? usine du Vide ? On veut :

dire, aller, creuser oui, creuser vif = vive !toucher Néné ! téter de chez téter ....... ce vide ? vide à lait ? on veut ..................................................... cerner de chez cerner une sorte de donnée active et de fait "l'artrraopper" et s'en "gargariser" sans se faire plus que ça suer ! car voilà, on aime ! on aime le laiot ! on aime ça ! on veut làb (post pré) téter ça ! ne plus s'en passsr ........ de ce passé de Soi comme qui dirait ! On est là pourt téter pour ainsi dire à ce bon lait d'un "entre-soi" cfomme "remonté". Qui on est ? on est ............... des données ? ............. des sortes de données de Choix ? ................. poids ? on serait des POids = Buffles-tas ? On voit ça ....... la plaine .......... horizon là-bas = Foioe ! foie de bête ! On croit à ça , à ce qu'on voit, à ce convoi de bêtes-êtresz dites "de la foi en l'Être " ..... mafoi. On veut ;... oh, peut-êttre, être ? Et , de là, devenir ... bête nous-même ? On voit Convoi, on avance, on charge, on monte, on cherche, on est devenues Ombre , ombre desOmnbres ? On veut :

`pousssrr de chez poussrr en nombre, aller de chez aller en nombre, creuser de chez creuser en nombre ..... nombre d'ombres , d'ombres-hommres , homme-ombre ! traits ! traits nés sur un tracé de terre ! On veut :

creuser, dire, pousserr, chargher, aller , faire ainsi que cette contrée devant nous alloué e à une sorte de Passé soit enfin ... v raie, qui nous aiderait à nous y reconnaîtrte et du coup, à en avancer, en ces contrées post-cimetière, post-allée de bière, Tertre, Teretre aux données données et autres faits post-herbe . Le pasdé est passé de tertre ... tertre du Pasdsé. On aime ! on demande Elle , Elle en v  rai = V2rité Tracée ......................... on veut toucher = la toucher ! LA Terre ? Toucher terre = passer  ? On cherche ! on ne  eut pas se laisser faire ! on veut comprendre les dsonnées données. On est là de fait, pour ensemble comprendre ce qui pour le coup nouys regarde ou nous regarderait sans pour autant nous faire trembler d e peur d'y passr . On est nées fée sur pré parce que voilà on est tombée sur ça : l'herbe tracée, cxhamp de traits, bêtes nacrées (sacrées) qui broutaient. et nous de nous y coller à ...... pour le coup, treacer vif une course de fou ! de folle du trou ! trou d'ombre tout au bout = trou des fous et folles par où, du coup, passer porte. On veut :

dire et donner, faire et consacrer, charger et pousssr, aller et tendre, porter sur pieds et comprendre, faire aller, dire ce qui est, poussr son fait et du coup ...... tracer de chez tracer le Verbe Alloué à une sorte de Passé "surnuméraire" = le P assé re-^passé ! re-le Passé-né ! Passé /passé Ou comment dire ce Tr acé , cette "bête", buflettealloué à un post-cimetière aux deonnées creusées .... dans l'herbe : on ne sait ! On  veut toucher le nez, la têt, le tracé sur herbe et autres traits de fantaisie grégaire. On est vives et vraies, vives alacrités, charges cendrées, fée des fées, vie louée ! On ne veut plus s'arrêter mais vivement aller jusqu'au tracé dit "des amabilités". Qui donc est-ion en ce vallon ? Une sorte de .........../................................... bébé docte ! le mignon ! la chjose ! Haute ! On est drôle , on est le mignon drôle d'une sorte  de Passion ... des CHoses Hautes, genre "melon". On veut :

dire dire dirte dire

êtrte êtte êttre êttre

faire faire faire faire

cgharger chargher charger charger

coller coller colmler coller

cerner cerner cerner cerner

comprendre comprendre comprendre comprendre 

consacrer consacrer consacrer concsacrer

Tenir et porter. Aller et centrer. Charger et du coup colmater, la Masse, la Trouée, Passage de Fée, Entrée. On veut (grave) s'harnacher à la rambarde et ne plus lâcher mais .............. cerner de chez cerner les données adjacentes à pareille contrée ! toucher = téter, on sait. On veut comprendre "large", porter louin la charge, situer le fait, cerner de chez cerner d'un trait le Sein de garde, 

et du coup ........ téter tendre ! boire l'ambre ! Lait d'été ! bon lait d'ivoire ! Lait sucré-salé d'une mère avouée ! On entre ! on passe ! le pasdsé notoire ! l'embardée ! l'arme blanche ! le Passé de trait est du passé de fée est du passé né comme s'il revenait ....... revenait à la charge et du coup se donnait ...... à boire !!!!!!! lait des laits ! lait des traits ! traits de rage ! rage vraie ! vrai passage et autres faiots de fée ! On est entrée en tant que fée , on est passée, on regarde, on est (comme qui dirait) toute transformée qui nous sommes "changée" en ..... bébé noir ? bébé du soir ? On est passée ! on est entrée ! on est ................................... bÉBÉ DES BÉBÉS SUR PIEDS ! On veut toucher à ce qui est qui dezvant nous pointe "sion nez" ou "nez de base" : le Néné ? on pourrait le penser. On est Bébé du sdoir et à ce titre on veut ......... boire ! grave du lait ! lait de trait ! Lait donné , et hop, de dernière cuvée qyuui sait ? On charge ! On est fée des fées enfin passée, qui (de fait) trace de chez trace un tracé comme alloué à une charge : p ârade ! on entre ! fonçons grave ! montons ! allons ! car, le Passdé de fait, est Passé de base comme "déli vré " de ........ charges lmentales ? mots des bonds, Mots d'ombre et autres mots bde Roche ? Hors !!!!!!!!! Hors du MOnde d'or !!!!!!!!!!!!!!!!!! Passé hors Clause !  On monte . On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à  e qui est qui (en vrai) nous mate ou nous lmartterait ou sembkeraiot (gravce) nous mater pour mieux nous amadouer et nous croquer ! mais voilà : on est fée -bébé ou pliutôt bgébé ( = à présent : juste  ce bébé tétant) et du coup, on renâcle ! on n''sst pas à genoux face à l'Oracle ! on est pas fou / folle de base !  née Bébé de rage on sait crier ! dire notre fait, notre envie de téter et c'est marre ! le bon lait des larmes ! On veut :

creuser, dire, porter, charger, pissserrt, allouer à une denrée genre le laitb les attributs diversifiés d'une sorte de  "Vérité post-mortem" : qui connaît ? qui sait en vrai de quoi il en retournerait si jhamais ? On cherche de près sur pré puis au-delà du pré, en ces régions de "bord de mer" alloué au creux ; au trou d'ombre et autres fosse ... post-porte. O,n veut : faire haute, dire haut, chercher haut, aller haute. On ne veut pas (plus) traîner là, en pareil caniveau des voix , mais haut de cghez haut aller ....... jusqu'au néné du lait afin de téter sans désemparer et s'en gargariser et pas à moitié ! Née pour être ainsi ...... The Baby vif ! tétant d'allant ! se pourléchant devant les babines blanches ! On entre ! On est passée (fée /bébé) de l'autre côté, côté voie lactée, ciel étoilé, chant de fée, volonté ancré, langage ! langagage alloué à une Sommité Traquée ou comme traquée = le Vrai ! la Divinité des Divinité ainsi "reluquée" et nous voilà ................. touchée ? touchée en vrai ? On veut ;: 

creuser creuser creuser le Passé, et du coup s'immiscer en cette sorte de contrée du bout des Mondes. Et là, regarder .......... la chose. L'ombre portée ? La sorte de Cohorte Énorme ............ buffkles au taquet ? buffles des préqs ? bufflettes cendrées et autres bêtes de trait ? On dirait ! On veut toucher ou on voudraiyt tpucher à  ette bête-né, à ce tracé, dit "des fées" , et autres gravures dessinées comme à main levée sutr paroi des fées. On veut creuser = dire = vivre ! charger = centrer s-on dire et pousssr de chez poussser afibn de pénérttrer de fait ledit passé des données du Vivre, qui sait ! On veut toucher........... parce qu'on veut vivre = poursuyivre . On ne veut pas (du tout) en finir .... mais , en vrai, continuer, aller plus avant de fait, tracer trait des traits et ...... ma&ter de chez mater le Passé de Frise . On est née Bébé ...................................... la mort archivée. On a regardeé le Néné et on s'est placé ...... de façon à voilà, pouvoir s ans frais téter de chez téter p areil ... mamelon "montón". On veut avaler , boire, ingurgiter, pareil lait ..... de frise ? et du coup : grossir ! grandir !  s'élever ! aller sur pieds courir, gambader, sautiller, fré mir ! On est le bébé dit ! on veut de fait c erner le Vif et le Motif ! On ne veut plus 

se laissser berner, méis aller ./.......................................................................................... pouser poussser poussser ........................... dire dire dirte ................................. creuser creuser creuser .......................................... porter porter porter ..................................... monter monter monter .................... et du coup cerner, co:mprendre , saisir, faire eainsi acte de présence en ce Passé "de FRance " !!!!!!!!!!!!!!! hé ! en vrai, il sembleraiot , car ......... né en France ...................... porté ............... ficelé ................... enclavé ......................... vivement la Transe , et qu'on s'en balance ! tracer = dire = charger = construire = donner , à soi-mpême, ce dit "lait des termes" = vérités du trait et autres vérités tracés sur herbe et au-delà de l'herbe ..... post-muret . On veut toucher à  ce qui est qui ................ se présente en vrai, sous nos yeux comme éberlués : ........ un Néné ! et nous d'y aller ......... à le tetér de chez téter en vrai ! lait ! lait de trait ! boire le lait de cette sorte de Néné dudit Passé hors Cimet!ière ..... din gue ! On voiudrait  tout ça de fait le cerner sans s'y perdre. Qui on est la mort acté ? et déjà dans la vie : le Père ? le Vit ? la terre ? de la terre de vie ?  Ver de terre ? traits nés ? charge fière ? volonté des 4 volontés et autres volontés premières ? une sorte de Perte en herbe ? un V ? la lettree V ? une bière ? sorte de Chassé)-croisé avec, ici ....... le Passé retreacé ? On cgherche ! homme cendré ? femme céleste ? On voudrait .................. se rapprocher sans frais des données entières et creuser, les creuser en vrai, les mieux situer et les mieux connaîttre si tzant est. On est la Fée du tertre comme qui dirait. On veut aller, foncer, permettre, situer, charger, porter, metttrre, se donner et colmater le VErbe ou VerbevTroué ....... car, on dirait que (de fait) le Verbe ....... est cfomme "troué" par ................... mèfle ... le Passé ! oh, ça se pourrait ! on cherche ! on veut grave situer ensemble un $certain  ombre de do nnées de base et du coup : treacer = ezn avancer (en vrai) dans les "connaissabnces patentes" d'un ciel étoilé. Car, le ciel est là, devant soi, qui nous apparaît, nous parle ou nous parlerait , nous donnerait de quoi "situer", "porter", "aller", sans se retourner (ou avoir à, de fait , se retourner). On veut touchger ................Étoile d'Ambre , Étoile -TRait, charge sale ou sinon sale comme un peu salie du fait de l'ambre . On veut :

dire et donner de fait

aller et porter loin

les données du trait ..................................................................... enfibn ! VCar, on erst née bébé la mort passée = on renaît = on revient = on se remet sur pieds sur terre allouée à une sorte de chemin "des f"ée""s ou des "données tracées" . On veut coller , et dè§s lors se poster ...... contre. Contre le muret dit "des finalités". Et de là; traverser, passsr, vers .... le Passé de TRait , l'Ombre, l'Ombre d'homme ? on ne sait ! juste une Ombrev ? on ne sxait ! On est fée devenue bébé, la nuit venue ! après le pré du hjour, le Néné -nuit des abats-jours. On veut creuser de chez creuser ledit Passé aux acidités, et y aller, de fait, sans trainer, vers pareille donnée donnée aux traits alloués .........../............................. aimer 

 Aimer ce qui ici est, qui sembke nous ....... aimer ? en retoiur ! On pourrait le penser. Car, vois l'ambre !  vois le doigt ! vois la branche d'arbrte ! la paroi des voix et autres passes d'armes ! vois et fais, de fait, ce que de droit tu dois , à savoir ............................................................................................................................................................... téter ! .................... téter néné dit "du passé" ! ..................... ne te laisse pas aller ! ................ tète le ... veRbe -Creux ! .................................. olé ! ............................ cherche sans tarder à bien téter le lait de ....... l'herbe -vraie ! et tu seras ............ heu-reux ! heu-reux bébé des voix  ! le (la) bébé né(e) des feux du Creux ! ................... = le Passé . Et nous de nous y replonger comme en apnée comme qui dirait ! feu ! allez !

 filons ! 

traçons ... "mamelon" ! ne trainaillons pas mais geagnons grave sur p areille voie menant à l'au-delà d'une sorte de paroi de Rage ! LA PAROI ! Paroi "strange" mais voilà : on avance ! on va ! on en avance ! on voit ce qu'on voit qui va et ne nouys laisse pas en branle , mais .................................................................................... donne de soi  ............ lait de voix ............................  laoit d'ombre ................... la (ma) foi des données hautresc .................................... dite "de porte" ! On monte. On veut toucher de fait les données perlées, et du coup grave tracer sur pieds ... les données genrées ! homme / gfemme ddes allées, femme / homme autoproclamées ça fait son effet ! On veut tracer k'hominidité des données genrées de type Feminité auto-allouée sur pré dépassé . On est née Fée (on était genré ....) sur pré des traits, nous voici comme ... dé-genré de fait, passé le muret, sur Néné ! bébé ! bvébé-nuit ! bébé tétant néné au lait la nuit. tracer = dire = faire = charger = donner .............. et aller de cherz aller vers une sorte de donnée acide.... dont le nom serait : Placide ! ohé ! on peut inventer ! Les traits situés soont traits de cire ! pâte à traits ! faussetés de cire = vies tracées comme vraioes quand de fait , les vies données, ici, sur pré, sqont ........................................ pour ai,nsi dire .../................. vides ! faussetés ! vivacités ! mais vivacités ............. n'est pas Vie en vrai ! Vivacités des Vivacités ............................. n''st pas vie vive telle qu'espérée p ar , de fait, Divcinité. On veut creuser = donner = trzacer = charger = donner (de fait) les données de base ..... à une Déité Notoire = Divine Moitié ? la Semblable ? l'âme allouée à une sorte de "Corps entier" , qui serait ....... la trace ! Le pasdsé de cgharge ! l'amporté des emportés de rage ! Un "passé -charme", genre .................... une portée ! bêtes consacrées ! ribambellisées ! On ne sait ! On trace, on monte, on avance, on charge. on veut toucher touycher toucher toucher à une sorte de corolle du temps passé, sorte innée. Et nous d'y aaller ...... de notre sorte de ...... rechercvhe folle (affolée) de termes avérés ! On cherche ! On veut creuser creuser creuser de fait un certain  ombre vde "données de tertre", tertre)-né post-pré, post-cimetière celte, hors tracés de pré, d'herbesz vertes. Hors = en dehors, de cette sorte de .............. Roche Haute ! Roche_porte . Hors des bonds et autres sauts de bêtes-mots. le ;:Passé est du Passé de trop ! On monte. On veut en vrai akler, jusqu'au plus haut tracé, direction néné, et du coup : téter, téter, téter, téter, téter , téter, téter, téter, téter , téter, téter , téter, téter , téter , téter, téter, téter, téter téter, téter, téter, téter, téter, téter, téter, téter , téter, téter 

, téter ,téter , téter , téter, téter, téter , téter , térter sans s'arrêter,  le lait frais, entier, acidulé, du néné tracé ! treait ! trait étoilé ! trait des teaits squr ciel sacré ! On veut gracve  cerner (ensemble) les données du trait .............. pour mieux situer , de fait, où on est, en tant que bébé né dans un post-pré aux données lactées. Voie des fées ? voies des ombres portées ? traits sur traits et le tour est joué ? re-lecture dure ? re-le passdé tracé ? re-la vie rude ? le trait alloué à une sorte d'aventure diurne ? On est Bébé, Bébé de trait. On est le b ébé -né d'une sorte de Passage Roide. On est le Bébé-né des idées noires. On est passé ............................................................................... t^te froide ! ......................................................................................................... vers le Lait , Lait de FAme ! trace ! t rait ! naissance ! le passé, en ... France- souffranc"'e, ....................... re-levé ! ................................. la danse .......................... transe en branle ..................., et du coup : la Chance ? ....................................... on veut espérer. On veut toucher , donner et prendre, et auusi comprendre, ce qui donc de base est à espérer, à chercher à comprendre, à vouloir pour soi en ces extrémités. On veut ça ! la transe ! le passé reconvoqué sezrait, dès lors, du passé de charge = traits de fée , forces mentales, pensées, parade franche et autres danses au pied levé : la chance ! bal de traitsz ! bises et bisonnées se tapent la maille ! On veut grave cerner (ensemble) les données, données franches et auttres types de données-siouffrances, vives alacrités, charges de fée, financesz./ On est lA fée devezbnue Bébé une fois passée par ce dit muret "des finalités" ... prairiales. sorte de Passé de Fame = Re-nommée des envies de transe. on entere !on entrte ensemble ! On veut creuser (ensemble) le passé, qui en vr&i serait (deux points, ouvrez les guiillemets) : 

"du passé dense"

"du p assé de trait"

"paqssé né en france"

" passé -pré ? "

" p assdé comme "actualisé" en termes de "souffrance" ici re-alloouées"

On veut toucher de chez toucher à ce Passév des Connivences et autres Confidences Sacrées ! et tracer : dessiner! beêtes Rares, Aurochnodoïtées des fo(mes animalves, bouquetinerie fronrtale pariétale ancestreale . puits ! Puits sans fond du Paradis ! On entre ! On veut .......................................................................... sans déconner ...................................... oh , sa$ns déconner ............................................................................ aller, filer, foncer, vibrer, courir, pistonner de chez pistonner sans jamais trembler , aller de chez aller, faire ainsi tracé, coller aux dires sacrés d'un tracé de vie, chanter ! chanter vif (vive) les données du Rire. ET du cfoup : envoyer ! faire son effet ! charger , charger de fait, tracer ! dire ce qui est qui est, ne pas traîner, ne pas se laisserr démonter, ne pas (jamais) se laiiser traverser par des (sortes de) pensées qui  (de fait) ne wseraient pas tout -à fait ...... célestes ? Oh ! peut-être ! on cherche ! on ne sait ! On est fé -être, = à la fêzte car ...................................................... transformée ......... de fait, en bébé , le mur (dernier) passé et hop ! on tète ! tête première ! lait de l'herbe ................ça fouette ! c'est corsé ! pas pour les mauviettes ! ça envoie sa crème et son petit lait comme un fait exprès ! c'est l'herbe du pré qui fait Trait ! Qui imprègne. On est née le Bébé des Herbesz ! On veut creuser Néné = Téter ........ sans frais, le bon lait de l'herbe .......... du pré carré ! On aime ! On monte ! On ose ! On est fée de bosse d'Ombre, et on cherche ! qui on est ? les données Vertes, le Passé en Selle, une soerte de tracé, sans Verbe, ici gravé ............. germes, germes d'herbe. Unre graine. un mot-graine surr paroi des motqs. On monte haute ................. haute roche ....................................le niveau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça porte ! ça envoiue des mots , ça lorgne ! .................................................... vois le niveau ! monte ! colle !va là et reste là sans faute ! ...................................................................................................... on est hautes , hautes de chez hautes. On est hautes de chez hautes fortes. On est Bébé post-pré , sachant téter inné ! On est bouche-trait  sur sein donné de lait. sachant grave téter de chez téter le Beau Néné empli de lait sucré ! mare nostrum et autre collostrum acidulé du Néné Donné. On est née Bébé la mort "traversée". On re-naît , hé ! vérité ! ça le fzait ! on est passée de chez passée .................................................... à travers le muret (la murette de pierrree) et nous voilà toute "remontée" qui cherchons le TErme, Mot d'herbe (Verbe) à decvoir cerner = mémorisezr pour l'Éternité (il sembklerait) ........... mais voilà ............. ce termes ............. où il est . quel esty-il en vrai ? est-ce un termes en toutes lettres ? ou bien : signe étoilé ? verbe-nacré ? vent de sable ? on entre ensemble ! fées ;;;;;;;;;;; on enttre ;;;;;;;;;;;; fée des fées ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;; fée devenue quoi, devenue bébé dit "des lois" ;;;;;;;; croix de bois ! chants sardes ! peuplades de rage ! Passé-trait et voilà les faits ! On veut toucher à ce qui est qui ici se présente à nos mains donnés et autres yeux éber;lués ..................... la Rage ? Le treacé de RAge ? Passé re-tracé sur place ? un passé chasse un passé ? le passé des transes ? On est comme envolées ............ hop, effacées ? On entre ! on veut comprendre alors voi:là on entre en ......................... la paroi des transes ! On est née Fée de Fra,nce ? oh, France / navarres ,

on s'en balance de ! On est .............. (grave) ................ mentales : qui dit mieux , ou dirait mieux question "parade", "jeux", "creux" ? On Passe ! charge "sale" ! feu ! Cherchons (à deux) les do nnées de rage et .................................. vite ! fuyons !  ne cherchons pas davantage ! allons ! Le mot est rond ! la Chose est haute, qui nous voit volante, montante, essaya,nt (de base) de tracer sur roche, qui sait, un sentier, sentier d'approche, de montée profonde" ....././ et autrtes recherches hautes. fée-bébé ! ça le fait ! on est née .........../...................................................................... eh bé ......................................... post-mortem .........................; bébé ! ................................ re ............................... re ............................. re ................................................. re ............................ re areu ..................................... recommencements "heureucx" ...................................... retracés de base ................................................................. re-balancements de charge ............................. re)-livraison "hard" ................................................ voeux pieux ............................................ amandes .............. noueuds ...........;;;;............................................................ noeuds d'amandes au mieux .......................................................... re .........................................../....................... re le temps miteux ../.......................... l'ensemencement des creux ............................. on veut :

être Verbe, faire Celte, toucher pied, Tracer de chez tracer, creuser treait et autres "treacés de Fée", se donner corps et âe aux Saintesz Sacrées et Autres Saintes Surnuméraires des Hautes Contrées. Faire = donner = dire = froncer = coller = charger, charger ivre ! dire vif ! porter ! creuser ! allouer à un Rire une sorte (en vrai) de Dire Cerné, de type ....................... souveraineté des Tracés Cupides ! le charnier ? loa vie passée ? vie et contrevie et autres vies "salées" ? On veut toucher en cvrai la vie passée , soit ............ le passé Nacré ! = l'entre-vies ................................. paradisiaque ? = pré de rage ? herbes en folioe ? bêtes de taille ? cris d'envie ? on charge ! On est née fée, en promenade sur un pré , et ... on regarde les bêtes (comme nous ?) passer ........ traces ! craies ! bousculades ! débordements de rage sur paroi ornée ! faceà nez ! mains outrées ! mains des mains sur main des mains ! une sorte de .... passé de mains ! sur paroi de fée. Chants latins. porte d'entrée. sainteté ! chants sacrés et autres cris de faim : ouin !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ouiiiiinnnn !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on a faim !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! grave faim !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! faim de lait sucré -salé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! sans déconner ! on est ...................... les affamées des traits sur par(oi des fées ! Et on veut .................passer passer passr ....................... v  ers : le Néné, des Contrées dernières ...... outre-muret .................. post-cimetière, mort enterrée, aller, filer, traverser le dernier muret, direction .......... tertre ! tertre ! tertre au néné ?  tertre des tertres eet ..... le Néné re-naît qui pourrait (ferme) nous donner son lait et du coup nous calmer, nous satisfaire, nous alimenter et nous donner de quoi .......... tracer de chez tracer .................. le trait de l'herbe = Verbe ! le français (ici) sur pied ferme, et voilà le trait ! Chose Alloué Surnuméraire : terme-né , le Terme des traits , genre le passé ...........................  "recomposé" ! hé ! dingue ! On veut :

aller, aller , pôrter, dire, aller, porter, dire , sonder,; aller, porter, dire, sonder, aller , aller , 

creuser et sartisfaire nos envies de l;ait en tant que bébé, bébé né post-pré (après le cimetière) à jamais ....... ou sinon à jamù&is .......... un certyain temps patent, de terme à terme , vibrant, sondant, creusant, pistonnant et s'alignant ainsi face aux Roches Transies et autres Murs de Bosse  : paradis. On monte. on est hautes. On aime l'ombre .... ou sinon l'iombre, l'es données   hautesz ............... = profondes. On monte sur Roche et hop ..... direction la noce ! fêzte et rondes ! une sqorte de nouba sur grotte , Paroles ! On monte. qui on est on est le g&ébé né , bébé -sonde. On veut téter. 

que. On ne veut que ça ! téter en ces bras-là ...../........ de la Diva ! Roche Haute ! trait de porte. On veut en vrai creuser sans se soucier de qui de quoi est né sur pré ou pas ........... car, nous, ............ on veut avant tout, ....../....... teter le Néné né du trou ! lait de gnou ! Lait frais .....................sucré-salé on dirait .......................... jus nacré ................................. coulrzereait en nos gosiers ... de bébé-né ............................................ la mort dépassée. On est la Fée chantée : hibou caillou genou, et nous voilà toute trans-formée en bébé -né du fond des prés ! calculé ! situé ! sachant (grave) prendre le néné et téter comme une sorte de ........... bébé de trait, hé ! on dirait ! ça m arche ! On est (on serait) de base animale quoique ! Ou alors quoi ? la Rage ? passe d'ambre ? une sorte de (en soi ?) passé de base .......... qui remonte large, reviendrait de rage refaire surface ? On entre = on entend = on comprend = on cerne = on trace = on file = on tresse = on trie = on est la Fille Fée des Vies Tracées sur ROche Ornée ............ dezvenue Bébé à la traversée de la mort Donnée (comme s'il en pleuvait, qui sait ?). On est passée nue .......... hé, cul nu ! bébé -trait ...... vers les Nues Étoilées d'un ciel donné ............... velue ? ................... poilue ?  ..................... cornues ? /.............................................................................................Montons haute sur roche VUe, alloons de bosse en bosse et tétons "Roche du Cru", aux données fortes : lait alloué à une sorte de .................... passé Lacté de type Lait ! Lait de trait ! lait de mère-née, mère Salutaiore . On veut creuser = dire = cendrer = charger = construyire = filer = piousserr = chanter = perdurer = donner ........................................... afin de nous "instruire" ................. sur, ici, ce qui est ................................... qui nous regarderait .................. sans discontinuer : qui c''st ? le druide ? le Passé "fluide" ? le Passé "outré" ? La Vive Clarté des DObnnées Tacites ? un passé de trait ? l"emportée des emportées qui nous avalaerait d'un trait ........ gloups ? ezt nous .... hum, roterait, dans la foulé ? On est née fée sur pré (une fois mort et enterré) et à présent le temps, le temps de l'enfant, l'ensemencement. On est touchée ! on est grave touchée. On ea envie de tout balancer on dirait parce que voilà, on est grave touchée icio-bas, sur pré-pré soit en ces contrées des données terrestrtes ... françaisesq (ici françaises). On est  comme une sorte de Fée Marraine .................................... en germe ! terme ! date du terme ferme ! Aloons donc ! creusons de passion ! chargeons-butons ! eesayons de raison, de tracer (creuser) Roche ................ du front ! coup s forts ! sortes de coups forts sur Pierre d'effort. On est bêtes-corps. On veut (hautement) passer mentalement ................. la Paroi Ornée d'une Groote Ajourée . Et du coup .................. le pré , nous y retrouver ! et là : chanter salé ! creuser sentier ! s'en donner à coeur hjoie des données de base !  aimer ! s'accoupler ! se donner de charme et toucher Traces ! creuser = cendrer ! 

 pousssr de chez pousssr ensemble "" la Romance = le passé du pré ! avant ledit passé post -pré = Lait ! L ait frais en conformité. On aimeraiot ............../././...................... allert aller aller, chanter chanter chanter , dire de chez dire ici (paroi) la Niche des Fois, Fois en ce qui est "en face"  ..................................... la Muraillme Ultime ................................................. "m aritime" ........................................................................ mer des traits de rage ..........vaguesc ...................................................................................... vagues des plageS ........................................... on tyrace ........................................... on aimerait = on voudraoit = on espère ............................ pôuvoir de fait, aller sur tracé ...................... v  ers ce Néné des Elfes, Néné Né à la tracversée et nous voilà cfomme alimentéez "de pied ferme" ! on aime ! on veut ! on est Bébé Heureux / heureuse post-sentier ... aux herbesz vertes , et du coup ..... on tète , tête première, Lait de ferme ........... lait enteier non -écrémé ............... ;lait chaud "de ta mère" .................. du "tuyau" .................................... lait nacré des hauts ................ grave (de fait) coté , soit méga-coté question qualité ! lait frais ! lait nacré sacré ! ancré de chez ancré en cxe Néné ... des Contrées Célestesc : le Passé ! car , lme Passé est .....................c éleste ................................ il sembkerait ! cherche ! cherchge à cerner = dessiner.............. le Passé en herbe ............... et tu sauras tracer sur pied les données du VErbe ............. tel qu'il est "en sainteté" ........ son "être" .............. wses longueurs de traîne ............... son (propre) passé de Verbe "inné" soit "alloué" soit "donné" soit "porté"" par (il semblerait) un ciel sacréb = le Terme  = date fixée , accrochée, située, comme tracée sur une sorte de ................. treait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! d'herbe verte !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! près pré ! et ça le fait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! herbe verte = trait des traits ........ des donnéesq du Verbe ! Verbe alloué ! verbe "cendré" , de type ............................ termes ! termes tracés ! On veut :

aimer, dire, sonder, construire, poussser, creuser, chyercher, aller, commencer à en vrai tracer une sorte de cxhemin "de fuite", chemin "fluide" sur Passé de Tire. On est la Fée Intime, celllle qui est née , ici, fille, sur praieie des filtres, et voilà là qu'on se voit à , il semblerait, vouloir de fait , aller là-bas, voie des Rois, Reines de Saba ou quoi ? reines et Rois des Foies, entrailles des Sages. On voit ! on voit q uoi ? on voit un Convoi ! de bêtes sardesz ......./........../............... des envois de masse ! .......?......................... ch arges d'antre ! ......................... poids de  croix ............................ on trace = on avance = on va = on monte = on s'envole ! on est hautes car, on monte haute ! on s'accroche ! on ne lâche pas (plus) la paroi de Porte. On veut ça :

LA VOIX !

VOIX DE BOIS !

TRAIT DE RAGE SUR PAROI D'EN FACE = LA VOIE .....................OÙ POUVOIR (DE SOI) PASSER NEZ / TREAIT / DOIGT DE FÉE ...... On voit ! on voit là la voie, l'(entrée, le trait ... d'une sorte d'entrée pour fée acidulée telle qu'on est de fait, il semblerait,  en vrai. On est ................................................ lettrée ................................ hé ! ../.................. .............?.?.....?............................................ fée ,-comme lettreée ? .................................... faite de données données de type : termes ? lettres ornées ? trans-identités marquées, gravées, tracées ? On cherche ! On est comme toutrzsx"retournées" de nous savoirv (enfin) passées, ou comme passées, à travers ! on nje pensait pas y arriver .... eh bé si ! tracées = passées ! on pouvait le pensqer ! On est née fée traccée ...................... à la craie ? ..................... sur paroi de Roche-Porte, née = vue = nue ! 

On est nue-fée, sur ........................................ pré-passé ! ............................................ prtête à traverser (à nouveau) d'un trait , le muret des fées " , dit "muret des fées" car ....................... posté, haut posté, hors du pré, pour un passage accordé aux (ou des) fées alloués à pareille copntrée enclavée .............  v ers ..............le Passé dit "surnuméraire", aux données l actées ! sein de lait ! sainte ! sainteté lactée comlme affirmée et avalisée par ........... qui sait ? .............. un TERAIT ? TRAIT DES TRAITS ? ............. trait ferme;.............?.????.?......................../.................................................................................... trait des traits comme alloué à une sorte de "germe imberbe", nouveau-né, genre "bébé-germe", petits pieds. On veut toucher de chez toucher ce germe , cette graine ici centrée , trait des treaéits sur herbe verte auto-proclamée, ou disons ............... auto-postée .............. auto-centrée .................. prête à traverser ce dernier muret dit "du cimetière" et gagner de fait l'esopace"derrière" : ..........//./............. mère ! ............................... mer amère .................. mère née ................................................... aux données lactées ............ mer de lait ............................... qui c'est ? Déité ? "Mort-Mort-Mort des Traéits" ou dite telle ? Une s  ommité Maternelle ? matérielle ? Sommité vdes Sommités Ancrées ? Verbe ? Verbe D'aile ? Une Sorte (en vrazi) de Verbe Tracé de type Ailes ? éai:les de fée ? car, le Verbe seréit ..... treait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! trait allouée à une sorte de .............; p)aire ................... paire d'ailes ! ailes de fé ! fée des fées ! On aime ! on like grave" ! on veut :

dire de chez dire ce passé dit "surnuméraire"

cxharger grave kles données du verbe, verbe dit "imberbe"

sonder de chz sonder les termes du passé Nacré

poussszr la Porte des Toilettres et aller pissser

toucher néné pour Téter de fait le Lait Entier

creuser freuser creuser d'un trait d'un seul .... ledit "Passé des Finalités" il sembleréait

Chercher querelle ! à qui ? au Trait ! tRait très traqué, du fait que voilà ............. on a traversé l'ultime (der des ders) parois vive .......  vers là-bas, la Rive, Le Passé de Rive , Trait deesx foiesz .................. voie et voix ...................... le langage- )trace ....................... d'une sorte de "charade " ..... sarde ?. On voit ç a : la panse . Le néné "de France" ! lait tracé ........... la planche ................. on est née (re-née) bébé ............. de l'Aiutre Côté, cherchant Lait à pouvoir téter sans désemparer ! car, on aime (grave) le lait ! on le vénère ! on ne v eut pas rester de fait sans pouvoir téter , mais , grave de chrz grave, bnous alimenter à même ce Néné dit "surnuméraire" : passé remonté, sainte Chapelle, un trait est un treait "qui nous appelle" (ou semblezraoit) en tant qu'il seraiyt .... liié au Verbe ! Verbe d'ailes ! Trait des traits au milieu des ailkes = Verbe -Treait donné ........... des doonnées  imbervbes .................. d'un (d'une : sorte de) nouveau-né post -pré............... saint sourcier ............. On aime ! on dit qu'on aime ! On veut : 

creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creiuser crsreuser creuser cdreuser creuser creuser , dce qui est, ce qui nous plaît, sur ce dit "tertre" des données dernières . On ne veut pas se laissser faire ! on veut (grave) tracer, foncer, faire de fait les choses qui nous plaisent (en ces quartiers) et seulement après ................... cxhehercher, chercher en vrai ce qui ici nous semble, ou semblerait être , ........ à devoir chercher en priorité ....... le Nénév ? Sein donnév ? lait ? On dit (de fait) que le Pis est né post-mortem.................................(Spi ?) ..................?........ est-cve vrai ? est-ce ? est-ce une Vérité tout ce qu'il y a de plus vrai ? Ça reste à prouver iul semblerait. On cherche. On ne cesdse de chercher. On a grave envie eznsemble (ailes) de trouver et, une fois cela fait, une fois ma foi qu'on aura trouvé, on pourra ......... traverser ce Tertre, Passé Des Traiotsz, ce post-cimetière aux Données Célestesxs .................... traits sur traits : une étoile est née ! vé ! comme ça le fait ! dingue ! oh, on aime ! on veut être ........................... eh bé , dans les  tuyaux ! et mieux connaître ... Dieu, D2esse, Déeeses ... et ses soeurs et frères, Mots de TRop et Porte Haute des Données profondes hors mots. On est:

fée des traits un temps, puis : bhébé des bébés-nés sur Passé de trait ! dingue ! On aime ! On veuit :

dire dire dire dire dsiredire dire dire dire dire dire dire dsire dired iore dire dire dire dire dire dire dire dire xdire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire vdirevdireccxdire dire dire vdire direb dire dire dire dire dire dire dired dievdired dire dire dire dire direvdire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire diore dire dsiren dsire direb dirednire dire dired idrer dire dire dsire dire dire dire dire dire dire dsiree bdire dire dire dire dsire dsire dsire sire bsireb dsiredc dire dire dsire dire dire dire de chez dire le dire du dire , et dès lors creuser, creuser de chez creuser , le dire "outré", trait des tréts, trait germé, entre ...... deux  passés comme "prsésentés" en ces contrées dites "pré" ........... du fait que .......... oui , ici, ................... ubn pré précède le Pasdsé , qui lui même précède ................ un pré .................. il semblerait . On veut toucher , on vgeut téter, on veut du lait ! vive le lait , le lait entier ! lait de vie donné ! vive le lait ! vive la vie ! et , en vrai, le lait de vie ! On vfeut (de fait) vivre sa vie .....  de type "lactée" à jamais ! re-commencer , re- re - reà jamais téter............. le lait frais ............... de la vie lactée ! on veut :

donner donner donner donner, creuser creuiser creuser, creuser, chargercharger cxharger charger, dire dire dire dire, sonder sonder sonder sonder, porter porter porter porter , décidet décider décider décider et dès lçrs s'immiscer , en douce (on dirait en douce), en ces contrées dites "des finalités", ........................................... sweins de trait .................................................................................................... sein donné ........................... ............................................. seinn-s des seins donnéews ........................ et téter ;, téter , téter, téter sans discontinuer , afin de bien s'alimenter pour pouvoir perdurer en termes de vitalité. Téter = porter ......... porter = téter. Trait !  Traiot porté des données hautes . On monte . On veut creuser, dire et sonder, charger, soulever, comprendre, cerner au plus près les données de bhranche. On est née "La Fée du pré" la mort actée, nous voiulà devebnue bébé le mur du fond (du son ?) passé .... sachant téter et ne s'en privant pas ô grand jamais, car, on aime ça ! grave ! On raffiole de ça ! on adore ! grave de chez grave ici on aime ça : téter vrai le passé lacté, Termes frais, MOts de crème et chrème ! oint et ouiiiiiiin ............... on aime ! on cherche ! oh on cherche .............. le néné né du sein Donné ! ......... afin de OUI

téter de chez téter

lait des laits donnés = herbe = verbe (comme qui dirait) et ça le fait (un trait : trait d'herbve !. 

Fée nacrée, fée des fêtes, fée d'herbe, fée des fées devient de fait au passage alloué .................................. sorte de B2B2 surnuméraire ............. du passé ! un bébé du passé revenant sur terre ? On peut rêver ! on aime ! on aime l'idée ! on cherche ! on veut .......................................................................  erner cerner cernerf  cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner  erner cerner cerner cerner cerner cerncerncerner vcerner cerner cerncer cerner cerner derner cerner cerner cernerr cerner cerner cerner cderner cerner cerner cerner cerner cdeerner cerner cerner cerner cerner cernerv cerner cernercerner cerner cerner cerner dener cernercdener cerner ernercernerrcdenercerner dernerv cerner cerner cerner cerner cerner cerner de chez cerner ledit sein donnév = dessiner, sur roche ornée, le tr&acé donné ds'une sqorte de "rotondité" olé olé  de type ............................... néné ! néné à lait , à pour le coup  téter en tant qu'on est , de fait, un / une Bébébé )-)-né(e) sur terre "brûlée" des données en herbe ! tertre ! tertre alloué à une infinité (iun infini) de dires étagés ......................... tracés .......................... alignés ............................................ tenus .................................. sur ciel en vue ! On est ................... nue ...............................; née ............................. vue .................................. au Passé des traits" ........................... = connue ! .............................  à jamais, par , il semblerait, sorte de D2ité des D2ités, de Type ................................................................./....... Trait ? trait des traits ? et , qu'est-ce que ça serait ? une sorte de .... tiret, entre deux moitiés ? genre .................... corps de fée ? .................................. genre "trait des traits" alloués ... à une sorte de ............................ "tracés de fée" ? .................................................................................................. on ne sait ................................................................................................................................................................................. mon dieu.

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4/3/2025

On veut comprendre = descendre = passer = enttrer = faire = chercher ici et là , "de l'aiutre côté" , une sorte de "manière" ... afin de (pour le coup) TRACER de chesz tracer un trait = vitesse ! Vitesse "des prés" ... on aime ! On veut toucher à ce Néné post-pré et pour ce faire il faut "tracer " = dessiner et filer ... à fond la caisse comme qui dirait. On a envie en vrai de ... dessiner les termes d'une sorte de (en fait) charge de terre  = pelletée, pour recouvrir ... le Verbe ? le tracé alloué à des termes "vrais" : mots de bêtrs ? On cherche ! on cherche ici et là à dessioner ce terme, dont voilà, on cherche ensemble, ou on rechercherait ensemble, "toi et moi", une sorte de définition , 

de définition ,

de définirtion "parfaite" ! on cherche ! On ne veut pas lâcher ! on veut toucher à ce qui est qui dit 

La Vérité telle q'elle est ou serait sous nos yeux de fées. On veut toucher à ce Néné du bout du monde, post-pré, post prairie fleurie et habitée 

de  bêtes =  bêtes-vies. On veut :

dire ce qyui est ici,, qui nous accompagne et noius regarde ,

dire ce qui est qui ici nous regarde 

et nous accompagne, bêtes des prés, bêtes-mots de Rage, on enttre ! on veut toucher à ce Néné (post-pré) des  "Contrées lointaines"  hors paysages (il sembklerait !) et aller. Dire et toucher. Faire et mesurer. Chercher de cghez chercher ensemble post-muret, les donnnées de base. Qui on est . A quoi on ressemble post-muret. qu'est-ce qu'on veut trouver"qui le fassse"". Sommes -nous des "fées de rage" ou alors ..... bêtes-traits ? traits tracés à mzin levée sur face pariétale ? On veut creuser ensembvle ce muret des Chances, passer, passer ense mble = allouer à un passage une sorte de "Persévérance" incroyable ! Qui on est, et aussi : ce qui est qui , en nous, nous pousse ou poussserait à vouloir entrer .... qu'rst-ce que c'est . On avance , on trace, on file, on monte, on creuse, on trace de chez trace le muret d'en face,, fin de pré des Rages et autres colères tenaces (contre Déité La mort de base ? ). on commence ... le treacé : 

traits, trais des traits, traits de charge, bêtesallouées à une sorte de "Parade Cendrée" ! On est nées fées en ce paysage, des prairies 

des prés 

des prairies touchées, des prairies aux fé"ées

des prairies aux couleurs vives et autres 

couleurs acides. On veut :

dire dire dire dire dire dire dire ici et là ce qui nous habite en fait de croyances en ... eh bé, disons, la Rage, ici, de dire en vie ce quyi nous rassemble , nous réunit, nous assemble .... ailes de vie ! vie des vies ! Charge mentale d'une sorte d'envie en nouds "emboutie" ! On passe ! On creuse large . On veut toucher à ce Ramage, Bois de base . On veut :

dire et dire vif, aller en ce pré et coiurir sans traîner, vers ce dit "muret des Alacrités" . Charger. Si possible cgharger = foncer = passer = passer vif ce muret des traits et nous retrouvrer , en tant quye fée ailée, de l'Autre Côté, à regarder -mirer, chercher de chez chercher ici et là quelques vérités, traits tracés , objets, données .... qui nous enseigneraient ou nous renseiegneraient sur ce que c'est que cce dit "P assé" ... à venir ! CAr, on sait, on devine, on se doute fort, on veut, on est fines, on veut cerner mais voilà on sait, on voit, on ose ensemble ici et là, toucher la paroi .... et du coup Passer (trépasserr ?) , passer vives ... de l'autre côté, côté "vivres " = Passé, les vivres du Passé = le Lait ? offrande à la MOrtl-Déité des Données de Roche. On veut toucher à ce Néné des Ordres. ON est de"ux .......... on est en vrai (en soi : fée) deux ! deux aiIles de feu, deux par deux on ose, on est dieux de Bosse, dieux De Rage Rosse ! Fée des données hautes , genre Dieux de Bosse Haéute. Dieux de s Feux des tracés de Roche. On veut :

dire, haut et fort, ce tracé tracé, dessiner , graver , D2ité ! Déité des D2ité  ! Dieux-déessses vraies ! charges à trait ! creuser = creuser = creuser = creuserv = creuser = creuserv , les données de Rovche, et de Rocher. Qui on est ? On est Fée -déesess allouée à une sorte de ..... Tresse ? Trois fils entrezcroisés sur pré et ça le ferait pour en  vrai nous aider à (ici) trépassser sans vraiment passer ! on cherche ! on est née sur pré à la retiombée sans  se casser le bout du nez mais un peu remuée, quand même, mais enfin on cherche ! on ne trai^ne pas, on trace, on avance, on voit, on voit ça : la Trace, sur Par'oi, d'une sorte , en soi, de "parade" , "parade étrange", faite ici et là de Bêtes de CHarme et autres Bêtes-mots de base. On voit Convoi (ou ce convoi) en face ! la PArade aux Charmes ! treaits de voix ! cris d'effroi ! un chant sarde ou pas mais ça envoit des masses ! tralalalalalala sur paroi, ça chante ! ça creuse la Foi ! ça ne lésinhe pas sur les enviois ! mains de maintenance ! maintenance en transe ! on danse ! on voit là ce convoi des phrases ... de toundra ! bêtes de paroi ! Bêtes vives et autres la la la des Rives ! On voit ça . On ne veut pas lâcher le tas mais ... tracer = passer = entrer = se retyrouver ainsio "ailée" de l'autre côté, côté rocher, à gambader ainszi accompagnée par X 

b^tes de Trait qui nous observe ou nous observeraient, semblent nous observer ou sembleraient , et nous .... de même . On mate la Bête, on la meate grave, on avance. On cherche passage, passage de fée entre bêtes de trait .... on trace. oN veut comprendre ici ce paysage ce qu'il est en vvv'ai, en termes de données premières. Qu'est-ce que c'est donc, que ce opré aux herbes ? qu'est-ce que c'est que cette herbe verte ? qu'es-ce que c'est que ce Verbe ÊTRE ici décliné ... au passé ? on cherchje ! on veut trouver-toucher, cerner les données, creuser de chez creuser le Vezrbe, et y aller de notre Théorème Princier ...  car, en vrai, les donées du Verbe ÊTRE sont données "fermes" . On sait ce qui est. on est nées fées eyt en vrai on sait , que, voilà, là, les bêtes de paroi, sont bhêtes de hjoie = je ! je = joie et joie = je ! On veut aller , aller et tracer, sur pré Alloué à une sorte de "tracé des FEux" ! On est : fée des fées ! trait des traits ! creux / creuses ...... et on court sur cours ! On veut .............................................................. dire de chez dire, ici (pré) ce qui est qui est, en termes de données de fée : 

- le passé devant : qu'est)-ce que c'est. 

- le présent des présentsc: ce que c'est. 

- la hjoie allouée (à une sorte ici de pré, ou de prairie cendrées) : qu'est-ce que c'est en vrai. 

On veut :

aller vive (vivre ?) , dire, creuser et plonger, plonger ivre , ivre de chez ivre ... en ce p assé "de frise" = le Passé post-pré ! la  vive clarté insoumise ! lr Passé post pré... est passé de frise ... est passé de Trait ! On veut :

dire dire dire dire ici (le trait) ce qui est quyi est, de fait, pour une fée. On veut : 

ensemble toucher à cettte frise ici des dires et autres tréits de vérirté. Le passé lacté ? le passé aux nénés ? le passé au lait ? passé-lait de tire et autres traites vives ? traits ? On est ivres ! ivres de lait ! ivres en vrai de lait de pis ! on veut :

creuser creuser creuser creuser, et téter téter téter téter .... pis que pendre ? les données données ou comment ; téter .... téter le néné, téter dur Néné, pour mieux s'alimenter  ..... aller, creuser = vibrer, dire, charger = constryuire. On veut ................................. dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire ce qui est, en vrai, qui (de fait) nous attire , là, en ses filets dorés! drîoles de dires ! on va y passer ! on va clampsezr ! on va trépasser ! on va disoparâitre d'un trait ..... de RAge Cendré, si jamais. Mais voilà ............. on est la Fée dite "du PAs" ! On ne veut pas , on ne traîne pas, on ne lambine pas, on ne se -laisse pas aller à se laisser toucher comme ça, par, là, le OPasséRoi ! on ne veut pas de ça, Cerise ! On veut ........................ "poussserr à deux ""'" la Chose Permise, ou comment dire ? Aller = poussser, = faire = creuser et du coup passer, passer de l'autre côté mais, de fait, sans trépassser, sans y passer en vrai, sans devoir succomber à jamais ! frise ! et, on touche la Touche ! on veut : à deux, aller, dire et passer, et mater de chez mater ... eh bé, un certain nombre de données de fait, à savoir :

un trait = un trait de fée

un signe alloué = un signe alloué au taquet

Creuser = faire = donner = charfger = toucher à ce qui est ici post-muret, à savoir ........ un néné, qui sait ? plein de lait sucré ça le fait, et nous d'y aller, d'e s'y vautrer , de s'y coller, de s'y donner pour en  vréai téter (mort haute) Lait Des Morts et MOrtes ? oh ..................... on monte ! On veut haut les Hauts de Roche atteindre, de Haut ! Toucxgher-creuser ! Téter haut le SEin des Hauts. On est kla F2e en vrai du Haut Niveau, sachant grave ... prendre Cavale ! On est ............................ fée de trait ! cgharge mentale ! trait ! roche cernée ! On est la fée des données hautes toutes lactées (étoilées ?)  et on ose ! on ose alller , aller creuser et dire et charger, dire kles données, creuser grave un sentier, charger de chez chazrger telle porte d'entrée ! de rotonde vraie. on veut : 

allouer, à une sorte d'éternité (contrée), kles données de Roche : bisons futés et autres Bêtes Grosses (de trait et de somme). On veut toucher à ce néné du bout du monde et le téter sans discontinuer ..... à la ronde ou comment ça serait de fait ? à l'ombre ? On veut .... aller de chez aller, dire de chez dire, tracer de chez tracer, percer de chez percer, combler de lait notre IRE Enjouée ! colère vive ancrée, sang placé, trait des tra&its  sur paroi mobile (comique ?) . On veut :

toucher ivre ce tracé de bile , colère vive, sang glacé , et tracer de chhez tracer cette ire à jamais , sur roche allouée de grotte divine ou sinon divine ... vitrine ! On veut : dire dire dire en vrai, les données nées ! sur roche de pré ! creuser ! creuser-allouer à une sorte de muret (de fin de pré) un certain  ombre vde données de frise ............ genre "animalières". Le Passé est Animalieer . Serait ? On cherche !!!!!! On n'arrête pas de chercgher et de mater et d'eesayer de nous 

et d'eesayer de nous y reconnaître en ces drôles de contrées en herbe ! qu'est-ce quye c'est que l'herbe ? des treaits ! Que sont ces traits dont vous parlez ? des fées ! oh o h .... et si c'eétait vrai , et pas faux ? On monte haut. On veut atteindre le plus haiut niveau des données cde l'herbe , herbe verte, traits de fée sur pré. On veut : toucher de chez toucher .... le Verbe comme qui dirait ! mais, est-ce qu'on peut en  v rai toucher .... le Verbe ? est ce que le   erbe en  vrai peut être trouché ? qu'est-ce que ce'est que ce dit "blème" des données du Verbe  ainsi pprésenté ? on ne sait ! On est fée tracée, on cherche, on regarde ce qui est qui est près, on cherche l'entrée ! On est cfommpe il sembklerait dans un cilmetière aux données vertes. grises cendrées mais aussi vertes comme les prés. Car, oui, on est passées, on s'est comme retrouvées sur un pré, à devoir brouter (sans rtraîner) de l'herbe ! herbe verte des prés alloués à ce treacé de Verbe. Genre Herbe en Herbe ..... Herbe VErte sans frais. On aime ! on aime brouter comme on aime téter. On aime aller ! cghercher du lait à la ferme d'à côté ou de proximité il sembklerait : veau de trait ! vcache à lait ! colère ! sainteté ! une adresse : le Passé !!!! Passé né après .... c'esst-à-dire , après le pré, post-pré si vous préférerz , car voilà, le Passé esrt ce TRacé aux fées post--pré en herbe ................... verbe ........................ passé-VErbe ...................... un passdé de VERbe ! va -et-vient du verbe au sein des données, données Hautes ....................................... de Haute PORTE ! On est :

fée des fées, fées allouées à une sorte de dsonnée donnée, fée des fêtes et autres joyeusetés, fée d'herbe ou même fée en herbe . Un tracé. Une sorte de trait = brin d'herbe ajouré. On veut creuser le  Erbe dans sa chair ... de fait accolée à une sorte de ... peau ttracée ........ dessinée ............ ou même imaginée par une fée dite "des prés" , qui sait ? On aime aller, on creuse des traits, on trace grave son sentier, on entre ! On a grave envie ensemble, d'y aller sans traîner soit sans lambiuner, creuser de chez creuser son ambre, tracer son tracé-sentier, fgagner là-haut haut les Trembles = le P assé du Haut, Haut Niveau ...... la Chyance ! On veut allker ensemble = ailée ....... judsqu'au dit "Passé des Données intendses", dites "Intenses Données de la CHance et du Passé de TRait". Creuser = dire, et dire = creuser. Creuser Fossé , dire le fait , comme quoi le VRai est ............................ dudire de LAit ! lait de rtrait ! lait frais ! lairt de vache à lait ! non écrémé ! On veut :

dire ce qsui est, voir ce qui se voit, faire ainsi que des données de base noius soient révélées et à tout jamais si tant est ....... ; on vibre ! on veut creuser .... eh bé quoi le Rire ! ici, aux données vives ! RIRE-TRAIT ET AUTRES JOYEUSETÉS , QUI SAIT ?On veut : rire de chez rire = tracer = creuser = foncer , à toutes enjambées, vers du dire frais ! = vérités des cvérités , des 4 vérités (décomptées) et autres vérités des Vérités. On veut toucher toucher toucher à ce qui est icfi qaui semblerait vouloir (de fait) nous parh$ler de faits que nous saurions (en vrai) tracer )- dessiner (nous) dans la foulée ..... il semblerait ......... car, on est, on sezrait, on serait des ....... qui savent tracer , dessiner)-graver, ce qui est qui est en termes de ................ vis-)à -vis ....................... visages alloués .................... faces vraies ............................................. En effet, on pourrait (pour ainsi dire) dessiner-graver , en vrai, les données récoltées ......... en nos sortes d'embardées nacrées ..................... trabnses de fée ............................ transes-danses sur pré ................................. récolter, et dès lors vite tracer pour mémoriser .......................... les données du Vivre , VIvre VIte , ainsi rencontré post-mure t des Dires ........................................... toucgher = faire = centrer = creuser = faire = centrer = charger = poussser = allouer à une Entité Donnée un "titre" d'étrangeté, et autres bizarrerie de trait. On veut toucher touycher toucher, de chez toucher toucher toucher, et aussi creuser creuser creuser, de chez creuser creuser creuser, mais aussi allervaller laller aller, de chez aller aller aller , et du coup : tracer ! grave trracer ! creuser sillon de données = sentier , jusqu'aux dits "nénés alloués à une Sommité" .... genre déité des déités, Déessse-née post-pré (hors cimetière) en Pays de Bière ! LAit ! lait donné, perlé. On veut creuser. on voudrait aller. on veut toucgher. On voudrait cerner en vrai ;;;

 ......................../

quelques faits vrais s'il en est ............ et on sezrait du coup complètement ok, de fait, car comblée , soit comblée de lait, lait sucré , sucré-salé, qui saurait grave en vrai nous satsifaire et peut-être même nous complaire ! complaire-combler. ON veut toucher Néné du Lait sans trop tarder dès que née sur pied ! traite ! tétée ! s'alimenter de fait ! aimezr ! lécher ainsi le lait de l'herbe" = le VErbe ! VCerbe-trait faisant (comme qui dirait) la Navette .... à toi à moi ..... de là à là ...... verbe-Navette ........ verbe de la Foi en l'Être ! nouba ! tralala ! chants celtes ! la paroi en joie ! une sorte de fête de voix ! on voit ça ! ça chante la la la la transe ! ça encvoie du bois ... de charme, et autrezs bois

 de bonne combustion, genre .... mélèzes ? bois des chataîgnes ? bois-de chêne ? On voit là le bois brûler sa graisse ! On veut ça : la jhoie ! la belle colère ! Le ÇAA, le Moi, le sur-moi de Tresse, l'envoi deSoi, la Tresse vAncienne et le TRacé comme vfaisant Foi sur Trait de Perte. On voit :

La chose de Soi = l'envoi 

La tresse = la voix 

Le ciel = l'émoi 

On est : bête, bête-maîtresse des contrées du verbe = pré de choix, post-paroi, en ce cimetière. On veut de fait .......... creuser de  chez creuser (en vrai) notre propre voix qui serait la voix des par(ois du Verbe" , et au-delà ...... la Haute Plaine, le Tracé des bois, la lointzaine CHaîne, là-bas, Voie des Voies. On veut connaître. On veut toucher-connaître cette voie afin ici de (pour le coup) passer le genou, la tête, bras en fête, pieds de traîne, le cucu celte ! On est nues ! n ues de chez nues ! cul nu / Vertes ! on aime ! on aime (grave) être nues ,  et tracer de base vers, .................................................................................. au large, ................................. la mer .............................. lezs vagues ................................... vagues vagues .................................. vaguement nacrées comme qui dirait ....................... et autres traits lactés il semblerait ................... mer de lait ? ................... laiot de mèrehâlée ? ............................................................................. on ne sait ! ................................ on cherche , on recherche, on s'emploie de base à ici chercher (en vrai) ce qui est qui est, en termes de ............ "néné des nénés" et autres termes ............... termes de traits .......... traits fermes et autres traits post-cimetière des données en herbe ! ça le fait ! on est ELLES ........ CELLES QUI ............ CELLES-LÀ QUI, DE FAIT .............. SAVENT TRACER-TRAQUER .......... LE  VERBE ËZTRE ............... EN SES MULTIPLES CONJUGALITÉS VERTES ! ........ OU QUOI OU QU'EST-CE EN VRAI ? CAR, .......... le Passé est dit Passé car il est Pas assez Pour ainsi dire. Pas a sserz "vivant" aux yeux du premier rang ! On veut.......... eh bé oui ........ toucgher de chez toucher ...... le sang ......... les données ancrées (et encrées) dans le sang ................................... fluides alloués ! teraits tracés ! vélléités ! On veut : 

tracer tracer tracer tracer

creuser creuser creuser

dire dire dire le vrai

charger = donner = faire = aller,

sur son petit baudet, à la recherche de la Vérité ou Vérité Vraie des DonnéesUltimes , genrre ........... frise ! frise du Rire ça défrise ! hé ! qui sait ? on veut ..... et toucher et dire = toucher-dire .... le Passé du Rire = LAIT ! lait trait ! trait de lait tombant pile en ce gosier ! on veut téter ! creuser d'un trait le SEin donné = tracer = boire = chzrarger = vivre vite .... ces donées dites "de frise" et autres "parades vites". On veuut :

faire -toucher et toucher-faire, les données du verbe . Allouer à une Sommité des Termes, les dites "4 Vérités" du Verbe. Que sont -elles ? eh bien ......... on diraiot ........ on se laisserait en vrai aller à penser .................. que de fait ................. les Vérités ici relatées .............. 4 Vérités ............................ sont celles qui ; en fait ; concerneraient de près ............ le pré ! l'herbe ! l'herbe verte post -mur d'entrée ! herbe)-verbe au débotté ! et autres traits des traits alloués à un pré, en termes de ............ brins des brins ............. d'herbe-verbe tracée ........ Un pré est un pré .................. = pré cendré ................................ pré-tracé des Finalités post-muret ...........................  une av$cancée verte ................ un avant-scène (une?) et voilà le fait ! On veut toucher , soit creuser, la terre cendrée et du coup cerner;, cerner -tracer les données de fait les plus actuelles concernant le VErbe , ce qu'il est , en termes de données certainesz ! On cherche ! on avance "ensembkle". On est "de la bande". On est grave ensembkle (ailées) ... "de la bande". On veut .......... toucgher toucher toucher à ce qui est devant, qui ......... nous ressemble ? nous ressembleraient, partant ! nous regarderait et nous ressembklerait, qui sait ? On veut : dire de chez dire nottre sentiment, et ainsi fait, l'écrire noir sur blanc sur pareille "frise du firmament" ..... Charme d'Ambre ! un parent / une parente ! on entre ! on veut ici et là comprendre le Tourment, Tourbillon de base, le sel de sa Racde ou comment (comment ça) de face, la Paroi, soit l'Étrange Voix ... des Chants de la Rage ! On cherche ensembke : née ! deux ailes de trait comme qyui dirait et ça serait 

ce qui nous distingue, en termes de traits . On veut :

dire et toucher

cerner dur, co:mprendre le mur

les données de base

le Passé est une Entité

Il s'agit de le comprendre .... à jamais, via ...... le Passé ! le Passé réitéré ... en face, tracé. On est née fée comme à la parade. On voulait toucher à une bête sage ("bison des fées") nous voilà comme décentrée, décalée voire écartée , qui ne pouvons en vrai ...... toucher de chrz toucher, à cette (donc) bête de base, bête-trait ou bête de trait.... qui nous regarde ! Mèfle , ça fait suer, qu'on ne puisse en vrai la toucher , la rtoucher en vrai, juste la toucher pour (de fait) nous rendre à l'évidence que , en vrai , la Bête de La Roche Haute est bête de Trait, dite  .... pré-porte, enclavée, comme "emmurée" en cette Contrée de la Dite "Roche De Grotte". On veut / voudrait cerner la chose et cela à jamais car voilà.... on est montée ! on a volé ! on a volé haut ! haute porte ... des données hautes ! On veut / voudrait de fait, cerner pareils faits qui nous sezraient montrés une fois passée ... ou : le nez (la tête ?) passé (et passée ) ? On est BHête de TRAit / fée ............................. bête (à deux têtes) de trait. On est fée ailée (deux ailes) / bête de trait (deux têtes) .... ça le fait de fait ! on est ailée , .... sur Passé Tracé derrière .......... derrière pareil muret .............. qui nous fait fête ............ sous le nez ! tracé-né la mort dépassée, archivée, entérinée. On veut grave ensemble dire, dire-cerbner, les données du Rire tel que trimballé de l'autre côté on dirait. On veut / on voudrait ........................................ de fait ................................. cpomprendre ce Rire ............................... toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchercvtoucher touchger topucher toucher toucher toucher vtoucher toucher toucher touchervtoucher rtoucher toucher toucher toucher toucherv touchervtouchertopuchervctouchervtoucher trouchervtoucherctoucherctoucher touchervtouycherctouchervctrouchercvtouchervctoucherctoucherctoucherctroucherctoucher troucherctouchervtouchercvtoucher touycher toychercvtouycherctoucxhervtouycherctouycherctoucherctoucherctoucxherctoucherctoucherctouchercvtouycherctoucherctoucherctyouchercyoucgherctoychercvtouycherctouycherctyoucherctouycherctouycherctoycherctouychercvtoycherctoucherctoychervctoycherctouycgerctouychervtoychercvtoucgherttctouchervtouycher touycher croucher touycherctoucherctouchervtouychervtouchertoucherctouchertvtouycherctoucherfctouycher touychercrtouycherctoucher troucherctoucherc toucher toucherc tyoucherctoucgerrtiyupouycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucherctoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher touchervtoucher toucher toucher toucdher toucher toucher toucher toucherv toucher touycher toucher à ce qui est qui en cvrai nous "regardre" ou nous "regardeeait" (depuis la mort) en face ! Mort de base = l'après-mort ? ce qui se passe ou se présente "après la mort", en termes de Parade , de Passage, de TRaces, de Dires de Rage. Post-pré = les contrées situées derrière le muret = hors du pré ! des données prairilaes . On veut : 

toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher = faire toc ! sur Passé post-roche ! haute Porte ! traverser le gué, nous faufiler, niouys immiscer traquet-traquet et du coup passer vers ..... ledit Paszé aux Nénés A imés . Plein de LAit ! hé ! et téter ! téter = toucher, forcé ! on ne peut de fait téter sans toucher, voilà l'acmé ! Si vous voulez en vrai ou pour de vrai téter (téter du lait) vous devez, IMMANQUABLEMENT, toucher ce Néné dit "Néné des Nénés" du Dire ... Alloué au lait ! verbe de trait (pour ainsi dire) . Lait-Verbe vrai dxes données ultimes (post-pré = post -muret = post-herbves cendrées ) . On veut creuser d'un trait (d(un trait d'un seul !) la Chyarge Sacrée = le Passé re-né, lait de frai, Haute Parole des Données Profondes ................ on vouydrait / on veut ..... eh bé oui tracer ou même : creuser , un fossé, une tombe, trou de basse-fosse oùu de fait pouvoir , ainsi ailée, eh bé non ................................. pas du tout du tout s'y enterrer mais pouvoir depuis lui s'envoler = prendre envol de fée ;;;;; Aller de chez aller vers Ciel Étoilé aux données hautes , hors tombe ! hors tracé de poste pour Éternité terrée. On ne veut pas (jamais!) se mettre ainsi collée à une roche -tombemais aller, soit nous envoler, faire ainsi tracé, de Termes Alloués à une sorte de Montée des MOntées accortes .......................... multiplicité des données de roche, tri, portes hautes soiht portes de Coche ! à toucher dès lors , = toquer ! On veut (on voudrait) aller, situer, faire , donner, sentir, vibrer, charger, soulever de près, consentir à ici  cerner (en cvrai) les données dernières, qui seraient ........... premières ! une absurdité ? théatre de fées ? on cherche ! on est njée fée pour aller de fait commùe rechezrcher (chercher) un terme : finalité  et verbe ! Le tracé tracé ! la charge fondée ! le creuset ! le Chrême, Carême, Quarantaine ! trait des traits du PAssé-dondaine ! le Passdé du Trait est une sorte de Donnée de Bière ............ mais sans bière ! étrangeté ! trait des traits : poème ? on le saurait ! On veut cocher = cerner, = dire = faire = vivre ................................... tout un tas de choses vives ! LA toundra, LA p aroi, LA roche de Haute-Voix, LA parade des Voix et autres Chants de l'au-delà ! l'entre-soi de l'antre à soi ! PARADI DE RAGe  ! passoire ! On entre ! on est fée d'a

mbre . Une âme ? Soi de rage ? poids ? bête-poids squr pré de branche ? Une sorte de Passe-voie ? d'aide au passage ? passe-trace ? On entre. On veut comprendre = dire = aller = chercher = passer ...................... le passé de L''Hydre ........... ainsi rencontrée . Une sorte de PAssé du Rire (gros rire) déclamé .... et ce vserait le Rire ici alloué à une sorte de Contrée Traquée ...... post-pré .................. au lait donné .................... une coulée ou même giclée de lait de trait ! lait non -écrémé d'un sein de ......... fée des fées ? on ne sait ! à qui ce sein est, que nous ne saurioons voir ! qui connaît ? qui connaiît son fait ? la chose nacrée, lait de trait post-muret et nous (fées ailées) nous serions rassasiées pour ainsi dire .... à tout jamais ? on est La Fée au Lait, du fait (ou de ce fait) et on  est ELLES ................ELLES DONN2ES ...................................................ELLES = DES DONNÉES, DES DONNÉES EN VRAI À EXPLORER, À CONSIDÉRER, DONNÉES PREMIÈRES, DONNÉES-VERBE  . On est Fée-donnée, ou alors ... donnée des données / fée ? O,n est sur pied prête à nous envoler jusqu'au-delà de l'herbe szoit du cimetière ! merde ! on aime voler ! pourquoi en vrai on s'en priverait ! on aime grave aller, monter, cerner, chercher, comprendre, soulever néné, le bien situer / placer , entre nos lèvres (balbutiantes) de bébé ailé , ange posté, angelot post-pré, angelote allouée à une sorte de Néné de POche , POche Haute = VEntre d'Ambre , Porte (de La mort Haute) "seconde" .................... xweconde des secondes ............................................... sous le vent de roche ................................................................................................soit : La mort morte ? = VIE = re-vie ? ................../....................................... re ...................................................................... re- le feu /.........................re l'envie ....................... re le noeud des données rudes et du coup l'aventure , ici, d'une vie "d'allure" ............................... huuuuu ! ........................................ huuuu coco de bure ! ........................................ huuuuuuuuuu l'a:mi ! .......................... vibre ! court ! monte ! saute ! va ! charge ! foncxe dans le tas de ladite bande et charge , sur paroi, ta flalmmme ! on y croit ! on y croit ensemble ! = 

AILES de TRAIT ! tayaut ! ambre ! boyau ! charge mentale ! trait de faux ! porte sarde ! on entre ..................................................................... on est "ensemble" un couple de ch arges .................................. charges d'âmes ................................... vie , ......................................... vile vie ,........................... vie vile ............................................... assoupie ................................ envie vive de vies viles ......................................... pour la vie ! ........../................................................... ambre ......... âme ............. antre ............... ancre ............... arme .................. astre  ..................... lait des fées à devoir téter le mur passé, à savoir ici : ce tracé = paradis centré ! ....................................... chgarger = donner = faire = dire = allouer à une Entité genre D2ité (MORT OLÉ OLÉ) la Parole Haute de La Fée de ROche + le Verbe tr acé, ancré, in-cul-qué en cette sorte ( en soi ) de poche de Roche .......... foi ! FOI ou foie ! .................. on monte ! on remonte ! on veut de fait aller  sur roche (ici) creuser les tr&its .......... d'une sorte de donnée de fait, donnée docte, qui dirait en vréi ce qui (sur la mort : dessus) est, qui nous apparaitrarit si on poiuvait comme qui dirait traverser pour de vraéi le muret des murets , celui des fins de pré (pré = p aradis) et qui nhous est donné à (en fait) mater de chez m ater, pour y trouver .............. eh bé ............. pâr où nous .......... nous infiltrer ...... passzr ................ passer de biais ou pas de biais mais, en vrai, ................ treaverser de chez travezrser ....... afin de gagner ......... lA rive Finale, le Passé initial ? le dit post-pré aux données "cruciales" ........... CHANCE ..................... CHANCE-TRANSE ................. CHANCEDES ANTRES ................. et du coup comprendre (à jamais ?) ce que la Chance ici reprrésente, en termes de données centrales, patentes , patentes et ancestrales, à devoir cerner et deécortiquer, qui sait ? par la bande ...... ça se pourrazit ! On c

herche ensemble (ensemble = ailée ) à du cfoup .... cerner = détourrer ........ le Passé de CHambre, Musique -née, musicalité des données lactées (?) : la transe ? on veut téter-aimer, charger de lait notre (sorte de) "panse des données", et se requinquer sans plus tarder car, ............. la faim tenaille, qui nous fait crier, hurler, pleurer comme jamais ! et du coup ................... perler, suer, rougir, nous époumoner ............. nous faire envahir ! Car, de fait, bébé né post-pré, on sait grave criezr-hurler, nous imposer ! On est l'affamée-fée des données dernières (situées) en herbe postherbe. On veut grave eh bé téter c'est vrai ! du coup : hurlements de loup / louve ! le Passé armé ! La roche traversée ! KLe pasdsé est du dire-né, genre VErbe de treait, Verbe-herbe (?) consacrée = saluée par (on dirait) l'Être aux tracés de bêtes b(bêtes-traits ou de trait) sur pierre. On veut / on voudrait........................... aimer l'herbe à jamais : creuser ! brouter sur pré.... nhe plus s'en éloigner , ou : ne plus s'éloigner "pour de vrai" , de ce pré aux herbes vertes . Mais : toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher = brouter broutezr brouter brouter brouter brouter brouter briouter brouter brouter brouter brouter ... herbe du pré "centenaire" ou "multi-centenaire" ..../ "millénaire" ? multi-millénaire" ? c'est possiblement vrai ! car , lo'herbe, l'herbe verte, l'herbe-verbe , est ......................... tagadagada ........................ roulements des voix  .................................................................................................................................................. : verbe -voix ................................. dite "de l'Au-Delà" ...................................... dsorte de "tralala" incommensurable et même indéfinissable car, voilà, le VErbe-Voix (venant de l'au)-delà) est cette trace sur oparoi , que l'homme / femme , la femme/ homme des PArois, cxharge (de Soi ) ;;;;;;;;;;;............................................ et (pouyr ainsi dire) "envoie ,...... adresse , .................. poste là : paroi de Soi .................................. vers ELLE .....................................................................aILE ......................................AILES DES AILES ................................................. "tralala", des re-naissances post paroi, et même au-delà, post paroi paradisuaque = toundra ? post-toundra ? post-transe ? post-vacxances ? On entre en cetantre des données de Rage, Rage en soi, et ........... on en avance .......... on trace grave ! on veut : comprendre-espérer, dire-saluer, charger-visiter, poussser-convaindcre, saturer de traits les données en herbe, traits de vfée, traits d'herbe, herbe des données en herbe. Le Passé est une dr

ôle de "contrée déserte ", ...... qui serait .......... Mer / mère ? le Pasdsé ancré , ainsi déplissé : vaguelettes, sur poste à galette ! le Passé Ancré  ancré en ces contrées de ..... HOMMelette/ FEMMElette, aux données de trait  : somme rondelette : Un passé craché ! traits ! traits ancrés ! masques de fée ! On veut (on voudrait) : 

toucher de chez toucxher

cerner dev chez cerner

creuser de chrz creuser

aller de chez aller

porter de chez porter

dire de chez dire

sonder devchez sonder

poussser de chez poussser 

comprendre de chez comprendre

centerr de chez centrer 

connaître de chez connaître 

combler de chez combler

vouloir de chez vouloir 

ancrer de chz abncrer 

jouer de chez jouer 

téter de chez téter pareils nénés ici alloués à une Déité dont le nom est 

MÈRE HATURELLE (!!!!!!!!!!!) À JAMAIS ! on cherche ! ion veut creuser

de chez creuser(, pareils traits de "terre" et autres tracés comme sillonnées . on est la Fée post-tarentelle, hors pré, passée des sentiers, de l'autree côté enfin arrivée. Qui tête ! tète que rtu tèteras, ce lait de mère amer ....... ou pas, selon l'état. On est fée des Fées ainsi allouée à une qsorte de contrée (dite "du Passé") hors cimetière: retournée à Mère ! on croit rêver mais on ne rêve pas, le lait est là, faisant foi ! qui nous désaltère, nous rend gaie, altière, première de cordée, fière, très. On est : fée des Fées sur Herbe verte puis ......... le bébé des Bébés qui sait, saurait, saura, ce qui est de ...... là = l'au-delà = post-paroi, post-cimetière, post-mort de soi ............ la crème légère, loi des lois. On voit ça : la panse, pis entier, à pouvgoir téter, y aller de son envolée et du coup grave attrapper et dès loçrs téter (en vrai) sans s'en éloigner car, de fait, le pis est "pis de base" qui, pour nous, nous charme, 

nous fait grave aimer le trait, la cxharge de rage, le Passé de Trait = CXance allouée ... à une sorte de Donnée de Charme ....................... Déité Ancrée  ................ mais qui c'est en vrai ??????.?.?.?????????????? qui donc en vrai est cette

 "Déoité attenante" au "Passé de Trait " ???????????????? oh, comme on voudrait (de base) comprendre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! toucxher toucxher toucxher à pareille Donnée "autoportée" !!!!!!!!!!!!!! et, de fait, cerner-centrer, cerner-chezrcher, charger-centrer etc., le dire touché ou qui de quoi !  quoi là, qui , pour nous, serait "LE CLOU"  !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! mais où , où est donc ce ........ clou fou ? On cherche sévère ! grave on cherche sévèreb ! on est dingue à l a recherche ! on veut / on voudrait ! On ne s'en laisse pas (plus) conter depuis ......... une éternité ! mais jamais , jamais en vrai on s'y reconnaît ! on est comme "blousée" ! grave "blousée" , qui cherche sans se relâcher mais jamais n'atteint, post-pré, les contrées de Mère, l'altitude (ici) de Porte haute ........ longitude et latitude de la Mort Forte. On est fée-mesure, calme et usure. On veut :

aller ................................................... creuser ................................ porter ..................................................................... dire et sonder ........................ poussserr le dire vers ... l'au-delà en vrai du rire alloué à une Sommité ici genrée ............ mais est-ce vrai .......... ?     .................. c'est-à-dire : est-ce que le genre ici attribué à cette Sommité (boeuf musqué, buffle au taquet......) est vraiment le fait ? genre consacré, genre vraiment vrai ou comme avéré à tout jamais ? On n'en est pas sûre ! On veut toucher , ou on veut bien toucher, mais (de fait) le genre donné (dit "donné") est ........ un luxe ! parure ! ornements d'allure ! bure ? oh, en vrai, on ne sait , mais les choses sont, qui (pour le couop) nous échappent grave (soucvent) et nhous laissent en carafe (ronds de flan !). On est nues ! 

On porte parole des nues ! On veut :

allouer à une roche, la bonne parole du cru ! et du coup :

être mai^tre  / maîtresse, des données de l'herbeb = le Passé tracé ..... au-delà du trait .................................. ainsi poussé ! et nous (fée) de nouds y coltiner sans traîner car, on aime tracer ! filer ! voler ! foncer ! pistonner ! prendre de la vitesse ! nhe pas s'en faire ! ne pax s'en laiiszr conter mais tracer, tracer vrai de chrz tracer vrai, du .... verbe d'herbe (verbe en herbe) sur pré .... jusqu'aux dits Nénéds "du terme" ! date-clé ! date des dernières règles ainsi disposées permettant cde fait le calcul du Terme = le Passé tracé , chant de Poste, villosités dites "de porte", HOMBRE PORT-ÉE ..... HAUTE ! , car, on est .... fée, de l'ambre aimée, fée des fées saluées, charge haute des hautes contrées, pertes de poche, le passé comme en ligne de (roche -)mire des données ! On monte. On veut / on voudrait (ici et là) aller creuser .... ce qui devant soi se montre, en termes de .... nénés nhés, post-pré, pour notre 

(sorte de ) goucverne, allouée à  

(sortede ) recherche ancrée, recherche de termes. Qui est qui, en c  ette contrée. Qu'est-ce qu'on sait du Verbe ËTRE.Que penser d'une "remontée" sur une roche à traits, vers .... du V Erbe. Que dire des traitsz. Que penser du foyer. qu'rst-ce que c'est que ce tracé de Verbe au-delà des traitsc .............. du Lait ? du bon lait de Ferme ? lait entier ? verbe)-lait comme s'il en pissait directement en nos gosiers ? On cherche ! on veut /.......................................................................................................................... touchefr -dire ........................................ dire-toucher .............. les données du rire , 

RIRE OLÉ OLÉ  DES DONNÉES DU "VIVRE" SUR RIVE ALLOUÉE À UNE SORTE DE PASSÉ DE FRISE . et, qu'est-ce que c'est que ce .... "passé de frise" ? eh bien ..... on dirait ....... que ce Rire, est une sorte de donnée, telle que, en vrai, de fait, en défintivee, il semblerait, ....................................................... on ne puyisse pas, pour vivre , se passer ................. = rire ancré .............................................. incorporreé .............. pôur pouvoir en vrai continuer de chez continuer à vivre "en société" ;................... rire-vivres (offrandes divihnes) qui sait ! on est féenée , on est entrée, on est allouée à un pré (u n temps) puis voilà ;;;;; on traverse, la dite "p aroi finale" ou "paroi des parois", on charge "ensemble", on y va car on y croit , et là ............. paf ! ........................ dans le tas ! ................................................................................ lait de l'au-delà ...............ÉTOILE DES ROIS ET REINES RARES ............................... voix des voix ........... ça "parle" ................................ça "dit" drôle, des choses, ombres ..................................... voix doctesc.................................... chants de voix hautes ................................................................. on est pour ainsi dire sous contrôle ............ d'une voix de ronde ............................................................................. chants doctes, chants de Roi / RTeines à voix, chants de porte, chansonettes "roses" ................................................ post-paroi et au-delà ! ............... le chant vient (viendrait) de là = ....................... soit d'une sorte d'au-delà ............................... pôst-parade animale, post dessin de carne, post-mur de rage, post-oléo-ducs et duchesses-traces ......... sang des voix ............ charges ! charges ! chatrges ! tchat ! On entre ! On veut de fait ensembvke se trouver (de rage) sur faîtage ............. et , voir ! voir, au loin, les lointains, mer plane, vagues, vagues sages, mer acidulée, charmes matés , tracés-nés , allures des traits ......................... vues sur le Passé ! oh, ça le ferait ! qui sait ? On veut ................................................................................. toucgher toucxher toucher à ce Néné, des dOnnées "divines" , vives, à téter d'un trait , on diraéit. Quyi connaît le Titre, ici, de ce ...  heu ... filmm (?) projeté .... au ciné des fées (?) ? oh"é ! On est montéesv ........................................................................ hautescx................................. haut ...................................... hauts des Animaux ...............Animaux de ROCHE .................Porte / Tonneau / Niveau ./............................... coprps de mots nouveaux ................  tout en haut des Hauts ................................ à la porte du Tonneau  ................ sorte de poteau , qui dirait la Chose........................................................................................................... mot ........................... mot de trop .................. nom ...................... nom gros  ou ............................. gros mot ................................................... le plus gros ................. mais quel est le (ou ce) mot, le plus gros de fait ? ........................ quel est donc de fait le mot dit " le plus gros" ? .?.......................... le plus gros des mots .../ ? ..................... quel est-il de fait ? .........................Mot-gros des mots-gros ........................ quel est-ce ? .............................................................................. meu ........... meu meu ........................ meu des meumeu  des meus de la ....................................... mort ? ..................................... meu-mort ? .................................. ................................................................................................................ on veut / on voudrait (grave) comprendre (ici et là, sur roche) ce qui est qu'on voit = la poche ? une sorte de Poche de VOix ............................................................... qu'est-ce que c'est que ça ? ................ poche... des voix de Soi ? .............. honte ! honte sur Roche ! voix de honte ! tralala là qui (en soi) ne nous faisait pas honte, jusque là , mais .... sorti de soi : la honte ! honte des hontes ! on sait ça ! on est gros / grosse de ça, Honte sur soi , Chose Profonde, POrte Close ... sur l'en-soi des VOix de Roche ! Haute Honte ! on monte ! on veut, parce que voilà, dire-faire ça, ce genre de tracé-là, sur roche aux Voix, afin cde comprendre , dans ses grandes lignes et/ou grandes largeurs, ce qui ici (en soi) nous attire 

en ce sas de base dont le nom, pour le coup , est ....

 Base ! Base Rase ! Base des Bases ! cou caillou genou ! sorte de .... passage vers ...... une sorte ici de donnée verte, ...... Herbe ?  Herbe ... de Prairie VErte" ? Peut-êttre . On pourrait en vrai, en effet, le penser et s'y fier, qui sait ? On est née fée, on devient .................. autre , la Porte (Haute) ainsi passée vers ....... du PAssé de trait ! dingue ! dingue c'est ! car, Autre on naît, la porte passée ! plus (du tou ?) fée mais ce Bébé de POche, bien hjouflu dodu, Bébé docdte, de parole et autres, paroles donnéeqs, verbalisées en ses quartiers. On est re-nées hé hé ! le muret passé, on re-naît Vraie ! Vérité ! Vérité allouée à une sorte (decvant !!!) de Passé Monstre .... THE PASSÉ DES TRAITS ........ une sorte de Passé de POche comme qui dirait, mais ici la Poche = l'outre des Données, des Données rondes ! une qsorte d'enveloppe "haute", portée, soulevée et trimballée,

 de laquelle de fait , un jour, on pourra sortir, sortir sans frais,  

de laquelle on pourra, un jour, aussi, parler, parler à qui de droit ........ tout là-b as ........... : fin de paroi ! Peut-êtrte pas, mais voilà : on monte. On creuse la Rocxhe. On envoie de soi. On est là Hautes Voix (voix de Porte) pour ça, charger docte (dans le xsang) les "parolres dees mortes """""""""", "mortesconsacrées " = maternisées ? on ne sait ! on est passée ! on a traversé de chez traversé et nous voilà en ces contrées comme  adoubée par une sorte de D2ité dont le nom (petit nom) est ... "Mort dorée" .... hé, qui sait ? ça se pourrait , q'uen vrai en effet ........... la mort soit dorée ! une sorte de Donnée Dorée qui nhous éclairerait (à profusion ?) de ses doux (durs ?) rayonsz comme tracés sur .................... un vallon ? un nouveauu pont ? une sorte de Ballon de Roche ? "Mamá montón" ? ... tas d'ors ? On veut = on voudrait .... à jamais ! On est : traits, traits de fée, traits alloués à une fée dite "des fées". On veut  : creuser = creuser = creuser  = dire  ................... au plus près, ce qui est, ce qui est pour soi (pour nous) la Donnée de Base = le Passé Notoire ? On y va ! on enttre ! on veut grave ça : trouer la paroi et nous rendre "ma foi" qsans plus de jérémiades .... au plus loin possible ....... sur prairie aux filtres .......... tout là-b as .......... la Chance ............ transe et sabbah ............. creuser de chez creuser la "Panse" ........ = ce "muret des Charmes" ............ vers Néné ! bnéné des Nénés ! on y croit "ensembkle", car, voilà : soi = deux ! on est "deux" en Soi = deux feux ! deux dieu/ déesess tendres ! On est ailées et de ce fait ............................./........ DEUX ! DEUX AILES DE FEU ! on entre .... à deux ! en ce territoirev aux données "immenses". On veut (on voudrait !) comprendre = situer, de près, ce qui est, qui en vrai (de fait) se trame ou tramezrait dans les p arages. Devons-nbous téter de base ? devons-nous de fait retrouver le lait, lait entier, de mère vraie ? doit-on toucxher à ce Néné ... des Données DErnières (en vrai : premières) ? Qui connaît (qui a) la clé ? qui sait ? qui comprend les donnéess de Rage, donnéesz de lA  Rage ? qui sait de fait ce qui ici est qui nous enveloppe de ses dires ancrés ? Qui est en nous "derrière" nous, en termes de ..... fée ?. lait ? trait ? On ne sait ! on ne lâche pas (plus). On y croit (ddur) . On a la Foi ! on entre ! diantre ! ça envoie ! odeur de soi ? on est ........................ sub de chez sub

-mergée ? 

-juguée ? 

peut-être -juguée en effet ! On voit ! on voit là la Roche passée la sorte de ....... voie ? Voie tracée ? voie des v  oies tracées ? allouée à une sorte de donnée lactée ..... dès lors : voie lactée ? ciel de traits ? ceiel en herbe ? on est née fée des fées sur pré, post paroi gravée (paroi néandertalienne) et à présent ..... eh bé voilà , voilà en vrai les ditezsc données telles que représentées en ce ciel des traits , ciel doré ! chapiteau des mots ! signes ancrés à savoir déchiffrer comme qui dirait ! trot ! galop ! galop des mots de trop = bêtes-mots .... de type  : bêtes proches ! On monte ! On est haute. On est sur les hauts à mater les mots (bêtes-mots) .On monte haut. Au plus haut niveau de la grotte , crotte ! On est comme ....................... touchée ............................ émotionnée ................................................. sensibilsée ................................................................. émue de chez émue, à jamais ................., car voilà la Voie, ................ porte haute ....... voie ......../ porte des portes ....... voie de l'au)-delà à la paroi ......... voie haute ........ porte des voies hautes ...../..... haute voie de l'au-delà à la paroi haute, et  "hot" .................. voie des voies des tas ........... tas des tas des  os  de roche ....../.............................................. nécropole haute ..................... , voie haute ............... et haute voix .................................... voix de roche ..................... croix ! ............... croix des croix ! .................  vin de roche et autres vins de porte ................./....................................... Le passé faisant foi, on monte ! ......... vers la Roche-Porte....................... d'une sorte de Paroi de grotte, genre .........,ça .............................. l'ombre ! l'ombre de Soi ?  

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2/3/2025

On mate ! on mate grave ! on veut grave ensemble mater ! on veut ensemble voir au plus près les données rupestres , et, au-fdelà, le pré, le passage cendré , les données (frontales) d'un muret 

de bout de Roche. Qui on est ? on est .... eh bé les F2es du  "Territoire Alloueé"  = la prairie  Cernée à l'herbe attitrée et autres faits ddes zones aux bêtes -monde. On veut toucher à ce qui est, ici, qui se montre =

Le Passé ... le Passé d'époque ! La Xhose ! On est née Fée ensemble ailé ! On veut toucher à ce muret de fin de pré et du coup passer .... traverser l'ultime rocher, creuser de chez creuser afin de , pour le coup, passer tête et cou, les ailes, les gambettes, t tout un tout, etdu coup ... eh bé oui !! mater de chez mater le Tertre ! Ici même ! 

on est née Fée et on traverse et on regarde "ensemble" la Comète = le Passé post-herbe ! hé hé ! on y est ! on le voulait. on (ensemble) grave voulions, ici même (territoirtee de lacMort en herbe) y alleller et du coup mater /.... mater = colmater ! L Le Passé &ux Nénés ! soit ....... Le lait : le téter ! Car voilà, on est F2e du Pré qui aimons, ou qui aime le lait, lait post herbe comme qui diréit, car , pour qu'il y ait du lait il nous faut ou il y faut de l'herbe c'est un fait ! soit : du Verbe ... aux données célestes ! On dirait c'est vrai ! on dirait du Verbe, des données du Rêve et autres vents Célèbres. On cherche ! On veut trouver ! on veut grave en vrai trouver de chez trouver quelque chose des traits ... qui serait .... cette chose du VErbe en fait alloué à une sorte de donnée Céleste = le Passé ! Car, le passé est né "APRÈS" .... après ce qui de fait se présenterait la mort donnée. 

On est née Fée sur herbe et nous voilà comme passé dns un passé post-cimetière aux données célestes, de type ... VERbe à traitsz ! On cherche ! On veut trouver un certain  nombre de données  "sévères", tracer, creuser, poussser, aller au plus près et essayer ensembvle (NOUS) de repérer ici et là, le muret passé, un certain nombre de données de poids qui szoient données ... fiables et graves, graves et fiabkles ,

données de Joie, tracés fermes, TRalalas Tenaces, VEnts de face et autres dits ... d'effroi, mais qui peut-être "ne le fassent pas" car  voilà, on veut passer (de Fait) la Rage ... sans pleurer, sans être trop importunées, en toute candeur post-pré, chercher moussse, fleurs, vents dou!x et autres caresses sur le cou .... grave entrer (nous) dans le doux ! On voudrait (en vrai) en tant que F2e , aller, cerner, toucghhher , sans plus que ça (de fait) en baver car voilà, on est Fée ... aimant le tpoucher doux, carresesx sur genoux, douces frôléisons des joues et autres  bises sr cou mais ... sans secousses , sans pousse-tombe sur pont d'ombre. On veut :

dire et donner

donner et dire 

ce qui est qui est , les tra cés 

 dee Buffle sur Pré, les sorties de bure, le tracé ancré nacré, la CHoseRude, don donné, porte allouée, on veut toucher à ce Néné post-pré, qyui est ... eh biennous dirons "Le Néné du PAssé " s'il en est , qui sait ? On cherche haut : oN veut ensemble aller très haut, toucher à cette sorte de N2né des Hauts, qui ici sqerait   ... cette (Sorte de) DOn dev Lait , aux données ancrées, données doctes de fait et telles qu'en  vfzai, les touchant, les voyant, les cernant, nous serions comme ensembke informées de ce qui est .... aprsès la mort ! Car, la mort, la mort allouée au passé, est Mort comme constituée de DOctes DOnnées telles qu'en vrai on pourrrait les toucgher, les prendre comme qui dirait ... de près, e,n nos bras tout serrés, enlacés autour, ou ... comment ?  en nos bras mis sur pieds ? hum ... non ! Alors peuettre .... accolées ? on cherche ! On veut toucgher à ce Passé dit "du Néné" car, lE p assé est, dudit Lait, Le Fait ! Il est né LAIT ! IL est du LAit de fait ! Il est LAit alloué à une dsorte en soi de D2ité des D2ités comme on voudrait en  vrai les approcher. oN veut : 

creusqer creuser creuser , la chose enterrée. Et trouver (du coup) le bout, le tra&cé debout, la chose Haute qui, ici, devant nous, se montrrezrait ... "Comme". On veut: 

dire, sonder, poussser, souder, creuser, aller, faire, chercher ici et là les données de Terrre, porter loin le VErbe ... dev lk'autre côté , et du coup tracer, creuser-tracer = dire-faire et aller, aller loin post -cimetière vers les Traits ou TRaits des TRaiots qui sont TRaits de Mère  = Nénés ! Lait d'herbe , lait des Laits post-herbe ainsi constitué = consacré = fermenté ! On veut de fait tracer de chez tracer quelque chose en  vrai qui puiszse le faire, et du coup alloiuer à du Verbe tracé un  ertain  nombre de données en  rai, genre vériotés, vérités post-pré = verbe Vrai, Don de Lait, porte Ouvertes et autres invitation-colère ! On cherche à cerner ! on voudrait trouver ! On est née Fée au Passage CEndré, nous voilà comme "relevée" prête à , du coup, toucher-toucher devant nous lo"a Tête, les genoux, les Nénés Doux, lait de Mère à nous ! la bière ! sein post-herbe comme un don aux lèvres ! On est : 

vivces de chez vives, ivres de chyez ivres, d'un dire qui est ... ;lAit de Tire ! le Passé du VIvre ! l'envolée native ! On est ...................................................................... fée ...................... vfée ailée ....................................... fée tracée ............................................ on voudrait en vrai grave toucher, à ce N2né ... du DIre Fou, le toucher de près = "l'embrasser" comme qyui dirait = téter ! téter dur ! ne plus s'arrêter ! téter téter téter ! et du coup (comme) nous (se ) rasssasier de lait et pouvoir ainsi, tout tranquillement, se poser, respirer, se délassser, digérer le Vrai des données Acides,. alller vivre ainsi sur post-pré des Vivres. toucher, creuser, faire et donner, sonder-vibrer, aller-cerner, faire ainsi post-pré 

 les recherches avides telles que dénommées, les poursuivre et les creuser, les suivre de près ou ... comment dire ? rechercher = faire tracé ! Dire = sonder ! On est la Fée des Données Vives, telles que des 

tracés sous dictée le dire Alloué à une sorte de .... pAssé du Vivre ! le Passé du Dit, du VERbe Dit, des Mots-bêtes du TRi. On est née F2e le mur du Son passé, on veut en vrai creuser ensembvle ..... le pré = tracer ! courir ! vibrer ! nous envoler, chercher de chez chercher à nous téléporter ici ou là en ce Passé, des Dires CRe"usés ! qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est que le dire creusé " ? Eh bien, le "Dire Creuséé" est : 

du Dire post-pré, Lait comme alloué, lait de N2né du Vivre , Lait des Laits. Le passé est du passé de Lait ! On veut :

toucher de chez touchezr

dire de chez dire

creuser de chez creuser

faire de chez faire

aller de chez aller

fonder de chez fonder 

donner de chez donner

poussser de cyez pousser

combler de chez combler et peu-être, aussi, ensemble (un ensemble d'ailes) toucher à ce qui est ici, qui ... se soulève = des "paerties" ... de Mère ! on cherche ! on est née fée à la retombée il swemblerait, on veut toucher à ces nénés de mère, en vrai ealloués à une sorte de ... 

passé pôst-cimetière, 

retour de manivelle ! 

On creuse sur terre, on est Fée sondeuses,creuseuses, cxhercheuses de ... Verbe ds'Herbe ! On veut toucher à ce qui est qui devant nous (hauteur de genoux) semblerait vouloiur comme nous dire (en particulier)une chose de Porte, une Chose Grosse, Vérité de  Roche, et cette V2r(ité, ainsi déssinée , serait V2rité telle que nous (fées des prés) on pouvait en rêzver depuis de longues années. On veut toucgher-rêver, soittoucher-aimer, soit touchger-creuser, creuser de chez creuser, le Verbe ! ainsi fait ! et, /......................................... aller aller aller ainsi ailée jusqu'au bout du 

 "Tracé aux fées" (dit "Tracés aux fées") qui estici (pour nous) le Sentier Alloué par lequel passer ou devoir passer pour de féit atteindre ... le Passé Donné, Passé Frais, Vrai Passé post-cimetière, retour éternel ! On aime ! on est née Fée pour une 2tezrnité de données fraîches ! le passé est ainsi "touché" qui serait (est) ....... le VErbe du pré ? Verbe post -pré mais venant du pré ! On aime ! on veut creuser, dire, s-o,nnnder, chercher (grave) le dire alloué qui serait : Donnée Vive, Donnée du Dire ! On veut toucher en vrai le Passé a ux nénés et téter de chez téter le bon lait de l'hydre ! qui c'est ? qui est l'hydre ? eh bé ......... ELLE en vrai , D2ité des d2oité , Le passé ! le p assé tracé, passé cru, passé nu, passé des dires nus tels qu'aimés de visu ! 

On trace ! on en avance, on aime l'ambiance. On est comme venus ici exprès poiur découvrir de près ce qui est qui, de fait, semblerait, en quuelque sorte, vouloir nous .... toucher, toucher de chrz toucher = émouvoir = accaparer = manger ! Qui est là en vrai ? eh bé ................. néné ! THE néné des termes. Le pas

s

é serait du VErbe, nbous regarderait post-herbe, materait de chez ma terait sans nous lâcher, ferait grave cette sorte de "reluquade" ;;;; de la tête aux pieds ! Ne nous (jamais !) lâcgherait , qyi bnous voudrait à lui comme pour l'éternité il semblerait. On veut aller eznsemble ...... voler ! voler sur pré puis post-pré au-delà des données de trype bêtes, bêtes des prés, et creuser, creuser la murettte, le muret de Ch âsse, traverser, passerr, passer ailée, traverser "le dernier muret" , "dernière murette", aller, poussser, toucher, pointer son nez de fine Bête en cetrtte sorte de contrée des "données dernières" = le P assé ! passé "emmuré" ? qui sait ? On cherche ! grave grave gra ve on est des qui, ici (post-pré) chyerchons assidument et "religiuerseement" à "comprendre " = prendre , un grand nombre de données de base, ce qui est de fait, ce qui se présente, ce qui tremble ou tremblerait à notre passage , ici ailé, ce qui se passe ou passerait à nos côtés .... 

on veut toucher,

 toucher = vivre = dire. 

On a (grave !) envie de, eh bé quoi ! toucher le Lait = téter ! rien que ça ! On veut grave y aller, de notre drôle de tétee, et du coup .............. nous alimenter, au bon lait des Larmes ! Le passé ! le passé de Charme ! le tracé passé ! trait des traits outrés ! on veut creuser .. une "promenade" ,; allée aux platanes, sorte de Passé De rage aux données Sages ! creuser = dire = centrer ! centrer les Données au milieu des arbres ! le Passé est né ... sur place ! rotondité nacrée ici allouée à une (sorte de) 

"Parade Animale" .... pour (en vrai) , à venir, une

 (sorte de) "ter aversée du Dire""" ! On veut y penser ! on veut grave cerner ! Toucher = cerner , et cer ner = dire, dire de fait, ici et là sur pré ...  sur pré et au-delà, les 4 Vérités dès lors Allouées à un DIRE VRAI comme iil se pourrait. On veut vivre . Ne pas succomber ô grand jamais mais en vrai poursuivre, aller de chez aller, pousser de chyez pousser, tracer de chez tracer, continuer = dire dire dire, ce qii est qui est, données ivres d'une sorte de poussée du ... "VIvre Vite" ! Le passé ! Le passé ... outré ? le Vivre ! l'enflé ! On v eut :

dire de chez dire

creuser de chez creuser

vaincre la timidité

poser et toucher, faire et aller, pondre et mettre, souder et sonder, faire et contrefaire, voler de nos propres ailes jusqu'aux dits nénés "post-cimetières" aux données ancrées, données fermes, données allouées à une sorte (en soi) de Passé Nacré, de type .... "sperme" ? on ne sait ! on cherche ! grave de gravité ! On veut : 

creuser creuser creuser , donnner donner donner, faire faire faire, dire dire diore, chercher chercher chercher , compter compter compter, scinder scinder scinder, vicvre vivre vivre, vivre vite les données du dire ivre ! et aller , en ce pré, jusqu'au boiut de l'allée, pour y rtyerouver .... eh bien .... le Passé du Vivre, ainsi Compté ! dire des do, n nées Du vivre centré ! le passé est ... vide ? vide de traits ? ou , au contreaire, empli ! comme rempli ! rempli ici de ... VErbe Né comme tracé à m ain le vée en des temps reculés (n"éandertaliens ?) ? On veut (de fait) trouver ! chercher = faire. Faire = chercher. On est née Fée un jour du mois de mai, on voulait toucher (aux nénés post-pré) et du coup téter , mais voilà, on est cdomme "tombée" (de base) sur le pré, on a chuté grave, on est passée ok mais on en est comme de fait revenue blessée, ou sinon blessée cabossée ! On veut :

dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire ici (pré) le Passé à venir = le TRacé post-pré = l'envolé .... des données creusées = l'IRE ! colère vive ! Colèredu Dire Ivre ici accordé à une D2ité ... dont le nom (de base) est  :

LA 

LA la 

LA LA LA

la ...... la m........... la de M..................... moror ..... mort ........... mmmmmort de ce qui .......... en v rai est ............... dit. Mort de ce qui en vrai est dit ici, post-pré ? MMMMMMMMMMMMMooort de ce qui .......... MOrt de ce qui ici .................... mort ici de ce qui en vfrai est, qui ....... dit ? mort de ce qui est en vrai ce qui ................................................dit ..................................................... vrai ? On ne saiy ! on a du mal (grave) à parler , à prononcer.   mort ! Mort don ! don de Mort des Hauts Niveaux ! Mort-Ombre. Pont ? On veut :

dire de cherz dire, faire de chez faire, creuser de chez creuser, être de chez être, aller de chez aller, fonder de chez fonder, fondre de chez fondre, soulever de chez soulever, ancrer de chez ancrer 

dire en cvrai ce qui est en ces contrées du vivre sur pré, et du coup : SAISIR ! 

poussszrr de chez pousser kles données données jusqu'au bout duu bout de ... l'Allée aux peupliers, aux herbes cendrées, aux orangers, aux données données de type graminées. On aime et tracer et creuser, et du coup ....... voilà ce qu'on fait ......... PITiÉ ! pitié grave en vrai ! car, on charge . on e,nntre . On passe. on y va de tout son p ôids de charge (felmme sarde) . On veut ça : l'enfance ! le Passé en france (en face). toucher = dire = cerner = opasser .... et passser = faire = creuser = dire = contrefaire et ainsi faisant : traverser la Terre ! tomber bnez à nez .... avec en  vrai ..... le VErbe Pezrsonnifié , yé ! on aime ! coeur d'aime ! on aime certaine ! on veut vrai aller ! toucher-testezr = téter 

..... le bon lait de l'herbe v erte ! 

les Né-nés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! les Né-nés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! l:es Né-nés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh, comme on les aime ! gravfe on aime ..... on aime téter , lécher )japper, le bon lait de l'herbev = le Passé de Mère .... il wsemblerait ! mais, en vrai, qu'rst-ce qu'on en xsait ? on sait .... peu , du feu ! On voudrait, de fait, ensemble, fées, toucher de chez troucher, à cette (en soi) sorte de Vérité dite "de la foi" , mais vpilà ..... on est ........ juste tracée, dessinée à main levée, bête de pré, bouquetine ailée ok mais en vrai le vrai est .......... dificile à cerner-circonscrire -sonder,; car, ...................................... placé de chez placé de biais ...... comme qui dirait "de l'auttree côté" et c'est un truc de ouf en  vrai, que cette chose ancrée ici ..... qui nous mate de front(, nous regarde y aller  (borouter) et ne nous lâche pl!s en vrai de nous mater.  Néné. Le Néné Vrai. Lait . Lait frais . Lait non pasteurisé. Cl asséPremier. On veut :

Toucher = dire = vivre..... les données nacrées , sur Rive. On a envie ensemble de toucher à l'ambree, et d'y aller de nottre (en vrai) petite promenade ...   da,ns la mort actée, qui est "morthaute"  ici comme allouée à un Rocher de Porte. On est née Fée la mort donnée, sur pré , sur herbe à brouter, et, une fois cette chose comme entérinée (pour ainsi dire) on cherche à traverser (une fois de plus) le muret donné, roche du pré, vers .... l'inconnu des faits, l'invconnu nu, l'inconnu cru.... des faits et gestes post-prairie vue. On cherche à (en tant que fée de là)- aller loin vers ce "là-bas"  ... des expédients, vivres, tourments, crainrtes vives, sentiments latents, vie à vivre (revicvre) un temps. On veut en vrai ensemble accolées aller, vers ce tracé pôst^pré des données concrètes, de la mort en VErbe. CXhercher = faire et faire =chezrcher . on veut toucher ! faire-dire ce qui est ici qui, en vrai,; nous intéresse grave (au plus haut point des points) car voilà , on aime ! on veut :

creuser creuser creuser 

dire dire dire

sourire sourire sourire

charger charger charger

paqsser p asser passer

aller aller aller 

combler combler combler , ledit passé , de "dires enjoués""", qui , "dires enjoués" , sont comme des données de type données-vivres, victuailles cendrées, vivres consqacrés, offrandes à déités en conformité. On a envie en vrai de dire-tracer ce qui est qui , pour nous , sembvlerait avoir à (en vrai) se dessiner, ici et là (de fait) sur parooi, de façon à voilà, nous aider à , pour ainsi dire, creuser la voie ou notre voie, vers du Dire de FOi ! foi en l'au-delà ! en certte sorte d'au-delà dit "de Paroi" . Car , on entre, on entre "ensemble " ("à toi à moi") en c et antre , en tant qu'on croit ou qu'on y croit ! ....../ à quoi ? au VEntre SAge ! Au Don de soi sur Page d'Ambre ! le pAssé cherché ! la PLace des Fées ! On est comme (ainsi) située de chez située sur Pré aux fées en tant que P assagère allouée à une recherche (en  vrai) de données en herbe ... vers N2N2 , dit "Le Néné " du Passé du Verbe ! quyi on est ? dans la mort : fée ! p

ôst-mort : bébé ! s achant téter le lait de l'herbe comme qui(Déité ?) dirait et ça le ferait ! On veut creuser parce qu'on aime creuser, toucher de chez touchezr, poussserr de chyez poussser ... la cjhansonnette ! ah ce qu'on aime ! on aime (de fait) grave chanter ou chantonner sur pré (et au)delà) la Chansonnettte "de Toundra" , VZrbe Frais, CXhants Salés, Vents de trait ! On veut : 

dire chanter; chanter fonder, fonder saler, tracer chanter, suivre et creuser sa prop^re "destinée chantée" comme un fait exprès (qui sa&it ?) . Croire en ce tracé dit "de destinée" comme (déjà) ancré post-paroi, et du coup .... y aller, grave, de sa voix de fée, chanter, chanter, chanter, chantonner sur pré le Chant de la Lande, du Passé aux fées, des Données SAges (savantes ) et autres données-traits de grande importance (le SAvoir Immense = les Connaissances, les plus grandes , avérées ). On veut toucxhger à un certain niveau de connaissance , de niveau dense. On veut grave CERNER , CERNER grave les données, DOnnées DENSES et autres DOnnées, dites "de la TRanse ... d$u Passé" .... car, le Passé ainsi cerné, ainsi consacré (et reluqué) est du Paszé de .... transe post-pré ! transe tracée sur pieds, sur Paroi de la Chance et des Faits Vrais ou petits faits Vrais. On ve'ut :

creuser creuser creuszer creuser à une sorte de 

Do nnée des TRanses, Transes Aérées, ventilées, insufflées, soufflées ....... comme poussées voire

 é- ........................ élancéees ou ./......... amorcées ;;;;;;;;:.................... ou ..... oh comment cette chose ici, d'un air de deux airs qui ........... , pour le coup, fait bouger le doux , ...................................................... fait en avancer , creuser, aller .......... sur pieds-genous ..... eh bé : le Passé ! ledit "Passé aux traits" ...../....... le fait s'ancrer , du fait que le souffle (souffle fou) faiit vibrer le doux d'un Verbe du Nous ! On creuse = on cherche = on veut = on va = on entre = on situe = on avance, grave , vers la CErtitude Frontale Pariétale des Données 

de l'Antre Sage (= Savant). On est comme entrée "ensemble" sage ......... va comprendre ! Homme  est 1

FEmmes suivent, sont 2

Un homme meurt, est enterré, et disparaît dans l'herbe du preé. Deux femmes se complètent ensemble qui, de fait, deviennent ..... une F2e ! fée volante ! Fée du pré. Paradisiaque. Ainsi fait, la fée (§deux femmes) entre en transe, va et vient, 

bêtes de somme sur terrain tracée, 

monte, trace, poussee, et du coup se retrouve ... tout en haut des Hauts Niveaux, sur Paroi de Roche, )à frapper aux portes ( La Porte) des Données Hautescx....... vers ...... muzo  ! Placid et muzo ? Haute POrte aux données hautes ! Une sorte de "museau de Roche""", "The Museau des Hautes rOches". On monte ! on veut haut treacer la Roche, le tracé des mots, Verbe docte, Données Force (fortes) et autres Verbves Ancestraux. On est Fée Folle (?)  .... heu, pâs si folle, mais (pour dire) dite "folle" , car ..... , volante , en transe-danse sans cessser, on renvoie des choses denses, on passe grave pour ... Gaga, Fada, Nana f^elée ! quand, en v  rai : pas ! on voit ! on envoie ! on est Fée Savante sur voie ! On en avance dans les connaissances .............................................. on en abvance grave d ans les connaissances ............... on envoie du bois  , dense ! On va ! on trace ! on file ! on charge ! on syuit à la trace .... un  certain "dire de CXharge", "dire-voix", qui est du dire de Tracé de Rage et autres TRaits de Maintenance (alloué à la chance !). On envoie grave sur paroi ....... des envois ! = des données bestiales (animales) telles que :

Bufflets, Bouquetées, Bouquettes des prés, Bouclettes Autoportées et autres bêtes cendrées. Betes de fête. Bêtes-herbe. On veut creuser, parce qu'on aime ! on aime en vrai creuser de vchez creuqser.... ce cimetière .... xdes données cendrées, de type bêtes, bêtes-mots des prés et autres prairies verte's : le pré-passé de fait comme on pourrait (ensemble""") le penser, en vrai. On entre ! on est fée du pré qui est entrée à la retombée du fait d'un  piqué ! et nous voilà qui sommes née ! née de chez née ... sur un pré "immense" , de la taille (en vraéi) d'une contrée, d'un territoire entier alloué à .... lA chance Avérée, Chance des TRaquéess ! Chance Ample ! On veut vraiment de chez vr'ziment toucher ..... à  ce dit Néné post-pré qui (ici = là-) serait de fait à nous attendre .... les bras  croiqsés ? Poiur nous donner de quoi téyter qui sait ? ou alors nous, nous absorber , avaler , ingurgieter, prendre dans sqon anttre -ventre ? on ne sait de fait. On est pas encore arrivées  ici (passé) jusqu'au bout des Vérités . On veut y aller mais en vrai ..... cc'est p as à côté ! ça demande grave de durer, de tracer dans la durée s ans jamais cessser, tracer de chez tracer, un grand nombre de bdonnées de Rage et autres Sentiments de base. Tracés nés sur pieds sur Paroi Dense = le Pré, la Prairie aux féess, ....... herbe de passage , Verbe Enfl"-é , Passes d'armes , on ne sait, on entre. on veut :

toucher toucher tyoucher toucher toucher au mieux , en termes de Passé Tracé .... loin des yeux ,.......................... finnal ............................ terminal ..............................................................  fin de bal ................................................ on mate ......................... on veut comprendre ................ on veut toucher ............ creuser ........ do,nner ........... poussser ......... aller ........... chercher /.......... sonder ......... allouer, à xdes données, du sand frais ................... poster ........ poster de chez poster les faits .......... sur mur alloué à ici des données à (pour ainsi dire) faire entrer / incorporer .............././................... xans sourciller ......../ comme instagrammées , ............../.................... vérités ,................. vérités suppos"ées , ................... le Passé des Données Tracées .................on est nées ! bnées fées ! fées nées ! avant dde pour le coup devenir .......... autres = bébés ! prêtes à téter le lait = le Passé des TRaitsv = l'Immanence ! chants des transes ! loyauté ! pertesz et frais, chance ou malchance, il faut croire en sa ....... , en face, étoile vraie, d'u nCiel de trait ......... : base mouvante ? bovidé ? On entre. On veut toucher à ce qui ici se présente sur pieds à nos propres données. On veut "se mélanger" = s"aimer, en transe, sur ce pré de la chance innée. On veut :

creuser de cvhz creuser

aller de chez aller

pousser de chez pousssr

dire de chez dire

 forcer de chyez forcer

aller de chez aller

caler de chz caler

pondre de chez pondre , et poindre de cherz poindre,

feindre et donner de chez feindre et donner ;;;;l Le Trait, Le tracé de Fée, L'ombre Haute auto-proclamée et autres chants de Porte. Oiseau ! on serait oiseaiu, oiseau haut / haute(une oiseau) .La Haute Chose d'un Bec d'eau. bec-Muesau placide / acide , d'une sorte des Hauts, Verbe haut, d'un ciel de Trot . On est oiseau de Roche, le veau d'eau comme ailé de peau. verbe du Tonneau. Oiseau-peau des trots sur Roche. on veut : 

dire de chez dire les données acides. Poussszr de près ce dire nacré. Chercher = sonder. Fauire = comprendre. Entreer = centrer. Fonder = filer. Pousszr-vivre = vivre-poussrer , et du coup cerner , en vrai, les données les plus ancvcrées, dans une sorte de "contrée du Rire" ...... qui serait "contrée avérée" pour une (szorte de) rixxe ??? bataille sur frise ?????? comba&t des combats -surprises ? on ne sait pas ! on veut croire, aller toucher (Néné) vif, soit téter le vbon lait de l'hydre , mais ............................................................................/.........................  de fait, c'est pas gagné ! On se doit de persévèrerer .............................  creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser grave sur pied les dsonnées du ..................................................... RIRE , RIRE OUTRÉ , RIRE GRAVE , RIRE DES RIRES GRAVES, RIRE ENFLÉ, RIRE GROS DES RIRES GROS, GROS RIRES AU MUSEAU, RIRES DU MUSEAU, GROS DES GROS RIRES DU MUSEAU, RIRES DE PEAU, RIRE-MOT, RIRE GROS DES EZNTRÉES DU VIVRE, VIE DE VIES DU RIRE GROS, GROS RIRE DU VIDE ET AUTRES VIE DE MOT, VIE DE RIRE, RIRE-VIE DES MOTS DE TROP, ;... ET DES MOTS DE TROT ! CAR, CHEVAL HAUT ! CHEVAUX ET CXHEV&LES DES TROTS , SOIT DES TROTS DE MOTS DE HAUT NIVEAU DEE PEAU ! On est : fée du pré, fée-chevale ailée, fée de trot-mot, fée-peau des traits sur Hauts. On est : 

entrée, passée, rentrée, ayant passé-creusé  

la Roche initiale (données dénommées) , et du coup traçant (sur pieds) les Mots du frai =

don, pont, fond, allons ! Creusons de chez creusons le fond , pour ensemble tracer profnd et atteindre de front la Cloison des Fins de Poste. On monte ! On veut grave alller parvce qu'en vrai on aime ! on aime grave &aller creuser, foncer, tracer, chercher à gagner toujoutrs plus loin les données dernières d'une sorte de contréepost-herbe (post-herbe ? ) aux données l a ctées ... peut-êztre ! On est née Fée pour une recherche , recherche centrée sur le Verbe alloué à un rapport dit "de proximioté" entre d'un  côté la vie avérée, et de l'autre la mort, le passzé rejoué, les données "profondes" des Rocxhesrs de haute haute Montée. On veut :

dire dire dire

faire faire faire

cerner cerner cerner

pousssr poussser poussser 

chercher cher her chercherv

contrer contrer contrrer

fabuler le VErbe tel que rencontré, "un matin du mois de Mars ... ", en ce tracé dudit "Paszé post-herbe", qyui seréait .... eh bé peut-êztre : 

du PAssé en Herbe  verte, Minorrisé, minoré, émasculé sur pré , chzerche-traîne et autres effets de la Fé Marraine. On veut : dire les faitsz, les donner sur pieds (ou redonner) et ainsi fait alller = creuser = pousssrr = tracer, toujours et encore ici, sur paliers, les traits du Verbe Cendré ainsi posté ! verbe^-herbe ... pour du lait allouéà une sorte de Passé de Traîne ! re-passé ou re-le passé qui szrait de fait ainsi re-joué, la mort archivée. car, la mort, la mort haute, celle post-porte, lA mort dite "de porte", est mort (de base) morte ! haute mort des données fortes = 

vie ... qui revit, ou quelque ch^-osqe de cet hordre ! haute porte pour un nouvel ordrev ! On veut donc : être sorte, ici, de Chose Haute ........... vie ................ vite ................. vie /...................... vite ....................................... une vie vite ........................................................................ vite vie des vies, rtracées allouées ......................................... sur rive post-pré ...............................///////////////.........................................  c entréec ....... vie centrée ........ vie post-muret centrée .................................... après la mort, la vie centrée .................................. vie du passé comme qyui dirait, ça se pourrait ! on veut cerner-toucher , dire-sonder, creuser ledit passé ... "des données avides". On est : 

Fée du pré

puis : bébounet ! 

Le bébé sacré ! bébvé-fée post-pré aux données tracées sur ciel étoilé d'une vie lointaine ainsi creuseée ! ............................................ le passé ér-toilé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! hé hé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ey si c'était de fait : le Passé Étoilé, le vide ? ou comment dire .................. l'(affranchi des (dites) "données du pré", le Passé post-pré , les Rives , les Données ultimes ........ ciel du Vide tellement empli , dx'une sorte de Vie comme "Ancrée des Traits """ : qyui le sait ? qui sait de fait ici ce qui est , en ce tracé xdes fées, des données vives ainsi szcotcxhées ou punaisées sur une sorte de Panneau " du Rire Gros " ? On monte . On veut haut comprendre les données de trop. Ou comme qui dirait "de trop"... cxar, en vrai, le sqont-elles de fait, ces données ... "de trop" ? sont-elles en vrai "surnuméraires", soit données de trop cfomme doigts faux et autres mains doublées de l'ÊTRE-Faux ? On ose = on monte. creusons gros. Cherchons haut outre(ou hors) caniveau, la Pärole Docte. On veut (de base) sortir de l'emphase ............................. âis voilà , c'est pas si simple, ;;............................................. ça demande  "persévérance", "sainteté", "croyances", "vivacité", senttiments de confianc", "alacrité". On veut toucxher-comprendre (à) déité , 

 ce Ça , des données rêvées, tracées, mais pour cela ................................... toucher de chez toucher ................................... de fait ........................... un grand nombre de données de porte. Soit : traits . Traits-force. Traits tracés. traits-sillons de roche. Treéits des traits de poche, "poche-melon". ssorte de "Grosse POche d'.....................étron"s ???? hum ............................ on ose ! ...................... on chercjhe ! on creuse ! on entrte ! on poussse ! on tente sa chance, ici et là (sur pré de base) . On veut creuser = donner, toucher = dire, aller = sentir, donner = partager, en vréi, un certain nombre de données de rage et autres vies passées comme ... "remontées de face" ! 

sur un pied, on danse !  on est née ! née, en f()a(n)ce, ....... trait ! trait de fée de Rage m enaçante ! ............................................................................................................./...................allouée .... allouée .... allouée .......... à une p anse , aux données "IMMENSES"  et autres "données de base" (le Passé "ancré") . on est des fées  des ... charges mentales, fées cernées pour des remontées de tracé passé ! passes de fée , traits acidulés, chyarges centrées, points de renaissances, le PAssé des Transes ......... Sainteté ......... Sainteté des données lactées ............... sein des seins = wsaint des saints ..... aux Vraies Vérités et autres traits actés. On veut : dire dire dire, monter monter monter, consacrer au "néné du dire" toute son assiduité ou comment dire ? son ................................... passé remonté ? ..............................remonté du Rire ? .............. des contrées du RIre si tant est ????? ...................................??.??............................................................................ on veut toucher topucher topucxher topucher toucxher topucher toucher touycher toucher toucher touycher touycher toucher toycher touycher touycher toucher touycher touycher touycher toycher toucher à c ces donhées "ivres" ;; ................. allerde chez allerf jusqu'au passé du Rire, du Rire CEntré = Le Padssé Ancré sur RIve TRacéee d'une sorte de....... "VIvre vite" ............. qu'est-ce que ça veut deire ? ça veut dire que voilà /.......... le Passé fait Foi, qui voit ! qui voit droit la voie ! voie des rOis-Reines de Choix ; ......... traces ............. traces ............ traces des voix .................. voix de bois ............. voix des bois .......... voix comme sorties des bois et des sous-bois ... du vivre  ancré ........................ = de la vie ancrée .................. de la vie à jamais ancrév e ................. creusée ........... enterée comme il semblerait ........... vie poussée de chez pôussée ................... construite, comme une  sqorte de "remise", .................... vite ! ............./. enflée ! outre des fées ! vie vite centrée et ça le vfait ou ferait à jamais qui sait ???? ......................../........ ;l'idée ici est de cernezr en vr&i le plusgrand nombre de données concernant ce Rire ici évoqué en tant qu'il serait ... du "Gros Rire" des Contrées du Vide, post-pré, post-p aroi de base, hors champ, hors courant./ Et ducoup : cerner = comprendre de près, les données patentes , ce sur quoi on peut tranquillement tabler, ce qui est de fait et ce qui , tout au contraire, ne ''st pas ou pas entièrement ; le Verbe de Rocxhe aidant (mots-trots). Oln veut de fait ensemble (accolées) comp^rendre ça : la HJoie de base, Le passé dit Renaissant, l'Onctuosité Passante, le CHantTourment, Chansonnette Étrange et autres ppetits chants des petites gens. On veut en  v rai, eh bien oui, creuser ! creuser ce chant dit "des tracés de base", et comprendre dès lçrs "ce qui se passe" oou même "ce qui est" une fois la mort attestée. ca&r, en vrai, si le passé est tel qu'il nous &pparaît, alors ............. le ciel ........... le ciel étoilé ............... est ce dit p assé "ÉTRANGE"  tel que rel até ! On peut rêver ! on peut penser pour ainsi dire à une cxhose qui serait de fait comme remontée à travers les données ici rencontrées (du Verbe salué). On veut : oui , aimer, aimer dire et chanter, ce qui est de fait qui nous "appara^trait" comme vrai .... qui sait ? On veut : tracer sur pieds, les données du verbe ! = charger charger charger charger en vrai , les données données (rencontrées) de mots de têyte ! = le Passé en herbe = l'assemblée des termes ! On veut creuser parce qu'en vrai voilà, on éime ! on aime ça ! charge que tu chargeras ! donne que tu donneras ! file que tu fileras ! ta pelote de voix ! sonde ! sonde ça : la panse ! va ! va là-bas "creuser ta CHance" szur Toundra aux bois et sous-bois des TRanses ! On veut ça : la chance ! Pa ssé dense. port de Haute transe et autres tenues franches. On est née sur pied, la fée des transes et autres danses des paroisq.?P°ariétales en diable on envoie ! chants ma ssue et autrszxmots vus ! nus ? on entre ! on entre en transwe ! on est nues de rage vues ! car : on danse ! on crreuse ensemble ! on entre ensemble dans l'antre dees données "Immenses". Qui on est de fait  en vrai ...... ? ......... eh bé .... "TRanse"" , Transe-tracée",  transe-danse", "transe allouée à une danse intense. ON veut toucher de chez toucher à  c e tracé des Panses et des Pensées Franches, en français , car ................................................................ le vfrançais est notre langue, langue icide fée, de petite fée du dimanche ! on entre ! on veut toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toyucher touycher toucher toucher toucher toucher touychezr toucher toucher toucxher toucher toucher ftoucher toucher troucher touycher touycher toyucher toucher toucher vtoucxher toucher touchervtouchervtroucherctouchercrtouchervtoucher touchercrtoucher toycher toucxhertctouchercyouchercvtoycherctoyucherctoucherctouycherctyouchervtrouchervtouychercvtoyuchercvtouchervtouchervtoucherctouycherctpoucherctoucherctoucherctoucxherctouchercrtoucher toucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucxherctyotiucgher rtoucherctoucherctoucherctoucherctouchercrouchgerctoucherctouchercyoucherctoucher crtoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctouchercroucherrctoucxhercrtouycherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctouchervtoucher toucherctouycherctoucherctouchercvtoucherctoucherccvtouycherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoycherctouycherctoucherctoucherctoucherctoucfhetrvtouycher toycher toucher toucher toucher youcher toucher toucher toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher toucher touchr toycher toucher vyouycher toucher toucher touycherb toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toyucher touycher à ce N2né du bout du bout du monde Étoilé, il sermbvlerait (lacté) . Et du coup ..... tracer ! creuser ! centrer ! poster ! poster de chez poster ainsi ce trait (trait de somme) "au passé" = "au temps (grammatical ?) passé" = l'ombre , le trait, trait dooné d'un e sorte d'ombfre, d'ombre sur pré , trait très marqué comme qui dirait = Ombre / honte / homme ................. en vrai ? on monte ! On veut grave y aller, en termes ici de connaisqsance . on a envie de bien cerner toutes ces différentes données, données sur un  pré, et, cette chose avérée ou enregistrée, aller plus loin , pousssr loin les recherches ferme, tracer au stylet, à la poijnte, au coin, ce qui est qui , sur ciel, de traits, apparait ou nous apparaîtrait sans traîner, sans se faire prier. On veut toucher "à satiété" à toutes sortes de données célestesdx : traits de fée, fenêztres dorées, plainte remontées, tracés de néné, bêtesde roche et autres bêtes des contréees hautes genre antilopes, bisons du front, buffles accortes, chevaux de trot, aurochs ados. On veut aller, soit creuser. tracer ici et là sur roche de paroi les données de POrte. Mots des Ombres portées. Mots doctes "aniùmaux". sOrtes de Passages "drôles" et autresq farces hautes . Traits d'esprit tracés zur porteb haute ou dite haute aux données données. On monte ! on veut toucher toucher toucher toucher toucher touycxher toucher toucher toucher toucher toycher touycher toucher toucher touycher toucxher toucher toucher touchervtoucher à ce qui est

à ce qui entre 

à ce qui sexprésente 

à ce qui est en demande 

à ce qui en vrai se voit de là : la paroi

à ce qui tremble de hjoie à l'idée de fraire , ici bas, la fête, fêyte aux bêtres de poids, genre "voix des bois", . On veut dès lors "ensemble " (szoi) comprendre et toucher, cette ......... Sommité HAute, SOmmité de POrte : AUroque ! AUROQUE EN VRAI COMME CERNÉE , DONNÉE, TRACÉE-TRAQUÉE,VIVE ET ÉLANCÉE, QUI CHERCHERAIT TRAQUET-TRAQUET À NOUS AMADOUER SANS TARDER, EN NOUS PA RLANT D'UNE VOIX SUSURRÉE , NOUS DISANT .... LE LAIT ! LAIT DE VOIXX ! LAIT-VERBE SACRÉ ! SAINTETÉ L ACTÉE DES DONNÉES DE L'HERBE ... ON CROIT RÊVER ... MAIS EN VRAI, LA CHOSE EST VRAIE ! SCÈNE ! SCÈNE SAINTE = LE TRACÉ FRAPPÉ COMME UNE MONNAIE ..... ON  veut toucher cde chez toucher à une vérité en v raie, qyi serait sainte, xsainte et sacrée, de type "CXh arité" , "Charité consacrée" , "Charité Vraie" des dxonnées en herbe, 

adolescere

adolescere

adolescere

adolescere

adolescere

adolescere

adolescere = en herbe , de pré et de près, car ................. on aime !!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime grave l'herbe, le passé = passé remonté, le pré, ce qui "précède", les trajets, la route des fées, l'ombre du doute, l'envoyé des données outre. On veut creuser de chez creuser la poutre ! consacrer = tracer. Dire = passer. Poindre = ponctionner ......... de lait le Néné !verbe, verbe, verbve, verbe, verbe , verbe en herbe d'herbe  verte comme les traits (ici) des dessins de traîne ! l'amitié ! les restes centrés ! la chance acidulée ! le Passé est (pour ainsi dire) TRAITS . TRAITS CONSACRÉES. TRAÉITS APPOSÉES SUR PIERRE RÈCHE. MAINS SURNUMÉRAIRES ! MAINS SURNUMÉRAIRES. MAINS QSURNUMÉRAIRES . MAINS OUTRÉES, TRAQUÉESZ, CRACHÉES ! TOUTES CRACHÉES ! SUR PAROI DE ROCHE CACHÉE , AU FIN FOND DES OMBRES. on est née fée = fée des prés = fées prairiales des "saturnales", et autres fêtes de contrée . On veut gr ave tr acer-aimer pareille S&turnales Olé olé , sans déconner. Grave aimer. Grave charger. On veut sans rire aller, vers ............ ciell des fées ............. étoilé de chez étoilé comme au débotté !aimer = dire = faire =cerner = poussser = comprendre = entendre = mesurer = pister = saluer la Hampe ! trait des traits ! Ambre aimé ! trait des traits tracés sur ciel de tra&it ! on entre ................................................................................. on veut toucher à ce Néné "des données lactées" ....... ventre ./............ ventre de trait ! pis des pis ! pis des spi de rage "dense" ! traits tracés à main levée p& r une dame de connivence : à l'ancienneté ............................................................... aimée ................... comme adulée ................................. allouée à une sorte de parade à ....., en vrai ...., ici, ............... tracer de chez tracer..............au stylet, .......................... au soufflet ?/................à la paille (courte-paille ?) ................... comme Passé de CHarme et autres faits ancrés .......... qui swait ? qui connait en  vrai les "souffrances du passé tracé" ? qui sait ce qui est qui reste à supporter en termes de passé "de face" ? qui cfomp^rend = entend les données profondes hautes (dolors post-porte) ? On veut creuser la roche, dessiner, graver vif un certain nombre de tracés dits "animaliers" mais il s'agit (au bout du compte) de "mots de porte" et autres "envois des hauts" hors caniveau. On veut (de fait) toucher de chez toucher, à cette sorte de donnée, de "porte haute" (on dira étoilée) qui est ce "ciel de roche", "ciel de mer", "ciel des ombre's hautes". On est La fée "Des Roches Gravées", sachant "percer" (sans traîner) la pierre de porte, et passer , passer dès lors vers .... ce passé aux traits, traits tirés, des doonnées "accortes" (étoiles de la mort haute). On est née fé car on s'aimait ! On est nées des fées (fée au singulier ?) car on s'aimait = on s'accolait , on voulait se souder, se coller ailée ! Et tracer ! et en vréai on trace, ok ....... mais bon .......... le chemin est rude , d'aventure ! on doit peiner, tracer de chez travcer c'est vrai mais le temps dure , temps dur, qui nous voit fatiguer de chz fatiguer malgré notre allure , notre foi et aussi bien la vie (en nous) qui carbure ! ç'est dur ! ça envoie du bois ... dans les rainures ! pas si simple ma foi de cerner .......................  c e qui est ............. qui là-bas de fait ...................... nous reluque ! grave nous relusque ! faut trimer ! voler-voleter ....... de bon augure ok mais ... c'rst un fait : on doit tracer / trimer jusqu'au bout des tréits ............/........................ = creuser ! tombe de bure ? on ne sait ! on monte ! on creuse haut les mots "de trop" .............................................. vive allure ............/........................................ au chalumeau ....................................... et à la revoyure ....................... tracé de mots de trop sur paroi rude ................................................................................................................................................................................. au tro

t .......................................................................... au galop au galop au galop ........................... de bonne mesure ! ON est néedc, sur pieds,la mort ancrée, on veut ... monter ! aller haut sur Hauts, vers ce ..... néné des HAuts et autres sein donné "de bonne aventure" ! le niveau ! roche en gros ! époque des mots et autres traits des hauts ! On veut toucher rtoucher touchezr rtoucher toucher toucher rtoucher toucher à ce qui est qui semblezrait de fait vouloir nous aider, à cerner les données de près . Données doctes des faits avérées entérinés, faits des fées. On aime ...... et du coup on sème ! On veut grave cerner , aller sur pré à la recherche de données "semées" et autres graines de tracés en herbe . Traits ici comme 

gravés-dessinés 

à main levée en vrai. Hezrbes ? ça se peut ou se pourrait , ça ressembkle en ezffet à quelque chose (on dirait) de similaire : pluie de traits ... d'herbe ? on dirait que c''st , de fait, en vrai, des sortes de traits allouées, sur roche) à un dessin de ........... pré ??? qui le qsait ? qui connait la chose , la chose profonde ? On veut creuser creuser creuser la roche, paroi haute, et trouver , trouver de chez trouver ..... des choses ! des données de porte , genre vérités sacrées, choses doctes, paroles hautes, mots sacrézset autres parabioles accortes (don de fée). On veut aimer aimer. On voudréait toucher , à ce (dit) "néné des c atacombes" ......... oh, de près si tant est, pour, en vrai, mieux téter de chez téter et se rassasier du bon lait de roche (trait). On veut :

creuser creuser creuser creuser creuser creurser, creuser en vrai la roche meuble (fontes) et "aller" .............. = pistonner ! ......... poussser de chez poussszrc la carmagnole, danse "saturée", danse-transe au taquet ! ronces ! foin ! herbves folles ! on monte ! on saute ! on ne s'e,n laisse pas conter mais grave on monte-saute, alloons loin ! cherchons le train, bon train d'époque haute : le tintouin ! la roche haute et tout ce qui ici (de fait) s'ensuit, en termes de roche, de tracé de portte et autres mots hauts. On veut toucher toucher toucher au plus haut niveau la roche "accorte" .................... mots des mots ...../.................... mots-bêtes au lamparo ................................. on mùonte sur les hauts de Roche HAute dite "des moçts hauts de haute Époque". On veut grave dire, ou comme dire , les données de ROche, sur frise = dessiner-tracer, sans traîner, et de féit construire ./........... sorte d'ÉGLISE  .......................................................................................................................................... sorte d'ÉGLISE DU VIVRE ........ sur p aroi de fée ou de fée-fée, fée ailée tracée. On veut :

toucher touycher touycher toucher toucher touycher touycher touycher toucher toucher touycher touycher toucher toucher roucher troucher toucher toucher toucher rtoucher rtoucher troucher toucher toucher trouchervtoucher toucxherctoucher touycher à ce né né dit "du passé ancré" ! Et téter, forcé ! cxar oui, on se sehnt obligée, car ...... on adore le lait ! on ne peut y résister ! on veut téter téter téter de féait ici ce lait, des données hautes, genre "de porte" ... et même plus hautes ! On voudrait :

 aller , sonder, pister, cerner sans traîner, poussser poussser poussserde fait ce trait, jusqu"'aux données hautezs ou les plus hautes jamais rencontrées .... étoilées ? oj,n monte ! on monte hautes de chez haautes ! on monte de chez haut des hauts sur Roche des Mots (paroi docte)?. On se prénomme ............... Pou ! .................. le POu ! ......................... petit Pöu ( philipou) des trous et autres traits de Roche .... où donc pouvoir, dès lors, passer le nez né , et enttrer. On veut creuser de chyez creuser la roche à ici traverser et sans compter. creuser creuser creuser Roche au pré , passer, saluer , s'approcher des bêtes de trait, continuer, voler / voleter et se porter jusqu'aux nénés des données lactées genre étoilées , mer de S&inteté L actée , traits des traits tracés à main levée par une F2e Ancienne , qui sait. On veut : aller, dire, poster, construoire, chercher, donner, filer, chercher, sédiuire de près, pareille Sommité agraire, bovidé des bovidés des terrres et autres sols sacrés ! terre des terres, terre swaluée, terre auto-centrée ! on cxherche à ...... peut-^tre , creuser de chesz creuser le ...................... "szillon de l'être" spigrocon !  ....................... spigolon des termes ! tete ? trait né ? cherche-merde ? on ne sait ! on creuse / aime ! on veut de fait :

toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui ici se présente, en vrai, à nos instances ! le Passé ! le Passé Remonté ! P assé dense comme les blés ! on entre, on entre "ensembvkle" en transe, ailes déployées. On est la Fée des Panses, ici lovée./ On veut tracer sur pied l'être des données tel qu'on se le représente = 

acidulé, vrai, ancré, soulevé, tout remué, chargé de bonne intensité, comme tracé à main levé, chahuté, coché, pris sur le fait d'une sorte d'envolé massive, une frise , trait de frai , âme cxomprise. On veut creuser, dire et sonder, porter-mesurer, aller-donner, vlouloir aller ............. sans plus se retourner, vers un ciel lacté = sainteté lactée = ciel aimé. Chercher la frise, le dessin de l'hydre, signe (signe tracé) d'un trait du dire, du "dire Accouplé""""" , "Dire centré", "dire des dires et autres dires genrés" . traits des traits. Vie des vies. Son des Sons. Mises en pli de dires sacrés sur paroi pré-pré. Car, la paroi devant soi, est paroi pré-pré, qui renvoie aux données des données, de type "bestiales /animales". On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une sorte de ...... parade sarde ? on ne sait ! sarde ou pas sarde on veut toucxher à ce qui est qui nous regarde ou nhous regardrrsrait comme de biais , de type manaçant / menaçante, regard en biais qui szerait mécontent vis à vis en vrai de ce qui, de nous, est donné = vivacités, vivacités, vivacirés, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivcacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacitésq , vivacités, vivacités, vivacités, vivcacités , vicacités , vivacités, vivacités, vivacités  , vivcacités , vivacités, vivcacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vicacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités , vivacités, vivcacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivcacirés, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vi vav-xités, vivacités mais, en vrai, 

jamais la vie , la vie pour de vrai, 

et ça le cfait grave chier, suer , râler, car, de fait, la Mort est super centrée sur , ici, ce genre de "do nnéé xde vie", , de données vives ws'il en est . Elle veut grave la vie, la vie-vie, et pas du

 "wemvblant de vie" (les vivacités) 

qui fait son effet ou son petit efffdet mais en vrai ne comble pas (jamais) l'en-vie de vie vraie (complète) de La mort Haute. On donne, on rallonge, o,n pousse. hautes formes sur paroi de Roche : auroques, buffles d'oc, antilopes des sons de cloche, bouquetines vives (très) et autres cerfs de haute Volée, mais la Vie de FAit (Vie-vie)  : jamiais (sur paroi-muret) !

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25/2/2025

On est (on serait) deux pour ça : ici cerner , ici cerner un certain nombre de données de base, par exemple  : ce qui est qui nous fait face qu'eest)-ce que c'est . On mate ! hou, on voit ! on regarde "grave". On envoie du bois ! on est là pour ensemble comprendre un certain nombre de données de Rage ! les tracas, les ambivalences, les  voix, la Chance au Passage et autres tralalas de mainrtenance. On y croit ! on veut toucher de chez toucher à ce qui ici (en soi) se présente, en tant que voilà , une sorte de Domaine Dense, Pré aux Bois, SSainte Place, un endroit de Base pour des Sortes de promenade en veux-tu en voilà vers plus loin (là-bas) lav Muraille . On voit là-béas ce qui se présente, en tant que Ça : Mur de Passage en Transe, une sorte de voie pour un passage en transe jusqu'aàl'au-delà de l'au-delà de la Parioi . On veut toucher ensemble à cette chose d'un TRacé de base ... pour Soi, à savoir ............. iune VOie, UNe sorte de VOIE, qui, ici, en face, nous "regarde". est-elle un trou, trou dans le paysage ? ou bien : échancrure nature ? un passage "intense" ? trou du Moi ? un passage dit "de Paroi attirante""" ? Quoi, ça ? On enttre ! on entrte "ensemble". On veut aller en vrai au plus profond de cette Chose "iintense". une voie pour l'au-de;à ... ça serait BHath ! O,n y croit et du coup on voit ! on entre en cet antre "au-delàa" ... et qu'est-ce qu'on voit ? on voit ici

eh bien des choses qu'on ne pensait pas en vrai trouver en cet endroit, comme, par exemple : des (sorttrezs de) traces de pas, des traces de passage anciens, des chemins, plein de chemins qui sont des chemins qui on dirait mènent loin, mènent ou mèneraient peut-être au trèe-loin ou bien au plus loin lointain d'un au-delà à ÇA, qu'on voit devant soi : la paroi, la paroi "des bois". On regarde et on -se demande si des fois on ne pourrait pas ici creuser ensembkle vers ces  "lendemains de base" . Et du coup en avancer ensemble (grave) dans les connaissances. On veut ensembkle en vrai intensément touchger à ces contrées qui nous rassemblent ou nous rassembleraient une fois la paroi (des fonds de pré)- traversé , traversé de rage, vers cela , là-bas, qyui nous regarde, sans  nous l^cher, sans nous abandionner une seconde. Qui c'est ? peu-têtre ... Chose ? Une sorte (qui sait ?) de Donnée d'outre-monde ? une sorte de Donnée de Roche ? 

on mate ! Qu'est-ce qu'on voit en vrai ? on voit des sortes de données "potaches" .... traits de Voies = des tracés , à même le .................. Passé de SOi ? qui le sait ? quyi voit ? qui comprend ici ce qui est qui se présente à nos endroits (à notre endroit) ? On creuse la VOie car voilà, on veut cerner ensemble ces "données intenses" post-paroi, post-paroi du pré = paroi 2, de par la foi. On veut : 

- toucher toucher toucher

- cerner cerner cerner 

-entendre entendre entendree

- cntrer co ntrer co ntrer .... et du coup tracer ! car, nous, notre volonté la plusq ancrée , est de toujours toujours toujours continuer de chez continuer à creuser creusezr creuser, cette sorte en soi de paroi, des ROIS_REINES de là, la BAse, BVase Antrale. On a envie ensemble de creuser le plus possible  c  e qyui donc, ici, devant nous, se présente, se présente à nous et nous fait signe, et, ce signe , en vrai, à nous d'apprendre (pour ainsi dire) à le lire, à le comprendre ensemble, à savoir le voir, à cerner ses traits, sa façon de nous aborder ou de nous toucgher, à le voir en ce qu'il est en tant que (pour le coup) Message à destinée. On essaie de se rapprocher, le plus possible, ensemble , de ce trait aux do nnées lactées (nacrées) . On veut toucher à cette chose déployèée, qui fvoudrait, peut-êttre en vrai, nous rensezigner sur, ou nous enseigner le .... "Théoreme Ondulé " de la Vérité Tracée ... ? on ne s ait ! On est accolé&es (on est collées) et on trace de fait ensemble vers ici ce ... Tracé, d'une sorte de Charade on dirait, Charade-Trace, Charade qui saurait (en  vrai) nous donner, des sortes de Réponses comme Soulevées, Réponses au TAqsuet, concernant la Chose = la VFoie = la Mort à bout de bras ...  ou quelque chose comme ça . On a envie ensemblke de toucher à ce qyui se présente et nous regarde de la tête aux pieds. On a envie de ensemble) toucher-cerner, un certain  ombvre de données de base, des données de Rage, données "Denses" qui, de fait, serait ici (pour nous), 

des "données" Coriaces", Données Dures s'il en est , à devoir, du coup, "envisager " ou "appréhender" ensemble dans leurs longitudes et latitudes d'altitude. voyons ça ! creusons ! essayons de voir un peu, ensembkle, ça ! ce qui est là qui semble devoir (de base) "noius parler" par des sortes de "treaits" (de Rage) "à toi à moi", qui sont traitsq pour ainsi dire sur ... paroi de base ! paroi dite  "de-roi , -et-de -reine -

... de Rage" , on croit. On veut toucgher à cette sorte de .... post-pré (pour ainsi dire) "des temps alloués", traverser, passr sur pieds, aller de l'autre côté, essayer de cerner , cerner de près, les données "iintenses" telles qu'elles nous apparaissent ou nous apparaitraient en face . On est :

Bêtes sages, Bêtes-Foi, Bêtes-Traces, Bêtes-Envois, Bêtes)--Crasse, Bête des Données de base en soi = traces sur paroi de CXhâsse ! On est là ! on entrte ! on veut comprendre , et, du coup, intensément nous appriocher de ce qui est, la Paroi Passée, Paroi Haute des Données Profgondes. On veut c'est vrai toucher ensembke à ce qui (pour le coup) ici , pourrait grave nous dire des choses, choses et autres concernant en vrai eh bien tout un ensemble de données progfiondes qyi pourraient de base nous donner de fait de quoi cerner = toucher à ,

un certain nombre de choses liées à la Foi. À la foi profonde en l'au-delà. Par eexmple : des tracés, des traits, des desssins sur murets et autres tracés à main levée. On veut toucher (de notre côté) des Données. Les toucher = les appréhender par ... du doigté de près  , à savoir : par des sortes de pose

 de main sur muret ! On veut toucgherb! on veut s'accoler ! soit ... s'acvoqyuiner ? on ne sait ! mzais coller de chez coller à cette Chose , à cette sorte de  Passé, de Passé REmonté ! Remonté des catacombes ! On veut toucher de chez toucher à ce Passé des Catacombes ! et "tracer" = filer = foncer = aller, dare-dare vers ... ce Passé qu'on ditb "Remonté" comme si de fait ça se pouvait mais qu'est-ce qu'on en sait ? On est nées de fait fées sur pré pour .... peut-êttre ? tracezr ! = foncer = ttrraverser, par ... "la fenêtre de l'être" ? le muret Dernier ! On veut ............ coller de chez coller à pareil muret des Données Dernières et ... tracer ! traversezr "en entier" le "Cimetière du pré", et alller ..... loin .......... toucher /............. N2né ! le Néné du Verbe = le Lait ? on ne sait ! on cherche ! on a grave envie ... de trouver ,

à cerner , à comprendre, à voir de près et clair ce qui est qui se présennte, à nos doigts de fée, ailes déplissées, jambes élancées prêtes à npoous propulser vers une sorte de CIel Lacté ! néné ! néné ! néné ! néné ! on veut toucher = téter ! c'sst vrai que nous (fée) on aime (on adore) téter ! on veut toucher à ce Néné du Bout du Monde " ! le Néné est né qui serait "the Néné" de l'Aube ! trait du lait ! on veut creuser ! on veut toucher-creuser sur pied ailé ce Néné au Lait ! et téter ! boire si tant est ! toucher de chez touchezr et y aller de nootre traduction-passion ! On veut :

creuser de chez creuser

aller de chez aller

toucher de chez toucxhezr

poser de chez poser

faire de chez faire 

Nous donner à  e trracxé du bout des bouts des données Debout . Qui on est ? des fées ! fées passées post-pré, post-données prairiales des tracés de base. On veut aller "ensemble "", de RAge, 

Au plus loin de là.  La base navale ? Mer de poix ? Traits tracés comme des vagues ? l'eau de là-bas ? l'(envoi, ou l'envoidde l'envoi de Charme ? On ne voit pas tout du tout. On voit des bouts . On veut , on voudrait, voir plus , et du coup ..... cerner ! cerner grave, les données données par une sorte de , oui, Vague sur le Quai ! la chance sur trait ! une sorte de Passé Intense, qui remonterait et saurait nous dire ou indiquer ce quy'il en est de cette chose ici tr acée comme à main levée et dont le nom est :

Vague ? Vache ? on ne sait en v  rai ! on est née sur opieds Fée ailée dans un pré la mort donnée, à préxsent voilà, on avance ! on creuse Voie ! on veut co:=prendre ensemble "des donn"ées ", et tracer, ensemblke, post-pré, un "sentier des connaissances" comme qui dirait ! On est nées Fée de Rage la Mort donnée ! devenu F2e ! Fée des prés ! On meurt et, automatiquement, on devient (qu(on fût homme ou femme) fée, l'homme disparait, la femme trace, la Fée naît ! on entre ! On est née "enwsezmùble " =  traits ! traits de "fée de connivence" on croirait ! On veut :

toucher à  e quyi est qui nous "rassemble". On est née en France (il semblerait) et à présent on veiut tracer, au plus près, les données de RAge, kles Do nnées de Base, ce qui est qui est qui ici env  rai se préwsenteraiet et nous donnerait de quoi  cer ner-toucher à des données telles que voilà, on pouurait, avec elles, toucher toucher au Néné post-pré = le Né,né , Néné né Lacté à pouvoir tétezr ! On veut de fait toucher de chez toucher à ce qui est qui est qui nous regarde ou nous regarderait sans discontinuer une vie Durant ! L'oeil des Treaits ! traits des Traits ! On est Fée de fait la mort donnée ! OUT, l'homme ombré ! l'homme au port ! l'homme est écarté , mort = enterré et auttres faits. On est passées ! fées ! fées ! fées on est ! On est des fées pzrmi les fées xd'une sorte de Contrée des Données Ancrées ... le Pré aux traits ! bêtes de Somme et autres Bêtes de trait ! beêtes "de la mort" , ohhh ! Ce qui est ! On est nées ! on est parmi les bêtes Grossses : bisonnée de roche ! On porte ailes de fée sur pré aux tracés ! nées fées ! homme enteré laissé derrière, dans la terre ! et ici ...... une envolée , envolée de fée dite "surnuméraire" ailée ! on est montées ! on a franchi pâs mal de paliers et nous voilà comme "adoubées" par une sorte de Prairie aux données fvrontales  , THE pRAIRIE, la chance ! fée de FRance ? non ! du français , la langue ! langue usitée, ici p arlée, le fr ançais du ventre ! On veut :

coller coller coller

donner donner donner

faire faire faire

creuser creuser creuser 

connaître connaître connaître

dire dire dire 

cer ner cerner  ern er

CHerc her à , pour le coup, aimer ! aimer la Base de Do nnées ! comprtendre = aimer, imer creusezr, toucgher, cerner le Verbe comme Déployé la mort ainsi abordée. On veuit : 

toucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est ici qui nous dirait ce qu'il faut penserv de ce cimetière aux données  tracées comme sortes de traits .. de Basse Porte. On veut :

toucher touchger toucher toucher toucher toucher à ce quyiu est qui; , en vrai, EST . A savoir : la Rage ! Rage acidulée, d'un tRait de Base ! tracé ! trait des traits tracé à main levée sur .... Néné ! trait de lait ! la Rage ! le Passé comme remonté et nous voilà qui sommes là, en tant que Fée post-pré, à cghercher ensemble  à pouvoir comprendre ici et là ce qui se présente à nos .... doigts effilés (?) ou pas mais qui , de fait, cgherchent à ... toucher que tu toucheras, le Néné du Lait, à téter, tête première. lait pour Fée Primaire ! Le sacré ! la vive intensité de l'êttre, ! le Passé rena^it à l'Être et se donne et pas à mpoitié ! On veut toucher à ce quyi est qui ici se préxwe,nte et cherche à nous donner de quoi cerner les données inte"nses ou dites telles. on aimerait pouvoir ensemble comprendre, ici ou là, ce qui est qui se présente à soi, données denses, treaits de fée, charges outrées, colle et collier. On est nées Fées sur pré et à présent on veut graver, creuser, tracer etc., un certain  nombre de Dessins de Foi , traits des traits, sur Paroi Finale, Ultime Paroi aux tracés de Charme : bisonnée ! traits frappés, creusés, armés, crachés, soufflés, dessinés (de Rage) sur Roche frontale. on a envie ensembke en vrai, de comprendre-cerner un certain nombre de données de base, des treacés de rage ... mais pas que, aussi des sortes d'envolées notoires, de type "traductions fatales". qui est qui et quoi est quoi . Toucher à cette sorte ici de "limonade" sur paroi. La Foi est une sorte de ... P aroi de Base. On envoie ! on entre ! on renttrree ! on rentre là ! on ne veut pas aller plus loin dans la panade, mais tracer , aller, se sauver, cerner, piger, allouer à une sorte de Tracé un sembklant (de fait) de Vérité. On est née ! née fée ! homme achevé, fée  né , ailée ! On ne veut plus tracer pour tracer , mais tracer pour ... tracer = filer ! passer ! pâsser de fait en tant que fée (bêrte de trait) vers ce Passé du Néné du Lait ! = téter ! tête allouée à une sorte de tétée de Verbe-lait = V-herbe = Verbe d'herbe " ! On aime ! OPn veut creuser cequi ici est, qyui se présente à nnousq en tant qu'on est des ............................ êtres(de pré) ailés ! ............................................................................................................................................... on veut grave aimezr = dire = cerner = comprendre = conjuguer .... un cdeertain nombre de données de base ! les comprendre = les toucher ! On veut :

toucher toucher toucher à ce qui est qui se présente ! On veut : aoimer ....................................................................................................................................................................les traits, traits de RAge , Traits Tr acés du Passé de bbase ..............................un néné est né qui se présente acidulé prête à être tété ! ................................................................................... on veut le téter ! l'aimer! boire du lait ! s'en garga(riser en tant que Fée Tracé sur pieds dans la mort donnée dite "du bout du bout des contrées aux fées ". On veut toucher à ce qui est qui se présente on dira "debout". On entre ! on entre à genoux ! on est au bout du bout du bout du bout, prête à ... entendre .... la VOix Ample ...... d'une sorte de REine De Rage ......... Tra cée .............  rEine des Données de base .............. Rei,nes des Entrées ..... sorties de La,ngue ! loa Paroi est franche ! sondée !  creusée sous nos pieds ! on  veut (nous : fées !) s'envoler sans plus (ezn vrai !) faire desimagrées mais y aller ! poussser de chez pousser ! tracer de chez tracer ! aller de chez aller ! faire ainsi que les dsonnées en vrai sooient, pour nous ... eh bé données, peut-^tre ... petit bout par petit bout ... ou alors d'emblée ? toutes données et on saurait  ? une fdois pour toutes on saurait à quoi se fier ? On est nées Fées du Bois Menu, on volette, on veut comprendre ce qui est, on cherche loin, on veuit aller ... au plus loin des contrées ici toutes représentées à notre approche. Creuser c'est cerner, on sait. Qui on est ? des fées, sur pieds, qui sont a&ilées du fait que voilà.... fée = ailes ! On aime être fée parce que voilà, on est munies d'ailes. On v  eut ensemble gagner sur pré les dernierts contreforts, comme tracés , qui seraient (pêut-êrte) sortes de Murs d'enceinte, de Rotonde Allouée, d'enclave profonde aux herbes folles et bhêtes desomme que .... bnous sommes ? fée / bête de somme ? fée / bête de trait ? qui so=mmes-nous en somme ? fé de Somme ? fée de TRait ? fée adoubée dédoublée doublée ? on cherche enxwemble ici et là sutr pré à du coup envisager ce qui se pourrait en termes de réponses à des questions "profondes". On veut (certes) aimer (aimer cerner) mais aussi "toucher" , toucher à ce quyi est en termes de ....  Plaie ? on ne sait ! en termes de .... Chose a&llouée ... à .............. La Moprt ? peut-^tre ! 

oh, peut-êttre ! on cherche , on avance ensemble (... on est des ailes !). On est née Fée au passage Donné (= le trépas cendré) et passé ça, donc : le  ou la pré-toundra, nous voilà accolé à une sorte de muret, soit de muret de fond d'allée, prête à "déjouer", à "lâcher les treaits" , à se "dépiauter" d'un cezrtain nombre de "qualités certaines" , du genre ........... la traine ! les ailes ! le diadème ! les bouclettes et autres traits cilaires ! et hop ...... avoté ! .................. on est passée ! on est passée...  xde l'autre côté du muret vers ..... la "Mer des Herbes" ? Mer Haute du Verbe ? mer des Traits hors Roche ? On est la fée Haute ou ... on sezrait ? on monte ? dans la mort alvé-olée on monte, vrai ? On, monte haute ? feé-femme du pré, monte haute la mort (ultime) allouée ? On veut creuser = dire = faire =  cerner = comprendre =cxher cher = aller = sentir = franchir , ici ou là (treait d'ultime paroi) la Rive , RIve en Soi de l'Au-delà à soi ! la Chance = la transe ! On veut toucgher à ce qui se présente ou se prése nterait, en termes de :

Connaissance des Entrées , des TRacés de fée, CXharfge Haute sur Muret de Roche ! creiusons-filons ! ou même : creusons le filon ! Cherchons docte ! pousso,ns grave la Chose,  d'une sorte de tracé de fouille ! allons ! chercheons ! filons de fait sur tracé haut ! allons toucher à cette sorte de ... Passé Haut .......... Enfance du trot .......... enfance du trot ..................................  creusons "haut" la Chose ...... Le passdé est une réponse. Il sermbvlzaerait de fait que le Passé  fusse Réponse .... ancrée ....... en cette chose d'un ........ Néné de lait ! et du coup, on peut téter ! tétons ! allons sur pieds à la rencontre de ce lait , cxherchons ensemble ce qui est qui est, qui nouis "r assemble" ou nous "r asssemblerait" autour du lait, lait de trait ! courrons ! fil:ons ! chezrcjons ! cernons ! poussons ! poussons vif la Chosqe Haute ! le Passé est cpomme "remonté des catacombes"" où il se terrait ! on veut tracer et du coup cerner tout un tas de données de type "bêtes de treait", '"bêztes de paroi", "bêtes s ur roche donnée", , et .............. voies ! voies d'accès ! On veut toucher toucher toucher toucher à ce qui est ici qui se présente en tant que Lait Donné , à téter, à ingurgiter = avaler pour se requinquer . Toucher = dire = faire = cer ner = cxomprendre = induire = szoulever = pouysser = calibrer un dire aux données du Rire ! Le Passé ! le passé traqué ? ou disons : poussé" ! car, le Passé est avant tout , du Rire de Pré ! Passé-Rire = Vie de RAge = Vent de face , prout ! la chance ! on entrte ! on creuse dense en transe ! filon ! trai du fion ! on veut :

coller coller coller coller

chercher chercher 

dire dire dire dire

sonder sonder sonder sonder

pousssr poussser pousser pousser

creuser creuser creuser crreuser

adouber adouber adouber adouber 

faire faire faire faire 

centreer center centrer centrer 

comprendre ensemble et toucgher ensembgke .... à ce Néné de Contreba,nde : THE Néné de Contrebande ! = le Passé ! le Passé Intense ! car, le P assé est né, qui nous attire à lui au plus profond ici xdes données données telles que rencontrées , offertes allouées , à une sorte de Tracé donné. On veut creuser de chez creuser le M%ur du Son ..... poussser poussser poussser vers le Fond, Roche Haute, la plus Profonde, Haute Roche des TRacés de porte. On est qui ? on est Fée haute, passée, qui avons travezrsé le muret DErniezr et nbous sommes comme retrouvées .... de l'Autre Côté, à devoir "sonder "(en vrai) les données Hautes = le Néné des Nénés , Roche au pré passé, la Haute Futaie, Mer des traits ! vaguelettes ! vagues et vaguelettes ! mer ancrée ! mer des données vertes ! traits sur traits ! Verbe centré ! on veut toucher à ce qui est qui wsembleraiot vouloir, ici, nous donner, des sortes de ....................../.................................................................................................. vraies vérités tracées ./............ treaits = vérités ,.............................../.................... traits ancrés ........................... oiN aime teracer et cerner, chercher et toucher et diu coup possusser, pousserr haut le Verbe "chaud" ! Toucher ! On veut :

dire de chez dire, êtrte de chez êttre, creuser de chez creuser, faire de chrez faire, cerner de cherz cerner, poussserrt (en vrai) de chez pousssr, co nnaître de chez connaître, cerner de vchez cerner, centrer de chez centrer, pisserrt de chez pisser . qui on est ? bêtes de trait / fées ... ça le fait ou le ferait ! car, en vrai ................. on aime êztre ! dire et coller, cerner et comprendre, charger et filer, sonder et marcher, voler et monter , monter vers ELLE , ELLE VRAIE , ELLE ... DONN2E XDES DOONN2ES, la DONN2E DES DONN2E, DONN2E VRAIE,, VRAIE DONN2E DES DONNÉESQ , Vraie de vrai ! On l'aime ! on veut CERner = enrober ! donner = dire = faire = coller = ciomprendre =cghercher = sonder ...... un certain nombre de "données intenses"  , qui seraient .... eh bé oui peut-^tre .... dxes contrées , aires désertes, mers Égée ou autres mers post-pré ! On veut :

toucgher touycher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher ... à ce Passé de Mer, Mer Des Fées qui ont (de fait) traversé la Roche, Roche DOnnée, vers du Passé d'encoche ! trait ! trait nacré ! trait très très nacré ! on dirait ! On creuse  un trait, et dans ce trait ou par ce traiot on essaie........../............................................. eh bien oui, de s'immiscer, d'entrer, de se loger, de se placer et de passzr ainsi pelotonnée  vers une Contrée, ou Contrée Nouvelle , dont le Nom erst ...... kle Passé ! le Passé de l'ÊTRE, Passé Né = re-né ... ou comment stipuler ? On veut creuser (ensemble) ce Pasdsé , mais comment creuser ? voix de Roche = voie donnée = sentier ! tracé né sur sol de Roche  ! on vfeut aller aller aller comme à nous envoler de tant aller ailée ! Volons haute ! montons ! fouillons ! creusons, THE Roche aux Passions ! et allons (si possible vive) vers pareille Cloison, Cloioson de l'Impossible , ou du non-impoosible, ou deu inconcxevable , ou du cfoncevable ..... mais allons ! creusons ! foulons sol, post plancher des vaches ! allons bon train ensemble vers le fond ... xdes fonds de RAge : la P assion ! Le Ventre ! le Front ! Antrte et Fond ensemble ! On veut comprendre et, de ce fait, on entre dans l'antre, ici, des Passions Franches , Passions des Passions Franches et autres Passions de branche. montons ! on veut ................................................êytre .............. née ................... dans la mort des contrées ... du Passé ................ bébé ! ............. re-bébé ! .................. à nouveau ancré ! fait ! chargé ! alloué à une sorte de "contrée profonde" , de type ........ re-rotonde ? On ne s ait ! O,n mùonte ! ..................................... l'homme desc ent la femme monte ! ............... monte haute ! .................. ailée de Ro-che ................................. homme croche (accroche)........................ bec dans l'aue de roche : caniveau, le drôle, au museau ! ............................................ paroles ! .............../............./. fée vhaute monte et cherche porte ! ................... porte des Hauts ;............... szorte de porte Haute des Données Profondes sur Poteau ! ........................................................................ o,n veut grave (ensemble) toucher de face, ce squi est qui en vrai nous rassemble ou nous adjoint ou adjoindrait de connivence ! on est née Fée la mort donnée sur pré (pré paradisiaque) et ... le pré "consommé"", on se prése nte "ensxemble" (ailes de fée) ........ à cette sorte de Donnée "intense" , Feu des treaits , traits des traits, ........ engeance ? p)eut-^tre pas en vérité mais quelque chose comme ... sorte de ....... connaissance ............... une façade ??   ....................../....... face allouée à une szorte de Parade ? parade d'antre ? ........................../....................... on veut cerner mais pour en vrai de fait, cerner de chez cerner ... eh bé vas-y, creuse, creuse e,n transe ! pas si aisé ! ça trezmble ! c'est pas do nné ! ça demande oui un vrai doigté , deoigté de fée , qqui parfois manque ! la malchance ! O, n entre ! on veut coller de chez coller à une destinée-parade, le tracé "français" est (ici) trace de base, mortt allouée à une sorte de p)assé de FRance, un Passé mort-né qui ici re-naît, comme par miracle, du néné donnév = lait ! Lait dense ! voilà le Lait ! Lait post -pré tel qu'on le rêvait , le voilà "acté" ! trait ! trait ! treait donné ! trait des teraits donnés, sur Passé Intense tel qu'imaginé en quelque sorte dans nos pensées. on est entrées .............................../ poussons donc la promenade ............................ au p^lus loin possible qui se pourrait ................................ v ers ces données dites "du bout duu monde" et des copntrées "hhautes", dont plus haut on parla&it : c'est quelque chose ! ........................... on monte haute car voilà, ..... on est Hautes de chez Hautes, F2es de POche ! poche et Roche ! F"éée Forte  !Fée de porte ! on monte ! ................................................................................................................... on veut toucgher toucher troucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui , tout en haut de cette CDhose Haute, nous "contrôle" (?) ou nous contrôlerait (?) qui sait, sans discontinuer = tout du long de notre avancée ou ascension ou montée / envolée. On est née Fée Forte ! accorte , quand ............"morte" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! il semblerait. Ce qui, en vrai, signifie que cvoilà : on est ................................................................................ comme accordée .......... à une voix ........... voix de l'au-delà ............... aux données de base = voix dense ! voix intense ! = voix des voix = ............... voix de Rage  ! .....................................; VOIX = VOIX DENSE ................................................................................................... Ici on veut comprendre ensemble, eh bé des chjoses  qui pourraient peut-êttre,  il semblerait, nous ap^porter, qui sait ? des vrépônses, à pas mal de questions qu'on se pose et qu'on se pose ici,  de"puis,  eh bé ... pas mal de temps, de fait, maintenant. qu'est-ce que ici en vrzai cette CHose, d'une Soerte dee Porte Haute, pourrait nous do,nner ou offrrir, en termes de Données profondes ? ,on veut trouver. On est vachement motivées parce qu'on est des fées, on est toutes passées (dans un premier temps) à travers la roche ou "roche -roche", mur de grotte, p âroi "hot" , et mainteneant voilà, maintenant que nous voilà passée pour ainsi dire de l' autre côté, côté pré, côté "paradis sacré" ou "quelque chose  comme sacré", bnous cvoilàb qui voulons toucher à une sorte de contrée qu'on dirait   , on dirait, "définitive" ... de type "portée" ........ de type "ligne ou tr ait" sur laquelle ou sur lequel pouvoir de fait s'installer comme qui dirait "l'ooiseau ou un oiseau de ligne" ! On a envie de vivre ! sans céder ! d'aller, si possibvle, au plus loin tr acer! chercher donc cette ligne post-pré qui sezrait " la Ligne divine" ........... treait des traits ...... fine et gracile ligne post-pré ! une ligne "active" ................ qu'est)ce qu'en vrai ça pourrait être ici de fait , que cette ligne "auto-portée" comme une sorte dee ............. ligne vive ................... ligne allouée à un tracé de rive ..........................ligne de trait ???? ligne du Passé ? qu'est-ce que ça sezrait (alors) que cette ligne, içci allouée, à ........ des vivrzess ? ma Voix ? Chant de Rive Sur Tas ? trait de soi ? vivres et autres offrandes allouées à une vie ....... après la vie  ......... ap^rès la mort pour ainsi dire, mùort comme prise en sandwich entre ici la 

Vie de base, TErre Maternelle, et là, la 

Vie "Intense", dite "du Passé de RAge " ....................... 

Est-elle (ccete vielointaine) Vie Passée, Vie déjà cernée ? Comment le comprendsre. ? Qui en vrai saurait nhous tuyauter sans se moquer ? Peut)--on toucher à une véreité de base sans pleurer, sans êtrte "touvcchée" ? sans être déboussolée par (il semblerait) un  ertain  ombre de vdonnées, données en souffrance, qui, peut-êttre, nous mettreait ... plus bas que terre ? On cherche ! On a envie ensemble de trouver ce qui, dans la tourmente de la "mort en vie", bnous rassemble, nous réunit, fait de nous (elles) une Fée ... de Vie Intense, allouée à un Passé de France (du français de base = le français de lan gue) ....... On est née ! On est l'ainée ! le bébé tracé ! la chambre ! onctuousité ! pré aux fées ! gentes dames du Passé des Données de France, hé ! du français en tant que langue , faut-il préciser  ? car, ici, le français, est cette langue à déboiser ! à mettre en (comme qui dirait) charpies, si tant est ! langue-née sur pied un jour d'été ....... pour ainsi traverser ....... la Vie en ses Contrées ............ jusqu'au bout Nacré ................. Finalités des Finalités et autres Traits ici alloués à une sorte de Dérive Vive ..... sur Passé ! trait acté sembleréait du Rire ! rire hautement pratique ! car : il chasse le Vide ! On veut :

toucher touychertoucher toucxher toucxher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est ici qui semblraearait voiuloir comme '"nous parler" ..................... nous donner du "néné" comme à téter ! = LAIT , LAIT post-pré ! lait du Rire ? on veut :

toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher  ce qui e,n vréi i-ici dse présenterait, en tant que ça sera&it de fait du ... Gros RIre du Rire ! Rire gros post-tonneaux ! Rire Ivre ! On cherche le mot ! on veut construiore (ici ) tout un chapiteau où pouvoir (au bas mot) "toucher" (de près) la Chose aux Fées = le Trait ..... de "Mort Active" , Donnée Ivre, SAinte Vive ! Le tracé ! trait ! trait de vie vive ! trait des traits du Rire sur Passé "en friche" ! trique ? on ne swait ! trait de Trique ? On ne sait ! on veut ............ évacuer ............. les données tracées ........ d'un Verbe Centré .......... pro-clamé ........... à grave déquiller ........./.... verb e des Données Données xsans qu'on ait été de près ou de loin (à l'entrée !) consultée et ça fait chier ! On nhe veut pas du V erbe -trique ! tralala ! on veut ça : 

vivre  ! fée ! vivre fée sur pré puis hors pré ! t§racer = donner = dire = faire = donner, à du VErbe, les Données Actives ......... d'une sorte de ..... "RIRE  des COntrées" telles que rencontrées le  Muret (de s fibnalités) traversé ! En gros : on veut grave se débarrasssr, ici, d'une sorte de donnée active  , auto-genrée, de type Tracé Tracé, trait De vive Alacrité, qui serait comme adoubé par ......... l'Hydre ? va suer ! va-t-en creuser Tom b e des Traits ! laisse-nous aller ! fée ! fée-fille ! vive ! pas un centime sur ce trait on ne mettreait, ce trait ivre , d'une sorte d'Hy§dre ... alloué à un VIvre tel que Ce que là, on croit voir, voir Venir, ainsi donné, le Jour où , de fait , on est né (é !) homme dee crue ! va-nu ! hombre du cru ! Pelote d'hôte ! On n'en veut plus ! m âis comment du coup ........... chasser la crotte ???? .......................... cfomment "caguer l'homme" ???????????????? comment "pousssr" ?????????????? ???.?.??? et faire tomber sans se déliter ??????.???? ??????????????????????? comment dire ce Passé Nacré et l"'évacuer , ne plus avoir à en subir les données ou données de base, et autress méchancetés teznaces ? ................................................... verbe lié ! ça fait chier ! on veut creuser creuser creuser un certéin nombre de vdonnées de Rage ......... et toucher toucxher toucher à ce qui est "en face" = Face ! Face aux traits .... "intenses" .......... Le Passeé français de contenance = du passé de Face ! traits ! ttraits des traits ! pousse-café ! on entre ! ............... on veut toucgher de chrez toucher à ce qui est en face , qui, pour le coup, voudrait, de nous ....... eh bé TOUT ! sans trier ! tout de nous et le tour est ou seraéit hjoué ! mais nous ............ on ne veut pas se laissser absorber (chou caillou genou) comme éberluées, mais tenir bon , sur pieds, dans l'adversité d'une sorte d' avancée (attitrée) vers nous,  avancée chelou ! qui voudrait de nous .... TOUT ! tout de nous ! passé et contre-passé ! le temps en son enteier = chou caiullou geniou hibou gnou ! et nous ......... de ne pas pour le coup nous laiisser attirer ou même intimider ....................... et : CONTRER ! CONTRER OUPS ! ALLER ! CREUSER :/ CONTRER ! On veut (on voudrait) arriver à (en vrai) décoller........ nous décoller ........../ en vrai .......... décoller ./......... nous décoller ............ trac ezr de chez tracer un dire "décollé" des données "chelous" du Verbe alloué à une sorte d'entité ancrée, de type Sommité ? Ombre POrtée, Masculibnité sur pieds et autres Hominitudes TRansférées qui grave font suer .... quand on le xsait ! Qui on est ? qui en vrzai on est ? quii de fait en vrai on est ou on seraoit ? fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! d ans la mort : fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! dans la mort : fée des fées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et après la mort ..... le Bébé tracé ! bébé née sur pieds ! au-delà du pré .................................................... on veut :

toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toyucher toucher 

vivre = creuser = dire = faire = comprendre = chercher = cerner 

un certain nombre de données tenaces 

données des données teznaces 

creusements-tracés en chambrte 

on veut : tioucher, diantre ! percer de chyez percer, aller vif et creuser, pousszr de chez pousssr du ventre ! cintrer ! allouer, à une sorte de poussé"e, du VErbe "de France " , ventre d'antrte ! ça rentre ! c'est cinglé ou sinon cinglé ça flambe ! traits des traits sur du Passé de Vzntre , qui sait ? On veut comprendre. On a envie en vrai ensemble de cezrner et de comptendre ce passé, aux données intenses, ce qu'il est, depuyis ..... eh bé, la langue ! une langue allouée ou inculquée, 

depuis ses traits, traits de langue incorporée, ce qyui est, ce qui est de fait qui se présente ou se présenterait en tant que .... "traits de langue" , traits portés", traits des teraits alloués à une sorte de : Panse, VEntre, Antre, Intestinalités des Données franches .... qu'est-ce qu'en vraéi il se pourrait que ce fusse de faéit ? qui sait (des données) les données , les traits de portée, les entrées ? Qui vconnaît en vrai les NOms Posés sur Paroi aux fées ? on est nées fées ......................... patadisziaques ...................................................... ailéesc ............................... allouées à une sorte de Parade .................... chargée ................./.. centrale ........... accvordée ............. poussée ........./........................................ aimée ........................ qui de fait nous plaît ........... nous enchante ............ nous fait rêver ........................................... nous donne Allant 

et ,

Comment, Charme ? Charme de Fée ? oh, copmme on aimrerait si ça se pouvaiot ! On adoreraiot ! On aimerait grave renvoyer du ... CHarme, genre ... "ambre " !!!!!!! ........ ah si on pouvaiot ! ................;................... comme on aimerait ! ................................................................. on adorerait ! ........................ grave on voudrait ! ...................../....../.....Ça serait "génial" ! ..... grave "génial" de fait ! ............................................................................................................................................. va)-t-o,nn y arriver ? ........................... il semblerait .... 

que non !! que, en vrai, le Passév Tracé soit (en vrai) du Faux Allié  ........... treaits masqués .................. pas forcément super aidant en termes de recherches, ici, de vérités ............................. alors voilà, on trace sur pré, on avance, on fonce en bande , on est accolées, femmes-fées sur pré (les hommes ? morts et enterrés , bien fait ! ils ont assez duré ! on les connaît ! ils sombrent !). Qui on est ? 

Des ........ qui ......... de fait ............. montent ............ hautes .......... sur paroi dee roche ................................vers la Haute ........ Hotte Haute ................................. hotte Haute des Données de Roche ............................../............................ sans traîner ! sans cher cher à se défiler ou à se cacher .......................... sainte Fée d'époque ! ...................ombre des données de Roche , on veut creuserb ! dire et donner , faire et aller, chercher et coller, monter dev chez monter et ne plus jaùais se laisser comme embobiner par ...... eh bé ici la Chjose : OMBRE ! HOLMME ! HOMME-OMBRE ! CE TRAIT D'HOMME D'OMBRE OU DE L'OMBRE .... QUI FAIT SUER ! GRAVE SUER ! VA-LA-MORT-CENDRÉE ! TU CONNAIS ! honte à l'homme d'avoir alloué à un dire donné, les traits d'une ombre ! ombre-née, quand la clarté devait ! On veut :

coller coller coller coller coller aux nénés et téter en tant que bébé le bon lait tiré à la force de la sucée ! de la belle téteé toute acidulée ! on veut (en vrai) toucher toucher à ce néné des dires lactés ! et tracer ! toucher ! pousssr ! creuserr ! conduire ici .... le Verbe ancré, vcers ce n éné du Rire Incortporé ! rire-lait ! trait de lait = Rire ancré ! on a en vrai envie ici d'aller, au plus près, toucher de chez toucher, le Néné Vie, Néné en vie , empli, rempli, de Lait Adoubé p)ar l'Entité Chelou de bout de tracxé ! on veut grave toucher ! pousssr , pousssr et creuser, creuser et cerner un certain  ombre de données actives . On veut ........................ eh bé, vivre ! vivre vite ? vivre ! ivre ? vivre ! nj'importe comment , dsu moment que voilà .......... on est à même de pouvoir cerner, comprendre, toucher, ce dit "Néné des cobtrebandes" ...... d'une vie post-pré = le Passé ! le Passé ancré ! rires (ici) déployés ? on ne sait ! On a en vrai méga-envie ensemble de cerner tout un tas de données comme allouéesz à une sqorte de tracé ... du Vivre Dobnné. Qui veut aimer ? qui cvveut toucher ? qui donc de fait veut vraiment cerner et du coup avaler ? On veut (nous !) :

dire de chez dire

cerner de chez cerner

poussser de chez poussser

comprendre de chez comprendre

allouer de chez allouer

pister de chez pister

consacrer de chez consacrer

aider de chez aider

mettre sur pieds, postuler, ne pas tomber, creuser, et faire et dire , et dire et faire, sans trembler, ce p ôur quoi on serait née (fée) à la retombée .... et pas Homme-Ombre , Satané, car ........... tracée = née fée = envolée = éilée !!!! On est n ée (dans la mort) ailée .... sibnon à jamais, le temps de la traversée .... du pré -sentier .... jusqu'au trait des traits du néné Lacté comme qui dirait. fée des Fées sur pieds dans la mort actée (archivée) . On est née ! fée vraie ! toute ailée sur pied, p^rête à tracer, charger, creuser, filer, onduler de grâce sur pierre des traces ! chants du pré ! bêtres de trai = pastorales  allouées à une sorte de "Romance Cendrée" ! on veut (on voudrait ) creuser de chez ccreuser en transe .... le Passé ! mais comment creuser ??? comment charger ? comment cerner ? comment aller de base en base sans tomber , tréb ucher, se prendre (et comme il faut !) les pieds ... dans le passé dit "des Outrances " ? des outrances ??? ou : des convenances ? plutôt des convenances ? On veut , eh bé, le bon mot ! le Verbe haut ! la franche transe et autres pensées franches ! On veut .................... haut .......................... creuser ................... les mots ................... sur pieds ! et ne plus nous arrêter, car voilà, on est passée ! car à la retombée sur pré on s'est retrouvée ou comme retrouvée toute remopntée et prête à (de fait) continuer sur notre lancée sans discontinuer et ce jusqu'au néné du bout du bout tel que déposé" (?) sur Paroi Finale, ou Post-pré de base ...../..... Fins des Traits de Rage ...... fins des Prés de Base ........... finalités ancrés / sapiences ! Les données franches . On veut toucher à ce qui est qui se présente à nous tout au bout ! et ce qui est, est :

- des genoux ?

- des bouts de bouts ? 

- du lait de gnou ?

- le passé du trou ? du trou de boue ? Fosse haute ? tombe des tombes ? 

On veut toucher à une Vérité post-pré et l'avaler ou comme l'avaler = l'incorporer à notre poropre condition de fée ici allouée à ...... sorte de région ......... du VERbe ....... bas ? On monte !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut haut allerr !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!  creuser = dire ce qui est dsans les allées du bout de Roche ! ne pas traîner = filer = tracer (à main levée ?) la Chose ! le Fait ! l'Ombre ! le ässé est né ...... qui re-bnaît en vérité !! et nous laisse ller pour comme téter le bout acidulé d'un néné ancré ! On aime ! mèfle ! on voulait eh bé on peut et pas qu'un peu : téter le  V erbe .............. des données en herbe ! feu ! fonçons bon ! creusons ! cxhargeons ! filons ! creusons sans rire .... ou si : rions ? chargeons grave les données de base d(une voix antrale : bouts de son, voix de  rage, cris dits, posts de roche, ambitions ! On aime l'Ambre ! le poisson ! la chance des fondfs ! le tréfonds ! l'ambiance. On est :

fées des traits de rage, traits des fées de bnase, fée des traits de rage, traits des fées de  base etvautres "fées -montòn" ! tronc ! porte haute ! allons ! filons de chez filons ! soyons docte ! allonspistonnons ! forçons et fonçons ! on est Haute du Tronc, Ailes fortes, nous volons , nhaviguons, voletons, traçons, creusons, cherchons ........ à, de fait, creuser de chhez creuqser ..... une sorte de trait ...... qui soit ... une porte ..... vers ....... le Passé pôst-roche ! ancestralités des "données franches" , et autres eéthymologie -graphie de maintenance  .... ! vies dees vies ... =

vies desvies des données graphiques = traits sur traits, mots alloués à une sorte de tracé de fée. On monte ! ............................................... on monte haute ...................... on creuse , monte, va, fonce ! ............. sur paroi puis au-delà de la paroi .... direction la Haute ! Haute Voix des Tombes ... TRombes ? On monte Haute ! on y croit ! on veut ça ! on envoie ! on trace ! on charge ! on veut toucher de Rage la Paroi de Base , les envois, la Croix, le Don de soi comme en contrebande ! la Voie ! croix de bois = trait de base : un envoi pour Soi .... de Vent de Rage ! saint--Portage ! Une szorte de vent de transe ! l'en-vent ! en-vent ainsi donné comme ..... extrait du Passé ;! mais est-ce vrai ? peut-on coller ? dire et charger ? sonder /? pister ? allouer à une Vérité Nommée le Poids du Passé tel que rencontré ? qauand on aime il faut tracer, quand on aime il faut filer ! il ne faut pas traîner mais grave filer .... est-ce vrai ? on veut : aller, dire, charger, pousssr, donner, faire, centrer, conduire et pousqsserr, aimer, changer, donner du lait, téter, monter et chercher à attrapper le bout du néné pouyr du coup téter sans traîner ! aimer téter ! On vouxdrait ensemble traverser le pré et nous portyer de fait jusqu'au bout du pré, pour du coup téter ! téter de près , ce fameux néné ici alloué à une sorte de Donnée des Do nnées sur Pieds = Entité des Entités .... Quij c'r'st ? eh bé .............................. un Bébé ? ...................... déité nacrée 

*?, ......................... une "BNEAUTÉ" ?? ........................ sauintetyé ????. charge de frai ???????  ......................................... en vrai, on veut grave cerner les données de base et du coup passer, traverser la Base, passer le bout du nez, les ailes pliées, cotrps de rage, petits pieds , odeur (oui) de sainteté ! odor sanctifiée ! fumet ! fumet des prés ! fée passée se relèverait de l'autre côté en forme de .................. bébé ! bébé des bébés!  bébé d'or ! or de la mort ! corps d'or ! or des ors ! oralité ! On veut :

toucher toucher toucher toucher toucher 

dire dire dire dire dire 

verser verser verser verser verser

coller coller coller coller coller 

cerner cerner cerner cerner cerner

parler parmer parler parmer

chercher chyercher cher her chercher chercher

poster poster poster poster poster 

entreprendre entreprendre ventreprendre entreprendre

sitruer situer situer situer situerr

porter porter porter porter porter piorter

voller voler voler voler voler

centrer centrerr centeer centrer et comme "recentrer", le dire des données, des données Hautes: le Passé. Le Passé est le Passé de Roche, l'embrassé, l(enveloppé. On v  eut de fait ensemble eessayer de (pour le coup) le soulever de chez soulever ... à genoux, et là, à bout de bras, le porter haut jusqu(au "tonneau" ! et ............. verser son eau , eau de lait, comme s'il en pleuvait ! ou tout de go sans plus traîner ! lait acté ! dans son pot ! et le vin est tiré comme qui dirait ! vin de lait sur pied ! treait tracé à la volée ! on est parée ! toute habillée pour aller danser la danse des fées ! On est :

oui ... parée, habillée, tracée, collée, accollée à une donnée, donnée haute. On est la Fée dite "de la Haute" et aussi "des Tonneaux de mots" ! creusons Roche ! montons haut et haute ! alloons ! car, ici , la vie, la vie après la mort, est Passé Vif ! traits tracés, dessins de bêtes -traits (bêtes de trait) et autrscSommités animalière'sz des Tranchées. On a ime tracer = dessiner des traits = mots des prés . On veut coller = dire = sonder = comprendre = charger = passsr = entrer = consacrer son dire à une sorte de recherche active, autour .... du Passé ! ce qu'il a été en vrai .... :  du Rire ? du Passé de Rire ? ou bien ................... 

du passé de frise ? bêtes acides ? bisonnées trisqtes ? buffles arqués ? bouquetines voisines , ourses ancrées ? LE passé en crise ? bêtes decirque ? ou de trait sur pré ? de somme alloué à une sorte de contrée "du rire"  ? On est née Fée, on était auparavant hominidé de type homme centré, nous voici (enfin ??) transformé, e,n .................. fée des Fées sur pré ! à la bone heure de la Chandeleur ! on peut aimer ! on peut grave se délasser, s'étirer, se prél asssrr, se laisssr (enfin ?) aller ....... nouveauté ! genre changé, c''est frais ! ça le fait ! vive le l:ait ! On erst née F2e la mort allouée, enfin transformé, Verbe de TRait ! vErbe d'herbe ! Sainteté Nacré ça se pourrait que ......../...../... pour le coup, l'herbe soit vraiment verte : dans le trou ???? hé, qui sait ? qui sait le terme ? qui connaît en vrai la couleur de l'herbe la mort donnée ? qui sait ce qui est en ce pré en termes de Verbe  ? Bisonnée ? Buflette et Bouqyuetin des Trains ? Le gibier ? On veut en vrai (de notree côté) toucher de chez troucher à ue sorte de Néné post-verbe ............. mais est-ce en vrai ce qu'il faudrait, plutôt que  .... parler ? On cherche ! On veut toucher de chez toucher, et ussi creuser de chez creuser, et aussi aller de chez aller, et aussi  foncer de chez foncer, et auusi dire de chrz dire, et auusi regarder, tout autour de nous, les données porogfpondes, ce qui est qui nou s  aborde " , le Tracé de Fou",. L'ombre ? l'ombre docte ? Le mou ? le bout doux ? la Chose Haute ? Lait (animalier) de cohorte ? on monte ! on monte ! on monte ............................ on est hautes ........... montées hautes .................... hautement postées par la Parole HAute ! traits anim aliers ............ / cohortes d'époque ................ un tracé de ROche et la CHoqse est ! qui sera la Chose ici Adoubée ................................... accorte ......./../............ allouée ................../................... apportée .......................

sondée ..................................................... comme déployée .....................................................

:

.... ventrue ? ............ nue  , ? ...................... venue ............ pour (en vrai ?) nous rencontrer , le néné donné .................................. à téter ................................................................................ néné né nu ...................................................................................................................... POST PRÉ ........................................... la nuit venue ?

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14/2/2025

on trace grave ! on envoie ! on envoie du bois ! On ne veut pas être (de fait)- à la ramasse mais ... aller, courir, creuser, dire et creuser, charger, donner de soi en termes d'avancée, de creusement dit "de p aroi" et autres types de trouées frontales pariétales ! on envoie ! On veut en vrai creuser de chez creuser s&ns jamais s'arrêter , car, voilà, on veut "ensemble " toucher, à ce qui là-bas, en face, tout là-bas, après ce "tra&it de choix", semble nous attendre : la Voix des Pa'(rois , des Parois de Rage , Parois des Rois et REinbes de Là, la Trace, le TRacé des Voix, Voix de France ... ou quyoi ? car ici, le Français (la languue) est là pour nous (qui sait ?) "expliquer" La Pa rade, Pa r ade Animale en veux-tu en voilà on en redemande ! on veut ça, la P arade ... et comprendre, cerner, toucher Néné, Toucher grave le Néné du Lait = téter ! téter en face .... le français (la langue) comme qui dirait. mais, peut-on, véritablement ... téter le français (la langue) ? peut-on des peutons téter le Frgançais ? téter svp ? p)eut-on des peutons téter le français ? téter gr ave le Néné Français , soit ... le Français en tant que "langiue consacrée" ? on cherche à cerner ! on veut toucher toucher et du coup cerner, ce Néné, Néné du français, de l'herbe alloiuée à un idiome ici donné pour ainsi dire en tant que tel = le français, des données des TRaces

🙂

On est qui ? on est F2e des Rages ! ailées ! qui virent et tracent sur leur sentier à même le pré ! On e,ntre ! On veut toucher toucher touchger toucxher à ce présent donné en tant que, pour le coup, do nnée de base  = le Passé ... ou quoi ou qu'est-ce  ? quyi on est ? On nest la Fée "surnuméraire" ! Un chantier ! chant des données ! On vreut toucher à l'herbe = brouter, puis, le mur passé, mur des données hautes (dernier muret) on veut téter au lait de "Bonne Mère" , l'allouée des Termes , des Termes FRançais (en fr ançais) on l'a deviné! on veut coller à ce Néné dit "à téter" et ça le fcait . On ne veut pas (plus) passer à côpté mais grave tétrer  au "lairt des données" telles que "déposées" post-herbe, hors sentier, mur du fond passé, de l'auytre côté, côté ... VErbe ????? on dirait ! On dirait bien que cde l'aiutre côté, ce lait, ce fameux lait qui nous attend ou nbous attendraiot, en vraiii serait ... du Vezrbe ! Verbe-lait s'il en est ! verbe-termes ! termes des données = Verbe alloué à une sorte de ... B2bé post herbe (en herbe ?) qui voudrait (grave de chez graave!) téter téter téter sans se soucier de ce vqui estcen vrai qui voudrait peut-êtrte, lui ... l'avaler ?,le digérer ? le chier ? le quoi ? on ne sait pas ! on mate ! on aime ! on aime le lait-verbe et  on se gêne en rien pour (du coupb) vtéter, à ce bon lait de trait, charge-née, mots des Termes, Fond  Haut, Mots d'eau, trait des traits post herbe , soit : VERBE : OK !

car voilà, en  vrai, ce qui est ici, qui nous regarder ait et qui saurait nous indiquer un certain  nombre de données premières, 

Le Néné , Le Néné des Termes (des "Finalitées" ) est ....  Néné-Verbe en tant que c'est (pour ainsi dire) ... ou ce serait, du "Petit Lait de Trait" : Lait d'herbe ? lait en herbe verte, Lait Trait = Verrbe alloué à une sorte de donnée dernière, à savoir ... Déité Colère ! La Colère en  vrai incarnée ! celle-là qui vitupère ou ne cesse de vitupérer ! ... après qui ? après nous , forcé ! qui donnons de nous .... quelques rares do nnées d'un tout et non le tout dès que nées sur terre ! merdou ! on ne veut pas (du tout) donner tout ! on n'a pas voulu (du tout) donner le tout dès que "sorties du trou" !!!! on veut : toucgher Néné = téter, s ans nous retourner, et en avancer, en termes (tracés) de Connaissances Pariéto-frontales : les donné'es de Rage, Bêtes de CFrance (du français en tant que langue, ici, inculquée) et tracer ! filer ! courir sansz traôiner ni désemparer et à fond la caisse, on aime ! on est né'es Fées "à la retombée" dès qu'ayant passé , sands frais, le mueret

 des do nnées rupestres : aurochnodoÎtés des tracés de bêtes. On aime ! On veut :

toucher toucher troucher toucher toucxher toucher à ces dits "aénimaux-termes" ; mots-bpetes de prairie", gens -bêtes du pré fleuri , et autres bêtessynthèses. 

On veut grave cern er = toucher = comprendre, ensemble, ici , kles dits et redits (en français !) de base. qiu'estr-ce que c'eswt que ces Nénés des Rages ? ce lait, cette onctuosité patente : qu'est-ce que c'est ? peut-o,n le co:mprendre ? cerner ? creuser ?, chercher ?? dire et donner ? toucher à ce Né né des Contrebbnandes allouéesz à une (sorte de) Post-^muret d'après la bande (le pré) telle que rencontrée la mort adoptée ? On veut .... cvreuserr, oui, Néné , pour ainsi dire = téter le dire ! téter de chez téter le dire lacté , Verbe des Prés (?) = charge-née comme à la traversée , d'un pré d'herbe à ... eh bé ... on ne sait quoi .... la TErre ? re-terre des Feu!x ? le Termes mes aïeux / aïeules .... en creudx ? on cherche !!!! on cherche miueux !!!!! on veut "sortir du cimetière d'herbe " et, de fait, aller, filer, foncer, tracer, chercher de chez chercher X et X données sur ... le passé ? Passé post-pré comme qui dirait ? chercher de chez chercher X données à propos du Passé tel que rencontré en "finalité" en termes de Terme ? on cherche ! on veut ! on veut grave nmieux ! on veut toucher de chez toucher (en vréai) le Terme = le Néné ! la terre ! terre, terre ! terre en vue des Cieux ! la Mère ! le tracé des Dieux (odieux ?) ! La Reine sur le fEu ! colère ! colère ! colère ! colèree des dieux , déesssqes des Terres ! le Passé en creux , la Terre aux aïeux  / aïeules du Feu, on est nous-mêmes (fortement) colère ... de ce que eux / elles (dieux / déessses) sachent mieux que noumêmes ... ce qui est qui est , en termes de Traits, Treaits de Base, traits droits sur ... Foie ! charges mentales ! qui de quoi est là après la Parade  ? Lait des "Traits de Rage" comme saturés, tracés à main lmevée, traits du Passé d'un ppassé acté , charges pré-pré , pré -herbe sacrée, pré-prairie saluée par X bêtes "à jarret" ! on veut toucher ! On ne veut pas se ;laissser démonter ! on veut toucher de fait à ce "jarret des Contrebandes" , "Le Jarret" , Jarret des Jarrets sur place ! une Donnée comme demandée ! trace ! trace d'un passé pasdsé, d'(une charge, d'une entrée, d'une sorte d'avancée "mouvante" , on est née ! née "fée de France" (du français !!!) . Fée des F2es comme "en souffrance" de termes alloués et autres dfonnées de type connaissances , connaissances densesq. On veut :

toucher toucher toucxgher toucher troucher à ce qui se présente ici , en termes (pour le coup) de sortes de données frtontale  et autrtes sortes de données "postales". Lettrées. Chargées. Creusées. On entre !!!!!!!!!!!!! entrons "ensembkle" !!!!!!!!!!ailes de fée cxomme à la parade ! en franchise postale (comme on le dirait) on entre ! on rentre ! On veut creuser ensemble les données de base, et pour le coup trouvezr-cerner ce quyi ici (post pré) est comme donné, qui saurait nous donner (au plus près) les Mots Sacrész à devoir Cerner = toucher = 

📸 / comprendre = adopter ! On veut :

toucxger de chez toucxher

creuser de chez creusqer

cerner de chez cernder

pister de chez pister 

dire de chez dire

allouer de cghez allouer

poser de chyez poser 

avaler de chez avaler ... du dire de Fée comme du pêtit lait, ça le fait ! on veut téter ! on veut comme construire un Dire ici, comme tracé à main levée comme à l'arraché , et filer ! creuser-filer ! tracer de chez tracezr ! se laissrr porter ou flotter ou guider par , on dirait, un ... fluide ! qui'est-ce que c'sst ? Dires de fée ? dires-fluides ? fluide-dires aux donnéesz allouées comme qui dirait ? On cherche à trouver ! On veut creuser de chez creuser sans désemparer, sans se démotiver, sans se dire que, e,n  vrai, les dites "données fluifdes" ne seraient, pour ainsi dire , pas données en  vrai, or ..... il sembklerait  que, dans la mort, mort haute, les données de base , données flmuides si tant est, soient ... lAit ! Lait de F2e et autres Lait français (le fr ançais : la langue !) ! s'il vous plaîot ! on veut :

toucher toucher toucxher toucher toucher toucher à ce qui est qui se présente sans traîner dsès que M%ort Finale allouée à une sortre (ici : pré) de "Fée De Rome" ! Rome-Haute = Etablissement Doré aux accents du Passé tels que rencontrée (qui sait ?) dans (peut-être) ... son enfance ! transe ! transe allouée à une danse sur ... passé Donné ... comme Donnée de Base = un traiyt ! trait de france = en fran,çais , la langue = (pour moi ?) le Pässé , tel que ... chahuté "en face" , Päriétale , pariétale donnée des données frontales ! On veut aimer ! creuser, toucxhger, dire et c  erner, poussser, poussser , pôusser sans traôi,ner ni lambiner et trouc-ver, dans les faits post-pré, de quoi cerner (ezn vrai) ce qui est , ce qui nous attendrait, bnous regardera it, nous materait de la tête aux pieds ! FRange ? une FRange ? frange donnée tracée ? frange des Franges ici allouées à une sorte de Passé en France , genre : enfance ou petite enfance .... à volonté ? on ne sait ! On charge. On veut (c'rest vrai) com:prendrre, toucher à Une Vérité Patente, mais ... en  vrzi, , en v  rai et pour autant, on ne veut pas y laisserr la santé ! y rester ! tomber ! ne plus savoir comment avancer ! être touchée en quelque sorte...  dans le sens où on serait touchée à la vie à la mort en plein centre ! on veut (de fait) perdurer = continiuer = suivre le sentier tel qu'il est tracdé juste sous nos pieds, pieds de fée = petits pieds "français" puisque voilà, nptrte langue impacte , qui se logezrait (qui sait ?) jusque dans nos pieds ! pieds de jeunes et jolies fée des prés, post-premier muret ! On danse ! gentes dalmes au croisillon des franges ! genteoiseaux -moineaux (moineaux d'eau) qui dansent ! dansons ! creusons ! allons ! fonçons ! mangeons ! organisons ensemble THe Parade ! Paradis des Franges-Party ! on entre ! on veut comprendre = dire = faire = charger = connai^tre = enttrer ! oN veut toucher toucher toucher toucher toucher à ce muret dit "des Convenances allouées" ...  mais, de quelles convenances veut-on parler ? qu'en est-il pour de vrai de ces dites "Convenances sur pré" ? qaue doit-on penser de pareils dires adressées  et comme "postés" .? ? qui connaît en vrai la "Vérité des Vérités" ici allouée à une sorte de Donnée post-pré ... qui serait : le Rire ? rire en Frise ? rire comme tracé sur sein de trait ? rire-Dire sur ... passé re-donné comme une donnée, donnée post-pré ? on "hallucine " ! On veut y c  roire dur mais ... comment croire à pareille donnée si ... "frappée" ? On cherche ! on veut toucher toucher à ce qui est , qui se présente et se montre en vrai = le ... Néné des Termes ! oh oh Néné ! Néné du Verbe ? on le dirait ! trait et traite = traité ! Un tyraité du Verbe ! Verbe-Lait alloué à une sorte de ... colère, Colère "rentrée" ? Da,ns un ... corps de termes ???????????? on ne sait !!!!! on cherche ! cherchons bon ! ne lésinons pas sur la Recherche ! octroyons ! donno ns ! en temps et en pécuniaire ! de quoi toucher au VErbe, ce que c'est .... lait d'herbe ? d'herbe  verte ?   Herbe-Verbe en herbe ? On est montées sur Monts du Fond, on veut creuser le Tronc , toucher , toucher , touycher, toucher, toucher , toucher à ce 

 NBéné-tronc ! et téter ! car, le lait, lait bon, est Verbe de trait = trait d'herbe donnée = vérité des vérité ... sur La mort Allouée à ... un Passé ici (en ce qui me concerne) françaios , on lecroirait ! langue influerait ! chaque langue donnée donne ou donnezrait ce ton de Vérité à un passé donné ! Chargeons ! creusons ! allons profond ! cherchons ensembvle à (qui sait ?) donner de chez donner une soerte de Donnée Réelle, Concrète, genre " Crécelle" , Trait de Fée , Porte-Mère, Creuset ! on veut :

dirte dire dire dire

aller aller aller aller

toucher topucher toucher tropucher

cerner cerner cerner cer ner cer ner

faire faire faire faire

charger charger charhggger charger

... et du coup allouer à une sorte de contrée post-cimetière un certain nombre de données dites "s alutaires" de dtype "grgravures sacréesw", "dessins tr acés", "chargesws lunaoires", "herbes-traits popoortés", ""Fontanelles". Onn veut :

toucher, toucher, toucher, toucher , toucher, toucher à ce Néné post-pré qui est le Sein ici d'une sorte de Mère des Mèress = la Mere , la Donnée Supprême, Terre d'Elfe, terre-Mère allouée à une sorte de Passé ré-itéereé comme qui dirait ! sommes -nous claires ? sommes-bnous pour le coup suffisamment claiores

 ... à genoux ? doit-on pour le coup redonner du mou, d-dire la prière, dire mieux la Scène, dire-faire ? doit-on ... creuser la terre ? charger de bonne guerre les données ruperstres, re- ? re-charger, re de chezz re- ? on veut ! on veut toucher ! on ne veut pas se laisser démonter mais re- ! re-creuser ce trait aux données suprêmes ! bonne mère ! tracée ! tracé des tracés ! colère amlllouée à une sorte de .... rengaine sifflottée ou sinon sifflottée susurrée ou sinon susurrée chantonnée ou sinon chantonnée .. chantée, souveraine, comme Donnée Suprême = cha,nts des prés ! chants tracés ! chants du Verbe alloué à un tracé sur huerbe cde type sentier ! le chantier ! chants des fées ! chant Haut comme au roseau, au drôle de pipaeau, chalumeau, tonneau et boyau, musuique d'eklfes (d'herbes ?) : vents faux ! vents de trop ! faus vent du poteau ! pets de mots ! On monte !

Montons haut ! hautes ! haute roche ....................................... coprs sans faute .................................... allons, traçons, filons, cherchons, creusons ensemble les données tenaces, roche-mot de rage, trait des traits dits "sur pré" , charges en flamme,; dépôts et tracés de  parade ! On entre !  on veut grave toucher-téter  en vrai la Chose Frontale = ce Néné des transes ..../ qui c'est ? une sorte de Dieu Comme

 Déposé sur  Bande ? DSieu des F2es serait celui  qui, ici, de fait, nous irait, nbous conviendrait, nous s atisferait en termes de données de base. Dieu Nacré = soudé = donné = porté = chargé et le tour est joué ! dieu des fées = Dents de lait ! la Rage au taquet ! souffrances ! santé touchée ! on veut comprendre = cerner, cette "dent de lait" à qui elle est ? à cette sorte de ... Divinité Nacré qu'on retrouve en face ou retrouverait (post ^-muret der,nier ) ? qui (en vrai) saéit les données finales ce que c'est ? Qui connaît l'esp âce des Traits ,

l'esopace des Traits tels que dessinés comme à la p arade lme muret passé , vers ... le passzé , Pasdsé né , Passdé re-né ! On chercghe à  c erner , de fait, mais ce n''st pas donné ! Dieu des Fées on veut les mieux cerner, toucher à leur réalité : Dieux alloués ? dieux collés ? dieu tracxés ? dieusx -F2es, eux ou ... elles- mêmes , en mieux ? dieux mieux = Déesses des Voeux ? Ccharges -dires sur le Feu ? On veut :

dire dire dire dire

serrer serrtrr serrreer serrrer

toucher topucxher roucxher toucher 

creuser creuser crteuser creuser

ferrer ferrer ferrer ferrer

mordre mordre mordre mordre 

cerner cerner cerner  erner

allouer à une sorte de "donn"ée" , lke pouvopir d'un "dire sacré", qui serait "The Dire" tel que consacré (qui sait ? ) p ar ... le néné des Rives ! le Passé-frise ! le Pasdsé Passé ! l'enfance rejouée, re-tracée, re-prise ! on veut troucgher à ce qui est qui en vrai saurait (de fait) nous dsonner de quoi nous ... redorer la c erise ! frise hallucinée ! bêtes de trait ! au t aquet ! vives ! placides mais vives !  aurochnoïdites ! traits vifs sur Mur d'eau et autres  Murs-Frontons ! colle ! haute porte au museau ! la roche aux Mots ! La Pa ssion ! Roche-trot ! portes des données de Roche sur Haut s, et autres Monts des Colles Fortes ! le poteau ! roche-poteau ! colle et anti-colle des mots de trop ! on monte ! on  veut être  hautes et creuser là-haut la Roche aux mots , qui est Roche des trots et autres galops ! on monte ! on veut :

dire , toucher, cerner, pawssser, chercher, faire, allouer à ce (dit) "Néné des Danses Emportées" les traits d'une sorte de ... Rire tracé ! rires de fée ! charge ivcre ! toucher de chez touchezr à ce qui est qui nous regaddreait sans sourciller, sans être pourb le moins gênée, sans lâcher, sans nous lâcher une seule seconde de... eh bé, nous mater ! de la tête aux pieds ! dieu tracé ! dieu = néné ? néné né post-pré ? qui sait ? on est ...? fée des Fées sur pré ! on veut ...........................................................................................TRAVERTSER ................................................. TATER ........................................... téter à ce néné des données de fuite ! ............................... tracer = dire = creuser = faire = consacrer à pareil rire une sorte de .... euh ... d'eétude , d"'étude portée, sans traîner, tracée, sur muret ! On veut :

Toucher de chez toucher

creuser de chez creuser

dire de chez dire

aller de chez akller 

perdre de chez perdre

poser de chez poser

aller de cherz aller bien au-delà du cimetière , et coller, coller à ce Néné post-pré, afin de pour le coup "étudier" : l$a Reine, le Passé de traîne , les données premières "maternezlles" ; sein donné = lait -termes = Verbe ! verbe-lait comme à la retombée post-pré dx'herbe, pré des prés la mort donnée (la mort première). On veut : Toucher toucher toucher toucher toucher à ce Néné du Verbe-Lait alloué par une sorte de "Doonne -VErte" , Porte Annelée , Pporte "chaude", Passé ! le Passé ! Le dit "Passé des passés" . On monte, on monte hautes . On veut monter monter monter monter monter monter monter monter .................... .  .................................... ne jamais plus nous arrêzter en vrai de monter mais tracerv , treacer de chez tracver lze Trait de la Montée vers Chose, ce Néné de POrte , Lait des Laits , Haute-Mort des Données Treacées = M%ort haute = MOrt-Mère sacrée (cernée) comme en colère;.... car ............................................................ car ............................................................car ................................... elle aime ! elle aime aller , toucher, cerner elle-même les données données par ......... les F2es ? fées de lm'herbe verte ? fées actées sur pré au passage tr acé ? fée des "Frères et szoeurs de bière" ? On aime ! La mort aime ! On aime et la mort aime ! le tracé Nacré ! termes ! termes sacrés ! termes d'herbe = traits de fée ! traits des trait§s que la Mort Aime et veut ...... manger ? ............. avaler ? .............. ingurgiter ? ........................... on ne sait ! on ne sait ce qui est ! on aimerait ! on aimerait en  v rai connaître, toucher à cette Vérité-Colère de la Mère-Sondée, post muret on séit, ça on sait, mais en vrai , elle, qui elle est, qui est Mère-Sondée on ne sait ! mère-Colère ok mais qui en vérityé ? On cherche ! on veut :Toucgher toucher toucher toucxhezr toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucxher à ce dit "nénné" des données en vrai "surnaturelles", et cerner au plus près, ou le plus près possible, pareilles vérités poqst-pré, de type "Vivrres", "Offrandes vives", "Dons de Trai t" , "charges sensibles" et autres données comme déposées sur frise : desibnnées, gravéees, creusées au stylet, au calumet, au feu cendrée, au soufflet et à la tire ! on touche le néné du Dire ! lait ! lait ! l:ait ! lait ! lait ! laziot ! lait ! lait ! lait ! on veut téter ! on veut / on voudrait ! grave téter du lait .... sans souyrciller ou (même)..... en sourcillant, peu nous en chaut en  vrai puisque .... on est re-nées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! le pré dépassé ............................................................... le pré laissé .................................................... vite, téter ! ................... téter de chez téter ! .......................... le bon lait de tire ! ..................../.................... tire-lait du Rire ! tirons aimons ! tétons ! Lait-Donné vif , vif lait de tire ! Aimons léchhons ! avalons ! tétons le téton et avalons de ce Lait-Vivres ! buvons  vi ves ! A imons donc le lait de tire ! .............. vives ! soyons vives ! ..... fée vive sur Sein Offert, comme à découvert, la mort acquise""" ! On monte sur frise ! chargeons ! allons ! creusons ! traçons ! aiùmons -nous les uns les autres, et aussi les unes ! et aussi les ... unes diurnes ! Montons ! saluons ! creusons ! cherchons ! traçons ! Qui mesure ?. qui conclut ? qui juge ? qui dit le Dit ? qui sait la mesure, les données de Bure et auitres traits de prix ? Qui porte sur Soi la Parure ? Quyi "Envfoie" ? On veut :

aller aller aller aller 

donner donner donner donner

creuser creuser creuser creuser

faire faire faire faire

cxgharger charger charger chargezr

dire dire dire dire 

porter porter pôrter porter 

froncer froncer froncer gfroncer

Aller au plus près du Néné des TRaits ! sur peau halée, téter de chrez téter le lait ! le bon lait de Mère ! Lait nacré acidulé, cendré nacré, acidulé cendré, nacré s acré, sacré nacré on dirait ! lait aimé ! lait adulé ! lait véné ré ! lait des laits comme s'il en pleuvait ! on veuut aimer ! aimer aimer aimer aimezr , dire dire dire dire , toucher toucher toucher toucher , faire faire faire faire, donner donner donner donner, crteuser creuser creuser creuser, et du coup cerner, un certain nombtre de vdonnées données, ce que c'est, ce que ça serait, ce q'uelles pourréaieznht être en termes de données suprêmes ! données fermes ! données  vraiment actées allouées à ... ici-même, le Terme ! loi des Herbesb ! loi allouée à une sorte de ... Paroi-Néné ! Foi de Roi-reine Centrées ! Fées passées deviennent... Bébés surnuméraires alloués à une sorte de terme qui est .... du lait ! finalité = lait ! Fin-Faim tracée on penszerait et on ne serait pas loin peut-^etre de la Vérité ! ça fait trembler ! On est Fée = faite ! faite fée pour y aller (à travezrs le pré) vers le Néné -Verbe, ou VErbe Lait en termes de terme ! fin-faim des données Suprêmes ! Lait cdes Laits au décours du terme = fin tracée ... fin des données r(upestrszs ou quoi ou qu'est-ce ? peut-on statuer ? peut-on finaliszer ? peut-on tracer (à main lmevée) le dit term e des do nnées dernières ou qui seraient dernièress ? Qui le sait de fait .... Sinon ...../ la Reine ? Abeille ? A- bé - elle peut-etre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on l'aime !!!!!!!!!!!!!!!!! on aime qu'elle !!!!!!!!!!!!!!!!! l'abeille des dionnées "humaines" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! traits donnés , charges d'elfe, traits tracés, vérités de l'herbe des prés traversés, verité vertes ! on veut creuser sans se retourner .... la Roche Souveraibne = le dernier quartier ... vers du VErb"-Lait de Néné D'Elfe ! traits ! traits ! traits nacrés ! traits des traits ! on veut monter et toucxher au Néné et téter et sw'en remplir grave la bedaine ! on est le .......................... Bébé né ! bébénou né ! Bébé des Bébés ........................ post-herbe du pré , comme re-né à u ne vie nouvelle ! re-la vie celte ! re-vie des vies sur roche première : l'envie ! don d'e rôle , porte poussée, on rôde et nous vcoilà re-née ! verbve passé ! grève ! pré traqué ! charge de trait ! bêtes montées ! 

On veut en vrai  creusezr de chez creuser à ce qui est qui se .... re-présenterait, à terme, sous nos pieds , acté ! soit : la Terre ! terre des données Du Verbe re-placé (oeillères) comme auparavant, de fait il swemblerait qu'on fût "au courant" , informées des faits tels que tracés , tels que faits, formés, tels que déroulés sur Passé Primaire comme re-donné ou re-nouvel-é ! on aime ! on aime le laiot et ce genre de faits co:mme re-portés ! re-donnés, re-tracés, ree-posés sur Passé  ! comme qui dirait ! on aime ! ................................................................................................................................................................................................................................................ aimons ! .......................... revenons à nos abnciennes terres ! ............................................ traçons , creusons, cherchons , montons, perçons, traquons de fait les termes de Raison qui , peut-être, en  vrai, qiu sait ? pourraient ghrave nbous aider à ..... on dirait ........... toucxher Téton ! téton des tétons ........................ afin de , peut-êttre, on aimerait .................. teter téter téter .................. en tant que "nouvellement né" ...... ou même re-né , à la vie à la mort, sur "Terre (re-terre) des données Passées " il semblerait. On aime ! On veut aler aller aller (souveraiunes) vers ................... Néné Alloué au VErbe via Le lAit ! Lait des termes = VErbe, VErbe Nacré = sacré = Verbe-Lait des Données Suprêmesz = Verbe-Herbe ...... auto)-proclamé comme de fait  ! on chercghe ! on veut toucher à ce Néné du Verbe ! on veut pouvoitr téter le Lait de l'Herbe ou Lait de Fée ou lait du pré ou comment, Lait post-pré, post-herbe, post-fée , post treacé rupestre et autres traits animalierrs ? On cherche ! on cherche à trouver ! on cveut trouver un certain nombre de données de terme, genre : 

-mots gravés

-mains courantesz 

-pportes d'entrée

- vies de pré

- peertres blanches et autrees dons de lait (sur sxe,ntier)

- saints de glace et autres saints et saibntes allouées à une .... branche tracée, comme à main levée, en tra&nse ! traits ! traits super-motivés ! tr acezs ! traces d'encre ! animaux de roche aimés , animaux -mots et -b$êtes-verbes sur-cités ! surajoutés ! surdéposées sur rtoche gravée ! on veut touycher touycher touycher toucher toucher toucxher toucxher toucher à ce dénivelè, hernbes vertes, pré, pré aux données vertes, prairie aux féesx et autres elfes rencontrées le mur passé, la mort donnée, mort primùa&ire et le tour est jhoué on est tyransportée ! transportée et transformée ... en fée-DAmoiselle, fée du pré sachant voler, aklller et tourner,n, virevolter, tracer, creuser, filer, chercher,cerner et se rapprocher (peu à peu) du muret dernier, fond de cimetière, fon  de pré aimé, vers .... le DErrière ! Cul-Néné du VErbe ! lait ! lait ! lait ! lait donné à force de tracer ... ou sinon d'aimzr .... ou sinon de forcer ..../ forcer (de fait) le V  erbe du Pré, parler sanqs dsiscontinuer et du coup le trait, trait de roche aux fées, se fait, qui nous permet de pouvoir passer, tête première, à la une à la deux sans fauute ! hop ! on est née !  bébé ! bébé -dxes treaits ! vbébéds des bébés on est, qui allons de ce fait et sans plus tra îner téter de chezz téter l:e sein nacré ! sein d'herbe ! sein des sweins nacrés ! sein tracé post-pré on aime téter ! grave on aime ! on est nées ! nées bébés comme àla retombée de ce "hors-cimetière" ! traits ! traits ! traits ! treaitsq ! treaitsq ! traits ! traits ! traitsq ! très ! très on aime ! très on veut ! très téter ! de ce sein tracé ! rond de roche alloué à une sorte de ...................................... porte ???? ????  porte haute ?mieux ? porte très-haute ?????? on veut toucher toucher toucher toucher toucher toucxher à cette sorte de donnée haute, genre ......... faute ?????? ?????????????????? toucher = cerner = faire = copnsacrer = donner = dire = aller = cerner ............... une sorte de donnée post-bière = trait, trait de lait "surnuméraire" salutaire ! tétons fort de base ici pareille laitance ! aimons ! aimons donc ! allons ! Creusons Roche Finale et traçons ! car, voilà, le dxrappé, la base, une sorte de tracé de f ace : viçsage ? on entre ! entrons de front ! que voyons -nbous quyi se révèle (montrte) à nous ? un visage de gnou ? bête d'antre ? vie animale ? bête grave (gravée ?) semblant traces sur tracé de taille  ? On e,ntre . On regarde. on ne veut rien louper et tout relever, noter, tr acer de côté, ne pas laisser, ne pas oublier. Traiots des traits . Bêtes grasses. bêtes Fortes. Betes de trait (de somme) . Somme haute . Somme Énorme comme qui dirait = hén aurme ! = le .... Passé ? car, le Passé en vrai est .... Énorme ! on sait ! on sait de fait que, en vrai, le Passé, oui, dingue énorme il est , c'est vrai ! gros de sa force d'ombrte , d'ombtre folle ! Passé Haut, semble (pour nous) Ombre Haute, de Bête de POrte .................................................................. côte , côte des ombres, côte haute, .................................................................... donnée des donnéeshautes = trait ! trait tracé à main levée par l'homme-femme des denrées, ou dite des denrées de France ! pôurquyoi "de france" .... parce quye ........... la langue ! ici : le français poiur "la Fr ance" c'sest un fait ! on e ntre ! transe ! danse ! fr$anche cxavalcade ! on entre en cette sorte de france-franche .... langue franche de france ou quoi ou qu'est-ce en termes de mots et autres termes dits "de France" ? Ambre ? ambre d'ambre ? on  creuse , on avance ! o n cgherche, on pousse ! on veut, on gagne ! on gagne la brousse ! on avance en transe ! on est paqssées sur muret de base ...... on est entrées comme à la p arade ..... on veut tracer , creuser, nbous avancer et du coup au mieux cerner les dsonnées primaires, de type "vérités en herbe" . On veut :

cerner cerner  erner cerner cer ner  cernerv cerner cerner cer ner  cerner cerner de p^rès ce qui est qui serait à nous mater de la tête aux pieds sans se gêner ! on veut gagner le fond du pré et là, devant re-paroi, tracer = traverser , et du coup .... pzassser (de fait) de l'autre côté, côté cote des traits (traits de lait) afin de (pour le coup ... à genoux ? ) téter de chez téter le bon lait de trait, lait tiré, lait trait comme quii dirait, d'un Néné SAcré (sacré N2né !) et hop  ! léché ! tracé ! alimeznté ! fait bébé ! fait ou faite car , Fée faite ! faite (au jugé) bébé = Le Bébé post-herbe ! Un trait et l'affaire est faite ! trait de laéit pôst-sentier, post-herbe, post-pré ! tracé des tracés on croit connaitre car,; voilà, on a vécu ça, augtrefois, déjà .... la base, la base antrale, le lait donné, sein de rage, lait lettré  comme une sorte de donnée de face, genre "message" = "oracle" = donnée-née sur place, nez acollé à Sein de Charme empli de bon léit de l'Ambre ! Aimé ! lait aimé en face ! on veut téter ! toucher = aimer = dire =cerner = comprendre = faire = connaîttre = porter = aduler = pousserr = chercher = contrôler = cerner-dire = poster-accoler = vendre-sonder  et courir vite vers .......................................... un trait ................................... trait des fées ? ............................. trait d'herbe donnée , broutée, avalée ?.........................../...... trait des traits d'un pré vert donné comme à la retombée ...? ................................................................................................./........................................................................................................... qui sait ? qui connaît le terme  ? La date du terme ? le tracé do nné en termes de terme, de fin de p ^ré, de confins ? qui sait de fait ce qui est de base, en ces quartiers des données rupestres ? qyi connaît le "vrai" sentier menant aux données , ici, lactées , comme il semblerait : le pr^etre des Fées ? pasteur / pasteuse, aux données dites "les bienheureuses"? Pasteuse / pasteure , pasteurs alloués à un tracé ? pasteure des do nnées de Rage, .... pasteuses ? On zntre !ON veut comprendre l'Antre, le DErnier! aller = toucxgher . Quijconnaît le bra,nle ? qui connaôt l'emphase ? qui connaît le TR acé de face ? qui sait de fait ce qui est en face (ou serait) qui nous concernerait en première instance ? Le Passé serait de rage déposé ? lE passé de fait serait, qui nous atttrezndrait ... comme par miracle ? re-tracé de rage : le Passé "cramé" ? comme "carbonisé" ? qui connaît les traits, la charade, les mots accolés, la phrase, les donnéesz de base ? qui sait en vrai ce qui pour le coup serait à comme nous attendre .... les bras c  roisés ? la flamme allumée ? l'oeil enragé ? la boiuche béante ? seins donnés ça ba rde ! on va "ramasser" ! grave, post -pré ! ça va pas traôiner ça y ressemble ! On veut :

téter téter téter téter téter téter tyéyter téter tétyer téter téter téter 

toucher toucher toucher toucher toucher touycxher touycher topucher toucher toucher rtouycher toucher ;, à ce dit "néné" des données (coudées ?) fr anches ! on entre ! on mate (à nous de mater ! 😉). On veut toucher = cerner, à ce dit "mirage" des contrés "célestes" ............. qui on est dans la mort souveraine ? est^-on fée ? fée sacrée , nacrée, armée , armée d'ailes ? Ou plus du tout fée mais ........ elfe ? elfe d"'herbe ? ou ................................. bébounet ??????? bébé pôst-pré , le Terme ?    ; ................................. bébé re-né comme à (dans) l'antiquité ??? ?????? bébé celte ? vrzai ? chargé des dires alloués à (en vérité) la bête, bête de trait et autres activités ? On cherche ! on est pas arrivée ! on v  eut toucher de chez touchezr aux traits assurés et autresx traits gravés à mêmùe la pierre ............ etdu coup passer ............. vers le passé ............ chargé du passé ............ tel que déjà vécu le temps passé , on sait ! on va nu ................... on trotte ! ....................... on mo nte ! ............................... on est hautes de chez hnautes ! on monte cul-nu vers la Haute TEnue ! Hzaute Porte aux DOnnées de Roche ...................../ colle qui colle ! ........................... on colle à la Roche ! .................. on monte sur Roche et POtea&u de Mots ................................................................. on monte ! hautes ! hauteurs hautes , "au trot" .......................................... vers le Mot de l'Ombre, ce mot ! .............................. le mot "ombre" ........... "ombre des mots" ................................................................ on exst hautes et hot .......................... vers ce haut des mots de trop ! .................................... haut niveau de Roche ................................ on monte ........................................ creusons haut le niveau "des mots" , des tracés de Roche Haute , genre animaux, bêtes de trot, mots de trop et autres termes ... des termes, sur poteau de Roche ...... Haute .................... on monte ! On veut aller-coller, faire-dire, toucher-cerner, pousser-alimenter, porter-charger, donner-consacrer, fficher et mettre, peut-^ttre, nos lèvres (babines) sur tétine ! et ........................................................................ téter ................... le lait ........... lait de frise .......................... le bon lait de prise .........?........................lait des laits de frise-prise ?................................. lait aimé .........................................On veut grave troucher à ce néné qui est icfi (devant) cette sorte de donnée directe telle que oui, on veut, on aimeraiot, pouvoir téter sans nous arrêter, et du coup grabve nbous alimenter, à satiété ou jusqu'à satiété, et ce sans traîner, sans laissser tomber, cxar, oui, en vrai, on est le bébé de la Friche ! on a traversé le dernier muret, on a réussi à passer de l'autre côté, côté cote "endiabllée" et à présent  bnous voilà "morte-née", comment dire, née de fait dans la mort passée, dépassée, traversée,  à téter le Néné des Données "reprises". DesVies allouées à une sorte de reprise, de retour des Rages, squr Paroi de face, Terre Ancrée, Terre tracée, Terre agraire. Retour  vers les données priimaires, les données premières, verbe au taquet ! la vie allouée à une sqorte de -passé 

 re-conclu, re-lu ! cxharge dee trait ! bêtes-masse sur Passé de RAge ! on est née re-Bébé la Mort actée, actée ou comme "travezrsée" = passée = dépassée . car, la mort n'a qu'un temps, au présent. La mort est antichambvre d'une vie rebelle ! IOn entre, on passe, on franchit l'embase,on est re-la vie naissa nte ..... sur terre ftranche ! terre à vers de base = ombilics-lombrics ? la chance ! en transe on dance ! "baby dance" ! charge grave ! traits des trraits de base ! "on s'balance" ! Aïe ! on est comme re-née à u ne sorte de TRacé qui est .... eh bé ..... d

u PAssé ! passé xdense, compac té, comme re-alloué à une sorte de vie renaissantre, genre ...... trace .............. trace sur pieds ........................... parade ? ........................................... farce ? ...................... on renaît ou on renaîtraiot comme àla p arade, sur pieds, genre "traits de rage" personnifié s !!!!!!!   qui le sait ? On est pasdsées ! on a creuseé la roche tendre et nous voi:à toutes qui savons" comprendre .....= toucxher ! toucher de chezz toucher à u n e sorte de 

donnée franche, tracée, ronde de base comme 

 une sqorte d(offrande  ...... en forme de ............. pômme des portées ? On veut : comprendre = faire = dire = charger =  c erner = voir = b,âtir = szoulever = centrer = téter = se soulager = sentir = vivre = fonder = pârler = mùresurer = charger = pousser = coller = dire = contrôler le dire = rire = pister = vivre ou même revivre = porter, au plus haiut niveau possible, le Passé de trop ! et cela : 

- sans rire !

- sans trahir !

- sans prtrdre lenord ni la face de face !

%Mais ...................................e,n , si possible, creusant , creusant, creusant, creusant , de rage, les .......... "moments de transe", moments fastes ! fastes moments ! ............................................. des données données comme par la bande ............ en creusant-cherchant, poussant loi,n les dites recherches et autresc "quêtes vivantes" ! On entre ! ........................................................................................ on ne veut pas baissser la garde, mais pôursuivre, grave, sur la piste,; ce tracé de base, ces szortes (vraies) de rec herches franches ! aller et donner, faire et pôrter, vivre et tr acer, soulever = dire, et dire = soulever , qui le sait ? qui connaîot les ressorts du Rire, du Gros Rire des Contrées, Contrées éÉchaudées,   ? qui s&it du Rire ce qu'il en est en termes de DSonnées Vivves ? qui connzaît les traits re-montés, re-venus sur pieds ...... du fait que nous voilà comme toutes changées, transformées, modifiées, re-lookées comme qui dirait ! non plus la fée du pré..../ mais le Bébé post-pré ! Bébé des Béb és sachant (grave) téter du lait, Lait des TRaits ! à ce qu'il paraîat ! on veut biezn le croire, on est bienveillantes, toutes bienveillance ! on entre ! On entre dans l'antre. On veut toucher à  c e Néné "de FRance" , Néné né dee la langfue de France ? on dirait l'enfance ! ça le fait ! on tr ace. On veut :

toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycxher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toycher toucgezrttr à ce qui est qui se présente kla mort passée, entérinée, archivée ! car, la mort, en vrai, en cvrai de vrai, la mprt est cfomme à archiver le Néné Tracé , . La mort, La mort en tant que pré, prairie aux bêtes de trait et autres bêtes dfe bon poids de base, La Mort dite "des Parades" , a sa vie de base, son tempsq meurtri, sa durée tracée comme enregistrée, et, de fait,  à un moment ou à un autre, "passe" ! tombe en tombe ! s'enfonce ! coule ! fuit ! sombre comme une ombre et c'en est fini ! quand............ la vie vive des traits ........................... fait la nique et fraie, son chemin  de suite ! vite ! sur mpieds ! le Bébé ! le dit "Bébé" des envies de Vie comme re-tracée la main levée ! vive vie re-marquée ! olé ! vie vive des tracés montés ! montées et montrés ! on est re-née sur Terre re-trouvée ! La vie comme elle est ! le Passé re-acté, re-noté, re-cherché, re-collé, re-visité, re-p arlé, re-touché de près, re-porté , rte-sondé la mort morte et enterrée, ou : une fois morte et enterrée ! car, la mort a sa vie, qui n''st pas (du tout) donnée en  vrai de toute éternité ou pour l"'éternité, ! lamort est "chiffrée" ; son temps est réduit ; elle ne fait que pâsser, elle finit par (à un ùmoment ou à un auttr) sombrer et couler et se voir enterrée le cul tannée ! La mort est comptée. So,n temps traqué. Sa vie cernée. On veut dès lors "la traverser" , de fait, à toutes enhjambées et vite fait la dépasser, la doubler, la laisssrr de côté ou sur le côté et tracer de chez tracer sans plus se souvcier de  ce qu'elle deviendrait "derrière" ! tracer = gravir = grimper = monter = aller, hors du pré, )à la recherche de la Vie CHargée ou comme Rechargée ! filer de chrz filer, aller de chez aller, creuser de chez creuser, faire de chez  faire, sonder de chez sonder, fondre de chez fondre et du coup tr averser , aller sans se retrourner , foncer foncer foncer foncer foncer foncer foncer foncxer vers ce Nén é des Hautes Contrées qyui seraieznt allouées (destinées) àune sorte dx'après -mort, d'après vie et mort, nouveauté, nouvelle doonnée ou nouvelle donne ! tracé ! traits tirés ! le :ait ! le lait dsonné après l:a mort, comme qui dirait  ! tétons donc ! tétons donc le lait tiré , traoit ! le lait trait buvons, tétons , avalons ! et creusons szillon ! chargeons ! allons ensemble vers ce mamemlon , à la recherche de cet aliment dont le nom de fait est "LAIT", "LAIT DE TRAIT", "LAIT DES MONTS", "LAIT BON", "LAIT DES ROCHES HAUTES", "LAIT NACRÉ DE LA HAUTE PORTE", "LAIT DU MONT DE PORTE", "LAIT A,NCRÉ", "LAIT SUR PIED ET ÇA LE VFAIT", "LAIT DE FÉE PASSÉE", "LAIT D'ÉPOQUE", "LAIT DE ROCHE HAUTE", "LAIT DES LAITS", "LAITS NACRÉS", "LAIT DES DSONNÉES DONNÉES", "LAIT DU MONT DES BOSSES", "LAIT AU LAIT DE ROCHE", "LAIT POST-PRÉ", , POSTOMBRE", "POST-ANNÉE DE FRAI", "LAIT AUX DONNÉES HAUTES", "LAIT NON-ÉCRÉMÉ", "LAIT ENTIER", "LAIT DE SUITE APPORTÉ", "LAIT POUSSÉ", "LAIT DES FÉES ET AUTRTES AL:LIÉES", "LAIT DE GROTTE". On veut toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher à ce néné empli de lait,lait calqué ou décalqué sur du lait d'époque,ancienneté ! On vgeut :

téter, téter, téter , téter à  c e néné qui, xde fait , ressemble à s'y trompêr à un néné qu'on aurait de fait déjà rencontré "à l'époque", qua,nd on était docte, bébé né, bébé drôle, un bébé pré -pré, pré-herbe folle . On veut :

téter téter téter téter = toucher touycher toucher toucher = dire dire dsire dire = faire faire faire faire = coller coller coller coller = sonder sonder sonder sonder , et du coup travcer,, charger, poeerter de faiot la Parole Donnée vers la Rive Tracée, ce TRait des dOnnéees comme Remontées, Vies re-allouées, Vie à nouveau tracées pour la postérité il semblerait .... sur Passé des Dires. On veut toucber toucher toucher toucher toucher toucher tpucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchjer toucher toucher toucher = téter téter  téter téter téter téter téyter téter tétyer téter téter tétezr téter téter téter té&tezr téter téter tyéter téter à ce Néné des Données Connues, Vues, Entendues, Revues, Sues, comme toutes nues. On veut : aller, dfire, sonder, tracer, chercgher ici ou là X vérités de poids et du coup (peut-êtrte) être, là (sur paroi de rage) celles "quyi y voient " , "qui envoient du bois" mais aussi "qui en voient de toutes les couleurs"  sur ça, cette chose en tas devant soi : 

la base, le tracé, la voie, la rage des voix, ce tracé de branche. Une Voie vers la voix ? la trace entre   ............................. (ezntre deuix parois ?) .............................  et une voie des Rois et REines de là, l'au-delà des voies ? ........................./.................................................................................... on entre ! ............../............................. on veut ça .............................................. poussser (là) la sérénade  ................................... téter , téter grave le Néné de l'antre ............................................................................................... le lait alloué à une base ici, de fait, lactée, comme une sorte de dsonnée des rages et autres colères rentrées .... du fzit que ....... on est née ?  on est re-née ? on est re-arrivée ? re-là qui voulons téter ? ................................... quoi se pourraiit ? qu'est-ce qu'il wse pourrait ? qu'est-ce que ça pourrait que ce sqoit en  v rai qui nous arriveraiot ? qui on est ? qui on est pour le Néné ? qui en  vrai on est ou on serait pour ledit Néné des

 "Franches Coudées dxe FTRance "..... ? 

une sorte de ....................... bébé d'ambre ? ....................................................... bébé des bébés de France ? du français plutôt, en tant que langue ........ langue des trots ................. des galops, sur bande traçante et autres pré haut ..................................................................................... on entre ! on entre eentre ! on e,ntre dans l'antre ! on veut haut comprendre (loin) les choses de l'antre, soit : ces mots, mots-ombres et autrees nimaux -mots , douces paroles, mots de trop sur paroi haute ................................................................................................................................................... on monte ............?................... on est hautes ..................... on monte ...................... obn est haut eet hautes .....................................................................  on veut toucher toucher toucxher à ce Néné "du bout du monde" . qu'est-ce que c'sst ? qu'est-il en vrai ? à quoi est-il lié ? qui sait ce qu'il en est e'n vrai ? faut-il croire à une vérité post-pré doont le nom ou petit nom serait "Néné" , soit "sein Donné " ? peut-on se fier à c  e type de donnée donnée ? qui sait ce qui esrt d'une sorte d'après , après-pré ? qui connaît les .... "ressorts du rire" tel que détroussé, au décours d'une sqorte, ici, de "dérive" ? Qui connait le vrai, le Faux Tracé, les Données Fluides, Le passé en tant que dsonnée nouvellement (il semblerait) allouée à une sorte de Futur comme déjà Tracé, les mai,ns liées ? Qui sait ce qui est, ce qui se dessine ou se dessinerait une fois passé le dernier muret des données prairieles et autres données  pastorales ? On veut toucher = on veut aimerr = on veut être = on veut dirre = on veut comprendre = on veut cerner = on veut aller = on veut saluer , saluer la Base ! chercher = sonder . Dire = porter . Faire = braver. Donner = charger. Porter = induire. vivre = poursuivre sur sa lancée tel tracé donné, et aller, poussser, creuser sans -traîner, charger charger charger, ne jamùais s'arrezter de creuser m^ais tout le contraire : saturer, saturer, saturer, saturer, satureer de dires les parois de Roche d'une sorte de ...... nouvelle Vie VIve .................... nouveautés du VIvre .......................................... re-vie des envies de vivre ....................................... nouvaeu tracé. FRai. VIE VITE. 

Trait des traits . CHances au taquet. Pré dépassé et idem le muret, les finalités. On veut toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher touycher toucher roucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toycher touycher à ce Néné des Données Innées : quelles sont-elles ? on ne sait ! on cherche ! on est blêmes ! blêlmes en vrai xde chercher et encore chercher et toujours chercgher les données données telles que'elles sezraient (en vrai) à débusquer sur herbe, sur tracé dee pré, sur swentier, sur herbe coupée, sur praierioe aux fées ou autrezs champs aux herbesz vertes : qui sait ? on aime = on traîne = on mate = on cherche, ici et là, le pa ssage .... tout droit( ? ) vers ..........................................................................l'au-delà ? waouh !

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10/2/2025

on regarde; On etst là pour ça. toucher-envisager les choses en face. Ce qui est et ce qui n'est pas. On avance = on en avance dans les connaossances. On veutcomprendre = toucher = faire-dire ce qui est, et ce qui est est : ce selmbklant de trace, cette voie de rage, ce tracé de base. On regarde , et ce qu'on voit est ... un convoi ! les traces d'une sorte en soi d'au-delà à soi ... La Rage ? La toundra ? un espace de passage ? une sorte de paroi des traces en veux-tu en voilà ? on veut comprendre = on veut toucher = on veut cerner = on veut s'e nfoncer = on veut entrer = on veut s'knscrire = on veut aller au plus profond de cette roche aux données profondes. Qui on est ? la fée ... C arabosse ? une zorte de Donnée des Rondes ? Un trait ? on ose ! on est passée ! on a pour ainsi dire travezrsé la Roche et nous voilà comme allouée à une sqorte de "rotonde" des contrées retorses. une vie de pré. Champs de blé , qui sait ? On est passée = on a franchi la (première) porte = la paroi des ombres. a présent .... la seconde, fond du pré, herbe à brouter puis un muret, un tracé accouplé à une sorte de muret des fonds. on voit la chose. On s'approche. On veut toucher et à nouveau entrer, .... cette fois : en ce muret des fonds de pré et autres champ donné. On veut entrer à la une à la deux sans traîner. qui on est ? "Chose", soit ... "hombre" ? on cherche à cerner qui en vrai ça se pourrait qu'on fusse en ce pré : une fée ? fée des prés tracés ? On est montées . On veut toucgher à ce qui est en ces contrées de roche  pour ... cerner-comprtendre les données "hautes" = lointaines = anciennesc (on le sait). On cherche ! On veut toucher toucher toucher ... eh bé oui ! à ce Néné des Données Hautes ! = le Passé ! Le passé est cette sorte de Donnée Haute dont on espéraot, un jour, voir ... le nez ? quelque chose de près, quelque chose qui (en vrai) fut, pourt nous, de première importance,  ... France ? Français ? le FRançais des transes ? langue innée ! oh oh va comprendre les traits, les données hachiurées, le tracé des causes et autres frarandoles ajoutées .... On est né "français" soit parlant kle français, langue de Roche, et àprésent ... on mionte ! montons droit comme allouée à pareille ombre ! cherchons ! creusons roche et tra çons ! On est nées Nées , on veut toucher, on veut être, ceklle, ici, qui, en vrai, comprendrait, un certtain  ombre de donnéess des roches, ce que c'est que la Parole , Parole Donnée, quand on est Fée de Poche, Haute Fée tracée, Fée du pré la mort achevée ou sqinon achebvée ... "entrvouerte" comme une fenêtre ... qui sait ? On est née en ce pré Fée, on monte, on veut rapidement gagner ... les Nénés qui , comme squrajourées à du post-muret, seraient en quelque sorte à nouds interpeller poutr nous quasi ovbliger à les rejoinfdre aefin de les "toucher" soit téter leur lait . Car, de quooi s'agit-il en vérité ? il s'agit d'une chose  Haute (tracée) qui de f ait ressembke, àpreu de chose près , à une sqorte de Ronde , rOnde Portée, Ronde Portée Haute, Rondeur Apportée Haute, Haute Rondeur fois deux Hautes, Hautes Rondeur Fortes remplies de LAit = Le Pass"é è!!! Le Passé est né la porte passée ! LKa porte du pré ! Passé né le muret passé. On veut cerner = traverser = passer, sans traîner, de l'autre côté et ... enfin .... cerner = entourer ... kes Choses .... le TRacé de Poche : mots des Fées telles qu'elles se retrouvent ou se retrouveraient comme ... adoubées ? par ... eon dirait ... une sorte de "Méère des fées " , l'encoche ..... La Matrone ? la Donnée des Données ? On cherche encoreb ! on est pas arrivée ! on veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette Roche "des Finalités" et voir en vrai de quoi il en retourne question Néné et Lait et envie de cerner. Car, qui est là derrière à nous attendre comme qui dirait ? un (deux ?) sein (S) de Pocghe ? une sorte de Giron De Roche ? ?? ...... creusons ! allons ! essayons de fait de trouver ce qui en  vrai est là qui serait à, comme nous regarder d'en bas, ou comment dire ... de la Tête aux pieds, comment on serait, les habits qu'on porte, notre fdaçon d'aller, de nous tenir ou comporter, nos méthodes et autres actuions dérivées, notre fa,çon de parler et autres accentuations profondes, nos attraits, boucles dorées, yeux de fée, lèvres allouées, bras cendrées et autrsc ailes "de rotonde", car voilà, ce qui est en  vrai est cette choseb (nous concernant) .... comme quoi Roche = Poche  ! roche aux Fées = POche allouée à une sorte d'enclave cernée, par ... du muret, une sorte de muraille Haute , genre : "Mur du Son" des "Finalités Tracées" , Haute Murettte Classée ! On guette ! On est née fée comme à la traversée (la mort donnée : première instance) nous voilà en train de voler (transe) jusqu'à un muret (muraille "de France") qui nous échoirait (en vrai) au sortir du pré tel que traversé au miloieu des bêtes toutes broutant l'herbe. Et à présent ... la chose : le "Passé des Tronches" ?????? on monte ! monter = oser. On veut toucher profondément ce qui en vrai serait à donc à nous comme se présenter en tant que Néné à tétezr sans plus tarder. On est montée, on a traversé, on est accolée ou comme accolmée à cette Chiose dont le nom ou opetit nom ici est ... Néné-dit ! néné-dit des Données profondes. Chose" de prix ! On tetèe "la vie" ! dinguerie ! Lait des Vies Sacrées ! Charge de lait ! point et traits sur une sorte de "Muret des Vies" qu'on aurait trac-versé ou comment ici dire ce qui est en vrai ? on passe ... on tré-passe ok, on passe ici le trait de ce muret "des finalités" et, une fois celui-ci passé, qu'est-ce qu'on fait ? on .... revient à la vie ... en forme de Bébé Donné ... trait des fées devient Bébé né ou re-né à une vie recommencée et le tour (tour de roue) est joué ! grave tracé ! grave eznregistré comme qui dirait ! champ de blé, muret, néné : le trajet ! On veut en  vrai cerner-toucher à ce qui est de "l'autree côté" qui serait à nous regarder, nous mater de la tête aux pieds pour mieux nous cerner et nous obliger quasi à se coller à lui (elle ?) , sein de traîne, Néné post-herbe, Néné Né à la (deuxième) retombée des Plaines ! on aime ! Quoi ? le lait de l'Herbe = Verbe ! tracxés d'herbves vertes on en a soupé, ok, mais en vrai ... on aime ! chanter = passer = trépasser ... on dirait. le Chant ici est le TRacé des Plaines. on veut toucher = on veut creuser = on veut aller = on veut comprtendre = on veut chercher = on veut nous enfoncer ou s'enfo cer en cette sorte de

 "Parade du pré" telle que rencontrée la mort allouée, et chanter ! chanter de RAge ... eh bé ça : 

le Néné De France ! ho !

 fran!çais ! Néné Né français : la langue , le Passé de France = (essentiellement, on sait) le fvrançais, cette langue (ici) inculquée, allouée, enfoncée, donnée, pour ... comprendre = prendre = faire = charger .... sa colère saine ! Son envie de Tracer, sans tr îner, vers ... EZLLE .... LA Des Voies de ROche qui, ici, nous semble la plus proche , la plus comment, Accorte, prête à nous comment, Adouber-aimer, non point aduler mais aimer dans sa poche ou comment : reconnaittre "Haute" ? On trace ! On avance ! On veut :

toucher N2né = toucher Néné = toucher Néné = Toucher Néné, qui est ... ce Néné de l'Ombre, muret traversé, Autre côté, côté Ombre = SSainteté des Données Profondes. voies des Ombres Hautes. Chose du monde. Frai ??????? On veut toucgher à ce néné du Lait et du coup téter, car toucher c'sst téter, pas autre chose ! téter kle lait De haute Couvée ! On veut :

Du lait de poche ! Poche de Lait ! Lait de POche HAute = Lait sucré - s alé donné par une sorte de Mère la Pitié (ou Bonne Mère) allouée à une sorte de COntrée Donnée, Porte Haute , Chose MOntrée, SEin tracé, lait à boire sans tarder car Faim il fait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime ! on a méga en vie en vrai de comprendre le plus, le plus qu'on peut, de cetre sorte de romance des données lointaines et du coup tracer, sur herbe puis post-herbe, une sorte de"csentier des sentiers" qui pourraient sans faute nous conduire ensembkle (ailes) au plus près de fait de cette chose telle que narrée (ici ou là) dont le nom est .... ELFe ? ElFE Roi ? Reine Elfe ? Voie Des Voies ? Voix ? Voix -Elfe ou ELfe -VOi-x ? Le quoi ? le ou la ? On cherche ! on veut de fait comprrendre grave. Toucher ou cerner = faire / entreprendre . Ne plus en  vrai se les croiser mais grave en avancer ! chercher chercher chercher chezr cher chercher hchercher à comprendre ++++++++++++++++++++++++++++++++ ici (ou l;à ) ce qsui estde cet "âge tendre" du Néné des Bandes .... un tracé "français" ? pour soi "français" ? qui contiendrait (qui sait ?) un certain nombre de ... Données de Rage ? Données Fades ? données Hautes ? données Coriaces ? Données comme tracées sur porte Haute (porte d'entrée d'une contrée Haute ) ... on veut en  vrai cerner la chose, ce qui est, ce qui semblerait, ce qui se pourrait, ce qui serait qui serait à nous mater sans discontinuer (une vie durant) . O-On veut ..... dire dire dire dire les Choses du pré (de la mort actée) ok, mais aussi : ce tr acé tracé, cette sorte de montée vers une É2poque allouée (il sembklerait) à un N2né "de Roche" , roche Haute, Néné né à la retombé un muret passé, muret dit "des finalités" , et des données Haiutes. ON veut toucher toucher toucher toucher Néné Né post-Rovcche, et creuser = térter ? Soit téter le lait d'une Donnée GHaute . Un trait ? trait des traits ? trait de fée post-pré ? on est "couillonne" ! (couillonnnée ?) car, voilà, on ne sait à quel saint se vouer ! qui croire en ces contrées post-muret, poszt-finalités ? à qui se fier ? qui écoueter ? Qui téter en  vrai ?  mère de Lait = Soeur des Fées ? qui sait ? on veut 

téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téyt ter téter téter téter à ce Néné post-pré = Donné ! oiuvertement Donné le Mur passé (mur du passé ou dit "du passé" ?) . On aime ! on aime téter. On aime le lait plus qu'il y paraît, on est Bébé, changé, renouvelé, remis sur pied, re-tracé et nous voiulà traîné come qui dirait vers une vie nouvellke ou nouvellement donné non pas sur herbe, mais sur ... pieds ! nos pieds ! petits pieds de terre ! soulevés ! on est re-née ! bière passée nous voici, en quelque sorte, re-tracée, quyi nous voulobns Homme, Homme ou Femme post-ombre, Homme Haute, Femme Haut post-tonneau, post-cuvée des mots. On monte ! On est fée des Ombres avant même de revoir la Bonde, le tyuyau, la Roche des MOts et hop, on ose comme Soulever la Trappe aux données, aux données de troop, voir Satrape, Donatello, Le Roi de Sardane, L'Ambre, Le Passé Des Veaux et autres bêtes à ùmuseau. On danse ! naissance = renaissance post-boyau ! hors Groote des Peaux et autres Cavernes aux asticots ! obn est re-née LE TRacé français, la TRanse aux Données, Fée actée est devenue Bébvé soit re-née à une Vie post Porte ! Vrai ! renaissance en transe dx'une sorte de Bande ! troupeau ! meute Haute ! vies de Veaux et autres "bêtes de mots". On monte ! On veut toucher à ce qui est qui en  vrzai pourrfait grave nous éduquer et nous faire comprendre , une fois n'rst pas jamais,  c e quyi est de cette transe, de ces mots dits "de trop", de pareille Romance post-trot, de la Danse et des Données dansantes d'une sorte de Parade Franche . on est nées Fées comme à kla parade, on le sait, que va -t-on dès lors devenir tantôt, la Roche passée ? la dernière murette ici traversée, le dernier muret ? Car, on aime , ok, voler ou voleter, c'est un fait. dans la mort on aime. Mais quoi ? qui on est quand on est passée ? qui on devient en la matière ? devient-ion ... Reine ? REine des Pieds ? reine de la Haine toute treacée sur paroi nouvelle ? ou bien .... REine aux données lactées comme sus-nommées en d'autres moments-clés ? On cherche ! on veut toucgher à  e qui est qui ici se oprésenterait à nosmirettes (soit : à regarder) . On est ........................................ Bébé ! /..................... bébé né sur Passé comme qui dirait. On est un bébé, on veut téter, on veut boire du lait, on a faim, on a ...  

super faim de lait, on aime le lait, on est redevcenue ... un bébé, une sorte de bébé nu, béb é des bébés nus , au contact du pré, de l'herbe, du Verbe, Verbe Vu ? vcerbe nu ? verbe d'herbe verte et autres herbes des données de roche la mort allouée ? On ne sait ! on est de fait Ce bébé de POche , une sorte. Sorte de Bébe des OMbres ! dans la poche, poche des Fées ? qui sait ? On monte ! montons haute ! treaçons sur roche une sorte de Porte où pouvoir ensemble passaer : la menotte, l'épaule, le crane perlé, toute la Gomme ! Passons ! naissons ! le Passé est le Passé qui en v  rai est régulièrement renouvelé la mort une fois traversée ou même dépassée. On regtrouve Néné ! NBéné né après ... lA mort Haute dite "de POrte" . On monte . On veut toucher à ce Néné, des Ombres Supposées, et du coup téter pour nous "requinquer", nous almimenter, nous faire monter, nous aider à continuer notre (sorte de) "ASCENSION DE POCHE", on dirait ! tétons téton ! soyons centrée ! recentrons ! tétons l'Ombre ! Ne transigeons plus ou pas mais allons-y de ce pas vers du laéit de là, lait de franche Contrée , Lait d'Ombre ou des Ombres, Laitr des Laits adoubés par quelque (ici, en vérité) Divinités qui nous espionnerait ou du moins materait de la tête aux pieds sans discontinuer afin de bien se rassurer sur notre personne, qui on est, quel genre de bonhomme ou de bonne femme, Haute (ou haut ) , on serait de fait une fois la Mort dépassée (en quelque sorte) au sortir du pré , pré aux Fées d'époque : qui ? qui on est ? qui on est pas ? qui en vrai on est en fait de Bébé ? fille ou garçon ? tête de tronc ? fée donnée ? ton sur ton ? Bénbé aux traits de Fée ou bien aux données tracées de type Bufflet ? buffle-né ? On est née ici Fille-Bébé sur Passé de treait. Voilà ce qui est. On re-naît , on pâsse. Le Passé en face ! en face des traits ! traits de rage pour en vrai une sorte de FAce, Face d x'Ambre ! chair-née, Face Allouée à une sorte de Passé Noiurricier comme il en sezrait la mort "traverséeé", qui sait ! On entre. On entre en transe. On est une fée quiu veut en vrai entrer sans se retourner et chercher ici ou là à comprendre les données de base, ce qui est en fait de N32éné donné comme en soudffrance. Qui on est face aux nénés de Rzage ? des bébés ? on le supposerait. On serait enclines à le pennser. Car, en vrai, ce qu'on voit ressembkle fortemehnt à une sorte de rondeur aimable , de type sein de base, sein donné, sein aux traits lactés et autres perles de lait . On veut c'est vrai en tant que bébé nouvellement né ou re-né téter, térter grave pour s'alimenter, calmer sa faim tenace, se donner des forces notables, en avancer poiur la parade, s'élever. On veut téter de chez téter comme à la parade ! et du coup s'élever, grandir vif, charger, poussser, pouysssrrt sur pré ou non sur pré mais grave poussser ... "comme des champignons" comme qui dirait ; ou des melons, ou des fruits de saison. POires au taquet, cerisedes fées, tomates cendrées, pomme d'or. On veut tétrer à ce qwui est le Passé Touché. on veut téter à ce Néné "des Finalitéqs". Car, la mort donnée, traversée, dépassée, le terrain post-fée alors tracé eswt une sorte de .... champ donné, de type "toundra", àperpétuité, qui nous va ! LAIYT ! LAIT à l'arrivée ! lait des rois, Reibnes de Là (l'au-delà) et autres laits genre "pour-soi". On veut :

dire dire dire dire 

donner donner donner donner

faire faire faire faire

charger charger charger charger

$toucher toucher toucher toucher

coller coller coller coller

entrouvrir entrouvrir entrouvrir entrouvrir

cerner cerner cerner cerner

contraindre contraindre contraindrte contraindre

soulebver soulever soulever soulever

pousser pousser pousser pousser 

cacher cacher cacher cacher

mettre mettre mettre mettre 

sonder sonder sonder sonder 

porter porter porter porter 

bouster bouster bouster touster

ifgnorer ignorte ignorer ignorer

louer louer louer louer, quelques divinités ou déités a-temporelles et autres Dieux Portées sur Tracé dOnné , genre Trait des Traits , traits Donnés sur ... hautes Roches aucx nénés ! le pied ! la Pause café ! on ose ! on veut monter monter monter au plus haut niveau des données de Roche-. Qui on est ? on est .... la Chose ! ponte ! ponte haute ! oeuf de Rotonde ! Corps d'Hole ! charmeuse -ombre aux données de Morte .... ou quelque cxhose de cet ordre ! qui sait ? On est ... née Haute, sur trait, trait dit "des fées Ancrées". On monte sur Passé. On veut :

toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher à ce Passé dit " Des Passés  des traits". Charger = cerner = faire = contrer = toucher, de fait, à un néné "surnuméraire" on le dirait, de type "sein de traîne" , un donné pour un reçu et autres échange advenu nu. On aime ! On veuy :

toucher rtoucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui se présente à nos yeux étonnés, ou sinon étonnés , quand même surpris , de tant de lait donné le Mur ( de la mort !) passé , car, de fait, il s'agit bien d'une sorte d'entrée (ou de sortie) vers une sorte de ... contrée au Lait ! Lait de vie ! vie ! vie haute ! vie à la seconde ! vie des vies tracées comme ré-injectées à traversc ... la Parole ! Haute chose ! trait des traits = la Parole Haute = les données de Poche = le PApssé tel que re-traversé et remis sur pied en quelque sorte le Muret passé, soit la "mort Haute". Car, il ya, pour de vrai, en roche , uyne Mort dite "basse" , menace, trace, aurocnoisdités des données pariétlales et autres animzlités gravées, et la mort "Haute" des données ou aux données "profondes", de type ... nénés , Nénés nés hors roche, hors Tracé s ddits "animalirers" et autres gravures de roche. Passé né, Néné né au  passé ... comme qui dirait. Re-^looké ! re-néné de près. Re-envoi aux données de traits, genre "revoyure" et autres retrouvailles nacrées (sacrées) . On essaie ici en vrai et de fait de cerner ce qui est qui nouis attendrait ou seraéit colmme qui dirait à nous attendre de"l'aiutre cvôté", les bras croisés ou sinon croisés les bras donnés ou comment, postés ? portés ? alloués ? ouverts aux bébés ? On cherchge c e qui est qui est ou serait$. On est née Bébé la mort donnée ! on re^-naît à travers le l:ait. On est la Fée qui va, sur roche au-delà, devenir 

Bébé des Bras. Bébétrait des Voix . charged'ombre ou quelque chose colmme ça. On monte. On veut :

monter monter toucxher toucher 

toucher toucher creuser creuser 

creuser creuser centrer centrer

centrer centrer poussser poussserr

et enfin cerner, qui sait, le plus grand bnombre de données de Roche, ce qui est sur-fait, ce qui ressembkle à du Néné, ce qui n'en est pas, le vrai de l'ivraie, le fau-pas, le vrai treacé, la Riooche Haute et celle qui n'en est pas, les Paroles Force eyt celles qui resteznt en bas, qui ne "volent pas" , soit : qui ne volent pas haut et ne nous renseignent pas pour ainsi dire tant que ça , ou comme on le voudrait, comme du moins on l'espèrerait, car, en vrai, on veut toucher à cette vcérité , des données dees Ombres. Qu'erst-ce que c'sst que l'Ombre ? qu'est-ce que c'est que l'Ambre ? qu'est)-ce que c'est que cette Roche en Chambrte .... Cercle des Fées ..... tr acé donné .... centre- du -pré qui serait de fait l'endroit idoine où devoir brouter quand on est (comme supposé) bête (soi-même) de treait une fois mort et enterré ! car : `

l'homme (homme) meurt

tombe, hop

tombe hop

l'homme , l'homm-masculinité, ne porte pas loin la mort donnée

va en tombe, tombe, va sous terre tracer cimetière aux données posées ou apposées

La Femme, ELLe, est AILe, vole,, trace, monte, cohorte, cohorte animalière, Bêtes de Sopmme, ne tombe, ne tombe jamais, hamais ne tombe, monte, haute : F2E des prés ! FÉE SURNUMÉRAIRE , FÉE ALLOUÉE À UN TRACÉ, SUR HERBE VERTE , SUR VEZRBE IL SEMBLERAIT OU COMMENT OU QU'EST-CE ? LE TREACÉ AUX FÉES EST UN TRACÉ SURNUMÉARAIRE = RAJOUTÉ AUX TRAITS TELS QUE DÉJÀ TRACÉS PAR, ON DIRAIT, .... DES ELFES ? DES ELFES CENDRÉS ! ELFES DE L'HERBE ET DES CHAMPS LOUÉS ! ON EST FÉE À LA MORT ACTÉE ! herbe des prés à brouter ! on aéime l'herbe, on broute kle pré, on est bêtes-verbe aux données cernéees, comme allouées à une sorte de vie recentrée autour d'une ... donnée verte, donné allouée à une bête d'herbe. en herbe ? on cherche ! qui on est ? on est ...  la Fée qui, au passage tracé, est .........../..................................... monnté e car............................. elle wsait voler (elle est ailée) qui sait tracer et rechercgher à comment faire pour de fait s'élever le plus possible vers ................... la Vérité .... des Données de Terre ! cxher-che-vérité qu'on l'appelle ou l'appellerait ! on aime ! on aime grave se porter ensemble : ailes collées . On entre. On veut :

toucher toucher topucher toucher toucher trouycher toucher à ce qui est qui nous r assemble, nous étreint, nous "condense", nous recentre, nous adjloint, nous colle ensemble ! bébé né sur (petits) pieds de "renaiisasnce". Un trait. Un trait tracé et ça le fait : re-ttrait ! re-tracé ! re-passé ! re- le tracé nacré et le bébé est né qui ... nous ressemblerait à quelque cxhoses près au nivreau des traits . cheveux bouclés. Petit nez busqué. Cou porté. doigts de pieds et autres accents do nnés. On veut re-aller

re-coller

re-tracer

re-adouber

re-colmmater

-re-siphonner kle néné comme empli de lait, de bon lait sucré comme sw'il en pleuvait dans notre gosier ! hum le lait ! lait des traits on est super-

aimantes /aimants en vrai. On veut téter = on veut graver , gravir, grave gravir, grandir. On veut toucher toucher toucxbher toucher toucher toucher à ce qui de fait se présenterait qyuii wserait "la vie" toute ré-injectée ou re-donnée au passage des traits des finalités. 

Toucher = trouver = cerner = retrouver , en vrai, un semblant de vie comme au temps passé ! comme on connaissait avanrt d'y passer ou comment avant ? avant l'envolée, le départ-né, la mort archivée.... Mais voilà ! Roche-nouba, on est à nouveau là, post paroi, quivoulons rte-tracer la voie et .................................................... cerbner cerner cerner la Chose ici-b as comme consacrée, à nouveau sacrée ou comme consacrée par une .... quoi ? Sorte de quoi ? Divinité-lambda ? Déité -Roi ? Reine des Bois ? F2e-Reine aux quatre bras ? pérenne ....... ? On cherche ! on veut aimer, toucher-aimer, tracer, tracer-aimer, coller, coller-aimer et du cfoup aller, cerner, souffler et en v  rai trouver (si possible) vérité allouée à une sorte de "missive" en langue "de suite", qui saurait nous dire .... eh bien ...... la Suite ! ce qui est ! ce qui en vrai serait (sera) à nous attendre dans l'au-delà à soi ................... car, l'au-delà erst "au-delà à soi", à son propre soi qui comprend "son monde", chacun / chacune son (propre) monde tout entortillé des tracés de roche . On monte ! on veut et on voit ça : la Tombe, haute Tombe des Voix, nous .......... on mionte ! on laisse ça (la Tombe) à ce qui "ne v  eut (?) pas" alors que bnous , ................................................................................ENVOL .....................................................ENVOL POST-MORT.......................................................................AILES DÉP:OYÉES HAUTESXS .........../.................................. HORS TOMBE ..................... ON MÙO NTE ............................................................................................................................... ON EST NÉES FÉE COMME À LA RETOMBÉE ............................ SUR PRÉ AUX HERBES = HERBES FOLLES CVOMME ALLOUÉES-)TRACÉES OU DESSIONÉES -GRAVÉES PAR QUELQUE HOMINIDÉS OU FEMMES  DE LAIT AUX TEMPS DES TRACÉS DITS "À MAIN LEVÉE" ........................ COHORTES ............. BÊTES DE SOMME ..................... AÉUIROCHS ET BÊTYES DE PORTE ......................... ANTIL:IOPES, BOUQUETINS, BISONS , BUFFLES ET DAIMS ....../.............. DE ROCHE HAUTE ...................................... POULAINS ........................................................... OURS D'ÉPOQUE HAUTE ET OURSES RONDESC................................................... DOUX BISONS, DOUCES BISONNES .................................... OMBRES ............................................................ Oon monte,; on est hautes, on est femmes des portes, on est fée-femmes des données de roche, on veut toucher toucher toucher aux données post-porte telles que rencontrées le mur (du fonds) passé ! treaits ! terait des traits ! on est fée-femme dans la mort actée ça le fait. On est passée car on voulait en tant que femme ailée aller, aller jusqu'au néné, néné né le mur du fonds passé , côté Trait, Trait des traits ! Parole ! ombre = parole = langue d'attrait = ombre ! On est Hautes Formes, Fée )-des fées, Femme allouée à une roche, Femme Forte, Colle ! Colle accorte ! On  eut toucxher à ce "néné du bout du monde". On ne veut pas passer à côté sans véritable:ent pouvoiurt pour ainsi dire le toucher afin de téter son lait "enjoué". On veut grave téter de ce lait de Roche ! lait de Fée ? lait des ombres portées ? lait-Parole ? parole de lait ? lait-Ombre ? lait de fée aux traits ? Trait de Lait sacré ou Nacré du pAssé donné (re-donné) ? On est La Fée Dite "aux données ancrées" , qui veut :

touchertoucher toucher

donner donner donner

verbaliser verbaliser ver aliser

les données de Roche (ici)) afin de (pôur le coup) ne pas les oublier, les archiver, kles tenir de près, les piouvoir creuser comme à vo:;onté si jhamais ! tracer = tracer = teacer = teacer = tacer = tracer = tracer = tracer , les données de roche , sur .......... néné ? hé ! qui sait ? qui connai^t de fait (en vrai) les données avcérées ? L('ombre ? l'ombre alloué à une sorte de contrée "porofonde" .... post-porte ? on monte. Montons  haute. Allons. Creusons donc la Roche Haute, passons, passons qui un nerz, qui un doigt (dioigt de fée) qui un pied, qui son aile gauche. Et voyons. Visionnons. regardons la Bosse. Sein docte. Sein des wseins. Poche. Poche d'ombres . Poche Haute. Sein de poche. Colle ? coolle dx'ombres ? colle d'homme ? chose comme ici collée ... par les pieds ? qu'est-ce qui est qi'on poiurrait toucher et peut-être mieux cerner et du coup rapporter afin d'en consig ner les grandes lig nes, telles que (devant nous) se dessinant au fur et à mesure de nos avancées en pareille contré dite "du bout dui monde". On est née fée la mort donnée. Nous voici modifiée", devenue Bébé, re-Bébé des traits , teraits de lait. On est nue ............ cul-nu ................. crue ......................  nue et crue ..................................... le Bébé des Bébés comme à la retombée cul -nu .... de l'autre Côté de la Rue, ou comment ou qu'est-ce ? nu sur le cul ? revu ? re-née nue ? nu et vue ? On est passée , on a osé, on a regardé, on a voulu a;lller en ces contrées chercher de chez chercher la moindre parcelkles comme qui dirait de vraie vérité, afin de oui ...................... coler ! coller grave à ça : sein des seins lactés ! le lait ! ah, le l ait ! oh le lait, laiot post-pré ! on veut téyter ! On veut grave s'en pourlécher et ne pas traîner, téter, téter Néné ! on adorerait .... on dirait de fait qu'on adoreraiot , en vrai, re-piouvoir téter au néné pôst-pré , ou "Néné du Passé" il semblerait. On veut :

dire dire dire

cerner cerner cerner

coller coller coller, son petit nez, au néné , et téter ! grave téter, aller, cerner, chercher, coller oui son nez, pour téter Néné sans se tracasser ! boire du lzait ! lAit donné ! lait alloué à une sorte de Mère Donnée, Commme l'herbe ! Comme un Pré, Comme Herbe Verte, Verbe ! verbe  vrai,

ON VEUT TOUCHER À CE NÉNÉ DES DIONNÉES DU VERBE

ON VEUT COMME QUI DIRAIT TOUCHER

À CES DONNÉES DU VERBVE-HERBE

HERBE DES PRÉS SERAIT DU VERBE NÉ

VERBE CD'HERBE NÉ SUR PRÉ À LA RETOMBÉE

LE VERBE EST DONNÉE, DONNÉE DES DONNÉES, VERBE-DON DE LAIT

VERBE-COLÈRE = LAIT DU PRÉ OU MÊME POST-PRÉ 

On veut toucgher à ce qui se prsénterait en termes de néné-colère : sein daté ? sein alloué à une sorte de ... Femme Mortelle ? sein chargé de données lactées ? Sein surnuméraire comme saturé , saturé de lait ? Lait de bière ?. sein porté ? chant des Femmes agraires ? le Passé remonté remonte ses traits de haute colère (ou remonterait) ? On ne sait ! on cherche, on creuse, on va, on trace. On en a vance "enxemble" dans les connaissancesc. Java,; Sumatra, la Transe, la Paroi des Voix, le Passé de France, une voix est une voix, la Chance, Parade des traces et autres bêrtes-mots du ventrte. On va , on creuse, on porte, on colle. On cherche voie d'abord, porte et haute Tour d'époque. On creuse haut la Roche des Portes. On monte. On veut :

faire faire faire faire = donnner donner donnerdonner = dire dire dire dire = sonder sonder sonder sonder = charger kles données, les données de  base, sur mulet, et du coup marcher, poussser, creuser sur Terre des Fées (le pré) notre petite aventurette aux allures de retraite vers .... le Passé ? qui sait ? ça se peut ou pourrait ! on est Femmelette / omelette cendrée, née Fée à la retombée, on cherche l'(entrée vers une sorte de ... sortie complète, porte Des fées, trait des traits par où de fait pouvoir passzr vers .... le Passé dit "des amulettes, et autres grigris" ... oh cvomme on aime ! on aime la vie ! roche imberbe ! vie des vies comme à l'ancienne : le Verbe ! aigri ? non pas ! npuvellement remis ! remis sur pierres ! On aime ! on cherche. On erst nues du cul mais peu importe la tenue (oula non-tenue) du moment qu'on s'aime ... qu'on s'aime soi-même, qu'on est nue pour .... être ! être Bête, Bëte-mot de ROche ainsi accolée à une sorte de Donnée Profonde .... ??? hé, on va y arriver ! ON guette ! on veut trouver = on veut cerner = on veut s'avancer = on veut charger = on veut toucher toucbgher toucher toucher, à) ce dit  "néné  de France" (du français, en vrai : la langue) et tracer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! tracer de chez rtracer , en avancer, comprendre-toucxher à ce néné , comptendre ce néné et de fait le toucher comme par contrebande, en ces contrées (ici) post-parade, post-nouba des transes, post-sarabandes, post bzatailles navales. On veut ça ! Creuser de chez creuser la bande, la paroi de FRance, France en branle, le Passé de soi, la belle Romùance d'autrefois ? on entre ! on veut toucher à ce qui se présente, en termes de voies, voies sages, voies de grâce, vois-parades et falbala, voies d'en face, voiues de passe et passage vers un au-delà de surface, voies des voies et voies-tralala. On veut comprendre ce qu'on voit en ce convoi de bêtes de masse et autres mots de rage "caca". tracer = dire = venir. On est née .... fée ! fée du pré. On est re-née ... Bébé ! Bébé post-pré = achevée ! le tracé, la ronde, le passé de porte, l'ombre portée sur une Chose des données profondes. Qui on est ? qu'est-ce qu'on porte ? que voit-on post-porte ? que savons-nous de cette porte haute ? qui est né ou re-né (de nous) la porte haute une fois passée , ou qui re-naît de bnous ? que voit-on au plus lointain d'une sorte d'époque haute .... bnéandertalienne ? sumérienne ? africaine ? celte ? d'herbe verte ? VErbe du VErbe ? Verbe ancré sur pieds et autres piquets ? On cherche .... On creuse ...... on monte ....... on  veut entrer ensemble ........ voler .......... dire et porter ici oulà la paro:e haute ........ sur paroi et au-delà ............... hautes voix des voix seraietnt ... celle qu'on transporte (incidemment) avec soi, comme une sorte de ........... cohorte ! beêtes hautes ! bêtes fortes ! auroques ! aurochs/auroques et autres biçsones de l'au-delà, l'au-delà de soi .... hautes roches et par(ois de choix , grootes des portes, sondes, sons de roche ..... chants doctes ! On monte. ON ose. On veut aimer. On a envie en vrai de creuser de chez creuser cette espèce de "P al ais de ROche" ici donné. Qu''st-ce que c'est que ce palais ? une poche ? une sorte de .... poche à lait ?. sein do,nné par la Pärole ? On veut rêver ! On veut toucher toucher toucher rtoucher troucher trouycxher toucher toucher touxher roucher toucher toucxher toucher à ce Néné empmpli de lait comme à l'époque où on était bébé, sur pieds, dans notre lit douillet, à juste avoir (comme qui diurait) à "rêver" à ce qui est , en termes de données de porte, porte ouverte sur Satiété et autres données fortes. On veut coller à ce qui erst en tyermes de données lactées : le lait , mais aussi ///...... le Verbe ? l'herbe ? le tracé du pré ? la chansonnettre des do nnées prairiales et autres saturnales ? le Pasddsé ? on veut pouvoir de fait cerner un plus grand nombre de ddonnées et ce sans traîner, sans se lamenter, sans s'offusquer à tousq moments, et râler sans cesse comme quoi en vrai on seraiot comme abandonnées ou laissées de côté, alors même qu'on est .... pour ainsi dire ...... dans la mort sauvées ! c'erst dire ! vive l'Hydre  ! on est .... ici en vie vite ! on est vite en vie ici car fée ! transformée en fée on ne cesse de vivre et vivre vite jusqu'aux .... néné nés de l'après le pré ! On veut :

creuser de chez crteuser

dire de chez dire

aller de chez aller

poussser de chez poussser

cerner de chez cerner

pister de chez pister

contrter de chez contrer

csoulever decherz soulever ... le voile de l'obscurité il wemblerait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on pourrait le penser !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vas-y cerner !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! chezrche à dépâssrr les données données ou qui semblaertaient avoir été données , un jour passé, comme à la retombée................................................. qui le sait ? ........................................ qui cerne en v  rai ;es données profondes ? qui comprend la Chose : Rotonde, Ronde, Ronde-Bosse, POrte, Porte Haute. Qui ? l'Ombre ? mais ................... qui c'est ? .................................. qui est l'Ombre ???? qui en vrai est ou serait cette "Ombre" dont la mort serait tributaoire ou comment dire , née d'elle ? On cherche ! on veut :

toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher = téter téter gtéter gtéter téter gtéter téter 

aux Nénbés post-herbe .......................... verbe ? Verbe de lait ? on cherche ! on veut en vrai cerner ensemble les données de base, comprendre ense:mble les Données données et autres traits de vérité. 

On est entrées, on est des fées, on se promène traquet-traquett en ces contrées, dites "contréés d'herbe" , on avance entre les bêtes, bêtes de bon poifds de rafge, bêtes-poids pour la parade sur paroi de choix, on est "ensembkle " : deux ailes, deux ailes pour faire ( de fait) fée , et ça le fait assez pour pouvoir .... s'envoler de base, voler de chez voler = monter = aller au plus haut possible vers .... eh bé ce dit néné "des contreb andes" ,THE néné post-pré , kla cxhance ! on est cocufiée ! on entre ! on entre en transe en ce dernier quartier qui est l'endroit pour ainsi dire des données finales et aiutres "traits de satiété" ..... la chance ! cocufiée comme jamais méis qu'est-ce qu'on s'en branle on renâit dsan l'antre ! on est allaitée ! on boit le lait du ventre , le Passé ! le Néné né à unPassé de "Franche Camargue" ! ailée ! riz ailée et autres mets de France , le français nacré, langue de FRance re-donnée, langue d'ambre, lait des laits : passages forcés on est passée et on recommence : le néné, la frange, l'allouée des transes, un passé recommencé sur pré teracé colmme à l'entre-soi des données données

comme à lkla reztombée ... en enfance ! On veut :

toucherr toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher touchjer toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce quui se oprésente à nouds lke mur du fonds passé . Soit : le Néné ! kle lait né, lait des laits enfin "tiré" , ou "trait" cfomme qui dirait en parlant des bêtrs et autres animaux de ferme. On veut : etre, porter, faire, sonder, creuser, finaliser, comprendre et cerner , au plus près, les données de l'herbve, du pré vert, du Verbe donné (dicté) un jour passé, de l'ombrte portée et autres trait des tréits ainbsi rapportés. On veut creuser cette sortte dee ..... chose "drôle" .... un tracé sur pieds ? une p arole ... personnifiée ? qu'est)ce que ça serait ? on veut en vrai , reytrouver ..... quelque chose .... du opassé acté ? une sorte de ..... parole haute ? qu'rst)-ce que c'est ? qu'est)-ce que c'est que la P arole Haute ? parole ...  de laiot ? lait "docte" ? lait des laits doctes ? qui sait ? qui comprend les choses, d'une sorte de cxontrée lactée comme intitulée, il sembklerait, ou on se trompee ? IOn eqst née fée la mort donnée. BNous voici rezfaite" comme qui dirait .... en forme (nouvelle) de ... bébé né, né post pré, tout chou tout mig no net avec ses traits tout fins de bébé allaité, coucouné en son lit (coufin) douillet ! on est ..............................................................................................................................NÉ BÉBÉ , NÉE BÉBÉ À JAMAIS ! BÉBÉ À JAMAIS ! À JAMAIS BÉBÉ ! LE BÉBÉ ! RE-NÉ ! ON EST LE RE-BÉBÉ ! BÉBÉ-RE AREU ! BÉBÉ DES BÉBÉS QUI DIT RE, RE-NÉ, AREU-NÉ ! NÉ AREU ! BÉBÉ SUR PIEDS RE- ........................... comme un fait exprès. On veut :

dire dire dire

aller aller aller

conduire conduire conduifre

faire faire fairte 

cerner cerner cerner

chercher chercher chercher 

allouer à une sorte de contrée finale, une (qui sait ?) vérité fatale .... et pousssrr ! pousssr  vite, pussrr fort et haut, le "Vivre" ... aux accents de mort ou comment dire ? post-mort ? On veut re = re-vivre = re-venir (ivre ?) vivre .... les données de ROche ! Porte Haute ! Chapiteau ! creusezr ruisseau, ru de roche sur pré aux mots. On veut : dire-allouer, c  erner-coller, faire-charger, cerner-scinder, creuser lke Passé comme une denrée à pleines bouchées  ! mordre ! allouer à un met une sorte de note, et passer ! poussser ! alerr sur pieds vers ce ............. néné nouvellement donné (re-donné) comme une sorte de denrée haute ou d'époque haute = du Passé , Du passé dit des temps "allouées" à une sorte, ici, d'ère première, primaire, ancienne , regtroiouvée. On aime. Le lait frai. La Scène. Le Passé de traîne. Le passé allé. L'ombfre souterraine. On v  eut de fait creuserv de chez creuser en ce passé "des petites mis-ères et autres petits faits vrais", gernre b analités, faits d'herbe, pré des prés, bêtes-verbe surchamp alloué à une sorte de Passé ... des Convenances et autres habitudesz de Franc'e. On veut grave cerner ce genre de données passées . données denses. Traits tracés à même la paroi des franges et autres formes amples. On entre. On veut : toucher de chez toucher lers données de base, de type denrées, offrandes, vivres déposée, fruits donnés, dons frais. On veut ............................................................................... creuser creuser creuser ..../................................. le passé ou vers le passé ...................... voie de fait ................ trajet ................................................ dsorte de sentier ou de tr acé par où en vrai on pourraiot passer (ensemble) sans se retournerv ............................................ ailes déployées .............. en reconnzaissancec...................... pour cvomprendre ...... voir .............. mater ................  cerner X données qui pourraient nous aider à grave nous repérer ............ en ces derniers"" quartierrs , de type "cvontrées allouées", à une sorte de) "cimetière du VErbe" ......... mais est)-ce ? ................. est-ce en vrai ici (pré) une sorte de , "cimetière  du Verbe" ?? ................................................... merde ! ................... non ! ................................ le Verbe on le voit fait ça : la navette ..... de là à là ! ddu pré à là-bas et de là-bas à là, l'avant-scène ! merde ! on voit ! on eswt là ! on mate paroi et plus que paroi, dedans l'antre = le ventre ! le foie ! les entraillles de (pour ainsi dire) l'au-delà de soi, la Chance ! l'audace ! le cran ! l'envie pressante ! le vent ...... vent de face ! ........... on entre ............... on entre ............... on entre .............. on entre ............... oin entre ............... on entre ............. on entre ............ on entre ................. on entre ............ on entre ................... on entyre ............. on entre .?........... on entre ............. on entre ............. on entre ..?.......... on entre ................. on entre ............. on entre ............... on entre ............. on entere en teranse ! on envoie ! on en voit des masses ! on voit ça : la Rage, Rage de l'au-delà, la base , le tracé des Rois, l'embase et autreswsxtraits des traits post-paroi ............. genre .........................fleurs d'acanthe ?????????? fleurs des voix ?????????????? feuilles amables ??????????????.?? croix ??????????????????? croix slaves ..??????????????????????? CHarmes ?????? ????????? ?? ?? ? On envoie ............................................on entre ............. on entre .............. on entre .............. on entrev................ on entre ............. on, entre ............... on entyre ........... on e yre ?................on entre ................ on enttre ..........   on entre ........... on e gnttre gra ve .................... on entre grave de chrz grave ensemble = ailée ! car, nous sommes (je suis) ailée ............. à jamais ! .............. à jamais ailmée ! vive et tracée en forme de fée .........../...................... fée née la mort donnée ......................................................... fée des fées .................. puis quoi ? après la fée vient la toundra, le passé des voix, le passé loacté et ses seins de pôids .................LAIT ...................................... LAIT ALLOUÉ ................... LMAIT LOUÉ .................................... LAIT ADOUBÉ .................. LÉIT POST-PRÉ......................................... LE LAIT EST U E SORTE DE DENRÉE DE CHOIX, POUVANT SANS CVONTESTE NOIURRIR COMME IL SE DOIT N'I:MPORTE QUEL ÊTRE TERRESTRE QUI, DE FAIT, VIE NDRAIT À CHERCHER, ICI OU LÀ, DE QUOI S'ALIMENTER SANS PLUS TRAÎNER NI LAMBINER ................................. BÉBÉ DES BÉBÉS À JAMAIS RE-NÉ ! ON VEUT RÊVER , ON VEUT ... OU ON PEUT ... RÊVER...................... creuser = donner = dire = faire = comprendre = cxgharger = donner = cerner = porter =fonder = voler = chertcher ou rechercher un certain nombre de données, avérées ou comme avérées, qui pourraientr de fait nous donner grave de quoi penser, méditer, comprendre, chercher entrées ou sorties de base, le Passé sezrait l'entrée (ou : entrée de contrebande) vers ......................./................................................................................................................................................. un ............................. une ................................... soorte de .......................................... re ................./..................... re quelque chosecx qui sait ? ......../................... renaiossance grave ........................ grave renaissance ............................... fait vrai .................... vrai fait .................. un ou une ...................................... fait vrai ou vérité des faits .............................. trajet diurne ...................... sentyier dit "des fées" verts une aventure ............... aux allures de ........................re .................... re-visite .............................. = re-tracé .................................................. re -visite allouée à une sorte depassé re)-né ................................re-la chose "bornée"..............................qui le sait ? sait-on jamais ! qui ? ................................... vivre = dire = charger = comprendre = composer = faire = soulager = complaire = poerter = noter = fondser = sonder = mener = dire-faire ce qui est en ces contrées post-muret de type ...................NÉNÉ NÉ LA MORT DÉPASSÉE.......... car, la mort, en  vrai, bn''st pas "à jaùmais", elle est vite traversée , en fée, vers du Néné-né empli de lait comme s'il en pleuvait ! pluie ici de lait frais ! dinguerie ! ça le fait en vrai comme à dire vrai jamais ç'a l'a fait ! dingue nacré ! dingue sacré ! dingue lait des laits ! on aime à jamais ! On veut (grave) sans plus s' arrêter (jamais) : téter ! on veut téter (grave) le lait, sans s'arrêyter jamais ! on veut grave s'alimùenter ..............de bon lait de trait ! trait des traots sur passé de frai ! .... à jamais ! ................ pour ainsi dire : pour la vie  !vie vive (sur pieds) re-née ! ......................................................... on veut creuser ....... donner ......... allouer ........ bercer ............ pouyssser ................. pousssrrde chez poussserr et du coup tracer ! filer ! à toutes enjambées ......... vers une vie nouvellement re-née commeun fait exp^rès, du fait ......... du néné ! qui est rempli de lait à piouvoir téter ... si on sait ! or , téter est inné ! on le sait ! tout bébé s ait téter ! y a -t-il des bébés qui en vrai ne sabcvent pas téter ? oh treès certainement ! mais généralement .... tout bébé né surt pied sait, sait téter de chez téter, prend le sein à grande bouchée,  sait avaler et ingurgiter et roter ! .................................................................................../..................................... l$e lait ................................ lait de mère ................. lait de mère-mort .........?......................... ombrte ...................................ombre de la mort .................pôrte ................ cohorte ................. sorte de "cohorte de porte" .................................................................. big-bison de roche ......./..................... dessibnons ! .... gravons ! .......................................................................... ombres aàfoison ...................... on =monte ................................... on veut topucher topucher tpucher tpycher youcher à ceyte zorte de dopnnée de roche = porte ! porte d'entrée (de sortie) de poche ... ou comme qui dirait de pôche , car, voilà, on est là : entrée .......................... pôrtée ........................................ soulevée ................................................ on ne veut p^lus s'arrêter :ais au contraiore pezrsister dans notre avancée à grandes enjambées et du coup ....... crteuser de chez creuser les données ... "chelous" ?.... qui sait ? Qui sait ces données ce qu'elles seraient pour nous le mur (du fonds) passé ! on trace .............................. on avance ! ............................... on charge .......................................................................... on est née Bébé au-delà du pré. On veut toucher à ce quii esten forme de Néné et du coup téter. On aime lae lait car on est (de fait) ...... des  ébés ........................ aimantgrave téter ........................ prendre le sein donné ......................... s'y accrocher ...../........................... attraopper ............................. avaler................................. déglutir pour de vrai .................... aspirrer .............................................mort-mère donnée ............ = vie retrouvée comme qui dirait ........... que ça se pourrai!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh à jhamais !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! qui sait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! le Passé donné !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! v  rai passé donné et à jamais ilm wemblaezrait ..... = d'éternité ........ pour de vrtai ! ..................éternelle donnée a-genrée , on dirait ............................ bébé des bébés ... remis sur pieds la mort passée ....................... re re re rere re rere -né à la vie donnée .......... vie vive des a:lacrités mais vie vive do nnée pour ainsi dbire "tout de même", de fait ......................................... on veut :

toucher toucher toucher toucher topuycher aux dits "Nénés" des données intenses. Traverser = p   âsser, cvomme en contrebande, le muret ou mur du fond du pré, versle Passé donné , qyui est Vie re--donnée à une sorte de Bébbé dit "des alacrités" ...... que dire ? on s'y fait ! on entre .... on passe ..... on envoie ......... on veut comprendre = toucher = cxerner = passer = poussserr = faire et sonder un certain  nombre de données données, données sur pieds au delà des traits. On veut :

toucxher toucher topucher topucher toucher toucher toucher à c  e quiest au delà des treaits, treaits du muret. Et du coup .............................................................................................. téter ...................................... téter =téter, pôur de vrai, le lait de mère = VErbe ! verbe nacré ! arme des fées ! vérités des vérités et autres mots de la colère ancrée , du fait que voilà ........ l'herbe .......... l'herbe du pré ............ est comme "brûl"ée" ,, qui sait ? pâr quel soleil ancré  ? par quelle sortrte de "lumière des lumières" ainsi portée ou déposée sur ml'herbe (verte) des données en herbe .... ? On cherche ! on veiut aimer, toucher et creuser, et f&ire ainsi que la colère (en soi) jamais ne retombe m  ais tout au contraire monte, monte haute, explose, pète grave à la face du MOnstre , envoie, le fasse, parade, nous fasse ainsi un peu encore perdurer sur place ..... aller et venir .... voler ou voleter ........ tracer ......... comprendre ou chercher à comprendre en vrai ce qui est qui peut^$etre nous "ressemble" ou nous "ressemblezraigt" en termes de traits alloués, traits de ressemblance, traits marqués, traits des traits, sur un visage re-formé, re-tracé, re-armé .............. sur place ............ post-pré ............... ressemblances au c arré qui sait ? ......................on entre ................ on entre ................ on entre ............... on entre ............... on entre ........... on en tre .............. on entere ................ on entre ............... on entre .................. on entre ...../............ on entre.............. on entre ............. on entre ................. on entee ............. on entede ........... on enbtre ............. on entre ............... on entree ............... on entre ............... on entre ............... obn entree da ns l'antre aux données de base ............... le pAssé nacré ........... l'antre alloué à une sorte de Passé Tracé, de type "renaissance" à une vie ancrée ........... par chance ! 

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7/2/2025

on regarde. On essaie de cerner-toucher. on a envie grave de se retrouver en vrai comme en quarante à téter du lait ! on aime le lait, grave ! on veut téter ! on adore le lait, et de fait, on aimerait ensembvle (on est ailée) aller, pzasser, tracer, ensemble en vrai nous retrouver de l'autre côté à téter du lait soit du bon lait de france = du français ! la cghance ! levPassé ! le passé en transe ! ce que c'est que ce passé des convenances ! eh bien ... une sorte de ... voyons ... charade ? le Passé est le Passé tel qu'imaginé ... depuis la Base (ici) des données pariétales, on pourrait le pensezr. On veut : aller = donner, à ce dit "Pässé" , les données de france , soit  : du français ! accolades ? minorités ? Verbe fade ? à jamais ! crroyances ? il semblerait ! on veut comprtendre = comprendre-toucher, à cette Chose en face" ... = le Tracé de l'Ambre ! croisades ! traits des traits ! on a envie ensemble ailées de nous retrouver comme qui dirait de l'autre côté à chercgher de rage ce qui est, dans le français, à ce sujet ! la transe ! parades ! parades animales ! aurochnodoïtées de rage ! le ptracé = le Passé ! traits sur Néné = du lait ! on ezntre ! on veut toucher à ce néné dit "du franççais" en tantt que langue comme acidulée il semblerait ! 

on a envie ensemble (fée) d'aller toucher, d'aller comme à "toucher-cerner" ici même la Panse , le Néné collé, le lait des traces sur Passé en vrai comme accolés, les données données et autres traits dits "des convenances". On veut toucher de chez toucher à ce qui se présente en fait de Néné ... Traits portés ! chants des fées, croyances dites "abdominales" ! le Passé collé ou accolé à une panse ! le pied ! la chance ! on veut toucher toucxher toucxher toucher topucher à ce Néné des "Promenades" en ce Passé*. .... croyances comme acidulées on ntrace ! on mate ! on veut grave mater et deu coup comptrendre = espérer ! toucher toucher toucher à ce dit "passé des entrées en fanfare" en cette chose d'une sorte d'antre, panse abdominale c'est vrai, une sorte peut-être (qui sait ?) d'outre allouée à un Passé des Faits et autres effets du temps consacré . On veut :

toucher de chez toucher 

aller de chez aaller

faire de  chrz faire

coller de chez coller

permettre de chez prrmettre

cerner de chez cerner , et du coup ne plus nous en retourner mais tout au contraire aller, filer, gagner plus loin les dunes altières, le sommet du nez, la roche laitière, ce Passé alloué à comme il semblerait un Néné de première  ... qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est que ce néné ? la tête ? leepaSséé tel que rêvé ? une sorte de mise en bière ? un nez ? vraiment un nez ? un  nez, qu'est)-ce que çàa vient faire ? nez dezs nez ? nez de tête ? nez alloué à une sorte d'entité de tête ? un tracé comme dessiné ...  à main levé ? du verbe ? verbe-nez  ... est-ce que ça se pourrait ? on cherche, on veut trouver = toucher . Ce qu'on veut (pour nous) c'est trouver = toucher = comprendre = VOIR ! voir de près ce Néné des termes ou dit des termes"/.. Ce que c'est en vrai on aimerait connaîitre . Approcher. cerner, au plus d'intimité ! et du coup aimer, qui sait ? toucher-aimer à ce Néné empli de lait qu'on voudrait tétéer = cerner = comprendre et pasvà miooiitéé ! jusqu'au terme= le Verbe ! finalité = verbe-né comme s'il en pleuvait ! de quoi ? eh bé du Verbe ! pisse-bière ! trait des traits ! chants celltesc et autres chansonnetttes yéyé ! on aime ! graveb on aime ! on veut eh bé oui toucher à cette sorte de tracé de tête ! le néné ! le néné ! le néné ! le néné né ! comme on l'aime ! acidulé ou pas on l'aime ! on aime téter à cette "tête à lait" telle que rencontrée le muret passé (dépassé) et du coup traversé ! On aime téter à cette sorte en soi, de trouble-miszère ou trouble-fête ou quoi ? trouble-tout ? on voit ça : le trait (trait de lait) , la roche, la paroi de roche et son ajout de jhoie ... le Roi ! la Tombe ! la Joie -Roi, le Passé en trombe, le donné en tas , la colle, colle-voix, le col ! On voit tout ça de là et on se dit ensemble que voilà, on est comme données à un e sqorte en soi, de .... Carmagnole ! danse folle ! trait porté ! charge haute = le Passé, le passé comme retrouvé , la colle d''hôte, l'ombre rapportée, le port et l'ombre, l'homme mort-né iune fois décédé , quand la fée s'envole "à ses côtés" il semblerait, vole folle et va comme à se poster sur ... pÂrole HAute : = N2N2 ! trait né ! chant des fées ! colle haute sur Padssé comme acidulé yéyé, ou sinon yéyé enjoué et le tour est joué ! on veut :

coller = compter = dire = faire = aller = donner = porter à ce néné ... la bonne parole des fées , soit du tracé ! qui on est ? Homme-Hole ? ou alors : colle ? mets ? denrées ? offrandes accortes ? chiée ? comme : déplacée sur porte ? On veut ensembkle en vrai toucher à ce néné à lait et de fait le téter à jamais si on pouvait . On voudrait en vrai téter ce néné jusqu'au terme des hautesparoles ou comment on pouurrrait en vrai nous exprimer ? on veut :

dire = faire

ce qui est qui est le mueret passé (dépassé, traversé-) ,

à savoioirr : la Bête ! le passé est le passé mais la bête est la bête ! qui nhous attendrait, qui nhous materait, qui serait "imberbe" et "indemne" de données tracées, de traits ajoutés, de passé donné et autres qualités. On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce néné "post)-cimetière" des données allouées à une sorte dee Passé poàst-herbes, post-pré, dit "Passé des Passés " car "Passé retrouvé" la mort entérinée (laissée loin derrière, dans le pré, l'herbe, le fossé, la crête) . On veut :

toucher toucher toucher toucher à ce dit passé post-cimetière ou post-herbe . Qu'est-ce que c'est que ce passé "en herbe"  ... du passé retrouvé, coome "emblême" ? un tracé de fée ? le passé de REine ? le passé tracé sur paroi héautaine ? Chair ? ... allées des oliviers vers la Terre Allouée à une Sommité certai ne ? une sorte d '"alacrité soudaine" ? trait acidulé ? chant des siorènes ? traînes sur pied ? ... pollen ? on veut cerner = toucher,; mais pour cela il faut (il est, ou serait, nécessaire de) pour le coup , tracer de chez tracer ... sans débander ni désemparer ! toucher toucher à ce qui est qui se présente sous notre nez ... de fée ambulante ! le trait = trait de lait ! pisse-maigre ! chant des herbes ? cham de blé ? chant celestes  celtes ? Chants nacrés et autres sornettes ? on colle ! on colle au poste , l'oreille ! traits des fées sur ronde accorte ! on mionte. On veut monter monter monter monter monter encore et encore le niveauu sonore ... du Passé nacré, passé des passés et autres passés d'hôte ! On monte ! On veut toucgher à ce néné des dionnées hautes et ...  treaversezr , tracer, aller, courir, vivre "la mort haute " ? ou comment dire cette chose d'une sorte d'après-mort qui (de fait) nous "regarderait" au sens où celle-ci peut-être nous concernerait, serait en vrai une question pour nous profondee à explorer  ! comment toucher ? comment cer ner ? comment voir ? comment comprendre ? comment nous approcher ensemble ? qui accoster ? à qui demander ? à quoi nous fier ou nous intéresser ? On veut toucher de chez toucher à ce Néné "de contreba,nde" , passées (nous) ici mais quand, en cet antre , 

enn ce Passage déplissé, chance, trait outré, ventre ! On veut 

toucher-cerner, dire-allouer, passer-donner, coller-fendre, les données de l'antre , et ces données en  vrai les comprendre sans frais ! en juste tétant néné, si on pouvait ! ça serait bath ! ça nous irait ! ça nbous (grave) irait au centime près ! chance donnée ! charge allouée ! vent des sables ! un passé est un passé ! la france au français ?? que dalle ! le tracé ! la charge ! l'encollé des traces, on veut toucher ! toucher-cerner de fait cette langue et merde à la France ! coller = donner = dire = faire = charger = composer ensembkle (ailée) cette Romance , d'une charge a nti-)france, allouée à une sorte de passage outré . Comprendre = toucher = dire = aller. Et ainsi de bsuite vers .... N2Né ! Néné né post pré ! "vamos" ensembkle ! creusons ! allons ! chargeons ! la france maussade : au pilon ! on veut : toucher grave , aller ensemblke, voleter, cueillir et récolter ici ou là(post pré) de quoi ensemble pouvoir nous, pour le coup, alimenter grave ! manger  = téter = ingurgiter, un certain n ombre cde données de rage, rage-née de par l'ambiance ! trait porté ! charge allouée à une lzangue : transposée, déposée, intégrée comme par "la bande sale". On veut :

dire dire dire

vaincre vaincre vaincre ... la timidité, d'avoir à dire ! de nous avancer, de nous préseneter, de parler comme qui dirait "publiques", chercher, toucher, porter, séduire ? .... séduire ?  oN veut en vrai aller de chez aller de dires en dires jusqu"'au Passé qui est Néné on le sait ! et là : vivre ! vivre sans céder , akller, conduire (pour ainsi dçire) notre vie "altruiste" , sainte vérité, chants portés, vivres = mets = denrées = ... lait nacré et acidulé ! teter téter téter téter à ce lait des Rives ! aimer ! aimer vivre , vivre de chrz vivre, en ce coin en friche dit "du lait" et autres mets lactés. On veut :

toucher troucher toucher troucher toucher toucher à N2né né , boire son lait, nbous en mettre plein le vgosier, s'en pourlécher , de fait, les babines comme un chatonnet , aller de chez aller ainsi rassasié pour nous reposer, dans ce coin en friche des données données, par ... le Passé près, le Passé tout près, Le Pasdsé des Passés ... qui est ... eh bien ... la Vie vive, redonnée à une sorte de ... bébé d'en rire ! né "Trait" ...  trait des dires outrés genre sala cité et autres traits tracés pour faire rigoler. Faée ! fée on est ! fée des fées on est ! on a le droit de dire-rire, d'y aller dans le rire et les dires outrées ! se montrer comiques ! faire "Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii" (ou dire) ! y aller ! creuser de chez creuser la voie du Rire outré post-muret ! Car, le Rire, le Gros Rire, est "donnée ivre" allouée à une sorte de Passé à vivre, la mort dépassée.toucher = t oucher. Féire = faire. Chargher = charger.  Cerner = cerner. Porter = porter. vendre = vendre. Monter = monter. Allouer à une offrrande un trait = dire ce qui est en matière de ... LAit Ancré, donné,disposé. On veut creuser. On veut toucher. On veut faire-aimer. On veut dire le Trait, montrer, monter haéut le Niveau des mots , et y aller de notre couplet concernant ce Haut, ces Hauteurs de mots, hauts mots cde Rage Perlée ! chant(s d'oiseau, de moineau, corbeau, mot de trop ! on veut :

dire -allouer, pisser-chier, cerner-donner, accoler, à une sorte de trait, les données du Verbe nacré .... le Rire ? le Passé d'en rire ? l'hydre ivre ? le ... Vivre, sur Passé Ivre ? touché ! touché-coulé comme qui dirait ! ivre des données avides ! Vivre = aller = connaître = porter = vaincre = charger  = donner. On est née Fée la mort passé , ou comment dire cetrte chose, d'une sorte (haute) de donnée d u rire ? Vivre = .............. rire ? rire du rire ? on est Fée, on est née, on est accolée, on est comme aimantée, on se tient par le néné ou je te sais ! on eswt ailes allouées à ... du verbe de terre ? on cherche ! fée des fées du cimetière on trace , on traverse, on passe , et nous voilà "re-transformées" , comme changées du tout au tout . De fée, nous voici changée een une sorte de Bébé post-pré , sachant (c'est inné!) téter néné sans traîner ! téter de chez téter et les vacghes seront bien gardées (les vaches sacrées) ça le fait ! ion veut :

dir-allouer à un dire nacré ... eh bé ça : le Rire ! = ce qui est, la mortancrée ou une fois ancrée = entérinée, ou deépassée (acquise) . On est la fée des données grises et autres données de frise ! genre : biches , boeufs de porte, buffles hautes, chevaleuses accortes,  bêtes -roche et autres traits donnés sur paroi (haute) décorée. On veut : dire dire, faire faire, et courir ! à toute blinde = vite !  sur .... passé ! sur passé des dires ! comment dire ? on est :

née

fée

en  vrai 

sur pied 

envolée de chez envolée

on est fée née comme envolée la mort ancrée ! hé ! 

soyons ivre ! touchons l'hydre ! filons et creusons ! portons haut "le mot de trop" sur roche accorte ! = gravons , dessinons, traçons la Chose ! ne nous arrùetons plus de dessiner la Chose Haute = bisonnée sur pied et autres bêtes de trait nés. On veut : coller au néné = téter ! téter très ! ou téter trait ! trait de lait = filet ! On aime le lait. On adore le lait. On veut téter le lait de bonne Mère chahutée, le français salopé, le passé de pied, la Haine ? peut-eytre pas tout à fait mais la colère saine ça se pourrait ! car, merde, trait pour trait, on veut ou on voudrait, de vfait, "rendre la pareille" et détester en vrai cette France Altière, VErbe  à nez ! tracé fait ou refait, charge haute auto-centrée ! parioles, du passé, remonteraient ou "comme remonteraient" au niveau des ... portes

 comme rajoutées à

 une sorte d'alcôve, entrée haute, sas de roche , nous voilà aidée ! on monte ! on veut passer ! passer et nous retrouver, incidemment, côté néné à comme téter  

jusqu'à satiété ! trait . Trait donné. Trait pour Fée on est née pour Téter. fée qui tète aime ! fée qui tète aime aller, à toucher ce qui est , en termes ici de ... Vérité Donnée ! le Passé est la V2rité ! Le Passé Nacxré ou pas NAcré est (de fait) "la Vérité, toute la Vérité ", Jugement Dernier . On veut ensemble y aller en ce Passé de contrebande, pour ... t(oucher toucher toucher, à ce qui se présente ou se présenterait <question VFérité ! qu'r'st ce que c'est ? qu'est-ce que la Vérité des fAits .... ? eh bien .... la Scène ! trait treacéews . sainte Colère et inimitiées . vraies tracés sur pea u de Bête ? on cherche ! on aime chercher. On est "colère" c'est un fait, mais on aime ! on aime être "colère", on a notre petit caractère . On veut toucher à cette ... Sainteté allouée au Verbe ! qu'est-ce que c'est que cette ... SAinteté allouée  aU verbe ? duu pAsssé ? qui sait ! ça se pourrait ! ça pourrait être, ça pourrait en vrai être que ... voilà là, la Chose est Là , elle est pleine, elle regorge de ça : sainte laitière, LAIT, LAIT, LAIT, LAIT, LAIT, LAIT, LAIR

$T, LAIRT, LAIT, LAIT, LAIT, LAIOT, LAIT, LAIT DE MÈRE, LAIT CELTE, LAIT CÉLESTE, LAIT AIMÉ VOIRE ADULÉ, VOIRE ADORÉ COMME UNE DÉITÉ POST-BIÈRE ! LE TRACÉ ANCRÉ EST UN TRACÉ POST-BIÈRE ÇA SE SAIT ! ON AIME ... QUOI ? TÉTER ! TOUCHER À CE NÉNÉ DU LAIT ! ON AIME LE L:AIT COMME ON AIME LA SCÈNE ! LE PASSÉ NACRÉ EST UN PASSÉ POST )--FINALITÉ SOIT POST-CIMETIÈRE ! PASSÉ NÉ SUR TRACÉ RUPESTRE ! LE PAQSSÉ POST-BIÈRE EST UN PASSÉ NACRÉ VOIRE ACIDULÉ QU'IL NOUS PLAIRAIT EN VRAI "D"'ÉPOUSEZR" À L'ANCIENNE, LES BANS DÉPOSÉS, TREAITEUR-CHARCUTEIER, DISCO DES CONNTRÉES , RIZ SOUFFLÉS, CHANTS DONNÉS ET AUTRES VINS VERSÉS SUR TRAÎNE ! ON VEUT AIMER ! on veut grave toucgher (en tant que fée ... devenu bébé !) à ce néné des traits (traite verte). toucher toucher toucher toucher toucher toucher àc  e dit 

"néné des termes" = du Vzrbe ! verbe "outré" , poerté ou comme poussé à ici "révéler", le ... "théorème" ! le tracé ! l'antienne! couplet fait ! chant d'elfe ! une sorte de parade indienne ! tralala plumé ! chant d'armes ! confettis de char

me ! On veut : dire dire dire dire dire dire; ce qui est qui nous attire, nous plaît, nous incite à aimer, nous fait de l'effet, nous attise et nous met le feu comme qui dirait à nos ailes allouées à une sorte de "piquet de rive" ! fée du dire ! fée saleé" ! fée donnée à une sorte de ... passé ancré, la mort dépassée. on veut aimer " veut dire "on veut creusezr". Pas difficile ! on veut creuser = on veut toucher = on veut dire = on veut parler et donner au Passdé nos quatre vérités concernant /... le Rire ! le dit "Rire outré" , fou rire ça le fait, autant que le dire dit "raisonné" , et peut-être "pire" ! on veut toucher et vivre. Coller-aoimer. Déduire et recompter. porter et cocher. pousser le Rire jusqu'au bout du bout d'une sorte d'allée, du Passé en friche ! le passé !!! le passé en friche !!!! qu'est-ce en vrai que cette sorte de Passé donné qui donc serait à , qui sait ? défricher ... sans traîner ? sans lambiner  ? à fond de trait ? Qu'est-ce que c'est, que ce dit "passé ... des données en friche" ? une sorte de ... vie passée, comme enkystée ? le passé du dire tracé ? la riuine des données données, le jour de notre arrivée ? on est née Fée dans la mort actée. On veut continuer à (si possible)  comment, disons, dériver ? aller sur pied ou même voler, de rive en rive , en ce passé comme déployé devant nos yeux tout chose, éberlués, tout "touchés" par cette chose haute présentée, ou comme présentée, et qui nous accoste ou nous accostezrait sans se gêner ! qui,nc'est ? la Roche ? le Passé de Roche ? Porte ? porte ouverte sur une sorte de ... passé en herbe ... à (comme qui dirait) retrouver indemne ? même ? le même ? le même vu de près, ou : à nouveau vu de près ? néné ? néné re-né comme une sorte de  donnée ...  re-donnée ? donnée-verbe ? chair allouée de fait, à un Verbe dit "des contrées post-pré" ? 

on veut creuser)-toucher et de ce fait aller, cerner, porter, charger, comprendre et pas àmoitié" tout un ensembkle de données données comme par la bande, une fois la mort comme enregistyrée, classée ou entérinée. On fait pitié ? on avance ! on  creuse grave ! ça y va ! on se balance ! cha cha cha on danse sarde, on trace, on va, on est là ! porte d'entrée (devant soi) on entre, on passe le gué, on rentre ! on est née Bénbé aux embrassades. On veut cerner Néné , toucheer-téter, boire du l:ait "de contrebande" s'il en est, du moment que nous on est alimentées on marche ! on est ok ! On veut téter Néné de contrebande ou pas de contrebande", on est pour ainsi dire "pas français" de marque , en vrai ! on est "rapportées", et on s'en balance ! trait pour trait on charge ! le français tracé, la chaerge mentale, obstinée, on creuse le trait, on porte hzut 

la colère innée ! on veut coller ! coller grave, à une sorte de Passage comme déployé, qui nous inviterait" à (de fait) nous immiscer, en cette sorte de contrée maussade, genre antre, ventre, outre dee panse, intestinale ou abdominale, on entre ! On veut grave aimer , aimer de cherz aimer, la panse , le tracé en transe ; gentes dames et damoiseaux de france : au poteau ! transe ! cgharge dense ! on trace sur panse les données de rage qui nous "embarraseent" .... cpomme qui dirait en face. On est nhée ... fée , fée des prés, fées sur pied sachant voler, et nous voilà toutes remontées, de fait , car, envahies, envahies vives, par du verbe vide ! tri ! piste ! charge ! trait donné sur paroi hautement "saluée" = sacralisée. Qui on est ? la des Fées de base, sachant dire, ici, ce que bon luyi semble en termes de dits ... du Rire Ivre ! vrai tracé et autres traits des fées sur roche ornée ! la piste ! le vfrançais d'en rire = langue au lait ! point d'acmé, mais la rase friche, trait des traits au ras des titres surcotés, surévaluées. On est Fée ivre le muret passé, ivre de lzait : bébé ! le bébé de lla friche al:louée à une sorte de contrée  ... du Rire ! est-ce que c'sst possible ? on veut : toucher toucher toucher toucher toucher toucher ......................................... toucher toucher toucher ........................................ toucher toucxher toucher ............./.................à-à ce néné donné la mort dépa sdsée. car, la mort n'est pas "d'éternité", ele 

se pose là, lelle semble "à jamais" mais tralala ! la vérité, la vopilà : la mort est dires, dires de trait, dires vides, dires alloués à une sorte en  rai de "pré" comme donné à une sorte de tracé, qui dit le vide, le paqssage ancré, la traversée de fait vers une sorte de propriété de type : enceinte allouée, fortifications herborée, rond de roche ou pré aux fées, mais voilà ... la suite, 

la siiute ivre, eest cette suite comme déplissée une fois l'enceinte quiitée ! ou comme traversée ... d'un rire (ivre et outré) qui permet le Titre; le Vrai Titre de ... "Bébé" , accolé à une Sommité qui est : le N2N2 DE TRAIT ? LA RIVE PASDSÉE = le Passé-Rire ! tracé ! faits ! faits vrais ! chants salés ! iune vérité qui de fait nous serait allouée une fois dépassée ou comme dépassée la mort donnée, cette sorte de finalité qu'on dirait promise ou comme promise "à jamais"  m ais ... rien du tout ! le bébé ! le bébé ! bébénou ! le bébé, olé ! le bébé-lait ! ou le bébé de lait ! née au néné du passé remontée ou même re)-donné, ou re-deployé , ou re-montré, ou re-collé à nos bouches de fée ici transcformées ! On veut en vrai aimer , aimer le lait du passé remonté. ; On veuyt grave aimezr et téter, téter et aimer, ce lait sucré, ou sucré-salé, qui nous "pend au nez " : on aime ! on lèche ! on tète ! dingue comme on aime ! c'est la vérité ! on aime téter sans plus de gêne, sans traîner, le lait ou le bon lait de mère , lait nacré-acidulé comme on l'aime, comme on aime en teter la mort passée. Aimer téter est la vérité ! on aime ! on est bébé né dans le post)pré ou le post-herbe d'une sorte de "propriété " de type encklavéée, éden, paradis des fées et bêtes de trait (est-ce kles mêmes ?) . On aime ! on veut graver ......... grave graver .......??.?....  les bêztes de trait sur roche allouée à une sorte de "poème-théorème" aux "données outrées" : insultes-mères, blasphèmes, mots ultra-grossier à l'encontre d'une déité ici personnifiée en termes liés à une sqorte d'entité dont le nom en vrai , est .... mère ! mort-mère ! mère-mort ! ou même : mère -la-mort ! car, la mort est mère ! merde ! on avance ! on creuse ! on charge ! on fonce ! on veut (grave) tracer et comprendre et toucher et cerner et aller et vivre en ces contrées pré-rive kles données du vivre ! fée ! en premier! puis, le muret passé, on deviendra ... eh bé .... le ...

Bébé -toundra ? bébé-transe ? trans-genre ? accolé à une sorte de "paroi intense" ou de ... post-paroi dense ? ... ou de qiuoi qui sezrait là (ou sera là) à nous "attendre" les bras en croix ? la Chance ? h"é, on voit ça et on en reparle, car voilà, on est là ... on tète la Voix, on tète grave (sale?) la Voix des Voix = LAIT DENSE, lait des laits intenses ! lait entier fait de rages avérées ! rages des rages ! traits des traits ! danse en face ! le Passé est re-né qui nous embrasse ou nous e,mbrasserait szans traîner et sans se gêbner ! danse sur Passé en France, le pied ? on entre ! on entre dans la danse-transe ! on entre dans la danse en transe ! cette dxanse ! menuet ? lla danse des Né n és ? danse du ventre loué ? vrai ? vérité nacrée ? charge de fée ? panse ? Panse dense ? On est ................................................ allouée ! ........................ à du Verbe de trait ...................................................... venu d'où ? de france, ohé ! ........................................................... transe , du français de rage ...................../........................ accolé, ou comme accolé, à ...... une sorte de passé intense qui, en vrai, est passsé de transe ......................................... pasdsé du passé ................ perte franche ................ portée ...............musique d'ambiance ....................... disco-transe et autres musiques de rage ............. treaits ! .......... treaits nés ! /..................................... on est entrées, on est dedans, on est accolées, on est serrées-collées à une sorte de néné donné qu'on s"'évezrtue à (ensembkle ?) téter ! bébé-fée ? fée-bébé ? ou seulement (le muret pâssé) bébé des bébés ? eh bé .... en effet .... qui sait ? ...... seulement Bébé ? qui tète que tu tèterais sans discontinuer telllemenht il aime, tellement voiulà, il cherche ! il va ! il veut ! il veut du lait mieux ! il veut toucher de chez toucher pour mieux téter de chez téter, le lait de mère, lait post-pré de bonne mère des données post-terre. On aime ! traits ! traits de fée on veut passer et vite aller téter une fois transformée, de fée en bébé d'air ! qui, bébé d'air, aime et sait , de fait, téter Néné sans sourciller, les lèvres bien placées, coussinet de tétée et autres critères de bonne tétée ! on sait ! on est Verbe -Lait ! né bébé ! né Fée puis né bébé .... sur terre ? on cherche ! néné ! on cherche à téter ... le néné en herbe d'une sorte de mère dont le nom serait "Terre" ? on cherche ! on pousse ! on va ! ................././............................................................................../................................................./.............. on avance à petits pas mais voilà .......................... on veut comprendre ......................... téter-comprendre ........../........... teéter = comprtendre , on ne sait ! ........................................... téter de chez té ter à ce néné de contree bande ça le ferait mais en a -t-on le droit ? en france des fois ? france d'antre ? france à antre ? franche voie des parois "amples" ? france en bois ? On entre ! on veut ça : comprendre, toucgher, aller /./......................... per cer .................................. cer ner)-pezr cer = do nner-allouer, à une sorte de contrée (genre ...  "la France") les données données telles que rencontrées, ensemblve , la mort avérée. On veut toucgher de chez touchezr, mais aussi ""entendre" .................. saisir et cerner, ce qui est qui est , qui nous regarde ou nous regardrerait ("intense") sur Néné .... ou disons : depuis ! Car voilà, ici (pré) on voit ... que dalle , sibnon le puits, le haut du puits, la porte des donnéescde roche, ok, mais au-delà c''st le noir dense ! on y voit que dalle ! rien à observer qui puisse nous aider à noue réperer ou à nous situer en cette sorte de fin de contrée de type "murzaille", "muraiolle des fées", "muraille à passer" . On est née Fée  et voilà ce qu'on aimerait, le pré traversé. La Rage ! rage du passé, du passé de france ! merde au Verbe tracé ! on entre ! on veut grave .... toucher ! toucher l'antre, la chose en face, ce qui est de l'autee cpôté qui szrait comme à nous regarder aller et venir (voleter) dans une bsorte de parade en transe ... on dirait. On est entrée ! on a passé la Porte Haute. Parole. Pré passzé, parole outrée, Rire Docte, nous voilà ainsi déposée, post-pré, sur Néné à téter , de Mort-la-Mère des contrées ... dcxernières ? qui sait ! éternelle remontée des traits ! bêtes de frai ! charges altières ! le français (la langue) en tant que treacé permettant l'entrée, un pied dedans un pied dehors, musicalité des données acerbes, un treacé (de fée) dans l'herbe verte , puis le trait des données "dernières" .... ou qui sembleraient êttrev les dernières , à jamais, mais on ne xait. IL se peut que le Tout renaisse ,sans arrêt, roue crantée, colère des attreaits, gestes d'elfe, vérités emportées, portes soulevées, on monte ! le poteau des ombres est haut placé mais on y monte le toucher ou pour en vrai ensemble (fée) le toucher sans traîner, trait de fée dans la Haute Fumée de Groote. haute POrte des Données Accortes. Portes hautes allouées à une Vérité de Roche = le Passé ! le passé nacré ! haute Vérité dont le nom en vrai est : " Le passé". Car, le Passé en v  rai, est du donné dee roche ornée ! qu'on se le dise à tout jamais ! lke passé est ... frise , traits tracés, bêtes de trait sur roche exqauise de grotte de mise. traits des traits semblant bêtes allouées à une sorte de danse effreénée sur frise gravée. On est née ! née fée ! fée des prés ! fée hautes ! qui, ici, voulons tracer de chez tracer la roche ... dans la roche ! quiooi ? l'éternité de la Parole Haute" = le Passé, Passé post-pré = Passé re-né, à jamais, hors poche ou antre-ventre, sur pied. On est comme accolées à une sorte de donnée dont le nom est ... "treacé", "le tracé", "le tracé de fée", "la danse en trabnse" = le Passé ... en face ! trait porté ! charge d'antre ! On veut toucher à ce néné ... des données d'en face .... néné né après le pré (la base) et nous voilà (peut-être( enfin armée, pour demezurer , qui sait ? sur place : sur néné ! à pouvoir-devoir téter le lait ... des p "rages ambulantes". On veut grav e cerner les données de base, les aimer, les approcher sans se démonter , faire connaissance ................................................................................. pister ...................... mater .......................... mirer ............................ regarder en face ........................................... ou essayer de regarder en face ............................... à mieux cerner les bases ................... ce qui est quiest ................. en cet antre (?) post -pré, qsui en vrai rrreessemblerait à s'y méprendre , à une siorte de passage, trait defée, passage "entre", petit trait qui permetrrait de pouvoir aller, entrer, s'immiscer, sans perdre connaissance et du coup regarder, en profitetrr pour regarder-cerner les données intenses, d'une sorte de ... Passé de FRance ??? un passé de FRance ???? .... français ??????????????? mais qu'est-ce qu'on s'en bral,nle ou s'en branlerait !!!!!!!!! eh bé .... pas tout à fait ! car, voilà, le français est ici la langue des contrées présentes ! on veut toucher ! on veut comprtendre ! le français en tant que langue ici exoplorée, remuée, bousculée, et même "évzentrée" et du coup sondée ! pour, au vrai, de fait, cerner, toucher, porter, aller, coller, dsire et donner , un certain nombtre de données de rage (le Passé pèserait) qu'il nous incomberait de devoir comprendre et du coup amener, en vrai, jusqu'au ... néné né post-parade, post-charade, post paroi ornée et autrecs foirades ! on veut ;

téter téter téter

dire dire dire

aimer aimer aimer 

chercher chercher 

coller coller coller

entreprendre entreprendre entreprendre 

cerner cerner cerner

co

ntôler contrôler contrôler ce qui ici est, qui semblerait cvouloir... nous parler, au plus près, et nous donner de quoi nous repérer en ces drôles de contreées post-pré : où on est ? en vrai, où on est ? où donc est-on en ce "vallon" ? sur roche post-pré ... mais de quelle roche il s'agirait ? roche-motte ? roche-haute ? roche -sein post-porte ? roche du Néné de Roche , de Rocher ? roc post pré né sur pied la Roche une fois traversée ? on monte ! on ose monter. On veut en  vrai gravir les échelons du terme , et courir, aller, filer, monter de chez monter c'est vrai, tracer, aller vite jusqu'au bout du bout qui serait ... un gnou ? genou ? nous ? nouys-mêmes ? re-nous au bvout du bout ? recommencement aux extrèmes ? retour de manivelle ? porte haute vers re-port ? re-colère ? re-naissance / transe et autrzs sarabandes ornementales ? mésopotamiennes ? béandertaliennes !  DANSE ! DANSE ! danse en transe ! parade ! paradis de france (france-alibi) ! CHA RGE DENSE ! ON EST PAS AU LIT ! ON EN AVANCE ! ON VEUT COMPRENDRE ! ON EST EN VIE ! ON ENTRE !  on est vives vies des données uintenses ! cris ! ........................................... cris de vie ........................... cris des cris des vies données comme à :la p aracde ................................. charges ! ................................. bouquetins matin ..................... buffle coriace ..................... automates ......../................................................. bêyes de trace ................................................................ bouquetines vives et autres liones ...... de porte .................... haiutes ......... hautes lionnes et haute porte ................... mots de rage au niveau du Haut : des Alpages ........................./.................. poteau ! ................ poteau hau .......................... mots de roche sur poteau du haut .......................ANICROCHES ? ......................................montons haut et regardons la roche-poche, le niveau de l('eaiu, les données groosses, le Passé de Porte et autres mots-a nimaiux , gros mots, drôles de mots ............rires bgros ! .........................................mort au c aniveau ............................................................ ? au caniveau, la mort ! ...............................  ouste ! du balai! va te faire cerner par qui sait qui saurait , t"'entuber sans désarmer , qui ? on cherche ! ......................................../   on veut "tuer la mort" ................ tuer de chrz tuzr .................................................................Immovtrtelle, la tuer ! tu es ..................... , en vrai, immortelle peut-être, mais nous (BÉBÉS°) on a envie de te tuer, et ça sans traîner, en tétant néné ! ........../................................ merde ! ................................................................. on veut toucher toucher touycher touycher touycher toucher toucher touycher touycher toucher toucher toucher toucher touycher toyucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher touycher à ce qui est quui nous espionnerait, comme qui dirair, "par derrioère", par derrière "son "néné" , on ne sait, on veut cerner, toucher-aimer, mais pour ce faire, le mieux c'est ou ce serait de satisfaire ses envies cde lait , de lait nacré ou pas nacré , mais de (en vrai) téter sans traîner, leb bon lait de Mort-Mère artablée, attablée sur herbe ?) = le Passé ? on cherche ! on a envie ensembkle de trouver, des choses du français de base, ce qui est qui est en cette chose d'une langue ainsi (en nous) e-inculquée de base, ce qu'elle est, ce qu'elle dit des traits, ,,ce qu'elle recèle ou contient-contiendrait, en termes de connaissances, de données intenses concernant la transe-danse , transe pariétale aux bêtes de rage et autres "bêtes-monnaies". Car, la transe sur paroi de rage, est transe "monnayée" ! transe donnée , pèse son poids en termes de monnaie , voix, traits des traits, charges de fée, colle ancrée sur roche haute, prêts sur prêts. On colle ! on monte ! on veut (de fait) toucher-coller à cette porte haute des données "ultimes" ou dites telles il sembkerait depuis (peut-être) une éternité, et nous de nous y coller ... faut-il être bête ! à jamais "tarée " , qui sait ? car, oui, on cherc he, on est nues dans l'herbe, on cherche l'(entrée et ça bne va jamais mais on s'entête, on ne veut pas du tout (jamais) arrêztrrrer, arrêter de chercher ... parce qu'on aime ! on adore de fait ainsi chercher ou rechercher une sorte d'entrée vezrs une destinée qui nous renseignerait en vrai sur ce que c'est que cette chose qui seraieaut ou nous szrait offerte, le mur ou le muret passé ou une fois passé, ce mur ou ce muret"des finalitéqs" une fois traversé, qu'est-ece qu'il y aurait qu'on devrait "déchifffrer " ? de l'herbe ? encvore de l'herbe ? un néné né qui serait à téter sans plus traîner ? néné-verbe , ou Verbe-lait : est-ce vrai ? peut-on arrivr en vrai à cerner ce qui est, la mort "achevée" ? car, on voudrait ! grave en vrai on aimerait comprendre = toucher , à ce ddit Néné "de la Vérité" aux traits lactés ! qui c'sst ? ou disons : qu'est-ce que c'est que ce dit "Néné aux traits lactés " ? on ne sait ! On veut cerner-toucher à une vérité, de type, voilà, lactée ou plutôt lactée, mais cela .... colmment faire , comment tracer, comment fzire pour tracer ou nous y retrouver ? On esrt ailes accolées form ant fée sur pré, mais le pré passé voilà -t-il pas qu'on se retrouve ... à nouveau transformée ! devenue .... b ébé ! oh, hop ! changement, changement de tropppe, ! le passé, lui, remonté, nous accueille ou accueillerait en ses filets, et nous cvoilà scotchée ! toute sctochée-collée à ... un néné post-pré, néné dit "du Passé" , du coup : remonté , ou comme remonté ... xde où ? des catacombes du passé ? du Passé mort-né ?,du passé enterré ? mais qu'est-ce qye ça veut dire ? on est née Bébé dans la nbuit des fées ! on monte ! ........................................ on es t hzautes ............................ hautes de chez hautesc ................./... tracées ! /................ cohorte de porte ..........................bêtes de roche ........................................................ bufflettes armées .......................................................... ourses de guerre ..................................... on veut toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher à ce néné des dits Nénés de l'avant-guerre, des données ctracées, des herbes brûlées .........../......... nénés nés pour être tétés sans plus trîner par, qui Sait ? , bébé né sur pied la mort traversée ! On est née bébé ! .............................. bébé-verbe ! ..................................................................................... tétant lait de verbe .............................................  V erbe-herbe ................................................ VHERBE DES PARENTS, DES ARMES DE BASE, DU PASSÉ DE RAGE ET AUTRES TEMPS (PLUTÔT) "MENAÇANTS" .............................................. on veut comprtendre -aller , toucher-porter, dire-entreperendre et du coup colmater, "ensemble", les trouées de base , genre : trous de rage sur paroi franche ! le Passé est né ! Le passé en  vrai est né ! vive le Passé re-né ! le Passé des Passés est à nouveau né, qui nous ressemble ! hourra la foi ! on trembke de hjoie ! on en redemande ! hourra ! charge-roi on entre, on va, on creuse, on abats des arbresc peurt-être pas mais ... on en avance grave hou la la ! la chance ! le temps est là, qui nous "embrasse" ! On va ! On  eut co:mprendre la toundra, le Passé de cxharge, ce qui va et ce qui ne va pas, les données intenses, les bras, les jambes,  face d'Ange, le Passé de poids, les mots de l'au-delàk, la transe, la danse, la frange, le mottet, la danse de FRance et autres débandades intenses, la Paroi des Voix, le Buffle de FRance, La Reine postée et ses deux valets. DAnse ! Rage ! Transe ! on est "entre" ! on veut toucher de chez toucher à ce qui se oprésente en termes de données ici allouées à une sorte de parade, genrefoire, foire aux bêtes-masses et autres bêtes dites "de trait" car sachyant sillonner sans désemparer la terre de base, les mottes allouées à un ne sorte de contrée de rage, le Passé. On est nhé Bébé ! bébé on est née ! on veut toucher à ce quiest (ici) qui nous rezgarde aller, nous infiltrer, treacer trait sur trait, et chercher à toucher à ce Néné des Données finales ou dites finales . On est née Fée puis re-née oà une vie nouvelle, autre, modifiée, qui bnous voit téter de cvhez téter ledit Néné des données "remontées" , ou "remontées à la surface" : le Passé Recomposé, Passé dense , remonté, repositionné, re-pris à bon prix ! On veut de fait ...... touchger de chez touchezr , ce donc dit"bébé" du passé outré , et du coup , aller de chz aller, jusqu'au boput du bout , d'une vraie tétée , d'une vraie "tétée des tétées" . On veut ........................................................ aimezr .....................././../.....................................aimer de chez aimer ....................... dire ............................. dire de chez dire ...................... foncer /./...................... foncer de chez foncer ......................... donner ................................ donner de chez donner ..................... forcer .............................. forcer de chez forcer ....................... poussser .................... poussser dev chez poussser .......................... coller ................... coller de chez cvoller ................................ comprendre et cerner .................................. comprte ndre et cerner de chrz ... eh bé, comprendre et cerner ! ........ et toucher N2né , pour en vrai et enfin téter , le lait des laits ! lait sucré-salé comme sw'il en pleuvait : treaits ! filets ! filets vraisz de lait éjecté dans notre gosier ! .................................... on veut aimer ...................... aimer de chez cerner ! et cerner (de fait) de chez aimer , chassé-croisqé ! on veut toucher à ce N2né dit "du Passé", du pâssé remonté, et se gargariser de lait à j amais ! car, le lait est le lait est le lait est le lait de l'herbe-verbe ! à jamais verte , à jamais verbe ! on le xait et on s'en repait ! On aime ! .................................................../..................................................................................... on aime le Verbe et le VErbe-Lait des dopnnées dernières : chassé-croisé sur pierre de tra&it ! le Passé est né qui semblait enterré, mais que dalle ! pôint de dalle ! ouverture de face ou façade, le Passé ancré est passé de rage à jamais tracé, forte renaissance, remontée en transe, traversée de rage et le cvoilà qui est, post-pré, Né ! né comme à loa retombée , de face, Néné ! On veut :

dire dire dire dire, ce qui est du dire 

être etre être, ce qui est de l'être

faire faire faire, ce qui est du faire

porter porter porter , ce qui est à porter 

et cerner-toucher à ce quin se présente en fait de néné la mort acceptée. Qu'est-ce que c'est ? on ne sait mais on szubodore. Un néné ? ça se pourrait ! du lait ? on aimerait ; De la Roche aux fées,  ? Hum, on nre sait ! on entre ! on est fée de france ou disons .... du français (la langue) parce que pour en vrai ce qui est de la Fr a,ce, on s'en branle grave, on ne veut même pas en parler, on en a soupé ! on est pour ainsi dire dans ce français-klangue jusqu'au cou coupé ! ça impacte ! ça nous embarque ! ça fait, ou ferait de nous, des ... Fées de Rage , fée tracées , f eé des prés des Ambassades aux données chargées cvomme à la parade . Traits . Bêtes de trait. Merde à La France rencontrée, on veut parler de base le français traqué, et marre ! charvger ! poussserr ! creuser ! entreprendre une sorte de trouée ou de percée en cette rocxhe-né des grottes -antres. France au pied, le français entre. Les données accolé&es à une sorte de "mansarde", de maison carrée (ronde rotonde) de base tracée. Chercher et cerner à quoi ça ressembvle : portéev ? base navale  ? pré ? on veut dire et aller, faire et coin-cer, donner et ruser, peser et viser, être et naître à une vie nouvelle "d'éternité " si tant est et qu'est-ce qu'on en s ait ? on chercghe le trait, passage des fées, entrée, trait gravéb par où s'immiscer sans désemparer et pouvoir passer pour (du coup) se retrouver à pouvoir rezgarder (donc : de l'autre côté) ce qui est qui est, qui nous regarderait aller, tracer, chercher, reluquer, cerner x données et nous bousculer à devoir de fait , ici, comprendre, comprendre "ensemble", ce qui se présente en termes de ... "façade intense" ..... ce que c'est ........ ce qui est .......... ce qiiui se trame ..................c.  e qiui ici en vrai se trame, qui nous regarde, nous épie, nous mate de la tête aux pieds ........................ épi de blé ......./............... riz complet ............................ vie sur pied ..................................... trait sur trait ................................. vie allouée à une véroité"outrée" , du genre  : mots orduriers ! ........................................../............................. qui sait ? ........................................................................ on a envie, en vrai, de pouvoir (sans traîner) chercher à cerner, à cerner de près, ce qui est qui nous regarderait ici de pied en cap, du moment en fait que nous voi:là passées, comme, toutes , pour le coup, remontées de chez remontées, du fait que oui, on a les crocs ! on est colère ! on est les fées (ou la fée) colère ! cxar, oui, on voulait en vrai, tracer et cerner, sans succomber, sans se casser le bout du nez , et nous voilà, comme un fait exprès .... chahutée et comme transformées, de but en blanc, en ..... eh bé B2B2 !! merdxum ! on voulait demeurer (de fait) fée , pas  nous transformer ou être transformée ! en (qui p^lus est) bébé ! béb é né ! nouveau-né cherchant de fait à tout de suite téter ... téter le nén"é ! oh zut et mèfle ! merde / enculé / mèfle", on voulait demeurer .................................. demeurer fée ....................... fée des terres aux bêtes ................... pré aux fées agrairesx .................................................................... fées ailées ok mais les pieds sur terre, merdxe ;! .............................. =erde de chez merde ! ça nous fait suer ! .................... grave ça nous emmerde ! ................................................................ on veut (on voudrait) rester fée , fée des bêtes, fée-bête, bête de trait, bête des parois de traites, bêtes-nées sur paroi ornée ! merde ! .................................. nous voilà ... bébé ! transformée ! changée ! re-née ! re-re-re-re tracée ................/........... à jamais ? on ne sait car, voilà, le bébé sait mais ne dit pas, ne dira jamais, car  bébé né deviendra .... non-bébé, et perdxra (en quelques sorte) les do,nnées données au passage de porte ! ............................................................................. porte haute .............................. porte des portes et autres passages doctes .................... hourra ! houura la foi ! ....................... porte haute pour passage hot ! ........................... voilà ce qui (nous) va ! on mùonte ! on re-monte ! on gravit la paroi ... au son des cloches, des voix, voix de l'au-delà, sons de poche ! tralala , glouglou roi et autresbruits detrype borborygmes 

borborutmes borboruitmes non inteintionnels ! voix ! voix de ventre entre ! La voix ! on envoie ! transe ! on charge ! on veut comprendre grave les données du ventre : samba ? traits des voix qui feraioent sens ? portage de voix ? antre de paroi ? On veut : dire et sonder, faire et chercher, comprendre les données les plus ancrées, faire ainsi que la vérité telle qu'espérée puiise de fait "remonter" via ... le passé, qui sait ? passé-transe ? on veut y compter ! On veut toucher et espérer, tenir et gronder, dcrier et coller, cerner et portert, porter loin les remontrances, chercgher dense, creuser, voir loin, essayer de se porter au plus lointain du plus lointain, du post-pré possible ... les nénés ? le passé .? la france allouée à une sorte de Passé d'enfance ? on veut grave toucher à ce Néné des Contrebandes. Qu'st-ce que c'est ? est-ce un v  rai néné empli de lait ? est-ce un néné prêt -à téter de fait ? est-ce vraiment un "vrai de vrai néné" ... à téter de près ? qu'est-ce que c'est que ce néné ? néné népost pré ? est -ce que ça swe pourrait ? qu'est-ce que c'est que ce néné dit "des nénés " ? un ..... trait ? trait comme tracé dans "l'éternité" des données de roche ? post-roche ? néné né sur pied la mort (ladite mort) actée ou une fois actée ? qu'est-ce que c'est que ce dit "néné de poche" ? une sorte de "Roche au lait " ? rocher dit "de lait"" ? lait de roche ? lait-né ? lait de trait ? trait de lait ? lait alloué ou ainsi alloué à une sorte de rondeur de roche : le Passé ? qu'r'st)-ce que c'est que le passé ? la Rocxhe ? les données de Roche ? un trait ! une sorte de trait alloué à une sorte de donnée de roche ? le passé passé ? trait de fée donnée sur Roche des traits  ? une sorte de .... porte ouverte sur ..... les données sûres .... de la vie offerte , comme qui dirait : à jaùmais ? On espère ! On mate grave. On n'en loupe pas une. On essaie de comprendre les demi-mesures, mesures et alluresz, les données des termes, les entrées et les sorties, les mots de bêtes, Paradis. On cherche. Vie vite. traits ! oups, c''st fait ! trzait de coupe, et hop, immixtion du front ! haute porte ! le pasqsage docte ! trahisobn de roche ? crevaison ? on monte ! .................................................... hautes ..................................................................................................................... on creuse-monte ........./...........  on veut en vrai toucher le Vrai .............. dire et toucher, faire et aller, cerner et ne pas succomber.............. aller de chez aller, cerner de chez cerner, pister de chez pister, dire de chez dire, coller de chez coller, voler de chez voler, tracer, aller-faire, pousser, dire-cerner, chercher, pouuser-comprendre, en vrai, les données de branche : 

il était une fois, sur terre, une sorte de donnée en herbe dont le nom , ma foi, était .... et là : trait ! de coupe sagittale, la paroi trembkle, rupture de vvoix, pas de chance on ne saura pas ! la transe ! la danse dxes Voix, paroi-anttre, on veut (de fait) aller-cerner ce qui, ici, est VOIX ou VOIE, trait de VOIX ou trait de VOIE, la vie ou le vit, le chant ou le cxhamp, l'envoi ou l'en-voix, les données de base, les données de rage, les données sardes, les données données comme à la parade et autres vérités basiques de paroi de charge. traits de coupe, oups, chute sabrée ! On veut toucher toucher, cerner cernerr, dire dire dire, composer composer, déduire déduire, compter compter, faire ainsi qu'en  vrai on puyiise ici (paroi) en avancer le plus possible dans les connaissances et auttres savoirs concernant .... la transe ? panse ? chance ? france ?  et autres données données de face . On monte / on entre ! traces , vies, trous, charges. On est Fée de base sur paroi "étanche" : le langage = le langage-envoi, la charge mentale, traits de voix sur pierre tombale on voit ça . On entre. On est là. On regarde . On cherche sqa voie. Passage. trait. porte ............................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................porte astrale.

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3/2/2025

On veut comprendre = on veut toucher à ce Néné de Contrbande, alloué ou comme alloué à une sorte de Donnée de Base post-muret = le tracé de l'Ambre ? on ne sait ! On cherche à cerner mais ce n'est pas donné car, oui, en vrai, il faut traverser , passer, passrr de l'autre côpté du muret ... sans s'abîmer, et pour ce faire il y faut du doigté, de la oersévérance, du doigté pour ainsi dire jugulé, de l'a persévérance sans lâcher. Du vif des clartés et autres qualités  donnés comme par la bande. On veut en vrai toucher à ce qui se présente de l'autre côté, et pour toucgher à ce qui secprésenbte de l'autre côté il ne faut pas traîner , il faut treacer, ilfau t creuser de cghez creuser la roche finale, ce lmuret bien nommé qui nous sép are de la Vérité des Données de Base : ce que c'est que ce Néné, la Branche, le Tracé des Fées post-muret, les Ambivalence s Nacrées, la Chance au Passé, les Données de Rage. On avance. on veut grave passer ensemble : fées. passer de chez passer ensembkle et regarder et ne rien louper de ce qui se treame / présente quasi à nos côrtés puisque la Chose ...  n ous fait face, qui regarde-mate ce qu'on fait sans nous abandonner jamais. On mate ! à notre toutr on mate ... mais, comment mater qauand on est comme nous, de Rage, les Gnous de la Parade et autres buffles dits "Du /Mou" ? on mate mais voilà ... on rate ? on ne voit pas ! on gvoit ? on voit quoi ? on voit ça : la Base-Toundra (les plaoines de base) ? le Nacré Tracé ? l'Ambassade aux données données ? On voit qauoi passé la Marche ? le Passé ? passé re-né comme à la p arade post muret ? on mate grave. On a envie méga de (pour le coup) cerner-comprendre lers données de Rage de la Mort "en veux-tu en voilà" qui, de fait , serait de connivence , avec ... eh bé, cette sorte de "fée" allouée au tracé post -muret de base. = la Fée F ade ? fée des traits et autres tracés de Nénés = Lait ? fée-Lait ? ça se pourrait ? que la Fée post-muret soit du lait ? du lait pour Bébé ... ou alors le Bébé (lui-même) comme on l'aime ! Bébé des Bébés ? on cherche ! on veut : 

toucher de chez toucher à ce qui est qui, dans la mort, est. et pour toucher il faut traverser. et pour traveserser il fautpassser , aller, creuser, tracer trait et creuser à même les données murales  ! poussserr ... chercher à passer qui le bout du nez qui les ailes de ce fait un tantinet rognées si l'ion n'y prend garde, c'est vite fait ! On cherche ! ... à passer c'est un fait ! on espère ! on veut toucgher à ce qui est (ici = MOrt)à nos pieds ou plus loin si jamais. Qui on est ? frée ! fée nous-mêmes. Fée du préjuste traversé. on est passé d'un pré (cimetière ?) à une sorte de ... plaine pleine ! plaine des données " achzevées" ... plaine aux données données à qui traverse le muret sans désemparer "à la Romaine" ! On aime ! on veut toucher ! On veut aller si possible loin sans jamais rtraîner mais tout le contreaire : tracer, filer, ne pas traîner jamais et y aller de noc "commrentaires" concernant le Passé ici rencontré ... notre passé .... passé "en herbe" si tant est, Passé "blême" ? on ne sait ! passé des Passés et ça le fait ou le ferait ! On aime ! on veut creuser de chez creuser la Terre ... du Passé comme qui dirait ! On veut toucher à ce Passé vpost-cimetière = se retourner, revenir pour ainsi dire ... en arrière, si l'on pouvait, et regarder "derrière" ce qui est qui nous i téresse . Le passé est né (= re-né) "derrière" ... Passé-né, passé des Passés-nés ! ion aime ! on aime .. le lait, alors forcément, le Passé, on aime ! on aime téter ! on a envie de lait , d'eau des Fées et de ... Lait amer ! On veut ... téter téter téter téter téter, de ce lait de Mère et cela en vrai, directement branchée, carrrément allouée à une sorte de téton nacré du genre "bouton", "bouton doré" , sein de charité, caresse mère, fait loué , tréit des traits sur Roche Passée. On aime = on veut toucher ! Toucher cde chez toucher à ce .. néné = néné d'herbe ? on ne sait de quioi en vrai, le Néné (le fameux Néné), est fait ; ... de Lzait de Mère ? de'herbe verte ? de mots des prés comme ... conservés ? mots tracés qui seraient passés, sans tra^îner, de l'autre côrté (via le cilmetière) jusqu'aux nénés (post-muret) tels qu'on les reconnaît ? on cherche ! et si le Verbe était .. ancré  , comme qui dirait ... : éternité ? on cherche ! on est dans un pré prête à traverser et nous retrouver de l'autre côté de ce cimetière, ici, aux herbes vertes. Et de là, nous retrouver ainsi adoubée par ... qui sait ? une sorte de ... Bête post-pré, Bête de TRait, Bête-Somme (en somme) ou Béte Grosse des Travées ... Bête de Somme post-pré qui nous regarderait en vrai sans loucher et nous inviterait à venir lui donner quelque chose (de fait) comme une sorte de ... tétée ? tétée Rosse ? tétée forte ? tétée des Tétées ...  en somme ? On est Fée des Fées voulant (grave) téter la Chose = pis d'Ombre ! ce Néné né ! cette "sorte de Néné" qyi serait né, directement, depuis le (ou du) Passéprésent (ici présent) . On cherche ensembkle (ailées !) . On se resdsembvke ... et qui se ressemble s'assemble : ailées ! on aime ! on aime nos ailes ! on s'aime ! on veut s'aimer et tracer et traverser et passer ensembgle (ici même) post "muret de FRance" ! gracve , on veut ! on veut grave ! on ne veut que ! on ne veut que, cette chose ensembkle, à qui mieux mieux : la Trace ! le Passé Furieuux, la Rage des Dieix, le Passé Humble et miséricordieux qui nbous ferait face et nous ferait pour ainsi dire dire (enfin) les mots de la fin (mes aieux / aieules) sans fin ! On veut ! on ne veut que ! on aime ! on aime Ce trait, ici alloué à une Sommité aux Données Données : Bufle au taqauet ! bison fûté ! chevaux ailéss ! bouquetibnes cousines ! ours et ourses mal léchées qui nous regharderait sans discontinuer, depuis la Coursive ! ailées toutes sur pré , nous voici comme "adoubées" post-pré par une sorte de Bête Lascive , ou sinon lascive vive, ou zinon vive lucide, ou sinon lucide avide ! voilà : avide ! = prête à ça : se remplir de voix ! voix de l'au-delà ? du moment (voilà) qu'on est là ? on voit ! qu'est-ve qu'on voit ? la cîme ! la cime des boios ! le Haut de là ! 

la Paroi franchie le Passé naquit et nous vit aklller comme à kla retombée post -pré ! 

vie de fée allouée à un post-muret aux données données vives et comme données à une sorte de ... plaine vide (vidée ?) de type ... Sein Donné, comme au débotté ! la Chine ! le tracé des Ruines ? Omeleztte fine et autres mets post-pré comme s'il en pleuvait, qui sait ? On veut toucher à ce Néné dit "du Passé re-né". Et pour toucher à ce Néné , le mieux c'est de ... rire, à gorge déployée, sans sourciller, sans se gêner, sqans se faire mousser, sans honte ni contrariété. Téter ! téter ! dsu lait de Néné, dont le treacé serait comme dessiné par , qui sait ? la Fée de l'Hydre ? on ne sait en vrai mais ... on szoupçonhe, on se dit que peut-être, en effet, l'Hydre ... ou sinon l'hydre , quoi ? car voilà : le lait coule ou coulerait, nous alimenteraitb en Passé Uytile, nous ravigorerait et nous ferait du coup peut-être "revenir" à quelque chose de (à nouveau ) concret  ... comme l'huile, le vin, l'eau acide, le pain, la farine ...  vivement la quille ! On esrt Fée-Vrille, et ...eh bé oui , on veut VIVRE ! sans céder ou sans jamais cesser , céder ou cessser. On veut ... vivre vite ! treacer = filer. Comprtendre = pistonner. Prendre = cgharger et trouver jonquilles, fleurs des prés, myosotis des rives, bleuets et autres m arguerites coupées. Cxharger = dire. faire = montrer. dire = Rire. Allouer = ccernber ce qui, post pré, se donne à vivre à tout jamais , ou se donneraiot. On a envie en vrai de toucher 

 à ce qui est qui serait de fait ... eh bé du Néné, du Néné de Fille ? Fille Ivre ? Fille des post-prés telles qu'ion pourrait (de fait) les aimezr , car , le lait on voudrait ! téter de chez téter ? qui le sait ? qui connait la Fille ? le tracé humide, goutte de lait, collostrum nacré, lait de fée-fille ainsi rencontrée et dont le nom ici est ... Passé ! Padssé-Quille ! tracé ! trait des traits ... de lait = Fille-Quille. traits ici allouées à une sorte  de Néné de Fille, tel qu'aimmé car plein de lait salé-sucré tel qu'on aimme en vrai le téter vif ! vives ! on veut toucher ! On ne veut p as traîner mais vite vite vite aller vers l'IF, le trait sucré -salé, téter de chez téter et nous en foutre plein le gosier, de ce lait de TRait, lait Nacré,lait de Fille allouée à une Sorte de Passé ... en friche ? ... qui sait ? on est :

née fée la mort venue

transformée en Bébé kla mort dépassée

Re-né à la vie le tracé (trajet) acté = abouti ! 

On veut :

creuser de chez creuser, non la meu mais les données de traits telles que rencontrées post-muret = post-absurdité (?) des données de Roche ? ... ou disons : post-approche des Bêtes MOroses et autres Bêtyes de Cloison. On veut toucgher à  c e qui pôur le coup pour nous nbous semmbble "de bon ton" , soit : pasx (du tout) maussades ! mais, gais comme pinsons, bgelles parades , promenades avffables, points des ponts et autres pontons ! Chance au tison ! la PARADE ! le trajet du front ! La palme de plage ! amuwsements sardes et autres faits du genre sade !le tracé nacré est le tracé de b ase.  Chair à pâté ? pas que je sache. LE treacé des f ées est (serait) préférabl ! On veut toucher = dire = faire =c erner = comp^rtendre = consacrer = allouer, à un faire, iun dire des prés, et aimer ! aimer grave le p âté pas spécialement, mais l'ambience ! le Néné sage ! pas sade mais sage , du Verbe ..... "Sager" ? ... SCerner, comprendre, toucher le Néné, toucher de chez toucher à ce dit "néné ... du passé" alloué à une sorte de SAvoir de RAge = le fait vrai = Vérité NAcré , jambage , trait ancré , Passé Sage sur Passé de Rage = superposition des passés de base, et nous voilà"aiméz" = allouée, à une sorte de Passé re-né du fait du Néné ainsi tété ! On sait ! on sait ce fait ! On est née (re-née) post-pré, post plaine, post -treacés de traits : post-lait ? post -muret = plaine ! La des plaines pleine ! pleine de lait du fait que, oui ... le lait coule à verse ! dans le gosier ! direct tement coulé ! coule le lait post pré ... 

en notre bouche ouverte ... de Bébé, de Bébé alloué à ici cette plaine aux données dernoières = le Passé ! comme Nacré ! sacré Passé ! dire chargé ! On aime téter , c'est un fait qu'on ne saurait masquer, tout le contraire ! téter de tête ! téter vrai = en vrai, le cimetière loin derrière ;;; la vie re-née ! . On aime le Lait des données dernières ... premières ! les dernieres seront les premières, puisqu'on renaît à de nouvelles terres et autres cxhamps de blé tracés  ! vrai ! carrsese données ! aimée ! doucement nourrie, d'herbes vertes et autres pa^querettes ! vaches à traire ! souris verte ! on aime ! on veut ! on creuse de notre mieux. On creuse la terre, les données de l'herbe, le rtracé intègre et autres traits (de roche) nominaux : aurochs-ombre et autres bêtes à museaux, de type : antiloipes, bisons doctes, chevaux, chevales de trot, rhinocérosse, corps de peau, buffffle au tonneau, ours-de-poche. animaux-mots des données de Roche tracées au couteau. On veut comprtendre le morceau. La Roche au tonneau, l'ivresse des mots , des mots de trop, des mots-animaux sur peau, et autres mots des catacombes. Le Mot "Mot" ! Le mot des Approches de Roche = Comptes, Comptes FAux ? comptes de Poche = anicroches. tonneau ! je ne boirais pas de ton eau , mais de vin de Roche et autres A2lcools Hauts en termes de Niveau. on monte ! honte ? on veut aller ensemble au plus haut niveau des Données de Rage .... et du coup , toucher ! la base ! les pieds ? qui sait ? le Passdé de Frange ? l'Ambre ? l'Ombre portée ? la chaleur tournante du Passé re-né ? Qui le sait en vrai ? qui connéaît d'assez près les données romanches ? le Passé Nacré, la Panse, les Nénés, le Lait Fran c et kles nénés nés ? qui sait de fait ce qu'il  en est, et saurait du coup nous l'indiquer et nous gbuider en ce p assé re-né tel que "retrouvé" la mort passdée comme qui dirait ! né pour être né ! le trait ! la charge = l"'endurance. trait pour trait on veut toucher de chez toucher à ce néné des correspondances et autres assonances liées au Passé tel qu'approché dans une sorte de ... "plaine imm-ense" .... champ de base ... toundra ... Toundsra sans bois (sinon ceux de l'arbre ?) on ezntre ! on veut : 

toucher toucher toucher toucher = téter téter téter téter  , sans faillir ni faiblir et sans non plus traîner car on veut tracer = boire du lait pour en vrai se reqauinquer et pouvoir de fait vite se redressser et re-aller, par les forêts, les prés, les rues vives, charger, chanter, parler la Vie des Données Vives et autres Chastetés bie n situées  , qui sait ? Ontétte le lait ! on aime téter?. On ne veut pas s' arrêterr de téter. ce qu'on veut c'est téter., téter sans s'arrêter, du bon lait de Pis et autres seins nacrés au Bon lait de Vie. Vie post-pré tu m'as saisi : l'envie ! l'envie vive de lait ... salé-sucré ! lait des laits alloués à une vie aimée, acidulée, comme allouée à une sorte de Passé post-pré ! qui connaît ? qui sait de ce Passé ce qu'on pourrait de fait en dire qui soit vrai et non frelaté ? qui connait les traits, la rive, les données en vrai de ce Passé des Rives, des Données Acides et autres dons post-pré qui nous "regarderait" ... vivre = arriver , qui sait ? qui sait de fait chanter ? Qui connéît la Rive-Friche ... la plaine aride... le Passé Vide  ... vidé ? ON  veut toucher de chez tpoucher à cettye sorte de donnée, de donnée vive, qyui serait comme dio nnée à une sorte de Passé tel qu'espéré . On veu t :

Toucher toucher toucher toucher

vivre vivre vivre vivre 

cer ner cerner cerner cerner 

consolider consolioder consolider consolider

alouer allouer allouer allouer

passer passser passer passser

cerner les données et les cirvconscrire, et du coup comprendre sans rire ce qui est qui , e,n vrai et de fait, nous attend ou ous attendrait post-pré, post le pré des dooonnées tracées de type bêtes vives , et, le muret passé, mur aux données de rive, toucher, toucher grave et sans pleurer les données vives d'un Néné à lait, soit rempli de lait, lait acide, ou très légèrement acide mais sucré-salé, aimé, adulé. On veut téter de chez téter pareil "lait de rive". Qui sait ce que c'est que ce dit-lait aux données "riches" ? lait post-pré du Passé Donné, re-donné, au passage (ici) du muret dit "des finalités" et autres fins de pré. On veut toucher à ce néné des données riches.Tracer = cerner, et cerner = toucher. Dès lors : tr acer = toucgher ! toucher l'OR, la Belle REmise, l'Ombre ocre, l('ombre du Sort, l'HOMMEACCOLÉ couché ? la Mort ? 

oh, la mort ? 

mort en haut ? 

on trouverait bde fait la Mort... fond du tonneau ;;; en haut ? on cherche , on regarde, on va, on monte ! on ne se l asse pas de creuser paroi ! on entre ! On aime ça : le chyant de l'antre. On veut : 

dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire diredirediredire dire dire dire dired dire dire dire dire dire et du coup ; ...? percer ! percer de cherz prercer les données du Rire ou quelqaue chose de ce type on dirait de fait ! ivre ! ivre de chez ivre on veut ... toucher toucxher toucher à l'Hydre, ici consacré = adulée ! aimée de chez aimée du fait que l'hydre est ... "de toute beauté ivre"  ... vive l'hydre ! vive de chez vive l'hydre du pré ici deépassé ! vie post-pré = mort acculée ! On veut toucgher de chyez toucher à l'hydre, ainsi rencontrée, loa mort "passée" ... car, 

la mort ...

la mort a ...

une fin en soi, na !

voilà ! on sait ça !

on va ! 

on creuse là les données cde paroi !

on ne s'en lasse pas , on y croit ! on veut ça : croix de bois et a utres croix dites "des Voix ". Ch arge haute de typecP aroles = Paraboles. On est

 Hautes Fées de Roche, p)rêtes à chose, à comment, à aller direct , et sans traîner, vers ce tracé dit "du Néné à téter" la mort dépassée (une fois passée ou dépassée) . on veut toucher à ce néné des finalités ou dites "finalités" , et en avancer ! tracer ! tracer sur pré ! aller ! creuser ! chargerf ! dire et donner à ce nhéné de notre bouche ouverte toute prête ! téter ! boire le lait, en tant que Bébbé nhé ... dans la mort  allouée à, dès lors, une sorte de fée transformée, genre dépassé, genre ainsi effacé ! On veut toucher. On ne veiut pas traîner mais foncer. On veut toucher à ce Néné né .. des données Finales, voix de rage, Trait Nacré, Âme sarde (sage) des données frontales la mort d&épassée (ancrée). On aime aller "ensembke" (= ailée) vers ELLE ... Tracé-né, Vert de terre, XCharge Vraie, HERbe, Trait d'herbe ....? le Passé ainsi tracé / sillon -né ? pont de Roche N acré ? Pertte sèche et autres faits vrais (ou petits -faits vrais) ? qui sait ? car, en  vrai ... on aime ... silloner ! la terre , le pré, l'herbe, le Passé ! Qui le sxait en v  rai ? comment l'exp;iquer ? ciomment faire en vrai pour expliquer ici même ce qui est sur cette szorte de question en herbe ? comment faire pour donner, à ceux / celles qui aiment, un savoir de Roche tel que, pour le coup, on porte ... au cou ? on est ailées ! on est ailes ! elles-fées = ailes ! traits ! bêtes de trait ! tracé ! un tracé post mort naturelle = un traéit ! trait sur herbe ! terre saoulée, sillonnée, tracée , sur Roche de Tertre ! Sainte ! ON est /.... née sur pré la Fée "du Cimetière d'herbe" , ey on volette à la volette , sans tarder dès que passée ! On aime aller. On veut toucxher toucher toucher toucher toucher toucher topucher topucher toucher topucher à ce néné aux données "vertes". sans déconner . Sans traîner tu m'as cerné ! on aime : filer, cerner, comprendre, endurer, se poster, chercher, filer à l'anglaise, semer, concerner, troubler, chahuter, perdre sans perdre, toucher de fait au N2né duu Lait, ne pas succomber mais au contraire faire front, composer avec l'adversité  , se toucher, braire, allouer, à une Sommité, les traits de l'Herbe, le Passé est né (re-né) qui nous "regarde" faire on dirait. Yeux de Braise ? on veut toucher à ce néné post-pré afin de le téter et du coup cerbner, les données fermes, les données données de l'herbe verte ainsi broutée et du coup d igérées, transformée en Verbe aux Données en verve ! traéits des traits, frai, charge olé olé, prières, dons de craie, Herbe-Verbe comme avalé le hjour ouù, il semblerait, on est née ! non pas (encore = de nouveau) fée mais Bébé ! Bébé du VErbee-herbe à jalmais rtracé (le Verbe) sur la terre ferme ... qui sait ? on cherche ! on ne veut pas laisserr tomber.

On veut ensembvle cerner les données, afin de cdomposer , une sorte de Chant ... aux Herbes Vertes , un "trait de lumière" , une Absurdité peut-êtte lunaire on ne sait, on cherche ! on est peut-êtte mal léchées , mal éduquées, mal peignées, fée aux herbes rêches et autres pailles mal placées, qu'importe ! on monte. un tracé est un tracé. La roche "monte". Ça (on dirait ) monte. grave dans tous les cas. On voit ça que voilà (en vérité) la Roche est pente à ainsi remonter jusqu'au dit "néné" post muret  = post-fins de tracé. Alloué ! Néné né alloué à une fin de pré, ça le fait ! genre : trait, trait des trait post pré ! treait de fée traqueée ou sinon traquée poussée, poussée à tra verséer de fait, ce fameux muret dit "du cimetière" , on sourit ! on est AILES; AILES d'une fée en her be, trait d'elfe, un tracé d'herbe ou sorte de. On aime ! on veut. On veut cerner sans débander les données sommaires , rupestres, des finalitésq. Qui on est en cette herbe "aux fées" ... fée nous-même ! on sait, on aime, on va, on creuse, on veut toucher, chercher et cerner , et, de fait, se comme téleporter de l'Aiutre côté de ce "cimetièr aux herbes", et, là-bas, en cet autre côté des voies, chercher, chercher grave des données de Choix, Données Doctes ma Foi, toucher, aller, cerner La Roche, Le Néné de rOche (?) ... Envoi ! envoi ! en voi ! envoi de Roi / reine de l'Au-Delà ! sarde ! sarde-Roi de là, Reine sarde des Paroois ! sarde halte ! halte sarde ! sein né post pré comme à téter sarde ! téter sarde = donner = dire = passer = construiore = monter =chercher = centrer = porter = poser = donner à une Sommité (du genre : Gros Néné de Buffle, Buflette Nacrée) une sorte de... pensée ... pensée "remontée" ... haine ? pâs en vrzai mais ... sorte de pensée "verte" ... charge "verte" sur paroi de roche ainsi percée puis traversée sans la moindre anicroche si tant est ! fée des fées ! cherche-traîne (trai^ne ici allouée à une F2e de FeRme) ! le Passé re-né serait du Verbe d'herbe ! vérité succrée et vérité salée forment le Terme -né d'une sorte de Passé "indemne" re-né, la mort entérinée (actée sur pré-poème ?qui sait ?). on aime ce trait, le Passé -né . L'herbe"-verbe des données tr acées à même la terre, la paroi haute, le fond de Carosses, le Ponton du front. Tombe ? tombe donnée ? tombe haute ? basse tombe ? tombe des tombes ... et le tour est hjoué à jamais, pour ... l'ombre ... l'ombre-homme aux données de Roche ... homme qui laisse (ou perd) son ombre d'homme et ... monte .... transformé .... e,n ... deux femmes Hautes, hautesz femmes formant ailes ... d'une fée en herbe la paroi passée ! on le sait. on est montées. On est montée haute. On veut ou on voudrait en vrai aller sans trainer haut le pls possible en ce rocher des dites "traversées de poche". haute poche aux dooonées hautes. On veut toucher toucher toucher toucher toucher à ce néné klà-bas posté qui, pour le coup, nous attendrait "les bras croisés" comme quin dirairt; dieu des doonnées tracées ? Dieu -dé ? dé né ? dé ? dé lancé ? ,dé du dé ? dé-dieu -né post pré post parade ... ? duieu des Fées sur Passé ? dieu d'Ambre ? D!ieu Vieux ? DEieu des Dieux Vieux ? dieu alloué à une charade ? charade-p arade ? on veut ! on veut eux : les dieux de la Bande ! dieux-déesswses ensemble , trais de feu ! on veut ! aimer = dire. Chercher = conduire. Dire = toucher/ Toucher= cer ner. Cerner = comprendre , comprtendre ensembke , et faire-dire ce qui est, ici, qui nous "rassembke" en tant que cvoilà, on est Aile chacune d'une fée Lacustre ! de paroi. Ça charge ! charge et chante. Ça  envoie du bois. Ça trace ! On y va . On veut ça : la chance, la Nouba, la Fête ensemble, la Joie de paroi, le chant des Ombres à soi, la Voix ! ombre ! ombre à soi sur paroi de France (?) d'antre. On veut ça. une voie de choix, pour enfin ensembkle, aller grave, à dire-faire ici, ce qui donc nous intéresse ma foi, la charge ! poussée docte ! haute porte ! on est née fée la roche traversée ; à présent ... la porte ! les sentiments hauts sur paroi donnée comme à l'arrivée ! On monte . On veut ................................................. toucher tpucher toucher ........................ le ,néné post pré ...................... s ansz louvoyer ni traîner .................... :ais au contraire pistonner sans désemparer et tracer de fait, notre "sorte de" ..... "sillon des traînées" ............... traits sur pré .......... tracés nacrés et autres "tracées dfe fée" ........... car voilà , on est F2e des prés, fée docte, on monte, on veut grave aller, en haut, cerner , cerner de près, les dits "nénés" des données hautesx  .... diei d'eau ? porte haute et, derrière la porte, .. de l'eau ? lait  d'eau ? eaude lait en trop ? haute porte ouvrant sur (en qauelque sorte) une sorte de ... tonneau ?, tonneau de peau ? ombre sur tonneau ? haute mort aux vin nouveau  ? On monte haut à la recherche du niveau. On est F2e De roche sur (à présent) tonneau, rempli de ... flotte ? haute flotte ? lait de porte ? ..................... (crotte ?) .................................................................................................................................................................................................................................././....................................................................................................................................... on monte !  on veut aller haut. 

On a envie ensemble d'aller haut le plus possible parce que nous ; vfoilà, ce qu'on veut c'est ça, passé la roche, aller profond, vers ce genre en soi de donnée de porte. Uune sorte dee paroi des Rois. LOa chose haute qui nous voit . Nous verrait qui sait faéire la java ! on monte ! on est haute ! haute on est ! on montepost-pré sur une sorte de ... bosse ? sein nacré ? Chose galbée ? motte ? lait donné sucré-salé sembkle nous alimenter sans nous empoisonner ! riche donnée! On veut toucher , toucher de près, cerner, coller, faire exprès, téter de chez téter . On veut toucher toucher toucher toucher touycher touchezr toucher toucher toucher toucher à c  e néné des doonnées doctes s'il en est. Néné "de porte" sur post-pré ... qui serait .... cette sorte (ici) de ... plaine pleine, aux données .... "blêmes" ? On aime ! o,n veut creuser dans ces données pour y trouver ... eh bé de quooi ...

rassasier notre curiosité, si tannt est ! Et du coup cerner, en vrai, la Vérité des V2ritész, concernant .... la HAine = la mort ! cette sorte de Sort, vilain Sort, aux données blêmes ! on aime ? on aime ça ? On voit ce qu'on voit ! on ne se lasse pas ensemble de tracer et cher her à comprendre, ici,

la toundra, plaine salée, champ des voix, pararadis des voix. On monte . On est Hautes . Ailes de Porte. on monte hautes vers là-bas la Voie des voies = la Porte, donnant sur .... la voix ? voix des hautes Ombvres ? Voix des Rois et Reines des Voix .... voix de choix post pré de paroi ! On voit ça :

la plaine = la toundra

des arbres ici ou là, à moi,ns que ce ne soit des ... bois de bhêtes (cervfs ancrés et autres cerves allouées à une plaine)

feuilles d'herbe

traits sur traits de type sentiers

herbe à perte d'herbe

verbe saint ici accolé à une sorte de donnée en herbe = l'herbe ! traits ! fée du pré cherche en vrai la Scène ! qu'est-ce que c'est ou : qu'est-vce que ça pourrait être vu de près, que cette sorte de scène enjouée , de type "recherche de vérité" dans les termes ! traits données ! chants de fée ! craintes ! pertes ! sang donné post-pré ça le fait ! on veut (voudrait) rtoucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher à ce Néné post)-cimetière , qui, donc, serait THE Nénéb post-herbe, à savoir ... cdu Verbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh oh en vréi ? Verbe post -pré qui nous pour ainsi dire alimenterait à la façon d'un lait sucré-salé , de type  (hum) "bouillon" ? On chercvhe ! On veut trouver ici ou là (la mort comme archivée) eh bé ça .... la toundra ! grave la toundra ! la toundra des voix ! on veut ça, na ! toucher-trouver = dire-faire c'est un fait dont on ne peut pls se défaire ou se démarquer ! on est fait-faite ! homme des contrées pré-pré, devgient femmpes comme au débotté la paroi traversé, et trouve un pré ; le Pré , sur leqsuel des bêtes (de bon poids decharge) paissent ; va plus loin, monte et trace, et, fin de rage, trouve Voie d'accès comme à la parade en un dernier muret dit "des assonances " , et là ... cxharge ! charge que tu chargeras  ! va ! fonce ! creuse ma foi! ne s'arrête pas ou plus ! met son âme à nu et comme un fait exprès se retrouve ... cul nu (hé! ) de l'Autre Côté, Côté "RUE" , à chercher cherc her chercher, zur plaine au Lait, le Verbe Nacré ; Voix de Trait, VERBE D'HERBE , VERBE ALLOUÉ, VERBE CENTRÉ COMME QUI DIRAIT, VERBE-ELFE ON NE SAIT JAMAIS. ON A ENVIE D'AIMER CE VERBE DIT "NACRÉ" , DU FAIT QUE VOILÀ, LE VERBE EST DU LAIT OU COMME DU LAIT, IL DÉSALLTÈRE, NOURRIT BÉBÉ OU SON BÉBÉ, NE S'EN LAISSE PAS CONTER MAIS AIMEALLER, S'ANCRER, MISÈERE, EN CE BÉBÉ RE-NÉ SUR PASSÉ FRÈRE. On veut aimer ce Verbe Ailé ! verbe sanitaire ! on veut toucher à ici le trait du verbe tracéb ! chercher cher her chercher , à quoi ? à, ELLE, la toucher, l'herbe = le verbe = la voix ! voix des ROis/REines de l'au-delà de soi . La peine. La paroi. Le verbe . Les trois voies sobht là qui nous "atteignent" ! 

voie ! voie des rois ! voie des reines allègres ! on veut ça : faire faire, dire dire, donner de chez donner le dire, faire dire ici la chose "animalière" des parois de Roche. pont des portes. POrtes hautes. toundra. Cerf de Java. Cerfs rois de Sumatra. Cerves des Parois de porte ! haute roche vers là-basz, la Voie des Rois et REines de l'au-delà à soi, mort-ombre, ombre haute, mort haute, ombre haute, mort de l'ombre haute, voix ! on entend ça et du coup on monte aéu delà de soi  ................................../............... haute porte des parois de poche ........................ cohortte ............................. bêtes de poids en tant qu'hôtes .................hotesses accortes ........................ beêtes dee roche accortes et hautesc.......././......... une voie vers l'au-delà ......................... la porte ................ l;'ombre ............... l'ambre ................. l'orme ......../.... la tombe ............... la voie haute vers "l'au-delà à la tombe" = la voix ! ....................................... voix d'un roi / reine de là ....................... porte haute post envoi ..... post-paroi , post-pré animalier, post-teracé de près , trait de fée, post-herbe ................................Un verbe est né dont le nom est "LAIT" on le sait ! lait aciduylé comme s'il en pleuvait  : en pleut-il ? on ne sait ! on veut toucher toucher toucher à ce néné desvoies pour ainsi dire nominales et autres contrées post-parade animale. Peut-on ainsi cerner ? toucher Néné et du coup cerner ? cerner de près ledit Néné ... des Causes Frontales ? qu'est-ce que c'est que ce Pont ? et, qu'est-ce que c'est que cette chose ronde ? Qu'est-ce que c'rst que cette chose ronde ... post-pré ? sein docte ? haute chose ronde ? néné né la porte passée ? sein de ROche / poche sur plaine allouée à une sorte de .... chant sacré ? On cherche. On a ernvie c'sset vrai ensembvle de plus loin toujours allerpour trouver-toucher , ce qui est , ce qui ici se présente ou se présenterait, en ces contrées "finales" mais est-cve vrai ? sont-elles en bvrai finales -terminales ? sont-elles fin de pré ? sont-elles (ces contrées "immenses") des finaliktés ... ou ça recommen,ce ? le néné, le bébé, la tétée .... .? comme en 40 ... qui s ait ? on voudrait comprendre et pour compre,ndre comment de fait se comporter ensemble ainsi accollées (= fée) ?, sommes-nous fée encore en ces contrées  ? sommes-nous transformée ? sommes-nous de fait changée , en une sorte de bébé loué ? come adulé ? On ne sait en vrai mais oui, on va, on monte, on court, on vole, on ne s'arrête pas de chercher ici ou là , ce qui semble nous intéresser et nous regarder au plus près, cvomme qui dirait. A savoir : le SA voir ! La rage". Le trait. L'Antre ainsi trouvé . La porte sur Néné qui sezrait à nous donner de son Verbe"-Lait tout acidulé comme s'il en pleuvait. On veut toucher à ce Néné des Ombres ! toucher toucher à ce Néné ! à ce Néné né ! le toucher le toucher ! toucher en vréi à ce dit "néné" alloué à une plaine toute formée, qui est plaine au lait, lait de cxhèvre, lait de fée, vache à lait, bufflette nacrée, bise au taquet, ourse polaire. On veut aimùezr ! etre et tracer ! charger, de toute sa colère sur pied , pareils nénés afin de les téter sans plus tarder et s'en délecter sans plus de contreaintes ! téter , téter, téter, téter post-cimetière .... eh bé oui, pour ainsi dire, le Passé ! passé dit "fde roche". Trait des F2es Hautes ! la Fée Hhaute ainsi transformée en une sorte de Bébé de POche post-pré et autres traits sur herbe hautes. On monte. On monte haute ........................ vfée des Fées ............................... tétons téton ! ............................... de la Mort Haute ...................... l:a mort haute est téton ......................... haute Mort = Téton docte .................. mort haute = haute CHose ... à téton, de type  ..... SEin docte ! ............ néné né post porte ! laCHose dite "à lait" = allée ! , qui xait ? On cherche à cerner -toucher ! on veut toucher-cerner. Dire et faire. Traverser. CReuser et aller, post-cimetière, à la rencvontre des "Données en herbe" = VERBE ! BVERBE VNACRÉ ! TRACÉ NÉ SUR PLAINE ALERTE! VRai tracé post-cimetière = verbe , voix, voix de choix . On veut : 

dire dire

faire faire

être être

combler combler

chargerv charger

tomber tomber

comprtendre comprendre 

cerner cerner

toucher troucher toucher toucher

aller aller aller aller 

cerner-dire et toucher-coller

et monter ! grave monter ! haut aller ! vers ce lait haut des doonées post-pré comme on en voudrait sans jamais se lasser ! On veut, grave (là ! post paroi, post post paroi) téter Néné ! le (sans arrêt) téter de chez téter et du coup eh bé oui (pas obligé en vrai) aimer ! oaimer téter le Néné en Vie (dans la mort outrée!. Le , grave, téter de chrz téter. Aimer aimer aimezr aimer, téter ce  néné dees données de vie (dans la mort gravée ! on croit rêver !)./; vie haute .... après la (dite) mort-ombre ! on envoie !On monte. On veut ça et ça : la hjoie et l;a Foi ! Paroles hautes et joie des joies. On aime ça. on veut toucher à ce qui donc ici, de fait , sortirait en hjoie ...son néné sucré , et vas-y de nous donner , de ce fait, cde quoi grave téter de chez téter sans se gh^-ener . on voit ça. on tète là, sur terttre. Sur motte-joie, crête, monts des voies, Hauteur Ronde. On monte ! tétons droit ! montons donc, téter Roi /Reine de saba, ça envoie ! ça nourrit son Soi ! c'st folie haute ! On voit ! On tète ça, la Voix ... verbeau -delà ...... au-delà de la Paroi ................................................................./..//////./.............................................................................................V ERBE_VOIX ./.................................................................... VERBE DES VOIX .........?..?.?.?.......................... HERBE DE TOUNDRRA .../........................... OUI ÇA ENVOIE ET PAS POUR DE RIRE, ÇA ;; ............................. LOIN DE LÀ ............................ÇA ENVOIE DES MASSES ET VOILÀ .................... POST PAROI, POST PRÉ , POST, DE NOUVEAU, PAROI ... MA FOI ............................ trait haut sur plzaine du pô ; ............................... poteau ........?..........................  v  erbe-animaux ? ........................................................ on monte ! on veut aller haiut.. On veut toucher au plus haut niveau les choses doctes , toucher -treacer, cerner -configurer , et du coup en avancer , de base, dans les connaissances concernant la Frange, cette sorte de donnée de rage,  tracé-né comme à la retombée la mort à soi donnée par ... on ne sait ! on est ... idiot/ idiote comme ses pieds, idiote/idiopt comme des sot et sottes ! drôle ? pas trop ! on veut le Niveau ! etre grave au niveau du lot ! pas forcément idiot / idiote , mais ;... pltôt ... fortes ! fortes en ces questions de porte, de passage haut, de tracé haut, de porte docte, de plaine accorte et autress champ aux données doctes accortes ! on veut :

toucher-dire et dire toucher, faire-aller et aller-faire, cerner-poser et poser-cerner, et du cfoup , tracer !!!!!!!!!!!!! sur pieds, les bêtes de trait qui touteszc, il wsemblerait, cherchent ou chercheraient à nous amadouer,  nous approcher, nous aimer, nous comp^rendre, nous prendre, nous tenir à leurs cvôtés et nbous mater en tant qu'on serait, qui sait ? leurs sembvlables et ça se pourrait car, en  vrai, on se ressembkle, on est pas en reste de se ressemvker, on entre ! on entre ensembkle ! on veut toucher à ce néné des Assonances et autres connivences post-pré ! romance ? il se pourrait ! chance ? à jamais ! transe ? acidulée ! danse de quartier ? ça le fait sans frais ! c'est une sorte de

 Passé de 🫐 branche ! 

traits traits traits passés  ! traits du passé wserait comme re-nés, au passage du trait ! alloué ! fait ! entériné ! on le voulait ? eh bé ma foi voilà, la chose est tracée , qui nous renvoie, comme qui dirait, une sorte de chemin de croix dans le domaine de la foi et des croyances en l'au-delà ! car, voilà, on y croit , on voit ce qu'on voit, et ce qu'on voit c'est ça : la chance ! parade ! tralala de contrebande ! ça envoie du bois dès que le Verbe est là, qui trace-bande sa bande de voix . Chaerge astrale. Pets de rage . Croix de bois sur place. Chyrists donnés de base et la chose est (dira-t-on ) classée, pour une éternité ... mais est-ce vrai ? doit-on charger , xsaigner, percer, chercher à creuser, à passer, à traverser encore .. la CJHose ? le ... passé post-porte ? encore ? 

on voit ce qu'on voit, et ce qu'on voit ressemble à cette chose d'une sorte de .... porte des portes ? on entre ! on veut toucher aux seins de RAge, téter ! téter grave ! sans traîner ! téter de fait le néné de france = le français = le lait ? ça se pourrait ! ça se pourrait en vrai que le français (la langue) soit du lait = sucré /salé comme le lait de contrebande post-muret ! du verbe (du lait ?) à jamais ? quyi le sait ? qui sait en v  rai ce qu'il en est de ce dit Verbe des Vooies lactées ! des voies "aériennes" ("aérées" ?) qui (semble-t-il, ou semblerait-il) nous gouvernent ...  qsui le sa&it de fait ? On cherche ! on creuse sur pré puis au-delà du pré .. le .../. tertre ? le Sommet ? Dune traquée ? On cherche. On ne veut pas laissser tomber mais tout au contraire essayer au plus près de nous raaprocxher ensemble (ailée) de ce tracé Verbal des termes, et autres mots de force dits Ancrés comme à tout jamais " (est)--ce vrai ? ) . On pousse fort. On veut passer, retrouver le Passé . Chercher à se glisser / faufiler entre x données de type Denrées (?) = baies ? On veut creuser et pour creuser il (nous) faut traverser (à jamais ?) la contrée post-pré , à savoir ce champs ici alloué à x bêtesde traits qui sont soeurs de lait, peut-^tre, mais ... le lait ... le lait du Néné ...... le lait en herbe verte genre Verbe ..... eh bé ce VErbe est .... plus loin ..... post-pré on le sait ......./.. hors giron du pré aux bêtes de trait ........ au-delà du muret ......... on veut trouver !  ...........................................dire dire dire; creuser creuser creuser; faire faire faire ; aller aller aller, et ne plus nous retourner de fait vers des bêtes de trait de par(oi de roche, les "abandonner", les laissr  entre elles superposées, traits sur traits , pour mieux nous enfoncer en ce poçst-pré de type "plaine pleine" ... tertre ............... tertre acidulé ........................... tertre de traite ........................ LAIT LAIT LZIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAOT LAIT LAOT LAIOTB LAIT LAIOT LAIOT LAIOT LAIT LAIOT LAIT LAIOT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT D'HERBE SI JAMAIS = VERBE ! TRAITS ! FAITS ! DONNÉES ! SAINTETÉS COME ANCRÉES EN DU VERBE NACRÉ, NACRÉ COMME DU LAIT , LAIT POST-PRÉ = VERBE, SUR PASSÉ DE TERTRE ! Herbe-Verbe = Faits de fée, commr qui dirai. Est-ce vrai de chez vrai ? on peut en doouter... et cependant .... on y croit ferme ! c'est ancré ! on ne peut y couper ! le Verbe (en n  ous ) est ancréà jamais et ne pourra jamais être oublié ou écarté, même dans l'adversité, par eexmpmple de la mort à l'oeuvre ! verve-herbe est né à jamais, sur terre (?) et dans les cieux(?), en tant que ... colère des Dieux mon vieux ! sanitaire salutaire surnuméraire sumérioenne chahutée donnée d'une sorte de ... fenêtre comme treacée à même une sorte de muret de prêche !  On  cherche ! On veut ..... eh bien ....... creuser La Chose ....... creuser creuser creuser ............ non pas tombe mais, en vrai, POrte ! porte Haute, par où (nous) passer , et pouvopir nous transporter (ailée) de l'autre côté,,côté post-pré, afin de regarder, mirer, ce qui est qui de fait wserait comme donné , offert à visionner, mater de chez mater. On veut mater !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on adore mater !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut grave mater !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ne plus s'arrêter en vrai d'ici mater les choses données ou comme donnés, de type : voies d'accès, argbres de fée", craies, tracés sur pieds, dons posés comme offrrandes (ailleurs ) à Déités, traits ddes traits ;.............. on veut toucher à ce Néné de l'au-delà du pré ...... Néné né dans le Passé on dirait. Est-ce vrai ? est-ce vraiment vrai ? p)eut-on se fier à c  e qui il semblerait nous apparr'aît, les doonnézes s'affichant sous nos yeux tout éberlués , tout sidérés? Peut-on croire en ces données "montantes" ? IOn veut (c'st sûr) toucher de chez toucher les données sûres si tant est ! Ne pas (s'il vous plaît) passer à côté m ais affiner de chz affiner, notre (sorte de) cfomprenure. Qu'est-ce qui est en vrai de tous ces couplets ? qu'est-ce qu'on peut garder ? qu'est)-ce q'on peut décemment enregistrer, adopter, emmagasinner ? que peut)-on conserver de cet ensemble de données allouées à une sorte de "paroi grotesque" ? Des voix ? Mots de tête ? chants celtes ? voix des Rois et Reine de la Voie post-herbe ? quoi ? on ne sait  as. on est ;"bêtes". On voit mais ... on ne sait pas vraiment ensemble ce qu'ion voit ! on est ultrza-bêtes , on vole bas. On ne voit pas loin au loin, là-bas, les données de RAge, l'antre, les embruns de Nacre, ..... quoi ? Nouba ? cha cha cha ? ça danse ? transe ? on voit quoi ? on voit /... la panse ! Roi et REine en place ! panse-Foie ! trait de voie ! trait des traits vers un au-delà qui , de fait, nous envoie parfois .... des messages de joie ? lait des voies ? laits sucréss de l'au-delà ? On voit ! on absorbe ! on avale grave : lait de joie ! lait post-pré des données des pklaines et autres toundra ! 

PASSÉ DIT "ACTÉ", PASSÉ DIT "POST-PRÉ", PASSÉ DIT "DES PASSÉS", PASSÉ COMME DÉTERRÉ ET ÇA LE FAIT OU LE FERAIT. Qui on est ? on est le bébé ! qui en vrai on est ? on est le bébé du trait lacté ! qui en vrai on est ? on eswt ici (post pré) le bébé dit

 "des vies lactées et autres traits du passé passé" ! On re-naît à la vie passée ! on revient aux nénés ! au lait de bonne mère ! au travcé dit "acidulé", mi sucré, mi salé comme qui dirait , et ce .... via le Verbe ! verbe d'hherbe ! verbe en herbe ! verbe vieux si on veut et c"pendant en herbe (continuellement pour aionsi dire) car, éternellement re-naissant, de par son être "enfant" ! verbe-en-herbe des parents, des prêtresz, des "hommes-femmes" de tête. Verbe-êttre aux traits "chyarmants" ... à la revoyure ! On cherche monture ! passé né ! passé des passés enfin retrouvées ! on va, vive allure, tracer ! on , vive allure, allons ! montons ! essayons ensemble de  cerner-com^prendre, ici, tout un ensemble de "raisons de roche", ce qu'elles sont, ce à qiouoi (de fait) elles se rapportent, ce qu'elles comportent ou comporteraient en termes de raisons à certyai,nes données qui sont celles de nos vies ancrées , ou seraient. qiui connaît les mots du fond ? qui cherche à en vrai toucher de front ; cxes donc dites dfonnées ici allouées à une sorte de treacé des prés ... post-pré ? soit .. ancrées à une sorte de plaine étirée jusqu'aux ... nénész vrais ? On ne sait ! on est nées Fées à la traversée (une fois morts /mortes) et du coup transformé(e)s de force , mais voilà .... la mort comme "traversée" , ou , comment, "dépassée", nous voilà ........... redevenue enfant , fée devenue faon, enfant, Bébé -né, post-pré si ça se pourrait, au passé ! grave c''est vrai ! Verbe aidant ! carvoilà : le VErbe est là, ma foi,, qui nous entraîne en ses filets et nous pousse à entrer, nous infiulttrer, nous ancrer, nous placer, nouqs donner et nous monter de roche ! traits donnés sur poche aux fées ! creuset ! coque d'homme / femme traquées , o,n sait ! on monte ! ..................................... on veut monter ........... on veut toucher ......... néné ........... néné né ....../......... néné né au passé ............................ néné des nénés ............... treaits des fés en vrai passés ......................................................... on veut toucher à ce néné de l'ombre (de la mort cxachée : qui c'est ?) .........../................. toucher de chyez toucher à ce néné né ( de la mort cachée, mais en vrai : esty-elle invitée ? hôte ? grosse ? forte ? lait des laits ?) .... On monte ! ..................../....... on v  eut monter monter monter ... hzaut monter de cvhez haut ................... monter haut de chez haut .............. haut de chez haut sans céder ni rétrograder ............... vcoler voler ............ voletter ............/ voletter de chez voletter .............................. tr acer tracer tracer , de fait,  notre ( supposée) destinée de fée toute transformée ...................................... en bébé re-né ! .............................................filer ! ...................voler ! ............. pistonner , tracer, ne plus nous arrêter et du coup treacer sans tergiverser lme trait dit "des fées" jusqu'aux nénés nés  (de la mort pouussé"e jusqu'au plus près de ce qu'elle est !) ...................... pousseeer poussser poussser .......................... la porte des données ou aux données .......... creuser de chez creuser, la roche, le pré, l'ultime roche,; et du coup, post-pré, trouver .... eh bé le N2né, néné à téter, à téter sans tréîner, jusqu'aà  plus s oif si tant est , afin de se rassasier et du coup : renaître ! être ! faire ! chercher ! coçller ! dire ! cerner en vrai les contoursc du Verbe (aéinsi exploré) de la mort à naître ! trait des traits aciduléexss sur tertre ! motte d'herbe ! Verbe-herbe au taquet, et les vaches seronht§ bien gartdées on dirait ! On est née Verbe d'herbe dans la mort allouée à une sorte de contrée post -preé, de type plaine, plaine immense genre Antre , Antre aux Transes ! FRance ? le français (la langue ?) ? qyui sait ! on entre ! ./.................................................. fée de france ? ........................ le français langue de la transex ?????????????????????????? à jamais ? .............//....................................... on peut rêver ! ?................. on veut coller , toucher , cerner, aller, faire et portezr, ici (ailée) la parole haute d'une sorte de .... néné de POche ! ROme ? rome ailée ? la roche Passée ? trait des traits et bnous voilà comme "recomposée" ... bébé ! bébé ! bébé docte ! bébé des bébés doctes ! haute porte enfin passée nous voici doctes ! bébé docte ! trait des traits sur passé outré ! come re-soulevé ! re-tracé ! re-re-tout à jamais ! éternité ! bébé né sur pied pour une éternité dee Verbve Alloué ... par charité ! le pied ! l'ombre portée ! Chose ancrée ! frai ! trait nacré ! sonde allouée à une VFérité postée comme à l'arrachée et nous voi:là re-né devant la porte, touché ! On veut :

creuser

donner

pondre

toucher

cerner

poser

connaîotre du Verbe les données ancrées qui, de fait, pourraient s'avérer , en vrai, super de chez superrutiles , si tant est, pour en avancer, grave, dans les connaissances . a savoir : en cette chose d'un savoir Iùmmense , concernant l a Voie, la Voie de Passage, le trait  , trait orné par où , obn pouurrait peutêytre (ailée ?) passzrr à tout jamais et du coup co nnéaitre de plus près ce qui est qui en vrai seraéit (qui sait ?) à noius attendre de pied ferme (?) de l'autre côté , cvôté néné, néné en herbe, néné dit "du verbe  et des données ancrées ", néné né à la retombée , à moins qu'il ne s'agisse de néné ancré en cegtte "roche ultime des données" ici treaversée , post-pré, post-herbe, post-bêtes de trait, sur plaine, plaine -immensité, plaine à pertte de tracés ... plzine pleine de données qui (qui sait  ?) seraient lavctées comme (comme qui dirait) la voie céleste, en ces révolutions agraires et autres circonvoluctions rupewstres chahutées. Traits.

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28/1/2025

on cherche = on furète ! On veut svp cerner les données de ce qui se présente sous nos yeux de fées allouées à une sorte de rotonde aux bêtes de trait et autres bêtes dites "des tracés sur herbe broutée". qui on est ? Fée des Fées sur pré "de Roche" ! hop ! on monte ! on grimpe sur Roche au plius haut niveau des nivgeaux ! Hop ! montons fort ! alloons ! traçons de chez traçons ! filons , creusons, traçons fort notre sillon ! On est Bêtes-Fée de somme, hop ! on monte ! Ailées en vrai ! on est les fées pour ainsi dire des données de Roche, et du coup, on monte, on cherche ensemble à  oui, du coup, monter, monter sans plusz attendre et à nous poster ... au plus près il semblerait de ce muret dit "des finalitées" qui, de fait, est ce muret qu'on peut ou qu'on pourra trouver ... tout au bout de cette sorte de rotonde aux gnous, aux buffles oufs, aux antilopres des antipodes et autres betes de paroi de Grotte, s'il en est. On cherche, vaille que vaille, à comprendre ensemble ce qui est ici qui semble on dirait vouloir nous parler mzais est-ce que c'set vrai ? on cherche à ici nous rapprocher de ce muret qu'on dit ou dirait "des finalitésés" et une fois, ainsi, sises à son côté ou à ses côtés, eh bé ça : toucher ! Car, nous, on a vraiment envie et pâs qu'iun peu, "d'y aller", c'est-à-dire de toucher de chez toucher à ce muret fiinal, à ce muret d'enceinte terminal, à ceztte sorte de muraille à, de fait, traverser ... fissa ? pourquoio pas ? et du coup "passer" comme ailes de Fée qui s'infiltreraient accolées à travers telle anfractuosité tracée à cet effet. On tente ! on entre ! On veut comprendre ça veut dire ça, qu'on veut (en vrai) traverser, conjointement et sans traiîner, cette sorte de muret dit "des convenances " , on ne sait pourquoi. On entree = on pasqse. On veut passer et pas trépasser ou ... oui , trépassr ? ça m'étonnerait. OEn tant que Fée on veut passer,  ici, ce muret, mais sans trépasser ! On nveut tracer mais sans succomber. Notre ambition ou notre but ou même notre envie ici, est de pour ainsi dire treaverser ledit muret ("des finalité"s) mais, en vrai, sans trépasser, sans succcomber. On a super envie  de pour le coup pouvoir ensemble, en vie, tracer soit continuer sur notre lancée et du coup en avancer le plus possible dans les connaissances ditesc "frontales". On veut (on voudriat) comprendre, les Données Dernières = ce qui est (qui trône) en ces antresb (ou fossés) hors pré, hors prairie céleste au x bêtes de trait et autres bêtes néanderrtaliennes. On veut ... ehh bien, cette chose : toucher, Les Nénés à Lait. C'est-à-dire creuser, foncer, pousser, chercher loin ensemble accolées les données profondes qui, en vrai, pourraient nous renseigner sur ce qui est ici, en Roche, des finalités teles qu'évoquées. On a envie ensembke de toucher à des choses nouvelles qui, de fait, pourraient grave nouys placer sur de nouvelles pisztes jamaisb à ce jour encore emprunjtées. Et pour cela, le plus simple, le voilà /: tracer ! creuser ! filer ! ne jamais si possible s'arrêter où qu'on nsoit placées, car voilà, on rentre ! on entre en cette sorte de Paroi du bout du monde et là, ob-n tente "une approcxhe Haute" , genre : contrôlr, genre contrôle des Normes ! On veut tracer et contrôler = mater. On veiut = on voudrait, mater mater mater au plus haut niveau et du coup eessayer de pour le coup se rapprocher un tantinet de cette Vérité dite ... "des Trous". car, que sait-on des trous ? que savons-nous concrètement des TRous,  tesls qu'on peut peut-^tre en trouver tracdés ou dessinées le Muret passé ? On ne sait rien ou pas grand-chose. On a&imerait enh  vrai s'y connaître mieux ou un peu mieux. On voudrait cerner au mieux nou!s deux, les données qui sont comme "exposées" de laAutre côté de ce muret dont on ne fait que p arler en particulier , mais qui en vrai est ce même muret déjà rencontré "de l'autre côt"é" quand on est rentrées en cette sorte de jardin des Fées . Mur rond des Zones Allouées aux Betesc du front . On connaît. On trace. ON regarde. On cher che. ON creuse. Ici le but (avoué) est de treacer profond son propre silloon. DEe creuser en vrai que tru creuseras ton ^propre pour le coup sillon de HJoie, creuser profond son prpopre silloon ... jusqu'au Front = ce muret des bas-fonds, des données profondes hautes. Et ......... regarderv +++++++++++++++++++++++++/+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ au plus près de ces Nénés dont on ne sait en vraéi pas grand-chose hormis cette histroire de Lait. Car, à qui sont cesz nénés ? à qiui appartientent en  vrai ces Nénés tels que rencontrés eh bé oui, le muret passé ou traversé. ? On mate ! A qui donc ces seins dits "de Mère" appartienhent -ils qu'on ne connaitrait pas ou qu'on ne connaotrait ni d'Eve ni d'Adam ? à peut-tre une sorte d'entité "imberbe" ? à une Autree F2e Souveraine ? la Reine ? L'abaielle-fée Reine ? loa Belle Reine des Contrées Absolues Finales ? à qui ces seins-nénés ^peuvent-ils donc appartenir qu'on ne connaîtrait, qu'on devooinerait peiut-être mais qu'on en vrai ne conaîtrait ni d'Eve ni d'aADm ? à une sirène ? à une Fille -Elfe ? à un Homme-tronc ? sorte de Front ? on cherche ! on a pas fini, en vrai, de cxhercher et de creuser mais bpeu importe car, en vérité, on aime creuser, chercher, fouiller comme des furets, ici ou là la terre, la paroi, le tertre, les données de Roche et autres  sortes de renseignements existentiels de première. On aime. On aime fort creuser ensemble ce tracé donné (comme par la bande) et trouver si jamais un certain nombre de renseignements peut-êtte premiers , peut-^tre primitifs ou sinon primitifs ancrés au plus profond des données terrestres . On est Fée d'Herbe, Fée des prés, on ne cesse de voleter à la recherche de données en herbe (ou pas) pouvant si possible nous (grave) renseigner de plus près sur ce qui est qui existe la mort pour ainsi dire "traversée". par exemple , eh bé oui : ces Nénés dits "de contrebande" .... lait de vie ! charge ! fente !fente ! Trait de vie szur paroi finale ! On e,tre ! on est nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! de chez Nées ! On est rentrées comme en biais mais quand même entrées. On le vouylait, on pourra dire que c'est fait ! On voulait tracer ensemble ici ce trait d'une sorte de ... passé de Branche(?) , eh bé voilà, considérons mla chhose comme entérinée, ou actée . Allons creuser ensemble ce fameux Néné = teter ! Car, creuser = téter, en ces contrées des zones profondes. Nées = Passées. Car, on est nées sur pré (fée) nous voilà comme re-née hors pré (Néné ?) . On veut toucher à ce qui se présente ici (ici même) sous nos yeux. Qu'est-ce que ça peut être ? on cherche à deucx (deux ailes) à nous (pour le coup) rapprocher, le plus qu'on peut, de cette sorte de zone dernière qui est zone des tracés hors pré. Qui on est en cette contrée ? encore Fée ? bête de trait ? bêtes de trait ... au pluriel ? fée des TRaits ? ou alors ... tout autee chose .... une sorte de ..... Bébé d'Or ?  Bébé des Bébés ? On est la F2e du pré qui veut passer à travers ce muret ou dernier muret direction la Roche, soit la Roche Ultime aux doonnées Vives. Un bébé... eh bé qui sait, ça se pourrait ! On ne sait ce qu'on est la mort passée. On ne sa&it pazs en vrai ce qu'on devient une fdois morte et enterrée pour ainsi parler. qu'est-ce qu'on devient ? qu'est)ce qu'on fait ? nque faisonsz-nous le Muret des Finalités (hors rotonde) u ne fois passé ? Peut-être ... pitié ? faisons-nous pitié ? faisons-nous réellement pitié le muret une fois tracversé ? faisons nous pitié de fait ? tétonsz-nous ? sommes-nous en train de téter , de téter au frais ? de téter au chaud ? chaud les Animaux ? On cherche. On creuse nptre pensée. L'important (le tout) est de creuser sans discontinuer à travers les prés une sorte de sxentier qui pourrait éventuellement nous amener au plus profond des données de Roche, genre "connaissances des bas-fonds et autres fonds des Roches Hautes". On monte . C'est-à-dire que voilà, en creusant (bizaremment) on monte . On va haut. On veut toucher ensemble à ce Niveau, le plus Haut qui se puisse atteindre et là mater, mater grave,= observer, nhe rie,n léisser passer , mirer, mirer grave les Nénés si tant est et aussi (sait-on jamais) tout ce qui autour ou à côté, aux alentours de ces nénés, pourrait évezntuellement trouver à s'y trouver, genre ... tracé .... tracé-filament .... trait ..... trait ourlé ....... treait des traits ourlées ..... trait des traits ...... trait orné de nouveaux traits ourlés .... ourléscpar paeut-êtte d'autres fées ... ou qui ou qu'est-ce .... qyui seraient déjà passées et donc auraient treacé des traits dits "de Tresse" " .... tresses ourlées, gravées ..... tresses de fée ? on ne sait ..... tresse-graisse ....... tresse de graissse ....... tresse ddes tresses de graissse et autres tressesv ici ourlées par peut-^tee d'autres fées que nous qui (auteefois ?) seraient venues, ici même, pour connaître par le menu les données post-herbe telloes que nous mêmes aujourd'hui même on aime ! on ma te ! on regarde ! on cherche à comprendre. Qui on est ? celles post )-pré ici passées comme par contrebande en ce muret des données Dernières d'Antre. Fée. On est F2E. Fée des prés puis hors du pré .... bébé ? on ne xsait! on cherche à cerner. A si possible essayer de toucher à quelque chose qui pourrait ici de près ou de loin ressembler à une chose ... ourlée ? genre quoi ? Oreille de Roi ? oreillette de PAroi ? oreillette de REIne et Roo des Fois , foi dans l'ombre ou foi en cette chose dont le nom est "Ombre" ? On est la F2e Dite 3Souveraiene, souveraine-souterraine, on creuse ! ma foi on creuse ! on ne se lasse pas de toujours et encore creuser de cette roche des données ou aux données "de poche" , soit "de gonfle". On monte. On monte Haut Les Anim aux . On creuse-monte haut. On vfeut toucher à ces données de Roche Haute, et tracer, creuser, dire et donner. On est nées Fée à la traversée du premier muret (ou disons du premierr) puis bnous voilà qui sommes allées ici au plus lointain, hors pré, les ailes déployées, pour essayer (en vain ?) de cerner au plus près les données des Rêves , des Songes Ourlés (?), des Termes Certains, des Vérités telles que, peut-êztre ou en vrai, espéréesz . s oit recherchées. On veut toucher ! Qui pour nous aider ? c'est vrai que nous ce qu'on aimerait en vrai le plus, ce serait peut-^tre de pouvoir connaître (un de ces quatre) une sorte de  Vrai Parade, Vraie Tracé ou autres FVérités de Charge. qui connaît ce genre de données en France ? en France ou hors de France, la question n'st pas de la France, .... du français ?, ah ! voilà ! la question, ici ou là, est peut-être liée de fait, à une langue (une langue p arlée) en particukloer, et du coup, ici, le Français (la France on s'en branle!). On voit. On voit ce Ro , ce Roi des ROis, Reine de SAb on voit. On mate gr ave Roi , Reine de là ou de l('au-delà. Roi et REine Reines. roi reine et Reine Reine : ça ! On voit. on ne traîne pas mais tot le contraire , on file droit ! charge souveraieane , trait des Fées sur Pré allouée à une sorte de ... cimetière ... des Données " ? on ne sait ce qui est en vrai mais on est accolées comme qui dirait pour en vrai cherc her chercher cher cher sans désemparer, un chemin non de traîne mais de type VFOIE , Voie aute, VOIe de ROche GHAUTE , VOIE DES VOIES Et là, eh bien .... l'emprunter compme à jamais sans désemparer ou discontinuer car voilà, on aime. On aime voler, marcher, cerner, filer, ne pas nous arrêter mais toujours aller. On adore aller. on ne veut âs traîner mais fissa aller,; sans nbous retourner, vers ce dit "Néné des Fées" (?) ... qui sait ? On monte. On creuse Roche. ON veut toucher à cette Chose d'une sorte de ... mont, Des Hautes Sphères SOuveraibnes. La .... ici .... mort BELLE ...... Mort Haute ..... hyautte mort des données "rondes". Quoi est-ce en somme ? une motte ? une sorte de motte haute ? haut niveau de roche ? ou .... caniveau haut ? haut canivrzeau ? On veut ................................................................................................ toucher en vrai au plus près ce qui pourrait êztre en ce lieu dernier ou dit "dernier", il semblerait, ey pour cela , le mieux, c'est de se rapprocher le plus possibvle de ce muret aux données tracées, de mater de près, de ne rie,n lmaisser de côté mais au contraire tout, ou le plus possibvle, repérer , tenir, conserver, mater de chez mater, essayer de "relever" et du coup cerner soit situer, ce'rner = situer, etc. on cherche ça : la Chance ! On y va ! on cherche, en transe, ça : la Chance Des Voix ! on veut comprendre et du coup voilà : on creuse-trace le T6racé des Chances. On envoie ! on veut cerner (les Choses de Roche) au plus serré. On ne veut pas laisser pisser. On veut :

creuser de chez creuser la roche aux données profoneddss, 

dire de chez dire ce qui est en cette roche Haute

faire de chez faire tous les relevés , et les noter par le menu sur roche nue

coller de chez coller à ce Néné su braepticement rencontré on dirait tandis qu'on creusait ou disons qu'on cherchait ou rechercvhait des choses à se pour ainsi dire mettre sous la dent, grignoter , toucher exprès, essayer de "goûter" au plus près = commpe qui dirait une sorte de "lait de jouvence" ... trait ? trait de lait ? treait lacté sorti d'un Néné post-pré ? on est montéesz et on s'est retrouvées  accolées, comme Fée de Bosse. Bosse H aute. On estb montées de chez montées et on s'est retrouvées de fait a&insi accolées à une sorte de Muret des Roches Allouées à une sqorte de Roto nde des Données Profondes et autres Bêtes dites "hautes" , type Bisons, Bidsonnes, Buffles-Poorc,  Hommed'Ombre, Corps MOrt. On monte ! On veut ensemble situer ou pouvoir situer un  certain n ombre de données hautes, telles que par exemple celles concernaént le Vzent, Pet de Nonne, Ombre . On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce Néné "raccord" . Plaie ? ou non : trait ? trait olé olé ? ou non : trait de fée siur le Passé ? mais comment en vrai cette Choseb ? on cherche encore. On ne lâche rien. On a envvie encore de toucghezr à ce qui est en termes de données (primzaires) lointaines (hautes) . Monter = toucher à ce genre en vrai, de Néné des Termes .... en français ? peut-^tre ! Peut-être en français car ici le fran;çais est terme! trait ! trait de fée. On cherche ! On veut toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher à ce Néné post-cimetière dont le treacé sezrait "du terme", "du terme français" en ce quyi nous concerne mais aillezrs , de fait, ça sera en anglais, ou en latin, ou en chinois, ou en bengali ou autre langues rencontrées incidemment le mur traversé. On est nées Françaises de trait, nous voilà traçant ainsi sentier en cettez langue du Français de serre. On est nées Fées sur terre allouée à du Français, en termes de termes. termes vrais. on aime ... ou pas, mais la langue en soi est incrustée, qui jamaiçs pour ainsi dire ne peut disparaître ! c'est ancré ! à jamais ! comme du lait ! ça pèse ! ça envoie ! c'st là come une sorte de misaine, trait des Rois-Reines des Données Anciennes post-paroi et même au-delà, ma foi. car, O,  n aiome la Foi ! on veut ça ! termes d'elfe. Creux des Voix. Choisx de Roi. pertes sèches ici ou là mais voilà, on ne traîne pas, on entre en soi, on creuse, on monte, on va, on avance, on porte, on veut ensemble, dire et donner ce qui pourraitbpeut-êtte nous arranfger (grave) de comprendre. tracer = porter, et porter = tracer. D'où la Voie à ici emprunter ensembke" (ailée) pour comprendre " = toucher, à donc ce dit "néné des Rages" de la Voie des Trembles. Que sont donc, ici, les trezmbles ? nos amies ! nos sortes de Chattes de Vie ! chattières par où, en v  rai, on dira qu'on pourrait .... passer , donc, en vie (et pas écornées !). Chattes ou chattières des données de bnase , on entre ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! vie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!, à) jamais la vie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ç a tremble, c'est la vie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! c'st dingue quand on y pense !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!  on aime grave !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça nous plaît de folie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! plaisir et joie immenses hors prairie ? on entre ! On veut comp)rendre ensemble cette donc folie, ce sang d'encre, cette joie profonde, ce tracé hors rotonde, hors pré aux Bêtes Grosses, ce trait ! Quoi donc ce teait EST ? qui le sait ? teait de Rochye "Grossee" ? Treait des teaiyts chevelu velu ? Haute Roche aux données de Poche ? fond de grotte ? porte close ? Mots de peau ? On creuse aux Animaux ! On dit qu'on creuse ici "aux animaux" . On monte haut . haut des Hauts. on veut toucher toucher toucher toucher au plus haut niveau des Boyaux(  hors peau ? ). On veut :

dire dire dire dire 

ce qui ici est comme szoulecvé

l'entrée vive d'une sorte de trait

le pet ? la rive ? le pcré alloué ? la friche ?

Creuser = dire = fairev = mettre = charger = comprendre = situer et ne plus s'arrêter de cchercher à pour le coup ensemble sans traîner comprendre ... jusqu'au trou ! mais, de quel trou veut-on parler ? du trou ouf ? du trou de ouf des données complètesc?  du traczéé treacé à même la bête ? d'unn  trait "honnête" ? d'une sorte de "perle" comme ici glissée à même l'herbe bsur un pré de Traîne ? on cherche ! on ne sait pas. On veut comprendre là la Chose des Voix mais la Chose des Voix ne se laisse pas si aisément cerner par des Fées comme ça. On veut toucxher à ça (la Chose Hzaute) mais voilà, comment toucher quand la Chose est ... si haute que...... pas simple en  vrai de s'y coller sa&ns y laisser un tantinet de plumes nacrées il semblerait. On est la Fée a!ux plumes nacrées (on sezrait) et c'est ainsi nqu'on pourrait grimper soit nous envoler sans sourciçller, sans se casser le n ez, sans traîner ni lambiner, sans faire plus de simagrés. Aimer = dire. Faire = consdtruire. Chercher = fuir. Toucher = allouer à une Rive un certain  ombre de données-surprise... par exemple : les données de branche ! le Passé pour ainsi dire , e,n termes de Rives. le Passé Tracé est le Passé ancré, Rives de pré ... riuives Vives ! On veut cerner ! on veut creuser ! on veut toucher , toucher et Rire si tant est car on est Vive , pleine en vrai de vie vive hors Passé ... mais, que peut-on en dire, de ce Rire ? que peut-on en révéler qui nous sqoit ou bnous serait super utile pour de fait continuer, sur notre lancée) , à chercher de fait une sqorte en soi de Vérité des Véeéirités" le passé "serré" ou recherch"éée" ? On veut cerner = on veut toucxher. et du cfoup, eh beé oui .......... construiore, une sorte de Poche Vide, à habiter. Genre ... outre. Genre .... yourte ? genre .... abri des vies ? On est passées ...... passées de chez passéesc, ..................  vives de chyez vives ?.................... fée des prés on a traversé à la retombée une friche et ce jusqu'au muret aux données vives , lesz plus vives ou lesz plus vives des données ou parmi les données ici données. Qui on est ? 

VIVES 

Donnnées Vives on est en vrai ! vives de chez vicves on est. Vives fées des Données Vivfes et aéutres dOnnées (ici) de Rive ! treaits ! teaits des F2es . trait alloué à une Fée du pré .... pour ainsi cerner = toucher, à ce ........... ou ce ................ N2N2 né post-pré ! hé ! comme un fait exprès  ! retour sur facture ! le treacé ! le trait ! la Haute Futaie ! le met ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait de bel attreait !   lait des prés ! on veut téter ............................................................................................................................................................................................................................................ grave on  veut téter ....  téreter de chez téter la Chose aux Nénés , ..... cjhose Haute ? Chose des CHoses Hautes ? Trait ? trait des F2es sr pré ? trait né ? On ose ! on monte ! on veut ou on voudrait de fait, cerner-toucher à ces Nénés de contrebande et, du coup, grave téter de chez téter sans nous arrêter ! finaliser ! §toucher-percer ! téter = toucher ! dire et donner . Percer ! Creuser . Dire et creuser ce dit Néné aux données "de france" mais en vérité ... de "langue". Car, ici, la langue , ok , est le Français, mais chaque langue en  vrai le fait ! est semblable en vrai , enn termes de données dites "de contraebande" et ce .... au taquet ! au taquet c'est ! langue au taquet quelqque soit de fait sa provenance, son p)arcours de voie, sa trace ardeznte, ses envois et autres traits de rage szur paroi. une langue est une langue ... de Roi / REine de Saba ! la chance en transe ! la Nouba ! la danse ! cha cha cha ça envoie ! la langue "danse", trace sa voie, creuse que tru creuseras jusqu'à la paroi et entre et file et vole et fond, fond sur sa proie : La mort des Hommes Au-delà, Hommes-Femmes de Roi/REine Céleste, Charge Et masse de Choix, POrte Haute ça y va, on monte, on monte Hautes, on est Fées des prés Hautes, Fée Hautes des Pré Hauts des Données De roche hors mots ? Ou pas hors mots mùais Hai-utes ! hzutes de chez hautes ! fées gHautes "du Tonneau" , du vin nouveau, de La roche aux mots. On creuse les niveaux. on onte. On monte Hautes. on est montés Hautes. On veut grave aller Haut en ces données des Peaux etv autres reliquats des Roches : Animaux-Mots de Basse-Crotte, POrte Docte, Pertes au niveau des caniveaux, Chochottes, Mort des hommpes-ho nte et autres hommes sans motte. porcs. Nés à la mort. On monte. On monte Hautes ... nous ! On ose . On  veut  en vrai, essayer ensemvbke de nous propulser : en branle. qui sait cerner ? qui en vrai connaîtb les données ou les différentes données telles qu'on voudrait les approchjer, ici, au plus près, pour les mieux 

 cerner-comprendre "ensembkle" , qui  sait ? qui connaît ? qui ne trembke pas àl'idée de creuser ? qui veut y aller et passer, et se retrouver hors muret, en dehors du pré, hors mots des Rochers, qui sait ? pour .... eh bé oui toucher de chez toucher........ à ce N2N2 né ! à cette espèce dee Néné à Lait ........ trait ............. trait de fée olé olé pas vrai ! pas olé olé , juste envolée ! volante ! aimante ! tendre ! cherchant pitaénce, mots du VRai, tracés frais, connaissances sur Paroi Des Morts. Haute. Haute F2ée. Haute ROche. Haute Montée vers ... autre chose, en termes de Données Hautes. Le Passé des traits . Fée des fées. traits sur Roche Haute = trait nacré, trait né sur Passéb ? On chercherait de fa&it à ensemble nous jeter .... à ses pieds , si tant est ? On ne sait ! on monte hautes. On regarde loin. On voit ou on verrait .... des Choses ! choses de Roche ! traits ? traits et bosses ? On va ! o n creuse à tout va ! on veut toucher touchertoucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher, à cette sorte de Paroi Frontale des Données finales ou aux données finales ne confondons pas. Un nRoi est un Roi. Roi de S rdanapa&le ou de l'au-delà un Roi est un roi. Et le Roi menace ! ou : tout Roi menace ! là = là-bas, sur ... "Tremble" .... ça envoie ! ça gronde sa menace... pas lambda, ça envoie du bois en termes de "menace de choix", c'est grave ! c'est ma foi on dira grave de chez grave, en termes de menace bgrave. On veut (on voudrait) cette menace la comprendre. Qu'est-ce qye c'est que ça ? ce trait-là, cette sorte d'enfilade de Parois en veux-rtu en voilà ! qau'est-ce que c'est que ça ;... on ne sait pas ! on entre ! on entre en cet a xntre et là, on mate, mùate que tu materas, ce "Trezmble", cette voix ... voix hésitante ? ce s mots de 🕵🏼‍♂️ choix ? Romance ! Transe ! danse ! parade de bande ! cha cha cha à ptout va ! 

Connaissancesc .

Don de soi.

On entre ensemble ...........................KK..K...................................................... on danse .........K.K.............................................................. on veut toucxher ensemble à ce tracé donné qui, en vréi, ressemblerait à s'y méprendre à une sorte de tracé "de France" , ou "en français de Rage"  si tant est, F"français" en vrai peut-être maussade mais qu'est-ce qu'on nen sait ? on passe ! on veut toucher de chez toucher ! on ne fait que passer ! la chance des fées ! entrée sur pré puis sortie sur pieds ! amitiés ! On veut toucher en transe le Palais des TRe"mbles. Traîner un tantinet pmais pas ,; de préférence, sans .... aimer toucher ! creuser, cerner, dire et porter, coller, se donner à ce Néné post pré rempli de laéit qui en vrai pourrait grave nous appoeerter de quoi comprendre de chez comprendre un grzand nombre de données telles qu'on espérait un jour pouvoir ensemble les cerner ici sans traéîner ni se laisser pour aiçnsi dire déborder ou engloutir parce que trop ou pas assez ancrées ou incrustées en cette sorte de "Contré  des Rives" de type ... Vide ? on ne saiyt ! on veut :

toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher )-à ce n2né du Vide ? Du vide alloué à du lait, c'est ? c'est-àdire qui est ... comme une sorte de poche à remplir ou comment de lait ? poche à lait ? pas vrai ! le lait "resp^pire" ! vit sa vie au tracé, vie sa vie de lait comme acheminé ! on vibre ! on veut téyter ! téter ! téter sans nous arrêter jamais car, on aime (grave) téter ! téter du lait de trait ! fée des fées qzui aiùmopns téter de ce lait du "vide" , lait de trait , Lait Ancré, La&it du Passé tel quedécelé il s emblerait. On veut /:

toucher toucher toucher 

dire dire dire

faire faire faire

^$eetre être êtte

combler combler combler

cerner cerner cerner

allouer allouer allouer 

chercher cherc her chercherv 

sentirr sentir sentir

sonder sonder sonder

perdre perdre perdre

porter pôrter porter

coller coller coller 

coller hgrave, à ces Nénés de l'Outremonde s'il en est  = ..................... le Passé ? le Passé post-pré ? on ne sait ce passé en v  rai ce que c'est mais on monte ! on monte hautes en termes de données ici abordées, on monte sur pieds, on monte envolées, on monte hautes sur (ou vers) Passé Passé. On ne veut pas traîner jaùmais. ce qu'on veut c'est tracer := filer = foncer = se porter au plus rapide et au plus près du Néné avide ... ou comment dire ? qui donc ici estb avide ? On veut toucher de chez toucher le Vide (?) du Néné , le Vide Ivre ? Vide ainsi rempli de Vivres ? On mùonte ! on creuse ! on aime ! on cherche ! qui on est ? on est une fée, on est ailée, au début on était pas fée, on était femme ou homme ou bêtes ou autre, et puis voilà, à la pour ainsi dire travézrsée, d'une sorte de paroi de roche , paroi dont le nom, en vrai, est "MORT", on s'est retrouvé , ainsi, toute chose, car, transformée, de la sorte, en Fée, : fée Ailée, du fait que voilà, on s'est retrouvées dédoublées, ou comme dédoublées, en deux F ou Femmes , formant Fée de Rage, F2e des Prés, on est donc ailées ! Fée ailée, F2e des Prés ailée, on monte. on peut voler puisqu'on est éilée, qu'on est accoûtrée d'une sorte sur nous de 

paires d'ailes aii,nsi dessinées ou comme dessinées ! traits en herbe.vin de messe. Porte Haéute : on monte ! volons ! on creuse. Allons. Fonçons et regardeons , à pouvoir ensdemble si possible nous peut-^tre propulser , en ce vide des nénés nés. mais, qel vide ????????????? car, où vois-tu du vide ????????.???????????? de ..... l'avide ? bouche a vide ? bouche vide avide ? On monte ! on veut toucher à ce qui est qui pour le coup, envers nous, nous chose, bnous comment, nous montre x et x choses, liées aux tourments, aux épreuves de roche, aux douleurs de la mort, a&ux passages rosses. On monte. Qii on est ? on sezrait envrai xde petrits êtres alloués à une soerte de contrée qui serait : un Eden, sorte d'Eden ici comme rempli de Bêtes de treait. On regarderé&it ce qui est qui se présenterait à nos côtés. On cherche à copiner, à se faire bien, à symparthiser, à faire en sorte que , Le Trait, Le trait Donné, soye en vérité ... le mieux, question Trait des Traits , des Données Suprêmes et autres Traits aux Fées en Herbe verte. on est née sur pré, nous voilà rebelle ! voulant contrer , faire ainsi que Be'lle soye repoussée, Belle Des Traits Tracés de Type Mortuéires. Merde. Pousser de chez pousszsr ou repousser celle , qui, ici, vrai, sait, saurait, nous ..... qui sait ? manger de chyez manger = bouffer lle nez ! merde ! pas le nez ! pas le nez ni le néné ! on est pas à bouffer , ni à teéter ! on veut (nous !!!!!!) téter et pas le contraiore ! serait-o,n piégée ? serait-on ainsi comme renversée , soutirée, portée à êttre inverse ? tracassée ! renversée de chez renversée comme ... une omelette ! ah ahn ça se pouurait ! ça le feraot ! on capitulerait ? on serait (ainsi) comme soudés , soudés à la terre, enterés ? homme l'enterré, la femme Supr^me, l'Elfe-Fée enfin libérée de l'ëtre des Prés ! merde ! lze tracé des Fées est Tracé ici des herbes Donnés, pour en vrai (peut-^tre) pouvoir se purger et p)artir (repartir) de plus belle en ces contrées de bord de Veine ! trait ! trait acté ! on aime ... on aime aimer les traits, les données du Verbe , Données vertes. on aime. on veut aimer toucher à ce Néné en herbe et pas le contrzaire (se faire toucher de chez toucxher les nénés du Verbve .... si tant est !). On est :

VERBE-HERBE-TRAIT d'HERbe

Fée des fées squr pré

Verbe-Treait sur pré des fées

Verbe-ëtre des données en herbe

Traits des traits comme gravé ou dessinés à main levaée pâr , qui sait  , Une fée en herbe

verbe de treait, somme haute, vent de roche

PET

PET

PET

PET 

Pet de roche, PEt de nonne haute , près de porte. haute porte et autres entrées ou passages de Ronde. haute Porte Acidulée. Verbe au taquet. Crête. On est née Fée à la traversée on opoursuit en rêve, ou comme qui dirait en rêve, notre sorte d'aventure "pleine", ce trajet, ce tracé des fées, cette sorte de sentier aux données en herbe, genre : vérités du genre, sentiments frnçais dits "de cfontrebande", portes (peut-être) d'entrées vers des données immenses et autres vérités cachées, hautes données le pré passé, sur x sujets de sa Majesté, la Roche, Roche Haute , de la MOrt De pOrte. Mort Haute. Haute Porte des Données Moroses. hautes de chyez hautes on mùonte ! On vole ! On monte ! On veut :

toucxherr, toucher, toucher, toucher, toucher, toucxher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucxher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher , toucher à ce Néné pôst ^pré du coup comme remmpli de lait avant d'en être (par nous ) vidé , est-ce cette chose ? chose haute ? on a envie, en vréi, de cerner,le plusvqu'on peut, toutes ces choses qui en vrai nous importent fort, car nottre envie est de touhjours nous approcher le plus possible de la vérité en ses moindres effets ou contrées ou zones. On est allouée ici (ailée !) à un trajet à parcourir si possible vite, vers, eh bien, cette sqorte de porte haute, tout en haut des roches, trait tracé par on ne sait qui l'auréit gravé, ou disons dessiné. On cherche. Sûr que nous on veut .... eh bé tout ! tout de chez tout ! = les données du Tout, c''st tout ! c'est immense ok, mais on est Fée du pré , et du coup, on se doit de rechercher et sans traîner toute la V2rité sur Tout et sur ce tout tout ce qu'on ne sa&it de fait plus volo ntiers ! à genousx . Les mains jointes. les yeux baissés. prier. creuser. dure r. ¨$Porter de chez porter. Comprendre  e qui est, qui ... nous ressemble ou nous ressemblerait par de nombreux pour ainsi dire "traits de connivence", qui sait ? On est née franches, traits sur traits, allouée à une branche, branche des fées, et on avance, traquet-traquet, sans traéîner, vers un tracé de Rage déssiné, gravé, porté, qui soit cfomme un tracé de Branche, trait pour trait. On entre ! on passe ! on veut toucher. on veut aimer. On veut aller. on veut cerner . on ne veut pas rtester en carafe sur les bas-côtés mais oui ........................................................................ cerner de chez cerner lesdits Nénés ...... de France ? du Français en tant que langue ? on est fée du pré, on creuse le trait, on trace dense, on veut AIMER DE CHRZ AIMER, LA RAGE D'Y ALLER ICI (ANTRE POST-PRÉ) SANS TRAÎNER NI CHERCHER À SE DÉBINER ! CAR ON EST NÉE FÉE AU PASSAGE, LA MORT ALOUÉE, UNE FOIS ALLOUÉE, ET LÀ, UNE FOIS NÉE, ON MATE, ON VEUT CERNER, COMPRENDRE , POERTER, ALLER VERS CE NÉNÉ DIT DE CONTREBANDE, CAR .... SACRÉ ? SACRÉ NÉNÉ ? QUI NOUS "REG ARDERAIT" COMME DE BIAIS AFIN DE GRAVE NOUS INCITER ET SANS LAMBINER À LE TÉTER, À TÉTER DE SON LAIT POST-PRÉ SI TANT EST, LAIT DU L IT, LAIT DU LAIT NACRÉ, LAIT DES LAITS TRAQUÉS, LAIT DES LAITS ADORÉS, LAIT D'EKLFE ? L IT D'HERBE ? LAIT DOCTE ? LAIT DE PORTE ? On cherche réponse. on aime chercher. on aime déceler-creuser, déce"ler-desceller. faire ainsi que des vérités, soient comme enfin montrées ou révélées "à la fa&ce du monde " . trait sur traits. Fée du pré. xhants de ROche Haute. POrte haute dxes données de Roche toute ornementée de Betes de poids et autres bêtes de Java. rage-ma te, mate-rage. Mate-rang. rang de mate. Porte-rang de Rage-mate. Traits des traits sur paroi ornée par (ici) des sortes d'ovidés de Classe Royale ! fée des fées. Tracés sur tracés. reconnaissance (à l'arraché) de traits , de semblance  familiale ... on le dirait. on entre ensemble et nous voilà comme accolées (surmontées ,) pour former ... la Fé !  la Fée du pré, celle qu"'on voit ici voler vers sa destinée, de type "muret ", "muret des murets". fée des prés sur pieds sachant voler. fée de Roche haute se portant h&ute. Trait sur traits d'époque  haute, de type "ornée". On peut toucher à ce Néné de porte s'il vous plaît = téter ? ou pas du tout toucher jamais , car ... morte ? oh, on monte ! on monte haut tous les niveaux. On veut :

toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tpucher toucher toucher toucher toucher à différents niveaux de roche, tracer haut , creuser haut, percer, toucher de chez touchezr les différents niveaux de Roche aux Animauc ou aux mots-animaux. On aime l'animo, le trot de l'animo, le tracé haut de l'animo de ^poche-roche = le mot ! mot de trop ! porte haute ... à mots de Roche ! mots de peau et autres mots post-anicroche, au tombeau. on monte ! On veut :

dire dire dire 

comprendre comprendre

cerner cerner cerner

toucherg toucxher toucher

étendre étendre étendre, ici, x données de roche sur un pré, les soupeser, les regadredr , les étudier, essayer de cerner, en elle, ce qui est, en termes de données de porte, ce qii est en vrai, cequi se montre en termes de "do nnées accortes", et, du coup .... tracer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! nà main levée, des sortes de "réponses" à une sorte de-'injonctionn qui , pour le coup, nous serait faite ....à genoux ? mais alors, par qui ? qui ici est qui nous demande de .... passer le bout du nez comme qui dirait , qui ? qui vient ? qui veut ? qui nous implore ? qui pleure à sa porte ? quand nous, fée du pré, on ne veut que .... téter  Néné, des V2rités de Roche post-pré ! du moins il semblerait !  téter ! téter ce trait ! teter le Néné !  le teter de près nu ! sein nu et nous nue ! fée nue sur néné nu ! et le téter de chez téter sans s'arrêter si tant est ! car, on est la Fée du paysage, aimant téter le Lait tracé, le lait du français, la langue-lait de type Chance ! trait de chance iciaccordée à une sorte de balade pour le coup chantée par une Fée en promenade post-muret, loin des bêtes de pré et autres fleurs-fleurettes, dessinées, gravées, comme déplissées. On aime té ter ! On veut :

toucher touche r toucher toucher toucher , ce néné du verbe-lait ! chair beige ! trait acidulé comme le lzait du siège , le Passé ! pré passé ! pré des prés enfin dépassé, direction le Passé dit "surnuméraire" des temps allouées à une sorte de donnée du Verbe = le Lait ! lait des laits ! lait ainsi tétée par une fée passée pour ainsi dire de l'autre côté ou qui serait passée de l'autre côté, souveraine, première, cernée, aimée, adulée, chouchoutée, prise ainsi comme une aile alanguie de type "remède". On aiùme ! On veut aimer = toucher = dire= sonder, et nous porter de fait à ses côtés, au côté du Verbe .... du VErbe-Néné , est-ce en v  rai ce qu'on rechercherait en tant que Fée du pré  Souveraine car étant passée de l'Autre Côté sans se casser le bout du nez, le cul ... ou (oui) le bvout du nez . 

On trace sur pré ... trait de Chance, Parade Allouée, Betes cde Charge sans Passé ou si , chargée (et comment !) d'un passé de Farce ? france ? 

farce, France, qui sait ? mais plus que chargée on dirait ! et du coup ....pesante ! grave pesante ! portée mais chargée ! soulevée soupesée mais lourde de données de Rage = le Passé, le Passé cxloturé, la panse ! la pensée !  le nez de Rgae et les boyaux de panse emberlificotés ! charge mentale ! empotée en sa cxharge ! traits sur traits et autres tracés (de contrebande) du Passé ! Le passé contre le passé ? la Rage des fées ? on entre .................................................................................................................................... on veut entrer ................................................ toucher tpoucher topucher toucher tpicher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tucher toucher toucher toucher toucher touchert-t de chez toucher à ce néné post -pré = nez ? ion ne sait ! o,n entre ! on veut comprendree ensemble un certain nombre de données de Chambre : 

- qui on est ? 

- à qui on eresemble ?

- sommes-nous réellement dans la mort Fée ?

-pouvo,s-nous comprendre, la Romance, sur Paroi ornée ?

- Sommes nous grosse de données des Trembles -

- avons-nous de quoi en vrai nous présenter en tant que memnbre desz Données de Rage ? - sommes-nous allouée à une sorte de Contrée Immmense elle-même liée à une sorte de Contrée des Chances et autres V   érités liée à la Chance ?

Avons-nous ennous de quoi cerner pour ainsi dire les donnéesz de branche, le Passé alloué  à un post-pré, la Chance de Cerner ensemble les Données de Rage et autres données franches", le Tracé , tracé des TRacés ainsi donné come par contrebande à une Somité ainsi rencontrée (sur ce sentier menant à ... l'antre ? à l'antre entre ? antre des fées et autres créatures tendres ?). On est née sur pré Fée, cherchant Vérité (de préférence ?) en cette sorte de (qui sait ?) ... nouveau pré ? qui serait du coup alloué, à une zone post-Passé René. Chais. Vin d'herbe. Portée avinée. Alcohol des passages doctes : on monte. montons. portons haut le Vin npouveau. faisons ainsi que tout soit nouveau le temps des trav&ux ! creusons ! traçons ! louons au plus haut du p^lus haut des niveaux ... et cherchons taïaut le h aut des Hauts ! taï aut de chez taïaut, creusons, filons, traçons, montons , montons aut de chz haut ce ponton des mots ou desmots-animaus dits "de trop". car, les mots (de f ait) sont toujours "de trop" , qui ne savent pas, en vrai, cerner le vrai, mais aident à p assrr, de fait, le bout dunez, en ces contrées des données tracées, genre "mortifiées" mais est-ce vrai ? est-ce ça le mot des données, ce mot de "mortifiées" ou même ... "mortifères" ? on cherche ! qui donc le sait ici dans l'assemblée ? pas bézzef il semblerait ! on est fée du pré la mort acté, et après, soit a^rès le p)reé, on est ... eh bé" bébé ! the bébé ! le bébé né ! ou comme re-né, à une vie nouvelle ! vin de serre ! chants laétins ! plaine ! romarin ! traits d'elfes sur la fin ! on aime !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh on aime !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime en latin ? .................... bas-latin de messe ? .................................... bvas-latin de presse 😞 ? .........../////...../........................... tresse ? ..........?..................................... hum .......................... on cherche ................................................................. on creuse le TEmps .......................................... vent docte ............... hyaute pporte ? ........................................................... haute porte morte ? ...................................................mort ? .......................... la mort ? ..........................................matinale ............................ on entree. On aime. On monte. On compte. on voit. On voit ce qu'ion voit, et ce qu'on voit c'est ça : la Chance ! le pâssageen trznse ! voix de l'au-delà, franges , nouba. On veut eense'mble (ailes allouées) comprendre ce qui est , sans  amais cesser, aller, cerner, gravir laé pente, et,

 nous porter au plus près de ce Néné de Contrebande, ainsi "déplié" , "déplié" ou montré, ou découvert ainsi cerné, cerné de chez cerné, lait ! Lait des laits sucrés-nacrés, tout acidulés. 

Lait de trait ou trait de lait 🧃

porté ! apporté ! né ! lait né ! né lait ! ohé on sait ! on monte ! on creuse ! on veut ! on ose! on est des fées de Rage nées sur Roche au pré ! fées des fées surnuméraires agraires , parmi les bêtes , les tracés, les dessins de gré, l'herbe verte et autres flores des données de roche . porte haute. haute porte . Colle .........................................................................../....................................................... colle haute ............... pôrtée de fée sur portée de fée ....................... musioque allouée à une destinée "genrée" ou "pseudo-genrée" .............................. les données dsu pré ............. haute destinée ainsi a-genrée ou  bien, au contraire, genrée , mais de type "imberbe" , fée des prés ainsi non -binaire , le tracé, la main au collet, peerte sèche de données et deès lors l'envolée, l'envol haut, direction ... le Passé, le Passé de POrte ! ostrogoh, homme-heaume, femmehaute, homme-femme au tonneau, AMBRE ! AMBRE sans MOTS ! le tonneau des mots  ! roche aux mots des do nnées accortes , le poteau . On mùonte. On est hautes et hauts c'est-àdire hautes, car dans hautes il y a haut, mais dans hauts il n'y a pas hautes ! le niveau des roches ! le tonneau des mots est un tonneau "de poche" , vin nouveau ! sonde ! chose à mots sur mots de trop ! on monte !  On  veut grave toucher de ce tonneau, et boire ! téter ! née fée pour, pour ainsi dire, un jour téter, ou re-téter comme qui dirait, ce la&it du tonneau, petit lait frais ... ou chaud, selon le niveau , la hauteur du pot. On mùonte ! haute porte. haute Mort. Mort HAUte. Haute mort de POerte. Haute mort des Portes HAutes. haut mot ! Haut mot de la mort haute. M%ort haute des mots hauts. hauts des hauts des mots de Mort. Mort des Mots hauts , = la Mort. 

= mort des mots 

=mort des mots hauts

= mort des hauts mots de trop

=mort, motrt d'homme; mort du mot hommeOn monte. O,nn est née Fée sur pré aux ombres, un tracé nacré, une ombre portée, ici dans un pré, sur l'herbe aviné : trait ! très avinée. Le pré est pré , des dites "données vraies" , qui sait. On monte. 

On est ensemble ici qui cherchons un endroit par où on pourrait peut-être passer sans se faire refouler. Quand on passe on voit, qu'on est (au final) regardées maisb on s'en fiche grave, on s'en fout pas lmal, car pour nous, l(important ioci, c'est de pouvoir passer sans plus se faire remarsquer , et du coup e n avancer et nous porter le plus loin possible des possibles. On aime aller ensemble dans un pré chercher des données , et , si tant est , en trpuver, en ramassr, en cueillir, ou en recueillir./ On aime grave nous promener en ces contrées et si possible ramasssrr le plus possible de ces données qu"'on dit "avinées" mais en  fvvrai, on ne s ait pas si c''st vrai ou si, au contraire, c'est des conneries. On cherche ensemble à aller loin en quelque sorte dans la contrebande. On est accolées (on est les ailes d('une fée des prés) et c'estv , accolées  insi, qu'on cjerche ensemble à traverser le champ pour le coup octroyé à une "sorte de Fée" telle qu'on l'est, une fois la paroi de Roche (la prezmière fois) traversée au moment du DC. ON aime aller bensemble ainsi nous promener sur pré et chercher à nous acheminer pour ainsi dire jusqi'aux nénés, soit au-delà du près, zu-delà de la mort "empaysagée", de la mort illuminée ou cxxomme illuminée . On a envie en vrai, de chercher à comprendre ce pré, cettte sorte de jardin des fées, et pourquoi ce jardin, en vrai, est une étape ou sorte d'ét pe)-allouée. Qu'estce que c'est que cette étapr, que ce pré d'étape, ou d'étape allouée ? qu'eswt-ce qu'il en est en  v rai ? qu'est-ce qu'on peut en penser ? qu'ewst-ce que c'est que cette cbhose d'une étape ainsi allouée à une sorte de pré aux fées ? et d'abord : sommes-nous dans la mort fée ? devenons-nous en vrai dans la mort fée ? sommes-nous dans la mort des fées ? une fée ? nous transformons-nous , d ns la mort, en, 1, femmes "dédoublées", femmes données pour , 2, devenir fée, une fée, une fée ailée ... à tout jamais, ou : le temps d'aller pour ainsi dire sur ce pré, jusq'au muret dit "des données (ici) dernières" ? un trajet de fée agraire, de fée faite pour tracer = silloner la terre ou terre des fées = un pré ! On aime aller . On regza rde' les bêtesq, les "morceaux de verbe" , ce treacé, bêtes de trait treacées-dessinées comme à main levée par (de fait) des êtres du passé tel qu'oublié à tout jamais : le Verbe ? l'Herbe ? train de roche agrair e ? On cherche ... on cherche à toucher (en tant qye fée) à ce Verbe d'herbe, qu'est-ce que c'est ? ....................... du lait ? petit lait ? lait petit des peines ? On cherche ! On creuse ! on monte ! on ose !

Le Passé de porte. pamoison, et hop, on tombe ....................../................ on tombe dans la tombe de la raison ..................................... ombfre ............................. on sombre .............................. sombrons ! .................................... tombons "haute" ......................... haut des hauts hors nivrezaux ........................................................... honte ? .................................................. haut .............................. eau .................................................... le niveau de l('eau ............ de roche haute ................ de grotte de Niaux .................. grioote haute ........................................ une porte ................................... la mort ........... haute ............ mort haute .................................... haute Mort hors niveau ...........................................mogrt des Morts des Hauts NIveaux ............................................ cohorte d'animaux à pêaux ! chose haute = mort haute et autres fins de mots ................................................................................................................................... colle ............................ça colle à la peau ............... chalumeau............. chaleur haute ........................ fuseau ................ mots de trop : hop ! ......................................................

...................... ................/................ seau d'eau .................. corps ........... d'animaux -mots et autrzx bêtes-mots de roche haute ......... sein de pré ? selle donnée ? crins ? crinières ? ..................................././..................... on aime : le pré , l'herbe, les données prairieles et autres herbes printanières d'un treacé de fée .................................. fée haute ................................... fée du pré se place haute pour mater de chez mater la roche ornée ou ainsoi ornée de bêtes de porte ............................ buffles frais ............................................... ours des fées ............../....................../........ Bises et Bisonnées de près .......................................................... rennes et reins tracés ........................ accolées ............... sondés ............. portés .............. gracvés au jeté , au soufflet, au trait tiré, à la marelle ............................ jeu d'herbe ./.......................................................... pré aux fées aimant tracer et gagner muret, muret dit "des find de pré " et autres fins des fins de l'herbe " ............... fée ainsi allouée à une sqorte de parcours -santé vers une sqorte de muret pouvant laissr passer (qui sait ?) un certain nombre de "fée Des Fées" ainsi nominées ............. Fée D'HErbe .................... allez ! à toi de jouer ! ..................................... passe  porte ! .......... sait-on jamais ce qu'il en serait , si jamais en vrai tu cherchaias à passer (de gré ?) la Roche , et à regarder , dedans, la porte passée, le dedans ! ce qui est ! ce qui y bouge en vrai ..... )ar exemple : ............ des nénés ? .............. oh en vrai ? .................... des nénés "de roche" ?................. roche aute ? /................ drôle de chjose ............... est-ce (vraiment) des nénés  ? ....../........................ est-ce (en vrai) de ces nénés, dont on dit qu'ils sont pleins de lait, de laitb à téter , lait de vie ? .........../........ mais, les nénés de qui ? d'une divinoité ? déité lactée ? en vrai ? le Vit ? la Vie ? la denrée ? la vile denrée ? ou (au contraire) l'amie ? Vie d'herbe ? vie du verbe auto-engendré à travers le lait ? verbe ainsi décuplé ? reporté ? re-apporté ? re-accumulé en des Nénés post-pré, post jardinnet ? On veut toucher toucher toucher à des nénés post-pré dont on pouurait en retirer un certain nombre de données, concernant la vie. Est-ce que la vie finit ? est-ce qu'en vrai on peut dire icfi que la vie un jour se finit ou alors non, continuation, continuation sous forrme autre, transformation, centrifugation et transformation en horde de bêtes hautes ? on monte ! on grimpe haut tous les ni v eaux . On est haut et aute, haut animaux et hautes Bêtes aux mots , hautes et hauts . Mots hauts. Hauts mots, d'un  ..... passé nouveau, du genre : groote, aux mots de trot.

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24/1/2025

on veut toucher à ces nénés qui sont Nénésb pour ainsi dire des Données Frontales . On veut grave "y aller" , chercher, cer ner, comprendre ensemble ce qyi est qui devant nous qui sommes fée , se présente ou se présentzerait,  ... pour nous adopterb , qui sait ? chercher = dire = faire = toucher, et nous , en tant qure fée, ce qu'on aime ici eh bé oui, c"'est cette chose pas concventionnelle , de toucher 

cette herbe-verbe, 

ce tracé vers les nénées et , au final, ces drôles de Nénés de Rage, dits "Nénés de Rage" , soit ces Nénés qui, ici -:même, fin de Roche, nous "arttendent" ou nous "attendraient" on dirait ! Lait post-pré = lait de Rage ou Lzit De ... Mage ! on est néesb ! nées Fée à jamaos en ce SAS ! On veut toucher de chez toucher à ces données post -pré, qyui donc seraient données des traces et autresvtracés à do nnées.; ON colle ! on veut coller . On aime aller de préférence ensemble (ailes soudées) et là, en ce tte szorte de muraille-centre, traverser de chez traverser , ne pas reculer, foncer et aller, filer, regarder, ne rien louper, chercher à pour le coup se rapprocher de ce qui se présente devant soi en termes de Romance , ici, de l'au-delà / 

Une sorte de donnée de Rage

un Passé i,ntense

Bébé né  

Bébépost-pré ça se pourrait ! On veut, ensemble ailé, toucher, toucher La Base du Néné, un tracé, TRAIT, trait des traits ... mais en vrai qu'est-ce que c'est que ce trait ? On essaie de s'en rapprocher afin de le juger, de le regarder, de l'observer sous toutes ses coutures, de toucher ce qu'il est ... qu'est-ce en vrai que ce trait post-pré ? qu'est-ce que ça devant soi est ? Trait des données dures ? chants de RAge avec monture ? cri de joie dans la toundra ? encolure ? blessure ? pointure ? On est ailé en vrai pour pouvoir essayer au taquet de trouver ce que c'est sans avoir à se casser le bout du nez mais au contraire trouver au plus pressé ce qui est dans ce qqu'on voit de cette Rage de Paroi Finale . Ce que c'est c'est ça : cette Rage .... on dirait ça ! On voit ça : la Rage post paroi. Le temps d'en Face, ce Passé des Mages ! Droit ! Ce passé de poids ! masse -mage , va comprendre ! On nentre ! on veut en vrai enteer et ne jamais plus se retourner mais vite tracer, ensemble (on est Ailes de fée), ce tracé frontal, menant direct )à cette sorte de "contrèe première" , première ou dernière (?) on ne sait mais en vrai voilà ce qu'on faitv : on trace ! de rage, comme le Passé ! on trace ici de Rage comme le PAssé, une sorte de tracé "outré",  qui serait un tracé menant de base à ce ... fourré ? à ce .... bosquet ? à ce ... tracé des données vraies de type "fourragère en herbev" ... VErbe ? on cherche ! On na parfois le xsentiment d'y arriver, c'est-à-dire 

à trouver, à cerner ce qui est, à se rapprocher d'une sorte de vérité, mais pas su^r tant que ça en vérité, car voilà, le langage parlé est langage de Fée ! fée d'herbe ! on sait cela et cependant ... on continue ensemble (ailes) à dire et faire, à pousssrr, à, pour ainsi dire, concommittament ttracer une sorte de sentier dans l'herbe jusqu'au muret , jusqu'au bout du bout des données prairiales . tracer = dire . Dire = tracer. percer = donner / Donner = conduire, jusqu'au muret, ces beêtes de trait qui en vrai grave (en quelque sorte) nous ressemblent . Elles sont "musquées", elles sont "grosses et fortes" . ON les aimme grave . On avance . On veut toucher à leur pelisse lisse ! On aime ces bêtes de trait . Ces Tracés animaliers. cette chose Rosse des prés ! Onn adore, on veut les ammener avec nous (fées) jyusqu'au muret dit "des finalités" et peut être du coup leutr montrer ce qui est qui là 

semblerait avoir à nous attendre, à patienter après nptre arrivée . Mais elles, les bêtes de trait, jamais ne veulent traverser . Elles veulent juste rester, de ce côté-ci du pré, à brouter de l'herbe et ruminer et ... basta cosi, pour elles, pas bêtes, pas envie de se fourvoyer ou de se risquer à voir de l'autre côté ce qui se tramerait ! elles préfèrent l'herbe que le Verbe , ou un éventuel Verbe de trait , pas folles en  vér(ité , elles aiment l'herbe fourragère, l'herbe des p^rés 

et pas forcément ... le Passé post-pré ! tu cernes ? tu comprends le Tout, l'herbe et le VErbe, l'herbe mangetout, le Verbe "superbe", l'ombre des Loups ? On cherche ! On est née Fée sur herbe, à présent, fissa ! traço ns grave sur Toundra notre sorte de chemin de Charge, et creusons ! cherchons grave ensemble à ainsi trouver ce qui il se pouurait serait à comme nous attendtere toutes deux (main dans la main ?) au débotté, au tournant du pré, à la salade, au tracé-né pour promenade endiablée et autres sentiers de balade allouée à un endroit post-pré ! va comprendre ! v a donc essayer en vrai et pour de bon à y comp^rendre quelque cxhose à , eh bé oui, justement, cette sqorte de salade ... au firmament ! qu'est)-ce que c'est que cette chose Haute ? une Parade Musicale ? cordes ? cuivres ? des cymbales ... de Passage ? une sorte de musique "sarde" ? On est La Fée dite "du passage" ("du passage outré" ) d'un pAssé de foire (animalier) à un passé de Rage (contrôlé ?). On est Passées ensemble (deux femmes, ici, et de fait, accolées) pour gformer au final (sur pré) la Fée , dite "des contrebandes adoptées", 

et là, en  ce pré, on trace c'rst un fait, on vole à fond de cale, on appuie grave sur la pédale ! et hop, du Trognon ! on monte ! on monte haut sur ce tonneau, on veut toucher de chez toucher à ce qiui là se trame, en termes de Passé de CXHarge ! qu'st-ce que c'est que ce passé ? en quoi ça pourrait en vrai nous intéresser , sommes-nous assez coriaces pour en vrai comprendre ce Passé aux Données FRanches ? car, le Passé de Rage est Passé de TReaces ! traces de pieds , qui sait , post-muret! de petits pieds et autres traits d"'enfance ! On nveut comprenndre ensemble (fée) ces pieds, ce tracé aux traits, cette sorte de Passé d'enfance post-muret  on croit rêver! Qui on est ? on est ... eh bé .... 

des fées ! fées sur pré ! puis fée comme accolées à un muret "des Finalités" ! fond de cale, oui, car, on a tracé, on a voleté sans nous arrêter et on s'est retrouvées ensemble comme collées à une sqorte de Muraille, Façadee-Muraille, Mur d'enceinte sarde,

 à une sorte de Cloison Frontale : .... le Passé ! oups ! qui sait ? Qui sait ce qui est, de fait, cde cette sorte de ... pAssé des traits ! traits d'enfance sa rde ? unj tracé, sur Paroi de RAge ? passé "bousculé " ? charge moentale ? monacale ? Passé-né ? On est Fée de pré, Fée d'herbe, on est La Fée de L'herbe attribuée à une bête sur paroi ornée, et à présent, on guette , on mate sévère à travers la flèche. On veut toucher parce que voilà on aime ça, ça nous va. On veut en  vrai toucher de chez toucher à cette sorte de paroi post-herbe , qui serait ... paroi des Rois et Reines ? une sqorte de Cimetière aux données allouées à une Vérité des TErmes. on cherche . On veut trouver et pour trouver il faut nous avancer, passer le nez, un oeil, une aile, mater . Mater de chez mater  cette sorte de "fenêtr sur le passé ", qu'estce que ça serait ? qu'est ce qu'en vérité ça pourrait être, de fait ? une sorte de ... Musette ? Chants dressés ? sorte de musiquette dont le nom gravé sezrait "Musette" ou sinon "Musettr" " .... Chants Donnés" ? chants des Tombes et autres tombeaux allouées à une sorte de PAssé en herbe post-kherbe ?On est Fée Faite pour creuser. On veut trouver de chez trouver , et passer ... OPasser de pied ! tracer, cerner, comprendre et contrôler les charges, au passage, si tant est. Ne plus jamais nous retirer de cette sorte de passage "olé olé" pour vainsi dire, et du coup traverser, passr de l'autee côté, côté Tracé, cerner ce tracé et essayer, si possible et sans traîner, de (pour le coup) cerner les traits les plus visibkes, compréhensibles, Cernables, jugeables. On veut dire : le Passage au Centre. Le chanter. 

On voudrait passer en vrai vers ce Passé ok, mais ,

 tout en passant "olé olé", le chanter, ou chanter "ensemble" son avènement, en ce t Ensemble Animalier de Contreenbande , qui sezrait Acté, qui serait .... une sorte (allouée) de pArade charmante, soit , de l'autre Côté en quelque soerte de ce pré des Prés ?  hum  ! Pas dit ! les bêtres (pour le coup) se plaisent ici, et jamais ne veulent (elles)- traverser, la Roche finale, s'échapper, passer outre pré, jamais il selmblerait ! Alors voilà pourquoi on se dit ou dirait, ici, que voilà, on est là, on mate, on est à deux doigts de la fente et là, on fait quoi ? on trace ? on entre ? on cherche à ensembkle s'immiscer de rage ? on est ou serait accolées parce qu'on est Ailes et que , étanjt Ailes, on est accolées = soudées à une Charge dite "des fées" de type .... Passé  ? on cherche le trait , trait docte, de passage Haut. On veut en vrzai toucher à ce ... tonneau gros, de bout de Paroi Haute. On monte. On  veut aller au plus lointain possible ensemble en ces contrées. On ne veut certes pas lambiner jamais, mais tracer, creusern, filer, cerner, toucher, controôloer ce qui se fait, aller de chez aller en ce muret = traverser de chez traverser sans nous retourner, et chercher de chrz chervher . Qui connaît le post-pré ?  l'antiennhe ? les chants post-herbe ? On aime. On veut aimer . en vrai nous on aime. Ce qui est qui est , et nous plaîot = l'herbe du pré, les bêtes tracées (gravées au piolet). les Herbes à brouter. L'herbe verte du pré. On aime assez, mais voilà ... on est méga-méga-intriguées ! on veut toucher à ces Nénnés dits "du Passé" comme s'il en pleuvait (en pleuvait du Passé). Et du coup, nous voilà toutes chose , drôles, comme soulevées, toutes tracasszées, bouleversées, remuées, on veut toucher ! toucher au passé ! mais comment ce Passé aux Nénés (vrai ?) arriver de fait à réellement le toucher en ce qu'il est : Lait !, comment en  vrai ? comment faire pour cerner-toucher cette chose, d'un Passé "Surnuméraire" ? qu'est-ce que c'sst qu'un Passé dit ... "Surnuméraire" ? Passé "outré " ? Passé des Passés ? Passé denté ? Passé sorti de son Tracé ? qu'est-ce que c'est que ce Passé "de Chambre"  ? une sorte (à nouveau ?) d'enclave (antre) de Roche ? Bulle d'eau ? Caniveau ? on cherche fort ! on veut toucher = dire . 

cce qu'on veut pour nous le plus, c'est de construire, ensembke, une Cloison de Convenance, Mur du Son, Entrailles à Passion, ey co:mptendre . Qu'est-ce qu'on peut comp^rendre ? qu''st ce qu'ici (post- pré ?) on peut ou on pouurait arriver à comprendre de près ou au plus près ? La Rage ? Rage-trahison ? la france = le français de Pont ? L'enfance ? enfance à moisson ? On entre ensemble, on creuse en façade, on passe le nez, on mate la trace, le Passé, Néné né, l'aubade . On est ... eh bé ... née sur place ! en ce "post-promebnade'-sentier", treacé des fées, trait des TRaits jusqu'au Passé dit "de contrebande" (ou ... on l'a dit : surnumerairement comme alloué à une sorte de treacé de Rage, post-pré, qui sait ?) . On est entrée. On mate l'Ambre. On veut toucher. Touchons l'ambre. On aime toucher alors voilà, on ne s'en prive pas ! On veut cerner -coller-comprendre-saturer de traits, à njotre tour, ce dit pa ssé "des alentours". On dessine des traits. On a la main levée. Transe ! transe au taquet. Pertes de fée. Charge allouées à un Passé de TRaitsz . Pertes séches. trait des traits sur Passé sans Herbe ... mais avecd ... des Mets ? Denrées ? Dons de lait ? on touche aux nénés. On touche ici à ces nénés de trait, trait comme acidulés . On est nées sur pré à la retombée on le sait , et nous voilà quitraversons de Rage ce "fourré d branches", pour du coup "ensemble"" (2 femmes pour 1 fée) nous trouver ou retrouver de l'autre côté, à mater l'Ensemble ... l'Enfance ! ce Passé de contrebande enfin ciblé. Cette farce. Ce passé hors muret ou le muret passé ou traversé. Trait d'enfance sur Passé en France (on le dirait, vu les membres et autres traits donnés en contreba,nde). Traits ! fée ! charge ! cris ! ombres ! qui est là qui veut ici nous comme attribuer le Nom de fée de sa Rage-Verbe , qui ? On aimerait, nous-mêmes, le trouver, ou le dénicher. On aimerait en tant que fée de Cimetière(?) trouver. Trouver à toucher, à toucher-accoler, dire et faire, cerner, ne pas perdre, ni tomber, mais aller et continuer à creuser dans l'herbe (en premier) un sentier, puis, post-herbe, ce TRacé nacré ainsi attribué on dirait, par des mots de bêtes, qui sait ? On chervhe à tracer. On voudrait arriver ensemble à mieux cerner ce qu'il en est de ces nénés dits "ajoutés" à un passé nacré. on voudrait c'est sûr ensemble trouver ce qui pourrait être, qui nous soit "donné" de base pour nous enchanter, nous donner des ailes si jamais . on ne veut pas laissser tomber en quelque sorte nos recherches en herbe mais tout le contrzaire, continuer sans arrêts à chercher ensembgle (ailes de fée) à comprendre, ou cxhercjer à comprendre, ces données post-herbe ou post-muret à quoi ça ressemble . Car, quand même, ces données, cette sorte de treacé nacré, on a comme une vague idée à quoi de base ça pourrait peut-êtte reseembler , et donc nous indiquer (qui sait ?) la voie ou le chemin à suivre pour mieux s'orienter en ce Passé des traits, ou dit "Passé des traits " ... "bêtes de TRait" ? on cherche . On ne lâche pas ou plus l'affaire. On y croit. On veut tracer sur pied le dessin de l'ëttre, peut-êtte. Ou szinon de cet "ëtre des Eyttres" , Le ... Bison ?. tracer Bison = tracer net la Chose des Monts ! outre-parade. On nveut comprendre = on veut ou on voudrait comprendre ensemble, les données de RAge ! tracé-né = 

vcérité de passage". On veut toucher parce que voilà, toucher = charger = cerner = traverser = téter à ce néné des contrebandes ajoutées. Creuser = dire = faire = penser = comprendre = exposer du Verbe sur l'Allée des Fées. Cerner = dire = porter = toucher. On veut grave (nous), toucher de chez toucher ... le N2né post-pré  = le Passé . LePassé post-pré = le Tracé des Fées  = bêtes-de -trait et autres bêtes des moissons. cerner-toucher  = dire allouer.... à un muret, Passage d'entrée , vers MORT PERSONNIFIée = Colère ! la colère à jamais , en la mort entière ! contrée -née au pa ssage tracé post cimetière, on est abonnées ! On ntrace grave. On touche l'Ambre. on aime coller. On veut avancer. On entre dajs l'aNtre aux Nénés et là .../ vite, tétetrr !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! téter de chez téter et ne plus se retourner ! l'enfance , le Passé donné, la Chance, Trait des traits post-pré comme "donnés" en contrebande par ... Néné ? un néné ? lait ? lait-Passé ? passé-lait ? du passé sous forme de lait ? ou du lait du passé ? passé trtracé ? On est "alimentées" de lait de France (transe) , on veut téter de chez vtéter, treacer-téter, téter -tracer dee ce lait "français " (du français ?). On veut toucher toucher toucher toucher toucxher toucher à ce Néné "français" tu penses , un trait ! oups, avalé ! ça rentre ! ça entre dans l'antre ! treacé-né sur pré de  France , qui sait ? mais la France n'est opas le Français ! Charge-née sur paroi aux fées. O n est entrées, on a regardé, on mate = on a maté, on a touché un tantinet (à l'ambre) et à présent on se concentre ... sur Néné ! ce trait ! ce Passé dit "des traits alloués à une Façade : face de fée ?  ". On est entrées ensembke et nous voilà toutes remuées voire sidérées par cette chose en face qui à nous ici se présente toute éberluée ou contrariée ... MOrt MOrt donnée ! mort des Morts données ! données des données! On veut toucher à ses Nénés ... car , la mort (vrai !) a des Nénés qui sont Nénés dits "du Passé / a&lloué à une Vie" ! tè ! La Vie ! tu m'as compris ! rire chargé sous mise en pli!, cape et bonnet. Cri ! On est née La Fée, on veut toucher à ce Néné, des Données Coriaces. Ambre ? Honte ? oMbre ? Homme ? Mer ambrée sur passage d'antre, vers ... densité ?,intensité ? trait chargé ? pets ? pet des pets ? oh, on ne sait ce qui ici en vrai EST. Qu'est-ce que c'est qui icfi EST , de fait : un pet ? pet des traéits ? trait des pets ? pépé ? On guette ! on cherche. Qui on est ? le pet ?. qui on serait, car, onn ne sait en vrai qui on est sur herbe, szur pré, puis le pré passé, qui on est le pré ou la prairie aux bêtes une fois passée, on aimerait grave le savoir en vrai , qui on est , qui on est pas, à quoi on ressemble vu de là, là-bas, l'A,ntre, la Post-paroi Face. On entre dans l'Antre. on veut toucher à ce qui se présente et du coup miuex comprendre les données (vraoment ?) finales.

On est entrées un jour parce qu'on le voulait , et c'sst là qu'en vrai on s'est dit que nous, on avaiy grave envie de creuser, de creuser profond, toutes ces questions de vie et de mort, parce que nous, ce dont on a de fait super envie c'est ça, de cerner au plus ^rofond les choses frontales, les données qui se présentent au fur et à mesure que le temps passe et qaue donc "ensemble" (pour ainsi dire) on en avance, on creuse , on cherche, on touche,on touche à des notions toutes plus "denses" les unes que les autres si tant est. On est Feée -femmes au tr cé, on est entrées et du coup c'esest sûr que nous on a méga-envie d'en avancer le plus possible au sein des connészan ces , et mieux comprendre un Tout, qui est ce Tout ... des données intenses, des données de Rage, des données denses intenses de La mort Donnée de pareille Co ntrée. On a envieb ensemble de peut-êtte plus se projeter que ja&mais, en cet antre aux données données de type : "données denses", " Données Intenses", ou "Données des Données des Données de rage"; Car, voilà, on a pour nous de vouloir ça : coller ! coller aux Nénés, aux Nénés du Paszé ou, disons, de ce Passé de Contrebande ici rajouté, ou comme rajouté , genre Passé Allouéà une Contrée dite "de la Vérité". Un passé = une contrée. ET ce Passé "surnuméraire", est un pASé "en herbe " post-herbe. disons : La Contrée Céleste. Passé-né post-cimetière et autres terrrs araires arables. on cherche ce Passé ici (hors cimetière), la mort ainsi entérinée. On cherche ou on chercherait. on a besoin d'herbes du pré pourven avancer (= le Verbe") et du coup on est à sans cesse ruminer, mâcher, manger ou brouter de ce verbe ancré à jamais qui est Verbe des prés ; pré-Ailes ? ou pré-prés ? ou pré-elfes ? on est nées fées sur pré la Mort intégrée, à présent on essaie ensemble de nous rapproxche"r d'une sorte de Présent-Passé, d'une sorte de Passé-présent, qui pourrait ressembler (qui sait ?) à une sorte de Tourmente de données toutesrassemblées, genre ... tourmentes allouées à une sorte DE donnée de RAge sur-alimentée (?) comme qui dirait. On entre en cet Antre aux données tracées. Le muret est muret de taille. Il faut pouvoir le traverser et sans s'esquinter au passage, c'est pas gagné. On veut passzr ledit muret, sans (si possible) s'esquinter vla face, ni la face ni les ailes , ni rien , car, merde , on veut rester de base Fée pouvant voleter sans entraves ! On aime voler. On veut pouvoir continuer à en vrai nous envoler commê à la pa rade, en ces contrées des promenades pré-passé, puis au delà du pré, en ce Passé des Convenances explosées ou sinon explosées, bousculées, mises à pieds, re tracées;. On est nue ! nue de chez nue ! VERbe nu du Passé connu. On veut aller, sur roche profonde , nue. On veut aller nue sur roche profond e. Nue de chez nue on voudrait tracer ... vers gorge profondee? trait des traits ? Nue de chez nue : tracer ! pousssrr, dire et cerner . On est la Fée du pré qui est passée, et qui (à présent) veut cerner

 lkes données des Roches, ce Passé de Poche : outre aux données Rosses si tant est, qui sait ? on est accolées parce que voilà, on est des fées, et les fées ont deux a iles qui sont accolées à une sorte il semblerait de tige filetée qu'on dirait ... du Verbe ? peut-êtecpas, disons ... de l'herbe ou quelque chose comme ça ? herbe ?????? on dirait pas ! plutôt ... du verre, tu crois pas ? verre d'elfe ou autres êtres ici transparents, comme ... eh bé oui, du verre, eau de l'ëtre, voie comme donnée de Rage en na&ge ! On voit ce qu'on voit ! On aime ça : la Rage. On veut c'est vrai ensemble ainsi ailée : comprendre dans le sas, comme découvert, toucher, t§oucher aux Nénés, aux Nénés du passéb ou du passé de contrebande ainsi passé, le passé dit "passé... comme en contreebande" , via ... ce trait ou trait alloué à la ... cxhance ... de pouvoir ainsi (fée) passer ! traverser, faire ainsi comme un saut de carpe ... en ce Passé de Chambre ! on entre ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à c  e qui se présente ici ou se présenterait (pour ainsi dire) à nos acabits ! drôle de denrée : du lait, comme s'il en pleuvait ou pissait , dingue ! on veut téter ! téter de ce trait ! de ce lait de trait, de traite post-pré comme qui dirait, en vrai, s'il (si elle) voyait ce qui ici est, qui se présente à nos yeux tout éberlués ! onn est nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! sur pré puis, au-delà du pré, re-nées ! comme acidulés , prêtes à rencontrer (qui sait ?) le Dieu des F2es il sembvlerait ou comme qui diraoit. On veut toucher tpucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette sorte en soi de DIeu de l'au-delà à soi = (ou égalerait) ... un ... TRAIT ????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????? trait du milieu ????????????????????????????????????????? trait des traits disposé en ce milieu pour ainsi dire des dfonnées frontales ?????????????????????????????????? treait des traits tracés au milieu ??????????????????????????????????????? trait-fente ? trait-d'antre ! entrée d'antre ! trait de F2e sur ventre ? V ? ........ qui le sait ? qui sait ce que ce V est  ? une sorte de passage vers ... l'enfance  ? 

hein ?? Trait des rages du Passage Ancré ? on est la fée et à ce titre on veut cerner ! qui on est, et aussi qui on est pas. Ce qui nous fait tracas c'est ça, cette chose, à déciscerner ici ou déceler là, devant soi. qu'sst )-ce que c'est que cette sorte de paroi "finale" ? qu'est-ce que c'est que cette sorte en soi de P aroi post-pré, au-delà du pré, au-delà de lamort "Des rois et Reionnes de Sa&bba", ce passage étroit, cette fente d'antre, et du coup, cet anttre , cet Antre de Poids, CHarge, Temps, porte des temps, Enfance en France, Tourments de chez tourments. On est La Fée Passée. Oon cherche à entrer en ce trait ou par ce tra&it donnant sur ... le Passé, qzui sait? d'une sorte de vie allouée à une sorte dev donnée intense. parade. Cavalcade. ¨romenade chahiutée ou un peu dér a ngée. On entre ! ça nous plaôt. On croit comprendre ce passé ce que ça pourraot, peutetr , etre, à nos mirettes , ou peut-etre, qui sait ? à qzuoi sur pieds ça pourrait re'ssembler. On veut toucher de chez toucher à ce Passév surnumair". Le cerner = dessiner = tracer =composer = inventer le Verbe aux données en herbe. On veut toucher à ce Néné poszt-cimetière, Néné Né pour être tété par une sorte ici de Fée des données, des données en herbe, genre .... Fée Faite, Fée-Bête, Fée-Bête de trait, ça se pourrait (on cherche). qui on est ? peut-être en effet une bête des prés : sautere"lle ? non .... plutôt bête de trait ge,nre bovidé, bovidé des prés, à pâqueterrttes. On éime ! on adore tous les bovidés et autres bêtes à corne. on aime beaucoup beaucoup les bêtes. on adore les bêtes dites "de paroi", on aime ça. On adore les bêtes de roche et autrs bêtes ornant de leur tracé les parois de roche. qui on est ? néandertalienenes "visitées" , "visitées par les fées", ne cherche plus / O,nest nues de chez nues ! cul nu ! feée d'herbe sur le cul on pue mais qu'est-ce qye ça peut faire ... puisqau'on est ve"nuesz ! on est maigres ou pas maigres mais nues ! qu'est ce que ça peut faire .... eh bé, qu'on soit maigres ou pas maiogres, puisque voilà, on est nues venuesz, ou venues nues "tout près de toi, chevelu" ! post-cimetoère, cul nu, on monte. On est groosesxd'Ombres ! On monte. ON aime être nues velues. Grosses ou pas groosses qu'est-ce qye ça êut faire : on monte ! On veut grave aller , au plus haut des cieux , côté "le mieux" = sur Passé . tracer. faire. Dire. Complaire. Séduire. pOussser. Combler. CHarger. dire. Entrprndre une sorte de Parade. CFomprendre = cerner , les nénés de prés. nénés nés de contrzbande. un certain Passé. LA Chance en cjhambre. Trait tiré. Coup donné. Fente ! Ventre ! pré ! vent de face  ça le fait : pet ? qui sait ! notre chance ! on est née sur pré nous voilà née, cette fois-ci, non plus fée mais ... bébé ! grave ! le  B2bé des rages, un bébé de Rage ! THE bébé né post pré comme à la parade ! Bébé né de base "remuante" . Trait ! un trait, voilà le trait ! trait de souffrance ou de non-souffrance mais trait, rage au taquet, trait de rage dense, un tracé nacré = la CHance ! pezrmettrz que je vous embrasse,  s('il vous -plâit ! on danse ? le néné ! un néné ! un néné sur pied s ! genre: treait des traits qui sauréit de fait nous comptendre, et auxssi nous aimer sans plus de simagrées ! oh, on aimerait ! on voudrait en vréi être née sur place (post pré) en tant que "Bébé étrange" il semblerait mais (pour le coup) aimé ... ou sinon aimé, adopté, ou sinon adppté "reconnu" comme étant le B2bé aux données tracées ...  sur P°ré des Traces et autres tracés "de reconnaissance". Ici le bufflet, le bufflet cendré, là la Méchante Fée aux gros nénés, le Bison arqué, Chevaux Donnés, Chevautins traqués, Buffles au drappé, Antilopes-bouquetines, bouquetins au frais, Vaches à lait, vaches des prés, Porcs amidonnés. O,n veut tloucher à ce qui ici on dirait voudraiot grave, à nous, se donner, mais de notre c^pté, veut-on, tant que ça, aimer , aimer toucher à ce drôle de muret aux données profondeqs ? on dirait que oui, quand même, il semblerait. on dirait qu'en effet on a super envie ici , de cerner des choses qui se passzerait en cetespace (post-muret) des contrées (ultra-profondes) hors roche ou rocher, au-delà des ombres, des ombres portées ,

sur un mamelon, ou genre de ,

mamelon d'un téton. tracer grave, porter, chercher, cerner ou du moins tenter. Qui on est sur pré ? la fée. Et, le pré une fois passé ? la post-fé ! fée cpommme transformée (dès lors) en ... post-fée ! oui mzis encorex? eh bé cette chose d'une qsorte de transformtion, de roche, de porte, de porte de roche . Un tracé ou trait (outtré ?) qui serait (ou est) le tracé ... d'une porte ! porte aux fées" comùme qui ndirait. Passé des p âssés ! Cages allouées à un ;Passé de Roche comme passé (sous roche ?) de l'autre côté ! Cerné, poussé, donné, contrôlé, alloué, passée sur pieds et comme consacré ! On veut toucher de chez toucher, dire le dire, poster, creuser, bousculer ce dit "passé" de poche ! le tracer comme à maéin levé et sans trembler (pa d'anicroches) sur muret ou mur de Roche consacré. tracer = donner = dire = poser= connaître =

 comprendre ensembke un cvertain niombre de données de chambre :

le Passé est ... E,ntrée de base

Le Passé est ... donnée docte

Le poassé ... etc, sur "post-pré'-toundra" . On voit ça . Disons qu'on commence, ensembke, à comprendre le Néné de Base, Sein donné, ce que c'sset. Parce qu'avant (avant avant) on ne comprenait pas , on cherchait grave (desheures durant) mais rien à faire, quand ça ne veut pas ça ne veut pas. On voulait en vrai grave pouvoir comprendre, c'est-à-dire cerner, un  c ertéin nombre de données "de référence", mais voilà, on y arrivait pas, on était ... ultra-méga motivée c'est vrai mais en  vrai ça ne suffisait pas, on éztait toujours plus ou moi,ns dépassées, et, on se creusait de fait les méninges pour en abvancer et treacer et filer et nous repérer en ces contrées dites "de la mprt à l'oeuvre" (un pré, une sorte de pré) . a présent on se permet... de toucher NéN2é ! tu le sais ! le Né,né des Rages ezt autresColères de Base. Rrage-née post-pré tu penses, on sait qui c'est, qui (de fait) est en rage, enragé , on conna^t ou on le connaît . cettz sorte De passé dxe F(ance ... à cracher ! rage oléolé que dalle ! tracé né sur Passé deVentre , pas donné , pas vraiment donné : chereté  ! mets tracés = LAIT ! LAIT DES LAITs ! LAIT DONNÉ CFOMME EN CONTREBANDE PAR UN DIT "NÉNÉ" DE CFRANCE = LE FRANÇAIS  ? ON NE SAIT ! ON EST EN SOUFFRANCE ! ON VEUT TOUCHER-COMPRENDRE = CERNER = POUSSER = CHARGER = 

FORCER LE BARRAGE, PASSR, ET LÀ, CERNER REG

A RDER  LESDONNÉES "INTENSES"  ON DIRAIT : CLARTÉ, LUMIÈRE DORÉE, EMBRASADES.On aime tracer = donner à qui est, ce qui en nous semble vculoir "monter " ... trait de Fée . On veut (voudrait) aller (tracer) vers Néné ! Néné d'Ambre = the Néné . néné né comme à la pa rade,; en ces contrées des post-parades et autres cavalcades olé olé d'animaux de charge (zigottos). On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucjer tpucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher de chez toucherb= donner ! donner de chez donner ... 

les données de roche, et, en échange,t éter ! téter de chez téter, à ses nénés , à ces nénés de poche, poche d'ombres ! téter = 

donner =

faire =

dire =

comprendre un certin nombre de données toutes (il semblerait) de contrebande . 

Qui c'st ?????????????????? c'est l'ouvrier. Le gendarme. Le plombier ou le menuisier. Le Passé chargé comme par la bande  des données de base et autres denrées bien disposées su r un muret des ditesc "offreandes octroyées". Manger = donner = faire = combler = dire. Qui est là pour nous parfaire  ou comme nous parfaire; qui vgoit ça, la peine, les souffrances agraires, les tracas de soi, misère et paroi, la panse, l'offense, l'ombre des voix, le port d'accroche, la Nouba ? on cherche de base. On y croit parce qu'on est franches. On veut comprendre = toucher à ce qui est qui se présente à nos yeux hébétés, ouverts en face,étonnés. Quoi on est ? bêtes de la joie d'en être!  d'être parmi des bêtes ! bêtes de la jpie à naîtr bête ! joie intense ! transe ! portes ouvertes ou toutes portes ouvertes ! grand passage de têtes ! naissance ! connaissance ! reconnaissa,ce ! sang d'encre ! on y croit. On veut toucher ma foi la Panse en transe ! tracas-roi ! porte close ! potage et autress soupes froides ! falbala ça le fait pas ! comment comprendre ? qui 

chercher ? qui rechercher ? à qui s'adresser ? qui emmerder ? qui soeaouler ? qui prendre en vrai ici comme à partyie ou pas à parytie mais à part, et le sommer comme qui dirait de bien vouloir se prononcer ? qui ici ? on est née fée et, du cfoup, on a envie pour ainsi dire de se promener (ensemble) sur le pré et sans plus se faire chier. On est "fée des prés", on se proméène olé olé ou pas olé olé , qu'est-ce qu'on en a à faire , d'être ou ne pas être olé olé en ces contreées "de cimetière" ! On est fée faite pour fêter les Rêves ! rêver et fêter les rêves , fêter l'herbe. On vgeut toucher toucher toucher toucher à ces nénés tracés post-herbe, post-muret ... mais alors où tracés ? sur pieds ! ok mais ouù sur pieds ? eh bé ... sur Passé ! sur une sorte de Passé pâssé, passé sur pieds, passé des passés ! contrebande franche ! contrebande franche ! chère contrebande ! un passé pâssé (de fait) comme en ... contreb nde franche, intense, énervée ! fée ! fée ! fée de Franche contrée ! ambassade des tracés nacrés ! intenses ! faits sur pieds et du coup redressés (comme à la parade) sur muret de chargepariétale, genre "moufflets", genre "bouquetines", genre "big bidson" et autres bêtes à mamelons. On entre. ON rentre dans l'antre. On est bien armées ensemble . On veut comptendre alors on s'arme ! On veut toucher à ce Néné xdes COntrebandes, et y aller : poussser, pousser, poussser, pousser, poussser, pousser autant qu'on peut , charger, cerner, aler , donner, faire un voeu (voeu pieu ?) et se poster au-delà du muret, dans l'atente d'une vérité" qui de fait nous serait allouée ... comme aux petits vieux ? ça fait rêver ! bé ouiais, qui sait , ça se peut ! ça peut en vrai le faire (grave) à nos yeux ! commr à la parade ! voeu de rage ! On est deux = noeud ! on entre ! on entre "entre". On entre en ce feu. feu d'antre. On entre ensemble en ce feu des Rages et autres Colères de base (d'un dieu pieu) et on regarde. qui est là au beau milieu (plein centre) ... Dieu ? le Vieux ? le passé du pieu ? l'antre de naissa,ce ? qui dit mieux ? On entre  ! on est "deux" , "deux de rage" qui voulons comprendre et .... cont^roler la Rage ainsi allouée à une Contredanse sur Passé. qui , en vrai, on est  ?qui ? ......;...................................................................................................................................................................................................................................................................................... AMBRE ? ........................................................ AMBRE ?................................................................. AMBRE ? ........................................................................................................................................... Fourne d'(am bre ? ......................... on entr ! on entre entre !onn entre dans l'antre entre . On veut comprendre ensemble les données de l'antre. On a envie de base de comprendre ensmble les données de l'antre, et du coup grave en avancer, au-delà du muret, passer , pistonner, nouds retrouver  de fait de l'autre côté pour mieux cerner ce qui est qui se présente à nous "avec ses nénés" qu'on dirait ... des genoux ! hou !  genoux de  gnous ! On entre , on regazrde, on se fait une idée, on cghehherche à comprendre-cer,ner, on mate. On est ensemble ou iun ensemble : plutôt un ensemble, ensemble ailé (une fée ailée) et voilà , on danse ! on est en transe ! on veut creuser à fond dans les connaissances et tracer, tracer sur pied tout ce q'ensemble on croit deviner ou pouvoir deviner de ce qui ici, en présence, ou en notre présence, semble se dessiner

 en face, traits, traits des traits, trait s de Rage et autres Colères "IMMENSES" , on sait, on est conscientes ! on a compris grave le blême il y a belle lurette ! certes ! grave certes ! On entre et du coup voilà : on mate 

🤑

Traits 

traits d'ombres allouées à une roche ornée 

traits de fée

traits très appuyés pour rester

treaits des traits cfomme s'il en pleuvait = pluie , et le tour est joué

traits actés = gravés = induits 

post-pré (hé hé) on dirait !

ça plaît. Ç envoie du bois. Ça envoie grave ici du bois de là ! charge, porte, poste, trône, porte-à-porte. On voit ça. Toute une cohorte de "Rats gras" ... Choses d'ici bas , on compte : un , deux, trois, les voilà changés (ces rats gras) en Fée de par(oi, wouah ! ça envoie ! ça trace ! ç a commande sa loi ! c'est bath ! On aime ça. nous vpilà en face qui voulons connaître, eh bien ... Vent de Rage et son COnvoi (tant qu'à faire). POids. POids de roi et Reines. Poids-roi, poids-reine. Pèse-maigre, pèse-rat , chants des toundras et autres plaines : la la la la la la la la la la la la la la la la ;la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la lz  et aussi : ka la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la , et eaussi : la la la la la la la la la la la ka la la la l la la la la la lz la la la la la la la la la la lab la la la la la la la la la lz mhn        lla la la la la la la 

ça envoie ! ça grave envoie du bois ! = trace gr ve! traits de foi ! fente ! fente large et voilà, on passe ! on entre, on veut ça ! On veut ensemble si possible aller au plus profond e,n ces contrées et n e plus remonter mais gegner les bas-fonds, les bas-fonds de roche, tracer, aller, cerner, pister, essayer de toucher à ce ... eh bé qui sait ! néné de l'ombre , de l'ombre allouée à une roche ... pré-pré,, puis post-pré ! On compte : 

un deux trois soleil, la Roche ! 

pré, pré né, pré aux fées, pré acté, pré d'herbes nacrées . On compte. On veut ensemble (qui sait ?) essayer de ne p^lus (ici) nous arrêter pour compter ou comptabiliser mais ... essayer de touchezr les sortes de "nénés de l'ombre" , et dcoup comprendre, cerner  les nénés = les comprendre ou alors (peut-etre) essayer de "visoionner" à travers la roche ces nénés, comprendre -visionner ? On ose ! On passe ! on prend un peu d'avance . On veut toucxher parce qu'on se dit que de t(oucher n ous fera "grandir" à jamais ! on se dit ça. On est là pour tenter une approche de roche.  POur : gravir cette roche, monter hzaut sur roche, tracer. Léviter. Qui sait ? lévitons ! montons ! creusons, ensemble, cette cloison ou da,ns ceyte cloison, des sortes de passages "ronds" par où ensemble nous pourrions peut-^tre, passer, cfomme rn contrebade, jusqu'aux nénés, ou à ces dits "nénés" du coup "de contrebande" , on sait ! fait avéré ! trait des traits ! charge ventrale. On erst nées sur pieds la mùort ainsi "traversée" (disons : 

le muret

le pré

à nouveau le muret

ROTONDE À MURETS

Charge "dr(ôle", haute : ponton ! on ose . On monte. On creuse. on envoie. on veut toucher à cette sorte de paroi des bases latentes et autres ressorts-roi. Fente d'antre : wouah la Voie ! Voie de l'aNtre ça envoie ! quelle chance ! une sorte de chance (sa chance) à prendre ! Antre des antres on voit ça ! quelle cha,ce on a ! mais "on a su la prendre" ! Un antre de Roi et REine de l'au-delà ! ça envoie du bois ! grave ça envoie ! promenade grave ! charge de face! pastorale! On veut toucher toucher toucher; parler parler parler, donner donner donner, dire dire dire, cerner cerner cerner, conduire cionduire conduire, oser oser oser, et du coup se poster au plus près de ces (dits) "nénés de rage" ainsi "rencontrés" comme à la pa r ade post-muret; Qui l'aurait pensé ? qui eut cru trouver (en ces contrées) pareil n éné tout dévoilé et prêt (du coup) à  téter ! car, 

on aime ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ téter ! grave on aime ....................... téter ................................. dingue même comme on aime ici (La Mort) téter ! ............................. amour -haine et cependan ........................... vive le lait ! le lait des contrées "mortifères" (?) comme qui dirait on dirait ............................ fée agraire ! ....................  fée des fées allouées à du post-cimetière aux denrées lactées : bière galactogène ? sein donné ? lait de trait , ... passé ? hé ! qui sait ? on cherche ! ce passé........................ qu'eswt-ce que c'st ? ............. du VErbe ?................. ça se pourrait ! que Le VErbe soit lié, à cette chose ici donnée, Herbe ! herbe de pré ! herbe acidulée ! lait et herbe ! .............................../............ herbe verte s'il en est , toute broutée ! ................................. treaits des treaits en herbe verte ! ........................................................... on aime, on veut aimer, on aime aimer, on aime l'herbe comme dxu  verbe , dingue ! ......................................................................... vive l'herbe et le verbe , de la mùort en herbe ! piètre ? traître ? verbe piètre et tréaître ? qui sait ? on cherche ! on ne dit pas qu'on est maître  ou maîtresse, desdites contrées ! on se tient en retrait, on"gère" ! on  essaie (du moins) de "gérer" à ce qui est, en ces contrées, qu'on se devrzit ou doit de faire sans traîner mais tout le contraire , à fond la caisse ! sans chercher forcément à plaire , on veut tracer ! l'important c'st d'aimer : tracer, filer, ne pas traîner, pistonner, poussser vers , etc. , et du coup .... eh bé certainement, en avancer ! tracer de chez tracer ici en direction de ces nénés, de ces nénés de roche (post-roche) du Passé Recomposé  ou disons re-né , ou comme re-né. On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce passé dit "recomposé" si on pouvzit, mais en vrai, peut-on ? peut-on en vrai toucher à ce P assé dit "recomposé" ? et du coup ... téter ? car, on aime ! oh grave on aime ici téter, lait de mère et autres laits de bonne mère ! On aime ! grave on aime ! on aime téter ! sucer du lait, s'en gargariser, s'en foutre plein le gosier, ne pas s'arrêter dee téter pareil lait ... de roche de Rêve. téter = téter = braire ! Oh, on aime ! grave on regarde! douces on traîne et du coup on guette et du coup, houp, on se jette, sur pareil néné aux données intenses . Traces de pieds sur paroi donnée. Pré acidulé la paroi passée. Muret. Muret de fond de contrée. Et à nouveau qui se présente comme un fait exprès : le muret , la Roche, Roche haute = tombe ? peut -etre pas si vite , ou quoi ? Roched'or ! Vent de Port ! corps du Nord ! Ponte ? pont ? on monte. ON veut aller jusqu'aux Nénés "de porte". Les toquer, leur donner du nôtre afin de les téter et pas à moitié ! haute roche des prés = muret des finalités. On monte. On ose monter. oN est née, sur roche des prés, pour en fait pouvoir monter, ainsi monter, jusqu'au ... passé de Roche ainsi rencontré (ainsi et ici) : Porte d'entrée !Pré Paszé puis le Passé à nouvreau posté ou disons "posté" cfomme qui dirait. "Post" de porte. On monte. on aime aller pour ensemble creuser ou voir à creuser la roche. On monte ! on ose. On  veut 

toucher de chez toucher aux Nénés des Rosezs

Toucher de chez rtoucher aux Nénés des Roses 

Toucher de chez t§oucher à ce Néné de rOche.

qui est qui en ces contrées ? le VErbe est né qui se propose de nous diriger, ou guidr, ou accompagner ... une Vie durant ... jusqu'aux Nénés allouées au lait, Lait Vivant. On veut toucher troucher toucher toucher tpucher toucher tpucher toucher toucher tpucher toucher toucher tucher touchezr à ce Néné des vents et autrx Pets de près ! ça le fait ! traits ! ça le fait très ? trait des traitsz ! couvent ! sentiments condescendants , forces hautes, vents doctes, saints dansants, saintes roches aux tourments , parole et carriole, train avant ! On monte. ON monte hautes. hautes on monte. Vents. Frai. Traits. tracé. Pertes de données mais on s'en fiche on est passées ! fée ! ..................../... devenue bébé, ou rebébé ! ./........ on file ! ...............on garde la fiche ! o,n garde ce qu'oon peut garder : la fiche ! vive l'affiche ! le trait ! la boisson dorée ! amidon ? anis ! anis étoilé , champignions ? on vibre .................... on aimerait grave duerer : durons ! allons ! montons ! chervho ns ensemble à 

tracer de chez tracer 

autour du mamelon, non pas un baiser, mais une sorte de tétée de lait ! lait tracé ! trait de lait :  contrepoison ! fond ! don ! pont ! pont des ponts de Roche Haute .... possédées ..... soudée à une sorte de Parole HOt, genre obscénités et autres traitsz tracés au piquet ! porte ! haute ! roche ! croche ! morte roche des données de porte ? ou roche morte des données de corps ? on ose ! osons ! portons loin notre farandole comme à l'iunisson et filons, gagnons au plus lointain la roche terminale, trait fatal, CON, porte, hzute porte de roche, CON d'homme ? haute roche des données de porte. ON monte. ON monte sur Ombre. Ombre morte. Chair de ROche HAute . Crotte ? On monte . on veut toucher de chez t§oucher à un ensemble de données dont on dirait q'elles sohnt toutes, issues (pour insi dire) d'un néné. oh, ça se pourrait que ce soit vrai  , car, le lait, en soi, offre mille et une "qualités" avéréeées , de type "alacrité", "aminosité", "monstruosité" ou au contreaire "amabilité" ... à nous de cerner et de nous repérer en ces contrées. pas simple mais on devrait y arriver . on estndes  bêtes, bêtes de trait : on sait tracer ! on sait en avancer et nhous poser. on Est le Fée post herbe .......................................... on est la Fée des herbes puis post-herbe ................... mais, post-herbe, on est plus tout à fait fée, mais Bébé ................ car, toute teansformée = renée ! ............................ née bébé le muret passé, ^prête ou pret à téter son lait ..............l ait de néné de ROche Imberbe ........................ car, post-muret il ya du lait .............. la mort est pleine ! pleine de lait ! pleine de chez pleine ! c'est un fait vrai ! tout le monde le sait ! le lait imprègne, le lait est lait d'herbe, d'herbe verte = Verbe ! trait des traits en herbe verte = VErbe ! va et vient du Verbe sur Passé Ancré, très. On mo nte . ON creuse. On porte. On veut toucher de chez toucher ... la POrte Haute , la Toucher de près, monter, creuser et porter comme qui dirait "une pa role de vérité" sur une sorte de ... néné tété. Qi c'est ? ou pltôt : à qui est ce néné ? au Père amadoué ? Au père Pet ? au Pétou-né ? Verbe d'herbe alloué à un "pet en herbe" ? trait des fées  ? on cherche ! on est pas arrivée. On veut toucher c'est vrai mais toucher = creuser = téter et veut-on téter ? somes-nous Bébé ? sommes-nous réellement une sorte à nouvrau de Bébé né au monde ... c'zsst-à-dire , la mort avérée (une fois avérée) ? Hé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ç

a se pourrait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! il se pourrait que ça le soit, mais on ne le sait pas, car un bébé ne se souvient pas et charge, sur place, son "petit matelas" de contenance , contenance d'ambre, d'ambre à aimer = le lait. On monte .............. fée haute ............. porte haute ....................................... haute porte ................... chaude .................. chaude haute porte ........................ trait des treaits à faire durer si tant est /.................................................. qui connait : les données du monde ? qui sait ce qii est en la roche ornée ? qii comprend quelmque cxhose en ces bêtes à cornes ? qui dessine sur pieds la Bête de POrte ? qui cherche à nous révéler , ou qaui chercheraiot  ? que cerner en vrai en ces contrées du bout du mùonde ? on veut toucher m ais veut-on trouver ...  quelque chose à, comme qyi dirait , brouter ? On veut : dire ! dire et faire ! et aller , continuer, treacer sur herbe jusqu'au muret des données dernières . On est née sur pré , fée. Fée en herbe . On veut grimper de chez grimper , et qi'est-ce qu'on fait ? on grimpe!  treaits ! traits des traits des herbes broutées, ruminées ! on aime ! vaches de trait, on est ! on est des fées ... vaches de trait ! on aime ! o n aime ruminer de chez ruminer ... et aussi téter, dès que passée au-delà du treait ! Téter de chez téter, le lait de "boinne mère" tout acidulé. téter = téter = téter /.............. ça le fait (grave) quand on est bébé, de téter mère, le néné de mère, le treacé, la voie lactée .......................................... chercher /................ chzrcher à téter, le sein au lait, d'une sorte d'entité de Plaine ........... qui c'sst ? .............. mort la Souterraine ................................................. le passé ancré .......................... l'herbe alloué à une sorte de misère qui serait ancienne, très .......................................................................... un passé passé ....................... à  travers les persiennes .................. trait des traits sur paroi ornée ................ ? on aime ............ on veut toucher à ce passé surnuméraire = rajouté .................... nouveau passé sur pieds, ça le fait .............................. trait né ! .............. porte haute .................. porte haute et passé haut .............................. trait des fées sur porte de roche haute ....... haut des hauts hors caniveau et autres seaux d'eau ......................... porte haute des anneaux .................. rondeaux ..........................mort la SOutreeaiene aux tréteaux et autres préaux ........................................ toucher touchertoucher ..../........... toucher à ce néné = téter , et ce qu'on veut en vrai c'est : 

T2TER ; TÉTER HAUT; TÉTER SUR TRÉTEAUX HAUT ;HAUT TÉTER LE NÉNÉ DES HZUTS ; HAUT TÉTER LE NÉNÉ HAUT ; TÉTER HAUT PAREIL NÉNÉ BEAU ; CREUSER ET MANGER ; FAIRE AINSI QU'ON SOYE COMBLÉE COMME DES ANIMAUX ;

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20/1/2025

on veut ... eh bien .... COMPRENDRE = CERNER = DIRE = SE TROUVER , POUR AINSI DIRE, ;;; DE L'AUTRE CÔTÉ DE CETTE SORTE DE MURET DES

 "FINITUDES INTENSES " , "THE " MURET ! 

la Chance ! on veut ça : voir et comprendre, ou même .... toucher ! car voilà, il y a ou il y aurait ici, en face, une sorte de paroi des Chances , paroi meuble voire molle, où pouvoir en vrai tracer = traverser sans nous retourner et du coup gagner, au plus lointain de ce qui est, la Rive post -pré on dirait. En tous cas voilà;, on entre "ensemble" = accolées = ailées  = vives et intéressées car oui ;;; on a méga -envie ensemble, de cerner-toucher à ce qui se présente, devant soi (ou nous), en termes de ... Néné de Contrebande ! le (ou THE) Nénné de Contrebande = du lait ! lait de France ? lait de Rage Ancré, invétérée ! on entrev= on creuse = on regarde = on veut en vrai cerner -toucher à cette sorte de Donnée Frontale ... la RAGE ? hé, qui sait ? Une Rage qui dès lors sera it comme personnifiée ? une sorte de RAGE IMMENSEV , GRAVE, FORTE : HZAUTE ? on veut comprendre ! on mate ! On ne lâche plus ... le bébé ! On est accolées de base ensemble (ailes de fée) pour eh bé oui cerner ici, en ce Royaume post-soufffrance, puis post-pré, les données dès lors, d'une sorte de   RAGE IMMMENSE, 

qui serait "raccoçrd", avec LA Vie telle qu'on l'imaginait (peut-êtte) post-pré ou post-prairie "des fées" ... ? on ne sait ! on est nées Fées sur pré et nous voilà , qiui, ayant traversé (à nouveau) la Roche (en ce vpré des vfées ) sommes qui , en vrai, nous retrouvons comme enveloppéesz vpar une sorte de lumière INTENSE ! est-ce ... du lait  ? lait nacré ? est-ce une sorte de blancheur de base ? qu'est)ce en vérité que ces données, bpost-prairie aux herbes et autres fleurs post (?) cimetière  ? on cherche ! on est nées fées, au pré, nous voilà à nouveau peut-etre adoptées, par une sorte ici de ton nacré, blancheur hâlée, ton de données  hautes toutes enluminées comme qui dirait ! est-ce un Pet ? vent de Force Douze ? quoi est ici qui semblerait vouloir nous i nviter à nous allier à une sortte de part(ie coriace (INTENSE°, de type ... Chasse ? ou comment penser ? on regaedrrde ; On veut percer dans ce muret Passage poutr passerr, et c'est ce qu'on fait. Puis, voilà, on entre : ok ! ON est entrées ! F2E ! F2e des prés on est entrées et on regarde et on essaie (au plus près) de comprendre ... eh bé, les Nénés ! ce LAit ! cette trace (au débotté) de Lait De FRance comme qui dirait ! VErbe tracé ? charge ? poil du nez  ? qui donc est là qui nous observerait ? qui nous regarde peut-être de biais mais bne cesse de nous obszerver comme qui dirait ? qui chante ? est-ce chant ou est-ce vent ? pet post-pré ? traces nacrées ? chant des bases et autres CCcHants comme "soulevées " et on comprend ou comprendrait dès lors que le Moment est grave (INTENSE°, et qu'il est temps pour nous (FÉE) de nous transformer, de nous adapter, de devenir (qui sait ?) BéBé comme on était , comme autrefois , pré-pré, on était ! comme auttefois, avant le pré, on était ! On a été ! On veut toucher à ce N2né des CENdres et du coup T2TER ! téter, à s'en faire péter la Panse ! à s'en mettre (intense) jusque là de lait et sans traîner, parce qu'en vrai, le lait, dingue comme, voilà, on ne peut plus de fait s'en passser, tellement en vrai on aime ça ! on raffole du lait ! on ne s'en lasse pas ! On est dingue folles de Lait ! vive le lait et les produits laitiers comme qui dirait ! On veut téter à ce Néné du bout du monde (MORT). On veut grave téter, en tant que fée, à ce néné du bout du bout 

et ne plus lâcher, en tant que bébé, ne jamais plus lâcher (en vrai) ce Néné, qui est Néné pour ainsi dire des données de RAge (incidemment !) il semblerait ....On entre ! On est dans ! on est dans l'antre ! on est Fée en transe ! on danse ! on boit du lait ! oh le laiot ! oh ce lait haut ! oh oh ce lait comme on aime de fait l'absorber et le digérer et même le péter ! On veut toucher de chez toucher à ce Néné à lait De mort de RAge ! mort donnée = mort haussée ! On cherche à cerner . Qui donc est là qui nous regarderait en tant que b(maintenant : après la Fée) Bébé ? qui donc, dans la mort, nous regarde Téter ? La RAge ! et le tracé de RAge ! cette Sommité ! Bête de charge ! mais qui c'est ?????? eh bé ... peut-êttre .... un mirage ? une sorte de donnée de base ... évanescente ? tracé né post-pré, colmme un tracé des Rages Allouées à une sorte, ou une espèce de ... Mirage Accolé  à une "somiyté" des Données FRanches ? on est née Bénbé

 à la travezrrsée, 

comme on était née Fée, plus tôt, pareil :

 à la traversée ! 

on a chargé ! on a passé le pré ! on a gagné le muret ! on a regardé les Nénés ! on a tété ! on a ingurgité du coup pas mal dsde données , et nous voilà refevenues , pour ainsi dire, B2Bé comme on était avant dêtre allouées à une sorte de Donnée Finale genre p)rairie sarde , pré aux fées, parade animale ! On creuse de fait les données de base telles que présentéezs à notre comprenure pas mal embouchée mais enfin on tente ! on essaie grave de comprendre, de nous situer, de cerner loes choses post-pré qui nous attendent ou nous attendraient sait-on jamais ! Bébé ! le Bébvé des Transes ! On est enfin passé et à présent on veut toucher ou on voudrait toucher à quelqaue chose "qui le fasse" aux yeux de D2ité, qui sait ! MOrt au taquet ! La Mort est blousée , ou serait grave blousée , on naît = on re-naît ! on trace ! treacé ! on entre ! entrée ! on regarde intensément ce qui appaaît et donc .... on verrait (on voit) .... 

Des traces ! de la JOie ! du tempsaccolé à un Passé ! unPassé accolé à une Déité , elle même accolée à une sorte de Donnée de RAge ! Paroi passée, voilà en vrai ce qu'on pourrait ... deviner ? détailler ? cerner et toucher ? on mate grave ! on ne s'en laisse plus conter mais donc on mate de chez mater, afin de cerner ici les données qui nous sont données à comprendre . Le Passé !!!!!!!!!le Passé intense ? un passé en France ? transe ? charge du passé sur Donnée de RAge post -muret ? On regarde ce qui est ! On cherche à discerner ici ou là ce qui pourrait nous intéreseer et nous attirer ! On cherche à s'avancer en ce post-muret aux données franches ! Le Bébé est né ! voilà le Bébé ! le bébé des TRanses est enfin re-né, du fait que là (post-muret) il a pour ainsi dire traversé (sous forme de fée) ce tracé = ce treait ! voilà le Bébé ! ici est le Bébé ! le Bébé des Chances est ici orné ! Il est le Bébé des Données De rage ! Il est ce dit "bébé" aux coudées franches ! intenses ! on entre ! téter est la vérité ! téter = t'étais ! mais tu es (il semblerait) re-née , et donc tu peux téter à ce néné des dites données

 de Rage intenses (intenses les données !) On est passées = on a traversé, la dite "façade" d'un tracé aux F2es ! on est passées ensemble ailées, du fait que voilà, on voulait y aller et sans plus tarder, car, on voulait (en vrai) SAVOIR + TOucher à ce qui est ou était ou serait de l'autre Côté pour le coup du pré, comprendre = toucgher, et toucher comprendre, alors on est, comme il semblerait , passées, d'un statut de Fée (fé des prés comme acidulés, les prés) à un statut dit "de Bébé" , qui, ici , post-muret, est le statut de celle ou de celui (indifféremment) qui peut téter à un n2né dit

 "des Données de RAge" (de La moprt cendrée !). 

On veut toucxher-téter à  cette sorte de "donnée  en Bosse" comme une avancée de genre Tombe, TOmbolo, TUmulus ... TRombe ? TRot ? On monte ! on mate ! on mate grave ! On touche ici (post-pré) à quelque chose de

 "complètement intense" ! on veut toucher ou on voulait toucher et à présent voilà que nous toucheons ensembke THE  néné des Données denses ! On entre ! on cherche ! on fouille ! on veut essayer de cerner-toucher à une sorte de Donnée qui serait la Donnée des Données Intenses : franche ! franchement intense ! en (qui sait ?) transe si tant est ! on est passée parce qu'on le voulait en tant que fée, on est entrée et on rzg arde ce qui est et ce qui est ... ne laisse pas de nous intriguer ! on veut c'est vrai aller, au plus profond svp, en cet antre aux données franches ! verbe allié ! on veut aller eh bé en ce .... Passé ? chercher ! chercher large ! chercher ! large chercher ! chercher du large large ! chercher = cerner = dire = pousser = attirer = aller = monter et du coup soulever , de la cryppte, le Passé en friche ! on ne veut pas se laisser démonter ! on veut pouvoir en avancer sans se bklesser ! on ne veut pas se laisser absorber mais téter de chez téter à ce Néné post-crypte (?) si jamais ! On veut pouvoirtr téter sans se bousculer ! On veut toucher topucher toucher, téter téter téter, cerner cerner cerner, aimer aimer aimer , aimer tégter ce lait des Données FRanches ! les Coudées ! l'attente! le tracé ! le Vrai du vrai ! la Chance ! Lesz Nénész tracés = dessinés qui sont là de fait à nous attendre à point nommé car on est nées ! on est Fées passées devebnues Bébés ! qui aimons téter quasi à jamais (en tant que B2bé) ! Qui on est ? des Bébés ! qui on aimerait, en vrai, devenir , dans le futur proche, si on pouvait ...  des bébés ! et, auusi : 

des qui pourraient cerner (en tant qyue Bébé, dès loçrs) ce qui est qui nous attendrait passé le muret des finalités ! un néné ? deux nénés ? trois nénés ? horde de Nénés  ? mer gelée de Nénés ? océan fatal ? charge large ? une mer immense, toute nacrée de nénés Intenses ? on ne sait de fait , mais l'idée est ici de cerner au plus près ces sortes de données coriaces ! essayer ici (en tant que Bébé nouvellement re-né) de toucher de fait à des É2vidences, s'il en est ! et du coup de percer (incidemment) un certain nombre de secrets qui  seraient dès lors "Secrets Éventés", my god ! on Saurait ! on en saurait long ou plus long ! on saurait, de la mort, les ressorts ! on comprendrait ! on pourrait informer, éduquer, donner, redonner, offrir des données et autres clartés , c'esst un fait ! On pourrait peut-êtte alors nous retourner ... mais en vrai est-ce qu'un bébé peut se retourner ? erst-ce qu'un bébé peut réellement, concrètement, sciemment, affirmativement, se retourner vers son pAssé Récent d'embryon flottant ? On est nées Fées dans la mort tracée, puis passé- le pré on renaît, en tant que bébé prêt (prête) à téter si tant est : prête et prêt selon le sexe (? ) donné ! on rêve ! on entre ! on passe ! on creuse ! on veut toucher toucher toucher = donner = faire = dire = cern er = pousser, ici, tel ou tel néné aux données de base = le lait ! ah le lait ! 

LAIT DES LAITS ! 

LAIT INTENSE DIANTRE ! diantre le lait ! quel lait ! lait blanc de Néné post-pré ! Chance ! on pe"ut dire qu'on a de la chance ! on aime le lait et bingo, intense : Lait ! lait des laits ! On en redemanderait tellement c'est frais , ça nous plaît ! on danse ! on est née f2ée puis Bébé puis quoi ? toute mouru du cul ? direction le FRai ? Rage-Trait ? on danserait ? on passe ! on cherche ensemble ici et là (comme à la retombée avec ou sans fraczas) de cerner la CHance, ce que c'est en termes de Donnée Franche et autres données, dites "intense", "intense à jamais" ... On veut toucher à ce Néné des (donc) données Intenses, Denses, Franches, Fortes ! comprendre = donner. Faire = poser . Dire = pointer . Toucher = colmater et du coup toucher à ce qui est qui nous regarde en face , en ce tracé (de Rage) des Données (Franches) Assénées ! Qui c'est ? Le tracé" ! Qui donc c'est, en tant que tracé ? Le trait ! De quel trait veut-on parler ? du trait ... entre les Nénés ! Du trait treacé sur peau de Fée ? non : trait né ! trait ici né entre deux Nénés ... =  entre Né  et Né ! Oh, ok ! On a enregistré ! on voulait cerner eh bé on dira que c'est en que'lque sorte fait ! on sait ! on peut avancer ! on peut chanter ! on peut ghrave chanter à jamais ... les chansons de France oh oh ! France  é& Navarres, tu parles .... en français "de charge" ! TRenet ? le Passé acté ! l'ambassade ! colet-monté on est entrée ici pour chanter et nous voilà toutes remontées qui cherchobns (intense) la ... façade ? ou face née ? trait des traits par où s'immiscer (le nez ?) à tout jamais et s'y instéaller ! car, on naît bébé ok, prêt ou prête à téter ok, mais de quel lait veut-on téter ? lait d'Espagne ? de France ? d'Italie mon quiqui ! du Royzaume des Flandres ? Brindisi ? on est née Bébé on veut toucher néné ! né et né ! on vzut toucher à ce né-né aux données Sardes (qui sait ?) qui nous rassemble (re ? ressembkle ?) on dirait ! on entre ! on entre en  cet antre aux données intenses ! on veut grave de chez grave aller ! tracer ! toucher de chez toucher ! percer ! toucher = percer ! donner = dire ! faire = comprendre et du coup percer,;, cerner, chercher à soulever si ce n'est les nénés, le tracé du Passé et hop, re-née ! née sur pieds ! le Bébé du Traitb ! re-chargé comme une sorte d'entité pré-pré ! hé hé ! on est re-né à une sorte  "d'aventure-conjoncture", en fin relayée , sur papier de frai ! chapeauté ! vive les TRaits et autres gravures ! le bouquet = les données ! chevelures !  parures  ! échancrures ! bures ! Les nénés post-pré donnent belle allure ! 

♥️

on veut aimer

aimer

on veut grave aimer

aimer

grave on veut aimer

aimer

aimer grave ...  trenet ?

aimer, jusqu'au dernier carré des données tracées : chevelures et montures, montures et chevelures  : le Passé traité sur mur ! bêtes d'allure ! bêtes-mots de bure ! un tracé ! une sorte de Passé ttracé comme à mai n levée ! allure et monture ! cavalcade diurne ! le Passé a fine allure ! passé des passés ! On veut toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui nous reg arderait sans sourciller (ou si ?), et nous de nous placer ainsi à ses côtés ! qiui c'est ? le Passé ! Mais qiui, le Passé ? parce qu'on voudrait de fait comprendre , ce Passé, ce que c'est justement, en termescxde :

-monture

-trait

-encolure

- chevelure et autres "parures de bure" . On est   née Bébé post pré ! on veut toucher à ce Néné ok mais : piour mieux traverser, ensemble, la butte, le Mont Doré, le Passé de bure et autres Passés ! qui on est ? qui en vrai on est  ? qui pour le coup en vrai on est et jusqu'au cou ? qui sait de fait qui en  vrai on est ? qui en  vfrai connaît au plus près les données données d'une espèce en fait de clarté diurne ? velouté ? don des Fées ? pré à nouvreau rencontré ? re-le pré ? re-les fées ? re-la meu des données bovinesz ? Pré à brouter ? pré des Prés à devoir brouter et du coup aimer ? On trace grave sur Passé les données Sages ! On est nées fées sur pré, nous voici re-nées allouées à la Bure des données Postées ! pré-pré ! pré-prairie aux fées et autres en vrai bêtes d'allure (aurochs-attiutde). On veut :

dire de chez dire

faire de chrz faire

aimer de chez aimer

cerner de chez cerner

comprendre grave et donner large, les données !

faire ainsi qu'on soye allouées à une vérité "de bout du monde" si tant est ! chercher chercher chercher à kjamais la vérité des choses tracées ! les chercgher dsur pré... mais pas que sur pré, aussi poszt-pré ! de l'autre côté ! côté Chose Actée, tracée post-muret dans une sorte de Clarté toute acidulée, celle des Données dites "allouées" àune sorte de

 "Donnée de rage" = LA MORT ! car, LA MORT, est (on le sait) en rage ! elle enrage grave ! elle nous en veut grave ! elle veut nous manger, avaler, intégrer à sa panse ! elle nous veut gibier ! elle veut nuos intégrer ou comme nous intégrer à sa panse-née ! elle nous veut manger et pas à moitié, en entier, dès que né ! hé ! et voilà de fait le pourquoi des choses ! pourquoi ça ! pourquoi on trace sur paroi ! wouah ! ça flambe ! ça envoie ! ça par ade ! ça rigole pas ! sarde ! charge ! traces des foies ! face à face ! On est Femmes SArdes, point de croix ! on passe  ! on entre en paroi ! femmes aux hardes ! transe et danse sur paroi des Traces ! la Rumba ! le cha cha cha ! la danse en France , tralala ! on veut comptrendre et voilà, on entre ! la paroi !

LA CHANCE !

on entre en cette sorte de paroi aux transes ! trans- paroi de roche, treans-donnée de porte, treans-identité accorte ! treans (peut-être) -génitalité des données de Roche ! TRANSPORT ! trans-tétée ! On veut coller à ce qui est qui serait pour nous comme un néné à lait ! On veut : 

toucher de chez toucher

tracer de chez tracer

percer de chez percer

coller de chez coller

faire de chez faire

comprendre large les données frontales ! couper = coincer, dire = aller, passsrr = poussser, gémir = craindre, charger = poindre et toucher aux Nénés tout acidulées des Coudées FRanches post-

"muret du pré" = post -pré c'est un fait vrai ! On veut :

toucher à ce qui est qui se présente, aà nos yeux hébétés, de Bébé béat ! Toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toycher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher à ce qui est qui se présenterait, pour de vrai, à nos yeux béats ! grands ouverts suur ça : ROche Donnée ! roche tracée ! roche ornée ! roche aux fées ! tracer = dire = faire = comprendre = cerner = consacrer = chapeauter = coller = pointer = sourdre = vivrre sur pré une vie de Fée on dirait. Et nous de nous allonger, de traîner ou traînailler ? eh bé ... pas tant que ça en vérité ! car on y va ! on envoie ! on veut tracer( ! on veut au plus vite gagner les rives du côté post-friche : le Passé ! Car, on le sait (grâce aux nénés post-pré) le Passé est le Futur tracé ! Passé passé ! Passé dur post-mur ! dur ou pas dur, mais passé post-mur ou muret ! On veut toucher et du coup c'est ce qu'on fait , ... et du coup voilà, on est BéBé ! on est redevenue BGébé tout nu ! ou toute nue ! bébé nue des données de rue ! à la rue le dru ! on est ! on est née ! on peut le chanter, l'annoncer, le crier de fait ! rue drue ! Fée des prés sont passées et on conclut! vive le dru ! l(ombre portée sur le muret des prés aéux données ancrés, de type : "sommité" ", "charges allouées", "passé dit passé", "colère rentré"e" et autres "ires ....  farfelues" ? On veut :

dire dire dire = faire faire faire = choquer choquer choquer 

et du coup : AIMER ! ÉIMER DE CHRZ A&IMER LE CUL ! VIVE LE CUL ! VIVE DE CHEZ VIVE, LE CUL DRU , NU, VELU ! VIVE DE CHEZ VIVE, LE TROU DU CUL NU ! VIVE ALLURE ! MONTURE ! BURE ! chants des dunes diurnes ! On ose ! on veut, 

on veut grave : 

AIMER DE CHZ AIMER, DIRE DE CHZ DIRE, PARLER DE CHEZ PARLER, COMPRENDRE DE CHZ COMPRENDRE, ALLOUER DE CHEZ ALLOUER, COLLER DE CHEZ COLLER, CERNER DE CHEZ CERNER, et du coup en avancer (grave) dans la comprenure de , genre : qui on est, qui on est pas, qu'est-ce qu'on veut être ou pas, qu'est-ce qui est sur préb (la mort donnée) et ce qui n'est pas , les données de rage quelles-sont-elles et qu'est-ce qu'elles ne sont pas, etc. On est Fée sutr pré,

 Bébé d'allure post-pré,

 et aussi pré-pré ! vulve ! 

on est nées ! nées ! on est nées ! nées ! on est nées ! nées ! on est nées sur pré feée, et re-le Bébé le pré passé ! car, vivre = donner ! donner du bonnet ! aimer ! charger ! pincer ! comprendre ensemble (ailées) les données "immenses" , szoit (pour ainsi dire) le treacé des monts et autres dômes de Parade sarde ! treacé des tracés ! entreées des entrées ! passez donc muscade, Roc et Gravillons ! chargez ! touchez ! pointez votre nez et essayez de traverser ensembele (d(un même élan de France ) le .... PAssé ? hum... aussi emmuré ? Et de vous retrouver dès lors cvomme "consacrée" par (comme qui dirait) une F2e plus âgée, Fée des F2es qui vous adouberait dès lors en tant que fée nouvellement née à la vie à la mort sur pré (à jamais si jamais !) . On veut toucher de chez toucher à ce néné du Port ! qui il est ? ou : à qui il est ? à une ... Fée ? fée des prés qui serait passée de l'autre côté ? hum, non ! Alors à qui ? à une D2ité des Données Ancrées ainsi allouée à ce treacé de type post-muret ? ça se pourrait ! mais ... de qelle déité il s'agirait alors ? d'une divinité de Roche TRaversée ? sûr ! alors laquelle si c'est si sûr ? Celle qu'on regarde ou qu'on

regarderait entre les Nénés ! 

hein ? 

cEle oui qu'on se plaît à ici rega rder entre les nénés ! 

et donc ? 

le TRAIT ! Déité --Trait ! Trait donné ! un trait ! 

un trait ??????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????? 

un trait ! 

trait donné doré ? 

trait donné doré ! 

mais... qauel trait ? 

trait né entre deux nénés , pas compliqué ! 

Oh oh oh ! voilà qui est comme qui dirait fort de café ! On veut toucher toucxher toucher à ce (dit) "trait des traits" né (de fait) entre deux nénés , il semblerait. Un trait né ! perle de fée ! ... = cherche-merde ? pas vrai ! au contraire ! la douceur et candeur et gentillesse même ! le parfait trait donné post-pré s'il en est ! on aime : coeur ! fleurs ! pré passé , mais les fleurs ! on aime aimer pareil nénés ezt, entre les nénés, le trait donné ... en toute candeur si tant est ! on naît ! on re-naît ! on est renée ! bébébébébébébébé ! on est ! On voulait ALLER, eh bé cf'est fait ! amour doux des Hautes mottes ! chants doudou ! porte haute, on monte ! haute porte , on veut aimer ici tracer (ensemble ?) ce B2B2 post-pré ! on est née du trait post-pré... pour en avancer et gagner de fait l'Amb assade aux N2nés, aux Nénés de RAge ! mort allouée à déité est donnée sarde ! sainte clatrté ! charge dorée ! le Passé sage ! les données allouées à une sorte de "Passé en FRa&nce" = Le Passé tracé ... sur roche tendre : lait ! pré des fées en attente ! le "Passé en FRance" &ccolé de fait à une sorte de "donnée intense" genre "accoléée-seerrée" à la Channce, en vrai, d'être re-née ! tracée ! donnée ! portée ! poussée ! etç'en avance dans les confidences ici notées ! On veut :

coller = coller = coller

dire = dire = dire

passrr = passer = pâsser 

charger = cjharger = charger

composer = composer = cfomposer

et du coup AIMER de chez AIMER le RIRE, RIRE _CLARTÉ, VI VRE ALLOUÉ, PERTE DES PRÉS ! 

on aime ! on veut en vrai aller de chez aller post-cimetière jusqu'aux nénés donnés en bière (qui sait ?) à jamais et ça le ferait , porca  misère ! qui le sait ? qui connaît le Verbe Sacré ? Verbe-bière ? charge allouée à une Vérité Hautaine ? on est née Fée sur pré, mais voilà ce qui est qui est : à présent .... rengaines ! le Tourment des gens ! la haine ! le Passé tout remonté avec son flots de traîne, incidents sur champs, colères des temps, pansements, pertes sèches, vents ! On est Née fée sur pré aux chalands, nous voicfi re-nées sur nouvelle Cité aux clartés souveraines .... prêtes , prêtes à re-tracer un chemin inverse , ou pas (peut-être) inverse mais ... cerclé ? re-lacets ? re des lacets pour une renaissance en herbe dans le VErbe (mordoré) des données de FRance (en l'occurence) ! on acte ! On avance ! On aime aller ! on aime manger ! on aime tracezr ! on aimev téter ! on aime soulever la roche et nous "immiscer-glissser" , jusqu'au bout des fonds des doonnées de poche ! Le Néné sera né quand on aura passé le pré ! néné né post-pré ! néné des Nénés né post-pré en vérité , vérité -déité ! Le Chalet ,! les cordes ! 

la remontée ! le tracé ! la Porte aux Données et autres Vérités post-pré telles qu'espérées ! on veut grave y aller et ne pas nous retourner jamais, mais tracer... comprendre .... soulever .... prendre .... souder à une "branche" une sorte de donnée "étrange" qui serait ... eh bien DOnnée des DOnnées SAges  : le Passé ! ¨Passé alloué à une Déité de Rage, un treacé, une donnée, un mot de pré qui serait peut-être passé de l'autre côté sans traîner ... genre : MAnche ! On enttre ! on veut toucher de chez toucher à cette branche dite "du Passé", qu'est-ce que c'est ? romance ? chant de FRance ? une donnée haute ? Porte d'entrée ça le ferait ? cohorte ? chevaux doctes ? chevaux et chevales Hautes ? Accolées ? données ? cernées ? pistées  ? sur "pré de roche" ? On monte ! montons haut ! creusons ici passage et possibiltées d'ancrage ! commençons ! soyons sage en termes pour le coup de contrition, et allons ! creusons face ! chargeons ! poussons à la cravache Cupidon et entrons ! entrons en hardes ! poussons le boucjhon ! pertes sales on passe ! passons ! naissons ! soyons ! composons sur place un tracé de front : boucs au mont, bisons-tronsc, bufflettons des POnts de base et autres buffles-tout-Amidon ! entrons ! poussojns et entrons , forçons , faisons, collons, pinçons, traçons, pistons sur place .... b^tes-mots de Rage et autres Dictons ! On veut toucher ............................ au vrai du  pré ....................... le mont doré ! la Haute Futaie ! mamelon des mamelons ! .......................................................................................... un pont ! .............................. pont donné .............................../..... aimé ............................. accvolé ici à une cloison ..................................................... cloison-ponton ...... palier ......... tracé de front sur paroi allouée à une sorte de rotondité de base, genre CHatte  d'eau = chateau ! enclave ! fortification de Rage et autres Enceintes Collaborantes ! On entre dans l'antre ! on commande ! on cherche ! on veut toucher à ce Néné du post-muret = le PAssé ! car, le Passé (qui n'est jamais assez) nous regarde sans cesser ! il est peut-être le Passé des Franges, Passé né sur papier de FRance et autres mots d'identité ! intense ! intensité ! traéit ! parade ! cavalcade au cran d'arrêt ! chevauchée sarde ! bêtes lancées sur un muret tout échancré ! traits des traits sur du passé et le tour erst joué on dirait ! on veut toucher ! toucxher à ce muret, des données intenses ! traverser de chez traverser et retrouver là-bas, le mur du fond passé, ... les nénés de rang , le lait, la douceur et la clarté du lait, le Passé Intense d'un V de bébé ! rage et bisque-née ! la chance , transe, panse ! Un néné duvet ! frange sur Passé re-né ! Acte noté ! On voudxrait pas recomme,ncer pour recommencer mais en  vrai on se rend compte ici que le passé tracé est du passé en devenir, comme qui dirait ! Onvoulait tracer et comme un fait exprès, nous voilà qui alloons, en face, retrouver un certain nombre de données qui, en vrai, avant = auparavent, étaient données ... de rages sub-naissantes ! on sait ! on voit ! on entre = on voit ! on a deux yeux pour ça ... et même mieux .... la voix ! moi-voix dite "de passage" , car, la Voix "entre" ! elle est là ! elle  n e cesse pas ou ne cède pas ! elle enttre en l'antre ma foi ! ça passe ! mots de pot ! mots des mots donnés de base entrent ! frappent !collent et entrent ... da,nsz La mortIntense ! = Chance ! Voix de poids ! ça entre ma foi car voilà ! le Verbe de la Foi en la Mort intense entre ! va et vient comme à la parade ! c'est "certain" ! ça crache ! ça trace ! ça envoie grave ! ça en voie du bois sur façade -parade aux bêtes de poids ; bouquetins ! On entre ! entre ! on veut toucher de chez touchezr à l'Ambre ! ambre-née ! néné ! trait ! trait de fée entre les nénés = ce trait = ce foyer = ces données = ce Passé tout échancré = une sorte de Passé de Roche ! Haute POrte ? on veut aller ! on veut creuser ! comprendre = cdonner ! Faire = toucher ! Dire = ancrer ! percer = charger ! bousculer sur pré la bête Rosse, et vite fuir vers ces Nén"és post -pré, qui sait ? on file ! on court à toutes enhjambées ! on ne regarde plus le passé du pré mais ... le passé post-pré, qui se réclame de notre passé mais ... pas sûr qu'il en est ! rien ici de si sûr en vrai ! car, le Passé de soi est enterré ! et, le PAssé disposé (ou comme disposé) devant soi, est nu immaculé ou comment dire, peut-être en effet traversé d'effets d'un passé de roche mais en vrai comme d'une sorte de ... lAit de FEE , Fée HAute, FÉE des fées hautes sur trait de Roche = entrée ! On ose ! on monte ! on veut toucher -aimer, cerner-coller, poster-allouer, vivre et contrer ! aller vers ce Néné tracé ! porter Roche au frais, chercher ! toucher = toucher et aussi cerner (ici)

 le Néné des OMbres (hommes ?) du Passé ! colle ! coll"é ! percé ! perce-monde ! on veut toucher toucher toucher aux nénés des ombres et téter téter téter sans plus s'arrêter ! coller = faire = être = dire = conduire, ici, ce trait, vers ce néné des données vives post-pré ! adouber ! allouer un dire à une Sommité ! chercher = chercher ! vivre = vivre ! dire = dire ! mais oser = faire (pas à moitié) une sorte de cxhemin inverse à jamais, mais en vrai : nouveauté ! passé acté se fait tracé ancré ! chant des fées, vrai passé sur pieds ! on est nées au Passé ! on vient toucher à un Néné né ! percé ! 

lait ! lait ! lat ! lait ! laot ! lait ! lat ! lat ! lat ! lait ! lait ! lait ! ait ! mait !  ait ! lait ! lait ! lait !lmar-t ! lait ! lait! lait lat aot ! lait lait ! lait lait lait ! lait lait lait ! lait lait ! lait ! lait !lait ! lait ! air-t ! lait ! lait ! laot ! m&it !lait ! lait ! lait !lait ! la&it !lait ! mait ! mait ! la&it ! mait lait ! lait ! aot ! la&ot ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! ait ! mait ! lait !aot ! lait ! lait ! lait lait ! ait ! lait ! lait ! ait ! maot ! laéit ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! ait ! lait ! lait !l ait !lait ! lait ! ait ! lait ! lait !l ait ! laot ! lait ! lait lait ! lait ! lait ! laott ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait lait ! lait ! lait ! lait ! lait! ait ! lait ! lait ! lait ! lait ! mait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait! lait!lat! lait! mait! lait ! lait lait ait ! lait ! lait !lait ! lait ! lait lait lait ! lait ! léit ! 

lait acidulé ! lait entier ! lait nacré ! lait donné ! don de lait post-pré ! charge allouée ! don des fées ! tracé ! tracé fait sur pieds ! on naît ! on re-naît ou comment dire ... on ... continue de vivre ! sur rue ! On est le V des données Velues ! volonté ! Vie vive à jamais !un trait ! trait de vie de Rue ! Vie vue ! le Passé attendu ! Rose sacrée ! chants xdes prés ! on est nées ! velues nues accrues ! on aime ! on fonce ! on cherche ! on est la Fée du théorème ! le tracé des formes ! le poison de roche et autres ... poisons sous roche ! Amidon ! Côlons= gros côlons ! Poinçons ! CHose Haute ! = le PArdon ! la Pomme ! Haute trahison sur Front ! ça m-onte ! ça porte ! ................../..........................................................................//........ fonce ........................................ file ........................................ cherche ............................ creuse ...................................... cherche à grave découvrir des cjhoses concernant la mort .................. ce que en vraila mort est ........................ ou bien ce que en vrai la mort serait sans déconner ........................................................... qui le sait ? ./........................... qui saurait nous en informer , et ça serait top ! ................................ qzui saurait en vrai nous donner du Néné sans traîner ? .......................... sans chipoter ! .....................................ça serait   super ! et ça nous comblreraoit comme jamais (de lait ?) ! ...................................... ça nous ferait réemllement du bien et nous apporterait de quoi nous redresser et, aussi, de quoi nous requyinquer sans tarder ! ................................................................. toucher toucher toucher toucher ................................ coller aux nénés ! coller de fait ! coller-tracer à des nénés et ne plus s'arrêter jamais = téter, à jéma&is, de ce lait de "roche -forme" ! .......................................olé ! ................................ trait des traitsq ! .................................... chose haute ................. pôrte ? ........................ porte haute ? ................................comme ici accolée ou adossée à une roche en fin de pré ? .......................... une porte d'entrée vers le monde  ... du Passé Passé ? ..................... mais qu'est-ce que le p ässé PAsseé en vrai ? on aimerait comporendre ensemble ce qui est ! on veut cerner-toucher = comprendre (à jamais) ce que c'est que ce (dit) "Passé Passé de Rage" ! Qu'est)-ce ? quoi est-ce ? on entre ! on entre dans l'antre ! on cherche ! on regarde ! on veut en vrai se rapprocher "ensemble " (ailée) de ce Passé Passé de contrebande ou dit "de contrebande" . Qu'est-ce que c'est ? eh bé , c'est ..... cette Chose HAute ... un tracé , une Note de ROche , le Passé de Porte, donnant (en vrai) sur un Passé de Roche ! né ! passé né ! passé re-né disons et donc né ! c'est un fait avéré , entériné, annoncé" ! ça porte ! ça va haut ! ça remonte, voilà ! le Passé remonte et du coup re-nait ! monte sur ghAuteur des fées ou dite "des fées" . La porte passée (une fois passée) . On mo nte ! du moins on essaie ! on veut toucher de chez touchezr à cette chose ... du Passéb Passé ! hordes ! hordes hautes sur post-pré donné ! on monte ! on veut monter ! on veut coller ! on veut cerner ! on veut toucher de chez toucher à ce qui est,, qui (ici même) re-naît tout bohême ! un tracé des Fées ! en chaîne ! l'aimée ! la belle Ferme ! onctuosité des données de traîne ! ponctualité ! largesse de fée et autres générosités internes ! Dans la mort en vraéi On renaît , d'abord Fée (sur pré) puis Bébé des Traits... collé auc Nénés et buvant du lait ! Lait cde ferme !  lait d'herbe verte ! VERBE ADDORÉ ! VERBE DES PRÉS ! VERBE-HERBE ! TRAIT D'HERBE ET DE LAIT DE LA FERME = VERBE NÉ, CHER VERBE ! ACCOLÉ ACCULÉ À UNE SORTE DE DONNÉE DONNÉE DU GENRE HERBE ! VERBE D'HERBE ET AUTRES SOMMITÉS EN HERBE , GENRE AUROCHNODOÏTÉ, SUR PRÉ ACTÉ ! 

on aime tracer = dessiner, à main levée, la bhête sur pieds = bouquetin ! buffle harnaché ! buffle cendrré ! bufleaccolé à une vérité de roche, 

et la belle bisonne, l'antilope, chevale des formes, chevalines roche aux données hardies ! on monte ! on envoie ! on cherche haut les divers envois ! on ose ! CROSSE ! cforps de peau ! pôrte grosse ! coup d'épée dans l'eau ? on monte haut ! on colle ! haut des hauts ! on est hautes et hot , au chaud ! au chaud des boyaux ! grotte haute ! gros du gros ! on monte ! on veut aller haut ! au plus haut ! chercher cerceaux ! passages doctes ! tréteaux ! poteaux ! tonneaux ! tuyaux ! vins de roche et autres alcoolls hot ! traineaux ! on monte ! on monte haut ! haute roche ! on est haut et hautes !  on monte sur tonneaux de pot ! grotte haute ! gros du gros des bêtes de roche ! chevaux d'eau ! peau des peaux ! on ose ! on veut haut comprendre les données de roche , et  treacer haut les mots de trop ! porte ! ....... porte ! ............ cogner )à la porte ............. tracer ! creuser ! vouloir ! allouer ! chercher ! cerner (ensemble : fée) ce qui est qui nous regarde aller : le Passé ? le Passé tout près ? le passé alloué à une sorte de Donnée de poche = roche ? poche-roche ? roche-poche ? car, la roche (la paroi) est (serait ) une ... poche ? genre poche d'eau ? peau ? peau desq peaux ? on ose ! on veut toucher à ce poteau ! l'ombre ! le poteau des ombres !  On monte ! on monte = on tombe .... mais "en haut" ! sablier de roche ! on ose ! on colle ! on veut (de fait) aller, si possible le plus haut possible et du coup, peut-être, comptrendre = entendre , ce que c'est que ce Néné de contrebande en bande ... et autres "nénés de France" (?) si tant est ou si jamais. Car, ici, la langue en usage, est franche ! trace d'ambre ! cortps naissant ! parade nuptiale dans le firmament ! podagre ! porte forte ! pets de nonne et autres tourments ! on entre ensmble (deux). On Veut (forcément !) cpomptendre les données du Feu , la Charge mentale des données du FEu, et de L'ambre natale : le Passé ! le trait ! la Portealouée ! l'ombre sur le pré ! nuages cendrés ! charges possédées , antre ! L'antre aux Nénés : qu'est-ce que c'est ? une sorte d'antre ancré .... aux nénés tracés .... charade ! On passe ! on est entre ! entre deux nénés et ça le fait ! on veut toucher toucher toucher, coller coller coller, percer percer percer, dire dire dire, allouer allouer allouer, comprendre comprendre comprendre, cerner cerner cerner, faire faire faire, chier chier chier, pistonner de bonne  guerre et tracer sur pré (sans plus de colère) le TRait ! soit le trait des Traits  ! on le sait ! on aime ! on veut aimer ! on veut coller ! dire et centrer, sur herbe, du concret = HERBE = VERBE ... à jamais ! VERBE né des données premières ! hé hé ! découverte ! on sait ! on naît ! on est née fée des prés aux bêtes, mangean l'herbe fourragères de treait ! en beauté ! On veut de fait monter de chrz monter sans désemparer et passer ! passer en vrai ! passer grave de l'autre côté ! = traverser ! pisser ? pisser ou passer ! mais y aller, sans plus traîner, à l'arraché si tant est, l'important c'est de pouvoir passer et aussi, d'aimer aller! filer ! coller ! donner ! porter ! chercher ! comprendre les données du monde, les cerner de roche si tant est et les jeter-poser à la ... FAce de ROche= la Paroi ! Paroi Haute ! Porte ! POrte des ROis et REines des Voix ! hautes portes sur paroi de roche ! bêtes à voix ! traits des treaits sommés ! on ose tracer ! on veut coller ! on aime allrer ! on cherche à souder , à une roche, un trait de Verbe Salutaire, sachant pour ainsi dire faire la navette, entre, d'un côté, le Passé, et de l'autre , Le pASSé passé ! Ombre ! ombre haute ! porte haute aux ombres ! on cherche ! on cherche un tuyau ! une sorte de tuyau de roche (ou boyau ?) qui sache, pour le coup, nous dire sans faute, par oùu peut-tre en vrai passer sans pour autant soi-même se blessser ? On monte ! on ose ! on veut toucher de chez toucher à ce Néné du bout du monde = THE néné ! le des ! le Néné des Nénés et hop ! au trot ! porte à porte ! on monte haut vers ce boyau des Roches ! haute porte sur les Hauts des Monts !  tracversée de Poche! mort ! Mort ho ! ho on ose haut , la mort ! Mont des Hauts de Roche Haute ! poteau ! passer le poteau ! porter héut le mot des Roches = fuseau ! on monte ! on va haut au plus haut ! porte ...... d'une porte l'autre ........ ou d'une porte de roche Hot à une porte de roche Haute ! le poteau ! .......................................................... haut .............................. haut de chez haut ........../........................................... poteua des mots ? ............................... porte close ................................. haute porte closes ? .......................... mots de trop ? ......................................... mots des mots comme des animaux ............................... buffles des peaux ......................................... chevauxde trot ...................................................... bouqurtines andines .......................................................................... vouivres ? ...........................................................................................................................givre? grive ? ...............................................?.?.?.?????....................... on va haut au plus haut niveau ......... herbe-verbe ............................. hautte eau  !......................................... eau des hauts .................................... fenêtre ? ....................................../.................................................................. hautes portresv des données de  roche.................................... seau d'eau ! ...................... sainte roche des données accortes et autres portes   hautes ................................. au cordeau ............... pioche .............................. bonne pioche en poche .................................... on monte, on creuse, on trace, on envoie, on commande, on y va, on ne veut pas rester en râde, mais,

 tracer de chez tracer, la promaenade, le sentier, le chemin sur pré, vers là-bas la mansarde = face aux traits = le Néné ! car, la Roche aux traits = le N2né ! trait des traits = le N2né ! sarabande ! porte d'ensembke ! un passé en FRance sur tracé de base ! le trait = le Passé ! la chance = le Pet ! point des fées sur roche allouée à une sorte de Passé de porte haute ! tracé né ! la Honte ? ho, qui sa&it ? honte haute ? de n'être pas née, une fois le mur passé, à une vie "haute" ? on ne sait ! on monte ! on veut tracer sur roche un trait de chauffe ! tourner et virer , virer et retourner ! aller ! contourner ! vrirevolter ! ne plus nous arrêter jamais mais grave y aller et donner , ici, les mots dits "du passé" , dune Roche Aimée ! on veut coller ! dire et poussrr , aller ! faire ! chercher ! ceindre ! allouer ààun passé un tracé sur pré ! tâcher de percer ! trzit sur traits on veut toucher ! coller ! aimer ! ^rtre, sur pré, L'ÊTRE-FÉE des données de Roche , et hop ! on monte = envol ! ailes déployées ! on monte hautes ! Fées tracées sr roche de porte ! Fée du pré on monte ! vol ! vol de fée ! col de roche tracée ! vol d'ombre ! vol de V ! voie des fées ! on monte ! on veut toucher à ce Néné du bout du monde ! on veut grave l'aimer = l'aduler = l'adorer = l'embrassser = le toucher de près ! haute roche des denrées ! lait ! .................... lait ! ........................ lauiiit ! ....................... lait ! ......................... lait ! ............................ lait ! ............................... lait ! ..................................... lait ! ............................. lait ! ........................................ lait ! ..................................... lait ! ............................................... lait ! ............................................. lait ! ............................................. lait ! ........................................... lait !......................................... lait ! .................................... lait ...................................................... lait de trait ! ....................... trait de lait ! ...................................... on aime le lait ! on veut téter ! on veut grave téter ! on adore le lait ! vite, du léit ! du lait comme s'il en pleuvait ! lait des laits ! lait ........................................................! lait plus qi'aimée ! car, en vrai, le Lait est la DEnrée Suprême ! la crème des crèmes ! on veut téter parce que cvoilà on est pour ainsi dire devenues en vrai (au passza ge final) des bébés de trait ! on aimme le lait parce que voilà, c'est sucré salèé, 

à nous ça nous va car on aime ça ! on en redemande  ! on veut grave ça , pour notre foie, pour nos membres, notre voix, nos hanches, ailes de Choix, ambre ! on veut comprendre = on veut toucher = on veut en avancer ensembkle dans les connaidssances et du coup ne plus jamais nous arrêterr, car .... on envoie ! on trace grave sur paroi les Bêtes de poids : Romance, Toundra, TREanse, PArade, Char de Rage, Bëtes des ROis Et REines de l'au-delà, la Paroi des CHances = la Paroi-Antre = poche des voix d'une répriomande ! on entre ! on veut ça : le ventre ! les données du ventre ! Foie des Reines et rois , passage d'ancre ! On entre par choix = on commande ! On veut ça =

-le tracé dee poids 

- la rage

- la toundra en tant que paysage

- transes 

- treanses et danses - parades nuptiales, ça envoie ! ça crache ! paroi ! roi des poids ! on entre ensemble (femmes) , nous voilà ! femme-fée de rage, trait sur trait , vol de roche allouée : on entre ! on passe ! on cherche ensemble ! on a méga-envie ensemble de comprendre, ls données de base et ce qui s'ensuit, car, on se ressemble grave ! ailes de trait ! charge frontale ! envolée notoire )! naissance ! ................................................................................. naissance en france .................................... porte-voix ......................... connaissances de paroi .............................................. charge et autres traitsde ^poids .......................................... rage ! ......... la rage ! ...................... l'envoi ! ....................... le passage ! ............................................................................................. vrai ! ................ vrai passé de RrAGe , ou des RAges allouées, FRAI ! ................................................. porte d'entrée .................................. entrons ! .................... passons ! ................................... volonsz ............................................ on a méga-envie ensemble de comprendre les données frontales, et du coup en vrai et si possible d'y aller , au plus p

rofond des connaisqances , car voilà, on veut toucher à ça : la Rage, le tracé de RAge, ce tracé tout acidulé qui semblerait ...

comme vouloir à nous nous parler : pourquoi ? qui est donc (ou quoi est donc) ce dit treacé qui ici semblerait .... le tracé d'un ange ! on dirait ! qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est que ce tracé notoire ? du passé ? trait ... 

de Passé  ? antre ? 

une sorte de Passé de Branche ? oiselet ? trait sur trait on aimerait comprendre et à jamaéis ce que c'est que ce passé de branche ou dit "de branche " ! qu'est-ce que c'est en vrai ? une romance ? un treait ? la chance ? un treacé gravé par un être des prés ? femme-bouquretinne ? homme-buffle ? enfant sage (sarde ?) ? On voudrait trouver ! comprendre ! cerner ! posséder les traces, les compter, les énumérer, les poster et les publier afin de mieux les partager et du coup peut-p^ptre trouver, celle ou celui qui saura nous aider , ici, en nos démarches ! on veut pouvoir y croire ! toucher = faire ! comprendre ! souder, à une branche, un SAVOIR IMMENSE, comme qui dirait (hum ! sans se vanter !). On entre ! on entre en transe ! le tracé,  le tracé de branche ! houp la houp ! transe ! transe allouée ! transe sur traits ! pré ! pré de France ! r(omance ! raretézs !  traits postés ! charge ! charge dense  ! le passé est le passé peut-être qui n'est pas assez , et cependant .... rempli de lait hé hé ! on veut téter ! à nous le lait ! on veut grave téter car on aime le lait ! on veut aimer le lait ! on veut toucher, cerner, comprendre le Néné du lait, ce qu'il est ! est-il .... Néné né de fait ? est-il ... n2né né sur pré puis il aurait de fait traversé le muret et .... 

ou alors post-pré ? né post-pré ? 

comme en contrebande passé  ou au contreaire né post -pré ? On ne sait ! on chercheb! on veut toucher-cerner = donner = dire = comprendre, les données entières ! .......................................... faits vrais ...................... portées de VErbe ....................... le tracé alloué à un verbe... "post-cimetière" .............. verbe ver t d'herbe verte ! ........................ treaits des traits alloués aux herbes et autres denrées genrre LAIT  .................. lait des laits ............... lait d'herbe ! .............................. lait vezrt = verbe ! ....................TRAITS !

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17/1/2025

On veut comprendre = on veut toucher ! On ne veut pas se laissser déborder mais grave en avancer ensemble p âr les connaossances ! On cherche Des Données et autresxs Faits de RAge post-muret cfomme s'il en pleuivait ! Comprendre = toucher à ce qui se présente en cette szorte de Façade ! chants d'âmes (armes ?) et autres chants de Contrebande alloués ! On enttre ! on veut enttrer alors vpoilà ! on e ntre ! Onn entre "ensemble" ! On est "Aile's de Fée" sur Place , TTracé-né, Chants graves ! Fée des Fées ça le Fait ou Disons que en vrai on dirait que ça pourrait ! Que ça pourrait q'en étant fée on puisse  grave en avancer  bplus volontiers en ce Pays des Données Franches et autres Trait des tRaits ! 

charges ! colle ! montée sur roche ! traversée de POche ! On ose ! on veut toucher à ce Néné en face : LAIRT ! LAIT de RAGE ! ou COlle-lait de RAGe ! TRace ! on est nées Fées car on est Nées , ensemble, dans la ... mOrt, telle 

que voilà, on l'a (dirait-on !) en FAce : Trace ! CHarge ! POids ! Colle ! on ose ! on veut grave ensemble aller sur ce chemin des conaissances, "connaissancesc de roche" : tralala frontal, pertes à l'ambre, colle-née et autres faits et gestes post-:muret = post de chez (en vrai) post-mortem = ... post-poszt ! On entre ! on veut gagner (ensemble : ailes) la bande des Données Frontales ! On a pour ainsi dire traversé une première fois la roche, là-bas = derrière, et à présent, on  voudrait (de fait) comme re-travezrser, cette roche dernière ou ici dernière = ce muret dit "de cimetière" , et aller, aionsi passées, de l'autre côté, côté Perte, côté Post-herbe, c^oté FRai ! On veut ... eh bé peut-êttre ... allouer, à un CCôté, une sorte de ... Vérité-Déité si ça se pouvait ! On veiut grave cerner et pour cer,ner on a besoin de LAit comme s'il en pleuvait ! toucher = toucxher ... mais pas que ! Toucher aussi égale ... avancer, tracer, chercher à gagner, courir sans treaiîner, pistonner et ne pas se retourner jamaiçs ! On est entrées e,nsemble FEmmes ( F2es) en ce Tracdé de post-  "prairie des Fées", et donc voilà ce qui ici semblerait, qui sait ? se présenter, se monttrer en ses doux attraiots, etc ! On enttre ! charge de Rage ! ON veut passer ensemble ce dernier muret ! mur des donnjées ! colle de trait ! PORTE ! PORTE de ROCHE ! Cporps mauvzais sent la charogne ... mais la fée ! Fée d'ombre, elle , naôit, comme "désodorisée" ça le fait ! ça passe ! ça rentre ! c'est rentré ! on est comme à présent (on dirait) passées de l'autre côté en tant que F2e des Prés (post-pré ) . On veut comprendre qu'est)-ce que ça veut dnire ? eh bé comprendre c'est toucher et aussi ENTTRER ! Tracer le tracé de la Bête de chzrge,  poids -masse, trait des tra&iots ! Bête-Fée sur HErbge , on connzît ! on aime ! on est la Fée qui  aime ici, la Bête comme elle ! On veut coller = cerner ce qui est squi est ! On ne vfeut pas se laisser dominer  par qui seréait devant à nous mater pour nous attirer et nous Avaler !  Que Dalle ! point de ça sur Antre ! On est nées Fée la Paroi passée, on est Fées des Prés, on court on vole, nous voilà arrivées devant la Porte aux OMbres ! charretière on ose ! on veut INSULTER ! faire ainsi que la mort soit ROSE ! trac ! touchée ! on est nées Fée sur pré et nous voilà comme accolées à ce muret dit "des Finalités" ! Qui on est ? on ne sait en vrai ! FEmmes doctes ! Fées ! Allouées ! Dites ! VErbe né ! CHants des prés post données de RAge ! croyances ! compétences  ! contenances ! colle aux fées et on avance pour enfin comprendre ce que c'est quue ce muret des Coudées FRanches (?) ,Données Franches (? ) , Tracés et autres connaissances de Quartier ! Fées ! Fées des prés enfi,n passées (qui sait ?) de l'autre côpté ! On ne veut pas laissser tomber mais au contraire grave en avancer en nos recherches en herbe ! on veut toucher à ce Néné post-herbe (post-Verbe ?) et aller, monter, gafgner, comptrendre ces Nénés des  ^ägesz ce que c'est en vrai ? qquoi, du lait ? Lait de Trait ? traoit ? trait de Lait ? lait-trait  très laid ? des données ? des ... Envois de Masse ? contredanses ? On veut toucher ensembke à ce Néné posqt Trait, et du coup y voir un quelque chose de (disons) un peu (un poil) discernable ou situable ou devinable ou distingable si tant est et on dirait que c'est, qu'en vrai (npost-muret) un quelque chose se tiendrait, de type " Façade" , "Cjharge Mentale (en transe !)", "Portillon-passage" et auttres traits de Sente ! On est nées ! dans la mort voilà on naît , on naoiît Fée ! homme ou femme on naît, dans la mort, Fée ! = Ailée ! femmes des Prés ! Fée-femme allouée à (ici) un pré de rAge ! tracversée de pré de passage ! Danse ! sarabande ! traits des traits ! vents de face mais on en avance ! on  ne veut pas ... se laisser

On ne veut surtout pas se laisser

On ne veut surtout pas se laissszrfenvahir ou quoi ou qu'est-ce mais aller ! voler ! vgoleter ! poussserg loin sur Herbe Verte et gagner le Muret p ôst-Verbe ! On est nées Fée sur Herbe Verte, Verbe, Pets ! On veut coller ensembvke à ce muret post -pré et du coup tracer , p asszr, ne plus reculer mais "y aller" en termes de re-connaisszance, regartds apportés, rechershes de TRaits . On veut toucher à ce Néné post-pré ! parade ! On entre ! regardons ensemble : que voit-on ? Alors vgoilà . On voit ........................................ des mamelons ! ........................................... peau d'ambre ! .............................. lait de charge ! ............... laiot blond ! ...................................pompe grave .......................... ton sur ton ..................... une sorte de mamelon ici se montre en FAce ! on veut comprendre ! on veut toucher ! on veut "essayer de toucher" , ensembkle (ailées ) à cette sorte de Donnée  DE base ! traits de Fée sur Page ? Qui s ait ? on veut toucher ou on voudrait toucher à ce qui est qui ici se présente à nos yeux hébétés ! des nénés ??????????? des nénés en vrai ??????????. en vrai des N2nés ????????? on ne peuyt pas le dire et pourtant c'est vrai ! on voit là Deux N2nés comme pour nous (qui sait ?) montrées , données , allouées ! on veut du coup téter car toucher = téter ! On veut  de la Tête téter ! on ne veut pas passer à côtéb mais (grave) téter ce lait, qui est ... lait de Ren nne ! LAit d'Herbe ! Lait né postmuret post herbe ! trait de Vfée on cherche ! on est nées Fées sur HErbe post-mortem et donc on est comme à présent, la mort passée ", allaitées ! dingiue ! dingue cde chez dingue ! on vcroit rêver ! sommes-nous allaitées ? sommes-nous ainsi nourries de lait de Traéit ? sommes-nous Fées -Femmes tracées, le muret (dernier muret) passé ? sommes-nous Somme de TRait ? bêtes Grosses, passée la porte ? On est Fée Forte , oui ! cohorte ! porte à porte ! va ! va toucher ! va voir ! va cerner ! va comprezndre ce Néné de POrte ce qu'il est en vrai ! qui le saoit ? car, on dirait en vrai , il semblerait, que voilà ! MORt, MOrt des Dons et Ombres, LA mort, cette Chose, soit ........................................... une sorte de..............................................................

...... DOnnée des Ombres ! Dons doctes ! corps ??? 

on veut crerner la chose ou o,n voudrait , de près, cerner la Chose et la toucher, soit cerner-toucher ! On ne veut pas en  vrai l'ignorer ou la snober ou, même, ne pas l'envisager, ou ne du tout l'envisager, ou passer à côté sans la regarder, ! On veut voir ce Néné ! ce Né ... né ! Ce tracé ! ce treacév de nez !  trait de Fée post pré ? on veut cerner = toucher , c'szest vrai mais pour toucher on doit travertser  ! passer muret des données hautes ! haute porte ! porte haute ! Hauts des Hauts de Roche ! Grotte ! Grotte aux données Hautes ! neo-quelque chose ! On monte ! on ne fait que monter ! MOnter de chez Monter ! On veut touchert à ce Néné de POrte ou dit "de Porte" car, ainsi, on se dit que peut-^tre, alors .... on saura, de fait ... eh bien .... ce qui est qui nous regarde Aller, Voler-voleter, nous envoler dans les nuées ! essayer de gagner, au plus près, ce Néné-Déité au Lait non-écrémé ! Lait d'elfe ! lait docte ! lait de traite  et trait ! laitt d'herbe verte des prés et autres prairies vertes ! chants ! On est la Fée des champs et aussi des chants ! On veut toucher à ce Néné dit "des Données de Rage", et du coup peut-être mieux comprendre ensezmbke les données données  à quoi elles ressembkent et ce que donc on pourrait (peut-^trete) en tirer, en termes ici de connaissance post-pré = post-post morteme  comme qui dirait. On est des Féwx, car on naît sur pré, la mort traversée, Mort 1 pour ainsi dire = le Tracé, la CHarge, Bêtes sur pieds, Diplodocuse , bouquetines avides, Oiurs des prés, Bisonnée corsée ! A présent, à présent que nous voilà passées en tant que Fée née, nous devons nous avancer et gafg,ner le plus vite possible eh bien cette autre "rive" = le muret final qui est muret de CGHarge , Muret -Trait, car, voilà, sur lui (dessiné ou inscrit) est mentionné bpar où en v rai on pourrait p asszr pour donc aller (ailées) de l'auttre côté = fin des traits ,

on se pelotonne et on eesaie, en somme ,.... de passer, en ce muret des fins de pré ! porte ! porte haute ! craies ! charges-nées on monte ! on entree en cette sorte de Couvent de Nonnes ! Hoh .... vrai ? chants des prés et nous voilà comme adoubées par (de l'autre côté) un Couvent Tracé ? on est cfomme complètement sonnées de se savoir ainszi abordées ! on voit ce qui est = Néné ! ok , mais Néné de Nonne ? Nonne à néné  ? nonne-néné ? homme ? hole ? colle ? ombre ? on veut en vrai coller de chez coller à ce Néné des Ombres , mais ... est-il Néné de Nonne ? Homme ? ombre-Homme ? Lairt de Nonne et autres Laits sucré)-salé comme à la retombée, en ce Couvent des Charités bien Ordonnées ? On veut aller de chez aller ! touchezr de chrez toucher ! prendre de chez prendre ! dfire de chez dire ! essayer ensembke de Déduire, de nos frais, les achats post)--pré = mots donnés,Verbe Alloué, Images de traits, Charges -Masses de type buffet, buffet-buffle à l'arrivée et ça le fait ! on touche au néné ! enfin touché ! on tète le lait ! lait de ferme ? lait des Laits ? lait d'homme accouplé ? lait  des Rêves ? lait donné par squelque Soeurs Du Verbe ? lait sanctifié ? sacré ? lait de Femmes Touchées la Mort Donnée ? femme-Nonnes au tracé ! 

Fé donné cherche Lait de Nonne ... pour continuer à ici voleter ... en trombe ! cohorte ! corps d'ombres ! monts de Porte ! port d'Olmes ! Corazón ! Et si la mort était ;;; un Homme-nonne ;;; aux nénés donnés ? et si ... et si la Mort -Ombre était Don ? Don de roche  ... Qu sait ? qui comprend et cerne les donnéesc  de près ?  qui sait en  vrai ce qu'il en est de ces données de base ancrées et comme sitiuées sur Herbe de Pré comme Allouées à .... une sorte de  champ, de champ dessiné ! On monte ! on monte haiut ! on veut toucher les Hauts de Roche , et là-haut, basculer ... de Fée devenir  ombre, à nouvrzau Homme : Femme sur pied ? petits pieds = nouveau-né ?  néné là pour nous faire téter et du coup retracer les traits ? re-re-re-re -re-re-re-re-re -re-re-re-re-re-re-re la Vie pré-rocher ? reé-surrgence allouée ? re- la colle en branche ? re-le feu ? re-la Horde ? re-l(encre = l'ancrahge ? re-la Terre Ombre ? les fdonnées de Poche sont sdonnées de Roche ! On veut en v  rai essayer de passer, le muret des données hautes, et voir dès lors en vrai ce qui (peut-^tre) accepterait de nous, ici  : 

informer

éduquer

montrer

faire toucher

fzire sentir

découvrir

révéler de près

faire ainsi nqu'on puisse téter,n, car il s'agit bien de Néné ici , Néné des Nénés , Nénéds nés comme à l'arraché le muret passé ! qui sait ? qui connait les données d'assez près pour pouvoir en vrai nous indiquer (déjà) le chemin à suivre ou emprunter pour en fin et en vrai arriver à ce Néné des Données Vives, mais aussi : qui sait ou qui connaôit ... la Rive ? la des Rives Vives ? d'une sorte de reprise ! qii ? Qui connaoit en  vrzai ce qui est que est la Mort "bien" acquise = traversée ! qui sait ce qui après le pré (donc : post-mortem) EST ? qui connaît de près (d'eassez près) les donnéess post-muret , pour de fait pouvoir nous renseigner et nous donner de quoi nous rassurer , qui ? L'Ombre ? l'Aurochque ? La Bisonne-baronne ? Le Buffle en Or ? l'Ours des Pommesz  ? On est passées mais on est là qui, encore, cherchons, du regard, à cernerds kes Faits ! quels sont)-ils, qui pourraient nous informer-conduire ? Que penser ? que penser en vrai de ces Nénés tels que Rencontrés ? dsont)-ils de vrai nénés de femmes allaitantes ? de femmes nourricières ? ou bien alors de B,êtes ? bmêtes à pis ? ou alors Lait de Roche ? Lait de roc de poids ? Qu'est-ce en  vrai ici , que ce lait comme "sorti du puits " ? est-ce Lait de Vie ? lait des prés et prairies qui aurait traversé, serait passé, aurait squivi le Trait et du coup aurait inondé le Muret  et ce qui s'ensuit : Paysage-Marais, Couvent de Lait, Porte Haute, Commodores ! On est super curieuses de cerner ! On a méga-envie de nous y coller ! de passer et de chercher ou rechercher à nous y coller ! cerner = dire = porter = comprendre = passer = porter ! Allons, en force, toucgher, à ce dit Néné de Nonne , et Téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ah téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! hé téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! hi téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! porter ses lèvres avides !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et du coup avaler !, boire le lait de suite ! tracer = toucher = dire = cerner = pousser = comprendre en tant que Fée les données de Rive ! LAIRt DES PRÉS ! Lait donné par quelqe Nonne au débotté, post-roche = post-rocher ! un tracé de POrte ! les données données sont dopnnées DE roche avant toutes choescv ! on veut toucher = on veut coller = on veut dire = on veut cerner = on veut cfomptendre =on veut entrer = on ne veut pas se laissser démonter, ni démonter ni envahir, mais en vrai treacer ! courir ! filer = pistonner, 

afin de gagner a&u plus v ite, de l'autre côté du pré, la Rive = ce Néné tracé, 

ce Sein donné, Sein -Don de trait, Sein ferme , Lait post-pré qui aurait coulé et du coup ce serait retrouvé comme .... de l'autree côté.... post-muret ...... me'r de lait ???? mer et mère de Lait ? mer des F2es Passées ? mer de lait d'Ombre ? lait laid ? lait de trait ? lait-Ombre ? lait de F2e en Herbe post-mortem-mortem ? On est Fée de fait la mort achevée (mort terrestre) et du coup on peut voler ou s'envoler et du coup tracer et gagner ... eh bé ce Néné , dit "de Nonne  post-pré ", hé hé ! on dirait de l'huile, c'est du lait ! lait des F2es ? lait post-pré = lait donné ? lait desNonnes et autres Soeur(s de Roche .? Post-roche ? nones de l'ombre ? cachées ? nonnes emmurées en son Royaume de La mùort du coup plus qu'achevée ;;; digérée ! oui ? oh ! ah ahh ! on est là pour ça : VOIR ET BOIRE ! voir et BOIRE  LAIT , LAit de NONNE_DON, don de Nonné vNée , en tant que NÉNÉ ! ombre ! ombre et tracé ! charge ! charge et portée ! corps ! corps et montée (ou remontée! et on dira qu'en vrai en effet on pourrait penser, que (vrai) les Données Hautes ... sont Données de ROche = 

boucs et bouques allouées à un pré , paissant de conserve, nonchalantes et nonchalants

buffles d'eau, buffle D'or, corps-don, ponte !

Bison ! Le Bison ! Le Bison accolé à une sorte de Passé de ROche comme présenté ! 

et autres bpêtes de la forêt , des champs de blé, des bois de contrée ! On monte ! on veut c''sst vrai poussszrvla porte et du coup entrer ! contrer ! porter ! ourler ? hurler ? charger ? pister ?ou même ... pissser ? pisser du lait ? On aimezrait vraiment enfin boire ce lait, léit de nonne allouée à une sorte de royaume l'enceinte de la Mort passée ! mais est-ce vrai ? On a envie ensemble de toucher à ce néné qu'on dit d"de contrenbande " m:ais on ne sait si cette appelation est vraiment concordante, ou pas du tout du tout ! on veut c'est vrai comprezndre les données squi hous seraient donnéeedss le pré une fois trac-versé , et du coup enfin pouvoir cerner et au plus près ce qui est la Mort passée. car, on peut pense r, que peut-êtte oui, qui sait ? la mort a Un temps ! ou disons, la mort naturelle, mort -ombre, terres de s terres , a ou aurait, peut-êtte, un temps, qui est celuyi du pré, des prairies vertes = de l'herbe, mais qu'une fois passé ce pré , alors ;a Mort redevient la VIe, les choses renaissent ou reviennent (d'une certaine manière) à elles, et nous voilà du cou!p cfomme à nouveau mpouvant téter ce lait de mère ... o-u sinonn de mère, de nourrice -none ou autres Donnes ? On Est accolées au muret : on ne veut pas laisssrf passer une occasion, en vrai : a&uussi belle, de cerner-toucher les données laitières telles que prése,ntées et révélées ! Lait = Vie = Don = Branche ! oisillon ! passé remonté tracé, et du coup Charge sur pré pour passage de F2e et re -passage / ancrage sur Cottage ! Ponte ! montée ! Ronde ! portée ! cohorte ! Tracé et ça engrange grave ! ça envoie ! ça tranche ! ça envoie du bois come une espérance ! danse et transe ensemble sur paroi pour une sérénade-calvacade-parade de bêtes de HJoie = chevals, bisones roses, buffles au Cor, Oours de porte ! On montev ! on a envie ensemble ici, de (grave) cerner les données, les données de branche comme présentées à la retombée en ce post-muret ! On est la Fée du pré passée ! on mate ! on veut ... DUU NÉNÉ ! grave on veut ... eh bé, du N2né ! pour enfin téter et nous libérer de cette enclave, de ce pré, de cette zone ici à brouter, à chevaucher, à cerner au stylet ! On aimerait ensemble grave traverser la&dite paroi alloué e au Verbe (tout comme l'herbe ) et sortir le Nez ! ce nez de fée ! trait ! passer ! traverser de rage ! filer ! nous retrou ver Sage ,de ce côté  ... côté Lait ! côté du Lait donné

 par quelque femme nourricière genre Mère , hé ! on veut toucher ! toucher au néné = téter , sans nous retourner mais tout le contraire : avancer ! pistonner ! passer ! courir ! aller vgite et ne plus stationner ! courir = dire ! dire et courir = faire ! porter et charger = entrer ! porter aux Fées derrière les données dernières = informer ... comme donc en arrière ou par derrière de ce qui est ! et ce qui est est cette chose d'un Néné , Gros Néné de Femme-Nourrice, Mère -Portée, CHant des Traits ! colère ? hé, peut-être ! on ne sait en vrai ce qui est qui est post)-cimetière,,  qmais c'est vrai qu'on dirait que le Verbe aide ! que, en vrai, le VErbe est de l'herbe, herbeb à bien brouter pour du coup emmagasiner, soit pouvoir tenir et tracer, charger et dire, nous poster au plus près de cedit "Néné des Nénés" post-pré ... mais qu'est-ce ? qu'est-ce que ce Néné post pré tel qu'énnoncé ? Du Verbe-Lait de mère ? lait-Verbe post pré , de mère consacrée ? Post-muret a (aurait) Mère ? une mère Adulée ? Bonne Mère ? trait sur traits nous indiquerait le chemin à, ici (de préférence), de voir suivre pour de fait (ensemble) aller , contuinuer, sans se tromper le moins dsu monde ! porte haute ! le Passé ainsui remonté, on peut pousser la porte et du cfoup traverser et se retrouver, par(mi , cette fois-ci , les Nonnes, Soeurs de CXharité, SEin donné ! sein post-pré donné par Soeur Tracée = Soeur de coeur ! corps et coeur sur roche et le tour est hjoué pour une sorte de ... re

 .... reprise ..... re-donnée des données ....... re-passage au lait entre-temps devenu ... rance ?,  jamais ! mais le Lait ! Lait des prés, post-pré ... LAIT ! Oh on aime ! on veut aimer ! on veut toucher ! on veut cerner ! on veut comprendre ! on veut allouer à une sorte de Rocher en branle ... eh bien .... dxes donnés ! des sortes de petites choses ainsi treacées pour faire accroire que la vie ici (rocher) est bel et bien donnée de fond e n comble quand en v  rai ... que tchi ! la honte ! on a osé corrompre ? o n a osé donnér eh bé nnotre passé pour ainsi dire, le Brûlé, le PAssé Calciné en friche ! Passé né sur pied ainsi donné sur paroi cachée ! on monte ! on ne vfeut pas en vrai réellement corrompre mais donner au plus de ce qu'on porte, à la la Mort de Porte, donc : tracer ! dessiner-graver les Bêtes sur pieds ! Bêtes-Roche ! Corps-Ombre ! Bouquaetins-tintin, bouquetine-tine ! aller = dire = faire = cerner =poussser = chercher = compmprendre = ficher = deée"duire = compacter = vivre = allouer et ainsi passzer (surprise ?) de l'autre côté = côté Néné , soit Néné de Fée-Nonne, ou de Nonhe-Fée ou comment nommer la Donne ? La donnée : comment la nomme"r ? par : une pomme ? pomme des prés ? pomme Haute ? Pomme cernée ? pomme d'homme , de femme Fée , de Bête Grossze sur paroi de roche , genre Auroque ? On est passéecmparce qu'o n le pouvait étant a&ilée , pas compliqué ! pour passer l'ult§ime roche on a juste besoin d'être ailée et ça le fait ! toucgrer = toucher ! dire = dire ! perdre = perdre ! coller = coler ! voir = boire et boire = voir ! c'esest un fait : vrai  ! vrai fait parmi les faits qui pour le coup sont vrais ! toucher = dire = cerner = comprendre = contacter = porter ... et rire ! toucher = sédiure = téter ! 

Tétons Bosse ! tétons à cettte bosses-mamelon ! ne traînons ! poussons ! oups mangeons ! plu^tot buvons ! lait de Roche HAute et autres laits de porte ! Haut le lait, haute la Porte ! On monte ! buvons ! on entre ! tétons ! on tète à foison  ! on adore ! on s'en fout jusqu'au fond du fond ! buvons ! aimons ! coulons ! portons ! centrons ! aimons donner et relever ! faisons ainsi que des données sieont dites "en amont" afin de pour le coup peut-^tre un jour des gens et gentes puissent dire, des données acquises (et relevées), qu'elles étaient vraie's ! pas  chiqué ! pas truquées ! vraies de vrai ! accolées ! dites ! chargées ! conduites ! poursuivies en vrai sur piste ou pré post-roche animée ! colle et traits szur prise ! vert baudet ! monte-cerise ! Le tracé aux fées et autres êtres sur pieds , genre buflettes, bouquetines, léonine's et autrs félines des parois tracées . Vive l'Ambre et le CArré , la Chance ! le Passé en treanse ici dépôsé, c'est un fait qui ne souffre pas (du tout) de concurrence  ! fait des faits on entre ! on passe ! on veut coller = s'accoler. On veut toucher à ce qiii est qui se présente en termes de données, dites "mortuaires", car, de fait, la mort actée se hjoue, ici,  de l'herbe du pré, du pré post-mortem, ce genre de données. On aime ! on veut aller ! toucher = dire = cer ner = composer et du coup tracer (en vrai) les Nénés de l'ombre ! néné né sur du passé de porte, on dirait, est-ce vrai ? ah, il faudrait peutêtre aller le demander à celle qui là-bas semblerait comme vouloir nous accepter et nous ouvrir sa p orte, kj'ai nommé : Nonne ! une Nonne ! Né Nonne ! Haute ! Haute Nonne ! Nonne Haute ! qui c'est ? c'est l'Ombre ici portée sur un muret de roche en fin de compte. On est née Fée dans la MOrt allouée, nous voilà comme re-né grâce au Lait ! Lait de Roche Haute ! post-porte ! lait des laits d'une sorte de donnée Haute mais tracée et du coup accorte ! Montons ! allons ! filons ! essayons ensemble de pousssrr et de traverser et du coup de se positionner de telle sorte ici, qu'on puisses envisager une srte de moment-tétée tel que rêévé ... et cfommbien de fois ! combien de fois rêvé ! eedsayons ! poussons ! poussons drôle peut-être mais ! poussons donc de chez poussons "le blé en herbe" ! creusons ! creusons de fait la Roche Meublée ! le Passé de POrte est un pAssé de re-naissance, à une VIe Haute et Auttre : Parade, Parole, paradis, passage garanti ! On veut Haut comprendre. Dur savoir. Ferme charger. Haut porter c'est un fait ... et puis alors nous laissser aller à du coup regarder sans ceesse les données post-porte, ce nuage de lait, cette blancheur céleste, cet attrait de trait, cette herbe non pls verte maéis deécolorée ! lait ! lait d'herbe ! lait donné ! données = lait ! les données sont du lait de Ferme ! Ferme Forme Haute Nonne Lait ! Lait de Nonne post-pré olé olé qui sait ? car, une Nonne est ... un homme ? Un homme desFées ? fées-Homme ? homme transformé en fée la mort alors allouée ? Homme-fée aimant Néné à bien téter pour se requinquer et pouvoir sans tarder donner ... eh bé peut-êttre, un dernier cfoup de collier , et zou ! virée ! embrassades sages ! corsage ! lait d'emblée de France ! ohé ça danse ! ça tremble ! c'ewt donné sur pied  et ça le fait ! hmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm du lait ! on adore , miam, miam de chyez miam ! on aime le lait ! on adore le lait ! dingue en vrai comme le lait on aime , on aime lécher, téter, ingurgiter ! lait des laits aimé ! On veut téter de chez téter le lait de la nonne ! homme-noonne = fée du pré ainsi passée de l'autre côté il semblerait .... On aime ce lait ........././........................................ mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm on ne peut pas ne pas aimer tellement c'est corsé ! mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm:mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmlmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm, l'important c'dsst d'aoiumer ....................................................................... d'aduler qui sait ? ......................... ce lait post-pré, post-fée, post-muret, post bêtes allouées à une sorte de cloison de roche , genre ... ponton ! ON monte ! on veut aller ! on veut creusezr et aimer ! on veut en vrai grave creuser et grave aimer ce lait donné par une nonne au débotté d'une sorte d'entrée e,n FRont ! colle ! porte ! montée et remontée ! on a envie en vrai d'y aller et de nous retrouver en vrai au plus près des données telles que véhiculées en ce domaine des entrées de Porte ! Lait né ! Roche auprès ! haute Futéîe ! on veut toucher à ce Néné des Données Hautes, les plus Hautes ! on aimerait en vrai excvelleme,nt comprendre véri tablement ce qui se trame en ce domaine (ici) des données lactées. Qu'st-ce que c'est ? du vrai l ait ? de l'herbe recrachée ? du lait de ferme = d'herbe ? Chant ? Cri ? Christ ? porte comme dégondée et o,n monte et on ose et on tète (grave) le Néné Donné ? on est Fée mais le trait passé (une fois passé) on est plus fée ! on devient ... trait ? tracé ? dessin de pieds ? colle-apprêt ? On veut en vrai cer ner ce que en tant que fée du pré (de la mort acté) on devient une fois le pré dépassé, soit post-post -mortem ! hé hé ! c'esst un fait qui en vrai le fait ! donc .... on cherche ! qu'est-ce qu'on peut être une fois en nous la Fée transformée ! Peut-^ttre ... un BéBé ? uune sorte de nouvrzau-né qui verrait, sentiraéit, téterait sa mère , mère à lait ? eh bé on ne sait ! on ne sait en vrai ce que ce bébé est ! on ne sait en vrai ce que pour le coup ce bébé ici (loin !) serait .... une PAire ? un pair ? oun trait pair ? une sorte d'entité nacrée à lmarges données ? une sorte de ... passé surnuméraire et ça le ferait comme à la retombée sur terre ? On cherche à deviner ensemble ici et là ce qui se pourrait ... et du coup comprendre, le Passé, le Passé retrouvé ou sinon retrouvé rebattu ? ou sinon rebattu re-pondu ? On cherche et sévère ! on ne s'arrête pas ou plus ! on ne veut pas lâcher le mât ! on veut grave rester accrochées ! traîner non mais s'incruster en effet ! on veut toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher à ce néné dit "des nénés " , c'est dire ! on aime le Néné du Vivre ! n éné né à tout jamais la mort aéllouée comme enterrée en définitive , ainsui de suite ! Car, la Vie devient Mort qui devient Sort qui devient Vie qui devient sort qiui devient MOrtqui devient Sort qui devient vie qui devient Sort qui devient MOrt qui devient Sort qui DEvient VIe qui devient Sort qui deviet MOrt qui devient VIe qui devient Sort qui devient MOrt qui devient VIe qui devient Sprt qui devient MOrt qui devient VIe qui devient SOrt qui devient MOrt qui devient VIe qui devient SOrt qui devient Mort qui devient Sort qiiu devient VIe qui devient Sort qui devient MOrt qui devie,nt sort aui devient VIe qui deviejt Soprt qui devient MOrt qui devient szort qui devient Vie qui devient le SOrt, qui lui mê'me devient la mort , puis à nouveau le Sort , puids du coup la Vie , Vie ici donnée du fait que voilà, on renaît ! on ne peut que renaître à la vie ! la vie vit sa vie éterneleement rejouée de rage ! trace ! prêts ! visages ! traits sur traits et ion grave grave ! bêtesz ^placides , ou pas p^lacides mais en vrai pesantes ! masse ! charge lour(de pesante ! bêtes-masse de parade et auttrezs charges ! aurchnoïdités de pervformance ! une somme debase et, du coup, on compte ! lka Parade d'armes  ! troupeau en fanfare et autres types d'amoncellements notoires ! on charge ! on veut savoir ! on veut grave savoir , comprzendre, toucher, deviner, c  erner, tracer et  tragverser et aller loin , et essayer de fait de nous téléporter au plus lointain desz connaissances, via (peut-être) le .... VERbe-Lait donné ? ou alors le ... lait-VErbe acculé si tant est ? ou bien , via ... ça : l'ANTRAE ! L'antre-Parade ? On ccherche ensemble ! fée des fées on est entrées comme à la parade, au milieu desz bêtes ici présentes, et maintenant c'est sûr que nous,n, ce qu'on aimerait le plus ce serait de comprendre ensemble ce que c'est que cette charge dite (donc) "de para&de" ... e'st-ce des TRaits ? et si oui de quels traits s'agit)-il ? S'agit-il de traits de rage ? traits-fées ? traits du Passé donné ? traits montés ? traits sur traits et le tour serait joué ? on est comme paumées .... mais voilà, on je lâche pas ! on ne veut surtout pas vlâcher mais tracer de chyez tracer sans jamais renoncer ni même se laissser abattre ! mais tracer tracer tracer, toucher tpucher topucher, combattre combattre combatttee, vivre vivre vivre sur nos deniers, pistonner pistonner pistonner, créer créer créer , poussser poussser pousser , dire dire dire et ne pas céder ! JÉMAIS ! JAMAIE DE  CHEZ JAMAIS Ô GRAND JAMAIS , MZIS Y ALLER DE NOTRE FRISE, DE NOS TRAITS ET AUTRES CERCLES DE BÊTES DE RIVE ! on aime ! on adore ! on n'aime que ça , boire ! boire  du lait ! le lait grave nous plaît ! le lait de chez le lait, grave on dirait nous plaît ! nous enchante ! nous rend faons ! nous rend comme qui dirait faon ou e,nfant ! chants ! chants des prés ! soulèvement ! on veut toucher à ce Néné des Donnes des Prés ou plutôt post-pré !  On ne veut plus s'arrêter de téter mais grave téter à ce lait de Nonne ! le néné ! néné né post-roche on dirait , ou ... hor enclave en rotondité, hors cercles des fées, hors enceinte allouée à une sorte de postérité "t raînante" ! traits ! traits sur traits ! bêtes de trait ! trait de bêtes sur parois 

de roche Haute ! oh oh c'est haut ! ça monte ! onmonte haut ! ho ho ! on monte haut de chez hzaut ! on ose ! on ose monter hzut ! on ne veut pas  lâcher le morceau ! On veut tracer et haut, le tracé des traitsz ! bhêtes à traits ! chevauxd ! chevales au trot ! big-bisons de trop et auttreszv animaux-mots ! creusons ! pistons ! fuyons ! allons ! poussons ! donnons ! allons en sorte que (de front) les choses sortent ! passent! vont ! traversent ! ne cherchent pas- àrester en carafe mais y vont ! vont loin post-parade ! vont leur train mais loin afin de (pour le coup) ... toucher la timbale ? le tracé ancré ? le lointain ... passé, comme "revisité" à la retombée ? qui sait ? On veut :

toucher de chez toucher

dire de chez dire

pzarler de chez parler

comprendre de chez comprendre

composerde chez composer

vivre de chez vivre

emporter de chez emporter

filer de chez filer

hurler (?) de chez hurler, qyi sait ? ou ... hennir ? hennir peut-être ça le ferait, peut-êttee qu'hennir en efffet ça pourrait ! Disons, alors : hennir ! et avançons , hennissons n, traçons , ne lambino,ds plus mais creusons ! creuses que tu creuseras ... eh bien .... la paroi ! la paroi des ROIs, REines de SAba et autresn RBêtes de poids ! 

na ! 

couchons ! baisons dru sur roche ! oeuvrons ! pointons ! poussons ! disons ! allons ! mangeons ! allons dire et auusi faire ! rega rdons ce qui en vrai post-pré nous regarderait sans nous quiiettr ! qui on est ? fée ? on était ! mais à présent, sur le néné, on esrt ... re-bébé ! re-le bébé du trait ! on est passé et rebelote le Passé en trombe ! On, m:onte ! on monte ! on monte haut ! on monte très haut ! on monte haut de chez haut ! on monte ! on va haut ! on avance ! on trace ! on creuse ! on cherche à cfompendre ! on veut haut savoir ! chercher -cerner et toucher -poussser ! dire ce qui est en matière de "doux néné" tel que présenté, montré, découvert et offert à, du coup, téter, pourquoi s'en priver puisqu'en plus on est des bébées ! bébés nées sur post-rocher ! c'est vrai ! on a traversé et on s'est retrouvé, hum, transformées en des ... bébéds de rage ! dingue ! dingue comme c'est ! on aime ! le lait, on aime ! grave on aime ! on est des bébés alors obligatoirement ou disons le plus couramment ou généralement les bésbés nés tèetent volontiers le lait de leur mère , aime!nt ! aiment téter ! et tètent ! le plus couramment ! la plupart du temps ! les bébés enchaînent ! tétées sur tétées ça le fait ! enchai^nennt les tétées et les moments de "traversée du temps" ! enchaînent de chez encfhaînents ces moments , dee :

- tétées , tétées actées, tétées aimées

- traversée du temps, repos tracé, chants dedans, points d'ombre au firmament mais l'ambre, et l'asrtre du Temps, en termes de Tourments !

Lait du TEMps ? lait des ombres portées ? lait de Roche HAute ? lait de cortps ? laitd'Homme ? lait de wsel, d'eau, de roche et autres nutriments vitaux ! On veut téter la Roche aux MOts " ou dite "aux mots" ... c'est dr(ôle ! on aime grave traverser le Temps en tant que sorte de Bébé de RAge, Bébé né de rage, ou Bébé né d'une sorte de Rage Cendrée, accolée à une sorte de "gouverne sienne" ; ... on dirait ! On cherche ! on veut toucher à ce néné en herbe ! vrai de vrai ! toucher de chez toucher à ce bébé en herbe ! herrbe verte sur paroi aux fées ! ça le fait ! dizons qie ça aussi ça le faoit ! on croyait rêver mais que dalle ! on y est ! on peut se pincer ! trait de rage = traits de charge ! passez ! passez donc ensemble (deux femmes) pour devenir fée ! une fée pour deux femmes, ou disons ... un hommme , devient femmes : deux femmes , et, deux femmes , deviennent Fée dite "des prés" !

 homme —>>> femmes x 2 —>>>  fée sur pré ... puis .... —>>> BÉBÉ ? re-né ? re re re ? re la chance et les tourments ? les connaisszances et le prix du sang ? la romance et la cxharade ? Le passé recomposé et le prsent des transes ? temps présents sur bande traçante ? un trait de paraede ? charge ? tri ? portée nue ? puis ... 

du chevelu ? du touffu ? du poilu on en redemeande ? cul nu ? bande ? vues sur la lande ? chevaux d'ange ? 

On e,ntre ! on entre ! on entre ! on e tre ! on entre ! on entre ! on e ntre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on enytre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! onentre ! onentre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! onentre !on entre ! on entre ! on entre dans l'antre ! on entre du coup ensemble (à deux) dans l'antre du fzeu ! feu ! on devient feu= fée ! fée du feu de l'Antre , du foyer ! feu-femme-fée ! d'anttre-foyer ! feu-fée ! fée-feu ! femmesdeux  = fée aimée ! entrée ! ainsi passée ! et du coup soulevée ! hissée ! montée ! On est la Fée qui fait ! on monte ! on ose monter ! on vole ! on ose voler ! on ne veut pas passer à côté mais grave cerner = dire = toucher =comprendre les données en roche ! ce tracé de poche ! pipe ou pipeau ! sons de cloches ! musique de pot ! chants coptes ! peau de trot ! bêtes à croches ! bêtes-mots et autres bêtesd'aloyau ! la Hauteb ! le Passage Docte ! poteau ! crotte ! plumeau ! sorte de tracé sur roche à la chante-peau et autres chants de Roche animaux ! on monte ! haut ! haut ho ! ho c'est haut ! on monte ! encore ! on monte de chez haut encore ! on veut hzut toucher   à ce dit Néné des ESpaces post-porte ! qui connaiît la Roche, les niveaux ? qui saéit  ce sqi ici pourrait, grave (éve"ntuellement) , nous dire des choses et du coup nous comme soulever encore, encfore soulever, soulever de base judsqu'au bgout du bout de cette sorte de chenal pointu ! haute porte ! haut des hauts ! on monte ! on ne lâche plus ! on vole ! on vole haut ................................ haut de chez haut car on est fée ... des données données ici toutes ailées ! on monte de chez monter ! on veut toucher de chez toucher, aux Nénés de Nonne ! hé hé ! ..................................................??....... on est entraînées ! on sait ! ................/............................... on aime voler, nous envoler, creuser et tracer, cerner et pister et nous diriger, donc, vers pareil Néné aux données (premières) souterraines ! LES 

données ! Données Fastes ! Données d'Ambre et autres données ici dé^posées et à visiter ! On monte de rage  ! on vole ! ............................................................................... on avance ! = on en avance ! on veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher à ce Néné donné, de Donna Ma&rie-Ange, Allouée à ... New Bébé ? ............................................./.......................................................... qui le sait ? qui en vrai ici peut dsse prtononcer sans vse tromper ? qui connaît si bien la roche qu'il peut affirmer et trancher ? qui connaôt son monde ? qui sinon la Fée, Fée e,n trombe haute ! fée des Fées de ROche ! haute ! hot ! haute et hot ! on monte ! on y croit ! on ose ! on est vives ethautement (de fait) motivées ! on ne veut pas laisser passer, la Chance, ici accordée, à une sorte, en nous, de Présence (?) ! On entre ! folle entrée ! on pousse au nez ... ezt à la barbhe du Passé , le Néné ! On veut toucher de chez toucher à ce Néné à lait ! lait d'antre ! lait né ! lait rance ? qui sait ? lait de FRance ? pets !! Lait de chance ? on voudrait ! chance et lait sont de connivzence il sembleraiot ! le Passé, la CHance, un tracé et l'ambience est née ! souterraine ! fête foraine ! les bêtes au taquet et nous de mêmes (fées !) ! on aime ! ....................................................... on aime le lait ! la chance du trait ! chance ou charge ça le fait du moment que voilà, on est ailées ! et c''st ce qu'on est ! on charge ! on fonce ! on creuse ! on ose ! on porte ! on veut aller ensemble sans tarder jusqu'au bout du bout du pré, et se retrouver (chelou ?) toutes rezmontées après ... eh bé ... les Nénésc ? la bande ? le corset ? la rage .?? on ne sait ! mais voilà, on veut grave toucher ! toucher de chez toucher  à ces Nénés dits "de contrebande" ... les toucher de pr)(ès ! oh, les embrasservqui sait mais ici c'est téter ! téter le lait ! lait de fhomme et autres fhemme cdes données de Branche , on veut comprendre ! On entre ! .............................................................................. on regarde ....................... on renifle .................... pour comprendre , ................................................ on veut toucher de chrzz toucher, à cette sorte de donnée de base , qui serait .................../.............. une sorte de chance allouée à des "coïncidences " ,  ça se pourrait ! .............................. on charge ! on est nées fée la mort adoubée , nous voici à nouveau blackboulées post-muret ! transformées ! en BB comme qui dirait ! la Chance ? on dirait ! on ne sait quoi penser mais en effet, ça se pourrait ! ça se pourrait de fait qe le passage en ces contrées nous aient rendues peut-êttre plus "intéressantes" ?  on veut monter ! monter haut sur roche , traverser, espérer pouvoir toucher-téter ! aller ! ailée ! ailée ! ............................... aller ailée si tant est ! qui sait ?????????? pisser ! caguer ! tracer ! percer ! pointer ! coller ! cerner ! charger ! allouer à une charge une sorte dee pa rade post-pré ! trinquer ! boire à la santé d'une sqorte de "fée poszt-fée" qui serait devenue BB ! et se serait jetée comme qui dirait sur une sorte de Néné de RAge " harde ! haut ! haute CFhose ! portHaut ! poteau ! horde de mots ! On monte ! on creuse ! on entre ! on veut ensemble saturer de rage les niveaux de mots ! creuser = dire = cerner = bouger .............................................. et bouger = dire = cerner = comptrendre ! ............................... pister ! courir ! aller ! voler ! ne pas faiblir mais se motiver ! ..................................................................................... on veut toucher à ce Néné de Nonne ! ............................................................................................................................. car ............................... on est bébé de porte ! ................................................................................. foufou ............................................. folle ...../.................... fée folle .............................. pas si folle vole ............................ vole haut hors du caniveau ................... s'impose au poteau ................. cfolle ! ................... colle haut ....................................... colle haut de chez haut ............................................. colle au pot ............................. colle de chez colle .................. au poteau  des poteaux ...................................... haute colle .........?..?...?..................... ombre ? ............................................../...................................................................... ombre sur les hauts .........? .......................mots ? mots des hauts ? ............... on monte ! on veut aller haut parce qu'on est hautement

parce qu'on est comme directement 

parce que voilà on veut que (des fois) on puisse

parce que voilà onj dit que parfois on veut ou on voudrait aller ... au plus haut du haut !

parce que en vrai on est des fées ett que du coup les fées eles peuvent grave voler et s'envooler et du ciuoup monter de chrez monter au plus haut du haut chalumeau ! haurt des hauts grave ! on veut gravfe ! hzaut des hauts aller, tracer, toucher, creuser, aller au plus lointain en ces contréesb ici post-muret, post parade, post-animales ? on veut toucher ! on veut ou on voudrait aller (ensemble) à la recherche d'une sorte (lointzine) de ... charge d'âme ? charge comme donnée à une sorte de  "F2licité" , qui serait "La CHance" ! äme battée ! train de fée ! peuplade ! trait de rage serait trait des traits ! trait sur le Passé et on recommence c'est fermé ! on entre ...... on entre ensemble ! on passe ! on est ailées ! on ressemble à s'y méprendre à  ce que autrefdois on était quand on était en transe comme soulevée par des drôles de bras, mains de charge et autres gros bras d'animales rages ! sabbah ! traces ! parades sardes ! traits de jhoie ! La Joie ! les embrassades sur toundra et autres danses nom ades ! la paroi des rois , REines de l'au-delà ! on y croit ! grave on y croit ! on y croitgrave ! on veut comprendre ! dire et donner ! prendre et allouer ! chervher de chez chercher ensemvble ce qui est qui en  vrai pourrait être amené à nous donner de quoi nous repérer, en ce champ (ici !) desz charges et aiutres bêtres de parade , genre .... eh bé le bouqauetin, par exemple ! ou bien ..... la buflle de paroi et autre buflettes "crades" ! le sabbah ! la rage ! le tracé des pas , sur la paroi ! pieds de pas ! pas de pieds et autres ancrages dénombrés ! on chante ! allaluyah de rage ! la paroi ! cjhantons la Paroi ! chants sa rdes ! la paroi des Rois ert REines de là-bas, en cet haut-delà , la Manche ! les données de branche ! haute charge de paroi étanche ! on entre ! on veut toucher de chez toucher à cette sorte de donnée de base = le Passé !hé hé ! qui c'est ? qu'est-ce que ou qui c'est que cette Chose, du Passé ? un trait ? une sorte de donnée "immonde" ? trait des fées sur roche ? craie ? trait de craie sur tombe mùoche ? ............................................................... qui on est ? ....................... qui je suis en tant que Né ??  ........................ gtrait ? trait épais ? .................................. passe-porte ? don de Roche ? pretre né le Temps Passé ? voie de roche et çàa le fait ? corde ? homme-corde ? homme-fée ? homme d'ombre et le tour est joué comme il se pourrait ? qu'importe ! hot ! haute donnée ! haute de chz haute ! on est nées fées ! on est la fée né e ! fée née sur pré sera biento^t ... transformée en bb ! BÉBÉ d'eau ! ombre ! ombre d'eau ! chaud et chaude ! eau chaude à tous les niveaux et, les niveaux : chauds ! on monte ! on veut coller coller coller, dire et donner, cpomprendre et cerner, per cer, trzacer, chercher-rechercher, comprendre grave ce vqui est qui ici serait à comme nous attendre au pied levé,  o!on veut toucher ! dire et monter ! monter sur Néné ! téter ! téter ! téter ! téter sans discontinuer ! téter sans s'arrêter de ce lait de trait ! verbe-lait à jamais ! joinction ! poison ? fond de roche dure ! pamôison ! allure ! hé, on touche au but ! on touche le Néné ! néné post-pré ! on touche grave grave grave ! le néné des nénés ! on veut téter téter téter

comme il semblererait 

le néné de Bure ! charger ! creuser ! toucher = donner ! comprtendre les do nnées de rage les plus ancrées, en cette multitudes de bêtes gravées sur une sorte de montée, haute montée de roche, vers le TREait des traits tel que dessiné par ici un homme ou une femme ou un enfant ou une enfant aux savoirs "immenses", genre "Sge)Rage , rage sage ! traits des fées ! romances ! creusements ! ambrassades au couvent et autres chants !

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2/1/2025

On est nées fée la mort entérinée , et à présent on veut aller au plus lointain possiblee n ce muret des fins de pré et autres promenades. On veut (OUI) traverser de chez traverser ce dernier muret , et COMPRENDRE ce qui est qui, "derrière", nous attendrait comme de bonne guerre ! On veut toucher à ce muret post-pré, et aller aeller aller sans sourciller vers cette chose d'une sorte (qui sait ?) de ... menuet ? danse des terres ? sang de joie ? colère et falbala ? jean-sans-tere ? on ne sait pas ce qu'il y a là-bas mais enfin on espère, pouvoir un de ces quatre peut-être comprendre (enfin comprendre !) ce sque c'est que ça, ce Passé des Mères, ccette  vjoie , ce tombeau des Voix ! On cherche ! On est pas des traîne-misère (du tout) en ce pré-là, mais des qui jamais n'obtempèrent, F2e des Rois et REInes, fée fada peut-être mais pas que ça ! On cherche ! On est là pour cerner et toucher, et aussi enttrer ! On veut en vrai aller chercher au plus lointain (en ce post-muret) les donnéescparmi les plus enracinées, qui seraient patentes, discernables, quasi "embrassables" et qui dès lors sauraient en vrai, nous donner de quooi enfin situer cette Chose de la MOrt Prochaine, dernière . o On ne veut que ça ! On veut aller , on voudrait toucher, 

à cet endroit post muret du pré, traverser "à toi à moi" c'est un fait, mais aussi : comprendre = dire , pour le coup, ce qui est qui vient vers nous, pour ainsi dire,  : les genous ? le cou ? le tracé des Fées déjà passées ? On ne sait ce qui est mais enfi,n on espère que peut-être un d e ces jours prochains, on saura enfin d iscerner ce qui est, parmi ces fumées toutes évaporées d'une sorte de contrée qui reste à cerner , à dessiner, à comprendre en ses données Suprêmes . On cherche ici ensemble ce qui est ! On ne veut pas lâcher la grappe ! on veut grave ici en avancer, sans débander ni désemparer ! on veut toucher à cette sorte (là-bas, post-murzaille) de tracé de Rage ! de tracé de Rage ... on dirait  ! à ce tracé des données sages ! On veut : 

- dire et donner

- coller et faire

- comprendre et apprendre

- choisir et cerner .... les données reines ! quelles sont-elles ? Eh bien, on dirait que voilà, les données reines, par là, sont celles qui (peut-êtte) nous indiquent en elles-mêmes une sorte de chemin à suivre ou à poursuivre ! LE CHEMIN, le chemin des rives, ce chemin des rives ou dit "des rives", qui donc est ce chjemin d'une sorte de dérive, engendrée par (ici) ... le RIRE ! oh ! On voit ça ! on regarde ! on ne voit que ça, ou plus que ça ! On est entrée de Rage en ça (... comme qui dirait) et  voilà que,  maintenant, ensembleb (ELLES°) on voit ! on a les yeux ouverts ! on regarde et on voit ! on voit et on regarde ! on ne s'en lasse pas ! On veut COMPRENDRE, COMPRENDRE DE CHEZ COMPRENDRE = TOUCHER DE CHEZ TOUCHER, À CETTE CHOSE, D'UNE SORTE DE ... POMMADE ? Oh on ne sait pas ! peut-être ! qui sait ? qui sait en vrai ce qui est ? qui en vrai sait ce qui est ici (post ... enième = deuxième  ... paroi) qui en vrai serait ... comme à nous attendre ? On est née F2e à la (première) traversée, celle de la mort comme avérée ou entéreinée ou actée ou enregistrée, et nous voilà qui en ce pré (de la mort actée) courons à vive allure et nous envolons  d'envergure ! ON est née F2e la mort actée et, à présent, nous sommes qui cherchons ... la clé ! ou : comment passer. Ou  : comment donc pouvoir ainsi ailées, ailées comme on est, traverser sans traîner la dernioère ... pelure ! peau de bure ! peau des mots à la revoyure, ou alors comment ? Car, voilà, on est là  : devant paroio. On veut en vrai ensemble (AILÉE) passer ! passer en ce dernier quartier ou, sinon dernier, il semblerait dernier = ultime = finalité ! On veut toucher toucher à ce dernier quartier , à cet ULTIME, à ce tracé tracé des dopnnées données par une sorte en soi de D2ité "des données Ultimes". QUI sait ? le PAssé ! oh qui sait ! le Passé aux N2nés ! aïe, ça se complique ! On voudrait, en vrai, enfin toucher, aux données tangibles, à ce qui est en vrai, qui pourrait "nous dire", si tant est, ce qui est qui peut)-être de fait nous attire, nous tire,cherche à nous coller à ui ou elle, on ne sait ! Le Passé est-il notre passé ? le Passé de l'Hydre ? des données du Vivre  ? Vouivre ? de quel pPassé est-on en tant que F2e la cible ? On ne sait ! On veut toucher à ces Nénésx

 "des données acides" ! On  ne veut pas laisser tomber mais grave en avancer en ce terrain des connaissances (avérées) ultimes ! toucher à ce qui est, le muret passé, c'est comprendre à jamais les raisons du Vivre ! Cela, on le saurait ! ou quelquepart en nous on le saurait, obn comprendrait, on toucgherait à ces Nénés du VIvre en ces contrées Ultimes, celles 

d'un Passé Fluide ! d'un tracé donné fluide et autres fluidité des données avcides post-pré ! On veut grave toucher ... à ces sortes de données Fluides , fluides .... comme du lait ? hé ! ça le fezrait ! on pourrait le penser ! on pourrait en vrai grave penser qu'en effet la mort, en ces derniers quartiers, est comme du lait, une sorte de pommade grège, beige ou semi-beige, petit lait mais rance, petit lait de transe, on veut cerner, on veut en vrai toucgher, on veut goûter à cette sorte (ici) de petit lait (petit lait rance) en transe ! qui sait ? qui pour nous dire c  e qui est qui est, ou qui serait ? qui sait de fait les données dernières  ? les connaît .. comme sa mère , qui ? On cherche ! on n'a pas fini de chercher ! On veut en vrai "y aller" (de notre sorte de recherche) ici à jamais, en ce quartier, post -pré, qui est  quartier des donnéews dernières (peut-êttre) tel qu'il nous apparait en tant que Fée ! Car, Fée on est, la mort donnée ! = ELLES = AILES = F2E FAITE ! on aime ! on aime aller en tant que fée en ce pré, aux données de l'herbe , puis tracer ! Fé des herbes allouées à une zone de denrées ! HERBES accolées ! HErbe des prés est HErbe-VERbe tel que souhaité, on dirait,n, on dirait du Verbe ! Herbe verte = Verbe, des données Genrées ! On aime ! on est passées par delà le muret, le muret des termes, on croit être passées, on est nées au VErbe des Données Tracées (post-pré) = ce tracé aux données Non-Humaines peut-être ... une clarté ? une sorte de clarté "souterraine" ? une sorte de clarté des Clartés ? une soprte de donnée Suprême enfin allouée à une sorte de Donnée Du VErbe ? ON cherche ensemble car soudées, (ensemble car soudées) à com^prendre, grave ! les dfonnées de l'Antre ! Ventre ? Charge antrale ou ventrale ? Charge allouée à une Parade ? Conséquence d'un passé "maussade " ? d'une sorte de PAssé Sage ? D'un tracé de RAge ? on ne sait de fait ce qui en vrai nous attendrait en cet ultime paysage des contrées post pré ! On est accolées = soudées = unies = ELLES = Ailées , pour en vrai ne plus tergiverser mais direct aller vers la Connaisszance des données de Genre ou autres données pour le coup centrales ! On est née Fée comme à la parade et du coup c'est une évidence, que, voilà ... on s"'est envolée ! on mo nte ! on monte quartier par quartier la Haute Paroi  des données Hautes, ou sur la haute , haute paroi, des données Du monde ... de ... l'au-delà ? On voit , on regarde, o,n mate ! On ne veiut pas (certes) passer à côté, mais ... bien cerner les données en présence, les toucher du doigt, comprendre  = charger = poser = toucher à ces Nénés des Données Ultimes , finales, terminales ! Gente Dames ! GEntoiseau ! Menaces ! Corbeaux ! Charge d'eau ! Potage ! On a envie ensemble (ailes de fée-oiseau) de comprendre ces nivrzaux (ou différents niveaux) de co ntrebande . On est comme fortement intéressées pour le s comprtendre et savoir distinguer pour ainsi dire le vrai du faux, ce qui est en  vrai et ce qui n'est pas, est .. "simulation" 

, de base, ou quelque chose comme ça dans le genre farce. On est née Fée sur pré la mort avérée, à présent on charge ! on court on vole ! carmagnole ! on veut grave rejoindre l-à-bas la  toundra ou ce qui, en soi, se présente, en termes de "paysage sage" genre pampa , praiereie sans foi ni loi ou pas mais espaces denses ! le sabbah ! la danse ! la rumba dees antres et autres ventres de la Joie à être ensemble ! Reconnaissance ! Transe de Paroi ( ou de post-paroi! ) .... on entre ! c'sst-àdire que voilà ... on entre dans la danse = on entre en transe ! On veut en vrai de fait toucher à ce qui se présente en termes de reconnaissance des données de soi, telles que déposées (donc : en transe) sur Palier ! Palier dionné ! Marche -pied ! on veut en vrai toucher à ce Néné de l'ultime dobnnée des Données de Rage ainsi affrêtées à un paysage dit "de contrzebande " . La Toundra ? la pampa ? le désert des Lois ? le Passé incommensurable ? Passé de Soi ? Qui est Soi ? Qui donc est , en soi, la Fée ... "de la Reconnaissance de Paroi" ? On est la Fée aux données "graves", on est née Fée comme à la Parade et à présent on veut comprendre le pourquoi des choses (ici -bas ?) mais pas que ça ! aussi les choesc de Toundra et autres Pampas de paysage ! la Pampa des données sardes ? Le tracas ? la Rage ? le Passé de soi, de type "ratage" ? la voix ? la croiux ? le tracé nomade ou autres voies ? On charge grave ! on envoie ! on envoie du bois ou tout le bvois qu'on a en soi en termes de donnée de Rage incommensurable ! ça y va ! ça chaerge grave ! ça envoie en veux)--tu en voilà ! On voit ça ! on ne veut plus laisser passer pour soi l'occasion de peut-^tte et enfin (qui sait ?) comprendre malin, ce qui est dans ce qu'on voit , en termes de bêtes allouées à , il semblerait, la Paroi des Paroois ! betes des Rois et Reines de SAbbah ! vois ça et entre ! grave ton nom sur la façade ! charge ! comprends ça ! file ! va ! foule ! outre ! passe ! cerne ! piste ! cherche ! et jamais si possible ne va  à (de fait) chercher ici à pour le coup te retourner ... comme transie ! car , F2E tu es ! F2e des Fées tu es ! tu es à présent une Fée dees Rages ! Tu es donc passée en transe, en ce pré des Fées, tu es née ! Tu es la Fée ... née du pré ! (Fée) née du pré ou fée née (du pré) , tu es née ! c'est ça qui a son importance ! née en transe ! Tu es Fée des données de la transe ! cxhargée ! allouée à une sorte de Donnée de type Cendre ! Conséque,nce d'une ... traversée sans souffrance, qui sait ? on veut comprendre ! On veut en avancer ensemble dans les connaiszances concernant la Rage, le TRacé en Transe, le Passé donné en ce quartier DErnier, la Souffrance liée au passé, le Mal desDonnées , le Roi et La Reine Accolées à une  c ertaine idée de la Cionnaisszance ! On veut en  vrai comprendre le Passé sans pour autant se retourner mais juste en se braquant comme qui dirait sur ce devant de soi alloué à une sorte de Paroi de la Re-connazissance de faces, de visages de face ... de traits ! On veut toucher à ces données de base, ne pas les snober, les toucher pour mieux les comprendre sans arrêt, et du coup tracer ce qui est ou serait des traits, dits "de reconnaissance" ! On veut aller de bonne grâce ! tracer = aller, comprendre, sonder. Qui sait  c e qu'aller est ? qui en vrai sait de fait ce que "aller" est ? On fonce ! on fonce Alpphonse ! On veut aller en ces contrées de bout d'un ... Moi ... ? de bout de joie ? de boutt des bouts de l'au-delà à soi ? car, l'au-delà est l'au-delà à soi, c'est ça, peut-être, qu'il faut comp^trendre ! il faudrait comprendre que voilà, en vrai l'au-delà, est ... au-delà à soi (de soi) sans autres Parades ! On est La Fée des données rupestres ancestrales (antédiluviennes , genre pré-néandertaliennes) et en co nséquzence ... on croit ! on croit à ça ! à cette sorte de Parade , De tracé de RAge genre Cavalacade , Chevaux Rois, Chevales, Tralala, Embrassades de France, Canevas ! Cataflaque ! Potage et samba sur la Promenade des Bêtes en jhoie ! type : Soi-Rage, Soi-Ani mal des bois, Soi-Buffle de Paroi ! ça y va ! ça charge ! ça envoie grave de la Voix ! ça brame grave ! La Paroi des Rois est la Parois des REines de Paroi ! On veut comprendre ou pouvoir comprendre ici ce genre de messages ! qui est qui , quoi est quoi, qu'rst-ce qui va là, qu'est-ce qui se présente, qu'est-ce qui est qui nous regarde à travers la glace , qu'est-ce qui naît sous nos yeux étonnés. On est Fée du pRé sachant "mater", grave ! car, on est allouées à une sorte de "Raeg ard Intense" ! traversant ! genre "voyance" dans le sang ! on entre ! on veut toucher à l'antre des données du ventre ... ou , szinon du ventre, du Passé ! Passé né la m'ort passée, la mort passée et dépassée du fait que le pré , est comme délimité ! genre : parcelle d'herbes,  allouées à un troupeau de bêtescnéandertaliennes , ou pré ou post... néanderte-laliennes, genre AUROCHS ! AUROQUES DES PRÉS !! On touche à une Vérité ! on croit toucher, on croit qu'on touche en vrai à une vérité ou sorte de vérité des prés puis du post-pré , à savoiir ... du VERbe ! car, le VErbe est Donnée des Données telles que rencontrées derrière ce muret des fins de carême ! touché ! toucheé (on dirait) le Néné ! le Néné du Verbe = Lait ! Lait donné au bébé ! la crème  ou crème de lait ! poème acidulé genre je sui s né à une sorte de Donnée, de L'ombre Portée , Théorème ancré, Tracé des tracés , LAIT-HERBE ! LAIT-HERBE NACRÉE ! POINT ET TRAIT ! CHARGE-NÉE SUR PAROI DE ROCHE DES DONNÉES PROFONDES, CALFEUTRÉES, MASDQUÉES , POST-ROTONDE ! On aime aller se défouler sur pré avant sde s'approcher de$ ces fameux Nénés pour ainsi dire d'un post-pré, d'une sorte ici de quartier alloué à ... LA VÉRITÉ telle qu'on aimezrait en tant que Fée l'approcher à jamais sans jamais s'arrêterr ! 

Fé des prés aime 

La roche des Données Dertnières ! 

celle qu'on voulait pour le coup cerner sans se démonter ou démantibluer ... et toucher sans frais ! On voudrait grave ici, en tant que Fée des Prés, toucher-cerner à une sorte de donnée post-cimetière, genre .... eh bé par exemple .... un tracé ! un trait ! juste le trait ! un trait de données , trait de l'herbe donnée à du VErbe Alloué à une "Vérité des Vérités" de genre D2ité ! ça aide ! ça le fait ! ça ppermet peut-être de s'y retrouver sans plus chercher à se creuser la t ête !  mais y aller ! pousser ! poussrr grave ainsi ailée la

 "Cha,nsonnettre des Fées", ce chant donnné aux Bêtes Cernées, dessinnées, gravées sur Roche Haute des Pzrois de Grotte ! saintes-poches ! poches saintes ! saintes entrées ! entrées saintes ! une sorte de donnée de base, sur façade ! la p aroi des anges et éautres angelots, de France et NAvarres , va comprendre ! la Paroi des transes ? le Passé revigoré ? l'ambiance ! le Passé ambient ? lae Roi et la REine de Céans passant commande ? une sorte de donnée de France ainsi liée à une sorte de parade "dessiné"e comme à la retombée ? On veut toucher à ces données ou à ce type de données ! on ne veut pas laisser ou laisser de côté, l'ensemble des données de France, dites "pariétales". Qui on est pour laissrvtomber, ou éventuellement laissser tomber ? On veut cerner de rage le tracé "français", balade sur pré d'une fée allouée à une sorte de vacance sur lande tracée ! charge d'âme ! gentes dames ! damoiseaux des frances et autres territoires "immémoriaux" , de trypes contrées aux oiseaux, oiselles et autres animaux des airs nouveaux ! On veut :

- toucher de chez toucher

- comprendre de ches comprendre

- coller de chez coller

-permettee de chez permettre, à une bête, d'être Mot de trop ! = gros mot = insulte sanitaire salutaire,

- pister de cgez pister ce mot de trop, en c e cimetière aux oiseaux et autres bêtes de parois hautes et de rochers hauts ! 

On ose !  grave on ose ! on veut grave aller haut sur roche toucher aux oiseaux ! on veut grave sur roche aller haut toucher aux oiseaux / oiselles-mots ! grave toucger ! et grave aller haut ! toucher de chez toucher à ces oiseaux-oiselles des niveaux de l'air ! Aimer ! Coller ! Faire ! Comprendre = toucher, à ce type de bêtes allouées à une sorte de pAroi, d'époque néandertaliene au basmot ! Cerner ! pister ces animaux, ce qu'ils comprennent des données suprêmes .... On aime ! on aime l'oiseau, les bêtes de mots, le treacé fermier, la Roche Rupestre et autres termes alloués à une sorte de cimetière pour ëtres de peau ! Mots des mots ! porte haute ! trompette et carosse ! roi-reine des bosses et autres tertres dee niveau de Roche . On monte ! on veut toucher la Haute  ! Haut Nivreau ! Porte des Mots ! porte Haute des MOts de trop ! porte Haute à mots ! mots des mots de la Haute ! le niveau !!!!! putain le niveau !!!! le niveau de Roche, et autres niveaux de type " de la Haute" et non du caniveau ! On monte ! hou hou c'est chaud , c'est hot = haut , sur paroi du mot ! On veut en vrai cerner, au plus haut niveau, les données les plus profondes concernant la roche des données cruciales (principales) finales ! on ne veut pas passer pour plus bêtes qu'on est mais au contrzire et si possible, impacter ! impacter grave ! dire ce vqui est sans se laisser en  vrai absorber par des données de contrebandes qui seraient toutes néfastes voire délèteres pour nos connaissances ou pour l'acquisition ici (terme, terminus ?)  de connaissances centrales. On a grave envie d'apprendre , de ne rien lâcher de rage mais, tout au cioontraire, continuer, sur notre lancée, à chercher à cvomprendre ensemble, ensemble par ce qu'ailées, à chercher un certain n ombre de données, de genre données "denses" , "intenses", "pleines ou entières", "vibrantes en leur antre", ainsi de suite sur paroi finale, sur paroi Haute, la plus Haute, la plus Haute des Paroois finales ! On cherche ensemble, à (ici) cerner le plus possible de données centrales type "connaissance antrales", et pour ça, forcément on se doit ... d'entrer de rage en ce muret dit "des données, données en transe". On doit pistonner ! on se doit de tracer et pas pour de rire, bel et bien en avancer sans rire en ces contrées pour ainsi dire du post-pré, alloué à la mort donnée ! et ainsi, traverser l'Ultime ! l'ultime quartier ! l'ultime région aux tracés "nommés" comme qui dirait  = le Passé ! le Passé du Mirliton ! Spigoln tu nais ! uTu es né Passé ! tracé ! caché ! coché ! donné sur rocher , la HONTEb ! HONTE DES HONTES ! honeur retrouvé ? cachottier ? pertte de données en trombe ? on veut cerner-toucher à ces donnéesz du bout du monde sans traîner on sait , et ne pas confondre : le  grain de l'ivraie, les données de roche , le Passé et le passé, le tracé d'époque et les données de porte, le malin et le prohibé, la Roche et la Porte Cernée, la Colère MOnstre et la folle "Envolée de l'ombre" ! TToucher ! Toucher à ce qui est de l'ordre du Passé ... de poche s'il en est ! On a envie ensemble (ailée) de cerner ce qii ici est, qui  nous regarde sans cesser, sans nous lâcher ! toucher = dire  = prendre = pârler ! parler = toucher ! toucher = parler ! on ne v eut pas passervà côté du pPASSÉ ainsi développée aéprès ce muret d'une sorte d'enclave toute ceinturée de motbêtes de Rage ! le TRacé Acté , la P arade sur pré, les embrassades et autres jumelages débordants de grâce ! tranquillité ! atteractivité ! absolution et conclusion ! Le genre parade "des ambitions" ! On est la Fée dite "des données de l'ambre et autres matières de présentation" ! feux follets ! croisées ! coques sur pré ! hautes roches et hauts rochers sur lesqulkes et lesquels aller à danser et batifoler comme des forcenées ! nées fées ! fées nées ! néesc fées sur pré ! fées nées sur le pré aux données de Roche ! un tracé nacré ! toute une époque ainsi renseignée, du fait que la roche est ainsi gravée , au piquet, au pic de bosse, au piolet, à l'encoche et autres "serpoletsc de roche" ; Onj est la fée des données de Roche, de Roche de'époque . On veut alller de chez aller au plus lointain (ici alloué) qui se poutrrrait, en matière de données en herbe post-cimetière , ou sinon postcimetière post paroi première ! toucher = dire = cerner = comprendre = considérer = coller = mettre sur roche ce qui est qui nous importe en termes de données données, telles que : encoches, tracés, dessins doctes, mots hauts (ou gros mots), anicroches, paroles de l'ombre ! taureauix ! On veyut toucher àc   e qsui est qui se présente sous forme animale : le taureau, le taureau et la taurelle ; mais aussi le veau, la velle, le chevau , la chevelle, le bison la biselle, le mammouth et mla mamouthe, le petit bufflet et la buflette aux données d'herbe ! l'animo ! le bel oiseau ! l'oiselle aux cornes de mo(szts ! trop de chez trop ! on veut le trop ! le trop gros en herbe et les animaux comme collègues ! On touche à l'herbe ! o n veut le morceau, la plaine, tout le troupeau, le trait des traits sur paroi du Gros ! l'embellie ! On en a pas fini (en tant que "f"ée du logis") de chercher ici (roche aux fées) à 

cerner-toucher, pousser-coller, prendre-permettre, poser-monter, pousser et lâcher les données recherchées ainsi "remontées" ! On veyut : 

- dire dire dire

- tomber tomber tomber

- comptendre le tendre, le dur, et l'à-moitié tendre  (ou l'à-moitié dur) en ces contrées post pré aux données "sûres" ! Qui sait ce qui est ? qui co:mprend ce qui est qiu ici semblerait vouloir se tramer d'aventure ? qui ose ozaimer ? qui veut toucher à ces Nénés des  dOnnéesws de Rage ? qui pousse, qui entre, qui frce, qui force passage, squi veut voir le paysage ? qui veut donc voir le paysage ? qui veut de fait voir le paysage , la paroi de face, le Passé de France, l'emporté, le voilé, la base ? On veut toucher à ce qui se présente en termes de données mammaires, lactées,, et du coup téter on le sait ! on est affamées ! fée affamée cherche du lait à ingurgiter (de bonne mère !s'il en est ) et se désaltérer, s'alimenter, se consolider, se donner de l'air, du Verbe, de l'herbe digérée, du Feu Porté ! On est Fée des Fées ainsi alimentées ! On veut durer dans la durée et du coup y aller, cerner les données, porter loin les mots sondés tels que découverts au pâssage cendré d'une mort actée ! cimetière ! cime tière des données ! pré pré-paroi dernière ! = le Passé ! Car, le Passé est derière ... derrière ce muret ainsi rencontré en ce pré des données allouées à une sorte d'herbe, genre Herbe-Verbe veerte ! le Passé nous attendrait ... en termes de Lait ! Le Passé en herbe ! Verbne né ! pointé, porté, alloué à une Sommité genre D2ité Des Déitées en Herbe ... un bébé ? On veut cerner, ici même (pré des prés), les données Suprêmes mais en vérité on dira que c'est ... méga-loin encore d'être gagné ! On a envie ensemble grave de cerner, les données qui ici se présentent comme à jamais, mais vas-y comprendre en  rai ce genre de données offertes, elles sont corsées ! elles ne se donnent pas frontalement, à tout un chacun ou chacune qui ici viendrait pour ainsi dire les sonder ou pour les sonder. Elles sont méga méga méga coriaces ! elles (en v  rai) ne se laissenty p)as approcher si facilement qu'on pourrait ensembkle le penszr , mais au contré&ire, renâclent ou renâcleraient, ou comme renâclent ou renâcleraient, à donc se laissr aépprocher par des fées cfomme nous nous sommes en ce pré aux données de l'ombre ! on monte parce qu'on est des fées et que les fées montent pârce qu'elles volent et que sachant voler elles peuvent plus facilement comme se téléporter aux plus haut niveau des données données en ce monde dit "des ORaux" ! On veut en vrai ensemble ici comptendre les données de ces Oraux , Oraux Terminaéux ! On veut toucher à ce qui est qui ivci se présente, sans traîner, à nos yeux qu'on dirait (pour le coup)

  écarquillés, tant ils sont grand ouvert pour ne rien rater de cvete sorte de  démonstration 

(pariétale) haute, de Fond de Roche. On est Fée née sur pré de Roche, on monte, on monte haut hautes , on veut toucher ensemble le plus héaut niveau, des choses de la Roche Haute, le Niveau des Hauts Niveaux , Haute CHose des Oraux de POrte ! 

Alorsc , voilà ... 

les Oraux de vPOrete, 

sont, en quelque sorte, les Oraux du plus haut niveau , une sorte de donnée vprofonde ! oraux mots sont mots de porte ! On  veut comprtendre et du coup bpour comprendre on doit incessamment obligatoirement nous approcher ensemble (ELLES nous sommes) d'une sorte d'entrée dee faç ade (ou en façade) permettant passage, glissement, portage et embrassade. On est Fée des Ombres et on aime entter enj pareille roche. on veut comprendre cette roche, ces données de l'ombre, ces Oraux ainsi cités, oou plus haut cités, et pour comprendre on se doit d'entter , en ce petit tracé ou trait , ou par ce tracé, ce traéit aux données, passer tête et ailes et petits pieds, et du coup ... nous retrouver de l'autre côté, à mirer ! à regarder en vrai ce qui est qui semblerait vouloir ici nous aborder pour nous parler et nou!s donner iun certzin nombre SVP d'infos relevées ! 

à nous de savoir faire, ainsi, qu'on puisse ensemble sans traîner, les adopter, les cerner, les faire nôtres en v  rai, loes comprendre pour le coup sans se casser ... le cul ? le nez, la tête allouée à notre sorte de gouvcerne ... de fée cendrée ? On veut toucher à c et ensemble de Nénés ! les Nénésc szont deux ! à cet ensemble de Nénés post-pré, qui est ensembke de JNénés post-muret car, on le sait, le muret du pré est  muret à tra&vaerser , à la une à la deux, sans sourciller, à fond de train, finement sciemment, pour, en vrai, arriver à comprendre , à cerner, à toucher, à poser des mots de base etc, à ce (ou sur ce) quartier post-rotondité, quartier des quartier, quartier des ombres ici portées et comme traversantes et pas à moitié ! les mots sont messagers ! les mots de trop (grosb mots) sont les (vrais) messagers qui peuvent eucx entrer sans se fa&ire coincer ! mots fluides dies données vives ! rapides ! mots des mots de trop ! haute donnée de roche ! mots hauts  ! hauts mots sur roche haute ! traits des treaits comme des animaux ! parades ! grottes ! portes ! prés des prés, puis le muret ouvrant sa porte sur ... eh bien un passé, ou même le Paszé tel qu'il se rapporte ... à des sortes de Nénés de Roche ! on veut toucher ! toucher = téter ... alorsc on veut téter , et sans traîner ! vite fait téter pour nous alimenter en tant que fée homo ! homo hautes ! hautres fées homo de roche ! haut mots donnés , récoltés, portés, amoncelés ! on est la fée des roches hautes qui, en vrai, cherche à se situer sur cette sorte d'échiquier des données de porte, des données hautes, post-mur de fond de roche ! Qui on est ? on est celle, on dirait (en tant que fée), qui cherche à sans cesse combler un ceratin nombre de désirs, ancrés en elle, comme (par exemple) celui ... d'exister, sur pré, post -cimetière ! ou alors celui ... de voiuloir cerner, post-pré, ce qui est qui nous attendrait une fois la mort donnée (actée) ou entérinée ! On veut toucher de chez rtroucher en tant que Fée du pré, les mots de l'ombre = les Oraux ! oh oh ! On a grave envie ensemble ici de nous colloer à cette sorte de recherche de niveaux ! de niveaux de mots ! On a envie en vrai ici ensemble de comprendre grave les données profondes d'une sorte de donnée de roche (néandertaliennne ou aurignaciennne) qui saurait pour le coup nous mettre sur le droit chemin en cevqui concerne ici même un certain  nombre de connaissances dites "de terrain", qui, connaissances , connaiossances intenses, sauraient sans traîner nous indiquer ce qu'il en est, en certtte matière de "la mort sur terr"; , ou de l"la mort donné sur terre" , ce qui est et ce qui n'est pas, en la matière, ou en matioère de paroi "aux Lois" ! parois en herbe ! ou parois de Rois et Reines ou Des rois et des REines ici comme attachées à une sorte de Gouverne ! On voit ce qu'on voit ! et ce qu'on voit est là qui nous regarde pour peut-être mieux (à nous) nous comprendre , nous comprendre-prendre ! On est née Fée sur pré au Grand Passage, à présent on monte ! on vole ! transe fatale et autres envollées de base , ou de lévitation de base ! on entre ! on entre dans l'antre des données dites "terminales" d'un rocher posté en face ! traéit des traits de RAge ! grave ! grave on entre ! nez pointu, cul nu ! feée femme sur paroi Haute , la plus haute, cul velu ! 

on passe la porte ! on passe cette porte

 aux données de base , haute porte aux données de rage, porte haute de la Mort"étranfge" .... on entre ! on est velues ! cul nu velu on entre ! entrons ! essayons de comprendre le message étrange" ! essayons ensemble ici de comprendre, ce qui pour le coup nous semble ou para^t étrange ! qu'est)-ce que ça peut être q ui nous de fait interroge grave  ! On cherche à comprendre ! qu'est-ce qye c'est que ce message , ces Oraux de Rage ; .... qu'est-ce que ça peut être qu'on ne sacheb pas, qu'on n'aies jamais vu ni connu, qu'on ne sache pas même peut-êtte reconnaitre, ou qu'on ne saurait peutêttee ou saura peut-êtte jamais reconnaître ? On est née F2e à cul velu , huhu ! On passe ! Passé D'Ange ? On passe ! PAssé d'Ambre ? On veut comprendre comprendre comprendre sans nous arrêtrer,  cet "Étrange" tel que "dessiné" (prsésentement) sur Porte de Roche ainsi présentée à nos "sons de cloches" ! On monte ! on est nées Fées la bmort entérinée , et à présent on essaie le plus possible de nous rapprocher de cet étrangeté "nature"" telle que représentée v(il semblerait) sur roche de groote et autres rochers , âr des êtres des temps reculéews, de type :

homme-femme cro-magnonesqaues

femme-homme cde type néandertalien 

homme-femmes des grottes sondées, allouées au Passé (sur Terre) tel que rêvé

femme-homme des données De rage et autres données du paysage sage (savant) tel que rencontré la mort ancrée ou enracinée ou entérinée . On est la Fée donnée, sur Roche Cendréev ! Fée des Fées des ROches vives ! un tracz-é de Vouivre ! trait ! trait ! trait très vif ! trait des traits sur roche "endiablée" ornementée ! On veut toucher à ces Nénés des données ditesv "lactées" du fait qu'un Néné eh bé on le sait contient gra&ve le lait qui sert à de fait alimenter en  Erbe les données cdernières ! lait donnév = verbev alloué à un Bébé post-cimetière, ou Bébé des Bébés ! la Haine ? non pas : un tracé ! trait d'herbe ! le Passé comme "remonté" en forme de colère "inn"ée" ou "colère des colères" , IRE centrée, chant des prés ! prêches ! prêches de prêtre ! prêche en herbe de prêtre assisté par une soerte de S1ainte Colère en lui ancrée, ça le fait ou le ferait ! On cherchebà t§oucher, hors pré,, à ces donnéess données de type LAIT_VERBE, verbe d'herbe,, verbe-lait aux données en herbe = tracé  = trait = donnée accordée , ou doonnée accolée à une sorte de "MISÈRE SUR PIED" ... est-ce que ça peut être ? est-ce qu'en vrai ça se pourrait que .... la misère soit Sainte = sanctifiée = acculée à êttre cette sorte de vDonnée Du verbe telle que rencontrée adoubée le muret du pré passé ou une fois passé ? est-ce qu'en  vrai, on pourrait ici (là : post pré) comprendre, cette sorte en soi de "Falbala" , verbe enjoué, en tant que "Donnée De Paroi terminale" ? on ne saoyt pas ! on gratte ! on gratte la peroi ! on bgratte à  ette sorte de paroi ditec"terminale" maéis en vrai on ne sait pas si de tels grattages en soi nous avancent à quoi que ce soit concernant le Charme, Le Tracé Final, La Chance, LE Donné des Rois et Reines de là-b as, l'Au-delà des pas, des pas dansés scandés, des sautillagees s et autres transes pré-muret ... on cherche à comptendre, ces données ce qu'elles contiennent, en termesb de(qui sait ?) vérité ! On est née Fée au p assage cendré, on a couru , on est monté,n , on a traversé nle muret dit "des finalités" et à présent (de fait) nous voilà "remontées" , "toutes remontées", en ce nouveau quartier aux données centrales telles que données, données par la bande, ici, des .... Nénés ? qui sait de ces NÉNÉs ce qu'il faut penser ! qui peut nous aider ? qui peut nous reamener szur roche (au frais) de quoi ... penser .... et panser nos plaies ? qui ? L'Ombre ? L'oMbre Haute ? Le BNOmbre ? Le PAssé d'époque ? Le tracé de POrte ? l'onctuosité d'un lait trait ? Le pissé, le chié , le sué ? La Roche haute des DOnnées De porte telles que consacrées à notre approche ? IUune Donnée mûre ? deux ? deux données données ? une sorte de Passé "de la Comprenure" ... telle que développée en nos jeunes années ? Un bébé ? un petit bébé ? le Bébé Nature ? un e sorte de Bébé de bure ? pli ? pli sur page ? ombre ? homme ? femme ? homme-femme ? femme-homme ? homme et femme ensemble comme soulevées, de par le fait que les voilà comme liées à tout jamais, et transbahutées ? qui sait en vrai ce qu'il  faudrait savoir pour comprendre ? qui en  vrai connéit les données finales, le Passé de Charme, les données allouées à une sorte de parade ici pariétale ? on veut de fait cerner ensemble (en tant que fée ailée), cerner par la bande, mais voilà, le trait, devant soi, n'est pas large ! comment faire dès lors pour ici s'infiltrer ... sans trop peiner , ni se casssr le bout du nez ? la charge ? mentale ? le tracé inné . ?le passé come offert suur place ? une sorte de passé qque nous serions )-à même de véhiculer et de faire remonter comme à la parade sur paroi de M asse ? on cherche à comprendre. ON Veut comprendre ensemble. Homme-femme = femme ! Homme et femme ensemble sont femme de TRait, trait tracé à main levée sur Roche de Grotte Néandertaliennes .... à jamais ! On cherche à c erner = toucher;, toucher = toucher , toucher = toucher aux Nénés vpost-pré ! Toucher = toucher à  ce qui est qui se cprésente à nous le pré dépassé, passé, traversé ! On aime ! o n aime aller ! on veut toucher à ce qui est qui nous regadrerait ... comme par derrière , dingue ! une sorte de "PHÉNOMÈNE" aux yeux à facettes ! va cerner ! va donc en cfomprendre le bien-fondé , ou ce qui est en vérité ! Hydre-né post-rive ! On veut trouver Un dire ! Une donnée vraie ! ce qui est qui ne prêterait plus du tout à rire mais szerait de fait fortement considéré et adoubé et pris pour sinon "donnée des données" mais quand même apprécié et même reconnu par  x (peut-être) sommités de quaert§ier. on est Fée en herbe = en verbe ! Traits des traits post-cimetière, on cherche Une entrée, en pareille Rotonde, Entrée de Ronde, opassage alloué à une sorte de donnée de POrte ! porte Haute ! Le passé en trombe ? on le saurait en vréi il me semble si c'était vrai ! On monte ! on creuse ! on pousse ! on veut toucher de chez toucher à cette sorte dedonnée de ROcche ncomme rencontrée en bnos promenades accumulées. Montons ! osons ! passons ! poussons cette Porte de Roche et regardons donc les données profondes ce qu'elles sont ! que sont les données profondes , qu'e pourrait-on co=ptendre ensemble des données profondes, ou de pareilles données profondes, ou de pareilles données données? On cherche ensemble ! On est accolées. ailes de F2e . Fée d'herbe. On monte, on passe, on cherche, on ose, on regardee, on touche vdes yeux, on cherche à com^rendre... et que comperenosns -nous en pareil paysage ?  que La ùort est Haute ? Ramages ? plumage ? crête  de Rage ? haute Mort sur Paroi de base ? On mate grave ! yeux hagards ? yeux pportées sur Chose post-pré : 

-la haute fûtaie

- le tracé des mots

- l'envolée gracile et autres volée (de base) fluide

- le lait, le lait des animaux, le lait nacré , bleuté, alloué

- l'ombre porté sur un Néné 

- les Oraux de Roche .... 

mùais , que sont les Oraux de Roche ? Eh bien, les ORaux de Roche, nous dirons que voilà, les OPraux de ROche, sont ...................................................... tralalas et falbalas ........................................................................................................................................................ treanses de parois .....?...................../........................................... hauts messages de l'au-delà à cette sorte de paroi des Rois et REines du Sabbah ........................?......................... le charme, la Joie, L'ombre HAute ! ................................................................................... chants de POrte ! on voit ce qu'on voit ! on y croit ! on ne croit qu'à ce convoi , comme Saint-Thomas ! On avance ! O,n monte ! on veut toucher la Haute Paroi , HAute PAroi de l'Au-delà à soi , 

ANTRE, ANTRE DE RAGE, ANTRE DE ROCHE HAUTE, HAUT ANTRE DES DONNÉES DE ROCHE, TOUNDRA, PORTE HAUTE AUX DONNÉES DE POCHE, POINT DE ROCHE AINSI MONTRÉ À TOUT LE MONDE, POINT D'ORGUE

On voit ce convoi, on entre, on veut toucher ensemble les données de base ici déposées comme à la parade, gentes dames, auroques des bois, genstuilhommes des sous-bois de l'ombre ! un teacé de base , deux ombres = deux ailes = une fée imberbe = une fée vde rage qui (ici) sait tracer = voler, s'envoler, mùonter, traverser les contrées post- premier muret, et du coup se comme téléporter jusqu'au bout du bout des ombres, flammes vive's, traits de roche, cheminée ! fHautes données données donnant sur le Passé de l'Ombre ! HOmme-ombre = femmes la mort achevée ou entérinée ! homme du pré, devient Femme Fée aux ailes dorées , quasi translucides, portées, empruntées ! On est Fée Forte ! Haute Fée des POrtes ! On monte ici jusqu'au n2né de l'ombre ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce qui se rapporte à ce Néné de Roche ! Roche Haute = Faconde ! On monte ! on ose ! on monte en trombe ! on ne veut pas lâcher la chose mais (grave) au contriare  .... aller de chrez aller .... poussser de chez poussser .... comprendre de chez comprendre ..... connnaître de chez connaître ..... saturer de TRaits ce tracé ! pousser -, poussrr, pouusser, pousser, pousser grave de colère , pousserf de chez pousser grave de coplère ces ... nénés ? les repoussser ? ne pas téter ? téter et ne pas téter ? téter ou ne pas téter , telle est la question su^rprême (ou serait) ? On cherche ! on veut toucher à une Vérité Su^rême ! O,   eut grvae toucher de chez toucher à une sorte pour le coup de vérité des vérités ! on veut aller , akller de chez aller direct, direction "Vérité-Déité" concernant La mort, M%Ort-Vraie, Mort-Donnée,Mort-Divinité. On v  eut coller à cette vérité (dite "des données profondes") et ... ne plus s'en décoller ! On veut coller de chez coller à cette vérité fdes dites "données en herbe", s'y coller le nez , les ailes , le cucu ambré, les petits pieds = entière ! alloué ! allouée ! allouée en tant que fée ! allouée de chez allouée et ce sans traîner , sans chercher plus que ça à se faire aimer mais quand même, on veut plaire, plzaire à "D2ité La Mort SOuveraoine", lui plaire = lui donner ce qui peut-être pourrait lui plaire en termes de données (Suprêmes) vterrestres , genre : 

- Oraisons Su^rêmes

-  PAmoisons)- Consécrations sur roche interne

On monte ! on osex ! on veut toucher à  c e Néné des Données Hautes ! traverser le muret et donc se retrouver de l'autre côté , côté Haute Futaie, Post-Rotonde, Post-pré, hors du monde des données tracées comme à main levée par l'homme-femme des sdonnées de roche ON monte ! sortons ! allons ! poussons "la porte" , paszsage docte, le Passé ? Poussons ! poussons le Passé comme une porte , porte d'Entrée vers .... eh bé, de nouvelles contrées ! contrées aux fées passées ou déjç-à passées et du coup transformées en ... Nénés ??????????????????????????????????? hé hé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! est-ce que ça se pourrait ? que des féesz, ayant dépassé le muret post-pré, soit à présent comme transformées en .... N2né ??????????????????????????????????????????????????? en un n2né dit "des N2N2S " ? .................................... erst -ce que ça se pourrait en  vrai ????????????????? ?????????????????????????????????????????????????????????????????? qui le sait ? qui sait ce qui est ?????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????? qui en vrai sait ce qui est et qui n'est pas concernant la mort et ses .... "entrechats" ?????????????????????????????????????????????? qui en vrai , connaît le fin mot concernant la mort et ses atteaits de base ?????????????????????? ses données et autres traits ??????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????? qui sait ce qui se treame en elle ? ,qui connzit^ce qui en elle alimente la Voix ? ......................................................le Ver -be ??????????????????????????? l'herbe verte ??????????????????? la Paroi de Choix ???????????????????????????????????????????????????????????????????????????? l'Ombre des Données sur Roche ainsi allouée s à une sorte de ROtonde "enclavée" ? On entre ! on monte ! on sonde ! on regarde ! on vole et volette ! on est Fée post-cimetière et bientôt ... VErvbe ? Verbe-Aile ? Verbe né la mort entérinée de chez entérinée = doubl"éée ? On veut toucher à ce Néné-fée , à cette sorte de Néné qui, avant, dans le pré, était La Fée du pRé , qui le sait ? toucher de chez toucher à cette Fée-NéNé ... de Paroi Haute, Haute Roche-faconde, Née Fée puis Néné  ! Grotte ! porte ! colle ! mont des monts des Hauts Niveaux ! On veut coller ! on veut grave coller ! coller à ce Néné des Hauts des Hauts ! On veut grave coloer au Niveau du Trop, du Trop Haut = du Très Haut (Trait Haut) et ... passer ! filer ! sonder ! do nner ! cerner ! se redresser et regarder autour de soi ce qui se trame e,n termes de paradee de type animale ! trait dxes traits, du plus haut niveau de charge ! Bois des monts ! ramages ! ramures ! bois hauts de Dieu Haut ! Branches ! branches ! branches blanches ! branches hzaut ! branches des branches du plus haut nivraeau ! branches des branches vdes plus hauts niveaux de Mots ! Mots Hauts ! Hauts Mots ! Mots des hauts Niveaux en termes de données de branche  ! haut niveau de base ! très)-haut ! Genre 

SAGE

SAGE DE CHEZ SAGE

SAGE-ÊTRE ... SAGE

SAGE ROI REINE DE LÀ

ROI REINE DES DONNÉES SU^PR^EMES

HOMME AUX MOTS = FEMME MOTS = OMBRE SUR HAUTS 

TRAITS DE LUMIÈRE

TRAITS FERMES

TRAITS DES TRAITS SUR HERBE = BÊTES

On veut haut comprendre le Niveau. L'ombre haute sur Mots, la Paroi Haute, Buffles de Carosse, Bêtes de ROche, Traits altiers, Bêtes Féroces, Lionnes , Lionceaux, Ours de Roche, Bêtes-mots aux données de Porte, crins, poils drus, queues doctes, Chevelures. On aime les bêtes velues, fortes, hautes, masse docte et autres bouquetins des roches. On veut grave cerner ensemble les données ! Cerner = toucher ; toucher = donner ; donner = comprendre ; commprendre = allouer ; allouer = dire ; dire = faire ; faire = porte  ; porter = entreprendre ; entreprendre = toucher ; toucher = commettre ; commetttre = souder ; souder = pister ; pister = lier ; lier = rouler ; roulerr = gravir et du coup monter ici judsqu'aux n2nés post -pré ! et du cfoup les aimer = téter ! teter grave les Nénés vdonnées par , ici, une FEMme .... aux allures de Fée ? Femme-fée des prés ? homme-femme cernée ?  Femme-fée vdu pré cendré ? on veut toucher à ce Néné "des contrées Finales" , ou Nénés "de Branche" ! Coller ! sonder ! toucher = coller et sonder ! on veut aller au plus lointain de l'anttre, toucher ! toucher de chez toucher aux nénés nés ! nénés des n&énés ! nénés d'Ambre ! ..... ombre portée sur un néné d'Ambre ! ombre-ambre ! ambre-ombre ! ambre des ambres ! ombre née ! on entre ! on veut toucher-cerner l'antre de l'ambre ... et AIMER ALLER COLLER ! cernerv = dire = toucher = avoir ! On veut coller-cerner l'avoir ! Etre née Fée post pré en tant que ..... être à Néné s ? Nénés ? ëztre-Néné ? Néné-ëtre ? ëtrtee n2né des Nénés de l'ÊTRE ? Qui sait ? on cherche ! on veut toucher toucher toucher à cevnénév en herbe " post cimetière, post -pré (post-éden) post muret, et coller ! s'y coller de près ! cerner = coller ! collerr = toucher ! toucher = cerner ! on fait corps ensemble = fée ! ailes soudées, pour en vrai et enfin pouvoir sans discuter pouvoir s'envoler en ces confins ou drôles de confins le pré dépassé, passer le trait, passer le trait, filer, coller aux nénés , coller grave aux nénés du post-pré ! et du coup (peut-êtte) téter de chez téter à c  e néné rempli de ce lait salutaire dont plus avant on  discutait sans se tracassser . On veut téter le vLait postv pré ! post-herbe en vrai ! téter de ce lait de l'herbe sans herbe ! herbe ou pas herbe ! téter ! téter frais ! téter le lait de fée des traits ! téter de chez téter sans sourciller, s'e,n mettre plein le gosier, cerner-toucher à ce qui est de ce tracé ! donner = porter ! vivre = coller, à ces ditsc "nénés" en herbe ! herbe verte ! touché ! 

touché ! touchée de près ! on erst la Fée vtopuchéev ! Touchée de près ! fée du pré touchée de près par comme qui dirait une sorte de néné en herbe ! néné né des données rupestresvc bn"éandertaliennnes acidulées ! traits majeurs ! cfolle -ombre ! dictées ! pousse-honte ! poil du nez et autres atrocitész sur roche ! on monte ! on veut toucher à ces nénés du bout du monde et du cfoup AIMER DE CHEZ AIMER LA RONDE

LA ROTONDE -RONDE

CE TRACÉ DE PORTE

CETTE VOIE DE ROCHE HAUTE

TRAIT

TRAIT

TRAIT

TRAIT

TRAIT 

TRAIT 

trait tracé à main levé pzatr l'homme-femme des données (profondes) hautes ! haut nivrau xde roche = chapiteau ! porte haute des données profondes ! Paroles ! Port e = parole ! chants doctes ! traits amis d'animaux de roche ! bouquetinsmonstres! bouquetines hautes ! boucs et béliers des données données cfomme à l'arraché ! antilopes ! antilopes et antilots ! porte ! porte-mots ! colle! colle de peau ! charge haute sur paroi haute ! haute porte sur peau ! peau docte ! haute peau ! peau d'ombre ! peua des peaux des anuimaux ! haute porte aux mots-animaux ! paroles hautes et hot ! hot mot de trop genre insultes à croc ! On monte ! on monte haut armées de crocs ! on monte hot ! chaud de chez chaud ... animaux de roche ! On ose ! on colle ! on est hautes et haut ! mots de trop sur porte de peau ! on colle-ose ! on colle-porte! on colle des mots-animaux sur roche haute ! traits des fées sur Néné ... de haute Porte, et autres passages de fin de Roche ! Trait ! trait ! trait ! traitb ! trait actés ! traits tracés sur roche-Néné , qui sait ? trait bdes traits colmme tracés qui sait à main levée , par une femme des données, femmes rondes, femme ronde des données, femme-homme des données données ainsi allouées à une Sommité ... de Branche ? Cerfe Cendré ! Cerf alloué à un pré ! Cerf des données Hautes ! Cerf soudé ! Cerf des CErfs soudés à une sorte de prairie aux fées ainszi consacrée ... car, CERf des Prés est Cerf alloué à une Vérité "en branche" / BOIS Donné ! bois Haut ! Hautbois du tonneau ! Bois des bois du plus Haut des Bois ! On ose ! Fée des fées ./......................................................... on ose aller .................................... téter ..................................................... le lait de l'Ombre ................................. lzit nacré aux données sucrées-salées ........................ comme un jus de roche ............................. roche nue ............................... vue ........................... entreevue ............................... connue ....................................................... reconnue ..................................................... peut-être reconnue ou enfin reconnue ............................................. nue ? 

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29/12/2024

On veut aller ensemble à la recherche ou comme à la recherche de données "extrèmes" ! On est fées et du coup on cerne ... plein de choses que , en vrai, si on n'était pas fées, on ne pourrait, ... on ne pourrait certainement pas cerner comme on le fait, = "à toi àmoi", dans une sorte (ensemble) de vision  profonde ! on aime ! ça on aime ! çàa on peut dire qu'en vrai on aime, on aime beaucoup,  on est fans ! femmes et fans ! on aime (grave) toucher  à ce qui se présente et qui (devant nous) ouvre une voie d'abord,  pour une soetre de pasdsage (ici) pour fées "de contraebande" = pour passionarias (en quelque sorte) des données cachées et autres secrets "de dernière couvée". on est les fées fans (femmes ) qui aiment ! on aime aller en ces contrées, c'est-àdire  dans un pré, la paroi passée, la paroi des rages, celle qui (ici) nous fait face dans un premier temps et nous attire à elle, nous demande comme "en mariage ! On veut aimer le pré ! on aime ! on trace ! on est (ensemble) les ailes, d'une sorte de "déesse volante" = fée des prés de base ! on aime = on regarde ! on aime tracer , charger et nous porter, au plus loin sur le pré , direction ... eh bien, cette chose lointaine quyi , on dirait, nous regarde, nous mate sévère, ne nous lâche plus, ne veut plus nous abandonner ou nous lâcher ou nous laisser tomber ! c'est qui ? on cherche ! on ne sait pas qui c'est ! on est envahies ensemble comme qui dirait, par une sorte de ... questionnement ? peut-être ! 

par une sorte de questionnement qui nous pousse à aller, à virer , tanguer, tracer, pousszer (loin) la

 "ppromenade rupesttre" , charger ! parce que nous en tant que fée ailéeon veut toucher à  ette sorte de donnée dernière qui, pour le coup, est une sorte de donnée ... comme on les aime = gratinée ! on veut (grave) pour nous,, du gratiné ,ou dans le genre gratiné ! ces sortes de données de base, ou données des données, on les voudrait de préférence "gratinées " = spéciiales, peiut-êttre "paradoxales" ? qui sait ? On voudrait ensemble (on est les ailes de la fée des prés) comprendre ce qui, en vrai, "nous regarde" ! qu'est-ce que c'est ? eh bé ... on est toujoiurs et encore (enselmbke) à se le demander ! à chercher ! On voit bien ivci qu'il y a comme une sorte, peut-être ... d'enduit ? qui recoiuvre ou recouvrirait la paroio ou quelque chose comme ça , un enduit gras , une sorte d'onguent, de crhême ! qu'est-ce que c'est ? eh bien on cherche ! on cherche ce que ça peut être ! qu'est-ce que ça peut être ? on cherche ! on se demande ! on se pose des questions et on regarde et on se dit que oui peut-êttre un jour, on arrivera, à cerner au mieux les donhées (frontales) dernières, ce qui est squi se présente et nous regarde, ce qui en vrai se trame au)-delà des thermes ! On est fée parce qu'on s'aime ! on est ELKLES au pré, on s'aime en vrai ! on s'aime ailée ! on s'aime de preès ! On aime s'aimer ! on trace ! on vole au loin à la recherche de données de bzse, de données de base et d données de rage, on y va ! on gagne Paroi (Paroi SAge, l'ultime Paroi) et là, une fois l'ultime (peut-être) Pzaroii abordée ou atteinte, on voit ! Qu'est-ce qu'on voit ? LA RAGE ! le tracé de rage ! permutation !  fruit de la Passion ! On a touché à cette extrème onction des données dernières ! PARLONS ! PARIONS ! CREVONS LA CHOSE SOUTERRAINE ET PASSONS ! PASSOONS PASSION ! on aime ! on est deux ! deux ailes ! on est les deux ailes du pont ! on trace dans l'herbe ! on veut en vrai aller pour ainsi dire comme pour toucher de chez toucher les données les plus extrèmes = souterraines, d'uneb sorte de contrée "en herbes" ! qu'est-ce que c'est ? eh bien ... peut-être .... une sorte de chemin des traces , caminade ! On veut (ensemble) filer, filer grave jusqu'aux nénés et téter ! on dira que ça, cette chose,  ON VEUT ! = téter ! et pas à moitié ! On veut toucgher à ces nénés qui , devant nous, sont les nénés d'une sorte de donnée frontale telle que par exemple on pourrait s'y attendre ! une sorte ... qui sait ?  de données "rare" ! Une ouvertiure (en soi) dans la mansarde ! qu'est)-ce que ça peut ou pourrait être d'autrev! On regarde , on cherche à passer ! on est au fond du pré, on a retrouvé ou comme retrouvé les données frontales = pzariétales, mais de l'intériuer cette fois-ci, on est inclues , on est nues, on mate ! on veut tioucher = passer, à travers la Buse ou comment dire ici , pour cette sorte de .... conduit ? de ... passage-conduit ? qui est comme une sorte de donnée de base cioomme contigüe à une sorte "d'outre-passage" ... On est prêtes à tenter le voyage ! Est-ce qu'on le pourrait en vrai ou de fait sans dommages ? est-ce qu'on peut de fait réellement envisager ensemble (= ailes d'une fée en herbe) ce voyage en ce paysageb ... des données ultimes post-paroi finale ? On regarde ! trait ! trait des prés" ! trait de ce qui est qui nous regarde (nous regarderait) attentivement ! On est nées de fait sur pré, pour, entre nous, essayer (au maximum) de comprtendre, ce qui ici se passe (ou se passerait) pendant ... qu'ion parle ? pendant quoi ? qu'on chante ? On voit kle passage, c''stàdire qu'on voit, ici, de près (de treès près) ce trait, des données finales = d'anfractuosité, de caverne szsarde (?) ... qui sait ! une sorte de "passage-parade" ! qu'est-ce que c'est que ce tracé sur paroi sage ? On se demande ensemble ce que c'est ! on se regarde et on se pose la question, concernant le front ! qu'est-ce que c'est que ces données de Rage ? Ultime Passion, Trait d'Annge, "Vie des Monts, Panse ! On veut (oui !) comprendre, ensemble conconmittament (on est ailes nées) , ce qui est qui se présente (disons) en "fonnd de caisson" ! On mate grave ! on ne cesse de mater, toucher, caresser, cvomprtendre, qu'est)-ce que c'est que ces ... (dits) "nénés de contrebande" de fond de pré paradisiaque ! qau'est-ce que ça peut êttre ! On cher che ! on trace ! on fonce ! on file ! on est ailes volantes = fée des prés ! on est "encerclées ", entourées de base de données rupestres genre bêtes, bêtes prairiales, bouquetins des rages et auttres bisonnes sondées,buffles alloués, chevaux de trait, charges mentales ! on veut comprendre et pour comprendre il faut (grave) s'activer, toucher aux nénés, pistonner, filer, creuser, cocher la bonne case des données allouées à une vérité ! et ce , sa ns lambiner, sans ne jamais traîner de préférence  ... car, merde, on est fée de base ! on est pas là pour "musarder" si tant est mais creuser, pousser de base notre sorte de petite charge,ailes accolées sur un morceau de poids, dit "léger" ! On est nées ! on est nées Fée on dira "au passage" ! On était X , Y ou Z, nous voilà La Fée post-cimetière , et, dans ce opré aux bêtes de trait, on trace ! on vole que tu voleras jusqu'au bout des champs ici allouées à une sorte de cercle pour initiées on dirait. On est Nées f2e (de fait) au passage (de vie à trépas) et nous voilà comme "activées" par ... qui sait ? Le Verbe de La Foi dans l'Au-delà ? ça se pourrait ! et du cfoup nous voilà là, poussant de bonnne foi notre (peut-être ?) sorte de Romandce des Données de Base = TRALALA, et autres chants Sardes (?) ... va savoir ! on y croit ! on ne croit qu'à ça ! on veut pouvoir toucher au Tralala ou à son Tralala des données Finales ! Arumbaya ! chants sardes = musique d'appât ! On veut ... eh bien, pousser loin, si possible et sans traî ner, nottre sorte de petite charge (ici) "à passion" ! On veut aller ensemble en tant que fée (on en est ou en serait les ailes !) passer ! traverser ! filer ! comprendre de l'autre côté ce qui est qu'on pourrait cerner ! qui est là qui nous regarderait ou même, là, nous regarde en pied, ne nous quitte plus, grave nous reluque de la tête au cul et du cul aux nénés ? SAlace la Divinité ? coriace dans le genre ? pitié ! on n'aimaerait pas (du tout) tomber (de grâce !) sur pareille entité salace ! on veut du léger ! de l'outre-menace, du passé sucré ! beeele ambiance et musique des prés ! On veut paqsser ensembvke (ailes soudées) comme en contrebande mais sans se fâcher ! on veut toucher à ce néné post -pré pour juste téter on dirait parce quye c'est vrai ! du lait ! rien que du lait ! du lzait de France comme qsui dirait ! lait-verbe alloué à une sorte de Romance du passé = l'attelage des bêtes nacrées ! l'attelage-né à la retombée , fait de bêtes nacréeszxquui i (toutes) nous regardent (au passage , à notre passage) comme si en vrai on était comme eelles, Vaches ! Vaches à lait ! bêtes de poids sur un pré de Joie ! Comme on leur ressemble par certains côtées, puidsque (par exemple) on est ailées comme elles, c'est un faiot, mais pour le reste on ne peut pas dire qu'on est, ou qu'on soit "comme elles" tout à fait ... ou si quand même ? soeur de lait ? soeur des données lmactées ? On cherche à cerner ! on veut toucher ! on ne veut pas laisser tomber puisqu'"on y est" ! et que voilà ... le mieux (en ce qui nous concerne, en tant que fée) c'r'st de voler ou voleter, direction ... la Plaine ? le Passé ? Les Nénés Alloués à une contrée ? le P assage Cendré ? lieu d'aisancedonnant ... sur un Passé dit "de contrebande" ? On est fée curieuses (de base) alors ... on chante ! lalala on y croit ! on va loin ensemble ! On veut "creuser la paroi" ... On ne veut pas rester "en carafe " sur paroi mais comme , disons, passer, passer ce Passé ! tracer ! pousser ! creuser à jamais ou sinon à jamais, pour un temps "long", les données rupestres "de la Passion" ! fgond de pré et mamelon ! On aime tracer ! on aime aller ! on aime creuser ! on aime filer ! on aime coller ! on aime (aussi) pisser ! on aime (aussi) chier ! on aime (aussi) tracer de chez tracer sur pré notre sentier menant de préférence au terme d'une sorte de "voyage interne" menant (grave) aux données dernières telles que espérées, espérées commprendre, ou telles qu'on espèree, un jour, pouvoir les comprendre = les cerner, ou telles que peut-être, un jour, on arrivera ensemble = ailée ;, à mieux les cerner et mieux les comprendre ... à tout jamais ? ... qui sait ? on aime = on esp^ère ! On ne voudrait pas passer à côté en étant si près (nous deux !) d'une donnée aussiu souveraine ! merde ! ça serait bête , plus que bête ! on ws'en voudrait ! on s'en mangerait ... les ailes ! merde ! On veut dire et pousser ! on veut grave tracer et y aller au plus profond de ce qui est qui se présente devant nous, soit : à nos yeux  écarquillés ... et à nos genoux, posés sur le pré ! On mate ! Qu'est-ce qu'on voit (à travers la faille) eh bien, post-paroi finale, il y a :

- une sorte de Passé , Passé Sarde

- un tracé post-pré dont le nom m'échappe

- une sorte de Poupée (?) ausx données Sales

- un creuset

-une pomme cendrée

- un .... pet ? à moins qu'il ne s'agisse ... d'une sorte de souffle alloué à une 

-- à moins qu'il ne s'agisse ... d'une sorte de donnée allouée à une sorte d'Entité Venteuse, genre Caliopée (?) ....

- un annneau de buse

- un poteau 

- une sorte d'enclume avec marteau

- Un chapiteau, recouvrant une écluse ...Qyuoi de plus ? Peut-être, et qui nous vient dessus, nous pénètre, un chant ? On est nées fée pour être ainsi enveloppées , on ne sait, lme moment venu ! enveloppées nues ailées portées ! = pour passer ! Passer pour (qui sait ?) toucher-cerner à cetrte sorte d'entité chelou (?) qui serait là peut-être pour (en vrai) ...  nous "happer" (?) ou nous "avaler" (?) ! On bveut colmprendre ensemble les données rupestres, celles de la base amère, et puis les dernières, l'ultime contrée, le tracé des fons cde pré, la parade finale , cavalcade consacrée, trait des traits = ¨Passage czalibré pour ailes repliées quyi s'y faufileraient en vrai ! et hop, le tour est joué ! On a envie enwsemble de comprenndre ces nénées dont on nous parle qu'est-ce que c'est , et du coup, on veut passer, à tyravers la base, passer ensembkle, soudées et accolées et comme en contrebande , soit (oui !) se faufiler, se glisser = se faire (dès lors) toute fines, menues menues, fines de chez fines, et là, incidemment, tracer = traverser = entrer = passer ! pousser = passer ! on veut en vrai passer de l'aurtre côté et ..  est-ce qu'on va réellement y arriver ? .... eh bé .... c'est pas gagné ! ça force ! c'est méga-étroit ! il y faut la foi dans l'au-delà je crois ! il faut poussser ! pousssrrde cherz pousser ! sans traîner ! sans chercher à se défiler ! creuser ! on se doit de creuser ... la Roche Finale, pour en  vrai passer à travers la Manche ! Pässer = toucher = dire = faire = creuser = contrzaindre le passé à vous adpoter ... et ça le fera grave comme qui dirait ! ou, comme qui le souhaiterait ! Entrer = passer = donner (sur un pied) une sorte de pression forte, et hop, sauter ! foncer ! aller par-delà la Roche aux Données Accolées, et du coup ... passer , ailées, de l'autre côté ! ailées = aimées ! ................ ailées on le sait = aimées ............................... ailées à présent on le sait = aimées ...................................... à présent on sait pezrtinnement que AILÉES = AIMÉES, AIMÉES À JAMAIS ! ................................ on le sait de source sûre ! on est accolées ! on monte on vole ! on voit des Nénés comme "bnous regarder" ça fait drôle ! on est Ailmées-Aimées du fait que voilà ... on vole ! on monte ! on est hautes  ! On est nées Fée sur pré au passxage Premier , et nous vopilà qui nous pour ainsi dire priopyulsons de fait au plus lointain du pré tel que dessiné par hommes et femmes CRo-magnons ! le POnt ! Roche Portée ! Colle au Frais ! Porte Donnée donnant sur une sorte cde   "Contrée des contrées" , contenant (surt pied) x et x bêtes de traiot telles qu'appréciées, adulées, consacrérs, aimées, comptés par x et x Fées des prés , qui sait ?On veut toucher à ce Néné de l'au-delà à la paroi ! est-ce le Passé comme en revenance ? un Passé des prés ? des endroits pré-pré ? est-ce du passé comme s'il en pleuvait ...  (pleurait ?) ? On ne sait ! on a envie ensemble pour le coup de nous pencher, sur (ici) un certain nombre de questions pour ainsi dire de grande importance ! genre : la Pa ssiion ! le Trait des traits ! Le Pré alloué à une sorte de Donnée Finale, du coup post -pré !

 La Roche, aux Passions Finales, est celle qui, en fond, nous fait front et comme nous regharde, nous espionnerait§, semble être ici comme à nous espoiunner ou à nous regarder de la tête aux pieds ! grave ! grave kl'Entité ! on veut comprendre ce Néné  , et pour comprendre ce Néné, ou ce Néné à lait, il faut s'infiltrer comme en contrebande à travers ici la Faille Finale, ce tracé d'un trait, ce teait tracé sur Roche (Ultime) post-pré, et du coup s'immiscer et chercher de fait à se faire (si possible) minuscule (le plus possible) sans reculerr, passerr = s'immiscer, passer vif mais rammasséé afin de traverser et de se retyrouver ainsi effilée de l'autre cvôté de ce tracé "en rotondité". Passer = se faire (au plus) celle qui s'effile ou s'affine en roche, se coller ou s'accoller  et faire ensemble (ailes de fée) passage ! pour toucher ! toucher )-cerner ! cerrner-aimer = voleter ! traverser ! 

on acte ! on entre ! on fait le voyage ! on passe ! on se soumet de bonne grâce,

 à ce trait du coup de rage rupestre , c'est-à-dire qu'on essaie de faitt de se faire "petites" , pour passer ! pour arriver à se glisser et à se retrouver de l'autre côté, côté post-pré = pays sage, paysage aux marées (?) oupeut-être aux nénés , qui sait en  vrai ? qui connaîot le Verbe Donné ? qui sait ce qui est post pré, post mortem, ou posst-post morteme ? qui nconnait les données allouées à une sorte d'entité "coriace voire salace " ? On veut comprendre ! Fée des fées on est, et, on veut comprendre ensemble , ensemble nées ! on aimerait ! on voudrait ! on voudraiot grave ensemble comprtendre les données de base ! ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait sans discontinuer et comme à la parade , et du coup pousszer de chez poussr nos recherches antrales, aller et sonder, creuser comme qui dirait pour l'éternité le Verbe de l'Ambre ou qu'est)-ce que ça pourrait de fait être sur pré ? On est nées Fée ... hé ! ... sur pré des fées ! On veut toucher plus loin à ce qui pour le coup nous apparait en termes de Roche Dernière ! teacverser = se faufiler ! se faire mince = mirgue ! et même mirguette si tant est ! toucherr = dire = pousser = consacrer ! Allouer à une sorte de donnée dernière eh bien ... un Passé post-cimetière !!!!!!! qu'est-ce que çac pourrait être de fait ? peut-être en effet deux nénés qui seraient à nouveau à téter ? recommencements en herbe et le tour peut-être en effet, serait joué de chez joué, qui sait ? retour aux sources ? le lait !!! retour au Lait comme s'il en pleuvait ... du pis sacré (spi des données lactées ?) ? On est la Fée en Herbe , on chercvhe, on est limitée, on est fine et menue mais on chervche ! on ne dandine pas du cul ! on est svelte à la recherche ! on est accolées ! on ne lâche plus les données : on persévère ! on se tient postées ! on ne lâchera plus l'affaire ! on est couillues pour ainsi dire = ailées et ça le fait ! les couilles percluses et enterrées on est ailées ! on a perdu l'hominité nature, on est devenues Fées au passage de Bure ! accolées Fées ! les voilà "TRACÉES"  à jamais ! vives et cendrées ! vivacités nées ! confiture ! monture ! allure ! aventure ! on est la Fée  aimée des prés ! = ailée ! On veut grave s'envoler pour pouvoir monter, monter et toucher à cette sorte de fissure sur Roche Dernière = ... un TRAIT .... oui ..... trait des TRaits c'est dit ! .......... iune sorte de trait de fissure par où, éventuellement, pour fée motivée, paqsser .... et motivée on l'est !!!! on ne veut pas laisser passr l'occasion d'y aller, piisqu'on y est invitée il sembvlerait ! tracer = passer ! chargeons monture , crreusons , pistonnons, fouillons, creusons d'envergure ou sinon d'envergure creusons "ramassées" , de fait à pouvoir, pour le coup, passer et du coup traverser et du coup comme se retrouver ainsi vpelotonnées de l'auttre côté, côté ... néné ? on dirait ! du lait ! on dirait du lait ou du petiyt lait comme s'il en pleuvait ! pisse lait ! on dirait du léait , ou de l'eau lactée ! on veut téter ! on dirait comme quyi dirait une sorte de contrée "du lait", lait nature ! lait des fées et autres lactaisons de vulve ou quoi d'autre serait qui nous approcherauit ou même  nous attendrait comme à la revoyure sait)-on jamais (vulve ???) ? On vezut grave comprendre les données finales ! s'il s'agit de lait, de voie lactée, de lait des prés ou bien de lait de vulve si tant est ! qu'est-ce que c'est ? vulve nue ? en vrai ? une sorte de treacé vulvaire tenu ? une sorte de treacé sur pied ? genre : concret  ? artrt concret ? art des données nues s'il en est le Roc passé (roc dit "des finalités") ? On est fcfée des prés et on essaie ensemble de toiucher à ce qii se présente . On veut toucher à e qui se présentevensemble , ensemble = ailées ! On veut ensemble (ailée) toucher à ce qui se présente ! On voudrait ! On éimerait grave ! on a méga-envie ensemble de toucher ici et là le muret passé à ce qui se présente devant nous en termes de données finales, pôst-post-mortem , post-pré  des fées, post vfaches et herbes vertes en herbe ! on aime ! on ne veut plus s'arrêtrerr de chercher mais grave creuser de chez creuser le terrain miné (?) ou sinon miné comme saturé ... saturé de lait ? oh, on ne sait ! on cherche à cerner ! pas facile en vrai de nous y retrouver en ce terrain des données en herbe ! ce qu'on veut (l'important !) c'est d'aimer , de tracer et d'aimer , aimer tracer ! aller, fouiller, creuser, chercher loin, pistonner, pousssr, faire ainsi que donc ce lait dont on nous parle (leit de néné) soit pour nous enfin "cernable" , soit compréhensibkle, visible, touchable, tétable ! peourra-t-on, un jour, toucher à ce dit mùamelon qui serait de fait le Mamelon des Mamelons du Front ? On l'envisage ! on a envie en vrai d'aller à sa rencontre sage ! on a envie en vrai d'aller pour ainsi dire sage (sagement) à sa rencontre ! On veut de préférence aller à sa rencontre, en restant sage ou "sage à sa place " ! On ne veut pas se laisser entraîner par nos pulsions de Fée Nature, mais toucher -téter est (déjà) toute l'aventure, ça se sait ! toucher = cerner , et cer,ner = comprendre ce qui est , ce qui est de ce tracé des données ultimes et autres contrées des dernières rives ! Du lait ??  vraiment que du lait ? une mer de lait ? lait donné à la Fé Nature ? lait des laits ? on cherche à cerner ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ les données ! on veut grave cerner ! touccher de chez toucher à cet ensembleb (on dirait) de données lactées ! qu'est-ce que c'est ? une urne- ? une sorte d'urne à devoiçr combler ? qu'est-ce que c'est en vrai qaue ce dit ... "Néné de bure " ? à quoi il nous fait penser ? qu'est)-ce qu'on piourrait en retirer , ou en penser, en comprendre ensemble en ces traits ? de quoi il s'agirait concernant ce "lait", ou "lait matûre" , ou "lait des laits", ou "lait d'envergure", ou même "lait de trait" , "trait de lait", "lait-trait", lettre à lait", lait -lettree alloué", lzit -verbe considéré", "lait en herbe sur pré", "lait-verbe ancré", lait des laits cernés", "lait de verbe cendré", "lait du Verbe consacré", " Lait-verbe faisant la Navette et autres traits tracés", "Lait des Lettres consacrées aimées adulées " , "lait-miette", "lait- verbe sur pieds = traîne '" ? "Chants des Fées le mmuret passé ? on ne sait ! on veut en vcrai  cerner &u plusz posdsible ce que c'est que ce dit "Verbe-Lait" desendroits post-pré ! et d u coup toucher ? oh peut-être ! toucher de cherz toucher à cet enxsemble de données en herbe qui serait ... eh bien, peut-êtte, donné par, qui sait, une sorte d'Entité-Rotonde ???? on ne sait à quoi ou à qui se fier ou vers qui ou quoi se retourner pour en vrai et enfion compfrendre un ensemble donnée dev données en herbe (Vervbe) sur pré ou sur pré alloué à des sortes de recherches, genre : fouillesterre, creusements de bosse, pelletées profondes ! On ose ! on est fée du pré, on est pas là pour en chier à se mettre à creuser, ou pour en suer, mais tout au contraire ... s'envoler (de booonne grâce) en ces nuées d'une Parade ! voler = monter ! tracer Romance ! filer ! ne pas s'enkyster ou s'enterrer, ou s'embourber ou donc sillonner comme bêtes de traits, qu'on était ou qu'avanjt on était, qu'avant en vrai qui sait on était, mais ça c'était avant ! avant la Remontée ! avant l'envoloée ! le tracé Volant ! l'embardée ! la Montée aux chants des Bêtes Siffleueses ou autres chanteuses ! On est Fée dexs fées qui voulons comprendre pour le coup tout un ensemble , et cet ensemble forcément a grave à voir avec ici toute une cohoerte (pour ainsi dire) de données rupestres, ,, genre : Bêtes-mots tracés haut, bêtes de trait sillonnant la Roche, et traçant cette r(ocheb  pour ... eh bien peut-être ancrer la CHose = l'Entité ! l'entité des entités, qui le sait ? On veut en vraéi essayer  , essayer de cerner ! mais pour en vrai cerner, il faut s'envoler, monter, creuser, passer, pousssrr, essayer de se faufiler, à travers ici une szorte de "conduit docte", , genre "VERBE DE PORTE", et  là, peut-être .... envisager une sorte de passage en force , ou sinon en force, un passage dit "de forcenée ", passage tracé dit "de forcenée" parce que voilà, le paszsage ou ce passage "dfocte" est tout un tralala de Roche ! chant axial ! chant des Voies ! chants forts ! chants des cors ! chants des haiutes pa(ois ! chants de la Foi en l'au-delà du corps ! chants des données hautes et autres chants de s chants  voire des champs ! Chants passés ! chants consacrées ! chants des prés ! chants des Envies de Lait , qui sait ? Car l'envie (de lait ) est première et souveraine et en vrai ne passe jamais ! on dira qu'il ns'agit d'un FAIT VRAI ! cette envie de lait éternelle cfomme il sembklerait ! on cherche ! on veut toucher à cette Vérité des données lactées post-post-mortem ! est-ce que vous pensez que peut-être un jour on arriverait en tant qye fée ailée (la mort passée) à du coup cerner (au plus juste) cesz do nnées lactées puisqu'il semblerait qu'elles soienrt .... vraies ! quyi sait ? Qui sait si la mort, le pré passé (antichambre passée) n'est pas , tout simplement, du laiot ! léit  post-pré ! lait des laits aux données données ! lait d'herbe ? lait des prés ? lait post-pré = post-cimetière = post tracés en herbe ! On veut = on aime ! on aime = on veut ! On est bêtes de feu ! colère ! emportemejnt salutaire ! cri d'effroi et autres poussées dentaires ! lmerde ! on veut mieux ! soit 

DU LAIT DE BONNE GRÄCE À QUI MIOEUX BMIEUX

 tracezr = pousser = dire = commprendre = cher her = dire = passer = cerner = lier = monter = chercher à ici cerner tout un ensemble de données de type lactées, et pour ce faire, eh bien le mieux c'est de creuser à mùême la roche, et ce ... par la parole, VERbe ancré , tracé ! cohortes ! cohortes en ordre ! cohortes aéllouées à une sorte de muret de porte = la Roche Profonde ! toucher  ! toucher = toucher ! toucher l'Ordre ! toucher ! toucher à des données de porte ici consacrée à une sorte de recherche en herbe de type "tracfé", "tracé des treacés" et on est ... fée ! fée des fées ! dingue ! dingue comme çàa le fait ! On ne veut pas passer pour des qui jamais en avancent mais tout le contreaire, gratouiller (dans le Verbe, ou par le Verbe, ou à travers le Verbe) un certain nomùbre de données de ronde ou dites "de ronde", et du coup ... toucgher à ce qui est ou serait en vrai une "Vérité d'époque " , on ne sait jamais ! On ose ! en tout cas on ose, voilà ! on y va ! on creuse ! on veut ça : toucher ! creuser ou toucher! toucher ou creuser ! on veut ça pour soi ! aller et creiuiser de chrz creuser la Roche des "bouts du MOnde" soit .... eh bé là-vbas, ce dit "muret des données en joie " ! On y va ! on fonce ! on veut grave cerner le Lait de la post-Päroi des ombres ... est-ce vrai ? est-ce vraiment cette chosexd ? est-ce en vrai (nous concernant) la Chose de nos tourments ? voulons-nous (en clair) réellement cette chose , d'une sorte de pârole, Verbe Ancré Lacté, ou bien autre chose et si autre chose quelle chose ? est-on assez toutes deux "remontées" pour de fait cerner les données (profondes) lactées ? ou ... pasb vraiment armées comme il le faudrait ? devons-nous repousser lesv limitesc du Verbe Alloué à une sorte de "recherche en herbes" ? devons-bnous hurler avec les bêtes ? devons-nous creuser la Terre et nous enterrer comme on le pensait en des temps reculésx ? devons-nous plaire ? devons-nous pousser le Chant et /ou braire le cas échéant ? qure devons-nous faire et ne pas faire ? savons)-nous nous satisfaire d'un savoir prairial ou bien voulons-nous agtteindre plus loin l'outre-mont aéux données Suprêmes genre La PAssion ! que voulons-nouys faire ? peut-être (de fait) posons-nous la questio,n pour en v(ai cerner ce qui est qui pourraéit nous plaire et inversement nous déplaire . Pouvons-nous copmpcrendre la P assion, ici située ? Pouvons-nous comprendre (ainsi ailées) cette sorte de Passion des MOnts" telle qu'elle nous apparait entière  ? qu'avons-nous dès lors à comprendre pour nous qui pourrait de fait grandement nous aider à nous y retyrouver en ce terrain miné des données dernières comme saturées (on dirait) de lait, de lait des prés ou sinon des prés "de l"herbe" ? On chercvhe ! On a envie pour ainsi dire de se retrouver (enfin) comme pouvant com^prendre les données du Genre, qui est qui en ces contrées, Holmme féminisé, Femme masculinisée, Genre Sarde, Tracé Né, Faée des Fées comme à la p arade : on ne sait en vrai qui est qui sur pareille Roche aux données Grosses ! Mais de fait , on veut ou on voudrait cerner pour pouvoir  en vrai répondre à celles et ceux qui , devant nous, pourrons se présenter éventuellemant comme voulant comp^rendre comme nous ce qui de fait concerne le Genre ... en ces contrées paradisiaques ! On est concernées ! on est comme concernées ! toute une ambience ! on essaie ensemble de s'y retrouver szur la question du genre la mort actée, on tente ! On a envioe ensemble, c'''est vrai, de comprendre (loin) tout cet ensemble de données, concernant ce genre , ce genre de fée dite d" de contrebande " ! qui on est ? eh bien peut-être, en effet .... de l'ambre ! On ne sait en vrai ce qu'on est ! On a znvie ici , sur pré, de mieux cerner les FVérités du GEnre ou du Genre qu'on est "en tant que fée", on a envie de nous y retrouver  ou (sinon) de mieux cerner (de fait) ce qu'on est, en termes de données genrées de type post-mortem. Car, ce squi est ici qui nous semble ou semblerait, est cette chose comme quoi la mort, une fois passée, "trouble le genre ! touble que tru troubleras le genre et sans traîner ni sourciller ! Une sorte de transformzation de rage ! un treacé acté ! le passé faisant poids sur pré, voilà le trait ainsi tracé ! bêtes sur pieds ! ON regarde ! on est bêtes sur pieds njous-mêmes ! on est vaches à lait / fée en herbe, un temps donné ! on est ou on a éteé cette bête des prés, néabndertaliennes ou plus encore aurignaciennes, , c'est un fait avéré ! à présent .... on est ailée comme vache ailée, mais beaucoup plus légèères ! feée en herbe est devenue Fée -Verbe ! Un trait ! Une sorte de trait ! fée-trait = Fée des Fées des Prés = ëtre donné pour une sorte d'entité posté ! postée allouée à une Vérité post-pré , genre ... lAIT ! 

LAIT des HERBES VERTES ! LAIT DES LAITS ET DES HERBES VERTES ! LZAIT SUCRÉ AINSI ALLOUÉB À UNE VÉRITÉ DE TYPE CENDRÉE ET POST-POST-MORTEM, SOIT ... D'APRÈS LE PRÉ ! POST-PRÉ = POST-POST-MORTEM, PUISQUE LE PRÉ = POST-MORTEM ! ON ESSAIE DE NOUS Y RETROUVER ET CE N'EST PAS GAGNÉ ! LA CHOSE N'ST PAS SIMPLE MAIS ARDUE ! ELLE PUE DU CUL ! 

On est née fée quand on est passée, on a couru, on est à présent toute nue (ailée) devant un muret qui en vrai est toujours le même muret ou la même paroi que ceelle qu'on voyait là-bas, à notre aerivée, la paroi des ROis et Reines de SAba, mais, à présent, vue de l'intérieur, sorte de ... muret de forterresse, ou d'enclave (ici) majeure .... On voit ! On est dedans , encerclée ou comme encerclée ! on veut (du coup) "repasser"  = traverser à nouveau (pour ainsi dire) ce muret, ce mùur du fond du pré . On veut passer et du coup cerner ce qui, derrière nousz, attendrait .... herbes ? encore de l'herbe ? du verbe ? verbe en herbe ... ou verbe-Lait ? saura-t-on un jhour cerner ensemble (ailes de fée) les données profondes, cecqui est (de fait) post-rotonde ? saura-t-on un jour toucher à ces dits "BNénés de l'Ombre"  des données Ancrées dans cette sorte de pénombre à expolorer ou qui serait (préférenciellement) à explorer si on le pouvait ... et le peut-on ? sommes-nous assez aérmées pour tracer et  cerner et toucher à une Vérité de niveau "LAIT"? Sommes-nous assez "remontée"és" ? sommes-nous assez "perlées" ? pouvosns -nous sans hésiter nous ancrer en ces contrées et cerner de près le type de données à devoir pour le coup emmaga sinner ? sommes-nous (pour cela) F2es Ailé&es assez"timbrées" ou .... pas timbrées, mais allouées à une sorte de Pensée Massive, Clouée au Passé, Comme sermonnée par en nous des Bêtes de trait ... ? ! On veut AIMER LA ROCHE POUR CE QU'ELLE EST, ON VEUT DIRE L'ULTIMRE ROCHE OU L'ULTIME ROCHER, L'AIMER EN VRAI POUR CE QU'IL EST EN TANT QUE FORME ET, AUSSI, EN TANT QU'IL SERAIT, CE ROCHER, OU QU'ELLE SERAIT, LA ROCHE, L'ANTTRE AUX NÉNÉS ! DINGUE SI C'ÉTAIT VRAI ! OH, ÇA SE  SAURAIT , NON ? PLEIN DE GENS LE DIRAIT, LE CHANTERAIENT, SOONERAIENT L'HALLALI D'UNE DONNÉE OU SORTE DE DONNÉE ICI (ET DÈS LORS) ULTRA-PROFONDE S'IL EN EST ... MAIS JUSTEMENT ...? EST-CE QU'IL EN EST ? EST-CE QU'IL EXISTE EN VRZI SOIT EN TOUTES LETTRES, DES PENSÉES OU VÉ'ITÉS ULTRA-PROFONDES ? PERMETTEZ-MOI D'EN DOUTER ! 

LE VERBE SERMONNE 

LE PAZSSÉ-COHORTE EST POIDS DE DENRÉES 

LA CHOSE HAUTE EST DONNÉE DE GENRE

ON MONTE = ON COMBLE

POUSSSER = TOUCXHER, À CETTE CHOSE D'UNE PAROI HAUTE , TYPE "ENSOLEILLÉE" 

on ne veut pas vraiment creuser "dans la parole" mais ... enttrer, entter de front (et ainsi ailée) par la petite porte, "la porte du fond", telle qu'imaginée ici ou là sur roche par parfois des hommes et d'autres fois des femmes, et parfois même par des hommes-femmes et par des femmes- hommes, au verbe ... Mangé ! On veut toucher à ce qui se présente ! on ne veiut pas passer à côté ! on veut comprendrec les données de chambre de l'Antre alloué à une "Vérité des Vérités de Branche" chamoirée, acidulée, ancrées, saluées, porteuses de données profondes ! on veut coller ! On ne veut pas passr và côté mais au contraire ensemble y aller sans désarmer ! sans se désunir ou se laisser gagner par des données impropres à une sorte d'embardée de type recherche avérée ! mais pousserr ! grave pousser ! pistonner ! grave pistonner ! chervcher = toucher à ce Néné des données finales ! une vache à lait se promenaiot sur un pré , et quand la vache à lait nous a repéré , elle a couru vers nous et jusqau'à nous pour nous lécher , léchezr les genoux ! fée né sur pré léchée par vache à lait ici aux genoux , aux genoux tout crottés, on se fait lécher par une vache à lait c'est fou et où ? eh bé .... dans ce, dit

 "champ d'époque" ou en ce "champ d'époque" ! 

ou en ce pré acté , qui est le pré aux Fées de La mort Avérée, AFFirmée, Allouée à une sorte de .... Parole Docte, type .... Vérité, V2rité des Vérités, ou diosons ... Vérité Déité ou Vérité Divinoité .... Déité des Déités, ou Divinité des Divinités ! on veut toucher à  ce Néné ... "du bout du monde " , qu'est)ce que c'est ? un vrai néné tout acidulé ? un néné en vrai de mére au lait ? une sorte en vrai de poche de lait ? ou quyoi  se pourrait qaui nous enchanterait ou émerveillerait qui sait en vrai et sans nous troubler ? llait des fées de Roche  ? lait POrté jusqu'au tracé ancré d'une roche ornée ? lait des laits des prés ... ou alors, lait lointain des données profondes (encore plus profondes ) ? On est La Fée Ailée aimant le Lait des données profondes , genre "N2né" des endroits post-pré ! post-rotonde on le sait ! lait des nuées ? lait d'une sorte de voie lactée ? lait post-roche = (ou égalerait) une sorte de lait d'une voie lactée ... Encoche ? poche ? poche à lait ?. poche d'ombre ? poche comme outre d'ombre ? poche d'ombre et ça le fait ou le ferait, peut-être, à jamais, et comment (dès lors) s'y retrouver ? On a envie grave ensemble , ensemble en tant qu'on est deux ailes formant fée, ou ELLES des données du pré, de, peut-être et pour le coup, cerner À JAMAIS les données "entières", soit tout un ensembkle de données en herbe (du Verbe !) afin de , ici, en ces contrées, en ces contrées post-muret, cerner ce que c'est que ce Lait tant nommé ! On a envie ensembke de co:m^rendre le pourquyoi c'est ça, ou le pourquoi de cette chose-là ou même pourquoi cette choses est là, soit ce Lait des Rages, Lait Frais, lait de BArbe , Lait Ancré comme à la Parade, Lait né post pré quand on est passée, quand enfin on a (pour ainsi dire) réussi à (ici) se faufiler à travers ce Trait ...  de mur de fin de pré de r(oche, et autres muraille aux données finales (ou termin ales). creuser = donner ! et nous on veut donner , szoit : donner de nous , ok , mais ... pas tout ! de nous donner okk mais en vrai pas tout ! en garder sous le pied (l'aile allouée !) , tracezr = donner = dire = faiore = cer$ner ! toucher = dire = ptendre = comptendre ! qui est qui ici ? qui veut quoi cerner en ces contrées des boiuts d'un bout de pré ? qui ? On est passée qsur pied, on a creusé, on s'est infiltrée, on a voulu passer le bout du nez mais, hmm ... ça pue ! putain ça pue ! grave ça pue du cul ! on s'y attendait pas vraiment en vérité ! on ne s'attendait pas en vérité que pour le coup ça pue du cul ou que ça pue autant du cul ou que ça pue à ce poiint du cul ou disons que ça pue autant des odeurs du cul ou peut-être que voilà, quand ça pue du cul on veut pas ! ou disons .... quyand à ce point ça pue du cul eh bé voilà, on préfère ne pas ! on préfère en rester là ... on préféère pas aller pls loin en cettte floraison de, disons, "senteurs diverses" ou sinon "diverses" étonnannamment distinctes, marquées ou démarquées, présentéesq, portées jusqu'à notte nez ! on veut bien entrer mzis sans y passer ! on veut bien s'immiscer en ce tréit tracé ma&is sans pour autant avoir à subir de telles (comment dire ?) ... atrocités ? peut-être pas "atrocités" mais en vrai ... ça pue , c'est pas franchement farfelu de pour le coup le souligner à cet endroit pour ainsi dire de cet exposé, grave ça pue ! et du coup ... squoi ? on reste là ? sur pré aux bêtes bde paroi ? on ne s'aventure pas davantage hors de là ? on préfère les senteurs de roche, pré fleuri, prairie haiute ! on nhe veut pas se faire empuanter "là-bas" ! on ne le veut pas parce qu'on aime pas ça ! les senteurs du cul à ce point, nous, comment dire, incommodent ... ou pas ? on y  va ? on y va droit ? On s'en fout de ça , on trace  ? on va droit sur paroi coriace ? si ça pue pas grave ! si ça pue : pas grave ! On y va sans faire plus que ça ou tout un tas de manières "sa ges" car ... on est pas sages ! on envoie ! on envoie du bois dès que ç charge... 

en nottre sorte, à nous, de corsage ! voile ! aile ! tête bêche ! trait de fée en herbe ! notre voie est là ! braver tempête ! tracer ! creuser ! filer et toucher à ce convoi du boiut du monde  , à cette zsorte de convoi de .. pets ? du bout du monde ! qu'est-ce que ça peut faire ! on s'e,n fout pas mal ! on adffronte ! on veut comprendre la Parole DOcte ! On ne veut pas passer pour des benêtes de la HJoie en Herbe ! onveut grave cerner ! être "fée savante"! celle qui sait ! celle'-leà (parmi les fées ? ) qui sait ! celle qui (comme toutes les fées ?) saéit ? eh .... peut-être ! il semblrerrzait, il semblerait qu'on veuille l'être ou qu'on veuille de fait être celle (des fées ou en tant que fée)- qui sait ! squi connaît le Verbe ! le V  erbe dit "acidulé" fait dxe lait en herbe ! lait frais ! lait des laits pour une misère ! léit donné même ! une misère mais ... lactée, c'est un fait ! on aime ! grave on aime ! on aime le lait et les cjhoses lactées post-post-cimetière , genre "données données" , car ces d"données-données" si souvent citées sont en vrai du lait, soit du lait mde mère ! on s'en serait douté mais on ne pouviait pas l'affirmer , à présent c'rst (pour ainsi dire) chpse faite ! le lait est avant tout du lzit de mère = une donnée donnée ! on aime le lait et du coup on cède ! on traverse ! on est comme allouées à une treavzersée, de type "remontées de bretelles" mais qu'est-ce que ça peut faire ? on éime y aller , pouusser, tracer, creuser et passer ! On s'en fiche de l'air , vicié ou pas vicié, on aime y aller et trouver ce qui est qui nous regaddreraiot ... de l'autre côté du pré ! tant pis pour le nez ! vive les nénés ! vive le lait ! lait nacré ! sucré acidulé ! on aime le lait ! lait post-herbe = lait post-pré ! lait de mère ? on aime ! on veut creuser de chez creuser le mur aux Données et nous y retrouver , cerner = piger, pour mieux nous situer comme qui dirait sur cet échiquuer des données primairses ! qu'est-ce qui est ici qui semblerait être ? VErbe-Lait nacré post-post-cimmetière ? champ de blé ? pré d'herbes ? chants acidulées ? termes ? On est née Fée la mort advenue, on s'en fout pas mal de ce qui pue du cul, des vents venus d'une roche nue, on fonce ! on s'en fout des ronces ! on est nue velue ! fée des fée des prés comme passées en force en cette sorte de trait dee roteonde ... trait de Cul ? Ré des Ombres ? filons ! 

allons ! essayons de comprendre ce qui est ici qui, pour le coup, semble vouloir nous attirer sans hésiter ... mais alors , ... pourquoi des pêts ? c'est en vrai à ne rien y comprendre ! on tremble ! on est Fée Fine prête à rire ! on veut toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher =btoucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher =toucher = toucher = toucher = toucher = toucher =toucher = topucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucgherb = toucher à ces dits "nénés " de base, à ces nénés dits "de contrebande", ce qui signifierait , que, en vrzi, le lait est comme juxtaposé à une sorte de donnée donné qui , elle, serait, du coup ... allouée au Verbe ? ....ON wse dit que oui,il y aurait du lait, et, accolé au lait, une sorte de donnée ... liée au Verbe .... ? ou alors le lait et le VErbe szeréait pour de vrai une seule et même donnée ? donné des données ? 

Ou alors Lait = Verbe ? 

On cherche (grave !!!) à comprendre le Lait, la Charge, le Trait, le Muret, les Bêtes sur Roche allant et venant, la Vacghe Centrale, le Passé, .... On veut toucher à ce qui se présente à nous, le muret (terminal) p  âssé ou une fois passé : soit à ... du verbe-lait ? du lait-verbe ? Le verbe en tant que lait sucré ? le lait en tant que VErbe acidulé ? Verbe et lait serait de mèche post-post-mortem et à jamais ? est-vce que c'est vrai ? est-ce qu'on pêut décemment affirmer que le Lait est une ... Donnée Du VErbe ? Ver-be nacré sur paroi aux fées ? verbe consacré cvomme s'il en pleuvait ? Verbe des Fées tracées , genre Vaches princière ? On veut toucher = toucher = toucher, mais pour toucxher il faut entrer , en cette sorte de muret, aux données premières ... dxernières ... les premières seront les dernières ....? ou les dernières seront les premières ...? enfin bref ! on aime ! on a des ailes ! on veut voler ! on veut LÉVITER, LÉVITER sur pré  (transe consacrée) et nous porter dès lors jusqu'au muret dit "des données primairses" ici , et "des données dernières" là , ... mais ... ce sont les mêmes ! dingue ! on est fée du pré , on est ailée car ... on s'aime .... à tout jamaiis ! amour fou radial ! chant de roche d'ombre ! cavalcade forte ! On fonce ! alons donc ensemble nous transbahueter et comme bnous accoler à une sorte de muret "des données profondes " ! O,n  veut toucher à ce muret des données Hautes ! on veut grave cerner et toucher et comprendre et y aller de notre envie de voir ensemble ce qui est au-delà de là ! On veut toucher à ce mueeret "des données profondes", poussser et travezrser et nous retrouver, en force, prêtes à mùieux cerner cette histoire de Lait ou de produits lactés, ce qu'elle est, de quoio il s'agit pour de vrai, ce qu'il en retourne en vérité en termes de données maj eures. On est Fée des prés ..................................................................................... fée forte ....................................................... on veut cerner = dire = comprendre les données de base ............... données hautes  .................. d'une sorte de passage  à travers la Roche ........... roche "seconde" ........................ roche de muret de fond de pré  de bosse ............................................. cxerner = toucher .......................... toucher = cerner /.............................. on est née Fée à la retombée la mort avérée ......................... dans un pré ............... sorte de rotonde ................ aux bnêtes de trait , vaches à lait, Choses Hautes, Herbes SAcrées ................................et de ce pré, on veut s'échapper ! ............................................... franchir Une pOrte ................... trait des traits ..................... anfractuosité à "faconde" ............... le PAssé des POrtes ..................... ou même le Passé passé la porte ou e-une fois passée la porte ......... car un e fois passée la Porte on se retrouve ...... eh bé on dirait ...... dans du lait ? ou disons : près du lait ? ................... ou même : accolée au lait ? ...................................................... on veut goûter à ces dits "-nénés" de ROche ! o,n veut lécher le Lait donné , téter de chez téter à ce lait "de Roche " ................ de quoi il s'agirzoit en vrai ? d'une sorte de ............................... Parole ? ..................... Parole DOcte .?........................................................... qui en vrai le sait ? qui vconnaît la bonne parole et saurait la véhiculer, la faire circuler ? qui sait ce qui est en ce qui est des Paroles Hautes post-pré ? qui connaît de près le Néné des Ombres ! voie lactée aciidulée ! sein des ombres post-pré et autres giron déboutonné , qui sait ? qui connaît le Néné comme sa poche ? qui connaît le VRai de l'Ombre, du TRacé Nacré, des POrtes Hautes, Ciel de Traiot, Passion Haute ... au niveau du Passé ? Qui sait de fait ce qiu'est la Porte des Données Profondes ? un trait ? la ré ? le Passé tracé, apporté, posé, accolé, soulevé , mo,ntré, chanté ? on est Fée des Prés de Roche, et on compte : 

un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt, vingt-et-un, vingt-deux, vingt-trois, vingt-quatre, vingt-cinq, vingt-six, vingt-sept, vingt-huit, vingt-neuf, treznte, trente-et)-un, trente-deux, trente-trois, trente-quatre, trente-cinq, trente-six, trente septpt, trente-huit, trente-neuf, quarante, quarante-et-un, quarante-deux, quarante-trois, quarante-quatre, quarante-cinq, qu arante-six, quarante-sept, quarzante-huit, quarante-neuf, cinquante, cinquante-et-un, cinquante-deux, cinquante-trois, cinqiante-quattre, cinquante-cinq, cinquante-six, cinquante-sept, cinquante-huit, cinquante)-neuf, soixante, soixante-et)-un , soixante-deux, soixante-trois, soixante-quatre, soixante-cinq, soixante-six, soixante-sepet, soxante-huit, soixante-neuf, soixante-dix, soixante-et-onze, soixante-douze, soixante-treize, soixante-quatorze, soixante-quinze, soisante-seize, soixante-dix-sept, soixante-dix-huit, soixante-dix-neuf, quatre-vingt !

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19/12/2024

On vreut en tant que fée ailée aller et toucher à cette sorte , au plus lointain, de donnée dernière ! Fée on nest ! Fée des grâces et des données sages ! on veut dire ici sur place (devant le muret) ce qu'on est à une sorte de public ;... nacré ? perlé ? ancré ? qui semble ou semblerait grave nous regarder alors même que nous on affiche un visage plutôt dégagé dans le genre ! On a envie ensemble accolées (ailes) , c'est sûr, de comprendre beaucoup de toute cette histoire de nénéds tracés, de nénés à lait qui comme qui dirait serait devant nous à nous attendre mordicus pour nous donner le bon lait à téter sans sourciller ! On est des vfées ! on aime le lait ! les fées grave aime le lait ! Les fées adorent le lait et jamais ne ratent la moindre occasion pour téter , pour se placer de telle sorte que du lait, 

tombe ou tombât, 

en leur bouche de fait grande ouverte,

en notre bouche grande ouverte ! becquée si tant est ! On est Fée de base aimant le lait et, du coup, le voir tomber dans notre bouche grande ouverte ! on a super envie ensemble (ailes) de comprendre 

 les données de base 

devant nous, sur ce muret post-cimetière ! On est née's Fée du fait qu'on est 

AILES (AILES au débotté) et qu'on aime le lait, de bonne grâce ! On regarde ensemble, devant nous, les données de l'herbe ! On veut toucher à ce qui se présente en la matière et pour ce faire, on est prêtes à faire beaucoupb = mater grave ! cerner  grave ! toucher ici aux nénés de l'arbre ou comment on pourrait dire (en vrai) sans se tromper, parce que nous ... on a méga envie de toucher, ici, à ces nénées de l'arbre ! à ces nénés de l'antre , des données de base, des denrées , du tracé donné qui serait le tracé des données primaires, ou premières = du lait ! oho ! on voit ça ! on voit qu'on en a pas fini de voir, toucher et cerner devant nous un grand nombre de do nnées lacustres comme qui dirait ou peut-être pas lacustre mais quand même largement moiuillées ! de type lait, allez ! ou quelque chose de cet ordre qui serait aussi (de fait) lacté , 

on dirait. On  veut toucher en tant que Fée à ces nénéds du bout du monde, à cette sorte de rotonde (un muret ) et aux nénéds cachés dans l'ombre d'un repli de roche ! On est Fée des données HZutes ! drôle ! on savait pas qu'on était fée, avannt la (première) paroi, c'est àdire avant avant avant , avant en vrai qu'on soit à s'immiscer, 

en tant qu'homme par exemple , 

et voilà qu'au passage on se retrouve transformé, en Fée ailé ! dingue ! ailes = eklles = femmes tracées = betes de trait et du coup ... Fée ! comme c'est bizarre ou étrange ! comme en vrai on pourrait penser que tout ça est comme ... une sorte de propagande peut-être pré-fée ,; ou pro -fée alors que non , pas vraiment en fait, même pas du tout ! Le trait de rage sur paroi correspond (en tout et pour tout) à une sorte de tracé de base, comprenant pour le coup un ensemble de données primaires, primaires et ancrées, qui sont ou seraient les données, en vrai, de "l'ère sévvère" , des temps acculées, etc., et du coup on entre ! on entre parce que voilà on veiut (ensemble) essayer de comprendre les données de base à la lumière des données de rage (pariétales) frontales, aurochs articulées, auroques cendrées, bisons / bisonnes à toucher et à caresser sur pré , ça le fait ! On est montées haut et on regarde, et ce qu'on voit est peut-ettre énorme mais nous, de là où on est, on a beaucoup de mal à se rendre compte ! on a super envie ici ensemble forcément de comprendre mloin en cette sorte de zone prairiale et pour le coup d'en avancer pour ainsi dire dans les connaissances, . On est accolées aussi parce que oui, on danse ! on arrête pas de danser ensemble, ici même, roche ou rocher dit "des convenances" ou "des convenances lactées " ! Onn est accolées parce qu'on est ... "les ailes de la fée en herbe " ! dingue ! jamais on auraiçt pu y penser! On aurait aimé peut-être anticiper mais comment tu veux anticipezr quand au tout départ tu es ... homme, homme à tete d''herbe, et puis une fois la paroi passée tu te retrouve  Aile ! Ailé ! c'est à dire Elle , Elle de Fée ! Dingue ! jamais on aurait pu imaginer que cette chose puisse exiçster ! jamais on aurait pu penser que cette chose en soi (dans la mort une fois actée) puisse en vrai se passer ou se dérouler et du coup nous entraîner dans une sorte de  (qui sait ?) sarabande, de parade immense, au milieu de milliers et de milliers (peut-être) de bêtes tracées = entre 'lles, au milieu d'elles à les mater, à toucher leurs ailes à elles car elles aussi en vrai sont ailées ! dingue ! on voulait passer eh bé on pe'ut dire que, pour le coup, on aura réusssi , on a franchi la base des données et là, on se retrouvfe (on dira) à genoux, par terre dans l'herbe, comme (voilà) soulevées de rage , de base, à chercher à comprendre , à cherc her grave ensembkle 

à com^ptendre comment on peut faire pour ici en vrai, arriver à se redresser et à tracer grabve (et loin) pour arriver à s'échapper de ce pétrin où "quelque chose" nous a fourré ! On veut ensemble aller (au plus loin possible ) pour toucher ou arriver à toucher à ces nénésx dont on a souvent entendu parler ici ou là il y a maintenant un paquet d'années ! on veut toucher à ces nénésx dits "de l'entrée aux vivres ", ou quelque chose qui ressembkle à cette chose = à une sorte de dire "drôle", ; On veut être la Fée qui trouve devant elle une sorte de porte .... un passage "drôle" ?  une sorte de porte où en vrai même ailée et peut-êtrte même justement  en étant ailée, on pourrait passer , on poiurrait de fait s'immisqcezr sans fatiguer, en se laissant "couler" comme qui dirait, gracile, agile, vive, et du coup , étant passée, on pourrait regarder au plus loin ce qui apparaît et qui serait "les lendemains" , les données lointaines ou les plus lointaines, ces données post-traîne ! post-pré (pré aux herbes) , post -tracé de bêtes -poids et autres bêtes de paroi ! On voit ce qu'on voit = un convoi ...  et puyis on va jusque là-bas , la murette dernière, l'ultime mur aux alouettes et là, on est là qu'on cherche ! on cherche sur (cette) pareoi une sorte de "passage drôle" ! ... trait ou croix ou traits de croix ! là ! juste là la croix ! l'endroit par où peut-etre on pourrait accolées et bien regrpuoupée passer même si c'est étriooit ! on veut en vrai ensemble toucher à cette chose qui, devant (on diraoit), nous regarde, nous voit, nous cerne, nous dévisage ... mais qui c'st ? qui est-ce en vrai qui ainsi nous mate sans arrêt ! nous regarde peiner à nous immiscer comme en contrebande alors qu'en vrai on est presque invitées à passer ensemble = accolées parce quailes de fée, parce que oui, on est ailes d'une Fée ailée comme sont les fées ! On vreut toucher ensemble à cette sortye de muret "des contrebandes allouées ", et du cdoup passer ! passer la douane ! le tracé ourlé ! la zone franche qui sait, ou, sinon franche, .... quoi ? policée? On veut ensemble si possiblke passer à travers la lande jusqu'à pénétrerr comme par contrebande le tracé "ourlé" d'une sorte de contrée antrale , autre contrée ! Et du coup .... cerner-comprendre ce qui est ici qui en vrai se passe ou se passerait sanbs que forcément on soit conviées mais bon , si on entre, autant qu'on sache, qu'on comprenne, qu'on voye, qu'on puissee s'avancer jusqu'aà mieux comprendre ce qui est en termes de données post-pré soit post -parade , soit post- paradis pour ainsi dire ! Après la p ar(arade il y a quoi il y a ... eh bien ... du VErbe Tracé ! oulà ! oh oh ! on s'attendait pas mais bon, on veut toucher du dopigt à ce qui est alors vopilà , autant nous avancer au plus lointain en ces copntrées post-^pré, post-post)-morteme et du coup regarder, les yeux écarquillées, ce qui est ici qui est cfomme présenté,, ou proposé à nous, genre ... N2nés ! et nous de vouloir toucxher ! de grave vouloir ici téter à ce Néné dit "des Nénés" tu m'as compris ! Du lait du lait du lait ! on veut téter en tant que fée ! les fées aiment et boivent du lait ! du lzit de prairie = post-prairie qui sait ? les fées on dit ou on dirait qu'elles aimment le lait, qu'elles adorent boire (téter) du lait, qu'elles en boivent ou en boiraient volontiers sans compter ni faire de simagrées ! elles adorent ! elles boivent du lait comme des paroles ! eLles adorentb le lait et du coup nous aussi on adore puisque voilà, on a été chan gé en Fée ! On na été transformées ! On était un homme sur pied, genre "hombre" et nous volià toute (tout ?) transformée (ou transformé ?) en Fée des Paroles ! Fée sur trait de roche ! dinguerie de Poche ! On est devenu fée par la parole ! oho c''st trop ! Onn est passé de "homme" à une Fée cornue, ou sinon cornue velue, ou sinon velue osseuse et quasi monstrueuse, ou sinon osseuse et quasi monstrueuse .... vulve ? Trait sur roche découvert ? Trait des ombres à découvert ? Muse ? On est passéees en tant que F2e ailée, Ailes de Fée, on a en vrai traversé le pré et maintenant, on voit bien que le chemin ici nous mène grave vers ce bout du monde en quelque sorte, vers cette chose au plus lointain du pré, vers cette sorte de treacé de roche ultime, etb qui est peut-être en effet un passage pour fée ailée, fée velue ou pas velue, cornue ou pas cornue, mais ailée ! et du coup nous voiulà postées ! on passe ! trépasser = passer le trait ! on regarde ! on est grave obnubilées mais pas grave , du moment qu'on trace ! on veut toucher à ce néné à lait dit "Néné des Nénés " , eet du coup comprendre peut-etre à jamais ce qui en  vrai se trame en cette roche terminale aux données de base il paraît mais est-ce que c'est vrai ? on cherche ensemble ainsi accolées à cerner-comprendre et toucher, et prendre, prendre les données, prendre pour szoi (en soi) les données qui seraient des denrées qui seraient du Verbe, du Verbe de RAge ou sinon de Rage de La Foi Dans l'Anttre , en cet Antre de l'Au-delà à la P aroi ici (ou là ?) initiale ! Caramba , on charge ! on passe ! le pré passé on chyarge et du coup on passe l'ultime tracé ! On veut cfomprendre ce qui est devant qui est à nous attendre et pour cela le mieux c'est de pour ainsi dire s'activer sans traîner et de filer à toute blinde, à travers la Roche (l'ultime rocher) des données de Poche ! Poche ourlée ! poche ou outre aux données données et situées ! On est Fée des pré, puis Fée de l'Ombre, du tracé traqué ! On a envie ensemble grave d'aller ici au plus pressé vers ces données dxes derniers murets et autres murs ultimes en rotondité. Qui on est ? 

ELLE 

ELLE sur pré 

Aile 

Ailes de fée sur tyracé en herbe ... on est nées sur herbe allouée ! On veut toucher à ce qui est qui wse présente ici sans plus tarder et se recommaande à nos intérets ! On veut toucher parce qu'on est ELLE , F2e d'Herbe, F2e du VErbe en HErbe ! une sorte de ... "macghine de guerre" ???? qui sait en  vrai ce qu'on est la mort passée ! On a voulu entrer en ce muret des données dernières eh bé voilà , on est entrées et du coup on peut regarder(beaucoup) ce qui est ici qui on dirait nous mate ou nous materait en retour ! quoi c'est ? qu'est-ce que c'est qui ici même de fait serait à grave nous mater une fois que nous voilàentrées en tant que Fée Ailée post-cimetière, post-pré, post-post porteme, le trait passé pour ainsi dire et le tour est joué ! On mate et on est matée ! double échange de civilités ! On veut toucher à ce qui se présente en termes de données cde contrebande et on savance, on trace, on est ensemble en vrai accolées parce que voilçà, on forme Fée aux données de RAge ! rage avouée est cfomme à moitié pardonnée , et voilà pourquoi on se permet de s'avancer sans reculer, sans hésiter,n sans traîner, devant nous sur pied puis à la volette comme qui dirait ! fée ailée sait voler et avancer ainsi soulevée ! trait pour trait !on, mate et on est  matée ! matée par les yeux de L'ëtre adoubé , Aimé , ADulé qui sait mais qui c'est ? Dieu le Père , l'épouomoné ? Père sévère et son trait des traits ? Pet en Herbe et autres vents contrairesx ? pets lâchés sur herbe des prés et ça pue la merde ? quoi est-ce ou qu'est)ce ? Une caisse ? Un pet de Fée ? Pet en herbe sur pré et bnous voilà comme enfumée ? On veut toucher ) ce qui est en termes de données de tresse, on ne veut pas passer à côté mais grave toucher à ces données de tresse, ou à ce genre de données en tresse, ou en trainées, ou en filets de Rage, ou en fils consacrées et autres filament fibreux de type ...  Vivres ! et du coup .... cerner ! cerner de près ! toucher = cerner ! On a envie ensemble de toucher à ces données dites "de contrebande" et du coup ... s'immiscer (grave) au plus près de ce qui se présente ! des filets ? des tresses de traits ? des données données de type tracés , traits acidulés , traits nacrés ? On est La Fée du pré passé, on a traversé le muret, on a envie ensemble de se retrouver pour ainsi dire, soit de se poser, et de cerner ici ou là ce qui est pour nous qui en vrai se présenterait incidemment à nos yeux ouverts, à nos mmirettes écarqyuillées pour mieux regarder et cerner la roche, les Données de Roche, de Roche allouée à une ultime Fosse .... On veut ensemble au plus près et au plus pressé co:mprendre ! toucher = comprendre ! on est nées ! dans la mort on naît ! on est nées Fée ailé ! on a traversé et du coup nous voilà comme nées à une sorte de contrée des Fées ! On veut en vrai toucher à ce qui est qui se présente ou se présenterait à nbous qui sommes ailées ! 

Toucher = toucher ! manger = manger ! dire = dire ! pousser = pousser ! fauire = faire ! perdre := perdrev ! charger = charger ! coucher = coucxher ! cendrer = cendrer ! opisser = pisser ! moner = monter ! tater = tâter ! tirer = tirer ! passer = passer ! outrer = outrer ! pondre = pondre ! mater = mater ! voir = voir ! comprendre = comprendre ! concevoir = concevoir ! pister = pister ! souder = souder ! sonder = sonder ! permettre = permettre ! cacher = cacher ! huer = huer ! porter = porter ! cacher = cacher ! vendre = vendre ! jouir = jouir ! jouer = jhouer ! louer = louer ! louer la Divinité dite "des prés"  = louer la Divinité dite "des Prés", et du coup l'aimer ! l'aduler ! la voir comme une sorte de Déité des Déités ! la prendre pour (en soi) ça ! Déité des voix, de l'Antre Final ! On veut aller ensemble loin en cette roche des données ultimrs avouées ! on ne veut pas passer  à côté mais y aller frontal au plus profond qu'on pourrait de fait sans reculer, sans faire faux bond, sans tarder, sans se monter du nez ! mais simplement tracer de chez tracer un trait de rage sur le FRont de ... l'Âme ??????  Ambre ?????? Ombre ?????? Hombre ?????? Hommme ??????? autre ???????? Antre ?????????? on nchyerche grave ici à comprendre, cf'est un fait ! O,n essaie de s'impliquer et dee toucher à ce qui est en termes de Vérité mais évgidemment que ça c'st pas super super facile à réaliser même en tant que fée parce que c'est vrai que forcément il faut être méga-motivée (déjà) en soi pour aller et tracer et pousser la chose jusqu'au bout du bout, maispas que ça ! il faut creuser ! il faut grave creuser et essayer ensemble d e treacer profond les données en roche, genre "traque " ! 

On se doit d'aller loin et de creuser profond, et cette chose est une sorte de "traque de roche" ! On a envie (du coup) de treacer dans la roche les données de rage telles qu'elles se présentenjt à notre (sorte de) 

"gouverne sentimentale" ; .... On veut toucher ensemble (ailées !) la Base ! Le TRait ! Trait de RAge de base ! et tracer = filer = ficeler le trait ou comment on pourrait dire pour ici indsdqiquer qu'en fait on passe à travers un filet qui est un trait qui est un passage tout ce qu'il y a de plus étroit en la m^éatière , genre "fil de soie" ! On entre comme à la p arade et du coup ob nn se reytrouve là, parmi les Bêtes-MOts du Pré- Verbe alloué  àune zone de "recherche" ! On trace ! on y va ! on ne veut pas s'(arrêter là mais pour le coup poursuivre sans traîner sur pré notree sorte de "destin"é du trait" ! On veut (en gros !) ... téter ! on veut trouver du lait ! téter = trouver = prendre = dénicher ! On veut toucher de chez trpucher le lait "de contrebande " et téter .... téter sans se gêner ! pourquoi on se gênerait ? On est passée ! on na traversé ! on s'est rapprochées du muret ! on a regerdé, testeé, tâté, le muret des données dites "terminales" , et )à présent on est en droit de pouvoir y aller ! de (à nouveau) traverser la Roche, Rocxhe-Rotonde, Enceinte--Roche, Roche-Enceinte, Roche-Rotonde des données cdernières .... FILER = Filer ! on trace ! trait ! bête de teait ! trait passé ! on veut passer = entrer = filer = traverser la Roche aux Données "Profondesc" .... VITE ! VITE ! Aller ! passer ! mater ! voir ! essayer en vrai de comprendre ensemble les données du bout du monde post-pré ... c''st -à-dire bien après la mort, après le pré dit "de la Mort en Herbe ou VErbe" , après le pré il y a ce muret "en rotondité" déjà rencontré à l'entrée du pré mais là ... on se doit de fait (comme il semblerait) de re-traverser ledit muret, de re-passer son nez busqué, d'eesayer de se faufiler si  jamais en quelque trait d'anfractuosité ici tracé, et d'entrrr ... sortir du pré pour enttrer en cette sorte de ... contrée nouvelle ... air ..... air alloué à Nouvelle Contré donnée ou accordée ... qui on est ? qui on est post-herbe ? qui on est post-pré ? qii en vrai on est post-pré ,  qui on est le pré passé ? qui on est en  vrai le pré une fois passé ? qui on est ou qui on serait ? on ne veut pas s'éteindre mais durer ! pile wonder ! trait de fée ! chant donné ! fée des fées on est njées sur pré à la retombée et nous voilà .... acidulées ? comme acidulées ? Lait ? Lait post-pré ? lait ou voie lactée ? Lait des prés devient voie lactée comme qui dirait ? On est attreappéees ! on est grave attreappées ! on est retyournées ! on est grave retournées ! on est attrappéeex de chyez  attrappéees et grave retournées de chez retournées ! comment on peut faire en vrai pour maintenant comprendre davantage ce qui se passe ? cfomment on peut faire en  fai t à présent pourb mieucx cerner les données qui se présentent pendant qu'on parle ? on cherche enxsemble à se situer, à cerner les traits, à toucher aux nénés dits "de contrebande" mais en v  rai , on est un peu "isolées", on est pas forcément super aéidées et on rame ! on en avance pas tant que ça ! on aimerait grave en avancer vachement plus, mais voilà on est plutôt (en fait) isolées, esseulées, dans notre sorte de "contrée des fées", et  on est (du coup) un peu "timorées" , un peu"coincé"es" , on a du mal à se libérer et à franchir comme qui dirait un certain nombre de "p aliers" , de traits, de marchepieds, de je ne sais quoi qui serait là à nous mettree déjà et en soi le pied à l'é-etrier une fois pour toutes , et peut-être à jamais, qui sait ? On veut toucher à ce qui se présente ou se présenterait en termes "lactés" mais on est un peu timorées , un peu coincées, un peu "empriuntées", on a du mal à se la&içssr aller et à lâcher la bride ! On est un peu comme empriuntées devant l'Adversité ! On est Fée ok, mais "tranquilles" .... un petit peu  timides ! on veut ici toucher mais ... on ose à peine, de peur de gêner ! On a vraiment en nous une sorte de "mainmise" qui nous freine ou freinerait un petit peu pour ainsi dire dans nos entreprises et du coup on est un peu comme gênées aux entournures et timides et comme empruntées de fait dans nos actes et autres actions, sur pré et au-delà ! On vfeut voir là-bas mais on hédsite ! on craint du danger ! on a peur d'y rester "collées" , de ne plus (après) pouvoir revenir, retrouuser chemin, revenir au pré (brouter ?)  et ... du coup , devoir ... "y rester " à jamais, de l'autre côté ! On veut toucher à ce Néné des Astres, Voie Lactée Ok, mais sans y passer ! On ne veut pas rester cfollées à ces tracés de ciel ambré et autres configurations célestes étoilées ! On veut bien aller, mais (§pour ainsi dire) sans aller ! on veut toucher à ce néné des prés des Rages mais en vrai, sans vraiment "toucher" pour ainsi dire, juste effleurer ? mais effleurer c'est toucher ! alors .... juste regarder... regarder = toucher , regarder = ou égalerait aussi toucher ? On a envie ensemble 

de nous promener ,sans regardder à ce qu'on fait ou pas, ici, en ces contrées post-pré ! on a en vie ensemble de se promener en ces contrées qu'on d it ultimes, et pour le coup sans  v raiment  chercher à pour ainsi dire se retourner ou à revenir méis y aller franco et puis on verra bien (de fait) ce qu'il adviendra ! On est ailées alors en vraéi peut-être qu'on pourrait ici arriver à traverser ce f&meux muret sans trop s'aesquinter au passage, sans trop dse blesser m ais  au contraire passer, commre une szorte de lettre à la poste ! traverser sur roche , toucher aux fins de pré et passer, passer de l'autree côté, de l'autre côté du pré ! filer ! activer ou s'acrtiver ! fissa aller ! aller en vraéi sans plus se retyourner, et essayer de cerner ces ditesc"dopnnées lactées" qu'est-ce que ça pourrait être en vrai qui pourrait nous intéresser au plus haut point vu zu'on est grave méga-motivées à la base ! super motivées à l'idée de compptendre enfin ce qui est en vrai de l'autre côté du pré, soit post-post-mortem ! qu'est-ce qui est qui est qui peut-être serait à nous attendre , à patienter après notre arrivée ! qu'est-ce qui pourrait être ? qu'est-ce qui pourrait être et se treamer et faire ainsi qu'on serait accueillies de fait comme des fées ! ? On est nées ici, pré, prairie, et on veut quiiter cette con trée car, on veut passer de l'autree côté... re-traverser le muret, passer = toucher = filer = se faire menue pour en vraéi se vfaufiler et se glisser ainsi pour mieux atteindre la contrée ultime , l'ultime contrée allouée à une sorte de ... passé Limpide ? de Passé des Passés ? ,Le passé renouvelé ? retour au passé ? au Passé du pré ? au passsé du pré-pré ? au Passé dit "du pré-Pré " ? Qui sait ? qui sait en v rai ? On veut toucher à une chose qui serait "de roche" et filer ok, pousser loin en roche et cerner, toucher aux Nénés ce serait touchert à une sorte de Donnée, de base lactée, qui elle-même serait du lait tout ce qu'il y a de plus lacté ! pis d'herbe ! Veerbe ?????????????? Du Verbe ??????????????? vraiment ça  en herbe ?????????????????????? Verbe donné le muret passé et ce vserait dsu léait ?????????????????? lait alloué à une sorte de muret des données tracées ??????????????? lait-verbe ? ve'rbe"-lait ????????????? lait = (égalerait) Verbe ... à jamais ? qu'est-ce que c'est que ces données post-cimetière puis post-pré puis ... post-passé ???  qui seraient du VErbe-Lait on dirait ? Verbe Lait des Ombres Portées ? On veut en vrai aller = dire = cerner = comp^rendre ce qui est qui se vprésente et nous fait un drôle d'effet dit "de contrebande" il semblerait mais est-ce que c'est vrai ? Est-ce que réellement on peut s'appuyer sur ce type de données "profondesv" ??  est-ce qu'en vrai on peut cerner ce qui est en vrai le muret une fois traversé et du coup ces nouvelles contrées dites "lactées" comme attei ntes de plein pied ? Peut-on ? Peut-on toucher ? est-oon à même en tant que fée ailée de pouvoir toucher à ces données post-pré de type lactées ? voies lactées ? voies ou voix lactées et ça le ferait ? On est comme timorées c'est vrai mais bon ,; on est présentes, on ne lâche rien, o,n entre à pas cpomptés et feutrés , on entre ensemble à pas mesurés et un peu empriuntés ok, mais enfin on entre ! On ne fait pas semblant d'entrer, loin de là, on est présentes ! on y va ! on veut comprendre ce qui est "klà-bas" alors voilà .... on veut toucher à ce qui est qui serait sur place une sorte de Dpnnée Intense ! la donnée de Rage allouée à une sorte de Contrée Finale : Post-pré et pré-P assé ou comment comprendre ? du passé en branche nous attendrait qui nous regarderait comme de biais ? On a envie de cdomprrendre ensemble (ailées) toutes ces données ou sortes de données de base telles que présentées en ces contrées d'un post-muret, et pour ce faire on se dit qu'on a fort à faire, que, en vrai, qui sait ? ces données "profondes", ne nous seront pas forcément données d'emblée mais que voilà, on va avoir à se bouger, à se retrousser les manches si tant est, à se creuser (grave !) les méninges et du coup à fouiller ou fureter, en ces différentes données déposées, pour essayer ensemble d'en extraire au mieux la moelle épinière, le coeur ou les entrailles dites "vives" d'une sorte ici de "Vérité Active" .... Et du cfoup on pourra peut-être, alors (on verra), comprendre = cerner = saisir =  toucher ... cette sorte de donnée lactée, ce qu'elle est pour de vrai ou, a contrario, ce qu'elle n'est pas et ne sera jamais , qui sait ? On est fée -femme au jugé, on est entrées ! on mate ! grave on mate ! on est la fée post-pré qui est passé en transe et nous voilà qui nous incorporons comme à l'arracjhé , en ces contrées de bout de pré, soit en Roche finale ou Terminale appelée "PONTON" ... hé ! nouveauté ! On ne savait pas son nom ! On est heureuse de l'apprendre ! De pouvoir enfin savoir et entendre ! cool ! on aime savoir grave , donc .... On apprécie, la Chose, à son juste prix ! ON a touché , on est passé, on a regardé, on reg arde , on voit la Voie ! oho ! Voie de l'ombre portée ! oh ! On aime l'eau mais plus encore le lait c'est vrai , on peut l'avouer (et l'afficher ou afficher ce fait) . 

On est nées Fée, à la retombée dans le pré, on a couru dans discontinuer et nous voilà toutes vermoulues mais pas grave, on entre ! on entre dans l'antree aux données de Rage ! post-pré c'est fait ! cjhose actée ! on doit pouvoir continuer sans être importunées et dérangées dans nos tribulations de fée en pays de transe ! trait pour traits on en avance ! On creuse des traits mais c'est pour mieux toucher à ce qui se présente devanjt nous en termes de données données , vivement ancrées . On est

F2ES DES F2ES 

FÉES DES TREAITS DE ROCHE 

AIONSI CERNÉES 

DITES ET PORTEÉES , OU DITES PARCE QUE PORTÉES ! VRAI ! VIVES ET NACRÉES ON EST LES FÉES DU DIRE PORTÉ = DES DONNÉES DE RAGE ET AUTRES DONN&ÉES "SALES" , QU'EST-CE QU'ON EN SAIT ,  ? ON A MÉGA-ENVIE DE COMPRENDRE ET DE SE POSER UN TEMPS SUR PLACE (ROMANCE) POUR SOUYFFLER ! ON AIME ALLER EN CES CONTRÉES DE BOUT DE PRÉ POUR COMME QUI DIRAIT ARRIVER À TROUVER UNE SORTE DE VÉRITÉ CONCERNANT ... LA MORT....CE QUI EST QUI NOUS ATTEND EN ELLE , PAYS D'AILES ! 

On a envie de se promener san pour autant traîner parce que voilà, le but ici n'st pas de lambiner (quoique!) 

mais de comprendre a&u mieux ce qui est qui peut-êtte serait à nous mater de biais, pour mieux nous croquer ... qui sait ? et nous avaler et hop, terminé ! on cherchge à cerner ! on cherche à se rapprocher de la vérité ! on cherche à comprendre les données de base ce que ça pourrait en vrai être sur pied, à quoi ça pourrait ressembker , ce que de fait ça pourrait être en termes de données "lactées", "lactées et acidulées" , à quoi ça pourrait au fond ressembler si on s'en rapprochait sans se gêner ... On est allouèées ou comme amllouées nous-mêmes à une sorte de donnée rupestre , genre Trait des Traits Gravés , 

sur Par(oi de grotte (on dira : Haute Paroi de Roche ) et diiu coup c'est sûr 

que, nous, on doit pouvoir aller profond car , voilà, on est comme "touchées " ... ob n est comme super "touchées " , touchées = visées , par , comme il se'mblerait, un ... "Trublion" ???? une sorte de bête des prés , cheval d'Arçon ? bison ? Tronc ? On est touchées et du coup on pleure, et du coup on se met à genou, et du coup on veut se redresser et filer et aller et trracer et ne pas nous retrourner et traverser traversrr traverser traverser traverser traverser traverser le muret premier puis le pré puis le muret à nouvzau trouvé sur notre sentier ! et là ........................... oups ............................. houp ................././...................... PASSER ! .................................................... vetrs le passé ? ...................................... qui sait ? .............................................. qui en vrai sait ce qui pôst-sentier, post muret , EST ? ..................................................... du laiit ? du lait de fée ? du lait dit "acidulé" ? l ait de trait ? lait aimé ? Lait de traite réelle ? Trait ? frai ? Gente Elfe ? ......................................... qui sait ce qui en vrai est qui se présenterait et nous invçiterait à nous placer à ses côtées pour comprendre ou mieux comprendre et aimer, mieux aimezr, les données en herbe post-pré = pôst -praierie = post-muret des Finalités ! qui ? On veut trouver ! toucher ettrouver ! car, on aime toucher et trouver , on aime grave, et toucher et trouver ! on a super envie ensemble (AILES) de touchert-trouver comme par la bande une v érité qui serait prégnante, située, actée, sur laquelle pouvoir s'appuyer, fiable et non friable , Vérité des V2rités ça le ferait ! mais comment s'y prendre ? comment faire pour acter la chose sans s'y perdre ? Comment en vrzi pouvoir toucher à ce n éné dit "de contrebande" comme si en  v rai ça pouvait être vrai ? On veut entrer = toucher, entrer = dire ! on veut dire et toucher ! faire tinter ! activer ! faire en sorte que voilà, le dire puisse (là ?) êytre repéré en tant que Donnée allouée à une sorte de Contrée "Acidulée" genre lactée, comme ... la voie lactée ? étoilesb nées ? On voit ou on ne voit pas mais on est là ! on creuse ! on va ! on b-n'en démords pas et on se dit qu'un jour ou l'autre peut-être on verra ! on saura peut-être, on comprendra,,on touchera à l'herbe des parois des bouts de roche plus que finales .... on saura ce qui se présente , ce qui se pose là devant soi, à quii ça resemble, à qauoi en vrai ça pourrait ressembler en tyermes de ... Voie ? Voie docte ? voix docte ? voie lactée des ROches ? voix docte ? voie des voix et vgoix des voies ? Voies données  pour pouvoir tracer et pour s'autopôrter jusqu'au Néné de l'Ombre ? Néné né à la retombée on dirait, côté ombre ? On veut toucher à ce néné mais pour toucher à ce néné 

 le mieux c'est de ne pas trop traîner et de filer fiszsa jusque dans les

 les bras de cette sorte de Mamma maline , fine, acide, adoubée par une .. Déité des Rimes ! File ! Fonce ! ne renonce pas à faire ainsi ici que s'ouvrât la Porte ou l'Anti-porte (?) Haute ! va ! ............................................................ ne regarde pas à te réfréner mais au contreaire va , file fissa ! ....................................................... va et file ! fonce et cours ! trace ! creuse ! cherche ! touche ! vibre ! cerne ! compose ! absorbe ! prends ! alloue ! piste ! passe ! colle ! porte ! chante ! va sur roche là-bas comprendre les derniersz messages : le tracé de base, l'emporté de rage, l'épopée, l'ombre portée, le denier, le Passé passé qui en vrai ne wserait pas assz aux yeux de cette D2ité des Entrées ! ....................................................................................................................................... fonçons ! ........................ filons ! ......................... esayons ensemble de cerner de base ce .... pONTON ! Drôle de nom pour une sorte de tracé de rage post-pré de base ! On est bon ! ou plutôt on a bon ! on entre ! entrons ! on mate ! matons ! faisons ainsi qu'on puisse en v rai comprendre , les données de base, le tracé de rage, les données basses, le parfait,  l'imparfait, la cendre, le tracé sur muret indiquant de rage par o^ù du coup on pourrait passer ! On a envie ensemble de toucher à ce qui peut-eytre, en vraéi, pourrait ici se présenter sans nous importuner , afin de pour le coup pouvoir nous donner de quoi ruminer et de fait nous alimenter en termes de dennrées à ingurgiter sans hésiter ! vaches ! vaches à lzit ailées ! o n est en tra&nse ! on vezut coller à une sorte de romance, romance "agitée", qui serait la Romance des prés, prés ... ou Parois ... des ROis et Reines de l'au-delà .... l'au-delà à quoi ? à la Rage , va ! à ça : RAge des Rois et Reines de Là-b as, post-terre, post-nouba, post-paroi de choix, post-pré aux herbes ! sanita ! sainte voie ! sainte voie des airs ! charge sur paroi de base ! tralalalalalala ! on danse ! ......... o,n danse en transe, ça ! ce tralala ... des données de Rage !  du Passé, comme remonté de la base et .... acté ! chahuté mais acté = tracé = donné ... et qui sait si "Déité La MOrt" pourra aimer ou apprécier ce que nous offrons, en v  rai, de nous à ces bras ouverts comme sorte de donnée de porte ? On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette sorte de donnée lactée, néné ? peiut-être néné mais en vrai on est pas douées (tout à fait) pour cerner de près , du coup on hésiteb à se prononcer et à affirmer ce que c'est ou ce que c'est pas ... on veut aller mais comment aller sans êttre ailé ? du coup, voilà : on devient Fée, on veut creuser = s'envoler ! on ne veut pas rester à qauai à toujours se morfondre et pleurer et se dire à jamais que la vie est dure à traverser, qaue les données de base sont comme des dés pipés et que la chose , de fait (le tracé) n''st pas donné d'emblée, le tracé (disons) en bonne et due forme, pas gagné ! pas donné d'emblée , qui nous verrait nous redresser ! sûr que nous on est des éefs deRage ! on l'a mauvaise depuis qu'on est nées ! on voulait toucher de chez toucher  la Base de Données  en herbe, mais comment toucxher d'emblée quand d'emblée on est écartéees, décalées, déplacées sur tertre, et va&s-y retrouver le chemin des F2es ! c'est pas gagné comme on le disait ! va toucher ! va être ! va cerner ! va comprendre de près les données données, soit celles qui pourraient certaéinement ou vraisemblablement et durablement t'aider à être en vrai un être choyé, présenté à l'assemblée, ouvertement montré comme l'être aimé de sa mère et de son père sans plus de réserve ! on veut : 

TTOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER AUX NÉNÉS DE LO'ÊTRE SI TANT EST ET EST-CE QU'IL EST TANT ? ON NE SAIT PAS ! ON CHERCHE SUR PAROI ... À COUPS DE SERPE ! DE TREACÉ DE CHOIX ! CHEVAUX DES VOIES ! JUMANTS -TRANSE ! VOIES DES ROIS ET REINES DE LÀ, LA TRANSE, LA PAROI EN TRANSE, CHANTS SALES , CRIS DE HJOIE ET AUTRES INSULTES DEE RAGE, COMPÉTENCES, TRAITS SUR TRAITS POUR UN PASSAGE (EN TRANSE) DANS L'AU-DELÀ À LA PAROI -ANTRE ! 

Fée des fées des tracés sales  ! 

cris de joie aux données sales !

ppoints de croix sur paroi sale !

pains de joie et autres tralala 

sur paroi qui serait la paroi ... aux données de rages ! chants de joie et autres parades aux animaux sales ! points de traits de roche et autres traits de point de roche ! surélévation ! élimination des crottes ! chargement docte ! pontification ! On est féesz hautes ! hautes fées de roche ! porte ! porte enfin tracée on ose entrer et traverser traverser traverser afin de pour le coup enfin nous retrouver de l 'autre côté à cher cher que tu chercheras sans traîner UNE ENTRÉE  qui serait l'ENTRÉE  comme aattendue depuis des nues ! on est fée d'herbe ! fzée des prés ! on veut cfoller , dire et aller, toucher de près à une déoité surnaturelle si jamais et ça se pourrair sait-on jam is, si on pers"évère ! si on persévère ... sans relâcher ! 

On est fée d'herbe et faite d'herbes ! comme transformées ! allouées ! aimées ! broutées qui sait si on eest l'herbe = verbe des contrées prairiales rencontrées ... comme à la parade ! on est allouées à une sorte de prairie de FRance , genre nées, genre déposées ou posées et on entre , plus avant dans l'antre .... acculées ! poussées ! obligées ! comme soumises ici à une sorte de poussée, de type verbale ! 

le treacé ancré de rage , ou non : 

le passé tracé et ancré, nous pousserait à nous positionner (de base) en cesz contrées post-pré telles que rencontrées la mort acceo^ptée ... acceoptée"comme qui dirait ! On est la Fée du pré pré-muret ! pré-allée lactée genre voie lactée .... mais q!'est-ce  onc que la Voie Lactée ? une voie ambré e ? Un trait ? trait d'elfe ? frai ? poste alloué à une sorte de parole "en herbe" genre "parler bébé" ? Qui sait ? qui en vrai connaît ce type de données "de rêve" ? On est la fée postée .... sur preé tracé, cherchant comme à s'extraire ou s'en extraire pour vite fait gagner ce qui sezrait ce trait, ce tracé né, ce trait à traverser, une entrée qui serait 

'ENTRÉE DES ENTRÉES POUR FÉES ET AUTRES ELFES ALLOUÉES À UNE SORTE DE RECHERCHE COMME "ACIDULÉE" , GENRE RECHERCHE EN LAIT ! TERMES, TERMES DONNÉS COMME PERLES DE LAIT ! UN TRACÉ SURNUMÉRAIRE ! UNE SORTTE DE SENTIER SUR HERBE POUR FÉE ET AUTRES BÊTES DE TRAITS GENRE BUFFLETTES, VACHETTES, BISONNETTTES , ANTILOPETTES, CHEVALETTES ! FÉE EN HERBE ! ................................... fée du frai ............................ fée des frais sur pré .......................................... alouettesv ........................................... montées ............................. ou couchées puis qui se redressent et tout d'un coup volettent ou bien se mettent à voleter sans s'arrêter ................................. ion veut toucher de chez toucher ........... aimer être fée et du cfoup voler ................ pousser de chez pousser et monter et voler dans les a irs aimés ......................... VERBE CONCENTRÉ ............. CUEILLETTE ....... POUSSETTE ........... PAROLE EN HERBE ...../....... PISTÉE ET TRACÉE ET POUVANT DÈS LORS ÊTRE EXAMINÉE ................. CONSACRÉE SI TANT EST .......... ON L'ESPÈRE ............... PEUT-ÊTRE, QUI SAIT ? .............. QUI SAIT CE QUI EST EN VRAI ........... CONCERNANT ICI LA MORT EN HERBE, LE TRAJET, LA VOIE LACTÉE, LE NÉNÉ DE PRÈS, L'OMBRE PORTÉE, LE SUMMUN DES DONNÉES DONNÉES, UNE DIVINITÉ LIÉE AU VERBE QUI EST NÉ SUR PRÉ À LA RETOMBÉE LE JOUR OÙ DE FAIT ON EST PÂSSÉ = TRÉPASSÉ ! QUI SAIT ? ON CHERCHE .......................................... on ne veut pzas laisser tomber nullement

 nos recherches en herbe mais tout au contraire continuer, sans désemparer jamais, et tracer de chez tracer le chemin du verbe, treait sur trait , trait de fée par où passer et s'ncruster et se glisser et traverser traverser traverser sans hésiter la roche calcaire, roche des fées, roche haute des fées hautes ! aller = tracer = foncer vers, en vrai, cette sorte de "carrière" qui serait une contrée dite "du Verbe", verbe acideulé des donnéesb dernières, verbe-né, verbe "au taquet", verbe du pré = herbe = denrée ! denrée verte pour former le lait dans le pis des bêtes ! à satiété téter ! téter = toucher! toucher = téter ! on aime ! ............................................................ on a envie grave de se libérer de tout ce qii en nous nous gêne ou nous gênerait comme par en dessous ! on av grave envie de creuser loin, en cette sorte de paroi de roche, et d'aller , pousser, passer ! traverser de chez traverser ! pousser = faire = donner =comprendre =caler = filer = allouer à une roche une donnée "profonde" ! on croit rêver ! .... et cependant ..... on ne rêve pas tant que ça ! on entre ! on va de l'avant le verbe aidant , car, le Verbe est un Allant, est Trait de base, est TRait de RAge ! trait de base alloué à une "renaissance" .... trait des treaits de RAge .......on veut comprendre ! on veut aller ! on veut creuser ! on a envie grave de creuser ! on  veut creuser grave sans treaîner et aller et toucher et comprendre et cerner et pousser loin le plus possible notre 

sorte de percée , d'entrée lucide ! Pousser ! creuser ! chercher ! essayer de percer cette sorte de muret aux données vives ! .......................................................................................................... vives et ancrées ................................................... traversrr = traverser ! .............. toucher = toucher ! :.......................... cfoller = coller .................. comment faire pour aimer ? ................................................ aimer traverser ..................... la RIve .................. l'autre côté ......................... le Rire ? ........./.................. RIRE ? ................................................ rire à tout jamais et du coup aimer ? ............................. qui sait ce qui est  en cette "Rive des DO nnées Ultimes" qui nous attendrait et saurait (qui sait ?) nous donner ... de quoi survivre ? .............................. on veut coller  à cette "rive des données ultimes", traverser = traverser ................. comment sonder ? commrnt toucher ?. comment cerner ? comment se retourner ? comment saturer ? coment poster sur roche les données trouvées, verbe au taquet, rires, vies des vies en herbe et autres prés "qsuperbes" ? Toiucher pour toucher ? toucher pour trouver ? plutôt pour trouver ? Chercher = donner ! On veut coler à cette D2ité "des Données Ultimes", et l'aimer ! l'aimer pour êtree de fait au mieux informées de ce qui est le pré passé si tant est ! On veut cerner cerner cerner cern er cerner  les données ultimes et pousser ! pousssr grave le trait ! trait de vérité ! trait passé ! passer ! poussr ! tracer ! creuser ! allouer à ce "dernier muret" les données  ultimes telles que rencontrées, comprises, prises ! qui sait ? on veut toucher de chez toucher la frise ! le tracé en friche ! les chevaux ! les bêtes de peau ! vaches et taureaux ! troupeaux ! mots ! mots ! mots ! mots ! mots de trop ! mots sur roches à mots ! grotte ornée de mots et ça porte ! ouvre l'antre .... HOmme-MOT De Trop, tremble et entre-meurt , pour une renaiisance ... comme au trot ! pot ! quel pot ! pot docte ! trot et galop ! vers la porte ! points de mots sur paroi haute néandertaéliennne sous chapiteau ! corps mort pousse le port vers un mot de trop ! hot ! cru ! vif ! chaud ! chaud de chez chaud ! paroles hautes = mots de trop = gros mots ! on monte ! fée des tuyaux ... ou des boyaux plutôt ! On monte ! haute ! haute fée cdes mots et autres traits , de base verbale ! chalumeau ! points d'eau ! portes hautes sur paroi de roche ! on monte ! on colle ! on vole ! ................................... haut ....................... haut ......................... haut ..................... hau .......................... hautes ....................... haut et hautes ............................ on monte .......................................... on montev ............................... haut de chez haut ........................ on est hautes ................. fée haute ....................... haute fée aux mots ........................... treaits de rage sur boyaux ............................ corsages ....................................... percée de rage ....................................... on entre ........................ haut .................. haut des hauts ................................................... toit en haut direction les nuages, voie céleste, le passé du mot, l'ombre de l'arbre, le pot ! - .............................................................................. les crocs ? .;.............................. on monte ............ direction la Haute ..................... le Mot de trop ........................ le Pavot .......................... l'Ombre ................ la Porte ................. le creux des ombres ............................................ le Poteau ..................... l'aRche au mots et autres traéits verbaux ...................... arche-mots ................................ haut /........................ hauteur (ici) des mot§s de trop sur paroi de traînes et autres murs de scènes ............................................ colère ..................... cris .............. pis ......................... pis de vache laitière ................ pis des pis .....................spi ..................../.............. spi des spi ? .............................. cris des spis ? ................................ colère !!!!!! ..................... prix à atteindre .................................... co co co co colère sur prairie ! ............................................... poussée d'herbes en herbe ! ............................................. on aime ! ................................................................ on aime l'herbe et la praireie, on veut connaître oui le prix , le prix à )ayer( concernant les données, les données en herbe et autres données comme présentées sur paroi de roche, par (qui sait ?) une sorte de .... Divinité, Divinité Acidulée il semblerait ? ou alors .... LA mort ! A moins que ce ne soit les vmêmes ! Déité des D2ités et MOrt -Allouée sezraient , qui le sait, la même CHose ! ou personne ! 

On cherche ! On veut toucher ! on ne veut pas  forcément se léaiçsser entraîner vers des courants contraires, 

et qui seraient pour nous mauvais car, nous feraient tanguer vite fait ! mais bon .... allons et fillons ! traversons bla ROcghe! tentons, "par pâmoison" peut-être , d'enttrer de front , de bousculer la Porte, tracer ! Passer ! pousser pour passer ! Aller  devant tracer et creuser ! chercher ..... comprendre ..... compôser ....... allouer à une "branche" une sorte de pouvoir des fées, qui ferait d'elle (la "branche") un b âton sacré ! une sorte dee bâton de Rage ! trait ! bâton-trait ! trait des traits ! joug ! joug-né ! trait des treaits actés qui serait le joug sur bêtes allouées à une destinée

 prairiale / pariétale ! 

touché ! pis touché ! touché sur pré ! = tété ! on est née sur pré Fée à la retombée de l'embrasseade dite "pariétale" ça le fait , et nous voilà dès lors transformée ! fée des prés = fée du Verbe ! on s'en serait douté mais enfin voilà, une chose est de penser, une autre de percer , et de se reztrouver comme toutev "remontée" prête à tracer, sur pré en herbes, vers, peut-etre ... une sortie proche ?, le Passé ? Le passé recomposé ? le p âssé alloué à une contrée qui serait celle en vrai d'une sorte d'ère post-cimetière, post-post-mortem ? On est Fée faite , de fait, du fait qu'on est entrée en cette sorte de contrée du Verbe ! Merdre ! Merdre au taquet ! sonnée ! comme brinqueballée mais quand même sur pied , on est svelte !  on tient tête ! on va s'envoler ! On veut toucher à ce qui est qui serait pour nous une sorte de treacé, de tracé de données  sans ... verbe ? On touche = on pébnètre ! Herbe-Verbe au taquet, permettent une entrée salutaire en cesz contrées des données dernières (derrière !) . On est nées fées sur herbe verte ! on est nées fées sur herbe en herbe ! on veut tracer de chyez tracer sur herbe ! pousser ! cvcreuser ! passer au taquet direction le muret des données dernières -= post-pré , et pour celac........................... le VERBE DE PAROI ! TRACÉ DE BÊTES, CHANTS SACRÉS, CUEILLETTES, BÊTES-ELFES, VACHES DE POIDS, AUROCHS DEES ROIS, AUROQUES REINES, CHEVAUX EN SOI , 

On monte ! on va ! on fonce ! on veut toucher à ce qui là (passé le toit) peut nous surprendre : une sorte de donnée sale ? un poids ? une mansarde ? la paroi des parois  ? un chat ? iune chatte ? une sorte de donnée ... sarde ? du patois ? mots du ventre ? un passé nnarquois ? une szorte de parade ? d'anti-loi ? de l'ambre ? sein de rage ? sein donné ? lait ? lait ? lait ? du vrai lait de l'antre ? lait du pis doné ? ambre ? Ambre sucré ? Qui sait ? 

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5/12/2024

On est fée des Fêtes souterraines comme il semblerait mais en vrai ... célestes ! tracées sur muret ! élémentaires ! chants sacrés à la travaersée ! On aime ! On a méga-envie d'en avancer en ces champs de luzernz jusqu'au muret . On veut toucher à ce qui est qui devant nous semble se montrer alors que nous nous voilà entrées ... On est prêtes ! On est alllouées à une sorte de passage d'herbes ! Saint Tracé des DOnnées VERtes= Verbe ! VErbe tracé !  CHamps de perles ! On veut connaître les données de l'herbe, ce squ'elle estcen vérité ! ce qui en vrai en elle est, qui nous intéresse ! On est F2es des données Vertes ! On est La Fée comme dédoublée (deux ailes sur les côtés) et on s'aime verte ! charge accolée sur train de beauté ! Chants ! On veut comprendre = on veut cerner, et pour cerner, le mieuxc'est de s'avancer, marcher, voler ou voleter, monter, gravrir sur Nénés et du coup ... téter ! grave ! ne pas lésiner ! s'en mettre jusque là de lait afin de satisfaire ses envies toutes naturelles ! qui on est = qui on serait ! on veut toucher "ensemble " à ces nénés dits "de contrzebande" et du coup téter ce qui est qui se présente en termes de lait dit "acidulé" ! téter = prendre ! prendre = comprendre ! comprendre = toucher ! toucher = cerner ! cerner = aimer ! aimer = donner ! donner = dire ! dire = faire ! faire = allouer à une sorte de pré (de pré en herbes) les données données d'une sorte ici de DIvinité qui, de fait, nous regarderait, aller, tracer, courir sur pré, charger, eesayer de nous y retrouver en ce pré "des féées" . On est la Fée du pré céleste ! Tancrède ! ça le fait ! on veut cerner = coller, le VErbe éaux Nénés, tout un poème ! On ne veut pas toucher à ce qui nuit, on veut toucgher à ce qui est qui nous protège ... des ennuis divers et autres cataclysmes de systhème ! On entre ! On est... FEmmes Fortes ! Femmes au taquet ! 

Branche d'aorte, fée des fées ! 

On monte ! on ne veut pas passer à côté de cette sorte de donnée accorte , type "porte", ouverture OVE , charge sur parole ! On est née Ove au vent des fées ! On veut monter = toucher , allouées, à cette sorte de données données de type Vérité de POrte ! Monter = toucher ! On est nées F2e sur pré aux Fées ! On monte sur ...?. eh bé Néné de la maréchaussée ... qui c''rst ? L'Attrappée Céleste ? l'Emportée Celte  ? Le Passé ? Ah , peut-êtte le Passé, en effet ! qui sait ? Le passé Celte comme "remonté" au niveau des pieds, pour marcher, aller, tracer, courir sans traîner sur ce pré d'herbe au milieu des bêtes ! ah, les Bêtes ! cfomme on les aime ! comme on leur ressemble par certains côtés ! On nenttre ! on fait Fée sur pré par nos membres : ailes nacrées ! ON veut toucher à cette sorte de donnée de branche, tracé né, vie des ombres sureprésentées, bêtes en horde, mulets, Verbe, TRacé en herbe d'un voyage sur Néné des Termes ! Qui on est ? ELLLES ! ELLES Au Passé c'est un fait acté ! on était , AVANT .... Elles , sur pré en herbes ! Nous voici re-nées en tznt qu'on est des fées sur pré des Elfes ! Vives Fées ! Chants sacrés des données celtes (célestes ?) et nous voilà comme remontées ou toutes remontées après ... eh bé peut -etre, ce N2né des termes tel que rencontré sur notre trajet ? ou sinon quoi ou qu'est-ce qui se pourrait si ce n'est Néné ? La Peine ? Le passé empêtré ? la Terre des plaines ? l'amputé du VErbe ? l'ombre sur Nez ? Pré ? Pré ambré ? On veut en vrai ensemble (ailes) cerner , cerner grave et sans tarder, les données célestes (sévères ?) qui sont celles d'une sorte de tracé de F2e sur paroi docte , genre néandertalienne ! On est pazssé sur Ombre ! On voulait aller , courir vers une sorte de muret , des données profondes, et du coup : toucher ! grave ! aux dits Nénés de Branche (s'il en est !). On est la Fée des F2es surnaturelles comme remontée sur pré en herbe pour aller téter sans traîner le Néné des Termes ! chercher = toucher ! On est ELLES sur Pré , chantant "comme qui dirait" le Passé TRacé des Données de VErbe ! Sa&inteté allouée à une sorte de passé des hErbes ! Chants du pré ! chants fols ! doux Passé des données tracées, on veut toucher à ces données du pré telles que rencontrées à la traversée ! les toucher = les cerner = les comprendre en entier et pas à mùoitié ! Cerner vif 

ce qui est ! Ne pas perdre pied s'il vious plaît mais creuser , creuser grave et sans traôiner, la Terre des Sardes, le pré alloué à une sorte de Passé de CHarge ! sillonné ! tracé = ancré ! PRé d'oombre portée ! On est ... Ombre ? on est ... OMbre et Fée ? Ombre docte à l'arraché et Fée des Fées sur Pré ? Hum ... on veut toucher à ce qui est en termes dfe données physiques, situées, ancrées, comestibles comme qui dirait ! Herbe sur pied = verbe scandé ! Chants des prés des données lucides ! chantts sacrés permissibles ! vives clartés sur piste ! vents des prés "artistes" ! chants frappés ! On est entrées ensemble (ailes allouéesl) , nous voicfi ... sales ? sardes ? douces et vives sur prairie acide ! On est nées Fées à la traversée quand avant on était Elles ou pas Elles mais Il, Homme ou FEmme isolée ? Charges nacrées , vent de terre au débotté, né pour être enterré et du coup renaître en tant que Fée Ailée post cimetière, ça le fait ! On voulait en vrai toucher de chrz toucher le TEZrme ! Les données en herbe genre Pré des TErmes = V Erbe ! vent des Fées ! un tracé sur préb qui pouvait nous mener tout au bout de l'herbe, près muret des termes, Trait de craie ! On veut toucher ! on veut Coller ! on ne veut pas laisser passer ce trait sans le connaiître en v  rai de près et le toucher, toucher à  sa ... drôle (?) de lumière si tant est ! Aller ! courir ! pousser ! comment tracer ? Comment faire pour passer ? On voit (en cemuret) le trait, le tracé, la veine, cettte sorte de ... "clarté souterraine" ... on aimerait enttrer, passer en tant que Fée et du coup connaîttre de près les données telles que rencontrées, présentées,n, portées, allouées à une sorte de ... pAssé en chaîne ? Trait des TRaits d'un temps passé ? ?Le Passéde Traîne ? lembarqué des données anciennes ? L'ombre sur pré serait en  vrai cette sorte en soi de Passé Tracé, Passé docte ? On veut (en tant qur F2e) connaître la POrte, le pasdsage HOT. L'Entrée ! Qui on est ? Hole ???? Hole = trou sur Porte ? On est F2e Forte ! Chants creusés sur porte on veut toucher ! On veut :

ALLER ALLER ALLER ALLER

DIRE DIRE DIRE DIRE

CREUSER CREUSER CREUSER CREUSER

PORTER PORTER PORTER PORTER 

CONNAÎTRE CONNAÎTTE CONNAÎTTE CONNAÎTTRE

SANCTIFIER SANCTIFIER SANCTIFIER SANCTIFIER

PARLER  PARLER PARLER PARLER

CERNER CERNER CERNER CERNER 

PARADER PARADER PARADER PARADER

COMPRENDRE COMPRENDRE COMPRENDRE COMPRENDRE

ALLOUER 

À une sorte de Passé en branche les données des prés = herbes naturelles, fleurs coupées, bêtes "mortelles", tracés, frai, ponts d'ombre, et ça sezrait le Tout Nacré tel qu'espéré ! On veut toucher à ce qui est qui se présente à nos ailes de fée ! Vent docte ! Souuffle accorte ! pets des pets ! Chants des donnéescomme saluées ! On monte ! on est mon tées ! on v  eut toucher à ce qui est qui se présente sous notre nez, et qui en vrai sezraéit ... eh bien, des Nénés ! Nénés de POrte ! chants de morte ! Pré passé ! ON ose ! on est lma fée des Données Hautes qui de fait veut en vrai toucher à ce qui est qui se présente olé olé comme une sorte de donnée de haute, Haute Volée ! On veut Ailmer ! toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher à ce tracé des Données Folles (fortes ? Hautes ? ) sur N2né post)-pré, dit (le Néné) "du Passé" ! On est fée des fées, on a envie en  vrai de pouvoir sans tarder toucher à une somme de données profondes, tyoucher en vrai , toucher de chez toucher à une somme de données qu'on diraéit "avérée"s , et qui pourraient nous en apprendre long en ce qui est de cette sorte de Néné donné après le pré, après la course au vent maéuvais (pet ?) sur pré, et , le pré passé ainsi, toucher de près à ce muret , à ce mur des finalités qui serait ce muret "des données anciennes", genre : 

Peines, Vezntre , Corps, Souvenances, Craintes, Enfances, Tracé dense, Pertes, Prières, Pas de danse, Colères. 

On veut ensemble (ailes de fée) pousser ! pousser sans traîner ! aller ! forcer ! comprendre = toucher à un muret "des souvenances ", le Passé tracé, l'Antre des Données telles que représentées ... dans le Passé ? On est Fée des Fées ! Fées des données denses ! On veut enttrer ensemble (ailes = ELelles) en  cette Transe - danse consacrée ! chaergger = dire ! On veut comme toucher aux données des Ventres, et creuser sur muret, ... eh bien peut-êtte, en effet, un trait, qui sait ? par où on pourraiot passer sans trop se casser le nez (ou les pieds ? ou le cul doré ?) et y aller, ensemble (ailes naxccrées) sans faire plus que ça de simagrées si tant est ! toucher = aller, passer, se glisser, passer le trait ! passer grave le trait = entrer = connaître = naîttre  = touchger à  ce pPassé des Données en herbe : Verbe ! Verbe Allé ! Verbe au Passé ? qui sait ? qui sait ce qui est ? qui connaît les TErmes ? l'embarqué polaire ? Le chants des sirènes ? L'onctuosité mammaire ? On veut en  vrai ne plus traîner maiçs grave en avancer en  cette sorte de muret aux données "dernières" il sembleraiot (le pré passé). Qui on est ? quii en  vraéi on est ? qui en vrai on sezrait ? qui en v  rai on pourrait être ? qui on serait sur herbe et aussi l'herbe passdée ? qui en  vrai on pourrait être qui , pour le coup, sembleraient "en être" ? qui  ? qui Du Terme sait ? Qui en  vrai connaît les données prochaines = dernières (post-pré s'il-vous-plaît) : l'Herbe ? Le lait ? le Néné ? Le Passé ? le Passé quyi de fait serait comme représenté, personnifié, par une sorte de Néné des Fées qui donnerait son Lait à la criée ? On veut aimer = dire = prendre = circonscrire, et cela , en  vrai pour ainsi dire = à la volée ! sur terre en friche ou pas en friche, l'important c'est (ici) d'aimer = toucher ! Faire prise ! Coller à)  c e qui est qui montre sa Frise ! Toucher frais ! Armer ! souder zon nez ! sonder ! sentir ! Vouloir passer ici (unj trait) son nez de Riche F2e Comme Consacrée ! On a envie en vrai ensemble (ailes nacrées) de se porter (qui sait ?) au plus près  ici de ce muret, de ce muret dit "des données de mise" ! toucher à ce muret, c'est faire preuve de lucidité , de cflarté active, sainteté sur rive ! Charger = dire = prendre = cerner = pîousser, au plus lointain, nos ailes soudées, pour en  vrai s'enfoncer, s'enfoncer de rage, entre les seins dits "de passage", et une fois les seins pasdsés, trouver un ancrage, une sorte de Place, un tracé non  forcément creusé mais une Place o^ù se poser ou reposer, où se mettresur pied, pouvoir regardezr, sentir, cerner, comprendre en vrai, cerner de chez cerner ... le VErbe ? L'onctuosité du Verbe ? Verbe de trait ? trait de VErbe sacré ? Perte ? pont des F2es ? fente aux collets ? Pré surnu:mèraire ? encore un pré ? encore d'e l'herbe ? on veut cerner = faire (pour le coup) amie avecd ... Elle, La Donnée Suprême ? Le LAIt FErme ?

"POussée ancrée porte sa misère sur un pré aux herbes " ; "Trait des traits sait ce qsui est en termes de Therme" ; " Vent mauvais sait donner son fait aux Fées en herbe" ; "pas de côpté sur pré, pousse une Fée à tracer des traits"  . "cris de joie font Gens des LOis " . "Pertes mortellles = Traits en herbe sur pré cerné " . "Gens doctes = Paroliers / parolières de Porte" ; "Poussée tracée = Connaissance ancrée " . "pertes des données faont La PArade des Fées Tracées " . "Connaissance allouée, donne le Vrai (du Vrai) à la Romance du pAssé" . 

On veut : 

COMPRENDRE = DIRE = CHZARGER = PRENDRE = CONNAÎTRE = TOUCGHER = BAISER = ALLOUER À UNE SORTE DE DONNÉE EN BRANCHE LE PASSÉ DES FÉES, CERNER = DIRE LES DONNÉES ACIDES OU MÊME ACIDULÉES DE CE QUI EST QUI SE PRÉSENTE À NOTTRE NEZ À RENIFLER : PETS , ? PETS DES OMBRES PORTÉES ? QU'EST-CE QUE ÇA SZERAIT ? QU'EST-CE QUE ÇA POURRAIT EN VRAI REPRÉSENTER, SDONNER COMME DONNÉES, NOUS FAIRE CERNER = TOUCHER ? ON EST FÉE DOCTE , DITE "DE PORTE" COMME QUI DIRAIT, ET DU CFOUP ON MONTE ! HAIUTE ! ON MONTE HAUTE ! ON VA HAUT ! ON EST FÉE DE PORTE HAUTE ! ON MONTE HAUTE ! ON VA HAUT SUR HAUTS ! HAUTS DE PORTE ACCORTE ! 

on ose !

On est Fée" du pré qui ose, ose aller !

On est la Fée de POrte surmenée (la Fée) et prête à trtraverser, du coup, sans se reéfréner , cette porte dite "des Nénés" ... tracer de chez tracer .... foncer ... creuser .... forcer .... aller au plus lointain possible après ce muret .... dans le vent soufflé ..../. forcer ! franchir ! voler ! tenir ! ne pas sombrer ! tenir encore et soutenir son corps ... 

aux ailes soudées ! contenir ! creuser ! passer ! aller en ces contrées comme saturées de vents mauvais sans lambiner , sans baisser l'échine, sans céder ! afffrronter la Vouyivre ! creuser creuserr creuserr sur Muret si tanjt est ! à travers les fluides ! Ancrer ! entrer = donner ! On a envie en tant que Fée P assée , d'aller loin chercher, ailée, le Mot des Fluides ttels qu'évoqués ! On a encvie de dire ce qui est, ce qui vibre ! traits de Fée sur Pré aux Nénés ? On veut : 

toucher à ce qui est ici qui se présenterait sans tarder, aller loin en ces cvontrées des données acides voire acidulées, comprendre un maximum de ces do nnées du vivre, du mourir, du aller, du prendre , du comprendre ce qui est, toucher à ces nénés dits de "contrebande", permettre à nottre nez de renifler pour ainsi dire les senteurs de l'ambvre, aller sonder la chose ici vqui se présente devant soi en tant que mot de chambre, Verbe Haut, Transe au niveau, Parades endiablées des TRacés Animaux et autres cavalacades au Lamparo ! Dire est une chose fluide ! Faire ? vive  ! on veut (du coup) : SONDER

FAIRE ET ALLER, METTRE ET PERMETTRE, TOUCHER DE CHEZ TOUCHER, FAIIRE AINSI QUE LES NÉNÉS DU VERNBE SOIENT POUR NOUS LES TERMES = LE THERME ! 

Frai des prés ! chants lactés ! vents tracés ! corps entioer ! vivacité ! 

On veut toucher à ce qui se présente sous notre nrez ! On veut ensemble grave toucher à ce qui en  vrai ici se présente, se montre aéré, se pose, se met en branle, donne son lait , veut aimer ! Creuser = dire ! toucher = montrer ! Comment en vrai représenter la Rive ?, comment dire et donner les données du Rire post-pré ? Qui sait en  vrai ce qui est de ce rire ? qui connaît la Mort , Le Port , l'Ancrée  ? Qui szait en  vrai situer les Do nnées dites "de la mort ancrée " ? Qui peut dire et situer, donner données riches, dires de fait, chants tracés , Verbe Lucide ? Qui connaît en vrai l'onctuosité du Rire Lacté ... Le Rire lacté ? qui connaît l'emprise dite "duu Padsszé et des Données Vives du Passé Donné " ? qui sait (pas pour de rire !) ce qu'est le Pré aux Fées, passé, traversé, dépassé ? qui connaît le TRait, Passage Fluyide , Verbe Acide, Toucher Vif sur Mur À frises ? On est la Fée du pré ou

Fée des prés

Fée Docte 

Fée Ancrée = Fée entrée 

Morte ? Non !!! Vive dans la mort donnée ! On est comme née Vive sur pré Alloué à une sorte de donnée de roche, post-mort d'Homme (genré) aux données de porte. Qui connaît ? Qui sait ? qui comprend ? qui a vu ? qsui est revenu ? quii a sondé ? qui a touché de fait au muret post-pré, post-ombre, post-morteme des ombres ? Le Tanné ? le Petit Poucet ? le gentillet ? le Collet monté ? le berné des enfants bernés ? l'animal sacré ? Le passé Donné ? lze  "pas assez donné " des fionalités ? On est Fée faite Fée de vTraîne ! On veut : gravir grave ! sonder de chez sonder le Ventre ! l'antre de Parade ! Charge frontale dite "ventrale" ! le Passé des Ambrassades ! ventre contre ventre ! chants d'écran ! verbe sarde ! paradis blanc ! vie des vies post-chants de Grave ! Frondaison saison ! On veut :

COLLER AUX NÉNÉS DES DONNÉES FINALES = COMPRENDRE VCE QUI SE PRÉSENTE EN TERMES DE DONNÉES DE RAGE, DONNÉES DOCTES, SUR PORTE DES PORTES. 

oN est  nées Fée de Roche ! Ronde bosse ! Crzeusement d'époque haute ! sainteté de roche accorte , fée sur pré de Roche des Données Profondes. On a envie en vrai d'aller chercher de chez chercher le terme qui pourrait (qui sait ?) nous informer , nous donner donnée, nous donner de qauoi pour le coup cerner , les données qui pourraient comme nousz i,ndiquer, de fait, ce qui est, en ces "terres" de fée, terress allouées à une sorte de tracé en herbe : Verbe ?, et comme consacrées par une szorte de di vinité qui sezrait là à toujours mater et  l'herbve du pré et lrsz bêtes qui sont dessinées , gravées comme à main levée ! On veut toucher ensemble à ce qui est qui se présente en tant que né2nés ! voici le Lait ! L'ombre portée d'une sorte de Divinooté lactée on dirait; est-ce que c'est  ? est-ce que cette chose en vréi  ... est ? existe ? nous r egarde ? veut ou voudrait nous "prendre", npus rapter à la retombée, nous absorber, nous avaler comme une sorte de denrée des prés : herbe ? herbe verte ? herbe desHerbes ? herbe sur Pré surnuméraire ? herbe-Verbe ? On veut (on voudrait) cerner ici (de près) cette chose ancrée, toucher aux nNén és c 'est un fait !

OPn voudrait ! on voudrait en  vrai ! vrai de vrai on aimerait ! On voudrait toucher ! toucher de chez toucher ... aux Nénés de l'Antre ! On est F2e des prés tracés , on est accolées en tant qu'on est ... les ailes d'une Fée Tracée ! Ailes soudées ! 

AILES DES FÉES ! AILES CONCRÈTES ! AILES CENDRÉES ! AILES "SURNATURELLES" ON DIRAIT ! ON EST AILES DE FÉE DONNÉE ! ON EST NÉES AILES = ELLES LA MORT DONNÉE ! FI DU FILS ! FI DE L'HOMME-CORPS ! FI DE L'OMBRE SUR LE CFORPS ! FI DU TEMPS PASSÉ ! FÉE ! FÉE DE RAGE ! FÉE NÉE AÉU PASSAGE ! CFORPS MORT ! CORPS DE PASSAGE MORT ! CORPS MORT DIT "DE PASSAGE" ! CORPS DE PORT ! 

 on est fée des  prés  allouéxs  à  une  connaissance des données suprêmes ! on est la fée de l'herbe = du Verbe = du pré = des données de verbev= données vraies ! Verbe au taquet ! Verbe svelte, va et vient  sur herbe comme pour (en vrai) traverser ferme les données allouées à une szorte (ici) de trait dit " du muret". 

On estb la Fée post-cimetière, l'emportée, colère ! née comme à la retombée on veut tracer ! courir et sauter, sautiller, danser, ne plus se reconnaître en tant que f2e mais y aller dans la .... déconstruction de soi et de son passé , si tant est ! Aller = dire = plonger = permettee = faire = comprendre = prendre = sonder , = sonder le trait ! passer ! passer ! passer sans tarder ! tracer = passer !passer = tracer ! ! tr acer Tréit de Rage ... Teait des tRaits de Passage ! passer Nez ! Nez passé , aller, pousserr, entrer plus avant en ces catacombes cendrées , creuser la Roche et traverser de fait les données données ! pousser Hautes les Données du pré telles qu'emportées ! et y aller = pôussser de chez poussszr sans plus lambiner afin de pouvoir ... travezrser la Chose, d'une sorte de Muret (des Finalités) post- pré ! Et voir de l'Autre C^-oté ce qui est en termes de ... Nénés ? qui sa it ?? de nNénés nés comme à la traversée ? ça se pourrait ! qui en vrai sait ? Qui sait ce qui est ? qui connait le VErbe ? les denrées du Verbe : Herbe ? Lait ? lait de l'Herbe allouée ? Lait d'herbe ? Herbe de lait ? herbe à lait ? herbe-verbe à lait cendré, nacré, tracé, aimé ? On aime !!!! On aime le lait !!!! on aéime l'herbe ! on aime aimer le Verbe vdu Trajet, du Tracé fait, du sentier aux données, du passage docte et autres traits par où passer (de porte!) . Aimer = sonder = coller = do,nner = faire = charger = pousser = fondre ! 

On veut (de fait) en tant que fée : 

ALLER SUR ROCHE TRAVERSER

COMPRENDREC LES DONNÉES ACTÉES

POUSSER LA PORTE D'UNE SORTE (IL SEMBLERAIT) D'ENTITÉ LACTÉE

CHAUFFER LES DONNÉES

FONDRE LE PASSÉ, LE CORROMPRE

ALLOUER À UNE PORTE (DITE '"D'ENTRÉE") LES DONNÉES DE ROCHE

COLLABORER EN TANT QUE FÉE AUX RECHERCHES EN HERBE ET AUTTES RECHERCHES SUR PRÉ

TOUCHER LES NÉNÉS

GRAVFE TOUCHER LES NÉNÉS

CERNER = PISTER = CONNAÎTRE CE QUI EST ET LE DONNER À  CEUX ET CELLES QUE ÇA INTÉERESEE ! 

toucher -dire = pister-faire ! Qui sait en vrai ce qui est qui ici nous attendrait le pré (de la mùort donnée) pâssé ? Le curé ? l'ombre-hombre ? cotrps passé enterré ? La Machine Folle ? le Passé des Données Tracées  ? Le Pendu au cul ? L'attrabilaire des cornus ? On est Fée vsvelte : on court on vole ! on ne s'en lasse pas ! on est fine élancée nacrée acidulée accorte montée ! Fée des Données Fortes = folles ! Données des Données , on connait ! on voudrait partager ! pousser (pour ainsi dire) le Tracé de Fée sur .... du Passé re-re-membré ou comment dire ce tracé ? comùent s'exprimer ? comment révéler ? aller sur pré, poser ses pieds, p ûis s'envoiler, monter, toucher de chez toucher, au plus haut possible, le Haut des FRises, le POteau ! le trait né ! le chant lacté ! la la la des rotonditées comme traversées ... par le Haut ! Haut POteau du trait Haut ! Contrer ! toucher ! accoler à ce haut des Hauts son museau, petit nez de Fée consacrée, cherchant issue de base à pouvoir emptrunter comme à la parade , 

PARADSDE AUX ANIMAUX BEAUX 

PARADESZ AUX ANIMAUS DE PEAU

PÂRADES SARDES AUX BÊTES DE MOTS

PA RADES DE MOTS SUR PAROIS DE GROOTE ... DE PORTE ?

Aimer ce qui ici se met en branle en termes  de bêtes "comme à la parade " = toucher Termes des Données de base ! On veut ou on voudrait en vrai pousser (au plus profond) nos recherches pour des connaissances ! passer pré ! oh grave ! aller bien après le pré des rages, pré des bêtes-mots,  des dessins d'animaux, parades notoires, oripeaux, boucs au trot, et , au-delà de ça, eh bé ............................................................................................................................................................... tracer gravce ! travezrser "la lande " , pousserr au plus lointain notre sorte de promenade .... des "confins", sarabande ! On est En Bande ! Bande D'animaux ! Transe ! transe de peaux ! Fée-Bêtesz au Passé d'être et autres Fée des Fées de Fêtes Animalières sur Paroi  aux mots ! Chants Cotés ! Cris des prés ! sang comme    possédé ! Animaux des prés sont Bêtes Lactées ! Vives et Accolées ! troupeau ! troupeau dit "de mots" = Veaux d'Eau ! fond de Roches sr Paroi de poche ! On monte ! on monte par nivrrau ou comme par niveau les marches de Roche ! Porte par porte ? On est Hautes ! Fée Haute sur Paroi Des mots , soit des mots-animaux tracés au cordeau ! porte / ponte ! Chyants d'oiseaux ! corbeaux ! serins ! merles et moineauxd ! chants d'oiseaux au to nneau ! porte docte ! on veut coller à cette sorte de donnée ailée qui bnou!s ressemblerait comme deux gouttes d'eau .... du tonneau ! Peau des peaux ! Porte Docte = porte folle ! On monte ! on monte le Haut du Tonneau d'eau forte ! eau de vie de l'ombre ! chalumeau ! cordeau ! possession de roche et autres feux sacrées de poche , et autres feux sacrésc de poche ... au lamparo ! On est la Fée des données Hautes, volant, allant, voletant sur roche vers l'Entrée profonde ! Traéit aux Bêtes-Mots des Données de poche, ou autres. 

On veut en vrai toucher de chez toucher la Porte ! Comprendre haut. POrter Parole. Voir / savoir les données hautes. Toucher = loucher ! Voir Haut ! Toucher haut Le Verbe d'Eau , l4ombre de l4ombre ! Chalumeau ! ........................................................ toneau ........................ porte ...................... colle ................................................................... pinceau ......................................................................../................................................................................................................................................... chant d'oiseau et autres chants des données hautes ! .................................................... vols hauts ................................ vie des mots des données fortes (folles) et autres mots de trop ........................ corolles ! On veut aimer = dire ! prendre ! scharger ! comprendre grave  et le plus possible de donnnées du pré et, au-delà du pré, du muret, du muret post-pré, du Trait alloué à ce muret dit "des finalité"s  . ON est La Fée qzui veut cerner (de près) les données donnéesz par une sorte de muret des données profondes ou aux données profondes, soit "hautes", enfoncées ou engoncées, ancrées de force (? ) qui sait ? On veut de fait entrer ! aller sur néné tracer, peut-être, les données données ... ou bien juste ... téter ?? Dire le Lait ? traire ? pousser ? coller son nez ! ses l!èvres ! BHouche édentée ! téter de chez téter le n2né en Herbe de lza MOrt Ancré (surnuméraire ? alimentaire ? Sainteté Lactée des DOnnées FErmes en termes de do nnées tracées dites "de Vérité" ? ) . On a envie ... on aurait grave envie .... on aéurait grave envie en vrai ... d'aller téter , "au passé" (?) Le Néné post-pré ! toucher ! toucher au néné post-pré ! grave toucher pour mieux téter et dru cfoup (en vrai) s'alimenter pour pouvoir durer = perdurer = poursuivre, sur  "notre lancée", le chemin des Ombres ou sinon des Ombres des Clartés comme Acidulées ! Hautes ! Clartés Hautes des DOnnées de ROche, de ROche PRofonde et autres ROchesDes Entrées PRofondes. POinter ! toucher le néné au point lacté ! pile pointer ! allouer du Verbe à du lait si tant est = tracer, au débotté, les mots de l'Ogre , du Passé Nacré, des Omb resc sur Ombres, Du passé Acidulé d'un e sorte de Donnée de force ou d'un Passdage en force, sans trembvler (?), sans chercher à plus que ça se dérober mais de fait eh bé .... y aller ! poussezr de chez pousser ! ne pas s'arrêter maéis, au contraire, filer sans traîner ni stopper ni se dérober ! Pousser copmme qui dirait du "blé en herbe" ! Les données du pré ! L'Herbe verte du ... Passé ? Qui sait ?? qui connaît l'Être , le TRacé de l'Être ? Le petit Poucet ?  Le petit "chat botté " ? L'ombre souterraine ! L'Ampoulé du Verbe ? le prêtre ? 

oN cher che ! on cherche sans fin ! on veut toucher ! on aime ! on veut cfoller ! coller nez au muret et aussi renifler et aussi comprendre ! pisser ? aussi pisser ! chier ? aussi chier ! coller son nez à la rembarde du muret des Alpes ! On aimeraéit graver, ici muret, comprendre = toucher = dire  = passer, ert nous retrouver (accolées ) de l'autre côté ... encore fée ? encore ailée ? encore 

en forme de fée qui seraiot comme allouée à un nouvreau pré si tant est ? On veut :

DIRE DIRE DIRE

LE PASSÉ PASSÉ PASSÉ

DE CE QUI NOUS ATTIRE TIRE TIRE

ET NOUS ÉLECTISRISE TRISE TRISE

SANS NOUS ABÎMER BÎMER BÎMER

ET NOUS ACHEVER CHEVER CHEVER

SUR NOTTRE LANCÉE LANCÉE LANCÉE 

FRISE AU TAQUET, CORPS DE DONNÉESZ, PORTE CENTRÉE, PASSAGE HOT, VENT MAUVAÉIS (PET OU GENRE DE PET)

On a méga envie de passer ici à travers ce muret, afin de pour le coup enfioin cerner les données du TRou, ou de ce qui, peut-être (en vérité), serait un trou ou sorte de trou aux donnéees vprofondes, soit fiables ! regarder, c'est voler ... mais pas que ! C'est aussi ... toucher ! toucher de près ! toucher de chez toucher = passer = donner = prendre = comprendre = sonder = pister = pondre = ne pas lambiner mais grave foncer de chez foncer au-delà du Trait, de la Porte Haute, direction (qui sait ?) les Nénés Post-pré, eyt§, éau-delà, la .... Mort comme saturée de .... de Passé ? De PAssé de Coprs ? De' passé de Corps Morts ? On veut .... .......................................... chanter - charger ! .......................... dire-donner ! ............... donner -rire ! dire-rire ! vivre)-rire ! et passer ! .................................................................... traverser ! aller ! souder ! poser ! porter ! cerner ! aller de rive en rive post-pré aux données vives ! charger = vivre (dans la mort active) une sorte de dérive ivre ! Forcer ! pousser ! poussser = forcer ! forcer-pousser une szorte de rire , dès l'entrée sur rive ! traverser ! courir ou voler ! maiçs tailler = se tailler = chercher à (pour le coup) cerner, après le pré, la Rive Cendrée, la vague Nacrée, MEr donnée ! Donnée des Données ! Porte Allouéeb à une sorte de Donnée De ferme ferme ! Possésdée ! comme grillée ! chantée peut-être ! soulevée ! vaguelettes sur Passé olé olé ! on dirait ! mais est)-ce que c'est  vrai ? est-ce qu'en vrai la mort (les oubliettes)c'est la mer (la merde ?) du Passé ? Cran d'arrêt ? Sainteté des saintetés Nacrées, genre Mer Cendrée ? On veut en vrai toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchert toucxher toucher toucher toucher de chrz toucherb la grève ! le muret et après : la merde ? Mère accoléec ? Mer des prés , du passé muré ? mur des Acidités, dees Données TRacées, du Passé Caché,, consacré, enfoui, ôté du pré mais comme rangé passé le muret sur une szorte de jetée du Verbe ! Je tée des jetées ! Jetée des Nénés ? Jetée ferme ! On veut toucher ! on ne veut pas s'arrêter, on veut co ntinuer. On na envie en tant que fée du pré de traverser le"dit muret des find de Règne " (comme qui dirait) et là, une fois passée, fée ou pas fée, cerner = comprendre ce qui est .... une jetée ? une sorte de je tée ? une sorte de mer allouée à une sorte de Passé en herbe ? Mer donnée allouée à du VErbe dit "du Passé " ... Verbe à ailes ? Verbe ailée ? Verbe d'Elles ? Des données Données Souterraines  ? On aimeraéit peut-^$ette (ça le fait) toucher, toucher à ces Données en herbe, à cette sorte de Jetée telle que présentée, à ce muret pâssé puis au tracé sur terre de la vie cachée ... ? tracé né ! tracé post-pré  = post -post mortem s'il en est ! On veut en v rai coller à ce tracé dit "des Nénés" tels qu'ils nous apparéiaitraient post-post mortem à jamais mais qui le sait ? Qui sait ce qui est en vrai, ce qui ici se dessinerait pour ne plus nous quitter en terme de données données genre "théorème", "tracé des tracés", "vie des fées post-pré", "vérités des vérités en branle" . Le Passé serait, qui nous attendrait sans traîner. Un passé de contrebande. Passé des passés. Passé Haut sur Mer Allouée à une sorte de Poteau de Mots ! Cornes folles ! chants d'oiseaux ! paroles paroles ! On est la Fée des Corps Nouveaux, sur pré accorte, puis plage de roche aux vague s de cordes. Port ! Port nouveau ! Port des ports nouveaux ! POrt-La-nouvelle sous peau ! Corps d'or au caniveau, et nous voilà (en tant que renouveau) née Fée au cordeau ! chalumeau ! passage Haut! traversée des Peaux, Langes, Draps, draps de corps et autres linges de passage d'ange .... dans un pôrt ! Haut des Hauts ! poteau ! poteau d'eau ! on monte ! on est hautes ! On est la Fée des Hauts ..... Haute ! On est la Fée Hzaute ... des HAuts Niveaux ! on est passé ... pâr la parole", sur port des peaux ! Haute ! on est Fée Haute post-préau ! passsage accort, trait de la mort, entrée du cvorps mort et hop .... chalumeau ! cendres au tonneau et Verbe au Poteau ! colère ! Entrée svelte et du coup on guette ! On mate (grave) ce qui se présente en termes de mots, de mots d'eau (?) , mots doctes de Porte, mots des MOts. On est la F2e post-pré aux mots (bêtes de peau) qui, de fait, cherche en vrai, à ne plus s'arrêter de voler mais, au contraire.... va au plus lointain ... verbe-MÈRE, trait lointéin des tracés du verbe ! car, le Passé est consacré

LE PASSÉ EST CONSACRÉ

LE PASSÉ COLÈRE

PASSÉ COLÈRE

LE PASSÉ COLÈRE EST COMME CONSACRÉ, LE PASSÉ COLÈRE EST COMME (DE FAIT) CONS&CRÉ, PASSÉ PASSÉ, PASSÉ NÉ DE LA COLÈRE D'ÊTRE COMME ... CHAHUTÉ, BOUSCULÉ, TOUCHÉ, TOUCHÉ DE CHEZ TOUCHÉ, TOUCHÉ BLÊME ! ALLOUÉ À UNE SORTE DE POÈME DES DONNÉES DONNÉES ANCIENNES ! VERBE NÉ SUR PRÉ POUSSE SES DONNÉES JUSQU'AU THÉORÈME DE TYPE "J'AIME", "J'AIME LE  BLÉ ", "L'OMBRE DE L'OMBRE", "LE PASSÉ ALLOUÉ" ... À UNE SORTE DE DONNÉE D'ÉPOQUE NÉANDERTALIENNE COMME QUI DIRAIT ! 

On veut toucher en tant que fée , à ces Nénés dits

 "des données acerbes" , "du passé des données", "du Théorème acidulé" ici ancré dans une sorte de "je t'aime" saturé, super tracé ! On aime ... les Nénés (c''est vrai) mais aussi l'herbe ! le Passé en herbe et a&ussi le léit ! l'herbe à lait ! Théorème né"andertalien des données de porte, forme docte, donnée haute, permissivité ! On veut comme coller en tant que fée à ces nénés de roche ici tracée : porte ! hautes bêtes ancrées ! hautes données ! hautes et chaudes animalités dites "de roche-" : auroches ! auroches des prés ! aurochs et auroques soudées ! sondées ! tracées ! gravées hautes ! sur paroi de "porte"  ceinturée ! On veut ou on voudrait en vrai toucher de chez toucher à cette poerte des données profondes, le tracé du traéit est un tracé de porte, on savait ! disons qu'à présent on sait .... car, on est F2e et la Fée sait , qui connaôt la Roche, le Pré, lae Muret, Le Passé outré, la Parole Haute = Docte , le Néné ça le fait et aussi le Lait, Lait des prés et lait le pré Passé = le Passé de Porte, Passé des passés, Mer Haute des données post-roche, Méditerranée comme qui dirait ça se pourrait ! On veut toucher en tanjt que fée à ce qui est qui (ici même : pré aux fées) porte Parole, veut tracer, s'ancrer, rester ou demeurer sans plus bouger = s'immortaliser ! qui sait ? Sur pré, la Parole est docte .... au-delà ? on ne sait ! on veut cerner ! on voudrait et cerner et dire, de fait, ce qui est qui nous apparaitrait "sans faute" à jamais ... mais .... comment s'ancrer ? comment toucher à ce néné des ombres ? comment perdurer dans la recherche (active) des doonées vives ? On veut : 

DIRE DIRE ET DIRE

CE QUI EST QUI VIBRE

SOUS LE NEZ DE L'HYDRE 

Toucher = verbaliser pour ainsi dire. Charmer = vivre. Dire = cerner , de fait, ce qui est qui respire (en ces contrées) en termes de ... vouivre ? vouivre serpentine ? Vivre serpentine ?  = un trait, au jugé ? une sorte de tracé de vivre = vivre dentelée ? Qui sait parler ? qui sauraéit dire ? qui en  vrai sauraéit nous instruire sans nous tromper et nous éclairer sans plus de triche ? qui ? On éimerzait savoir ici ce qui est qui vit, qui bhouge ou bougerait, sans nous aimer, sans nous aider, sans vouloir nous indiquer la (bonne) marche à suivre jusqu'aux ... nénés ? "Nénés Druides" ? "Nénés fluyides " ? On est passées le nez devant, sans plus traîner au vent ! on veut en vrzai coller aux donnée s sardes ! Les toucher de près ! tracer (sur muret) nos noms de Fée : Airelle Possédée, Chantrelle Accolée, Pastrelle du Blé, POutrelle au Taquet et autres Noms dOnnées De type "Collet", , "Colle

t Monté". Fée sur Pré ravive le dire Sacré, c'est un fait, et pousse à rire ! On veut graver les noms du Rire ! percer = toucher = comprendre = donner = faire = entendre = percer = dire = cerner = pisser ou (on dirait) pisser = pisser du lzait ! pisse adoubée ! lait de roche ! donnée haute sur paroi d'époque ! le tracé est tracé de porte : auroques ! le bison -tronc ! bouc et bouques-bouches ! On ose ! On est osées ! On est cfomme Hautes Osées Fées de roche ! porte d'entrée sur un côté on y va pour frapper , espérer, espérer entrer, être acceptée, être rencontrée, être peut-être même comme "invitée" à regarder là-bas (derrière ?) le ... Passé ? Les Nénés ? Le Verbe ? l'onctuosité du lait de Verbe ? L'ombre saluée ? Le Tracé aux Fées et autres types de tracés vénères ? Charge sur Passé de Dames ! congratulités ! sarabandes ! possession ancrée ! plantes ! fleurs ! tiges de fleurs !! pétalesz ! touché ! toc-touché le Monstre ? touché ! comme en vrai on aimerait toucher, toucher sans hésiter ! toucher à ces Nénés de lo'ombre ! tracer = donner ! dire = poster ! coller = faire ! dire et coller ! dire et monter ! charger = cerner  ! perdre = faire ce qui est qui nous soulagerait ? On veut : 

être sur pré la fée .... puis monter de chez monter  direcvtion un muret , muret des murets, mur au tréait ! et du coup passer ! à travers le trait ! passer -être ! être-passer ! coller son nez et comme renifler avant de pour le coup passer au jugé , comme à l'emporté, dire-passer ! pazsser-dire ! p ôusser = entrer (par le dire de Fée) en cette roche des données dernières .... et ... regarder sans tarder ..... les données "entières" ...... fugacités ....... portées d'ailes .......... pointes acérées .............. colèresd des données sévères /....................... passé ........ le passé celte ........................ tracés des tracés .................... pertes ................................................... VErvbge en herbe .............. contrées des contrées ............................. comme "chapeautées" par du Verbe en herbe , genre Lait ...................... lait sucré sacré ! ...................................  à votre santé ! pré ! pré passé ! pré des prés passé ! traversé (à grandes enjambées) et nous voilà ailées arrivées, sur roche-grève, prêzte à .... cerner ? tracer-dessiner, à main levée ... ce Verbe pôst -pré de type "Néné_Verbe" , ohé ! ça porte ! ça rapporte ! ça emporte ! çàa le fait ! ça donne ! c'est un trait de roche ! trait sucré ! on ose ! On voulait en vrai y aller et voilà, on veut en vrai (de chez "en vrai") tracer-toucher à la Parole dite "de POrte" on dirait .... PArole -Roche ! traits tracés au pied levé par Homme-Femme des Contrées de base : néandertéaliennes nées, néandertélie"ns-nés, Homme et femme au débotté ici associées car, Ombre Portée sur Paroi Létale ! un tracé ! une donnée ! une porte d'entrée ! un trait ! voilà, un trait et ça le fait ! trait d'or ! trait des traits ! trait de Roche Allouée à une sorte de passage en or ! Pré -consorts ! port ! port-sur-mer nacré ! Fée ! Sommes ! trait !  port des ports cendrés ! on monte ! on est raccord ! accolées ! = ailées ! deux ombres pour une fée et ça fait la fée , fée d'oor ! Fée du pré passé, des données profondes ! On est comme percées ! touchées ! collées ! tracées ! montrées ! bousculées mais on est entrées et on porte ! , loin, nos ailes nacrées ! envolées ! hautes ! Homme mort tombe ! fée née s'envole ailée vers d'autres destinées que celles (terreuses) de l'homme dit "tracé", .... drôle ! Haute Fée de Porte, centrée , pousse Haut et Ose, porte, pousser ! et du coup enttrer ... et .... mater ! mater de chez mater Mater  (prononcez "ma terre") ! Air de Fée ! Sons de cloches ! un trait ! une sorte de Parole Haute ! Fée des Fées de Roche .... porte , en vrai, son Ombre Nacré jusqu'au bout du pré, Néné  ! ah Néné ! Néné né ! Néné des Nénés ! à teter au-delà du pré, à bien téter pour bien s'alimenter ! se requinquer ! tracer !pousser au loin la chevauchée, le treacé-trajet .... en jetée ! jetée des jetées ! je tée 

des jetées jetées ! aller au plus profond des dites

 "données alouées", allouées à une sorte de jetéee ... qui le sait ? Qui sait (de fait) ce qui est ? Qui veut dire en  vrai , donner, offrir, dire de fait ? On ...

On est la F2e du prétracé ! On est fée des fées sur pré ! on est (dans la mort) Fée , prête à tracer, sans traîner, vers ... Mamelon ? Petit P°atapon ? Lampion ? Oignon  ? "Om" du carré des Troncs ? Aller-charger ? Prête à dire-coller ? à tracer (au-delà du pré) les données allouées de fait à un tracé de type ... "mamelon" ? toucher -dire, faire-aller, donner données, coller, aucx Nénés du Dire, les Données du Rire ? pousser = pointer ! Faire = charger ! Fée des Fées on est .... jusqu'au rire alloué à une sorte de "dfonnée active" cendrée (?) et cfomme enterrée (?) qui sait ! Pro-hydre  ? On ne sait ! On veut :

TPUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER À L'HYDRE ET SES NÉNÉS ! ALLOUER AUX NÉNÉS LE LAIT ACIDULÉ ! VIVRE ! VIVRE TRANQUILLE DANS LA MORT ACTIVE PRÉ-HYDRE ! COLLER (DE FAIT) AUX NÉNÉS DU TIGRE ! VIVRE = COLLER = CERNER = PISTONNER SANS VRAIMENT RÉELLEMENT TRNAÎNER MAIS GRAVE FILER ! FONCER ! FONCER DE CHEZ FGONCER ! NE PLUS S"'ARRÊTER ! TRACER DE CHEZ TRAVCER ! COLLER AUX NÉNÉS DU VIVRE "TRANQUILLE " À JAMAIS OU COMME À JAMAIS ! VIVRE = DIRE, LE TRACÉ, L'EMPRISE, LE TRAJET, LA PRISE, LES NÉNÉS DE L'HYDRE ET AUTRES DEONNÉES QUI PRÊTENT OU PRÊTERAIENT À RIRE (GRAND RIRE) SUR PAROI (DU VIVRE) CONSACRÉE !

Aller = tracer, dire = donner, pousser = charger ! Qui est qui en ces contrées du Rire cloisonné? Qui cerne ? qui porte ? qui comprend Le Verbe de POrte ?  Les données dites "acidulées" d'une sorte de ... Néné du Rire ! Qui compte ? qui sait dire et rapporter le dire sur paroi de  roche ? qui va loin dans les données et sait treacer comme à main levée les données trouvéezss ? bêtes allouées à une Vérité, bêtes-mots tracés, chants hauts, mots de trop , verbe de peau ! 

On est la Fée des Fées des oripeaux , du Verbe Haut comme portés ! Hautes Fées des c^oteaux ! fée du Pré  des prés ! Fée haute genrée = ailées = segouinée de par les ailes ainszi soudées ! ELLE ! ELLE DE FÉE ! Elle belle ! tr&it acidulé ! Chanteclaire, va nu pied, ferme, de ferme en ferme ! On veut toucher à ce Néné des données donées post-mortem, et ... re-nâitre à jamais hors pré, hors E^tre, sur Passé post-pré ..... dans une sorte de contrée De fée ... Air ! Air alloué à une sorte de contrée-Mer ! MerSoleil, 

Mer Air ! Mer Jetée ! Mer Elle ! Mer de fée Postée ! Tracé, d'air de mer !Pré ................................................ pré /................................................... pRé ............................................................ pré des prés post mortem , qui sait ? ........................................... genre : pré-mer ? ........................................./............................... mer en herbe donnée ? ................................................. mer cendrée ? ........... possédée ? ..................... prise sur le fait ............. ? .....................././............/................................... allouée à une sorte de donnée des données cendrées ................... poussées ...................................................................................................... contrée des contrées cendrées ? .......................................... mer des mers touchées ................./.........................olé olé ..............................................Morte et enterée ? .....................................Le Passé ? ....................................../........................... une sorte de passé montré ? porté ? donné ? rapporté ? remonté des dites "catacombes"d'une sorte de Rotonde ? ......................... un passé ancré ? ................ Une sorte de passé de porte ? passé docte ? traits d'ombre ? vie des prés sur ppied ? Ombre sur Néné et ça fait son effet ou son petit effet de Porte ? Vrai ? .................... ombre nacrée ? Chose sur pied nous verrait aller, tracer, voleter (de r(oche en roche) en ces cxontrées post-porte ! mer méditeérranée ou autre  , mer Égée, MEr morte, MEr Donnée aux Fées de Roche pour .... creuser , de vague en vague, un savoir léger, comme en vrai ailé, genre "sainteté", "sainteté des saintetés" ..... On veut :

eh  bé ............................................... tracer ! ................. filer-foncer ................................. pas nous arrêter .......................... =chercher , à ici cerner = entourer  = circonscrire ................................ une sorte de paroi de roche avérée .............................. vraie .................. native ............. sou dée ... aux Nénés de l'Hydre , qui sait ? .......... vive ......................................... coller ! ............ donner ! ................. p ^)ousser en vrai jusqau'à cette (sorte de) ......... RIVE VIVE ! Rive des RIves ! ....................dès lors allouée ou comme allouée à une sorte de dérive ivre ...................?............... une entrée dans l'antre ................... un pass age acté .................. trait passé .................. poussée du vide comme qui dirait ............ENTRÉE DEES ENTRÉES ..... POUSSÉE DES POUSSÉES ........ RECHERCHE S CONCENTRÉES ....... RECHERCGHES SANS TRAÎNER ........ DE DONNÉES ACTIVES, DE PASSÉS VRAIS, DE DONNÉES RICHES CONCERNANT LA RIVE, LA JETÉE, MER ACIDE, MER CDES DONNÉES, MER VIVE, TRAÉITS DE VAGUES  SUR TRACÉ, MER ALLOUÉE À UNE SORTE DE RECHERCHE ACTIVE HORS LA VIE À VIVRE SUR TERRE DE TRAIT........................... MER GENRÉE COMME QUI DIRAIT = IVRE ! ......... TRAIT DES TRA&ITS = CLARTÉS ! CLARTÉS DITES "DES CLARTÉS", "DES CLARTÉS VIVES" ..................... PONTS DES FÉES = PONTON ....................... SUR VAGUES CENDRÉES , NACRÉES, VIVES DE CHEZ VIVES , ............... LE PASSÉ ACTIF ..........................LE PASSÉ ACTÉ ..................... ENCORE ACTIF COMME QUI DIRAIT, VIA ICI UN TRAIT, TRAIT "DIT",, TRAIT DONNÉ, TRAIT DES TRAITS DE RIVE, POSSÉDÉ, ARMÉ, ALLOUÉ À UNE SORTE DE PASSÉ DE RIVE, PRÉ-ANCRÉ, PRÉ-FÉE .................... RICHE, DE DONNÉES DE RIVE .............. TRAIT DONNÉ VENU (COMME QUI DIRAIT) DU PASSÉ DE RI VE, PRÉ-FÉE, PRÉ-PRÉ-FÉE ........ PRÉ -ACIDITÉ ....... PRÉ_CHAMPS DE BLÉ ET AUTRES SORTES DE PRAIRIES,  DE ROCHE VIVE ! PRÉ DES PRÉS TRACÉS ! 

On est : 

fée des fées sur pré alloué à une vérité active

fée grise des dopnnées acides

 fée du pré post-calamités et autres atriocités des données promises

fée vive au taquet une fois actée = ailée 

fée sur prise

fée active aéllouée à une destinée en rive = ivre

ivre fée aux données genréesz , soumises à une Vérité Tracée , de type "Hydre" .....

Fée Docte de bonne Parole,; Bonne Et Haute P arole sur Paroi de Roche

Fée des traits de porte et autres "Passages Hauts" pour passage d'hôte ,! Préau !

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28/11/2024

On est qui ? On est Fée ! Fée des ombres portées ! Saints de Satiété et autres saintes soulevées ! Chants d'ombre ! on veut toucher-cerner à ce qyui est qui se présente devant nous ! Cerner-allouer, à un trait, les données du monde. qu'est-ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait , qu'est-ce qui est ici qui va et vient et semble vouloir nous parler . On rentre = on va , sur ppareoi, chercher, ensemble, les données profondes. Ailes au taquet savent voleter ! aller et virer, cerner et toucher : enttrer en "rotondité" ! On edt nées Fée comme "à la ramaqsse" = au jugé, sur piere des fées. on veut ensemble s'il-vous-plait aimer , aimer aller, fonvcer, tracer, chercher à comprendre ici les données, les données de base. Qu'est-ce qui est qui nous regarde ? qu'est-ce qui est qui nous embrasse, comme qui dirait ? On cherche en semble (ailes) des données, et ce s données sont : 

RAge, Foi, Traits, Envoi, COlère, Charge Frontale, Seins des Fées et autres seins de Reines allouées à une sorte de denrée lactée , genre Lait ou PEtit Lait .

On est nées Fée sur roche traversée, et à présent on cherche à cerner  

les fonds de pré, les vivacités, les envois de gré ou pas de gré, les  remontrances, le chant des Balances, le TRacé de près ! Charge ! Charge au frais ! Traces mentales de données de Rage ! Qui on est ? peut-être la Fée dite "des parades" ... boeuf de pré, Bisonnne avenantes, Saintes Satiété ! On chzarge = on entre ! on veut (grave ! grave de chez grave !) entrer sans reculer = tracer, foncer, tracer vers les nénés = foncer sur pré comme à la parade + cgharger  = aller, sans traîner, vers une Déité des données Allouées à une sorte ivci fde "Vérité des V2rités" . On est Fée des Fées ! On monte Carosse  = on monte sur paroi des Ombvres !?Néandertaloiennes ! Néandertaliennes ! Néandertaliennes on est nées ! Nées Fées dites "néandertdaliennes" ça ir ait, ou (même) ça le ferait, ! On veut de fait cerner les nénés .... les nénés des Ombres ! L'ombre au frais ! L'ombre portée ici sur néné (?) ! La Chose ! 

Quelle Chose ? On dirait ... "la Chose" qui , ici, serait , à comme nous mater de fond en comble = juger ! Fée caarabosse des données suspectes et autres ronds de bosse, on serait. 

Pour ... Chose ? On est F2e des prés et on monte ! on s'élève ! on grimpe ! on veut toucher (grave !) aux nénés, aux nénés en herbe ! On veut envrai toucher à ces nénés, de l'herbe  broutée ... et ce serait comme une sorte de denrée supplémentaire ! une sorte d'entrée en matière ... ou dans la matière ! Herbe-verbe, société des termes, gentrification du pré, allusions littéraires et autres données de type Lettres ! Onest Fée d'Herbe ! Faite Fée à la criée ... ou à la retombée dans l'herbe, trait passé ! ON veut on voudrait : chercher ! chercher de fait le néné né !Sein des traits sur herbe touchée ! On a, comme en nous ici (ancrée) , cette envie d'y aller sans traîner, vers ce qui est qui nous regarderait sans discontinuerb ... C e muret des prés ou dit des présb ! Cette sorte en vrai de clarté alloué à un trait de muret post pré, post prairie aux Fées, aux Bêtes à brouter, aux Herbes NAcrées ! onn guette ! On vreut en vrai aller au plus lointain des terres ! chercher trait des passages donnés ou comme autorisés ! On est la F2e post pré, faite d'ailes = Femmes, dites "secondées ". on veut :

dire et aller, toucher-coller, faire-comprendre, allouer-permettre, donner-cerner, tempérer-ssonner, chahuter-amadouer, fondre et coller ensemble , iic même, nos ailes , sur mât de misaine , charger, coller = cerner, les données blêmes, le Passé des Fées, l'ancre de misère (de miséricorde) et autres ancrages ici tracé, de type bufflettes, bouquetines affichées, bisonnnes des prés, chevales accrochées sur roche gravée ! On est  des F2es des prés "néandertaliennes" à jamais ! on veut coller )à cette V2rité, genre (ici) Vérités, des Données de l'herbe , ce serait !

Charges ancrées ! Passages ! Tracés vrais ! Peuplades de bêtes tracées sur par(oi cendrée ! 

On veut comprendere ce qui est;,, qui va et viendxrait, nous donnerait du lait, du bon lait sucré , voire sucré-salé ! bouquetinne vive ! On veut grave en tant que voilà, nous sommes Fée, dire et toucher ! comprendre et c erner ! ces sortes de "Nénés de Grande Instance" ! On est née Fée sur branche ! nous voilà "aimée" ! "touchée et aimée" , pour ainsi dire en v  rai ! Qiiu on est ? on est La Fée dite "des Données de branche" (ça le fait !) et on enttr en Antre ! On veut coller = donner = sonder = dire = comprendre =chzarger = colmater = contrer, ici, les données maussades , les contrer de rage ! et tracer, ensemble (ailes de fée comme accolées), le trait de la XGHance sur paroi donnée = sentier, sente, trait surr pré, chemin de randonnée pour fée débutante ! On veut ALLER ! ALLER GRAVE JUSQU4AUX NÉNÉS ET NE PLUS S'ARRÊTER MAIS (FGRAVE) EN AV ANCER SUR PLACE = TRACER ! CHARGER ! CERNER LA RAGE DES DONNÉES ANCRÉESS ! TOUCHER AU MURET ! 

TOUCHER AU MURET !

TOUCHER AU MURET ! 

TOUCHER GRAVE À CE MURET 

DES remontrances, des données de rage et autres vérités de face, train donné, chants de grave collet-monté, vente dx'armes, autorité ! On veut toucher-comprendre ces nénésxs post-pré = entter ! enttrer !

 entrer ! entrer ! entrer ! en vce muret des données finales : qu'est-ce que c'est ? un muret post-pré oui et après ? on veut toucher ensemble (fée) ce muret dit "des vérités classées". On veut toucher "ensezmble" à ce muret des accolades et autres ambivalences ! On veut dire et cerner ces  nénés, les cerner de face, dire ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait en face ! traits ! charges ! sentiments de base sur paroi étanche ! = amitiés,  douceurs et moiteurs ! On veut :

aller sur place chercher à toucher = comprtendre, 

ce muret, les dessous des cartes, le passage, les entrées de base, les données données comme à la parade et autres vérités de Rage . quii c'est (ici devant) qui nous regarde ou nous regarderait sans ceesse ? qui en vrai est né , sur muret, pour comme nous regarder = hjuger = cerner = mater  ? On veut touchger à ce "N2né de Contrebande ", ce qu'il est le comprendre, en termes de "Néné pour F2e" : est-ce que c'est vrai , est-ce que ça se pourrait, est-ce qu'en vrai un néné peut eêtre attribué, la Mort Présente ou une fois Présente = Avérée, affichée, touchée  ? On est lA Fée dite "des doonées en branche", on veut aller (de fait) toucher en face, le Néné de l'(Antrte ! post-muret ? On veut toucher à  ce Néné des contrebandes ... post-muret ! On veut en vrai toucher, à ce Néné (à ces Nénés) de contrebande post-muret = post cloison finale = post -pré aux Fées; = post prairie des ämes bestiales et autres bêtes-mots de Rage ! Toucher = comprendre, car voilà ! On entrte ensemble (ailes allouées) , on gratte au muret ! on veut se faire entendre et que pour nous les choses soient, comme décloisonnées, afin qu'on puissee i-ci passer, qui son nez, qui son pied, qui son oeil, qui son aile tracée ! comprebndre = toucher, en vrai, le Néné des Donnéees, des Données de base ! Mort, dotée de traits de RAge, on veut "te" comprendre ! disz-nous qui tu es ! qui tu es en vreai quand "tu nous rtezgarde" ! On veut envrai toucher ensemble (ailes de fée) les données ancrées sur muret post-pré, post-herbe broutée et autreszx fleurs de terre ! Charger = donner, à un muret, un coup de tête afin de l'abîmer, le trouer ou le percer,creuser en lui un passage de Fée, afin de pour le coup en  vrai enfin pouvoirpasser .. tete ... au Passé ? nez musqué ? pied d'herbe ? Saluer le Terme ? Donner du Passé comme saturé et du coup entrer en ce traéit de lumière ici reytrouvé ou comme retrouvé ! On veut :

dire dire dire

chearger charger charger

cerner cerner cerner

comprendre, au dfébotté, les données de l'herbe soit de l'herbe verte ici renco ntrée, en ce pré udu Verbe Excentré, Du Verbe des données en herbe et autres frivolités ! On est née F2e ,le pré touché, on aime ! On est née fée et on aime, de fait, être Fée en Herbe ! CGHants sacrés ! DChants dits "funéraires" et autres mélodies de règne ! On est passées sur pré direction muret des données concrètes dernières : le tracé des rêves, traits des traits de lumière sur roche calcaire, genre Acidité, Animosité, Méchanceté, Vilaineté des données ici comme représentées sur Muret de Tr^$aine ! Saleté ! On veut crever l'abbcès et du coup passetr à travers le trait, train arrière, 

dernièrecharnière ! porte portée ! On est née Fée vpost-cimetière et c'est ainsi qu'on veut ou qu'on voudrait toucher à ces Nénés, des Herbes ... passées = dépassées ! Toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucxher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher =toucher = topucher = touchger = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher 

à ces nénés nés ... post -herbe = post-verbe ... ESt-ce ? est-ce vrai ? est-ce en vrai quelqueque chose qui se pourrait ou se pourrait être ? nénés nés post prairie du Verbe = post-Verbe , sans reste ? On veut :

dire son passé afin de le caler, ici, sur pré, entre les bêtes-mots dits "des données sauvages et autres cavalcades", charger = donner comme à la pareade son passé tracé = son pâssé de rage, données fortes sur paroi haute, vents de porte ! On est la Fée tracée, qui cherche une Entrée sur Paroi des fonds , va nu pied, vole sur Mont, cherche Parole ! Veut grave toucher à  c e qui se oprésente, au plus profond de l'Ambassade ! le portrait en pied d'une dIvinité ou sorte de divinité, de type ... néné ? est-ce que c'est ? est-ce que ça se pourréait en vrai ? le pré passé ? On veut toucher topucher topucher toucher )à ce Passé des Embrassades, des Touchers lactés et autres baisers sardes... mais, comment "toucher" ? cerner = toucher ok, mais comment de fait en vrai cernerv les dites données ou données de Rage quand elles sont ... cachées ? ancrées ? tracées sur nénés et vas-y toucher ! va comptrendre ! On est fée d'Antre ok mais est-ce en vrai assez ? On veut : 

dire et coller, donner-toucher, centrer et comprendre, monter sur mont De base le se,ntier, grimper, cerner là-haut le TRait alloué à un passage au débotté sans se faire remarquer de trop des Nénézs ou comment aller ? On veut toucher de base à ce qui est qui nous regarde tout en hautde Rage , ou nous regarderait, et pour cela ... tayaut ! grave ! allons bon ! tenons ! ne restons pas (de fait) en carafe mais montons !  chercho ns à comprendre = montons ! gcravissons ! creusons ! traçons sur place le tracé des Rages ! faisons Fi des remontrzances et allons (de bonne grâce) chercher la moisson ! Le pognon ? la Rage !!!!  Le pont de glace ! Trou de Casse ! Pardon ! Le PArdon des Places ! Champollion ! On veut comprendre = dire ! donner = toucher ! plaire = conduire, au passé, les données acti ves ! On ne veut plus se laisser démonter mais grave tracer, foncer, tenir, chercher ensemble (ailes de fée) les données vives de chez vives ! 

le pAssé qui nous ressemble, les nénés post-pré , l'ambivale,nce des données actées, récurrentes, allouées à un Passé de CHance , ce Passé dit "du (Vrai) SEntiment de Branche ", ce Passé acté sur Branche Teracée Sur Paroi des F2es ... Né&ndertaliennnes ! On veut toucher = tracer, et du coup pousser, pousser sans traîner , vers cette Déité des Données Allouées à 

une sorte de trait des données dernières, ce Passé aux N2nés , qui sezrait Passé des Traits, Traites de Pis sur pré dernier (?) ou autres traites sans traîner ! ? ON cherche ! On veut toucher toucxgher toucher, sans gêne, ce Passé siurnuméraire, sein nacré, Néné né comme au passage en vrai ... d'une tête de Fée à travezrs ... le VErbe ? ? qUi sait ? qui saurait nous expliquer le terme , soit le terme donné, alloué à un pré, 

à un pré en herbe, genre .... PR2 des F2ES aux DOnnées Pleinezscx : 

qui ? l'être ? l'ÊTRE SALUÉ , LE DERNIER DES ÊTRES DU PASSÉ DONNÉ , ESTAMPILLÉ , L'ÊTRE POSQTÉ , TRACÉ À MAIN LEVÉ COMME UNE STATUETTE SUR PAROI RUPRESTRE ? On veut savoir le mot  des rages, ce que c'est en ces parages . On veut co:mprendre = dire ! pouvoir dire ! Ce que c'sst que cette CHyance, à nous donnée , de pouvoir tracer, sur pré, le sentier aux données ! trait des traits vers .. une branche de données de base ! chargement de chargements ancrés et autres tracés sur herbes broutées ! On entre = on trace ! On est hnées Fée sur pré passé, on veut tracer sans s'arrêter ! dsans perdre pied ! sans traîner ni lambiner mais grave creuser = chercher de chez chercher ... les ... ambivalences ? les données cruciales ? le Passé des traits et traites de  base ? Le Néné accolé à une sorte de Passé Notoire, genre Ancrage ? Le Passé des Traits de base ? Néné né comme à l'arraché le Nez passé ? On veut :

dire de chez dire ce qui est qui nous reg arde = nous concerne = nous parle, et du coup ... porter sur place (pré ?) les données allouées à une sorte de parade (pariétale)- aux bêtrs cendrées ! cerner = dire ! dire = poster ! pôster = comprtendre et comprendre pôrter ! c'est un faiot ! fait vrai ! charge et portée sur prairie aux fées et aiutres bêtes saluées par hommes et femmes de la Résistance aux données Maussades et autrtes Méchancetés crasses ! On est née Fée au passage alloué à un Passé ! On veut toucher à ce Néné des Données de base, Néné né comme s'il en pleuvait, sur paroi des termes et autres finalités comme dessinées ! Allons sur Mont ! gravissons = volons ! ailes au taquet on doit pouvoir monter sans se casser le nez ! On monte au ju gé ! on est Fée voleuse ! on est accolées = ailées du fait que voilà, on s'est retrouvées (ELLES) sur pré décoré, on a compris l'antienne, on s'est regroupées ou comme regreoupées pour (ensembkle accolées) former F2e pôst cimetière, post paroi orné néandertalienne ou aurignacienne ou solutr&éenne ... et aller ! foncer de chrz foncer vers Elle, Der des DErs des Données Pierrales ! muret des tracés ! Charge d'âme ! trait des traits en luminosité "intacte" ... oh intacte ça le ferait mais est-ce que c'sset vrai ? on est passées ensemble former fée sur p)ré afin de pour le coup pouvoir (toujours ensemble) tracer loin, nootre chemin de connivence, et nous pointer de rage, si tant est, devant donc ce muret dit "des finalités" et auttres "fins de pré de base". toucher = donner. Prendre = faire. Chercgher = plaire. Décorer = allouer à une donnée le VErbe des fées, genre "chargement de rage'-", "tracé vrai", "chance au paassage", "vives denrées", "mots de contrebande et autress mots de fée". On veut :

ALLER DE CHEZ ALLER VERS CE MURET "DES DONNÉES FINALES" QUI SEZRAIENT ... NÉNÉS ? NÉNÉS NÉS COMME À LA PARADE ? 

On cher c he à comprendre ! on a super envie ensemble (ailées) de comprendre et de cerner ce qui , en  vrai, en ce muret, semble nous attendre ! On ne veut pas passer à côté ! on veut aller au plus ancré ! au plus enfoncé ! au plus creusé ! au pls engoncé ! au plus enferré ! au plus éloigné ! de  c e qui est qui nous regarderait depuyis l'acmé de ces données murales ! un muret des Rzages, c'est un fait ! qui, au-delà du pré (pré d'herbes à brouter) serait à nous attendre ou come à nous attendre sans désespérer, le lâdre ! on veut pouvoir  toucher ! toucher de base à ces nénés 

😃 

dits "du p)assé ", , "de l'Antre", "des donn"ées de conjtrebande", "du Passé Ancré = nacré genre Lait de trait " ! On est La Fée post -pré cdes données prairziales, et on veut toucher à ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait sans se gêner ... 

le lâdre ? ... lêtre endeuillé ? l'endeuillé des traits ? "Dom Atrocité" ? On cherche (grave) ensemble à comprendre ce qui est qui serait là à nous mirer ! Qui c'est ? un Pâtre ? Pater mate ? qui, en  vrai, sezrait à nous mirer sans plus que ça (pour ainsi dire) se gêner ? Un pâtre ? une sorte de sorcier ? de petit Sorcier ? Pasteurisé ? On veut toucher ensemble (ailes allouées) àune sorte de Romance ici Personnifiée, de Type : 

Avidité ?

Passé Ancré ? Charge tracée ?

Donnée des Données ? 

vent de face et autres vents de pré ? 

Pets ? 

On veut aller sur place (muret) chercher à comprtendre = cerner = toucher à c  e qui est qui se présente 

à ce qui est qui se présente sans trainer ! On veut :

coller, dire, faire et toucgher, aller et cer ner de fait, les données ici présentes, dire et poster, chercher comme qui dirait Le Néné de l'Hydre ! Oh,on voudrait ! On veut grave cerner (ici et là : muret) toutes ces données, dont le nom sur pré est "Hydre", "Hydre du Vivre ". On veut :

dire dire dire, les données de l'Hydre 

DIre dire dire, les Données du Vivre

Dire dire dire, les Données du DIre ! 

Charger = aimer et aussi c erner, de fait, les données données d'une sorte de passé à devoir déposer comme à la retombée sur muret aux Fées, Muret d'Hydre, des données de l'hydre pour ainsi 

dire , dire , dire .... 

ON VEUT, En vrai, toucher à ce néné de l'Hydre "Remonté" ! On ne veut pas le laisser passer mais lui wsauter au cou (pour ainsi dire) sans traîner car il file vite ! va vite ! file vif et sans lazmbiner ! hydre post-pré des Nénés du Vivre ! Charge allouée (ici) au Verbe post-pré , dxe type "Hydre " ! On veut coller à ces nénés = téter = boire = cerner  = comprendre = prendre = prendre à satiété le bon lait de l'Hydrrree ... est-)ce vrai ? est-ce ce qui est ? doit-on toucher à ce néné ... des données fines , genre "Hydre" , "Hydre" comme .. remonté du Vivre, du vieil Antiride ?  On veut :

DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE 

L'HYDRE L'HYDRE  L'HYDRE  L'HYDRE L'HYDRE

et , de fait, cerner ce dire (dire de l'hydre) en tant qu'il szerait ... le mot du Vivre ! du donné des rives,

 mots d'eau ! 

On veut grave se poser ici, ensemble (ailes de fée), pour (en vrai) chercher à mieux cerner les données hybrides, ce Passé des Traits, Néné né sur rive, Antirides au cachet, le passé sur pied serait dû aux nénés ainsi donnés la mort ultime traversée (c'est-à-dire post-pré) ! dire = Rire ? on veut alller ... sur rive Ul time, toucher de chyez toucher , au ... néné de l'Hydre ? qu'est-ce que ça veut dire ? On veut aller (de base) cerner, ici -m^eme (muret) les données du ... Rire ? Creuser = toucgher ... aux nénés du Rire ? du Rire ... imbécile ? oh, qui sait ? On est née F2e sur pré une fois trépassé, mais doit-on s'enfermer dans un dire acide ? Doit)-on creuser  la niche du passé  ?cerner sans traîner le muret desR Rives et autres Jetées des Données Ultimes ? tracer ? douter ? contrer ? poster ? vivre v-ie du pré et s'en contenter, ou au contraire aller au plus lointain du pré, chercher à tyrouver par où passer le nez, le nez et le pied, et se retrouver cfomme qui dirait de l'autree cvôté d'un muret ou sorte de muret "acide", genre traversée des friches, traversée des traversées, et pouvoir (dès lors) cerner, de fait , ce qui ici se tramerait en termes de ... néné ? néné né ? néné des nénés ? des nénés nés pour être tétés sans discontinuer et sans traîner par un bébé genre Fée Fille ? Fée = deux filles .... On veut.... eh bé .... comprendre gra ve ! les donnéessurprises, les entrées, les dires centrés, les dires sur pré et  c eux qui , pour le cdoup, "dépassent" le pré, d'un doigtb dee pied ou du bout du nez ! L'a rive ! lecreuset ! la friche ! le rameau cendré ! l'affiche ! le donné et le passé ! le trait aux fées et autres semeuses de données moqaueuses ... ou sinon moqueuses genrées , genre attribuées à une sorte de Passé en friche à faire remonter sans triche, sans chercher à pour le coup se faire remarquer plus qu'il n'en faiudrait. Toucher au Néné = Dire le Passé ! Passé-Dire = Données = Vie Passé sur Pré des F2es  ? ou Pas Des Fées ? On veut en vraéi ... ce"rner au plus près le dxire passé ! On veut grave cerner, et du coup toucher, aller, pousser loin le dire des données acides ! toucher = pointer = allouer, à un dire, une sorte d'acidité qui permet de fait de poiuvoir traverser, chiche, le Muret des DOnnées Vivesz ! des données Ultimes ! verbatim ! On est :

F2e faite !

Fée des Fées !

Fées des fées faites ! Fée des Fées des données Ultimes ,, comme qui dirait. ET on veut toucher ! ne plus s'arrêter ou nous arrêter , mais grave tracer ! pousser ! aller ! continuer ! poursuivre sur notre lancée nos recherches de données données et autres traits de vérité par lesquels (pour ainsi dire) on pourrait passer, qui le nerz qui ... l'hydre ? l'hydre native ? qu'est-ce que ça veut dire ? On veut toucher toucher toucher à cette vérité de L'hydre qui sezrait native ... et du coup cerner = deessiner le VRai, Le Donné (en vrai) sur pied, à une sorte de Passé de RIve .... qui sait ? qui comprtend  ... le Rire ? qui en vrai en lui (oou elle) sait ? Qui en vrai cerne le vrai et comprtend la Rive Vive ? Rive outre-pré ... Rive des données "outrées" pour ainsi parler .... On veut coller ! On veut rire et coller, coller aéux Nénés, aux Nénés Ultimes = au Passé du Vivre ici retrouvé comme s'il en pleuvait (pleurait) de rire ? ou pleurait (pleuvait) de vivre ? ou pleuvait (pisssait) d'en rire ? On est la Fée postée  ! Fée du Rire Alloué à une sorte de tracé pré)-rive ! On veut aller ! charger vitte ! ne pas lâcher ! percer de chrez prercer sans abandonner nos recherches actives sur pré alloué à une vérité de type ... "Hydre " ? On veut :

coller de chez coller;

dire de chez dire

donner de cherz donner

faire de chrez faire

porter de chez porter

coller-dire = faire-mettrree = porter-vivre-

On est fée du RIre comme à l'emportée, prête à tracer, sur paroi votive, le nom (en vrai) de ... l'Hydre ? mais qu'est)-ce que c'esst en vrai que l'hydre ? saura-t-on cerner ?. qui saura nous dire ? peut-on connaitre les ressoprts cachés ? le tracé masqué ? l'ombre portée comme pour de vrai maintenue "surprise" ? Qui sait de fait l'Hydre ce que c'est, en dehors du Rire ? On est la Fée du Trait et des données, ancrées sur pré, et à présent on a grave envie de changer, de perdre pied peyut-être pas mais de changer "nos traits", les données données à nos registres; on veut changer, on veut changer de nez, d'oeil alloué, d'ailes  nacrées ! paqsser de l'autree côté du muret pour peut-être changer de r'egistre cfomme qui dirait ! Se trouver changée ! grave relookée , qui sait ? toucher , aux nénés du trait (pis de fée) et du coup comme se transformer, nous même en néné ou va xsavoir ce qsui en vrai pourrait nous arriver le muret (dernier muret) pâssé ou une fois passé comme par surprise ! on voudrait être (changée) et avoir été (fée) sans traîner ! traéverser le TRacé des Doonées en HErbe (verbe) sans chercgher à plus que ça nous faire remarquer des rOis et REines de là-basz, l'ombre portée, la Do nnée post-pré et autres données des données dernières. Saluer le pré (en arrière) et ... passer ! toucher = passer ! aller ! porter notre nez (ainsi passé) jusqu'entre les nénés à nous donnés qui sommes pour le coup comme ici recueillies sur Paroi Genrée ! on est la F2e genrée du pré passé ! vive et accolée ! fée des fées post-pré ainsi passé , nez comme écrasé, à travers un muret de type ... "hydre" ? oh , qui sait ? qui peut dire ? qui ici peut nous dire le mot des données yultimesq ? On veut grave ensemble (ailes allouées-) coimprendre .... ce qui est qui ici serait à se constituer sans RIre : est--ce possible ? Hydre des PAr(ois Ultimes ... qu'est-ce que c'est ? On veut toucher à ce qui est qui nous regarde vivre ou nous regarderait et cher cherait à pôur le coup nous attirer sans rire entre ... ses nénés, dits "de pacotille" ? On veut être et avoir été ! ne pâs trépasser ! poursuivre sur pré mais sans y passer ! c'est)à-dire pouvoir traverser la RIve Ultime mais, en vrai, pouvoir aussi se retourner, une fois passée, sur le pré des données de type cendrées ! QUi on est ? peut-ettre ... post-pré, un néné ? Sein d'herbe craché ? sein des seins traités ? verbe alloué à une sorte de passé touché ? coul"é ? On veut (en tant que fée) toucher à ce néné du VErbe Donné ! tOucher à vif et vif ! ce néné né comme à l'arraché d'une sorte de traversée des Rives ! donner notre nez ! donner le pied, l'oeil tracé, le passé sur pré, notre envie vive de cerner le Dire ! ou Dire alloué à une sorte de Donnée du Rire ! toucher = porter ! Dire = faire ! tenter = comprendre et pousser de rage une sorte de colère en nage ! Attacher, coller, souder, accoler nos ailes au mât du Rêve ! Onctuosité des Nénés en herbe ! douceur nacrée ! peau d'herbe ! sainteté allouée à une sorte de denrée lactée, ça le fait ! On veut téter ! on veut, on voudrait, grave, de fait, téter ! sans tréîner ! le lait cde la Reine ! téter de chez téter et ça nous plzirait ! téter le néné des données acerbes et autres sortes de sagavcité post-prairies aux bêtes ! On veut toucher à ce néné des données tracées, et une fois touché, aller devant, comprendre, regarder, foncer puis se poser, voir de près et cerner, toucher, dire et saisir, un certain nombre de données de vie, genre "post-guerre" ! vivre !  se poster ! se poser sur Rive post-pré ! respirer ! écouter ! sentir ! toucgher à ce néné de l'hydre, ce qu'il est en vrai , cerner ! On veut en tant que fée toucxher de base à ce néné de l'antre des  données ukltimes. a&ller comme au taquet ! pister ! Toucher = pointer ! dire et cerner, le dire nacré d'un savoir des Rives dites "ultimes" si jamais. On est née fée la paroi passée, sur pré alloué nà des bêtes de piste. 

Une fois passée, on court on vole, et donc on peut dire que , en effet, on a comme 

traversé une contrée, une sorte de co ntrée de type pré, pré aux bêtes de poids et autres mots centrés, genre Foi, Foie, Fée, FEu, Faille, etc, et au-delà, on s'est comme (peut-être) rapprochées de cette sorte de paroi Ultime, Paroi des Parois, et après : le vide ? on ne sait pas ! peut-être pas ! Après cette Paroi dite post-pré aux bois, post-prairie des rois et reines des bois, il se pouurrait qu'il y ait .... du Rire ? de la HJOie ? un éir de Java ? une sorte d'entrain "d'autrefois"  qui, pour le coup, serait pour nous comme une sorte de ... Savoir Rageur ? Savoir Anticipzateur ? Savoir Dur ? savoir des SAvoirs durs ? savoir Alloué à une sorte de contrée des contrées post-pré ? Une Sommité nous y attendrait ? une Sorte de Grosse Clarté ? Genre "Clarté des Clartés" ? ON cherche à ensemble (un ensemble ailé) comprendre grave 

x de chez x

données sardes (sardes ?) en vrai , soit : ce qui est qui serait en vrai à pouvoir comprendre sans désemparer, sans pleurer, sans se prendre le chou ou la tête raide ! mais de fait, ainsi, placide, tracer ! dire et tracer les données du Rire ainsi présenté à nos Yeux de peu ! On est: 

Fée des f2ées grave remontées ! on veut, en vraéi, grave comprendre les données données, d'une sorte ici (muret des murets) de tracé ,

d'une sorte ici de treacé, de tracé de base ! Chercher = dire = cerner .......................................................... ce qui est en vrai qui semble de fait nous relu quer sans se gêner ........................................................... "l'enfoiré" (?)  ................................ alors même que nous on essaie (gentimejnt) de nous rapprocher, sans forcer, sans s'imposer, au plus près des nénés .............................. sans la ramener et sans façons ! .................................... / la pilosité, la toison, poils de con sur menton tu penses ! on est montées sur panse ! ventre-mont, on danse ! Charge astrale ! le Pardon des Remontreances ! le POison ! BAlance au diapason ! ça chante ! petit patapon ! contredanse ! parole du front ! Danse - en transe ! une sorte de vision de manche ! le pardon = la danse = le vent = l'ambiance = le TEmps ! On veut en vrai en tant que F2e changer, au passage, de genre  ! devenir .... Menton ???  " Dire haï "  ? Chant de RAge comme sali ? NON !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 

grave de chez grave on veut comprendre ensembkle (ensemble ailé de base) ............................................. et comme (du coup) nous rapprocher (pas à genoux) !) des donnéesz dernières post pré en herbes (verbe) et autres fleurettes ! Dire = compter ! dire sanns rire = compter sans trembler , l'âge des denrées, l'âme des damnés, l'ombre portée, le Vide ! Vie des traits sur RIve ultime : on dirait ! On veut toucher à satiété ! vivre = aimer = monter (sur néné) téter ou pour téter ou chercher à téter ... l'hydre ? On est née F2e POur en vcrai cocher la case 'Hydre " .... est-ce vrai de chrz vrai ? à qui se fier ? comment  cerner le trait ? comment dire et circonscrire (de fait) une vérité vrai qui serait "hors rire" à tout jamais ? On est pas sûres ici que ça puissse  ! grave on aimerait mais il sembvlerait que le Rire en  vrai soit ... massif ! gros nez ! bêtes de trait acide ! chapeauté ornée sur paroi de fée ! fgrave gravée ! grave ancré ! dessiné comme à main levée et c'rst acté pour une éternité de temps alloué à ... eh bé ce rire des doonnées acides ! On a envie en vraéi d'aller sur RIve rechercher le DIre Des DIres tracés ! sans se retourner ! traverser l(ultime "tablée" et nous retrouver , ou se retrouver (ailes = fée) à pouvoir cerner, au frais , les données ultimes, genre : 

vent de fée, 

fond d'air alloué à  

une contré sauvée, 

musaique et clatrté, son des données vives, musicalité des rives et autres sons sur parois grises, tracés des tracés, boutique acxhalandée en termes de vERbe donné, vERbe alloué, VErbe post-pré faiszant l'artiste, passage de mise, pont d'alacrité ! vive sauterie riche ! va nu pied sur friche ! On est la F2e post -pré devenue Passé ! Genre : passé passé ! genre : tracé tracé, sur paroi aux traits dits "de contrzeanbande" ! On est F2e faite enfin Dite sur pied ! treaits des trais en herbe = VErbe ! va et vient "szucré" entre d'un côté l'herbe vdu pré et de l'autre les données profondes (alacrité, sainteté, joyeuseté, rechercge de traits ;;;) . On est la Fée post-tombe ................................................................ on aéimezrait en vrai pouvoir toucher ... aucxx nénés de l'ombre ......................... troucher aux nénés = téter, ok, mais aussi  ... percer ! percer ici loe dire sacré ! l'ombre portée = le trait = le passé = le passé de l'Hydre !!!!!!! ...........................?....///////................... mais qui est l'hydre ? ................... qu'est-ce que c'sstvque l'hydre ??? ........................... on vioudrait grave (de fa it) pouvoir comprendre ce que c'est et dès lors toucher (?) , toucher ... aux nénés ? Aux nénés des rives ? de l'aéprès-pré tel qu'on le connaissait en tant que fée ? Chercher = toucher (on sait) mais aussi cerner ! dire-cerner, pointer, coller-pointer, tenir, vivre, souder, permettre une prise, une sorte de prise ou mainmise ou emprise ! et tracer ! ainsi ! ainsi collées ! ainsi accolées ! tracéer vif de chez tracer vif ! aller sans reculer ! en avancer sur sa lancée ! pistonner .... et se retrouver ainsi avancée de l'autre côté (du pré alloué) à chercher ou chercher à chercher un certain  nombre de do nnées données genre : 

- pardon

- pomme d'or

- vbvvents doctes

- pis de vache

- frais et frai

- envies vives de vraies (avérées) connaissancesz sur le sujet (la mort donnée)

TOucher à des nénés de RIve = sentir (§pour soi) ;le DIre de pOids ... 

OUvrir ! OUvrir de ses doigts le tracé de hjoie .... cueillir ! recueillir ! toucher de chrez toucher ... toucher de chez toucxher (soit toucher du doigt) les données des ROis et REines de là : l'au-delà ! On rêve ! ... ou pas ! ON est là pour ça (fée du trait) comprendre ... cerner ..... chaérger //... colmater et centrer , en vrai, lmes données de base ! chercher = adouber, dire = poindre, pousser = vivre, coller = donner, porter = dire (en vrai) ce qui est de lm'autre côté ... du RIre  pour ainsi dire .... et poster ! ON voudrait de fait chercher sans traîner de l'autre côté les données ultimes, ce qui est qui wsemblerait avoir en  vrai quelque chose à nous dire (à nous, fée post-pré) qui nous fût utile et mêrme plus qu'utile pour nous repérer, nous mieux situer sur cet échiqyuier de l'après-pré, de l'après-rire cendré et autres après-pouliches, chevaux riches, bisons vifs et phacochères "de pastis" ! On est la Fée post-guerre ! vive de cherz vive on veut pouvoir ainsi poursuivre, sur paroi du fond, notre sorte de vive avancée (de base) de raison ! ou sinon de raison ... de passion ? ON colle ! FOrce docte ! passion sur raison force la donne ! On est montée sur canasson et hop on fonce, de raison ! direction le fond ! l'antidote ! la Passion des Ronds ! vive l'ombre ! le Passé -Menton ! le cul de basse fosse mais sans champignon ! Docte ! Donné ! tracé sur roche du Passé ! Mis sur pied ! On veut coller à ce néné des chances allouées à une danse post -pré aux fées ! ET du coup danser ! danser des nénés !  Donner , sur rive ultimes, le Passé ! On est nées F2es au diapason, nous voici devenues vVives ! vives sur Rive ! Vivres = VOuivres ? On veut coller = se coller = se donner = dire et poster (ici : passé) le vfruit de nos pensées ! RIRE ! RIRE de CHHEZ RIRE S'IL VOUS PLA^$IT , OH ON AIMERAIT ! ON VOUDRAIT ! ON NE VOUDRAIT PLUS S'EN PASSER ! RIRE ! OH, LE RIRE ! PASZ À MOITIÉ ! RIRE SANS SE REÉFRÉNER ! RIRE À GORGE DÉPLOYÉE ! LES NÉNÉS ARQUÉS ! GRAVE SE DONNER, ICI (RIVE) AU RIRE VRAI ! PISSÉ ! PRESQUE ACIDULÉ ! DU NÉNÉ TRACÉ ! PIS DES TRAITS SUR RIVE ! CHAT BOTTÉ SURPRISE ! PIS D'HYDRE ? 

Toucher = toucher = toucher = toucherr = toucher

et dire ! Car, le dire est le tracé du rire ! des données du rire ! certifié ! On veut toucher = donner = cerner = copmprendre les données ... du temps passé ? des données cendrées ? des vives remontées de rive ? genre : pistes ? On est la F2e du rire alloué à une sorte de contrée acide ! ver t pré ! On colle au tracé ! on avise ! on veut pistonner et vite aller au plus ancré ! CERISE ! Toucgher aux njénés des vives clartés et du coup cerner ce qui en  vrai sezrait qaui nous regfgharderait sans se gêner de la tête aux pieds ! l'artiste ! con de prise ! émasculé ! taillé ! chârtré ! conquis sur Rive au débotté , à l'article ! Piste ! Vive piste sur contrée post-pré ! Fée des données données a traversé la Rive (le muret) et cherche à  c erner, au plus haut point, les données xultimes ici regroupées comme à la criée ! Vives clartés ! mots post-pré ! CVerbe échancré ! chants de signes ! volontés ! vives clartés dites "riches d"excentricités diverses et variées"  : hydre ? On est née F2e sur pré la mort avérée, et c'est sur pré qu'on glisse , judsqu'à la rive .... rive autogérée qui semble ici comme nous attirer en ses filets ! pour nous attrapper ! nous ancrer ! nous ferrer ! nous traquer à jamais et, nous terrasser qui sait ! Fille-Fée = biche = bête riche = bête-poids sur paroi des rOis et REines de Saba ! ça y va ! danse astrale ! saturnales ! escap ades de paroi ! gentes dames dde la loi antrale !Choix ! ........................................................................................................................................ Rivesaltes ...................................................................... boisson sarde ......................................................... la passion buccale ........................ poi nt de croix .................... passage de rage ..................................... pastaga .............................. on veut grave comprendre dans le tas ce qui fait loi ! ce qui est qui porte ! colle ! pèse ! chante sans arpège, va là-bas (la croix) chercher (de base) les données cruciales, le patois, la charge, l'animal de poids et autres bêtes (néandertaliennes) de paroi : la Rage ! Voix de Poids des Bois ! ............................................................... on veut comprendre = prendre = dire = cerner = pousser = porter = charger = peser = allouer à une sorte d'estocade (finale) un Verbe" de CHoix, genre "herbe", "herbe verte", "herbe en herbe et autres verbes de paroi" . on est née f2e sur pré, hourra ! à présent ... le trait ! pis de la paqssion ! vision ! télévision ! on veut grave toucher &ux nénés du tronc ! charger et porter ! aller et vtracer ! viser le tracé du mont qui pourrait en vrai nous mener plus loin vers l'horiz-on ! Toucher de cherz toucher aux seins de la Passion ! vision des visions ! champignon au front ! OIGNON ! pain  d'herbe sur Mont des Passions ! Comprendre ! saluer ! ancrer ! charger = donner ! pousser de chrz pousser la charge ventrale = le PAssé des charges, le tracé; lanttre ! Saluer = donner ! On veut coller ! dire et pousser ! aller sur un pied jusqu'aux nénés post-pré ainsi alloués à une sorte de clarté de Rive ! vive ! cendrée ? ou sinon cendrée nacrée ? On est lA Fée de l'Hydre ! vive et cernée ! HYdre au taquet  ! vivre ! vivre = dire = chercher = donner à l'herbe les habits du verbe ! vivacités, densités, nervosités, amabi;lités, emprises ! on est la fée des données vives des clartés post-pré ! surprise ! on est passées ! il sembvlerait ! vives ! .......................... vives .................... vives ........................... vi-ves ............................................ sans nous retourner ............................................................................................./............ "l'important c'est d'aimer " ? ..................................... qui sait ? ...................................... qui connait l'emprises . ? ............................. qui sait ce qui est ? ........................................................... qui pour toucher en vrai aux nénés des donnés-surprises ? ............................................................................ qui pôur aller plus loin sur piste ? ........................................l'emballé ? l'altruiste ? l'ombre portée ? le salé , ? le sucré ? Chants des prés ? VIve clarté acidulée serait de mise ici post-rive, on dfirait ................................ mais qui de fait pour le certifier, le notifier, le donner pour acté ? .................. on voudrait grave aller chercher ou rechercher sur rive les données actives non factices concernant La mort et tout ce qui en ressort ! mais cfomment s'y prendre ? ...................................................................................................... via le Son ? ;....;................. ................................................. la chanson ????????? .......................... la transe ? .............................. l'enfance des données du front ? ................. potache ?........................Visions en amont ? ..................................................................................... pamoison ?. ............................................. on veut aller ensemble retrouver ici l'enfnce des passions et des données de base, mais comment s'y p^rendre ? comment dire ?  ? Comment faire ensemble ? ............................................................................................................................................................................................................ qui le sait ? qui pour nous aider ? On veut aller jusqu'aux nénés de la Passion,, 

les toucher de rage = les téter, et une fois tétés, pousser plus loin qui sait ? mais ouù pousser ? Car les nénés sont (seraient) notre horizioon , de fait  ...

qui sait ? Qui saurait ou saura nous enseigner, nous guider vers la raison, vers la vraie vision ? On est la fée du pré qui est comme passée ... de l'autre côté, et à présent nous voici ancrées ! pour de vrai ! sans honte ni contrariété ! vives et postées sur rive de fait allouée à une sorte d'après ! On est nées ! nées sur pied lle muret passé = re-née ! hé hé ! On est passées vers les Nénés , direction genrée ! On vzeut toucher de chez toucher la dite "clarté" aux nénés" .... si on pouvait ! On ne veut pas passer à côté mais grave cerner, cerner les données squi nouys sont montrées, et tracer, sans s'rrêter, vers  .... la Passion ? le PÖison , La pendaison ? La Crucifixion ? Le Mont des FRonts ? Rire et hurler ? Toucher aux nénés ? toucher à ce néné du POnt ? à quoi (en vrai) toucher la rive traversée ? Champignon ? Oignon ? Melon ? pont de roche rude ? Colle et mesures sur patron ! ON ose ! on fonce ! on ne s'arrête plus

on ne s'arrête plus ! 

ooon ne s'rrête plus , on veut toucher le fond ! fond d'or ! fond des fonds sur rive en or ! On file , vives ! ................................................................................................................................................................................................................................................................  cerner = dire = faire = don ner = comprendre = charger =connaitere = comprendre = allouer = partager = faire = mettre = pointer = pistonner sur herbe et, au-delà du pré en herbe, sur paroi des Rois, là-bas, après   ça : la Paroi Finale .................................................................................................................................................. on veut toucher à ce qui est qui se présente, zous nos yeux de fée, de fée sage ! le passé ? La planche ? un tracé de rage ? vent de face et autres souffles destinés ? On est passées et du coup 

on essaie de co:mprendre (en vréi) ce passé, ce qu'il est de fait , 

et ce qu'il n'est pas ..  

ou pas pour soi ! Qui connait la loi ? Qui comprend jusqu'au bout les données de base ? Qui donc a compris ce qui est qui est qui ici fait loi ? Loi des ROis Et Rage de Saba pour REines de choix ! on avance ! on veut comprendre = on veut toucher = on veut donner = on veut allouer à une sorte de denrée une sorte de vérité qui puisse nous guider en vrai sur le chemin tracé des données cruciales, terminalles, finales et ancrées ! Qui on est ? On est nées ! on est la Fée née, sur pré, passée de rage de l'autre côté = post-pré, direction la Base ! les données données d'outre-parades au débotté ! On est vla fée dite "post-parades" il semblerait ; On pourrait le penser . On est passées ! on a touché le Trait des fées ou dit "des fées", on est comme secouée, on est montée, on veut coller à ce néné des données atlantes. On est nées FVées comme à la parade mais, voilà, on veut à présent traverser la lande, filer, chercher loin en contrebande les données de base, se poser, regarder, coller aux nénés, téter de près s'il vous plaît, et du coup ... Aimer grave les données de rage ! données doctes ! lait sur OMbre ! tracé  des tracés ! recherches au taquet ! force données des données de porte ! Chier ? qui sait ? On veut toucher de fait à) ce qui est qui nous regarde et pas pour rigoler il semblerait : néné ? néné desnénés ? l a it brassé ? charge saluée ? Prise au débotté d'une sorte de denrée lactée ? On est la F2e des rages cendrés, on est passées comme à l'arraché de l'autre côté du pré armé, nous voici ccolées ou comme accolées aux nénés des ombres ! saluées ! hé, qui sait ? On est "mortes" ! oh ! "mortes hautes " ! vivement le trzait = la parole docte des données de porte ici genrées, cernées, comme consacrées et du coup aimées. Ombre portées sur porte allouuée à une sorte de Passé Docte  : honte ? On touche à l'acmé ! vie des prés puis vie des faits vrais ! la Rome du pAssé tracé ! Hombre ! Hombtre portée sur porte du Passé ! charge haute ! point d'alacrité sur paroi de roche on voudrait trouver ! fée des fées des données profondes ! coller = dire = cerner = co:mprendre = donner = faire = charger = coller = défaire = porter = allouer à une affaire de données centrées les suites agraires et autres bêtes (fortes) de trait sur pré ! pister = pistonner ! dire = marquer ! chanter = dire ce qui est en ces contrées du bout des roches et autreszs fonds de vive clarté ! honte au passé ? l'approche ! on est née F2e sur pied sur pré ! nous voici passée de l'autre côté, côté honte ? Hydre lactée ?Charge allouée à une sorte de tracé de poche ? On est la fée sans anicroches ... de roche ! Fée des fées ! points de tracé ! colle-cause ! pressée et colmme soulevée sur roche pour pouvoir passer ! on veut toucher = dire = donner = comprendre ....................... les données du ventre ! pisser ! pissrr ! grave se vider ! se vider de son passé de pis envolé ! ...............................................  toucher , a ux nénés tracés ;;................................................é couter les actualités,, qui sait ? et du coup aller, à grandes enjmbées, de l'autree côté du pré, direction la rive, la criée, le bouquet des herbes allouées à une sorte de clarté post-pré, de type clairière  ...... sainteté ............ verbe au ta quet ............................. derrière ! On veut coller ! dire et passer le bout du nez sans nous retourner et enfin en vrai toucher aux nénés ... en herbe .... d'une sorte de contrée située derrière , derrière le pré, l'herbebroutée, les fleurs de sève, le tracé acté, la roche "primaire" .... Sainteté allouée à une sorte de PAssé Colère, PAssé des PAssés on veut cerner ..... on ne veut pas passer à côté mais grave toucher à ce squi est ici qui nous regrderait en propre (opprobre ? honte ?) sans trembler ..... on veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher touycher toucher toucher troucher toucher toucher à du passé ... à ce qui pourrait, de fait, en vrai, ressembler à du passé post --pré de type "clarté", "clarté ouf" ! , qui sait ? ça se pourrait ! passé des passés sur terre bru^lée, calcinée, en toute clarté hors fumées ! 

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24/11/2024

On est deux qui regardons. On ne veut pas céder. On veut tracer et tater. On ne veut pas céder mais y aller, cerner-tpoucgher, coller-ancrer sur roche ce tracé de poche ! On est fée des fées et du coup on essaie en vrai de circumlreer à l'intériiuer de ce fourré ! On mate ! On entre ! On est ddes fées de base ! On veut comprendre-toucher ce qui est, aller et pousser, en face, jusqu'à la muraille ! On est nées fée à la ramasse ! tracées ! fines et élancées ! on veut comprendre = toucher ... aux nénés de l'antre ! Charger et coller (intentionnellement) nos ailes aux rochers , au plus profonds de l'antre des données. On est nées fée de base souterraine ! On est nées féesde rage, etdiu coup on enttre ! On veut chercher = on veut cerner = on veut toucher = on veut dire = on veut aller = on veut ancrer = on veut colmater = on veut toucher = on veut cerner = on veut comprendre ensemble (fée) ce qui est et ce qui n'est pas en cette paroi ! On ne veut pas (plus) passer à côté mais grave toucher, aller, donner, comprendre ensemble (fée) ce qui est ! ce qui ici en vrai nous apparait ! est-ce des nénés ? des sortes devnénés ? nénés des nénés ? qu'est-ce que c'est ? est-ce de ... l'ambre, à toucher de rage ? est-ce de la roche comme il semblerait ? roche d'antre ? On veut comprendre = on veut cerner = on veut toucher = on veut embrasser = on veut coller = on veut se coller, coller rude ! on a grave envie ensembkle (ailes !) de cerner de base cev qui est qui nous regarde ! et si en vrai on était ailes la mort passée ? si, en vrai, nous poussait des ailes sur pré ? On est p)assées et du coup nous voilà ailées ! ailes de fée comme s'il en pleuvait ? On cherche ! on est accolées (serrées) à iune roche dite "des tracés dits surnuméraires" ! On veut (grave  !!!!!!!!! de chez grave ! allmer, comme à l'arraché, tracer sur pré des ronds de rage ! on est nées ! On sort la tête ! ON veut cerner de près ce qui est qui semblerait de fait sans traîner chercher à nous toucher comme si on était ... eh bé nées en vrai ! on chrerche ! On est passées = on a passé la trête ! on voulait eh bé vooilà c'est fait , on est nées AILES ! ELLES des prés = fée sur herbe ! On mange l'herbe ! on est accolées et du coup (attemlées) on mzange = on entrev= on ancre = on est  deux ailes sur un pré aux fées  , qui (nonchalemment ?) vont à se donner, comme il faudrait, à un broutage des données prairiales ! ruminage ! On est pazsssées et on veut comprendre pareil ruminage, ce qu'il en est ! Est-ce rumùinage de fée ?,de vaches à lait ? fée qui serait de fait vache à lait ? fée-vachge dans l'antre ? On est la fée des ancres ! charge sarde ! trait de fée en vrai, sur face de base ! sur tracé ! Aurochnodoïité des données prairiales pariétales ! buffles au pré mangent sale ! sont tracés de rage, vont et viennent et ne s'inquiètent pas de nous voir arriver ... ou pas ! elles ne sont pas "là" mais tout à leur affaire "sale" , ce tracé des rages,ce dessin de barre , victuailles, denrées, données sales, ce passé qui en vrai , ne serait pas assez mais voilà ! il est (pour ainsi dire) comme déposéé ! posé ! mis sur rail ! on chante ! on est entrées en tant qu'on était, à la b ase, UN, nous voilà doublées , dédoublées, tracées fée = dédoublées, comme à la parade ... Fée ailée de base, on est accolées à une sorte d'attelage ! joug de joue ! joue de rage ! passe ! datation des traces ! on est fée des passés graves ! on est actées ! données sardes du Palais ! On ne veut pas passer à côrté mais tout au co nteraire traverser (en face) ce trait, ouverture en vrai, jour de fée, on voit l'acmé ! l'ancre des données ! iune sorte de Rotondité ici infiltrée qui nous permet ou permettrait peut-être de nous immiscer, sans traîner, en ce muret du bout du mo nde des données de roche ! SAnté ! Tchin aux nénés ! Buvons le lait à la santé des Fées "des données de branche" ! On voulait grave passer eh bé la chose (on dira) est actée ! passe et passé ! sur tracé de roche, on ose ! on veut aller ! On ne veut pas s'arrêter mais grave traverser la CHose , qui est Chose comme soulevée ! donnée de Bosse ? qui sait ? On ose ! on passe Carosse ! Royauteé des données de Coche ! LaE passé, qui n'est pas assez (?) est PAssé vd'époque ! On est données (en tant que Fée) comme "Paroles de Roche ", 

on diraiot ! On veut touchger à une cdéité de bout de roche ! On ne veut pas coller pour coller mais coller pour de fait se rapprocgher de cette Déité de Roche ! On est nées Fée sutr pré, nous voilà accolée à une sorte (pour le cfoup) de Fée Desv F2es, Vive Déité des Donnéesz DE poche autocentrée  ! On est accolées en tant qu'ailes de F2e et , eh bé ... on aimerait (mais grave !) nous donner de Rage à cette sorte de Vive Clarté sans ombrages ! Nous donner de fait en tant que fée si tant est ! HOmme libre tu parles ,! On est donné ! on est enterré ! on est passé et nous voilà comme enteré formant herbe du pré à brouter ! à brouter par qui ? par les Fées, aux ailes nacrées ! vaches à lait ! vaches sur pré ! tantriques ! cerné"es ! allouées à une trique, à des batonnets de brique ! chahutées ! bercées ! dessinées à main levée ou même gravées sur paroi de roche ... riche ! On est motrt-né (homme surfait) à la retombée, qui nous voyons comme transformées, de suite, en Fée de pré = Vache à lait szur Herbe tantrique : le pied ! chance au taquet ! finalitésx tantriques des données données compme à coup de triques ! oN  vouylait passer eh bé la chose est comme entérinée et pas à moitié ! On a traversé ! On est passées ! On voulait en vrai cerner le plus possible de données "de suite" eh bien on dirait qu'en  vraéi, les données de base sont comprises , qui, toutes, sans failles, nous permettent de fait, de cerner-comprendre ce qui est qui nous regarde ou nou!s regarderait en face : ce tracé des RAges, pOrte Basse ! Le Procès ! La Cage d'escalier ! l'ancrage "aux nénés"  ! La b ase des données ! Le passé qui n'est pas assez se vioit ici comme déposé sur ... néné de Fée ? de trait ? de somme allouée ? de mot de roche, genre : Trait, 

"Dires de F2é, conscience accordée" ? On veut 

: toucher, de base (ici même), le trait 

Toucher de chez rtoucher de base le trait

Aller et cerner, comprendre et allouer, perdre et gagner, situer 

le trait 

sur une branche et le toucher comme si en vrai ce trait était ... Branche  en vrai ! Etrange ! étrange donnée dite "des F2es" ! On est entrées dans l'antre, on est Fée, on est Ailes de fée, Elles au débotté l'homme décanillé bien fait il suffisait ! On est comme pasdsées ensemble sur pré vaches à lait dites de connive,nce , à brouter de fait l'herbe allouée à une sort e de tracé de France, qui sait ? en français ! la CHance au passé ? le tracé immense ? l'onctuosité des données lactées ? la France Passée ? le tracé des charges, sur pré aux fées, pré de FRance ? On est nées F2e l'homme mort-né ! Onn est La fée des traits de Rage ! On veut toucher à ce qui est qui nous fait face ! Est-ce du lait ? du lait de Néné de base alloué à une sorte de tracé dit (du coup) "lacté " ? On est la Fée "des données de Rage" cernées, c'est-à-dire entourées, dessinées, encercvlées ou comment dire ici qui soit, pour le coup, dicible ? ?On veut ... eh bien ..... allouer, à une Rage, des donnnées de base, genre : densité des traits, vivacité du tracé, véracité des données acftées, sensibilité du toucher, onctuosité des données lactées. On est la Fé"ée de FRance = en français ! On est nées Fée de Rage sur Passé de FRance comme sidéré ! ou comment cerner ? comment dire sans frais ? car, on est nées F2es de Rage sur Passé vde FRance = le françaiis, comme sidérées ! le Français, sidéré ? On charge ! On veut :

toucher de basee les nénées 

toucher grave les denrée's de base

aller et creuser comme à la parade

donner et donner et encore donner de ce qui en vrai ici nous pèse grave ! On veut cerner et toucher et dire et aller et conduire Le trait sur une sorte de Passé dit "des données fluyides" mais est-ce vrai ? est-ce ancré ? est-ce vraiment ici ce qui est qiu'on nous promet ? on voulait dire ... bien des chose de Roche, et autres mots d'homme ! Mots de fée ? oui ! homme transformé devient Fée des prés la mort achevée ! on oses ! On ose Parole = on donne = on sait = on sait grave, en  vrai, ce qui est qui porte Parole jusqu'aux nénées et  ce vqui est est cette Chose d'une sorte de jugé, de dire lacté, de Parole docte sur le pré, lait de fée ! lait d'ombre ! chants larvés de rond de Bosse ! corolle ! drôle de Passé et cependant "dépoque rosse" ! On veut en vrai aller de rage sur un pré, diçrection ... l'Étrange, l'Insensé ! la Chose des traits des fonds de Rage ! traversée forcée do nne une sorte de Tracé de ROnds de jambes ! chahut-né ! pArade ! Densité des données sales ! passages au passé ça se pourraiot et cependant ça ancre ! ç  va dense ! Ça y va de rage sur iun pré aux fées chercher drôle (en soi) de ROmance, des TEmps alloués à une sorte de Passage des contrées lactées ... qui sait ? On chante ! on est chantées ! on entre ! on est entrées ! on colle aux nénés de l'Arbre ! ça le vfait ! grave ! grave ça le fait ! de colloer de RAge (en vraéi) aux Nénés ! espace dédié aux ditesxc"Vérités des données sardes" ...  est-ce vrai ? est-ce ce qui est ? est-ce vraiment vraiment v raiment 

le Vrai aux Nénés tel qu'évoqué de brancghe en branche antériuerement par des Fées de pré ? On vole ! on s'envole au Passé comme qui dirait mais, oublie ... que ça puissee aller aux yeux de Déité ! chante ! LE passé ne suffit pâs dans l'antre ! Il faut donner du ventre, de la Rage vraie ! du vent des sables ! de la meu des prés, du pipi de fée ou d'ange ! traversée des prés ! On veut :

toucher grave à ce qsui est qui se présente devant noius, en papautage ! On veut :

accoler grave , nos ailes de base aux nénés de l'antre ! 

on veut toucher = toucher =

toucher aux nénés 

des données de l'Antre ! et, ne pas se perdre au passage mais s'ancrer, de base, aux tracés dits "des féeés" ici incriustés ! On veut :

toucher de chez toucher = toucher grave , et aller ! foncer sans embages, sans traîner, sans verser de larmes ... ou si ? en versant des larmes ? larmes de Fée ? on veut :

comprendre-allouer, dire-porter, séduire SAinteté des Données Slaves (esclaves ?) s'il en est et cela on ne le sait ! on le sunbodore mais on ne xsait en  vrai ecxactement pas ce qui est (de fait) ô grand jamais ! On aime le Foie ! le FOie de BOis ! l'ombre des fées ! Le tracé alloué à une sorte de donnée de Roche ! On veut passer (peut-être) en force c'est un fait mais sans anicroches ! sans tracer de traits qui fussent plaies ! plaies ou ... traits des Traits ! On veut : 

dire = faire = donner, et du coup tracer de chez tracer la bête cendrée,, loa buflette et le cheval xde trait, bises et bisonnes au taquet amorcent une sorrte de parade monstre sur roche dédiée ! On veut cvomprendre ici ce dit "tracé des fées" en tant qu'il serait ... néandeertalien des données de base ? genrre aurignacien des données de RAge ? on veut cerner de près le dessin de l'âne ! du cheval de trait ! romance de fée sur pierre tombale (on dirait) et, ça le fait sans traîner , sans perdre la face ! On veut comprendre = dire = percer = conduire l'animal blessé sur roche tantrique, au passé ! On veut : toucher = dire = faire = poser = prendre = alllouer à une crique une sorte de musique dédiée aux fées ! musique chantée ! vie de fée sur plage envoûtée, qui sait ? on veut :

dire, poser, charger, déposer denrée, offrandes soulevées et montrées haut aux Dieux de l'eau (de l'HAut ? ) 

[tel que rencontré au /

tel que touché de près des /

tel qu'il serait venu nous aborder et nous parler et nous donner du "hé, la fée au taquet, fais donc ce que je dis de /]

tel que cerné ? tel que doté de traits comme bêtes de pré ? 

Oon veut dire et toucher ! On veut coller ! On ne veut pas (du tout) trépasser mais dire dire dire , trois fois dire ce qui est qui nous attire au vent mauvais = ce tracé des dires, ce P assé accolé à une sorte de Donnée "Risible" ... est-ce vrai ? y a t-il du vrai ... dsa ns le Rire ? et si oui de quel genre de rire ? sacré ? ancré ? ,déployé ? soulevé, comme une sorte de capote à Hydre ? on est nées Fées des Frises, on veut toucher à Déité sacrée des données genrées : est-ce possible ? pêut-on s'ancrer en cette rive aux données placides ? aux données des don nées tantriques  ? avonss-nous de base l'autorisation tacite ? pouvons-nous compter, sur ici ce Rire aux données données ? peut-on  ... survivre ? traverser sans périr ? charger de rires le trajert ? combler ? donner à Déité le Rire déployé des données de l'Hydre ? le Passé ! Le pas des données = le Passé ancré, alloué à une sorte d'Hydre à Faces de Chine !  Chargée  ! cotée ! élue sur Pré comme une bêtedes données-surprises ! On veut en vrai toucher le nu, de l'ombre portée ! on veut grave toucher sans tarder , et monter = s'envoler ! traécer = s'envoler , sur muret ! monter monter monter sans tarder sur ce muret des données acquises = un tracé ! une frise ! bzêtes des données apprises = le français ! la langue du vivre ! le chargé de près en tant que donnée des données surprise ça le fait ! on veut toucher ! on veut aller ! on veut cerner ! on veut dire et allouer aux rires (ici déployés) l$e savoir des F2es ! On ne veut pas passer à côté mais au contraire, grave chercvher à comprtendre ici et là au débotté ce que c'est que ces romances, de roche cendré, de paroi de roche, de groote de fée et autres trous de destinée ! On est la Fée du pré ! vache aux nénés ! on donne du lait qui est du lait sacré = sucré et sale = salé comme xs'il en pleuvait ou pissait ! On rit ! On, est Fille de vie ! F2e des fées sur pré des Vies données, posées, allouées comme dennrées données, au jeté, au craché, au dessiné des traits dits "de roche grise" ! vive les Fées ! Vive le tracé des fées ! la Beauté Soumise à une sorte de DEnrée de frises ! chapeautée ! ornée ! comme soulevée ! mises au pré sous égide ! On veut :

dire dire dire

donner donner donner

faire faire faire

combler combler combler

tracer tracer tracer

pondre pondre pondre

fouluer fouler fouler

permettre permettre permettre

chahuter de près les données de l'herbe = lz passeé des Fées, le tracé, la CHance larvée, l"'2popée des fées sur herbe allouée à une (sorte de) prairi e de vie, vie de traits en herbe ! On veut coller !dire et monter ! forcer Rive ! charger ! foncer ! aller ensembgle (ailes de fée) jusqu'aux données données des (dites) "envies pressantesz et autres impériosités de base" ! Aller = foncer = s'envoler = faire et donner, dire et porter, comprendre et soulever de base les données romanches, sa&rdes, latines, saintes et vives, sur pré aux Vivres et autres bêtes rampantes ! vive l'Hydre ! le passé Romanche ! l'envolé"e (placide) sur branche et autres vies, de Rive Romande ! on veut en vrai cerner la donne des données de Roche ! qui est qui en ces contrées ? qui regarde ou mate qui ? qui cherche qui ? qui veut téter de chez téter le pis ? Qui veut dire et cerner ? Qui est qui de Rage ? qui veut qui de RAge ? qui en vreai comprend ou comprendrait, ce qui est qui se présenteb à nos mirettes grandes ouvertes et autres attentes ? 

On entre ! entrons ! on pose les nmots, qui vont (qui sait ?) peut-etre toucher, cette (sorte de) "Déité des monts " ! 

qui sait ? On est Fée Docte forte (grave ! ) et du cfoup on trace ! on avance ! on fonce sur pré sans traîner ! on fonce sur un pré des Bases, des données naiss antes et autres szortes en soi de Vérités, Chargées de Mots Lactées ! On veut toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui se prése nte ainsi, ainsi dessiné ! les buffles sondés ! les bisons proprets ! l'antilope cendrée, la bisonne)-fée, l'antilope rosse, le'ours morose et l'ourse grossze de ses trais vde Bosse ! On veut:

aller ! virer ! toucher ! cerner ! comprendre ! dire ! pointer ! cerner ce qui est, ici, d'une sorte de donnée acide, acide ou placide , placide ou lactée ou  peut-etre vive ? Vive de chez vive ? mais ... que, vive ? ou alors vide ? On cherche (ardemment) le vrai, d'une sorte de vie allouée à un pré ! On veut toucher (de près) aiux njénés et téter sans traîner ! toucher vif ! prendre et pincer ! téter au néné le lait des données, des données actives ... de la mort à l'oeuvre ??????????????????????????????????????????????? on ne sait ! on veut cerner = on veut toucher, mais pour toucher il faut passer = traverser la Rive, le Tracé des F2es Acides, le Passé ! La Suite des Vies Secondées ! Le Chant du pré = la prairie des Huilesz ! O,n veut : 

dire et sonder le Vide des données acides, perdurer (en vrai) sur pré alloué à une sorte de tétée active ! Donner = permettre = faire ainsi que La Fée des Prés ou dite "Fée des Prés", piuiisses naviguer (sans trainées) sur Rive des Prés aux données actives ! Herbe de suite ! données des do nnées ! on s'active ! on ne veut pas se laisser démonter, ou surprendre, ou même surmo nter, ou mêlme accoler sans prendre garde ! On veut grave rester aux aguets ! toucher de chez toucher mais sans perdre la Face ! rester frais ou fraiches sur pied ! aller = comprendre = donner ! On veut ensembleb en tant que fée (ailes de fée) rester (de fait) serrées, franches, accolées, comme soudées en  vrai par en nous la "branche" des données acides = vives ! la c larté naissante ? le tracé de branche est ou serait clarté ou clarté naissante ? pilosité-vilosité de base ? trait des traits ? Rome en cendre eyt autres chants de Thrace ? On veut, de fait, cerner de chez cerner les données prégnantes et du cpup comprendre ce wqui est qui nouès regarde, sans jamais nous lacher ou nous laisser toùmber ! On est la fée des prés, ici, remontée à jamais parce que voilà, on est entrée ! on est née sur pré ! on veut toucher les nénés fuyants ! on ne  veut pas du tout les louper mais au contraire bien les approcher pour bien les toucher et bie"n les téter jusqu'à la garde si tant est , s'en délecter ! boire leur petit lait ! le donné de l'herbe = le VErbe ! VErbe dense ! tracé de FRance, chants français des do nnées denses, .... "une poule sur un mur, qui picote du painn dur...." et autres romances  ! On veut (en vrai) foutre à mal le FRançais , pour qu'il se balance ! Charger ! tracer de près les données donnéexs comme soulevées, remontées, portées, soupesées et comme déposées en face, sur muret final, ombre grave, chant total et autres traits des F2es alloués au MAL ! tracer = graver grave, ce qui est qui nous regarde en face ... c e visage ! ce néné ! ce Passé ! ces traces ! ce Passé de FRance ! le français de base est comme chahuté, du fait que ... eh bé ....L La chance est pzassée, qui nous recommande ou recommanderait de bien nous installer face à la Branche dite "des donn"éées de Rage", et n'en plus bouger ! maiçs mater ! mate que tu materas le Message ... et le mEssager ... et la Messagère ! Allouée à un TERme ! le mots des fées ! Mot des Ombres Portées sur Néné ! chose ! Chose grosse ! Train de fée sur Pré accort ! On ose ! on ose toucher de chez toucher ! on ose grave aller et toucher sans se gêner ! on veut 

TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER à ces nénés de l'Omb re ! On ne veut pas passer à côté mais grave les toucher de chez toucher sa&ns traîner et sans traînées ! de fait ! car ... on s'aime ! grave ! sur pré ! en tant qu'ailes de Fée ! ailes surnuméraires aux Données Allouées à une sorte (en vrai) de cimetière des Données Actées", genre pinède ! carré vert et frais ! sqaquare alloué à une sorte en vrai de "vérité des Vérités" en herbe = VErbe ! chant cendré ! Chant des chants des chams Donnés ! et autres prés aux Fées type Jardinet, Pré carr(é, jardin de curé, qui sait ? On entre en ce terrain des fées toutes remontées, et, de fait, on monte ! On veut toucher

TOUCHER DE CHEZ TOUCHER

FAIRE DE CHEZ FAIRE

ALLER DEE CHEZ ALLER

DIRE DE CHEZ DIRE

COMBLER DE CHRZ COMBLER

COMPRENDRE UN TANTINET DE CHEZ COMPRENDRE UN TANTINET

CERNER DE CHEZ CERNER DE CHEZ CERNER DE CHEZ DIRE ET DONNER

PERMETTRE = ACCORDER, À) L'AUTTRE, LE PARLER FRANÇAIS, FRANCO-FRANÇAIS TU PARLES SI ÇA LE FAIT ! ÇA ENTRE ! ÇA ENTRE GRAVE AU DÉBOTTÉ DXANS L'ANTRE DES DONNÉES DONNÉES COMME XS'IL EN PISSAIT ! On veut comprebdre ces données, cette chose du français collé, des mots de Rage, xdes données de France et autres ...

données sages ? sardes ? 

ou cendrées ? cendres de FRAnce sur tracé de Fée comme d'un paysage ,  ? paysage sarde ? On est nées fée de fait au passdage... du Passé ?, on veut toucher (de grâce ! ) .... aux dits "né"énés d'en face " : ce treacé, des Fée des  connivence ! 

chance au passage ! travzersée des traversées ! toucher tyoucher toucher à ce qui est qui se présente, ici, au taquet et sans traîner, comme une chance ! chance avouée à moitié cernée, de passer de Frannce (du françai) à une langue slave, esclave, acculée, chahutée, portée, contrée, dotée de référencestoutes plus ou moins cernées, de traits du passé et des effets de manche, genre : vies vives sur pré, fonds de roche creusée, traits de buffles et de chevaux ailész, crosses ! monstres ! mains de traits ! fée surnuméraires  saluées et autres fée en herbe ! pré ! pré ! pré des fées ! pré d''herbes et de verbe m^élés , entrecroisés, entremêlées ! comme soudés ! On veut en  vrai aller sans faute verts ici Nénéb = LE Tracé Monstre, Fin de pré ! carosse rose ! chants des fées aux Herbes Folles ! vent de porte ! coura&nts  ! courants des courants ! vents doctes ! vent des vents ! On porte, on fonce, on compte les dents, on cherche Osmose ! Le pAssé renaissant, l'emporte-porte ! On veut (grave !) aller dedans ... et du coup (grave !) mater ! vioir ce qui est ... des nénés ? du lait ? du vent ? vent de Fée ? fol vent des fées sur Nénés ??? On ne sait ce qui est de fait ! on veut 

TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER à ce qui est qui, ici, se pointe en  vrai sous nos yeux éberluées de faons des tracés ! on veut croire et donner, dire et porter, chanter, pousser, coller, faire et anticiper, dire et parler = chahuter,  le français en herbe, le trainer de cherz traîner dans la luezerne, herbe mouillée, boue d'herbe et de terre allouée à une sorte de donnée en herbe, genre : "vérité des prés , vérités des fées", et ça le fait ou le ferait sans faille ! sans entrave ! sans autres considérations néfastes et autres mots de rage ! vive le tracé ! le bison soudé ! la chevale verte ! le bison du pré, buffle accolé, parade rupestre, pprincipauté des Données Alpestres et autres Royaume Alloué aux Fées en herbe ! pré ! pré ! le pré des herbes vertes ! pré d'herbe et de bêtes toutes Autoproclamées, genre mots-bêtes sur tracé en herbe ! On veut gracver ! on veut grave graver ! dessiner sur pré les données des Frères, Soeurs en charité, Bêtes frères, Bêtes-soeurs lactées, pets de fée sur pré ventilé de fait ! On aime ! on a envie ensemble (ailes) d'y aller , de nos chants sacrés, de ne pas nous  brimer, gêner, empêcher, contraindre, museler, mais , au contraire ... péter !péter de chez péter sans trainer ! sans traîner et sans tra înées ... de merde ! si tant est ! gragve péter ! dfonner ! cerner ! fouler ! aller sur herbe pour donner à téter aux petis de la bête, dit "veau" ! On est : 

Fée d'herbes en herbe, ici ... du verbe !

Dire ! charger ! conduire et pousser ! faire ce qui est qui est qui nous attire ! Aller sur rive pour toucher ... le Vit, des données données ? ou ... DU ViF Donné ? du Vif Lait Doté de Vérités en vrai ? Vit ou vie sur pré on ne sait ! On veut dire et aller = pôusser, ici, notre char à lait sur un sentier de rive , et aller ainsi chahuter le muret, titiller, pour de rire, qui sait ? 

Pousser = dire = faire = chercher =donner à des nénés le lait sacré, sucré, sale et salé , des données du Rire ! Chercher ! dire et poser ! Qui on est ? on est les fées des doonnées -surprises comme déposées de fait en un pré qui est le pré post tracverseé, post v-traversée des mursc de frise et autresz murs aux données du Rire !On veut dire et cfoller à ce muret  nos données acides et autres vér(ités pêchées ! on veut 

TOUCHER = DIRE = FAIRE = PRENDRE = COMPRENDRE = ALLOUER À UNEE SORTE DE PRAIRIE DES FILTRES LE PASSÉ EN BRANCHE, VIE PASSÉE SUR PRÉ DES FÉES ET VIES PASSÉES SUR PRÉS AUX DONNÉES DE FRANCE FRANCHES ! LE FRANÇAIS ALLOUÉ (LA LANGUE) À UNE VÉRITÉ CLASSÉE, ÉTANCHE, SOUPESÉE, COMME SOULEVÉE COMME À LA P ARADE, EN CET ANTRE DESdonnées actées ou sinon actées .... espérées ? On nentre ! On veut toucher à ces nénésx du centre, des données romandes, du tracé fêlé, des vies passées comme allouées à une sorte de romance des temps dépassés, surmontés, donnés sur pied à Déité des F2es et autres BÊTES de Pard ade. On est la Fée des fées , Fée des fées donné ! Onn est Fée des Fées de France ;, c'est-à-dire parlant français, la langue cendrée, ccette langue

 aux accents tracfés , sur pré des données comme "remo ntées". On veut :

surprendre = aller = faire = chercher à) (pour le coup) toucher Romance, toucher Fou , toucher grave, à cette sorte de Romance, comme Persi-onnifiée , la Fée ! Fée docte vdes contrées de Roche , Fée passée sur roche depuis ... l'ombrte ! l'ombre du passé des hommes cernés ! homme mort et enteré laisse son passé "germer" et donner Fée sur Herbe Folle ! Fée ailée de Rpooche ! Fée tracé par quelques entités de Roche surmenées ou par qui d'autre qui saurait tracer, sans se tromper, le Trait des Ombres ici  portées, sur muret de bout du monde ? On est La Fée des prés cendrés ! On veut en vrai cerner de près les données proches = ce muret des roches, des rochers de Porte ... qu'est-ce que c'est ? une sorte de Parole ? de Pa(role-Porte ??? de Porte du pré ? P assaghe de fée et qu'importe ùo ça nous pôrte ? au néné ? au néné né de fait passé la porte ? La porte passée ? une fois passée et du coup ... on compte ou on compterait = on ferait nombre ? on pèserait ? on seraéit "du nombre " ? on pourrait compter et être (un tant soit peu) enfin et à jamais , qui sait, considéereées en tant que 

"Fée, des données de Roche", 

post-morteme , post-cimetière alloué aux données de Rome ? On veut grave y aller, de notre théorème ! pousser = dire et poser ! cerner et prendre (comme qui dirait) le vent de face ! pets ! pétarades sur pré ! charges fatales ! considérations maussades ! poussées d'acné comme par malchance et autres faitsz s ans fraiçsz ! On  veut coller = dire = faire = donner à une sorte de Passé notre sorte de POussée, de genre genrée, donnée, amllouée de fait à un genre donné, de type "cendre" ! Poussée d'acné sur pré comme à la retombée, ça fout le seum et au taquet ! ça nous fait bisquer ! ça nous enquiquinje à jaais ! tracé dense ! faits de fée ! balances et romances sur pré chahuté ! on est accolées = ailes de fée = fée = ELLE ! Âme HAute , le Pré (en  vrai) est Hôte ! chambre d'Hôtes ! pré des fées = rotonde ! une sorte de jardin de bonnes ! ce Passé est un passé de Roche, puis de trait, trait d'ombre portée, qui sait ? qui serait trait de roche = tracé = anfractuosité d'époque passée ou sinon passé .... profonde ? On veut zn vrai aller , féire et donner, comprendre, cette porte, ce Passév de POche, ce Passé passé, ce tracé, cette sorte de donnée profonde qui (peut-être, on ne sait) reswembleraiot à s'y méprendre à une sorte de "donnée en branche" = donnée d'ambre ! chance ! chance en vrai sur branche !Le passé, des données de France = le français en tanjt que langue du Passé, des données données sur pré alloué à une sorte de Jugé, de Vérité de base, de poussée d'acné dans la Romance, de préciosiyté comme chahutée, ou alors charcutée ? sur pré des prés donnés ? On est passé en tant q'on est La Fée du pré, parlant français = chante ! va-nu-pied ! vent de face ! cheveux au nez et à laé barbe ! un e sorte d'enfilade de chevaux de base  ! bhêtes de parade ! bisons-nés ! buffles de Rage et bouques au passé comme en embuscade ! les nénés vde france ? on croit rêver ! On veut (grave ! ) comprendre ce qui est (en ces contrées) des données de base post-excentricités des envies (pressantes) de passer ou traverser ensemble (fée ailée) le muret premier, mur des données cendrées, mur ONE ! On est ailées de fait du fait qu'on est Fée, des RAges Naissantes = Fée des Fées  ! F2e du pré ! Fée des ombres allouées aux murets des Ombres ou dit tel, car, en effet, le TRait de pOrte, le dernier (on dira le dernier) est trait ditb "des fées" , du fait que les fées ... le  connaissent, le voeint sans cesse comme se tracer, voient en vrai les "nénés derrière" ou bien c  e qui eressemblerait on dirait, à des nénées derrière, à desb nénées à lait : qui sa&it ? on dirait de fait des nénés  à lait ! pis en herbe ! pis d'herbe ! pis des prés et des herbes ! pis du pré passé ! pis des herbes et autres denrées ! pis des faits et gestes sur prairie donnée ! pis doctes ! pis d'ombre ! pis de fée des prés ! pis sur pré comme à la retombée ! pis donné ! pis sur ombre portée ! pis dit ! pis ici comme dit et nommé ! nommeé de près ! nommé ou autonommé ou comment nommé ? on est la fée du p)ré qui dit "le pis" ! Le pis dit ! le vrai des vrais des pis en herbe ! pis pis ! Pis des fées sur pré charmées ! on veut come qui dirait du pis en vrai, le pré passé ! pré des fées (mort /ombre) on veut toucher ... pis ! Pis des pis des prés finis ! pis des fins de prairie ! pis derrière ! pis des fins de Charge Allouée ! On veut en vrai aller ensemble (ailes = fée) vers Pis des Pis de bonne mère et autres mères ici tracées, dessinées comme à l'arraché sur dernier muret, celyi (post-motrtem) des fins de pré et d'herbe ! On = Je = NOus = vent debout ! On v  eut nous deux (ELLES au Taquet) donner, dire et pousser, de tous nos voeux, 

le mot donné, mot des données données ! On est Fée du pré au mot donné ! On veut 

: coller = donner = dire = chercher =comprendre = cerner = toucher à ce néné de l'hydre ... mais, qui donc est l'Hydre ? qui en vrai est l'hydte (ou serait l('Hydre) du pré ou de ce pré des rives ? On ne sait ! On est Fée faite sur pré des donées mais en vrai on ne sait ce qui ici (ce pré) nous réservfe ou nous réserverait en fait d'invitée  , é-e et d'invité,  é,  ! On veut : vrai ! dire ! ppousser ! chahuter qui le verbe qui... le  verbe ! car, en vrai, seul le verbe est (serait) ici, de fait, à chahuter en vrai ! vu que le reste ... appartient au rire ! rire gris ! rire forcé ! rire des données du rire ! chant de fée sur pré des Rives et des Champs alloués à des sortes de denrées à cuire ! On est La fée du pré Forcé ! Passage d'anguille ! on est passées, on est retombées, on s'est redressées, on s'est comme accooélés dès l'entrée;, de type "frise", "fille", "fée ailé" , Fa;on desz données (biche !) et nous voilà qui voulons aller sans plus traîner vers cette rive ultime dont le nom en vrai est .... Hydre ? hydre Saluée ? Ivre Hydre aux données tracées comme gravées ? On est née  Fée sur pré des rives (r(otondité) , nous voilà promenées ou comme promenée jusqu'aux nénés des données lactées, de type .. Hydre ? mais ... Hydre, c'est un fait ? une sorte  de trait ? une donnée ? une sorte de figure en vrai ? face-lune ? face ancrée szur muret de bure ? Pioint d'alacrité ? chant des traits des données des Urnes ? On veut :

DUIRE DIRE ET DIRE

PORTER PORTER ET PORTER 

CONSOLIDER, LE DIRE DE L'HYDRE, SI JAMAIS

MAIS QUI EN VÉRITÉB EST OU SERAIT L'HYDRE ?

UN HYDRE ? UNE HYDRE ? L'HYDRE DES FÉES ? L'HYDRE IVRE ? L'HYDRE COMME REMONTÉ (E ?) DES TRACÉS SOUS EFFETS ? 

ON Veut grave toucher (en tant que fée des prés) aux seins des données, dites "de l'hydre / aux données données" ... est-ce possible ? pourra-t-on vcerner ici ou làb (en ces contrées du VErbe en Herbe) ce qui est et ce qui n'sst pas, de ladite ... "mort aux acoords" ? On veut vivre mort ! on veut (on voudrait) vivre (en vrai) mort , la mort, mortes ! on veut (on voudrait) ensemble (ailées) bvivre ... mortes ! ce que c''st ! ce qui est ! ce que la Mortb serait , qui nous verrait vivre, ici (au taquet), la Vie de l'Hydre des contrées du Rire .... alloué à un pré, à un champ de bêtes posées ! comme déposées pour de rire ! champs des Vies Allouées pour Rire ! gros Rire sur le Pré , Rires Gros des Contrées ! On veut :

DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE = FAIRE FAIRE FAIRE FAIRE FAIRE FAIRE FAIRE = DONNER DONNER DONNER DONNER DONNER DONNER DONNER = CHANTER CHANTER CHANTER CHANTER CHANTER CHANTER CHANTER

nos chants altruistes ! chants de suite ! chants des chants de Rive ! chants actés ! chants chantés sur pré par (ici) des Fées des données de rive ! Chants-poursuyites ! chants-comp)tines ! chants- dires ! chants sur pied pour ainsi dire ! bambinades cde parade et autres venaisons de grâce ! ramages ! enfilage cde bêtes de rage sur paroi de base ! On va (sur place) voir de près la Rage , fée on est ! 

fée des fées on est !

on est VF2e faite ! fée du pré ! fée cendrée post-mortem on aime , graveb cde chez grave, aller au plus près , des nénézs nés ! des nénés alloués à une Fin de pré, nénés des nénés ! On veut en vrai aller au pls lointain du pré, passer ce pré, charger, enttrer en muret, en muret des fins de pré et du coup cerner, en vrai, ce qui est de l'autre côté, qu'est-ce qui est ! qu'est-ce qui nous attend ou noues attendrait, qu'est-ce qui est dressé, redressé, donné, posé , sur pareil muret ou même après ! on voudrait = on aimerait ! tant cerner ! tant comprendre et toucher ! le néné ! le néné né ! le néné des nénés ! qui c''st ! qui ce serait ! qu'est-ce que c'est que ce néné surnuméraire des donées des termes ! qu'est-ce que c'est que ce néné des fins de pré !  néné d'herbe ? néné -herbe ? néné fait -xd'herbe ? néné né sur herbe de Verbe ? néné sur pied ? néné-Verbe au débotté ? néné-verbe sur un pied qui saurait xdanser ? un néné , des nénés ? le néné du français (la langue) en herbe ? un néné sachanjt se donher , en tant que verbe-lait ? Lait de Verbe au débotté ? verbe ... post-mortem comme qui dirait ? on cherche en vrai ! on ne veut pas lâcher l'affaire mais en vrai grandement pousser, sur pré, nos recherches ancrées, nos petites enquêtes et autres virées !  On est la Fée des données post-mortem allouées à un pré d'herbe ! On chercvhe ensemble (= deux ailes, accolées, soudées-serrées) à comptendre ici m^rme (ce pré) ce qui est "en la matière" , en cette sorte de matière dite allouée à un "pré en herbe" ! ce que c'est que l'herbe, ce que c'est que le Verbe, ce que c'est que la mort,  e que c'est que le verbe alloué à la mort par le biais de l 'herbe !  herbe verte ! trait d'herbe genré ! tréit des traits comme saturés  ! On veut toucher toucher toucher c'rst vrai mais pas que toucher aussi aimer ! On veut grave aimer aimer aimer ! On veut en vrai aimer aimer aimer toucher ! aimer toucher ici aux nénés dits "post-mortems" , est-ce queb c'est vrai ? est-ce que, en vrai, loes énées, les nénées des nénées sont ou seraient des données de type "post-morte"m" ? qui sait  ? qui en vrai sait ou saurait ici (pré = mort donnée) nous indiquer, nous informer, nous éduquer ? on veut :

dire dire dire

ok mais dire = dooner, et donner = forcer , et fgorcer = soulever, et dsoulever = charger, etb charger = porter, porter grave sur un pré, des sortes de Données rusitiqaues , excentricités rustiqaues, en langue secouée, genre français de chine ! charges divines, frais sur pré, encres vives, vins des prés nous ennivre et nous fait aller, sans rire, jusqu'aux fins de rive, traits tracés ancrés, frises ! On veut coller ! grave coller ! dire ! grave dire ! chanter ... nos chants acidulés ! rires sur pied ! chants-rires des données lucides , éclairées, cernées ! On veut 

TOUCHER DU DIRE ! DIRE ET TOUCHER ! TOUCHER-DIRE ET CERNER ! TOUCHER DE CHEZ TOUCHER LE DIRE CERNÉ ! CERNER-DIRE = TOUCHER ! POUSSER-COULER LE DIRE FRANNÇAIS , ET QUE ÇA ACTIVE, EN VRAI, DES DONJNÉES LUCIDES RUSTIQUES COMME SOULEVÉES ! QUI SAIT ?  ON VEUT AIMER = DONNER = CERNER =COMPRENDRE ! COMPERENDRE ENSEMBLE = AILÉES , CE TYPE DE DONNÉES ANCRÉES GENRE EXCENTRICITÉS DE FRISE ! NÉNÉS ! NÉNÉS ! NÉNÉS ! NÉNÉSV DE FRISE SUR PIED ! LES NÉNÉS D'ENTREPRISE ... EN CHINE ! NÉNÉS NÉS PAaR (ON DIRAIT !) SURPRISE ! NÉNÉS DES NÉNÉESS ON  VEUT TOUCXGEZR ! On est nées Fée en  vrai comme à la retombée une fois comme trépassée ! On est née Fée La mort acceptée, avérée, aquise, instruite, actée = portée ! Et une fois passée (= trépassée) on est devenue TRANs  = F2e ! Fée du pré ! Fée docte en vrai ! HYDRE ! HYDRE SUR PIED ! HYDRE DU PRÉ ! QU'ST-CE QUE C'ESRT QUE L'HYDRE ? UNE SORTE DE DONNÉE ACTIVE ? FIGURE VIVE ? CHARGE RUDE ET COMME AUTO - DONNÉE SUR UN E SORTE DE PRAIRIE "ACIDE" ? ON VEUT (ON VOUDRAIT) CONCLURE ! QIUI ON EST ? QUI ON EST PAS ? QU'EST-CE QU'ON VEUT SAVOIR EN VRAI XDE CES DONNÉES DE BOUT DE PRÉ ? QU'EST-CE QUI EST ET N'EST PAS EN CE MURET DE FIN DE PRÉ ? ON EST LE FÉE DES HERBES FOLES ! FOLLES À LIER ! On est

Fée de Roche Folle ! accolée ! poussée ! morte ! 

morte et enterrée ? Pas vrai ! On est fortes accoléesv sondées ! on fonce ! ailes ! ailes accolées on est ! on est Fée ailmées du fait qu'on est passées à travers la Roche, Roche de Grotte, néandertalienne avérée , on est passée ! on est come passée ailées ! On a traversé sans trainées la roche des prés ! face allouée ! Face nue ! cul nu sur pré herbu ! On veut grave débouler, passer, se retrouver de l'autre côté, charger grave sur pré les données de base , et y aller, foncer à grandes enjalmb ées, vers ces co ntrées de bout cde pré, rons  de bosse, muret, murailles de Porte, la Murzille des Données de CHarge : fins de pré ! fins des Fins ! contrées des Contrées ! l'enfonc"é ! l'emportée ! l'encorné ! la sorte de Passé aux Fées  ! On veut passer ! on veut regarder ! on veut toucher ! on veut toucher aux nénés ! on veut grave toucher aux nénés ! on veut grave ici même (fin de pré) toucher aux n énés = au passé = aux tracés dits "des fées et autres elfes du passé". On veut de fait alller aimlées (ainsi ailées en tant que fée) vers les données dernières ... dernières et primaires ! retyourner ! retourner, ainsi ailées, vers ... du passé de fée ? Du passé donné ? lait de F2e ? lait des prés ? lait des données données ?? Lait donné comme s'il en pleuvait ? Pluie de fée ailée ? lait donné ? lait des laits ? lait du Passé comme deéboiîté ? déhanché ? défait ? déplacév ? lait ! lait ! lait ! lait ! le lait alloué à une szorte de passé des fées ! lait des laits surdimensionné ! au taqsuet ! ch argé ! comme donné en prêt ! lait passé ! pointé ! collé ! accolé sucré ! lzit des fées au Verbe CXhargé ! Lait-VErbe ! Lait du VErbe FRançais ou ici Français du fait que l'herbe ici est comme centrée ! recentrée ! chargée des fées ! comme "collabée " sur pré des Fées dites "cochées "! On veut :

TOUCHER TOUCHER YOUCHER TOUCHER TPUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOIUCHER (§OUCHER aux nénés tracés ... pOst-Mortem et ça le ferait ! enfin on swaurait !  mais en vrai est)-ce ce qui est  qui nous attendrait, au pied levé, la mort donjnée ? On veut : 

TOUCHER ! TOUCHER AUX NÉNÉS ! AUX NÉNÉS DE ... DIEU ? GRAVE TOUCHER DE CHEZ TOUCHER ! AUX N ÉNÉS X'UNE SORTE DE DIEU DES DONNÉES ACTÉES, DÉESEE AVÉRÉE ! DIEU-DÉESSE CENDRÉE DE TYPE FÉE DE PRÉ MAIS, ICI (POUR LE COUP), POST-MORTEM ! 

On est fée des préds du fait qu'ejneffet, on est passées, on a traverséeé la Roche de grotte (néandertalienne ... ) et on s''sst rretrouvées commê toutees nues sur herbe connue ! prêtescvà nous relever et pouvoir tracer = filer = courir = charger = alller .... loin .... sur pré ..... tracer ! qui un sentier, qui un chenal, vers .... V2rité des V2rités = 

un cheval ? une chevale ailée ? Bouquetine cernée ? Buffle au vent mauvais (= pet ?) et ça irait ? On (nous = Fée) veut dire ici le trait des Vérités : voulons ! On = nous = je ! CE qui est qui serait, le muret dépassé !  qu''st-ce qui est après ! On voudrait en vrai ensrmble (ailées) comprendre les données ... d'un passé comme remonté ? le passé d'un futur alloué à une (szorte de) "donnée desb donnérsz"  qui nous devancerait ? On est La Fée vdu pré  , ici toute "remontée" (colère !) du fait que oui , en effet, les herbes .... les herbes vertes ..... sont touteszcmouillées "de verbe " ! Du français surfait ! cherche-merde, comme saturé de 

 🫅 

traits de merde genre Vanités ! Vanités des VAnités en herbe ! On veut :

DIRE DIRE DIRE DIRE CE QUI EST DE TOUTE CETTE MERDE ACCUMULÉE AU FIL DES ANNÉES EN CE VERBE ANCRÉ DES DONNÉES SURFAITES , EENLUMINÉES, CHAHUTÉES, CERNÉES, CONCENTRÉES, REBELLES ! REBELLES EN VRAI ET AU TAQUET ! REBELLES SUR PRÉ AU TAQUET ! GRAVE REBELLES, LES DONNÉES ! GVRAVES SUR PRAIRIE DES FÉES ! GRAVE REBELLES ! on veuut grave cer,ner en vrai, X données ditesx rebelles (on dirait), qui nous interpellent  ! qui nous hèlent ou nous appellent ! et nous d'essayer (de fait) dee les entendree, de l  es écoueter et de les comprendre , et de cerner ici leur dire avéré, accolé, donné, porté, déposé comme une sorte de denrrée lacté ! On veut toucher à pareilles données, comme sorties de l'herbe verte ! On v  eut  c  erner-toucher toutes ces données post-mortem (?) ou sinon post-mortem post paéroi de roche traversée ? post-roche allouée à une sorte ici de pré à traverser ailée et c'est ce qu"'on fait ! On veut aller, ensembleb (ailées) au plus loin du pré, au pls lointain, au plus profond, en ces fins de roche tracées, c  ernées,  allouées, qui sont finalités, fins de donées,n fins de pré , fins des herbes portées, fins des fins du Pré aux Données des Herbes (verbe) du Tracé Des Fées. ON Aimeb ! grave on aime ! grave on veut ! Grave de chez Grave on aime azvzller = traverser de base, les données p)rairiales, ce vert , alloué àune trace ! ce pré ! pré aux fées et aiutres "bêtes de ccharge" de type attelage ! pré ! pré ! pré ! pré de charge ! pré alloué à une sorte d'attelage de donnée de charge ! poids cendré ! poids des poids des données sardes (? ) ou sinon sardes sages ! On veut : 

coller à déité (de base) nos ailes diaphanes, toutes transparentes, nervurées, légères et nacrées  dites "de contrebande" : troquer ! mais est-ce ou serait-ce possible en vrai ? de donner , ici même (post-pré paradisiaque) nos ailes nacrées (diaphnanes) à une sorte de Déesees Sarde (?) ou sinon sarde  Sage ? Sale ? SAde ? On veut cfomprendre = aimer, et pour aimùer il faut TRACER ! courir dans un pré ! charger ! foncer tête baissée et pousser ! grave pousser ! pousser à charge ! contrer ! perdre la face ! chahueter de rage les donées en herbe du verbe alloué, à soi même alloué en première instance ! le FTzan çais tra&qué, ici le français , du fait que, de base, ici, sur pré des Fées, on est (on serait) comme en France ! France tracée ! Franc d'encre, un ancrage ! une f2e d'Ancre ... en français comme qui dirait ! On veut grave toucher = donner = dire =  cerner = pousser = pousser grave = c hercher = rec hercher = comprendre = donner ! donner ! donner ! donner ! donner ! donner ! donner ici ou là en face (face ?) les données de l'antre, ce qui est qui se ressemble = AILEs de F2e ! nom tracé ! meloton !  On veut grave coller (au muret ) notre nom ! et du coup traverser "comme à reculons" ce muret des fonds comme ... une sorte de Passé ainsi Tracé ! nénés ! nénés nés ! le njéné post-pré, post-prairie aux fées ! post nacre et drapé de pré ! post-herbes broutée par des bêtes de pré de type mmouton, moutonhe au fronton ! Au front ! Qui on est, en vrai ? eh bé ... On est la fée du Pont = sur le pont ! On va sur Roche à la recherche, 

d'une "sorte de fond" ! Fond de pré aux bhêtes ! Fond ! cfond du fond ! fond docte ! 

fonçons ! traçons ! courons ! ne nous arrêtpons plus de grâce m ais allons ! en face ! droit devant face à face ! on est Fée d'antre ! On veut comprendre = cerner, toucher et allouer à une sorte de muret un brin de Vérité ! Ce qui est en vrai, qui serait, qui nous informezrait, nous guiderait, nous donnerait de quoi ... e'spérer ? cerner ce que c'est que cette sorte de clarté des données profondes ! Une clarté de roche ? un fil de cqalarté ? jour donnéc ? ensoleille'ment acculé des données profondes ? vive clarté de roche, compme ancrée ? cklarté haute ? cla rté des clartés de roche Profonde ? La clarté des fins de rOndes ? une sorte de Clarté de Roche dite "Profondes" ? Cjlarté Haute / Haute VcKalarté de ROche ? clarté Allouée à une sorte de Mur de Rotonde Faisant Roche  ? CLarté à Travers Roche par un trait ? trait de Roche Alloué à une sorte de clarté de Poche ? fine cl arté des fins de roche ? trait tracé ! ? Tracé des Tracés ? fine clarté d'un tracé de Fée ? trait des TTrza  is Donnész, poussés, gravéss, ancrés ? On dirait un trait ! un trait de fée ! trait des traits des Fées allouées à un pré posqt-paroi des Rois et Reines de SAba ! Charge sur par'oi et ça envoie du bois ! grave ça envoie ! on est passées ! On a passé la Roche des Données Progfondes ! Groote ! Paroi ! Charge ! traits de voix ! on a passé ensemble la Paroi des Rois et Reines de Parioi ! ! On est nées Fée Sur pré à la retombée, preête à tracer, filer, courir  v ite au débotté vers cette fin de pré allouée à de l'herbe ! et, au-de"là de l'herbe, à un mur d'enceinte "troué " par .... qui sait ? le VErbe ? ... en vrai ? ... Troué par le VErbe ? la parole-née, l'herbe verte d'une sorte en fait DE VErbe de fée ? On veut cerner = toucher = dire , ici, en vrai, sur herbe, ce qui est !  à savoir ce Verbe ... ce que c'est de fait ! une sorte de perce-misère ? perce-muret  ? qu'est-ce que c'est en vrai que ce pré des herbes ? Qu'est-ce que c'est de fait que ce Verbe ancré ? qu'est-ce que c'est en vrai que ce Verbe d'herbe ? Du Laurier ? de L'herbe à cracher ? Herbe ici dotée de vertus de fée ? herbe à purger ? Herbe des données  Imberbes ? Le PAsdsé ? le Passé re-composé ? retour au passé ; ... via Le Verbe ? Verbe comme soutiré, étiré, chanté, calibré pou!r ainsi tracer, traverser, aller, passer, chercher plus loin un ancrage avéré qui puiisse allouer à une sorte de donnée ailée une sorte de solidité , de charge assurée, d'ancrage parfait ! on entre ! et c'est le mot de F2e qui entt-re, come ainsi porté ou soulevé, dans l'antre du ... trait ! très ! chargé ! entre chargé ! charge de trait ! poussée ! poussée froide ! un tracé dfe fé comme à la parade et ça pourrait aller, peser, toucher grave les ... don nées-nénées de l'antre : qui sait ? On veut comprendre = 

DONNER GRAVE

CHERCHER GRAVE 

TOUCHER GRAVE

CERNER GRAVE

CHANTER GRAVE 

ALLER GRAVE

PERCER GRAVE

SONDER GRAVE

PISSER GRAVE

ce qui est qui est en nos entrailles (ici) de fée affectée à une sorte de rechercheb"sale" de donnjées données pour en vrai toucher à une sorte pour le coup de Déité des Déoités "lactées ".

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20/11/2024

On regarde, on veut comprendre. On ne veut surtout pas passer à côtées des données premières. On veut cerner = on veut toucher. oN ne veut pas se laisser distancer mais toucher de fait aux nénés ! aux nénés à lait ! On ne veut pas passer pour des benets mais tout au contraire impacter ! impacter par notre intelligence ! et noius distinguer ! On veut coller en vrai aux données de France ! aux nénés tracés et aux données de france = la langue, le parler, la romance, une poule sur un muret, le furet, la danse  ! On veut toucher toucher aux dites "données d'importance" et ça le ferait ! on veut croire en notre chance : on est passées ! on a passé le trait de l'ambre, le tracé, la faille de Rage, l'en fractuosité de fçaçade, le creux de la base (ici, donnée) pariétale et allez ! on entre ! on vreut grave entrerr sans sourciller ! On est accolées en vrai parce qu'on s'aime grave ! on ne veut pas se lâcher mais tracer;, tracezr de rage, ne plus jamais nous arrêter jusqu'au :muret de fin de pré , dit "de la Mort en brancche " . On veut toucher ensemble = fée, aux nénés "étranges" , une vache à lait, une vache szacré ! notre chance au ttracé et on entre ! on veut toucher toucher la Vache aux nénés ! vache (sacrée) elle est née (de base) sur un pré, qui nous iimporte, nous soutient, nous accueille en son sein. On est ensemble ailé : un ensemble pour le coup ailé, et femmes ensemble des tracés des rages sur pré : on entre ! on veut coller à Déité des d2ités ! des données de base : infourtunité ! chasteté !  donnée cendrée ! chair des prés , des vives clartés ! On a passé le Rubicon de l'Anttre, le fossé, on est accoléesz = fée de Rage sur pré alloué à un passage dit "au débotté". On aime tracer, voler, filer, grimper, coller aux nénés = téter ! on veut DU LAIT ! DE GRÂCE ! que du lait déj)à ça le fait ! ça le fait grave ! ça nous plaîot ! on en redemande sans arrêt ! on ne peut plus s'en passer , qui sait ? On veut toucher de base les nénés de l'aNtre ! Aller ! pointer ! coller aux données, chercher ensemble la parade pour pouvoitr passer sans se retourner et filer ! grimper ! monter ! compter les charges ! cerner = comprendre ce qui est qui "nous regarde" ! = des nénés ! qui sait en vrai ? qui connait en vrai les différences ? qui sait ce qui est qui semble nous mater sans discontinuer ? Une äme ? un trait ? un champ de blé post-pré ? une sorte de ... clarté donnée post -tracé ? On mate ! on regardee ensemble (fée ) . On cherche à comprendre ce qui est, en ce dommaine des données post-pré, post-herbe, post-bêtes-mots et autres phonèmes "de trop" ! On est la Fée dite "des contrées post-cimetière " (post-mortem). On est Fée des Fées des prés prêtes à entrer (d'un trait)  en ce muret des fins de pré, muret post-herbe, post-données premières. On veut de fait tracer sur roche les données "accortes", filer (comme on est passée) , monter, grimper à l;a corde, voleter ! filer-voleter, chercher POrte (où elle est ?) et , une fois tyrouvée, ouvrir 

ELLE ! ELLE POST-PRÉ ! ELLE, DES DONNÉES DONNÉES RUDIMENTAIRES ! SALUÉES ! ORNÉES ! POSÉES ! COMME OFFERTES À UNE SORTE D'ENTITÉ POST-HERBE ... QU'ON (NOUS-MÊME) DEVIENDRAIT EN ELLE , PEUT-ETRE  .... On cherche à toucher aux nénés ! où sont donc les nénés  ? qui peut niyous indiquer par où passser si on veut trouver = comprendre ?  qi on est de base ? qui on deviendrait le muret passé ? Une sorte en soi de D2ité des RAges ? un furet comme plus haut nommé ? la branche ? ?le tracé des fées ? le tracé de rage ou tracé accolé à une sorte de démarche dite "de cervidé " ? On essaie grave de touchger -cerner à ce qui est qui nous fait face pariétalement, mur deds données fauves, ce carré, trou d'ombre, par peut-être où donc pouvoir passer une fois le pré dépassé, la course effectué, la montée actée ! On est F2e du pré, on regarde ! on voit loe muret ! le muret troué ! on croit comprendre ! On se dit que peut-être en effet la Chance, Les données de Rage, la volonté et l'opiniatretété auront raison de ce muret des fonds ! On est nées sur pré en tant que Fée, ailes de Fée, et, on croit en notte bonne étooile s'il en est ! On ne veut pas lâcher le tracé, loa base, la rechgerche allouée à une sorte en soi de cavalcade de paroi ! On est Bêtes de rage / Fée, qui allons grave, comme à la parade, vers la fin du pré pour tenter de comprendre eh bé ces nénés dont on parle , ce que c'eset en vrai ! est-ce en vrai des nénés ? pis de vache alloué à un muret  ? c'est drôle ! ça se pourrait mais, de fait, en nous quelque chose nous dit, que, c'est étrange ! On a du mal à y croire ! on voudrait c erner ensemble ces données mais... voilà ! On est cfomme bouche bée ! on cherche à cerner bouche bée ensembkle = fée du pré "de contrebande"  ! On essaie de pour le coup cerner -comprendre ensemble (accolées car ailesz de fée) les données données et autres vérités post-pré mais vas-y comprendre ! pas simple au toucher ! pas facile en vrai de nous y retrouver et de vcerner par chance ce qui est qui (de fait) ne cesse de nous reluquer comme si en vrai on était des elfes "de parades" et autres bêtees-chargfes allouées à une sorte d'attellage (ici) de pré tracé. On est Fée du fait que voilà, on a passé la première pa roi (dite "de la mort en acte") , puis le pré où donc volià, on est devenue Fée du fait que voilà ! on est passé ! Homme donné ! homme accordé ! homme des Monts ! Homme né, meurt sur cloison numéro 1, puis disparaiît à tout jamais pour on dirait donner naissance sur un p)réb à une F2e ailée ! On veut trouver ! ON est pasdsées de fait pour, franchemment, sans tarder , trouver , soit trouver en vrai le plus possible de do nnées de Rage et autrtes données sardes ! toucgher ! comprendre ! allouer à un tracé une sorte de donnée de base à base de rage ! et nous, du coup de filer, ensembke, sans trainer, vers cettte "D2ité aux nénés" comme qui dirait ! ventrte ! ombre ou ambre ! On enttre ! on passe sur pré vite fait direction le muret aux mille données dites "de vérité" ! On a méga-envie de comprendre, ensemble, ce muret des charges ! ce tracé "bien intentionné" on dirait, en façade, ce muret post --pré , post-romance fdes prés. On est accolées ! on est clouées ensemble commpe qui dirait ! on est enclouées ! On ne veut pas se laisser gagner par (qui sait ?) une sorte de méchanceté qyuiu nous ferait louper les vraies données données comme par contrtebande, par (ici : muret) La déité dite "des D2itées " . on ne veut surtout pazs lmouper en vrai notre chance (enfin !) de comprendre ou de pouvoir comprendre ce qui est, de se poser et de rezgarder (en face) les données tracées, cette clarté d'aisance, ce bleuté (ce pré sans pré ?), cette Parade comme Chahutée, ce sens des données placées, posées, déposées ; cette trace ! On dirait du lait ! est-ce du lait ? est-ce réellement du lait de néné ? et si oui : de quel néné pour la circonstance ? Nénés d'herbe de pré ? nénés des nénéd sur pré alloué à un troupeau de vaches ? nénés nés comme à lza parade, le dessin tracé ? Néné des prés ? nénés nés sur pré tracé, gravé ? néné nhéandertalien et ça le feerait sans tarder ? sans nous ridiculiser ? ON est née Fée car on est nées dans une sorte de prairie aux fées ! On voulait vraiment ensemble passer, entrer en roche commê en religion eh bé voilà ! on y est arrrivées ! on a passé le cap du treait direction le pré, pré d'herbes, et une fois le pré à son tour pasdsé on s'est rapprochées (ailées = fée) d'une soorte de muret, mur d'enceinte, mur celte il wsemblertait, mur donnjé comme une sorte de do nnée celelete ou sinon celte sarde , ou sinon sarde  ... eh bien .... on cherche ! on entre = on veut comprendre ! On veut toucgher à ces nénés "de contrebande " , on ne veut pas se laisser démonter ou remuer ou mamlmener mais se ranger des coups tordus, et comprendre le nu, le tracé nu, l'ombre de plage, le trait du cul, ré d'ambre, cul ddes culs comme il sembvle ! Toucgher ! Prendre ! prendre le train en marche d'une sorte, d'escapade géante ! On voudrait entendtttre = comprendre ! les données de chambre ! chyasteté et sainteté à la commqande on veut comprendre = toucher = cerner ! cerner en vrai qui c'est ! qui c'est ici en -vrai qui entre quand on entre ! On ne sait ce qui est ! On veut toucher à une sorte de donnée de base qui serait (de fait) donnée de contrezbande, chant sacré ! musqique des fées ! parole dense ! papautage d'ange ! "Pom pom pi dou" et on saute au cou ! On veut (en tant qu'on est deux !) e,

mbrasser Déité sur ses nénés et du coup pour de vrai la téter ! ne plus se gêner ! téter grave, Déioté des D2ités, sans se gêner ni discontinuer ni se cacher ! on veut grave :

téter téter téter téter téter vtéter 

les nénés de l'Ambre ! dxes données en chambre : succursalles, chambre ornée, lit de fée, dxraps donnjés sur place sans en emporter , on veut coller (de bonnhe grâce) aux dits "nénés des données sardes" ... On ne veut plus s'arrêter mais ensemble sans traîner chercher à comprendre ce qui est en ce muret des contrebandes allouées 

aux nénés de l'Ambre  ! Obn est de fait passé (homme surfait) , nous voiolà dès loçrs transformé, en Fée (Ailée) aux données de Rage, saturnales, principales, chargées-accolés à une sorte de donnée de branche, oonctuosité. On veut :

AIMER GRAVE

AIMER LES NÉNÉS

AIMER DE BASE LES NÉNÉS

AIMER ENSEMBLE = FÉE, LESDITS NÉNÉS DE ... L'ÂME ? 

ON DIRAIT ! ON CHERCHE ENSEMBLE ! ON NE SAIT PAS VRAIMENT CE QU'IL EN EST DE CES NÉNÉSX AINSI ALLOUÉES NÀ UNE SORTE DE MURET AUX VÉRITÉS ! ON EST NÉES FÉE DE BASE SUR PRÉ ET C'EST AINSI

(QU'ON SE PROMENAIT) QU'ON A FINIT

 PAR COMPRENDRE QUE 

OUI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! MORT = NÉNÉS !  qui savait ? qui disait ? qui l'aurait pensé ? qui l('eut cru au débotté du pré ? on est Fée non -couillue du fait que en vrai on est passée, on a traversé, et couilles on a tombé-perdu ! sur le cul ! nue ! fée des fées sur pré nues on est quand enfin "mourrue" ! ON voulait (on veut !) toucher , toucher, sa&nqs tarder, aux nénés ; ... on voulait en vrai ne plus s'arrêter et courir en fait sans désemparer ou discontinuer jusqu'aux dits "nénés" des données frontrales dites "terminales" . Vivement l'été, qu'on chante ! qu'on fonce en trombe en ce muret de l'ombre ! On veut grave comprendre ! grave toucher ! grave cer ner ! ne plus (du tout) lambiner ensemble (fée) mais, sans tarder, filer, jusqu'aux nénés de contrebande,cooller, toucher, comprendre, donner, pousser, chercher, eeswayer d'entter sans vraiment enttrer, c'est-à-dire ... d'un trait ? un wseul trait ? On veut vréaiment ensemblke tracer sans traîner le trait desz données (des données de base), cxharge mentale, petits ponts de cxhance ! vive le poumon ! le coeur en branle ! les rognons, le foie de l'ambre, le bout du bout du pont de l'antre ! On est née fée des Fées sur paroi tracée comme à main levée les yeux fermés ! chargeons ! filo ns ! essayons de nous (ensemble !) relever et ne regardons plus à nous ranger, mais courrons ! allons ! traçons ! de biais, droit sur pré, n'importe pourvu que voilà, direction Nénésbs ! Nénés des Données ! Chants du coq sur pré alloué à une sorte de tracé, verts Diapa son ! On veut :

toucher les nénés ! oh toucher oh toucher ! 

toucher les nénés ! les toucher les troucher ! 

toucher aux nénés sans frais ! comperendre -cerner = dessiner (de base)- sur paroi de grotte, les données de bosse, et du coup peut-être (qui sait ?) en avancer pasz mal en ces données diverses concernant la mort, ce qu'elle estb en vrai, ce qui est après le pré, la cloison du fond, la clarté allouée 

à un champ  de  blé et autres prairie aux données fleuries ! On est née Fée quand on est né sur pré ! On ne vcoulaoitb pas succomber mis juste trac cer ! Coller ! dire et toucher !  toucher de fait aux  "herbes-Verbe" d'un tracé de fée post-cimetière, et cela fait, continuer, aller au plus profond des données en herbe, coller, pousser, filer = ne plus traîner vers,  il semblerait, une (sorte de) cloison "aux nénés" qui serait là à "nous regardezr" comme si en vrai elle pouvait, comme si en vrai ou de fait elle avait deux yeux pour nous regarder ! ndeux ! pas mieux ! et nous d'y croire grave ! On est sages ! on est La Fée sage du pré, du présage ! On veut grave comprendre = aimer , ici, cette sorte on dirait de D2ité  donnée , comme présentée, offerte au passage, porte d'eentrée tu penses ! saleté ! oh on ne sait ! on ne peut se positionner ! On essaie de cerner ce vque c'est ! quoi c'estb ! quoio c'est que cette Déité aux données finales post-pré ? on est Fée, des féeds de rage ...................................................... accolées on est ................................................................ on veut toucgher de fait aux nénés .................................................../.. vérités des vérités ........... charge Kolossale ! ................. raison gardée ? ..................... potage ? ............................. gravité des gravité vs ?................................. onctuosité de face, de façade ? ................................... poussée des poussées ? ......................................... qui saurait en vrai nous expliquer sans plus attendre  ? l'emporté ? l'empôté des ^éames  ? le père Passé ? le podagre ? ...................................................................... on ne veut pas se laisser déborder ou malmener ou même bousculer ou pire vioolenter par quiconque saurait (en vrai) ce qui est ici des données finéales , genre Vérités post-pré, lutte finale, Vérité post-gambade, frai ! On veut :DIRE ET DONNER, COLLER ET FAIRE , CHERCHER ET COMPRENDRE, ALLOUER ET MISER, POINDRE ET POINTER, CERNER LA CHAMBRE, LA DONNÉE DE BASE, LITS FAITS (BIEN FAITS) , DONNÉE D'OMBRE (D'AMBRE ? ) SUR PAPIER DE PLANTE ; on veuut toucher à une déoité le pré passé , et cette déité peut-être ça xserait ... la Chance ! Déioté-Chance ! une sorte de donnée de base, genre tracé, qui nous expliqueraéit par où passer pour en vrai s'en tirer ! loa chance-déité serait , ici (mur des abris) ce qui qui sait ? en vérité pourrait peut-^tte nous donner ou octroyer une sorte de chance au passage ! grattage ! parade sarde ! point fde croix et ça y va, on passe sans embages ! On veut toucgher à ce qui est derrière la paroi ! on veut toucher sans discontinuer à ce qui est, à ce qui se présente, à ce qui naît, à ce qiui montre le bout de son nezb ! On est ....................................................................................................................... nzée fée ...... fée des prés des ombres portées ........ on aime cocher ! toucher ! coller ! percer ! Dire et monter ! On veut grave se placer du bhon côté et pezrdurer ! côté Chance ilm semblerait ! peut-on y vcroire ? peut-on raisonnablement comprendre les données (ici) du sangversé , donné, alloué à une sorte de .... féminité de base (rage) des données frontales ! ? On cherche ensemble ! on ne veut pas lâcher la bride, ici tracé, d'une sorte de .... gravité des gravités ? romances achevée ? chants sales ? propreté ? On trace ! On trace sur paroi de base les bêtes sur pattes ! On nveut en vrai traiter ! On ne veut pas se laisser débordreer ni embobiner, ni emberlificoter , par en vrai Icelle Déité des DXOnnées Finales ! On veut lutter ! Lutter de chez luter ! C'est la lutte finale ... dans les prés ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher 

toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher 

toucher et encore toucher aux nénés de l'Ambre ! Sainteté mal formée chasse la chance au passé !

Sainteté bien allouée fait la Fée des Fées tracée ! 

On entre de biais, ma&is on enttre : le passé donné, posé, alloué (contrebande) sur panier ! On est la fée aux données des prés  ! herbes au taquet ! sarabande ! julmelage d'ailes dessinées ! ailes d'herbe et autres fleurs louées, chants de ronde (de carosse) ! On veut toucher ! grave chanter ! chanter pour toucher là est l'entreée ! chant = passage = tra&cé = pointe acérée d'un verbe accolé ! On veut toucher-cerner = chanter = dire !  Allouer à un dire un tracé = un trait ! et du coup ........................................... passer ! Passer sans rire ! passer de chez passer ! passer qui le nez qui la frise ! mais passer ! sans traîner ! sans faiblir ! sans se prendre les pieds (comme qui dirait) sur pré  ! mais filer ! continuer ! aller ensemble (ailées) de l'autre côté = coté .....  pire ??oh , qui sait ? on ne sait en vrai ce qui est question pire ! on veut juste tater ce qsui est : le néné du pire ? On veut coller ! juste coller ! se coller d'emprise ! toucher = se coller = téter = cerner = dessiner cfomme à l'arraché et à main levée la bête de frise, l'antilope-née, l'ourse des prés, le bison nacré, le bâton sur pied ! champollion ! on est pas si con !on est fée des fées ! npas si connes en vrai ! on creuse profond ! on veut gravfe toucher et du coup on creuse ! on est à fond ! fée du pré à fond  ! sans avoir le mel:on mais à fond ! On touche ! o n veut ! on ne veut que , que être au mieux celles qui ont (pour elles) une sorte de "Savoir en herbe" si tant est ! Chercher = dire ! donner = faire ! prendre = coller ! perdre = pondre ! chipoter = corrompre ! caler = coincer ! pisser = vivre ! caguer = porter, ici, sur frise, le tracé des fées ! On ne veut pas se laisser surmonter ! On veut , en  vrai, s'envoler = voler ! haut les pieds ! hautes sortes ! fonds de roche ! fi des traits passés ! on monte ! gravfe o,monte ! on est la Fée du pré des roches gravées et du coup voilà on montre sans honte ! On veut : 

TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHERR TOUCHERTTR  À CE TYPE (EN VRAI) DE NÉNÉS QUI IL SEMBLERAIT SERAIT ICI (LA MORT) À NOUS ATTENDRE DE PIED FERME SI TANT EST ! QUI C'EST , QUI SOONT CES NÉNÉS OU : À QUI SONT CES NÉNÉS ? EH BÉ... ON NE SAIOT PAS ! on dit "la ùmort" mais la mùort sqqui c'est ? la mort post-pré , qui c'est ? On est nées fée au passage "tracé", (bouques et bouquetins) , à présent, à présent qu'on est mo,ntées, qu'on a gravi ici le muret, qu'on a fait le trajet, qu'on a grimpé, qu'on s'est envolée sur pré, eh bien .... on aimùerait beaucoup beuacoup connaître les données finales (terminales) telles que évoquées par chance en ce tracé post-pré de contrebandee. On est Fée faite (faite fée) , et à présent on cherche les données du Nombre ! Lequel c'st ? quel est-il en vérité ? quelle est la clé ? quelle est donc la clé des données post-rpré ? On est née Fée, on veut toucher aéux données post-pré ditesxd "surnuméraires", "allouées à de l"herbe", "surdimensionnées", "certaines ou certifiées", "souveraines / siouterraines", "cvhargées des contreées" . On est la Fée du p)ré cherchant (toute colère) ce qui est qui semble se tramer (tracer) sur pied face à elle  ! Fée calée ! Fée docte ! Fée des F2es doctes ! On,n est La fée qui sait (saurait) dire et toucher loa Chose Profonde, le pAssé passé, l'ombre sur pied, le beau de l'ombre dessikné, l'armée des ombres nsur rocher comme gravée à main levaée par toute une cohorte d'hommes et fde femmes désignées, pour faire parade ! dessiner de près ! coller de rage ! s'empiffrer de données de base et ça le fait en  vrai ! On ne vceut pasz se laisser berner ! On veut pouvoir continuer sur notre lancfée sans chyerc her à davantage se montrer (peut-^tre) mais aller, vives et enjhouées, sans faire plus que ça du char(me , vers ce trait ou trait alloué à uene sorte de tracé acté ! chance ! chance  post-pré ! chance sur pied on dirait ! on entre ? on entrerait ! on serait néesb Fée ... au passé comme qui dirait ! retrouvailles ! retrouvailles des nénés ! on voit la panse ! l'antre ! les seins poijntés ! le lait rance ! la chance des données de trait ! vache de FRance, le français,  

la classe montante, Cours Moyen charmant, le chant ! O,n veut coller à c  e qui est ici, comme déguenillé, le passé montant ! allouer au chant le passé (lacté) des tourments dits "des prés et autres cham)s" . On veut : 

TOUCHER DE PRÈS

COLLER ZAUX NÉNÉS

NE PAS SE LAISSER MONTER JAMAIS ICI SUR LES PIEDS

COLLER À DÉITÉ DES DONNÉES DE BASE

COMPRENDRE = TOUCHER ON SAIT

ROMANCE DES PRÉS FORMENT LA CHANCE "AU PASSÉ"

on entre ensemùble ! on veut toucher à ce néné de l'ambre = leNéné , des Nénés de France ! le FRançais ! Lait du lait ! petit lait des chances ! On veut colloer à ce néné nos loèvres prégnantes et sans plus tarder téter ! ne pas s'arrêter ! téter le lait des données naissa,ntes post -pré = post-mortem ! saluer ! cintrrer ! accoler ! pointer ! jouer , de l'orgue des fées, du fifrelin donné, du pipeau  d'aeau ! On veut jouer ensembkle à qui perd gagne sur paroi de rage ! tracer ! tracer = donner = voler = monter = comprendre , ce qui est ,  ce qui ici est ; ce qui se trame ici et là (là-bas) pour de vrai : les nénés de l'ambre, le Passé remonté, la CHance au passa&ge, le ppoint de trait , la (sorte de) parade ambulante

 à qui mieux mieux ! on entre ! on entre ensemble (fée !) . On nhe veut que c  ela de f ait : entrer ensembkle sans trainer = sans chercher à plus que ça comprendre ce qui est dans ce qu'on voit, mais foncer ! foncer grave ! tracer ! ne pas c  hercher à mieux c erner (de fait) les données de RAge, mais coller coller coller coller coller coller coller  ,coller à ce qui se présente en termes de "Nénés" ! qu'est-ce que c''st ? qu'est-ce que c'est que  ces nhénés ? eh bé peut-etre en vrai de fvrai nénés, qui sait ? ou alors le Passé ? le pasdsé de branche ? l'onctuosité du lait donné (aiutrefois ?) en france (le français ?) ? On est la Fé dite "du paszsé en France" , chant de fée de contrebande, on veut coller-toucher ! dire et donner, faire et allouer à un passé une bsorte de tracé post-pré qui serait de fait Une "Vérité des Vérités" s'il en est ! On est la Fée faite, Fée des Fëtes ! On est née sur pied en herbe ! vivacité ! finalité ! infirmité des fées en herbe, on dirait ... ou le contraire ? sur-douée ? accolée aux donnjées primaires ! sur-renseignée ? complètement armée ? On aime ! on veut aimer la Fée des Herbes (VErbe) sur pré ! l'aimer celte ! l'embraszer ! lui plaore ! la charmer en tant que , oui, on est (serait) en vrai ... fée nousmême ! Fée des fée pour lui p^lzire et le tour est joué ! deux ailes ! on naéît ! on meurt sur tere pour renaiotre aile = aile de fée post -cimetière , et en plus "informée" de ce qiui est qui semblerait devoir avoir à nous mater, plus loin, sur grèves, sur grève-muret, mur d'enceinte des rotondités d'un pré entouré ! On veut :

allouer ! pisser ! coincer ! charger ! posséder l'herb', le tracé nacré, l'embryo,n touché d'une sorte de poinçon né fée .. ou quoi de fait ? quoi d'auttre au pasdsé ? On cherche ! on est la fée des (diites) "recherches de tracés" sur paroi de grotte ! néandertalianité de base ! aurignaciennité de conttrbande ! un tracé de près ! bêtes de france comme possésdeées ! on entre ! on entre ensemble par la bande (d'un t§rait de lumière) en cette pierre ! on veut enttrer comme"possédées" (en vrai) et pousser ! pousser grave sur notre lancée ! aller ! filer ! nous envoler sur pré direzction la Chance ! le trait dernier ! cette muraille des données dites "des finalités", le pré (l'herbe = le  v erbe) passé maiçs est-ce  vrai ? est-ce vraimùent la vérité vraie ? p)eut -on croire en paareilles billevesées ou quoi ou qu'est-ce ? Sommpes-nous ... bébêtes ? con^-connes ? ,connes-connes ? bêtes comme ses pieds ? ,On dit qu'on veut toucher mais est-ce en vrai quelque chose de ... raisonné ? sommes-nous armées ? armées sur pré (pieds) comme l'esxst (le serait) Celle-qui-sait  ? On a honte ! on a ou on aurait honte ... ou pas ! car voilà : on a passé la porte, on a passé la roche , la paroi de roche, on a posé ses fesses sur un pré, on s'est redressées, on s'dest commê redressées en Fée;; on est devenues Fée du pré et c''st ainsi qu'on s'est comme retrouvées embringuées dans une histoiire déjantée de fée des prés cherchant Mystère à dépiauter comme une bête chasszée, tuée, aimée, à cuisiner ! Belle affaire ! On veut (on voulait) toucher à une vérité post-cimetière on dira que c'est gagné ou pas loin de l'êrtrtree  : pas vrai ? On cherche ! on cherc he à gagner le lieu des données post-pré, cet endroit des fées p)assées, des fées qui sont ou qui seraient passées derrière le muret, la murette, le mur des FInalités "pas bêtesz" ou si, au contraire, bêtes ? ON veut toucher ; -on veuyt grave toucher

On veut grave toucher

On veu!t toucxgher

On ne veut pas se laisser démonter par une Autorité post-cimetière qui nous hara,nguerait sans cesse, nous ferait baisser tête, nous imposerait nde nbous taire, ne p)lus parler, ne plus jamais la ramener, nous taire sans tarder ;... mais, comment nbous taire quand "on est" du Verbe ? car on est du verbe ! on est nées fées de VErbe commê alloué ! On voulait pisser, chier du Verbve mais en vrai on chie de l'herbe ! On veut coller à Déité des eLfes ! treacer ! tracer sur p)ré ! charger = foncer ! toucher = passetr, qui son Verbe, qui son ...  Verbe, qui son ... Verbe , qyui son ... Verbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! en effet ! seul en vrai le Verbe peut passer ? wseul en vrai le verbe passerait son nez entre les nénés , les nénés nés ? Qui sait ? qui le sait ? qui saurait nous informer ? Le verbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! le Verbe des prés ? on cherche ! on veut touchert à cette D2ité des données en herbe ! le Verbe ? le VErbe alloué 

 à une clarté 

post-mortem, pourrait de fait passer et perdurer au-delà du près sous forme de donnée genrée type Ailes = F2e, F2e des Prés passée ? on est comme sonnées ! on cherche à cerner( ! on veut en vrai grave toucher à Déité dite "des Nénés 

surnuméfraires" , 

sein donnév = lait = denrée = VErbe Nacré = ëtre ! sainteté en herbe ! pingre ? satanisé ? poussé dans l'herbe ? trébuchet ? On veut :

Dire-faire, COller-donner, craindre et ne p)as craindre, donner et ne pas donner, saouler et nhe pas saouler ! Faire ainsi que l'herbe soit du  vErbe aux qualités certaines en termes de données "superbes" , vives clartés, sainteté des saintetés, chants de la terre . On veut tracer tracer tracer sur p)ré un sentier menant peut-être à  ce trait des fées dans la roche finale donnée ! fenêtre ! feu de l'être ! LE pAssé est (re) né qui aime nous voir arriver ! On est celtes ! saintes ailes ! Fée sur pied sachant voler du fait de leurs ailes collées ! Fé des fées sur préb ... forment la jeunesse d'un dire auttrement (sans elles) mort-né ! c'est un fait dit "de prière" ! on sait ce qui est : on est AILES ! Fée sur pré ailée s savent se plaire , compisser, pisser, s'aimer de près, se lécher, se plaire genrée en tant que ELLES au débotté ! saintes fées des post-données pro-frontalité ! On veut aimer la Fée pour ce qu'elle est : deux ailes ! deux ailes allouées à un trait de VErbe , ce treacé nacré, verbe d'aile ! d'e ntrée ! de glissemênt de fait des données (à jamais !) entre ... deux briquettes ? ... qui dit mieux ? ON aoime ! on veut aimer ! on veut aimer l'herbe = le VErbe, le feu, l'ombre sur Dieu , le pieu, le pot de cendres, l'estocade terminale, l'embrassade. On veut le Feu = le Pieu ! CHarge mentale ! On veut dieu = la CHance = le tracé ! chance au pasdage ! anfractuoisté des chances ou dite telle sur  meessages ! On veut aller .................................................................................................................. coller ! ............. donnner ! ................... filer ! ......................... accueillir la F2e en ces cvontrées verbales : densité ! ......................... pré aux données données .................. le verbe en vrai est dans la balance , il est La F2e de FRance (ici de FRAnce) saturée .................................. ?une poussée hors des limites de la rage, des données maussades, du tracé sauvage : embardée .................... musicalité frappantec, passante ...................................././....... on dirait ! ....... on veut comprendre ici (de fait) le VERbe, ce qu'il est ! charge de branche , ........................ musicalité muséale , ........................ pointe acérée comme à la pa r ade ? ;;............................ portée des portées ? une sorte de passé acté qui entrerait de rage en ces contrées finales (pourrait, lui, entrer ) ? ..................... tracas d'ange , .................... points de 

poihnts dee passage ? ...................................... pilosité (de base) post-prandiale ? ................................ chereté des denrées de base ? ....................................... lait aciodulé ? chant sarde ? ....................................................................... chant des ponts ? des fronts ? casse-bonbon ? .......................... pesage ? ...................... court-bouillon ?........................................... verbe du couillon ?........................................................... couillonne au melon ? ........................... poinçon ? poinçon des poinçons ?.................................. on veut comprendre ! On cherche ensemble grave à comprendre , les données de base, le tracé, la promenade sur pré, le don de soi quyi serait§ effet (su r paroi) de bêtes poussées ! On est Fée du pré = F2e des Faits ! On aime tracer = dessiner des bêtes, qui enjouées qui lancées, qui grosses de leurs traits groossiers, qui fines bêtes ! On veut toucher à une Déoité post-pré replette, la Donné ! Donnée des DOnnées ! PAsser ! passer la tête de VErbe ! chant larvé ! alloué à une pointe sèche ! accolé ! tracer = passer = traverser = dire et toucher ! toucher aux nénés , sans rire , et filer ! aller, continuer, ne plus nous arrêter et  "survuivre pour de vrai" = perdurer, comme en fris e, sur roche insoumise ! Filer ! on veut vif toucher ! toucher Néné ! coller à ces nénés dits "du bout des ombres " ... mais, est-ce la vérité vraie ? à qui se fier ? qui dit vrai en quoi que ce soirt qui sezrait ? On ne dénombre ici personne ! On est Fé2e d'ombre ! On vole sur roche (octobre, novembre , décembre) puis la chance ? le p)azsé comme remonté ? le tracé ? le pied ????  Le dire nacré ? On veut .... :

toc-toucher = faire toc = toquer ! 

on veut ... : 

dire sans se moquer ! Pointer ! pisser-chier sur herbe du pré, vache qui pisse, bête à bouse douce ! "bouquetines à la sardine ! bouquetins au romarin !" on est comptines ! vivves et riches ! chants de rive ! piscvines !

piscines ! piscines aux eaux vives ! chants de Chine ! Embruns ! ON veut ... : 

TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCXHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER À DIVERSES DON,NÉES DE TYPE DONNÉE ALLOUÉES À UNE (SORTE DE) MAINMISE SUR UN PRÉ, DE TYPE RAPINES ! On veut grave cerner les données de Chine , Chine Cendrée, Chine des CHines, Chine des fées aux envies de Chine ! On veut toucher à une D2ité de CHine (provenant de CHine) et tracer ! passer ! passr le nez ! mains de fée  ! oeil donné ! loe passé des entrées sur piste ! On est la fée de chine ! louée ! adulée il ne faut pas exagérer, mais comme  aimée, aimée de près, touchée, cernée, dessinée commerb qui dirait ... insoumises ? on ne sait ! ON chervche à toucher ! à cerner de près les données de frise ! collaboration, sur pré, entre elles, des bêtes à foison ! Commodités ! fortes pensées ! bêtes-fronts ! p)etit p)atapôn des frises genrées sur paroi de groote masquée ! amidon ! poison ! poinçon ! piston ! sortilèges d'abandon des cxharmes , pensées sales ! dons de fronht de rage ! le poinçon ton sur ton , crève la panse et entre ! mort-don ? On veut comptrendre ! on v eut toucher ensemble le muret du fond, tracer à l'arrache le nom, qui serait Un nom , Nom 

d'un Homme des poisons, 

mort D'homme

à califourchon ... 

touché des armes ! mort ! il fond ! devient tendre : terre arrable ! corps de base des moissons ! Et nous voilà sardes ! On  veut comprendre ! on veut toucher ! on veut aller de base dans un p)ré courir de rage sans trainer, et ... gagner sans faute le muret

 "des fonds de grotte" , "muret des murets", chose docte ! le Passé ' PAssé a&ux Nénés ! L'emportée- des emportées ! Le fond des tranchées ! en amont ! Amont ! Amont ! Amont ! nAmont ! Amont ! 

On veut collert à une sorte de donnée d'amont ! Coller serrées ! se coller le fronht ! pôusser ! bélier ! bélierr du front ! bébé ! poussée sur cloison ! pont ! on veut passer ! pousser-passer ! dire-allouer ! tracer-percer ! contraéindre , une sorte de donnée genrée, à traverser le fond du fond des données d'herbes ! Le pré : le passer ! et du coup foncer , filer grave, sans nous retourner ! chercvher le chemin le plus large et foncer ! colloer ! pister ! tracer ! monter ! monter de base ! monter de rage ! traverser le pré et  de fait aller jusqau'au plus haut en vrai des données données ! coller ! coller vif ! être et pouusseer, charger ! bélier ..............................................................................................................................................................................................................................!.................................................................................... aimer ......................................... dire sans rire est difficile .............................................................................................................././....... même le décès ........................................................................ l'épopée des tracés victimes ............................................... la frise, le passé ! .............................diffiçcile de ne p)as en rire c'est un fait ........................ pi)scine ! ....................... pisse en Chine ! .../......................................./.............. on vibre ! ......... on s'échine ! ......... on va vite ! .......... on file ! .............. on est née Fées de CHine sur tracé donné ! ......................././........ alloué à une emprise (sortre d'empirise) sur paroi de Chine ........... accolées ! ................................../.........une virée ! ........................... bousquetines ! chevales poussées! bisonnes emportées ! bufflettes au taquet : la Chine ! la beaité des ires ! ..................................................././.ire à rire ! ............................ pointées ! touchées ! collées ! dites ! surprises ! comme collabées ! dires collabés trouvent§ sur pré les données de CHine ! SAINTETÉ ACTIVE ! cendres sur pré, vifs tracés, chereté des denrées ! ............................................................... on veut toucher ici ensemble vif ! )à elle, elfe ! elfe allouée à un muret ! toucher de chrz toucher et suivre le tracé tracé comme à mzain levée par une Féede piste, ce tracé des Fées ou dit "des fées" , est le tracé à suivre sans traîner ni tergiverser ou hésiter ! suivre sans chercher à plus que ça cerner  ! Aller ! pistonner ! coller ! dire etfoncer et du coup .... percer ? qui sait ? percer muret ! chanter ! chyanter sans traîner ! chants nés sur pré ! Les chants dits "du pré" , vivacités,  dénis, volontész ancrés, chine ! Chanter ! Chants des traits ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchet toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchezr toucher toucher toucher toucher toucher vtoucher toucher toucgferr   à cevtte           DéITé des D2ités dite "NÉNÉ" ! NÉNÉ DES NÉNÉS ON DIRAIT ! NÉNÉ À LAIT ! DIRES LACTÉS ? QUI SÉAIT ? QUI SAIT CE QUI EST ? QUI sa&ura révéler ! chanter ! instruire ! déplacer le vrai ? conduire ! Aider à nous porter ou transporter aéu)-delà du rire ? des gaietés du rire , dans un champ ou pré dit "des données hors rire " ? qsui ? qui peut ? qui connaît ? qui sait ce qui est (existe) au-delà du rire ? au-delà des dires du rire! qii connaît ? Qui peut nous aider , nous accomp)agner, nous donner la main comme un fait exprès (comme qui dirait) et sans (pôur le coup) la moindre hésitation ou animosité quelqconque ? ON veut :

être sur pied celle (fée) qui sait (ici et là) ce qui est en vrai , qui nous concernerait de près en ce qui est des données fluides ! chasteté acide ! sainteté liquide ! finalités des finalités on veut touchyer ! on ne veut pas passer à côté mais grave de fait toucher sans désemparer ! ne pas (plus) rire sur pré mais conduire ! conduire notre dire sans rire en ces contrées (mordorées ?) des données post-pré, post-praireie aux fées, post-dires alloués alloués au pré (au pré d'herbe et autres fleurs acidulés) ! tracer-traquer le verbe ancré ! glisser ! glisser vite ! nous placer sur pré de manière à pouvoir, de fait, transiter rapide, en ces contrées du bout dee roche, à l'arraché il se'mblerait! transiter = traverser = passer = toucher ! on ne veut plus attendre mais tracer ! couler, se donner, pisser ! toucher aux nénés ... du VErbe comme qui dirait ! tracer = donner = faire = dire = pousser = charger = comp^rendre =séparer (de force) le grain des données de l'ivraie gravée ! Pousser = pointer = coller =faire = charger = allouer au VErbeb  les données du Rire mais comme déplacées ! Pousser = pouffer ! Dire = rire ! foncer = forcer ! prendre = vendre ! compter = coopter ! pisser = vivre, sur pré, de son rire à pouffer ! On veut : 

TOUVCCXHER TOUCHER TOUCHER

DIRE DIRE DIRE

POUFFER POUFFER POUFFER

COLLER COLLER COLLER

ÉTRIENDRE ÉTREINDRE 2TREINDRE

PISTONNER PISTONNER PISTONNER

PONDRE PONDRE PONDRE

PISSERB PISSIRER PISSER

CORROMPRE CORROMPRE CORROMPRE

CALFEUTTER CALFEUTRER CALFEUTREER

CONSOMMER CONSOMMER CONSOMMER

ADOUBER ADOUBER AFDOUBER

PORTER PORTER PORTER

PORTER BÉBÉ PORTER BÉBÉ PORTER BÉBÉ

ENDEUILLERB ENDEUILLERVBENDEUILLER

 VIVOTER VIVOTER VIVOTER

SUIVRE ET COLLER, SUIVREV ET COLLER, SUIVRE ET COLLER, AU JARRET, LA BICHE-FÉE, LA BÊTE CENDRÉE , LE MOT DOCTE SUR PIEDS = BÊTESDE TRAIT ! on veut toucher à 

X bêtes des prés de type genrées, fortes données, masses folles, cohortes au pas chassé ! Coller à une sorte de troupeau de fauves ! alloué à un e roche = dessiné-gravéb par qui sait, par l'homme-femme des poussées et autres transes au pied levé ! On danse ! on est da&nszées ! on chante ! on est chantées ! on entre ! on entre da&ns l'antre des fées ! on veut toucher pitance, filer, nous envoler (monter) vers les données des fonfss des fonds de rOche DUre, et  Allouée au Passé de Bure ! Sainteté  des prés ! Charges nées sur pré aux fées ! On  veut grave toucher ! toucher aux nénés ! nénés diurne's ! mâtinales vulves ! points et treaits sur roche de fée ! On veut coller ! 

vivre et aller ! compter ! co:mpter les donnéesb! ............................................................................................................................ chercher ! .............................................. du moins -essayer .............. sans exagérer .............................................................. compter dsans traîner ...................................................DIRE  ...................................NOTRE DIRE ................................. u ne POUSSée .........../................................ poussée des poussées .................... actives ................................. frappées .................................. accolées ............................F2E /.............................; FÉE DEDX FÉES ACTIVES ACCOLÉES, POUSSÉES À , COMME QUI DIRAIT,; PASSER, PASSERR VIVES (EN VIE ) À TRAVERS ....... EH BIEN CE TRAIT DIT "D'ANFRACTOUUISTÉ" DES DONNÉES FINALES (DES FINALITÉS) ............................................ VERBE DANSANT FILANT........... Musqique des données sur frises.............................................. on veut vivre ! toucher ! percer ! comprendre ! allouer ! fermer ou au contraire ouvrir (en grand) son clapet du rire', rire endiablé ennjhoué, qui est le Rire des DOnnées de PRé , mais quelles siont-elles pour de vrai ? ..................................................................... du lait ? du petit lait ?  Pisse ? peace ? ............................................... paix ? pets ? ......................................... cul et chemise avec la mort donnée , VErbe ancré ?   MUSIQUE DES FRISES AU D2BOTTÉ ??  MUSIQUE TRACÉE , ALLOUÉE, SZOUMISES À UNE SORTE DE MAINMIÇSE SUR PAROI DONNÉE ! MORT À SATIÉTÉ ! CHEMISE ! BURE DURE ! MORT D'OMBRTE ! POINT DE FÉE ! CORNES ! CORNES DONNÉES ! COHORTE À CORNES SONHT TROUPES DE FÉESZ , DE FÉES ALLOUÉES À UNE SORTE DE DONNÉE DE ROCHE GENRE : SALUBRITÉ, SAINTETÉ, SONDE, PORTE D'ENTRÉE ! On veut coller à cette chose d'une sqorte de Passé passé , ou comme passé, à travers la roche, en  termes de données genrées : fées ! frées d'herbe ! verbe-fée et ça va le faire, qui sait, à jamais ! on  aimerait ! on voudrait grave pezrdurer ! ne p)as trépasser ! charger romance, dic-vinités, gentes dames au débotté sur pré, franches flammes ! Pisotonner ! pistonner sur pré jusqu'au néné ça serait  .. bath !  super bonne idée ! Du genre de celles qu'on voudrait endosser sans hésiter en tant que Fée des prés ! On aime toucher ; traverser, se rapprocher, aimer ! On adore en vrai se rapprocher (grave! ) des nénées ! Verbe' ! Verge au taquet ! verbe en herbe se serait bgrave faéufilé à travers les pierrres , pierres t§ailléesz du muret dees fées , les dernières ! Fins des traits ! le dernier poème ! le Passé plombé post -pré et au-delà .................. le VErbe ? Verbe en herbe  ? ................................. qui nous croirait ? ..................................................... qui osezrait ? ............ qui voudrait ?............... qui aimerait et nous soutiendrait ?....................... en dehors des fées ........................ les elfes ? .................................. les eêtres allouées à une sorte de Divinités dite' "des prés" ? .................................................................?.?.?.?.?........................................ les bêtes ????? .............................. les bêtres ? ....................................... les bnêtes bêtesz ?..........................bêtes à lait sans hésiter ? .............................. la Bête sur pied pôst -pré ...   ? .............................. à savoir le VErs ? ...... Verbe-vers ? Pieds acidulé, nacré, enjhoué, tracé, comme "musiqué" si tant est ! .............................. qui sait ? Verbe d'air ? Verbe des prés sachant pousser, plus loin, son tracé de fée ? ............. poinnte ? pointe de VErbe  ? ....................... poupée ? poupon nacré ? poupe de poupe sur paroi rouge ? .......................................................... on veut toucher à ce néné des bouts de poupe ! ?............. coller = donner = faire = comprendre = cerner = coincer, ici même, un dire sacré , ou sinon sacré alloué (accolé) à du Verbe de fée ! bVerbe d'herbe en herbe ! sainteté ! chants d'elfes ! portées ! ponts de roche-né ! ponts d'orgues et autres chants poussés par (ici même) les fées ! les données rouges ! le passé composé de gouines rouges et autres soeures en sororité ! pissadouces !  volontés ! tracés de fée ! gravures et marbrures ! pointes salées ! vouivres des prés genres bêtes rampantes et autres vouivres de contrebande !  vivacités !chants sur prés , chants fols ! cornemuses etb pipeaux des hauts ! On monte ! on veut toucher la roche, le tonneau, l'ombre, l'animal des hauts dont le nom est .... faux ! faucille et marteau ! tonneau ! poteau ! croc ! cohorte ! chameau ! porte ! porte à  numéro ! porte ! .............................................................................................. porte des doctes ...................................................................../........................................................................ un moineau .......... l'oise au ........................... ombre ..................... ombre sur peau .......................... compte .......................................................................... poil au dios ! .........................................................................................................................././....... ombre de l('ombre ./.......... un tonneau ? une sorte de tonneau, une sorte de donnée humide, vin de CHine, au tonneau : eau ? eau de CHine ? vive' ? eau vive du tonneau et ... ça re"nd futile' ? On veut grave aller en cHine, ......................../.. cerner, toucher, coller, aimer, boire au tonneau de l'eau de peaéu ! Vivre ! ..................................................................... sonder ................... pousser ....................... coller .................... cer ner ............... chercher ............................ comprendre ce qui est qui  (de fait) va et vient 

en tre ici ce pré (pos-mortem) et là-bas la b ase ! on dirait ! la paroi-parade, l('ultime muret qui en vrai serait un muret de rage' ! inter-cité ! intervalle ? on veut co:mprendre = passer ! aller de rage en ce muret ! comprendre = toucher = passer, et du coup voir ! voir de près ce qui est = vivre = poursuivre = cerner = pointer' = charger = dessiner (de chic) la bête des prés : bisontine ! bouquetine qui sait ? buffle au mot près, la CHine ! l'envoloée des rives ! Fée des prés sur pré de Chine on dirait ou il sembvlerait ! On veut cerner-pousser , dire et coller; ,, pousser-cerner = dire, dire ce qui est qui est en ces contrées post roche ornée, à dsavoir un pré, pré docte aux données données de type Betes des prés, et, au delà, au-delà de ce pré, les données "rustiques" ... frises ...... fonds de roche grise ....... la moisson ....... la pazssion ............ l'ire des données données, des fées envolées ............. l'ire-surprise ......... trait des fées sur roche ainsi posée ou déposée ........... ........................................................................... et autres anfractuopsités de mise ..................... gentrifiées ! ............. actées ! ....................................................................................... inscrites et on peut passer ! ............................. mais comment passer ? commùent dire ? comment de fait pouvoir tra&cer en cette mire son passé passé .? Qui sait ? qui    ,  comp^rend l'ensemble des données ? 

 c  e muret de fond de roche, ce pré délimité, cette rotonde aux fées et autres bêtes de tréit, ce petit lait comme espéré la roche (finale) pa&ssée, cette sorte de tracé (de va et vient) pré / muret , qui , de près , ressemblr'reait à une sorte de "tracé de fée", trait fin, trait de pet pour ainsi dire, pffffffffffffffffff sur roche ou sur rocher, un pet de nonne ? 

Un pet des pets ? chine au taquet ? on ne sait ! on veut toucher à ces nénésc du bout du monde .................  le pet passé ? On est doctes, hautes, heures hautes, traits, fée, fortes, fées fortes hautes treacées.... comme un p)et de nonhe ! pfffffff aéu taquet, comme espéré ! pfffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff de roche surdimùensionné ! mort-gavroche ! sainteté des sainteté ! insalubrité et salubritéb en pocxhe (deux données pour une roche) et ça irait ! ça le ferait ! vent§ docte ! vent frais ! chants des prés post-pré ! versifiçcation des données  allouées à une sorte de Passé de porte !

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15/11/2024 

On regarde. On veut cerner. On a grave ensemble envie de cerner. On ne veut pas se disperser mais en vrai rester bien soudées, accolées, pr$^tes à comprendre au mieux les dobnnnées de roche : qui on est, qui on est pas, ce qu'on veut toucher ou pas en cette chose d'une sorte de ... rotonde ? qui sait ? il se pourrait mais, en vérité, on ne sait pas vraiment de quoi il en retourne, en ce

  "petit monde"  d'une sorte de prairie aux fées. on est nées fée au passage du trait et nous voici comme "remontées" à toi à moi sur pré prêtes à tracer, courir, voloer, monter, cueillir qui sait, chercher à pour le coup nous transporter ou nous transbahuter ensemble jusqu'au bout du bout de cette allée des orangers ! La chose est actée ! Parole ! Parole accorte ! sentiments sacrés et autres mots de la sorte ! On a envie en vrai de nous porter ou amener ou approcher ou présenter, au plus près des ... Nénés de PArole ? Est-ce que ça se peut ? que le lait des roches soit de la parole et du coup on colle ? On est ensemble deux pour une, deux ailes tracées pour une Fée des Fées. On veut grave s'avancer et comprendre ce qui est, ce qui se voit, ce qui devant soi semble (semblerait) vouloir se tramer ! On est là pour ça ! parole ! parole parole ! Vois ça et enttre en moi (ce genre de choses) . On veut toucher ensemble "toi et moi" à cette chose des données frontales  comme offertes en v rai , toucher = dire, donner = cernber , faire = peser,  peser ce qui est ! On est nées Fée au passage du trait comme à la parade (nuptiale ? qui sait ?) , on trace ! On file ! On charge ! on s'applique eznsemble : on est accolées . O,n veut en vrzai touchger )à cette sorte de romance racontée ou sinon raco,ntée chantée, sifflotée, murmurée, données (de bonne grâce) sur place (un pré), et pour le coup on en avance dans les connaissances d'une (sorte de) para-de  des contrées , champ de mars, pré alllé, bonne graine et fleuirs dites "de carême" , on sonde ! on veut toucher toucher toucher toucher à cette sorte de donnée, ici déposée, qui serait ... eh bé oui : graine ! vive charge de pré  ! blé d'herbe ! drôle de tracé en herbe comme qui dirait ou, sinon en herbe,  en ... vrai de vrai ? hum ! On veut aller jusqu'aux nénés mais sans traîner ! On veut toucher, on veut grave toucher ! On ne  veut pas se laisserc  aller à musarder mais tout au contraire filer à perdre haleine si tant est etb ne pzas reculer, ne jamais revenir en arrière, tracer sur les allées du Verbe, compter, pisser, toucher aux nénés dudit Verbbe ça se pourrait, en tous cas on l'espère ! On a envie nous deux (ailes) grave d'y aller , comme d'une embrassade ! chahuter, toucher, titiller la roche finale = l'embrasser sur gages ! On veut : 

DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE ICI MÊME À DEUX CE QUI EST POUR NOUS QUI, À NOS YEUX, SE PRÉSENTRE, SEMBLE ÊTRE, RESSEMBLE ETC. 

On veut grave cerner, un certain nombre de données de base ! Ce qui est est ! Ce qui n'est pas n'est pas ! On voit ça ! On acte ! Onnemballe ! On veut grave comprendre (ici paroi) la chance qu'on a ! On est comme adoubées de bonne grâce sur le tas et du coup on chante = on entre en transe ! on envoie  du bois ! On vole sur "paroi dxes traces ", on est là ensemble pour comprendre les données de rage cevqu'elles sont en vrai , cev que ça représente en termes de paroles sardes (?) ou sinon sardes sales ? On cherche ! ON est nées Fée sur place au pasdsage (on le sait) mais quoi on est en vrai en tant que telle ? sommes-nous des elfes ? ne sommes- nous que, fée des prés ? sommes-nous bnêtes nacrées , Bêtes surnuméraires au vent mauvais et la chose est cfomme (dès lors) entéri née ? Sommes-nous du vVerbe d'Herbe à brouter sur pré ? On est nées Fée Au passage tracé, on voulait en avancer eh bé on peut dire que de fait c'est fait ! on est passées de l'autre côté, lesbiennbes (ça se pourrait) pour de fait connaîttre ou mieux connaîtrev les données finales, ou terminales, d'un pré, d'(un champ de luzernz tel qu'il nousv est donné le mur passé ! On est accolées car on s'aime = on sème ! On est nées fée, sur herbe, accolées ! On est Ailes de fée dès lors accolées sur herbe ! Onn est la fée, aux ailes accolées, sur herbe et on sème ! On est Fée des Fée ensemençant   le pré ? ON cherv che ! On entre ! On veut toucher = comprendre ++ ce qui est, en cette chose là-bas allouée à une sorte de muret dernier, soit de dernier muret dde cimetière, mur des murets, muraille allouée à une fin de pré ! cherchons (grave !) à comprendre = touchger ! quiest qui en ce pré ? qui regarde qui ? qui on est , qui on est pas ? on est la Fée des Prés, cherche-misère peut-êtrte pas mais fière, remontée, prête à casser  (sur pré) les données Fastes, comprendre, entrer de force en cette chose d'une sorte de danse (sur pré) folle ! casser les traits ! charger = traverser ! toucher toucher toucher toucher à cette chose, 

d'une Parole ! 

vErbe allé ! 

verbe des pré ! 

verbe-colle ! Onn  est Fée de porte ! On est entreées comme "par la parole" = trait" et, à présent, vas-y que je vole, saute, cerne, comprend, chev auche, cherche grave à pour le coup cerner un certain  nombre de vdonnées d'époque ! On veut toucher à une (sorte de) vérité-chose = actée, avérée, concrète et pôsée ! On ne veut pas lâcher le néné dit "des convenances " : on veut téter ! finaliser ! comprendre ! boire du lait de contrebande ! téter le néné = cerner = toucher à une vérité du pré , soit "paradisiaque" si tant est ! Qui sait ? on est ensemble (fée) allouées, à une sorte de .... parade Niuuptiale sur champ de blé , la danse ! Le tracé des fées sezraiot une danse ici déployée ! On est Fée des Fées du tracé nomade ! On veut toucgher toucher toucher à une D2ité des Grâces ! d'un tracé d'Eszpagbne, D'Italie, De France,-Navarres tu m'as compris : décendance ! on danse ! on est éprises ! on est comme prises ensemble sur le fait d'une sorte d'éacart de conduyite : danse ! On veut, ensembkle, dire et donner, faire et touchger, poser et cern er, pisser et cghier, se laisserr aller à faire-dire ce qui est en ces contrées de charge soumises ! Vive le tracé ! vive l'acmé des données ! vive l'alacrité et les données de bout de roche ! On veut toucher ensemble (ailes de fée) aux nénés d'espag$ne ! à la trace lacté, comme déplissée ! aux charmes des traces et autres gravures ! On enttre ! On entre ensemble = en transe ! On est comme accolées de rage ! On ne veut pls se séparer mais (de fait) rester ensembvle, comme collées à une base qui est base armée, charge docte, champ de blé, cohorte ... quoi d'autre ? On veut aller ensemble ainsi "montées" jusqu'aux nénés ! On ne veut pas se laisser démonter mais tenir bon ainsi accolées comme on est et ça le fait ou le vferait ... jusqu'aux nénés ? qui sait ? On pousse sur le champignon ! On veut tracer tracer et vite fait nous propulser comme qui dirait au plus profond, au plus lointain, au plus excentyré pour ainsi parler et on seraiyt du coup comme invitées à toucher ou comme toucher, au plus près, les Nénés de l'Ombre, du Passé des ombres, du Passé tou court quyi sait, ce tracé d'époque,, chants doctes, vies passées abandonnées sur roche mais en vrai on s'en rapproche ! on est nées Fée sur pré des données folles mais en vrai on est accolée, on tient parole, on cherche à bien cerner les données profondes, à les rassembler, à ne jamais nous disperser, à garder raison dsans l'adversité de ce cham (ou pré) post-oraison ! On veut :

toucher toucher toucgher toucxher à deux nénés de roche : ça et ça de poche ! On enttre ! Entrons ! Faisons force envolées de roche ! Creusons ! On est ailes de fée ainsi accolées, on vole ! On veut toucher = tracer = dire = faire = monter ! On a envie de fait ensembkle sans traîner de, pour le coup, ne plus nous arrêttrer mais grave continuer, à creuser, chercher, tracer,essayer de nous approcher le plus possible de la Vérité ou cd'une Vérité de Roche si tant est ! On veut toucher à cette Vérité-Déité de Roche ! aller ! pousser ! cerner ! comprendre ! saturer de verbe ici même ce pré comme qui dirait ! Chercher à pour le coup nous propulser jusqu'au bout du bout d'un cimetière de données en herbe ! On veut aller = dire ! Faire et pousser ! chercher ! comprendre ! saturer ? donner ! fondre ,! couler ! passer ! donner de notre voix de fée ! chanter la Cohorte allouée à la roche : bouquetins de poche ? cghants de type sarde ? Comptines de base ? On est Fée faite ! = tracée ! on est la fée tracée post-cimetière ! qui on est ? la Fée ! le tracé ! Beêtes-mots alloués à une sorte de sentier dont on dirait qu'il est celui-là même qui nous mène ou nous mènerait au plus près des nénés dits "post-cimetière", nénés des nénés, nénés plein de lait de type ... herbe ? Verbe ! chant sacré ? On cherche ! On est Fée faite ! on est nées ! On est ailées ! nOn est grave p assées par la bande et nous voilà toutes retournées à l'idée de devoir renoncer ou céder , mais qui parke en  vrai de céder ou de renoncer ? LE Verbe ? On le croirait ! Le verbe est le verbe des prés ! On est nées sur herbbe ou Verbe de pré ! on est pasdsées (post-cimetière) et on est entrées et on regarde à p^résent les données qui sont données en herbe (de pré) post-mortem ! on aime ! On cherche à cerner = toucher, aller sur pré à la rencontre (ici) des bêtes diverses, surnuméraires, déposées ou comme déposées par (on dirait) une sorte de Déité ou de DIvinité, qui serait ... du VErbe ? On cher c he grave à ensemble (accolées) comprendre (de fait) les données de branche ! On regarde ! on voit ça : bêtes de poids et autres bêtes cde romance ! Bisonnées de Rage ! Bisounours des cavernes sardes ! On trace ! on dessine instantané ! On chante ! On dessine sur muret la bête romanche ! On entre ! on comm-a,nde ! On veut ! on ne veuit pas laisser passer la chance de poiuvoiur cvomprendre ensemble (en cettre roche des parades) ce qui est, qui se présente à nous, de type danse, transe, chants fous, romances des trous ! sondages ! On est nées La Fée des passages doux ! On est Fée des Trous et autres cavités de rage ! on enfle ! on entre ! on devient massives et grasses de rage ! ovines ! fond de roche allusive ! On est comme passées de base ensembkle par un trou dont mle nom est "joue" ! On veut en vrai toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une déoité des déités on dirait, en tous cas voilà : on est entrées, on a "enflées", on est à présent toutess "remontées" sur pré ! on ne veut opas se laisser démonter ! on veut (grave !) tenir tête à tout casser ! on veut persisqter ! toucher au but suprême, qui est de connaîttre à jamais ou )à tout jamais le Théorème ! le TRacé des Fées , Tracé des Tracés et ça le fezrait (grave) sans peine ! On veut toucher = dire = prendre = conduire = connaîttre = cerner les données des Reines et autres célébrités ! Ce qui est qui est en selle ! Cheval sacré sait ce qui est ! chevale allouée à une Vérité sait de même ! Elles Sait ! Elles = Ailes, sait (savent) en vrai ce qui ici est qui se dessine à main levée sur roche cachée ! Femmeslles ! Femmes d'ailes ! Chants sardes ! colère et c'est un fait ! Ça pèse ! ça envoie ! On est la Féev dite "du Carême et des données données sur pré ". Chants des luzernes et aiutres herbes allouées ! On aime tracer = c erner, ici et là, en colère, à main levée, directement sur la paroi, notrte .... Haine ? NOS chants passés ? Notre Passé des peines ? Nos envies (de vie) chahutées , chargées, possédées ? On veut en vrai coller à une sorte de vision romaine des données et ça pourrait donner quelque chose de bien (comme qui dirait) en chemin . O,n est nées F2e des pré, on veut toucher à cette D2ité des Fonds de Roche ! lae Néné ? le lait ? L'onctuosité des zapproches lactées ? Le tracé en herbe et aiutres herbes à brouter  ? Chants des prés semblerait correspondre à ce qui  est, ici, tracé, en termes de pensées profondes ... On est la Fée-Cohorte ! Fée des prés ! On broute, on fonce, on porte la bonne parole ! Chants d'époque ! incrustations ! pelotes ! pâmoisons et autres tombages (ou quelque chose de cet ordre) dans les paumes ! On veut en vrai ici et sans traîner ... toucher = toucher = toucher = touchger à une sorte de pelote, sein de Roche ! le toucher la toucher ! Chercher ! cerner ! comprendre un  certain  ombrev de données rosses ! charger ! pisser à la ré ! toucher c   e qyui est qui devant soi semble vouloir de fait nous approcher, nous cherchern ,,nous faire du pied ! merde aux nénés ?  on ne sait ! On est accolées en tant que fée, on est accolées car on est Fée, on est grave collées, ailes de fée ! on est deux passées, on est passées en étant deux , car on est la Fée, aux données données de type Vérités des Vérités de pré;. ON veut : 

dire et cerner, coller et toucher, faire et comprendre, aller et jamais plus nous retourner,

pousser et pondre, donner et sonder, porter et correspondre, aller et vendre, dire les données, lire les données, donner grave ensemvble en vrai les dites données "de la foi en ce qui est". On ne veut pas "charklataniser" ces données, mais en vrai et au contraire les accentuer en termes de données crédibles, fioables, solides, potrtables, déposables sur pierre d'église. On veut : 

Donner ce qui erst des prés (herbe au débotté = verbe tracé) à cette sorte (ici) de Déioté Sacrée , chants de mise, chants gravés par une main de frise et autres mùains de Fée antique ! Qiu on est ? La Fée balistique ! Charge admise ! Poids de base sur paroi soumise à une sorte en soi de sarabande faste ! On envoie ! On veut cfomprtendre la paroi, les ombres et ramages, animaux des bois, des champs de passage, ours et ourses des Rois, Vent de face et autres souffles tenaces ! ça envioiioie ici bas car ça entre par là : trou de chat ! On passe ! On passe par chance ! Nous voilà de connivence  ! On entrte en france , dsans l'antre, la paroi des Rois et REines de là, l'au-delà de là ! On est Reines en vrai de S aba car voilà : on enttre ! On y va, on ne traîne pâs ! on en avance grave au son de la Sambab ! 

Passons ! 

Faisons connaiossance ! creusons ! allons loin en cette sorte pour le coup de pré des Chances et autres Donnnées Sardes ! creusons le son ! la musique de danse ! le don ! On veut : 

dire et coller, faire et aller, chercher et comme tyroucver, allouer à une romance une sorte de bonté tenace, sainteté ! On veut ici , qui sait ? aller jusqu'au bout du pré afin de comprtendre, cette sainteté ... cette sorte en v rai de sainteté ... ce que c'est de fait ... quoi cf'est ... quyoi en vrai ça pourrait êtree sur pré ... ce qu'il en est en vérité de  cette saionteté post-cimetière ... est-ce de la bonté ? de la bonté-même ? un tracé de fé ? ch ants celltes ? vents données au soufflet des fées ? La colère ? sainte colère ? un tracé comme gravé au vent mauvais ? une chansonnete ? un son de FÉE ? Colère de fée sur paroi allouée à une sorte de donnée animalière ? On cherche ensemble icvi et là ce que peut-être ça pourraiot être , .... ou pas ..... car on ne sxait pâs, en vérité : on ne sait pas plus que ça ! ce qui est et ce qui n'rst pas, concernant les Fées, Fées de Sa&inteté et autres SEins données comme par la bande à une D2ité dite "Surnaturelle", mais l;'est-elle ? est-elle véritazblement surnzturelle ? ou comment est-)elle ? Chantournée des prés  = naturell , comme une fée ? On cherche ! on cherche grave ce qui erst ! on veut grave cerner et pour grave cerner on a grave besoioin d'y aller = foncer = tracer = ne pas lambiner = filer fissa à tours de bras ! ne pas se retourner jamais de chrez jamais ! ................................................ jamais de chez jama&is .................................................... surtout pas ! car on ne sait jamais ! c e qui ejn vrai peut arriver ! qui peut nous faire tomber ou chutezr ou nous renverser ................. sur un pré ........ au milieu des bêtes ....... bêtes des prés = bêtes-mots de poids ......................... buffles tantriques ................. bisons vifs ..................... bouquetinnes vives ./............................. ouyrs des tracés alloués à une frise .......................... ourses des vivresc et autres denrées comme sacrées ...................................... chevaux de bois ............................ chevalines ivres sur toundra ! ça envoie ! ça ne rigole pas ! ça n'esst pas là pour faire comme si ... ou si ? c''st ? c'est un fait, que voilà, peut-etre, qui sait, ça fait ecxprès comme si en vrai la Fée existait sous forme de Bison F^té ! tracé ! fée tracé au débotté sur paroi de choix ? vivacités outrées ! transe ! trans-identités ! passages d'une vérité d'une roche à un rocher ! un rocher des prés et ça suffirait pour créer ici, une ... sorte de ... "petit paradis" dit "d'époque", genre "pré aux fées", "champ déifié", prairie donnée" , "un petit coin de paradis" ... sur paroi ornée .... on ne sa&it, on ne sait en vrai mais en vérité rien ne nous empeêche d'espérer, de tracern,, de dire à notrte gré, de conduire sur pré l'attelage sacré fait de deux ailes allouées à une sorte de donnée primaire , type "SAINTETÉ DES SAINTETÉS eEN HERBE ". On chgerche ! on, ne cesse de fait de chercher et ça lle fait car on est colère ! On veyut ............. trouver de chrez trouver ! ................... gfrave trouver de chez trouver sans discontinuer car on est fée ! frée des fées post-cimetière ! On est fée sur pré sachant chasser qui la haine qui l'a nimosité, qui la haine qui l'alacrité ! merde aux nénés ? aux nénés à lait ? qui sait ? on ne cesse de s'avancer, tracer, filer, chercher à cerner les données primzaires, le tracé alloué à une vgérité en herbe, chant sacré, chant des F2es = Colères rentrées mais bel et bien ancrées ! La Colère Entière  ! ire allouée ! charge meurtrière si l'en est mais on ne sait ! ce qui est qui est ! qu'est-ce ? On cherche de pair ! on ne  cesse de pair de chercher, en tant qu'on est ailes de fée ! ailes nombrées ! ailes comme numérisées ! On veut : 

toucher, toucher , toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, ttttoucher , toucher à une Déité post-cimetière = lointaine ? peut-êtte ! On est consacrées !!! ailes de fée consacrées ! On est comme poussées à cde fait chercher à mieux cerner les données premières (primaires) en termes de données actives, vives, genre "matrices", ce qui est qui est. On veut en vrai ne pas abandonner mais continuer, sur pré, notre sorte de randonnée ! charger ! fgoncer ! pousser les portes ! essayer d'entrer, de fracturer, casser la Roche ! traverser ! passer en force ensemble toi et moi la Roche des Ombres et aiutres Danses de Saba ! Passer ! faire passer ! traverser ! entrer ! passer tête et pieds ! t§out l'attirail de fée ainsi accolé ! On ne veut pas rester à quéai mais de fait travezrsezr la roche donnée et du coup nous retroiuver (nues) sur pré aux herbes des données en herbe ! couillues ? plus ! plus du tout en vrai ,! nues de chez nus et ttransforméess ! l'homme a chuté (l(homme genré !) pour se retrouver (du coup) mort et entérré et nous voilà en tant que fée ! Fe'mmes au débotté forment la Fée du pré, l'homme cornu ! On a passé le trait et on s'est retrouvées, sans traîner, de l'autee côté, côté pré aux données données ; on est accolées = collées = ailes de fée ! chance ! notre chance ! on est entrées en transe ! chance des données de base allouées à une transe ! On veut : 

dire et donner , faire et comprendre, cerner, éventuellement cerner ? cerner coûte que coûte ? On est nées fée en fait au passage du trait ! Verbe ancré sacré nacré calé ! On entrte pas à moitié mais ailées de fait ! Fée des herbes à brouter par telle bête des prés sacrés : b^-etes reines ! la chevale belle ! la bisonne rude ! l'antilope prude ! l'ourse aphone ! l'envolée des postes ! Le passé ? O,n est nées fée de la parole Docte ! fée des fées ! cohortes de (sortes de) réponses folles ! Chants de terre (sourdant des ténèbbres) ! On colle ! fée du fait que , en vrai, on est passées cohorte ! troupe fauve ! troupeau de peaux ! animaus-mots ! carriole ! les bêtes de mots ! Fée xdrôles ! pontes ! oeufs de trompe ! corroles ! On est la bête du troupeau, formant force ! On est belle antilope, bisonne en trombe, chevale des portes, ourses comme il faut, bouquetines des données de choeur, sondes et cohortes, On fonce ! On veut :

dire .......................................................................................................................................................................................................................................................... diire-char-ger, faire et allouer,; prendre et cvomprendre les données, ce qui est qui nous regarde ! ........ mle Passé ? Le passé  qui tremble ?  ;.............................. le Passé tracé ? qui on est de fait la mort passée ? Qui on devient en vrai ? FAME ? F2E des F2ES ? le passé nous regarde ou nous regarderait sans nous lâcher ? eh bé .... peut-^ttre ! on ne sait ! on cherche ! on espère trouver ! on ne veut pas se pertdre  sur le sentier mais bien garder le fil d'un trait (ici ) de recherche, de recherche en herbe , agraire, tracé,sillon des fées ! On est née Fée car on est passées ! mort et enterré l'homme (genré) renaît doublé en tant qu'ailes de Fée (elles = ailes) sur pré ! Il sombre pour en vrai former terrreeau comme à toiut jamais, le pôvre ! du terreau de roche ! pauvre homme (asticot) ! Il sombre ! Quand deux femmes montent ! Hautes ! charge forte ! une sorte de tonneau de peau mais comme soulevé en force par .... une Forme Docte ? chant de ROche ? Son de flutiau ? Musique de Corse ? chalumeau ? On est montées sur roche au son du pipieau ! on est haut (hautes) ! On veut aller plus haut chercher le Gros du gros en termes de Données de Roche, Données Doctes ! On veut toucgher la Roche des Données FOrtes ! Données Hautes ! Haute POrte ! toucher ........................................................................................... toucher à ce qui est qui se présente devant soi comme une sorte de Paroi FInale,,Ronde de poids ! Chance ! on y croit ! grave  on y croit ! On croit en ce chant sarde des parois, des Lois Finales (dites "de contranbande et de SA mba") . On voit ce qu'on voit ! On ne voit que ça ! la bande ! le tracé de choix ! pelade ! sabbah ! charge sarde ! catafalques et autres draps ! le Roi est là qui nous rtegarde ! Le tracé des fées est le tracé de choix : parades ! paradis "large", paroles de poids, chevales et tralalas sur façade ! REines de SAba ! reines de là ! REines en soi de l'au-delà à soi , sur pattes ! On veut comprendre la Sabbah, la Danse des RAges, Cornemuses et gamelan des astres, on entre ! on colle ! on pousse ! on est ensemble comme deux épouses sur paroi des Chances (charmes) et autres  transes ! äme de la foi en l'au-delà à soi, on enttre ! Fée des Fées de contrebande sur tracé de bande ! Chargements sur pré ! bêtesz roche ! Fée tracées à main levée par (on dirait) une sorte de force ! On veut toucher ! toucher à Déité ! à pâreille Force des prés ! bêtes de somme ? tracé de pré ? chants de cohorte ? données des données comme allouées à une sorte de Divinité accorte et ça le ferait  (de fait) pour une éternité de porte ? On est nées Fée car on est passées (de vie à trépas) direction le pré ! On a voulu eh bé voila, on est ! On est le bébé fée ! L'ombre de l'ombre ! touché coulé l'homme, une fée (bébé fée) est né ! c'est un fait avéré, dans la mort données ! On est passées et nous voilà toute transformées en Fée Forte, Fée des F2es surdimensionnée dès que consacrée, hé ! c'est ainsi que c'est ! On veut (on voulait) on a ! c'est fou ! Fée forte ! fée tracée ! chant de porte = données ! données allouées àun passage en force ? on est la fée de porte genre Cohorte ! On veut toucher à un e sorte de donnée haute ! chahutons ! pissons ! soyons folles ! folles de chez folles ! jouons ! ......................................................................................................... grave jpouons ! ne cherchons pas à nous calmer , traçons ! ..................................... filons ............... pistonnons de fait ........................................................... au taquet ça le vfait ! ................................................./.............. ne chercho,ns pas ici à tergiverser ............... on se doit d'y aller , filer, tracer, creuser, faire, dire, donnner, allouer, à une roche souterraine, une szorte de tracé de Reine : buffles et ourses cendrées sont nés et nées ! chantons haut en tant que fée leur avènement consacré ! filons ! touchons aux nénés en herbe des parois de fond ............................................................................................................ consacrions ! .............................. piousdsioons grave des sons genre  : 

SAturnales SArabandes 

Colloons ! allouons donc à une roma,nce une moisson de sons de base  : chants sardes !  chants de roche sarde ! chants doctes , chants de joie ! chants de pasdsage ! chants des bois ! sons de paroi ! On veut comprendre les données de base et les (de fait) mieux cerner de face ! Qui on est en  v"rai ? L'âme ? l'âme du pré ? le tracé des farces ? Pou-pou-pidou de passage ? On chante ! Fée des fées sur pré des CHances allouées à une sorte de Romance ici ancrée ! enterrée comme qui dirait ! ON veut tracer sur pré un sentier, un chemin de rage, vers D2ité ! Déité des D2ités ! on regarde ! on voit loin sur pré l'horizon des rages, surdimensionné, alloué à une Vérité de base, sondé ! On court on voile ensemble ! Fée /.................................................... fée des prés vole ainsi emportée ............................... p ar une sorte de romance ...................... ici comme allouée à une sorte de Parade Grasse ....................... bêtes de bon poids de charge : ....................................... buffles ! buffles en vrai, au taquet, gras et gros de rage, romance ! ........................................................... F2E gravée comme à mzain levée par une femme des parades en transe et autres hommes mal couchés ! ........................................................ femmes HAiutes ........ Envolées ........ Soulevées ......... Portées par (on dfirait) du Verbe de Porte ! .................................qu'est-ce que c'est (le verbe de porte) ? eh bé c'est ça : l'ombre ! .......................................... l'ombre de l'ombre de l'ombre une fois tracée ! fée ! fée des fées ! .................... v erbe-fée ! .............. on dirait !  ............................ on  veut toucher à une Vérité-Cohorte qui serait de fait une bête de pré ! ..........................................................................Bêtes hautes ! fortes ! accolées sur roche , attelées en vrai, comme jointes sacrées ! . ON est .. F2e de pointe ! fée des F2es sur pré donné !...................................................... on ne veut pas (plus) reculer mais en vrai tracer (sur pré), jusqu'aux nénés, les mots du Verbe ici incendié , comme allumé ou comment s'exprimer concernant ce verbe dit "endiablé" quand en vrai il n'en est rien car (on le sait) le verbe est de l'herbe !  soit de l'herbe verte ! herbe dxe pré ! herbe verte tout ce qui est ! verte de chez verte ô grand jamais et à brouter ici par x bêtes surnuméraires telles que :

- bisonnes

- bouquetinnes

- bufflettes

- vaches à lait 

- ourses téméraires

- lionnes-colère 

- cchzevales agraires

Un tracé de pré ! Chyants de belles bêtes sur paroi ornée ! on est Fée faite sur un p^ré d'herbe , d'herbe sacrée , qui sait ? On est la Bête -Fée post-mortem ! On veut coller coller coller coller

coller à une déioté des D2ités, ne plus s'arrêzter mais de fait tracer (vif) sur pré , pistonner ! courir sans traîner ! voler = voletter = s'envoler = monter = se hausser = grimper = toucher ! toucher grave ! toucher aux nénés ! Ombre portée ! Nénés nés de Rage ! Nénés des nénés  ! On veut comp)rendre ce qui est , on ne veut plsz se laiisezr embringuer par allez comprtendre qui c'est qui cherche grave à comme nous détourner à jamais du sentier sarde , qauand en v rai on est nous toutes (grave !) rtemontées pour ne jamais nous &rrêter mais tout au contraire continuer sur notre lancée, notre sorte d'embardée ou de randonnée ou de tracé sur pré menant peu-êtte à , qui sait ? une  "nouvelle romance des prés" ou quoi d'autre se pourrait ? on cherche ! on ne cesses en vrai ensemble (ailes) de chercher de base ce qsui est qui nbous regarde ou nous regarderait en face, mur du fond, cloison finale terminale, mur de fond de roche prairiaéle  . On est fée folle dit-on , parce que voilà, on fonce ! on ne regarde pas à la dépoense ! on fgonce à fond, on trace ! on ne se pose pas! on ,ne raiosonne pas plus que çàa ! on agit par la bande frontale des parois ! on tremble peu-t-être mais on ne rompt pas , du moins on essaye ! on veut ensemble toi et moi tracer de base les données de rage, données diurnes des données de base = ce qsui est en  vrai question pré, herbe, verbe, mort allouée à un pré d'herbe, et, au-delà, la voie , ce qu'elle est pour soi (Fée des prés) si tant est ! On regarde en face de près les données, et ce qu'on voit est ce qu'on en sait jusque là, soit : 

ç-àa : la Rage ! La paroi des Voix ! Chance et chants de base , toundra de passage puis la Voie dite "de la Foi en l'au-delà de là" ! Grave on trace ! Fée Folle en Corolle ! Donne de sa voix pour (en vrai) chercher à comp^rendre (ensemblev: toi et moi) la chance qu'on a d'être là ensemblev = ailées ! tout ça parce que quyoi ? parce qu'on y croit ? peut-etre ! c'est un fait qui en  v ra&i se pourrait, pourrait se dessiner, app araitte, surnager : qui sa&it ?  On veut toucher à une sorte de deonnée (type "funéraire") qui serait  " donnée des termes, des finalités actées, des fins de réserve . On est de fait La Fée post-mortem allouée à un pré lui même pré-données des Rages Lointaines .... on est Fée faéite ! Faite Fée sur pré, par (ici, on dirait) du Verbe ! Vervbe d'herbev ! Herbe à brouter ! Herbe grasse des fourrés et autres champs de base ! On veut coller grave à .... eh bé oui : ELLE ! L'HERBE ? peut-être ! l'herbe du pré qui est grave à bgrouter par en nous (qui sait ?) la bête de somme , vache à lait des ombres et autres Formes Grasses sur prairie aux fées,  ! on veut tracer = filer = ne pas traîner mais grave pisztonner sans s'arrêter, sans chercher à se poser mais voler ! voler ! voler grave ! toucher = toucher à ce qui est ici qui nous regarde ou semblerzit nous rega rder en face : les nénés ! la CHance ! Le tRacé des fées , ! la Panse ? On veut toucher ensemble (ailes de fée) aux nénés .... est-ce que ça a du sens ? est-ce que ça le fait ? est-ce que ça xse pourraiot que ça fusse en vrai une sorte de tracé-romance qui dirait des choses vraies sur ce qui est en vérité concernant ... la panse ? Ventre loué ? consacr(é ? ventre de  Fée comme loué pour une charge née ? On est la Fée des Fées comme dirigée ! On veut toucher toucher toucher toucher à "des nénés" , qui seraient "les nénés" .... de .... l"'hommee en transe" ? oh, on ne sait en  vrai , ce qui est, ce qui pourrait ou se pourrait ! on veut cvomprendre le message, 

le message cdes dpnnées, creuser la roche

 et trouver, creuser grave et trouver de fait ça le ferait ! On ne veut pas ou plus passer à côté mais coller grave à une vérité comme soupesée, soulevée, montrée, montrée haut à cette Déité dite "du muret" . ON est nées  Fées a&u passage du trait ! ............ Fée Faite ! ................................................... VFée des Fées en herbe ! .......................... satanées ! ......................Oh peut-etre , qui sait ? .............................. qui sait en vrai ce qu'on est ? Personne (tout à fait) de docte ! il selmblerait ................................................................................................................................................................................................ on colle ! .................................... on se colle l'une à l'autre .............. on veut rester collées ou accolées .............. fée /. ................. fée des prés accolées ou collées , car ailées ................................................................/...../..//../.........//..///..............//................././......./....//................//.......///.....././.........//./....../...................................././...../.......././..//.././////././....../...././.......//.....././....//......./././//.......////  drôilement ailées  .....././......////./........................./.....//...///././../././............................................................. on aime ............... grave on aime être .............. ainsi ailées de près .................. fée surnuméraire saluée .......................... fée des fées dee l'herbe verte ......... PR2É ;! ................ pré d'herbes verte s'il en est =  verbe ;................................ verbe donné, touché, prisé ......................... comme en vrai de l'hervbe à brouter on dirait par vaches à lait, vaches des prés ! on aime ! ....... on aime toucher ! on veut gagner zensemble le pont des données là-bas situé ! creuser = toucher ............ on veut tracer sur roche les données de poche, données fortes allouées à un pré de Fées ;;;; vaches et buffles au taquet sur piste des données prairiales, terminales ! On court on vole ! On est lancées et notre but est de continuer sans nous arrêtrer ! pistonner en force ! voler de chez voler ! aller ! fgoncer ! aller de rage juèsqu'à cette porte dont le nom nous échappe  sans arrêt ! Qu('est-ce que c'est ? quel est le nom ici en vrai de cette porte donc ? Pierre de Pré ? Paule Adonnée ? Pier D'Onctuosité Lactée Larvée ? Pont D'ombre Soulevé COlère ? Chant des Chants Sur Terre ? Piste Agraire ? Araire racée ? Jeanne au Bucher ? Tristana Passée ? On est la Fée des prés ainsi croisée sur herbe vertte par (peiut-êtte) Vaches à laiuit surnuméraires xsaluées, aimées, adulées, consacrées et sacrées, prises  ainsi en amitiées et autres sentimentsz de Verbe Alloué. On veut toucher à Déité en Herbe sur un pré ! On ne veut pas passer à cvôté mais grave la Toucher , le ou la Toucher, Icelui / Icelle Dieui (?) / Déesse (?) pieux /pieuse des Données de rAge ! Grave ! Grave on veut !  On ne veut pas ne pas ! On veut de base ainsi touchezr à une RAge comme Soulevée ! personnifiée de fait et du coup soulezvée ! grave ! haute sur pattes ! Fée des Fées des RAges serait Sarde ... qui sait ? On est dans un pré, on rtegarde, on est ailées, on est deux femmes formant fée du pré, on marche, on saute, on vole, on monte, on veut comprendre ici  ce pré ce que c'est en vrai . est-ce un pré "intermédiaire" entre deux  données ? est-ce un intermédiaire entre deux conntréesc ? est ce que ce pré pré-figure ou pré-figurerait quelque chose cd'autre qui viendraéit après ... genre Haute Do nnée  des DOnnées de POrte ? est-ce que ce pré est pré-quelque chose ? pré-allée de Roche  , pré-sentier de bosse ? Pré-donnée d'époque haute ? ON Cherche ensemble (fée ailée) à cerner de près le plus possible de données qui sont comme données en vcrai ici  par on ne sait qui mais (de fait) ça le fait ! On veut cerner-toucher ce pré ce que c'estb ! Un pré-reqzuis ? un pré-sage ? un pré-ambulle ? pré-cage ? pré-urne ? pré-fosse-commune ? On veut sérieux connaître les données profoncxdes, aller haut, percer, cvo n fondre, passer qui le nez quyi son ombre et de fait wsentir la chose, regarder profond si, des fois, on y sezrait pas !!!!! si par hasard la place pour nous autres serait pas là déjà ! On entre en ça : paroi, puis pré, puis à nouveau paroi ! mais qyuoi ? qu'est)-ce qu'on voit en dehors de ça ? une façade de paroi de base, genre mur de hjoie ! Face de base ! Traits tracés comme à la pa rade  : buffles en cohorte ! bisons d'ombre ! boucs et béliers sur pré dees Formes ! chevaliers  chevalières, chevaux nées sur pré et herbe, chevales  allouées  à un sentier , à un tracé, à une direction donnée à devoir suivre 

"au mot près" si tant est ! on aime ! on veut toucher à cette sorte de donnée ici donnée de type zouveraine / reine ! -Vérité ! Vérité et contrevérité forment la Fée des prés de type Reine  de Contrée !

La vérité des faits, alloué à ( de fait) la contrevérité, forme ou formezrait ce qui est qui est en matière en vrai de déité ou de divinité céleste : le Tracé ! Tracé de fait ! Tracé acté ! Trait tracé à main levé ! trait des traits sur Paroi allouée à une Vérité Sondée, gravée, chargée de mots en herbe, herbe-mots des pierres souterraines ! On aime ! on aime trop ! trop on aime ! on veut touchger à ce phonème : "trop " , on veut toucher au mot ou à ce mot de "trop" ... et, passer carrosse ! Charger ! toucher haut les données de Bosses ! crier ? ou ne pas crier mais chanter haut ? chanter haut et faux les données "de trop " ? toucher à Néné  ? toucher haut à ce Néné du Trop ? On est La Fée post-données de troop ... qui  sait ? On veut grave cerner, ensemble (§ailées) ,

les données des cendres, les toucher en vrai afin de pour le coup mieux lmes comprendre, mieux cerner, mieux aéller en  vrai ensemble = s'aimer ! grave ! grave s'aimer ! sonder ! dire et poser ! jouer ! jouer grave à des jreux de fée si tant est ! jouer aux jeux wsardes ! sales ou sages ? sardes ! fins ! doux ! fols ! enjouéess ! vifs ! ailésc ? ah peut-être aussi ! jeux de doigts cde fée sur place = possibilités 

 de pouvoir toucher (par le jeu de l'antre) les données données d'une (sorte de) Divinité de Bande ! Jeu de fée ! Jeu d'ombres portées sur paroi de rOche allouée à une V2rité de porte .... on veut toucher ! toucher de près ! ;.................. toucher de chez toucher ! ............................................ ne plus cherc her à esquiver mais tracer-filer ! fon cer ! grave foncer ! ................................................................................................................................. foncer grave ................................................................... y aller .....................................de son entrain de fée 

allouée à une romance

 ancrée en ce pré 

des données  de rage /........................................................................................ = pistonner ! ......... ou tracer = creuser = fgoncer = graver = graver grave sur paroi donnée les données de RAge de La mort à l'Oeuvre Allouée .................................................................... toucher ...... toucher ...... toucher ....... toucher ....... toucher ....... toucher ........ toucher ........ toucher ........ toucher .......... topucher ......Toucher ......... toucher .......... toucher ..../....... toucher .......... toucher ....... à ces nénés de cvontrbande (?) qui sait ? ................... et du cfoup charger , aller, donner, pousser,; faire trait , sillonner , aller jusqu'aux nénhés en herbe d'un muret de fin de pré ! Toucher ici ensemble ailées ! toucher de chez toucher ! donner-toucher ! être ! donner ! filer ! connaîotre ! soupeser ! chercher ensemble à traverser ce pré donht les données en herbe (à porésent) nbous sont (ou nous sezraient) , il semblerait, données de fait ; et du coup, nous voilà remontées, colère, soulevées, prêtes à hausser le ton de haine si ja&maiçs, et monter ! monter de chez monter ! tracer ! monter haut là-haut ! atteindre les sommets ! les cimes du pré ! toucher ! toucher Déité ! Déité des Sommets ! Déité des D2ités = des Sommets ! sortir la tête ou le mùuseau ! dépasser ! sortir de fait qui la tête qui le museau, et regarder ! voir là-haut (au plus haut)c  e qui est qui semble être (ou sembvlerait se dessiner) à nos mirettes ! chercher ! essayer de fait de cerner là-haut (la tête passée) ce qui est qui szerait, qyi nous "entourezrait" ou nous "encerclerait" ou nous "regardera&it" , ou nous "attendrait de plein pied" .... On veut passer , de fait, la tête (ou le museau ?-)) et du coup .... connaître ! mater ! voir ! cerner ! comprendre ! regarder ! chercher! espionner ! sentir ! ressentir ! humer ! toucher ! chercher ensemble (ailées) à voir ce qui est = sentir = toucher = prendre = comprendre ! Qu'est-ce qui est qui nous attendrait , qui se tient sur pied ou qui là-haut semble nous mater, regarder de haut, mater-coller .   o, n veut (nous : ailes) comprendre ensemble ! Une donnée d'Ombre ? D'homme ? une sorte de donnée de l'ombre ? une Ombre ? une denrée ? du lait ? un peu de lait acidulé sortant d'un néné (éjecté) ? Lait sucré-salé comme un bonbon acidulé ? Lait des Fées ! Du lait ? Laiçt des LAits ? lait docte ? oh ! on ne sait e,n v rai ce qui est là-haut à nous attendrte de pied ferme ! Lait de féec ? Lait des Ombres ? Ombre sur le pré ? Ombre cd'ombre ? Une fée ... acidulé&e ? Un peu de lait docte ? Qu'est-ce que c'est que le lait docte ? Une denrée ? un tracé ? un trait de fée ? trait donné par une fée de POrte ? fée des fées allouées à une sorte de Parole Docte ? Donnéedes données ? On veut toucher à une sorte de donnée de porte mais comment toucher, quand on est ... ombre ! ombre sur un pré ! comment toucher , tracer, cerner, aimer ? On est la Fée des Ombres sur Prairie post-catacombes, maéis en vrai, on est La Fée du pré vfleuri, du pré des sentiers comme  allouées ici à une direcvtion donnée, donnée vite fait  et vas-y ! cours et vole ! cherche au jugé ! fais course folle ! vas cerner ! ou vas-y cerner ! On est Fée des Prés , on cherche à soule"ver la Roche, les données de Roche, les Contrées de POche : mottes ! toucher ! à toucher ! à faire en sorte que voilà, les mots de base soient, ici et là, comme posés pour ça : comprendre,  qui de quoi , ou pour qui de quoi, en vrai, La Fée est née , pour qui de quoi la Fée, dans la mort actée, est née ! Car, en vrai, on ne sait toujours pas ce qui est ! le pourquyoi des choses sacrées, sur pré tracé. On veut ensemble cerner aéilées, ensermble ailées cerner = toucher= grimper = passer = regarder = comprendre .... les Nénés de base, les Nénées sezraient Nénés de RAge ? Vache à lait Nous attendrait ? serait présente, au plus haut dxes Hauts, à , de fait, nous attendre, nous mater , nous zyeuter sans discontinuer de son Haut de Trait ? On monte, on regarde, on aime, on est ensemble, on est sages, on est collées ensemble, l'une à l'auutre, par la base, on veut toucher en vrai à cette Vache à lAit des Temples. Toucher ...... toucher grave .............. toucher en vrai ........... toucher à ce qui est qui nous regarde et ce searait en vrai une sorte de vache, de vache à lait, buffle nacré, bufflette   ........................................... oin aéime ! .................... on veut aimer ................. on veut grave l'aimer .......................On veut en vrai grave l'aimer ................................................. on a grave envie ensemble (ailes = elles) de l'aimer en v rai = au toucher .................... au toucher des nénés ............................ pis en herbe verte ........................  verbe de pré ........................... pré-verbe des féesc............................ chants choraux surnuméraires au lamparo .......... à la samaritaine ........................ sans trop mais quand même ......................... on aime ! ................. on veut (ensemble) toucher le gros lot = gros mot = blaspphème ............................................................................................ gros du gros en lma matière = mots de trop = bufflettes, buffles Homo, Sorcières, Chants Faux ...................................................../.........................Colères ................................................./.................pots ................................pots gros ...........................chevaux comme en bandoulière et aéutres bêtes-mots de roche princièresx .............................. pots de mots .............................. pots de mopts gros (ou de gros mots !) ........................................?................... pôintesc de terre ........................................................ ponts de mots ................................ colères allègres ......................... pôintes sèches .................................... perdreaux .................................................................. on aime ! ..................................... on veut passer la tête, mle museau, l'oeil alerte, la mèche rebelle ..... et mater ici même, les données donnjées poçst-pré = post-herbe = post v-herbe, ce que c'est ou ce qu'il en est  ....... et donc ............................. trouver ......... à toucher ........... à comme qui dirait toucher .............. ou toucher des yeux ce qui ici est, en vrai, sous nos yeux de fée ...................................................................................................................................... fzée des gfées ........../......................................... merveilleux .................................................................... N acré ................ Nacre ................... Charge .................. Point de NAcre ............................................................. point de na cre ......................................... pointes de bnacre ..........................................., pointresq de nacre allouées à un sacre ...................................................., pointes ........................................................ points de nacre ........................................................ points des points sur nacre ............................................................. points sur points  ......................................................................... points de traitsq sans fin .........................................vent de face et points de rage ..............................................Vent§s et traits ...................................................................... chants ...............................lait /............................ traits de lait ................................./.......//./...........///./...//..//..//././../................ qui on est ?/ ......................././/..........................................Bébéb ?////.......................................................on est montées, on a grimpé, on est haut montées, hautes fées montées dun tréit, fée des fée tête première ! On a donc sorti la Tête, hors deu Chantier .......... nous voilà haussée ! haute fûtaie ! on mate loin ! on regtarde' ! on veut comprendre ce qyui est, au-delà de là, le chantier  dit "de cavité", qui est pré (de contrebande) ajouré .......... mater-cerner = regarder les yeux écarquillés ! et donc .... on voit des sortes de tracés ............ nénés ? .......................... points d'ombre ................. pilosité ? .............../...........piols  de fée ?........................................................ pilosité des pilosités ???? ...........................Ombres sur clarté = poiils de trait ??................................................. trait de poil tracé ?...................................................................On veut toucher ! toucher des yeux, et "en vrai" toucher , ici, ce "merveilleux" ,

des données allouées à une montée, à un envol, à une sorte d'envolée de roche : lévitation haute ! haut des hzuts pour une sorte de mission de roche, type : Fée Haussée ! Haute Fée de haute Fûtaie ! On veut (du coup) cerner , toucher, colller, comprendre les données post-cavité, post-pré, post-rotonde, post-muret, post-mur des données hautes, post ce muret des données profondes, le dépasser, tracer, chercher à passer, travesrezsr l'ultime roche et du coup cerner, les yeux écarquillés, ce squi est squi est en ces contrées du bout de pré et au-delà, la Ronde des Voix ..... l'ombre szur la voie ............. l'ombre portée type "points et traits" ........./............../.........................//...............//............./..........  c e que c'est que ça , en vrai , que ces points post-roche et aiutres traits donnés ................................LAIOT ? ................... LAIOT DES fÉES ? .................................. Laiot acidulédes fées données sur pré traversé ? ............................................................lait des laéits et autres denrées lactées ? ...................................................................................................... lE Lait ? ..............................................................LAIT .............................. LAIT ............................ LAIOT //./............................ LAIOT NACRÉ ...................................... LZAIT PARLÉ ........................................................................................ LAITRV ALLOUÉ À IUNE SORTE DE DONNÉE PROFONDE, HAUTE, CHARGÉE, CREUSÉE, VIVE CLARTÉ .......................... LE LAIT EST DANS LA POCHE À LAIT ...................... PIS .......................... SPI ? ............................................................................PIS-HOMBRE ? .............................OMBRE D'OMNBRE ?...........................ON veut toucher à ces nébés de l'ombre et du coup (ou du m^e'me coup) téter ! téter de ce l&éit, nacré / acidulé, du pis de l'ombre ! téter le néné d'une vache docte ! sacrée ! sainte et allouéeà une donnée ou sorte de donnée ici consacrée, genre "vérité" ou "vérité des vérités" , on s'y croirait ! on est nées fée du fait que voilà, on a passé la voie, le trait, le trait de l'âge, trait des traits pour un passage ancré en  cette sorte de contrée prairiale, et là : l'envolée ! l'envolée tenace ! a&iles au débotté s'ouvrent sur place et aident à tracer ! pousser ! grimper ! aller au haut des données de Rage 

 salaces, portées, comlme  soulevées, en transe  chahutées ! ça le fait (de face) grave ! Sainteté allouée à une sorte de romance, née sur pré ! France ? le français, la langue, le Passé outré d'une langue forcée ! la chance !

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11/11/2024

on cherche sur pré ensemble en tant que fée ailée , ce qui est, ce qui advient, ce qui se présente, ce qui vient à soi en tant que déité notoire, Fame du passé, Gente Dame au grand jamais si tant est ! FEMME DES PR2s  et ça pourrait de fait nous renseigner de base dans la profondeur, sur ce qui se présente en termes de Passé , Passé composé, Gens des prés allouées à une Romance, à une sorte de Romance ancrée, placée, située = ancrée de base en ce pré des ombres et autrtes hommes dits "enterrés" ! On veut toucher = on veut aller = on veut de fait cerner, les données profondes sur ici

 ce qui vient à nous peut-êtrte se donner = les nénés ? qui sait ? qui en vrai sait ce qu'il en est de cette chose endimanch"ée qui se présente en fond de roche à nos yeux de F2e ! On est Fée de l'herbe, toutebv mùouillée d'avoir "comme" brouté ! On est vache à lait post-cimetière... ou fée ... il semblerait que ce fusse ...  pareil ! Fée , ou Attelage ovin de préférence, on s'y croirait, ! On est nées ! on est passées sur roche puis dans rtoche puis en pré puis au fond du pré puis face à nouveau la Roche, la Roche embarquée , devant Elfe sur pré on dirait, genre Femme déboutonnée pour donner à téter ou quelque chose de cet ordre mais qu'est-ce que c'sst en fait ? On cherche ensembkle sur rtoche un maximum de données qui puissent nous rensenseigner nous deux (ailes de fée) en tant qu'on est ... eh bé oui accolées, la roche (la mort ?) passée ! Roche des prés est notre sorte de "rotonde". Une sorte en vrai de petite rotonde pâr où passer, pour cerner , par où peut-etre transiter, pour en vérité toucher ... aux nénés de l'Ombre ? On est née fée sur pré le mur numéro 1 (pour ainsi dire) une fois passé et nous voilà main dans la main (pour ainsi dire) = ailées, qui volons (grave) vers Déité de La Roche Finale en rotondité ! On en avance ! On est Fée des prés qui (peut-être : il semblerait) veut toucher, toucher grave, cerner, cern er vif, et du coup comprendre ce qui est en  ces contrées (rotondité) en ce qui est de cette chose ici déboutonnée qui se présenterait devant nos yeux pas mal étonnés ! Nénés ? Des nénés ? des sortes de Nénés de base ? Nénés doctes s'il en est ? On ne sait, en vérité, comment situier (cerner, ssaisir) la (ici) "Chose de Rotonde", ce treacé dit "incurvé" qui s'offre, se donne, s'est donné pour ainsi dire à nos ailes nacrées  ! On est passées, et voilà ici qu'on se retrouve ou se retyrouverait peut-ettrree touttes chose, drôles, comme toiuchées, comme en vrai touchées, séduites, embarquées, prises sur le fait d'une sorte d'"avancée comique"" ... ou sinon comique troublante ! car, oui, on dirait, il semblerait, on se dit que oui, une sorte de Dame des Prés, endimanchée, devant nos ailes déposées, semble vouloir nous aborder , nous toucher au coeur, nous aimer, nous embrasser-embarquer, bnous donner son lait ou sinon son lait qu'est-ce que ça peutb être ? Sperme ? sang de rage ? Lait de vin ? vin de lait sucré ? chants des roches allouées à une sorte de donnée mal située ou à nos yeux mal situées ? On est Fée du pré et à  e titre on se permet d'en avancer sur roche à fond  la caisse on dirait car on est svelte ! On est vives et nacrées, et aussi sveltes ! vives de chrez vives on trace pour aller en face, vif ! toucher de base, 

ce qui est ici qui se présente , 

des nénés donnés il semblerait si on regarde bioen en face ce qui est 

qui wse présente ! nus ! nénés nus de base ! dénudés ! donnés nus, comme de bien entendu ! On cherche à c  erner ! On ne veut pas lâcher le manche mais y aller , de fait, sans tergiverser, à la recherche de données de  branche, duretés endimanchées peut-etre en effet ça se pourrait mais qui le sait ? qui connait ? qui comprend les données du manche ? qui a en vrai cerné "le Passé" dit "de contrebande " ? sait-on ce qui est ? sait-on comprendre ? pouvons-nous toucher à ce qui est qui se présente, et pourrait en vrai (qui sait ?) nous donner du large  ! On est nées Fée au passage du trait , on cherche vif à mieux cerner les données de base de la mort ancrée , des vivacités, des amitiées données, des données de rage et autres faits et gestes soulevés ! On est nées Fée sur pré, on fonce caroosse vers néné sans lambiner pour mùieux nous situer pour mieux de fait cerner et du c oup toucher ! toucher à ce qui est qui nious fait face en vrai : chance ! chant ! chant des Rages ! passé ! Le passé fait Rage qui nous regarde ou nous regarderait en face ! Passé donné ! LE passé est du passé donné  ou des données de b ase comme déposées, sur branche , sur muret ! On vbeut ensemble s'en (si possible) rapprocher ... de ce passé de fait de contrebande (on dirait), passé passé qui n'st peut-être pas assez, pour, en  vrai, combler D2ité c'est un fait mais voilà ! on est passées ! on s'est envolées ! on est montées ! on a traversé la lande et nous voilà qui nous pointons menues face à cette "Déité  des Donbnées connues" ! On est la Fée post-mortem allègre ! on est  vive allouée à un pré d'herbe, vive et enjouées ! On volette à la volette ! on est belle bête si jamais ! fée clochette comme vache à lait broutant l'herbe verte pour s'alimenter et du coup fabriquer "le bon lait de la ferme" ! On nest Fée-vache sur pré tracé, cherchant bpitance , denrée, verbe au taquet, données de base pour en avancer au mieux dans les connaissances ! On est la Fée des contrées rupestresxcnéandertaliennes ou aurignaciennes ! On cvreuse , on dessine ! on entre en transe ! on est soulevées ! on danse ! on est "soupesées" au taquet sur branche , bête des prés toutes envolées on danse ! fée ! Fée des prés = vaches = attelages montés , chance ! chance des prés on est nées ! on est nées sur pré du fait que voilà ce qui est qui est : on a passé le Rubicon desc âmes données et on s'est retrouvées ensemble (accolées) à la retombée, ailes sur pied = Fée, dite "des données prairiales pré-muret de Rage Finale" ! On veut cerner ! On est passées ensemble (elles = ailes) à travers le roc ici gravé , par des mains d'hommes et de femmes ancesrtales, on veut toucher ! dire et sonder ! pisser ! chier de base sur ce pré aux données stables (verbe ancré) et, une fois fait (pipi au débotté, caca au passé), filer comme à contresens ou comment comprendrte ? qui sonder ?  à qui demander ? vers qui en vrai se retourner pour mieux toucher à cette vérité des données finales, cruciales, terminales, chargées, avouées, laissées et données, déposées de rage sur muret comme d'un message ! On est nées fée au passage et nous voilà '(ensemble) comme toutes "remontées" du fait qu'en effet on voit les nénés ! nénés du passé ! chants sardes s'il en est ! romance sucrée ! comptines des années de propagandes enfantines ! on est du passé pour ainsi dire ! on traîne à vie la vie passée et on avance ! ON est nées Fée, des données de base tracées ! dessinées sur gré ! chants sardes qui sait ? ça se pourrait ! On est ancrées dans un passé notoire, historicisé c'est un fait, et du coup on ... passe ! il sembvlerait en fait qu'on soit en vrai passées ensemblev "à toi à moi" de rage par la bande à travers ça : Roche Donnée ! Roche Allouée ! Roche des prés et du passé de base, chants des prés comme sermonnés ! ça trace ! ça charge grave ! ça le fait sur pré des Fées, sans faire plus que ça de simagrés et autres sortes de grimaces ! On est nées F2e en vrai au passage alloué à une sorte de Divinité qui nous aurait laissé passer du fait que voilà, on est Ailes des prés, Elles au débotté comme dédoublées, qui formons F2e, des Données de ROche et autres "données de poche" ! on est la Fée des Données accolées, qui (fée des prés) cherche à ... qui saiit ? brouter ? manger sans trainer ni discontionuer l'herbe grasse des prairies célestes ici rencontrées (mort-roche sur tracé de grotte ). On est allouées et on s'ailme (femmes qui s'aiment) sur rocgher de grotte ! çàa le fait en vrai et pas qu'un peu en fait ! On passe ! on trace ! on vole = on s'envoile = on =monte = on grimpe = on veut comprendre la clarté, tyout en haut des rochers la clarté, ici post-mortem telle qu'elle nbous apparait du (seul ?) fait qu'on est à présent toutes transformées, ailes au taquet peuvent monter ou remonter sans chichiter le muret ! On est nées fée de rAge en ce pré, aux herbes de VErbe  ! Vaches-fée des données rupestres néa&ndertaliennes (pariétales) des grootes cachées , comme enclavées. On est fée au passage du trait ! romance ! chant sarde ! gentes dames nous rtegardent ainsi traverser et les retrouver ! Dimanche ! Charité bien ordonnée ! romance des prés ! Femmes sacrées = sondées = comprises sur un pré aux fées (vaches à lait broutant sans traîner ce qui est qui se présente en termes de denrées !) . On veut toucher, et pour touchger on veut cerner (en soi) ce qui est qui (pour le coup) se logerait ou loverait en ce muret des 

fins de Romance : trait pour trait ! on veut grave cerner les données finales, ces données de bout de salle ! données doctes, saturlanes, fortes, comme saturées de lumière fractales, allouées à une (sorte de) parade b estiale ou sinon bestiéale ,

ou sinon bestialess, végétales ! On cherche à pour le coup comprendrte ensemble, ainsi accolées ! On est ailées ! On est deux ailes comme tracées ! On vole = on volette ! On veut grave cerner les données romaines et toucher de base ce qui est, qui, ici, ROME Millénaire, se présente à nous ... ouïe de VERbe , ou dite telle : qui comprend ce qui est des bêtes ? qui sait, qui connaît , qui connaît le Verbe des dxonnées bestiazles, des données de rage ? on est nées en vrai aéu passage de la mort sur terre, femme ! on est nées en vrai, la mort venue, passée ou dépassée, en tant que Femme (des prés il semblerait) dite "post-mortem" à jamais , et ça le fverait, de préférence ! ça le fait ! On danse ! on est nées Fée et de fait on danse ! en ce pré ! champ de ronces et de fleurs toutes acidulées on va pour tracer, chazrger, courir et voler ou nous envoler ! On est La Fée des bouts de roche , ici, comme à la traceversée,n, et on s'époumunone en  vrai ! charge nacrée ! on fonce ! on ne s'arrête plus de foncer et de forcer la porte ....aux nénés ! qui sait ? on est passées de fait ensemble accolées, l'une et l'autre en ta&nt que Fée des prés , pour en vrai cerner cette ... ROtonde, en Roptondité ! ce que c'est que cettre chose ! ce que c'est que ce treacé final, incurvé, mur en vrai de roche profonde, grotte ! grotte aux données ! grotte secopnde  on dirait ! la grotte = le muret ! ROtonde des Rotondités des grootes allouées à une mort actée ! on est passées = on est passé = on passe le gué ! charge menjtale ici sur un pré aux données bestiales (vaches à lait = fées) qui nous regardent ou nousv regarderaient sans  nous lâcher comme qui diraitr. On est Fée de base sur rtracé rocheux comme à la p ar ade dit "du mervieilleux noueux" ! On passe ! on est nées Fée ! = femme = fée-femme dans la mort actée c''st un fait vrai ! On est pzasseé = on est mort = on est re-nées en tant qu'ailes  de F2e surnuméraires ! mains placées ! roches soudaines ! charges allouées à une sorte d e romance agraire céleste ! qui le saiit de f ait ? qui sait de quoi il en retourne concernant les fées dites "post-mortem" et autres femmes-fées des données dernières ? On est pasdsées parce qu"on est transformées ! c'sst vrai , c'est un fait tout ce qu'il y a de plus vrai ! pour passer et durer il faut transiter ! -Homme mort, tombe, trait. Homme mort tombe et forme un trait. Homme se transfor(me en fée du fait que 

OUI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! IL S'EST VU COMME TRANSFORMÉ OU ÊTRTE TRANSFGORMÉ EN TANT QU'EAILES DE FÉE post -mortyeme ! tracé ! chevauchée ! acidité ! homme mort-né laisse aux dites fées le soin de durer ou de continuer de fait en ces conntrées de rage céleste ! sainteté sur pied cherche à brouter de l'bherbe vertte = Verbe, aux données genrées s'il en est il semblerait ! ça grimpe ! ça envoie ! ça y va de graâce ! c'est fada (complètement fada) de base ! on voit çàa ! On entre ! on entre dans l'antre ici de loa paroi dont le nom est Rage ! on entre ensemble ! On trace ! on commande de la voix et par des sortes de messages que nos ailes tracent ! On est comme allouées ensemble (accolées) à une sorte de Romance dite "des prés" , ou "prairiales des fées", ou encore "chargées de fleuirs données" ! On est entrées comme à la parade des données données, et du coup, voilà, on est devenues Fée, une Fée au passage, homme cendré (mort et ebnterré) est devenu femmes des prés, deux femmes sur un pré formant les ailes toutes nacrées d'une sorte de Fée ôst-mortem ! On aime ! On est nées ! On est les do nnées fauves ! On veut dire-toucher ce qui est qui devant nous s'offre : des nénéds ? des sortes de nénés-corolle ? on a grave envie en vréai de nous pôrter au p^lus profond ici de la roche-rotonde, principauté ? qui semble ou semblerait nous entourer , nous encercler ou tou comme, et du coup treacer, fon cer, courir sans traîner ni débander ni désemparer vers les fonds de pré, muret tracé, fin de roche, collier ? on est nées fée qui volons sur pré vers cette sorte de.. collier ? collet ? col de Ré . divinité ? on cherche , vif ! on ne cesse (vif !) de chercher en vrai ce qui est ! On est nées sur pré un jour de mai, on est nées sur pré un jour d'avril ou du mois de mai ou autrte, et de fait, on creuse ! creuse que tu creuseras la par(oi afin de pouir le coup, mieux cerner les données praioriales (para disiaques) des tracés de bêtes-mots de $base et autres mot-à-mot tenaces ! on est nées FGée, on veut toucxher ! c'est un fait ! ça comman,de ! Ça envoie (de base) sur toundra la charge coriace, attelage ! attelages de paroi ! bêtes de rage ! masses ! masses des Rois et REines dee là (de l'au delà!). On touche à ce qui est qui ici se montre devant soi, à savoir ... la tombe ! Trou à rat ! xchant des terres profondes montent, sortent, nous emùportent, nous confondent ! On est cvomme dès lors ensemble traversées sur roche, pré, herbe folle ! vaches à lait on est, sacrées, non-touchées, cernées, regaerde"aés comme si en vrai elles étaient (on était) des fées , fées d'époque en cohorte, champs tzacés ! On est la F2e dite "des cohortes", sorte de meute d'ombres ! On est la Fée sacrée ! allouée à une roche ornée , type muret des finalités, finalités accortes ! bisonnées = maisonnée ! bouquetinnnées = tracés ! trait pour trait on ose ! on est montées ! On voulait vraiment ensemble sans cxhichi aller , toucher à cette Déité des données Ultimes (c'est qui ?) et comme "traverser à gué" le ruisseau du pô ! Qui ? qui en vrai nous sourit ? qui nous dit de fait ce qui ici est ? qui en vrai nousz dit ici ce qui peut-êttre est, qui nbous renseig nerait (de fait et pour le coup) sur ce qui nous attend en tant qu'on est la Fée post-cimetière ... à la (seconde) retombée des terres ! ce qui de fait noius attendrait, passé ici le muret des termes, finalités, fin de prairie, fin de paradis, trouée souterraine ! On cherche ! on sourit aussi ! on veut toucher à ce tracé des sortes de finalités dxes termes ! Qui on est en vrai sinon des Fées de Rêve ? Fée d'Herbe ! TYRacé ! un tracé ! Un tracé en herbe verte ! Chants des prés , chansons frêles ! On est nées ailées sur pré des données, des données en herbe ! on, est F2e faite (faite Fée) au passage des traits  = ce muret de la mort actée, avérée ou donnée, et le muret passé nous voici volantes ! cxhargeantes ! ou chargeant , de fait, nos ailes nacrées  ! Allouées ! touchées ! sablées ! cendrées ! nacrées ! situées ! sondées ! accolées ! percées ! cherchées ou recherchées ! cvoincées comme un ver de terre et puis zou les airs ! l'envolée rupestre ! l'envolée des envolées rupestres on s'y croirait mais en vrai c'est (dans la mort avérée agraire ). Certo-certe ! On aime ! on veut :

toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touxcher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher touychetr tioiuuyoucher à cete sortrtre de néné post-cimetière et même pluqs que post-cimetière puisque dégagé ! lointain ! tracé des finalités ! fin de l'herbe verte (du verbe) s'il en est et il sembvlezrait ! Mort sur pré ok, mais l'herbe ? que devient-elle ? le verbe ! Qu'est-ce qu'il semblerait que devienhne l'herbe soit le Verbe xdes données prairiales de la mort à lm'oeuvre ? oh !!! on ne sait vraimentde fait, ce qui ici est qui semblerait vouloir se prté&senter ou proposer à nos gouvernes ! On cherche c''st vrai , et on a pas fini de chercher !!! on est passées ok, homme mort et enterré, laisse place entière à AILES, AILES de F2E post -mortem et du coup, vboilà , on cvreuse, on mùonte, on fouille ! on veut aller au plus lointain possible sur pré chercher-trouver ensemble des doonnées, dfonnées doctes "fortes", données fortes "doctes" ! trouver = toucher = allouer à une roche une (sorte de) "Paroole Profonde" .... on ne sait ! On croise nos doigtsvde Féeb ! On veut toucherr à une Déité de Fond de ROche des Finalitrés ! On veut COMPRENDRE = DIRE = FAIORE = ALLER = CERNER = CHER CHER = FOULER = BERNER = SITUER = SAISIR = MENER = TOUCHER AUX DITS NÉNÉS DES OMBRES ! QUE sont-ils en véroité ?. sont-ils de vrais nénés de femme à laiot ? sonbt)-ils de vrais nénés de Vache à lait ? sdont-ils fauves ? sont-ils déssinés comme à main levée par une femme des rotondes, Fé dec Fées sur pré de roche ? Une Fée est née qui est passée par la petite porte, pour entrer en cette sorte de prairie "profonde" , et la vooilà icio, qui cherche à aller (trotter, voletter) à la recherche d'une sorte (peut-être ?) de ( qui sait ?) denrée de type "N2éÉNÉ ;;... ? on veut t§oucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce néné ! à ce vsein de Roche ! F2e des F2es aime aller-voler vers le Néné des fins de rOche : qu'est-ce que c'sst ? un vrai néné à lait ? un vbrai néné, qui serait (du coup) post-post-mortem ?.?? Car (ici) la mort est comme , comment dire, double ! On voit de près le pré ! on passe ou on passerait , pour , ici, se reytrouver, fée, en ce pré. On voit le pré , puis plus loin le muret ! on voit en tout (donc ) deux murets ! un prtemier à notrte mort dite "naturellre", et un deuxième en ce pré a ux Fées des données profondes . S'agit-il de fait du même ? du même muret en forme de rotonde ou qui appzéartiendrait à une sorte de même rotonde, cercle précieux ? On ne sait en v  rai mais on ws'inquiète de lma chosecv à longueur cde Roche(n"éandertalienne) et autrtes rocs de groote profonde. On est la  fée qui veut connaitre un  c

ertain  nombre de données post-cimitère soit post-mortem (le pré) et au-delà , post-post-mortem =  après le pré (le p aradis des vies ailées) ! Comprendre = ici toucher ! car, en vrai, il sembvlerait, il semblerait en vrai que pour cerner (de près) les données de base (de la mort à l'oeuvre)) il faille ici toucxher la faille ! le tracé ancré, terait de rage, fissure née, treait de fée par où (qui sait ?) passer olé olé" ou pas olé olé maios nue (nue du cul) jusqu'aux ... nénés, de l'ère "profuse" ? On ne sa&it de fait mais en vrai on ne cesswe de rechercher et ce sans tra îner (la vitesse gronde) pour cerner ou mieux cerner ce que (enj vérité) la mort "secondaire" nous apporterait en termes de "donné"es salutaires" ou ditesc "salutaires". Qui on est la mort avérée .... eh bé on ne sait ! peut-être en premier (dans un pré) une Fée, ou une Fée Patibulaire, et puis le pré passé, peut-etrte ... de l'herbe ? du lait ?

? du lait en herbe ? Verbe Accolé ? Chyanjt de la terre ? chant = verbe de la terre = Herbve  ? On cherche ! on est comme une Fée Sévère ! grain de beauté ! on trace sur pré un chemin des Fées par où pâsser nous-mêmes et faire passer, derrière, tout un attroupement de bêtes-mots agrairesq genre bisonnées , bouquetinnées, cxhevalinées , bufflinnées et autres maisonnées de bêtes fortes, grosses, grasses, pesantes, poids sur roche de base naissante ! On est données ! on est tout comme un certain nombre de données données ! On pourrait dire en fait qu'on est nous-mêrmes des données ou les données des fonds de roche mais en vrai on est comme des fées de rage qui, ensemble, cherchent à travezrser (de base) l'ultime paroi aux envois, aux dires de charge, aéux quatre vérités de rage. Qui on est de base ? eh bé ;;... Fée ! F2e des ombres  ! Fée (qui sait ?) DEs Omùbres portées ou autoportées ! On veut toucher = toucher = toucher 

= dire = dire et comme se porter auprès

des nénés de l;'ombre on dirait ! 

Charges doctes on fonce ! fonçons grave ici ensemble toi et moi = ailes de paroi, parade nuptiale, tralala, chants de RAge, SAMBa, SAmba des Rois, Samba ici Des rois Et Reines de pAroio ! On danse en tra,nsez ! on est F2es des prés en transe et c'est notrte chance ! oN veuit toucher à cette Déité des Contrées Finales  ! On est nées Fée comme à  la pa rade ! on bva en vrai vers D2ité des RAges, ! saturnales ! bacchanales  ! on est aimées ! on est adulées ! collées ! accolées ! on aime le pré et l'herbe du pré ! on veut en vrai toucher de rage les néénésxs de base, ce qu'ils sont en cvrai, ce qu'ils offrrent comme denrée, ce qu'ils donnent en termes ici de vérité vraie ! tyoucher, toucher vif ! comprendre et cerner ! coller et donner ! ferrer ! ferrer le pied ! cerner ! dire et cerner de fait les données ddes prés, cequ'elles représenteraient en termes de champ alloué à une sorte de Romùance ! Co:mprtendre = toucher et toucher = comprtendre ! sainteté ailée ! sanctuarisation en vrai des données de roche et autres parois de grotte profonde. On touche aux nénés de roche ! On veut toucher ! On touche parce qu'on veut toucher pzarce qu'on veut comprendre parce qu'on veut aimer parce qu'on veut aller , voler ou voletter, à la rencontre du N2né de l'Ombre (Hommùe ?) transformée ? squi sait ? qui on est ? qui (dans la mort, enchâssées) o,n est ? Femme forte = groosse = grasse = belle = fauve = mauve ! on veut en vra$i toucher toucher toucher toucher touxher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher touchezr toucher toucher touchezr toucher tyoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tioucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher topucher toucher à ces nénés donnés des sortes de données données alloués à un muret ou sorte de muret cde bout de Roche : les Données de type Grand D  ! Chose de ROche Forte ! Roche-née pour une V2rité accorte, accordée, donnée, sans traîner , à une Déité des D2ités. On veut en vrai toucher à cette Déité-Néné de l'après-pré ! des données secondes ! rotondité ! Rotondité des données des prés ! on dirait ! on dirait en vrai ! Choses Hautes ! Choses déplacées ! Porte des prés ! une porte ici dionnant de fait sur quelque chose, de ... dessiné ? à main levée ? parole .? parole HAute ? chant des prés wseraiot comme en vrai les données du NOuveau MOnde ? Du monde de l'après le pré ? roche seconde traversée et on verrait ... de quel bois on se chauffe en vrai ou chaufferait ? Feu des turpitudes ? clash-center tracé ? tombe lacustre ? fonte des passés et des donnéess diverses du passé ? champ de glace dessiné pazr u,ne sorte de pseudo-déité larvée ? charge ? charge-né ? ponte ? ponte des oeufs accolés, formant corolle ? On veut (en vrai : grave !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!) toucvcher ! toucher = cerner ! à cette Déité des FOnds de ROche :

- tracé

- colère

- dires divers de type alacrité

- chants donnés

- termes accolés gformant pré

- dires aux accents de vérité et autres données  de type  Verbe Acidulé

On veut grave toucher pârce qu'on est ailées et que ailées on aime toucher (de nos ailes nacrées) iici Déité , ou Déité des Déités, telle que représentée sur l'herbe : VACHE À LAIT SURNUMÉRAIRE  ! VACHE À LAIT DÉCOMPLEXÉE ! VACHE À LAIT DERBNIÈRE ! VACHE À LMAIT DES VACHES À LAIOT DERNIÈRES ! VACHE À LAIT AUX ACCENTS DE VERBE ! VACHES DITES "ÀLAIT" DES DERNIÈRES (QUI SAIT ?) VOLONTÉ ET ÇA LE FERAIT ! VA CHES SUR PRÉ MÂCHENT, QUI COMPRENNENT LES DONNÉES RUPESTRES NÉANDERTALIENNES  : LES DONNÉES DONNÉES, DONNÉES DE  FÉE, DRÔLES DE DONNÉES ! oN VEUT TOUcherr à cette Déité des données dernières post-post-mortem pour ainsi dire si tant est, ou "de rotondit é" , car ce qui est ici est cette chose en vrai, comme qui dirait , que cvoilà de fait ce qui est et ce qui (sans doute) n'eest pas,n, concernant la paroi. On vole ! on colle, ok ! On volette en tant que Fée ailée post-cimetière .../ et après ?. qu'est-ce qu'il nous arrive après ? après le pré ? qu'est-ce qu'il nous arriçve ou nous arriverait après le pré ? une sorte de voyage "consacré" pôst-post-mortem, de type "mixité" ? changement de genre et autrtes trans-versification dees données (verbales) post-parade ? transition ? collage ? versification transversales ? chants à profusion ? dictée de Rage sous forme de versets sauvages ? Collation de type alimentation potache ? Fruits de la Passion ? Pain et fromage ?chant des nuits noires ? On veut en vrai passer (de fait) pour comprendre , au plus possible, ces nénéscx de base dits "frontaux". On est ailées en vrai la mort passée , et c'est ailées qu'on veut toucher à ces ... nénés d'un nouveau passage, "passage-paysage" ! tout nouveau tout beau ! on entre ! on entre ! on veut comprendre et du coup on entre ! on veut grave comprendre et du coup voilà on e ntrte , on charge , on pousse carosse , on vfait mine de tracer sur roche les données naissantes , données rossses si tanjt est, ou sinon rosses peut-êttre méchantes, méchantes ou quoi mais qui le fasseent ! qui impactent grave ! fassent de l'effet ou leur petit effet envers pareille Déité des Données Cruciales ! on est nées ! on est passées ! on traverse le pré ! On court on vole ! on est ailées ! ailes allouées à une Vérité De Verbe il semblerait et ce, pour peut-êtte mieux cerner les données prairoilaes icidonnées , on ne sait ! on veut toucher à une vérioté de base qyuu de fait serait :

vérité des vérités notoires, 

chant sur pré, 

chants de charge ! 

vérité des vé(ités on veut toucher à son tyracé de près ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher grave aux nénés ! dire et toucher = donner, aux nénés de l'après, de quoi s'alimenter" en lait à pouvoir donner, octroyer, offrir en partage ! On veut dès lors comprendre c e néné de l'Ange  ! qui c'est ? Ce dit "Néné de l'Ange" , en vrai, c'est qui , qui c''st ou qui ça serait qu'on ne connaitrait pas , qiu'on n'aurait pas croisé jamais , qu'on n'aurait en vrai jamùais rencontré ... ? On est près du muret ! On regarde ! On veut en vrai toucxher toucher tyoucher toucher toucher toucher tyoucher à cette Déité des Fins de pré lacté ! On est la Fée ailée voulant toucher au lait dit "de contrebande " ... laiot nacré, sanctifié, adulé et acidulé ! Lait des Laits sur Paroi Sarde ! grave ! grave ça le fait ou le ferait ! Grave de chez grave ! On est nées Fée en vrai au passage, et du coup on en avance dans les connaissancess ! On a tracé sur pré notrte sentier des connaisszances et aussi o n creuse ! on est fée de Rage sachant dire (aussi sec) nottre dire ! vent de face ! chine ! on vibre ! on colle ! on est bnous-mêmes de la colle ! colle de roche ! On se pose sur paroi de roche ! on est ailées pour (on dirait , qui sait ?) l'éternité , soit l'éternité de la roche ! On veut 

AIMER GRAVE, AIMER SÉVÈRE, S'AIMER GRAVE ET S'AIMER SÉVÈRE, AIMER DE CHEZ AIMER, AIMER = TOUCHER, TOUCHER = AIMER, ON VEUT GRAVE S'AIMER, SUR UNE ÉTOILE SUR UN OREILLER, NJE PAS S'ABANDONNER JAMAIS OU NOUYS ABANDIONNER JAMAIS MAIS AU CONTRAIRE ! VIVEMENT ! TENDREMENT ! SAINTEMENT! FINALEMENT! CORREZCTEMENT NOUS AIMER DE PRÈS = SE HUMER ET SE TOUCHER, SE TOUCHER ET SE HUMER, SE SENTIR DE PRÈS, SE LÉCHER, SE DONNER AUX NÉNÉS SUCCESIIVEMENT, S'ALLOUER À UNE SQORTE DE PRÉ LUI-MÊME ALLOUÉ AUX MONTÉES DIVERSES ET AUTRES FRAI ! TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER ! DIRE ET TOUCHER SONT CESZ MAMELLES DITES "DU PRÉ" DE TYPE "COLÈRE" ! On aimev ! on rêve ou on ne rêve pas mais voilà, on aime sévère la paroi ! la roche terminale, le tracé des Rages, Rotondité ! Rotonsdité ! Rotondité ! Passage des données cruciales frontales ! Charges mentales ! Frai ! Franges ! Franges et frai sur pré et comme à la parade ! Fée du Frai ! Frai comme alloué à un pré aux Fées, pour Parade Nuptiale et autres accouplements sacrés de type coït comme Cerné  ! Coït des diverses Données comme cernées, cernées-touchées dans le coït ... Touchées ! On aime Coïter de Rage sur pré, comme à la par ade = saturnales = saints de rage décoincés ! O n veut aimer = toucher = comprendre = aller = dire = foncer = conduyire = chercher = faire et porter pluis loin, toujours, ce qui est ici qui se oprésenterait comme alloué à no-s gouvernes (de fée ailée) respevctives si tant est mais ça se pourrait, car on est nés Fée au passage du muret dit "muret one", Muret dees Entrées, dees Entrées de Base de Rotondité ! farce ! parade ! charge-farce de parade ! gros gibier ! grosses caisses ! gros du gros des mots de base ! groossse charge sur paroio naissqante ! Paroiles Fastes ! gros Passage ! Le museau d e tanche ! le moineau ! la chance ! l'étourneau au bec de base ! charge ! chaérge frontale ! chahut et raffut ! on passe en force au bec de charge ! pic et pic et collégrammme ! le verbe de passe ! On en,voie grave ! Ça passe ! ç'en avance grave ! On est nues comme passées de cul = la chance  ! chance au passage ! on est venues nues ! on est cul nu venues sur pré donné ! on veut toucher= faire = dire = comptendre, ici , ce que c''st en vrai que l'herbe verte ....  verbe au débotté la mort actée ou une fois actée ? qui le sait ? qui comprtend de près les données données ? qui sait en vrai ce qu'il faut ou faudrait pouvoir cerner ensemble  ? Qui pousse ? qui croît ? quyi grimpe ? qui choisit les mots de base et les augmente ou les augmenterait au fil des années ? On estv la FRée née , cul nu, sur pré venu ! On est comme accolée ! scindée-accolée = ailéec= changée ! On aime ! on aime grave ! grave en vrai on aime êztre ailées tu penses ! parce que ça le fait ! ça grave le fait ou le ferait de base ! treait ! trait pour trait c'est notre chance en France, ou sinon en France peut-êttre en Espagne ? on en avancev ! grotte cachée nbous admettreait comme par contreb ande et nous d'y aller, de nous y enfoncer, fissa, enselmble, toi et moi congtre lke monde enteier, moi seule à tes côtées on entre, on entre dans l'antre   , car, oui, oui de chrz oui,

on veut grave toucxher aux nénés tu penses ! tu penses si on veut toucher ! on entre en  transe dans l'antre parce qu'on est ailées = elles = F2e d'une sorte de contrée genre post-cimetière et ce comme à jamais qui sait ? On est la Fée ôst-cimetière des Données Données sur prés, ! on s'aime ! on aime en vfrai s'aimer en tant qu'on est Elles, 

DEux F, 

deux Ailes,  pour 

Femme sur pré 

comme Enchantées (elles) et e,nchanté (le Pré) ! On veiut s'aimer en tant qu'on est Ailes ou Elles = Fées sur Pré et Fée des Elfes ! On aime ! on veut s'aimer = lkesbiennes, comme à jamais ! sur un pré d'herbe = de VErbe ! chants sucrés salés on dirait, ou "sacrés " ? On veut grave s'aimer en tant qu'elles = lesbiennes, dans (de fait) la mort actée dite"post)--cimetière" , mort des Faits sutr terre et nous voilà A2ilées ! Celtes ! Fée des Fées ! Ch aergées dee termes ! avérées ! vives Fée s aux donné&es sévères ! saluées et aimées, dees Fées des Prés ! On veut :

s'aimer grave

toucher grave

tomber grave

baiser grave

pisser grave 

chier grave sur un pré de Rage , et, de fait, aussi, vivre notre vie , de Fée errante, chiche, soulevée, vive de chez vive et comme cernée-entourée, encerclée ou emmurée mais pour combien d'années ? On est La Fée Passée ! On e'st en vrai passée post-muret direction le pré et le pré traversé (une fois traversé) nous voilà comme postée en tant que telle, devant ... eh bé ce muret, qui sait, ou ce "même muret" dit "des rotondités salutaires" , ou des "rotondités sur herbe" ,n ou ezncore "des rotondités formelles " Ou cvomment autrement ? car nous, de fait, on aime tracer et du coup nous porter , au plus profond des do nnées de Roche ! on est Fée de Poche mais voilà on fonce ! on fonce , on fronce ! on fronce , on fonce ! On y va ! on va là-bas chercher dans le tas leezs données de force ! qui on est sur pré sinon ça : ce petit tas de confidences sardes (sales ?) sur paroi , on ne sait pas ! On est peut -êtte ça ou peut-être pas ! On entre ! on grave ! on dessine sur paroi les bandes a nimales ! On veut toucher à ça : de rage ! à ça qyui est, de fait, une sorte de donnée de base , la Rumba ! la Danse en transe ! charge animale de bon poids pour la parade qui impacte (cherche à impacter ) . Paroi sarde ? sarde ? sarde sale ? On cherche une faille ou une sorte de passage, assez large, où en vrai, de rage, on pouurait "ensemble " (femmes) passer et traverser et nous porter de fait de l'autre côté c'est-à-dire côté pré et ça le ferait question conna&issance "sur" la mort à l'oeuvre et autres vies dans l'au-delà de là ! On e,ntre et, au passage, on croit -comprendre cette chose cfomme quoi la mort ne s'artrtête pas là, à ce terrain paradisiaque , à pareille prairie "Spéciale", mais va a u)-delà, au-delà de là, plus en profondeur vers un ailleurs de base (peut-être) à nouveau "murale" (frontale) si tant est ! Donc : la Rotondité ! ce qu'il en est en vrai ? Eh bé... on dfirait que peut-être, en effet, la Rotondté est une sorte de Notion de base (Donnée des données ?) qui nous enseignerait ou nous guyiderait vers ou nous ferait compcrtendre ce qui est, ce qui de fait se trame autour du Pré, du Pré passé./ on parle de "Rotondité" quand on passe ou dès qu'on passe le premier muret. On )arle de "rotondité" frontale" , "Rotondité ancrée", "Rotondité xes Rotondités". On essaie de cerner, ensemble (fée ailée), ce que c'esst ou ce qu'il en est ici (sur pré) de cette (donc) RToto ndité d'étage. CE que c'est que pareille Muraille! quoi c''st ! quoi en vrai c'est ou ça peut être, à nos yeux de Fée post-motrtem. On est grave sérieuses nous deuxs (Ailes de fée) à chercher ou à vouloir chercher ensemble , ce que c'est qaue cette choses i-ci tracée : muraille ! Anse ! Arc ! Cerclle des Données ! Ronds de jambe et autres disques déplo yé comme par la bande il sembleraiot mais qu'en sait-on en  vrai ? d'où, de fait, nos recherches et collezctes diverses de données divezrses sur pré ! recherche dite "de fée" puisque , en vrai, fée on est ! fée on est née à la mort actée , ou une fois pour nous la mort avérée, actée, entérinée, achevée ! Un on était (homme ou femme) , un ou une, et, mort ou morte, on se trans-forme grave en Fée  = Ailée ! Deux femmes font fée, sur pré aux Fées (qu'aux Fées ? Fées des prés ?) ! On enttre ! on est Fée s qui sommes entrées en cet antre aux données dee RAhge  qui est antre (en vrai !) des Données Allouées à une Vérité de type dé2ité ! car , 

la Mort est Déité, Divinité, Losange, Croix de Rage, Trzacé né sur pré de type Parade, Ch ant Total, Croisade, Paysage sage,, pré aux fées et autres b^petes de SAb a.  On est entrées ensembkle toi et moi cfomme à la parade (nuptaile) sur terrain de Rage ou pré aux fées, au xchoix. On est entrées = on est passées = on a sombrées mais en vrai pour mieux on dirait nous redresser en tant que fée ailée ! ça le fait ! on a cru y passer à jamais mais c'est pas vrai, on s'est redressées, on s'est envolées car on s'est retrouvées comme munies d'une sorte de charge donnée, ailes allouées, poids d'elfe ! C'est un fait ! C'(est tracé ! Ya q'à regarder ! mirer ! finter ! surprendre ! Aimer de près ! ne pas s'endormir en vraéi sur ses lauriers de roche mais au contraire tracer = filer ! vite s'envoler et vite gagner, au plus lointain possible, le muret de roche ! les donné"es profondes d'après -pré aux herbes folles ! Toucher ! toucher toucher!  toucher ! toucher ! tyoucher ! toucher grave aux données (nénés) des cav,itées dites "les plus profondes s'il en est" , de tu

ype "corolles" , f leurs de ronde ! On veut aimer = toucher . Qui on est ? peut-êtrte, en effet, après la mùort, en premier, une aile, une szorte peyut-être d'aile qui, accolée à une autte aile, ou augmentée quyi sait d'une autte aile, peut de fait former La F2e, F2e des PRés, Fée post-cimetière, et ainsi voler, gagner  au loin le dernier muret dit "de rotondit é", le muret du CERcle ou CErcle des dOnnées en herbe . Fée !

 ............................................................................ fée des Herbes ou dite telle ................................................................ VFée vdes f2es des Herbes Folles et autres hErbes de PArole (Verbe olé olé ? ) ........................................... charge de Rotonde .................................................................................................................. Fée des Données Données comme s'il en pleuvait par lma Parole (qui sait ?) ........................./.................................... pissadou de poche .................................................. drôle de corolle ! drôle de pârole ! venaison = chanson = porte ! ...................................................................................................... on ne veiut plus traîner mùais foncer, creuser danz la r(oche (de grotte) la Chanson des FOrmes, Bêtes-Monstres, Aurochs et bisons, Buffles aux tendons, BOUcs et bouques aux effets dee Rage sur Cloison de passe ! On veut :

DIRE / FAIRE et , surtout, ne plus (de fait) ralentyir le train mais foncer ! tracer = foncer ! On est la Fée Acidulée qsui (sur pré) fonce à grandes enjambbées vers ... eh bé oui  ... Corolle  ! Corolle donnée ! CVorolle fauve  ! LMa Doloonée des prés = LMa Corolle ! Fleur Donnée = Ouverture à la retombée d'une sorte de "bouche nacrée " ....trait des fées ... traits sur pré des fées acvidulées et autres f ées cfomme consacrées , ensemble, sur un pré de RAge, F2e des PRés tracées ! charge de données ! attroupement comme à l'arraché de bêtes fortes allouées à une sorte de parole dite "de la V2rité" mais est-ce vrai ? On fonce ! O,n ne  veut pas laisser passer la chance qyi nouq s eest donnée, de pouvoir co:prendre (au plus serré) ce qui est ici, en cette roche , d'une sorte de Parole DOcte faisant Corolle, Ouvertiure Folle, Chant des Rangs, Sorte de Corolle à jamais déployée pour (colme qui dirait) accueillir Paroles Doctes ou autres mots (mots-bêtes) faisant impression forte sur Divinité de POrte ! chants tracés  ! bouquetines allouées à un pré ! buffles non-moroses ! chevaux des prés, chevales cendrées, bises et bisounours des trous approchés des cavernes masquées ! charges centrées ! béliers ! poussées ! traversées-passages ! et du coup retombées (cul nu , comme de bien enctendu ! 

😉) 

sur pré herbu ! On veut Aller ! On a envie ensembkle de Toucher ! On veut en v rai grave, aklller à toucher, ensemble .... les nénés ? Lesdits 

"nénés doctes" ? On fonce .... fée des fées ./......................................................... on ne veut ple

us s'arrêter de foncer mùais au contrzaire grave tracer = dessiner , sur roche, qui l'aurochs, qui le bhison, qioi le cheval , qui le buffle des Passions de l'Âme ! Chargeons ! ...;; Pistonnons ! creusons fol ! Creusons sur pré les données à creuser, fouiller, cerner, essayer de  déterrer  ! On est la Fée Ailée de la M%ort Donnée, et c'est en tant qu'on est la Fée, qu'on veut grave traverserr le pré, tracer, et gzagner de fait le dxernier muret aux données  données de trype "finalités des Finalitéz " ! On est passé ensemble, on est ensemble (elle et moi-même) passées, on a traverseé ensemble (nous) le muret premier en rotondité e't c''st en ce pré où on est tombées qu'on veut comprendre = filer (à grandes enjambées) vers ... eh bé .... peut-êttre .... qui sait .... la Terre ? Terre glaise .? Trou forcé ? Cavité des cavités ? on est nées Belles Bêtrszs sur COntrée des F2es , on veut entter ensemble accolées-serrées en cette sorte de (dernière) anfractuosité post-post-cimetière : les allées du Verbe ? les allées cde l'herbe, de l'herbe mâchée ? une sorte de tunnel de Verbe ? Cri donné ! Chanmp des Ailes ! LE PASSÉ ? Est ce que c'est en vrai ici le Passé qui serait derrière ? EsT)-ce que en vérité" ce qui nous attendrait derrière (le second muret en rotondoté) serait ... le Passé  ? le Passé surnuméraire ? les données premières re-re-re-données à nos gouvernes ! 

Re ? 

Re, le Roi d 'Herbe verte (Verbe) ? Re le Ré ? Rey ! ROi, des ombres Supliciées ? LEs données profondes en termes de données comme 

RÉHABILITÉES ?

Qui sait ? Qui sait en vrai ce qui est qui est, passé la Rotonde des Données profondes de la m=ort à lm'oeuvre ? Qui ? qui connaît ? qui confronte ? Qui en vraéi s'y colle et pôas pour de rire en vrai, mais pour de vrai , qui ? On voudrait (nous : ailes) cerner, ttoucher vif ou à vif, les données frontales eh bé oui, de pareille Entité , de Pareille Divinité dont le nom serait (ici et là) Mort Donnée ! Mort Allouée, Mort Actée ou Mort Avérée ou Entérinée. On veut en tant qu'on est des fées ou une fée cerner, au plus près, les données les plus profondes de la mort à l'oeuvre. Ce qui est qui est. C e qui nous regarde ou nous regardrrzait de face ! On est nées Fée (de fait) au passage (MORT°) et dans le pré (la mort, ou la pré-mort, ou la première mort) on court on vole ainsi ailées, on veut se rapprocher ensemble d'une sorte (au loin) , de corolle, de porte, d'ouverture -"hole" (trou de boue) dont le nom (à tout casser)   sera&it PAROLE

PAROLE ACIDULÉE DE TYPE COROLLE

CHARGE FORTE

POINT DE ROCHE 

CONJUGAISON ? On voudrait tant cerner la choses, toucher , toucher haut, chercher, chercher haut, foncer , foncer haut, percer, percer hgaut , comprendre, comprtendre = prendre haut, ce qui est qui est, ce qui swe présente en vrai,... : des sortes de Nénés ? Nénéews à lait ? Données lactées ? Du lait comme s'il en pleuvait

pleuraipissait 

sur herbe des prés ! chahutée ! mouillée ! tout imbibée et arrosée ça le fait c'est frais (ou chaud , des fois, selon ce qui est) ! On est comme nousmêmes "baptisées" de bonne grâce, par du pipi d''Ange on dirait ! Pas vraiment salies ! douchées plus que salies ! allouées ! baptisées ! auréolées par du pipi ! de vache à lait on dirait ça le fait! pis des prés ! lait ? lait sucré nacré ? O,n  aime grave le lait ! On veut grave l'aimer = l'aduler = le bénir = le ma,nger ! vivement le trait ! On veut toucher le lait = l'avaler , le tenir , le sentir couler, le bouffer de près ! chérir ! l'aimer alloué ! Sentir le trait pisser et le téeter comme à jamais sans coup férir ! aimer ............ aimer ............... aimer ............... aimer .................. aimer téter ..................... aimer ..................... aimer grave téter ................... grave aimer téter .................... chercher le ,néné ........................ chercher grave le néné ............................................................................. toucher le néné ................... cxhercher grave à toucher le néné ............... le néné de vcache ............................... pis  .............................. pis aimé ........................... pis grave aimé ........................... pis aimé grave ............................ grave pis aimé ............................... tracezr, courir, aller, chercher, combler, chercher loin dans les entrailles le Passé ! ............. qui sait ? .............................. et si devant (après le pré) il y avait ............. le Passé passé ? LE trait des F2es , le tracé, le Passé tracé, trait de Fée de type Lacté ! ............................... Fil de Lait  ....................................................... ./Lait acidulé ......................... lmait n acré ................................. lAit des LMaits acidulés de tuype nacré / tracé / aimé .......................... On est la Fée, post-mortem, des prés tracés , on veut grave travezrser le pré et filer ! aller ! courir grave vers le TRait des Rages ............................. trait acidulé comme s'il en pleuvait

pleuraiot

pissait grave;  sur pré, sur herbe allouée. On entre ! On est cfomme accolées de bhase (ailées) et du cfoup, étant accolées, ou ainsi accolées, on peut entrer en  cette roche des données données , roche rude /dure ornementée, roche aux Données tracées de type Aventures, REvoyures, BHêtes à fière Allure ! On est F2e des PRés sur HErbe ALLouée à une Vérité de type Comprenure ! On veut toucher toucher toucher d'eaventure le tracé de Bure ............................... festivités ................................ fêtes auréoléesv ............................. cxhants des Runes ................................................................................................................................................................. portillon ............................ extrème-onction ................................... coulures et autres moùuillures ......................................................... fuite de son ........................................ conjugaison ...................................................COnjugaison maison.



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4/11/2024

On mùate ! on est matées ! on mate grave et aussi, on comprend des choses du coup , comme quoi la mort est, dans les profondeurs de la Roche, enfouie ; La mort en vrai est enfouie (on dirait) dans les profondeurs de la Roche ci-après ou ci-devant. car voilà : on est entrées ! on a passé le "Rubicon de l'âme", on trace ! On est accolées comme deux ailes "affrêtées" comme qui dirait à une sorte de bête des prés (papillon ?) qui (de fait) va et vient et ne regarde pâsz à la dépense ! On est ensemble ! on est vives ! on se ressemble forcément  : on est de base ailes des prés , chantournées, vives de cghez vives, tracées-dessionées à main levée par une sorte de divinité de genre fictive mais, en vrai, qui est, qui existe de fait , vfa et vient sur rive, monte-descent, grave et comprend (ici même en roche) les données profondes /.. On avance ensemble, en cette roche dure,on est soudées ! On colle = on se cfolle ensemble l'une à l'autree, pour en vrai cerner les choses, les données du monde, ce qui est et ce qui (peut-être, qui sait ?- n'est pas tout à faiot ! On cherche ! nous voici voilà passées comme par la bande en cette sorte de paroi, paroi de contrebande qui, on dirait, nous aéttendait impatiemment eh bien voilà ! nous sommes là ! nous sommes arrivées ensemble en elle ! On regarde ! On veut toucher = cerner = dire et ce n'est pas peu dire qu'on le veut ! on respire ce dire ! on est mortes d'envie ensemble de toucher ! de toucher-cerner les donné&es divines ! roche des prés ! bhêtes des données rupestres ! chmps et herbes au taquet ! on veut grave ensemble comprendre ce que c'est que cette chose, d'une sorte de rotonde devant soi, qui serait là comme à nous entourer de "ses nénés", qui sait ? On est nées sur hrrbe ... comme deux antennes ! On veut ou on voudrait de fait ensemble comprendre à jamais les données terrestres d'une qorte d'entité, genre "herbe des pr"és" = "herbe do nnée" par on ne sait, mais en vrai on est qu'on ne désespère pas complètement d'un jour deviner ! toucher au but ! aller vers elle (déité ou divinité) pour mieux cerner de quoi elle est faite (La Mort) en ses quar'tiers de fond de roche ornée. On veut de fait ensemble en tant que fée comprendre qui est qui , ce qui est qui est qui nous rezgarde ou b-nous regarderait (grave) de la tête aux pieds sans disqcontinuer, et nous de nous laisser ainsi mirer ou ad-mirer ou seulement ou simplement mater, ou comment ? car nouys voilà cernées ! touchées des yeux et du coup touchées comme si en vrai on était nées fée (une fée) au passage des cieux ou comment on pourrait en vrai dire cette chose (ici roche) comme quoi voilà : en passant, en traversant, en passant ERoche des Données Rupestres Néandertalienbes on est comme "tombées" de force dans un pré et du coup ... on se relève ! on est nées fée (une fée) à la relève ! on est passées à deux , nous voici transformées (dans la mort "prairizale")  en une Fée vdes Convenhances de Plaisance ! on est nées ! on est nées Fée ! DAns la Mort dite "des prés" o,n est nées (on est deux femmes) en tant que Fée (une) pour l'éternité dite "de contrebande ". On est La Fée du "Cimetière ajouré". ON EST Fée des herbes (et autres fleurs sondées) des prés de luzerne ! On veut toucxher à cette déité des données rupestres telles que représentées pzar (on dirait) homme ou /et femme des cavernes néa dertaliennes . On est passées tête la première et nous voici tommbéees opu comme tombées de l'autre côté , allouées à une sorte de pré "célestr" ou de prairie "celt" ou de chgamp fleuri aux données rupestres infinies (?) qui nous "regarde" faire comme qui dirait, soit :

toucher, toucher , toucher

dire dire , dire

cerner, cerner cerner

aller et aller

chercgher de fait à mieux cerner les données du monde d'une vie d'après-rotonde ! avez-vous cerné ?  Avez-vous compris la Chose ? Le seiuil de bonté ? La Rotonde est dans le pré l'enclave des Formes ! On veut toucher à certte vérité des données profondes aux allures de Sainteté ! On veut toucher toucher toucher à cettte sorte en soi (en vrai) de DFéité-Divinité DES Données Profondes au sein du pré ! On est FÉe ! On est la Fée post cimetière , post-rotonde qui sait ? ou sinon post paroi des ombres et autres roche gravée-dessinée des fonds de grotte (demandez l'entrée !). On est La Fée des Hommes (?) ou Ombres (?) ou HOmbres (?) ou qyoi d'autre, ayant disparu (fichu !) au passage de rOche car, on le sait à présent parfaitement, ou sinon parfaitement assez bien , on sait à présent assez bien cette chose ici comme quoi l'homme - ombre (hombre) est, au passage de roche ... à trépas, pour ainsi dire,  nu velu foutu ! Né il passe et meurt ! au passage de  Roche, à trépas, le voilà à bas ! enterré des faits ! Il ne passe pasou plutôt il passe (oui) au cordeau, mais en vrai transformé en deux (on dirait) entités de rage allouée à une sorte pour le coup de Fée Ailée ! On est né Fée au passage en pré ! Homme cerné, abattu nu, sombre dans les nues, laissant de lui "sortir " les ailes d'uune sorte de F2ée Naturelle ! On est Fée des Prés surmenée ! Onnveut toucher à ce qui est qui nous regafrde (regarderait) de près on dirait ou cherche à nous touchger comme si en vrai on était née s de base ailée alors que non ! on s'est retrouvées "transformées" en fée au passage en pré ! au passage des données rupestres ! homme est DCD quand ELLES (fEmmes au pré-) sont nées rupestres en tant qye Fée des Herbes (du VErbe) charmées ! On est accolées ! RAGE et COURage ! le vcoeur à l'ouvrage ! On est La Fée "des prés du passage" et on regarde, devant soi et sans tarder, ce qui est qui , on dirait, lui ou elle aussi nous regarde ou nous regarderait sans traîner ni nous lâcher  pour nous comprendre = nous prendre , ou mieux nous comprendre ou comment on pourrait dire ? nous TOUCHER_COLLER ? NOUS EMPORTER DE RAGE EN SES LACETS ? NOUS EMPORTER DE FACE EN CES LACS DES PRÉS ? ON cherche ensemble c'est un fait à comp^tendre les données de base ce qu'elles seraient en vrai sur place soit en ce pré aux données de rage, des fées de passage et autres créatures soulevées, lancées, hautes sur roche , traversées de choses et autres de type VErbe-né ! verbe au taquet ! cghant des prés post-cendres allouées, et autres chants aux données celestes ! On veut toucher de près à ce qui est en ce pré aux airettes ! on veut en vrai COLLER ! toucher = coller ! On veut dire et aller, chercher, se coller à une sorte de données rupestre aux allures de mur d'enceinte ! Qui on est ? Une fée ailée, on se pointe jusqu'au bout du bbout du pré alloué à une sorte de donnée rupestre ! On veut toucher = dire à cette sorte de donnée ce qu'on sait ou saurait de l'herbe (verbe) sur pré ! Onn est née Fée au passage en herbe ! on est nées Fée au paassage alloué à une mort actée ! On veut toucher aux données célestres ! On veut toucher-cerner et du coup com^prendre (ensemble = ailées) les choses de Roche : qui on est, qui on est pas, qui on veut toucher, qui on ne vceut pas toucher, qui on ne veut surtout pas toucher, qui on veut cerner en vrai , qui en vrai on ne veut surtout pas toucher-cerner de quelque manière que ce vsoit ! On eSt fée des prés passée en roche comme en contrebande sur le cul ! née nue ! née sur le cul nu ! on esst passées ! on était deux (au frais, au frais de la grotte allouée) qui voulions passer , qui voulions ensemble traverser (de chic) la roche ornée, eh bé voilà que nous nous retrouvons comme "située" en vrai en un pré aux bêtes de masse, charge grave, poids des mots sur pré de base et utres herbes de bas-âge ! On est passées ! On était Elles , et d'abord il ! il devenu Elles fdevenues Fée = UNe , de Chasteté ! salubre ! Chant des données rudes ! On a traversé ou comme traversé ensemble la contrée "méchantre" et nous voilà enfin touchée ou (disons) comme touchées par on dirait une sorte de "main des prés " , main surnatyurelle, main suvreélevée qui voulait en vrai on aurait dit nous emporter ou nous embarquer avec elle ici en son étui ;! on ne veut pas passeer pour on di!ra ce qu'en vrai on est pasv ! On veut toucher-aller, dooner-cerner = jouer ! JEU DES HERBES ! JEU DU VERBE ALLOUÉ À DE L'HERBE ! JEU DES DONNÉES CELTES = CÉLESTES = CÉLÈBRES = VIVES ET CONSACRÉES !  O on est nées FGée au passaghe en pré et nous voici ailée de fait , ailée comme "de Verbe" , = allongtée ! porolongée ! souveraine ! 

Fée des Prés cherchezrait à cerner, de près, les données rupestrszs ! 

On veut c'est vrai toucher = toquer, mais quoi ? les données en herbe ? L'herbe ? La pâroi "aux herbves" soit l'après-par(oi (après-soi ?) des dfonnées en herbe ? On cherche ! on ne s'arrête pas de chercher (ensemble) ce qui est ! On veut toucher )à une déité des reves ici allouées à une sorte il semblerait de vsommité surnuméraire : le Néné ! le Néné en herbe ! sein des prés cherche à se donner et à donner du coup son lait genre denrée ! dent de lait ! on aime ! On a grave en soi  cette envie allouée de comprtendre = toucher, ... à quoi ? à cet abri , à ce cagibi ou sorte de , à ce pré-enclavre aux bêtes de somme et autres cerfs de seconde zone ! On veut être nées Fée (une fée ailée) pour cerner (mieux cerner) les données profondes de Rotonde ! qui on est ? peut-etre dans la mort, en effet, FEmmes allouées poour former Fée, qui sait ? des données Rupestres . On veut grave toucher, cerner = dire, comprendre et aller ensemble, à la recherche de la Déité dite "des Cimetières" ! On est N2ES ! nées sur pré, au passage en rocghe, et bnous voilà fée ! Fée des prés de belle zone ! on est entréess ! on est passées ! on voulaiot toucher , szoit dire et cerner les données de Roche ! On entre ! on cherche à comprendre et du coup toucgher aux nénés de l'ombre ! On est nées Fée des Données de ROche (Rotonde) et nous voilà cernées ! entourées ! comme encerclées ! La Ronde aux données ! Pré cerné ! Champ-pré aux données allouées à l'herbe à brouter (le Verbe) comme s'il en pleuvait (des traits ! ) . On est nées Fée sur pré des Ombres ! nénés ! les nénés ! où donc on pourrait de fait trouver ensembkle (accolées formant Fée) les nénés des Ordres ? Où ? On est cfomme "parachutées" c'esst dire ! On voulait aller et donner, prendre et comprendre, et nou!s voilà comme "parachutées" de force par (ici) une sorte de Forme Oblongue ou comment, qui est-elle ou quoi , ou qu'est-ce ? que , là, ici même (pré) cette Forme aux Nénés ! on cherche ! on tend les bras (ailes) , on ne regarde pas à ce qui est de nous donné ! on veut = on va ! on est pas chiches d'y aller ! on veut 

TÉTER ! GRAVE ! GRAVE ON VEUT ! TÉTER LE NJÉNÉ ! ON VEUT OU ON VOUDRAIT! GRAVE TÉTER ! LE NÉNÉ DES PRÉS ! LE NÉNÉ DES NÉNÉES ! GRAVE EN VRAI ON VEUT ET SANS S'ARRÊTER ! SANS SE GÊNER ! on veut toucher à ce njéné de l'Ombre, de l'Ombre emboiîtée ! Ombre ancrée ! Ombre des ombres emboîtée-ancrée en certte sorte de roche des fonds, fonds de pré alloué, chant du cygne du pré, mur-cloison de Rotonde-enclave ! charge ! poids de maison ! bande et contrebande = la clioson des Monts, des do nnées prairiales en leur fond ! chyarge mentale ! on va, profond, fée, chercher ! on va, en fée, ailée, chercher ! on est la Fée dite "des Données profondes" sur pré . On est La Fée des Prés cherchant réponses et d'abord questions concernant la Chose aux données prairiales. On veut 

TTouccher ! 

Grave toucher ! Coller = dire ! Allouer à un dire l'herbe à b router pôur vache à lait ! pis des herbes folles ! pis d'hole ! pis des pis comme une sorte de donnée folle ! On est Fée des prés et o,n s'envole en vérité vers une sorte de cloison d'époque, gravée, chahutée, tracée et traquée , qui est mur d'école ! cvorps d'ombre ! vérité des vérités ! On colle ! On veut touchger = coller = cerner = épouszer la Roche, les données vfrontales de fin de parade ! On est née Fée au pâssage et nous voilà cherchyant (comme un fait exprès) à nouveau passage, cette fois en fond de pré, direzction .... eh bé qui sait le Néné ! De rage un néné ! pis dit ! le pis est dit qui dit son dire (ici) des prés = para-dit donné ! don de lait ! On veut téter la Mort allouée ! On veut (la mort allouée ou donnée) téter, qui le dit qui le pis, qui le pis-dit, qui le dit-pis, sein de contreaba nde pour  une sorte de marchande (fée des branches). On veut (grave) toucher au Néné de L'ombre sur pré, charge "forte", conditionnée, allouée à une escorte, à un train de dés , vers de rage et autres versets ! On veut coller = donner ! donner =verser ! Dire et toucher ! comprendre ! sentir = presse,ntir ! Don de soi pour une charge "drôle" ! on fonce ! On veut être la fée des ombres , l'attelage nacré ! charge-somme des données pesantes, lourdes de vérités ! On est nées Fée sur pré quand on est passées , et nous voilà comme à la retombée cherchant à mieux nous immiscer ou glisser de rage en ces données prairiales, vérités et contrevérités feraient bon ménage c'est étrangfe ! un p)aquet ! le paquet du Verbe ! chasteté en herbe ! gente d'herbe et des fleurs nacrées ! on veut aimer = cerner les données dees Frères et autres ordres dits "de Chyasteté", "de SAinteté Naisqzante", "DeS données de Branche". oN veut coller pârce qu'on est née (fée) et que (en vrai) on a bvesoin (qui sait ?) d'épouser la Roche, la Roche des Termes (finalités et Verbe ! ) c'est un fait ! On est nées "La Fée des Herbes" allouées au Pré des Données Rupestres néandertaliennes (tu le sais c'est vrai !). On est passées ! On voulait coller eh bé c'est fait ! On voulait grave aller et dire et toucher -cerner et auusi comprendre, et par ouï-dire et en vrai (sur place, en face) les données allouées à un pré dit "des Vérités Sauvages", c'est fait ! On est nées ! on est Femmes des Prés allouées, à une sorte de Romance

 aux donnéesz de base , Fée des Fées des Bases tracées ! On veut :

COLLER = DIRE = CHERCHER = CER NER = COMPRENDRE =COLLER = FAIRE = CHARGER = CONSACRER = VIVRE SUR HERBE LES DONNÉES RUPESTRES , SONDER = COLLER = TRANCHER = VIDER = ALLOUER À UNE SORTE DE DENRÉE (LE LAIT) UNE SORTE DE VÉRITÉ (ANCRÉE) DE TYPE VERBE, VERBE À VÉRITÉS = VERNBE -NÉ DES DONNÉES  RUPESTRES ! On a grave ensemvble envie cde toucher aux nénés du verbe =  pis ! pis de lait en herbe = spi ? spi = pis ? Qui sait ? On veut de fait toucher le pis dxes données vives (lactées) comme s 'il en pissait surnuméraire sans arrêt ! On cherche ! on est pas en reste de cherc her ! on veut coller-toucgher-cerner-pister ! comprtendre = faire = donbner = coller ! mais comment coller quand on est fée ? On est La Fé&e ^post-cimetière aux données rupestres ! Qui on est ? LA fée en Herbe , ici (peut-être) un brin chahutée par on dirait des bêtes de trait allouées à un pré  "post-cimetière" ! On veut toucher = sonder ! qui ? l''^$ETRE ! LE Passé ! le temps Passé qui seraiot l'ÊTRE = le VERbe ! chant sacré ! chant donné ! vérité des vérités sur pré et ça le feraiot  ! On est La Fée du pré passé, cxhant de la Terre ! Vérité et contre-vérité forment le pré aux données célestes , la Pensée du pré, l'idiome Nacré, Fleur de Lait et autres Vérités Langagières sacrées ! ça le fait en vrai ! le néné ! le néné de l'herbe ! pis aux données vertes ! C'est un fait avéré qu'on l'aime en tant que fée ! car la Fée aime l'herbe, le V Erbe, le Laiot, Le sein aux données, le Néné ! Les données données par (on dirait, ici) le Néné alloué à une Vérité post-cimetière, du genre : vérité et contre-vérités jumelées ! yin et yang au débotté sur branche aux Nénés ! on entre ! on pâsse le nez, l'oeil frère, une sorte de doigt poiinté, un pied, une mèche, une tête , qui sa&it ? On est entrée ! fée entrée ! fée des Fée entrés commpe à l'arraché en cet antre des do nnées finales de type "mur de rage" ! on regarde ! on regarde bien en face ! on veut touchger de rage ! le Néné ! Pis des Herbes tracées ! traits ! traite ! traits des traits comme s'il en pleuvait ! un trait = un trait de traite ! pis trait ! pis des traits et pis des traites sont dsonnées de base mortuaire  ! on veut grave pisser ! pisser du lait ! pis donné ! lait de charité ! chant d'espagne ! le teracé nacré sent la Rage allouée à une sorte en  vrai de V2rité SAlée, Salée de fait, comme consacrée par en v rai du se"l d'espagne ! On veut en vrai toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher ensemble (ailées) à ce sein tracé aux données lactées : pis de Verbe = Néné d'Herbes, genré, comme alloué à une sainteté post-cimetière ! on est nées ! Verbe -Femmes des Données de Rage ! passage ! tracé ! Charge ! attelage ! Onest comme en vrai un peu on dirait soulagées d'être pour le coup passées et qui plus est pâssées ensemble = attelage = ménage = conditionement de base en termes de remaniement, changement, d'il en elles, des données de base ! et ce : par; oon le sait, la Rage ! la données Suprême ! Rage de La rage ! changement  acté des données de base ! d'il en elles , ailes, Fée des prés ! on est comme tous  / toutes transformées , du singulier (masculin /féminin) au pluriel "des fées", des données rupêstres,sang de Rage coulé, on est passé en face ! tracé ! trait ! trait fait ! tracé d'ange ! trait ! fil de trrait ! charge ! on passe ! on  v eut passer ensemble nous deux accolées femmes d'ombre sur pied ! On veut traverser ! toucher à cette déité des données rupestres comme soupesée , on dirait, par le verb e = l'herbe, des données prairiales et autres données sardes (qui sait ?) . On est comme soulevéeds ! dites ! postées ! do nnées ! cghaargées ensemble (ailées) d'un dire de poiids de type bête de paroi : la Bouquetine xdes données de rage, l'Antilope de France, L4auroquinhe marocquine ! La Belle des Poids, le TRacé-Massue, l'ombre-verrue ! La charge POstale et autrzsx Mots de base animaliers de type Bisonnné, Bises des données aimées ! On chante ! on crie de Rage en face ! on veut gravir ! monter fissa ! coller de rage à loa )aroi finale sur toundra ! transe ! transe mentale ! chyanht d'Espagne sarde ! charge des rois, reines de Saba ! colle -massage ! Plantigrade ! On veut :

comprendre = dire = toucher = cerner = pousser = traquer ici les données cruciales, celles qui en vrai pèsent ou pèseraient grave dans la balance ! on est la Fée des prés de base, la Donnée dees Rages, l'Emportée des Envolées, des envols-traces ! traces des tracesv ! On est Fée des prés ...................................................................................../././.............. allouées à une trace ! .............................../ genre "satiété" ............../............ ou alors "pa ssé" .................................. ou même "sainteté des données sauvages" ........................... ou qu'est-ce que ça pourrait être d'auttre qui le ferait en vraéi  ? ..................... car en vraéi on a envie ensemble "toi et moi" = fée, de  cerner = comprtendre ce que c'sset qui nous regarde en face ! face d'éternité qui sait ? face des données frontaéles ? une sorte d'anfractuosité coupable ? qui est qui en ces contrées ? qui regarde qui ? qui mate la fée ? qui est là pour pour le coup mater ? On dirait .... D2ité ? ok ! mais qui c'est ? Vache à lait ? pis de Vache à laiot ? pis des donné"es lactées comme s'il en pleuvait et nous de nous poster tout près le bec ouvert pour boire ou manger ? On veut grave téter les données rupestrezs = nous coller .... au VErbe = à l'herbe = brouter ! manger ici = brouter , l'herbe allouée à une Vérité Surnuméraire (natuirelle) aux données ancrées de type S

ainteté sur Terre ! on veut toucher toucher toucxher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette sorte de Divinité en Herbe ! Sainteté rupestre ! chant lacté ! Verbe ! Vérité en herbe = Donnée des Données = Fée des pRés, = va-t-en guerre alloué à une recherche sévère ! On est née la nuit passée ! on est née fée la nuit pasdsée = traversée ! la nuit = le rocher ou roc aux entrées ! On est la Fée du cimetière dépassé ! ddu passé consacré, alloué, déposé ou posé sur pierre ! alloué à une sorte de donnée rupastre ! Le PAssé déposé piour faire son petit effet de "vie sur terre" njaturelle,élancée, vive et tracée, chargée d'herbe, collabée ! On est née Fée squr Herbe à la retombée la Mort passée, c''st-à-dire avérée , actée, entérinée ! On est Fée des prés la Mort passée, commùe qui dirait "libérée" ! ON est Fée du Pré aux Herbes-Verbe chahutées par des danses celtses et autres transes de Saba ! On entre ! on est entrées ! on est là ! on chante ! on veut toucher-cerner-piger-comprendre-saluer-toucher la bande (ici bas = pré) des doonées de France ! calibrées ! sondées ! tracées ! chargées ! constamment comme aménagées comme dans la souffrance d'une sorte de tracé, d'allant passé, de cxharge frontale ! On est nées Fée ! on est la Fée née sur paroi de grotte ! chahutée mais née en vrai et du coup placée ! On veut toucher à une vérité xdes Ombre's de Pzaroi de grotte ! On   veut toucher = dire = faire =cer ner = comprendre = cerner ensembkle les données rupêstres, ce tracé des bandes, vents de face = pets ! traits des fées ça charge ! ça envoie grave ! péta rades au vent mauvais tu penses , si en vrai ça le fait grave ! comme un fait exprès ! ça le fait de face ! vérité ! vérité des vérités = chants des traits de base et autres tracées faits à main lezvée par une bonne âme , par la Charité ou Sainteté d'un hommpe-femme ! une femme trempée, femme -homme cdes prés et aiutres champs de garde ! salué ! sauvé ! chahuté mais sauvé on en redemande ! on ne veut pas passer à côté ! On nest la fée des champs de garde ! contrechants des contrzbandes ! bacchanales ! cavalcade et parades sur paroi aux Charmes ! On v eut grave se donner aux données de l'ombre et toucher ! les toucher  !cerner ! Dire et pousser ! Fermer le clapet ! ne pas sombrer mais de fait regarder ensemble ce qui est qui nous rassemble en tant que fée, ailes allouées à un corps de sape, satiété, sainteté de rage, véracité, verbe ancré à même un tracé, herbe aux données sages, vents données sur champs alloués à une sorte d'enclave seconde, pré ! p^ré aux fées ! On veut toucher ! on ne veut pas ou plus (pl;us jamais! ) passrr à côté mais tout au contraire cerner, dire et faire, caler son dire en vrai sur le faire alloué à une sorte de recherche en herbe ! un tracé de fée ! sur terre agraire ! sillonnée ! broutée ! On veut plaire ! on veut en vrai aller et toucher au V erbe des données Suùprêmes ! Charger ! tracer ! coller ! foncer ! filer ! cerner ! graver et dessiner la bête aux données"superbes" = vives de chez vives ! vie d'appui ! On veut faire effet = impressionnher en vrai, par des bhêtes de poids (masse-et -rage), l'être Des données Suprêmes = Déité Sa&crée, Herbe des Prés, Déité des D2ités ou des Divinités "naturtelles" ! ça le fait ! on diraéit qu'on aime en vrai ainsi comme êttre de fait chahutées par le Verbe aux accents "cornus " ! vie vive sur paroi de roche ! mots de grotte ! animaux ! charge ! paroles doctes ! vents de rage ! face d'hommes morts sur roc , l&aissant de fait passer à travers (?) eux la Cause ! On veut le mieux ! Dose d'époque ! Chant des ROches sur p aroi sombre ! On est deux ! deux ! on est deux sur les deux à vouloir, la roche, la toucher-pénétrer-traverser -dépasser .... DEux Ailes au débotté 

Font la Fée des PRés

Allouée au x Nénés comme en vrai

Le bébé en herbe Du vErbe

SAinteté Nacrée, Chant de l'herbe 

Bête maigre , bête grasse

On les aime en vrai comme des entités ici déiféies, déifiées de base, ou  diviniszées ça le fait ! aimées ! bêtes de poids sur pré aimées ! adorées = adulées = consacxrées = cxhargées, d('une sorte de Verbe du Pré = HERBE ! l'HERBE VERTE = VERBE ! on aime ! on veut grave aller ! sonder, toucher, creuser, traverser = aller de l'autre côté sans sourciller le moins du monde, parce qy'en  vrai voilà on est la Fée, Fée des prés, post-mortem on est, qui vgoulons tracer , voulons grave en avancer de fait dans les connaissances liées au tracé des données rupestres (chants déifiés) des rOches Calcaires ! Sainteté des sa&intetées Rupestrse ! Charges-nées sur pré sont Paroles Doctesx = Véritrés Et contrevérités disposées de base en corolle ou forme de, car mises ainsi, sur place , déliées, comme à la parade ! chahutées et chapeautées elles tracent ! vont et viennent et chargent, foncent, vitupèrent, grondent, forment (oui !!! ) Corolle Sacrée (nacrée) ?) en forme de Ronde ! Ronde dessinée ! Rotonde ! la Donnée Cerclée ! ou e,nvcerclée .... Fond de pré, sur roche profonde intra-pariétale avouée ! On est fée du PRé des Forces ! collées ! on est femmes collées ! accolées ! attirées ! sonnées ! sondées ! collabées ! prises sur le fait comme quii dirait d'une sorte de' collage monstre ! vérité sucrée = llait de roche (comme qui dirait) ! On est La fée donnée ! danger ? ça force ! ça gronde ! on dirait qu'au loin au fond ça gronde ! danger ! ça force ! on dirait au loin que les données du mondfe sont tracées qui nous espionnent , nous rapellent à l'ordre ! mèfle à ces données ! merdum attitré ! on ne veut pas en tant que fé&e céder mais en vréi continuer-persévérer dans notre "ronde" nos recherches avérées assistées, allouées, tracée's ! Cherche-corolle ! cherche-entrée ! cherche-vérité ou passage de roche par où en vrai pâsser, s'immiscsr, coller pour mieux traverser et de nouveau comme nous retrouver de l'aéutre côté à présent du pré ! des données de pré ! des herbes folles ! On veut foncer = toucher = prendre (en vrai) la tangente tracée pour une sorte d'immixion de roche ! au taquet ! sans s'arrêter ! fi des traits de Verbe , saletés, tracés morts-nés on s'en fiche pas mal puisq'on est fée qui (de fait) traçons grave sur un pré le SEntier ! on veut toucher à cette Déité Surnaturelle (?) ou naturelle( ?) surnuméraire aux données données allouées à une Vérité qui est la Vérité des Vérités ! mort donnée ! mort ou la mort, en tant que Donnée Sprême ! qu'est-ce que ça pourrait être en fait ? de l'herbe ? du lait ? herbe à lait ? herbe verte pour du lait de ferme ? Femme sondée sait ce qui est car elle est née fée dans la mort affichée ! On veut toucher de près ! l'herbe du pré ...................... des do,nnées vezrtes .................. et autres données données pour unje sorte xd'immixtion "certaine" , "avérée", "allouée en vrai" à une sorte de denrée, qui szerait ............. eh bé du lait ! en vrai ! lait d'herbe si ça se pouvait ! Le lait ici (pré) provenant de l'herbe broutée sanbs disciontinuer ! tracé de vernbe sur sentier jamais quitté ! fait vrai ! données données ! charge sur sentier comme une sqorte en soi de donnée sale mais concrète et affichée comme' à la parade des bêtes de masse ! On est Fée du Pré de Base ! Trace et Donnée de charge ! vérité afficxhée sur base prairi&ale ou autres bases aux bêtes de pré ! On est La Fée du pré des Rages ! Fée données ! chants de charge ! pesage ! pesage ! pesage ! pesage ! 

......................................................................"PEssaace" je disais (enfan,t) ! .....................................................................................................;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;.................................... pesage comme qui dirait des données de base ............................ on veut toyucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher tpucher toucher topucher toucher topucher toucher toucher touycher touycher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher touycher toucher touceetr toucher toycher touycher toucher youychef toucher toycher youcher toucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher touycxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher ouycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher touchef toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher vtoucher toucher toucher toucher toucher vtoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher vtoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycxher toucher toucher toucher sans s'arrêtrer, à pareille charge des données frontales ! charger = donner = faire = distribuer à Déité le Fruit des nos recherches vives ! On veut coller à une sorte De donnée Finale, type Rotondçté des Rotondités TErminales, Mur des RAges, Fins de Trace. oN est Fée deLa Fée des Ombres ! On Veut collerv= toucher = faire = dire= comprendre ensemblme un certain nombre vde données de base genre Vérités Coriaces, CXharges de pré, Gentes Dames SAluées cfomme en vrai, Passé de Charme, Contingent de bêtes sardes, Le Passé déposé en termes de vivats cfomme s'il en pleuvait et autrtes dépots de base ! On est la Fée du pré aux données gravées , on s'avance ! On veut coller = dire = faire = comprendre ensemblke ce qui est qui tremble(ici) cfomme un n ouveau-né chercvhant à téter ! On veut toucher ici (en vrai! ) au néné et du coup boire le lait = téter = faire ainsi "pesage" ! le néné des ombres portéesz aide au pesage d'une denrée qui est le lait ! le lait de Rage ! la donnée donnée donnée de base et ça le fait ou le ferait pour une éternité qui sait ? ON veut : 

dire et faire

ce qui est qui nous entraînerait ! nous porteraiot ! nous aiderait à comme nous envoler en tant que fée ! fée des fées de Rage ! fée surnatiurelle (?) ou naturelle (?) qui sait ? du moment qu'on est ! qu'on est fée sur herbe de pré post-mortem comme qui dirait ! On vole ! on monte ! on veut toucgher topucher topucher topucxher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher roucher à cette sorte (en soi) de Déité

 des DOnnées fébriles, V2rités acides (qzui sait ?) dont on devinerait (en tant que fée) les axes avérés, tracés de dires, charges centrées cendrées, vives qualités. On veut :

dire = faire = comprendre = donner = comprendre = cerner de fait les données de charge, ce qui est ici qui plombe grave, pèse son poids de rage et autres mots de trop ! On monte ! on est grosse des mots de l'ombre ! On veut monter haut ! aller au plus haut des données de roche ! s'élever ! nous élever ! monter au plus haut des données, vers Néné ! Néné docte ! forge ! fers acier ! chants des portes ! Vérité sondée donne un accès aux données profondes type "V2rité des portes" ! On veut coller ! toucher à cette Chjpose d'une sotre de "porte d'entrée" vers .... autre chose ! mer ancrée ! vagues d'or ! lait des fées ! or ! or ancré ! or nacré ! or sacré ! or cdes ors aux données données comme s'il en pissait ! douce données ! vives et douces données des données ou d'entre lesz données ! On v eut monter et traversert-szortir la tête et coller au V ERbe ! toujours coller ! ne pas s'arrezter ! coller grave sa tête sans céder ! pas grave la saleté ! le genre ! la vie  des données ! pas grave en vrai la saleté donnée ou lles données lâchées comme des pets ! On entre= on acte ! On fait faits ! on est / on devient Fée des prés et ça le fait en vrai ! on s'aime ! on colle ! on est ailes = elles sur pré ! Elles " au débotté formant ailes de Fée sur pré, sachant voler, monter, grimper, cher c her à s'immiscer et du cvoup sortir la tête ! Qui sait ? qui connaôit le Verbe de l'ÊTRE  ? qui saura nous éduquer,nous donner le trait, les données de trait, la Vache à lait sur herbe et autres grossièretés salutaires ? On aime ! on veut ! on charge ! on est de'ux sur nos bases ! deux ..../................................................................. dfeux de rage ....................................../........................................... deux sur deux ............................................................................................... deux êytres de base sur pré des Rages ......................................................................... cdeux femmes  sur deux .............. collées, accolées, soudées, coriaces, genrées en tant qi'on devient Fée de base, trait d'éternité sur pré aux anges-vaches à lait !  .............. accolées-souydées ......./............ ailes nacrées ............................... ailes de vache sacrée .....................................................eMLLES  ! ELLES sur pré ! .................................................ELLES= AILES sur un pré d'herbe-verbe ! On veut tyoucher à ce sommet des cfontrebandes et autres vilennies suprêmes ! charger = toucher = dire = donner = comprtendre = concéder sur herbe les données frontales = vilosités , poils de barbe,peau de balle, saleté consacrées sur paroi des rages en grotte sauvage ! sainteté des saintetées comme à la par ade ! va-nu-pieds sur herbes mouillées  ! sondage ! attreappage sur paroi cendrée ! on est passées comme par contreebande le mot l^aché, on est nées sur pré Fée, une Fée, Une sorte de Fée sans barbe, donnée, vive et élancée, une Beauté on dirait ! on aime les fées ! ion est fée nous -mêmes : s'aime-t-on ? Peut -être ! On est Fée d'herbe ! on est la F2e de L'herbe moui;llée ! on veut tracer, charger, comprendre, sillonner le chzmp des données de base ! pousser ! aller ! cghercher ensemble ce qaui est qui sezra&it e"n vrai le tracé idoine (pour comprendre)-cerner) sur herbe de pré ! Qui on est ? La Fée ! on dira : la Fée ! Fée du pré cendrée ! chant de RAge sur paroi gravée ça charge ! on trace ! on veut coller à un tracé de base qui serait un tracé-sentier, sorte de promenade-allée vers une Sommité dont le nom de fait sezrait "Déité", "GEnte Dame", "v2rité en vrai" = collage ! sondage, sens des réalités sur paroi finale ! mortalité ! mort allouée à un passage ancré sur paroi du pré ! On charge -chante ! on chante-charge sans arrêt ! le tout est de tracer sur bande une sorte de treacé de bgase pouvant creuser, comme à la parade, une sorte de sentier donné, trait de cxharge, sens de marche, somme allouée à une sorte de chemin dees vaches ! commodités ! On en avance ! on est la Fée aux Vaches SAcrées ! fée des fées et ça le fait ................................. grave ! ................... grave et gravéedx ! ................... grave ça le fait de base ! ............ on veut comprendre ensrembkle ce qui est qui se cprésente à nous en tant qu'on est à présent accolées-soudées pour former (autour d'un mot de verbe) Fée de Pré surmenée ! On trace ! On en avance sur la place ! On veut toucher toucher t§ouycher touycher tyopucher toucher tyoycxhefr toucxher toucherf toucher à comme qui dirait cette sorte dee romance ancrée, ttracée, allouée de fait sur sentier de v 

ache ! vache à lait acidulé (le lait) comme surmenée ! ça trace ! C'est ancré ! ça charge ! cça donne son lait (petit) de contrebande sur le pré ! néné ! néné à lait ! le néné né des nénées nés ! On cherche ensembke (ailées) le néné à lait ! Ailées pour du lait à (de fait) teter de rage ! On aime le lait ! on veut cerner-comprendre-toucher ! aller et venir, faire-dire, sobnder, comprendre = pistonner = pister = charger = allouer à un pré une sorte de vache ou de mot-vache (vache à lait) qui saurait (grave) nous aiguiller, donner à co^mptendre, soulager, éduquer en vrai , nous donner du lait pour mieux de fait cer ner la vérité de , comme qui dirait , la donnée des données ! vérité des vérités coriavces ! M%ont donné ! mont des monts ! rotondoité ! déité rotonde ! rond des ronds ! ronds d'olmes ! On monte ! On veut ! gravfe on veut ! grave on veut toucher-comprendre les données des monts ! ronds de charme ! mo nts des monts ! grave de chez grave ! On naît ! on est naît de rage sur un mont donnjé ! don des fées ! Vie allouée à unpré aux données données ! Charge frontale sur paroi des bases ! On est entrées ! on a passé la charge, le tracé dessiné, passage des passages ancrés, nous voici F2e ! Fée des Fées de contrebande ! une Fée sur pied ! fonce et trace ! va et vient ! chante et danse ! se pavane ! lévite grave ! fée du pré , qui en vrai lévite et du coup monte , va et vient en cette sorte de rotonde ! Va vite !  file ! fonce ! chercghe ! va et vite, à la r echerche il semblerait x'un trou de roche ! Sonde ! colle ! veut colloer ! veut sonder ! veut cfomprendre ! veut donner !  eut dire ! veut aller ! veut donner de son alacrité ! veut charger le dire des données données ! pousser ! virer ! virer et sonder , toucher ! touxcher au néné ! aéu néné à lait ! On est la fée donnée, fée du pré donné on dirait au néné ! on veut aller-coller, donner-sentir, filer-allouer (à du dire) un,e qsorte de vérité scotchée ! creuser ......................................................................... creuser ..................................................................................... creuser ........................................./.............. creuser /...................................... creusrr ..................................... grave creuser ................................../..........................................  creuser grave et sonder ................................................................................ toucher  ................................................. toucher au néné dit "de la Vérité en herbge et autres denrées " ........................... "denrées-vérités"de type "herbe des prés" , lait des fé&esz, vaches ancrées sur pièces montées , vraies  données genrées et autres gentes vérifiées ! on aime ! on aime les fées ! on aime l'herbe ! le sentier aux fées et autres vaches agraires ! on est Fée des Prés données ! on aime l'herbe ! on aime le lait ! le tracé vers le cimetière nous mène ou mènerait à l'herbve, aux données lactées post-mortem et autres denrées-vérités ! Faits vrais ! chants des F2es ! chants sacrés ! On veut grave chanter ! creuser ! toucher ! a

ller et dire ce quiest ici qui nouqss attire sans céder, nous pousse à creuser, toucxgher, sonder(, dire sans arrêt, foncxer sur rive, écrire les données ,du Verbe chargé (bêtes-mots soupesées et autres mots de trop genre grossièretés ! saletés ! monsztruosqités ! vives traites de pis sondé !). On est Beêtes de tra&it ! Charges romaines ! dons de lait szur bière ! Acidité !On a grave ensemble ici, envie de creuser la Vérité des Vérirés rupestrszs. Ce qui est qui est. Ce qu'on subodorerait de base sans céder, sans prendre la tangente mais en vrai, de rage et de face, coeur vaillant, sans se voiler la face : fée des prés allant sonder de rage les données frontales d'une sorte de cloiszon finale ! On est fée tracée ! On veut cfomprendsre  = aller =dire = cerner = ^poussser ensemble le soc de la Rage, soc de t§rait ! Romance et cxharrue sur Herbe du cru ! On avance ! on cghante ensemble ! on est cul nu , velue, montée à cru ! On vole nue ! on veut touxcher la roche profonde "haute" ! On nE veut pas laisser passer la roche mais tracer ! creuser ............................................................................................. creuser comme en force ! .............................................................................................. toucher /................................................................;;;;;.................. dire et donner ....././ coller et tendre ........... pisser et chier sur l'herbe des prés .................//................. cdomprendre = donner ............................................... = cernervc, ........................ allouer à de l'herbe verte une sorte de Verbe cendré , on dirait, genre : mots des rêves ! qui sa&it ? ......................... qui en vrai sait ce qi'uil en est de tout ce cortègfe de bêtes de somme et autres bêtes de p)aroisurnuméraires ! ? qui ? on ne sait ! on cherche ! on ne cesse de chercher danjs l'herbve ! on est nées Fée post-cimetière , des données du verbe ! On veut :

toucher toucher yopucher toucher touycher toucher toucher toucher touchert à une Sommité ! Aurochs ! AUROCHQUE ! AUROQUE CENDRÉE ! AUROQUE DES PRÉS ! BUFFLE COMBLÉ  ! BUFFLE AU TAQUET ! CHYARGE DOCTE FOLLE ! TRAITS GROSSIERS ! MOTS DRÔLES ! TONNEAUX ! GROS MOTS ! CHARGES DE FORCE GENRE LE PASSÉ ! LE PASSÉ POSÉ ! LE PASSÉ DÉPOSÉ SUR ROCHE AUX NÉNÉS ! AURQOQUES DES PRÉS ! ANIMAUX DE TRAIT ! GROS ! GROS MOTS DE TROP ! GROS ET GRAS MOTS D'HOMME ! MOTS DES HOMMES -FEMMES DÉPLACÉE,ES ! HOMMES DES GROS MOTS SUR ROCHE DES MOTS! FEMMES AU LAMPARO ! homme mort laiisse sa peau d'ailes ! On veut en vraéi ensemble, toucher la Romance , La mort d'ange, La Vive Allouée Ancrée Sacrée Saluée R5omance du Trot ! Tayaut ! on monte ! on gravit ! on est ailées ! Fée ailée sur pré on monte tout en haut d'une sorte de boyau de grotte ! chenal animal ! cheminée des mots comme gravés sur roche, au couteau ! On veut aller ! dire et toucher ! sonder ! creuser = donner = faire = choisir = donner , sur pré, une sorte de donnée de Rage à la gente animale, ici débonnaire, mùortelle (?) ou sinon mortelle charnelle , et qui dit charnelle dirait , qui sait ? mortelle ? on ne sait en vrai ! on cherche-sonde ! on se pelotonne pour former Ronde ! sainteté ! Sainteté allouée à une sorte dee... "seinité" ! On ailme ! cercle de fait ! On veut toucher au Verbe SAcré ! hverbe d'herbe il sembvlerait ! On a méga-envie de creuser dans la terre et l'herbe un trou de Domaine ! creuset ! tombe du pré ! maéusolée des mausolée ! TTombe sacré ! champ alloué à une vérité  ! On est nées Fée la Mort VEnue comme un cxhant Chargé ! On veut coller = dire = faire = donner = comprendre = cer ner = doter ! On est nées Fée au passage alloué à une sorte de trépâs de fée" ! Chiche ! chichement nées ! on s'en fiche ! on est passées ! morte et enterrées on a traverseé ou comme traversé les données de l'herbe pour (mieux) nous retrouver bde l'autre côté, côté Verbe ! côté coté ! côté verbe coté ! On est la fée du cimetière passé ! On est la Fée du cimetioère en vrai p assé ou comme cdépassé , soit fée post-mortem ça le fait ! On av&it envie ensemble grave de passer comme par contrebande ce premier muret qui donc est le muret des données dessinées (bêtes de bo,n poids bon oeil gravées à main levée) et du coup, à présent, on se prend à penser qu'on est de"vebnues "autres" soit "bêtes-mots de roche" ou fée attreappée, ou fée des prés, f ée volante, on a changé ! on a grave en vrai changé au passage ! on était cet homme aux données de genre, pas vr'aiment fini, un peu beaucoup nigaud, bête comme chou, nous voilà AILÉe ! fée du pré ailée , qui volons, allons, foulons l'herbe, décoloons, montons, traçons, cxhargeons ensemble "à la une à la d eux" vers p areille sortie (diurne) de roche , genre griffure, paassage menu, éraflure de roche de rage, embrasure, passage de charge, porte d'ombre, tracé docte, vent, air, souffle à travers la roche, par un interstice de poche ! On veut t§oucher de fait à une sorte de passage vif, tréit des traits en cette sorte de cloison, des fins de pré, finalité, fond de culotte ! Qui on est ? peut-etre en effet une fée dedx Fées, fée docte qui en vrai radote mais gronde, pousse, va, creuse ................................................................................................................................. creuse que tu creuserasxs .................. = va ! file ! ourle ! ourdit ! fonce ! pisse ! trotte ! vole ! fond ! cherche ! coince ! trouble ! veut ! colle ! colle à la paroi de roche, la dernière ! rotonde ! cercle ! enclave des vdonnées prairiales on s'y croirait ! On vgeut tracer et de nouveau (cette fois-ci en tant que fée) traverser la roche, l'ultime rocher des données données, et nous retrouver (de force ou deegré) de l'autre côté, côté coté : côté ombre ? qui sait ? ou bien côté soleil, clarté, vent frais, mer des bases, vagues dorées, chants sardes, données des données, vaguelettes dorées accompagnées de Verbe, CHant Sacré (on dirait) type "Museztte" ?(?) peut-être ......../.......................................... on cherche ..................................................................... on est pas arrivées ! On veut toucher ! toucher l'herbe ! le pré ! l'herbe verte ! l'herbe verte d'un pré aux bêtes surnuméraires et autres bêtes agraires sachant brouter ! vaches et veaux à lait (veaux à l ait ?) du tonneau ! Lait d'herbe ! petits veaux des mots ! On veut creuser l a terre des données suprêrmes ! collaber le verbe et comê l"'enfiler ou l'enfourner ainsi serré dans une sorte de fourreau ou de fourreau d'herbe ! cxhalumeau ! feu des elfes ! On veut tracer le mot de l'herbe ! se pointer fuseau ! coller ! dire et prendre ! charger ! aller ensemble et faire ainsi acte de présence dans (en ) la mort dite "du tonneau ou fût des vins nouveaux ". Ivresse ! largesse ! sagesse ! On est comme cernées en tant que Fée naissante sur preé ! on se doit d'apprendre ! comprendre lesz données de base, mots de genre et autres idiomes soupesés comme par la bande des données tracées (charges frontlales, bêtes de trait, béliers). On aime la charge ! on veut toucher ! on veut aller cerner coller ! troubler le genre et donner nos cendres ! quitter l'habit (ici) de bure mausszade et rezvêtir les ailes de la Fée des Rages, F2e des fées ! On veut :

aller .......... dire ............ creuser ............... chercher içci et là (en roche) le dire de la Vé(ité vraie, s'il en est = le TRacé des Ombres (?) ? qui sait ? Qui connéaît de près la roche assez ? Qui sait ce qui est qui est qui nous regarde ou nous regarderaiot en face sans s'arrêter ? On ne sait ! on est nées ensemble au passage accolées pour fgormer ........../............ FÉE ..................... FÉE DES FÉES .......././............. UNE SORTE DE

FÉE DES FÉES ..................................... CXHARMANTE, DÉVOUÉE, COLLÉE AUX BRANCHES, SURMENÉE MAIS ÇA LE FAIT QUAND ON CHERCHE R(OMANCE ET AUTRES CHANTS ACIDULÉES LIÉS À UNE SORTE EN VRAI DE DÉITÉ SACRÉE .............   ............/././././/.................. on dirait ... LA mort ? ou sinon la mort la quoi ? vie de trépas ? chant du cygne de la voie dans ... l'au-delà ? On grave sur paroi la bête grosse, grasse, faisant foi = foie ! on acte ! on veut cfomprendre ! toucher-cerner les données de base ! On est là (là-bas) pour ça : nottre chance ! tracer ! dire et poster ! coller aux nénés pour téter ! vas-y charger ! vas donc tracer ! chanter ! danser ! entrer dans la danse en transe : une vérité ! ou même la vérité vraie ! en transe vers Néné  ! ça le ferait en vrai ! une chance = un chant = une soerte de chasse aux tourments , aux méchancetés ! On veut toucxgher à ce qi est qui se cprésente devanjt nous en termes de néné donné à téter ! on veut coller = s'y coller ! = jouer  ! donner = filer = faire =prier = comprendre = sentir et creuser le verbe ! On aime = on veut ! On est femmes par le' milieu tu penses ! on est mieux en femmes dans la mort actée qu'en homme des dieux ! la b arbe ! coupées des cendres, on trace le mieux ! on ezn avance ! on veut mieux ! coupées grave! tracer le sentier come en contreabande ainsi ailées comme par le milieu ! Chargées ! on entre ! on veut :

traverser, toucxher la bande, filer, tracer fissa sur herbe des champs vers là-bas .................. l'antre ................ l'antre des antres ....................................... la Voie des ch armes ............................ l'onctuosité charmante ........................................ les données données comme par la bande et autres sentiments de b ase genre beauté, sainteeté, salubrité, santé ! On est entrées ! on veut poursuivre sur notre lancée... courir sans traîner ...... nous envoler ...... filer à vive allure = treacer = dessiner de chic le VErbe Sondé, les traéits et autres ronds de bossee ............... nénés .......................... on dirait des nénésc ............. ronds de bossee égaleraient nénés, qui sait ? .......././................................. NÉNÉS DES NÉNÉS ET AUTRES VÉERITÉS DE ROCHE AVANT PASSAGE EN FORCE DES DONNÉES DERNIÈRES TYPE "LE DERRIÈRE" ! On guette !

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25/10/2024

on est deux et on regarde ce qui est qui nous advient. On veut cerner-toucher  cette sorte de donnée frontale : la paroi. On est deux ensemble = accouplées, serrées, tenues, soudées comme deux bras à une charge. On veut toucher à cette sorte de donnée de type "RAGE  et tralala". La chance ! la chance qu'on a ! on en avance = fonce , trace, va, file,cherche à cerner -saisir ce qui devant soi se trame ! on ! On est là pour cette chose "pariétale" : un savoir de base (RAGE) et tout un 

tralala de passage ! On envoie depûis là (la tracve) ce qu'(on porte en soi en termes de rage , dc e colère "sarde" ! ça envoie ! ça trace ! ça dépote grave ! On est (qui sait ?) ensemble ici -bas (?) pour comprendre , ce qui donc se trame en cette paroi  en termes de charge, montage, attelage et autres trains de gare ! ça en,voie c'est ça ! ça ne regartde pas à la dépense ! çafopnce en tas ! ça trace ! ça y va ensemble en troupeau de charge ! On est là comme accolées de base pour du coup chercher à  comptendre ensemble l'attelage, bêtes de poids traçant sur page une sorte de sillon de voix (voie) qui est voix d'un chhamp de râle ! on y croit ! chargeons )-gfonçons ! essayop ns ensemble de toucgher du bois et de cerner ensemble les données frontalrs, les tracer comme à bout de bras = dessiner (de chic) les bêtes coriaces et autres pics de glace ! On avance = on trace = on va = on veut toucgher à une sorte en soi de Vérité de base comme on les voit peut-être sur paroi en face on pourraiot croire . On est née fées commpe à la ramasse ça le fait ! On veut tracverser et du coup t§oucher à ici ce pré ou même (on dira) aux traits, d'une sorte de 

paroi praioriale. On avance= o,n trace = on entre ! on entre en cette sorte de donnée de face, traits des traits sur pré, charge-trame qui , en vrai, semblerait (ici) comme nous regarder  autant qu'on est (c'est )à-àdire)2, p as davantagge , nous auusi un attelage : qui dit mieux ?). ON trace = on charge sur roche de base une sorte de sillon aqueux ! chant des saturnales ! voeu pieu ! on est là ensemble accolées -serrées pour entrer de rage en un pré, pré de base, qui est pré des féers et aiutres bnêtes à ramages (on dirait). On va dans la RaGe (pour ainsi dire ici) endsembke ! on est nées fée au passage, !ça le fait ! On est nées en tant sque Fée au moment du passage (de fait) des données ! On voulait ? on l'est ! on est né"es fées autant qu'on est = deux Femmes allouées pour une Fée frontale ! On est comme soudées à une sorte de paroi de rage co:mme sacrée ouconsacrée, et du coup nous voilà qui sommes passées (ensemble) "à toi à moi" au pas de charge, en cette sorte de paroi dite "de contrebande" telle

 qu'on la voit ou peut la voir devant soi comme à la parade = tralalas frontaux des données de rage et auttres rtraéits fondamentaux de type '"sarde" = sage, un semblant d'animaux , de bêtes au trot, gentes

 dames et damoiseaux à tous les étages et autress animaux de s marges. on entre ensembvkle ! fi ! allons ! filons ! chargreons du tonneau ! coulons ! serrons ! allons  cdroit de fait sur roche à l'abordah-ge ici de l'attelage ! une parade est mise en pli ! une sorte de parade et ça le fait ici ! charade ! cri d'effroi ! on regarde ! on voit la roche de paroi sur place, le treacé des rages, un donné pour un rendu et, au loin , une vive clarté qui semblerait nous appeler, nous héler, nous donner le change et nous inviter à comme qui dirait nbouys rapprocher (pas à pas) de son être alloué à une sorte de muret étrange ("strange") de fin de pré. On regarde ! On veut toucher à cette chose étrange ("strange") . On a envie de s'avancer, de toucher à cette "cl arté", à ce murtett de fin de pré qui pour le coup serait ce mur dit "des finalités", type cercle des fées ! On s'avance à pas chassé. On entre dans la danse pour nous rapprocher de ce muret des (dites) "filnalités", soit des données données (en tra&nse) et autres données données par chance à une sorte de pré alloué à un espace de "données de rage" et autres bêtes ici tracées à mainb levée. On est passée, en tant qu'on était deux femmes chargées, données, mises sur pied , qui donc on t tracversé , et se sont comme retyrouvées cul posé sur pré de l'auttre côté, cvôté Chance, pré olé olé, champ de rage, une sorte de pré des prés qui est (serait) champ des ordres. On est accoléesz (femmes) pour former la fée (= l'atelage doré) allant-venant -volant sur place vers Muret, MUret = ce muret ! des f-ins de balade, en rotondité. Muret dit "muret des charges". On veut le toucher = l'attrapper = le baiser = l'épouser ! Epouser le muret, voilà le programme des fées ! On voudrait de badse épouser le muret ! le tenir non plus à distance ou à bonne distance mais (au contreaire) le serrer, le prte,ndre, le cerner, le toucher au plus près, l'embradsssert , le coller comme qui diraéit à nos ailes de fée = l'épouser fro ntal ! le piquer ! le prendre à jamais ! le faire se coller à nos ailes de fée et ça le fezrait ! On veut épouser, ici (muret), la Charge ! Le muret = charge d'ange ! on v  eut de fait aller et ne plus en vrai jamais nous a rreêter jnusqu'à temps qu'on soit comme accolées à une charge de muret de base ! On est nées fée dans la mort avérée, pour de fait cerner = comprendfre , iun certain nombre de do nnées de base, tracé, charge, données, passages, Dulcinée à jamais gravée sur un bout de roche sa le . On est née  Fée au passage et onj veut (on dirait) épouser la Charge ! l'arrttrribut acté des envies de pré et autres champs de betteraves ! oN est La Fée post-données tracées, qui cherche à toucher les finalités ou dites "fi nalités" placées sur mueret, allouées, données, qui nous regardent ou nous regarderaient en face, à la tr avezrsée. qui on est ? femmes, ensemble devenues ... la Fée des Passages ! On est passées et nous voilà allant, vers un muret des charges, comprendre = toucher, et du coup ... épouser ? c'est vrai ? ces ditesv "charges" allouées ici à un muret "des r ages vfrontales terminales" ? est)-ce ça qui est qui nous regarde ou sembvletrzait nous regarder autant qu'on erst (= deux) pour former le fée, Fée des Dieux = des aveux de rage  : est-ce  ? on entre ! on charge contre charge ! on veut toucher à ce muret dit "des données coriaces et autres traits de vérité". On est la Fée comme qui dirait des données mârtiales, entrée, posée, volant sa,ns frais de ses &iles nacrées vers cet enderoit ici présenté dont le nom est "MUREt" des données  de bière. On veut = on va ! on est la fée qui va comme chercher ou pour chercher et de ce fait cherche à jamais par où passer, s'immiscezr, se glissr pour passer soit traverser (encore une fois) la paroi des Rois , Reines du Ça , ça y va ! elle (le Fée) est là (dans la mort) pouyr ça : tracer, tracer, teacer encore une fois ! aller ! filer ! chercher ! coller à la paroio des voix et aiutres cris de joie ! On (LA fée) veut , de fait, toucgher ! à (donc)  cette clarté de fond cde pré, ce qu'elle est. Et qu'est-elle en vrai ? .... eh béb .... on dçrait que oui, elle serait une sorte ici (à nouveau) de cimetière mâis d'un auttre nivceau , ! Cimetière (on dira) des cimetières ! de là : de la voie ! On est née Fée sur pré , nous voilà accolée à une sorte de paroi finale , p) ar(oi des voix, des clartés frontales, tralala et chinchilla de face ! on envoie ! on veut toucgher en tant que fée la Chose des Charges, ce teacé aux traits dits "de Rage" et ça le fait ou le ferait .! mais quoi ? on serait Fée des fées tracéesz ? sur paroi finale ? scotchées ! accolées et le pasdsage est fée , oups : fait ? On ne sa it ! on essair ensemble, accolées, de cerner les données les plus affirmées ou affiliées à une sorte ici de pré de contrezbande , derrière un fourré, derrière une rocghe, derrière un rocher , une roche ou un roc dit "des fées" car il contient en vrai les fées du Royaum ! On est entrées en tant que femmes (homme mort) et une fois entrées on a formé le Fée ou Fée des prés de ce Royaume de la M%ort actée ou avéreée . On est passées dès lrs "de l'autre côté", côté pré. On a couru et bu ! vu (cul nu) et lu, sur roche, les données princières ! On veut toucher à cette bière aux données allouées à une sorte en soi de traversée, ici, de paroi, paroi sarde, finale ou sinon finale fatale , ou sinon fatale ... quoi ? Fractale ?, 

On avance ! on vole (on volette) ! on va ! On est là ensemble sur paroi qui cherchobns la faille, l'(entaille, la fissure dune sorte de roche "amable". oN veut comprendre = dire = faire= cerner = toucher à une sorte de donnée de base qui serait donnée des données frontales à tout jamais et ça le ferait. On est qui ? ehbé on est la Fée qui est passdée et qui maintenant, en ce pré aux bêtes, aux bêtes de poids (big bisous des bisons tracés) cherche à se rapprocher des données finales, fond de pré-cercle de la joi tracée, se p^lacer au pluys près des données, Frontales, finalesz. akller ! Filer ! Comprendre = toucher. Toucxher = comp^rendre. Il nous faut (comme qui dirait) toucher pour coimprendre, c'erst un faiot ! le reste est sans importance ;, mais TOUCHER, topucher ! toucher , toucher , toucher ! ne plus s'arrêter ! de toucher de rage, les données frontrales sur par(oi sa le ! On veut = on espère ! On veut toucher à cette sorte de paroi de Finisterére ... c'est ça ! finistère des Rois et Reines des Lois ! On voit ce qu'on voit, et ce qu'on voit est ce convoois des prés appelées attelage ! boeufs des voix ! betes à soi ! charge des Rois ! on veut graver-gravir, aller et venir, comprendre = a dvenir, touchger et coller, dire et donner ! On est nées fée de base al:louée à un pré des chargesz genre fatales ! et on veut (de faiot) se porter ici même (pré) jusqu'au bout du bout, à la recherche des données finales, genre "traversée des champs de raves (betterezvaves)" et ça le fait grave ou ça le ferait grave si tant est ! On est née fée au passage gravé, on a ensemble traversé le roc dit "dces prés" et on s'est retrouvée ou comme retrouvée accolée à une sorte de donné des prés (herbe au t aquet) à brouter, et là, sur pré à brouter, on a co=mpris vite fait que la vérité ou dite vérité selogeait en ce muret des contrebandes ! muret des murtets aux données de basde, là, tout p^rès, autour d'un pré, cercle-muret c''st vrai ! on voit noptre cha,nce ! on va vcers ce muret ! on avance ! on est accolées : ailes de fée = attelage cendré, cendré et doré ! On trace ! on est en vrai tout près de coller au muret, de donner de son chyarme et de ses attraits ! On veyut =

 COLLER COLLER COLLER S'ACCOLER, ETRE PROCHE D'ÉPOUSER OU MÊME ÉPOUSER LE MURET, LE MURET DES FINS DE ROCHE !`$ 

on est née "La Fée des  prés"  allouée à une contrée  "liumiotrophe" ! , limitrophe à la vie de grotte (de l'autte côté = en amont) et nous voiulà Fée ou Fée des prés, qui allons, volons, cherchons grave sans arrêtt, à pour le coup nous reaazpprocher de ce muret, aéux données (frontales) déployées qui semblent (ces données) nous appeler ou nous intermpeller ou nous héler pour que, oui, allez ! allons ! allons nous glisser donc ! allons donc pour de bon nous glisser = épiouser = prendre à bvras le corps, ledit Muret des fins de roche ou fin de pré "limitrophe". On est accolées pour mieux nous accoler ! Onn est Fé&e des prés (= femmes accolées) pour aller coller (qui sa&it ?) au bord du bord fdu pré, appelé (ce bord) Muret ! mais est-ce vrai ? est-ce "muret" le nom du bord ? est-ce ce nom alloué de "MUret" , quyi est en vrai le nom de ce  bord, bord de pré = abord = rebord = finalités comme à l'arraché, fin des fins de vie dans la mort allouéev à une prairie ou sinon à quoi d'auttre qui seraéiot en viie , ici, située placée, qui nous regarderaiot aller et voler en tant que fée ou fée de ce lmogis : quoi oou qui ? On a envie ensembvle grave de comprendre ici même (pré ou prairie) ce qui se trame en termes d'attrdibuts données à une sorte de Sa&lubrité, de Sa&inteté , de Sagesse intra-pariéto-finale ! On veut toucher, en vrai ! Toucher en vrai à cette sorte de façade ! qu'est)-^ce que c'est ? Qu'est-ce qu'o,n peut (ensemble, formant Fée) comprendre, comprendre pour de vrai , à ce muret de contrebande ou dit "de contrebande" ? On est née Fée au passage (de vie à trépas) nous voilà frontale , fée des fées sur pré, cherchant À NOUVCEAU !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! passage à travers ici ladite paroi (tour de garde, cercle a nal, chas des chances ! ) de'une sorte de Muraille ! on veut grave comprendre, ici bgas (lke pré !) la chance q<u'on a , de pouvoiur ENSEMBle (fée des Roix et REines, de Charme et d'effroi) comprendre = tracer = nous poster ou nous avancer vers ce muret dit "des finaliot"és" ou "des finalmités tracées " ou même "des finalités agraires " ! On est née La Fée post-^cimetière voulant entrer (plus avant) en cette chaumière, en cet auvent (ou sous) et comprendre = voir, voir comme par en dessous, ou à travers, l'autre côté, des données finales, du muret,,, soit : la Véroté à jamais, sur ce fait des faits, alloué à une Donnée, dont le Nom est "MORT À jjamAIS " on dirait ! Allons regarder ! volons ! chargeons ! filons ! traçons ! ne nous arrêtons plus de charger-pister, de cherchert à passerr ou comme passer le bout du nez et

regardons ce qsui en v  rai est de l'auttre côrté de la cloison  : une sorte de vraie 

une sorte de vraie chahut 

une sorte comme qui dirait de chahut ? de chahut à cru ? de chahut de fées ? On est née Fée (la mort venue) cul nu ! on cherche à pour le coup aller plus loin en ce dit "pré des fées", et à co=mprtendre les données lointaines = les finalités de l'herbe , la cloison doré, le cxhant de la roche et autres types de données sonores allouées à une sorte de cloison cernant le pré dans lequel on est . On veut de fait colkler notre nez , nos ailes, notre cvorps en entier, à cette sorte de vitre sondée ! à ce glaçon ! On veut ! On veut grave se coller et voir, voir pour en vcrai (et enfin) comprendre (grave) ce qui est, ce qui advient qauand (de fait) on va plus loin, on ressort ! on ressort du pré ! mais pêut-on et oùu va-t-on ? revie,nt-on à la case dé&part = groote-farce ? revient-on aux données (frontales) d'expérience , chants des Charges ! aurochs ! bouqiuetins centrés ! chevaux des prés , chevales et bisonnes, buffles a ccoléds et bufflettesz au tracé ! est-ce ? est-ce cette chose en vrai, qui wserait, une fois accolée (en tant que fée) à la cloison dernière  ? est-ce que en vrai une fois passée, on revient ou on reviendrait en arrioère ? est)-ce que c'est en vra&i cette chose à la fin qui seraiot qui nous attendraiot ? IOn veut toucher à une vérité en vra i ! On veut toucxgher en vrai à une vérité = la cerner = l'embrassrf ! On a méga-encvie en vrai de toucxher oà une vérité qui serait vra&ie, ou vérité des vérités ! On ne veut pas passer à côté ! on veut tracer ! filer ! cerner ! coller ! chargerr ! sentir ! prendre ! sa&isir ! se donner peut-etre ou qui saiot à une sorte de donnée (frontale) fin ale ... aux nénés ! !!!!!!!! mais qui ? qui ou quoi ou qauand ? quand est-ce-que ? quand en vrai aller ? quand et pourquoi et quoi ? quoi faire ? On erst La Fée post-cimetière, en trée dans un pré, on cherche à tracer et, du coup, nous approcher de la cloison dite "des finaliotés" . ON veut à nouveau (À NOOUVEAU !!I!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!) traverser la roche = revenir ! retour ! retour en grâce ! chargement ! treacé de rage ! re-à l'envoyeuse comme qui dirait ou quoi ou qu'est-ce ? ON veut en vrai toucher toucher la Roche et Traverser, comme à l'accoutumée (?) les données de base ici déplissées ! Et du coup treaverserr = re, = re re  = re re re = en vrai ? RE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! re re re re re re re re !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! re je veux ! re on revient en arrière on dirait ! ou commênt ? comment on fait ? on a de fait ce Sas aux fées = pré aux herbes, Bêtes de poids Agraires, Araire, Silloon, la Foi en ce vallon, ROTONDIT2É DES DOnNNÉES DE BASE DANS LA MORT FATALE, et piuis après .... après la dite "Mort Fatale", on a ou on auraiot ... eh bé on ne sait  ! ce re des chambrées ! ce Re RE RE RE RE Re RE RE RE RE RE rE RE RE , aus donn,ées de RAge ! re du meuh ! du meuh de la Vache ! On est deux (deux femmes) passées, pour comprtendre (transformées en Fée) ce quyi est qui nous regarde = nous concerne = nous cerne = nous enserre ou encercle = embrasse à qui mieux mieux le pré passé ! On veut toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher topucher à une vér'ité "du feu de Dieu", à jamais et grave ! grave on veut ! car : 

On est gvrave ! onj est Fée grave sachahnt tracer , sur pré, chemin de charge, poids donné, charge martiale, calibrée, antrale ou astrtrale, chant des F2ées des Grâces et autres Graciosités de Face ! On est née La Fé des Prés (LA MOrt) au pâssage mais voilà... le chemin de base n'est pas terminé ! on doit en,core en vrai traverserr la Face, ou Roche des Prés, Façade , LMuret ! on veu tracer ! on veut y aller ! On nje veut pas se laisser démonter par une sorte de cxdonnée, genre vent cde face, trait des Rés, Pets ! non ! mais toucher ! Toucher à D2ité des Prés,  la Finalité, de l'(autre côté, ce côté" des Fosses , des Fossées ! qui on est ? On est la Fée ici comme à la tracversée (du pré soit du Royaume de la Mort actée) et du coup ion peut tracer,, voler = voleter, aéller, chercher, courir, cerner, filer, et nous ap^procher (en vrai) de la Roche Finale, Tracé frais, Froid des Ruses ! regarder ! regarfder au p^lus près ! ce qu'on peut discerner et du coup relater ! On veut toucher des yeux la Chose (montrée ?) aux curieux / curieuses  des Feux ! On veut :

Aller ! PErcer ! Ficeler ! Gravir ! Chercvher à se tapir en cette Roche (des CFinalmitées) aux Feux Donnés ! Feux des feux ! qui on est ? F2e ! La Fée ! On est en vrai la Fée des Fées aux Données de RAge ! On veut Coller = toucher = dire = cerner = compre,ndre = chercher à pour le coup ensemble (ailes) nous ccoller (ici) "à ses genoux " ! téter ! tête folle cachée ! téter ! téter la Roche, le Trou ! téter grave les données fvrontales des Finalmités astrea&les ! on veut (grave) téter sans nous arrêter ! fée ! fée ! fée ! fée des fées ! .................................................................................................. ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ./.... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... .../.. ..... ..... on est en vréi la Fée vdes Fée la vie passée ou la paroi passée ou la roche passée, fée des prés ! on est ! et, du coup, ainsi logée , e,n ce pré chelou , on voudrait se rapprocher de fait du bord des Données Allouées à une ROche de Rotonde, Cercle aux F2es, Roche Ronde, CAvité creusée ! On a grave eznvie en tant que Fée pâssée de l'auttre co^té , soit "en cavité", de se rapprocher du coup de ce muret dit "des genoux ou

ù donc se loger pour aller ... teét§er ? On diraiot ! les nénés ? On retyrouverait ? on se retrouveraiot B2B2 ? On seraiot de fait à nouveau B2B2 ! LE B2bé des F2éES ? ON cherche à cerner-piger ce que c'est que cette chose ici tracée, qui seraéit La chose ! LE tRacé d'époque ! FiN des Fins des pauses ! Onv  eut toucxher toucher touycher toucher toucher toucher à  ette sorte de donnée des Pauses, ou dite "des Pausesw" sur pré ! On essaie de cer ner ! On est Fée des Roches = ... Roche ? On ne sait ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher à cette sorte de Né né du bout du monde ! les nénés ! le ou les néné(s) du bout du Monde ! de la ROche-RONDe ! FINAlité ! la FInalité des données d'époque ! ro n de = roche = rondeau ! On est comme allouée Fée (en tant que GFée) sur tombe ou tombeau ! On veut creuser ! rouleau ! charogne ! le voeu et la Chose ! L'envoyée en roche pour toucher ! ON est fée des PAuses ! fée et frai ! On veut coller ! toucher, dire, cerner et pisser ! oh oui pisser ! se vider-vidanger -alléger car on est .... treaversée -des-fioles ! On veut 

TOUCHER ? TOUCXHER_COLMA TER ? PISSER ? SE VIDER, ALLER, CREUSER, CHA RGER, CERNER ET TOUCHER ENCORE;;... aUx Nénés de l'Ombre ! qui c'est ? "l'plombier" (la plombière) d'époque ? on ne sait ! On cherche ! on veut toucher à ces Nénés des Données de Roche ce qu'ils sont de fait envrai pour notrte Homme (?° ! On veut :

coller et ne plus quitter

charger et ne plusq sombrer 

gravir et ne plus tomber 

 dire et ne plus soupirer 

contrer ici la Roche REzbelle ! graver-dessiner à main levée l'herbve, le pré, les bêtresz, la charge foraine, les données al:louées àune sorte de Femme-Fontaine Saluée Aimée Souterraine ! Pisssootière, des contrées Avérées et autres Endroits Sondées ! On veut (en tant que Fée, Fée post-cimetière) toucher aux NéNés de ... l'ÊTRE ? Quel ÊTRE ? Eh bé ... peut-ëtre ... l'ÊTRE  du ... "peut-être" ? du "peut-etre on sezrait", du "peut$être on aurait", du "peut-être ça le fait " ? On est née Fée La Vie passée, on se retyrouve dans un pré ailées, Fée Ailée, on cvourt on vole dans la mort à l'oeuvre, et puis voilà, on voit ! on voit ça ! la Roche ! Fion DEs tEmps allouées à une é2poque ! on touche Rocxhe des Finalmités "rosses". On veut (grave) cerner, soit regarder ! de l'autre côté , les dO nnées des Bosses ! Ce q''lles sont en vérité pour une F2e comme nous sommes ! On est ! On est Fée = Fée des Fées sur Herbe ça le fait ! on est née ! Fée sur herbe ça le fait car on est née ! Née d'Herbe , ou même (vrai ?) née //...?.. de l'her be ? Vrérité ? vérité vraie ? On serait née F2e de l"herbe (le VErbe ?) du pré et ça le fzerait, pour aller (ou pouyrsuivre) sur les sentiers menant à une sorte de  nouvelle"entrée" post-pré ! On aime ! on est ailées ! on adore aller ailée ! ainsi ailé , jusdqu'au bout duu terme ! On veut PASSER ! ON veut passerr swans trépasser c'est un faiot ! On veut trancher ! couper ! scinder ! donner en vréi le coup de jarret et traverser en vrai les données (fina;les) d'une soerte de muret des contrebandes ! et du coup comprendre, ce qui est, qui se trame, se dép^loiee, se treace de soi-même comme qui dirait de l'auttre côté ! Vent d'or ? Donnée rossee ? Cri d'effroi , de joie ? Voix des Omb res ? De l)à-bas, loin, dans des bras, bras de Roi ? bras données come autant dde Soi ? On veut en vrai ensemble (accolées ailée ) comprendre (grave) ce qui est qui va ou nous attend ou nous attendraiyit ou bnous regardera&it ou nous parleraiot pour nous dire ... quoi, en  vrai ? sinon ça : que, peut-être, on est cdeux (deux femmes) la vie pâssée (ouste l'homme tranché) pour comprtendre ! cerner ! = toucher en vreai aux Nénés de ... l'ÂAME ,,

? ou bien de .... l'arme  , l'arme à feu ? Aux feux des Rages ? On est deux (ouiiiiiiiiiii ça oui) pour (en vraii) toucher = dire = cerner un peu mieux ce qui est qui est, post -pré : les Nénés ? Les Dits Nénés, aux données de Branche ? Vie des vies (gravées sur Roche) née comme par miracle la mort travzertsée ?. On est Femmes données = femmes-données= des données de rage = données des données ! Les données de base ! data songs ! On veut comp)rendre grave ce qui est qui semblke (ou semblerait grave) nous mater (de base) come à jamùais , qui sa it ? On entre , dans l'antre, de la mort allouée, à une sorte de face ou façade des temps Passés (passés ?). On veut en vrai toucher à une sorte de Donnée de branche ! Qui on est ? On est lA Fée p âssée à travers de fait la Roche é2trange ! On nest Fée des prés, Fée passée à travers ! 

Fée pâssée ! on est la Fée des bvases et des données  ! On est entrées ! on  veut cerner-saisir de rage ce qui est ! On veut toucher à  c ette Déité Lactée (Nacrée ?) des Fins de Passé, ou dde Fin de Branche, Ou de fin de Données "Strange" ! On est Fée xdes prés pouveant en vréi (qui sait ?) aller, tracer, courir sans désemparer, filer comme à l'arraché et nous envolezr, décoller, faire ainsi chemin ailé , dire et donner, filer-coller à une sorte de

 "Roman ce Des Prés"

 ou dite "des Prés" ! aller = toucher = dire = cerner = considérer , de près, les données frontales , don,nées des données axiales, chahutées, morcelées qyui sait ou saturées ou même soulevées et szoupêsées comme des bébés ! On veut :

CERNER TOUCHER COLLER DIRE

FAIRE SENTIR ALLER COMPRENDRE 

 FILER CHOQUER TRACER PERMETTRE

COMPTER CDALIBRER AIDER SE PERMETTRE

PIOUSSER FAILLIR FAIOBLIR CHANTER

COLLLER ALLER FRÉMIR SATURER

FAIRE ET AIMER, DONNER GRAVE AUX NÉNÉS DE L'HERBE, DU FOURRAGE DU PRÉ

FAIRE ET PARLER = PERLER

PERLES DE LAIT CHANTÉES 

FAIRE, TOUCHER, COLLER, COLLER ENSEMBLE À JAMÙAIS, TRACER SUR PRÉ DES TRAITS DE RAGE

COLMATER = TOUCHER = VIBRER = DIRE !

on a grave envie de rire et de pisser mais en vrai on est éduqauées, fée des fées on se tient bien ! on veut toucxher en vrai sans pisser ou rire ou caguer ! on veut grave treaverser, retourner ou comment dire ? SORTIR  ? LE mot serait : "Sortir" ? sortir du Tonneau ? de l'eau ? du Ventre de peau ! peau d'eau ? sortir = vivre ? Viçvre hors peau pour aller comme sur rive toucher... le "Col du Cerceau" ? On est comme en vrai F2e des Fées entrées , quyi cherchons eh bé ça : une sorte de faille / entaille de par(oi ! trait ! hache ! hache de trait ! vache ! trace et vache et H , treait des traits = hache ou coup de hache vache ! et passer ! la tête et les pieds ! le vrai passé ! On v  eut toucher à une Déité de type NéNé tu le sais ! on est née Fée La nuit venue, on veut toucher le Cul !On veut toucxher le cul de l'être nu , belette des vues, bête à cru sur herbe verte = bête-mot des données fauves, rossees, raides dingue ! On aime ! on est Fée des prés la mort une fois allouée et du coup on cherche à re-te averser , chemein arriière (tout arrière) les données rupestresq (burlesques) des faiots et gestes sur prairie des bêtes  et autres fées venues de concserve. ON veut graver à volonté les données terrestres (buffles au débotté, buflettes allouées Musette). On aéime ! cha,nter !dire et pisser ! rouler ! coller !! coller grave ! coller et s'accoler à une sorte d'entaille sur rocxhe (nacrée) sorties des entra&illes (?) et comme présentées à nos ailes diaphanes (en vrai ?) de fée des Alpes ! On est née Fée au passage de l'Alpe , c'est un fait ! On vole à jamais et du coup, voilà, on touche aux Nénés ! aux Nénés de l'âme des données don,nées ! Les données sont Ailées (seraient) comme des Fées ? on entre ! On est entrées ensemble (ailes de fée / femmes) et on regh arde ! On est la Fée post-bande ! On est née Fée de Contrebande extra-fossé ! On veut comprendre = toucher = donner = sonder = dire = coontrer ! Chercher = faire acte de bonté  ! Donner = pousser ,; sur pré, le chariot des Fées ! Chariot haussé = cargaison montrée ! On est = o, n  naît = on est le nez = on, entre ! On veut gyrave cerner ( les données de branche) et nou!s avancer et de fait travezrser on dirait à la nage les prés, ou, sinon à la n age, en courant sans frein, sans dérater, sans se przndre les pieds à travers les bra,nches des buissons dorés et autres arbustes déposées, tracés, daémantibulées, chargés. On veut 

TOc-toucher = toucxher vrai !

Toquer ! toquer toquée ! toquer en étant, en vrai, toquée  = t§oc-toc, = fée des fées du toc ! Aller ! Filer ! Charger ! Do,nner ! Concerner = considérer = comprendre les données de base : 

Traits ! traits des traits ! et du coup, travezrser la lande, et de l('autre côté, chercher par (en vrai) où passer, par quelle entrée ou faille, vide astral ou cavité aux fées ou même anfractuosité tracée (en vrai) à même la face (la façade) donné"ee. On est passée ! Fée ! F2e des pr'és (Mort des Dons De bosse) et nous voolià comme remorquée prête à sortir du pré direction les Nénés, Seins de Base Ancrée, Sein d'HErbe, TRé&it-né sur pis lacté , cherché, recherché ! On veut toucher = sentir = consentir = téter 

TOUCHER = TÉTER ! TOUCHER , EN VRAUI, = TÉTER ! O,NN Veut toucher soitb en vrai on dira téter , les données de l'herbe, herbe verte sidérée, herbe des herbesc= verbe alloué à un p)ré post-morteme! On aime ! on veut aimer ce pré de près ;,, l'aimer dans l'herbe ! nez ! on veut en cvrai toucgher du nez (piquer !) l'herbe des prés , soit  ce verbe des données alertes ! charger ! foncer ! buffluettes aux ventre sondé, bisonnettes et chevales (au taque-t) cendrées, auroques des passés, du temps alloué à une sorte de passage inerte (aux données vertes) sur prairie aux fées et autres bêtes des contréesq. On aime ! On vgeut grave cerner (de colère ?) les do nnées en herbe ! cxhaleurosité et aiutres ammitiées en vrai comme soulevées ! On ndirait ... eh bé oui, du verbe, herbe, verbe en herbe, traits des fées alloouées à un pré post-morrtem aux données de frère ! On veut coller ! dire et sonder ! les n énés du verbe ! sein lacté = verbe de préb = chant larvé" = transe comme soupesée ! On veut aimer ! dioonner ! faiore ! charger ! coller à une vérité en herbe ine sorte de bonté "souterraine" souveraine desz contrées acerbes (pré) comme rencontrées, touchées, cernées, treaversées, recherchées, accolées à  une foulée ou comment s'exprimer pour dire ce qui est en cette chose d'une traversée des herbes du verbe ? On aime ! On est come soulevées-soupeseées ! On veut aller = faire = tendre = tendre vers = comprendre = plier = s'enfuir = sortir ! = sortir en vrai de ce pré des fées et autres bêtes-mots ddes lèvres ! s'enfuirv= sortir = re ! 

re ! 

re ! 

 re ! 

re ! 

 re ! 

 re ! 

 re ! 

 re ! 

 re 

! re naitre ou comùment dire , re ! re des re ! re-venir paître ? re-ttracer les traits de l'elfe ? re-nâclker ? re-lever les don,ées de l'être ? re-je veux mon neveu, toucher à l'être (envieux) d u passé de l'herbe  ? Se toucher (alerte) sur pré (aimé) comme fées celtes ? compter ? CFompter à qui mieiux mieux ce qui est qui se déverse dans la plaine et foule (charge) l'herbe sans traîner ? On veut coller à ces do nnnées données de l'herbe verte, herbe des prés, les aimer comme un frère ! Toucher ! faire ! sonder ! coller ! aller ! faire sur pré nos petites emplettes et du coup toucher  aux nénés "colère", aux traits des fées, aux vérités sur herbe et autres mots-bêtres allouées à une sorte de treacé des Fées ! Qui on est ? Herbe ! Herbe cendrée ! Verbe ! Verbve des pré ! Charge comme sidérée ! Be^tes de trait (somme sur roche) teaçant comme qui dirait , le sillon des omùbres (hommes) saturées. On veut coller = donner = dire = cernerb = comprendre = colmater = charger = faiore = toucher = dire et donner = charger, coller, coller de près, s'accoler et ne plus qyuiiter, la Chose ici Allouée à une Vérité Admise, comme quoi en vrai, la Mort est de mise, existe, se trame sous le nrz, se trame ou se vtramerait de fait sous notre nez, à notre guise ou pas mais en vrai = avérée ! On veut tyoucher de près ! à cette mort admise ! l'affronter, la toucher au collet, la toucher de près et lui dire en vrai nos quatre vérités : du dire de Fée ! chants de gouines ! percée ! traversée ! cxharge alpine, considérations atemporelles sur la Chine et les données données par son entremise ! On est comme collées à une vitrine ! On est nées gouines fines allouées (en Chine) sur Paroi de Fée ! gouines cendrées ! allusivesz ! auto-générées pour ainsi dire (l'homme est sous les pieds, terre promise). On est nées guoines da,ns la mort donnée ! fines ! chine ! tyraversée sur rive ! cajolée ! On voulait ! on voulait tracer, comprtendre, comprendre et sonder, aller et filer, tracver et n  e plus traîner et dire, fouler toucher, contrer, sentir, dire et coller à ce quii est qui serait en vrai du verbe alloué à une sorte de donnée de gouine : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii vrai !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! chiche = vrai !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! !!!!!!! !!!!!!! !!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!i! !!!!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!!! !!!!! !!!! !!!!!! !!!!!!! !!! !!!!!! !!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!! !!! !! !!! ! ! !!!! !!! !!!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!!!! !!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!!!  on est vives ! vives on erst ! On est nhées sur rive d'un p)ré alluoué à un dire dit "de vérité", vérité  allusive , ç a le fait ! on v eut en vrai de fait toucher à une sorte de donnée de rive, traits ma&rqués, chants dex ,prés comme s'il en pleuvait ! rires 

! gros riresq ! rires gros comme des veaux ! Vie du rire szur paroi des veaux ! On veut toucher à volonté les données données d'une sorte de contrée aux fées ! c erner = composer, dessiner, treacer à main levée, en transe, soulevée, le Rire Gros d es Donnéesq de Veau, vache, Boeuf de Rage. TORO ! TORO SOT ! chant xd'Espagne ! calicot ! on entre ! on est dans ! on est entré e ! dans la dent ! entrées comme accolées formant Fée ded ans ! en cette sorte de contrée-arène aux fées et Bêtes, Bêtes de poidsq ge"nre Gros mot ! mot de trop ! rire graos ! pesant ! accolé aux mots (méchants ?) d'un troupeau ! On veut (fée) être(en vrai ?) accolée à une sorte de donnée-mot qui sa&urait révéler le pot ! poteau ! pot de trop ? poteau d'angle cerné, sur champ ou pré aux données allouées à une Vérioté de Branche . Saturnales et gravité  ! Pa rades bancales .... ou pas bancales mais forcées, poussées, chargées, acculées ! sur roche des données frontalo-pariétales de fond de tonneau ! On veut toucher à  c e qui est qui se présente sous le vent larvé ! charger ! nous donner ! cerner = porter (sous peau) le Bébé de l'âme ! l'âme des années (chahutées) sur branche et auttre moineaéu dit "de contrebande dans le's boyaux ". On veut comprendre = saluer = sonder = toucher à c et oiseau (moineau) de contrebande ! Ce que c''st en termes de charme, chant docte et autres cri d'envie ! Qui ? qui crie ? qui est qui    ? on est ici la Fée dite "du tonneau" , ventre ami, cerveau. On veut être ce moineau , oisea&u de pa r adis, et faire du bruit ! piou piou des données vives, un cri ami ! chant de grive et autres volatiles de prairie ou sur praiorie. On est la fée dite "du boyau", de grotte insoumise ! On est bête de peau, gros mot , rire gros, bêtes -mots sur pré broutant gros l'herbe des moçts ! On est vives ! gouines actives vives on chante gros ! On veut toucxher la rive , le fond du tonneau ! vive l'ivre ! les données de trop ! mots des fiches sur préau, maison d'eau, ventrepeau du trot ! On veut :

dire, faire, aller , toucher, tendre, jouer, comprendre, situer, donner, coller, sonder, allouer à une rive un mot de vérité active, donner et pousser et sentir et charger et clouer sur croix l'ombre de la voix vive ! charge acquise est celle qui active les données de Roi et Reine des pas ! vive le ROi ! La reine des chats ! le combat ! la pleine de Soi ! On entre ! on veut ici :

toc-toucgher

les Nénés 

des Nénés 

de L'ombre 

et ne plus recvuler mais foncer de toutes nos forces vers ce Prieuré ou ces contrées de fond des fgonds du fond, de la Roche allouée à une VFérité Ancrée de type "ce que c'est que la mort admise " ou autres vérités des preés. On est GOUINES NÉES SUR PRé du fait que oui, mort de l'homme enterré, devenu herbe sous le piedf, quand la Fée est née de deux femmes attitrées accollées , sortant de lla mouise, du petit tas de cendres acquises, car mort-né est l'homme des faits. Son coprtps attise, active, fait ou refait la cerise , d'une sorte en soi de Fée active de genre FGouine aux dioonées du pré et autres données post-traverseée. On est la Fée des donnérsz actives sur pré alloué à une frise ou sorte de, qui serait La des Frises au Mieux, du Mieux qui se peut, la vie passée, dépassée, adfmise en tant que passé vrai. On est la Fée des données de frise : chevauchées, chyants des prés, bêtes grosses à la pararde et autres calvalcades endiablées sur roche ornée. On ,est F2E des fées surprise ! GOUINE comme qui dirait szans plus de doigté ! gouibne au pré ! chants de vives sororités acquises ça le fait en vrai et sa ns traîner ! On est nées vives sur pré allouées à une sorte de donnée de r(ive ! charge active on trait ! on tire du lait ! on veut téter ! on ne  v eut que (en vrai) boire du lait et ça fera, facile ! ça ira ! ça sera "tangible" ! On est la fée des donné&es acvides du passé tracé , on a passé le Rubicon des Oùmbres et là, du coup, on s'est posées, on s'est mises comme qui diréit sur pré , comme bêters dees prés, à téter ou brouter , machoui:ller , mâcher l'her be des do 

nbnées , boire le lait,  l'eau des riusseaux ! Allzr et rire ! donner et vivre ! coller et toucher ! cxharger et monter ou nous e,nvolezr ! tracer ! tracer haut ! monter ! gravir sur roche les traits de montée ! coller, à une sorte de donnée (de roche sur haut), front, menton, chevron, galoche, éperon et poches des monts ! On est vives (gouines) touchées , en vrai, par une sorte de bêtye vive (vouivre ? ) qui ne nous plaît guère en vérité mais voi:là, c'est fait ! on est touchées ! piquées ! transformées ! chahutées ! soumises ! sidérées ! choqueées ! contrôlées ! transformées en fée du Rire ou des larmes a llouées à une sorte de charge mentale sous front ! colle au front ! chant sarde" ! chant vif aux couleurs astrales ! ton sur ton ! on est fée frontale ! collusion ! on entre ! on colle à cette Charge des données antrales ! On est comme accolées de front , au muret des charges ! diapâson ! collusion ! le téton de l'âme est notre téton ! on entre ! On veut boire = dire ! Charger et sourire ! téter ! grave téter ! on veut (on aime) grave téter les données de l'herbe ! pis de fée et autres seins surnuméraires on le sait ! on tète ! la tétée "post-mortem" est de celles qiu'on aime " ! On EST la f2e du cvimetière comme ici allouée à ine sorte de dopnnée de l'herbve = fée faoite, trafiquée, formée, du fait de l'herbe ici broutée par une bêt 

e (bête-mot de rage") alloué à un pré de type post-morteme  on le sait. On est la fée aux données d'herbe (saturée) qui aime , en vrai, chercher à teter le néné , sein de l'être (alloué à un pré) imberbe s'il en est, petit attaché, veau d'eau, vie des vies dans un troupeau. On veut :

toucher = dire = faire = comprendre = cerner = vivre = monter = raser = louer = montrter = jouer = lire = mesurer = conduire = conduire auxc nénés le petit veau de lâme du troupeau des charges et autres poids de mots. ON est la Fée des mots-nanimaus, nourrie de lait ! On aime aller (voler et voleter) en ce pré des mots ! chnts corbeau, chants moineau, chants oiseau ! Chants des chants sur paroi de sang ! troupeau ! à vau-l'eau les mots dedans! on est le mot-tourment peut-être des donnéesz fr(ontales = fée ! ou : La Fée ! celle au troupeau de bêtes-mots au trot ! On colle aucx nénés ! ion a traversé le ruiwsseaéu, l'antre des vallées (et autres monts) aux donnéess dee roche, type : vaches et veaux, toro faux, buffles esquimaux, buflettes du cerveaéu et aéutres bouquetines lamantines ! On veut grave téter au sein du troupeaiu xde bhêtesmots la vache ! la téter gravve sous le boisseau, ou sinon le boisseau la branche, ou sinon la branche le Gros, le GRos Mot de BAse, gros du gras , gras du gros ça ira , ça le fera, ça fera ce qui devra ! Onn aime ça ! la Branche de paroi, tréit de raghe, mains de foi, foi des mains soufflées et autres mots genrés ! Foi de Roi /Reine de toundra, savannah, plaines de paroi, pré paradisiaque sous un vent de charge ! On y va ! on cherche (grave !) à comp)rendrte ensembkle, les données coriaces, charges ! pré ! s&turnales enjouées ! cris des bêtres allouées à 

une roche de façade ! chants totaux vu-ivants ! cris de FRance ! cris acquis ! vifs cris des cris d'Espagneb ! d'Italie ! Vie des vives envies de vies de charge et autres romances à moitié- prix ! charge ! chances ! vie des vies des bêtes-charges ! On veut passer commande ! saturer  ! tracer ! chyercher ! toucher les nénés ! toucher les nénés ! charger = treacer ! commencer, deébuter, convenir, aller, courir, lancer, aller ! Ne plus reculer mais en vrai pousser jusqu'à qui sait peut-êttre défaillir mais csansz vraiment jamais dee fait swuccombver mais juste ^pâlir ! défaillir mais sans vraiment sombrer ! on pâsse ! FÉE ! on est la Fée des arme's ! fée faite fée du fait de l'âme ainsi accordée  à un passage (de vie à trépas) sous voix, sous concert de voix "étranges", charge ! caramba ça y va ça tremble ! tout tremble ensemble mais ça va ! on tient bon en transe ! on combat ! on entre ! ouh on entre ensemble ! charge mentale ! mains donnéesz ! entrée de face ! on est accolées : deux femmes sur pré sondent (tentent) leur chance et elles ont bien fait parce qu'en v  rai ça passe large ! trait ! treait ! un trait ! trait des fées ! deux femmes ici comme à la retombée cforment Fée = F = EFFE = FEMME-F2e des treacées de l'herbe verte (verbe) sur p)rairie des  bêtes ! On est passées (F) à la retombvée c'est un fait, formant Fée des prés soit surnuméraire bête allouée à une V2rité "en hervbe" (chahutée ? ) qui en vrai est ... du VErbe , comme s'il en pissait, de vache laotière ! c'est ! FAit vrai ! Fait des faits = VErbe comme pissé ! on est Bête de trait  : fée en herbe = soulevée et on est Fée ! Fée surnumeéteraire" ! en une sorte de passage éclair on a comme qui diréit de fait traversé ici même (la grotte) la roche allouée à des dessins / gravures monstres. On est passées (femmes accolées) à travers la roche ! lévitant ! et nous voilà comme si 

(de fait) la mùort ici (en vrai) bnous avait transformées eh bé oui en fée, fée post-mortem on dirait, sur pré des 

Fées et autresq B-êtrsz de Trait / somme ; bât des Rois/REines cde Saba (la haine ! le tracé-né ! ça y va = ça envoie du bois) . On est née Fée et ça le fait pour bien déplaire ! qui sait ? ) à c  ette D2ité des plaines ? ou pas ou qu'est-ce ? On ne sait en v rai   ce qui pla&ît, à Déité des prés, des confinsz de l'herbe ! Onnne peut jurer ! on ne sait en vraéi ce qui est qui pourraoit la toucxher, ou la blesser, ou lui pla&ire à jaùmais, ou lui donner (à elle aussi) des ailes de fé&e ou quoi ou qu'est-ce en vrai de la Mort-Déité telle quu'avancée, dénommée, dévoilée, sur herbe de pré alloué à une Vérité des Véritésv intitulée "LA Vérité des V2rités Des p)rés de l'ère d'après " . On veut aimer , toucher, cerner, pôusser, accoler, sentir et ressentir, ravaler sa haine et tracer sur roche un sentier de poche par où pour le coup pouvior (accolées ou ainsi accolert) passer en vrai, jusqu'au plus profond des fonds du  fond de la roche rude. Tracé. Sentyerr de rue ou d'avenue. Vie de fée ! On est Fée des prés voulant téter et pas à moitié : le sein de l'acmé ? du trait alloué à une vérité aimée ? on chercvhe sur pré les données (de base) tracées , dessinées, mentionnées, afin de comprendre , qui sait ? ce qui est en vrai qui nous atte"ndraiot la paroi une fois traversée, et plus loin encore, après le pré, l"'herbe, les données à mâchher, ap^rès le muret, l'onde, la ronde, le palais ! Quoi serait, qui (^peut-êttre, on ne sa it) swezrait "à nous a ttendre, sur pied, bien c ampé,e ! " : qui sait ? On cherche ! on creuse grave ! On veut com)rtendre = sonder = soulager = dire= prendre = pondre = louer = virer = charger = tomber ou ne pas tomber mais coller, dire et souder ensemble les différents dires d  'une sorte de PAroi à Rire ! à chahuter ! à faore trembler ou tremb ler de rire ! chants donnés ! chants des données ! frises ! vivacités comme consacrées, sur piste ! On veut : 

toucher , toucher grave les nénés de l;'antre ! le cerveau lac té ! l'ambre  ! les nénéscalloués à une sorte de charade comme sacrée ! On veut en vr'ai toucher ensemble (fée ailée) les donc nénés du pré, ou du pré lacté , alloué à une BANDE ! Vie des VIes sur pré sont do nnées de CHance ! -vive ! vive Chance allouée à un pré (passé) aux données "strange" (on dirait) de fait ! charge ! charge m:entale "strange" : qui le sait ? qui sait ce qui est ? qui connaiot en  vrai les vrais données des faits étranges ? On est accolées = touchées = sondés = dûs ! du fait qu'on est passées, transformées, changées, touchées, comme soulevées et ainsi soulevées. On est Fée de contrebande ! on veut (tracées, ou ainsi treacée) passer ! dire ! charger ! collezr ! sonder ! faire et comme soulever la branche (les branches) et regarder et pas à moitié mais pour de vrai ce qui est qui se présente ou se présenterait à nos yeux de fée, de fée allouée 

à une sorte ici de pré "étrange" comme qui d irait (paradisiaque, allez! ) qui est le pré des Charmes, des Bêtes-Mts de Rage, Gros motrs de Façade, MOts grtos pesant sa cxharge de base et autre pesant de contrebande ! On est nées Fée au passage parce que ça : les mots ! hrerbe au tombeau ! tombereau de mots "étranges"  et nous voilà mise sur pré comme à l'unisson en forme de Fée ! Fée-)faon ! Fée-mot ! Enfa,nt-mot sur Rocghe du Trot. ON est la Fée des motrs de trop ! gravée = allouée ! On entre en trombe ! on fonce ! mots des mots ! On est accolées = ailes de roche ! Fée ...................................................?...............     fée des fées ? ..............L..........................................................fé&e ailée ça le faoit ......................./......post-mortem on aime ! ..../......................................................................../............... in veut grave toucher aux nénés de l'ëtre ! aux seins donnés surnuméraires alloués à une bête ! bête de trait ! vac he à lait ddu Verbe ! ici collée , touchée-cernée ! collabée ? On trace des traits ! on est , Fée traçant des traits sur roche allouée à des Bêtes de Verbe comme saturé ! On aime les bêters et les gtraits ! on est la Fée dite "post-mortemm" aux données données par des Bêtes de Verbe, Vache à lait surnaturelle , aillée, donnée, consacrée -sacrée !On veut toucher leurs ailes avec nos ailes ! gouiner ! chahuter sur herbe ! accoler ! donner de nos ailes et tracer !  ne plus nous arrêter ! tracer desz tra&itsz ! bherbe ! herbe ! trait d'herbe vcerte ! traiots de Verbe ! herbe ! traits ! traits ! traits des traits ! her b e ! herbe funéraire ! traits ! très ! très funéraire ! herbe-Verbe ! traits des traits = traits avoués = verbe = herbe xdes prés = verbe au débotté ! on est née Fée sur Herbe VCerte = Verbe des dxonnées cdonnées comme s'il en pleiuvait ////////////////////////////+////////////////////////////////// teraits des traits post-mortemm on éime /////////////////////////////////////////////////////////////// pluie de faits //////////////////////////////////////////////////////// tracé //////////////////./ Fée des fées post-cimetière on dirait et qui ça szerait ? On chezrche ! on voudrait trouver  ! on éimeraittrop ensemble (ailée) en vrai trouver les choses du pré comme elles seraient

, nous regarderaient, nous toucheraient? . Fée des prés on est qui voulons en vrai rechercher l'endroit par où ensemble on pourrait passer de fait 

sans y rester, sans y passer, mâis en restant (du coup) bien campée en tant que fée sur nos pieds et ailes ! On veut toucher aux Nénés de L'Herbe (! ) saturée ! On veiut grave en tant que fée toucher pour de vrai aux nénéds de l4herbe soit du Verbe aux données données p ar ici (le Pré) les bêtes allouées, Béêtes-:mots des Prés genre TORO, Bêtyes-mots de trop, gros Motrs et autres "Vilénies tempiorelles" ! Mots des Veaux ! On veut (en tant que fée) treacer = dessiner = desswsiner de chic et à main levée les données données , données doctes s'il en est, vraies données dites "de la Vérité" et autres paroles au cordea&u. On veut : 

toc-toucher la Chose , lme Mot et la CHose, le Tombeau ! Qui est là pour, en vrai, comme nous aider ou nous seconder ? eh bé on dira ... pas gvrand-monde mais ... ça viendra ? On ne s ait ! on trace , grave, les mots du pré ! On avance ! On veut coller ! toucher-treacer ! dire et aller, pincer, sonder, toucgher la Panse ! = 

téter = boire aux nénés le lait de la transe ! chercher ! cghercher grave ! sonder ! sonder ensemble ainsi ailéesz ! EAiles des fées de connivence ! soeurs lactées ! filles des contrées sauvées ! fi:lles s auvées et des contrées sauvées ! on charge ! On veut gr ave tracer ensemble, le dessin de l'âme  : le trait ! trait des traits ! trait des doonées graves ! le tracé ! trait alloué à une romance, comme s'il en pleuvait !Chance ///////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////// et ROmance, sur pré aux Nénés ////////////////////////////////////////////////// ça pisse du lait ////////////////////////////////////////////// = notre CHance !

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21/10/2024

On est données de rage sur paroi. On veut touchger à ce qui là, en face, va , vient, file, charge et se présente n tant que Pzarade. Obn est qui ? ELLEs ! ELLES = AILES = fée de rage, ici = comme au débotté, et ça le fait ! On est nées sur place la mort actée = accordée ! On ne veut pas se ranger des camions mauis tracer ! aller vif encore, devant, et ne plus s'arrêter on va dire jusqiu'aux nénéds ! On veut toucher = on veut (dans la motrt) toucher aux nénés ! On  nge veut pâs passer à côté mais grave cerner, dessinner, graver "iceux nénés" comme qui dirait ! On est Bêtes Fauves (rosses ?) , on va vif, on trace sur roche ! on est tout ENCLAV1ÉES !!!!!!!! on file et vibre ! on veut (on voudrait) grave traverser = aklller ensemble jusqiu'au fond du pré, de l'autee côté, fond de cercle et toucher, à cette sorte de donnée qui serait un muret , mur de cimetière si tant est, ùais est-ce ? Est-ce véritablement (ce muret) une sorte de ... fond de baptême, fond des fonds, fond de cuve alluoué à une sorte d'enclave profonde ? On avance ! On trace sur pré. Onnest (oui) enclav&éées de base, en cette sorte de jardin des Rages et autres colères allouées à un passage. On veut toucxher = on veut comprendre, ce qui est et ce qui n'est pas, en  cette paroi dite " de contreabande". On est là (ensemble) pour ça, elle et moi = AILES , pour comprezndre = avancer = marchert = voler = monter = se haussrer et se gausser, tracer et graver (sur roche) ce tracé de bosse, mots de bêtes animaux  = des mots, dits "Animaux", de bêtes de trait  au plus haut niveau ! On veut :

toucher , dire, aller, creuser, et du coup comme se téléporter en cette sorte de "muret" des murs de rage , le dernier (on diraoit) = paroi Sarde (?) il semblerait ! maiis pourquoio "Sarde" ? poirquoi pas .... "sage" ? On est nées (sur pré) Fée comme on est passées ! ou : en tant que voilà, on a réussi à passer = traverser la Mancxhe, le tracé des branches, les feuilles de base et autres fleurs acidulées. On est nées ! on est (dans la mort ) nées FGemme = Fée (en vrai) dans la tourmente ! On est coincées ! on est (oui ?) enclavées sur place ! pré ! Pré des Rages et autres ires allouées à une sorte en vrai de passage forcé ! On veut toucher = on veut cerner deprès ces fameux "nénés" dits "de contreb ande" ! ce que c'est ! On essaie de comprendre>. Qui on est, qui on serait, qui xans la mort on serait, . Qui en vrai dans la mort on serait qu'on deviendrait . On veut comprtenndre ce qui est pour nous qui semblerait nous concer ner ++ ! Qui, en vrai, on seraiot, ici = mort vive, en vrai. On entre dans un palais dont le nom est Pré, et dans ce palais (en tant qye FE4lmmme = Fée) qu('est-ce qu'on fait ? on fait ... hum .... pitié ! on fait mine de cerner, on fait ... grise mine, on fait des simagrées, on vire et vibre ... sans s'arrêter ? Non en vrai on file ! on va vite ! on fonce à toutes enjambées vers cette sorte de muret de fond de niche ! On est F1ée du Pré à la retombée, on court on vole sans traîner et jusqu'au bout du bout d'une sorte ici de contrée "ronde", cercle aux fées de Roche , on monte ! On est montées ! On est bête de somme / fée, qui voulons monter, gravir ... les néné s ! ? Ou quoi d'autre ? On est les fées des zonesz d'ombre, traversant la Roche, allant vif jusqu'à se pointer / p ôster, sur muret, de Force, tracé des contrtées profondes, fin /finalité des données des Causses ! On veut : 

Grave oui, toucher ce qui est = les nénés, les nénés de l'Aube ! 

lesz cerner = les toucher 

les toucher = les comprendre = les aimer ! On veut :

Aller , filer, ne plus nous arrêter sur roche des Prés ! On est la fée   des données abgr aires ! attelage de trait, fée hors cimetiètrree c'est un fait qu'il fau t reconnaitre et adouber ! On est la Fée aux données de rêve ou sinon de rêve de grève ou sinon de grève de trêve ou sinon de trêve de  tra&it ! car on est nées de trait (traite) pour complaire et donner ( à la mort souterraine) de quoi la satisfaire on dirait à tout jamais mais est)-ce vrai ?opn est la Fée post-cimetière comme attelée à une sorte de joug de réservfe, roue dentée ou crénezlée, on est Bêtes de trait ! hors cimetière on trace vite fait le trait de l'araire ! on veut coller à cette sorte de donée de terre ! trait tracé sur pré , araire au taquet, fée agraire et tourniquet, ça charge sévère c'est parfait ! accoutumée ! on est fée des herbes, mottes de terre, champ de trait et autres prés de serre ! on est nées ! ohou c'est un fait ! ouh ouh c'est dingue ! on est ! on est = on est nées ! ion est dans la mort née en tant que Fée avgraire, sur tracé de terre ! chamoiré ! On est la fée post -cimetière née sur terre des données de type "mort actée" et ça rendrait ! On veut toucher à mille données "naturelles" comme qui dirait. qui donc en vrai saiot ce qui est en cette sorte de "contrée-cercle" à nous offerte (dans la mort  validée, tracée, concrète) , qui ? On ne sait et c'rest pourça 

qu'on cherche ! mèfle , et comment qu'on cherche ! on n'arrête pas de chercher, de cerner, de soulever des lièvres, de tracer à main levée, de  dessiner ici et là des animaux de pré genre le cxheval bai, l'antilope allouée aux données terrestres, bisonnnées des treacés sans herbe type sentier et autres cheminées ! On veut :

toucgher à ce qui est qui vitupère, va tracer, va se terrer, va se cacher, va vivre sur pré sa vie 

de contrée sans verbe ! On veut en v rai coller à unbe sorte de donnée rupestre, type :  souterrain , 

creuset, 

fosse tra cée, trou des Fées de Rêve. On veut aller au pluslopintain possibvle sous la terre pour chercher le termed'une sorte en soi de vérité "agraire". On veut toucgher à ces "nén"és" post-cimetière en vrai = 🥲téter , TÉTER en vrai, être, cerner les nénés, les tenir ferme et donc s'alimenter ezn tant qu'on est Fée, Fée des herbes, Bêtes, Bête de trait sur herbe ça lefait ! on aime ! on veut téter , y aller, toucher à vo:lo,nté ce néné "de l"herbe" et tr acer ! filer ! charger ! aller jusqu'à se porter , téléporter soi-même, en ce fond des fonds argentés, gravé, qui semble ou semblerait nous regarder (du coup) nous pointer ou nous amener ou  nous amarrer à ... eh bé, cette sorte de murret ? de mur d'entrée ou quoi ou qu'est-ce en vrai ça pourrait être d'autre qu'un muret (de fait) de cimetière, alloué à une contrée de type (qui sait ?) surnaturelle ? On cher c he ! on veut trouver ! on veut aller et du coup ttrouver , ici même, les donné&es patentes, termes qui nbous plairaient, tracé tendrte, vie des vies amantes, Givenchy ! On aime l'ambre ! le trajet jusqu'aux données de bande, sur muret, fond des prés. On veut toucher à ce muret ! On vgeut aller (de fait) en son antre si tant est ensembvle = ailes de fée  = fée ! On est ailes = bêtes = fée = attelage nacré = trajet ! jet de bave ! On veuit touchert à ce muret des contrebandes et autres données, ici données à une sorte de malignité de type "formulée, gravée, actée, dite sur pré, dessinée à la volée". On veut touchert en cvrai , à ce ge nre de donnée de base, qui est, en vrai, donnée des données , donnée d'herbe sur pré afin de (pour le coup) pôuvoir s'alimenter wsans chômer ! on entre ! on est dans l'anrrrtree de la mort "genrée " ! ça le fait ! fée ! on est devenue fée ! on est pasdsée ("à toi à moi" le genre) et nous voilà toutes deux tra&nsgformées, transformées en "Fée de base" sur "creux des rages de Dieu" ! On est née F2e de contrebande, ici, au passage ! fée ! Ailes ancrées  nacrées = attelage d'ailes sur pré = montage ! vaches -fée des prés sur page ! On veut touchert à (pour le coup) ce genre de donnée de base ! On veut coller à une vérité qui sauraiot révéler les donnéez prégnantes ici allouées à une sorte de contrée (= cercle d'or) dont le nom gravée (sur rocxhe ca&chée)) est MORT , MORT AUX OMBRES accolées à une sorte d'entité ssacrée, type : CORPS ! CORPS DE FGÉE ! Accord ! amarcord ! On veut :

cacher le sein donné, 

donner le sein caché, 

alimenter kle bébé ! Donner ! donner son lait , son propre lait sucré salé sur terre allouée à une sorte de donnée sans verbe ... ou sans autre

ou sans auvtr es 

ou sans autres 

charges de force, charges doctes , ou sans autres charges doctes, ou 

sans autres charges (tracées-) de type docte ! On veut coller ! cer ner et toucher ! comprendre ensembgle les do nnées de l'ombre. homme mort né la mort acté, se transformerait, en cette sorte d'attelage de type Fée , AILES doublées ou débdoublée devient la fée ... aux données de cxharge ! trait ! somme de base ! attreactivité et sentiment larvé d'une sorte d'amicuicalité de façade ou qauoi pourrait se présenter d'autre, qui sait ? que cette sorte en soi de rire de la foi dans l'antre ? On y va ! on charge ! on  veut comprendre ! oin aime aller ensemble à fond de c ale ! travezrser la lande et chercher ! cxhertcher grabve les données treacées, le sentier ce que c'est, le vif des contrées ( air de rage ), les nénés ! On veut comprtendre = téter = boire = se donner = tracer = chercher ensemble les données présentes sur ce rtype de (ici) trajet de contraebvande ! on est née f-ée du fait qu'on est (dsans lea mort) née !, en France, sur terre de charge, soulevées et collées ! On veut en vrai  essayer (ensemble) de se rapprocher au plus possible d'une soettre de donnée pl acide, donnée fine , qui wserait "donnée de gr'âce" et autrtes sentiments tenaces accordés à une sortede menace ellke-même allouée ou comme attribuée  à une Fée , qui sweraiot LA fée . Fée docte ! Fée des fées ! Onveut toucxher ! En vrai ce qu'on veut , à tout jamais, c'est  ette chose : de toucher = treacer ! On veut tracer la Chose, Emp^édocle, lesdonnées de Roche, l'amballée, la CXhose profonde = la donnée du bout du monde, soiulevée, montrée,qu'on saurait cerner eznsembvle sans traîner et comme charmée ! On veut touchger à cette sorte de donnée de roche. On est née fée parce qu'ion est mortes ! on est la Fée des ombres ! ombres = hommes ! on est ! on est née Fée à la mort de l'homme c''st un fait tracé  sur roche de grotte ! bêtes m:oinstres ! bisonnes ! buffles au taquet ! chevaux / Chevales aux am azones, antilo. des prés et aiutres ourses amadouées ! On est gravées ! dites ! prononcées ! parlées,  

parlées sans honte ! On est nées fée

sur roche au t aquet dès que née de Roche ! on est pasdsées ! On voulait grave eh bé c'est fait ! on a pour le coup traversé enxemble les donnéeezs rupestres d'une sorte de cloison "de cimetière" et nous voilà "post-cimetière" dans un pré , à broueter, téter, manger de l'herbe verte, verbe des contrées , herbe aux données salutaires et autres foins de Dulcinée rupestre. On veut toucher à s atiété à volonté cette herbe à brouter sans traîner ni discontinuer ! vache à lait à traire ! bête-fée du Verbe , on est nées "fée salutaiore" ! fée des fées sur l'herbe ça le fait et c'est un fait qui nous plaéit (plaira) (grave) à j amais ! On veut : toucher = dire = cerner = comprendre = charger = allouer à une roche un e donnéevdite "profonde". On veut aller et coller ou accoler , à pareille roche, une vérité , genre : AUROCHs des chaumières, Buffle au débotté, Bisonne de Roche et autres lionnes (calfeutrées en grootte). On est nées LA F2E , Fée des Ombres portées , hommes doctes sur un pied ça va pas jouer ! ça va tomber ! chuter ! tomber par terre, s'enterrer ! pouriir = mourir , à jamais, dans un cimetière aux données du verbe , herbe, pré, pré à brouter, herbe verte = homme genré , gravé, dans l'herbve enterrée,bon à brouter, comme dans 

une sorte de "chaîne 

alimentaiore" 

à ne pas casser ! On est F2e du vERbe parce qu'en vrai on est ... (post^-cimetière) Bêtes des prés sachant brouter , l'herbe -Vernbe aux données terrestresv(alimantauires) comme s'il en pleuvait ! hervbe verte ! verbe ancré ! charge de terre ! mottet ! motte aux nez ! On veut touchert à ces mottes de terre et autrtesc blés en herbe ! s'y coller sans disparaoitrte , se donner aux prés en tant que fée agraire, genre bête-fée venue de derrière ! on est nées fée car on est passées ! on a traversées de fait "à la une à la deux" la roche aux tracés, dessins de têtes, alouettes. On est fée des prés ! On est La Fée du PRé aux données tracées ! on est F2e aux alouettes et auttes bêtes eznvolées ! On est Fée d'herbe verte = données données comme à lka volette à jamùais ! On est : 

F2E F2E Fée , aux vives données donné&es et auttes véritée a graires distinguées ! On veut toucher à une véroité qyik serait vérité hors cimetière, nous rapprocher (en vrai) de la grève (là-bas) aux données imberbes et autres voix de choix ! On veut colloer := dire = faire = aller =cerner = co=mprtendre = sonder = chervchert = faire acte en vrai de présence, en tantr que fdée postée sur une branche ! On est la fée voleiuse, l'envolée des envolées, la pie cachée, charge ancrée, vent en face on est collée à une sorte de donnée tenace (la donnée des rages). On  v eut en vrai touchger à ce qui est qui nous fait face et nous regarde ! On est fée des fées . On est la fée des Fées . On vfeut en vrai toucher à ce mureet de contrebande ici donné en tant qu'il serait une sorte de finalité . On est née fée de rage prête à nous coller à pareil muret a&ux données "strange" : a ccolées, comme notées ou même notifiées, gravées à main levée et c'sset à nous de de ce fait cerner-comprendre ce qui est, ce qui dsonc est noté, ou notifié, gravé par la bande, ce que c'erst en termes de dopnnées qui serait des données de Finalités, données-verbe à jhamùais ancrées ce que c'est ! ce que ça peut dire ou vouloitr dire qui pourrait grave nous intertessezr et nous donner (ou apporter) que"lqueqsq données de rage, données doctes, vérités de porte, charges de données hautes, vééerrités accortes et autres motsde roche-grotte "hot" ! On aime le haiut ! ce qsui va haut, s"'élève au fuseau, va vers les hauts d'une sorte de paazsage "hot". On veut aller haut en tant que fée, aux données du pré, en tant que fée des hauts ! On veut toucher leshauts de l'antre alloué à une sorte de tombeau ! On veut coller ! dire et soulever, charger et tracer, donner et comprtendre ce q<ui est qui en vrai serait là comme à nous attendrte. On est Fée des tombeaux de base, fée des  pots de bouse et autres chgarges fatales ! On veut (en vrai) coller et caler, chgharger et sonder, dire et pousser , dsans les prés, les données "adffables". On est nées fée car "on en redezmande"" da,ns le genre ! on est née LA F2E des bases romandes, travailléesz sur pré, tétée, sucée de près, mangée des yeux comme d'une denrée que tout le monde en vrai s'arracherait ou viserait ! On est la fée des prés, des bases romandes ! On veut coller à une vérité liée à la CXhance --> donnée aux Nénés tels qu'ils se présentent : vérités ! cxhants du pré ! charge-femme aux nénés lactésv   -  --->>  la ch an,ce ! les données données ! le tracé ! chant des prés ! on est nées sur pré au passage alloué à une sorte de tra cé ! on est passées ! on est ensemble toi et moi passées (sur pré) "à la romande" = sans traîner , sans chahuter, sans faire de vague, sans se présenter, sans la ramener, sans se prendre pour je ne sais quoi qui pourrait faoire croire qu'on s'en croit ! On est (ensembkle) en vrai passées ,; c'est fait ! nous voici transformées en fée  : ailes sur pré, vie des nénés ! On erst nées fée sur pré aux herbes données ! on est la fée aux données données sachant  donner son laéit ou qupooi ou qu'est-ce ? les nénés sont prêts, à être tétés ! ça le fait ! c'est un fait ici post-cimetière comme on les aime ! oin veut en vrai toucher sans traîner aux nénés dits "de l'herbe verte", chants sacrées ! On veut grave graver et gra vir ! mo nter ! charger ! posséder le Dire aux données données de type Véroté des Vérités. On est la Fille aux données données = Fée Fille, Fée d'entre les fées-filles ici accolées à une V2rité-Vrille comme s'il en pîssait sur un pré de rive ! On est :; 

NÉEs nues, cul nu, sur roche bue !

Fille aux données de type vérités du cru ! on veut se rapprocher ensembkle des données (finales) de fond de paroi. Coller ensemble à ça : la base ! mur  donné ! vent de face et autres attraits ! On est entrées ensembvle en cet antre aux vives clartés ! musiques genrées, chants de charme, douceurs d'ambre, mots des prés et autres bêtes-mots dorés. On est femmes= fée ! deux femmes font la Fée qui en vrai sait ce que la mort est . Et /... qu'est-ce qu'elle est en vré&i ? eh bé ... de l'herbe verte = du VErbe ! donnée s des prés. Mort-herbe = VErbe = VERbe doté de traits de vérités sans  trêve ! ON veut : 

toucher aux nénés, = téter , manger, boire du laiot, boire à ce lait du néné de fée ! Grave tétezr ! grave on voulait ! grave on veut téter ! on ve'iut en vrai grave téter ; le laitr du néné de la fée du pré, post-cimetioère à tout jamais, si tant est ! On veut grave téter, les né nés "en herbe" de la fée des prés,  bêtes sur pied, vache surnuméraire, buflette sur tracé, buffala de grève ! chahutée sans cesse par du vent de frai, mais bien campée ! tenant ferme ! séleva,nt ! On é&ime ! On veut AELLE ! on veut D'ELLE ! on veut d'elle ailes ! On veut comme elle ! on veut

 être elle ! fée d'entre les fées post-cimetière, et tracer = aller, en vrai, vite toucxher à cette sorte de donnée des prés, et qui est donnée docte, sagesse allouée à une sorte d'entité profonde type "bisonnée" eyt autres bêtes de somme ! On aime aller sur roche traquer, ensemble, cette sorte de donnée de type  vérité ancrée, et du coup c  erner = toiucher = toucher grave = calibrer = sonder = comprtendre = allouer à une roche une sorte de donnéev dite "du bout du monde en forme de rotondze". ON est nées fée car on est (dans la mort de roche) née en tant qu'on est (en vrai) passées, qui voulions toucher à une vérité profonde, soulever les ronces, passer, s'infiltrer, enttrer ensemble "à la une à la deux" (en transe) en  cette roche de façadde, traversée de rage, traversés (ici) comme "conjuguée" ! on est passées ! on a gagné lke pré et bnous voilà ensemble à prése n t soudées en tant que nous voilà toutectransformées en Fée des Rois et REines de SAba ! ça cxharge ! ça envoie ! ça (fgravce!) envoie du bois ! ça fout la rage ! ça fait ça ! On entre !on veutcoller à la paroi d'en fdace ! 

On veut tracer ! toucgher , coller, donner sur roche un peu de soi en termes de données lactées et aéutres substances de néné ! on est néné ! on est née néné ! on est donnée donnée sous forme de lait ! née néné on peut donner vdu lait à (qui sait ?) la mort en herbe ? aux dieux de la PLaine ? à la V2rité Humaine ? a&ux Divinités des tertres ? Aux gens et gentes des données rupestres (animaux des plaines et autres mots-bêtes donnés du tonneau). ? O,n cherche à pour le coup cerner la Bête aux contours rupestres ! On est la Fée (post-cimetière) sachant charger, xar elle est Bête aux données de trait , rupestre et agraire, bête au débotté va, sur pied, tracer sillon pour une marche alègre ! goupillon ! chignon ! condom ! savon et savonette, on erst prêtes pour les ablutions ! on veut plaire = dire = faire = charger = comprtendre = donner = allouer à une branche une sorte d'oisillon de base, chant sacré on en redeman,de, oisillon sacré des Branches de R age sur p)aroi de base. On veut : 

TOUCXher = DIRE = FAIRE ainsi, que des choses puissent en vrai être dites = soulevées ! Révélées ! on veut toucher à une sorte de donnée-denrée de type Lait  = tétér ! téter à ce lait -résine ! y aller de sa tétée de vrille ! charger ! coller ! donner ! fdaire ainsi que des choses larvées arriveznt en vrai colmme à maturité sur grille aux données montrées = révélées ! On veut : 

vivre = cerner = chanter = faire = coller = complaire = allouer à une vérité des données de rive, données fastes, vives données données de type roman,ces et autres chants des contrées aimées. On veut toucher à une vérioté sur pied ! bêtes des prés = bêtes à traire ou à teter , sqelon qui on est. On ne vcveut pas passer à côté mmmméis grave troucher aux nénéds en herbe ! on veut coller à une vérité des données de l'herbe = Verbve = Dits de plaine = LAit ! LE VErbe est du léit ! Le lait est du verbe ! ça le fait ! verbe en herbe xdes données tracées par (en vrai) l'holmme mort et enterré à la traversée , quand, ELLes, ont contuinué , sous forme d'ailes, d'ailes de F2e surdimensionnée, Féev Allègre enjouée tracée, va sur pré s'y plaire et voler (ou voleter) : on aime ! opn est folloes d'elle, de la Fée des Herbes ! Fée des f2es (sur herbe) enjouée gaie on l'aime ! on n'aime qu'elle ! On veut la toucher ou la triturer ou la frôler ou la toucher de près ou comment ? En vrai  / phuuysiquement / concrètement . Touchger à la Fée du pré et du coup  c erner, comprendre qui c'est, à qui on a ffaire en vrai . Féecv? fée des fées ? Herbe ? gentes plaines entre murets on veut cerner , de fait , ce qui est qui , sous nos yeux de bêtes, sembvle se tramer, en termes d'êttresz, de fée allouées et autres dfées post-cimetière (ce serait les mêmes). 

On a& méga envie de se poster aux av //

On a méga-envie de se poster ensemble sur tracé. On a Méga-envie ensemvble (ailes) d'y aller = cerner = touchger = comprendre = sidérer ! On veut en vrai toucher à cette sorte de Donnée de Roche déliée ! On veut :

vcoller ! grave coller ! coller grave à Déité des Déités de Base. Y almler = gravir ! = monter au plus haut possiblke sur roche massive ! ert du coup touchger à cette extrémité passive, ce tracé des rives, chants lactées si on peut dire, ce néné  ! ce lait ! Lait des laits des données ! On veut téter ! on veut / on voudraiot en vraéi (de fait) téter (sans cesse) aux ,nénés en herbe (nous alimenter de conserve, intstoinct grégaire) et macher, macghouiller de l'herbe, brouter à jamais ! téter et brouter ! brouter et téter sans plus tarder ! veau / vaches sur pré on aime l'herbe, le treacé acté sur un pré de plaine, fée on est = fée -bête ou fée-bête de trait vu qu'on est (de fait) vaches à laéit accouplées, vaches de ferme, vaches attelées pour pouvoir tracer sur terre les données du Verbe à naître ou faire naîtrtee. On veut grave y troucher de près ! grave cerner ! cerner de près kles dsonnées données telles qu'elles nous sont en vrai (dans la mort) présentées : des bêtes ! des données données sous forme de , bêtes des prés et autres fées acidulées post-cimetière ! ça le fait ! c'est un fait des plaines ! on aime ! on veut tracezr sur r('oche lres données profondes

 = ,

AUROCXHS des ROCs !

BUffles au taquet sur pré en herbe !

OUrqs / oursonnes /oursons /ourse au diapasion !

Colle cendrée sur roche trouée (percée) pour colmater = VErbve ancré !

ON AIME Coller à  ici, Ce genre de données sur HeR be (verte) , ça c'est vrai ! On VeuT toucher à une sopRtre de donnée aux fées ! on est nées fée, car , oui ? on a mouru (les hommes) sur terre battue ! Onn est : femmes fortes, grosses des vues, charges doctes, cornues, vaches bues, homme est mort sous roche, vaches est nées sur roche, on ose ! on est velues ! poilues ! non tondues ! on monte ! Vaches ailées = fée = vaches à lauit ! On mùonte ! on veut monter !aller , tracer, coller à ce muret des données profondes ditezs "terminales" (de rotonde),  et autres roche des finalités. On est la Fée des F2es cendrées ! charge forte on trace à vue de nez les données accortes et autrtes données vraies, liées aux ... nénés ? aux seins dotés de lait ? pis "spi" ça le fait qui sait ? on est néez .... FÉE 

DU FAIT QUE OUI ON ESST LA FÉE DES DONNÉES POSTÉES DE FAIT SUR UNE ROCHE, SOIT GRAVÉE, PAR UN HOMME OU UNE FEMME , FHOMME OU FHEMME AUX DONNÉES DE RAGE ET SACHANT GRAVE GRAVER EN TRANSE À MAIN LEVÉE CE QUI EST QUI EN VRAI EST (ICI MÊME : ROCHE SONDÉE) LA MORT-DEMOISELLE, MORT EN VRAI, LES DONNÉES RUPESTRES, VIES ANCRÉES SUR ROCHE DU PRÉ. 

On veuit toucher à Elle = la Fée, aéux données en herbe ! Fée des her bes et du verbe tracé sur roche touchée ! On est fée aux herbes sur un pré, de type champ des fées ! ON veut coller à une vérité acide, peut-être lactée, vive, sachant alimentezr ce qui en  vrai est ... avide de denrée ? On est la F2e post-rive ! on a traversé de fait la roche "fluide" et du coup, ainsi lancée, on sq'est , comme retyrouvées accolées ailes de fée, ailes vives, de fée vive, et on s'est envolées , envolée avide, vive sur ce pré aux données dob nnnées par (on dirait) une sorte de Fée Allouée, Sacrée, Sachant parler lescl :angues, riches, aux données ancrées pleine s de vérité ! Fée parmi les féesz ! On est née fée parmi les fées ! On est Fée de suite ! Chant de rive ! musique sacrée dans une sorte dee prairie des filtres ! On aime charger ! on veut toucxhezt à cette Déité aux données ancrées sur terre de pré post-mort allouée ou comme donnée. On est RICHe ! RICHE EN VRAI XDE VERBE DE FÉE ! 

on est la fée des prés sachant parler le  erbe lacté ! verbe vif aux données tracées comme à main levée sur roche des fées  (groote vide). On veut vivre ! charger et louer, cerner et toucher, comprendre ensemble ce qui est qui (qui saéit) pourrait en vrai nous expliquer un certain nombre de complexicités et autrtes sentiments de vie comme ancrés en noxs vies chargées (toutes) de données diverses et variées de type denrées ! vives ! dons de vcie sur pré sacré ! On veut vivre ! aller et donner ! comprendre-allouer à une fée lkes données des rives, ce qsui est qui nous fait vivre et traverser le pré, la prairie fleurie , lle champ de blé, terre aux dsonnées données et autres prés acclimatées, à nos vies (ici) de fée saluée. On est la Fée des prés cendrés ! on est fée des prés sacrés ! On veut :

TOUCHER , TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER , TOUCHER , TOUCHER , TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER, TOUCHRR en vrai à une vérité actée = physique = vraie , de type entité , roche des prés, grotte insoumise, traveréseé de rive et entrée ! On est née fée surprise ! sur paroi de rive, chjahutée en vrai mais nous voilà entrée tête la prezmière en ce pré aux herbes, vertes, grasses, à bvrouter de rage ! Vives ! fées vives ! on est comme colléesz à u,ne sorte de contré, sur pré aux données actées cendrées sacrées qui nous attirent vo:ontiers et nous font rêver ! On aime tracer (ici : roche aux bêtes des prés) des bêtes des prés ! On fveut : 

Colerr ! situer ! cerner ! centreer ! pister ! comprendre ! vivre ! tuer ! faire voeu de chasteté si tant est ! vi

der et combler ! situer la rive, l'autrte rive, le muret, les finalités (rocheuuses) de fond de pré, muret des mureets, charge profondxe, sentiments exacerbés en termes de hjoie profionde du fait qu'on est passées, qu'on est pas mortes comme est motrt l'homme, au pa ssage, affirmé, afffiché, tracé, sur roche de grotte ! mort est l'homme (et enterré : terre soumise, pré, herbe au piquet) quand (nous) on est passées ! on a (nous : femmes du pré) réussi à passer, à travers la roche, sa&ns succomber, démultipliée on dirait, ailes de fée, on est nées ! on est  gravées ! ion est tracéesz ! on est passées pour ainsi dire par la grande porte , pour tracer = sillonner la roche , bêtes de trait / de somme on est, qui cherchons : lza Chose profonde, = véroités ! vérités du bout du monde ! salub rité / insalubrité tout le pa quet ? on ne sait mais on colle , l'insalubrité à la salubrioté ! bête forte on est née ! fée ! bête de roche = fée ! fée des ombres mortes (hommes) sur pré ! morts et enterrés les hommes, sont de l'herbe  verte, traits de reste, chants fleuris et aiutres pissenlits sur terrre glaise ! hommes est mort et enterrés, sous nos pieds de fée (post-cimetière) ça lke fait ! on veut toucher à ces données rupestresc sans tarder, car on les aime, elles nouys intéressent , elles nous plaisent beaucoup , nous observcent peut-^ttre, nous interpellent (?), nous font signe sans trêve de bnous, pour le coup, porter, près d'elles, à genoux, ou zinon à genoux debout mais "rupestres" ! On les aime ! on veut gravir ! o,n veut grimper ! on veut s"'élever ! toucher lesz nénés ! toucher grave les nénés de l'être ! sang vif  va dans le vif tracer les mots ! on veut :

triturer ? les dooonéees placides ! gravir = monter = se haussr = toucher aux données qui sont données des hauts ! On voudrait ! on bveut toucher ! on voudréit en vcrai gr ave nous télécporter vers ces divinités ditrs "sacrées" qui seraient postées au pluys haut des hauts de ces données offertes (en vrai) par .... une Divinité Concrète ? iune D2iuté DEs cours d'eau ? Post-cimetière concrète ? cours d'eau des prés en nherbe et autres prairies celtes ? On chercvhe ! vgrave ! ce qui est qui va et se présente  à soi = nous = Fée ailée sur roche sacrée ! fée ! fée ........................................................................................ fée dees fées sur pré ............................................................................./............................ fée des fées sur pré en herbe ........................................//./..........//./?.?.....................................On veut touycxher à cette DÉitÉV post cimetière si tant est = si tentée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! = fée des fées  on diréit ou qauoi ou qu'est-ce ? Vérité ? vérité des Vérités ? ça se pourrait ! on aime ! on veut toucher ! on veut grave touycxgher à cette dféité-déessse des contrées genrées , fdée en herbe peut-être, déesse  à jamais touychée ? qui sait ? ailes en vraie  szur herbe et ça le fait ? on chercvhe ! on veut trouver ! on cherche alertes, on a en vrai méga-envie (ensemble) de trouver, dénicher ... le VERbe ! le VErbe szacré ! Verbe en herbe, Verbe des prés, Verbe-herbe à brouter = .... lait ? lait des Fées post-cimetière non genré, qui s&it ? On est (on veut être) F2e ! F2e des prés ! fée genrée ! fée donné ! fée sur pré alloué à une sorte en vrai de vérité sur herbe , genre   son de base alloué à une ropmance et autres musiques dotés de basses ! On est nées ! musicalité des données genrées ! on avance ! on trait = on traite ! on veut cfomme toucher à une vache à lait (traire) et l'aimer , de fait, pour ce qu'elle est : du Verbeb ! herbe tracée ! cxhant des prés ! amitiées sincères ! On éime toucher , ici mêmùe (pré) à cettye Déité-Sommité_ D2esse -Princesse des données en herbe ! pré ! pré ! pré des fées ............................................................................................ on nez veut pas se laisser faiore maéis aller, foncer, toucher à ces nénés, téter, touchger la terre, toucgher terre, être sur pied la bête téméraire sachant lutter, tenir ferme, ne pas flancher, couler peut-^tte mais sqans sombrer, homme surnuméraire sur pré aux herbesv de type Verbe, du fait quy'en effet, l'herbe est du verbe pour qui sait brouter ! Homme des prés, mort-né, devient Ailes de F2e au passage svelte ! On est mort né ombré ! On est l'homme mort-né la mort actée , quand la FEmme trace traéitsq sur traéiots, du fait qu'en effet, elle devient Fée du fait qu'"lles (deux femmes soudées, accolées) forment ou vont former les ailes d'une Fée, D4une "fée des fées" post-cimetioère ! On aime ! on est la fée des prés sur pied, on volette ! on veut voler = s'envoler ! s'aimer ! se toucher ! baiser ! coller à une Sommité de Roche ! bêtes-fées sur pré aux herbes données sachant voler ou s'envoler ! On est la fvée du pré aux herbes vertes pouvant a&limùenter qui la bête qui la fée ou même (peut-^ttre) les deux, du fait q'elles sqont (de fait) bête-fée : fée-bête sur pré aux nénés ! On les aime ! on aime coller ! .................. touycher à la bête ! nous coller à elle et y aller ! cxhaerger sur herbe direcvtion le muret, fond de roche des prés ! mur  / muret des données ultimes associées à une sorte de rive genrée, rive ultime aux données ancrées de type "véerités" à propos de la mort telle qu'envisagée". On Veut Toucher = donner = faire = craindre = allouer = feindre = conserver = graver un c ertain  nombre de données dsonnées (ici) post -cimetière, et nhe plus traîner mais tracer (en vrai) ce qui est qui est, à savoiir  ................................................. l'HERBE

L4HERBE DES PRÉS SUR TERRE ALLOUÉE À UNE VÉRITÉ CXHARGÉE ! ON VEUT TOUCHER = DIRE = FAIRE = CHANTER = COMPTER = CONDUIRE = FAIRE, CE QUI EST QUI EST qui est le  verbe des données donné"es ! On veut akler  = donner, = faiére  = dire et oublier , ou ne pas oublier,; et du coup tracer, ou bien dire-toucher, ou coller-dire ce qui est sur roche allouéeà un dire concret,  . On est fée des prés ! bêtes de rive ! on veut traverser , de féit, l'ultime muret, le dernier avéré, la frise, les données gravées, type animaux des prés, dessinés -gravées par quelques gentes néandertaliennes des temps (passés) reculés. On est née ! fé ! fée des prés ! xdans la mort actée ! avérée ! donnée par ... qui sait qui en vrai ? on est : 

la fée vive !

frée ancrée sur rive de pré ! 

fée aux données vives sachant tracer ! On veut grave tracer, toucxher, coller, donner, conduire une sorte de 'attelage vif, jusqu'aux confinds du pré alloué à une vérité dite "remontée", "active", "travaillée", chargé de données " comme autant d'offrandesb à Déité. On veut aller sur piste, gagner l'aUtre Rive, l'Ultime Muret, le toucher, voir ce qu'il en est, est-il possible de le traverser à notre guisev? piouvonsz-nous pâsser ? où donc dès lors se treouver de fa&it si ja&mais ? On veut :

PASSER, VIVRE, TRAVERSER LA RIVE, LA NUMÉRO DEUX POUR AINSI DIRE ! VOEU PIEU ? on veut coller, à cette rocxhe des données fi:nales, un sentiment dit "de façade" ! concrétions nomades ! fruiits de la raison ! bananes ? on veut ou on voudréit (selon) aller ! charger , faire excprès de nbous approchezr , en vrai, d'un treacé dit "des finitions" (des finitudes) et regarder, voir de près, chercher à cerner ce qui est là qui se tioendréit pour soi, pour e^tre comme "visionné", , touché , cerné, pris (pour le coup) en considération ! On veut toucher à c ette D2ité dite "des Contrées Sa&uvages" ! On veiut ça de rage ! Toucher, toucher, toucher, toucher, toucher = faire toc , sans cesse, sur paroi de grotte  ! creuser = graver ! dessiner (les bêtesq des prés) à main levé sans s'arrêter c'sst un fait ! fait des prés ! on vgeut en vrai toucher kla roche (aux données profondes !) sans traîner = sans lâcher !c  reuser ! creuser ! ne plus s'arrêter de creuser ! creuse que tu creuserasv  à kjamais sans t'arrêtter de préférence (ça le feraoit ! qui sait ?) et toucdhger (en vrai) à la rOmance ! aux donnéezes actives ! Romance non rance ? ou roma,nce au contraire rance ? On aime le pré, les bêtes de charge", le travail (de sa&pe) d'une Voisx, d'un coprps de femme sous paroi, femme + femme =  VOix de RAge = Fée = trace ! On est remontées ! dr(ôlement remontée ! de Rage, du fait qu'en effet, on peut dire ça, on est (da ns la mort) ,nées Fée = AMe , âme en vrai ! äme (non homme) : äme sur pré alloué, à une sorte de ... 

carrosse ? carrosse p^rincier , pour Fées et auttres Déesses des contrées de Baise (?) visitées : qui sait ? Fée .............................................................................................................................

..............................................................fée des fé&es surnumreéraires post-cimetière on dirait ..........?............................................................... on bne veut pas sopmbrer mais dmeurer, demeiurer fée post -cimetière en vrai ...?.?...................?........... et toucher du coup à cette Déité Derrière (dernière) ......./...././/...........././.................coloer , coller, collmer, coller, coller, coller, coller , coller à cette fin (finalité) de roche tracée ! chargée ! trait des traits ! ion cherche l'entrée (la sortie) de tête ! où elle est ? Qui le sait ? qui sa&it où elle est ? qui cfonnaît ? qui cfopmprend ? qui veut toucher le s a&ng de la bête allègre ? quyi veut de fait toucher le sang de cette bêye de paroi de Rage, Paroi des Parois et on voit , on entre, on est dans, on est accolé&es, sur pré, on sent bioen des choses se tramer qui nouys "intéressent" de fait, m ais .... commejnt dxonc arriver à 

traverser la Roche dernière ? l;'ultime muret ! ? qu'r'st-ce qu'il y a derrière  et comment l'atteindre ? Des données de rêve ? des deniers ? Somme de traite ? 

"somme due fait la chose connue" 

? On veut en vérité aller = toucher = dire = faire = contraindre = colmlmater ! On veut :

passer la tête

traverserr à j&m ais

essayer de regarder en vrai ce qu'il y a derrière

comp^rendre et du coup cerner et du coup relater

mettre un doigt (qui sait ?), ou deux, dans (ici) la fente 

toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher !toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! rtoucher ! toucher ! toucgher ! toucher ! toucxgher ! toucher ! toucxher ! toucher ! toucher ! toucher ! touchert ! toucher ! toucher en vréai ! en transe , les données, dees rochesq gravées, roches doctes, vérités ancrées en ronds de bosse, villosités, concrétions de poche, tracé vrai, chants Corses ! On est njée Fée du fait qu'on est ... mort ! l('homme ! l'homme (de fait) décédé , laissze a&ller Elles , de son corps terré, Vers l'air et la lumière dx'une sorte de pré alloué aux bêtes, bêtes (donc) des prés = betes de trait et ça le fait ! fée ! fée ailée = vache à lait, tracé gravé, bêtes sur rocxhe dessiné par l'etre des temps reculées, sachant graver, dessiner de tête, les données en herbe : délicateesswes, vérités nacrées, chants lestes, déploiements de liesse, traits affirmée affichés en tant qu'il s'agiraéit de dieu et de déesse soulevé,es ! ça gfait son effet ! On aime toucxher ! grave y aller pour de fait toucher à cette sarabande ici dessinée comme p ar la bande ! On veut :

TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER , TOUCHER ENSEMBLE = À DEUX (DEIUX AILES) POUR UN "MILIEU" , DE TYPE 

Mât de Verbe ! oh, 

la cxhose ! les données en herbe ! On veut ! on veut (grave) un peu de sérieux ! on veut en avancer de bnotre mieux et toucher l'herbe,, du mieux qu'on peut. On est Femme au milieu de l'herbe, fée , felmme fois deux forme  la Fée ici comme touchée , certnée, vue et connhue./ On est les femmes = xdeux moitiées, formant fée en herbe ! fée des prés squr herbe , cxhant sacré, on plaide ! on veut cerner, donner, coller, allouer à un peu d'herbe une défeznse agraire ! plaider = toucher = dire = remuer = contrer, contrer les sentiments contrzaire à une vo:;onté de plaire, complaire, toucher. toucher terre ? On aime ! on veut , ..................................................................... toucher terre ?.................................. Re ? ............................................................................................................................................... = p^laire ? ................................................................................/....?.............................................. plaire grave , complaire, toucher, comprendre , prendre, emporter ? ..................................................................................................qiiu de quyoi en vrai ?....................................... qui on est qui aloons sur herbe en termes de données données, qi'on serait , qu'on serait en vrai post-cimetière (soit une fois mort-né !) .... ,? ............................ qui on est de fait ? Des fées ? dans la mort donnée on seréit (et que ça) fée ? seules les fées a&uraient pour le coup gain de cause, à genous, au beau mil:ieu des ronces, touchées blessées mais les voilà qui osent, pousseent, franchissent, traversent les choses acides, les données rudes-dures en termes de chahut, mais bon ... elles sont rudes, dures à la menace, tracent, forvcent, passent , passe nt la roche, passent accolées la roche des Bossees, et du coup treave"rsent (elles !) les données gravées (cohorttte animaliè!re néandertyalienne) pour se retrouver (voilà) de l'autre côté, côté toundra , pour toucher à cette Déité de l'au-delà de la paroi, à savoir ... Le Trait ! Bete de Tréit ! lma Somm e ! Bête de somme ! bât martial ! bât des bâts et la voilà qui va , court et vole, fée dans l'au-delà de la Parole Docte. Toundra nous vopilà ! On vol:e ! va ! vient ! court ! ose ! charge et puiqs voilà ! On est là et bien là ma foi, ça y va ! On est

 femmes Fortes , formant fée de ROche ! Colle ! colle des nénés de l'ombre ! colle ! colle sur roche ! colle des données de lm'ombre (homme) dép^lacée ! On est femme des prés = données ... vivement données ! Données dfoctes ajourées, centrées, posées en corolle, prêtes à être traversées en vrai par (zqui sa it ? ) la ... pArole Ombre ? vie des vies chargées ? Herbe folle ? Verbe oté ? vie traversée ? On cher c he la Somme ! total drôle ! Les données ! CE qui est qui est de fait derrière la Roche , les donn"ées profondes ! charge d'ombfre on est comme concernées par ici la Chose comme qui diraiot "profonde", les données de roche , les données données d'une roche gravée aux temps reculés. On veut :

TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOPUCHER, TOUCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TYOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCXHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUCHER, TOUCXHER , TOUCHER, TPOICXHER, TOUCXHER, TOUYCXHER, TOUYCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCXHER, TOUCHER, TOUCHER , TOUYCHGER, TOUCHERR, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOYCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUYCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUYCXHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCXHER, TOUYCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOYCXHER, TOUCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUCHER , TOUCHER 

ICI  à ce qui est qui nous rzegadfrde ou nouds regardrerait sans cesse, cette Déioté dite "des pr"és", déité-Princesse aux données données  : qui est-ce ? la Donnée des r^ves ? Le sommet des prés ? L'amiooureuse asexuée ? LE doigté ? L'herbve ! L'herbe genrée ? Le pré ? le pré en herbe ? loa donnée de glaise ? F2e ? Fée aux données ancrées qui semblezrait vouloir toucher à une vérité des terres brûléesc? On cherche ! On erst accolées car on est les ailes de la Fée ici téméraire, surnumérzaiore, saluée, aimée, considérée du fait qu'elle est la Fée des F2es consacrées, adoubées, aimée et même adorée du fait qu'elle est .... "belle", "belle bête" adulée, la des = la Bête des prés, celle qu'on aime regarder brouter, VCache à lait ... "Super" !! On est accolées ! collées ! on tient par un trait ! trait de verbe entre deux ailles qui sont ailes (au débotté) d'une sorte de Fée Singulière. A12iles = Elles = Femmes = Fame censée ! On l'aime ! on aime (grave) la fée (ici) post-cimetière ! le tracé ancré ! charge primaire première printanière sur pré ! on éime creuser ! chyarger ! toucher l'herbve ! foncer de fait vers les données dernières, fond de préb = terre-verbe ! on nait ! on nait fée à la traversée (printanière ?) des données données ! AAIles = ELLes = F2e = FEmme = EFFE = F2ée des herbes vertes = données données = fAME en vrai ,; du fait que voilà, c-'est ça , on AIME grave kla paroi = on grave ! on aime la Voix ! le pasdage "strange" d'une roche de choix (sous tente) et on y va ! on ne traîne pas ! on avance ! on veut ça, la chance ! la Paroi des Rois et reines de la chance , des tracés de base et autres treaits de vérités  plaisantes. On veut toucher = dire = donner = comprendre = soulever = cerner = composer sur roche , qui un bouquet, qui une sorte de tracé des prés, qui la chose des Bosses et autres Ronds $"bien dessinés" du fait qu'on est nées, de fait, comme soulevées, sur paroi de roche, ainsi accordées ! On veut coller à une sorte de divinité des divinités ! On est femmes des prés devenues Reibnes à jamais souverainesc. Femmes-bêtesx= traits de chaîne ! chant des plaines ! on veut tracer, c'est-àdire aller (en vrai) au plus possible loin en cette rive ! traverser ! tracer = traverser ! traverser = treacer ! définir ! couler ! choquer ! permettre une sorte qui sait de traversée des monts dodus, des plaines cossues et autres bosses surdimensionnés cvomme sezraient peut-être ... dxes nénés de rêve ? nénés au vrai lacté / don alloué ? On cherche ! on veut ici toucher à oui, qui sait, dezs sortes de nénés qui (peut-être) seraéient des êtrtes, des données en vrai, dons de chaînes, vérités lactés ça le fezrait ! On veut en vrai aller toucher à pour le coup ce genre de néné ... lacté ? qui sait ? qui sait de fait en vrai si ces nénés pour le coup sont (ou ne sont pas !) lactés ? qui saurait ? qui pourrait nous indsiquer, nous aider, nous dire, nouys parler en vrai sur ce qui est qui serait de fait la Vérité des Vérités? O, n cherche "avide", bouche bée, ce qui est qui est ! du lait ? hé, ça le ferait , c'est un fait ! ça le ferait en vrai ! ça pourrait ! On a méga-$envie pour le coup de toucher à ce qui est, ici, le pis ! pis de la vacxhe en vie ! dans la mort vous m'avez comprise ! vache en vie ici, antre des données données, de la mort actée, des dessins de charité, des buffles et buflettes allouées à une roche grise et autres oursonnes aux données données dites de "vérité comme s'il en pleuvait". On est la Fée de fait insoumise ! fée des fées caliibrées,, chargées, comblées, touchées . On est Fée des données tracées, dessinées à main levée par l'être des temps reculées de type néandertalien , l'être, néandeeftlienne, l'êtresse, aux vives clartés et autres lumières offertes sur pré ! On veut toucgher la Terre Promise ! vivement l'éteé ! le soleil de mise ! la vive clarté des données acqyises ! On vgeut aller = dire = charger = combler = faire = cpoomptendre = jouer = perdre = gagner = dire = baiser = bander = toucher = vivre = allouer à une sommité une szorte de vérité qui serait de fait la vérité des véritésc admises par, on le sait, l'Ultime, Le dERnier, La dernière des Données Acquises, Fée treacée, Déesses sur pré on dirait La Vie, Vie des viescomme humanisée, Personnifiée, chargée de mots des prés = alimentées = soumises à une sorte de becquée  ! On veut toucher à volontéb l! toucher de chez toucher ! la Chose Montrée ! muret ! mur des ASsises ! Charge acquise forme les données d'une sorte (ou d'un semblant) de Vérité déposée sur rive ! Qui on est ? qui donc on est ? en vrzai on est qui ici ? ici mêmùe sur pré on est qui qui saurait de fait les chosesq ce qu'elles sont pour ceux et celles qui passent le pont ? Qui en vrai sait ce qu'il en est ? Ce qui advient, ce qui te,nd des bras ? qui connait les données finales , terminales, chants de Rage ? Qui connait en vrai par où on pourrait, ensemble (ailes) , passer sans dommages ? Le muret

Le muret sur pré

Muret des Murets 

LE trait sur muret

On dirait un trait 

On dirait que, sur le muret dit "des finalités", il y aurait un treait ! une fente ! une sorte de porte de chambre ! anfractuosité patente ! ce trait ! cettre sorte de trait de chambre ! ce passage par où peut-être ensemble paszser, afin de s'y loger inscessamment sans "y passer" de préférence. trait de charge ! tra&it de base ! treait teracé ! trait des enfances, des donné&es profondes saturées, xdes données romandes. O?N veut coller = colore r = donnner = prezndre = soutenir = tenir et toucher = faire = plaire = sonder = situer = pousser = dire ce qui est qsui on dirait chgercherait à nous pousser à terre, à nouys faire chuter autant que l'on est ! mais on tient ferme en tant que fée ! fée des herbes des prés ! on est des bêtes, bêtes-mots de poids et masse a:louée à... du Verbe de Plaine. Fée on est sur paroi, puis passé la paroi, sur pré centenaiore voire millénaiore. On veut toucher à une Déité de derrière ! De de"rriè§re l'ultime Paroi, le muret, 

des ëtres Collabés. On veut toucher = treaverser = pousser = donner = plaire = chercher = contrer = centrer = situer la Chose sur terre, les données deonnées et autres bêtes agraires surdime,nsionnées, de type : 

buflettes, oursonnes dorées, phacochères simplets, faons accolés à une roche imberbe, chevaux d'oc et juments celtes, bouquetinnes -canassonnnes, lionnes et lions de Bosse, teracés vrais genre croix de Roche, trublionnes et vives clartés allouées à un semblant de trait par où qui sait pouvoir passer la parole docte (si tant est !).

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17/10/2024

On entre ensemble = on fait corps = on est Fée ! Fée des Noms de Rage, Chapeautées on entre ! on est nées ! on est ensemble comme consacrées = collabées et on enttre dans l'anttre de la Mort en acte ! On cherche ensemble ouiiiiiiiiiiiiiiiiii , à comprendre = cerner = entourer = détourer = contenir = dessiner la bête dite "de paroi " et autres bêtes-mots de choix ! Onn est FEmmes Fortes = Hommes nés (sur Ombre) mais ... comme déboutés ! et Homme débouté perd pied; , 

meurt docte, et Deux (F) sont nées, qui vitupère,nt ! On est nées de RAge dans l'antre ! On est passées ! on a traversées à la nage comme qui dirait la ... place ? Plage ? trappe ? On est passées ! on est nées de rage sur ici le Trait d'un passage inné ! On veut cerner = toucher = dire et comme soupeser un certain nombre de données de base, données des données qui semblent ou sembleraient nous indiquer (peut-être) par où passer , car oui (en fait) : par où passer   , ezn cet antre des fées ? Qui est qui ici ? et qui nous observe ? oN cherche ensemble à mieux comprendre ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait, on cherche à pour le coup cernbner les bases d'une traversée "' à lza unre à la deux" à travers ici la Roche des Fées. On est nées sur herbe !

 on trace vif ! on veut touchert à ce qui est, peut-être, en matière de ... néné ? qui sait ? On est entrées , du coup on regarde ! et ce qu'on voit ici nous donne à penser, ou nous p^$rête à penser, ou m^reme (oui) nous prête des pensées qui sont pensées post-cimetière, penszées (fortes) d'ombre, vives pensées des traits sur roche, ombre d'ombre. On est nées Fée, parce qu'on est (dans l'antre de la mort en herbes) nées , ensemble, à la traversée, comme encerclées . On veut toucher à cette sorte de paroi des féers, "paroi folle" on dirait , du fait que oui,des bêtes de rage ici font face, nous matent, nous regardent bouger, nous insérer, e,nttrer, nous blottir l'une l'autre pour peut-^$ettre en effet former "un e fée" de type "pelote". On est nées sur roche et nous voilà comme considérée,

 par ici des bêtes de belle prestance, pesante, lourde de leur pas donné. On est comme soulevées, en transe, pour former fée ! fée des fées on en redemande ! on aime traverser la lande et nouds porter au plus lopintain 

qu'on peut regharder, ensemble , soit 

là-bas le chemin, 

la pierre de base, muret ! mur d'enceinte claire ! mur ou muret aux données dernières ! on veut passer ! on voudrait en Fée (ainsi transformées) si possible passer ! passer ce muret aux données de base ! On voudrait ensembvle (accolées en fée) passer, traverser, encore une fois traverser un muret ! traverser de raghe et co:mprendre "à la une à la deux " ce qui nous attent ou qui nous atttendrait de base après ! Ce qui est ! ce qui est apr(ès ! ce qui nous "narguerait", qui sait ! Ce quyi est, qui nous attendrait ferme (ou pas) derrière ! On cherche à nous portetr nous-même, au plus lointain qu'on puisse, accolées , tracer, marcher sur la lande vers ici ces conttrées de bout de bout qui nous "reg arderait" sur pied aller, tracer, marcher, sauter ou sautiller, voler ou voleter (on est la fée des om:bresg) et, du coup, nous rapprocher de ce fameux muret de conttrebande, mur alloué à un dernier (qui sait ?) passage sur lzande ! on veut passer ! on veut, en tant que fée, à nouvrzau passer, de grâce ! on a en vrai méga-envie sans rire de passer, à travers la lande puis le muret , de l'autre côté : qui y est ? qui habite ou habiterait de l'autre côté de pareil muret dit "de contrebande" ? qui donc nous voit de fait, entrer et courir, charger, voler ou voleter de Rage sur parooi ddes äges  ? On veut (on veut grave) tracer ! vivement aller ! Charger, tonitruer ! consacrer toute notre 

énergie (de rage) en cette chose d'une vo:lonté (ancrée) de vouloir ALLER , ALLER VIF , en cette sorte de muretdes charges, et du coup .... pointer son nez, comme qui dirait ! vif et ancré ! nez porté ! entre les nénésc? nénéd à lait ? on

 en redeamnde ! on disait ? On entre ! on est entrées ! on est entréescensemble, accolées (main dans la main) o,n disait, et nous voilà de fait qui formons Fée , Fée des données données, Fée des landes et autres prés habités par ici des bêtes sur pied ! On est nées  sur herbe ancrées ! Fée ! Fée ! Fée des fées ! On est toutes transformées en fée ! on était deux (deiux femmes ou filles : F) à la traverrsée, nous voici unifiées ou comme unifiées en cette sorte de 

"Fée des Rages sur pré" qui est "Fée de base", fée des Fées sur place (lande) . On mate ! on regarde loin les données données. On veut de fait en  vrai nous avancer vers ce muret quyi est muret dit "de contrebande" à ce qu'il parâit. On nen avance ! on avance. On veut toucher à c e muret aux données données données de base et du coup comprendre en  vr&i, p ar oùu passer "ensemblev " = asso ciées, de confiance - coonivence, a ccolées = F2E ! Fée des fées et on entre ! on veut enttrer ! on veut passer la Porte de s Données, donnéesde RAge ! On veut (grave) traverser, la Roche Finale, et du coup voir-comprendre ce qui est de l'autte côté ! Est-ce : une sorte de mer étale ? une plage aux galets ? un remou de base ? du glou

 glou comme s'il en pleuvait ? glou glou des données bruyantes ? une Chance  ? un e sorte de CHance Allouée à une Vie Passée ? charge de Fée ? Donnée tendre ? vivavacité des données vivaces ezt autres vie de rage ? vie vive, des données données finales ? Une sorte ici on dirait de vie nouvelle ? vie novellisée ? On regarde le pré, le muret au loin, autour de nous des bêtes (dites de poids) broutent, qui sont bêtes des données (brutesz) telles que rencontrées ci-devant sur pré à notre arrivée. On veut : 

TOUCHER ! TOUCHER ! TOUCHER ! TOUCHER  ! TOUCHER ! TOUCHER ! TOUCHER ET ENCORE TOUCHER LA BÊTE DES PRÉS ! ON VEUT L'AIMER ! ON VEUT GRAVE AIMER LA BÊTE DES PRÉS ! ON  VEUT GRAVE AIMER, ALLER , TENIR, CONTENIR, FILER, DONNER ICI OU LÀ DU SIEN POUR COMPRENDRE ! ALLOUER À UNE SORTE DE ROMANCE UN SAVOIR ANCIEN NÉANDERTALIOEN ! ON VEUT COMPRENDRE = TENIR = FRÉMIR ! On a méga-envie ensembvle de :

toucher grave

toucher menu

toucher vif 

toucher le cul des bêtes de rage, ici présentesv : buffalo ! bêtes-mots parmi des bêtes-mots ! on est ensemble (deux) qui voulons comprendre , ici même (pré) , pareilles bufflettes et autres bouquetines surdimensionnées ! grave ! surdimensionnées (on dirait) ça charge ! dinguer(ie de rage ! on voit ça en transe ! On est nées ! Fée ! fée  ! fée des prés on en ava,nce dans les connaissance car voilà, on est passées ! on était deux (en vraéi) à la traversée et nous voilà qui sommes passées , ensembvle, accolées, faisant corps sacré, corps des ombres portées on est nées de rage, vivantes, vives et comme soulagées de nous voir accolées au passage, nouées, soudées, faisant 

corps de rage pour être (on le sait ) à présent la fée, Fée des prés, Fée des données données et autres mots de contrbande. On est passées ! On regarde. On veut comprendre. On cherche grave à comprendre znsemble . On a super envie ensemble de comprendre  ce qui est , qui se présente devant nous comme à la parade, bêtes-poids (de base) au débotté, mots-charges à l'arraché, bisonnée des données prégnantes et autres buffleries tracées ! ON veiut toucher à ces données telles que rencontrées à notre passage, dès l'entrée (notre entrée) en ce paysage aux vives données (dites "de contrzabande") et autres données (dites "de rage") comme s'il en pissait au passage (à 

nottre passage) . On veut ensemble ici comprendre si possible ce qui est qui nous regarde ou nous regarcderaé&it sans sourciller outre mesure. On a méga-renvie ensemble de tracer qui des données, qui des mots de rage, sur paroi de face, et nous porter de fait au-devant de nous jusqu'au bout du bout du pré alloué à une vérité. On est nées fée au passzage chelou d'une sorte de paroi "des fous" . On veut ou on voudrait 

ensemble accolées et soudées comprendre ce qui est et (aussi) ce qui n'est pas, en ce pré aux fées, aux bêtes de poids et autres bêtes-mots dites "de p aro i". Qui on est ici qui cxherchons la clé, la clé allouée à une sorte (peut-être) d'entrée (de rage ?) dans un antrte dont le nom (attitré) est ... F2é ? Fée des F2ES ? ou bien autre chose ? et si autre chose : .... Qioi donc ? 

On entre ! on veut grave ensembkle et sans traîner entrer soudées, accolées , afin de ici cerner-cfomprendre les données primaires, secondaires et autres données parmi les données de fait rencontrées posst-cimetyière. On est nées de base accolées car on est passées, on a traversée la paroi première, on est dans un pré (paradis terrstre ?) et du coup on traîne ... 

ou plutrôt non, on trace, on avance , on court on vole ensembvkle, on fait corps ensembke pour, de fait, former La Fée aux données de base, celle qui connait (ou qui connaitrait) l;es mots adaptés cfoncernant la Chance ! on est nées fée ensembvle dans un pré : la Chance ! Voilà ce qui est ! On avance ! on trace ! on veut toucher à une Sommité, de  tYpe : Bufgfle à l'arrêt, Buflette des contrées de l'herbe et autres Bêtes de bon poids bon oeil sur pré de Vezrbe ! On est nées Fée du cfait que (dans la mort) on est nées ! on a traversé la Donnée Première, le Passé, et nousq voilà comme consacrée (en vrai) par( une bête , Par la Bête, ici, au cran d'arrêt ou ... comment dire ? l'allouée ! l'Allouée Première sur Paroi de ROche, LA BHête Tracée "de Belle Haine" , Chargée ! collée ou accolée ! la Bête des bêtes du pré, j('ai nommé .........../....................... Aile ! Elle ! La des bêtes-mots ! La bête ici des bêtes de  mots ! Beête-mot post -cimetière = ELLE , BËTE-POIDS (de RAge) accolée , on regarde. Qui c'est ? qui elle est ? de" qu'elle bête en vrai il s'agirait ? Eh bien .... peut-être ....d'une bête dite "de trait" : bête allouée à une charge. Bête de bât, somme, trait de Roche : on voit ! on voit ça la Horde ! On veut (grave) en avancer, ensemble, en ces connaissances de roche et du coup aller, croiser, filer ensembkle jusqu'au bout du bout de la paroi Sarde (sarde ? ) poiurquoi pasz ! on est entrées ensemble pour former La Fée aux données de base (= la ch a,nce) et du coup, on est nées fée ! on est nées en tant qu'on s'est, ensemble, transformées c'est-à-deire accolées, soudées , pour former en vrai cette Fée des passages, ou dite "des passages", fée des fé&es telles qu'il en existe "dans l'adversité" on dirait . On veut touchger de base à la roche finale, travverser le pré, aller jusqi'aucx confins des 

données prairiales allouées à ce tracé de base, à pareille marche. On veut 

toucher = tater = boire = téter. Tater = téter , et téter = tater. On est nées sur pré de base fée , du fait qu'on est nées (ici même) accolées ! soudées ! comme soupesées ! On veut de fait cer ner ce qui est qui nous regarde ou nous rtegarderait en face sans s'arrêter. QUI on est ? Des fées = femmes accolées ;! formant fée des prés( l'homme est du passé ! n'étzit pas a ssez ! est mort-né dans la mort actée ! bien fait ! ... il était rosse ! °). On est  fée de bosse  ! tracée ! chargée (ou comme chargée) de faits dibvers, appointements, massages et autres creusesements à main levée en transe sur roche gravée (ou dès lors gravée ) . On est DESSINÉES ! obn est, sur pied , dessinées ! gravées ! sur rochje amllouées ! On est tracées à main levaée ! TRANSES = trans et trans = transformées en sorte de F2ée

 de roche rude ! transe et comme transformées , en transe comme transformées ! On est passées ! On voulait en vrai traverser chelou la roche tantrique, eh bé c'est fait à ce qu'il paraît ! on a pasdsé le Temps Donné, La Rage des Contrées, le "Salon des bases". On est entrées toutes

 remuées accolées en forme de fée ! transe ! transformées ! transformées (en transe) en fée, du fait que oui en effet on est passées,; on a rugi ! on a crié "ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiuiioooiuiuiiiiiiiiiiiiiioooiiuiooiuiooiuuioiooiiiiiiiiiiiiiiiiiiiooioiuuoioiuioiuioiuiooiiiuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiooiuioiouoiioiuiouoiioiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiuooiuoouioiiiiiiiiiiiiiiuuiiooiuioouiuiuiooiuiiiiiiiiiiiiçiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooiuoiouoioiiiiiiiiiiiiiikiioooiuioiuioooiuuioooiuuioiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooiiuioiuuiooiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! oui ! oui ! oui ! comme quoi voilà, on avait encvie, en vrai, de passer, cerner;, pousser, entrer, renttrer, comprendre où on est ensemble, qui on est ! Qui on  est ? qui en vrai on est ? Est )-on (seommes-nous ) fée ? fée des fées à la t§raversée chelou ? qui on est en  vrai ? fée des fées chelous à la traversée ! Une fée = une Effe = une Femme allouée à un pré = femme-p^ré ? femme aux prés ? femme sur pied va et vole haut = monte ! haut de chez haut! vers ... sa tombe ? une tombe ? tombrerau ? Chaud devant ça monte hot ? On est comme défaits,  et, de fait, on est (ensemble) retracées (ou comme retracées) sur roche ... en tant que fée ! frée docte ! rose ! allouée à une sorte de tracé de roche : antilope ? On monte ! on monte tout en haut ! on veut haut monter hot au chaud ! monter haut ! On est la Fée des Hauts de ROche ! chalumeau ! on monte ! cerveau ! on veut coller à une roche aux données hautes, les plus hautes des données "hot" ! On veut touchert = cerner = dire = 

contrer = faire et aller, vers une sorte de tr acé dit "des finalités" mais e,n vrai on ne sait pas vraiment , où trouver icelle , pour le coup, parmi toutes celles (finalités) prioposées ou quoi ou qu'est-ce ! On est entrées accolées femmes (deux femmes) pour former la fée, la fée-néné ? on ne sait pas ! on trtrace ! on charge ! on veut tracer-charger la bande des données profondes et autres bvérités de roche. La mort qu'est)ce que c'est ? une sorte de contrée ? pré/ Prairie aux ... pissenlits et bêtes-force ? Et après ? après ?? la ruée ! l'ombre portée sur une roche nouve"llement créée pour en vrai pour nous pouvoir passer encore et du coup toucher à une sorte de donnée "de bout du monde". Ok, mais, cette donnée "du bvout du monde", qu'est-ce que c'est ? c'eswt, comme qui diraéit, ............ la Roche ... aux nénésb ! Nénés hé hé ! Les Nénés nés au frais d'un passage alloué à une traversée dernière ! anfractuosité du cimetière , une jetée, une soerte de trait de roche par où du coup  passer le nez , la tête, le cortps entier si affinité

 et on y est ! lumière ! salubrité ! chants clairs de terre ! cavité dernière ? ou bien plage dorée, mer soudaine, ressac sur bière et autres bruits venant de derrière" ? On veut (en vrai) être celle (ici) qui baigne ! qui, dans l'adevarsité des lumières braquéesz, baigne ! va ! vole ! sert ! souflle ! chante ! donne ! donne pour le coup de soi = d'elle ! on y va ! on est née fée de fait pour p

âsser et tracer et rejoindre la jetée derrière ! le tracé aux fées et autres sortilèges de s données de roche ! On veut toucher de fait à ces donées de bout de bout, vér(ités debout ! On colle ! on est de fait en vrai accolées et on veut passer " à la une -à la deux" à travezrs la roche , l'ultime (allouée) roche des prés ! Onest homme d'amont, on passe le front, on devient Ailes de Données Primaires, ELles à la retombée sur pré, Femmellesz comme qui dirait (bêtres) et du coup transformées en fée, du fait que nous voilà (ailes) accolées, soudées comme à la retombée (ici) sur herbe ! On est fée d'herbe ! de pré ! soulevée ! on s'envole allouée , on vole de fait en cette sorte de rotonde survoltée ! On est la fée post-cimetière, âme allouée on est née bêtres (bêtes de roche = bêtes-fée = bhêtes de trait) : on monte ! On est comme soulevées et du coup nous voilà hautes ! hautement sureélevées sur pré , on monte allouée ou ainsi éllouée à une sorte de passage "rose et frais". On ne xsait (encore et de fait) pas en vrai ce qu'il en est mais bon, on se laisse pour le coup aller et porter, on est motivée, on a envie d'en avancer, on veut tracer ! courir ! charger ! pisser

 ! ne pasz nous arrêtrer si tôt ou même si près , du but avoué tel que retracé sur la roche dure, par des ... "fées

 de fortune" ? qui sa&it ? on est fée diurne (matinales) qyui traçons de front un certain  ombre de données cruciales il semblerait ,  mais : est-ce vrai ? est-ce vraiment cela = Ça , qui est .?, cette sorte de ... bonté des bontés ? charges d'âme ? salubirité ! charge-née sur pré aux fées !? Qui on est ? Femmes ! femmes dotées d'une sorte de Pariole FOrte (dans la mort ici allouée) qui peut-etre donne ... donne e, nvrai ....  raioson profonde .... chaleur et bonté .... vent docte ! V2rité des Vérités ? Qui sait ce qui est ? quyi nous sommes, qui on est, qui on voudrait être ou ne pasc être et du coup aller (ou ne pazs aller) vers cette sorte de Parole Docte dessinée sur roche : vérité des prész , vérité des vérités , aurochs et mouflets ! buffles et chevauc de frai ! On est les derniersv ! on aime aller ! on aime s'enkyster sur roche ! forcer le tra&it et du coup (peut-etre) traverser et donc nous retyrouver (transformés ) de l'autre côté, côté pré = paradis, en 

femme de suie, dédoublés, doubléesw, femmes allouées à une sorte de Donnée donné = FéE ! Fée des prés ! Une (la) Fée , des données chelous comme xs'il en pissait et nous, on est dessousz , femmes au débotté = doublées ! On veut cerner, en tant que nouvellement nées , ce qui est qui est tout autour de nous : bêtes-poids de trait, somme et roma,nce, bêtes de par ade pour l'éternité ça le fait, et nous dde nous en rapprocher "à la une à la deux" e,n transe (il semblkerait) jusq'à lkes touycher en  vraéi ou du

 moins tenter, tenter de les toucher en vrai en ce pré , en cette sorte de contrée "finale" ! on essaierrrait ! On veut toucgher ! on veut toucher en transe les données données d'un pré alloué à une vérité ! On est nées Fée dans la mort actée, alléguée. On est nées Fée = transformées ! de deux, on passe à l'unité d'une fée tr acée comme un trait de Rage : est)ce ça en vrai ? Ce tracé ? On veut comprendre ! on veut toucgher ! on veut aklller ! on veut cerner ! on a envie méga de nous avbandonner à une sorte de "tracé de rage" sur un pré, et alors (ou dès lors) de ccerner ce qui est qui commande , noius indique à jamais le terrain qui est à explorer (si jamais) , nousq dit auusi par où c'est mieux, en vrai, de passer  et de s'a&venturer sans plus de craintes, et du coup tracer  son prop^re (ici) chemin de destinée chelou peut-être... ou pas chelou, qu'est))-ce qye ça peut faire ! on a ensemble envie méga de creuser loin le plus possi-ble les doonées de base , dfonnées doctes, sondées, creusées, déposées. On est femmes des prés à la tr aversée (on était un homme !) et du coup on monte ! on monte en tant qu'on est, à présent, ailées ! munies d'ailes de féedu coup,on p)eut monter, coller à une roche des données, Roche Rude / Dure aux données diurnes ! on est accolées parvce qu'on est nées ! on est n,ées accvolées en ce"tte contrée de la mort actée ! on est femmmes devenues la Féez ! Fée des Fées allouées à une "Vérité des prés", à une sorte de donnée des données allouées à un pré dit "de contrebande" et le tour est joué : on bande ! on est droites nées ! on est nées dx'un tréit, le tr&ait ,! on est le trait de contreba,nde ! on est fée-trait

 , bêytes de trait = trait = traite = donnée des données = vie tracée sur roche de grotte néandertalienne ou même plus ancienne , on ne sait ! les tempsq sont comptés ! Le trait est traitb d'herbe = verbe nacré ! Le trait est un trait de VErbe (d'herbe ?) sur pré ! On veut toucher à une vér(ité surnuméraire (on dirait) qui sezrait (de fait) la vérité des vérités sur herbe ! verbe doré ! chant lacté ! sein de fée ! nénés des nénées ! on vitupère en vrai contre un père des Prés q<ui est le Père des données Supre^mes , 

on le déteste ! On ne veut pas de sa "bonté" ! on  veut pouvoir s'en échapper et, nhe plus jamais de fait le retrouver , le voir sur pied nous mater

-tater et autres faits et gestes ! merde ! merde aub père des prés ! il nous emmùerde ! il nouys fait bisquer ! il nous faéit grave suer et même chier ! va donc passer plus loin Père ton chemin et ne vie,ns plus jamais en vrai nous enquiquiner on en a assezb ! O,n  veut toucher la main, le pied, le genou imberbe, cuisse dorée, poilds de  fée, et y aller ! aller vif ! y aller de nottre envie sur pré de nous laiisser aller à deeviner , qui de quoi ici bnous fait ce dro^le d'effet ! On aime ! On aime aller et tracer et du coup chercher les données en vrai, on dirait les plus ancrérs = prononcées sur pré, genre VERBE au données du Rêve (?) ou sinon du rêve, de la VUe, de la Vue Naturelloe sur MOnt Suspendu et autres paysages d'herbe (Verbe) dodu. 

On est Fée des prés ! on a envie ensemble de comprezndrre les données du pré ce qu'elles contiennent et ce qu'en vré&i elles pourraient donner en te"rmes de vie (vérité) salutaire si tant est ! Onn veut grave toucher = faire = dire = aller = prendre = chercher = deviner = comprendre , ici, les données donnéesz par, on dirait .... l'herbe . l'herbe des prés ? on est comme en vrai sidérées ! l'herbe ???? en vreai , il s'agirait de mots ... des herbes d'un pré ? Mots d'herbe ? mots des mots de l'herbe à mâchern,, brouter , ma,n,ger, mâchouiller ? On est la fée des données priomaires ! on est fée en herbe ! Salubrité ? on est Fée d'herbe, DFée de l'herbe = Fée-Fée aux donnéesz données sachant brouter ! Onnest la fée de l'herbe allouèée à une vérité des vérités des herbes tracées, dessinées, gravées sur paroi des fées ! On a envie ensezmble de comprendre ce qui est ici qui

 semblerait, peut-être, vouloir arriver. On est nées de  base fée , en cette sorte de contrée qui est, en vrai, la contrée du Verbe, Donné des DOnnées. On veut toucher à cette Vérité larvée, encastrée, en une soerte de poaroi de Roche aux tracés allouées par une sorte de Personnhe Docte des temps Passés. On veut tyoucher troyucher toucher toucher toucxher toucxher toucxher toucher 

tpucher topucher toucher à une sorte de donnée donnée donnée donnée donnée ,données qui serait la Donné des Données à j amais = F2ée ! fée des ombres portées ! L'homme est du passé,l'homme mort-né d ans la mort actée est tel du passé (de cimetière) alloué au pré = herbe ! homme-herbe ! femme est la bête-mot, le traéit, bête de trait et autres Bête des parois de roche ! Homme mort-njé est devenu le pré , l'herbe, l'herbe verte, petit caveau ! On cherc he ! On est  des bpêtes -mots sur herbe alouée à un pré post-cimetière aux données alléguées commùe "per derrière" (qui sait ?) . O, est le fée des plaines ! fée du pré aux herbes à brouter (homme dernier). On veut coller, en  vrai, aucx ... "nénés d'herbe" ? On veut coller à c e qui est, qui vient de deriikère, la par(oi (de roche) première et après ? qui va là ? qui saura ? qui vivra la chose et du coup saura nous en informer sans plus d'anicr(oches ? On vreut tyoucher à une déité de roche ! on a envie en vrai ensembke de toucher , à, donc, Vérité  ) ! vérité des prész ! On veut toucher = donner = dire = faire = comprendre = charger = concevoir = calfeutrer = combler = cerner = cxhanter = faire ce qui est qui nous sembkle aller = se caler, se t asser, se placer, e,n  cette roche des données données par (qui l'eut cru ?) l'herbe à broueterr ! l'herbe verte est Verbe on dirait mais est-ce vrai ? est-ce ? est-ce ce qui est ? qui sait en vrai ici et là (le pré, aux vaches sacrées) ce qui est et (a contrario) ce qui n''st pas ô grand jamais dans les boyaux ! Qui, en vrai, le sait ? On est fée cdes prés et on cherche à tracer. On veut toucher toucher toucher de fait à cette soerte de donnée de base = mot ! mot de trop ? mot-mot ? mot de Rage ? mot de base et aéutres mots de rage ? mots du culot , de la rage nue ? des doonées nues ? du cul ? Mots-mots donnés aux asticots ? On est la fée a&ux mots des prés, fée d' ^me ! feée

 des fées aen nage ! on sue ! on pue ! on pue grave ! on pue comme jamais temmlllement il fait chaud ! on cuit ! on est toutesz en sueur et larmes ! on est nées fée comê à la parade, a&u milieu des a,nimaux de charge, et on en avance = on va = on trace = on y va = on est à présent tout en haut qui cherchonsv (en face) un passage, trou de peau ou autres orifices-b,oyau ,; qui puiisse (en vér(ité) nous dooner ou prêter de qauoi nbous abvancer et tra&verser, passer ! passer voler ! traverser le dernier coteau ! la montagne ! mont des prés salués ! On veut passer ! on veut grave passer ! traversert ! aller tout en haut et du coup t§oucher à une vérité "des hauts" . On veut 

TOUCHER SERRÉ ! 

RToucher ferme et commeaccolées à une sorte de tuyau "de référence". On est le tuyau ! les ailes battantes. Le trea&cé du pré ! charge mentale et dits des fées de contrebanxde. On fveut fcoller ensembke à une sorte de doonné donnée de base aux fées traçantes comme on est  ! On est fée dees prés et en ezffet on trace, grave, sans traéîner, sans se lamenter, sans chercvher plus que ça à nous inscrire en faux concernant ... la chance ! oui ! il en faut grave ! il faut lA chance, le Tuyau, la Bête Forte aéllouée au tonneau, Gente's Da&mes et Da&moiseaux tu penses ! On est Brêtes de Peau ! On entre ! on est entre ! entre deux eaux ! On veut comp)

rendre et &llouer, charger et cerner, tire r et pîger, vivre et emballer, cfoller et surprndre, forger et sonder ici -mêmùe (à jamais ?) la ROche en HErbe . Onest nées fée sur herbe et on veut tracer. On veut comprendre les données données à quoi elles ress"'mblent(. On veut de fait (en  vrai) chercher à  cerner , ces données de base, ce que c'sst quyi nous concernerait et nous inviteraient à comme nous propulser plus loin (toujours) sur ce chemin des connaiszances, en ... Amour ? Amour doux et courtois ? Beau séjour / beaiu minois ! Atours ? On est la fée qyui tremble ... mais ne cède pas ! on en avance (discourtois ? maussades ? sale ? mal ?) mais voilà , on en avance ! on ne lambine p as ! on y c roit , ou du moins on veut y croire grave ! on ne veut que ça ! croire en soi ! aller et toucxher, faire et porter, donner et dire, centrer et conduyire, chercher fée, fée des fées sur herbe d'un pré qyui seraéit de fait le pré alloué à une fée donnée en partiuculier : Fée d'herbe, ou fée des herbesz du coup à brouter, manger, mâcher par des bêtes ! On est entières ! collées ! on pèse ! on est passées ! On voulait en vrai charger sur pré, on peut dire que c'est ok. C'est fait ! 

On voulait :

charger, conduire, saluer, donner,; poursuyivre, centrer, chiner, poser, composer de fait avec la fée telle qu'elle nous apparait en ce pré alloué à une véritécernée. On est fée, fée faite bd'un homme comme dédoublé en deux parties d'aile. On VeuT btoucher à ce qui est qui nous espionneraiot, ion dxirait (tandis qu'on monte ainsi soulevée ! ) . Obn EsT dEs HomMeS qui SomMEs cOmME transFoRméeS EN de"uX BetesV dE SomMe ApPELéEsc féE On DIRaIt PARce quE voiIlà ELleS SONT PAsSéES à TrAvERS LA RocHE COmME UNe fuSée (FiSSA ° Et DONc VoILà ! on est n  ées frées de RoChe ! nouba ! samba ! parole doctes ! on y va ! on veut ça ! on veiut aller-toucher sans faute la

 paroi du Ça tel qu'il nous apparait de forme. On est Néesz fé la bmort venue ! cul-nu ! fée cul nu ça pue .... eh bé c'est fait exprèsz ! pour repoussr ou attirer ! pour toucher ! toucher  de près ! toucgher Fée des f2Es , Fée velue ! Fée des F2e velue qui elle aussi (donc à la retombée) wserait ainsi comme puant du cul ! fée ôilue ! Fée des fées de rage venue comme pa&r la bande nous toucher de près ! On veut la toucher ! on a szuper envie dee la toucher ! fée contree fée ! feu contre feu ! fuoc contraï fuoc ! fée / fée qui le ferait de fait ! seréiot bienvenu ! nouys fezraiot bien aller et nous egayerait en vrai ! On est la fée du préb 

nommé, on v eut pouvoir aller ,, treavcer et cerner, filer en vrai sur pré le jour venu ! on veut 

PUER DU CUL ! GRAVE PUER ! ON VEUT GRAVE PUER ! PUER DU CUL ! GRAVE PUEZR DU CUL ! ON VCEUT PUER ! GRAVE PUER ! PUER GRAVE DU CUL ! DU CUL PUER ET GRAVE ! SOUS LE NEZ (ET  LA BARBE) DE L'ATROCITÉ, DU VANDALE, PÈRE LA TRIBU, LE MÉCHANT DÉDALE, DEDALUS DES TRAITS IMMONDES ET AUTRES TREAITS TRACÉS, EN FORME DE PASSÉ , TEMPS DONNÉ DEE  R(OCHE. On est née fée la paroi passée ! On EsT Née féE DE préS /lA pARoI passée ! on est née sur pré la paroi pass&ée ! on veut coller à une D2éité des D2ités et ne plys 

nous retyourner mais teacer , treacer vif, filer et comp)rendre en vrai les données de rage, le trait alloué à une marge anale et autres petits faits su r pré alloué comme à la par ade : cul nu ! on est nues nées, nues vues, nhues connues ! On veut y aller ! on veut grave tracer et gagner la bande ! se poster sur la montagne et du coup reg arder, dee rage, les données lointaiones, horizon donnéz, traits lointains alloués à un Frai ! Chants choraux ! Chants des Eaux  ! Chants sourds du Tonneau ! On vole ! on vole drôle ! on volete ! on est fée des herbes comme soupeséees ! On veut toucher à cette Déité dite du post-cimetière allouée à une destinée sur pré ! qui on est ? AILES ! A1ILES ! AILESZ ! AILES sur pré ! on est ZAilesz ! Ailes aux données centrées ou recentreées , qui voulons voler ! monter ! chargher ! cerner plus haut les données chelous ou dites"chelous" ou "chelous comme tout" ! O,n aime 

 ♥️

on veut être fée

on veut en vrai être fée

 on veut bde base en vrai être fée

 on a envie ensembke de base d'être frée

on veut grave ensembke de vfait être fée et comprendeesre ce qui est qui nous ressemble ou nous resemblerait sur pré

on veut aimer 

on veut (grave) aimer les bandes, les données de rage et autres données , données par la bande à tout jamaisb on dirait mais en  vrai qui le sait ?

on veut toucher )à une sorte de vdonnées de rage comme consacrée à une sorte en soi dx'adversité (type monacale) allouée à une Vé2r(ité dite "de contreba,nde".

On aime, tracer et pisser, charger et collzer, ma,nger et suer comê par la bande, nos mots du Passé et autres Gros mots sur bande traçante. 

on est faits = fée ! ion est pasdsé (homme), on est fait (fée) une fois passé = fée du pré (ou fée des prész de charge")

ON VEUt grave comprendre les données romandes, le Roman de Base, Chant d'oiseau et autres mots gros du tonneau. 

qUi en vrai on est, on se le demande ! On ne sait ! On ne sait p as en vrai qui on est, et qui on est pas ! On cherche à comprendre ensemble sur le tas, mais voilà, on est mal outillées des fois ! pas facile ensemble ! on est Ailes de fée sur pré, attachées, accolées, soudées, collées de rage on dirait et ça le fait ou le ferait grave il semblerait ! 

On na envie de faire que ce qui est qui nous obsède, on dirait ! Tracer = pister = donner = faire = cerner = lier = charger = prendre = donner = monter = coller = dire = suivre = forcer, forcer grave les tra&its ! venir ! allouer de base, à ce tracé, des données sa&rdes et du coup monter ! haut le plus sans plus tarder ! chanter! 

on veut toucher à ce qui est qui nous regarde ici

mort

mort = antre

antte = mort

 mort, "des don,ées de l'antte"; antre des données données, au sein de la mort 

ventre

Charge-née ! On veut toucher à une sorte de donnée du ventre, saturnale, a&llouée à une vérité, "cventrale-ventrale", qui est (pour le cfoup), V2rité des Vérités "chelou", ou pas chelou, mùais .... d'antre ! d'un antre ! vérité de l'antre = vérité ancrée ! allouée ! tracée ! chargée ! qui entre comme à l'arraché en cesz contréesz de bout de bout, sur pré aux fées. On VeUt tOUcHeR à ceS données de rage ! On VEuT GRaVE y toucher ! ToUCHreR à ces Données de base menaçantes , et entrrrfer ! filer ! coller ! donner ! cxharger ! faire ainsi ensemble (ici) qu'on puissee glisser, qui son doigt de fée, qui sa langue (qui sait ?) patoisante ! On est ailées ! on est Ailes du pré ! Ailées ,! on est la fée, ailée, des dsonnées de base (dans la mort actée, larvée, prégnante, située). On veut com)rezndre , cerner, collezr à cette déité des données centrales (ventrales / anntrales / astrales ) . on veut :

TOUcHeRv, Faire ainsi nqu'on pûyisse comprendre et cfomme mieux nous situer sur cette lande

 aux données (de b ase) saturées ! Qui on est ? sardes !

Qui on est ? sa&ges ! saége-femes ! sages -femmes des prés comme situées sur herbe de base : mots d'arme ! On a méga-envie de comprendre = TOucHER , Dire, Coller, CErner, Cerner EN vraéio ce qUI est ! dire et toucher ! on veut toucher à une vérité 

acide ! grise ! vive ! chargée ! accolée ! vive ! centrée ! colère et vie sur pré aux fées ! on a envie en vrai d'aller :

vivre sur pré notre vie d'e frée ! Et du coup tracer, chanter, pisser, allouer à une vérité (sur piste) les données données de l'hydre ! On veut =: 

toucger toucher toucher toucher toucher toucher tpucher topucxher toucher toucxher topucher toucher toucher toucher toucher toucher touchert toucher toicher toucher toucher tyoucher toucher toucghhjer à ce qui est qui vient vers nous en tant que nous on est les feées chelous du territooire "aux fées" telles que la mort en

 vrai les reconnaît ! telles que la Mort en vrai sait les repéreer, les situer, les recvonnaiître en vrai (sur pied) et pas le contraire. On est la Fée des prés sur herbe ! ON veut voler, monter(, gzagner , la Dernière des PZArois du MOnde , Rotonde, cxHarge d'ombre, 

on est 

ENCLAVéES !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on est vcomme enclavée de fait ! On est priçses en vrai ! On est tenues et contenues. On veut toucher de fait, à ces (dits) "nénés de saison" ! On est la fée du pré, du mont des Données ! On est nées velues ! fée nue ! fée sur pré cul nu le jhour venu ! ça pue ! ça pue du cul ! c'est une sorte de donnée donnée ! ça le fait à moitioé ! c'est un fait avéré ! On veut grave toucher à ici ce type de donnée genrée, allouée à un fait vrai qui est que voilà :

UNe fée en vrai (dans un pré = paradis) ça pue ! ça sent ma&uvais ! cf'est fait ecxp^rès ! chelou pas à moitié car c'est du cul qu'elle pue ! On, veut toucher ! tracer des nénés (on dirait) à main levée ! charger ! tonirtruer ! foncxer, à brides abattues comme qui dirait et ne plus lambinner, coller grave aux tra&its m arqués = suivre les traéits et ne pas nous en éloigner , aller ! charger sur pré (le jour venu) les données de rage et autres charges   ! On est = on va = on entre ! On est entrées de rage en cette lande aux langues sardes ! cru ! esszayez ! essayez de grâce, le jhour venu, de tracer cul nu ce qui vous passe par la tête un temps, se rassemble, fait boule de rage, sentiments patents ! On est venues cul nu sur pré , pour (en fait) toucher , toucher grave, grave aller, aller grave sur pré, tracer, qui un zaurochs, qui un chevau, qui un bison, qui un veau de peau, qui l'antilope du troupeau, la bête rosse, le bufflemot, la pelote groosse, la jument aphone, loe tonneau gros de sa parole docte, au chalumeuau ! On veut 

grave coller et toucher à l'Ordre vdes Données Profondes Otrthodoxes (ou pas : mais , de fait, et pour le coup, vraiment collées jusqu'aux genous ; après (après les genioux : au-dessous ?) ça vpeut aller, moins grave !). On Est nées de base fée comme à la retombée car on est née (dans la mort) femmes ! femmes fois deux , pour former fée = EFFE ! EFFE des préds ! l'EFFE frontale, saturnale, collabée, nacrée ! On esqt pasxée sur roche, a&insi a ccolées zet du coup ... c'est da&ns la poche !

 on est ,nées ! on est fée ! fé des prés sur roche allouée à un tracé de fond dee grotte ! Mendicité. Sermons. Saluts à jam&is. cul né la nuit venue, sur herbe saluée par des bêtes velues. On veut coller !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! coller nue !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! aux dopnnées dy-u cru !!!!!!!!!!!!!!!, chants des pâmoisons, chants de front, ire du Pont, on veut lécher, on vfeut embrasser ici le traéit ! charge'-née ! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée cendrée et centrée comme par la moitié (?) ici, de front !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée vive et allouée à une rive !!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!u!u! chahutée !!!!!!!!!!!!!!!!! accolée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! On veut toucher ux onnées vives d'une sorte (en vtrai) de Vé'ité des Vérités Actives (chargées = rechargées) sur pré des Fées. On est nées fées du fait qu'on est passées, qu'on a traversé (justement) la rive (la contrée des fées) et qu'on s'est retrouvé de faitt sur pré, les pieds , dans l'herbeb à brouter, par'mi les bêtes de trait et autresz bêtes groosses sur prairie de roche. On est née fée ! on aime ! on aime être fée : post-cimetière ! étrangeté dernière ! salubrité ! intégrité ! bonne chère et autresq mets à déposer sur pierre à la travezrsée, et ça le fait ! cherche ! cherche ici (sur pré) les données données de type offrandes (médficinales) à déposqezr, la mort venue ... en puant du cul (de préférence : ça le fait !) . On veut toucher ! dire et aéller ! on veut grave toucher,, et aussi : alezr, cerner, pisser, composer, allouer à une sorte de charade lezbdonnées de base te'lles qu'on les connait ... en France . Par exemple : 

- le tra&it

Par exemple :

- La Romzance

Par exemplqs :

- Les données de Rage, Vifs tracés, CHArgee frontales et autres vélléités de contrebandee ! On veut toucher aux nénés tu penses ! téter ! on a grave envie de compre"ndre et de s&luer les donjnées donnéezs comme on les connaît ! Comprendre = cxharger = soulever = soupesezr = dire = contrer = charger = cerner et du coup frémir , quii sait ? on regarde ! On est nées fée à la retombée, par chance ! on était hommùe ou femme (singulier et singulière) au te'mps passsé, nous voici fortes têtes, traits tracés, on charge, on enttre ,,et au pa ssage on perd les clés" comme qui diréit ! l'homme pe"rd pied ! la femme tranche, passe, cherche à se dédoubler, arrive ainsi tracées, deux femmes sur pied comme par chance )à l a retombée font la Fée des prés !Nous voici transformés ! Fée des fées sur pré on est acté ! On entre ainsi colléée , remontée, gravée  ! On veut toucher toucher §opucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tpoucher toucher toucher toucherr toucher toucher

 tou!cher toucher à une déité de contrzbande, saluée, centrée, posée, chargée, accolée, postée, qui nous rega rderait sans s'arrêter. Qui c''stb ? eh bé, la D2éité du cru ! l'attitrée ! Déité nacrée sacralisée ! Onn est née F2ée pour comme avoir à rencontrer la Déité des D2ités sacrée nacrée (sur roche des prés d'amazonezs). On aime toucher ! on adore ici en vrai toucher à ces données du bout du monde !). On dirait un p^ré  ! la roche ! le passé ! ça colle ! c''st genré ! ça pose des traits ! ça va vif sur herbe acculé jusqu'à la chose ainsi repérée qui nous reg arderaéit comme si en vrai on ét§ait drôle ! on est fée de Rôle ! Chant tracé ! vif tracé aux données de Roche , genre Ant§i-l-opes  ! gastropodes énergivvores ! On veut coller à une déité des données de roche, et du cou!p tracer ! filer, à grancdes enjambées, dans ce pré donné aux bêtes de roche ! on veut aimer ! tracer ! charger ! aéimer Chose (le Petit Chose ?) qui nous connaît : Déité des D2ités ! On veut toucgher, toucher, toucxher à Chose = D2ité, qui ne cesse de nous reluquer , du fait que voilà, on est fée, transformée, devenue en vréi fée à la retombée, la mort "passée", car

le moment passé de la mort actée on est, en vrai, eh bé oui, devenue fée ailée (comme toutes les fées) ... mais ... puant du cul, (exp)rès ! , pour "embauemer", pour "tracer", pour "laisser de szoi ce fumet, ce trait , trait de joie accolé à une sorte de trajet "du cul" sur paroi nue ! On aéime ainsi puer e'n tant que fée le  hjour venu ! On est fée des fées puant du cul ex^près : pour "embaumer", inonder , cxharmer  tu parles, faizre de l'effet (onn diraiot) et faire (ainsi) reculer (de fait) toiutes déités de La mort aactée

 trop entrep^renante ou excitée ! On ne  veut pas D'iUNe MORt dees prés trop EXCitée tu le sais . Calme et sérénité. On veut pouvoir se poser sans frais ! On est fée de base centrée sur base calmée ! pré ! pré sans frai ! ON commande ! on a envie (méga !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ) de nous poser UN TEMPs = LE temps, pour SOUFFLER = SUER = DIRE = FAIRE = VOLER = CHARGer =CERnerb ensemble les donées du cru  (le cul nu) . On est la fée post-cimetière voletant, chercvhant , ici, un mât de R^ve, sentiments patents, où (à quoi) pôuvoir de fait (sans sourciller) se raccrocher et du coup cerner = détourrer = dire-poser, coller-prendre, jouer-dire, etc., ensermble, lES DoNnéeesb  du Pré , vivacités ! vivacités ! vivaCItéds ! On veut coller à une vérité "acide" = Acidité / vivacité ! ON est la fée fluyide, le treacé acté, trait des fées sur roche "actiive" ou activée ! On veut en vrai bousculer les données (genrées) d'une sorte de "parentalit é massive", ce qu'elle est, ce à quoi elle sert, le pourquoi du comment elle est née, ce qu'on peut en déduire la mort allouée à une destinée. on est né fée la mort venue, puant du cul, avide de cerner de fait les doonées données à une sorte de paroi 

finale; On pue grave (en vrai) pour (du coup) repouusser les ardeurs matinales (par exemple) d'une sorte dee Donnée des RAges, Déité des Contrebandes et autres Vérités Lactées./ On ne veut pas se laiusser emmerder ! ou marcher sur les pieds ! On veut passer-toucher, filer-aller, prendre-surprendre, saturer de fait les donnéesz du branle et du menuet. saturer à jamais ! on entre ! on est entre ! on entre dans l'antre, saluées ! On a envie en vrai nde comprendre à jamais ce qui est en termes de Déité et autres Vérités R5omandes. on est nées de fait fée ! car on est passées, on a franchi le rubicub des données étanches ! On veut oui, toucgher ! graver , dire et former fée, dès qu'entrées en vrai par la bande et ça le fait ! on se cha nge ! on devient fée de territoire ! soupesée c'est vreai par en vrai la Charge, le PAssé Acté, MOrt de "l'homme

 du passé" , pauvre de lui le gnome, il est mort-né surt pré , devient herbe en vrzai à brouter, pour vaches sacrées et autrs bêtes-fées cendrées ! On est la F2e au Temps Tracé, chapeaéu-melon, fée des prés  sapée ! on est née La Fée ! On est accolées = ailées ! On est passées ;- ! on aime aller ainsi sur pré charger ! gueuler ou pas mais traverser, fissza ("à la une à la deux"), la Paroi du Roi, REine de Bonté !

ON MONTe ! ON veuT mONRTer ! On VEUt gRAVE MoNTer Sur pied ! On vEut EN Vrzai GRaVE MONTEr SUR pieD ! tracer = donezr ! ON NE VEut pas pâssrr à côté mais pour le coup en vrai monter ! gravir les monts ! se porter de fait sur les hauts du Pont ! TRACER ! COLLER ! DiRE et donner , ce qui est , eet filer ! ce qui est qui est : offrzandes (diverses) à Déité, et filer, ça le fait ! déguerpir en vrai ! aller ! rentrer ! revenir ! retourner ou s'en retourner( ! On veut grave toucher à cette D2oité, des données célestes, savoier

 vqui elle est, ce qu'elle est ezn vrai qui nous observe , et aéussi : pourquoi elle nous observe, qui elle veut toucxher en vrai, est-ce qu'on l'intéresse, qui est là pour dire pour le coup ce qui est qui est, la co,

ncernant elle . ON EsT N2ée f2ée pôst-cimeytière en vrai, et du coup on est ensmble comme soulevées e,n tant qu'on estb accolées-soudées pour formezr Fée, Fée  faite de moitiées collées (femellesz) et ça le fait, e,n tant que bête-fée de traits (on dirait des  bêtes ! des bêtes de trait ! ). ON DIrait qu'on est AILes (des Ailes) sur Roche Allouée à une V2ritév Ailée ! point sacré ! petit point de trais sus-nommées comme alloués ! On v eut toucher à ceftte déité post-cimetière = donnée = donne = femme actée fée, sur roche collée ! racée = tracée : on Fonce ! On veut toucher toucbher toucher toucher à une vérité des vérités, acter, paqsser

 roche, toucher ! toucher en vrai la Déité du Corps Loué ! charge paadssante ! Capitale des entrées de fée ! on est née fée la nuit passée ! fée des ombres et des traéits faits à main levée, en ordre, sur cloison de roche; par des hommes-femmes, femmes-hommes des tombeaux et aurttes tonneaéux ! On est la Fée du cru des ombres, chéapeautée ! on tombe en trombe ! chaud tracé" ! on forme boyau ! on entre dans l'ombre ! chalumeau ! torche fauve ! le boyau des ombres est à la groptte ce que le vaisseau (sous la peau) est à l'homme-femme,

 au cerveau rempli d'eau (sang de roche). On veut le Haut ! coller à ROche des Niveaux ! On veut toucher à une Roche comme autocalée sur le niveau de l'eau ! On veut

 AIMER ROCHE ! ROCHE AIMER DE PRÈS 

On veut grave aimer ! aimer gravfe roche, soulever = soupeser x et x vérités de poids et autrsxd bête-mots dits "de la foi" en ces boyaux (de grotte cachées enterrées). On veut AIMER ! AIMER FOL ! Follement ! Aimer en tant que fée qu'on est ! Aller ! dire ! toucher ! contrer et rire ! rire et péter (péter de rire) et puer à jamais si ta,nt est ! c''st un fait ! on est la fée des Riresz ! On veut (grave) repousser l'hydre ! le 

genré ! l'homme-moitéié  ! le Sens des Réalités Passives et auttresz volontées passées (sur pied) à même la rive ! On veut : coller = donner = dire :== chanter = cerner = comprendre = prendre = allouer = bercer = donner ce qui est qu'on porte , genre : dons de rage, mots de base, bêtes-mots (de poids) sur roche, tracés doctes, pommesb ! pommes du pré ! pommes au déjeuner ! pommes dxes prés ! pommes et pommes ! pommes et poires du verger ! pommes des oiseaux ! des bêtes de foire ! chalumùeau ! cxhalumeau notoire ! animùaux des rages et gens de peau ! colle ! colle allouée ! roche ! roche ce ndrée ! porche ! porche attribuéb ! nuit des fées sur pré tracé ! chance des donnéesz ! verbe salué ! On est entrées ! on est femmes des prés ou filles des préds ou bêtes^mots des prés ou m^$eme bêtes-filles-mots des prés gravées ! ON est n 

ées !On est nues ! On veut toucher à cette déité, vdu mont des nues, nuées du Passé , du Pré alloué à un pAssé Ancré la mort  venue ! On veut toucher de près ! toucher nue ! nous, nue ! nue velue vue ! nue du cul et des nénés connus ! Nue ! Nue d'herbe ! On veut : dire-faire, coller-aller, charger-comprendre, être-mettre,monter-entre"prendre , toucher-cerner, hausserrendre, vivre-tomber, saluer-chanter, huer-froncer, quérir-attreapper, dire et faire ce qui nous plaîot en ces contrées du Mont Velu ! cul nu si tant est ! on veut treacer = toucher ! toucher = dire ! dire = faire ! faire = charger! charger = suivre ! suivre = sonder ! sonder = pouswser ! pousser = enduire ! enduirev = oindre ! oindre = chiner ! chiner = vivre (dans un pré) sa vie de bpetes -mots de poids , et ne pas ou plus s'en faire

 plus que ça, laisser être, laisser faiore les données du monde, se soumettre aux vents des forces hautes, ici, dees roches de paroi. Etre et aller. Dire et cfoller. Se donner de bva se aux fées, des roches des voiçx ! crier (peut-être) et tracer (à main levée) les mots sur paroi (mots doctes) qui (en vrai) disent (tous) ce qui est et ce qui n'est pas, en fait, concernant la Fée, Donnée FOrte, Fée des Féesz Ailées qui est censée, en vérité, nous ouvrir les portes ! toutes les portes de la Roche dure /rude allouée à un mur  (ou muret) de fin de grotte (finalités) . On veut grave aller chercher, ensemble, la bChose, ce qui est qui va, chante, escorte. Toucher la horde ! la toucher en vrai sans honte ! traverser ! courir ! charger ! pistonner ! co:mprendre = donner, à qui de droit , les clésxs du passé et ça le fezra ! On veut grave rechercher la Roche aux données de pôidfs ! toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = troucxher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher à la paroi = direb = montrer = faire accepter = mesurer = situer le niveau (en vrai) du Rire des Fées ! Rire alloué à une Vérité Ancrée (sur pied) de type F2ée des prés ! Frée des ombres prortées ou rapportées qui , toutes, on dirait, se chevaucxhent , pour former .... Déité de ROCHE ? D2ité des D2ités accortes ? On ne sait ! on cherche encore ! on ne lâche pas (ou plusz) la roche, on fonce on vole ! on y va fissa : dans le tas ! on ne regarde pas à s'économiser ! on veut toucher à satiété la Bête-Monstre de paroi, coller ! dire et pousser, charger et donner les clés, qui sait, à celle (fée) qui sa&it (saura) danser sur pré, la danse des Chats, Chats Bottés, Rats, Rats des prés et autres chzamps aux données actives. On ne veut pasz se l:aiisser abuser ! on veut coller à une vérité alpestreb ! chat Bottté ! Chat hua&nt ! Prince des champs ! Chants des hjoies du Vent et des données soufflées, sur gherbe tracées. oN veut aimer = aimer toucher = tpucher = 

toucher de près ... les nénés lactés, les seins ambrés, vents des prés soufflant, ombre portée au firmament ! On est fée des fées ! colle allouée à une sorte de "tracé mental" tel que rencontré dans ... la mort actée ? qui sa&it ? qaui sait, en vréi, ce qui est, desz données des prés ? On est nées Fé2e la Roche pâssée, dans 

la mort actée, comme transgformées ! transe au pré  ! on chante ! on ne cesse de chanter ! on est fées chantantes, ou Les Fées Chantantes aux données (naissa&ntes) savantes ! on est fées de contrebande (ainsi tracées) qui cherchons la bande, le mottet, le chant du branle, musicalité des données romandes et autres chants des blés. On est nées, du branle et du menuet , FÉE ....................................................................................................................................des fées dansantes !

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13/10/2024

Qui onn est ? on est femmes du passé, tracée, colléev à une roche d'envergure. On veut toucher, aller, passer de front "à la une à la dezux" la Roche du Pont . On veut cfoller à cette chose d'une sorte de paroi d'époque : tralala frontal et autrees chants de contrebande. On pousse, on trace ! On veut cfoller-passer à travers loa roche et c'est ce qu'on fait ! On est accolées colmme ailes de frai ! On trace ! on entre en transe en cette sorte de "rotonde au pré" ! Qui on est ? AILES,

 AILES DE BIèRE ! charge sévère ! on a poussé et du cfoup voilà on a fini par y arriver, à  , ici, entrer de rage, en cette sorte de "garage " d'anges ? on y va ! on est deux, pour ça : la Chance = le passageen transe. On veut cvomprendre = on veut cerner = on veut toucher = on veut (on voudrait) dire et coller ensemble à cette sorte de par(oi des anges, paroi sarde, chants des pleurs et autres rancoeurs ! on est anges ! on veut toucher à cette deéité des franges d'une sorte de façade blanche. qui on est en vtrai ? des anges ? ou bien, des elfes ? oou encore, AILEs, délivrées (au passage) d'un homme alloué, charge blanche et déposée sur branche 

, et nous .... on avance-trace, on veut (de fait) comprendre  (saluer) toutes les données qui , en face, sont , comme en vrai posées, mises sur pied pour une traversée. On est comme adoubées en vrai par une sorte en soi de déité cooriace, située, porrtée, qui nous regarde ou nous regarderait sans discontinruer. On est (qui sait ?) femmes celtes, dépl&acées, pasdsées, on est entrées, on est accolées, on est 

fardées et grimées comme des elfes en vrai à jamais = tracées , sur roche, bouquetins / quetines, bisonnes et bisons de frime ! On est nées (sur roche) dans LA MOERT ou Mort d'hom^me "fait". On est nées de base (rage) à-à la mort en face ! On veut toucher , coller, dire, allouer-passer, coller à une roche vive, traverser la rive et nous retrouver (de fait) de l'autre côté comme si en vrai on renaissait, on se transformait, d' omme "fait" (surfait) on devenait ou on se transformait e,n felmmes déposées, tracées, anguilles, chalutier, vivres ou vivres comme o,n  en connait dans les tyextes bibliques ; ou alors quoi ? ailes en vrai d'ange des prés ? Fées des prés ? on cherche à trouver ! On veut coriavce (de fait) comprendre, savoir, dire et aller , chercher ensemble ce qui est qu'on voit en face, tralala de base. On y croit ! on veut y croire ! on veut en vrai coller à cette déité, des rages célestes. Qui c'est ? Eh bé ... peut-être, oui, une elfe ! ELLE ? on ne sait ! on cherche de près

 ! on est cfomme soudées "à toi à moi" par le derière ! fée allouée à une sorte de tracé (de rage) szur pré , on avzance ! on est (de fait) fée de base, on est née , on est née fée au passage, ailes des prés, elles en nage , transe, on est passées et on 

rzegarde les données données du paysage ce que c'est, ce qu'elles représentent, ce qu'elles sont pour nous  qui cherc hons passage , ici, à traverser, chemin sarde, destinée.

On veut :: TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER = §oucher = toucher à cette sorte de Passé de contrebande, ici déposé colme s'uil en pissait ! du lait ? hé !! qui sait ? on cherche ensemble (ailes) à trouver, en vrai, ce qui est, de ce passé, icfi déposé come s'il en pleuvait. On est "belles bêtes" des prés : bouquetines cendréeds, bisonnes des fées et autres buflles travaillés ! On est ! on existe en vrai ! on est dessinées ! on brille ! 

On est en vrai passée. On a traversé . On veut cerner-toucher les donnéesz actives

,, le p

ässé c'est un fait mais aussi la friche, l'herbe ici allouée, le pré aux fées, les bêtes placides et, au loin , la roche (montrée) qui s'affiche et semblerait chercher à nous .... tirer vers elle, nous faire signe . "On arrive " ! . On veut toucher à  ce qui est qui nous fait signe. On veut y aller, tracer, coller à une sorte de paroi, aux signes tra-cés,; aux lettres des fées. On est vives ! on vole, on volette ! On est bêtes des p^rés qui (de fait) se laissent guider / emporter par, ici ... le vide ? l'air des prés, vent digne, chant des cygnes ! On veut toucher à urn-e d"éité du vide, ce qu'elle est qui nous attire : satiété ! qui c'est ? On ne sa it. On veut y aller ! on a

 m^éga-envie ensemble de touchger à cette szorte de donnée (de contrebande) allouée à un pré, à un pré des chances,  dit "des chances" en vrai. On avance ! on veut coller à une rive ! tracassées ! on veut (tracassées!) coller ! on veut colloer car on est tracaszées ! On veut aller ! faire sur pré notre (petite) virée des fées et toucher au loin à ce muret qyui semblerait vouloir comme nous "incorporer" de fait. On est filles ! filles vivesz des prés = fées ! fées des fées et ça le fait en vrai ! on est des fées des prés qui (

de fait) faisons treacé = allons = marchons = gagnons, gagnons l'autre rive, celle ici allouée à une sorte de ... sortie de piste 

! champignon, oignon, tomate-cerise, piste riche ! on fonce à fond ! on veut casser la tirelire ! le petit cochon ! On veut toucher e nsemble (à toi à moi) lza frise ! le moignon ou le melon, l'ermprise sur rive, champignon du Pont ! On mise ! on veut toucher en vérité la frise et gagner (de fait) si possible la rive, l'autre côté, côté champignon, melon, oignon, jambon et autres mets de venaison. On veut : 

toucher , tpoucher grave

toucher, toucher ensemble

toucher, toucher vif

toucher , toucher à vif 

ce qui est qui est qui nous regarde et noius ressembkle : les données de près, chants des prés, cerises, vents acides, on est nées ! nues ! vives et comme cul)-nu sur herbe du cru ! On aime allersur pré chercher la mise, le traceé des fées et autres denrées comme déposées sur herbe diorée ! on entre accolées dans une forêt  , p)rêtes à danser ;, chanter, tracer des ronds sur herbe cendrée ! On est fées des fées ! on est la fée dotée, ailé, nacrée, données sur roche comme copnsacrée, finalisée en vrai en cette contrée de la ;"mort admise". On veut 

touccher = tpoucher = toucher = toucher = toucher )à cette sorte de MMAINMISE aux données acquises, à volonté ! on  veut toucher ! on veut aller ! on veut et on vouèdrait coller à une sorte de donnée de rive '(maritime ou marine) dont le bnom serait (en vrai) : Vérité ou V2rité des Vérités ! on a donné ! on est passée ! on a (ensemble) traverseé la roche grise ! la paroi des frises (bouquetines et bouquetins altruistes) et nouzs voilà dès lors sur pré, prêtes à gagnezr la Rive, c'est-à-dire l'autre Rive, le Sommet ou comment dire, l'a Paroi des Rives, l'u:ltime attablée, le dernier Rire, l'envolée active ici allouée à une sorte de paroi ultime, saluée, cernée, accolmée à un pré (paradis) de mise. Qui on est ? Fée ! fée tracée ! fée des fée ! chapitre 2 la Piste , le tracé des

 fées menant à la rive, à cette ultime Rive aux do nnées apprises, genre : mots des choeurs, chants moelleux, douces Rancoeurs et autreedxs Voeux pieux ! On colle ! on se rapproche ! on a marché tou du long ensemble, jusqu'aux finalités de chambrte. On veut toucher ensemble = "toi et moi", qui faisons en vraéi le corps de la fée ! = la vie ! vie des fées sur pré = Vie avcqauise dans la mort admises ! on est la Fée des données vives ! on est pour le coup accolées en tant qu'on est les ailes (elles) d'une sorte d'elfe ou fée des prés telle 

que consacrée par une déoité lactée ! On est proche ou toutes proches de pouvoir entrer en  cette sorte de donnée donnée qyui ressemblke de près à une sorte de muret aux données lactées (actées et lactées) comme s'il en pissait (d'uun pis alloué à une déité des prés) . On veut dès loçrs aller com^me téter à cette déité des fins de pré. On veut 

TÉTER EN VRA2I = boire le lait = aller ; faire, comprendre, saluer, armer, chasser et toucher et dire et se poser sur rive de l'aiutre côté, côté ... vide ? on ne sait ! on  veut tracer ! filer, aller, chercher, connaître et traverser ce qui est ici ce pré aux données pour le coup acquises comme denrées. On cher che à toucher. on veut coller.On ne veut pas se laisser déborder ! On aime le pré, les fleurs acidiulées, le lait des données telles que rencontrées à la traversée. On a méga-envie d'y aller, et de toucher ensembkle ce qui est qui nous attire vif, nous fait signe on dirait, nous parle en vrai comme si de fait onn pouv ait comprendre, distinguer, cerner ensemble un certain nombre de phonémes de fait co:lorés, genre langue sarde, patoisante ou pas mais ... étrange ... eh bé en vrai on comprtendrait car on wserait comme adoubée ou comment dire ce qui est en vrai, ce trajet, cette voie des anges ? on comprendrait,  car on sezrait comme (tou d'un cfoup) initiées ( à genous) par des fées, d'éautres fées que nous ! On serait comme iniçtéiés ezn vrai par des fées ou des sortes de fée plus ou moins chelou mais en vrai, on s'en fiche pas mal 

puisqu'on est (de fait) nous -meêmes chelous on le sait ! On est   la fée des prés chelou ! l'attreappée ! la courue des prés ! l'antilope nacrée ! fée des fées on est ! qui voulons : 

cerner, 

pisser, coller, charger, comprendre, saluer et sonder, faire contrebande et toucher, toucher grave à une fée des prés genre "qui aime les fées". On veut coller-tisser, allrer-donner, reprendre c'est voler ! On ne veiut plus aller vcers des données de rage mais gagner en vraéi le mur -façade, les données de base, le muret des fins de salle, ultime donnée des données coriaces. 

On veut toucher au loin la Place des données coriaces . 

On ne veut pas se laisserr faire ou monter, en vrai, sur les pieds ou se faire toucher, ou se faire moquer, ou se faire de fait tripoter par a&llez comprendre qui sait qui cherche à nous encoquiner ! on est fée des prés et en ce nom on dit merde aux quéqués !  aux hommes morts-nés ! charge docte, va donc te faire ... mousser sur oordre ! On est la fée des prés dits "de la mort donnée" ,cherchant Chose à avaler pour en vrai travezrser ici la Roche aux données soit l'Ultime contrée ! On veut toucher à s atiété = téter ! téter le lait (le verbe alloué) des nénés ! on ne veut pas s'en passer ! on veut grave téter , aller, courir, voler , nous envoler vers ces tétés de robe ! tétés frais ! on veut téter ! on veut toucher à ces tétés , à ces nénés , à ces nénées d'époque ! soulevées , posées, données, ou comme déposées  sur données de roche, ou d'une roche. On a méga -envie de se coller à ces nénées de roche tels que soulevés , attrappés ici par la Fée des Vies dites "de co ntrevie" ! On veut : 

toucher à satiété , aller et venir, chercher en vrai à le plus comp^rendre ce qui est qui wse présente, en termes cde nénés lactés (de préférence !) dit de contrebande , ou sinonquoi, si pas de contrebande ? On est allouées : ailes de la fée ! fée nous-mêmes de fait saluée, bdu fait que voilà, en fait, on est Ailes = ELLes, ailes de la fée nacrée, genrée, déposée, volant sur roche comme une sorte de donnée, tracée comme à mainlevée par dieu seul sait qui c'est qui était là pour ça, coller-tracer en joie les mots de roche(paroi) faisant foi ! On aime aller ensemble dessiner sur roche, sur paroi, la foi en l'au-delà ! le tracé fauve, la voie ! On adore ça ! on veut de fait comprendre lesz données de force, et allouer  à la paroi Le Roi , la Reine Forte, la fée des amorces, le chant des voix et autres cris de basse-fosse ! On y croit ! on veut en vrai de fait toucher à l'ultime paroi dite "des Rois et Reines de Saba ". on y croit ! on veut tracer ensemble la chanson des vooies ! On veut (grave !) aller , toucher à ça : la Voie ! toucher à cette sorte de "paroi des forces", ou "aux forces allouées à une sorte de P arole Docte" !

on est née fée la pa roi 1 passée, nous voilà (à présent) devant ce firmament, ces donné&es

  ultimes = les nénés 

cde l'Ange, Seins dotés  de lait  comme s'il en pleurait ou pissait dru, oupleuvait dru ! on veut toucher ! toucher ! toucher ! Ce qau'on veut, à nous deux (ailes = deux) , c'est toucher = téter ! On a super méga envie en vrai de (pour le coup) toucher = téter iceux (ces ) nénés de fée ! est-ce nénés de fée ? on dirait ! ils sont vieux , creux, deux ... dieu , heu .... on ne sait ! on cherche ce qui est qui sezraéit vrai et pourrait aller ! On veuit toucher à cette sorte de données des prés,;  genre "à qui mieuxmieux c'st du sérieux". On est nées fées sur paroi des voeux ! On veut en vrai cerner-toucher ce qui de fait le fait au mieux qu'on aimerait ! On veut le plus qu'on peut cerner en tant que fée (si on peut !). On veut en vrai toucher à ces nénés ... de Vieux Gât-teux

 ? qui szerait Dieu ou qauoi ou qau'est-ce pour le coup qui sezrait vrai ? Rien du tout ! nénés frais ! pas gâteux pour un sous ! nénés les plus frais du coup ! frais en vrai de chez frais, nénés mieux = vifs, genre : dons de vie, vive vie donnhée sur roche allouée à une sorte de denrée de type lactée (insoumise) . On veut :

vivement tracer, coller et ddonner, faire la surprise d'une sorte d'emprise sur néné de mise ! On veut : 

coller = donner = dire = chahuter = comprendre = saturer = foncer = forger = pouwsser = démantibuler = combler = caler = donner = ficher = mesurer = traquuer = pousser ensembkle vers ici, kles données données de co ntrebande . qui c'est ? bé ... j'ensais de fait fichtre pas grand-chose, vu que en vérité, les donnnées profiondes siont comme larvées, cachées, masquées, enfouyies de base de l'autre côté, vas-y pour comptendre et toucher ! vas de base chercher à pour le coup comptendre ce quyi est qui sembke nous toucherf m

ais en vrai que tchi ! rien du tout ! les données de base (dessous) reste"nt à leur place et en vraéi ne se laissent pas tripoter ou même juste frôler ! on essaie de f&it en tant que fée, née dans la Mort ou le Royaume de la Mort, de nous en approcher le plus pôssible pour en vrai , en effet, les toucher, cerner ce qui est qui nous regarderé&it ou nous attendrzait de l'Augtre Côté mais voilà, on ne peut pqas s'en approcher outre mesure ! on est "coincées" ; on est comme coincées de bvase sur pré , gentes dames, bisonnées, anti:lopes sucrées, escalopes, on veut en effet nous approcher le plus possible de toutes ces données acides situées, de fait, del'autre côté du pré, mais comment aller ? comment dire ? que tracer ? comment charger ? quoi pousser ? quoi avancer ou déposer ou envoyer ? On est la Fée des données admises (en vrai : de la Mort Surprise) mais arprès ? qau'est-ce qu'on peut apporter de plus ici en termes de données lactées, d'entreeprise de salubrité, de sauvetage au débotté d'une sorte de Page, Gens d'Ombre, Venaison / Cohorte, Champignon ? on est fée des herbes coupées. fée d'herbe à tout jamais mais est-ce que ça le fait en vrai pour de fait nous permettrre ici et pour le coup xd'en avancer beaéucoup (chelou ?) ? On, ne sait ! on chervche ! on cherche à genous on dira dans la prière jusqu'au cou mais çça ne suffit pas, ou ne suffirait pas du tout , chelou. On veut = on va ! 

On veut aller de base "dans le tas", chercher une (sa) place et basta, afin de comprendre, comprendre = prendre , prendre = cocxher (une croix) , soit donner ! faire offrande ! apporter sa pierre de rage ! faire ainsi quye des données de base puissent aller,coller à une sorte de Romance en vrai, charge d'ange déplacée ou même débordée qui serait charge dite "des prés" du fait que voilà, charge d'enfance comme qui dirait (dira ?). on avance ! on cherche à comprendre = toucher, mais pour comprendre -toucher la Romance, il faut y aller ! il faut (grave !) donner ! donner de soi ! se mouiller ! s'ofrrir commê en héritage ! traverser la base,les données de face, le tracé (olé olé) des données mentales et &utres vérités de contrebande saturées./ On est néee fée sur place (les données) et on avance, grave, vers Déité ou ccette Déité des Fonds de ca&le. qui on est ? on est ... sales ? ,sages ? sardes ? on est née sur place fée, du fait qu'on a passé (dépassé) la roche aux fées ! On est née fée au passage ! n"ée fée de base ici, au passage du pré, sur prairie allouée à des bêtes de pré, genre caval$cades. On veut :

toucher , toucher toucher, toucher, toucher , toucher , toucher, toucher à cette charge ici donnée des prés sa lués. On ne veut pas ne pas toucher ! on veut grave toucher ! On vgeut tracer, dire , épouser les nénés, séduire, coller, perdre, chyanter, donner, se donner comme par surprise à une sorte de Mainmise (déplacée) quyi wseraéit 

comme une Déité Surprise rencontrée. On admet ! On veut toucher pareille cdéité ! on veut cerner de près, la regarder de près sans plus tarder, chyercher à lui (comme) soutirer les véerités acquises, les données genrées, les mots de roche vrais, les données données. On veut de fait aller sur ce trajet, donner prise. On veut de fait coller à cette soerte de donnée donnée allouée à un pré tel que celui sur lequel en vrtai on est à présent déposées ou comme déposées du fait qu'on a passé l'emprise, la paroi des nues, le premier passage de rue, nous voilà acquises à une sorte de prairie des vues genre -banqyuuise, pré nu, p^rairie fine, herbue, cconnue, vue. on est filles ! filles des vues ! deux filles forment fée des nues ! Onnest filles nues formant fée des rues ! On veut toucher à une Déité postée. tracer = courir = aller = gravir = monter = toucher au loin = faire = dire = contrer = charger = do nner , donner en vrai ce qui est qui nous est comme à nous-même donnée quand on néît = la mesure , la musesure sûre ! charge actée' ! on naît ! on est née fée sur herbe

 de pré la Mort sûre. On voulait coller nous voi:là touchée. On voulait grave bnous retrouver eh bé c'est fait . On veut toucher à cetre sorte de donnée des prés, chyercher, coller, dire, faire, sédiuyre, soulager, dire et conttredire et se donner de près comme en vrai la cire ! l'écoulée ! fluide nacré ! cire desz données données sur un pré acté . On est née fée surprise, surprise ! on est née fée-surprise, surprise  ! on ne s'attendaiyt pas à pareille emprise sur rive ! on veut de fait coller à une sorte de donnée de rive, ou de rive ultime, et une fois ici ou là collée , une fois qu'on sera, toutes deux (AILES), collées, alors /... on verra ! on y verra mieux ! on s aura ! on verra de nos 4 yeux (?) ce qu'on verra ! 4 ou 2 on ne saoit pas ! mais on vezrra ! on y verra mieux ! on saura ! on saura à qui mieux-mieux à quoi s'attendre au mieux de tout ce qui va là, sur pré aux abois. On est nées fée sur pré (de pré) et on avance ainsi ainsi accolées , on trace. On est nées fée de contreb ande. On cherche à comprendre ce qyi est qui nous "regarde" on dirait ou nous regarderait en face" : qui c'est ? je ne sais ! je ne sais pas qui c'esst ! j'aimerai grave le comprendre, toucher, cerner, aller, faire et donner les fdonnées du Verbe tel que dxélivré mais comênt faire ? On ne sait s(y prendre ! on est AILEs, au débotté de l'âme, mais vas)-y comp)rendre , les donné&es, le sens de la marche, les contrées, le sentier et la parade, le treajet ! on entre et une fois entrées on cherche, on essaioe, on tente , on veut gagner ensemble (ailes) l'horizon desz herbes. On est pas arri-vées c'est vrai mais on est motivées ! on cherche de fait à nous en aépprocher, à gagner du terrainsur pré, à t§oucher à cette sorte de donnée dopnnée allouée à une Vérité dite des Vérités d'une sorte de Façade aux données Données, qui serait Roche des Don nées Finales, Saturnales, Avouées. Qui on est ? dans la mort ? des fées ! soit ailes de" fée = fée ! on est les ailes d'une fée des prés (paradiisaques) allmouée à une sorte de Vérité qui est (de fait) Vérité des prés

, Prairies sur Roche, Traverrsée dxes TRaverseées, genre Cohorte ! genre Motte ! genre MOnts de Roche = MOnceau ! On veut toucher à une sorte de donnée de roche Haute ! Haute Chose de Caveau ! On ne veut pas (ou plus jamais) passer à côté mais y aller ! tracer ! combler ! donner ! dire ! se coller à cete sorte de donnée du Rire ! on veut (de fait) toucher la Riive = la gagner ! On veut (en vrai) cerner = dire = faire = aller = complaéire = chercher = coller = faire = lever = jouer = sonder ici, ici ou là, la Roche Ultime : où pâsser ? par où onpourrait passer ? qui on est en vrai pour passezr , pouvoir passer ? On veut toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = touycher = toucher = toucher = tpucher à cette chose ici acquise en vrai, Mort des Hommes nés, mort de l'homme touché, Mort D'homme sur pied ! et du coup la Fée, Fée des ombres allouées se permet (en vrai) elle (pas lui) de ... passer = continuer , de faéit, le trajet, le chemin aux Fées, vers cettte donnée qui est donnée post-cimetière s'il en est  : dfonnée des données . On est née Fée à la mort ... de l'homme cis ! bien fait ! on est enfin passée en tant que fée aéux données premières  finalisées et du coup, voilà, nous voilà Filles (ailes) à la retombée , prêtes à coller à une sorte de donnée rupestre, né"andertalienne , sidérée ! on est ! on est nées ! on est nées une Fée ! on est dev enues frée à la retombée , prête à être celle (en vrai) qui SAIT ! ce qui est, ce qui est et  ce qui n''st pas en ce cimzetière de 

Java / Sumatra , tralala la bière ! on y va 

! on dresse la paroi ! on vitupère ! contre le père ! on y va tout droit, RIGA ! ça y va ! ça trace = ça charge ! on est là-bas pour comê qui dirait tracer (dessdiner, en vrai) LE ROI, LA REINE, LES DONN2ES PRINCières (PRImaiRES° et tout le tralala (en soi) d'estocade ferme ! On y c roit ! on veut toucxher à cette Voie, Tracé Ferme, Charge_forme, CGalipettes ! On est fée faite ! c'est la fête, la nouba ! la chansionnette est là ! on y croit ferme , ça y va ! on aime ! on aime ça , les galipettes sur toundra, les mots de l'herbe, les bêtes de poids, l'entrée raide mais voilà on est là sur l'herbe, ma foi ! et on voit, on voit qauoi on voit les bois, les cornes, les sabots dondaine, tous les animaux de la ferme et au-fdelà, les bêtes-forme, poids de choix, licornes ! licornes ! licornes ! bêtes à cornesz et à bois ma foi ça envoie ! on entre ! on est comme allouées ensemble à cette sorte d'antre "de paroi" dont on regarde au loin les formes que ça représente ! On voit ça : roche tantrique à szoi,  paroi nue de soi, chahut ! On veut le cul ! on veut de fait grave le cul ! le cul nu ! cul d'herbe sur l'herbe ! cul du cul ! on veut toucxher le cul de l'herbe , ou le cul sur herbe, ou le cul-herbe, ou le cul des culs sur herbe ou de l'herbve crue ! aller ! foncer( ! toucher ! filer  vers (là-bvas) le cul = fonds = fond s de pré dit fonds ! on dit qu'on est 

des fées (la fée) qui vouloçns (qui veut) aller vers ces contréesz dites du fond ! fond de pré aux herbes = cul des culs, des données (de base) nues. On veut : 

toucher le cul = le fond = le tracé de fond = fondement = cul en herbe des données Suprêmes ! cul des culs sur herbe ça le fait, en vrai , c'est donné ! c'est commê donné ou une donnée ! c'est , en vrai, la Donnée des Données sur pré ! va-nu-pied on est , qui voulons gagner, en vrai, la roche dernière, le treacé des herbes, l'attitré. On est née fée sur herbe à hjamais, en ces contrées. On a touché à ces données en herbe nouys voilà sauvées ... qui sait ? On est née fée la mort venue, on a du cul ! on est sauvées ou come sauvées, du fait qu'on est (

en vrai) venues, sur pré,, comme nous transfgormer, en Fée des 

prés nue, nue velue, connue vue qui va (nu-pieds) sur herbe tracer, on diréit, son chemin de bure ou sinon de bure, en  vrai, peut-etre de cure ? on ne sait ! On est nées fée lea paroi passée ! mesure ! chasteté ! chant des fées sur pré ! battons la mesure et allooins gagner , sur roche des prés, l'ultime "Muret des Murets"  s'il en est ! on est fée doctes fortes ! On veut toucher à ces contrées de force, traversée des formes, cha,nt des cohortes, troupeaux -mots en horde ! on est veaux ! veaux-mots sur ordre ! on est mots doctes sur panneau : cohorte d'aniamaux-mots qui vont (accorts) au dépo^t ou tout comme ! On est mots -veaux ! fée de mots ! mots-veaux = veaux-mots ! on est fée = femme, au ba- mot, qui chantons sa-rde .... szous le pis de "l'âme -vache" ! on est veau de rage ! troupeau-mots ! chants sardes comme il faut et ça enchante grave ! On est veau de peau, chyants basques, veaus des mots sur roche glabre, sentiments de Frange, déplacements. On est fée femme en vrai au passage tracées = déplac"é"es ! Changement de face ! veau devient mot devient rage devient femmes (deux) puyis fée de base (par chance) sur un pré aux vaches et autres bêtes-^poids de mots. on cher

 c he à comprendre grave ces mots ! mots d'onnés de fait sur roche allouée à une sorte de parade longitudinale de paroi ou dite "de paroi" . qui va là ? la fée ! Qui va là ? la fée allouée à un pré ! QUi est qui ? On ne sait ! on est née sur pré fée du fait que voilà, on a laché (en arrière) les données "tressrestres" , genre "sa letés", "vérités des pets", "merdes en bière" et autres misérables charges alloués à un verbe maussade sur pied. On est nées fée en vrai (ouf !) au passage  de la roche-plage. On voulait ! on ne voulait pas rester en râde mais de fait traverser, comprendre, sauter, aller, filer, passer commùe en offrande le tracé de base. On ne voulait pas rester à quai ! on ne voulait pas rester en vraéi à quai mais grave traverser de base les données coriaces, le dénivelé sur place, l'envolée des données de rage et autres alacrités maussades sus-nommées. On est nées fée au passage d'une "Vérité" de type Collage, Placage, Dessinage sur paroi de roche par des f'mmes -hommes des toundras et autres savanesz. On ne veut

 pass passer pour ce qu'on est pas ! on ne veut surtout pas passer pour ce (cette chose en soi ?) qu'on est pas, à savoir : sage ? sa ge-femme ? On ne veut surtout pas $en vrai passer pour cela même qu'on ne voulait pas (jamais !) être au temps passé , soit , avant d'avoir trépassée, d'être entrées en cette sorte de contrée aux féesz, paradisiaque, déployée, vivante au pré, allouée aux herbes-verbe et autres mots-bêtes ! On veut grave trac-vezrser la Chose = la Roche , la passer ! On veut / on vouydrait (en vrai ensemble) grave : treaverser ! filer ! toucher ! cerner ! comprendre ! saturer de verbe les données premières, priméires et foncer ! treacer ! filer sur pré sans plus attendre ! allouer à une donnée s arde un certain nombre de valeurs d'usage ,;, gentillessse en face, douceur grave, sentiments sondés comme par un Passé, chance. On est née fée de contrebande ! chalutier de France ! conditionnées ! on est nées fée de trype allouée à une Vérité Frappante genre Denrée ! Donnée à manger , à boire, ingurgiter de fait de type LAIT ! LAIT DE NÉNÉ , LAIT DE FÉE ! LAIT De trait (traite) franche ! on est nées fée de fait au passage (d'une roche immense, roche-aux 

fées de groptte cachée), et nous voilà qui voulonbs tracer, sur pré, vers ce Dimanche des données Romandes ! vivacités = chastetéb = sa&intetész = dimznche des fées, sucrées , ou nacrées, qui paradent sur pré comme beêtes de trait et autres antilopes de garde ! On est fée des fées, données des données, BELLADONNE DES Prés, on est ! qiui voulons toucher !toucher ! toucher ! toucher ! toucher à une sorte de .... vie de pré si tant est (sui on peut dire) qui serait ... la vie rêvée ! On serait comblées ! fées combl"é"es de mise, on aimarerait ! On veut toucher = centrer = dire = faire = mettre sur orbite les données accolées à un rire, à une sorte de rire donné, ou de rire adonné à une frise, frise aux fées, aux bêtes 

soumises à un joug de mise ! joug des jhoues éprises , ici, de bisous ! On veut RIRE ! grave ! sûr ! fermes ! on est comme des bêtes soumises , du fait que, oui, en vrai, on est là surprises, comme surprises, par cela : vie vive sur toundra ! treanse de paroi ! chance acquise ! déploiement de soi sur un tas ! Oon arrtive ! on va ! on est fée surprises qui voulons de fait charger en vrai les données de prise genre chaluteier, fée des fées qui seraéient chalutier , porta&nt données à traénsporter , 

d'une rive à une autre rive. On veut 

toucher à Déité ! On veut toucher à Déioté ! On veut grave toucher à cette

 "DEéité d'entrep^rise", à pareilles données surprises et aé&iutres vérités soumises à vérification lacteé ! On est les fées de l'entreprises ! chalutiers ! gentes-fée aux donné&es (données) d'entreprisqtse et autres charges à soulever, porter, transpiortezr , déplacer, donner, à cette déité du cul 

du monde larvé (lacté ?). On eest les fées de l'entreprise acquise ! chaluteier des prés ! maritimes ! marines !fée marine à la retombée comê qui diraiot mais est-ce vr(ai ? on atttire ! on est vives ! on est bhien mises ! on est arrangées ! on est des beaiutés ! on est beautés-nées, fées des prés on est qui cherchons l'entrée, faille ou vide, en pareille donnée , donnée grise sur donnée des prés, genre muret ; muret alloué à une sorte de finalité, de type "cul de roche" !

 ici donc le cul nu de la roche ventrue ! cul des culs ! on aime ! on aime grave le cul, car, le cul, est le cul du monde, à qui (à quoi) se frotter immonde qui sait peu importe, le cul est le cul, cul du monde venu,;, vu, touché de près, cul des ombres, finalités, fond de carosse, tréfonds ! le Tréfobnds ! le tréfonds des ombres ou le cul c'est la même chose ! cul nu = fonds

 des choses du mo nde ,; paroi rude des données acides ! chants de Chose ! troubadanses ! vents de face ! rigodons ! On en avance ! vents d'âmes ! pets nés d'une romance ! allons donc danser la (le) Branle,  et le Menuet ! charger-coller, donner-sonder, pezrmettree à une chance d'éclater-éclore sur pré (en corolle si jamais) . On est la Fée du pré passée, chantée, donnée. On est fée sur pré du fait qu'on est née la mort venue nue nous sonder ! on est née fée de b ase menue , chance à cul, vive donnée, va-nu-pied des va-nu-pieds. On est née fée sur pré, nue ! bnue du cul ! charge vue pâr qui l'eut cru, les Rois / Reines des Contrées, ici Acidulées comme du ;lait ! lait du pré ! lait donné à jamais par (qui sait ?) les nénés de l'Anttre ! de la vache Ancrée , Nacrée, Soulagée d'êtretétée en  vrai, ça commençait à lui peser ! on aime allerr téter ! on adore, mêmùe ! on aime, en vrai de vrai, grave, aller téter , téter le néné, le néné des vaches, à jamais , la chance ! notre chance de fée ! chance d'ambre ! on est fée des chances sur pré qui cxherchons E,ntrée, Entrée de ROmance en un mureet dit "des finalité de la Chance en transe". On est nées fée sur pré, pour aller tracer, vers muret, charger, cerner de fait les données romandes, les données romanches et autres données de contrebande à tout jamais . On est qui 

? on est fée ! On est lres fées de la Romance Franche ! On veut ou on voudrait en vrai nous avancer au plus qu'on peut en vréi d'une sorte de Vérité allouée à une Déité des Charmes = dxes données de base comme consacrées, sondé&"es, donnéeez au p assage d'une sorte de traversée (sur place) ! chants de roche amidonnés peut-être mais c'est fait (et plus à faire !). On est actées ! on est stipulées! On est marquées-gravées sur pierre à  jamais comme une Vérité (sorte de Vérité) surnaturelle ou qui serait comme surnaturelle qui sait ! Est-ce que c'est vrai ? sommes-nous commpe creusant la roche des prés à la recherche d'une vérité concernant le monde des données de tra&it, de plainte, de romance 

allouée à une sorte de donnée en herbe, soit le Verbe , Verbe né sur pré en herbe , du fait qu'en effet, l'herbe est  cette sorte de donnée  "de cimetière" ! Donnée verte s'il en est qui en vrai nous sied du fait qu'elle nous aide (grave !) à nous sustenter comme à la parade ! et voilà de fait ici le chalutierr ! la base ! le tracé ! les données de rage ! chants sacrées sur pied ! on est nées fée en France (transe ? ) du fait qu'en vrai les données sont franches

 ! ouvertement données (comme en contrebande) sur dossier ! tu plaisantes ? On charge en vrai ! on colle à satiété , on entre ! on est nées fées de rage treacées ! on comande ! on cfom^mande en vrai le chalutier ! le transport nacré du lait sur place ! satiété ! szatiété franche ! salubrité ! commande et vérités ! charges 

allouées à une sommité de type "bouquetine cendrée" des prés aux données. On est fines ! sucrées ! affilées ! chine ! On aime monter et voleter et nous placer de faéit ici ou là en ces contrées, de base rupestre, grotte Haute, val des voix et a&utres trous de Fr'anche Rigolade ou d'abois ! On entre ! on entre dans l'antre d'une sorte de paroi &ux cendres mais voilà, quid des cendres là ? eh bé ça : l'homme-né, genré, traqué, il sombre dans l'ombre (son ombre) pour renaître en fée ou en fée des prés à la retombée la Roche (la Mort) passée on le xsait  ! On est fée qui sommes somme de données accortes ! on est les fées du Nouveau-Monde, fées d'entre les Fées d'un monde faits de bêtes-MPonstres, Soulevées, Tracées, Tracées à main levée sur ordre d'une Voix de Roche ! tracée sur pied ! Ombres on est , qui vouloçns l'ordre ! la donnhée de Roche : sermons des fées et autres Mamelons ! qui s&aiot ? Lactée ? Fée lactée ? on ne sait ! on trace des traits ! on grave sur pieds les bhêtes mobnstresz, bêtes-de somme ! de trtrait ! sur roche aux Nénés comme qui direait ! On est nées en forme de fée dans la mort donnée !  on est fée des fées .;;;;;......././...............................................................................................................?......................................... df-ée des fées de base .............................?.??. fdé&e d'entre lzs fées de rage .................................?../................fée fée ...L...../....///............................................. fée des fées de rage, de base ..............................................tracées //................................................ allouées àune sorte de romance des données ou des temps allouées à iune soerte de donnée, de rage prégnante .................... vérité des vérités ...... charge et chance sur tracé rupestres des doonnées toutes animalières comme un fait exprès ................... ça pèse , cf'est genré, la crème des données données de type 

allouées à une sommité = somme agraire = cxharge-née, bête consacrées ............. sacrées / consacrées ................................. flèches .................. soulevées et soupesées ............... sur herbe des prés à la retombée .... oN aime, on veut toucher = sonder, et du coup trouver, ici , ici même, ce qui est, en termes de données données, données doctes, genrées en cohorte /horde , vérité des vérités des ombres . On veut toucher à cette Chjose d'une sorte de "DOnnée Allouée" allouée aux ombres, aux petits faits vrais et autres données données sur pied genre bêtes-force, bêtes -mots des prés et autres mots-veaux c-omme s'il en pleuvait à tire-larigot ! O,n aime toucxher = donner = dire = fair = charger = co=plaire = ici donner du frai, des glaires, cy(prine à jouer, colle et collagène, pipi doré et charge sup^rême comme accordée , les Nénés ! Les Nénés de fait de l'Herrvbe Attitrée, avouée, chiffrrée, coi,ncée entre deux termes ! ON est née fée de cimetière, genrée ! fée de fête et autres soirées dansées ! on aime ! les fêtes et danser ! danser sur pré de cimetière et autres scènes consacrées ! On aéime chahuter, danser des nénés, souiller, sombrer, boire et manger, coller à l'herbe = brouter, vache à lait sacrée surnume&ééraire déifieée on aiùme ! on est née fée 

pour être Ailes ! Ai:les al:louées à) une Vérité de type Tracé , un Tracé , un trait, le Trait des données, Trait des fées sur herbe = le TRAIT , la TRAite, TRait de LAIt ! TRait Ferme ! on aime le lait = le trait = la traite = le treacé sur pré des données (premières) allouées ! On aime le lait ! le lait ? on aime ! qu'aime-t-on ? le lait ! Le lait ? on l'aime de près ! on aime l'aimer ! On

 veut toucher, en vrai, aux nénés, de la vache de tra&it telle qu'on l'aime = Sacrée, COnsac rée, Déifiée, Nac rée, Ancrée, DOnnée, FOndée, CHalutier. ON est ELLES ! AILES et ELLES sur pré ! On est les deux ailes du trait, du tracé imberbe ! donée ! une donnée ! une sorte de donnée post-cimetière et comme attitrée à une sorte de ... rezngaine ? chant réiktéré ?baliverne / ritournelle /chants de pré ? On aime ! on est nées  fée du fait qu'en vrai on voulait cha rger, passer, passer de fait , traverser, 

traverser de fait, la des Roches De pré ! aller ! pousser ! cerner ! pisser ! coller à ces données de bouts de roche Nacrée et autres Fariboles aux tracés gravés ! on est fées ! on est en vrai des fées ! on est comê nées Fées, sur Roche Grosse ! on est née fée sur Roche GRosse Genrée SAluée ! fée dfocte ! tracée à main levé cdepuis le carosse ! On veut touycher à une sorte de donnée, de rond-de-bosse, surnommée Néné mais en fait il s'agit de la Roche , Roche FOrte, Grosse , aux données allouées de type Lactées comme quyi diraot , et nous de cfreuser -téter en vrai les données données par vce rond-de-bosse alloué à une Roche Calculée ! On est fée des Ombres de grotte ! chants chantés nez à nez avec... eh bé la Roche ! Grosses ! mains articulées, Verbe Hautain, Cris chargés d'effets divins, Vents de force 3 sur Roche des Voix ! On colle = on monte ! Traçons et traquons ! Bête de roche ! va-nu-pied sur roche accollées on monte ! fée ! .....................................................................fé&e des prés ./................... on est en vrai la fée du pré comme autrefois nommée ^par l'homme -femme des cavernes cachées souterraines. On v eut grave cernezr un certain nombre de données dites "de cimetière" sait-on jamais ! qui on est ? des bêtes ! des bêtes en herbe ! chants des prés et herbes vertes ! on est fée d'herbe en herbe, à brouter ! fée ! fée des fêtes consacrées sacrées ! chants sous terre ! on rêve ! on est trabnsportées e,n même temps qu'on est chalutiers, chalutières on dirait, transport d'hezrbes (vertes) comme à l'arraché ! On broute sacré ! on est bêtes (des prés) sur pied, de type bêtes à herbe, mots dee roche, mots-bêtes, bêtes-mots de Roche et Autres Gros Mots, de Langue ici

"Pas Dans LA POche" (dixit Roi/ reine de Saba ) . On est les costumières, les fées de la Chance, Rave Tantra, Charge d'antre. On veut ça : la transe , la samba ou transe de Saba, transe-Chance ! on veut ça ! comprendre, qui de 

quoi et pourquoi et quoi sur quoi ! Chance ! transe ! On entre en transe dans la paroi , une chance ! cul des Roisq / Reines de Sa ba , on danseb ! on y croit de base car on est quoi , on est la Reine ici bas = là, charge, 

paroi, trait des fées, ai:les de szoi, force majeure et chants des toundras ! on veut comprendre enxsemble la paroi , c'est la paroi de qzuoi ? des données primairzs ? du V erbe ? de la Roche dure d'une Grotte connhue ? Chant des donnéesz vives ? le teracé du vivre ?On ne sait à qui ou à quoi se fier pour (en vréi) nous y retrouver, en cette sorte de tracé chiffré ! qui on est ? fée ! qui on voit ? ça, le tracé des fées, roche-bobois , les données de rage, intériorisées, comme déployées. Qui on aime ? Le Bverbe , les données de poids, mots de somme et foi des ombres sur le tas (béliers, bisons, buffles dorés, chevales amarrées, Tisons). On est lzaa Fée vde conttebande. On est la FZ3ée naissante. Sur roche allouée au Verbe teracé, gracvé à la volée par l'homme-femme tracassée, touchée, touchée au mollet ! On trace ! on est comme teracées de mises ! O,n n est les fées toutes alouuées à une sorte de mainmise, donnée par ici le Verbe Sacré, qui est Bête Rosse, si jamais, bête des prés de somme, de trait, grosse de données accortes et autres savoirs vrais . On veut :

toucher en vrai

, toucher pour de vrai,

toucher grave pour de vrai,

grave toucher aux nénés,

grave en vrai toucher aux nhénés,

grave de chez 

grave toucher aux nénés,

grave de chez grave en vrai ne pas lzambiner, traîner, mais toucher ! vivement, vraiment, assurément, aux nénés de l'Antre , Ronde-Bosse sur Roche à graver : Nénés Doctes ! ombres ! plis larvés et autres rotondité de Charge Forte. On est nées Fée en vrai soulevée comme qui dirairt. P° arce que voil:à : on est ! on est en vrai Fée ! On est fée des fées en vrai et pas pour de faux comme qui dirait, mais en vréi actées ! dites, fortes de mots gros, chjance allouée à un jeu de mots sur place grravé, jeu de mot bgravé commê s'il en pleuvait ! On va à tire larigot ! on aime, on est fée Su^rpême, chant des Veaux (des petits  veaux) à tire larigot ! chants doctes ! on court on vole ! Fée du tonneau ! ivrres de vins bus nue ! On est vues

 ! on est courues ! on 'est nues courues mais on pue du cul ! fonds de roche meuble ! gentrification ! collation ! on est comme venues (nues) pour`cerner le fonds, fonds du cul du pré aux fées ! et autres eêtres de Raison Donnée. On aime ! le pré, la chance, les donnéesz données en outrzance, denrées déposées sur pierre aux offrandes et autres seuils dits "de sainteté". On est pour la Romance, Chants des Forces Doctes, pour le Chant atroce, cris vénal peu importe : le tourment ! l'impact ! toucher = toucher grave et de près la Divinité Toute Tracée ! l'impacter ! la toucher en vrai ! lui donner de quoi s'alimenter, en termes de  HJoie, Denrée de poids, Vie outrée, vie vive des données gravées (de type animalières) au débotté ! On aime ! on est nées sur pré e,n

 colère fée ! fée des fées 

nées d'une colère et en colère (on dirait en vrai). On est la fée du cimetière, chahutée sévère mais en vrai elle sa&it très bien parfaitement se retrourner, graver ses données, ses propres données venues de derrière comme qui dirait ! On erst nées fée en bière ! ferme ! recherchée ! on est la fée du cimetière et de la bière de fait enterrée (on sait) mais en vrai comme (à présent) soulevée ! ouverte ! remontée ! haussée ! montrée et adulée commê du Veerbe, tracé ou traqué , surnuméraire, implanté, ancré comme de l'herbe, recherché pareil et même collé   ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucbher toucher toucher toucher )à cette déité des déités surnaturelle (on dirait mais est-vce vréai ?). tOucher toucher toucher à cette Déité des D2itéds ! surnaturelle on dirait ! méis est-ce vrai , est-ce que c'est vrai ? que doit-on en penser ? qui on est ? que faisons-nous sur terre pour aimezr la Terre, les Données RAgeuses et autres Sommités Gravées sur roche type DBélier, BUffle Ancré, Antilopes et autres bisonnes ensommeillées ensoleilléesz. On aime ! charger, pisser, cool:er, dire , allouer à une Sommité de Bête des données (genrées) Suprêmes et autres Vérités en herbe ! vivacités ! vies des prés sur herbe ça le fait : on aime ! coeur donné et autres sentimentsz alouéz à une roche meuble ! on aiume aimer ! on aime grave en vraéi aimer

 : la romance, les nénés, la chance, les données en herbe, le tracé, le xsens de la marche et des données données, le travail du Verbe, l'onctuosité des données imberbes et l'onctuosité des données velues, cul nu, genrées, ampoulées qu'est-ce qu'on en a à faire, puisqu'on est nues , nues et velues, nacrées, sucrées 

et sa&lées, venues nues de fait pour trouver en vré&i les données de base, d('une sorte

 (ici) d'avancée, dans la roche allouée à une Vérité Cochée ! On entre ! On est la Fée en transe = chalutier (un chalurtier) ou chalutière si tant est ! on aime ! être fée surnuméraire, vie des prés, sainte mère des données accolées comme deux ailes autour d'un Trait, Mât de misaine, tra&it des fées, mât docte attitré à une sorte de Parade monstre ! et nous de nous y accoler, de part et d'autre, cohorte comme qui dirait, a&iles sur pré = elles-bêtes allouées à un ma^t de misaine = trait de fée (trait d'ombre) ça le fait ! on veut toucher toucher toucher ....................................................................... toucxher toucher t§oucher .../............................................. toucxher toucher toucher en vrai, lza bête de scène, le tracé, l'être dees prés en herbe, le donné des traits (traites), l'en-lacté  de près si tant est ! ......................... = l'allaité ? on dirait ! on aime ! on aime aller sur pré à la recherche du bon lait de ferme  = vache Sacrée sur Herbe-VErbe consacré ! on éime ! coeur donné ! coeur-valeur ! coeur-né !

 on veut toucher toucher toucher .......................... ne plus s'arrtêter de toucher = téter ! tête première ! primauté de la tétée sur herbe en herbe ! chahut / chalutier / chalutières ! on aime tracer, sur pré, rochenée, la bête ! groosièretés des données sa&intes salutaires ! fée des feées ! On est nées fée sur herbe ! on aime ! on est fée des prés ! cxherche-merde ? qui sait ? on aime ! quoi, la merde ? les données de l'herbe ! l'herbe données ! le Verbe ! l'épôpée cendrée dite "de cimetière" " et le tour est joué ! On veut coller son nez dans l'herbe, et b router ! vache à lait ! vache à lait ! vache sacré à lait sacré ! vfache à lait surnuméraire comme les données toutes données d'a^près cimetière sa&it-on jamais. mourir cendreéb, dxerrière, mais voil;à, on est transfor'mées ! on devient ELLEs = FÉES = VACHES à LAIT Des prés ! merde ! merdum de l'herbe et des donbnées lactées ! on aimeb l'herbe, la fumer peut-êytre (qui sa&ith ?K ) , la brouter , la 

la brouter, la ruminer 

pendant des a nnées ! On veut toucher toucher toucher topucher toucher toucher à ces données de type denrées, herbe à brouter et aéutres foins de basse-bosse, traits des fées de carosse, rondes sur pr)eé et cohortes ! On est fée des prés = bêtes accortes = 

vaches à lait sucré-salé sacrées ! rondesz ! groossesc ! pleines de lait ! fortes ! vie lactée des vies de rage machouillante ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre d ans l'antre ! on veut entrer ! entrer en ces données de type lactées ! entrer, grabve, ensemble, ailes d(une fée ! Ailes allouées à (de fait) un tra&it de Rage ! grtave ! trait ! trait des traits et autres tracés à main levée par une femme-homme des temps rezculées ! néandertalien,ne 

-né,e comme qui dirait que ça le ferait on le sait, c'est vrai ! né,e ! néandertalien,ne ,

-né,e, en vrai ! gravant roche à main levée, en transe et comme soulevée par un vent de fée, de fée docte ! trait ! trait des traits ! on est soulevée ! on est fée soulevée ! on vole ! on est fée qui de fait vole ! va nu pied puis vole ! fonce ! ose ! touche ! touche 

les nénés ! les ombres ! le treacé de force ! le Passé passé, donné, déposée ou ntout comme , don à déité, en vrai, sur roche de grotte (bêtes-monstres ! venaison

! ). On ose ! La Passion ! l'(antilope (ici) au débotté et augtres bêtes des Passions Lactées ! on ose = on pose = on donne = traits ! trait de con, de passage outré, fardé, accolé-acculé ! tracé ! con = trait ! on ose ! on veut passer par le Passé, des ombres larvées (lactées ?) d'une sorte, ici, dx'anfractuosiuté dite "de fin de vie". On a&ime p asser ! on veut toucher à cette vérité, d'une sorte de donnée, allouée à un verbe des prés ! coulée de frais ! vive santé ! chant sucré -salé ! Déité des Déités lactées ça se pourrait : qui sait ? on ne sa&it à quoi se fier ! à quoi se rattacher ! On cherche ainsi tracées ! fées des fées ça

 le fait c'est vrai, ça charge, impacte et pas à moitié, montre le bout de son nez ! de son nez de fée ! charge grosses ! velouté de ronces ! cris des fées articulées comme une sorte de parole ronde, vraie, motibvée, grammaticalement structurée qui sa&it ? ON veutb coller de près à ces ronces ! aux données grosses d'un Verbe alloué à une sorte de donnée des prés , ronces, fleurs dotées dépines tra&itres et autres odeurs chargées. On veut toucher toucher toucher ....................................................... toucher à cette Déité aux données de ronce ! .......................................................es-qualité ! on est fée ! fée des ombres portées ! chahutées ! volantes / volant, traits ! treaits dans le vent ! ......................................./........................... traits de forcevive ........................................................................................... vie ! ......?.?.......................... vie ............................ vie lactée ....................?. =  voie lactée ? ............ qui sait ce que c'est ? ;;.......................... vie = voie on diraiot ....................voie du Roi et de La reine OUtrée, cha rgée, acculée, forcée ................/......... fait chier ! .................................. ROi CON des données en herbe, il nous fait suer ! chier, suer -chier à jamùais ! ....................../................. (Roi des herbes broutées, il nous emmerde (grave) sur pré ! en vrai ! cimetière ..................................../.......................................... à chier !

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9/10/2024

On regarde et ce qu'on voit ne laisse pas de nous surprendre et de nous retenir. On est là comme deux fées de rage. on cherche à comprendre. Quoi ? la voie ! le sens de la marche. Onn est là ensemble , qui (en vrai) cherchons grave à ... eh bé oui, toucher ! touche que tu toucheras , à cette chose devant soi : la branche ? la branche ou pas mais voilà ! on trace ! on en avance = on en avance dans les connaissances ! on est comme toutes accolées de base pour comprendre ça, le tracé des rages, le tintouin des données coriaces et autres 

 chemins de contrebande. On est là (ensemble , envcore une fois !) pour ça : aller fissa, tracer sur roche, une sorte de nouba, de parade, de sotie en cavalcade. On est là ensemble "toi et moi", pour en vrai cerner sur roche ce qui est en termes de paroles (parabole) en transe ou autres faits vocaux liés à la chance. On envoie ! On voit ce qu'on voit (la transe) et on envoie ! on entre ! on entre ensemble "toi et moi'" en cette sorte de parade aux animaux "vocaux", !ça charge ! ça remue ! ça ne s'arrête plus , et du coup voilà-t-il pas qu'on nen avance sur les pas des hommes-femmes d'autrefois : aurignacie des basses -alpes, néandertalie de façade, etc. On est là en face' ! on entre ! on entre ! on entre en transe ! on entre, dans la danse de Saba ! on entre ense

mble en cette danse rare, trait des joies des contrebandes et autres vie soudée à une sorte de parade "grave" : feux de bois, liturgie, chants cosaques, train de vie sans faille, conséquences (grave) de samba. On entre ! on erst soudées ailées (pour dire ainsi)et on entre ! on entre ensemble par la faillme ... de la voie de roche astrale ! on est mues ! on est même émues d'être mues ! On est soudées de base ensembkle et c'est ainsi soudées (aimées) qu'on entre en cette sorte de contrée (possible) des données de base. On est 

comme soulevées ! on est comme soupesées et soulevées et ça le fait ! ça le vfait grave en  v     rai , 

tellement ça kle fait ! On est accolées et du coup acculées et c'est ainzi ensemble qu'on se voit (pour ainsi dire) entrer ici, en cette prairie, pré aux herbes folles, champs de flreurs et b^$etes de ronde. On est mues émues sur roche vive. On est entrées ainsi émues et mues sur pré aux vives données rudes, type buffles. oiN est nées, sur roche prairiale, ainsi mues, sur pré aux bêtes matinales. On veut toucher à cette sorte de parade de façade, pierrale, ancestrale, vive de chez vive. On est fée des pré et on veut toucher ! on voudrait de fait ensemble toucher , toucher vif , sans traîner, sans vraiment tarder = comprendre ! car toucgher = comp^rendre, que voilà, la chose en soi (le buffle là) est une sorte de donnée de foi, vraie vie des parades, vive vie des données et traces./ On envioe ! on en voit 

ghrave ! on ne voit que ça, comme quoi voilà, on est là pour ça, on entre, on regarde, on voit, on voit l'arbre, la branche de SAba, le tracé de face, l'onctuosité des bases sur paroi, le chant liturgique de la ffoi dans l'au-delà, le dada ! Oh, on le voit ! on voit le dada ! l'entrée des rages sur par(oi passe par le dada c'est comme ça ! On est

fées des prés du fait que oui, on est entrées, on a franchi le rubicon (des données rocheuses) et on a creusé , on a poussé ensemble là , jusqu'à en vrai creuser, creuser que tu creuseras, la roche rude, dure de chez dure, pour passer = arriver à passer, arriver à traverser en vrai la paroi de bure ! Voilà ! c'est fait ! on est pâssées ! on est fée des pré ! on est née à cette chose, d'une sorte d'amplitude ! d'envergure ! aile au sein des données rudes, on allume ! on est nue de base, cul nu , on avance ! On est fée cul nu sur pré tondu ! On est la fée des données vraies, échevelmées, vives de chez vives , sur pré. On entre = on est passées ! On est née fée sur pré comme "à la retombée", au sortir du roc ! On est comme née fée au sortir du roc, du roc d'entrée ! des données premières allouées à une sorte de "fenêtre", de 

faille certaine, "trait des f"éées" et auitres anfractuoisités. On est passées, de fait, par un trait, trait docte, et une fois passées on s'est retrouvées comme situées , sur pied, ailée comme une fée, à regarder passer des bêtes, bêtes-mots de poids et autres masses-verbe ! On voit ça : la roche-toundra, pré d'herbe, tralala des bêtes entre elles (bêtes de poids) et autres vent ds Rois et Reines de Saba! On est : fée cernée ! On est entrée ! on est née fée au passage du trait ! Qui on  est ? une fée (ailée) sur pré, pré aux herbes à brouter par des vaches  allouées à une sorte de ... passé ? passé né ? passé vif des contrées ? vif passé aux données données ? On cherche ! on ne sait ce qui est en vrai pour de fait et pour le coup c'est vrai qu'on cherche, qu'on ne cesse de chercher, de fureter, de tourner ici et là à la recherche d'une voie, soit d'un tracé de fée, d'un endroit par où 

passer ensemble ("toi et moi") pour comprendre les données de base;, l'envolée, l'offrande, la parade des genres et auitres petits faits de foi . On est nues velues sur pattes là (paroi) et c'est ainsi (si nues !) qu'on entre ! On veut comprendre = on veut toucher à ces données de contrebande, allouées ... aux nénés de lma base ! on voit les nénés ! on voit (dans la mort) les nénés ! arrêtez ! on dit en vrai qu'on voit des nénés ! seins des rages et autres seins de base ! On est nées (dans la mort) fée  (un homme est mort qui devient ELLES = AILES = F2é des pré). on est née fée et on voit les nénés ! Onvoit de fait dans la mort des nénés ! on est née de rage ou dx'une rage à vouloir toucher ! les nénés ! 

le lait ! téter ! téter grave le lait ... de la branche ????????? on ne sait mais le fait est que, oui, en fait, le néné est né au moment précis où en vrai on est né,é, au moment précis où pour de vrai on est passé, on a traversé (homme ?) la roche poreuse des données (frontales) pariétales, 

et une fois celle-ci passée, on s'est retrouvé transformé pour ainsi dire du tout au tout, puisqu'on s'est "révzilllé" fée, en tant que fée ailée et non plus homme cendré, on est née fée des prés dans la mort venue ! on est nue ! on est velue ! on n'est plus couillu mais velue du cul en tant que fée des pré s ! On est passé du stade homme cendré, centré, autocentré, à celui de fée allouée à une sorte de contrée aux bêtes de s prés. On est trans-formée en fée des rages ! en ces fées de rage sage ! tracé ! tracé à main levée ! trait de base ! dessinés ! on Est né sur pré fée en tant qu'on est devenu femme ! dans la mort la femme ! fame ! flamme ! On est née fée du fait que voilà, on est morte-allouée à une sorte de samba aux données de rage, tralala sur pattes, cavalcade , on en-voie ! on danse aen transe ! on y va ! on ne s'arrête pas ! on ne veiut surtout pas s'arrêter là ! on veut tracer, coller, percer, comprendre, souder, cherchert à pour le coup nous rapprocher des nénés enflés ! On veut : 

-comprendre

- souder 

- aller par desz chemins cde contrebande, à la rechercvhe de données de base pouvant, éventuellement, nous aisder à) percer un des mystères sinon tous , de la , comment on dit ici, "sainteté chérie" ? On entre à quatre pattes sur un pré, prêtescà brouter. On est née fée la mort venue nue. On est fée des bases crues. fée des fées du cul ! On aime le cul, la chance, le tracé sur roche allouée à une sorte en soi de vérité qui serait vérité d'époque, ancestralité, vieillerie-chose, conséqauences de paroles outrées et autres petits faits vrais. On est fée d'époque c'est un fait ! drôle, nue, vue, comme dépourvue de morgue ! On est passée tout prèds du buffle accort, des bêtes oursonnes. On est fée docte ! on fonce ! on veut toucher = comprendre .... qui on est. On veut toucxher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher touc cher toucher touc

 cher toucher ! on veut grave toucher ! toucher grave aux données données et autres traits de vérité genre néné ! les nénés ! on veut les toucher parce qu'on veut téter ! on veut grave téter et du coup toucher ! téter = toucher ! toucher = téter ! est -ce que c'esst vrai ? on dirait ! on est passé de l'autre côté en tan

t qu'homme auto-centré, nous voilà à présent (dans la mort) transforlmée en fée , ailes des prés (elles) = fée ! fée docte ! fée d'ombre ! on est fait ainsi fée ! fait ou faite feée. On est né fée dans la moerrt du pré ! On est alloué à une sorte de prairie aux fées du fait qu'on est né en certtte sorte de praiorie liée aux fées ! fées d'ombre et de mots chahutés, genre bisons-bisonnes, bouquetines et bouquetins sur roche, traits d'union de poche sur paroi moche ! on ose ! on trace ! on comba t ! on voit ! on ne veut pas sa langue dans la poche ! on veut comprendre la samba, le Roi, La donnée (donnée) primaire ou les données (données) primaires,

 Reine des Rois, Roi des REines, on y va ! on danse ! on est là (fée des prés) pour ça, la danse, la samba, lze cha cha cha, la parade nuptialme. On envoie ! on veut comprendre  et voilà : on enttre ! On est deux pour ça : à toi à moi la contre-danse sur toundra ! On est des fées de rage sur paroi, cxherchant grave à comprendre qui de quoio le Roi , la Reine, LA Samba des peines, le tracé primaire, l'os de seiche. On cherche ensemble sur paroi  les données données, le tracé sur pied, lma bête allouée à un chant premier, l'enveloppe classée et autres faits de vérité. On est fée des prés à la recherche d'une Sommité, d'un tracé ch argé, d'une vérité comme s'il en pleuvait, Véroyté des Vérités et ça le ferait. On est fée des prés à la recherche d'une vérité dite "de cimetière" (on dirait). On est née sur pied ailée sur pré . On est passée = pas asseez ? pas assez Reine ? On est née sur pied ailée post-cimetière, dans un pré aux bêtes tracées. On est par(mi elles ! on les regarde aller, brouter, venir tout près puis s'en aller, tracer, charger, coller de fait aux nénés de l'Etre ! On aime ! on  vezut grave en êztre, des données de baise, cul velu on aime ! on est nue idem ! On aime ! on aime le cul ! la senteur du nu, la bête charnue, bisonnée première et autres bêtes de paroi de roche crue. On aime grave la bhête dodue post-cimetière ! On l'aime ! on l'aime du cul ! charge ce"lte ! Obn est dodue nous-même, fée dodue des données premières, charge nue on fonce à l'ancienne = cul nu !  on foncxe on enfonce ! on fonce cul nu pour entrer en force ... dans le cul ? dans le cul de l'Ettre ? cul nu ? On e,ntre ou entrerait cul nu dans le cul de l'Etre velu ? On 

pousse ou pousserait de fait la chose jusqu'au cul velu ? chose rude crue , chose grossee  tendue , corde ? On est bvenue sur roche ensemble sur le cul tracer roma,nce, et nous voilà cherchant l'entrée = la sortie du pré ! un cul ? une sorte de trou du cul en guise de passage "instantané" ? On ne sa&it ! On est fée des prés , on cherche à trouver ! on regarde! On est fée des prés allouées à une vérité de type autocentrée (homme de près)  mais en vrai macache ! l'homme est né dans la mort cendres ! l'homme, dans la mort, naît cendres , meurt pour ainsi dire "pour de bon", quyi laisse sa place (le con) à deux femmes ! deux bpour Dieu, devenues dès lors Ailes de contreba,nde, par chance, fée des prés et du coup  (de base) allouée à une sorte de donnée de Rage, la PAROI EN TRANSEV! Le PASS2é frontal changé en romance, vive 

acidité des rages de b ase, tracé fait à main levée par une femme ! charité bien ordonnée commence par la danse des données données = les nénés  , ne cherchez plus ! On est née fée chelou, du fait qu'on est (dans la lmort) née, mais c'est un fait ! on ne peut y couper ! vie = vie sur pré dans la mort donnée. On aime coller, tracer, pisser, comprendre, toucher, tracer, aller, rechercher, pousser la romance et la chansonnette des prés, comprtendre qui est qui en ces contrées et aussi peut-être pourquoi les nénés et pas par ecxemple le ... pâssé ? les traces du passé en tranche ? On ne sait ! on entrte ! on pousse ! on comp)rend ! on absout ! on est fée des prés de contrebande et on absouyt, du coup, toute sorte d'intrusion notoire déplacée ou sinon quoi ? on aime ? pas vraiment ! on est fée sur pré pour ainsi aimer ? on ne sait ! pour chercvher ? on le dirait ! On est fée des prés allouées à une vérité de type "alacrité" ? on ne sait en vrai guère davantage ! On est des (fées) qsui(en vrai) faisons (sur pré) le trajet des fées , la parade, on chante ! On est fée des prés sur bande' ! on veut toucher toucher toucher toucher à une vérité dite "de

 vcontrebande pour néné" et du cfoup on danse ! on virevolte pleine de grâce, envolée on est, on plonge ! on ressort ! on est sur ressort ! on virevolte ! on ne s'en laisse pas compter tellement on est fée jusqu'au bout des ongles, ailes-chasteté, bec de roche, sainteté 

des sqaintetés et autres qualitées de roche dure (vivacité, acidité, a&lacrité, treaçabilité). On est née fée la mort venue du fait que oui, on edst velue ! On est nue venue velue à la rencontre de la vcérité  ! On est accolée sur pré et venue nue ainsi ailée ! On veut toucher à cette Vérité du cru = Déité des D2ité Ventrue. Qiiu c'est ? bé ... l'plombier des prés ? le chargé en communication nacrée ? le VRP des données allouées à une sorte de contrée prairiale post-débandade ? On ne sait en vrai ce que c'est que cette chose grosse devant seoi qui nous ouvre ses bras ! buffle des prés ça se pourrait ! AUROCHS COLLÉ  ? On veut toucgher à ce  qui est qui se présente devant soi les bras ouverts cfomme en amitié mais est-ce vrai ? On est femme docte (sur pré) parmi des bêtes 

aux colliers deRoi. On veut t§oucher = cerner = dire = fair = comprendre = saturer = charger = faire ainsi que devant soi la faille s'ouvrit  sous nos pas et nous laissât en vrai padsser comme des reines de Saba pour aller (au loin) chercher le Roi (?) des données primaires. On est là ensemble fée sioudées , qui cherchopns en vrai à nhe plus nous retourner sur quyoi que cev soit parce qu'on a donné (déjà) et qu'on veut tracer, avcancer, s'avancer, tracer = filer et a&ussi dessiner les traits d'une sorte de donnée donnée  (néné ?) de type animal des prés (buffle au débotté). On veut toucher à une D2ité post-cimetière , ça le ferait ! On est prête ! on veut coller à la paroi des termes ! chahutée c'est vrai mais qu'importe l'entrée du moment qu'en vrai on est entrée ou qu'on a pu entrer ! On veut coller souder, tracer donner, comprendre les données de cecqui est , de ce qui est qui va en vrai comme tracerr à main levée les données du terme ! Qui on est en fait sinon fée  ! On est fée des rages monstres sur paroi, des femmes-hommes de Sa&ba ! On voit ça . On erst homme et femme drôle;, chan,t total, vie des prés, nouba là, transe en croix, parade ! charge mentale animale ! bêtes des rois, reines des Tas, on veut toucher à la paroi ! traverser la voie ! comprendre ensemble le pourqyuoi d'une telle romance ! on y croit ! on veut (on va) comprtendre  un de  ce

s quatre la paroi, la roche Sarde, le Passé des Rois et REines Graves, les données fronrtales, animalités de co ntrebande et autres bêtes de poids sur paroi des voix. on entre ! On veut toucher à cette sorte de Romance dite "acidulée", drôle de Romance "des prés" telle qu'elle nous est donnée par chance (par la chance) une fois entrée (iune fois que nous sommes en,trées !). On est passée ! on a traversé, et nous voilà comme confortée dans nos croyances envers les données de type Romance au pied levé. On est née fée une fois passée, nous voici annoncée : "R5omzance ! Romance des fées !" la romance ! le tracé des fées en termes de Romance ! romance Romande ! vive sainteté des 

do nnées attribuées à une sorte de parade à main levée ! Romùance des prés est annoncée ! LA ROMANCE ! LA ROME DES ANCES ! LA ROME D'AISANCE ! le ROMAND de l'aantre ! On est nhée fée des données romandes, romandes ou romaines on ne xsait on cherche ou on chercherait ! fait vrais ? On cherche de fait à cerner ensemble ce qui esrt en ces données (de base animale), on en veut ! on veut trouver = toucher à , une vérité, la foi, un tracé, une sorte de parade aux fées et autres bêtes-mots de contrebande faisant poids sur roche ma foi. On veut de base colmater pour cmieux cerner ! colmater les trous de base, les données trouées, les manques : qui sait ? On 

est passée et nous voilà en train d'essayer de co:prendree x et x données liées a ce qui est bqui se prséente : voies , voies des Rois et REines, voies de la foi , voix desz données raides, voies des bases saintes, voix des voix. On veut ou on voudraiot si possible ensemble comprendre et du cfoup toucgher à cette sainteté post-cimetière, afin de cerner = nous conforter, dans ce qui est, cerner ce qui est et nous conforter dans le fait que ce qui est est, que cette chjose cdevant soi tangible est vraie , c'est)à dire "physique" ! On veut cerner ! On ne veut pas ou plus passer à côté mais troucher aux ,énés des données accortes telles qu'en vrai ici même (la mort, le royaume donnjé de la mort) elles nous apparaissent. On est toutes motivées en vrai pour ce faire : toucher = trouver ! On veut toucher à elle, à la Royauté des Données Premières, ROI_REINE grave centrées sur place, trônant grave devant soi au CEntre on le voit , 

on voit ça de là (de notre place, sur paroi des Chances) . On est là ! on entre ! on entre ensemble = "toi et moi" pour comprendre eh bien (eh bé) la paroi, le centre, les données prégna,ntes, le sabbah, la Chance et la Nouba, les préférencesz, le tracé nuptial, la place accordée aux bêtes de poids et autres masses graves, mots de poids sur tracé de pâtre. On veut en vrai toucher du doigt la Véroité des pastoraélités comme on en voit sur roche des fois (dans nos jeunes an

nées et même au-delà). On entre ! on veut grave toucher soit tracer soit dire soit comprendre ce qui est ici qui nous attire ! Le Passé ? le passé ici cvomme déplacé ? On veut rire ? on est née fée pour nous retrouver (ou on serait née fée) , pour nous retrouver confrontée en vrai face à c  e Passé des donnéess confites ? On seréit aéinsi confrontées ? comme soulevées pour de nouveaiu toucher à ce qui était ? à ce qui en vrai pour nous était quand on en vouléit , qua,nd on en voulaiot de la vie tracée sur terre allouée à un cimetière dfonné ? On est née fée en vrai un jour dee givre, il pleuvait, lma mort rodait, etc. Il semblerait ! Mais qui nous croit ? et pourtant c'est vrai ! née fée dans la mort acvquise on avise, face au Passé, on cher c he l'(entrée ! On cher cherait l'entreée en vrai (dans la mort admise) dans notre passé ! dans une sorte de passé , passé ou tracé qui nous retrouverait nous toucherait, auraiot la main-mise , serait Pré, Pré-texte à une sorte d'embardeée  comprise comme traversée ! On veut toucher à ce passé "des fées". Passé-prise/. On veiut grave en avancer en ces contrées de la mort admise (comprise) et du coup toucher, qui sait, au ... pAssé des données données genre sagacité, sa leté, satiété, ;... vie des tréaits sur pierre grafvvée (balises). On veut de fait toucher aux nénés ! aux nénéds dfu passé ? on ne sait mais voilà on est (en  vrai)- comme soumises à une sorte de tracé des prés déjà tracés avant notre arrivée, et qui sezrait tracé de mise, destinée, fait à suivre, charge acquise avant mise  (ici ), sur pied , de nos triques. On veut :

TOUCXHER = TOUCHER =TOUCHERR = TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER À UNE SORTE DE DIVINITÉ QUI SERAIT (EN VRAI) LA DIVINITÉ DES DIVINIRTÉS; 

Shiva là ou pas mais une sorte de Shive-a pleine de grâce, falbal as, charges, sarabandes on envoie et on en voit ! on vzeut en tant 

que fée comprendre à qui mieux mieux ce qui est qui nous faiot face en vrai, qui est là qui crée du sens, informe en conscience, charge sur un pré, pousse cohorte, veut tracer coûte que coute un certeain nombre de données de poids, sans traîner, honnête et vif, commê tout à son étude il ou elle vcherche à (pour le coup) révéler ou nous révéler un certaéin nombre devdonnées données à bien considérer si en vrai on veut toucher à une Déioté des Déités tracées. On est née Fée sur pré du fait ... des ,nénés alloués à une Vérité ? On ne sait mais ce qu'on sait ici en vrai c'e'st que (voilà !) on y va ! on trace ! on rage ! on est pas contente en vrai complètement des données données données par la bande ! car voilà : on est fée des prés sur place (mort à l'oeuvre) et après !? qu'est-vce qu'on est "après" ? qu'est)--ce qu'on est appelée à devoir être en vérioté ? quyi le sa it ? en v  rai peut-être personne ! On est née fée du fait que voilà , on cherche la Roche, lme Passé, les chances pôur mieux s'ancrer, les données profondes. On est nées fées du fait qu'en vrai on est allouées à une sorte de cohoerte (bêtes -formes) qui nous sied (nous plaît) et nous escorte , grave, jusqu'au trait, trait sur roche des données données = la Finalitéb, Fin des rocs pré-cités, fin des fins du Trône, finalité-tracée, Parole SOmbre. On s'est avancée ! 

On a tracé ! on s"''est rapp^rochée des données profonxdes, données-force, charge fgolle mais profonde on sait, on est née , on a touché, on s'est confronté, on peut coller. On est fée d'épôque : charge docte. On est allouée à une sorte d'entité de roche des finalités ou dite des finalités ! on est née sur roche fée afin de tracer jusqu'au bout du monde saon chemin xdes fées et trouver, toucher, cerner, comprendre le trait, le trait (de fin de roche) alloué à une sorte de paroi-rotonde, trait sur pierre gravée, anfractuosité à même le muret. On est au pied ! on mate ! on veut toucher la chose gravge, le tracé des fées ou dit "tyracé des fées". on veut toucher en tant que fée à ce teacé qui , de fait, nous incombe on dirait. on veut passer le nez ! cerner ! toucher ! ... entre les nénés ? on ne sait ! on cherche à cerner mais ce n''st pas gagné vcar la chose est entortillée, pas simple à dénouer, une sorte de pelote ! ni$d d'herbe ! vas-y voir à cerner de près ce que c'est, en termes de finalité du bout du monde de l;a mort à l'oeuvre en son royaume. On a grave envie d'en ava,ncer chelou, 

mais comment ? comment traverser la contrée ? quoi est derrière cettre sorttrree de sortie-entrée ? On regarde", on essaie de regarder; on cherche à passer, à âsser un oeil si ta&nt est, à cerner-toucher, faire ainsi qu'on puyiisse "visionner" les données "finales" : quoi de quoi en termes d'effroi, de parade froide, charge sarde 

(?) , trait de joie ou pas on en rede"mande ! on veut comprendre ! on est deuxd (deux ailes de poidsz) pour (en vrai) voler vers elle, la paroi Des Rois et REines SA&lutaires DErnier et dernière. Qui de quoi nous atte"nd là ? On entre d'un côté, on voudrait sortir de lm'autre. ROTONDItÉ! LA ROTONDITÉ ACCORTE ! L'ENTITÉ NACRÉ A DES SORTES D'ALCÔVES, DE NICHE ALLOUÉES POUR UN PASSAGE ACTÉ EN TERMES DE PERCÉE. On veut : 

TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER 

AUX NÉNÉS ! TU LE XSAIS ! ON EST NÉES FÉE ! ON EST NÉE FÉE, EN VRAI (DANS LA MORT), POUR TOUCHER AUX ÉNÉS ! AU NEZ ET À LA BAERBE D'UNE DÉIOTÉ "MAUSSADE" ON DIRAIT ! Toucher aux nénés = cerner ce qui est qui nous attend ou nous attendrait au fin fond d'une sorte de roche des prés (édenique il semblerait). On vfeu t toucher à cette sorte d'e,ntité placide, Vérité Alloué à une ... crique ? un passé pâssé ? plage acquise ? mer cendrée ? vive brise ? On veut toucher à une Déité aux données avérées et pouvant en vrai nous conforter dans noàtre idée que le Verbe est de mise question sainteté,. On est des fées ! On est (dans la mort-sainteté) dxes Fées altruistes ! on veut AIDER ! on ne veiut pas s'autocentrer mais en vrai aider, percer, coller, dire, faire ainsi que les données cde base (sur un pré) nous rensiegnassent et pas à moitié ! On veut coller à une sorte d'e,ntité acquise non-soumise sous le pied ! tracer = voler = s'envoler = décoller = se placver ainsi ensemble ici qu'on puissee ... eh bé oui toucher ! toucher l'artiszte ! l'envolé ! l'envolé-é ou l'envolée -é-e, pourvu qu'en vrai on est que'lqiu'n ou une à qui s'accfrocher et la ou le suivre, coller à son crochet, le ou la suivre en vrzai, dans les nuées. On a envie enxsembke de toucher à) cette sorte d'entité comme soudée à une sorte de donnée "du bout di monde". On est,  fée de rage ainsi collé (accolé) àune sorte de donnée volante ! artiste ! prise ! charge ! sein de roche (ou nhéné) d'approch

e ! volons grave ici sous pavillon ! cherchjons ! colloons de base à une sorte de "moignon" d'emphase" ... ouh .... ça arrache ! on entre dans l'antre ! vive la Passion ! cherchons à (de fait) comprendre la tâche, la mission ! Que devons-nous ensemble faire ici (la mort, en tant que fée) pour enfin comprendre = percer ? On ne sait mais on s'y colle ! On ne lâche plus le morceau. On est feé docte en vrai au bas-mot, dès lors on frotte ! On veut rester soudée , coller aux nénés ! aux nénés de l'antre ? du ventre ? des alacrités ? des tracés ? nénés fauves ? nénés nés sur roche' dfrontale ? nénés des nénés qui c'est ? qui donc est là comme attribué ? qui va là (aux njénés) pour nous accoster ? On entre on vole ! On est fée né qui cherchons néné ! qui ou qauoi est néné ? à qui sont ces nénés ici sus-nommés ? au Père des Fées ? Les nénés du Père ? A la mùère Chair ? Au vilain tracé sur roche cachée ? Au pêre putain ? au dit prieuré ? a la chaire de l'être ? au Passé ? Nénés du passé ? Ah ;, ça se pourraiot, on ne sait jamais. On est née fée du fait que, voilà ce qui est, en ces contrées, la haine ! le tracé acerbe ! guerre des tranchées ! le cimetière sans arrêt ! On veut toucher à une sorte d'entité du coup (plutôt, pour nous) post-cimetière (au lamparo ?) ! On ne veut plus du tout tracer sur roche de données acerbes,; ma&is du mou, de l'herbe = verbe mou, mou-doux, chance et traits de chance, chance d'êtrte, chances allouées à une vie sauvée (comme qui dirait) dans une sorte de contrée aux féesz. Par ade rupestre

. Cavalcade / baise. Chattière. On aime ça ! on chante ! On envoie ! on fait la java (la nouba) bien au-delà du cimetière et de ses trous à rats ! On ne veut pas du cimetière. On veut comp^tendre la samba-java-nouba de derrière, de derrière les données de traîne. On veut (grave !) toucher (en vrai) le roi et la reine, héritiers,ères des fées diverses, chargé,e,s (au débotté) de nous aider dans nos recherches agraires. On est fée des fées ! fées des frères, soeurs en charité s'il en est ! qui c'est ? bé.... l'plombier / plombière ça le fait ! On veut : 

COLLER , COLLER, COLLER , COLLER À UNE VÉRITÉ DERNIÈRE (DE DERRIÈRE = DE DERRIÈRE LES FAGOTS DONDAINE ET AUTRES ORIPEAUX CRUCIAUX). On aime aller derière , derrière les tom^beaux, les fagots, les tonneaux, les petits veaux de l'êttre, les pzrdreaux des âges nouveaux et autres perdrix / perdrières des anneaux ! On est née 

fée la mort venu, et nue. nous voici allouée à une sorte en soi de plus-value (cul nu) sur roche vue. On colle ! On fait colle ! on est colle conforme ! On veut toucher à une rochze aux données profondes. On ne veiut plus s'embarrasezr de choses folles , mais tracer en toute vérité, les données profondes, d'une sorte de Passé comme cerné, circonscrit-posé ou déposé, sur une roche ornée, roche de grotte. On veut graver la vérité du socle  ! La tracer en vrai ! à main levée ! sans traîner ! pousser ! dire et aller, charger rude ! colmater les 

brèches de bure et autres fissures ! On veut coller à une vérité-entité sacrée et aller (à vive allure) toucher , toucher serré, à Déité des Déité Nature si tant est, qui sait. On est née fée sur pré de bure ! bure allouée ! bure des prés ! sainteté ! chasuble ! robe dure (! rude ! mais c'est ! c'est ainsi qu'on est ! qu'on reluque ! qu'on s'y voit ! qu'on aime allmer , être, toucgher, comparaître, se sauver, tracer et poindre ou ici poindre (pôinter) le nez , la pique allouée à une face d'aigle, de corbeau de poids, de bête à ailes, moineau-chat, passereau des bois, chanteresse. On est née fée du fait qu'en effet, l'oiseau est là-haut qui siffle son chant. Paszsereau ! Etourneau savant. On est beau ! on est fée beau, belle fée des baeaux , des baux de l'eau ! On veut êtyre fée sachant siffler comme des oiseaux, paszsereau  / moineau,et tracer ! filer (grave) devant soi , siffler et tracer, pâsser et dronner, comprendre et soulever , gravE .......................................................................les données de poids , ................................... gtrave ................................ les do nnées de poids ................................................................................................................. les données (ghrave !) de poids et autres sommités agraires de passage , en colère ou pas, mais voilà ..................................................................là; ...................................... sur parioi aux poids ...................................................................................  aux charges ........................... , a&ux emprunts de base et autres condensés (de base) sur pré ...................... en termes de dfonnées "ronflantes" ...................... Vérités dites des Vérités, tu parlles : un camouflet ........................ la barbe !  ........... la barbe (en vrai) des camouflets ! nous, ce qsu'on veut (de fait) c'est comprendre = toucher ! pas raisonner, pas en vrai raisonner , ou pas en vrai forc"ément raisonner, méis toucher , toucher de fait, réellement instamment concrètement physiqu'lment toucher à cette déité des données "superbes" = soulevée, soupesée, montrée, montée ! On l'aime ! on aime ici pareilmle Déité post-cimetière c'(est vrai ! cxar 

on la ttrouve belle, on la trouve superbe, on la trouve magnifiquement ornée, soulevée et tracée, elle est très belle, elle est Fée des prés belle, voire très belle, c''st)à-dire ornée, arra,ngée, pomponnée des nénéset autres faits et gestes, on l'aime ! On veut grave l'aimer et en  vrai on l'aime ! On la trouve vraiment méga-belle et, superbien arra, ngée pomponnée nettoyée parfumée. On l'aime ! la Donnée des DOnnéesz ! Grave ça le fait ! la belle donnée ! belle donnée parmi mille données mais elle en particulier nous sied ! bELLA donne des données de Verbe ! On est tout accolée à son être de fée, on est solidaires ! On aime l'aimer, la coller, nous coller à elle, Verbe des prés on aime, on est ses ailes ! on est ailes de fée pour elle, Belladonne des données d'herbhe (Verbe) sur pré ! IOn cherche à cerner de près ce qui est, ce qui traîne, ce qui est sur pré qyui traîne, vaque, trace, charfge, se promène. On veut toucher à elle (bête) sur un pré. Vache à lait des dernières entrées et autres 

volontés. On veut toucher = dire = être = faire =comp^rendre = fer,mer (?) par la bande, le Tracé cdes contrebandes . O,n est des fées de rage sur pré, et on veut toucher à une sorte d'entité rageuse type "vache à lait" comme s'il ren pleuvait ! on est née fée sur pré pour aimer Elle, la chargée d'a

ffaire, fille au pair attitrée à une sorte de mission rêvée, cele d'être (de fait) charge d'ailes ( soit percée , du fait qu'on entre en elle pôur le coup froissée, pour coller à elle -, notre dulvccvinée). On l'aime ! on  l'aime de près ! on est pour elle on dira ou on dirait ses ailesz ! ailes agréées  en conformité ! on aime elle, le passé, la rage, les données de base, le papier,; la place, l'envolée, la parade. On est ailes ici pour elle, du coup Fée ! faite fée ou transfgormée, du fait que voilà en vrai c  e qui est (et qui nous obsède, en vér(ioté) : cette entrée en "lle, cette sorte d'incision de ppré, ce passage au débotté, cette sorte d'accolade tracée, dessinée, cet ancrage (c'est fait !), tu le sais ! On est accolées ! 

soudées à elle ! à la bête reine ! vache aàlait des prés, come déifiée du fait qu'on l'aime en tant que fée ! fée on est avec elle, pour elle, près d'elle ou accolées à elle (ses ailes) . femme-aile ici même (contrée des Contrée) et nous voilà comme si on était elle pour de vrai , vache des prés, vache nourricière, pis des fées et autres seins de base lactée (lactogène). On aime le lait ! l;es données lactées ! le gruyère ! les oiseaux cendrés, les conifères. 

On aime la forêt et les bois aux fgées. La Colère . Le Passé accolé sur herbe des prés (Verbe !). On est née fée sur herbe au paasdsage avéré ! On veutgtoucher à une déité de tuype vache à lait. On veut toucher en ta&nt que fée à une déité de type vache à lait. on veut en vrai en tant que fée (ailes des prés) toucher à une "déité-entité" det yype vfache à lait. On veut grave toucher à une déité de type vache à lait, vache aux attraits, vache ai

lmée, vache deéifiée du fait en vrai et pour le coup qu'elle est ailée et bel et bien ailéec sur pré (dit de "post-cimetière" si tant est). fée de V Erbe on est, qui sommes les ailes de la vache ailée (à lait). On aime ! on aime grave le Verbe lacté, le Lait et ses dérivés, Verbe-Lait de par la mère, la mère et le père, les données allouées à une vie sur terre. On est née fée comme à la retombée la mort passé (venue ou advenue) la roche connue. On est Fée parmi les fées , et voilà : on erre ! dans un pré ! à la recherche d'une entité ou sorte d'entité de fait "post-cimetière" (à jamais)/,;. On veut (grave) toucher la bête = la toucher en vrai. On veut toucher ici à cette bête "post-cimetière" , la buflette, l'antilope accaparée, la lionne au tracé sur pré, Baronne Bisonne, l'accolée sur roche. On veut toucher à une D2ité de ROche, type "animal des prés et bois de Bosse". On veut aller , coller, dire, faire mine de percer , percer, coller-vivre, se donner, allouer, permettre = autoriser = donner = faire ainsi que des Fées , en vrai, puissent aller gambader sur pré sans se blesser, s'entraver,

 perdre pied. On veut toucher à  cette déité des données premières (reines) et cvoller de fait à une sorte de donnée lactée, vache sacrée, bête de poids faisant office de ... paroi des Rois  ? On ne sait pas ! 

on voit quelquaepart la Roche comme s'entrouvrir sous cloche ! on y va ! on est comme ivres de joie (je des voix) et on entrte ! en transe ! vives ! vivement passées ! on entre en ce pré aux données rageuses , nacrées, sacrées, soudées ou comme (ilm sembleraiot) soudées, soudées à Elle-Fée, Fée d'ombre = vache nacrée = VAche aux traits  , Vache de trait . On est passées comme à l'arraché , on est monté sur pré, on monte, on ne cesse on dirait de monter. On a méga-envie de tracer, sans ceesse, des traéts (sur roche) désignant la bête , cette Bête allouée à une sorte de 

contrée, post-cimetière, genre   contrée blême, Royzaume Doré, Champ des Ombres. On vreut toucher à une sorte de donnée, de base cendrée, mais pour mieux la cerner, piger ce qu'e'lle est et en tirer profit (de fait) auta&nt que possible si tant est. On veut : et toucher et coller, et manger et chier, et paszser et travesrser la roche aux données profondes. Cerner = dire. Que cerner ? = que dire ? On est fée de pré du fait que voilà, on a touché (on touche) à la Vache Nacrée des temps déplacés. On touche quand en vrai IL NE FAUT PAS TOUCHEZR mais là comment on fait ? car pour cerner (ici, ce qiu est) on se doit de toucher à cette vache à lait sur pré ! on est accolé&es = soudées, comme ailes, sacrées, accolées à une sorte en vrai d'entité chelou, disons un pêu beaucoiup chelou du fait que oui, allez croire à la vache sacrée , et pourtant cv''sst vrai ! allez croire 

à la vache ailée ! et pourtaént ! on aime le Temps, LE temps orné, l a parade dessi n ée (à main levée) sur roche, le tracé fr(ontzal (bêtes rosses), et aussi les flammes, le foyer, le passage de feu, la charge. On en v eut ! on cherche à com^prendre". On veut t§oucher à u ne sorte de r (oma,nce comme acidulée de type LAIT, LAIT des F2EÉS ! fée des laits de contrebande acidulé, on dirait. On avance ! on cherche en vrai ensemble (autant que possible) d'en (grave !) avancer sur pré  au sein des entités sur pied , genre : vaches, veaux, buffles au cordeau, chevaux -cerceau ou bisounours des peaux et autres bêtes fortes. On aime tracer , graver sur roche = dessiner des bêtes fortes. On aime coller ! On veut s'enraciner ou disons s'ancrer, ou comment : percer ! passer ! traverser la roche ! mains frappées ! maéins collées ! mains surnuméraires ! mains allouées à un être des pré qui seréit (en vrai) bête-belle, belle-bête = Verbe = Herbe = HErbe Verte = F2ÉE!!!!!!  fée des fées comme on les connait (frêles ? fines ? édulcorées ? translucides ?) . On veut ou on voudrait ne pas xs

'emballer outre mesure mais, au contraire, se poser, essayer de se poserv afin de mieux cerner ce qui apparé&it, ce qui afflue ou pas mais semble remonter du bas (du bas ?) et vouloir comme nous charmer, nous faire de l'effet, nous monter , nous coller, nous intoxiquer peut-etre. On est née fée la mort venue cul nu, nous voilà traquée (ou comme traquée) par ... du Verbe ? verbe des prés (on dirait) qui chercheraéit à nous coller, monter, surperendre, manger ou comment dire : intoxiquer ? on ne sait  ! on veut continuer traquet -traquet notre pretit chemin de destinée agraire souterrain

e . on ne veut pas céder; on a méga-envie ensemble de tracer des tr&its (szur roche, sur paroi, sur roc des bois et autres supports de choix) Grotte !!!! grotte de Saba !!!!!!! grotte parmi les grottes !!!!!!!!! grottes de Sab a patrmi 50 grottes de Saba ! 50 ou 150 ou 350 ou 450 ou 1000 ! on envoie ! on charge ! on vzut grave envoyer d

eu bhois ! on ne veut pas rester (de fait) en careaffe m ais férer, tenir, ne plus lâcher = contenir la roche, plomber, toucher = donner, passer = vivre, dire = coller, à une bête-monstre, des données de roche (ailes translucides). On tombe ! on est folles ! on est fée follesz ! on tombe ! on tombe ! on est fée folle ! on tombe 

en tant que fée folle ! on tombe ensemble ici (la roche) en tant que fée folle ! ailes au diapason, d'une vache à lait, on veut la toucher. On ose. On veut coller à ses nénés (pis des ombres). On veut cvoller de fait à ses nénés "de roche" actés (les nénés) et creuser, pousser la chose, chercher loin à cerner ce qui est, que la langue (ici française) contiendrait si on la chahutait. on veut coller nos ailes d'elles sur Passé des pré, le Passé, le Passé alloué est une vache à lait ne vous y trompez guère, à présent on le sait. le Passé aux herbes est Passé de Bête. On veut collert à ELLE_BÊTE   des données de bière, mort cendrée, cimetière, tombe ouverte puis fermée, prière, chant agraire et le tour est joué à jamais il xsemblerait. on veut coller au VErbe, d'autres types de donnée que celles içci développées pour ce qui est du cimetière. Doonnées rudes peut-ette, que celles que (ici) on voudraoit avancer mais données tout de même ! on les aime ! on veut parler ! on veut coller , dire, serrer, allouer à une Bête-Poids les mots cde tête d'une Foi en l'au-delà. On est comê cdollées au verbe v(Fée) quyi cherchons l'ëtre On veut  : 

dire = mettre, sur paroi, les mots de la foi en cette bête (là) qui nous appelle. On veut ça : toucher la paroi. Parce que bvoilà, on veut (on cherche) à) toucher la bête , la bebête aux abois peut-etre pas mais celle qu'on aime, qi'on espère (elle) être là à pour le coup nous, 

nous demander pourquyoi, pourquoi on entrte, pourquoi on entre ensemble "à toi à moi" main dans la main .... eh bé c'est simple ! on veut cvoller (ou se coller) à elle, cettre bpete-là, dite "de bon poids bon oeil". On l'aime. On a grave envie de nous coller à elle, comme AILES, cvomme en vrai si on était (on est !!!!!!!) ses ailes. On serait ses ailes ! Mais on est , ses ail:es !!!!!!!! on est en  vraéi les ailesz de la vache à lait ! On est AILes cde par(oi de roche ! AILESC .............................................................................................................................................................................................................................................;;..........L............................................................................................................................................................................................................. Ailes = elles ;.................................................................... ailes = elles sur paroi de roche !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime êytre ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on adore grave ici et là sur roche (la parade) être elle-bête, aile-bête, Verbe d'aile, VERbe-AILe ! !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on ne veut que ça pour ainsi dire là !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! dire-faire, donnert-coller, faire-êtrte, chanter-accoler, prendre-surprndre, contacter, toucher, poser, donner par la bande des deenré&es de type données, données sveltes, charges vives allouées à du Verbe des pré. On veut comme s'u-incrustezr en vrai en ce pré "post-cimetière" afin de cerner , soit comprendre les données tellesz qu'elles nous apparaissent de fait. On aime tracer en effet les bêtes = les graver, c'est

 vrai, et c ependant on est les fées du verbe, on est là pour de fait toucher, à ce qui est ici sur herbe, à savoir des bêtes, vacghes à lait de contrebanxde, on est à côté. On estsur roche colmmmme acollées (on dirait) à des vaches à lait, pour mieux les toucher , les toucher en vrai, se donner, se coller aux nénés ou comment ou qu'est-ce ! On est née fée la mort une fois actée sur pré de roche aux données de bosse. On veut coller aux vaches à lait de typê V2rité des Véroités. Qui on est ? eh bien peut-être, en quelque sorte oui, en partie ... vache à lait (de rage) sacrée. On seréit ses ailes, donc un peu d'Elle, qui sait ! Verbe alloué 

= Verbe cElte = Verbe des pré = verbe d'zeau, de bière, d'aélcolool d'eau, de bière de rage et autres breuvages. On est née F2é, de fait, par la balnde = le tonneau de contrebande ! 

traçable ! On est comme deux peaux, peaux d'ombre soulevées venant comme s'acoqyuiner à (pour le coup) la vache fauve, au massif alpestre, bois d'ombre, souterrain ! On est, fe"ée des prés suralimentée en termes de VErbe ! on est, fée Du VErbe chargée ! pleine ! colère ! grossesse ! train arrière déposé on gerbe , ici, nptre malaise ! on est pas chiche de gerber vu que voilà, on hne peut y couper ou résisqter  ! la gerbe ! sur toundra alpestre ! le tracé des fées seraéiot de la gerbe ( = du verbe) comme s'il en pleuvait (ou pissait) sur herbe ! Pré , Pré des prés on t'aime ! on le chante ici même  ! fée ! on est fée des prés la mort actée, entérinée, affirmée, tracée, venue (nue) avec sa faux, des deonnées pl acides (acides). On est fée de peau ! fée d'aile ! ailes-elles des fées d'aise ! On aime être fée, fée des fées post-cimetière et ça le fait, o 

n l'espère ! On aime !

 On veut toucher à son derrière et de fait la coller, nous coller à elle (vache des prés) commùe qui diréit des veaux sous la mère ! ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ailes ou veaux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! aiules ou elles ;!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! comme veau sous elle !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! petits veaux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!veaus  des veaux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! veaux des veaux post)-cimetière, on en pleurerait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on les aime ferme !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! veaux des veaux post-cimetière dieu comme on les aime ! on aime les animaux, les animaux de la ferme , on aime !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on adore grave !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on les aime grave !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! grave, on lesv aime ferme : ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ailes = elles , soeurs (?) jumelles !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on colle !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! sécotines celltes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! colle au tombeau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut grave toucher au cordeau, à la hbête (svelte), aéu tonneau, aux bêtes de boyau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bêtes-mots sur herbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bêtes comme il faut, on les aime sveltse, costaudes, massives, fortes, grosses !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! comme des tonneaux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bêytes grosses comme des tonneaux, sur herbe, sur paroi de roche, verbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! o,n les aime grave ainsi faites !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des prés sur herbe on aime ! on aime être ailesz !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! pour elles !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vache-fée à lait aimé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ne plus reculer, foncer tête baissée, traverser la chaussée, le cimetière, les contrées blêmes, paszser vite (si possible vite) de l'autre côté, côté ensoleillée, et se raépprocher, comme vqui dirait, des bêtes, bêtes de trait, somme directe, vaches à lait surnuméraires et les toucher = coller, comme un fait exprès

. Coller à elle = s'attacher ! = les aimer = les toucher pôur Ëtrte ! devenir ! devenir fée ! frée d'herbev = de verbe (tu le sais ! c'st un fait vrai = Avéré ). ON aime ! on aime aller sur (vers)) elle, Bête de trait (tracée) sur Herbe VErte = PRé, pré des prés et des prairies celtes. On veut toucher toucher toucher à cette sorte de donnée en herbe, de type ... Colère ? vivacité ? chahut sur pré = vérité crachée ! On colle à Elle pour devenir fée ou fée en herbe ! tracée ! fée tracée = vache à lait (herbe) sur pré aus Fées  ! On aime ! on aime toucher = cerner = dire = comprendre = bouger = coller = se coller à elle et du coup faire d'elle la Fée, ou la Fée des F2és post-cimetière = l'Aloouée des Prés, Chance Agraiore, un tracé de fée sur herbe verte et le tour est joué ! On l'aime ! on aime Elmlle , Elle -Sur -Herbe, contrée, charge d'ailes ! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!! fée des herbes vertes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées des herbes vertes et a utres fêtes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée sur herbe comme acidulée (l'herbe ) !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée poussée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées poussées sur herbe , à jamais, à jamais poussées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée à ailes comme s'il en pleuvait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! pluie d'ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! pissaladières !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! effe  , elfe, F , fée des prés et 

autres ailes enjouées !

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6/10/2024

Qui on est ? On regarde. On cherche. On cherche à cerner. On veut grave comprendre les données :; qui on est, quyi on est pas, ce qu'on cherche à être en cette roche de paroi, etc.On est comme collées ("à la une à la deux") ensemble "toi et moi" , et de fait, on envoie ! on trace ! on envoie du bois ! on est pas avares d'envoyer du bois ensemble en paroi ! On cherche à comprendre ça veut dire quoi, ça veut dire qu'on envoie du bois ! qu'on trace ! On est deux ici de base (elle et moi) et on envoiue  = on trace sur paroi les bêtes ddee charge, les 

données de rage, tout un tralala d'estocade, de parade de façade. On est comme collées sur place " à la une à la deux" par une sorte de colère sarde  (?). Sarde ? on est deux, on colle (on se colle l'une à l'autre)) et on mate, on voit, on mate grave. Qui est qui ici (roche dure) ? Qui veut ça la place libre, ici ? On est comme associées pour une sorte d'embardée de rage, et du cfoup voilà, on trace !

 on dessoine à main levaée, la bête de poids, la bête qui charge et chargeant impacte (grave !) ; On est comme nées sur roche fées : deux FGées ? ou peut -être une ! une fée = (à nos yeux) deux ailes . Et voilà pour quoi on trace ! On est comme nées fées sur roche agraire. quand on aime il faut y aller, tracer = ne opas lambiner. On cherche grave ensembble à nous téléporter sur roche meuble, tra verser, passer de l'autre côté et nous retrouver (fissa) là-bas, sur he

rbe, dans unn pré de bpetes, parmi elles, vaches à lait et autres bisonnes cornue, velues, nues. On entre dans l'antre d'une sorte de passage sage. Paysage. On est comme accolées de base dans un pré : fée ! fée on est qui gagnons le pré, la paroi des gardes, le tracé nacré, estocade, 

estocade surdimensionnée. On cherche ensemble à   pour le coup nous approcher d'une sorte de "façade" des attraits, au fond cde la salle. Qui on est ? une fée de base, chargeant, chargeant grave, chargeant au boulet, visant de fait le tracé des rages, le tracé vnacré. On est fée armée tu le sais et du coup voilà, on en avance/.; On cherche eensemble à pour le coup nous rapprocher de la paroi des fonds de salle , anfractuosité de façade ça le fait, on gratte ! on cherche à (de nouveau ) passer. pourra-t§-on passer comme par chance ? q-sera-t-on assez remontées pour passer ? Qui le saiot ? On est comme soupesées ensemble en roche de rage, on est ensemble comme soupeséeées en cette roche d'!une rage d'être qui est rage d'une sorte d'être à jamais tracé ! On nguette ! on est fée ! on est la fée des bêtres, la des fées des bêtes (à jamais ?). On guette parce qu$e oui, on a envie de nous coller à la fenêtrte " , et de mater les bêtes tracer. On est fée des bêtes alanguies, ou sinon alanguies "de passage", ou sinon "de passage" transies, ou sinon transies déplacées comme des bêtes à pied o$u mise

 à pîed. On est fée des fées et du coup on mate (grave !) les données de b ase ! On veut toucher à cette chose d'une sorte de donnée de base ! donnée des données ! On veut se coller, se placer, se joindre à une roche rude, se positionner, à la dure, sur pa roi gravée , s'il-vous-plaît   ♥️ 

😀 😀 

On est de'ux pour une aventure de paroio diurne. On est accolées à jamais = fée. On est nées de base sur p aroi des fées comme une entité à jamais sacrée . On veuut toucher à volonté la Chose allouée à un semblant (?) de roche. On est fée des fées ! on est fée née de base tracée ! Onn est comme touchée par une Vérité qui ser ait comme personnifiée sur roche allouée à un pré de rage. On est la fée, de fait, des passdages, sur pré, allouée à une trace. On veut compter , szoit impacter ! On est née fée quand on est passée !on est passée à deux (deux bêtes des voeux) , nous voilà née fée ! fée des bêtes ! On est cfomme née fée sur roche ornée, au passage "de véritéz". On voulait coller c'est fait ! On voulait grave en avancer eh bé voilà, on y est ! on aime ! on va vite 

vers elle, cette roche née, ce tracé des fées, riage remontée et autres colères. On veut ytoucher à cette déioté dite du cimetière, et cerner les données donnéesc comme s'il en pleuvait ... derrière ! On mate, on voit. On est fée voyante ! on cherche à comprendre la paroi, le tracé de base, la rotondité des données de rage : xce qui est. On est fée ici de base pour comprendre ce qui est qui nous regarde ou semblerait nous regarder. On ne veut pas passer pour des null ardes ! on veut en imposer ! on veut compter ! on veut êtrte considérées en tant que fée des fées de base, qui savent, qui vbont, qui tracent, qui cherchent direction la base, le tracé ma gique sur paroi placide, fond de salle et musiqaue acide. On est née fée au passage dit "de vérité" (l'heure de vérité) et voilà à présent ce qui pour nous requiert de l'importance grave : on veut ... croire ! on veut / on voudrait croire en notre bonné étoile. On a grave envie de croire en notre bonne étoile ! on est nées de base fée à la retombée (la mort venue) et nous voilà sur pré (le paradis) qui cherchons de rage à comprendre ... eh bé ça ! lza base ! la paroi ! la p aroi devant soi  ! finalité ! fin de cage ! on est née fée et du coup on trace ! on essaie de comprtendre lrs données ce que cd'est , ce que cd'est qui nous regarde, nous mate grave, nous mate sévère, ne cesse de nous reluquer (à jamais ?). on est fée des bêtes sur pré, parmi elles (vaches à lait divines) et on essair ensemble de se rapprocher (de fait) de la paroi ronde, des données profondes : finalités, fin de royaum

e, bout du bout des ombres, charge folle. On est née fée la mort venue, comme de bioen entendu, et nous voilà"cohorte" , bêtes monstres, charge docte, qui pousqsons ! courons ! gravissons ! volons ! voulons cvomprendre qui de quoi et quoi de qui ici se trame sous nos yeux de rage ! on avance ! on est deux pour un voyage ! on tente le diable ! on veut comprendre ! on veut tracer-coller de base les données données comme elles se présentent et les étudier ! On estc accolées (fée) car on est comme soupesée, soulevée ensembkle ("à toi à moi") p ar ... la chamade ? la paroi des rages ? le ciel est à toi qui te regarde grave. On y va ! on charge ! on fonce fissa ! on veut tpucher -comprendre la paroi des Rois , Reines de SAba. On va loin vers là-bas la trace ! on avance ! on veut comprendre alors du cfoup on en avance ! On est née de base sur un pré, le neez devant sentant les choses d'une sorte de prairie de roses. On est fée née sur pré la mort venue cul nu ! on aime être cul nu ! on vole, on volette ! on aime aller de-ci de-là " à la volette" comme autrefois on aimait êttre (toi et moi en moi la charge). On est fée de rage née sur pré lma mort advenue. On aime aller et voleter comme autrefois on aimait ça (enfant des rages des paroisq). On trace ! on court ! on veut toucher ! on veut cerner ! on veut aller ! on veut comprendre les données données et nous téléporter direct vers ces contrées de bout de roche : angfractuosité cachées et autres traits comme 

oblitérés. On est née fée (de fait) au passage (de vie à trépas), nous voilà ensembleréunies en ça , fée des bêtes sages, fée des bpêtes dites "de paroi". On regatrde ! on veut toucher à cette roche des données primaires dernières. On veut coller à elle. on veut être comme elle , on dirait. nez collé à Déité de cimetière presque

 ! On aime ! on aime alller, voler, cerner ce qui est , coller à une chose rude comme par exemple une roche de trait. On est accol"éées et du cfoup voilà, on erst née fée ! On est passée ! on est passées (comme qui dirait) à travers la roche primaire, direction le pré aux bêtrs , et là, nous voilà, ensemble, qui voulons tracer et vite gagner la roche dernière, l'anfractuosité post-cimetière, les données données de derrière, le tracé final, chant des celtes ! On veut croire  , toucher-aller, dire et composer (déjà pour soi) une sorte de romance de paroi et on verra ! on veut comme toucher à une sorte de donnée de base contenue (il semblezrait) dans une langue, ici le français. On est cul nu sur pré , on le sait, on s'en fiche grave, on aime le nu, la rage, le poil alloué à une peau de rage, on va, on vole vif, on est nue de rage velue comme bête à cru ! ONN est fée des fêtes ! fée des fêtes vives ! On est fée des données vives ! on avance sur un pré ainsi velues comme iul semblerait qu'on fût ! fée doctes post-cimetière on est nue comme des bêtes. oN est nues velues comme bêtes à cru ! On aime ! on aime les bêtes. On veut toucher à cette chose au loin, d'une sorte de paroi de charge, paroi docte, la paroi des charges, 

soliloqaue ! On veut cfomprendre ! On veut grave ici ensemble, nous deux "toi et moi", comprendre grave les données données, données par la bande à la fée des ombres qu'on serait de fait à comme devoir (il semblerait) représenter comme à la parade ! On est née fée la mort venue ! cul nu ! chyarge mentale ! fond de cage ! On veut toucher à ces données de base ! On veut grave tracer, courir sans désemparer, se retyrouver sur roche ultime à devoir entrer, qui le nez qui la barbe, pour cerner, toucher, cerner-toucher les données finales ce que c'est . On ne sait en vrai, du coup on s'acvance. On veut entrer. On a méga-envie d'entrer en cette roche des données frontales finales, comprendre = toucher on le sait., On est née fée a&u

 passage (de vie à trépas) et là, on ch arge ! on fonce fissa comme à la parade ! on va droit devant soi, on est comme accolées pour pousser (de rage) le bélier et fracturer la place ! Qui on est ? on est fée des fées ! On pousse de rage la cvloison finale à la faire chuter, de l'autre co^té, côté mer, embruns, plage, bruits nacrés, chants de mage. On est née fée au passage pour aller de fait fracturer plus loin (rotonde-pré) la roche terminale, finale, trait des traits. On veut toucher à cette roche des données données et du cfou!p 

aller, vite, tracer, ici même au pied levé, le tracé des fées. On est femmelettes olé olé dit-on mais pas du tout ! hommelette à genoux ? pas davantage ! fée ! fée obn est, une fois passée en vrai les années, la romance gravée, le mur des amitiées actées. On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette déité des déoités, des données moroses ou sinon moroses grises ou sinon grises morbides ou sinon morbibes ... vives comme la clarté ? ah peut-être ! oh, il semblerait ! on aime ! on veut ! on entre ! on est colère ! on vveut être fée (de base) sur parioi des berges. on est nées fée lza mort allouée à une sorte de tracé donné sur paroi creusée. On veut dès lores en avancer fisqza et gra ve dans les connaissances "àtoi àmoi" telles qu'on les envisage sur paroi (paroi là des rois et rteines post-cimetière). on estc accolées pour former lz

a fée des données primaires. On veut toucher à cette déité post-cimetière. Qui ell est. A quoi elle reseemble. que dit-ele pour nous attiorer. comment doit-on l'approcher, lui parler, l a regarder. Doit-on déjoà lui parlerr, ou la regarder, ou plutôt pas ? On ne sait ! on est là (fée des fées) pour ça : toucher à cette déité des données frontrales (il semblerait) . là pour ça il sembklerait : qui sait ? On charge ! on veut coller ! on veut être fée en herbe, vite fait ! on veut coller à ces données post-cimetières sur pré. On est comme ailes accolé&es formant fée des pré soit des bêtes agraires  (maisonnée de bêtes grosses). On est nées fée la mort venue après le cimetière cul nu velue : bête des prés. On est fée née cul nu après le cimetière des données actées, et on cherche à tracer = filer vers elle, Déité des Déités qui c'est ? eh bé ELLE ! AILE d'AILE ! Aile F2ée des fées peut-être ! collègue ? on est fée des herbes comme déité ? on est La déité nous mêmes , bête ? On est bête-fée en tant que Déité donnée à une mort actée et post-cimetière ? On ne sait ! On ne sait pas en vérité ce qu'on est ! on est fée des fêtes ! fêtes faites ! On est fée des herbes sur paroi de roche "grotesqaue". On veut toucher à cette déité du bout du monde mais voilà, e,n vrai, coimment faire ? cvomment donc tracer, coller, cerner la roche ? par des traits de rage crachés ? par des mains en veux-tu en voilà pla cées ? par des cris de vérité ? On est née fée la mort advenue (ou actée, nombrée) et nous voilà cul nu qui volons vers elle à tire d'aile, D2ité des Déités tu m'as bien vu ? tu m'as assez vu ! tu n'a s qu'à te gratter (le cuul nu ?) et chercher ! car mon nom est le nom des données rupsrestres : TERRE.Je suis Fée de TErre, fête ! Je suis Fée des Fées sur roche agraire ! qui on est ? F2e ! JE = Fée, du moment qu'on aime ! qu'on traverse ! qu'on y va fissa ! On est fée post-cimetière direct la toundra, pré en herbes, tralala animalier il sembleraiot , à nous ça nous va on aime ça. On aime aller tracer sur herbe les données de base qui nous plaisent. traits de lmumière, chants des voix surnuméraires, col de cygne et chants sardes d'entreprise. On est nue velue ! cul nu sur DUUU,; la radio du cru ! On veut comprendre grave ce qui est ! on est nées de rage sur paroi des âges , nous voilà tracée (de fait) comme à la retombée, comme des images. Qui on est ? Base ! BAise ? base et baise ! 

on est sage, ou pas, mais on trace ! on va devant soi chercher la romaznce (en transe) des paroisz , le tracé des chargesz, bouqyuetines sardes ou sinon sardes sales, ou sinon sales sages , ou sinon sages drôlement savantes ! bouquetines vives savent dire à cru les données du cul ! On imagine. On est comme accolées de fait sur roche nue à une sorte de par(oi des âges ! on est née fée la nuit (la mort) venue, nous voilà cul nu qui cherchons l'entrée, la sortie du pré, l'entrée de rue ! On est née sur pré pour trouver l'entrée, la sotrtie d'ici, l'entrée des clartés ! On veut toucher à Déité ! on veut en tant que fée toucher à déité ! en tant que fée on veut toucher à Déité ! On est fée de rage, on veut toucher à cette Déité des données a stra&les figurées. On veut grave traverser la roche ronde ! on veut sortir en vrai de la Rotonde aux données données, de type bnêtes de tra&it. On veut "traverser" ! on veut "passer" ! on veut aller aéu fond du pré et du coup passer, traverser, passer de l'autre côté, chercher à passer qui le nez qui l'oeil , qui le nerf qui l'ombre ! passer = traverser de base la roche terminale , le Passé ? On ne sait !on veut passer = traverser la roche dite déifiée du fait qu'en vrai elle est la belle roche des données ancrées, vives, saucvages, dures ou pas, mais du coup mâ&tures en veux-tu en voilà 🅾️. 

On veut grave toucher à cette Déité des données finales : clarté. 

OIn a méga-envie ensemble d'y aller ! toucher, coller, dire, allouer, tracer, prononcer qui le mot de l'alpe, qui le verbe ancré, qui la romance, qui le chant des charges. On est née fée au passage et nous voilà comme "condamnée" à devoir ... toucher ! toucher à cette déioté des monts de passage ! on est née fée de base montante, nous voilà "montée". qui on est ? fée des fées , qui voulons cerner = toucher, cette D2ité des D2ités dite "des do

nnées données comme s'il en pleuvait", vache à lait ou nénés. Déités égalerait nénés ? on ne sait ! on se dit que peut-êtte, on chezrche, qui sait, qui le sait, qui sait ce qui est ? On est fée deb baise, fée des fées. On veut ensemble voir et décider ce qu'on doit tenter ou pas ensemble dans ce pré. on est prêtesq ! On doit gagner ensemble la paroi des bêters, et voir ! voir à voir ! dire ! faire ! chercher ! coller ! chercher à coller ! cfoller grave à cette Déité des données du  verbe (Celte ?) . On est née fée du fait qu'on est née (morte à jamais ?) sur pré post -cimetière ! on est née fée et on guette ! oin volette ! on y va grave devant soi fissa : RIGA ! on veut ça : tracer ensemble ici et là ce qu'on voit qui fonce cdroit ! On veut toucher à cette déité des données du verbe . Chercher = dfonner = dire = comprendre = acculer = donner = cerner grabve, ce qui est qui est qui nous regarde et ne nous lêache pas d'un centimètre ! sur paroi du Roi, REine-R5oi et ça ira ! On est née fée sur pré, la mort allouée, et nous voilà courant ici follement vers la roche xdes données finales. On veut bien sûr comprendre ensemble ce que c'est, que cette roche de basalte (base ?) qui serait en vrai sur place la roche finale, pré-marine ou comment ça ? 

commentb comprendre ? On veut de fait toucher ensemble lers données frontales, verbe Hautain de faikt mais aussi des traces, des données de base genre "serpentins", mains données aposées, carrés, rectangles, ronds de jade. On est née fée sur paroi dionnée, nous voilà qui volons de biais ! qui chargeons ! filons fissa vers ça là-bas qui bnous regarde ! semble ! et nous d'y aller cfomme à l'arraché, ensemble (ailes accolées formant fée des prés). on vole, on volette ! On veut aller sur elle, roche des données allouées à une fin de pré. Qui on est ? des fées ! qui on est en vrai (la mort advenue) une fée de rage ! On devient dès que mort et enterré fée ! dès qaue mort et e nterré (quelqueszoit son sexe / genre "donné") fée ! fée d'herbe ! fée du Verbe agglutiné comme une sorte d'e pré d'herbes ! On est fée sur herbe qui voulons toucher à cette destinée, ou Déité post-cimetière dont le nom est

TRAIT ? TRait des fonds ? Trait des traits des fonds des rages ? traits des traits des fonds données des ragesz allouées à un passage (ici), de mort, à vie de grâce (vivace ?). 

On veut croire ensemble (fée) à notre bhonne étoile, allouée à une sorte de parade ! On est née ! fée ! fée docte ! fée des fées doctes ! FÉE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Fée des prés , des données secondes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Fée allouée à une vérité de roche !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Fée des fées allouées peut-être à un passé donné, comme déposé, sur roche, "à la unev à la deux" au passage en vrai (de vieb à trépas) sur paroi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime grave ensembkle tracer, les données profondes néandertaéiliennes, eyt pour ce faire, voilà, on y va ! on ne traîne pas ! on charge ! on va drioioit devant pour comprendre et du coup toucher, toucher à cette déité des données offertes post-cimetière. On est fée des traitsvde rage et du coup "on pense " ! On pense sévère ". on cherche à "comp-rendre". On veut toucher à cette D2ité des Roches finales, tour de table. On veut§ grave toucher à cettye D2ité dernière, sous le vent, frontale, fenêtre, trou de balle , quoi ? on chercheb ! qu'est-ce qu'on voit ? on ne saiot pas mais c'sseet derrière ! on voit ça ! derioère on voit que quelque chose en vrai se trame on dirait ! derrière la paroi finale (dans l'antre). On voit quoi ? on voit ça : la roche, en termes de ronde ! ronde souterraine ? on cherche ! on est fée des fées sur herbe (pré) qui voulons coller (surnuméraoire ?) à une vérité dite "de pierre" = éternelle (?) il sembleraéit. On est née fée bsur pré la mort actée et là on s'est portée jusqu'au fond d u pré, terre glaise, mur des joies certaines; on veut passer ! comment passr ? que voir de l'autre côté ? la vie "à la volette" des do nnées priimaires ? une sorte de pré-qualité ? de pré-herbe ? de -pré-vache à lait ? pré -don d'une

 sorte de "vie comme à reculons " ? oups !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! qui sait ??????? qui le sait en vrai ?.??????? qui pour nous renseigner sans nous gruger ? On est fée sur pré , on cherche à (pour le coup) p asser la tête, à tyravers la roche des données dernières vers eh bé peut-etre oui, qui sait, la vie première ! retour de quartier ! fort de café ! on ne xsait ! on est fée des prés à la recherche d'une vérité qui seraéit "de glaise" et pas seulement sur le pâpier ! On est féev p ôst-cimetoère, on est fée des herbesz, fée sur pré a ux herbes vépaisses./ On veut de f ait ensembvle aller vers plus de vérités patentes. on est des fées sur herbe à la recherche d'une sorte de donnée comme, on dirait, accolée à une sorte deromance sucrée, sucrée v-salée comme le lait ! le lait !!!!!! le lait est le  lait des herbes = du bverbeb ! on cherche ! on veut le lait ! on veut boire du lait ! on veut du petit lait pour nous alimenter et avancer ! on aéime le lait , le lait sacré, nacré, alloué à un néné ! on aime grave le la&it allouéb (en vrai) àun njéné dit "des nénés" et ça le féait ! on erst née fée surb pré "des nénés" . On xdit ici qu'on est des fées comme cernées par une sorte de muret (muraiçlle ou mur des fées) qui nous ceint de rage, nous cerne, nous entoure grave, nous encercle (vérité) et cherche à (cfomme) nous cloturer, nous astreindre. Or, nous, ce q'on aime plus 

que trout, c'est cette chose ici d'une szorte de possiboilté accrue, de possibilté nue, de pouvoir (de base) voleter, monter, grimper, nous envoler sur roche au pied levé et du coup dessiner qui des bêtes de poids (genre : bouquetines, chevales et bisonns ou budflettes des roches) qsui des mots de tête. opr voilà  , là, ce qu'on voit de fait (en tant que fée) , c'est que la Chose ici allouée (mot ou bête de roche) est tracé de bure ! un tracé de bure ! une sorte de tracé de bure au pied levé peut-^tre mais tout de mâeme : bure allouée à un trait jeté !). On essaie du coup de cerner de base les données ensembke "en veux-tu en voilà" mais va comprendre ici la char ade ! c'est pas simple ! ça envoie peut-^tre mais quoi ? ça envoie de base mais on sait pas quoi ! Du sel ? de l'eau ? du sucre chargé de mots ? LAIt des fées tu penses si ça le fait ! grave ! grave ça le fait ! grave de chez grave ça le fait, le l ait !le lait en vrai grave ça le fait ! On chercheb le lait (ou on chercvherait) la bmort venue ? on chercherait le  lait des nues ? on cherchera&it une fois fée (actée) le lait des Déités nues ? On chercherrait en ce p^ré le lait ? on chercheraéit en vrai en ce pré le lait ? on chercherait grave en vraé

i en ce pré le lait ? on cherchezrait grave de chez grave en ce pré vle lait pas un pet chelou mais tout au contraire vrai de vrai : vrai laéit de vache et pas de contre-vache ! On regarde ! on voit ça quyi pisse du néné et vite on s'y met, on colle ! on veut coller le nez ! téter ! téter le pis alloué à un pré des rages ! pis qui pisse vite ! lait frais ! lait des laéits frais on aime téter ! on tète grave le néné (pis de bête) sur prairie des fées ! On est qui (vive) voulons téter, le lait acidulé d'une vache sondée ! On veut téter l e lait des prész ! chercher à téter et du coup absorber le liqauide nacré ! lait des laits sur prairie des filtres ! on est née fée la moert venue, afin de gagner (de fait) le pis alloué, pis de vache sacré , laiot acidulé (sucré-salé- qui (en vrai) nous sied cvomme jamais ! On adfore 

tétezr ! On aime le l ait ! on aime grave le lait ! grave on aime ça le lait, des données dernièresz, des vives clartés souterraines et autres tracées de type acidulés comme iul sembvlerait quand on regarde de plus près ! On est fée des herbes, on tète le lait, on aime, on adore téter , alors voi:là on se colle aux nénés des vaches des prés, on colle le nez ! on est accolées, sur néné, à téter de près le lait "de la mère" ! On est nez à nnez qui sa&it ? on veut toucher ! coller le nez au néné sur herbe. On aime grave téter et du coup tracer, coller sur pré notre passé et tracer ! courir sans traéîner, filer grave vers le traéit final d'une sorte de par(oi des traits, des vaches à lait ! qsui on est ? qui on est en vrai ? qui en vrzéi on est ici , qui voulons toucher à cettre déité des déités massives, genre "buffle doux", "douce buffle", "buffle roux ", '""Rousse buffle(buflette", on sait ! On sait ce qui est ! on sait de base (en szoi = fée des fées) ce qui est en vr'ai . Le lait est une sorte de ...  vERbe en herbe ! hé hé ! On court on volette ! on est fée des prés sur pierre de tréit. trait des fées ! on cherche ! on trace de fait les traits d'une bhête qu'on dirait surnuméraire tellement elle semble êttre bête-masse aux données pesantes (soit pesant dans la balance !). on est fée des données prégna,ntesq (sur paroi de rage) . Qiuand on pisse on voit ! on s'adapte ! On veut toucxher comme par la bande à une sorte de donnée tracée (des fées) qui nous incomberait "à la seconde", soit dès que née ! On est fée des ombres (hommes ?) nées fées du fait qu'on est mortes (morts : les hommes) et du cfoup transformées pour vite (en vrai) aller téter aux nénés des ombres. On est : 

fée !!!!!!!!!!!!!!!!!

fé dees fées !!!!!!!!!!!!!!!!!!! fés des fées allouées au Verbe sucré !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fées des fées allouées à une sorte de donnée donnée de type "LAIT" on dirait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on est nées sur herbe des prés la mort passée, en tant que fée surnuméraire, nouveaiuté, prise d'&ir sur pré on dirait et ça le fait en tant que telle (tel ou telle selon le tracé) !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime grave aller téter les bhête ! les teter de tête ! On zéime ! on veut téter ! Grave en vrai la mort actée on cherche à téter = traverser le pré, courir à perdre halieine, filer à l'anglaise, ne pas (surtout pas) se retourner vers le cimetière, cerner les données prochaines, se coller aux nénés "des herbes", Verbe nacré tu es le Verbe des données données (post-cimetière) . on est fée des prés prêtes à téter à même la bête le Verbe = Lait, Lzait d'Aile. On est fée des prés prête à téter le lait des herbes ou herbes données par une D2ité post-cimetière de type Vache Déifiée (vache à lait de base). On est là en tant que telle (fée) qui voulons comptendre, le rapport ce qu'il est entre d'un côté une vérité agraire de type lacté, et de l'autre une autre vér

(ioté mais ici moins drôle ! la pâtée ! la prise en entier ! colère celte ! le tracé à main levé pour nous effacer en tant que bête , est-ce vrai ? on cherche ce qui est.  On veut toucher à cette sorte de donnée post-cimetière ce qu'elle est de fait qui nous regarderait nous pavaner et tracer sur herbe une voie d'accès vers la Vérité dite "des Vérités" s'il en est. On creuse ! on cxgherche ensemble à creuser la terre à la rechercvhe d'une sorte de donnée des prés, de type sqauelette quyi sé&it ? on cherche = on y croit ! on veut creuser de fait la terre meuble, à la recherche d'une sorte d'ossement géant ! verbe d'être" ! verbe erra,nt ! os-verbe ! ossement -verbe ! os des temps donnés dans une sorte de Passé des prés. On est des bpêtrs allouées à u ne 

sorte de terre dite "de cimetière", mais en vrai on est des fées, fées des herbes et fées en herbe, la mort passée, on court on violete sur pré direction la bête à téter, vache à lait salutaire ! ça le fait ! c'est frais ! ça berce ! ça fait son "ffet ou son petit effet des prés. On couyrt on vole vers le néné dit "des prés salutaires" ! oui ! c'est un fait vrai = avéré ! çc'est un fait de fée ! fait des ombres portées sur herbe en rotonde ! cercle de sorcière sa&lué ! on est fée comme on est sorcière : nez ! nez des nez ! nez dans l'herbe ! nées dans l'herbe à jamaéis on diraéit ! fée des herbesc= fée du verbe comme déposé sur un tas d'herbe ! tralala ! colère ! bruits et voix sur terre de baise ! chargement de braises ! feu de foi ! on creuse sa voix sur paroi des temps , on y croit patent ! on veut (de fait) en tant que fée, tracer, sur roche, les données primaires 

= téter ! tétons !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ne lambinons pus ! chargeons ! essayons de fait de charger ensemble ce qui est qaui nous rassemble : trait ! bête de traéit ! somme ! bnête de somme ! joug ou je c'est la même chose (le jeu ) . On veut (grave) traverser la Roche, aller-voler)--figurer de l'autre côtéb afin de coller (si possible) aux n ,énés de l'êttre, vache surdimensionnée on dirait mais est-ce vrai ? auroque des prés ça serait ? ça serait dès lors un aurochs des prés ? auroque posée ? vache à lait = auroque sur un pré de roche ? On est comme touchée par un néné de base sanguine et, du cfoup, on tète grave ! on ne s'en prive pas. On est fée des armes qui voulons comprendre, ensemble, le pourquoi des choses sur pré la mort actée ! on est presque passée ensemble de l'autre côtéb on dirait, le Verbe aidant, mais est-ce vrai ? qui sait en vrai ce qui est concernant le Verbe alloué à une Personne (en ta,nt que telle) sur terre ? Qui sait ce qui est et ce qui n'est pas . La bête ? n'impôrte laquelle ? la paroi ? on rehgarde devant soi la roche et on voit ce qu'on voit , soit des bêtes fortes, bêtes de poids pesant leur pesant de rage de forme ! On y va ! on est là pour ça : tracer = creuser = dire = faiore = comprendre = tâcher = plai

re = spermer = cfomplaire = crier = coller à une soerte de paroi aux herbes, genre paroi post-cimetière, paroi des parois en herbe, pré des voix. On cherche cde fait à cerner les traits d'une sorte de parade, devant dsoi, mettant en branle force bêtes toutes pesantes, bêtes belles au xsens dfe "belles bêtes" = ossues-pesantes, fortes- masse, charge frontale (mentale) de paroi des temps d'avant ! romance pariétale sous le vent, du temps des hommes-femmes savants-savantes. On est née fée de rage sur paroi et nous voilà sarde (comme qui dirait) ^ppour en vraéi téter (de grâce) le lait alloué à une Vache S arde (pour le coup). Car nous, de fait, le lait, on aime grave 

! on aime grave téter ! le lait grave nous plaît , nous encjhante. On aime téter le pis de la vache, les nénées des prés, qseins de contrzbande et autres poitrine à laéit comme s'il en pleuvait ou pissait on le sait : pssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssxwsxsssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssdssdsssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss! voilà donc le laiot comme s'il en pissait en vrai des nénés ! pssssssss ! direct alloué au nez des fées ! on est née fée pour boire du lait : psssssssssssssssssssssssss! direct gosier ! on est née fée de base pour pouvoir , boire du lait des prés : psssssssssssssssssssssssssss ! et ça le fait ! on aime téter ! on veut grave téter le néné de l'antre ! mort donnée donne son lait (de rage) des prés. quand on aime tracer (bêtes cendrées sur pierre de grotte) oon est fée de roche ! On est la Fée des données accortes ! vive les fées ! vive les données cendréess ! qu'on passe ca&rosse ! cohorte ! traits de bêtes de trait ! on monte ! on monte ensemble ici (paroi) dans la lumière de roche, on voit ce qu'on voit , à savoir ... la porte ! le passage ou tra&ppe, la paroi éventrée, le tracé, le trait d'un passage donné comme par la bande aux fées de passage ! à savoir  nousz-mêmes, blêmes ! On est fée des fées qui cherchons de fait à traverser la roche, le ponton, la colle, le passé et le présent soudés, les donné&es de roche de type coulées, lave docte, sang et son. 

on est née fée du fait qi'on est mort (homme). on est née fée a&près la mort en soi de l'ombre, ou comment dire cette chose d'une sorte de /.... mensonge " inhérent aux ombres ??  on est bêtes de trait, de somme, monte-coche, on veut toucher ainsi attelées ! et nous transformer dès que née en fée soit en fée de roche (la mort actée, avérée, allouée). on est fée des données de roche comme déposéees.On veut grave toucher à cette déité vdes données lacustrezs, qyui serait du Verbe (peiut-être) comme déposé sur roche agraire. On est fée née cul nu sur roche de pré, parmi x bêtes ici au débotté chargea&nnt grave que 

tu chargeras ensemble sur paroi, et nous de chercher (fissa) à comme (peut-être) plus leur ressembler pour mieux "passer", être adoubées, reconnues en vrai en tant que fée des plages, des passages et autres passés. On est fée qui (en vérité) collons (ensemble : ailes) sur roche des prés afin de traverser la paroi des grottes et se retrouver, cul nu ou pas cul nu, peu importe, comme déplacée, transformée = formée, mise à pied pour insi dire sur un pré, à devoir brouter ! et nous de brouter comme si en vrai de rien n'était ! pas plus de changements que ça en szoi ! comme si on était ce qu'on était déjà avant le pâsdsage ("à la une à la deux") de la paroi. on gvoit ce qu'on voit. on entre ensem^ble toi et moi. on passe . Et une fois passées (deux femmes allouées au roc des données) nous cvoilà transformées comme à la parade, par magie, en fée du logis, fée clochette ou fée des bêtes, fée ! fée des prés, qui volette ! va et vient ! court presque à perdre haleine "dans la mort". la mort ici est cet espace dit "prairial" rempli de bêtes-charges, betes à bois ou pas mais grave imposantes sur par(oi (buffles, bufflons, mouflons, bisons, bison

nes et antilopes des chemins herbeux). On est commeensemble devenues la fée ! une fée des ombres sur roche (= pré) qui va pour ainsi dire son chemin de ronde ! ronde szur pré ! à la recherche d'une entrée, de type ... néné ? néné à téter ? qui sait ? on est née sur herbe fée, prête à devoir tracer à main levée les mots de sa rage ! rage d'être fée allouée à une sorte de prairie aux her b es .. vertes, vertes et hautes, hautes et drues comme qui dirait du Verbe de RUe. on aime ! on aime grave l'herbe ! on aime grave l'herbe à brouter ! le lait ! l'nherbe à léit : le Verbeb ! Grave en vrai on aime le Verbe et l'herbe des données lactées après-cimetière. On est fée des prés qsui voulons cernezr ce qui est en vrai concernant les données d'une vache à lait qaui nous atte"ndr&it passé le cimetière dans la mort à l'(oeuvre. Qui on est ? eh bien .... peut-^$rtre , en effet, AILE ! on serait une aile (ou deux ailes) sur pré ! ELLEs, la mort (une fois, ici) entérinée , on dirait. Mourrez, et nous ferons le nécessaire pour vous embaumer, adouber, préparer, accoler à une sorte de muret de cimetière. on est

 né sur herbe fée après la colère d'une sorte d'embardée sévère en cimetyière ! là, on est comme sauvées ! on a passé le cap (dudit cimetoère) pour nous retrouver comme derrière, derrière ou devant ou hors du cimetoère aux données cendrés, i-on est nées ! on est re-nées ! on a passé ensemble le cap de la mort et là on mate grave, ce qui est qui nous regarde : l'ombre portée ! la charge mentale ! le tracé des corps ! les bonbons sucrés-salés ou seulement sucrés sont de ceux qu'on aime, tout du lo ng notre passage, sur pré aux herbes. On est pas couillonnes ! on sait ce qui est bon ! le lait ! les bonbons ! le sucré ! les nénés ambrész, la toison ! On est fée docte ! on est entrées ensemble comme en pèlerinage et à présent on trace = on dessine = on va = on conçoit = on y va de son chemin xde croix en ces contrées de base prairiale, sous un vent de fou, charge mentale. on avance. On est folles fées de base qui vgoulons creuser (ensemble) un passage pour une entrée . on est motivées ! On vgeut cfomprendre ! On est deux accolées (ailes) pour former la Fée des données de base : fée des fées pour une sorte de mise en branle d'une vérité de charge . cri dans les 

cri dans les 

cris dans les marais ! on entre ! on est accolées ! on est fée de rage ! on est ailes soudées pour fgormer fée dite "de passage" ; On veut comprendre = toucher = dire = composer = comprendre. Chalutier des mers profondes ! chants de roche ! cris de joie sur pré ! cohortte non en vrai d'hommes accortes mais de bhêtes grosses, bisonnée des pré, chevalières des données portées. On veut toucher à cette déité des données prégnantes. Q ui c''st qui nous regarde ? qui c''st en vrai qui pour le cfoup regarde, nous regarde, nous mate grave ? on ne sait ! on est fée qui voulons comprendre et toucher, on essaie. On cherche de près à pour le coup toucher à ce tracé de contrebande genre acidulé comme néné, lait de néné . on entre ! On veut vite toucher à cette xéité de contreband nde toute cernée ou sinon cernée consacrée ! On aime les nénés ! on aime ghrave les nénés ! gr ave" on aime les nénés de l'antre ! on aime ensrmble (fée) les nénés grave ! nénés des nénés ça nous plé^t. On aime et toucher et tét"r les nénés de l'âéme (l'antre ?) aux données de fait comme acidulées ! sucré-salé ! on est née ! on est morte-née  ! on erst mort  homme et dans la mort comme transformé en femme des prés = fée ! fée accorte ! fée des fées aimées des cohortes ! on trace sur roche une voie d'accès vers ici des  nénés (un suffit, un néné) à pouvgoir téter. On est fée qui voulons t(éter ! le lait de la prairie ! lait des prés ! lait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! lait des laits !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! lait des laits de rage !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! laits de la prairie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! lait praiorial de base !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! du pis !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! du psi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! des données accortes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! beautés graves !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! charge ! charge mentales !!!!!!!!!!!!!!!! vie desz vies allouées à un lait de praéirie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vie des hombres portées sur roche aux prés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on cfolle ! on cherche à (de fait) toucher-coller à cette roche aux donnéezs accortes !!!!!! on est fée sur pré comme soulevées par (on dirait) l'herbbe verte donnée, l'herbe aux données données, l'herbe verte allouée donnée comme une sorte de bonté ! on aime ! on aime aimezr l'herbe oou le verbe en herbe ! vive Déité Le Verbe ! Vive Déité le Verbe ! Verbe-Déité est aimé dxes herbesv ! vive le lait, l'herbe, la paroi de roche , l'australopithèque, les données anciennes, le tracé sur pierre comme à main levée , les roches souterrainesz, les traits, les données de b  ase, le sole'il des rages, l'onctuosité des nénés ! On éime grave ici s'aventurer parmi les herb es, chercher pis que tête, le pis ! le pipi peut-etre, psi en goguette, le tracé chargé

, l'être bête, le Passé ! passé dé"posé comme une lttre. On est fée aux herbes des prés et de fait, on guette les bêtes, bêtes de trait, aller et venir sur l'herbe, se monter, brouter, s'allonger, se lécher, se frotter . On aime regardetr les bêtes sur l'herbe, les écouter, les sentir aller, peser, plomber, coller, pisser et chier. On veut cfoller à une sorte de donnée liée aux bêtes dessinées par l('homme-femme des cavernes, et pour ce faire il nous faut "parler" , dire un certain  ombre de données données (ici) sur herbe et a&utres bêtes acidulées. coller = donner (on sait !). Faire = dire. Poser = donner/ Craindre = vivre/ Charger = transporter (et se transporter) /. Douter = passer. Chanter = pisser./ Poster = présenter sur roche le fruit des nénés , lait de roche ! dès lors (en effet) lait de roche ! c'est un fait ! on a traversé, on est passé, on s'est retrouvé de l'auttre c^$oté toute transformée e,n ... fée des ombres ! rage à lait ! cri de force ! passé tracé ! ça le fait ! on ose ! on force le trait ! on veut cerner ici ce qui est en termes de cohorte allouée à un muret, à un mur de rotonde , mur des fées ! on veut tracer = toucher = faire

 = coller = comprendre = collaborer ensemble pour co:prendre ce qui est ici (ou pas ?) en termes de néné à lait ! on veut ici e,n,semble (fée) toucher à cette déité des déité dite des données données comme par la bande ! on est fée des fées ! on est entrées de rage ensemble pour fgormer la Fée alouée à une soryte de donnée de type prairiale : lait ? lait des laits ? vie des vies surnuméraires ! pis ? SPi ? psi ? pssssssssssssssssssssssssssssssssssss il semblerait ! on entend ce pssssssssssssssssssssssssssssssssssssxss qui serait ce pssssssssssssssssssssssssssssssss d'une vache à lait en train de pisser ! On regarde. On est née fée sur herbe moite (toute pissée) eh bé c'est pas grave, on s'y fait ! on entre ! on entre en ba,nde ! on est entrées ! on est fée des fées entrée de fait comme par( la bande en ce pré aux fées de la mort donnée (actée) comme pa r la bande (la bande aux nénés). on cherche grave en vrai à cfompre"ndre, ce qui est ici ou pas qui nous regarde (regarderait) en face, droit, comme campé, devant soi, pour (qui sait ?) l'éternité. Et voilà pour quoi on chante ! on est fée qui en vrai voulons grave chanter la chanson des prés ! charge docte = paroles fortes = traits de choix = vies d'ombre = vies des vies de porte = chalutiers sur 

chalutiers sur ordre ! 

on est nées ! on est nées ! on est nées ! on est nées ! on est en vrai nées ! ailes au débotté ! déployées ! le passé tracé ici se déploierait pour former la fée ! la fée des ombres ! fée d'ombres ! fée des fées sur pré ! on aime son traéit , son tracé, sa forme. on veut toucher à déité dxes déités de porte ! chalutier ! chalutier sur ombre ! on vgeut toucher au chalutier, des ombres portées et autres anfractuosités liées aux ... nénés ? qui sa&it ! on cherche à trouver-déceler ce qui est qui semblerait être (de fait) une sorte de Verbe alloué à une V2rité elle-même allouée à une sorte ici de Déité liée ... aux nénés ? aux seins de Carême ? seins donnés offrent du lait ! lait celte ! On est nées fées comme à la retombée "après" le cimeztière, et nous voici comme projetées (sévère") sur ce pré aux herbes vertesq, prêtes ou rendues pr'êtes à du coup chercher qui c''st , en vrai, qui n,ous cherche , nous observe, nous veut en entier, chezrche à nous happer ! on ne sait ! on est "bêtes" ! on eest bêtes d'ombre" ! on ne s&it pas en vrai grand-chose sur grand-chose c'rst benêt ! on voudraiyt ! on aimerait beaucfoup ! on voudrait grave ensemble comprendre les données les plus profondes, ce que c'est, ce qu'en vr'ai c'est ou pas, à quoi ça ressemble , comme forme, est)-ce une sorte de ... samba ? danse folle ? transe-nouba ? tralala-parade sur paroi ? on cherche la porte ! où donc est la porte ? qui va là ? qui colle ? qui veut ça : la rage de base ? qui est là pour ça : toucher grave la paroi desx rois-reines de Saba ? On entre à pas cfomptés ensemble sur lesv doigts de pied. On fait gaffe à où on met les pieds. On est pas tranquilles tranquilles. On se dit que désormais le Passé fait foi, qui pèse sur paroi de tout son poids (acide) de bêtes de somme et autres bêtes de paroles fortes. On est accolées en tant qu'ailes de fée, et du coup on s'envole ! on vole ! on monte ! on est bête-fée pouvant monter en force ou pas mais nous envoler et du coup tracer comme au pied levé sur paroi des traits, qui , traits, 

montrent la douceur (candeur) de ce qui nous plaéi^t en vrai. On est femme-fée, sachant tracerdes tréits sur roche : fruits des fées (des fées des féesz) des données vives acidulées, lait ! lait des léits ! laits doctesv ! lait de porte ! On essaie de pour le coup nous rapprocher de fait de cete entrée due bout du mondfe. Porte nacrée ! porte dorée on dirait ! le lait ! brille le lait ! brille brille Lait des laits ! On imagine ! on s'imagine téter ! téter dans la mort le l ait ! on s'imagine en vrai dans la mort téter ! qui on est ? on est la fée du pré, ailes dou

blées on renaît en force la paroi passée, tracversée, par le Verbe acté d'une sorte de passage outré ! On veut toucher à  ette Déité des données dernières , qui c'est ? une sorte d'elfe ? chair à pâté  ? vie ancrée ? chair des données du verbe tracé ? cri des cris sur pré aux herbes allouées  ? Vache à lait collé aux herbes ? On est nées fée sur nherbe donnée, on mate, on mate grave, on reste là grave à mater (sur pré) les sarabandes et autres cavalcades surmenées ! On danse ! on est fée des fêtes ! on danse en transe ! fée des fêtes dee paroi et &utres nouba ! on danse en transe , on aime ça : et la danse et la transe. On cherche à traverser de fait la roche aux données, données de colère et autres sentiments exarcébés. Qui on est en vré&i ? AILES ! AILES ! AILES ! AILES ! AILES ! AILES ! AILES ! AILES DE PAROI ! AILES-BÊTES DE PAZROI ! AILES-BÊTES ! BÊTES D'AILES DE PAROI DE ROI / REINE DE SABA ! on cherche ! on est accolées exprès pour de fait chercher (ensemble) que tu chercher as, la raison première à tout ce tralala, le pourquoi, les données sévères, ce qui est et ce qui n''st pas, en termes dee paroles ou verbe de paroi post-cimetière. On est là pour ça : creuser ! chercher ! oser ! faire ! dire ! pisser ! compter ! tracer ! finir son tracé ici à main levé sous un ciel de traine ! chier qui sait ? on aime ! on aime chier ! onn aime aller post-cimetière à la recherc he de données données surnuméraires acidulées comme du lait ! on aime le lait ! vive le lait !  vive ce qui est du lait post-cimetière en 

ces contrées ! pré ! pré d'herbes ! champs donnés ! on cherche de fait à cerner les données telles qu'elles se prése,ntent à notre nez ! qui on est ? eh bé oui des fées  ! fées en herbe sur herbe de pré le cimetière une fois passé, c'st-àdire la mort actée ! ou à la mort actée, à notre mort comme entérinée ! On aime ! on vfeut toucher ici le nacré-sacré salé-sucré ! l'herbe ! le lait ! les données l;actées ! le Verbe ! le verbe)-lait ! le lait- verbe ! Verbe laid des donné&es somùaires et cependant voi:à on cherche ! on ne peut nous le reprocher ! on cre"use sévère ici le verbe cde la foi dans l'ombrte, la paroi, les traits, les données (de base sucrée), la nouba et les nénés tu penses ! vive ça ! vive les vivats ! lait de rage ! lai-t de base ! laéit tendre ! charabia ou pas le lait est là qui porte sa rage ! on y  croit ! on entre grave ! on veut toucher à cette chose d'une sqorte de paroi de rage ! lait d'antre ! la&it de l'antre ! parade sa&uvage d'animaux en transe ! traits de rage sur paroi de ba se ! Vive ça : le boyau ! l

'entrée papale ? le tracé sondé ? le passage vers la place aux données données de type lacté ! On entre ! grotte fauve ! on entre à deux en cette grotte nue ! on est accolées ! on fait corps comme qui dirait ! on veut de fait rester accolées ! à la une à la deux on veut sauter, traverser la roche et passer du cdoup de l'a&utre côté afin de cerner (comprendre) les données premières de la mort à l'oeuvre : un pré, de l'herbe qui est verte et bien fournie, herbe verte bien fournie à de fait brouter sans discontinuer. on aime l

'herbe. L'herbe verte, le pré, le Passé déposé, le Verbe, Les diverses bêtes ici installées comme à l'accoutumée : betes cdes prés, des forêts, des champs alloués à un tracé. On aime aller, virevolter en tant que fée. On est fée aux herbes ! On veut coller ensemble à la paroi du temps. Toucher grave, toucher sévère. Faire ainsi ensemble corps en tant qu'ailes allouées à une sorte de parole docte, fruit de saison, corps des ombres, portion. On est papillon ! fée des ombres = cfomme un papillon ! On vole ! on monte ! on grimpe raide sur cloison ! on veut téter -gravir, toucher-lécher, faire et donner, dire et composer une sqorte de tracé à main levé sur paroi de groote : fruit de la passion, bête de roche, c abvalcade groosse, polissonne. On erst née fée sur pré du fait qu'on est passé d'un trait d'un wseul comme à l'unisson !  chose ! cause ! cloche ! coche ! lait des laits  sur roche ! on est fée ! fée des traits de roche

 à l'unisson, on porte la cloche  ou le clocheton ! on vole ! 

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4/10/2024

On regarde ce qui est qui se présente. On est deux ensemble qui voyons les choses qui, ici, se présentent, s'offrent, se donnent à voir. On est comme (de fait) soudées et on mate ! on voit ! on discerne ! on tente ensemble de comprendre ici et là ces choses qu'on voit qui sont des convois de bêtes de rage ! on regarde ! On voit ça : ces traces, la pampa , la rage des données rupestres, ce convoi de voix ! on voit ça ! on est comme adoubées (de fait ?) par la bande et du coup on trace ! on y va ! on file grave ! on enttre ! 

NOUS VOILÀ !  on est comme adoubées ensemble "à tyoi à moi" par la bande rupestre des données de base devant soi, à savoir : ça ! ce qui ici se présente en forme de paroi ! LA  chqance ! on y croit ! on voulaiot ça et voilà qu'on y a droit ! on est comme vernies ensemble à la parade ! quelle chance ! On voulait c'est vrai ensemble cerner et toucher , soit comprendre et pas à moitié ce qui est qui se présente en termes de paroi, et voilà que la chose en soi se présente, s'offre là comme une "offrrande -chance" !

on est là de rage ensemble l e coeur roi, on entre, on est e,ntrées ! on veut : 

toucher , cerner, cerner, toucher, et du coup en avancer dans les connaçssances , dans les connaissances concernant la Reine, la Reine et le Roi, le travail de soi sur la lande et autres faits de joie prairiale genre saturnales ! On veut toucher " à satiété" ! on veut grave arriver ensemble à comme si possible se (au mieux) situer en cette lande des données (rupestres) millénairzes ! on en veut ! On aime creuser ! On veut le mùieux e,n tyermes de donné"es de rage, on cherche à comprendre ce qui est qui se prése,nte (art) en termes de données rupestrss. Ce qui est et ce qui n'est pas,; et on en avance ! on veut ça : la Rage , la Par(oi, la Trace des Rois , Reines de Saba qui dansent comme à la parade ! On est là ensemble "toi et moiu" pour comprendre (de fait) ce qui est de base , 

gentes dames, fées des fées, rougeoiments iintenses surr place ! On s'avance ! On veut en vrai toucher à cette sorte de pelote , de tracé de fait rondelet, de grotte ronde, de colère monstre en forme de pelote : nerbvosités ! On aiùmerait en vrai ensemble, toucherà cette cbhose, d'une sorte de rotondité, qyui serait, 

comme il paraît, grotte , grotte allouée à  un hôte, genre Mastodonte,; mais qu'est-ce ? On ne sait ! on cherfche wsur le fait ce qui est qui est mais vas-y comprendre ! des nénés ? qui sait ? Des traits de parade et autres faits rupestres comme s'il en pleuvait ? ça se pourrait mais c''st pas dit en vrai !on cherche ! qui on est . Fées des fées peut-être = ELLLES . On est ELLES car on est AILes (dans la mort actée, délivrée). On est(comme) ailes = elles = féesc ! on volette ! on aime ! on aime sévère ! voleter-tracer. On aime grave voleter-tracer,

on aime grave voleter-tracer et voilà on trace ! on avance et on en avance ! On aime grave en avancer et en vrai on en a vance grave ! on est là ! on grave les données rupestrss "à toi à moui" sans débander en tant que fées surnuméraires deRoche Allouées (attitrée). On trace ! on y va ! on entre fissa en cette roche de paroi de grotte : waouh ! ça dépote grave ! on entre et wouah, ça le fait frontal de type paroi (ou pari"tal) , c'est ouf ! ça nous plaît des masses ! on avance : toi et moi. On  ime la Paroi, on aime ça ! On veut gravir "les échelons de l'âme " cvomme qui diréit ! On veut tpoucxher  /... Déoité des D2ités et autres divinités notoires. Qui on est ? On est des fées ! deux ailes allouées à une mort actée comme suppllantée par , qui sait , .... l'herbe ? le verbe ? l'herbe du verbe ? Le tracé prairial ? la de les ? la chance de ces prés ? On entree et du coup on trace, on avance, on court on vole, on est acculées ou comme acculéez ensemble à devoir tracer (par la bande des p^résq) les mots dits de rage et autres Verbe laid, comme une sorte de Parade, acidulée, sucrée , Romance cde Taille, on entre. On veut toucher à cette Déité des Déités Notoires : "qui c'est ? c'est L'plombier"  ? la de les ? la trace  des nénés sur place ? On ne sait ! Du lait ? qui sait ? ça se pourrait ! ça le ferait grave mais qyui le sa it en vrai ? On cherche ensemble  à contourner, cet ensemble de bhêtes nacrées   a llouéesz à un pré dit "de contrebande " ? on ne sait mais en vrai ça se pourrait parce qu'on est njées (en vrai) fées ! fées des ombres, et du coup il se pourrait que l'Homme , l'HOMME xdes tracés, soit commùe t"travaillé" en luipar un re"mords peut-être de tous les diables et auttres saints de rage ! On voit l'ombre sur le plat ! On creuse, on ponce, on cherche à toucher, on veut grave nous approcher ou nous rapprocher de la par(oi finale, la de les ! la paroi des fins de base ! On aime toucher ! On est passées ensemble comme à la parade età présent, on chervche à comprtendre ensemble ce qui est qui nous regarde et pas à moitié ! en vrai = en face ! elle nous mate ! elle ne nous lâche pas d'un pôil ! elle n ous reluque (grave) sans discontinuer cde base ! On la voit rageant, rageante ? , après nous constitutivement car elle nous voit ailées ! et ça l'emmerde forcément vu que voilà, elle nous vgoulait "vivant" et nous voilà "traçant" sur roche ... lkes nénés de l'âme ! oh ! on dirait un chant (cvhamp ?) qui serait là, comme par chance, alloué à une sorte de Romance (du Foyer) ! On est passées ! on est entrées ! on est femmes des prés (dans la Mort Notoire : Fame !) On a grave envie de dérouler 

on a grave en vcie d'en discuter ensemble, cerner, déchiffrter, comprtendre = cerner = entoiurer = embrasser = ceindre = manger ! On est ensemblke nez à nerz (?) ou sinon nez à nez nées !  on est nées de rage ensemble sur nénés ! On tète sur pré ! On aime le lait ! la rage, le sent-bon, la trace, le moelleux de l'ame, l'enviro,nnement ruprsretre de la Rage xd'être et autres rages de salon (on aime). On est deux (ailes) de pa rade sur prairie de base. On veut : 

toucher

toucxher grave 

toucher ensemble 

ensembkle toucher 

toucher de fait les nénés de l'âme (du pré ?)

On veut ou on voudrait ensemble en vrai, touchezr les nénés de la roche imberbe et autres rocs des prés alloués au Verbe ! On est qui ? quête  ? ça se pourrait ! On cherche ! on n'(arrête pas de chercher ! on cherche ici, on cherche là comme le furet car "on y va " ! on accélère ! on y va fissa ! on aime ! on est là pour ça : tracer que tu traceras des fils de soie surnuméraires et ça le fera, des fois qu'on soit comme (ma foi) des Fées , Fées des fées et ça le fait ! On est entrées en cette roche dite "des Prés" et à pré&sent on gagne la contrée finale = les confins, afin de comprendre, ce tracé, cette Chose, Enclos d'ombre, quoi c'est en vé&rité&é ? eh bien peut-être une sorte d'antichambhe à .   comme il semblerait, quelque chose d'auttre de type "non-ruperstre obligatoirement" ou quelque chose d'autre ! On est cotées en tant que fées : appréciées . On est allouées à une Roche nommée. On s'approche  des FIbnalités, mur de rochje, fin de grotte, fin des fins de l'Ombre. On veut touchger cettye sorte ici de Roche Allouyéecà une sorte de Finalirté accorte, ou sinon accorte sympathique, du fait (avéré) qu'elle nous attise ou attire,qu'elle nous cherche un peu , nous veut ! On est cfomme scotchées de près ! Ailesde fée ! sur roche mobile , on est près (tout près) de passer = d'y passer ? on est accolées ! On colle aux nénés prêtes à têter le lait ça le fait ! On veut TRACVERSER TRAVERSER 

la ROche des prés = finalités, dxes données acides (lucides, éclairées)/ On est comme alloyuées (ensemblke) à une sorte (en soi) de vérité des bvérités notoires, à savoir ça, fcomme quoi  la Roche (la p aroi = la pampa) est Roche des Rois, REines de Saba et autres Princxes / Princesses de base, qui "envoient", qui grave "envoiuent" et pas pour de fau ! La p aroi des Parois envoie et comme il faut ! Elle envoie du bois ! Elle gagne ! elle pousse le Vezrbe(ou du Verbe) haut ! elmle trace de rage ! montre quoi, montre sa rage d'être ça : l'antre , le creux de la vague, o'ouvre-boi^te ? ou pas maios voilà : on entre en cettre sorte d'antre de paroi de roche et là (le pré) on court on vole ailées , on est ailes sur pré (= ELLES) comme s'il en pleuvait (plxeurait ?) de rage ! Rage de la foi, des données maussades, des bases marquantes. On veut ou on voulait tr acer ensemble eh bé c'est fait ! on est entrées ! on est acculées = accolées,  à cette bande de opa roi de rage , et on  trace (à main levée, et aussi de rage, il semblerait) les ...  nénés de l'âme ? qu'est-cde que c'est ? cd'est comme des nénés (seiins de contrebande) mais /... armés ! oh c''szt vrai ? ouais ! oui ! oui cf'est vrai ! On voit d'ici (de base)  les nénés, se monttrerrr , et nous (ailées = fée) d'y aller, d'aller vite vers ce fait ! cette chose allouée à une sorte de ... fin de rotonde ! en creux ! seins de roche ! c''st moelleux ! onctueux ! doux-soyeux ! c'est mieux que la Roche aux données rugueuses et autres vives alacrités rocheuses ! sûr  ! On veut ! On veut :

tyoucher moelleux

téter le lait le mieux

 toucher les nénés des dsonnées acides

faire de son mieux la chose placide

comprendre = aller = dire = faire = donner = cerner ce qui est et du coup ou du même coup ce qui en faiot n'est pas du tout du tout mais semblkezrait en vrai être comme une sorte de ... coup donné ? on est nées fée de fait car on est nées la mort une fois actée (entérinée) . Nées Fée cde fait la mort allouée ! Quand on meurt cf'est pôur la vie ! Quand on ùmeurt on passe direzct cdes rages terrsztres, ici données , à une sorte de pré aux fées, pré des fées et auttres attributs de rage de type bêtes-mots de base, bisons-mots, carosses, chevaux, buffles-morses. On veut aller dans un boyau ! comp)rendre = toucher (à satiété) les nénés de l'âme . qu'est)-ce que c'est ? Eh bé, on dirait que ce sont des nénés comme donnés à qui en vrai aime ou aimezrait grave le lait et autres semences ! On est prêtes ensembke à y croire mais en vrai (en vérité) rien n'est fait concernant ici cette croyance, ce trait, cette chose allouée à un trait de rage, chose rude-dure mais du coup "tenable", "contenable". On veuit toucher à) cette Déité des contrées finales (des "rotondouités") et pour ce faire, à la une à la dfeux, on trace sur terre à qui mieux mieux, la ligne des fées ! La ligne allouyée à un tr acé de fée ! fée d'armes ! On s'arme ! on est fée armée ! une fée = Elles = Ailes = deux ailes = Dieu ? On ne sait mais on est comme ici cernées par une Paire d'yeux ! qui ne cessent pour le coup de nous mùater comme si en vrai on était en effet Fée, qui volions, voulions voler, voleter , en ce roc des roches "Cavity" ! On est tarnaises anglaises, ou on est anglaises par la fée et tar,naise par les faits, ou sinon quoi d'autre en, vrai ? Fée des Fées des b ases allouées à une sorte de Romance : on croit rêver ! on en avance ! on veut toucher ensembkle les ,énés notoires (FAME au Débotté ) et du coup tracer, cerner, dessiner

 les faits, cdessiner l'aurochs de base,; le salé et le sucré, l'ombre sur le pré, le bison futé, la salamandre, l'oiseau aux traits, mandragores au ^poil près. On est 

comme devenue Fée au pasdage de la mort actée on dirait. On est mort (homme au singulier) nous voici de fait transformé en fée, = transformée ! transformée = devenue = changée = vue ! On est Fée de base la mort advenue ou venue ! On change ! "é " devient "é /e" et c'est marre ! qui dit mieux ? on est doublée ! doublé -"é", puis comme (une fois passé) doublé - "é/e" à la retombée ! commùent "conjuguer" ? On voit que c'est pas si facile en vrai de pouvoir tracer de fait ce qui est, cette chose d'une sorte en soi de changement de roche sur paroi ! on voulait en vrai ensemble comprendrte les données de b ase, mùais quoi ? devait-on comprendre ensemble le pourquoi des artmes ? le pourquoi ou le pourquoi pa s ? On ne sait pas mais on en avance (sur paroi) bon an mal an comme à la parade ! On veut toucher grave = cerner = dessiner des bêtres , bêtes de foire, fêtes 

lambdas, lambada, danse et transe, on voit ça ! ça chante ! ça envoie ! ça entre en transe devant soi ! c'est une chjance (pour soi) d'être de la bande et de pouvoir comprendre (une fois) à toi à moi les données frontales et autres gestes de paroi de f ace ! On enttre fade, on trace, on passe, on se retrouve rehaussée en tant que Fée Ailée comme un fait excprès, ça le fait ! ça le fait grave ! ça impacte ! ça envoie du bois ! ça charge ! ça cherche Romance sur PAroi des Rois et RTEines de SAba ! ça y va ! on entre ! on est acculées -accolées ... et on est Fée ! fée des Ombres Portées ou comme reportées sur roche :"qui,nc'est ? c'est l'plombier", comme dans la Romance ! charge donnée , sur mulet, dos damné, poids des prés ! "l'plombier de la CXharge" on dirait ! On est née Fée la mort venue, nue ! fée nue on est, ailée, sur le cul ! tombée ! sur un pré ! herbe^verbe au débotté ! on est née FEmelle = Ailes = Ailées = Elles = Elle = Fée des fées agraires ! fée femme ferme ! On est couillée 

peut-être mais pasz à jamais car... une fois trépassé, homme, on devient Fée, femme , à jamais, donc "dé-couillé" ça le fait ! sombré ! on est trépassé = on a sombré = on a failli = on estmis plus bas que terre = enterré et c'est bien fait ! on re-naît ici (le pré, le p aradis) Fée, soit ailé comme une fée,; dfonc transi ! ficelé ! touché ! nu et comme soulagé d'être enfin devenue "celle qu'on était de faiten tant que telle en soi une vie

 durant sans pouvoir lr'être en vérité". On est re^-né ! hé ! vivacicté, on

 est devenu Fée à tout hjamais la mort venue ! ça pue ? ça pue du cul ? Pas sûr ! au contraire ! c''st un fait des fées, genre un délice de cl arté ! On est né Fée comme à la retombée ! ça le vfait ! c''rst un fait avéré ! On aime changer ! on aime, grave, changer de sexe ! on veut grave cha,n,ger et pour changer en vrai il faut comprendre les données de base, ce qui est en vrai à l'intérieur des êtres de la roche nue (traversée) telle qu'elle nous apparait "au cimetière" comme qui dirait. On est comme cerné de près par une sorte d'ange, MOrt-Duivinité, qui de fait nous guete grave s ans discontinuer car il nousq veut en vrai comme donné "de fond en commble", et sans sourciller, c'rst-àdire sans que nouys (nouys-mêmes) on sourcille, ou szourcill^at ! Or voil:à : nous on veut ensembkle passer ; passer d'un trait de rage la p aroi des Rois et REines de la mort en acte, et là, u ne fois qu'on est passé, que le Moi est passé ainsi dédoublé comme il sembvlerait, soit Ailé (aimé), alors ...  on est une Fée ! on s'est transformé en Fée et du coup on devient ailé, fée ailée, Homme mort (enterré) devient fée ailée ! Elle = ailes  ! 

On sait les données rupesgtres ce que c'est en vrai à présent, o,n  sent ! on sent bien les choses, les données rupestrss : le sens de la roche, la cloison, rotonde des prés, charge forte desbv troupeazux de roche ou dits de roche, on est là en,trées comme allouées à ces troupeaux de roche;, on est née ! FÉE des présw ! On veut toucher à ces nénés des rages et autres Remontées ! On veut tpucher ensemble à ces nénés, ces bases rupestrzsq, alvéolaires, commerçantes, changeantes ou pas mais proches de soi, de cette sorte en soi (en nous) d'âme de base ! fée femme force la CXhose, à ... parler ? prononcer des mots de Roche ? tracer , le Verbe des p^rés? dire haut et fort ce qui lui paraît en termes de son alloué à une clarté ? On est ense'mv

ble comme "traversées" par une sorte de p arole forte ! On vgoit ça ! la roche ! la paroi ! le Roi ! la Reine de là ! le prince mordu , la princesse large ! On est nue de base (fée) allouée à une Sommité, dite "de la base (le cul ?) et des nénés " ! on dirait ! On est nées sur le cul ! on est velues, ventrues, couillues plu, mais vraiment cornues qui sait ? On

est remontées = tloutes remontées après Déité qui nous voudrait comme "trépassée" quand nous on veut duerer jusqu'à pouvoir téter en vrai les "nénés de l'âme" ! Mais ... qu'est-ce donc que les "nénés de l'âme", ducon ? Zh bien ... On cherche ! on rezgarde p ar là si des fois ... ou alors même pa r ici , on ne sait pas  ! On cxherche ici et là dans la paroi, les données de rage . On y croit ! on se dit qu'un hjour, un jour ou  l'autre (impossible  auttement), ça le fera ! ça finira bien en vrai par rendre, rendre quelque chose, impacter, donner du blé, du f il (du fer ?) à rtetrordre ou auttre chose mais de fait ! On y cfompte ! on veut aller ! On est doctes ! on est nées doctes fortes dans la mort "de roche" , on fonce ! On veut grave toucher les choses, d'une sorte de 

Donnée comme 

😀😀

personnnifiée, transformée, allouée à une roche des confins ! qui c'rst ? c'st un fait ! iune sorte de donnée de roche transformée en Fait dit De Parole ! on est doctes ! on veut coller à cette roche des données, de Fin de Rpoche ! Qui on est  ? eh bé puebt-^tre ... ELLE ! La donnée donnée ! le fait ! la roche des faits ! roche en herbe ! On ne sait ce qu'on est en vrai, et cependant on cherche (vgrave) à (de fait) cerner (ensemble) les données rupestres, les chevzaux sur pré et autres bêtes-mots surnunméraires alloués à une roche "imberbe ". Qui on est ? DEs fées ! des fées de l'herbe ! Fée du Verbe alloué à xde l'herbe à brouter  par des V aches à lait Divinisées ! On les aime ainsi ailées comme nous mêmes ! on aime être Fée,; Fées des prés, Vaches à lait auprès. On est p^roches d'elles : on les aime ferme ! On aime aimer l:es vaches à lait nos soeurs en herbe ! vivacité sur pré des fées de Carême ! On court on volette ! On est  nées fées en tant que telles sur un pré donné (carré ? ) qui est le pré des données rupestres des âges avancés ! des données vieilles ! des données alouéesz à des temps reculés ! On aime ! On veut 

TOUCXHER

TOUCHER 

TOUCHER

 TOUCHER = cerner (dxe près) les donné&es a graires : fruits des fées données par terre, sur seuil alloué à un cimetière, ou sorte de , en soi, cimaetière des aieux aieules. On veut toucher à cdette sorte de divinité notoire ge,nre Passivité (?) , Passion aux fées (?); Passé Composé ? On cxhezrche à comprendre en vrai (en semble) les données de Charme, Données doctes, Cris de Roche, Passdages pour une ezmbardée (fumax !) au sein des données, des données des RTzages. Embardée des Embardées ! On enttre ! on est entré dxans l'antre (homme de peu de foi ?) et nous voilà "ensemble" transformé hé hé en Fée des Rois etr RTeines de Saba ! ça le fait ! c'est notre chance dit e "de paroi" . On est entré xde fa ce nu, nu comme un cu, et nous voilà "de l'autre côté" devenu ailé = ailée;, à la retombée ! on a gagné le E de l'âme ! de la meu ? de la meu de l'âme ? On a gagné un E de rage ! on est Fée ! On est en vrai devenu ailé et, de ce fait, nous voilà comme nanti d'un E de base comme consacré ici par une sorte de Divinité, Divinité des Déitésq, déité des Divinités allouées au passage "de vie à trépâs", comme !il se doit ! On aime toucher à cette sorte de p aroi, a ux données "immenses", gravess = charge, charge d'âme ! On veut ! on aime et on veut ! On é&ime toucher + ; mais aiussi tracer ! dessiner les bêtes, les bisons et les phacochères. On aime aller ailées sur pré ensembke (main dans la main) = elle ! = la fée , aux ailes a llouées à un corp^s dit sucré-salé tel qi'il en nait dans les cimetières toute la journée. On est Fée ferme ! Fée cdes Fées et autres Déités ailéesz pêut-être. On cherche ! On veut 

TOUCHER = dire = faire = aller = centrer = comprendre = cerner = charger = chanter = ici même ch anter kle dire des prés, la charge mentale (frontale) d'une masse docte, d'un poids de paroi, d'un ensermble alloué à une charge crasse ! On veut 

TOUCHER = TOUCHEZR LES NÉNÉs, les nénés de l'âme ! or, les nénés de l'âme, ces nénés susnommés, qu'est)-ce en vérité ? des traits ? dxessins et ombres sur roche gravée ? des traits allouées à des roches sardes ? on cherche ensemble ce qui est, ce qui semble être vrai ou semblezrait, on aime ! on aime chercher ! On VFoudrait ensemvvble de fait, comprtendre ce squi est, en termes de données de base relative au lait tel qu'on peut le tétter direzct sur néné ! sur néné de femme sarde ! est-ce vrai ? sarde ? sage ? sage femme ? fe:mme sage ? sarde ? sade ? sade et sage ? sade = le contraire de maussade. On est né Fée comme de contrebande la mort (une fois) donnée, nous voilà dès lors à vouloir chezrchezr (de fait) les nénés de l'âmec = le , lait ! Lait des o=mbres ? Lait d'homme ? lait des la its .? Lait du petit l ait ? Lait petit des laits de base soutiré ? On cherche à cerner (ensemble) ce qui est, en termes de "l ait tété ou soutiré " , on est allouée (ensemble : ailes) pôur du coup ou pour le coup voler sur roche, au sein de la grotte, soit nous envoler, et grimper, monter, aller haut en cette "cheminée" de grotte de fait allouée à une sorte de donnée de type Déité (Divinité) surnuméraire, genre ... Néné ! est-ce vrai ? Déité = lait ? Lait (des nénés de base) = D2ité ? on voudrait le croire ou pet êtte ensembvke, envisager pareille donnée afin de l'explorer, de la cerner, de chercher (en sembkle) ce qu'elle contiendrait en termùes de données de type vérités, concernant "l'au-delà" ou "l'au-delà à la p aroi". On cherche ensemble (fée) à du coup en avancer en ces donnézs de base concernant la mort, Déikté, Divinité des mots donnés, charge docte allouée à un front de roche dure, mûre. On est fée des fées , contenues-tenues, sur pré, par deux ailes trac&ées comme au pied levé par comme qui dirait un être des temps reculéx det ype né andertalien, néandertalienne. On cherche ! On veut toucxher = trouyver, et pour cela : gratter ! tracer de prsès au pied levé à main levé les mots de roche qui en vrai pourraient (aux "yeux" de la moprt) le faire ! impacter sérieux ! faire croire = a ccroire , et du coup ... faire

 ainsi qi'on puisse u n temps encore durer allouées , allouées à une roche de type genrée, sexuée, ce qu'on veut de fait en termes de Je, mais comme main^-tenu (en creux) en ce feu, e,n ce pré aux données bestiales. On veut (de fait) rester , "dans ce creux de la vague", c'esst l'endroit le mieux ! On a grave envie-besoin d'aller ensemblme (à qui mieux-mieux) loin, au plus loin vers ce Feu, dees âges avancés, des temps lointains dits reculés, avancés ou reculés de fait = VRAIs ? ou sinon VRAIS, AVÉRÉS ? On est comme acculées ensrmble à du coup chercher à peut-ettre .../ toucxher ? toucxher aux nénés de ... l'arbre ? l'^$ame millénaire = l'(arbre ? On veut toucxher à une sorte de donnée de base, située, en vrai, face à la plage, face à elle , la tempête sarde, les remous, l'ombre de l'arbre sur nos genous ou commênt comp)trendre ce qui est en ces contrées chelous ? On est miséreuses

 de façaade, mais voilà, on est  ...  sage ? sarde ? née fée du fait qu'on est passée = trépâssée ! On voulait aller (ense'mble !) charger ou voir à charger de base la paroi d'en face ! à la une à la deux ! foncer ! contrer ! taper ! cogner de fai t comme avec un bélier pour entrer, traverser de rage laz paroi des flammes ! aller de ce fait de l'autre côté comme à la p ar ade, et tyoucher ! tyoucher l'autree façade (pour le dire vite)- xde l'autre côté = fin de salle ! traversée étrange (en veux)-tu en voilà) et nous cvoilà, toutes, remontées allouées à une sorte de oparade sarde, fête desféesz, gentes dames, Fée des Féesq, on est acculées ! On veut aller,k toucher, cerner, contrer, dire et placer sur roche 

x mots de bhête, = données, données certaines, sensibiljtés, charges sur pré, dominicités agraires et autres vilosités non épilées pour mieux lui plaire (à cette déité des déités des plaines et autres prés d'herbe). On veut : 

toucher ! Toucher vif = à vif ! On veut : 

dire et aller, faire et cerner, comprendre et allouer, faire-dire = comprendre-cerner, de fait, les données données par UN "CIMETIère de données" . quand on naît c'est pour la vie ! on est bêtes des prés allouées à une sqorte de Passé commùe Distingué ! Qui donc voudra cerner en v  rai ce passé, ma intenant que démontré ? on ne sait !  on veut touchezr -aller, soit passer filer(, cerner = pisser, de rage, le pipi de l'^âme ! le pipi de l'âme" ? allons bon !!!!!!!!!! q'est-ce ? qu'est-ce donc que le pipi de l'âme ? une sommité ? un trait ? une sorte de dessin sur roche ? un pipi de V ache ? ah, ça se pourrait  ... mais en vrai peut-êztrte pas , pas de vache ; de paroi ? pip 

i sarde de pa roi ? de la pisse chaude sur pâroi des rois ? pipi szage ? pipi d' art ? on entre ! on entre dans l'antre ! On veut  toucher à cette sommité tracée = dessinée su-r 

roche, dont le nom de fait est V2RIOT2 des V2ERJIT2S , en vrai. On esqt nées fées comme à la r etombée une fois mla mort allouée à une vie passée. On est femmes des prés, charge d'âme olé olé on dirait mais ce n'est pas vrai ! on est pas olé olé ! on est nées femmes (femmes = fame) la mort allouée car on est nées fées, c'est un fait ! homme mort = femme née ! l'homme (et consorts) va (vont) dans le pré chercher à s'enterrer, à  jamais , et ainssi trouver où pouvoir donnezr (un endroit idoine) ce qui est en lui, ici (mort) , qui puissee "donner" , "donner de la fée" si tant est, et tant est ! car , fée = fe=mme = faille = anfractuosité "des nénés " (?) ou alors quoi d'autre qui pôurrait nous aider, à (pour le coup) aller = tracverser ? On cherche à cerner grave les données ! On veut toucher à cette déité Notoire Illustre Renommée, dont le petit nom est Vé&rité, Vérité Déité est son nom complet, et nous de cherchezr, e,n tant qye fée (homme mort-né transformé en fée) , à cezrner, toucher, toucher-cerner comme p ar lna bande du Verbe Alloué à une Romma,ce, cette sort e  de Donnée Donnée ou Donnée des Données . FAME? FAME DES PRÉS? FAME FAME = FAME SARDE ? On ne sait en vrai ce qui est, mais on est qui chervchons grave ! voulons cvomprtenxdre ! cfomprendre = toucxher mais toucher quoi sinon ... des nénés, c'est ça ? les nénéds de l'âme ? de l'arbre à vérités ? On est née fée au passage (de vie à trépas) et là, une fois née, en ce pré de l'au-delà (pour ainsi dire), on y va ! on ne traîne pas ! on ne lambine p as ! on doit, toucher ou alors : arriver à toucher , l;es nénés de l'âme ! de cetye sorte de Donnée

 de Fable , de Donnée tracée, de do n,née crasse ou de donnée donné comme par la ba,nde et ça le fait ou ça le ferait ! On est comme cernées eznwemble par , en vrai, 

une sorte de Donnée ... "Ineff able"  ? Une sorte de donnée des rg ages ? On est femmes de p aroi céleste. On veut ensemble en tant que telles, comprendre les dponnées de base, et de ce fait  nous projeter, aller, filer, nous pousser comme par la bande, à chzercher à comprendre le Passé ce que c'est en termesq d'offraznde à Déité La Mort : pis-aller ? oh, ça se pourrait ! ça wsee pourrait que le Passé donné (sur pré) soit ce pis-a&ller / trompe-cvouillon qui en vrai le fezrait (un Temps) aux yeux de la Mort, mais voilà, on ne sait pas vraimentce qu'il en est de ce p assé représenté, déposé, posé sur roche (bêtes-mots des omb res) , ce que c'est et pas, ce que c'est et ce que c'est pas. On veut toucher de fait les données rupestres, en vrai = concret !On ne veut plus transiger ! On veut tracer ! cerner ! pisser-chier de rage sur paroi des âmes ! pissouil:ler = dessiner de près on dirait ! comme en vrai ! On est Fée des fées allouées à une sorte de parade sage (sale ? sarde ? ) qui nous pla^t ! On avance ! On est fée des fées sur pré  , qui vo nt chercher pitance, mots -des -fées, charges folles, conséquences et causes comme dépliées. On veut toucher à cette Déité du bout du m=onde. On est des cfées ensemble consacrées, du fait des nén&és qu'on cherche à toucxhezr et à téter, et donc voilà, on est adoubées ! on est reconnues comme fées des fées qui chervhent à téter !  on est repérées = reconnues = 

adoubéeezx =cernées = touchées ! On veut toucher à notre tour les nénés de l'antre ! On veut loin allezr pour de fait toucher , toucher les nénés, l'herbe haute, soit ce pré aux données de ronde, ces données de fronde, cette sorte de pilosité comme allouée à une sorte de donnée ronde ! sein lacté ? sein des seins lactésv ? sein = saint ? On est née fée sur roche tracée par des holmes-femmes (femmes-hiommes) des temp)s ancfiens et n ous voilà dès lors consacréee ou comme consacrées par un Saint (des ?) qui npus regarde de la tête aux pieds et nous absoutv d'un tra&it ! on est né fée ! on est née fée ! on est nées fée ! on est nées fées ! On est commùe supllantées on dirait = transformées en entier, et du coup, d'un côté mort et enterré (l'homme tracé) et d e l'autre "envolée", fée 

des fées femme, ferme, chant de gloire, seinn donné à déité ! qui le sait ? sein donné ? sein donné à une déité ?????  on serait ... sein donné ????? on chzerche ! On a méga envie ensemble de trouver, dans ce co,nvoi de bêtes-mots , c  e qui est en vrai, qui serait "mot" de roche", mots de trop (?)", mots d"homme" ? Quand on cherche on va, on file, on y v a, on trace ! On est fée de r age ! tralala sur paroi on danse ! on impacte ! on envoie ! on est là pour ça : monter notre charge de bras, pattes, sabots doctes, sabots beaux dondaines et autres museaux ou groin de Reine, Roi, Chants de Saba ("ça ira !") . on veut toucher à cette déité des déités surnuméraiores?;;; on veut grave toucher à cette déoté dxes déités surnuméraires de fin de contrée (ou de pré) . on est femmes fées, qui voulons ensembvle cerner les données données du verbe tel qe consacré par les fées des Herbes.

 on est des fées données sur pré, on aime cerner, aller, toucher, coller, passer,; donner aux bêtes c;es denrées, fai re ses emplettes 

dans un pré donné. On v eut coller à cette sorte de paroi aux herbes = pré = par adis des fées et autres créatures allouées à un pré, fée-bêtesz, fée des fées devenues bêtrsc agraraires =  mots doctes. On veut aller (de fait) au plus progfpond, des grotte de l'ombre, chercher, fouiller, fureter, trouver, découvrir le trait de roche pouvant signaler le passage en force (de vie à trépas) sans se (nous) tromper. On y va ! On est femme de paroi = fée = ailée, car homme mort (et enterré) a donné ! a de lui donné ! a doknné de lui, et nous voilà comme znfin (?) consacré par.../ des nénés ? sein de sa&inte saleté ? sa&inte sarde salée ? sucrée ? salée et sucréez ? On aime les nénés , la roche sereine, le tracé tracé, l'ombre sur plaine, l'enveloppe humaine nous sied à moitié mais commùent faire qua,nd on nait d'un trait homme ou bêzte ? On cherche ! On a envie grave de toucher ensembvle à une s ommité qui serait (en vrai) Sommité des ommités sur herbe : le Verbe ? la paroi des r a ges ? VBerbe-Poids ? Verbe de choix ? On colle ! on vitupère ! on crache grave ! on ne cesse de cracher de rage !on veut souiller ! grave souiller ! on veut szurtout tsouiller la roche aucxx bêtes , par des chants de ferme, chants agraires, chants des prés, chants des champs donnés, chants des données comme 

allouéees à une sorte de monts de clarté ! On regarde et ce qi'on voit nous intrigue asseez" on dirait. qui on est ? ELLE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!i!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! effe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! elfe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! F !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on est fée des fées ! 🅾️ on veut toucher à Déité Nacrée Sucrée ! LAIT 8 LAIT 8 LAIT 8 LE LAIT ! LAIT = Lait des LAITS ! on veut sucer, téter, boire le lait ! adonnéesz ! adonnées au lait sucré salé des nénées tracés sur roche cendrée ! On aimerait allzer a u plus profond téter ! on voudrait grave aller au plus profond téter ! on veut toucher tracer, donner-filer, cxerner-coller, dire-manger, faire a insi ensembvle (fée ailée) qu'on ait (de fait) de quoi coimprendre ces données (lactées) dernièresz, seins de rage, seins des seins, DEUX SEINS donés forment la donnée (ici ) dses données ! on est cernées ! rond e saluée ! on est comme cernéees en tant que fée p

âr des données de type mhurets, murs / murets des prés ! On est circonscrotes ! chine ! vie vive ! on v eut toucher à cette sorte de roto,dité

 des données fginales ! fins des ombres et murs de rage comme soulevés, de face, devant soi (fée on est) qui cherchons en vrai à du coup toucher à ce muret des fin s de pré ! qui on est ? une fée ailée (passée) qui chezrche à toucher (ici : la vie ? la vie outrée ?) les nénés des ombres (hommes ?) comme soupesés ! On est néeqs (dans la mort) fée, prête à téter le néné (les nénés) de l'Ëtre alloué à une sorte de "cimetière des données en herbe" ! On est nées Fées , opn cherche à téter, à téter le lait, du Verbe, du Tracé, xdes données genrées sur roche des prés. On est nées en tant que voilà, une fée : sur toundra, sur prairie sauvage, sur pré de paroi, savane savannah, on eswt entrées ensemble "à toi à moi"  comme par la bancde, et nous voilà Roi-Reine de Sa&ba là, sur roche nue, n ue comme

 elle, fée nue du cul, cul nu, nue fée des prés cul nu prête à téter au néné de l'être ! ETRE sa&ligaud ? etre (fin) des données de rocxhe. On est ensemble comme soulagée (de fait) de pouvoir téter (enfin) au néné ! on voulait ! on le cvouléit ! on voulait grave ensemble téter eh b é on y est ! on peut téter ! on peut grave enfin téter l a roche des prés,Sein des dknnées, Sein des saints de base (saintes Vérités). On est née fée de rage enfin touchée ! touchée ... pzar une odeur de sa&inteté ? odeur ou moiteur ou peut-etrte senteur ou fumet ? On est nées fées de base prêtes à tétezr, de rage, le néné de l'âme = des données (dons des fées ? des ombresc portées ? des enfilades de mots allouées à une sorte de parade droite, animale, tracée  ou gravée par des hommes et des femùes , hommes-femmes ou femmes-hommes, dxesw temps reculész ?) . On est né enfin fée xdes fées sur place (pré = parade = paradis) prête à être celle (ici) qui trouve (grave : ouf !) à téter en vrai  le sein de l'apprêt ! de l'ambre ! du nombre alloué à une clarté ! Sein d'homme ? sein xdes seins tracés ?. Sein surnuméraire comme consacré ? sein docte ? sein acté en tant que sein dit "des do nnées", femmes doctes : = données. On est née fée des données fortes, sur roche, tracésc = trempées, et on saute ! on vole on volete ! on aime sauter = voleter sur roche ! wse montrer ainsi, légèrees fées, quand la bête rosse (sur pâroi) pèse de tout son poidfs afin xde faire accroire à la Mort que voi;là, le p assé fait foi ! le PASSÉ FAIT FOi cfomme une bêtre de paroi ! le passé f ait (ferait) foi tu p ârles, Charles ! sauf que voilà , la mort croit ! la mort gobe ça ! croit en ça, d'une sortte de passé-p arade, chant de choix ! sarabande ! Bêtes-mots en veux tu en voilà pour faire accroire à une vie pulsant, son etre de Roi , de reine mère, chant de voix 

multiples soulevé ! Mort conne ! On est nées fées et on voit la chose ! On est comme nées sur pré Fée et du coup  on sait co:mpter ! On est fée née sur pré, on sait compter les nombresv ! On 

veut être fée des fées sachant compter le nombtre allou&é à une Somme ! sommité des prés ! charge d'ombres ! On est né&es ! on est (da,ns lza mort) néesz, nées fées des fé&es, il n'empêche : on est ! on est en tant que telle (bêtes) nées fées, et du coup on sa&it pa'rler, passer; donner, pisser, cerner, co:prendre, rechercher, szituer, coller, pousser, dire et poindre ! on a&ime ! on est fée des fées sachant pisser dans l'herbe et même caguer sans dépl$aire . On aime caguer et pisser, se vider, se soulager, faire ! dire et faire = faire et dire = donner ! donner vif de soi ou de son soi agraire sur herbe (merde, pisse, sang larvé, colère d'emprise, chine). On veut toucher à cette sorte en soi de Déité des Déité d'emprise qui serait (en vrai) Déité sur piste, chant total, charge grise, pôint de sang. on veut dire etaller, charger-p ôusser, emplir et décoller la cha rge allouée à une sommité afin de la porter, de l'emporter, de la manger qui sait. on est nées fées des fées grises, vives, non-soumises, tracées  ...;.;;;............................................../...................................../.........../...........................féé des fées non-soumise ! grise ! grise et non-soumise ! grise et du cpup non -soumise ! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fées actives !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! non-soumises !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! le problèm-e c'est que dans "non-soumises" cfomme à chaque fois on entend "soumises" , ça fait suer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! à chaque fois on dirait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! à chaque fois le non (la négation) contient le oui (l'affirmation) !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça fait chier !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça fait grave suer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! car dans non-soumise on entend soumises !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! un tracé des fées ! une sorte de main-mises qui fiat grave chier et même suer ! on est née fée tu penses, pour tracer en vrai des dires de vérité concernant l'emprise de  la mort à l'oeuvre , on veut toucxher ! on a méga envie ensempble de comprendre un certtain nombre de données de rage, donées fortes, folles qui sait, en tout cas cernées ou cdomme cernées (ici) de rage par la bande, à main levée, sur roche '"tendre" s'il en est, roche de paroi de grotte, roche d'antre. On colle ! il fait szuper chaud. on est dans une grotte pour ensemble (d'un seul trait) cerner-comprendre ce qui est qui va, de fait, cfomme à se donner,"à toi à moi", pour une sorte d'embardée (de base) dans la mort, danns le royaume (dirait)-on) de (qui sait ?) la mort en roche, ou de la mort sur roche. o, n cherche znse"mble, soudées (ailes), à comprendre +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est qui se présente : zqu'est-ce que c'est ? eh bien, peut-etre, une sorte de parade, parade nuptiale si tant est, une sorte de parade sarde ou comment ? sarde ou s age  ? parade savante ? on eqst fée de base sur paroi de rage. On est née fée sur place, la mort venue. On pue du cul ! On est fée des prés et on pue du cul ! On est des fées de contrebande et on pue du cul. On est fée de rage et de contrebande et on pue du cul exprès, pour vous "emmerder" ! On a méga envie en tant que fée de vous emmerder (ennuyer) de fait ! On veut touxcher à cette Déité "du trou du cul" ! des nénésw ? des nénés lactés ? du trou du cul ??? des données allouées à une sorte de passage fin , genre "trou du cul" et on s'enfonce ! on fonce ! Trou du cxul de base comme consacré, permettant

 passage, vers Déiité, passage nacré, sacré, ancré, vezrs une Déité Chelou ou, sinon chelou ... placide ? grise ? vive ? cendré ? verte ? donnée comme une sorte de denrée

 serait donnée ? On est nées fée sur place (mort  / (oyaume de la mort) et on cherche à ciomp^rendre", les do nnées, le Temps , le Passage vers un firmament de type Grâce ! On est p)roche on dirait de comptendre ensemble (ailes) un certain nombre de données de base, genre : mots de bêtesq, prières, chants de p^ré, 

dons de soi sur base maniaque, genre "litanies"; on est vive fée de base rugueuse. On est fée des fées sur roche acide. on veut ou on voudrait toucxhezr (ici) aux nénés, aux herbes dorés, aux bêtes cendrées allouées à une sorte de vie de passé, ou vie du p âssé, remise, dfonnée, posée, sur paroi des prés; On veut toucher à cette sorte de donnée ou disons l'approcher. on est fée grise ! grise fée cdes fées !grise non-souymise m ais dans no-soumise on entend soumise et ça fait chier ! on ne veut pas ùêtre soumises ! on veut l'insoumision de l'être féerique en soi, de type charge folle (affolée

) sur roche tantrique ! le tantra ! la Chose-Colle  ! colle des prés ! mot-colle ! colle docte ! cxharge rude sur paroi aux mots (ici) des Rois  /reines  Sa&rdes ! On y va ! On charge grave ! on veut comprendre large les données de Rome, l'enfilade animalkière, la pa r ade des bisons et autres bêtes ou bêtes de fêyte. Qui est qui en termes de savcoir natif ? quoi est là devant soi, en termes dee donnée placide active. Qui veut quoi ? en termes de vie allouée à une sorte de Passé passé. ON est née vie , on mùeurt fée, on entre dans le pré, on charge, on touche aux nénés, on est re-nées fées pour téter les nhénés xd'une sorte d'entité placide , vive mais posée, nénés ! des nénés ! plein (remplis) de lait on dirait sucré ! ou sucré-salé genre ... bonbon thaï ? ou qauoi ou qu'est-ce. On aime ! on tète ! on aime téter ! on adore téter les nénés de" l'antre de la mort à l'oeuvre au coeur de la roche dernière (terminale : muret).On cherche à comprtendre ensemble ce qui est qui pourréit en vrai nous en ap^rendre 

un max concernant la mort m:ais ce n''st pzs donné d"emblé, cça tord, ça mord, ça fronce, ça corrompt, ça fait mal aux entournures, c'est frontal-fatal astral peut-^tre mais voilà, on aime ça ! aller loin en ça , cette roche dite "finale" ou "terminlale" ou même "ultime" ou même "dernière". On aime gravir la f alaise : grimper docte ! cerner ! grimper-cerner la roche. On est faits fée ! fait fée ! on est né fée dans l a mort actée ! On est homme ici (côté cimetière) , fée là-bas (après " le cimetière). changement de genre , de façade,de tourments, de paroles dites ou pas mais comme areticulées déjà en soio. On aime traverser la roche et filer, essayer de se lover en elle pour enfin s'y plaire (co:mplaire) et pouvoir comprendre (on le dirait) ce qui est en ces contrées en termes de "morbidité " (?) ou de "mortalité" (?) ou de quoi d'autre ? Qui on est ? bête-mot de poids (pèse -tête ?) ou, au cfontraire, fée légère , tracée , dépotée ? On est fée de tête ? tête bêche ? on est bête féee ? fée de bête ? fée-bête ? bête-fée ? chant des fées sur herbe et on traîne, on prend le temps du coup de s'y plaire , ou tout le contraire ? on file vif vers une destinée de rage comme ici promise pâr ... eh bien ... la Voix, la des Voix quiPArle  à qyui de droit dès que mort s'ensyuit sur pré aux parades. On entre ! on

 est ! on est nées ! fées ! on est né ! fée ! on est née ! fée des fées ! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées surnuméraires !!!!!!!!!!!!!!!! chants doctes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! cris de joie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! swentiments profonds sur roche aux voix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on colle ! on veut grave toucher à cette déité des déités telle qu'anoncée sur pré par (on dirait) les bêtes mass, bêtes-^poids de rage.O  n est nées fées du fait qu'on est néesz (dans la mort-charité). On est née fée du fait que voilà, on est (dans la mort-charité) née ! quand on mùeurt (homme ou femme) on nait

 (femme = fée) . On meurt ici (ici- b

as) homme, pour renaitre là-b as (au-delà de base) femme = fame = femme-fée. une fée contient deux ailes pour voler en charitéb ! bUne fée est fée forcément ailmée ! On aime ! On est fée des fées ! On veut toucher à cette vérité des données données par une sorte de Beauté De Baise ! Qui on est ? Bête des prés ! qui on est encore ? fée ! Qui on est pas (pas du tout) ? Cette sorte de PAssé, Passé des données ou aux données acerbesz déplacées. Quand on passe la paroi de roche, on nait à la mort sûre souveraine : pic ! tralala ! la chance = le chant ! chante ton touurment et la cxhance (du coup) te sourira (momentanément = jusqu'à la prochaine fois !). qUand on chante on trace, on avance, on file, on voit, on cerne, on visite la paeroi, on entre dans la danse, on entre en tr&nse, on est collabée (collabée pour ainsi dire), on y

 croit! on croit en l'au-delà de l'âme des pârois du Genre. Qui va là ? la Chance ! cherche pas ! on avance ! On crie notre jhoie. On est fée de contrebande, falbala, chants de grâce, vent de face, porcentage à la revente. On veut comme en soi toucher le Roi, La Reine Faste", PRINCE des Envois , Princesse diacre. On entre ! entrons dans la bande ! faisons corps de base : fée ! fée = corps centré ! On est entré en tant qu'on est (qau'on était) homme des prés (des prés antérieurs au pré des parois) , nous voilà changée en (comme qui dirait) fée Folle ! folle Fée dxes Ombres (szur pré postérieur). Qui

 l'e$ut cru de rage ? qui , en vrai, au préalable, l'eût bien cru de rage sans forcer ? bé .... pas grand-monde il semblerait ! car on est fée des fées quand la mort venue on a traversé les données chelou d'une sorte de tracé de roche. on monte. On veut grave aller-monter sur roche, grimpezr, aller haut pour regaereder ensemble ("toi et moi") les données finales, de type vérité des vérités. On est accolées ! collées cernées ! on est accolées-cernées ! collées-accolées-cernées! on est accolées-cernées-collées-soudées ! soudées-accolées-cernés - collées ! on est comme soudées méga-accolées = fée ! fée = soudées ! ou impliqe qi'on est (en vrai) soudées = collées ! collées par la moitié pour ainsi dire ! séparées-collées = deux moitiées = deux ailes à monttrer, à déployer pour pouvoir voler = s'envoler "hors cimetière". On est nées vfées la mort venue, cx'est chou ! c  'est chou-bisou d'être née fée la mort actée ! chou genou ! chou caillou ! chou de chez chou ! on aime ! grave on aéime

 quand c'est chou , quand c'est pas chelou mais chou ! grave chou ! chou du bisou ! grave cghou quand c'est pas chelou 

: on aime ! fé on aime ! on aime être fée ! fée on adore ! on adotrerez être fée ! on ailme on adore grave être fée ! fée doux douce ! fée douce des fées non-chelous ! On veut toucher doux ! on veut toucxher à Déité des Fées, méis doux ! doux de chez doux, car on est fées des données données non-chelous comme qui dirait, mais douces de près (pré ?).

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12/9/2024

On est nées de base sur paroi. On cherche à co:prendre, ce qui est et ce qui n'est pas. On envoie du bois ! On est celtes, fraîches natives, on cccherche. On est qui pour le coup cherchons, ensemble, à trouver (ici et là) de quoi comprendre. On est nées d'une sorte de rage dite "de paroi". Onn avance, on y va gaiement , on trace, on veut comptrendre. On est deux pour la parade cette fois. ON est nées deux (à deux) pour une sorte d'entrée en fanfare ! on veut y croire ! on 

veut en vrai toucher la pierre froide ! On est comme allouées ensemble  ("à toi à moi") à une sorte de "parade de paroi", genre cavalcade, ; on est deux pour ça : de rage, traverser la place, soit le pré, l'endroit des fées et autres eêtres de la rage et des données sauvages, genre : buffles déplacés, bisonnes des fées et autres bouqaietins tenaces

. On est bêtes de poids sur la place et on avance au pas. On y va ! On aime aller ! On a (grave) envie de cerner, un certain nombre de données de base , relatives ici à une sorte de ... mebnace ? On voit ! on creuse ! on essaie de pour le coup cerner ensemble les données qui sse présente

"nt. On est qui ? des bêtes de foire ? on ne sait pas. ON veut comprendre ce qu'on voit de là, de notre place, si tant est qu'on puisse ensemble se pencher et voir de près (ic-ci ou là) les données tangibles, de type "roche rude,", , "anfractuosiité des fées", "gentes dames au débotté comme soulevées",. On essaie de cerner les données données, gentes dames et fées des fées si tant est. On entre ! On veut toucher ensemble à cette sarabande ! On est accolées ! On veut de fait essayer de toucher accolées à cette sarabande de données comme télépoertées. On regarde et ce qu'on voit ne laisse pas de nous surprendre ! On voit ça : la bande, la paroi, la paroi des Rois, Reines de contrebande. On est deux pour ici en vrai tenter de comprendre un tant soit peu un certain nombre de donnéeds données ensemble par la ba,nde , c'est un fait. On cherche à deux l'entrée : où elle est ? elle est par là située , à nous de trouver. on est comme touchées (en vrai) par les fées , et du coup : o,n trace ! on y va vif ! on veut ensemble traverser la roche des données de base et autres vférités ancrées (nacrées) . Qui on est ? des enfants sages ! Filles allouées à) une sorte de parade, sur roche ornée, fille allouées à une sorte de parade, vive et enjouée, sur roche ornée. On cherche ensemble ici ou là, l'entrée, où elle est, et on espère pour de vrai, à u,n moment ou à un autre, arriver à trouver (peut-être ?) la chose et du coup passer, traverser la roche "àla une à la deudx" sans anicroches. On est deux serrées accolées.On a méga-envie de traverser ensemble sans p)einer de base. On veut toucher à cette "

déité des déités". On est blindées ! armées ! tenaces ! motivées ! on va y arriver ! On est comme accolées de base ensemble pour tracer et du coup cerner, ici,  quelques données . On est pour ainsi dire "nées de rage", on est cernées, on veut toucher à cette (sorte de) "Romance des prés" et du coup nous infiltrer, comme à la parade, toucher les nénés, coller à la bande, ne pl;us rien lâcher de préférence. On est nées pour ^etre F2es , de base ! On est n"ées de rage, ensemble, accolées, pour être (un jour : dans la mort) fée ! on le sait ! on creuse ! on veut toucher à cette sorte de 

DOnnée Allouéeé

à une sorte de ... denrée ? on dirait ! vivres de passage ? On est comme ensemble touchées par , en vrai, une bête allouée à une rage d'être (ici, sur pré) bête des fées ! Qui on est ? Sage ! le sage ! la  sage ! sage femme des denrées ! quand on veut on trace , pas vrai ? on va , on avance. On est comme soudées ensembkle. On est accolées parce qu'on est nées.

On est nées. 

On est accolées. 

On veut cerner-toucher les données de base. 

On est comme cernées-touchées de rage. 

On veut toucher ensemble, dire et aller, comprendre les données, toucher-cerner ce qui est = aller. 

On est nées sur place : pré, de rage, survoltées. 

On cherche à comprendre les données données. 

On est comme deux soeurs données, allouées cernées. 

On veut (de fait) cerner des données qui puissent grave nous inspirer et nous faire comprendre ce qui est ici qui nous regharde. On regarde ! on voit des données . Données vives allouées à une sorte de romance, romance sucrée. Qu'est-ce que c'est ? du petit lait ? Qui saiot ! on avanvce ! on est comme ensemble cernées, de base sur pré , par une sorte de paroi "de circonstance". On veut comprendre ensemble ce qu'il en est. Ce qu'il est ici, ce que c'est que cette chose, d'une sorte de "rotonde des fées". On va à sa rencontre. On court on vole (fée ) /; On est cvomme accolées pour en vrai marcher, courir

et- coller jusqu'au muret qui semble nous interpeller on dirait. On mate ! on voit ce qui est, qui est,

une sorte de paassage, trou denté, sorte de trait ou de trait de rage par où peut-etre ensemble s'immiszcer. On veut toucher à cette sorte de muret des dits pazssages alloués cernés. On veut ensemble (qui sait ?) passer , mais pour le coup, sans y laisser des plumes (à jamaios) mais comme qui diraot, "par contrebande", " à la une à la deux on passe", on veut passer sans y passer "en vrai" : JEU ! JEU des RAGES ! JEU DU FEU, DES DONNÉES DE BASE, DU SANG FIELLEUX ! On veut comprendre ensemsmble ce qui est (en ce muret) "de la chance et des données données par contrebande", et pour ça, on mate ! on va loin, en cette chose-là ! mur des voix ! On mate = on entre ! On passe un doigt, l'oeil de base, 

une langue, un bras de soi. On cherche à comme quyi dirait entrter ici comme par mégarde, mais ... sans y passer de préférence ! droit ! On est ensemble, comme "touchées par la grâce"... d'une sorte de paroi des bases ! 

On voit ce qu'on voitb : la place, pré des bases, bêtes reines et autres fées des bois. On est cfomme touchées ensemble sur paroi ! on veut toucher à une sorte ici de panse ou qau'est-ce que c'est que ça qui semble aller vers nous nous approcher de face à vcouloir nous toucher  comme on pourrait de fait peut-être le pensezr ensemble. 

On est nées fées, on regarde, on veut toucher la pabnse ? A qui elle est ? On est cernées. On voit quoi ,la base. Les données fgenrées. On est comme cernées ensemble sur pré ! on veut toucher à cette déité des déités commev représentée sur paroi aux fées . On est bêtes des prés. 

On voit ce qu'on voit. Et ce qu'on voit (là-bas) est comme dressé sur ses pattes (arrière) d'ours de paroi. On regarde large. On voit un convoi, une sorte de parade. b^retes de la foi dans l'être des Voix. on est comme touchées ensemble par ici la bête des données du Roi, de la REine -Bête, des "Vives & Genrées" de type Belettes, Furets, Betes au museau carré et autres gentes Celtes. On est nées ici sur pré la vie passée. on est nées sur un pré auxd fées, et du coup on cherche ! On veut toucher. on a super envie ensemble de toucher à cette Déité dont on n'arrête pas d'entendre parler; Qui c'est ? On ne sait ! on ne sait pas ! On cherche ici et là , on cherche accolées (soudées) ici et là mais voilà ! on est comme deux bêtes (cendrées) accolées qui, là, sur pré, voient ce qu'elles voient, essaioent de fait, de cerner de près, les données en herbe, données fines et vertes (comme du verbe) ... mais ... On est nées Betes de paroi. On veut touchetv à une Déité "des cimetière". On est qui ? des bêtes de terre, bêtenues et vertes. on est velues ! On est nues velues ! On est en colère ! On a vécu et nous voilà "venues", sur pré des fées, quasi en colère après les données ! 

On espère un jour pouvoir coller à une vérité des vérités ! 

On est comme nées sur terre accolées et alors voilà on veut toucher, coller, dire et "donner du vrai" à celles et ceux qui de fait espèrent ! On est nées en vrai sur terre pour cerner des choses ensemble sans trainer et du coup comprendre ce qui est, en matière de vérité, qui on est qui on veut être, ce que c'est que cette chose qui en vrai semble nous regarder, alors même que nous, on s'en fiche pas mal puisque, nous, ce qu'on recherche pour le coup c'est de nous promener sur la jetée et de cerner ensemble ce squi est, en cette cjhose d'une sorte de paroi auxd fées. On veut comprendre ensemble les données données, le bois les denrées la chance la paroi, le fil de l'âme, l'envie allouée à une parade, on est néees de base sur paroi des voix, on veut cerner et du cfoup toucher et aller et faire ainsi que la paroi de base soit (pour nous) une sorte de façade qui en vrai pourrraiot nous en apprendre tant et plus en face et nous donner de quoi nous retourner, mais comme sans nous retourner si tant est ! on est nées de rage fées, on voulait en avancer ensemble et filer, tracer, cerner les données telles qu'elle se présenteznt de fait et du coup poster, dire et manger, coller aux données

 , dire ce qui est qui nous regarde en vrai comme si dxe fait on étaiot des fées du fait que voil:à on vit "ensemble" commpe qui dirait, accolées, collées, soudées, montées (qui sait ?) sur base traçante, on veut ou on voulait toucher à cette déité des déité et nous voilà ensembkle qui cherchons de fait à pour le coup nous approcher le plus possible et sans traîner d'une sorte de fée , ou fée des fées, qui serait LA F2E des données de genre ! vitalité ! clatrté ! sarabande ! on est nées fées sur pré et on s'envole comme à jamaios en ces contrées, on court on vole, on veut toucher à cette sorte de clarté personnifiée, tracée et gravée, on veut en abvancer et comme qui dirait creuser ensemble une sorte de tranchée, 

à prendre, 

tranchée des prés à pouvoir prendre endsemble = emprunter de fait sans y penser ... ce searit gténial ! 

on veut coller à cette chose d'une sorte de donnée aux fées, vive clarté s'il en est et chance sur pré comme une sorte de romance donnée tracée gravée de base par des fées ou par des bêtes-fées, ou par des bêtes-fées toutes allouées à pareille envolée. On cherche à ensemble du coup cerner de près ce qui est qui nous regarde, on a méga envie de comprendre un certain  ombre de données de base, données fines ,gravées, soulevées, prises, nacrées. on veut toucher à cette déioté des déiotés des bords de vase, bords de l'aeau de l'ange. On a méga envie ensemble de toucher à cette déité "des fées", à cette déité dite "des fées", à pareille fée des données lacutstres, la toucher de rage, ensemble sans trainer, sans chercher pour autant à cerner de rage les données données, mais en faisant ainsi que des choses de près puyissent opérer et aller et vite comme s'incurver ou s'incruster de 

base sur un pré, une sorte de pré, sur paroi des fées, pré -paeroi, et ainsi aller, toucher, pouvoir penser, dire et coller. On y va ! On veut toucher à cette chose d'une sorte en soi de paroi des parois et du coup passer, traverser comme à l'arraché, cette sorte de donnée de base, qui elle est, ce que c'rst, ce qu'elle pense, quoi c'est qui nous regarde et sembleraoit voiuloir de fait nous toucher cfolmme si en vrai on était en transe et comme si en vrai on voulait ensemble aller loin en cette chose d'une sorte de parade aux fées qui pour le coup nous donnezrtait de quoi comprendre situer cerner la romance telle qu'elle se présente ou se présenterait à nos gouvernes (déplacées) sur roche. On voudraiot ensembkle aller loin en cette chose d'une voix de  base, et du cfoup cerner ce qui est en vrai, cette chose des données de 

rage. 

On veut ou on voulait comprendre ensemble les données de base et voilà qiu'à présent, on cherche (ici) : la rage et les tourmentsz, les bois de contrezbande et autres vies  de saint sur place, on est nées ! on est comme nées, ensemble, d'une sorte de face ou fa çade "aux tourments , cris de joie et romance, chance et cran" ! o,n est sagezs ! on veut toucher ! on veut alller ! on a méga envie ensemble si possible de cerner toutes les données qui se présent'nt et semblent vouloir noud parkler. On est là commpe cernées par une sorte de paroi des Rois et REines DE SAba. On a méga encvie ensemble de comprendre et de toucher à cette sorte de donnée de base, et du coup aler , filer, faire aionsi  que des données de rage puissent (en vrai) être  déroulées comme par lma bande et (de prédsférence) sans trainer. On est allouées à une sorte en szoi de rage à être des fées dites "de contrebande", ça le fait ! et du coup on en avan ce ! On file grave ! On est nées de rage fée car ... on est née ! et voilà, c'est fait ! "fait" pour "fée" c'est un fait ! car, on pourrait avancer, que , fée = fait ! un fait = une fée ! ou peut-etre des ?  faits = fées ? On regarde ! On voit des choses qui se opassent

. On voit ça, en face : la paroi des ROis , cdes données de base. On veut toucher à cette sorte de passage aux fées de contrebande, aux fées (allouées) des données (de base) déroulées. On est  ainsi faites pour cerner de près ces sortes de données aux fées. On veut toucher toucher toucher toucher à cette chose ensemble , ce tracé aux fées, 

cette sorte de parade (détailléesz) qui sembleraient comme voiuloir nous parler par la bande. Qui c'est ? o,n ne sait , mais voilà, on veut comprendre (grave) ce qui est, et du coup en avancer dans les recherches "de façade" et autres types de recherches "sardes". On est accolées parvce qu'on  veut toucher , dxe face, à une denrée, et du coup, essayer de comprendre les données de base ce qu'elles sqont en termes de passion, de religion, de crzoyance fondée ou non mùais commea,ncrées dans le langage, la langue telle q'elle se parle, les opinoions, les dictons et aiutres sermons prononcés de face. On est nées de  base fée parce que voi;à, on est nées ! Naitre = naitre fée dès lors qu'on entre ici dans l'antre de la mort à l'oeuvre ! On est accolées, on danse ! on file ! on aime ! on veut toucher à cette déité des donnéessuprêmes . On est nées des féesn , on aime être fée, charger, toucher,n coller à une vérité post-cimetière ! On est qui ? on est bête de parade verte ! bête verte dite "de parade". On veut aimer, toucher, creuser, comprendre et cerner un grand nombre de données de contrebande si jamaios. On est bêtes ici de parade parce que voilà, on est nées ! on est re-nées ! on renait de base dès que mort "à tout jamais" tu parles ! On ,ne sait quoi penser, en vrai, mais la mort est là pour (il semblerait) nous indsdiquer par où passer, pas plus sorcier que ça en vrai ! On entre ! on veut comprendre = toucgher, et pour cela, à la une à la deux, la romance  ! chant des voix de s rages ! on est cfomme accolées ense'mble à une sorte de don,néec, et nous voilàcensemble qui cherchons parade, vents des fées, commandes, vitalité et vie ancrée sur place commê centrée. on est des fées deecontrebande ! fée des fées de contrebande, ça le fait ! On veut grave aller, rentrer, coller, pisser et charger sur place (pré) comme par la ba,nde (ici cernée) des données de base (acidulées) qui nous font face. On est nées fées parce qu'on est née ! On voulait le co:prendre, on dirait que c'est fait. On, dirait que les choses peu à peu commencent à (raisonnablement ?) s'organiser, ce serait pas mal mais en vrai c'esst pas gagné on dirait, on a encvore du c hemincomme s'il s'en traçait au fur et à mesure devant nous au pied levé. On est née fée du fait qu'on est née, c'est un fait ! On voit ici de près le pré, la place, les données allouéex à un espavce situé , en vrai, entre des murailles (muret) d'enceinte allouée à une sorte ici de cimetière dit "des fées et bêtes de paroi". On aime ! on voit ça ! on comme,nce à compfendre (qui sait ?) un certain  nombre de données de choix, qui pourraient bpeut-etre nous donner

 de quoi en vrai nous situer,sur ce pré aus fées, en tant que ROI, REINE, PRINCE DES F2ES, PRINCESSE (IMBERBE) GENRées, on aime ! coeur d'acier ! on aime follement les fées, les bêtess allouées à une sorte de par(oi "de cimetière" et

 autres bêtes-mots venus de derrioère ... de derière les fagot§s ! On aime grave cerner et toucher, aller et donner, faire et tomber, creuser les mots d'une sorte de plage allouée de fait aux do nnées "étranges" s'il en est. On cherche grave ! On veut toucher à cette denrée ! donnée des prés ! On veut comme toucher en  vrai à une sorte de donnée de base, genrée si tant est mais est-ce ? est-ce en vrai ce qui est, qui ici se tresse ou semble ou semblerait vouloir peut-être se tresser , se tressezr ou se dresser de rage, comme par bravade ? On regarde ! 

On est deux pour être fée de base. on entre ! 

On veut comprendre les données de base. 

On veut grave comprendre ces données de base. 

Ce qsue c'sest en vrai, ce que c'rest que cette chance, ce tracé, cette sorte de donnée posée (déposée) sur plkace : pré ! pré aux fées, aux bêtes de masse, aux abords nacrés, aux fortifications dorés qui sembleraient vouloir comme nous éclairer pour qu'en vrai on puisse ensemble et nous repérer et en avancer, sans traîner, sans cctrop galérer jusqu'aux dits "confins" dees données Suprêmes telles que rencontrées ici même. On aime ! On a méga envie de tracer sur herbe des données , nos propres données si tant est ! On a méga envie ensemble de toucxher à une sorte de donnée dite "de cimetière" , si on pouvait ! Car on aime ! grave on aime ! on adore en vraéi c e genre de problème donné ! On aime grave aller dans un pré à) la recherche de données dorés ou disons nacrés, ou bien allouées à une sorte de clarté donnée. On 

aime cerner , regarfder, comprendre , toucher, faire et contrefaire. On a méga-envie d'aller ensembkle à la rechezrche de données de base "non contrariées" s'il en est ! On se regarde ! On veut toucher à cette déité de contrebande, la toucher en vrai pour mieux comprendre ce qu''lle est en vrai, de quoi elle est faiote et en quoi elle nous intéresse, p arce qjue c'est vrai que pour le cou!p la mort nous interesse, et même beéucoup ! elle nous interesse beaucoup parce qu'on l'aime ? parce que quoi ? parce qu'on y croit , voilà ! on croit (de base) à la mort dite "du cimetière". on croit grave en elle, alors même que voilà : la mort est telle que , ma foi, la rage est là qui se fiche d'elle (de paroi, rage de paroi). On vitupère ! on

 aboie ! on meugle ! on crie à tout va comme des bêtes, bêtes de 

poids et ça le fera, du mome,nt qu'on est bête ! On entree ! on court sur pattes. On cveut grave cerner ensemble, la paroi, le sang, la chance, les données acerbes, le vent qui devant nous semble venir excprèds vers nous, souffler sur nous à nous faire chuter  c'est fou ! qui il est ? quel est donc ce vent des contrées folles ? est)--il vent des fous ? vent docte ? vent des vives contrées aux fées ? On cherche ... à genouyx, on dirait (parce qu'on est tombées !). On prie ? on est comme touchées par une sorte ici, de 

 "donnée des données follasses" ! Vent fou, tu sais ! On est "entre" ! On est dans l'antre"entre" , c'est un fait. On est accolées et du coup ... on chante ! on ne s'arrête plus , du coup, de cha,nter, pousser la romance ! On est de s fées de La rage allouée à pareiullle romance ! On a méga-envie de comprendre ensemble, si jamùais, les données de base à quoi elles ressemblent et ce que en vrai on pôurrait ensemble en tirer comme conséquences. Qui on est ? on est ... eh bé

 Nées ! On est Nées de rage un matin de Chance. On voulait xsavooir, on est bien tombées : naéissance ! carrotage ! on a creusé avec notrenez ou comment ou qu'est-ce la Terre. On est nées de fait sur Terre CElte. On voulait, eh bé c'est fait ! fée du cimetière, voilà les données.;: On aime ! On veut grave toucher à cette sorte de donnée des données allouées à une sorte de misère elle-même allouée à une (sorte de) paroi " a ux fées et autres êttres des contrées alertes vertes". on aime aimer ! on veut toucher ! onveut grave tracer des tréits, et comprendre, charger, filer, cerner grave les denrées, offrandes, vivres divers comme déposés au pied de l'Ebre. On veut : 

TOUCHER, FAIRE, DIRE, COMPRENDRE, SALUER, ALLER, COMMA?NDER UNE LIMONADE AU CAF2 DU PRÉ, COLMATER LES FUITES DE ROCHE, CENTRER LES DONN2ES DONN2ES ET AUTRES DONN2ES GENR2ES, ALLOUER À PAREILLE ROCHE UNE SORTE DE DIRE DE F2E? QUI SERAIT DU DIRE ALLOU2 

(LUI_MËME° À UNE SORTE DE PAROLE DOCTE, GENRE : POLISSONNE ? o,nn ne sait ! on veut toucher pzarce qu'on est nées et parce qu'on est fée ! on est ailée ! elle = ailes, vie = vit; chant = champs, cri = christ, et éutres mots à l'arraché du temps (situé). On est comme nées de base Fée , parce que voilàà, on le voulait ! on voulait cerner , on voulait grave traverser la roche et passer de l'autre côté ! On voulait de rage aller  comme à la traversée d'une sorte de donnée aux fées : roche salutaire, roc cendré, rocher aux bêtres dorées, vie des vies allouées à une infinité de données en herbe . qii on est ? Des fées "de cimetière" ... pêut-êttre. On cherche. On est femmes situées sur pré en tant q<u'on est des fées de type "celte" , sitiuées, centrées, accolées, cernées ou comme cernées ici même en cette conttrée toute entourée d'une sorte de murette aux données "certaines, assurées, fixées, comme soupesées,". On est des fées celtes ! celtes fées aux données certainesz, comme affichées-avérées sur roche du pré ! On  veut toucher à  cette Sommité des Sommuité = Déité des Déités. Qui c'est ? cf'est ELLLE, l'AILE des données, des données sur pré. L'aile est la donnée suprême ! AILE = ELLE = DIRES DES ENTRÉES ; ON l'aime ! on veut grave ensemble soudées comprendre ici même les données genrées de la mort à l'oeuvre

 on dirait ! grave ! gravissime en vrai ! grave de chez grave ! on a cerné : la mort est genrée ! oh on dirait ! on dirait en vrai que la mort est genrée cfomme une romance, l'arlequinade; la parade ou cavalc ade aux bhetes de masse , genre bête de trait, poidsde danse, cris comme affolés. On est grave tracée à main levée dans une sorte de transe ou danse déployée parmi les bêtes (mots) des prés et autres champs de blé. On est nées en transe : cris de joie (de vie) à tous les étages ... de la foi dans le langage (acidulé) d'une langue parlée de type romance chantée ! une fée est née ! ONN veut toucher à cette sorte de donnée de base ! qui on est ? eh bien peut-êttre en effet une "fée de roman,ce" ! une chance ! une sorte de fée en transe ! la romance allouée à u ne chance (d'être née fée ? qui sait ?). On veut toucher à cette sorte de donnée aux fées et du coup tracer, creuser, faire ainsi le trajet d'une sorte de balade endiablée ! On entre . Qui on est ? une fée de la cxhan,ce ! qui sait ? on e'st entrées. On veut comme (ensemble) cerner-

toucher cet attirail arqué, ce corset, cette sorte d'aaprêt de type corset aux ailes soudées. On est nées fées car on est nées ! on est bêtes monstres ou bêtes-poids ou même bêtes-mots de la foi en cette chose, d'une mort genrée, mort-fée et le tour est joué, les JEux sont faits , fées des voix sucrés, allouées à (comme qui dirait) ... une roche ? un rocher tracé ? ROC et ARMÉE ? On est comme accolées (de base ) toi et moi à une (sorte  de) donnéedes bois, sous-bois, forêts d'oc/.  on aime ça, les bois aux bêtes à bois ! On veut toucher ! toucher l'ëtre aux vives clartés

 ou "des vives clartés". On est accolées et nous voilà qui, en  vrai, voulons cerner ensemble des données (de base rupestres) comme si en fait on était sur pied pour cerner, coller, coller à cette sorte (pour le coup) de bête de par(oi . On dirait : le buffle ! la jument ! le bison des bois ! l'antilope des amùants / amantes ! On voit ça : charge ! charge et foi dans l'âme. On compense par la chance. On ve'ut comprendre. On est deux qui (pour le coup et parce que voilà) voulons grave cerner cette joie, roma,nce, ce tracé, tralala, cette sorte de parade, ce trajet,  cette donnée de base, joie des fées, une sortte (en soi) de promenade sur chemin orné par des sortes de bêtes de poids comme s'il en pissait ! On est là : on voit. Qu'est-ce qu'on voit ? cette charge ! charge de 

paroi sur place ! On y va de son envie de dire ce que c'est que ça, cette charge, pour nous (fée des fois) qui voulons comprendre . On charge de base ! on charge ensemble ! On charge de base ensemble, après la charge sur paroi des Bêtes des ROix ! on en avance. On a grave envie de comprendre alors voilà, du coup, on ne lambine pas, on file on trace grave, on y va royal, royale, on veut dire et faire cette chose , d'uje sorte en soi de parade , à hue et à dia, comme dans la Romance dite "des données de vie et autre mort genrée". Qui on 

est ? des fées , ici, en vie , de contrebande si jamais. On est fée de rage , pouvant dire et faire ensemble (en même temps) 

parade notoire, cavalcade, parade de genre. On est comme cernées ensemble par en vrai une sorte de barricade ! un drôle de trait ! de muret ! une sorte d'enciente allouée à un cimetière ou au cimet§ière dit (ici) des données suprêmes. On est nées fées dès lors qu'on est nées (dans la mort sur pré, mort genrée saluée, mort des données ou aux données secondes, LA mort Vérité) . O0n ve'ut toucher -à cette chose, d'une sorte de denrée des fées. Frai ! Charge ! colle ! pamoîson ! cohorte ! vie docte ! on est nées sur pré d'une sorte de contrée dont le nom m'échappe ici mais qiui est contrée aux données doctes. On

 est nées sur pré comme à l'arraché, on est nées de fait sur pré par les pieds ou sinon par les pieds par l'épaule ou sinon comment ? tête-bélier ? au vrai  desz données ? tête allouée à uene sorte de percée en force ? la cohorte ? les données de rage et autres bêtes-mots de base, comme 

tracés ? on est nées fées : au passage (de vie allouée à une terre meuble, à trépâs lié à une sorte de pré aux herbes à brouter). On est dès loàrs devenues fée du fait q'on est passées comme à l'arraché à trvavers lpa p)aroi, entre ça (vie de base) et ça (mort genrée) . c'est un fait ! çarecommence ! on charge ! on y va ! on a besoin ensemble d'y aller sans plus traîner que ça ! on a besoin de consqacrer son temps ou un peu de son temps à cette szorte de Romance (ici) à comprendre. On est fées nées, tu penses ! On est fées sur pré qui cherchons Romance : ça le fait ! on entre ! on s'avance ! on avance un pied : chant des bois et sousz-bois comme en transe ! On est là pour ça : cerner et toucher, passer (comme par chance) à travers le muret, la paroi des Voix, mùuraille ou paroi allouée aux Voix ditesx "de la chance et du trépas". On entre . On est entre ça et ça = deux parois 

(un ventre ?). On veut grave cerner = toucher, à cette sorte de paroi de genre ! On est quoi ? panse ? Une panse en transe ? qui est quoi du coup en vrai : romance ? chant des bois ? parade nuptiale et tra&lala ? NAISSANCE ? On veut croire ensemble (toi et moi) ennotre bonne étoile de 

Java ! On est là en transe enwemble pour comprtendre des fois ce sque c'est que ça, la transe, la par ade, cavalcade gr avée comme à main levée par l'êttre des fées, homme-femme des temps reculés, qui cherchait pitance, vérité, appui, connaissance, vie dans la duré. On est entrées ensemble un peu chahutées mais on est entrées et, à présent, on cherche à comprendre, ce pré (paradis aux fées)c  e qu'il est en vrai, cette sorte de prairie "nacrée" , à qui elle est ou quoi ou qu'est-ce en vérité et qui nous 

intéersesswe . On est nées fée deès que mort et enterré. On est né fée, dès que mort et enterré. On est né (homme) fée (femme) dès que mort et enterré, car on meurt en tant qu'homme des prés, pour nâiotre femme à tout j amais la paroi passée ! on meurt homme dit du pré, mais du pré tracé, comme dessiné ou gravé à main levée par un ancêtre ou une ancêtre des cavernes. On est nées ! on est passées ! on est fées nées du fait qu'on est p)assées. On voulaiot être fée eh bé c'est fait , on est ! on naît ! on naît fée du moment qu'on naît, ici -même, dans la mort à l'oeuvre = genrée ! Car voilà, ce qui est qui est, on dirait : la mort est (qui sait ?) genrée à jamaios (après le cimetière) . On estensemble comme soudées en tant que fée parce qu'on est des ailes, ellesxc =ailes; deux ail:les soudéees, accolées,, centréezs, qui voulons (en  vrai) nbous envoler vite fait, à tire-d'aile, vers de nouvelles contrées post-cimetière on dirait et à jamais ! on est des ailes de fée rupestre. on est fée des fées rupestre ailées. On est fée ailée du fait qu'on est fée dès la mort actée ! c'est un fait ! On est dezux fés ou une fée / deuix ailes. On est deux ailes pour une fée on xdirait, post-cimetière = vie derrière, mort devant en tant que pré à visiter ou sinon comment : pré aux herbes folles à brouter sans arrêt ? On vole ! on s'est envolées sur roche ! on est hautes ! hot et hautes ! on est hautes de principe actives ! On est hautes sur roche allouée à une sorte de principe (inné) lié de fait à une sorte de désir comme ici ancré en notre volonté de fée des prés. On entre ! on veut toucher à 

cette D2ité" des contrebandes elles -mêmes allouéesz à une sorte de parade (nuptiale ?) animale de façade. cris de joie à tous les étages, ma foi, ça envoie ! ça ne traîne pas ! ça fonce ! ça y va ! c'est u ne sorte de paroi de rage, ainsi passée ! On est nées de base sur roche allouée à une sorte de passé comme déposé en tant que

 vivres (offrandes) consacré (e)s. On est ensemble "de la Romance" , du fait qu'on est entrées et qu'on regarde ensemble, ce qui est qui nous entoure , de fait, en ce pré des données actives. ON est femmes-fées à la retombée ! On veut cfoller à une déité de vie et ne pas succomber aux envies néfastes de la mort genrée comme elle se présente. On est fées pro-actives du fait que (en vrai) on est passées ! on a passé la roche initiale (par chance) et nous voilà dressée (comê dressée) sur patte, en ce pré, à vouloir comprendre (svp) les données de base ce que c'est, à quoi ça ressemble on dirait , ou disons : à quoi on peut ou on pourraiot s'attendte, en termes de ... fin ? finition ? finitude ? On cherche. On est doctes, en vrai. On n'arrêtre pas de chercher, d'eesayer ensemble de comprtendre si possible loin ce qui est qui se présente , pour nous, dans la mort, qyui est la mort-ombrte, mort aux ombres, mort -hommes, mort des hommes, mort-aulne, mort des aulnes. On est fée faite fête ! On veut toucher ensemble (à toi à 

moi) à cette sorte de Romance de Paroi : CAvalcade Rare, Rave Anale, Charge sale, conséquence d'une entrée salace, vive insalubrité de façade et autres saletés mal négociées. Ou bien ... autre chose ? une sorte de vie aux envies tracées comme par la bande d'une sorte d'enfance sucrée ? On voit les nénés ! le lait ! cette chance comme présentée, ou  représentée (de face) par une sorte de donnée donnée, vive donnée de par la bande et ça le fait en v rai. On entre ! on est FEmme-fée à la retombée, alors m-eme que jusque là on étiet un homme, nous voilà tracé , du coup tracée = dessinée , gravée, par une sorte de piolet ou de piquet qui est pic de rage à la dérobée ! On entre ! On est comme cernées eznsemble par la bande

 toute acidulée d'une szorte de contre-danse, contrze-bande ou contre-da,nse toute enjouée qui est danse sur pré, chant olé olé et pas de côté ! On veut comprendre ensemble si j,amais un grand nombre de données de base, les jauger, les soupeser, les faire nôttees si possible à jamais afin de durer ou de pouvoir durer (ensemble : ailes) dans le temps sacré d'une sorte de Passion des Fées. On est entrées et du coup nous cvoilà adoubées ! On est cfomme cernées de près par une sorte de tracé aux données  "étanches"

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on est nées  !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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de base, comme si en vrai on était des fées au passage ! On est nées accolées ! soudées ! frontales ! vives et centrées comme par la bande dès qu'entrées en cette danse (sarabande) aux données genrées. On est fée de base rare, collées, soudées, on est entrées dè!s lors qu'on est nées (de rage) dans la mort genrée telle qu'elle se présente avec ses nénés (on dirait) ! On veut comprendre alors du coup et forcément on creuse grave (loin) au sein des connaissances (du langage dit "articulé") en espérant monts et merveilles et autres 

"données de cimetière" pouvant nous indiqauer (en termes clairs) ce qu'il en est ou pas de la "mort sur parroi

", ou "mort de paroi" , ou "mort dans l'au delà de la paroi", ou "mort de l'au delà", ou "mort /au-delà" . On est accolées et on cherche du coup à comme nous envoler en vrai e,n grotte à jaémais si jamais ! On veut VOLER, VOLER GRAVE, VOLER, VOLER TOUJOURS ET TOUJOURS GRAVE, VOLER À JAMAIS en ce pré aux anges, pré des fées et des données ensemble ou ensemble liées par des faits de type "contredanses ". On veut toucher à cette vérité des données "morda,ntes". qui on est ? on est FÉE de type Accolées. On est fée de base, comme cinturées ! On est femmes au débotté la mort allouée à une sorte de Romance Triste, CHant duu Cygne, vive saleté. On veut toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher 

toucher toucher toucher toucher toucher tyoucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucxher topyuchetv toucher toucher toucxgherty

 toutchert à cette vé&rité des vérités acides ou sinon acide acidulée, de type "néné" (on dirait). et cze "néné" est le néné de l'être alloué à la mort deonnée (genrée) située, en ce pré aux fées (on dirait) . On imagione ! On est là (on dirait) pour durer. On veut toucher à  cette vérité placide de type "durée", qui sait ? on s'active ! on y va fissa ! on est arrivée, tout là

-b as (fin du pré) , avec en nous (fée) l'idée de traverser, une nouvelle (dernière ?) fois la roche-ceinture . On voit ça . On est venues à petits pas, on voit. On est proche de la paroi , l'u;time parois, aux données dites "de base et d'effroi". On veut comprendre sarde. Comprendre le xarde. On veut grave comprendre le sarde . On vreut toiucher à l'ultime paroi aux données sardes ou dites "sardes". Que sont ces données ? que sont donc ces données "sardes" ? On regarde ensemble, à travers la roche finale, ce qui est qui semble ou sembleréit vouloir (ici) noud parler, nous faire signe, nous i,terpeler, nous dire une sorte (qui sait ?) de vérité, qui wserait une clé pour en vrai enttrer à l'intérieur de cette sorte d'enceinte vootive. On regarde. On est là (nous deux = fée) pour regarder. on voit un muret. une sorte de palissade, de muret d'enciente, forteresse. On rtegarde ce mureet. 

On cherche une e,ntrée, un passage . On est mort et enterré on le sait, et ici (en  ce pré) du coup transformé, xdans la mort transfoprmé en fée on le sait,  on naît fée ( transformé en fée) la mort actée, et là, en tant que fée (deux fe'mmes formant xde fait, les deux ailes allouées soudées) on se rapproche d'une sorte à nouvrzau de muret, qui est muret de fin de pré. on mate ! On veut cerner-toucher c'esst à dire comp^rendre (à jamais) l'antre , tel que montré (présenté) en ce pré des base, des données latentesx. On est né fée 

la mort actée, nous voici amennée (dès lors en tant que fée = femmes) vers ce trait, de fin de pré, anfractuosité de façade, traiot tracé a-à main levée pour une entrée de face, traversée de rage, immixtion au débotté sans plus tarder et pasdsage (donné ) de l'autre côté, côté néné (on dirait) . Qui sait ce qui est ? qui connait le Verbe ? qui connait les données données telles que verbalisées sur herbe ? On cherche à c erner mais ce n'est pas sisimple ! il faut grave tracer, passer, coller, dire et affronter le Verbe en ses données (de Verbe Nacré). On se doit dx'y aller comme à l'arraché sans trainer si on veiut tracer, tracer-graver ce Verbe ici comme alloué à une sorte de pré "de réserve". On est nées (de rage) Fée sur herbe (verbe) allouée à une sorte de contrée "'rêvée" , mais est-ce ? est-ce en vrai la contrée du r^ve que cette contrée ? le sait-on een vrai ? savons-nous des choses ? savons-nous de fait ce qu'il en est, de la 

parole, des données du verbe ancré, des mots de la rage à dire les faits et les 

méfaits d'une sorte de pré comme ceinturé ? On ne sait ! on ne sait ce qui est en  vrai ! On porte parole ! On porte ici une (sorte de) parole donnée à des féits ! On cfolle ! On est accolées ! on est fées accolées du fait que voilà, on est fées ailées, fées des fées ailées ! On est fées -femmes = ailées, du fait que voilà, on ose ! on ose "répondre " ! on ose grave "répondre " ! on ose (c'sst le mot) RÉPONDRE , RÉPONDRE ACIDULÉ ! RÉPÔNDRE AUXX NÉNÉS ! ON OSE RÉPONDRE = S'OPPOSER , C'EST UN FAIT AVÉRÉ ! ON OSE GRAVEV REPONDRE = S'POPPOSER AUX DIVERS NÉNÉS RENCONTRÉS : C'EST UN FAIT AVÉRÉ ! On ose s'opposer = on conttre = on dit non à jamais, à la mort qui rode (les nénés ?). On vfeut dire ici notre féit et nous opposer aux dires alloués à une mort genrée. oN s'oppose ! on veut opposer aux nénés nos propres nhénés ? on ne sait ! on veut toucgher à Déité ,, ça oui, mais pour le reste, et c e qui est d'une sorte de donnée

 genrée (dans la mort actée) on ne sait ! doit)-on de nouveau traverser ? doit-on passer à) travers ce muret dit "des nénés" comme d'un cimetière ? On ne saiot ! On voudrait en vrai pêu-^rtre en effet connaître les donnéesz ou davantage de données afin de mieux se faire une (ou peut-être son) idée concernant eh bé oui, cette sorte de donnée "de cimetière" = située, mais on ne xait en vrai à qui ou à quoi se fier. Que ou qui doit-on écouter ? le 

Verbe ? 

l'éloquence tracée ? la parade acidulée d'une sorte d'entrée fissa dans la matière (provoquée) du Verbe comme chahuté ? qui saiot dire ce qui est sans se tromper ? On veut dire et être fée , dire en tant que fée et être fée pour dire, dire ce qui est ici qui  est (de fait) la Vérité (ou seraéit) "des Vérités", est)-ce possible ? on se dit que c'est possible ! On se dit, à part nous, entre nous (ellesz = ailes = fée) que peut-être en effet, la chose est possible ! on doit pouvoir

 creuser, trouver, cerner, toucher, comprendre, connaitrte davantage, composer, faire et être fée, chercher, soupeser les données - pour 

être en vrai ... eh bé  

... ce q'on  est ! ce qu'en vrai "au fond de soi" on est ! ce qu"'en vrai peut-^tre, qui xsait ? on est, on sezrait, tout au fond desoi, en tant qu"être rebelle", opposant du pré ou l'opposant du pré, l'être en guerre contre ... les nénés ? les nénés "du cimetière ? ça m'étonnertait ! plutôt le contraire ! le gouût du sucré c'est un fait à ne pas négliger ! On voit la Terre, au loin, approcher ! on est déboussolées peut-êrtrree mais on tient (comme qui diréit) aux tracés, aéux traits dessinées ou gravées, aux bêtes montrées. On est fée -bête si tant est, ou disons comme ellesc: fée-bête "aciidulée" des parois ornées. On veut toucher à une vérité de cimetière , vivacité, chaleur et moiteur, intimioté, sexualité , vitalité. On veut toucher à une sorte de donnée donnée comme présentées  à jamais, sur de l'herbe de pré, au milieu des bêtes. On est née fée du fait qu'on est née dans la mort allouée à un pré aux herbes à (pour le coup) brouter comme des bêtres. Bêtes betes on 

est , ou pas , mais bêtes des prés, bêtes de toundra, de bois et sou-bois, beêtes-mots des rages cde paroi et autres rages déployées du fait que voilà, on est entrées, on a traversé , et ayant travezrséeé on s'est cde fait ensemble retrouvées comme du coup emportées par une sorte de "souffle vital" nous donnant

 élan, allant, vitalité, afin de pour le coup aller au plus profond (lointain) chercher comme , une sorte de trait ou de tracé pouvant laisser passer notre corps de fé né (en vrai) au passage. Fée on est qui vouloçns(re) p asser comme aux temps premiers, à travers la roche -ceinture, aux données pour le coup mâtures (cette fois) on dira ça. On veut toucher

 toucher toucher de base à ça : ce trait dit "de rage" sur paroi, passage des rois, tréit des fées pour un passage étroit peut-^tre mais bel et bien là, pour les Rois et R"ines de SAba, qu'ielles puiisent passer (de rage ou pas) à travers la roche 

ainsi proposée. On veut coller = dire = parler = montrer, et du coup (ROI et REINE de SABA) aller ! passer ! traverser une dernière (?) fois cete sorte d'enceinte de joie, mur des voix, murette agrtaire, tour de ronde comme une sorte (en soi) de rotonde qui, ici ou là, se montre comme un doigt, une 

main chaude, l'oeil de l'ogre. On est F2e des bases hautesz. On est comme accolées sur roche "à la une à la deux" on saute ! on monte ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucxher toucxher toucxher toucxher toucher toucher toucher topucher toucher toucher à  c egtte sorte de donnée de rage telle que déployée sous notre nez de fée. On est fée-bête, tracée, envolée, qui cherchons l'Entrée, ou un e entrée par où en vraéi ensemble passer le corps resserré, comme autocentrée. On veut coller (sse coller) pour passer ! coller serré afin de pour le coup enfin arriver à passer qui le cou qui la queue qui l'oeil qui la langue (blanche). Passer = trépasser mais sans vraiment (du coup ?) disparaitre. On veut être Fée pour l'éternité , est-ce ? On veut :

dire, coller, cerner, coller-cerner, faire ainsiu que des choses soient, qui restent (sur pré ) à jamais on dirait, et du coup regarder (en face) les nénés de l'Ebre ! qu'est)ce donc que

 l'Ebre ? alors ,... l'Ebre, ici (pré) est une sorte de donnée genrée comme on en connait (des tas !),  dans les cimetières ... de Java. Et du coup l'Ebre, est une sorte de donnée de type "livresque" et comme allouée (direct !) au Verbe tracé sur paroi aux fées. On colle du VErbe ! On dit ça, comme quoi le VErbe, est un tracé acté sur roche déplissé, en tant que donnée donnée par les fées et les bêtes, F2e-Bête centrée, comme (elle-même)accolé ou collé au verbe. on eszaie ensemble de s'y retyrouver mais la chose en vrai est assez comp acte, compacte et corsée, et du coup difficile à cerner. On vzeut toucher à une Déité des D2ités, et du coup on essaie (enwsemble) de (pour ainsi dire) dé

-ficeler le petit paquet dxit "de contrzaebande". On veut toucher = dire, mais piour dire il faut toucher, alors voi:à ! ça nous met en branle ! ça nous met bizarre ! ça nous renvoie à des ou à nos propres recherchhes, de type 

frontales à jamais on dirait mais en vrai on ne sait, car on est passées (ensemble)  comme un fait exprès sans vraiment comprendre ce qui est , ce qui se passait au passage, et du cvoup voilà , on est perturbées ! on ne sait p;lus trop où on est ! peu importe ! on est passées ! on cherche à  c erner ! on veut toucher à une Déité, notoire si jamais ! doit-on lui parlerr ? l'apostriopher ? lui dire quelque chose de particulier pour la charmer, afin de la charmer 

pour mieux l'aborder et du coup la faire parler ? Nous voulons nous approcher enxemble d'une vérité liée au langage, a&u parlé, aux données verbales. On peut en vrai ici comprendre nos sortes (en szoi) de volontés ancrées comme du Verbe dit "des pr"s", "des prairies savantes". On est née fée, au passage (de vie à trépas) et, à présent, on cherchje à comprendre ce qui nousq a  

ttend. Va ton toucher des dividendes (dividendes de la foi dans le langage ? )  ou pas ? on ne sait pas ! On cherche ensemble à comprendre la Foi (dans le lan gage) ce que c'est. Est)-ce une sorte de croyance inoculée dans notre ventre (

antre) de bêtye-fée devenue "croyante", au passage d'un muret ? Ou bbien , sorte de tracé comme conjurant un certaéin nombre en soi de sorts (sortilèges) alloués à des bêtres , bêtes de paroi = mots du Verbe Sondé ? On cherche grave ce qui est en cette sorte de tracé "de bout des bouts" d'une vie donnée, mais, en vrai, ça nous met, un peu, en difficulté, car ensemble, peuêtre (fée), on est un peu armée

 mais pas tant que ça 

! On doit se recentrer, se remmettre ensemble de la travezrsée  à travers la roche (initiale ) é&ux données frontales telle qu'appréhendée aux temps premiers. on est née fée au pazssage, ok, mais on doit encore chercvher à comprendre, qui on est , dans un pré, ici même, au milieu des bêtes, qui on est qu'on se doit d'êttre pour au mieux cerner les données rupestres et autres tracées qui, devant nous, sont encore (ou rewstent encore) à apparaitre, à se montrerr, à montrer de fait leur sorte de "nénés" tels que notifiées (plus haut) en ces sortes de données gravées  sur roche des fées. On veut toucher à une vérité de type "déité" sait-on jamais .... ça serait grandiose ! 

vraiment coool ! de'ainsi pour le coup arrtiver à toucher à cette Déité sucré appelée Néné, par la bande ! on adorerait ! on signerait demain, des deux mains , c'rest une certitude ! on adorerait comprendre ensemble ce qui 

est ici, qui swembleraéit vouloir (on dirait) parler, et dire ce qui est , concernant (peiut-êtte) le Verbe alloué ici aux Nénés dits "de la chance , de fait, au passage". On veut toucher à cette sorte de "néné" de base, néné né pour un passage à l'acte : chalutier ! On tremble ! on est secouées ! on est touhtes secouées ! on tremble ! chalutier ! on veut enttrer mais on est comme secouées parce qu'on a peur(grave) d'y 

passer à tout jamais ! comment co:mprendre ? comment prendre ? comment cerner ? comment s'y prendre ? comment faiore pour aller ensemble, au plus profond des données étranges, cerner-toucher, touxcher -cerner à cdes données des bouts de rage, bouts des bouts des finitudes prairiales (animales et florales) : comment  ? On charge = on cherche. Pas facile ensemble de trouver. ensembvle ou pas , pas simple ! Pas si simple ni aisé de s'y (ensemble ou pas) reytrouver ! on charge 

grave = on cherche ! on y  croit ! on veut toucher à cette croix du bout du monde dit "de la foi" , soit "de la foi dans le langage". on est blindées ! cernées ! secouées ! traquées peut-être mais en vrai : on charge ! bélier né on en avance ! vers une Déité des D2ités notoires (si jamais).

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9/9/2024

On aime ! on veut percer et qu'sst-ce qu'on fait on perce ! on vca profond dedans cgercher des choses, du tracé, des données, de la Bête des prés si tant est et on est nous -mêmes (en vrai) des bêtres, betses fauves, cris de joie, hommelette/femmelette de paroi, on est l'Ambivalence Reine, le tracé fait foi qui nous amène jusqu'au cimetière et puis au-delà sous forme princière. 

On aime ! on veut ça ! faire ainsi cortège ! tralala ! parade et passade on trace ! cavalcade ! le corso des Rois, l'Ambivalence ça nous va parce qu'on aime ça , on en redemande à chaque fois ! vive le Roi des SArabandes, le salut des Voix de Propagande ! on est Reines des joies, joies sur -terre-mère, on est comme ça = Premières, charge d'âme et Princesses, Filles de Joie et vives "écolières ! on y va ! on rage ! on ne rage pas ! on vire ! on ne vire pas ! on cherche ! on ne cherche pas ! on est cfomme allouées ensemble ("toi et moi") à une Ambiuvaleznce patente. 

On veut croire en sa bonne étoile : "toi et moi" par là, "passant "le cadvare  , c'est-àdire "le dépassant", et nous voilà FEmmes, toi et moi en FEmmes, un tracé, une sorte de sarabande, on est des fées de contrenbande, on veut y croire. On est là pour comprendre un certain nombre de données de choix, et ces données sont (comme) pour nous ( pour nous deux)faites de bois, de matière inflammabkle, on voit ça ! ça crame ! ça y va ! bois des Rois et Reines de Saba ! on trlaiîne la patte, on creuse, on creuse ensemble, on cherche à cerner-comprendre, ici même, ce tracé des rois, ce qu'il est de base pour Soi, caminade. 

On y va ! On aime ça ! On veut comprendre le tracé des reines, reines de Saba. On cherche à comprendre ce qu'on voit , cette chose devant soi (ou devant nous) qui nous regarde. On aime ça ! on regarde à notre tour la sarabande devant soi, cette chose des parois ! on  trace ! on veut comprendre ! On est là ensemble accoléezs sezrrées, pour de fait en avancer (on dirait) dans les connaissances concernant la Fée, cette trace, ce tracé des Fées, cette Chance Et Parade,sorte de tracé des Antres, cavalalcades. On est comme soudées ensemble par la bande et du coup on voit  ! cette chose des parois, qui tremble ! on voit ça ! on trace ! 

on est danss un pré . 

On est accolées dans un pré. On veut toucher à cette déité des données frontales et l'aimer . On veut coller à cette déité des données de base et l'aimer de Rage ! On veut tracer ! On s'est pour ainsi dire rapprochées ensemble des données (Ultimes) de la Face. On est quasi arrivées ensemble au point de passage. Qyui on est ? on est Fée ! fée des RAges on dirait. On est passsées de là à là , auprès des bêtes de paroi, dans une s orte de course effrénée jusqu'aux confins du pré. On est nées de La Rage d' être enfin passée, d'avoir traversée et du coup d'être tombées ou comme tombées dans un pré, champ des fées et des bêtes-Monstres,c  ris de jhoie toutes les secondes ! égrenage des données frontales , temporisation des données. On est nées ! On est passées ! On est passées de l'aiutre côté ! Qui on est ? FACE ! Pile et face on dirait ! chamade ! 

On cherche à comprendre les données données, le tri frontal, cette vie en libre accès de l'autre cfôté et ça vente ! oh, qu'est-ce que ça vente ! ça envoie ! ça crache ! ça y va , et nous (la Fée) voulons cerner de base ce qui est, concernant la Charge, le Passé, le Passé posé comme (en tant que) offrande, les données données ssont les données poséeees (ou déposées) sur roche des Prés. 

On est Fée de base, faite ensembkle d'un rapprochement-collage d'ailes entre eklles , pas plus compliqué que ça en fait ! On est ELLES = AILES des Données Données sous forme de ... Fée des F2es ! 

on croit rêver mais rien du tout ! on est fée pour de vrai ! une fée en herbe ça le fait et en plus c'est vrai ! 

On est la Fée de l'Herbe , des données ancrées, Verbe alloué à un tracé de fée, à une sorte de tracé de tfée sur herbe en herbe, fée en herbe sur herbe, fée des fées on aime ! on est fée noius-mêmes ! fée des Fêttes ! 

On aime fééet^ter l'Herbe , le champ de blé, les données primaires, le Passé posé, la belle meunière,; l'anfracrtuosité première, l'Envolée des Envolées . 

On est une fée du fait qu'on s'aime ! qu'on fait coprps ensemble dans l'adversité, qu'on ose des faits, qu'on se tripotte, baise, cherche, colle, peénètre. On est bêtes de roche découvertes. On veut s'aimer sur roche comme des bêtes. on a pas envie de traîner mais tout le contraire, filer grave à perdre haleine, s'époumoner, filer -tracer, chercher loin la roche "des confins", l'aimer, s'en rapprocher, faire son chemin. On est Fé2e des Fées sur Herbe (Verbe) des contrées ruprestres (néandertaliennes on le sait) et on va vers elle, la contrée des fins et autres confins dits "de cimetière". 

On cherche vif à tracer des traits qui indiqueraient en vrai CE QU'ON CHERCHE en termes de DONN2ES DES DONN2ES RUPESTRES, à savoir : le VERBE, VERBE en HERBE Tu lre sais, c'est gravé, çàa tresses ! ça tresse et trace en vrai ce qui est question volontées, recherches, tracés et données recherchées, solennités et éutres envies de cimetière. On veut toucher touchert toucher à cette Bête Allouée à un cimetière : laquelle c'est ? bête à cornes surnumeraires ? cheval fou ? bêtes des denrées toutes absorbées ? aNtilots des prés ? On cherche ! on est accolées comme deux frères, soeurs nacré.es ! on veut toucher toucher toucher à cette  sorte de donnée allouée à du VErbe de Fée (de cimetière) s'il en est ! On est soeurs Brontë, Colère, Charge du Passé, australopuithèque si jamais au débotté, on cherche à cerner ce qui est qui est colloé à une sorte de passé qui est passé de cimetière, charge allouée à un passé de traîne, on rêve ! on ne rêve pas ! on est là ! on est pas là ! on charge ! on ne charge pas ! on crie ! on ne crie pas ! on vire ! on ne vire pas ! on file ! on ne file pas ! 

on y  va gaiement question VGerbe sous le vent ! On est blême ! on est fouettées par du vent -colère alloué à du Verbe, vent donné ! On est face à face un vent des prés ! on s'en prend plein la figure c'est un fait mais enfin on en avance, on fait face, on trace, on grave grave szur roche des traits représentant la charge. 

On est comme nées, bêtes de charge de paroi, bois des Rois ! Mats de contrebande ! on trace ! 

On veut en avancer ensemble "à toi à moi" en cette "Romance de paroi", comme (en tant que) bêtes de charge, traits, somme etc., du moment qu'on trace ! qu'on avance ! on veut ça. 

On ne veut pas rester sur place à attendre (quoi ?) mais tracer de rage verz là)-bas la place, trait des Voicx, on entre ! on est allouées ensembke (femmes dans la mort dite "trépas")  à une sorte de paroi de CFontrebande ! ça bande ! ça envoie ! ça charge ! ça y va ! On est là pour chercher à comprendre ensemble ça ! Cette voicx des voix : qui parle en soi ? qui est là qui dit ça, ce qu'il pense ! ce qui est, ce qui se trame, ce qui se dessine, ce qui se grave. On entte ! on est vfemmes de la mort en herbe, femmes-voix. 

On est accolées de base à (depuis) notre entrée . 

On est Femmes dees prés en tant qu'on est deux pour "faire" une Fée, Fée duPaysage. On est femmes allouées à un pré en tant que Fée de Paysasage, tracées, marquée, ancrée sur son territoire aux bêtes de charge, on s'y plaît ok mais on voudrait aller (comme à l'arraché) chercher plus avant la somme, totale, du firmament, cette roche terminale "des tourments" , ce qu'elle est en termes de données frontales, permanentesz, qui elle représente, qu'est-elle est en vrai qui pour le coup nous interpelle et semblerait (on dirait) nous parler en vrai, c'est dingue ! 

On a envie grave de se rapprocher de ce muret des fins de pré, toucher la roche au plus près, toucher toucher ensemble (fée) la roche allouée à cette sorte de passage d'un pré l'autre, ou sinon d'un pré , vers une sorte de donnée marine (maritime) cernée. 

on est comme nées (ensemble) au passage (de vie à trépas) en cette chose d'une sorte (?)  de pré alloué à du Verbe de Choix : verbe acté, vertbe des contrées célestes, verbe-bête et autres données, verbe de l'herbe et des champs de blé, verbe Celte. On veut toucher à ce muret "des entrées célestes". On veut "attrapper la bête". On veut passer ici par la tête, et nai^tre; Ou comme naîtte (à la une à la cdeux) en ce rOyaume des Embruns, MEr salutaire, Chant des FIns CErtaines, corazón, jeu de la passion, cortège des Poltrons et autres Spigolon de Tête. 

On est accolées comme des bêtes et on s'aime. On veut toucher à une D2ité ! on veut cerner ! on veut grave tracer ! filer ! aller ! chercher la Reine, le Petit Colère, les données allouées à un (drôle de) cimetière aux entrées de Fée comme fêtées. 

On a grave envie ensemble de nous avancer et de cerner la base ce que c'est, en termes de rage : betes des prés ? bêtes reines des contrées sévères ? qui on est  :  Fée ? Fée du passé collé? on est la Fée donné e ? Fé des Fées telles qi'on aimerait toutes les connaître en vrai sur terre ? 

Mais ... on est sur terre ! on est sur terre au cimetière ! on est collées , ensemble (femmesc= ailes) dans un cimetière dont le nom est : Terre ! terre des données, données salutaires et autres données  de type "légendaires". On est nées sur terre Ailes pour mieux en vrai monter en tant que telles une fois la roche passée. On est nées Fée ensemble dans un ciçmetière, nous voilà comme couronnées ! On aime ! 

On est reines des prés, charges allouées à un rêve, à une envie vive de durer , en ce cimetière, en tant que fée céleste, vive et nue comme un ver de terre. 

On est nées de  base sur pré en tant que Fée de cimetière. On est nées AILES, ELLEs, FEMMES DU pré , Felmmes des PRés, femme -flamme, ailées, chargées d'aller, en vrai, 

vers la murette, le muret des fins de prés , muret/murette des données (frontales) terminales. On veut tracer de près ce qui est. Chercher àb cerner, comprendre et prendre ce qui est, en termes de Voix. 

On est nées de rage sur paroi (en transe) Femmes (deux femmes) formant Fée des Passagesz de là à) là, soit du pré à l'après. On cherche à cerner  ce qui est à travers le VErbe comme déplisséb sur de l'herbe de pré . 

On est comme des bêtes ! on broute (à tout jamais) l'herbe verte. On broute que tru brouteras (à tout jamais) L4HERBE VERTE des parois (s'il en est !!!) et ça le fait ! ça charge ! ça envoie ! ça crache ! ça ne lambine pas car ça y va genre filage, enfilage, ,  filament des voix ça trace ! 

On est là qui ensemble sommes cette "somme de voix" ou quoi, qui tremblent ou pas, chantent ou pas, parlent ou pas mais quoiqu'il en soit elles tracent ! elles filent, tout bas peut-etre leur romance, mais voilà : elles tracent grave sur paroi la Bpête (justement) des Voix , dites (les voix) " du cimetière - aux données premières". 

On est Femmes sardes : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! et aussi : sagesc, oui encore ! et tant d'autres formes ! On est FEmmes des Bois de Bas-äge. On avance ! On veut cfomprendre, en tant que Fée allouée à un passage (vie /trépas), qui en vrai on est et à quoi on ressembke. Oui en vrai au fait, à quoi on ressemble ? est-ce qu'on ressemble à une Fée Clochette genre walt disney ? à une fée des fées genre une sorcière  ? à la Fée dees prés et autres cimetières (car le pré, le paradis, est un cimetière : ça c'est dit !).   ? 

On est qui ? on ressemble à qui ? on est qui en vrai ?  doit-on pleurer la vie passéex ? sommes-nous nées ainsi accolées une fois la vie morte et enterrée ? 

On cherche à cerner les données de base, ce que c'est. On est nées d'une RAge à (ensemble) déposer sur pré un passé de poids (Temps des Actes) et tracer ! filer ! chercher ailleurs en ce pré le sentier menant (de fait) aux finalités , fins de pré, muraille. On est nées Fée de Rage sur pré (parade  = paradis) et on trace ! en tra&nse ! le tracé rêvé, l'estocade ! vivacité à tous les étages : on est des fées , et dès loçrs on en avance comme au pas de charge (si tant est) concernant une fée "pleine de grâce", allouée, cernée, vive et nacrée, fée des fées. On est F2e au p assage = fête des prés. On est des fées de fête en vrai allouée à une sorte de pré de la Rage . 

On est : Fée de fête, fée des fées tracées. 

On veut ensemble en vrai cerner un  certzin nombre de données toutestracées (sur roche) à main levée par (on dirait) une main de fée : qui sait ? néandertalienne on dirait. 

On aime ! on aoime les fées ! On a envie nous-mêmes d'être fée allouée à une co,ntrée poste-cimetière s'il esn est ! On veut tracer sur herbe un tracé de Verbe et y aller, en vrai, à fond la caisse ! comme envolées ! comme soulevées par (squi sait ?) du Verbe d'Envolée ! On est nées sur herbe comme soulevées par du Verbe SZAcré (Naccré) ! 

On aime ! on veut aimer ! On veut toucher à cette Déité des Fins de Règne : confins-nés. O,n aime être Fée de Baise, Congrtatulatiuioons sur Herbe, Pamôison et autres faits de fête, concentration. On est des fées du cimetière cherchant vif à traverser  (ensemble) le pré aux bêtes, pour nous (comme) téleéporter hors cimetière, vers d'aéutres contrées qui nous accueilleraient comme si en vrai on était (nous-mêmes) des bêtes, bêtes reines, bêtes des prés, des cimetières aux données données par (on dirait) des sortes de ... fées, fées en herbe ? 

On est bpêtes ! on est des bêtes ! On cherche ! On est accolées ensemble soudées. On veut toucher à une déité dite "du cimetière et autres contrées déplissées temporelles". qui  on est ? ELLES + AILES. On est (comme qui ndirait) des a&iles de fée. 

Un homme mort (ou trépassé) devient femmes des pré, deuix femmes allouées à une (sorte de) corps de fée en tant qu'elles (ces femmes = elle"s") forment lmes deux ailes d'une fée en herbe ! 

passé ! passé clotûré ! ça ferme ! on ferme  !on est fermé ! on ferme le Passé comme avec un couvercle dont le nom est : Fée, Fée des f2es, on ferme ! on a fermé ! on a baiissé de près ce qu'on devait baisser :  garde et  porte d'entrée ! On est fée des fées en ce cimetière des données serrées, actées, déposées, données sur rtoche à l'arraché, lmise sur piedfs dès que (pour le coup) nées sur roche et allez ! filez ! foncez ! allez-y donc fronteal sur ce pré des fées ! courez sans vous retournrez ! atteignez la Chose , là-bas, deployée, qui guette, vous regarde faire (aller et venir) et rêve (en vrai) de vous dévorer on dirait.

 On a ^méga envie ensemble de toucher le Vrai de cette (sorte de) PArade Géante.Elle est qui ou quoi en vérité, on ne la sait p as. On voudrait c'est sûr comprendre mais cxomptendre quoi ? la p arade (aux bêtes de foire ?) ? paradis des Voix ? On cherche à comprendre ce qu'on voit, à quoi ça ressemble, à quoi on pourrait ensemble ici penser de fait que ça ressemblerait en termes de paroi, de roche ornée et auttres grottes ornementées. Grotte aux Fées ? peut-être ! On ne sait pas. On est baba devant (ou cois, coites) mais pas plus que ça ! si seulement on pouvait en vrai cerner ensembke et dans le détail les données frontales ! On dirait (de concert) ce qui est. On cne dirait pas ce qui n'est pas, mais on dirait (de rage) ce qui est en vra i. On pouurrait grave dénoncer ou je ne sais qauoi les données raciales et autres vilénies de base, attribuées à une sorte en soi de primauté frontale de données données comme à la parade. On voudrait comprendre ! On voudrait c   erner ! On veut comprendre et aussi cerner  eh bien tout ce qui se passe, ici, en ce pré ! les bêtes qui broutent, le soleil alloué, les clartés ett les herbes nacrées, le tracé sur herbev = sentierr, l'herbe verte. 

On est nées dans l'herbe verte, comme en vrai allouées à une sorte de marche forcée vers des confins de fin de pré. On est nées fées pour en avancer et ne pas trai^ner. On est nées fées sur herbe en tant que telle (fés ? herbe !) et on fiile dès que nées car on est pressées (commùe présseées) par les données liées à une sorte de (il semblerait) souffle de base, vent de face, souffle vif des souffles allouées à une sorte ici d'enclave aux données doonnées comme soupesées , ou même szoulevées. 

On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher t(oucher svp, à cette D2ité des D2ités des D2ités des Déités surnuméraires afiliées ou allouées à une sorte de "crête" sur pré, sorte de monts "des Prés" comme une murette, muret, mur d'enceinte il semblerait , et nous de vouloir pour le coup aller (ensemble accolées) voir ce qu'il en est, en vrai, de près. 

est-ce la murette (des passages alloués à dxes, qui sait ? szortes de  naissances), toujours la même ? on dirait ! on dirait qu'en effet ... on retombe en enfance ! quelque chose comme ça : ça y ressemble. Car, la paroi semble similaire à celle déjà traversée à notre naissance. Car , on dirait en effet qi'il y a (ou qu'uil y aurait) en ce roc des fins, une sorte (fine) d'anfractuoisité par où en vrai (ensemble : fée ) on pourrait passer comme à la parade. Car (aussi), la vie (ici) semble se poursuivre, s'allonger, faire suite. Suite acide ! suite ancrée nacrée dans un ciel de suite  (pour le coup) nacré ! . 

On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à c ette chose ici trouvée, de type "donnée des données " = Femmes au débotté ? femmes fluides ? fines ? fermes ? doublées ou dédoublées ... hommelettes ? On chercvhe ! 

Onj a envie grave de chercher ensemble des dopnnées. On veut ensemble essayer de trouver , des données qui toutes le fassent.  si possible ensemble on veut edszayyer de trouver le plus possible de dopnnéesv concernant la mort ce qu'eelle est , ce qu'elle n'est pas tout autant et autres vérités concernant de près le firmament, l'après, les choses du temps, l'avenir des fées. 

On vzeut toucher à une déoté si tant est. On a méga envie de pour le coup nous approcher znsemble d'une vérité, d'une déité qui serait vérité , ou d'une vérité qui serait une déité. 

On est deux femmes allouées à un peu d'herbe (un pré ) et c'sset en tant que telles qu'on veut (voudrait) en avancer dans ce qsui est ici une sorte de pré aux données serrées, aux faits vrais, aux petites et grandes vérités concernant de fait la vie sur terre, et la vie hors de la terre si jamais. 

On est des fées de cfimetière et aéussi des fées d'hors cimetière, des conntrées lointainesz en dehors du cimetière dont le nom est Terre. 

On a envie e,nsemble de comprendre un certain nombre de données concer nant la Terre, et si possible ensemble (oui) et : sans lambiner, de préférence, car, en vrai, le temps presse, qui nous pousse à "dire-faire" une sorte de Parade des Dionnées Données ou aux données Données de type "offrandes à D2ité". 

On veut toucher = on vveut cerner. ON veut comprendre = on veut combler (de faits) les trous de l'âge alloué à un tracé. 

On est des féesz comme (toutes) cernées par la bande (acidulée ?) d'une sorte de Parole Sage, SAge et Sale qui plus est , mais ça marche ensemble on dirait. 

On veut toucher ensemble parce qu'on est ensemble et qu'on veut toucher ! 

On est sages, sardes, femmes sardes, dans la mort alloué"es, ou dans la mort comme allouées à ce qui (en vrai) est Sage = sale = dits des prés, dits vifs des prés aux données.

On a envie ensemble de cerner-toucher à une vérité de base, dont en vrai le nom serait celui, ici rencontré , à savoir .... Déité ! D2ité des Fées ! Charges d'âme et autres charges -pioids de base déposées comme à la parade. 

be'$êtes de la foi dans l'herbe. On aime ! 

On a envie ensembkle de toucher à cette chose d'une bête, aux herbes vertes (herbe à brouter) et du cfoup on se rapproche d'elle , à la caresser , on se rapprocheau plus près pour cette chose de la caresser ici sans tra^$iner, et c'sst ce qu'on fait, on la caresse, on aime ça la caresser, on ne s'en laisse pas conter ! on l'aime ! on a envie d'elle en tant que telle ! la manger ?

On est des fées de cimetière, et on aime l'herbe, l'herbe des prés.

On est des fées comme allouées à une sorte de cimetière, et du cfoup on veut ensemble si possible tracer, un certain  nombre de données de base , tracer-marquer, dire-marquer, un certain nombre de données de type "visibilités des visibilités" et auttres traéits ici affirmés (haut et fort) comme (en tant que) "Véritész des Corps". 

On est deux à 'arraché, on erst passées, on est néesz sur herbe : ploc ! on est tombées. 

On veut de fait ensembkle ici comprendre les données sondées, les faire nôtres à la retombée , les aimer ou tout cfomme, et, dès lors (qu'on aime ces données) , prendre ses jambes au corps et vite tracer, filer(, courir sans traîner, vers ces données auttres des fins de pré et autres "finalités des finalités gravées". 

On est d'accord : on aime aimer le Corps de la Fée ! 

On est fortes femmes lourdes à l'arraché (la retombée) , nous voici transformées en Fée, Fée d'ombre, on est néee ! on est Fée née nue sur herbe du pré sur le cul.

On a ensemble envie de tracer et d'aller (au loin) rechercher ce qui est, en termes de données "velues" ou poilue", de type animales, "animalité de façade". 

Qui on est ? on est des fe"lmes, ici, devenues Fée, Fée des ombres (hommes) cachées ! On est des Fées de base nues, qui (en vrai) chervheons (ensemble) à comprendre par le menu, ce qui est  ici (sur roche ornée) et ce qui n'est pas, ce qui en vrai n'existe pas, voire : n'a jamais existé ! 

On veut toucher à une sorte de Denrée d'offrande, qsui serait ... des vivres dits "de contrebande" = chapardés, volés, cueillies commùe à l'improviste et à l'arraché sans plus chercher. 

On veut toucher (grave) à une déioté des Déirtttés. Et pour cela : filer ! filer vif et sans chipoter ! filer grave en ces prés, vers (il semblerait) la Parade Finale ou Parade Terminale aux données actées comme de façade !

On ne rêve pas , en vrzai, on acte !

On est néesvd'une sorte de rage à vouloir ensembvke (deux femmes) s'immisver en ces contrées post-pariétale, et, une fois nées (comme à la parade = paradis = pré) on a vite couru vers là-bas cette (szorte de) muraille des fées, ou muraille aux fées , qui nous fait ou faisait face, nous attrirait, semblait comme nous appeler , nous interpeler, et nous (du coup) d'y aller sans plus traîner, àà grande enjambée, en courant-volant comme les fées qu'on est en vrai, et du cou voilà : on est arrivées ! on regarde ! on voit ça : la grève ! grave on voit ! on est femmes-fée , deux femmes pour une fée", on avance (on en a avancé !) et voilà, on mate ! on regarde au plus près ce qui est, on cherche à comprendre. qu'est-ce que c'esrt qui nous regarde ? qu'est-ce que c'sset qui nous fait face en vrai ? on est qui en vrai, qui (ensemble) cherchons à cerner un certain nombre de données de base , de données données ? On est nées sur place fée,  et à présent on cherche à cerner, face au muret, les données finales ! ce qui est ! ce qui est qui nous regarde ! 

On charge = on cherche. 

On ne veut plus traîner, on veut au contraire pistonner, trouver ensemble une manière d'y aller ensemble et cette manière, on croit l'avoir enj vrai trouvé, ici-même (cimetière), en la personne d'une fée en herbe, fée des fées, fée-manière ou fée maniérée peut- être mais on l'aime ! on aime cette fée qi'on est ! cette fée en herbe , fée des fées d'un cimetière alloué au passzé et aux chrysanthèmes ! 

On est féess de rêve, chercvhe-merde peut-être qui saiit ? on sème ! la merde ? on ne sait ! on est fée de traîne, données des données, on s'aime ! on sème ! on sème la merde ... ou pas la merde mais (qui sait ?) du Verbe doré ! chant docte ! parole enlevées ! vents de bord et autres souflles acidulées comme s'il en pleuvait ! cohorte !

On est des fées de rage sondée !

On veut se rapprocher ensemble de la vie aprtès la mort. On veut se rapprocher ensemble ici (pré) de la vie postée (?) après, soit après la mort. 

on a grave envie ensemble de toucher à cette sorte de divibnité qui nous ressemble ou nous ressemblezrait ç-à jamais qui sait, du moment qu'on sème ! 

On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une sorte de donnée de rage, qui serait en vrai donnée de base pour (enfin) comprendre ensemble (gouines-fée) ce qu'on est en termes de base, en termes de données de base, gentesdames au débotté et autres fées de contrebande (" quand ça bande on contrebande "). 

On est nées fées , on veut cerner ensemble ce qui se présente en termes de données de rage, dans la mort. 

On est (dans la mort !!) nées fée, Fée au singulier car on est nées (deux femmes) pour nous retrouver comme unifiée , réunie (de base) en ce corps (alloué) d'une "Fée des prés et autres champs dits de parade" (de parade abncrée dans un paysage). 

Qui on est en vrai ? Charme ! vie ! passé donné comme une denrée ! une sorte de Fée des Données genrées, un acte alloué à une volonté !

On est passées, ensemble, à trvaers une roche donnée, on l'a traversé, on a aimé la traverser car nous voilà (du coup) transformées en Fée , Fée au singulier, du fait que voilà, on s'est retrouvé&es (sur pré) accolées (ailes au débotté) transformées en Fée, Fée des ombres et des données données comme une sorte de cohorte d'ombres (hommes, bnêtes, poids, somme, traits droits).

On veut ensemble de grâce toucher yeah !!!!!!!

O,n veut yeah ensemble de gr^$ace toucher = cerner = dire = faire = chanter ! chanter haut , fort, à tue-t^te , les données découvertes (comme au débotté, ou à l'arraché) au passage (ici-même) de'une sorte de "rocher des rocher" de type ... "fenêtre" ? feu de l'être ? 

On veut toucher ensembleb à cette déité de cimetière. Toucher elle = son aile ?

On est nées Fée car on est (dans la mort) nées en tant que ... elles ! ailes ! Ailes allouées à un cotrps de fée de type rupestre , uune forte tête !

On est comme cernées, tracées sur roche à main levée, par, qui sait ? une bête ! une bête nous aurait en vrai ... dessiné , gravé, tracé au débotté sans sourciller à main levée, et du cfoup montré , haut, soulevées, comme êtres de paroi de rage, hommelettes de bas-étage, femmes sardes (!) accolées pour former la Reine, Reiine des prés, Fées des f2es et diu cimetière !

On aime !

On a grave envie d'aimer ! On veut azimer grave cette fée (du cimetière) comme "retrouvée" !

On est femmes des prés devenues fée par (?) un effet de manche (contrebande) à la une à la deux nous voilà transformées ça le fait ! pamoison ! cri de joie à l'unisson ! on est nées fée du fait que nous voilà ... ailées ? ailes allouées à une fée des prés ? On aime ! on est nées ailées (au cimetière) du fait que nous voilà (dans "la mort en herbe") transformées ou comme tra&nsformées en Fée Ailée du fait qu'on est ELLEs = femmes des prés à la retombée dès que "passées" = mortes en tant qu'humaines, homme mort-né sombre dans l'herbe pour former (lui) le fumierr "des prospérités". on aime !

On est felmlesb des prés allouées à un corps de fée dit "surnumeéraire" , du fait qsue voilà, il vient se rajouter à ce qu'on voit !$

On aime ! on a envie d'aimer ! on est fée des prés, gentes denrées, vives donées, offrandes et dons de soi sur roche gravé come à la parade devanr t szoi. 

On est bêtes de somme ... ailées ! vaches sacrées ... ailées ! cris de joie à l'unisson, troupe soudée, on creuse devant zoi la roche pour en vrai passer, traverser,  geagner (vite et bien) les embruns, fins de pré, murailles aux données (frontales) finales.

On est femmes allouées à une sorte de recherche (vive) à travers la plaine aux données données de type animalières; 

QUI on e'st ? on est F2e ! Fée des Fées ! gentesdames allouées à un pré (p arade) p ariétal.

Cherchons ensemble ce qui est du coup en tant que fée ! 

on veut comprendre, on veut grave comprendre, on a envie grave de comprendre, toucher et comprendrr, ces ... nénés de base, seins soudés , ce que c'est ! ce lait = tout ce lait ! une montagne ! primauté , principauté ! corsage ! 

On a envie ensemble grave de téter, téter les nénées, des femmes sardes, sages, sales.

on veut cfoller ! cfolloer vivves à ces données de base ! ce que c'r'st que ces données on se le demande ! On veut toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher touchet toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher oucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tou-cher à ces données ou sortes de données en forme de nénés à lait (on dirait) . 

On nveut de vfait ensembleb (accolées, collées) comprendre ce qsui est, c e vqui se présente, ce qui nous fait face (dans la mort) en termes de données de type nénés ! 

On a méga-envie de base de comprendree ensemble ce qui est qui se présente , se place en face, se présente de fait , face à face, né !

On est nées de base Fée , on veut cerner ensembke les nénés ! les nénés nés !

On est fée de base dans la mort,on vgeut comprendre les nénés qui (en vrai) , face à nous, se présentzent comme au débotté ! qui c'est ? qui est là qui se présente ? Eh bé voilèà en vrai ce qu'on veut comprendre ! en clair (et pour pas cher) à qui sont ces nénés en vrai. 

En clair, en vrai, à qui sont ces nénés qui sont, pour le coup, disposés devant nous pour être (on dirait!) tétés ! 

On est Fée de Rage sur pré, on veut cfomprendre les  nénés de  base, ce que c'est, en termes de Rage,, de Paroi Frontale, de donnée allouée à une vérité frpntale type "déité des Déités". Sont-ce vraiment des nénédss ? sont-ce vraiment des nénés à la&it ? est)-ce que vraiment de fait c'est (pour nous) des seins à teter come par la bande ? sommes-nous dans la mort des fées nouveaux-nés, fées nouvellement nées qui chercherions comme des affddammées à téter sans tarder ou traîner ? sommes-nous fri andes de lait ?. sommes-nouqs affammées  ? Voumlons-nous sans tarder ni traîner téter ? faire ainsi qu'on puisse §ttéter et s'alimenter du bon lait de la vache sacrée ? 

NOUS VOULONS COLLER À UNE ROCHE POUR LA TRAVERSER, EN TANT QU4ON EST UN HOMME AU SOINGULIER, ET UNE FOIS PASSÉ, SOIT MORT ET ENTERRÉ, SE RETROUVER "DE L4AUTRE CÖTÉ", COMME TRANSFORLMÉ EN F2E ! F2E AUX AILES ! FÉE AILÉES COMME SIL EN PLEUVAIT EN CE CIMETIÈRE-PRÉ DE TYPE PRÉ AUX F2ES ET AUX BËTES "SURNUM2RAIRES". ON EST DES F2ES DE RAGE SUPRË4ME ALLOUÉES À UN CIMETIÈRE AUX DONN2ES DONN2ES DU VERBE SOULEVÉ, SOUPESÉ, ENVOLÉ, POSÉ COME SUR HERBE AU PIED DUNE DIVIN9TÉ, PIS DE VACHE À TÉTER COMME HERBE À BROUTER, MËME SCÈNE ! 

on est néesc sur herbe Fée au âssage tracé d'une sortre d'embardée au sein du verbe (vie vive dépôsée) et des données de roche sacrée. 

Vache à lait c'est elle , on la reconnait, elle trône sur l'herbe, c'est la fée Laitière, vache af-gréee par une sorte de divinité allouée au dit Verbe tel que consacré, par , ici, la bête bête, l'idiotie, chants en herbe, vives coneries de tra&îne comme vilénie et autres âneries salutaires (qui sait ?).

On veut : et toucher et paîttre ! c'est un fait qu'il nous faut souligner sans plus de réserve on le sait, on est nées ! on est nées dans uncimetière ! ça le fait sévère ! c'st pas rien en vrai ! on est fée de cimetière si tant est ! c'est nous la Fée du pré, l'emportée , la rosse ou pas mais celle qui va là, comme à l'arraché, nous accompagner et sans sourciller jusqu'au fin fond du pré aux portes des données fianales et autres murs de Fond de salle communale ou quelqaue chose de ce genre, muraille, mur du son. 

on aime tracer ! On veut coller ! On veut grave coller et tracer sur roche un ensembke (pour le coup) de choses doctes, de type : fruits acidulés, vivres, dons, cornichons, poissons. 

On aime être Fée ! On veut grave tracer en tant que fée sur roche des traits, traits de coupe, tra&its des traits. On veut dessiner. On veut graver des traéits de roche, traits des traéits sur roche, données, données des données. 

on est des fées de co ntrebande, chance ! On veut (ensemble) traverser le pré, comme à la volette vite fait et, tout aussi vite fait, gagner la r(oche terminale, les embruns, sons de roche frontales, sons comme sourdant d'une roche de type "frontale", "frontale perforée", et on regarde ! perforée (la roche) et on regarde ! on voit ! on regarde et du cfoup on voit ! on voit ça : des traits , tré&its de coupe par où passr on le sait , qui un oeil qui un bras, qui la t^$ete, qui le pied ou la quiquette si ja&maisv (qauand on en est armé !). ON veut toucher toucher toucgher toucher tyoucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher à cette sorte de murette aux données toutes ancrées comme des croix de cimaetière on dirait mais est-ce ? est-ce vrai  ? est-ce en vrai ce genre de données qu'on seraéit en vrai à vouloir ensemble (main dans la main ) comprendre ? sommes-nous fée de contrebande ? sommes)-nous fée sans bande ? sommes nous fées en ba,nde ? un troupeau de fées du genre , peut-^tte, des vaches ? Sommes-nous des vaches ? vaches à lait sacrées ? qui on est ? 

On est femmes sardes ! sardes sages sales ou pas ! sommes-nous sales ? peut-être pas ! sardes ? Pas davantage ! sages ! certainement pas ! ou alors de rage ! on y croit ! on charge on fonce grave ! on est femmes des parois de l'^$ame et znsenmble on fil droit vers là-bas la place, la paroi finale, paroi des parois qui semble , on dirait , peut-être, nous apostropher, comme si on était en vraéi fée des Rages prêtes à nous donner ma&is que dalle ! on ne veut pas ensembble ou pas (d'ailleurs) nous donner en offrande ! on est pas des fées bornées ! On est fortes ! on colle au pré. VACHE À LAIT C'EST UN FAIT AVÉRÉ ! ON est des fées de type v"vaches à laéit" alors arrêttz de vous époumoner à nous apostropher pour nouqs attirer de fait en vos filets ! on ne veut en aucune façon trépasser ! jamais ! hé, pas si connes en tant que telles ! on veut durer dans la durée en tant que vaches à lait à pouvoir (par qui en vrai ?) téter ! On veut duurer ! tracer, dire, charger, comprendre, szoulever et soupezser les charges! on a envie grave ensemble dee  durer ce qu'on peut durer et même davantage si on pouviat, en tant que vache sacré pouvant allaitrer (de préférence) et, du coup .. donner ! donner du lait c'dsst donner ! donner un peu de son lait = donner ! on est vaches sacrées, vies données pour une e,nvie ici de durer , szoit de durer en vie .. dans la vie ! Dans la vie de la mort c'est dit (et inscrit) sur ce corps d'une fée allouée à un pré ! On est nées (dansz la mort) fée, c'est un fait !

On est ensemble nées, en vrai, dans la mort, en tant que fée ! fée au singulier. 

Récapiitulons : homme on meurt, on devient femmes au débotté, deiux femmes allouéess à une sorte d'entité dont le nom est "Fée". Ainsi transformé, on n'est plus cet homme du passé (l'ombre d'un ^ttre de la terre meuble) mais femmes comme dupliquée, et nous voilà qui (de fait) formons les ailes d'une sorte de divinité genre Fée, ou même fée des frées. 

On aime ! 

♥️ ! 

on est fées des coeurs ! 

♥️ !

On veut grave toucher à cette Déité des cimetières, et pou$r ça (cela) : ça , le trait, le trait tracé, gravé, dessiné à main levaéé et comme né (ici paroi) d'une sorte de transe (de da&nse) enlevée ! on y croit ! on est femmes de paroi (devenues fée) qui (de fait) gravons de rage, la vache à lait, la bête de pôids, vive et ancrée, comme à la parade, pour charger ! convaincre ezt tromper, qui sait ? cette sorte de "divinité céleste" aux données de choix, Déité rupestres et autres Di'eu dit "des parois". On veut aller de base ensemble au co'eur de la paroi  ("des confins de bout du monde"), on veut ça, et c'est à ça qu'u  'on pense (ma foi) quand on danse, qu'on entre en transe, à la foi dans l'au-delà, à la chance, au vents dits "de face".

On est femmes allouées à une danse de parade ! 

On danse ! on est femmes chantantes dansantes venant toucher , comme soulevées, une sorte de Divinité pleine de grâce, Mzarie Galante sur paroi ,forme sage.

On a ensembke en vrai envie de com^prendre, en soi (?) ce qui nous ressemble au sein de la pa&roi.

On a grave ense'mble envie de commprendre les données de base, fruits secs, fruits des bois, fruits juteux tombés de l'arbre, fruits données comme autant d'offrandes à une déité sucrée ;, déité des déités elle-même sucrée comme à) la parade ! on veut ça := co:mprendre ce qui est qui nous est donné ! du lait ? lait sucré comme s'il en pleuvait ? on en pleureurait ! on est des nouveau-njées , nouvellement néee  à loa retombéec (par la bande) sur paroi du Roi, des REines de charme et autres princes et dames des bois ! on entre dans l'antre , on voit ça : convoi ! charge mentale ! parade = paradisz ! betes de poids sur roche lambda et ça charge ! convoi ! 

On seraéit (ensemble) données pour cxharge, sommerondes, on dirait ça. 

On veut (nous deux , à toi à moi) comprendte grave, ce qui est qui nous regarde : une vache ?

On a (ensemble) on dirait (en vrai) en vie (grave) de comprendre cete vache ce qu'elle est en terme de .. lait, lait sucré de contrebande ça le fait ! c'est vrai que c'est sucré ! on aime le sucré mais en vrai pour le coup ici c''sst (juste) méga-sucré ! ça envoie ! ça calme ! c anadou de rage, tu m'as compris ! envoie ! on cale ! on est là pour ça:  dire, et donner , cela même qu'on aimerait, de fait, pour nous, êttre "gratifiées" , tu vois la para de !

On veut toucher à cette déité des charges ! on veut (grave) toucher ensemble , à cette sorte pour le coup de déoité des cxharges : qui c'sst ? c'est MARIE BLAFARDE ? l'amante vénérable ? vache tendre ? vache à lait de l'age tendre : sacrée ? sucrée ? Lait de  base comme consacré en vrai par la bande ici animalière d'unse sorte de pazsabge (de charme) àtravers les herbesz, enjambées, on passe, on est nées pour traverser le pré "paradisiaque", et aller plus loin , de l'autre côpté,, chercher le tracé, le tra&it, trait d'ombre ? traéit plutôt de clarté, de type "anfractuosité" et ça le fait !

On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une sorte de "denré"e" du bout des roches , denrées des denréesc= données = don = LAIT ! LE LAIT ! LAIT DES OMBRES ? QUI SAIT ? ON NE SAIT CAR ON EST ... DES NOUVEA21UX-NÉES DE L'OMBRE ! on veut grave s'aimer : va)--t-on y arriver ? on est nées de fait sur un pré d'ombre, d'ombre ou de clarté peu importe, car , ce qui compte, en vrai, c'est d'être nées fée, en tant que bête (bête ?) des prés. 

on est fée de cimetière, on veut en avancer et, de  fait, on trace sévère ! on file on vole ! on survole les données mais c'sst ainsi qu'on en avance sinon comùent faire ? ici le nez flanqué, dans l'herbe funaéraire ? Jamais ! survoler c'est un fzait qui (en vrai) nous intéresse, ou sinon un fait un état de fait ! On aime grave survoler sans rtrop s'arrêtrer. On pense (à part nous, en tant que fée) que, de survoler les données prairiales, est de loin préférable à une sorte d'examen de b ase, de base chelou car il freine tout, or le tréit ici à bien cerner, les donné&es de rage , à ici cfomptrendre, sont tous et toutes lié.es à cette chose déplissée ici en tant que volonté, désir ancré, de (pour le coup) tracer ! filer ! aller fissa au sein de la par(oi(pré docte) sans traîner ! fissa est la vérité si tant est ! on ne doit en aucune sorte lambiner si on veut tracer (à main levée) la bête de somme (Vérité des Vérités). On est femmes nées (d'une roche) dans la mort , transformées en frée, deux femmes pour une fée, voilà le compte .

Deux pour une et les vaches (dit-on) seront bien gardées , mèfle !$

On veut durer. 

On a méga-envie de durer, de cerner ensemble un grand nombre de données liées à la mort. On veut toucher à une déité frontale, genre pariétale : une armée de bêtes groossses, aurochs et biseonnes, buffles et juments de roche. On veut tracer = filer = dire vite fait son propre fait qui seraéit cette chose (en vrai) comme quoi voilà : on était un homme, on s'est (dans la mort) transformé en femmes, ailes dites "des données", formant fée de base', fée des fées pour une embase de type "denré"ée, offreande, don de lait". Qui on est  ? des fées ! fortes soudaines ambrées nacrées lactées ! Fée d'herbe ou alors fée en herbe ! 

On veut toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tyoucxher toucher toucher à ces nénés de cimetière ! qui on est ? des nénés ? on ne sait ! on est pas des fées nous-mêmes avant de nai^tre fée en vrai ! on a besoin de traverser la roche (surnuméraire) aurignacienne auxsvdonnées données p)ar (peut-êtte ?) des fées dites "de cfimetière" à jamais (à jamais "de cimetière" ?). 

On veut toucher (en vrai) de rage , les donné&es, données doctes, les données données , données données doctes, type "denrées = dons = LAIT ! ".

Lait des féesn ! on croit rêver ! rêve-t-on  ? pas le moins du monde ! on est né- su!r terre pour tracer jusqu'au cimetière où pouvoir trouver (en tant que fée, homme transforlmé en ailes de fée) le lait de sa Bête ! On aime ! like au jugé ! coeur d'acier ! coeur surnuméraire on aime ! on veut aimer, faire, dire et charger, cette bête des prés, lui donner de l'herbe, la soigner en herbe verte : verbe ! traits tracé à main levé comme d'une bhête desb  données rupestres (buffle d'oc).

On a ensemble envie vraiment de nous aimer-aider en tant que femmes allouéesz ensemble à une sorte de donnée, de type cha&rrue, soc d'oc ! et on trace (traits) pour la parade (paradis) au pied levé, ça le fait ! 

On veut de fait enwemble, devenir la Fée, F2e des ombres ? Fée des fées ? On colle aux ombres, aux parties molles, aux endroitsz mouillées pou r mieux traverser = passer, passer et du coup traversert pour dèsz lors enwemble, nous retyrouver, comme tombées, de l'autre côté , femmes. Tombées en tant que transformée, femmes (deux femmes) sur pré ! ça le fait ! dingue et même plus que diongue ! ... "taré " ????? on ne sait ! on cherche à connaoitte, mieux (toujours) , les données données offertes ouvertes,; si tant est ! si jamais ! 

On 'st cfomme accolées à une sorte de cimetière aux données tracées, données comme du petit lait ! lait de fée ?

On a envie ensemble grave de tracer un certtain nombre de données de base, données fortes-folles, comme (pour le coup) doublées de lait (sucré) comme acidulé, vivement sucré on dirait. 

On veut toucher à cette déité lactée ! vache des prés ! vache à lait avgec ou sans lait on en recdemande ! on est fée des fées ou vaches à lait on ne sait maids grave on veut comprtendre et vite, sans traîner, car le temps défile qui nous voit veillir et nous ratatiner ou comme nous ratatiner sans nousprootéger, ou sans plus (on dira) nous protéger ou nous soulager.

On est F2E, F2E des voix, Fée des fées des voix de l'au-delà.

ON VEUT GRAVE ENSEMBLE COMPRENDRE QUI ON EST EN FAIT DE FÉE. On est qui ? quête ? marchand d'allumetezss ! 

On est qui ? "quête ! marchand d'allumettes , si t'en as pas t'en achètes, rue de la braguette ! ". On aime ! coeur du foie ! On veut grave cerner, toucher, comprendre, dérouler, comprendre, chercher les clées, le sens de la marche . Des données. Des tas. Des tas cde DOnnées de type "véritées", ça le fezrait. On serait les reines, Reines de sab a, Roi des ROis Chargés (toutes et tous) de victuailles dorées, ça le ferait ! On veut e,nsembke grave ma,nger, boire,et auusi chier , pisser, etre Vache à Lait et se comporeter comme exactement la vache sur pré se comporte en vrai. Brouter mais chier, boire mais pisser ! ça le vfait ou ferait grave, c'st un fait ! ça parade ! ça envoie ! ça gagne ! ça charge du bois ! Qui on est de fait ? eh bé ... Fée des Fées des Bois de COntrebande : charge mentale ! Fichtre, on e,nvoie ! on voit ce qu'on voit et du coup on envoit come à la parade (sur paroi) les bêtes de charge, l'antilope ... sarde ? on ne sait pas sa provenance ! On est là pour com)rendre. On avance à pretits pas. Il faut nous comprendre. On est là pour ça, comprendre, mais à pertits pas car on peut pas, de fazit, aller , nous dirons, " plus vite en vérité que la musique" , voilà l'acmé ! le dire des faits  ! la musique oui, active à son rythme, x données dites "des vérités" , et du coup ça le fait ! la musique ici est vivacité, qui en vrai, dicte ! donne le tracé, charge la donne, pond son oeuf de Rome, ne peut autrement donner que comme elle fait ! musique du vivre (dans la mort) la (vraie) vérité des corps, âmes, tourments et supplices, chants des Reines et rOis. 

On est nées Fées de RAge en cette chose d'une sorte de parade ! effroi ! chance ! considérations de b ase ! vivisections ? On enttre ! on est deux de base à la décharge ! on veut grave devenir la Fée des rages ! On va (veut ?) être comme aidées , soulevées , soupesées et soulevées ensemble, par un vent de face" ! vrai !

On a envie méga d'aimer , e^tre soulevées par(ici) VENT ! VENT donné ! VENT DES CONTRÉES De RAGE, ou contrée de la rage, d'être (en fait) nées nues du cul de l'antre ! VIVE LE CUL ! vive l'âme mise à nu au paszsage, on entre ! 

on entree comme dans un cul ! 

on entre grave comme dans un "cul de base" ! on veut comprendre = toucxher ! on veut grave toucher = comprendre, sans traîner, ce qui est qui nous fait face . On ne veut guère lambiner mais au contré&ire, toucher et donner, donner et toucher sans attendre, filer ! grave tracer ! courir sur le pré et aller, ensemble (main dans la main) vers ce muret de contrebande tant cité, décrit, nommé, alloué ! On veut toucher à ce muret des anfractuosiçtés dites "de contrebande" car en  vrai, ce muret est muret des rages ! des rages allouées à une vérité ancrée, fistée, entrée, de type enculage de donnée donnée comme par la bande et on se tait ! le fait est tracé ! merde au données ! on est collées !

On cveut grave comprendre x données, de quoi on parle, ce qui est , qui donc est qui en cette sorte de charade allouée à un dire sacré , qui parle, qui est,, qui se pavane, qui est autocentré, qui voile, qui se taitb ou au contraire parle (vif) , et diu coup dévoile (qui sait ?) ce qu'il a en lui de plusancré qui serait caché ou sinon caché masqué  : qui ? ON cherche ! on cherche à vif ! on veut toucher, on veut croire; dire et aéller comme à la retombée sur roche d'un pré, et tracer , dessiner à maéin levée une sorte de bête allouée à une vérité dite "de cimetière et autres terres aux corps sondés". On est devenues bêztes à tout jamais, du fait que voilà, le VErbe est passé (qyi ne passe pas , en vrai) à jamais !

vie des bêtesz. Vies de betes ailées. 

Ici la vie des bêtes ailées. VFaches à lait. 

Bêtes bêtes, betes des prés . BeBelles bêtes des prés. Betes-verbe. Betes-mots des prés. Vaches des prés bêtes. Betes-Vaches des prés bêtrs. Vaches-bêtes des prés bêtrs. Vaches sur pré allouées à une terre dont le nom est cimetières , cimetière des données ou aux données de type vérités des prés. On aime ; du coup : on like, à jamais, pour la parade (= p$paradis rupestre et autres vies tracées, comme au pied levé).

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6/9/2024

On a méga envie ensemble de cerner

 au plus près les données d'une sorte de vérité déployée ou qui en vrai serait comme déoployée à nos pieds. On regarde ensemble. On est ensemble pour cerner, soit toucher à une vérité. On ab méga envie pour ainsi dire de cerner et d'en avancer , et pour cerner ensemble et en avancer, on doit pouvoir creuser, êttre en capapacité ensemble de creuser profond, d'aller loin, de s'immiscer ensembkle dans les profondeurs (ici même) de cette paroi

 ou sorte de paroi dont le nom pour le coup est "DOnnées " . Ou : "données des Données". On en avance parce que, voilà, on croit à ça, à cette chose, à (ici) ce train de vie, comme un allant , une sorte d'allant ou d'élan à même la roche. On est accoléres ... parce qu'on s'aime, ni pluds ni moins ! On est ensemblev, accolées, parce que voilà, on ss'aime énormément, c'est-à-dre qu'ensemble on fait cotrps , on est super unies, on est deux ailes pour un être ou même, pour être, ici, cette sorte de Fée du Logis, du logis de l'âme ou de je ne sais quoi qui vole et vire, va et vient en cet antre des données Suprêmes/ Donc

 voilà. On est là ensemble pourr ça : cerner que tu cerneras , etc. On en avance oparce <u'on y croit, ou  du moins parce qu'on veut essayer , d'y croire ++ , d'y aller ici de notre envie, de passer ensemble qui le nez qui la 

barbe, et du coup se retrouver ensemble de l'autre côté, côté pré. On est dans un pré. On regarde (tranquilleùment) les alentours, ce qui se trame (ou pas) près de nous,  ce qui se passe ou trame, bêtes de la joie, bête-poids. On les regarde +++. On a envie grave de les approcher et de les toucher. On a envie grave de nous appreocher de ces bêtes de poids qui sont bêtes de joie (allégraesse) qui nous matent grave, nous regarde nt en vrai comme si (qui sait ?) on était toutes des extrra-terestres ! dingue ! Sommes-nous des extra-terrestres ? peut-être. Qui en vrai sait ça et peut (pourrait) nous aider à y voir clair, ici- bas ? Bé, peut-^tte en vrai : personne !!!! personne en vrai qui sache dire , expliquer, rapprorter des choses en vrai ! On espère mais en fait jamais ça n'arrive, jamais jusqu'à au jourd'hui on peut dire que c'est arrivé , que quelqu'une ou quelqi'un se pointe ou se pointaât et vînt à nous dire ce qui est en vrai en termes de vérités avérées, de vraie vérité des vérités !! Oubliesc : jamais !et c'ssetvraiment dommage ! parce que nous, voilà, on adorerait ça, que quelqu'une ou quelqu'un, quelqu'un ou quelqu'une vînt à nous (nbous deux) nous dire ce qui est en vrai, les donné'es Suprêmes nous les exposer, nous les donner, nous donner une sorte ou un xwemblant de vérité qui eut pu nous aider à comprendre la mort ce que c'est, et tout ce qui reste à cfomprendre, toutes les données données, les petits faits, la vie en ses attraits, etc. On est super ensemble curieuses vraiment, d'un tant siiot peu s'approcher d'une sorte de "v érité scellée

" si tant est. franchement ce serait top, m^rme topissime. On est super friandes de pareilles offrandes ! on adore (nous deux) (pareil) pareilles offrrandes : dingue ! dingue comme on adore ! Ah si seulement on pouvaiot comme ça (au débotté) comprendre, accueillir, 

emmagasiner des doonnées qui soient fiabkles, concernant la mort, ce serait top ! On a envie (auprès des bêtes de paroi) de (pour le coup) cerner grave (graver ? ) ce type de données Sup^rêmes , Suprêmes des Féees. On a super envie ensemble de nous approcher d'une sorte, en soi, de (disons) Véroité des Vérités, de type Bison, Bisonnée, BUfflette et buffles cendrées, Antilopre$es au pas chassé, etc. Toutes ces bêtes de paroi sont bêtes-mots de rage, faisant (grave ! )poids dans la balance afin de faire accroire aux dieux des Envois, que voilà : on ne se moque pas cde leur figure,; on donne de quoi, on est pas là pour se moquer de leur minois et autres face de rat, on pèse ! on fait poids ! on baise, on est là pour ça : donner ! donner à cette Déité, à ces Dieux des Féeees, à ce Dieu olé-Olé, eh bé ça, ce tralala, cette ribambelle d'animaux Suprêmes, de bêtes affolées, RAge d'être. On est comme nées nous deux dans un pré au milieudxes bêtesdans la mort. On est comme nous deux nées de fait ensemble côte à côte dans la mort, au milieu des bêtes qui pèsent. On est comme nées sur pré au milieu des bêtes qui baisent, pèsent, font effet ou font de l'effet auprès des divinités. On est accolées aussi parce qu'on ne veutsurtout pas se lâcher ô grand jamais ! On veut grave ici rester soudées comme on est ! coll"ées = accolées = serrées. On est côte à côte serrées accolées comme dans

 une tombe (on dirait , estce qie c'est vrai ? on ne sait pas ! on cherche ! on va ! on avance pas à) pas au sein dxes connaissances) . On veut cerner parce qu'on est nées de fait dans une paroi, dans une sorte de paroi contenant qyuoi ? contenant un pré ,; une sorte de pré, une sorte de prairie quasi "minée" on dirait ! On est nées d'une sorte de RAge à n^aitre fée, de fait, dans un pré. On veiut toucher la bête aux fées ... pour devenir Fée ? On cherche ! On a méga envie de cerner un grand nombre de données de type "cimetière" si on pouva it. On est accolées pa rce qu'on s'aime et 

parce que voilà, on veut toucher à cette chose là, là bas, à) ce tas, à ce tas de bois, à cette chose là-bas, d'une sorte de tas de bois, ou de tas tout court on sait pas de quoi, ce genre de choses. On est néesz sur roche fa ce au tas ! On veut comprendre. On a envie ici de comprendre, de toucher du bois, de cerner, de tracer, d'aller en ce pré à vive allure (tracer) jusquà cet endroit là-bzs , qui semble nous mater ou nous regarder sans s'arrêter, qu'est-ce qu'il nous veuit en vrai ? cherche -t-il à nous déstabiliser ? à nous vfaire chuter ? à nous troubler ? à nous faire du mal ? Onn avance ensemble pas à pas, vers ce tas, tas de bois ou pas, pierre d'angle ou pas,champ des rages ou pas , on ne sait pas. On en avance ensemblke fissa à petits bras ou pas mais on avance ! on est là ! on est au rdv de l'âme ! on  veut comprendre alors f orcément on essaie d'aller profond en cette

 grotte "des tourmentrs et autres  vilénies" de l'âge (des  âges) . On dira. On est là ensemble accolées, cernées de base, et du coup on essaie peu à peu, à petits pas, petites 

enjambées sur terre allouée, d'en avancer, de marcher vers ça, là-bas, tas de sable ou tas de bois, qui sembleraiot comme nous attendre, on dirait, au pied levé. On rzegartde.. qui on est pour Ça ? ben ... on ne sait pas, vu qu'on est changées ! qu'on est deveznues femmes (FAme) à la retombée, à la retombée des âges et dans la mort. On est devenues ensembkle tout à coup, au passdage, nues, des femmes ! grave ! grave on est devenues ! Jamaios on aurait cru et pourtgant voilà, c'est un fait avéré, vrai, inscrit en  vrai dans kle registree des données de "l'âme" pour ainsi dire. au passage (de vie à trépas) on est devenues femmes autant qu'avant on pouvait être, en tant qu'homme, homme au singuleier. À présent voilà ! Femmes au débotté ! femmes ancrées dans une rochze dite "aux données", on est nées ; et on est nues. Nées et nues. Nues et nées, et nées velues ! On est nées nues et velues, sur roche, paroi molle, pierre d'achopppe ! On était ensemble avant des hommes ou même homme (ou femme = humain / 

hjumaine isolées !) , et voilà qu'au passage on s'est retrouvées comme nées Fées, enfin fées, disons Ailes = Elles. On est nées sur pierre (rocher) fées, c'est-à-dire transfor(mées en fée

 , . On est passées à travers la roche vers la mort ou dans la mort, pour (dirait-on) devenir Fée ! une fée des fées ! On veut toucher à cette chose d'une sorte de bête énorme , genre cerf géant ou même Bison Vif, et une fois la bpête touchée, tracezr ! tracer à toutes enjambées vers cette déité des bouts de roche ou rocher : finalités, cloisons ultimes et données scéllées. Vers cette Déioté des bouts de bout. Bouts aux ombres et autres clartés cachéessi on y regarde de près, si on se pencxhe un tantinet on voit la chose, la clarté ancrée, cette sorte de faible luminosité à son approche, et puis la cghose (la lumière, l'ensoleillemùent) se met comme à s'allonger ou s'étirer ou se dfila ter et là, plein feu sur le nacré (le nacre);, l'ambre alloué à cette Déité des Données Rupestres. On essaie bien sûr enxsembkle de ne pas y passer et de tenir droit, de tenir en vrai méga droit sans flancher, sans se laisser aller. On est nues parce qu'on est passées à travers la roche, on a perdu nos tenues au passage, on est devenues nues enwsemblke quand on est passées, quand on a traversé (de rage) la paroi aux bêtes (à la nage ? de rage ?). On est comme vues nus (de base) p âr ici une sorte ... d'oeil de vie ! Oeil de vie de Poids. Une sorte 

de Voix nous parle ! On essaie de comprendre. On veut colmprendre ensembkle . oN veut toucxher à une Déité de Poids (charme) "qui le f asse", qui puisse nous donner de quoi enfin comlprendre les données, ce qui est en  vrai et ce qui n'est pas, pas fiable, etc. Peut-etree qu'un jour on y arrivera, à ça, comprendre. Comprendre grave les données rupestres, dessins de paroi, chants de charge, poids des Rois, Reines et Rois de co,ntreba,nde. On a grabve eznvie de comprendre, et aussi du coup de toucher à  ette sorte de parade dessinée, à ce cghant total aux données rares ! aux données de charge. On est accolées, on marche, on avance sur un  pré, on veut se rapprocxhef ainsi accolées ou sezrrées. La cloison finale,

lA cloison finale esst située eh bé en face ! On y va tout droit ! On veut cerner ensemvlble les données de base,  ce qui est

 qui charge, passe, vient, s'ouvre, etc. pour soi au passage. On y croit ! On est ensemble là pour ça : co:mprendre et y  croire. On est nées fées sur pré parce qu'on est passées comme à la parade (ensemble) femmes (au pied levé, e,n transe) et on chante ! grave ! on y va ! on chante à tout va ! à tue-tête ensembke ! On trace ! on chante , on charge . Chanter = (on dirait) charger. Va comprendre ! Va y comprendre quelque chose, à tout ça ! On essaie ensemble (en tant que femmes nées,  et nées dans un pré, au milieu des bêtes, des bêtes de somme) mais ... comment faire , hé ! Comment faire en vraéi pour cerner -comprendre ensembvkle les données de base qui (ici, en face) sont dressées, comme pour nous (mieux !!!) embobiner , qui sait ? On est nées fées sur pré. On est des fées de base sur un pré. On avance sur un pré en tant que fée (= deux femmes). Une Féec = deux femmes (l'homme ? en c endres). On eesaie 

traquet traquet d'en avancer (si possible) dans les conn aissances concernant la mort, le langage , le langage de la foi, le ou les langage.s articulés, qui sont lang ages parlés, dits, dits sur roche dure. On avance pas à pas, on charge = on chante

😀

On veut  : 

Comprtendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est en face, ce qu'on voit, ce qu'on voit qui s'offre, qui s'avance, vient, va et vient, s'approche on dirait de ça = soi = nous autres = nous deux = MOi = cette Chose = ce (ou cette sorte de) tralala en formes de ... Bosse ? Bosse-bois ? bosse en bois ? crosse ? oh, on sait pas ! On cherche à comprendre tout ça (de la mort à l'oeuvre et autres tralala) mais, en vrai, on ne sait pas ! La crosees ? la crosse de quoi ? d'une sorte d'armada sur pattes ? l'anuimal des bois ? Cerf de (ou du ?) courage ? On voit quoi on voit la paroi ! Le vent en face est viçf et chaud, qui nbous cingle le visage. On veut nous deux  cerner , toucher du doigt les données de rage. On est nées "sur place" sur paroi, Fées des bases, des Envies de vie, Fées de Rage. obn est nées Fée ! Fée-Foi ! On a méga envie ensemble de comprendre, en quoi cette chose est ... reévolutionnaire  ! Oh peuit-^tre pas tant que ça en vrai ou quoi  ? On est nées Fée au paszsage (de vie à trépas) et c'est en tant que fée qu'on va plus loin ,, ttout au fond du pré, chercher, essayer en vrai de dénicher, creuser, essayer de 

cernezr, une sorte de vérité concernant ... ce qui est ici (Royaume du Trépas) qui nous invite à pour le coup comme nous avancer, vers un trou, trou de boue, trou de terre, trouée par terre ou comment ? fosse et mer ? On est Nées ensembkle pour aller (nous dirons) chercvher  ... pitance dans un trou ! charger = chanter. On est nées Fée sur paroi-aux-bnêtes (parmi elles) et à présent on veut continuer ou on voudrait continuer, sur notre lancée et aller plus loin dans les connaissances concernant la mort. On dira donc, que voilà : la mort (en soi) est une encklave

, un pré, de type paradis sûprême, Paradis des Paradis. La mort est donc ce pré ou paradis (pré et paraadis c'est pareil). La mort est une encklave de la vie (ou dans la vie) : bulle d'air ! vent de folie !  fée jolie, bruits de mer). On est nées Fée en Par adis (p aradise) et on avise ! On voit ! on reg arde ! on est au milmerieu (au beau milieu) des données fortes, des données de poids : on voit ça. la mort en ce cas, est une

 sorte de , Para dis des Paradis : ok. Enclave "marine" ou "maritime". pré a ux fées, aux bêtes allouées (dites "de cimetioère"). On est nées fée comme à la retombée quand on est passé, quand , en tant qu'homme au singulier , "à la une à la deux" on est passé ! on a traversé et du coup on s'est retrpuvé, en ce par adis ... eh bé tout chose ! c'esst-à-dire transformé ! transformé en femmes ! deux femmes (deux ailes) pour (en vrai) faire Fée, être Fée ou cette Fée de contrebande, des données de base liées à la rage, à la Rage grave, d'êztre, du coup, passé seul (sur patte) pour se retrouver comme ailé de base, ailes au taquet !, va et vient sur pré , charge fronrtale, vivacité, vélocité ,chance. On est devenues Fée au passage : la FéÉe-E ! La fée grave ! On est née fée sur pa-ttes dans un pré : mort des anges, mort  donnée, mort de l'homme et donc naissance de la fée des Plac -ges. On essair$e enwsembkle de nous rapprocher , de cettte sorte de muraille (terminale) = ce fronton. on essaie ensemble (ici même) et comme (pour le coup) soudées, de cerner-toucher, comprendre et graver, dire et faire cette sorte ,  

dire et faire ensemblke, cette sorte

en vrai de vérité supr^me , la sceller, l'inscrire comme à tout jamais, dans la pierre ... "aux données Suprêmes". on est nées (dans la mort) fée : voilà ce qui est. Gravons-le swur pierre ! On est nées Fée dans cette chose d'une sorte d'encklave de vie, d'enclave contenue (en 

vrai) à l'intyérieur de la vie, on dirait; Du coup, la mort est cette bulle (ou bulle de temps, ou d'espace -temps) qui est bulle insérée dans une sorte d'infini sacré (nacré) ou d'infini de vie ou de la vie. Enclave)-bulle allouée à une sorte d'immensité "lacustre ", mer des données données, océan de ruse , vents nature ! On veut toucher ! on veut se rapprocher du bout du bout. on a envie de toucher loin, à l'intérieur du pré, les donnéesz données de cette "ruse" mentio,nnée. , ici notifiée. On est Femmes nues sur roche nue. On veut toucher la mort de prés, disons : gambader, aller /venir ensemble (à grandes enjambées) dans ce pré , au milieu de toutes ces bêtes (velues) qui semblent ou sembleraio'nt nous regarder avec peut-^ttre de l'étonnement , qui sait ? est-ce que les b^êtes (ici) s'attendent ou s'aéttendaient, à nous voir arriver près d'elles ? sont-elles habituiées à croiser des Fées aux données Suprêmes?aiment-elles nou!s avoir près d'elles ? On est nées fée sur rochje à la traversée ou à la retombée et à

 présent on se promène d ans l'herbe au milieu de toutes ces bêtes représentées, dessiné&es ou gra vées par l'^tre(homme-femme) des c avernes ! On est insérézes . On est AiLes ! Ailes de Fée à jamaos ... ou disons : à jamaios ici -même sur pré (champs des do nnées données) . On esqt cernées, entourées, cloisonnées en v rai (cercle) et du coup on aimerait sortir enwemble (ailes) de ce pré, de cet ancrage. comment faire ? comment 

faire pour comprendre ? pour aller , toucher etpasser : comment s'y prendre ? faut-il aller ensemble chercher à passer (de rage)  à l'abordage ? doit-on pousser comme des malades ? comment faire ? On est nées sages, bellesfées des passages. On a super envie de comprendre par ùoù passer, commùent faire pour tracer, charger, cerner de base x et x données, qui nouds permettrraient de comprendre  ce qui est en vrai 

, ce qui se présente, ce qui est comme à nous attendre au-delà du tas, des données déposées comme par contrebande sur paroi. On Regarde . On est accolées. On veut toucher ensemble et traverser, cerner, passer, voir et ressentir les choses d'une sorte... d' "après" (de base). Un "aéprès les nénés" ? un "ap^rès" quoi ? On est accolées en tant que fée (ailes d'une fée = femmes nées ) et du coup, on vole ! on 

trace ! on avance à pas comptés. On veut comme toucher ensemble à cette déité des données sacrées, d'une sorte de paradancrée, innée, allouée à une charge (un chant) attribuée (proféré). On avance ! pas à pads ! comme par miracle ! le miracle de la foi dans le langage articulé dit "de contrebande" d'une sorte de paroi (voie) qui ... nous ressemble ou nou!s ressemblerait, au niveau de l'image, des données visibles et autres traits d'attraits. On est nées Fée comme à la retombée, et on tente ensemble une nouvelle traversée, cette fois comme à) contrevoie, à la rammasse, comment dire ? en ... chargeant la mule (la paroi) de tout ce qui'on a en soi en termes de rage ! Chargeons ! poussons grave ! gravons et gravissons ! gravissons et gravons ! allons haut de bhase sur paroi des Rois et Reines ! On veut comprendre les données s uprêmes ! toucxher, au -delà du tas, les données allouées à un "espace-temps post-cimetière

" s'il en est , soit : hors l'enclave de la mort à l'oeuvre , au delà. ET au-del:à y a quyoi ? eh bien ... on dirait que oui ...  a&près (en dehors de) l 'espace de la mor t (ou 

enclave), espace (de la mort) situé (de fait) ici même, à l'intériuer de la vie, il y cet espace eeh bien ... toujours le même : les entours ! Car la vie est colmme un océan sans fin (non terreswtre : céleste, cosmique) et la mort l'enclave insulaire, une sorte d'enceinte toute de forteresse . On est cfomme nées Fée, au passage (de vie à trépas), pour comprendre cet état de fée (d'une mort insulaire, vie à l'infini sans terme, à l'infini et dès lors sans terme). On est née Fée de Rage, Fée-Foi, Fée de la Foi et des Paysages. On vole comme des fées parce qu'on est (dans la mort) devenues fée ! On regarde ! on cherche à cerner au-delà de soi, au delà du pré et de la paroi (la paroi d'enceinte) ce qu'il y a. La vie ce que c'est pour szoi , pour soi-même en tant qu'on est devenu fée, au passage, au débotté. On essaie ensemble de comprendre les données profondes

 , contenues en roche, ce qu'elles (ces données) contiennent de plus ancrées si jamaios et cette chose, cette recherche) nous tient fort à coeur (au coeur) car voilà : on aime ! on aime chercher, dénicher, fouiller, chercher dans du Verbe une Vérité ou sorte de Vérité en Herbe ! On aime l'herbe, les fleurs de type pâqsuerettes

, fleurs des prés on aime, fleurs allouées à une sorte de pré de type champ chanté, chant des Fées, chant du Passé. On est des fées chanta,ntes ! fées qui vont et viennent sur pré (à la volette) , en chyantant pa rfoisz à tue-tête, parfois pas. On est nées sur pré en herbe , on volette , on a super envie de troucher-cerner une vérité qui sera&it de fait liée à une sorte de donnée des Herbes. On cherche ! on cueille ! On veut allouer à l'herbe les données du Verbe (si tant est) . On est nées sur pré pour être aussi Herbe ! Herbe Sacrée ! Herbe des Herbes (comme du Verbe). On est nées Fée sur Herbe pour ... qui sait ? brouter ? ma,nger manger manger sans cesse de l'herbe, bête des prés ... vache à lait ? Fée )-Vache à lait sur pré ? On est née Fée parce qu'on aime l'herbe ! On ne peut pas s'en passer. On adore l'herbe des prés, des chemins tracés, des voies allouées aux bêtes de somme et autres champs aux pâqurettes (fines pâqurerettes). On veut toucher toucher toucher ensemble et comme de concert la chose, ici, tracée = trait ! trait des 

données ! un trait = une clause. On veut toucher = aller ! Faire son chemin de ronde, inspecter les abords de la chose (cette enceinte de la mort à l'oeuvre) . CFomment cerner ? qui croire ? sommes-nous ... D ;;;; C ;;;;; D  ? autant que née fée ? Sommes-nous DCD auta,nt (ouà égalit é) que nous sommes Nées  à une vie de fée (sur roche sondée) ? Sommes -nous et mortes et en vie , e,n ce pré-paradis ? Sommes

-nous (en ce prparadiis) et mortes et en vie  : les deux choses, consacrées ? Nous nous approchons d'une sorte de paroi finale 

(pour la cent cinquante millième fois peut-^tte)  :

 on regarde. On cherche à comprendre = voir/ a comprendre les données de base d'une sorte de paroi finale, dite 

"Paroi des 😀 Parois".On est 

accolées, on est comme collées , accolées-colléezs l'une l'autre ou l'une à l'autre. On a -envie d'en avancer fissa au sein des données. 

On est nées Fée (une Fée) en ces contrées dites "de la mort à l'oeuvre", et forcément ça pousse à penser, à enviçsager du coup "la suite", ce qui pourrait nous arriver, de vif, de corsé ! en termes de données finales ou terminales si jamais ... mais on dirait e'n vrai qe (qui sait ?) les données finales , ou ces données finales ou terminales, peit-p^^tre, ne sont pas, c'est-à-dire qu'elles n'existent pas, qu'elles sont imagin aires, qu'ellesne vivent opas dans les termes ou le parlé de bhase, qau'elles n'existent nulle part sur terre, ni même dans les airs. En ezffet, il sezmblefait que des données dites "finales" ne sont pas vfinales en soi (sinon en tant que fin de tas, ou plutôt : tas de fin). Parce que voilà : à partyir de là : la paroi, la Paroi du Roi , de lA reine et des Princes des Voix, à partir de cette paroi , commence ... eh bé ça : le sommet ! la plage ! l'océen des rêves, "baise-moi le ciel t'aidera", "touche-moi la vie sera ", "aime-moi et on y verra clair (en pleine lumière)", "chante moi tout bas et on saura ", déshabille-moi et je serai à toi (en Herbe) l'Herbe"". on regharde à 

travers la paroi, le sang, les choses viçtales, le tic tac ... whaouh ! On veut toucgher à cette

 chose rude d'une sorte de paroi des finitudes (de la mort à l'oeuvre) et des commencements (des données rupestres : champs, à perte de vue, sur une étendue). On est Fées -bêtes belles, belles bêtes = grasses et groossses bêtes d'abordage. On aime êtree ELES ! AILES ! FéE des vies allouées à de l'Herbe des pré (à brouter). On est Des fées de contrezbande comme par chance, qui voulo n s toucher à cette Déité d'une sorte de Chance accordé à une Fée ici des Fins de Cercle et auttres enclaves Rupestres. sommes-nbous de taille à comp^rendre, en vrai, ce qui est après le cimetière  ? L'infinni sondé ? l'immensité bleutée ? Mer des Rives ? mer des données comme allouées à une dérive (à jamùais) sur 

"AIR CONGRÉS"

 ? ON ne désispère pas de nous y retrouver mais c'est un fait, que la chose en soi n''st pas si simple qu'elle aurait pu, ici, sembler l'êttre, ni simple ni même facile à cerner, mais tout le contraire. on  voit des chosesq, on remarque, on note (on prend des notes) mais de base on cale ! souvent ! fréquemment ! cfar voilà la chose : on est nées homme , on meurt en tantb que femmes , deux femmes (en vrai) à la retombée, dans une fosse (d'un  pré), on est enterré mais lmes ailes montent, elles,,,, 

vont et viennent (vol!ètent) à jamais hors cimetière ! Elles, elles sont nées sur herbe (pré) en tant que fée, qauand nous , l'homme au singulier, mort et enterré, est scotché de fait (à jamais) à la terre, pauvre hère, bien fait, il n'en valait pas plus la pêine ! il ne valait guère la peine d'êttre conservé ou prolongé vu le caractère. On est nées fée Suprême ! vive donnée ! ça le fait ! et sur herbe qui plus est ! On est nées sur herbe verte, chants du coq, voix du coprtps, chants celtes (sveltes) et faux accords ! On est dans un cimetière, mais la fée, elle, sait (très bien) s'envoler, s'en échapper, s'envoler de ces deux ailes, 

et du coup s'échapper de ce semblant de cimetière aux données rupestres (paroi d'or, roche des données  du corps). On s'est envolées ! on vole on court ! on est des fées de cour, cour romaine, céleste, chantée. On est des fées post-cimetière car on sait voler ! on est moins bêtes que la moyenne ! fée des fées on volette et du coup, houp, on sort du cimetière , à jamais, horrs pré, hors prairie rupestre, sorte d'encklave aux données animalièresq ... on l'a dépassé ! on est cfomme à présent allouées à des données de type céleste, champ d'azur, ailes au vent frais . On cherche à cerner un certain nombre de données célestes, de données des données mais ensemble comment faire pour s'y retrouver, quan,d on s ait pas parr où passer, où 

s'avancer, vers où aller en ce domaine  des clartés et autres champs donnés du Verbe comme alloué à une sorte dee "Lumière Sacrée" (?) , qui sait ? On est Femmes fées, Fe"mmes aux données données grâce aux fées , et au fait des fées. Qui on est ? AILES ! AILES d'herbe ! hé hé ! une aile ! une sorte d'aile allouée à une vérité céleste. On Veut cer ner encszemble si possible un grand nombre de données, et chercher du coup à passer à travers une sorte de ... passage (oui) aux donné&es donné&es, par (ici) la bande (celle du p arler, du Verbe sacré, dees mots de rage et autres termes animaliers). on est nées femmes sur pré. On est néesz Felmmes fées. On est nées Fées sur pré. On est nées Fée-femmes. On est nées Fée sur herbe par la bande et nous voilà commê a&llouées (de base) à une sorte de paroi aux données vives, chaergées, vraéies. On est entrées ! On veut toucher à cette sorte de.... vie vive , corps velu, animzl poilu,charge maître, tracé sur paroi des fées, bêtes dessinées. On est nues velues poilues non épilées = fée s ! On est des fées non épilées ça le faéit ! on plaît ! on est fée non épilées des nénés, du sexe alloué, des aisselles et de la ré, qu'est--ce qu'on en a à braire ! on est ! on est belles ! belles bêtes des prés ! vives et colère d'être nées sur herbe à jamais sans  verbe ! ou sinon  sans verbe sans ailes ? sommes nous des bhêtes nées sans ailes, genre vaches sacrées laitières (ou bisons futés) ? Sommes npous des bêtes fées , ou non : pas fées ? Sommes nous des bêtes des prés genre buffles cernés,, bisons futés et autres 

ourses des cavernes, ou non : fées ! des fées ! des fées ailées ! Sommes-nous des fées ailées ? sommes nouus des vaches ailées ? les fées ailéesz excistent-elles ? et, les vaches ailées à lait ? avons-nous des ailes ? portonsz-nous des ailes sur pré  ? sommes-nous des fées à ailes ? sommes nous des ailesz, ailes, elles, fées des prés avecv des ailes comme déployées et on volette ! on ne cesse en vrai de voleter dfepuis qu'on est nées (dans la mort à 

l'oeuvre , on dirait) ? On essaie de sz'y retyrouver mais évidemenmmrnt que la chose est loin d'être actée, complète, certaine, avérée, située, donnée, comme stipulée ; on regarde "par la fenêtre". On regarde ici ensemble si on peut "par la fenêtre"; on regarde à deux, on se rapproche, on veut voir le feu, les ondes, les données marines, 

les sortes de vagues, 

les sorrtes de vagues allouées à une sorte de marée. On mate ! On mate grave. On est posées. On regarde sans sourciller, posées, on mate depuis où on est : la Rage. On veut de préférence et si possible aentrer (en ce roc des finalités) et regarder ce qui est. Regarder sans y passer, ce qui est qui est, en termes de données données, dopnnées vives, données des données. On veut toucher à ce rocher des contrebandes et du coup traverser (fissa) sans tarder ou traîner , et surtout sans succomber ! sans y passer ! on veut passer un oeil, un memebre, le nez, l'oiel sage, le nez des nez ! comment passer un nez ? vcomment un oeil passer ? comment tu fais pour passer un nez , un oeil, des lèvres, un sexe pointé, un petit véhicule alloué à une sorte d'immixion (pénétration) de Saturne ? On est Beauité Sacré des 

"FinitUdes des Preés" , on dirait. Et du co!p on est achapeautées ou comme chaépeautées ! couvertes à fine allure, on est comme des fées Beauté, Fées des fées ! Grasses naturevives d'allure et chapeaiutées on est ! On veut tracer ! charger, toucher, collzr, essayer de s'en tirer sans se blesser, coller à une dune,; à un mont pelé, à un tas de sable centré, à une sorte de mont de Vulve. On est qui ? Quête, d'une sorte de vil ministère ! l'entubé ! le qui veut passer = pénétrer la roche , la dernièere : comment faire ? comment faire pour en vrai passer et coller aux données Suprêmes ? y aller de son chant de terre ? mais comment chanter : à tue-tête ? comme les fées quand elles s'y perden, voire perdent pied et ne savent plus où donner de la tête, te'llement elles sonht paumées et ne savent plus

 comment se repérer ? on est fées de fées ! AILES, AILES AU DÉBOTTÉ, 

AILES DES PRÉS. On est comme des ailes sur corset, avec forcebretelles on dirait, robe de fée, de f"ée szvelte et ondulée. On est cfomme fée ondulée ! On cherche à cerner ce qui est en fait d'herbe des prés et autre Verbe des COntrées Pöst-cimetière. La vie est-elle éternelle ? la vie contient-elle en elle l'encklave (l'enceinte) "MORT" ? La vie est-elle une sorte de contrée sans fin (= céleste) ? la mort est-elle "située", délimité, agraire, réservée à des bêtes "sommaires" et autres hommes ou femmes trnsformées, au passage , en fée ? doit on mourir pour renaittre ? doit-on entrerr en ce royaéume post-cimetioère, puis  le retraverser et dès lors revenir  com^ 

(un peu) e,n arrière, du fait que voilà, la vie est partout présente tout autour de nous, qui influence, résou grave les énigmes, joue de nous et en dehors de nous, chante grave ! chante sa&ns arrêt ! chyante que tru chyanter as , et nous bien szûr on aime ça , le chant, la chansonnette, la parade, la chanson des biches , des cerfs à bois, des chevreuils sonnés. On veut toucher aux bêtes des prés ! pourquoi fzaire ? pour pouvoir s'aimer pour ainsi dire : copuler ? "copuler" c'est un peu "rustique", mais oui, peut-^tre, on dfirait "copuler", c'esst pas loin en vrai de la vérité ou d'une sorte de vérité. Copuler pour copuler , pas quand même, mais pour ... tracer = fiiler = foncer = faire vite ! cettte chose en soi, ici, d'une (sqorte de) vive traversée, comme à l('improviste, des données finales et autres données deonnées par la bande (il semblerait). On est nées par la ma,nche, on est passées, on regarde, on vgoit loin les vagues, aéu loin : les vagues doréesz, et ces vagues loin, on les voit super loin parce qi'"on est nées et qaue nos yeux sont neufs , q ui se prête,nt au jeu ! On est nées fées sur roche à tout jamais : ça va le faire !!!!!!!! ça le fait déjà, du reste. On a&ime ! On veut pour de vrai toucher aux nénés de l'être alloué à une donnée, elle-même liée à la mort. Et cet être est : lA mort !Mort au carré ! On est néesz Fée pour toucher, tracer, toucher vif à ce tracé (ici, roche, un bison des prés) de la mort à l'oeuvre bonne dessinatrice à 

main levé, qui dessine vite lpes données données (mises, prises, e,nvies, mainmises, etc.) d'une sorte de Déité Vive ! Déité des D2irtés des Prés pour ainsi dire. On est vives car on est , on est nées vives du fait qu'on est, qu'oon est 

njées; on aime a&ller, touchezr ;,, conchier, chier, tracer et pisser sur herbe des prés, à l'abri des regards indiscret. on veut aller  de fait ensemble loin en la forêt et du coup compre dre à fond la Roche Allouée à cette sorte de m%ainmise d'une Déité, sur des données comme déposées à ses piefds (on dirait). On est femmes des prés et c'est vrai qu'ensembkle et de préférence on a super envie de tracer (en transe) ces bêtes des prés, telles que les antilopes, les chevaux dee c arosse, les lionnes graciles, lesbêtes à bonnet, l es ourses placidesz. on est femmes des prés "passées", c'està dire que, pas plus tard que tout de suite, on a travezrsé la roche à la une à la deux §ête première (la caboche est dure) et voilà, on est passséesz ! on est dans un pré, on mate ! on ne veut pas se faire arnaquer mais on veut pouvoir s'en tirer , sans honte, sans dégâts, sans lombre d'un doute concernant la voie , ici, choisie par nous auttres, fées de  c e logis (enclave) natif. on est nées fées sur roche ! vive les fées ! soignons notre approche ! essayons ensembkle de nous approcxher le plus possible d'une fée "des précipices" szans tomber ! allons vite pour la retrouver ! la coller ! la cerner ! la suivre ! la toucher come on toucxhezrait un êtte r^

vé ! On est bêtes de prés, fées, bêtes et fées, fée des prés, bêtes et fées des prés : sommes-nous fée ? spommes-nous bête ? pouvons-nous ^etre à) la fois bete et fée ? est-ce possible enszmble, en vrai, d'êtrte (qu'on soit) bête et fée? pouvons-nous nous rapprocher de  cette bêzte, aéux données rupestres, néandertlienne ou aur(ignacienne ? sommes-nous assez calées pour du coup comprendre enswemble (au fin fon) les choses d'une sorte de donnée sacrée, quasi genrée, vive et tracée à main levée comme par la bande ,  et qiu nous chercherait (peut-êttre) ... des noises ? On est fées

 du pré, on edssaie de se rapprocher d'une b$ete broutant, qui est-elle ? Bovidé ? On la regarde. On veut ensemble (AILES) la monter, la chevaucher qui sait ? on est des ailes, on peut monter et porter et faire s'envoler et naviguer ! on aime s'envoler ensemble da&ns les airs, aller haut le pluqs possible, essa&yer de toucher à cette sorte de vive entité dont on dirait en vrai qu'elle est ivre ! ... l'sest-elle, au juste ? difficile de se prononcer tant elle semble ... lointaine ? alors même qu'elle est près ? allez comprendre ! on est fée des bases. On a super envie  de pour le coup toucher e,nsemble à cette vie d'après la mort, à cette chose , eçszpôsée sur roche, comme agrès ! et nous d'en jhouer ! on est fées de force allouée à une roche (il semblera&it) et à ce tittre on se sent comme obligée, de se tenir vive, portée, comme dressée, droite et pomponée , frée des fées ! on vire ! on vibre ! on hurle un temps puis on se tait ! on rit ! on pisse (on fait pipi) ! 

on chie (on fait cac a) ! On est fées filles, filles fées à jamais squr une sorte de paroi votive : est-ce vrai ? sommes-nous ... l acustre ? 

Nous on aimezrait vraiment un jour comprendre les données qui en vrai président ou présideraient à cette chose, ici, qu'on voit devant soi et qui est (on vous le donne en mille) une sorte de paroi votive, oui, de mur ou de paroi sur lequel ou laquelle on peuit sans se gêzner tracer les noms (les différents noms) des convives . On est des fées parce que voilà on a passé (autrefois) la roche (à la naiss ance, disons ) et maintenant nous voilà commeengluéew (prises aux piègesz des données données) à même une roche, à même une sqorte de "cloison du fond ". On a e,nvie ensemble, c'est sûr, de comprendre, peut-^rtretre, un peu plus sérieiusement , un certain nombre de choses qui sont choses d'une soerte de passage au débotté d'une roche ornementée par des gommes ou par des femmes de lan préhistoire. on se dit que nousq auusi on appartiendrait en quelque sorte à  ette préhistoire aux données gravées , dessi nées, etc. on cherche (ensembvle) à comprendre pas mal de chowses, en cette encxlave de la mort à l'oeuvre à l'intériuerr de la vie, car à préwsent c ette chose nbous semble plus q'évidente, nous sezmble presqu'acquyise, comme qauoi la mort n''st qu"'une encklave de la vie, une sorte de prairie-filtre, pré admis mais comme 

remise, sas, sas des sas. Passage. Préambule. Nous vcoilà qui sommes presque à vouloir ensemble travezrser la roche une deuxième fois, vers quyoi ? c'r'st ça qu'on a, en vraéi, du mal (pas mal) à comprendre. Si, en vrai, on rehg rde ensemble cdans le même sens, alors on peut se rendre à l'évidence que voilà, on est deux en soi : deux ailes , une paire ! On m ate ! on mate grave ! Ailes et Yeux de rage !  on est presqau'envieuxses parce que oui, en vrai, on a pas du tout du tout envie, de subir ici une sorte de coupezret, de couperet à nénés ! On veut ensemble nous (en vrai) garder nos nénés, nos nénés à lait. on veut allaitter ! on a super envie (en vrai) d'allaiter ! on veut donner le sein (dit "des prairies") au petit malin qui, un jou!r, peut-^tre, nous ... éventr

terrera ?on esppère pas ! on veut comprendre, pas davantage. On ne veut pas servir d'appât, dee bête-appât de ch asse , d'appat de Roi ! nous onn aime grave aller fissa sur roche là-bas chercher pitance, et c'est marre ! On regarde tout ce tralala de groote, chants doctes, cris de jhoie, danses "hautescx"s" et "hot", falbalas . On aime les grottes et la toundra, transes hautes ("hot") et tralalas au son des tambourins dits "de paroi"/; On est Fées de base, Femmes ailées, douces romances, envies de lait. quand on entre en cette contrée (antre aux fées) on devient nousz-mêmes des vfées ou si non des fées , ailéesz, ailées comme des fées, montées, armées, acheminées, adulées. on aime tracer sur roche des se ntiers 

qaui pôurraient nous guider jusqu'aux confins du pré vers cette roche imberbe des données ultimes ! on aime ! on veut toucher à cette roche dees données ultimes, 

😀   

aller, chanter, cerner, comprendre, dire et pousser , ici, e,nsemble, une sorte de chanson des ombres ! saluer et passer ! On est nées fées quand on est passées ! On veut toucher à cette sorte d'entité (de bout de roche) 

allouée aux féesc. On est nées fées quand on est passées. ON veut toucher à cette sorte d'entité sacrée, dont le nom (deité) nous porte jusqu'au bout du bout des données données . On veut toucher = cerner = dire = aller = partir , = faire ce qui nous plaît en termes dallers et de venues allouées à (ici) une sorte de pré , de  prairie des filtress. On est femmes-fées données à une sorte de parler aux données enragées. Qui on est ? on est des fées, on veut tracer, on veut en avancer sur roche et du coup cerner ense"mble, un grand nomnbre de données de base. Qui on est ? bêtes et fées ,! ou sinon bêtes et fées, bêtes-fées, fées-bêtes : on ne sait pas . On cherrche vaéillamment, religieusemrent, fionement , finement ou grossièrement mais asssurément, à 

comprendre = cerner, les dfonnées qui , à nous deux, femmes des prés, se présente"nt, en termes de voeux, voeux des bois et forêts, voeux peut-être miteux mais voeux tout de même alloués à une sorte de recherche mênée (tambour 

battant) par (en nous) qui de droit, à savoir un Moi, une sorte de Moi de bas bâge, petits pas par petits pas, basse rage. On est là ensemble il semble pôur cerner et dessiner une bête des données de base. On veut ensembvle en avancer xans cette sorte de remue-ménage aux données de poids, qui (en vrai) sembleznt être, là, pour ça : nous faire espérer, nous donner de quoi croire en cette chose d'une sorte en soi de donnée, de type "foi", "foi grave", "foi des fois", de type "croyance en l'au-delà". On en avance ensemble (femmes) car on croit à ça, cette Romance de Paroi, ces  

B:êtes Gravées, ce côté champêztres, cette Herbe, ces Fées. On est allouées à une szorte de tracé de Joie , qui est tracé sur Herbe dit "paradisiaque" des données prairiales. On veut se rapprocher ensemble d'une vérité,d'une sorte de donnée de base, de type "vérité de contrebande", de type "donnée des données", et là, une fpois ancrées, touchger ensemble à cette sorte dee paroi "étrenge " ou pas mais située, quyi nous regarde ou nous regarderait en tant que fées, en tant que femmes-fées allouées à une sorte de roma

nce des données finales, actées et situées sur pré comme à la parade. On est femmes fées, charges mentales. On veut toucher à cette déité vdes prés et autres zones terminales d'une enceinte ici donnée à une (sorte de) "Vérité Pariétale". Qui on est ? bêtes de poids ici, fée des Fées là , au choix ! On aime aller, donner, guider, conduire, escortter en tant que fée motrice, on aime accompagner l'être &lloué à une sort e d'emprise qui le mène (vivement) de l'autre côté, vers les

 confins et autres vents de face des données finales. On est fées dites d'escorte ! charges doctes ! On fonce. oN peut foncer car on est aillées, et ainsi ailé&es on peut tracer, dessiner, graver et gravir, bousculer l'ensembke des données et offrir à celles qui en vrai le souhaiteraient nos propres ailes décorées, finement dessinées, translucides et fines, pour voler, les aider à s'envoler, à grimper, à monter haut vers une sorte de sortie d'attaque ! qui plus est : grande ouverte pour faciliter lre passage ici d'un corps donné en vrai. On est des fées d'aide a&u passage (en résumé). Fée des faées, fées doctes, fées sa vantes, frées aidantes. Car

 on veut grave aider sans sourciller ! Coeur des charmes ! On est gentes damesz, fées des bases, vives gentes aux envies pressantes de pouvoir de fait et sans trembler accompagner (en ce royaume de la mort actée) celles qui , e,nvrai, le voudraient. On est fées des fées de la ROmance. On veut t§oucxher à ce qui est ici de l'ordre de la transe (danse parlée) et qui de fait nous aide  ou nous aiderait, à nous porter plus loin en ces contrées dites "des connaiisa,nces des données données des te"mps reculées". On veut aller , danser, chanter, graéver sur roche les noms alloués à des entités de type "divinités" et autres "déessses des Rochers". on aime tracer, dire et donner. fées des fées on est, qui voulons de fait charger = chanter, sur roche, nos chants alloués à une V2érité . On veut toucher à cette vérité de poche. On veut toucher à cette vérité de roche ! On ne veut pas du tout lambiner, mais tracer ! cerner ! comprendre ! situer ! aller vers une destinée ! charger sur roche les données a&ilées 

et les  restituer de force comme du lait szorti d'une sorte de "sein de roche ou de rocher". On veut donner du laéit à celles qui ici chercheznht à teter : fées des fées et autres entités nhées du passage de vie à trépas s'il en est ! On est nous-mêmes cfomme livrées à une sorte  de nourrice ancienne, fée ancrée, bonne laitière, vaches des prés nourricières : on l'aime ! On veut toucher à ses nénés, pis sur herbe, entités lactées. On aéime le pré, l'herbe, le lait, les données, le tracé des traits, l'enveloppe charnelle, Bison Fûté ! On est Femmes à lait, vie actées, vie actée dans une sqorte pour le coup d'enclave souterraine de type "grotte auxb fées" ! On aime ! on dit (largement) qu'on aime ! on est pas chiches ni d'aimer ni de dire qu'on aime ! on est vive s parleuses, et vives fées des données données (dites, pôrtées, apportées, déposéeees, offertes). On veut se rapprocher 

enwsemble d'une vérité qui , de fait, pûisse nous aider à nous téleporter ensembvle le plus loin possible de cette contrée dite "de la

 mort à l'oeuvre" et du coup traverser la roche une foisq e,ncore, quiitter (ici) ce pré et trouver ailleurs de quoi se nourrir et poursuivre (enxembvle) notre sorte de promenade ou de szortie de roche, à la recherc he de données (de fait) avérées, de mots crédibles et autres vérités concernant, pour le coup, la vie venant non pas après la vie direzctement mais après la mort, du moins la mort qu'on vient (ici) de connaitre et dx'explorer en tant que fée logée e,n ce pré &ux herbes bonne nourricières. On a en vie, à présent, d'explorer le firmamantb . On veut à présent, toucher à quelque chose de nouveau, qui ne soit plus l'herbe du pré. On veut téter le lait des  nénées de maman comme autreefois on tétait . On veut en tant que fées, à présent se téleporter, ou comme se téléporter , d'un pré alloué àune enclave pariétale de type "pré ou prairie édenique d'une mort acté", à un tout autre lieu do nné, à une tout autre paroi dees fées ou tout autres  enclave située hors contrée des données prairiéles. Qui on est hors contrée ? encore des Fées ? encore des fées allouées à une contrée ? Peit^rtre

 que oui, ou peut-être que non. On voit ! on mate ! on regarde deva&nt szoi ce qui se trame ! on cherche à comprendre ensemble la paroi, les donné&es de base d'une sorte en soi xde paroi des Rois, Reines de Beauté et Roi des petits pas. On mate grave ! on veut toucher (pour de vrai) aux nénées de cette

 Déité De Rage, aux nénés de cette Déité dite de la Rage : qui c'est ? qui donc est cette Déité des wse'mblants d'espace ? Qui donc est cette Dé&ité , dite "des Déités et des dOnnnées Données de la Rage" ? Qui est-elle, sinon une Fée ? Qui donc est cegtte "Déité Des Déités des Données Dites Supr^'mes " '(s'il en est !)? ON mate ++, on regarde à travers les "persiennes" ce qui est. Et ducoup on voit en effet, les nénées de l'ange Surprême. ses nénés à lait ! charge d'ange ! faits des fées : le lai-t. Le lait directement comme provenant du néné lacté de l'ange des fées. On mate = on prend = on voit = on sent = on veut = on dit = on regarde, ici même (ppré passé) les données frontales, de type ... NÉNÉ S  = Lait ! On est nées sur pré, on a gagné en vrai la paroi finale, on regarde ce qui est (au sin

 xes vagues) on voit ... des nénés , nénés nés de la r age et des envies (ancréses) de perdurer da,n s la Romance d'une Vie allouée à une Destinée Frontale. Cris ! chants ! danses en transe ! chants des vies n acréeqs, voire acidulées! On veut toucher toucher toucxher toucher toucher ! on veut toucher toucher toucher toucher toucxher ! on veut de fait toucxher toucher toucher toucher (oucher ! on veut en vrai (ensemble 

: nez à nez ) toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher ! toucher nz à nez ! toucher à ces nénés ! grave les touchezr ! les téter ! téter aux nénés ! téter grave les nénés plein de lait ! boire le lait ! téter ! téter les nénéds sans traîner, sans tarder, sans atgtendre, sans lambiner ! téter grave lzes nénésxdits "du fir(mamant" tel qu'il se présente sur les debcvants, finn de pré, débu!t de nouvelles données de type "nénés". On chezrche à entrer ensembvle (vives et armées) en cette sorte d'entité nouvelle, clairière passée. Nous voyons ici se tracer une sorte d'anfractuoisté sur pierre par où ensemble peutêtre, en tant que fée, pouvoir s'immmiscer afin d'a&tteindre sans traéîner (parce q'on a faim de lait) les nénés de l 'ëtre ! ceux qu'on espère, ppère !  ceux là (de nénés) qu'on aime à jamaios ! On veut toucher à ces nénés de l'ëtre ! On veut grave les téter ! On veut aller vers ces nénés de l'être ! car, en vrai, on les aime plus que jamais ! on les adore même ! on les aime à jamais, post-pré, post-cimetière, post-donnéess des données, post -croyances allouées à de l'herbe, post-bêtes sur pré. On est Fées passé&es par une sorte d'anfractuosité, de type "persienne" . On voulait passer, nous voilà (en plus

) en train dxe mater , les nénées de l'êttee, de l'être &lloué à une sorte de contrée hors cimet§ière. retour à Minerve ? qui le sait ? on cherche à  c erner ou toucher-cerner ce que sont ces nénés, toucher -cerner ces sortes de nénésxp post -cimetière. On veut grave les aimer, les toucher afin de teter, en vrai, le lait qi'ils contiennent

 , et du coup s'alimenter, se remplir cfomme des nouveaux-nées, nouvelles-nées d'un père et dd'eune mère. On veut toucher à cette chose, ici, d'uneb sorte, nouvelle, nouvellement née, de train arrière, de donnée comme "entrée" par un petit côté d'un cimetièfre, NÉNÉ ! NÉNÉ DES NÉNÉS ! NÉNÉ NÉ ! NÉNÉ NÉ NÉ DES NÉNÉS ! NÉNÉS DES NÉNÉS ! NÉNÉ NÉ COMME PAR DERRIÈRE ! NÉNÉ NÉ DES NÉNÉS, COMME PAR DERRIÈRE !  une sorte de cl

arté post -cimetière allouée aux nénés de l'herbe ! de l'être aux herbes ! de l'être des données de l'erbe !

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2/9/2024

on est nues . on est comme nues parce qu'on est passées de frpont ensemble (vite fait) à travers la roche et du coup on s'est retrouvées comme dénudées au passaghe . on est venues ensemble main dans la main, on voulait vraiment comprendre les données, c'est-à-dire cet ensemble de données qui sont ici (devant nous) comme déposéees, et du coup on est accolées. On est nues, disons, et accolées, et c'est nues et accolées que du coup on en avance

 sur cette prairie, qui est cette "terre d'accueil" qui, en vrai, nous adopte (on dira) côte à côte, nous invite à faire ainsi qi'ensemble on se sente, ou sentît, comme chez soi, ici. on est deux, deux femmes, sur roche-pré. 

On aime beaucoup nous promener ensemblre et regarder un peu partout autourcde nous le paysage, en profiter, aller et venir tout en progressant tranquillement vers ces confins qui , au loin, sembleraient nous appeler ; une muraille, une sorte de paroi d''enceinte ou d'enclave tout autour de nous, comme si en vrai on était ceintes, entourées de ces murets autour de nous qui formeraient une sorte (pour nous ou à nos yeux) de forteresse, de prison insulaire ou ce genre de lieu dit "d"'isolement". on est nous deux arrivées (tranquillement) dans un pré, au milieu des bovidés, des bêtes de somme, bêtes de traits "ÉNORMES". On est deux (deux femmes) qui voulons du coup , parmi ces bêtes, comprendre l'aspect insulaire des lieux traversés. Qui on est en vrai. qu'est-ce que ça veut dire que d'être femmes (filles) en ce lieu d'enceinte. comment arriver à deux (

côte à côte) à toucher du doigt une vérité "de poids" quelle qu'elle soit. A qauoi ressemble la paroi finale ; est-elle percée pour pouvopir passer, est-elle ouverte comme si (des fois) on devait passer coûte que cou^te dès que arrivées, comme si le passage, en elle (cette paroi), était là pour ça (passer) c'est-à-fdire pour nous. nous nous approchons vivement

, à bonne allure disons, de cette roche dite "finale", nous avonds envie (énormément) de comprendre à quoi elle reseemble, ce qu'elle est en vrai, si elle est une sqorte de passage, de porte ou de pporche. On veut savoir. On a envie de savoir parce qu'on est curieuses (énormément) de nature et aussi parce que notre vie ici est en jeu on dfirait, on dirait que nortre vie ou notre à-venir ici est en jeu; se risque, ou est "à risque". on veut du coup, toutes les deux, comprendrece risque, ce qu"'il recouvre; est-ce que par hasard, si on "passe" complètelment (là-bas, au fond du pré, la paroi finale) eh bie,n, du coup, c'en sera terminé pour nous, de la vie

 vive, de la vie en tant que vie vive ? Est-ce que de passer là-bas la roche finale signera notre "décrépitude" à jamais ? On ne sait pas ! On voudrait c'estsûr savoir et du coup aviser, se positionner

 pour ainsi dire. On voudrait connaîttre ici et là (en  c e pré) les tenants et les aboutissants de toute cette aventure qui est l'aventure de deux femmes accolées nues marchant da,ns un pré, sur roche allouée à une sorte de "Vérité Lacustree". On est entourées et on mate grave les données. On est ensemble accolées pour du coup comprendre toutes ces fdonnées lacustres, ce qi'elles sqont pour nous. On est deux ensemble, on est vives, on en avance. On est ensemble pour cerner et avancer, pour en avancer de base dans les connaissances et traverser la lande vite, très vite si possible afin de nous comme "téléporter" jusqu'au bout du bout en quelques foulées. On est ensemble ici deux femmes qui voulons comprendre les données qui nous attendent tout au bout du bout

 du pré. On en avance ! On file, on trace, on fonce, on essaie d'aller le plus vite possible parce que voilà, on est là pour ça : vite foncer pour vite comprendre, c'est-àdire en vrai se rendre compte de ce vqui est, de ce qui nous attend en termes de "

destinée", de ce qui sembke être posté comme sorte de Déité, de Divinité, de Dieu des Données ou quelque chose de ce genre, disposé, posé allongé, allongé ou dressé; on a envie ensemble de s'en rapprocher, de voir de près cette Divinité comment du coup ele est disposée, dans le paysage; On est ensemble ici qui en vrai voulons nous approcher de cette D2ité

 du bout du pré, la toucher pour la cerner (etc.) et peut-^tte ... passer, à travers la p)aroi , la par'oi finale, afin de mater ce qui est, qui sembloerait nous appeler, nous inviter à traverser, à passer, à faire un bond, le saut de l'ange ou quelque chose peut-être de ce genre. On veut comprendre les données quiu se présentent, ce qu'elles sont en vrai, à quoi la mort (la mort ?) ça ressemble, de quoi elle est faite , de quoi la mort (la mort !) est faite, en quelle matière. On est accolées, on se colle ou on se serre l'une l'auttre ou l'une à lm'autre. On est nées dans ce pré AILES, on est cdeux ailes (en ce pré) qui formons réunies une sorte de Fée dite "du cimetière" ! On est ensemble nées sur pré au passage (premier) d'e cette roche ornementée qu'on

 voyait ici se dessiner avant d'entrer, au ffond de la grotte. on est passées et du cfoup  à présent on peiut dire que oui, on est dans un pré, on est Fée, on est cette personne toute fine translucide volante qyui file, virevolte, fonce, va droit ou pas mais ne s'arrête pas. Oon est devenues du coup, après être passées , Fée ! Une fée des prés. On aime beaucoup les fées ou on aimait beaéucoup les fées et maintenant c'est nous

 (hommes ou femmes) qui sommes Fée ! On adore cette chose, cet état de chose ! on est ensemble d ans l'adoration, l'amour de cette chose. On est devenues fée, on est passées et du coup nbous volià deveunes fées ! 

On est nées fée ici, pré, prairie, sorte d'enceinte cloturée, fée parmi des bêtes, fée des fées. on regarde ensemble au loin. on a méga encvie de comprendre les données, ce qui se trame , en vrai, pour nous, en tant que fée. on a super envie de cerner les données de base d'une sorte (pour nous) de destinée à travers la lande : qui on est et qui on est pas, pour nous cette chose a bre&ucoup d'importance. on a envie de s'avancer, d'en avancer, d'avancer ou donc de s'avancer dans les connaissancesz. qui on est, qui on est pas. Ce qu'être (dans ce pré) signifie, en termes de dponnées l acustres. ce que d'être en vie (dans un pré rempli de bêtes-poids et autres bêtes-masse) signifie. On file ! On est nées ensemble au passage, ici même en ce pré aux bêtes de masse ou aux bêtes-masses, on regarde deva,nt nous la chose comme se ddessiner, on essaie de cerner au mieux toutes les données qui se présentent, ce qu'elles signifient, ce qu'elles recouvrent en termes de présents donnés, déposés ou dispôsées sur une sorte de "parterre terminal". On est accolées parce qu'on est nées (de rage, on diraiot) dans un pré, sur de l'herbeb à 

brouter, nues comme des vers et quasi velues comme des bêtes, ou comme ici ces bêtes (cervidés ?) qui sont celles qui ne cessaent en vrai de nous mater ! On est toutes deux allouées, allouées à un pré, à l'herbe, aux bêtes des prés, aux fleurs parfumées. On est nées sur herbe, et une fois nées on est bien obligées de nous redresser, d'en avancer, de tracer, dev marcher ebnsemble eh bé oui, vers cette roche terminale, roche d'enceinte ou d'enclave, aller au plus vite vers e,lle essayer de la 

comprendre, de comprendre cequ'elle représente, ce qu'elle est, ce qu'elle cache, ce qu'elle recèle en fait de données suprêmes. on est deux femmes sur un pré, qui (du coup) vont et viennent, se promènent, cherchent sans cesse à se rapprocher d'une sorte de donnée finale qui est cette chose lointaine mais pas tant que ça een vrai , qui est ou qui serait cette sorte de "pa ssage aux fées", ou p"passage des fées", tout au fond du pré, à même la pierre, dans le muret , dans la pierre du muret une sorte d'anfractouosité qui serait comme une sorte de portière, de porche tracé, de porte "au fées " ou "des faits". On cherche ! IOn est pas encore arrivées ! on est loin du compte. on a envie c'est sûr d'en découdre et vite, de savoir (ensemble) vite fait, de vite fait comprendre ou

 savoir ce qui est qui , du coup, devant, semblerait vouloir nbous attezndre , semblerait presque nous guetter pour nous surprendre

 , nous crocheter, nous attrap^per. on est nées sur pré parce vqu'on est passées , on est nées de base ensembkle pour former la Fée dite "des prés". On est deux

 femmes, à la retombée, formant une Fée allouée à un pré aux bêtes de somme. On peut dire qu'on est bien ezntourées ! On voulait cerner ce qui est, ce qui est sur pré, eh bé voilà ! des bêtes de bon poids, bêtes de somme sans tralala, bêtes simples, placides, broutant l'herbe folle, cherchant à brouter sans ceese de cette herbe dxes "prés aux fées" et comme nous lorgnza,nt de biais tandiçs qu'on progreese , accolées, serrées, main dans la main, au milieu du pré, dans la luzerne. on marche traquet traquet. On est deux femmesc allouées (disons "allouées") à un pré qui est le "pré aux fées". On aime aller, marcher, s'acvancer, c'est pas un problème. On adore se promener, se balader, faire des découvertes, regarder autour de nous ce qui est, ce qui est en termes de végétation ou de faune attitrée . on aime les prés. On a envie ensemble de cerner au plus près tout ce qui est ici, 

qui nous cerne, nous contient comme accolées, serrées dans la luzerne. On aime marcher main dans la main à travers les prés, à travers les champs, dans l'herbe à brouter, dans les cimet§ières et autresc enceintes. On est des fées nous -mêmes on dirait. On est comme des fées qui cherchons ensemble traquet traquet à comprendre , incidemment, un grand nombre de données, concernant la Rage, soit la RAge de comprendre, ce qui, ici, en nous, nous anime fortement et conhjointement. on est nées fées sur pré c'est un fait, et 

en plus ça rime ! On est nées sur une roche ou dans un pré (pré de roche) et, nées nues et 

comme déjà mentionné (plus haut), on est comme allouéess à une soerte de recherche ardue, de recherche dure, de recherche à pour le coup mener de front ensemble ici, conjointement, pour la bonne cause, c'est à dire dans le but de pouvoir ensemble dénicher sans peine , une sorte de "vérité des vérités" qui serait la vérité-déité co,ncerna,nt la mort, ce que la mort est. Ce q('est en vrai cette chose en vie dont le nom (ou nom d'emprunt) est MORT, LA MORT. On regarde. on veut se rap^procher. on veut toucher mais pour toucher il faut être nées et pour être nées il faut passer et pour passer il faut traverser , traverser à deux (main dans la main) la roche "aux données primaires " (celle des aurochs et auttres bhêtes de la préhistoire de forte taille). qui on est ? peut-^tre des fées ! on ne sa it pas. on a envie ensemble de tracer sur pré une sorte de sentier pouvant nous mener 

jusqu'aux confins, de préfrérence, alors voilà ! on trace ! on fonce grave dans le tas ! on a pas envie spécialement de trainer dans la souffrance mais en vrai tout le contraire ! filezr ! grave filer ! foncer à toute blinde pour ensemble chercher à comprendre par où on pourrait passer, et du coup trouver une sorte de passage "des "" confins" , "des données finales". on est des fées

 , on avance, on fonce ! On est devenues au passage des fées, au passage de loa roche ornée on est devenues fées , nues, dans un pré, comme déposées. on est entrées ensemble et à présent (ou maintenant ) qu'est-ce qu'on fait ? on dira qu'on fait pitié ou peut$-p^trte pas mâis on est là, on cherche sans ceesse, on ne lâche pas le morceau, on en veut ! on veut t§oucher à cette sorte de donnée qui serait sorte de déité , déité des déioté, liées à la mort tracée. On regarde ensemble ce qui est tracé. est-ce une b ête-mot ? est-ce que c'est unmot , mot-bête ? On est accolées. On est nées dans un pré accolées ! On est nées dans un pré dont le nom est "la mort" accolées pour former la Fée. Deux femmes accolées forment la Fée ! Deux femmes qui, accolées (main dans la main) forment une Fée dite "des prés". on avance !nOn cherche grave ! On est ensemble pour comprendre assocxiées et du coup, on trace ! on fonce ! on va ! On ne traîne pas 

mla savate ! On a envie que les choses avancent, aillent, se forment, se trament, se goupillent ense"mbvkle , pour ça : comprendre ! comprendre ensemble, ensemble toucher à une vérité de poids, faire ainsi que les choses ici 

b as (france ?) aéillent ... ou pas ? On mate ! On est ensemble. On est nées sur place (

France"). on a supezr envie de comptendre ensemble, les données qui se prése"ntent et semblent nous parler. Comment on pourrait faire ensemble pour comprendre ces données ? comment

 en vrai ensemble on pourrait faiore pour toucxher à cetre chose d'une vérité des vérités ? On est nées dans l'herbe fraîche au milieu des bêtes. On voulait en avancer et cerner les données, treacer, dessiner à main levée ces bêtes

, mais pour dessiner il faut cerner et pour cerner il faut passer ! il faut travezrser ! donc : on traverse. Et du coup on se retrouve nues ou cfomme nues au milieu d'un pré, quasi à brouter de l'herbe ! On est nées da,ns l'herbe à  quasi brouter comme des bêtes ! c'est un truc ! ça réveille ! On est p)assées et nous voilà comme "considérées" (de fait) par un troupeau enteier de bêtes (de somme) dans un pré ! c'st ouf ! On mate ! 

à notre tour de mater. on a envie

 de nous rapprocher de toutes ces bêtes des prés pour leurr pa rler mais commenjt en vrai par(ler à des bêtes , à ces b^-eztes des prés, prairies, bhois et sous-bois ; comment ? on ne sait pas ! on nje sait pas (encore ?) pa&rler le langage des bêtes . le langage de certaines bêtes. on aimaerait beaéucou!p savoir m ais voilà, c'est pas (encore ?) le cas, hélas ! on pourrait se comprendre, se dire xdes choses à priopos du monde, des données de vie, des données concernant la vie, mais comment quand le langagfe est inexistant pour ainsi dire, quand les possibilitées langagières ou verbales d'échange, entre humains / humaines et bêtes, n'existe"ntb pas, ne sont pas : comment ? on est nées dans un pré. On  vfoulait tracer sanns trai^ner puisque, de toutes façons, c'est (précisément) ce qu'on a à faiore, ce qu'on à a faire de plus urgent on dirait, mais il y a les bêtes, ces bêtes des prés, qui nous retiennent, qui nous intriguent, nous plaisent, nous font lambiner un peu près d'elle parce qu'on les aime et aussi qi'on est super curieuses de mieux les connaîttre, de savoir en vrai comment elles sonrt de près, ce qu'elles font à notree approche, ce qui les interessent bquand on les approche, si on les effraie ou pas  : au contreaire, si on les attire, si (même) on leur fait envie. ON est comme des fées-

surprise ! on est nées dans un pré (la mort) fée ! on est nées fée dans un pré (ou sorte de) : la mort. Pré = MOrt (on dirait ou on dira) . On est nées dans la mort ... FÉE ! On est nées fée (une fée) dans un pré qui est le pré dit "de la mort" , ou même la mort. Mla mort ou le pré, c'est la m-eme chose. La mort est un pré, une enclave, 

enceinte, bois et sou-bois. Murée ! Muraille tout autour d'un pré ! On est donc nées (à nottre mort) dans un pré cloturé qui est pré ou prairie aux fées. On est  nées de fait  dans un pré qui est le pré de la mort à l'ouevre on dirait ! On est ensemble (dans ce pré- ) accolées, pour former la fée. on est , deux femmes = elles = ailes, formant fée ! On veut cerner c'est une évidence ! on a aucune envie ici (puisqu'on y est !) de passer à côté mais au contraire profiter d'être nées en ce pré pour cerner = toucher à une sorte de ... denrée ? opffrande ? un présent donné déposé ? on est ensemble pour former la fée, celle de la Romance, des Chants gaisz, des musqiques tendres, douces et sucrées. on veut ensemble en vrai nous approcher le plus possible si possible d'une vérité qui saurait nous donner en toutes lettrees une (sorte de) solution à un probmlème qui serait le problème de la Destinée, le problème des données données par (peut-^tre) une (sorte de) déité des déités ! On est colère ! on est excitées à l'idée de connaîttre,

 de nous approcher de cette vérité, de cette déité des déités, alors même qu'on a pas envie d' y passer mais plutôt de perdurer à jamais en ce pré aux fées. Ce que nous on aime c''st de durer et pas du trout d'y passer. On est ensemble accolées aussi, parce qu'on veut le plus possibloe durer, nje pas sombrer dansz l'adversité mais chercher à toujours toujours tenir tête, à se redresser, à en avancer sa&nzs traîner, à faire ainsi qu'on soit toujours sur pied, colère peut-^tre mais sur pied, dressées, fée dressée ! et pas mise à pied ou foulée aux pieds ou même décalquées ! On a envie ensemble de durer (dans ce pré)pour cdomprendre, soit nous rapprocher de cette "déité des déité" dont en vrai on dira que le nom (pour le coup) est (de fait) "la mort du bout", ou "la mort ici du bout du bout". On est touchées ! On a envie ensemble de caracoler, en tête de proue, pour ici (pré) comprendre (debout) tout un ensemble de données données comme par la bande par iune sorte d'entité de base, pleine de charmes et pleiine de grâces, dont le nom swzerait (peut-être  ? qui

 sait ?) D2ITÉ DES DÉItés.  on essaie grave de comprendre ensemble mais c'est pas gagn"é c'est sûr. Pour en avancer (dans les connaissances) le mieux c'est peut-^tre, oui, de tracer-dessiner par la bhande, sur rocher , roc ou roche des prés, les animaux de la pa rade, les b^$etes de foire, les bêtes-poids comme sus-nommées. Et foncer ! courir ! vite sauter à tr&vezrs la roche et se retrouver peut-êyre en effet sonnées mais qu'importe ! on est nées fgée aprèes"" la roche ! On est passées  et du coup on est devbenue fée ! C'est un truc ! truc de ouf ! On avaiyt cegtte chose, en nous, de (pour le coup) vouloir (grave !) travezrser la roche (à la une à la deux !) , eh bé voilà ! ça , c'est fait ! c'est acté ! On a passé le bout de son nez et zou, le coprps en entier et on est passées ! on était au singulier (un homme ou une femme) et une fois passé (passée) , c'esst-à-dire né (née) , bnous voilà plurielles

 ! c'est-dire "elles" = ailes = deux ailes pour une fée allouée à un pré ! préambule; On est nées dans un pré qui vient après la roche orné , et précède la paroi dite "des fins de pré", ou paroi "des confins" (en vrai, il s'agit de lma même paroi comme dèjà paassée tête preùmière, la paroi des rois, cloture-paroi, paroi d'enceinte). on veut toucher ! toucher la paroi ! On est là colmmme dans un cime"tière ( ON EST dans un cimetière !) et on 

a super envie ensemble d'y aller, de courir à peerrdre haleine vers (du coup) la roche ultime, der des ders, qui est roche des confins, qui est roche à (encore !) travezrser (ensemble) pour la bonne cause ! comprendre , cerner, cerner-tpoucher, comprendre-toucher, etc.On est là, deux femmes, pôur ça , et grave ! On a pas envie spécialement de perdre la face , on veut tenir xdroit, ensembvle, dans nos sandales ( même si vcoilà, de base, on est nues ! cul nu !). On veut comptrendre parce qu'on veut tracer ! = en avancer (dans les connaissa&nces ) sans traîner la patte. QUi on est ? des femmes du sable ! On est nées sur pré pour comprendre (grave) les données les plus enfouies pour ainsi dire dans la lave, dans le xable, en ces contrées (pays) sages. on est deux femmes ici comme à la retombée szur sable , mais comment cerner, toucher, aller, sinon (peut-être) en faisant ensemble, l'effort intense de nous redreseer sans traîner comme à la parade, et ;... allez ! on trace ! on ne traîne plus 

! On en avance cul nu, quelle importance ! ce qui cfompte c'est d'y aller , de marcher, de tracer sur roche, de ne plus co:mpter à la dépense mais en vrai de foncer et sans se retourner ! On est deux femmes

 nues sur roche, et ce qu'on cherche ensemble ici est une chose que peut-^tre on aimerait garder pôur soi un temps , afin de bien la mesurer, la jauger, l'explorer, avant de dicvulguer au tout-venant la chose sur pied ! On est deux femmes nées pour être fée (une fée) sur roche, et voilà la chose ! On est fortes ! on fonce ! On est nées pour foncer, tracer, filer à grandes enjambées. On est ense'mble pour percer la roche finale associéesw. on est comme assqociées (ensemble : main dans la main) pour essayer (si possible et vite fait) de toucher à cette vérité dite "des parois dites des finalités". mais que sont les finalités ? qui voi!t bien ce qui est en ces confins ? qui sait, ce qui est en ces confins ? qui comprend les choses bien ?  qui comprend par le menu, les données premières , et les données dernières ? qui ? On est des bêtes de praoerie. 

On pète. On est bêtes-mots. On est fée de base et bête-mot. On est ensemble dans un pré , on se ressemble ! On est deux fgemmes nées sur roche (pré) ensemble (accolées) prêtes à tracer (filer) vers la roche finzale. ON se regarde . On est des fées ensemble dans la lande. Fée. 

on est ensemble fé&e, formant fée, deux femmes pour une fée/ 

on a envie grave, de comprendre les données. On est nées des fées ok, mais qu'est-ce que ça veut dire ? qui peut donc nous expliquer sans nous berner ? On nous dit ici ou là qu'on est nés fée, qu'on était singulier (au szingulier) et que voilà, nous cvoilà p^lurielles = deux ! d"ux fezmmes ! deux femmes formant la Fée. En résumé on peut avancer qu'en vrai la Fée (dite "de la mort acquise") naît, à l'arrivée sur roche, de deux eailes de poids léger ! ou sinon de quoi d'autre

 en fait ? On a envie de cerner ensemble plein de choses qui pourraioent nous indiquer paroù passer ou par ouù nous immiuscer pour arriver à pour le coup cerner une sorte de vérité (en transe ?) mais comment passer ? comment on peut faire pour passer ensemùble ? On est pas nées pour nous cacher; on veut se montrer, t§oucher roche, aller profond, connaoitre la chanson 

des rocs, le chant mooncorde (qui sait ?) qui seréit celui d'une sorte de TRONC, de BUSTE-MOT, DE BUSTE_ROI, REINE DES MO0TS DES BOIS ET SOUS_BOIS ! Qui est qui ici ? va savoir , va chyercher , va ! va comprendre ! On regarde ici ensemble parce que voilà on veut essayer de passer, qui iun oeil qui le nez, à travezrs la roche (voir / humer) mais en vrai, pas s-ûr que ça suffiçse pour (pour le coup)c  erner de près (serrer) une vérité, sur ces contrées dites "dee la mort à l'oeuvre" commê sus-nomm^ée. on voudrait ensemble, c'est une évidence, tra cer, toucher etc., la roche, la paroi finale et passer et du cfou!p comprendre (découvrir) ce qu'il y a après , après le pré, soit après la mort. Parce que si la mùort est une enclave dans la vie (ilot ou ile) alors la vie apres la mort repren ses droits (quelque chose comme ses cdroits) la mort passée. Mais d'abord, peut-on parler de "mort passée " ?? doit-on parler de "mort passée "? Qcommenjt parler ? Qui sait ce qui est ? On se dit que la mort une fois passée, on retrouvera (peut-être) la vie. On se dit que , une fois la mort passée, on retrouvera (qui sait ? ) l a vie qu'on avait comme laissé de côté , m ais est-ce que c'est  vrai ? on se dit que voilà, la mort est

 là comme une sorte 

(peut-être) d'enclave (un ilot) au sein de l'océan de vie ou de la vie, de l'infini de la vie. on se dit qe la mort (pré aux fées) est un ilôt, au sein de la vie, en son sein cerné (comme dans  tout sein). Ca&r voilà, la mort (celle dont on parle e,ntre humains / humaines) est une enclave de type "ile", "ile" ou "ilôt", et du coup , est comme isolée, comme xweule ou isolée, au milieu d'une szorte de mer infinie, étendue, mer sans fin des étendues. On essaie enwemble de toucher à des données qyi en vréai ne sont pas tellement débattues tout compte fait, cela du faéit qaue la chose est ardue et pr$ete à rire , souvent. La chose souvent appelle le rire ! c'est même ce qui (en vrai) en fait une sorte de ... comment dire ? repoussoir ? 

On cherche ! on est comme (toutes deux) ibvres ! on est comme rendues ivres, de par ce savoir ou de par ces rechersches  menées de concert, nous deux ensemble, dans un pré, sur roche, jusqu'à plus soif on dirait et du coup voilà, on est ivresz, pompettes grave ! on roulerait presque sous la table tellement on est saoules (ou saoulées) ! On a envie de décuver ! on veut se poser. On est comme deux femmes allouées à une sorte de donnée de rage, mais nous on veut tracer , aller, courir vite, sortir de cette il ! On ne veut plus rester

 ici ! on veut quitter l'ile (ilot) aux corbeaux ! aux mots ! On a envfie plut^$ot (que de rester) d'aller loin nous projeter dans le futur (peut-être) comme dessiné, au loin, sur uun rochezr, par un êtte néandertalienn (un mot = une somme = une bête de somme). on a envie de base de nous échapper et d'aller, de filer, de passer de  l'autre côté et du coup de revenir (revenir ?)- à la vie antérieure, )à la vie avant la mort (si elle existe mais on dirait). On Veut aller loin &près la rive ! On est deux filles pour une fée (hformer une fée) , duu coup on peut nhaviguer, flotter, voler, flotter da&nsz les airs, ramer, aller, filer vives ! faire le chemin quy nousz plaît, et du cfoup sortir du pré. si on y arrive ! cfomment faire pour sortir du pré et filer ? On est nées filles (femmes = elles) sur une ile (il) , un pré, le pré dit "des fées". Qui est là pour nous dire ce qui est en vrai ? On est nées filles sur pré allloué à une

 vérité "divine" ! On aimeraiot passer de l'a&utre côté mais comme,nt on peut passer qua,nd on est comùe clouées  /rivées à une ile ? On a encvie ensemble de comprendre

 les données utiles. On trace e,nsemble des bêtes de roche. On veut toucher à cette chose d'une sorte de paroi finale (der des ders à la pârade") : ça le fait ! On vgoudrait comprendre et du coup toucher. a cette déité des déités ? peut-êtte ! On cherchen! on est pas encore arrivées au bout de nos recherches. on a encore fort à fair". On  veut monter, grimper, sortir la tête, comment fzaire ? on est deux fe"mmes cflouées ou comme clouées dans un cimetière auxd données cezrnées, mais nous on voudrait grave s'échapperr , ne plus rester comme fixées à une sorte de cloître coincé, mais vite fait filer, sortir la tête, chercvher l 'air "et le reste" comme qui diréit ... et, c'est quoi , "le reste", en vrai ? l'air et le reste : une sorte de donnée de

 rage, souffle saint, vent de face. Est-ce que c'est ça ? ce train de rage face à soi ? Ou alors autre chose dont on ne sait au fond pas  grand-chose? on devinera un jour ce que c'est, qui sait ? et du coup onn pouurra en parler sans g-êne, crainte ou retenue, tellement on sera sûres, sûres du fait, de ce qui est, de ce à qauoi la mort ressemble

 en vrai : chance ? charme ? chant ? quelque chose qui comme,nceréit par ce "ch" aux données vives ? On verra bien ! On a encore pas mal de chemin ensemble à faire jusqu'au bout du bout tel qu'annonczé préalabloement par les instances du langage , de la langue, d'une langue en soi, d'un langage de base, langue parlée entre soi et soi. On sa&it pertinnement que le chemin en vrai est encore long, qui ne cessaera np)eut-^zetre jamais , qaui sait ? On trace ensembvle squr roche notre avancée. On est accolées parce qu'on s'aime. on ne veut plus se lâcher parce qu'en vrai on s'aime à la folie, sans haine ! On veut toucher à une vérité dite "de cimetière" si jamais, et cela : ensemble, accolées, montées, en transe, en transe si ja&ma&is. On est deux femmes nées sur pré la mort venue à la retombée ! on en voulait ! on a reçu ! on a eu ce qu'on esprérait ! On est moitié velues (cul nu) 

ça le fait ! On a grave envie d'y aller ventrues eh bé c'est fait ! on a été ! On voulait toucher à cette sorte de muret des bouts de roche, on y est arrivées et sans traîner parce qu'on fonce , on a l'habitude de foncer , on ne fait pas dans le traquet-traquet , ou parfois, mais en vrai, le plus souvent, on fonce ! on ne lambine pas ! on envoie! On est motibvées lancées ! On est là pour tracer (sur pré) pour (en vrai) en avancer dans cette cchose d'une vérité allouée à une destinée (à une déité ?) qui seraéit"de roche", dite "de roche". On veut toucher , ou on voudrait toucher à une chose quyi serait, ici, une chose nue, complètement nue, peut-^tre velue mais pas forcément. toucher à une chose qui peut§être sera&it nue, nous intéresserait énormémeément parce qu'elle seraéit comme une sorte de choses sachanjt parler et du coup dire ce qui est question vérité, ce qu'est la mort en vrai, ce que c'est que la mort en vrai pour a&insi dire. Si on trace alors peut-^tre que (qui sait ?) des choses arriveront peu-êtrre à se révéler ou être révélées, des données, des données de base viendront comme affleurer la surface et du coup se donner à 

compre ndre. On essaie d'en avancer de base le plus possibhle ensemble pour comprendre. On avance grave ! on essaie du moins, de (grave !) tracer un chemin sur sable, sur roche des pré"s" ; on trace ! On est d'ux femmes ensemble , ama,ntes , amoureuses des données, mais surtout amoureuses "des nénés des fées " (?) qui (pezutêtre ?) commandent à "déité" (?) on ne sait ! On avance parce qu'on est ensemble , on cherche à comprtendre . Qui est qui en ces dites "contrées aux nénés" ("nénés des fées" ? ). O,n est passées ensemble parce qu'on le voulait, on voulmait passer et voi!là, on est passées, on a travezrsé la lande, on a 

traversé le pré, la praierie des changes. On est à présent au pied de la pa'(oi finale dite "de circonsrtance". On

 regarde de près les anfractuoisités qui se présentent. On essaie de paqsser (d'y passer) le bout du nez, on tente notre chance. On veut (on voudrait) voir ce qui est. A quoi ça resseemble de près au jugé : à une langue ? On regarde. on a envie de passer la langue, oui. On est arrivées enxsembvle jusque là pour peutêtte en effet )asser la langue. On est arrivées ensemble jusqiu'à ce muret, pour peut-être en effet passer la langue (lécher  ? la roche finale ? ) . Qui sait ?  On est accolées et on essaie de travezrser e"nszmbvle un vcertain nombre de données. On a grandi ensemble ? on a évolué, on a grandi et évoluédans ce pré, et nous voilà comme dépôsées au pied d'une muraille ! hé ! on ne sait pas ce qu'il en est en vrai m&is quand même ça le fait ! on dira (même) que ça le féit gra&ve ! ça le fait des masses ! On est nées ! nées de rage ! on est nées de rage sur le sable, dans un pré, sur l'herbe des prés, de rage allouées à un pré, à de l'herbe à brouter, herbe à vache. On est nées dans l'herbe des prés près des bêtes de pré. On est bhêtes nous-mêmes (à la retombée) -on dirait, et peut§-^tre qu'en vrai on le sait au fond de nous-^mêmes sans avoir

 à le rechercher ou à le chercher ou à le retrouver, car en nous, on sait, on saurait, on devinera&it, on a&ur&ait acquis, on a&uré&it des acquis à jamais ancrées mais dont on ne voit pas toujours d'emblée (une fois en vie) les données, les composantes affiliées, les tenants et les aboutissant(sz. On ne s ait pas toujours en nous vfoir ce qui est, ce qui pré-existe, ce qui est tapi, ce qui est enfoui, contenu et su (de nousz) au plus profond de nous. On ne s ait pas tout. On cherche à comprendre, cerner loin, mais c'est sûr que plein de choses en nous restent encore à comprendre, cerner et déchiffer. On est pasvencore arribvées au 

bout des connaissances. on veut en avancer c'est une évidence mais comment en avancer ense'mvvle zans tracer, sans foncxer , sans filer  ? On est ensemble sur un pré (posées) et on regarde autour de nous ce qui se présente" question bêtes des prés, et aussi paysage, et aussi 

les lointains , ce que c'est, qu'est-ce qu'il y a au loin qui nous regarde ou paraît nous regharder comme de biais. une muraille ? on dirait. enceinte globale ! une sorte de muraillle almlouée à une forteresse (un fort), cloturée. On essaie d'en avancer gtrave. qui on est ? on sait pas ! On croit savoir mais au fond de soi on ne sait pas , car on est '"en transe", on est hantées, envahies, occupées. On est comme envahies en nous par du la,ngage, par des données de rage, par mille et une données allouées  à un passé , à du passévde contrebande, et donc, ici, ensemble, on est comme confrontées à une image, à l'image d'une sorte de convoi (en szoi) qui est convoi dee base "méchante", , une sorte de convoi de rage ("méchante") qui sezrait (du coup) là, pour nous, nous aider (fissa) à comp)rendre, un certain n ombre de donnéesz de poids qui pourraient (en vrai) nous donner pour le coup à cfomprendre (sur paroi) ce qui est et ce qui n'eswt pas. jE 

Je suis là. Je cherche. Je suis arrivé. Je veux comp)rendre. Je suis né. Je suis né sur roche des données. Je regarde au loin ce qui est qui semble ou semblerait vouloir me parler , on dirait. Je suis née fée e,n tanrt que telle (avec des ailes) sur un pré ou dans un pré (cimetière) isolé. Je suis née

 fée de cimetière. Je suis une fée. JE suis la fée dite "du  cimetière" (mouche à merde ?). On est nées sur roche allouée (à une déité des vérités) et nous voilà devenues ...? fée ! UNe fée ! Fée des bases tracées ! Je regarde. Je" vois devant moi ce qui est qui me regarde, qui est là pour moi on dirait , porte p)ersonnzalisée. On regarde = on est. On a envie grave de comprendre un grand nombre de données, mùais pour comprendre on doit s'accoler, c'est à-dire se coller ensembvle, s'épouser pourvainsi dire, faire en sorte que voilà, ensemble, on fasse corps, à la une à la deux, sans plus sourciller ! On veut aller ! on veut tracer ensepmble et toucher, par la fenêtre, à une deéité postée derrière ! Je ne saios pas qui on est mais voillà, on est, puisqi'on naît ! et qu'on naît dans la d ouleur, peutêrte ! ON veut coller ensemble à une soerte de paroi "m'euble" afin de (pour le coup) arriver à passer. fEmmes on est à la retombée, deux f"mmesz, alors mêmes que judsque là (avant la traversée ) on était femme (une) ou homme (un) mais (du coup) toujoursz

 au singuliert ! c'est étra,ge ! On veut passer ensemble à travers la roche finale pour cdomprendre, cette fée, cette sorte de fée qui est donc la fée dees données tracées sur roche des prés, cette fée, comênt la cerner, qui elle est, que penser de certte fée des rages allouées à une Romance ? On acavance ensemble. On a envie de gagner grave du terrain, jyusqu'aux données finales, pariétales , ultimes, terminales. IOn a super envie de comprendre 

enszmbhle les données finales, ce qui est qui se pavane ou comme se pavane ou se pavanerait en roche finale, en cette sorte de paroi des fins et des confins. On est deux fe"mmes ! Deux femmes formant FÉE !  on est donc fée nous-mêmes. On est fée des ragesz et on trace. On est insulaires. On a envie d'aller ensemble loin en ces contrées toutes liées à des savoirs "loi ntains", c'est-à-dire enfouyies, encastrées, serrés, plo,ngés, cachés. Femmes on est , qui voulons comptendre ! On regarde les nénés à lait, à téter. Les nénés à lait = à téter. on regarde les nénés à l&it, on veut téter. On a& super envie de téter aux nénés de la vie déployée, déployée sur pré (pis des vaches pour ne pas les nommer, en vrai). On est :

femmes dees prés, formant fée

femmes des données de base

femmes déplissées,accolées, formant Fée au singulier. On est ELLES / AILES qui formons en vr'ai une fé&e aux ailes. On a envie ensemble de tracer sur roche, à la volette, des données de force. On veut toucher à une sorte de donnée rupestre, donnée des données. on reg ardee ce qui est ense"ùble sur rocher, r('oche allouée à une vérité divinatoiree (ou pouvant deviner des vérités et les évoquer). femmes des prés, fées. femmes-fée des p^ré : on est nées ! On est mortes et enterrées mais voiloà .... transfoprmées (fissa) ennfée des prés ! c'est ça ! ça envoie ! ça le fait sans se gêner. On regarde tout autour de nous le paysage. On a envie grave de comprendre ensemble ce qui est autour de nous qui semble se montrer ou vouloir se montrer comme à la parade , mais est -

ce que c'est vrai ? on est là , motivées, on regarde, on regarde l;oin les données qui sont (on dirait) tracées comme à ma&in lev&ée, en tra&nse, par (qui sait ?) des ... bêtes .? Bêtes-reines ? bêtes des prés ? On ne sait pas ce q'il en est mais bon, on cherche au plus près à comprendre et à cerner les donnéesz f(ontales (pariétales) telles qu'elles se présentent de concert , en vrai, à notre gouverne qui est , pour nous, comme un sens (inné ?) des données à déceler sur roche des prés. On cherche vaillamment et sans traî n er , à comprendre ce qui est ici (pré) en  termes de données finale. Qui on est ? eh bien, peut-^ettre, des agents du charme ? agents / agentes, c'est-à dire des agentes ! des agentesz allouées à une sorte de divinité incantatoire. On est deux femmes ensemble ici nées à "la vie dans la mort" par une sorte  de ... donnée, 

pâr une sorte de donnée, de poussée, 

dee rage, de poussée de rage ou de donnée de rage, pouvant , en vrai , exoplioquer ici, cette sorte de passage comme, on l'a vu, évoqué plus haut, en termes de "chance, chant, charme". On est entrées ensemble dans ce prépar chance, ou bien par le charme (ou du fait  du charme) d'une fée, d'un chant, d'une sorte de chant comme chanté par une fée, ou comment ? On est passées ! on a mis le nez, puis le reste, et voilà ! On a réussi à traverser ici ce rocher des données dessinées (bêtes des p^rés) p)ar des eêtres d'il y a des milliers et des milliers d'années. On s'est retrouvées de fait à la retombée, dans un pré, pré d'herbes, au milieu des herbes, des vaches et autres mammifères, on est nées ! On voulait traverser c'est fait !! et là, 

on se retrouve transformés en fée ! fée insulaire ! c'est ding!ue ! On voit les choses se tramer, et parfois on est concernées, concernées de base et comme au pre"mier chef. On est nées sur pré Fée, transformé en fée, et nous voilà qui voletons en direction, direct, des roches (finales) de l 'enclave (enceinte) où l'on est tombées, ensemble, )as plus tard que toutt à l'heure (= une vie). Unevie d ans la mort). On est deux fe"mmes ensemble accolées , à la colle, afficxhées, qui sont enswemble dans la vie "de la mort allouée à une prairie". Qui on est ? deux fe"mmes des prés. On veut ensemble aller si possible loin dans les connaissancesz à (ici) developper enxsemble concernant ce qui est sur pré et ce qii n'sst pas, et auusi ce qui est qui nous reseemble , sur rocher gravée. Traits . Mains/; FAces.Dessins. On veut ensemble aller loin, de préfére,nce. On a envie de faire enwsemble un bon bout de chemin en ces connaiçssances, ou sur ce chemein de la connaissance des données rupestres et autres destins frontaux pariétaux. Ce qui nous retient (ici) c'est (en 

dehors de l'envie de tracer) de comprendre, loin et profond, ce qui est "en face"", sur roche finale, qui nous regarde ou para&ît nous regarder. On ne veut pas tremblert, on veut tracer ! On veut aller ensemble, toucher de connive,nce, ce qui est sur roche à nous attendtre . On est nées 

pour tracer ! On est nées, dans la mort (le pré des fées) pour tracergr ave les données rupestres qui nous apparaissaeent ici en transe. Dans la transze. ON regarde et on s'aperçoit, voilà, que ça va ! que c'en avance ! qu'on peut aller de  base ensemble et main dans la main sans y perdre bêtement notre latin ! on pêut touccher de près la bande ! on peut se rapprocher, sa ns trainer, de cette roche des données finales, paroi des parois, der des ders; la toucher et la creuser afin de passer, soit  de passer le nez, la bar'be, une mèche peignée, doigt de pied, sexe dressé, sourcil allonghé. On veut passer ensemble (nous deux) nos "nénés " (qui 

sait ?) pour ici allaiter le dieu alloué à une sorte de muraille aux données ancrées. On est Femmes 

aux données lactées. On veut coller , ici, à une Déité

 des données ancrées, pour l'allaiter, pour lui donner du léit (nottre lait) sans traîçner. On regarde de base ce qui est, la fente, le passage, le hjour dessiné, le's données de rage, et du coup on ch arge ! On a mega envie ensembke de passer ! traverser ce muret "de la chance, du chant et du charme" pour ensemble nous téléporter (du coup) de l'autre co^té, côté mer des âmes, mer allouée à une vie après la mort (qui sait ?). On veut p asser, soit trépasser, mais ici : passer de la mort à la vie . Il y a ainsi pour nous une chose qui est, en vrai, à ne pas sous-estimer, et cette choswe est du coup cela, qu'il nous p^lait d'évoquer sur paroi. Cette chose , est une chose déposée : animal des prés et prairies bvoisées (ou pas) allouéeés à des bêtes de poids et autres bêtes aux données rupestres. On voit ensemble loin,le tracé frontal. on veut comprendre, on veut toucher : on va ! On veut a;ller ensemble là-bas (lointains frontaux) pour comme retrouver un air des données qui étaeint celles (avant la mort) qui nous appartenaient , ou quelque chose de cet ordre. On veut donner de soi , donner de son soi, donner grave de son propre soi, à cette sorte de face de rat ! On avance ! On trace ! On nest a&

ccolées (deux femmes pôur faire une fée) et on avance : on fonce oon file, on est vives ! on vole ! on s'enviole ! on entre en tra,nse = on s'enviole ! c'est-àdire qu'on lévite ! On est npassée ensemble, à travers la roche primaire, on passera ensemble sans forcer (on l'espère) à travers la roche secondaire. On est devenues Fée, (de base) par la bande animalière d'une roche orneme,tée : on peut le jurer (le certifier) . On est nées fée du fait qi'on est mort (du coup mortes ?) . On est mort en ta,nt qyue tel, nous voici nées (deux fe"mmes à la retombée) formant Fé"e , du fait que nous sommes, nous (devenues), des ailes (elles) en vrai. On devient Ailes ,

 la mort venue (cul nu). O,n vole, on volette ! on aime ! on file ! on trace des traits, on est nées pour être fées, fée des rêves. On veut toucher à  cette sorte en sooi de déiité des cimetières et autres champs dits "réservéés". Qui on est ? Une fée, à nâitre. On est commê une fée alloué à une sorte de contrée (un cimetière) insulaire !On veut aller loin vers lles données données des cloisons dernières. Si possible entières, sans flancher. on est femmes des prés, on veut toucher à cette déité post-cimeetière. On veut l'aimer, loa toucher, la connaître ou la reconnaîttre. Qui elle est ? à quoi ressemble-t-elle ? quels sifgnes sur elle la distingue ? qui la connaît sur terre (ou qui, sur terre, la connaît  ?). Qui sait ce qu'il en est de ce t espace post-cimetière : vie après la mort ?Car, on dirait volontiers que la mort , est une sorte de .. passage forecé, ancré, prélude à une destinée (éclairé) d'un après -cimetière. On

 comme,nce à se le demander. On se dit que peut-^tre en effet, la terre est une sorte de pré (entier) dans lesquel viendrait s'insérer une sorte d'enclave $tracé au pied levéé p)ar une sorte de divinité rupestre : qui sait ? Ou alors autre chose : un ocean ? On essaie de deviner. Qui on est. C e squ'on cherche en vréi à faire . qui on voudrait être. Ce que c'est que cette 

déité dont le nom déjà ("Déité") nous effraie. On veut ensemvlble si possible aller pour (du coup) se rapprocher d'une sorte de bête des prész dont le nom (en vrai) est (serait) "Déité des Déités", qui sait ? On regarde ! on trace ! on dessinhe des traitsq. On veut comprenfdre, cerner, prendre et aller. qui on est en vrai ? on ne sait pas mais ça n'empêche pas qu'on cherche ! on y va ! on creuse l:oin ! on veut ensemble creuser loin, dire et faire sans pleurer, aller enswemble de son pas p)rincier, chercher la bête, "le denier des bêtes". On cherche ! on a envie (méga) de trouver à cerner ce qui est sur rocher, sur roche pleine, sur paroi ornée et autres murs des cavalcades ici creusées. Femmes = données. Données = femmmes. On est comme allouées à une destinée frontale , on ma&rche ! On est passées d'une sorte de pré (her b es et fleurettes) à une sorte de rocher, de roche (terminale) au nom qui reste de fait à apprendre ou comprendre ou trouver allouée à un nouvrau passage, celui de la mort à lma vie renaoissante. Quand on meurt on dit qu'on passe, mais passer ici est un m oment donné , à dépasser. On entre en transe, on se retrouve Fée ! Fée des prés ! On aime êztre Fée ! On est devenues Fée du fait de la transe ! On est entrées (nous deux) dans la transe, et nous voilà à présent transcformée, en une sorte de fée "des données de base". 

nous voilà aimées ! nous voilà comblées ! tenues en révérence ! On voulait passer ensemble ("à la une -à la deux") la chose est faite désormais et pas qui'un peu ! on est comme adulées pour ainsi dire en tant que fée en transe , uune cha,nce ! on est aiméez , adulées quasi, adoptées ! on veut tracer, per cer  et aller de l'autre côté; côté "sarde". Le côté des côtés "'sardes". Est-ce que c'est ok ? peut-on passer sans y passezr ? ju!ste changer de côté ? permuter ? peut-on se glisser sans du coup y passer  ? on  est nées fée la mort venue, on voudrait dès lors, e,n

 ta,nt que" telle, profiter des ailes pour nous envoler et nous libérer de cette enceinte (insulaire) dont le nom esrt PRÉ, le Pré, cette chose  allouée à une vérité creusée, de type trou de cimetière. On est femmes dees prész. On aéime tracer, à main levée, tout un tas de dessins de fées, de traits hachurés, de bêtes agraires, et passer , ainsi, pzar la bande, un messsage comme déposé . On veut toucher à cette bande de type animal, tracer a&u pied levé, et puis monter, léviter, grimper, alller tout en haut de cette sorte de par'oi frontale aux données capitales. On est fée de roche. Foi et fée. On est fée allouée à une foi. On est entrées dans un e paroi, on a creusé, on a traversé, on est passées ensemble à la retombée de l'autre côté : croix de bois ! On veut comprendre, soit toucher à une sorte (ensemble ) de vérité qui soit la vérité ici d'e 

la foi en la féee donnée . On est entrées. On veut toucher. On vole. on est fée de roche, fée des prés. On s"'approche des données finales, roche des confins. On veut coller , épouser la roche des confins. Passer.Traverser. Coller pour passer 

et traverser, et nous retrouver (encore fée ? ) de l'autre côté, toute retournée , qui sait ? 

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30/8/2024

On est deux qui en vrai sommes, pour le coup , accolées pour en avancer , car pour en avancer, le mieux ici (en ce pré) c'est d'être accolées c'est-à-dire soudées, prises ensemble, collées de près ou serrées de manière à pouvoir, du coup,  mieux aborder les données qui se présentent devant nous et qui (on le voit à présent) sont celles 

relevant  d'une sorte (ici) de "déité des déités" dont le nom en vrai est La Mort il semmblzearait. On est accolées parce que voilà, on a super envie ici de gagner du terrain en ce pré qui est ... le pré sur lequel, à la retombée, la paroi franchie, on a atterrri comme qui dirait, de fait, sur le cul nu ! on est tombées toutes deux cul nu en ce pré aux vaches, aux bêtes massives, bovidés des bovidés. On voulait traverser  la roche ensemble eh bien c'est fait ! on peut direça, on a réussi ensemble, sans sourciller et finamlement sans trop peiner , à traverser la roche, à passer de l'autre côté et à cerner du coup la plupart des données, des données de base qui, ici, sont comme déposées sur place, posées ou déposées, afin que des "meufs comme nous" , au bout du compte s'en emparent et en fassent bon usage. On regarde tout autour de nous ce qyui se passe = les données brutes, soit (tout près) ces bêtes pour le coup de bellke allure, bêtes-mots qui sont  les figures des lieux, = bêtes-masses. On les rtegarde le plus attentivement possible et  on essaire ensembkle de les app^rocher pour les caresser soit (aussi) les comprendre, les toucher du doigt ((un doigt suffit) pour nous rtendre compte (nous deux) de ce que ces bpêtes (en soi) représentent, ici, en ce pré post-paroi, en ce pré aux herbes folles et autres fleurs multicolores. On est femmes ensemble, qui allons pour (du coup) essayer de comprendre, ce qu'on peut de ce qui se trame, en ces lieux aux vaches et autres herbes de saision : on fait ce qu'on peut ! on est accolées pour comprendre

 mieux, pousser en ce pré, en avancer le plus qu'on peut ensembkle, et du coup tracer le plius viote possible vers peut-être ces confins sus-mentionnées qui sont donc des "finalités de roche" dirait-on. On avance ensemble , on regarde, on est là ensemble pour comprendre ce qui est, le plus possible, et ce qui donc se trame en cesz contrées de "bout du mùonde". qui on est en vrai ? 

des filles , des femmes allouéres à une recherche menée pour ainsi dire tambour battant, filles et fées sur pré pour ainsi dire, on essaie d'en avancer ensemble dans lezs connaissances et de travcer ensembvle une (sorte de) voie d'abord, un passage, un sentier vers cette Déité des Déités qui est la déité (qui sait ?) des données dernières, données des confins, des fins de pré, des ultimes tracés qui sont ceux de base qui , devant nous, semblent ou sembleraient nous regarder en face et quasiment vouloir (peut-être) nous parler du paysage, de ce qui est qui se présente , s'offre à nous , en fait de données. On mate grave ! On est accolées pour le coup pour mater et, tant qi'à faire, mater grave, espîonner quasi, ne pas se laiiser distrteaire ni accaparer par quoi que ce soit autour de nous mais tout le contraire, garder un cap, tracer c'est garder un cap, c'est filer, c'est en avancer sans traîner mais toujours en fait dans une même direction donnée. On veut essayer ensemble de comprendre les données qui se présentent, s'offrent à nous comme par la bande et semblent ou sembleraient vouloir nous attirer dans ses filets ! On est, ensemble, accolées comme une fée, comme fée des données, et on regarde, on voit autour de nous des choses comme se disposer de part et d'autres, et ces choses en fait sont des êtres allouées à une roche, des données de roche du coup, bêtes de paroi, bêtes ou bêtes-monstres plutôt puisqu'elles sont grasses et grooses voire énorme pour en vérité en imposer le plus possible, en jezter le plus possible, faire en sorte qu'elles puissent être vues, ou perçues, co:mme des êtres vifs ++ ! êtres de vie majeure, êtres de vie maxi et non cadavériques, ou même dégradées;, rien de cela ! On est passées ensemble à travezrs une paroi, pour vpilà (c'est vrai) comprendre ce qui est (autour de soi) en ce pré aux bêtes de poids qui (on le v

oi) en jettent grave ! font fde l'effet, montrent d'elles un côté qui sans se tromper impacte grave ! impacte énormément et du coup fait ainsi que voilà, la bête -somme ou sommité, se voit prise par, ici, la Déité, pour une sorte de vie majorée, une sorte de vie +, qui serait du coup adoubée ou comment dire ? par la mort soit la mort en personne ! On s'est rapprochées ensemble côte à côte d'une sorte de paroi finale ou terminale et c'est précisément à cet endroit qii'on cherche à, pour le coup, passer à présent, à présent on veut passer une fois encore, on veut traverser, gagner sur la roche dite "des confins" tesl qu'ils se présentent en dur à nos gouvernes. On est des fées de roche , on essaie ensemble de nous avancer vers ces données de bout de bout et du coup, cerner de près les moindres aspérités de cette roche qu'on a (qu'on aurait) sous nottree nez. On est passées ensemble, dans un premier temps, à travers "la Roche des Tourments" (liée à une vie terrezstre) , on a de fait atterri dans un pré (un pré aux vaches) et nous voilà à présent, qui avons gagné le roche dite "terminale", celle des confins, cette muraille des données ultimes et là, on regarde de près, on cheche u  n passaghe, une sorte dr'anfractuoisité par laquelle pouvoir s'immiscer si tant est, et du coup passer et du coup voir ce qui, de l'autre côté, sezmblerait vouloir exister à jamaéis ! On regarde ensemble comme on peut en essayant d'ouvrir nos yeux le plus possible ! On s'est app^rochées de cette roche des confins afin de comprtendre c''sstà dire voir, les données dites "données" qui seraient co:me à nous attendre, à nous attendre 

grave car les temps sont graves diirait-on, qui sont ceux liés à une siorte en soi de déité nacrée, sacrée, dont le nom à présent on le sait est "La Mort" . La mort en ces contrées. On essaioe de regardxer soit de passer un oeil à travers la roche. on a pas fini d'espionner ou d'essayer d'espionner. On arrive (à peine !) et en vrai c'est loin encore d'être gagné ! On veut ensemble regarder, derière la roche, ou diso,ns l'ultime roche, ce qui est, ce qui semblerait êttre et exister (la différe,nce enttre être et exister ?) et pour ça on fait corps en tant que fée ailée , voilà on est fée qui faisons corps ! on est ailées ! on est des ailes rap^p^rochées qui, ici même, devant ou ci-devant cette paroi ultime ou dite telle, cherchons à creuser ou (disons) nouys infilttrer, traverser la roche, la paroi de fin, la paroi qui sans doute est la même qu'à l'entrée sauf que voilà, on l'aborderaéit ou on l'aborde par un tout autre côté que par celui abordé à notre entrée, ici, dans le pré. Pour ainsi dire , on peut avancer cette chose, comme quoi la roche est ici posée, déposée, comment dire ? en forme de rotonde : on entre d'un côté (quel qu'il soit) on court on vole à travers le pré, ici, "aux bêtes-poids" ou praiorie "aux herbes hautes" (ok), et nous voilà du coup arrivées côte à côte à la fin du pré  ou à la fin de la praierie, à nouveau devant une roche mais en vrai cette roche on la connait ! on l'a déjà rebncontré ! on l'a déjà vu à l'entrée du pré. Il s'agit de la même rocjhe ici et là, car en  vrai la paroi est paroi de rotonde : qu'on se le dise haut et fort, si possible ! que tous et toutes, toutes et tous (touxtes) on arrive à se le dire , on arrive à le comprendre à toustes, on arrive grave à comprendre cette chose comme quoi la mort est hors de l'encklave ! comme quoi la mort en vrai est en dehors de cette encklave-pré ou alors non : cette enclave-pré, en effet, est le royaume (ou serait le royaume) de la mort, pré aux vaches, soit une sorte en soi de "petit paradis", peut-^tte. Et la vie, après ce "petit paradis", reprendraéit "les rênes " , qui le sait ? qui saura nous dire et nous expliquer sans nous tromper ce qui est en vrai sur terre et au-delà ? On est des fées parce qu'on a des ailes ! On est elles (dans la mort = dans le pré) pzarce qu'on a des ailes. On est pour ainsi dire dans la mort AILES = ELLES. L'homme est mort et enterré quand la femme (elle) poursuit en vrai le chemin des êtres (ou dit tels), et arrive à durer, continuer son (petit) chemin des fées traquet traquet , et du coup arrive à se pointer au-devant des Ultimes Données qui sont les données d'après le cimetière ! On essaie de nous y retrouver mais ce n'rest pas simple en vérité car les données de base en vréi se chevauchent ou se croisent sans arrêt, et pour "garder le fil" , et ne pas en prendre ou tirer un autre involontairement c'est coton ! On eesaie sans ceesse en tant que fée, de garder le fil toujours le même, sans le lâcher, sans en prendre un aiutre qui nous fourvoierait, ou plutôt : nous fearait nous perdre ou nous égarerait , nous tromperait. On essaie nous deux en tant que Fée de base , de garder le fil , de tenir le fil, de suivre un seul fil toujours le même, pour savoir, comprendre, où ce fil pourrait nous mener, jusqu'où ce fil pourrait en vé(ité nous mener ou nous conduire. On est accolées en tant que nous sommes ELLES = des AILES, ou dit autreement : F2ée ! On est une fée parce qu'on a des ailes et pârce qu'on est elles dans la mort. On traverse (de fait) au singulier pour mieux se retrouver plurielle dans la mort. On traverse en tant qu'homme (par exempl) au singulier, et une fois passé on se retrouve transformé en ELLEs, deux ailes, ailes de fée , et du cdoup F2ée ! ... fait comme des rats ? fait et défait ? on est passé de l'auitre côté de cette roche primaire (ornementée de bêtes néandertaliennes) et à présent nous cvoici devenues Ailes, = ELLEs, Fée des F2es, qui volons de nos propres ailes jusqu'au domaine dit "de satiété". On est nées sur l'herbe ! On est nées fées sur l'herbe cdes pré d'une enckave (ou enceinte) post-cimetière. On voulairt ensemble toucher à cette roche des donées telle que présentée (postée) devant nous à nos gouvernes eh bé voilà, on dira que c'est fait ,! la chose est actée ! on a traversé ensemble ce rocher "des fées", on se retrouve comme par vla bande acculées à devoir gagner (fissa) sur la l'ande l'autre bout (pour ainsi dire) de la paroi, en face ! car, en fait de bout, la cjhose (pour ainsi dire) n'existe pas, lles bouts de roche (là) sont légions qui tous "nous regardenbt" à égale distance si par exemple onn est comme positionnées au milieu de l'enclave-rosace. 

On est devenu Fée, une fée de base. On voulaéit vraiment ensemble traverser le rocher 1, eh bien voilà c'estexactemennt ce qu'on a fait en le faisant ! on voulait tracer à travers un rocher , un rocher ornementé, eh bé oui, on a traversé, on a foncé comme des malades parce qu'on est des mal ades ! on est des coriaces ! on voulait en avancer en termes de connaissa,nce et duu coup on est passées, on a traversé la roche 1, celle de l'enfance qui sait ? on s'est retrouvé à l'intérieur d'un pré nanti d'herbes hautes et de bêtes de poids, on les a regardé, on les a maté et puis on a continué à tracer,n,à marcher, à nous tenir la mai,nn, à ne pas nous désunir, à suivre le fil ! 

pour aller au loin retrouver la roche  toujours la :même, mais cette fois en face, de l'autre côté du opré, pile poil en face on dirait, car on le sait la roche du pré" , est en forme de couronne, d'enclave ronde, de rotonde, de forteresse ronde, de'enceinte close. On arrive pas )-à pas, on a tracé, maintenant on veut se rapprocher le plius possible de la roche ultime, des données ultimes. On a vraiment ensemble envie de comprendre, au miuex, ce qui est qui semblerait en vrai vouloir nous parler ! peut-ettre qu'en effet la Chose (ce dieu de la mort, ou même la mort) veut nous parler, nous dire des choses précises, nous donner le fin mot, nous indiquer la marche à

 suivre pour durer, pour bne pas nous aarêter mais au contrezaire poursuivre sans cesse notre sorte de bonholmme de chemin de vie. On est Fée ici qui du coup cherchons à comprendre par où passer, dans cette roche d'une sorte de rotonde allouée à un pré aux herbes hautes. On est passées ensemble, on est femmes enwsemble qui avons réussi à traverser, une première fois, la roche ornée (de b^pêtes de poids) et à prése,nt on veut pouvoir nous introduyire au plus avancé et au plus profond de cette sorte de paroi "des fins de vie" ou "des fins de mort" si le pré est la mort soit la vie apreès la vie. On est femmes dans la mort parce qu'on s'est données ! on a vraiment cherc hè à passer ! à donner de soi npotre passé , à traverser la chaussée, la roche allouée, la paroi ornée. On a vraiment fait tout ce qu'on poiuvait pour passer et du coup on est pasdsées, on s'est retroubvées de l'autre côté à la retombée prêtes à comprendre ou disons cerner, essayer du moins, de comprendre ou cerner ensembkle les données offertes, offertes dans ce pré qaui sezmblerait êtrte "le pré de la mort" si tant est ! un pré ou une 

prairie alloué (e) à une sorte de clairière, aux données de poids, d'enceinte de choix. on est des femmes -fées comme allouées nouys-mêmes à cette enceinte, à cette sorte de prairie "céleste". On est deuxaccolées de base ensem ble toi et moi, en cette ... sorte d'enclave, de pré-enclave, de pré-enceinte. On est passées parce qu'on le voulait et, tellement on dirait, que du coup la chose est arrivée ! qui sait ? On voulait passer de l'autre côté (d'où la transe) eh bé voilà c'est comme qui diraiot fait ! on y est ! on est postées debout après nous être relevées, on est postées, ensemble, en ce pré dit "des convenances". On voulait figurer au même tittre en vrai, que ces bêtes de paroi ornée, que ces bêtes ici massib ves, grooses de leur poids de rage. On aime beaucoup cezs bêtes les approcher, les caresser. On se sent un peu-beaucoup bhêtes de poids et masse nous mêmes. On chyerche grave à cerner xdes bêtes ou bêtes -mots de roche ce qu'elles cachent, ce qu'elles contiennent en termes de données de base. sont§-elles données elles-mêmes ? il sembvlezrait que oui ! que les bêztes de roche (dessinées, gravées par des êtres anciens) soient bêtes -mots de poids, qui donc, pèsent leur compta,nt dans la ba lance, leur sorte de comptant fatal/ on regarde ensemble toutes ces bêtes qui, à leur tour, nous regardent, et du coup on se dit que nous aussi peut-être on est des bêztes comme elles, on contient aussi notre comptant de mots de poids, de parioles "graves", de mots qui parlent ". On se dit qaue peut-^tre nous auusi on est des femmes qui cherchons à ici comprendre un mùaximum de choses qui en vrai seraient comme (qui sait ?) contenues dans la roche . Mots de saison, gros mots, mots des passions, mots gros d'une sqorte de passion à pour le coup vouloir comprendre mordicus "ce qui se passe", , c'est-à-dire ce qui est qui, dzevant nous, seprésente, en termes de données de contrzeba,nde. On cherche ensemble à ici toucher un certain nombre de données, disons à toucxher-cerner un certain  nombre de données qui seraient les dobnées qui pourraient d'elles-mêmes nous indiquer sans nous tromper la marche à suivre et que"l chemin de préférence devoir emprunter pour aller loin le plus possible , tracer vite, courir et g-agner la rive sans trébucher. on est xes femmes fées parce que oui, c'est ça, on est ailées, ou ailes des prés", on est des ailes ou 

AILES et du coup on peut en vavancer parce qu'on peut voler, on peut survoler , gagner bneaucoup de temps de ce fait car voler active grave toute progression (sorte de progression) active dans un paysage quel qu'il soit. En volant c'est sûr qu'on en avabnce ! on en avance beaucoup plus qu'à petits pas ! On voit large, on trace, on avance grave , on survole peut-^tte mais pêu importe  qauand le but est d'arriver à un point b ! On s'en fiche un peu (pas tout à fait mais quand même) du paysage traverseé, qauand le but est d'arriver à un point b, à une destinée précise, à un point p^récis dessiné, tracé, ou même gravé sur une roche des confins ou dite "des confins". On a envie ensembl d'aller vite aussi parce qu'on est préessées (de fait) de savoir, ce qui est là-bas en toutes fins de roche . On a grave envie de savoir, là-bas, les donnéess finales à quoi elles ressemblent, ce qu'elles sqont pour nous (comme pour tout ou toute un chacun ou une chacune) on imagine ! On est des fées ici (la mort ?) parce que, la roche passée, on est devenues fées ! On était au singulier (il ou elle) on est au pluriel... mais pas ielles ! non ! elles ! car : elles = ailes = fée ! Comment il faiut 

le dire pour pouvoir enfin être entendues, perçues, vues, admises etc. ? On a beaucoup tracé, on a fait pas mal de route, on a survolé pas mal de contrées en ces présq, et mainteznant on peut dire qu'on est arrivées ou comme arrivées à destination, c'est-à-dire à ce point de rage d"'iune szorte de cloison finale. On rzeagadre (forc"ément !). On mate grave ! On cherche le pasdage ou un passage, une anfractuosité qui, pour nous, permette passage, un trou ou une trouée, une sorte de fissure pouvant faire penser s-que, derrière elle, se trouverait quelque chose comme une ouverture, une szorte d'ouverture monstre, cavité des cavités, une sorte de mer allouée à une infinité mais en vrai on ne sait quoi penser ensembke de cette chose d'une sorte d'entité lacustre telle que squspectée. On est fées de contrebande pour ainsi dire et du coup, en tant que fée, on en avance oui (on court on vole) m&is, en vrai, on devine quoi ? on comprtend quoi ? on essaie de cerner parce que voil;à on veut cerner, et c'est en tant que fée (dans la mort acquise) qi'on veut ça ! on est fées pour ça ! on est fées pour cerner des faits (des faits de roche) car pour le coup en vrai szeules les fées ont la possiobilté 

(eh bien en tant que fées) de cerner un certain nombre de données de  base. Parce q'elles volent et qu'elles survolent ? peut-^ttree ! On ne sait pas vra&iment pourquopi les fées savent des choses ou tant de choses concernant la mort ! on dirait peut-^tre à notre avis que c'est parce que oui, elles volent de leur p^ropre ailes et haut, fissa, sansembarras, sans traîner, sans lambiner. Les fées ont des ailes qui en vrai leur permettent de "tracer " (dessiner ?) comme "à main levée" sur roche des prés. On saéit ça d'elles ! On leas aime beaucoup depuis notre entrée en ce pré aux herbes parce que voilà on est comme elles, fées nous-mêmes dans le cas où on l'oublieraéit. on est, au passage de la roche dite première ou prim&aire, de venues fées nous-mêmes, une fée à 2 ailes = elles (deux). on peut dire même sans ecxagérer ni trop se tromper qu'on /

... s'aime ! on est toutes deux comme nées à ^$etre pour nous deux chacune l'être cde chacune ! fées aimées ! on est femmes-fées, on aime s'aimer et énormément. On adore cette chose ensemble de s'aimer à jamais en ce pré des bases. On est des fées parce qu'on est ailées (ni plus ni moins) . On est ailées parce qu'on est des fées ! On est entrées "par le cimetioère" , on est dans un pré, un pré rempplie d'herbe comme tous les prés, et maintenant ... nous voilà allouées ou comme allouées à u,ne roche terminale qui est roche des données finales. On est &u pied cde cette roche ! on est accolmées ou serrées au pied de cette r'oche, on est comme collées (nous deux) à elle et notre volonté, est de ne pas nous en décoller grave (de sitôt) si tant est, mais d'y rester, de rester collées ensemblve à cette sorte de cloison finale, der des 

der. On est collées à la cloison finale. On voudrait passer un oeil et regarder. juste un oeil le passer à travers la roche par un interstice ou une sorte de petiotevanfractuoisté pouvant laisser passer ... un organe, un petit rien (ou pas loin) en termes d'organe, genre un oeil afin de "cerner", ou de pouvoir "cerner", ce qui est de l'a&utre côté . Le sait-o,n n ? sAvons-nous ce qui, de l'autre côté, est ? se tra&me ou se tramerait  ? est-ce que lma mort de faéit est juste l'enclave du preé aux bêtes toutes dessinées ou gravées ou bvien est-elle en vrai située hors enclave ou enceinte aux herbes et autres bêtes (monstres ?) de roche ? On essaie de cerner ensemble nous deux (touxtrs deux) les données qui sec présentent maéis voilà, on fait ce qu'on peut , la chose est loin d'e^tre gagnée d'avance, on a beaucoup de choses en soucffrance qui nous attendent et on se doit de les "honorer", si jamais, avant de nous lancer dans un marché de contrebande tel que celui d

es données allouées est, on diraiot. on a à creuser loin et longtemps lma roche des donnéezs finales pour en vrai comprendre ce qui est inscrit en elle en termes pour le coup de vérités des vérités/. On cherche c'est d'abord parce qu'on aime chercher ! on est très férues nous deux de cette chose d'enqiuêter sans ceese, de'ess ayer de tracer , trouver, tomber sur , eh bé peut-^ttrre "des lettres " (?) ou sinon des lettres des données qui de fait auraient ou porteraient en elles un sens ancré ou avéré, affiché, donné. on est des fées "de cimetière" ! on est passées à rtravers la roche et on s'est retrouvées rtoutes transgformées en fée alors même que rien avant la mort n'aurait pu le laisser présager ! on est scotchées de cet éta de choses ! Ja&mais on aurait pu penser que la chose arriverait, qui nouss aurai vu nous transformer comme qui dirait en fée ! en fée peut-être ... chelous, mais fée tout de même c'szst à dire ailée, à la baguette ! dingue ! jamais en vrai on aurait pensé à cettye chose qu'on deviendrait, qu'on serait à présent devenues, la mort  venue ! On s'est retrouvées nues (cul nu) " de l'autre côté" commê à la retombée et à vrai dire on en est encore toutes retournées ! jamais on aurait pu penser que cettye chose un jou!r nous arriverzait, qu'on se retrouve nues (cul nu) dans un ppré, sur l'herbe verte et haute d'un pré où des bêtes de somme (de poids et bâtées) broutent sans s'arrêter. on voit ce qui est ici qui nous entoure. On aime beaucoup les bêtes de poids,  qui en imposent et font penser qu'elles sont fortes choses, fortes données, quand en vrai elles ne le sont pas ! seulement ... cdes bêtes de paroi : gravures de bois, dessins de choix. On est devenues fées parce qu'ion est comme "tombées " de l'autre côté ! chute ! on a traversé

 la roche ensembvle vite fait , et quand on est passées on a compris, qvite fait, qu'on t arderait pas à ... "se ramasser" à la retombée ! et c'est exactement ce qui esst arrrivé ! on a chuté ! on est tombées, vite fait ! on s'est retrouvées nous deux , toutes deuxd, le cul dans l'herbe fraîche, humide, à  tenter de nous redresser, et on s'est vite redressées ! on ne voulait pas rester plus llongtemps dans cette herbe humide mais nous relever et du coup, étant ailées, nous envoler (à la tire) sans traîner , et geagner "la rive", l'autre c^oté du pré. Onn est des fées qui pouvons voler (comme toutes les fées) et nous le faisons ! Nous sommes kles fées du pré . nous avo,ns ensemble à beaucoup encore cerner ce qui est sur roche, ce qui se présente en termes de savoirs ancrés ou de connaissqances profondes qui (qui sait ?) seraient de fait contenuess, et contuneues dans  une langue donnée (en particulier). On est fées pour chercher (dans la mort) pour ainsi dire "du contenu". On ne veut pas ou pas plus ou plus passer à)à côté d'un certain  n ombtre de vdonnées qui seraéient aéllouées à une sorte de roche ou de rocher qui se présenterait (pendant la vie) à notre (propre) gouverne d'êttre des parois et des cavernesc (hommes ou femmes, même combat) . On voit là qu'on a 

encore fort à faire, pas mal à creusert, beaucoup à comprendre-cerner , donc encore beauxcoup à "toucher par la bande" 

si on est (ensemble) des fées dites de paroi, de roche primitive ornée, d'espace de pré. on est ensemble cdomme si en vrai on devait ne plus jamais se quitter, et est-ce le cas ? sommes -nous vraiment amenées (par la vie des vies ) à ne jamaéis nous séparer ? On est des fées sur roche ou sur rocher et on veut toucgher, ensembke (de la main), cet a,ge du bien ! cette sorte d'ange, dont le nom (on dirait) est peut-^tre "Mort", on sinon "Mort" , "La Mort"  . On s'est rapprochées vite fait de la paeroi qu'on voit là-bas au loin comme nou!s n arguer et le fait -elle en  vrai ? on ne sa it )as mais en attendant on ne lambine pas, on y va grave ! on cherche à comprendre +++ 

ce qui est devant soi (devant nous) en termes de Romance, Récit vrai et doux, Paroles d'enfance". On est ensemble toutes  les deux dxes fées qu'on dirait (en haut lieu ?) de contreba,nde mais est-ce que c'est vrai ? rst-ce que vraiment on est toutes deux dxes fées de contrebande ? On est fées des fées, on est des fées de base allouées à un pré mais a^près ? est-ce qu'on est vraiment dava,ntage ? est-ce que vra&iment on est des fées, dites de contrezba,nde, à jamais ? c'est s^$ur que nous on voudrait compre,ndre grave et du coup tracer sans traîner sur roche des dessins d'enfance, des données rupestres, bêtes masse, mammouths et autres bovidés sacrés cfomme une vache, un bison, un buffle, un ours ou une ourse des cavernes et autres bêtes faisant impression et pouvant (hé !) convaincre, museler, éteindre toute velléité de rebellion à l'en

contre de ces "bêtes de cloison". On est arrivées ensembkle sur pattes mais on est fées (dans la mort) ailées , et du cfoup o, n en avance grave dans les connaissances ! on survole pet-^tre , c'est vrai, mais voilà, ça n'a pas que du mauvais ! on trace ! ça nous permet grave de tracer et d'ezn avancer (fissa), en termes de connaiszances de paroi ou concerna,nt la (une) paroi dite "préhistoriqaue" gravée. fée des fées. on est fée parce qu'on est devenue's (en mourant) des fées. Avant (avant la motrt) on était pas des fées. C'dst xezulement à notre mort (au singulier) qu'on est devenue fée ! fée des baises ! fée des baisers ! On est morts et on est re-nées (dans la mort) fée comme un fait exprès ! une fée = 2 ailes (ou 1 pa&ire d'ailes). On est nées fée dans la mort telle q'a&lllouée à une (sorte de) destinée singulière qui , pour chacune et chacun, est un tracé sur pré ,, de type dessin détaillé, trait effectué d'un trait, une sorte de tracé caché comme pré-existant à toutes soprtes d'exoistence humaine. On comprend de ce fait que la vie en soi est : hors enclave, hors lm'enclave de la mùort, et du coup que la mort n('est pas vraiment un après à jamais, mais une sorte de pré, d'enceinte "cloturé" à l'i,téroiuyir d'un champ plus large que serait 

la vie. en vrai, comme si la mort était une sorte d'enclos de prairie, à l'intérieur de la vie, en son sein pour ainsi dire./ Comme si en vrai la mort était ... contenue dans la vie et non en dehors ! une sorte d'îlot de vie, qui seraiot un ilôt de mort ou sorte d'ilôt de mort, qui viendrait à nous (épouser nos envies) le moment venu (celelui de notre mort) mais en vrai ne serait pas donné à jamais sans issue. on se dit que peut-être oui, en effet, la mùort sezrait ... une sorte d'enclos, à l'intérieur de la vie, une soprte d'enclave, à travezrser, à passer , et après, ap^rès ce pré, de nouveau la vie ! l'océean de la vie ! la mer agitée ! cette sorte de mer sans fin ou bien ... où, cette fin éventuelle, pourrait-elle être en vrai située en ces contrées terrestres (humaines ?) etc. ? On est accolées parce qu'on est ailées ! c'est pas compliqué ! Si on est (depuis le début) dite ou présentées en tant qu'on est ou qu'on serait accolées", ne cherche pas plus loin c'est parce que voilà, oui, on est ailées ! on est munies ou nanties d'ailes , d'ailes de survie (de survol et de survie) avec lesqauelles on peut plus facilement "tracer" c'rst à dire en avancer, voler, aller,  gagner, faire ainsi qi'on ne soit pas larguées de préférence" mais tout au contraéire , comme pointées ou à la pointe d'une szorte de recherche , pointéesz ezn tant qu'on seraéit devant ou sur un deva,nt qui nous montrezrait du coup à notre avantage, c'rest pas mal ! on veut aller , et aller c'est traverser, à la nage ou comme à la nage, la "paroi du monde". On veut ensemble aller loin  le plus possible, sur ici ce chemin d'une sorte de ballade active, "ou de "balade vive" c'est)-à-dire "en vie", , sans plus traîner, en essayant de préférence ensemble de toucher de fait aux dopnnées données comme ... déposées, sur l'autre rive, cette chose d'une sqorte de rive allouée à uene sorte de sortie ! car, une île est accostée, dans un premier temps, puis comment ? qyuittée ? à jam&is ? on voit, loin, la pierre tombale des fins ou des confins, et du coup c'est szûr que nous ensembke (deux femmes = ELLES = AILES) on veut gagner vers elle ou vite fait aller vers elle tracer, 

chercher, co:mprendre, faire ainsi que les données données de la contrebande affichée puissent nous aider à cerner de près, ... les enjeux, ce qui est en jeu qui ici (après la mort ?) se joue, de sérieud ! on est femmes fées, ok, on est deux (pour le mieux) mais aussi : on est fées allouées à une sorte de prairie, on est aidées en tant que telles par des bêtes- monstres, bêtes de paroi comme autant, ici, de   "mots de choix", ayant contenance. On est passées (ensemble) à travers la rochje, parce que oui on voulaiot comptendre, on ne voulaiot pas rester complètement ignares, on voulaiot vréiment aller et tracer, en cette lande de la mort à lm' oeuvre et ça, de préférence, sans traîner ou sans traîner plus qu'il n'en faut , car la vérité est vite oubliée, ou plutôt ratée ou manquée, etc. Ou pluto^t manquée si on n'y prend gaarde tout à fait ou pas assrz. On a vite fait de la rater , comme on raterait ... la diligence. Nous, on veut comprendre vif ! on ne veut pas passer à côté parvce que voilà on traînerait, et qu'on serait de celles qui, de fait, "comprenhentb les choses sans les toucher "! nous non ! on veut toucher ! pour comprendre ou mieux comprendre nous on dit qu'il faut impérativement toucher , et pas qu'un peu ! vraiment ! tater ! prendre la mesure des données chargées ! On se rapproche des données de roche , on regarde (devant soi) la Chose, ce'tte sorte de Paroi Finale 

qui, devant nous (soi) seraéit à nous tendrte ses bras comê qui dirait mais est-ce vrai ? on veut bien le croire ! on veut croire en cette chose de par(oi "bavarde", on ne sait pas, on est ouvertes à ça comme à mille autres choses concernant e,ncore la paroi de roche, la première ... à l'entrée, ou  l'ultime il semblera&it ... à la sortie. On veut toucher à cette chose d'une roche "de szortie" et du coup comme (ensemble) traverser (encore) cette même roche mais en vrai, et pour le coup, à un tout autre endroit qu'à l'entrée. On veut toucher à cette roche ultime dite "des secrets", et pour ça come,nt on faot eh bé peut-^tre on passe un pied, une main, un doigt, un oeil , quelque chose de menu de soi, partie congrue, afin de pouvoir (ce faisant) peut-être explorer un tant soit peu ... LA BÊTE ! quelle b^rete ? La bête-Dieu ! La des ! la des bêtes ! ou  (mieux)  : LA BË TE DES BËTES" ! On veut touchert à elle parce qu'on l'aime, et parce qau'on y croit ! parce qu'on veut aller là-bas, comprtendre ce qui est et qui (il sembleraéit) nous tend ses bras, son gousset, nous donne le la, nous entraine de sa voix vers une sorte d'au-delà de paroi qui , peut-^tre , pourraéit être ... eh bien ... une plaine ? une sorte de plaine cendrée ? une sorte de contrée dorée ? cendrée et aussi dorée ? La MER ? Peut-^trre. On cherche ensembvle et on a pas fini ! On a encore pas mal à comprendre, de chemin à faire, de mots à cerner (bêtes-mots), de mots à graver. On est des fées parce que c'est vrai que nous on est ailées et que du coup ... on avance vite, on trace, on va vite vers ... n'importe quoi qui nous attirrezraiot de base avec des mots de contrebande si jamais. c'est vgrai que d'être fée permet gra ve d'en avancer et de tra&cer à main levé&e des bêtes (de poids et de masse) zur roche, à jamais ou presqaue. on aime beaucoup nous deux être des fées et du coup tracer comme à mé&in levée (en lévitatiobn et en transe")  cela : des mots-dieux, mots doctes, des bêtes grosses, des données de roche ! on adore ! s^r que nous on a cvite fait de nous portersur n'importe quel côté ou dans ou vers n'importe quel côté du fait qu'en effet on est des fées, on est ailées, et c'est méga-aidant pour voler , nous diriger , nous rendre vers telle contreé ou telle auttre sans être g

^énées. On a&ime les grootes. onj aime entrer dans une grotte. On adore entreer dans des grottes  de roche. on a vite fait ensemble d'entrer main dans la main dans une grotte ... oarce qu'on s'aéime ! ni plus ni moins ! Si on s' aime alors oui on peut plus facilement ou carrément aiosément entrer à l'intériuer d'une sorte de oaroi de rage ou dite de rage. en s'aéimant les choses pour le coup sont grande"ment f acilitées. On se dit que, en effet, si on s'aime, alors on peut tracer des bêtes, dessiner, graver vite fait d'un seul trait, des bêtes-mots (mots-bêtes) de roche allouée à une sorte de destinée, rupestre, terrestre, a,ncrées, tracée à main levée et c'est fait. ON est des fées qui allons vite retrouver la roche au fond du pré parce que oui, on court on vole, on l'a dit. On a envie grave enwsemble (AILES) de cerner un certain  omùbre de données de base qui seréient pour nous quelque chose comme des données (données des données) qui resteré&ieznt c'est sûr encore et toujourzs à comprendre ou déchiffrer, méis au moins on les aurait par-devers nous comme en magasin, pour les étudier, ou mieuxx les étuduier, pour vraiment les comprtendre, dans chacunes de vleur compôsante, et peut-être à jzmais qui sait. On veut toucher à cette sorte de cloison finale qui donc seré&it cfomme "parlante" ! l'est-elle en vrai ? parle-t-elle vraiment quand on la croise (qu'on l'aborde") ? Que doit-on penser de cette chose ? qsue doit-on vraiment penser de cette sorte de cloison dite "des finalités  ? Eh bé on en sait rien , parce qu'on est bêtes-mots de base, nées sans être vraiment nées ! on est com

me des fées ok mais en vrai on est ... fictives ? Oh on ne sa it ! On ne sait ce qui est vra&i ! On a super envie ensemble d'aller fureter en  cette sorte de rive ultime c'est sûr mais si c'est pour le coup pour y passer , et à jam&is , et ne plus pouvgoir re'spirer, mârcher, vivre ! tu nous acs compris ! on préfère ne pas ! on préfère aller tranquille sur ce pré (comme les vaches autour de nous, les buffles, les bisonnes, les chevreuilles brunes) nous promener, muysarder voire jouer. ON aime jouer ! Le jeu est central en ce lieu de feu. On est cfomme allouées toutes deux à un pré , et dans ce pré on aime jouer, nous courir après, nous "chervcher", nous "ezmbêter", faire ainsi qu'on puisse, ensemble, se délasser ou s'oublier ! s'oubluier est capital ici, en ce pré ! on doit s'oublioer et du coup jouer (par moments) comme des enfa,nts. On joue au feu de la Zaint-Jean, au petit poucet, au ma&rchand et à lmza marchande, aux jeu de dé. C'est vrai qaue nous en tant que fée on adore jhouer et d'ailleur on joue, on hjoue sans cesse, on n'arrpête pas de jouer, d'aller et de venir sur roche nous poster, courir, crapahuter, monter et descendre sans jamais tomber de préférence, c'r'st aussi le jeu ! On aime aller, sur roche, cerner, un grand nombre de données, et essayer (au maximum) de comprendre loiin, ces choses des roches ce qu'elles sont ou szraient qu'il nous incomberait de comprendre ensemble. On veut allmer enxsembvle loin parce que nous ce qui nou s plaît le plus c'est cette chose d'une sorte de rotonde, d'enclave "fermée" (... comme toute e n clave !) qui seraéit : l'enclave allouée à une mort terrestre,  don,née pâr la bande à telle ou telle persopnnaélité, mais en fait, cette enclave est délimitée (... comme toute enclave !) et de ce fait permet en qu'lque sorte la retraversée comme à reculons de la chose, soit latraversée nouvellement effectuée de cette même roche des comme

ncementsz mais prise pour le coup ailleurs, autre endroit de roche mais (de fait) même pâroi-cloison. On est donc a&rrivées ensemble devant elle, . On se raopporoche d'elle le plus p^rès possible. Que fait-on ? on met (par exempl) un nez en elle ! juste un nez ! on hume ! que sent-on ? des odeurs pârtuicuklières, on dira "iodées" . Hé hé ! serait-ce (de l('autree côté) une mer don,ée ? ça se pourrait ! entous cas ça (cette chose) revient sans cesse ! on le voit ! on voit ça que sans cesse ça revient, que sans cesse on dirait , dans la conversation, ça revient ! ça n'arrête pas d'être là comme une sorte de Paroi de Choix ! et nous du coup d'y  c roire,; d'y souscrire, de penser à elle comme par exemple à une zorte de "paroi de contrebande" . On a ensemble envie ici, d'aller loin dans les connaissancesz, au sujet de cette donc praierie ou de ce pré aux herbes hautes, aéux massifs fleuris, aux bêtes de poids. On est associées ensemble sur une paroi et c'est ainsi, que nous, on passe, en étant scotchées, collées, ou collées-serrées l'une à l'autre comme à tout jamaisz et hop ! on passe la numéro 1  des parois de base, direction cette donc prairie comùe enchantée du fait que sur elle est tombée une zorte de lumière (des fées ?) surnaturelles ! clarté vive on le s&it! Et puis une fois la paroi passée, on se fdirige de l'autre cfôté, pile poil en face on dirait, vers cette sorte d'anfractuosité par où, on pouurait dire, "repasser" , ma&is en vrai, s'il s'agit de la même paroi (en forme d'e,n ceinte) il ne s'agit pas (forcément !) du même côté envisagé ou rencontré. On se retrouve donc nous deux de l'autre côté prêtes en vrai à (re) traverser, à (disons) re-traverser , de l'auttre côté, c'est-à-dire du côté où , en vrai, on était, avant d'arriver, avant de nous retrouver (à deux) en ce pré fleurii. De l'autre côté ce sezréit comme si ... on revenait ensembke, là où avant on était : un ventre ? On ne sait pas mais c'est vrai que en effet la question se pose, pourrait se poser et ce seraéit à nous en vrai d'y répondre mais comment  y répôndre ? Comment répondre à pareille question qui semble (presque) folle tellement c'est gros ! comment répondre, ou plu$tôt (déjà) : comment, en vrai, poser la question, en quels termes ? on se dit qaue oui peut-^t

re si on retraverse, du coup on revient ... là où onn était. retrour à la maison. retournement de zi(§iua&tion. retour (ou szorte de retour) à l'envoyeureuxse ? On Regarde ! On est qauand même ensemble méga-présentes, pour  ici essayer de dénouer  les fils le plus possible, cvomprendre pasc mal de choses "de base";,, essayer de faire en sorte de cernerv de près la plupart des éléments d'une romance (romance de vie, de vie dans la vie) qu'on pourrait facilement prendre pour (peut-être) une (la) ... "mort de tête" ? On est entrées parce qu'on le voulait ! a-à présent eh bé on veut sortir ,! on est entrées ici (encflave, enceinte, prairie céleste : la mort ou "mort de tête"), maintenant voilà, on a d'autres envies et on y tient. on veut sortir  ! on a szuper super envie, de szortir de la prairie, de gagner (vite fait) la rive  opposée à celle de l'entrée, et de passer ! de complètement passer à travers elle et voir ce qui est (de l'autre côté) qui se tra&meraéit en termes de vie, a^rès l'épisode (narré) de la mort à lm'oeuvre (sur terre). on a envie (grave) de comprendre ensemble ce qui est, le pourquoi on se retrouve pour le coup à deux (deux femmes) dans la mort et plus du tout d'homme ! On a méga envie de le com^rendre ! On est deux femmes dans la mort, comme accolées (collées) et maintenant qzu'on sait (qu'on est deux femmes) on a super envie d'aller comme  à la chasse de données de poids, soit de données qui grave pèse ou pèsera&ient dans la balance ! On voit loin là-bas les bases . On veut /

On veut coller à une sorte en soi de Vérité, Vérité qui sezraéit de fait cette

 "sorte de vVérité " qu'on croit pouvoir ensemble déceler (desceller ?) à l'intérouir d'une 

soprte, ici, de paroi de roche ou rocher. On a juste envie de cerner toutes les données lié&es à une  "szorte de vie" ... après la mort pour ainsi dire. Car, admettons que la mort , la mort terrestre (humaine mais pas que : animale, etc.) soit une île, alors lma vie est comme ... une mer ! et nous ... on le pense ! disons quon le mpense un peu nous deux. On diraéiot que nous, on pense (un peu) cette chose , comme quoi la mort (déité de poids) est une île ou comme une île , et du coup la vie (tout autour) ne s'arrête pas, est infinie, va loin à jamais dans une sorte d' infini qu'en vrai il nous est impossible ,

RAISONNABLE%MENT, de comptendre, car, comment comprendre l'infini ? Comment faore ensemble pour comprendre l'infini ? comment faire ensemble pour cfomprendreETRRAISONNABLEMENT la notion d'ibnfini ! impossoble ! l'esprit ici ne le permet pas, l'espriot hiumain. Seul peutêttre la Foi, LA foi dans le LAngage , dans la LAngue incrustée, acquise, inséerée soit inculquée. On est des femmes fées qui ici pensons que, peu

t-^tree, un jhour, on va y arriver , à le comprtendre, à comp^rendre cet état de fait comme quoi la vie ...  est infinie ! mais ne peut être envisagée réellement en tant que tel (telle ?) de notre vivant. Qui , pour de vrai, comprend vraiment ... ce que c'est qaue l'infini ? Une femme ? deux femmes ensembvke ? plus ! On est entrées ensemble, doit-on ensemble ressortir ? devonsz-nous en tant que femmeb ensemble ressortir de cette enclave dans laquelle notre envie n'est pas (n'a en vrai jamais été) de nous y engluer à jamais ? On a super e,nvie d'aller, au plus lointain possible, en cette sorte de chose acquise, genre "un parler", langue donnée, pour du coup y trouver des données, des pistes, des choses de poids qui, pour nous, puiisent fa&ire en sorte que voilà, on puiisse "mieux voir"" 

ce qui est en ces contrées (... de la mort à l'oeuvre ?) qui soit, pour le couop, dignes de FOi, mais vas)-y ! pas si facile ! La Foi est là qui est soumise à une sorte de "mainmise", de la langue sur soi. On est envahies ! On est des fées qui sommes envahies ! Une fée de fait est envahie de base ! sûr ! On regarde. C'est vréi que nous on essaie ensemble de nous approcher le plusz possible d'une vérité acquise, d'une sorte en soi de vérité qui (pour nous) puyisse nbousq aider à mettre, de fait, au jour, un certain nommbre de donnéesz portées, de données allouées ou portées, de données de base portées ou allouées en cette sorte de "contrée cloturée". On est des filles (femmmes fées) de "la rage d"être nées", c'est cfomme ça qu'on se présent e quaénd on nous demande. On est arrivées tout près, da,ns la lande, d'une sorte de passage assez étroit, mais peut-^tte que , en vrai, ça va le faire, on pourra passer. On est arrivées ensemble ici, en cette fin de roche prairiale, pour comprtendre ici ou là où pouvoir troucver par où pouvoir passer sans y rester. On veut toucher à cette Déité des D2ités ok mais pour cela d'abord il faut arriver (ensemble) à traverser la "Rive Ultime", ce passage vrai (né ?) qui serait Le Passaghe des Fées ! ce seraéit parfait ! On essaie de traverser ensemble cet te sorte d'ultime pasdage  et pour cela, eh bien : fissa ! droit devant ! ne lambinons pasb ! cherchons ensemble à s'immiscer 

(nous immiscer) le plus possible sans trezmbler une sevconde ou même défaillir, tomber dans les pommes ou seulemùent faiblir ! Si on peut passer (arriver à passer) passons ! ne recvulons p^lus ! ne lambinons plus ! allons loin en roche pour en vrai chercher des solutions à une énigme qu'on se pose ensembvle ici ou làb , inciçdemment,. 

On est des femmes (deux femmes) dans la mort : pourquoi ? poirquyoi pas des hommes (deux hommes ?) ? Parce que l'homme ... lâche prise dès que mort ! son corps reste genré (dirons-nous vite fait) mais son "hominit"éé, ou sa "virilité"  ou son statut "d'homme velu" disparait ! l'hommemasculinité, à la mort, disparaiît à jamais ! l'homme est transition (ou éléments de transition) ;. De coordination, mais ... quand il est mort il est mort ! quand l'homme est mort (à sa mort terrestre) il est mort et disparait, peu à peu, sous terre (dans la terre des aieuxw-aiueules). Seukle, la femme persisqte et de fait dure en tant que fée. Deux felmmes (ailes) pour ... une fée sur herbe ! On voit les néeénés ! les herbes et, au-dessus des herbesz (?), les nénés ! On aime ! On adore aller dans l'herbe. On a envie d'aller (enssemble) jusq' au bout du bout du pré alloué à une mort humaine ou hominienne , et en vrai c'est exactement (ensemble) ce qu'on fait en tant que tra&nsformé 

(l'homme) en fée (deux femmes allouées à , de fait,... un corps volant). On est arrivées comme serrées (l'une contre l'autre)) dans un pré et à présent on a super envie de nous en échapper, de tra&verser (re) la roche allouée (de type cloiszon) et vite fait nous rendre si possible (si possible sans trépassr) de l'autre côté, côté embruns, ressac, bruits de fond, mer de rage ou, sinon de rage, eh bien ... de quoi ? des âges ?. On eesaie enwemble, de comptrendre au mieux les mots de base, ce qui est qui est etc., ensemble "toi et moi'" ... comme par la bande, si ça se pouvait ! si seulement, ensemble, on pouvait comprendre (et toucher) le maximum de choses aidant (chacunes) à (en vrai) nous dirige

r ou à nous guider jusqu'à la Vérité des Vériotés ! on serait aux anges ! on sezraiot ravies ! on ne démanderait pas davantage ! on serait aéux anges comme ravies, et du coup souriantes , vraimeznt charmantes, avenantes, vivement présentes et ... comme aimantes ? On est des "hommes /femmes" nues, cul-nu, qui (pour le coup) vont et viennent dans une praierie, courent à perdre haleine : hjouent. car, Nous aimons beaucoupbeaucoup jouer, nous trémousser, charger, nous amuser sur un pré, essayer de nous parler, essayer de nous comprendre, essayer d'en avancer dans cette chose d'une envie (grave) de connive,nces (connexions) entre nous deux, qui szommes Ailes, Ailes de roche de fait allouée à une "sorte de Déoité". On est nées sur pré femmes (ailes) dès que trépassées ! on était un homme, on mùeurt, on devient des femmes (de"ux femmes) allouées (elle$-même) à ... un corps de fée, c'est dingue ! pourtaént, on diraiot. On dirait vréiment que cette chose (d'une zorte de "transformation 'upestre" : transe et métamophose) est réelle, est tout à fait possible (ici même) dans le concret : est-ce que c'est vrai ? On dirait vrai:ment que, en mourant, notre corps d'homme (mâle !) se transforme (mue : une mue ?) pour ne laisser sur roche , en vie, que (de fait) la femme (ou les femmes) contenue(s) en lui. femmes allouées à une vie après la vie. On essaie en vrai ensemble de co:mprendre toutes ces données, ce qu'elles recèlent en termes de "vérité à jamais", mais évidemment que, en vrai, les choses, pour le coup, ne sont pas tranchées ! ne sont pas données d'emblée ! on doit chercher logngtemps ensemble dans la durée ce qui est en vrai, ce qui existe piour de bon concezrnant la mort, le paqszage à l'acte, les transformations ou les métampprphoses ici d'un type d'être dont le nom, à chasque fois, change, peut-être, mais les conséquences (disons : charnelles) sont les mêmes à chaque mort ou disparition, ou restent les m^rmes à peu de choses près. Un homme mort est un homme-mort, et dès lors ... "devient" femmes. En vrai, l'homme ne devient" pas femmes, il libère deux fvemmes contenues en lui ... depuis sa naissance  ! Il laisse renaitre, et, lui, disparait, sans laisser d'adresse autre que celle, eh bé .... du cimetière et c'est bien assez ... pour le repérer. l'homme disparait. La femme renaît ! enfin aailes ! on aime , on adore les fées, les ailes des fées. On est nées fée de fait, une fois l'homme mort et enterrré, bien fait ! On est passées ensembvke de l'autre côté, côté pré, et à présent on charge cherche à (comme) 

revenir en arrière, disons : 

re-traverser "la roche aux fées", roche dure des données de base ... du pré. re-traverser, comme "en arrière", ce qui est .... mais non ! il ne s'agit pas d'un retour en arrière. Il s'agit d'une avancée ou sorte d'avancée 

à travers une roche d'enceinte, szorte de "sortie de cimetière". On a cru y rester, hé ... que dalle, on se libère ! on essaie ensembkle, en tant que femme rapprochées, quasi scellées ensemble, ( = lesbioennes) de se libérer, de passer, de sortir du pré , de sortir du pré et du coup aller, mais où ? personne ne sa&it ! On veut comprendre eznsembkle loin, un grand nombre de données de base et, bon, peut-être, à la fin, on saura discerner ... le faux du vrai, on pourra comptendre, c'est)-àdire toucher ... aux nénés ? au nénés lactés ... qui sait ?

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26/8/2024

On est deux pour être. On regarde ensemble les données qui en vrai sont devant nous, et du coup, on essaie de comprendre , ce qui est, ce qui advient, ce qui se présente, ce qui est pour nous devant nous. On regarde dans le même sens. on est accolées et (pour ainsi dire) jumelées. On s'avance ! On en avance dans les connaissances. on est ensemble accolées ou comme accolées qui cherchons ardemment à cerner le maximum (ici) de données 

concernant la roche, la paroi, le sens de la marche, les tenznts et les aboutissants concernant le dieu  "des Données Lacustres". On y va ! on fonce grave ! on ne s'en laisse ni conter ni surprendre en vrai ! On cherche à pour le coup entrer en roche (incidemment) vivement : d'un trait ! On veut passer , et du coup on charge ! on tra cfe ! on passe ensemble le dos rond ! on veut coller grave aux données du front et du coup passer ! On dit qu'on passe ! On dit qu'on est passé ! On dit qu'on est à présent de l'autre côté et pour le dire vite, c'est ici que ça commence pour de vrai (qui sait ?). On est entrées et on regarde (autour de nous) les données. On est pas toutes seules ! on est accompagnées ! buffles et bovidés divers ou autres bovidés divers ! onb mate ! On est accolées à une sorte de "pré des prés", pré aux herbes allouées à une Vérioté Verbale. On est entrées et on regarde. On mate ! On veut  / on voudrait, comprendre ++++++++++++++++++++++++ ce qui est ici en termes de bêtes assoupies, 

frontales, massives et broutant sans cesse l'herbe, l'herbe allouée. On est cfomme nées à une vie nouvelle (... dans la mort ?). On est nées en elle ! On est nées de fait en cette vie nouvelle ! On est cernées ! on est comme entourées de bêtes de poids , de mots-bêtes de paroi. On regarde ce qui est autour de soi et quoi on voit on voit ça : la roche aux données, rotonde, paroi moite des données de base , vives clartés, et au loin une sorte de passage par où peut-être passer on dirait. On est Femmes de Rage ! Fées ! Fées en vrai ! Fées de l'être ! fées doctes allouées (elles-mêmes) à une vérité dite  "de rotonde". On regarde ensemble et du coup on cherche , à (ici) comprendre ensemble : ce qu'on erst, qui on est, ce qu'on fait là, pourquoi on est là, qu'est-ce qui nous attend devant, de quoi l'avenir (pour nous deux) sera fait, qui erst qui en ces contrées, qui mange qui (ou quoi). On mate grave ! on veut cerner les choses de la Roche , et (de fait) aller, ensemble, au plus profopnd à l'intérieur des connaissances. On est entrées ensemble à deux (il fallait être deux, 

et, deux femmes qui plus est !) et, à présent, on cherche à comprendre = toucher , toucher à cette vérité des Roches, au Données précoces, au Données frontalrs dites "de paroi", aux données Royales, Reinales, des Roches de La Loi. On est comme nées, ensemble, dans une paroi, fond de Roche. On est entrées de base , on mate grave et ce qu'on voit ne laisse pas de nous surprendre ! On vgoit quoi ? on voit des traces (traces sur roche) de sang facial ! Ouh ouh c'est un fait ! C'est fgort ! ça cogne ! ça envoie ! On y croit fort ! On veut cerner de Rage ce qui est, en ces parois dites "de la Foi". On veut toucher ensemble la paroi dite "du bout du monde", l'ultime Allouée. L'Emportée. On veut toucgher ensemble la Rotondité des Rotonditéds ! On est nées de base en  cette roche Fées, On est nées Fées de base en cette roche. On veut comprendre les données. Cerner de près. Faire ainsi qu'on puisse aller ensemble loin, à l'intérieur des connaissances liées à un pré, à une sorte de clairière aux données rupestres, et , tout au fond, l'Anfractuoisté Salutaire, Passage en vrai au débotté, Fene^tre, clarté, bruit de Fée ou qui c''st, qui est là en vrai ? Qui parle ou chante ? qui est là derrière qui, peut-être, parle, nous sussure un certain nombre de données de base, chante a capella, fait des pas. On est nées de base sur paroi (ou dans) et nous voilà ensemble, 

et nous voilà, ensemble (main dans la main) qui allons (fissa) vers la roche dernière, la Rotondité Salutaiore, l'emportée, la donnée dernière : qui elle est ? On ne sait mais on cherche ! On cherche à cerner ce qui est, en cette sorte de clairière des données rupestres !haut les faits ! On cherche ! on ne traîne p;us ! On est "accolées par le cul" on dirait, et du cfoup, nous voilà haussées , comme haussées à notte tour, pour cerner de près (ainsi soulevées) les données Hautaines ! On cherche ! On est Femmes des prés accolées ... à une Déité de fond de Roche ! vivacité ! traits de fée ! chants doctes ! on trace à main levée ce qui est qui fi gure le vrai ! on y croit ! On force la donne ! on danse ! on est là chantantes ! On aime tracer, dessiner , graver sur roche ce qui est qui nous anime ! bêtes des prés ! données fines ! On court on vole ! On est fortes ! on colle ! On est comme accolées sur pré et on cherche cde fait un grand nombre de données donnéers, de xdonnées de force ! On est  nées sur roche allouée, à une sorte de Véroité dite des Vérités qui serait en vrai la Vérité des Fées et autres 

Vies Alternatives s(il en est. On est nées Fées sur pré ! On trace ! On avance ! On veut toucher à une Déité de bout de Roche. On est accolées. On est qui ? on est nées en vrai sur roche allouée à une Vérité des Vérités. On cherche ensemble de près à c  erner sur roche les données données et du coup à en avancer, à aller toujours plus loinsur ce chemin des données Actives, Actives Fines. On est Femmes des prés fines, on touche aux données, on trace à main levée à vol;onté, on est auusi activesz, vives, enjouées, sélectivesz, rudes d'attitude ou pas rudes mais costaudes et prêtes à (pour le coup) tenir sur pied devant l'adversité. On est Femmes des prés cernéeds, et cependant on cherche à passer, soit trouver en cetteenceinte une sorte d'entrée (qui sait ?) vers un ciel de rêve ou toute autre clarté allouée à un liointain tracé. On cherche ! On est nées sur roche ensemble comme pour chercher, en certte sorte de Rotonde , une sorte d'entrée (ou de sortie) de vie. On est comme cernées par, autour de nous, la roche  -rotonde. On rezgarde ! On cgherche à passer ! à traverser ! à, de fait, aller plus loin en ces contrées et à traverser ... la Roche Finale, la Donnée donnée des fins de roche : ce qui est qui nous fait face (adversité ?) et qui nous regarde ou paraît nous regarder il semblerait. on est là sur place allouées à une sorte de mission locale, celle de tracezr comme à main levé&ée la bête des prés de pasdsage, celle qui permet l'entrée on dirait, bête de charge et so:mité ! La tracer de mémoire et à main levée ! la graver de rage ! transe ! envolée ! grâce ! on dirait le frai ! On charge ! On est bêtes nous-mmêmes au tracé ! comme transfoprmées ! On veut comprendre = donner. Mais pour comprendre-donner il faut (il est bon de) cherchyer ensemble par où passer en cette 

sorte de Roche des Fées ! où passer ? on se le demande ! on est accolées ! On charge ! on regarde ce qui est qui est et du coup comment trouver ? comment faire pour trouver. Peut-être déjà se poser, souffler, faire un pas de côté, regarder aéttentivement ensemble, ce qui est autour de nous qui nbous ressemble ou pas mais nous semble comme parler ou nous parler , qui cherchons ensemble à tracer des traits, des dessins de bêtes sacrées et autres fêtes rupestres engjouées. On est nées fées dès la mort actée ! O,n meurt un matin et on devient fée dans la foulée (= Elles). On est fées de Rage nées ensemble dans la mort des âges ici accumulés. On entre ! on cherche de fait (grave !) à) comprendre ce qui est mais comment comprtendre, toucher, saisir et cerner ? comment faire pour aller plus loin et "passer" ou comme "passer" ? cAr, en vrai, si opn passe on meurt ! Si par mégarde, ou malheur, on passe (ne serait-ce qu'un doigt) on meurt ! On est là ensemble deux (deux femmes) pour ... eh bé oui , misère, entendre = comprendre, ce qui est ! ce qui est qui nous regarde (nous concerne) au premier chef ! LA DONNÉE des Donnée ! Celle-là de fait qui se pointe en face quand on naît ensemble sur "Roche aux Fées" (ou dite "des prés"). On est entrée ! on a cerné ! on veut toucher toucher mais pour toucher toucher (y toucher) il faut avancer, pousser plus loin sur un chemin des fées, aller de conserve et tracer,charger, faire ainsi qu'on puisee gagner, sur roche, le sentier des vérités ! On cherche à comprendre ++, on est ensemble pour comprendre en vrai ce qui est ! On ne veut pas se laiisser démonter ! On veut gagner sur roche le sentier, le tracé; la voie allouée à une Vérité donnée. Qui on est ?., On est les Fées de Bas-Étage comme qui dirait ! On est entrée en tant que bête (homme gra-vé) on swe retrouve Femmes (deux vfemmes accolées

) à la retombée ! On est des Fées de base ! On charge grave ! On veut avancer , paqsser, durer, dire, cerner les chances, conduire, fermer,; comprendre-situer et donner-permettee une avancée du coup conséquente en ces prés aux charmes. on est femmes nées, femmes nées des prés ! on est femmes nées, femmres nées sur )ré ! on chante ! on aime chanter alors on chante ! on y va grrave ! on est femmes allouées à une roma,nce, romance sur pré, alloué à une "Vérité Frappante". On cherche à coller à cette v2rité sans plus d'ambages si tant est. Qui on est ? on est des fées (de base) quyi cherchons enswemble (ailes allouées à une Vérité) l'entrée de passage, ANFRA CRTUOSITÉ de RAGE, tracé fait, trou de roche en vérité par où s'immiscer. Et pour cela .... fissa ! à l'abordage ! vélléités ! charge frontale ! bélier ! il faiut pousser ! pousser grave les entrées ! les divers pasdsages et autres portes des données "de contrebande ". On veut passer-pousser, et pour passer-pousser iol faut cerner ensemble pour le coup le b on côté (sur roche) au débotté ! On travce ! Traçons ! chargeons grave ce qui est qui est en nous bêtes des prés ! On va vers un trait ! on acte ! on veut toucher à cdette sorte de donnée de base, dont le niom sur place est "Déité gravée", "Romzance allouée à une Déité", " Chance des prés","vive Clarté au jugé", "Parade et autres Cavalcades pariétales données". On est passées sur pré, on voudrait continuerfr  ensemble ce trajet de base, ce tracé vers une sorte de Donnée... autrement "Pre,na,nte" on dirait. On est fées de base nées sur place (dans la mort) pour en  vrai comprendre : ce qui est, ce qui vient, ce vqui va, ce qui adviebtnt, ce qui se présente, ce qui file, ce qui vole, ce qui se soulève, ce qui s'envole, lévite, fonce, monte, cherche à aller haut vers une sorte de "boyau" ou "espace-boyau" qui (en vrai) nous laisserait comme pouvant aller ensemble si jalmais (par lui) de l'autre côté , qui sait ? 

🤔

On regarde ensembke ce qui est ! On est accolées-acculées ! on est nées sur place en ce rocher ... des données rustiques, rupêstres, alpestres, chargées, et on cherche à cerner ce qui est ! vivement l'acmé ! Qu'on y trouve des denrées-données, vives cklartés allouées à des sortes de données acides. On est nées fées ! on est (dans la mort avide) nées Fées à jamais et on le sait ! on est conscientes (ensemble) de cette emprise qui, sur bnous, bnous fait (fort, grave) de l'effet c'est un fait ! Onreste placides mais on est aux aguets ! On se tient un peu en retrait ! On ne veut pas tré-passer ! on veut demeurer. On est nées vives  , on veut en vrai rester aussi vives, si jamais ou si possible ! On Veut ToUchezr toucher toucher toucxher toucher toucher toucher

 toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une V2RIté des Vérités à jamais = autre emprise !  cri ! saleté des saletés, on s'enfiuit ! on ne veut opas rester bouche bée à se faire berner par cette Déité des Données Vives, mais tracer, aller, fuir , courir, à grande enjambées, vers une autre frise, autres parades sur paroi gravée, charges diverses allouées à une  vérité-surprise, vérité des vérités ghravées comme p ar surprise sur paroi lisse . On est co:mme nées de rage sur pré, fées ! on veut toucher à une Vérité de mise ! On ne veut pas sombrer ! devenir vides , mais ghravir les marches de la Vérité et de fait se remplir ensemble de denrées ou de données faisant fonction

 de prises, de prises allouées à une envie (criante) de cerner (en vrai) les données données , et ce ssans lâcher prise si tant est en fait. On est femmes des prés (à la  retombée) qui voulons avanncer ou 

en avancer (ensemble : main dans la main) sur pré et du coup comprendre les données données,  données de base, bêtes-mots de roche et de rochers, cris de joie et de colère non rentrée, chants doctes, chants d'effroi et autres chansons graves déclamées de vive voix. On croitpouvoir ensemble cerner en vrai ce qui est mais ce n''st pas gagné car pour comptrendre il faut coller,  à une "roche des prés", et pour cela ... il faut s'avancer, faire corps ensembke (deux felmmmes) , sauter et passer ! On est nées Femmes sur pré , on veut toucxher-cerner les données de Rage et cerner ensemble ce qui est qui nous regarde (on dirait) sans discontinuer. On est femmes des prés. On est n,ées sur roche à la retombée. Mortes-nées on est nées sur roche et on voit ce qui est : cohorte ! de bêtes de poids ! et autres tralalas comme gravész (à main levée) sur 

paroi (par soi ?). On veut quon voudrait comp^rendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est ici qui peut-être nous regarde. 

on se dit que oui peut-êztre en effet pour comprendre il erst bon de s'avancer d'un pas, voire  deux. De faire en sorte que, cette voie , sur place, qu'on emprunte ensemble, soit la voie des Voies ; qui sait ? On est nées fées parce qu'on est passées ! on est passées de l'autre côté et du coup voilà, on se transforme en fée ! ailes de paroi ! chanterelles ! on y va ! on aime ! on est bêtes des bois, des forêts, des champs de joie et autres prés allouées de fait aux données de poids. quand on aime il faut gagner (plus loin) 

le chemin dévolu ... aux données Velues ! Qui on est ? On est des fées ! = fées chelous des prés ! on trace (comme) à) main levée sur place, en tant qu'on est ... des fées des prés ? Qui saiot ? on essaie ensemble de comprendre et, du coup, s'avancer, ensemb le, tracer , chercher à percer, cerner, toucxher la Base ! la Donné des Données de RAge. On est accolées ! on se colle grave (ici : paroi) l'une à l'autre en vrai. On veut toucher toucher toucher toucher à cette Donnée grave des Données, et tracer ensemble (vite fait) en transe les effets, les vifs effets, les tracés, les mots allouész à une prise, Chants des fées, vives aminosités et autres rancoeurs rentrée. On est "Fées des Prés" sur pré, on est chargées, on vo:le, on est nées sur roche pour voler ! On est des Fées vives ! On est accolées à une roche de données diverses et autres faits vrais . Qui on est ? On est ... eh bé oui : des fées  ! gentes Fées de base on est passées, on est entrées (rotonde aux données) et, on cherche à , comme qui dirait, nous ... retirer ? on ne sait ! on cherche ! on  veut toucher ! toucher est la vérité ! toc et toc on est p  

âssées et on cherche ensemble,  à gagner la rive, l'autre rive (si tant est !) et pour ça on file ! on y va ! on ne lambine pas ! On veut comprendre ensemble et tracer de près, ce type de données royales ! On veut toucher ensemble les donées don,ées du bout du bout du monde alloué à une vérité massive ! on est né'es d'une rage  active ! on est  passées sur pré ! on est nées à une rive vive ! chant doté de mots de friche ! On est accolées, et on chante ! On veut cerner e,nsembvle (via le chant ? la romance ?) les données,   et , en vrai, ça se pourrait ! Il bnous suffirait de fait de ... soufflezr = respirerr ? On ne s ait mais on est (méga

) actives en vrai dans le genre on dirait, on file ! On est fées des Rives ! On veut durer ! cerner = toucher. Toucher = dire. Dire = accentuer. Accentuer = tuer.  Tuer = vivre . Vivre = comprendre lles données données par, ici, une rive a&llouée à une sqorte ... d'enceinte solaire (il semblerait). On est femmes vives dans la mort active ! on veut cerner = vivre ! saluuer laé frise , les bêtes enchantéesz, les données rupestres en forme de bêtes ! Car, on est comme elles : fées-bêtes ! On cherche (pour de vrai) à être des (ensembvke cernées) qui (de fait) voulons grave graver, (en fait) ce qui est qui est qui nous fait face et semble nous "parler" en toute confiance de connivence. Mais ... 'st-vce vrai ? sommes-nous leur chance ? avoçbs-nous pour elles de quoi satisfaire (incidemment) leurs drîoles d'ardeurs conséquentes ? On avance ! On trembke ! On cherche à pour le coup comp)rendre e,nsembke ces ardeurs, ces vivesz envies et autres vifs désirs de type sexuels ancrés, tracés, marqués -accentuées en ces bêtess massives qui (toutes) broutent que tu brouteras,  ensem ble en ces prés aux données actives comme des denrées et autres vivres déposés aux pieds de "Déité l'Acmé" ! ;On est vives fées ! chances-nées ! On court vite ! on file ! on ne lambin e pas (jamais) tant qu'on est "libres" de nos gestes alloués (ici) à une Envie de Verbe ! On est filles des prész, femmes enjouées, colère et tracé, on veut toucher à une Déité disons

 Lascive ou sinon lascive massive, ou sinon massive passive, ou sinon passive gracile, ou sqinon gracile active, ou szinon active acide , ou sqinon acide placide, ou sinon pl acide  massive ... et ça recommence ! on dans e ! on veut être des (ensemble) qui (en vrai et de fait) dansent que tu dansezras ta Romance' (ou sur ta romance) sans (ou avezc ) les bras ! danse slave ! danse de paroi ! charge de pas ! danse en traénse ! caillouttage ! On est femmes fées "des données de base". On aime aller ensemble sur paroi, à la recherche (ensemble) d'une sorte de Romance Grave, charge mentale, bleus de l'âme, une cxhatte sur un toit brûlant, chien ou chat de race sur paroi, va-et-vient vivace, tralala et a&utres falbalas sur bande; ion est accolées (de rage) pârce qu'on s'aime, ne cherche pas ! Ce qu'on est c'est ça : la bande ! bandana ! charge de France;, doigts  des Rois et reines, Reines et Rois ! on veut cfomprendre , et ces reines et ces rois de base. Qui sont-IELLES en vrai ? Fées Des V2rités ! Croyez-vous aux fées ? vous devriez ! car les faits (

de base) néissent en vérité (au nez et à la barbe d'une Déité) sur "terrain advesrse " (qui le sa it ?). Fées = fées des Fées = Fées actées en ce cimetière des données rupestres. Ëtre = faire ! On pousse (sur roche) ensemble les données qui

 toutes sont (de fait) à devoir pousser ! On veut t(oucher = dire = faire = cocher = comprendre , les deonnées du VErbe ! on naît ! On naît ! On na ît ! on ,naît ensemble par le lait, l a chance, la romance, le passé xdonné-déposé, les branches. qui on est ? On est bêtes de pa roi de Rage. Charpentées,massives et (plus ou moins) dures au toucher : non -fées ? fées ? On est passées ! on veut toucher-toucher = y toucher = cerner-comprendre = considérer et juger ce qaui est qui pourrait en  vrai (tr ès certainement) nous en apprendre à satiété ! Car, en vrai, la Mort  est ... XSATIÉTÉ ! , on le sait ! On sait très bien (à présent) que (en vrai) la mort est satiété, tourment c'est un fait mais également "satiét é" ! on veut toucxher ! On veut

 touchert-donner ! donner du blé ! oseille allouée ! bretelles ! le passé et le présent sur herbe, les tourments mais pas seulementn  : tout ce qui est qui en vérité fait ou ferait de l'effet, brillerait, en imposerait, fezrait penser que ce qui est ici donné (Vie Vive) est vrai , quand en vérité ... tu penses si c'est vrai ! Pacotilles que la vie donnée (le Passé) et rien d'autre dans un premier temps q'on voudraitb (de fait) voir durer indéfiniment. On esqt fées en herbev (des herbes) et on volette

 ! on adore voletter ;! on aime léviter ! oh, on a&dore ça , léviter, monter, se hausser, grimper, toucher à ce drôle de firmament alloué à une sorte de "donnée murale",donné des données. On veut : comprendre, dire, toucher, aller, cerner, pisser, donner, chier et pisser et aussi aller, faire, produyire, considérer, consigner, promettre, poussser, mettre, faire figurer, dessiner à main levée en transe l'animal des prés sur roche "imberbe". dessiner la bête et le pré (l'herbe) sans fraisz ! On est bêtes nous -mêmes (fée-bete) et on trace ensemble (de près) les données offertes (en vrai) par la bande (nacré / sacrée) des données actées diteexw (

pour le coup) "de contraebande " ! c'est un fait ... on bande ! on bande puis on naît ! on naît (au passage) Femmes (Fées) aux données données (de type bêtes-poids de charge : bisons, bisonnes, buffles, buflettes, chevales trac&és, "belles-bêtes", ....). On est allouées à une sorte de donné&e, tracée à main levée, pôst-cimetière ! à moins qu'il ne s'agissee d'herbes ! d'herbes des prés comme fauchés ? On est des bêtes belles on le sait (poids des Rois et Reines) mais voilà , on veut bien peser (grave) d ns la balance, figurer et faire son petit effet, il n'empeche que, voilà, on veut ensemble (pour le coup) con,&aitre pour de vrai la transe ! danser les mains levées , tourner et, sans cesse, tourner sans trezmbker ! faire-dire ce qui est en dansant sur pré x et x romances charmaéntes ! On veut comprendre = toucher et cernezr et du coup peut-êztre peser, mais commentb peser ? comment faire pour peser et en imposer , faire ainsi que l'Autre nous considérât comme ... non-ratées ? On est posées ! On est pauvres ! on est pas friquées ! on est nées pas friqées donc pauvres question money , tu sais ! On veut toucher toucher toucher toucxher toucher toucher à cette chose, d'une sorte d'envolée rapide, vive, d'un tracé sur roche (on dirait) vers déité : est-ce vrai ? on colle, ensemble, à la roche. On fait tout ensemble (on est collées). On ne l$ache pas une seconde. On est bêtes (des prés)"femmelles". FEMMES DES PR2S ON EST NéES ! FEMMES ON EST DES PRéS N2ES ! oN est des femmes des prés, fées, femmes, nées sur pré, en forme de fées . On est fées-femmes tracées gravées par (il sembleraiot) des êtres (de néandertal ?) qui auraient été (de fait) soulevész, en transe, en lévitation, par les fées de Saison, fruits de la passion, denrée zucrée comme du lait. On aime le lait ! On veut toucher à une vérité gravée et ne pas céder; On veut cerner ce qui est et du coup tracer un certain nombre de dsonnées lactées (frai, sexe et pamoison°) . On aime ! on veut grave a&imer, cerner, passer, ne pas y passer (trépasser) ma&is passer, à l'occasion, qui un doigt de pied, qui le nez, et cerner (de près) les données données de cet auttre côté d'une sorte de muret dont le nom , en fait, est : ... CORNICHON ! Nichon ? oh , qui sait ? Qui sait ce qui est ! On imagine ! on se fait le film ! On est nées vives et on se fait le film ! que penser ? comment se retournezr ? comùent dire et aller toucher ? On est femmesv szur pied (massives) qui fonçons tête baissée (bélier) vers c ette Déité Frappée qu"ion dit lascive mais en vérité c'est pas tout à fait vrai il semblerait ! On est mises et prisesc  en Fées, et du coup dqu'est-ce qu'on fait ? on vole ! grave on y va ! on veut toucher de base, et donc voler = léviter = monter en cette "cave", à parois (ornementée) des parois. qui on est ? Filles ! filles des blés ! filles nées (sur roche) àune vie comme surajoutée, surnuméraire et szoulignée par (va savoir) telle déité qui (peut-être) existerait de mise sur paroi gravée ou dessinée. On cxhezrche une entrée sur roche tracée. fond du fond on  veut toucher, entendre, comprendre, ressentir. On dirait que (qui sait ?) ce passage, juste là, devant soi, est passage d'une vie de gharde ! vraie de vraie ! On regarde . On est nées filles (dans la mort) on veut (on voudrait, qui sait ?) le rester à jamais, soit continue"r (de rage) à

 ^$etre filles ! filles allouées à une destinée de vie, à destinée (en propre) de vie vive, allouée à une roche (paroi) du monde. On voudrait (de fait) aller loin, e,n cette "Cloison des Cloisons" ! Passer ! Passer de l'autre côté ! côté "embrunsz", "plage", "bruits de fond", cri de bêtes sardes ! on est fiilles (femmes) sur le pond ! on trace ! on est faites de son on dirait : cris de la passion ! on grave ! on chante ! on crie (oui) sans cesse, sans traîner; on est nées de ba&se Femmes dans la mort et on romance ou romancerait grave ce qui est en vrai, on sait. On veut : passer, passer sans y passer ! chargeons ! filons ! allons loin ! creusons ensemble ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ la roche brunie ! On veut grave ensemble comprendre ce qui est ici qui nous regarde, et du coup cerner la Romance aux Données Données. On aime travezrser la lande : on le fait ! on trace ! On avance grave . On est nées Fées comme au passage et ça le fait en vrai ! Fées on est , qui cherchons passage (au débotté) au fond du pré(par où passer sans se démonter). Qui on 

est ? zh bien peu-être des fées, fées-femmes qui cherchons ensemble à (au mieux ou pour le mieux) figurer ensemble sur roche gravée, dessinée,au nez et à la barbe d'une (sorte de) Déité de Charme. On est fées nées au passage (tête adjacente). On aime tracer (filer) , du coup on fonce ! on y va gaiement, on montre. on aime mo,nter, se hausser ou nous hausser, grimper, se soulever ou être sqoulevéesz, charger (tout en -haut des dunes) les données allouées à une sorte de ... "passé donné" ? octroyé ? déposé comme à l'aventure et on se prend (ensemble) à rêver, que la vie pourrait du coup durer en vrai une éte"rnité ! on est fées de rage qui aimons

 danser : en transe (ce qu"on fait). On est déposées ! posées ! chargées de mots de  base animalierrs sur roche. On aime allerensemble et combiner, alterner, chercher à pour le coup se démerder ensemble ou, par'fois, séparéement, mais en vrai, jamais tout à fait : on est accolées ou cfomme accolées dans l'instant si jamais ! dans le temps accolées sinon dans le pré ! on est collées ! on aime toucher, dire, pêrcer, chercher à trouver, comprendre ou faire- dire ce qui est en vrai , et a&ussi le reste : fauusetés, vivfs mensonges sur pied, genres déposées en branle, corrosion des données de base, fausses-clés de contrebande. On est come cernées ensemble par des sortes de données de type "vies a&ctives allouées" , quand en vrai les données données (par nous déposées) ne sont pas "vraies" mais "fictives" : fruits ! on est comme allouées à une vérité des prés dont le nom est : fée ! on le sait et on y croit fissa ! On est nées au passage, au débotté de la paroi des prés (ou dite des prés) ! on voit ça, qu'on est nées de rage ensemble à toi à moi come à la parade : ça y va ! ça gagne ! c'est coriace ! ça ne lambine pas ! ça cherche sérieux à comprendre les données de base sur paroi. "qui est quoi ? qauoi est qui ? et autres romances" ! On est nées pour être (dans la mort) des fées (défaits, et du coup des fées ) et c'est ce qu'on est ! Fées d'auge ! ftées dorées ! Fées de base morte mais vas-y, regarde , cherche à comprendre ! elles sont nées ou bel et bien nées ! on adore ! on est fées des prés chassés ! on a&ime aller, tracer et cerner, pisser et caguer, cernezr et douter, prendre et a&llouer, filer à l'anglaise, ne pas nous décourager, percer les mystères de la Charité, pisser peut-^tre, et aussi chier, mais aussi s!uer, perler, mouiller, comme des bêtes ! On veut toucher à cette SATIÉTÉ de Cimetière (?) qui auréit de fait mainmise entièrement sur les dfifférentes données données par l a Terre, Terre-Mère, 

Donnés des Données. O0n est néeees de rage Verbe (herbe ?) et du coup, on devient Fée , ou peut$$êtree FEmme-Fée szur HErbe, qui voulons comprendre eznszmble ce qui est en ce's murets de rage "pariétales" et autre parois dite "de la foi". Quand on aime on dit qu'il faut tracer ! 

Quand on aime on dit qu'il est "préférabkle" de tracer ! 

On veut dès lors tracer, graver, dire, montrer, chercher à trouver (dans le dictionna&ire ? ) une définotion ancrée, certaine, avéré , au mot "cimetière" (ça nous aiderait un tantinet ... peut-être). on est comme nées fées sur herbe ! fées des fées ! ça le fait ! la peiine, la guerre, les diverseds monstruosités de l'être, les méchancetés, tout ça : du balai ! la fée desz fées sait faire ! se débarrasser de ce qui est faible e"n termes de données données de (pour le coup) vérité ! cherrchons plutôt à (ensemble : soudées) co

:mprendre ce qui est de ces contrées "hors cimetière" si tant est ! mais le "hors-cimetière" est-il (de fait) ... qui serait en vrai ? y a til des endroits sur terre (à la longue) hors cimetière ? on ne sait ! qui sait ? qui conna it ? On est : femmes-fées des prés, allouées eznsemble (accolées) à une vérité de base, genre "donnée des données". On trace ! on cherche ensemble à en vrai tracer, sur roche, un chemin de halage (des prés) si jamais. On est femmes touchées et ça fait (parfoisz) chier ! On est femmes / fées-des-prés touchées ça fait chier, quand on ne veut pas l'êttre ! sidérées ! frappées des instances ! acculées !  ça fait grave suer ! On entre ! on entre par un trait sur roche de passage ! On est néezs fées, et on trace ! On file grave ! On veut aller-donner, toucher-tracer, faé ire-donner, dire-coller, choquer ? Ancrer ? colmater  ? Consulter les fées  ? On compte les données données sur roche : on est étonnées du nombre ! On est accolées et a&cculées ! On fonce ! On veut toucher-toucher à cette déité aux données données de type Vérités de Cimetière (à jamais). On est faibles ! Fées des fées on cherche à en vrai découvrir ce qui est qui est en ce cimetière aux vraéis effets.  Qii on est  ? on est des fées dites (pour ainsi dire) "de base motrice", on court on v ole avec hélices ! on lévite ! Haut les coeurs chauds ! on lévite ! on va haut ! On monte sur un tonneau, une sorte de guimbarde. On veut voir d'en haut (de base). On est faites pour en haut y voir , et tracer a&u cordeau les données frontales, telles qu'en vraéi elles semblent ou sembleraient cvouloir (peut-être) se donner à nous, qui voulons comptrendre et tracer. On est femmes sardes ! sardes  et salées ! on est femmes salées , sardes et nacrées

 ! nacrées comme le passé (ou dit "passé de sarabande"). On aime ! on valide ! on adore aller d'une rive (ici : avant -sc!ène) à une auttre , là : après-scène. Ça y va ! ça draine ! ça cocotte ! ça fouette ! on sent la toison reine, le poisson, la mer de rêve, les melons, les champignons, le sable sur grève, les traines. On est femmes sur monts, charge d'âme, alluvions, semence, cornichon (nichons ? ) sur panse ! On compte les tétons ! on est FEmmes sardes et on comp)te ensemble les tétons ! On est sur place eznwmble pour en vrai le pluq possible chercher à comprendre et aller (fissa) au-devant de soi, pour :

- comprendre'

- toucher 

- aller 

- pisser

- chier de connivence

- comprendre oui, les do,nnnées active's (vérité) qui expliqueraient le pourqauoi du commentJE est passé, comme un tourment dans une frise. JE donné sur grille : chants -tourments, sentiments, pleurs tristes. On est prises ! Vies des vies comme prises, soumises ... et, en vrai, ça fait chier ! On tente à notre tour une sorte de prise, qui pourréit (au p azsage) nous aider à (peut-être) nous éloigner de la Mort-Déité à jamais ! On est femmes ou filles / Fées de rage. On veut toucher ensemble à (ici meme) des données de base, poids de choixs , romances cracra (peut-êttre) ou pas : ça 

se voit. La Rage est là ! qui, on dirait .... fait rage ! ça y va ! on trace grave ! On veut ensemble en tant que femmrs (fées) comprendre les b ases (ou les données de base), vérités ancrées (toutes) dans la masse ! qUi sait si en vraéi on peut y arriver, si on pourrait ? Ça le ferait ! ou : ça serait sympa , de fait, que ça le fasse un t§antinet, qui sait ? On est nées fées sur place (ici la mort) à la retombée, "retombée mausszade" ! on est nées fées sur paroi au p âssagge ça le fait ! On voulaéit comprtendre ce qui est et , au bout du compte, il semblerait qu'on puiise (en effet) comprtendre, un paquet de choses de près, en forçant la donne ! qui on est ? des féesz, c'sst un fait ! homme défait devient des fées en nombbre (= 2). On est fées nées, sur  "base mortelle". qui on est ? xdes fées ! On s'aime ! On veut s'aimer ! On ne veut pas se laisser aller ou 

nous laisser aller à rien glander en termes de recherche de données actées, mais tout au contraire ne pas s'arrêter à chercher, chercher grave, ici et là, toutes les données (possibles et imaginables) susceptibles de nous éclairer, en ce qui concerne... la lande, le pré, les fleursq alllouées, les bêtes de masse, les bêtes-mots et les mots-bêtes, le temps qu'il f

ait. On est des fées de contrebande on dirait ! tirées, poussées, bousculées ? On fait face ! On veut demeurer ! ne pas se laisser intimider , ou : ne pas nous laéisszr intimider ma-is tenir tête, le front haut, tue-tête ! faire ainsi enwsemble qi'on puiise comprendre les données rageuses, la Foi en  cette lande ... entre deux parois ! La Rotonde est là (poitrail ?) : on y va grave ! On charge ! on veut ensemble comme un fait exprès cerner-comprendre l'alloué, le composé, l'e patent idoine , le chargé et l'exposé. On ne sait qui croire ! le placier ? le père Frappé ? l'entourage du père Frappé ? l'antenne aux nénés ? Le cimetière ? On est cfomme cernées de base par des faits qui , s'accumulant, fondent un paysage de firmament, ou, sinon de fir'mamant, de base, paysqage sage, champs ! champ des tourments ou dit "des tou'rme"nts". ON veut ensemble (toi et moi) comprendre les données active's,foi, Cri, charge, religion des parois, dessins doctes, prix d'ami, délivrances. Onj veut comprendre ensemble cette délivrance. On veut ensemble aller (si possible loin) à la recherche d'une "vérité intense". qii o,n est ? des nénés ? quéqués ? ... chr(ist assoupi ? On cherche e,nsemble ! On aimerait grave comprendre ensemble, ce qui en vrai ici (paroi) se trame de concert et semble (peut-être) vouloir, comme nous attendre pour nous dépiauter, nous faire chuter, nhous surprendre et nous blesser comme à jamais. On est fe"mmes)fées des prés, on aime s'aimer sur la lande, en tant que femmes ensemble (se toucher). On aéime se ... gouiner (?) de rage ! farce ! confiance ! on s'aime ainsi ailées ! Fées de France ! On aime s'aimer, s'aiguiller, se lover, se former en roche ! être bêtes des roches soudées ! coller à cette cxhose d'une szorte de donnée, un temps, morose mais pas à jamais ! les choses szont ensembvle, qui s'affrontent, se corrompent, se fronce nt et tombent, changent de parois, de visages et de traits (de base) sur roche il semblerait. On rst là ! toustes prises, parle cul, la rage, le tracé nu, l'emphase ! mille vertus font le cul de l'âme ! de l'âne ? on entre ! on voudrait de fait ensemble se loger en cette szorte de passage à même la roche, roche ici imberbe. On aime assseez se dire que voilà, la roche, dite (donc) imberbe, est roche nacrée = sacrée ! on cherche ensembmble, sans tra&îner, ce qui se pourrait. on est femmes des prés , des cimetoères, des données sur les êtres alloués (de fait) à une Déité, celle des Prés. On veut ensemble e,n tant qaue f"mmes, toucher, prendre, sitruer, deonner, percer, passer , connaître les données données où elles sont en vrai, charger toison, pisser sur le pont, caguer sans raison ! On est fées nées sur le ponton ! pisson-chions et laissons ! On aime : et pisser et chier en rond, autant qzu'on est ! c'est couillon peut-ettre mais c'est vrai ! ORAISON ! CHAPEAU MELON ! CARGAISON DE DONN2ES ALLOU2ES À UNE PASSION ! ON adore donner, percer, comptendre, se lover et s'allouer à une sorte de raison de garde, rationalité de façade ! ça le fait "bonbon" on dirait, même si c'est pas vrai au fond ou pas tout à fai. On compte les moutons ! on s'endormirait. On est collées et accolées. ou accolées et en vrai collées. Femmes-fées on est, qui cherchons TOISON (d'or ?) des temps "percés ". On est tracées sur rocxhe, faisant fonction (pour ainsi dire) de données de rage. 

On est fées de RAge ! On est fées des prés ! On charge sur roche percée notre szorte de ramage ! bois des ors ! tra&its du sort ! On veut s'aimer sur prés, se toucher, se doigter, se caresser, se faire x et x choses ensemble sans traîner ! se bercer, pelotter, toucher de près. S'aimer fort (se lécher le corps) . s'embaumer ! se molletonner ! S'emballer comme un mort ! S'aimer fort = s'embaumer on dirait. On veut creuser ! Faire et donner ! charger, permettre, toucher et aller, dire et porter sur roche les données. On est fées dde base femmes allouées. Cris de nouveua -né ! Onntrace ! On vioudrait comprendre ensemble ce qyui est qui semble se pointer sur place, faire son effet, se montrer...  et nous d'y penser. On veut

 aller ensemble par le pré chercher Romance, Chants de Fée, Parades chantées, Cris des Prés, Sortes d'enfance. On est nés Fées en tant qu'on est; On veut ensemble ici comprendre les données, en faisant en sorte (de fait) qu'on puisse tracer (sur roche) ce qui est qyui nous app&raéit. On veut chercher (et du coup si possible trouver) ddes vérités qui puissent nous aider à (en vrai) comprendre ce qui est, ce qui se passe , ce qui est qui se passe ou se tra&me en termes de passages (dits "au débotté") de vie à trépas ou quelqaue chose de cet ordre -là. On est nées (dans la mort : au passage) fées ! soit dédoublé ! on est homme défait ! dédoublé ! fait femmes au débotté (ici) au passage = fées des fées , qui cherchons Romance à déplier, donner, lisser, comprendre, tracer, déployer, dire et poser. On est des fées de contrebande. On voudrait ensemble savoir composer les chants de "la chance", les données de g arde et autres chansonnetes haletantes. On est des Fées : "de passage" ou "au passage", féess "du passa&ge", fées ainsi formées ! On aime passer, traverser "la Roche aux Fées ", comprtendre les doné&es de base. Aurochnoïdicité de Rage ? on ne sa&it ! on trace grave ! vivacité et pugnacité font très bon ménage  en vérité. Le soleil est haut qui semble briller pour nous inonder de sa douce chaleur animale ! on aime aimer ! on aime tracer et toucher les bêtes dees prés : buflettes à jamais, buffle sablé, chevaux des prés, charge-bisonnnes et autres bovidés dits "de saison" comme les fruits de la Passion. On aime s'aimer (aussi) de saison (en vrai). On cueille les baies. On est Femmes)

-Fées sachant chasser. On se colle ensemble ici au débotté au cul en vrai l'une de l'autre, à ne pas, jamais, s'éloigner (pour le coup) l'une (la lune ) de l'autre (le soleil). On e'st des fées (faites fées) par (en fait) un coup de lune ou de Soleil il sembvlerait (ça le ferait) .On VeUT cerner ce qui est pour de vrai afin de mieux comprendre  les tracés de rage. On est fées de base, chants royaux, reines des prés, pesage et montrage. quan,d on aime il fait monter haut (sur place") par la bande ! creuser ! chercher ! prendre ! craindre ! coller ! cerner ! ALller loin en ces contrées dites "du cimetière" alors même que ce ,n'est pas vrai ! elles ne sont pas "du cimetière" mais post-cimetière on dirait. On st nées toutes post-cime'tière en ces contrées. On est accolées qui voulons cerner ce qui est, qui serait actif, vif, et saurait comme nous indiquer la voie (

le chemin) la (le ) plus propice pour nous aéider, à (peutêrtre, si jamais) cooimp rendre où tout ça (la lune, le soleil) pourrait nous mener. On est femmes de la Foi dans l'Âme ! Fées des Fées aux données de Rage ! On passe ! On veut comprendre ensemble (accolées) ce qui est, qui sembvle nous aller. on entre ! on est entrées (de base) en tant que fées (au passs ge) et on trace , on fait son effet, on court on trace ! on est comme nées a&u nez et à la Barbe d'une ... Déité attitrée à un Passage nommmé, marqué, signalé sur bande, allouée ! On éime s'aimezr . On veut tracer. On veut pousser de ra&ge les donnéesz, les avancer, les signaler, les tracer sur roche allouée, les faire monter, les hisser ! On est fées d'entre" les fées. On veut comprendre ensemble ce qui est qui pourrait nhous aider à cerner plus avant (encore) cette histoire (de fait) de romance allouée à une sorte de passage "au déb otté" (= de vie à tré&pas). qui on est ? On est des fées. On cherche à cerner ensemble les faits. On veut cfo:mprendre -toucxher = dire et faire à jamais une sorte de tracé qui szerait de fait l;e dessin en vrai des données avérées, concrètes, concernant la vie allouée à la mort, l'entubage-né, la chose sur pied, l'import. On est nées fées dans la mort (ni plus ni moins) et ça se sait. qUand on meurt onpasse (de rage) d'un port, à une sorte 

de cloison  des ors. ors des fées de Rage. Ors des morts. On porte Ramages ! Cadrat d'ior ! Ors de Rage. Ors des ors. Façade. On aime ensemble (fées) coller à ... eh bé à cette sorte de Paroi des Rages ! La Paroi de l'or sage, mage, passé . On cfompte les faits. On est passées près d'y passer à jamais ! On est fées des RAges Vives. On aime aller ensemble d'une rive l'autre, s'époumoner à force de chanter, gueuler, dire nos vérotés (nos 4 vérotés) , souscrire à une sorte de Passé tel qu'il se seraéit déroulé en vrai szur roche allouée à une Vérité Ancré de type Religiosité . On e'st nées sur pré , filles-fées de contrebande un peu chahutées, ensemble, on sait se lover ! se positionner ! comprendre ! sonder ! toucher et passer près ! se donner ! aller sur pied jusqau'au pied des Tra&its dits 

"Traits des Déités 

Allouées à un Dire

Doré comme les blés". 

on est fées accolées à une (sorte de) pré aux fruits déposées. On court on vole. On dirait en vrai qu'on vole ! et peut-être qu'en effet en vraéi on vole ! On va haut sur Roche ! Tonneau ! on est ivres mortes ! On aime le Beau ou Bel Alcool de Peau. on est filles des prés, fées nées, on est assoiffrées ! on aéime (en vrai) le Beau Vidé ! On veut trouver, cerner et toucxher, comprendre un grand nombre de données,sopnder, permettre, charger et coller, ensemble (toi et moi , à toi à moi, à la une à la deux), à la paroi finale (terminale) d'une enclave. On 

est passées de l'autre côté, nous voici dès lors, avec l'envie de travezrser en son entier cette sorte d'enclave tracée, ancrée, qui seraéit une sorte de pré dit "des prés ... et des  charges mentales". On veut cfoller ensemble (nu pieds) à la lande. On marche en sandale  ... non, sans sandales ... on marche pieds nus sans nu-pieds, on est nues ! on trace ! on est fées ! on est velues ! on veut toucher , comprendre, cerner et pister. On veut chercher ensemble les données données, te'llrs qu'elles se présentent. on est accolées de rage pour ce fait : comprendre-toucxher et du coup aller ! filezr ! foncer ! chercher ensemble si possible (en vrai) une vérité comme stipulée qui saura ou xaurait nous aider sait-on jamais ! On est fée des fées. On veut cerner-toucher ensemble les données telles q'elles sex présentent (de rage) devant nous , le temp)s venu. On est accolées, velues, nues, pieds nus, sans sandales .On  v eut 

: comprendre vif, charger fort, aller loin, porter haut, cerner de prèsz, szignaler sans traîner, coller &u plus juste, permettre un toucher, contraindre à se lover, activer en vrai, une Vérité des Vérités telle qi'on aimerait à jamais pouvoir (si possible) en hjouir de fait, en cette contrée, sous le vent buffant, ici, en ce tourment. On est Fée des Fées de La Rage nées, nées pour être, faire, dire, combler et donner ! On est fées comme nées d'une Rage d'ëtre , sous le vent, poussée à Faire-Dire ce qui est qui est, qui serait : Le Mot , La donnée Verbale, Allouée (de fait) à une Timballe, celle Des aAFFaires "sales". On colle aux données. On cherche ! On veut trouver-cerner. On cherche à cerner-comprendre : qui on est, qui on est pas, ce qu'on veut toucher, ce qu'on ne veut en aéucun cas toucher, ce qu'on est pour soi, ce qu'on est pour les autres que soi, ce qu'on regarde en face de soi, ce qu'eon voit, ce qi'on ne   voit pas. On avancev pas à pas. On trace sa voie . On est Fée de base allouées à une Voie De Rage. On est là ensemble, accolées (femmes), pour comprendre ensembvle la paroi, le Roi, La Donnée de base, la (ou les) Donnée(s) Docte(s) et autres Chants Malins ; la base, le rampant, la bande, le Prince de Séant, la Balle. On regarde . On est nées sur pré dès la mort actée (au passage du pré). On colle grave ! On est comme défait (homme défait) au passage, et du coup transformé en fait en fées de base. Qui on est ? dans la mort ? des fées ! fées aux ailes d'or ! On est passées ! on a traversé vite fait ensemble la Donnée de base et du coup nous voiçci comme ailées , soit munies d'ailes de fée comme en vrai (on croit rêver ! ) On aime les féesz ! on cherche à cerner ensemble ces fées, ce qu'elles sohnt en vérité opur notre gouverne, ou ce qu'elles seraéient. On aime les fées comme ... nousz-mêmes ? car, en vrai : s'aime-t-on ? o u s'aime-t-on autant qau'il paraitraéit ou qu'il le faudréit ?°. On est femmes accolées car, voilà, on a traversé (ensemble) le "pont", la charge , allouée à une parade. On est fe'mmes des prés et fées de base ! on est collées de r age à u n e sorte de "guimb arde" aux dopnnées "étranges" on dirait . Que sont ces données ? desbases allouées à un pré ! Gentes dames : buflettes nacrées, bisonnes charmées, chevales des fées, bouquetines 

ancrées, ourses des p)rairies et du paradis, lionnes allouées à une vérité chargée, biches accolées. On est sur pied. On veut toucher à une sorte de paroi donnée. On veut ensemble si possible aller au plus loin des données allouées à une vérité rupestre, du genre "buflette". qui on est ? on e'st de s fées de Rage touchées par (peut)être) ... une grâce, à être des bêtes ! On court on vole ! on monte ! on s'érige ! On a envie de vivre ensemble en cette sorte de prairie, notre vie ... d'infante sage ! On ne veut pas mourir ô grand jamais ! on veut vivre ... pour toujours ! ne pas trépasser ! aller ! charger ! donner ! coller ! dire ! pousser ! comprendre ensembleb les données tracées (szur roche) à ùain levée , pâr quelques êtres des temps reculés . on est nées szur roche Fées, la mort passée ! On est Fées, nées, de fait , la mort venue (passée) à jamais ! Fées d'entre les Fées nues ! On est nues de fait parmi les Fées ! On s'aime nues ! on se veut nues ! on aime être nues ! on aime toutes deux êztre nues du cul, l'une pour l'auttre, sans arrêt. On aéime toutes deux être nues (complètement) l'une pour l'auttre. On se plaît nues ! on s'aime (zinsi) nues ! On adore être nues et se balader nues et se promener en ces contrées nues, complètement nues ensemble sur un pré, au miieu des bêtes des prés, bêtes nues elles aussi quoique velues, alors que nous ... pas autant  velues, quoiqu'un peu poilues, voire (parfois) beéucoup poilues, selon les moments , en vrai, de l'année. Car, par moments, on est plus poilues du fait que voilçà, ça pouusse, très !


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23/8/2024

On regarde ensemble dans le même sens et on s'interroge. On aime comprendre et tracer. On est deux. On est deux pour être , pour ainsi dire, celles qui pourront dfe fait à lea une à la deux traverser la roche. oON se doit de traverser et du coup on trace ! on fonce ! On y va de concert car voilà, on s'aime ! On aime aller ensemblee à travers cette roche dite "des embruns". On se doit ensemble de tracer et d'y aller ! On le veut ! On veut tracer, filer, coller aux données, faire ainsi qu'on puisse coller ou traverser, passer de l'autre côté, filer grave, foncer à travers la lande, se joindre (ensemble) auux bêtes (nombreuses) des prés. On est nées pour être elles, les fées , les fées de la lande. On veut cerner et du coup voilà, on passe tête la première à travers la paroi , car on veut toucher ici et là à cette sorte dedonnée suprême dont le nom en toutes lettres est "Déité des Déités agraires". On connaît ! On est passéess de l'aiutre côté, on a traversé la roche "des prés", on est tombées comme à la renverse de l'autre côté et nous voilà alliées aux beters-mots, bouquetins et bouquetrines, buffles tracés, bufflettes olé olé,charmes et douceurs des prés, on est accolées, collées à elles, à pareilles bêtes. On aime ! On veut aller près d'elles ! on veut cerner-toucher ces bêtes, les aimrer et en vrai c'est ce qu'on fait ! on les aime de près ! on aime ces bêtes , on aime les toucher, les toucher de plus belle. On estvaccolées à pareilles bêtes , on veut les toucher, les aimer, les approcher (de fait) au plus près. On est ou on serait comme elles des bêtes. On est bêtes des prés comme elles. On veut les toucher , les aimer, les dessiner, les approcher de près. Qui on est ? On est bêtes des prés. On s'aime ! on veut tracer, aller, courir sans traaîner, faire ainsi qu'on puisse s'approcher des parois du Verbe, coller à cette Déité du cimetière dont le nom (genré) est : Tête ! Onest nées sur herbe, on trace, on va grave pour tracer sa voie ! On est comme nées du Verbe sur paroi sous fgorme animalière on le voit. On est bêtes de scène , somm, traits, fortes têtes on est , et aussi guerrières, allumées, vives

 et colère si jamais ! On est nées pour être elles : les fées ! dans la mort du cimetière être des fées, ou Les F2es, Les Fées des Herbes. On e'st nées pour être fées et du coup on trace , on avance, on file, on ne s'en laisse pas conter, on veut comptrendre +++ ce qui est et du coup voilà ce qu'on fait : on file fissa ! on y va ! on cherche à hue et à dia ce qui est, c'est-à-dire les données données, le tracé ancré, l'omoplate délivrée, la chance aux agrès, la timballe, tout ce qui est qui puisse nous aider un tant soit peu à comprendre ce qui est devant (en face) à nous attttendre fixement et patiemment. On trace ! On reg arde. on est pasdsées de l'auttre côté, côté champ ou pré, côté bêtes fortes, on est entrées et du coup on trace ! on y va gaiement ! on cherche (ensemble) à gagner la place, le  traczé sur pré attitré, la voiie de base. On veut aller ! tracer et gagner vers ce qui est en vrai cette voie tracée pôur aller fissa (jusqu'au bout du bout) en face : la Paroi ! La Chance au grattage ! on voit ! On voit au loin la Paroi ! l'amiante ou sinon quoi ? On est nées de rage (d'une rage) et on voit quoi on voit ça : ce qui est là-bas, ce tracé de base, voie des voies on y va ! on trace ! on va droit ! on est femmes des prés à la retombée, on trace, de fait, vers cette (sorte de) "D2ité des Déitéds" qui semblerait nous faire face. On est accolées (nous deux) en face à face, avec ... eh bé Elle, cette Chose imberbe ! Déité ! Chant des prés ! Romance ! On est passées à travers la roche direction le pré et (à présxent) on se rapproche à nouveau de la roche (en rotonde) afin de (une fois encore) traverser la roche, passer, voir ensemble de l'autre côté, ce qui est, ce qui en vérité est ou serait qui nous attendrait ! On veut comprendre grave ensemble les données données de la roche ultime ! Roche allouées à une Vérité Sacrée, riche en données de toutes sortes concernant la Mort, Vie et Mort accouplées, Chants du Sort, des Envies gravées, des Bêtes Montrées. on mate ! matons ! regardons les choses en face et en vrai essayons de comprtendre les données les plius ancrées ce qu'elles auraoent à nous révéler en termes de définitions ou de révélations concernant la mort. Alors .... on pourraiot dire ou avancer ceci, ici, cette chose (dite "de paroi"), comme quoi en vrai, la mort est ... Satiété ! hé hé ! On voit ça ! On est nées pour aller toucher à cette Déité dite "de paroi". On est accolées (à deux) pour eh bé voilà, tracer ! coller à la Donnée, aller graver, charger, faire ainsi que Déité soit comme rassasiée , d'ùo les nénés et le prix du Lait , c'est ! c'est ainsi que c'est !! On essaie ensemble de se rapprocher des néenés de  base (d'une roche allouée à une sorte, en soi, de mamelon) et ce faisant , qu'est-ce qu'on fait ? on trace ! On colle ! on fonce ! on veut cfomprendre ce qui est ! On veut toucher au mamelon "montón", on veut y allezr ! on veut traverser et passer, se placer, coller pour passer, coller à deux pour du coup passer, traverser la roche, la paroi du monde, le sommet, la roche allouée à cette Déité des Déités . On veut coller et 

traverser ! aller dec l'autre côté et filer ! courir à travers le pré ! aller vite au fond du pré pour cerner les do nnées ditrtes "disposées" comme à l'arraché, déposées sur pré, allouées à une soprte ici de pré aux données données de type (fortement) animalières. On connait ! on comprend des choses. On veut toucher la Roche du fond. On veut tracer sur elle les données premières, coller, s'approcher de front, comprendre et toucher. qui on est ? on est nées Fées au cimetière on dirait : AILES. On veut être AILES, AILES ALLOUÉES à une sorte de donnée de type Déité dont le nom en vrai (en toutes lettres) est FÉE ! Fée de Rage ! Fée de base ! Fée docte ! Fée des prés ! fée des données fortes , genre animalières néandertaliennes ! on est nées fées ! on est passées ! on est da,ns le pré ! on a travezrseé comme à la dérobée la roche prioiùmaire, le roc alloué à un cimetière (sorte de) et nous voilà tombées , tombées dans un pré, champ de luzerb-nz aux bêters gravées, on aime ! On marche ensemble au son des musezttes. On est allouées à ce pré en herbe. On marche au frais. On aime marcher. On va ainsi nous promener , charger, courir et se pôser, brouter, brouter 

comme elles, toutes ces bêtes  comme affiliées à une vérité "des prés". On est bêtes comme elles (fées-bêtes" , qui faisons ensemble le chemin des fées" on dirait.; On est nées fées sur herbe dans la Mort donné; on est nées (renées) en cette herbe des données rupestres. On veut cerner ! toucher ! aller ! comprendre cec qui est qui est ou qui serait pour nous la fleur (la crème) des données si tant est ! On veut tracer ! courir ! jouer ! ne p âsz vréritablement mourir soit défaillir mais tout au contrzaire se coller (l(une à l'autte) et tenir  allouées à pareilles données dites "des prés". On veut cerner les données rupestres. Aller ensembkle jusqu'au bout du bout de pareille pour le coup enclave prairiale : toucher à certe vérité donnée de type "cloison murale". On veut aller ensezmble jusqu('au bouyt du bout, pour comprendre, toucher, regarder, presque espionner ce qui est qui en vérité ici (prairie aux fées) se trame ou se tramerait. On est F2ES de rage en ces contrées et on veut de rage, du coup, comprtendre ! toucher ! aller ! ne pas sombrer ! faire fi des bases allouées à un cimetière mais coller ! coller à cette soerte de donnée finale ou terminale, coller grave ! regarder ! toucher ! se glisser autant que possible ! regarder les données possibles, le tracé nacré, l'embarrure, le passé, le dieu donné, l'embrasure, l'envoyé, le déplacé, la turne, l'emporté, le vif et la plume, le petrit oiseau de bonnhe augure, l'idiot, le conno, le p)arfait conno ou qui d'autre quyi est là qui serait comme à nous attendre comme un nigaud ? On est de base Fées des F2es, qui voulons, dans ce "pré des Fées", comprendre. On est F2es faites ! pour l'Herbe, le pré, le c hamp des fées, le tracé a:lloué à une sorte de sentier menant tout droit (hors cimetière) à ce passage étroit d'un mur de derrière, vers là-bas, la plaine, la toundra, le soleil vert, la cghaine des neiges, le donné royal, l'amulette, le prairial suprême, 

l'ontogénè-se. On vezut ou on voudrait ensemble faire (ici) cette chose à deux (on est deux) qui est, pour ainsi dire, de .... comprendre "sec" , les données du VErbe envieux ! On veut grave ensemble cerner, toucher aux données = cerner ces dopnnées, données des rêves ou sinon des rêves des pensées allouées à une sorte de Passé , dit "de cimetière", mais en vrai le cimetière est une sorte de pré alloué à du Verbe Nacré (sacré ?) de type Vérité des Vérités. On trace sur pré chemin de passage, on fonce grave, on court on vole (inclinaison, lévitation) et du coup on gagne (fissa !) la Paroi de Roche Finale, là-bas, le tracé des bases, le Fond de Barrage. On regarde ! On voit quoi ? des traces de pas ? on y croit ! On veut ensemble (main dans la main) comprendre les traces, les données de Rage dxes Paraois Finales. On rzegarde. On voit quoi ? une sorte de paroi qui , peut-être, s'ouvrirait à noptre passage,, ou pas ? Ouverte de base = échancrée ? On ne sa it pas ! On cherche grave ! On veiut passer ensembke, toucher D2ioté, Voir / comprendre les Données des Fées ou dites "des Fées", ce qui est, ce qui se passe, ce qui se trame, ce qui se rassemble, se qui se fait , ce qui est qui se fait, ce qui est qui tremble. On veut de fait ensemble si possible, au maximum, comprendre sezrré ! toucher Déité ! Toucher à cette Déité des Rages ! qui c'est ? "c'est l'plombier" ... des parrages ? On ne sait ! on veut comprendre = voir, voir de base les données actées, la fumée des paysages, les cl artés, entendre le cha nt comme alloué à une sorte d'anfractuosité permettant (grave) pour de vrai un passage, à travers la roche elle-même allouée à pareille contrée praioriale. On entre ! enfin disons on essaie d'entrer, de passer un oeil au jugé, cerner-toucher vite fait les traits, les formes oblongues,l es fumées, les clartés de près. On est nées fées  on s'ap^proche des fumées. On est , dans la mort, nées fées, transformées, transformé en fées, transformé d'homme au singulier en fées, au nombre de deux il semblerait (ça le fait !) et nous voilà sur pré à chercher (rechercher) la Chose, le TRacé tracé, l'anfractuopsité de Rotonde, le pasdsage alloué à une sorte d'entrée ... du coup dite"de fée" telle qu'il semblerait qu'il nous fût alloué ! On est fées de trait ! On trace ! on colle ! on fo,nce ! on veut toucher à ce tracé "du bout du monde". On veut toucxher toucher toucher , à ce tracé tracé tracé ! du bout du bout du bout , du monde alloué à une Vérité Acté de type Déité il xsemblerait. On esty accolées (§serrées l'une à l'autre) et on cherche à (re)traverser la roche, après l'avoir unre première fois de fait traversée, nous voici, après le pré trouvé, qui cherchons ensemble (fée = AILES) à re-^(pour le coup) traverser, la Roche-Rotonde, l'ambra sure ; l a retravezrser (en vrai)  pour ainsi dire, soit la retrouver , la voir se tramer, la toucher, la toucher dxe près, cerner-allouer, à pâreille Donnée, une sorte de "Vérité des Vérités". Comprendre. Cerner = toucher = dire. On veut dire et cerner ce qui est afin de OUI, faire ain,si que pareille donnée terminale (genre "vie après la mort-vie") soit vivace ! On entre ! on entre (si on peut) un oeil ou sinon quoi ? On entre, qui un oeil de Rage, qui un doigt. ON est au fond du pré. Rotondité des contrées, on a gagné le fond, qui est fond de  b ase pierrale, pierreuse, mur d'enceinte fait de pierres , roches, roc durs, mots des fées. On veut toucher à une Déité matûre ! et du  coup (OUI !) cerner ! , toucher = cerner = dessiner (de traits) les données, de base motrices, genre "animaux des prés", bufflettes allouées à une m atrice, bisons futés. On est comme accolées à une roche, de rtype "rotonde" des prés. On veut COMPRENDRE= COMPRENDRE LES faits. On veut ici toucgher pour (du coup) traverser, maiis cxomment traverser sans percer, et percer sans y passer ? C'est une sorte... de ,  sorte de , qui sait, casse-tête ? il sembleraiot ! On est bêtes, on chzerche, on ne xsait ce qui est ! On aimezrait grave connaittere, ensembkle, ces données de base, les jauger, les soupeser et voir ici (de près) ce qu'elles contienhent ou contiendraient en termes de vérité attitrée. On est qui en vrai ici ? des fées ? oon ne saiot ! ELLES ! peut-^tre ! Ailes ! qui sait ? on pourrait tracer, chercher, sui vre un tracé, essayer de comprendre les faits tels qu''ils nous apparaissent au débotté. On serait aéinsi éclairées ! mais comment faire ? qui on est en vrai en ce post-cimetière aux données allouées à une vérité de verbe ? On ne sait ! On chercvhe à cerner ! On est comme passées à travezrs la pierre une première fois (on dira : la mort) et nous voilà là (pré aux bêtes fortes) qui cherchons (de force) à essayer de, non pas en vrai rebrousser chemin, mais, en quelque sorte, retrouver la pierre, plus loin (la même en rotonde), afin de, pour le coup, ensemble (main dans la main) tenter cette approche d'une sorte de ... re-passage, ou colmment dire, re-passage de vie, de vie-mort à ... tré&^pas ? ou quoi ? re-la vie de l'au-delà de l'au-delà ? On cherche grave ! on est pas encore arrivées ! on a pas mal de "chemin en souffrance" qui, en vrai, peutêtre, nbous attend ou attendrait incidemment on a cru comprendre

; on veut aller profondcxhercher ensemble à pour le coup comprendre ces données dites "des fées", dites "des fées" car, elles sont comme i,ntroduites (avancées) par des sortes de fées liées à la mort ce qu'elle est (paire d'ailes ?). On est ensemble arrivées à passer de l'autre côté une première fois la roche, mùaintenant voilà : RE. Re la roche si tant est. Rotonde ! on se retrouve nez à nez comme qui dirait avec, à nouveau, la roche, la paroi frontale, les bêtes de rage, le passé, la place, l'avancée frontale pariétale, roche aux apprêts, façade, cloison murale, tracés de base, vérités. On veut passer ensembkle à toi à moi cette façade de paroi et du coup quoi ? se retrouver comme à l'ambassade  ? re-passage pour une retrouvaille ? quoi ? on ne sait pas mais voilà on trace ! on ne lambine pas ! On veut grave comprendre, comprendre la charade ! On est là pour ça : enttrer, courir, passer, comprtendre, toucher. On voit ce qu'on voit. On est nées sur pré Fées, nous voilà comme sommées de re-passer à travers la Roche, de l'autre côté... côté  vie de Base ? vie-Vie ? vive vie d'entre les vies de base ? vie des vives données de base ? On est nées fées ici (la mort) et nous voilà comme recondyuites (toi et moi pour Soi) comme à domi$cile ! On est touchées ! On cherche à cerner ! On  veut grave trouver ! trouver graveà , pour le coup, comprtendre (ensemble) ce qui est ici, qui semble aller, se tramer, se faire, se monter, se dessiner. Une sorte de ... mât de rêve ? :mât de misaine ? tri actif ? rotation ? On est deux pour en vrai être Fée des fées, on est dans un pré rempli (ici) de bêtes de pré, 

on marche têtes haute, on est accolées, on se donne la main, on est des fées nous-mêmrs, ou une Fée de cimetière, ou sinon fée de cimetière, Fées des prés, FÉEs de ce pré aux b^tes de somme ; ou sinon des fées dites "de parole", "Fées de Verbe"; on est entrées ! On vouklait (grave) essayer de toucher à cette D2ité des Déités dites "de cimetière", on y est ! On est passdées ! on a touché ! On est comme en vrai entréées ensemble tête premioère en  ce pré de Rage, la tête relevéée, on est nées ! nées de Rage ensemble ! On est néesz de base sur herbe ! On est fées faites ! On aime ! ! on s'aime ! On veut toucher, aller, cerner, comprendre, allouer, dire, pousser les données vers (peut-être) une sorte d'enclave ou non, de passage, ou comment ? on enttre ! on est entre ! enttre deux parois de base d'une même (en soi) rotondité ! On est soumises à une sqorte d'"enclavité" de référence ou quelque chose du même genre, et du coup on trace ! on court on vole ! on s'envole ! on est comme envolées, voleuses, volantes, on passe ! On s'approche ensemble ! On veut comprtendre ! on veut aller ! on cveut faire ainsi qu'on puisse ezntrter tête première e,n c ette roche des données dernières. Qui on est ? on est allouées à une roche ultime aux données données , du genre Vérités ! On veut toucher ? On voudrait grave toucher ! On voudrait grave allezr profond, en pareille donnée allouée au tréfond des roches ! de la roche rude. On veut, ensemble, aller toucher. On veut grave ensembke toc-toucher la roche allouéeé à une vérité dite "des tréfonds". qui on est ? On est (dans la mort) F&ée ! On est Fée de RAge , dans la mort. On est  commùe en vrai fée, en cette chose d'une enclavee, paradisiaque, dont le nom serait (de fait) La Mort ! La (en vrai) Mort d'Homme ou de Femme, Mort de l'Homme fait, qui, en  vrai, dans la mort, devient Elles = Ailes = Fée ! c'est un fait avéré ! post-cimetière ! les nénés ! la grève! le sommet de tête ! l'envolée des envolées ! la pierre ! le donné et le jaugé ! l'alouette ! on jette ici les données do nnées commùe en vrai elles nous viennent , on est nées de base imberbe, on est fauchées comme les blés au cimetière, on est allouées à une roche pleine, forte tête, dureté 

mùère, frai ! On edssaie en vrai de cerner les données les plus ancrées en cette terre mais voilà, la vérité est (quand même) difficile à atteindre, il faut s'y coller, il ne faut pas lambiner ! il faut chercher de près à cerner ce qui est, à comprendre , à aller (profond) en ces sortes de données frontales, qui sont (ou serzient) données axiales = vérités xde base "à tout jamais". On est icfi ensemble pour (qui sait ?) toucgher le... ventre de la Rage , Rage allouée à une Sommité de type Bisonne, Buflette touchée, Cheval-Amazone, Chavalité de zone. On est Bêtes de somme= Fées c'est vrai ! ça peut paraiotre exagéré et pourtant c'est un fait ! On est nées : bêtes de somme  / fée, en  ces contrées des bouts de mondxe d'une vie siur terre, et la roche passée, nous voici transfor(mées ! fées ! fées de Rage ! Trouée ! cri dee base ! On veut toucher toucher toucher , cerner cerner cerner, dire dire dire , en trinité les données données (donées). On ne veut pas faivblir ! on veut coller à Déité (aux données sauvages) et cerner de près et sans ambages ce qui est qui semblerait vouloir comme nous séduire. On est Femmes des prés allouées à une Sommité lascive. On aime aller sur pré saillir ! On aime baiser, toucher-toucher, se lécher , se laisser aller, se faire grimper, se faire monter, se faire foutre voire enculer = se faire traduire ! On est comme nées (sur roche) à la une à la deux, vives fées des Roches ! On est nées gouines en cette (sorte de) roche des prés dont le nom, attitreé, est : eh bé qui sait .... la mort.... en vrai ? on ignore !On ne sait ce qui est ! On subodore ! On est comme allouées (fées) à une sorte de cohorte de type "bisonne" et du coup on suit ! on colle ! on colle au troupeau! on est comme accolées à un troupeau (ou sorte de troupeau) de bmêtes de pré. Collées accolées on est. On colle ! aux bêtes fortes, aucx bêtes massives, au troupeau de peaux. On est : Fées de Vie, Chance accrue, Vives Allouéesz, Franches Venues, Mouches de Rue. OIn est nées sur pré à la retombée quand on est venues, qu'on a traversé ! On est nées à l'in stant précis où on est passées "de l'autre côté" , à la une à la deux le roc des Données. On a paqssé ensemble ... le minois, le torse nu, on est nées sur pré, ainsi tracées, on s'est regroupéses pour former ... FÉE, de base nue ! On est née F2e ! Ailes Dorées ! On est ensemble comme entrées en cette chose d'une sorte de prairie lacusttre, pré des mille donnéesz , pré animalier. On est entrées et on s'est retrouvées comme allouéee de fait à une vérité , elle-même liée à la rotondité des contrées rencontrées. qui on est ? Des fées ! dans l a mort des fées ! On est fées = ailes. On aime êztre Ailes ! On veut ! On veut (en vrai) être Elles , dans la mort . On veut dans la mùort en vrai e^tre ailes ! Elles ! elles desz données? elles-données, Données, DONNE. On veut grave en elle (la mort) Être FEMMES ! FEMMES -DONNE. On veut ! on veut on voudrait ! grave dans la mort ! être cette chose , d'une femme-donne. On veut toucxher à cette déioté du bout du monde (allouée à une roche qui serait, toute, à graver). On est femmes des prés , Joconde ! On ose ! on veuyt toucher toucher toucher à cette trinité , qui erst cette cohotrte : une bête de somme, une bête-mot, une bête de poids. On aime ça ! aller et venir en ça : la roche ! traverser ensemble, main dans main, comme accoléesz à une Vérité (Priofonde) de Roche, Paroi, Pierre d'ombre. On est paqsssées de rage à travers ça, la roche des prés, nous voilà Colère ! Fée des fées toute en colère d'avoir traversé sans céder ? ou sinon sans céder sans quoi ? On est nées ! on est enfin nées ! on est nées de RAge sans céder c'est un fait ! on est passées ! on est nées dans un pré, on se retrouve comme nées, de rage, dans un pré rempli de vaches ! c'est fait ! on est accolées ! on veut cerner-comprendre, chercher ce qui est, akller ensemble icxi sur place toucher à cette déité des déités frontal on dirait ou alors (sinon frontale) temporale ? on colle aux nénés ! on tète la bête ! on est bêtres nous-mêmes sachant téter, on aime ! on aime le lait (téter) , chercher à comprendre via du laéit, ce qui est qui estr en cette sorte de rotondité ou d'enclave à jamais, ou sinon à jamais , le temps de passer, de travezrser, d'aller vers ces contrées de charme, bout du bout des antres,, on croit comprendre. On est passées, et du coup on veut cerner les données finales. On est qui ? On est nées sur pl ace fées ! nées Fées ennoblies de base, on avance,, on trace, on file à toutes enjambées (?) vers les données finales, mur aux fées, antre terminal, cage dorée. qui on est ici (dans l'antre de la mort) ? des fées ! Fées du logis ! on est accolées ! On est nées de rage en ces contrées fées = mouches tsé-tsé ! On veut toucher à cette Déité des Roches Sacrées , Déité des D2ités. On est passées et o,n veut tracer et du coup quoi ? re-passezr ? re-voir du pays ? re-venir à la Vie en vie ? ret ourner à ses envies d'avant la roche ornementée ? chasse au dzébotté ? cueillete assoiffée , ,course à travers les prés ? ceux de l'avant-scène de la mort en herbe ? On ne xsait ! On est nées puis re-nées puis pâssées puis ... ou sinon passées  : pré-passées. Ou sinon pré-pa ssées : comm" pré-passées. On oses ! on est cfomme nées, sur herbe, à la retombée, des fées. On est comme nées fées à lma retombée ! On veut cerner ! toucher ! aller ! comprendre ! faire ! allouer à une roche u ne sorte de ... sommité de cimetière ou dite "de cimùetière". On veut dire et cerner, chercher et faire, trouver, cacher, pondre et coincer, soulager. on est nées femmelles dans la mort en herbe on dirait. O,,n veut coller à cette déité des données dernières. quand on naît on naît herbe, trait, colère, femme des prés, herbe verte, colère innée et ancrée, soulevée, fière, chargée de verbe. On veut toucher toucher toucher, à) cette Déité des données Sûpremes . On est comme néezs à une véroité soudaine enfin soulevée (da ns l'herbe) = envolée ! fée ! fée ! fée de base des données de l'herbe ! fée des fées on aime ! On veut aller, toucher et tracer, comprendre, cerner, aller grave au plus loin des données p^rairiales rechercherv le trait, le tracé, le dessin acté, l'herbe des prés en sezrait transformée ! On aime aller sur herbe chasser (comme qui dirait) une vérité 

 "poxst-cimetière". Cerner-allouer. faire et dire. Chercher les données du rire, de la joie montrée, des actions mennées à même le pré. on est femmes des prés allouéesz à une sorte (en soi) de mise à bas des données "abruptes". Qui donc pourrait ou peut nous cfomptrendre en ça ? MOI ? Ce Moi de bas-étage genre "maussade" ? On est co:mme a&ccolées, par la bande, à une donnée de type "romance", et cela nous sied on dirait. On est "douce-france-allouées", on est nées de base en france, fées ! On est accolées en forme de fée. On est femmes d'une romance et du coup on entrte, à travers la roche, vers un pré de base, pré des prés, emplis (grave) de bêtes dites "de la chance", bêtes allouéesz à une sorte de donnée  de base sale , saleté, ou peut-etre ... s age ? On est nées sur pré comme à la parade ! 

On est entrées ensemblke tête -pied, en force comme des malades, on voulaéit percer ! On est passées ! On veut coller ! On veut tracer ! On veut être nées, de  base sur pré ensemble soulevées ! comme soupesées ! envolées ! On veut voler ! tracer ! filer ! comprendre enxemble follement ce qui est qyi nous concerne ou nous concernerait de près, et qui est cette chose cfomme vqyuoi on s'aime ! follement ! en ces contrées post^cimetière il semblerait. On est femmes-fées des p^rés alloués à une sorte de contrée post-cimetière, aux données données "par derrière", "à l'arraché", comme un sort jeté ! On est passéesz à travers elle (la r(oche allouées à une vérité) et nous voilà comme tombées dans lm'herbe au milieu des b^$etes (poids des Rois et RE"ines) à chercher à (de fait) nous recdresser. On est redressées. On court on vole. On ne s'en l&isse pas conter plus 

qu'il 'en faut, on trace au cordeau, on file à l'anglaise, on s'aime follement sur herbe, on est "belles bêtes" de paroi de Roche. On aimùe aller ! s'(aoimer de près ! cerner les dobnnées, les données acxiales, la vie ce qu'elle est, les données frontales = les envies. C e qui est est, ce qui n''st pas n'est pas. Le sait-on assez ? on va droit vers ça : la porte ! On voit ça : la roche, aux données profondes. On veut passer ! aller de l'autre côté, à la recherche de données fiables oiu disons "tenables". On aime grave nous pointer deva&ntt 

 la porte des données finales. ToUcher ! faire ! graver ! dessiner ! On vezut grave dessiner des bêtesz et à main levée ! bêtes de roche = bêtes de poids. On les aime ghrave ! on aime ensemble grave les bêtes, de poids, sur paroi. On est FEmmes Sardes (?) : qui le croit ? On est des femmes sardes, on chante grave, on veut comprendre le pourquyoi dxes choses  ici -bas et ici -haut entre deux voies (deux pas ? deux tas ?). On y  c roit car on est là, qui voulons cerner la rOùmance" des parois et autres chants en transe ! Sarde tu le  crois ? Sage sarde ? On y va ! on chante en transe ! tra nse xde paroi ! on y va et on y croit ! on est en transe ! on chante ça en transe va comprendre ! On est là pour ça : la transe-danse de paroi de Soi !IoN entre ! on entre ! on entre dans l'antre ! on est comê en transe ! en nage ! on sue de rage ! On est femmes sardes ! toutes nues on sue ! on est femmes sardes sur paroi de RAge ! cris de joie ! allelluyah, charges mentales, frontales ! cri d'effroi ! On passe ! on passe ensembvle ! Ailes de paroi ! on passe on trace ! on dessine sur ^lace (paroi) lza Chose de Poids dont le nom de base  est : Charge ! poids ! rage ! dire de poids ! verbe à la noix ! potage ! charge de bois ! ramages en veux-tu en voilà ! CERf de bois et de sous-bois ! BEtes de poids = vie saubvage ! On aime ça, ensemble, tracer. On aéime ensemble ici et là (sur paroi) tracer : qui ça (le bison du Roi) , qui ça (la biosonne sarde). On y va de base sans tralala ! on est là ! on passe ! on trace ! ion va grave sur paroi tracer la charge, l'animzl "sacré" = "nacré" = "posé". On est comme nées fées dans la mort actée , c 'est grave ! disons : gravement acté, mais en vrai ... c'est que dalle, petit fait ! On est ezntrées ! On est passées ! On est dans un pré aux bêtes de charge..  on les voit brouter, qui sont allouées à une herbe rase, on les voit aller. On les aime grave ! on est aimées ! on est aimées des bêtes de base, et on aime aimer les bêtes de poids : balancier ! On aime, on est aimées ! la b alance souveraine ! souterraine ! le tracé en forme de trajet ! on aime ! On est nées imberbes, on est passées, on voulait connaéître les contrées, le paysage genré, les peuplades, les actes tracéés cfomme à la parade : on va dire que c'esty ok ! On va dans la lande. On court à volonté. On aime les branches, les données prairoa&les, fruits des fées, bouillons. On aime aller ensemble, comme à califourchon sur notre branche ! On est nées fées sur p;lace, on va vers le fond, on trace . On est nées féees de base. On est Fées nées sur place, la roche passée. On veut cerner-comprendre ! aller-toucher, faire-dire, vivre-tomber, se coucher-tracer, donner-coller, dater-saluer, vaincre les données de rage ou ... comment dire ? les toucher ? On est comme alouées ensemble à une base de données dont l e nom ebn nn vrai , est : MORT ! comme à l'araché ! On connaiot l'entrée ! on est néesz de base fées en ces contré&es la roche passée. dans la mort on sombre ! on trépasse, on tombe de haut homme, mais femme on se surpasse, on passe les rages, on renai^t grave, F2E  ! F2E des F2ES ! On re-nait en tant que FÉE ! on passe , on repasse ! on volette à la retombée ! on se redresse, quand l'homme ( lui) cède, tombe, s'aplatit, trace, se frappe, se fracasse, n'est plus, qui trépasse (le goulu) ! On nait fée-femme des présc, à la retombée : la chance ! une chance ! On est femmes née, don,ée, faite fée à la retombée la mort venue nue ! On est fe"mmes des prés, on est nées sous roche, on va loin . On vole ! on vole on volette ! on volette on vole ! On veut être, faire, dire, aller, cocher les traits. courir sans désemparer ! aller ! toucher ! faire ! cerner ! comprendre ! pisser et cghier de bonne grâce , comme des benêts ! faire sensation ! toucher les nénés ! avoir raison ! tomber puis se redresser ! souder ! pointer ! aller ! dire et sonder ! faire fi des données sans nom (allouer à Roche son Nom = se donner, gagner du galon en forme de Melon, c'sst un fait et, sur "connnes roches", cons doctes, on tombe) ! On est accolées à une roche 

 aux données données. On est nées sur Roche fées, et on s'aime à la  volée (à la volette) comme des bêtes, comme bêtes (en vrai ) de paroi vue. On s aute ! on gag,ne la rive ! on est nues du cul ! on, veut toucher à cette chose d'une sorte de paroi 

"du bout du mon,de", paroi des parois, paroi dite "secondaire" car, elle arrive (en vrai) après la paroi ditee (du coup) "primaire", après le pré (pré-ambule rupestre de type agraire, prairaial, fleuri) comme une sorte de post )-cimetière, genre mùur de fin, cloioson finale , mur du son. On est

 femmes sardes sur roche p^leine. On traverse ! on entre da,ns l'antre. On veut comptendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ les données fro ntale, ce quiu est qui nouys fait face. qui on est ? heh bé peut-être des fées , en vrai. On meurt, on meurt en tant qu'on est par exemple un homme (singulier

) et, dans la mort, on dirait qu'on est ... transformé en femmess, en femmes de pré, en femmes-fées des prés, en une fée des pré, fée aux ailes nacrées, dorées, allouées à une sorte de "mât de  misaine" , on diraiot. On essaie de s'y retrouver dans cette sorte de po!ème aux données dibverses, mais en vrai c'est pas gagné ! d'abord parce que, pas sûr en vrai que ce soit un poème (du genre lettré) mais surtout parce que la mort est une sorte d'entité genre cadenassée, cloitrée, qui nécessite beaucoup de doigté afin de l'approcher dans ce qu'elle est, qui vous (vite fait) met sur le côté question vérité ou profondeur des données. On essaie de tracer mais ce n'sst pas simple !! on, essaie bien de cerner-tracer, la bête, la belette, le cheval;, l'ourse des prés, le buffle acoutré, mais voilà, la chose n'est pas données d'emblée ! faut cravacher ! Faut y aller ! faut s'y coller en  vraéi ! faut ne pas lambiner pour de fait s'y coller et pas à moiti"é ! On est qui ? quête ! on guette ! on essaie ensemble, entant que femmes, ici accouplées, de tracer la Charte audx Données données. On est femmes des prés : on grave ! On dessine à main levée les bêtes allouées. On les aime ! opn veut grave les aimer en tant que telles. elles sont nos soeurs pour ainsi dire de boh^me (sacrée) et de contrée ! on les aime de près, de loin, de rage, sous le vent, n'importe comment . Soeurs de lait c'est un fait ! soeurettes ! on aime le lait, le nacré, la crème, le chrème, les données actées, lactées, tracées sur rochje à main levé&e comme du verbe du passé. On aime tracer ! on trace le Verbe ! bêtes-mots de poids sur roche = ÇA , La donne, les données de base, le tr acé primal = 

la chance au grattage et autres jeux (des rages) suivants. On est comme des Fées du Tourment (ou des tourments) chantantes. On aime chanter ! on cherche à cerner ! on veut comprendre, almlouer et donner, faiore un choix de Roi, de REine Touchée, de petit bébé ( des bois et sous-bois  : faon des aires). On est nées de rage à l'arraché, on fait chemin inverse ! on revient sur place : ventre des données ! on veut comprendre : qui on est. On veut ensemble grave se coller à une sorte de recherche allouéev à une contrée par delà l'ère du cimetière. Qui on est ?

Eh bé évidemment que, voilà, on ne sait pas vraiment. On aimerait beaucoup en savoir dabvantage et du coup pouvoir (pluqs facilement) cfomprendre ici ou là ce zui se tra&me, en  ette sorte de paroi d'un antre qui est un entre, l'entre-choses de paroi. On est femmes sardes, et du coup, en transe, on essaie de fait de cfomprendre ensemble, les données de base. qui on est ? peut-êtte en effet des fées, mais rien n'eswsdt moins sûr en vérité. On cherche à cerner de base les données, ce qui est qui semble se tramer, se tracer à main lezvée sur roche : bousquetins des prés ? qui sait ! on espère un jour pouvoir ici cfomprendre les données de près, celles qui en vrai sembvlent "gouverner", "gouverner de conserve", les vies a&llouées à une aire, à un pré d'herbe, à une sorte (qui sait ?) d'enclave dorée genre cimetière dezs données don,nées. On est allouées nous-mêmes à une sorte de "cl arté" , qui semble ou semblerait venir ou provenir d'une abnfractuosité, tracédans la pierre. Qui le sait ? On tremble ! On est femmes tremblantres sous un vent de face ! il faut dsire que ça "buffe" grave ! ça envoie ! ça frappe ! On voit ça ! On est des fées-femmes de paroi qui (ensemble) cherchent à comprendre et tracer sur roche les données suprêmes, rencontrées, trouvées au passage,, relevées : qui on est et qui on est pas, les herbes../ parmi les plus courantes, noms des rois et reines, tralala sur herbe, oui, ça envoie ! ce qui est qui va devant soi, nous conduire en vrai et fissa vers ce tas, là-bas. Romance, charabia, transe, envois de bois, connaiossance des connaéissance's. On y va car on aime ça ! On veut (on cherche à ) comprendre grave cet envoi cde choix ! on est là pour ça : acter la romance, chercher en transe, doubler toutes nos chances d'y voir grave clair en cette sqorte de maison des bases, trou du con, maison sage, traduction. On e,ntre ! l'oeil ! la chance ! on entre = la chance ! de pouvoir ainsi ensemble un oeil passer en transe ou comme qui dirait il sembleraiot en tra&nse ! On regarde. On est né"es de base en transe (pour le dire vite) . un accouchement, en vrai, est une transe ou comme qui dirait : Trandse des Transes. Accoucher c'st entrer en transe (de rage). Qui on est ? Transes ! charge reine, point de croix ! On est comme nées sur herbe à une fée des fées, Reines des prés. On veut comprendre e,nsermble, un certain nombre de données de base, et pour cela, le mieux, c'est de, pour le coup, cerner les données (les données de base) dans un pré : bêtes allouées, betes des prés, b êtesz-masse sur roche tracée ou ornementée. on regharde. Il faut cerner ! On se doit d'aller comme à l'abordage, d'une vérité de façade ! 

on est fées de  b base de base allouée à une sorte de denrée ! On colle au verbe ! On creuse ! On est accolées à du Verbe de Fée ! On est femmesz cdes prés allouées... à un Verbe de Fée de type Verbe Ailée ! p ôuvant naviguer (d'un endroit l'autre) à la volette, au passé, au temps donné. On aime ! on essa&ie de cerner ce qui est, en cette sorte de pré des prés. On est femmes des prés ok mais aussi ... fée ! On est fée des fées ! charge docte et tracé sur roche (une amulette ?). on est nées sur roche Fée, en tant qu'on est nées allouées à une Vérité c ertaine (charghée). On colle ! on est deux (accolées) qui sommes Ailes d'une Fée des Herbes(en herbe ?)! Qui on est ? du coup : une fée ! Fée des prés en tant que telle. On veut toucher à cette déité, des herbes semées, verbe de cimetoère , herb-verbe de cimetière peut-^tre ... qui on est ? on est .. cette herbe ? ce tracé à main levé sur roche ornementée d'une grotte cachée sous un monticule (ou sorte de) de flore diverse ? On entre ! On est coomme entrées ensemble

 ("à toi à moi") dans l'antre. On est cfomme soupeséees ! szoulevées ! montrées-montées ! mises sur pied ou quelque chose d'approchant ! On est nées de base sous le vent, comme nacrées ! soupesées nacrées on est nées fées , aaux ailes translucides dorées, vives et nues, ! on est nées fées nues ! on pue du cul ! on aime voletter e,n grâce ! on est nues superbes velues ! papillonante on pue ou on pue pas mais on envoie ! on veut tracer ! aller de rage ! graver et gravir ! toucher sans embages les données lactées (actées) du message (en ces contrées) rencontré (le messaege) colmme tracé (par qui  ? on ne sait !)) comme à main levée et d'un saeul trait sur roche préparée. On voit les nénés ! les traits marqués ! les dessins allouées ! bêtes de rage, poids et masse. On estcomme nées ensemble à la retombée. On croit comprendre les nénés, le 

lait , PIS de l'homme ou de la fzemme, a vant le passage (en l'occurence : pis de la femme ?) , et nous d'eesayer de comprtendre ce qui est en vrai, les données de base, les do nnées actées, le charme, la chance, le chant des fées, la parade ou la cavalcade, les chevaux et chevales lancées à travers la (les) lande(s). On essaie de comprendre)- cerner, les bases, ici, d'une sorte de romance (roman ?) des prés. chant de garde ! monstruosités ! méchancetés ! croyances diverses comme distinguées, on dirait. On est entrées ,

On est entrées en ces contrées 

par le biais en vrai d'une sorte de donnée larvée ! On a prié ! on a parlxé ! On s'est rapprochées ensemble de la roche lisse, on l'a caressé pour ainsi dire, et, d'un couop d'un seul, comme à l'arraché, ion a jeté nos forces (toutes) en cet élan qui bnouq a vu passer en force les tourments, la roche aéux tourments, et du coup traverser ensemble (à la une à la deuxd) le pic (ici) du mont de Rage des données rupestres et autres envois (pariétaux frontaux). On colle = on ose ! c'est un fait. À ne pas négliger. On est nées fées parce qu"'on est passées , c'est ainsi qe c'est. On est fées nées ! on voulait c'est fait ! on voulaiot grave ensemble passer eh bé c'est fait ! nous voiulà cfomme entrées en ça : la roche ! le roc du tas ! la roche profonde (toundra) ! On colle = on ose = on trace (grave) un certain nombre de données de base ! On est femmes allouées à une sorte de Passé Maussade mais voilà ! "en passant je passe" comme qui dirait ! On tracverse enszmble, on se retrouve de l'auttre côté (dans la lande), on veut continuer, aller loin (de rage) vers le pré, au delà du pré, retrouver la roche finale (cloturante) et à nouveau (qui sait ?) la traverser, ensemble, comme' à l('unisson et par la bande, à la une à la deux comprendre ! sauter-comprendre ! touxcher-comprendsre ! sonder grave les données finales, traversrer ensemble, la paroi florale des embruns, des bords de mer sage, de mer attitrée, sondée, vue et bue . on est comme des fées de contrebande la nuit venue. On veut toucher ensemble si possible la monnaéioe d'échange, les choses dites "de la rue", le tracé nu, l'épopée franc-comptoise si jamais et autres romances allouées à des territoires donnés. On est accolées de base à des données de fond de Rage, tracées, dessinées, accolées.  nousq sommes en transe ! nous sommes elles, qui voulonstracer (ensemble) en transe, les bêtesde pooids sur p aroi

de groote souterraines. on trace ! on est cfomme allouées à faire ce tr acé  ici, sur roche imberbe ! On est nées (dans la mort) fée ! car : aimées du cimetioère (des) et desdonnées prezmières genre humanisées ! On guette ! on mate sévère ! on veut toucher à cdette déité "des cimetières" si tant est, comprendre ensemble (ici) qui on est, qui on semble êttre, quyi on veut être, qui on veut toucher en fait de bêtes, qui on veut cerner = dessiner et du coup connaîttre. betes des prés = betes-formes. On est nées sur roche des prés ! On est comme allouées à une destinée de type "colère" , "rage des prés", "emportement salutaire", "remontées de bretelles". On est : des femmes en colère ! on veut gueuler ! trpoubler l'ordre ! essayer ensemble de cerner les choses qui en vrai corrompent, font du tort, faussent ! Comprendre ensemble c'est tracer ensemble, à main levée, une bête dite "de cohorte" (genre bouquetin et tine) et du coup cerner ! touchezr ! cerner et toucher à cette Déité du bout du monde. On est nées sur roche, puis sur pré, à nouveau sur roche : trinité des temps donnéess !On aime grave aller sur roche tracer, qui des bêtes-mots (de type genrés) qui des mots -bêtes (de type alloués à une plainte). On est n,ées Fées sur roche, et pré.... pour la bonne cause : le salut des âzmes, des envies prégantes , des (de fait) vies de base. On veut ou on voudrait ensembkle chercher, les dires donnés et autres dits de contrebande . on est nées ! on est enfin nées ! on est comme nés ! on est comme nés sur pré ! on s'aime sur pré ! on est fées nées sur pré au pazdsage des données genrées ! On est passées ! on est trépassées = passées = faites fées ! On veut ensemble en vréi eessayer de cerner un certéin nombre de données de  base, et du coup co:prendre ce qui est qui semblerait

 vouloir arriver, ici, de rage, devant nous, comme un fait exprès. On est Femmes de paroi "étrange", genre "la paroides rois ", romance, transe, faits actés. On fait celles ensemble qui voulons-cherchons ici à comptendre, la paroi des rois , ou dite "des rois", ce que c'est en vrai, ce que c'est que ça ! On y croit ! on entre ! on veut co:mprendre grave et, qui sait, on va peut-être un jour y arriver ! toucher les né,nées ? le L;ait ? téter ? qui sait ! on est prêtes grave ! prêtes à téter la Vérité de l'(antre ! La Donnée Lactée ! La cerner de rage ! on est nées !  on veut téter ! on veut grave téter, de base ! en rage ! enragées comme des nouveaux-nées en vrai affamées ! femmes nouvellement née's nous sommes enragées, car, affamées, nous vpulons téter ! le lait de l'infa,nte ! soulevées ! touchées ! soupesées !  come soulevées de base à l'arraché ! car on est comme soulevées = montéesz ! on monte ! on s'envole dans le vent donné ! on monte on s'envole ! on est comme "soulevées-montrées" ... au Dieu des Passions ! On entre en lévitation ! on monte grave le long de la cloison ! Antre des passions ! En lévitation , on entre ! ion est femmes entrées, en lévitation, en cestte chose d'une sorte d'enclos-antre (aux Passions) des Données de b ase, du Temps alloué (en vrai) à une sorte de Romance aux données chantantes (chantées) de contrebande. On est Fées ! Fées doctes : pleines de savoirs de roche (en veux-tu en cvoilà) !On monte ! on grimpe la Roche de la Mort à l'oeuvre ! On est nées fées sur place (MORT) et, on en avance (ENVOL) à mesure qu'on avance (,TIRE-LARIgot) sur place . On est aimées des fées. Fées nous-mêmes (qui sait ?) aéimantes. On veut

 toucher toucher toucxher toucxher toucxher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucxher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher à cette Déités dite "des embruns". on veut s'aimer ! sur une plage sur un oreiller ! On veut (grave) s'aimer de psès, se renifler, se humer, se mater;, se masser, se  toucxher en vrai et pas pour xde faux ! se renifler les coins les plus cachés ! se sentir à tous les  niveaux ! se pétrir ! se toucher en vrai et du cxoup se cerner ! On est nées pour (dans la mort) se ... toucher de près ! devenir fées  ! se sentir / wse renifler les parties "honteuses" ou dites telles, et du coup cerner ou mieux cerner qui on est, à qui on ressemble, ce qu'on est en vrai en fait xde bêtes, ici, de roche et de romance. On est  néesfées ! on est (dans la mort) nées fées ! on pôrte un nom (%Moi : SPIGOLON) puis ... on p$erd son nom ! On est (sur pré) de type  JETON ?, puis on s'approche, à pasx comptés, d'une cloisobn, d'un mur du son, on essaie de cerner la cxhose, de cerner, ensemble, la cloison, le son, la romance, le nom (nom alloué) et du coup comprendre : qui on est ,

en termes de Nom de famille donné, qui on est pas, ce qu'on veut ou pas (en fait de données allouées) e,n tant qu'on est untel ou une telle dénommées. On est des fées  sur pré, on trace, on volette, on monte !On porte le nom qaui (en vrai) nouqs a été (gentiment ou p)as) donné de fait quand on est nées. Fées de la Passion ! Chance de couillon et de couillonne si tant est. On est pasdsées ! on a passéle

 mur du son (le Rubicon ?) . On s'eest comme du coup retrouvées ensemble sur cloison ! on cherche à co:mprendre. On veut cerner de fait les données de pré, celkes des fronts, des cloisons du front, des poarois nues, des roches allouées à une groote elle-m:ême allouées à une (sorte de) donnée de base genre vérité dite "des vérités ... offertes en transe" . On veut enwsemble comprendre, cxes donnérs de bout de roche, ce qu'elles sont en termes de raison, de verbe "bon ton", de croyances "à l'unisson"n. On ose passer ! on se pose. On regarde les données posées ou déposéees sur roche. Les denrées pour nouveaux-nés

. Le LAIT ! Les traéits. Les données données. Genre potions. On veut cerner l;es traits tracées sur roche, allouées à une guérison. Guérison des guérisons. On voudrait comprtendre, toucher, cerner, chercher, pousser, poindre, allouer à une roche une vérité, de type ornée, décorée, gravée, dessinée. On est nées fées pôur comprendre la mort ce qu'elle est.Traits des traits. On cherche ensemble ce qui est qui est en termes de données lactées. Fruits des nénés ! On est nées (dans la mort "lacteée") fée ! fée des fé&es tracées . On veut toucher =  cer ner = pister = comprendre = poser = dsire = coller = faire = jouer = entrer en colère = pisser ou chier le dire larvé ! On est nées de base soulevées ! femmesaux attraits et autres charmes aux nénés lactées ? Rage ! RAge ! RAge ! RAGGE des Rages ! RAge ! RAges ! RAGes des RAges ! RAges-Nées ! RAges des r ages ! Rages née des RAges nées ! RAge ! rage ! Rage en transe ! r age en transe dews Rages nées ! RAge des rages nées ! rage des rages nées ! rage des rages et dxes rages nées ! on est entrées ! on est en transe

 entrées ! Rage aux nénés ! lactées ! rage lactée ! rage en transe actée sacrée ! rage sacrée en transe actée ! rage Aux Nénés lactée s comme en transe entrées ! on est entrées ensemble comme en transe ou dans la transe, de rage ou de rage lactée ! on est entrées ensemble (fées) en transe ! lactées ! actées ! de rage ! comme à l'iunsisson d'un son donné ! le son ... des nénés ? le son alloué à une entrée ? son des données ? on est entrées ensemble en  transe au son des données allouées au Verbe, fruits de saison, lait de bière, boisson ou potion, chant des bêtesz, poison. Bière-picon.

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20/8/2024

On veut cerner ensemble ce qui est qui est. On ne veut plus se laisser absorber mais tracer, dessiner à main levée, qui des bêtes-mots qui des mots-bêtes. Ce qui est qui vient , sous nous, se loger. On veut toucher à DFéité , toucher graveb! On voudrait aller, cerner et comprendre, les données primaires. On aime aller ! Onn avance = on en avance dans les connaissances. Qui on est ? on est ... bêtes de poids de rage ! on est bêtes-mots de poids de rage . Mots de trop ? qui sait ? On avance = on en avance ! on trace ! on y va ! on ne lambine pas plus que ça ! On cherche à comptrendre, à allrer profopndd, à (pour ainsi dire) enttrerplus en avant en cette roche aiux données fortes. On est 

accolées et (de fait) on trace pour aller profond chercher à comprendre ce qui est en cette chose d'une sorte de romance des contrées lacustres, lacustres ou prairiales, ou les deux qui sait ? On est bêtes ensemble qui marvchons, allons, passo,ns, chercghpons à graviter, à cerner, toucher-toucher, aller et venir = danser (tourbillonner) sur l'herbe. On est bêtes-poids, gentes dames de paroi, princesses sévères allouées à une vérité dite "des cimetières". On est nées pour il semblerait aller ensemble dans la mort main dans la main ... en amoureuses. On s'aime ! on aime s'aimer ! on avance grave en ces prés, on y va ! militaiores ! gens d'armes = gentes saluées, comme,ntées, aimées, portées. On aime aller ensemble à la une à la deux vers ce tracé de bout de bout, porte fionale, anfractuosité de base,scscission. On est comme nées pour être ensezmble à la une à la deux des b^-etes de charme ! on creuse et on trace ! on marche (tagada) vers la plage, le sommeil des âmes, l'intranquillité des bases : le malin ? On creuse une trace. On est fortes. On se dfonne la main. On veut ensemble satisfaire nos besoins en termes de "parade totale", de données de base , de charge frontale. On aime ! on est deux pour être. On veut cerner ensemble les données fractales. Ce qui est qui est, et qui on est ? on ne sait ! On trace ... les nénés, les données coriaces, ampoulées, aimées, touchées : terre cuite, potager, vivres posés. On aime donner ! on, est femmes des prés à la parade, ontrace ensemble allouées, on creuse lezs dobnnées, on charge le mulet, on s'aime ! On est deux ici ensemble pour comprendre ou chercher à comprendre, au plus profond, les données de base frontales : bêtes-monstres, poids du Roi, fruiots d'amour, chants de ronde-bosse, cris de joie et autres hourra à travers la lande ! On y croit fissa ! on aime aller ensemble à la une à la deux en cette paroi, comprendre = toucgher. On aime ! on s'aime grave ! on aime de fait aller par la lande en reconnaiossance si tant est. On eswt femmes comme à la parade et du coup on en avance! On est trace de vie ! on charge ! on est accolées ! On veut toucher (pouvoir toucher) les données frontales et, une fois encore, traverser ! traverser brutal ! traverser de rage ! aller sans venir ! aller de l'autre côté et non  rebvenir ? revenir ou pas mais comp^rendre, une bobnne fois, ce qui se trame ou pas, qui nous reg

arde = nous concerne et puis ... à jamais il semblerait ! On "gratte" ! on essaie de passer la patte ! comment traverser ? comment en vrai traverser la roche (la roche finale) sans (pour le coup) y passer comme à tout jamais ? c'est une question ! " the " ! pas qu'un peu ! ça charge ! c('est un fait de base ! on veut ! on voudrait ! on fait le voeu ! on voudrait comprte ndre tout un ensemble, les données frontalees finales ce qu'elles sont ou pas, la clarté fractale, les embruns, le chant sarde, la beauté des unes et des uns (en face) ce qu'elle est. Ce qu'elle revêt. On trace ! on dessine de mémoire. On y croit de base ! On veut ça, comprendre, traverser, charger, allouer à une roche un savoir Immmense ! grave !Une somme de données totales !qui on est. Où on va. Ce qui est . CE qi n'est pas. Ce qu'on envisage et tout un tas (un tralala) de choses vivantes. De choses de soi. pointes basses. Points de croixw. Pärades. Carrotage. On veut ça, toucgher grave, aller dedans, pousser, cerner grave les données de rage, creuser, faire front, aller au plus profond ,

aller auplus profopnd des données données comme en contreba,nde par la bhande. 

On est qui ? QUÊTE ! on est bête = bête-mot de fort tonnage ! on trace les faits ! sans embages, à la dérobée, fusellage. On est accolées ensemble sur un pré comme deux mémés. On veut grave  cerner les données allouées à (il semblerait) une sorte en soi de passage , à travezrs ... le Temps ? ou quoi d'autre sinhon ? le (les) sentiment(s) ? On est côte à) côte. On se serre les coudes. on est vaillantes grave et on cherche ensemble (une fois toi une fois moi) à comprendre les données de b ase, ce qui est, ce qui s'avance, x-ce qui est ici qui se présente et nous séduit ou pas mais nous interpelle. qau'est-ce qui est en vrai ? qui sait ? u ne chance = un chant. Une chance = une chansonb. Uun air de front ! une romance de cloison (de la passion). On estaccolées (l;'une l'autre) et on cherche à toucher à la rocjhe ditec "terminale" des passions, des données de fond. On est proches d'y passer (tout proches) mais non ! on tient bon ! on trace mais on tient bon ! on ne veut pas faillir à la tâche de (comme qui dirait) tenir bon "intrinséquement". On est toute RAGE ! vives de chez vives. On est allouées à une sorte en soi de Volonté, devenue (ici) Acidité. On veut toucher de près à cette chose d'un e sorte de cloison "du bout du monde", ce qu'elle est, ce qu'elle nous propose, à quoi elle ressemble, en vrai ; parl

e-t-elle ? dit -elle des choses de poids ? de quoi se moque-t-ellke ? est-elle la FOI ? est-elle Bête ? Voix ? Cratère ? On ne xsait pas ! On entre ! on entre ensemble à quatre patttes ! on essaie d'entrer ensemble à quatre pattes. On essauie de regarder parvfla fente ! on essaie cde comprendre ensemble ce qui est qui nous regarde, nous voit (nous verrait) comme par la bande (langagière articulée) il semblerait. On est nées de rage "ailes" ! on est traversées de base par les fées qui nbous gouvernent, nous aident à aller (graviter) ; à croire, à peznser et parler sur terre jusqu'au cimetière et aprèes le cimetoière elles reprenneznt leurs ailes, elles vont ! elles ne trainent pas ou plus , elles tracentà fond, fonc

ent grave sur la place, filent à la façon des âmes ! Elles sont fortes et graves, douces et nues, bêtes belles sur paroi nue. elles nous regarde,nt . elles aiment tracer. Elles vont ensemble sur un pré paradisiaque ensemble toucher à cette déité des déités telle qu'on la connait "dans le langage " = maturité ! chant docte ! vivacité ancrée devant la porte on opte ! on opte ensemble grave pour

 ... la Foi en cette chose d'une Fée des prés, vivacité ! papillonage ! sciintillements des âges les uns puis les auttres un Temps. On est cohorte ! gentes dorées, cherche-tombe, vives données devant la porte à espérer. mais qui sait ce qui est ? qui conna^$it ? qui saura nous aider à traverser , passer, regarder, sentir et toucher, ressentir, aimer les données, les données de base, lesz dfonnées données par la bande = le langage articulé sorti des nuées et comme allouéé à une sorte de romance "sarde". On ne sait ! on est bêtyes-masse, charge frontale, poids de choix, attelage. quand on y va on y va ! on ne lambine pas ! on trace paroi. On est bath ! bêtes ! blêmes ! et aussi offertes sur paroi comme des :mots de l'au-delà ou quelque chose comme ça ! On est bêtes de poids (sur paroi) à la charge ! on trace grave (fissa !) pour ensezmble (si possible) comprendre à toi à moi, les données profondes, les entrées en force, les passages ici réitérées, les envies profondes de gaieté, de hjoie, de

 solennité, de vivacité, d'estomacv. On est nées sur herbe dans la mort ! On est femmes fardées, vives alliées, vives données allouées, vives clartés surnommées, chants des fées (des prés) sur herbe volée ! On est bêtes ! bêtes-somme = bêtes (en vrai) de somme (sommeil ?) sur herbe volée (ou comme volée) dans le Ciel ! Oh ! qui sait si c'est vrai ! On cherche ! on n'est pas en pzeine cde chercher, on trace ! on dessine à main levée les bêtes rupestres := les données de poids , la plèbe, la paroi des Rois, les données accolées ou colmme accolées à un Sa voir de Roi. On est bêtes des prés Souveraines ! chouette ! on est nées ! on est passées ! on veut cerner ! on veut toucxher à cette chose d'une sorte fde donée de rêve, ce que c'est, ce que ça semblerait que c'est, ce qu'il en serait en v rai. On est nées ensemble sur herbe REines ! Reines de beauté ? Reines ! Reines des prés ! On s'aime = on sème . Concours de beauté ? On ne sait jamais ce qu'il en est, mùais on dirait plutôt qu'il s'agirait d'une sqorte de course allouée à une sorte de contrée dite "des prés". On est accolées acculées. On est bêtes acculées accolées jusqu'au cimetière ou sinon jusqu'ouù qui serait le bout ? On est comme "touchées" =traversées ! On est traversées = tyouchjées = dites = parlées = rendues (qui sait ?) à la vie. On est femmes des prés "surnuméraires". On voudrait si possible ensemble comprendre un maxiùum de données données concernant la vie, la mort, ce qui erst sur terre qui nous voit aller, tracer vif, charger, et donc aussi la mort (au débotté) ce qu'elle est. On est femmes des parois de charge. On est fortes ! On pousse ! On est grave forte quand on pousse ! On ne veut pas passer pour ce qu'on est pas, jamais ! on ne veut pas pâsser pour ...  eh bé ça, qui est là : l'homme des bois ! Le chant dit "des pârois" est chant de contrebande ! on est femmes des paroois de roche, on avance, on trace, on pousse grave. L'homme pas. Il (lui) ne pousse pas : il cache ses doigts ! il est coriace dans le genre mais pas là pour ça (pousser grave). O, n est femmes du bout du bou ! On entre dans l'antre ! on veut toucher en vrai à ceztte chose , d'une sorte (en soi) de paroi, pzaroi de roche, chant des prés, vives clartés, sons / images allouées à une vérité de roche. qui on est. Qui on semble être. Qui on regarde. qui est là qui, en vrai, se pavane, se dandine grave, fait le beau du Roi, charge dgrave la paroi de mots de poids : qui ? On est deux pour ça, le comprendre, le toucher du doigt. femmes slaves, sardes, sales, sages, esclaves des parois peut-être pas, et pas non plus sages, ou non plus sales, ou non plus sardes en vrai, alors quoi ? maussades ? pas ça ? On passe ! on cherche ! on entre ! on veut de fait toucher, et puis de bonne grâce, la Paroi du bout du monde ... de la Foi dans le langage (la langue) des envois. On est femmes de pA roi sage, sentiments dde poids, on charge ! on y va ! on pousse ! on creuse ! on veut comprendre ! on veut toucher ! on veut y aller ! on ne veut pas lambiner mais cerner-pousser, dire-connaîttre, charger-tomber, aller-toucher à cette donnéee   dite "de cimetière" qu'il nous sied de mieux connaîttre à la retombée. 

on est nées femmes (deux femmes) en  cette chose d'une sorte (en soi ?) de cimetière "cdes données". On est nées (de base) femmes dans la mort : deux ! Deux qui sont : SOMME ! sont : SOMME, et poids de CHOIX ! ROI ! ROI /REINE en tralala (romance). On pense ! on est là pour comprtendre en transe si tant est ! On trace et on charge , on pousse et on cerne, on veut aller ensemble pour le coup dans la luzerne courir grave sans traîner = y aller ! charger de base, toucher, courir, se vautrer = s'aimer sur un pré comme bêztes de poids salutaires ! on s'aime ! On court sur herbe, on va ! on veut ensemble de bonne grâce (en toute bonne foi) chercher à comptrendre ce qui va là qui nous inquiète peut-être pas ni ne nousq désès

père mais voilà : on est là ! on regarde ! on se pôse des questions de base. On se dit que la vie, sur terre, est une cxhose, et la vie au-delà de la Terre  une  autre, on ne xsait âs. On est femmes de paroi  ! Deux pour être ! pour coller" ! Pour aller ! deux ailes allouées à un "corps de rêve" si tant est ! corps doux ! corps de bois. cOrps chantant "tralala" sa rage , on voit ! On est femmes de base, nées nénés comme il se doit (seins de tresse) et on va, à la une à la deux, vers ça : la Règle ! le Roi ! la Reine ! La paroi frontale fiinale ! L'endroit de choix ! la Voie ! L'envolée des voies ? on creuse là ensemble le tas, on cherche passage, une voie d'accès si tant est, trou de base, petit passage qui serait pour nous comme un chas ! pour être Soi (nous deux) comme travrersières, passagères, volontaires, solictaires !On aime (grave) mater, tu penses ! on adore ça ! comprtendre est jeu de base, une sorte de donnée ancrée. Comprendre ou vouloir comprerendre est une sorte (on dirait) de jeu, de jeu quasi enraciné (par la bande) dans le langage dit articulé d'une langue qu'eklle qu'elle soit. Une langue pârlée contienndrait la Rage en vrai nécessaire à une sorte de vouloir-percer, de vouloir-comprtendre. On est femmes sages = savantes, 

de  ce fait : on entre ! Entrantes ! On entre ensemble (ffemes allouées) dans l'antre de la Voie de base. On est collées = accolées. Femmes accolées pour une virée à travezrs la la,nde juèsqu'au bout du bout alloué, donné, octroyé à un passage au débotté, qui serait le passage "final", le cdernier , dernier des derniers à devoir comprendre ou prendre, à emprunter, à faire ensemble à la une à la dfeux via /... la romance ? la romance vive ? Vive romance donnée par la bande (langagière animalière) du TEmps (peut-etre, qui sait ?) déroulé de rage ! On est femmes des prés = fées ! on trace = on dessine vite = à main levée, les données données de la lande. On aéime tracer = on aime aller ! Aller grave dans le pré "des fées" , c'sst aller ensemble (de conserve) comme en vrai des ail:es, deux ailes allouées à une sorte de Romance dite "de paroi" ,. On entre ! on entre ensemble. On est là qui (de fait) voulons comprendre ce qui est qui va, qui nous voit, qui regharde, nous regarde fixement ou pas mais sans trâi,ner, sanscesse, sans tarder. On est femmes des prés à la retombée 

le cimetière une fois pâssé. femmes on est la mort allouée. On est femmes des p^rés dans la mort donnée. On est (dans la mort) femmes sardes. On est comme allouées ensemble dans la mort en tant que femme dédoublée, du coup tracées ! On est des (deuxd) femmes des dieeux ! On est des (deux) femme-Dieu tu m'as saisi ! On est des comme qui , ensemble, vont grave, chercher à comprendre les données données telles qu'il nous apparrait qu'elles sembleraient se dessiner à la parade, ou comme à la p ara de . On veut : toucher, dire, sonder, poser, comprendre ce qui est, aller et encore aller sur herbe comme (comme qui dirait)- des bêtrs. Car, en vrai bêtes on est, bêtes "de cimetière" = bêtes des prés, charges-nées, poids de Roi saluutaire, vives alacrités, pince-nez, colère on le sait ! On est nées colère, du fait que voilà ... l'aventure sur terre est singulière, quand en vrai la vie (dans la mort de fait) est plurielle ! pleine ! chargée ! somme des prés ! Dans la vie sur terre on vit (toutes et tous) des vies singulières, quand en vrai avant la cvie sur terre et aussi après, la vcie était et redevient pl;urielle et allouée (en plus !) à une Déoité des Déité = vérité des Vérités = Bête des prés ! bêzte bête peut-être ou pas bête mais en vrai comme dessinée à main levaée par des "mains surnuméraires", sur paroi pleine, chant des Rois et Reines, TRALALA on aime ! on y va ! chants doctes ! on y va ! chantons ! berçons ou hurlons ! dansons ! faisons de fait honeur aux monts, aux dunes des voies, au Pilat ! À la VOie de là, menant (vite fait) vers ça qui est là-bas la (qui saitt ?) plage des Rois ? On y  croiit ! Des reines et des rois ? on voudrait y c roire , toucher, les toucher de fa ce, toucher ensemble, toucher de fait les données de base, les données frontales. On est là (deux femmes sur paroi) qui voulons comprendre, ensemble (on se tient et se soutient) ce qui est qui nous regarde (devant soi) à travers (en vrai) la roche des bois, le tracé (de rage) longitudinal. c'est quoi ? on ne sait pas ! On aimerait (c'est une évidence) avancer dans les connaissances,, essayer de comprensdre les données de base (frontales) devant soi, les rages diverses, r(omanc

es de choix et autres tralala "de convenance". On est l:à pour ça ensemble ! On colle ensemble. On se colle l'une à l'auttre : on veut ça ! On est bête de joie, cri de hjoie, chant de joie = JOIE de Roche ! On est JOIE de Base, tracé faste, cri de joie sur bande, vent de face, trait aimé,voie des données. On est nées comme à nous ^memes un jour, ensemble, par la bande (animalière) du langage ! on est nées de rage par la bande sur paroi de base : les nénés ! seins de glace ? vies des vies ! lait ! LE LAIT ! LA vie le lait ! On est nées de rage sur paroi gravée comme à l'embuscade, c'est fait ! On voulait , on y est arriovées ! On voulait passer (de rage) eh bé c'est fait ! femmes-attraits, on passe ! on passe sur pré ! on est nées pour passer la base des fées, on le fait. homme aux mots des veaux, on devient FEMMEs allouées à une Romance dite des n"énés"  = nées ! On est coriaces à jamais ! tracées de fait ! cfomme à la ramasse mais en vrai on est, cfomm

e un fait exprès, nées sauvages ! sortes de voix doctorales ! On se tient tout pprès de sombrer mais non ! on tyient ! femmes nées pour durer o,n tient, quand l'homme est lui allouée à une sorte de chemin qui se termine ou se terminerait au fond d'un fossé ! hommes faits ! refaits ! femmes nées, elle, en vrai, dans la mort, à une vie nouvelle !on l'aime ! on l'aime des dieux ! On veut ELLE ! on veut être elle ! don de dieu sur roche des voeux ! IOn aime Elle = AILE = Noeud = vie des feux ! On veut cerner ensemble ce qui est qui est, ce qui nous ressemble , ce qui va, ce qui tremble , ce qui est là pour soi nous aider à comprtendre (loin) les données de base ce que c'est et aussi en vrai ce que (peut-être) c'est pas ! on est là grave pour ça ! comprendre en soi = preendre pour soi. La Romance. Le chant des parois. Le cri de hjoie. L"épopée frontale pariétale. La Paroi en soi. La Chance ! la cxhance = la foi ! la foi = la jhoie. La Joie = la Parade (animalee ou animalière) sur pa roi. On entre en ça, la Roche Rude, par la bande (langue) une fois ! et là, on trace ! une foisz là on en avance ! on trace = on grave grave ezt puis on regarde et là on voit quoi ? la Chance ! Le tracé frontal est chance = charge de joie ! On est fe"mmes des parois du monde . On est femmes des mondes alloués. On veut ou on voudrait cerner de base parr la bande c  e qyui est qui cxharge et puis voilà, comp^rendre grave les données de rage, les données dsonnées qui sont données de front, charge mentale, cloison ou de cloison. on fonce ! Fonçons ! courons ! traçons ! pissons ! faisons co:mptendsre ensemble à cette Chose, Chose du Fond, qu'on est en bande ! qu'on fait front ensemble ! force d'union ! On veut ensemble faire (ainsi) impression ! On veut en jeter grave ... ensemble ! faire ainsi ensemb le que voilà, la mort ! la mort reculât grave ! se couchât ! se mît à part comme en vavcances de la Foi , des données de b ase ! On voit ce qu'on voit. On esqt femmes des prés. On veut toucxher ! Toucher grave à cette chose ici d'une sorte en soi de Déoté des Déités dite "de fa çade" ! croix de bois ! christ de contrebande ! charge mentale ! voix = voie de rage ! cri de joie et de poids ensemble ça y va on croit le comprendre. on entre ! vois ça ! reg adre ! vois la Roche à travezrser ! la Chose du pré ! l'herbe allouée ! le soleil nacré ! entre ! passe ! touche ! va ! traverse ! cherche à cerner = faire ! va pour être ! aide-toi le ciel t'aidera ! Coàmmence ! On est femmes des paroois aiméesz, on a traversé comme à la déerobée ensemble les données frontales, le Moi. ,A présent nous devons, ensemble , A p^résent nous devons ensemble pour le coup aller, comme énervées, vers ces données ditees "des nénés" , chercher du lait. On est nées ! on est nnées de rage ! on est néesz de base ! rage et base font bon ménage ! On est fe'mmes néées sur roche "aux nénés". On veut toucher ! toucher ! toucher les nénés ! On voudrait toucher ! On voudrait de fait toucher les n,énés ! on veut / on voudrait : toucher les nénés ! boire le lait  ! chanter ! souffler ! aller ! dire et chanter ! On est femmes nées (de rage) dans la mort "de base", celle des données données allouées , à une romance, à un chant des prés, àune danse en transe, à une sorte de clarté naissante, à une sioorte en szoi de volonté coriace (ou tenace) de vouloir aller (tantôt) par les prés à la recherche des denrées, viçvres et autres offrandes alimentaires . On est comme nées sur terre pour aller = manger, courir, faire, tracer, copmprndre, soulever, perdre, charger et cerner. On veut être des fées sur terre ! fées des fées . L'est-on ? 

sommes-nous ici des fées de rêve ? Avo-nous de quoi cerner les données dites "surnuméraires" et autres traitsz lovés ? sommes-nous Fées de Terre ? charges nées salutaires, pour aimer , de près, les êtres ? On s'aime = on se sait aimées ! par ELLES : les F2ES ! F2es des Rêves sur Terre , et F2es ... des données Célestess . On veut toucxher à cette Déité des données "Superbes" , soit "Belles", szoit "sublimes", soit "vives" ! On est nées sublimes de clarté, puis on sombre corps et âmes en vrai, pour renaitre Débottées ! sur Roche des Prés ! F2es retrouvées ! On s'aime ! on est re-nées comme à la retombée du cimetière, dans un pré, sur herbe, défait, défaites ! On s'aime ! on se veut aimées ! On veut toucher aux glaires, aux fruyits blets, aux chrèmes, aux sang séxché, aux liquides allouées à une vie p assée. On veut toucher ! on voudrait toucher ! toucher les nénés ! on voudrait toucher ! on voudrait grave toucher ! on voudrait ensemble en vrai grave toucher ! dire et aller ! cerner-pointer ! dire et coller !donner ! cerner ! faire ! composer un certain nombre de tracés sur roche allouée, de type cavalcade au débotté et autres parades armées. gentes dames sur rocher, cris des fées, voix donnés aux hommes et aux femmes cernées commê pa r la bande". hommes-troncs, femmes-passions, gens et gentes rosses ou sinon, sino n rosses, pauvres ! pauvre en paroles ! On le voit ! On voit ça ! la Chose ! La Paroi de Choix est paroi des voix comme soupesées. On veut s'avancer, on va ! on voudrait cerner de fait les données (przmières princières), les toucher (pour ainsi dire) comme des nénés, mais comment ensemble faire ? par le nez ? les toucher du nez ? les renifler ? On s'approche d'elles. On est tout près. On colle presqaue aux nénés ! on veut téter ! on voudrait de fait téter les néenés (surnuméraires) dee la Charité sur Herbe, Clarté, Découverte, Vie tracée, Lumière. On aime ainsi s'aimer face aux nénés des Bêtes! Pis d'amie , belette et autres bêtes vives des bois et forêts, campagnes cendrées , cimetyière ... tout autant. on entre par derrière ! on voudrait ! on voudrait ensemble entrer par derrière! Aller ! toucher à cette Déité des Parois desRoches! creuser ! chercher ! aller ! dire ! faiore ainsi ensemble q<ue la vie, ne s'arrêta^t pas ... à la naissance, à la pa roi, aux voies de b ase (sur façade) de paroi, aux tracés "étranges". On veut de fait ensemble aller (grave) sur roche tracer, dessiner les choses. ON est nées sur roche pour (en vrai) creuser sa tombe comme qui dirait = vie des vies. On voudrait ensemble svp tracer ! dessiner la charge, la parole docte = Auroque ! bisonne des prés, chants d'amont, vie des env

ies, cloportes et autres bêtes vives -des terres brûlées. On est comme né&es (ensemble) par des traitsq, dessinéesz, sur roche allouées, comme à la renvezrse : oups ! on aime ! On est femmes des prés ensemble cernées.. On avance pas à p as vers une sorte de clarté de l'au-delà m:ais va&s)-y comprendre ! Va cerner ! va penser à cxharge ! va donc allouer à une sorte de romance le tracé donné des données de rage et autres vilosités ! Craque ! craque ! craque ! tu serasx ... née ! Craque sur roche ! d""éplisse-toi et va ! on est là pour 

toi ! on est dans l'antre avec toi ! on est les bêtes de paroi surnuméraires ! bêtes de hjoie surnuméraires ! on est là pour toi n'aies c rainte, dès lors va ! charge ! trace ! entre ! cours ! va sur roche et cours ! soit : cours car voilà ! au pa szage, l'un devient Deux ! de'ux pourr être Ailes ! Voeux ! Feux ! Vies des pré de loge ! On est n éesz eznsemble sur paroi. On veut comprendre les données de base. on est des femmesc nues. quand on parle on trace. on est femmes velues, on est femmes velues, nues, venues, crues, simplement tracées comme à main levée. on est femmes nues et velues, cul - nu ! On veut tpoucher ensemble si jamais à cette déoité des déité du Cul ! hé, tu le sais. On est néesvelues nues, crues, vives et belles, chargées d'être. On voudrait toucher à cette Déité des Déités, dont le nom de scène, est ... Amour ! Amourette ! On l'aime ! On est aimées ! On est aimées par Elle on dirait. On voudrrait grave aller versz elle (D2ité des D2ités) mais ce n'est pas simple ! Il faut charger ! azrmer et tirer ! c''st dur ! ça demande du doigté ! de la dextérité ! l'amplitude, les données, la chance, une soerte de volonté . On regarde pa r la fente 

On regarde ensemble par la fe"nte

Enxemble ici (paroi terminale) on regarde par la fente : qu'est-ce qu'on voit ? on voit ça : du bois ! du bois de base  ! 

qu'est-ce qu'on voit ? On voit ça : du bvois ! du bois d'antre  ! de la jhoie en branche ! On regarde , et ce qu'on voit c'est ça (il semblerait) : de l'ambre ! On est comme nées (ensemble) à la retombée, on veut co:mprendre et cerner, toucher les nénés, boire le lait, aller et tracer, perforer la roche finale ! se coucxher ! On nserait allouées znsemble à une sorte de donnée de base. qi on est ? eh bé, qui sait ? des êtres ... d'une autre planète ? qui le sa&it ? soeurs de lait d'une a utre planète que la terre ! qui le sait ? On est nées sur terre au singulier (un homme ou une homme) et nous voilà, à la mort, tra&nsformées ou comme transformées de rage ! femme ! femmes ! femmes des prés qui, en vrai, ne vzulent ou ne voudraient plus se lâcgher , ni se perdre. ON est comme nées à une sorte en soi de "Vie Souveraine", Chant des Roches Lovées dans une grotte. On est nées VFORTES ! VIVES ! CHAE_RGÉeS ! Sorte de données de base, La Donnée. LA Donnée de s Données ! On charge ! On voudrait aller (gra&ve) au plus loin parmi les données ou entre les données. On est femmes des p^rés (fées) qui voulons tracer , tracer grave, les données de base , fées des prés traçantes ! On veut comprendre et aller, toucher et dire, faire et passer, comprendre et allouer, cerner et poindre, charger et peindre, toucher et pousser , faire ainsi que les fées co:mprtzennent ! E^tre = faire. On est nées fées, ailes, données des données; dans la mort Souveraiaine, surnuméraire ! On est néesFÉes en ceette sorte de rocher de groote, incurvé, tracé, comme soulevé !Fête ! fées des fêtes !  On veut aller, toucxher, dire, dire ce qui est, comprendre, soupêser, xcerner, comprendre, surprendre, pisser, donner, allouer par la bande, siffler, chanter, pieindsre et dessiner, coller et s'accoler, porter, naître, corser, narrer, feindre, soulager, crier, jouer, aller et sentir le's données données d'une rage (déplacée ?) à vouloir être, mordicus, des fées et princesses ;. qui est qui ici ? Qui veut qauoi ? qui est là ? qui veiut comp^rendsre ce qui en soi se trame ou tramerait de base ou semblerait de base se tréamer. On est là pour ça ! charmer = toucher. Dire = comprendre. donner = faire, etc. toute une sarabande, sur paroi, de verbes. Etc. On voit ce convoi ! ça charge ! ça envoie ! ça 

ne tremble pas ! ça porte la joie, le sens de la joie ! ça trace ! On voit ça ! on y croit plus ... qu'à "l'être" de l'envoi ! On aime ça. iOn est bêztes de paroi, de style buflette, et oui, on envoie ! on envoie du bois ! On est bêtes de jhoie et on envoie du bois. qauand on éime on voit ! ... ça : la Bête Sévère, dite "de paroi" ; bête bête (?) de cimetière ? cri de joie sur terre ? on aime ! on l'aime ! on aimerait (grave) la toucher en face, la comprendre c'est un fait m&is aussi la toucher , la caresser, la toucher ou la caresser ; pour ça : lui faire comprezndre, en vrai, que, ma foi, ça va, on est pas des monstres de p aroi ! on aime la HJoie ; pas des rabats-joie. On est :

 femmes nées sur roche, à la une à la deux, à la mort de l'homme (l'homme au singulier , genré).On est femmes ensemble allouées. On est entrées ensemble à la une à la de"ux sans tergiverserr ni dészmparer. On veut dire-faire(grave) x et x 

choses sur roche, à savoir : cela ! la Joie ! faire et dire, dire et faire : dans la joie pour a&insi dire ! tracer ! se lover ! chercher ici ou là à co:mprendre qui de quoi  et quoi de qui  ! car , en vrai, on ne sait toujoursz pâs "qui on est" ! on aimeraéit fort :

le savoir ensemble , le comprendre, pouvoir (en vrai) pour nous savoir, toucher du doigt, soit se reconnéître" soi dans la paroi, se comprendre soi-même, ce qu'on est en vrai ! ce qu'"on est en tant qu'on est nées (sur roche) da,ns la mort , femmes surnuméraires (... et dans tous les cas ? peut-êttree). On voit ça, comme quoi la mort est une sorte de paroi (de roche) à traverser. O,n erst femmes des prés, chargées, sommées, tenues à cerner ce qui est dans ce qui nous regarde. mais voilà, ce n'sst pas une chose facile ! il y faut du doigté ! de la dextérité ! du sang-froid et de l'opiniatreté comme jamais car cerner est dur ! pas facile ! une sorte de défi qu'on (ici) se fait comme à la retombée : à toi à moi ... les don,ées suprêmes ! "j'aiùerais comprendxre "dit-on "ce qui est qui est qui nous con-cerne !". Peut-êtte, sweul"ment voilà : on aime ! on s'aime ! ça pèse son poifds ! ça "infecte" ! ça fait ça que ça '"infecte",,, d

'une certzaine manière; la voie est la voix ! le cha,nt est la voie. Le chant est total. Il est Voie (d'a&bord) sans misère ! On aime le cha,nt ! On veut ou on voudrait ensemble (de préférence) comprendre (grave) ce qui est ici qui nous regarde. il s'agit ici, d'une sorte de ... roma,nce . romance des fées ? qui bnous regarderaéit au sens de concerner, nous concernerait dès lors de pr(ès vcar nous sommes en demande à j&mais de sortes de connaisxsa nces allouées à une romance ! On trace! on marche ! on avance à pas comp)tés, chassés. On est bêtes de poids sur roche, tr&its de joue, tra&céz doctes, cris de joie (hourra) et aéutres vies montrées. On est de"ux femmes au débotté tracées. On est femmes tracés sous forme animale ! On est f"mmes des prés allouées à une roche. On est      

femmes  "à cornes". bêtes-monstres de paroi ocre. On aime aller ! on veut grave aller sur roche, à la rencfontre d'une vérité, d'un tra&it (en v' rai) sailla&nt de vérité, tra&it nacré acté, dessiné à main levée, viçf et léger. on serait et on est ! femmes allouées à un 

"post-cimetière time" ! 

on veut toucher ! on voudrait comprtendre ! toucher grave (gravé) à Déité. On est femmes olé olé sur roche allouée , qui sait ? ou sinon olé olé, aimées ! touchées &ux n,énés  = aimées pour le lait ! on veut cerner-aller, faire éinsi ici que les choses allassent, ensemble, comme il semblerait qu'elles aient toutes  (de fait) à devoir aler. 

On est des qui, desz données, 

données qui. 

On est des femmes qui, ensemble, sont données de rage, donné&es doctes. On est femmes des p^rés , données, déposées, posées, mises sur pied et déposéees; on est femmes a llouées à un e sqorte de romance dite "du bout du monde". qui on est ? eh bé ça, peut-êtte : belle bête, bête de paroi, bête-mot de somme,  bêtesde traits, bêtes-monstres qui en imposqent, posent là leur sorte de poids . Onj regarde ! On voit le contour, les bêtes en marche, rugissantes, les massifs, les tas de bois, Verbe-pöids de Rage. On est femmes de paroi, on entre. On voudraéit com)rendre enxemble ce convoiç , de b-etes de poids, genre ... romance ? verbe haut ? transe ? une sorte d'insulte extrèmê, forte et salée. VERBE AU DÉBOTTÉ. Verbe au débotté. VERBE AUB DÉBOTTÉ DE GRÂCE , VERBE GRAVE AU DÉBOTTÉ DE GXRÂCE ! GRAVE , VERBE, TRACE, POUR LA FOI EN L'ÊTREE ICI SURNUMÉRAIRE  DE LA JOIE. ON VEUT COMPRENDRE (GRAVE) LES DONNÉES TRACÉES SUR R'OCHE (AUROCHS, AUROQUES, CHEVAUXS, CHEVALES, BISONS , BIOSONNES, BUFFLETTES ET ANTILOPES).o n est DEUX,

 pour une comprenure axiale : va-t-on ici un jour prochain (lointain ?) arriver à cerner un certain nombre de don,nées comme"de contrebande " ? eh bé qui sait ? on ne sait pas ! on est femmes sardes, sages ou pas ml:ais ce qu'on veut, en vrai on le veutb , et pas qu"'un peu ! à mort ! on veut grave à mort aller fissa, sur roche tracer ! cerner d'approche les données ! dire et jouer ! aller sur pré jouer à ça, jeu de l'oie ! On est femmes des prés, des prés donnés, qui sommes néesz femme ou homme au singulier, meure'nt femmes au p)luriel à jamais, c'sest  acté, ou tout comme. on veut être , toucher et creuser, dire, poser et aller, faire, chanter et danser, e,n transe, les traits de la roche. traits dansés sur roche à toi à moi, on dira que ça fusionne ! ça remplit de chants la grotte. on est dedans ! on est accolées. On veut cerner de près ce qui est. On essaie de cerner ce qui est ensemble en cette grotte, les don,ées donnéesz. On essaie ! Qui on est ? des données = des qui sont dsonnées , ou même (qui sait ?) ... qui se do nne,nt ? On est nées (sur roche) à la traversée (ça le fait) et voilà ce qui est , qui semble se dérouler ou comme se dérouler : une femme est née ... de deux femmes ! fée ! fée de base ! fée née aux nénés (élevée aux nénés)! On regarde ! on voit des cxdhoses,. On voit un convoi , de bêtes de poids (c'est dr'ôle , on dirait un tas). on est sous les ordres   d'une (sorte de) cohorte  ,de bêtes de poids. on est fortes, folles, rosses, drôles/ Bêtes de poids en vrai ça vous pose ! Ça promet ! ça ose ! c'st osé 

! On monte ! montons en grotte ! faisons l'ascension ensemble motibvées ! ne traéinons pas outre mesure mais creusons ! chargeons ! allons vif sur roche au diapason et chercho,ns à (nous deux) déplacer la cloison et passer ! qui un oeil qui de'ux, mais, de fait, passer un peu, un p)et§it peu, afiin de cerner (ensemble) les données qui sont ici celles d'un derrière, d'un derrière de roche gravée. voyons ! que voit-on ? on dirait ... de la 

on dirait ... de la mousse bulleuse ! du mouusseux de trait ! de la bulle mousseuse ! traitsz animaliers ! ça pisse ! c''st liquide on dirait. On fdirait que derrière en vrai il y a ... du liquide, il y a ou i;l yy aurait pas mal de liquide, genre : MER ? mer d'embriuns ? On dirait cela ! du "liquide de paroi" , si tant est que ça existe. On dirzit cette chose de poids, là, comme quoi , derrière, fin fond, il y a : 

la mer de roche, les embruns, la mousse des rois, monte-ch arge, l'au-delà de l'ambre, une sorte de voix, venant nous dire le tourment des âmes de la joie à être là, passées par derrière, sous un vent de face face au cimetière. On voit , ce convoi en face : bêtes de poids. Et derrière ...? la JHoie ! ou le Temps de la Joie allouée à une Voix de type voix grave, sourde, posée, mesurée, lourde, accolée, celte, abonnée à une sorte de "volonté" de nous voir sombrer. On ne l'écoute pas outre-mesure, on est pas gaga ! on est bêtes de poids mais pas gaga ! On ne veut pas l'êttre. Ce qu'on veut pour nous c'est ça : la chance ! un tracé de choix, une romance, un tracé chargé de mots de base, une sorte de romance à toi à moi de bonne chance, tralala de la foi et auttrezs croyances. On entre !

 qui on est ? On est des femmes dites "des prés" comme dans la reomance d'une sorte de peuplade ("acidulée"), celle des branches, des arbres fruitiers et autres plantes paradisiaques. On est femmes allouées à un pré de base; On en avance dans les conna-issance ! on ne veut pas sombrer ! on veut (de fait) perdureer à jamais = cerner les données pour mieux les comp)rendre. on veut tente"r sa chance ! notre chance !! aller, toucher, cerner, pisser et c aguer, dire ce qui est sans embâges, ne pas louvoyer, être francs et franches de collier, dire les données comme e'lmlesz npous sont dpnnées si tant est ! On est nées de base "romance". On est entrées ! on est passées ! on a creusé et voiulà, on es entrées ! on est grave enseùmble ezntrées et nous voilà tenues à tracer  les données qui nous sont données. on est velues, nues, nées nues et velues cfomme bêtes des prés allouées ... à une naissance, sur l'herbe faste, sous un ciel des rois, alarmées, scintyillantes, accolées, brillantes, soupeséeqs, invitées à cerner les données astrales pour l'éternité (ciel de base et aéutres envois dits "du bonnet et de l'âne attitré"). On aime  la chance; On est grave ensemble (nous deux) qi voulons comp^rendre :

 1, les vues de base, 2, les données royales, 3, la vie en ses plis, 4, le vent de face, 

5, la vie en ses plis ici soulevée comme un drap de bain, et dessous ... eh bé la vie, encore, comme sou-mise !, 6, les données fractales et autres éboulis de vie; 7, la Joie, 8, l'ombre sur le tas, 9, l'envie de soi, 10, on recommence ! On est bêztes de poids sur paroi -romance, cha,nt de soi = tralala sur bande (de fait) pariétale et ça se voit, ça chante grave, c'st la HJoie ! On voit ça ! On est entrées ense'mble. On est comme allouées e,nsemble à un e voie, un tracé de choix, accès fin de paroi par où, ensemble, vite passer, s'immiscer, et du coup passer , en vtai , de l'autre côté. on essaie de fait de cerner la voie, où elle est en vrai, par où ça commen,ce. on regarde ! on est des qui sommes ensemble qui (en vrai) regatrdent ! On est nées de rage ensemble, pour tracer sur roche lesz don,ées naissante's. 

Bêtes de pôids (de masse) sont ce tralala dont on parle (chants d'azur, chants doctes). et ce trralala ... indique la voie ! ça chante ! ça chante, et , du coup, ça p asse (pour le dire vite) ! d'où le fait que voilà, on est comme accolées ensemble à toi à moi, et c'est du coup ensemble qu'on ess&ie (qui sait ?) de comprendre, d'aller, de donner du ventre, des fessiers, du buste et des nénés pour comprendre, toucher, cerner, considérer tout un ensemble de données données comme p ar la ba,nde par une Entité dont le nom, pour ainsi dire, serait (peut-être) Déité (Maïté ? on ne sait !). On est accolées, ensemble (main dans la main), à une roche. On ne veut pas sombrer c'est un fait (comme les hommes hommes) mais (pour le coup) pêrdurer ! perdurer -durer à jamais si tant est ... On est nées de Rage (d(une Rage) et nous voilà comme touchées , ensemble, par la bande, sous le joug d'une loi de base = looi des voies, qui est la loi d'un paysage de passage, chant de joie et loi, certitudes et amertumes, c hance et charge = la Voix ! ça se voit ! c'est un drôle de contrat qui nous lie là ensemble ! une sorte d'embuscade, ou quoi ? tracé fou ? cueillette ? on va devoir (il semblerait) sortir les assiettes , les couverts, les verres ; l e pain et le vin ? on ne sait pas mais ça se pourrait bien ! On mate grave ! On est  , femmes a ux prés, comme  

"bulflettes--entités". On broute ! on est comme les cernées de base ensemble alentour. fruits des monts. Monts des fruits. monts des données rudes. Asphyxie ? On dure ! on trace vif ! on y croit ! on voit ! on mate ! on veut être des (ensemble) qui tracent, ne lésinent pas sur la dépense, vont droit, chargent que tu chargeras, vont jusqu'au final ensemble s'épauler (voire s'aimer) et ça le fait (le ferait) pour l'éternité qui sait ! on entre dans l'antre. une voix est u ne voie car ,

elle creuse l'espace et nous aide grave à nous orienter c'est un fait, et du coup nous voilà qui (de fait) traçons grave sur roche des prés, chemin de passage, tracé,, bêtes de csomme sous le nez, on est bêtes nousz-mêmes, colère, vivacité, charge-née ! On est accolées qui poussons jusqi'aux nénés de l'être ! LAIT ! Du lait plénipotencière ! plénipotencier ? On veut aimer le lait, s'aimer xdans le lait. le lait est nacré et sacré. On veut ensemble s'aimer grave da&ns le lait ! On est nées pour s'aimer ensemble dans du laéit, dans un bain de la&it "de l'autre côté". On est femmes des prés, on veut toucher, tracer, cerner et coller. On ne veut en aucun cas sombrerr, mais tout au contraire pezrdurer, charger, dire et aller, coller à une sorte de "mât de misaine" et tracer := naviguer sur mer souveraine. Mer des données. On est nées sur mer allouée à une sorte de donnée dite"surnuméraire" vsouveraine salutaire. On est des foemmes aux données données souterraine; qui on etst ? des fées ! on le s a it ! on est fées faites Mort ! On est Fées de la Mort. On est des Fées comme "De la mort" ! On aime être Fées allouées à la Mort, comùe qui dirait. On est nées sur roche Fées, et du coup  on est allouées à une sorte de don,ée, liée à la mort dans ce qu'elle est. On regarde dzvant soi et  c e co,nvoi de b^-etes fortes est ce convoi de bêtes rosses liées )à la mort. On mate ! on veut comprendre ça et ça. On voudrait de grâce aller ^)rofond et pour cela, il 

est mieux de tracer (à main levée) les bêtes de poids , bêtes belles = masses ! Poids de RAge! On voit ! on est là pour ça, voir ensemble, aller grave, toucher, cerner de p^rsès, aller ensemble, se "toucxher la main" et ce faisant tracer, courir,, gravir, toucher, se donner, faore fropnt, allouer à une roche u ne Passion, coller à une roche son nom, le graver de front à l'unisson, deux noms font le nom de la Chose. On est passées ensemble sous les peupliersz. On entre ! On est fe"mmes allouées ensemble (deux femmes) à un antre. On aime aller vers plus de clarté, de vives clartés souterrainezs./ On veut dire et faire, charger et aller, comprendre et soupeser, soulever et ne pas tomber. On est bêtes de somme nées d'une sqorte de parade (ici : paroi) grégaire on le voit, ça ne nous choque p)as , on aime ! on est là enseùùmble (à toi à moi) pour être et, du coup, être unebête, bête de hjoie (pâroi)bsur herbe, légère ou pas, le tout est d'être, sur roche des bois, l'êttre surnuméraire salutaire qu'il nous sied (ô cfombien !) d'êttre. car voilà : o, n est là pour cerner (ensemble) cette jHoie de l'être ... en tant que bête. On est femmes des prés, allouées à une Dewstinée, dont le nom est Pré, Herbe, Prairie ou Champ de luzerne. QZui on est ? On est des femmes souveraines, acc

olées, qui voulons perdurer, foncent, creusent "dans" la vérité le sillon de l'être-bête tel qu'il nous apparraît (on dirait) dans les rêves.On veut ensemble en  vrai toucher à cette' d"éité "des données sup^rêmes", la toucher de près, sonder son êttre, regarder ce qu'il en est (de fait) dans la clarté, peser et toucher, coller et monter, a&ller sur herbe jouer, s'amuser, comme ... des belettes. On est n,ées, sur pré, belettes en colère (?) ou, peut-être, auroques enjouées (?). Qui le sait ? l'herbe est verte !on est bêtes de jeu. On s'aime à qui mieux mieux couchées dans la luezerne nues. on se sent le cul. l'herbe est verte sous le cul; on aime ! l'herbe verte et le cul ! On s'aime ! On trace ! On regarde. ON veut cerner ensemble les données "étra,nges", les tracés patents, l'antre menaçant, la chance, les tourments, les traces frontales, les bêtes de poids sur cloison murale. On y croit ! On est là pour ça : croire ! ne pas sombrer, chercher pitance, soupeser le blé, les graiines et autres céréales. On aime aimer . On veut toucher à cette déoité des parades allouées à une sqorte de mur de piété, charge sarde,  calamités. On veut être près. Toucxher. Toucxher déité. Toucher; Toucher à cette Déité. Toucher à cette Déité des Déités. La toucher de base ! Toucher ! Toucher grave ! 

Toucher) à cette sorte pour le coup de D2oté des D2ités. On veut comptendre (à deuxd) la Chance = la VOie = Le Temps./ On est comme deux enfants qui ch assent ! On est femmes chasseresses et on en avance dans les connaissa,cesz, sur terre, sur paroi, sur ciel, au temps donné des donnés frontales, sur  charrue, hjoug et bois. On est deux femmes de paroi "étrzange" (la paroi étrange, et femmes étranges... car voilà : on s'aime là, dans la voix !!!!! étrange... n'est-ce pas ?°). On charge ! On est comme (toutes deux) cernéess ensemble à toi à moi dans une soerte de parade dont le motto (on dira) est ça : "une voix pour soi ". On colle ! montons ! traçons ! courons ! creusons ! perçons ! fraisons corps ensemble ! chervchons le plus possible à comprendre ce qu'on voit d'ici (champ des effets) qui nous "regarde " de près (ou semblerait) . On est deux femmes soulevées ! on est femmes soulevées de près ! on est femmes qui , soulevéesainsi, lévitent, vont, touchent, sortent, wsautent. on vgoit loin ensemble ma foi : loin .... derrière soi , la plage , le sommet, la crête et les embruns de bord de mùer, les plages sondées, le courant marin, le sable, 

l'alchimie des algues et autres coquillages. On veut comptendre, toucher,, cerner, aller sous l'effet desz données données ingurgitées. S'aimer tout près = se lécher. être Fées des Rêves si tant est. faire ainsi qu'on soit "solidaires" , allouées à une grêve, aux abords des prés, vagues d'herbe, cris des joies. On est accolées sur rochetracée (ornementée) comme un cimetière , comme un cimetière l'est, est ornementé, décoré, enjolivé peu-têtre. on est comme nées sur l'herbe des prés ! obn est nées d'uncimetière ! on a traversé les différentes contrées post-cimetière et à présent on sait mieux qui on est ou même ce qu'on est, notre identité de genre et nombre, les données de force, nom / prénom et qualités diverses. On est nées sur roche deux. On est nées sur Roche au nombre de deux. On est deux main dans la main sur roche, nées sur pré, chargées, accolées. On est femmes (deuxd) qui (en vrai) étaient peut-être encore homme (au singulier) "derrière". On veut cerner ! toucher ! aller ! comprendre ! soupeserr ! soulever ! charger ! pisser ! ne pas couler ! compter ! perdre ! charger les données salutaires ! pisser de près ! aller et coincer, dire et pousser le Verbe, dès lors, vers ... la rivière ? l'ondée ? la grève ? le courant altier ? les remous mousseux ? les bêtes des Dieux ? Le collé-serré surnuméraire dune sorte d'antre merveilleux ? On est cfomme des féesz de ba

s-étage, misérable miracle, on veut les cieux mais vas-y voir ensemble ! c'ewst merdeux ! ça tremble ! c'st peureux ! ça chante grave ! ça vous glace ! vous transit de base de la tête aux pieds. On veut comprendre,; alors voilà, on comp^te nos pas. On est franches . On est là pour ça, comprendre par l a ba,nde un certain  om

bre de données de base, ce que c'est, ce que c'est pas, ce qu'il advient, ce qui se trme içci bas , et aussi plus haut, là-bas, tout là-bas, vers les embruns, ce paysage sous-marin, la Chance des pages, le sommeil, la Voie de face. Une entrée  en vrai. Un drôle de "passage pour Fées", pour Fées qu'on serait. Une sorte de porte sauvag . un endroit par où ensemble aller comme à la ramasse ! On est nées sur pré. On charge ! on pousse grave ! on veut tracer = allouer à uen D2ité, toute (ici ) cette charge mentale (mots de la tribu) dont on est redevables il semblerait ... du seul fait d'être nées, qui sait ! 

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17/8/2024

On est deux pour être. On veut cerner ! On est accolées. 

On est ensemble pour cerner ce qui en vfrai semble nous "regarder", noud voir en qauelque sorte à travers la Chose ! On est deux ensemble ! on avance ! on est cernées , on est colme allouées à cette Chose , des données premières , princières ! On veut : et cerner et c omprendrte, et toucher et dire ! On veut : aller ensemble, fissa, à la une à la deux, comme à l'avenrture ! chercher quoi ? chercher ça ! cela là qui, en vérité, semble ou semblerait nous regarder en face ; et c'est quoi ? c'est ... l'plombier des charges ! l'envahi ! le guetteur ! le crac de la bande ! On regarde et forcément on voit des choses devant soi qui se pavanent ! roue dentée ! crénelée ! on comprend des choses, ou du moins, on cherche à comprendre, ensemble, un certain nombre de données de base concernzant la vie dans ce qu'elle a de plus profond, de plus ancré, de plus enraciné en vrai par la bande, dans ... preut-êtee en effet, ce seuil dit de rage, cette chose "des confins" : la mort ! oh, voilà ça , qui (qui sait ?) nous regarde comme parr en b as ! on y va ! on charge ensemble ! on essaie, du coup, de comprendre ensemble ce qui est qui vient vers Soi = Nousq de rage ! On est , eh bien, accolées de base, car surfaites = faites sur ! faites ensemble sur le tas ! de rage ! sous le Verbe à ras ! la chance ! on avance ! on entre ! on veut cerner-comprendre ensemble un certain  niomvbre de donneées de bhase, ce qui est, ce quin'est pas, ce qui va là ou nhe va pas là . On veut ou on voudrait ensezmble, cerner un certain  nombre de données acides, données de parade, données-vies, charges mentales,, supllices à vrai dire , à moins que ce ne soit la Chance en soi d'être et de paraître celui ou celle ... qu'on  est pas ! charge rude sur paroi := bufflette ! oh voilà ! on y croit ! o,n est buflle-bufflette de paroi ! homme et femme lambda ! caramba ! On avcance ! On veut ou on vouderait ensemble comprendre un certain  iombre de dionnées de rage, ce qui est qui est, ce qui semble comme aller de soi, ce qui charge ! ce qui va et ce quine va pas. On est face à face (la paroi et Moi = Nous = Vous = celles des envies (folles) de Vie !) . On aime ! on est comme Amour alloué de Caérême , chant total, pisse-vin, toucghe)-misère, octogone ! On est comme deux connes qui voulo ns aller (de rage), à la une à la deux, à la recgerherche d'une Vérité disons de bas-étage (qui sait ?) ou quoi sinon, d'autre ? Car, on sait ensembvle traverser la roche ! aller vif ! toucher le nacré et passer qui son doigt de fée, qui sa serpette, qui son sang des règles, qui son oeil de bois ! On est femmes sûres ! corps à coeur ! vives alkacrités massives genre bêtes des przairies  et autres prés acidulées. On avance ensembkle ! On veutcverner ! comprendre, allouer ! dire et toucher ! Etre près de cette b^ete de derière , chercher à cerner ce qui est ! On veut être ensemble des , qui (de fait) veulent traverser (ensemble) les données ddonnées de type roc et pré, roche allou"éée, roc des données vives, trimballum ! On est comme nées pour être ensembkle (ici) traversantes ! On avance ensemble ! On nest deux ! on collle ! on veut aller de rage ensemble au fond du fond des roches de base , trou du .. con ? on est comme nées pour être allouées, à un ..  "vcon de rage" ? qui sait ? qui le sai -t en vérité ? On veut : toucher-aller, dire-faire, comprendre et s' avancer ensemble, à toi à moi, sur la lande par la ban,de ! On est femmes des prés ensemble ! on est passées ! on est nées de cette sorte de paroi "étrange", -dureté parmi les duretés, charge totale, enfilade, coeur des joies. On est sages = sades = vagues = mer en vrai saumârttre ou sinon saumêztre ... mâttre ? Onn y croit ! Allons-y ensemble à toi à moi comme à la parade et peut-être o,n  y verra de grâce les données de poids qui (ensemble) pourront faire, ou le faire , on le voit, qui sauront nous dire, faire comprendre, etc., ce qui est qui est et du coup (aussi) ce qui est qui (peut-être) en vrzai n'rst pas, ou pas complètement ! Car, la vie ici est une sorte de paroi intime , creux des fois (ou de la foi) en l'au-delà . On est nous ^mêlmes pour nous-mêmes intimes . on essaie d'aller ensembloe au plus profond, on est sur un chemin p)rairail  et du coup on marche, traquet-traquet, mzain dans la main , à l'intériouer de cette cavité prairioale, on est accolées, on marche ainsi accolées, on est nues, femmes nues accolées qui marchent, vont ensemble droit, en avancent, vont vers , vont ensemble, vont droit ensemble vers là-bas cette chose en offrande qui est quoi, qui est la Rage, faite Vie de base ! cchant du coq ! mort et grève ! On est comme deux ensemble soudées accolées, qui marcjhont d'un pas vif (ou pas !) vers elle : la mort -grève ! On est soudées pour ça et on marche vif ! on est ensemble sur le pré aux buffles et buflettes, on est dans l'herbe, on est bêtes nous-mêmes. On veut aller profond toiucher à cetre chose d'une soerte de cloison du bout du monde ! qui saura nous dire ce que c'est que cette cxhose devfant soi, de type cloison ? qaui est là devant nous qui cxharge ? qui charge devant nous pour ça, nous "inclure" fissa part la bhande et v as-y comprendre, zzar atoustra ! On est femmes des prairies vertes, bêtes de poids, charge rebelle, on est là pour ça : aller (de plus belle) vers ça, genre "la misère", genre "le tombeau", gentrre "l'emportée", genre "le tonneau aux données acculées". On est deux pour être celles qu'ion voudrait conna&îtte (en soi) à toi à moi commùe à la parade ! Qui on est ? eh bé, peut-être, celles qui pèsent ! oh peut-être ! celles qui (ici) vont ainsi  verts elle (la cloison frontale) d'un pas lourd ! .... ou d'un pas léger ... s'i elles sont belettes ! On est fées ! faites ! dures au toucher ! chezrche-mercde ? crudités ? On est comme cernées-accolées à l'être et du cou!p on cernne ce qui est qui se présente sous nos yeux de bête ! On était bêtes avant de naître on renaît bêtes ... dans la mort. On veut (on voudrzaiot) de fait aller = cerner = dire ce qui est, et ne plus se perdre,; mais tracezr ! tracer grave ! charger ! toucher à cette chose devant soi df'une sorte ... d'"oubliette, d'oubliettes des données qui , en vrai, sauraient grave nous informer sur ce qui est et sur (aussi) ce qui n'est pas , en matière de (pour le coup) données , de type "mortuaire". On est nées pour être ensembloe, dans la mort, des fées dites "de basse-mesure", chant des dunes, foi en Soi en tant que Fée des dunes. On est comme allouéews ensemble (nacrées) à  cette chiose d'une sorte de do,nnée épique ! tarantule ! danse des turnes ! On est là pour ça : la danse (la transe) = la rumba (sur toundra) et autres danses macab res ! on y va ! on lance les bras les jambes ! on tourne sur soi ! sarabande ! cxharge-chant   ! charge et chant venu de soi ! On entre ! On est comme ensemble nues cooll"ées fissa de rage pour ça : aller-danser, courir et toucher, comprtendre et coller, traverser les prés jusqu'au bout du bout qui nous est donné à la une à la deux com^me par la bande (langagière) animalière des do nnées muralesx (frontales) de paroi ! On avance ! on est deux pour ça = comprtendre = dire = faire, et  ce faisant tracer ! aller comme à la parade ! s'incruster ! toucher la bande des données , données en face ! connaître ensemble "l'interface" aux données données, "l'interface" alloué à une charge (ici mentale) de type "donnée des données" et c'est marre à tout j amais on dirait. On est qui ? 

on est — fe'mmes doctes, genre "mortes". 

On est — douces et vives, rudes et armées, on est nées pour être (il semblerait) allouées à "une mort certaine prolongé". On est femmes cernées de base par la bande et du coup voilà on avance, on trace, on y va ! on veut comprendre lma paroi, le sens de la marche, les données de base, les procès, les envies naissantes, la donnée su pr^éme et c eklle (aussi)  au ras de la terre. on est nées ensemble à la retombée , comme soulevées, mo ntrées, chargées ! On avance ensemble des deux pieds, sur roche des prés , on est saintes âmes, charges sales, charge au nez et à la b arbe des divinités, chant des voix, peuplades de toundra, de canotage. On est apeurées ou pas , en attendant on y croit ! on va ddevant soi, on trace des traits de paroi, on creuse on dessine, on est soulevées ! montées ! redressées ! allouées à la roche en tant que fé&es sinon carabosee fées des prés ! On aime ! on chante ! on va sur herbe au milieu des vaches ! on est vfaches sardes ! on est nées sur pré pour (dans la mort) être (redevenir) vaches ! vaches à lait ! bêtyes des prés ! charges ! divinités ! âmes ! car la vache sur pré erst l'âme des données ! on est nées vaches dans la mort donnée ! on est re-nées vaches ! on veut toucher-cerner la vache = la comprendre à jamais et devenir vache nous m^rmes, si tant est et par la bande , qui saiot ? On veut vachge, être. On veut vaches, devenir ensemble. On veut grave ensemble aller et toucher à cette sorte de donnée de rage, vache à lait ! on tremble de n'y pas (ensemble !) arriver si jamais ! on veut comprtendre = être = dire = faire = aller = toucher à cette sorte en soi de sa r abande des co nntrées de base. O,n est nnéesq pour être fezmmes à tout jamais , qui sque l'on soit , qu'on le sache ! on est nées pour être (dans la mort) femmes à tout jamais , qui que l'"on soit ! on est nées sur terre, né, née,, nés, nées, pour (dans la mort soudaine) devenir (= recdevenir) femmes (au pl;uriel car : 2) à kj&mais ! On est accoilées ! on est femmes jumelées, femmes slaves, charges, corps de rage, dupliçcités faites charge, corps de joie maussade ou pas mais comme élancé, corps de type flèche , corps de rage alloué à une cxharge de paroi de  base, charge' née. On est né qui on est, ^pour mourir alloué, à une sorte de donnée de type  "femmes" . On est accolées, soudées, collées, comme allouées à u ne sorte de paroi de rage, "confinade", charge finale ! On est nées ensemble, on veut tracer ! On regarde devant soi la base des données, on est comme cernées et on avance ensemble, on y va ! On est femmes des bois, des parois, des choix du roi, des choix princiers, des reines des prés, fentes labiales ! On veut ensemble au mieux co:mprendre ce qui est da ns ce qu'on voit (verrait) devant soi comme à la parade ! qui on est ? on est Roi et Reine ! chant du cru ! IOn est bêtes sur rocher comme gravées, et on veut "tracezr" = traverser la roche, aller là (ensemble) à la chamade ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! topucher ! toucher ! touxcher ! toucxher ! toucxher ! toucher ! tpoucher ! toucher à ce qui est en vrai qui nous regadfrde, nous reluque grave, bnous m ate de près, nous mate grave, bnous veut "en entier" mais comment, de fait, se sousqtraire, à pareille volonté venu des confins , des données dernières ? cfommùent faire pour ne pas céder ? pour aller sur pré sans, pour autant, succomber à l'appel de la forêt dernière, des données dernières, des dernières volontésq, des vives clartés de derrière ? On veut (on voudrait) ensembvke chercher à comptrendre. On aimezrait beaucoup aller ensemble pour trouver , en cette chose des données ultimes, ce qui est. On rezgarde devant soi, on mate. on veut cerner ensemble les données et pour cela le mieux c'est d'y aller ensemble à toi à moi cfomme à la parade, charge frontale !charge grrave ! tr aversée ! on trace ! On passe ! on regarde , on est allouées à une sorte de prairie de base genre pâradisiaque, on y croit ! On veut aller , marcher, courir, travezrser le pré, comprendre les données, aller et regarder les bêtes qui (en vrai) br(outent que tu brouteras (comme à la parade) ensemble. on est accxulées ! on est entrées ! on est entrées car femmrss soudées, femmes doctes, collées)-accolées. On est entrées en tant que femmes aux données données. On est pasdsées de l'autree côté. On est pasdsées enj tant que femmes dédoublées ! femme dédoublée (au singulier) = femmes dédoublées (au pluriel) ! le singulier l'"emportreait ? le pluriel est né ? le singulier se verrait transforl$mé en pluriel des prés ? on est felmmes allouées à une sorte de prairie de base de type contrée comme cernée, entourée, constrite. On veut toucher à cette Déité des bouts des roches, déité des déités, qyui, en vrai, serait celle qui (de fait) nous rtegarderait ... par derrière ! de tous les côtés ! on est "faites " , fées, doucemenrt cernées ! commandées ! charbgées de tête ! comme trimballées sur herbe ! on est entourées d'une "murerttte" aéux données données par "qui on sait", mais le sait-on en vrai autant ? qu'en sait-on de ce "manant" ? qui est )-il qui sait qui on est? On est nées ensemble riches de données données concernant la mort ! On veut tpoucher ! toucher ! toucxher ! toucher ! tpucher! toucher à cegtte déité des déités graciles, fines, élancée, nacrée-sacrée, on file ! vivement qu'on sache : qui est qui comme pa r la bande ! on entre ! on est entrées ensemble. On veut toucher à cette sorte de donnée de  base ,  genre "Dulcinée". On aime les fées ! les donné&es prairiales ! les entrées de rage, le sommet, la charge mentale, l'épopée, l'onctuosité de façade, lea cloison terminale, la cxlarté donnée, les embruns sauvés, le chant de la roche et autrees sons sans anicroches ! On aime chercher ! et on se jette dans le t as ! on entre ! on est acculées ! on est deux pour être ensemble l'êztre des ,prés (buflette au dé&botté, genre bisonne des prés). On est bêts aux données données comme par la ba,nde (ici lang agière) animzalière gravée. On aime ! on aime aimer la bête dessinée ! on est bête nousz-mêmes ! on hurle ! on creuse ! on v a ! on est comme deux fées de paroi ! on est fée des prés et des parois du bout de l'âme ! on est accolées ! On se colle l'une à l'autre pour enttrer (pouvoir entrer) sans anicroche, sans se blesser, sans y passer . On est femmes données, o,n est mortes-nées = vives-allouées à une sorte de paroi "du bout du monde". On y croit ! on voit ce convoi , bêtes de roche, gravures et morsures, traits de force, mains lambdas, genttes dames sur paroi, fentes. On aime ça ! on veut touxcher à ça ! la charge mentale (ici) de façade ! le tracé des reines et des rois ! la paroi première ! l'emportée massive, le donné de choix, l'aura ! On est femmes de paroi, on est accolées, on est entrées, on est comme toucheées par (ici) la grâce d'être ça : la Rage ! l'envahidssement de soi par la bande , la colère immmense, l'ire envoutante , peut-etre (du coup ) la transe ! on voit ce qu'on voit ! on est felmmmes de paroio en transe (danse en nage) et du coup on en avance (ici) dans les données savantes. On est comme (re) nées à une vie de base 

à

àune vie 

de base mordante, 

à une sorte en soi de vie, de base "mourante", de base "montante" ;... 

à Vie -Mort de base, à Mort-en-vie...  de base montante ? à Vie = Mort en cette Roche , aux données acides voire acidulées ? On colle ! grave ! on est mortes = vives ! vives dansz la mort mais comment comprtendre ? en tant que femmes déplacées. On est nées femmesz (de fait) dans cela qui est (ici) la..  eh bien, la donnée Su^prê'me ! charge ! poids ! cri ! colèvre de prairie ! on veut toucher à cette déoité des déités transies ! "quui c'ewst ?", c'est l'plombier des prés ! l'Anarchie faite Fée , persi-obnifiée ! On aime ! on like grave et plutôt deux fois qu'une ! on aime les fées, les donnéesz données, lesc présences, le p assé des prés, le chant de la bande, l'envolée toteale ... et la chance ! On veut toucher à cette déoité des données suprêmes dont on parlait. On est qui ? "'quête" ! on est cfomme nées (de base) femmes (ensemble accol"éées) dans un cimetière. On veut toucher-cerner = passer le nez , qui un oeil qui deux ! et mater-sentire = renifler-reluquer = comprendre. Ce qui est qui est derière la paroi (cloison) termi nale. Minois ? minou  ? moi ? ma "don,née colère" ? mon ch at  ? mon (mon ?) chant , dit "chant des dunes et des monts de bosse " ? On est femmes doctes dans la mort. On est , dans la mort, femmes doctes. On veut = on voudrait : cerner gra ve, les données de base. Toi et moi. Ensemble. Associées. Femmes de roche à la retombée on se consacre à mieux cerner ce qui est qui est da&ns ce convoi du bout du monde : la paroi des roches, le dessin total, l'envolée, la montée, la parade aux bêtes sacrées (vaches à la&it, bêtes-monstres, données des données, cohorte). On aime alller (ensemble) à la retombée et toucher = dire ce qui est qui est, et aussi cezrner = dessiner , ce pré,  ce champ, ces contrées prairailes, herbes "tout venant" et autres luzernes. On  est "devant" ! on creuse à vif la roche Du Temps, c ar oui, on est comme "devant", postées à la base, posées, contenue's, accolées, montées. femmes des données données on est passées et à présent on peut (grave) chevaucxher la lande à toute enjambée et aller juèsqu'au portail dit portail des fé&es , une rooche en poste , trou du cul des roches ou des données de roche. On colle ! on ne s'arrête pas de coller ! On est comme touchées, faites, entrées, passées, on mate ! On reg rde ! On veut aller de fait comme par la bande recher c her, qui l'entrée qui la sortie, mais du coup "un passage de rage", trou de base. On est cdomme néesz ennsemble (à toi à mùoi) par la bande en  ette sorte cde champ de paroi" donjt le nom est ça : parade ! coin de rue ! charge -avenue (advenue ?) ! poids de taille ! On est FEMMES DES DONNJ2ES DE BASE, on est FEMMES DES DONN2ES DE BASE , on est FEMMESCV AUX DONN2ES DE BASE ! On est FEMMES NUES AUX DONN2ES DE BASE ! on est FEMMES DES DONN2ES NUES  ! on est FEMMES DES DONN2ES DE BASE NUES ! on est FEMMES NUES AUX DONN2ES DU TROU DU CUL ! on est FEMMES N2ES AUX DONN2ES DU TROU DU CUL ! on est feMMES N2ES E?SEM%BLE AUXD  DONN2ES GRAVE DU TROU DU CUL OU DITES " DU TROU DU CUL"  ! on est .... FEZLMES , DOCTES, SACVANTES, AUX DONN2ES STRANGE ! AUX DONNJ2ES DONN2ES DITES IL SE4MBLERAIT° "DU TROU DU CVUL" ! On est femmes par lma bande et par le menu, dudit passage (devant soi) "du trou du cul" et ça bande ! grave ! -ça remu e d ans l'antre ! c'est couillu de rage (cousu !) ! ça charge gra ve ! on est nues vues, vues nues, on est nues et vues : on entre ensembleb = main dans main ! On est passées compme par la bande à une sorte de nouvell e charge ! on est accolées ! On est nées ensemble d

ans la mort ! on est (dans la mort) comme nées (ensemble) à une sorte de nouvelle vie dont le nom ici est : vie des vies ! colère monstre ! cxhant fort ! communication de l'au-delà à travezrs en vrai la paroi de roche, ou p aroi des Rois , Reines cachées, RRois des Fées, sarabandes. ON veut (on voudrait ) collezr , ensemble ici comme aallouées, à une Roche terminale, genre "paradisiaque" si tant est. On est femmes des prés, charges frontales, fées des p^rés = chance ! on aime ! on aime grave ! on veiut grave aimer de près ! on veut de près aimer grave = toucher ! on a&ime aimezr ! on aime aller ! on aime cerner ! on aime se toucher ! on aime se branler ! on aime comùprendre ce qui est en cette chose d'une sorte de "mansarde de l'au-delà" (dans l'au-delà) de typee "par adisiaque" . on aime ça ! on entre ! on est entourées ! on est au milieu du pré, parmi x et x bêtes broutant l'herbe fgrasse. On voit autour de bnous la Chose de ba se, le bâti. On voit la Roche, la Rotonde, lemporté, le décollé. On voit de fait la Roche des Fées. La murette donnée. On voit ce qui est , on entre en vrai, on est accolées, on fait corps , on fait fée". O,

n est femmes-fées allouéesz à une sorte de "roche des prés", et là, entrées ou une fois entrées, on cherche à toucxher toucher toucher toucher à cette sorte de ... muret ? mur de roche déjà traversé ? on essaie de cerner ce qui est. On cherche ! on veut toucher c'sst un fait mais aussi "p asser" ! on voudrait ensemble, parce que nées ensemble, traverser . Passer ensemble, aller, comprendre, traverser la roche, passer cfomme en force ou sinon comment ? comment en vrai pour le coup passer ? commùent faire ensemble pour p asser la roche des données finales ? en force, vraiment ? ou sinon comment ? par la bande sonore des enttrées parlées ? par le TEmps ? au moyen du temps ? On est comme nées ensemble dans la roche, et (en vrai) à prése"nt, on aimezrait re-travezrser dans l'autre sens ! aller loin dans "les données", faire ainsi qu'on puissee aller comme en une sorte de retour, de re-quelque cxhose à rebours ! Qui on est ? on est FEMMES N2ES PAR LA BANDE ! PAR LA BANDE FORTE 

d'une sorte de do nnée vivante ! 

CHARGE DOCTE ! PAMOISON ET CJHAMPIGNON ! On ose ! on ose aller ju!sque devant la porte aux données finales rezgarfdrrer. regarder ce qui est. Ce quyi se tra&me. De quyoi donc ... la "mort" (?) est faite . Ce qui est derrière le mur en rotonde . ce qui est derrière ... ce mur alloué à une (sorte de)  charge praoriale (ventre ?). O,n est FEMMES AUX FOLLES DONN2ES , FEMMES AUX DONN2ES FOLLES ALLOU2ÉES à DU VERBE, FEMMES (DEUX FELMMES°) ALLOU2ÉE (ENSEMBLE) à)

 UNE SORTE DE "PAROI DE BOUT DE ROCHE" (MA FOI°)ENSEMBLE. ON veut grave tracer-pisser, se toucher-baiszer, a&ller et venir, se doigter du feu de dieu, comprendre les données frontales = pisser ! pisser À la ré, connaéître le pré, les bêtes, le vent, l'herbe, le champ et le chant donné. On aime s'aimer sur roche allouée. On veut êztre fées ! fées des bosses et autres dunes de paroi (ou religiosités). On aime tracer ! topucher terre ! pondre ! coller ! faire ! dire et faire ce qui est ! pousser vers déité des ciment§ières nos envies sacrées ! colmater par (comme qui dirait) du verbe ! On est nées sur terre allouées à une sorte de verbe des prés, chants des rues, vives amabilités, cortège. On est femmes dees prés, on est femmes des  données ardues. On est (dans la mort) re-nées   ! On veut cerner ! Qui on est ? nues ! on est nues (de base) velues, vives et crues. Mues. On est mues de base. Mues et nues. Bêtes des prés sur la place. charge de rue ! antre. On est cfomme znsemble toi et moi en  nous (offrande) comme szoulevées nues par la bande en ce sas des sas. On veut toucher ! on veut aller ! on veut cerner ! on veut dire et faire ! on voudrait de fait dire et faire ! on voudrait de fait ensemble dire et faire ici, en ce sas des sas, une sorte de cortège. genre sarabande. coller. On veut coller ! on veut coller ensemble . On voudraitb ensemble coller .On voudrait ensemble nous deux coller , coller grave ensemble : toucher ! toucher Déité des Déités et autres divinités de roche si tant est. coller grave à cete chose d'une sorte de donnée donnée tellle que présentée (divinement) sur pa&roi du Temps. On veut : cooler, allmer, dire, cha&rger, chanter, faire, comprendre, disposer, aller vif et comme "soulever" la roche pour passer, dire ce qui est, chercher sens, poindre, calfeutrer, comprendre les données données, filer, pousser, pisser dru, e't aussi chier = se vider ! c'est important ! On veut : faire)dire, comprtendre-allouer, comprendre-percer, percer-toucher, traverser l;e muret et aller de fait ensemble (main dansz la main) de l'autre côté ! on aime toucxher ! on aéime comptendre et dire ce qui est qui est. on ne veut pas passer à côté des choses de la Vérité, comme conduite. On veut : toucxher-passer, cfomprendre-allouer, dire-faire, communiquer, faire ainsi que pour le coup les données soient posées, et ciomme consignées sur roche . On est nées sur roche comme à la parade poour ainsi comptrendre ensemble ce qui est qui se dessine (dessinerait) vraiment (de base) pour des ans et des ans. On est femmes fortes (grosses

) des données données comme p ar la bande ! on veut toucher-comprendre cesz données (fortes ?) allouées, ce que c'est en vériité,, ce que ces données e"n vr(ai xcachent ou cacheraient en termes pour le coup de connaissances concernant la mort. On est femmes fortes, fortes = groseess = savantes = pleines = pesantes = sachant tracer, dessooiner, comprendre, traverser la roche et passer sans forcer (?) de l'autre côté il semblerait. On est nées sur place (roche') pour tracer (dessiner) et (de fait) traverser la roche, se retrouver ensemble femmes (deux) de l'autre côté (dédoublées) et du coup prêtes à creuser (en vrai) plus loin, toujpurs plus loin, vers cettte déité dees déités surnuméraire. On est prêtes ! o n creuse ! on t§race ! on va& ! on en avance grave ! On veut

 toucher-cerner de baseles données. On est FEMMES DES DONNÉES donnÉEs ! on est allouées à cette déité des rages naissantes ! on est cfomme allouées à cette  déité des données savantes ! On est nées homme ou femme sur terre au singulier, on meurt transformé.es : femmes ! femmes = de'ux femmes ! en vrai ! dans la mort ! allouée à une mort données, celle du Verbe faisant la navette (vie / mort surnuméraire). On aime toucher ! se toucxher ! béiser ! se mettre ! se doigter ! se tripotter et se lécher ! et se humer ! se renifler ! se salir de la tête aux piedsz si jamais ! femmes fées ! fermes ! douces en colère ou dures soupesées ! On se lèche ! frêles ? raides ? cools ? on entre, en cette herbe d'un pré (alloué à une entrée) par le cimetière , direction les termes. On veut : et coller et toucher, et aller et cerner, et dire et passer, et passer et toucher, et cerner et dire. On veut ensemble traverser la base (prairiaéles) aux données rupestres, chargess folles, bêtes fortesq, cornes et coups de pied, bêtes-monstres, vaches à lait, bisonnes, bises et cohortes, contre-alléeez. On eswt comme nées (ensemble) et on veut toucher ! toucxher = faire = aller = connaîtte . on veut toucher pour ainsi dire les nénés de l'être ? femmes entre elles c'est un fait ! On veut ensemble s'accoler à cette sorte de cloison dernière aux données deonnées  ! on aimerait ! On veut toucher à cette chose d'une sorte de donnée venue, comme de derrière (ici) la murette allouée à un cimetière (ou genre de)! Qui on est ? on est bêtes desz prés ! On est bêtes des prés en ce cimetière "de la mort à l'oeuvre" tel qu'il nous apparait ou nouq apparaitrait sur herbe ! On est nées de rage pour être, pour de fait être Fées  , être Fées des Herbes ! cxhants des Fées sur roche imberbe ! traverser ! nées pour traverser ! nées pour êztre des fées ou "dans la mort : des fées " ! fils de l'herbe = filles nées comme soulevées, montées-montrées, portées. Cimetière des données de l'herbe ! On est nées sur herbe à une vie nouvelle faite de données données et comme soulevéesz vers Elle, l'Herbe , l'$Herbe des prés. On a&ime aimezr l'herhe, l'herbe des préds. On veut passer (à nouveau) de l'a utre  côté = traversefr le mur, le muret, la murette "a&ux donnézss " et du coup comp)rendre (ensemble ++) ce qui est en cette chose d'un e sorte de passage nu, tracé  nu par où, de fait, s'immiscer ensemble = à toi à moi, aller vif en ça, en cette sorte de paroi trouée, crteusée ! On est nées ! on est passées une opremière fois, nous voilà donc qui sommes ensemble faites fées de fait ! On est comme entrées on dirait, par la roche, à... rebrousse-poil ? ou sinon comment ? à la pa rade ? charge des charges ? on ess&ie ensemble de touchezr à cette cxjose d'une sqorte de muretde ba se, ce qu'il est c'est quoi ? mur des Rois ? mur /muret des REines de Saba (de P aroi ?) ? liens ici entre roi e't paroi , reines et fées, genres de données , perles et paroles allouées à une sorte de roche des prés. On aime tracer = travezrser cette roche donnée , par du verbe oui, par (en l'occurence) du Verbe "de Roche"" : cris de la passion , chants doctes, voix de fée, cohorte animalière finement gravée, pâroles de r'oche tracées, voix des morts et des mortes. On est morts-nées pour ainsi dire. Finement tracées sur roche on naît (on renaît) à une vie autre, celle des confins, des fins de roche, fin des fins. IOn aime s'accoler( à une szoerte de paroi de roche) pour cerner, toucher, comprtendre, faire ainsi que (par exemple) on puisse a&u mieux toucher (cerner-comprendre) cette Déité des Déités de Roche, Dieu des Dieix  et autres Personnalité de base forte, dure comme la musique comme enracinée en cette dureté de roche gravée. On aime grave aller verscette Déité des Déités des données frontales et autres genres de données de roche telles que "visitées" ... par des fées. On voudrait ensemble traverser ici la roche des prés, retrouver l'allant = le temps. Traverser = charger ! charger tracer ! On voudrait vraiment , ici, coller , à ceette soerte de donnée dite "du bou!t du 

monde" , coller-achever ! on aimera&it ! on vouydrayt ! on croit pouvoir tracer et, de fait, cerner-comprtendre ce qui est qui est, qui se présente et sembkle ou semblerait vouloir cfomme nous parler, noàus apostropher pour nous demander qauelque chose qui wserait pe"ut)-êtte,une sorte de vérité sur terre si tant est ! qui on est en vrai ? )eut-être, voilà, des fées, qui sait ? on creuse la roche allouée ! On passe ! Fées des  herbes ! Femmes des prés alloués à une Parol:e dite "de cimetière" . Frai des fées ! On aime ! ion aime grave pouvoir frayer  ! On adore ! On aime le xsece  aux données données ! On aime grave ici (sur terre) le sece" a&lloué à une Vérité dite "INTRINSÈQUE " , c'est vrai ! on aime ensemble ! on aime aimer, comme à la parade, le frai ! l'enfilade ! on veut s'aimer ! se toucher ! se mettre femme = se mettre en tant qu'on est femmes, deux femmes à la parade, au chandelier ! on veut, ensemble, toucher (femme  / femme) les donnéesq. On veut en tant que femmes dans la moçrt toucher = se toucher, tou!cher D2ité, se doihgter (ensemble) en tant que fées (doigts de fée = doigté = doigté dit "de déité"). On entre dans l'antre ! on est comme entrées ensemble dans l'antre, et du coup, on cherche à s'aimer, à en avancer, à tracer, à courir sans désemparer. On veut : et dire et toucher, et faire et aller, et coller et passer, et co:mprendsre et s'a madouer si jamais mais le peut-on enb vrai ? qui on est ? on est Fées ! Fées des Hommes mortsz ! fées comme aya&nt pris la place (dans la mort) de l'homme hier encore en vie ! car, si un homme cdans la vie sur terre mùeurt, alors il se transforme illico -presto, en femmes des prés se tenant la m&in ! deux femmes allouées grave à une roche, ça le fait ! homme au singulier, mourant, devient femmes (deux femmes ) au pluriel c'esst un fait à présent largement avéré et comme installé )parmi les connaiissqa nces ici liées aux faits et gestes de la mort à l'oeuvre et de la vie dite "surnuméraire" . On veut toucher à cette vérité dernière : clarté ! vivacité des clartés dernières ! embruns ! sons de roche (clocheztes ?), animaux sacrés . on ne sait pas ce qui est au juste vraiment vrai mais quand même, on subodore ! on veut êtreaccolées, se toucher, faire corps de près, toucher à cette Déité "des fonds de réserve". On aime grave tracer serré ! comprendre les données rupestres : les aurochs chargés, les bêtes de foire (= de foirail), les buffles ailées et autres vaches à l, ait sacré sucré. Aime ! charge ! croit ! voit ! perce ! perle ! parle ! va ! chetrche si possible à (toujours) mieux cerner-comp)rendsre les données données comme par la bhande. vives monstruosités de façade" ? on est comme nées ensemble par la bande (le langage parlé) sur roche des prés (temps frontal) comme p ar la bhande (des idiomes articulés). "Qui est né ?" = "qui va là ?". On s'en sera&it douté ! on est femmes doctes ! soit : sachant (sachantes) mille et une choses concerna&,t le sang, le corps en son entier, loes fonctions vitales, les données des fées concernant le cr(âne et le cervelet, la pie'-mère et autres dure-mère ou corps calleux "de destiné". qui on est ? On est , femmes "folles-fortes" = tourmentées = tournées = mises en forme . comme on est on va ! on entre ! on est ensemble on dirait pour peut-^tre mieux, comprendre-cerner les données de base , charges mentales, croix de bois, p)assages, mots des reines et rois, traces. quand JE bande , JE va ! Je se passe de Moi , car sale ! sage ? sarde ? charge ? On est comme c ernées de base ensemble par la bande, on est accolées, acculées, poussées, poussées de près et on essaie de fai-t ensemble de co:mprendre les données, ce qui est qu'on est des fées et pas des êtres comme nécrosés ! On veut : toucher à cette chose d'une sorte (en szoi) de Déité de cimetière ! Charge allouée à une pierre, à une donnée, à un muret, au mur des données allouées à la pierre. Qui on est . des fées ! fées de cimetière = verbe ? On ne sait mais ça sz pourrait ! O, n est cfomme pa&ssées ensemb le (tête première) à l'entrée , et nous voilà comme alertées, situées, chargées, mises sur pied, prêtes à y aller, ensemble, vivement, vers ici déité des parois terminales ou finales des confins de l'âme. on entre à pas chassés peut-être mais en vrai ! on rst acculées ou tout comme. On entre, vives et sacrées, acculées. On veut toucher à  ce qui est de ce muret de fond de pré . Fond de pré de base. On veut toucher à ce muret, aux donné&es centrales, auxs données dpnnées. on veut touxcher ens'"mble ! vivement aller ! cerner-comprendre ! crever l'abcès mais crever l'abcès c''rst un truc de ouf en vrai, pas si simple'à faire pour de vrai ! en vrai c'est (c''st simple) pas (ou pas tout à fait) une sinécure ! On est des femmes de paroi entrées, entrées en tant que fées on dira&it. On aime tracverser. On est passées. On s'est retrouvées (de fait) de l'autre côté, et voilà, à présent, on est comme soulevées, on veut toucxher , on veut cerner les données frontales , ce qu'elles sont vues de près, à qyuoi elles ressemblent, sur quyoi elles donnent, à quoi on doit s'attendre, qu'est)ce qu'il en est en vrai, des paroles "de vérité" ou des paroles doctes. On reg arde ensemble . on se penche dngereusement; on veut com^rendre ensembvle ce qui est ici qui semblezraéit vouliior, nous donner à c erner  ensembvle les données de base, donnnées rudes. Qui , qui on est, qui en vrai on est ? On est F2ES ! FÉES aux DIONNÉES DONN2ES COMME PAR LA BANDE LANGAGI7RE DES

 ENVIES NACRÉES DE VIE ALLOUÉE À UNE SORTE EN SOI DE CIMETI97RE AUX DONN2ES DONN2ES ! on aime aller , faire et montrer, toucher et graviter (graver) autour du Verbe ... de la Foi  d&ns les Données Données sorties du cimzetière. on touxche a&ux nénés ! lait des Fées de cimetière ! Lait (en qauelque sorte) sucré ! lait dit "maternel" du fait qu'il appartient aux mères allouées à une Roche dite (elle) Primaire". (première et pri-mère, pré-mère). On est ,-néesz sur roche à la traversée c'est un fait, eet du coup (à présent) nous cvoici comme ezntrées tête prmière dans la vie, "vie vive aux données de Fée, vie des Fées des Rages et autres Fées allouées à la marge". quion est ? On est des Fées de base anale, conaissances , gentes dames, frappes (petites frappes) au firmament , druplicités. on voudrait grave ensemble en avancer de base dans les connaissances mais c'est vrai que la chose en vrai n'est pas automatique, ou plutôt , ne marche pas automatiquement de pair  (ou si ?) avec le langa ge, la langue dite " articulée". on voudrait savoir grave, ce qui est partout, ici (le cimetière) sa ns avoir à se ... prostituer ? de fait, se donne'r en écha,nge, se donner entièremebt (corops et âme, etc.) à la mort  donné, à cette Chose en vrai de la Mort Donnée, déposée ou sinon déposée tracée ! On cherche à comprendre, ici , là, ensemble, fissa, à cforps perdu, ce qui est devant, ce squi se présente en tant que Devant, Devanture, champ des duretés, champ vif. on voudrait ensemble ici et là co:prendre les don,ées actées mais c'est  vrai en fait que (pour le coup) la chose (à comprendre) est rude , et pas qu'un peu ! on se doit ensemble (pour co:prendre), à toi à moi, de cravacher, de cravacher dur ! d'y alller ! de cerner-toucxher ! de dire-allouer, de p^rendre ! faire ! aller ! cfomprendre ! composer ! allouer ! cerner ! cher cher ensemble, sur roche (pa&roi), mles mots des fées = Verbe Haut ! Colère ! Gravité ! GHravité Sacrée !

 On saitc  e qu'il en est car

 nous ^-mêmes sommes (en vr ai) Colère, mille fois colère ou un million de fois comme colère, ou ditzs "Colère", car voi;là .... on 

ne veut pas passer pour ce qu'on est pas ! on ne veut pas p asser pour je sais pas quoi qau'en vrai on est pas ! On est pas n'importe qauoi ! On est BHêtes de poids, sous joug, pour tracer-tracer , tracer grave le sillon de terre. On est fermes ! femmes fermes ! deux femmes sur terre ? dans la mort deux femmes, au sillon de l'être ? on cherc

 he ! On est femmes d'une foi dans... l'être de la foi ? du foie  ? On est  comme "surnuméraires " On veut toucher à cette" chose, là-bas, d'une sorte de paroi. On veut : toucxher, dire, chercher, cdomprendre, cerner, peser, faire, disposer, aller, cerner-dire, permuter les dires, les tempora&lités, creuser roche et trzaverser icelle ici d'un même élan, si tant est. on veut ensemble aller ... comme à reculons ! qui on est ? des millions d'$etres surnuméraires alloués à une Roche Sacrée ! Femmelettes-goutellettes ? On est femmes serrées, accolées, sacrées et sucrées, qui voulons comprendre, dire, porter, se poser, chezrcher à dire, peser et porter le Verbe au pluqs Haut des Données MOntrées . Porter ce Verbe Haut en ce cimetière. verbe Haut = Cime-tière. Chans choraux ! on entre ! entrons ! fouillons ! c reusons roche ensemble au plus profond. femmes dans la mort. femmes dans la mort. Homme moussaillon dansz la vie sur terre. femmes (deux femmes) comme szoulevées-montrées, dans la mort en vie, mort des ombres §(= contenanrt des ombres, ombrezs qui sont, elles, des hommes tapis). vives ! trappues ! collées ! femmes collées, vives et trapues ! collées ! chargées ! craintes ! corsées ! On les aime ! on aime grave les aimer (femmes = féesw) . on aime les Fées , Fées des prés, cortège de fées, fées clochettes et autrexs fées au débotté sachant se pavaner, tortilller, se montrer, cherc her à plaire, se placer, etc. la vie ici des fées (des roches des bois) , est une vie comme de parade ! chant ! choix ! vin montant vite fait à la tête et vous sa&oûlant ! On aime travcer ! chercher le firmamaent en cette chose de la mort à l'oeuvre on ne sait jamais, on ne sait jamais szi

 par h asard on ne pourrait pas le trouver, le toucher pour insi dire . On est arrivées tête la première. entrées ! on est comme arrivées tête la prezmièreensezmble ici (paroi / paradisz), à présent voilà, il faudrait pouvoir (vite) s'en échapper, szortir du pré, travezrser et du coup se retrouver ailleurs, szoit : de l'autre côté de ce dit par adis ! on veut comprendre ce qui est ici, cette chose d'u ne sorte en szoi d'enclave supra-sensor(ielle, szurn aturelle, hors temps , hors espace qui sait, on entre. quand on entre il est bon de cerner dès lors ce qui se préswente en termes de données frontales tout &utour de soi. on voit, on voit parfaitement ; ici  : bêtes dee paroi; Là : mots des roches surnaturezles (her(b ?). Qui  ou 

 quoi ? Quand on entre , on se doit de chercher à com^rendre, cerne"r ou saisir, des sortes en soi de "théorèmes" , a&ux do nnées centrales, primaéirees et princières. On est nées de rage da&ns la mort Fées. On est nées Fées de rage dans la mort. on estdans la mort nées Fées de Rag". On est nées de Rage Fées dans la mort. Dans la mort, on est nées Fées de r(age, et pas (envrai) pour rire, pour plaisanter ! pas du tout ! On est nées VFées ! on vole, on volette ! on est nées des prés ! c'est chouette, vif, vivant, plzisant ! On se plaît 

en Fées ! On se voulait fées, eh bé voilà ! on est ! on est entrées ! on est femmes des prés ! fines mouches ! trempées et mouillées ! on est Fées )Moucxhes, Fées des présn! frappées ! allumées ! vives ! chargées ! on est nées Fées sur vaches des prés = mouches ? mouches ambula,ntes  ? mouches savantes ? qyi on est ? on est des mouches  ? On se le demande ! on veut comprendree dans la mort ... ce qu'on est. Ce qu'on est (dans la mort) on ne sait pas (vraimùent) c e que c'est . des mouches des prés ? fées clochettes ? qui sait ? 

quand on chante on est là vaillantes, sur pied, prêtes à c ernezr (de près) ce qui est , comprendre, soupeser = soulever. on est entrées ensembvle et à présent on essa&ie ensemble (toujours) de comprendre, de s'avancer ou d'en avancer dans les connéiss&nces. On voudrait de fait ensemble cdomprendre (++) les données de ba se gravées, les dessqins au débotté (au pied levé) de l 'homm-femme de Néandertal, des temps reculéew, des ébuts (?) de l'humanité. on est femmes des préqs ! deux femmmes da ns un pré se baisent grave ! charges mentales ! poids total ! mesures de base ! finitudes ! frontitudes ! collures ! echancrures ! On baise ! grave on ensemble baise ou baisons, sur roche-rocher, on y va ! on ne lambine pas (pour ça) ! On veut grave s'aimer, sur rocher, roche des prés, sans désemparer ! se toucher ! se doigter ! se donner l'une à l'autrepour l'éter

 nité ! s'a&imer vive"ment en ce pré ! Herbe au cul des p assions, des envies de Vie, des données deonnées et autres nudités zn mat(ière de Vérrité. On est nées nues , puant du cul ! velues ! charnues ! crues ! On est feemmes rudesz, connues. On est e ntrées en ceztte roche des données comme à reculons on dirait ou sinon ? à califourchon comme des cons (connes) ? On cherche ! On éimerait (grave) mieux ou au mieux cerner , les données de base, les (comme quij dirait) toucher ensemble, soit "à toi à moi" comme p ar la bande. on aimerait pouvoir aller profond ensemble, se toucher ! aller ! faire ! tenir !contenir les choses, les données de base, le sang de la r age pissant, pisse-rage de la foi ... sur rocher trzmblant ! On est femmes ici des données colportées ! femmes savants-sachantes ! Fruitsq (fruits ?) desw ronces ! On est malhab!iles sur paroi parfois et parfoids pas ! On s'aime ! on s'aime d'amour ou d'un amour céleste ! célèbre  ! On aime l'herbe, la paroi, le sang, les données de base et autres b ase de donnés . On est bêtes des prés, et belles et tracées. On est bêtes des prés en herbe. champs de luzerne sous lpes pieds. On s'aime ! on aime s'aimezr ! sur l'herbe et pas à moitié ! On est" belles b^-etes" c'sst un fait. cherxheons grave ensemble à comprendre", c et ét at de fait ce qu'il est ! vive l' ar(mée tu p ârles ! vive l'e,ntrée des passantes (= vaches à lait) à traversq ;a r'oche prenante ! On est nées ensemble ! jumelées ou comme jumelées  ! en cette roche et à la travezrsée ! fente labiale ? creux des fois ? un tracé creusé ? On est femmes des prés . Nues ou à peu près. On aime être néesz &insi accolées à un e sorte de "donnée de rage", de type "paroi", "la oparoi des rois", "la parois 

dite des reines et des rois". pa&roi de choix. On est comme néesz (main dans la mùain) ense'mble d'une Sommité, qui sait ? On éime aller ! chercher ! toucher ! toucher grave à Déité ! l'aimer ! la toucher (de bonne grâce") à (peut-être) l'envelopper ! l'emporter ou comment ? tracer au débottté les traits debase l;a représentant (de face) : déité des prés = vache àlait, c'est troublant mais c'est un fait, avéré et vra&i, vrai de chez vrai! on est monté , on a voul u cr(euser et on a creusé. On est bêtes de poids dans u npré . ce pré est une e nclave, un champ cloturé. Au delà du champ c-loturé il swembllera&it qu'il y ait la Vie telle qu'on la connait à quelque chose près si tant est. on essaie de fa itde pour le coup s'imaginer au d"ébotté de quoi il en retourne, 

question vie après la vie, ou même au)^delà. On regarde loin. On voit des clartés, de la fumée(embruns ?), des données fugaces, de la brume ou quoi derrière la paroi là)-bas, en face, fond des fonds des landes. Qui on est ? on est ... eh bé dees vaches àlait ! vaches des prés ! broutant en veuxs-tu en voilà pâr la b ande l'herbe vezrte allouée à pareille enclave" ! Fil de la passion ! Charge rude des envies de Vie dite "permanente", "durant", "maintenue longtemps". On est comme nées sur une roche bi-pol;a&ires. On est nées comme bi-polaires sur une roche. On est ensemble comme nées (de rage) szous le vent ! ça buffe grave ! c'est du vent de face ! pets à tous les étages ! ça sent ! ça cocotte grave  ! vents des sables ? vents ardus ! ça pue du cul ! On dirait l'odeur du sang ! L'odeur des  prés ! la senteur acidulée (qui sa&it ?) des prés avenants. on est entrées, on a vu ce qu'iul y avait. ZSoit : bé ça ! des (ensemble accolées) bêtes des prés, hgrégarité si tant est, tout à l'avenant dans un pré acté. IOn est nées d'une mère allouée à une terre. On (dans la mort) rena&ît, car devenues terriennes on est passées, on atraversé ensemble les données données (données rudes et dures) et nous voilà comme allouées à une Déioté Matûree, mûre , grave mûre ! on saigne tout

 c e qui est ! on saigne sur paroib aux herbes, tout ce qu'on sait, ezt que sait - on ? eh bien, au fond, pas mal de choses en vrai. On sait qu'on naît (parfois) "homme" (dit-on) , et que, dans la mort  : inversiobn ! dédoublement  ! gros changement ! nous cvoici (de fait) transformé, d'un homme nous voici passées ! devenues femmesc = fame = renommée = femmes des prés ainsi renommées. On est comme nées (de base) "homme sa ns pré", nous voici mort-né devenu femmes, a

llouées à (ici) un pré de rage ! vfivement l'été !, qu'on sache ! qu'on en sache mieux en vérité de ce qui est qui nous reg arde, semble nous lorgner de la tête aux piedsz ! charge mentale la voi:là ! on est rega rdé ! on l'ét§ait , l'est)-on ? en vrai est-on encore et toujoursn regardéées ? pezut-êttre bien que oui, qui sait ! szommes-nous femmes des pr)és à la retombée devenues ? sommrsz-nous acidulées ? avons-nous de quoi nous nommer nous-mêmeq ? qui sommes-nous devenues ? qui sommes-nous ensemble (soit main dans la main soit deux mains suur qauatre) devenues ? puons-nous du cul ? sommes-nous ventripotentes ? avons-nous du cul ? des jambes ? de la viande nue  , crue ? Sommes-nous nues de la tête aéu cul ? que vou:onsz-nous comprendre ? voulonjsz-nous cerner la chance  ? la parade devant nous tracée, deessinée  ,- comme à  main lzvée ? voulonsz-nous faire et donner, tracer et coller ? pisser -chier = se vider de

 tout ce qui en nous semble (juste) transiter ? J'aime = Je suis = Nous fa&isons ! Je = Me = Ne = DIT.

 Quyi dit ? eh bé, x

dit. C'est ce x, l'inommée (?) qui dit. Et que dit-il, ou elle ? iele dit que "merde, ça suffit, des faits faits exprès !", on est colère ! on neveut pasombrer ! on veut s'aimer ! on veut aller sur trrrrrrrtre , oui ! terrrtre ! dune des monnaies ! monts de piété ! chercher non la misère mais tout le contraire, la richesse ! l'argent frais ! le solde posté ! motsq des roches animaux ! coins des hommes, femmes au tombeau ! on est ormes = ormeaux = hors mots, quand on sonde ! quand on ose ! quand on sombre en tahnt que homme du tombeau = femmes au lamparo ! chalumeau ! on est doctes (femmes doctes) dès que ... mort s ? mortes ? comment dire ce qui est qui est, quand on naît à une vie nouvelle   ... da,ns la mort ? comment stipuler ? qauand on naît on naît Fée ! fée = fée des  ormes ! On est femmes docdtes ! femmes aux mots ! cxharges mentales au lamparo, on acte : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 1(, 16, on y croit ! on 

trace ! on mesure de nos pas le champ dxe la lande, on trace grave ! on en avance ! femmes des bois ! on est toutes flammes pour ça : co:mprendre ! tracer = donner ! donner de la voix ? qui sait ! 

on ne lambine pas ! on en avance ! on ne traîne pas ! on veut grave cerner ce qui est qui nousc regarde et semble nous sommer (peut-être) de nous prononcer, de nous présenter, de nous étendre ! on dit (en vrai) "merde" aux nénés et aux quéqués ! ils nous emmerdent ! on ne veut pas (ou plus) avoir adfffaire à eux ! qu'ils disparaissent ! nous laissent ainszi sans eux , chercher en vrai la chose des cieux, le dieu agraire, le mieux des dieux des terres agraires. Qui dit mieux ?

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2/8/2024

On est comme nées pour être ensemble celles qui en vrai cherchent à cerner le bout du bout de l'antre, ce que c'est, ce qu'il recèlerait ou comprendrait en termes de données de base. On est nées pour chercher endsemble comme qui dirait. On en avance ! on court on vole ! on veut ou on voudrait cerner de rage ce qui est 

et du coup, voilà ! on est là ensemble, on se tient la main, on est accolées, on se colle l'une à l'autre comme (comme qui dirait) des méains jointes ! deux mains ! on est collées ! femmes collées on entre ! on passe ! on passe ensemble ainsi collées ou accolées comme deux mains jointes peut-être dans la prière, ou alors, peut-etre, dans une sorte d'accolade, de présence à l'autre, don de soi pour la parade (l'apparat) etc.. on est bêtes de fosse ! on colle ! on trace ! On veut cerner ensemble ici et là les données supr^mes ! celles 

qui "gouvernent", celles qui "trônenrt" devant nous, nous lorgnent ! O,

n est femmes des prés, et aussi on trace vif, on creuse, on dessine sur pâroi les bêtes des bois, des foêtrs, des champs de luzerne. On est côte à côte ! on avance = on va ! on erst côte à côte qui allons bon an mal an "àtoi à mùoi" ensemble sur un champ, marchons droit, filons vers là-bas à l'horizon la pierre , la paroi profonde, ce tracé on dirait de rotonde devant soi, ce mur des catacombes et autres données pour le coup données pour , soi, une fois, un de ces quatre, comprendre. On ebn avance grave et du coup nous voilà, ici, comme au pied du mur, qui voulons ensemble, entrer fissa, passer, regarder forcément ici ou

 là ce qui se passe, ce qui se présente, à soi = nous, ce qui est présent et présence, le présent du temps et la présence des données de base, devant soi, qui tremblent, qui semblent bouger, qui sont comme toutes "chose" de nous voir arriver on dirait. On est accolées ! on regarde ! On voit quoi ? on voit ça : embruns de bord de mùer maussade, champ de flleur, vive clarté des bouts de mùonde et autres luminosités toutes acidulées ! On voudraiot passer mais sans y passer ! On entre ! on est collées-accolées ! on est prêrtes à ... naîttre à l'autre côté ou de l'autre côté à cette sorte de donnée donnée donnée  de base, chant des ombres (hommes ?) ou comment ? on essaie du coup de fait de cerner, ce qui est dedans ! on est pas "arrivées" ! on cherche à percer , qui de la dent, qui de l'oeil énucléé, qui du doigt pointé ou de la main posée ou apposée, du pied de l'avant, du sexe dressé pour ceux ou celles que le sexe sied ! on est comme cernées

 ! on est comme ceinturées ! on est prises de fait sur le fairtt, cherchant non misère mais bonté, donnée des données d'une sorte de 

bonté donnée, offerte, déposée, posée sur roche comme à jamais ! On serait colère et on verrait des choses trembler : feux des roches ? On est passées (iun peu !) de l'aiutre côté ! on aime ! on est  bêtes des prés , charges rudes, sommités grégaires, chants de lutte, romancières. On veut cerner cer ner cerner les données (posées sur roche) à la une à la deux devant soi, nous de base vôtre. On colle ! On est posée collées ! On monte ! on traverse ainsi la roche ! montons ! on est montées ! 

On veut toucher ! On veut cerner la base des données données. On veut toucher à cette base des données données ! On veut ou on voudrait toucher ensemble ici , à (donc) cela : base ! base des données ! données données ! Chose ! choses des traits ! traits ! traits de rage ! convivivialité des êtres allouées à une roche si tant est ! On entre ! On veut cerner ensemble tout un ensemble de données qui de fait seraient à m^me de nous éclairer un tantinet sur ce que c'est que cette chose d'u ne sorte d'au-delà du monde, chose rude dont le nom en vrai serait (qui sait ?) "la mort" !On est donc passées ensemble (deuxd femmes) pour toucher à cette sorte de"donné". On est âssée ou comme passées par la bande ! on est comme "éjaculées" de rage ! On est passées et nous voilà (en vrai) siituées de l'autte côté ! on  est entrées, ou disons comme entréesz car en vérité, on a passé quoi ? le bout du nrz ? guère davantage ! vit et vie des données passées, du passé de contrebande ! chalutier ! On est comme cernées (ok par la bande ) mais va comprendre ce que c'est en vrai ! que cette chose d'une entrée ... p ar contrebande ! Vie du vit ? est-ce ici  la

 chose trempée ? le calé ? le c aché ? le passé de rage qui serait ... juste du passé ? On est accolées en tant que femmes soupesées et soulevées de base par ... eh bien, qui sait ? du vent ? en rafale ? vent d'autan ? charge 

venteuse des amants et amantes du temps ? on entre par devant, qui un nez qui sa barbe , et du coup on voit ! voyance ! à tous les étages ! un certain nombre de données de face (base) déposées (de rage?) devant nous qui (pour le coup) n'en loupons plus (pas) une s('il vous plaît ! . on regarde. On voit. On mate grave ! grave gracve ! On voit quoi on voit ../   eh bé ça ! cette chose à ras, ce tapis de base, point de charge, tableau gris, passade, gens des envies vives, vives gentes et vifs manants, vives manantes, gentes dames et vives amantes, lm'Amoiureuse toute Transi, transitoire, chargée, posée sur roche : une Fée des Fées, qui  nous regarde

 ! oghé la fée ! ohé la jolie fée ! oh la fée ohé ! on est accolées ! 

on chante ! on est posée, et du coup on se permet ensemble de chanter "à toi à moi" ce qui est,  de cette entrée ou virée de charge ! On regarde ! ohé la fée , qui tu es ? On est accolées ! on regarde ensemble les données données . On veut cerner ensemble ce qui est qui charge , 

qui est comme qui dirait donné ! vertsé, accolé, déposé , sur roche des prés comme à la ârade. On veut ou on voudrait cerner la Base des données. Ce que c'est, et du coup co:mprendre dans les faits les mots de la charge, le taureau, l'antilope grave, le bison coté, buffle au cordeau, bufflette au poteau, l'angevine, le syndrôme du couteau, la bête chevaline, l'ours des Baux du Grau, l'intrépide bise. On est montées comme sur, 

une soorte de pic;

On est comme nées sur roche des prés pour de fait cerner des données de base qui (toutes) seraient, disons, sinon animalières, animales ? on entre . On veut cerner-toucher, pousser-aller, dire, et porter le dire, enfoncer les portes d'une sorte de maison natale ! on regarde ! on cveut ciomprendre ensemble et du coup  passer. car qui dit "comprendre ensemble ("à toi à moi")" dit "p asser", dit "trépâsser" mais sans y passer ou disons sans vraiment "succomber aux chaermes", non ! tenir bon ! se dresser ! tenir de face ! ^$etre droit sur place ! chercher ! aller et venir comme à la par ade ensemble en ce passage ! On est d'ux femmes qui ensemble en vrai cherchons à comprendre un  certain nombre de données de face. On voudrait vraiment ensemble comptendre ce qui est qui se présente et ce sans succomber c'est-à-dire sans tomber ici ou là de préférence. On est grave ensemble elle et moi = nous, accolées, et c'est ainsi (accolées) qu'on regarde, qu'on s'approche de la roche terminale, roche de rotonde ou d'enclave. On voudrait vraiment ensemble comprendre c''szt-à-dire cerner, de près, ce qui est qui semblerait qyui sait ? nous regarder comme par la bande, et qui viendrait ainsi vers nous, nous mater, nous reluquer, nous lorgner comme un fou

, comme si en vrai on était, nous, bêtes de paroi de rage, de là ! on voudrait ensemble , nous, aller ! aller loin ! plus loin , soit toujours plus loin ! on voudrait vraiment ensemble comprendre loin, c'est-à-dire beaucoup ! on voudrait chercher et trouver, trouver et  cerner, cerner  et poser. On aimerait c''st un gfait (grave) comprendre, un grand nombre de données données,, mais comment comprendre ?en touchant la Roche des prés ? en se lovgeant tête la première en elle ? en faisant corps en vrai : deux femmes, comme "célibataires, ou soingulièr"'es" se serreraient pour former de fait un corps de ...

 mer ? chant ? cri ? christ ? ohé ohé on colle ! on est comme néesde la roche et voilà qu'on se met ensemble à (on dirait) coller ! coller

 grave ! On est accolées sur place (pré aux fées ) et nous voilà cdomme cherchant ensemble à (du coup) toucher à cette Vérité d'un chant donné ! Quel est-il ? qui chante en ces contrées ? de quel chant s'agit-il ? qui est derrière ? qui donc est derrièree le chant ? qui veut donc nous entourlouper par ce chant ? qui veut nous enfumer ou nous endormir ou nous blouser ou même nous faire défaillir ? qui donc est là, derrière, sous le vent, qui guette , chante, va, se promène et ne cesse de nous regarder comme à la dérobée, mais, chante ! il est vif du tertre ! il mate sévère sur son pic de gué ! il ne nous abandonne plusz ! il nous guette sévère en père sévère ! il est fils et père, charge allouée à ... eh bie,n oui, cette dune en soi, ce bloc, ou tonneuau de joie, tertre ! 

dune du pot ! On est comme mirées ! On est comme acculées ! On est prises sur lme fait ! on est guettées ! Oh oh on l'est ! On est vues depuis la dune et comment faire pour ne plusz ? On est bêtes de scènes (paroi) qui voulons ensemble (grave !) aller, au plus profond de l'antre, charger = cerner, charger = comprendre, cette chose devant soi dont le nom (de base) est gravé comme sous le vent ! données ! les données ! la Chose ! le Temps ! Temps donné sous le vent ! On est accolées et on mate ces données qui (de fait) sont données qui (qui sa&it ?) nous incombent ! on est n,ées sur base nautique, on est nées vives, vives et ailées, on est nées du pré, de l'ombre, sous le gué. On est nées vives ! vouivres ? on est nées  de rage ! On veut toucher ! On est cfomme accolées de rage à une sorte de donnée, et nous voilà nées ! On est cfomme accolées opour en vraéi eh bé être nées ! On avance ! un pied ! on trace ! On est fe'mmes des prés dits "de la romance", et c'est ainsi, en tant que femmes allouées à un pré, qu'on trace, qu'on avance un pied, qu'on va, qu'on se déplace cahin caha, sur place , o,n voit ! On voit là-bas la vive clarté allouée à la paroi dernière, cette Chose de poids, cimetière, gré et bois, charge entière, paéroi des rois et des reines

 ; la Samba ! on entend ça ! mais est-ce vraiment la Samba ? la rumba ? la salsa peut-^tre ? quoi ? une sorte de musiqzue belle semble de fait émerger d'une sorte de trou des Fées (dit "des fées") qui serait, ici même, cet endroit par lequel en vrai on voudrait passer, pour comprendre ensemble de l'aéutre côté eh bé ce qu'il y a. une sorte de cha-cha-cha des temps alloués alloués à une roche ? Une sorte  de musique folle ? entraînante et délurée, ou débridée ? On est acxcolées (FEMMES DES DONN2ES) et du coup on essaie, en vrai, d'entendre-cvomprtendre ce que c'est que cette sorte de musique des attraits, musique des Fées. Qui "chante" ? qui "joue" de la vioole ? du pipeau d'eau ? de la mandragore ? Qui joue du saxo ? Qui s'époumone ? On est comme nées fées sur roche dès que trépassées. Disons pluto^to que oui, on naît sur roche dans la mort comme doublées, colmme dédoublées, comme si, en mourant, d'1 on devient 2, pour l'éternité, l'éternité

 des tempsz, mais voilà : deyux femmes pour une Fame (renommée) déposée. On est comme néesxc,de rage, Femmes , la mort advenue, sur roche des prés, conclues/ On est femmes des prés = Fées, nées de rage par la bande (ici , du coup, animale) pour cerner ! cerner grave ! toucher ! toucher à cette déité (de fait) des parages ou de ces parages dont le nom (dans l'intimité) est... eh bien .... on dirait .... qui sait ? ;;.. on voudrait le dire ! on voudrait vraiment ici ensemblre maéin dans la main dire ... on voudrait ou 

on veut, mais ici on voit que ... que quoi ? dur à dire ! hiatus des parois ! on essaie, on franchit des fois le pas, maéis en vrai c'est dur ! comment faire ici ou là pour en vrai ensemble "à toi à moi" nommer cette sorte en soi de déité des déités ? on voudraiot ! on di ... oh on dit quyoi ? on dit ce qui est, ce qu'on voit = ce convoi ! buffles à sati"été, monstres des prés, les bisons et les bisonnes nacrées sont comme des succédanées d'une sorte de Vérité des Vérités dont le nom pour de vrai est ... et ici : un blanc ! alors même qu'on le sait ! qu'on connaît ! qu'on pourrait nommer (et d'ailleurs parfoidss on le fait) mais bon ... on est nées pour 

prononcer (qui sait ?) le VErbe (du Temps) comme à la par ade , pour comprendre = prendre , et prendre = dire , et dire

 = nommer , et nommer = nommer déité des déités... pour (comme qui dirait) paqsser ,; szoit passer le temps = les tourme,nts de l'âme ! on est nées de base accolées, on parle ! on dit ! on dit ici et là des mots allouész à une vie dite temporo-spatiale ! On colle ! on est accolées de rage à (donc) ici cette chose, d'une sorte de PAROLE DOCTe ! oh oh ! et si c'était vrai ! On regarde ! on est deux (massives, accolées) qui(en vrai) vont (fissa) à la rencontre de (peut-être) l'ultime p aroi ! paroi des parois (rotonde ?) ;: on y croit ! on fonce ! on ose ! on veut voir des choses ! paroi = parole = rotonde = mort ! voilà l'arme ! Le port des ports ! port d'arme ! on colle à une sorte de données lacustre des données de base de la Voie, telle qu'elle est là qui on dirait nous voit, ou si ne nous voit pas semble ! On est comme nées ensemble en ... semble ! en, plus loin, semble = sang bleu ? sang des Reines-Rois des Parades Martiales ! äme et arme comme à la parade ! charge ! chant ! chant des champs ! champs fleuris ici, vert pré, chose en vrai paradisiaque on dirait. On est femmes (accolées) ensemble, 

qui voulons comprtendre, ensemble ce "semble", cet ensemble, cette chose en sang, ce sang de contrebande ou de connivence, ce sang blanc et ce sang bleuu, ce sandg dit "des rages", "des 

tourments de l'âme". Qui dit mieux ? On est données = données par .... (on ne sait) , et données = les données, les bases, les outils de connaissance, le Savoir ancré ou alloué au Temps via la rampe de lancement dont le nom (en vrai) est... eh bé peut-être... buffle ? bufflette ? bique ? biquette ? une sorte de bête en forme de manège ? On est cfomme néeds sur pré , chererchant clarté ! on cherche à cerner cette donc clarté dite surnuméraire des données allouées à une roche temporo-spatiazle, de type rocher, roche, roc, roc des vies de base, roc et toc ! On est comme passées, à travers la roche, direction le pré, et une fois pasées, une fois insérées, intégrées, allouées, prises de fait, on va (fissa) jusqu'au bout du bout si tant est , soit : de l'autre co^té, vers FIBNALITÉ DES FINALITÉS = fond de pré = rotonde = ROME ! oh on ose ! On est comme nées à une szorte de données "fatale" quyi (en vérité) serait donnée (une donnée) des bases royales (reinales) à juger

 = jauger = soupedser = soulever et montrer ! on voit la donnée ! on mate ! on lévite comme à tout jamais  sur pré, et, ce faisant, nous voici comme nées à une Vérité Tantrique allouée à ... une bique ? on dirait !Allouée de fait à une soerte de donnée, de type' bique, biquet, biquette des prés, bique-nique, vive bique sur p^ré, cherchant toujours (incessamment) à s'amusezr, à jouer , à

 courir ezt danser, à sautiller et gambader. On éime  ces fées ! bique des prés allouées à Déité, va sur pré xcharger-danser, nous amadouer, nous attirer, nous faire aller, nous condyuirede fait vers cette sorte de finalité des données prairia&les : ce muret ! cette face ou façade ! fin de vie ! Et nous, du coup, en tant que femmes, nous tenant la main, on va, on vole, on lévite, on suiyt la bis-que , le biquet, bique femmelle / bique mâle, à jamais, on aime ! On s'aime ! on est colléees/ accolées pour en vrai s'aimer , au cul de la bique ! on la suit ! le biquet ! bique et biquet nous mènent pour de vrai au "cimetière" des données données. On aime ! on aéime aller , bouger, danser ! au cul de la bique et du biqauet, ou de la bique ou du biquet, on a&ime aller ! suivre ! être happées ! être prises ! êtres conduites ! ça nous plaît ! On veut aller vaéillantes ! vaillament aller ! Toucher ! toucher ROche des données ultimes . nous voilà arrivées . On est face ensemble, à ce rocher du bout (?) du pré ! bout des bouts partout ! on est arrivérs ! on est à côté ! on est au pied des fées; 

IOn est fées nous -mêmes qui sait ? 

on est arerrivées au pied des fées, on est bêtes des prés ! on est accolées-acculées et du coup on est serrées , toutes pelotonnées , pour former ce que d'aucuns et d'aucunes appaelent UNE .... FÉE des FÉES . On est femmes-bêtes, Fées des fées, on est fées des fait s sur roche des prés. On est accolées ! accolées-acculées ! cimetière des données somaires. On nait ! on renait à la guerre comme à la guerre fées . On renait en tant que fées dès que passé le cimetière ! feées des fées on est comme re-nées , de bonne guerre, en vrai, sur l'herbe, sous un vent montant de colère, on dirait du firmament, sauf qu'il semble rupestre plus que céleste, ou cfomment  ? on est nées Fées ! on entre ! on est toutes deux accoléequi voulons comptendre : 1, la Fée, 2, les Données, 3, la Paroi qui searoit "

Parole" allouée à une Roche  ou un Rocher, 4, le Bison des prés (la bidsonne), 5, l'antilope , 6, la chevale (le cheval) sur pattes dressée ! On veut (fées) comprendre (ainsi re-nées) ce qui est qui charge, va, soulève, vit, tremble, nous commande, nous conduyit, nous mène, nhous contient et nous retient. On est nées à une vie nouvemlle en tant que fées des fées surnuméraires, femmes allouées à une sorte de "rotondité rupestre", rocxhe agréée, paroi celte, roc des oies. On est cfomme cernées ! on est cfomme toucheées ! on veut aller ! dire et prendre, faire et comprendre, donner et apposer sur roche x mains comme multipliées desz chants eux-

mêmes a&llouées à une qsorte de donnée de rage dont le nom serait (dans notre langage) "Vérité" ! soit : "Vérité des Vérités". Ça le fa&it  ! ça envoie ! c''st bath ! c'est un fait avéré que c'est bath ! on aime ! on entre ! on essaie ! on est cfomme  nées de rage à une sorte de ... eh bien peuêtre... vérité des vérités, qui serait... un a,nge ? musicalement "amené " par la bande (musicale , de fait) des données données  ? O,n entre ! on est VErbe d'allant ! Un verbe est né qui se soumet (en vrai) aux allants (chantonnés) de l'ëtre. Qui on est ? on est nées de rage sous un vent de face ! souffle démultiplié comme dans la romance ! On colle ! on veut coller ! on ose aller-toucher à cette ici donnée de cimetière, comme quoi le verbe alloué à une "mort certaine" est verbe d'herbe ou verbe des prés (des prés de données) qui est Verbe de l'$etre tel q'il nous semble se montrer à la mort donnée . On est accolées, on gère ! grave ! les données ! On est nées pour ^rtre (de fait) allouées à une sorte de colère qui est chant, chant donné, chant des données. On est comme soulevées de base p ar ce chant (surnuméraire) des données données du Verbe de la mort à l'aise ! On est cfomme nées à elle, Blaise ! On veut toucher ! toucxher-cerner, faire)aller, comprendre-dire, faire et tomber dans l'herbe et de se relever et marcher et aller vers ce dit "cimetière" des donnéesz terrestres   . qui on est ? des (ici même) qui (en vie) voulons cerner (ensemble) ce qyui est (de fait) de la mort en ces contrées telles que représentées de rage sur paroi et autres pierres par des hommes et femmes des cavernes

 ! On est nées rupetrses ! on est nées bisonnes et buflettes ! on est bêtes de somme et sommité, fame au taquet ! On est célèbres (des Célébrités) !  Britney ! Chou à la crème, sensibilité ! On veut faire -dire, chercher-trouver, coller-décoller, aller et venir sans sombrer mais tout le contraire : durer dans la durée de l'être alloué à un dit "cimetière" 

aux données données. on paér(le gras ! cel te ! on est là pour ça : aller ! charger et comprendre dans le tas ! Qui on est. Qui on est pas. Ce qu'on veut. Ce qu'on veut pas. Dire et toucher = ne pas sombrer . On est FEMMES AU Débotté qui de fait voulons acter la chose ainsi nommée ("cimetière aux données") sur Herbe. On colle !

On ose ! on entre ! on pose nos mains sur les hanches ! on est des qui (en tant que telles) vont, filent, mais parfois se posent, mains posées, et souffllent un tantinet avant de re- y aller en vrai, comme à la dérobée. EMMES altruites artistes on dirait. En vrai pas tout à fait. On colle aux Vérités tracées ! On est gouines, charges, vivres, sommets / sommités, FAME ambrée , charge mentales, nénés, condomines. On veut : 

toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher tucher topucher tpoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tpucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher touchr 

à cette Déité des D2ités iici nommée (ou dénommée) N2N2 ! N2N2 des N2N2S ! nommée "Les nénés". On entre ! ventre ! corps ! on veut cerner ensemble la mort, en vrai , ce que c'est ! Des nénés ? eh bé ... qui s&ait ? on est comme passées à travers la roche à la recherche d'une vérité qui eût pu nous donner en vrai un pêu de cette chose qu'il pour nous serait bien utile ,pour le coup, d'avoir en propre. A savoir : le savoir ! la connéissance dite "grave" des données spéciales concernant la mort... en ses contrées,. OOn veut = on voudrait ! Comprendre oui. Et aussi cerner = entourer = cercler = prendre ici même en son sein le Verbe, le faire fructifier (fruit de la pâssion) et puis le mettre au monde incidemment comme qui dirait "un fait exprès"  et par la bande sur paroi des Reines et des Rois Nacrées. On est comme nées sur roche d'une sorte de Pässion Christizque allouée au VErbe de la Foi (en soi) dans (en) la mort Certaine. On colle ! on est deux qiu, ensemble, main et main (on voit) chargeons = chantons ! cfomme à la parade, la chanson, des Rois de Faça de, Reines au diapâson

, saint-ignace au violon, on ose ! On est fe'mmes des prés f= ées. Homme trépassé a donné son "âme" à la fée des prés, ailes, ailes passagères, vont et viennent, volettent vers en vréi ce trait donnné a&u x confins des herbes ! On volette avec elle ! fée ! fée des fées est nottre fée ! on l'aime ! on veut la toucher ! la toucher afin de mieux en vérité la connaitre si tant est, car est-elle en vrai ? corporelle ? on dirait ! mort donnée ! mort ! mort allouée ! mort ! mort actée ! motrt des données données ou aux donnéeds données ! on est "raccord" ! on veut aller, toucher, cerner, pister, cpmprendre, rendre, soulever, soupeser, être et avoir en 

vrai sur soi cette chose d'une aile (deux) qui nous siérait de fait, nous irait de même comme un gant, bretelle, jupe des données, verbe de terre, chapiteau, verbe comme s'il en pleuvait sur notre tête et nous ferait pousser comme (ailleurs) l'herbe à brouter. On est nées comme cernées par (autour de nous) de l'herbe (paradis) sur pré ! On est bêtes des prés aéinsi montrées ! Montrées et montées , car soulevées , car ailées ! vaches à lait = vaches ailées , pour aller (de fait), ainsi ailées, vers le cimetière des données données = le Verbe ? verbe des prés ? On croit rêver mais en vrai guère on ne rêve ! on est ! on est nées ! on est allouées à l'herbe , au pré à brouter, aux champs et prés d'une sorte d'enclave szurhumaine', surnuméraire, céleste, sainte, consacrée, chargée de Verbe comme s'il en pleuvait ... par derrière ! Car / le passé ! le pâzssé nous suit ou nous colle au dxerrière ! on est nées et voilà le Passé passé , qui (en vrai) nous suit de près, ne nous quitte plus jusqu'au cimetière ! on est ailées ! vaches et buflettes ailées, les bisonnes . On est bisonnes ailées (par le Verbe de la Foi dans l'être de la mort à l'oeuvre en ce cimetière aucx x données données) . On veut grave toucher nos ailes ! obn veut s'aimer dans l'herbe ! se gouiner tantôt ! s'allouer au cxhapêau (chapiteau) sur tête ! On est bêtes, de roche sondée, dessinée , ornementée, et on s'agrège ! entre nous on s'agrège ! On est des bêtes fortes, sommes folles, cris de vie, fortes charges, poids de masse, parades

 graves, chants lourds des bouts du bout des vies. On se masse ! on fait masse ! on veut grave peserrdans la balance ! On est bêtes des prés de charge = sommité = renommée = fame = genre "on me connaiît" , ça le fait grave !". Quii on est ? on est nées par chance par la bande (animalo)-langagière) d'(une sorte de paroi, paroi souterraine, galerie-boyau, anttre, caverne, trou des razts et autres bêtes (rampantes). On &ime ça ! la rage ! la sa&mba ! la transe ! le canal des voies vers l'au-delà ! la chance = la danse = la transe = la voie = l'animal de la foi = l'antre ! On est comme touchées à la base dès notre naissance sur paroi ! touchées quasi coulées mais voilà ! on est entrées ! on a franchi la roche ! on est passées ! on est passées avec notre passé, derrière (ici) la paroi du roc . On est passées = on a frnchi = on a traversé = on a creusé = on a conclu = on est nues ! nues de base ! nus du cul ! on aime aller (nous) nues grave ! on adore aller nues de base, cul nu, vers (on dira) l'au-

delà , l'au-delà du cul ? pourquoi p as ? après "le cul" il ya ça , l'au-delà des aâmes , armes, bras, charmes, gravats, cendres, à toi à moi la voie du passage, passage de l'antre, l'intrioduction dans une sorte de cloison qui serait comme une sorte de rotondité ou même enclave des Passions ! On est = on est nées ! voilà ce qui est ! je (on) suis (est) né (es) = je suis ... ce jambon ! cette domination ! ce trait = on ! homme des contrées "du bout du monde". Quand on naît homme dans la vie (jambon) on meurt en tant que femmes des données célestes (fées, en vrai, aux deux ailes). On nait Homme (premier temps) , on meurt Femmr

es (deuxième temps) . On renait ...  (tyroisième temps) vive clarté, chant montant, vie  des vies comme sourdant d'un puits ! vie vive = eau vive = paradis = vie des vies  = chants de vie = vie ! Vie = vive animalité sacrée ! On est comme entrées d ns une roche, tête première. On est nées sur hrerbe ok , à présent on sepromène. On veut dire et toucher, mais pour dire et toucher il faut sonder ! coller ! cerner la roche ! szi possible (préférentiellement) à deux ! 

aller

 à la rencontre du feu, de la vive clarté, des données allouées à une sorte de cloison et à son derrière, à ce qui est derrière (en vrai) cette cloison, des données rupestres dernières. qui on est en vrai ? FÉES ? qui sait ? ELLES ? hé ! peut-être en effet szommes-nous elles , elles aux attraits ! on est (homme) femmes cachées ! homme de la vie avant le pré ! femmes de la vie après le pré. Pré = pré-ambule = pré en bulle = pré comme enclavé ou comme qui diraéit muré, entouré, encerclé par un muret qui fait du pré ce pré nacré, cerné, comme touché ! On est des bêtes-FOI ! rage des parois ! foi en l'au-delà de base : la paroi = la parolr !. La parole  en soi "porte" la foi comme la foi en soi "porte " la parole : "à toi à moi" ça sonde ! ça y va va ! ça charge gravze ! grave ça y va ! on entre ! femmes entrent ! femmes des parois entrent ! femmes de la foi dans l'âme ici, de l'au-delà à la paroi ! On est des femmes szous paroi, o, est comme soudées à elle , et nous (entre nous) p areil. On est vivrres ! herbe ! mangeailles ! offrandes ! vives et vivres (ou vouivres) ! quoi ? on entre ! On entre par la bande ici animale de paroi. On entre par le ventre" ! On entre grave de face !on pousse ! va ! colle ! fonce ! foncefissa ! va ! colle ! essaie donc de comprendre ce qui est qui est là devant toi qui ose , quoi ? te donner du rose !

 du doux dit anuimalier ! chose nouvellement né et comme déposée sur rose ! On est comme nées toutes "chose" dans un pré sur une rose ! Nées sur pré ! on aime aller ! on veut toucher toucher toucher, on veut toucher toucher toucher , on voudraot toucxher toucher toucher, on voudraiot trpucher toucher toucher, on voudraéit grave ensemble toucher toucher topucher à cette déité, des données de base, charge d'âme ! viva lacrité, charge mentale, solidiarité des nénés , chyant des bas (des bas fonds-) de l'âme. On entre ! RAGE ! Excentricité ! connaéissance actée ! fatalité ! colère sur pré ! on va vers Déité pour en vrai la toucher comme dans la rommance = "la toucxher, la toucher la rtoucher ...". Qui on est ? on est (dans la mort) des fées ! fées aux ailes nacrées ! diaphanités nacrées surnumérairres (célestes) allouées à un pré d'herbe ! collées ! On colle au pré ! tête dans l'herbe ! on aime brouter ! on est bêtes belles ou belles bêtes du fait qu'on est grasse et fortes et dures et ventrues et comme charnues. Vaches d'ambre ! on entte dans l'antre "farfelu (?)" des données du cul ! IOn aime ! oh, peut-^tre ... enfin oui ... le cul , la baéise des bêtes ... on aime le cul 

et la baise nue comme des bêtes bêtes nues du cul ! On est comme Colère ! IRE à vu ! chant des grèves ! velues, ventrues, voulues ! On aime être nues dans un cimetière, merdre ! Comme nues ! = velues-poilues-cornues ! ça allège ! ça nous pénètre ! c'est couillu ! ça pue du cul ! c'rst bête et mouru ! On aime ! On est bêtes des bêtes ! on est comme nues dans un cimetière = pré aux herbes ! car la terre entière ne cherchez pas est un cimetière . La vie sur terre est un cimetière ! ici-bas est tout entier un cimetière ! la vie en soi (la réalité de la paroi ?) est un cimztière où l'omme et la femme ont 

mouru ! à toi à moi ! ça pue du cul , c'est bath ! ça charge ! ça fonce ! ça fonce dans le cul ! ça danse sévère ! c'est couillu du cul et ça persévère ! on aime ! On veut toucxher dee fait les fées sur terre maie où et comment ? où sont-elles et comment s'y prendre si ta&nt est qu'on saurait l'endroit où pouvoir les trouverv (dénicher) ensembvle ! On est nées d'une sorte de rage à la bn ase, de base de rage. cri de la passion. Mirage ? SPIGOLON ? MIRAGE SPIGOLON ? SPIGOLON %IRAGE ? on est nées (de base) simple trouffion, gns de la base, sous-menton, petit pont, coquelet desz prés, ding dang dong ! On a&ime aller enbsemble à la rencontre de données de bout de pont, c'est vrai. qauand on aime il faut y aller ! il faut cerner, toucher, s'avancer, essayer de cernerv  de près et avancer à reculons ou pas à reculons maisv avancer = en avancer ! On est un peu préssées ! on veut grave toucher, cette sorte (du coup) de déité, qui serait cette chose des données données : poison . fiction ? boisson ? poisson ? On est n"éées sur herbe d'un pré dit surnuméraire, pré-acté, pré)cité, pré)-caché, pré-armé, pré-indiqué.On veut cerner = dire, et pouvoir

 écrire (ce dire) sur roche tremblante sous le feu des lampes ! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on estnées bêtes sur paroi , charges doctes, poids de roche ,; et nous vpoilà convoi en force traversant le temps, passé-présent, vers l'ombre ! l'ombre du tourment ! On ose ! on est comme deux qui , , doctes, voulons dire-toucher, la Chose qau'on connaiot ! l'ombre ? l'orme ? l'homme ? l'ambre ? l'âtre ? l'antre ? l'être ?l'entre ? l'entre-deux-feux ? Le paratonnerrre ? Le feu ? fils de ? commissures ? fille des fissures ? Fées ? On veut aller, comprendre (et cerner) la roche, dessiner etdu doup creuserr un certain nombre

 de qauestions, ditesc"d'envergure" ett on sait pourqauoi ! ailes de papilons ! la foi ! la foi en ça : la chose du fond ! on y croit ! on ne croit qu'à ça ! on est bêtes du port, on entre, on voit, on comprend là que en vrai, on dirait, des choses se passent ou se passeraient dev anrt soi ! diantre ! fruits de la p assion ! on est comme deux êtres, dits bêtes (couillons, couillonnes) sur pré, et qu'est-ce qu'on fait ? on fait pitié ! va cerner ! ose ! compte ! foule ! vit ! chie ! colle à Roche des Malappris (les Hommes) et fous-la leur profond si tu oses , oses ! VA ! compte tes pas ! tu es né sous roche homme, te voilà née femmes en roche, deux femmes et basta pour toi ! ça le fera ! On est cxomme Betes de somme lambda mais zn vrai pas tant que ça ! Sommet des parois ! sommitées des sommoités qui le croirait ? FAME DES AR%MÉES DE L'ÄME ! on y croit ! on veut toucher paroi ! toucher l'arme ! fée des rois ! fées reines aux abois ou pas , car l'ombre est souveraine , va, se pose, là, sur un bras, charge, commande

, tue le Roi, et la Reine est enfin Première, Fée des Rois traqués la voilà Nommée Duchesse, dure-mère, collagène, veine, voix, voix de là = l'au-delà des Rois/ Ombre-homme abasourdie s'efface laisszant place à Reine Mère des Paérois des traces. On voit tout ça de face ! cxharge d'âmz ! chant total ! un parterre d'amês cforiaces : des bisons ! des buffles ! des cheveaéux de tra&it et autres vaches à léit . Vive la Na&ture des données tracées ! chants rocheux, pariétaux, muraux, sur pierre allouée à ce cimetière ! On est comme nées à la paroi d'herbe ! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime ! on en veut,  grave ! on veut, grave, aller ! on veut toucher à cette déité, des p)arois des Rages, des données F&atales, vraies, ancrées, avérées; On est femmes (des prés) dans la mort. Mort -des prés de base, mort des données nées de  la base. On est entrées . On voulait comptendre. On voulait vraéiment com^rendre ce qui est ici, mais pour comprendre ce qui est ici il faut  a  ller ensembleble, il faut tracer, cerner ensemble, tout faire ensemble, se toucher la main, monter , grimper, soit léviter ensemble, et alors peut

-^tre, en effet, on peut comprendre, on peuttoucher, on peut cerner , on peut allouer à une roche une romance, faire ainsi qu'une sorte de romance ici, soit (ou nous soit), donnée en  vrai comme une dionnée, donnée des données. Quand on aime il faut tracer c'est un fait, et c'est ce qu'on fait. On voit loin là-bas les contrées, les choses  de la foi, l'attirail, la roche dernière. Une sorte de clarté en fond de cimetière qui s&it ? on esa&ie ensemble de cerner de près toutes ces données mais en vrai la cxhoqse n''sst pas aussi simple qu'il y paraît car on doit pour le coup s'approcher au plus près et s'approcher près c'est risquer d'y passer à  jamais et à dire vrai, on ne veut pas y passer, on ne veut pas s'y risquer , on ne veut pas se pencher, passer qui le nez qui l'oeil. On veut rester = demeurer en vie, le plus possible. Rester =demeurer le plus longtemps possible en vie de ce c$oté du pré ! On veut en vrai regarder mais comme,nt regarder sans trépasser ? là est la qauestion UNE ! O n le sa&it ! le but ! la charge rude" ! on s&ait ce qui est ! on est pas des bébész ! et mê'me on sezrait des bébéd qu'on saurait ! car , meme les bébés savent cette chose, d'une "fin de pré", d'une clarté, d'une anfractuosité, d'une sorte de passage fait exprès pour aller ensemble (femmes = fame) à jamais vers ELLE, lA clarté on dirait, l'AILE ! l'amportée , l'emportée des emportées . On aime aller ! on est AILES avant de naître et nous voilà comme re-nées et du coup à nouveéu Ailes (ELLes) de Fées ! on est comme re-nées au nez et à la barbe de la Souveraine Reine des COntrées Armées , Mort au Taquet. On est nées sur terre ce qu'on est qu'on ne sait (ce que c'est) en vrai, qu'importe, on re-nait dans la mort telle qu'en vrai on était ava&nt de nâittree, ava,nt de 

nâitre sur terre, on renaît "à la une à la deux" ce qu'on était ou eut été ! on re-naît femmes des herbes, vaches sacrées, par la colère d'une entrée frontale par(iétale (à main levée) nous voici fatales ! Vaches sur pré olé olé ça gagne ! ça se dilate ! c'est fait exprès ! ça va aller jusqu'à la pa rade et après ... les nénés ? les "nénés de l(après " ? On se colle de ba se à une sorte de paroi de rage. On est cotées = aimées = reconnues en tant que telles : vaches sur pré ailées !c 'est dingue ! on aime les fées ! les ailes ! les vaches à laéit sacrées ! les données pre"mières. On aime aller tête première, toucher déité, cerner et voler de nhosz propres ailes et monter vers la lumière. Qu'est-elle ? celle d'une fée clochette ? d'une 

allumette ? fée aux allumettes ? On voit la clarté on dxirait mais est-ce ? et si c'est , qu'est-ce ? une caisse ? une sorte de pet ? fumerolle fumatière fumée ! On est bêtes des prész allouéesz à une sorte de parade gigantesque, parade sur pré gigantesque elle-même allouée à une szorte de donnée des rages aniùalières, elle-mmeême allouée à une sorte (on dirait) d'aubade ! on entre ! entrons (ensemble) ! toucheons ! touchons à cette face offerte, ce visage de la foi, nez, barbe et menton, front des bords, casque aux abords, yeux mieux  , langue lourde , poils ! ON cherche ! à qui ça pourrait ressembler (la mort). On est proche qui sait (?) de cfomptendre et de trouver, mais encore non, on est sur un chemin de vie, on profgreese de folie mais, ça file à une vitesse !!!!!!!!!! va comprendre = cerner = te poser ! c'est pas ghagné ! on est entrées en se tenant la main (deux mains) , à présent on aimerait aller plus loin , dans les connéissanxces (concer nant la mùort) mais aussi en cette roche des parois profondes, roche de rotonde ! mur d'enceinte sous le vent des ombres /

murs d'enceinte sous le vent ! On monte ! on grimpe vif ! On est accoléesz prêtes à traverser l'utlime "donnée" allouée à un muret (dit "de cimetière" ou " du cimetière qu'est la vie" ou du "cimetière de la vie" ou xd"u cimetière-vie"). On monte ! on grimpe ! on fonce car on a des ailes ! on est mort homme , on renait (dans la mort) ailée cs'est un fait ! charge d'homme ! femmes des prés 

= vaches sacrées = chants de roche = vivacités = optimum des donnéesz allouées à une Vérité gravée  ! On enttre ! on commande ! on est bêtes des prés ! On mate ! On = homme = femmes = bêtes allouées à une roche docte (ou dite "docte" car en vrai pleines de données) . On est comme nées ensemble par la bande animalière d'une sorte de parole "sale" ! va comptendre ! qui sait ? qui comprend l'ense'mble des données de fait ? des données cde rage dite "pariétale" à jamais ! qui ? "L'plombier" ? lxa bête gravée ? l'antilope zébrée ? la lionne des cavernes et des bois et forêts ? le (la) bouquetin (tine) ?La buflette rameutée ? la bisonne chargée ? la bête de somme (NOUS° sur pied ? On est ce trait de rage dessiné ! mains surnuméraires souffl"ées, bêtes raides ou nacrées, cernées ou effleurées, tracées au fusain ou gravaées de près ! lévitons ensemble ! allons ! faisons fi des contingences ! lévitons ! Soyons doctes ! savantes ! savantes fées ! braves fées des prés, dessinant à main levée la Chance ! le sommet ! la chance au sommet ! On est femmes nées d'une sorte de parade sur paroi naissante, on est allées, on a touché, on veut aller plus loin comprendre davantage, de ce qui est dans ce qui sexprése"nte. On est Fées des entrées de face ! charge frontale ! de la corne et des na&seaux on entre, fatales ! Bêtes des 

prés ! Bêtes-mots de Rage ! on passe ensemble de l'autre côté mais va comprendre ce qui est, en ces lieux dee contrebande, soit de bande et  contrebande ! on est nées homme au singulier (singularité) ion meurt fmmes (données) au plriel ( sommités des sommités = Fame agréée). On meurt homme, on re-nait femmes (en tant que femmes) dans la ùmort. fe"mmes = fame = sommes.. Amês -sommes ! Somme des sommes. NOUS ! SOmmes = NOUS ! car NOUS = sOMMES ! des sommes (bêtes de somme). On est femmes des prés  ayant traverséees comme à la parade la paroi ! parole-paroi ! choix des rois -reines, chose des données concrètes, fruits, offrandes, près du puits, choses déposées sur une branche, données dites "données". Quand on éime en vrai c''st mieux de s'en

 aller ensemble vers  Déité (fonfd

 du pré). On veut aimer ! sur une roche szur un templiezr ! sur une chose donnée des donnée, fruits de la passion, colère de front, mots des cherche-m erde ! On aime ! on aime grave ! On veut toucher la roche lointaine à jamaéis soit ne p âs trépasser; mais pour cela on doit s'aimer ! s'aimer nues par terre, se lécher le cul, les glaires, les parties charnues, les données imber bes, les joues et les orteilles. On est nues de cul ! "szous le verbe

 ", "sous l'emprise du verbe ", "sous l'emprise notoire , commune, allouée, du Verbe". Soit : fortement conditionnées c'est un  fait ! femmes comme agrégées, comme accolées. On est femmes accolées dans un pré, par terre, nues velues, on s'aime, c'est le pied ! on aime sw'aimer = se toucher = se renifler = se lécher = se mettre / On aime SEX ! Sex ancré ! sex et autres animéalités de conserve, sex acté, sexe vendémi&aire ! charge allouée à du sexe de pré ! vivacités 

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 

Qui on est ? on est bhêtes des prés, souveraines reines, femmes au débotté, nues et velues, voire méga-poilues même du cul, ou moins du cul mais quand même en vrai pas mal poilues, ailmleurs imberbe, bêtes vues, bêtes-mots de rage, bêtes-mots disant la rage d'être connues, vue-connues, bêtrs vues et connues de cet te sorte d'hurluberlu des données finales ou terminales . 

Qyui l'eût cr(u ! L'ombre sur la place ! Ou sinon ... le rût ? 

la charge-

dard ? Qui ici sait en vrai ce qui est ? On est montées ensemble ici le long de la paroi à la recher che d'une vérité qui fut de bon aloi, de belle densité, de bon rapport, de belle tenue si jama&is. On aimerait compre"ndre ensemble si possible un maximum de choses, de données, des données comme s'il en pleuvait on voudrait ! On est nées vel ues et poilues, pa&rce que oui ... chevalines on est ! ou bien .... bouquetines ! ou même léonines ! On est entrées en roche ense'mble à la une à la deux au pas

 de charge, et une fois entrées, on a cherché ensemble à pour le coup nous rapp^rocher d'une sorte d'anfractuoisité de la paroi finale

 dans icelle roche des données finales, mur d'enceinte tout du long où qu'on reg arde ! piston ! ça commande ! on voit très bien le rond, la rondeur de base, muraille-muret, féisant cour (courette) d'intériuer pour a&insi diire (une szorte de jardinet). On aime ! on aime grave aimer ! on aime aller à se porter, à s'allonger, à se coucher , près d'une fée on dirait (on dirait une fée ). On se couche près de la fée. On aime les fées. On est mort et dsu coup on s'est rappr(ochées d'une sorte de fée allongée. On est vaches à laéit dans la mort ! qu'on se le dise ! on est comme en vrai des vaches à lait aéilées ! on vole ! on s'élève ! on monte ! on grimpe ! on est nées actées sur herbe allouée à un pré, nous voici devenues toutes légères, celetses , celtes / célestes.En vrai célestes !

 on volette ! On est nées sur l'herbe, on se lève, on s'élève ailées (vaches-fées) , et voilà : on grimpe les diverses allées, les di vers niveaéuxs, les hauteurs nacrées, les traéits ! On est vaches reines souverazines qui aiment grimper pour aller tracer ! on aime ! on aime aller ! ion veut tracer ici ou là des bêtes des prés afin d'amadouer (on le sa&it) qui de droit qui se reconna&itra on jurerait ! On est fées et vivacités ! vivacités et fées ! fées des vivacités ! Gentes viles fades fe'mmes ? des sorcières-fées à jamais ? du balai les commentaires ! on est M ! M comme Mort ! on est fe'mmes allouées à une mort dite "de cimetière" mais en vrai c'est .................................................................................................................................................................... eh bé ...............

 faux ! fausse donnée ! contre-vérité allouée à des traits gravés ! On est fées des données sages ! on est accolées à une rage dite "des rages". Pas sale forcémént, ni maussade obligatoirement ! On est fées des prés, ailées (vaches saoules) , on monte et on descent ! on volette ! on va et on vient ! on est en haut , on est en bas !  le troupeau, l'herbe, les fleurettes, puis, plus haut , le ciel, le bleuté, les nuagess cuivrées. On est bêtes aimées, on volette. On aéime voleter. On adore l'herbe des prés, mais aussi les nuées, le ciel bleu, les rayons dorés, l'ensoleillement lunaire, les contrées célestes. On est nées sur roche a&llouée à une sorte de cimetière des données frontales (animalités) et on avance ! on en 

avance ! on creuse grave ! on veut toucher à cette déité frontale auxd données cruciales ! on est n,ées fades (homme) ion meurt moins fades (femmes) : est-ce vrai ? car, si fée = fade , alors fée = folle ? On colle ! on est collées ! collées à la roche des données données il semblezrait ! On veut toucxher = on veut aller !, faéire-dire, ne pas sombrer mais comme travezrser lultime roche dite "des données profondes". Rotonde. Rotondité. Mur d'enceinte. VIvacité. On est comme nées (appelées) à re-naître dans un pré, au-delà ma foi, cerner, toucher, passer. qu'est-ce qi'il y a de l'autre c^té ? une voie d' accès vers une déité doonné. une sorte de âssage à tout jamais vers une déité. Cette déité est nacrée et sacrée. Elle porte le nom non deson père mais de sa mère, dure mère. Elle porte le nom d'une sorte de .. dure)mère, cervelet, pie-mère et autres corps calleux dénichés ! Qui c'est ? "c'est l'plombier" ? pas en vrai ! plut^ot le passé ! Le Passé des offre allouées ! ässé docte = souveraineté des données tracées (aurochs et bisons, buffles et buflettes, chevales amaozzones, crins des crêtes, ourses et lionnes, gens des fronts, b^$etes sales). On croit mourir de front, on se retrouve charges d'âme ! On est homme à l'unisson d'un temps de façade, on meurt femmes fractales, déployées, déplissées, désarmées, calmées, sondées, dédouvblées , dépliées. On est pour ainsi dire devenues, ren mourant, femmes , ouplutôt "des femmes", soit deux femmes, à la une à la deux, qui (en vrai) se tienne,nt par la main , ou se donnent la méin, ne se lâchent plus (pas) et 

avancent ! on est femmes de parois de choix ! on est entrées ens"mble comme p ar la bande . On voulait re-naître , c'est fait ! on voulait "se retrouver" ! c'set fait ! on voul&it  revenir comme, en arrière, au temps donné d'avant (la n&issa,nce sur terre) on va dire que c'est fait. On voulait revenir een a&rrière = au temps bébé ? bé peut-êtte ! La mort serait ce temps (dès lors) du bébé retrouvé ? la mort en vrai seraéit ce temps du bébé sacré ? La mùort seraéit en vrai ce temps sacré du bébé acté ? La mort on dirait serait le temps d'avant , d'avant notre nniassance ? On est comme allouéesz à une sorte de donnée rupestre, de type : anfractuoisité par laquelle on peut passer ou on pourrait

 p asser ense'mbke, à toi  à moi, hop ! on entre ! on est entrées ! on  est da,ns  (sur) le pré ! on est au milieu des b$etes, on broute avec elles ! on veut grave en vrai leur ressembler  si 

ta,nt est. on est bêtes des prés comme elles ! on mange l'herbe = le verbe (qui sait ?) . On est bêtes des prés, cernées, cerclées, entourées, encerclées par, autour de nous, une sorte de muret ou de murette, de cimetière (rotondité = enceinte) qui nous pléaiît sévère,nous fait grave de l'effet, semble nous appeler, nous entraîne à nous en rapprochezr pour esszayer, qui sait , un de ces quatre , de le traverser (le muret) ou bien la traverser

 (la murette) à jamais (genre : j'y suis j'y vais !) et du coup : cerner = comprendre = allouer à un ciel donné une romance d'éternité,  hé hé ! on dirait !

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2/3/2022

Nous voulons comprendre ce qui est incifdemment de ce qu’on voit qu’on voit devant soi. nous = nous deux. car nous sommes deux, nous sommes soudés, nous avançons ensemble de concert, nous sommes deux pour une connaissance (ou reconnaissance) de paroi. Nous sommes soudés comme les 5 doigts de la main. Nous nous avançons dfe concert, nous marchons d’un pas décidé, nous voulons comprendre les tenants et les aboutissants de pareiille ouverture de roche, devant soi, ce qu’il en est au juste, ce dont il s’agit en clair de cela qui (pour nous) est d’une importance majeure, à savoir le mot de lza fin. il s’agit pour nous de comprendre ce mot, cette cchose, ce mot de fin de roche , ou de fin fond. cazr il s(‘agit ici de bien comprendre cette chose, à deux, ce trou de roche de paroi, cette chose ici qui semble s’ouvrir devant nous à notre mesure. Nous voulons comprendrde ;les données rupestres les plus fines (= ces dessins de bêtes) et pour ce faire nous devons nous inciter, nous provoquer, nous bousculer ensemble, pour aller fissa, pour entrer en roche, pour nous immiscer. Nous devons comprendre ensemble le pourquoi nous nous plaçons ainsi à deux de telle sorte que soyons (dès lors) en mesure, de comprendre cette chose d’une excavation, d’une sorte de fissure par où donc passer le corps, ce trou de la roche (devant soi) par où un corps peut ou pourrait passer. et pour cela, une chose dd’envergure : ici = la vie devant soi = le temps à venir = des mains sur un devant de soi comme déposé. Je vois devant moi qu’une cjhose semble ou semblerait vouloir se dessiner qui ressemble ou ressemblerait à une bete de paroi aurignacienne. Je vois devant moi cette bete qui va et qui vient, je vois cette bete meugler, trépigner voire s’énerver. je sais de quoio il s’agit. Il s’agit ici de Verbe, de verbe nacré, de beauté nacrée, d’une bete belle, etc. une bete forte et belle, bete belle et forte, qui va de l’avant, qui meugle, qui trépigne, qui s’énerve volontiers. Je vois devant moi pareille bête des apprêts qui cherche à s’approcher de moi dirait-on, ou du moins qui regarde en ma direction et cherche à entrer en contact. Est-elle pour moi une alliée ? est-elle pour moi une ennemie ? a-t-elle pour moi de la bienveillance en elle ou bien veut-elle me faire du tort ? Je suis en roche pour lyui parler. je suis comme entré dans la roche (le dur) du temps pour tenter de lui parler, de l’approcher, dans le but d’échanger avec elle. Est-elle en capacité de pouvoir échanger avec moi ? a-t-elle de quoi correspondre et me comp^rendre ? je veux etre une bete comme elle, ici même, afin de pouvoir lui parler, lui donner le change. Une bete est devant moi , dans ce temps imparti d’un devant de soi temporel. Il s’agit d’une bête de bon pôids, pesant de toute sa grosseur sur pareille «pierre de vie» devant soi , qui est seuil de vie-mort à venir , ou bien entrée pour une parade. Je vois devant mpoi cette entrée et cette bête. Il s’agit ici de comprendre cette bête (dans l’entrée) comme notre propre amie de roche, la parleuse, l’entremextteuse aussi. on voit la bete ici postée au beau milieu de la prairie. on voit ce préfleuri de la prairie. Il y a là des fleurs de 

choix. Noius voyons la bête (cerf de rage ?) qui est là, dans l’encadrement de la porte, au seuil de lza prairie, prêt à bondir et à nous inviter (inciter) à bien vouloir le suivre dans sa course. Nous aimons ce cerf de roche mzis nous hésitons car la mort est un curieux pays, il semblerait. Il est pour nous une chose ici à souligner et cette chose est cela , comme quoi la bête devant soi est bête des azpprêts, et nous du coup d’hésiter à nous lancer à sa poursuite au sein de la prairie soit de la mort incluse en roche comme une entité, une encklave ou un sas. Nous voulons comprendre cette chose (ici) d’une sorte d’enclave à parois, à murs d’enceinte mais commùent ? et c’est là que le chevreuil, la biche, le cerf ou l’ours des cavernes pourraient nous aider , car la bêtye sait. La bête est savante. La bête sait des choses. la bête en sait long, en sait suffisamment pour nous en apprendre sans doute tant et plus c’est un fait. Nous voulons comprendre ce qu’ici la bête du devant pourrait nous indiquer ezt nous donner en termes de données premières. Nous cherchons à lui parler. elle est devant nous, elle pavane. elle est devant nous qui fait la belle, qui se montre à nous sous ses plus beaux attraits, elle fait la roue, elle fait la belle devant nous. ET nous d’eessayer de la comprendre afin d’en avancer plus plus dans toutes nos recherches sur prairie, à propos de la mort, du rapport mort/bête, du rapport entre d’un côté la mort et de l’autre le verbe (par exemple). ici, l’animal en sait long (on le comprend). La bête ... connait la musique des sphères, le train de la vie, le chant de la prairie, la magie des perles, etc. la bête en connait un rayon. elle n’est pas née de la dernière pluie et son savoir est dingue, est pprofonds;, va loin, va dans les propfondeurs de la roche du temps, car , la bête est temporelle. son élan de vie est une sorte d’entrain musical, de mélodie, de chant des profondeurs. ce chant est le chant de la terre. il s’agit ici de cerner cela comme quoi la terre ici est une sorte d'ouverture pour un chant venant des profondeurs. On sait que la bête entend ce chant (toutes les bêtes) . toutes les bêtes sont à l’unisson du «chant» de la terre = d’une vibration, d’une secousse, d’un bruit des tréfonds, etc. La bête est (en vrai) come branchée direct ici,  à mêmùe le «bruit» du monde adjacent, alors que nous.... moins ? on cherche ! on veut savoir ! On en a pas fiini de chercher et de savoir, de chercher à savoir, de creuser (dans de nombreux sens) pour bien comprendre de quoi il s’agit. Nous voulons toucher la timbale 

du temps à travers la bête. ici, une bête nous parle en direct, via la roche devant soi (aurignacienne etc)  et du coup ... on écoute à fond ce qui est dit, ce que la bête dit , ce que la biche ou le chevreuil disent?. Nous voulons comprendre ensemble les données liées à la musique des embruns, au chant de la terre, à ce qui sort de terre, au chant du monde. ce chant venant des profondeurs vient à nous via le chant (le cri ?) d’une bête ici postée, soit dans l’encadrement d’une porte cochère = ,ici, la fin de vie la bien nommée, la mort en personne. Nous voulons comp^rendre toutes ces données de base ici pour nouds pour aller loin dans nos réflexions et mieux cerner l’ensemble des données offertezs pzar la bande lan,ghagière intégrée. nous savons que cette bande a fort à voir avec le sang. nous nous appuyons sur de tels savoirs pour en avancer sur un chemin ardu s’il en est, qui est chemin des connaissances affichées, montrées pour ainsi dire. notre but est de creuser la roche jusqu’à l’animal. et l’animal atteint de voir avec lui à comprendre un certainn nombre de pourquoi et de commùent. qui parle en moi = qui parle à travers moi = ma voix) ? qui parle à travers ma voix ? qui parle pour moi ? qui en moi s’agite ? squel animal en moi s’agitte ? quel est cet animal qui en mois s’agite ? quel 

est donc cet animal qui s’agite en moi ? qui est)il ^pour de vrai ? qui estil pour de faux et qui parait être pour de vrai ? etc. car lma bête en moi parle que tu parleras, et ce sans cesse. il s’agit de fait d’un flot continu , une mer, un ru, une avalanche de paroles «bêtes» soit fortes et massives, un poids de plusieurs kilos voire davantage, car, la bête ici est bête de belle taille, elle pèse lours dans la balance, elle en impose, elle est une force vive, elle va loin et profond du fait de sa masse qui pèse et force barrage. Je suis avecv elle celui-là qui cherche à percer des mystères. Je suis  cet homme fou-vif, cette ombre sur de l’herbe, ce fennec peut-être moi-même ou bien quoi d’autre ? Je cherche à cerner ce qui devant 

moi se trame ; une bête se poste = se positionne dans l’encadrement d’une porte d’entrée, elle me fait signe de la suivre sans tarder, ce que je fais. et là me voilà qui me retrouve dans un sas de vie de rage, une sorte d’enclkave vitrée ou sinon viitrée luminueuse, éclairée de part en part, enveloppant mùon corps d’une douce lumière vive. Je suis avec un animal des prés et j’essai-e de comprendre ce ^pour quoi cet animal est là qui m’a poussé à bien vouloir aller vers lui et traverser la roche à la une à la deux. Celui-ci (l’animal en question) est bete des prés et des bois. il s’agit d’un c 

erf de grand ramaghe. Je sais qu’un  cerf est bete royale. on sait cette chose depûis fort longtezmps

, comme quoi un cerf de parade = objet d’attention. je file vers lui pour ne pas le perdre de vue. mon interet est de bien mù’enchainer à ses pas et de bien garder contact avec lui, ne sezrzait-ce que visuel . une bete-devant de soi = un devant de soi animalier = une vue d’esprit salutaire = une sorte de main offerte (deux) qui est (qui sont) main (s) du temps imparti à vivre. je vois cette bête ici comme celllle qui me guide dans la vie de la mort à l’oeuvre. on voit ici cette chose d’une main (de deux ?) qui est (qui sont ?) dès lors cette (ces?) main(s  ?) tendue (s ?) ou bien comment ? on sait une main (ou deiux) devant soi, ces mains sqont de bête, sont de provenance animalière, elles sont là  ou elle est là (la main) pour nous aider à ici franchir (verbalement) le pas d’une vie à vivre tout du long. on sait que cette main = une chose rude. je vois près de moi (déposé) une sorte de corps mort de bete ou bien une sorte de chemise froissée enseanglantée, ou quoii donc , je suis à la recherc he de la v érité sur terre. je suis à la recherche d’une vérité a ttenante à une paroi temporelle. on est plusierurs ainsi à travers le monde , qui ncghercghons des  vérités de grande (et première) importance. nous voulons creuser cette idée commùe quoi le Verbe est dans le sang comme le ver est dans la pomme. un ver de pomme cherche issue. la bete en  ous aussi. et voilà pourquoi nous raisonnons, nous batissons des architectures de raisonnemenrtts, nous cherchons une compréhensiuon mutuelle. nous  ne voulonbs pas céder, nous voulons intercéder et gravir les échelons de la paroi aurignacienne ou néandertalienne. nousd devons comprendre tous ensembvle (une humanité) ce qui surnage ici en termes de paroles offertes ezn guise de présents à déposer sur table, table a ux offra des, sur seuil ou sur paroi. nos mots sont des bêtes-mots, sont des bêtes et bêtes. nous voulons comprendre au plus loin et aller ainsi de découvert en dsécouverte. Nous sommes deux qui voulons ensemble toucher la paroi des choses cachées ... à la vue de l’homme et de la femme. 

Nous ne voulons pas passer à côté sans savoir, ou sans rien y voir, mais tout au contraire emmagasinner des données et en avancer sur la v oie des connaissances les plus achevées sur la question de la mort en atteznte, de la vie déposée pour de faux, de la mort en branche, de la vie des sphères attenante à une vie telle que celle que nous vivons sur le plancher des vaches. Nous ne voulons pas nous affoler mzais placidement ou calmement avancer sur ce chemin (escarpé) des connaissances brutes, des données de rage ou de la rage, des embruns, des apprets, des chants des profondeurs. la bete devant soi sort (est sortie) de soi via la bande langagière et à présent comment faire ? comment comprendre cette bete, son parcours, son but de vie, ses intentions rupestres, son cri ?. nous voulons comprendre ensemblme (la bete et moi) les données du monde adjacent qui est le monde vif et beau d’un sas de prairie. nous voul:ons cerner dans loa longueur du temps ce qui est qui est, et inversement ce qui n’st pas dans ce qui n’est pas. car il va de soi que nous sommes touchés, meurtris, ou susceptibles d’être touchée s ou meurtris. Nous avons devant nous une bête sortie de nous par la bande langagière. Cette bête est bête de roche, qui pèse un âne mort et jamais à nos yeux ne s’en laissera conter si aisé ment ! car, elle trépigne continument (en nous déjà : le sang, et à présent hors de nous : les effluves). Je vois devannt moi cette bete qui se tiennt droite et nous fait des signes (kabbalistiques ?) afin que voilà, on puiisse la suivre et entrer de ce fait dans le sein des seins ou sas des sas. nous obtempérons et entrons. décrivons. nous voyons des choses, nous voyons de l’herbe, nous voyons de la lumière, nouis voyons une belle lumière sur une prairie (un fond d’écran ?) . Nous avons devant nous de l’herbe et des betes (bouquetins ?) qui paissent. il y a des champs à perte de vue, tout un paysage de nature. du vert en  veux)tu en voilà. soleil et clarté sur les prés. des betes qui paissent et batifolent. univers p)rairial ensoleillé. une sorte d’encklave rustique, une sorte de troué-e dans une adversité. Je vois l’herbe verte devant moi et j’avance en elle. touché ! j’ai touché l’herbe ! je suis entré dans l’herbe. il ya beaucoup d’herbe : elle monte haut. je suisq entré en elle et à présent je suis comme l’enfant qui cherchant a trouvé, ou qui même sans chercher si volontairement a fini par trouver quelques données de roche. je suis ou serais cet enfant des prés qui sans vraiment chercher (ou si ?) a trouvé. et ce qu’il a trouvé relè ve de données fondamentales. nbous sommes

 des enfants qui pour le coup nous avançons sur roche = dans les prés, à la recherche d’une découverte à faire incidemment, un trésor de beaiuté (?) ou un trésor des templiers, ou bien la clé des champs, ou bien la clé musicale des chants, ou bien la cklé musicale des données de base? nous voulons trouver ce pour quoi le temps est dit le chant est dit la roche est dit le verbe est dit l’animal . notre envie (

enfantine ici) est de dire ce quyi est. ce qui est serait ce qui se voit. pas seulement mais pour paertie?. nous disons dès lors que nous sommes les enfants de la pprairie qui nous enfonçons, ici, dans les herbes vertes,  hautes, à la recherche du trou de céans, passage idoine, excavation et perfgoration, trou non-borgne si tant est = pasdsage pour une entrée. nous sommes enfants en nous, qui cherchons à découvrir kle pot au x rooses et pour cela nous chantons à tue-tête le chant de la roche perlée. nous chantons haut et fort ce chant de roche dure, ce chant venimeux, cette drôle de parade mortuaire, ce chant des sphères dernières. nous voulons ensemble trouer la paroi et nous immiscer bon an mal an à travers elle. la vie est une chose vive mais la mort aussi étrangement. la vie est vive, et la mort est vive. La vie est une sortie et la mort aussi. des passages différents mais... concomitants ? Nous cherchons ! nous voulons cerner des données. nous voulons toucher à des données de poids «qui puissent le faire urgemment». Nous voyons cette chose (en tant qu’enfant) s-d’une sorte de praiorie des roches, lieu des betes des prés, lieux des cavalcades. nous voulons aller au loin en  cette roche du monde, 

en  cette chose de l’autre côpté du monde, en ce sas. trouveropns- nous ensemble kle secret ? quel est ce secret ? qui connait au juste (exactement) les mots du secret ? qui peut parler au nom du secret ? je veux toucher à une bande royale langagière qui le fasse. je ve»ux toucher à un Verbe de joie. je ne veux pas rester en carafe mais aller profond au sein des connaissances. ma voix est voix qui porte comme celle peut-etre d’un enfant de peu mais enfin je cherche, je ne cède pas, je poursuis sur mode déraison mais pêu importe ! le but ici est de trouver «des chose», du menu fretin pour certains peut-être mais pour nous ce menu fretins est plutot des merveilles, des données riiiiches, des données solides qui imposent leur étant à même une roche, roche souterraine. nous cherchons partout (soit dans kle temps ici) des données de roche dure = des choses de poids , afin de comp^rendre le monde, l’(étudier au mieux, toucher la timbale «aux enjeux de base». nous sommes ou serions des enfants. nous sommes ou serions des enfants qui cherchent, qui creusent des puits, qui soulèvent des fourrész, qui zyeute à la toque ici et là la rocxhe du temps à la recherche de données qui pûiissent informer quiconque de  ce qui est au monde (ou derrière» le monde)  en tant que choses de la vérité la plus extrême, la plus fine, la plus ancrée. Je suis un homme-bete qui cherche avec en lmoi une voix jeune de parade,, voix d’emprunt surnuméraire, qualité à zéro degré de mensonge en vrai. je cherche une façon en roche d’y voir clair le plus que je peux. ma voix porte ce qU4elle porte mais en  vérité peu importe, car je cherche que tu chercheras, à tout va, à fond, au fond, dans la profondeur du monde adjacent et ce à travers le verbe ancestral, ses réseaux internes, ses relais en roche, la faconde. nous devons aller eznsemble (qui ?) à la recherche de données de base, de choses de poids = aurochs, de belles et douces vérités qui en imposent (verbe perlée) etc ; le chant de la paroi file et vibre. nous savons que nous devons aller en roche à deux (toi, moi) et ce main dans la main (à toi, à moi) afin de pouvoir ensemble nous introduire illicoo presto en cette zone de temps impartyi, en cette matière temporelle et aussi musicale de la roche dure ; nous ne voulons pas succomber mais plutôt poursuivre sur notre lancée et tentezr d’y voir (enfin) suffisamment clair pour pouvoir nous prononcer sur la question des vérités cachées du monde (s’il en est). nous voulons trouver «des choses de poids», ces choses nous les a ppelons du nom de la bête ici postée devant. nous cherchons une sorte de définition. le but ici est de cerner ce qui est, à la lumière conjuguée de la cla rté céleste et du soleil de roche dure et xdes apprêtsq. nous vou:lons enttrer dans cette zone de vérité;; nous voulons percer la roche et nous loger en elle instamment. la beauté des lieux incite à se poser et à seulement contemplér le paysage. nous nous approcjhons du cerf géant.. nous voulons toucher icelui en son pelage dru. nouys voulons toucher la bete de crin. nous aspirons tous et toutes à dire des choses dee poids , soit à révéler un certain nombre de secrets ... contenus ici bas. peut-on et si oui commeznt ?  en tournant sa langue dans sa bouche ? en pleurant ? en ouvrant son coeur ? en pissant ou chiant ? en parlant tout haut ? en gueulan,t même ? en donnant du fil à retordre à son entourage proche ? en oinspectant le dessous des cartes ? en levant lkes jupes des femmes de tout ages ou presque ? en faisant comment ? nous diso,ns que nous devons comprendxddre

 ce qui est du monde = ses dons de choix, ses offrandes, à même le Verbe comme ... turgescent.?. le but ici est de toucher au but = de comprendre le mot de la fin. Le mot dit dans une prairie. ou le mot prononcé en cette prairie par une sorte d’animal de base, animal au poil serré, bete des embruns, bete au chant, bete aux cornes ou aux bois de roche. je cherche à comprendre = percer un secret mais il n’est poas facile d’atteinte et je je ne cesse de percer, de faire en sorte que pa reil secret me tombât dessus comme un fait exprès. enfant de lka roche aux tourments de mille sortes, je m’avance et donne mon la de contrebande : vie flouée pour ainsi dire = le passé. mais ... le passé seul ne suffit pas. Seul il n’eswst pas assez, ne pèse pas assez , ne pè§se pas assez dans la balance, ne pèse pas assez lourd pour la mort à l ‘euvrre, ne pèse pas son pôids de rage dure, ou si oui incomlplètement aux yeux de l’entité déjà nomméee plus haut. Nous disons cela  comme quoi les mots ne sont pas suffisant pour dire ainsi qu’ils feraient bon poids dans   la balance qyui est cellle xde la mort à l’oeuvre. on dit cette chose, on dit ainsi. on pense que la vie passée (qui n’est que du passé) ainsi déposée devant soi (dans ce temps d’un avenir direct et tombal pour ainsi dire , quoique non) n’est pas suffisant aux yeux de la mort. il en faut plusz (eh comment !) pour la contenter. nous disons que le passé seul ne suffit pas pour contenter la mort, le feu vif 

et impactant du passé (mort oui, mais pas assez fort , ou pas assez vif) n’est pas chose qui pour elle (mort) en impose asssez et fasse illusion assez de temps pour que nous puissions faire pour nous une sorte d’écart ou de pas d’écart temporel qui 

nous tînt en vie incidemment plus longuement. nous disons que nous sommes qui cherchons à dire-faire un pas d’écart un temps. et pour ce faire, ici : le v erbe. verbe pariétal ety monacal pour ainsi dire. verbe dressé, verbe en berne ou pas mais verbe de paroi, de roche dure, de sein des seins. nous nous immisçons en  cette roche du temps alloué à un devant de soi de rage à être coûte que coûte vif ou vive et non mort ou morte. nous voyons la roche devant nous, nous pouvons toucher icelle sans crainte. nous  voulons aller en elle dans la profondeur et comprtendre kles données basiques initales. je est je mais pas xseulement. je est nous mais pas sezulement. je est un ensembkle de données peerlières princières. je est effluves. je s’infilttree ici dans la durée en équilibre. je est une tentative de «raisonnement par la bande» à propos du temps. je s’incruste dans la pierre comme pic de roche à pezrcer la roche. je est vers  de roche, et ver de pomme. je est chant et champ. je : glisse sur les mots, d’un mot l’autre continument, sort de sa bulle précipitamment et grave que tu gravezras à lka manière toute pariétale d’uun homme ou d'une femme des temps des cavernes. je suis hyomme-femme soudés entre eux. je suis homm-femme soudés, qui tremble, qui a froid, qui cherche un reayon de lune ou de soleil. je veux toucher la pareoi du monde (kle verbe) et pour cela, je parle en continu et jamais ne cesse si possible. je creuse’ à même la roche dure. je veux toucher à cette roche dure et rude et, commen,t ? , rugueuse, d’une sorte de peau de paroi rocheuse, de paroi du temps. vive la vie sur terre parlante ! vive ici la vie parlante à traversz la pierre,, la roche du temps ! je veux être ici homme considéré, aimé, qui veut cette chose pourv lui, d’un nom donné qui, en vrai, lui plaisze et qui aillle (au mieux) à son teint d’enfant naissant. je cherche à percer la pierre. pour cela les mots. pour cela il ya lkes mots, le verbe dru, les mots de derrière, les mots à hurler au fond des cavernes. je hurle ! j’hurle comme un dxexaxé ! J’hurle à fond les manivelles ! je plaide coupable et invective concomitament ! je dis que je poses (dépose) la vie passeé ou du passé sur la pi

erre, en lieu et pklace d’une vie humaine, d’une vie pour le coup complète, entière, exa cte. or, vas-y !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! je donne voix passée, voix d’ombre !Je donne peu. je donne mon passé en tant que tel = une faillite. 

et la mort, of course, de rouméguer, de râler haut et fort , de se pl;aindre et de pleurer que ce qui est donné (par moi, en mon nom) ne lui sudfit pas. elle se moque du pzassé. ce qu’elle veut n’est cpas de ce passé bruûlé mais ... de la brûlure, en nous de la bnrûlire vive, du fond  de partage, etc. le fond de roche est ouverture vers un au-delà auquel nous n’avons pas accès. nous voulons comp^rendre ce passage ensemble,  ce qu’il est au juste : une naissance ? une seconde naissance .? une renaisszance ? une mort-naissance ? ce que nous voulons pour nous égale cette chose d’une sorte de donnée de base rupestre = ce cheval en nous, cette bete en  nous ! nous voulons toucher la bete en  ous mais ou est-elle ? comment faire ? devons-nous «entrrer» en nous à lka recherchez de la bête ? devons-nous percer en nous une chose de nous ... pour trouver où donc en bnous se loge ou logerait pareille bete de la vérité: devons- nous percer ? devons-nous toucher la roche = le verbe? comment faire pour toucher le verbe ? commùent faire pour toucher le verbe ? comment faire pour toucher le verbe d’une roche dure ? comment faire pour toucxher le verbe ... tendu comme un arc ? comment faire pour touchger à vif et sans contraefaçon le verbe ... tendu comme arc ou comme une arbalète ? je cherche à comprtendre les données de rage en soi contenue et qui ne demandent rien de moins que de sortir de nous pour allezr fissa voir à xse loger en roche en l’une de ces anfractuosités poreuses, etc. je suis hommbête qui veut toucger à kla paroi =à la timbale. je chezrche vif ! je cherche à fond ! je cours et je vole ! je suis être ailé comme le  cerf volant de la rage des temps. mon nom s’incruste à 

même la paroi : aurochs de la rage à être un aurochs. je suis homme qui veut comprtendre 

kles données qui sont à la ba se d’une sorte de pareoi du monde. je me prénommre Averell, je suis niais, je comprends les choses à peine, et cependant ai droit de cité en cette chose que malgré ma très grande bêztise devant l’éternel je n’en suis pas moins un êttre pensant, qui réflévchit, qui cherche à comp^

rendre, soupèse des mots, va dans le sas des choses retenues et à comprendre un jour, etc. Oui je suis crétin c’’st entendu. je ne vole pas haut. cepenfant je vole, je monte, je m’envole. je suis oiseau de branche, ou bien oiseau-ma rtinet qui jama is (?) ne se pose de son vivant. j’essaaie moridicus de comprendre les choses du monde, la mort en son logis, la vie en son autre logis, etc. la porte d’entrée. la paroi d’un couloir de rage. un b ruit dans le fond, au fin fond du monde. une voix appelle ! elle crie de toute sa misère ce qui est , ce qui est qui va se tramant.Je cherche à etre cette chose d’une voix qui dirait, en vrai, ce qui est, soit : ce qui serait pour elle  comme aux yeux d’une bete des prés. je veux essayer de comprendre ce qui est qui est devant moi, ce qui devant moi se trame. je veux essayer de co:mprtendre les choses du monde au mmieux, essayer de :m’intégrer à une sorte de vision globale  qui me dépasserait (de loin) mais m’engloberait. mon souci premier est de m’inviter à pareille supervision , à  ce genre de supervision collègiale, à pareille chose d’une sorte de vision supraglobale sur le monde, qui verrait dès lors le tout, ssoit : chaque chose d’un tout intégral. je serais   cet homme qui, bon an mal an, cherche à tirer profit d’une course vive aux données diverses. je m’infiltre cvommùe un agent double dans la prairezie. mon souci constant est de bien cerner lmes enjeux qui président ici aux choses du monde. mon souci premier est de percer vla roche, et de m’introduire du coup en une sorte de conversation supra cérébrale comprenant ;kes données du temps   soit du temps adjacent à une vie vive,mais aussi  les données de la roche dure, soit les betess , dessdinées, gravées, qui paradent et semblent nous interpe:ller de loin pour nous dire qUelque chose. qu’ont-elles à  ous dire de si vif ? qu’ont-elles à bnouds donner comme renseignements de première main ? veulent- e;lles nous troubeler par des dires de poids ? veulent-elles nous toucher de leur museau  pour ainsi dire de bete de poids ? sont-elles pour nous des v érités premières ... en l’état ? mots-bêtes de charge ? mots qui sont des betes et qui parlent en

 leur nom à travers le nom que nous leur donnons par misère ? je suis à la recherche d’une v érité qui pl;ombe, qui pèse dans la balance, ou qui pèserait dans la balance. je veux être considéré à l’aégal de ceux et  celles qui , comme moi, cherchent de leur côtés des choses de poids, des  vé»rités premières et autres évclaircissements. nous sommes tous et toutes parties prenantes dans le grand concert de la Voix des choses du monde. qui est là qui parle en moi sinon cet autre moi de contrabande ! je veux essayer moi-même par la bande (= avec le temps en quelque sorte comme allié) de creuser le plus loin possible la terre des apprêts et trouver en elle de quoi me sustenter un temps en termes de données probantes pouvant m’éclairer sur les (diverses) affaires courantes, celles qui ici sont pour nous attenantes aux choses du monde. Nous devons ensemble comprendre ce qui est,, à la lumière vive des données qui sont données de roche, de paroi rocheuses et zautres pierre de taille ou d’offrande. nous voulons percer les mystères de ... l’au-delà à une vie brève. pour cela il y a le verbe, soi le Verbe dresszé pour un faire. je pèse les mopts afin de me fa ire comprendre le plus possible du plus grand nombre.  Je veucx êtres pris pour  un être de la joie à êttre. Je ne veucx pas être pris pour un être qui serait celui-là que la mort rejette. mon moi est une chose rude, qui perle, qui perd d’elle ses attraits au fur et à mesure que le verbe croit en moi. Croit , du verbe croitre et non du verbe croire, quoique. car, ici, le verbe est aussi cette chose en soi qui tend à montreer, de lui, un visage proche de la foi. je suis donc je crois. et en quoi crois)-je ? je crois en  du verbe pris comme une sorte en soi de bête forte = fauve = de poids = pesante = lourde = qui sème sa charge = qui en impose beaucoup et longtemps pour comme nous aider instamment à tenir en vie le plus longtemps possible. je regarde devant moi et ce que je vois est une chose rude mais tenace. je vois la bete. je  vois devant moi la bête. devant moi est une bête qui est une bete de la joie à être, et voilà pourqauoi nous cherchons sxans cesse, en vivant notre vie sur terre, à nous app^rocher d’icelle bête qui est bête de la joie à naitre. Je pe nse ici = je suis ici la b^ete de la joie ... à naitre nommé. Je suis homme des embruns. je vais sur roche regarder au loin les donnnées de base à une vie humaine. je veux connzaitre ces données. je veux toucher la mort pour la comprendre et comprendre ce qu’il en serait si moi même en était = de la mort comme elle. or, ce que je vois, ce que depuis la vie que je vis il me sembkle voir de la mort, est cela, co:mme quoi la mort est vive comme une vie vive. je vois cela, cette mort vive, comme une donnée qui, pour nous qui cherchons, sonne fort à nos oreilles qui sont ceklles d’hommes et femmes des prés. Nous sommes néandertaliens néandertaliennes ou aurignaciens aurignaciennes en nous mêmes pazr nos orteilles = nous sommes restées hommes et femmes des prés via le son qui vient sonner à nos oreilles. Balafon ! balafon ! balafon 

moqueur ! je cherche ici une chose de poids. je v eux toucher la mort dans son terrier sans pour autant moi-même ezt à jamais (dit-on) passer l’arme à gauche. mon but n’est pas de sombrer. mon but est de connaitre ce qui est dans ce qui vient. et ce qui vient vient vite, vient vers moi si vite qu’il est difficile de cerner avec justesse et ce permanemment les données de base du monde, soit les outils de comprenure, les outils de rage, les cerner au mieux, il est difficile, ensemble (une humanité) de co:mprendre ces données, ces outils, ces bruits, avec pour nous comme seul bagage la raison de l’homme ou de la femme perdu dans le temps. notre voix porte mais porte peu. notre voix est une sorte de parole à vide. il est nécessaire de penser les choses à la lumièrre d’une sorte de parole «p;leine» = enceinte d’un double de soi animal. je veux être pris, je veux être compris, je veux être adoubé voire considéré par mes pairs

 comme celui-là qui, parlant, chasse des démons. mes pairs sont ceux qui , comme moi, parlent vif à d’autrews qu’à soi; je cherche ici (dans ce sas de bienvenue) une parole animalière(animale ?) qui puiisse ou pourrait me guider ... sur la voie , peut-etre, d’une vérité de bon aloi. ce qeue je cherche est une vérité ancré dans une roche. cette roche est faite de temps comme amonczelés. Temps d’amoncellement pour une sorte d'embardée rendue possible à maints hommes et à maintes femmes des cavernes dont nous sommes. car, je suis homme des cavernes, je suis cet homme gravant la paroi, la paroi du temps. je suis (aussi) cette femme aux attraits, dessinant sur roche l’antilopê, le buffle orgueilleux, la bete de rage sanglante; Je suis celui-ci et celle-l)à . je veux etre homme et femme à la fois , afin  de comprendre au mieux ce qui est devant moi dans ce que je vois. je suis homme vif et feeme vive = en vie , sur rochje, comme l’animal ... dans le sein des seins pariétal. je suis ce même être de vie. je vais et je viens vers lui, verts la b ête dessinées, cvers la bete en sang, vers une bete qui se fait ainsi apprécier par une déité (de base) aimante. car, la mort nous aime. la mort nous aime ta nt, qu’elle nous veut pour elle, qu’elle cxherche urgemment à nous prendre en elle, ou sous son ai;:le.la mort est pour nous cette aile qui, bon an mal an, cherche couramment, urgemment, vivement , à nous prendre au vif de notre floraison , sous l’aile d’elle qui, ici (sas) est celle de la vie ... en la mort. nous avons cette chance ou chose, pour nous, de pouvoir voir l’aile sur la roche. quelle est-elle ? eh bien elle est celle-là que nous voyons se dessiner, à) part nous et comme par devers nous, sous

 nos yeux, à même la roche, entre nos mains. nous sqommes pris ainsi par un feu en nous de rage, qui, vif, hainueux, tend à faire sur roche tout le mal que nous souhaitons en fait offrir à cette déité. nous sommes hommes et femmes des enfants qui haïssons la mort. nouys voulons la mort de la mort. nous dessinons sur roche la mort de la mort à travers ... la vie de la vie. nous voulons aller en roche comme deux (elle  et moi) qui savons de quoi il en retourne entre nos bras, entre nos mains, depuis nous qui sommes comme lévitant, en grotte, pris et prise en une sorte de tourmente qui nous voit ici co:mme léviter pour aller fissa tracer les tréits (sur roche) de la bete en sang, de cette bete-verbe qui pour ainsi dire dit ce qui en elle ecxiste de plus prégnant en termes de vie offerte. je suis hjomme et femm, l’enfant de la roche. je cherche à faire ainsi 

que le verbe dise ce qu’il a à dire de plus urgent?$-. je ne cherche pas l’amoncellement pour l’amoncekllement mais à tracer les traits  nécessairees en quelque sorte à une vision. ce qui m’importe ici est ... ce dire de la joie à être (ou naitre) je = nous = l’homme ... doublé de la femme. ou bien un je de rage qui soit celui-ci , que nous nous voulons, pour (a insi) faire (depuis nous) all»égeance. ici allégeannce, pour aller plus loin et tenir encore devant soi le ou ce présent ... donné à une déité en tant que présent de réserve. je suis homme débordé mais qui cherche l’être ... dans le vent  sortant, d’une anfractuosité menaçante. je veux toucher pareille menace, je veux pouvoir toucher à pareille menace plénière. je suis homme des tourments, homme des roches dures, du temps présent, du temps offert au présent comme un présent à déposer sur roche. mon coeur dit ce que la vie ... l’oblige à dire ... à dire à la mort. Ou plutôt : mon coeur battant ... dit à la mort (qui est là près de luii, à comme veiller sur lui, à lui chercher querelle aussi), mon coeur dirt ce que la vie en lui lui demande (urgemment) de dire. je suis celui-ci qui parle et qui, parlant, sauve ... un dire de la mort de kl’âme. je suis (je serais) unn être calculateur. je compte chaque battezment-. je vais devant à la recherche d’une vérité (vérité de poids) qui soit pour moi une aide substantielle à un maintien (en moi) d’u ne poussée (vive) de vie vive. je suis cette ombre déplacée. je suis celui-là , qui veut aller loin dans la roche, à la rechercjhje d’une sorte de donnée  votive, et pour cela je me dois de toucher le  verbe ... de la foi dans l’être. je touche ! je touche et touchant (forcément !) je suis touché et ... voilà où le bât blesse ! car, touchant on se trouve touché et touché on se trouve blessé. je voudrais comprendre à jamais les données franches d’une vie à vivre ! je cherche (ici même) à comprendre au mieux ce qui est de cette chose en moi, d’une bête de joie (ce je !) qui cherche à être ailleurs qu’en moi, soit  : dans la mort ! or, mèfle ! nooooooooooooooooooooooo

n , merdum non ! pas vouloir ! moi enfant ! moi pas avoir envie ! moi enfant parle pas ! moi qui suis enfant peux pas ! sait pas comme il faut ! peux pas bien ! sait pas bien ! parle à peine ! voilà ! et donc du coup comment on fait ? si en moi l’enfant ne parle pas  car il ne sait pas, qui pour lui va prendre la parole ? qui prendra pour lui la pa(o;:e ? un dieu ? la rage ? la bête ? laquelle ? le serpent $? la vipère ? le père ? le sang ? la chance ? le verbe ? le verbe menaçant ? la prière ? la joie ? je ? et nous voilà cherchant ici et là ce qui est de fait dans ce qui se trame ! nous ne sommes pas sortis de l’auberge ! nous avons du pain sur la planche ! nous devons nous serrer les coudes ! nous avons de quoi faire ! nous ne sommes pas en manque de quoi que ce soit en ce qui concerne ce qui reste à faire pour comprendre ici les tenants et les aboutissants d’une vie sur terre, avec : temps de vie effective (fluctuant) et temps de

 mort (enterrée ?) qui en vrai peut varier selon les données qui seraient les noôtres ... au moment de notre mort. Je suis ici pour faire cette chose ,

d’un calcul, d’une sorte de calcul de base, concernant les jours à vivre vif et ceux qui seraient (peut-être) à vivre non-vif = mort. je cherche devant moi (ici bas mais dans le fond des choses recentrées) ce qui est qui puiisse m’offrir en quelque sorte des donnéesz dde base ... intéressantes à plus d’un tittre. je  veux toucher cela même qui vient à moi dans le temps. mon soucib ici est de toucher vif la mort contenu dans ce daevant de soi interplacé. je veux être homme comme bete des parois du monde = un homme ... devenu bouquetin ou bison ou cheval. je suis : homme de rage au sang chaud, au sang qui vibbre en lui comme du verbe. jke cherche  à toucher roche de mon pic (acéré) de verbe, pour percer icelle (illico presto) afin de percer par la même le mystè§re de la destinée. ce pic est cette chose, en bout de moi , qui pisse sa gourme, qui va ou ira à vau l’eau ou pas mais tente ou tentera une approche liquide, effluves ... ou sinon comment ? volatile ? Je cherche à comp^rendre les données (de fait) les plus fines et les plus naissantes. jhe veux toucher la roche des temps alloués de ma pique perlée, plzine de Verbe , de verve, de paroles vives, de cris de haine et de joie mêlées. mon coeur est tendu à l’extrè:me : je monte ! je me hausse ! ou plutôt : je suis haussé, porté et me voit monter comme soulevé par en moi une sorte de bras qui me soupèse, me portye haut et me fait tracer sur roche des betes des prés. je suis homme des paroles dites à la voléée 

et tracée de fait sur pierre au stylet. je suis un homme à la voix perchée. je suis homm des apprêts , qsui cherche à comp^rendre au loin ce qui se dessine et qui sembvle vouloir me parler (qui sait ?) en son langage. quoi lire ? que co:mprtendre dans ces dires d’homme des cavernes ? que la vie e-st vive sur paroi qui n’est pas la vie vraie ? que la vie dxes betes est vive sur roche mais c’est faux en vérité ? que la mort est soudée au  verbe ? comment cette chose , comment l’exp;liquer ? si la mort est, en effet, soudée au Verbe alors l’animal en moi erst soudé au verbe et de fait à la mort ! eh bien ... peut-être ! très certainement ! peut-être qu’en effet il est cette chose comme quoi la mort est soudée (enlacée) au verbe ! qui l’eut crû ? la mort est vie de rêve ... enlacée à du verbe vif ! la mort est cette chose d’une sorte de parole en soi, accrochée à une roche, à un pic de roche (etc) qui fait d’elle une sorte de conseillère attitrée. je la vois qui s’agrippe au verbe comme un fil de soie. Je veux la comprendre et pour la comprendre il faut la toucher. il faut faire cette cxhose de toucher la 

mort.; mais comment faire ici ou là pour la toucher ? est)-elle touchable ? est-elle intouchable ? est-elle donnée ? est-elle une offrande à son tour ? est-elle enlacée ou entrelacée à du verbe et si oui à du verbe à qui ? je cherche à fond kles manivellkes ! je ne m’en laisse pas conter outre mesure ! je veux tracer ma route, tracer au mieux et cerner. Mon coeur bat comme  celui d’une bete de joie et j’en suis bien aise, car je veux que ma vie perdurâ t et tint bon sa chandelle verte. je suis animal. je suis Bête. Je suis un 

animal des données profondes , et je veux trouver sur terree cxde quoi me loger, me mettre à l’abri, me protéger des intempéries et des prédations. je m’appelle du nom doux de Spi l’homme des parois du temps. j’opte pour un autre nom que kle sus-cité par la bande. je cherche fortune dans le temps donné d’un déploiement, ou comme fortune car kje chgerche à moitié car je suis cherché, je suis comme (en moi même) cherché par la bête qyui se joue de moi et moi de suivre ses prérogatives et ses volontés. je fouille dans la roche dure à la recherche de données de base qui piuiisse nous donner de quoi avancer sur la voie des connaissan,ces majeures. mon coeur est une sorte de machine à être. je veux sortir de là (sas) et aller là (autre sas) pour comprendre ce qui est d’une vie terrestre. je vais vif. je suis l’homme au passé déposé. Je ne veux pas tomber à la renverse mais tout au vcontraire rester droit et voir devant moi les présents de taille déposés en guise d’offrandes. je les vois qui trônent devant moi = le présent, la cxhose offerte et le temps passé déposé. je vais vers la roche et touche. Je suis l’homme aux bras ouverts. je ne tombe pas à la renverse mais je tiens. nous voulons comprebdre loin et profond les choses encerclées, les choses situées, celles qui sont déposées ici ou là dans le monde. notre besoin est incommensurable de vouloir comprendre mais cvomment quand les mots surnagent qui nous font espérer et ce faisant sont liés à la mort. la mort et les mots sont main dans la main. ou : le v erbe et la mort sont main dans la main. ou 

zncore : mort et verbe sont main dans la main. Ou bien verbe et mort main dans la main. je cherche que tu chercheras les mots insérés qui sont dans la paroi comme adoubés par la mort à l’oeuvre. nous devvons comprtendre un grand nombre de données de rage et pour ce faire : aller fissa ! filer à l’anglaise ! tracer ! faire vite fait! pistonner ! par la bande aller et tracer que tu traceras qui des buffles, qui des bisons ! Je vais dans la roche, je vois ce qui est : des betes sur un pré et qauoi d’autre ? dees entrées de groottte, 

et quoi d’autre ? je ne sais ! je regarde, jke regarde de pl;us près mais il n’est pas facile i ci de distinguer les choses en vrai, car nombre d’entre elles ne sont pas en vrai mais seulement ... enfants (?) du Verbe ! Je m’approchhe d’une biche , je m’approche d’un chevreuil, je m’approche d(une bete des bois, je suis l’homme des approches de prairie. la biche est douce comme de la soie. Le cerf lme regarde méchamment, qui se demande ce que je lui veux incidemment. Je vais vers eux et cherche à lkes toucher en vrai. mais sont-ils vrais ? sont-ils en chair ? ont-ils de vrais attributs sexuels, de vrais bois, etc? je me le demande, à présent. rien n’est moins sûr il sembklerait. et cependant ces bêtes me parlent, $me regardent, me parlent avec des mots, des mots de contrebeande ma is ce sont des :mots. je veux les comprendre. La mort dans la vie. Où est elle située ? que fait-elle de ses journées ? la mort est-elle si occupée au jour le jhour ? est elle réellement sur le qui vive en permanence ou prend-elle le plus souvent ses aises, le soleil ... en terrasse ? Qui ou quoi est la mort ? Nous voulons comprendre ce qui est et pour cela nous devons cerner (au mieux) les contours du Verbe, car la =mort est dans le verbe et le verbe dans la mort (cul et chemise) on l’a dit ! La mort et le verbe font bon ménage, ou disons qu’ils sont en ménage. ils couchent ensemble. ils sont ensembkle. ils sortent ensembvle = ils sont ensemble dans l’intimité. je cherche à comptrendre ce qui est, et ce que je vois c’est que la mort est une sorte de don,née de poids qui tend à devenir ... Êttre, au fur et à mesure que le temps grossit d’une vie particulière. je cherche en roche des motifs qui soient des formes qui puissent nous donner un quelque chose à butiner. ,je veux être pris en considération

. je veux être comme priis en une sorte de considération. respêct à personne en danger peut-êtrte pas mais enfin le respect qui serait kla première des choses. donc, la mort : respect à mon encontre. tu me dois le respect en permanence. tu ne dois pas encombrer les lieux mais déguerpir vite fait bien fait et nous laisser aller à nottre guise soit longtemps si tel est notre voeu le plus cher. nous voulons comprendre ensemble (elle et moi = une paire) les choses de poids qui font que voilà, nous avons, pour nous, à cerner le Mal par la bande et non point frontalement comme  ccertains le croient. le Mal est bien enfoui en nous, il se loge là pour de vrai, il prend placce, il est inscrit  en nous comme un silence dit des profondeurs, comme anguille sous roche, comme bête des tréfonds. je suis homme des fonds de la rage à être et veux comprendre ce qui est ici (roche) qui existe en tant que tel et n’est pas du mirage ou seul mirage. voilà , la mort, ce qui lui passe par la tête !Elle pense « la vie» sans cesse. elle  veut de la vie, 

elle souhaite pour elle la vie, elle ne veut rien d’autre que la vie pour elle (s’en rassasier, s’en foutre plein la la:mpê, etc). La mort aime la vie. la mort en vie aime la vie en vie. et nous, ce que nous donnons, c’est de la vie en mort = le passé brûlé ! et la mort de rénacler... où ça ? en 

nous ? comment ? par le sang ? et si par le sang comment ? NOus voulons savoir, nous voulons en savoir long, nous voulons trouver. la mort est liée à la vie (tressée à elle) par le Verbe. la mort n’est ni devant ni derrière mais liée à nous (tressée) par le  verbe serpentin en   ous (un caducée ?). nous  voulons comprendre vif et pour ce faire comment faire ? nous voulons ensemble ici comprendre et cela pourquoi ? parce que nous voulons être in-formés c’est-à-dire formés, en  ous, comme est en nous la prière induite. nous voulons aller en roche des prés ceuillir des  herbes, ;les brûler, les offrir à une déité de parade. nhotre envie est notre vie. les mots caracolent dans le tezmps et font diversion. les mots sont tresszés à l’être et ne peuvent facilement être débarqués (et si oui comment ? qu’on me le dise !). je sais cela, comme quoi les mots sont (pour moi) adjuvants à autre chose en soi qui perdure un tempsz puis finit par s’étouffer et céder. je comprends les données de base (de rage ?) mais enfin la terre est ronde et non p;late ! le ciel est bleu et non vert, et . kje  suis «branché». je vois avec des yeux de rage. 

mon coeur voit pareil. ma voix se perd. ma voix est sans importance notoire, elle fait ce qu’elle peut et que peut-elle sinon peu een vérité, quyi a vite fait de dérailler comme la voix qui mue du jeune blanc-bec. Je cherche à comprendre, dans un tas de choses ent&assées, ce qui est et ce qui n’est pas. mon nom est un nom d’emprunt que je n’aime pas plus que ça mais peu importe. ce qui compte c’est la voix ! la voix de rage ou pas mais cette voix qui sort de moi comme un cracxhat. JE veux être pris pour ce que je suis et pas pour autre chose ! je veux être priis et du coup, considéré pour cela même que je suis (mais que suis-je  ?) et non pour quelque chose ou qsuelqu’un d’autre qyui en vrai se verrait payer à ma place, ou moi à la sienne plutôt ? Je ne suis rien de plus q’un verbe de poids sur paroi, ici la bete de réserve, la bête rosse. mon nom trône c’est un fait, se voit réifié, etc, mais en  vérité il est peu de chose. il n’est pas si fin. il ne donne pas grand-chose. il est ce qu’il est mais ne porte pas loin.Je sais bien cette chose comme quoi un nom xe famille est une chose prise à part par en soi la mort. comment cela ? par la bande = par la bande langagière = par kle temps. nous nous agenouillons côte à côte et regardons au-devant de nous ce qui se dessine sous nos mains. il s’agit de betes de cazvernes ou autre bêtes des prés ou des bois = l’ours des cavernes mais aussi le cerf, la biche, la jument, la bisonne. je regzrde ce qui est. la mort est toute assujettie au verbe. le sujet du verbe se voit accouplé )à cette chose (en vrai ?) de la mort de l’être; je regarde innocemment mais en vérité peut-être pas tant que ça. je suis cet homme qui va devant et court et traine sa misère et fonce et trainaille selon les moments. je vois loin. mon etre est l’etyre de la jhoie à être. je veux etre vif permanemment et ne pas tomber en arrière ni :même )à kla renverse. mon coeur bat et tant qu’il bat c’est donc que l;’animal en moi est toujours là comme une sentinelle. je veux être adoubé par qui xde droit qui me dirait oui, szoit un oui massif comme aurochs des prairies. ce ouiii serait la marque d’une sorte de /

d’une sorte de, peut-être, volonté ancrée, pleine, venant de l’après, de me voir secondé par en moi la bête majeure. je dis oui à cette bête. je me la veux pour moi dedans comme un -enfant. je veux etre enceint (ou enceinte) d’elle. vive la bete en moi ! vive elle ! que vive la bête en moi ! qu’elle soit toujours là ! que la bête en moi gouverne ! que la bête en moi à jama is gouverne ! qu’à jamais en moi la bête soit le guide de mes pas ! Je veux de cette bête en moi pour être mon être de joie = je ! Je veux ça ! je  la veux pour moi comme la bête qui en moi serait  c elle-là que la mort voudrait mais n’aurait pas ! Je suis être de vie et de mort puisqu’en moi la mort (dans le verbe !!!!!) erst insc rite en vrai. Je suis adoubé.  Je suis betye en moi de rage dans le sang. HJe suis cette bete en moi qui se peletonne et chyerche son aise. je veux de cette bete en moi à jamais enchevêtrée au Verbe de la mort . je suis homme-ommbre bete-mot qui (un jour) va tomber et va succomber et mourra et alors on verra cve qu’on verra. je veux ne pas. je suis l’être qsui veut ne pas. Soit : tomber à la renverse, t^$ete la première, dans les bras non de morphée mais d’une sorte de bete de joie en soi. je suis homme des parois du temps, qui irait tremblant mais tiendrait le cap de sa rage à être un enfant.

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1/3/2022

Qui est là devant soi pour soi ? qui nous regarde ? qui s’approche ? qui vient à notre rencontre ? Nous cherchons ensemble à comprendre les données présidant le monde mais comment agir ? comment décider à quoi faire ? nous nous approchons d’une porte ouverte : cela est. nous disons cette chose comme quoi nous sommes ensemble (une confrérie) à nous approcher d’une porte grande ouverte. Cette porte est une porte ouvrant sur du vide il semblerait, mais qu’en savons-nous ? nous nous approchons nonchalamment d’une porte ouverte sur quelque chose qui reste grandement à définir ensemble , il est cette chose comme quoi une porte, devant soi, nous est ouverte, nous la regardons, nous sommes cois ou coites, nous nous tenons par lma main mais nous ne savons pas grand chose de ce qu’il serait pour le coup judicieux de faire à cdeux comme nous sommes. Nous voulons comprendre ce qui est (ou ce qu’il en est) du monde. nous voyons au devant de nous une porte. Cette porte ressemble à bien des portes. elle semble ouverte. il semblerait que cette porte devant nous soit une porte ouverte sur un avenir, sur des lendemains, sur demain, etc. = sur ddu temps offert par lma bande, ou sur du temps multiplié par une bande devant soi, bande des abris de buve, souffle tantrique , estomac. Nous cherchons ce qui ici peut bien être trouvé en la matière. Nous nous approchons de la porte et regardons subrepticement ce qui s’y trame et que voit-on ? nous voyons des choses remuer mais sont-ce des choses ? fantomes ? herbes ? foin ? quoi donc ? il s’agit d’un champ. Il s’agirait d’un champ. on peut s’imaginer un champ de blé ou d’orge. de quoi s’agit-il ? on voit que derrière la porte une chose se dessine et semble bouger comme herbe dans le vent. on pense à un champ 

mais est ce bien cela, ou plutot un ... chant ? ou comment peut on comprendre ce qui est ? car la lumière ici est vive et nous éblouie ! nous sommes subjugué pour ainsi dire et rendu mirauds miraudes. Nouys voulons comprendre ce qui est (ici) de pareille lumière vive, on voudrait comprendre (ensembvle) cette chose, de pareille vive lumière des embruns. Nous ne savons pas au njuste ce qui se trame et raison de plus pour essayer ensemble (= main dans la main) de le comprendre. Qui est qui en la matière ? que voit-on qui semble s’agiter derrière la porte ? qui vient ou viendrait (peut-etre) à notre rencontre ? ou n’est-ce qu’une sorte de vision faussée ?  brin de muguet ? brin d’avoine ? champ de la roche des temps ? praiorie faciale , collège ? chant d’azur de la plus haute branche ? arbre de vie calfeutré ? Nous ne savobns pas mais il semvlerait <qu’il y ait derrière (une porte ouverte) une chose d’importance, un sas, une sorte de pièce d’acceuil, une antichambre à une chambre bien plus vaste qui serait de fait cette chose d’une sorte de champ étendu contenant des bêtes de poids, contenant des biches, des cerfs et autres chevreuils de compagnie. Nous cherchons à comprendre cette porte devant soi (son aspect ?) quoi elle représente en termes d’ouverture sur un (pôssible) ... prolongement à la vie ? nous ne savons pas ce que pareille porte représente et pour nous il va sans dire que c’est plutot chose gênante et peu confortable. Nous voudrions que pareille porte ouverte pour nous devienne un savoir fort et ancré. nous avons cette envie en   ous de comprendre cette porte ce qu’elle est pour nous qui la voyons car noius savons que notre vie un jour va se terminer, se terminera, finira par s’achever, etc,

 soit : nous quittera. or , comment dire, nous s&avons mais que savons-nous ? nous savons disons-nous (voilà la porte !) mais que sacvons-nous de ce savoir-là ? NOus dison,s que nous savons ou plutôt connaissons l’existence de cette porte (ouverte ou fermée là n’est pas la question à cet instant) mais qu’en savonsnous ? que savons nous de ce savoir ? que savons nous du fait que nous disons que nous savons de fait notre fin inscrite ici dans une sorte de tracé de vie à vivre, que savon- nous de cette chose au juste = de pareille porte (ouverte ou fermée) qui nous serait offerte ... au fin fond d’une vie à vivre ? nous disons que nous savons que la mort existe, que la mort est inscrite en tant que telle, soit qu’elle fait paretie du schéma de vie. Nous disons que pour nous kla mort est une évidence. Et voilà où le bât blesse ! voilà exactement où le bât blesse  ! nous croyons dire vrai ou juste en disant cela (comme quoi la mort existe en vrai), nous pensons être dans le vrai, nous sommes sûrs de nous. nous en mettrions la main à couper. nous l’affiermons ! nous affirmons ce dire. et cette affiormation ... est le fait global du dire humain ! voilà ce qui est ! dire = affirmer. affirmer cette chose ici pour nous, d’une mort éminemment annoncée comme incluse de fait (et pour le coup) dans les arcanes du langage humain. nous disons que cette chose est, comme quoi parler humain (en tant qu'humain / humaine) équivaut à dire ... que la mort exisqte. et parler animal = ... auttre chose qui reste à comprendre (ici ou là à) un moment donné). nous disons que nous cherchons du ... dire crevé, percé, comme percé par, en soi, une pique qui viuendrait trouer une bulle de Verbe. nous cherchons à percer une chose ici, devant soi, qui est une bulle de verbe, qui est aussi comme cette porte signifiée plus haut, ou outre, ou fenêtre, ou paroi, ou roche etc.le Verbe en soi dit la mort de base. on comprend cela 

comme quoi le verbe, le verbe comme déroulé dans un temps donné, dit cette chose comme avééeré , commae quoi nous sommes (serions) mortels / mortelles. ou plutot : comme quoi nous avons la mort, pour nous, au bout du chemin. or que dire ? que dire ici et là sur cela ? nous disons que nous cherchons à bien comprendre ce qui est pour nous d’une sorte d’emploi du langage humain (animalier ?) en tant que tel. Nous pensons que nous avons à bien comprendre cette chose d’une sorte de parole comprenant la mort en elle en termes de chose avérée, certifiée, sûre de chez sûre. Nous disons que parler = asséner ce fait, d’une mort prochaine. D’où l’autorité intrinsèque du langage humain. d’ou l’autorité incluse en ce langage humain. d’(où cette chose d’une certitude affichée aux quatre coin d’un langage humain. Nous voulons comprendre cette certitude à la lumière d’un dessin de bete pariétal, d’une gravure de paroi, etc, et pour cela, n ous nous approchons d’une sorte de porte devant soi, porte des embruns (dite) qui est devant nous ouverte et semble «nous aspirer». Que est-elle en vérité pour nous ? il y a devant soi une porte ouverte (à jamais ?), qui semble (on dirait) «nous aspirer» et nous pousser à nous approcher d’elle (simple curiosité ? aspiration a vérée ?) . Nous nous approcjhons. Nous voyons cette chose devant nous = une sorte de mort, inscrite sur roche (effigie ?). nous nous approcjons de cette porte. une porte ouverte. une porte ici semble e^ttre ouverte pour quelqu’un ou quelqu'une en particulier. Nous nous approchons (à deux ?) de cette ouverture dans le temps qui est une ouverture dans le vent ou comment ? car, ça souffle fort en ce lieu, misère ! ce que donc ici ça peut souffler de rage ! on se croirait tout en haut d’un mont ! on dirait un mont de rage ! on dirait un mont haut perché aexposé aux quatre vents ! Et noius de nous y retrouver ! que faisons-nous ? qu’avons-npous décidé ? qu’allons-nous décider de faire ? sauter à même le vide intersidéral éventuel de l’apres-seuil ? que décidsons-nous ? mais d’abord que voyons- nous ? pouvons nous décrire la chose, la comprendre et l’exposer ? nous voulons comprendre  ce qui est ici pour nous en termes de certitude inhérente à un la,ngage d’autorité. Est ce animzalier ? est ce autrement ? qui sait ce qu’il en est du langa ge parlé sortant de nos bouches ? humano-animalier ? ah certainement ! il semblerait que cette chose soit (ici) d’une langue humano-a nimalière de base ou par défaut, langue humano-animale par défaut, venant en nos bouches combler cette 

cghose d’un trou inhérent à nos natures. Nous voulons comprendre ici une chose vive, cette chose est une chose liée au Verbe. Nous voulons comprendre cette chose ici d’une sorte d’ouverture dans le sas du temps. nous disons que nous cherchons à bien cerner pour ainsi dire une chose qui serait comme relevant de données liées au temps = cette sorte d’ouverture en roche, cette faille dans le dur, cette excavation-fenêtre, ce passage des embruns, eh bien tout cela, cette chose entière, cet ensemble à apprécier, ce conglomérat de données, serait lié ô combien à une sorte de pariole vive temporelle, à une sorte de vive parole liée au temps, à un temps imparti d’ordre musical. reprenons : ici nous sommes, nous autres (ensemble) des êtres qui nous avançons (de-ci de-là) dans un temps donné ou imparti qui est  celui d’un temps de vie icicoctroyé. nous noius avançons = nous cheminons. et ainsi cheminant nous allons ensemble vers des lendemains, progressons ensemble vers des lendemains qui (dit-on) mènent à la mort inscrite ... inscrite  d’emblée dans le paysage, pour ainsi dire . nous disons ainsi que nos vies ... ont un parcours pour elles à devoir suivre et une fin (brutale) au fond du parcours ( à la fin). Or, comment dire, 

icelui savoir, cette chose, ce savoir de basse extraction langagière en  nous , est savoir qui demande ... examen approfondi. nous ne sommes sqûrs ou sûres de rien et cependant nouys l’affirmons ! nous ne pouvons faire autrement (etre parlant) que d’affirmer . nous ne sommes pas capables en vérité, de parler sans affirmer du dire. la chose est claire et nette, nous savons cela. nous savons cela comme quio pârler = toujours affirmer = asséner = approuver = conforter un dire de mort, c’est à dire un dire qui inclut la mort, c’est à dire un dire qui dit que la mort existe, et ne dirt que ça pour ainsi dire. Paerler szemble deès lors une gageure à la hauteur exacte de nos espérances. nous voulons ouvrir un e voie pour un passage autre que la mort inscrite (ici même = le langage «humano-animalier») et pour nous, il est important de comprendre = prendre à pl;eines mains, à la sauvage, vivement, une chose de poids, cette chose qui est un massif de type temporel, de type animalo-temporel, soit un aurochhs (ou tout autre animal xde poids dans la balance). nous voulons cerner cette chjose, d’un dire «de la mort inscrite», d’un dire «fol;», d’un xdire qyui vous ravale, qui vous intercède, qui vous condamne, qiui vous cxharge, qui vous pl;ombe pour des décennies. notre but est de comprendrree en quoi le langage ne peut ... se sortir de l’étau ,  de la mort inscrite en lui. nous voul;ons comprendre ici cette chose, cette vérité pour ainsi dire temporo-pariéto-animalo-certaine, d’une sorte d’enclave à chercher, et à trouver, à même le temps. comment se sortir de ce guépier ? comment faire cette chose ici (parole de temps) sans se perdre et y laisser la vie ? Nous voulons «toucher» le Verbe (on l’a dit) quand bien même le verbe est une chose qui peutêtre n’est pas à  toucher. Nous voulons toucher = ressentir = nous approcher ou nous en approcher physiquement, etcx. toucher dans la vitesse. toucher par le train mené (le nôttre) vers elle, vers la mort, vers du temps, vers la mort induite dans le verbe via le temps d’une diction animalière. Nous sommes ceux et celles-là , qui cherchons à bien comprendre un certain nommbre de données particulières liées à un verbe qui serait un animal à graver xsur roche, et cet animal dit (dirait) la plus  grosse des choses qui est (serait) cet allant de vie massif en nous, dont le nom (bizearrement ?) ailleures est celui de «Mort» comme de juste ! alors même que non  ! nous disons pour nous, que laz mort ici, cette mort induite, n’est nullement la chose vraie qui nous attend ! non ! nous disons que non ! nous disons que cette chose n’’est pas  vraie ! nous disons que le Verbe dit la mort de part en part (grosse chose à déposer) mais en vérité non ! nous ne pouvons pas savoir ! nous pouvons deviner mais quoi en véroioté ? La mort est une chose rude, inscrite ici dans un langage animalier imaghé qui est ce langage des parois des hommes et femmes des cavernes. la mort est déposée sur roche instamment. il s’agit de bien co:mprendre ici cette chose rude (la mort) inscrite d’emblée dans nos gènes en tant que verbe de données de base, de données données. Nous disons ici cela qui est. Nous disons que verbe = autorité (de base) et que pareille autorité signe notre foi (intrinséèque et massive) dans pareil en nous langage humano-inculqué. Nous voyons cette chose de la sorte en nous et

 pour nous. nous disons cela comme quoi pour nbouys la vie est une donnée franche mais en vrai coton à comprendre ensemble à la lumière des seules donnéess inscrites df’emblée (à la naissance) dans le langage. nous voulons co:mprendre ce qui est au juste, ici (langage humano-pariétal), et pour cela nous nous apporochhons ensemble tempoorellement d’une porte qyui semble êttre ouverte ici devant nous (puisque nous nous infiltrons en effet !). nous nous infiltrons dans un sas de temps déployé, nous sommes plusioeurs, nous sommes ce «nous» qui s’exprime au nom de plusieurs. qui sont ces «plusieurs», ou plutot qui sommes-nous qui sommes plusieurs en nous ? Nous cherchons à nous approcher ici d’une sorte de «fin» de rage à dire le temps d’une vie impartie par la bande animzalière d’un dieu de la mort. nous nous infiltronstemporellement dans un sas de rage = dans un sas dit «de rage» à être l’homme ici ou la femme qui chante son tourment lié à des tourments paticuliers liés à de la misère : à être, à devoir passer, à souffrir, à endurer les ordres, etc. nouys voulons comprendre les données du monde 

 offertes dans la roche d’un temps déployé pour une vie humaine. nous voulons cerner les choses vives, les toucher pour ainsi dire. Nous voulons aller au plus profonds des choses du monde. Nous voulons aller loin , dans les arcanes d’une  vérité à devoir «toucher». Comment faire ? dans le temps semblke une solution mais comment nous y prendre au juste pour bien faire ? Nous nous approchons (à force) d’une vérité de bout de phrase, car, lma vérité n’est pas donnée complètement mais y va (de fait) de son déroulé temporel animalier (cavalcade) sur paroi de Verbe. nous cherchons à nous approcher d’une paroi de verbe. Nous voulons nous approcher ou rapprocher d’une sortye de oparoi de verbe = ouverture à l’iris, chant des autres, chant vif d’une sorte de mélopée sortant don ne sait où en vérité. il s’agit d’un chant dépl;issé , qui conduyit à aller profonsd, ou qui incite, ou bien qui pousse. nous cherchons à comprendre cette mélopée, mélopée de base, ce qu’elle est pour nous qui nous approcjhons toujours davantage (temps) d’une sorte de fin inscrite = écrite, qui serait Vérité de rage, Vérité grave, Vérité incommensurable et comme éternelmle. nous voulons aller au bout de la phrase soit au bout d’une vérité affichée, certaine (comme toute vérité), mise enfin sur pied et utilisable à jama is, mais nib de nib a ton dit ici ! nib ou tintin ! car, vas-y à terminer la phrase ! Aucune phrase n’est (de notre vivant) possiblement terminable en acte. nous savons que cette chose est impossible. Toute phrase engagée ou démarrée aura sa fin de rage ,

aura sa fin de rage dans les vents ! nous voulons comprendre ! nous cherchons à toucher à 

= à toucher à une chose = à toucher à une chose en dur = à toucher à du vif = à toucher à toucher = à toucher un corps nus, à une nudité de base, à un corps vif et nbu de base = corps à aimer, etc. nous voulons toucher une sorte d’entité de base qui serait (pour nous) du Verbe incarné, un verbe de poids = une parole qui (de fait) dit (dirait) la vérité , sans autres contours de quelque sorte que ce soit, sans faux-fuyant, sans paroles mensongères surajoutées, sans crainte. Nous voulons comprendre, ensemble, un grand bnombre de données liées à une vérité qui serait (pour le coup) corporéifiée de base (Amour des chants) et qui serait pour nous (qui sait ?) une solution (ou représenterait) à nos problèmes de vie et de mortenchevêtrées. nous savons cela, comme quoi le Verbe ets une autorité passagère. Nous disons que pôur nous le v erbe pèse (lourd) et fonce que tu fonceras, et à ce titre il est incommode, il nous enquiquine, il n’est pas facile à endurer etc. Je suyis un homme qui (en roche du temps) essaie de trouver parade , une sorte de parade langagiyère (à ma façon) afin d’en finir avec  cette sorte de chose induite dans le verbe appris, à savoir avec la mort. car , la mort est ce mot sûr , est cette chose induite, inscrite, à laquelle nous croyyons permanemment, indubitablement tous et toutes. notre foi est cette foi que nous avons en  ous concernant la mort. qui ne croit pas à sqa mort p^rochaine (un de ces quatyre), qui ? qui est là qui ne croit pas à cela en vérité ? qui est près de nous, qui donc ne  croit pas au mot «mort» ? L’animal ? hé hé on ne sait ! on ne sait pas ! on ne le sait pas vraiment ! on croit savoir mais quye sait-on ? les mots se chevauchent (chevaux) qui semblent nous dire des choses (nous tromperaient-ils ?) à force d’aller en ce champ à la rechgerche cde données. Les mots se chev aucheznt dans le champ temporo-spatial d’un chant mélodieux qui est le chant des temps alloués dépliés, temps des dires fous déroulés, temps comprenant phrasé aux issues fatales (?) ou pas, mais qui semble voué à une sorte de tyerminaison de type «vértité» incommensurable. nous voulons comprendre cette vérité des chants xd’ai:leurs, cette mélopée (mélodie) de base s’élevant. où sommes nous enselmble ? que voyons nous ? que craignons nous ? que cherchons nous dans un sas pareil , fait de temps et d’espace méla,ngé ciomme dans la brume acidulée d’une sorte de verbe de fin de campagne, quoi  ? Nous voulons aller et loin et vif. nous voulons cerner et court et près. Nous voulonbs cerner (au plus près) les données langagières de base, celles-là que nous contenons en ous-mêmes = ces données de rage animalière, ces données déployées dans un temps déplisszé pour quelques années. nous chgerchons à co:mprtendre ensemble (Nous) ce qui est ici d’une rage (contenue en nous) quyi sezrait du verbe dépôsé sur roche du temps. Nous voulons aller au plus loin possible de la phrase = de la vérité qui donc 

apparaitra (de fait) à la fin de la dictée. Nous nous disons que cette chose (d’une phrase élaborée, et complète) est chose inatteignable. car, qui dit vérité dit phrase et qui dit vérité-phrase dit phrase terminée, complète, avec un début et une fin qui rendent kla parole contenue en elle , en, pareille phraxse, hautement intelligible. 

une véryté nécessite du temps = temps d’une diction, d’un déroulé, d’un xdépliement, d’un déployement, etc = temps donné. Or ici on voit cette chose , comme quoi le temps donné trouve  chute (sa chute) au moment précis où nous passerons (où nous passons ) l’arme à gaucghe. donc quoi ? on sait cegtte chose d’une mort pré-enregistré dans le langage de la ... foi dans le langage de la ...

 foi dans le langage lié (évoquant) 

à la mort (la mort). 

Nous voulons comprendre le «langage de la mort» en tant qye tel. Le «langzeage de la mort», est le V erbe rude (ici présent) qui sembkle «toucher» à lka roche du temps. KLe verbe en nous , congtenu par la bande (animale = animzalière), est une chose qui (ici même : écrit) pèse ... de tout son pesant. nous devons comptrendre ici même = dans lke temps du déroulé verbal, cette foi induite, cette mort donnant accès,  cette foi induite en pareillle lan,gue  inculquée et qui est la foi ... enn la mort, soit en la vérité de la mort, soit en la vérité des mots. Les mots contiennent des données de type vérités = des définitions, qui donc «finissent» les termes, les cklosent. Nous pensons que nous devons comptrendre ainsi la mort (et lke dieu ou la déesse en elle) à la lumière des définitions contenues (pour le coup) en cxhacun des motds que nous e^

mployons. kles définitions finissent les mots, lesz achèvent = les terminent. Les mots zont ainsi cernés. les mots deviennent ainsi des  vérités à part entière. les mots sont des stèles. sont commùe implantés dans des champs de raves. Nous cherchons à bien cerner ces choses de mots inculqués, de mots qui szeraient des bornes. Nous voulons co:mprendre ensemble des données vives (verbales) dsans kle chant, dans un chant de rage déployé (le chant) à même la roche «transversale». Nous ne vou:lons pas subir le Verbe or si ! nous subissons intégralement ! Nous ne vouliiiions pas subir le verbe de lka foi, et pourtant, voilà que nous nous trouvons ici pris commùe d’assaut ... par du V erbe de poids en nous, qui semble trépigner, nous en faire voir, nbous  mettree à mal. nous voulons co:mprendre cette chose ici (verbe en nous) d’une définition écrite en toutezsxlettres (aurochsc ?) qui serait celkle concernant la mort en tant que chose qui serait sans manque ou manquement, sans faute ou falsification, sans appui, etc, en cettte chose (en nous) d’une foi en elle; ou comment exprimer cette foi en nous contenue ... en une sorte de parade (printanière) d’apparat ? Nous voulons cerner kla mort, la cerner au vif, au plus près. notre but est de co:mprendre ce pour quoi nous croyons en la mort , en la mort et en la vie , et en d’autres choses de poids dit massif. nous voulons comprendre cette foi (en nous) en ces vocables : pourquoi ? pour parer ? pour tenir à distance ? occuper le terrain de la vie impartie et ce sans succomber au premier coup du sort ? pour se tenir aux branches d’une vie offerte pzar la bande langagière ? pour chasser les vieux démons ? les vieux et / ou les jeunes, qui sait ? pour tenir face à la tourmente des méfaits et autres faits de vie ? pour aller contre le vent sans devoir poser pied à terre ? pour «rouler» = roule que tu rouleras à roule-barricot ? pour chercher ombrage, ombre, ombre sur la prairie, ombre où pouvoir se poser, se reposer, déposer son barda de vie vive ? Nous sommes deux en nous (bete et bekllke ?.) qui nous approcjhons à) petits pas ensemble de la  vérité, à savoir d’une fin, d’une fin de phrase. notre but n’est pas de finir la phrase (et de co:mprendre dès lors le sens complet d’icelle) mais d’en avancver (fisza) dans lke temps, à savoir : de percer la roche devant soi, de touycher la Chose qui se (ici) présente à nous, qui creusons, et ainsi faisant : de «trouver». De «trouver» joie = je = jésus= jean= le père = cette Chose rude (rugueuse?) d’une foi à être. nous sommes ensemble accrochés, qui allons fissa = à fgond la caisse 

dans les remblais d’une sorte de foi à être : est ce cela ? nous nous affichons comme ceux ou celles qui cherchent violemment, incxidement, coonscienceusement, finement ou pas mais vivement, etc, à cerner les données qui ici président cette chose d’une foi (intrinsèque) inscrite (de fait) dans le Verbe ... déposé en nous comme présent d’offrande. A la une à la deux, renvoi, envoi, chose donnée chose due, chose promise chose déposé, échanges (à toi à moi) de bons procédés. je suis un homme femme déployé (= temporel) qui dit ... l’etre de la mort ; qui , parlant (foi en des mots, de base, inculqués) dit cette chose de la mort inscrite, de la mort en tant que croyance inscrite indéplaçable. Je pense (la mort) donc je suis (la mort). je pense la mort = j’y crois mordicus? Ou comment ? je parle-pense mots de roche, et ces mots en moi inculqué sobnt fixés et ne peuvent être déplacés, et voilà pourquoi nous avons «’la foi», qui est foi en du Verbe massif, pesant, pesant comme aurochs. avons nouy bien compris cette chose ? avons-nous bien cerné cette chose rude ? sommes nous assez fins et fines et malins malines pour comprendre cette chose rude ? voyons-nous ce qui est asssez ? voyons-nous cette chose ici d’une sorte de foi intrinsèque liée au  verbe implanté en nous ? nous parlons le langage de la foi qui est le langage du «je crois», du «je crois au sens inculqué (indéboulonnable) des mots». la foi est foi en  ceete chose (rude) des mots implantés. la foi est cette chose qui est cette chose i:mplanté et inculquée.je pense-parle et dès lors je crois, je fais avec, je ne peux me défiler «comme qui couillonne» mais bien au contraire je dois faire avec = je n’ai pas d’auttre cghoix que celui-là qui me voit croire en ceratins mots (tous ?) qui vont avec la vie à vivre musicalement = temporellemnent. croire = ici penser = ici aller dans un sas de vérité. d’où l’autorité

 intrinsèque du langage en soi : incontournable et bien utile en vérité il swemblerait... ou pazs ? Car, nous voulons comprendre kles données vives, celles là qui appelent l’être. nous voulons cerner au mieux ce qui est ici d’une sorte de «dire de vérité», ou serait ici, d’une sorte de dire implanté, dire vif, nacré, implanté, enchâssé en nous qui so:mmes ou sezrions des sortes de betes de rage, ou de betes-rage de première./ Je suis homme et homme je vais. je suis cet homme qui dit ou dirait des mots de charge. cxhaque mot contient son poids de vérité soit d’uidentité. Je parle avec des mots d’a utorité. je pa rle-charge, j’entre en bière. je suis l’o:mbre d’une ombre d’un homme du dire comme déplissé à même le temps d’une virée. je compte les piquets de base = les mots , dé»posés sur roche (autel) comme des offrandes. petits piquets deviendra grand ? petit homme pouussera céans et dira à son tour son dire de voix, son dire dur, sa chose lourde, son pesant de paroi, son vif déploiement avide. je suis homme et homme je suis : je suis homme du temps, et homme je suis qui va de l’avant, qui seconde, qui chevauche, qui foule, qui vire, qui poursuit sa route temporo-spatiale )à même lke chenal des rues, des opassages, des routes de vie, dees passages ardus, des venelles, des artèresq, des trous dans la roche. notre bhut est de creuser kla roche ou roche du temps à la recherche d’une sorte de donnée de base rupestre. qui est là pour moi ? l’a n,imal cxhagrin

 ? le roi du monde ? un dieu malin ? une ombre ? un cri de victoire ? un cri ressemblant à un chant ressemblant à un cri ? qui sait ce qui est qui nous attend devant ? qui sait c e qui est qui devant nous fait son petit spectacle fou-fou et semble vouloir nous charmer, nous attirer, nous plaire ou chercxher à nous plaiore, nous «toucher», ou à nous toucher»? Je suis un homme des parois de rage à être, je cherche des données de poids, je veux connaitre cette chose ici dx’une roche remplie, pleine de verbe, pleine-comblée de verbe intégré à une gouverne. je me loge en  cette roche des temps déployés et là j’essaie de comprendre ce qui est au juste en ellelle, question foi, question pa rade, question parole, question mot de la mort à vivre. Nous ne sommes pas des êtres déployés pour rien sur le front de pareille roche mais tout le contrzaire, nous sommes armés xd’un pic de percée vive. chacun chacune ici de nous se voit muni d’un pic de verbe ... à percer la roche= la roche du temps. chacun chacune ici (de nous) se voit muni d’un pic ... à percer la roche du temps , à savoir d’un pic de bouche, pic sortant de notre bouche à tous et toutes. njous piquons devant nous kla roche (= le dur) du temps. ah c’est dur ! ça rigole pas ! c’’st pas si facile ! ça coince ! ça répond ! ça a du répôndant ! ça veut pas se laisserr faire si facilement ! C’est pas de la rigolade ! c’est pas du tout de la gnognotte, en l’affaire ! C’est dur à percer, !ça résiste! c’est pas évident ! ça veut pas forcément nous laisser entrer , sauf qu’on wse doit d’entrer car on est là pour ça : on a payé pour ainsi dire ! On veut entrer ensemble tout du long dans ce dire fol d’une roche de temps déployé, nous voulons entrer 

 en ce temps des temps,; en cette chose d’une sorte de donnée de rage dépliszée et prête il sremblerait à nous acceuillir convenablement. qui peut aider à nous placer de telle sorte que (enfin) on puisse entrer sans nous retourner ? qui sait  ce que signifie le mot ‘«dire dru» ou les mots de rage, ici formulés en tant que mots drus, qui peut ou pourrait ? nous nous infiltrons dans un temps de rage qui est le temps de la vérité cha&assée mais... l’attraperons-nous à temps, soit avant de succomber ? pas sûr ! LA bete est tenace ! Nous cgherchons. nous cherchonsdans les embruns, dans les vocablkes, dans un sas, dans un abri, dans lke Temps, dans un déroulé-déplissé-déployé actif. nous chezrchons à toucher» le verbe si tantt est et pour ainsi dire de biais.  Nous sommes (deux) qyui chgerchons à «toucher» icelui Verbe «de mes cdeux», dit on, car, il s’agit d’un verbe de foi en la mort. Que pouvoir comprendre dès lors ? qsui est là avec nous pour nous guider en quelque sorte sur la voie de la raison ? qui a compris le fin mot de l’Histoire ? qui pige vif et loin ? qui va loin en le disant , ou comment dire ici cette chose d’un dire qui irait profond et loin en même temps? nous sommes qui vopulons «toucher» le verbe de la mort de l’etre, mais comment en v érité ? car, le  verbe de la mort de l’etyre est verbe vif, qui file vite ailleurs, nous échappe continuement qui nhe peut être rattrappé de notre vivant; Jez suis homme de la voix en mùoi qiuiu parle et dit de fait des choses du temps. nous voulons comprendre les données de base ensemble (l’animal et moi) et pour ce faire nous avons à nous glisser (subrepticement) en cette chose d’une roche des attraits, roche du temps déployé, dureté incommensurable et cependant, cependant voilà ce qUI est : il est cette chose comme quoi, ici, nous sommes deux (oui !) pour x et x recherches ininterrompues. voilà ici ce qui nous absorbe. nous cherchons s des vérités de poids qui aient assez en elles de pouvoir afin de nous permettre une échappée dite majeure en son wsein. nous voulons cerner kes données du sein en même temps que nous allons au plus lointain ensemble vers une lumière, vers une clarté qui est lumiàre (ou clarté) de vérité. la vérité n’est pas de ce monde

, elle est du monde «d’après». La vérité (avec un grand V) est logée en dehors du monde sensible, de ce monde à nous que nous parlons continuyment = sans nous arreter , or cette chose ici dit bien cette auttre, comme quoi ... la vérité du bout de phrase est juste impossible en ce bas monde connu de nous. il est fonda mentalement impossible de ne pas dire = de ne pas penser = de ne pasv poursuivre sur njotre lancée langqagière. colmment pourrions nous , voilà ce qui donc l’emporte en fait de pensée ou de dire formulé, voilà ici la chose, cette chose de dires inco:mplets, des parcelles, des carrés, des bouts, de la filoche,; etc, des petites choses qui, peutêtre, mises bout à hout, donneraient «qUELque chse», mais rien de moins sûr. njous nous disons quye nous devons comprendre ensemble cette chose de la mort, cette chose de la mort à l’oeuvre, comme une chose dépôsée sur un dezvant de pacotille (poudre aux yeux) quoique douloureux pour les yeux (pas seulement mais aussi pour les yeux). Nous nous avançons sur un chemin de connaissance qui n’est pzas facile à arpenter on le voit. les mots que nous avons en bouche portent en eux la foi qui les anime, les pousse à etre prononcés, etc. les mots que nous portons en nous (sas de vie) sont des animaux on le sait, du verbe-âurochs de rage, on a vu ça cent fois, sont des mots de poids qui font que voil;à nous sommes qUI restons (le Temps) en vie et ne succombons pas de sitôt a priori?;. du moins pour la plupart d’entre les hommes et femmes. Nous nous appretons à percer la roche = le temps , pour enfin comprendre un c ertain nombre de choses de poids, qui forcém»nt pèsent dans la balance d’une vie sur terre. nous perçons la roche avec du verbe. nous perçons le Temps avec du verbe. Nous sommes deux (bete et belle ?) qui perçons le Temps avec du verbe, qui cherchons à trouer la roche, à passer à travers elle fissa, à nous retrouver de l’autre côté comme deux perdreaux de l’année, fraichement débarqués comme des nouveaux-nés. le sommes-nous ? sommes-nous fraichement débarqués ? sommes-nous fraicheme,nt émoulus ? Nous arrivons ici (le Temps)  comme des bébés ... couinant à l’envi leur cri de fringale ou autrte, d’inconfort ! Et nous d’y aller  de nos recherches poussées ! nous cherchons des vérités de roche (temporellesp) qui puissent nous offrir de quoi en vrai respirer longtemps, peut-être à jamais au sein d’icelui Temps wsusnommé. nous sommes deux en nous. nous sommes deux qui (en nous) cherchons des entrées. ces entrées sontt des sorties animalières. nous voulons tyrouver des mots de poids à même le temps et pour cela nousq nous faufilons par un interstice et passons la tête et rega rdons et que voyons-nous ? nous voyons des betes de poids qui se montrent à nous, qui tournent leur t^tete vers nous, qui broutent, en nous regardant venir vers elles. les betes sont des mots de rage. verbe fol. je suis ombre qui va sur roche et marque de mon empreinte (ombreuse) lke mot de la fin. je touche la roche à vif. je suis un etre de rage , de vie,  ‘ombre, fait de temps assoupi et de temps éveillé comme de juste, et ainsi étoffgé j’avance (du coup) dans une vie dx’empruunt, sous nom d’emprunt (visible) et sous kle joug d’une sorte de peine (une) à devoir ici endurer de force. je m’appelle Espigolon, mon  nom est un nom de rage coutumier, il ressemble à plein d’autres noms formés par la bande, mon  nom est un nom de passage. il me syuit cdepuis ma naissance et prendra fin le jour de ma mort (il semblerait). Je suis donc porteur dde force (de gré ou de force) d’un nom qui dit non, qui revendique son opposition, sa contrariété. mon nom dit non à dame -sir la-le mort de branche c’est une évidence. 

Car, je cherche à voir au mieux ce qui se trame dans une évidence  mais ... ce n’est pazs si simple loin de là. BNous voulons «toucher» la mort via le verbe, oh la gageure ! Toucher la toucher ! la toucher toucher ! à travers le verbe, icelle ... «mort des apprets», «des faibles contrées». Nous nous approcjhons d’elle (la mort) dangereusement. nous ne voulons pas d’elle, nbous ne voulons pas de sa mécxhanceté, de sa vilenie, de sa monstruosité, de son allant de rage à être contre nous. Ce que nous voulons tient en quelques mots. Ce que nous voulons est une entreprise de salut public, de bonhommie, de bienveillance. notre envie (à nous) est de creuser le temps (devant) pour comprendre kles données s’y référant  ou bien attelées à  icelui temps «des données incluses» (via Verbe et consorts). je rega rde au loin ce qui me regarde. Je regarde au loin ce qui sembkle poser sur nous des yeux de rage à nous voir êttre. nous traversons , ainsi, des contrées

, nous en avançons et ce faisant ... nous alloons loin dxans les découvertes ruprszstres , et pas seulement rupestres. nous sommes deux en nous qui tenons la baraque et ce contre vents et marées. nous sommes deux en nous qui endurons la vie. la mort est prise dans les mots cvomme dfans un filets de haute mer. la mort est coincée dans le verbe ici prononcé de gré& ou de force (foi), et voilà pourquoi kla mort ... persisqte à être, à exister et a, pour nous représenter, enclave temporo-spatiale qUEE nous aimerions savoir (et voir) exister quelquepart. je suis l’homme du temps poussé dans ses retra,nchements, et au bout du compte il wse opasse quoi ? au bout du co:mpte il y a qauoi ? quoi a t on déniché enswemble ? au bout du co:mpte qu’avons-nous appris ? des petites choses tout de même ? sommes-nous des enfants du temps, qui déboulons (incide mment) sur la place et imposons nos dires fracta ls ? avons-nous de quoi nous retourner = vivoter un temps ? avons-nous pour nous de quoi prolonger ensemble le temps du séjhour qui nous est offert tout gentiment par la bande langagière animale en  nous ? Je vois ce qui est deva nt  : des mots, du temps, de la rage, du Verbe nonchalant, de la parole acerbe, du pipeau, de la hjoie, du je de base, de la nuit. je chercxhhe, dèsq lors, à comprendre cette nuit, ce chant, ces mots radicaux, cette foi induite ou incluse. les mots en nous obstruent le passage de la vérité plus qu’autre chose. ils gênent fortement fondamentalement. je chante la chanson des affres. Je suis ombre de paroi, je suis ombre sur la paroi, homme)-aurochs. qauand je chante je vois, quand je chante j’attrappe. J’attrappe un peu de cette chose d’une vérité saillante, contondante, vive percé ou perce-vie de rage (?), je ne sais, je cherche vigoureusement. je suis cvelui-ci (homme) qui s’inquiète du sort, un tant soit peu, dee ses congénères, qui veut kleur bonheur, santé, prospérité, sur un air de fraternité, de joie pa rta gée (peut-être). je vais vif en rocxhe et tente une a pproche. je veux voir la Chose sur pied. Je veux comprendre ces données de base pour moi, et les intégrer à ma gouverne. mon temps est le temps  phrasé (fractal) d’un parler de poids intéreiur mais coulant de moi comme effluvee sortant vif de mon sein de bois. Je suis un qui vibre à vif, parlant dru, communiquant à tout va de rage, allant de son pas de charge sur p)aroi comme troupeau de rage à être. je com^prends la mort, sa colère. je trompe le monde avec ma trompe, avec icelui pic de rage, pic de rage à êztre, perce-vie de rage. mon corps est corps de passage, pourrira. mon corps est ce corps juste de passsage ici, qui un jour va (tu verras) pourrrir ici bas et c’est alors qu’un nouveau monde (pour moi ?) commencera, un monde nouveau fait de chants rupestres, de chevaux, d’aurochs herbivores, d’antilopes sur pattes (fines) agiles, de rhino. je chante à vif ma colère : car, voilà la chose , cette chose, cette choçse ici, voilà ce qui est : je me meurs de rage. jhe suis homme ici ardu, qui cherche vérité (aussi) ardue, qui chezrche que tu chercheras une (oui) vérité de poids = «qui le fasse» aux yeux de tous et toutes ou de toutes et tous. Je veux faire ainsi que des choses soient qui puiissent nous en inculquer et p)as qu’un peu. Choses rudes ! choses ru des et dures ! choses dures, rudes, rugueuses si tant est. Je veux dire ici cette chose, comme quioi les mots sont, à nous (en nous) , comme le passé. le passé est en nous qui vibre, et, ce faisant, nous permet ... le don d’échange. les mots semblznt pareillement pouvoir servir à qui de droit, et à faire en sorte que, nous tous et toutes, puissions y voir clair ... un jour ou l’autre. y voir loin, tout autant qqUE clair. voir au loin ce qui se passe = loin là bas, en bout de phrase, loin daans une phrase. nous devons comprendre ce qui est sur roche qui s’anime devant nos yeux, et semblent parler en vrai. que dirt la roche septemptrionale ? que dirt la roche devant soi (la roche du temps)? La roche dit ceci : « je suis bete-mpot, je suis une bete, une bete-rage». je suis bete-rage» dit la roche, dit le temps. je suis une bete de rage dure». voilà ce que (donc) dit le temps, cette chose rude, cette chose ici gravée au pic de percé. je veux être un homme du savoir, aller dans une roche et trouver des choses qui puissent nous conduire vers des vérités de poids. on se dit que le temps est une vérité. mais en  vérité il n’y a pas de vérité qui soient au wsein du monde ici bas, seul le monde du très haut (lévitation !!!!) peut être pour nous le sezcours (en la matière) que nous attendons mordicus. que nous attendons depuis si longtemps (à présent) que nous l’oublions, avons tendance à l’oublier mais rien du tout ) la chose est toujours ! le verbe est toujours toujours présent en nous. nous parlons à l’emporte-pièce car les mots en nouys s’enchassebnt comme des piolets dans une neige  épaisse, comme pics de rage dans la boue, dans la terre glaise. les mots sont une enclave souterraine. les mots-bêtes en nous sont des mots de foi . Les mots, les mots de rage en  ous, ont de  l’allant, . on dit que des mots, en nous, auraient trouvé où se loger en nous, auraient trouvé» rzefuge, maison, une maison, voire deux maisons où pouvoir se loger fissa. nous voulons comprendre ce qui est ici d’un endroit idoine, en nous, pour une invitation (?) ou pour inclusion. je parle mots de rage à être vif (= vivant) et 

parlant je sauve ma mise (ce cheval) à :ême le temps. je ne suis cap de rien, ni capitaine, ni caporal, je chante à gorge ouverte chants de contrebande à être, je trompe le monde . qui sincèrement ne trompe pas son monde ? qui véritablement échappe ou s’échappe des fourches ? a-t-on de quoi (en nous) pouvoir filer à la gaillarde sur paroi et sortir des griffes de la mort à l’ oeuvrree ? Je cherche une raison qui donnerait (qui sait ?) le piment nécéssaire à une vie de gré. Je veux (de fait) comprendre le temps, la paroi du temps, les mots rageurs, le sang dans les veines, la Reine et son valet, le Roi surnuméraire, l’ombre des amants, etc. Qui est mena!çant ? qui menace ? qui veut nottre peau ? la mort a t elle ses agents sur terre et si oui ... njommés par qui ? je ne veux pas succomber à des menaces et me faire lyncher (manu militari) sur la place. Mon corps n’eswt pas un otaghe. je veux ou je voudrais cerner pour ainsi dire le temps du passdage ... à la cravache, ici = en pissant ... le dire dru, en pissant que tu pisseras (contre un arbre ?) ce pissou d'une rage éhontée ou comment cette chose, à faire de front, cette grâce, ce chant de pierre, cet aurochs gracvé, ce cheval s’ébrouant dans le temps. Qui comprtend en vérité la chose crûment ? la mort devant soi est ce verbe brûlant ses cartouches diurnes ! je vois la moprt devant moi comme une donnée belle tenace peutêtre mais bon : pas encore pour moi ! ne veux d’elle, ne la veux pour moi ! car : cette chose, ici, d’un verbe fol( tiré !) qui (de fait) s’impose pas à pas et donne ou donnerait son propre la de base (une musique des parois) à même le temps déployé funèbre, ou sinon funèbre déployé tout court comme une ribambelle, un ruban de joie, une ligne devant soi, un tracé de pas. je chante une chanson de la grâce à être vivant permanemment. mon corps est corps de pasdage à vif. betes en moi sommeillent qui cherchent issues. Suis je fier pour elles ? trop ? qui suis)-je ? sque sui-je ? que vais-jez être à l’avenir ? un chant ? un cri ? un mot de rage ? un braiement ? roucoulement ? Je vois devant moi qui s’avance un etre de rage, un etre de peu, un 

être vif, un etre de poids, il s’agit d’un etre de poids qui est etre vif , etre de

 rage vif des champs et des bois, j’ai nommé le CErf. oh voici l’être ! oh voici le Roi ! Il est majestueux comme tous les rois. Je vois ce roi (ici) devant moi, il en impose grandement, il pèse, il plombe, il impose son allant, il est vif, dur, coriace, debout, il pl;aide pour moi, pour mon salut en rocxhe «des temps alloués». on dirait ccela, qu(‘il plaide pour moi. plaide t il pour moi ? est il avec moi ou contre moi ? est il la bete azttendue par moi ? d’où sort elle ? d’où sort cette bete ? la bete a t elle assez de répondant pour tenir tête au dieu de la mort ? la bete en moi a telle assez de répondant pour pouvoir tenir tête incidemment à un dieu de roche vif, dieu vif de rochje dure qui sezrait ce dieu des parois du temps , ou bien ce dieu des tourments, ou bien cet autre dieu du temps brûlé acqiuuis.... La bête est elle assez forte et musclée ? a t elle du liant ? de l’entregent ? assez de courtoisie pour savoir jouer ou jongler en société ? est eklle une betye morte ? est elle une bete ... plkeine de vie à déposer sur roche ? est elle géante ? un amas ? une grandeur d’ame ? est elle une souris ? est elle chargée de victuailles, prête à déposer icelles (sur roche) en tant que présent (temps donné) ? est elke une enfant (un ?) ? a ton en nous cette chose d’une sorte de bete à bois ? suis je vif et dru comme elle ? suis je enfant de cerf et de biche des bois ? où est l’enfant roi en moi ? où en moi se loge ... l’enfant de la roche, soit ce cerf des temps alloués, ce beau de la forêt, cette ombre sur roche? JE veux être pris pour l’homme contenant la bête. je voudrais ici être consifdéreé comme étant celui qui porte en lui pareille bete de céans. Je suis Chevreuil, ourlé, pris à part, grave. je suis chevreuil : chanteur. je suis cet homme du brame. je veux «toucher» au verbe de la mort à l’oeuvre dans le temps, le toucher le toucher comme le bateleur les berges, est ce ainsi ? Je veux, ici, faire ainsi que mon nom soit peut-être, en vrai, recvonnu comme icelui d’un d’ici qui, en son nom de base, chante que tu chanteras la chamade, le tic tac du coeur, les mots de la rage à e^tre un homme cde la lande (comme peut-être l’aurignacien, comme peut-être le solutréen, etc). mon vcoeur est las de savoir cette chose ... d(une mort annoncée, intégrée au paysage, et lutte de toutes ses forces pour contrarier (autant que possible) la chose. je suis homme du temps qui passe ... à cdevoir déposer sur roche (= vivre). je suis l'homme doux des temps définis comme étant de ceux qui sont attribués (incessamment à la naissance = par la bande) à l’homme intransigeant = qui chgerche la vie vivement, absorbe, prend et se gonfle pour un temps. je v ais devant, je plonge, je nage, je suis l’ombre. il se pêut quye je sois l’ombre de la bete en moi , celle que je porte (ou porterais) au fond (?) de moi et qsui porte ... le nom que je porte, fatalement. j’ai nommé la bete des bois, le cerf aux razmures imposantes, racées. le cerf qui va sur roche (nonchalamment) toucher la paroi du monde. je veux être cerf. c’’est-àdire cerf géa nt, bete de la rage à êtrte bete dans corps d(‘homme ou de femme des temps impartis. Je szerais la bete. Je serais une bete des bois. je serais vif comme une de ces betes fauves des przairies , un lion peutêtre ? Je suis un animal xde grande taille, je suis une bete rosse, je grave mon nom de bete rosse sur la roche. je ne traine pas, je suis sous l’influence conjugué»e d’une betye de poids et d’un homme de peu (genre qui en vérité ? saint homme ?). jhe tourne que tu tourneras le fil de ma pelote vive , qui est fil de voix, fil de Verbe, mots des chants, mots de la colère intéègre, mots du vent soufflant à travers le fût. Je suis homme du temps déposé sur la roche et ce pourquoi, pour déplacer les choses du monde, pour crever l’abcès, pour contrarier la mort, pour gagner sur le tableau des données de base, celles qui ensemble forment ce savoir de l’êttre, ce savoir du temps alloué à une vie humaine. je comprends les choses à moitié dirais-je mais enfin je trace, advienne que pourra, nous verrons plus tard à y co:mprendre quelque chose un tant soit peu, à déchiffrer les hieroglyphes et autres glyphes ésotériques. je suis un homme qui cherche (dans le temps) une entrée en mùatière juste, vive, qui soit porteuse de vérités ! la vérité ici est tout entière contenue , qui ne dit rien de plus que sa gouverne langagière d’attribut ou d’attribution. je pense la rage, je parle la rage, je pose la rage et tente ainsi de faire impression. est ce ainsi que les choses se passent ? suis je l’animazl des paroles ancrées ? suis je un animal comme il en existe au fond des grottes parcheminées ? qui parle en moi ? qui me cherche ? qsui veut ou voudrait de moi par la bande ? suis-je donc appelé à devoir un de ces 4 mourir en roche comme aurochs de compagnie ? ou bien ... direct ... la fosse commune , le charnier, la flamme ? Que vais jke être dans le futur  ejn tant que bêzte ? grilladou chaleur sous les tropiques ? venaison ? Je suis celui-ci qui s’avance à pas comptés vers une porte qui parait oucverte deva,nt lui. je regarde kles différentes données repérables et essaie d’y comprendre quelque chose de patent. je suis sur une branche pour ainsi dire . attention à moi de ne pas tomber à la renverses mais de bien voir à m’accrocher à cette branche et de bien regarder ce qui est autour de moi qui semblerait advenir : parade ? corso ? cavalcade ? défilé ? une tribu passe. il s’agit d’aurochs ici rassemblés pour un but qui est de voir à se loger ensemble (cote à cote) dans le sas d’une roche du temps, dans un recoin où bon avoir à  se loger, dans un coin de roche mùeuble. Je suis  homme des temps déposés pour faite accroiire. la question est là qui toujours cherche à se voir formulée mais le temps emporte tout sur son passage et ne laisse pas le dire se dire à sa guise ! le temps l’emporte, le temps a sa prpopre guise qui conduit le sens et repousse les assauts du dire animalier: est ce cela ? nous pensons quye kles choses, ici, se disent,  incidemment, à la mesure du pas d’un géa nt qui est  ce méga-cerf de contrebande. je regarde au loin et vois la roche :

 aux tourments, aux bahgarres, aux présents.

 qui me croit ? qui comprend les choses du temps ? l’emportement, la vague ? qui comprend la vague langagière du temps déplopyé qyui se joue des sens (à sa guiuise) et gêne grandement les miennes entournures, si tant est : qui voit cette cghose ? qui comprend ici que les choses dites sonbt toutes tourneboulées selon la guise d’une sorte d’entité (votive) appelée Le Temps ? qui voit que le temps est cette chose ouverte devantt soi comme une découvertte ? je file à toute vitesse dans lke sas. je veux mon nom ici gravé en elle. Je comnble des trous. Je continuellement m’acharne à combler kles trous  (infinis) du temps et ce par du verbe de roche, verbe vif destiné à (pour toujours) comblker de joie la roche des temps = la mort, cette printanière entité de choix. Je comble en veux-tu en voilà kla roche (et ses anfractuosités) par des mots de rage (aurochsc, bisoons, cheveaux, antilopes, ours, lions, guépards, rhinbocéeros, b uffles, bouquetins). je comble de joie (de je ) le verbe nacré, le  verbe du temps déployé, le chant de rage, l’épopée. je suyis un chevreuil de raghe belle, ombre sur le pré, majesté tenace, roi du bala fon, roi des chants choraux, roi des musiquesqq des apprêts, roi du temps déployé à vif sur roche dure et dans le sens d’une venue majestueuse, d’une sorte d’arrivée vers soi d’un enfant de la rage à être enfant. je suis roi de rage à etre enfant tenant parole. Je 

co:mmble les trous de la roche. hje veux comprendre les données de bvase: qui est qui, qui fait quoi. qui est l’enfant, qui est le roi. qsui menace, qui tourmente. Qui fait le bien sur roche dure. qui commble et qui ne comble pas. qui a pour moi les yeux doux de l’amour courtois et qui n’a pas. je suis homme au chant ficelé. Je tourne que rtu tournzeaers ma langue dans lma bouche : sept fois avant de trépasser, ou sinon non : mille ? Je suis homme)-cerf. je marche droioit. je ne tombe pas. je ne chute pas. je ne suis pas un ange de lma roche, ni démon des bois. je suis homme-chevreuil d’un temps dominé par les embruns. je cherche une faille = une ouverture de paroi. pour cela : je parle, je comble de mots le temps imparti, je suis Verbe de la tête aux pieds. je suis du verbe ainsi incarné de la tête aux pieds; je cherche une amie dans les prés ... avec qui batifoler ! je suis doux et fou, fou-doux comme jamais, qui batifole, qui en vrai saute à tout va, qui fonce dans la paroi, qui me joue du tezmps à ma guise. je suis un homme des parois du temps , du temps dép;loyé, je chante à tout crin,; je hurle ma rage à vouloir demeurer la bete du sang, des veines altières, du sas royal. Je ne tombe pas à la renverse. ou si, je tombe à la renverse ? je ne tombe pas à la renverse ou alors si, je tombe, je m’affale, je m’affale de tout mon long, de toute ma longueur ... de temps déployé qu'on dirait imparti à mon être animalier de vie ? je m’afale sur prairie, sur pré vert de chez vert, je m’allonge, je suis long?. je cherche une voix parmi des voix. je cherche à capter juste. je chercxhe à faire un tri. je cherche à bien capter la voix qui parle àà bon escient, celle-là qui dit la vérité des choses des temps, cette voix amie qui sait. je cherche une voix dans les apprêts. je chezrche une voix de concert.

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23/2/2022

Nous voyons devant nous une porte. Décrivons la porte. Cette porte 1 est devant nous. 2 ressemble à une porte lambda. 3 est porte qui semble nous interpeller. 4 est porte ouverte pour nous faire entrer ensemble. 5 est cette porte que nous recherchions depuis longtemps en tant qu’eêtre humain. 6 est la porte parfaite pour des découvertes à mener ensemble (elle = la bête = la bête en moi ... et moi). 7 je vois cette porte, je vois cette porte devant moi, je vois icelle porte devant moi, je vois que cette porte devant moi est porte ouverte pour un soi à déposer ici ou là, sur seuil ou bien à l’intérieur mais à proximité d’icelle. Nous disons ici que pareille porte porte en soi les attributs votifs d’une sorte (d'un semblant ?) de Vérité majeure concernant la Vie = cette chose ici à découvrir sous l’angle d’une finitude comme déjà inscrite à l’origine , ou aux origines. Nous voulons comprendre un grand nombre de données ... de ces origines, de cette origine native, de ces premiers pas de l’Ordre, etc. POur cela, nous décidons cegtte chose , d’aller loin dans la découvertte. pour cela nous disons que nous sommes qui employons une technique particukière qui est celle de la voix rapide ou qui est celle dite de la voie rapide. Nous voulons comprendre ensemble. Nous voulons cerner ensemble et pour ce faire nous creusons dans la pensée ce dire-faire (ici natif) d’une voix (voie ?) rapide s’il en est. Voilà ce que nous faisons-disons. et aussi voilà ce que nous recherchons, pzar ici, de tels dires, poussés loin et menés de front, à fond. Notre envie est vive de cerner ... des choses de poids, c’est une évidence. Notre envie de dire vif des choses fortes-folles est là, ancrée en nous, comme un pieu, comme une arme. Nous savons que pareille arme a un sens et n’est pas vaine. Nous savons cette chose, comme quoi la mort est devant nous comme une sorte d’ouverture vers de l’inconnu supra-sensible, vers embruns dorés, vers lumière tamisée, ambiance nacrée. Nous aimons ces ambiances de rave, de rage, etc. Nous savons cette chose, là, d’une rave à mener, à comprendre, à vivre, à user, etc. Cette chose d’une sorte de rave en soi, de partie de vie, d’ambiance au débotté. Nous voulons comprendre loin 

 ces données de vie déployée sur des confins. Nous voulons comprendre au mieux ces données de base, ces dires majeurs, ces envies natives, etc. Nous creusons devant nous dans la pennsée d’un dire-faire d’envergure, d’envergure au sens où ce que nous fouillons concerne des choses de poids concernant la mort. Nous voulons cerner 

ces choses au débotté on le voit là mais pas xseulement, au débotté comme il se doit mais, aussi, à la cravache, vivement, durablement, considérablement, comme on le ferait peut-être d’une sortie brusque d’une route traversière. nous voulons compter les points tracés sur roche : claps divers, punctums, sites. Nous avons à comprendre, tout un ta s de choses de poids à même la pareoi du monde, ce devant à soi qyi nous regarde, qui nous parle mais l’entenddpns-nous ? sommes-nous capable d’entendre celui-ci ? sommes-nous en mesure de comprendre dans les profondeurs ? sommes-nous de taille pour ce faire ? qsommes -nous capable de comprendre ensemble cette chose d’un parler de base, d’un dire natif, d’un vif aperçu, d’un dire de poids et de charge ? sommes-nous en mesure d’aller loin dans les données natives, dans les données vives ? sommes-nous en mesure de cerner (au mieux) les données qui se présentent, devant nous, en tant qu’elles sont données de paroi de taille ? nous disons que nous cherchons assidument, que nous ne voulons rien céder pour nos recherches. Nous nous avançons ensemble pas à pas de cette porte du devant de soi, qui est cette porte du présent au monde et du passé mort déposé comme vie de Roi. Nous avons à piger vif, à cerner cool, à voir vite. à vite cerner-voir ce qui est qui se présente à soi ... comme une furie, comme un trait de vie à vif (comme entaille) ! et pour ce faire nous allons tout aussi vifs et vives 

vers porte de ce roi du monde, 

de ce gentilhomme des parois anciennes. Qui est-il ? qyi est ce Roi ? qui est le ROi ? qui est ce Roi qui nous attend (ou semble nous attendrte) de pied ferme devant nous qui nous avançons d’age en âge, qui est il ? nous voulons comprendre qui il est

. notre but est de comprendrec ensemble qui est donc ce dit Roi «des portes du vent» soit des portes de cette chose, devant soi ouverte, qyui semblent ... une entrée vers quelque chose ? sas ? ou comment comprendre cette entrée ? l’entrée ... poour une sortie ? une sortie pour une entrée ? ou bien une entrée poour une sortie ? nous nous blotissons l’un contre l’autre (nous). NOus disons que cvette porte est une porte ouverte vers de l’avenir. Nous disons que cette chose ici d’un antre (troué, incurvé) est comme un dire fou. Nous pensons que nous devons comprendre ensemble ce qui est ici (en roche du temps) pour nous, cette chose d’une entrée-ouverture de roche, d’un trou bleu, d’une sorte de trou bleuté, nacré par endroits. Ciel ? ciel d’eau ? ciel de quoio ? bleu d’azur ? bleu de belle des beautés de rave ? nous cherchons ensemble à cerner au lmieux les données de base se présentant. Nous voulons comprendre au plus juste ce qui est qui se présen,te à nous dans $la durée d’une vie octroyée impartie ou alloué par une bande pariétale v(vive, vive et belle). Notre envie est entière, est complète, est pleine, est formée, soit de chzair et d’os : elle remplit de fait sa fonction première qui est de nous donner l’allant de base à une course, à une entrée vivve, à un pas de plus, à pareille incursion immersive dans un sas de vie à vivre. nous disons que nous voulons enttrer, en cette paroi, par la porte (ici ouverte) de préférence et conjointement, et ce dire a du poids, pèse lourd, nous protège, nous pose et nous aide à poursuyivre sur nos lancées. Nous voulons cerner au mieux les données qui ici se présentent et comprendre ce qui est devant, qui pointe sa tête, son museau de tanche, son avant de taille. Nous parlons comme des enfants ... car nous sommes des enfants. Nous parlons «enfant» car nous sommes des enfants qui ensemble allons à la recherche d’un trésor caché, de préférence : caché ... de préférence, et trésor ... de pré férence. Nous disons que nous voulons comprendre dans la profondeur des choses icelle figure de Roi, de REine, de VAlet, de chose et auttres dépla cées. NOUss voulons comprendre ,

icelui roi de rage. ou icelle reine des apprêts. ou bien ... ce valet chantant sa romance devant nous comme un bateleur ! il chante bien. il a de la voix. il chante longtemps. il ne pleure pas quand il chante. il ne chante pas pour rien car son chant s’infiltre ici en  ous qui nous mettons dès lors à danser, à remuer comme de beaux petits diables enfantins. Nous dansons la carmagnole, la gigue, la bourrée, la danse de saint gui, les pas de trop, la belle danse des arrêts. Nous ne sommes certes pas les derniers à vouloir bouger et nous bougeons ensemble main dans la main, nous entonnons le chant de la rage à être présent. Nous disons que nous aimons la chose, cette danse ensemble. Nous entrons dans la danse ensembvle. nous entrons ensemble dans la danse d’un parler brusqué, ouvrant des portes inexpliquées, portes d’azur et de royaumes ancrés dans un ciel de paix. Nous disons que nous sommes ici, à vouloir comprendre ensemble un  certain  nombre de données de base relatives à X vérités de poids qui puissent pour le coup nous éclairer da,ns notre marche vive (transe ?). notre but n’a pas varié (du tout) depuis la nuit des temps. Nous cherchons toujours la même chose , oui mais comment à présent ? telle est cette question qui nous taraude depuis longtemps. Nous voulons comprendre ensemble icelle question ... de poids et de rage. quoi est en elle ? hein le sait-on ? hein savons-nous ? qui sait ou saurait ou saura nous répondre et où ? dans le monde de la mort ? dansq quel monde au juste  ? nous vopulons comprendre des données de rage, données folles, données vives devant nous offertes. Nous voulons trouver des choses comme des xsecrets enfin levés, ou des choses de poids qui nous informent, ou nous informeraient, du coup coomme il faut soit ou comme on le voudrait = durablement ... dans la vérité. Nous sommes deux een nous, la porte est ouverte, un Roi règne avec une Reine et leur Valet. le ciel est azur et brille. il s’agit d’une ouverture. il y a des embruns, eau-forte. Nous pensons à ce qui est devant (vive voie, vive voix) comme à une entrée dans une matière. Nous cvomprenons= nous prenons contre. Nous voulons comprendre = nous voulons pprendre tout contre. nous sommes deux = nous sommes ensemble = nous sommes un ensemble =nous sommes une (seule) partie d’un Tout majeur. le Roi est devant nous qui nous regarde, assisté : Reine d’un côté, Valet de l’autre. Nous ne sommes pas venu au monde pour déchanter bien au contraire ! nous sommes là pour la bonne cause qui est celle d’un parler «tenu» de bout en bout comme une ficelle, un fil de soie, une ligne de partage, don de soi à Sommité (roi, reine et consorts). nous voyons des choses, et ces choses nous regardent également, nbous parlent à leur façon : sachons déchiffrer. NOus voulons comprendre les données du monde d’une royauté développpée pour ainsi dire aux confins du monde, instaurée. Nous voulons comprendre (nous = 2) cette Chose rude, ce chant de prairie, cette atmosphère embrumée, ce val de rage, cette rage à vivre au devant, cette ouverture vive de torrent, ce mal d’aventure, cette quoi au juste ? vive armée de mots de toutes sortes et de toutes provenance ? nous cherchons ce qui est ici devant = cette chose ouverte ... de la Mort des temps donnés. Nouys posons pour la postérité (une image) comme on se doit de faire cette chose là, soit là devant, là sur ce devant = pierre meuble, ordre des temps, seuil de bosse, porte des parents, caillou. Nous voulons comprendre cette chose d’une sorte d’entrée en matière qui est ou serait une entrée dans la matière. nous voulons comprendre ici même (seuil) cette chose d’une porte ouverte sur un au-delà de rage bu = consommée. Nous voulons co:mprendre ce qui est ici d’une rage à être, ensemvbkle, nus, 

main dans la main, assoupis, vifs ou vives à l’intérieur car la voie va, elle ne s’arrête pas, elle poursuit sa route de joie. NOus voulons cerner ensemble des données de base, données de choix pour un savoir de choix, le savoir de base de la rage à être. Nous sommes 2 pour cela ! nous ne sommes pas seules au monde, nous sommes deux à dire les faits = 2. 2 ici pour une dévcouvertte à mener de front, à compre,ndre = à prendre = à cerner = à toucher. Le vent souffle par l’échancrure mordoorée. Le vent s’engouffre, il 

vient de dieu sait où soit de si loin que ... nous ne savons pas d’où. nous cherchons porte d’entrée à un monde caché de nous. Nous cherchons la porte du roi et de laReine. la porte.. est logée devant, comme une sorte de paroi princière printanière : la prairie des prés, le vent sifflant, les bêtes paissant, les fleurs s’ouvrant, le chant grimpant. Nous sommes ouvertts également car nous sommes deux qui ensemble collaboraons en une sorte de corolle pour les découvertes. nous cherchons à comprendre soit à entrer. l’entrée ici se fait par lma bande = par du langage ... meurtri, ou sinon meurtri bousculé, passé au vif de notre moulinette primesautière. nous ccherchons ensemvlbe à cerner au vif les données du temps déposé ici au jour le jour. Nous donnons à Dieu (la mort : idem) cette chose par nous déposé, par nous passé = du passé. nous donnons de nous au fil du temps. ... le Temps de nos vies passées, et ce temps devient présent , devient offrrande déposée sur seuil de porte ouvertte = celle de l’après , de la vie après ou d’après. Nous voulons ce faire dire, ou ce dire faire, d’un dépot de «soi» (vif ? mort ?) sur table (?) d’offrande. Nous posons vivant ou vivante (de notre vivant) le passé de soi consummé ; sur table d’offrande = terre-mère s’il en est, et il en est : la preuve est sous nos yeux , ouverts sur un monde comme déplissé. Nous disons que nous avons à faire ce pas en avant ensemble vers la voie qui s’ouvre devant nous longitudinalzment. nous voulons toucher le Roi mais ne point en subir les affres. Nous disons que nous voulons comprendre au mieux ce qui est ici, d’une voie royale : qu’est)-elle ? quoi est-elle ? où peut-elle nous mener ? quoi erst en elle ? que il y a en ? quoi en elle est ? voyez-vous comme ensemble nous cherchons la faille ? ce passage de destinée, cette faille d’échancrure, ce passaghe pour un corps de rage, cette chose d’une sorte d’anfracvtuosité dans la paroi , dans la pierre meuble, dans le sas, le voyez-vous ? Nous cherchons la faille-taille, nous cherchons ouverture de 

bas-âge, enfance donnée, vive parole échangée à même ce seuil déployé. Nous voulons toucher cette Chose là, d’un Roi de patience. Nous disons que cela est qui existe ici. Roi de rage, Roi des patries folles, roi du temps passé déposé , roi des Asturies. Roi du passé de la rage à être mis (de base) à l’’écart. roi du monde dit. Roi pour une infante assoupie. Roi divinatoire. Roi chaleureux. roi des patries marquantes et des parties manquantes. Nous voulons toucher (connaitre) ce Roi du paysage, ce roi-Reine avalisé, cette reine -roi avalisée. Ce chant de la terre, ce chant d’azur, ce chant de la colère, ce chant de rage, ce cjhant des parties fines, ce chant des touchers et des caresses. Nous voulons toucher la reine et l’embrasser. Nous voulons toucher le roi et lui dire (donner) l’amour que nous avons en nous pour lui comme une bête, comme icelle ici bête de poids déposée sur rocher (magdalénienne). tout notre amour. Car l’ammour pèse ! oh oui ça oui ! oui l’amour pèse et pas qu’un peu : il fait partie des choses de poids, comme chair de rage ou boeuf de mont. Nous disons que nbous voulons donnertAmour à Roi. Nous disons que nous voulons donner tout notre amùour au Roi de la rage des devants à soi, qui sont debvants

 comme des portes ouverttes sur un au-delà planétaire. notre envie est située à cet endroit et n’’st pas vaine. Nous sommes deux pour cette chose d’une voie à dénicher à même la paroi du monde. Nous voulons toucher la chose devant soi, cette chose d’un debvant à soi qui nous regarde, qyui nous parle, qui dit des mots de poids, mots de poids qui pèsent leurr pesant d’insanités rupestres on xsait cela (injures votives, etc)

. On dit que le mot renseigne mais le mot en  vérité (d’abord) vitupère ! et comment ! à la cravache jusqu’au firmament c’est dit ! le mot crie sa haine première (primaire) avant toutes choses ! il n’est pas là pour rigoler, il est là pour dire ce qu’il porte en lui de misère à être ! il panse les plaies (de bouche percée) au passage

 , il n’est pas pour faire joli, il pisse de rage. Nous disons cela comme quoi le mot vitupère au préalable, depuis longtemps, depuis la nuit des temps et des rois, etc . Nous voyons la chose à présent plus clairement concernant  ce passaghe vers un au-delà de prince et de roi de céans. Nous cherchons à nous y retrouver , et pour ce faire nous touchons la chose devant nouss, roi-reine des parois du monde, royaume des présences, des dons de soi à Auttre devant soi = la vie, rageuse, donnée, de base, à déité demandant du vif, du qui saigne vif = en vie, etc. Et nous de la couiller comme de juste ! la coquine ! la voilà blousée ! nous savons $y faire dans le faire ! nous savons nous en dépatouiller ou nbous dépatouiller de la misèère à être des qui sont appelész à devoir flancher. Nous disons que nous avons à faire-dire une chose ici (seuil de porte) qui est cvelle ici qui concerne ... une vie après la vie, via le passdage (rage) de la mort de base. la mort est porte, est passage, est entrée, est sortie, est antre, est porrtique, etc. passage vers un au-delà rupestre, prairial, salutaire, clair, vert, aéré, limpide comme une justice qui se tiendrait. Nous voulons toucher la Voix du père ! Nous voulons «toucher» la voix du père, les mots du ruisseau. Nous voulons toucher vif, cru, à même la rage,  

cette voix du père éternel, du roi de sa rage dite,  Roi majeur des catacvombes, ce prince rentier, cet homme des tourments noyés, des tourments terminés?. NHous voulons comprendre ici cette chose d’un vouloir toucher ( d’un vouloir de base), d’un vouloir toucher voiiooix comme d’une base. Nous voulons toucher que tu toucheras, la toucher la toucher, toucher la rage à la voisine, toucher toucher la rage, cette voix de rage. comment toucher Voix ? comment faiore cette chose ? Comment faire pour toucher la voix ? comment faire pour ici toucher la voix d’une rage à ^etre ? comment ici faire cette chose d’une sorte de toucher buccal (rectal ?) ou comment ? comment faire ? comment toucher une sorte (ici) de voix venant des profondeurs ? La voix en question est celle d’un père assoupi , d’un père éternel, d’un père des embruns, d’un père mordoré, d’un père pionnier, d’un père premier. Nous voulons comprendre les données qui président ici , à une remontée des catacombes, chenal, pâssage étroit, sorte de conduit menant directement à pareilles vérités comme «incarcérées». Nous voulons aller en roche du temps comme à la guerre maiss non ! non nous ne devons ! Nous devons ne pas. Nous ne devons pas aller ainsi. nous devons conduire nottre vie en vie et la  mener à charge sans fausse maneuvre, sans p;lainte, sans douleur, si possible sans douleur. nous avons à comprendre des données de poids, à cerner le Mal ... dans toute son étendue de rage, à piger vif et bien ce qui est (devant nous) qui nous apparait : tronc ? buste ?

 tete couronnée ? sceptre d u temps passé ? colère ? nous cherchons assidumment à même le verbe 

jeté, nous voulons tracer des traits de rage sur roche des prés et dessiner l’arbre. Nous voulonsaller profond dans le savoir des choses déployées, des choses mises à portée. Nous sommes  ici deux pour une entremise d’envergure princière (royale ? monacale ? pariétale ?) et   ainsi étant nous sommes qui allons, qui poursuyivons recherche, nos recherches assidues. nous ne voulons pas mourir car nous ne voulons pas céder car nous ne voulons pas rétrocéder, quoi ? notre vie de rage contre un mal de chien. Nous disons ici cette chose, comme quoi ... nous sommes deux pour une perspective longue, pour tracer des choses rudes, pour creuser l’abcès d’une vie de rage octroyée à la naissance (pour nous deux). Nous voulons toucher-tâcher d’y voir et loin et profond. Comment faire ainsi que nous fussions pour ainsi dire deux ensemble à comprendre sur pied les raison,s qui gèrent, président, chapeautent le monde . Nous voulons cerner au vif = à la vive = acvec bon train et bonne allure = en vitesse . car, nbous sommes deux qui ici nous disons que loa vitesse prime, primesautière elle vibre et dès lors prime,  qui permet des sauts de rage, des écarts de voix, des passades, des entrées diverses en diverses matières déployées. Nous  voyopns la porte ouverte devant nouis. Nous nous approcxhons de cettye porte ouverte. dedans on voit des choses déposées. dedans cette pièce derrière, on voit des choses qui sont déposées. on voit des objets, des victuzailles, des dons divers qui sont comme déposés à dessein, qii sont des offrandes à des dfivinités. Nous voyo,ns pareilles offrandes posées ici à même le sol qui est le seuil qui est la marche , qui est marche pour une avanncée. nous posons ntre pied sur cette marche. nous sommes proches (tout proches) de comprendre ce qu’il en est, de cette entrée, de ce passage découvert, de cette bouche avide, de cette bouche de rage, de cette bouche gueularde, charretière, poissonnière, chant des parois rocheuses du monde, chant des tréfonds d’une terre grande, grosse de vie morte. Nous disons que nous voyons une chose rosse, cri de guerre, cri vif, cri des déportés de la misère, cris des hommes perdus, des femmes battues, des hommes pris, des enfants meurtris, ou bien ... cris de qui ? les cris (le christ) montent (monte). Le cri est le cri du christ qui monte devant nous et vient pour nous parler de  ce qui est pour nous qui nous attend ici devant nous. je suis arrivé ... à destination (destination princière) en  ce passage des tréfonds. je suis arrivé là avec, en moi, du dire de poids : chant des pertes, chute libre, bois des partiess pleines, mobile, choix de carême, plaintes ténues, bois d’ombre. Je suis là avec avec moi des ombres. Je suis là (sur roche = sur paroi) avec avec moi des ombres de poids : aurochs de bienvenu, mais surtout cheval ! Je trace; Je suis monté. je suis cet homme des temps premiers qui trace à main levée des betes de poids 

qui en imposent grave, 

qui poussent à vif leur chant de poids premier, 

qui font obstruction comme un langage de vif affront; 

je cherche à comprendre en moi la bête de poids qui sommeille ou ne sommeille pas mais rêve ou ne rêve pas mais cherche à parler. jke cherche pour le coup à parler pour elle ! je veux faire à tracvers moi parler la bête contenue en moi. Je veux  faire parler la bête contenue en moi depuis longtemps, dezpuis si longtemps qu’elle en fatigue et semble ... vouloir s’assoupir (s’éteindre ?) alors ... non pas ! ne pas ! que ne pas cette chose ! non et non ! Nous ne voulons pas qu’en  nous la bête, en nous contenue (l’aurochs on l’a compris), ne s’éteigne et peu à peu vienne à flancher et meure de tout son long sur pareille pierre devant soi (la vie) comme pierre d’offrande.nous voulons comprendre ensemble (la b ete et moi) cette chose, d’une sorte de donnée de base, ou dite telle, qui sezrait cette chose d’un devant de soi monacal, sorte de paroi du monde, chaloupe, antre, arche pour une aventure ... de recherche surmenée ou disons soulevée ou bien menée grave ou comment ? menée tambour battant à force de rage ! Nous nous infiltrons, nous entrons, nous nous faufilons, nous nous infiltrons ensemble, nous passons le pâs. nous sommes entrés dans un  temps de rage et de colère ancrée. nous sommes entrés dans le sas de la colère, de la joie à dire vif, de la chose vive, des vives données. nous donnons de nous l’invective, la haine, la voix rude, le coeur vif de vie pleine, entière, battante. nous voulons cerner les choses du monded’après. le monde est tel qu’il nous fait croire en un après, à une vie sur terre, déjjà, au sens des mots commùe allant de soi, etc. les mmots que nous portons en nous son,t Verbe de joie  = Verbe des croyances en un sens avéré et attenant aucx choses du monde : la vie, la mort, le sang, la douleur, la parole, le cri, la peine, lma vive misère, les données rupestres, les aurochs, les chants, les cris pariétaux, les dessins donnés par la bande, l’art surnuméraire, le pouvoir de dire non, l’épopée princière, les appeaux, les traits de rage, les enfants qui cherchent et finissent par trouver le pot aux roses en  cet endroit qui est perforation, anfractuosité, passage dans la roche dure, trou de choix, perçage, ombre, ezntrée sale, pluie de verbe dans le sang qui va de son chant circulant. Nous disons du Verbe alourdi de peines diverses, il es t temps de s’en alléger, et de pousser ailleurs l’escarpolette ou bien la chansonnette ! Nous voulons comprendre ensemble ce qui est ici (roche-royaume de dieu = de la mort nommée) et pour cela, un mot 

un seul : l’entraille ! l’antraille dite, l’entrée dure, l’entrée de poids, le passdage en force par le sas. nous sommes ainsi nous deux qui voulons cette chose d’un passage en force ! NOus voulons ensemble pester ... pour traverser. soit pour une traversée. nous voulons ensemble (qui en nous ?) aller ainsi vers un ailleurs votif qui serait celui d’une vision globale = totale= élargie. comment s’éla

rgir ? comment faire ainsi que des choses soient ainsi que nous le voudrions ? comment faire ainsi que nous puissions «sortir de nous» et toucher le père ? qui a dit que le Verbe était nécessaire pour ce faire ? qui dit ou dirait cette chose d’une envie (vive) de toucher le père devant soi = ce roi = cette reine = ce valet = trinité ! Je cherche, avec les mots de ma tribu, des choses de rage ... qui seraient comme des levées, des découvertes. Je cherche à même le verbe buté, je cherche à bloc, au débotté, à la vacharde, au vif canif, au tracé rugueux, au colérique. Je cherche à vif et ne m’en laisse nii conter ni démonter car je suis motivé = motorisé = mû = bougé = seconcdé par, en moi, l’esprit de la lutte  entièyre, pleine, formée ronde comme meule, douce et brillante. je veux être l’être des découvertes

 d’enfant de ta rage. Je veux être l’etre d’enfance )àà être de rage une rage à être ! car, enfance = rage. rage = enfance. rage à être = enfance de poids, aurochs et bison, soulèvement ! Je cherc he à comprendre les données du monde et agir = à agir durablement. je suis venu en roche pour compre,ndre les données (les dons) du monde, ce qu’ils sont et ce qu’ils ne sont  pas. je regarde aux alentours et du coup , j’esszaie de comprendre ce qui se passe. pas facvile de toujours comprendre ce qui sexpasse. on essaie bien mais vas-y, essaies de comp^rendre vraiment les données du monde ! On rehgarde longuement, on essaie bien sûr de regarder, de voir dans la profondeur, de comprendre tout ce que l’on peut en fait de vérités, mais ce n’’st pas simple car , pour comprendre loin et profond, il est nécessaire d’avoir pour soi un esprit particulier c’’st)à-dire bien affûté, bien tourné dans un sens qui convienne à pareille visée, il est nécessaire de pour ainsi dire se placer au monde ou dans le monde de telle sorte que des données puissent affleurer et s’ooffrir dès lors à notre gouverne. Nous testons en perma,nence. nous faisons de la recherche. nous voulons expérimenter, creuser des données, trouver des choses, trouver dans la profondeur, trouver le plus possible de choses dans oa profondeur. nous sommes nés pour cette chose et nous faisons dès lors ici cette chose d’une sorte de pratique de la profondeur. nous faisons pratique, ou en pratique, nous cherchons des choses, nous creusons une pratique. ou bien : élaborons une pratique. Nous sommes ensemble (deux = 2) qui cherchons à comme développer, par le verbe, une sorte de pratique rudimentaire peut-êztre mais bien réelle , pour des tentatives de percée de roche, pour des tentatives de passage, d’entrée de rage . Nous voulons toucher la déité. Nous voulons toucher déité. Nous voulons toucher à une déité. Nous voulons toucher déité de pasdsage. nous voulons creuser loin et profond à travers la roche du temps qui est cette roche du devant qyui est cette roche d’un devant de soi qui est cette roche d’un passage acidulé verbal, qui est lui meme un passage à l’acte. Nous touchons là à une vérité de poids : nous sommes double = nous sommes doublé = redoublé = pris au sang. Nouis solmmes qui allons à même la roche à la recherche d’un xserment, d’une parole an,crée, d’un dit de poids ou d’évangile. Nous cherchons au débotté (à la gailla rde) à nous approcher (par la vivacité) d’une vérité qui serait native = naissante. La des vérités. la seule , l’(unique. Nous pistons, nous explorons, nous ne voulons pas lacher prise, nous poursuivons sur notre chgemin cette recherche de

 tous (ou presque) les instants. Nous voulons trouver ce qui est au juste à travers le v Erbe: le verbe peut il nous aider à y comprendre quelque chose de vrai ? le Verbe a)-t--il en lui possibilité ? qsui sait ce qu’il en est du Verbe employé par mla bande  ? la ba,nde est-elle de la bande ? est-elle minorée ? est-elle :majorée par les embruns ? a-^t-elle du répondant ? peut-elle induire des données de vérité ? est-elle majeure, mineure ? est-elle à vif dans le sang ? la bande est)-elle le sang ? 

La bande est elle dans le sang ? la bande est elle sang de vie ? la bande est elle sang de vie, pour une vie libre à mener fissa ? qui saurait nous indiquer les choses, nous donner le sens de pareille donné de base ? qui est pour nous celui qui sait ? qui est-il pour nous ? comment le nommer ? nous cherchons à même la roche, à même la paroi du monde. nous voulons comprendre  ce qui est, ce qui est sur roche qui nous parle rude, qui sermonne. Nous sommes dxeux pour ensemble nous y retrouver et comprendre au mieux les données du monde. qui sommes-nous qui parlons pour nous, qui nous exprimons dans le dire vif d’une parole comme  (peut-être) échancrée de base ? qui on est pour soi ? qui parle en nous à la gaillarde ? qui s’exprime durablement en  nous par le  verbe dru ? qui parle qsuand je parle ? l’épopée ? la pleine misère ? le chant de la rage à être ? muusicalement : de principe ? comment parle t on ? parle ton par la voix dexs astres,? des prairies ? des prés vertts acidulés ? des chants d’azur et de beaueté ? Nous pensons que nouys devons ensemble chercher à comprendre, vif, les données de base rupestre, à la lumière d’une voix qui nous serait donnée à la naissance par nos pèrres et mères, et qui nous dirait ... de nous pencher, durablement, sur pareille roche aux apprêts, et là : écouter le chant d’une rage à être ... domi-cilié. Car, ici nous sommes (terre-mère) sur roche du temps dans un sas de belle (bonne ?) aventure rupestre. Nous solmmes assis  / assises. Nous sommes déposé es. Nous sommes sur le tas. Nous regardons au loin ce qui est qui semble vouloir se passer loin de nous. nous regardons au loin ce qui sepasse, loin de nous, de notre gouverne. il y a plein de choses déposées à même la terre, victuailles diverses, données vives, temps passé déployé, temps passé brûlé comme de coutume, et nous de penwsezr la chose comme quoi nous sommmes deux qui allons de concert à même la paroi du monde, à la découverte des données princières, celles-là qui nous intéressent, mots de rage pariétale, mots des embruns,; mots de la mort à l’oeuvre, mots de la fin. Nous voulons cer-ner ensemble (corps à coeur) les données qui sont, devant nous, déposées comme des offrandes : temps passé brûlé, chose de la rage à être, prime sur l’éternité. Nous savons des choses à force. Nous avons à force compris certaines petites choses du temps, nous avons enfin à force pigé x petites choses du temps donné qui est le temps brûlé= le temps mangé = le temps perdu. nouys voulons comprendre ensemble ces choses rudes, les pousser au plus de leurs retranchements diurnes. notre volonté s’inscrit dans un projet. il y a ici des choses et autres qui sont ou sezraient à devoir être dites mordicus (Verbe aidant) et voilà ce à quoi nous croyons (notre foi de rage) et ce à quoi nous voulons porter pareille foi, ou nos efforts, nos envies. nous poussons loin. nous allons au plus loin possible que nous pouvons. Nous eessayons de forcer la roche et la dose et creuser profonds  pour des connaissances à faire affleurer à la surface d’un dire de pâix. nous filons ! nous filons le ruban de l’âme ! nous foulons ! nous foulons la terre première ! nous cherchons à nous carapater ou comment dire cette chose d’un vouloir particulier visant à se cacher, à vouloir se cacher, à chercher cachette, à chercher salut dans le verbe

 dru. nous sommes ensemmble qui nous promenons sur un chemin. ce chemin est une voie qui mène ... à  un au-delà pariétal. Cet au-delà pariétal est une cachette (ok) qsui nous concerne, nous intéresse, nous  parle, nous regarde, nous espionne peut-êtrte, nous parait convenir à nottre sorte de gouverne si tant est. nous voulons nous libérer d’une emprise rupestre, nous cherchons la libezrté. notre but est ici de traverser à travers la roche, de la dépasser, de creuser entaille, de passer, et de nous retrouver de l’autre côté, et là de toucher ... le pere éternel ? à la voix rude (?) qui (du coup) parle dru à nous qui sommes des enfants devant le firmament. nous disons que nous devoons comprendre ensemble (main + main) des données princières = primaires = premières liées au Verbe d’un élan vif. nous faisons ainsi ce parcours de vie dans le verbe. nous poussons de rage nos savoirs comme autant de données à déposer sur seuil de cdemeure l:ouée. Nous disons que nous devons louer pareille demeure, glorifier  l’antienne, hurler de joie-souffrrance notre propre avancée en pareil sentier. hurlons la demeure, ou : hurlons pour la demeure ! faisons fi de notre santé appelée à succomber quoi qu’il advienne ! Nous devons penser à ici subséquemment nous protéger du verbe continu qui semble menacer (à vif) notre vie interne, vie de rage, qui semble vouloir nou$s toucher à vif et nous faire chuter. Nous sommes 

des enfants dans une grotte. nous parlons pour comprendre le monde. nous pen,sons que de 

parler ainsi (à brûle-passé) peut de force nous aider à comprendre ici le monde au mieux, c’est)àdire les données premières , c’est à dire ce qui nous attend ... dans la mort, car on dit cela (et on le croit) que nous sommes appelé.es à devoir y passer un de ces quatre. Nous pensons que c’est lma vérité. que la vérité des choses est logé e dans le v erbe, dans ce qui est dfit. misère ! que ne croit-on pas ! Le verbe est salutzaire mais point da,ns le sens où ce qui est serait dicible ! oh misère ! oh enfa,nce de la pensée, à jamais ! Nous passons par un trou d’aiguille et nous sommes à présent comme mis et mises de l’autre côté, à savoir côté pair. nous voulons cerner des choses toutes liées à des vérités de poids. nous parlons pour dire icelles. nous pensons que de parler (de raisonner) aide à comprendre, à savoir, à naviguer, à aller, à marcher... comme des jambes aident. mais la vérité c’est que des jambes aident davantage. nous pensons que cette chose de parler... induit la vérité, permet une approche (à chaque fois renouvelée c’est à dire repoussant la chose ). Nous pensons 

que de parler et de penser, est chose de base, est chose de poids , chose pesante = lourde = quoi ? nous pensons que nous devvons parler (penser) pour prendre, avec soi, un paquet de chose de poids. nous pensons que nousq avons, pour nous, cette chose (rude, vive) à faire tout du long, qui est , de penser-parler le monde, de penser-parler icelui (ici) en allant, repoussant par le verbe au loin ce final pour ainsi dire jamais en vue d’une verité qui se puisse être dite enfin et une fois pour toutes. gageure et anerie font bon ménage ici. la chose est classée. le dire dit «de vérité» sé’éloigne à vue d’oeil. il file da ns les profondeurs des limbes de la vie sur terre. le sens est perdu qui n’a jzamais été pour nous donner de quoi pouvoir dire «c’est fait, nous savons, la chose est ainsi». Jamais de la vie. nous pe,nsons -parlons ... pour en rajouter dans le dire qui, accumulé, éloigne le dire du vrai. je pense donc je suis la chose, or que suis-je d’autre que ce verbe déployyé (le temps suffit) pour une sorte de gouverne en sainteté (odeur de sainteté ?). je cherche à comprendre ce qui est dans ce qui se voit, mais impossible car la vie ici est telle que le temps  brûle tout entier son allant de rage au fur et à mesure que nous a vançons ensemble en age = concomitament dans le  

VErtbe cru. nous croyons. Nous pensons = nopus croyons. Penser = croire, évidemment ! il s’agit ici de voir la chose comme qyoi penser-parler ,  induit la croyance en du verbe sensé or inutile (presque) de préciser (ici) cette chose, comme quoi le verbe est avant toute cghose du massif de base, rage vive à devoir propager sur terre-mère à la volée (le temps aidant) comme une chose dég&agée des limbes, ou  même déployée des sens, homme / femme délivrée dès lors dee sa gouverne printanière. hje cherc he dans le dsang le mot de la base.  je cherche dans le sang perlé, le mot qui pose, qui pousse, qui enchaine. hje suis homme des parois du monde 

et je cherche dans le sang des choses qui, de fait, sont (ici mêmme) les choses 

de la joie à être. le sang porte en lui le nom donné ou qui nous est donné à la naissance. il s’agit ici de cette chose d’une donnée rude, vive comme les  pluies, vive et belle, belle bête s’il en est,

 qui vibre, qui pousse, qui permet d’en avancer fissa sur le chemin de notre destinée, etc. Nous savons cette chose ici, comme quoi la vie est une destinée de rage, qui va du point a au point b en poussant des cris de betes massives, des cris forts de betes des bois et des prés, comme aurochs, comme cheval, comme bison, comme rhinocéraos, comme cerf de grande taille. je pense ici = je parie sur l’avenir = j’extrapole = je pousse dires et gestes au loin comme une coupole lancée comme à la vol:é. je suis sport. je chante. je suis cet homme qui va de l’avant...  dans un dire affolé qui vibre et s’implante sur terrain approprié comme est le temps de la durée d’un verbe attaché à une pensée. je suis homme qui compre nd ici les données posées ou déposées à même l’herbe. je tomberais à la renverse, je serais piégé, je serais piqué par la mouche tsé-tsé ou par quelle autre bête inoculant son venin acide meurtrier ? par quelle autre bête filant sa toile , par quelle autre bête de poids ou de charge ? Je suis homme des apprets de base, on voit cela, on comprend, on devine, on voit ce qui se trame, on voit les données de base qui ici se p^rofilent et semblent vouloir nous adresser comme une parole de destinée (de sainteté ?). je sens venir l’ombre sur moi. je vois venir le verbe ... sur ma gouverne. je comprend que des choses se passent (qui sait ?) par-devers moi. le temps se déploie par la bande. la bande est celle-là même qyui me voit aller tout de guingois dans le Verbe. où se loge t elle ? dans un sang des rois ? dans le sang dit bleu d’une sorte de reine primaire   cherchant querelle et me sermonnant comme un enfant ? qui est ici qui puisse dire ce qui est ... pour  de vrai ? qui sait la vérité des limbes ? qui connait le mal à être soi pour soi ? le verbe est il porteur (en soi) de connaissance ? le verbe a t il pouvoir sur nous ? saurait-il nous indiquer la marche à suivre, le trajet à empruunter ? le mal est il logé ? la peine (la douleur) est elle à  devoir etre ? qui sait ce qui est du verbe en nous contenu ? qui parle pour moi ? qui me parle et parle pour moi ? est-ce u ne mère ? esdt ce un père ? est ce la voix du Verbe attenant à soi ? est ce une misère ? un monde ? le monde ? le portrait craché d’un monde ? je cherche à comprendre avec (ici) les mots qsui  tombent et me portent et aussi me soulèvent et ausdsi me prennent et aussi m’amènent au loin, là-bas, champ 

d’azur et de betes boisées, les biches nacrées me regardent. je suis homme déployé ... par la ba,nde en moi langagière. Je suis homme langagier, dit homme des contrées vives, homme vif dxe verbe employé, homme du passé brûlé (calciné) comme charbonille. je tombe ici de tout mon poids d’aurochs offert, du fait que je suis ainsi à même (incidemment ) de pouvoir parler, en veux-ttu en voil:à, à même la pierrre. qyui suis-je d’autre que cela, cette pierre, ce sang sur la pierre, cette pierre (pierre d’apparat) ainsi «décorée» : qui ? je suis un homme qui, sur pierre (monde), pose le (un) présent attezndu par la mort à savoir la vie, mùais ici la vie n’est pas à proprement parler la vie mais «la vie passée», soit le passé brûlé, consumé, le passé de soi (ou d'un soi) comme mort, vie de soi sans vie, etc. je tombe sur le sol , me ramasse, me relève, va = vais. Je suis ombre et homme des parois du monde ... adjacent à celyui ici que nous vivons. Je regarde la porte s’ouvrant devant moi à mesure que jh’avance sur ma voie. je regharde au loin et voit la biche, le chevreuil, le cerf, le méga-cerfg. je suis cerf mùoi-même. je touche au but. je touche avec des mots de base qui sont mots de rage rupestre. jhe veux dire ici cette chose d’une voix (de base) menaçante, voix qui hurle à la mort son juron (de poids) monacal : bisque rage !  Je suis

 homme au parler ardu, critique, perlé, parfois vif, parfois vil, etc. je cherche à comprendre ce qui est ici, les enhjeux de race première,;, ces données de poids, ces données de vie riche. je fou;le la terre , je m»’e,nfuyis pour ainsi dire. Je suis homme qui s’enfuit , dans du verbe (de poids) salutaire, dans du verbe dru, récolté, rassemblé, assemblé, mis comme bout à bout par paquets de dix. je cherche «une entrée de voix». je cherche assidument un passage pouvant (de fait) donner de quoi ou vers quoi aller. je suis cet homme qui, parlant, pousse une porte,  cette porte porte un nom de porte = «porte»; je veux. je cherche. je veux savoir. je veux comprendre le xang, la chose du sang = l’être, le chant du sang, le chant sanglant du sang qui se faufile finement par les anfractuosités de l’être. je comprends. je cherche à savoir. je file. je cherche à comprendre loin. je veux cette chose. je veux faire cette chose d’un savoir de dires durs, d’un savoir lié à du dire dur. je veux faire cette chose de savoir et de savoir loin ... et long, longtemps, vif, comme un homme qui serait nanti, qui serait pour le coup muni (bel et bien) d’un dire de poids, d’un xdire pour des  «embardées salutaires» à même une paroi de roche ... à graver, à peindre, à percer. je sens cette chose qui en moi renâckle, qui szerait 

bete soit la bete-mot contenue e,n moi. je cherche à comprendre ce qsui est en moi qui serait pour moi une sortye de «gouverne animalière» et cette chose, l’approcher par du verbe dru = dur = vif = porté = mené = déposé = posé = donné. je veux aller ainsi vers des savoirs qui puissent me donner l’élan, l’élan suffisant , pour une incursion à faire en roche, à deux : la bête et moi main dans la main pour ainsi dire. sauter le pas. franchirv les obsctacles posées devant soi; sauter les bouts de bois de la foret qui jonchent le chemin de destinée. Je suis sur ce chemin de destinée, je file vitesse grand V. je cherche à comprendre ce qui est qui devant moi se pointe à vif comme une pointe . vit ? vite venu ? vite venu à moi comme un geste de bienvenu décoché ? je cherche à comprendre ce qui est cde ce que je vois se tramer. la pensée rédige. l’homme en moi déplace la pensée vers ... un dire animalier de bien venue (de bonne renommée). je suis à vouloir xdép^lacer une pensée de poids (plus ou moins salutaire) vers du verbe ancré, ou vcers un sentier, ou vcers sentier de cverbe déposé. Je cherche à comprendre ce qsui est pour moi, dans le  verbe soit en moi, cette bete de poids qui cherche à pa rler;, mais comment peut-elle ? comment faire pour ainsi faire que les choses soient ... et restent ? comment faire pour soi (en soi) faire parler la bete ? quelle est-elle ? suis je en moi pôrteur d’icelle ? qui est cettye b êtye ? quel nom a t elle ? quel nom porte t elle ? a t elle un  nom que je connais ? le verbe est il inné ? est il donné ? est il appris ? est il induit ? est il déposé ? est il donné comme ... le présent du temps ? est il Verbe de peu ? verbe de poids ? verbe sauveur ? verbe contenu dans le sas de la vie sur terre et pas au delà ? a t il des ramifications dans l’au-delà ? est il du verbe de paroi (aurignacien pour votre gouverne) ? est il verbe d’un don de rage ? est il poussé ? est-il tiré ? est il aspiré ? est il soufllé ? est il contenu en nous ou hors de nous contre vents et marées ? est il verbe des loiintains parages ? est il verbe traversant nos corps comme un instrumment ? Suis je bete ? suis je l’idiotie première ? suis je ab ruti ? suis je con comme une lune p;leine? croissant ? quartier ? suis je con-con ? suis je à emplatrer de première ? dsois-je vivre longtemps ? suis je fait pour vivre ? suis je fait pour aller loin en pareille voie ? suis je fait pour toucher ici au verbe vif, monacalement logé, emprunté à qui vous savez, etc : suis-je celui-là ? suis je un moi ? deux ? suis je en moi deux moi ? qsui gouverne en moi = qui parle et conduit le mobile de vie ? qui est qui ? qui en moi comprend ce qyui est ? qsui de moi sait ? qui sait de moi ? qui de moi sait ce qsui est ? qui sait de moi ce squi est ? qui en moi regarde ? qui voit en moi profondément ? qsui en moi voit ce qui est que je szerais? qui «en moi « (où donc ?) voit ce qui est que je sezrais ? qui peut avec des yeux voir ce qui (en moi) semble être logé ? squi pour moi peut dire ? qsui pour moi sait ? qui pour moi peut dire ce qui est qui semble se tramer en termes de santé à vivre ? qyui connait la destinée de tout un cxhacun et chacune sur terre mère ? qui parle pour moi ? qui est là pour moi parlant ? qui est là pour moi qui dit ce qsui est ? qui pour moi est là qyui parle en moi et dit ce qui est de moi = ce qu’il en ressort ? qui parle à travers moi, mes dires, le verbe, les dessins de rage sur pierre d’oofrande, tout ce passé mort ici déposé en voulant faire accroire( à une déité) que le passé est vrai, vrai sang de ta race. 

Je suis celui-ci qui cherche à comprendre un certain nommbre de données de base = de poids , qui puiissent (dès lors que ça pèse) donner directions. Je vois ... ce qui est devant (le temps) comme une sorte de voie à ici emprunter fissa par la bande (sanglante) du temps. je suis homme qui s’avance sur p)areil sentier et fonce que tu fonceras , tête première, vif éclair dans la nuit des temps, à la recherche d’une voix. la voix Premièere. Mot des mots. Mots des dires fous de rage. mots des voix qui péèsent. je regarde cdevant moi  ce qui est qui semble aller de soi et nous donner ... du fil à tisser, et ce que je vois est , ce fil xde soie, ce fil de rage, fil fin d’une rage à être vivant - vivante par la bande = le verbe = le cri = le christe = l’oint de destinée. je me place ainsi en ces parages à l’abri du vent qui souffle fort. je regarde de biais et comprends ce qui est ici en matière de donnée primaire : le vent, le vent dans les voiles, souffle que tu souffleras, le vent vif qui cingle le visage, le vent sifflant. je vois devant moi cette ombre portée qui vient jusqu’à moi, m’effleure, me touche crûment, cherche à m’emporter, à me rapter. Je  suis l’homme là du la de la bande, du ... la la la d’une bande en soi, chant menu, chant fin, chaznt doux, fil de chant de soi, chant de rien ou de si peu. je vois  ette

 chose devant moi qui est : entrée de rage dans la matière. hje veux savoir, et cela que je veux savoir existe ici en gra,nd, devant moi, sous la forme d’une bête gigantaesque, la bête des bois, le cerf mèga-grand qu’on l’appelle, ce grand des grands cerfs, ce cerf géantissime, cette bête de forte prestance et assurance-présen c 

e.Je regarde icelle. ma voix porte. le temps file vif. les mots viennent à se loger dans un sas de roche dit «magnificient»». je pense à la bete belle. je suis ombre. je touyche la bete belle. je regarde icelle devant moi et m’en approche. il s»(‘‘agit d’une bete de poids, qui sepose là , en impose, dit son dire fol, peuple laterre. je vois icelle devant moi, et essaie de la comprendre soit de la toucher. ma main s’approche d’elle. je ne tiens pas à l’effrzayer. je veux être un ami pour elle, bienfaiteur, ami doué, jeune pezrsonne apprécièe par elle, seigneur . je veux être un seigneur pour elle, un joli être d’approche sensible, caline, pas brusque, doux d’allure, etcx. que la bête ne me craigne surtout pas mais au contraire qu’elle soit en confiance, qu’elle vienne à moi sans crainte, qu’elle vienne à s’approcher de moi sans crainte, en toute confiance, doucement et durablemenent. la bete- chevreuil, la bête)-biche, la bête-joie, la bête-mot, la bete-mort ou comment se nomme-t-elle ? Je suis l’homme des parolesq déposées sur roche, magdalénien, aurignacien, solutréen, ou même plus loin, néandertalien de rage. je m’approche de la bete incidemment, et je cherche à lui parler ou à la toucher, les deux. à toucher-parler ensembvle 

une bete des bois de la rage à être?. 

mon nom est le nom de cette bête. je connais mon nom , il est celui de cette bête. mon nom est exactement le nom de cette bête, de la bete devant moi qui se présente comme un temps donné. mon nom de base est nom de bête. je cvonnais le nom. ce nom est logé. il siège. ce nom est contenu. il préside. ce nom est un cap de rage. ce nom est capitaine au long cours. ce nom est un nom déposé pa r la ba,nde en un antre de rage. ce nom (mien) est tel que la bete le voit (dezvcant moi), le sent, le subodore, le renifle, le lèche etcx, comme une chose en soi dépôsée devant. je suis l’homme au nom animalier, porté par la joie à être ... un homme rageur, d»éployé dans un temps tout aussi rageur ! je suis l’enragé de la bande, homme)-cervidé, connu, cherché voire recherché par d’autres cervidés de la lande. il se peut que je sois renommé par la ban,de. par la bande animalière. D'un nom d’appret.    nouveau nom de ta race : nom ici  apposé comme une main qsur paroi de roche . nom 

surnuméraire ? nom donné par les embruns ? par les betes paissan,t ? par la roche elle-même ? par un dieu de foi ? par la bete en col:ère ? par la mort ? par lma mort en vie ? par une mort en vie contenue dans la vie ? par la mort en nous contenue ? par en nous une mort contenue ? par en nous lma mort vive ? par en bnous une mort vive ? par en nbous la mort qui vit ? par en nous une mort vivante ? par en nbous une de ces morts vivantes qui siègent en nous comme une sorte de «gouverne princière» ? qui donc loge en nous en fait de gouverne ? qui en nous se loge en fait de «gouverne princière» ? le grand manitou ? une huitre perlière ? un prince ? le prince ? le Roi ? le roi des parois de rage ? rOi aurignacien ? roi madgdalénien . roi néandertalien . ? Roi de céans ? rois des parages, des parades ? quel est donc le roi en soi qui pèse, pose, siège et parle pour nous ? 

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21/2/2022

Je suis ici celui-là qui cherche volontairement, à comprendre ce qui est qui vient ou viendrait à nous soit devant nous, et ce qui est est cette chose d’une sorte de donnée vive, brusque, déployée etc, qui semble nous «ouvrir des portes» sur des vérités de poids. que sont ces données ? ces données sont des choses rudes on le sait. Sont des choses qui en imposent de par leur stature, de par leur profil bestial et rugueux, de par leur élan (une chevauchée), de par leur allant (un vif remue-ménage devant nous). nous devons comprendre ces données ici en tant que massifs différenciés, qui tous imposent leur stature, leurb présence. Nous regardons, et ce que nous voyons ne laisse pas pour ainsi dire de nous intriguer, de nous impressionner aussi, de nous subjuguer. nous sommes dès lors face à pareille données qui semblent nous narguer, ou bien nous faire des signes : de bienvenue ? appel ? appeau , 

que se passe-t-il ? Nous ne voulons pas passer à côté ici d’une vérité de poids et pour ce faire nous entrons ensemble (à deux) dans le temps, dans ce temps d’une vie allouée à une existence ou quelque chose de cet ordre. Nous sommes deux (en nous) car nous sommes double. Nous sommes double = nous sommes deux = nous sommes doublé = nous sommes «plusieurs» si tant est que plusieurs puisse être deux. Nouys cherchons de ce fait ensemble des données brusquées (ici par la bande et volontairement) qui puissent nous donner de quoi éclairer suffisamment notre lanterne pariétale. Nous ne voulons pas flancher mais tout au contrzaire poursuivre (et fissa) sur notre lancée qui nous voit ensemble (main dans la main ?) chercher ici et là des données de base concernant les choses de la vie, soit tout autant les choses de la mort. La mort est de fait de ces données de base que nous recherchons. Nous voulons comprendre ensemble loin ce qui l en est, ce qu’il en résulte ou comment exprimer cette pensée qui nous occupe tout du long tandis que nous allons ? comment dire icicette chose d’une mort qui serait ... une donnée ? Nous pensons que cette chose (mort = donnée) est très importante (souligner). Nous pensons que cette chose ici (ce dire) est capital (souligner). Nous voulons comprendre cette chose. Nous pensons que cela (ce dire, comme quoi la mort est une donnée, ou sorte de donnée, et aussi  : donnée, offerte) est une chose de compréhension ou relevant de kla compréhension, des connaissances, etc, à ne pas traiter à la légère. Nous cherchons des données fortes, rudes, dures soit qui tiennent et ne flanchent pas. Nous pensons que cette chose de lza mort en tant que donnée (et donnée au sens adjectival du terme) est chose de toute premiere importance, capitalissime, capitale en cela que la mort ne tombe pas de rien, ou cheveu sur la soupe ou fait subi, mais est don pour soi, don d’une déité pour soi, don pour soi d’un dieu Amour. Je dis les choses ici telles qu’elles me sont soufflées ensemble par la bande pour ainsi dire. ici je dis les choses d’une sorte de souffle ou soufflet qui m’est ou me serait comme transmis virilement ou sinon virile ment visiblement, ou sinon visiblement incidemment par devant moi cette chose d’aplomb, cette ombre portée, ce chant personnifiée, cette ove. Je cherche une Vie. je cherche devant moi cette chose d’une vie à vivre et virilement (?) et visiblement et incidemment à même Terre-mère des Tourments = ce monde adjacent à une vie (autre) de rêve, ou sinon de rêve : de poids. JHe sais cette chose comme quoi la mort est une sorte de donnée de poids, est une sorte de donnée qui pèse, qui en impose largement de par sa masse, son allant trappue ... comme aurochs. il y a longt

:mps que nous avons compris la chose, celle-ci, comme quoi la mort ... est donnée (une donnée) qui en impose durablement et à la dure face à nous qui regardons, regardons comme nous pouvons, cet être de joie devant soi =  devant nous ... qui allons ensemble à la rencontre d’une vérité. La vérité ici est 

comme imposée. un impôt pour ainsi dire (imposition ?). Nous voulons toucher 

cette peau de bête, ce chien ? ce cheval ? Nous voulons toucher cette peau devant soi, qui se présente, qui se déploie, qui se place sous nos yeux pour inspection pour ainsi dire. 

Nous voulons toucher cette chose d’une sorte de donnée vive (vivante ?) qui vient à nous et cherche ici à nous embrasser, nous serrer, nous prendre, nous cerner, nous comme envelopper, nous souder à elle. Collage : frottadou. Et pourquoi cela ? parce que nous sommess intéressant (ô combien !) pour elle ! Nous ne sommes pas rien! Nous sommes êtres qui comptons pour ainsi dire notre poids de cacahuètes, de monnaies. nous sommes êtres qui comptons pour elle = nous valons, nous sommes de valeur, nous sommes cher, et nous sommes chair. Nous sommes cher et nous sommes chair = nous sommes h umains qui sommes de sang et de chair. nous sommes incarnés. Nous sommes incarnés pour elle = des êtres ... de poids et de masse, des êtres quyi se posent là, êtres qui sont ... des qui sont, qui existent en dur, pour de vrai, homme et femmes aux attraits , de par leur étant dur, leur constitution. Et voilà pourquoi la mort «nous cherche» et finira par nous trouver ici ou là. nous savons cette chgose d’une porte devant soi, temporelle, dure, vive, ouverte. Nous la voyons de nos deux yeux, nous voulons nous en approcher et pouvoir y voir à travers ou bien pouvoir entrer (d'un pas timide) et voir au loin, ou dedans, ce qui est, etc. On sait que la mort est une donnée de poids de type peinture rupestre. On connait ces choses des parois, toute une imagerie de rage étirée, cette chose d’une cavalcade pariétale. On connait les betes dessinées ou gravées et on sait (on devine) leur importance «mimétique», cette chose d’un semblant qui est offert à une déité afin de faire accroire. Nous savons que cette chose (don de soi par la bande) est : et capitale et un capital , Le Capital, cette chose d’importance grave, rare, dingue. Nous disons que nous voulons savoir les choses de ce capital, nous disons que nous voulons comprendre ensemble (tous et toutes) cette chose grave, rare, cette drôle de donnée massive appelée » le Capital». Nous ne voulons pas faiblir. NBous ne voulons pass lâcher les brides de la connaissance en toutes choses. Nous voulons comprendre ce qui est ici (le Capitzal) en termes choisis, appropriés, qui cvonviennent à une pensée menée tambour battant, vive pensée vive, vive pensée vivement déplissée ou déployée comme un devant de soi de type monacal, pariétal, d’homme ou de femme des cavernes. Nous sommes ensemble (homme et femme réunis) pour cause commune qui veut cette chose d’un savoir ancré. nous sommes ensemble pour = pour agir ensemble, trouver, consulter, trier, convaincre après nous du bien-fondé de nos recherches actives. Nous voyons devant nous des choses de poids et ces choses de poids sont de l’ordre de la vérité des choses graves (dites «graves»).Nous voulons cerner ensemble ces choses et ces choses les déplavcer pour nous en des formes, ou vers des formes qui puissent, vivement, faire accroire ou du moins en jeter etc, à qui de droit. Nous voulons faire ainsi que pour nous la mort nous dédaigne, ou comment dire ici nos quatre volontés. Nous voulons 

comprendre les données ici devant soi déployées comme des temporalités à cerner, à toucher, à approcher sans crainte, à voir. Ici sont ces chosex déployées qui sont pesantes, qui sont choses de grande importyance de par leur stature, de par leur aspect de bete de choix et de bêtes des Rois. l’ours des cavernes, l’aurochs, le cerf géant, le mammùouth,; le grand bison, etc. toutes bêtes quyi (devant nous) se posent ou posent comme autant d’effigies (rupestres) d’envergure, fils de roi et reines, fils et filless de ces rois et de ces reines des parois du monde , ou de ce monde d’un après le monde. Nous touchons ici à une vérité de poids, à une de ces vérités de grande importance, capitale, conséquente, centrale, d’importance majeure. vérité des vérités. Nous voulons savoir ensemble les données, ce que sont ces chose d’un devant, ces betes charnues, ces betes devant nous qui sont des images de la mort à l’oeuvre, ou sinon quoi ? de la vie vive dzéployée comme pour de vrai ? une vie d’emprunt ? vie de rage pour la bonne cause à imager ? vie vive d’une fausse vie offerte ? nous voulons cerner la mort dans ce qu’elle a pour nous à nous apprendre sur sa vie. Nous voulons comprendre les données franches ... d’une mort pour soi à l’oeuvre (pour soi et pour tout un chacun et chacune) devant soi = face à soi = dans le temps. Car, cela est ici (en vérité) cela, comme quoi la mort = ce devant de soi rupestre (on le sait) et ce devant est là qui se présente en tant que tel = un devant ... de rage forte (folle ?) qui crie à tout va de par lui sa faconde volubile, crie vif son cri pulmonaire. Il crie, le devant de soi crie. Le devant est cri. il est ce cri qui va, vif, nous envahir ou, vif, vient nous envahir et nous interpeller et nous en mettre plein la vue et aussi nous sermonner, nous adjurer, nous mettre en difficulté. Nous voulons savoir pourquoi ce cri mais comment sa

voir ? pour savoir il faut mourir dit-on ? Doit-on ? nous voulons savoir c’est un fait , mais pour autant nous rechignons à cdevoir mourir pour en savoir long. nous ne cherchons pas la mort mais la vérité, et pour trouver la vériité doigt-on trouver la mort ? la question se pose durablement (en dur et dans la durée) .  = durement et durablement en un xseul mot pour ainsi dire. Nous voulons cerner « la mort, la comprendre pâr le menu, la toucher la toucher comme la chatte à la voisine, etc, c’est dit, mais doit-on ? doit-on toucher toucher ? doit-on toucher la mort ? doit-on toucher la chatte à la voisine , ? etc, autant de questions ou interrogations à devoir résoudre (fisza) afin de pouvoir (enfin) passer à auttre chose ensemble, dépasser un  certain nombre de données de base (écueils ?) qui gênent (un ppoil), s’immisce, s’incruste, et dise,nt ce qui est pour elles, ce qui est masqsif. Ce qui est pour llles (ces choses) qui doivent ou se doivent être ou d’êtres formulées coûte que coûte (naîveté et puérilité) avant de pouvoir (nous pour nous) en découdre, dépasser la chose et aller ensemble nous poser ailleurs. ainsi, il y a comme ça ici des choses à dire ipso facto, choses qui s’imposent dans un dire (déployé) infini, choses ici qui cherchent à  se placer manu militari ou presque, etc. Nous voulons savoir les choses, ce qu’elles sont. les choses posées devant soi, présents d’offrande, temps présent d’une offrrande (à des divinités) qui sont des mots d’enfants prononcés par lma bnande et comme échappés. nous voulons ensemble ici toucher la Vérité des mots et sentences. nous ne voulons pas passer à côté, tout au contraire, nous voulons toucher la Cjhose vive, ce devant de porte, ce seuil pariétal du monde des vivants, des morts, des etres bi (mi mort mi vif) etc. nous voulons toucher à cette vérité de belle prestance, de jolie fame, de belle renommeée s’il en est, de grande stature, etc. La vie ici n’est pas pour ainsi dire déposée en tant que telle (qui serait la mort pour nous mais la vie pour la mort) mais la mort d’(une vie passée. ici, la vie déposée n’est pas la vie en tant que telle mais une sorte de petite vie (le passé) qui est une mort , qui est la mort de soi en continu. cette vie-mort, ici donnée en tant que vie vive ou au nom d’icelle, comble un temps la mort avide de données de poids, qui le fasse vif et bien, qui fassze ce pour quoi la vie est là pour elle (un combustible ? une denrée ?) et voilà ce qui est, du coup, pour elle. Couillonnade alambiquée comme de coutume. couillonnade vive et comme déposée. Nous cherchons ce qui est à même la langue. KLa langue a deux mots à nous dire il semblkerait. nous sommes 

 à vouloir chercher les mots d’une langue «informée» qui en swait des tonnbes, qui connait sa bible. Nous cherchons à comprendre ensemble un + qui pûisse concrètement informer notre gouverne, nous en dire long et vif, qui puisse nous donner les beases d’un savoir à devoir creuser, à pousser, à placer pour nous cvomme savoir de base en nous , donnée franche inscrite à jamais , langue maternelle. les données du monde sont celles que nous voulons pour nous acquérir fissa si tant est. Nous voulons ensemble (tous, toutes) acquérir des savoirs de rage (pour nous) et de fame (aussi) qui puissent convenir à notre propre gouverne et éclairer notre chandelle. Nous allons fisqa, nous marchons. la marche ici est importante, nous devons ma rcher. nous devons comprendre l’importance ici de la marche, de l’avancée, de l’allant, de l’éla,n, de la conduyite en avant d’un mobile, des traversées, des avancées nonchalantes ou vives mais menées durablement à même le temps. nous voulons comprendre la mort. nous voulons comprendre les raisons qui poussent icelle

 à nous affronter, à venir vers nous, à nous chercher queerrelle, à nous en vouloir = à nous «en « vouloir. Nous cherchons vivement mais il n’est pas simple de trouver (icelles raisons) en nous-mêmes, car nous ne sommes pas voyants extra-lucides hélas, nous ne sommes pas devins, nous ne sommes pas des êtres aux vues longues s’il en est. Nous sommes êtres de peu , êtres de foi oui mais qui allons, ainsi armés, soit mal armés car nos vues sonjt courtes. Nous essaéyons vivement d’en avancer, de gravir les échelons de données en particulier, de cerner au plus juste ces choses de poids pariéto-frontales c’est un fait. mais bon, nous sommes êtres de peu, nous sommes pauvres, nous ne sommes pas ecxtra-lucides, nous ne voyons ni loin ni longtemps dans la durée. Nous voyons court?. et nous sommes courts. Nous ne 

sommes pas tr!ès doué en la matière, notre vue ne va pas loin. La mort pour nous est une

 donnée et peu de chose en plus. ou comment sinon ? car nous voulons comprendre +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ce qui est qui se présente à nous . Quoi est la mort en vérité ? nous voulons comprendre ensemble cette chjose de la mort, nous voulons ensemble  cerner cette chose = la cerner d’un trait = la dessiner = la comprendre de cette manière formée sur paroi. Nous voulons toucher la mort au plus pprès. Nous voulons toucher icelle ensemble. nous voulons toucher la chose vivement, en vitesse et durablement. nous voulons comprendre icelle ce qu’elle eswt au juste, ce qu’elle signifie par la bannde, ce qu’elle est pour nous qui nous en approchons par le Verbe incidemment. qui est-elle pour nous, que nous dit elle à nous que nous pourrions entendre ici ? quoi est dit ? qui parle ? qui dit quoi ? quoi estdit ? etc., nous cherchons ensemble à nous approcher d’elle, à voir à quoi elle ressemble, qui est en elle, quelle bête, quel animal de vie, quelle bête de joie, quelle bête vive. Nous voulons comprendre ici ce que la mort est, un cri ? un cri venu des profondeurs ? un cri pariétal ? un cri de s tréfonds de l’ombre ? une mainmise ? une main ? une main sur soi ? un semblant de main sur soi ? une gageure ? une donnée francjhe et si oui laquelle ? une pensée ? une vibration ? un vibre- méninges ? quoi d’autre ? nous voulons toucher à une vérité de poids qui pûisse nous donner de quoi comprendre dans la durée les choses comme elles sont en vérité. Nous ne voulons pas ou plus à présent passer à côté mais tout au contraire y aller fissa et franco vers des vérités ici et là à decéler, à dénicher, à attrapper au vol. Les données de rocjhe importent, elles sont capitales ici, pour nous, pour comprendre ce qui est et ce qui n’est pas. Nous devons ainsi aller fissa tout contre la roche et trouver ces dites «données de rage» nichées incidemment, par qui on ne sait pas (enfants des lumières vives ?) mais voil:à, la chose est là comme elle se doit, nous devons TOUCHER ! c’est un fait ! c’est sûr ! la vérité passe par là ! nous devons comprendre cette chose d’une vérité passant par le toucher à même la paroi des cjhoses : touchons et creusons la pensée ! touchons et creusons une pensée de poids ! touchons au monde et nous allons comprendre :loin, loin et long, car nous sommes vifs, outillés pour (ou pas loin) et nous pouvons savoir ensembvle des données, les cernerr d’un trait, dessiner à main levée, léviter etc. si nous sommes soudés, si nous nous soudons, si nous ne cherchons pas à nous séparer, si nous resstons unis, si nous insistons dans l’union, alors peut-être que nous pourrons, que nous serons à même de pouvoir savoir longtemps et loin. il suffit de faire ainsi que nous restions unis. Nous ne devons pas nous désunir mais rester accolés, colés, soudés, scotchés pour ainsi dire l’un à l’autre et ainsi entrer en roche des temps;$, ainsi faire de concert. nous sommes deux (en nous) qui cherchons des vérités de poids, des choses durables, des impactants, des choses «qui le fassent» dans le temps comme par exemple donnée rude d’un temps défini, ou comme do nnée rude , déployée, d’un temps en p)articulier, ou alors comme donnée massive d’une bête-mot toute déroulée sur un devant de soi pariéto-temporel. nous nous sommes avancés ensembvle de la paroi , et hop, vifs, entrons, lévitons-entrons, filons fissa en  elle et touchons dès lors à la vérité desz choses de la mort. La mort est une donnée vive dite « de base» couramment. La mort est cette chose d’un devant de soi «temporel» ou sinon «temporel» ... «temporal» : ? La mort est-elle «temporelle» ? «temporale» ? Qui le sait ? Nous sommes deux ensemblke à vouloir savoir et nous gravissons les monts, les roches rudes, nbous creusons dans loa paroi, nous fouilloons en veux-tu en voilà comme des forcénés que nous sommes ici bas, nous ne lâchons pas la grappe, nous fouillons mordicus, nous fouillons en roche, cherchons une entrée pariétale, où la trouver, où aller ensemble, où se loger, où se lover ensemble. Nous cherchons ensemble l’endroit?, le lieu qui le fasse dur. où donc aller à se lover pour cette chose d’un savoir ici à acquérir, d’un savoir coinc ernant la mort et la joie, la vie et le sang, la mort des données et la vie de rage, les données vives de la mort à lk’oeuvre, le chemin, la voie de la voix. nous av ons ensemble à comprtendre, ces choses rudes, ces choses d’un don total, brutal. Nous dezvons savoir pourquoi et pour ce faire nous disons que nous avons à dire ici durablement sans peine, au fil du temps, ce qui vient en nos bouches ... d’enfant désarmé (armés ?) . nous avons en nous des mots de rage à pouvoir en quelque sorte déposer sur roche comme autant de bêtes (bêtes de poids) qui sont des insultes votives on xsait cela. lers insultees votives sont force de poids et d’apparat. elles vont chercher loin, beaucoup plus loin que les simp^les mots des jours du quotyidien. les insultes dites votives ont le poids (de leur étant et de leur allan,t) pour elles : ellkes brisent les chaînes, eklles forment armée de réserve, elles sont la puissa,nce même et donhent le la d’un ensemble à cru d’entrées dans la matière. Nous pousson,s nos pics dans la roche et perçons icelle de part en part. nous ne sommes pas venus pôur rien (en ce bas-monde ?). nous avons bien fait de venir ensemble et d’ainsi percer roche en ces 

endroits d’entrée en matière (failles ?) permettant pénéttration et pouvoir de logement. nous avons traversé la roche et à présent nous comprenons des choses ! nous comp^renons ici cette chose comme quoi nous avons ensembkle à comprendre les données du monde à l’aune d’une destinée durable. nous sommes sûrs, nous sommes p^lein s de foi, nous avons des certitrudes, nous voulons savoir à l’intériur des certitudes, nous voulons comprendre enffin ce qui est, ce qui ecxiste, ce qui se soumet à notre entendement en mpatière de données de base concerna,nt les choses de la mort à l’oeuvre. Nous avons pour nous des mots en réserve (un acquis = un apprentissage) et cekla est, que nous sommes ainsi comme parés. Armés peutêtre mal mais parés. Nous sommes dans un sas de vie vive, sûr, et là : nous pensons. Nous sommes dans nos pensées. Nous sommes dans une sorte de pensée active, cherchant vivement à se dépatouiiller de ces données de base comme offertes devant soi ou sinon quoi : présences ? présents ? offrandes ? nous cherchons à ensemble nous diriger en  cette chose d’une vie de vives données. nous voulons ici cerner icelles «données de rage» et comprendre loin ce qui est . qui est 

qui . quoi est quoi, etc. pour cela : la voix. La voix en soi quyi parle et dicte sa loi. nous sommes e,n transe, la chose est connue. nous sommes e’nsemble (tous ? toutes ?) entrées dans la transe d’un homme des bois. Nous cherchons ensemble à comptrendre des données de base concernant la mort. Nous sommes entrées dans loa transe, nous devons fouiller, aller dans kles forêts, aller loin dans les embruns, aller fouiller dans les fourrés ici de la lande. nous avons c ette chose à faire ensemble et ne rien lâcher. que faire sinon sinon cette chose, car nous le devons. nous nous devons ici de fouiller fissa , par la bande pariétale, les donnhées du monde  

adjacent et concomitant. nous devons trouver des mots de rage et de les afficher (ensemble) par la bande durablement. nous avons à trouver ... iceux mots de rage, et de les ficher incidemment sur rocxhe et voilà la chose comme déployée ! Nous sommes deux (un 2) , quyi poussons les cvhoses loin, quyi poussons le bouchon loin, qui loin voulons pousser la réflexion et lkes conquêtes. notre but est de trouver le pot aux roses des données des  choses. Nous sommes tout proche de le trouver il nous semblerait. nous avons cette chose devant soi qui est du Verbe de données de base ou aux données de base?. consultons la chose = regardons de près et fouillons avec nos mains nues. nous avons cette chose à nous qui nous a été de fait octroyée un beau matin (la main, le verbe) alors usons de notre main de Verbe ! usons d’elle pour creuser la roche et graver des bête-mots de rage rupestre. creusons les données rudesq. allons à la recherche de données de poids. soyons colère ! soyons énervés ! rugissons ! ruons ! allons vifs ! complotons si nécessaire ! filons à l’anglaise ! cherchons querelle à icelle déité dite «de la mort en branche» ! nous avons en nous la possibilité de nous énerver et de pousser notre gueulante (notre cri) alors faisons-le ! n’y allons pas de main morte ! poussons gueulante assurée, vive, tenue, complotiste ou pas vraiment mais du genre qui ne s’en laisse pas conter outre mesure ! couillons la mort ! couillons-la de grâce ! allons-y ! baisons-la ! baisons-la durablement ! ,notre vie est notre vit (?) ! sachons discerner et nous appuyer sur des savoirs de rage nominale ! creusons les données, cherchons vif et courageusement ! allons dzans le sas et trouvons ! trouvons de quoi faire et la ramener ! ne nous laissoins pas griser, soyons attentifs et attentives, examinons les choses de front et voyons voir ce qui est au juste, les mots délivrés, les nbêtes courantes, données-sommes, etc.le poids de la bête sur roche en impose et a son effet. la roche est du temps donné ;à) la mort. la mort est une (seule) entrée dans la matière. le Temps est déployé comme un ruban ... de données (ailleurs?) dites «acidulées». la peine est celle qui sur bnous ravage nos esprits, les met fissa et vif en (grande) difficulté, etc. nous essayons de trouver mais ce n’est pas simple car nous sommes bousculés vivement, durablement soit tourmentés. C’est une vérité élémentaire que cette chose et voi;là pourquyoi nous nous tenons debout, rassemblés, unis ici dans un apparat de fortune en tant que tel, grimés ou pas mais près et prête à comprendre, à chercher (en transe) le contact avec la déité. déité qui es-tu, peux tu me parler ? déité quyi tu es, m’entends-tu ? as-tu cdes oreilles pour entendre ? as-tu des yeux pour voir ? as-tu une langue pour parler ? es-

tu mâle ou femelle ? es-tu homme ou femme ? es-tu homme et femme ? es-tu homme et femme à la fois dans la mort ? es-tu un femme de parole ? une famme douce de parole ancrée ? une homme à lettres ? mot de roche : bête des entrées brusques ? cavalacade fleurie ? le corso ? la bete remontée ? la qui pulse ? la qui peine ? la qui se propulse ? la qui cherche querelle et si oui pourquyoi ? qui es-tu déité qui nous rega rde, qui es-tu entrée dans Matière, qui es-tu Sommité-somme , qyui es-tu pour nous qui entrons en Verbe dans le Temps ... d’un déroulement pariétal : qui ? une femme ? une homme ? un femme ? qui pour nous es-tu que nous cherchons à «dessiner» en ces contrées ? qui pour nousc es-tu qui semble ou semblerait nous espionner pour ainsi dire par la bande allègre ? je voudrais savoir ! je ne voudrais pas passer à côté mais au contraire : de plein fouet comprendre et entériner et avaliser et savoir ce qui est et prendre (comprendre) pour moi en mon sein la chose de la joie, la poursuivre et l’attrapper et dire (dès lors) «je suis» homme d’une attrappe de parade. je suis homme des joies entrées (rentrées ?) en moi-même. je suis icelui qui «pense» les données de roche en moi même et non pl;us sur roche comme dans le temps des hommes et femmes des cavernes. Je suis celui-ci qui cherche «dans la durée» ce qui est qui nbous incombe ou qu’il nous incombe de devoir comprendre. Je cherche la voie, en roche mais pas sweulement, dans un sas de roche pariétal mais pas seulement. Je chgerche une voie d’abord, douce et fine, 

pour parler à une déité , pour 

parler à Déité «de la roche Dure». je suis homme gris, je suis un homme fait , je suis cet homme blet, cet homme de peu prêt à la traversée mzais comment ? nous devons touchyer 

la roche des temps pour la tre$averser , nous devons toucher en,semble, la  rochje dure (calcique) des temps impartis afin d’etre en mesure de la traverser et de pouvoiir passer de l’autre côté sans ghêne ; notre but est de traverser la Chose ici même sans trop de gêne et d’aller là-bas. de toucher à icelle roche des données de base (de la vie et de la mort) et de mieux comprendre ce qui dès lors pour nous va à se tramezr. Je cherche donc je vis. je ne suis pas en reste de chercher des données marquantes. mon corps traverse la roche. mon être est de plein pied avec elle. mon savoir se construit au contact des données rocheuses. je suis êtyre-bête, chose rugueuse, qui fonce. mon corps est à la science ce que mon âme est à la mort. je suis cet homme-femme déployéecomme ... une aile de paroi, comme aile d’oiseau de réserve, aile longue, vool plané?; je suis cet ombre-homme en transe dans la roche des donhnées du monde des esprits finis, des betes mortes, des betes calcinées. je veux etre bete. Je veux êztree une bete de vie rocheuse. je veux être une de ces bêtes de vie rocheuse des parois du mùonde : etre de la roche dure venant à comptrendxre la mort et autres divinités. Car la mort en est une, la vie une autre, la bete une de plus, etc. nous sommes environnées de diviniytés de toutes sortes qui nous regardent, nous matent en continu, ne nous lachent pas d’une once, cherchent à nous coincer comme par la bande, nous suivent au pas, nous cherchent noise, nous poursuivent, nous suivent incidemment au fur et à mesure que nous (de notre côté) avançons en âge. notre envie d’être ainsi (touché) est de celles qui nbous donnent un élan certain , en ce qyui est nottre désir de poursuivre fissa notre aventure de vivant / vivante sur terre. notre envie de vivre est dite à haute et distincte voix on le voit, et n’a pas à rougir d’être ce qu’elle eswt, ce qu’elle représente. nous touchons ici à des bvérités profondes.  nous voulons toucher profond et faire remonter mille et une chose d’importance à la surface de nos ... dires bousculés. nous touchons à des bvérités de poids, à des vérités massives, dures au contact mais solides comme roc de 

roche. Nous voulons connaiotre le fin mot de toute cette adffaire de paroi du monde, dee bouche de la mort, d’ouverture -faillke dans un sas de temporalités diverses (pour chacun et chacune ?). Nous voulons aller en roche (de la connaissance des choses du monde) à plusieurs ... en swoi-même ... ou sinon : armés comment ? car on dit que l’union fait la force et peut-être est-ce vrai !Notre  but est de toucher au but= de toucher ! Notre but est de toucher laz mort sans la contracter pour ainsi dire = voir. Je panse pour le coup mes plaies de bouche par du verbe et ce faisant, j’arrive à comprtendre un  ertain nombre de données des plus importantes. je vais dans cette roche du =monde (terre-m^ère ?) et cherche instamment à me repérer afin d’avancver vers le lieu éclairé (?) de la Vérité contennue en elle. la voie est ouverte. jhe traverse la paroi longitudinalaement et me porte en ses extrémités. Je suis à présent tout au bout du bout . où suis-je exactement ? je suis au bout du bhout du bout du bout du bout du bout c’e’st facile. je suis arrivé à destination = au port de  la roche des fins , des peines déposées sur roche, des offrandes = au pied du mur ... des lamentations./ je ne suis pas  capitaine, je ne suis pas caporal, je ne suis pas militaire mais je suis armé , mal armé ou bien armé qui sait mais armé,. De quoi ? de mon ... pic de Verbe acidulé ! Je veux creuser le temps et comprendre la mort, cette déité contenu (la foi ici) dans le langzage indubitablement. voyez mes recherches un peu où elles me mènent ou bien m’ont mené. je fouille à l’intérieur du Verbe déposeé sur rochje ce qui est, et ce qui est est encore et toujours du verbe mais pas que. La chose est rude. il faut le comprendre?, ça demande

 de la persévéran,ce, ça demande foi et persévérance. Je pênse donc je ne plie pas aux premières 

attaques pariéto-frontales. je suis un homme des entrées de rage ou aux entrées de rage et je vais (fissa) contre la paroi. Crane contre crane ? craneur ? crane ? que dire qui soit juste et vrai ? je veux faire ainsi que pour moi lkes choses soient sues, comme acquises = entérinées = absorbées = eznglouties = bues = avalées = mangées = prises = enregistrées dans ce qsui est (ici) ma gouverne (ma foi) = mon âme (?) = mon esprit d’homme des cabvernes. je suis homme et femme des cavernes, je cherche une entrée dans la matière, je chgerche entrée vive pour un corps de rage. moi-même suis ce corps de rage. Je veux comprendre, ce corps, ce qu’il est en c ette roche dure de la foi à êttre (= ici les motsc acquis). si je rentre je m’installe durablement et je regarde et je tire des conclusions. ce qui est sur roche est sur roche = animaux-mots des vérités. Ce qui est sur roche = bêtes-mots de la vie morte. ce qui est sur roche = vie morte, comme autant de données de rage déployées. je veux toucher  ce quyi est = l’être d’une déité. qui est-elle ? qui est cette déité ? est-ce elle que l’on nomme «Mort» ? la mort est-elle déité ? la mort est-elle  déité de poids qui en impose ... comme aurochs, comme bison,; comme antilopê, comme méga-cerf ? je suis à la recherche d’une vérité qui serait  en quelque sorte contenue da,ns un aurochs de compagnie, dans un buffle de base. je veux toucher à pareillle bête de roche des temps. le temps pour moi est cette sorte en soi de déploiement animalmier votif. qu’en est)-il de la mort à l’oeuvre dans les parages ? je suis cet homme, cettte homme, et je suis cette femme ou ce femme, cette homme-femme et cet homme-femme des abois , ce homme-femme grêle, ce homme-femme frêle, cette homme frêle et femme et homm, ce homme-et-femme déployé comme un temps donn»é, voilà ce qui est. je pisse au lit enfant. je grandis. jhe deviens cxhevalier de céans, je vire

. je touche au but, je cherche. je suis homme-bête de la mort certaine en ce sas de deswtinée humaine. ah la peine ! oh le mal ! aïe tourments des tourments ! me voici qui entre imberbe dans le sang d’un savoir ancré et des profondeurs. Je veux toucher lkes choses d’un savoir «de vérité » , et pour cela, je dois faire ainsi de me montrrer sous un aspect de corps de vie en tant que donnée de vie rude comme mouvement-déploiement sanguin en moi-même, etc. je vois en moi , ce que je vois = des données de base. Mais d’où sortent-elles ? squi est là ? qui vava là ? qui me cherche ? qui est en moi (une bête ?) qui me cherche ? qui est ici ou là en moi qui cherche à me faire du tort et à me mettree à mal comme une bête ? Je veux toucher à cette chose en moi qui circule fissa comme par la bande et pour cela je choisis la voie la plus raide et directe, j’ai nommé la voie sa nguine, le sang circulant, car le sa ng est le support numéro un = la voie principale (ou artère) = voie royale, s’il en est = voie des princes et des princesses du palais. je veux aller dans le sens de la vérité des choses du monde. je suis remonté à cet ezffet, je le veux. il se fait que je veux (mordicus) cette cghose et que je m’y tiens et durablement. tout mon corps tend vers ça. mon corps en entier est une flèche on le sait. tout mon cvorps est comme une flèche projeté et tend à aller à se ficher sur roche = la paroi des choses dures de la vie à vivre. et  cela pourquoi ? pour traverser. pour aller à un,e travzersée, pour aller à se loger de l’autre côté. je vois devant moi une chose rude, un mot -animal;. je vois devant moi un animal de compagnie. je vois devant moi un e bête dite «des embruns» qyuui cherche à me parler ... et moi d’aller vers elle, d’essayer de la toucher, de la caresser pour l’ammadouer, etc? qui est elle ? qu’est cette bête au juste ? on dirait un bouquetin, on dirait une beteantédiluvienne dessinée, on dirait une bêtye de roc. je vois cette bête devant moi : est-ce mon n,om ? mon être ? mon soi ? mon élan .? mes tourments ? une déité élaborée par une pensée ? la pensée est ... la cvhose rude qui trépigne. elle renacle en veux tu en voilà depuis la nuit des temps. elle n’arrete pas. elle ne cesse pas de renâcler comme une bête (laquelle ?) enchâssée en nous, en notre sein des seins. je vois cette bête en moi et cherche à la faire parler mais comment s’y prendre ? je voudrais tellemment c onnaitre son nom, savoir qui elle est pour moi par ecxemple déjà en termes de parenté , qui elle est pour moi, qui me connait ou connaitrait mieux que moi sur mloi, qui elle est ? Je vois cette chose ici d’une bete qui en moi en saurait long : elle vit en moi, elle trépigne en moi (le langage = le langage de la foi), qui renâcle en moi (une certaine odeur de sainteté), qui ne cesse de ronfler en moi (ronfle que tu ronfleras : du fait des apnées ?). je veuc pister. je veux être. Je ne suis pas celui qui veut rester sans conaissa nce. je cher che à tout va des données dures sur lesquelles pouvoir s’appuyer et en avancer. ion dira  ce qu’on voudra de moi ou sur moi, il n’empêche que je suis cet homme (cette femme) de foi qui en sait un b rin, qui comme,nce disons cette chjose, d’en savoir un brin on le voit. Je com^mence à y voir un peu, à comprendre un peu , un chouia. pas si:mplle de dépatouiller, pas ssimple de voir clair, de se réperer dans la nuit des choses cachées à sa propre gouverne. Vite, ma lanterne ! ma chandelle ! ma torche frontale ! la lumière ! Je vois devant moi le temps déployé, comme une sorte de donn,ée de circonstance. devant moi se dresse l’ours-temps des cavernes, ce chacal des prés,  cette bête aux bois dorés, ce chien applati, ce vif bison des roches, ce cheval. Mon coeur bat (c’est dit). on voit se dessiner au loin des betes de pré. Je commence à me repérer, j’y vois quelque chose, je suis éclairé par la bande = cette bande (traçante) des embruns de bord de roche. vive la vie ! houlà à sec ! ou meme humide qu’importe ! Je m’avance de concert (moi + moi ?) et, je fonce en cette rochge-temps du Nom de soi, dépl;oyé comme une offrande (mort blousée). Mon coeur est mis à nu par ses célibataires même, et par la joie aussi de se voir ... vaincu. hje tombe à la re nverse ! vivement le soi dép^loyé à jamais ! chant des roches contenues ... dans un,e paroi inconnue ! Mon corps s’(époumone de la sorte, à dire vif ce qsui est qui setrame de front et nous nargue ou semble faire cette chose devant nous ?. devons-nous pleurer ? chanter ? rire ? toucher la voisine ? toucher le voisin ? entrer en colère ? reluquer et fissa par la bande ce que l’on voit ? pisser co ntre un arbre = se soul:ager,  comme rabelais ? je suis homme en dur, 

hommefemme dure des années de rage. mon corps est nu, ma voix tremblannte, siè§ge de mes to urments. qui vient vers moi et me donne l’influx

 ? qui pour me souffler dessus ? suis je moi, êt re-âme ? ou bien suis-je une entité wseulement pariétale de raccroc ? comment être et comment savoir ? je veux être en roche homme des tourments de rage, mis à mal pour la bonne  cause mais comme restitué à l’identique, du moins il semblerait. je (suis) veux(là) être(vie) dans un sas de roche dure. Je suis celui-ci qui veux être. je suis cet homme des pârois qui cherche l’être, vais-je le trouver ? où se loge-t-il au juste ? est-il donnée de base à déployer ? que vzais-je être en c ette tourmente ? comment  ne pas succomber aux chjarmes d’icelle Colère ? je m’avance à pas comptés et cherche à regearder le plus possible et le plus loin possible ce qui est qui vient vers moi. Est-ce une bête ? est-ce une divinité ? est^-ce (sont-ce) les deux pour ma gouverne , pour me diriger, pour s’introduire en mes exrtrémités et de me commander «comme une merde» ? JE cherche à comprendre ! Suis-je une merde ? suis hje une so=mmité ? un salut ? un enfant ruiné? feeme-outre ? homme des prés? suis je fait d’etre de peu en mon âme ? suiis je corporéifié inci:demennt comme par la bande depuis des années ? dpuis en vérité que je suis né , suis je ainsi carné ? suis je ainsi fabriqué et estampillé ? je veux voir la vérité se dessiner «sous moi», devant moi mais aussi «sous moi». Le coeur est la donnée de base, le siège de la vie dee l’homme et de lma femme de l’éternité. le monde est rudiments?. la mort est une sorte de tourmente acidulée comme du Verbe pourchassé par des hommes et femmes des caver nes. je sais cette chose d’une mort donnée comme par la bande animalière temporelle. je connais la mort de près, elle pisse le sang devant soi, elle crache (remugle) à tout crin comme une bête morte ensanglantée pissera le sang sur table d’offrande. jhe vois la chose se dessiner ... sous moi : merdxe ? sanquette? pisse ? cris ? je suis homme et ombre car je suis (h)ombre en moi même de la part d’un soi intégré. je suyis (h)ombre à l’allumage et peutêtre (autrement) au finissaghe. que dire ici d’une foi dans le langage comme inhérente ? ça, qui est cela ... que je suis cela = cette foi. Je pisse 

le sang comme une b ête déposée sur une marche. comme une  bête morte dé»posée sur une marche, sur un sweuil de rage. Ma vie est vie de rage dure = des tourments et des tourments de base et encore des tourments. une calamité. je songe à part moi à ce que la mort, la mort-déité, pourrait m’apporter

 en termes de données rageuses (de surcroit ?). Je vois loin loin car mes yeux portent. qsui est qui dans les embruns ? où va ton une fois la vie cloturée» ? qui est l’homme des entrées données, du passage vif, de l’aide au pasdsage ? vais je mourir de rotation ? comment s’y retrouver en  cette cxharge ? qui va là qui me parle bas ? j’essaie de comprendre ce qui est qui gère et touche au but à travers moi . qui est l’homme-femme-bete en moi qui  parle ? quyi est l’homme-bête de la roche dessinée, ou la femme-bête aux bois de roche ? qui parle ? qui veut parler ou bien pa rler à travers ma voix? qui veut (me) parler à travers la voix ou cette voix  de rage à travers moi ? qui parle vraiment ? la bête en moi parle-t-elle ? a-t-elle des mots pour elle ? je parle pour e lle ? qui parle pour moi ? suis-,je une entité princière ? un coeur vaillant (coeur à prendre ?))? Qui je suis que je vois aller à travers la lande, les champs d’azur, les forets et autres bois des abris pour soi, qui suis je en vérité ainsi «chapeauté» ? Je commen ce à voir peut-être c e qui est autour de moi : cerfs et autres cervidés boisés. je commence peut-être à savoir et à pouvoir me rep^érer un tant soit peu, car ma gouverne semble .... à nouveau (?) éclairé. Je fonce grave dans le tas et remugle comme une bête. allez donc cher cher à comprendre ce qui est en moi qui peine à co:mprendre ! mercdum ! est ce moi  qui gêne au pasdsage, ou quoi ? je sais cette gêne bien enquiquinante, cet amas de VErbe obstruant un passage direct et cependant, grâce à icelui, nous voilà qui restons (oh, un temps court tout compte fait) en vie ici ! je suis homme)-ombre sur roche (double à Malacca ? là ?) et je vais ainsi chercxhant idiome de base royal, faisant fonction. qui me croit ? voulez-vous vcomprendre (mieux) le sens de ma requête ici ? dois je dire les choses  crument , à base ou force d’injures diverses ? dois je dessiner le Mal ? que dois je faire pour me faire mieux comprendre en vrai des autochtones, des contributeurs, des gens du service, deees azmis de longues dates, des paroissiens : que dois je noter,qque dois je tant développer de base par la bande ? y a t-il péril en la demeure si « ne pas» ? comment dépl:oyer sans temporalité ? comment d»éployer (et décliner) son identité, hors le Temps de son vivant  ? Hum, dur dur à ce qu’il semble. Peut-^être en marchant sur la lande = en parlant sur la lande = en cueillant fruits et fleurs pour offrir à notre deéité de la lande ? Je cxherche à aller loin dans des directions appropriées à pareilles recherches «de tête» mais enfin ce n’est pas simple (du tout), cela demande beaucoup d’application, de rentre-dedan,s, de chevauchées, de maitrise, de vitesse, etc. le mal à dire est dur à dire. Le Mal dire est concomittant, dur tout auta,nt qui nous intéresse. je vais  et vois. je suis homme du temps déployé par la bande. je cherche le mot, dit «de la vérité» , et où cela ? à l’intérieur des mots comm e il se doit, ou comme un fait exprès, ou comme de juste. Je cherche dans les mots des solutions et des combinaisons pouvant apporter peut-être un peu d’eau à notre moulin. Je ne veux pas flancher mais tout au contraire tenir bon de rage et aller fissa et loin dans les savoirs répertoriés en tant que ... savoirs de poids (betes de charge) «qui le font des masses» c’est à dire pas qwu’un peu. Qui est là qui s’avance vers moi ? qui vient vers moi me seconder, ou me sermonner peut-être ? homme des embruns ? femme de joie ? femme à homme ? homme à femme ? bete des parois = aurochs ? buffle ? ou bouquetin peut-être ? mon cher bouquetin ? je suis un etre qui est fait de chair et de verbe. Si le verbe meurt la chair se sauve, et inversement : on voit.

 On sait cette chose d’une mort prochaine de nottre mobile à même la roche du temps, car le temps (pour nous vivants / vivantes) a une fin qui est ... la fin de la phrase ni plus ni moins, c’est ennfantin ! La mort pour nous est passage, le verbe est enfantin, la vie est tourme,nts, le coeur est un aidant de rage, la mort est une saleté de ta race de meu, etc , = à insulter. oui : cela . la mort oui, est à insulter et pas qu’un peu de grâce ! sonnez lees ma tines ! gueulez-lui dessus comme il faut ! pissez-lui dessus (à la ré) et même bouffez la, ou comment ? la mort est à insulter car elle ... pue du cul. voi:là ce qui est. insultons la mort. disons enfantin les mots qui s’imposent en tant que tels = merde, merdum, merde sèche, pue du c$ul de mùerde, puanteur du cul etc, et ... saleté ambiante. Je sais ici cette chose, comme quoi la mort est à insulter (via la vie cordio-cardiaque) pour rester en vie. Vivre = user de l’insulte à tout va = jeu d’enfant. je comprnds. ou disons que je commence , ou disons qu’il me semble cette chose ici comme quoi je commence ou peut -être commencerais à comprendre ... un certain nombre de données de base. Je suis un de ces enfants qui jouent à insulter la Chose devant soi = cette chose pléacée de front. Je vois celle-ci (dite « de la mort de branche» ou «de la mort en branche) venir vers moi pour me pârler ou

 peut être me troucher. Que me veut-elkle ? devine ! c’est tout vu ! elle cherche la merde. c’est compris.Elle cherche à me faire du tort, à me g^ener aux entournures, à me briser les ailes, à me raplatir, à me minnimiser en pl;eine terre, etc. la mort n’est pas en soi cet animal par soi dessiné (si ?) mais cette déité contenue en nous comme un relent, ou comme un remugle, ou comme ce souffle ou air (cet air vif) sorti de soi par une bouche qyui est trou ou trou de sang, ou trou-bouche sanglant. la bvouche est (eznfin !) ce trou permettant sortie affolée de betes de poids nombreuses affolées. Je suis ouvert à la discussion. Je cherche à comprendre. je cherche une sortie et u ne entrée. une sortie de moi en tant que tel (= corps de chair tourmentable) et une entrée : dans un savoir à dessiner ou à tracer à main levé. 

qui pourra m’aider pour ce faire car je manque d’aide ? je suis hommù-charge déposée commê une offrande sur seuil de vie morte. Mon nom ici sert de transaction , ou non ? je vois cette chose (devant moi) aller, ce mot qui s’époumone et va à se loger à même la roche du temps imparti (par qui ?) à une vie rude (humaine) de coutume. je vois cette b ete aller à se graver (incidemment ?) à même la roche : lévitatation ! gravure en lévitation ! mon nom ainsi inscrit comme une donnée forte et folle (nom d’^tre de joie = je , ou sinon je : nous). voilà les raisons qui cxhapeautent un tout. ce tout est vie de rage (incommensurable) sur paroi du monde. je m’avance et touche la roche. jhe ne suis pas mort. Je suis bel et bien en vie. je cherche une connaissance (un être ? un savoir ? ) et pour cela je dois me rapprocher de la paroi du monde , et la toucher vif (pareille connaissance) ou le toucher vif (cet être de joie) et comprendre les deux choswes ensemble ou voir à les comp^

rendre. je cherche ma voie dans la roche = par où passer, pour me faufiler et entrer. JE cherche à me loger en roche comme d’autres en religion  car les deux choses se ressemble,nt énormément et ne manquent pas d’entrer de fait en correspondances sur de nombreux points. la mort eswt une chose rude ... pour un homme ou une femme sans langage./ la mort est une chose détestables pour un homme ou une femme sans langa ges, quel qu’il ou elle soit. la mort nous enquyiquine énorméme,nt. la mort porte le nom de sa bande langagière. la mort n’a pas raison car elle est sans raison. la mort est le coeur ! l-a mort est le coeur !oui!!!!!!! le coeur (en soi) est la mort , ou on dirait cela ! on dirait que la mort est le coeur ou le coeur la mort. la mort en tout cas a quelque chose à voir avec le coeur. il y a une chose, ici, qui serait à comprendre, comme quoi la mort est partie prenante (du coeur ou avec le coeur) . la mort et le coeur sont main dans la main = temps total d’une vie-mort à vivre à l’intérieur du nom que nous portons pour notre identité. nous savons une chose de poids. Nous savo,ns une chose rude (de poids, de rage) qui est celle-ci commùe quoi nous sommes munies (en nous) d’une parole vive (traversée des siècles) qui nous pousse au cul et qui nous fait (quasi de force)) e,ntrer dans une ,nasse, mare, mare aux animaux, etc, qui est pour nous antre «de vie et de mort». Nous touchons là à une chose de la vérité. La mort et la vie sont liées ... par du verbe ancré (contenu dans le coeur:). le coeur, à son tour, contient cette chose (tressée) d’un tronc de  vie-mort accolées. nous pe nsions à la mort comme à une gouverne printanière, a&érée, claire, etc, mais en vérité il s’agit d’un coeur de destinée votive. la mort est un salut de type pariétal (monacal) qui induyit du Verbe. le Verbe dit la chose crûment comme il sait le faire («gros mots» acidulés d’une enfance de récréation) et ce faisant vient à se loger (pour un temps ?) dans kle Temps. Je cherche Issue de secours .... dans du Verbe sale, ni plus ni moins (c’est dit un lundi). Je cherche à dire ce qui est ... pour de vrai. je cherche misère, je vois les embruns, je :m’époumonne (chacun son tour) : cela pourquoi ? car je suis homme-chercheur, la tete pensante, guide des travaux, collègue de bureau. je vois ce qsui est qui me regarde. ce que je vois

 est une nuit des longs manteaux. ce que je vois me trouble, trouble ma vue. je vois bien des chosesw. jhe  vois ce qui est. je vois des choses qui vont ensemble à comme s’agglutiner : sont-ce des mots ? bêtes-mots de rage primaire ? gros mots sanctifiés par la bande collégiale professorale ? sont-ce des mots de foi ? mots de bas âges ? mots bébés ? sont-ce des mots ou semblants de mots (mots de bébés) qui vont à se coller sur roche comme autant de vues, vues-effigies de contrebande ? szont-ce ?

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16/2/2022

je suis cet homme cherchant ciel ici et là . le ciel est une entité comme la mort est une entité comme l’animal en soi-même est une entité. Le ciel est un paysage vibrant qui nous donne un lien vers un audelà pariétal. je vois devant moi la vie qui vibre. la vie vibre devant moi. un homme se meut en moi maoiis est-ce un homme ? je suis homme de peu soit homme de bure soit homme de rien ou comment ? mon nom est gravé ici ou là sur des parois : antilope de la joie, aurochs des données faciales, bison des abris, mmammouth géant, cerf aux abois, biche des prés, et autres betes imposantes. je suis cet homme qui va en prairie , en forêt, qui cherche, qui cherche dans les profondeurs des bois et des sous bois, qui cherche une vérité parmi des vérités, une vérité qui nfasse le poids on l’a compris. Je cherche de quoi, je suis à la recgherche (une recherche vive) d’une vérité de bon aloi, qui fasse le poisd, qui en impose par son poids, qui fasse obstructionb. De quoi s’agit-il ? il s’agit de cette chose comme quoi le verbe(pesant de tout son poids de bete forte) va bloquer issue, bouche que tu boucheras, va faire obstacle à quoi ? à mort de la lande, à pareille entité merdeuse ou comment dire ? on cherche ! on cherche crument soit dans le cru des mots en réserve. on sait cette chose comme quoi la mort est une saleté qu’il est bon de nommer ainsi qu’on le fait, à savoir : à coups de mots crus sur la tete ! à coups redoublés de mots crus en veux-tu en voilà prends ça la mort ! Et nous d’y aller de plus belle, d’appuyer ! de faire cette chose d’une sorte de battue sur roche à coups réitérés de battements de bois en tre eux, à coups redoublés de claquements des mains entre elles ou sur donc la roche devant soi, un temps donné. nous ne voulons pas succomber sous elle, sous la mort ou plutot sous ses coups à elle, sous ses coups de saleté qu’elle est. Notre but est d’éviter le coup du sort. NOus cherchons perma,nemment à éviter le coup du sort de la mort à l’oeuvre et pour ce faire nous faisons ainsi, 

de lui asséner nos cris de joie vive, nos cris redoublés d’hommes et femmes des cavernes, nous crions à tout va ! nous gueulons comme des putois ! nous disons nos affaires de haute volée en gueulant à toute gueule nos dires méchants, nos insultes à son endroit, nos turpitudes, nos cris vifs, nos gueulantes bien placées. NOus ne voulons pas de la mort, et voilà pourquoi nos incantations et autres chants gueulés assénés. merde à la mort qui nous encombre ! zut à celle-ci qui vient pour ainsi dire nous emmmerder vive , qui vient nous géner grave, qui vient grave nous enquiquiner. Nous ne voulons pas , en nous, de la mort, et c’est en nous que nous faisons obstacle, comment ? via ici le Verbe en soi, comme déposé devant soi, comme posé en nous vers ce dezvant de soi ou comment ? ou est ce verbe déposé, en vérité ? est il déposé dans le temps ? ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii voilà où il est ! il est là, flambant neuf, dépot perlé de première et belle offrande s’il en est! Je suis cet homme au dépôt de verbe sur  socle ou autrement mais déposé comme un présent ... offert par la bande à une entité redoutée. Qui va là qui me regarde ? je dirais : la mort. et comment fait

-elle pour me regarder ? elle mire avec ses yeux partout cachés. où sont ces yeux ? ils sont partou cachés dans les embruns, dans la vie, dans les recoins, dans les recoins de la vie, etc? ou ça exavctement ? la mort a des yeux qui nous mate volontiers mais comment savoir, comment faire pour savoir, comment savoir pourquoi et où et comment la mort etc ? NOus cherchons dans tous les coins, nous cherchons partout, nous nous déployons. Nous avons cette chance pour nous de pouvoir faire obstructuuiion à pareille entité en nous via ce Verbe des débuts de vie, en nous inculqué incidemment par nos parents, par nos proches, etc?. Nous pensons que nous avons pour nous beaucoup de chance d’ainsi avoir été touché, d’avoir ainsi été élevé et monté ainsi vers du verbe d(‘obstruction masssive («aurochs, aurochs, aurochs «). Cela a été une bonne chose pour nous car ainsi, la mort, nous pouvons un temps (le Temps) la tenir à bonne distance et ne pas subir de front trop tôt ses vélléités guerrières

. Nouys voulons comprendre ainsi pour nous ce que cette obstruction en nous au juste signifie. NOus voulons savoir pour nous ce que cette disposition en nous (d’anima ?) signifie en termes d’obstruction à passahge, à entrée ou à sortie car la chose encore est à considérer et à étudier. Nous cherfchons les données probantes, nous voulons comprendre loin. Notre but ici est de comprendre loin et vite les données de base quant à l’obstruction en soi à pareille entité de rage, à icelle entité de bas âge ou comment ? qui est-elle ? qui est la mort si entité ? qui est cette entité appelée la mort ? bas âge ? qui est elle ? était elle à notre naissance c’est cela ? était éelle là lorsque nous sommes nés ? est elle lié au verbe inculqué en nos bas âges , est ce ainsi ? qui est elle pour nous qui faisons obstruction par du VErbe en  ous , qui est elle pour nous en nous? et d’abord est elle en nous et si oui où ? nous voulons comprendre loin, dans le Verbe et aussi dans l’enfance du Verbe pour nous . Nous cherchons à tout va, tout azimuth pour ainsi dire. Notre but est de chercher et de trouver, c’est à dire de chercher et de mettre la main sur une vérité ! la main sur elle afin de l’attraper et de l’écarter pour ainsi dire ! Nous voulons comprendre ici cette chose d’une voix en nous qui parle pour nous et nous permet pour ainsi dire d’écarter un Temps la mort. Cette voix est en nouys la voix inculquée soit éternelle (traversant les âges) : elle nous survivra. 

Cette voix (une langue qu’elle qu’elle soit) est en nous comme un bouchon de rage, venu de loin (des profondeurs des âges en vérité) et qui nous aide follement (oui ?) à tenir bon et à ne pas céder devant icelle mort qui nous attaquerait (vite fait) par la bande ou autrement sans chercher autrement. Nous devons comprendre ensemble cette chose d’une voix ou langue en soi qui fait obstacle : 1, à la mort à l’oeuvre ici bas, 2 , aux vertus cachées des embruns, 3 , aux mots de trop. Car le verbe est ici cette chose qui fait front et permet de tenir bon. Le vErbe gêne la mort, obscurcit kles choses dite «de la vérité (c’est le prix à payer) et nous permet de vivre un temps particulier loin des affrres de cette entité qui nous cher che noise, nous cherche des noises à tout va : la mort . car la mort est une enquiquineuse de première pour ne pas dire une emmerdeuse ! Elle nous cherche querelle permanemment, elle ne se lasse pas de nous chercher querelle ! elle est quelque chose ! elle est toujours là (dans nos pattes) à nous enquiquiner, et nous , par le Verbe en nous contenu, de la repousser, d’y faire obsctacle, de l’écarter, de la tenir à bonne distance . Nous ne voulons pas de la mort et le Verbe est là (dépot devant soi = le Temps) pour faire ainsi que les choses soient ainsi. Nous guettons. N?ous sommes aux aguets. Nous tenons bon devant l’adversité. Nous voulons tenir. Nous ne voulons pas céder. Nous voulons tenir bon et repousser tous les assauts les uns après les autres. Nous ne sommes pas de ceux et celles qui veulent déceder fissa dès qu’ils ou elles sont nées mais de ceux et celles qui veulent perdurer un temps en ce monde des tourments peut être mais tel est le prix à payer pour tenir bon et ne pas chuter. Nous ne sommes pâs de ceux et celles qui veulent chuter dans les limbes du temps dès potron-minet mais de ceux et celles qui veulent perdurer un temps qui est le Temps pour nous (pour soi) dans une vie vive. Notre but est de tenir (ainsi) à la vie via le BVerbe «d’obstruction pleinière» en soi. le Verbe sert à ça. Le verbe est là pour boucher passdage, empêcher une sortie de soi qui viendrait nous dépl$acer d’où nous sommes où nous nous sommes déposés; Nous disons cela : que le verbe ici, le Verbe en bouche, ce verbe de kla foi en des mots de bouche (comme «mort» ou comme «vie etc), ce verbe est pour nous bouvchon ! Le bouchon obstruant passage à cette bete en soi que nous avons, et qui est peut-être cette bêzte qui pourra ou pourrait tenir tete à la mort ? qui sait ce qui est ! qui le sait ! qui sait ce qui est au juste : c’est une question mais 

c’est ausi une exclamation ! car la bete est là, en nous, qui est comme «coincé» par du verbe contenu depuis notre bas-âge , du verbe contenu et tenu en laisse, comme un animal, comme un chien, comme un petit être contenu. Nous disons que, en nous, existe ... une bete-mot, soit ce verbe de maitrise, qui fait front. Le mot-bete est verbe et bete et contient les données ensemble associées. Nous disons que nous cherchons ce qui est exactement, soit la place des chosesxc : où sont kles choses déposées ? où sont donc déposées les choses ? qui le sait ? qui sait où sont les choses déposées ? qui sait cette chose ? qui sait où est la mort, où est le verbe et où est l’animal ? y a til 3 choses ainsi à considérer et à cer-ner ? est ce que les choses sont superposées ? la mort est elle la bête, la bête le verbe, le verbe la mort, etc ? ou bien est-ce 3 choses bien distinctes en soi ou sinon en soi hors de soi mais vraiment distinctes et dséparées ou tout le contraire ? le verbe est cette chose faisant obstackle à quelque chose : à la bete contenue en n ous ? )à la mort elle aussi (?) contenue en  ous ? sommes nous solidaires de pareille étoupe d’obstruction massive (placide ?) ou ne sommes nous point solidaires d’elle ? qui sommes-nous ? nous disons qu’en nous une bete existe qui file sa pelote toute verbzale et ce faisant obstrue la bouche qui est plaie = panse . nous disons que le verbe est là pour panser la plaie d’une bhouche ainsi sang uinnnolente.Nous disons que nous cherchons à comprendre cettte plaie de bouche (la nôttre) avec les mots qui sont à nous, qui sont ceux que nous avons apprris. Nous disons que nous devons comprendre cet apprentissage, ce qu’il est et a été pour nous en termes d’obstruction à quelque chose, à quelque passage, mais de quoi ou de qui et surtout pourquoi et dans quel sens : dedans 

-dehors ? ou dehors dedans ? nOuds ne sommes pas au bout de nos recherc hes. Le verbe est

 bouche-trou on le conçoit, la bouche est une plaie c’est une évidence, en nous des betes de poids (des injures tout aussi bien) c’est certain. reste la mort à situer ! est-elle liée au Verbe en notre bouche ? peut-être bien que oui ! Est-elle liée à la béte-injure en  nous (le temps présent ?) peut être bien aussi ! Est elle liés-e à une plaie, à un pansement, à une obstruction, etc, à des mots d’obstruction ? on ne sait pas. On est ensemble à rechercher des choses ici et là et ce n’est pas simlple de comprendre le fin mot.nous devons chercher avec applicattion et ne pas musarderr incidemment mais s’y coller fissa sans respirer (quasiment) car le temps presse. Le temps nous presse fort qui nous pousse ++ à chercher fissa à même le temps pour ainsi dire : dans le sas. Nootre but est de trouver en quelque sorte des données de rage qui, pour le coup, soient des données utilisables, fines, avérées, construites, posées ou dépôsées comme des offrandes sur une corbeille, sur un tapis, sur une étoffe. Nous voulons comprendre ce qui est ici (bouche ouverte comblée) à la lumière de cette entité dénommée «la mort». La mort est une entité déplacée. La mort est une entité déplacée = qyi n’est pâs situé à l’endroit où elle devrait (pour elle ?). La mort est cette entité que le Verbe (en 

nouys : bete de joie, du je de la bande) repousse aux calendes grecques ou disons à quelques heures (mètres ?) de distance. Nous cherchons ici à piger ce que la mort est. La mort est une entité dite «déplacée», ce qui sihggnifie qu’elle n’est pas (à ses yeux ?) à sa juste place et elle renacle méchamment, trépigne tout va, se met en colère souvent, se cabbre, vitupère, charge, nous enquiquine pour être gentil et ne pas dire de mots plus violents. nous voulons savoir la mort ce qu’elle est au juste et où elle se trouve. Pareil pour le verbe, pareil pour la bête ! La bete est le verbe. Le verbe est la Bête; Tous deux sont équivanlents dans notre bouche qui font obstruction. qui repoussent «l’échéance» d’une mort qu'on dit annoncé, etc. nous savons que cette chose (de la mort «vivante») est croyan,ce criticables et critiquée. nous savons que cette chose est parfois critiquée comme quoi la mort ici bas ecxisterait, certains n’y croient pas. Nous poensons que nous sommes deux en  ous à chercher via le langage (une langue incorpôrée) à comprendre ce qu’il en est de l’action conjuguée du verbe en nous (parole de bure) et de la bête en nbous (bête de poids et de charge). le tout ... à visée de reculade , c’est à dire dans le but de repousser la mort qui gagne, qui procède par étapes, qui fait des bonds, qui saute en  veux tu en voilà d’une t^te d’homme à l’autre, etc.la mort est cette chose devant soi qui cherche sa place ... dans la vie c’est cerztain. la mort cherche à trouver sa place à l’intérieur du «sas de la vie» mais vas-y, du connaud ! cherche ! quand tu es la mort tu n’es pas la vie ! tu ne peux prétendre à cette chose ! et dès lors comment 

veux tu trouver ta place ici puisqu’ici est ... le royaume de la vie, ducon ! voilà comment nous parlons et commùent dès lors nous repoussons la mort dans ses dix huit mèttres. nous ne voulons pas de la mort «dans la vie» et voilà pourquoi nous parlons, voilà pourquoi nous sommes nanti (muni) de cette sorte d'arme de combat à savoir du Verbe du jeu. Nous disons que le Verbe en  ous (l’animal de compagnie) est du verbe vif et qui va son allant contre vents et marées et comble un trou que le jeu permet, ou comment dire ici cela qui nous interroge ? Nous pensons que le verbe est cette chose d’une bete-mot qui fait ici ainsi que la plaie du coprs est pansée, est apaisée, est mise en sourdine question méchanceté d’une douleur vive. Nous disons que nous devons cerner pour ainsi dire des données de base à même kla plaie, soit le corps, et comprendre ensemble les enjeux qui sont à ce niveau de réflexion, comprendre les enjeux à ce niveau de réflexion. Nous vou;lons comprendre ensemble les enjeux qui sont ici et ce avec les mots que nous avons en bvouche incidemment. Les mots (bêtes de charge et de rage tout à la fois) pansent la plaie du corps, et nous permettent de tenir un temps qui est le Temps (en vrai) d’une vie humaine. Les mots sont (pour nous) ce chargement, quiu pousse la mort vers d’autres latitudes, la maintiennent hors la vie pour ainsi dire. ce quyi est ici (indubitablement) est cette chose comme quoi ... kles mots repoussent et tiennent à distance et font  en sortent que la mort soit écartée, écartée à jamais, de la vie telle que nous la vivons (de base) sur la terre ferme, telle que nous sommes nous à la vivre ici debout, sur nos deux jambes. Nousv ne voulons pas de la mort chez nous et nous le disons par le verbe, qui est insulte , qui est bestial, qui vitupère à la une à la deux, qui ne s’en laisse pas conter des fariboles, qui renâcle, qui trépigne, qui jhoue du sabot dans la poussière, qui gueule sa haute gueulante cérémoniale. Nous gueulons notre parade nuptiale ou «de» notre parade nuptaile, soit p)»par» notre parade nuptiale ! nouds repoussons les assauts vifs de la mort à l’oeuvre dans la vie comme une cochonne qui fait mal les choses ! la vilaine et cochonne personne mal léchée ! je t’en mettrais , etc. de sorte que voilà ici (la vie) ce que nous faisoons : nous faisons preuve de belle intelligence -sabotage. Nous faisons corps = nous poussons. nous faisons un corps, nous faisons un corps de repoussage, repoussoir, etc. Le corps est du verbe -repoussoir . plaie pansée. plaie pansée pour un repoussage de première. Nous voulons repousser lza mort dans ses pénates qui sont ses pénates et non pas les nôtres. ses pénates sont ailleurs. nous voulons que ses pénates restasse,nt les siennes et ne devinssent pas vles nôtres. Nous voulons faire une chose ici qui est de repousser la mort soit en vérité lk’empêcher d’advenir et pour cela nous faiosons cette chose qui est de parler que tu parleras à tout crin, de vive voix, à la cantonade ou pas, en catimini, chuchoté, c’est sans réelle importance puisque ici ce qui compte vraiment le plus est de parler sans discontinuer, sans faiblir = le Verbe connu, le Verbe incorporé= le verbe enregistré en nous à jamais car qui n’a jamais désappris son verbe ? qui a perdu les pédales du Verbe ?

 qui a un jour perdxu icelles ? qui a perdu pédales un jour ? qui de nous a un jour perdu les pédakles du Verbe inculqué , qui ce serait retrouvé «imberbe» comme un coquinou, mis à bas ainsi, detaché, comme délavé, comme vidé, comme vain ? Nous voulons comprendre ici cette chose d’un Verbe de repoussage, de repoussée, de repoussoirage, de bousculement. notre but est celui-ci qui dit ici que nous fgaisons corps pour ainsi dire avec le Verbe en nous incorporé ( ‘d’où la chose) et voilà pourquoi la mort ... « ne peut entrer». e,nn tout cas pas tout de suite. ou comment alors ? quand ? quand exactement ? lla mort est toujours là qui guette dans les menus choses de la vie:. La mort est induite. La mort est inscrite dans les mille choses . on dirait que cela est, et cependant ... oui ? ou bien non ? non à la mort ici et là inscrite ? ou bien oui ? oui à la mort ici et là lovée-cachée etc ? 

QSue sais je, qui cherche fissa sans discontinuer. nous voulons comprendre des donnéesz, ce qui est qui va, cce qui va qui est, etc, et pour ce  fairev nous parlons «à l’emporté» comme il se doit peut-être. nous voulons creuser dans ce sas de vie profond. Nous voulons creuser profioond ici, chercher les données cachées, 

comprendre en soi la bête-mot de rage, ce qu’elle est, ce à quoi elle sert, ce pour quoi nous la voulons pour nous expréssement, ce qui est au juste la concernant. La bete en nous est mot d’injure on, le sait. va loin dans l’injure, le ressentiment, le mot de trop, la violence verbale, le haine, les effets délétères, les mots crus sexués et autres saletés verbeuse. c’est une évidence ! Le verbe est sale, qui se veut tel pour repousser la mort ! le verbe est sade et sale, qui en vrai veut pour lui repousser la mort dans ses pénates ou en ses pénates on l’a vu ! car, Lza pmort est à repousser en ses pénates. où crèche la mort .? où qu’elle crè!che la mort , dis ? qui le sait ? qui sait où la mort crèche ? nqui sait cette chose ? qui sait où crèche la mort ? qui sait cette chose ? qui sait cette chose ici ? qui connait ici cette chose ? qui sait cette chose ici ? qui co=mprend les choses liées à la mort de base ? qui comprend la mort de base et saura nous révéler le pot aux roses ? qui voudra bien nous donner son savoir, ses dires, son influx ? qui est là pour nous ? je cherche dans mon coeur de base des données, je cherche fissa. je suis (deux) qui chercheune Chose (ici bas) à la force d’un étant ou d’un allant verbal. le vent souffle. la lumière se fait sur les embruns, me voici pezrlé, brillant sous les rayons qui darxdent, je brille à tout va, j’illulmine les entours, je suis homme de cro-magnon, bete fauve, ogre, monstre des prairies vertes, je charge à la force du verbe brandi, je file , je caracole. mon nom est insc rit tout en haut de la paroi verbale. je suis homme de la tour de rage, considéré, conscrit, pris, chargé d’allure, concomittament temporel = de concert. je veux comprendre ce qui est qui se trame ici, dans un sas de 

bienvenu. Je veux comprendre des données, des mots, le verbe, les données rugueuses du temps de la vie et les donhnées soyeuses (?) du temps de la mort ce qu’ elles sont (les unes et les autres). qui sait ce qui est ? qui dira la vérité ? bnous cherchons partout sur terre des idées de base, données brutes, données profondes, pleines, pesantes. nous ne savons pas ce qui est au juste en nous : sommes nous comblés ? sommes nous pris en défaut de verbe ? sommes nous comblé de joie-je  ? sommes nous des êtres malfaisants de base, le verbe d’insulte à agent aidant ? qui sommes nous en tant qu’être de verbe ? nous avons à ici cpmprendre des données profondes concernant la vie et la mort ce qu’elles sont pour nous. nous voulons en avancer et faire cette chose d’une sorte de recherche jumelée (à la vie à la mort) mais comment ? Nous ne savons pas . Nous sommes penauds. Nous sommes de petits êtres penauds voire raboufgris en notre misère de faisant partie ici ou là d’une misère globale, générale, liée à la vie sur terre. Nous voulons co:mprendre loin dans le sas de terre-mère et, pour ce faire, y aller fissa de notre gouverne temporelle, chercher ici et là (recueillir) des données fortes, costaudes, qui tiennent, qui soient comme des certiitudes de paroi. Nous voulobns toucher (trouver) la bête en nous , cette bete-mot qui en impose un peu malgré tout et charge et tient tête, tient la tête, la tient devant soi = la repousse de

 ses deux mains, repousse à demain, à deux mains la tête de la mort à l’oeuvre dans la vie ou sinon quoi d’autre ? nos mains sont ici qui repoussent, tiennent, contiennent, cherchent à contenir, à suspendre, à tenir à distance, à protéger tambien, ou comment ? la tete icii d’une mort annoncée comme un nouveau-né. présentation ! calfeutrage ! homicide ! colère ! chearbon de bois ! dessin galbé ! le lion est dans le pré ! la pelouse ! le lion est consacré roi des lieux de rage, ornements dorés, veture de nacre, Soleil. nous voulons contenir de nos deux mains la mort de rage. nous voulons de rage contenir la mort et ce de nods  deux mains. Comme une sage-femme. car la femme contient (elle) et nous aussi qui voulons être fame. nous sommes ainsi que nous voulons la rebommée. . nous sommes homme ainsi qyi voulons la fame comme la felmme et repousser l’assaut de ll’assaillant en la perso,ne de pareille ici entité de merde, ou comment dire ici la chose à insulter comme une merde?Nous ne vcoulons pas de la mort. Nous ne voulons pas de la mort . mnous ne voulons pas de la mort merdum. voilà qui est dit et crûment dit. La mort est chose rude, crue, elle va droit vers nous mais nous avons deux mains pour en repousser son mobile. Nous ne voulons pas d’elle pour nous, et nous la repoussons du mieucx possible et pour ce faire il faut faire poids , il dfaut contrepousser, il faut contrecharger, il faut contre tabler, contrer etc la mort qui elle ne s’en laissze pasz démonter si vite. Nous voulons toucher la mort pour la repousser, avec nos deux mains devant. nos mains sont du Temps (on le sait) . nous repoussons les échéances ménagères. nous ne voulons pas que la mort vienne sur notre terrain. nous disons que nous ne voulons pas que icelle mort de merde vienne saleté. nous disons nos excréments de verbe ici fissa à son encontre, la souillons de Verbe vif, culotté, contraire, etc, afin de la pousser et de la repousser et la rerepousser en ses quartiers. Lune ! charge ! conne ! pute ou putasse ! tu vas trembler ! voilà ce qu’à la mort nbous lui disons en face (

demain) et c’est ainsi que la mort recule pensons-nous. à la force bestiale du  verbe «temporel», du verbe cru et nu, du verbe de haine, hot verbe de rage, vif de vive, cher verbe ollé ollé et pire ! nous pissons de rire et gueulons de rage et gueulons de toute notre vie de la vie de rage ! nous voulons contrarier la Mort. Nous voulons contrarier ses avances, la débouylonner, lui faire peur, l’effrayer, la placer ailleurs, la faire reculer, la rehjeter ailleurs qu’ici, ici = devant, ici = où en  vérité ? nous voulons aller loin dans l’invective. nous voulons aller loin dans l’invective !BNous voulons aller loin dans l’invective et cela pour ça. pour cette chose d’une reculade. Car, dire «vive la vie !» n’y fait pas des masses; mais l’invective. Nous voulons repousser les assauts vaillants de la mort à l’oeuvre et pour ce faire ... un Verbe de bête, zaurochs et bison, mots d’insultes de poids, charges pleines. Nous devons comprendre cette chose de la mort qui charge, et nous, en contrefort, en contrerpartie, en contrarieété ou comment ici le verbe accolé. La mort est une charge mais le verbe aussi. et donc voici la chose, x contre y, la bete-mot de poids, de poids et de rage, contre madame ou sieur ... de la Mort à l’ OEuvre. une belle partie de campagne. Nous voulons savoir, bnous saurons. nous voulons comptrendre, nbous toucherons au but un de ces quatre, à la force du poignet qui sait. Nous voulons  toucher à la vérité des choses du monde, celles-là qui nous regardent, 

qui sont donc présentes autour de nous , comme un cercle d’initiés. je cherche une raison de tête wquand la vérité est dans l’à peu près des dires jetées ... comme des armes de jet. nous disons que la vie est Une et Indivisible comme la parole divine mais en vérité la vérité est une 

que nous sommes des enfants du jeu de la chance. La chance est éghale à cela même que nous engageons nous mêmes (de nous mêmes) comme poids dans la balannce = du donnant-donnant. nous poussons (repoussons) la mort de nos deux mains (de nos dix doigts) car nous sommes fort et forte de la rage à être des bpêtes de poisds surnuméraires. Main, main, main, main, main, maoin , main, main, main on l’a vu maintes et maintes fois et c’est ainsi que cezla est c’est une vérrité qu’ion ne peut nier. je regarde devant moi et vois ce qui est qui setrame . une vérité est là qui cherche à être formulée. La mort est une entité menaçante c’sst un fait, mais le verbe est nacré,  il résiste au choc, il est bestial et sait contenir, faire contrepression, porter charge et faire face ou dès lors faire face. L’animal en bnous-mêmes, cette bête-mot des années écoulées ou amoncelées ou agglmutinéees, ou associés, cette bete mot est la bete en nous qui sait résister et toujours tiendra tete à distance, tiendra la tete (de la mort) à bonne distyance. IL 

faut cette chose. il faut ce sens. il faut comprtendre cette chose, d’une tete tenue, repoussée sur le haut du crâne. nous poussons ensembvle, lles mains, nous pousso,ns ensemble, deux main, nous poussons ensemble de nos deux mains (ç a fait quatre ?) l’assaillant. La mort assaille. La mort vient pousser pousser de sa tete de bélier et charge. nous sommes nous aussi en face qui chargeons et mettons nos deux mains (le Temps) devant = présent de bonne renommée on le sait (fame ou réputation) qui nous aide à tenir bon. Nous ne voulons pas céder aux premières incartades. la mort est ce bélier de face, à face dure, cornes devant, chertcheuse d’emb rouille. Nous résistons = nous repoussons avec les mains ... du TEmps déployé dans du faire monacal , pariétal ou autre, ici ou là, pourvu «quon ait l’ivresse» de la joie à être ces etres de rage repoussant l’enflure, la vilaine, l’assaillante, la cochonne, la merdeuse, la conne mort ou saleté d’etre des vents. Nous ne voulons pas de cette saleté et aussi nous l’effrzayons, verbalement, comme nous pouvons . l’insulte à agent est notre réponse = la vie en nos organismes/

. nous cvoulons creuser les données royales et comprendre ce qui est ici en ter:mes d’insulte. nous avons à chercher longtemps et ce faisant nousc repoussons également. les recherches sont telles ici que nous sommes ainsi à pour ainsi dire nous accoler à une question qui est celle-ci qui nous voit forcer, rentrer dans la masse, contrecarrer, pousser dur, charger de tout notre aplom,b. nous voulons creuser profond les questions, nous voulons charger de front, nous voulons «tenir tête» et c’est cela que nous faisons ici , caracolant à toute blinde et àà 

tout va vers icelle «bête» (?) de la mort qui charge, elle, vers nous qui chargeons, nous, vers elle continument et elle de même ; feu contre feu. la mort contre la vie du verbe insultant = la vie. La vie est une insulte (proférée) devant la mort via le temps de son déroulement ou de sa diction, ou du temps utile à son déroulement . Nous disons et disant nous repoussons. Nous disons le mal 

en  nous contenu (le lmal et le mal : la douleur et la vilaienie ou la méchanceté) et ce qui est est. Nous disons que ce que nous disons provient loin en nous du mal de base nous constituant. Le mal est un mal de base. le mal à la base est la douleur de bouche, et puis le temps aidant ou passant, la chose est cdevenu cette autre ch ose d’une sorte de méchanceté latente, enfouie, en réserve, dans les profondeurs de la bete en nous contennue. je suis une bêtye de rage, betye de poids qui pousse et contient (temps-verbe) la mort à distance sinon en repos. corne contre corne. Cornes contres vcornes. Nous passons un temps ainsi à tenir tête (sage-^femme’ = maïeuticienne) et faisant cela nous disons que nous voulons ... de la vie poour nous à jamaisq. La maïeutique est l’art de faire naitrec les bébés, soit de les mettre au monde, il s’agit de cette chose d’une mise, d’un dépot, d’une deposition à même le sol de dallage. je suis cet homme-ombre qui, maieuticien, cjherche à tenir la tete de la mort pour (de fait) la contenir avant qu’elle ne naisse au monde des vivants. nous devons tenir la tete à (de) la mort de branche. La mort est mort qui pousse devant soi, qui grignote sur le temps (verbal) de survenue, sur cette chose à bas qui est présent de dépot d’offrande sur table dédieé. nous cherchons la v érité des sables, des embruns, des terres en friche, des devants de soi alloués, des verbes haut perchés, des vêtures de bure pour une embardée dite «de contrairiété

». Nous disons que nous voulons comprendre loin et profond et pour ce faire nous devons chercher ensemvnle les données de base (dites «nature») venant à nous, à notre gouverne princière, cap de la haute, parlure du chapeau, collège. Nous voulons comprendre avec des mots sensés les choses du monde mais le peut-on ? je pense que non. le monde échappe à tout entendement intelligible et seule une approche sensible intuitive fine arrivera à cer-ner des cercles, des sortes de bulles de sens, à toucher la tête, à teenir pour soi (dans ses bras) des dires de poids de type aurignaciens, magdaléniens ou même plus lointain néanderthaliens

. BNous pensons que npous devons fouiller le dire intégral enb ses déclinaisons diverses et contfronter ces dires les uns aux autres afin d’en extraire la moelle nourricière, la belle romaine, le suc, le charme, l’esswentiel de ses atours. Nous voulons cerner en confronta

,nt les dires de base : mots creux mais tintant comme des instruments de musique (à vent ?). nous disons que nous nous engageons ,

dans des recherches fouillées, dans des recherches qui vont loin à fouiller des vérités de poids et de bon aloi. nous fouillonns dans la profondeur d’une langue inculquée vles données offertes par la bande et ce faisant le temps sé’écoule qui repousse les assauts (bélier) de la mort à l’oeuvre incidemment. la mort est beauuté cachée , qui sait  ? nous la tenons à la distance qu’il nous sied. Nous sommes deux mains. le temps pousse. Le temps est cet homme ou cette femme de paroi qui pousse (= repousse) et cherche à tenir (= contenir) les coups de l’assaillant  brutal. sus à la mort ! laissons la mourir ! que faire ? les mots cherchent u ne entrée de choix, de base, dans la faille d’une paroi. les mots sont mots de rage à être, c’est un fait, et bouchent (ensemble) la plaie qui saigne (saigne beaucoup) de nous. nhous voulons comprendre tout ce sang perdu, cette plaie de base, ce sang de la rage à devoir repousser et à repousser. Les mots chargent de tout leur étant rupestre : sens et musicalité pour recul avéré de l’assaillant ailé. nouds ne voulons pas de sa présence en ce sas de vie qui est le nôtre et du coup que faisons nous ? nous repoussons la tete qui devant nous se présente (imberbe = crane nu). Nous voulons repousser ce crane, ce mobile, cet os, cette ame, ce sens, cette peau, ce brin, cette charge,  cette bete, ce caché de l’age. Nouys voulons repousser le caché ici qui vient à se ficher (devant nous) pour nous enquiquin er et nous briser dans notre élan de vie racée. alors que faire ? nos deux mains misère ! mais oui voilà ce qui est qui est nécessaire ! vive nos deux mains ! que n os deux mains vivent . les deux mains d’une rage à être temporelle seront nos alliées et vont (iront) nous aider à comprendre, à prendre corps, à prendre corps contre, etc. Accolés pour une floraison. nous disons que nous devons co:mprendre ensemble ce qui est ici qui nous regharde, et , qui cherche à nous tromper avec son crane profilé, sa tete première, son avancée princière pitttoresque : sus à l’assaillant des rois! ne nous laissons pas piéger ! nous ne voulons pzas que la mort gagnât trop de terrain sur notre p^ropre territoire, elle se doit de nous respecter. Nous voulons la contrarier et

 pour cela rien de mieux que nos deux mains := le temps ... à d»ployer sur roche (monde) et à opposer. nouds devons aller contre icelle entité armés, et pour cela rien de tel que deux mains «frontales» , quii sont des repoussoirs de choix et de poids, qui tienhent la tete , la  retyiennent, la coincent, la blmoquent, l’empêchent de trop progresser vers nous qui ne voulons pas (vraiment) d’elle du tout (en vértiré). nous nous plaçons de telle sorte ici que voilà : les cornes ! cornes contre cornes ? feu contre feu ? la vie du Verbe contre la vie ... de la mort .? BVerbe versus Mort ? nous sommes des (ici)

 qui(là bas) allons à contrer la charge princière opposée, à savoir les cornes, les cornes rouges de la mort,  les cornes fumeuses, les cornes rougies, les cornes br^ulantes de la mort en sa lave-coulé, en son feu terrien, en  cette flamme dure, 

qui brûle que tu brûleras le Temps. nous ne voulons pass passer trop loin des données de base. en sommes-bnous loin ? nous  voulons comprendre ce qui est, à l’aune d’une vérité accouchée. nous sommes deux mains = le temps = le  verbe = l’animal ou mot-bete , qui allons ainsi bille en tête repousser laz b^ete, repouuser l’etre de l’opposition à nottre allant. nous voulons percer la terre. Nous voulobns creuser la roche. bnous voulons d’une traversée des apparences et pousser loin les données du mon,de, du monde adjacent, vers des données plus lointaines encore qui sauront ou sauraient nous dire ce qui est exactement de tout un monde qui se cache ici de notre entendement. quoi existe hors le monde ? nous voulons toucher la t^te (crâne, craneuse) de la mort, et pour cela il n’y a pas à lambiner mais à fissa aller vers elle et la contenir, la tenir à bonne distance, avec nos deux mains , avec les mains qui sont  celles que nous opposons pour notre chance. nous voulons repousser l’assaillant brutazl en nous montra,nt nous mêmes tout aussi brutal. nous ne voulons pasv mourir c’est un fait mais non p;lus céder du terrain, laisser la moprt grignoter nos terrres. Non ! nous voulons qu’elle se tînt à 

carreau et n’empietât pas sur nos plates bandes de fortune. la mort, tiens-toi à carreau, de grâce ! voilà ce que nous lui disons en lui tenant tête. voilà ce que nous disons et cela (ce dire) est du tenir-^tête de premmière. les mots chargent et 

caracolment et tiennen,t bon l’onde de choc. nous voulons que cette chose de la mort à l’oeuvre («choc time») tînt son rang et n’en bouge ou démorde pas ou reste à sa place là où (où ?) elle est en vérité. Mais oui sinon : où est elle ? la mort est une sorte d’entyité de base, contrariante, qui est  pour nous contre nous, qui s’oppose à nous, qui est une donnée rude, qui est une donnée de poids, qui est cette chose d’en face qui nous gêne continuement et cherche sans cesse à nous mettree à bas. nous résistons bien mais vas-y à comprtendre tout de tout. quoi est-elle en termes de contrzariété ? que nous offre-t-elle comme perspectives dec destinée ? où veut-elle nous embringuer ? commùent se nomme-t-elle ? que nous veut-elle de bien ou de mal ? que et qui croire ?  on dit que la mort est dans l’atte,nte de notre âme ou de notre coprs ou des deux mais en vrai la mort vient charger, vient nous plan,ter ses cornes pour nous assaillir, nous tuer, nous tuer de rage, nous tuer car nous l’effrayons, elle nous voit comme l’ennemi potentiel numéro un pêut-être et dès lors elle vient nous agresser de force et de rage comme d’un fait excprès. la mort est efffrrayée et cherche à  nous tuer car elle est ainsi qu’elle a dans le sang (en e llke) cette envie de vivre à vif et du coup de tuer autrui qui lui apparait comme un danger éventuel ou bien comme proie pour son quotidien, pour son anttree. nous voulons comprendre des données qui pèsent. le vent souffle à travers les monts. le vent siffle et souffle et nous fait impression. la mort rôde ? la mort est elle proche ? est-elle derrière la fine tenture des choses du monde comme façonné? qui sait quoi ? la mort est-elle «derrière» le monde ? Qui sait ce qui est ? nous voulons enbsemble trouver les données cachées , comment faire ainsi que la vie ... restat en vie ? comment faire ainsi que le Verbe put dire ce qui est en toute logique ? la logique est-elle la v érité ? qui saura nous aiguiller et nous placer sur le chemin approprié pour une connaissance avérée ? nous prenons le temps de co=mprendre = un temps pour un passage = une vie humaine. Et ce temps est cela :même que nous déposons sur terre-mère (la paroi) du temps de notre vivant. je chertche la voie nacrée, le passdage ondoyant, les fleurs des prés, les vives clameurs, le chant roucoulant. nous chercvhons ensemble des entrées, ici opu là, car oùù aller ?où se placer ? où se mettre

 et comment ? nous disons cette chose comme quoi le temps est une donnée brute qui mérite réflexion etv inspection. nous disons qu’ici la mort est une entrée dans la matière = faille à ^etre = trou non-borgne si tant est, mais où ? dans le verbe ? maids où donc est le trou dans le verbe ? ou se situe-t-il ? où donc se situe le trou dans le verbe ? où donc est le trou dans la bête en soi ? où tyrouver le trou du passage et commùent? je suis une bete car en moi vit une bête. je suis une bete de poids c’est

 sûr. je pèse mon comptant de choses et autres (veture de bure, mots acidulés). je m’avance sur les devants, je suis sur ces devants l’etre menaçant. je suis bete-verbe aux allures rupestres (bison ?) et, ainsi vêtu, ainsi atiffé, ainsi arrangé (de bure et comme acidulé de par le verbe) je vais. je suis homme-bete de céans, je vais et je viens à travers le temps, je veux savoir la vérité, je veux comprendre, je veux trouver, je veux être. je suis homme des prés qui court comme un dératé à la rechezrche d’un semblant de vérité contenu dans l’herbe à brouter. JKe ne suis capitaine de rien. je suis un être de paroi de monde (du) et cher che que tu chercheras à travers la lande les données. oh mais je trouverais ! un jour ou un auttre. je suis ombre = hombre, cela est , mais pas seulement. Je suis femme = fame, cela est tambien, mais pasxseulement . Je suis bete = bete comme chou, cela est également , mais pas seulement. je suis verbe à vif de sa découverte, je saigne des dents, de la machoire, des joues, du palais. un trou de merde !!!!!!!!! merde merdum !!!!!!!!! un sale trou en ma face imberbe , oh saleté de bete en moi ! et me voilà qui parle à toute blinde, fort, chargeant de rage, y allant, etc. je parle par le trou : ni pl;us ni moins. je pa rle car j’ai un trou. et ce trou = une bouche

. Ce trou 

est une sorte de fissure à laisser faire. une sorte de fissure en  ous, laissant passer la cohorte de betes contenus en  noous depuis l’aube de l’humanité et nous voilà êtres parlants, êtres qui avons en nous des mots de bouche plein la bouche, qui les exprimons de conserve et ce faisant bouchons notre bouche d’étoupe verbale. Nouys voulons comprendre cette étoupe ce qu’elle est au juste et aussi ... ce que cela fait d’avoir pour soi cette chose en bouche, ce pic de verbe, cet onguent, ce pansement, cette chose ressemblan,t à quelque chose d’autre comme par exemple à une sorte de ... bete de jhoie.-, etc. nous voulons savoir les mots, depuis qu’ils sont là

, dans nous, qui bouchent que tu bouchertas la bouche, ces mots : qu’en est-il en vérité ? sont ils dews apprêzts ? szont ils appeaux ? sifflent ils pour attirer ? font-ils partie d’une chose en soi plus ancienne ? font ils partie d’autre chose que de nous , dans le sens où ils seraient liés à d’autress corps 

que nouqs? nous pensons et,  ce faisant, nous plaidons coupavle de coups et blessures envers la joue en nous. jze pense donc je suis coupabvle.je vais ainsi à la recherche d’une vérité dite «de bon aloi» qui me donnât de quoi , disons, «respirer» et me porter bien. et faisant cette chose  ,

d’une recherche aussi attentive , aussi soutenue dans la longueur, je m’approche (on dirait) d’icelle v érité nacrée des fonds de la paroi. Je cherche à m’approcher d’icelle. la paroi = le monde qui est attenant à l’au-delà. je veux cerner un univers entier (de la naissance à son passdage de l’autre cvôté : trépas de charge) et pour cela je parle en continu, je ne m’arrête plus, je charge à bloc les données frontales, les soupèse infiniment et cherche à comprendre. les hommes sont des femmes quyi sont des hommes qui sont des femmes qui sont des hommes qui sont des femmes qui sont des hommes qui sont des femmes qUI sont des hommes qui sont des femmes qui sont des hommes qui so,nt des femmes qui sont des hommes quui sont des femmes qui sont des hommes qui so nt des femmes qui sont des hommes qui sonht des femmes qui sont des hommes qui sont des felmmles qui sont des ghommes qui sont des femmes qui sont des  hommes qui sont des femmes qui sont des hommes qui sont des fgemmes qui sont des bétes, qui sont des bêtes-mots, qui sont des mots animaliers, qui sont des mots de peu, qui sont du verbe. Je comprends la chose ici qui me regarde fixement, ce qu’elle est pour moi (la misère) et ce qu’elle cxherche ou recherche avec moi (la misère?°. Je cherche une voie .... pour un accèe, àà même la terre, à même le sol, au ras des pâquerettes. je veux être une voix pour moi. je veux toucher la voix en moi qui parle pour moi et la déplacer sur roche de paroi. je cherche à toucher en vrai icelle. la toucher la toucher. je cherche incidemmeznt, 

concomittament, allègrement à toucher icelle (voix de rage) en moi, la toucher la toucher, concomittament = en parlant. puis-je ? suis-je en réelle capacité de pouvoir ? suis je capable de ? suis kje capable de faire ainsi que cette chose ici puisse ou se puisse ? suis je (moi) l’homme des prés de la situation ? comment puis)-je ? comment on peut dire ? comment pourrais je dire et faire à la fois = concomittament sans y laisser des plumes d’oie ? je veux être cette bête contenbue en moi! je veux parler le langage des bêtes à cette bête contenue en moi et comprendre q<ui elle est et poyurqoiu est-elle là en moi, qui swemble s’y plaire ou s’y complaire, qui est-$elle ? la bete en moi a un nom de passe. la bête contenue en moi porte le nom de son espèce, de son genre, de sa voix. il s’agit (pour moi) d’un nom «adultère» pour ainsi dire. Jhe suis homme de la voix qui tremble (en moi) à dire ce qui est de moi ! qui je suis je ne sais pas mais les choses ici sont ainsi que je dois (en vrai) comprendre loin et voir loin et marcher longtemps. je suis hjomme qui veut comprendre ce qui est autour de lui sur terre, et pour cela je dois marcher vers les embruns c’est-à-dire vers la vérité. je ne dois pas m’en éloigner. je dois chercher une voie d’abord et creuser et fouiller et dire p;lus plus sans lambiner ni trainer ni faire le malin ni pleurer ni trépigner ou faire son intéressant ou le petitt diable ou quoi d’autree en ces contrées? Jez suis homme à paerler vif, qui chante là son dire du passé de soi. je dépose. le passé est cette chose (en soi) qui pour le coup est déposé au fil du temps sur une marche (table) des offrandes. mon passé ne m’appartient plus qui est à présent déposé sur une table à offrandes. je sais que mon pasxsé est cette chjose qui est dépôsée sur une table (où ?????) et qui sert en vrai à cette cxhose d’une sorte de repoussoir. je cherche à compreendre où donc la table, 

or voilà : dans le temps. La table aux offrandes est musicale = une portée. la table aux offrandes 

est une portée musicale = temporelle. il s’agit ici de piger cela, la portée porte le passé, le temps est le nid, nos vies la nichée etc. je veux croire en c ette chose d’une sorte ici (pour nous) de temporalité première déposée sur roche au fur et à mesure de nos «avancées bille en tête». le passé se voit déposé ou comme déposé sous fgorme de temps sur une porté, ou sinon  : sous forme de p^résent (dons de soi) sur portée de sol, de fa ou tout autre portée musicale de consitutiuon. nous disons que la portée est musicale de constitution et porte le passé de soi (le passé vbrûlé) qui est donc le présent (le don) déposé, par la b ande passqzante, par icelle bande en nous du temps qui passe ... sur nbous. nous ouvrons la b ouche et parlons et la parole co:mble et panse. la pensée est chose de rage, elle vibre en  ous (onguent) et vient à se ficher sous forme verbale (crue) entre nos lèvres. ainsi est la foi. nous parlons et disons dès lors la foi que nous portons en nous, qui est la foi en des entités ... divines, de type : la mort, la vie, le verbe, laBêtye, la joie, le sang, la Parole, etc. les mots sont ainsi portés (:musicalement, une portée) à travers la vbouche, à travers une bouche , et, portés, se voit comme déposzés comme autant de vivres sur une table, table aux offrandes, ou comme autant d’offrrandes diverdses sur  ou dans un panier. Nous disons panier, et table, marche, pourtour, devant de soi, seuil, entrée, devant de porte, etc, pour dire le monde adjacent =: terre mère aux embruns lointains. je cherche une voie d’accès pour un passage de destinée et à comment m’y prendre, voilà

 ce qui est qui m’occupe fort. je veux creuser la terre et traverser le film de la réalité des berges. je ne suis capitaine de rien et c ependant le verbe ... est du capitai ne. alors comment faire ? comment pousser loin ces données frontales, duccales, pleinières, princières et premières ? en chantant ? moui ! peut-être. ou bien en marchant ? les deux mon capitaine ! ... ou comment ? car, car je suis vaillant, je file, je tie,ns, je coordonne, je donnbe, je vais, je sens, je resse,s, je cherche, j’obtempère, je renifle, je touche, j’entre, je perçois, je coopte, j’envisage, je pl;eure, je ris, je ventile, je m’ouvre aux quatyre vents et moi même je ventile, sougffle que tu souffleras, je cherche à comprendre, je vais loin dans les recherches, je m’enfonce dans la nasse des savoirs de toute sorte concernant la mort et la vie, la vie et la mort.  Jee ne suis capitaine de rien or si. je suis au cap de mon phrasé de bure, maintenant du sens coûte que co ûte. je suis  celui-ci qui parle mal mais parle. un homme de la foi dans le langage (comme tous et toutes les hommes et femmes ?). je fonce fissa à travers la lande . je vais vers les bêtes de poids qui toutes broutent à l’unisson, paissent nonchalantes, me matent de coin, voudraient peut-être me parler comme elles me voient comme elles, peut être (qui sait ?). Je veux toucher, je veux toucher, hje veux toucher la vérité. Je veux me rapprocher d’icelle . je veux via le verbe toucher icelle v érité de la «voix en moi» qui vibre que tu vibrera s tton élan (son élan). je suis un homme-femme, aux mains plaquées contre. contre la paroi = le crâne (je le sais). sage-femme...  aux bois sur la tete. je touche la roche, affronte. je suis la bete rosse, je suis pour de vrai cette bête rosse qui touche la roche, qui pousse la roche, qui foule. je suis bete rosse qui foule. je vais dans la roche, je suis une bête de poids, mon poids est  chose de poids en la matière, qui impose son allant de rage, sa toute puissance contenue en elle (bete) comme une (sorte de) vive donnée à donner , temporellement , finement, volontiers, sur pareil devant de soi de type rupestre. je vais vif en roche et trouve là la vérité par nous recherchée à savoir le NOm. qauel est-il ? qu’est-il ? est il mon nom ? est il le nom donn»é à lma naissance ? est il un nom vo:lé ? erst il le nom d’une bête ? est ce que ce nom, le nom que je porte (portée temporelle) est le nom qui m’a vu naitre ? suis je moi-m^me le Nom ? suis je un  nom parmùi d’autres noms ? suis je un nom parmi d’autres noms ? suis je ce nom-ci ou ce nom-là parmi d’autres noms ? suis je une vie d’emprunt ? la mort à l’ame ? suis je unn enfant qui va sur son chemin vif ? suis je l’enfant de la fame ? suis je l’enfant des tourments d’une vie à vivre ? suis je vif ? suis je à vif ? suis je mort ? suis je la mort ? quel est ce nom qui en moi chercxhe à naitre, à voir le jour, à sortir de ses gonds, à parler pour moi ? quel est le «vrai» nom (de paroi ?) que je porte  ? est il celui-ci :»Aurochs» ? est-il celyui-là : « Cheval «, ou tel autre du même acabit, «Bison des prés», ‘« Sanglier», vache ou dindon, etc. Je cherche à savoir en moi. je pense que je suis il semblerait sur un chemin tracé ici en amont qui peut peut-^erte être fructueux on ne sait jamais. 

le chemin est peût^etre tracé de fait avant moi = mon passage = ma venue ou peutêttre pas. je vois que les mots s’en vuiennent sous mes doigts et chargent la paroi. je suis pour ainsi dire la bête des prés et des forêts, je cours et vole car je suis ailé comme le cerf ailé est ailé. je veux comperndre (arribver à comprendre) le cerf em moi (ailé) et pour cela je dois me pl;onger tete première dans l’eau  vive d’un chant choral qui résonne en moi son fluide nacré c’’est un fait. je plonnge. je suis bete des parois de roche. monacales. pariétales. Et je file ainsi à la recherche instrumentée d’une vérité musiqcale du monde adjacent soit du monde de la vie et de la mort dxans le langage. je file (vif) sur pareille portée musicale dee céans. je vais en roche à la recherche dx’une nichée. je ne ferme pas la porte aux savoirs de base mais je cherche loin, à tout va et à tout crins, des savoirs autres : savoirs déployés ici et là à la d»éerobeée  peut-être par qui de droit ... que je ne connais pas ou si ? que je connais ? qui c’est ? qui  est)-ce ? un être caché dans les fourrés ? l’animal aux aguets , un frère animazl , une soeur de roche ? une effigie ? une bete gravée ? un etre de frai ? vive gente ? qui est cette bete , qui sait ce qui est ? suis je bete moi -même ? l’idiot du village ? le demeuré ? le bestiou de sa rage entière ? ‘l’écervelé à bride abattue ? ou sinon qui ?

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15/2/2022

la mort en nous est une entité. nous ne sommes pas dupe (au fond de nous) de cela. nous savons pertinement cette chose ici, comme quoi la mort est une entité que nous portons en nous ... comme un animal, ou comme un  anima, ou comme une ame. Nous portons en nous cette chose appelée mort, qui est une sorte d’animal pour ainsi dire contenu soit maitrisé en soi, animal ou anima (ame ?) qui est comme ainsi logé en nous à un endroit précis mais qu’il nous reste à situer. Où donc en soi (en nous) la mort est-elle situé ? nous ne savons pas. Ou bien le savons nous à notre insu ? savons nous en nous où se trouve la mort ? savons-nous en nous où se trouve cette chose nommée «la mort» et qui est chose de grande importance pour nous, puisque contenu en nous ... peut-être comme un organe, ou comme une bête contenue soit tenue, tenue en laisse, maitrisé par nous à notre insu ou sinon à notre insu par la bande ou sinon comment ? car la mort en nous est logée. elle habite dans notre sein. le sein est l’endroit en nous qui loge la mort ou la mort peut-être «animalière». Le sein est un endroit en nous qui, pour le coup, contient des choses, un endroit de contenance ici en particulier puisque ... contenant la mort dite »animalière». nous savons que cette chose est d’une importance majeure, nous savons que vcette chose (de la mort dite «animalière» )) est d’une importance 

considérable pour nous, pour les savoirs à acquérir, pour notre avenir dans la penseé, pour la compréhension des choses du monde. il est important de signaler ici cette chose comme quoi la mort (qui vit en nous) est une chose incluse dans un sein. ce sein est le «sein de base» ou dit tel. ce sein est un sein qui demande à être en vrai observé et étudié. Nous pensons que cette chose , de la mort en soi, est logée en nous par des canaux ou en des canaux en particulier (réservés à cet effet ou à cette chose) et ces canaux se doivent d’être regardé de près, c’est une évidence. Il est nécessaire ici de comprendre cette chose de cette évide,nce 

, à devoir ensemble regarder de près des canaux qui sont canaux de contenance. Ces canaux en nous ont une importance majeure qu’il est bon de souligner. ces canaux en nous sont d’une importance considérable, à prendre en compte sérieusement, à voir de près, à explorer (fissa) par la bande ou autrement mais sans plus tarder. que sont ces canaux ? que cvontiennent-ils ? ou se logent-ils au juste ? qui connait l’existence de tels canaux et qui donc les étudient dans le monde ? y a t il au monde des personnes bien intentionnées étudiant de tels canaux de vie ? nous sommes à vouloir connaitre un grand nombre de vérités et pour ce faire nous creusons notre pensée dans un sens qui puisse nous offrir des retombées de poids. Nous voulons comprendre dans la profondeur cette notion , ici abordée, des canaux de vie, d’un sein des seins hospitaliers , d’une mort animale, animalière ou autre, contenue en ce dit sein des seins, mort en nous contenue comme (dirait-on) un animal en fuite ou bien-caché , logé-lové comme un serpent, comme une anguille sous un rocher. que penser de cela ? Nous espérons à termes pouvoir démontrer un certzain nombre de vérité mais enfin le travail est immense qui ne laisse pas de nouds bousculer, de nous presser et de nous pousser dans nos propres retranchements de chercheur / chercheuse de base. nous sommes en nous (le Soi) plusieurs on le sait. nous portons une parole d’envahissement du Soi en nous-mêmes, c’est à dire en vérité que ... nous sommes cette chose, cette chose rude et vorace, cette chose d’un être (comme) envahi de base, comme (être) envahi de l’intérieur oou même dévoré par en soi une sorte de bête de rage, fauve nacré qui cher che ou chercherait une issue en nous via un trou de bouche ou tout autre anfractuosité cutanée?. nous sommes plusieurs ainsi en  nous à

 parler lorsque nous parlons. nous sommes au moins deux. Il ya la bete vorace, et il y a npous qui sommes de peau recouvertes. Nous sommes deux en nous à nous exprimer lorsque nous parlons . nous sommes deux à nous exprimer, et étant deux, nous nous tenons pour ainsi dire par la main, nous faisons corps de cette manière liée à la main (la manière : importante ici) et ce faisant nous avançons cahin-caha sur le chemin de notre vie ainsi soudé ou attachés. Nous sommes deux qui vont ou allons ainsi leur chemin. Nous sommes en nous (le Soi) deux à marcher, qui dans la forêt qui dans un champs de blé, qui ailleurs au bord de l’eau, etc, et ainsi nous avançons sur un chemin, nous sommes qui nous avançons sur un chemin de vie lié à une mort en soi contenue de fait dans le sein des seins. LE sein des seins est cet endroit en nous ... qui contient la bête. Il x’agit d’un endroit caché, c’e’stà dire enfoui, mis en nous par la bande animale du temps, déployé en nous comme par extraordinaire, déployé pour une cause en nous liée à la parole ... à acquérir enfant. Nous pensons que cette mort, en nous contenue, est la mort de l’ame ailleurs. nous pensons à part nous que cette mort contenue en   ous est mort d’une Chose rude. nous pensons cette chose comme quoi la mort, en nous contenue, porte un nom précis à chaque fois (soit pour chacun et chacune de nous) renouvelé

, et que c e nom a fortement à voir avec la bete en nous ici contenue, cette bete ou bete-mot de rage est peut être (akllez savoir) la bete-mort en nous contenue par la bande. Nous nous disons ensemble cette chose comme quoi, la betye-mot d’étoupe, de remplissage, de sauvetage temporo-spatial ( = le temps d’une vie terrestre) est cette chose ici que nous nommons ailleurs par ces dits mots de «mort de l’ame», ou de «mort de soi», ou de «mort du soi», ou de «mort d’une anima» (du souffle de vie et de mort). Nous pensons que cette chose est ici à observer et à étudier avec attention. Qui connait l’astuce ? qui sait de quoi il en retourne ? qui sait s’y prendre ? qui sait comprendrte ? qui a appris les rudiments d’une méthode, d’un savoir, d’une parole, etc, qui sachent ou sauraient nous aider sur notre propre chemin et dans nos recherches, recherches assidues ? Nous voulons aller très loin dans les connaissancec s et pour cela nous devons chercher à cerner ensemble un certain nombdbre de données en particulier, comme celles concernant la mort-bête en soi contenue,, cette mort de la ... bete-mot de rage qui, mort, est logée en  nous par la bande passante du temps ... de la vie qui est la nôttree. je suis cet hjomme ici qui regarde fixement la Chose ici présentée comme une offrande. Qui est qui qui sait qui est qui ? qui connait l’astuce pour savoir parler un langage des p^rofondeurs ? qui connait l’astuce ici pour savoir parler ce langage en soi, de la profondeur des choses du monde ? qui est cette pezrsonne qui sait ? nous cherchons (on le voit) des personnes = des gens sur qui s’appuyer = des gens de bon aloi = des gens de bonne contenance = des gens savants = des gens de peu mzais savants. car, il est important ici de comprendre cette chose d’une connaissance lié à une vie de peu, temporo-spatiazle( localisée et 

fixée dans un temps donné) pour comprendre un certain nombre de données liées aux savoirs les plus ancrés (reculés) et d’importance. Le llieu, le temps (kla date) ont leur importance, et plus encore les données liées à une personne de confiance en particulier. une personne qui sait sait beaucoup mais cache beaucoup. une personne qui sait peu sait peu mais montre beaucoup. toujours un même schéma de base retrouvé partout. Nous pensons que la vie en nous, en nous contenue, est logée en n ous dans un sein qui contient la mort = la bete , ou cette bete-mot dite «de la mort» ou comment ? la mort-bete ? «la mort-bete» en toutes lettres ? nous chercghons à deux = en nous (accolés serrés) des notions à explorer incidemment et si possible dans la justesse, à explorer de fond en combkle incidemment, à fouiller cvomme une poche, comme un sac, comme une outre.Je regarde en moi la chose lovée : s’agit-il d’un animal meurtri ? une bete des abris ?  une bete des prairies de type aurochs ou bisons ou cheval ou boeuf ou antilope ?. s’agit-il d’une bete de rage, en soi, comme l’animal qui sera furieux de ne pouvoir sortir de nous à sa guise ? s’agit il d’une bete fauve ? un serpent ? le mot «serpent» ? un mot ? le MOt, le mot «mort» ? où est cette bete en soi ? où en soi est la bete cachée ? où est cachée en soi la bete ? quelle est elle ? qui le sait ? nous voulons essayer de comprendre pas à pas les données qui ici président à cette observation de base comme quoi, en  nous, est ou serait contenue une bete de rage qui serait nommée. Et dès lors qu’elle serait 

nommée elle ne pourrait plus sortir à sa guise comme autrefois il semblerait qu’elle pouvait. Nous sommes à réfléchir à cette chose , d’un mot, en nous (contenu dans notre sein = ancré) qui est

 le mot ... de la rage à être. Ce mot quel est il ? that is the question. Nous nous diso,ns que ce mot est d’une importance capitale, un cap. Nous nous disons cette chose ici , comme quoi icelui (ce mot de vie) est d’une importance capitale = liée à un cap de vie en cours. Nous pensons que le mot, ou ce mot ennous présidant la chose de la vie à vivre, est un mot de rage (c’est entendu) mais aussi un mot d’importance vitale. Nous cherchons à comprendre ce mot (ce mot de la mort) et pour ce faire nous allons fissa pour ainsi dire nous jeter (allègre) dans la feria, dans pareille cavalcade endiablée, la feria, cette fete colorée, etc, qui nous absorbe ou nous absorbera icvi en son train. Nous devons prendre ici le taureau par les cornes et chercher mordicus les données de base présidant l’élaboration en soi d’un sein de contenance. Nouys avons cette chose à explorer ensemble finement (si possible finement) et à relater ici ou là pour la postérité?. la postérité ici est cette chose (aussi !) recherchée dans la mesure ou les écrits des faits peuveznt être consultés et peuvent dès lors faire accélerer les processus de prise en compte des connaissances. Les mots déposés sous forme d’offrande participent tous du présent de la vie à vivre noncxhalamment (= dans l’espace-temps) et ne sont pas à ignorer. Nouys devons sans faute poser nos choses = lkes poserr pour une opffrande à faire à une déité. Les mots sortant de notre bouche forment ensemble ce présent de vie donnée par la bande (animale) en nous, trépignant du sabot en n ous, renâclant en  nous de toute sa haine contenue en nous. La mort loge en  ous depuis longtemps (toujours ?) sous forme de mots accumulés en bouche. La mort est cette chose en nous contenue sous forme de mot, de mot de rage, de mot 

d’apprêt, mot de rage sourd aux cris de vie de l’autre bete des embruns qui nbous appelle depuis loin ou sinon comment ? pas sourd ? comment est en nous cette bete contenue en  nous ? comment est en nous la bete de la rage à être ? vive ? vivante ? morte ? parlée ? nous cherchons des vérités en permanence, nous sommes deux en  nous à chercher en permanence des vérités qui puissent peser et nous apporter eau à notre mooulin intérieur. Nous voulons savoir des choses fortes, des choses de poids, des choses qui pèsent et ne soient pas des choses de peu en termes de vérité. Nous sommes des etres de peu car nous contenons, nous sommes etres de peu pour pouvoir contenir, nous nous faisons petit pour pouvoir absorber, receuillir, cerner en soi, concerner etc, des choses de grande importance. nous voulons comprenddre les données de based’une sorte en  nous de bête de joie hurlant à tout va sa colère, son ire fauve ou folle, son trépas à venir, sa sortie de route, sa chute finale, sa mort. Nous voulons comprendre ces donnés qui toutes ont à voir avec une raison de base bousculée. Nous voulons comprendre cette chose d’une voix en nou qui dirait ce qui est en vérité et qui serait cette chose d’une sortye de parole ancré e,n nous dans les profondeurs de notre psyché. Le mal est contenu dans la psyché, accolé au verbe de poids. Le verbe de poids est le verbe lourd de foi. Il ‘s’agit ici d’un Verbe des prés, Verbe des prairies dite «fourragères». Herbe folle, de la mise en bière ailleurs. Nous pansons nos plaies ... en parlant, et la mort (en n ous : bete-mot) le sait, qui se rit de nous. Nous sommes deux en  ous à comp^rendre cette chose en nous d’une bete de poids qui porte le nom de la rage à être, à être vivant / vivante de base. La mort trépifgne, renacle comme l’animùazl en nous qu’elle est . vie-morte enchevertreé . nous voulons aller dans la profondeur de la psyché de base = le langage. nous voulons creuser ensemble toutes ces données qui ont toutes à voir avec la mort telle que le mot de «mort» nous l’enseigne ou nous en parle = cette chose soi disant promise, promise à jamaios, cette éterb-nité or rien n’est moinbs

 sûr ! La mort dit «l»’éternité» mais de quoi s’agit-il ? nous voulons comprendre ensemble ici cette chose d’une sorte de do,nnée de base, de donnée votive de base, cette chose ici d’une éternité promise dans la mort. car la mort est une chose et l’éternité en est une autre . notre but est de trouver des choses ... à l’intérieur d’une cavité, nous savons cette chose. nous cherchons ensemble (à deux) cette chose d’un savoir de base ,, à l’intérieur d’une cavité. Nous xherchons une chose de base comme une pensée à l’»intérieur d’une cavité comme la psyché. La psyché est une cavité, est un forage, est une outre, est un anttre = un sein = un sein des seins, et à l’intérieur de celui-ci il y a le mot qui trone, l’entité majeure, le jaguar, la bete, le bison, la bete fauve, l’éternelle bete vorace, la bete des prés ou bien des bois, la bete la plus dévorante, la bete la plus présdatrice si tant est. Nous pensons que cette chose d’’une betye, ici contenue (sein des seins) est importante à comprendre en mots. Les mots en n ous sont ancrés comme etres de rage venus ensemble coloniser les données de base psychiques. Nous devons essayer de comprendre ces données aumieux. les données du temps sont celles qui nous semblent les plus salutaires. notre but est de les accoler (de les rapprocher) à celles concernant l’espace. nous voulons savoir ce qui ici existe en nous en tant que raison , ancré par la bande , censée pouvoir nous donner nommément (?) un nombre conséquent d’informations majeures concernant la vie, la mort, les données rudes, la bete en soi ou la bete de joie des embruns. Nous vcoulons aller ainsi clopin clopant nottre petit bonhomme de chemin. Nous en avançons pas mal à force. Notre temps est un temps déroulé comme un devant de soi (p)ariéytal ) du temps des hommes et des femmes des cavernes. La chjose est entendue. Nous parlons ensemblke de cela 

que nous comprenon,s le plus ensemble à savoir de cela qui nous regarde dans la profondeur de cette chose en nous appelée âme et qui est cette chose en nous ailleurs appelée sein ou antre ou outre de contenance. et quoi donc contient cette outre ou cet antre sinon le mot «mort» on l’a compris = intégré à notre gouverne de raison terresterre. Nouysvoulons comprendre cette chose d’une sorte de mot-bete en nous intégré par la bande (temporelle) langagière d’une vie octroyée, fissa, par qui de droit : déité des profondeurs ? cache-misère ? déité des amplitudes temporelles ? qui ? par qui la chose est elle co:mprise ? Nous soommes et je suis à chercher = je suis et nous sommes à nous pencher sur la question sempiternnellement dé»plié e ou déposée sur roche des temps. Nouys voulons aller en cette roche dure du temps ici à vivre ensemble, c’est à dire que nous sommes deux ensemble à vouloir comprendre cette chose d’une vol:onté commune à panser les plaies soit nos plaies de bouche et ce par la parole (ancrée) prononcée comme en continu et comme par défaut. Lemal est fait de longue date. en nous existe la bete des prés de sa rage à etre : c’est vu. en nous existe une bete-mot qui dit sa vérité de base rageuse liée aux choses de lma mort à l’oeuvre. Nous savons cette chose ici comme quoi la mort est la mort ... des chants de base en soi, musique de variété pour une entité à décvelopper (fissa) dans un  chant quel qu’il soit pourvu qu’il soit, car ici on voit cette chose comme quoi la musique a partie liée avec la mort (mot-bete) à l’oeuvre. 

La musique des profondeurs est une qui a , ici, partie finement liée à une chose dite «des profondeurs» quand bien même elle serait située, en vérité, en surface, comme une sorte de donnée de base déployée à même nos yeux ou à même notre ententendement sensible. Nous avons cettye chjose ici (musique variée ou pas, musiqaue lancinante ou pas) à comprendre = à prendre en soi, comme  maintien en soi d’un savoir de base, ou comme en(souligné) maintien en soi d’un savoir ancré dans les profondeurs d’une bete en soi , sein des seins animaliers, cavalierrs de tenue franche, territoire de l’âme (peut-être ?) ou des données de base inspirées. Notre envie est grande de savoir ++. Notre envie est logée dans la vie d’un antre de donnéess vives. Nous parlons à deux ici de tout cela qui nous occupe et nous donne élan pour un savoir à compléter. nous voulons découvrir ensembvle des xdonnées brutes, des données qui soient fiables, sur lesquelles pouvoir s’appuyer sans mesure et que l’on puisse ensemble développer incidemment au cas par cas et aussi au hasard des rencontres, des moments, des situations rencontrées dans la vie, des occasions, etc. le but est de comprendre ensemble (souligner) cette chose d’une rage à être cet homme ou cette femme qui pourrait entendre le savoir profond d’une rage à être en vie cou^te que coûte. Nous ne cherchons pas à nous défiler de pareilles recherches à mener ici ensemble = de concert comme des musiciens de bande ou peutêtre de contrbande ou sinon de contrebande. ou sinon de rien : musicien ... de l’ame sans foi ? musicien ... privés de musique ? charlatan hospitzlier ? cueilleur-briseur de données . amputeur ? nous sommes deux qui ici nous accordons pour chercher ensemble la musique qui préside aux données du monde vivant. Quelle est elle ? qui veut comprendre ? qui veut dire cette chose d’une sorte de donnée

 du monde rageur ? qui veut dire cette chose ici, d’une donnée riche, pl;eine, contenant mille et un savoirs de poids ? Je suis un homme de peu de chose en soi sinon la bande. mon nom est rien ou personne. je guette en moi l’animal ventru. Je sais qu’en moi réside une bête de rage , bête de rage ancrée qui sommeille à pei ne car elle parle sans discontinuer de sa voix de vie chevrotante lancinante. Il s’agit en moi d’une bpête de poids  lourde de données de base. Je suis un homme fol 

de vie vive à vivre fissa par icelle bande, langagière animazlière, ancrée dans un wsein qui est le sein des seinsq. revenez-y, dit on , et que fais-je d’autre ? je reviens de fait sempiternellement sur le métier et cherche ici la faille là l’anfractuosité qui fasse e,ntrée, porte ou passage de destinée. Je cherche à vif des données vives concernant la mort soit la mort en soi (on le croit) contenue par la bande. Il x’agit ici d’une sortye de rage à vouloir être (ensemble) logés comme deux qui se congratulent d’etre en vie soudés.Nous voulons ainsi agir pour ainsi en avancer sur le chemin tout escarpé des connaéissances primaires de la vie et de la mort ou sur pareils sujets concernant vie et mort accolés voire accouplées comme dans une tresse les fils de lin ou liane de vie déployée (à même la terre) sur sol de destinée rupestre, etc?. je suis homme -femme à égalité, partant l’animal. Je suis cet homme ici qui comprend de fait les choses rudes, les perçoit en flèche, fonce dans le tas d’une sorte de donnée géante fzaite ici de vivres, de denrées à en soi ingurgiter fissa en son antre de vie et de mort à être. Je fonce fissa. Je tape dans le tas. Je cherche ma misère en cette roche dure devant moi, à savoir ce temps pour ainsi dire déployé de base = temps de roche des tourments (divers) à être et autres vilénies coutumières. mon moi perd sa faconde au fur et à mesure, comme (en quelque sorte) ce bidon percé, outre qui se vide au fil du temps et du cheminement à deux sur un chemin de sable ou une terre des données de base rupestre. Je veux ainsi dire ici ceci comme quoi je suis ... cet homme des paroles ancrées de rage. Je suis homme en dires, homme du dire et homme du mal dire ici sa rage ancré et cependant je suis l’homme ici qui cherche vaillamment son être dépléacé, celui-là quil se doit (pour dire) de chercher fissa. Je veucx comprendre des données de base concernant de fait une vie à vivre par la bande, un moment de passage, cette chose d’une vie terrestre ou rupestre d’envergure toute menue, de court déploiement peut-être et cependant. Car, la vie en soi est une sorte d’entité votive ancré en chacun / chacune comme peut-être

un organe plein, un organe de chair vive, un morceau du corps.Je suis un homme des tribus dites «de l’ame perdue», ou alors celui-ci qui chante son envie de vie vive alloué à un être de destiné. Je chante à tue -tête le chant de la roche. je ne suis certe pas le cdernier à faire cette choe de chjanter, j’aime cette chose et je la fais, j’aime cette chose ici, ce chant mélodieux, ce cri de bête, cet impact, ce morceau de vie riche, cxe gras, ce vent, ce souffle, cette chzir vite débordée, cet élan en soi vers une sorte de contrée détachée de soi. mon coeur frappe à l’envi ce qu’il a à dire, il nettoie», pour ainsi dire ... quoi ? la place vide, ce chant à rechercher en soi comme peut-être une outre ailleurs, un antre de vie, une poche minérale, etc. je suis homme des paroles fortes, je creuse ici ma voie sur cette terre aux destinées avides de savoirs. je tombe ici ou là mais je me relève car ma volonté est de poursyuivre sur ma lancée une recherche de vie rude, comprise par x, déployée à façon et riche de données toutes consacrées, considérées. Je veux dire ici cette chose d’une sorte de tenue à même la base . Je suis cet homme qui, muni d’un drôle de bec de percée, va fissa à l’encontre d’une déité ici promise (la mort en c e chantier) pour la trouer comme une bulle. je veux faire ainsi cette chose. c’est ainsi ici que je cherche à faire cela , cette donc percée de bulle qui est bulle de la mort promise à toute vie humaine ou autre . la mort ne meurt  pas dit-on mais qu’en savons-nous ? la mort est cette chose en n ous qui (dit-on) ne meurt pas mais cela est faux car je le vois, je vois cette chose parfaitement, comme quoi la mort n’est pas tout à fait la mort que l’on croit (= morte) mais la mort vivante ô combien, du fait de sa «promptitude» à être. je suis cette chose moi-même d’une sorte d’outre à contenance. Je contiens vie et mort en moi enchevetrées comme une tresse. Je comprends cela ici comme étant cette sorte, en moi, d’ADN de vie tressée, de vie-mort soudé dans un brin de vie vive (en soi) comme une fibre, fibre des apprêts de buve ou même celle)-ci appelée «donnant», ou bien ... «donna» ? Je cherche. Je suis déposé moi-même. je peuple . je cherche ici et là une raison qui dise (puisse dire) pour le coup la chose déplacée, la chose rude, le pouvoir central, la parole animalière donnée. Je cherche à comprendre cette chose en moi d’une sorte d’entité de foi en cette chjose d’une vie liée, de force (et rage), à la mort offerte par la bande. 

je veux creuser ici une sorte de percée à même les choses du monde, ces choses rudes, rugueuses, dures pa rfois, dures comme roc, etc, qui sont ces données de base tterrestre : dureté d’une vie à vivre ici bas, quand la parole en soi cherche à comprendre cela, ce sens des choses compactes. Nous disons que nous cherchons à ensemble percer mille mystères, mille choses rudimentaires ou primzaires = premières = natives = physiques = naïves = vives comme la pluie. notre envie est de celles que l’on remarque, du fait sans doute de cette géné»rosité dans uune recherche à partager ou bien de cette sorte en soi de générosité à partagher les chgoses du monde ancré. Je fonce et file. HJE pousse et meuble. Je comble et perce. je trou la tenture, la fibre, le tissu des choses rageuses 

 par la bande active d’un semblant de pic vernaculaire,; à savoir ma voix (fluette) d’enfant, d'enfant de quelques ans, homme-femme-enfant rassemblés ici sous le (haut ?) patronage d’un saint ... animalier de préférence il semblerzait. je pousse devant, je secou, je file, je meuble, je cherche, j’affirme, je trouble, je concède, j’évolue, je sacre, je sens, je comprends, je guéris, je vais, je sable, je saigne, je pisse, je conduis, je mouche, je vibre, je tremble, je monte, je monte, je monte, je monte ici ou là à meme la paroi du monde. Ici ou là = sur le tas = dans la vie = sur la terre ferme = dans un sas.  Car la vie est sas qui contient ;l’être. L’etre est ainsi ici être de contenance allouée à une gouverne, princière, coutumière des pensées 

de rage, des pênsées tourneboulées comme icelles de la confrérie (ici). Je vois qu’ici les choses se rassemblent et forment ou font bloc. Les choses ici sont celles-ci que nous connaissons depuis (

toujours = depuis l’instant précis où nous sommes nées au monde par la bande (pour ainsi dire) d’une mère en couches. Nous sommes (en quelque sorte) nés ensemnble au monde, nés à une sorte de vie vive pour l’éternité du chant choral (parole parlée à même le sang, ou comment s’exprimer sur cette chose d’une voix ancrée dans un corps donné ?). nous voulons comprendre ce qui est ici d’une voix comme poussée à son eccxtrémité langagière-animalière de paroi. Npotre envie est ainsi formulée ici : en toutes lettres, noir sur blanc, fissa, tapé que tu tzaperas, à la cravache = mordicus. Nous avons cette envie en nous de cvomprendre ce qui donc préside aux différentes étapes d’une vie à vivre tout du long:= les âges, les moments faisant succession ... et ligne de voie pariétale comme autrefois des betes sur roche, chevaucx et autres , faisaient calavalcade sous l’oeil averti et vif d’un être desz cavernes, homme ou femme des temps antérieurs à notre vie de rage à nous, et cependant si proches de nous via la bande langagière-animalière qui nous constitue un temps (un temps  seulement ? ). Nous devons pousser les dires loin. NBous avons à comprendre loin en soi (ou où ?) ces dires de vie-mort tout enl&acées, entrelacées, enchevetreés, etc, qui sont tresse de vie de rage folle on dirait, ou, sinon de rage, d’envie. L’envie de faire ainsi que des choses de pôids fussent dites ici. car telle est celle ci (envie) qui en nous fait rage, de donc dire dire dire à foison, ce qui est qui est, ces choses «vraies» de contrebande : à côté des données natives ces données de rage votives ou bien  lkesquelles ? Car, nous devons comprendre (et donc fouiller) dans la profondeur d’une langue dès lors déroulé comme un cheminaement vocal à faire naitre = à déployer sur lande. Je suis homme ici d’un rapport bete /mort à devoir co:mprendre : quel est-il ? estil ce rapport qui compte pour de faux et fait ou ferait illusion comme mirage dans les sables, ou non : est ill vie de poids comme aurochs de roche ? 

cherchons ! Nous cherchons. Nous devons chercher ensemble, 

nbous donner la main et ne pas nous éloigner les uns et les unes des autres ou l’un ou l'une de l’autre si on est deux. Car, je suis cet homme

qui compreznd ici qu’une chose de poids est en train de naitre incidemment, cela me parait une évidence, et c’est pourquoi je fouille avec autant de passion ces choses rustiques pour ainsi dire(je suis de la campagne) qui me constituent et semblent présider. Je veux être cetteChose-Homme tombant le masque et révélant sa face animale (ici : un merdum «de sainteté» pour la bande, ou bien : un merdum de plus à déchiffrer pour qui souhaite s’y coller). Je veux ici (ici même, lien,, côté, roche, pli) comprendre ce qui est au fond concxernant la mort. Est elle mort-vie accouplées ? est elle cette vie-mort décuplée ? Je cherche. Je cherche avec avidité et voracité. Je suis l’animal en moi vorace et de combat. je ne m’en laisse pas conter et ... n’ai peur de rien en vérité. Je file fissa à la recherche des données de base concernant cela en soi qui est la bete-mot de base, mot de bete virale, ou comment ? mot de soi en cet antre des données de base ? kje cherche une vérité. Je suis qui va devant à la recherche d’un «xwemblant de vie vive » à prendre en compte (fissa) sans p;lus tarder, pour aller plus loin toujours sur le chemin (dessiné) des connaissances les plus ancrées, profondes, déployées en soi cvomme une bande, déplacées car autrefois ... elles n’étaeint pas, ou si, ? etc. Je cherche à aller loin en cette sorte de donnée qui pour moi est cette chose d’une sorte d’échancrure dans un sas de vie murale, de vie à l’étroiit entre des parois. Je suiis à la recherche 

d’une vérité qui soit tangibkle et puiisse nous donner ici de quoi déplacer icelle Chose en soi, la placer ailleurs afin de mieux la visualiser (devcqant soi ?) et la comprendre = prendre poour ce qu’elle est : Bete ? bete primaire ? charge ? charge de poids ? montant ? montant i:llustre, ou quoi d’autre qui soit éclairant?Je cherche une chose de poids. Je cherche une chose rude, chose de poids et rude et dure et même rugueuse comme une peau de bete forte. Je cherche cette peau de bête en moi ! voilà ce qui est ! je cherche en moi cette peau de bête, où est elle ? où donc en moi est cette peau de bete de poiids qui me chevauche ou est-ce moi qui la chevauche ? qui chevauche qui ? je veux prendre ce qui est ici pour moi en termes de données et de fait les déposer sur un devant de moi hospitalier comme tapis rouge, voie d’abord veineux, parois d’homme ou femme des cavernes, socle ou cimaise, ou dans le corps de l’autre en sainteté. En ... odeur de sainteté ? peut être ! car l’oint initial permet bien des choses d’un ordre parfait qui est l’ordre parfait d’un adoubement séculier. je vois l’ointt de base couvrir les chairs molles d’un  être de vie de rage ici, ici en cet anttre de vie = cette chose au monde = cette vie entre quatre murs, cette vie condamnée comme une maison ou comme une demeure ou comme une tombe, etc. Je suis celui-là qui cherche et qui chercheras demain encore et qui encore au loin cherchera et encore plus loin si tant est : jusqu’où ? Car la vie n’est pas sans fin dit-on ! Qui le dit ? qui dit cette anerie ? car la vie en soi n’a pas de fin quui n’a pas commencé en vérité ! car la vie est vie-mort enchevetreées et par conséquent ne peut finir car ne peut mourir (de fait) puisque ... contenant la mort en son wein. je suis cet homme d’une vibration continue qui comprend = prend les choses au passaghe et en fait son fil de soie ou de roche, fil à soi pour ainsi dire, fil-fibre de paroi, fil-fibre de bon aloi : aurochs ? je suis homme au fil de soie, je tra ce à main levée sur un ciel opaque des mots de rage.Je vais en ce ciel comme un volatrile , je m’élève, je me meux, je respire, je connais, je chante, je vire, je tombe = je tombe à pic, je tombe à pic = je m’enfuis, je suis ombre d’une ombre d’une ombre d’une ombre sur la prairie. volatile ? je vais loin au sein du sein des connaissances acquises car je suis dedans, je suis entré, j’ai traversé, je suis passé de l’autre côté et ici le dis par la bande, à coups de mots martelés, de points d’ancrage animaliers tambourinés, ertc. Je suis un qui file, deux qui vont, etc , car nous sommes deux qui filons notre pelote, nos fils de rage entrelacés comme les fils d’une pelote, comme fils de chanvre, comme fils de bure. nous tentons moultes expéreiences à même la terre agenouillés, nous cernons les choses qui nous font face en les dévisageant au mieux, en tentant de comprendre au mieux ce qui se trame ici e,n matière de don, de don allloué, de présent déposé, de temps déposé comme est le présent princier sur un tapis lui-même déposé à même le sol en guise de paix. Nous parlons une langue qyui est langue des anciens à soi c’esst une certitude. Les anciens parlaient langue de poids qui a changé au fil des temps, des années, mais pour autant elle reste ce que de tout temps elle a été à savoir cette chose en soi déposée comme un présent à accepter, à prendre pour soi de gré ou cde force (un présent ne se refuse pas) et à déployer par la bande?. Nous sommes pour le coup deux en nous (en chacun de nous) à vouloir comprendre les données profondes, à la lumière du présent ... déposeé sur roche. -le sauveur arrive ? attise ? admet ? quel est il ? le saut dans le temps est possible en soi par l’action conjuguée de la vie et de la mort entrelacées. La mort s’entrelace à la vie et les deux ensemble forment la Fibre, soit 

ce Fil de soie qui file sa pelote dans le temps et nous traine ainsi, comme un fil de rage entraine dans sa tourmente et pousse à être. Je comprends cette chose là d’une voie d’abord de rage, chant d’azur dans un temps déployé de paroles saines (ou pas  saines ?) qui en imposent et se posent là comme une misère. Je suis homme des entours brumeux, je marche sur mon propre chemin de vie, je vais à la rencontre des damnés, je vire et vais à la rencontre des passants / passantes d’une foi en l’homme / femme ou comment ? des passants / passantes de vie ? des passants / passantes qui vivent la vie dans le sang ? des passants / passantes de la foi ou comment dire cette chose d’une foi incluse (intégrée) en soicomme un sang royal coulant dans des veines royales, ducales, primaires, anciennes, etc. Je suis celui-là qui viens voir à comprendrec là

 (parade) 

les données les plus compactes à devoir déployer urgemment dans un  temps ici donné qui est temps des données à prendre en compte (un calcul de tous les instants). mon nom s’inscrit comme par la bande = à part moi et n’a pas d’importance en soi. il s’agit x’un nom d’emprunt, car mon nom est un nom d’emprunt, il sera restitué un jour prochain, on sait cela. car cela que nous «rendons» à notre «mort» est cette chose du nom porté durant la vie sinon quoi d’autre ? le nom porté (comme un  passé) est à restituer mais pas seulement : tout ! Une vie complète = coeur de vie compris. nous nous inquiétons de cette chose, nous voulonbs connaitre cette chose, nous voulons découvrir des choses, nous sommes plusieurs à vouloir découvrir des choses, nous sommes nombreux et nombreuses à vouloir découvrir des choses, nous sommes toute une chié à vouloir découvrir des choses c’est parfaiot. on se doit d’être plein. plus on est plus on sait. Plus on est plus on échange de données et plus on voit ce qui est qui au loin se fomente/ La vie est liée à la mort par le verbe. la mort existe en nous sous une forme animalière. la vérité est celle du seinb. le bonheur est cette chose d’un devant de soi ici présenté comme un dépot de soi rajouté. Je vois ce qui est sur ce devant et comprends le sens de cette chose qui est cette chjose (donc) d’un vouloir, d’une volonté ancrée, d’une volonté tenace. le coeur est le siège du sang des rois, reines, valets et aussi du Verbe. je suis connu pour cette 

cette chose des parois du monde : incorporée (la chose) , prisonnier comme un bandit dit des quatre chemins qui va à vivre son (sa sorte de) emprisonnement sur terre et le (ou la) conçoit ainsi qu’il se doit de le faire. Je vais sur roche comme l’hiomme des cavernes tracer un nom qui est ce nom dont on m’a affublé lorsque je suis né. je suis né à une vie de rage terrestre et je porte un nom qui est effigie rupestre. Nom donné = nom «courant» comme un sanglier, un phacochère, une jument, une poule naine, un bison  busqué. l’homme des parois est le père de la foi. L’ame des morts s’est envolé dans les limbes d’un ciel écartelé par du  verbe. le sang en soi est la chose rudimentaire à devoir apprécier en tant que telle. la mort est une entité incorporé qu’on ne s’y méprenne , elle loge en notre sein comme l’organe de la foi à faire naittre. Je cherche à même le dxsqang, à même la peau, les viscères, le cervelet en moi des mots. Je cherche 

les mots contenus dans ma chair fraiche de vivant vivant la parole des morts à même la roche du temps. mon vcoeur est cette offre, ce don, ce don apporté, ce présent de soi sur roche-plage-temps d’une vie alloué à une pzersonhne, un animal, une p;lante, et même un objet. le temps est ce don. ce don est une chose riche, vive. la vie en soi comporte les données de base présidant cette chose «autre» (dit-on) j’ai nommé la mort. que sait-on de ce qu’est la mort sinon pas grand-

chose. en moi la mort est contenue et renacle comme une b ete, que veut -elle ? la mort est ... une sorte de bete en moi .... contenu comme le verbe = indéboulonable ou sinon comment qu’on m’explique; Car, un e fois ancrés les mots ne bougent plus qui restyent tapis et parlent pour moi (à la vie à la mort !). Les mots en moi sont tapis comme la bete, comme bete fauve sur roche, au soleil, prete à vous sauter dessus cfomme fait tout félin qui sait la chose en lui d’un élan divin. Je cherche, je fonce, je vibre, je foule, je vaix,, je chjevauche ou pas, je divise, je jette, j’enrage, je connais, je creuse une voie d’abord pour une sorte de saillie.Je veuc connaitre la vérité toute la vérité et pour ce faire je décide ici et solennellement à quoi je vaios me consacrer à présent. mon coeur est coeur de bete. Mon sang est sang de bete. mon sang est du sang de bete vif, filant vbif en sa veine. le sang est porteur de la foi e

,n

 l’être. il n’y a pas à chipoter, le sang ne chipote pas, qui file fissa sa pêlote dans (en) les veines et ce au train altier qui est le sien comme par magie, car , comment fait-il ? le sang est cette chjose ... en circulation et sans queue ni tête c’est frappant ! Le sang est une chose riche d’e denrées diverses, un liquide nourrissant. Le sang est cet onguent de vie pissant dans les veines son savoir (de base) à comprendre et à méditer. je suis monté et aussi je vois cette chose au loin qui semble nous appeler, et nous d’y aller fissa par la bande langagière d’un tracé de choix à même la terre. Je vois cette chose au loin, cette chose dite «sempiternelle», et me voilà qui cherche en moi des donné&es fiables sur lesquelles s’appuyer du coup sans tomber, sans chuter plus bas que terre si tant est, car, plus bas que terre : qu’est-ce ? qui sait cela ? qui le sait ? qui pour éclairer notre lanterne. nous voulons comprendre les données qui sont nôtres en cela qu’elles sont en   ous logées, lovées comme des betes. ces données sont des présents en vrai déposés, sont des choses à manger, sont vibrantes de vie perlée ... parfois, et d’autres fois juste calcinées. l’homme ou la femme des parois conna iossait la Chose des temps déployé et se mettait à l’unisson du chant scandé, des badaboums

 et autres coups sur peau de bete, sur 

tzambour de roche, sur paroi forte. nous devons cerner pour ainsi dire les données rocheuses en  cettye chose ici d’une sorte d’abri pour des compréhensions à faire ou acquerir ensemble par la bande langagière à dérouler fissa sur un devant de soi approprié. nous pensons que les données cde roche sont de celles qui (en vrai) nous regardent, qui nous tiennent à coeur, qui pour nous sont capitales et peuvent noius aider à nous guider sur ce chemin, un chemin situé qui (de fait) est ce chaemin d’une «vie  xparticulière», celle de tout un chacun mais chacun la sienne. je regarde devant moi, je vois des choses déposées, ce sont des présents, ce sont des données de base, il s’agit de le comprendre. nous dsommes en vérité plusioeurs à devoir comprendre pareilles données et à devoir les soupeser enswemble afin de pour le coup les mieux juger et d’en tirer parti au mieux possible. Nous tenons à nos dsavoirs. Nous voulons les étoffer des mille données de la bande. Nous voulonbs creuser loin pareilles données et ne pas se perdre en route. Nous voulons cerner dans la profondeur de la psyché, du sein capital, les données les plus ancrées, les bases du soi , les parties charnues et autres composants d’un corps alloué à une vie terrestre. le mal contient le bien. la bete est l’ennemi du bien. Le chant est choral et vient de loin. le sang porte le chant. le sang est une donnée, est cette sorte de donnée à faire circuler de main en main ... par la bande langagière ici spécifiée. le temps est une donnée , le tempds est déploiement de vie-mort réunies et va de l’ avant à qui mieux mieux afin en quelque sorte de tromper son monde et de blouser l’ensermble des parties. les parties ici décrites concernent la vie de la vie et la mort de la mort, mais aussi la vie de la mort et la mort de la vie. je suis hommre rude , homme rugueux, homme vif (et dur cde ka feeuille) par la bande. Je connais et rapine. JHe cours et j’affirme comme il faut cette chose comme quoi le sang est à la base des données du monde, raison incluse. Le sa ng circule, le sang va ici et là;, méninges comprises. le sang est fractal, il est cvette chose en complète révolution permanente et aussi cela qui parle en notre sein comme étant cette «bete-mot de première» fi gurant la vie pour la mort. je suis dès lors le messager. Je dis ce qui est qui tombe sur le  ta s. Je suis homme du parler de rage vif à même ce tas de petites

 brisures, de petites choses toutes disposées à même

 la roche. Tambourinons ! tambourinons ! tambourinons ! tazmbourinons ! tambourinons ! tambourinons ! tambourinons ! tambourinons ! tzambourinons ! tambourinons ! rtamboriunons ! tambourinons sabns discontin uer ! tambourinons notre joie à être des betes des prés ! tambourinons de plus belkle ! chevauchons la bête des prés ! allonbs de conserve dans lkes prés ! je suis la mort personnifié et aussswi la vie personnifiée car je suis l’entrelacs, l’entrelacs de la paroi de roche ! Je suis un homme entrelacé, homme)-femme des apprêtes, chanteur, chanteuse, coureur, coureuse, femme-enfant de roche, homme enfant de roche, mon sort est lié au temps déployé. Je suis Temps de roche incluse, temps et Temps. Je file vif fidssa par la bande oup ! je vais loin en la demeure car je creuse que tu creuseras mon dire de vie vital. Je suis celuici qui cherche à pour le coup creuser sa vooie de passdage sanguin, voie d’abord pour une vie d’(abord; Voie ou vie d’abord pour une vie ou voie d’abord . entrelacements, entrezlacs, aenchevetrements vie-voie et vie de la voie , etc, pour une main mise sur une gouverne = une tête = la mienne = dans le sas ... une sorte de donnée de base à bien considérer comme il se doit et à ne pas s'il-vous-plaît perdre de vue une seule seconde en vérité car, la 

voix s»époumone, qui dit ce qu’elle a à dire et à ne jamais perdre . Je dis ce qui est qui tombe. Je vais en cette roche à la recherche des donnézs (de poids) qui comptent, qui sont fortes de sacvoirs anciens, grosses de ces diverses connaissances antédiluviennes qui nous intéressent au p;lus hzaut chef. Nous devons creuser une voie pour une traversée. pour cela, nbous sommes équipés d’un pic de pezrcée. Ce pic de percée a pour 

nom «langage» car, en effet, tout langage est un pic de pêrcée. le langage en soi, permet une entrée(en force) dans la matière ... des choses du monde. Je vois ce quii est quii s’ajuste et j’en tiens co:mpte (j’en prends note). je vois ce qui se joue, je co:mprenbds ce qui se dit, je note ce squi advient, je m’élève ainsi et comprends ce qui est de cette élévation. je monte sur roche des Temps et cerne les données frontales. Le Temps est ainsi dép;oyé qy’il nous permet pour ainsi dire de creuser au loin et dxans les profondeurs des données de base premières, princières tout autant, et chapeautées (elles mêmes ) par d’autres données qui, du coup, en font ici des choses de poids, choses rudes ainsi consacrées. Je vois cette consécration comme une sorte de chapeau chinois, un toit, une toiture de données toutes surajoutées formant capsule, formant monture, bete complétées ainsi sacrées. Je suis du regard pareille monture. Je vais, je file sur roche, je colle, je vais auprès des parois pour m’y accoler et hj’essaie de comprendre ce qui est qui semble me regarder. Je suis cet homme des parois du monde, enfin à découvertt pour ainsi dire. Les données du monde sont (comme qui dirait) rassemblées sous chape ou chapeau de bure, il s’agit d’une tunique du labeur, un chandail fait de fibbre comme rapiécées, veston, chapeau de roche, ornement, pour un consacrement ou pour un sacrement etc à) même le Temps. viive pareille Chose sacrée deux fois ! vive cette cxhose d’une sorte de vie-mort adoubées. Vie mort adoubé au singulier = entité ; Vie-mort adoubées au pluriel = tresse de fibres nouées entre elles. Nous avons à  choisir des choses à penser , ces choses nous adviennent toutes au fil de la roche, nous passons. nous devons comprendre ensemble ce qui est du monde adjacent à une vie terrezstre, et il y a passage. un passage existe qui bnous regarde. Un passage est une chose qui existe devant soi et qui nous regarde. nous devons comprendre ce pasxage à l’aune de la Destinée, soit de la notion de Destinée. Il s’agit d’un fil de soi, fil de rage, fil étiré comme un temps donné par mla bande (contrebande) , et ce fil est à considérer pour ce qu’il est = une chose rude, fine, forte, en co;ère pour ainsi dire, chose des temps, chose des tourments. 

Nous avons cette cghose à devoir comprendre ici , cette chose est une chose des temps déployés sur une roche comme dans le temps, car le temps et la roche se confondent dans le Verbe ancré d’une bête en soi parlant (incidemment ?) la langue de base, la langue de la base dfe la vie à vivre. La langue de la base de la vie à vivre est déploiement = vive aile dure dans le sanG. Je veux comprendre dès lorsq. QSui avec moi veuxt dès lors aller à comprendre icelle aile ? est ce dans le  vent ? dan,s le sang ? est ce la  même chose présente ? vent est il égal à sang ? Je cherche en creusant la roche du temps accordé de fait à un dire mené. je trie les donnés. Je cherche à cerner les divers contours d’une bvérité allouée (peut-être) à une langue, à une langue en particulier qui serait celle que chacun ou chacune en soi connait ou connaitrait par lma bande, à savoir du fait d’un apprentisqage immersif  comme mis par en soi une main qiui pose , main posée qui dépose en soi (au fond de soi) pareille donnée d’une langue élaborée. Je cherche à comprendre des données de rage qui sezrzaient de fait celles-ci qui diraient ce qui est de ce qsui se trame. Je vais et viens en roche ainsi cherchant. Les données szont à) co:mprtendre dans le sang.Le sang est une chose rude. la mùort est collée au sang. le ciel est prégnant. je vois icelle roche devant moi, qui semble me faire des signes et m’appeler incidemmentt, et moi de courir (fissqa) vers elle car elle m’attire fort, elle me fait du charme , elle me charme, elle me jette un charme, elle m’attire à elle comme jamais?; j(‘essaie de me porter ainsi (rapidement) jusqu’à elle . J’essaie de co:mprndre ce qui est en elle qui setrame (roche) et wse doit de m’éclairer. Je suis prêt pour une découverte. je suis fin prêt et me propose (à pareille roche) pour ce faire (découvrir) et aussi pour entrer afin de pouvoir dire et graver à l’envi le résutlat ou le butin de mes recherches. mon temps est temps donné déposé. Le temps est un temps de rage. montemps est celui là même que je vois se déployer dans le langage = 

le temps de la foi = le temps de lma paroi. 

Je suis ici cet homme qui file fissa à travers la lande )à la poursuite d’une déité toute nacré e sans savoir à ce jour ce qu’il en est en vrai de pareille déité. Je file à tout va à travers les champs, à travers les forêts, à travers les déserts, à travers les prés, à travers les sous-bois, à travers les prairies et les champs de blés. Je cours comme un dératé, je cours à vive allure, je m’avance nonchalmamennnt sur des sentiers, sur des chemins tracés par des pas, par divers passages d’animaux ou d’hommes et femmes. Je m’avance à pas co:mptés en allant fissa. je ne traine pas. je ne veux pas être considéré co:mme (disons) le trainard de la bande, comme le tire au flanc. Je veux êtyre bien considéré. je  veux que mon nom résonne bien et présente bien et soit bien vu de tout le monde. je suis un être qui avance ici de son pas vif et ne traine pas, je file mon train tout comme une bête lancée et folle. Je veux être vu ainsi et pas autrement. Mon nom est à prendre en compte. Mon nom est à prendre pour ce qu’il est , c’est à dire pour un nom de bête, à la fois nom-bête( = bete mot) et nom de bete, à savoir : le nom d’une bête. je porte (c’est sûr et je le sais depuis longtemps) le nom d’une bête. je sais cette chose.Cette chose , que je porte un nom de bête, je la sais depuis mlongtemps. je sais cette chose depuis très longtemps. je sais cette chose depûis la niiut des temps. 

comme quoi mon nom est un nom de bête. mon nom de famille ? non ! mon nom en vrai, le nom que je pôrte en moi, le nom qui circule en moi, le nom qui en moi circule dans mon sang. Le nom que je porte en moi est différent de mon nom de famille. Il s’agit d’un autre nom. jhe ne porte pas le même nom que mon nom de famille?.. Je porte un autre nom que mùon nom de famille. Je suis doté d’un auttre nom que c elui que vous pouvez connaitre à travers eh bien mon nom de famille. mon nom est très différent. Il s’agit d’un nom (un mot) qui est en moi logé, c’est à dire lové, lové comme un serpent, il s’agit d’un nom très différent de mon nom de famille ou de mon prénom. Mon nom est mlogé lové dans mon wsein/ il est cachécomme le loup dans la foret. Mon nom n’est pas mon nom de famille. mon vrai nom est caché en moi : où ça ? dans mon sein! Mon nom est dans mon sein. mon nom est contenu. mon nom est contenu dans un sein qui est mon sein. mon nom est toujours et à jamaios contenu dans mon sein. le sein est l’endroit parfait de contenance. Le sein est lié à la mort par le temps, et mon nom est aucentre, au coeur du coeur, est enfoui

 au coeur du coeur du verbe contenu ici, dans ce sein du sein. Le coeur eswt dans le sein. le sein est du verbe. le verbe est la voix. La voix est cette chose en moi qui parle (pour de vrai) continument ... avec ma voix. Ma voix parle pour la voix . ma voix parle au nom de la voix/ . Mon nom est le nom de la voix en moi. Mon nom est ce nom de la voix en moi à quoi lma voix donne voix. Ma voix donne voix . mon nom est caché dans la voixw que ma voix rellaie. Mon  nom est un  nom de rage, pris dans les tourments, menacé, mis à mal. je suis un ^$etre qui contient en lui une voix de rage, vociférante, qui hurle à 

tout crin et à tout va, qui bne cesse de hurler sa haine = la vie , en notre organisme. Cette voix est en soi une voix perlée. Je porte en vrai le nom de cette voix. cette voix est en moi voix de l'éternité ancrée, qui est l’éternité du langage. seul lui ne meurt pas qui nous traverse comme une sorte de donnée filante dans un ciel nacré. La voix en moi n’est pas la voix que j’entends de moi. mon nom n’est pas le nom de moi que je connais, car il est celui qsui m’a été donné soit transmis. le nom que je porte est une sorte de donnée de base à bien considérer. le nom que hje porte en moi (dans le sang en moi circulant) est le nom d’une rage à être. il vitupère, il est mot d’insulte, il est mot grossierr, il est le mal incar né. mon nom est le mal incarné, il circule dans mes veines et fait continument son train de vie pour ainsi dire révolutionnaire. Je suis l’etre ainsi au nom perlé. je porte (qui sait ?) perle en moi qui suis cet être au sang de rage. Je comprends des choses et d’autres non. je cherche grave à m’y retrouver parmi toutes ces betees qui, autour de moi, m’accompagnent en paroi de roche. le temps est meuble. la douleur centrale, en  cette vie de rudoiements. je cherche 

crument le nom qui m’incombve: quel est il ? je veux savoir ! je veux qu’on dise ce qsui est

 de ce qui est ! je veux savoir long ! je veux savoir large ! je veux que tout cela qui est autour de moi (et qui me regarde) dise enfin le nom quel il est ! quel il est ce nom que je porte ! quoi est il ! que est ce nom ! quoi est ! quoi est il ! quoi il ! ce nom qui est en moi cette Chose qui est, et qui me constitue de base comme une donnée : quoi est ça ? quoi c’est ? quoi est ? quoi est ce nom ? ce nom est-il ... »non» ?

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11/2/2022

La pierre d’offrande, devant soi, est véhicule de données diverses : on va voir lesquelles. Il s’agit en vérité d’une pierre d’apport et aussi d’une pierre de support. Nous posons (déposons) nos choses diverses (on va voir lesquelles) sur elle et, ce faisant, nous posons ou déposons un peu de nous, soit ... un peu de cela que nous sommes en  nous. nous avons pour nous , à travers elle, un lieu particulier, délimité (on va voir comment) pour du dépôt de soi, pour (soi) déposer de son être, pour dépot de soi en tant qu(‘être, nous verrons en quoi. 

Je regarde la pierre d’offrande et je sais que celle-ci , à son tours

, me regarde. Qui est elle et que veut-elle ou que nous veut-elle ? voilà aussi une chose ici (déjà) qui reste à comprendre et à explorer. La «pierre d’offrande» est devant soi cette chose comme appartenant au Temps qui se déplie au fur et à mesure de notre avancvée dans une vie de bure comme est celle -ci que nous avons à vivre ensemble au sein d’une communauté. Nous sommes ensemble, à avoir à vivre une vie dite «de bure» et cette vie estcelle ci, qu’en partie ( = le temps, le temps brûlé) nous déposons sur pareille pierre devant soi. Une pierre est une table en quelque sorte./ Elle a donc un pied comme toute table. Il s’agit de voir ici cette table comme une sorte de réceptacle et aussi comme un «véhicule de l’âme». il s’agit pour nous ici de comprendre cette chose à voir, d’une sorte de pierre (taillée) pour un transport et ce transport concerne cela-même que nous déposons au fil du temps, à savoir le temps (déjà consumé) de sa propre vie à soi, chacun et chacune la sienne. 

Et c’est ainsi que ... pareille pierre absout, prend, concède, cherche en vous, etc, à même sa matière froide ... ou chaude si à tout hasard la voilà réchauffée par nos petits soins. Car nous sommes ensemble qui brûlons sur pierre (pour ainsi dire) nos passés de Temps, de Temps impartis sur pierre d’offrande, à la une et à la deux, au fil des avancées de nottre vie. Nous avons cette chose à faire ensemble et cette chose ici est une chose rude, dure à développer, pas évidente, et cependant ... qui reste à faire (incessamment) à nos yeux. Nous devons comprendre les donnéez  les plus natives des chose du monde. Nous avons à comprendre ensemble un certain nombre de choses natives et, parmi elles, ces données concernant telle ou telle pierre d’offrande, de recueil, et de support. Nous cherchons dès lors dans un Soi, qyui est comme surdéposé sur pareille pierre, et c’eest ainsi que nous nous arrivons à faire naitre ou mettre à jour des choses diverses contenues en nous, que nous sortons de nous illico presto et déposons sur pierre du devant. cette pierre du devant est la pierre du levant. Nous la regardons devant nous régner et troner. il s’agit ici d’une pierre déposé sur sol, à même la terre battue, sur sol de terre dure, contenante. Nous avons cette chose à comprendre (ensemble) d’une sorte de soubassement à du passé mort , calciné, brûlé, passé à déposer comme s’il s’agissait en vrai de vraie vie de soi, cardiaquement, physiquement, concrètement avérée o

r bien sûr que non. Le passé n’est pas la vie vive. Le passé est de la vie morte en vérité. Nous essayons dès lors de comprendre ce passé. nous voulons essayer de comprendre ensemble ce passé ce qu’il est et, de ce passé, ce qu’il en ressort en termes d’offrande à poser (déposer) sur table ou pierre de table. Le passé que nous avons vécu (encore tout dernièrement) est du passé à présent brûlé, il a subi la chose. Le passé de temps passé, ce passé mort, cette chose appelée passé qyui est du temps mort, du temps de derrière = de derrière soi, tout ce temps est cela même (sous quelle forme ? on va le voir) que nous sommes , e,n tant que vivants, à devoir (?) déposer sur pierre. Ou à avoir à déposer sur pierre. Nous sommes des êtres vivants parlants , qui avons cette chose à faire d’un dépot de choses passées, de choses mortes, mortes mais on le voit qui ressemblent fortement à de la vie en vrai, soit sortant du coeur, ou élaborée par un coeur en vrai. Nous abvons ce passé en nous (mais où ? voilà la question !) et ce passé en nous doit être exploré d’une manière telle que nous serions ou serons en mesure de le déposer un jour comme un paquet, comme une outre, comme une bête sur une pierre. Cette chose est à hautement considérer. La pierre d’offrande reçoit, et recevant elle absout. Il peut s’agir d’un paquet de linge, d’une outre gonflée, d’une chrême ou auttre huile ou graisse, d’une bete sanguinolente. tout cela a fort à voir avec nottre passé et c’est cela que nous vou;lons comprendre ensemble, c’est une évidence. Comment ? en étant vivant, on va le voir. Nous avons à une chose ici dire à vif, cette chose est chose qui a une importance considérable au sein de notre débat et c’est la rzaison pour laquelle nous nous asseyons et nous notons toutes ce s choses, cvoncernant la vie de la vie, la vie de la mort, la mort de la mort, la mort de la vie, etc. La mort de la mort a son importance. La vie de la vie a son importance. La vie de la mort a son importance, et donc la mort de la vie aussi qui est ce quatrième (dès lors) volet abattu, abattu contre un mur ... qui est le mur d’un savoir profond,, qui est ce mur des dires profonds, des vérités hautes et autres données de base. La mort de la mort est d’une importance capitale, sur cette quyestion d’une offrande, et nous allons ici essayer d’y comprendre au mieux, de comprendre au plus juste ce qu’il en est et de quoi nous parlons, quand nous parlons d’un passé brûlé, d’une offrande de soi vif, déposée, etc. La chose ici est celle-ci : comme quoi le passé, le nôtre, est une Chose. Déjà cela. Cette Chose est une chose vive, de par son aspect (c’est une certitude) mais non pas vivante, et voilà cela qui est ou cela qui reste à explorer pour nous. Voilà pour nous cela ici qui reste à explorer et à mieux cerner ensemble. Le passé n’est pas du vivant, le passé est chose morte mais qui loge en soi comme une bête en soiqui, trépignant et renâclant,;, «demande» (via les mots, c’est à dire l’udsage des mots) à sortir. Comprenez à filer. Car la bête est morte en soi ou comment ? car cette bête qui est contenue en chacun et chacune de nous est une bête qu’il est important pour nous de considérer à sa juste mesure, car elle renâcle , elle trépigne fortemebnt, elle veuut de l’air frais, elle veut sortir de nous fissa, etc, autrement dit «elle veut voir du pays». Or, voilà la chose : la bete en nous est vie vive, vie vive du vivant, et sorti de nous (on va voir comment) elle n’est plus vie vive mais vie morte (oh encore chaude de sa vie passée , passée soul;igné) mais enfin voilà : elle ne vit plus de la même manière (manière , souligné aussi). Comprenons : la bete est morte qui sort. Comprenons bien cette chose d’une bête morte à la sortie de notre bouche à verbe. La bete se voit déposée (du Verbe) sur la pierre , elle est posée par nos propres soins d’êtres en vie, d’êtres déambulant dans une vie vive. ou déambulant avec en soi une vie encore brûlante, flamme vive, car la flamme est vive jusqu’à notre mort. nous devons comprendre, ensemble, des choses rudes. Nous devons ensemble comprendre des choses rudes. Nous devons ensemble comprendre un grand nombre de choses rudes et ces choses rudes sont à déposer sur pierre aux offrandes, et autres tables construites, élaborées à cet effet. La pierre est un devant de soi monacal ... et / ou pariétal. Il s’agit d’une zone de (franc) dépôt de soi, où aller à déposer un certaoins nombres de choses de notre vivant . C’est à dire : du temps de notre vivant, mais pas seuleme,nt.

 du temps de notre vivant, on le voit, mais aussi de notre propre vivant à nous,;, déposer de nous, depuis nous, à partir de nous, etc, ces choses qui sont contenues en nous, ou qui étaient contenues en nous. Nous devons comprendre cette chose ici, d’un dépot continu de soi sur pierre d’offrande . Nous offrons de nous un passé passé. Le passé passé est cette chose que nous sommes ensemble à devoir, si l’on peut dire, déposer sur table. La table d’offrande est un objet de confection dure, avec piétement changeant selon les lieux , les époques, les lmatériaux, les techniques etc. La table aux offrandes est une table qui contient, en même temps qu’elle soupèse c’est à dire en même 

temps qu’elle jauge et juge, qu’elle mesure et accrédite ou pas. une table ou pierre aux offrandes eswt cette table devant soi qui s’offre à nous en tant qu’ouverture-échancrure de bon aloi. nous déposons cela que nous avons à déposer, et déposant nous comprenons qu’il s’agit d’u ne chose de poids en la matière = du passé. Le passé est ce qui en nous a surnagé un temps, s’effiloche tout du long, fait mine, passe pour, fait la roue et contient la mort (un temps qui est le Temps) à bonne distance de nous. Nous devons ensemble comprendre une chose, cette chose est chose rude, il s’agit de choses liées à la mort d’une chose liée (de fait) à cette mort dont nous parlons. La mort est une chose rude, la mort est une chose brute, la mort est une chose à déplorer. Et comment agir afin de la contourner ? Comment agir afin de trouver à bien la contourner ensemble ? la question est méritoire et appelle un certains nombres sinon de réponses factuelles et crues, du moins d’éclaircissements concentrés et concertés. Notre envie ici d’éclaircir domine et doit êttre reconnue pour ce qu’elle est, à savoir une volonté grandissante au fil du temps, soit la volonté des Volontés. Nous devons co:mprendre ensemble des données (de base) importantes ici, pour une réflexion à mener de front sur ces questions de vie et de mort, et notamment de vie vive et de mort assoupie. Nous comprenons que le passé , ici déposé sur table aux offrandes, a un poids certain ... mais fait il le poids ? that is the question. Le passé fait il le poids devant la mort ? le passé passé fait il son peztit effet ? peut-êtyre que oui en vérité , peutêtre ! mais peut-être pas ! car le passé est calciné, il s’agit de bois brûlé, de bâton de bois brûlé, il s’agit de ce peu qui est brûlé qui vient de soi-même, soit des profondeurs de sa vie. Car, la profondeur est, ici, dans le passé. La profondeur n’est pas en soi comme un clignement de paupière ou l’’ouverture d’un sphincxter. La vie est cette chose ici contenant du soi dans le temps. La chose à comprendre est ici logée. le passé est cela même que nous déposons, au cours de nos vies, sur table d’offrandres, pour rester en vie bel et bien. la mort absorbe le passé. Le passé est absorbé au fur et à mesure par la mlort. Le passé de soi se l;oge direct dans la mort des temps

. le Temps est l’absorbeur des choses de soi passées, qui sont dès lors comme déposées au fur et à mesure sur telle ou telle pierre ou table aux offrandes. Car, ce que nous donnons de nous porte un  nom. Ce nom est un nom donné. Ce nom est le nom dionné par la bande temporelle, à quelque chose qui vivait en nous, avant, soit avant déposition sur table aux offrandesq. nous devons comprendre cette chose d’une sorte de donnée brutale et brute d’une foi en nouys déposée comme un présent de temps = le présent des temps. Ce présent meurt à foison ou comment exprimer cette chose d’un temps qui (ici sur table) brûle sa pépite (sa palpitation ?).? Comment donc déployer sur table cette chose d’un passé de soi ... vif , mais en vrai mort et devenu la mort pour la mort ? nous avons une chose à comprendre ici ! concentrons nos énergies. Nous devons ici comprendre et creuser. Nous devons comprendre ici et creuser, dans les profondeurs du Temps, cette chose d’un passé de soi 

déposé sur roche = sur table = à p;lat = sur p;lan dur = sur la terre dite terre-mère. nous  devons co:mprendre ici ensemble cette chose pour le coup  si grave, ou si prégnante, ou si importante, etc, d’une vol:onté, en nous (cette foi dont on parlait), qui cherche en continu à de fait alimenter la flamme devant nous d’une bête à brûler, d’un mot à vite déposer vif, d’un langage des parois (voir l’art des paroi) etc. Nous avons à comprendre ensemble cette chose d’une sorte de langage «fol» de la roche du temps. La roche du temps est ce bloc-temps qui nous constitue, en tant qu’être vivant sur terre, debout, parlant, donnant de ses mains victuailles et autress p^résents devant soi = dans le temps vécu de son monde et de sa vie d’homme ou de femmes des prés. Nous devons aller dans la profonduer peut être oui de la psyché mais en vérité bien au delà = dansd le temps de soi déployé. Cette chose est à comprendre ici comme une chose considéralble ou considérablerment importante à devoir cerner cde concertt (§l’usage du monde devenant l’usage de kla parole) et ce faisant, comprenant, nous trouvons la cklé. Nous devons comprtendre loin ces choses de choix. Nous devons ensemble loin comprendre en vrai, ces choses d’une foi en soi qui est celle là concernant le Temps, soit le Temps existant comme une sorte d'entité ou de déité centrale et permanente ; nous croyons en bveaucoup de choses permanemment et c’est ainsi que nous restons en vie et ne mourons pas : parce que nous croyons, parce que nous portons en nous des choses rudes, choses rudes et choses

 rugueuses , que nous déposons sur

 pierre, devant soi. Nous sommes des êtres «fous» ou «fols» , qui posons. Notre raison suit ici sa pente qui est pente contenue. La raison est une gouttière, et pareille gouttière nous permet de conserver pour nous (dans la vie) un xemblant de joie avérée. La peine s’uni à la vie pour nous troubler mais le passé fait feu de tous bois. Nous essayons ainsi ensemble de comprendre et de situer pareille pierre ou pareille table, devant soi, dans le temps. on dit cette chose, comme quoi kla table est mise, la table est dressée. nous voulons déposer sur elle ensemble tout notre barda comprenant des choses de poids. Cette chose ici est une chose qui porte un nom, cette chose ici est chose qui porte un nom en particulier, et ce nom est nom de base, nom donné par la bande, fort de café ou non, nom de rage ou pas, alcool ou non-alcool, etc, il s’agit tout de même d’un nom à bien considérer

comme étant celui là qui (ici ?) va l’emporter dans une sorte de combat avec le temps. La chose est à considérer longuement et à ne pas lâcher tro tot ou de sitot, question comprenance, comprenure, préhension primaire. Nous devons creuser kle temps dans kle temps d’un déroulé formel. notre devoir, vivant, ou étant vivant, est de creuser le Temps à vivre ... dans un déroulé formel, de type linéarité concentrique, tracé de vie, tracé vif d’un dire de choix (ou de pôids) etc. «Je pense donc je suis « est une gageure on le sait. le Temps est le Temps d’un déoploiement sur place. je regarde devant moi et mon regard seposesur la table, car, la table est devant soi l’espace-temps d’une vie imparti.Il s’agit ici de «piger» pareille donnée à même la pierre rude. La pierre est une encklave, un sas de vie à vivre (rudesse) et s’ouvre ... pour nous contenir. nous sommes pris et prises dans la matière toute charnelle (pierreuse tout aussi bien) du TEmps. nous sommes pris et prises ensemble (à tous et toutes et nous tenant 

la main) dsans cette matière d’un Temps 

déployé sur table. Nous sommes pris et prises soit prisonniers prisonnières de la matière. La matière est sans borne : à toi à moi, qyui nous re-garde, depuis l’intérieur d’elle-même, et nous absorbe. Je suis cette main qui pose. Je suis cette main qui absout. je regarde devant moi et que vois je, que vois je devant moi qui brame ? la bpête de joie (= la Bête) qui brame que tu brameras sur pierre d’offrande = pierr de taille = pierre aux dons divers de choses mortes ou mourantes comme le passé. Car, xde nous meurt en conti nu des choses de choix et de poids et de joie et de foi. Il s’agit ici de voir au mieux ce qui est en pareille bête ... qui swemble nous xsauver un temps d’un trépas brutal et surtout non-salutaire. nOus déposons pareille bête, nous posons pareille bête, nous posons le sang de la bête en déposant la bête, nous sommes attentifs et attentives. Nouys ne voulons pas g^cher le temps d’une vie à vivre tout du long. Notre vie à vivre tout du long est une vie vive, de rage et de tourments divers à devoir encaisser, ici ou là, et d’une manière ou d’une auttre, tous et toutes autant que nous sommes. La vie en soi ne sort pas de soi. Le passé tient au temps par la matière. Il ya ce lien entre d'un côté le temps présent des 

tourments et autres peines de toute sorte, et de l'autre cette chose en dur de la matière corporelle (charnelle) de tout du tout de terre-mère. le lien (terre-temps) est à entrevoir par le verbe, en tant qu’il serait à la base de la mort rageuse, soit de son étant de vie à vivre à nos côtés et vioolemment. La mort cherche faille en nous, ouverture au cadratin, ouverture mineure du iota, chose de la brèche, petite entrée de vie à voir venir, etc. Nous voulons aller ensemble à tous et toutes (l’humanité) dans la roche dure de la xchose, ici temporelle, sous nos yeux. nous sommes qui voulons comprendre un Tout, en ses parties fines. notre but est clair, il est stipulé, il porte un nom, il est mourant mais il tient le coup (le choc) et ne s’en laisse pas conter outre mesure. Choc des parois les unes contre les autres ou sinon de quel choc s’agit-il ? Nous devons creuser la question du temps de la roche (terre-mère) et ce faisant comprendre les données de base. le temps est attenant à la matière. Le temps est une donnée fixe quoique fluide. la mort est prise entre deux feux et se laisse envahir par les données, verbales, de base : voir ici l’aurochs (ou le bouquetin) dessiné par l’homme ou par la femme des cavernes. je suis aussi un homme des cavernes , qui, bon an mal an, y va de son petit schéma venu de derrière, de son mot de rage tout autant. je suis l’homme qui, un temps, brûle sa cha ndelle et tente une approche sensée des choses du monde. Vais-)je mieux comprendre avec des mots de bêtes , avec ces mots-bêtes de parade ? y a )-til une façon plus fine qu’une autre pour comprendre les données du monde ? vais je trouver ? vais je comprendre ? vais je pouvoir arriver à comprendre et à trouver ? vais je pouvoir associer mon nom aux noms de ceuux-là ou de celles-là qui ont eux ou elles compris des choses et sont dès lors du bon côté, ou plutôt ... aux noms de ceux-là ou de celles-là qui sont passées fissa (ou pas) de l’auttre côté, du côté de ceux et de celles qui «comprennent», car y a til une chose («en soi» ?) à comprendre ici ? nous voulons passer du co^té de la compréhension des choses, de l’intelligence de vue, de la clarté sur ombre, etc. nous voulons cerner le bien (le bien dire ici, correspondant à du dire de choix) pour nous loger (enfin) du bon côté du monde soit ici même, du côté de ceux et de celles qui comptent aux yeux de certains / certaines autres qui eux et elles savent déceler en x ou en y la flamme de la foi en l’ombre. je vois cette chose ici, je vois ce Temps pour ainsi dire «lié par la patte» à la matière ici des choses jonchant terre-mère et de terre-mère elle-même. La table aux offrandes est ce devant (permanent) dee soi dans le monde, il s’agit du pl;ancher des vaches. j’essaie de comprendre x et y données terrestres ici et pour ce faire je tente une sorte d’abordage, 1, da ns la matière des choses du monde (ce foyer de base), 2 , dans le Verbe dit «déployé» qui est le Verbe de la foi «intinsèque» (en la vie et en la mort on l’a compris). je veux cerner loin les données humaines du temps. Voilà donc (en résumé ?) ce que nous faisons «en vivant» ou «en étant vivant» sur la terre : nous so:mme, nous sommes qui déposons. Nous sommes des hommes et des femmes qui ensemble déposons des choses sur le sol de terre-mère = des cendres = du passé = des choses swemblant la vraie vie dans sa flamme vive mais rien du tout ! il s’agit de soi mort = le passé de soi, il s’agit d’un soi passé qui est ce soi , de fait, déployé dans le temps ... attaché à la matière = une sorte de boue (boue de soi) permanente : calculs, boue, matièrerupestre, onguent, chreme christique, chrème de vie, christianité. Nous devons nous rapprocher de la matière de la foi. Nous devons nous isoler en cette matière (d’une foi dans la matière) et comprendre kles données de base humaines, données douces ou dures, qui sont celles qui, en vrai, nbous représentent à tout moment et nous maintiennent, en tant qu’homme ou femme debout, dép;loyé dans le temps ... et marchant sur roche (sol) à m^$eme le temps. nous sommes devant une roche. cette roche est la matière même (en dur) du Temps. Ce temps est une filature. nous devons comprendre cette filature à la lumière de telle ou telle autre recherche à mener de concert dans kle temps : oeuvre de chair, oeuvre de Verbe, oeuvre (dure ou douce) de charité, oeuvre de parade. nous sommes à devoir comprendre ... et que faire d’auttre dès lors que cette chose ? Nous sommes ensemblke, nous cherchons les données de base, nous cherchons à comprendre des données de base royales, nous voulons cerner les données de base ensemble au mieux et voir devant nous les offrandes et autres présents dans leur finesse la plus grande, etc. nous voulons comprendre les données des 

chosesq = ces offrandes déposées qui semblen,t devoir toutes nous en apprendre, et nous donner foi en quelque chose en nous qui pour le coup ressortirait ici d’un domaine en particulier ... comme celui -là , qui régit aux lois de la foi dans le Verbe, dans les mots sortant de bouche ou mots-bêtes de la Vérité chapeautant le monde. nous voulons comprendre un ensemble de données de base. ces données concernent une table. La table est le monde tel qu’il nous apparait «de conserve» ou «de concert». 

Nous devons cerner à  vif le monde. Nous devons le monde le  cerner en ces retrancjhements langagiers de base. Voyons de quoi ici le monde langagier est il constitué ? Qui nous donne le droit ici de parler une langue ... déposée en nous comme une offrande, ou le présent du Temps global : qui est là pour cette chose ? nous devons comprendre un bon nombre de données , de base rupestre (on le voit), et poser-déposer sur roche nos bêtes de poids liées à un passé de soi qui est passé vif. le passé de soi est lié à la matière (charnelle) des choses du monde. il s’agit d’une chair de roche. La paroi du monde est le monde dans son intégralité. Le Verbe est une accoutumance de façade, un don de s rois de la bande, une sorte d’accomplissemennt du soi etc, à même la matière du temps. La beauté est une chose dure comme la pierre, car ici la pierre est logée dans le temps d’une fiction rocambolesque. Je cherche à m’immiscer dans une sorte de savoir des temps à même la matière me constituant. La matière ici est une chose rude, et dure à la fois, etc. nous donnons de nous un passé vif mais non vivant. le passé vif porte un auttre nom = :mémoire. nous sommes qui devons comprendre  ce passé de nous enfin libéré par un don de soi en nature (on verra lequel) et ce passé est passé de soi maintenu, passé maintenu d’un soi glissant dans le temps de sa dispparition (en propre) matérielle, lieu de la mémoire et des restes attribués. nous voulons comprtendre ce passé lieu de mémoire, nous voulons le déposer sur roche (= terre-mère) et du coup se sauver par la même et par la ban,de pour ainsi dire. 

Nous devons comprendre cette chose d’une sorte de dépot de choix = de roi = de foi = de poids sur pareille terre de son etre à vi

 vre ici. Nous devons comprendre ici cette chose, d’une sorte d’«être de choix», à poser sur roche (table) dans le temps.  car, le temps est d’une importance capitale sur la questionb. l’etre est né du temps tout entier déployé parla bande (langagière) des tourments à vivre = pla intes, pleurs, cris, etc. cces mots (mots de bêtes) sont ici à poser (déposer) fissa sur pareiille terre des pârois, des zones alentour, des sortes de niches (ou enclaves) de vies terrestres. notre vie à nous = une vie de rage langagière. Pourquoi ? parce que voilà : nous sommes des êztres de voix, de paroles proférées, de Verbe déposé, de cris de rage animaliers à même la terre. Qui nous croit ? nous allons ensemble à déposer sur table nos tourments divers, nos vivres et nos victuailles langagières et liées au temps par la matière, d’où le choix du roi, la belle princesse des temps impartyis, le valet cavalier, le cavalier valet de la roche, etc. je regarde devant moi la roche du temps et tente une pezrcée dans un langage déployé à même le temps. la chose ici est celle-ci qui reste à cerner, comme quoi la mort est mourante. kla mort peut mourir. la mort est chose qui peut être atteinte et touchée. comment ? par ... le verbe déployé à même le temps. Nous devons comprendre ici,

 les données rudimentaires, les données riches, les données de bnase. Nous devons cerner ensemble ici, le plus possible de données de baxse concernant la vie, ici sur roche à dépenser, à brûler, à calcciner, à ca rboniser, à  pisser de rage. nous devons comprendre ensemble des données de base rudes, rudes et rugueuses, et kles regarder comme des termes (termes de choix) pouvant ouvrir des portes ou bien les «portes de la connaissance» des choses du monde. Nous sommes postés sur un devant qui en vrai est ce devant d’un verbe alloué à une vie riche. le temps dépensé est du temps déplo yé ... comme un linge , comme un linge ou linceul sur un corps allongé et nu , à même la terre, linceul ou drap blanc -sur un corps v erbal prioritaire. je cherche devant moi où se trouve ou trouverait la clé des entrées rupestres : où est-elle ? que devient-elle ? QSu’est-elle en termes de vérité ? Je cherche ici cette chose d’une foi dans l’homme- ou femme-trépas. qu’est-il ? qsuel est son nom véridique et reconnu ? Nous avons devant nous cette chose, d’une table posée ou aménagée ici, devant soi, posée devant soi aménagée afin de pouvoir de fait recevoir des vivres = vies de pacotille, vies fausses

, faux-semblants de vie rageuse ou rien du tout rageuese, etc. Nous voulons comptrendre les données rageuses et les cerner au mieux, comprendre ce à quoi elles se rapportent, ce à quoi elles sont kliées en vrai. Une table est devant nous qui absorbe, prend pour elle, etc, les données de base langagière sortant de nous. 

Les mots sortent (de nous) par la bande. Les mots sont chance et cghute, sont onguents de type christique, déployé, placé, glissé, etc, sur outre de parade, sur paroi, sur face de peine et tourments, sur visage de saintezté. Je regarde devant moi cette plzace à être, qu’est-elle ? Les mots viennent  qui s’agglutinnent et x’amoncellent et chargent que tu chargcheras le char de ta rage à dire l’être. je veux comprendre au mieux les données royzales du temps à cerner ou à devoir cerner kles choses du monde. un mot est du Verbe et l’animal contenu en soi. L’animal contenu en soi est du mot-bete-de-rage une fois déplacé et sorti de nous (trou-bouche) par la bande. cette bete est le pzassé carbonisé, encore tout chaud de sa vive et haute combustion en nous.la bete en nous est Verbe dehors?. nous devons cerner la cghose et nous laisser porter (griser) par la bande animalière des tourments et autres mmé&faits rterrestres. je vgois la roche, je vois devant moi la roche. je suis l’homme des pârois de choix, des dures données brutes de la matière. La matière en soi est du tourment car elle est meurtrière : la matière est meurtrière, et comment ! or, la matière est liée (par la bande  langagière) au temps ... d’une vie à vivre. la vie est cette chose d’un temps imparti lié à la mort par la bande (langagière) des tourments liés à la matière. Vie et mort d’un côté, temps et matière

 de l’autre, pour une chevauchée menée de concert, sur roche, à même la bande treaçante du temps.. le temps se dépl;oie devant soi (nous) qui suis ou sommes, etres(s) qui est (ou sont) homme(s) et femme(s) de la rage. homme-femme s’entend. De la rage à être sur terre l’etre de lma voix qui parle (haut) son tourment de bure, de façade, de présence en des lieux charnels distincts. je chevauche les temps de parade. je chevauche au fil des ans les temps divers d’une vie à vivre en  matièrre. Je veux être homme de la bande à ... celui-là, ou à celle-là qui nous donne une sorte de poids à être. La déesse des embruns.  nous voulons cerner ensemble les données rudimentaires et puissantes de la foi à être. Nous devons comprendre ces données à l’aune d’une tourmente )à même la matière. Nous devons comprendre un dieu de vie et d’eau à même la matière environnante. nous avons à comprendre cette chose , cette chose d’une tourmente, à même la matière animalière en  nous. cvar, nous sommes envahi de vies (diverses) de bêtes en nous, qui renâclent et qui trépignent,  à tout va, en v eux tu en voilà, de leur rage (voilà) à être (ici-bas),. voici la bête-présent à présent déposé sur pierre : elle saigne tout du long, c’est à dire tout du long son nom (à proononcer incidemment et dans le temps). la Bête est bête-mot de rage à ^-etre soi, ici bas, comme un ou une qui se doit d’aller devant et de l’avant permannement dans le sang d’une vie à être. Les données sont simples, les données sont déployées, les données sont déplissés. il est bon de comprendre ces données à la lumière pour le coup du jour des reines et rois, dames et princes, etc, d’un royaume 

 aux données de base. je lm’avance près de la roche ou pierre aux offrandes et, les bras chargés, j’implore le Temps brûlé, de bien vouloir m’aiderr à cdéposer (en du temps ou dans du temps ou dans le temps ou dans le Temps majuscule) les données qui sont les miennes. je regarde cette chose d’une

 table recouverte de denrées soit de données soit de dons divers liés aux victuailles, aux betes de chgoix, aux fruits défendus, aux mots de la tribu. mon nom est accroché , à pareille sorte de mets mélangés pour la bonne cause, celle qui nous vcoit chercher à s’échapper ou nous échapper des griffes de la moert à l’ euvre. le temps se déploie depuis la naissance. un homme ou une femme nzait, qui va de l’avant à l’intérieur du sas. je vois cet homme ou cette femme se lover (ou loger) dans un temps pierral de table aux offrandes salutaires un temps. la roche du temps comprend la parade. les mots de bouche sont... des animaux de rage lié au passé calciné, carbonisé,, carbo. Je suis homme-carbo de base, calciné par la bande, déplacé sur roche (donc d(ici à là) et je cherche à ici comprendreces données qui sont dons de soi par la bande = mots de la tribu évoquant la biche, la biche ou le chevreuil, le cerf ou le méga-cerf, etc. je vois roche-pierre aux offrandes saintes (sanctifiées) et je  m’avance ainsi  vers pareille fête, vers pareil fracas de bruits divers, onguents sur roche meuble, huiles saintes sur paroi, graisse d’animal sur roche. Je veux être homme squi saurait des choses, et femme qui saurait des choses, et betes qui saurait des choswes, et aussi l’enfant de l’homme et de la femme et de la Bête 

qui sauraient des choses. je suis homme des vivres et vi-ctuailles toutes déposées sur tabkle d’offrande. La terre entière est table d’offrande et se plie ou plie sous les données. nous avons à comprtendre choses et autres à la lumière des données de cchoix déposées de fait sur pierre d’apparat. les données sont dons (dons de verbe) riches, pleins, assurés sur leurs trépieds ou autre piétements central

 de maintenance , de maintien de pose. nous cernons les choses dépposées comme étant de cellkes qui (donc) nous (main)tiennent à la vie et repoussent vla mort. la mort est une cghose rude en cela qu’elle frappe sans compter. elle n’a pas pour elle de voix langagière et pourtant si : à travers la bête en nous. nous sommes deux qui cherchons à découvrir des choses ici et là à même la plaine. chosesconcernant la Chose. Nous pistons les bêtes de poids à même la plaine et courrons comme des affa més sur pareille roche, roche de terre (terre aux vérités de la roche dure des appuis). Nous voulons en savoir long et cherchons (vif) les données à déceler sur roche, soit : dans un champ de rage ou sur paroi ou même dans un trou terrestre et autres anfractuosités. j’(entre dans la matière du temps = la chair , d’un Verbe souverain pissant sa verve, son verbe dru comme vache qui pisse sur pré ... et donc herbe sacrée. je veux cezrner, et roche dure et roche meuble des temps impartis. Je veux cerner kles choses du temps et ces choses les poser szur table et kles offrir à qui de droit. Le temps est cette enclave d’une vie à vivree matérielle. Les mots sont des animaux. Le temps aussi est animal et aussi cette enclave à vivre une vie matériellement klangagière,  car, les mots ne nous quittent plus, les mots chargent (aurochs, bisons) en, continu l$e temps de ta rage à être. Les mots sont des appuis (étais, pilotis) qui nous portent en vie jusque dans la mort qui n’est pas de ce monde. Car, en v»érité, la mort meurt en vie ou dans lka vie, mais au fond ne meurt pas, c’est à dire dans la mort ne meurt pas

 mais au contraire est bel et bien en vie, qui ne nous lachhe pas d’une semelle, semelle guerrière. 

la mort meurt dans la vie (la vie la nôtre) mais la mo rt ne meurt pas dans la mort. La mort est en vie dans la mort et guette. La mort est cette chose d’une sorte en soi de roche. La mort est chose de roche rude. KLa mort se voit comme touchée par la bande langagière temporelle. La mort de la mort (et non  la mort de la vie) se voit comme « touchée («la toucher la toucher») par en nous (vie) ;la langue vive d’une bande en soi de rage. La 

mort (celle de la mort) se voit par nous touchée par en nous un passage de langue vive. Par en nou!s la bête-mot de la rage à être, ici et maintenant, des êtres en vie et non en mort. nous posons des mots sur un devant de soi vivant, nous posons des mots de rage sur la pierrre, nous posons des mots sur un devant de soi vivant, pariétal, organique = matériel, et ce faisant que faisons nous ? nous touchons la mort dans sqon être ! La mort est devant bnous qyui guette notre advenue ... de déposition. elle n’e’st jamais loin qui nous espionhe presque, nous rel;uque incidemment et cherche (du regard) la chute. Car, elle voit. elle est l’oeil qui voit beaucoup et loin de nous et en bnous et cezla par la bande, par (ici) cette sorte en nous de bande de joie qui nous incite à davantage de prudence, car en  nous la voix est bestiale et hors de nous le monde est danger, est mort à venir, incluse, insérée, entrainée. je vois le monde comme monde des dangers de mort, dangers permanents , planétaires, insidieux, cachés. le monde est pierre de taille et pierre d’offrande. Vivants et vivantes (vivant) nous offrons nos temps dits «de bienvenu» en pareiille roche des temps déployés. nous voulons comprendre des données mais la fluidité des avancées, des pezrforations, des glissements langagiers nous oblige à devoir composer. Nous ne sommes pas encore tout à fait sorties d’affaire, nous devons comprtendre ensemble des données de charge lourde, qui sont : 

dons de vie, dons de soi, dons de vie brûlée en vérité, charges langagières d’apparat (de parade) afin de faire accroire au dieu de la mort, de la mort de la mort (et non au dieu ... de la mort de la vie) que notre etre est là toutentier qui brûle de hjoie, alors que non ! notre être est en nous contenu comme bete de chance à l’abri d’x tourments liés à la matière. la matière est faux derche , merde ! on sait ! on voit la matière troubler le v ivant ... de sa race grise, saleté qui nous peine, nous trompe, nous induit en erreur, nous blouse, etc. La matière (auussi bien ... le sexe ? aussi bien l’auttre en matière) etc, soit le monde des entours à soi, des cercles de vie (prés carrés divins) qui nous prennent (partout) à partie et nous entrainent vite fait bien fait dans des méandres et autres replis dangeereux ou potentiellement dangereux. Car l’Auttre (quel qu’il soi) est (potentiellement) un danger de choix. Il contient en lui ce qu’il ne connait pas qui peut être nocif ou néfaste, et «moi itou» contiens en moi ce que j’ignore et qui peut attenter (sans gêne ?) à mes «jours de vie sur terre». Cela est une certitude (ici et là), on le voit. je tombe à lma renverse incidemment et cependant je vois la chose ici, comme quoi «la matière de la vie» contient partout, en elle, le germe (les) de la mort en brancjhe, etc. La ma tière est cghose riche de mésaventures, méfaits et autres médits. je croise les doigts que pareillle cghose de la moort à l’oeuvre ne pas (de sitôt) s’en vienne que tu viendras à 

me faire chuter ici de tout mon long (long nominal) dans un temps brûlé (sorte de temps brûlé) sans perspezctive, c’est à dire sans possible ou possibilité de salut, sans possible échappatoire oou autre possibilité de typpe «salut terrestre». je vois devant moi ces choses de rage, temporelles à la diable , une chose une autre, une chose un e autre, une chose un e autre, une chose une autre, comblement, briquettes, une chose une autre et pas tout (le tout) à la fois, d’où notre misè!re, et d’où cette notion d’offrande soit de parties fines pour un tout de rage. Nous voulons ainsi cette chose ici, cette chose d’une offrande particulière ayant valeur de «tout divin» par la bande . Pourquoi  ? parce  que  le t emps est un écoulement, éboulis de roche. Le temps ne permùet pas un don global. LMe temps ne permet pas un ébou;lis total, une chute raide du tout par la bande en son foyer central mais seulement des bouts, un bout puis un bout puis un bout puis un bout etc, litanie qui ne peut en aucun cas «figurer» le Tout de la Chose. La musique implique. le temps érode. Le temps mesure les cadxences, 

cerne que tu cerneras les effets de chance. La musique est partie liée. la chance est la chute dans un temps béni qui comprend peut-être les choses du monde afin de les sauver ... à jamais. le temps est musique du temps. Je vais vers kla pierre et dépose mon Verbe (crue) des parties fines et de la rage à être de concert. Je suis  cet homme des parades (langagières) déployées, des parazdes de temps, des données de poids divers, etc, qui, ici, porte en luuiui la bhonne parole du tourment de l’^utre . je suis homme qui va dans le sas du monde, il est dans le sas, il rega rde danns le sas, il veut comprendre. je regarde dans kle sas du monde les données (rugueuses) des temps. Je regarde ici et là et comprend, ces choses du temps,

 comme ici celles-là qui restent à cerner ... par la bande langagière animalière déposée. je veux être ici celui-là et celle^-là : ce»lui là qui pénètre les données et celle là qui les reçoit de grâce. je tombe comme à la renverse dans le temps, voilà cette chose à noter et à retenir. les betes en moi me poussent à dire x et x et x et x et x choses de poids (meute, troupe, troupeau) et ces choses une fois dites vont à se loger dans ce Temps de la terre dure (matérielle = pouvant, à tout moment, provoquer le pire) et, se logeant, trouvent habitat (zone de repli) et pour le coup lieu pour une réflexcion à pouvoir mener ... dans un certain cal:me plutôt propîce aux découvertes et autres trouvailles «qui puissent le faierre» à nos yeux de betes et autres vivants et vivantes sur terre. Je suis cet hyomme-femme aux données induites (en soi = là) et qui cherchent partout l’entrée : ou se trouve t-elle ? 

Je veux être ici rage et serviteur / serviteuse. rage à vivre et serviteur / serviteuse de céans (bouquetin  ? chevreuille ?) servant la roche. je suis  cet homme-femme des parois meubles, incorporant. incorporant quoi incorporant son verbe. Son verbe «assidu» et acidulé . son verbe assidu adulé ? ou seulement acidulé ? Je tombe à la renverse dans le temps du v erbe, et ce faisant cherche à comprendre les données du monde : vie -mort de pacotille (douloureusement matérielles) quand la vie ailleurs (par le VErbe) et la mort ailleurs (par le sang) peubbvent ensemble être entraperçu par le dire fol de la rage à être, nous, vivant et vivante sur terre, ghravissant, escaladant les mots, se servant d’un pic de traverseée la roche, etc.  nous pleurons et nous nous montrons sous un jour peu ragoutant voire peu attractif voire maladroitement dépl;oyé. Nous ne savons pas parler le lan,gage déplissé à bon escient,. notre verbe fait chou blanc. Notre Verbe eswt pleutre, piètre, pisseux, paradant sans verve, etc, et ne mérite pas que nul ou nulle ne s’y atta rde ou attardât plus longtemps que ça. Les choses ici sont dites. Le malheur est induit dans la matière. La matière est intrinséquement dangereuse. Les mots paradent qsui disent en vrai du mzal du temps et da,ns le temps. Les mots sont méchants, hurlent avec les loups. Les mots sont betes et méchants qui hurlent avec les loups. Les mots hurlent avec les loups qui sont betes et méchants avec les loups tout autant. Je veux é»chapper = m’échapper = sortir = cxhanger = aller = etre. Nous disons que nous devons sortir du sas du monde tel qu’il nous apparait ou apparaitrait. Nous disons que nous devons sortir du monde rude (rugueux, nerfveux) et changer de monture, hop ailleurs ! charger mulet, innocemment, ... dans le verbe ! Il s’agit pour soi d’aller vers du Verbe cendré, prise d’un dire, etc, et de crever l’abcès monacal-pariéytal du temps passé sur terre-mère. NJOus devons charger la Chose ... à même le Temps. nous devons cerner les donnéez (rageuses) du temps afin de mieux les intégrer à notre propre entendement pour ainsi dire d’homme matériel, souffrant les dangers divcers et variés de la matière, l’autre inclus en elle, etc. Nous devons toucher la table via le temps (déroulé) d’une élocution pariétale = en transe ... ou quelque chose d’approchant. Nous devons (ensemble ici) toucher à cette table d’une roche de la CVhose. Nouys avons table ... devant soi = la matière des parois du monde, du monde adjacent, qui estce monde de la voie et de la mort cerclées. Nous avons à entrer ensemble, via la matière temporelle, dans un sas de destinée autre, sas des sas du temps de terre-mère et de ses tourments nombreux et variés. Notre but est donné de rage, car il est prégnant, il s’impose à nous comme un nom est imposé à la naissance d’un ou d'une individu/. Nous sommes tous et toutes êtres qui allons et avons à ) déposer nos mots de bêtes et autrees mots-bêtes sur table des temps alloués à une (sorte de) vie matétérielle. nos mots sont déposés à même la matière dure d’une vie des temps. Notre mMot de grâce est vif mais fuyant car «il tombe en arrière», il chute dans le temps de son élocution sommaire. Les mots (déposés) sont... onguent ? graisse de bête ? huile essentielle ? gras de porc ou de truie saignées à blanc ? Que sont les mots de la tribu champêtre ? que sont donc les mots d’une rage à ... être vivant / vivante coûte quec coûte ? que sont donc ces mots d’une rage à être nues, pris et prise dans une sorte de nasse verbale, consignées comme en résidence, dépourvue en soi, en vrai, d’attraits dignes de ce nom, charmeurs / charmeuses sans charme, plaideurs et plaideuses, calfeutrées comme en quarante : qui suis-je ? quyi je suiis qui vais vers la roche (ou pierre des embruns) pour y déposer (il semblerait) mon verbe de bure (oh si mal fagotté je le jure ! oui ! ainsi est!) et qui tremble à l’idée de se voir «touché» par dame ou sieur «de la mort des Graves», «de la Mort sur Esp;lanade» ou autre «Mort des temps» affrontée. Qui je suis que je ne suis pas. qui je suis que je ne sais pas. qui je suis que je contiens en moi. qui je suis qui contient en soi le  mal permanent, le mal «de la rage d’être» ou « ... à être ». Car, le moi (le je : l’être) est menaçant. le je (le moi : l’être) est comme contenant le mal xde rage à être le méchant ... des temps alloués. Enn soi (= matière) est le mal c’est une évidence. Nous sommes le mal (matériel) incarné de base : tous et toutes. Mal d’une rage en n ous matérielle ... pris dans la matière = pris

 dans cette sorte de matière du monde adjacent. Nous solmmes êtres qui en nous contenons le mal que nous faisons de fait (et même au mieux par devers nous si tant est)  en étant vivant et vivante sur terre-mère. Nous pissons nos larmes. Nous sommes défaits. nous faisons main basse en permanencve sur un temps (alloué divin) qu’il nous incombe de» «mener» comme une danse dans un sas de roche aurignacien. Le mal est inclus. Le mal est inclus dans la matière. la matière est la roche des temps. Le temps est le présent à déposer de soi (don surnuméraire) sur paroi ou table ou pierre d’offrande ... pour ne pas mourir de préférence. et deès lors faire accroire : que, 1, mon nom est mon nom, 2, que la vie est odfferte dans pareil paquet (paquet décoré), 3, que la vie sur terre n’est pas l’opposé dee la mort en tant que couperet, 4 , que je suis du monde des songes animaliers et autres fables des temps passés. Je veux (= je voudrais) servir (pour ainsi dire) le monde divin , en faisant offrande de mon nom donné comme par la bande. Le nom déposé est le nom d’une rage .... à advenir coûte que coûte. Nous avons pour nous de quoi pour le coup allonger nos phrases sur paroi des temps. les phrases sont phrases des temps. Nous voulons ensemble touchezr une roche dure, qui serait une roche donnant accès (privilégié) à une sorte d’entité rocheuse devant soi, accès à notre vie vive, à notre oplus de vie vive contenue en nous, pour permettre à celui-ci, à cet être des parois, de mieux nous connaitre et de ce fait de mieux pouvoir juger notre Soi en propre = notree être vrai, si tant est. Nous voulons comprendre et toucher. Nous voulons comprendre et toucher la mort. nous voulons comprendre et toucher cette Chose dite «de la mort des étants de base». Nous sommes ensemble dans un pli de roche. Nous voulons comprendre loin, profond, les données rugueuses, les dons à pourvoir, les offres diversesq, les dons du ciel, les prises, les ajouts, les colères divines, les prises = les données des temps impartis. Nous voulons co:mprendre ce qui est ici qui nous voit aller (sur roche) dans le temps. qui je suis que je ne suis pas. Qui je suis que je ne suis pas. qui je suis qui en moi contiens une cha rge . Qui suis je au fond de moi en tant que tel ? le mort à venir ? la (belle) morte aux allures divines racées ? qui je suis qui tremble ? qui ne suis je pas qui tremble tout autant ? qui suis je dans un déroulé de temps alourdi d’un verbe prégnant ? qui je suis «qui casque» ? qui e^tre ? qui voir ? qui comprendre ? qui deviner et quoi déposer ? Je pose sur table (des devants à soi) la Chose ... des roches endiablées (mesure pour mesure) et m’en retournne = reviens, vers... moi qui reste là = en vie, dans un monde ouvert et fermé : ouvert aux aguets et fermé aux apprêts. Je veux être l’être .... des temps dépl;acés depuis un intérieur(?), 

intérieur à soi comme ici déployé (p âr la bande) vers la roche meuble d’une pierre où pouvoir deposer choses et autres en guise de présents au monde. Je cherche issue sur table d’offrande, calfe»utré on le sait, caché dans ma cabane aux charges. Je veux dépôser sur table icelle temporalité qui donnerait crédit à) pareille cxharge, en moi (en soi), contenue. La charge est de celles ... que l’on voit courir dans les prés. les prés sont les prés des temps i:mpa rtis. Il s’agit dx’un pré de chargements animaliers, de courses endiablées parmis les herbes hautes autres et autres arbustes dessinés, etc. Nous voulons toucher la mort à travers la roche langagière des apprets. Que faire pour ce faire abrupt ? comment déloger la roche ? comment déplacer la Chose des temps matériels ? que dire ici pour un faire vif ? comment dire ici ce faire adjacent ? nous vouylons creuser loin en pareille entité verbale qui nous vient  nonchalamment comme une épave (?) en bvouche (ouverte ou fermée) = en nous comme condamnés, et voilà ce qui eswt : nous tombons à la re nverse dans le temps = en parlant (en disant) nous tombons à la renverse. dire = tomber. dire = tomber. dire =

 tomber dans le temps d’un tracé de rage. Dire = toucher. dire = toucher

. Dire = toucher à la roche dure des temps alloués à une vie humaine. dire = donner sur pierre : offrandes diverzwes, vivres déployés commme un dire long. Je vais voir ce qui est . Je dis que je me vauttre. jE regarde les données brusques. Je veux être l’ombre des données de base, et de rage ; la douceur incarnée dans le sang donné du verbe dépoosé sur pierre d’offrande. je szuis je l’homme-femme enfant animal d’une rage à être envahi par la bande (langagière) d’une vraie vérité native. Je compose avec l'ensemble des données natives-hâtives naïves. Je veux (en vrai) déplacer les donné»ées rudes, vers du  doux peut-être bancal mais soyeux et comme énoncé pour du dire ou un dire vif amoureux. Je veux toucher la mort de près = la comprendre sans l’éprouver, mais comment cela ? comment puis-je faire de la sorte : et toucher et ne pas y toucher ? il s’agit d’une gageure (on l’a vu plus haut) et cette gageure nécessite un exeamen approfondi de ses parties, afin de bien la comprendre et en cerner précisément les tenants et autres 

aboutissants <wqui font d’elle une donnée  de base,  donnée avérée,  donnée sur laquelle pouvoir s’appuyer pour mieux l’aappréhender . Il s’agit pour nous d’avoir à toucher icelle gageure dans un sens particulier qui fera d’elle, à nos yeux, une sorte de donnée de base pour  l’éternité 

des temps i

:mpartis à des vies d’hommes et de femmes et de betes particuliers et particulieres. JNotre but est de trouver ici à co:mprendre loin pareille gageure : comment faire pour toucher et ne pas 

toucher?. Comment s’y prendre pour toucher la mort de face et ne pas toucher la mort de face. QZuestion épineuse s’il en est, et qui nous occupe +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++/+/++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ depuis lo ngtmps. Et la réponse est : en dichotomisant, e,nn séparant, en coupant, en sectionnant icelle mort en deux : un jeu d’enfant ?

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4/2/2022

Le vrai nom de la mort . le vrainom de la mort. 

quel est le «vrai» nom de la mort. Quel est-il ? De quoi s’agit-il ? de quoi il s’agit ? Il semblerait que le «vrai» nom d’icelle soit un nom «connu» = répertorié. il semblerait que le «vrai « nom d’icelle soit le nom répertorié dans des annales spécifiquement créées à cet effet. Il semblerait en effet que le nom «propre» de la mort soit un nom connu, affiché parfois, reconnu, nommé dans des instances appropriées qui sont instances de conservation. LE «vrai» nom de la mort est un nom qui existe ici et là en tant que nom gravé, gravé à même la pierre : aurochs ? Aurochs de céans ? Bleu de Prusse ? aménite ? nous ne sommes pâs seuls et seules à chercher icelui ici et là . nous sommes nombreux et nombreuses , et notre recherche de noms ou du nom est recherche tenue dans les temps, est recherche largement développée, menée aussi bien tambour battant une vie durant = la vie. Car (on le voit, on le sait) la vie = recherche du nom. Ou plutot : la vie dans le temps est recherche du Nom. Nous diso,ns la Vie car la vie est une gageure, est ce développpement pariétal de l’homme et de la femme des cavernes : Aurochs ? peu^etre bien que oui. Il se pourrait bien que ce fût ainsi que cela est : rien n’est sîur mais enfin la chose est possibl, ç a se peut ou se pourrait. nous cherchons à plusieurs (quelques uns et quelques unes = peutêtre quelques millions) des choses ici ou là eb-n rapport avec un nom propre à trouver. Ce nom est porté de l’i,nntérieur par soi, comme une bete-mot qui en impose «grave» de par soi. JE vois la chose qui se dessine sur la paroi et je comprends les ramifications internes liant la chose à l’être, ici l’Aurochs, à cette vie de soi qui va battante et frappe que tu frapperas au son des pipeaux. je crois comprendre, du moins je suis (je vais) sur cette pente. Qui est qui en cette zone des abris ? qui me parle ? un animal de race/rage, qui veut savoir «pour moi» ? qui cgherche à sortir sa tête de moi, qui cherche à dire qui il est en fait de bête, quel est le nom qu’il porte, etc. Il est animzl de rage et il est animal de race, et à ce titre , à ce double titre, il mérite tout le respect dû à pareilles créatures saturnales. Je vois que des choses doucement (oh doucement !) se mettent en place incidemment et c’est parfait, c’est une bonne chose. Nous devons panser les plaies et aussi nous devons penser à notre bonne étoile qui veille sur nous, qui nous accompagne, y penser comme à une amie très chère, à l’amie qu’il nous fallait pour vivre en confiance, à cette amie qui nous insuffle le souffle divin, cette voix d’or, ce chant d’azur, et aussi en nous un peu de cette chose d’une rebéllion, d’une insurrection, d’un refus d’en découdre incidemment au premier tournant. Nous sommes êtres qui pleurons de compassion. Nous sommes êtres qui chantons et ^pleurons de compassion de temps à autres et sommes ainsi touchés par en soi (en nous) une flèche qui nous transperce et nous met à mal et cela est. Nous sommes êtres qui sommes par moments (toujours ?) touchés patr une flèche. NOus sommes tous et toutes touchées par une  flèche, nous sommes tous et toutes tout le temps touchés par une flèche

. Nous sommes en continu (vivant) touché par une flèche, nous sommes touchés. Npous sommes meurtris, nous sommes touchées. Notre coeur est touché et transpercé par une flèche et cette flèche est flèche ... d’un dieu de la rage et de la race des (qui savent) qui touchent. JE vois la flèche, je vois cette flèche transperçant mon  coeur, je vois cette flèche me faisant saigner. Je suis un homme qui est touché par une flèche qui le fait saigner. Je suis cet homme touché par devers lui pzar une flèche (incidemment) qui le fait saigner «grave» c’est un fait. Et d’^où vient cette flèche ? qui pour l’avoir tirée ? qui est à l’origine ? quelle est l’origine ? est-elle animalière ? est-elle animale ? d’où vient-elle ? d’où vient cette flèche de vie en nous, de type ... cardiaque ! c’est dit ; d’où ?EH bien on dira... de par là-bas, plus loin, bout de phrase (vérité) et ce là-bas, en question (ce bout de phrase) , est une somme. NOus pensons ensemble. Nous sommes toute une tribu. Nous avons une pensée commune, nous sommes clanés. Nous avons pour nous (notre vision des chgoses) une pensée commune, qui est que le mort, ici bas, n’est pas la mort, là bas. Nous pensons que cette mort dont on pzarle (nom commun) n’est pas cette mort qui semble (semblerait) devoir nous attendre sur le pied de guerre. La mort porte le nom que la vie (pour nouds) génère, c’est dit. La mort n’est pas n’importe quoi qui serait commun. LLa mort est une chose en relation avec la vie que nous avobs (dans le temps de son inscription murale) d»éveloppée tout du long, déroulé et mis à plat ou tout comme. Lza mort est chose précieuse en cela qu’elle est (ici) individualisée et à chaque fois différente dès lors. NOus voulons comprendre bien des choses , et ces choses nous regardent dans le blanc des yeux. Nous avons en nous cette chose d’un vouloir qui est (il semblerait) vouloir avéré, vouloir ancré comme il se doit, vouloir qui cherche à se montrer , à jou-er des coudes, à faire du gringue, etc. Là, 

nous savons. Nous avons compris. La mort est individuelle mais aussi individualisée en cela qu’elle a à voir avec un déroulé de vie. La mort est une chose .... qui est de celles-là que nous devons comprendre de visu, mais comment ? vas-y comprendre ou y comprendre quelque chodse de profond ! où est d’abord la profondeur en cette chose, et en toutes choses déjà ? qui a dit que ... la profondeur n’existe pas  ? qui a dit cela ? un sqcientifique ? peuchère non pas ! Un savant fou ? il se pourrait ! une sommité ? à tous les coups ! un chanteur de charme ! allez ! qui d’autrte alors ? nous cherchons l’auteur ou l'autrice de la parabole ! nous ne sommes pas arrivées à nos fins car l’auteur ou l'autrice est cachéee et bien caché sous un amoncellement de tirades et autres «paroles d’évangile», c’est sûr. Alors qui ? je vous le donne en mille : l’Autre, l’Enfant, cette personne brute, douce et compréhensive. Je me demande qui ça peut être. Qui est-ce ? il s’agit d’unêtre fin, plutot ra cé, qui a du chien, qui croit en des choses comlme tout le monde mais en plus d’y croire , lui ou elle, colmme d’autres d’ailleurs, les couche noir sur blanc et les propose (de fait) à la vindicte populaire. quel courage ! pas tant que ça car, en vérité, il balance : il jette son nom sur la paille, il est de ce genre, qui, une fois inscrits, ou inscrites, jeyttent ... mots cul par dessus tête ! il est de ce genre de personnes-là qui, ayant notifié et dit (évangile) jette tout ... cvul par desssus tête, et s’en fiche comme d’une guigne. Voyez le style ! Alors que faire? croire. OUi on peut croire, on peut se soulager ainsi. on peut essayer du moins et tenter de s’y tenir. ON peut essayer de croire ici et là, en sa bonne étoile incidemment ou bien au paradis, ou bien à une sorte d'entité porteuse, etc, mais commùent y croire ? en marchant ? en portant un nom ? en pleurant ? en vivant ? c’est à dire quoio , en vivant entièrement ? en étant vivant ? car, la  croyance en quelque chose de fatal est la croyance en quelque chose ... d’écrit , est la croyance en quelque chose de ditt, est cette ctroyance en quleque choses d’important dans le fait de ou du dire. c’est-à-dire de sérieux, de fort, d’important , dans le sens centtral du terme. noussommes en vie, et de ce fait nous «parlons» «pa riole d’évangile». et cette parole, portée par nos vies numaines, vient contrecarrer l’accès vers nous à cette mort cvommune qui (pour le coup) cherche en continu à porter notre nom, ce nom dit «de famille». La famille a un sens précis. La famille est cette chose ouverte, et vfermée à la fois (replioement sur soi ?) ? qui aide à la constitution du Verbe. Le Verbe est chose rude et chose rugueuse (à incorporer) qui est cette sorte de chose posée, ou déposée,, sous une forme ou sous une autre (ce peut être un bouclier) qui nous regarde, qui est là qui nous regarde avec ses yeux perçants, avec ses yeux insquyisiteurs? Nous voulons comprendre ce squi se passe en ces lieux de vie, et pour ce faire nous devons parler = dire la vérité =chanter = vivre une vie d’allant qyui colle au vErbe, voilà la gageure sus dite. Ouu susmentionnée dans du dire. car ici la mort est une chose et la vie une auttre, et les deux (bizarrement) s’entrelace dans du Verbe. On voit que les choses sont étranges ,; et ne se laissent pas appréhender aussi facilement en fait qu’on s’y attendrait. La mort est liée à la vie dans une tresse. ou plutôt, la mort est liée à la vie et la vie à la mort comme dans une tresse qui serait formée par deux gfibres ou fils qui s’entremêlent ou s'entremêleraient pour former quoio, pour former «parole d’évangile» on, l’a compris. Les mots de la tribu sonjt les mots d’une tribu pe nchée sur une idole qui a un nom. Nouds ne pouvons pas l’ignorer. Nous ne pouvons pas faire fi de 

cette chose. Les mots de la rage ont à voir depuis longtemps avec les mots de la tribu. JHe veux penser cela comme à une sorte de chance octroyé qui nous tombe ou tomberait dessus cfomme la misère (peut-etre) en d’autres contrées ou d’autres endroit dits «de proximité» ou pas, etc. Nous sommes des qui allons, ainsi, à la rechgerche d’une Véroité, Vérité de base, de type évangélique. On voit que les choses petit à petit se recentrent, qui nous donnent un la musical de bon (de très bon ) augure. On va y voir clair dans pas longtemps. On est là pour ça. On ne demande que ça , d’y voir (si possible) le plus cklair possible. On veut cette chose, on veut cela, on veut comprendre, on veut prendre, on veut savoir. Il y a de ça. Or comment faire pour savoir ? comment faire pour comprendre ? comment faire pour percer le voile masquant kles choses les plus importantes de la vie et de la mort ? nous devons essayer ensemble de comprendre ce qui est mais pour cela comment s’y prendre ? comment réagir surtout , à pareille entité devant soi qui cherche à nous truquer etc, comment ? nous avons peut-être ici une réponse . Nous avons peut-être ici matière à nous tirer d’affaire . Voilà comment : en parlant . c’’est-à-dire : en ne s’arrêtant pas de parler . C’est-à-dire en parlant continuellement. il y a toujours ... quelque chose à dire, oui, car le dire est là (de fait dans la vie) qui nous accompag,ne tout du long. Le dire est du sang. Le dire est un sang e,n nous qui ne cesse et fonce et va et file et fiche et court et meuble et colporte et sonne et cache et doute et rit et va loin et porte et sombre. il est celui-là que nous portons en  ous comme le nom de l’animal en nous qui est le nom en nous de cette bête de type «évangile de saint-machin». On voit la chose. IL s’agiyt ici de comprendre un fait et de s’y tenir au mieux et le plus possible dzns la durée. Nous avons Chose en  nous (un nom à trouver) qui parle en nous (le sang) sa parole dite «d’évangile selon Saint_-Machin» ou «dsaint-Chose», etc. cette paro:le en   ous est donc portée par une bete (effigie pariéto-frontale) et cette bête est en bnous comme un mot est dans la bouche du parleur de rue . nous sommes deux (bete en moi et moi) à comprendre cette chose. Nous sommes ici deux (en nous) à comprendre cette chose ici, et ce n’est pas rien. Nous sommes deux en soi à tenter une approche ici et ce n’est pas rie,n. Nous sommes deux qui ensemble essayons de comprendre au plus possible ce qui est en  ette chose d’une bete en soi animalière -donc et sauteuse : hop, de là à là, elle a sauté, elle est bete des sauts, va loin dans son élan, cherche que tu chercheras, etc. Une bête animalière est une bête qui «défend» son dire. au contraire d’une bête non animalière, qui elle se tient (le plus fréquemment) en-dessous de son dire , comme éteinte, on y reviendra. La bete est la bete rude en soi qyui cherche à trouer la Chose = ici la bouche , et sortir. il y a chose et chose. ou plutot  : il y a Chose et chose, etc. nous nous retrouvons pour mùieux comprendre les données du monde, ce qui est au monde qui exisqte et qui semble nous parler. nous voulons comprendre ensembke des choses et ces choses les reporter, sur paroi, cvomme un homme ou une femme du temps des cavernes, et dès lors tracer nos noms indélébilement si l’on peut dire. HJe suis un parmi x squi cherche. Je cherche à comprendre ce squi est. Je cherche à savoir ce squi en moi reflue, ce qui est en moi quyi surnage, etc? La profondeur des choses décentes ? peut-^être ! mais en vérité mon souci premier est de me plonger dans un dire fol qui puissee dire et former des dires 

d’importance. Il s’agit pour moi de cracher des dires cvomme d’autres crachent du venin ou bien, leur gourme ou encore la haine. Je suis un homme sain (je crois) qui cherche ... à toucher de ses doigts (peut-être) la bête en moi, etc (c’’st à dire les bêtes, car elles sont plusieurs : ça change, ou même elles sont plusieurs «en même temps», etc) . je vais loin dans la démesure rupestre tribale et pour cela je suis accompâgnzé, on le voit : un animal me seconde. Il s’agit en moi d’une bête qui est, en vrai, bête de charge. Il s’agit de ce genre de bêtes qui toutes chargent dur et portent costaud. ces bêtes sont toutes massives. On les appelle »les bêtes de poids» car elles pèsent lourd vraiment dans la balance (poids public) et ne s’en laissent pas conter (du tout) sur cette question. Notre ambition est de les nommer. Nous devons nommer ces bêtes = les dessiner = les faire et les montrer au mieux ressemblantes, car il en va de notre sainteté. Nous sommes des enfants qui tentons de creuser ensemble la terre et y loger des choses qui toutes nous concernent au premier chef : dires de peu mzais pas seulement, effets divers de type votif, etc. des choses de pacotille, des choses qui brillent, de l’»or en barre, des pierres précieuses, du chiendent, des herbes diverses, des choses de prix comme tissus, vetements, et zautres tentures. nous nous prosternons comme de coutume et nous pleurons.Les larmes ont à voir grandement avec le présent posé en offrande et avec (aussi) le présent (ici) des temps impartis. nous sommes à la recherche d’une dent en or, d’un dire de grâce, d’un cercle de pierre précieuses, de mots divins, de parole d’évangile. Nous voulons comprendre et donner. nous voulons comprendre et doser noss dires.Car, nos dires pèsent (trop ?) dans la balance. Nos dires dsont dires de joie et de poids. Ils sont dires de peu et de joie mêlés. ils en imposent parfoios mais de temps à autre et encore. Ils ne sont pas tout à fait à même de nous aider lorqsu’ils ne disent rien de plus que la faconde, mais enfin nous

 les aimons, nous les regardons avec bienveillance, nous  croyons en eux, nous voulons les voir se loger de préférence en des loges idoines de type temps d’acceuil. notre but est ainsi ici de faire en sorte que la vie s’écoule le pluys simplement du monde et dise son dire ici de vie de base, son dire découlant de soi ... comme un corps saigne (menstrues ?) ou comme un corps peut-être évacue le trop-plein d’énergie vitale (selles ?).nous voulons savoir dans la p^rofondeur ce qui se trame autour de nous. Nous voulons co:mprendre les choses au son du pipeau. Le son du pipeau est le son qui nous interpelle le plus (le plus souvent) à bon escient car il «dit» des choses qui sont capitales en de nombreux domaines. Il s’agit pour nous d’écouter ce son (qui est du dire) et, dès lors, de retranscrire, tout simplement, tout bonnement, ce dire natif. les choses sont dites carré, sdont dites clairement, sont carrées, etc. C’est-à-dire que les choses du monde fractal (du monde de derrière soi ou de derrière les fagots) sont ainsi qu’elles se montrent sous des jours divers (par exemple : aurochs) mais, toujours accompagnées par un son de base (le son d’un pipêau) qui font d’elles des êtres lunaires, échevelées, vibrants, etc. Nous avons à comprendre encore des choses mais enfin, nous avançons (pas à pas) sur un chemin de connaissance ou de ces connaisqances dites «de la bande» c’est-à-dire de la bande langagière d’accompagnement (pipeau). Les mots pour nous ont une raison d’être c’est sûr, et pas xseulement «tétière» on le voit. Les mots disent par devers eux, voilà les données. Les mots ont des choses à dire concernant la voie mais aussi concernant la mort, et pas seulemen,t «la mort pendant la vie» mais aussi »la mort pendant la mort» ou alors ... à quoi servent-ils ? les mots sont à nous qui avons à dire des chosesq. Les mots nous appartiennent en tant qu’ils sont pour nous des données toutes de base cruciales, ou comment exprimer cette chose d’une profondeur des profondeurs dans l’adversité ? Car,

 vooici que les mots bataillent, entrent en guerre, combatttent l’ennemi inscrit en eux-mêmes. Que sont les mots sinon des bêtes de combat ! que sont d’autre les mots que betes cde combat : d’azur et d’ancrage, quoi d’autre ? nous avvons à nous poser ainsi (par devers nous) ici ou là, et dire ce qui est. Les mots nous regardent. Les mots nous portent. Les mots nous disent des choses. Les mots nous aident. les mots nous accompagnzn,t une 

vie durant ... dans le sang , comme des betes de labours qui tracent ou traceraient sillon sur terre meuble. notre sang ne fait qu’un tour : de la vie à la mort. c’est à dire : de la naissance à la la mort. C’est à dire : de la naissance effective (la venue au monde réel) au jour de la mort soit de l’xtinction. La naissance est la sortie d’un ventre, et elle arrive après un temps de conception.La mort de la même façon est la sortie d’un anttre (ventre-dieu

 ? ventre d’un dieu ?) et se poursuit pour ainsi dire par «un temps de déception» etc. nous pensons que les cghoses (cvomme toutes choses visibles (ou la plupart) sont de type syméétriques ! nous disons que la mort contient un temps qui correspônd au temps «ventral» en quelque sorte de la conception. la mort est une enclave de type utérin , qui est cette outre, pour le coup, de bonne foi et de bonne maison et des  certitudes. La Chose est svelte comme la parole. Un coeur assidu s’y révèle. Nous en tentons l’approche ensemble ici :même. NOus essayons ensemble cde comptrendre des données (de bazse certaines) sur lesquelles s’appuyer . notre dire est vif. Notre dire est un dire vif. Notre dire 

est ce dire vif qui est du dire fol qui est du dire échevélé on le sait?. Quand nous parlons, les mots butent contre la misère d’un regard obtus, creux par endroits, etc, et c’est ainsi que nous nous retrouveons (ensemble) à verser des larmes : commisérationb. dévception on le sait. on connait la chose. o,n vezut

 croire en sa bonne étoile mais la chose est rude et demande à êtrez vue, et explorée. notre but est logé à pareille enseigne . notre but est ckair, va dans un sens qui en fait le charme, ne se  cache pas ou n’est pas caché, se montre sous un jhour dit «de clarté complète», ne va pas se planquer ou masquer son dire quelque part. Notre but est là : ici = dire. Je veux que le dire dise ! je veux que le dire en dise long de grâce ! je veux que le dire dise et redise ce qui est et vous l’enfonce (me l’enfonce) à jamais soit pour l’éternité. Les mots ont ils quelque chose à dire ? les mots ont ils quelque chose à dire ? les mots ontils qielque chose à dire ? les mots ontils quelque chose à dire ? les lmots ont ils quelque cjose -à dire ? les mots ont ils quelque chose à dire ? les mots ont ils quelqzue chose à dire ? nous le peznsons . Nous espérons que oui. Nous pensons que oui. Nous le subodorons. nous aimerions que oui. nous aimerions beaicoup que oui mais rien n’est moins sûr. Nouys voulons savoir, comprendre, aller loin dans la mesure d’une démesure, ou mieux : aller en mesure dans la démesure mais la démesures ... quelle est-elle ? où est-elle ? que peut-elle nous apprendre si tant est que nous l’attei gnissions ? Je cherche. Je  veux penser. Mon souci est la pensée, la p ênsé»e à travers le verbe, le Verbe en musique = dans le temps (pour ainsi dire) de son déroulé, etc. la pensé&e magique est la pensée de bout de phrase = la vérité. la dite «vérité» sur les choses du monde = pzensée magique, en cela qu’elle se loge (icelle vérité) au bout du bout de la phrase construite c’està dire temporellement située. 

car, pour dire, il faut du temps = le temps du dire. et le temps du dire implique la recherche d’un dire cde poids, qui pèse, qui a de l’impact commpe une bête. Nous avons à cerner choses et autres au mieux , et pour ce faire nous collectionnons les dires, nous accumulons les dires, nous mettons nos volontés à plat et pouss-ons dans un sens précis qui est celui d’un vouloir)-dire ici brusqué sinon brutal , qui cherche à cerner = coincer la bête d’un dire dit «vrai». notree but est affiché. nous espérons pouvoir trouver des chose, des choses diverses, des dires de pôids, du vrai qsui en jette (quioi ? des rayons de lune ?). notre envie est une envie complète, en ce senns qu’il s’agit d’un corps (corpus) en entier. le corps du dire ici est plein de lui, d’un magma de  base (de ba ve ?) qui est lourd de conséquence rupestre on kl’a vu. Le magma de base (langagier animalier) cherche à faire apparaittre une dite «vérité de bon aloi» qui est Vérité des Vérités. La chose a ici une importance première, capitale, importante en  cela que ;:a chose est lourde, pesante, elle pèse son poids et ne s’en laisse pqas conter facielement. Car elle en veut ! elle cfonce (elle eswt fonceuse) , elle ne s’arrête pas en chemin. elle vibre de troute sa gourme animalière à même le temps d’un phr&asé colporté ici ou là sur une grève. je salue la grève ! il s’agit de voir en elle (la Chose de soi: l’âme des défuunts ?) une chose de poids comme une bete de paroi : le bison ? l’ours des cvavernes ? le mensonge et la vérité nee s’opposent plus, quand tout est langage. Il s’agit de cette chose là d’un dire déployé comme dans une phrase une vérité. Nous sommes deux ensemble qui cherchons à dire des choses rudes. notre volonté s’exprime par la bande et ne souffre plus. La peine est allégée de fait, elle n’est plus que l’ombtre d’elle même. nous ne voulons pas peiner quiconque et blesser outre mesure, nous savons à quyoi nous en tenir. Nous voulons trouver des mots de rage dans la lande, en nous promenant ou en chassant ou en courant après des chodses peu reocommandables ou autres. notre envie de bvivre est i ntacte puisque le coeur bat qui dit sa Chose animalière de concert et de base de vie. Nous nous saluons : à toi à moi. Nous sommes deux pour un e Entente, l’Amicale des amis du sang. nous voulons en savoir lourd et, du coup, que faisons-nous ? nous nous abvançons de concert à même la roche (ou roc des dieux) et pleurons (toutee) notre peine déplacée ! nous pleurons ensemmble = main dans la main : la bêtye et moi. Nous ne voul:ons pas perdre le nord ni même l’habitude de nous retrouver ensemble à une même table. Noius voulons aller sur un chemin qui nbous conduise vers la vérité des véerité = celle-là qui nous regarde dans le blanc des yeux et nous donne le la à suivre dans notre périple. Qui est cette chose, ou : que est cette chose, ou : quoi est cette chose, ou : qu’est cette chose ? Nous ne savons pas mais nous chertcbhons ! nous cherchons dans la profondeur d’une voix énoncée. nous cherchgons dans la profondeur d’un tracé de base. nous cherchons dans la foulée xd’un traçage frais, vite mené et (en vrai) consacré par l’usage, etc./ Nous sommes tous deux de la paretie fine qui nous voit nous remuer et chercher peut-être à enfanter du dire vif, cklair, outtré mais le bienvenu concernant le dire dit «de vérité « ou «de la vérité». nous ne sommes pas trop de deux pour ce faire. nous voulons «coiincider» et nous «coincidons», car , noius sommes vifs, douybles, prêts à nous adjoindre, à nous emmelezr, à nous mêler comme de coutume, à nous inserrer l’un ;l’autre lm’un dans lk’autre. Le but est cklair. il est affiché aux portes du palais et chacun, chacune, peut en prendre connaissance. Il s’agit d’un dire de foi qui en dit l:ong. il s’agit 

d’un dire doux, qui parle de sa voix sucrée, etc , pour dire une chose de grande importance, comme quyoi la mort est une chose

 du temps de son vivant, mais tout autrte chose 

du temps de la mort ou de sa propre mort, ou du temps qui nous voit mort. la mort a  deux visages : l’un est cvelui-ci (nacré) que nous lui connaissons, l’autre ewst celuyi-là (lequel ?) dont nous ignorons tout sinon cette chose commùe quoi il est un temps après la mort qui correspond EXACTEMENT à celui précédant notre arrivée de fait dsur terre le jour précisément de l’accouchement de Mère. Nous savons à peine, nous subodorons, nous pensons, voilà ce qui est. la pensée en soi est la pensée qui mène au bout, est la pensée dite «de bout de phrase», ou «du bout de la phrase» ou « des bouts», etc. penser = comprtendre, ici (du vivant) , le fait que la mort eswt une sorte de prolongement en tous points symétriques au temps de conception. il s’agit de cerner ici une chose comme quoi kla mort est égale à un temps (neuf mois ?) de déception. Et de quoi s’agit il ? du temps nécessaire à une sorte (sous terre ?) de décrépitude ! combien de temps un corps met-il à ... disparaitre en poussière ? il s’agit de cette chose ici d’un temps de déception qui est ce temps dee la vermine et de la putrification des parties charnelles . Notre but est adffiché : colère ! colère sur toute la ligne ! colère devant soi ! colère de base ! colère menaçante ! colère vive et, basta : que les choses soient ! nous ne pouvons pas supporter l’idée, comme quoi nottre ^$etre sera dévoré (un jour) par le feu de l’enfer ou la vermine ou le chacal. Nous voulons comprendre cela. Nous avons à penser rude et nous pensons rude. Le temps est animal = dépot, et le Verbe est vif quii se déploie (incidemment) tout le long d’une vie allouée à une gouverne en partie tétière. la peine s’allège au fur et à mesure où nous sommes ensemble à entrer en âge de la destinée. c’est à dire ici cette chose, cet aval. Nous minimisons. Nous sommes qui peu à peu nous liquidifions. Nous sommes qui peu à) peu nous réduisons nous mêmes

, etc. la peine est donc à cerner ainsi, comme d’une sorte d’étant qui, ici, se désagrège au fil du temps. La peine = le tourment. Le tourment = le ciel d’azur. Le ciel = cette chose donnée en dépôt comme une bête encore chaude de son temps de vie. nous nous abritons, nous nous plaçons de telle sorte que la vie pour soi devienhe auttre, une autre vertu, une tout autre mise, autre valeur, auttre présen 

c e, etc. nous essayons de nous poster ensemble au devant cde nous pour comprendre, là, ici, à cet endroit tout près de soi qui est cet espace de mise directe, d’emplacement pour des présents à cdéposer conjointement en type d’offrandee. nous voulons comprendre ensemble ce dépot à faire, en vrai, fisza, c’st à dire sans tarder, car la mort rôde qui, pour le coup, nous surveille d’un oeil et en permanence et ne nous lache pâs d’une semelle. La mort est lza présenc e en continue de l’histoire, c’est sîiur. La mort guette de son piédestal (sa hutte) et ne bnous lache pas de vue. nous voulons comprtendre, nous voulons cerner la mort ce qu’elle est et ce qu’elle n’est pas. nous voulons comprendre entre nous la mort, ce qu’elle représente et ce qu’elle induit, en termes de fi nalité langagière. nous voulons ensemble ici comprendre ce qui est, ce qui advient, ce qui arrive vif, ce qui se trame, ce qui se loge en cet espace devant soi qui est espace de proximité?; «Je pense donc je suis» est une chose rude à prononcer pour nous qui pensons-vivons de conserve. Nous nous diso,ns que nous sommes ensemble à devoir chercher ici et là des solutions qui sont solutions, 1, de repli et, 2, de réserve. le mmot prononcé

 est le mot donné, il est ainsi. Le mot prononcé à haute ou basse voix est le mot donné par «la bande animalière» à une sorte d'entité de rage (la mort =déité) qui nous interpellke continument à traversz le mouvement pendulaire de kla vie et de la mort en nous (fibre de vie chargée, rageuse, colère, vive, allumée, etc) . nous ne voulons pas mourir c’est un fait, et ce fait a à voir avec la mort à l’oeuvtre en  nous, qui dicte sa loi menaçante, squi dicte ses lois, qui nous cherche noise (la maladie et ses petits). alors comment faire pour trouver des choses qui nous en apprennent ? hummmm, difficile , dur dur. Avec des mots c’e’st dur. Avec ......

 le Verbe peut-être ? oui. lke Verbe est aidant car le Verbe contient sa propre misè§re et en fait cas. le Verbe est Verbe d’un dieu de réserve (pacotille ?) qui dit loin et fort son envie de vivre une vie «entière» = vie-mort tout entrelacées. Voilà ce qu’il en est de cette chose ici appelée Verbe, ici VErbe, ailleurs autrement (Vivre, Vouivre, Vipère, etc .). Je et nous cherchons, je cherche ensembvle, nous cherchons seul, dans cettte sorte d’entrelacement des dires singulier-pluriel. Nous ne sommes pas sortis de l’auberge ! Nous avons fort à faire (foultitude d’actions à mener et à mener de front). Je suis l’homme au chandail gris qui marche dans la plaine. Il se promène nonchalamment. Il promène sa misère. il est tout ouïe et qu’entend -t-il au juste ici, en ce lieu des outrages et autres parades guerrières, qu’entend-il à par t lui ? il ente nd du bruit. Il entend le bruyit cde l’eau. Il entend cette chose d’un bruit qui semble lui donner des ailes. Je vais dans les airs m’envolant comme  l’oiseau du chant des rêves. je suis oiseau plein de grâce et changeant sous la lumière. Je veux comprendre, je veux aller loin, je veux dire, je veux ^pousser plus loin les recherches, je veux cerner serré, je veux comblker, je veux être un homme comblé soit rempli. Le souci ici est de dire ensemble. Il s’agit d’un dire de feu. Le feu est cette chose contenue en soi (inflamation de la chair vive) et qui va de son allant ici de vie animale (ou animalière) jusqu’au bout dxu bout d’une cvie à vivre. Le feu est inflammation terrestree charnelle : sulpicienne. Je croise les doigts, en espérant que les choses ici iront de soi et ne buteront pas méchamment contre la misére des temps de céans. je croiose les doigts et espère fort?. jhe prie que les choses viennent comme elles se doivent de le faire . je suis cet homme qui pousse loin et fort son envie et poursuit fissa à travers les landes son chemin des découvertes. Je veux savoir ce qui est qui parle à travers moi. je veux dire ici ce qui est pour moi et répond de moi?. je suis homme des battues. Je suis cet homme des recherches en vrai avérées. Je suis cet homme des recherches menées pour une juste cause. Je cherche en moi des raisons de croire en une étoile (cette étoile) qui saura me diire ce qui est et  ce qui n’est pas. cette étoile ai-je dit = l’2toile, celle-ci qui nous accompagne : suivez mon regard. Je suis homme qui chante-cherche son allant de vie ici (dans lke sang) et qui va loin, dans des directions de vie votive, allons-y! Nous parlons pour ne rien dire dit-on mais cela est faux sur toutes la ligne , oui ! pourquoiu ? parce que kle dire vain ou dit «vain» est du dire Verbe, soit du dire plein de son dire, du dire rempli de dires, et ce dire rempli de dires, plein à ras bord, est ce dire de la joie à être (ni plus ni moins) et par conséquent exige le respecrt (de grâce ! ) car il en impose ... de par son allant, sa vitessee, son rendeme nt, l’accumulation, le recueil. je tombe ici car je suis frragile, je suis sous empridse. Je tombe ici car mobn corps chancelle vite. Il est corps émis./ IL est ce corps de la foi en l’être du dire de joie contenu en soi comme une bête?; J’avance donc je suis. J’avance dans le dire donc je suis, je suis celui-là qui vais là-bas loin en bout de phrase = tout au bout cdes choses à comprendre, incessameent. jhe ne suis pas chiche de quoi que ce soit. Je suis enclin à me placer ici pour comprtendre = en ce lieu monacal, prêtral  pour ainsi dire, ou prairial ? pour le dire autrement ! JE pense donc je syuis cet homme ici qui tire le rideau. je suis homme des bois et des landesz, chevreuil de ma rage, animal monté à l’occasion, bison des prés à houpelande ou comment ou squoi d’autre ? une biche venue tout

 exprès des bouts du mondee pour nous parler ? un chien eznragé ? une douceur de biche racée qsui s’en vient vers nous nous parler en son langage de fée ? qui est-elle qui nous regarde ? je veux (voudrais) le savoir, nom d’une pipe ! je ne partirai pas d’ici (logis) sans le savoir ! car, il en va de mon salut, de la reconnaissance à moi offerte, ou de reconnaissance. il en va d-’une possible reconnaisszance à mon endroit, voilà. il en va pour moi d’une sorte de reconnaissance. il est pour moi ici chose d’un dire vif, qui est ce dire commpe quoi le nom de la biche importe beaucoup et pèse dans l’esvcarcelle. comment s’appelle-t)-elle ? quel est le petit nom de cette bête ? comme,nt se nomme-t-elle dans sa vie ? je suis cet homme re-ncontrant biche et cgherchant à connazittre son nom de pasdsahge. je veux comprendre la raison qui préside à pareille venue jusqu’à moi et ne partirai pas tant que la chose ne soit pas réellement poszée,; c’est à dire à plat. je veux que les choses soient dites et bien dites soit en toutes lettres. je veuxc cette chose d’un dsépot de soi dans le sang; qui sezrait dz»pôt de soi à même le temps du dépôt. Je creuse la terre. fautil creuser loin ? qui est icvi l’êztre du chant choral ? suis je cet être ? comment faire pour savoir ? qui a parlé de misère ? qui va me répondre ? puis-je entendre cette personne cde mon vivant ? que vais je devenir ? que suis je en vérité qui vais dans la roche m’immiscer ? que serais-je après ma mort ? qsue sezrais je apreès moi»»»» ? que vais-je ^etre «après moi» ? suis je sensible ? la mort m’intéresse t-elle tan,t que ça ? la mort en soi a t elle un intéret de roi ? squi est qui dans pareille demeure de choix ? je sais plein et c ependant quoi ? Je cherche à comprenxdre ce qui est danns ce qui se voit, mais ce qui se voit intéresse peu qui dit peu et dit fou. je ne suis pas à la recherche d’un dit fou pour un dit fou. Je suis à la recherche c’un dit fol ce qui n’’st pas la même chose on en conviendrea.  Le dit fol, face au dit fou, a cela de particulier qu’il n’est pas de rage, qu’il n’est pas ce dit fou «de rage». Le dit fol n’a pas la ra ge, il a la hargne mais pas la rage. Il porte en lui hargne et volonté, hargne et vivacité, hargne et ténacité, mais pas obligatoireme,nt la raghe . Ou SI ? Aussi ? ah oui ? Peut-être. Les mots sont coquins. les mots ont vite fait d’induire en erreur. Les mots parlent à tracvers nous et disent bien xdes choses qui ne manquent pas de nous tropmper et de nous échapper. Les mots font fureur. Les mots ensemble font fureur et chassent les betes, celles de rage dure ... ou les autrezs bpêtes, de rage moins dure; 

tout mot qui se respecte cherche une voie. tout mot cherche voie de base où se déposer pour une offrande. un mot est un dire qui file, vitesse maximale, et cherche à comptendre le dû, ce qu’il est pour soi, ce qu’il signifie, et la hauteur pour ainsi dire de son être en tant que tel, soit le montant de cette chose à être. Je chante. Il se peut  que ce chant soit ici ce dû dont il est question. Il se peut à) présent squ’icelui ait quelque chose à voir avec ce dire d’un dû dépôsé, déposé sur roche comme l’a nimal . l’animal enragé ou pas mais dessiné par x  homme des cavernes ou femme des cavernes, c’est compris. je pè!se les termesq. je cherche une sorte en moi de «gouvernance parallèle». je suis en moi (ici bas) à la recherche d’une «gouvernance pa rallèle», à la recherche d’une sorte en soi de gouverne auttre que celle-là qui est , pour moi(tétière) celle qui me voit me vautrer souvent, sur roche et aillleurs, comme un chenapan trébuchant, or non ! Je ne suis pas  ce chenapan. je suis en tout bien tout honneur un êttre respectable, au pire, et ... vivant le pl;us, au mieux.mon coeur bat,; misère ! entendez-le qui dit sa cxhose coutumière d’un éla,n vital dans le sein des seins monacal. Suis je en vérité ? un être des temps déployé . incinéré ? pas encore, mais en moi au juste il y a ce feu diurne, cette inflammation brute et brutale, qui fait ou qui font cde moi  c et être de joie (joie brusquée) qui fonce fissa dans la masse . vivement que la cghose soit  et qu’on comprtenne ! vivement que soit icelle et qu’enfin on sache ! vivement que la chose ici advienne et qu’on puisse aller vers icelle, sans dommages de quelque sorte qUE ce soit, car, nous voulons vivre vif = 

vivant tout du long et même après le mort s’entzaend. pour nous qui sommes vivants, en vrai la mort «en soi» n’a pas de sens, car, la mort est un lieu-dit ou tout comme, et de ce fait (tombeau des peaux) est à pensezrccomme  une chose qui est volatile comme un oiseau. je veux cerner l’oiseau mais va cerner l’oiseau. Je  veux cerner le chant, mais va cerner le cxghant, je veux cezrner le  coeur mais va cezrner le coeur. Je veux cerner la trinité mais va donc la cerner, ou va à (soulign»é) la  cerner ! . Car, la trinité est une chose difficile à concevoir et donc àà cerner. car, la trinité est  cette chose d’un devant de soi (devant d’apparat) et n»écessite une étude profonde (approfondie) et un szouci majeur, une sorte de souci majheur à bien comprendre ce que c’est qu’une cghose «tri». Je veux comprtendre x chosesz, mais la tribnité... je veux bien (de fait) comprendre x choses, mais la trinité... ce n’est pas donné. Je suis homme quyi veux aller loin, et  cerner loin et m’investir à fond dans des recherches «qui le font» (c’est dit) mais en cvérité, la mort, en soi, n’est pas la queswtion. car la mort est du dit vain, est du dit qui la ramène mais cache son dû. Je suis celui-là qui cgherche loin des données profondes et s’en vante fort ou à tout va on le voit, et cependant voilà autre chgose, cette chose comme quyoi mon coeur b at «sans moi» pour ainsi dire, et de  ce fait  ce «moi» tant déposé, tant dit, tant prononcé, est une cxhose comme secondaire à un  état de fait ou de siège

. le est le comme la est la, et le moi tout con, au bout du co:mpte, qui compte peu dans une allure ou un train générale (ou général). Je syuis homme qui, en lui lmême, contkient très certainement des données de base à mettre en lumière, ou sinon quyoi ? le Verbe divinn est ce Verbe en soi ... qui cherche à aller loin .... dans la connaissance du dicvin ... qui est ce divin de la mort à l’oeuvre; car ici ce qui est qui compte est cette  chose, comme qyuoi ... le dire divin et le dire de la mort sont (en quelque sorte) unis (comme main dans la main) en cette cxhose d’une sorte de «fibre de foi». nous avons à penser c-ela. KLa foi = la peine, ramenée à une sorte de fibre souterraine en soi. La foi est cette chose d’un ancrabge quasi magique. La foi est inhérente à la nature humaine et, aussi, ne se discute pas, car, 

elle est la discussion pour ainsi dire à son sujet, elle eswt ... toout le dire en entier ! elle est cette complexité du dire ... en entier = vie et mort mélées dans un dire fol (fou ?) qui dit (dirait) sa Chose crûment comme dans la nuit des mots contrechastes. je pose mes conditions, je dépose un dire appuyé, je valide, c’est fait. je connais toute l’astuce car je suis pas né dhier et je vois de près (depuis un long moment à présent) ce qui se trame. je suis homme au cerceau, et au flutiau. je jhoue de la musique. Je jhoue de la musique des attraitsq. je file fissa vers un endroit où pouvoir jhouer la musique des attraits. je cherche pareil endroit par exemple dans les prés. Je cherche endroit où me poser et jouer de mon instrument de colère. qui m’écoute ou m’écoutera comprendra. Je m’avance à pas co:mptés, je chemine, je vais de l’avant, je suis celui-ci qui charge son devant de soi animalier comme une musette et v

 as-y qu’il chante ou chantera sa romance doucereuse, cha rmeuse, d’homme qui induit des dires, colporte et cherche à (de fait) entrainer après lui. mon corps est ce corps de base racé. je colporte des dires soit ici sur roche soit là bas dans la mort dite «du verbe ancré». je ne suis pas en reste de colportezr que tu colporteras des dires de joie et c’est exactement  ce que je fais depuis le dé but : je colporte, j’entérine, j’avalises, j’adoube, je prends dans ma gourde, je pose la chose à sa place de choix qui est place xd’un devant de soi dit «pariétal» (homme je suis qui dessine l’aurochs et le bison des plaines).HJe  cherche au loin les données de base ici censées pouvoir toutes guider ma gouverne. Ces données ont à voir zavec une fibre, une des fibres qui sort de ma bouche, de mon «trou percé» ou commênt le nomme-t-on ? Je vais et je viens à même la lande et voit ce qu’y s’y trame incidemme,nt. Le coeur de la bete en moi fait rage (tic-tac) à même le xsang déposé. Je fonce corps et âme. Le corps (comme le temps) au singulier comporte un s qui en fait l(attrait ou comment dire, cette chose d’un plus, de signification commune, affiché. je tombe sur un os. je suis tombé. je vais dans la roche et ml’y loge un temps donné, le temps donné est don de soi mort. Je suis homme des parades, des cavalcades, des sorties diurnes. Je file vif vers une chose qui, chose, me regarde $longuement, posément, pertinemment, nonchalmamment de ses yeux clairs, de ses yeux profo nds. Je voiis cettye bvete , cettye bete qui me regfa

rde, je vois cette bête. Elle me regarde longuement. Elle me connait? elle connait mon nom. Elle sait qui je suisq, elle sait parfaitement bien qui je suis et comment je m’appelle. Elle sait quelle personne je suis, ce qu’est mon être. elle sait ce que je suis. Elle sait ce que je suis en vérrité. la bete   me connait de fond en comble. La bête me connzait parfaitement = de fond en comble. la bête en moi xsait pertinement que je porte un nom et que ce nom est d’une importance capitale dans l’affaire (de la vie et de la mort) qui nous occupe présentzement. la vie est une chose, la mort une autre, le nom porté encore une autre qui semble chapeauter le tout. Je regarde au loin les données de rage. je suis homme qui, au loin, regarde les données de rage et se dépose , ici, sur pierre tombale, lui même, comme un être assoupi (tombant de fatigue) trouve sa litière ou sa coucxhe où il se trouve (trou de base). Je collecte. La main qui me pousse a des ramifications (nerveuses ?) dans kle sas des sas du monde adjacent et cela est à considérer cde cprès. La main des origines est btrès-liée (pour l’écrire ainsi) à la vie de base rugueuse du monde vécu. il faut voir cette cxhose ici comme quoi, la Chose du temps est an,crée. La Chose du Temps a des ancrages dans le sas des sas de la réalité du monde vivant. Le =monde vivant est le monde des tourments et des peines de tout ordre  , et la vie cd’(avant comme la vie cd’après est ancrée, les deux sont ancrées. La viee d’avant dans le BVerbe des présents, la vie d’apres dans le verbe des avenants. Nous trouvons en passant des choses à noter et  ce sont choses de la ra     ge indyuite en son sein en propre. ces choses

 ont à voir avec la vie vécue. la vie vécue est une chose rosse on sait cela, à vivre de conserve, à ne pas méconnaittre, etc. une chose ici est de penswezr, une auttre chose est de passer du gtemps. Les deeux choses s’entremêlent bpour former ficelle, jeu d’enfant, caricature cde  cie vive tourmentée, colère intrinsèque. je suis l’homme fonceur donneur de  leçons, ou bien quel homme cherchant sa chaise . son lit ? son habit ? son toit ? qsui irait au loin trouver pitance, chargement et nom de base. je v eux être l’homme des paroles glissées en lui comme pâr la bande, et qui se borne à relever les dires (les uns après les autrrees) comme ils vienneznt. Je suis homme et femme tourmentée dans une sorte d’enclave à être. Mon nom est Personne . Mon n,om est-il Personne ? je suis cet homme des passagves renouvelées comme fait la vague. Qui a cru que je m’arrrêterai en si bon (long) chemin ? qui croit en ma bonne étoi;e (sur moi, comme une lampe d’appoint) : qui est celui-ci ? Je vais devant moi et regarde de plus près les données de base (déposées par qui de droit = le cheval ? l’aurocxhs ?) , et je me rapproche délicatementb, pour humer. Le cxheval sent le cheval. L’aurochs sent l’aurochs. lkes deux sentent fort leur animalité en propre et les deux me parlent concomittatament. les deux me   disent de voir à penser la chose du temps comme à quelque chose de tourmenté et c’e’st ce que je fais depuis le début donc acte (on dira cela) . on dira cela (acte) comme quoi je suis et je ne syuis pazs. je suis l’animal en moi et ne suis pas moi en tant que tel. et aussi : je suis moi en tant que tel, Et ne suis pas cet animal en moi. Je suis, et je ne suis pas. Jke suis cet homme de la foi , et ne suis pas la b^ete de rage en moi. ou bien je suis pareille bete, en moi, de la rage à être, et bne suis pas ce moi de pacotille («bling bling» et racoleur ?) que j’ai cru (un temps ?) être... ou pas ? car, l’etre en moi va fissa et ne s’embarassee pas cde choses de trop , comme : museau, cornes, sabots, etc. JE cherche à être au plus près l’être. je regarde les devants et ne vais plus trop en arrière car j’ai à faire. Les données du mo nde m’incombent. ou disons que lkes données du monde sont à explorer par en moi cette bête cachée qui renâcle tant et plus, que j’ouvre la bouche en grand et la voilà qui sort de moi et va fissa donner son dû et dire ce qu’elle a à dire  crûment = vif = sec = rapide = à volonté. Je suis sur un monticule, je suis monté, je suis assis ou debout mais fier. je regarde au loin le paysage offert 

 par les alentours : landes à perte de cvue. Je vois 

dans kles prés aller et venirv grand nombre de :mes congénères. je suis dans la vallée l’être en surplomb (pas peu fier le monstre !) squi mate que tu materas partou (droite et gauche) et vois ce qui advient de pareiile contrée habitée par des bêtes. Je surplombve et décline mon identité. Je suiis ... M le Monstre, chenapan de ma colère dite, chenapan ou garnement de ma colère dite = prononcée à haute et ddistinguable voix. je m’appelle ... de ce nom de rage frappé = Aurochs «de la roche du coeur». Mon nom s’écrit de la sorte : Au Roc, ou bien Aurochs, selon votre propre degré d’excellence ou de compétence en matière d’otrthographe (les deux sont possibles) . je mate au loin, je renifle, je sens ce wqui est à mes na rines. Je suis cet homme au nez  fin. je veux être un homme qui comprends les choses dfans la profondeur des tracés. Je regarde les pârois du monde et tente incidemment de cdéchiffeerr ce qui est inscrit, et semble avoir à nbous dire des choses sur ... la vérité des temps, des êtres du temps, de la vie et de la mort des temps,  de ces temps qui sont temps reculés. Je suis en quyête d’une vérité ... de poids et de charge. Je ne veux en aucun cas tomber à la renverse or, :me voilà qui à nouveau tombe à la renverse, que faire ? je suis l’homme des désirs (peut-être ?) rezfoulés et qui cherche et chercbhe encore à les amener sur un devant de soi (... monacalk ?) qui , pour ainsi dire, les prenne en main et les prennent bien et les chouchouttent et les ... quoi de plus ? je regarde ce qui est de ce refoulé (ou sorte de refoulé) posé / déposé devant soi comme prsésent offert par la bande, et ce refoulé (anc-ien refoulé dès lors) , est comme pris en charge diligemment par devant soi l’être de garde qui conçoit la chose comme ici à devoir être prise en compte = oui, chouchouttée un tant soit peu, c’est à dire (ausssi) un tant soit peu considérée. Car, le refoulé de branche est un refoulé qui a à être cajolé un temps, avant d’être (pour le coup) replacé dans son propre environnement.. Nous devons veiller à comprendre ce qui est ici d’un refoulé, ou sorte de refoulé, qui serait déposé vdevant soi comme une charge. Il faut 

y veiller. Il est nécessaire de veiller sur lui et de ne pas le bousculer de trop, de veiller à lui, à ne pas le déplacer ou le bouger de trop. Il est bon de veiller à le poser docilement, doucement, et gentiement. nous devons veiller à déposer ici pareil refoulé avec les précauytions dx’usage nécessaire à un vrai développement d’icelui sur roche (aurochs = au roc) en bonne et due forme car le refoul:é est un animal, il peut mordre, -il peut tenter decv s’échapper, il peut faire du mal, ilm peut ne pas voulopir jouer le jeu du je en l’occurrence et filer dru sa haine contre soi, contre celui-là que nous sommes en vrai en nousd-mêmes. nous posons le refoulé, lm’écarté à même la roche du temps. Le refoulé en tant que tel est tel l’écarté : une chose de peu, plutot fragile, limite débile au sens médical du terme. v eillons ensemble à ne pas l’effrayer et veillons sur sa gouverne animalière. Il s’agit ici de comprendre cette chose, comme quoi 

 le refoulé ou l»’’écarté de soi, est aniumalier, est une voix, est une voix animale, une voix déposée, est une voix qui (de fait) est déposée... comme un animal est cdeposé ! c’est une voix, c’est la voix de l’animal en soi, c’est cette voix en soi d’une bête de poids. Le refoulé ou l’écarté de soi un temps, revient sous une forme qui est animalkle. verbe haut de l’animal de choix. le Verbe est haut qui singe l’animal de choix. le verbe en soi de l’animal de choix est là devant soi comme le dû qui est ou serait celui-là que nous avions ensemble à devoir (depuis longtemps) transmettre de visu. je suis l’homme qui transmet un dû qui est le dû de la rage à être. je suis redevenu. Je suis revenu transmettre. Je suis revenu <—> redevenu transmettre. je suis revenu tantot pour transmettree icelui (dû dû) et déposer pareille charge ... sur une plaque, table, devanture, où meettre son nom adjacent , où donc mettre avec (le dû de la charge) le nom adjacent à une vie, à une vie sur terre, en tant que ... vivant la chose réelle. Je suis homme des bois, chevreuil, bison,; bete sur terre, quatre pattes pour un fond de course, une bete des avants et des arrières,; qui va et qui vient ramener son groin, ses cornes princières, son sabot de traine, sa crinière ou sees ergots, bete des rêves ... ancrées dans la chair de la chair fraiche ! bete outragée, bête des bois jolis pour de douces promenades et des parcours-santé «de premièere». La bete est en moi comme bete des bois de la rage à)à être. Je suis je le fils des rois. Je commande à pareille fête, je suis roi moi même dans un cercle. je tombe à la renverse.

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3/2/2022

Je suis homme des bois qui va cherchant au coeur de la forêt la vérité des vérités. je suis cerné, des bêtes me matent. je suis un homme maté. Je suis cet homme des bois maté qui cherche que tu chercheras un semblant de vérité. je m’avance nonchalamment. Je vais loin en pareille contrée. je suis homme-cerf , homme-bête aux allures fières, homme de la lande et des forêts. je vais et je viens en pareille contrée à la recherche de la vérité sur les choses du monde. Je suis parmi les miens. je suis homme au milieu des miens et je cararacole, je file fissa parmi toutes ces bêtes (bêtes de bon poids) qui sont mes soeurs de sang et qui me regardent. Je suishomme-bete qui s’avance et meugle et beugle parmi x bêtes autour dee moi, qui sont soeurs de colère et aussi d’effrooi. je suis cet homme au sang chaud, qui file fissa au milieu du troupeau et caracole et fonce et tourneboule et y va de son allant rustre, meuglant et beuglant d’aventure. Je regarde autour de moi et que vois-je ? des betes rustres et rosses, soeur de paroi, des amies fidèles

, des betes de dieu, des amis de tous les jours, des betes qui foncent fissa à même la pierre . qui je suis pour être parmi ellles sinon comme elles ! je suis cet homme aux allures fières = fières comme tout = (une sorte de) malotru de lza bande, chenapan, sacripant, un coquin de sort sur ma propre figure d’homme-bête de céans. Je veux comprendre dans les profondeurs et pour cela je me dois de fouiller fissa la langue (ce patois de base ?) qui me constitue de grâce. je suis à fouiller ainsi une langue, langue d’aboiement, de japissement, de glougloutement et autres cris de bêtes. Je suis homme-bête du sérail et vais sur roche ainsi, comme une effigie : je regarde, j’observe, j’ai les yeux tout écarquillés, je n’en loupe pas une, je suis ce dit «voyant docile», cet entre deux, cet homme entre deux feux , entree deux betes de poids, entre deux parois, entre deux volontés de choix à faire,, etc. Je suis cet homme entre deux volontés et je vois devant moi

la chose des bois, qui semble vouloir me parler, elle me regarde, elle est dressées, elle est devant moi comme aux aguets et cherche à me parler . Il s’agit d’une «belle bête» comme il est dit. Je suis son valet de roche, elle est là pour me parler, elle cherche l’instant, elle me regarde. il s’agit d’une bête de poids, d’une bête lourde, d’une bête comme il en existe sur les parois, il s’agit semble-t-il d’un cerf de  céa,ns, hautain, royal ou princier, au port altier, au port digne, au port majestueux. Il s’agit d’une «belle bête» du sérail, cerf de la plaine et des sou-bois. -IL s’agit d’un cerf de prestige, et je vais pour ainsi dire à ses devants pour toucher sa pelisse . Qui est-il pour moi ? un père digne ? colère ? homme des parois du monde ? qui est il devant moi pour me regarder comme il le fait incide mment.. Estil dans une colère sombre ? est il heureux du sort jeté à sa race brune ? estil de ceux qui rêvent à jamais d’un meilleur sort pour une vie sur terre ? qui est il qui me mate de près et semble vouloir me parler par la bande . Il est grand voire géant et en impose grandement (méchamment ?). Je regarde ses bois, son port, son allure. Il est pour moi ce cerf de la base et du sommet des choses de la vie. Il en impose cvomme jamais. Son allure est magique ou tout comme. Il est vif et droit dans ses sabots, ou sur ses sabots qui tintent sur la pierre dure des rochers. Il est le cerf-homme des attraits. Il est comme un seigneur de race. Ou de rage aussi bien : seigneur de sa rage folle, aux aguets, me matant comme jamais et cherchant en moi l’interlocuteur de choix (qui sait ?). Je m’approche d’icelui quyi ne recule pas . Qui est il au juste ? réincarnation

 de qUel être antérieur à lui ? peut-être est il homme des bois comme moi et cherche t il ma compagnie pour cela, comme un qui trouverait enn quelqu’un d’autre un frère de sang, un frère des temps passés, un qui fut pour lui à son image ou bien lui, était à mon image un temps passé, qui sait ! car je suis pour lui l’eêtre du sang  abordé, qui va vers lui vitesse grand v à la revoyure ou quelque chose d’approchant. Je veux comprendre chez lui ce qui est qui bout. De quel sang se chaudffe t il ? de quel bois va til fissa ? de quels muscles est il constitué au deumeurant ? Je cherche à savoir. Je tant voudrais ici savoir sur pareille bete des bois et des forêts . Qui saura me dire toute la vérité rien que la vérité ? qui pourrame donner les choses à savoir ? qui est pour moi la bienveillance même ? qui est là pour moi ? et qui n’est pas là pour moi ? Qui est là pour moi, qui cherche à me dire des choses, à me parler à voix posée, à s’approcher de moi par la bande, à me comprendre et à m’écouter volontairement : qui ? ici je ne sais. Je cherche assidument et assurément. Je veux ou je voudrais comprendre et savoir. Je suis parmi ceux et celles qui cherchent un savoir, un savoir profond. Je suis parmi ceux et celles qui ensemble (de concert) cherchent à comprendre ici bas les tenants et les aboutissants des choses du monde. Quoi est il ? que est le monde en vérité ? est)il lisible « = compréhensible = dicible ou rien du tout  ? la science est là pour dire sa chose et faire entendre le son de sa cloche. ici je suis parmi mes congénères (aurochsrassemblés) et je vois la chose d’un certain eeil qui veut ou voudrait y voir de visu dans la profondeur, c’est un fait. Je 

veux = je voudrais : comprendre, c’est à dire prendre à pleines mains et m’en pourlécher les babines à satiété et de contentemen,t . je suis homme des bois à la recherche d’iune vérité «profonde», et voilà dès lors la chose que je veux compre ndre, qui à moi est à comprendre ou comment dire : qui se doit pour moi d’être comprise . nous tournons autour (musicalement parlant) de la vérité des choses, car nous sommes musicaux / musicales de base. En nous gravite le chant des oiseaux, des biches, des serpents, des betes diverses. Nous disons chantons permanemment = nous tournons la terre glaise, nous tournons comme des affamés de première, nouschantons-tournons comme affamés du bois joli, qui cherchent incidemment, continuellement, en virevoltant, à comprendre et attrapper , qui une sentence, qui un phrasé de vérité.Je suiiis homme des prés à la recherche de la vérité des choses adjacentes à un corps de chair et de sang (le mien en l’occurrence) et je vais et je viens (je virevolte) comme un animal des roches, ici et là au même instant (quasiment) tant mon allure est vive, ma parole dru, mon port princier, la vitesse acquise avec la marche, droite et debout, comme un ours en furie, comme un yéti, comme un singe du paradis etc. Je suis cet homme-là qui ici caracole de fait car en lui le feu règne qui le pousse à dire, virevolt de première = temporel = fatal = fatalement temporel = vif comme l’éclair. je veux dès lors (tournant que tu tourneras) toucher à cette chose de la vérité fuyante dans les entrechats et les entrelacs, essayer d’y voir un petit quelque chose de vital, de sûr de chez sûr mais rien n’est moins sqûr ! Car quoi ? car, je suis celui qui dans le temps développe pour le coup son phrasé de base sanguine, il est là pour ça. Je suis l’homme-chien, ou bien l’homme-cheval, ou bien l’homme- buffle, ou bien l’homme-bison, ou bien l’homme-aureochs des bois et des plaines. Je cherche à qui mieuxmieux à me rea pprocher d’une base fiable, pleine, compacte, certaine, assurée, dure de chez dure, dans la langue que je porte en moi indécrottable et qui constitue le fond de mes pensées. Je veux savoir vite et bien ce qui est ici, en cette zone aux bêtes de poids, qui y a til à voir de si important ? je veux comprendre dur et pouvoir retranscrire fissa toutes les donnhées, données récoltées par la bande par moi. Je suis homme des recherches pleines, des recherches menées à vif tambour battant. je suis hommes des recherches menées à l’emporte-pièce

 ou autrement mais toujours dans la joie de me pencher fissa sur pareil sujet de contrebande. Je colle à la chose. j’essaie bon 

an mal an de comprendre. hj’essaie de me rapprocher d’une ou d’une autre de ces vérités qui comptent, ce qu’elles sont pour moi, ce qu’elles sont pour moi m’intéresse, ce qu’elles recèlent est du pain béni. je veux creuser dans la roche du temps = dans les profondeurs des choses de la vie et toucher (à ma façon) la chose vraie qui semble ou semblerait être une chose rude mais avérée. Je ne veucx pas laisser tomber de sitôt , car mon but est toujours (ou encore et toujours) de toucher (soit de toucher à vif) le coeur d’icelle «vérité musicale». Ou sino n musicale quoi ? car, il se peut ici que la chose à dfevoir comprendre (via le temps et donc la musique) soit chose «sans musique» justementt ! soit bloquée ! ou comment ? bloc de vérité sans temporalité ! autre mesure ! et nous de tournebouler que tu tournebouleras comme un musicien de campagne , au flutiau du bois joli, chantant par moments sa romance, oh le gueux ! Je tourne autour ici d’une chose rude = compacte : de l’autre côté»»», qui me regarde ou me regarderait comme le fait l’animal meuglant, mâchant son herbe, ou tapant du pied. Je suis cet homme tournant autour, comme un forcené de sa race belle, il cherche à comprendre au mieux les données du temps, il cherche vif à mieucx cerner les tenants et les aboutissants des choses du monde. QSui estil pour essayer pareille chose ? SQue veut-il nous dire ? que veut l’homme des bois ? qui suis-je que je ne suis pas ? qui et quoi suis je en vérité ? le temps est un déroulé pariétal (et paroissial) qui en impose musicalement et dit sa cghose rude , qui est : cette chose ici, comme quyoi la vie = un déroulé, mais la vérité est une et hors du temps ! je tente l’approche : un aurochs ! oui pourquoi pas ou alors quoi d’autre ? je chezrche continuement à comprendre lkes données de base et cela qui serait pour nous comme de l’ordre de lka vérité des choses du monde = hors la musique des profondeurs ? hors ou en dehors d’un temps déroulé comme une fibre ? hors d’un éventuel déroulé fibreux pariétal ? hors la paroi et ses émoluments ? que sais -je ? je cherche à comprendre à ma façon peutêtre malvenue, voire mal menée et cependant je cherche, je ne cesse de chercher à même le temps, à percer la roche = traverser , et mieux y voir de près , ou à mieux cvomptrendre de près ce qsui est et ce qui semble ne pas être. Je suis cet homme homme-animal chargeant la roche. je suis cet hommefou ou fol, qui fonce fissa tout devant pour une approche des choses du monde dans la vérité de leurs évolutions et autres circonvolutions. qui pourra m’aider à comprendre ? qsui pourra me dire ce qui est en vérité ? la mort est elle au bout du bout du monde ou seulement «à moiti-é» ou comment ? La 

mort est elle une entité personnifiée ou rien du tout ? quoi nous attend de plus ? les mots ont ils raison d’être ? très certainement ! Les mots ontils raison d’être pour nous, hommes des contrées humides, vivables, etc? très certainement ! Les mots ont ils raison d’être, pour les hommes des parois et autres roches et rochers rupestres ? assurément ! car le mot est là qui bloque écoutilles ! il est là pour ça ! il ne s’en laisse pas conter(à savoir : par la mort à l ‘euvre) c’est un fait ! Les mots sont cette cghose en contre-bloc, qui sert à ça, à contrecarrer l’adversaire, cette chose rude des devannts à soi, ce monument de lka mer morte, cette charge contree soi qui plombe etc. je veux dire ce qui est. Je tourne autour, dans ma farandol;e. que faire d’autre en vérité quyi puisse nous aller ? nous sommes ainsi motivés, nous nous motivons de même, nous nous motivons par là même ou nous nous motivons de biais ensembkle ou comment nous motivons -nous ?Nous sommes tous et toutes, toutes et tous, de la partie fine. Nous sommes toutes et tous, tous et toutes , de la partie fine. Nous sommes ensemble pour une partie. nous sommes aimant, nous sommes qui aimons aimer. Nous voulons nous rapprocher d’une vérité de base, vérité des vérités de base. Nous zavons pour nbous cette chose en nous d’un vouloir qui est vouloir d’approche, d’approche de la v érité des choses du monde ! NoUs voulons savoir ce qui se trame au sein du monde et pour ce faire rien de mieux en vérité qyue de crever l’abcès, et musicalement de préférence, munis de sa clé, etc. Nous savons, nous comprtenons, nous savons que la chose est rude. Nous savons que telle ou telle chose est rude et dure à cerner ou piger à la dérobée. comment s’y prendre pour bien aller, ce n’est pas facile de trouver !dès lors que faire ? où aller ? en quel lieu nporter ses guetres , ses mitaines ? Nous cherchons assidument et à plusieurs, c’est à dire à tous et toutes et à toutes et tous autant que nous sommes. Nous voulons comprendre loin, et aller loin dans les profondeurs des données existentielkles. Qui va pouvoir dire à nous la vérité vraie des choses du monde = ce que c’est que la mort en vrai etc. Je suis l’homme cherchant pitance. je veux savoir. Je veux qu’on me dise. Je veux apprendre 

des chose, je veux en apprendre, je veux aussi en avancer. Je suis homme ici

 qui cherche à comprendre et à savoir les choses du monde : ce qu’elles sont pour moi, pour tout un chacun quui va dans la vie à la recherche de données fiables et sur quoi pouvoir compter sans plus de trouble. je regarde près de moi. Je suis là près de la bete à presque latoucher. Je suis à ses côtés, elle est vive = vivante. Je suis près d’elle comme jamais je n’ai été : qui est-elle pour moi ? que dit-elle ? que dit la bête pour un être comme moi parmi d’autres bêtes de poids ? qsue veut-elle dire en vrai ? sait)-elle parler ? squi est lza bêtye pour moi ? qui est cetyte bpête en particulier ? qui est cette bête pour moi en particulier ? qui pour moi est cette bête en particulier ? qui est en particulier cette bete des bois pour moi qui suis à ses côtés ? qui est pareille bête debout devant moi à me regarder ? qui est pareille bête devant moi qui chercjhe ou chercherait àà me parler ? sui-je un homme pour elle ? suis-je l’enfant ? suis je dieu vivant comme une gageure ? un monstre de céans, roi -reine ? 

qui je suis ici pour pareille bête des temps refoulés ? Je veux comprendre le refoulement ce qsu’il est pour moi, et aussi ce qu’il,  représente en termes de données de base lié à une véerité ancré&e. Qui je suis que je ne suis pas en définitive. Car, qui dit «je» dit «me» dit «meuh» dit la vache et consoeurs, c’est sûr ! et pour quoi cela ? Parce que je suis vache et veau (taureau ? boeuf charolais ?) : quoi suis je au fond de mes entrailles (ventredieu) ? suis-je un être des przairies de la prairie ? suis je hommechenapan chargeant sur paroi à la recherche d’une effigie, effigie de contre-abord ? qui je veux être aussi ? qui je suis que je veux être ? qui ici je suis que je veux être ? qui ici suis je que je voudrais être au juste et longtemps, c’est à dire jusdqu’à temps que c’en soit fini (de comprendre et de savoir) : qui ? JKe suis homme de la foi en cette chose appelée du doux nom de «mort en branche», etc. Mon coeur est coeur de jar. Il s’agit d’un coeur animal. Mon coeur est coeur de porc, il s’agit d’un coeur animal. Mon coeur est coeur de mulet, de porcin, de verrat, de bête à groin , il s’en faut de peu. Je cherche une parmi d’autres 

vérités de poids, qui puisse en démontrer, en dire long, se positionner, montrer sa chose pconvenablement. Je suis homme au groin, bete-bisque, chargeant sa mule princière à tout va. qui suis je ? l’être fol ! qui je suis ? je suis lk’homme au corps dép^loyé dans un temps donné par qui on ne sait . Je veux aller loin en pareille roche du temps et toucher la v»érité comme d'un corps plaisant devant soi tout à caresser et à aimer pour ce qu’il est. je cherche une donnée franche. Je suis qui va de l’avant, cherchant tout azimuth les choses avérées sur lesquelles pouvoir s’appuyer. je suis homme au sang bouillant, qui fonce, va vif, touche, creuse, commence ici et continue là, va droit devant et comprends les choses crûment lorsqu’elles se manifestent lentement. je suis cet homme aux recherches assidues, cherchant ici et là où poser ses guetres et autres attributs de roche. Qui 

sera pour moi la personne idoine ? que vais-je comprendre à tout ce tralala(à tout ce charabia ?) des choses du monde ? qui me nargue ? où sont mes bottes ? qui a rangé mes culottes ? etc ! je suis là qui cherche ! et ce que je cherche  ou recherche a une importyance à mes yeux considérable il s»en va de peu ! je suis homme des apprets et des décharges, qui (dans le sang) comprend (hum, comprendrait) des choses. A savoir : comme quoi

 la mort est au rendez-vous bien e,n place pour nous. La mort est au rendez-vous fixé et nous attend, de fait, de pied ferme et la bouche poouverte. La mort est là qui nous attend pour ainsi dire de pied ferme, la bouche oueverte, au rendez-vous fixé (préalablemùent fixé) par qui de quoi que sais-je ! Il est ainsi que oui la mort est là au rendez-vous fixé par quyi de quoi que sais-je et elle nous y atte nd de pied ferme et bien attablée. Je suis homme qui(d’un bond d’un seul, voire de deux) va au rendez-vous fixé par la mort. la mort fixe un rendez-vous et nous regarde ici ou là, chargeant, donnant pitance, relevant sa bure grège, montrant ses attraits. Je ne suis pas cet homme-bête là qui cherche à toucher à) tout va ! je file (phil) comme celui-là qui craint l’eau froide des rus de campagne. qui me verra ? qui saura me voir ? qui va en vrai savoir dire à moi la vérité toute nonchalante 

? Je voudrais en avancer le plus ppossible et crever l’abcès. Je voudrais percer et fortune et la chance, et le mal , et la cloque des parois dures, et passer. Qui peut m’aider ? qsui est là ? qyi parle ? qui parle avec mpoi ? Car je sais qu’avec moi quelqu’un parle pour moi ! qui parle pour mpoi et me dit des choses de poids ? qui parle pour moi quand je parle ? le phrasé ? la langue ? le patois ? la phrase elle-même ? le temps ? le temps musical ? la musique princièere ? une chevauchée ? une dulcinée ? une promise ? une promesse ? un chant de la plus haute branche ? une brancjhe ? un écureuil ? un chien ? une betye rosse ? un  cerceuil ? un tiens vaut mieux que deux tu l'auras ? etc! car ici la chose est certaine comme quoi en moi (me) parle x, ou y, peut-être, et pas qu’un peu ! Qui dit quoi en moi ? qui me voit et prend parole ? quyi de moi est la chose assise, ou comment ? en moi ou sur moi, assise ou pas, qui est là ? je cherche une raison parmi toutes celles qui (dès lors) me sont comme propposées par la bande allègre du temps. Je ne suis pas au bout de mes peines. Je sais pertinnement qsue la 

chose est rude , que lke mal est profond, que la vérité est incertaine, les blés sont coupés. Je sais ce qui est de front. Je sais que  ce qui est est de front obligatoirement. Je sais pertinement que ce qui est est véritablement positionné comme chose de fond à devoir creuser, explorer par la bande, si possible par la bande. cette chose est sue de moi qui chercxhe vaillamment et ne s’enn laissees pas (jhamais) conter en vrai plus que ça. Je touche au but , je ne suis pas loin de l’arrivée. je me rapproche posément. Je suis à deux pas cxd’y arriver. Je ne suis pas loin d’arriver à bon port et cela parce que je suis là qui creuse tout du lmong comme mon  nom l(‘indique et aussi comme il se doit en pareil  c as. je suis home qui cherche fissa à tracverszla lande une chose de poids qui puiissee en imposer et pas qu’un peu devant l’auditoire, à savoir devant icelle mort de bonne compagnie dit-on. ou pas de bonne compagnie, c’e’st idem. C’est chose pzareille. Il s’agit de soi. Il s’agit ici de voir à comprendre pourquoi ici la mort, etc. La mort ici est chose pareille = idem = la même = la chgose en tous points ressemblante à une «bonne compagnie» pour soi, en soi ou avec soi. Je cherche et tourne que tu tournezras, on le voit. Je suis pour ainsi dire celui-là qui cherche ici à comprendre, une chose et l(auttre concomitament, et pour cela : une écriture-manifeste, dure d’oreille, colère, fissa-vite vite déroulée comme une temporalité princière, tapis sur lke quai, etc. Je tate des chosescrument et cherche à déployer toute ma mis!ère. je suis homme des temps reculés. JHe fonce à la dératé comme un qui serait lancé par une main assermentée et assurée et sûure d’elle, de son trait, de son élan, de sa justesse, de son savoir, de ses compétences, de son bon vouloir, etc. La main qui m’a ou m'aura lancé en premier est ceklle-ci : main de base. La première main est la main d’un temps révolu. La main première (primaire) est la main du sang (aussi étrange que ça puisse paraitre

 il se fait). Je comprends les choses depuis là = cet endroit de ma misè§re déployée. Jez suis là à comprendre cette

 chose cd’une main

 portant l’êttre, l’être de départ, comme étant celui qui est (serait) né d’une 

volonté. La main prime. Au début il y a la main. la première cghose = la main ; Mais qu’en est-il en véritéé de cette main ? que dit la main ou quoi est-elle dès les origines ? que est la main dont nous parlons comme chose des origines = point de base et des départs multiples, et concomitants: qu’est-elle au juste dans la vérité ? eh bien, la main, vcette main dont nous parlons, cettemain dont hje parle ici, cette main des origines, cette main originelle, cette main première et primaire, etc, cette main n’était pas une main à proprement parler, ni même un bras, ni m^me deux bras, ni même un membre,;, ni même deux membres, ni même de la chair humaine, ni même de la corne ou de la peau ou de la défense, ou de la crinière, etc, cette main était Volonté Divine , Volonté de Rage, Volonté Naerquoise, Volonté Affichée, était Volonté d’un être de Rage, Volonté d’un eêtre de parole crue, de parole drue, de parole forte comme alccol de même ordre, etc. La main dont nous parlons est la main qui préside, est la volonté première, ce «je veux» tant énoncé, ce vouloir de bonne parole et «d’a gréable compagnie» si tant est. la main ici est chose de base, dure et rude, peut-etre rugueuse. Elle pousse à être un temps. Elle débloque les compteurs du temps. Elle lance le mouvement?. car il va de soi qu’un mouvement a autrefois été lancé par on ne sait qui ou quoi en vérité mais c’est un fait. et il est évident que ce fait est capital. Ce fait est très important pour le genre humain. Les choses sont dites ici en toutes lettres. Il n’y a pas à tergiverser ou à faire la moue ou la tête ou à se montrer commme dubitatif outre mesure car lka chose est vraie, la chose est certaine : les mots le disent ! Les mots disent cette chose de «la mort à l’oeuvre», de la mort commandant le petit peuple des hommes et des femmes des Temps. Je cherche que tru chercheras, je cherche assidument;, je cherche à comprendre. il se fait ici que c’est (en vrai) un fait avéré, cvomme quyoi la mort est 

cette chose qui de fait cfommande de base, trie, commence, débloque les compteurs du temps et tout de suite (dans la foulée) s’en repend et nous le fait payer monnaie trébuchante et clinquante. La mort brille de tous ses feux. elle n’est pas de la gnognotte : elle est vive et brûlante-brillante. Il faut dire ici cette chose concernant la mort. Il fauut dire ici cette chose comme quoi la mort est la motrt de dieu, la mort ici décrite est celle concernant un dieu, un dieu vivant, une déité contenue dans les faits, une sorte de déité que les faits en soi contiendraient et conserveraient pour eux et en eux jalousement et bien contre eux comme enfants de rage. je sais cette chose comme quoi la mort est morte à la base. Elle s’en veut d’avoir perdue (via nous) beaucoup. elle est morte 

pour la mort, mais pas morte pour la vie, voilà ce qui est au juste. La mort a changé de camp. la mort à la naissance (à nottre naissance) a changé de camp. La mort est une chose qui à la naissance nôttre, etc, etc. ... et pourquoi cela ? Parce que voilà : la mort est double ! La mort nous mate doublement. La mort ... accouche  dee nous, et, dans un :même temps, nous cherche des noises c’est étrange ! Il se fait ici que pour nous, qui sommes cdeux, nous devons comprendre (l’animal et moi) le pourquoi du comment la mort en est arrivéev là à nous adreesser la parole, une parole de dieu, ou du feu de dieu. Car,  c’est ainqsi que sont les choses. Les mots en bouche appa retiennent à une déité-divinité pascale, il s’agit de le comprendre. Les mots de ma bouche perlent. Ils sont mots de rage tenue = contenue = maitrisée comme la bête conduite à la mort. Je cherche une parade langagière et vais-je la trouver, et si oui ou ça ? je cgherche à comprendre les données de base ici présentes, ce présent déposé à même la table d’offrande d’une vie entière à éprouver. qui me dira  ce qu’il en est en vérité de pareille gageure ? QSui sait ce qui est ? qui comprend les choses dans la profondeur ? je cherche à percer le mystère de la profondeur mais où est elle ? il y a le déployé du temps comme tapis de charretier, il y a ce temps des choses déroulées, mais la profondeur ? ce qui n’’st pas vu va l’être, de fait ! puisque la vie de base eswt déroulé de bawse ! alors la profondeur ? ou donc est la profondeur ? qui connait l’endroit des profondeurs ? non point des profondeurs «de la rage et du temps» mais celles des choses cruciales , qui ? je suis à la recherche d’une vérité ancrée. Je suis à la recherche d(une vérité des 

profondeurs mais en vérité je n’y croois guère, ou disons que je me dis que de la profondeur en vérité je n’en verrais pas la couleur, ou plutot que de la vérité de mon vivant je n’en verrai pas la couleur, parce que la vérité n’est pas de ce monde c’est un fait avéré. La vérité n’est pas de cemonde, ou disons la verité dews»petits faits» oui, qui peuvent s’explkiquer, a + b, mais la vérité concernant la mort (par exemple la mort) soit «les grands faits» de société, eh bien vas-y à comprendre et savoir! va donc hé du petit malin ! va à comprendre long, va à savoir large, c’est dur et malcommode, c’est pas dit et pas facile, c’est un truc et l’autre, etc.! je sais (pertinement) pareille chose et en parle là ! jesais bien que les choses de la vie et xe la mort ne sont pas simples à aborder avec les mopts de la tribu c’est-à-dire en vrai avec les mots de la rage, je le sais ! Je sais parfaitement que ces choses-là sont coton à appréhender avec justesse et avec toute la justice requise. Je comprends très bien cette chose commpe quoi les mots glissent sur les choses comme des canetons sur un lac de base?. je comprtends. Je ne suis pas fou. Je ne manque pas d’air. je suis lm’homme non assoupi. Je cherche avec des mots comme les copains / coppines. je ne suis pas vraiment à part. j’appartiens à une clique. mon nom est nom de peu. à lm’envers il se lit Loopings. on peut croire en moi on peut ne pas y crooire./ On dit bien des choses en moi, on dit des chosesc à part moi, ondira des choses, il s’en dira ou ne s’en dira pas

. Moi = dires. Je conçois. il va sans dire que je le conçois. une bête en moi est une bête en moi qui dit ce qu’elle  à dire, et ce qu’elle a à dire est cela : je suis en toi l’etre de feu qui croit en toi et actionne le foyer de ta rage à être . je suis toi tout autant que toi tu es toi car je suis en toi. Je suis cet être ezn toi quyi te chevauche, obtempère, te guide, va vif et vite, fouille en toi dans la profondeur d’une mémoire ... peu véloce au demeurant , du moins on pourrait le croire. je suis, en toi, cette bpête dees apprets, des attraits, qui cherche à sortyir de toi (fissa, fils, fille)) et meubler le temps de la paroi? Je = me = noeud = cri = christ = char = va nu pied et de la tete au pied= va nu pied = nu de la tête aux pieds = vif l’éclair = le cxharmant des temps des 

reines et des chateaux= l’ami sensible = le tombeur = la vie en ses retranchements. Je cherche une solution fiable, digne, responqsable, avérée, qui puisse de fait déccliner son identité ou du moins nous dire qui elle est en fait de vérité, etc./ Je suis à lka rechercxhe (coutumière) d’une vérité de bon aloi concernant des Faits de Gra nde Vie Allouée= FGVA et c’’st ainsi que je dis cela comme quoi les FGVA sont là qui demandent à être explorés fissa, et voilà pourquoi je m’y emploie. Je cherche  à trouver ici passage, ici = dans le Verbe de l’Au-Delà à soi. Je cherche à comprendre le plus loin possible et le plus possible ce qui est , c’rest à dire  ce qui ici même se construit à même le temps. Et ici cette chgose (construite, élaborée) est du temps de RAge comme il en exisqte en vrai ailleurs. temps rageur (enragé) de ma rage à êtrte ici bas celui et celle -là (les deux je veux) qui savent (sauront) à qsuoi s’en tenir : coque humide. Je suis être au chant choral ici déoployée (le revenant) qui dit ce qui est et qui s’impose de la sorte au sein d’une meute . Je veux être vif. C’est dit. Je veux être coriace, voilà qui est dit. Je veux être ici celui -là qui charge à tout  va et cherche sa voie dans cette rage à être présent, soit le présent, le temps présent, et le présent soit l’offrande déposée au pied de la roche. Je suis l’être mouvant = meuble . A toi à moi ! voilà de quoio dire ! et moi itou y vais chargeant la mule ou le mulet pour une aventure «de poids» soit icelle aventure à même la pa roi des morts, des morts-nés, des morts-vivants, des morts de ta rage à être le malodorant, malmis, malfichu, malconnu, malembouti, malêtre. Je commande : kje commence. Ici nous sommes deux, c’est à dire qu’icvi il y a moi qui suis cet homme des parois toutes menaçantes, et ensuite lui (ou elle) qui est pour le coup cet être de foi (en la mort pour soi) qui est cet animal de bonne compagnie (ou pas : selon) qui obtempère en moi, dit sa cghose via la chose d’un tic tac de base et s’en excusepresque. qui connait tout ça ? qui sait ce qui est ? qui connait les choses du mal ? qui peut m’aider à m’y retrouver sans trop de soucis et sans trop de peurs ou d’effroi ? qui est qui pour moi ? Je cherche à dire des choses de poids mais ces choses ne s’imposent pas qui glissent sur :la base meuble des dires divers. Je comprends mille chose. Je suis à m^$eme de co:mprendre mille et une cghoses c’est un fait mais bon, pourquoi se passer ... d’une petite sieste, et relacher tout?  ou plutot : pourquoi ne pas relaxcher un tout dsans une sorte de ... sieste de base, ici et là, yeux fermés pour la gouvernance, et on laisse à soi venir les paroles de poids si tant est. HJe croiqse les doigts pour cela, car j’aimerais. Je serais fou de joie de pouvoir tracer que tu traceras sans trop être là en tant que moi qui plombe, écrase, obstrue le passage . Fi de moi et gaiement filons à même la la,nde ! une bonne sieste au pied des tourments, nacrés, étoilés, etc. je veux être l’être hors de moi, et cet être (l’animal) lui «tendre la perche» et lui donner voix au chapitre et que l’être parle ou parlât à ma place , ouiiiiiiii ! oh oui je veux ça ! que ça ou cela que ! en vérité ! car oui, jhe suis celui-là qui cherche, qui tourne que rtu tourneras, qui fouille, qui comprends, qui veut, qui va, qui tourneboule dans son pré carré et de prédilection. Qui est avec moi pour l’occasion  ? qui me suit qui m’aime ? hum, peu = pas grand-monde, on voit ça.Et pourquoi cela ? car, mon parler déraille grave, ou : poarce que mon phrasé , musicalement, incidemment, n’a pas de charme et tombe à plkat à tout va ? parce que je suis je ? parce que que ma voix est celle d’uyn rat ? d’un mulet ? qsui veut de moi à la vbonne heure ? on voit que ;les choses sont là que donc cette xchose , comme quoi personne etc ne veut de moi quelle tristesse (pour moi : rien que pour moi, dès lors....). Car, qui dit «soi» dit «roi» de même. Il s’agit xd’une sortye d’échancrure à même la paroi du temps. reprenons nos esprits, essayons d’éclaircir les données sommaires, soyons concentrés. nous voyons ici que des choses sont qui nous rezgardent. Nous voyons icvi que des choses de poids (ici et là) sont qui nous regardent. Nous pensons à une chose et une autre advient dans un déroulé temporel qui conditionne et à chaque fois éloigne. Les propos sont caracolants comme des roues toutes motrices, c’ewst ainsi et cela nous sied qui nous en accommodons par la ban,de. Nous sommes nantis d’une langue svelte. Notre ombre nous suit, et  c ette ombre est la parole de guingois dans notre bouche (une saleté d’étoupe à moudre) .Je sais comme quoi les chosex (de la vie et de la mort) vont bon train. Je comprends cette chose d’un parler urbain, posément gagné, dépourvu de vérités ancrées mais cependant la ramenant, la ramenant à tout va et à tout bout de champ comme des muletiers.. hje sais cette xchose d’un dire de tête,  fort, fort en thème excessivement et volontiers, etcx. Ces dires sont ceux qui se passent (on dirait) de rage, à première vue et sans creuser? or non ! tout dire est nanti (à la base) de rage !tout est dire de sa rage vive, ou plutot : tout dire est dire de sa rage drue et dure et vive colmmme la couleur. je tombe sur des mots de moi rapidesq. je comprends ce qui se trame vite fait. je déboîte au débotté et concède les données qui sont les miennes. je suis un homme des parois dures. Une femme douce à toucher. Un homme rude à co:mprendre de fait. une femme rugueuse

, une arme, une drôle de paroisienne, chevaline, un cheval, une ombre. Je suis ombre-homme et femme juste. Je caresse des espoirs ou comment autrement ? je dis que je suis ceci, je dis icvi que je suis celui-là qui cherche.

 Je tombe à la renverse, en arrrière =. Je dis que je tombe ici :même co=mme à la renverse = comme en arrière et vois défiler le Verbe. Le Verbe est donnée de rage, est donnée de base, est cette donnée en soi (don par la bande) d’un quelqconque ou d’un quelqu’un en soi ou de qui en soi ou quoi en soi-meme qui sait et que sait-il ? dieu de face. que sait il ? qui est il qui sait ? je ne sais qui est qui ici en c ette chose d’une sorte d’abri. Je cherche à comprendre depuis le début mais quel est-il ? où est cette chose d’un début de quelque chose en soi ? qsui pour dire cette cjhose ici ? qui va dire ici cette chgose d’(un début pour des données franches ? squi pour dire cette chose ici d’une sorte de commùencements (lesquels ?) qui seraient du Verbe, qui seraient Verbe, qui d’icci ? je vois près de moi une chose ramenée. Il s’agit d’une chose perklière. Je vois ici la chose déposée. déposée par la ma rée. je vois ici pareille chose ramenée par une vague oblongue. il s’agit d’une coque perlière. Je syuis homme des parois du monde passagher. Mon corps va p âsser. le corps passe. tout passe et trépasse. Tout va qui passe et trépasse. qui de quoi dit la chose en vrac ? je suis cette personne à mon tour oblongue. Je tombe des nues à la renverse;, poussé pzar la mort e,n personne. Je veux savoir quoi , quoi est qui m’atteznd?. JHe suis homme des parois rudes, dures de la chose en soi, parois du dur de la chose rude, qui est chose 

des tourments qui sont choses des dires du monde. Je veux déposer à mon tour : ici paroi, comme une sorte de pierre d’offrande à , de fait, formaliser. Je vois loin les choses du monde. Ici sont lointaines, les choses du monde. ici lointzaines sont les choses. Ici bas sont lointaines les  chosesq. Ici sont b asses et bas les chopses du monde. les choses du monde ici sont bien basses qui se laissent «penser», hourra ! Ici basses sont qsui se laissent

 «penser» les  choses euréka ? jhe suis ombre-homme devenu cheval. Mon cri est l’ébrouement et ... le cri dit «de hjoie». le cheval hennit, la pôule caquète, l’homme pense tout haut et volète. je suis l’ombre de mpoi même, je trafique dans la matière. je veux être menaçant, colère entière, un qui vaut deux dans le genre (c’est dit). Je veux être ici l’homme)-chercheur de base, celui-là qui depuis lui (son coeur-antre) cherche phrasé à la hauteur cdes vérités ancrées mais ce n’erst pas simmple, et le dire ment continuelklement qui est temporel et se doit de fait de pour le coup se dépl:oyer cvomme u,ne  vérité étirée qui dirait son être comme à la cxdérobée mais vas-y. La vérité dite «étirée» n’est pas la vérité mais «l’étirée» de rage, rien de plus. La penséedéployée fait rire au)-delà de là. la pensée (aussi bien le dire) fait bien rire au-delà de l’au delà, c’est dire ! à gorge déployée fait rire  c’est dire ! une belle  tranche de rire ! une de ces tranches que je te dis pas ! etc, c’est dire ! une belle tranche comme quoi...  etc ! c’est dire ! je ris ! je ris de plus belkle ! m’esclaffe tardi c’est un fait ! La pensée déployée c’’st du rire en soi ! c’ewst dire la cxgose ! Penser -= s’étaler de tout son long sur terre-mère ! Penser ou dire (dans le temps dès lors) = s’étaler comme  une sombre merde sur le sol d’une sorte de parade à être vivant. je vois la chose ainsi qui s’étale (de tout son long) sur un sol de grève, c’est un fait indubitablement avéré. Je pose sur moi la

 parade. je pose sur moi (mental case) la parade = en moi, en mon sein. je cherche. je m’esclaffe idéalement de même. Je veux m’assoupir et laisser venir diablotin. cfomment faire ici pour aller plus loin et essayer d’y comprendre plus et plus encore dans ce sas de la rage à êttre ou de la rage d’être  cet hommme de feu, de peu, de meu, etc. cela est qui me concerne : mon ton son nos voleurs. je sui s cet homme là qui cherche une voie par le langage ou plutôt dans le langage = un accès vers un, semblant de dire non hautaibn. Je voudrtais co:mptendre àfond les choses de cela ici qui coince ou coinceraitUne voie dans le langage, non pas ma voix mais une voie d’abord = un abord veineux. perfusion. prise de sang. je veux cette chose (dabord) d’une sorte d’accès de type abord veineux pour une perfusion (ou prise de xsang ?°. Je suis l’infirmier de céans qui chercjhe, et squi cherche assidument ... dans le xsang, le xang des autres incidemment. A prése,nt dans son propre sang. Je chgerche vdans mon propre sang une chose. Je cherche une chose à présent dans mon propre sang. à présent je suis l:’homlme)-bête de joie qui (je) cxherche ici présentement (suite logique) une chose de rage sanglklante (l(infirmier) à même sa rage./ je chercheche le présent (l’offrande) de ma propre rage présente dans un sang bestial. je suis  c et infirmier qui prélève sang de rage et sang de bete en soi, comme l’écume, l’onguent, la graisse, le vil écoulement ou non-vil écoulement de soi à typpe de quoi , de selle ? de’urine vive ? je t âche de co:mpfrendre au mieux. j’ai été cet infirmier qui préle vait le sang ...  à 

l’hôpital, et même au domicile (un temps ) des patients / patientes, petits / petites ou grands / grandes. Le sang est cvette  chose qui contient le Verbe vivant, le VErbe des bêtes de rage contenues en nous qui sommes v ivant et aussi des vivants ou vivantes sur terre. Je sais que la bete pour le coup m’habite dans le sang qui, en moi, vit sa vit de vERbe. je veux dès lors ici dire ceci : comme quoi le xang = la bête des prés qui  me suit paretout puisqu’elle cvit en moi qui suis le réceptacle de sa vie vive. Je suis co;:lère à partir d’elle. Mon cri est son cri. Je suis pour elle contenant. je veux la co:mprendre c’est à dire que je veux coûte que coûte comprendre la b ête en cela qu’elle est ou szrait pour moi une voie d’abord. un accès possible pour une aprrochje possibv;e. je cgherche à comprendre en moi ce que cette bête est. Je cveux au mieux , au plus, au plus vite, comprendre, savoir, etre, dire ici ce qui est de  cette bêzte rosse ou pas , en moi, qui sent sa p^résencxe. cette bpête en moi esrt bete de jhoie dure, rude etv rugueuse, qui en moi toujoures sr’époumone, est colère, ire de joie, ire vive, ire prononcée, ire velue, ire commandant, ire disant la bonne aventure d’une vie-mort à dépl;oyer, incidemment, dans le temps. Le temps est hors. le temps (vraiment) est hors? il est or, et hors. le temps est hors, et nous de dépl;oyer nos choses du ,monde, cdans un déroulé qui mime le temps de par sa cxhose douceureuse ou pas, de par ses attributs de rage à dire, de par son velouté de base animal, de par sa faconde coutumière. ici bassse, ici bas. La roue tourne. Le soleil se lève à l’est. on voit la parole lointaine qui menace. On voit la rage monter. les mots caracolent de première. on sent venir le mal de la douleur à naitre. Il est  cette cghose ici à comprendre fissa par la bande, et cette chose est rude comme la justrice, fine

 fleur de la manche, des branches votives, etc. IL s’agit toujours de la parole meuble, toujours essentiellement déplacée, toujours essentieelement reportée, prolongée, étirée

, dépl;issée comme une fibre. je cherche en mpi-même à bien  cernezr  ce qui est qui se présente sous mes yzeux mùais ce n’est pas simple, cela n’est pas simple du tout ccar je suis mourant et dès lors je risque gros qui peux défaillir d’un moment à l’autre. Je sais cettye chose pertinemment. je sais que mon compte est bon et bien rempli sur cette question d’un dire hautain de naissance, dire de langue autoritairement présxente dans le sas (sas des sas), et voilà pourquoi je  tends toujours à vouloir m’excuser de dire, de parler, d’ouvrir la boite aux dires divers. jE suis autre que je bbveux être hélas. je voudrais tant être différent et parler malin = parler bien = parler reconnu = parler adoubé par la bande paysagère (les malins de rage : ceux / celles qui savent percevoir idoine). je sens cette chose approcher mais pas encore là pour moi, hélas, car mon mérite est grand qui se vautre. Je voudrais co=mprendre ce qui est ici, dee grâce, et comment cela sinon en parlant (ici) à mon tour, des choses qui comptent. D’où .... mon envie de tzenir continument le jhournal de ma féerie, journal

 (journaaux) de type un tantinet (oui-da ?) ésotérico-placide, qui puisse (et puissent) me donbner du grain à moudtre. je cherche un temps de bataille. mon souci prégnant est de chercher ici (le temps) l’enxdroit pour déployer (et où d»ééployer) toute cette chose amoncelée en termes de betes à rega rder, à toucher dyuu regard, etc. La bete a en mpoi sa place à présent consacxrée mais qui reste à situer. je cherchje en mpoi (de moi) où donc la bùete est logée et cezla (cette recherche) est à mener avec sériuex et tact. je ne veux pas déranger la bête. Je veux lui parler calmement et sans l’effrayer. je veux qu’elle sache de mpoi toute la bvienveillance qui est en mpoi à son égard, qui m’habite comme elle (la bête) m’habite. Je regarde deva<nt moi, et je vois la chose se présenter, soit la Chose qui, vue de près, c’est sûr, en impose, c’est frappant. Je sais que cette Chose sort de moi qui la contenait malgré moi. La Chose porte un nom qui reste à décghiffrer , d’où mes écritures. ça viendra. La Chose est vive, elle vit, on sait cela comme quoi la Chose est vibvante, n’est pas morte malghré les apparences. C’est-à-dire que la Chose (la :mort en vérité) n’est pas (elle, pour le coup) morte comme on pourrait (parfois) le penser ou  s’y attendre. La mort porte un nom en p^lus de «la mort» on l’a compris. donc , on peut dire ici que la mort a (ou porte) deux noms en quelque sorte. La mort a pour nom : la mort. mais la mort porte un autre nom. la mort porte ce nom commun dit «la mort» ou «de la mort», mais la mort porte un autrte nom. ce nom eswt à venir. c’est à dire que le nom de la mort , ou l’autre nom de la mort, n’est pas encore là, il est à venir, il est là-bas pour ainsi dire, au bout de la phrase. le nom de la mort est logé à la fin de la phrase, vient en bout de phrase. L’auttre nom que porte la mort, en plus de ce nom (commun) qui la’identifie, est ce nom de bout de phrase, de bout du bout de la parole dite. La mort porte un nom commun (la mort) et un nom propre, qui est celui -là précisement qui se love en bout de phrase comme le point qui ferme ou fermera un dire sur une page. mais pour le coup ici le point serait (sera) définiitif. Le point ici serait l’image de la mort . un point égalerait la mort, et dirait son autre patronyme ou son vrai patronyme, ou son vrai nom, ou le nom vrai qui est le sien, et pas seulement ces mots communs qui disent «la mort» à la place. Je comprends des choses en disant mais eznfin pas tant. car l’essentiel se lloge en bout . L’essentiel des dires d’intéret commmun et crucial, est logé en bout de phrase. On voit ça. Disons qu’on voit ça de loin. les choses justes et vraies à propos de la vie et de la mort ne se laissent pas, de fait, cdéployer si vite, elles  nécessitent bien le dép;loiement c’est un fait, mais elles cherchent toujours à se p^lacer en bout de course, elles vont toujours à trouver place au fin fond des fins fonds du fin fond des fins fonds du fin fond des fins fonds du fin fond des fin fond du fin fond des fins fonds des choses, c’’rst à dire 

des pensées parlées. La chose est à comprtendre ainsi. La mort porte un  nom commmun (celui là notifié dan s le dictionnaire, au coeur de la langue = la langue) et un nom qui n’est pas commun, qui est propre (en propre) et ce nom propre ... n’’st pas dans le dictionnaire. Ce nom, qui n’est pas dans le dictioonnaire, se place toujours, iincidemment, en, bout de course. il n’apparait pas tout à trac. Il est fuyant, il file à l’anglaise ou sinon quoi ? il va au plus lointain des lointains des bouts de pbhrase. On peut ainsi dire ou affirmer  cette cghose, comme quoi la vérité sans temps pour la formukler n’esxiste pas (1) et (2) que la vérité arrive toujours «au bout de la phrase» soit en fin de course. or l;a phrase n’est jamais finie qui se perpétue continuellement et ne cxède pas. la pbhrase est infinie. aiinsi, on peut agffirmer, aussi, cette chose, cvomme quoi le (vrai .?) nom donnée à la mort (par qui ?????????????) n’est pas pour demain. à savoir. n’est pas pour nous pour demain à savoir. le vrai nom de la mort : c’est pas pour demain qu’on saura. c’est pas demain la veille qu’on saura ce que c’est que le dit «vrai nom» donné, on sait pas par qui, de la mort. C’est pas encore pour demain qu’on va savoir en vrai ce qu’est le vrai nom de la mort en plus de son nom commun. on aimerait savoir ce que c’est en vérité que le (vrai?) nom donné (par qui ?) de la mort : quel est-il ? eswt)-il (déjà ) connu de nous ? saurions-nous le prononcer (de quelle langue vient-il ou provient-il ?) etc: alors ? Nous pensons que la chose eswt d’importance, oui. Nous pensons en effet que la queswtion est une question d’importance, c’est indubitable. Nous sommes plusieurs à penser que en effet la chose est de poidfs . Le vrai (?) nom donné à la mort. parce que l:a mort aurait son petit nom. le nom de famille en vérité. un nom de famille, quoi. ou commùent ? il s’agirait de trouver un nom qui lui serait donné ou lui aurait été donné en propre, comme un nom (ailleurs) de famille. Oui. Il se  pourraiot que ça soit ça. oui en vérité, fort à parier. On pourrait en effet penser cette chose. il se pourrait en effet que ce soit ça en vérité que nous devons penser. il se 

peut grandement qu’en effet, la chose à penser, indubitablement, soit cette chose-lkà, comme quoi la mort est appelée commmunément la mort, mais qu’elle porte (en fait : 

portera) un autre nom à un moment donné, et ce nom sera celui porté par qui, par qui ici, par qui vous savez . par qui la mort, par qui ici ? qui porte ici le nom que portera la mort un jour ? qui ici porte nom, que demain portera la mort ? qsui ici porte nom que demain portera ? qui porte ici que portera demain ? qui porte que portera ? porte que portera : porte que portera : on se le demande. on est nomb reux / nombreuses à se le de=mander. on est loin d’être seul et seule à se le deamander. nous sommes une tripottée, toute une chiée, à nous le cdemander. Nous sommes une chiée à nous le demander ici et là.

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2/2/2022 

Je suis celui-là qui voit, au loin, une ombre sur une paroi . Je suis celui-là qui voit au loin. Qui regarde ce qui est qui se présente. Je suis l’homme-bête de céans. Je vais et je viens nonchalamment et regarde au loin ce qui s’y trame de notoire et que vois-je ? une chose perlé ? une sorte de bonnet de dame ? catafalque ? une donnée de base et si oui lzaquelle ? je suis homme-animal de rage et en avance ainsi de mon pas lourd sur terre meuble. De quoi s’agit-il ? d’une sorte de donnée qui serait déposée à même mlza pierre tombale ou pierre d’offrande. On sait les choses qui se substituent et cependant que sait-on au juste ? Nous parlons d’une pierre d’offrande, nous disons la bonne aventure, nous fouilllons dans les profondeurs de la mémoire, nous voulons gravir des échelons comme dans la transe. Ce que je vois est ce que je crois. Ce que je crois est ce que je vois. Je suis l’animal de ce ces lieux, je vais et je viens comme transi de froid. Je suis la bete en moi contenue et je vais ainsi, bon an mal an  à travers la lande (il s’agit d’une vie) à kla recherche d’une cl. Cette clé est celle qui ouvre les portes d’un domaine oparticulier. Je vois devant moi des ombres danser et ces ombres ont des noms, des noms déposés. JKe suis l’homme des parois de roche (de néanderthal»?) mais pas seulement , je suis celui-ci qui de fait comprend et de ce fait prend, à lui, ou avec lui, ou en lui, ou contre lui, ou par lui, etc, des choses de lza roche dure (ce temps imparti) qui sont choses d’un monde ici adjacent au notre. je regarde dans les lointains . je suis l’homme au regard appuyé qui fonce et va au loin cerner ou pour cerner des choses de base et autres données premières, c’est-à-dire de la vie et de la mort . Je suis l’hommbête (bi) chargeant de toute sa faconde un chenal, un sentier, un passage, chargeant passage, chargeant vivement ce passage effilé pour une entrée dans la matière vive de ce Verbe pourchassé. Je file à l’anglaise(comme toujours). Je vais vif sur roche à la recherche d’une clé qui ouvrira «la porte du Verbe». Je vois devant moi des «effluves» ou qu’est-ce ? Je sais ce qui est, il s’agit de choses brumeuses, de choses un tout petit peu floues et cependant réelles comme (on dirait) la nuit, le jour ou autres méfaits. Je suis homme tombé. Je suis cet homme-bête cherchant clé dans l’herbe (cheval) ou bien ... dans les branches de l’arbre, ou de l’arbuste (antilope?), et me voilà qui fonce droit devant (effilé) vers un azur, une roche, un trait, un passage, un mot de ta rage, une vibration, un cri, un christ (?) etc, qui seront pour moi matière à penser, à penser mes plaies, ou bien matière à) comprendre le pourquoi du comment j’ai pu, un jour, tomber si bas et y rester en vrai un temps long tout compte fait. Je cherche dans ma mémoire. Je suis celui qui cherche dans sa mémoire des données de base, données rudes, données dures, données rugueuses et rageuses (?) on dirait. Je cherche au plus profond de moi même», cette choseici d’une sorte de donnée vive, qui est donnée de base de la vie sur terre. Une clé ? oui ! musicale ? peut-être bien en vérité. Dès lors on voit ici que la recherche est loin (bien loin) d’être vaine. Il s’agit d’une recherche de tous les instants (bloc de rage) qui se pose là comme une offrande ou sorte d'offrande au dieu (oui ?) de la mort ... à l’oeuvre en ces bases. Je pense = je suis = je vais = je vois = je sens = je pue = je meurs = je tombe = j’entre = je monte = je suis. Mon coeur est le coeur d’une ombre portée, une ombre soulevée. j’avance ainsi comme soupesé et quoi je vaux de plus ? je suis l’ombre d’un devant de soi qui demande à être jaugé (jugé) par la bande ici langagière d’une confrérie experte. De quoi je me mê$

le ? là est la question ! De quoi mon nom est-il l’attribut ? là est l’autre question ici salutaire . Je veux comprendre ce qui est et pour ce faire je m’avance à cru, vif comme un éclair, doux comme une bête à laine, chargé comme un mulet des basses oeuvres, donneur de choses et autres comme à la dérobée, etc. Je tombe nez à nez avec icelle clé qui m’attendait . De quoi s’agit-il ? Il s’agit d’une sorte de donnée de base, une sorte de donnée 

de base rude, une sorte de donnée de base changeante, peut-être (=fluide ?), qyui se donne ainsi à mon regard. Je vois le clé dans sa brillance illuminatrice. Il s’agit d’une clé des champs, d’une clé de basse maneuvre, d’une clé acidulée dans ses couleurs, etc. Je veux savoir : qui parle en mon nom , et de quoi la clé est-elle le fait ? Je veux comprendre ici plus plus qu’aillezurs car l’endroit s’y prête. Je suis homme qui va direct vers un verbe de voix, de voix dure, je vois ce qui est devant moi, il s’agit d’une ommbre portée sur un devant de soi en forme de clé. Je veux ! je ne suis pas en reste de vouloir ! je veux de cette clé de base. Je veux toucher ! Je veux croire en elle. Je veux que cette clé m’ouvrât des portes de base, m’ouvrât grand les portes d’une entrée vers l’au-delà de la base rude, je veux de cette ouverture . Il s’agit pour moi d’une entrée dans la matière de la vie venue pour me consolider pour ainsi dire dans le Verbe. Je tombe sur elle (clé) à la renverse et je vois en elle les pouvoirs (nombreux) octroyés par (de fait) la bande langagière. Je vois ces pouvoirs de près, je suis à côté, je me loge tout p^rès d’elle, je suis l’ombre d’elle ou comment ? un double dessiné par ... un homme ou une femme des cavernes ? clé de rage comme de coutume ? cheval valant val ? qui suis-je ? un cheval valant pour deux ? une cantinière ? je file à tout va vers ma destinée, destinée de rage (rage de ma ragee) et ainsi faisant je cours à ma ruine, ou alors : je cours à mon succès de base ? Je cours vers une destinée qui est celle de la base, ou alors : je cours fissa vers une clé d’ouverture prompte, ou sinon commment ? Je cherchje à comprendre ici et là au plus juste ce qui est qui se «développe» à façon devant moi et se montrte ainsi (sculpture ?) comme une effigie grandeur nature . Clé de base = clé de sol = clé musicale = cxlé d’ouverture prompte = clé d’ouverture facile = clé d’ouverture vive et facilitée. je veux savoir le plus d’une chose que je vois, je veux savoir le plus-plus de cette chose, devant moi, que je vois, et ce que je vois, c’est cela : une clé d’ouverture vive (vivante) = une oeuvre de chair : cheval ? cheval valant pour val ? paysage des confréries ? saturnales ? Je cherchje à comprendre au mieux ce qui qui devant moi parade de guingois mais cependant se prête il semblerait à une étude (une étude sérieuse) de  cas. Je veux comprendre les données de base, les données franches = la Vérité sous toutes ses formes, de la plus informe à la plus structurée peu importe, toute la vérité. jesuis l’homme-bete des Temps reculés, cet aurignacien qui monte, ce magdalénien de force, ce solutréen de bas-âge, etc. LMon corps est donné devant, est la donnée, la donne et le don. Mon corps se donne devant. Mon corps sort de soi et se donne devant comme la donne de bas-âge. MOn corps est cette donne d’un devant de soi en âges divers. Mon corps à tout âge se donne devant comme une offrande ici vouée à êttre acceptée. Mon corps est le corps donné devant soi à une rage bue. Mon corps est une offrande déposée à même la pierre tombale marquée. Mon corps est ce corps en vrai donné de base à une sorte d'entité dénommée x ou dénommée f ou dénommée y. jE cherche à comprendre ce qui est de ce corps de rage (et de base) déposé )à même la pierre d’eoffrande : qui est-il ? Je veux savoir et que l’on me dise, que les choses soient connues, que la Chose en elle-même soit connue de moi, que la Chose en elle-même soit connue au plus de ce que ça puisse être pour la compagnie (la nottre , l’évangélisée). JE cherche ! Je veux ça ! Je veux savoir ! Je veux savoir vif ! je ne veux pas être en reste de savoirr ! Je veux comprendre au plus juste ce qui est qui est, et aussi ce qui n’est pas qui n’’st pas ou qui n’est jamais, car je suis ce chercheur cheval de ma rage aboutie, de pareille rage corporéifiée de base à la naissance. mon coeur est mis à nu par mon corps tombé. ma voix est celle d’une sorte de donnée de base. il s’agit de savoir et de comprendre : qui est là (devant soi) qui nous «tend des bras» , qui ? le savons-nous ? le saurons-nous ? saurons-nous qui ? qsui est là qui nous regarde et file fissa, dans un sas de contrbande ... ou de quoi ? je cherche assidument, muni d’un verbe de rage, celui-là qu’il m’a été donné à la naissance, verbe des prairies, des prés d»herbe, des champs récoltés, des natures vertes, tendres, jeunes, afiliées à une confrérie bienveillante, etc. Je veux comprendre ce qui est au mieux . De quoi est-il question en cette lande ? Qui saura me donner des choses de poids à mâcher ? qui saura m’indiquer la voie à suivre sans se tromper ? je veux savoir ce qui est ! je veux savoir ce qui est ! je veux savoir au plus de ce qui est ce qui est ! je veux en savoir long et large et ne pas succomber ! je v eux comprtendre long et large et toucher à la vérité ... des choses du mùonde ! qui suisje en ce b as monde sinon ceelui làqui, s’ébrouant (chevalin ?) dit la vérité de sa rage-race! Je regarde près de moi et je vois se profiler des ombres qui toutes dessinent sur les pareois du monde des choses à comprendre pour le coup fissa. Je vois sur  ces parois x choses qui sembleznt quoi , des rois et des reines ? Je vois des chose dessinées qui semblent des reines, des rois, vazlets de coeur, charge animalière, verbe hautain. Je tombve. Je suis tombé. Je vois x et x choses dessinées sur roche devant moi et je comprends (vite fait) qu’il s’agit d’ombres portées, de traces votives, cris d’incantation primaire, de chaleur de rut, de montée en flèche dans les cheminées, etc. Je vois devant moi l’ouverture tant recherchée. Je sais que la clé est clé d’ouverture prompte, c’est déjà ça ! je sais que cette clé est la clé des ombres, des cavalcades et autres fêtes de joie. Je veux aller loin dans la parade, je veux loin aller dans la parade, je veux dans la parade aller loin. Qui pourra me donner sa main et m’aider à traverser la roche du temps ? qui voudra me donner sa mzain et m’aider à traverser la roche des temps ? qui saura me donner sa main et m’aider tantôt à traverser la roche des temps ? qui m’aidera tantôt à traverser la roche du TEmps ? qui saura me donner sa main et m’aider à traverser la roche des temps alloués à une sorte de gouverne comme la mienne ? Qui voudra bien m’aider à toucher lka roche des temps ? qui voudrza-pourra bien me donner 

à pouvoir toucher, à) pouvoir toucher la roche du temps ? QUi ? je cherchje désespéremment et qui vient ? nul au loin ne montre de visage bienveillant, pourqyuoi? La chose est rude, la chose est cvomme un coup du sort. Je veux comprendre et toucher à la chose crûment , le plus possible si tant est, et ce faisant courir au loin dans les allées du temps,  soit du temps imparti à une vie comme est la mienne (comme toute vie). Je vois une chose se profiler : il s’agit d’un homme . Il est plutot grand, fin (effilé) comme un passdage ou comme une entrée (étroite) dans une demeure de grâce. Je vois cet homme devant moi se profiler. Je vois devant moi un homme aller, se pointer, montrer le bout de son nez, dire et montrer, dire et pointer du doigt, dire avec sa voix de rage ce qsui est et  ce qui n’est pas (de la vie et de la mort de base = ici-bas) . Cet homme porte un  nom de rage,, nom donné pa r la bande ... d’une confrérie animzalière. Il s’agit d’un nom de tribu. Il s’agit d’un nom rare. Il s’agit d’un nom acté comme une barre. Il s’agit d’un nom de paroi. Il s’agit d’un nom octroyé par la bande-barre animale d’un passage en biais dans (à l’intérieur de) la lande. QUi donc est cet homme des bois . qui est donc cet homme des effluves ? qui donc est cet homme des voix toutes perçues à la gzaillarde ? qui chante en lui le «chant musical des sphères» ? squi chante en lui la bête primaire ? quelle bête en lui en fait le siège ? qui est cet homme animalier ? ce cheval, ce cheval de soi ? ce cheval, ce chevazl d’un passage étroit ? ce chien ? ce chien des tribus lointaines (da,ns le temps et dans l’espace) ? qsui est-il ? je cherche son  nom à même la paroi du temps, car son nom est incrusté en elle commùe dessin d’aurochs ou de bison sur la paroi cachée d’une grotte des temps derniers. Nous devons comprendre, nous devons comprendre au plus loin des tempsq. Notre but est de cerner au mieux les différentes parades. QSue sont-elles pour soi et pour un ensemble de personnes regroupées dans une sorte de tribu de charge ? Que sont elles ? Nous cherchons au débotté. Nous cherchons attablés, nous cherchons à table, nous cherchons des noms. Le saint suaire est peutêtre ... l’un des leurs. La peine est bue tout entière à même la coupe et ne se laisse en rien distraire . JE 

veux savoir vif car je suuis vif ! Je veux savoir loin car je suis lointain ou comùment ? Mon corps se prête à des commentaires ou à subir des commentaires injurieux, peut-être. Qui va là, dans le sens des voix salutaires ? qui veut ma mort ? qui donc veut ma mort ? qui veut ma mort ? qui donc veut ma mort ? qui veut ma mort en ce chemin de joie ?. Qui donc veut ma mort en  c e chemin de joie, de joie monacale ? Je l’ignore ! mon coeur suit

 sqa chamade irisée c’est un fait, mais le coeur seul ne suffit pas à combler de joie ma gouverne, il y faut du temps, de l’allure vive dans le temps ici d’un débotté ou d’un débraillé de première. Je suis homme vif cherchant sa peine intègre sur piste temporelle, son nom (mon nom) est celui-là même que vous ignorez. Je veux comprendre au loin les données sommaires, les données encagées, les données qui sont liées à des noms donnés. QSue sont ces données et que sont ces noms ? nous devons comprendre dans la profondeur ce qui est qui nous observe. Nous devons dans la profondeur comprendre au mieux ce qui est qui nous observe, et ce qui est qui nous observe porte un nom, ce nom est le nom que nous donnons, aux choses du monde, pazr la bande , à savoir : a, b, c, d, e, f ... choses d’un monde à percer en son mystère. Je vois loin car mes yeux (de voeu) portent loin. Je vois loin car mes yeux sont ceux qui portent loin en la matière : voeu pieu. Je suis homme d’un courage extrème quoiqu’insuffisant! cazr quoi ? car je suis meurtri (par la bande) en ma chair d’homme bi : mi-cheval de course (ou canasson planplan) mi homme en herbe (ou monsieur de rage) : qui ? je sais ce qui est en cette chose ici d’une donn»ée de rage, et cependant ... que dire d’autre que le nom donnée à pareille entité, de ma rage douce), et quel ? qui est qui ? qui sait ? qui veut dire ce qu’il sait ? je cherche l’endroit où pouvoir me poser un temps et souffler. Je respire profondéme,nt, je suis l’homme des respirations profondes. Je suis l’homme des données rageuses, quyi file fissadans la lande comme cheval lancé à bride abbaatue. Je veux comprtendre les données présidant l’épopeé d’une course dans les prés. Je suis un homme en herbe : luzerne ? peut-être. Sinon comment ? corps , corps de dieu, corps, corps déposé, corps, corps mort, corps mort déposé. Je suis l’ombre de moi-même, un cheval lancé comme à bride abattue à travers la lande et qui dfile vitesse grand v comme un dé raté de ta race princière. Cher Tout, qui est tu ? qsui es tu pour moi cher Tout ? peux tu me dire qui tu es ? peux tu révéler cela ? peux tu être pour moi un être de ... révélation directe ? comment t’appelles-tu ? quel est toon nom misère ? quelle est cette chose ? qui sait ? comment te nommes-tu petit sacripan ? comment es-tu venu jusqu’à nbous, c’est-à-dire par (ou à travers) quel passage dans la 

roche du devant de soi (temps intégral) ? commùênt as-tu fait pour traverser le temps et arriver de fait jusqu’à notre demeure des joies et peines ? qui es-tu anilmal ? qui estu chacal ou cheval ou comment ? qui es-tu pour nous qui t’attendions de pied ferme ? Notre volonté ici est de comprendre ce qui est de cette chose d’une entrée dans la matière. NOus voulons comprendre ensemble (= toi et moi) ce qui est ici en cette chgose d’une entrée dans la matière ... du Verbe fol, de ce verbe octroyé (fissa) par la bande et s’écoulant comme de juste, en ce réduit , en ce récipient, en ce conduit, en cette buse, en ce puits déployé, en ce trou de base terrestre. Nous pensons qsue Dieu est ZAmour de base rustre, malcommode et incommo

dé car gêné. qui est ce dieu de la rage meuble ? qui estil ? Nous avons à nous (avec nous) l’aide d’une mère, d’un père, d’une soeur, d’un frère, et le tout forme tribu (tribunal ?) qui est celle qui est , à nos yeux, celle qui plombe et pèse, porte et soupèse, conduit ett s’encolère après nos dires ou faits divers. je cherche une voie parmi celles qui s’offrent à moi. Je veux savoir loin car mon nom prête à savoir loin. Je veux comprendre à vif, comprendre vidf, cvomprtendre le plus qu’il m’est possible de comprendre en  ce chemin de terre qui, chemin de vie, porte et contient. Je suishomme-animal de base. JE vais et je viens sur un chemin pentu qui est ce chemin vif des choses rudes à devoir déposer. Je ne cherche pas à me défiler, je chgerche à me présenter commùe il se doit. CVomme il est de coutume et cvomme je me dois. Non que je ne puisse pas car il est tentant de s’extraire, mais non ! restons accroché ! collons au palier, collons sur terre ! soyons scotchés ! je suis homme de la terree et des prés. Je suis homme chien oou chienne, cheval ou jument, homme-bête des temps reculés ... d’où je viens. Je ne veux plus connaittre kles anciennes choses des temps menaçants mais seulement les toutes nouvelles et plutot seyantes, les qui m’iront bien pour ainsi dire, etc. Mon corps est ici déposé comme un canasson tombé à la guerre. Je tombe à mon tour, où ça ? dans le verbe, et, comment s’en relever ? par la grâce du temps imparti, celui-là mêlme qui dit ce qui est, sans faux-sembvlant (ou du moins si oui , ici minimisés par la bande du dire) . je ne pe,nse pas de fait à la mort comme à une ouverture langagière mais je pense à la mort comme à une fermeture (fermeture à l’iris) du parcours de rage verbal, etc. Les mots sont en force là qsui font barrage à quoi, )à la mort de ta race brute, à pareille entité sacrée. Les mots chargent qui repoussent l’assaillant . Les mots sont en masse qui poussent = repoussent l’être malfaisant dont le nom est Mort ... comme un mort. Je veux repousser les assauts par du verbe ! Je veux repousser des assauts ! kles assauts ! par du verbe fol, comme enguirlandé, vif l’éclair, cheval dessiné, aurochs aussi, toute une confrèrie de bêtes rameutés comme à foison par l’homme (que je suis ou serais) des temps reculés. Mon  nom se prête à mille interprétations, ici même ou bien plus loin, sur la lande. Je suis homme des plis, hommes des abris, homme-chien ou cheval de kla magie, etc. Qui suiis je que je ne sais pas ? qui me dira le pôt aux roses ? qui saura m’indiquer la voie du passage béat ? Je trembkle ! je veux savoir ! Jze veux comprendre ! je veux toucher ! je veux toucher et comprendre le ciel et ses diverses entités divines ! qui est qui dans un ciel de guerre ? qui parle pour qui ? qui dit le nom et se fait connaittre ? déclinez vos identités ! dites-nous tout ! dites -nous ce qui est ! dites-nous ce qui est ici qui nous regarde et qui se place de la sorte (face à nous) à bien pour le coup nous mater sous toutes nos coutures lâches , qui ? Je cherche à comprendre vif des données rugueuses. Hje sais cette cghose. Je sais pertinnement cettye chose ici, comme quoio la vie est misère d’un bout à l’autrte (oui) et va vers du pire nacré, et ensyuite ? ensyuite rien, le vide parfait, calmme pklat, calme et vérité. Je tombe, je suis tombé : voilà la vérité, ou sinon quoi ? Je vais et viens brutal dans la lande comme un cheval, je m’ébroue. Je cxherche à comprendre pareil ébrouement, qu’est-ce ? QSui me dira le fin mot de ma rage, de mes tourments ? qsui saura me dire ce qui est ici qui pèse sur moi et me regarde ? qui saura m’indiquer un chemin monacal de réserve où pouvoir aller ? qui pourra me donner du lest et faire en sorte que mon corpps sinon s’envole vif (oiseau des ciels) du moins s’élève comme une effigie, qui ? qui est qui pour dire «je» ? qui saura me dire ce qui est en moi qui surnage lorsque l’on me voit de pied en cap ? car, je ne suis pas moi (pas moimême c’est un fait, maisdavantage : pas moi tout court) . Je ne suis pas moi en cette lande. Je suis l’autre du chenal . je suis l’autre qui va et qui vient en pareille contrée. Je suis cet autre ici vivant sa bonne (belle) aventure vivace et comment sinon, piuuisque «je suis là». Puisque ma vie se déploie à même la lande des parois du termps, comment être autrement ? Je file à vitesse vive pour un dire monacal à déposer au pied de qyui de droit m’y encourage par la bande (un verbe de soi). Je ne pense plus à perdre le temps. Le ciel est sous mon ombre, sous moi comme une coupole, un trait de marque céleste couché. je veux savoir vif kles données premières, ce qu’elles sont pour moi qui file vif aussi, qui file à vif aussi et va loin en moi. Du moins espère. Je veux co:mprendre les données primaires et fouiller profond ma misère ... de paroi dure (celle du temps imparti à une vie comme est la mienne : n’importe laquelle). Je suis homme-bête de céans, je vais et je viens à travers la lande. Je m’appelle «sentiment» ou «tourment» ou «méchanceté de base» ou comment ? quel est le nom donné à la parole en herbe ? qui le sait ? je veux savoir ce qui est, je veux savoir ce qui se trame en pareille lande et en pareils prés à brouter par la bande. QSui suiis je que je ne sais ? qui je suis en dehors d’un nom donné , d’un minois de gouverne, d’une sorte de misère d’incantation quotidienne réelle», etc, qui ? l’ombre de moi-même ? le cheval d’arçon ? le piéton ? la poutre ? la corde à noeud  ? la balustre ? le tablier ? le cri de joie de la bête en moi ? une sorte d’épopée votive incantatoire ? qui suis-je que jke ne sais pas au fond de moi ? que je ne sais pas au fond de moi, et qui je suis au fond de mloi : les deux ! car, la vie va vite, va fissa -de son train arrière qui, bon vent, va loin et pousse que tu poussezras le mobile, pousse au cul fissa et vous envoie comme valdinguer de grâce, vif et vive ! vous envoie vif et vive en votre destinée, vos pas d’allant sur lande, cheval lancé, course à traverts kles prés

, rondes emberlificotés ou tout comme ! je suis homme des parois de rage, qui file fisza à traversz la lande comme un animal en cage c’est un fait. Mon coeur est encagé tout pareillement, le corps en son monde de peu et mon coeur en sa cage corporéifiée par la bande. Je suis homme vif des attraits, au coeur encagé on le sait, toutes voiles ouvertes et prenant le vent. mon coeur est pris d’assaut par un verbe animalier : trace dure d’une frange de bêtes assoiffées. Qui sont ces betes ? des betes qui ont soif de verbe ! Je tombe de moi-même , ou = je tombe de là = de moi-même ! vif ! pif ! comme une andouillette ! comme X, dit «l’andouille de ces lieux discrets» . je veux aller loin et combattre : repousser le

 chenapan de la mort à l’oeuvcre, car il est là (toujours) qui nous surveille ! qui est il ? il est celui-ci qui cherche à nous faire chuter, à nous faire taire, à n ous frapper, à nous placer lke nez à terre, à nous faire tomber par terre, à nous mettre à sac ou à mal, à nous écraser de sa patte folle, à nous coucher comme une merdxe, à nous ficeler vite bien fait et , zou, ouste, à la mer d’écumes ni une ni deux ! comme un fait exprès ! je suis l’andouikllette, misère ! voyez comme je porte mal ! je ne vaux que dalle ! une merde à braire, rien de bien pharamineux pour vous plaire ! laissez-moi poursyui vre ma misère hautaine, mon verbe de gueux, mes paroles saintes, mon voeu de chasteté troubklée, ma victoire sur herbe, mon temps de passage, ma vitesse de grâce, mes émoluments pariétaux (aurochs et chevaux) : de grâce ! ne me tuez pas comme une merde molle ! je suis mal : mal dit, mal dégrossi, mal venu, mal charpenté, mal dégauchi, mal ficelé, mal poncé, mal bâti, mal monté, mal verni, mal débité, mal serré, mal conduit, mal montré, mal désigné, etc ! jee ne suis pas celui que vous croyez , voyez ! Dès lors que dire ? il s’a git ici de comprendre un fait, ce qui est est . Ce qui n’est pas n’est pas (combien de fois ?) et pourtant : la chose est à comprendre «au fil dfu temps» et nulle part ailleurs . Nous devons comprendre au fil dfu temps et nulle part ailleurs . Nous devons cerner au fil du temps les données de base, les données qui s’offrent à nous au fur et à mesure que nous avan,çons sur pareille voie de halage. Qui pourra nous donner le change ? qui connazit la cklé desz entrées romanes ? qui sait ce qui est en ce dit lieu de perdxition ? ouvrons et regardons et que voit-on ? Nous voyons cette chjose ici d’une sorte de ... paradis ? ou comment, herbe folle ici qui pousse à foison. Nous sommes entrés et que voyons-nous ? le paradis des prés de’une lande herbacée de fait.Nous disons que bnous sommes entrés, entrés en ce «paradis» qui est champs d’herbes hautes à tout va. je vois ici l’herbe des prés. Je vois ici l’herbe des prés pousser. je suis homme-cheval de gré, 

allant sur roche à la recherchje d’une clé d’entrée, pour un passage à l’intérieur d’une rocxhe percée. je vais en elle et pousse ce qui est en moi d’une sqorte d’animalité narquoise. JHe veuc comprtendre les données du monde facial pariétal. Je veux comprendrre ici ce qui est au loin qui pousse et tend à me donner un change de destinée. Qui me dira la conduite à tenir ? qui saura m’in-diquer le chemin de grève ? qui est la personne attitrée à pareilles données langagières, à pareilles données de base langagière , qui ? qui va loin ici ? le temps est le temps donné rageur, le temps est temps donné rageur comme une vol:onté venant d’en haut quisaurait nous parler «

comme il faut» sans nous troubler. Je veux savoir ces mots ce qu’ils contiennent. Que contient lke mot «misère» ? que contient le mot «if» ? que contient kle mot «trait» ? que contiennnent les mots «traits de joie» .? que contienent lesq mots «va de branle « ? que contiennent les =mots «chargements directsq « ? que contiennent les mots «m’as-tu vu l’ami fidèle ?» ? etc ., car, je veux y trouver mon miel de connaissances, y trouver matière à penser kla terre, le ciel et autres tourments paysagers, je veux toucher la mise et m’en aller. Je veux me sauver. Je veux filer loin dans les remblais et comprendre ce quyi est en cette chose d’une vie (allouée) sur terre et dans le ciel. je suis dans une sorte de demeure entouré de bêtes. je suis comme veillé. Je veux aller debout marcher et rencontrer des âmes bien nées. Je ne veux pas tomber de cul sur les passdages des données votives ou autres mais charger bon pied bon oeil mes données xde rage à même le VErbe de céans. Je suis l’homme

 qui va, qui foule, qui comprend, qui pousse, qui contient. Je veuxx contenir le plus possible, comme une outtre . Je veuxx être  cet homme de la foi dans ce tourment (de soi) dépl

acé. je suis homme qui veut aller et comprtendre dans la profondeur d’une voix , voix placée sur roche comme une donnée de grande importyance en vue de se sauver. je vais et je viens et vois ce qui est autour de moi en termes de bêtyes de poids. JE suis homme de la base, rustiquement mal déployé. Je vais et je viens dans les champs d’herbe hautes fouurragères. Je veux toucher la timbale , l’atteindre fisqsa de mes bras, comme un hochet. Je suis  rustre, ambivalent, calfeutré chez lui un temps, obnu-bilé par un savoir de ra ge en lui, qui le pousse à) tracer fissa les mots de la lande sur roche des Temps. Il soupèse (pèse) et cherche à comprendre, et cerner le poids des choses, ce qu’elles sont ou réprésentent, ce que pareil poids masque, recèle, contient, désigne, donne en fait de vrais savoirs à déployer etc. Je suis l’homme soupesant sa peine (légère) d’être (vivant) dans les confins. Qui me dira le mot de la fin ? qui saura m’indiquer le chemin de la voie du sentier des grâces ici bas ? qui est kl’Empereur ? qui est le charmeur docile : moi ? Qui pleure à tout crin son émoi de base motrice ? Je veux savoir ici ce qui se trame en termes de données de base rageuse (ici rageuse, ailleurs rugueuse comme un pied de nez). mon corps n’est plus mon corps mais le corps d’un autre. Mon corps m’échappe incidemment et se montre coriace pour x raisons qui lui incombent ou sinon comment, et coriace pour qui ? pour la personne ici qui tremble, qui mate en tremblant. Je veux pousser loin les recherchhes  lancées, les recherches de fond qui sont recherches de données fiables. je suis homme des tribus sacrées, cherchant cheval à ma portée et voulant courir, sur la plaine, à grande enjambées. mon cheval a le nom qu’il porte continuement : Cheval de Joie de sa RAce Dure. je suis homme-cheval des dires déposés. Je vais en cette roche dure déceler (ou dénicher). Je veux comptrenbdre au mieux ce qui est qui tente ma gouverne et attire l’oeil (l’oeil du dire) de ma foi en l’au-delà. Je vais vif sur roche? Je veux savoir. je veux comprendre. Je cherche un trait de rage à lmême le temps. ICi est la chaine ou le chainon manquant. la terre est justicière. le sommeil du juste est mien ou est le mien dès lors que je comprends. Je tombe nez à nez sur terre ferme, le nez dans l’herbe. Qui mesurera ma parole échancrée ? quyi jugera icelle de près ? qui lira mes paroles sacrées ? qui saura ce qui est dit à travers une misère de paroles échangées comme une monnaie ? car, la vérité se loge là, dans la monnaie, plus la peine cde cxhercher. QSui saura dire ce qui est de ce qui n’est pas et inversement sans s’emberlificoter et y perdre le nord plus qu’il n’en faudrait en vérité, qui ?Je me

 loge ici même (verbal case) pour une recherche de tous les moments de grâce. Je me pose

 enjoué, je vais vivant à l’intérieur, car le but affiché se situe là, dans c ette volonté d’y» entrer vif = vivant comme un «échancré de ta race dite», pareil ou pas si loin au juste, et pourquoi cela ? Parce que je suis là homme des bois = homme aux bois = chevereuil ou cerf de céans, bete de ta 

rage au ventre, colère des fées, sentiment exacerbé de misère interne, double voix qui parle en ses noms dupliqués, échos de voix de bure, chantournements à la dérobée, courbettes, façons, loopings dans les prés à la manière de l’aviateur renommé. Je  suis l’homme au bras d’or. Amphibie. colère personnifié comme jamais. KLa colère en moi ne faiblit pas, qui gouverne ma gouverne. La colère est en moi qui jamais ne cède et qui toujours pointe, cxherche à percer le mystère, le voile des réalités, le tyissu tissé de mots du Verbe Nacré. je vois lka chose depuis moi, qui m’incombe ou qu’il m’incombe de mener à bien , à savoir : l’écriture du passage, le tracé nboir sur blanc d’une phrase, le trait courbe, les traits d’incise, les riches heures d’incise verbales, etc. Je veux dépoter. Je veux que kle sang gicle en ces contrées et tâche (souille) la lande comme un sang versé d’une bete rosse. Je cherche ce sang en ma voix, en c ette voix de freluquet cherchant pitance ici et là comme le mendiant de la fable : à l’arnaque, au débotté, faux -fuyant, mal encouragé depuis l’intérieur, etc. je suis homme au sang chaud de son antre. Il se peut que mon sort soit déjà tracé. Il se peut que ma voix soit morte cde fait et ne puisse jamaisq exp^rimer son dire en entier. Il se peut que mon corps lâche et tombe, lâchat et tombât le nez à terre et mourut. QZui pourra le dire ici .? LKA voix ne dit rien de plus que son timbre alloué, et lmes mots de parole sainte sont vifs peutêtyre mais creux d’aspect rupestre. Les mots de ma voix sont titres , sont paroles perdues quoique déposées. Il n’y a rien qui puisse être plus à même d’être ce cxhemin, cette voie d’accès. Rien de tangible ici qui puiiissee être chemin d’accès pour une entrée (princière) dans le sas des sas de la destinée. Le monde est clos comme une outre vide (à vide) . Il s’agit de le comp^rendre et de l’intégrer à sa propre gouverne ddde dde /

à sa propre gouverne interne. JeE suis un homme, qui va sur herbe, fonce, va loin, fouille, cxherche ici et là. Où est logée la vérité ? qu’est-elle au juste ? quoi est ce sentiment que nous avons de pouvoir en découdre sa ns frais ? comment pouvons nous comprendre cette chose ? qui saura placer le mot qui convient 

dans sa case ? qui va savoir parler au tout-venant sans embarras ? qui est la personne idoine, responsable, motivé, qui saura parler d’un ton approprié ? Je ne suis pas vcette personne hélas. Mon verbe est court, maparole rustre (et rude), mon corps frêle qui faiblit. M%a voix est celle du freluquet, du gamin de base, l’aspirant, kl’homme en herbe. Je veux pisser dru mais que tchi de premièere, ça veut pas. Les mots qui sortent de ma bouche sortent à la queue leu leu comme tresse de hjoie. Je voudrais que les choses perçassent d’elles-mêmes la paroi du temps et me permissent de me  dép^loyer de tout mon long de base nominal. Moi suis moi, pour ainsi dire ! Mais... non ! pas tout à fait ! ca r, mon nom fait les frais de cette opération de désenvoutement. ou comment sinon . je voudraois comprendre les données ;les plus ancrées et m’offrir ainsi comme en partage de données mooi-même?.Je suis celui qui cherche à comp^tendre loin ce qui se trame en lui en fait de destinée. Qui je suis dont j’ignore le nom. Qui je suis dont j’ignore tout. Qui hje suis dont le nom m’échappe. Qui je suis, qui pleure son nom de rage et le pousse fort au-devant comme l’inscription-incursion, ou comment ? d’effigie votive . Je vais vif en roche inscrire mon nom, incision-inscription pour une obstruction. je suis celui-là qui comprend (au loin) les données natives, les dfonnées frêles, ou du moins qui pense les, sinon comprtendre de fait, mais les toucher du doigt. Le doigt ici est ma ... gouverne de tete. Ou sinon de tete : de joie (joie ici signifie je). Quand je chante je sais. celuyi qui cxhante sait. quand hje chante je vois . quand je chante je conçois un échaffaudage, une structure, des données de base architecturale, toute une construction-inscription qui fait office d’obstruction , d’empêcheme,nt de pôids à un passage délivré. Je sais cette chose xde l’empêchement de nature verbale déplacée, et je vois ce qui est qui vca loin en cette xchose d’un savoir dit «de mémoire» , soit basé sur des reliques déposées au fur et à mesure des avancées . reliques folles,; on sait la chose. complètes, pleines, creuses, pleines et creuses, objets. je subodore les données ancrées à même

 lka roche comme étant de celles qui contiennennent (en leur sein) moults trésors de provzenance diverses , qui sont de ceux qui peuvent nous aider à nous y retrouver incxessamment ici ou là ensemble pour des découvertes à mener de front en bonne intelligence. ici la tête. et pourquoi pas? nous sommes nanties, nous 

avons de quoi. Nous so:mmes «de la misère en toutes choses « comme les descendants et descendantes, et cependant , nous pensons pouvoir trouver ici ou là clé à notre mesure. La mesure ici fait foi. La chance est (sera ?) au rendez-vous . La peine tout comme (tout contre). et aussi les sentiments concomittants, ceux des régions centrales à nos tourments d’homme et de femme vivant dans la lande. Je crois en dieu manifeste, tombé sur terre, déployé et comme relancé par du Verbe des prés. Car l’herbe est de celle que bnous aimons (nous autres, phacochères ? antilopes ? mammouths ? brouter. nous aimons manger de l’herbe, bnous aimons manger l’herbe verte des prés de destinée, nbous mangeons continument l’herbe verte de sous nous (nos pas) qui allons fissqa dans la lande à la recherche de la vérité, soit (on le voit) de l’herbe de la v érité. SQui l’eût cru ? qui pensaiyt pouvoir ? qui savait cela ? qui pensait pouvoir ? qui eut pensqé cette cxhose ? qui croyait en cette cghose ? quyi avait des vues sur cette chose ? sinon qui d’autre que ce dieu de ta ra ge rude, celui-ci : l’aurochs ! peine perdue ! le mot est dans la case ! la chaleur du sein maternel est une cxhose bonne ... pour qui veut ou voudra aller, szoit filer, à même la lande, à larecherche de la vérité. Car la vérité est une chose rare, ou peut êtyre (sinon rare) à dénicher «comme une chose rare». Le nid de laportée, etc. Mon coeur est coeur qui veut chanter la gloire céleste, je le sens. Il ya à chanter (en soi) des cghoses c’est une évidence. NOus sommes 

contenant le chant, du chant, un chant permanent, acté, vrai, ficelé en soi comme une liane. en nous il y a du chant. il y a du chant en  nous. ficelé comme une liane c’est une évidence ! nous savons cela , depuyis touy,ours. Nous sommes avertis et aguerris et savons cette chose ici depuis longtemps, depuis des milliers d’années en arrière, nous savons cette chose du chant intrégré (fissa) à nottre gouverne et  ce depuis la nuit des temps ou dit autrement : depuyis kla naissance et plusq avant, etc. Je suis homme qui sait en lui lke chant animal des prés; lk’aspirant écrivaillzeur dxe rage 

embringué» et mis à mal dans une sorte de tourmente animalière langagière de première. Je suis cet animal des prés de ta race, ami ! Je suis celui-ci et ne m’en vante pas  car je suis meurtri. Je suis homme qui va dans la lande à la recherche (en quelque sorte)  de lka vérité des temps et il me semble que je m’en rapprocjhe, assurément, cvontinuement, fractalement, fatalement, incidemment, vo:lontairezment, gentiment un peu plus tous lkes jours, en matinée. Car je suis lancé comme un,animal sur pattes. Je suis homme de la lande aux pôuvoirs divers et variés, sacxhant chasser et davantage, pouvant déceler ici ou là une vérité nichée, ou même sachant parler à haute voix les mots d’une rage intégrée et digérée comme une denrée. le fruit de mes paroles incantatoires est à lire pa ge  24, il se fait. je sais comment : à tue t^tete en «rentrant dedans», et c’est fait. je veux dire ici cette cghose du tourment (de base) menant , de fait, le monde comme il va. ce tourment (sacré) est intégré à la gouverne (tétière) humaine (cervelet ?) et panse les plaies (intériorisées) d’une volonté en nous ma rquée de «ne pas y aller». Nous avons (portons) en nbous misère = cette volonté de «ne pas y aller» et dès lors (disant la chose) de faire, ainsi ... la chose = ne pas y aller ! je pense donc je suis ... celui qui reste, qui est car il reste. je pense (ou parle, mets des mots) et donc je reste = comme une donnée. Je pense donc je reste= j’y suis j’y reste et c’e’st ainsi que personnellement je fais, 1, pour ma gouverne (tétière), 2, pour mon salut de contre-bande (etc) ... à chevakl. mon envie d’en découdre ainsi s’inscrit ici ! Je suis homme-ombre-hombre etc qui file à toute enjambée sur la lande et ne s’en laisse pas conter plus qu’il n’en faut pour sa gouverne ! je suis hjomme vif des paroles vives. Je suis ce

»lui-là qui pôusse à cran les données rageuses et cherche dans le vent, dans l’air, dans lkes embruns, dans la brume ce qui est qui puisse l’aider à  pour le coup cerner une vérité (tangible) de près. me voici cheval = transformé ! je suis celui qui est = je suis 

celui-là qui reste à quai et ne meurs pas : je pense donc je ne meurs pas ! tant que je pense je ne meurs pas. Penser = conserver son «étant» en vie, etc, et voilà pourquoi la chose s’incruste et jamais n’en vient à s’en déloger. Nous nous voyons ainsi nanti d’un appareil de dires  c élestes, dires fols qui tendent à monter, à grimper comme la p^lante non r»écoltée qui va monter en graines, etc. Le dire devient vite fol qui monte en graine religieusement et atteint, pour ainsi dire, des sommeets de rage. je suis ombre de moi-même en cet étau de vie. mon

 êytre est aillleurs (animal xdes prés) qui court (à bride abattue ?) sur la lande. Mon corps sera mort et sezra jeté. Il se peut que cela soit un jhour. il se peut que la chose un jour soit. il se peut que cette cxhose un jour advint et que mon corps fût jeté vif en un trou de passe. Qui dira laz chjose ? il se peut que (un jour) une personne vint à moi (vers moi) pour me pousser et me fzaire chuter et me tuer et me cacher. je suis cet homme dit «de la mort par poussée» , par peutêtte poussée interne : chacal de soi qui pousse à faiblir et faillir. on ne sait. Les choses sont peut-être écrites, à part soi, et nous en recueillons bon an mal an les dividendes ....  pour soi ! nous avons pour nous ce Verbe de la foi en c ette chose de la mort, comme de quelque cxhose qui en vrai est et n’existe que pour soi. Je pense donc jh’y suis hj’y reste ? Je vois devant moi une chose belle» = certaine = sûre = avérée = tenue = physique = charnelle = vraie comme une déité de dires dits «de la réaklité».Mon corps en subit les effets. Je suis homme-hombre à la gaillarde du train d’avant. vivement dimanche (le jour du seigneur) ! je branle oh misère : de tout mon poids ! je suis homme des parfums ancréqs et des couturières ! vive la vie

 qui va vive ! chaleurs ! obligations ! mes obligations cxharnelles : envies de vie dure, envie de vit dur, etc ? Je tente l’approche, me rapproche d’elle et lui dit le mot du passage. qui est l:à pôur moi ? je vais en roche dure dur. Je suis cvelui qui va en roche dur. Je cvommunique avec l’au-delà. Je veux commmuniquer avec l’au delà = commu(niquer ou comment ? je syuis ombre d’homme sur page des temps, sur paroi mobile : Verbe haut capitaux. Je veux comprtendre ce qui est en  cette chose d’un dire haut (haut venu) qui serait, dès lors, la monnaie d’échange. Je cherche à comprendre ici ce qui est qui, de fait, file à vive allure dans le sens d’une pesée liée à des questions (toutes) de capital. je tombe à la renverse. Ici je suis qui cherche à bien comprendre cette chose (bien venue) d’un dire alloué, à du capital, à de la monnaie, à pareille donnée de base à échanger = le prix ... de la peine à être ! nous allons ensemble (la bête et moi) à larecherche d’une vérité dite «d’emprunt» (on voit laquelle). BNous allons ensemble, soit la bête en moi et moi, à la recherche d’une «vérité d’emprunt» = empruntée) avec intérets

 à la clé ! et voilà la clké laquelle ! Nous essayons ensemble de percer grand nombre de mystères z_enchâssés, et pour ce faire nous devons creuser le verbe (animalier) à même la venue princière, venue ou survenue princière. Nous devons comptrendre ensembvkle ceszcdonnées et, les ayant comprises, voir ensemble toujours, à bien les déposer cde rage sur paroi (pour l’homme ou pour la femme d’autrefois) ou ailleurs (au demeurant) pour soi ... ou pour nous qui frayons (ici et là) avec le présent «du =monde adjacent». Nous devons comprendre. BNous devons aller ensemble. Nous devons filer doux ensemble et comptrendre ainsi, ainsi accol;ées. Nouds devons rester soudés et accolés comme deux moitiés d’un même fruit, ou comme deux moitiés d’un même êztre à deux côtés qui se ressemblent, comme pour nous. Nous devons coller à cette chose d’une vérité ici inscrite dans le temps, vérité-monnaie qui dira la CXhose crûment et nous donnera des ai:les (innocemment ?) . nous devons poursuivre sur notre lancée et  ne surtout pas abandonner trop vite ! nous devons poursyuivre (fissa) sur notre lancée toute animalière et y aller (de la sorte) à crann, à cru, ou cul nu ou comment à même terre-mère des tourments. Je suis homme d’épopée salutaire. Je pense donc je ris. la parole est misère qui ne perce pas (ou ne cherchera à ). mon ambition. mon souci. Ma chance ? ici est la chance ?

 ma cxhance ou pas s’inscrit ... de visu in situ. je tombe à la renverse, encore une fois, pour mieux me relever de pareille misère ... allouée à une vie de règne, de règne ducal, ici même, en ce lieu des paroles (drues) débordées. je veux coomprendre les données les plus secrètes de la vie et de la mort. Je veux comprendre ce qui est (de la vie et de la mort) au plus juste des tracés de roche, et pour ce faire : j’y vais, je ne lésine pas, je file fissa, je m’engage dans la voie d’une parole toute assumée, je craque les coutures d’un corset (ou sorte de corset)  langagier trop ressérré, je vais en pareille lande oou pareil

 pré à bride abattue comme un forcené, je file fou mon allure étrange, cavalcade, vive embardée, je fonce en v eux-tu en voilà à même les herbes des prés. HJe suis parti. je ne suis déjà pluds là. Je suis passé. Je ne suis plus de cemonde calfeutré. je tombe sur les fesses à vif. Je suis tombé et retombé et pourtant, me voilà vibrant comme jamais, renouvelé comme une sorte d'entité de roche, remis en selllle par en moi une gouverne animalière perpétuelle, etc, le coeur parle pour moi son lan,gage animalo-sanglant, ou comment dire cette chose d’une sorte de soutien de vie de type animalier comme il se doit pour coeur transi. Je tombe des nues à perpetuité

, voilà ce qui est ! la chose ici est celle-ci. je tombe à perpétuité des nues. Je tombe des nues à perpétuité . Je suis tombvé et je tomberai à perpétuité des nues ... de l’enfance de la joie d’être. je comble. je trace. Je traque la vérité sous tous ses aspects par la bande et pour cela, j’ouvre grand mon antre-coeur de passage, et incorpore tant et tant xde ce Verbe fol (animalier en diable) faisant obstruction à la mort (du temps) à son heure, ... ou comment ? à qyui d’autre ? Car, la mort est entrée dans la demeure, la faute à qui la faute au petit animal des prés ou alors au petit ver dans une pomme ou sinon qui ? Je cxherche ce qui est qui est. La voix qui parle est une sorte de donnée de rage motrice. Quand je parle je ne suids pas là. Je veux comprendre les données de base dans leur profondeur de parole drues, échangées, instruites, dirigées. QSuand je chante je ne suis pas là. Quand  je pense je ne suis pas là. je suyis l’être aux doux pouvoirs de bure, enchassé dans l’herbe comme un animal, je broute ma vive denrée, je cxhevauche des données, j’avance à pas cadencés. Je suis bete de rage au front haut boisé. Chevreuil de destinée ? caroubier ? quelle est en moi la bete ou l’arbre de tête ? je suis homme des temps reculés qui cherche à comprendre les données du monde ce qu’elles sont pour moi qui cherche à comprendre. Je veux soigner tel ou tel dire en particulier pour le présenter devant moi en tant que tel : pierre tombale. je suis homme des temps reculés, à barbe ou sans, charmeur ou non, nu de sa race intègre : peuplier ? je cherche ! je ne suis pas ça . Je ne suyis pas ça. Je ne suyis pas ça non plus. je suis ça ou ça. Je suis homme ombre hombre étoilé par en moi la voix des prés et des champs de blé. je suis étoilé par en moi la voix qui chante que tu chanteras de ta race boisée. Je veux être. Ne suis quoi d’autre que ? que quoi suis-je d'autre ? suis je autre que queue ? qsui a dit que oui ? je cherche à me rapprocher de telle ou telle vérité de base, qui pour moi sera ... vérité d’appui, 

car, je me fais vieux au fur et à mesure de mes avancées et je me dois pour ainsi dire d’en découdre (de la vérité) avant de trépasser. vais-je pouvoir? vais-je pouvoir acquérir vraiment des savoirs de branche ? qui a pôur moi une réponse qui fasse le poids ? je suis homme des prés (oui) et cependant, aussi, la bête en soi , qui, renaclant, trépigne d’en savoir aussi, un bout ou un autre, comme nous. NOus disons que nous sommes xdeux à vouloir, nous disons dès lors que nous sommes deux à vouloir dès lorsq. Nous disons dès lors que nous sommesdeux à vouloir savoir = de concert. Savoir de quoi il en retourne dans les champs de blé concomittant. Savoir ce qui est pour nous qui bnous attend et tend à parler

, à dire (=signifier) ce qui est en cette chose d’une vérité des limbes cachée. Je cherche = nous cherchons. Car nous sommes deux (en moi-

même) à cxhercher que tu cghercheras. Nous cherchons à deux = à toi à moi, bras dessus bras dessous ou sinon ... un pied l’autre, etc.  Démarche pour une foi en la mort pour soi. 

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1/2/2022

jre cherche aub mieux les raisons en moi qui me font espérer en une découverte majeure, s»rieuse, déposée, mise en place sur pareil (ici) devant d’éternité. Je veuc x (de fait) comprendre au mieux, les ressorts qui sont, afin d’aller profond et de trouver en moi «l’animal de base», quel il est ou quel est-il ? car, est il celui ci qui charge de toute sa force son allant en moi, ou bien celui là qui regarde en moi et cherche à en trouver l’issue ? je veux comprendre au plus juste et au plus près les choses de ce monde partagé, ici la bête qui renacle en moi, là mon etre déplacé, mon corps de bure déposé sur ce devant hospitalier. Je suis l’homme bi des certitudes = cette chose doublée, cette chose double, etc., mi homme des attraits mi-cheval des commùunes . j’aspire

 à trouver ici et là un grand nombre

 de données qui feront de moi cette bete, mi-rosse mi-douce, des abris. je vais sur ce terrain-là enfourché, je cherche issue et demande à droite et à gauche qui pourrait m’aider et me glisser le mot qui convient ou convienfrait à pareille recherche vive, à l’oreille, pour me guider. Je vais en cette chose d’un devant de soi, je suis ce cheval des bois, je trépigne de joie, je suis je l’animal à la belle robe. Mon cvorps est musclé, lissé, je brille . jre suis cheval des prés qui va sur ce dfevant d’un soi de parade (cavalcade) et s’ébroue. mon cvoeur est coeur de joie . Je veux comprendre au mieux les données du monde : qui suis-je que je ne suis pas ? qui ne suis-je pas que je suis ? est-ce possible ? je vais et je viens en cette zone neuve des abris de toutes sortes, je m’avance nonchalamment, je veux trouver , dès lors je cherche. Je suis cet homme qui, assidu, motivé, pris par en lui la voix de la Chose, cherche vivement à comprendre au mieux les données prése,ntes d’un monde d’alentour à soi, celui-ci, qui est cet espace-temps pariétal. Je suis cette personne aux abois. Je veux savoir + car je suis mi bete mi-homme et en tant que tel j’aspire = je suis aspirant. Je guette autour de moi les diverses données qui viennent toutes (les unes après les autres) à se présenter et me concerrnent = me mirent. Je vois ces choses devant moi et comprend que celles ci comptent plus qu’il n’en parait : ce qui est et qui se montre = une et autres choses dures, des tourments c’est une évidence : malmadies diverses, souffrances diverses, douleur incommensurables, pas qu’un peu. je veux savoir. Ce qui est ici est cette chose d’une sorte de massif de joie mais déplacé. Le massif de joie est cette montagne sacrée déplacée = devant soi et non plus accolé, car fut un temps où ce massif était en effet accolé à soi et n’était pas cet espace-temps de rosse donnée, comme à ce jour . Le massif de la joie ou massif de joie avait pour lui d’être accolé et pouvait dès lors nous permettre de nous protéger. je vois les choses comme elles sont, je suis celui-là qui veut et cherche à voir, qui veut voir et cherche à voir les données les plus naïves-natives premières-primaires car, me voilà qui vient vers vous, quyi approche de la «vérité en toutezs choses» à grandes enjambées mi-humaines mi-chevaline.  Je suis le cheval des landes, je vais et je viens comme à la carmagnole, je veux comprendre au mieux toutes ces données concernant un monde qui serait ce monde des «vivant la mort de près», qui sont ils ? Mon coeur demande à savoir métronomiquement. Mon coeur cherche à comprendre chevalinement, car en moi résude (résidu) le cheval de la rage ... à dire sa voix, sa voix de coche. Je veux savoir au plus ce qui arrive, ici, dsans le sas = espace temps des courtes vues, etc. Qui va là sans lumière ? qui est qui ? qui est qui devant soi ? qui est cette personne devant moi qui me reluque de la tête aux pieds (de pied en cap) et ne cesse de m’aguicher : la mort ? oh certainement, on la connait, on sait pertinneme nt de quoio elle est capable obstinément. je sais cette chose ici d’une mort qui mate. Cela est connu de tous et toutes, cela est une certitude. Cela est même la 

plus grande des certitudes : la mort mate, oublie. Elle n’est pas là pour du semblant de joie et ne s’en lzaisse nullement conter par qui que ce soit, elle est fière, dure, rude, brute et charge en veux-tu en voilà sans regarder qui de quoi ni à la dépense ! Elle est moche ! elle ne ressemble à rien ! elle n’a pas de la beauté du monde adjacent et ses formes peuvent revêtir des alluures étrandgement fades ou mêmes maussades. je comprends ce qui est (du monde adjacent) à la mesure de la Chose ici qui mate. qui est elle ? qui est cette Chose ? eh bien voilà : nous avons affaire à une sorte de petite (?) bete des prés, une biche ou un chevreuil, une petite biche, ou bien une chèvre, ou bien la brebis galeuse, ou bien la brebis tout court. cette bête est une bete de la joie du monde et, aussi, la bete des attraits. nous cherchons dès lors pareille bête autour de nous, nous espionnons ou plutôt inspectons tout autour de nous et que voyons-nous ? cette petite (?) bête des attraits, nous la regardons dans le blanc des yeux, nous comprenons que cette bête est là (et bien là) pour nous, pour nous parler, pour nous dire des choses, pour nous guider, pour nous donner le change, pour nous indiquer le chemin de base, pour nbous indiquer la voie la plus courte, vers cet au delà de soi, cet espace de la joie votive, ce coin des durées, ce ventre mou. Je regarde icelle bête devant moi, elle est celle-là qui connait un grand nombre de données de base 

concernant pareille entité votive. Qu’a t elle àà nous dire ? elle a à nous dire ceci : comme quoi, la vie est cettye chose des attraits, des beautés nacrées, des couleurs vives, des douceurs mais aussi cette échancrure dans la toile, dans le lin de la roche des temps déplacés à notre gra,ndétonnement ou comment ? Je vais vers la bête, je m’approche d’elle. La bete connait bien mes volontés car elle lit dans ma pensée. La bete est autre, c’est à dire l’Autre. Cette bête est pour moi celke-là qui sait pourquoi en vrai je m’apprioche d’elle et quelleq sont les intentions qui m’habitent car elle voit loin et longtemps, elle fouille les êtres, elle 

comprend à demi-mot ou sans mot en vérité, elle a vite fait de vous cerner. La bête est cette Chose devant soi en interposition d’avec la mort. Elle obstue le paysage (la beauté) et ce faisant sert de bouclier. il y a la bête-mot (ou bete tout court) d’un en-soi de vie pariétale, et la mort «de l’autre côté» de la bête-mot. on voit cela tresq bien, on comprend les données ici, on s’en approche du moins . je vois la Chose ici en tant qu’elle est : celle-ci qui me regarde, me concerne, m’épie, me soupèse du regard en se disant  «mais qui est donc icelui qui va ainsi devant à mon approche ?», et moi de rétorquer : « je suis celui- là qui vient à ton encontre ou à ta rencontre dans le but avoué (affiché) d’en connaittree fort, d’en connaittre le plus, d’en savoir un max, etc, sur les choses du monde : peux tu m’aider ?», et la bête de répondre : « oui je peux car je sais des chgoses, je suis fine et gracile, fringante, je cours vite, je suis lancée et charmaeuse et charmante, etc, je peux te donner le change, je peux t’offrir le change, je peux être de bon conseil pour toi et pour ta gouverne, jhe peux t’aider sans 

arrière-pensées, je suis biche et brebis, mi biche mi-mot, mi brebis mi antre, etc, je suis hybride, je suis la bete qu’il te faut«», et moi de me dire comme quoi j’ai bien fait, cette chose d’aller, de gravir la pente, de monter tout haut, transe, transe, et toucher, la toucher la toucher, transe, montée ardue, monte que tu monteras, me voilà en haut . je suis tout en haut c’’st à dire en lévitation. je suis à présent cet être de peu en lévitation. je suis monté. Je suis monté sur pareil monticule de base. je suis tout à moi sur pareil monticule de base, je suis arrivé à bon port: de quoi s’agit-il ? il s’agit de cet endroit de la joie d’être, cet espace quasi mental, ce trou de fosse, cettte sorte d’excavation qui serait celle d’une sorte d’appétance pour la joie de figurer ici en tant que quoi, en tant qu’homme-biche, ou homme-cheveruil, cheval ? en tant qu’homme-cheval, brebis ? ou homme-brebis ! je vais en ce mont et mate. Je suis monté, je vois loin, il y a loin à voir, l’horizon de nacre, les fumées, la veine bleutée etc. Je comprends que l’enderoit est propice (plutôt) à rêveries, il y a cette chgose

 pour moi à comprendre, cette chose d’une «rêverie de base», une sorte de romancero intérieur, une sorte de danse macabre (?) ou commùent ? sarde ? je vais et je viens tourneboulant, je fais des tours et des retours, je tourne que tu tourneras, je suis le danseur des bois, je suis dans la transe sarde, je comprends . je suis monté ! je suis tout en haut du monticule et de là je vois loin ce qui est qui me regarde et m’appelle de son chant d’azur, etc. je suis homme-biche nacrée, je suis homme-cheval bleuté, je vais de monticule en monticule, je vois alentour, je suis hy = hybride, je suis bi = bi-être, je suis mi = chanteur ! je vais loin car je connais les lieux et je me laisse ainsi guider par kles effluves, je suis l’être du mont de ... la joie d’en être ! Mon corps entier est passé ! hourra et gloire à toi, le cheval ! gloire au cheval ! gloire à toi le canasson ! gloire au cvanasson ! gloire à toi l’animal ! gloire à toi animal des prés ! car je suis en toi et tu es en moi, et à nous deux nous faisons la paire et aussi la Chose (comme quoi !) qui pourrait nous en dire long, si seulement la Chose voulait bien (via nous) et pouvait se poser (quelques secondes) pour nous évoquer toutes ces choses qui sont choses de première main, choses rudes mais premièeres, choses des temps naissants . nous espérons beauycoiup qu’un jour, un jour prochain, la Chose, la Chose voudra, etc. Voudra-t-elle ? rien ne le garantit ! Elle vit sa vie de Chose hybride, détachée de nous, lointaine si elle le désire, etc. mon souci premier en toputes choses est de comprendre ce qui est, ce qui se trame aux alentours de nous = dans le sas des sas, dans ce sas (ici) des atours, des entours, etc, c’est à dire tout autour de nous. J’aspire fort à en savoir long soit le plus possible . je veux espérer = j’ose espérer. je dios cette chose comme quoi la vie des entours est celle-ci que nous qua;lifionds (en petit comité) dee borgne, quelquepart, et pourquoi borgne ? comme d’une porte, ou d’un mur plutot ! voilà les don,nées, nous disons les choses telles qu’elles nouis adviennent, c’’st à dire telles qu’elles arrivent (ensemble) à nottre intellect. Je charge = j’avance. Je suis mi- mi-, et cela étant jre grimpe 

comme l’animal (en lévitation) de la fable (l’âne d’or ?). je veux comprendre plus plus plus de ce que je sais de ce qui est, et que sais-je ? Je sais par exemple une cghose, cette chose d’un savoir ... ancestral et premier , même premier, etc. cette chose est celle-ci : comme quoi la vie des atours (entours, alentours) à soi = une (sorte de) zone franche, mortifère comme pas deux, ultra-dangereuse de base et casse-pipe de première. cela est une chose des plus sûres . Et donc c’est déjà pas mal . Il y a bien sûr mille et une chose de plus à comprendre icicbas incessamment, on est d’accord, or il est bon de rappeler la Chose commùe quoi, la vie est souffrance (depuis la naiossance) et n’est pas une partie de jambe en l’air ou commùent dire , ou seulement partie de jambes en l’air, ou comment dire, ou, seulement, des choses de joie, mi chair mi poisson, etc. Je veux comprendre . La vie est parties de jambes en l’air mais pas seulement. La vioe est joie d’être mais pas seulement . La vie finit mal mais pas seulement . je suis l’animal choyé par la lande, je m’ébroue comme jamais , j’avance sur les platesbandes, je veux du savoir, des connaissances, des compréhensions, je veux des donn,ées concernant mla mort, je veux creuser à même le Vzerbe dit «de destinée» les choses essentielles à ma démarche, etc . et pour cela que fais -je ? je creuse ! J’y vais franco de port, j’y vais gaiement, sans regarcder à la dépense plus qu’il n’en faut : rotation, derviche, je file, looopings dit «de ma race» j’obtempère ! je suis l’homme des attraits, comme il y a la biche des attraits, tout sensiblement pareil . je monte ! je suis monté ! je regartde et que vois-je ? je vois loin les données de base : le Verbe est un bouclier, il laramène comme jamais mais il a fort à faire, et les choses sont qu’il ne peut faillir sans qsombrer, d’où telle attitude de ramenage, etcc . LE verbe est là (à sa manière printanière, usurpée, racoleuse, etc) pour comblker et faire barrage à la mort de ta rage concrète . La mort voudrait passer par tel chas d’aiguille rupestre mais tintin car les mots sont là qui (de bouche) obstruent le passage (à la bonne heure des sentiments !) et voilà pourquoi la mort est cet oeil de razge, cette sorte de tourment qui mate, cet olibrius de premièrere à nous chercher des noises, etc  . Je vois bien que les choses se présentent de la sorte et se placent de part et d’autre du cheval . Je comprends )à présent  l’importance de la musique, du fluide, de l’eau, des choses advenant selon leur propre rythme d’appel, selon le rythme d’emplacement qui sied à Nature rustique, à pareille musique de déroulé . Les mots viennent musicalement prendre place dans un déroulé pensif déterminé par des canons de rage placés. je comprends ces attraits sus-mentionnés comme étant ces cases dans les quelles musicalement la pensée de bure vient à se loger incidemment à son ryhtme

 de partage . Je comprends la cghose d’une sortye de mélopée qui laisse passer = filtre au fur et à mesure des choses d’advenance vive = de la vie . Je voios que tout setrame en soi selon le schéma que ce tout adopte et non point selon ma volonté d’aller . je ne pense pas donc je suis . jer crois que la chose est rude qui veut que nous fussions mortels ! Je ne veux pas de la mort de base, qui veut ? nous pleurons ensemble sur un parapet, nous sommes assis et assises ou pour certains et certaines agenouillées et nous prions : de quoi s’agit il ? nous parlons dans un vide  (ou creux) de la rage d’être, nbous nous emberlificortons les pinceaux , nous nous mélangeons nos données, mi-homme ou mi-femme / mi bête, nopus sommes parés : fibrilles ! tresse de la joie d’etre, ici, cette chose hybride = hy, ou bi, ou mi, comme de coutume . Nous voulons creuser le plus loin possible la donne, nous sommes deux qui voulons creuser au plus loin possible la donne telle que nous (ensemble) nous l’évoquons et telle que nous (ensemble) la subodorons, car la donne = la chose des temps= cette chose d’une sorte d’appendice (?) à la mort de base . Oui ainsi. car la mort a son appendice caudal, et la vie a son appendice caudal, et les deux savzent mélanger, de base (de rage)  pareil, ici, leurs appen,dices, ils ou plutôt elles, savent, les deux savent mélanger leurs (le leur) appendices (chacune) c’est une certitude . cela est . Nous savons . La mort et la vie = main dans la main ! nous cherchons à comprendre loin ces choses des données de base, nous ne voulons pas ne pas nous approcher. Nous voulons co:mprendre ce qui est (de la vie et de ma moprt) et pour cela, nous nous unissons dans la joie et dans la bonne humeur et nous accolons nos pensqées natives,   . nous voulons comprendre loin = creuser, dans la profondeur des données qui nous sont offertes (de fait) par la bande . La bande est nacrée (on sait) et se prête volontiers à être exploré part telle goyuverrne mienne ou tellle autre gouverne nôtre . nous avons envie ensemble de mêler nos dires pour un «creusement temporel» ou «temporo-spatiazl», ou «spatio-temporel» etc, ici même, au sein de la  (cette) vie de base qui est vgie de rage pour tous et  toutes, et, qui plus est, à mesure de nos prpopres avancées en âge. Nous devons comprendre cettye chose d’une sorte de donnée comme quoi, la mort et la vie sont ... en ménage, etc. ! fibres de vie-mort emberlificotée comme jamais, tourbillon nacré, chaleurs du rut ensablée ! nous sommes deux (homme/femme et bete conjointe) à le subodorer, mais est-ce vrai, et si cela est vrai est-ce dicible (avéré et dit ?) ? Nous pensons des choses, nous pensons que nous devopns co:mprendre des choses, nous pensons que nous devons nous associer pour comprendsre des choses . Nous voulons comprendre des choses. Nous sommes ensemble (mi-homme / mi-femme, mi-bête) pour comprendre la chose, ici, comme quoi la vie a partie pleine, ou partie prenante, a vec la mort . -La mort est liée à la vie, dans cette sorte de déroulé  temporel, qui fait qu’elle est comme prise

 dans un piège à son tour mortel . La mort est une sorte de fibre à vif (un nerf) pris dans les rets d’une vie tout aussi vive et nervurée . Je cherche à comprendre ce qui est, je ne suis pas chiche en la matière. Mon corps partira mais ma voix reste qui sonne mâtines et crie sa gouaille animalière ! JE vais sur le parvis . je regarde les alentours, je croise des reagardsq de bêtes ici et là (betes des bois ?), je 

cherche à cerner les données tenaces de la vérité, je ne lâche pas la grappe. Qui est là decvant moi ? qui se pointe en face)àface ? qui me cherche des noises ? qsui est là qui me regarde ? qui me regarde ? qui est là qui me regarde ? qui me regarde insidieusement ? Qui veut me voir sous toutes mes coutures sinon Dieu on l’a compris ! mais qui est Dieu  ? dieu est l’ami simple, l’ami fidèle, l’oiseau de bonne compagnie, l’etre de la chance d’être, la joie au monde, le bel innocent de la fable ancienne, l’ombre sans ombre, la belle meunière des abruzzes, etc . Nous cgherchons à cerner au mieux les différentes données apportées (de grâce- par la bande . nousv  ne lambinons pas, nous sommes tout à notre tâche . nous checherchons avec sérieux,, nous sommes /

nous sommes assidus. Nous ne voulons pas lacher la bride. Nous voulons comprendre le plus de toutes ces données de base déposées ici à nos pieds, déposées tout près pour reconnaissance et étiquetage .  notre but est de cerner (bien cerner) les données du monde ... au plus juste du plus juste des chgoses pour le coup vraies, nous pouvons comprendre ce qui est ici en tant que ce qui est est cette chose d’un monde fermé, obturé, pris au piège de la réalité en vrai des tracas et autres tourments dits «de destinée» . nous savons que les choses sont telles car la vie est torsadée. Nous voulons comprendre ce qui est au mieux et pour ce faire nous devons chanter à notrte tour ce qui est de ce qui advient, etc, et ne pas lâcher la bride jamais mais bien la maintenir contre l’en-soi qui est le nôttre un temps, soit celui de nottre temps à vivre une vie avérée sur terre. Nous devons ainsi nous faiore à cette idée, comme quoi kla vie est rage, et la mort aussi , cette chose liée, comme embrouillée, comme prise dans les rets de pareille rage, etc . je vois depuis les monts cette chose làbas d’une sorte d’horizon de nacre. je vois au loin cette chose d’une sorte d’horizon qui nous regarde, il nous fait face = il fzait que nous avons (ainsi) face à arborer ; laquelle ? celle ci : vie-mort emberlificotée comme qui dirait de la tresse ou natte d’un être de rage ! Je comprends les choses ici à) la lumière de la rage à être, et c’est ainsi. il se peut que la compréhension ailleurs aille ailleurs et se posât sur d’autres territoires de pensée. Nous nous disons des choses mais la vérité excède (de loin !) les dires humains, voire les dires matinés (homme ou felmme / bête) on le sait et ... on le souligne ici. nous voulons toucher les cghoses du monde et (pour cela) nous devons creuser ... dans la profondeur des données (de base) déposée . Nous avons à toucher la Chose en vrai = en dur. Est elle de la partyie(vie-mort accouplés) ?Est elle cette chose qui cherche passage à tyravers nous (bouche ouverte) et cela pour la bonne cause (causerie) ? nous pen,chons pour le oui . nous avons à nous positionner et  c’est exactezment ce que nous faisons ... en priant , agenouillé, espérant en la venue un jour d’un être de salut . nous voulons combler le trou de notre bouche par des mots d’attraits (garnements) qui seront étoupe faisant barrrage. Notre but est affiché. Nous voulobns combler d’étoupe le trou de la bouche et faire barrage à lea 

mort de rage . nOus nbe voulobns pas mourir . Nous ne voulons pas de la mort . nous voulons conserver par devers nous les données vives de la joie à être et à vivre une vie d’emprunt. notre vie est ainsi délimitée, cernée, dessinée. je regarde lers données du monde et je vois que ce qui est est une xhose rude de chez rude pour tous et toutes (pour beaucoup sinon pour tousq et toutes). nous voulons être etres de rage comme est la mort, et rétorquer du tac au tac ... et pourquoi pas ?  Car, nous sqommes remontés, nous sommes à bloc, nous sommes deux qui sommes remontés et forts de notre envie de bousculer la donne. NOu somm es deux qui voyons les choses (du monde alentour) nous coincer pour ainsi dire . notrte but est de voir ce qui est , au delà des alentours les plus sommma ires. nous ne voulons pas de la moprt de base, celle -là à laquelle noius sommes promis et promises, nbous n’en voulons pas, nous ne voulons pas de cette chose rude. notre but est de chercher ailleurs et de trouver, à même la vie, de quoi sortir latête (d’éternité ? nous y reviendrons) et, si possible, prendre un peu d’air, respirer, souffler, vivre dans la joie de vivre, vivre en joie, êztre joie, etre, etc. notre désir est ainsi signifié en toutes lettrtes . comment s’éloigner de la nasse mort-vie de base attitrée ? que faire pour s’en protéger ? où aller ? cvomment s’y prendre ? nous ne vcoulons pas mourir en c ette cghose d’une vie comme sous emprise ici bas, et pour celac : le Verbe en bouclier !nous comprenons pas mal, nous comprenons que nous comprenons ! nous comprenons que nous comprenons des cghoses de base, nous ne sommùes pas si betes que ça, nous ne voulons pas passerc à côté de tout. notre ambition est ainsi ici, qui nous dicte la marche à suivre. Notre but est celui-ci. nous ne vcoulons pas trépasser, nbous ne voulons pas succomber et de ce fait njous cherchons ensemble (main dans la main) à comprendre le plus, le plus loin possible, à cerner le plus, le plus profondément possible, les données les plus profondes, les dires de base, les mots de la joie de l’être des ou du temps, nous voulons comprendre dur. Ce qui est au monde est au monde nu. ce qui n’est pas au monde est au monde habillé. Les choses sont ainsi qu’elles se trament dans (ou par) des apparats. nous voulons cerner rude, comprendre dur, ttrouver la voie, aller dans les limbes et les catacombes, percer. Mais comment percer ? un pic est nécessaire ! Comment donc percer la Chhose du temps ? eh bien, armé ! oui et de quoio ? de ton pic verbal de rage. il s’agit de ce pic mal ou bien  embouché ! Eh donc ? eh bvien ainsi armé tu peux lutter ! tu peux aller loin dans la profondeur des langages endiablés, tu peux danser la carmagnole, le cha cha cha, etc, facile ! tu deviens dès lors l’etre aux doux atours, tu vogues, tu volette à la volette, tu montes d’un cran et cxharme l’auditoire à la bonne franquette du pot ! rien de moins ! cest ainsi que pour ma gouverne j’ose faire, voici ! je file ma rage ! je v ais loin dans la conna issance des données de terre-mère, je fonce = j’y vais = j’obtempère = je me lie aux temps, des passages frères, etc Je cherche à comprendre au pklus du plus et pour ce faire je vais vivante dans la nasse et me délecte des données brutes : mots de peu, voilages, doux désirs, mots de

 rage a minima, colères doucement frappée, carambolages de façade, etc Je suis l’homme qui vibre, armé de sa batte animale, il ne s’en laisse pas conter cxar il y va fissa tête première dans la mêlée. Il est l’homme des places vides, à combler de jhoie urbaine . l’homme du sérail cxhangé en jungle. L’homme doux privé des abris. le tentaculaire, etc. sa voix portera, mais ne porte pas car elle est légère, fluette, et nbe va pas là où bon lui semblerait de devoir allzer . chacun sa peine. nous voulons comprendre   e qui est de toute l’affaire et ainsi aviser ensembler à comment pouvoir aller se dépa touiller d’une telle engeance en la personne de la mort ici présente dans le sas des sas . mais de quoi est donc fait ce sas des sas ? de quoi en retourne t il ? nous pensons que cette chose (sas des sas) est chose commùune, disons : place commune, ou disons : liueu d’accueil. Nous voulons cerner la chose ensemble soit au plus juste d’une sorte de justice sans faux)-semblant mais ce ,n’est pas gagné . nous pensons que nous devons comprendre (au mieux) les données r&acées, soit : ceklles qui ont du chien, qui en jettent, qui en fichent plein la vue, etc, les cerner au mieux et faire avec. la chose ici concerne une vie d’ezmprunt on l’a dit et ne doit pas être p rise au pied de la lettre. à savoir : non ! la chose n’est pas une chose au rabais ! Nous voulons ensemble essayer de comprendre (au mieux) ce qu’il en est, de cette vie de base rustique, princière, de rage, etc qui est la nottre en cxe bas-monde sidéral (et monacal) et pour cela, nous devons veiller à nhe pas nous arrêter à ce que dit la lettre en son être, nous devons comprendre au delà des mots, passer cap pour ainsi dire et déplacer de fait notre chazmp de vision. La terre entière est sous l’étau d’une chape de mots de type ambivalents ! sus aux mots de toute sorte ! sortons-en ! allons voir ailleurs si nbous y sommes, etc. Car, la terre est aussi ce lieu de souci simples, d’études, de recherches menées tambour battant à même le Verbe plein, etc, et pas seulement cet endroit de plantation, ces herbages de perte, ces fouillis matinaux, etc

. la vie a des bons côtés. LKa vie se prête à des études langagières de haute tenue dans un cadre (calé) déplacé. nous avons à comprendre beaucoup en disant la chgose crument. nous nous devons ensemble de chgercher la faille dans le temps, pousser au plus que nous pouvons les données de base telles que celles-ci se présentent à nous, faire ainsi que les choses soient et ... ne plus lâcher la bride . notre but est de teznir bon dans les charges, dans pareilles charges allègres, dans ces embardées vocales, dans les recherches menées de conserve, etc . Il y a à comprendre et cer ner, il y a aussi à creuser de notre pic de bouche appointé ! qui l’eut cru ? nous sol:mes deux pour un,e sorte de recherche a ctive à mener ensemble au sein du verbe !  qui et qui ? eh bien, peut-être l’animal ... et moi, la chose, cette Chose dite qui serait ou répondrait de l’ordre des mots bêtes, betes et betes, betes animal, et bete pas bien futé, etc, car la bete-animal n’’est pas bete, et la betise en soi n’a rien d’animal . Nous nous appuyons sur le Verbe et cxhercghons ainsi (par ce biais) la Chose à comprten dre . nous fouillons de rage et creusons de concert. La mort est cette cghose en contrefort, qui sembvle avoir à (pour elle) nous atteindre, nous attirer à elle, nous pousser à la faute. il semblerait que cette Chose de la mort à l’oeuvre est un véhicule primaire amené à nous adjoindre oà un lieu de perte. notre envie, est d’éviter pareillle embardé, ou pareille volonté. nous n’avons pas signé pour être capturé de fait de la sorte et selon son bon-vouloir. nous n’avons en rien voulu cette cghose ! nous n’avons jamais signé pour ainsi nous laisser emporter de force par la mort à l’oeuvre, la gaillarde : que dalle ! non ! non ! non jamais ! nous ne voulonbs pas ! nous ne voulons pas être pris de la sorte, surpris, prisonnier, fait comme des rats, belettes, rats des chzamps et rats d’egouts, belettes et autres betes voreaces. la tete est nôtre, qyui cherchons à la sauver. notre ainsi tete de roi. nous voulons combattre, car, nous savons  cette chose, comme quoi lea mort est une chose mûre, dépourvue de sentiments de quelque sorte que  ce soit, pour ainsi dire dégaagée et prête à tout, qui n’est pas peu fière cx’elle-même et ne manquera pas de nous (en quelque sorte) capturer si nécessairte et si, de notre côté, nous n’y prenons gare$. Car quoi 

malheur ! la mort est entière ! elle ne renâcle devant rien et impose sa loi, sa loi divibne, à la une à la deux sans tergiverser . nOus voulons aller au loin dans la connaissa nce. Nous voulons aller dans la profondeur de  ce qui est et qui est approchable par le Verbe;. oui nous voulons ! ou plutot : ouyi nous voulons buter mais ... pour mieux percevoir le plan d’ensemble, sinon quoi d’autre ? c’est à dire (en gros) quoi faire d’aurtrre que cette chose ? Nous sommes deux qui voulons trouver (ensemble) la clé . quelle est elle ? nous voulons trouver la clé, où est la clé ? c’est quoi une clé, en  cette matière ? qui répondra? Nous cherchons une clé pour une porte. nous voulonbs traverser le sas. Nous ne voulons pas rester à quai (en carafe) à attendre gentiement que les données du monde nous tombent dessus pour ingformation, mais aller de l’avant, passer outtre, pâsser le cap, frapper à la porte si tant est, ou bien (et donc) actionner la c lé (musicale ?) des temps. notre envie cde clé est envie de joie, ni plus nbi moins. nous sommes dans l’atteznte d’une joie à être vif et vive à jamais, musicalement très certainement, cvorporellement peut-etre, amiicalement il se peut, concrètement n’en doutons pas. je cherche voix d’attrait, et voie de passage dans un antre qui serait ici celui de la vie éternellement embellie, et dfu coup : la clé ! cette clé est clé ... de ta rage folle (folie ?) mais pas seulement. Cette clé est clé de base. clé pour le trou à percer (pique ?). Il s’agit d’une clé de base pour un verrou, à faire sauter vite fait. ne trainons pas dans l’embuscade ! filons doux nottre pâreille ! chargeons à dos de mulet les parades ! concentrons nous sur le pas de charge ! comblons nos lacunes immenses ! passons outre à volonté (celle de la Chose) de nbous voir dépassée et mis et mise à bas ! prisons ! prions ! allons voir ailleurs si nous y sommes ensemble , etc , et voilà pourquoi (ce tout) est pour nous une voie d’abord possible, une entrée possible en cette matière, d’une sorte de donnée rupestre (à la dure) qui bnous tens les bras ou nbous tendrait les bras à qui mieux mieux afin de nous aider à (pour ainsi dire) passer un c ap, celui de la mort (dite) promise, de la mort affichée, annoncée partout et qui n’est pas (du tout) pour nous plaire outre mesure loin de là ! nous voulons trouver lma cklé, quelle est-elle ? nbous chezrchons ! Nous voulons trouver à même le VErbe d’état, cette cxlé de rage si prisée, et pour ce faire un peu de musique car, on le sait, toute recherchge digne cde  ce nom s’accompagne toujours de musique, qu’elle soit interne (musique interne) ou externe (musique des contrées) peu importe, la musique estla part du diable, elle a mesure à joindre à nous, elle se doit d’êtrte clé de la base et clé du sommet des données natives, des données terminales ou finales, des données de base rageuse comme 

on le voit icvi et là, nous devons comprendre ensembvle cette clé, d’où et comment l’envisager ou la cerner ? notre envie est envie de nous pla cer de telle sorte que pareille recherche de clé devint possible. nbous nous installonsface à face et par(lons. Nous devons nbouys placer face à face et parler ensemble, et trouver les mots de parade . passons la cxhose en revue. La cklé est d’abord musicale, on le voit, ça s’entend. la clé est chosemusicale en cela que le temps est de la partie. le temps est l’espace de vie cx’une sorte d’envie allouée à une destinée mortelle. nous ne voulons pas cdéfaillir mais nous n’ensommes pas (encore ?) à l’abri et cela car nous sommes encore «jeunes d’esprit» il se peut, ou bvien parce que les mots dans notre bouche ne s’imposent pas, du tout, comme on le voudrait. nous avons des choses à cerner, à comprendre, à dire, à percer de notre piolet vif de rage, et bien d’autres cghoses

 encore à faire, mais d’abord : la clé ! quelle est-elle ? où est-elle ? qui la connait ? qui sait où elleest, où elle se trouve ? qsui la connait ? qui sait où elle crèche ? qui connait la cklé de mémoire ? qui sait ce que c’est qu’une cklé de rage ? qui connait le sort réservé aux clés ? qui voudra comprendre notre but et cette chose, de vouloir mordicus comprendre, de la cké, les aboutiisants ? qui voudra nous aider dans notre recherche de clé ? Nous sommes deux (ensemble) qui cherchons la clé = la musique = le temps = les tourments = les sorties rugeuses dans le sas des sas dx’une vie de base, etcQui a compris le sebns desq mots ? qui cherche avec nbous à dépasser le sens (pur et dur) des mots ... de la rage à être vivant ?  car, les mots sont tous ... enfants de la rage, de la rage à être ... vivant /vivante «de ta race» ! oui ! cela se voit partout, sous toutescles latitudes ! les mots nous protrè§gent (un temp^s = le Temps) de la mort à l ‘oeuvre c’e’st ainsi, car ils font écran, ils comblent le Temps, ilsq obstruent trou de bouche ouverte, ils font tous barrage .. d’où leurs noms de» mots de barrage» on l’a compris ! ils barrent dans la rage, etc! nous devons comprendre les donnéesz ici, qui toutes semblent s’agglutiner à la lumière d’une  vérité (sorte de vérité) de passage, nous sommes entiers / entières, et nous cherchons ensemble cette vérité. nous devons comprendre au mieux cette notion ici abordée, d’une sorte de barre-barrage à Chose de la mort à l’oeuvre, cette cxhose d’une obstruction. nbous nous devons de compre ndre ensemble pareille donn,ée frontale et d'en mesurer les effgets à lo ngue écxhéeance. Je vois le mot «mot» faisant écran, je songe au mot «bete» et comprend davantage . L’animal est le mot de la fable, mot de rage dure et d’obstruction 

à captation. le Temps est un abri de type rupestre (une grotte décorée) et de type musical( le chant des atours). nouys voilà qui cherchons à nous désembringuer de la chose en soi qui parade devant nous comme une mal élevée comme tout. que donc dire à la mort pour la chasser ? du dire de rage = du dire = des mots-animaux = des betes de charge = du venin ou du poison en tant que donn,ée folles, ou en tant que données sombres. Je regarde autour de moi, je vois de beaux pâysages . les beautés des lieux d’atours, cela est ainsi que nous voyons eznsemble. je m’imagine une vallée, un sillon, un chemin dans lkes collines avoisinantres . pa ysage ami qui nbous regarde et semble nbous apprécier, bnous reconnaitre en tant que tel et telle et nousq adopter. or voici que la mort parade ! Elle n’a jamais peur, elle n’est jamais rassasiée, elle cherche rtoujours à nous blouser ou ruser. nous ne voulons pas de la mort car nous sommes eznsemble, qui cherchons à commùent agir et à comment nous y 

prendre , et, ce faisant, nous disons ensemble ce refus, de nous voir piéger. la mort n’est donc pas cette chose rosse que l’on croirait, ou ne serait pas ? nous n’en savons rien ! Nous sommùes à la recherche d’une vérité des vérités, nous sommes à la recherche d’une vérité des vérités, comment l’aborder ? qu’y a-t-)il «après « la mort que nous ne sacxhions ? si je meurs mon corps tombe et s’éteint. je crois en une étoile de destinée vive, qui saurait nous seconder en ces pires momeznts de rage. je cxrois que mon corps est voué à disparaitre mais pas mon âme. mùon âme est cettte chose d’une sorte de ( comment dire ?) volonté. je crois que mon êame est une chose dite «coriace» mais qui l’est en vérité . l’ame est pour le corps l’équivalent pour ainsi dire langagier de ce qu’est, à la mort, le langage. ou non : l’ame est pour le coprps ce que les mots (les mots-betes ou mots-animaux) sont pour la mort. Nous devons obtempérer. l’ame est au corps ce que le mot est à la mort : fissa pareil. nous disons (fissa) que les choses sont équivalentes, ou (disons) se font comme é»cho par la bande. nous cherchons desq vérités de poropagande pour ainsi dire ! les mots disent la chjose nue mais jamais ne la montre ! ou bien : les mots disent à nu les choses de la mort à l’oeuvre, à l'oeuvre ici bas (sas des sas) . Nous pensons que la mort est en soi gageure, forte tête, misère, pitrerie, rature, colère, peine et prise, et voilà pourquoi nbous n’en voulobns pas. l’âme a à être. le corps finira sa course (étoile des mers) . nous ne voulons pâs de la mort dure, ni de la mort -outrage,, ni même de la mort-romance. le but ici est de trouver (ensemble) à nous en dé&faire (de pareille prise) et pour ce faire ... un peu de musique temporo-spa